Covid-19 : Un milliardaire veut vendre aux enchères du « sperme non-vacciné »

[Source : 20minutes.fr]

[Illustration : Guo Wengui assure avoir en stock près de 6.000 ovules et « quelques millions de spermatozoïdes » de donneurs non-vaccinés. — SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA]

OR BLANC — Ce proche de Steve Bannon a promis de demander une lettre d’un avocat pour certifier la non-vaccination du donneur

La bourse aux idées étranges. Un milliardaire chinois en exil, proche des réseaux trumpistes, veut organiser en juin, une vente aux enchères en ligne de « sperme non-vacciné ».

Guo Wengui assure avoir en stock près de 6.000 ovules et « quelques millions de spermatozoïdes » de donneurs non-vaccinés. Ces enchères d’un nouveau genre incluront aussi « son propre sperme, bien sûr », a-t-il précisé.

Pourquoi du sperme d’homme non-vacciné ? Parce que les spermatozoïdes d’hommes n’ayant pas reçu d’injection contre le Covid-19 seraient la réponse à une théorie complotiste, qui assure que les vaccins causent une stérilité massive.

Proche de Steve Bannon

Guo Wengui, dont l’exil doré aux Etats-Unis a été perturbé par son arrestation mi-mars pour fraudes présumées, compte organiser ces enchères en juin sur le réseau social conservateur Gettr. « Du sperme et des ovules de nos camarades de combat seront mis aux enchères sur notre plateforme Gettr entre le 1er et le 6 juin », a annoncé Guo Wengui en février. Traqué par la Chine, où il est accusé de fraudes financières, le magnat est un proche de l’ancien conseiller de Donald Trump, Steve Bannon.

Mais son arrestation pourrait bien faire dérailler ses plans. Le magnat est accusé d’avoir orchestré une fraude complexe visant à extorquer plus d’un milliard de dollars à des milliers de personnes qui le suivent en ligne.

Que ces enchères aient lieu ou pas, elles ont déjà fait sensation sur Gettr, des fans du milliardaire y voyant l’occasion de « sauver l’avenir de l’humanité » ou assurant que le sperme d’homme non-vacciné est « le futur Bitcoin ». « Ces enchères reposent, de façon plus large, sur des faux arguments selon lesquels les vaccins anti-Covid ont nui à la fertilité », déclare à l’AFP John Gregory, de l’organisme de surveillance de l’information NewsGuard.

« Les auteurs de désinformation sur le vaccin propagent cette affirmation, alors que de nombreuses études médicales montrent que les vaccins n’ont pas d’impact négatif sur la fertilité des hommes et des femmes. »

Le mouvement du « sang pur »

Guo Wengui n’a pas précisé comment le liquide serait testé ou expédié. Mais il a promis d’utiliser des « méthodes scientifiques » et de demander une lettre d’un avocat pour certifier la non-vaccination du donneur.

Le projet s’inscrit dans le mouvement dit « du sang pur », qui affirme à tort que le vaccin contre le Covid-19 contamine le corps. Ceux qui y croient évitent donc à tout prix les transfusions sanguines de personnes vaccinées mais également leur sperme, ou même leur lait maternel. Ces théories fumeuses ont un potentiel lucratif, qui a éveillé l’intérêt de certains militants anti-vaccins.

Le sperme d’homme non-vacciné a même été surnommé « le nouvel or blanc » par un utilisateur de Gettr enthousiasmé. Des tasses et t-shirts « sperme non-vacciné disponible » peuvent aussi être achetés sur Amazon et eBay.






Contre le pouvoir : La France en guerre

[Source : reseauinternational.net]

Par Christine Deviers Joncour et Éric Montana

Nous sommes à la limite de l’effondrement total. Nous risquons de tout perdre, non seulement sur le plan économique déjà bien mal en point avec les nombreux sabotages de l’équipe Macron, mais aussi pour garantir nos libertés en grand danger !

Les ennemis ne sont pas à nos portes, ils sont au cœur même de notre pays. Nos ennemis sont ceux qui sont au cœur du pouvoir, ceux qui nous gouvernent ! Ils ne nous veulent pas du bien mais ils sont missionnés pour nous détruire et ce, à tous les niveaux : la liste serait trop longue !

Ce que nous voyons c’est un peuple au bout du rouleau qui réclame un peu de justice sociale, et se fait matraquer par une bande de hors la loi aux ordres d’un pouvoir devenu terroriste et meurtrier pour imposer une dictature fasciste au service des USA et des milliardaires !

Macron a été mis en place pour détruire la France et briser le peuple français dans tous les domaines : sociétal, sanitaire, économique, spirituel. L’ultra violence politique d’une certaine police aux ordres des traitres au pouvoir et rémunérée grassement pour faire le sale boulot, confirme qu’elle reçoit des ordres en ce sens.

Après l’opération Covid et l’injection du poison vaccinal présenté comme « sûr et efficace », les victimes se comptent par dizaines de milliers. Femmes et enfants sont rendus stériles pour que le plan de dépopulation mondiale soit effectif. La corruption de la classe politique, son adhésion aux thèses eugénistes, sa soumission aux cartels bancaires et aux organisations mondialistes comme le FEM de Klaus Schwab, constituent les preuves évidentes que nous sommes les victimes du plus grand crime contre l’humanité de l’Histoire. Nos propres vies sont menacées et les informations qui nous parviennent chaque jour nous le confirment.

Les accusations de complotisme pour essayer de nous faire passer pour des fous, sont démenties par les révélations des scientifiques, des chercheurs, des médecins honnêtes qui ont préféré tout perdre plutôt que de se rendre complices de crimes abjects. Seuls des esprits malades peuvent participer à ce plan de dépopulation mondiale. Seuls des mythomanes psychopathes sont capables d’une telle perversité.

La confiance est rompue.

Ceux qui sont censés nous protéger, nous trompent et nous assassinent. Ils sont sans foi ni loi car ils haïssent notre humanité. Et c’est parce que nous sommes désormais tous en danger, que le peuple a décidé de se lever.

La retraite n’a été que l’étincelle pour mettre en lumière tout ce que nous subissons depuis 2017, et plus particulièrement depuis la fausse pandémie qui a vu ce pouvoir franchir toutes les limites de la loi, faisant de notre pays un État de non droit où toutes les formes de tyrannie ont pu s’exercer en toute impunité.

Quand Martin Blachier tente de justifier les mesures sanitaires gravement liberticides, les qualifiant « d’inutiles et exagérées », disant « C’est parce qu’on ne savait pas », traitant ceux qui savaient « d’assassins », de « criminels », de « complotistes », il est temps de comprendre que ce pouvoir fou a envoyé des millions d’êtres humains dans l’enfer des effets secondaires tragiques et au cimetière.

Irresponsables ou complices ? Nous sommes en droit de douter de la santé mentale de ceux qui nous dirigent, de ceux qui nous mentent et nous trompent et de cette légion de docteurs Mengelé plus attentifs à leurs intérêts financiers qu’à la santé de ceux qui leur ont fait confiance.

Jamais notre pays n’a subi une trahison d’une telle ampleur car des innocents sont morts d’avoir fait confiance à cette meute criminelle.

Alors oui, nous avons tout supporté : la corruption des politiciens, les mensonges des médias, la trahison des médecins, l’effondrement de notre économie et de notre niveau de vie, l’explosion de la misère et du chômage, l’insécurité entretenue par le pouvoir pour justifier le vote de lois toujours plus réductrices de liberté, l’injustice sociale qui voit les bénéfices des milliardaires atteindre des sommets indécents quand des millions de Français ne parviennent même plus à nourrir leurs enfants… et l’abjecte autosatisfaction des responsables de cet immense gâchis…

Notre France est en train de devenir un pays du Tiers Monde à cause de la trahison des gouvernements qui sont devenus les domestiques obéissants des cartels bancaires et de la finance prédatrice. Et dans ce marasme continu, la seule victime est le peuple français.

Nous avons dépassé depuis longtemps les bornes de l’inacceptable car pour nous obliger à accepter toutes ces injustices, le pouvoir nous inflige une violence policière inouïe qui n’a pas d’équivalent sur notre continent !

Des millions de Gilets jaunes réclamant de pouvoir boucler le mois, n’ont eu que la violence en retour. Des milliers de blessés, de mutilés, d’estropiés, d’emprisonnés, sans oublier les morts qui réclamaient juste de pouvoir manger et nourrir leurs enfants…

Aucun pouvoir n’a eu autant de mépris pour la vie humaine. Aucun pouvoir n’a eu autant de sang sur les mains. Jamais la violence n’a tant servi de méthode de « gouvernement » qu’aujourd’hui.

Nous avons à faire à des cyniques, à des gens sans foi ni raison, à des politiciens incapables de discerner le bien du mal, à des traîtres, des opportunistes, des fourbes dont le mensonge est le pain quotidien.

C’est la raison pour laquelle l’article 35 de la Constitution du 24 juin 1793 stipule :

« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ! »

Par ses actes, le pouvoir s’est mis hors la loi. Nous sommes donc en situation de légitime défense.

Ce pouvoir, à la légitimité effondrée, n’est plus qu’un bloc de coercition. Pour avoir lui-même abattu toutes les médiations, l’autocrate psychopathe n’est plus séparé du peuple que par une ligne de policiers robocops.

De cet individu que toute raison a depuis longtemps déserté, rien ne peut être exclu. N’est-il pas en effet apparent pour tous qu’à force de vouloir trôner seul en gloire, Macron s’est collé à tout : il s’est collé à la loi retraites, comme il s’est collé à la police et à l’ordre capitaliste de sorte qu’il est devenu la synthèse vivante de toutes les détestations particulières, et finalement leur unique objet. La police est partout, la justice nulle part. Ce sont des décennies d’humiliations qui commencent à exploser.

Pour le moment, nous, le peuple français devons sans faute profiter de cette fenêtre qui s’ouvre avec ces nombreuses manifestations et cette colère qui s’exprime pour pousser ce combat et aller pacifiquement jusqu’au bout sans faillir.

La presse internationale annonce plus de dix millions de manifestants mais nos médias mainstream divisent le nombre par trois ! Manipulation et désinformation sont les deux mamelles de ce pouvoir massivement rejeté par le peuple.

Ne plus accepter que le peuple se fasse molester, tabasser comme des chiens dans les rues. Il va falloir que nous nous battions avec courage et détermination jusqu’à la victoire. Car, c’est une guerre contre cette oligarchie prédatrice et criminelle, or dans une guerre deux clans s’affrontent.

Notre clan, le peuple de France, doit s’y préparer avec courage, détermination, hardiesse. Cette porte ouverte depuis ces derniers jours ne doit absolument pas se refermer, pour notre survie à tous !

Montrons-leur que nous les français, les « sans-dents », « les gueux », « ceux qui ne sont rien », sont aussi des hommes dignes, valeureux, braves et résolus !

Alors, soit le gouvernement choisira la fuite en avant autoritaire et nous entrerons officiellement en dictature, soit il commencera à reculer.

Il faut désormais prendre au sérieux l’hypothèse d’une destitution de Macron pour nous donner la force de résister, d’aller au combat et imaginer le champ des possibles qui s’ouvrirait alors en cas de triomphe !

« Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux ». Alors levons-nous courageusement et préparons-nous au combat, il y a encore des hommes courageux dans ce pays !

C’est là maintenant ou jamais, plus jamais !






Rage médiatique et viol collectif des dissidents québécois

[Source : tribunaldelinfaux.com]

Par Julie Levesque

Les chiens de garde de la démocratie ont la rage. Ils s’attaquent à ceux qu’ils sont censés servir.

Merci à tous ceux qui m’aident à lutter contre cette pathologie médiatique contagieuse et mortelle pour notre démocratie en faisant un don ou en partageant cet article :

Virement Interac : tribunaldelinfaux@gmail.com (réponse: tribunal)
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Où me trouver : https://linktr.ee/julielevesque


Le Conseil de presse du Québec (CPQ), tribunal d’honneur des médias, a blâmé Gilles Proulx récemment pour ses propos discriminatoires envers François Amalega, figure emblématique de la résistance québécoise contre les mesures sanitaires totalitaires, aujourd’hui prouvées inutiles et nocives (voir ici aussi).

« D’abord, il vient d’arriver au pays, il vient nous dicter des nouvelles formes d’adoption des lois, je te le mettrais sur la pelle à charbon […] Je le renverrais chez lui », a dit Gilles Proulx à l’émission Denis Lévesque diffusée à LCN le 23 septembre 2021.

Le Devoir résume ainsi la décision du Conseil de Presse :

Gilles Proulx

« “Bien qu’un journaliste d’opinion comme Gilles Proulx bénéficie d’une liberté de ton et de style, la déontologie exige qu’il ne tienne pas de propos discriminatoires, par exemple des propos racistes ou xénophobes, explique la décision rendue publique jeudi. […] Mais dans le dossier qui nous concerne ici, les propos […] attaquent plutôt ses caractéristiques personnelles [celles de François Amalega] en tant qu’immigrant noir. En ce sens, les propos de Gilles Proulx tendent à susciter et attiser la haine et le mépris et à entretenir les préjugés envers les Noirs, plus particulièrement les immigrants noirs. ”

La décision s’appuie sur la référence à “la pelle à charbon”, expression qui “peut renvoyer à l’esclavagisme, d’un point de vue historique”. Le Conseil juge aussi que la proposition de renvoyer M. Amalega “chez lui” suscite “le mépris et la haine envers les immigrants noirs” comme le reste de l’intervention (“Il vient d’arriver au pays”, etc.) “dénigre les immigrants qui prennent part aux débats publics”. » (Soulignements ajoutés)

Si l’on doit se réjouir de la décision du CPQ, on est en droit de se demander pourquoi il n’a pratiquement pas tenu compte des innombrables propos discriminatoires dans les médias depuis 2020 à l’endroit des opposants aux mesures sanitaires, plus particulièrement des non-vaccinés.

Cette décision semble confirmer que « dénigrer les immigrants qui prennent part aux débats publics » est condamnable, mais que dénigrer les Québécois « qui prennent part aux débats publics » est acceptable, voire responsable, lorsqu’ils sont perçus par la communauté médiatique comme des « complotistes », simplement parce que la méfiance envers les autorités et les médias constitue le fondement de leurs convictions politiques.

Cette méfiance, justifiée par moult scandales de corruption et de désinformation médiatique à travers les âges, n’a rien de complotiste, contrairement à ce que l’on tente de faire croire à la masse. Elle est plutôt bien ancrée dans le réel, un réel ignoré par cette masse qui le fuit quotidiennement, préférant se réfugier dans le nid douillet du divertissement.

Le texte qui suit se veut une sorte d’autopsie du viol collectif des dissidents québécois par les médias durant la crise covidienne.

Il est divisé en sept parties :

  1. Dénigrement et discrimination sur la base des convictions politiques : libertés d’opinion et d’expression sur la corruption de nos institutions;
  2. La violence « rassure » les agresseurs : banalisation de la violence verbale et psychologique dans les médias, droits de la personne;
  3. L’agresseur agressé : les acteurs médiatiques demandent aux autorités d’agir contre le harcèlement dont ils font l’objet et blâment leurs victimes;
  4. La corruption de l’éthique journalistique et la discrimination des « non-vaccinés » : étude de la revue Nature et propos radicaux de Patrick Lagacé;
  5. Langage totalitaire et vérité : division sociale basée sur le mensonge;
  6. La propagande haineuse de Patrick Lagacé protégée en haut lieu : les agents de la paix et le tribunal d’honneur des médias cautionnent le lynchage médiatique et le viol des droits fondamentaux;
  7. Viol collectif des droits fondamentaux : irresponsabilité et impunité de la presse.

1. Dénigrement et discrimination sur la base des convictions politiques

La Charte québécoise des droits et libertés de la personne interdit la discrimination fondée sur les convictions politiques.

On peut lire sur le site de la Commission des droits de la personne et de la jeunesse (CDPDJ) :

« [Les convictions politiques] sont les idées politiques auxquelles vous croyez fermement et auxquelles vous vous identifiez.

Une personne ne peut pas vous discriminer ou vous harceler en raison de vos convictions politiques. En effet, la Charte des droits et libertés de la personne interdit à tous :

● de vous traiter différemment en raison de vos convictions politiques
● de vous faire des commentaires offensants et répétés liés à vos convictions politiques
● d’avoir des comportements offensants et répétés envers vous liés à vos convictions politiques. » (Soulignements ajoutés)

La notion relativement vague de « convictions politiques » a été circonscrite en avril 1983 dans une étude publiée par la CDPDJ, La notion de convictions politiques dans la Charte des droits et libertés de la personne :

« Toute personne a droit à la reconnaissance et à l’exercice en pleine égalité des droits et libertés de la personne sans distinction, exclusion ou préférence fondée :

1) soit [sur] ses idées, ses croyances, ses opinions portant sur l’organisation et l’exercice du pouvoir dans la société: à savoir l’état (sic), ou la Gouverne ;

2) soit sur ses activités politiques partisanes (exercées dans le cadre d’un parti politique fédéral, provincial ou municipal ;

3) soit sur ses activités politiques, non-partisanes, (bureaucratiques, éducatives ou de pression) exercées dans le cadre d’un groupe de pression. »

Toute opinion touchant à la gestion gouvernementale de la crise dite sanitaire entre donc dans la définition de « convictions politiques », tout comme les activités politiques liées à la crise, qu’elles soient partisanes ou non.

Conséquemment, il est juste de dire que, depuis 2020, les médias traditionnels ont discriminé une grande partie de la population sur la base de leurs convictions politiques.

Ils ont tenu des propos et eu des comportements « offensants et répétés » envers les personnes remettant en question le discours dominant sur la crise sanitaire et contestant, par diverses activités politiques, l’exercice liberticide du pouvoir.

Dans l’ensemble, les dissidents attaqués par les médias perçoivent la crise sanitaire davantage comme une crise politique profonde, révélatrice d’une corruption systémique et d’une capture réglementaire à l’échelle planétaire.

Sécurité publique Canada définit ainsi ces deux types de corruption affectant « l’exercice du pouvoir dans la société » :

« La  “corruption systémique” existe lorsque la corruption est omniprésente ou enracinée dans une société. Autrement dit, elle existe lorsque la corruption est routinière dans les transactions entre le gouvernement et des personnes physiques ou morales privées. Il y a alors tension entre les règles officielles et officieuses, car les agents publics, les entreprises et les particuliers ont toutes les raisons de se conformer à ce système illicite […]

Un autre type de grande corruption est la  “captation de l’État”, qui se définit comme le fait, pour une entreprise ou une organisation, de façonner et d’influencer les lois ou les politiques gouvernementales dans un secteur entier par le biais de paiements […] La captation de l’État a un équivalent assez rapproché dont les acteurs et les buts sont identiques, à savoir “la corruption par l’influence”, la différence tenant à l’absence, dans ce dernier cas, de tout paiement, avantage ou transaction : l’influence est exercée selon la capacité de l’organisation d’influer sur une politique en conséquence de sa taille, de son appartenance, ou encore de ses liens potentiels et interactions avec des représentants de l’État. » (Soulignements ajoutés)

Les dissidents qui ont osé dénoncer ces problèmes bien réels de corruption, déjà exposés en 2009 durant la fausse pandémie H1N1, ont définitivement eu droit à un traitement différent fondé sur leurs convictions politiques, représentées par les grands médias comme l’expression du délire des pauvres d’esprits, illettrés et « édentés ».

Ces convictions reposent en réalité sur « l’un des plus grands scandales de l’histoire médicale », analysé dans la revue Protégez-Vous en mars 2010 :

Dans cet article, l’ex-professeur de pharmacologie en médecine et expert de pharmacovigilance à l’Université de Montréal, Pierre Biron, résume en quelques mots comment se manifeste la corruption dans le domaine de la santé :

« L’industrie [pharmaceutique] s’infiltre de plus en plus dans la recherche médicale. Avec la bénédiction des autorités provinciales et universitaires. L’institution médicale est éthiquement en faillite. »

L’institution médiatique, ce 4e pouvoir dont la mission consiste à surveiller les autres formes de pouvoirs (exécutif, législatif et judiciaire) dans l’intérêt du peuple, est, elle aussi, éthiquement en faillite.

Cette ruine médiatique s’est manifestée presque quotidiennement depuis 2020 par l’usage récurrent des préjugés « complotistes », « radicaux » au comportement « violent », « extrémistes de droite », « antiscience », « dangers publics », « illuminés », « coucous », sans oublier l’amalgame hautement douteux avec les sectes.

Et que dire du terme « covidiot ».

Notons d’abord que le CPQ a, à juste titre, blâmé le Journal de Montréal pour avoir employés les termes partiaux « touristatas » et « covidiots ». Le quotidien de Québecor n’est toutefois pas le seul à avoir surfé sur ce dernier néologisme.

Radio-Canada a employé ce terme rabaissant dès avril 2020 et incité les citoyens à dénoncer ces « idiots » à la police :

En septembre 2020, la société d’État a fait appel à des linguistes pour discuter des néologismes pandémiques. « Covidiot » est considéré comme un terme « humoristique » remplissant « plusieurs fonctions », selon une linguiste.

La principale fonction du terme « covidiot » n’a pourtant rien d’humoristique : il incite d’emblée à la haine et au mépris.

Le meilleur exemple de cette haine et de ce mépris est probablement la chronique « Les covidiots et nous » d’Isabelle Hachey, publié dans La Presse le 9 avril 2021. Ce texte remporte la palme d’or des insultes : on y recense banalement tous les termes péjoratifs possibles et inimaginables affublés aux opposants aux mesures.

Ça fait partie de la « nouvelle normalité ».

Notons que Mme Hachey suggère de ne pas employer ces injures, non pas parce qu’injurier ses semblables est malveillant, violent, manque de savoir vivre et surtout d’éthique journalistique, mais bien parce que ça ne sert à rien, car « tous ces imbéciles-là », qu’on « haït donc », ne changeront pas leur comportement :

« Ce qui est aussi très humain, c’est notre propension à dénoncer ceux qui dérogent aux règles en temps de crise. Ça nous procure un sentiment de contrôle quand tout le reste nous échappe, disent encore les psys.

Et puis, ça nous rassure d’associer ce virus à de sombres crétins qui n’agissent pas comme nous, qui ne seront jamais comme nous.

Ça nous rassure, mais ça ne règle rien. » (Soulignements ajoutés)

2. La violence « rassure » les agresseurs

L’emploi à répétition de propos injurieux dans les médias québécois, avec l’assentiment tacite des institutions vouées à la protection des citoyens, doit être compris pour ce qu’il est : une interminable agression psychologique.

Dès le début de la crise, les médias ont noyé les opposants aux mesures dans leur flot constant de violence psychologique et verbale. Les preuves sont accablantes.

Cette violence s’est intensifiée lors de la campagne d’injection, particulièrement lorsque les personnes déshumanisées pendant des mois « gagnaient » le droit de refuser un traitement médical, comme si ce droit n’était pas explicitement incorporé aux instruments légaux nationaux et internationaux depuis des décennies.

Cette chronique de Richard Martineau, « La victoire des coucous« , rivalise de violence psychologique et verbale avec celle d’Isabelle Hachey, mais la surpasse en termes de projection :

« Parce qu’ils sont ignares, parce qu’ils préfèrent perdre leur emploi plutôt que de cesser de croire à des âneries véhiculées par des imbéciles, des coucous ont gagné le droit de côtoyer des personnes extrêmement vulnérables MÊME S’ILS NE SONT PAS VACCINÉS !

[…]

Savez-vous quelle était l’erreur du gouvernement ?

Surestimer l’intelligence des antivax. 

Messieurs Legault et Dubé se sont dit : “Ils ont beau être bizarres, jamais ces coucous ne vont préférer perdre leur job plutôt que de déroger à leurs principes… C’est sûr qu’ils vont aller se faire vacciner avant le 15 octobre, voyons…”

Eh bien, vous savez quoi ?

Les coucous préfèrent perdre leur job ! 

Ils sont comme les Témoins de Jéhovah, qui préfèrent mourir plutôt que de recevoir une transfusion sanguine !

C’est ce qui arrive quand tu es illuminé : tu ne plies pas. 

Il n’y a que les démocrates qui plient, qui accommodent, qui comprennent. Qui respectent les droits “fondamentaux” de ceux qui ne pensent pas comme eux.

Les extrémistes, eux, s’en foutent des autres ! Ils s’en foutent, des droits et des libertés de ceux qui ne partagent pas leurs points de vue ! » (Soulignements ajoutés)

Cette dernière phrase est typique du phénomène psychologique de projection, autrement connu sous le nom d’inversion accusatoire. M. Martineau affirmait lui-même dans sa chronique « Le passeport vaccinal est injuste?« , en avril 2021, soit à peine six mois plus tôt, se foutre des droits de ceux qui ne partageaient pas son point de vue :

« Savez-vous ce que je fais de vos droits, ô chères personnes qui ne voulez pas être vaccinées ?

Je les prends, je les roule très serré et je me les fous dans le schtroumpif. » (Soulignements ajoutés)

M. Martineau étant donc, de son propre aveu, un extrémiste, nul besoin d’en faire la preuve.

Il convient cependant de démontrer que le chroniqueur vedette, comme la quasi totalité de ses collègues, a fait usage de violence verbale selon les définitions du Gouvernement du Québec :

« La violence psychologique est généralement utilisée pour avoir ou garder le contrôle sur quelqu’unLe respect est absent et le consentement est obtenu de manière inacceptableLe point commun à toutes les stratégies recourant à la violence psychologique est qu’une personne agit de façon inconsidérée envers l’autre, par exemple :  

● en la critiquant constamment; 
● en la rabaissant; 
● en déformant la réalité pour modifier sa perception;  
● en la faisant douter d’elle-même; 
● en manipulant ses émotions; 
● en l’isolant socialement; 
● etc.  

Cette forme de violence est souvent difficile à détecter par les victimes et par leur entourage, car elle est subtile et hypocrite. Les victimes peuvent se sentir manipulées (impression que quelqu’un leur joue dans la tête) ou ressentir de l’injustice dans la façon dont on les traite. Cependant, certains indices dans le comportement de l’agresseur aident à identifier la violence psychologique. En voici quelques-uns : 

● critiques à répétition ou reproches fréquents […]
● chantage […]  
● accusations fausses ou injustifiées (sans preuve) […]  
● menaces […]  
● silence […] 
● ignorance […]  

Violence verbale 

La violence verbale est utilisée pour intimider, humilier ou contrôler une personne ou un groupe. Elle peut aussi se retrouver dans toutes les formes d’interactions (entre inconnus, entre voisins, entre collègues, entre amis, entre conjoints) et dans des relations d’autorité (patron-employé, professeur-étudiant, entraîneur-athlète). Cette forme de violence peut également être annonciatrice de violence physique. 

Tout comme la violence psychologique, la violence verbale peut être difficile à reconnaître, car elle est banalisée et ignorée par plusieurs (les gens se disent que cela ne les regarde pas). Voici quelques indices permettant d’identifier la violence verbale :  

● le sarcasme […]  
● les insultes […]
● les propos dégradants ou humiliants […]  
● les hurlements ou les ordres […] » (Soulignements ajoutés)

Campagne pour la promotion d’une ligne d’écoute destinée
aux jeunes victimes de violences du Conseil général d’Ile de France.

Or, outre le fait que la violence dont on accuse les opposants au mesures sanitaires provient davantage des autorités et des chroniqueurs vedettes, la CDPDJ et le Conseil de presse ont refusé de traiter de nombreuses plaintes contre les médias ou de les condamner pour cette violence et cette discrimination fondée sur des opinions.

Cette forme de discrimination, qui continue aujourd’hui, est expressément prohibée dans la Déclaration universelle des droits de l’Homme :

« Article 2

Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’opinion politique ou de toute autre opinion, d’origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation.

Article 7

Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinction à une égale protection de la loi. Tous ont droit à une protection égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration et contre toute provocation à une telle discrimination.

Article 19

Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. » (Soulignements ajoutés)

Les médias ont violé, en toute impunité, l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’Homme avec leur couverture radicalement négative, inéquitable et partiale des opposants aux mesures.

Ni le Conseil de presse ni la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ) n’ont cru bon de rappeler les journalistes et chroniqueurs à l’ordre, malgré les demandes répétées de leurs victimes.

Pourtant, lors de la crise étudiante en 2012, l’ex-juge John Gomery*, président du Conseil de presse de l’époque, avait mis en garde les chroniqueurs contre leurs propos radicaux.

Dans un article du Journal de Montréal intitulé DURANT LES CONFLITS – Il faut protéger la liberté de presse, on peut lire :

John Gomery, un homme honnête selon Yves Boisvert.

« Propos plus radicaux

Le président du Conseil de presse a par ailleurs fait une mise en garde contre une radicalisation du discours de certains journalistes et commentateurs qu’il dit avoir observée.

“ … et ce simple constat doit nous amener à nous demander si une plus grande modération dans la libre expression des points de vue ne diminuerait pas le risque d’exacerber et de radicaliser le conflit, en plus de mieux respecter les droits de chacun”, a conclu M. Gomery. » (Soulignements ajoutés)

Sauf erreur, Paule Beaugrand-Champagne, présidente du Conseil de presse jusqu’en mai 2022, et son successeur Pierre-Paul Noreau ont, par leurs actions et leur inaction, fait le choix « d’exacerber et de radicaliser le conflit », et de ne pas « respecter les droits de chacun ».

Ils ont protégé des vedettes médiatiques en attaquant les citoyens et la journaliste indépendante auteure de ces lignes qui ont dénoncé le manque d’éthique journalistique des médias.

Les propos haineux, radicaux, partiaux et discriminatoires dans tous les grands médias québécois ont mené à une polarisation si extrême dans la société, qu’elle a entraîné des conflits dans presque toutes les familles.

3. L’agresseur agressé

Comme on récolte ce que l’on sème, la propagande haineuse véhiculée dans les grands médias a engendré la haine et le harcèlement en ligne des journalistes, au point où les médias ont demandé à Justin Trudeau des actions concrètes en la matière en septembre 2022.

En novembre 2021, La Presse publiait l’article « La haine en ligne, une attaque en règle contre notre démocratie », signé Catherine Tait, présidente-directrice générale de Radio-Canada/CBC et présidente du Groupe de travail mondial pour les médias publics.

Cet article reflète l’absence totale d’autocritique chez les acteurs des médias et incarne la définition même de la projection (inversion accusatoire).

Selon Mme Tait :

Catherine Tait

« Si nous voulons enrayer le mal à sa sourcenous devons amener les entreprises de réseaux sociaux à prendre leurs responsabilités.

Les réseaux sociaux doivent se montrer plus proactifs dans l’application de leurs propres règles contre le discours haineux. Ils doivent également intervenir plus vite lorsqu’un média signale un incident envers l’un de ses journalistes. Il est inacceptable qu’il faille attendre des jours avant qu’une publication haineuse ou menaçante soit retirée. » (Soulignements ajoutés)

Les médias exigent des réseaux sociaux ce qu’ils ne font même pas eux-mêmes, soit « se montrer plus proactifs dans l’application de leurs propres règles contre le discours haineux ».

Elle est là, la source du mal : dans les textes haineux d’Isabelle Hachey, Denise Bombardier, Richard Martineau, Patrick Lagacé et bien d’autres.

Mme Tait ajoute :

« Lorsqu’on sait qu’un journaliste sur trois envisage de quitter la profession à cause du harcèlement, on voit le risque que nous courons de perdre certains points de vue essentiels dans nos salles de nouvelles et nos démocraties. »

De nombreux points de vue essentiels dans notre société se perdent quotidiennement depuis trois ans en raison du refus catégorique de la classe médiatique de reconnaître qu’elle est devenue haineuse et totalitaire, et qu’elle a poignardé la démocratie en ostracisant une partie importante des membres de sa communauté, méprisés et réduits au silence pour avoir refusé d’adopter une croyance imposée par les autorités.

Les propos injustes et antidémocratiques dans les médias, ainsi que l’absence quasi totale de neutralité journalistique sur la crise covid, sont à l’origine de la censure de nombreux opposants, incluant des experts et des professionnels de la santé chevronnés.

Ceux-ci sont soumis à une omerta perverse et omniprésente, dictée par les ordres professionnels, comme en fait foi le document du Conseil interprofessionnel du Québec : « Les obligations professionnelles et déontologiques à l’ère de la COVID-19: quelle liberté d’expression pour les professionnels? ».

On peut y lire :

« Dans de récentes affaires, les conseils de discipline ont reconnu coupables des professionnels pour avoir publié des vidéos à caractère complotiste sur les médias sociaux. »

Mais qu’est-ce qu’une « vidéo à caractère complotiste »? Qui décide de ce qui est « complotiste »? Ceux que l’on qualifie de complotistes le sont-ils réellement ou sont-ils victimes des perceptions mal fondées de personnes mal informées en position d’autorité?

Le terme « complotiste » est une arme brandie trop souvent par des personnes qui ignorent les faits sur un sujet donné, parce que les médias n’en ont tout simplement pas parlé ou parce qu’ils propagent une version mensongère non vérifiée et tenue pour vraie.

Cette ignorance médiatique contribue à la censure des opposants.

Il arrive même que les médias s’en réjouissent ouvertement :

« Enfin », on empêche un opposant politique de s’exprimer!

Pourtant, lorsque Vladimir Poutine fait la même chose, on le traite de dictateur et on encense le dissident.

Cette différence de traitement entre les opposants québécois et les opposants russes crève les yeux, comme le démontre cet article du 19 août 2021 à propos de l’opposant russe Alexeï Navalny, dont la « tribune a été publiée en français dans Le Monde, en anglais dans The Guardian et en allemand dans le Frankfurter Allgemeine Zeitung » :

« L’opposant russe emprisonné Alexeï Navalny a appelé jeudi les Occidentaux à agir plus résolument contre la corruptionqu’il considère comme étant à l’origine des grandes crises mondiales, selon une tribune publiée jeudi dans plusieurs journaux européens. » (Soulignements ajoutés)

C’est étrangement ce que font depuis 2020 les dissidents québécois méprisés par La Presse : lutter contre la corruption de nos institutions à l’origine de la plus grande crise mondiale de l’Histoire.

Les dissidents québécois tentent depuis trois ans de faire exactement ce que suggère Navalny, soit « évoquer la corruption comme sujet d’importance prioritaire » et « mettre le sujet sur la table ».

Ce sont les médias totalitaires qui les en empêchent.

Navalny ajoute que « pour commencer à agir […], il suffit d’en avoir la volonté politique, un élément qui, malheureusement, manque souvent […] », et croit que « l’opinion publique peut enfin débloquer la situation ».

En effet, les dirigeants autoritaires de notre pays n’ont aucune volonté politique de lutter contre la corruption et rejettent les dissidents politiques en imitant les autorités russes :

« Les autorités russes se sont attelées ces derniers mois au démantèlement du réseau d’Alexeï Navalny avec notamment le classement de ses organisations comme « extrémistes » par la justice et le blocage de sites qui lui sont liés. » (Soulignements ajoutés)

Au Québec, le dissidents qui dénoncent la corruption depuis 2020 se font traiter d’extrémistes, sont écartés de l’espace public de discussion et se font censurer sur les médias sociaux.

Les professionnels qui ont osé briser l’omerta ont subi de graves conséquences, à savoir de lourdes sanctions allant de la suspension au congédiement, en passant par la radiation.

Le matraquage médiatique cruel envers toute dérogation au dogme covidien a cimenté l’opinion publique dans une logique manichéenne de bons et méchants.

Ces phénomènes sont propres aux sectes et aux régimes totalitaires, pas aux démocraties.

Hajo de Reijger

4. La corruption de l’éthique journalistique et la discrimination des « non-vaccinés »

Qu’en est-il de l’éthique journalistique?

Permet-elle les propos haineux et discriminatoires?

Voici ce que dit le guide de déontologie du Conseil de presse de 2003, intitulé Droits et responsabilités de la presse :

« 2.3.1 La discrimination

Selon la Charte des droits et libertés de la personne du Québec, toute personne « a droit à la reconnaissance et à l’exercice, en pleine égalité, des droits et libertés de la personne, sans distinction, exclusion ou préférence fondée sur la race, la couleur, le sexe, la grossesse, l’orientation sexuelle, l’état civil, l’âge […], la religion, les convictions politiques, la langue, l’origine ethnique ou nationale, la condition sociale, le handicap […] » […]

Les médias et les professionnels de l’information doivent éviter de cultiver ou d’entretenir les préjugés. Ils doivent impérativement éviter d’utiliser, à l’endroit des personnes ou des groupes, des représentations ou des termes qui tendent à soulever la haine et le mépris, à encourager la violence ou encore à heurter la dignité d’une personne ou d’une catégorie de personnes en raison d’un motif discriminatoire. » (Soulignements ajoutés)

Le Guide de 2015 est plus succinct, mais pas plus permissif :

« 19. Discrimination

(1) Les journalistes et les médias d’information s’abstiennent d’utiliser, à l’endroit de personnes ou de groupes, des représentations ou des termes qui tendent, sur la base d’un motif discriminatoire, à susciter ou attiser la haine et le mépris, à encourager la violence ou à entretenir les préjugés. » (Soulignements ajoutés)

Voici maintenant ce que dit le Guide de déontologie de la FPJQ en ce qui concerne les valeurs fondamentales du journalisme et les droits de la personne :

« 2. Valeurs fondamentales du journalisme

Les journalistes basent leur travail sur des valeurs fondamentales telles que l’esprit critique qui leur impose de douter méthodiquement de tout, l’impartialité qui leur fait rechercher et exposer les divers aspects d’une situation, l’équité qui les amène à considérer tous les citoyens comme égaux devant la presse comme ils le sont devant la loi, l’indépendance qui les maintient à distance des pouvoirs et des groupes de pression, le respect du public et la compassion qui leur font observer des normes de sobriétél’honnêteté qui leur impose de respecter scrupuleusement les faits, et l’ouverture d’esprit qui suppose chez eux la capacité d’être réceptifs aux réalités qui leur sont étrangères et d’en rendre compte sans préjugés […]

8. Droits de la personne

[Les journalistes] doivent éviter les généralisations qui accablent des groupes minoritaires, les propos incendiaires, les allusions non pertinentes à des caractéristiques individuelles, les préjugés et les angles de couverture systématiquement défavorables qui pourraient attiser la discrimination. Ils seront particulièrement attentifs à ce qui pourrait provoquer des réactions racistes, sexistes, homophobes, etc. » (Soulignements ajoutés)

Bien que la discrimination en raison des convictions politiques soit clairement définie dans la loi comme un motif interdit de discrimination et comme un manque d’éthique journalistique dans le guide du CPQ de 2003, la classe médiatique a non seulement ignoré cette forme de discrimination lorsqu’il était question des opposants aux mesures sanitaires, elle semble l’avoir métamorphosée en exigence quotidienne tellement les exemples sont innombrables depuis 2020, surtout envers les non-vaccinés.

Le 8 décembre dernier, la prestigieuse revue Nature publiait l’article « Discriminatory attitudes against unvaccinated people during the pandemic » (Attitudes discriminatoires envers les personnes non vaccinées pendant la pandémie), dans lequel les auteurs évaluent « si les gens expriment des attitudes discriminatoires sous la forme d’affectivité négative, de stéréotypes et d’attitudes d’exclusion dans les contextes familiaux et politiques dans des groupes définis par le statut vaccinal COVID-19 ».

Bien que les auteurs affirment, à tort, que les « vaccins » contre le SRAS-CoV-2 sont « hautement efficaces » et qu’ils servent le bien commun, ils constatent que la discrimination envers les non-vaccinés s’apparente à celle vécue par les minorités et qu’elle nuit à la collectivité.

En revanche, les auteurs n’ont trouvé « aucune preuve » que les personnes non vaccinées ont également des attitudes discriminatoires envers les personnes vaccinées.

Basé sur l’étude de 21 pays, leur constat est clair :

« À travers trois études expérimentales conjointes ( n = 15 233), nous démontrons que les personnes vaccinées expriment des attitudes discriminatoires envers les personnes non vaccinées à un niveau aussi élevé que les attitudes discriminatoires qui visent couramment les populations immigrées et minoritaires 3 , 4 ,— 5. En revanche, il n’y a aucune preuve que les individus non vaccinés affichent des attitudes discriminatoires envers les personnes vaccinées, à l’exception de la présence d’affectivité négative en Allemagne et aux États-Unis. Nous trouvons des preuves à l’appui des attitudes discriminatoires envers les personnes non vaccinées dans tous les pays à l’exception de la Hongrie et de la Roumanie, et constatons que les attitudes discriminatoires sont plus fortement exprimées dans les cultures avec des normes coopératives plus fortes […]

Nous montrons que les personnes vaccinées contre le COVID-19 expriment des attitudes négatives à l’égard des personnes non vaccinées sous forme d’antipathie, de stéréotypes, de soutien à l’exclusion des relations familiales et de soutien à la suppression des droits politiques. Au total, ces quatre formes d’attitudes discriminatoires sont cohérentes avec l’observation des préjugés selon les définitions usuelles en psychologie sociale […] 

Pour gérer efficacement de telles crises, les autorités doivent veiller à éviter d’alimenter une profonde animosité entre les citoyens. En effet, comme la condamnation morale est souvent facilement et spontanément activée parmi le public lors d’une crise 11les autorités et les politiciens devraient envisager de tempérer les animosités sociales comme une partie importante de leur mandat, en particulier lorsque le conflit sociétal s’enracine. » (Soulignements ajoutés)

Les médias ont été les principaux vecteurs de cette discrimination envers les personnes qui ont fait un choix de santé protégé par les chartes canadienne et québécoise des droits et libertés, et d’autres instruments légaux internationaux.

L’Empire Québecor a mené une campagne de discrimination et de propagande haineuse particulièrement agressive, agissant comme un catalyseur de haine dans un climat social déjà explosif.

L’invitation de Mario Dumont à « couper les liens dans la famille » en 2020 n’aurait pas tant marqué les esprits si l’on avait su que le pire était à venir.

En 2021, Denise Bombardier, visiblement animée par l’esprit des Fêtes, a ordonné aux Québécois de ne pas inviter de « non-vaccinés » au souper de Noël.

« On doit refuser d’inviter les antivax de la famille au souper de Noël […] Pour pouvoir chanter Ô nuit de paixque les non-vaccinés se recomposent une famille. Qu’ils fêtent entre eux. »  (Soulignements ajoutés)

Ces propos sont d’une violence psychologique indescriptible.

Mme Bombardier n’en était toutefois pas à sa première agression. Quelques mois plus tôt, elle avait explicitement appelé à la violence :

Son article, dont on a rapidement modifié le titre pour « Pourquoi je suis pour la vaccination obligatoire », a été supprimé récemment des plateformes de Québecor :

Madame Bombardier éprouve-t-elle des regrets ou est-ce l’Empire qui tente d’effacer les traces de son crime?

La chronique de Richard Martineau citée plus haut, « Le passeport vaccinal est injuste? », a elle aussi été supprimée :

Mais il reste plein d’autres exemples.

Pour Thomas Mulcair, refuser les injections covid équivalait à faire partie d’une secte :

Pour Richard Martineau, ceux qui refusaient ce traitement expérimental étaient des dangers publics :

Josée Legault, inspirée par les techniques soviétiques de psychiatrisation des dissidents, suggérait que refuser un traitement médical expérimental était un signe de maladie mentale :

« Avec les mouvements antivax, leurs théories de complot et les insultes grossières dont ils abreuvent sur les médias sociaux les scientifiques, les élus, les journalistes et leurs concitoyens, serions-nous en train d’assister à la “normalisation” de la folie ? »

Cette propagande haineuse et ces « insultes grossières » des médias envers les non-vaccinés a enflammé les médias sociaux, propulsant la violence verbale à des sommets inégalés à la fin de l’année 2021. L’appel au meurtre des opposants est devenu si banal qu’il était parfois accompagné de joyeux émoticônes.

Voici ce qu’est une 30-06 :

D’où est venue cette « normalisation de la folie » meurtrière si ce n’est des grands médias?

Voyez-vous la source du mal, Mme Tait?

Afin de rejeter toute critique et justifier la publication de leurs chroniques incendiaires, les médias prétendent que les chroniqueurs jouissent d’une grande liberté d’expression. Toutefois, cette liberté n’est pas sans limites : la discrimination demeure proscrite, comme on l’a vu avec la décision concernant François Amalega, et l’information véhiculée doit satisfaire les critères d’une information de qualité, selon les articles 9 et 10.2.3 du Guide de déontologie du CPQ.

Les chroniqueurs comme Richard Martineau de Québecor et Patrick Lagacé de La Presse ont tout de même prôné sans aucune gêne la discrimination des non-vaccinés et la suppression de leurs droits fondamentaux.

La chronique de M. Lagacé, Oui au passeport vaccinal, a d’ailleurs fait l’objet d’une campagne de plaintes orchestrée par l’auteure de ces lignes. Cette campagne faisait suite à de nombreuses tentatives d’alerter les autorités médiatiques, les associations de journalistes et les élus des dérives éthiques et du traitement journalistique haineux et discriminatoire des opposants aux mesures sanitaires.

Le première tentative du genre est cette lettre ouverte publiée et envoyée à plusieurs instances en décembre 2020.

Ces nombreuses demandes ont toutes été ignorées par les institutions et les personnes à qui il incombe de protéger les citoyens contre ces dangereux dérapages.

La réponse de la rédaction de La Presse à des centaines de plaintes contre M. Lagacé a été la même : Monsieur « a droit à son opinion ». Même réponse pour ceux qui se sont plaints à Cogeco de ses interventions discriminatoires à son émission au 98,5.

Pour sa part, le Conseil de presse a qualifié la campagne de plainte contre M. Lagacé d’« entrave inquiétante au travail journalistique », donnant ainsi les coudées franches au journaliste/chroniqueur/animateur et artiste (sans blague) pour pousser sa rhétorique discriminatoire à l’extrême droite en décembre 2021 dans sa chronique « Sortir le casque de fer », publiée la veille du jour de l’An, comme pour jeter un peu de naphta dans les foyers des chaumières, déjà attisées par la haine que son journal propageait quasi quotidiennement depuis 2020.

Cette chronique réagissait à l’annonce d’un second couvre-feu, une mesure liberticide sans lien rationnel avec l’objectif de réduction de la transmission du virus selon l’Association canadienne des libertés civiles.

Au lieu de s’en prendre à l’irrationalité du décideur en chef, François Legault, M. Lagacé l’implore d’imposer des mesures fascistes, comme empêcher les non-vaccinés de travailler. Rappelons que le droit à l’égalité, « sans distinction AUCUNE », et le droit au travail sont inscrits dans la Déclaration universelle des droits de l’Homme :

« Article 23 1. Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage. » (Soulignements ajoutés)

Voici ce que suggérait l’homme qui, visiblement, possède le droit de discriminer sur toutes les tribunes du Québec, dans la presse écrite, à la radio et à la télé :

« Pourquoi les antivax sont-ils traités comme les vaccinés, dans ces mesures extrêmes annoncées jeudi ?

C’est ce que ma gang, celle des Québécois de bonne foi, se demande.

Clairement, ces gens-là, les non-vaccinéstrouvent le moyen de se réunir et de s’infecter – et de constituer 50 % des hospitalisations alors qu’ils ne forment que 10 % de la population – malgré les restrictions imposées par le passeport vaccinal…

Il n’y a plus d’acceptabilité sociale pour ces accommodements déraisonnables.

M. Legault pense que c’est difficile à appliquer. Il confond obligation de moyens et obligation de résultat.

Exemple : on oblige les non-vaccinés à rester chez eux. Bien sûr, certains sortiront. Mais à leurs risques et périls : tu n’as pas de passeport vaccinal et tu brûles un stop ? Contrôle du passeport vaccinal, amende si tu n’as pas de passeport vaccinal en règle.

Et parlant du Code de la route : tu veux renouveler ton permis de conduire, ça te prend ton passeport vaccinal…

L’épicerie ? Que les antivax commandent en ligne. Qu’ils se fassent livrer. Pas de passeport vaccinal, ben, tu rentres pas chez Metro.

Pourquoi peuvent-ils entrer à la SAQ et à la SQDC sans passeport vaccinal ?

Je pose la question du travail, aussi : pas de passeport vaccinal, tu ne travailles pas. Directive aux employeurs : zéro employé non vacciné. » (Soulignements ajoutés)

5. Langage totalitaire et vérité

Patrick Lagacé, à l’instar de ses collègues Isabelle Hachey et Richard Martineau (« les bons citoyens »), emploie un langage totalitaire, caractérisé entre autres par une séparation du « monde en deux pôles, à savoir “nous” contre “les autres”, comme l’expliquent Élodie Laye Mielczareck, sémiolinguiste spécialisée dans le langage verbal et non verbal, et Albin Wagener, chercheur associé à l’INALCO (PLIDAM) et au laboratoire PREFICS, Université Rennes 2 dans l’article « À quoi reconnait-on un discours totalitaire ou fasciste ? ».

Son omniprésence dans le paysage médiatique fait de Patrick Lagacé une divinité au-delà de toute critique et son statut professionnel confère une légitimité à ses propos, sans égard à leur véracité ou à leur nature totalitaire.

Patrick Lagacé est une légende, un héros au-dessus des règles déontologiques de son métier, qui peut se permettre de dicter au chef de la province la marche à suivre et désigner au peuple soumis l’ennemi à abattre : le non-vacciné.

Le héros Lagacé se fait le promoteur d’une pensée unique tout en réclamant l’exclusion des dissidents politiques.

La description que font Élodie Laye Mielczareck et Albin Wagener du leader politique totalitaire s’appliquent au comportement de Patrick Lagacé :

« Ce même leader est capable de désigner le Mal de la société, pour y apporter la réponse ultime. Il a LA réponse puisque c’est LE héros. Et souvent, cette réponse se matérialise sous la forme d’un « intrus » qu’il convient d’éradiquer le plus efficacement possible, sous peine de voir s’éloigner « un Âge d’or » pourtant accessible.

Ces intrus sont souvent représentés comme opposants au traditionalisme. Dans un monde totalitaire, il ne peut y avoir d’avancées du savoir : la vérité a déjà été énoncée une fois pour toutes. Bien sûr, les stratégies d’infantilisation des masses ne peuvent être remises en cause dans cet environnement où le décideur est tout-puissant. 

Dans un monde totalitaire, toute pensée critique devient intolérable. Elle est vécue comme une trahison, voire comme une agression contre laquelle il est urgent de se défendre et de riposter. Le phénomène est complexe car il touche au fondement même de l’éthos de vérité. »

Parlant de vérité, un fact-check des affirmations de M. Lagacé s’impose.

D’abord, si l’on regarde les données officielles selon le statut vaccinal, rien n’indique que les non-vaccinés propagent davantage la maladie. Les graphiques ci-dessous montrent plutôt le contraire : les double (en jaune) et triple-dosés (en violet) semblent être les principaux vecteurs de la maladie :

C’est probablement la raison pour laquelle le ministère de la Santé a cessé de publier ces données en juillet 2022, l’été qualifié de « pire été pandémique » :

Comment peut-on affirmer que les injections anticovid ont été efficaces si la situation était pire après qu’avant l’injection de 85 % des Québécois? Fait notoire, l’article ne parle pas du tout des non-vaccinés.

Ensuite, il a été démontré dans des documents obtenus grâce à la Loi d’accès à l’information que sur les 7 150 morts de la COVID-19 depuis la 4e vague (du 14 décembre 2021 au 19 juin 2022), 3 303 étaient « adéquatement vaccinés » tandis que 147 étaient « non adéquatement vaccinés », soit un mélange d’injectés et de non-injectés. 3 700 avaient un « statut inconnu ».

Ironie du sort, malgré ses trois doses, Patrick Lagacé a attrapé la covid à peine 2 mois après sa chronique sulfureuse. Grâce à ses trois doses, a-t-il affirmé sans fondement, le virus qui a traumatisé le monde en le plongeant tête première dans l’eau glaciale du totalitarisme s’apparentait à « une grosse grippe ».

Cette affirmation relève de l’endoctrinement et non de la science.

L’Organisation mondiale de la Santé elle-même affirme depuis le début que la covid est une maladie bénigne pour la très grande majorité des gens :

6. La propagande haineuse de Patrick Lagacé protégée en haut lieu

Patrick Lagacé semble bénéficier des bonnes grâces du Conseil de presse.

Sauf erreur, depuis le début de la crise, toutes les plaintes dont il a fait l’objet ont été rejetées par le CPQ.

Près d’une vingtaine de personnes se sont plaintes de sa chronique dédaigneuse, Les édentés. Les griefs étaient les suivants :

  • information inexacte
  • propos discriminatoires
  • titre sensationnaliste
  • manque de rigueur de raisonnement
  • partialité et manque d’équilibre

Le Conseil les a tous rejetés. Voir la décision ici.

Les plaintes que j’ai moi-même rédigées et publiées sur le Tribunal de l’infaux, lesquelles ont été reprises par de nombreux citoyens, ont toutes été jugées irrecevables. Voir la décision ici.

Le 6 janvier 2022, l’auteure de ces lignes s’est présentée avec deux amis à la Sûreté du Québec, qui nous a référés et à un poste de police du Service de police de la Ville de Montréal pour porter plainte contre Patrick Lagacé pour propagande haineuse.

Après avoir demandé à son chef d’équipe de venir prendre la plainte, la policière qui nous a accueillis nous a avisés que ce dernier allait venir nous voir après s’être informé sur la propagande haineuse à une autorité inconnue.

Le policier a déclaré que les non-vaccinés n’étaient pas un groupe identifiable, donc que nous ne pouvions pas porter plainte pour propagande haineuse.

Les groupes identifiables actuellement protégés de la propagande haineuse dans le Code criminel canadien le sont en vertu des critères suivants : « couleur, race, religion, origine nationale ou ethnique, âge, sexe, orientation sexuelle ou déficience mentale ou physique ».

La liste des groupes identifiables protégés des préjugés ou de la haine n’est toutefois pas coulée dans le béton. En 2017, on y a ajouté « l’orientation sexuelle ou l’identité ou l’expression de genre ».

S’il est vrai que les non-vaccinés ne figurent pas dans cette liste, on comprend mal comment ils auraient pu y être, puisqu’ils n’ont pas formé de groupe identifiable avant 2021, l’année où le passeport vaccinal a établi une distinction claire entre les vaccinés et non-vaccinés, rendant dès lors les deux groupes identifiables grâce à un document créé par l’État.

Ce document a officialisé et permis la discrimination envers les non-vaccinés.

Il n’en demeure pas moins que cette discrimination viole les droits humains, puisqu’elle entre dans la catégorie « toute autre situation » de la Déclaration universelle des droits de l’Homme.

Par ailleurs, en signant le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, le Canada s’est engagé à respecter, entre autres, les règles suivantes :

« Article 2

1. Les Etats parties au présent Pacte s’engagent à respecter et à garantir à tous les individus se trouvant sur leur territoire et relevant de leur compétence les droits reconnus dans le présent Pacte, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’opinion politique ou de toute autre opinion, d’origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation.

2. Les Etats parties au présent Pacte s’engagent à prendre, en accord avec leurs procédures constitutionnelles et avec les dispositions du présent Pacte, les arrangements devant permettre l’adoption de telles mesures d’ordre législatif ou autre, propres à donner effet aux droits reconnus dans le présent Pacte qui ne seraient pas déjà en vigueur. » (Soulignements ajoutés)

Cela signifie, à mon humble avis, que le Canada doit adopter des mesures pour interdire la discrimination et la propagande haineuse envers des groupes identifiables par leur « opinion politique ou tout autre opinion » et « toute autre situation », comme le statut vaccinal et l’état de santé.

Les trois dernières années ont démontré que cette discrimination, n’ayant aucun fondement scientifique, a été non seulement permise, mais violemment encouragée et sanctionnée par les premiers ministres Legault et Trudeau.

C’est cette discrimination et cette corruption de la science « pour des gains politiques et financiers », qui sont d’extrême droite, pas les paroles et les actes de ceux qui en sont victimes et la dénoncent.

La corruption de la science a d’ailleurs été dénoncée par nul autre que le rédacteur en chef de la revue médicale de renom, British Medical Journal (BMJ).

7. Viol collectif des droits fondamentaux

Le viol collectif des droits fondamentaux des opposants aux mesures, plus particulièrement des non-injectés, a été extrêmement nocif pour notre société, en plus de n’avoir aucun effet bénéfique sur la santé de la population. Bien au contraire, la hausse des problèmes de santé mentale attribués à la pandémie sont plutôt le fruit des mesures draconiennes, irrationnelles, antiscientifiques et discriminatoires des deux paliers gouvernementaux, ainsi que de la discrimination, du harcèlement et de l’intimidation des grands médias durant trois ans.

Cette page très sombre de notre histoire doit être reconnue pour ce qu’elle est : un viol collectif des droits fondamentaux d’une minorité dissidente.

La Charte québécoise des droits et libertés est censée nous protéger contre de telles agressions, protéger notre liberté de conscience et de croyance, et interdit à l’État d’imposer une religion.

Nous pouvons facilement démontrer que la covid est devenue une religion ou plutôt une secte d’État avec ses gourous, ses prosélytes, ses adeptes et ses damnés, mais surtout son ultime sauveur censé nous délivrer du mal et assurer notre salut : le sacro-saint, l’intouchable « vaccin ».

Le discours covidien et les mesures qu’il a entraînées ont TOUTES les caractéristiques des techniques de lavage de cerveau des sectes : création d’une nouvelle réalité et de cultes de la personnalité, division nette et réductrice entre « bons » et « méchants », mise en place de pièges de rationnalisation avec des défis 28 jours qui durent des mois, prosélytisme, censure des idées « indésirables » et attente du sauveur (le « vaccin »).

La CDPDJ, qui n’a pratiquement rien fait pour protéger les opposants aux mesures, écrit sur son site web :

  • « Vous avez le droit à la vie, à la sûreté, à l’intégrité et à la liberté.
    Par exemple, vous avez le droit d’être protégé contre les menaces d’agression ainsi que contre les agressions physiques et psychologiques.
  • Vous avez le droit à la liberté de conscience et de religion.
    Par exemple, vous avez le droit de pratiquer la religion de votre choix ou de ne pas adhérer à une croyance ou à une religion. La liberté de religion signifie aussi que l’État ne peut imposer une religion à la population ou favoriser une religion plus qu’une autre.
  • Vous avez le droit au respect de votre dignité, de votre honneur et de votre réputation.
    Par exemple, une personne ne peut publier de fausses informations à votre sujet.

Qui doit respecter la Charte?

  • les personnes
  • les groupes et organismes
  • les entreprises
  • les services publics et les services privés
  • les syndicats
  • le gouvernement du Québec et ses institutions, les administrations gouvernementales (municipales, scolaires), à tous les échelons de la hiérarchie » (Soulignements ajoutés)

Il convient de mettre en lumière d’autres articles de la Déclaration universelle des droits de l’Homme violés impunément par nos gouvernements provincial et fédéral, et encouragés par les médias :

« Article 13 1. Toute personne a le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l’intérieur d’un Etat. 2. Toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays.

Article 24 Toute personne a droit au repos et aux loisirs et notamment à une limitation raisonnable de la durée du travail et à des congés payés périodiques.

Article 27 1. Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts et de participer au progrès scientifique et aux bienfaits qui en résultent.

Article 28 Toute personne a droit à ce que règne, sur le plan social et sur le plan international, un ordre tel que les droits et libertés énoncés dans la présente Déclaration puissent y trouver plein effet.

Article 30 Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant, pour un Etat, un groupement ou un individu, un droit quelconque de se livrer à une activité ou d’accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés qui y sont énoncés. »

L’activité médiatique des trois dernières années, telle qu’exprimée par l’article de Patrick Lagacé cité plus haut, a explicitement visé « à la destruction des droits et libertés » d’une minorité qui ne pensait pas comme les membres du clan médiatique.

S’il n’est pas le seul membre des médias à avoir tenu un discours totalitaire, Patrick Lagacé représente l’archétype du totalitarisme médiatique.

Le fait qu’il ait été promu à l’émission matinale du 98,5, en remplacement de Paul Arcand, symbolise en quelque sorte la consécration par le milieu médiatique du régime totalitaire né en 2020.

Selon le guide « Droits et responsabilités de la presse » du Conseil de presse :

« La liberté de la presse découle des libertés fondamentales de pensée, de parole, d’expression et d’opinion reconnues dans divers documents d’ordre juridique, au plan national et international […]

Le libre accès de la presse à l’information est donc indispensable pour permettre aux citoyens de porter des jugements éclairés et pour favoriser un débat démocratique élargi et ouvert […]

La liberté d’opinion de l’éditorialiste et du commentateur n’est pas absolue; la latitude dont ceux-ci jouissent doit s’exercer dans le respect des valeurs démocratiques et de la dignité humaine […]

Les médias et les professionnels de l’information doivent encourager la libre circulation des idées et l’expression du plus grand nombre de points de vue […]

[La liberté de presse] se situe dans le prolongement des libertés d’expression et d’opinion et constitue l’un des fondements de toute société démocratique et pluraliste […]

Le Conseil de presse réitère l’importance de la sauvegarde de la liberté de la presse, du droit du public à une information pluraliste et de la libre circulation des idées et des informations dans une société démocratique.

[La concentration de la presse comporte le] risque d’uniformisation et de standardisation du contenu des médias d’information, au détriment de l’expression d’un large éventail d’idées et de leur libre circulation […]

Les droits de la presse et les responsabilités qui en découlent, constituent des garanties du droit du public à l’information. Le public, pour sa part, en exerçant un rôle critique envers l’intégrité et la qualité de l’information reçue, participe à la sauvegarde et au maintien des droits et des libertés fondamentales en matière d’information au sein d’une société démocratique. » (Soulignements ajoutés)

Le Conseil de presse, censé « veiller sur la qualité de l’information » et participer « au maintien des droits et des libertés fondamentales en matière d’information », a échoué lamentablement à sa tâche.

Son inaction a grandement contribué à la cristallisation d’un régime médiatique totalitaire limitant sans raison valable l’expression et la libre circulation d’idées, favorisant ainsi la corruption de nos institutions.

Le Conseil affirmait pourtant dans ce document de 2003 :

« Protecteur du citoyen en information, sa tâche consiste notamment à protéger et à renforcer le droit du public à une information complète, exacte et de qualité, que ce soit dans la presse écrite, à la radio, à la télévision et maintenant sur Internet. Le Conseil cherche à favoriser auprès de la population une plus grande conscience du rôle essentiel de la presse dans une société démocratique. »

Le Conseil a pourtant cautionné le langage totalitaire qui perdure dans les médias québécois depuis 2020 et a détruit notre démocratie.

Cette culture malsaine et toxique ne changera pas tant qu’elle restera impunie.

Le Conseil de presse, « tribunal d’honneur des médias », n’a pas rempli son rôle en fermant les yeux sur des dérives éthiques majeures relevant de la discrimination fondée sur les convictions politiques.

Le langage totalitaire est comme un criminel en liberté qui continue de sévir malgré des appels répétés à la retenue et au respect des valeurs fondamentales du journalisme.

Les médias, supposés chiens de garde de la démocratie, ont la rage.

Alors que leurs propos contaminent les esprits et tuent la démocratie, ceux qui demandent qu’on les tienne en laisse se font accuser de harcèlement et de propager la haine.

Dans ce monde de valeurs inversées, les bourreaux demandent aux autorités d’agir en blâmant leurs victimes, lesquelles ne font souvent que répliquer à leur comportement non éthique et ont épuisé les recours pour se faire entendre et enrayer la haine et le harcèlement dont ELLES font l’objet.

Avant de demander aux autorités d’agir contre la haine et le harcèlement des journalistes en ligne, les médias doivent commencer par appliquer les règles de leur métier.

Favorisez les échanges au lieu de discriminer dans un langage totalitaire, qui, ultimement, finit toujours pas mener à la guerre.

Nous voulons tous vivre dans une société libre et respectueuse, mais sans le respect des médias envers tous les citoyens, nous sommes condamnés à vivre dans un régime totalitaire.




Note

*John Gomery s’est éteint le 18 mai 2021. La cause de son décès n’a pas été mentionnée dans les médias.




Un professeur finlandais expose les racines occultes du Forum économique mondial

[Source : medias-presse.info]

[Illustration : Great Reset et Great Narrative, les programmes officiels du Forum économique mondial de Klaus Schwab]

Par Pierre-Alain Depauw

« Les justifications des politiques mondiales de l’ONU et du Forum économique mondial, visant à subjuguer les gens, sont habillées sous forme de science, mais elles sont basées sur l’ésotérisme et l’occultisme. »

Côtoyant depuis une trentaine d’années des cercles du pouvoir dans le cadre de ses recherches, le professeur finlandais Mikko Paunio, considère que les politiques environnementales de l’ONU, du Club de Rome et du Forum économique mondial sont imprégnées d’ésotérisme.

Les arguments du professeur Mikko Paunio ont été présentés pour la première fois à un public finlandais en octobre 2022, dans une conférence intitulée « Occult Power ». Répétons-le, il ne s’agit pas d’un obscur théoricien du complot, mais d’un homme dont la longue carrière l’a mené dans les coulisses mêmes du pouvoir. Le professeur Paunio est un épidémiologiste qui a travaillé pour un certain nombre d’institutions de santé publique dans sa Finlande natale, et qui, après un bref passage à la Banque mondiale, est actuellement médecin principal au ministère des Affaires sociales et de la Santé de Finlande. Son travail en tant que conseiller scientifique et politique l’a amené à participer à des réunions au niveau des États à travers l’Europe et les États-Unis.

Il a combiné cela avec une opposition franche à la « religion » climatique dont les « idées néo-malthusiennes » sont un point de principe parmi l’élite technocratique. En fait, c’est son travail de spécialiste de la santé publique qui l’a d’abord alerté sur les sombres courants sous-jacents de ces misanthropes adorateurs de la nature et de leur culte à Gaïa.

« Quand j’étais jeune chercheur en médecine, je suis devenu l’un des secrétaires du Comité de l’énergie du Premier ministre en Finlande à la suite de l’accident de Tchernobyl. Moi-même et les autres secrétaires avons dû lire un flux de conscience manuscrit sans fin d’un membre du comité appelé Pentti Malaska, professeur d’études futures à l’Université d’économie et de commerce de Turku.

Qu’y avait-il de si remarquable dans cette rencontre ?

Il a été révélé plus tard qu’il était un occultiste. »

L’intérêt du professeur Paunio a été piqué, et c’est ainsi qu’a commencé son long voyage dans ce qu’il appelle « … le panthéisme nouveau et ancien de la nature développé dans le cadre de l’ONU, avec ses partenaires le Club de Rome et le Forum économique mondial. »

La création du Club de Rome en 1968 a été une étape importante dans le culte de la Terre, présentant l’humanité comme un handicap porté par une planète souffrante condamnée à un avenir catastrophique sans l’intervention d’une organisation internationale bienveillante et éclairée.

En combinant les prophéties de malheur avec la promesse d’espoir, il a creusé un sillon bien tracé par les dirigeants des bureaucraties internationales d’aujourd’hui. L’Organisation mondiale de la santé, les Nations Unies et le Forum économique mondial sont tous des représentants de cette méthode et sont bien sûr unis dans leur engagement envers les projets mondialistes.

Pourtant, il y a plus qu’un intérêt commun mondialiste qui unit ces organisations, explique le professeur Paunio.

« En 1991, dans mon premier livre, Vihreä valhe [Le mensonge vert], j’ai fait le constat qu’une grande partie des militants du mouvement néo-malthusien vert étaient attirés par l’anthroposophie ou la pensée occulte plus originale, c’est-à-dire, la théosophie. »

Le professeur Paunio accuse les maîtres du monde d’être directement inspirés d’une tradition occulte. Le panthéisme de la nature s’inspire spécifiquement de la « sagesse » de la théosophie, qui est basée sur l’ésotérisme et l’occultisme de l’escroc la plus célèbre du monde, Madame Blavatsky, qui prétendait avoir découvert la « vérité perdue » qui unit les religions du monde.

Klaus Schwab avait recruté Maurice Strong, un riche industriel canadien sans instruction (1929-2015), pour diriger la fondation du WEF. Maurice Strong était LA figure centrale dans la promotion du programme de développement durable depuis le premier sommet environnemental de l’ONU à Stockholm en 1972. Il était également un occultiste et un ésotériste invétéré.

Paunio a longuement écrit sur le développement de la tradition occulte à partir du 19e siècle, notant et nommant des personnalités politiques qui ont visiblement absorbé les principes du panthéisme de la nature.

Les découvertes du Professeur Paunio révèlent comment les organisations comme le WEF travaillent avec les gouvernements pour falsifier les preuves afin de promouvoir un programme d’effondrement.

Paunio explique comment le Forum économique mondial a, par exemple, utilisé un fonds d’innovation finlandais pour faire avancer la grande réinitialisation de Schwab.

En 2016, SITRA, qui est subordonné au Parlement finlandais, a rendu un rapport fabriqué sur le miracle de l’économie circulaire en Finlande et a créé le concept actuel d’économie circulaire pour le Forum économique mondial, qui est nocif pour l’environnement, la santé humaine et l’économie.

En exploitant ce concept, la Commission de l’Union européenne a fait des présentations aux législateurs de l’UE, par exemple, le règlement sur la taxonomie de la finance verte, le paquet sur l’économie circulaire de Jyrki Katainen et l’énorme paquet climatique Fit for 55, qui est encore principalement entre les mains des législateurs de l’UE, et ce qui conduira finalement à une planification quinquennale de style soviétique et à la chute de la société industrielle moderne.

Le professeur Paunio appelle les gens, simples travailleurs et entrepreneurs qui aiment leur pays et leur famille, à se réveiller pour défendre le réel et refuser ces expériences folles.

[Voir aussi :
École Arcane et Lucis Trust : mondialement influents, mais peu connus
Les origines sombres de la Grande Réinitialisation de Davos
La religion du carbone
Les stratagèmes totalitaires des génocidaires mondialistes, partie 1
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
Luciferisme : un regard laïque sur un système de croyance globaliste destructeur
Le programme de contrôle de la population]






Tremblement de terre en Turquie le 6 février 2023 : intentionnel

.

[Source : cielvoile.fr]

[Voir aussi :
Techniques de modification de l’environnement (ENMOD) et tremblement de terre entre la Turquie et la Syrie: une enquête d’experts est requise
Tremblements de terre en Turquie-Syrie, conflit en Ukraine, et plandémie Covid : une « campagne de meurtres de masse »
Selon la sénatrice Diana Ivanovici Șoșoacă au Parlement roumain, la Turquie a été victime d’une arme sismique
Le crime absolu contre l’humanité]

Advances in Social Sciences Research Journal – Vol.10, N° 3
Date de Publication : 25 mars 2023
DOI:10.14738/assrj.103.14290

Lettre ouverte à la Cour pénale internationale alléguant des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité pour le déclenchement intentionnel du tremblement de terre du 6 février 2023 en République de Turquie

J. Marvin Herndon, Ph.D.
Transdyne Corporation, San Diego, Californie 92131 USA

Mark Whiteside, M.D., M.P.H.
Département de la santé de Floride, Key West, Floride 33040 USA

Ian Baldwin, M.A.
Éditeur émérite, Chelsea Green, Craftsbury Common, Vermont 05827 USA

RÉSUMÉ

En 1968, MacDonald prévoyait la possibilité que les militaires développent à l’avenir les moyens de déclencher des tremblements de terre :

« La clé de la guerre géophysique est l’identification des instabilités environnementales auxquelles l’ajout d’une petite quantité d’énergie libérerait des quantités d’énergie bien plus importantes ».

En 1997, le secrétaire américain à la défense, William Cohen, a confirmé l’implication de l’armée dans de telles activités. En 2002, les 90 députés de la Douma d’État russe ont averti les Nations Unies que les Américains expérimentaient une nouvelle arme géophysique et ont demandé une interdiction internationale. Les États-Unis, la Norvège et d’autres pays possèdent des « chauffages ionosphériques » électromagnétiques capables de déclencher des tremblements de terre. Le 6 février 2023, un puissant tremblement de terre d’une magnitude de 7,8 s’est produit dans le sud de la Turquie, près de la frontière nord de la Syrie, suivi d’un autre tremblement de terre et de répliques qui ont dévasté certaines parties de la Turquie et de la Syrie, faisant plus de 55 100 morts, dont une majorité de femmes et d’enfants, beaucoup plus encore de blessés et environ 1,5 million de sans-abri. Les informations vraies et fausses diffusées avant et immédiatement après l’événement, ainsi que les faits scientifiques et les circonstances décrits ici, justifient une enquête complète, approfondie et exhaustive de la Cour pénale internationale sur nos allégations selon lesquelles ledit tremblement de terre du 6 février 2023 a été délibérément déclenché et constitue des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité.

ALLÉGATIONS DE CRIMES : INTRODUCTION

En 1968, MacDonald [1] prévoyait la possibilité qu’à l’avenir, les armées du monde entier développent les moyens de déclencher à la demande des modifications secrètes de l’environnement pour provoquer des tempêtes, des inondations, des sécheresses, des tremblements de terre et des raz-de-marée. Comme il l’a expliqué :

« La clé de la guerre géophysique est l’identification des instabilités environnementales auxquelles l’ajout d’une petite quantité d’énergie libérerait des quantités d’énergie bien plus importantes. »

Comme l’indique la revue [2], MacDonald [1] a évoqué la possibilité de déclencher délibérément des instabilités dans des systèmes naturels à grande échelle tels que la météo, le climat, les océans et le cerveau humain, y compris des phénomènes tels que les ouragans, les tremblements de terre et les tsunamis, afin de les utiliser à des fins de guerre. Il était conscient, compte tenu des limites de la compréhension géophysique, qu’il fallait également anticiper les conséquences négatives imprévues qui pourraient résulter de la perturbation délibérée de systèmes naturels complexes dont les « points de basculement » sont inconnus.

En 1997, le secrétaire américain à la défense, William Cohen, a confirmé l’implication de l’armée dans les activités que Macdonald avait prédites, comme en témoigne la déclaration directe de Cohen [3] :

« D’autres s’engagent […] dans un terrorisme de type écologique qui leur permet de modifier le climat, de déclencher des tremblements de terre [et] des volcans à distance grâce à l’utilisation d’ondes électromagnétiques […] C’est réel, et c’est la raison pour laquelle nous devons intensifier nos efforts ».

Un document final non classifié, signé par 90 députés, publié par la Douma d’État russe en 2002 et envoyé au président Poutine, aux Nations unies et à d’autres instances, signalait que les Américains expérimentaient un nouveau type d’arme géophysique sans contrôle international, appelé HAARP, acronyme de High Frequency Active Auroral Research Program (programme de recherche aurorale active à haute fréquence) [4]. Les signataires ont demandé qu’une interdiction internationale soit imposée sur de telles expériences géophysiques à grande échelle.

En 2011, un courriel de Jacob J. (Jake) Sullivan (aujourd’hui conseiller à la sécurité nationale de l’administration Biden) à Hillary Clinton, alors secrétaire d’État [5], indique que l’heure d’un tremblement de terre de magnitude 6,3 en Nouvelle-Zélande était connue à l’avance et fournit des preuves irréfutables que le tremblement de terre a été délibérément déclenché :

De : Sullivan, Jacob J SullivanJJ@state.gov
Envoyé : Lundi 21 février 2011 7:35 PM
To : H ; Mills, Cheryl D ; Abedin, Hume ; Reines, Philippe I
Objet : Fw : Tremblement de terre de magnitude 6,3 à Christchurch, Nouvelle-Zélande

Et à l’improviste… [accentuation ajoutée]

Ce tremblement de terre s’est produit à une profondeur de 5,9 km, estimée par la suite à une magnitude de 6,1. Il a fait 185 morts et 6 659 blessés graves (dans les premières 24 heures) [6]. Une délégation de 9 membres du Congrès américain a quitté la ville avant le séisme [7].

Le 6 février 2023, un puissant tremblement de terre de magnitude 7,8 s’est produit dans le sud de la Turquie, près de la frontière nord de la Syrie. Ce tremblement de terre a été suivi environ 9 heures plus tard par un tremblement de terre de magnitude 7,5 à environ 90 km au nord [8]. Ces tremblements de terre et leurs répliques ont dévasté certaines parties de la Turquie et de la Syrie, faisant plus de 55 100 victimes, la majorité étant des femmes et des enfants [9-11], et environ 1,5 million de personnes se sont retrouvées sans abri [12] (Figure 1). Les informations diffusées avant et immédiatement après l’événement, ainsi que les faits scientifiques et les circonstances présentés ci-dessous, justifient une enquête complète et approfondie de la Cour pénale internationale sur notre allégation selon laquelle le tremblement de terre du 6 février 2023 a été délibérément déclenché et constitue des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité.

Figure 1 : Scènes de destruction du tremblement de terre du 6 février 2023 en Turquie

MÉTHODE ET MOYENS POUR DÉCLENCHER DES TREMBLEMENTS DE TERRE

Les roches soumises à des contraintes qui commencent à se fracturer génèrent un rayonnement électromagnétique [13-16]. Il en va de même pour les tremblements de terre [17-19].

Les tremblements de terre résultent de la libération catastrophique de la tension qui s’est développée lorsque les plaques tectoniques se sont rapprochées. De nombreuses études, par exemple [14, 17-23], ont montré que, lorsque des tremblements de terre sont sur le point de se produire, des rayonnements électromagnétiques sont émis à des fréquences ultra-basses (ULF, <3 Hz), extrêmement basses (ELF, 3-3000 Hz) et très basses (VLF, 3-30 kHz). Comme le rayonnement électromagnétique, observé lorsque les tremblements de terre sont sur le point de se produire [14, 17-23], est observé à la surface ou au-dessus de la surface, cela démontre que le rayonnement électromagnétique de ces fréquences peut se propager dans le sol jusqu’à la profondeur à laquelle certains tremblements de terre se produisent. Le mécanisme spécifique est encore inconnu, mais il implique probablement des microfractures formant une cavité ou une antenne résonnante.

Un dispositif résonant produisant un rayonnement absorbera l’énergie d’une source d’énergie externe à la même fréquence de résonance. Un diapason vibrant déclenche des vibrations dans un diapason identique situé à proximité. Le fait de frapper ou de tourner autour du bord d’un verre de cristal avec un doigt humide fait résonner le verre de cristal dans la gamme des fréquences audio ; la voix d’un chanteur à sa fréquence de résonance fait également résonner un verre de cristal et peut même le faire voler en éclats [24]. Un circuit de radiofréquence accordé à la fréquence d’un rayonnement électromagnétique externe absorbera l’énergie d’un rayonnement électromagnétique externe de même fréquence [25]. Le même principe général s’applique au rayonnement électromagnétique produisant la résonance des lignes de faille fortement sollicitées dans l’écorce terrestre.

Il s’ensuit sans ambiguïté que le rayonnement électromagnétique ULF/ELF/VLF de la gamme de fréquences appropriée, appliqué à une jonction instable de plaques tectoniques soumises à de fortes contraintes, peut déclencher un tremblement de terre.

Le rayonnement électromagnétique ULF/ELF/VLF produit dans les premières phases de la formation d’un tremblement de terre a été observé par des satellites [14, 17-23], ce qui prouve que ce rayonnement se propage dans le guide d’ondes Terre-ionosphère [26]. Il est important de noter que le rayonnement électromagnétique ULF/ELF/VLF produit par le chauffage électromagnétique modulé à haute fréquence de l’ionosphère [27-30] avec HAARP ou d’autres dispositifs de chauffage ionosphérique similaires tels que Tromsø en Norvège [31], peut être dirigé [32, 33] et peut parcourir des milliers de kilomètres dans le guide d’ondes Terre-ionosphère [34-37] pour atteindre un point d’instabilité sismique géophysique et déclencher un tremblement de terre [38-40].

La figure 2 (à gauche) montre le réchauffeur ionosphérique HAARP à Gakona, en Alaska (États-Unis). Ses 180 unités sont capables de produire une puissance rayonnée totale de 3,6 MW avec une puissance rayonnée effective d’environ 575 MW [36, 41]. La figure 2 (à droite) montre l’un des autres réchauffeurs d’ionosphère, celui de Tromsø, en Norvège, dont la puissance rayonnée effective est de 300 MW [29, 31, 42] et qui, comme HAARP, est capable de déclencher des tremblements de terre [38-40].

Figure 2. À gauche : Installation du High Frequency Active Auroral Research Program (HAARP) à Gakona, Alaska (États-Unis). À droite : Installation norvégienne de chauffage de l’ionosphère de Tromsø.

PREUVES INDIRECTES

Un article d’Aljazeera du 3 février 2023, trois jours avant le tremblement de terre en Turquie, indique [43] :

« En début de semaine, neuf pays occidentaux ont soit fermé leurs consulats à Istanbul, soit émis des avertissements de voyage à leurs citoyens se rendant en Turquie, en invoquant des menaces pour la sécurité….La Turquie affirme que les pays occidentaux, y compris les États-Unis et l’Allemagne, ne lui ont donné aucune information pour étayer leurs affirmations selon lesquelles des menaces pour la sécurité les avaient incités à fermer leurs missions dans le pays…. ». Ces mesures ont suscité la colère de la Turquie, qui a convoqué jeudi les ambassadeurs de ces pays en signe de protestation…. Ils disent qu’il y a une menace terroriste… Mais lorsque nous demandons quelle est la source d’information et qui sont les auteurs de ces attaques, ils n’ont partagé aucune information avec nos autorités de renseignement et de sécurité », a déclaré le ministre turc des affaires étrangères Mevlüt Çavuşoğlu… et « Nous avons l’information que certains pays ont demandé à d’autres de fermer leurs consulats ».

Tel que rapporté le 14 février 2023 [44] :

« Selon la sénatrice roumaine Diana Ivanovici Șoșoacă, [le] tremblement de terre en Turquie et en Syrie a été causé par les États-Unis. »

S’exprimant devant le Parlement roumain deux jours après le tremblement de terre [45], la sénatrice a observé :

  • — 24 heures avant le tremblement de terre, 10 pays occidentaux ont rappelé leurs ambassadeurs d’Ankara.
  • — 5 jours avant le tremblement de terre, plusieurs pays occidentaux, dont la Roumanie, ont émis un avertissement de voyage vers la Turquie sans en fournir de raison.
  • — Une minute avant que les sismographes ne détectent le tremblement de terre, les gazoducs et oléoducs turcs ont été fermés. (c’est la seule affirmation non vérifiée par [44])

Une autre preuve que le premier des tremblements de terre du 6 février 2023 a été délibérément déclenché est la rapidité avec laquelle les sources de désinformation sont entrées en action pour tromper le public en fournissant des opinions fausses et/ou trompeuses, totalement dépourvues de fondement scientifique, ciblant fréquemment les sources d’information comme des « théoriciens du complot » [46-50].

Mick West est bien connu pour avoir diffusé de fausses informations sur les activités secrètes de l’État profond [51, 52], telles que la pulvérisation généralisée de particules toxiques dans l’air que nous respirons, les « chemtrails » [53-55], la destruction des tours du World Trade Center [56-58] et les activités de l’Agence centrale de renseignement (CIA) [59, 60]. Mick West aurait déclaré que HAARP « ne peut affecter qu’une petite partie de l’air au-dessus de lui » [61]. L’illustration de West tirée de [62] est présentée à la figure 3a. Contraste avec la légende trompeuse de la figure 3a : « C’est à peu près l’étendue de l’effet de HAARP. Il chauffe l’ionosphère à environ 70 km au-dessus du sol, directement au-dessus de son emplacement en Alaska », alors que les scientifiques reconnaissent et illustrent dans la littérature scientifique évaluée par les pairs que les ondes électromagnétiques produites par HAARP et d’autres dispositifs de chauffage de l’ionosphère « peuvent parcourir des milliers de kilomètres » [34-37], comme l’illustrent la figure 3 b de [37] et la figure 3c de [36].

Figure 3 : l’image (a) de désinformation de Mike West contraste avec les schémas (b et c) scientifiques revus par des pairs, montrant que les ondes électromagnétiques émises par HAARP et d’autres chauffages ionosphériques peuvent voyager sur des « milliers de kilomètres. »

MOTIFS, OPPORTUNITÉ ET PRÉDISPOSITION

Parmi les possibles raisons de punir la Turquie en utilisant l’arme géophysique qui déclench e les tremblements de terre, on peut citer les suivantes, décrites [63, 64] avec des références :

  • — La Turquie bloque l’adhésion de la Suède et de la Finlande à l’OTAN.
  • — Aujourd’hui, la Turquie soutient la Russie de la même manière que la Chine, en lui fournissant des pièces détachées, y compris en réexportant des équipements des États-Unis vers des entreprises russes visées par des sanctions imposées unilatéralement par Washington.
  • — La Turquie a renvoyé Brian Nelson, sous-secrétaire au Trésor américain chargé du terrorisme et du renseignement financier, qui exigeait la fin des exportations turques vers la Russie et de l’opposition de la Turquie à l’adhésion de la Suède à l’OTAN.

Jacob J. (Jake) Sullivan, actuel conseiller à la sécurité nationale de l’administration Biden, a participé au tremblement de terre prétendument déclenché en 2011 à Christchurch, en Nouvelle-Zélande, comme l’indique son courriel à Hillary Clinton [5], et connaissait donc parfaitement les moyens et la méthode potentielle pour déclencher le tremblement de terre du 6 février 2023 en Turquie.

En outre, selon Seymour Hersh [65], Jake Sullivan aurait été directement impliqué dans la planification de l’attaque écoterroriste contre les oléoducs Nord Stream 1 et 2, probablement perpétrée par les États-Unis et la Norvège. À ce titre, nous alléguons que Jake Sullivan avait la position, la prédisposition et l’opportunité de planifier, avec d’autres hauts responsables américains, une opération visant à déclencher délibérément le tremblement de terre du 6 février 2023 en Turquie en utilisant des chauffages ionosphériques situés aux États-Unis et/ou en Norvège (ou ailleurs).

PREMIER CAS PRÉSUMÉ DE CRIMES DE GUERRE

Au milieu des affirmations contradictoires des dirigeants européens [66], il est important de délimiter sans ambiguïté les alliances politiques liées à la situation géopolitique actuelle. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis, qui étaient à l’époque la force militaire la plus puissante du monde, ont forgé, avec des nations d’Europe occidentale soumises, une domination politique, économique et militaire combinée sur une grande partie du monde. L’hégémonie occidentale a été favorisée par la création de la Central Intelligence Agency en 1947 et de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) en 1949.

Des organisations mondialistes indépendantes, créées sur invitation uniquement, telles que le groupe Bilderberg en 1954 [67], la Commission trilatérale en 1973 [68] et le Forum économique mondial (WEF), fondé en 1971, influencent directement les agendas mondiaux. Le WEF promeut l’idée que la mondialisation est mieux gérée par une coalition autosélectionnée d’entreprises multinationales, de gouvernements et d’organisations civiles [69]. En outre, des agents mondialistes secrets et non élus, parfois désignés sous le nom d’État profond, sont impliqués depuis des décennies dans des activités de trahison planétaire qui causent des dommages catastrophiques aux systèmes de la Terre [70-72].

Le coup d’État à Kiev, en Ukraine, le 22 février 2014, a été qualifié de « coup d’État le plus flagrant de l’histoire de l’humanité » et « a été organisé avec le soutien des services occidentaux et des proto-fascistes » [73]. Depuis lors, le meurtre de quelque 14 000 Ukrainiens russophones et la suppression de leur langue et de leurs valeurs culturelles par le régime néo-nazi ukrainien corrompu ont précipité l’opération spéciale de dé-nazification de la Russie le 24 février 2022 [74, 75].

Le 7 décembre 2022, l’ex-chancelière allemande Angela Merkel a révélé qu’en 2014, les accords de Minsk étaient une ruse visant à donner à l’Ukraine le temps de se préparer à la guerre avec le soutien de l’OTAN [76, 77]. Les États-Unis et d’autres pays de l’OTAN ont fourni d’importantes sommes d’argent, des équipements militaires sophistiqués et des renseignements à l’Ukraine pour combattre la Russie [78, 79]. Néanmoins, certains membres de l’OTAN nient être en guerre contre la Russie [66].

Le 24 janvier 2023, la ministre allemande des Affaires étrangères Annalena Baerbock a clairement déclaré devant l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe : « Nous menons une guerre contre la Russie » [80]. L’aveu de Baerbock est important/pertinent à la lumière de l’attaque qui a détruit les gazoducs Nord Stream 1 et 2 le 26 septembre 2022.

Selon le journaliste d’investigation de renommée mondiale Seymour Hersh [81], les États-Unis et la Norvège sont responsables de l’attaque contre les gazoducs Nord Stream 1 et 2 [65]. Les États-Unis et la Norvège, membres de l’OTAN, ont non seulement attaqué la Russie, propriétaire majoritaire des gazoducs, mais aussi d’autres membres de l’OTAN qui possèdent 49 % des gazoducs. La société russe Gasprom détient 51 % des parts du projet de gazoduc, deux sociétés allemandes en détiennent ensemble 31 %, et une société néerlandaise et une société française en détiennent chacune 9 % [82].

Pour leur attaque déclarée des gazoducs Nord Stream 1 et 2, nous alléguons que les États-Unis et la Norvège ont commis des crimes de guerre, en particulier ceux décrits dans le Statut de Rome de la Cour pénale internationale [83] : Article 8 (2) (a) (iii) Crime de guerre consistant à causer de grandes souffrances ; Article 8 (2) (b) (ii) Crime de guerre consistant à attaquer des biens de caractère civil ; et Article 8 (2) (e) (xii) Crime de guerre consistant à détruire ou à saisir les biens de l’ennemi.

Note : Bien que ni les États-Unis ni la Russie ne soient des États parties au Statut de Rome de la Cour pénale internationale, la France, l’Allemagne, les Pays-Bas et la Norvège sont des États parties au Statut de Rome [84].

L’attaque présumée des gazoducs Nord Stream 1 et 2 [65] montre que les États-Unis et leurs alliés de l’OTAN sont suffisamment dépourvus de valeurs humanitaires morales pour être moralement capables — et pas seulement techniquement capables — de déclencher délibérément le tremblement de terre du 6 février 2023 en Turquie. Ce tremblement de terre, ainsi que le second 9 heures plus tard et ses répliques, ont fait plus de 55 100 morts en Turquie et en Syrie, la majorité étant des femmes et des enfants [9, 10].

DEUXIÈME CAS PRÉSUMÉ DE CRIMES DE GUERRE ET DE CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ

Bien que le déclenchement présumé du tremblement de terre du 6 février 2023 en Turquie ait été effectué en secret, les preuves présentées ici désignent les États-Unis et la Norvège, qui ont tous deux les moyens, les motifs, l’opportunité et la prédisposition, comme les principaux auteurs. Nous alléguons que pas moins de dix nations occidentales étaient complices, c’est-à-dire qu’elles avaient connaissance de la destruction géophysique planifiée de dizaines de milliers d’êtres humains lorsqu’elles ont rappelé leurs ambassadeurs d’Ankara avant le tremblement de terre, mais qu’elles n’ont pas averti l’humanité ou n’ont pas empêché le déclenchement délibéré présumé du tremblement de terre [44]. Nous alléguons que cinq pays occidentaux ont été complices, y compris la Roumanie, en émettant des avertissements de voyage sans en préciser la raison [44]. Nous alléguons que ces pays occidentaux ont participé aux crimes de guerre et aux crimes contre l’humanité suivants : Article 7 (1) (k) Crime contre l’humanité d’autres actes inhumains ; Article 8 (2) (a) (iii) Crime de guerre consistant à causer de grandes souffrances ; Article 8 (2) (b) (ii) Crime de guerre consistant à attaquer des biens de caractère civil ; et Article 8 (2) (e) (xii) Crime de guerre consistant à détruire ou à saisir les biens de l’ennemi. Nombre de ces pays occidentaux, dont la Norvège et la Roumanie, sont des États parties au Statut de Rome de la Cour pénale internationale [84].

JURIDICTION ET RÉPARATION DEMANDÉE

Nous demandons respectueusement à la Cour pénale internationale, en vertu de l’article 53 du Statut de Rome [83], d’ouvrir une enquête complète, approfondie et exhaustive sur les allégations présentées dans le présent document.

La gravité de ces allégations ne doit pas être minimisée. Parmi les plus de 55 100 personnes qui ont trouvé la mort en Turquie et en Syrie [9, 10], la majorité étaient des femmes et des enfants ; un nombre encore plus important d’êtres humains innocents ont été gravement blessés et on estime que 1,5 million de personnes se sont retrouvées sans abri [85]. L’enquête et les poursuites concomitantes ne devraient pas être réservées aux dirigeants nationaux, mais devraient englober un large éventail d’individus impliqués dans la réalisation d’un tel acte de guerre non déclaré, illégal et clandestin : y compris des scientifiques de haut niveau, des fonctionnaires civils, gouvernementaux et militaires, des agents de désinformation et leurs responsables, ainsi que des diplomates, qui auraient tous aidé et encouragé le déclenchement présumé du tremblement de terre du 6 février 2023 en Turquie.

Nous avons présenté des allégations et des preuves d’au moins deux cas de tremblements de terre délibérément déclenchés, celui de Christchurch en Nouvelle-Zélande en 2011 et celui du sud de la Turquie qui s’est étendu au nord de la Syrie en 2023. Il serait naïf de penser qu’il s’agit là des deux seuls cas de guerre géophysique secrète contre des populations innocentes impliquant des chauffages ionosphériques. En fait, il y a eu des allégations concernant d’autres tremblements de terre déclenchés [86-94], dont nous ne pouvons pas attester la véracité.

En 2002, 90 députés de la Douma russe ont demandé une interdiction internationale des expériences géophysiques et se sont inquiétés du développement de l’arme du réchauffeur d’ionosphère en Alaska (États-Unis), en Norvège et au Groenland, notant [4] :

« L’importance de ce saut qualitatif pourrait être comparée au passage de l’acier froid aux armes à feu, ou des armes conventionnelles aux armes nucléaires. Ce nouveau type d’armes diffère des précédents en ce que le milieu proche de la Terre devient à la fois un objet d’influence directe et sa composante ».

Outre notre demande d’enquête approfondie et de poursuites concomitantes, nous demandons respectueusement à la Cour pénale internationale d’inclure une divulgation publique complète de la capacité scientifique et technologique géophysique actuelle de l’humanité à modifier les processus naturels de la Terre afin de les transformer en armes de guerre.



RÉFÉRENCES




Les statistiques officielles britanniques des décès toutes causes par statut vaccinal prouvent que la surmortalité 2022 ne concerne que les injectés. Pour les morts covid, ils sont peu nombreux, mais vaccinés…

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

En France ils refusent de fournir les statistiques de décès covid et toutes causes en fonction du statut vaccinal. Le seul moyen de faire taire les complotistes que nous sommes en prouvant l’efficacité et la non-dangerosité des injections. Mais que redoutent-ils, ces représentants de la vraie Science ?

En Angleterre nous disposons de ces statistiques, c’est effrayant. Dans la 2e partie de l’article les statistiques covid ne manquent pas d’intérêt, elles prouvent que les morts covid sont en réalité peu nombreux mais vaccinés.

1 Les décès toutes causes : depuis le début 2022 la surmortalité ne concerne que les injectés

Il faut rappeler que les plus âgés sont les plus « boostés »

Angleterre. Décès par statut vaccinal. MISE À JOUR. Taux bruts mensuels de mortalité selon l’âge par 100 000, de avril 2021 à la fin 2022

Les statistiques concernent toutes les causes des maladies et pas seulement la Covid

Pour les plus de 90 ans le taux de mortalité des vaccinés est de 1700/100000 par mois, celui des non-vaccinés de 1000/100000. Du simple au double en fin de période.

Pas de différence significative pour les 80 à 89 ans jusqu’en janvier 2022, mais à partir de là et sur toute l’année 50 % de décès en plus pour 100 000 chez les vaccinés

L’évolution est identique pour les 70/79 ans et pour les 60/69 ans avec une rupture et un renversement au début de l’année 2022

Pour les plus jeunes les taux de mortalité sont bien plus faibles, par exemple 2 pour 100 000 pour les 18 à 39 ans vaccinés et 1 pour 100 000 pour les non-vaccinés. Ils sont donc moins significatifs, mais la tendance est identique : dégradation du taux de mortalité pour les vaccinés à partir du début 2022.

Ces stats doivent cependant tenir compte des décès oubliés (majoritairement des vaccinés)

Une chose est certaine : la surmortalité toutes causes des injectés en 2022, et ce pour tous les âges :

Selon ONS Data pour mai 2022 les risques de décès toutes causes sont majorés de 20 à 70 % pour toutes les tranches d’âges

Sources:

https://ons.gov.uk/peoplepopulationandcommunity/birthsdeathsandmarriages/deaths/datasets/deathsbyvaccinationstatusengland…
https://coronavirus.data.gov.uk/details/download… (https://api.coronavirus.data.gov.uk/v2/data?areaType=nation&areaCode=E92000001&metric=vaccinationsAgeDemographics&format=csv…). Previous analysis.
https://twitter.com/OS51388957/status/1576204422857703424?s=20… :

2 les statistiques covid ne manquent pas d’intérêt, elles prouvent que les morts covid sont en réalité peu nombreux mais vaccinés

En Angleterre nous disposons de ces statistiques pour les décès covid et regardez bien.




Quel renversement du monde nous attend pour 2023 ?

[Source : reseauinternational.net]

par Thierry Mourrain

Ceux d’entre nous qui ont déjà lu des romans dystopiques, tels « 1984 », « le Maître du Haut Château », « le Meilleur des Mondes », « Fahrenheit 451 », « un Bonheur Insoutenable », se sont sûrement dit un jour : « C’est pas possible que la planète parte ainsi en sucette ! Heureusement que c’est une fiction, sinon je ne sais pas comment j’aurais supporté cette réalité ».

Je crois qu’en 2023 nous sommes arrivés à ce point de bascule où le monde qui vient n’aura plus rien à voir avec celui que nous connaissons actuellement. En d’autres termes, nous allons probablement vivre cette expérience saisissante de passer de l’autre côté du miroir de façon brutale et irréversible.

Sommes-nous prêts ? Allons-nous regretter la vie d’avant ? Ça dépendra du scénario qui l’emporte. Et c’est ce que nous allons voir ensemble plus bas. 

Mais examinons tout d’abord les raisons qui nous poussent, tel un piston hydraulique géant, vers un grand renversement.

  • Tensions critiques entre Russie-Chine-Corée du Nord et Occident
  • Jusqu’au-boutisme de l’hégémon USA-UK-Israël
  • Dérapage nucléaire d’un des belligérants
  • Luttes entre les idéologues mondialistes dégénérés et mortifères (wokisme, cancel culture, écologie, eugénisme, pédophilie, satanisme, LGBTisme) et les peuples du monde qui veulent vivre 
  • Krach gigantesque sur des marchés financiers en surchauffe
  • Déclassement et précarité croissants
  • Inflation alimentaire et énergétique 
  • Catastrophes et désastres écologiques déclenchés par l’homme ou par un événement naturel ou les deux (IA, Z machine, pandémie, tremblements de terre, tsunami)

L’accumulation de vecteurs de force aussi antagonistes est une anomalie dans notre Histoire. Jamais l’humanité n’a rencontré une telle volonté destructrice de l’âme, de l’esprit et du corps, tout en prétendant défendre le contraire.

Si on écoute les eschatologues, nous cochons toutes les cases pour entrer dans une ère pré-apocalyptique. En analysant les faits objectivement, on est obligé d’admettre que la situation mondiale est franchement aberrante et qu’une petite étincelle pourrait tout emporter.

Dans quelle direction ? C’est ce que nous allons tenter d’ébaucher ici au travers de ces six scénarios.

2023, les gens ont compris que le changement, c’est maintenant !

Pandémies, pénuries, guerres, écologisme culpabilisant et autres joyeusetés, les peuples ont appris à ne plus gober ces arnaques de la propagande occidentale basées sur l’instrumentalisation de la peur et la volonté de diviser. 

Les médias, principaux apôtres de cette idéologie, sont en berne, plus personne ne s’intéresse vraiment à leur bavardage. Idem pour le milieu politique, artistique et médical, larbins notoires du pouvoir.

Les gens ont compris quels étaient le vrai visage et la nature diabolique de leurs élites. Ils ont aussi réalisé qu’un des moyens de les abattre était de démolir d’une façon ou d’une autre la pyramide au-dessus de laquelle elles trônent.

Consommation raisonnée, alimentation locale, éducation des enfants à la maison, entraide, éco-lieux autonomes, suppression des écrans, lecture, réveil spirituel, retour des traditions, etc.. En faisant sécession avec le Système, les gens l’ont peu à peu précipité vers sa chute.

Ce n’était pas gagné, car au début, le confort bourgeois et le fétichisme de la marchandise les rattrapaient, puis, crise après crise, vexation après vexation, la prise de conscience a surgit. « Non, je ne signerais pas ce putain de pacte avec le diable ! »

Aujourd’hui, le rouleau compresseur mondialiste est au point mort, car il n’a plus de prises. Nul doute qu’il renaîtra un jour de ses cendres, mais pour le moment les populations sont immunisées.

Bien sûr, tout le monde a bien compris que ce scénario improbable ne se produira jamais. À cause de notre lâcheté ou de notre aveuglement, on sait tous, au fond, qu’on a perdu depuis longtemps le fil de notre histoire. Nous sommes à bord d’un train fou, commandé par des fous, qui nous entraîne loin, bien loin de notre Salut.

Subsistent de petits groupes d’humains isolés, insubordonnés, réfractaires au Système. Leur survie dépendra de leur aptitude à se cacher, s’unir et passer entre les mailles du filet. Bonne chance à eux. Bonne chance aussi aux autres !

2023, la Russie est vaincue en Ukraine

Le front s’est étendu et la Russie a fini par tomber. Elle est à rebâtir, ainsi que l’Ukraine, la Pologne, les Pays baltes et l’Europe du Nord, dévastés dans les bombardements.

Un plan Marshall V2.0 est enclenché pour aider à la reconstruction via le prêt et la dette. 

C’est la curée pour se partager le territoire russe qui part à la découpe. Changement de régime en Serbie et en Hongrie. L’Europe s’étire dorénavant jusqu’à Vladivostok. Moscou devient la capitale mondiale de la fierté LGBTQ+. L’Occident affaibli par la guerre ne peut se payer le luxe de s’emparer de Taïwan. La Corée du Nord résiste à une attaque massive de drones kamikazes.

Et hop, c’est reparti pour un tour ! On a échappé de peu à une troisième guerre mondiale dévastatrice et la machine économique et idéologique occidentale est relancée, jusqu’à la prochaine crise.

En Occident, sous prétexte d’empêcher de nouveaux conflits, le totalitarisme accélère le pas. La guerre c’est la paix, la liberté c’est l’esclavage, l’ignorance c’est la force !

Des IA traquent sur le Net les opinions divergentes. Tout dissident est placé en détention dans des camps de rééducation aménagés en Sibérie. L’utilisation de VPN est prohibée. La monnaie papier et la cryptomonnaie deviennent illégales. L’argent sur les comptes bancaires est transformé en monnaie numérique. 

Les identités biologiques et digitales fusionnent. Basé sur une technologie d’implants nanoscopiques électromagnétiques autoalimentés, chacun de nous émet dorénavant à vie un signal radio unique. Adopter ce procédé nommé « Trackme » devient la seule identification autorisée et la condition sine qua non d’une vie sociale. 

L’inemploi et les cessations d’activité ont tellement augmenté qu’un revenu universel s’est substitué aux allocations chômage.

Dorénavant les populations disposent d’un quota carbone mensuel, les incitant à se regrouper dans des habitations collectives.

Des brigades du peuple parcourent les campagnes afin de collecter la taxe foncière. Quand l’impôt ne peut être assumé, les propriétaires sont expulsés et la réquisition des champs justifiée comme un juste tribut pour nourrir la population.

L’euthanasie choisie est légalisée, y compris sur les enfants, sans même l’accord des parents.

Le taux de natalité s’effondre. 

90 % de la population est désormais contingentée dans de grands ensembles d’habitations collectives où les virus ne cessent de se propager malgré les plans de vaccination obligatoire.

On ne prend plus ni l’avion, ni même le train ou la voiture. Ça coûte tellement cher en malus carbone que ça éteint toute velléité de se déplacer autrement qu’à pied ou en vélo.

Des groupes de rebelles, indétectables, car ayant boycotté « Trackme » dès le début, se constituent et forment des poches de résistance, loin des villes. 

Privilégiant la low-tech et le camouflage pour se rendre invisibles des drones tueurs qui sillonnent le territoire, certains parviennent à pirater les systèmes contrôlant les accès aux cités dortoirs.

De petits combats en petites victoires, les rebelles deviennent peu à peu le clou dans la botte du pouvoir technocratique mondial en place.

Tracts, brouillages, attentats, recrutement de nouveaux dissidents dans les cités, les élites ne l’ont pas encore vu venir, mais la fin de leur règne approche. 

C’est après avoir cartographié patiemment leurs lieux de pouvoirs et de résidences qu’une attaque coordonnée sera lancée un matin. 

Avec le soutien de la Chine et de la Corée du Nord, par les airs et par le sol, les élites seront délogées et décimées en quelques jours dans une violence dévastatrice inouïe.

Le renouveau de l’humanité prendra du temps, mais, après la grande purge, la grande réinitialisation du monde pourra commencer. 

Cette fois-ci sur des bases réellement égalitaires et fraternelles.

2023, la Russie gagne en Ukraine

L’armée russe a vaincu l’armée ukrainienne. Le Donbass est repris en totalité. L’armée otanienne tente de contenir la ligne de front, mais celle-ci cède et la Russie s’empare de toute l’Ukraine. 

Dans un geste désespéré et fanatique, la Pologne, télécommandée par les USA, envoie une salve de missiles conventionnels longue portée vers Minsk, Moscou, Saint-Pétersbourg et Odessa.

Panique générale. Les sirènes retentissent dans le monde entier. Les chaînes de TV, qui avaient préparé l’opinion publique à cette éventualité, retransmettent les images en direct. Sur nos écrans, nous voyons à l’œuvre les batteries antimissiles russes S400 stopper net, haut dans le ciel, les fournées destinées au sol russe. En revanche, Minsk, trop près de la zone de tir, est touchée à plusieurs reprises en plein centre-ville.

La planète retient son souffle. On attend la réplique. Mais rien ne se passe.

Une heure plus tard, retransmis en simultané, Loukachenko et Poutine apparaissent côte à côte dans leur QG respectif. Loukachenko prend la parole en premier pour annoncer le bilan. Le nombre de victimes civiles dépasse les 10 000 morts et 30 000 blessés, beaucoup de bâtiments sont détruits dans la capitale biélorusse, dont le palais de la république et de nombreux musées. 

Poutine, dans un discours d’anthologie qui restera à jamais gravé dans les livres d’histoire, tient tout d’abord à rassurer les populations civiles occidentales.  Il ne cédera pas à la provocation qu’on attend de lui. La solution de représailles choisie, inoffensive pour l’homme, est en chemin et ne sera pas de type nucléaire, ni même conventionnel. Une dizaine de planeurs hypersoniques Avangard survolent actuellement les cibles, toutes occidentales. Centres de commandement de l’OTAN, bâtiments administratifs, zones de contingents militaires, usines de fabrications d’armes et de microprocesseurs, vont être rendus inutilisables suite à des explosions électromagnétiques déclenchées depuis la troposphère.

Vladimir Poutine prévoit de grandes perturbations et demande à toutes les populations d’être patientes. Les avions disposent de 2 heures pour atterrir sur le plus proche aéroport.

Compte à rebours : 2 h, 00

Afin d’en finir avec la guerre énergétique éternelle, source inépuisable de conflits, Poutine présente le plan de relance Sakharov qui a été conçu dans le plus grand secret par le Kremlin et ses alliés. Énergie libre pour tout le monde ! 

Des capteurs d’énergie libre ainsi que des adaptateurs pour moteurs thermiques et électriques sont déjà en production, les plans et modes d’emploi téléchargeables en open source. 

Hôpitaux, maisons de retraite et cliniques privées seront livrés les premiers. Des stocks ont été constitués pour les administrations et entreprises qui en feront la demande.

Devant la poussée populaire, les gouvernements mondialistes sont renversés ou rendent le tablier. Des élections anticipées s’organisent dans ces pays. Les partis souverainistes sont largement plébiscités. En France, Alain Soral remporte les élections avec 85 % des suffrages et un taux record d’abstention de 6,66 %.

Un nouveau monde abondant, fertile, fraternel, créatif, émancipateur est en train d’émerger. 

2023, guerre nucléaire

Des mini-nukes explosent à Kiev et dans un entrepôt militaire près de la frontière polonaise. Bilan : plusieurs dizaines de milliers de morts et des centaines de kilomètres carrés contaminés par la radioactivité.

Pour les médias, ça ne fait aucun doute, c’est la Russie. Des sondages la rendent responsable à 85 %. La diplomatie russe explique que c’est un false-flag mais reste inaudible.

Sur ordre de Joe Biden, Emmanuel Macron prend la tête du commandement militaire unifié européen. Depuis Jérusalem, il s’adresse à tous les membres de l’UE. La troisième guerre mondiale est déclarée contre la Russie. La mobilisation des troupes démarre dès l’âge de 14 ans. Des bataillons LGBTQ+ intègrent tous les corps d’armée.

Le lendemain, une dizaine d’ogives nucléaires sont tirées depuis les bases de l’OTAN vers la Russie.

Immédiatement, alors que le premier impact n’a pas encore eu lieu sur le sol russe, Paris, Londres, Berlin et Varsovie sont foudroyées et anéanties. Puis c’est le tour de Jérusalem, car elle abrite le QG du commandement mondial de l’OTAN. 

Réfugiés dans les bunkers, 95 % des équipes gouvernementales mondialistes sont vaporisées. 

Au large des côtes anglaises, américaines et pacifiques, suite à de gigantesques explosions sous-marines, des vagues géantes de 500 mètres de haut sont en approche.

Quelques ogives parviennent à pénétrer la défense aérienne russe et atteignent mortellement leur cible. Moscou n’est pas touchée, mais les principales grandes métropoles comme Kazan, Novossibirsk, Nijni Novgorod, Saint-Pétersbourg se volatilisent en poussières.

En zone Asie-Océanie, la Corée du Nord, alliée à la Chine, affronte le Japon, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Des dizaines d’explosions nucléaires sont enregistrées dans cette région. Le Japon disparaît. Les deux Corées n’existent plus. Déclenché par l’ampleur de l’onde de choc, un séisme parcourt la Mer de Chine, se dirigeant droit vers l’Amérique latine, emportant tout sur son passage. 

Avant de disparaître, la Corée du Nord lance deux de ses plus gros missiles hypersoniques nucléaires vers les États-Unis. La déflagration est tellement puissante que ⅔ du pays de l’Oncle Sam se vitrifie instantanément.

En Afrique et en Russie, les survivants s’organisent pour reconstruire le monde. 

Il faudra des siècles pour que refleurissent les campagnes, s’éclaircisse le ciel crépusculaire et revienne la paix dans les âmes et les cœurs.

2023, intervention exogène V1

Début 2023, des objets volants non identifiés commencent à apparaître dans le ciel au-dessus de petites villes et villages de campagne, majoritairement en Amérique latine, Asie et Afrique.

Dans le monde entier, des témoignages visuels affluent de toutes parts. Photos, vidéos, livres, les réseaux sociaux et les chaînes d’info regorgent de contenus montrant d’étranges objets ovoïdes volant à basse altitude dans le ciel. 

Ce qui surprend le plus, c’est le design épuré et le silence de ces engins volants.

Les premières prises de contact se produisent dans de petites agglomérations où les visiteurs arrivent de nuit, choisissant de se poser sur les places publiques ou près de lieux de cultes.

Peu à peu, les gens se familiarisent avec ces êtres humanoïdes et leurs fantastiques machines. Le calme, la puissance tranquille et la sérénité qu’ils dégagent étonnent et rassurent à la fois. Ils sont comme nous, des gens normaux, occupés à leur besogne, parlant la langue du pays, saluant les passants. Habillés de vêtements clairs et sobres, ils ne donnent pas l’impression d’être dans une tenue militaire, mais plutôt civile décontractée. 

Ici et là, ils invitent les curieux qui le souhaitent à entrer dans leur astronef. Parfois ils proposent de faire une balade de quelques heures. 

Ils répondent à toutes les questions, laissent prendre des photos, montrent des images de leur monde.

Tant que des militaires ou policiers ne viennent pas rôder alentour, les visiteurs prolongent leur séjour et tissent des liens avec les populations. Dès que rappliquent des forces armées, ils se retirent, prenant bien soin de laisser derrière eux des messages d’amitié et de paix.

En quelques semaines, tout le monde a bien compris que leur volonté n’est pas de convoler avec les puissants, encore moins de chercher à en tirer avantage, mais bien de communiquer avec les gens et d’instruire ceux qui le désirent. 

On apprend ainsi que de nombreuses civilisations évoluées existent dans l’univers, qu’elles nous étudient depuis des millénaires, y compris nos prières, attendant le moment opportun pour entrer en contact.

Ne voyant dans nos élites aucune volonté de tirer leurs peuples vers le haut, ils ont demandé à leurs émissaires de partir à la rencontre des communautés terriennes les plus avancées spirituellement. Charge à elles d’assurer la médiation avec les autres habitants de la terre.

La proposition est simple. Quiconque est intéressé par l’élévation de sa conscience doit prier et agir comme tel. Il sera alors contacté et recevra la connaissance nécessaire lui permettant d’éveiller son esprit.

Ce sera le début de l’âge d’or de l’humanité. 

2023, intervention exogène V2

Mai 2023. D’étranges objets survolent les grandes capitales partout dans le monde. Furtifs, véloces, ils apparaissent, s’immobilisent quelques instants dans le ciel, comme s’ils évaluaient nos infrastructures, puis s’évanouissent dans les airs. Leur envergure correspond à un cylindre d’une cinquantaine de mètres de long pour une dizaine de mètres de diamètre. Un gros sous-marin. La couleur est indéfinissable, car elle change constamment en fonction de l’environnement. Autour, un halo scintillant pulse en émettant un fort bourdonnement. 

C’est tellement hors-norme que cela provoque un mélange confus de sentiments, entre stupeur et effroi. Certains, consternés, ne savent s’ils contemplent un spectacle en 3DMax et doivent s’émerveiller ou s’enfuir en courant dans un bunker. L’imaginaire des blockbusters hollywoodiens et autres films catastrophes est certainement passé par là. 

En quelques jours, la nouvelle se répand dans le monde entier, envahissant les médias et les réseaux sociaux. Les extraterrestres sont arrivés sur terre ! Qui sont-ils ? Que veulent-ils ? Sont-ils amicaux ? Vont-ils prendre contact avec nous ? Nous exterminer ?

Des spécialistes sont invités sur les plateaux télé. On assiste à des débats houleux entre les partisans de la paix, de la guerre, ou de l’apocalypse. Religieux, militaires, scientifiques, politiques, people, tout le monde veut placer sa tirade. Certains commentateurs, toujours les mêmes, vont jusqu’à envisager un complot des Reptiliens pour instaurer un gouvernement mondial. Tout est bon, pourvu que ça suscite de l’émotion et pétrifie les gens devant leurs écrans.

Juin 2023. Les USA prennent le leadership. Ils décident d’envoyer des avions de chasse intercepter ces objets volants. Grâce aux caméras embarquées, on assiste en direct aux tentatives d’approches. La technologie de ces engins est juste prodigieuse. On ressent la tension des pilotes. « Mais comment peut-on suivre des oiseaux pareils, nom de Dieu ?! », crache d’une voix grésillante un des pilotes. « C’est une aberration, on croise à Mach 2.5 et ça virevolte comme si les lois de la physique… pshhhhhhhh ». On ne connaîtra pas la suite, le F15 disparaîtra brutalement des écrans radars.

Au même moment, sur les chaînes d’info sont retransmises des images nocturnes terrifiantes. Des villes, frappées par des orbes d’énergie dévastatrices, s’aplatissent comme des crêpes, puis s’enflamment ou explosent en particules embrasées. On reconnaît Londres, Berlin, Paris, New-York, Tokyo, San-Francisco, México, São-Paulo, Tel-Aviv… que des grandes métropoles mises à mort devant nos yeux. L’horreur. Les déflagrations sont titanesques. Quand des fragments incandescents s’élèvent dans l’atmosphère, on peut voir le ciel comme en plein jour. Et ce qu’on y voit est cauchemardesque.

Immobiles et imposantes, des formes sombres aux ventres hérissés de canons contemplent le chaos qu’elles propagent. On y est, les extraterrestres commencent à nous décimer !

Ce jour-là, le cours de la vie humaine sur terre changea à jamais.

Les sirènes se mirent à hurler jour et nuit. La loi martiale et le confinement général décrétés. Aucun avion civil ou commercial ne fut autorisé à circuler. Idem pour les bateaux, les trains et tous types de véhicules terrestres. 

L’effondrement des marchés financiers s’ensuivit, puis les émeutes et les pillages quelques jours après.

Septembre 2023. Sous le haut commandement du président des États-Unis, un Gouvernement Global de la Guerre (GGG) fut instauré, ordonnant deux mesures prioritaires : 1) la construction d’abris souterrains pour protéger les populations civiles, 2) la subordination totale à l’effort de guerre pour vaincre l’envahisseur.

Janvier 2789. Quelques siècles plus tard, l’humanité enterrée renversera la tyrannie et sortira enfin de sa geôle. Dehors, abasourdie, elle découvrira peu à peu la vérité. Le mythe des extraterrestres était un mensonge. Des milliards de vies innocentes furent massacrées. Quelques pays se dressèrent contre cette mystification, mais d’autres les empêchèrent d’intervenir.

En exhumant les archives de l’époque, on apprendra qu’un projet de psyop, ourdi par la CIA dans les années 1960-1970, portait le nom de « Blue Beam ». Cette opération consistait, grâce à divers moyens techniques et l’aide des médias de masse, à créer l’illusion d’une invasion extraterrestre. Objectif : terroriser et asservir les peuples. Parmi les moyens employés : d’immenses projections holographiques dans le ciel, des ondes électromagnétiques 5G pour parasiter le cerveau, la propulsion MHD procurant une grande agilité dans l’air à haute vitesse, l’utilisation de mini missiles nucléaires propres. 

Éradiquer la population en faisant porter le chapeau à des pseudo aliens envahisseurs, c’était ça le projet ! D’ailleurs, les abris souterrains avaient été construits secrètement pour loger quelques dizaines de millions d’habitants, pas des milliards ! 

En ces temps anciens, les false flags étaient fréquemment utilisés par les élites pour terroriser les masses en tuant d’innocents civils. Celui-ci fut en quelque sorte leur ultime chef-d’œuvre.




L’ENNEMI MIS A NU, NE VOUS TROMPEZ PAS DE CIBLE

Dossier en trois parties présenté par les Gilets Jaunes de la Victoire

I QUI EST L’ENNEMI ?

Depuis plusieurs siècles, s’est développé, dans l’ombre, un acteur géopolitique nouveau, anonyme et de nature privée, appelé par facilité de langage « puissances d’argent ».

Cet acteur est déroutant à plus d’un égard, car le fait d’être anonyme rend difficile son appréhension précise et la mesure de sa puissance, par rapport aux traditionnels États.

Ensuite, cet acteur ne répond pas aux mêmes règles d’engagement, pour employer une terminologie militaire, que les États. D’une part, ces « puissances d’argent » sont des acteurs privés, et non publics, qui répondent donc à des intérêts d’ordre strictement catégoriel, en aucun cas à un quelconque « intérêt général ». Mais, comme par essence ils sont anonymes, on a du mal à discerner leur présence autrement que par des déductions et recoupements d’informations.

D’autre part, et peut-être surtout, ces acteurs, qui ne sont pas géographiquement délimités (pas de contraintes géographiques), ne fonctionnent fondamentalement pas selon la même logique que les États traditionnels. Alors que les États, quelle que soit leur taille, sont limités par des frontières et répondent à une logique d’ordre sédentaire, ces nouveaux acteurs politiques (que d’aucuns, tel que Peter Scott Dale, nomment « État profond ») répondent à une logique de type nomade.

Comprendre ce phénomène, nouveau dans son ampleur, car sa création remonte loin dans le temps est pourtant fondamental puisqu’il permet de percevoir que ce nouvel acteur géopolitique a, in fine, un seul ennemi mortel : la présence d’États au sens politique du terme, c’est-à-dire d’États souverains. Ainsi, dans le contexte d’un rapport de force et de puissance, les États sont, par construction, les pires ennemis des « banquiers-commerçants ».

À ce propos, rappelons que dans un entretien accordé à la revue « Entreprise » (ancêtre de la revue l’« Expansion »), et publié en juillet 1970, Edmond de Rothschild, déclarait : « Le verrou qui doit sauter à présent, c’est la nation ! » (n° 775 du 18/07/1970, p.64)

La première puissance à avoir intégré la caste des « banquiers-commerçants » en tant que nouvel acteur politique est l’Angleterre. Le choix d’Oliver Cromwell (1599-1658) de développer l’Empire britannique en adossant la puissance des armes à celle des banques a créé un nouveau paradigme politique. Dire cela ne signifie pas que l’Angleterre porte l’acte de naissance de cet acteur géopolitique nouveau, anonyme, appelé par facilité de langage « puissances d’argent ». Sa naissance est plutôt à rechercher dans les Républiques commerçantes de Gênes, de Florence ou de Venise.

(…)

Le pouvoir économique actuel, caché derrière des hommes politiques de paille interchangeables, est structurellement hors de tout contrôle ; une collectivité ne peut mettre en œuvre des contrôles que sur un pouvoir dont elle connaît l’existence, l’origine et la nature. Les collectivités humaines ne sont pas en capacité de lutter contre un ennemi caché, anonyme, qui reste non identifiable.

La première condition du renouveau civilisationnel consiste donc à faire apparaître juridiquement la réalité, qui transparaît derrière l’anonymat des capitaux, au grand jour.

Posté par Annwn à propos de l’article du Général Henri Roure :

https://www.profession-gendarme.com/qui-est-lennemi/

II MACRON ET L’AMERICANISATION DE LA FRANCE 

Macron et l’américanisation de la France — France Medias Numerique

III LA RÉSERVE FÉDÉRALE

La FED n’est ni une Réserve, ni Fédérale, ni Américaine

La Réserve fédérale des États-Unis a été créée en 1913 en réaction à plusieurs crises bancaires, la plus récente étant la panique de 1907, où les banquiers privés ont dû engager leurs fonds propres pour réinjecter des liquidités sur le marché. Si la nouvelle institution est placée sous la direction du gouvernement, elle ne semble cependant pas être ce qu’indique sa dénomination. Voici quelques éléments qui, malgré la relative opacité qui entoure le fonctionnement de la banque centrale américaine, invitent à relativiser l’exactitude du titre de l’institution.

En premier lieu, la Fed n’est pas à proprement parler une réserve, elle est un syndicat d’émission monétaire. Alors que le choix du mot « réserve » laisse entendre que son rôle principal est de conserver de la monnaie en réserve afin de parer à une éventuelle crise bancaire comme celle de 1907 — tel était un des arguments principaux en faveur de sa création — la fonction majeure de la Fed est celle de toute banque centrale, à savoir « battre monnaie ». Le premier mot du nom de la banque centrale américaine masque donc le fait qu’elle détient le pouvoir régalien de créer la monnaie.

Ensuite, la Fed n’est pas une institution fédérale, mais plutôt mixte. Elle demeure fédérale au sens où elle n’est pas locale, mais elle est mixte au sens où elle n’est pas intégralement publique. En effet, si le système monétaire américain est dirigé par une agence de l’État fédéral, nommée Conseil des gouverneurs (désignés par le Président des États-Unis), la gestion courante est déléguée à douze banques régionales qui fonctionnent comme des entreprises privées : elles émettent des actions à l’intention de banques privées partenaires. De plus, deux tiers des membres administrateurs de ces antennes régionales représentent des banques privées.

Enfin, la Fed n’est pas à strictement parler américaine. En effet, il découle de sa nature mixte, publique et privée, que des actionnaires privés étrangers à l’intérêt général américain peuvent avoir accès aux cercles de décision des banques régionales. Ainsi, dans les premières années de l’institution, ses détracteurs soulignaient par exemple les forts intérêts britanniques présents dans les trois banques qui détenaient la majorité des actions de la Réserve Fédérale de New York, la National City Bank, la First National Bank et la National Bank of Commerce.

Citation

Romain Treffel : « La FED n’est ni une Réserve, ni Fédérale, ni Américaine ». Analyse publiée sur « leconomiste.eu » le 02/03/2015. Anecdote économique extraite du recueil intitulé « 50 anecdotes économiques pour surprendre son auditoire ».

https://www.leconomiste.eu/decryptage-economie/369-la-fed-n-est-ni-une-reserve-ni-federale-ni-americaine.html

CONCLUSION

C’est bien les banquiers apatrides qui mènent la danse, servis par une armée de valets sans foi ni loi qui sont bien conscients de ce qu’ils font. Tous cherchent à détruire les États pour mettre en place un gouvernement mondial dirigé par une oligarchie où le citoyen n’aura plus qu’à obéir aux ordres, n’est-ce pas la France de Macron ! La plupart des organismes internationaux comme des États sont infiltrés par cette engeance qui au fil des ans est arrivée aux postes clefs. C’est une mafia de la pire espèce.

Quant aux ignorants qui ne comprennent pas ce qui se passe, s’ils veulent avoir un avenir, nous leur conseillons de se réveiller très rapidement avant que nous soyons pris irrémédiablement dans leur nasse.




Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène

[Source : xochipelli.fr]

Par Xochi

Tous ceux qui ne sont pas enclins à confronter la vérité du génocide vaccinal, au parfum d’oxyde de graphène — parce qu’ils ont les viscères trop perméables — peuvent, toujours, considérer que ce dossier présente un spectre d’antioxydants qui, pour la plupart, ont été validés à l’encontre du tableau de symptômes dénommés Covidiens.

Aujourd’hui, la mission de tout être humain, qui se respecte, c’est de guérir quotidiennement la Nature, en lui, qui est perpétuellement assaillie par les vecteurs génocidaires de la Techno-Culture Transhumaniste. La question est, maintenant, de savoir si toute personne refusant de confronter la vérité du génocide vaccinal est, authentiquement, capable de « se guérir ».

Tous ceux qui sont enclins à se réveiller peuvent, aisément, commencer à concevoir que la Mafia Pharmacratique n’a pas attendu d’agrémenter les injections anti-CoqueVide/19, avec de l’oxyde de graphène, pour contaminer les « vaccins », depuis de nombreuses années, avec une foultitude de nécro-nano-particules — et autres adjuvants.

[Voir aussi :
Comprendre le graphène
Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Comment éliminer l’oxyde de graphène des vaxins]

Et j’en profite, pour rendre hommage, de nouveau, au pharmacien Serge Rader — décédé, en Guadeloupe, en mai 2021, dans des circonstances relativement mystérieuses — dont les traductions[606] [607] ont permis de découvrir les analyses de l’association italienne Corvelva, en 2017, concernant un certain nombre de vaccins conventionnels de la Mafia Pharmacratique. Ces révélations ont été dénommées « VaccineGate » et elles, furent, bien évidemment, complètement étouffées par les médias à la solde de la Mafia Pharmacratique. Serge Rader est également l’auteur de l’ouvrage « Vaccins — Oui ou Non ? : Les analyses et les photos au microscope électronique de substances contenues dans les vaccins ».

[Voir aussi :
Serge Rader, ancien pharmacien, s’exprime sur la « vaccination » anticovid19]

Ce présent dossier a été, partiellement, traduit en Espagnol : Fuentes de antioxidantes para destruir la corona necro-molecular del óxido de grafeno.[1622]

Aujourd’hui, le vecteur de l’Ennemi, c’est la graphénisation par le biais du Syndrome de la Couronne Nécro-Moléculaire — en l’occurrence, la Spike de l’Oxyde de Graphène.

Aujourd’hui, la vaccination graphénisante représente, très clairement, la ligne de démarcation entre, d’une part, ceux qui optent pour le suicide collectif et, d’autre part, ceux qui veulent survivre, et vivre en Paix, dans la Beauté qui Vient.

Caveat. Je n’ai pas inclus le Cannabis, dans cet essai, car je voulais rédiger un article spécial à ce sujet, mais je n’ai pas le temps.


Sommaire

Le Glutathion
La Cystéine
La Glycine
L’Acide glutamique
La N-AcétylCystéine
La Mélatonine
La Vitamine D et la Fortification du Système Endocannabinoïde
La Vitamine C
La Nicotine et le Tabac
Les Artémisias
Les Plantes médicinales très antioxydantes
Le Charbon de Bois Activé
Les Zéolithes
Les Micro-Organismes efficaces du Professeur Teruo Higa
Le Dioxyde de Chlore
Le Zinc
L’Acide shikimique
Les Protocoles Anti-Graphène
Autres Substances antioxydantes et réductrices de l’Oxyde de Graphène


Le Glutathion

Le glutathion constitue la protéine de jouvence — par excellence. C’est un protecteur cellulaire, un adaptogène, un antioxydant, un détoxifiant, un promoteur du système dénommé immunitaire, un nutriment essentiel, une substance énergisante, anti-vieillissement et médicinale…

La supplémentation, ou la stimulation de la production endogène, de glutathion est conseillée pour ces diverses conditions ou pathologies : lactation, stress, performances athlétiques, détoxication, fatigue, épilepsie, troubles du sommeil, maladies neurodégénératives (Parkinson, Alzheimer…), maladies cardiaques, digestion, troubles rénaux, pathologies stomacales et intestinales, maladies pulmonaires, traumatismes, brûlures, hépatites, diabètes, sinusites, problèmes d’audition, etc., etc.

La supplémentation directe en glutathion n’est pas très métabolisable et disponible — car il est détruit, en grande partie, par les sucs digestifs.

Pour une sélection et une analyse des divers produits de supplémentation de glutathion proposés dans le commerce, voir les articles du site de médecines naturelles, Doctonat.[1343] [1344]

Un adulte en bonne santé possède, environ, 10 grammes de glutathion dans le corps. L’apport quotidien, provenant de l’alimentation, constitue seulement de 1 à 1,5 % du glutathion corporel total en circulation.

Le glutathion est le principal antioxydant dans l’organisme. Il en existe deux formes : le glutathion réduit (GSH) — qui est la forme biologiquement active — et le glutathion oxydé (GSSG). Dans les cellules et les tissus sains, le glutathion réduit représente plus de 90 % du glutathion total. Le ratio de glutathion réduit/glutathion oxydé constitue l’un des marqueurs les plus essentiels du stress oxydatif.

Sur le site du gouvernement US, PubMed, il existe plus de 100 000 articles en référence au glutathion. L’élévation, dans l’organisme, du taux de glutathion a été cliniquement validée dans le soulagement des pathologies suivantes : tous les cancers, maladies neurodégénératives (Parkinson, Alzheimer…), asthme, brûlures, cataractes, maladies dénommées auto-immunes, pathologies du foie, du cœur, des reins, des poumons, du système digestif, la sclérose en plaques, l’hépatite, l’épilepsie, les problèmes dermatologiques, les tumeurs, les glaucomes, les fibromyalgies, les grippes…

Même si l’apport quotidien de glutathion, au travers de l’alimentation, est faible, il participe, néanmoins, à la détoxication quotidienne des intestins, car ce sont les cellules de l’intestin qui, en premier, le métabolisent — et, plus particulièrement, les cellules de la lumière de l’intestin. De ce fait, sa présence dans les intestins permet, également, d’améliorer l’absorption globale de tous les nutriments.

Chez le nouveau-né, le lait maternel constitue la seule source de glutathion — parce qu’il est composé, à 60 %, de lactosérum extrêmement riche en cystéine. Le lait maternel perd 80 % de son glutathion après deux heures de réfrigération ou de congélation et il perd 73 % de son glutathion après deux heures de température ambiante.

Les fruits et légumes qui contiennent le plus de glutathion sont les suivants par ordre d’importance : avocats et asperges (avec près de 30 mg/100 g) ; noix et pommes de terre (avec 15 mg/100 g) ; épinards et gombos (avec près de 12 mg/100 g) ; brocolis, tomates, melons, carottes, pamplemousses, oranges, courges, fraises, pastèques, papayes, piments, pêches (entre 5 et 10 mg/100 g) ; citrons, mangues, bananes, choux, concombre, piments immatures, pommes, raisins (entre 3 et 5 mg/100 g).[1268] En ce qui concerne le glutathion dans les viandes de poulet, de bœuf, de porc, de veau, etc., elles en possèdent, en moyenne, de 13 à 30 mg/100 g — en fonction des viandes et en fonction des processus de cuisson.

Les taux de glutathion, présentés ci-dessus, concernent des fruits et des légumes qui sont consommés crus. En effet, la cuisson détruit une bonne partie de cet antioxydant.

Le reste du glutathion s’élabore, dans le corps, à partir de trois acides aminés : la cystéine, l’acide glutamique et la glycine. Ainsi, pour augmenter le taux de glutathion dans le corps, il est, surtout, conseillé de consommer des aliments qui contiennent une abondance de ces trois acides aminés — qui en sont les précurseurs.

Il est à signaler, d’ailleurs, que le glutathion est utilisé comme méthode « écologique » pour « réduire » l’oxyde de graphène ainsi qu’il l’est explicité dans l’étude, de 2011, intitulée « One-step reduction of graphene oxide with l-glutathione ».[268]

Cette réduction de l’oxyde de graphène, par le glutathion, est, également, explicitée dans l’étude, de 2021, intitulée « Reaction between Graphene Oxide and Intracellular Glutathione Affects Cell Viability and Proliferation ».[269] En fait, lors de ce processus, l’oxyde de graphène est transformé en oxyde de graphène réduit tandis que le glutathion (C10H17N3O6S), sous l’effet de l’oxydation du graphène, se transforme en disulfure de glutathion (C20H32N6O12S2).

La Cystéine

La cystéine est un acide aminé soufré. C’est l’élément constitutif le plus essentiel de ces trois acides aminés, car elle contribue au groupe sulfhydryle du glutathion — d’où l’abréviation de celui-ci en GSH pour Glutathion SulfHydryle.

Il existe diverses études portant sur la réduction (écologique) de l’oxyde de graphène avec la cystéine.[270] [271] [1491]

Dans l’apport quotidien de nourriture, elle constitue le facteur limitant en ce qui concerne un taux élevé de glutathion dans l’organisme. En effet, elle doit se présenter sous une forme qui puisse survivre le transit de la bouche aux cellules — à savoir qu’elle doit être incluse dans une plus grosse molécule.

En fonction des sources nutritionnelles, l’apport quotidien conseillé, de cystéine/méthionine, pour un adulte de 70 kgs, est d’environ de 1200 à 3000 mg.

La cystéine endogène. La cystéine peut être produite par l’organisme à partir d’un autre acide aminé soufré : la méthionine. La méthionine est l’un des 22 acides aminés protéinogènes, et l’un des 9 acides aminés essentiels (à savoir ne provenant que de la nourriture).

On trouve, principalement, de la méthionine dans : toutes les viandes et poissons, les œufs, les produits laitiers, le quinoa, l’amarante à grains, le sarrasin, le sésame, les noix du Brésil, les graines de chanvre/cannabis. Il s’en trouve également dans les haricots secs, et autres légumineuses, mais en trop petite quantité, généralement, pour qu’elle puisse contribuer, de façon conséquente, à la production endogène de cystéine.

La métamorphose de la méthionine, en cystéine, requiert un processus relativement laborieux impliquant la présence de certains enzymes et vitamines B. Ce processus s’avère facilement perturbé lorsqu’il prévaut des maladies du foie et autres faiblesses du système métabolique.

De plus, on ne peut pas considérer la méthionine comme la source principale de cystéine, afin d’élaborer le glutathion, car elle se transforme, également, en homocystéine — un acide aminé non protéinogène dont l’excès, dans l’organisme, peut induire des maladies cardio-vasculaires graves : athérosclérose, infarctus du myocarde, accidents vasculaires cérébraux, thromboses, etc.

La cystéine exogène. La cystéine est présente dans tous les aliments hautement protéinés : viandes, poissons, fruits de mer, produits laitiers, œufs, quinoa, avoine, amarante à grains… Elle se trouve, également, en moindres quantités dans certains légumes tels que : brocolis, chou de Bruxelles, piments doux, oignons, ail, graines de tournesol, dattes, graines de chanvre/cannabis, levure de bière, germes de blé, beurre d’amande, champignons Shiitake.

Une portion de 100 grammes de porc, bœuf, poulet contient 350 mg de cystéine. Une portion de 100 grammes d’avoine en contient 100 mg. Une portion de 100 grammes d’œuf en contient 290 mg. Une portion de 100 grammes de graines de tournesol en contient 390 mg. Une portion de 100 grammes de gruyère en contient 300 mg. Une portion de 100 grammes de lentilles en contient 180 mg.

En fait, c’est le petit lait, le lactosérum, qui recèle le plus de cystéine, car il contient diverses protéines sériques très riches en cystéine : β-lactoglobuline, α-lactalbumine, sérum albumine, lactoferrine et immunoglobulines. Le lait cru contient de 5 à 10 % de protéines dont la caséine constitue 80 % et le petit lait 20 %.

Il existe diverses méthodes de réduction de l’oxyde de graphène par le biais des bactéries lactiques telles que Lactococcus lactis[1465], Lactobacillus plantarum[1466].

Il existe une étude, de 2020, sur l’action thérapeutique du petit lait à l’encontre du CoqueVide/19 — donc à l’encontre de l’oxyde de graphène.[1467]

La Glycine

La glycine est produite, dans le corps, à partir des acides aminés sérine et thréonine. En sus d’être l’un des trois composants du Glutathion, elle participe, également, à l’absorption harmonieuse du calcium ainsi qu’à l’édification d’un système immunitaire robuste. C’est un acide aminé important pour la santé de la prostate.

La glycine est présente dans les aliments suivants : viandes, poissons, fruits de mer, produits laitiers, œufs, légumineuses et noix, amandes, noisettes, bananes séchées, oranges, choux, algues, asperges, épinards…

L’Acide glutamique

L’acide glutamique, en sus d’être l’un des trois éléments constitutifs du glutathion, est une molécule clé dans le métabolisme cellulaire et, également, le neurotransmetteur excitateur le plus abondant dans le cerveau. C’est un acide aminé non essentiel, car il est, également, produit par l’organisme. Il en existe deux formes : une forme liée, en tant que composant de protéines, et une forme libre.

Le lait maternel contient 10 fois plus d’acide glutamique que le lait de vache.

L’acide glutamique libre est présent dans les aliments suivants : produits laitiers non pasteurisés, algues, fruits de mer, poissons, viandes, sauce fermentée au soja, champignons.

Les légumes qui en contiennent le plus sont : sojas, petits pois, graines de courges et de tournesols, arachides, amandes, pistaches, oignons, lentilles, tomates, choux, etc.

La N-AcétylCystéine

En juillet 2020, la FDA, aux USA, initia un processus de prohibition de la N-Acétylcystéine et menaça de poursuites légales sept grandes sociétés de compléments alimentaires.[477] En mai 2021, le géant Amazon a décidé de discontinuer tout produit contenant de la N-Acétylcystéine.[478] Aujourd’hui, aux USA, la FDA n’a pas encore prohibé officiellement[480] la N-Acétylcystéine.

La N-Acétylcystéine (NAC) est un dérivé synthétique — qui n’existe, donc, pas dans la Nature — de la cystéine. La cystéine est un précurseur du glutathion, l’un des deux antioxydants les plus puissants dans le corps.

Pourquoi, donc, la FDA tente-t-elle de prohiber la N-Acétylcystéine (qui possède de très nombreuses qualités thérapeutiques) dans les compléments alimentaires, alors qu’elle est utilisée, aux USA, depuis 57 années — en tant que remède et en tant que complément alimentaire ?

Pour mémoire, la recherche sur la N-Acétylcystéine produit 549 études listées sur le site Clinicaltrials.gov du gouvernement US.[479]

Tout simplement parce que la N-Acétylcystéine constitue le troisième traitement (allopathique) des symptômes du dénommé CoqueVide/19 — à la suite de l’Hydroxychloroquine et de l’Ivermectine. Ces deux dernières substances ont été interdites par l’OMS, et/ou leurs valets politiques corrompus, afin que la FDA, et les Agences de Sécurité Européenne, donnent des autorisations d’urgence à des injections, prétendument « expérimentales », jusqu’en 2023.

Les études sur le traitement du CoqueVide/19 avec la N-Acétylcystéine ont commencé à émerger au printemps 2020. Une première étude a été publiée, en avril 2020, dont l’intitulé est : « N-acetylcysteine: A rapid review of the evidence for effectiveness in treating COVID-19 ».[484]

Trois études ont, ensuite, été publiées, durant l’été 2020 : « Efficacy of N-Acetylcysteine (NAC) in Preventing COVID-19 From Progressing to Severe Disease »[476] ; « Rationale for the use of N-acetylcysteine in both prevention and adjuvant therapy of COVID-19 » [485] ; « N-acetylcysteine as a potential treatment for novel coronavirus disease 2019 ».[487]

Une autre étude, intitulée « N-Acetylcysteine to Combat COVID-19: An Evidence Review », fut publiée, en novembre 2020, afin de mettre en exergue les qualités thérapeutiques de la N-Acétylcystéine à l’encontre du CoqueVide/19. Les conclusions de cette étude sont que la N-Acétylcystéine possède les fonctions les suivantes : elle est antivirale (pour ceux qui croient aux virus pathogènes) ; elle est immuno-modulatrice ; elle réduit l’émergence des pneumonies ; elle fait baisser la mortalité en soignant les poumons.[482]

Une autre étude fut publiée, en avril 2021, qui est intitulée « The efficacy of N-Acetylcysteine in severe COVID-19 patients: A structured summary of a study protocol for a randomised controlled trial ».[483]

Une autre étude fut publiée, en juin 2021, qui est intitulée « A pilot study on intravenous N-Acetylcysteine treatment in patients with mild-to-moderate COVID19-associated acute respiratory distress syndrome ».[486]

Voici un extrait de l’introduction de l’une des études pharmacologiques — préconisant l’usage de la N-Acétylcystéine à l’encontre du CoqueVide/19 — afin de présenter l’identité, et donc les fonctions, de la N-Acétylcystéine.

« La N-Acétylcystéine fut introduite dans les années 1960 comme remède mucolytique dans le cas de maladies respiratoires chroniques. Elle se caractérise par une fiche de sécurité bien établie et elle est encore communément utilisée, oralement, à raison de doses de 600 mg/jour en tant que mucolytique. Dans le cadre hospitalier, elle est également utilisée comme antidote aux overdoses de paracétamol (avec des formulations contenant jusqu’à 150 mg/kg) et sous mode nébulisé chez les patients souffrant de maladie broncho-pulmonaire aiguë (pneumonie, bronchite, trachéo-bronchite). La N-Acétylcystéine rend les muqueuses bronchiques moins visqueuses. In vitro, les dérivés de la cystéine agissent en cassant les liaisons disulfure entre les macromolécules — ce qui induit une réduction de la viscosité des muqueuses.

Cependant, à des doses supérieures (≥ 1200 mg), la N-Acétylcystéine agit, également, comme antioxydant au travers de mécanismes complexes qui peuvent combattre des conditions de stress oxydatif. La N-Acétylcystéine est un dérivé de l’acide aminé naturel, la cystéine, qui sert de précurseur à la synthèse du glutathion dans le corps avec une activité antioxydante. Cela permet de réduire la formation de cytokines pro-inflammatoires telles que la IL-9 et la TNF-α et cela possède, aussi, des propriétés vasodilatatrices en accroissant les taux de GMP (guanosine monophosphate) cycliques et en contribuant à la régénération du facteur relaxant dérivé de l’endothélium. C’est ce mécanisme potentiel antioxydant qui a suscité de l’intérêt de par la pandémie actuelle du Covid-19 et de par son utilité thérapeutique potentielle dans les communautés ». Traduction de Xochi.[484]

Le dosage conseillé est de 1200 à 2400 mg par jour — sur un estomac vide.

Suite à la prescription sauvage de Paracétamol — pour soulager les symptômes Covidiens ou prévenir les effets adverses post-vaccinaux — c’est, également, la N-Acétylcystéine qui permet de soigner la toxicité au paracétamol dans le corps. 512]

Il est à noter, de plus, que le paracétamol (qui est le médicament allopathique le plus prescrit en France) réduit les taux de glutathion, dans le foie, de 70 à 80 %.[490] Par conséquent, de par le fait que, déjà, l’oxyde de graphène détruit le glutathion dans le corps, il semble suicidaire de continuer à prescrire le paracétamol, avant et après les injections anti-CoqueVide/19, afin d’en atténuer les effets secondaires ainsi que certains pharmaciens le conseillent — telle que Marianne Gazzano, pharmacienne biologiste à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière de Paris[488] ou tel que le psychopathe, Alain Fisher, en charge de la stratégie vaccinale de la PharMacronie.[1116]

Voir, à ce sujet, l’article très éclairant, intitulé « Pas de paracétamol dans la Covid, erreur thérapeutique majeure ! », qui a été publié par la rédaction de l’AIMSIB, fin août 2021.[1555]

Alerte : la plus grande partie de la N-Acétylcystéine, disponible sur le marché, provient de Chine. Elle est confectionnée à partie de soies de porcs, de plumes de volaille… et de cheveux humains — qui sont récupérés chez les coiffeurs. Il est donc important de vérifier, avant tout achat, la provenance et l’origine physique de ce complément alimentaire.

Alerte : l’usage fréquent de la N-Acétylcystéine, sans supervision médicale, n’est pas très conseillé, car elle peut provoquer la manifestation de : vomissements, diarrhées, douleurs épigastriques, brûlures d’estomac, saignements rectaux, dyspepsie, nausées, etc.

La Mélatonine

La mélatonine est sécrétée par la glande pinéale du cerveau (épiphyse) de la tombée de la nuit à la levée du jour. La mélatonine est réputée synchroniser les oscillateurs périphériques et permet, ainsi, une organisation harmonieuse des fonctions biologiques au travers des rythmes circadiens. La mélatonine constitue une substance thérapeutique primordiale en ce qui concerne sa détoxification des radicaux libres, son action antioxydante, les troubles psychiatriques, les problèmes cardio-vasculaires, les pathologies du système de reproduction, les dysfonctions neuronales, les troubles gastro-intestinaux, les septicémies, etc.

La mélatonine est un antioxydant qui, de plus, joue un rôle dans l’activation d’autres antioxydants. La capacité de la mélatonine d’accroître le taux de glutathion dans le corps — en particulier dans les tissus du foie, du cerveau, des muscles et du sérum sanguin — a été validée scientifiquement.

Une requête, sur le site PubMed du ministère de la Santé US, avec les termes « Melatonin » et « Covid », renvoie vers 128 études — pour les seules années 2020 et 2021.[1307] Selon ces études, dont certaines cliniques, la mélatonine est très efficace à l’encontre du tableau de symptômes du CoqueVide/19 : inflammations, oxydation, problèmes respiratoires, tempêtes de cytokines, anxiétés, troubles du sommeil, delirium, fibroses pulmonaires, problèmes cardiaques, myocardites[1308], problèmes neurologiques[1309], troubles du rythme circadien[1310], apoptosis, perméabilité des vaisseaux sanguins, etc.

Une étude, d’octobre 2020, intitulée « Melatonin restores neutrophil functions and prevents apoptosis amid dysfunctional glutathione redox system », a mis en exergue les capacités de la mélatonine a régénérer le niveau de glutathion dans le corps. [1311]

Comme de nombreux scientifiques ne peuvent pas s’empêcher de jouer avec le feu, il existe, même, quelques études sur la faisabilité de véhiculer, prétendument plus efficacement, de la mélatonine dans le corps… en la fusionnant avec des nanoparticules solides aux lipides ou des nanoparticules polymériques.[1312] [1314] Il existe, par exemple, une étude récente, de 2020, proposant un traitement anticancéreux composé de doxorubicine et de mélatonine véhiculées par des nanoparticules de graphène et de magnétite (Fe3O4).[1313]

Par exemple, une étude allemande, publiée en juin 2020, a mis en exergue les capacités thérapeutiques de la mélatonine à l’encontre des inflammations pulmonaires. « Les capacités protectrices de la mélatonine ont été mises en exergue en raison, principalement, de ses propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes. Cette protection a été validée dans des pathologies aussi diversifiées que : inflammations allergiques des voies aériennes, lésions pulmonaires aiguës induites par des toxines ou des radiations, pathologies respiratoires telles que la bronchopneumopathie chronique obstructive, apnées obstructives du sommeil, syndrome néonatal de détresse respiratoire, asphyxie et dysplasie broncho-pulmonaires, problèmes respiratoires induits par une septicémie, fibroses pulmonaires idiopathiques et hypertension pulmonaire ? Les résultats prévalant ont été une protection ou une amélioration grâce à la mélatonine conjointement à une réduction de l’expression et de la libération de cytokines pro-inflammatoires, telles que IL-1β, IL-2, IL-6, IL-8 et TNFα, qui est souvent explicitée de par l’interférence avec les récepteurs de type toll, l’inhibition de l’activation de l’inflammasome NLRP3 et la suppression des signaux NF-κB ». Traduction de Xochi.[1315]

Selon Stephen Harod Buhner, dans son ouvrage « Herbal Antivirals », les plantes médicinales permettant de réduire les tempêtes de cytokines TNF-α incluent : Sureau (Sambucus nigra), Réglisse (Glycyrrhiza glabra), Gingembre officinal (Zingiber officinale), Kudzu (Pueraria montana), Polygale de Virginie (Polygala tenuifolia), la Scutellaire du Baïkal (Scutellaria baicalensis), Poivre de Chine (Houttuynia cordata), Eupatoire perfoliée (Eupatorium perfoliatum).

Selon Stephen Harod Buhner, les plantes médicinales permettant de réduire les tempêtes de cytokines IL-1β incluent : Scutellaire du Baikal (Scutellaria baikalensis), Eupatoire perfoliée (Eupatorium perfoliatum), Kudzu (Pueraria lobata), Sénéga chinois (Polygala tenuifolia). Les plantes médicinales permettant de réduire les tempêtes de cytokines IL-6 et IL-8 incluent : Pastel des Teinturiers (Isatis sp.), Scutellaire du Baikal (Scutellaria baikalensis) et Astragale (Astragalus membranaceus). Sont, également, très bénéfiques, pour ces types de tempêtes de cytokines, les champignons Cordyceps.

Selon Stephen Harod Buhner, les plantes médicinales permettant de moduler la protéine NF-κB (impliquée dans la réponse immunitaire et les tempêtes de cytokines) incluent : Astragale (Astragalus membranaceus), Réglisse (Glycyrrhiza glabra), Gingembre officinal (Zingiber officinale), Kudzu (Pueraria montana), Scutellaire du Baikal (Scutellaria baikalensis), Poivre de Chine (Houttuynia cordata), Eupatoire perfoliée (Eupatorium perfoliatum).

La mélatonine est synthétisée à partir de la sérotonine qui est, elle-même, constituée à partir du tryptophane, un acide aminé essentiel, que l’on trouve, principalement, dans : poissons, produits laitiers, céréales, viandes, légumineuses noix et graines, chocolat, fruits…[1481]

La Vitamine D et la Fortification du Système Endocannabinoïde

En 1918/1920, alors que des dizaines de millions de personnes mouraient de pneumonie bactérienne — et non point d’une grippe prétendument espagnole — les médecins prirent conscience que le taux de mortalité était considérablement diminué lorsque les patients étaient installés au grand air (de par la capacité purificatrice intrinsèque de l’Atmosphère Vivante) et au Soleil — à savoir en situation de réception de Vitamine D.

Voir l’étude, publiée par Richard Hobday, intitulée « The Open-Air Treatment of Pandemic Influenza ».[1316] [1317]

Aujourd’hui, c’est une centaine d’études, rédigées en 2020 et 2021, portant sur le soulagement des symptômes Covidiens à l’aide de la Vitamine D3, qui ont été analysées dans une méga-étude intitulée « Vitamin D for Covid-19: real-time meta analysis of 101 studies ».[1320] Selon PubMed, il existe, en fait, des centaines d’études portant sur les relations entre la Vitamine D et le CoqueVide/19.[1321]

Je ne puis que conseiller une étude, de 2017, qui est intitulée « Vitamin D supplémentation to prevent acute respiratory tract infections: systematic review and meta-analysis of individual participant data ». Cette étude met, strictement, en lumière que la supplémentation en Vitamine D réduit l’incidence des « grippes », et autres pathologies respiratoires, de 50 %.[1318]

Que se passe-t-il, de plus, donc, lorsqu’un Coup d’État assigne toute une population à résidence, en tout début de printemps, avec interdictions de promenades ? Il s’ensuit, tout simplement, qu’à la sortie de l’hiver (sans vitamine D de par l’inclinaison du Soleil et des jours courts), cette population ne peut bénéficier des largesses de notre étoile, le Soleil, dispensant une générosité de vitamine D — au fil des semaines croissantes en intensité solaire.

Vers la fin de sa vie, le philosophe Rudolf Steiner — après avoir gaspillé 20 années à promouvoir la soupe christo-centrique — donna l’un de ses cycles de conférences, les plus authentiquement païens, qui fut intitulé « Le Cours aux Agriculteurs » et qui fut à l’origine de l’Agriculture Biodynamique. Ce Cours aux Agriculteurs fut offert, en 1924, suite à la requête de paysans, Suisses et Allemands, effarés que leurs sols agricoles soient complètement oxydés par les intrants chimiques. En effet, l’Agriculture chimique avait déjà sévi, en Europe, depuis 1844 — l’année de publication du « Précis de Chimie » de Justus Liebig-Möser.

Le déficit en Vitamine D tue… d’autant plus que cela fait plus d’un siècle que l’agriculture industrielle, et excessivement toxique, produit une alimentation dont le ratio Omega 3/Omega 6 est de 1/12 à 1/15 alors qu’il devrait être de 1/1 à 1/3. Il en résulte, alors, une oxydation de l’organisme induisant moult pathologies et cancérisations.

Depuis janvier 2011, et la publication dans la revue Nature des recherches réalisées par une équipe Français, nous savons qu’une déficience en acides gras Omega 3 invalide totalement le fonctionnement harmonieux du système des endocannabinoïdes.[1403]

« Les cannabinoïdes affectent puissamment les réseaux neuronaux et ils jouent des rôles neuro-modulateurs essentiels au niveau du système immunitaire et des systèmes nerveux central et périphérique dans le corps humain. Nos corps produisent naturellement des cannabinoïdes (endocannabinoïdes) et les utilisent dans toutes les parties du corps où ils participent aux communications intracellulaires. Les cannabinoïdes (endo- ou ecto-) jouent des rôles modulateurs au niveau des neurotransmetteurs tels que GABA, 5 HT, glutamate, acétylcholine, noradrénaline et dopamine, à partir d’un certain nombre de structures du système nerveux central telles que le cervelet, l’hippocampe, le striatum, la substance grise et le cortex. Ils agissent tel un mécanisme autorécepteur présynaptique en modulant le GABA tout autant que l’acide glutamique dans le système neuronal. Les récepteurs au glutamate induisent, en fait, la synthèse d’endocannabinoïdes en réponse à des indices environnementaux (ou internes) afin de réguler la libération de GABA et les niveaux de système. La production d’endocannabinoïdes altère l’architecture neurocognitive, stimulant la plasticité neuronale et les réponses aux perturbations environnementales. Durant des périodes de stress intense, ils sont généralement produits en très forte quantité ». Stephen Harrod Buhner. Plant Intelligence and the Imaginal Realm. Traduction de Xochi.

C’est le Professeur Raphael Mechoulam de l’Université Hébraïque de Jérusalem — celui-là même qui a impulsé toute la recherche israélienne sur le cannabis thérapeutique depuis 1962 — qui, en 1964, a découvert le principe actif principal du cannabis, le THC. C’est le Professeur Raphael Mechoulam, de nouveau, qui découvrit l’existence du système des cannabinoïdes endogènes — ou endocannabinoïdes — lorsque son équipe isola, en 1992, l’Anandamine — une dénomination résolument védique ! Notons, en effet, que cette appellation est dérivée du terme Sanskrit Ananda, signifiant « joie, félicité suprême ». Dans le corps humain, le système des endocannabinoïdes est vraisemblablement le système physiologique le plus important pour le maintien de la santé humaine. Il garantit l’homéostasie.

Selon l’INSERM, « Dans les pays industrialisés, les régimes alimentaires se sont appauvris en acides gras essentiels depuis le début du XXe siècle. Ainsi, le rapport entre les quantités d’acides gras polyinsaturés Oméga 6 et d’acides gras polyinsaturés Oméga 3 dans les rations alimentaires n’a cessé d’augmenter au cours du XXe siècle. Ces acides gras sont des lipides “essentiels”, car l’organisme ne peut les synthétiser de novo. Ils doivent donc être apportés par le régime alimentaire ».

Ainsi, d’une part, le système des endocannabinoïdes est totalement dysfonctionnel chez une grande partie des êtres humains tandis que l’alimentation industrielle est architoxique et de plus en plus dépourvue des constituants les plus élémentaires pour la santé de l’humanité — tel qu’un ratio adéquat d’acides gras Omega 3. D’autre part, les Autorités — sous le prétexte insensé de nous protéger contre nous-mêmes — ont criminalisé une source avérée de cannabinoïdes naturels, le Cannabis, depuis les années 1940, pour protéger les industriels du papier, du nylon, des fertilisants de synthèse, etc., et maintenant pour protéger les Cartels de la Pharmacie.

D’ailleurs, en avril 2021, le squatter menteur de l’Élyséele Guide du Coviet Suprême — a décidé de lancer force répressions policières contre « la consommation de drogue » : « On se roule un joint dans son salon et à la fin on alimente la plus importante des sources d’insécurité… » Sans plaisanter ? C’est le même Macron pour lequel, en juillet 2019, la légalisation du Cannabis pouvait devenir une proposition de sa campagne présidentielle pour 2022. C’est le même Macron qui, le 4 septembre 2016, déclarait : « Cannabis : je crois que la légalisation a une forme d’efficacité ».

La Vitamine C

La Vitamine C a été validée, de très nombreuses fois, comme extrêmement thérapeutique à l’encontre du tableau de symptômes du CoqueVide/19… tout autant que comme réducteur « vert » de l’oxyde de graphène.

Une étude clinique a mis en valeur une augmentation de 50 % du taux de glutathion, chez des personnes en bonne santé, à la suite d’une prise de 500 mg de Vitamine C, quotidiennement, pendant deux semaines. Caveat : la Vitamine C, tout comme la Vitamine E, agit en tant que co-facteur, et non pas en tant que source principale, dans la production de glutathion : à savoir qu’ils n’agissent qu’en cas de présence des trois acides aminés que sont la cystéine, la glycine et l’acide glutamique.

À l’encontre du CoqueVide/19, elle a été prescrite en très hautes doses par intraveineuse[1451] [1452] [1453] et a été utilisée ainsi dans de nombreux pays.

Les très hautes doses signifient de 50 à 200 milligrammes par kilo de poids.

En tant que réducteur non toxique de l’oxyde de graphène, elle a été validée lors de diverses études[1455] [1456] [1457] dont une de 2018, intitulée « Green reduction of graphene oxide by ascorbic acid ».[1454]

La Nicotine et le Tabac

Le fait que la nicotine participe à l’inactivation de l’oxyde de graphène — et donc à la protection du système neuronal — est d’autant plus intelligible que de nombreuses études ont prouvé que les fumeurs étaient protégés à l’encontre de le symptomatologie dénommée CoqueVide/19.

Pour mémoire, voici quelques extraits de ce que j’ai présenté, en avril 2021, dans ma très longue monographie médicinale sur le Tabac, « Les Qualités extrêmement médicinales et Enthéogéniques des Tabacs ».[590]

La dernière étude, en date, vient d’être publiée, dans la Revue Nature, le 10 septembre 2021. « Inhibiting SARS-CoV-2 infection in vitro by suppressing its receptor, angiotensin-converting enzyme 2, via aryl-hydrocarbon receptor signal ».[1483] [1484]

Au printemps 2020, des chercheurs chinois s’aperçurent très rapidement, que le pourcentage de fumeurs de Tabac dans les hôpitaux chinois, accueillant les patients supposément atteints par le CoqueVide/19, était très faible — à savoir, environ 6 %.[659] [660] [661] [662] [663] Il s’avéra que la situation était identique aux USA, en Allemagne (avec 6 %)[664] et en France (avec 5 %)[665]. En effet, aux USA, le CDC rapporta un taux minime de 1,3 % de fumeurs parmi les patients hospitalisés pour cause de CoqueVide/19[667] — alors que les hôpitaux de New York rapportaient un taux de fumeurs de l’ordre de 5,2 %.

Le 20 avril 2021, une équipe de chercheurs, en Inde, a publié une étude affirmant, de même, que les fumeurs de ce pays étaient très peu impactés par la grippette Covidienne.[669] Certains chercheurs suggérèrent, même, et continuent de le suggérer, que la nicotine pharmaceutique pourrait être considérée comme une thérapie privilégiée dans le traitement de toutes les pneumonies cataloguées sous la dénomination CoqueVide/19. [713] [714] [715]

En fait, la nicotine promeut la survie des neurones et protège donc à l’encontre des Maladies d’Alzheimer ou de Parkinson, en dégradant ou en inhibant le gène SIRT6 qui code pour la protéine sirtuine 6 — une histone de la famille des sirtuines.[1404] [1405] [1406]

Diverses études ont mis en lumière le fait que les chances de contracter la Maladie de Parkinson sont inversement proportionnelles à la quantité de Tabac fumé. Il est, ainsi, estimé que les fumeurs de Tabac ont 50 % de chances en moins de succomber à cette pathologie.

Une étude récente, de 2019, a mis en exergue que des gommes à mâcher, à base de Nicotine, augmentaient la pression sanguine, en l’espace de 10 min, chez les patients souffrant de la Maladie de Parkinson — dont la moitié, généralement, sont sujets à de l’hypotension.

Selon les recherches d’une équipe de l’Université de Caroline du Nord, le Tabac désactiverait le gène NOS2A, en diminuant ainsi la destruction cellulaire. Ce gène est présent dans toutes les cellules et sa fonction est de générer de l’oxyde nitrique.

Il est à noter que la nicotine, la caféine et la niacine — toutes substances ayant la capacité de diminuer l’impact de ces pathologies — se caractérisent par leur capacité de liaisons au fer. Ainsi, une étude récente, de 2019, a mis en exergue que, dans le cas de toxicité induite par une teneur élevée en fer et en manganèse, provoquant des troubles neurodégénératifs, la nicotine possède une capacité neuroprotectrice en protégeant les cellules dopaminergiques — à savoir en chélatant ces métaux en excès.[1407]

Dans la lutte contre la graphénisation, le Tabac constitue une thérapie de première ligne. C’est pour cela que les ayahuasqueros, les guérisseuses, les hommes-médecine, les femmes-Bison Blanc et autres shamanes, dans les trois Amériques, soufflent le Tabac : afin de purifier l’atmosphère matérielle, à savoir physique et psychique.

D’ailleurs, le processus chamanique consistant à souffler la fumée du Tabac, sur toutes les parties du corps des patients, n’est pas sans rappeler les pratiques Asiatiques de moxibustion par le biais desquelles les points d’acupuncture sont chauffés grâce à des moxas — confectionnés avec de l’Artemisia argyi, de l’Artemisia vulgaris, ou d’autres plantes médicinales. En effet, l’un des produits de la combustion des moxas est la fumée de moxa qui possède des propriétés antimicrobiennes et dont les applications thérapeutiques ont été validées dans le cas de blessures infectées, de vaginites, de prolapsus utérins, de verrues, de fistules anales, etc.

Les Artémisias

En mars 2020, j’écrivis au très sympathique Professeur Didier Raoult afin de m’enquérir de ce qu’il pensait de l’usage des Artemisias — des plantes antipaludiques millénaires — dans la mesure où il promouvait l’hydroxychloroquine, un médicament antipaludique, pour soulager le tableau de symptômes du CoqueVide/19.

Le Professeur Didier Raoult ne m’a jamais répondu. Au mois de mars 2020, au sujet de l’arnaque des Tests de positivité/négativité, qui étaient très promus, d’ailleurs, par le Professeur Didier Raoult, je posais les questions suivantes : Quels Tests ???? Puisque le Coronavirus ID/2019 n’existe pas… ? S’agit-il d’un immense théâtre de dupes avec des histoires imbriquées les unes dans les autres et toutes aussi FAKE les unes que les autres ? Afin de générer une pléthore de dissonances cognitives, au sein de la population, en en accroissant d’autant la psychose ?

Au vu des prises de position du Professeur Didier Raoult — sur les sujets criminels des tests PCR, des injections et de la mythologie pernicieuse des Variants du CoqueVide/19 — il fait, résolument, partie de l’Opposition contrôlée. N’est-ce pas affligeant ?

Les Artemisias font partie des Plantes Médicinales Maîtresses : elles sont extrêmement antioxydantes, anti-inflammatoires et anti-cancers — en sus d’être antimicrobien, antiparasitaire, etc. Artemisia annua est l’un des plantes médicinales les plus antioxydantes et anti-inflammatoires de la planète.

Je renvoie le lectorat vers mes diverses monographies médicinales sur les Artemisia, rédigées en 2018 : « Pour prévenir et guérir la Malaria : les Armoises d’Artémis ou les vaccins chimériques de la Pharmacratie ? Dossier n° 1 »[1283] ; « Pour prévenir et guérir la Malaria : les Armoises d’Artémis ou les vaccins chimériques de la Pharmacratie ? Dossier n° 2 »[1284] ; « L’Artemisia annua dans la Pharmacopée Familiale »[1282].

Il existe quelques dizaines d’études (publiées en 2020 et 2021) portant sur les capacités extrêmement thérapeutiques de l’Artemisia annua à l’encontre des symptômes du CoqueVide/19 — donc, à l’encontre des symptômes de l’empoisonnement au graphène : “Artemisia and Artemisia-based products for COVID-19 management: current state and future perspective”, “An overview of the anti-SARS-CoV-2 properties of Artemisia annua, its antiviral action, protein-associated mechanisms, and repurposing for COVID-19 treatment”, etc., etc.[1408] [1409] [1410] [1411] [1412] [1413] [1414] [1415] [1416].

Il existe, même, une étude de 2018, « Facile synthesis of graphene via reduction of graphene oxide by artemisinin in ethanol »[1417] portant sur la réduction de l’oxyde de graphène avec de l’artémisinine — l’une des substances les plus actives de certaines espèces d’Artemisia… Car Artemisia afra n’en contient pas malgré qu’elle soit éminemment antipaludique.

Cette étude sur la réduction de l’oxyde de graphène avec de l’artémisinine contient de magnifiques photos d’oxyde de graphène.

Les Plantes médicinales très antioxydantes

Je vais tout d’abord présenter les Plantes médicinales, ou les complexes de Plantes médicinales, émanant de diverses pharmacopées, qui ont été validées efficaces à l’encontre de l’ensemble des symptômes de ce qui a dénommé « CoqueVide/19 » — donc, très vraisemblablement, à l’encontre du tableau de symptômes générés par l’empoisonnement à l’oxyde de graphène.

La Réglisse est, médicinalement, efficace à l’encontre de la Covidette (de même qu’à l’encontre de toutes les grippes et grippettes) selon une pléthore d’études récentes et publiées, depuis 2020, en Chine, en Italie, en Allemagne, en Inde, en Turquie, en Corée… So Sweet![695] [696] [697] [698] [699] [701] [702]

Une étude chinoise, publiée en mai 2020, a mis en exergue que la liquiritine, de la Réglisse, inhiberait le développement, du prétendu CoqueVide/19, en se faisant passer pour de l’interféron de type 1.[703]

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de décembre 2020, sur les Réglisses : « Les Réglisses : une Panacée Suprêmement Médicinale ».[1269]

La Scutellaire du Baïkal (Scutellaria baikalensis) s’avère, médicinalement, efficace à l’encontre de la Covidette (comme à l’encontre de toutes les grippes et grippettes) selon une pléthore d’études récentes publiées, depuis 2020, en Chine, et ailleurs.[704] [705] [706] [707]

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de novembre 2020, sur les Scutellaires : « Les Qualités médicinales des Scutellaires ».[1270]

En 2020, le gouvernement chinois a promu six complexes de la Médecine traditionnelle Chinoise[710] [711] pour lutter contre la Pandémie Covidienne, donc à l’encontre la couronne nécro-moléculaire d’oxyde de graphène. Le premier complexe est dénommé « Lianhua Qingwen JiaoNang ». En hommage à la médecine traditionnelle chinoise multimillénaire, voici la recette, car ce complexe médicinal qui peut, même, servir pour les grippes diverses et variées ou pour tout problème pulmonaire ou respiratoire.[712]

Le « Lianhua Qingwen JiaoNang » contient : Isatis indigotica, Forsythia suspensa, Lonicera japonica, Rhodiola rosea, Glycyrrhiza glabra, Ephedra sinica, Houttuynia cordata, Dryopteris crassirhizoma, Pogostemon cablin, Rheum officinale, Prunus armeniaca, Mentha haplocalyx et Gypse.

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de novembre 2020, sur les Isatis : « Les Qualités Extrêmement médicinales du Pastel des Teinturiers ».[1271]

Le second complexe se nomme « Granules de Jinhua Qinggan » et il fut développé lors de la fausse pandémie de grippe de 2009.

« Jinhua Qinggan » est constitué par la somme de deux complexes traditionnels. Le premier est une décoction dénommée « Maxing Shigan » mentionnée dans le Traité « Shanghan Lun » de Zhang Zhongjing — au 3 ème siècle. « Maxing Shigan » est constitué de Glycyrrhiza glabra (Réglisse), Ephedra sinica (Ephedra chinois), Prunus armeniaca (Noyau d’abricot), et Mentha haplocalyx. Le second est la « Poudre de Yinqiao » mentionnée dans le Traité « Wenbing Tiaobia » de Wu Jutong — en 1798. « Yinqiao » est constitué de Ephedra sinica (Ephedra chinois), Lonicera japonica (Chèvrefeuille du Japon), Forsythia suspensa, Platycodon grandiflorus (Campanule à grands fleurs), Arctium lappa (Grande Bardane), Mentha haplocalyx, Lophatherum gracile, Schizonepeta tenuifolia, Phragmites communis, Glycyrrhiza glabra (Réglisse) et Glycine soya (Soja).

Le troisième complexe se nomme « Injection de Xuebijing ». Il est, même, référencé par l’organisation Cochrane afin de traiter l’empoisonnement au paraquat — un toxique très violent de la multinationale criminelle Syngenta.[1273]

« L’injection de Xuebijing » est composée des espèces médicinales suivantes : Salvia miltiorrhiza, Angelica sinensis, Carthamus tinctorius, Ligusticum wallichi et Paeonia rubra.

Au-delà des plantes médicinales promues en Chine, durant la fausse pandémie, il existe une très grande diversité d’espèces de plantes médicinales antioxydantes dans la Médecine traditionnelle chinoise. Une étude, de 2003, intitulée « Antioxidant activity and phenolic compounds of 112 traditional Chinese medicinal plants associated with anticancer » décline 112 espèces médicinales possédant une activité antioxydante et des composés phénoliques.[1274]

Voici quelques-unes de ces espèces médicinales chinoises cultivées, ou disponibles (dans le commerce en bio), en Europe : Artemisia annua, Artemisia argyi, Arctium lappa, Lonicera japonica, Dianthus superbus, Terminalia chebula, Carthamus tinctorius, Chrysanthemum indicum, Isatis indigotica, Trichosanthes kirilowii, Juglans regia, Prunella vulgaris, Salvia miltiorrhiza, Scutellaria baicalensis, Scutellaria barbata, Cinnamomum cassia, Astragalus mongholicus, Glycyrrhiza uralensis, Magnolia officinalis, Schisandra chinensis, Polygonum multiflorum, Polygonum cuspidatum, Portulaca oleracea, Punica granatum, Paeonia lactiflora, Rosa chinensis, Rubia cordifolia, Houttuynia cordata, Hyoscyamus niger, Solanum nigrum, Lycium barbarum, Camellia sinensis, Angelica sinensis, Foeniculum vulgare, Curcuma longa, Zingiber officinale.

Je renvoie le lectorat vers mes monographies médicinales, de 2018, sur les Artemisia.[1282] [1283] [1284] Au sujet des capacités des plantes (et des médications) antipaludiques, il est à signaler une étude, d’août 2021, intitulée « Profound and persistent disparity in COVID-19 mortality rates between USA/Western Europe and sub-Saharan Africa: A crossover effect of antimalarial drugs? »[1291]. Cette étude présente l’hypothèse selon laquelle la mortalité attribuée aux symptômes du CoqueVide est très basse en Afrique subsahélienne (par rapport à l’Europe de l’Ouest et de l’Amérique du Nord) de par le fait que ces pays se soignent, communément, à l’encontre de l’impact de la malaria — soit avec des plantes médicinales (telles que Artemisia annua ou Artemisia afra), soit avec des médications conventionnelles anti-malariales (telle que l’Hydroxychloroquine).

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de juin 2020, sur les Angéliques : « Les Angéliques : des Messagères de la Terre pour Réanimer les Terriens ».[1285]

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de février 2019, sur les Dianthus : « Les Oeillets, et autres Dianthus, dans la Pharmacopée et dans la Magiacopée Familiales ».[1286]

Une autre étude, de 2003, intitulée « Antioxidant and anti-inflammatory activities of selected Chinese medicinal plants and their relation with antioxidant content » décline 44 espèces médicinales possédant une activité antioxydante.[1278]

Voici quelques-unes de ces espèces médicinales chinoises cultivées, ou disponibles (dans le commerce en bio), en Europe — non mentionnées dans l’étude précédente : Leonurus japonicus, Artemisia vulgaris, Sanguisorba officinalis, Pogostemon cablin, Platycodon grandiflorus.

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de juin 2020, sur les Leonurus : « Les Qualités médicinales des Leonurus aux Queues de Lions ».[1281]

Une étude, de 2005, intitulée « Antioxidant Capacity of 26 Spice Extracts and Characterization of Their Phenolic Constituents »[1287] a analysé le potentiel antioxydant de 26 épices ou plantes condimentaires — de divers continents. Les espèces en possédant le plus sont les suivantes, par ordre décroissant : Syzygium aromaticum (Clou de girofle), Cinnamomum zeylanium (Cannelle de Ceylan), Origanum vulgare (Origan), Cinnamomum cassia (Cannelle de chine), Salvia officinalis (Sauge officinale), Thymus vulgaris (Thym officinal), Laurus nobilis (Laurier noble), Rosmarinus officinalis (Romarin officinal), Mentha canadensis (Menthe du Canada) et Ocimum basilicum (Basilic).

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de décembre 2017, sur les Basilics et Tulsi : « Tulsis et autres Vérités Basilico-moléculaires pour se libérer de la Terreur Pharmacratique ».[1288]

Les plantes médicinales, de la Pharmacopée ayurvédique, possédant une activité antioxydante sont, également, très nombreuses. En voici quelques-unes cultivées, ou disponibles (dans le commerce en bio), en Europe : Withania somnifera (Ashwagandha), Centella asiatica, Asparagus racemosus, Bacopa monnieri, Curcuma longa (Curcuma), Camellia sinensis (Thé), Cinnamomum verum (Cannelle), Emblica officinalis, Ocimum tenuifolium (Tulsi), Terminalia bellerica, Zingiber officinalis (Gingembre).[1289]

Concernant le Camellia sinensis, il existe une étude de 2020, portant sur une méthode « écologique » de réduire l’oxyde de graphène avec du thé vert.[1419]

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de février 2018, sur le Withania : « L’Ashwagandha : une pharmacopée millénaire, naturelle et très puissante ».[1290]

Il existe, d’ailleurs, une étude, de 2016, portant sur une méthode « écologique » de réduire un composé d’oxyde de graphène/oxyde de fer/palladium avec un extrait de Withania coagulans — une espèce d’importance médicinale, et économique, en Inde — qui, tout comme Withania somnifera, possède de fortes capacités antioxydantes. Les Withania sont les Ginsengs de l’Inde.[1496]

Le Charbon de Bois Activé

Nous invitons le lectorat à consulter deux excellents articles de Jean-Baptise Loin dont le dernier, qui porte sur le charbon traditionnel japonais, est intitulé — à très juste titre : « Le plus puissant des charbons actifs adsorbe les nanoparticules ».[1292] [1293] En ce qui concerne ce présent dossier, le charbon actif est thérapeutique en ce qui concerne les pollutions vaccinales et médicamenteuses ; la purification des voies sanguines, hépatiques, intestinales, digestives et urinaires ; l’accumulation des métaux lourds, nanoparticules et autres isotopes radioactifs.

Certaines études préconisent, dans des cas d’intoxication aiguë, d’administrer une très grosse dose dans l’heure qui suit l’empoisonnement — par exemple, une injection vaccinale. Dans ce cas, la posologie est de 0,5 à gramme par kilo de poids corporel — donc, à savoir, environ 50 grammes pour un adulte.[1294]

Tout comme pour les zéolithes, et autres formes d’argiles, il est fortement conseillé de manipuler les charbons de bois actifs avec une cuillère en bois ou en plastique — et non pas en métal — afin de ne pas désactiver les vertus thérapeutiques de ces substances.

Si le Charbon de bois activé est efficace dans le traitement des eaux usées, afin de les décontaminer de la présence de nanoparticules, il en est de même pour le corps de la Terre ou le corps humain. Il existe une étude récente, publiée en 2021, dont l’intitulé est : « Preparation of biochar and biochar composites and their application in a Fenton-like process for wastewater decontamination: A review ».[1295]

Avec le charbon de bois activé, nous avons une substance naturelle, à base de carbone, qui est extrêmement médicinale et qui nous permet de lutter contre l’empoisonnement généré par des formes, non naturelles, et synthétiques, de carbone — à savoir tous les produits industriels à base de graphène.

Il est à signaler, d’ailleurs, que les scientifiques ne possèdent aucune limite dans leurs expérimentations criminelles. Il existe, même, des études portant sur des composés de biochar (charbon actif) enrobé d’oxyde de graphène — prétendument pour éliminer le strontium, le chromium, le plomb, le cuivre — et même le biocide atrazine.[1296] [1297] [1298] [1299] [1300]

Les Zéolithes

Les Zéolithes constituent des substances éminemment thérapeutiques pour décontaminer le corps animal ainsi que le sol des jardins et des champs. En effet, les Zéolithes constituent des substances médicinales extrêmement efficaces, et antioxydantes, pour éliminer les radicaux libres, les métaux lourds et les isotopes radioactifs. Il existe trois sortes principales de zéolithes : fibreuse, feuillée ou cristalline. L’usage médical concerne la zéolithe cristalline qui contient des quantités élevées de clinoptilolithe.

Au printemps 2011, à la suite du désastre nucléaire de Fukushima, j’ai proposé mes traductions de quelques textes ayant trait à leur action thérapeutique : « Zéolithes médicinales pour se Décontaminer et se Déshalluciner le Mental ».[716]

« La zéolithe est une roche cristalline étonnante qui est capable d’adsorber et d’absorber de nombreux types différents de gaz, d’humidité, de pétrochimiques, de métaux lourds et d’éléments faiblement radioactifs et une multitude de composés divers. Les canaux dans la zéolithe pourvoient de très larges surfaces sur lesquelles des réactions chimiques peuvent prendre place. Les cavités et les canaux à l’intérieur de la zéolithe peuvent occuper jusqu’à 51 % de son volume. La zéolithe peut adsorber et absorber de larges quantités de substances, tels que des ions ou des molécules gazeuses.

La zéolithe se caractérise par une structure extrêmement dure, microporeuse et en nid d’abeille. Ces cavités et ces canaux constituent des ouvertures en lesquelles des minéraux ou des métaux lourds peuvent se lier. L’atome de silice possède une charge électrique neutre tandis que l’atome d’aluminium possède une charge électrique négative : il en résulte des sites chargés au sein de la structure cristalline. Le processus d’équilibrage, qui est à l’œuvre afin de maintenir la neutralité électrique dans la clinoptilolithe, attire des minéraux de charge positive tels que le calcium, le magnésium, le potassium, le sodium et le fer. Ces cations communs (à savoir des ions chargés positivement) peuvent être aisément déplacés par des métaux lourds (tels que le cadmium, le mercure, le nickel et l’arsenic) pour être ensuite délogés du corps. La zéolithe possède une affinité élevée pour piéger le plomb, le cadmium, l’arsenic, le mercure et d’autres métaux potentiellement dangereux. Au travers du processus d’échange de cations, la zéolithe peut abaisser l’exposition totale aux métaux lourds chez un individu. Cela permettrait d’influer, de manière conséquente, sur la réduction de certains cancers et de pathologies cardiaques.

L’ingestion de la zéolithe peut être comparée à la consommation d’argile considérée, dans la médecine traditionnelle, comme un remède pour diverses maladies. En raison des propriétés d’échanges d’ions, la zéolithe peut modifier le contenu ionique, le pH, la capacité de protection des sécrétions gastro-intestinales et affecter le transport au travers de l’épithélium intestinal. La zéolithe peut avoir également une influence positive sur la flore bactérienne et la résorption des vitamines et des oligoéléments. » Nature’s Heavy Metal Detoxifier. 2006. Dr Howard Peiper. Traduction de Xochi.

Les Micro-Organismes efficaces du Professeur Teruo Higa

On peut, également supputer que certaines soupes de micro-organismes — tels que les micro-organismes efficaces du Professeur Teruo Higa — soient capables de désintégrer l’oxyde de graphène, et autres formes de carbone/graphène, s’ils sont capables de digérer les métaux lourds dans le sol

Cf. l’étude, de 2017, intitulée « Biodegradation of graphene oxide-polymer nanocomposite films in wastewater » portant sur la dégradation d’oxyde de graphène par les micro-organismes des eaux usées.[1156]

Le Dioxyde de Chlore

Il existe, de plus, de par le monde un très grand nombre de thérapeutes prescrivant du dioxyde de chlore à l’encontre des symptômes, prétendument Covidiens. Au Mexique, par exemple, le Dr Pedro Chávez est le président d’une organisation, la Comusav, regroupant 5000 médecins, dont l’objectif est de soigner tous ceux souffrant de symptômes, prétendument Covidiens, avec le dioxyde de chlore.[686]

En Espagne, le célèbre exposant du dioxyde de chlore est le pionnier Josep Pamies — à Ballaguer. Et si le dioxyde de chlore fonctionne à l’encontre du CoqueVide/19… c’est qu’il fonctionne à l’encontre de l’empoisonnement à l’oxyde de graphène.

J’invite le lectorat à consulter le dossier d’Andreas Kalcker sur les diverses méthodes de préparation du dioxyde de chlore :[1621]

Andreas Kalcker est l’auteur de l’ouvrage « Salud Prohibida », de 400 pages, aux Éditions Voedia.

Le dioxyde de chlore est juste le gaz de réaction du chlorite de sodium (NaClO2) activé avec un acide, qui est très soluble dans l’eau et s’évapore à 11 °C.

Le MMS est le mélange de chlorite de sodium (NaClO2) activé avec de l’acide citrique qui contient du chlorite de sodium et est de pH acide. MMS C’est le nom que Jim Humble a donné au mélange de chlorite de sodium (NaClO2) activé par l’acide citrique, à l’époque.

Le CDS est une solution aqueuse concentrée de 0,3 % (3000 ppm) de dioxyde de chlore gazeux, sans teneur en chlorite de sodium (NaClO2) dans la solution et a un pH neutre.

Selon Andreas Kalcker, on peut trouver à l’heure actuelle 1326 études scientifiques sur le dioxyde de chlore dans PubMed, où la plupart d’entre elles se concentrent sur la sécurité de la toxicité en consommation. Il existe relativement peu d’articles qui étudient l’efficacité thérapeutique à ce jour.

Le Zinc

Les chercheurs de la Quinta Columna ont découvert que le graphène détruit le zinc dans le corps humain… ce qui n’est pas une bonne nouvelle, car lorsque le zinc est déficient, le corps humain ne possède pas les enzymes adéquates pour synthétiser le glutathion.

Ils ont, également, mis en exergue qu’il existe de nombreuses études analysant le dysfonctionnement érectile de personnes qui ont été supposément contaminées par le CoqueVide/19.[592] [593] [594] [595] [596] Certains auteurs tentent d’expliquer que ce dysfonctionnement érectile Covidien pourrait être induit par un blocage de la circulation sanguine vers le pénis ; ou induit par du stress, de l’anxiété et de la dépression provoquées par le virus ; ou induit par un mauvais état de santé généralisé provoqué par des complications Covidiennes.[591] En fait, ce dysfonctionnement érectile est induit par l’empoisonnement au graphène.

L’Acide shikimique

L’acide shikimique peut, également, être utilisé pour réduire l’oxyde de graphène : il possède une activité antioxydante, anticoagulante et anti-inflammatoire.

Depuis l’émergence de la fausse pandémie — et l’hystérie concernant le protéine Spike du coronavirus inexistant — de nombreux articles, commentaires et vidéos ont évoqué l’utilisation des aiguilles de conifères afin d’en extraire l’acide shikimique.

Une étude intitulée « Content Analysis of Shikimic Acid in the Masson Pine Needles and Antiplatelet-aggregating Activity » a mis en valeur son potentiel anticoagulant du sang : il inhibe, en effet, l’agrégation plaquettaire, la thrombose artérioveineuse et la thrombose cérébrale.[1443] Selon cette étude, le Pin (Pinus Massoniana), le Thuya d’Orient (Platycladus orientalis) et la Badiane de Chine (Illicium verum) contiennent de l’acide shikimique, respectivement, à hauteur de 5,71 %, 1,74 % et 8,95 %.

Dans les conifères, on trouve une abondance d’acide shikimique :

Dans les Pins : par exemple, Picea koraiensis, Picea meyeri, Pinus elliottii[1517] et Pinus banksiana qui sont les espèces de pins chinois les plus médicinales en ce qui concerne l’extraction de l’acide shikimique.[1509] Pin de Mason (Pinus massoniana)[1514]. Pin rouge du Japon (Pinus densiflora)[1510]. Pin Mugo (Pinus mugo)[1511]. Pin Sylvestre (Pinus sylvestris)[1512]. Pin Chilgoza (Pinus gerardiana)[1513]. Pin d’Armand (Pinus armandi)[1515]. Pin du Yunnan (Pinus yunnanensis)[1516]. Pin blanc (Pinus strobus)[1518]. Pin maritime (Pinus pinaster)[1519]. Pin de Meyer (Picea meyeri)[1521]. Epicea bleu (Picea pungens)[1522]. Epicea blanc. (Picea glauca)[1522]. Pin rouge (Pinus resinosa)[1523].

Dans les Thuya : par exemple, Thuya d’Orient (Platycladus orientalis).[1520]

Dans les Cèdres : par exemple, Cédre de l’Himalaya (Cedrus deodara)[1508].

L’acide shikimique se trouve, également, dans : les graines de Fenouil (Foeniculum vulgare), les graines de Coquelicot rouge (Papaver rhoeas) ; les graines et l’écorce d’Anis étoilé ou Badiane de Chine (Illicium verum) ; les graines, les feuilles et l’écorce de la Badiane Japonaise (Illicium anisatum) ; les feuilles d’Absinthe (Artemisia absynthium)[1444] ; l’écorce et les graines de Liquidambar (Liquidambar styraciflua)[1445] ; dans les tubercules du Topinambour (Helianthus tuberosus) ; dans les rhizomes de l’Iris des marais (Iris pseudoacorus) ; dans le phloème du Thuya géant (Thuya plicata) ; dans les Dattes (Phoenix dactylifera) ; dans les tubercules du Dahlia (Dahlia variabilis) ; dans les fruits du Pommier microcarpe de Sibérie (Malus baccata) ; dans les fruits du Poirier (Pyrus communis) ; dans les fruits des Groseillers (Ribes sp.) ; dans les feuilles de Ginkgo (Ginkgo biloba) ; l’écorce et les feuilles de Magnolia (Magnolia grandiflora) ; dans toutes les parties du Poivre de Chine (Houttuynia cordata) ; dans les tiges et feuilles du Saxifrage araignée (Saxifraga stolonifera) ; dans les graines de l’Arjuna (Terminalia ajurna) ; dans toutes les parties du Pistachier (Pistacia lentiscus) ; dans les feuilles de Consoude (Symphytum officinalis) ; dans toutes les parties de l’Agastache (Agastache urticifolia) ; dans les feuilles de l’Inule (Inula helenium) ; dans toutes les parties du Millepertuis (Hypericum sp.) ; dans les feuilles du Gymnema sylvestre (Gymnema sylvestris) ; dans les graines du Myrobalan noir (Terminalia chebula) ; dans les fleurs et feuilles de la Grande Camomille (Tanacetum parthenium) ; dans le jus de feuilles du Blé (Triticum aestivum) ; dans les parties aériennes de la Chélidoine (Chelidonium majus) ; dans les racines de Carotte (Daucus carota) ; dans les feuilles de Vératre vert (Viratrum viride) ; dans les fruits du Schisandra (Schisandra chinensis).[1449]

Parmi toutes ces espèces végétales, les plus grandes quantités d’acide shikimique se trouvent dans les Badianes, dans les Pins, dans le Poivre de Chine.

On trouve, également, de l’acide shikimique dans les graines germées de légumineuses, Haricots, Mung, Soja, Luzerne…

C’est, peut-être, en partie, en raison de la présence de cet acide shikimique que l’oxyde de graphène peut être réduit avec l’eau de trempage des Mung Bean (Vigna radiata).[1423]

Selon l’étude « Shikimic acid: review of its analytical, isolation, and purification techniques from plant and microbial sources »[1446], les feuilles de Consoude contiendraient 12,5 % de leur poids sec en acide shikimique, les feuilles de Ginkgo 10 %, les feuilles d’Agastache à feuilles d’ortie 8,5 %.

Il existe une étude, de 2018, sur la réduction de l’oxyde de graphène avec l’acide shikimique : « Green Synthesis of Reduced Graphene Oxide Nanosheets Using Shikimic Acid for Supercapacitors ».

Selon un brevet déposé en 2015, « Isolation and Purification of Shikimic Acid »[1447], l’acide shikimique se trouve non seulement dans les feuilles d’Agastache urticifolia mais, également, dans les feuilles d’Agastache rugosa et d’Agastache foeniculum.

Les Agastaches constituent des Plantes médicinales maîtresses et je renvoie le lectorat vers ma monographie intitulée « Les Agastaches pour soigner la malaria, la dépression, les cancers, les hépatites ».[1448]

Les Protocoles Anti-Graphène

Le protocole anti-CoqueVide/19 — donc, en vérité, le protocole anti-Graphène — proposé par le site de la Médecine Fonctionnelle comprend : la curcumine, la Scutellaire du Baïkal (Scutellaria baikalensis), le Sureau (Sambucus nigra), la Réglisse (Glycyrhiza sp.), la Chirette verte (Andrographis paniculata), une Astragale (Astragalus membranaceus), la Mélatonine, les Vitamines A, C et D, le Zinc, la Quercétine, la Lutéoline, la N-Acétylcystéine, le Resveratrol, le Gallate d’épigallocatéchine, le Palmitoylethanolamide, les Champignons médicinaux (Shiitake, Lentinula edodes; Lion’s Mane, Hericium erinaceus; Maitake, Grifola frondosa; Reishi, Ganoderma lucidum), la berbérine et les β-glucanes.[707] [708] [709]

Selon une étude, de 2014, il est possible de réduire l’oxyde de graphène avec les champignons Ganoderma.[1418]

Le protocole du Dr Vladimir Zelenko comprend la quercétine, la vitamine D3, la vitamine C, le zinc, l’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine.[1301] C’est ce médecin US qui a introduit l’Hydroxychloroquine auprès du président Trump.

Dr Vladimir Zelenko, un médecin juif orthodoxe d’origine ukrainienne, a été complètement censuré par les GAFAM[1319] parce qu’il affirme que les injections anti-CoqueVide/19 constituent un vecteur de génocide global. Le Dr Vladimir Zelenko a même évoqué, dernièrement, le génocide, et donc l’Holocauste, du Peuple d’Israël — par le biais des injections anti-CoqueVide/19 — devant un comité de rabbins juifs orthodoxes anti-vaccinalistes… que Rudy Reichstadt, le conspirationniste[1131], qualifierait, assurément, de rabbins « anti-sémites » et complotistes.[1129] [1130]

Très récemment, lorsqu’interviewé par Stew Peters, aux USA, le Dr Vladimir Zelenko a déclaré que le CoqueVide/19 : « est une arme biologique conçue pour isoler l’Humanité et pour induire une peur pathologique et pathogénique qui est, subséquemment, instrumentalisée par les financiers afin de manipuler le comportement humain et de l’entraîner dans une course d’actions irrationnelles. » Il est convaincu que le CoqueVide/19 ne représente aucune menace, car c’est une psyops — à savoir, une opération psychologique spéciale. Pour lui, l’objectif est de génocider des milliards d’individus.[1302]

[Voir aussi :
Dernier message du Dr Vladimir Zelenko (1973-2022)
En souvenir du Dr Valadimir Zelenko : médecin, scientifique, activiste
Dr Zelenko : « C’est l’heure du choix. »
Qui sont les responsables de la crise mondiale Covid-19 ?
Dr Vladimir Zelenko : « C’est un génocide »
Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen
Une véritable bombe : le « Vaccine Death Report » du Dr. Vladimir Zelenko enfin traduit en français !]

Autres Substances Anti-Oxydantes et réductrices de l’Oxyde de Graphène

Le Chénopode blanc (Chenopodium album). Une étude, de juin 2020, a été publiée portant sur la réduction de l’oxyde de graphène au moyen d’un extrait de Chénopode blanc. [1485]

Le Chénopode blanc possède de fortes capacités antioxydantes et il existe une pléthore d’études le démontrant.[1486] [1487] [1488] [1489]

L’Hespéridine. Selon l’Institut de Cardiologie de Montréal — et selon une étude égyptienne publiée en novembre 2020 — l’hespéridine, un bioflavonoïde, constituerait un puissant anti-CoqueVide/19 !![693] [694] On trouve de l’hespéridine dans les pétales de Dahlia, dans les Citrus et dans la Menthe poivrée.

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale sur les Dahlias : « Les Qualités médicinales des Dahlias »[1524]

L’hespéridine possède des propriétés neuro-protectrices, anti-inflammatoires, antioxydantes, anti-athérosclérotiques, cardioprotectrices, anti-carcinogéniques, anti-mutagéniques, antidiabétiques, anti-hyperlipidémiques, anti-hypertensives, veinotoniques.

Le Raifort. Dans le registre de la dégradation de l’oxyde de graphène par la myéloperoxydase, et d’autres peroxydases[1157] [1158] on peut signaler la peroxydase du raifort[1160].

L’Oxyde nitrique. Une étude a été récemment publiée, en août 2021, qui s’intitule « Clinical efficacy of nitric oxide nasal spray (NONS) for the treatment of mild COVID-19 infection » qui affirme que l’oxyde nitrique, ou monoxyde d’azote, en spray nasal, est capable de détruire la charge Covidienne de 95 % en 24 heures et de 99 % en 72 heures.[1150] Si on laisse de côté le fait que personne ne puisse déterminer la charge virale d’un virus inexistant, il reste à s’enquérir du fait de savoir si le monoxyde d’azote permet de désintégrer l’oxyde de graphène dans le corps.

Selon une étude récente, de 2020, intitulée « Nitric oxide-dependent biodegradation of graphene oxide reduces inflammation in the gastrointestinal tract », c’est le cas.[1153] L’oxyde nitrique peut participer à la biodégradation de l’oxyde de graphène.

Il existe quelques études — telles que « The green reduction of graphene oxid »[1420] ou « Green reduction of graphene oxide by aqueous phytoextracts »[1426] — qui font le point sur les diverses méthodes « vertes » (à savoir non polluantes et non toxiques) de réduire l’oxyde de graphène.

Il est à noter que, selon cette étude, l’un des agents réducteurs les plus rapides est l’épinard, Spinacia oleracea.[1525]

L’épinard a, déjà, fait parler de lui, en octobre 2016, dans l’étude intitulée « Nitroaromatic detection and infrared communication from wild-type plants using plant nanobionics » — publiée dans Nature. Il s’agit d’un domaine dénommé nano-bioniques végétales dont la mission est d’insérer des fonctions, non-originelles, dans des plantes en les interfaçant avec certaines nanoparticules. En l’occurrence, il s’agit d’une étude portant sur un épinard, manipulé génétiquement, qui se transforme en pré-concentrateur autopropulsé, en plate-forme de communication infrarouge, etc. — et qui peut envoyer des messages à un téléphone mobile.[1527] Tout va bien ?

Il paraîtrait, même, que les épinards, ainsi génétiquement modifiés avec des nanoparticules, seraient capables de nous prévenir au niveau du « changement climatique ».[1528] Si cette étude était récente, on pourrait croire qu’il s’agisse d’un cas désespéré de CoqueVide psychiatrique…

Au fait, les nanoparticules insérées dans les épinards, branchés sur téléphone mobile, sont à base de graphène — et plus spécifiquement de nanotubes de carbone.[1529]

Les substances, plantes, minéraux, etc., capables d’opérer cette réduction y sont déclinés. En voici une liste partielle afin d’initier de nouvelles pistes de recherches quant à la destruction, dans l’organisme, des diverses formes de graphène :

Glutathion, cystéine, valine, lysine, alanine[1433], bicarbonate de soude, bêta-carotène, dopamine[1482] [1462], acide caféique[1422], racines de carottes sauvages[1429], caséine, mélasse[1460], cannelle, clou de girofle, eau de noix de coco[1501], curcumine, acide formique, jus de raisin, thé vert[1425], vitamine C[1427] [1428], mélatonine[1430], zinc, acide oxalique, jus de grenade[1502], eau de rose, levures nutritionnelles, urine de vache[1436], feuilles d’Érable du Japon (Acer palmatum) ; feuilles du Platane d’Orient (Platanus orientalis), feuilles de Pomme Cannelle (Annona squamosa).[1450]

Il est, également, possible de réduire l’oxyde de graphène avec de l’amidon : de pomme de terre, de patate douce ou bien de maïs.[1459] Et avec du resvératrol[1463] que l’on trouve dans : raisins, arachides crues, mûres, myrtilles, cassis, framboises, canneberges, fèves de cacao, pistaches, Renouée du Japon (Polygonum cuspidatum/Fallopia japonica). Ainsi qu’avec de l’acide fulvique.[1526]

Ainsi que les espèces botaniques suivantes : Terminalia chebula (Myrobalan noir), Hibiscus sabdariffa (Oseille de Guinée), Spinacia oleracea (Épinard), Ginkgo biloba (Arbre aux quarante écus)[1432], Colocasia esculenta (Oreilles d’Éléphant), Citrus sinensis (Oranger)[1431], Prunus serrulata (Cerisier), Magnolia grandiflora (Magnolia), Salvadora persica (Arak)[1434], Citrus grandis (Pamplemousse), Tamarindus indica (Tamarinier)[1435], Salvia spinosa.[1500]

De plus, il existe d’autres études pour réduire l’oxyde de graphène, avec diverses espèces végétales : de 2014, avec l’eau de trempage des Mung Bean (Vigna radiata)[1423] ; de 2019, avec l’Ortie (Urtica sp.)[1421] ; de 2020, avec les écorces du fruit de citron lime (Citrus hystrix)[1424] ; avec les feuilles d’Eucalyptus [1490] ; avec le Gros Thym Antillais (Plectranthus amboinicus)[1494] ; l’extrait de Radis (Raphanus sativus)[1495] ; le jus de Figues (Ficus carica)[1497] ; l’extrait d’Oignon (Allium cepa)[1498] ; l’extrait de Chou-Rave (Brassica oleracea var. gongylodes)[1499] ; l’extrait de Tridax procumbens[1461].

Il existe une méthode « écologique » de réduire l’oxyde de graphène par le jus de l’espèce Calotropis gigantea.[1492] Il fait d’ailleurs signaler que Calotropis gigantea, tout comme Calotropis procera, possède des qualités antioxydantes. Calotropis procera constitue, de plus, une plante antipaludique en Afrique de l’Ouest. J’aime beaucoup cette Famille des Apocynacées (anciennement Asclépiadacées) et je possède, d’ailleurs, une belle collection de photos d’Asclepias, des USA, que je n’ai pas eu le temps de toutes mettre en ligne.[1493]

Il n’est nul besoin de préciser que si toutes ces espèces végétales sont utilisées pour réduire l’oxyde de graphène, c’est qu’elles ont été amplement étudiées, in vitro ou in vivo, depuis de nombreuses années, pour leurs capacités extrêmement antioxydantes. Il en est ainsi, du jus de Figue, de l’extrait d’Oignon, de l’extrait de Chou-Rave, de l’Épinard, etc., etc.




Alexandre Juving-Brunet fait le bilan après 111 jours passés en détention

[Source : Magazine Nexus]

Ancien capitaine de gendarmerie, ancien Saint-Cyrien, candidat à l’élection présidentielle, l’homme âgé de 41 ans avait été mis en examen pour « escroquerie en bande organisée ». La banque de France lui reprochait son projet du « franc libre » et d’avoir « voulu frapper monnaie », projet qu’il avait lancé à l’été 2022. 4.500 personnes avaient souscrit à cette monnaie non autorisée, pour un total de 1,3 million d’euros. Deux jours après être sorti de la maison d’arrêt de Draguignan, Alexandre Juving-Brunet vient d’accorder une interview exclusive au magazine Nexus. Dans cet entretien d’une heure, l’homme — toujours sous contrôle judiciaire — défend notamment d’avoir cherché à « faire basculer l’État français ».

[Voir aussi :
Affaire du Franc libre : la vérité sur les accusations contre Juving-Brunet avec Juan Branco]




La fin annoncée de l’American Dream… l’Ukraine a ouvert les portes de l’enfer !

[Source : les7duquebec.net]

[Sur l’illustration : « Le rêve américain est terminé. »]

Par Djamel Labidi

En quelques mois, depuis le début de la guerre en Ukraine, le monde a changé. Certes, les changements se sont accumulés lentement, avant qu’ils n’apparaissent d’un seul coup, sous les coups de boutoir donnés par la Russie à l’ancien ordre mondial et l’hégémonie occidentale.

Quoi qu’il arrive, qu’on soit d’accord ou non avec l’action de la Russie en Ukraine, le monde ne sera plus jamais le même. Tous les camps en présence sont d’accord pour le reconnaître, les dirigeants du monde occidental comme ceux du reste du monde.

L’Occident est nu

À la faveur de la guerre en Ukraine, les peuples du monde découvrent, éberlués, que l’Occident est, militairement, nu. Il n’a pas suffisamment d’armes à donner au régime ukrainien. Il n’a pas de stocks de munitions légères ou lourdes à opposer à une Russie disposant d’une puissante industrie de guerre et qui produit massivement ces munitions ainsi que des armements très variés. C’est le général français Thierry Bukhard qui mettait en garde, récemment, le 26 février, dans une interview à « l’hebdomadaire » français Le journal du dimanche, contre la pénurie de munitions dans les pays occidentaux. Le Financial Times rapporte que les stocks d’armes de l’armée allemande seraient suffisants pour quelques jours seulement tandis que le chef d’état-major allemand, lui, déclare tout simplement qu’il n’a pas d’armée. Une grande partie des chars « Léopard » sont en panne, faute de maintenance. C’est le cas aussi pour ceux achetés par les pays européens.

En fait, toutes les armées européennes sont en dénuement et incapables de faire face à une guerre de haute intensité. Cela explique en partie, à côté de la crainte de l’escalade, les atermoiements dans la fourniture d’armes à l’Ukraine. Le président Macron a essayé de masquer, à travers des déclarations contradictoires, la pénurie d’armes françaises dès qu’il a fallu se priver, dans la douleur, au profit de l’Ukraine des canons et chars, en nombre réduit, possédés par la France.

Même les États-Unis peinent à approvisionner les forces armées ukrainiennes en munitions. Ils sont allés jusqu’à demander à Israël et à la Corée du Sud de leur en fournir à partir de leurs stocks d’armes américaines, tout en accusant les Russes de se fournir en Corée du Nord. Faites ce que je dis et ne faites pas ce que je fais.

Les pays occidentaux n’ont plus le même statut militaire. Aujourd’hui, par exemple, lorsqu’une délégation du ministère de la Défense du Royaume-Uni arrive à Alger, comme récemment, l’évènement est désormais anodin et passe pratiquement inaperçu. Et lorsque des délégations militaires vont en France, se réunir avec leurs vis-à-vis, parions qu’elles doivent s’apercevoir que l’armée française n’a pas grand-chose à offrir pour affronter une guerre de haute intensité. Les temps ont bien changé.

Le déclin de l’hégémonie économique

Non, l’Occident n’est plus le même. Sur le plan économique, La Chine concurrence les États-Unis à la première place de l’économie mondiale. Si l’on évalue leur PIB réciproque en dollars nominatifs, la Chine est encore deuxième, mais si on l’évalue en parité de pouvoir d’achat (PAP), elle est déjà loin devant les États-Unis. Les pays constituant actuellement le BRICS représenteront, en 2030, 50 % du PIB mondial sans parler de ceux qui les rejoindront.

Actuellement, la propagande occidentale essaye de se rassurer en disant que la Russie a un PIB de l’ordre de celui de l’Espagne, mais comment alors expliquer sa puissance militaire considérable et qu’elle puisse affronter l’ensemble des États occidentaux. Il faut prendre en compte ici encore l’économie réelle et la production des richesses matérielles. D’ailleurs, en termes de PIB par parité de pouvoir d’achat, la Russie est la sixième puissance économique mondiale.

Dans ce nouvel ordre qui se dessine, les nouvelles perspectives de coopération avec et entre le reste du monde, l’Inde, la Chine, la Russie, le Brésil, l’Iran, l’Asie, l’Afrique, l’Amérique latine semblent désormais sans limites. Le dollar commence à perdre sa suprématie et avec lui la dictature du système financier occidental.

Les États-Unis disent que la guerre en Ukraine a soudé l’Europe et l’OTAN. C’est faux. C’est exactement le contraire, du moins à moyen et à long terme. La vérité est que cette guerre a révélé et renforcé la domination totale des États-Unis sur l’Europe, l’écrasement de celle-ci par une puissance extra-européenne. Elle a montré une Europe soumise à la prédominance des intérêts américains. C’est aussi un des éléments significatifs de la fin, en perspective, de l’hégémonie occidentale. Que les États-Unis en arrivent à détruire, comme le monde entier les en soupçonne, le gazoduc Nord Stream, pour mettre définitivement fin à l’alimentation en énergie par ce gazoduc de l’Allemagne l’un de leurs principaux alliés, puis qu’ils imposent à leur allié des coûts prohibitifs de l’énergie, qu’ils affaiblissent ainsi, sans états d’âme, son économie, et celle d’autres États européens, au seul profit de la leur, cela ne peut durablement être supporté et ne peut que laisser des traces.

C’est là l’un des aspects du désarroi et de l’irresponsabilité des dirigeants américains dans un contexte de fin de leur règne sans partage. Si leur responsabilité sur cet attentat se confirme, ils auraient ainsi commis un acte d’une gravité extrême, un acte de sabotage, un acte de terrorisme international. Il est étonnant de ne pas le voir assez souligné en Occident, et en premier lieu par les dirigeants allemands. Auraient-ils peur des Américains ? Les Américains ont ouvert ainsi la boîte de Pandore, au risque d’une situation de chaos généralisé, où chacun s’estimerait en droit alors de détruire les gazoducs et oléoducs, les câbles sous-marins de l’adversaire, câbles de téléphone, câbles de communications internet, autoroutes de l’information. C’est, semble-t-il, avec le danger d’une guerre nucléaire, l’évènement le plus préoccupant pour l’avenir.

Les médias

Un signe des plus manifestes du déclin de l’hégémonie occidentale est la dégradation de l’éthique de la communication et de l’information dans bien des médias occidentaux. L’évolution avait commencé dans les décennies précédentes, en même temps que les États-Unis affirmaient leur domination sans partage sur le monde. Avec le conflit ukrainien, elle s’est terriblement aggravée.

L’information n’est plus que de la propagande. Et la propagande est brutale, grossière, caricaturale, sans nuances, et surtout terriblement agressive. Des animateurs de plateau de télévision, des éditorialistes, des journalistes, vous donneront sans sourciller, pour les pertes russes, des chiffres tellement énormes qu’ils supposeraient la disparition de l’armée russe. On martèle que « Poutine ment », sans dire sur quoi et quand il n’a pas fait ce qu’il a dit. On relancera avec soin, régulièrement, le thème du jugement de Poutine alors qu’on sait bien que cela n’a pas de sens. Mais l’essentiel n’est pas là, il s’agit de le dévaloriser et avec lui la Russie, en cherchant à inférioriser le pays en sous-entendant qu’il est susceptible d’être vaincu et soumis, comme l’Occident l’a fait pour d’autres pays.

Des chiffres astronomiques sont avancés pour la fortune personnelle de Poutine, sans qu’on avance la moindre preuve à part quelques vidéos bizarres sur les propriétés présumées du président Poutine, genre dépliants papier glacé d’hôtel. Seul le commentaire en off dit que ceci lui appartient. Mais que diable ferait-il d’une fortune dont il ne peut jouir vu sa visibilité, ses responsabilités écrasantes et sa présence sur tous les fronts ? Comme par hasard, les chiffres de sa fortune avancés sont aux alentours de 300 milliards de dollars, exactement le montant des fonds étatiques russes gelés par les États-Unis et d’autres pays européens et qu’ils voudraient bien s’approprier, et dont l’Union européenne et le président Zelensky réclament à cor et à cri l’attribution à l’Ukraine « pour sa reconstruction ».

On s’en souvient, les mêmes techniques et les mêmes thèmes avaient été utilisés contre les présidents Saddam et Kadhafi. Malgré la différence de dimension et de puissance de l’adversaire — cette fois-ci la Russie —, on les recycle. Inconscience du rapport de forces, délire, ou bien volonté de diminuer l’adversaire ? Tout cela a une allure de déjà vu, de déjà entendu. De la même manière, les États-Unis et leurs alliés martelaient que Saddam et Kadhafi mentaient quand ils avaient accepté les conditions de l’ONU et que les partisans de l’intervention craignaient que cela empêche celle-ci. De la même manière, le thème de leur mise en jugement était évoqué sans cesse. De la même manière, des chiffres astronomiques de leur fortune personnelle étaient donnés, et qui là aussi correspondaient étrangement aux fonds des États irakien et libyen gelés aux États-Unis et ailleurs en Occident.

Aussi donc, lorsqu’à propos de l’Ukraine, les peuples du monde rappellent à l’Occident ces conflits, ils ne s’écartent pas du sujet comme le leur disent, avec agacement, les dirigeants occidentaux. Les peuples ne se trompent pas. Ils indiquent simplement que le passé explique le présent, et qu’il y a, là, la continuité d’un même conflit, celui que mène l’Occident pour maintenir son hégémonie mondiale.

Les pires horreurs

Sur les plateaux les pires horreurs sont dites sur la Russie, sans aucun frein. Des journalistes parleront, impavides, de 200 000 à 700 000 enfants ukrainiens déportés en Russie, d’enfants « de quatre ans » violés. La seule chose qui n’aura pas été dite (encore ?) est que les Russes sont… cannibales.

Les plateaux de télévision occidentaux sont devenus des endroits où on bavarde, où on fabule. La cohérence, la logique, la vraisemblance importent peu, l’imagination est sans limites. On se trouve devant une information dans son ensemble tout entière complotiste. Mais il y a parfois des couacs, des moments où brusquement la vérité surgit, bien involontairement. C’est ce général français, le général Nicolas Richoux qui s’écrie, agacé par certaines réserves que fait, aux États-Unis, le parti Républicain sur le financement de la guerre en Ukraine : «L’armée américaine est en train de se payer l’armée russe pour 5 % de son budget (40 milliards de dollars sur 800 milliards, NB),quand même ! Qui pourrait être contre un résultat pareil aux États-Unis ! » (Chaîne d’information LCI, 7 janvier 2023)

Pour expliquer la grande popularité de Poutine auprès de son peuple, toute l’intelligentsia organique occidentale, universitaires, éditorialistes, analystes civils et militaires liés d’évidence à des officines et autres services, viennent dire qu’il s’agit de l’esprit de soumission des Russes, des caractéristiques de l’âme slave. Les « exilés politiques » russes, dont chaque plateau veut avoir un représentant, sont priés de confirmer. Ils le font avec empressement. Ils en rajoutent même. Ici, comme ailleurs, tout au long de siècles d’hégémonie, l’Occident a toujours produit ce type d’élites occidentalistes et la haine de soi qu’elles portent. C’est bien la preuve que l’idéologie occidentale a fonctionné partout comme une idéologie dominante. Mais pourquoi ne pas considérer tout simplement que Poutine exprime la volonté de son peuple et que la confiance mise en lui vient de ce qu’il a redressé la Russie après la terrible crise causée par l’effondrement de l’URSS ?

« Le mensonge vrai »

Les Américains continuent de diffuser dans tout l’Occident leurs nouvelles techniques de l’information, celles de la théorie du « mensonge vrai » 1, en vertu de laquelle on considère que « le mensonge peut être utile », quand il peut prévenir un évènement néfaste. C’est ainsi que la Chine a été accusée d’avoir « l’intention » (soulignons le mot) de fournir des armes à la Russie et que les États-Unis se sont dits « convaincus » (soulignons là aussi le mot) que la Chine fournit des informations satellitaires à Wagner. En fonction de ces conceptions d’une vérité virtuelle ou potentielle, les conclusions, les prévisions d’une simple analyse, ou de simples hypothèses pourraient être considérées comme une information puisqu’elles « pourraient avoir lieu ». Observez attentivement la propagande, et vous verrez qu’elle est, pour sa plus grande partie, construite sur ce modèle.

Où est le temps des grands organes d’informations occidentaux qui servaient de référence pour leur objectivité des faits, même en temps de guerre ? Ils diffusaient l’influence occidentale chez des élites occidentalisées séduites par une liberté de ton et une qualité de débats qui existaient peu dans leur pays.

Sur la question de l’information, l’Occident, et surtout les Américains, font une erreur stratégique : celle que les médias peuvent tout, et qu’il s’agit simplement de s’emparer de l’esprit des peuples. En cela, ils se trompent. Les faits sont têtus. On ne peut fabriquer l’opinion, et encore moins contre les propres intérêts d’une nation. L’opinion du reste du monde sur l’Occident en est la preuve. Elle est hostile à l’Occident malgré l’effort considérable de la propagande occidentale en sa direction. Si dans les pays occidentaux, cette propagande a un impact, c’est que beaucoup, dans la population, croient encore trouver leurs intérêts, un bénéfice et des privilèges sur les autres peuples à travers l’hégémonie occidentale. Mais même là, beaucoup, de plus en plus nombreux, pensent que les médias mentent et l’information alternative s’est réfugiée dans les réseaux sociaux.

Le désarroi

En fait l’Occident est en plein désarroi. Il s’est isolé, ou plus exactement il continue, aveugle, à s’isoler du reste du monde. Même les termes que désormais il emploie font transparaître cet isolement. Il ne parle plus, ou bien rarement, de communauté internationale. Il ne se voit plus le monde. L’Occident est de plus en plus seul. L’Occident se réunit avec l’Occident, et il s’applaudit lui-même. La dernière tournée du président Zelensky aux parlements des États-Unis, du Royaume-Uni, à Bruxelles, au Parlement européen, en est l’image saisissante. On se pressait pour prendre une photo avec le président Zelensky, on applaudissait frénétiquement le toréador, le gladiateur, pendant qu’Ukrainiens et Russes s’entretuaient à Bakhmout.

L’Occident se recroqueville de plus en plus sur lui-même, sans qu’il s’en aperçoive d’ailleurs. Il n’associe plus d’autres pays du monde à son destin. Quand il parle de lui, il dit carrément l’Occident, et même parfois simplement l’OTAN. Il fait bien la séparation entre lui et les autres nations du monde. Il dit crûment défendre ses intérêts. Les dirigeants ukrainiens eux ajoutent le « monde civilisé », pour bien le distinguer « des barbares ». Surenchère de néophytes.

L’Occident est inquiet

Aujourd’hui l’Occident est inquiet. Il guette chaque jour le moindre signe de divergence ou d’éloignement entre la Chine et la Russie, ou bien de révolte dans ces pays. Il abat… des ballons météorologiques.

On est loin de la grande époque d’un Occident confiant en lui-même, sûr de lui, de la grande époque de l’idéologie occidentale, où l’Occident se pensait le monde, où il se réclamait de la liberté, de la démocratie, du libéralisme, où il était convaincu du pouvoir, des valeurs qu’il proclamait, de résoudre tous les problèmes humains.

Il a fait aujourd’hui, tomber lui-même ses propres totems. Il s’est attaqué au principe sacro-saint de la propriété privée en volant l’argent qu’avaient confié à ses banques des États souverains et en confisquant les biens de personnes pour la seule raison qu’ils sont citoyens d’un pays étranger avec lequel ils déclarent pourtant qu’ils ne sont pas belligérants. Il s’est attaqué lui-même à sa règle sacro-sainte de la « concurrence libre et loyale », la foulant cyniquement aux pieds au gré de ses intérêts. Il s’est attaqué ainsi au principe de la liberté d’expression et de la concurrence en matière d’information, en interdisant, dès le début de la guerre en Ukraine, les moyens alternatifs d’information, et notamment les médias russes, alors qu’il disposait naguère de la réputation que « lui n’agissait pas comme les États totalitaires ». Il songe même à encadrer les réseaux sociaux. Il s’est attaqué au principe de la liberté des échanges commerciaux et économiques, en se donnant le droit souverain, en dehors de toute décision de droit international, de sanctionner économiquement des pays et des peuples, d’interdire ports et aéroports à leurs navires et leurs avions. Bref, il a renié lui-même toutes les valeurs qu’il a dit vouloir répandre dans le monde, et au nom desquelles il justifiait ses interventions armées.

Un autre des signes de déclin est que l’Occident ne produit plus de grands dirigeants. Des chefs d’État ou de gouvernement comme Joe Biden, Emmanuel Macron, Olaf Scholz, Boris Johnson, Mme Liz Truss, etc. n’ont d’évidence pas la stature d’un Xi Jining, d’un Vladimir Poutine, d’un Narendra Modi ou d’un Erdogan, quel que soit le sentiment qu’on peut avoir les concernant. En Ukraine c’est un comédien qui a été jugé le plus apte à tenir ce rôle de chef d’État.

Les élites dirigeantes de l’Occident sont en panne d’un projet universaliste, d’une vision nouvelle de l’avenir du monde. Cette vision se trouve désormais dans le camp adverse, celle d’un monde débarrassé de toute forme d’hégémonie, d’un monde libéré de la dictature du dollar et du chantage aux sanctions économiques, un monde de nations égales en droits, où la souveraineté est la garantie du respect réciproque ainsi que de la liberté des citoyens, bref un monde où la démocratie internationale permet l’essor de la démocratie nationale.

Les références occidentales incessantes à la démocratie, à la liberté, aux droits de l’homme apparaissent désormais comme des slogans creux, peu crédibles, un disque rayé que le monde non occidental accueille avec un regard à la fois poli et dubitatif. Elles ne font plus recette sauf dans des minorités occidentalistes qui subsistent çà et là. L’Occident a beau choyer ces élites, en médiatiser les représentants intellectuels les plus fidèles, elles n’ont plus d’autre fonction que de le rassurer, en l’aveuglant ainsi sur les nouvelles réalités du monde.

Un autre symptôme d’un Occident frileux, qui se ferme sur lui-même, est cette peur panique de l’émigration. On est loin de cet Occident serein qui demandait en 1975 à Helsinki la fin du « rideau de fer », l’ouverture des frontières et la libre circulation des personnes et des biens. On est loin aussi de la période où les Bush pouvaient rassembler 35 États, au nom de la démocratie, pour attaquer l’Irak.

On vit d’évidence aujourd’hui une période de mutation historique profonde, peut-être la plus grande qui soit survenue dans la période moderne. Ces périodes de mutation, de transformation sont les plus dangereuses. La fin de l’hégémonie de l’Occident ne serait que justice. Elle serait bénéfique, pour tous, y compris les peuples occidentaux dont les rapports se normaliseraient avec les autres peuples.

Mais il ne faut pas trop se réjouir pour l’instant de cette évolution historique. L’Histoire nous a appris combien les forces en déclin sont dangereuses, car elles le perçoivent comme un drame, comme leur fin. L’humanité pourra-t-elle réussir ce tournant sans sombrer dans une confrontation mondiale ? Pour le monde actuel, du moins pour les dirigeants les plus conscients, toutes les questions de la géopolitique se résument, à celle-là : être ou ne pas être.




Covid : une arnaque génocidaire qui a rapporté des milliards de dollars

[Source : RL]

Par Christian Navis

Tels des psychopathes fanfarons, les « saigneurs » de Big Pharma se délectent à afficher leurs exploits. Ainsi Albert Bourla, directeur général de Pfizer, claironne :

« 2022 a été une année record pour Pfizer, non seulement en termes de revenus et de bénéfices par action, qui ont été les plus élevés de notre longue histoire, mais plus important encore, en termes de pourcentage de personnes qui ont une opinion positive de Pfizer, grâce aux médias. »

Tuer est une activité très lucrative pour Big Pharma

Des enjeux énormes ont balayé tous les scrupules chez ceux qui en avaient encore… Avec un coût de fabrication de 2,5 dollars la dose, le « vaccin » était vendu au prix moyen de 20,00 USD l’unité, tarif appliqué au gouvernement américain en 2020 par Pfizer et Moderna… Les ventes de ces saloperies ont alors dépassé les 280 milliards de dollars dans le monde entier. Chiffre en augmentation constante depuis. Panique bien orchestrée oblige.

En Eurocrature, c’est encore plus dingue. En octobre 2022, des députés de droite (forcément !) ont dénoncé l’achat de 4,5 milliards de doses du « vaccin » par la présidente non élue Ursula von der Leyen, pour piquer 450 millions de personnes résidant dans l’UE. À raison de 10 doses chacune ! Un des plus grands scandales de corruption de notre époque. En plus d’être un crime contre l’humanité. Une spécialité dans laquelle les Boches ont toujours été champions.

Car en 2022, de nombreux médecins, dont Robert Malone, ancien chercheur sur les thérapies à ARNm, avaient démontré la relation de causalité entre le bilan financier des dealers de « vaccins » et la hausse concomitante de la mortalité dans les pays riches… La pauvreté des Africains les ayant en grande partie préservés. Avec la prescription de Nivaquine à titre préventif de la malaria, depuis des lustres.

Peu importe que les manants crèvent comme des mouches

Le professeur Michel Chossudowsky a eu entre les mains des documents de Pfizer sur la morbidité et la mortalité de leur « vaccin » à ARN messager. Dans un premier rapport du 28 février 2021, 13 semaines après le début de la campagne mondiale de « vaccination », les experts relevaient 42 086 cas avérés d’effets secondaires nocifs, liés à leur mixture. Aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Italie, en Allemagne, en France au Portugal et en Espagne.

Les troubles respiratoires et cardiaques, les dégradations musculaires, les affections gastro-intestinales, les allergies et chocs anaphylactiques, les atteintes cutanées, les infections génitales, les empoisonnements et complications diverses, ainsi que les pathologies neuropsychiatriques, tout était répertorié et documenté. On ne pouvait plus plaider l’ignorance et la bonne foi.

Dès lors que ces effets étaient connus et que les « vaccins » étaient imposés par la coercition, les chantages et les menaces, par des dirigeants étatiques qui ont touché leur part au passage, leurs manigances relevaient du crime organisé.

Avec le recul, on peut ajouter la stérilité de femmes et d’hommes jeunes pluri-vaccinés. De quoi satisfaire des magnats du NWO qui exigent, au Bilderberg comme à Davos, qu’on réduise de moitié la population de la Terre.

Les chiffres de l’hécatombe, désormais couverts par les secrets d’État, ont été multiplié par dix, puis par cent, puis par mille au cours des mois et années qui ont suivi. L’obstination à faire du pognon en contaminant les gens malgré des risques létaux, en les utilisant comme cobayes pour tester des produits en cours d’expérimentation, en les trompant ou sous la contrainte… constitue un crime contre l’humanité à l’échelle planétaire, au sens du Code de Nuremberg.

La préméditation des crimes est établie

Dès novembre 2020, tandis qu’on enfumait et terrorisait les gens avec les pangolinades, l’objectif fixé était de vacciner, avec 5 ou 6 doses, les 8 milliards de personnes vivant sur Terre. L’idéal étant deux rappels par an chacun ensuite. Condition sine qua non : « Éduquer » (= embobiner) les populations d’abord.

Pour ce faire, Pfizer, Moderna et les autres exigèrent des décideurs politiques l’interdiction des traitements efficaces à l’aide d’HCQ puis d’Ivermectine. Et des mesures coercitives pour museler les critiques par tous les moyens. Menaces. Dénigrements. Chantages. Mises à pied. Procès. Voies de fait. Un psychopathe immature comme Macronescu, qui ne supporte pas qu’on lui résiste, ira au-delà des instructions de ses sponsors, en interdisant aux médecins indociles d’exercer leur profession.

Les gouvernements cupides ont dissimulé puis détruit toutes les statistiques relatives aux effets secondaires de cette prétendue « vaccination ». Selon les estimations les plus basses, le nombre de morts provoquées par ces injections illégales atteindrait 2 millions dans les pays dits avancés, Amérique du Nord, Europe occidentale, Japon, Corée du Sud, Australie et Nouvelle-Zélande. Et au moins 10 fois plus de personnes qui souffriront d’effets secondaires handicapants jusqu’à la fin de leur vie abrégée.

On a maintenant la preuve que ces injections ne protègent pas d’une infection par le coronavirus, qui n’est qu’une forte grippe. En outre, on sait que ces « vaccins » n’empêchent pas la transmission du virus par des personnes infectées à des « vaccinées ». Et pire, ils produisent des anticorps spécifiques facilitant une nouvelle infection.

Ce phénomène dit ADE, acronyme de « antibody-dependent enhancement », observé et décrit dès le début des campagnes de « vaccination », relève de la liaison du virus à des anticorps sous-optimaux afin d’améliorer son entrée dans les cellules-hôtes… Une manipulation hasardeuse suivie d’une réplication incontrôlable. Un vrai pousse-au-crime pour imposer encore et toujours plus de « vaccins ».

Des tribunaux interviennent avec des condamnations symboliques

Des « class-actions » s’organisent aux USA, Canada et NZ, qui se réveillent de leur hypnose médiatique, pour poursuivre Pfizer, Moderna et les autres producteurs de mixtures toxiques. Mais la plupart des Français sont encore anesthésiés par les discours lénifiants des ministricules et des journalopes.

Des députés européens courageux comme Virginie Joron tentent de dévoiler la corruption au plus haut niveau de la Commission européenne. En particulier les liens financiers étroits entre la von der Leyen (qui doit son job à qui ?), son mari Heiko, patron de labos spécialisés dans les traitements géniques, et Albert Bourla, PDG de Pfizer, auquel l’Eurocrature a acheté des quantités astronomiques de ses poisons. Sans même en négocier les prix.

Ces petits arrangements entre amis sont cachés et on voit leur réticence à présenter les documents exigés par des injonctions de justice aux USA. Quant au silence du côté de Bruxelles, il est conforme à la tactique habituelle dans ce genre de procès : éviter de faire des vagues, puisque les médias aux ordres en parleront le moins possible. Et faire traîner les procédures… Pour payer dans quelques années une amende apparemment lourde, mais qui ne représentera au pire pour les empoisonneurs publics que 1 % de leurs bénéfices.

La société Pfizer est une multirécidiviste puisque celle-ci a déjà été condamnée à des amendes salées, 74 fois au cours de ces dernières années dans de nombreux pays, pour un montant total de plus de 8 milliards de dollars. Du fait de produits dangereux promus par des campagnes de publicité mensongère, soutenues par des décideurs politiques véreux et des médicastres corrompus.

Pfizer et les autres mériteraient de passer devant un « tribunal de Nuremberg ». Mais comme ce genre de juridiction ne peut siéger qu’à l’initiative des gouvernements « arrosés » par Big Pharma, le risque est minime. Ils peuvent donc continuer. Et ils ne s’en privent pas. Le grand public conditionné par une propagande incessante est toujours prêt à gober de nouvelles sornettes. Nouvelles maladies, nouveaux « vaccins », qui s’ajouteront au massacre covidesque. Le terme « génocide », souvent utilisé à tort et à travers, est là tout à fait approprié.

La complicité active des politiciens stipendiés par les labos

Protégés par des immunités sur mesure, tant qu’une révolution improbable ne les mettra pas hors d’état de nuire, ils peuvent en France comme en Eurocrature, sous la pression de consultants infiltrés dans les rouages des États, décider de sanctions pénales et administratives illégitimes. Contre les lucides réfractaires aux seringues assassines. Tandis que les impacts négatifs sur la santé du « vaccin » contre le Covid-19 font l’objet d’un déni systématique par les autorités sanitaires, politiques et médiatiques, qui seules « détiennent la vérité ».

Un empêcheur de tuer tranquille

Le Professeur Michel Chossudovsky est un universitaire. Pas un médecin, ce qu’on lui reproche. Mais parmi les vaccinators frénétiques, combien sont médecins ? Et parmi ceux qui ont le diplôme, combien sont directeurs commerciaux des labos, sans avoir vu un malade depuis la fin de leurs études ?

Depuis qu’il a fondé à Montréal le « Centre de recherche sur la mondialisation » chargé d’étudier de façon pluridisciplinaire les sujets que les médias mainstream esquivent ou falsifient, il est traité de « complotiste »… Lorsqu’il a dénoncé les crimes sanitaires liés au covid, on a mis en doute sa santé mentale… Et récemment il a gagné une nouvelle étiquette : agent secret des Russes !

Chossudovsky, interdit de médias sur ordre des labos, a été éjecté de YouTube et censuré sur les réseaux asociaux du Nouvel Ordre Mondial. Pourtant, il ne diffame ni n’insulte personne. Il s’est juste procuré les rapports financiers internes de Pfizer. Et il les divulgue. Or le grand public doit ignorer ce qui mijote dans les chaudrons du Diable si on veut continuer à l’empoisonner.

Chacun peut obtenir légalement ces documents. Il suffit de souscrire quelques titres de la société. Ainsi Pfizer elle-même indique à ses actionnaires que cette entreprise bien gérée a réalisé 100,3 milliards de dollars de profit pour l’année fiscale 2022. Et les projections sur un proche avenir permettent d’espérer faire beaucoup mieux !

Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/




La destruction des gazoducs du Projet Nord Stream constitue un acte de terrorisme international

[Source : Sott]

Déclaration du professeur Jeffrey D. Sachs lors de la réunion du Conseil de sécurité de l’ONU sur la destruction du gazoduc Nord Stream le 21 février 2023.

Par Jeffrey David Sachs
zeit-fragen.ch

Je m’appelle Jeffrey D. Sachs. Je suis professeur à l’Université de Columbia. Je suis économiste, spécialiste en économie internationale, ce qui inclut le commerce international, la finance, les infrastructures et la gouvernance économique. Je me présente devant le Conseil de sécurité des Nations unies à titre personnel. Dans le cadre du témoignage que je vais livrer, je ne représente aucun gouvernement, ni aucune organisation.

La destruction du Nord Stream

La destruction, le 26 septembre 2022, des gazoducs Nord Stream constitue un acte de terrorisme international et représente une menace pour la paix. Il est de la responsabilité du Conseil de sécurité des Nations unies de déterminer qui a pu commettre cet acte, afin d’en traduire les auteurs devant la justice internationale, d’indemniser les parties lésées et d’empêcher que de tels actes ne se reproduisent.

Les conséquences de la destruction du Nord Stream 2 sont énormes. Elles englobent non seulement les pertes économiques considérables liées aux gazoducs eux-mêmes et à leur utilisation potentielle future, mais aussi la menace grandissante qui pèse sur toutes sortes d’infrastructures transfrontalières: les câbles internet sous-marins, les pipelines internationaux pour le gaz et l’hydrogène, le système transfrontalier de fourniture
d’é lectricité, les parcs éoliens en mer, etc. La transition mondiale vers l’énergie verte exigera des infrastructures transfrontalières considérables, y compris dans les eaux internationales. Pour cela, chaque pays doit pouvoir être certain que ses infrastructures ne soient pas détruites par des tierces parties. Certains pays européens ont récemment exprimé leur inquiétude quant à la sécurité de leurs infrastructures maritimes. Pour toutes ces raisons, l’enquête du Conseil de sécurité des Nations unies sur les explosions impliquant le Nord Stream est une priorité mondiale.

La destruction des gazoducs Nord Stream a été le fruit d’une planification, d’une expertise et d’une capacité technologique de très haut niveau. Les gazoducs Nord Stream 2 sont une merveille d’ingénierie. Chaque tronçon de conduit est constitué d’acier laminé d’une épaisseur de 4,5 cm et d’un diamètre intérieur de 1,15 m. La canalisation est ensuite enrobée de béton sur une épaisseur de 10,9 cm. Le poids de chaque tronçon de canalisation enrobée de béton est de 24 tonnes. Les gazoducs Nord Stream 2, d’une longueur de 1 200 kilomètres, sont constitués d’environ 200 000 tuyaux. Les pipelines reposent sur le fond de la mer. La destruction d’un oléoduc en acier laminé lourd, enrobé de béton, à une profondeur de 70 à 90 mètres, nécessite des technologies très avancées en matière de transport des explosifs, de leur installation en plongée sous-marine et de leur mise à feu.

Procéder de la sorte sans être détecté, dans les zones économiques protégées du Danemark et de la Suède, accroît considérablement la complexité de l’opération. Comme l’ont confirmé un certain nombre de hauts fonctionnaires, ce type de manœuvre a forcément été effectué par un acteur de niveau étatique.

Seule une poignée de protagonistes au niveau national dispose à la fois de la capacité technique et de l’accès à la mer Baltique nécessaires à cet objectif. Il s’agit de la Russie, des Etats-Unis, du Royaume-Uni, de la Pologne, de la Norvège, de l’Allemagne, du Danemark et de la Suède, soit à titre individuel, soit en association. L’Ukraine ne dispose ni des technologies nécessaires, ni de l’accès à la mer Baltique. Un récent rapport du Washington Post a révélé que les services de renseignement des pays de l’OTAN ont conclu à titre privé qu’il n’y avait aucune preuve que la Russie ait participé à cette intervention. Cela confirme également le fait que la Russie n’avait aucune raison évidente de perpétrer cet acte de terrorisme sur ses propres infrastructures vitales. En effet, la Russie devra probablement engager des dépenses considérables pour réparer ces oléoducs.

Trois pays ont apparemment mené des enquêtes sur les actes de terrorisme liés au Nord Stream: Le Danemark, l’Allemagne et la Suède. Ces pays en savent probablement long sur les circonstances de l’attaque terroriste. La Suède, en particulier, est peut-être celle qui a le plus de révélations à faire au monde concernant la scène de crime, sur laquelle ses plongeurs ont enquêté. Pourtant, au lieu de partager ces informations au niveau mondial, la Suède a gardé le secret sur les résultats de son enquête.

La Suède a refusé de partager ses conclusions avec la Russie et de mener une enquête conjointe avec le Danemark et l’Allemagne. Dans l’intérêt de la paix mondiale, le Conseil de sécurité des Nations unies devrait exiger de ces pays qu’ils lui communiquent immédiatement les résultats de leurs enquêtes.

Il n’existe à ce jour qu’un seul récit détaillé des dégradations subies par le Nord Stream, celui présenté récemment par Seymour Hersh, un journaliste d’investigation, et qui est apparemment basé sur des informations communiquées par une source anonyme. Hersh attribue la destruction du Nord Stream à une décision ordonnée par le président américain Joe Biden et exécutée par des agents américains dans le cadre d’une opération secrète dont Hersh donne une description détaillée.

[Voir :
Comment les États-Unis ont détruit le gazoduc Nord Stream
et Attaque terroriste du Nord Stream : Le complot s’épaissit]

La Maison Blanche a qualifié le rapport de Hersh d’« entièrement et intégralement faux », sans fournir cependant d’information contredisant ce récit, ni proposer d’autres explications.

Avant et après la destruction du Nord Stream, certains hauts fonctionnaires américains ont fait des commentaires en public témoignant de l’hostilité des Etats-Unis à l’égard des gazoducs. Le 27 janvier 2022, la sous-secrétaire d’Etat Victoria Nuland a tweeté: « Si la Russie envahit l’Ukraine, d’une manière ou d’une autre, Nord Stream 2 n’avancera pas. » Le 7 février 2022, le président Biden a déclaré: « Si la Russie lance une nouvelle invasion … il n’y aura plus de Nord Stream 2. Nous y mettrons un terme ». A la question d’un journaliste comment il comptait s’y prendre, il a répondu: « Je vous promets que nous serons en mesure de le faire .»

Le 30 septembre 2022, immédiatement après l’attaque terroriste contre le gazoduc, le secrétaire d’Etat Antony Blinken a déclaré que la destruction du gazoduc était « également une formidable opportunité. C’est une excellente occasion de supprimer une fois pour toutes la dépendance à l’égard de l’énergie russe et donc d’empêcher Vladimir Poutine de transformer en arme l’énergie pour faire avancer ses desseins impérialistes ». Le 28 janvier 2023, la sous-secrétaire Nuland a déclaré au sénateur Ted Cruz: « Je pense que, tout comme notre administration, je suis très heureuse de savoir que Nord Stream 2 n’est plus désormais, comme on dit, qu’un tas de ferraille au fond de la mer. »

Face au terrorisme international, ce genre de discours est totalement inapproprié. J’espère que les Etats-Unis et tous les autres membres du Conseil de sécurité condamneront cet acte odieux de terrorisme international et participeront ensemble à une enquête urgente menée par le Conseil de sécurité des Nations unies sur ce crime international afin d’établir la vérité. Le monde ne connaît pas encore la vérité, mais il est possible de la connaître.

Plus que jamais, le monde compte sur le Conseil de sécurité des Nations unies pour faire son travail et empêcher l’escalade vers une nouvelle guerre mondiale. Le monde ne sera en sécurité que lorsque les membres permanents travailleront ensemble de manière diplomatique à la résolution des crises mondiales, y compris la guerre en Ukraine et les tensions croissantes dans l’est asiatique. Le Conseil de sécurité de l’ONU est l’unique instance mondiale capable de contribuer à la consolidation de la paix. Plus que jamais, nous avons besoin d’un Conseil de sécurité des Nations unies sain et opérationnel, qui s’acquitte de la mission que lui assigne la Charte des Nations unies.

Une enquête objective du Conseil de sécurité des Nations unies sur le terrorisme du Nord Stream, à laquelle tous les pays contribueraient en fonction de ce qu’ils savent, est importante pour la confiance mondiale dans cet organisme et, avant tout, pour la paix et le développement durable dans le monde.

Source : https://www.jeffsachs.org/recorded-lectures/f4rsfnzw9rbdx2tz2n38lfgsctsbc8
Traduction Horizons et débats

Jeffrey David Sachs est un économiste américain. Il est directeur du Réseau des solutions de développement durable des Nations Unies. De 2002 à 2016, il a été directeur de l’Earth Institute à l’Université de Columbia et de 2002 à 2006, il a été conseiller spécial sur les objectifs du millénaire pour le développement auprès du secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, conseiller auprès du FMI, de la Banque mondiale, de l’OCDE, de l’OMC et le PNUD.




Point presse dictature au 12 mars 2023

Les médias mainstream ignorent qu’il y a eu une manifestation nationale contre la suspension des personnels soignants ce samedi 11 mars et que Monaco va réintégrer les siens

Je viens de faire une recherche sur Google1 pour la journée du 11 mars en écrivant « manifestation Lyon » (sans guillemets).

Si je m’intéresse uniquement aux journaux ou chaînes de TV nationales, je constate que de rares médias nationaux sont répertoriés, mais uniquement pour parler de la réforme des retraites.

De toute évidence, il ne s’est rien passé d’inhabituel dans la journée de samedi sur Lyon !

Si je me focalise sur les médias locaux, ici encore beaucoup de références à la manifestation contre la réforme des retraites. Notons que BFM Lyon nous précise qu’il y avait entre 7 000 et 18 000 manifestants selon les sources. France 3, Lyon Capitale et d’autres reprennent tous les mêmes chiffres.

Mais que lis-je, étonné ?!

Europe-1 Lyon2 parle d’une « manifestation pour la réintégration des soignants suspendus » !

Bien étrange, d’autant plus qu’aucun média national ne semble le mentionner.

Manifestation pour la réintégration des soignants ?

Qu’à cela ne tienne, je reprends mon bâton de pèlerin et je cherche cette fois-ci « manifestation soignants3 » (toujours sans guillemets) toujours pour la journée de samedi.

Cette fois-ci les informations sortent !

Europe 1, France-Bleu, Lyon Capitale, BFM Lyon, Le Progrès, etc.

BFM Lyon4 qui dans un reportage de 32 secondes précise que c’est une « manifestation nationale ».

Le Progrès5, quant à lui, a procédé au comptage : entre 3 000 et 6 000 participants selon les sources.

Quant à France-3 Lyon, lui ne semble pas du tout informé du fait. Ce qui pourrait étonner ou faire sourire lorsque l’on observe le parcours de la manifestation contre la réforme des retraites, suivie par ce même France 3. Parcours se terminant place Bellecour, lieu où se tenait la fameuse manifestation invisible pour la réintégration des soignants.

Quant aux médias nationaux, silence total sur Google !

Ceci est d’autant plus « étrange » que France-Bleu (radio du service public) et BFM Lyon (filiale de BFM TV) en étaient informés et que ni France Télévision ni BFM national ne relaient cette information si l’on en croit le moteur de recherches.

Avec la soif de compréhension que vous me connaissez, je me suis mis en quête d’une explication rationnelle, ne pouvant croire au complot !

Peut-être que cette manifestation comptait trop peu de participants pour que les journalistes nationaux s’y intéressent ?!

Pourtant, même s’il n’y avait eu que dix personnes, ce nombre ridicule eût été une information pertinente en soi du type « rien à foutre des suspendus ».

Et si les médias ne relayaient que les grosses manifestations ?

J’ai donc regardé si les médias mainstream ignoraient les « petites ».

La Dépêche6 :

« Paris : une manifestation contre le racisme et les violences policières. »
« Près d’un millier de personnes ont manifesté à Paris contre le racisme et les violences policières, ce samedi 19 mars 2022. »

Radio-France7 :

« Manifestation contre l’homophobie : “Stop aux agressions !” »
« 2 500 personnes ont manifesté ce dimanche après-midi place de la République à Paris, à l’appel de SOS homophobie et de l’Inter LGBT, qui rassemble une trentaine d’associations, pour soutenir les victimes d’agressions homophobes et transphobes. »

Ici pas de « selon les organisateurs » ou « selon la préfecture » comme quoi il doit y avoir des « bons » et des « mauvais » manifestants.

Le Point8 :

« Manifestations dans plusieurs villes de France en soutien à l’Ukraine. »
« Bougies, drapeaux, monuments illuminés en jaune et bleu : plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées vendredi dans plusieurs villes françaises pour afficher leur soutien à l’Ukraine, un an après le début de l’invasion russe. »

« Plusieurs centaines de personnes ??!! »

De fait, une manifestation nationale avec plusieurs milliers de participants devrait être de nature à intéresser les médias nationaux.

Notons que Mme Martine Wonner, ancienne député, ainsi que M. Dupont-Aignan étaient sur place pour soutenir le mouvement.

Et si Google ne faisait pas son travail ?

J’ai une légère petite tendance à critiquer les médias, mais Google est peut-être l’unique coupable, qui sait ?

Reculant devant aucun sacrifice, j’ai alors lu l’intégralité du Parisien édition du samedi 11 mars (et aussi du lendemain).

Par un « heureux hasard », ceux-ci consacrent un article à l’éventuelle réintégration des soignants dont le titre est :

« Fin de l’obligation vaccinale des soignants ? L’idée fait des remous. »

Pour résumer le papier, même si la HAS n’y voit plus d’inconvénients, c’est une très mauvaise idée… si, si !

Je cite :

« à partir du moment où la balance bénéfice-risque des vaccins (Sans préciser lesquels, donc tous) est favorable, que ces vaccins préviennent les formes graves (L’Église a remplacé la science) de la pathologie et que, nonobstant certains débats (Pas dans les médias en tous cas), ces vaccins contribuent aussi à réduire la transmission (Ici même la Foi est remplacée par de la pure escroquerie), il n’y a pas lieu de lever l’obligation vaccinale », écrit la SFPT9.

Le plus « drôle » est dans la phrase suivante, je vous rappelle qu’ils viennent de dire que le vaccin est sûr et efficace et réduit la transmission :

« Il convient toutefois de préciser que l’efficacité vaccinale contre l’infection et la transmission est assez faible (Euphémisme “scientifique” ?) et qu’elle chute rapidement. »

« Par ailleurs un soignant non vacciné et ayant attrapé le Covid, bénéficie lui aussi d’une certaine protection contre le Covid. »

Pour résumer leur « pensée » :

En 1) ça réduit.
En 2) ça réduit, mais assez faiblement.
En 3) les non-vaccinés ont une certaine protection (donc mieux que faible sinon ils le diraient).

Notons que l’article prend bien soin de mélanger les obligations vaccinales pour les enfants donc hors covid, et l’obligation vaccinale Covid pour les soignants.
Le SFPT plaide pour élargir l’obligation vaccinale pour les soignants à d’autres « vaccins », il n’y a pas de petits profits.

Vous pouvez donc voir que Le Parisien fait un papier sur la question de la réintégration des soignants et « oublie » de parler d’une manifestation nationale programmée depuis des semaines le même jour.

Et à Monaco ?

Autre point passé sous silence une information publiée dans l’Observateur de Monaco10 du 9 mars soit deux jours avant le papier du Parisien.

« Fin de l’obligation vaccinale pour les soignants à Monaco. »
« Le gouvernement vient d’annoncer que les personnels suspendus en raison de leur non-vaccination au Covid-19 pourront être réintégrés dès le lundi 27 mars 2023. »

Nous pourrions imaginer qu’une information provenant d’un pays aussi lointain et exotique comme Monaco n’aurait pas passé la frontière, mais France-3 Côte d’Azur en a fait l’écho le 10 mars.

« Monaco suspend l’obligation vaccinale et réintègre ses soignants non vaccinés contre le Covid11. »

Nice-Matin en a parlé aussi.

À la décharge du Parisien strictement aucun organe de presse national ou TV national ne semble informé de la prochaine réintégration des soignants suspendus à Monaco.

Résumons :

Si vous êtes une personne « normale », n’habitant pas Lyon et sa région, prenant son « information » uniquement dans la presse ou des médias nationaux, j’ai toutes les raisons de penser que vous ne savez PAS qu’il y a eu une manifestation nationale pour la réintégration des soignants ce samedi 11 mars.

Événement pour lequel plusieurs milliers de personnes étaient présentes. Ce nombre est d’autant plus significatif et impressionnant qu’aucune publicité de l’événement n’a été faite dans les médias.

Vous ne savez pas non plus que les personnels soignants non vaccinés de Monaco vont être réintégrés et que la décision de ne pas réintégrer les Français, comme celle de les suspendre, est purement politique.

Des personnels soignants, pompiers, etc. qui sont interdits d’exercer depuis plus de 500 jours parce qu’ils ont refusé de prendre une substance expérimentale !

« Vaccin » dont il est prouvé qu’il n’empêche ni ne protège de la contamination et ne diminue en rien une épidémie.

Ceci ne constitue donc pas une information pour les médias mainstream.

Nous avons donc une preuve de plus que la dictature se porte toujours merveilleusement bien et que les médias mainstream sont sous ordre.

Merci

Alain Tortosa12
12 mars 2023
https://7milliards.fr/tortosa20230312-medias-ignorent-manifestation-soignants.pdf





Aux États-Unis, de plus en plus de grands journaux rapportent les manquements et manipulations des autorités durant la crise sanitaire

[Source : covidhub.ch]

Newsweek publie les 10 mensonges officiels sur le Covid

Si vous êtes opposé depuis belle lurette aux discours officiels sur la « pandémie », vous n’apprendrez peut-être rien de nouveau…

…la nouveauté, c’est en fait que Newsweek, un magazine leader d’opinion dans le monde, publie le point de vue d’un chercheur réputé en santé publique à la Hoover Institution de Stanford, Scott W. Atlas, sous le titre : La réponse américaine au Covid a été basée sur des mensonges. (en anglais).

Pour de nombreux observateurs comme le mathématicien Igor Chudov, une telle publication, le 8 mars 2023, a la valeur d’un « changement sismique ». Elle suit d’ailleurs la parution, le 22 février, d’une prise de position signée par deux autres opposants prestigieux, les Pr Jay Bhattacharya et Martin Kulldorff, intitulée: Il nous faut une Commission Covid (en anglais).

Voici, énumère Scott Atlas :

« les 10 plus grands mensonges – connus depuis des années pour être faux (…) – répandus par les responsables américains de la santé publique, les officiants élus et non élus et les universitaires désormais discrédités :

  1. Le coronavirus SARS-CoV-2 a un taux de mortalité plusieurs fois supérieur à celui de la grippe.
  2. Tout le monde a un risque important de mourir de ce virus.
  3. Personne n’a de protection immunologique, car ce virus est complètement nouveau.
  4. Les asymptomatiques sont les principaux moteurs de la propagation.
  5. Le confinement – fermer les écoles et les entreprises, bloquer les gens chez eux, stopper les soins médicaux non Covid et supprimer les déplacements – arrêtera ou éliminera le virus.
  6. Les masques protégeront tout le monde et arrêteront la propagation.
  7. Le virus est connu pour être d’origine naturelle, et prétendre qu’il provient d’un laboratoire est une théorie du complot. [Note de Joseph : voir cependant C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis ! et le dossier Vaccins et virus pour une remise en question de la théorie virale.]
  8. Les enseignants courent un risque particulièrement élevé.
  9. Les vaccins Covid arrêtent la propagation de l’infection.
  10. La protection immunitaire ne peut venir que d’un vaccin. »

Enfin, Scott Atlas demande des enquêtes et des excuses. Il reconnaît également que les enquêtes risquent d’être fausses :

« Mais pour s’assurer que cela ne se reproduise plus jamais, les chefs de gouvernement, les fonctionnaires, les universitaires et conseillers influents qui entretiennent souvent des conflits d’intérêts, doivent être tenus pour responsables. Personnellement, je reste très sceptique sur le fait que toute enquête ou commission gouvernementale puisse éviter la politisation. Indépendamment de leur intention, toutes ces enquêtes dirigées par le gouvernement seront au moins perçues comme politiquement motivées et leurs conclusions seront catégoriquement rejetées par beaucoup. Ces enquêtes doivent cependant se poursuivre, ne serait-ce que pour rechercher la vérité, pour enseigner à nos enfants que la vérité compte et pour se souvenir de G.K. La leçon essentielle de Chesterton selon laquelle « le bien est le bien, même si personne ne le fait. Le mal est le mal, même si tout le monde ne le voit pas. »

(Right is right, even if nobody does it. Wrong is wrong, even if everybody is wrong about it.)

Sur Scott W. Atlas : 

Scott W. Atlas, MD, est chercheur principal en politique de la santé à la Hoover Institution de l’Université de Stanford, codirecteur du Global Liberty Institute, membre fondateur de l’Académie des sciences et de la liberté de Hillsdale et auteur de A Plague Upon Our House: My Fight at the Trump White House to Stop Covid from Destroying America (Bombardier Press, 2022) (Un fléau sur notre maison. Mon combat à la Maison Blanche de Trump pour empêcher le Covid de détruire l’Amérique)




Rien que la vérité sur la « démission » de Benoît XVI

[Source : Andrea Cionci – Codice Ratzinger]

[Voir aussi la version écrite de la même révélation :
Mort de Benoît XVI : du siège empêché au siège vacant. Le Pape François n’existe pas (mais l’antipape oui)]




Le Temple sera-t-il reconstruit de nos jours ?

[Source : michelledastier.com]

Par le pasteur Jean-Marc Thobois

Depuis des dizaines d’années maintenant (soit, grosso modo depuis l’indépendance d’Israël), des rumeurs circulent, au sein du monde évangélique, selon lesquelles, les juifs s’apprêtent à reconstruire le 3e temple, et que sa reconstruction est imminente.

[Voir aussi :
Le troisième Temple de Jérusalem et l’embrasement de la Terre Sainte – Analyse de Pierre-Antoine Plaquevent]

Le fait que 70 ans se soient passés sans que cette « imminence » se soit matérialisée ne semble pas être un problème pour le public évangélique. C’est ainsi que, selon ces rumeurs, les pierres du temple seraient déjà taillées et stockées aux États-Unis, en attendant d’être embarquées à destination d’Israël pour la reconstruction du sanctuaire. On fait, notamment, grand cas d’une organisation appelée « Les fidèles du Temple » qui seraient les promoteurs de cette entreprise et qui auraient préparé tout ce qui est nécessaire à la concrétisation de cette entreprise. La reconstruction du 3e Temple est un dogme incontournable pour beaucoup d’évangéliques adeptes de la théorie dispensationaliste. Un des éléments de cette théorie affirme que le Temple doit être reconstruit avant la parousie, à seule fin que l’antichrist s’y asseye, séduise Israël et se fasse adorer par lui comme Dieu.

Ce dogme est basé sur les prophéties de Daniel concernant la profanation du Temple par le roi grec Antiochus IV Epiphanès qui, à la demande d’une minorité de juifs apostats, membres du parti hellénisant qui prit le pouvoir à Jérusalem dans les années 60 du Ile siècle avant notre ère, profana le Temple et établit une statue de lui-même dans le Lieu Très-Saint, sous forme de Zeus, interdisant toute forme de religion juive et imposant l’adoration des idoles de la part du peuple d’Israël. Cette « abomination » provoqua une révolte des « Hassidim », c’est-à-dire des fidèles à l’Éternel, connue sous le nom de « révolte des Macchabées » qui, après 3 ans et demi d’une lutte inégale chassèrent les Grecs, purifièrent le Temple et rétablirent le culte divin.

Dans la Ile épître aux Thessaloniciens, au chapitre 2, Paul semble faire allusion à ces événements, en invoquant l’impie, l’adversaire qui s’élève contre tout ce que l’on appelle Dieu et qui va s’asseoir jusque dans le Temple de Dieu et se faire lui-même adorer comme Dieu. Notons que cette parole de l’apôtre suit une tentative de profanation du Temple par l’empereur fou Caligula, qui avait médité de dresser une statue de lui-même dans le Temple de Jérusalem. Fort heureusement, il mourut avant de pouvoir réaliser son projet, mais pour les juifs, l’alerte avait été chaude…

Cet incident eut lieu quelques années avant que Paul n’écrive son épître et peut-être l’apôtre y pensait-il en écrivant ces versets.

Le dispensationalisme en conclut que ce qui s’est passé en 167 avant Jésus-Christ se reproduira lors de la venue de l’antichrist, dont Antiochus Epiphane serait alors le type.

Il faut donc qu’un temple existe quand viendra l’antichrist et par conséquent, on attend avec impatience, dans ces milieux, « que les juifs reconstruisent le Temple », d’où l’intérêt que l’on prête aux « fidèles du Temple ».

La critique que l’on peut adresser à cette théorie est double : s’il est vrai que les prophéties de Daniel entrent dans la catégorie des « cycles prophétiques », cela ne veut pas dire forcément que les événements se reproduiront au détail près. Il faut plutôt y voir un schéma général. En ce qui concerne II Thess. 2, nous avons à faire à une prophétie obscure. Il est question d’un mystérieux personnage qui retient la manifestation de l’impie et d’un enseignement que Paul a diffusé oralement aux Thessaloniciens, mais qu’il ne répète pas, de sorte que nous en sommes réduits à des spéculations. En outre, à quoi Paul fait-il allusion quand, dans ce texte, il parle de « s’asseoir dans le Temple de Dieu. » ? De quel Temple s’agit-il ? Dans d’autres textes, Paul fait allusion à un Temple composé de « pierres vivantes » à l’instar de ce que l’on rencontre à Qumran, où il est aussi question d’un « Temple spirituel. ».

Que dit la Bible au sujet du Temple ?

De très nombreux textes qui évoquent la destruction du Temple annoncent aussi sa reconstruction, dans le contexte du grand retour au pays de la Bible et dans la perspective du rétablissement du Royaume messianique. Il est donc indiscutable qu’il y aura bel et bien un Sème Temple, mais la question est : quand ?

Les prophètes annoncent que cet événement sera contemporain de profonds bouleversements dans la nature elle-même. Ainsi, Ésaïe 2 et Michée 4 déclarent : « La montagne du Temple s’élèvera au-dessus de toutes les montagnes environnantes. », ce qui laisse présager de profonds bouleversements géologiques. Selon Ézéchiel, Joël et Zacharie, une source sortira alors de cette montagne et coulera en direction de l’est, par une faille qui se sera produite d’ouest en est, à travers le Mont des Oliviers. C’est un phénomène géologique difficilement concevable, dans la mesure où les montagnes d’Israël sont orientées Nord-Sud. Or, depuis 1937, à la suite d’un petit tremblement de terre qui eut lieu à Jérusalem, une faille est apparue dans la montagne des oliviers, précisément d’ouest en est… En outre, il y aurait à très grande profondeur, dans toute cette région, une énorme masse d’eau souterraine. Selon les prophéties, ce fleuve se jettera dans la Mer Morte, qui sera purifiée et deviendra un lac poissonneux à l’instar de la mer de Galilée, tandis que, tout le long de son cours, le désert de Juda deviendra fertile. On le voit, on est encore loin de cette situation qui, selon les prophètes, ne sera réalisée que lors de l’avènement messianique. Le Temple reconstruit alors, deviendra un lieu de pèlerinage obligé, non seulement pour le peuple d’Israël, mais pour toutes les nations qui, désarmées et pacifiées, se convertiront au Dieu d’Israël, en sorte que comme le dit le prophète : « Ma maison sera appelée une maison de prières pour tous les peuples ».

Où en sommes-nous aujourd’hui ?

Le gouvernement d’Israël est un gouvernement laïc qui n’envisage absolument pas la reconstruction du Temple. En 1967, lors de la Guerre des 6 jours, le ministre de la Défense, monsieur Moshé Dayan restitua aux Arabes le Mont du Temple qui venait de tomber aux mains des troupes israéliennes. Par ce geste, il signifiait qu’il était hors de question pour Israël de reconstruire le Temple.

De ce fait, le Temple, aujourd’hui, jouit d’une sorte de statut d’extra-territorialité au sein de l’État d’Israël et constitue une sorte de « Vatican arabe » administré par le Wakf (conseil religieux musulman) qui d’ailleurs, interdit à tout « infidèle » de venir prier à cet endroit et même d’y introduire des livres saints non musulmans… Toute remise en question de ce statu quo provoquerait une explosion sans précédent dans l’ensemble du monde musulman. On l’a vu d’ailleurs en l’an 2000, lors de la visite du Général Ariel Sharon sur le Mont du Temple et qui provoqua « l’intifada des mosquées » et plus récemment, lors de l’établissement de portiques de sécurité à l’entrée de l’esplanade. Auparavant, l’ouverture du « tunnel hasmonéen » le long du mur ouest de l’esplanade avait provoqué un véritable bain de sang et un incident international. Pour toutes ces raisons, le gouvernement israélien s’oppose farouchement à toute tentative de reconstruction du Temple.

Les fidèles du Temple

Il s’agit d’une organisation privée non officielle qui se propose essentiellement de préparer tout ce qui est nécessaire pour la reconstruction du Temple, lorsque l’heure viendra. Son porte-parole, Monsieur Jean-Marc Rosenfeld est formel : il est hors de question de reconstruire le Temple dans les conditions actuelles. Pour la majorité des rabbins, en effet, le Temple ne peut être reconstruit que par le Messie lui-même. C’est ce qu’affirme, notamment, le prophète Zacharie, qui déclare que Dieu fera approcher un homme du nom de Tsemah (la branche) et qui reconstruira le Temple de l’Éternel. La tradition juive voit dans cette expression un des noms du Messie. On en conclut donc que seul le Messie sera habilité à reconstruire le Temple. Le but des fidèles du Temple est de fournir au Messie tout ce qui lui sera nécessaire pour cette reconstruction du sanctuaire : les ustensiles, les vêtements des prêtres, les généalogies de ces derniers, l’huile d’onction et l’encens et même la vache rousse.

Jean-Marc Rosenfeld cite Maïmonide (célèbre rabbin du Moyen-âge), pour qui le Messie devra donner deux signes pour prouver qu’il est le Messie véritable. Israël a connu dans son histoire de nombreux faux messies. On n’en a crucifié aucun, car ce n’est pas un crime de se proclamer le messie… Par contre, il faut le prouver et pour cela donner deux signes : ressusciter les morts (ce qui, il faut l’avouer n’est pas à la portée du premier venu…) et reconstruire le Temple. Il est vrai que quelques rabbins sont beaucoup plus expéditifs et envisageraient une reconstruction du Temple dans des délais plus brefs, mais il s’agit d’une petite minorité sans réelle influence et qui font beaucoup parler d’eux ; chaque année, lors des fêtes d’automne, ils effectuent une cérémonie qui consiste à poser la première pierre du nouveau Temple. Souvent, des échauffourées s’ensuivent, notamment avec les Arabes, et la police intervient et disperse ces activistes. Il y a un certain nombre d’années, certains de ces extrémistes avaient même envisagé de faire sauter les mosquées pour faire place nette à la reconstruction du Temple !

On imagine sans peine ce qu’aurait été le résultat d’une telle profanation. Fort heureusement, les services de police israéliens eurent vent du complot avant l’irréparable et arrêtèrent leurs auteurs.

Pour Jean-Marc Rosenfeld, il existe une autre raison pour laquelle les hommes ne peuvent reconstruire le Temple :

C’est qu’il s’agit d’un lieu de paix, symbole de La paix.

Ainsi, David ne fut pas autorisé par Dieu à construire le Temple comme il le souhaitait parce qu’il avait été un homme de guerre et qu’il avait versé trop de sang. C’est son fils Salomon, dont le nom signifie le Pacifique, à qui est échu ce privilège. Le règne de Salomon fut un temps de paix, contrairement à celui de David.

Or, il est clair aujourd’hui qu’Israël n’est pas en paix ; ce ne peut donc être l’heure de la reconstruction du Temple.

Enfin, Jean-Marc Rosenfeld souligne que, dans ce nouveau Temple, contrairement aux deux premiers, il n’y aura pas de sacrifice sanglant. En effet, pendant le temps messianique, la nature pécheresse de l’homme aura disparu et par conséquent, les sacrifices d’expiation ne seront plus nécessaires.

D’autres rabbins, se basant sur les derniers chapitres d’Ézéchiel, sont d’un avis contraire et l’Institut du Temple fabrique des instruments en relation avec les sacrifices. Or, le Temple de la vision d’Ézéchiel est peut-être une vision idéalisée du 2e Temple et non du 3e. Beaucoup de détails de cette vision, en effet, ne sont pas réalisables concrètement. Il est donc difficile d’en tirer des conclusions certaines dans un sens ou dans un autre.

En résumé, même si le 3e Temple doit être reconstruit un jour, c’est loin d’être pour l’heure la priorité de la majorité du peuple d’Israël.

Il faut donc cesser de fantasmer à ce sujet, à cause d’une théorie qui est loin d’être prouvée. Se polariser sur ce sujet encore environné de mystère risque de nous détourner de l’essentiel. Dans l’état présent des choses, nul ne peut prédire avec précision ce qui va se passer et comment les choses vont se passer.

L’évolution globale du monde devrait être un souci infiniment plus préoccupant et il ne faudrait pas passer à côté de l’essentiel. Jésus lui-même s’est refusé à toute spéculation sur ce genre de sujet, ramenant ses interlocuteurs qui lui posaient des questions trop précises sur ce qui, pour Lui, était le plus important :

« SOYEZ PRÊTS EN TOUT TEMPS, PUISQUE VOUS NE CONNAISSEZ NI LE JOUR NI L’HEURE ! »


[À propos de l’auteur]

Jean-Marc Thobois est issu d’une longue lignée de pasteurs huguenots du Poitou, en France.

Il a étudié la Bible à Londres, puis l’histoire d’Israël et l’archéologie biblique à l’Université hébraïque de Jérusalem (1965-1967).

Spécialiste de l’hébreu, il a participé à la traduction de la « Bible à la Colombe ». Il a travaillé sur une nouvelle traduction intégrale de la Bible.

Jean-Marc Thobois a été pasteur de 1967 à 2004, principalement en Bretagne. Après 2004, il a exercé un ministère itinérant en France et à l’étranger, donnant des conférences, des séminaires et des enseignements sur la Bible, sur Israël et la prophétie.

Il était marié, père de trois enfants et grand-père de onze petits-enfants.

Le pasteur Jean-Marc Thobois est décédé dans la nuit du 13 au 14 mars 2020 au cours de la période où l’épidémie de Covid-19 s’est déclarée en France.

@tout le monde

https://www.associationkeren.com/




Dossier adrénochrome

L’adrénochrome, substance satanique qui consisterait à boire du sang de bébés torturés, n’existe pas, les médias en sont certains !

Toute personne normale ou naïve n’a jamais entendu parler de ce machin, ce qui est tout à fait logique.

Moi, pourtant complotiste diplômé, en avais entendu parler, mais je n’avais pas enquêté profondément.

TPMP1

Si je vous en parle aujourd’hui c’est suite à un invité sur TPMP dont l’intervention a fait grand bruit.

Celui-ci a non seulement affirmé que le « produit » ne relevait pas du mythe, mais qu’il était utilisé par des « grands » de ce monde. Cyril Hanouna a bien entendu mis fin extrêmement vite à l’émission lorsque le nom de Macron a été prononcé. Il y a depuis un tollé médiatique général pour dénoncer ces propos « complotistes et délirants » tenus à une heure de grande écoute sur une chaîne de la TNT.

Un produit chimique sans histoire !

Selon Wikipédia2, l’adrénochrome est un produit issu de l’oxydation de l’adrénaline. Point.

Je n’ai pas cherché à savoir ni pourquoi ni comment, cela n’étant pas le sujet du jour.

Un mythe ?

Le mythe voudrait que des satanistes (célébrités, maîtres du monde et autres détraqués), boivent du sang de glande pinéale de bébés préalablement longuement torturés avant d’être mis à mort. Le produit permettrait de rajeunir, mais serait aussi une puissante drogue extrêmement addictive au point que celui qui aurait goûté une fois au « nectar » ne pourrait plus s’en passer.

Ceci est totalement nié par toutes les publications mainstream et a fait l’objet d’un article sur factuel de l’AFP3. Note humoristique, ceux-ci ont affiché un énorme FAUX… en rouge sang.
Autre site faisant un fact-checking, mais en anglais (voir le lien4).

Mythe dont la genèse serait le film « Las Vegas parano » !

Selon la version officielle, les complotistes auraient fait de ce « délire » une « vérité » issue d’une scène du film. Dans cette scène, un des protagonistes prend de l’adrénochrome. Il n’est nullement question d’adrénaline oxydée comme c’est clairement dit dans le film. Nous pouvons entendre dans la version française :

« Glande provenant d’une opération sur un humain encore vivant. »

ou

« Il m’a proposé du sang humain disant que ce serait la plus grande défonce de ma vie. »
« Je lui ai dit que je préférais quelques centilitres d’adrénochrome pur. »
« Ce gars (qui a fourni la drogue) a été coincé pour viol sur mineurs. »

Vous pouvez voir la scène5 en question si vous le désirez.

Une présentation tout autre que celles de Wikipédia et autres doxas !

Selon un site aujourd’hui supprimé et dont il est encore possible de lire le contenu au 6 janvier 2019 grâce à Web archive :

« Le composé Adrénochrome (C9H9NO3) est synthétisé par l’oxydation de l’adrénaline, provenant du sang d’enfants humains. ADRENOCHROME est le produit le plus pur du marché, récolté dans des conditions strictement réglementées auprès de notre chaîne d’approvisionnement internationale d’enfants donneurs6. »

Et de préciser :

« Depuis des temps immoraux, le sang est lié à la jeunesse, à la vitalité et à l’immortalité. Le sang des enfants et des vierges, en particulier, a longtemps été converti pour ses propriétés vivifiantes — à la fois comme offrande sacrificielle et comme substance à boire rituellement. La mythologie et l’histoire vénèrent chacune les propriétés symboliques et matérielles du sang. Ils le dépeignent comme un élixir de vie, libéré au moment de la mort. L’effusion de sang, à la fois symbolique et rituelle, est inextricablement liée à l’acquisition de connaissances sur le salut, la vie éternelle et la relation de l’humanité avec le Divin. Outre sa dimension spirituelle, la nature viscérale du sang l’aligne sur la soif de pouvoir et de richesse sur notre plan terrestre. Les propriétés physiques et spirituelles du sang sont indiscernables, liées par le sang à travers un cycle de mort et de renaissance. L’histoire humaine est cyclique et le sang est le ciment qui relie tout. L’adrénochrome est le composé chimique de formule moléculaire C9H9NO3 synthétisé à partir de l’oxydation de l’adrénaline dans le sang. C’est un puissant élixir rajeunissant et psychotrope récolté à partir de la glande pinéale des enfants donneurs.

Alors que les niveaux élevés de consommation d’adrénochrome resteront limités aux échelons supérieurs de la société, le composé chimique sera enfin mis à la disposition d’une clientèle plus large via la pièce ADC7 »

Il nous est impossible de savoir si ce texte a été rédigé par des blagueurs, des fils de putes qui en font ou faisaient le commerce ou par des complotistes voulant donner vie à un mythe.

Une vidéo détaillant la pratique.

Il est possible de regarder (si elle n’a pas été encore censurée) cette vidéo de 1 h 57.
« Adrénochrome, l’autre nerf de la guerre8 » publié par Black Bond en janvier 2023.

Ici encore chacun sera libre de se faire sa propre opinion : Faits, délires, mélanges des deux ?

La vidéo est présentée ainsi :

« Dans cet épisode extrêmement riche, nous plongeons au cœur du business le plus important pour le culte satanique qui contrôle le monde. Ce business c’est celui de l’adrénochrome et de nos enfants. C’est un sujet qui est vaste et complexe, et vous allez voir dans cet épisode que les personnes qui gravitent autour de cette industrie, se donnent un mal fou, pour acquérir l’une des commodités les plus prisées au monde. »

On y parle :

« D’enfants torturés, violés assassinés puis consommés, offrande aux divers dieux. »
« De sang adrénalisé par la peur, une drogue dont ils ne peuvent plus se passer. »
« De culte pédophile dans tous les pans de la société. »
« Ils se servent de nos enfants pour assouvir leurs désirs les plus pervers. »
« On pourrait croire que ce cela relèverait du mythe comme cherchent à nous faire croire les factcheckers. »

Je ne prétends pas prouver quoique ce soit, mais poser des questions.
Un tel culte est-il crédible, plausible ou avéré ?

Le culte de la jeunesse

Le doute n’est pas permis. La vieillesse est présentée par la société comme une maladie et nous devons tout mettre en œuvre pour nous en protéger. « Vieux » est devenu une insulte. Il y a quelques décennies on commençait à l’être à partir de 50 ans, aujourd’hui traiter de « vieux » une personne de 70 ou 75 ans est inapproprié. Peut-être le sommes-nous après 80 ans, et encore !

La chirurgie esthétique

Le magazine 20 minutes9 nous dit : On découvre également que Josiane Balasko s’est faite refaire le nez, « pour éviter de vieillir en ressemblant à Coluche », que Véronique Sanson s’est faite lifter, qu’Axelle Red se fait injecter du Botox et que Ségolène Royal a opté pour un réalignement des dents.

Une obsession de la jeunesse éternelle

Basta media10 titrait en 2018 :

« Ces milliardaires et multinationales qui investissent dans la quête d’immortalité et de jeunesse éternelle. »
Et de préciser : « Des start-up se lancent dans des transfusions de sang de patients jeunes vers des personnes plus âgées dans le but de prolonger la vie. Des grandes fortunes ou des multinationales, comme Google-Alphabet, investissent dans des biotechnologies pour identifier les gènes de longévité et ralentir le vieillissement. D’autres mènent des expérimentations pour dupliquer le cerveau dans des machines. L’industrie de la cryoconservation — congeler un organisme en attendant un hypothétique remède contre la mort — connaît un succès grandissant. Tous partagent l’ambition transhumaniste : créer un être humain à la longévité décuplée, voire immortel. Sans aucune réflexion sur les conséquences sociales. Une enquête extraite de l’ouvrage Au Péril de l’humain, coécrit par Agnès Rousseaux, journaliste de Basta!. »

Le ton est donné !

Transfusions sanguines dans des cliniques suisses11

Certaines pratiques ne relèvent pas du délire complotiste quand bien même je les pense délirantes. Johnny Hallyday révélant le secret de sa vitalité : des séjours réguliers dans une clinique privée suisse spécialiste de la régénération, dont l’adresse lui avait été donnée par Zidane.

« C’est formidable. On vous enlève du sang, on l’oxygène et on vous le remet… Zidane y va deux fois par an et je le comprends… Selon les connaisseurs, le top du top est la Clinique La Prairie, à Montreux. Paul Niehans, fut en effet le pionnier la thérapie cellulaire. Une véritable cure de jouvence consistant en des injections de cellules fraîches prélevées sur le foie de fœtus de moutons. »

Nous avons là une démonstration qu’il existe un marché pour rester jeune.

Une base « scientifique » ?

Du sang de jeunes pour rajeunir

En 2014 Le Figaro Santé12 publiait un article « Les secrets de l’éternelle jeunesse se cachent dans le sang » :

« Une expérience menée sur des souris ravive la discussion scientifique autour du rajeunissement. Cette étude montre que la transfusion de sang de souris jeunes rajeunit les organes de plus vieux rongeurs. »
« En reliant les systèmes sanguins d’une souris jeune et d’une plus âgée, Rando et son équipe avaient déjà noté un rajeunissement des muscles et du foie de la vieille souris. » « Nous avons observé que les vieilles souris à qui avait été administré du plasma de jeunes souris pouvaient repérer plus facilement la plate-forme cachée et commettaient moins d’erreurs en la cherchant, raconte le Pr Villeda »
« La prochaine étape sera de passer à des expérimentations chez l’homme pour vérifier l’innocuité et l’efficacité de l’élixir de jouvence identifié chez les souris »

Des produits à base de cellules de fœtus avortés

Cette fois-ci c’est Le Parisien13 qui nous éclairait.
Vous noterez que je prends soin de citer des sources non complotistes !

« Un antirides à base de fœtus humain. »
« Une crème antirides commercialisée aux États-Unis est fabriquée à partir des cellules d’un fœtus humain provenant d’un avortement. Ce qui provoque la polémique outre-Atlantique. »

J’espère que vous comprenez pourquoi la société est si encline à promouvoir l’avortement, c’est un marché titanesque.

Il existe donc une base plus ou moins scientifique qui prouverait que le sang de personnes jeunes et les cellules de fœtus permettraient de se protéger de la vieillesse ou même de rajeunir.

Des enfants disparus ?

Si vous voulez produire de l’adrénochrome, il va vous falloir de la « matière première » !

Le monde est à ce point « merveilleux » qu’il n’existe aucun fichier, aucune statistique officielle sur les enfants disparus et non retrouvés. Et je vous parle ici uniquement des pays riches et développés.

« En 2017, 1328 disparitions inquiétantes d’enfants ont été signalées14 ».

Je ne sais pas ce qu’ils pensent par « inquiétantes ».

« Ce chiffre de disparitions inquiétantes grossit année après année : en 2016, on n’en comptabilisait que 687, contre 1328 en 2017. »
« Cela pourrait vouloir dire que les forces de l’ordre ont tendance à être plus vigilantes, à ne pas tout de suite penser à une simple fugue, et donc à lancer des recherches de plus grande ampleur », analyse Anne Larcher. »
« Nous aimerions être capables de créer un fichier qui nous en dirait plus. »

Le Bien Public précise :

« Ces enfants disparus et jamais retrouvés15 »
« Environ 400 disparitions inquiétantes de mineurs par an sont signalées. Très peu d’enfants disparaissent sans laisser aucune trace. Les associations réclament la création d’un fichier qui n’existe pas. »

En Suisse ce n’est pas mieux :

Selon la fondation Missing Children16 :

« Toutes les 2 minutes, un enfant est porté disparu sur le territoire européen. »

Bien entendu, une écrasante majorité est retrouvée, néanmoins :

« No data, no problem! » On pourrait le croire, mais la réalité quotidienne de Missing Children Switzerland et les dernières disparitions d’enfants en date ont démontré que notre pays n’échappe pas au phénomène. De plus, notre système en la matière est lacunaire, à l’image de l’Alerte Enlèvement qui n’a jamais été déclenchée. Le manque de volonté des autorités helvétiques et la particularité du système fédéral font que nous n’avons toujours pas de statistiques officielles sur la disparition des mineurs en Suisse. C’est pourquoi nous travaillons sans relâche à obtenir ces chiffres. Les autorités comme les habitants doivent réaliser que la Suisse n’est pas épargnée par la problématique des disparitions d’enfants. Sans l’appui de statistiques officielles, ce phénomène reste invisible.

L’association précise :

« En Inde, près de 96 000 enfants disparaissent chaque année. »

Vous pouvez imaginer que la police ne passe pas des années à essayer de les retrouver.

Si vous arrivez à m’expliquer pourquoi ces données (faciles à mettre en œuvre) n’existent pas, ce serait avec plaisir !

Il y a donc de la « matière première », des enfants disparaissent chaque année dont certains ne sont jamais retrouvés et cela ne semble pas une préoccupation première.

Des réseaux pédophiles ?

Pour faire simple, en France ou en Suisse cela ne semble pas ou peu exister, sans doute une exception liée à la « bonne santé mentale des citoyens » ?

Le pédophile français semble donc très solitaire et égoïste, il n’aime pas partager.

Dans Heidi News17 nous pouvions lire en 2020 :

« Les réseaux pédophiles au cœur des thèses complotistes. »

« Des enfants seraient enlevés dans le monde entier et donnés en pâture aux élites : voilà la théorie cardinale des complotistes, mystérieusement incarnée à Genève par le cas « Marco » (prénom modifié). »

Je précise que le slogan du journal est « Le journalisme de précision qui répond à vos questions »

France-Inter18 en 2021 :

« On ne mesure pas forcément l’importance que peut avoir la pédocriminalité dans les fantasmes complotistes. Elle y tient une place particulière pour plusieurs raisons. »

Ou le site Debunkers19

« L’étrange obsession des complotistes pour les pédophiles. »

Je pourrais en citer pendant des pages.

Mais en Allemagne20 c’est peut-être une autre paire de manches.

En 2021 « Allemagne : un réseau pédophile de plus de 400 000 membres démantelé. »

« Après de longs mois d’enquête sur le darknet, la police a annoncé lundi 3 mai être venue à bout de ce réseau, considéré comme l’un des plus grands du monde

On a quand même de la chance en France d’être à l’abri de plein de trucs.

Sans parler de l’affaire Epstein que les médias français n’ont pas réussi à masquer totalement.

« Lors d’une conférence de presse mercredi, Denise George a indiqué avoir ordonné une enquête sur Jeffrey Epstein peu après sa prise de fonctions, en mai 2019. Celle-ci a montré que le financier avait organisé un « vaste réseau de traite d’être humains, et d’abus sexuels de jeunes femmes et de mineures ici, aux îles Vierges21 ». »

Il y a donc des pédophiles, des réseaux pédophiles et des personnes haut placées qui en goûtent, n’en déplaise à nos médias corrompus.

Des gros tarés ?

Si vous voulez des personnes qui boivent le sang de glandes pinéales de bébés ou d’enfants torturés et violés, il nous faut de sacrés malades mentaux.

Michel Bouffioux22 a écrit

« Ces criminels psychopathes qui ne sont pas resocialisables. »

« Quelle est la prévalence de la psychopathie dans la société ? »

« Cela représente environ 0,5 % à 3 % de la population générale. Mais tous les psychopathes ne sont pas violents physiquement. Il y a aussi des tricheurs, des fraudeurs, des menteurs pathologiques… Il y en outre des « psychopathes sociaux ». Ce sont des personnes totalement dénuées d’empathie, comme leurs alter ego qui se trouvent internés ou emprisonnés, sauf qu’elles parviennent à s’insérer dans la société en exerçant leur violence de manière sournoise, voire en l’utilisant comme un outil de pouvoir, de manipulation et de domination. »

« Il s’agit de personnes qui n’hésitent pas à en écraser d’autres dans le milieu professionnel et familial, avec une absence totale de remords et un recours permanent à la manipulation et au mensonge. N’ayant pas accès à leurs émotions, elles sont étrangères à tout sentiment de culpabilité et incapables de s’inscrire dans la perspective d’autrui. »

« Ces psychopathes souffrent-ils eux-mêmes de leur état mental ?
Nullement. Des recherches montrent qu’ils sont plutôt protégés de maladies comme la dépression. Il ne s’agit certainement pas de personnes anxieuses. »

Des tarés violeurs de bébés et/ou qui les torturent ?

Voici quelques titres de la presse :

  • « Vendée : Un père jugé pour le viol de son bébé de quinze jours23. »
  • « Les parents du bébé violé et décédé ont été mis en examen24. »
  • « Un homme âgé de 23 ans a été mis en examen pour le viol d’un nourrisson de 5 mois25. »
  • « Le père de famille de 34 ans repéré sur le darknet pour la consultation de sites pédopornographiques. En garde à vue, il a avoué le viol d’un de ses enfants26 (10 mois). »
  • « Bébé torturé et tué à Lunel : le couple a refait ses terribles gestes27. »
  • « Six personnes jugées pour “torture et barbarie sur un enfant de deux ans28. »
  • « Trafic d’organes : double énucléation d’un enfant en Chine29. »
  • « Une opération coordonnée par INTERPOL ciblant le trafic de migrants et la traite d’êtres humains a donné lieu à 121 arrestations dans 25 pays, déclenchant 193 nouvelles enquêtes. Les autorités ont lancé l’offensive contre des groupes criminels organisés soupçonnés de faire franchir des frontières à des hommes, des femmes et des enfants asiatiques à des fins d’exploitation et/ou de profit30. »

Vous en voulez encore ou j’arrête ?

Des sacrifices d’enfants au 21e siècle ?

Vous allez penser que j’ai fumé la moquette.

« Ce type de pratique remonte à la préhistoire ou aux Incas. »

Pourtant ce n’est pas moi, mais RFI31 qui l’affirme :

« Chaque jour, les journalistes de The Punch publient des faits divers plus stupéfiants les uns que les autres. Les “cultistes” y ont la part belle. Ce sont des individus qui recherchent des victimes pour pratiquer des sacrifices humains afin d’assurer leur succès dans les affaires ou en politique. »

« La découverte en mars 2014 d’un vaste charnier consacré aux sacrifices humains ou à l’utilisation des restes humains à des fins de magie noire à Ibadan (grande ville située à 130 kilomètres de Lagos) a semé l’émoi dans les populations. Cette affaire révélée par The Sunday Tribune a fait grand bruit : outre les cadavres démembrés et les crânes, des prisonniers enchaînés et affamés ont également été retrouvés par la police. »

Ah, mais, suis-je bête, c’est en Afrique, les occidentaux, eux, sont civilisés !

« États-Unis : une sataniste de 19 ans avoue “au moins” 22 meurtres32. »
« La police enquête sur le meurtre de quatre Américains aux corps démembrés33. »

Alors existe-t-il des rituels mettant en œuvre l’adrénochromie ?

Témoignages, preuves ?

Si cette pratique existe, vous comprendrez bien qu’elle ne peut être pratiquée par un individu seul. Il faut un réseau pour se procurer des enfants et pour faire disparaître les corps. Des complicités dans le monde judiciaire, politique, médiatique, etc. sont indispensables dans les plus hautes sphères, l’affaire Epstein en est une illustration. Il n’y qu’à voir comment les médias mainstream balayent non seulement l’adrénochrome, mais aussi les réseaux pédophiles. Karl Zéro34 se fait cracher dessus par tous les médias depuis des années.

L’affaire Hampstead35 :

En Angleterre, année 2014, deux enfants de 8 et 9 ans, Alisa et Gabriel Dearman dénoncent des (et leurs) viols d’enfants et des crimes rituels de bébés. Fait exceptionnel, il est possible de visualiser (en anglais que l’on peut mettre en français avec la traduction automatique) les interrogatoires de plusieurs heures des enfants diffusés par la police. Alisa décrit avec froideur, moult détails et méthode comment les enfants étaient violés et les bébés assassinés.

Les vidéos sur le sujet sont disponibles sur le groupe Docus qui Dérangent36.
Par la suite les enfants se rétracteront et diront qu’ils ont tout inventé. Je vous laisse juge de la crédibilité de ce retournement de situation.
L’affaire s’est terminée sur la BBC37 avec une interview « émouvante » de ce « pauvre père en larmes faussement accusé d’avoir violé et prêté ses enfants » sous la bienveillance de la journaliste.

« Il n’y avait donc pas de réseau pédophile satanique à Hampstead ! »

Nous avons de source sûre (mainstream) :

  • Une pratique de sacrifices de bébés largement décrite (mais non prouvée).
  • Un culte de la jeunesse, mais aussi de l’immortalité dans la société.
  • Des célébrités et des gens riches prêts à tout pour le demeurer.
  • Une base « scientifique » sur les « vertus » du sang de jeunes et des cellules d’embryons.
  • Des milliers d’enfants disparus chaque année qui ne réapparaissent jamais.
  • Des réseaux pédophiles impliquant des puissants de ce monde.
  • De vrais psychopathes comme dans les films.
  • De la traite d’humains.
  • Des trafics d’organes sur personnes encore vivantes.
  • Des bébés torturés.
  • Des violeurs de bébés.
  • Des rituels de sacrifices d’humains au 21e siècle.
  • Des témoignages réfutés.

Et les médias dans leur ensemble SAVENT que des sacrifices d’enfants torturés
dans le but de boire le sang de leur glande pinéale n’existent pas !

Il ne sont pas à dire que cela n’a jamais été prouvé, non, ils SAVENT que c’est faux et affirment que l’adrénochromie n’existe pas et relève uniquement de délires complotistes si possible antisémites !

Le Parisien38 résume admirablement bien la situation :

« Une théorie complètement fantaisiste, mais tenace sur les réseaux sociaux. »

Je ne résiste pas au plaisir de vous citer leurs conclusions, comme quoi on peut même rire avec des sujets horribles :

« L’adrénochrome n’est pas un médicament, il ne possède pas d’AMM (Autorisation de Mise sur le Marché), et n’a donc pas d’utilisation médicale », insiste Bernard Basset.

Imparable, comment voulez-vous ensuite que des malades mentaux satanistes l’utilisent alors qu’il n’a pas d’AMM ?!

À moins que les labos n’aient torturé des bébés puis testé si le sang de leur glande pinéale devenait addictif ? Il faudrait leur demander.

Je reste sans voix devant de telles démonstrations !

Merci

Alain Tortosa39.
11 mars 2023
https://7milliards.fr/tortosa20230311-adrenochrome-mythe-ou-pas.pdf





Sang d’enfants et adrénochrome : la parabiose hétérochronique est une pratique de gens riches

[Source : medias-presse.info]

Par Pierre-Alain Depauw

Jeudi soir, dans l’émission Touche Pas à Mon Poste de Cyril Hanouna, l’ancien dealer Gérard Fauré, connu pour avoir affirmé qu’Eric Dupont Moretti était l’un de ses meilleurs clients à qui il fournissait de la cocaïne, était invité pour commenter l’affaire Palmade. Gérard Fauré est rapidement passé à des sujets plus délicats comme l’adrénochrome et les sacrifices d’enfants. Selon les propos de Gérard Fauré, des sacrifices d’enfants sont pratiqués pour transfuser du sang de jeunes enfants à des personnalités richissimes en quête de cure de jouvence d’un genre particulier. Le micro de Gérard Fauré a été coupé quand il a commencé à parler de Macron et l’émission s’est terminée dans la confusion générale. Depuis, un torrent de critiques s’abat sur cette émission accusée d’avoir exposé des théories « complotistes » et « antisémites ». Un classique.

Il reste à essayer d’y voir clair. L’utilisation du mot adrénochrome pour évoquer une consommation de sang d’enfants a fait son apparition depuis plusieurs années. L’acteur Jim Caviézel (qui a incarné Jésus-Christ dans le film La Passion) a explicitement évoqué le fait que des gens de Hollywood consommaient de l’adrénochrome.

Une certaine confusion peut exister, qui facilite la critique, car l’adrénochrome est le nom donné à une substance chimique commercialisée en toute légalité et qui n’a pas de lien avec du sang d’enfant.

Pour être précis, il faudrait parler de parabiose hétérochronique. Cette expression désigne bien l’utilisation de sang « jeune » pour servir de cure de jouvence. Une pratique jusqu’ici assumée par de nombreuses personnalités de la jet set sans qu’on se préoccupe trop de l’origine de ce sang « jeune ».

Regardez d’abord cet extrait d’une ancienne émission. Antoine de Caunes en parle ouvertement.

Une simple et rapide recherche permet de retrouver différents articles de la presse mainstream évoquant ce sujet.

Le magazine belge Le Vif parle même de « vampirisme médicalisé » pour évoquer la parabiose hétérochronique pratiquée par le milliardaire Peter Thiel « avide de sang ».

« S’il y a une chose qui excite vraiment Thiel, c’est la perspective de transfuser le sang de jeunes personnes dans ses propres veines », écrit le journaliste Bercovici qui avait réalisé une interview de ce milliardaire.

Suite à l’émission TPMP et aux propos de Gérard Fauré, le journal Le Monde a aussitôt dégainé les anathèmes destinés à clore le débat : ces théories sont complotistes et antisémites. Mais le même journal Le Monde a bien lui aussi évoqué précédemment, le 10 juin 2014 pour être précis, la parabiose hétérochronique.

Le journal Le Monde évoquait bien le sang comme « un élixir de jouvence » et les recherches menées sur les effets du « sang jeune ».

Le Monde écrivait bel et bien que « certaines stars du rock se sont laissées tenter par des transfusions pour rajeunir ».

Certes, Le Monde ne parlait pas de sacrifices d’enfants pour récolter ce sang « jeune ». Mais pourquoi serait-il loufoque ou antisémite de penser que les personnes voulant tester les effets de cet « élixir de jouvence » ne se fourniraient pas toutes par des circuits légaux. Ceux qui croient à cet « élixir de jouvence » voudront sans doute que le sang provienne de très jeunes enfants. Ce ne sont donc pas des voies légales qui vont permettre de l’obtenir.

Ajoutons qu’il existe suffisamment de faits avérés démontrant la participation de gens du monde des affaires, du spectacle ou de la politique à des activités et des rituels de type occultiste, maçonnico-sataniste.

Il est donc bien naturel que les Français réclament d’en savoir plus sur ces horreurs.




Les vérités bien cachées sur la guerre d’Ukraine orchestrée par les Khazars

[Source : numidia-liberum via profession-gendarme.com]

Par Biblicism Institute

La vérité sur le conflit avec la Russie. Et la mort imminente du dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale

 « En temps de guerre, la vérité est si précieuse, qu’elle doit toujours être protégée par un rempart de mensonges. »

Winston Churchill

Le conflit actuel entre les États-Unis et la Russie est dû à une raison simple : les Ashkénazes, également connus sous le nom de Juifs ashkénazes. Ils ont de nombreux comptes à régler avec la Russie.

[Note de Joseph : Tant que l’Humanité se polarisera sur le corps, sur la personnalité et/ou sur la prétendue « race » au détriment de l’esprit ou de l’âme, les conflits existeront.
D’un point de vue eschatologique, la destinée de l’Humanité est de sortir du matérialisme qui d’après plusieurs traditions découle d’une influence non humaine, celle des dieux serpents, des démons, des dragons ou encore des anges déchus. En termes plus modernes ou ufologiques, on parle plutôt d’entités intraterrestres ou extraterrestres, comme des Reptiliens ou des Dracos. Le chef de tels êtres a été désigné comme étant le roi ou le prince de ce monde, et dénommé Satan, Lucifer ou le Diable par les chrétiens. Et bien entendu, s’il est réel, l’Humanité abandonnée à elle-même n’aura quasiment aucune chance de se libérer tant et aussi longtemps qu’une masse critique d’êtres humains ne transcendera pas sa nature animale pour atteindre sa dimension divine ou bien sans le concours d’êtres hors du commun tels que le Christ si jamais il revient. Car notamment ce Satan joue sur l’orgueil, la peur de la mort, les désirs sexuels, le besoin de sécurité… des individus pour les éloigner de leur âme et en faire des psychopathes narcissiques, les meilleurs serviteurs humains qu’il puisse trouver. Et ces derniers ne se trouvent certes pas seulement parmi les élites ashkénazes ou khazares, même s’ils peuvent s’y trouver de manière plus concentrée qu’ailleurs parce que le prince de ce monde aurait jeté son dévolu sur cette branche humaine particulière. Aucune ethnie, aucune idéologie, aucune religion, aucun mouvement humain n’est à l’abri. Et des victimes des actes de tels individus alors coupés de leur dimension divine se trouvent partout.]

Vengeance 1

Permettez-moi de transmettre un peu de tableaux chronologiques alors que nous nous plongeons dans le fond du conflit.

Les Ashkénazes sont les descendants des Gentils (Goy) Ashkénazes, les Japhetites :

« Les fils de Japhet étaient Gomer, Javan… Les fils de Gomer : Ashkenaz, Riphath et Togarmah. » Genèse 10:2,3

« Par ceux-ci étaient les îles des Gentils divisées dans leurs terres ; chacun selon sa langue, selon sa famille, selon sa nation. » Genèse 10:5

C’est un peuple turc résilient et itinérant. Les Ashkénazes ont le don de se réinventer. Ils sont d’abord apparus dans les annales mondiales en tant que Scythes ou Sakadéens, selon la phonétique régionale, et ils étaient réputés notoirement barbares,

« En qui il n’y a ni Grec, ni Juif, ni Circoncision, ni Prépuce, ni Barbare, ni Scythe, ni esclave, ni libre ; mais Christ y est tout, et en tous.. » Colossiens 3 : 11

Le mot Scythe ou Sakadéen vient du mot Saka — avec sa racine verbale iranienne Sak, signifiant errer. L’Empire iranien, alors nommé Parthie et attenant à la Scythie, a influencé ce mot.

Les Scythes ont colonisé l’Eurasie centrale qu’ils ont conquise avec leur frère Gentil Togarmath et divers autres cousins, s’étendant sur une vaste étendue de terre qui englobait, mais sans s’y limiter, des parties de la Turquie et de l’Iran actuels. Leur frère Gentil, Riphath, ainsi que les descendants de leur oncle Javan se sont installés en Grèce.

Plus tard, ils se sont réinventés et se sont installés sur une terre qu’ils appelaient Khazaria — du mot Qasar, avec sa racine turque Qaz, signifiant errer — suite à l’éclatement de l’empire des steppes de la Turquie occidentale. Ensuite, le pays s’est converti en masse au judaïsme/pharisaïsme, entre 740 et 920 apr. J.-C., juste pour rester indépendant des deux empires concurrents de l’époque, le christianisme et l’islam.

« Le judaïsme était la religion qui faisait le plus de prosélytisme », a expliqué l’historien juif Shlomo Sand. « La conversion de masse la plus importante s’est produite au 8e siècle, dans l’immense royaume Khazar entre les mers Noire et Caspienne. »

(([1] Comment fut inventé le peuple juif
Antisionisme/antisémitisme : Shlomo Sand adresse une lettre ouverte à Macron, « inculte politique> »
L’Ancien Testament et le génocide))

Puis, Sviatoslav Ier de Kiev détruisit la Khazarie vers 1048 et l’absorba dans la Russie de Kiev, un territoire qui deviendra plus tard une partie de l’Empire russe.
Dans la Russie impériale, les Ashkénazes étaient étroitement contrôlés et enfermés dans la zone de résidence, qui, selon Wikipédia, « était une région occidentale de l’Empire russe avec des frontières variables qui existaient de 1791 à 1917 où la résidence permanente des Juifs était autorisée, et au-delà de laquelle la résidence juive, permanente ou temporaire, était pour la plupart interdite. »

Un traitement pour lequel les Ashkénazes — alias le peuple « Jamais oublier, jamais pardonner », sauf lorsqu’ils commettent eux-mêmes des crimes contre l’humanité — n’ont jamais disculpé la Russie.

Juifs ashkénazes khazars 1878

Attendant leur heure, ils ont nourri leur haine et comploté leur vengeance avec une nouvelle réinvention. Ils sont devenus le pouvoir derrière les odieux bolcheviks qui ont pris le contrôle du gouvernement russe dans les années 1910, tué 66 millions de chrétiens, dont 200 000 membres du clergé chrétien, et détruit 40 000 églises.(([2] Document le plus controversé de l’histoire d’Internet : L’histoire cachée de la mafia khazare incroyablement perverse
– « L’antisémitisme » en Union soviétique
Comment les juifs de Harvard pillent la Russie
En 1994, les juifs Chabad ont comploté pour exterminer les Slaves (partie 2)
Journaliste israélien : Les pires meurtriers du XXe siècle étaient Juifs !
La Clé du Mystère (Partie 4). LE COMMUNISME, MOYEN DE CONQUÊTE JUIVE
– Le rôle juif dans la révolution bolchevique
– LECTURE ESSENTIELLE. La Controverse de Sion
Les juifs russes considèrent les goyim comme leur propriété
– Poutine et ses juifs (partie 1)
Poutine et ses juifs (partie 2)
Que disent Jésus, Einstein, Voltaire, Soljenitsyne, Goethe, Liszt sur l’antisémitisme ?
Russie. Le « meurtre rituel juif » de la famille impériale russe
– Russie. Les atrocités inimaginables commises par les Juifs bolcheviques contre les Gentils : des preuves irréfutables.
Soljenitsyne condamne l’influence juive sur le peuple russe
Vladimir Poutine : « 80 à 85 % des bolcheviques au pouvoir en URSS étaient juifs. »))

Soljenitsyne avec Poutine

« Vous devez comprendre que les principaux bolcheviks qui ont pris le contrôle de la Russie n’étaient pas des Russes », a révélé le célèbre écrivain chrétien russe Alexandr Soljenitsyne. « Ils détestaient les Russes. Ils détestaient les chrétiens. Poussés par la haine ethnique, ils ont torturé et massacré des millions de Russes sans la moindre once de remords humains. Ceci ne doit pas être surestimé. Le bolchevisme a commis le plus grand massacre humain de tous les temps. Le fait que la majeure partie du monde ignore et ne se soucie pas de cet énorme crime est la preuve que les médias mondiaux sont entre les mains des perpétrateurs ».

La grande majorité de ces bolcheviks vicieux étaient des juifs ashkénazes tels que Vladimir Lénine, Léon Trosky, Lev Kamenev, Gregory Zinoviev, Yakov Sverdlov et Grigory Sokolnikov. Ils ont été financés par des banquiers ashkénazes de New York et de Londres(([3] STUPÉFIANT. La City de Londres, aux mains des juifs, est le centre mondial de blanchiment de l’argent sale)), tels que Rothschild Bank et Jacob Schiff of Kuhn and Loeb & Co. qui ont eux-mêmes défendu l’idéologie destructrice de l’ashkénaze Karl Marx, et ont trouvé rentable d’investir dans la conquête désastreuse de la Russie par les communistes, tout en gagnant des dollars dans le processus en pillant le pays via des agents bien placés qui seront plus tard connus sous le nom d’« oligarques ».

L’ensemble de l’empire soviétique russe s’est effondré en 1991. Ainsi, les Ashkénazes ont réussi à mettre la Russie à genoux.

Le Round 1 de la vengeance a ainsi été accompli.

Vengeance 2

La Khazarie chevauchait l’Ukraine et la Crimée

Aujourd’hui, la Russie est sous le feu des critiques pour le conflit en Ukraine. Un conflit déclenché par la néoconservatrice ashkénaze Victoria Nuland au département d’État américain, avec son mari ashkénaze Robert Kagan(([4] – La guerre sans fin : une juteuse affaire de famille (sioniste)
–  Une revenante : Victoria Nuland)) travaillant en arrière-plan via des organisations puissantes telles que Project for a New American Century, la Brookings Institution et le Council on Foreign Relations. L’ashkénaze George Soros a également contribué financièrement à la « révolution » ukrainienne de Maïdan.

« De nombreux participants aux manifestations » EuroMaidan « de Kiev étaient membres d’ONG financées par Soros et / ou ont été formés par les mêmes ONG dans les nombreux ateliers et conférences parrainés par la Fondation internationale de la Renaissance (IRF) de Soros et ses divers instituts d’Open Society. et fondations », a écrit William F. Jasper dans The New American. « L’IRF, fondée et financée par Soros, se vante d’avoir donné » plus que toute autre organisation donatrice « à la » transformation démocratique « de l’Ukraine. »

En d’autres termes, les Ashkénazes — ou les néo-et-vrais-cons [néoconservateurs] américains qui sont majoritairement juifs — aiguillonnent l’ours russe en excitant le chien américain. Le chien ne peut pas vraiment refuser de réagir parce que le groupe de pression juif AIPAC le tient par la laisse, soudoyant à la fois les républicains (Trump inclus) et les démocrates, qui ne sont que des putains politiques prêtes à trahir leur pays et à risquer la paix du monde. Et rappelez-vous, l’AIPAC est contrôlé par de puissants chefs d’entreprise américains ashkénazes. Découvrez comment les Juifs ashkénazes ont conquis l’Occident.

Leur seul but est de détruire à nouveau la Russie en allumant un incendie dans son ventre, l’Ukraine. Un incendie qu’ils prévoient de propager en Russie proprement dite par la guerre économique et militaire — un peu comme ce qu’ils ont fait à l’Allemagne avec le boycott économique de 1933 suivi d’un conflit militaire total. Pourquoi ?

1. Parce que la Russie a eu le culot de se relever de ses cendres encore chaudes induites par les Ashkénazes.

2. Parce que la Russie a eu la témérité d’arrêter leurs agents mafieux bien placés connus sous le nom d’« oligarques », dont beaucoup ont fui le pays vers l’Israël de l’apartheid(([5] Israël est un refuge sûr pour les escrocs juifs
–  Comment les pédophiles juifs se cachent de la justice en Israël
–  La Maffia israélienne. Trafic d’organes humains et Pédophilie
–  Les malfrats israéliens dépouillent des milliers d’Américains et d’Européens, grâce à des gouvernements complices
–  À quel point la guerre contre la Russie est-elle juive ? Soyons honnêtes sur ceux qui en font la promotion)), à partir duquel ils ne peuvent plus violer la Russie et voler ses ressources pour enrichir encore plus l’élite juive.

3. Parce que la Russie a eu l’audace d’entraver la guerre américaine contre la Syrie, qui a été orchestrée par l’AIPAC au profit d’Israël, un ignoble pays d’apartheid qui escroque encore et encore le peuple américain.

4. Parce que, comme l’explique David Sant, « la position de la Russie en tant que membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU avec droit de veto est une épine dans la patte de la bête atlantiste depuis la guerre froide. La volonté de la Russie d’utiliser son armée pour défendre ses alliés en Syrie, en Ukraine et en Arménie présente un facteur de risque incontrôlable pour l’hégémonie (sioniste) anglo-américaine. Ils ne peuvent pas le tolérer. La Russie a utilisé son veto au Conseil de sécurité à plusieurs reprises pour bloquer le bellicisme américain. »

5. Parce que la Russie menace la domination juive ashkénaze du dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale et émise par la Réserve fédérale contrôlée par les juifs : un monopole que la Russie est en train de défaire avec sa réémergence mondiale inattendue, en particulier en Europe, en Asie et au Moyen-Orient où le commerce avec la Russie contourne le dollar américain. Un tel retour de l’ours russe est quelque chose que l’élite juive essaie d’empêcher depuis la dissolution de l’Union soviétique. Ils ont été implacables dans leurs efforts pour maintenir le pays en érigeant des murs économiques et, plus tard sous Poutine, des sanctions paralysantes pour empêcher un tel scénario. Anuradha Chenoy explique :

« … Le gouvernement des États-Unis, en tant qu’émetteur de la monnaie de réserve mondiale, ne s’intéresse qu’à une chose : la prolifération du dollar américain. Ce seul fait est tout ce qu’il faut saisir pour vraiment comprendre la politique étrangère américaine.

Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Cela signifie que le gouvernement américain, en collusion avec la Réserve fédérale, a la capacité d’imprimer le dollar américain à volonté… et peut exporter son inflation vers le reste des nations du monde. Toute nation qui souhaite s’engager dans le commerce international, y compris l’achat de matières premières telles que le gaz naturel ou le pétrole, doit maintenir d’énormes réserves de dollars américains pour ses achats.

Le monde, en effet, agit comme une éponge pour absorber l’inflation américaine, permettant au gouvernement américain d’accumuler des déficits obscènes qui permettent un budget militaire massif et enrichissent une très petite partie de la population américaine au détriment non seulement de la population mondiale, mais aussi de la classe ouvrière américaine.

Quant à toute nation qui veut se libérer du dollar américain, nous ne savons que trop bien ce que les États-Unis lui réservent… C’est là qu’intervient la Fédération de Russie. Si l’on veut vraiment comprendre pourquoi l’establishment américain déteste la Russie sous Vladimir Poutine, il suffit de comprendre le rôle du dollar dans le monde. La Russie est une menace directe pour la prolifération du dollar américain.

Pour sa part, la Fédération de Russie est devenue assez résiliente au cours des 20 dernières années et beaucoup moins sensible à toute pression ou influence extérieure… La Russie est une nation souveraine qui n’est pas intimidée par les États-Unis.

Les États-Unis ne peuvent pas simplement lancer une frappe militaire contre la Fédération de Russie comme ils l’ont fait en Irak et en Libye et dans de nombreux autres pays qui ont rejeté l’hégémonie du dollar. La Russie a désormais le pouvoir d’empêcher la prolifération du dollar américain. Pour revenir à l’analogie de l’éponge : la Russie réduit la taille de l’éponge. Cela laisse le gouvernement américain avec un nombre de plus en plus petit de pays vers lesquels exporter l’inflation en dollars. Plus l’éponge devient petite, plus la politique étrangère américaine devient désespérée, alors que les dirigeants américains essaient par tous les moyens de préserver leur emprise sur la puissance mondiale… »

…. Tout cela au profit d’une petite élite juive et de leur pays d’apartheid qui leur sert de refuge au cas où les choses cesseraient soudainement d’aller dans leur sens. L’apartheid israélien n’existe pas en tant que foyer pour tous les Juifs à cause du soi-disant antisémitisme mondial, comme ils le prétendent, mais c’est :

a) le protecteur de la Réserve fédérale contrôlée par les Juifs — l’agence d’espionnage d’Israël, le Mossad, espionne les politiciens américains et les fait chanter avec leur linge sale, en même temps que l’AIPAC les soudoie sans vergogne, assurant ainsi la domination juive sur le dollar américain, la monnaie de réserve actuelle du monde ;

b) l’exécuteurchargé de détruire tout pays qui refuse d’utiliser le système financier judéo-américain et son dollar fiduciaire comme principal outil de commerce ;

c) le sanctuaire pour les criminels élitistes juifs — en particulier lorsqu’il y aura une véritable révolution américaine, similaire à ce qui s’est passé en Russie sous Poutine, qui cible les oligarques juifs détruisant l’économie américaine pour s’enrichir.

Par conséquent, parce que la Russie est une menace pour l’emprise de l’élite juive américano-ashkénaze sur le pouvoir mondial, elle est ciblée. Et ce qui suit a été lancé :

1) une guerre économique de la terre brûlée contre le pays afin de le détruire intérieurement ;

2) l’OTAN empiétant sur les frontières de la Russie, contrairement aux accords précédents, pour mieux lui faire la guerre dans un futur proche ;

3) les dirigeants juifs ukrainiens et leurs bataillons néonazis commettant des crimes de guerre et le nettoyage ethnique des Russes dans la région ukrainienne du Donbass en quête d’indépendance, qui est habitée principalement par des Russes, afin d’inciter la Russie à une opération militaire pour protéger ses compatriotes russes là-bas, puis les vilipender et imposer des sanctions économiques plus paralysantes.

La vengeance Round 2 est en cours.

Vengeance 3

Après la destruction de la Khazarie, un grand nombre d’Ashkénazes se sont dispersés à l’Est et à l’Ouest à travers l’Europe et se sont réinventés en tant que Juifs errants ou Juifs errants (Khazars/Sakadéens ou Scythes). Cette étiquette n’avait rien à voir avec un désir de Palestine, mais un désir de Khazarie ou peut-être un désir d’une nouvelle terre, n’importe quelle nouvelle terre. Voici un extrait de Wikipédia :

« En 1903, Theodore Herzl a présenté le programme de l’Ouganda britannique [comme foyer juif] au sixième congrès sioniste à Bâle.

À la fin des années 1930, la Ligue sioniste britannique a envisagé un certain nombre d’autres endroits où une patrie juive pourrait être établie. La région de Kimberley en Australie a été envisagée jusqu’à ce que le gouvernement Curtin (en fonction : 1941-1945) rejette la possibilité.

Avec le soutien du Premier ministre de Tasmanie de l’époque, Robert Cosgrove (en poste depuis 1939), Critchley Parker proposa une colonie juive à Port Davey, dans le sud-ouest de la Tasmanie. Parker a arpenté la région, mais sa mort en 1942 a mis fin à l’idée.

L’oblast autonome juif créé dans l’Extrême-Orient russe en 1934 représentait une approche soviétique pour fournir une patrie juive. »

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, un grand nombre se sont assimilés à contrecœur dans toutes les Amériques. Cependant, la grande majorité a émigré en Palestine où ils ont créé de nombreux groupes terroristes tels que Irgun, le Stern gang, et Haganah.. Ils ont terrorisé la population palestinienne, tué des milliers de personnes et forcé des centaines de milliers de personnes à quitter leurs maisons et à se réfugier dans les pays arabes voisins. Par conséquent, ils ont volé la Palestine et l’ont rebaptisée Israël afin de se réinventer en tant qu’Hébreux et tromper les chrétiens crédules en Occident.

« Il est certain qu’il n’y a pas de continuum ethnique ou racial entre les israélites bibliques et les Khazars (ashkénazes) qui dirigent l’État juif », a écrit Gilad Atzmon, écrivain et musicien juif.

Dans leurs pays d’adoption en dehors d’Israël, y compris les États-Unis et l’Europe, les Ashkénazes sont devenus des puissances financières et influentes, non pas parce qu’ils sont juifs — au fond, la majorité d’entre eux ne sont vraiment pas religieux du tout et s’en fichent — mais parce que ce sont des rapaces avisés. Ils ont beaucoup appris de leur errance à travers l’histoire. Ce sont les ultimes nomades.

Était-ce dans l’esprit de Poutine ?

Se pourrait-il qu’après deux échecs idéologiques successifs sous les formes du communisme et la destruction actuelle au ralenti du sionisme en Israël, quelque part au plus profond de l’esprit des dirigeants ashkénazes purs et durs se trouve un plan pour une nouvelle réinvention ?

Cette réinvention sera-t-elle la reconquête de leur Khaganat Khazar — une terre située au plus profond de la Russie et englobant l’Ukraine et la Crimée ? Est-ce pour cela que Poutine a soudainement rattaché la Crimée à la Russie ?

Se pourrait-il que le plan des Ashkénazes soit de reprendre et de réinstaller leur ancienne Khazarie après la chute probable de l’apartheid Israël ? Est-ce la raison pour laquelle le président dûment élu de l’Ukraine a été destitué de force en 2014 afin d’installer un gouvernement fantoche avec un nouveau Premier ministre nommé Arseni Iatseniouk, qui, selon The Guardian, essayait de cacher ses racines juives ?

Arseni Iatseniouk a ensuite été remplacé par un autre Juif, Volodymyr Groysman, avec un président juif sniffeur de coke [une tantouse idole des télévisions occidentales] Volodymyr Zelensky, un comédien cochon et grossier (voir la vidéo ci-dessous), qui aurait été « élu » (qui a volé 850 millions de dollars au Trésor ukrainien) ; faisant ainsi de l’Ukraine à ce moment-là le seul pays au monde, en dehors d’Israël de l’apartheid, dont le président et le Premier ministre étaient tous deux juifs, indiquant ainsi la direction vers laquelle le pays se dirigeait. D’ailleurs, Zelensky ne s’en cache pas, il a déclaré :

« L’Ukraine deviendra le Grand Israël ».

[Comment Zelensky, à gauche, joue du piano]

Wayne Madsen explique la conspiration derrière ce concept ukrainien du Grand Israël :

« L’histoire explosive du Times of Israël sur les racines khazares des Ashkénazes a également révélé qu’Israël, sachant qu’un État palestinien est inévitable, compte tenu de la pression croissante de l’Europe, se prépare à transférer des colons ashkénazes de Cisjordanie en Ukraine. Les recherches avancées d’Israël en génétique ont abouti à l’établissement d’une lignée ADN directe entre les Ashkénazes d’Israël et les Khazars qui ont été dispersés à travers l’Europe centrale et orientale après que la Russie a conquis l’empire khazar au 11e siècle…

En Ukraine, le soi-disant “deuxième Israël” (le magnat milliardaire juif ukrainien), Ihor Kolomoisky et Kiev ont enrôlé un certain nombre d’anciens membres des Forces de défense israéliennes dans leurs bataillons de volontaires, y compris le bataillon (nazi) Azov. L’une des unités israéliennes est connue sous le nom de “Casques bleus de Maïdan” et est commandée par un Israélien utilisant le pseudonyme “Delta”. Si Israël n’avait pas intérêt à étendre son influence en Ukraine, il pourrait facilement empêcher ces unités de se rendre en Ukraine…

Certains russophones du Donbass se méfient des intentions des pro-israéliens au sein du gouvernement de Kiev. Curieusement, Kolomoisky a recruté un certain nombre de néonazi de l’ouest de l’Ukraine et d’Europe pour combattre dans ses bataillons dont les organisations de droite ont toujours souscrit à l’idée d’une future “bataille royale” entre la Russie et les restes de la Khazarie en Israël, en Ukraine, en Pologne et dans la République de Géorgie pour venger la défaite de la Khazarie au XIe siècle face à l’Empire russe. »

Il est tout à fait possible que les Israéliens ne soient pas seulement intéressés par la vengeance et la réinstallation des voleurs de terres juifs (c’est-à-dire des colons) de la Cisjordanie de Palestine dans une région du Donbass ethniquement nettoyée et exempte d’indigènes russes, en particulier lorsque l’establishment juif d’Israël a juré qu’il n’y aura jamais d’État palestinien, et encore moins d’expulser les voleurs de terres juifs des terres volées en Cisjordanie.

Leur plan ouvertement discuté pour que les voleurs de terres israéliens se « réinstallent » en Ukraine pourrait être une couverture pour le but plus néfaste de reconquérir l’ensemble de leur Khaganat Khazar où une grande partie de la population juive d’Israël de l’apartheid, en particulier ceux qui n’ont pas de double passeport de leurs pays d’origine, migrera une fois que la Grande Guerre éclatera au Moyen-Orient.

« En regardant en arrière dans l’histoire, il faut admettre que ces terres sont les anciennes terres ancestrales de la Khazarie juive, c’est-à-dire Israël, capturées par la Rus’ de Kiev (l’ancien État de Russie avec la capitale à Kiev) au Xe siècle », a pontifié il y a 25 ans le rabbin Menahem Mandel Schneerson, un aspirant Messie trompeur. « Les Slaves sont des hôtes temporaires sur ces terres et sont susceptibles d’être expulsés. Nous reviendrons sur ce territoire et construirons la Grande Khazarie — l’État juif — sur ces terres fertiles de la même manière qu’il y a 50 ans, nous avons créé Israël, en évinçant les Palestiniens. Les Israéliens s’installeront partiellement ici et nous chasserons le bétail slave loin au nord, au-delà de Moscou. Il y aura un petit Territoire du Nord, une réserve avec une population compacte — une réserve, comme les réserves indiennes en Amérique. »

Mais les Juifs ashkénazes seraient-ils d’accord avec juste l’Ukraine — moins la Crimée, le Donbass et le Sud (tous les territoires russes avant 1922, habités par des Russes de souche et récemment annexés à la Russie proprement dite par vote populaire) — comme nouvelle base à partir de laquelle ils projetteraient de détruire leur perpétuel ennemi russe, ainsi que tous les autres ennemis imaginaires, et de préserver leur emprise sur le système financier mondial en utilisant leur émission par la Réserve fédérale de dollars américains fiduciaires comme monnaie de réserve mondiale incontestée ?

Vengeance Round 3 ? Niet.
ET L’ARROGANCE S’ARRÊTE ICI

La cabale juive contrôlant le monde financier occidental pensait que la patience russe face à leur agression incessante en Ukraine pour déstabiliser leur pays était une faiblesse, et donc une erreur de calcul.

« C’est un fait qu’au cours des 30 dernières années, nous avons patiemment essayé de parvenir à un accord avec les principaux pays de l’OTAN concernant les principes d’une sécurité égale et indivisible en Europe », a déclaré Poutine en février 2022. « En réponse à nos propositions, nous avons invariablement été confrontés soit à des tromperies cyniques et à des mensonges, soit à des tentatives de pression et de chantage, tandis que l’alliance nord-atlantique continuait de s’étendre malgré nos protestations et nos inquiétudes. Sa machine militaire est en mouvement et, comme je l’ai dit, s’approche de notre frontière même. »

Maintenant, la Russie a agi, et après une longue hibernation, l’ours s’est réveillé avec fureur. Poutine a ordonné à son armée de libérer la région du Donbass des Ukronazis et de démilitariser et dénazifier entièrement l’Ukraine (c’est-à-dire que la région du Donbass sera coupée de l’Ukraine et deviendra indépendante tandis que l’Ukraine doit être ramenée dans l’orbite de la Russie et loin du contrôle juif).

Le Juif nazi-sioniste immoral :
le président ukrainien Zelensky,
Secteur Droit, au défilé de la « fierté gay »

« L’opération militaire spéciale du président Poutine pour défendre le peuple du Donbass contre une offensive générale imminente du régime néonazi de Kiev est non seulement pleinement justifiée en droit international par l’article 51 de la Charte des Nations Unies, mais elle est pleinement cohérente avec la praxis militaire et la doctrine de la légitime défense des États face à une menace imminente émanant d’un État voisin ou de forces ennemies », explique Heinz Dieterich, directeur du Centre des sciences de la transition (CTS) de l’Université métropolitaine autonome à Mexico et coordinateur du World Advanced Research Project (WARP).

Et si les conspirateurs sionistes/néocons et leurs politiciens occidentaux achetés et payés n’ont pas clairement compris le message, Poutine a fait cette déclaration sans équivoque :

« Je voudrais maintenant dire quelque chose de très important pour ceux qui pourraient être tentés d’interférer dans ces développements de l’extérieur. Peu importe qui essaie de nous barrer la route ou, a fortiori, de créer des menaces pour notre pays et notre peuple, ils doivent savoir que la Russie réagira immédiatement, et les conséquences seront telles que vous n’en avez jamais vu dans toute votre histoire. Peu importe comment les événements se déroulent, nous sommes prêts. Toutes les décisions nécessaires à cet égard ont été prises. J’espère que mes paroles seront entendues. »

« J’ai vu la prospérité des méchants… Leur force est ferme… L’orgueil leur sert de collier ; La violence les couvre comme un vêtement… C’est ainsi que sont les méchants — toujours sans souci alors qu’ils continuent d’amasser des richesses… Sûrement (Seigneur) Tu les places sur un sol glissant… Comme ils tombent soudainement et sont détruits, complètement emportés par des terreurs ! » Psaume 73:2,4,6,12,18,19

CONCLUSION : LA RUSSIE ET LE $ US

La Russie est dans le collimateur des barons voleurs juifs (alias les « élites » occidentales) depuis plus d’un siècle, et sa survie même dépend de sa capacité à repousser de toutes ses forces.

En fait, en affrontant les supplétifs néonazis ukrainiens formés par Israël de cette cabale juive satanique qui espère soumettre le monde et détruire le fondement chrétien de la civilisation occidentale, la Russie ne se bat pas seulement pour elle-même, mais pour l’Occident et toute l’humanité.

« La dictature des élites occidentales vise toutes les sociétés, y compris les citoyens des pays occidentaux eux-mêmes », a déclaré Poutine.

« C’est un défi pour tous. Ce renoncement complet à ce que signifie être humain, le renversement de la foi et des valeurs traditionnelles et la suppression de la liberté en viennent à ressembler à une “religion à l’envers” — le pur satanisme. Dévoilant de faux messies, Jésus-Christ a dit dans le sermon sur la montagne : “C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.” Ces fruits vénéneux sont déjà évidents pour les gens, et pas seulement dans notre pays, mais aussi dans tous les pays, y compris de nombreuses personnes dans le monde. Ouest lui-même. »

Avec une victoire de la Russie commencera la destruction du système financier par lequel cette mafia juive contrôle et influence le monde. Le Russe Andrei Bezrukov, membre du Présidium du Conseil de politique étrangère et de défense, est d’accord :

« Je veux dire que l’Occident a réussi à nous entraîner dans cette guerre. Peu importe comment nous avons essayé de résister, c’est leur victoire tactique. Ils ont réussi à heurter deux nations fraternelles l’une contre l’autre.

De cela, nous pouvons tirer la conclusion suivante — maintenant nous avons été pratiquement contraints, surtout après le dernier paquet de sanctions, dans une position où nous n’avons pas d’autre choix que de restructurer totalement notre économie, notre système financier et, en substance, notre politique intérieure.

Le fait est qu’en gagnant tactiquement et en réussissant à nous quereller avec le peuple ukrainien — la guerre, naturellement, est le niveau ultime de querelle — ils n’ont pas compris qu’en faisant cela, ils ont totalement détruit le système même qu’ils avaient construit dans le monde. Ce n’est pas encore visible, mais dans quelques mois, leurs chaînes financières coupées, leurs messages idéologiques brisés et leur système de sécurité brisé deviendront apparents. »

Bloomberg semble être du même avis et conclut comme suit :

« Expulser la Russie du système mondial critique — qui gère 42 millions de messages par jour et sert de bouée de sauvetage à certaines des plus grandes institutions financières du monde — pourrait se retourner contre lui, faisant grimper l’inflation, poussant la Russie à se rapprocher de la Chine et protéger les transactions financières de l’examen minutieux de l’Occident. Cela pourrait également encourager le développement d’une alternative SWIFT qui pourrait éventuellement nuire à la suprématie du dollar américain. »

Et lorsque le FMI se joint au chœur selon lequel les sanctions contre la Russie pourraient se retourner contre la position du dollar américain dans le monde, alors la situation devient vraiment grave.

« Le premier directeur général adjoint du FMI, Gita Gopinath, a averti que les sanctions occidentales contre la Russie, et plus précisément la confiscation des réserves libellées en dollars et en euros détenus par la Banque centrale russe, pourraient se retourner contre eux en rendant les autres banques centrales étrangères plus réticentes à détenir une si grande quantité de leurs propres réserves de change en dollars et en euros », a écrit Zero Hedge.

Prenant les choses d’un cran, Poutine a officiellement décrété qu’à partir du 1er avril 2022, la Russie n’acceptera que des roubles, de l’or ou des bitcoins comme paiement pour les exportations d’énergie vers des pays « inamicaux ».

« Si Poutine applique sa demande d’accepter uniquement les roubles, l’or ou le bitcoin pour les exportations d’énergie, le dollar perd instantanément une utilité significative dans le monde », a écrit Mike Adams. « Les pays qui souhaitent acheter de l’énergie à la Russie — qui comprend la plupart des pays européens — devront d’abord acheter des roubles, puis échanger des roubles contre de l’énergie. Cela donne aux roubles un soutien instantané aux matières premières… La dernière décision de Poutine menace l’avenir même de la monnaie dollar (fiat) et pourrait signifier le début de la fin pour le dollar. »

« Celui qui creuse une fosse y tombera et celui qui roule une pierre, elle retombera sur lui. » Proverbes 26:27


ADDENDA
Un rapide récapitulatif des sionistes ukrainiens

Par Pepe Escobar

Seuls les cerveaux morts à travers l’OTANstan — et il y en a des hordes — ne sont pas au courant de Maidan en 2014. Pourtant, peu de gens savent que c’est alors le ministre ukrainien de l’Intérieur Arsen Avakov, ancien gouverneur de Kharkov, qui a donné le feu vert à un groupe de 12 000 paramilitaires pour matérialiser des hooligans de football de la Sect 82 qui ont soutenu le Dynamo Kiev. C’est ainsi qu’est né le bataillon Azov, en mai 2014, dirigé par Andriy Biletsky, alias le Führer blanc, et ancien chef du gang néonazi des patriotes d’Ukraine.

Avec l’agent de l’OTAN Dmitro Yarosh, Biletsky a fondé Pravy Sektor, financé par le parrain de la mafia ukrainienne et milliardaire juif Ihor Kolomoysky (plus tard le bienfaiteur de la méta-conversion de Zelensky de comédien médiocre à président médiocre).

Il se trouve que Pravy Sektor était farouchement anti-UE — dites-le à Ursula von der Lugen — et politiquement obsédé par l’idée de relier l’Europe centrale et les pays baltes dans un nouvel intermarium sordide. Surtout, Pravy Sektor et d’autres gangs nazis ont été dûment formés par des instructeurs de l’OTAN.

Biletsky et Yarosh sont bien sûr des disciples de Stepan Bandera, collaborateur nazi notoire de la Seconde Guerre mondiale, pour qui les Ukrainiens purs sont proto-germaniques ou Scandinaves, et les Slaves sont Untermenschen.

Azov a fini par absorber presque tous les groupes néonazis en Ukraine et a été envoyé pour lutter contre le Donbass — leurs acolytes gagnant plus d’argent que les soldats réguliers. Biletsky et un autre dirigeant néonazi, Oleh Petrenko, ont été élus à la Rada. Le Führer blanc était autonome. Petrenko a décidé de soutenir le président Porochenko. Bientôt, le bataillon Azov a été incorporé en tant que régiment Azov à la Garde nationale ukrainienne.

Ils se sont lancés dans une campagne de recrutement de mercenaires étrangers — avec des personnes venant d’Europe occidentale, de Scandinavie et même d’Amérique du Sud.

Cela était strictement interdit par les accords de Minsk garantis par la France et l’Allemagne (et aujourd’hui de facto disparus). Azov a mis en place des camps d’entraînement pour adolescents et a rapidement atteint 10 000 membres. Erik « Blackwater » Prince, en 2020, a conclu un accord avec l’armée ukrainienne qui permettrait à son équipe renommée, Academi, de superviser Azov.

Ce n’est nul autre que la sinistre distributrice de biscuits Maidan, la virago Vicky « Fuck the EU » Nuland, qui a suggéré à Zelensky — tous deux, soit dit en passant, juifs ukrainiens — de nommer le nazi avoué Yarosh comme conseiller du commandant en chef des forces armées ukrainiennes, le général Valerii Zaluzhnyi. L’objectif : organiser une guerre éclair sur le Donbass et la Crimée — la même guerre éclair dont le SVR, les renseignements étrangers russes, a conclu qu’elle serait lancée le 22 février, propulsant ainsi le lancement de l’opération Z.

Tout ce qui précède montre qu’en Ukraine, il n’y a aucune différence entre les néonazis blancs et les al-Qaïda/ISIS/Daesh de couleur brune. Ainsi les néonazis sont tout aussi « chrétiens » que les takfiris salafistes djihadistes d’ISIS sont « musulmans ».

Lorsque Poutine a dénoncé une « bande de néo-nazis » au pouvoir à Kiev, l’humoriste (qui sait jouer du piano avec son sexe et qui sait danser en tenue cuir et avec des talons hauts, d’où son succès en Occident) a répondu que c’était impossible car il était juif. Absurdité. Zelensky et son patron Kolomoysky, à toutes fins pratiques, sont des sionistes.

Alors même que des branches du gouvernement des États-Unis admettaient les néonazis retranchés dans l’appareil de Kiev, la machine Exceptionnaliste (US) a tout simplement fait disparaître le bombardement quotidien du Donbass pendant 8 ans. Ces 14 000 victimes civiles n’ont jamais existé.

SOURCE : State of the Nation


NOTES de H. Genséric




Lockdown Files : le ministre de la santé britannique Matt Hancock a fait une plaisanterie sur les puces injectées aux vaccinés

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org]

NDLR : les Lockdown Files continuent de faire parler d’eux. Aujourd’hui, les réseaux sociaux se sont enflammés sur la plaisanterie de l’ancien ministre de la santé britannique, Matt Hancock, au sujet des « puces injectées aux vaccinés ». Alors qu’il discutait avec le conseiller spécial pour les médias du ministère de la Santé, Damon Poole, au sujet de l’éventuel soutien de Bill Gates sur la plateforme d’évaluation des nouveaux variants (NVAP), Matt Hancock a suggéré en plaisantant à son interlocuteur : « Dis-lui que vu le nombre de personnes à qui je fais injecter ses puces, il m’en doit une ! ». Le Telegraph, qui a publié l’information, s’est empressé d’interpréter la conversation comme une blague sur la « théorie du complot » selon laquelle le programme de vaccination était utilisé comme un moyen de contrôler la population mondiale en implantant des micropuces. Cependant, la plaisanterie pourrait être comprise de façon bien moins légère, au regard des nombreuses découvertes faites sur les nanotechnologies présentes dans les injections Covid. Chacun se fera son propre avis. Dans tous les cas, on a bien compris qu’ils attendent l’approbation de Bill Gates, ce qui en soi est déjà un élément incriminant et un aveu du rôle majeur joué par Bill Gates dans la plandémie.


Publié par The Telegraph, le 5 mars 2023

Matt Hancock fait une blague sur la conspiration de Bill Gates sur le Covid

L’ancien ministre de la santé s’est moqué d’une théorie farfelue lorsqu’il a parlé d’obtenir le soutien d’un milliardaire de Microsoft.

Matt Hancock a plaisanté en disant que Bill Gates « m’en doit une » vu « le nombre de personnes à qui je fais injecter ses puces ».

Le secrétaire d’État à la santé de l’époque espérait obtenir l’aide du milliardaire de Microsoft, M. Gates, pour promouvoir une offre d’expertise britannique en matière d’identification des variantes de coronavirus lorsqu’il a lancé cette boutade en janvier 2021.

À l’époque, Internet était inondé d’affirmations farfelues selon lesquelles le programme de vaccination était utilisé comme un moyen de contrôler la population mondiale en implantant des micropuces microscopiques dans les bras des gens.

Certains ont suggéré que le génie du mal à l’origine de ce complot était M. Gates, qui a été l’homme le plus riche du monde.

Le 25 janvier 2021, Damon Poole, le conseiller médiatique de M. Hancock, lui a envoyé un message WhatsApp lui demandant s’il avait parlé à Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé, de la plateforme d’évaluation des nouveaux variants (NVAP), qui offrait à d’autres pays l’expertise du Royaume-Uni pour détecter et évaluer les nouveaux variants dans le monde.

Traduction :

De nombreuses théories du complot concernant le vaccin Covid auraient été diffusées sur Internet par des médias pro-Kremlin.

Elles suggéraient notamment que M. Gates voulait implanter des dispositifs de localisation dans chaque être humain par le biais d’une vaccination de masse, et que les micropuces contenues dans les vaccins permettraient à Microsoft de « contrôler » l’ensemble de la population mondiale.

L’Union européenne a même publié de longs conseils sur la manière de persuader les gens que le complot des micropuces était une fiction.

Une autre théorie du complot populaire, qui aurait été diffusée par la Russie, était que le vaccin de l’Université d’Oxford/AstraZeneca était un « vaccin pour les singes » qui non seulement contrevenait aux droits des animaux, mais transformait également les gens en singes.

M. Gates n’a, en tout état de cause, pas soutenu le NVAP.




USA — Une vidéo ruine le scénario démocrate de l’attaque du Capitole

Vidéo plus longue, en anglais :




L’ignorance devient-elle totalitaire ?

[Source : arretsurinfo.ch]

Elle prend de plus en plus les aspects d’un totalitarisme médiatique occidental.

Par Patrick Lawrence

Les médias grand public ne nous informent plus

Lorsqu’il s’agit de savoir comment les médias mainstream nous informent sur le monde dans lequel nous vivons, on est obligé de constater qu’ils ne le font pas. Je viens de citer trois processus récents, tous liés à l’information publique d’importance suprême. Les grands quotidiens et les grandes chaînes de télévision en ont tout de même observé le mutisme presque total. Les rares exceptions sont celles qui misent sur leur distorsion et dissimulation.

Nous sommes désormais arrivés à constater que ces médias ne se sont pas seulement égarés mais qu’ils ont bel et bien cessé de considérer comme leur mission principale de nous informer sur le monde dans lequel nous vivons. Depuis 2001 – je justifierai dans un instant le choix de cette date – les médias se sont fixés pour objectif de créer une réalité alternative dans laquelle notre rôle, à savoir, nous les lecteurs et les téléspectateurs, est celui de se faire entourlouper. L’intention, poursuivie de concert par les médias et les institutions qu’ils prétendent couvrir, est de créer un état d’ignorance totale.

Au printemps 2013, après de nombreuses décennies passées dans les médias d’entreprise, j’ai rédigé mes premiers commentaires pour la publication indépendante Salon, à une époque où elle pouvait encore être prise au sérieux. Quelque temps auparavant, j’étais arrivé à la conclusion que plus rien de valable ne pouvait être obtenu au sein du mainstream des médias américains. Il fallait soit se retirer, soit renoncer à son intégrité. Au fond, je suis arrivé trop tard avec cette décision.

Mais quelque part, dans l’optimisme tenace caractérisant maint chroniqueur, sommeillait l’idée que le jour des comptes arriverait, un jour où les lumières se rallumeraient et où une sorte de processus de guérison ou de récupération commencerait. Les éditeurs, les directeurs d’antenne, les rédacteurs, les producteurs, les reporters – tous reprendraient conscience de l’idée qu’ils poursuivent un objectif suprême et qu’ils doivent le servir en son statut de pôle de pouvoir indépendant. Mais hélas, cette pensée s’est largement dissipée entre temps.

Le cas Twitter-Gate

A la mi-décembre Elon Musk, le nouveau patron de Twitter, a commencé à publier des mémos internes montrant noir sur blanc dans quelle mesure la plateforme de médias sociaux avait collaboré avec le Federal Bureau of Investigations [FBI] pour censurer les comptes de dissidents, de personnes de tous bords s’opposant à la doctrine libérale orthodoxe. Pour retracer la chronologie du mieux possible, mon cas peut servir d’exemple. Au cours de l’année passé, mon compte Twitter@thefloutist a été durablement bloqué parce qu’il figurait sur l’une des listes que le FBI remettait couramment à Twitter lorsqu’il ordonnait ses suppressions massives.

Le destin du « rapport Gerth » sur l’escroquerie du Russiagate

J’ai mentionné à d’autres occasions déjà la mise à nu, par Jeff Gerth, de la corruption des médias du début à la fin pendant l’escroquerie du Russiagate – un terme que j’aime puisqu’il en dit long.(([1] Thenation.com  du 30/05/19)) Et là encore, depuis le début du scandale, ils étaient nombreux parmi nous autres à  savoir que la presse et les diffuseurs dans les chaînes radio et télévision travaillaient en étroite collaboration avec la hiérarchie du Parti démocrate et diverses institutions gouvernementales – l’appareil de sécurité nationale, les forces de l’ordre, la Maison Blanche d’Obama – pour créer et entretenir ce coin de réalité alternative que j’ai mentionné. Le rapport Gerth était néanmoins stupéfiant pour nous tous, car il donnait une tournure définitive à l’affaire.(([2] Consortiumnews.com  du  7/02/23)) Cette affaire est classée, me suis-je dit en le lisant jusqu’au bout.

Le rapport de Seymour Hersh sur l’opération militaire clandestine des États-Unis aboutit à la destruction des gazoducs Nord-Stream

Le niveau extraordinaire dans les détails – littéralement, concrètement, en dollars et centimes – qui caractérise le rapport de Seymour Hersh sur la manière dont le régime Biden a planifié et mené l’opération clandestine de destruction des gazoducs du Nord Stream à  l’aide d’explosifs sous-marins a eu un effet similaire lorsque Hersh l’a récemment publié sur Substack.(([3] Seymourhersh.substack)) Pour moi, tout s’est déroulé de la même manière que celle pratiquée quant aux fichiers Twitter et au rapport de Gerth: la culpabilité de Washington est apparue en évidence auparavant déjà, mais les faits présentés ont soudé leurs véracité de manière irréfutable. Il n’y avait plus besoin de spéculer ou de s’expliquer.

…  et tout s’est passé sous silence

C’est donc arrivé, arrivé trois fois dans un laps de temps assez court. Quelle en est la signification pour nous autres, citoyens et chroniqueurs traités en dupes? Le moins que l’on puisse dire: nous ne nous trouverions pas au point où nous en sommes si nous étions une société honnête envers nous-même.

Personne au FBI, au ministère de la Justice, à la Maison Blanche de Biden, aucun ancien fonctionnaire de l’administration Obama ne s’est exprimé sur les révélations des fichiers Twitter. Personne au Congrès, n’a exercé une pression implacable sur Twitter et d’autres plateformes de médias sociaux pour qu’ils renforcent leurs programmes de censure. Personne ne s’est senti obligé de le montrer du doigt. Les grands quotidiens et les chaînes d’information ne se sont en aucun moment penchés sur le fait des fichiers de Twitter. NPR(([4] (( National Public Radio (NPR) est une coopération de stations radio non-commerciales indépendantes, autant sur le les plans financier que légal (n.d.l.r.) )), la seule exception que j’ai pu trouver, a publié un article lamentable attribuant les documents Twitter à la prétendue détermination de Musk à répandre des « théories du complot». Quel manque de sérieux!

Mercredi matin, Glenn Greenwald a demandé sur son fil Twitter prompt: «Vous souvenez-vous qu’il y a trois semaines, la Columbia Journalism Review a publié un réquisitoire accablant, en quatre parties, sur les mensonges en série et l’insouciance des médias d’entreprise qui ont fait avancer l’affaire du Russiagate – écrit par un journaliste du «New York Times» récompensé d’ailleurs par le prix Pulitzer – témoignage que tout le monde a ignoré?»(( [5] https://twitter.com/ggreenwald/sta-tus /1625595631413633045 ))

« Bien installés sur leurs selles, ils continuent comme si rien n’était »

En l’espace de quelques semaines, l’une des grandes histoires de notre époque, lourde de conséquences, se retrouve engloutie dans les vagues du non-sens quotidien alors qu’il s’agissait de «se souvenir». Pendant des années, je me suis demandé comment les médias grand public réagiraient si la vérité sur l’affaire du Russiagate était enfin révélée, me disant qu’ils disparaîtraient discrètement par la porte de côté. Tout au contraire, dans ce cas aussi, ils ne prennent pas la peine de filer: ils restent confortablement assis sur leurs selles continuant comme d’habitude, sans qu’aucune idée de responsabilité n’ait la chance de perturber leur indolence routinière.

En ce qui concerne le remarquable rapport de Sy Hersh, eh bien, il est balayé par les représentants du gouvernement d’un revers de main le qualifiant d’« erroné» ou de «fiction», les médias grand public ne le mentionnant même pas. C’est donc ainsi qu’un Mack Truck(([6] Mack Trucks est un producteur américain de camions lourds renommés de leur apparence touffue (n.d.l.r.) )) se retrouve sous le tapis.

Seymour Hersh : « Entre-temps, la presse américaine grand public s’intéresse avant tout aux ragots médiatiques »

L’autre jour, Hersh a posté à ses abonnés une note qui résume bien la situation. Se référant au «New York Times» et au «Washington Post», Hersh écrit:

«Aucun de ces deux journaux n’a encore dit un mot sur l’histoire du pipeline, même pas pour citer le démenti de la Maison Blanche sur ma couverture. Les médias américains ont également ignoré les demandes officielles des représentants de la Russie et de la Chine sollicitant une enquête complète concernant l’histoire du pipeline. (Je ne peux m’empêcher de souligner qu’un journaliste du ‹Times› m’a appelé le jour où l’histoire du pipeline est parue. Je lui ai dit que je ne donnerais pas d’interviews. Il m’a demandé si je voulais bien répondre à une question. J’ai accepté. Il m’a demandé à combien de publications j’avais proposé l’histoire du pipeline avant d’arriver à ‹Substack›. De tels propos ridicules sont le signe que la presse mainstream américaine est désormais plus intéressée par les ragots médiatiques que par la sécurité nationale ou les questions de guerre et de paix).»

Il ne nous reste plus qu’à tirer des conclusions d’un nouveau genre – des conclusions aussi clairement noires et blanches que les preuves solides qu’Elon Musk, Jeff Gerth et Sy Hersh nous ont présentées concernant la nature du pouvoir officiel et médiatique et son exercice. Selon moi, six points sont de toute première importance.

« Le gouvernement américain s’est entièrement engagé dans un régime de sans lois »

Un, le gouvernement américain s’est entièrement engagé dans un régime de sans lois, tant sur le plan international que sur le plan intérieur. Il s’agit d’une attitude fondamentalement défensive, ce qui la rend d’autant plus dangereuse. J’attribue cela aux événements de 2001, lorsque le déclin de l’empire américain ne pouvait plus être nié – en privé, même si ce n’é tait pas le cas en public.

« Les médias américains dissimulent l’anarchie du gouvernement »

Deux, les médias mainstream américains s’efforcent par leurs moyens à eux de dissimuler cette anarchie officielle. Sinon, comment Washington pourrait-il diriger ainsi un empire mondial tout en cachant sa vulnérabilité si efficacement au public américain?

« L’industrie de la désinformation fonctionne désormais sans limites »

Trois, ce que nous appelons aujourd’hui l’industrie de la désinformation a évolué au cours de la dernière demi-douzaine d’années et fonctionne désormais sans restriction apparentes. Au cœur de cette entreprise malveillante se trouve la relation souvent anticonstitutionnelle entre les entreprises de médias, notamment les plateformes de médias sociaux, et de différentes parties de l’État administratif. Le Russiagate a été une combinaison de désinformation, de mensonges légalement opposables dans le cas de certains fonctionnaires et d’omissions. Le silence des médias en réaction au rapport Hersh équivaut à  une désinformation par omission.

« Exclusion du public américain »

Quatre, aujourd’hui le gouvernement américain opère dans un état d’isolement presque total vis-à-vis du public américain. Alors que les médias américains permettent cette réclusion, ils jouissent en même temps d’une pareille immunité, voire d’impunité. Les deux institutions, celle couverte et celle qui devrait les couvrir eux, se sentent plus à l’abri dans leur indifférence à l’égard de l’opinion publique, à un degré que je ne n’aurais jamais cru possible, et ceci dans notre république pourtant vive.

Rien que de la violence nue ?

(Quatre A) En matière d’impunité, Jeff Gerth a publié 24 000 mots. Je n’ai pas compté ceux de Hersh, mais Sy, disons, est généreux quand il s’assoit pour écrire. Il est raisonnable de nous demander si nous avons atteint le point terrible de l’histoire où le pouvoir nu, le pouvoir de la violence seule, aura retiré au langage son propre pouvoir à elle. Jusqu’à aujourd’hui – la restriction est essentielle – nous nous trouvons en effet face à cette réalité, du moins dans les limites où le langage est en effet en mesure de discipliner le pouvoir et de demander des comptes à ceux qui l’exercent de manière corrompue.

Le brouillage a été diaboliquement efficace

Cinq, l’annihilation des trois rapports dont il est question ici a été diaboliquement efficace, laissant la majorité des Américains dans l’ignorance des faits dont ces rapports font état. La plupart des «croyants» du mythe «Russiagate» que je connais ne sont pas conscient du fait que tout ce qu’ils croyaient être vrai a été réfuté. Mais ceux qui ne sont pas conscients d’un événement, ne s’en soucient guère. C’est cet état que j’appelle l’ignorance totalisée.

« De la crotte sur le mur »

Sixième et dernier point: il n’y a pas de précédent dans l’histoire américaine pour notre situation. Notre passé n’est pas celui à nous illuminer la voie. Un de ces matins, Seymour Hersh a intitulé sa lettre aux abonnés «The Crap on the Wall» [«La crotte sur le mur»], la concluant en ces termes: «Restez en phase. Nous n’en sommes qu’au début…»
En effet. •

Patrick Lawrence

*Patrick Lawrence, de longue date correspondant à l’étranger, notamment pour l’« International Herald Tribune», est chroniqueur, essayiste, auteur et conférencier. Titre de son dernier livre: «Time No Longer: Americans after the American century». Yale 2013. Sur Twitter, Lawrence était accessible sous @thefloutist avant d’ê tre censuré sans commentaire. 

(Traduction de l’anglais Horizons et débats)
Source : Scheerposts


L’escroquerie sur l’existence d’un « Russiagate » et son démantèlement par le « rapport Gerth »

 Donald Trump et Hillary Clinton pendant l’élection présidentielle de 2016. (Gage Skidmore/Wikimedia Commons)

Stephen Cohen, décédé en 2020, spécialiste de la Russie et Professeur aux universités de Princeton et de New York, anciennement membre du Council on Foreign Relations,s’est prononcé, en 2019, au sujet du scandale «fait maison», monté par les médias et connus sous le terme «Russiagate», en ces termes: «L’affirmation selon laquelle le Président américain Donald Trump aurait été compromis par le Kremlin et que ce dernier aurait contribué à le faire entrer à la Maison Blanche est le pire scandale politique de l’histoire américaine et le plus frauduleux (vu le manque de preuves réelles).»

Les médias mainstream y ont largement contribué avec leurs fausses affirmations, leurs mensonges, désinformations, camouflages et distorsions. Toutes les histoires relatives au prétendu Russiagate ainsi que le dossier de l’ancien collaborateur des services secrets britanniques Christopher Steele, établi à la demande d’Hillary Clinton, se sont révélés être de pures fictions mensongères. Le rapport du procureur spécial Robert Mueller («Mueller Report») n’a débouché sur aucune inculpation du parquet contre Donald Trump, malgré les énormes efforts déployés dans ce but. Il n’y a cependant pas eu d’excuses de la part des médias qui ont tout fait pour divulguer les mensonges; par contre, leurs affirmations non prouvées sur des prétendus accords secrets ont été renforcées, même dans les médias de renom sérieux, au temps jadis.

Jeff Gerth, journaliste indépendant ayant travaillé pendant trois décennies comme reporter d’investigation pour le «New York Times», a publié, le 30 janvier 2023 (dans «Columbia Journalism Review», publication de la Columbia University Graduate School for Professional Journalism), une série de quatre articles présentant les résultats de ses recherches d’un an et demi sur le complexe dénommé Russiagate, notamment en ce qui concerne les médias. Ses recherches, complétées par une documentation exhaustive, ont confirmé entièrement les critiques à l’encontre de la campagne, formulées en public. Patrick Lawrence en a fait le point, dans un article précédent, en ces termes : «[Dans son analyse] Gerth démasque […] la lâche complicité des médias américains qui ont fabriqué, de toutes pièces, toutes les absurdités répandues sur l’existence d’une collusion de Donald Trump avec la Russie pendant sa candidature contre Hillary Clinton lors des élections présidentiel

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L’Ukraine, berceau et tombeau des Européens ?

[Source : nice-provence.info]

Par Pierre-Émile Blairon

La fin d’une civilisation est identique à celle d’un être vivant ; elle met juste un peu plus de temps à disparaître comme elle a mis un peu plus de temps à vivre ; il peut arriver aussi qu’elle meure sur les lieux mêmes où elle est née, tout comme un être humain, celui qui est attaché à sa terre. C’est une loi du temps cyclique qui fait qu’une révolution — une vie — part d’un point pour arriver, au bout de sa course, à son point de départ pour recommencer un autre cycle.

A. LE BERCEAU

Le berceau des Indo-Européens

La civilisation indo-européenne(([1] La doxa progressiste en cour chez les linguistes, historiens, archéologues et autres chercheurs prétend qu’il n’existe pas de peuples indo-européens mais seulement une langue commune.)) est née de celle des kourganes datée du Ve au IIIe millénaire avant notre ère, donc au début du dernier des quatre âges, l’Âge de fer ou Kali-Yuga ou Âge sombre(([2] Je parle ici des quatre âges cosmiques de la Tradition primordiale (Âges d’or, d’argent, de bronze, de fer) selon la cyclologie des anciennes traditions indienne, iranienne, grecque… et non pas des périodes archéologiques matérielles : âge de la pierre, du bronze, du fer qui ne sont en aucune façon analogiques avec les connaissances traditionnelles.)).

Un kourgane est un tertre, un tumulus, recouvrant une sépulture souvent collective ; ces kourganes se répartissent dans l’est de l’Ukraine (Don, Dniepr) et dans le sud-ouest de la Russie (Volga). Mais la civilisation des kourganes est loin de ne se cantonner qu’à cette région ; en fait, elle s’étend jusqu’à l’ouest de la Sibérie et on peut dès lors considérer que c’est quasiment l’ensemble de la Russie, avec son extension asiatique, qui est le berceau des Indo-Européens. Sa partie plus spécifiquement européenne est constituée des peuples albanais, arméniens, baltes, celtes, germains, grecs, italiques, et, bien sûr, slaves.

[NDLR L’hypothèse d’une communauté linguistique et culturelle indo-européenne, qui aurait exercé une influence sur les peuples d’Eurasie est largement contestable, car la supposée population parlant le proto-indo-européen n’a laissé ni trace archéologique ni document historique qu’on pourrait lui attribuer de manière directe. Elle est donc très fragile et en absence d’éléments probants en quantité suffisante devrait être abandonnée. De plus, elle tend plutôt à limiter l’influence nocive attribuée plus loin dans l’article au « Prince de ce monde » qui si elle est fondée ne se limite pourtant pas au théâtre eurasiatique. Et de nos jours, l’idée de civilisation est de portée mondiale. C’est la civilisation humaine entière qui est menacée de disparition ou au moins de forte régression et décadence, surtout sous l’angle spirituel.]

Les projecteurs ont été évidemment braqués ces dernières années sur l’Ukraine qui compte, à elle seule, environ 100 000 tumulus qui, d’après Le Courrier international du 4 mars 2011, ne sont nullement protégés ; et la guerre actuelle n’arrange vraisemblablement pas les choses :

« Mais, aux yeux des spécialistes, c’est l’indifférence absolue de la population ukrainienne elle-même qui représente la plus grande menace. Les “archéologues au noir”, ceux qui fouillent clandestinement les sites en quête d’objets précieux à revendre, sont comparativement moins dangereux que les responsables officiels qui, dans leur ignorance, refusent carrément de protéger les ruines de villes antiques et les tumulus, quand ils ne commettent pas délibérément des crimes en autorisant par exemple l’ouverture de chantiers de construction sur des sites répertoriés. »

En guise de boutade, nous aurions espéré que l’une des tâches primordiales de l’Union européenne soit de préserver et de restaurer ce patrimoine commun. Mais non, l’UE a mieux à faire : elle s’active à forcer la population européenne à se nourrir de cafards et de poulets américains aux hormones ; nous savons désormais que l’UE ne constitue que l’un des rouages qui permettent à l’Amérique de garder sa prédominance sur le monde, au même titre que d’autres organismes internationaux créés par les États-Unis, comme l’OTAN, le FMI, l’ONU, l’OMS, etc. avec l’aide de l’exécuteur de ses basses œuvres, la CIA qui a fomenté toutes les pseudo « révolutions de couleur » dans le monde, y compris celle de l’Ukraine.

Le berceau de la Russie

L’Ukraine est aussi le berceau de l’actuelle Russie. Lorsque les Slaves orientaux s’installent au VIIe siècle dans ce qui est l’actuelle Ukraine, ils trouvent des peuplades finnoises, baltes et khazars et commencent à ériger sur ce territoire des fermes fortifiées. C’est au IXe siècle que des Vikings suédois, appelés Varègues ou Rus, commerçants, pillards et guerriers, à la recherche de routes vers Byzance, sous la conduite d’Askold, s’emparent de la principauté de Kiev fondée par les Slaves orientaux. Un autre Varègue, Oleg, fait tuer Askold et s’installe à Kiev et fonde le premier État russe (la Rus de Kiev) en vassalisant les autres principautés voisines russes et slaves. La Rus de Kiev s’étendra jusqu’à devenir le plus grand État d’Europe. Vladimir 1er (980−1015) incarnera l’apogée de cet État. Et Russes et Slaves finiront par devenir le même peuple, comprenant la Russie, l’Ukraine et la Biélorussie.

B. LE TOMBEAU

Machinations américaines

Pour nous en tenir à notre sujet, l’Europe, nous ne remonterons que jusqu’à la Deuxième Guerre mondiale pour évoquer brièvement le rôle des États-Unis dans la politique internationale, mais les agissements américains destinés à imposer à la planète leur vue du monde mercantile (déguisée en une croisade messianique « démocratique » basée sur les croyances puériles et dogmatiques des premiers « pilgrims »), datent (au moins) de la Première Guerre mondiale.

En effet, selon les motivations exclusivement économiques et intéressées qui dictent les prises de position américaines, l’Amérique est présente sur toutes les scènes de conflit, avant et après la Seconde Guerre mondiale : Hitler n’a pu accéder au Pouvoir que grâce au financement de certaines banques et entreprises américaines telles que Morgan, Chase Manhattan (Rockfeller), Ford, General Motors, Standard Oil, etc.

Cette Amérique sera tout aussi présente après la guerre pour créer un organisme à sa botte qui s’appellera l’Union Européenne. L’un des fondateurs de cette structure sera Jean Monnet, agent de la CIA selon Marie-France Garaud(([3] Marie-France Garaud : Jean Monnet, un agent de la CIA.)), Philippe de Villiers, François Asselineau et bien d’autres, tandis que d’autres fondateurs de cette institution comme Robert Schuman et le belge Paul-Henri Spaak tiendront le rôle de simples exécutants au service des États-Unis.

Recyclage nazi

Puis le plan Marshall (1948) achèvera la mise en place du dispositif de sujétion de l’Europe aux États-Unis. Ce prêt accordé à une Europe en ruines n’était évidemment pas à vocation philanthropique et seule l’Union soviétique l’a refusé pour ne pas être dépendante des EU(([4] C’est ainsi qu’est née l’indépendance de la Russie à l’égard des USA qui se voyaient déjà maîtres du monde.)).

« Les États-Unis ont mis en place une entreprise de colonialisme, l’aide est un cadeau empoisonné », dénoncera Staline. « Les pays qui l’acceptent perdront leur souveraineté nationale et leur indépendance économique. » Et L’Obs(([5] L’Obs du 9 décembre 2019, Nebia Bendjebbour : « Le Plan Marshall a sauvé l’Amérique », charité bien ordonnée…)) explique ce marché de dupes : « Une première tranche de 5 milliards de dollars (52 milliards de dollars aujourd’hui) est allouée aux pays signataires. L’ECA (Administration de Coopération Économique) se charge de contrôler et de gérer les fonds. Les dollars repartent aux États-Unis : ils soutiennent l’économie et épongent les excédents. L’Amérique de Truman fait de l’Europe son marché, puisque tout ce qui y est acheté est américain. Derrière le plan Marshall se cache donc une redoutable machine de propagande pour valoriser l’American way of life et promouvoir le pays. En 1953, George Marshall recevra le prix Nobel de la paix pour le « sauvetage » du Vieux Continent. »

Les Américains n’ont décidément pas d’imagination : ce plan Marshall a été une telle réussite pour leurs affaires qu’ils n’hésiteront pas à provoquer des conflits (tout bénéfice pour le complexe militaro-industriel) pour reconstruire des pays qu’ils auront ruinés auparavant ou pour piller leurs ressources. La liste est interminable (les derniers en date : Irak, Syrie, Libye, Serbie, Afghanistan). L’Ukraine vient d’entrer en lice et là, les USA font très fort : ils demandent à un petit pays, l’Ukraine, d’entrer en guerre contre un grand pays qui refuse leur domination (la Russie) ; l’Ukraine envoie sa population se faire massacrer, les armes sont fournies par les Européens et ce sont les entreprises américaines (sous la houlette de Blackrock) qui reconstruiront l’Ukraine dévastée, aux frais des mêmes Européens.

Il est bien évident que ces menées ressemblent fort à des méthodes de voyous et ne sont pas dignes d’un État, et encore moins de celui qui est encore le plus puissant du monde. Mais c’est un colosse aux pieds d’argile.

Une secte maléfique

Ce n’est pas tout. Nous en sommes restés jusqu’ici à une analyse historique des événements, politique, superficielle et bassement matérielle qui n’affecte que très peu les véritables enjeux de la marche du monde. Car derrière les nations, et notamment derrière les USA, se tiennent les véritables maîtres de la planète qui tirent les ficelles des marionnettes que sont ces chefs d’État qui n’ont qu’un pouvoir extrêmement réduit.

Avec l’apparition récente, inattendue et brutale de cette caste mondialiste pédo-sataniste et toute puissante, nous sommes entrés dans un autre monde que les hommes de Tradition ne croyaient pas possible. La désignation scientiste de cette engeance s’appelle le transhumanisme, et je la définis plus prosaïquement comme étant la manifestation du titanisme.

Les esprits avisés et curieux (regroupés sous le terme générique de « complotistes ») savaient cependant que cette oligarchie allait révéler son existence en pleine lumière, si j’ose dire, lorsqu’elle aurait achevé la mise en place de ses funestes desseins concoctés patiemment depuis des centaines, voire des milliers d’années, car son héritage provient du plus obscur des âges et des plus maléfiques origines.

Je ne reviendrai pas sur les motivations de cette secte diabolique déjà évoquées dans plusieurs de mes articles sur ce même site(([6] Par exemple : Mais quelle est cette secte qui dirige le monde ? du 6 février 2021)). Même les plus rationnels des commentateurs ne trouvent pas d’autre mot pour désigner le grand marionnettiste qui dirige les manigances de ces gens persuadés d’être les maîtres du monde ; ils l’appellent le Prince de ce monde ou, tout simplement comme l’économiste Charles Gave : le Diable(([7] Charles Gave : Qui sont ces gens qui nous gouvernent ?)).

La caste agit partout, sur toute la planète, avec des méthodes très diverses, dans des domaines tout aussi variés, avec pour principal objectif d’éradiquer le monde « ancien », qui est, pour les gens sensés, un monde qui vit, depuis sa création, selon des préceptes naturels, tels que Dieu a conçu le monde.
J’ai ici sélectionné trois niveaux d’intervention de la Secte dans cette panoplie à usage infini.

Détruire les racines du monde ancien

J’ai parlé d’analyse superficielle des événements en évoquant les exactions de l’Amérique du Nord en tant qu’État. C’est sans doute pour cette raison qu’on appelle, à l’inverse, « État profond » les membres du gouvernement américain qui dirigent, plus ou moins secrètement, le pays, c’est-à-dire ceux qui reçoivent leurs directives de la Secte.

Les motivations profondes de la Secte sont de détruire inexorablement tout ce qui, sur Terre, a un lien avec la Tradition et les origines de cette Tradition, en gros, toutes les sociétés et les cultures qui ont gardé un caractère traditionnel ou quelques bribes de ce caractère.

C’est ainsi que les États-Unis, qui se sont eux-mêmes coupés délibérément de leurs racines européennes, et qui, donc, n’en ont aucune, dans leur obsession hégémonique de fracturer l’Europe de l’Est et de l’Ouest afin de ne pas se trouver face à une alliance de l’ancienne Europe et de la Russie, portent le fer, le feu et les bombes (avec la complicité de l’Union européenne) une première fois sur la Serbie. Le but est de lui soustraire son berceau initial qu’est la région du Kossovo et créer ainsi un État islamique et corrompu au sein de l’Europe.

Le processus de destruction de l’Ukraine constitue la deuxième tentative de l’Amérique de porter atteinte, définitivement, croit-elle, aux origines à la fois de l’Europe et de la Russie.

On se souviendra encore que les États-Unis ont détruit, quelquefois sous faux drapeau islamiste, les sites sacrés anciens de l’Irak et de la Syrie du temps où c’était la Mésopotamie. Il fallait, pour que ces agressions réussissent, que les opinions soient préparées à les considérer comme des bienfaits.

Il s’agit peut-être d’un hasard mais voici encore une information qui tendrait à prouver que notre ennemi sans nom, s’il n’a aucun scrupule, n’est pas tout à fait inculte : le symbole visuel sans doute le plus uniformément répandu sur l’ensemble de la planète dans toutes les civilisations anciennes est le svastika. Il apparaît en Europe à la même époque au sein de différentes cultures est-européennes contemporaines de la civilisation des kourganes : la culture de Vinca en Serbie et la culture de Cucuteni-Tripolia, qui s’étendait des Carpates au Dniepr, de la Roumanie à l’Ukraine. Serbie et Ukraine, quelle coïncidence ! Le svastika est un symbole solaire qui symbolise le cycle du soleil et donc l’éternité, les anciens supposant que le Soleil était éternel. Chez les Indous, c’est aussi un signe de bienvenue et de souhait de bonne santé.

Pour la Tradition primordiale, c’est un symbole certes solaire par son mouvement circulaire supposé mais aussi polaire si l’on envisage l’axe central, immuable et transcendant, de la roue.

Inverser les valeurs traditionnelles et les symboles

La Tradition primordiale considère qu’à la fin d’un cycle, toutes les valeurs traditionnelles sont inversées ou tournées en dérision. C’est ce que l’on appelle une parodie, qui trouvera son apogée avec l’apparition du clown Zelensky. Ce fut aussi le cas lorsque les nazis s’emparèrent du svastika et qu’il devint plus communément appelé la croix gammée.

C’est cette même croix gammée qui a été reprise comme emblème par une partie importante de l’armée ukrainienne, notamment par le bataillon Azov qui se réclame de Bandera, qui était le chef de l’Organisation des nationalistes ukrainiens collaborant avec l’Allemagne nazie en créant la Légion ukrainienne sous commandement de l’armée allemande.

Quiconque a vu une photo de ces néo-nazis ukrainiens est pris de stupeur, ou emporté par un grand éclat de rire, en voyant les corps de ces colosses tatoués de la tête aux pieds de croix gammées, de portraits d’Hitler ou de Bandera et portant au cou et aux bras des colifichets de tout aussi mauvais goût. Nous sommes bien loin de la signification bienveillante du svastika des Indous.

Des clowns terrifiants : c’est sans doute l’effet recherché par les promoteurs de cette guerre ; à la tête de ces néo-nazis, un « humoriste » plus ridicule qu’effrayant : leur président Zelinsky, lui, clown de métier, se produisant dans des shows télévisés, qui « jouait du piano debout »… avec son sexe. C’est le « héros » qu’ont mis en place les Occidentaux (Américains et Européens) pour incarner la résistance contre « l’envahisseur » russe.

Des néo-nazis dirigés par un clown juif corrompu monté sur talons aiguille ? Mais quelle est encore cette folie ?

Zelensky

Et nos braves petits démocrates français bien endoctrinés, qui hurlent à la mort dès qu’il voient l’ombre d’un électeur de Zemmour en le traitant de nazi (l’insulte la plus infamante qui soit en France), sont prêts à se jeter dans les bras de ces pantins stupides mais décorés comme des sapins de Noël en les couvrant de câlins. Un psychiatre est-il capable d’expliquer un tel degré de schizophrénie ? Nous vivons dans un hôpital psychiatrique à ciel ouvert où seules sont enfermées les personnes qui ont conservé un peu de bon sens.

Mais ce n’est là que l’un des aspects de la décadence voulue et organisée par le « Prince de ce monde. » D’autres lois, mesures, règlements, sont pris à une cadence effrénée pour annihiler toute trace de bon sens et tout reste de culture. Ces mesures s’appliquent essentiellement au monde blanc et particulièrement au monde européen traditionnel qui sert de laboratoire à toutes ces expériences immondes concoctées par les dingues qui nous dirigent.

Nous ne citerons en exemple que deux de ces dispositions prises récemment par des pays occidentaux et une proposition qui a des chances d’aboutir :

  1. Désormais, la gastronomie française et européenne n’a qu’a bien se tenir et nos chefs toqués le devenir encore plus (toqués) : ils seront obligés de cuisiner des cafards et autres blattes ; pour l’instant, vers de farine et « grillons domestiques » (domestiqués par qui?) en poudre selon l’autorisation délivrée par la Commission européenne le 3 janvier 2023. On connaît le processus de grignotage (c’est le cas de le dire) de toutes ces décisions antidémocratiques qui nous font en permanence avaler… des couleuvres.
  2. La rédaction des lois dans les pays occidentaux a ceci de bien pour leurs rédacteurs qu’elle permet de dire exactement le contraire de ce que, in fine, les lois vont imposer ; par le truchement des exceptions et autres dérogations, elles vous font passer facilement des vessies pour des lanternes. Ainsi en est-il de la loi adoptée le 16 février 2023 par le parlement (de gauche) espagnol concernant « le bien-être animal » qui prévoit des sanctions pour ceux qui « par tout moyen ou procédé, y compris les actes de nature sexuelle, causent une blessure à un animal vertébré nécessitant un traitement vétérinaire pour rétablir sa santé », ce qui donc revient, d’une façon détournée, à banaliser la zoophilie, tant que les « amoureux » des animaux ne leur font pas subir de « lésions ».
  3. Dans une étude publiée le 18 novembre 2022, une universitaire norvégienne, Anna Smadjor, propose d’utiliser les femmes en état de mort cérébrale comme mères porteuses pour, dit-elle, « offrir un autre moyen de gestation aux futurs parents qui souhaitent avoir des enfants, mais qui ne peuvent pas ou préfèrent ne pas les porter ». Ce n’est pour l’instant qu’une proposition ; mais, forts de l’expérience PMA et GPA, tout laisse à penser que cette suggestion sera bientôt une réalité. Ceci s’apparente à de la nécrophilie.

Entomophagie, zoophilie, nécrophilie, pédophilie, sans compter toutes les déviances LGBTQIA+, la promotion des changements de sexe dans les écoles, les « hommes » enceints, etc. voici donc où nous en sommes en ce début d’année 2023. Quel progrès ! Un grand pas pour l’Humanité ! Merci, mon Prince !

Soumettre et réduire la population planétaire

La Secte maîtrise parfaitement les techniques de propagande, qu’on appelle « ingénierie sociale ». Des centaines de millions d’individus de par le monde ont été subjugués au début des années 2020 par les consignes radicales qu’elle a imposées et se sont pliés sans rechigner à toutes les directives, même les plus stupides. La lobotomisation des individus, y compris dans les milieux cultivés, sinon plus, a parfaitement réussi. C’était, pour nos dirigeants, le but principal à atteindre, la pseudopandémie suivie des pseudovaccins a permis de vérifier le degré de soumission des populations. Le deuxième volet de cette opération a été moins concluant et n’a pas permis une réduction drastique des populations même si la mortalité a considérablement augmenté dans les pays occidentaux suite à la vaccination et même si on peut s’attendre encore à de nombreuses conséquences létales dans les années qui viennent.
Cependant, du fait de ce lavage de cerveau qui a touché la majeure partie des populations, on ne doit pas s’attendre à leur réveil et encore moins à quelque révolte que ce soit.

En ce qui concerne l’affaire ukrainienne, la même propagande qui a si bien marché s’est exercée sur les Français avec le même succès. Combien de maires ont hissé sur le fronton de leur mairie (et continuent de le faire) le drapeau ukrainien(([8] Votre mairie est-elle « collabo » ?)) !

Cette inertie et, il faut bien le dire, cette lâcheté de la population, ne présage rien de bon. L’affrontement est inévitable si, en France, le Président Macron continue ses provocations à l’égard de la Russie comme s’il s’agissait de la Principauté d’Andorre.

Désormais, deux blocs s’affrontent :

  • celui des mondialistes qui prônent la disparition pure et simple de toutes les anciennes structures notamment européennes (et éventuellement des peuples qui les ont bâties) ;
  • et celui des traditionalistes de toutes les grandes civilisations qui n’ont pas renoncé à se couper de leurs racines, qui représentent au moins les deux-tiers des populations de la planète.

La Russie, forte de ses origines indo-européennes et des origines des républiques qui la composent, mène la bataille ; c’est un peuple dont le riche passé a été en quelque sorte congelé pendant les 70 années qu’a duré la période soviétique ; il se réveille, pur et intact, avec le dynamisme de la jeunesse, et d’autant plus proche de ses racines qu’elles réapparaissent avec toute la puissance de leur renaissance.

L’issue de la guerre que la Russie et ses alliés pourraient mener face à ce troupeau de zombies qu’est devenu l’Occident, ne fait aucun doute.

Pierre-Émile Blairon





La Russie déclare à l’ONU que la crise ukrainienne est « une guerre contre l’Occident pour la survie, l’avenir du pays, ses enfants, et son identité »

[Source : geopolitique-profonde.com]

[Illustration : Représentant permanent de la Fédération de Russie auprès de l’ONU Vasily Nebenzya, via AP]

Cette semaine [publié le 24 février] , lors de deux jours de sessions spéciales des Nations unies consacrées à l’Ukraine et au sabotage du gazoduc Nord Stream, la Russie a présenté une défense solide, affirmant qu’elle considère que son action militaire en cours en Ukraine est une question de « survie ».

Le représentant permanent de la Russie auprès de l’ONU, Vasily Nebenzya, a exprimé cette perspective sévère mercredi, en présentant la guerre comme une guerre contre l’Occident collectif.

« Quant à notre pays, nous voyons tout cela comme une guerre contre l’Occident pour la survie, pour l’avenir de notre pays, pour nos enfants, pour notre identité », a-t-il déclaré.

Il a déclaré que « l’Ukraine n’est rien d’autre qu’une monnaie d’échange dans ce complot » – qui fait partie d’un plan plus large dont la mise en œuvre a été longue, remontant à 2014.

Jens Stoltenberg, secrétaire général de l’OTAN.

Les propos du diplomate russe font suite à un aveu surprise du secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, qui, lors d’une conférence de presse tenue le 14 février à Bruxelles, a décrit que « la guerre n’a pas commencé en février de l’année dernière. La guerre a commencé en 2014 ».

Le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, a effectivement admis que l’Occident a porté les faucons russes au pouvoir à Kiev et les a soutenus dans la guerre qu’ils mènent contre Moscou. Il a avoué qu’ils avaient placé des russophobes et des néo-nazis au pouvoir [en Ukraine]. – Sergey Lavrov

La veille des remarques de Nebenzya, le Conseil de sécurité de l’ONU s’était réuni à l’instigation de la Russie, membre permanent, pour examiner les nouvelles allégations entourant le sabotage du Nord Stream. Au cours de cette session, Nebenzia a appelé à la mise en place d’une enquête indépendante.

Il a spécifiquement invoqué le rapport explosif du journaliste Seymour Hershlauréat du prix Pulitzer, selon lequel les pipelines ont été bombardés dans le cadre d’une opération secrète élaborée de la CIA impliquant la marine américaine et l’aide des Norvégiens :

« Ce journaliste dit la vérité », a déclaré M. Nebenzia lors de la réunion.

C’est un principe de base de la justice ; tout est entre vos mains, et nous pouvons résoudre ce problème aujourd’hui. »

Fait crucial, la Chine a immédiatement soutenu l’appel :

« En tant qu’organisation internationale la plus autorisée et la plus représentative, l’ONU peut jouer un rôle actif dans la conduite d’une enquête internationale et la garantie de la sécurité des infrastructures transfrontalières », a déclaré l’ambassadeur chinois au Conseil de sécurité.

Mais l’ambassadeur américain John Kelley a dénoncé ce qu’il a appelé les tentatives de Moscou de brouiller les pistes et de détourner la responsabilité de son agression en Ukraine, en déclarant que « la réunion d’aujourd’hui est une tentative flagrante de détourner l’attention » de la prochaine réunion d’urgence de l’Assemblée générale.

Lors de cette réunion, les États-Unis devraient se mobiliser en faveur d’une condamnation cinglante de Moscou par l’ONU pour marquer le premier anniversaire de l’invasion de l’Ukraine par Moscou le 24 février.

« C’est sur cela que nous devons nous concentrer », a déclaré M. Kelly. « La Russie veut désespérément changer de sujet ».

L’économiste américain Jeffrey Sachs et l’ancien analyste de la CIA et auteur Ray McGovern ont également pris la parole devant le conseil en tant qu’experts extérieurs.

Ils ont présenté des arguments convaincants au cours de leurs exposés, affirmant que le rapport Hersh est exact, notamment en raison des récentes déclarations de responsables américains. Ces présentations devant le corps de l’ONU peuvent être visionnées ci-dessous :

Source: Zero Hedge




Quand la « sauce » ne prend pas !
Vers une dictature « parfaite » ?
Quelle alternative à une révolution pacifique ?

Par Alain Tortosa

Pourquoi la dictature semble si forte, si peu ébranlée par nos années de lutte ?

Le système est parfaitement verrouillé.

  • Point d’espoir côté syndicats
    Ils sont corrompus jusqu’à la moelle et sont financés par le pouvoir. Ceux-ci n’ont pas bougé le petit doigt depuis le début de la dictature sanitaire.
    Rappelons qu’ils étaient totalement absents lors du mouvement des gilets jaunes.
    Nous les voyons faire du cirque contre la réforme des retraites afin de nous faire croire qu’ils existent et sont là pour les travailleurs.
    Défiler dans la rue, mais ne surtout pas prôner de grève générale de plus de 24 heures !
  • Point d’espoir côté politiciens en place
    Ils se reproduisent uniquement entre eux et ne veulent surtout pas voir la moindre réforme aboutir.
    La soupe est trop bonne, il faudrait être fou pour ouvrir sa gueule et prendre des risques.
    Nous en avons eu la preuve pour les politiques sanitaires votées par quasi tous les parlementaires à quelques exceptions près.
    Nous constatons la prétendue opposition actuelle avec une Nupes (officiellement de gauche) qui a permis à Macron de gagner les élections et qui refuse de voter les motions de censure du RN pour ne pas « se salir les mains ».
    Le meilleur moyen pour que rien ne change ! Des mots oui, mais surtout pas des actes.
    Nous avons bien vu quel sort était réservé à celles et ceux qui sont libres comme Martine Wonner, dénigrement, menaces, interdiction d’exercer, mise au placard médiatique et destruction de « carrière ».
    Sans le soutien d’un parti, aucune chance de dépasser le stade de maire d’une petite commune.
  • Point d’espoir côté élections
    Même en l’absence de fraude, seul un candidat adoubé par le système a une chance de remporter des élections nationales.
    Il faudrait qu’un résistant infiltre le monde du pouvoir, fasse semblant d’adhérer à leurs « valeurs » pendant des années puis, une fois élu, dévoile son vrai visage et procède à de vraies réformes.
    Dans les faits c’est généralement l’inverse qui se produit. Un candidat fait semblant d’être de notre côté et se dévoile une fois élu comme collabo.
    La 5e république est ainsi faite, donner les pleins pouvoirs à un seul homme élu au mieux avec 20 % des voix.
    Les élections et le parlement sont uniquement là pour décorer et donner l’illusion d’un peuple pouvant décider de l’avenir du pays.
    Si tel était le cas, les institutions seraient réformées et on nous demanderait notre avis comme, par exemple, la participation active de la France au conflit de l’OTAN contre la Russie.
  • Point d’espoir côté institutions comme le Conseil d’État ou le Conseil constitutionnel
    Ils sont censés être les gardiens de la démocratie, mais comme ceux-ci ne sont pas élus, mais nommés, ce n’est qu’un jeu de chaises musicales.
    De l’entre-soi qui se protège, se congratule et se récompense.
    Le système est désormais à ce point pourri que plus vous avez de casseroles (et donc de moyens de pression sur vous) et plus vous pourrez grimper les marches du pouvoir.
    Ce n’est plus un gouvernement et des députés, c’est Sodome et Gomorrhe.
  • Point d’espoir côté médias
    Ils ont été de tout temps pieds et poings liés, mais j’ai le sentiment que nous vivons un âge d’or.
    La totalité des médias mainstream appartiennent à trois ou quatre milliardaires qui arrosent les candidats lors des élections. L’oligarchie est au pouvoir et certainement pas les politiques.
    Politiques qui arrosent à leur tour les médias avec l’argent public, ceci afin de les museler au cas où folie leur prendrait de dire la vérité. Musellement d’autant plus efficace que les lecteurs ont disparu depuis bien longtemps et qu’ils ne vivent que grâce aux subventions ou à la générosité de gentils mécènes comme la fondation Bill Gates qui « n’attend rien » en retour comme de bien entendu.
    Ajouté à cela que la sélection des journalistes se fait plus par la plastique que par l’éthique.
    Ils sont formés, pardon, formatés comme il se doit et on leur met dans le crâne qu’ils sont des demi-dieux et le 4e pouvoir !
    Ceci afin qu’ils soient totalement inconscients d’être de vulgaires passeurs de plats relayant uniquement des dépêches AFP.
    Tout vrai journaliste terminant au chômage après une campagne de dénigrement.
    Après 3 ans de dictature sanitaire, un an de propagande sur la guerre des USA contre la Russie et des années de propagandes sur le « réchauffement climatique », le discours est EXACTEMENT le même !
  • Point d’espoir côté AFP
    D’une part parce que le Chef d’État choisit (plus ou moins directement) qui sera à la tête de l’Agence France Presse.
    Et d’autre part parce que l’État est le plus grand contributeur à son fonctionnement.
    L’AFP n’est donc que la voix de son maître et les médias reprennent uniquement les dépêches de cette même AFP sans enquêter.
    Elle est aujourd’hui la Pravda d’hier.
  • Point d’espoir côté réseaux sociaux
    Le système est merveilleusement verrouillé par les algorithmes qui grâce à notre historique de navigation, nos « j’aime » et nos commentaires, arrivent à cerner parfaitement notre profil.
    La censure que nous subissons n’est qu’un jeu pour nous distraire, nous renforcer dans notre indignation et nous détourner de la vraie censure que sont les algorithmes.
    Nos messages, nos vidéos ne sont vus QUE par nos partisans et JAMAIS par des personnes qui lisent Le Monde ou Libé.
    Elle est d’autant plus folklorique qu’elle ne nous empêche en rien d’accéder à l’information.
    Pour celles et ceux qui ont un compte Netflix avec plusieurs utilisateurs, naviguez sur un autre utilisateur et vous verrez que les propositions, les tendances, les « plus vus », n’ont strictement rien à voir avec votre profil.
    Les YouTube, Facebook, Twitter et autres nous présentent NOTRE monde et certainement pas LE monde.
    Et sur Telegram ou Whatsapp, c’est encore pire, car il faut être volontairement inscrit sur un groupe pour pouvoir accéder à l’information. Bien entendu Google participe activement au travail de désinformation en n’indexant que les pages politiquement correctes.
    Enfin des « croyants en mission pour la Sainte Ampoule » ou des trolls sont payés pour nous énerver et nous occuper afin de nous donner l’illusion que nous avons un public hétéroclite.
    Les réseaux sociaux sont donc uniquement un entre-soi qui ne pourra JAMAIS contaminer les bien pensants pour lesquels ils ne relayent que des informations mainstream.
    Ce texte aura une petite visibilité chez les complotistes et strictement aucune chez les autres.
  • Point d’espoir grâce aux vérificateurs de l’information
    Nous avons pu voir qu’un fidèle lecteur de la presse média ou des chaînes mainstream ne croisera jamais une information contraire à la doxa aussi bien en les regardant qu’en allant sur les réseaux sociaux.
    Pour autant le pouvoir en place fait tout pour les protéger de la « désinformation ».
    Il fait volontairement fuiter certains sujets afin de bien formater le lecteur et le dissuader de s’informer ailleurs.
    C’est un travail relativement délicat, car plus on parle d’un sujet et plus il devient médiatique.
    Tout questionnement devient de fait une parole « complotiste » et généralement antisémite et d’extrême droite. L’auteur jadis scientifique respecté sera devenu sénile ou disjoncté et ses pairs ne manqueront pas d’insister sur sa nouvelle « folie ».
    « Toute » la communauté scientifique le mettra aux bans et le lecteur sera dédouané du devoir de s’informer, risquant d’être contaminé par la mauvaise foi et la perversion machiavélique du déviant.
    Ainsi le risque de bascule est fort limité.
    Leur rôle est aussi de nous énerver afin de nous occuper.
  • Point d’espoir côté manifestations dans la rue
    Je mettrais un bémol, mais les manifestations anti-passe sanitaire n’ont pas permis d’aboutir à son retrait, ni même à son amendement.
    Le fidèle lecteur ou spectateur des mainstreams pouvait croire qu’il n’y avait aucune manifestation en France ou qu’il n’y avait pas foule.
    Pourtant des millions de Français, dont moi-même, se sont retrouvés dans la rue chaque samedi pendant des semaines.
    Personnellement je pense que le gouvernement nous a comptés et qu’il n’a pas rendu la vaccination obligatoire pour tout le monde en voyant que ce groupe serait difficilement contraint. Nous ne saurons jamais si c’est une demi-victoire ou un délire de ma part.
    Il faut quand même avoir l’honnêteté de reconnaître que la dictature sanitaire a continué son petit bonhomme de chemin sans opposition factuelle.

Pour résumer, force est de constater que :

  • Ni les politiques.
  • Ni l’AFP.
  • Ni les médias
  • Ni les scientifiques.
  • Ni les preuves, les études.
  • Ni les institutions.
  • Ni les syndicats.
  • Ni les élections.
  • Ni les réseaux sociaux.
  • Ni les médias alternatifs.
  • Ni les ouvrages papier, écrits, vidéos, interview.
  • Ni les manifestations dans la rue.
  • Ni les quelques rares moments de vérité dans les médias mainstream.
  • Etc.

N’ont été et ne sont de nature à faire reculer la dictature !

La dictature ne faiblit pas, bien au contraire

Il serait naïf (et dangereux) de croire que la suppression du passe vaccinal et autres interdictions seraient le fruit de nos « victoires ». Tout n’est que stratégie.

Les 3 sujets principaux de dictature sont actuellement le Covid, la guerre en Ukraine et le « réchauffement climatique ».

Covid

  • Concernant le Covid, avez-vous entendu les autorités nous dire que :
  • Le Covid n’était pas bien méchant.
  • Les masques et les confinements étaient inutiles.
  • Il existait des traitements efficaces peu onéreux.
  • Il n’y a pas eu de surmortalité chez les moins de 65 ans et que la surmortalité des autres est essentiellement le fruit des mesures interdisant les soins.
  • Les tests PCR sont une arnaque pour fabriquer une fausse pandémie.
  • La décision de suspendre les soignants et ne pas les réintégrer est purement politique et non sanitaire.
  • Les prétendus vaccins sont à la fois inefficaces et dangereux.
  • Le ministère de la Santé, l’ANSM, les ARS, l’ordre des médecins et j’en passe ont et mentent encore.

Rien de tout ceci. Bien au contraire des millions de doses sont encore commandées. On parle d’intégrer le « vaccin » Covid dans le « vaccin » contre la grippe, voir même dans les 11 « vaccins » obligatoires.

Et le VRP des labos a annoncé une campagne massive d’injection de Gardasil, vaccin prétendument prévu pour lutter contre les cancers du col de l’utérus par un prétendu papillomavirus alors qu’il est de notoriété publique que celui-ci est inefficace, dangereux et que le taux d’indice des cancers a augmenté parallèlement à son utilisation. Sans parler du traité sur les pandémies de l’OMS qui instaurerait un État mondial, policier et médical. Ce n’est pas ce que j’appellerais un recul de la dictature.

Ukraine

  • Concernant la guerre en Ukraine, avez-vous entendu les autorités nous dire que :
  • Les accords de Minsk étaient une ruse pour tromper la Russie et permettre à l’Ukraine, pardon à l’OTAN, de s’armer.
  • Des membres du gouvernement et du parlement ukrainien sont des nazis.
  • Zelensky est un pantin toxicomane mis en place par un coup d’État de la CIA.
  • Les milliards de dollars d’aide ne vont pas à l’Ukraine, mais aux marchands d’armes.
  • Les USA ont saboté Nord Stream 1 et 2.
  • Les prétendues sanctions contre la Russie ont pour unique objet de détruire l’économie européenne.
  • Etc.

Ici encore pas la moindre trace de changement de la doxa. La propagande et le mensonge sont la règle.

« Réchauffement climatique »

Concernant le réchauffement climatique, avez-vous entendu les autorités nous dire que :

  • Le changement climatique est naturel comme en l’an mille.
  • S’il y a réchauffement, c’est une bonne nouvelle pour la vie sur Terre.
  • Le CO2 est gentil et en faire un bouc émissaire permet de ne pas se pencher sur les vrais pollueurs et l’industrie chimique.
  • La transition écologique est une vaste arnaque, une chimère qui déplace la pollution, détruit notre économie et nous rend encore plus dépendants de l’étranger.
  • La fin de la voiture thermique en 2035 serait une catastrophe économique et qu’elle n’est absolument pas viable d’un point de vue technique et infrastructures.
  • Etc.

Toute parole « déviante » est immédiatement mise au ban de la société. La propagande et le mensonge ne font que croître au fil des mois. Le passe vaccinal sera bien vite remplacé par le passe carbone avec l’approbation du peuple soucieux de « sauver la planète ».

Bref même s’il existe quelques victoires individuelles (réelles) ici ou là, le fait est que les libertés ne font que diminuer, faisant passer la France de la 33e place, pas reluisante en 2019, à la 42e place en 2022.

La dictature avance tranquillement inexorablement
et notre action est donc pour l’instant un échec.

Il n’existe plus de justice française, plus de justice européenne et plus de justice internationale. La mensonge et la tricherie sont au pouvoir.

Le nombre d’éveillés ?

Vous pourriez justement me rétorquer que le nombre de personnes qui ouvrent les yeux ne fait que croître, notamment grâce aux effets secondaires des injections expérimentales.

Oui, mais ici aussi, permettez-moi de mettre un bémol. Si selon Santé Publique France, 80 % des Français auraient reçu au moins une dose (nous savons que c’est faux, mais là n’est pas l’objet de mon propos). Ils annoncent 8,5 % pour le rappel Omicron.

Soyons raisonnables, il n’est pas possible d’affirmer que plus de 70 % des Français auraient ouvert les yeux. Je vous rappelle qu’en mars 2021, lorsque les médias ont commencé à parler de passe sanitaire, le taux de vaccination était de 10 % de la population. Rien ne dit, j’aurais plutôt tendance à écrire, tout dit que si un passe sanitaire était à nouveau obligatoire pour lutter contre « le lumbago de la grenouille », les Français retourneraient en masse au piquatorium pour pouvoir continuer à aller au restaurant.

Soit ; Il y a quand même de plus en plus d’éveillés, mais ceux-ci font partie de la masse, la masse qui accepte, la masse qui obéit, la masse qui met un masque, la masse qui jette sa voiture pour en acheter une neuve, car l’ancienne n’a plus le droit de circuler.

Cette masse de suiveurs n’a jamais fait et ne fera jamais de révolutions.

Elle se contente d’être dans la norme. Et comme le pouvoir décisionnel n’est pas dans cette population, leur réveil ne pourra avoir un effet qu’à la marge !

Ne vous méprenez pas !

Même si j’affirme que nos actions n’ont pas été de nature à faire reculer la dictature de façon significative, ni même la faire reculer tout court. Nous pouvons même dire qu’elle avance à grands pas dans différents domaines.

Je n’affirme pourtant en rien que nos luttes n’ont servi à rien. Je peux même affirmer que sans elles, nous nous serions probablement effondrés par le poids de l’horreur.

Nos luttes ont permis de :

  • Ne pas nous sentir seuls à penser ainsi.
  • Découvrir des personnes formidables.
  • Accroître nos connaissances comme jamais.
  • Apporter la preuve que nous sommes le contraire de complotistes ou de fous.
  • Nous permettre d’élaborer des stratégies pour être impactés au minimum par la dictature.
  • Préparer l’avenir si le totalitarisme se mettait à vaciller.

Oui, mais alors que faire pour déstabiliser et contrecarrer la dictature ?

J’espère que la lumière viendra des USA pays qui est à l’origine de tant d’horreurs, mais où les juges ont une indépendance et un pouvoir. Le fait est que les vérités (pas toutes) finissent par sortir aux USA à la différence de la France.

Elle peut aussi venir de la Russie avec un Poutine qui dit défendre nos valeurs et qui ne sera pas lâché par les chinois qui veulent tout sauf une victoire des US. Je me reconnais largement plus dans son discours que dans celui des démocrates inclusifs qui me font penser à Sodome et Gomorrhe. Mais compter là-dessus pour sauver notre peau serait probablement fort déraisonnable.

Quelle solution ou quelles solutions ?

Le nombre de résistants, oui, mais pas uniquement. Les révolutions ne sont pas faites par la masse. Il n’en existe pas qui débutent avec le concours de 50 % du peuple.

Si l’on se réfère à Mai 68 (mon objet n’est pas de discuter du pourquoi ou de celles et ceux qui tiraient les ficelles), on constate que le mouvement a démarré avec environ 10 % des salariés en grève. Nous résistants sommes largement suffisamment nombreux.

L’unité !

Et c’est bien pour cela que le gouvernement ne cesse de nous diviser pour mieux régner. À vrai dire nous n’avons pas besoin d’eux pour nous déchirer, nous le faisons déjà très bien.
Les députés dits d’opposition nous montrent l’exemple de ce que nous ne devons pas faire.

Nous sommes français, il est donc logique que nous ne soyons pas d’accord.

Pour autant nous pourrions enfin nous accorder sur le fait
que la première des choses est de nous débarrasser
de ce gouvernement et de ce Président larbin autoritaire.

Lorsque nous en serons débarrassés pacifiquement, lorsque nous aurons changé de République, lorsque nous aurons introduit de la démocratie dans nos institutions par exemple par le RIC1. Mais surtout lorsque nous aurons rendu leur indépendance aux médias ET éduqué le peuple à la démocratie…

Nous aurons alors toute liberté de nous déchirer, mais dans un cadre réellement démocratique. Mais en attendant :

C’est soit l’union, soit la victoire des forces du mal.

Paralysie ?

Le blocage du pays est de nature à faire bouger les choses. Ici encore, même si cela a mal fini, le mouvement des gilets jaunes a vraiment fait peur à l’État profond de même que le Convoi de la Liberté au Canada.

Je n’imagine d’autres voies pacifiques pour provoquer le changement que de bloquer la machine.

Au risque de me répéter, toutes nos actions passées nous ont permis de nous protéger plus ou moins, mais ne dérangent en rien la dictature qui avance inéluctablement.

Merci
Alain Tortosa2 2 mars 2023
https://7milliards.fr/tortosa20230302-dictature-parfaite-revolutio




La Guerre de 5e Génération vient d’éclater (et vous en faites partie)

[Source : MoneyRadar via Guy Boulianne]

Êtes-vous en guerre ?

Oui, vous qui me regardez en ce moment, prenez un instant pour réfléchir et répondez à la question.

Selon vous, à cet instant, êtes-vous en guerre ?

Avez-vous un ou plusieurs ennemis, ou bien savez-vous si quelqu’un, quelque part, vous considère comme son ennemi, jusqu’à devoir déployer des mesures, quelles qu’elles soient, pour vous amener à cesser le combat ?

À moins d’être en conflit armé avec votre voisin ou votre patron, et si vous ne vivez ni en Ukraine, ni au Yémen, ni en Éthiopie, ni dans aucun des pays qui apparaissent en rouge sur cette carte [1], vous me répondrez probablement que non.

Aucune bombe n’est tombée sur votre toit, aucun soldat armé jusqu’aux dents n’arpente les rues de votre village ou de votre quartier, vous n’avez pas besoin de rejoindre un abri à chaque avion qui passe, et les sirènes ne sonnent que le premier mercredi du mois, pourtant, j’ai une mauvaise nouvelle pour vous, car vous êtes bel et bien en guerre vous aussi, mais simplement, vous l’ignorez.

Vous ignorez même que quelqu’un vous en veut ou cherche à vous nuire, et c’est parfaitement normal, puisque c’est justement le propre de cette guerre, une guerre de perception, qui se veut discrète, raffinée, et qui se mène non pas sur un champ de bataille, mais dans votre esprit.

Aujourd’hui, je vais me plier à un exercice compliqué, qui est de vous expliquer ce qu’est la 5e génération de la guerre factuellement, sans verser dans les théories complotistes, et vous allez vite comprendre pourquoi vous devez considérer que vous êtes loin de vivre en paix comme vous l’imaginez.

Pour bien comprendre ce qui se passe, je vais revenir un peu en arrière, remonter un peu le temps, parler de ces guerres menées à la façon de nos ancêtres, de nos grands-parents ou arrière-grands-parents, et vous montrer comment la technologie, l’intelligence artificielle et la mondialisation ont bouleversé les règles du combat et changé le visage de la guerre.

Aujourd’hui, elle n’est plus aussi franche, elle est asymétrique, elle est hybride, elle se fonde sur l’information, sur la propagande, sur la communication, sur les progrès technologiques plutôt que sur les blindés, les avions de chasse et les contingents de troupes surarmées.

Elle est devenue permanente, brouille la frontière entre la guerre et la paix, et ne concerne plus seulement des nations qui s’opposent l’une à l’autre, mais aussi des entreprises ou des gouvernements, parfois contre leur propre peuple, des peuples contre leurs propres membres, jusqu’aux membres d’un même groupe qui se retournent contre leurs propres frères.

Qui mène ces guerres et dans quels buts ?

Comment s’y prennent-ils et est-il possible de se protéger ?

[Voir aussi :
La fabrication des perceptions]

https://moneyradar.org/

SOURCES

Liens :
MUSIQUES :

  • Ardie Son – Fear No Evil
  • Eleven Tales – When the Demons Came Knocking
  • Jeremy Chontow – Arrival
  • Kyle Preston – Lost Reality
  • SPEARFISHER – Taurus
  • Yonatan Riklis – Cyclic Emotions



« Morts subitement » — Comment Google nous éclaire sur cette réalité ?

Par Alain Tortosa

Cela fait désormais des mois que les groupes Telegram ou Facebook dits « complotistes » relayent le décès anormal de personnes en bonne santé qui sont mortes soudainement.

Des profils souvent jeunes et sportifs, qui a priori, n’avaient aucune raison de décéder sans maladie connue.

Ce nombre est totalement extra-ordinaire et il est tout aussi extraordinaire de constater que les médias mainstream ne font jamais le lien avec les injections expérimentales appelées « vaccin » ou s’empressent de nier cette éventualité.

J’invite mes lecteurs à se régaler de tous les articles de presse qui disent à quel point le sport, la sieste, la douche, la conduite, les poux et que sais-je encore, sont désormais sources d’accidents vasculaires ou cardiaques.

Et comme ce n’est pas non plus une hécatombe, il est peut-être trop tôt pour que cette surmortalité impacte profondément les statistiques annuelles (même si cela commence à se voir).

Mais partons de l’hypothèse que cette augmentation de mortalité soit statistiquement invisible ou non pertinente.

La question qui vient à l’esprit est :

« Nous voyons de nombreuses morts subites,
mais peut-être qu’il en est de même toutes les années
et que ni nous ni les médias n’y prêtions attention les années précédentes. »

Je me suis donc demandé s’il y avait une évolution de l’utilisation sur Internet du terme « mort subitement » ces dernières années ou si c’était relativement constant.

J’ai donc fait la recherche du terme exact (présence des guillemets) « die suddenly » et « died suddenly » sur Google sur plusieurs années consécutives.

Notons que l’on ne peut pas accuser Google, champion de la censure, d’être pro-complotiste.

Si vous cherchez les mots « die suddenly » et « died suddenly ».

  • Sur la période du 1er janvier 2018 au 1er janvier 2019 vous obtenez 6 800 résultats1 vs 46 200.
  • Sur la période du 1er janvier 2019 au 1er janvier 2020 vous obtenez 6 170 résultats2 vs 52 700.
  • Sur la période du 1er janvier 2020 au 1er janvier 2021 vous obtenez 6 550 résultats3 vs 57 700.
  • Sur la période du 1er janvier 2021 au 1er janvier 2022 vous obtenez 6 700 résultats4 vs 65 700.
  • Sur la période du 1er janvier 2022 au 1er janvier 2023 vous obtenez 11 300 résultats5 vs 122 000.

Et enfin

  • Sur la période du 1er janvier 2023 au 28 février 2023 vous obtenez 5 670 résultats6 vs 87 200 sur 2 mois.

Il est plus qu’intéressant de constater que le nombre de résultats évolue relativement peu entre l’année 2018 et 2021.

Puis le nombre d’occurrences de « died suddenly » double quasiment en 2022.

Doublement est peut-être un peu exagéré.

Nous assistons sur les résultats Google à une augmentation de 69 % entre 2021 et 2022
pour « die suddenly » et de 82 % pour « died suddenly » !!!

Point encore plus interrogeant, les deux premiers mois de 2023 comportent quasi le même nombre de citations que lors des années complètes précédentes !

Les covidistes pourraient nous rétorquer que l’accroissement extraordinaire du nombre de citations serait uniquement dû à « l’hystérie des complotistes ».

Ce serait nier le fait que Google n’indexe pas ou peu ces sites qui sont renvoyés en fond de grille ou même désindexés.

J’ai donc fait une recherche identique en me limitant au site du New York Post sur « died suddenly » afin d’éliminer le facteur « complotiste » :

  • 2020 : 26 résultats.
  • 2021 : 48 résultats.
  • 2022 : 67 résultats.

Et les deux premiers mois de l’année 2023 donnent 23 résultats qui, en extrapolant, fourniraient 138 décès sur l’année 2023 soit deux fois plus que pour 2022, résultat totalement hallucinant.

Nous pouvons imaginer que les journalistes n’inventent pas ces morts subites.

Rechercher sur un seul média est forcément limité, car ces « morts soudaines » et forcément isolées sont répertoriées principalement par la presse locale.
« Un joueur de l’équipe de foot décède pendant le match » et intéressera peu des médias nationaux ou internationaux à moins que cela ne touche des personnalités.

J’ai découvert un point encore plus intéressant en interrogeant le site de CNN.
Pour ceux qui l’ignorent, CNN est une sorte de BFM américain, 100 % pro-doxa « nous allons tous mourir du Covid, vive la Sainte Ampoule ! »

  • 2020 : 41 résultats.
  • 2021 : 41 résultats.
  • 2022 : 42 résultats.

Étonnamment stable, non ?

Et que 5 pour les deux premiers mois de 2023, ce qui donnerait 30 morts subites pour l’année 2023 selon CNN, soit moins que les années précédentes !

Le phénomène de morts subites n’existe donc pas sur CNN et irait plutôt en baisse.

Spectateurs de CNN vous pouvez continuer à vous injecter la Sainte Ampoule, il ne se passe strictement rien !
Monde merveilleux, non ?

Si en revanche je me place de l’autre côté de l’échiquier avec la chaîne Fox News, beaucoup plus critique vis à vis des mesures sanitaires comme du « vaccin », les résultats parlent d’eux-mêmes :

  • 2020 : 19 résultats
  • 2021 : 20 résultats
  • 2022 : 76 résultats, plus de trois fois plus que l’année précédente !
  • Et 22 pour les deux premiers mois de 2023, ce qui donnerait presque le double pour l’année 2023.

Ici encore, il est relativement peu probable que des journalistes de Fox News inventent des morts subites.

Donc, si d’un côté on peut tenter de minimiser la réalité de l’augmentation en évoquant une utilisation du terme amplifiée par des sites Internet complotistes, le raisonnement inverse peut être proposé en affirmant que les grands sites les plus référencés relayent pas ou peu cette information.

Et comme un journal comme le NY Post, mais aussi Fox News fait aussi apparaître une très forte augmentation des décès soudains, comparables aux résultats globaux de Google, il est possible d’affirmer que le phénomène est réel.

En regardant les résultats sur Facebook où d’un côté on pourrait imaginer une plus grande présence complotiste, mais où l’on sait que ceux-ci ont une moindre visibilité du fait des algorithmes et sont aussi régulièrement censurés, les résultats sont les suivants :

Facebook « died suddenly » toujours selon Google :

  • 2020 : 1 220 résultats.
  • 2021 : 1 190 résultats.
  • 2022 : 2 400 résultats.
  • Et, encore plus intéressant, les deux premiers mois de 2023 avec 1 400, soit plus de la moitié de l’année 2022 (déjà exceptionnelle) en seulement deux mois.

La seule conclusion possible est qu’il se passe quelque chose de statistiquement représentatif
dans le domaine des « morts subites d’adultes ».

Cela se retrouve donc aussi bien sur Google dans sa globalité, que sur le NY Post ou sur Fox news et sur Facebook, mais étrangement PAS du tout sur CNN !

Le covidiste ira de son réchauffement climatique ou de la guerre en Ukraine pour les justifier.
Et nous y verrons les résultats des injections massives chez une population jeune et en bonne santé, information censurée notamment par CNN et les médias mainstream.

Information si bien corrélée par Pierre Chaillot dans son livre « Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels7 » aux éditions de l’Artilleur.

Merci

Alain Tortosa8
28 février 2023
https://7milliards.fr/tortosa2023028-died-suddenly-google.pdf





L’hégémonie américaine et ses périls

[Source : english.news.cn]

[Illustration : le Capitole et un panneau stop sont vus à Washington D.C., aux États-Unis, le 13 février 2020. (Xinhua/Liu Jie)]

BEIJING, 20 février (Xinhua) — L’hégémonie américaine et ses périls

Sommaire

  • Introduction
  • I. L’hégémonie politique : un poids à ne pas négliger
  • II. L’hégémonie militaire — L’usage inconsidéré de la force
  • III. Hégémonie économique — Pillage et exploitation
  • IV. Hégémonie technologique — Monopole et répression
  • V. Hégémonie culturelle — Diffusion de faux récits
  • Conclusion

Introduction

Depuis qu’ils sont devenus le pays le plus puissant du monde après les deux guerres mondiales et la guerre froide, les États-Unis ont agi avec plus d’audace pour s’ingérer dans les affaires intérieures d’autres pays, poursuivre, maintenir et abuser de leur hégémonie, favoriser la subversion et l’infiltration, et mener délibérément des guerres, portant ainsi préjudice à la communauté internationale.

Les États-Unis ont élaboré un manuel de jeu hégémonique pour mettre en scène des « révolutions de couleur », provoquer des conflits régionaux et même lancer directement des guerres sous couvert de promouvoir la démocratie, la liberté et les droits de l’homme. S’accrochant à la mentalité de la guerre froide, les États-Unis ont intensifié la politique des blocs et alimenté les conflits et les confrontations. Ils ont poussé à l’extrême le concept de sécurité nationale, abusé des contrôles à l’exportation et imposé des sanctions unilatérales aux autres. Ils ont adopté une approche sélective du droit et des règles internationales, les utilisant ou les rejetant comme bon leur semble, et ont cherché à imposer des règles qui servent leurs propres intérêts au nom du maintien d’un « ordre international fondé sur des règles ».

Ce rapport, en présentant les faits pertinents, cherche à exposer l’abus d’hégémonie des États-Unis dans les domaines politique, militaire, économique, financier, technologique et culturel, et à attirer davantage l’attention de la communauté internationale sur les périls des pratiques américaines pour la paix et la stabilité mondiales et le bien-être de tous les peuples.

Un garçon se tient dans les ruines causées par les frappes aériennes américaines
dans le district de Sangin de la province de Helmand, en Afghanistan, le 23 août 2022.
(Photo de Saifurahman Safi/Xinhua)

I. L’hégémonie politique — Jeter son poids par-dessus bord

Les États-Unis tentent depuis longtemps de modeler les autres pays et l’ordre mondial avec leurs propres valeurs et leur propre système politique au nom de la promotion de la démocratie et des droits de l’homme.

◆ Les exemples d’ingérence des États-Unis dans les affaires intérieures des autres pays abondent. Au nom de la « promotion de la démocratie », les États-Unis ont pratiqué une « doctrine néo-Monroe » en Amérique latine, ont fomenté des « révolutions de couleur » en Eurasie et ont orchestré le « printemps arabe » en Asie occidentale et en Afrique du Nord, apportant le chaos et le désastre à de nombreux pays.

En 1823, les États-Unis ont annoncé la Doctrine Monroe. Tout en vantant une « Amérique pour les Américains », ils voulaient en réalité une « Amérique pour les États-Unis ».

Depuis lors, les politiques des gouvernements américains successifs à l’égard de l’Amérique latine et de la région des Caraïbes ont été marquées par l’ingérence politique, l’intervention militaire et la subversion des régimes. Depuis 61 ans d’hostilité et de blocus à l’égard de Cuba jusqu’au renversement du gouvernement Allende au Chili, la politique américaine à l’égard de cette région repose sur une maxime : ceux qui se soumettent prospèrent, ceux qui résistent périssent.

L’année 2003 a marqué le début d’une succession de « révolutions de couleur » — la « révolution des roses » en Géorgie, la « révolution orange » en Ukraine et la « révolution des tulipes » au Kirghizstan. Le Département d’État américain a ouvertement admis avoir joué un « rôle central » dans ces « changements de régime ». Les États-Unis se sont également immiscés dans les affaires intérieures des Philippines, en chassant le président Ferdinand Marcos Sr en 1986 et le président Joseph Estrada en 2001 par le biais des « révolutions du pouvoir populaire ».

En janvier 2023, l’ancien secrétaire d’État américain Mike Pompeo a publié son nouveau livre Never Give an Inch : Fighting for the America I Love. Il y révèle que les États-Unis ont comploté pour intervenir au Venezuela. Le plan consistait à forcer le gouvernement Maduro à conclure un accord avec l’opposition, à priver le Venezuela de sa capacité à vendre du pétrole et de l’or pour obtenir des devises étrangères, à exercer une forte pression sur son économie et à influencer l’élection présidentielle de 2018.

◆ Les États-Unis font deux poids deux mesures en matière de règles internationales. Plaçant leur intérêt personnel au premier plan, les États-Unis se sont éloignés des traités et organisations internationaux, et ont placé leur droit national au-dessus du droit international. En avril 2017, l’administration Trump a annoncé qu’elle couperait tout financement américain au Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP) au prétexte que l’organisation « soutient ou participe à la gestion d’un programme d’avortement coercitif ou de stérilisation involontaire. » Les États-Unis ont quitté l’UNESCO à deux reprises, en 1984 et en 2017. En 2017, ils ont annoncé quitter l’accord de Paris sur le changement climatique. En 2018, ils ont annoncé leur sortie du Conseil des droits de l’homme de l’ONU, invoquant le « parti pris » de l’organisation contre Israël et son incapacité à protéger efficacement les droits de l’homme. En 2019, les États-Unis ont annoncé leur retrait du Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire afin de chercher à développer sans entrave des armes avancées. En 2020, ils ont annoncé leur retrait du traité « Ciel ouvert ».

Les États-Unis ont également été une pierre d’achoppement pour le contrôle des armes biologiques en s’opposant aux négociations sur un protocole de vérification pour la Convention sur les armes biologiques (CIAB) et en empêchant la vérification internationale des activités des pays en matière d’armes biologiques. Seul pays en possession d’un stock d’armes chimiques, les États-Unis ont à plusieurs reprises retardé la destruction de ces armes et sont restés réticents à remplir leurs obligations. Ils sont devenus le principal obstacle à la réalisation d’un « monde sans armes chimiques ».

◆ Les États-Unis assemblent de petits blocs grâce à leur système d’alliances. Ils ont imposé une « stratégie indo-pacifique » à la région Asie-Pacifique, en créant des clubs exclusifs comme les Five Eyes, la Quad et l’AUKUS, et en forçant les pays de la région à prendre parti. Ces pratiques visent essentiellement à créer une division dans la région, à attiser la confrontation et à saper la paix.

◆ Les États-Unis portent un jugement arbitraire sur la démocratie dans d’autres pays et fabriquent un faux récit de « démocratie contre autoritarisme » pour inciter à l’éloignement, la division, la rivalité et la confrontation. En décembre 2021, les États-Unis ont organisé le premier « Sommet de la démocratie » qui a suscité les critiques et l’opposition de nombreux pays pour avoir tourné en dérision l’esprit de la démocratie et divisé le monde. En mars 2023, les États-Unis accueilleront un autre « Sommet pour la démocratie », qui restera mal accueilli et ne trouvera à nouveau aucun soutien.

Un véhicule militaire américain passe devant la zone de Tal Tamr
dans la campagne de la province de Hasakah, dans le nord-est de la Syrie,
le 14 novembre 2019. (Str/Xinhua)

II. L’hégémonie militaire — le recours injustifié à la force

L’histoire des États-Unis est caractérisée par la violence et l’expansion. Depuis leur indépendance en 1776, les États-Unis ont constamment cherché à s’étendre par la force : ils ont massacré des Indiens, envahi le Canada, mené une guerre contre le Mexique, déclenché la guerre américano-espagnole et annexé Hawaï. Après la Seconde Guerre mondiale, les guerres provoquées ou lancées par les États-Unis ont inclus la guerre de Corée, la guerre du Vietnam, la guerre du Golfe, la guerre du Kosovo, la guerre d’Afghanistan, la guerre d’Irak, la guerre de Libye et la guerre de Syrie, abusant de leur hégémonie militaire pour ouvrir la voie à des objectifs expansionnistes. Ces dernières années, le budget militaire annuel moyen des États-Unis a dépassé 700 milliards de dollars américains, soit 40 % du total mondial, plus que les 15 pays derrière eux réunis. Les États-Unis ont environ 800 bases militaires à l’étranger, avec 173 000 soldats déployés dans 159 pays.

Selon le livre America Invades : How We’ve Invaded or been Militarily Involved with almost Every Country on Earth, les États-Unis ont combattu ou ont été militairement impliqués dans presque tous les 190 pays reconnus par les Nations unies, à trois exceptions près. Ces trois pays ont été « épargnés » parce que les États-Unis ne les ont pas trouvés sur la carte.

◆ Comme l’a dit l’ancien président américain Jimmy Carter, les États-Unis sont sans aucun doute la nation la plus belliqueuse de l’histoire du monde. Selon un rapport de l’université Tufts, « Introducing the Military Intervention Project: A new Dataset on U.S. Military Interventions, 1776-2019 », les États-Unis ont entrepris près de 400 interventions militaires dans le monde entre ces années, dont 34 % en Amérique latine et dans les Caraïbes, 23 % en Asie de l’Est et dans le Pacifique, 14 % au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, et 13 % en Europe. Actuellement, ses interventions militaires au Moyen-Orient et en Afrique du Nord ainsi qu’en Afrique subsaharienne sont en augmentation.

Alex Lo, un chroniqueur du South China Morning Post, a souligné que les États-Unis ont rarement fait la distinction entre la diplomatie et la guerre depuis leur fondation. Au XXe siècle, ils ont renversé les gouvernements démocratiquement élus de nombreux pays en développement et les ont immédiatement remplacés par des régimes fantoches pro-américains. Aujourd’hui, en Ukraine, en Irak, en Afghanistan, en Libye, en Syrie, au Pakistan et au Yémen, les États-Unis répètent leurs vieilles tactiques en menant des guerres par procuration, de basse intensité et par drones.

◆ L’hégémonie militaire américaine a provoqué des tragédies humanitaires. Depuis 2001, les guerres et opérations militaires lancées par les États-Unis au nom de la lutte contre le terrorisme ont fait plus de 900 000 morts, dont environ 335 000 civils, des millions de blessés et des dizaines de millions de déplacés. La guerre d’Irak de 2003 a provoqué la mort de quelque 200 000 à 250 000 civils, dont plus de 16 000 directement tués par l’armée américaine, et a laissé plus d’un million de personnes sans-abri.

Les États-Unis ont créé 37 millions de réfugiés dans le monde. Depuis 2012, le nombre de réfugiés syriens a été multiplié par dix à lui seul. Entre 2016 et 2019, 33 584 décès de civils ont été documentés dans les combats syriens, dont 3 833 tués par les bombardements de la coalition dirigée par les États-Unis, la moitié étant des femmes et des enfants. Le 9 novembre 2018, le Public Broadcasting Service (PBS) a rapporté que les frappes aériennes lancées par les forces américaines sur Raqqa ont tué à elles seules 1 600 civils syriens.

La guerre qui a duré deux décennies en Afghanistan a dévasté le pays. Au total, 47 000 civils afghans et 66 000 à 69 000 soldats et policiers afghans sans lien avec les attentats du 11 septembre ont été tués dans des opérations militaires américaines, et plus de 10 millions de personnes ont été déplacées. La guerre en Afghanistan a détruit les bases du développement économique de ce pays et a plongé le peuple afghan dans la misère. Après la « débâcle de Kaboul » en 2021, les États-Unis ont annoncé qu’ils allaient geler quelque 9,5 milliards de dollars d’actifs appartenant à la banque centrale afghane, une mesure considérée comme un « pur pillage ».

En septembre 2022, le ministre turc de l’Intérieur Suleyman Soylu a déclaré lors d’un rassemblement que les États-Unis ont mené une guerre par procuration en Syrie, transformé l’Afghanistan en champ d’opium et en usine d’héroïne, plongé le Pakistan dans la tourmente et laissé la Libye dans des troubles civils incessants. Les États-Unis font tout ce qu’il faut pour voler et asservir le peuple de tout pays disposant de ressources souterraines.

Les États-Unis ont également adopté des méthodes effroyables en temps de guerre. Au cours de la guerre de Corée, de la guerre du Viêt Nam, de la guerre du Golfe, de la guerre du Kosovo, de la guerre d’Afghanistan et de la guerre d’Irak, les États-Unis ont utilisé des quantités massives d’armes chimiques et biologiques ainsi que des bombes à fragmentation, des bombes à air comprimé, des bombes au graphite et des bombes à l’uranium appauvri, causant d’énormes dommages aux installations civiles, d’innombrables victimes civiles et une pollution durable de l’environnement.

Ne vous attendez pas à faire des affaires avec les gars que je n’aime pas, où que vous soyez !
(Juridiction au bras long)

III. Hégémonie économique — Pillage et exploitation

Après la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont dirigé les efforts visant à mettre en place le système de Bretton Woods, le Fonds monétaire international et la Banque mondiale, qui, avec le plan Marshall, ont formé le système monétaire international centré sur le dollar américain. En outre, les États-Unis ont également établi une hégémonie institutionnelle dans le secteur économique et financier international en manipulant les systèmes de vote pondérés, les règles et les arrangements des organisations internationales, notamment l’« approbation à la majorité de 85 % », ainsi que leurs lois et réglementations commerciales nationales. En profitant du statut du dollar en tant que principale monnaie de réserve internationale, les États-Unis collectent essentiellement le « seigneuriage » du monde entier ; et en utilisant leur contrôle sur les organisations internationales, ils contraignent les autres pays à servir la stratégie politique et économique de l’Amérique.

◆ Les États-Unis exploitent les richesses du monde à l’aide du « seigneuriage ». La production d’un billet de 100 dollars ne coûte qu’environ 17 cents, mais les autres pays doivent débourser 100 dollars de biens réels pour en obtenir un. Il a été souligné, il y a plus d’un demi-siècle, que les États-Unis jouissaient d’un privilège exorbitant et d’un déficit sans larmes créé par leur dollar, et qu’ils utilisaient ce billet de papier sans valeur pour piller les ressources et les usines des autres nations.

◆ L’hégémonie du dollar américain est la principale source d’instabilité et d’incertitude dans l’économie mondiale. Pendant la pandémie de COVID-19, les États-Unis ont abusé de leur hégémonie financière mondiale et ont injecté des milliers de milliards de dollars sur le marché mondial, laissant les autres pays, notamment les économies émergentes, en payer le prix. En 2022, la Fed a mis fin à sa politique monétaire ultra-facile et s’est tournée vers une hausse agressive des taux d’intérêt, provoquant des turbulences sur le marché financier international et une dépréciation substantielle d’autres devises telles que l’euro, dont beaucoup sont tombées à leur plus bas niveau depuis 20 ans. En conséquence, un grand nombre de pays en développement ont été confrontés à une forte inflation, à une dépréciation de leur monnaie et à des sorties de capitaux. C’est exactement ce que le secrétaire au Trésor de Nixon, John Connally, a fait remarquer un jour, avec une autosatisfaction, mais une précision acérée, que « le dollar est notre monnaie, mais c’est votre problème. »

◆ Grâce à leur contrôle sur les organisations économiques et financières internationales, les États-Unis imposent des conditions supplémentaires à leur aide aux autres pays. Afin de réduire les obstacles à l’afflux de capitaux américains et à la spéculation, les pays bénéficiaires sont tenus de faire progresser la libéralisation financière et d’ouvrir les marchés financiers afin que leurs politiques économiques s’alignent sur la stratégie américaine. Selon la Review of International Political Economy, parallèlement aux 1 550 programmes d’allégement de la dette accordés par le FMI à ses 131 pays membres entre 1985 et 2014, pas moins de 55 465 conditions politiques supplémentaires avaient été attachées.

◆ Les États-Unis suppriment volontairement leurs opposants par la coercition économique. Dans les années 1980, pour éliminer la menace économique que représentait le Japon, et pour contrôler et utiliser ce dernier au service de l’objectif stratégique américain consistant à affronter l’Union soviétique et à dominer le monde, les États-Unis ont utilisé leur puissance financière hégémonique contre le Japon, et ont conclu l’accord du Plaza. En conséquence, le yen a été poussé à la hausse, et le Japon a été pressé d’ouvrir son marché financier et de réformer son système financier. L’Accord du Plaza a porté un coup dur à la dynamique de croissance de l’économie japonaise, laissant le Japon avec ce qui a été appelé plus tard « trois décennies perdues. »

◆ L’hégémonie économique et financière de l’Amérique est devenue une arme géopolitique. Doublant les sanctions unilatérales et la « juridiction du bras long », les États-Unis ont promulgué des lois nationales telles que la loi sur les pouvoirs économiques en cas d’urgence internationale, la loi globale Magnitsky sur la responsabilité en matière de droits de l’homme et la loi Countering America’s Adversaries Through Sanctions Act, et ont introduit une série de décrets pour sanctionner des pays, des organisations ou des individus spécifiques. Les statistiques montrent que les sanctions américaines contre les entités étrangères ont augmenté de 933 % entre 2000 et 2021. À elle seule, l’administration Trump a imposé plus de 3 900 sanctions, soit trois sanctions par jour. Jusqu’à présent, les États-Unis avaient ou ont imposé des sanctions économiques à près de 40 pays à travers le monde, dont Cuba, la Chine, la Russie, la RPDC, l’Iran et le Venezuela, affectant près de la moitié de la population mondiale. Les « États-Unis d’Amérique » se sont transformés en « États-Unis des sanctions ». Et la « juridiction de longue portée [ou au bras long] » a été réduite à rien d’autre qu’un outil permettant aux États-Unis d’utiliser les moyens de leur puissance étatique pour supprimer les concurrents économiques et interférer dans le commerce international normal. Il s’agit là d’une grave entorse aux principes de l’économie de marché libérale dont les États-Unis se sont longtemps targués.

Ne pousse pas sur MON TERRAIN DE JEU. Ce n’est pas de NIVEAU !

IV. Hégémonie technologique — Monopole et suppression

Les États-Unis cherchent à décourager le développement scientifique, technologique et économique des autres pays en exerçant un pouvoir de monopole, des mesures de suppression et des restrictions technologiques dans les domaines de haute technologie.

◆ Les États-Unis monopolisent la propriété intellectuelle au nom de la protection. Profitant de la position de faiblesse des autres pays, notamment des pays en développement, en matière de droits de propriété intellectuelle et de la vacuité institutionnelle dans les domaines concernés, les États-Unis engrangent des bénéfices excessifs grâce au monopole. En 1994, les États-Unis ont fait avancer l’Accord sur les aspects des droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce (ADPIC), imposant un processus et des normes américanisés en matière de protection de la propriété intellectuelle, dans le but de consolider leur monopole sur la technologie.

Dans les années 1980, pour contenir le développement de l’industrie japonaise des semi-conducteurs, les États-Unis ont lancé l’enquête « 301 », ont renforcé leur pouvoir de négociation dans les négociations bilatérales par le biais d’accords multilatéraux, ont menacé d’accuser le Japon de pratiquer un commerce déloyal et ont imposé des droits de rétorsion, obligeant le Japon à signer l’accord américano-japonais sur les semi-conducteurs. En conséquence, les entreprises japonaises de semi-conducteurs ont été presque totalement exclues de la concurrence mondiale, et leur part de marché a chuté de 50 % à 10 %. Pendant ce temps, avec le soutien du gouvernement américain, un grand nombre d’entreprises américaines de semi-conducteurs ont saisi l’occasion et se sont emparées de parts de marché plus importantes.

◆ Les États-Unis politisent, militarisent les questions technologiques et les utilisent comme outils idéologiques. Dépassant le concept de sécurité nationale, les États-Unis ont mobilisé le pouvoir de l’État pour supprimer et sanctionner l’entreprise chinoise Huawei, ont restreint l’entrée des produits Huawei sur le marché américain, ont coupé son approvisionnement en puces et en systèmes d’exploitation, et ont contraint d’autres pays à interdire à Huawei d’entreprendre la construction de réseaux 5G locaux. Ils ont même convaincu le Canada de détenir sans raison la directrice financière de Huawei, Meng Wanzhou, pendant près de trois ans.

Les États-Unis ont inventé un grand nombre d’excuses pour réprimer les entreprises chinoises de haute technologie compétitives au niveau mondial et ont inscrit plus de 1 000 entreprises chinoises sur des listes de sanctions. En outre, les États-Unis ont également imposé des contrôles sur la biotechnologie, l’intelligence artificielle et d’autres technologies de pointe, renforcé les restrictions à l’exportation, resserré le filtrage des investissements, supprimé les applications de médias sociaux chinoises telles que TikTok et WeChat, et fait pression sur les Pays-Bas et le Japon pour qu’ils limitent les exportations de puces et d’équipements ou de technologies connexes vers la Chine.

Les États-Unis ont également pratiqué la politique du deux poids deux mesures à l’égard des professionnels de la technologie liés à la Chine. Pour mettre sur la touche et supprimer les chercheurs chinois, depuis juin 2018, la validité des visas a été raccourcie pour les étudiants chinois se spécialisant dans certaines disciplines liées aux hautes technologies, des cas répétés se sont produits où des universitaires et des étudiants chinois se rendant aux États-Unis pour des programmes d’échange et des études ont été refusés de manière injustifiée et harcelés, et une enquête à grande échelle sur les universitaires chinois travaillant aux États-Unis a été menée.

◆ Les États-Unis solidifient leur monopole technologique au nom de la protection de la démocratie. En construisant de petits blocs sur la technologie, tels que l’« alliance des puces » et le « réseau propre », les États-Unis ont apposé les étiquettes « démocratie » et « droits de l’homme » sur la haute technologie, et ont transformé les questions technologiques en questions politiques et idéologiques, de manière à fabriquer des excuses pour leur blocus technologique contre d’autres pays. En mai 2019, les États-Unis ont enrôlé 32 pays à la Conférence de Prague sur la sécurité de la 5G en République tchèque et ont publié la Proposition de Prague dans le but d’exclure les produits 5G de la Chine. En avril 2020, le secrétaire d’État américain de l’époque, Mike Pompeo, a annoncé le « 5G clean path », un plan conçu pour construire une alliance technologique dans le domaine de la 5G avec des partenaires liés par leur idéologie commune sur la démocratie et la nécessité de protéger la « cybersécurité ». Ces mesures, en substance, sont les tentatives des États-Unis de maintenir leur hégémonie technologique par le biais d’alliances technologiques.

◆ Les États-Unis abusent de leur hégémonie technologique en menant des cyberattaques et des écoutes. Les États-Unis ont depuis longtemps la réputation d’être un « empire de pirates informatiques », blâmé pour ses actes de cybervol effrénés dans le monde entier. Ils disposent de toutes sortes de moyens pour mettre en œuvre des cyberattaques et une surveillance omniprésentes, notamment en utilisant les signaux de stations de base analogiques pour accéder aux téléphones portables afin de voler des données, en manipulant des applications mobiles, en infiltrant des serveurs en nuage [comme le sont iCloud et OneDrive] et en volant par le biais de câbles sous-marins. La liste est longue.

La surveillance américaine ne fait pas exception. Tout le monde peut être la cible de sa surveillance, qu’il s’agisse de rivaux ou d’alliés, voire de dirigeants de pays alliés comme l’ancienne chancelière allemande Angela Merkel et plusieurs présidents français. La cybersurveillance et les attaques lancées par les États-Unis telles que « Prism », « Dirtbox », « Irritant Horn » et « Telescreen Operation » sont autant de preuves que les États-Unis surveillent de près leurs alliés et partenaires. Ces écoutes des alliés et des partenaires ont déjà suscité une indignation mondiale. Julian Assange, le fondateur de Wikileaks, un site web qui a révélé les programmes de surveillance américains, a déclaré qu’il ne fallait pas « s’attendre à ce qu’une superpuissance mondiale de surveillance agisse avec honneur ou respect. Il n’y a qu’une seule règle : il n’y a pas de règles ».

Tout le monde aime les États-Unis !
Et ce n’est définitivement PAS ma marionnette qui parle.

V. L’hégémonie culturelle — La diffusion de faux récits

L’expansion mondiale de la culture américaine est un élément important de sa stratégie extérieure. Les États-Unis ont souvent utilisé des outils culturels pour renforcer et maintenir leur hégémonie dans le monde.

◆ Les États-Unis incorporent les valeurs américaines dans leurs produits tels que les films. Les valeurs et le mode de vie américains sont un produit lié à ses films et émissions de télévision, ses publications, son contenu médiatique et les programmes des institutions culturelles à but non lucratif financées par le gouvernement. Il façonne ainsi un espace culturel et d’opinion publique dans lequel la culture américaine règne et maintient son hégémonie culturelle. Dans son article The Americanization of the World, John Yemma, un universitaire américain, a exposé les véritables armes de l’expansion culturelle américaine : Hollywood, les usines de conception d’images sur Madison Avenue et les chaînes de production de Mattel Company et Coca-Cola.

Il existe différents véhicules que les États-Unis utilisent pour conserver leur hégémonie culturelle. Les films américains sont les plus utilisés ; ils occupent désormais plus de 70 % des parts de marché mondiales. Les États-Unis exploitent habilement leur diversité culturelle pour séduire les différentes ethnies. Lorsque les films hollywoodiens s’abattent sur le monde, ils crient les valeurs américaines qui leur sont liées.

◆ L’hégémonie culturelle américaine ne se manifeste pas seulement par une « intervention directe », mais aussi par une « infiltration médiatique » et comme « une trompette pour le monde. » Les médias occidentaux dominés par les États-Unis jouent un rôle particulièrement important dans la formation de l’opinion publique mondiale en faveur de l’ingérence des États-Unis dans les affaires intérieures des autres pays.

Le gouvernement américain censure strictement toutes les entreprises de médias sociaux et exige leur obéissance. Elon Musk, PDG de Twitter, a admis le 27 décembre 2022 que toutes les plateformes de médias sociaux collaborent avec le gouvernement américain pour censurer les contenus, a rapporté Fox Business Network. L’opinion publique aux États-Unis est soumise à l’intervention du gouvernement pour restreindre toutes les remarques défavorables. Google fait souvent disparaître des pages.

Le ministère américain de la Défense manipule les médias sociaux. En décembre 2022, The Intercept, un site d’investigation américain indépendant, a révélé qu’en juillet 2017, Nathaniel Kahler, un responsable du commandement central américain, a demandé à l’équipe de politique publique de Twitter d’augmenter la présence de 52 comptes en langue arabe sur une liste qu’il a envoyée, dont six devaient être prioritaires. L’un des six comptes était consacré à la justification des attaques de drones américaines au Yémen, notamment en affirmant que les attaques étaient précises et ne tuaient que des terroristes, et non des civils. Suite à la directive de Kahler, Twitter a placé ces comptes en langue arabe sur une « liste blanche » pour amplifier certains messages.

◆Les États-Unis pratiquent deux poids deux mesures en matière de liberté de la presse. Ils suppriment brutalement et réduisent au silence les médias d’autres pays par divers moyens. Les États-Unis et l’Europe interdisent l’accès de leurs pays aux principaux médias russes, tels que Russia Today et Sputnik. Des plateformes telles que Twitter, Facebook et YouTube restreignent ouvertement les comptes officiels de la Russie. Netflix, Apple et Google ont supprimé les chaînes et les applications russes de leurs services et de leurs magasins d’applications. Une censure draconienne sans précédent est imposée aux contenus liés à la Russie.

◆Les États-Unis abusent de leur hégémonie culturelle pour instiguer une « évolution pacifique » dans les pays socialistes. Ils mettent en place des médias d’information et des tenues culturelles ciblant les pays socialistes. Ils déversent des quantités stupéfiantes de fonds publics dans les réseaux de radio et de télévision pour soutenir leur infiltration idéologique, et ces porte-parole bombardent les pays socialistes dans des dizaines de langues avec une propagande incendiaire jour et nuit.

Les États-Unis utilisent la désinformation comme un fer de lance pour attaquer d’autres pays et ont construit une chaîne industrielle autour d’elle : des groupes et des individus inventent des histoires et les colportent dans le monde entier pour tromper l’opinion publique avec le soutien de ressources financières presque illimitées.

Conclusion

Alors qu’une cause juste gagne à son champion un large soutien, une cause injuste condamne son poursuivant à être un paria. Les pratiques d’hégémonie, de domination et d’intimidation consistant à utiliser la force pour intimider les faibles, à prendre aux autres par la force et les subterfuges, et à jouer à somme nulle, causent un grave préjudice. Les tendances historiques de paix, de développement, de coopération et d’avantages mutuels sont inéluctables. Les États-Unis ont écrasé la vérité par leur puissance et piétiné la justice pour servir leurs intérêts personnels. Ces pratiques hégémoniques unilatérales, égoïstes et régressives ont suscité des critiques et une opposition croissantes et intenses de la part de la communauté internationale.

Les pays doivent se respecter mutuellement et se traiter sur un pied d’égalité. Les grands pays doivent se comporter d’une manière digne de leur statut et prendre l’initiative de poursuivre un nouveau modèle de relations d’État à État, fondé sur le dialogue et le partenariat, et non sur la confrontation ou l’alliance. La Chine s’oppose à toute forme d’hégémonisme et de politique de puissance, et rejette toute ingérence dans les affaires intérieures des autres pays. Les États-Unis doivent faire un sérieux examen de conscience. Ils doivent examiner d’un œil critique ce qu’ils ont fait, abandonner leur arrogance et leurs préjugés, et renoncer à leurs pratiques hégémoniques, dominatrices et d’intimidation.




Un scientifique met en garde : les vaccins à ARNm vont continuer à tuer des gens, et ceux qui survivront seront des marionnettes du Nouvel Ordre Mondial

[Source : citizens.news]

Par Arsenio Toledo

Le Dr Sucharit Bhakdi, microbiologiste thaïlandais et allemand, expert des vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19), a averti que les vaccins à ARNm sont très dangereux. Ils tueront de plus en plus de personnes chaque jour, et ceux qui survivront seront des sujets plus faciles à contrôler par le Nouvel Ordre Mondial. M. Bhakdi a lancé cet avertissement lors d’une récente interview avec le Dr Peter Breggin, animateur de Brighteon.TV, dans le cadre de l’émission « ReFounding America ».



Dès 2020, alors que la pandémie de COVID-19 commençait tout juste à se répandre dans le monde entier, Bhakdi critiquait déjà de nombreux récits grand public concernant le COVID-19. Dans cette récente interview, Bhakdi a expliqué à Breggin précisément pourquoi les vaccins à ARNm sont dangereux.

(Voir aussi : GÉNOCIDE VACCINAL : Le Dr Peter McCullough affirme que les vaccins COVID ont maintenant tué plus d’Américains que la Première Guerre mondiale).

Bhakdi a comparé les vaccins ARNm à des lettres dans des enveloppes, les lettres étant les ARNm et les enveloppes les nanoparticules lipidiques. Les « lettres » atteignent différentes destinations dans l’organisme que le coronavirus n’aurait jamais atteintes, notamment les cellules des ganglions lymphatiques et les endothéliums vasculaires. Ces cellules qui reçoivent les messages sont ensuite invitées à créer des protéines de pointe, qui causent encore plus de dommages à l’organisme en augmentant le risque de caillots sanguins, de dommages au système immunitaire et d’autres problèmes de santé. Les « enveloppes » sont un poison, selon M. Bhakdi. Les nanoparticules lipidiques injectées dans l’organisme sont chargées positivement, contrairement aux lipides naturels qui sont soit sans charge, soit chargés négativement. Ces lipides chargés positivement interfèrent avec la capacité des molécules importantes de l’organisme – dont la plupart sont chargées négativement – à fonctionner correctement.

Le Nouvel Ordre Mondial utilise les vaccins pour rendre les gens plus contrôlables

Les vaccins réels, selon leur définition originale, sont censés induire directement l’immunité en fournissant aux gens les anticorps nécessaires pour repousser les maladies. Les vaccins à ARNm incitent plutôt les cellules de l’organisme à produire des protéines virales qui, selon Bhakdi, rendent les gens plus malléables d’un point de vue scientifique.

Bhakdi a déclaré que les vaccins « aveuglent l’esprit des gens » parce que les vaccins rendent les gens moins intelligents « et c’est la partie la plus dangereuse de toutes. »

« Ces vaccins sont en train de tuer des gens. Vous avez vos myocardites, vous avez vos accidents vasculaires cérébraux, vos crises cardiaques, tout cela est terrible. Vous avez tous ces athlètes qui meurent, vous avez tous ces jeunes qui meurent, très mauvais », a déclaré Bhakdi.

« Mais le pire, c’est que ces milliards qui avaient été injectés perdent la tête – c’est quelque chose que les gens ne réalisent pas – et deviennent de plus en plus contrôlables parce qu’ils ne peuvent pas dire non », a-t-il poursuivi.

« C’est fantastique. C’est brillant – et c’est cauchemardesque, horrible, diabolique, satanique. Il faut l’arrêter. »

La principale entité à l’origine de ce plan visant à faire vacciner les milliards de personnes qui survivent à l’ARNm COVID-19 est le Nouvel Ordre Mondial. Bhakdi et Breggin sont tous deux d’accord pour dire que le concept de Nouvel Ordre Mondial n’est pas un mythe ou une théorie du complot.

« Il s’agit vraiment d’une masse de relations imbriquées entre les banques, les grandes entreprises, le complexe militaro-industriel, les gens qui nous ont entraînés dans cette guerre en Ukraine parce qu’ils vont en tirer profit de la même manière qu’ils tirent profit du COVID-19 », a déclaré Breggin.

Le plan du Nouvel Ordre Mondial est de vider le monde de ses richesses et de son pouvoir grâce au COVID-19, aux lockdowns et aux vaccins, et de contrôler ceux qui survivent. Plus le monde est vidé de ses richesses et de son pouvoir, plus le Nouvel Ordre Mondial s’enrichit et devient puissant.

« Ce soi-disant vaccin est en train de changer l’humanité et l’homme », a déclaré Bhakdi.

« Ces vaccins vous changent en ce moment même, même si vous ne vous en rendez pas compte. Ils modifient votre psyché, votre cerveau. Vous devenez des personnes différentes en ce moment… Vous perdez votre individualité. Vous perdez votre personnalité et vous perdez le droit de dire “Je suis un être humain”. Vous êtes en train de perdre votre [humanité] ».

[Voir aussi :
Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ?
Exorcisme et « vaccins » anti-Covid
Rudolph Steiner avait prévu en 1917 un vaccin qui priverait l’Homme de son âme
Sur la signification occulte du terme COVID
Que se passe-t-il dans les corps énergétiques et en particulier pour l’âme après le « vaccin »?
Le « Covid-19 » n’existe pas, sauf en tant qu’association de malfaiteurs
COVID19 = ARNAQUE UNIVERSELLE
COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires
À quel point les virus sont-ils morts ?
Comment éliminer l’oxyde de graphène des vaxins]

Pour en savoir plus sur la dangerosité des vaccins à ARNm COVID-19, consultez Vaccines.news. Regardez cet épisode de « ReFounding America » avec le Dr Peter R. Breggin qui explique que les vaccins COVID-19 sont encore pires que ce que les gens pensaient.




Délitement de l’État-Macron et déconfiture de l’UE

[Source : observatoiredumensonge.com]

Par Daniel Desurvire

Sommaire
1°) Il n’y a pas de relent complotiste à pressentir le collectivisme dans l’idéation mondialiste
2°) La corruption, une gangrène qui gagne toutes les sphères politiques
3°) Une intrigue manichéenne où l’emprise chtonienne du pouvoir et de l’avoir l’emporte sur la morale et l’honneur
4°) Telle une razzia de barbares, la macronie, en selle sur la secte WEF, se fait le chancre de la dégénérescence des valeurs de France.

1°) Il n’y a pas de relent complotiste à pressentir le collectivisme dans l’idéation mondialiste

Je ne saurais me convaincre de prémonition autour de quelque projection d’avenir, si d’aventure il m’arrive d’avoir vu juste sur la coïncidence des faits, notamment depuis janvier 2021 avec « L’absurde traitement du Covid-19 qui préluda une manipulation tant sociale que génétique du vaccin » et la dizaine d’autres ouvrages qui suivirent aux éditions Observatoire du Mensonge. Des évènements à échoir peuvent survenir de façon prévisible, perceptible eu égard au profil singulier de certains personnages publics, ce qui n’est pas un don de clairvoyance, mais un réflexe de lucidité. C’est avec des cas d’école, tels Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen, lesquels brûlent dans la constance de leurs obsessions dominatrices et vénales, qu’apparaît lisiblement leur l’appétence du pouvoir et de l’argent.

Pour briguer de tels objectifs, tous les moyens leur sont bons. Pour preuve, un rapport venant de la médiatrice européenne Emily O’Reilly, étayé par l’expertise de deux ONG (StopAids et GHA), accable la politique vaccinale contre la Covid emmenée par Ursula von der Leyen (in, Euractiv France, Clara Bauer-Babef, 20 janv. 2023). Cette enquête dénonce sans ambages l’influence démesurée du lobbying des firmes pharmaceutiques, en particulier chez Pfizer, sur le commerce des vaccins-Covid dans l’Union, avec des marchés menés dans une opacité critique par la présidente de la Commission européenne. Des intérêts privés ont très rapidement pris le pas sur la notion de « bien commun » engagée par les décideurs européens durant la pandémie.

De fait, dès juin 2020, la Commission passa des commandes aux laboratoires, dont la précipitation laisse pantois ; à savoir qu’un délai si court entre la pandémie reconnue fin 2019 et la mise au point de ces vaccins dont les premières doses furent administrées dès 2020 ne saurait permettre de respecter les étapes cliniques de contrôle, de randomisation et d’AMM, pourtant rendues obligatoires, eu égard aux principes de précaution imposés aux produits pharmaceutiques. Dans cette précipitation, l’Agence européenne des médicaments (EMA) autorisa l’injection des produits livrés par Pfizer, Moderna, AstraZenica, Janssen, Novavax et Valneva, avec ± 70 % des adultes vaccinés, dans les États membres de l’Union, fin juillet 2021.

L’absence de transparence sur ces contrats financés par les fonds publics met en exergue des malversations vraisemblables, dont il est fait état par le secret entretenu autour des échanges de SMS entre Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer Albert Bourla, portant sur la négociation de commandes pour 1,8 milliard de doses de vaccins-Covid. Alors que le vice-président de la commission, Margaritis Schinas prend la défense de sa patronne en prétextant qu’un tel marché ne se négocie pas par SMS, Marc Botenga pour la commission d’enquête rétorqua, « Qu’il s’agit de prendre connaissance de l’influence de ces SMS sur la négociation ». Cette absence de coopération d’Ursula von der Leyen sur ces échanges laisse planer un doute, quant à une suspicion qui plane sur la nature de ces contrats possiblement entachés de corruption, ce que laisse entendre Rowan Dunn, coordinatrice du plaidoyer pour l’Union chez GHA.

Sous le sceau de l’urgence, l’absence de garantie des produits et la clause de non-recours en cas d’accident consécutif à cette prophylaxie d’expérience, auront permis auxdits laboratoires d’opposer la propriété intellectuelle sur leurs vaccins, dont le monopole autorise des profits considérables selon le député européen Marc Botenga de l’ONG ; « Un hold-up sur notre sécurité sociale » ! Le manque de coopération de Pfizer, lequel a emporté une très large majorité des contrats, ajouté au silence complice d’Ursula von der Leyen dans les coulisses de ces tractations, le pire apparaît envisageable en termes d’enrichissement personnel, de trafic d’influence, de concussion et de népotisme entre son époux, le Dr Heiko directeur dans une filière du Big Pharma, et l’un de ses fils David, directeur d’un cabinet-conseil McKinsey, principal intermédiaire dans ces marchés.

Les contrats d’achat des vaccins conclus entre le géant pharmaceutique Pfizer et l’exécutif européen seraient, selon l’expression des ONG*, « caviardés », rendus illisibles alors que la médiatrice de l’UE appelle à les rendre publics. StopAids* et GHA* exhortent que les négociations contractuelles, entre les firmes et les commanditaires de l’UE, soient « totalement ouvertes et transparentes, avec des processus établis, plutôt que passées par des canaux informels ». Pour preuve qu’il y a un loup dans la bergerie, puisque les textos passés entre Pfizer et la présidente de la Commission restent enfouis dans les tiroirs de la confidentialité, et ce jusqu’à que soit diligenté une enquête judiciaire. Du côté de l’Élysée, nous observons le même cas de figure avec Emmanuel Macron, qui tout seul mène sa barque dans les canaux souterrains des ententes pour dissimuler ses secrètes complicités entre McKinsey, Pfizer et Ursula von der Leyen, inférant des gesticulations inquiétantes depuis le clair-obscur de sa troublante idiosyncrasie.

Emmanuel Macron n’a certes pas la carrure d’un gestionnaire, pas plus qu’il ne semble habité d’une capacité mentale suffisante. C’est avant tout un arriviste, et même un forcené dès lors qu’il est investi dans une idéologie qui l’envahit et le phagocyte. Par exemple, parvenir à se hisser à la canopée des hommes les plus influents du monde, ou entrer dans le noyau dur de la secte WEF, correspond à ses ambitions mondialistes, où même avoir la main sur un pays comme la France semble pour lui un objectif dépassé, puisque c’est chose faite. Sauf qu’à défaut d’avoir su gérer son pays, il l’a coulé de tous les côtés depuis l’économie, l’industrie, la finance, l’éducation, le social et la politique extérieure, ainsi qu’il fut constaté par l’ensemble des observatoires et instituts indépendants, depuis le sacre présidentiel de ce dernier des rois maudits. Cet esbroufeur n’aurait vraisemblablement pas même su tenir un kiosque à journaux, car il aurait déjà pillé la caisse avant d’honorer ses factures, de la même manière qu’il le fit avec les administrations du 139 rue de Bercy et du 14 avenue Duquesne, parmi les quinze autres ministères ; tous spoliés avec la même avidité.

À SUIVRE

Daniel Desurvire

Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).

♣ ♣ ♣

Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier :
Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE




Ressources anti-humaines

[Source : reseauinternational.net]

Par Miri Anne Finch

Étant donné que les médias se concentrent actuellement sur la vie extraterrestre, un article avec une approche non-humaine semblait approprié… Il ne s’agit pas des « extraterrestres » en tant que tels, qui, semble-t-il, ne feront pas encore leurs débuts officiels, mais plutôt du fait que la scène mondiale se prépare à leur apparition, comme c’est le cas depuis de très nombreuses années grâce aux offres surnaturelles spectaculaires d’Hollywood. Certains des films familiaux les plus durables et les plus appréciés de tous les temps – par exemple « ET » – et certaines des émissions de télévision les plus cultes et les plus populaires – « X-Files » – ont un message très clair et sans compromis : les extraterrestres sont réels, votre gouvernement les dissimule, mais un jour, bientôt, ils prendront contact…

Nous sommes préparés à l’invasion extraterrestre à travers nos écrans, tout comme nous avons été préparés à la « pandémie » de Covid (et au concept de « pandémie » en général) de la même manière. « Alerte », « World War Z », « Contagion » (dont un jeune ami m’a dit qu’il avait été projeté à sa classe de géographie lorsqu’il était à l’école vers 2015, et sur lequel Matt Hancock a confirmé plus tard qu’il avait « basé sa réponse à la pandémie ») – tout cela vise à manucurer l’esprit de masse pour qu’il accepte que les maladies mortelles qui se propagent lorsque les gens se respirent les uns les autres sont une chose réelle que nous devons craindre. Si ce concept ne nous avait pas été présenté par le cinéma, aucun d’entre nous ne l’aurait jamais cru, car il va à l’encontre de toute notre expérience directe et vécue. En bref, si les « pandémies mortelles transmises par la respiration » étaient une réalité, alors, dans une société aussi mobile et en transit que la nôtre, nous serions tous constamment malades, et les emplois très exposés au public, comme l’hôtellerie ou la salle des arrivées de l’aéroport d’Heathrow, seraient plus dangereux que d’être en première ligne dans une zone de guerre.

Il est évident que ce n’est pas le cas, et il y a très peu de preuves qui suggèrent que les personnes qui travaillent en public sont plus exposées aux maladies dites infectieuses que celles qui travaillent seules à la maison. Après tout, nous n’avons jamais vu ces gros titres « les employés de supermarché meurent tous du Covid », n’est-ce pas, malgré le fait que les employés de magasin travaillaient constamment et autour de centaines de personnes potentiellement « infectées » par jour, tout au long de « la pandémie ».

Donc, le fait est que lorsque les classes dirigeantes désirent notre investissement dans un phénomène qui n’est pas réel, elles utilisent le puissant pouvoir hypnotique des écrans, et projettent leur réalité désirée dans nos esprits. Ils ont poussé le cliché de « l’invasion extraterrestre » pendant des décennies, en utilisant la télévision et le cinéma, parce que, dans un avenir très proche, ils vont mettre en scène une invasion extraterrestre en utilisant la technologie holographique. Il s’agit du projet Bluebeam, un complot secret des services secrets américains révélé par un journaliste d’investigation dans les années 1990.

Les prétendus « OVNIs » dont parlent les médias en ce moment nous préparent encore davantage à cette « invasion extraterrestre », qui sera mise en scène dans le but d’unir le monde sous une force commune. Cette force peut être présentée comme étant bonne (« nous sommes une espèce avancée venue vous aider, mais vous devez faire ce que nous disons »), ou mauvaise (« l’humanité doit s’unir pour vaincre ces envahisseurs maléfiques »). Dans tous les cas, l’objectif final est d’unifier le monde, conformément au programme du gouvernement mondial unique.

Il me semble que ce n’est pas une coïncidence si les entités non humaines font les gros titres, juste au moment où cette autre entité non humaine – ChatGPT – est en train d’atteindre une proéminence fulgurante, et où les cas de personnes disparues sont à nouveau un sujet de discussion brûlant (si seulement il y avait un moyen de toujours suivre une personne, de toujours savoir où elle est et si elle est en sécurité, comme, je ne sais pas, une puce électronique ou quelque chose comme ça… et wow, est-ce que ce gentil Elon Musk ne travaille pas par coïncidence sur une telle chose en ce moment ? !)

Parce que le thème de toutes ces choses est le même : l’âge de l’humain naturel, organique, non altéré est terminé. Nous entrons dans l’ère des extraterrestres, de l’IA et du transhumanisme. Les humains sont dépassés. Ils ont besoin d’une mise à niveau.

Cela m’a été illustré de manière particulièrement claire ces dernières semaines, alors que j’aidais une personne que je connais bien (et que vous connaissez probablement aussi, si nous sommes amis sur Facebook, mais je protège sa modestie…), que nous appellerons Nick, à chercher un emploi. Après de nombreuses années de succès dans le secteur de l’aide sociale, dont la gestion de sa propre entreprise, il y a un peu plus d’un an, le contrat à durée déterminée de Nick a pris fin. Tout portait à croire qu’il serait renouvelé (puisque c’est ce qui s’est passé à deux reprises pour la même entreprise) sous la forme d’une promotion à un poste de direction.

Cela ne s’est pas produit. Pourquoi ? Ses employeurs lui expliquent qu’ils ne peuvent pas simplement lui donner le poste de direction – ce n’est pas la « procédure » – qui doit être publié comme un poste vacant pour lequel d’autres personnes peuvent postuler, mais – l’insinuation est forte – ce n’est qu’une formalité puisque le poste (et tous les collègues de Nick sont d’accord) porte son nom.

Nick s’est donc présenté à l’entretien, qui comprenait une période de préparation intensive au cours de laquelle il a dû élaborer une présentation interactive à présenter, puis parcourir 80 km – et ce malgré le fait que tous les membres du jury le connaissaient bien, et ce depuis des années, tant sur le plan social que professionnel.

Il a passé l’entretien, a fait sa présentation et a estimé que tout s’était passé aussi bien que possible, les membres du jury étant manifestement impressionnés par les détails de ses réponses et de sa présentation.

Les jours ont passé et il n’a pas eu de nouvelles, mais il a finalement reçu un appel téléphonique. Il n’a pas eu le poste. Pourquoi ? Parce que dans une question spécifique, relative à la gestion d’une entreprise d’aide sociale, il n’avait pas fourni suffisamment de détails sur un processus spécifique. Un autre candidat l’avait fait.

« Nous savons que vous avez dirigé une entreprise et que vous avez réussi à faire ces choses », a déclaré le collègue au téléphone. « L’autre candidat ne l’a pas fait dans la pratique. Mais il les a mieux décrites en théorie, et nous devons donc lui donner le poste ».

« Mais mon expérience réelle ne compte-t-elle pas, même si je n’ai pas tout à fait pensé à tout mentionner dans une situation d’entretien stressante ? » a demandé un Nick déconcerté.

« Non », a répondu son collègue sans ménagement. « Nous ne pouvons pas prendre cela en compte, tout doit aller sur l’entretien et le nombre de points que vous obtenez par réponse ».

« Mais… ne pouvez-vous pas prendre en compte le fait que vous me connaissez réellement et que vous avez basé de nombreuses procédures existantes de l’entreprise sur ce que j’ai inventé et développé ? »

« Non ».

Alors, tout ébranlé qu’il était, Nick s’est mis à la recherche d’un nouvel emploi. Quelques semaines de candidatures en ligne infructueuses ont suivi, puis un rendez-vous avec une société de recrutement, qui a d’abord oublié qu’il était là et l’a laissé assis dans un couloir pendant une demi-heure, avant de s’en rendre compte, de s’excuser et de lui dire qu’il devrait revenir un autre jour… ce qu’il a fait (à contrecœur). Il a rempli tous leurs formulaires et passé un entretien, et on lui a dit qu’ils le contacteraient si quelque chose de convenable se présentait.

Il n’a plus jamais entendu parler d’eux et s’est remis à parcourir les annonces en ligne. Finalement, un poste correspondant parfaitement à ses compétences et à son expérience s’est présenté. Il a donc rédigé une candidature (longue et détaillée) qui lui a valu d’être convoqué à un entretien. Une fois encore, la période de préparation intensive a commencé : étude approfondie de l’entreprise, organisation de rendez-vous avec d’anciens collègues ayant une expérience pertinente, rédaction d’un document de 20 pages couvrant les questions « essentielles » et « souhaitables » susceptibles d’être soulevées lors de l’entretien.

Le jour de l’entretien est arrivé, entraînant les frais de déplacement habituels et les dépenses connexes (l’entretien ayant lieu dans une ville située à environ 90 minutes de route). L’entretien s’est exceptionnellement bien déroulé. À la fin, Nick a ri et plaisanté avec ses interlocuteurs. Ils étaient manifestement très impressionnés par ses compétences, son expérience et son enthousiasme, et réagissaient très positivement à ses idées et suggestions – lorsqu’il a mentionné quelque chose sur les évaluations des risques, l’un des membres du panel a dit : « Bien, nous devrions lui donner le poste ici et maintenant juste pour avoir mentionné cela ! » Nick a dit que cela ressemblait plus à une consultation qu’à un entretien d’embauche, car ils prenaient des notes sur les choses qu’il avait suggérées, disant que c’étaient des choses auxquelles ils n’avaient pas pensé et qu’ils allaient essayer.

Nick se sentait confiant cette fois-ci. L’entretien s’était si bien déroulé, le jury avait manifestement été si impressionné, que sûrement, après quelques faux départs, c’était l’opportunité qu’il avait attendue.

L’appel téléphonique est arrivé le lendemain. Il a su immédiatement au ton de la voix de son interlocuteur qu’il n’avait pas obtenu le poste.

L’interviewer – le PDG de l’entreprise – s’est excusé. Presque une flatterie. Il a même dit les mots suivants : « Je voulais vous donner le poste et j’avais hâte de travailler avec vous ».

Mais ?

Mais ils ont utilisé un « système de points », et sur une seule question, un autre candidat avait obtenu deux points de plus que Nick en mentionnant deux « mots à la mode » clés.

« C’est tout ? » a demandé Nick.

« Oui », a répondu l’enquêteur, clairement avec plus qu’une pointe d’embarras. « Je veux dire, c’est le plus proche que j’ai jamais vu. Comme je l’ai dit, j’avais hâte de travailler avec vous, mais nous devons suivre la procédure. Nous devons suivre les points ».

Pour que les choses soient claires : les compétences, l’expérience, la personnalité, le caractère – même les préférences des humains qui mènent l’entretien – ne comptent pas. Seuls les « points » comptent.

C’est ainsi qu’une entité non humaine telle qu’une IA aborderait le recrutement. En utilisant des mots à la mode et des chiffres, des cases à cocher et des algorithmes. Il n’y a rien d’humain là-dedans, et c’est entièrement intentionnel et conçu.

« Pour être honnête », a dit Nick stupéfait, « je pense que c’est une approche un peu inhumaine ».

« Eh bien, moi aussi », a convenu l’intervieweur, avec un demi-sourire gêné, avant d’ajouter (et il a vraiment dit cela, je l’ai entendu). « Mais malheureusement, c’est ainsi que fonctionne la Matrice ».

Cette approche du recrutement – mettant de côté le caractère, les compétences, la créativité, l’expérience, au profit de l’utilisation de chiffres, de cases et de mots à la mode – est nécessairement conçue pour désavantager les humains, et pour avantager l’IA. Les logiciels informatiques peuvent être parfaitement programmés pour fournir exactement le mot à la mode souhaité au moment souhaité. Un être humain, surtout dans l’environnement artificiel et stressant d’un entretien, ne le peut pas.

Nous nous dirigeons rapidement vers une époque où les êtres humains devront être capables d’imiter l’IA de manière convaincante sur le lieu de travail pour être compétitifs, et comme la crise du coût de la vie continue de s’aggraver et que les salaires continuent de baisser, la concurrence va devenir de plus en plus féroce.

Alors, si la disparition de l’adorable petite Maddie ne suffit pas à vous convaincre de vous faire implanter une puce électronique… si l’enlèvement de Nicola Bulley par des extraterrestres ne suffit pas (on ne sait jamais, deux opérations psychologiques d’un coup, et tout ça…), peut-être que le fait que vous ne puissiez pas obtenir un emploi sans puce électronique – sans puce cérébrale vous permettant d’imiter parfaitement l’IA qui marque des points – le fera.

Pour l’instant, cela ressemble à de la science-fiction et j’espère vraiment que cela restera ainsi. Si quelqu’un travaillant dans le domaine du recrutement lit ceci, si quelqu’un pousse l’approche du « comptage de points comme critère principal », veuillez réaliser où cela va probablement vous mener, et qu’il ne faudra pas longtemps avant que – non seulement vos candidats soient encouragés à ressembler davantage à des robots – mais vous aussi. Tout comme l’IA peut donner des réponses parfaites pour marquer des points, elle peut aussi les détecter parfaitement dans une situation d’entretien. Comme les caissiers qui dirigent les gens vers la caisse automatique, comme les enseignants qui font grève et laissent les enfants apprendre en ligne, ne faites pas le travail des maîtres en vous rendant inutiles, parce que les robots peuvent le faire « mieux ». Les robots peuvent mieux faire la robotique, mais est-ce vraiment ce que nous voulons ?

Il est urgent que nous nous demandions quel type d’avenir nous voulons atteindre : un avenir fondé sur une formule précise et un score parfait, ou un avenir créatif, imprévisible, imaginatif, imparfait et trop humain ?

source : Miri AF

traduction Réseau International




Quelles sont les structures de pouvoir qui gouvernent le monde ?

[Source : kla.tv]

Interview avec David ICKE, janvier 2023

Les faillites, la guerre en Ukraine, les nouvelles lois contre la désinformation et la nouvelle loi sur le partage des charges en Allemagne, tout cela fait-il partie d’un tout ? Dans cette interview, David Icke, connu pour avoir fait de nombreuses prédictions sur la politique mondiale qui se sont réalisées, relie certains points pour nous et montre l’issue des événements mondiaux actuels. Attachez votre ceinture et profitez de cette interview intéressante !

[Voir aussi :
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]

Transcription

David Icke ! Nous sommes très honorés aujourd’hui de discuter avec David Icke ! David, merci beaucoup d’avoir accepté cette interview !

Icke : C’est un plaisir, Daniel !

Interviewer : Eh bien, je suppose que la plupart de nos téléspectateurs vous connaissent ! Pour ceux qui ne vous connaissent pas, nous pouvons faire une très courte biographie. Peut-être devrions-nous aller directement sur la page de Wikipédia. Que dit Wikipédia ?

Icke : C’est assez long, n’est-ce pas ? Et beaucoup d’informations sont inexactes!

Intervieweur : Oh, absolument ! J’allais quand même lire la première phrase.

Icke : Eh bien, allez-y alors !

Interviewer : Il est dit que David Vaughan Icke est un théoricien du complot anglais et un ancien footballeur et animateur de radio sportif. Souhaitez-vous ajouter quelque chose à cela ?

Icke : Eh bien, je ne suis pas un théoricien du complot ! Je suis un chercheur indépendant conspirationniste. Et qu’est-ce qu’un conspirationniste ? C’est quelqu’un qui se demande si l’autorité vous dit la vérité ou non. C’est aussi simple que ça ! Et bien sûr, le terme « théoricien du complot » vient de la CIA pour ce qui est de son utilisation généralisée dans les années 1960, lorsqu’ils essayaient de discréditer les gens qui ne croyaient pas qu’une balle utilisée pour l’assassinat de Kennedy faisait demi-tour. Et donc, il est maintenant utilisé et répété comme une métaphore, laquelle ne dit pas la vérité – propagande, désinformation. Et je vais vous en donner un exemple personnel, car le 6 novembre, je devais parler à Amsterdam lors d’un rassemblement pour la paix. Et quand l’annonce a été faite que j’allais parler là-bas, cela a fait tout un tollé cousu de fil blanc, bien sûr, qu’on ne devait pas me permettre d’y aller parce que j’étais un antisémite, j’étais un négationniste de l’holocauste etc. Et cela a en quelque sorte créé la fureur parmi les classes « vertueuses ». Tout cela est absurde, mais…

Interviewer : Puis-je intervenir ? Qu’est-ce que le sémitisme ou l’antisémitisme ont à voir avec un discours anti-guerre ? Ou bien est-ce qu’ils sont juste en train de sortir quelque chose de votre passé ?

Icke : Oh, ils ne le sortent pas de mon passé. Ils le sortent tout court. Parce que si vous avez quelqu’un qui dit quelque chose que vous ne voulez pas que les gens entendent et que c’est raisonnable et justifiable dans les faits, alors vous ne le prenez pas pour ce qu’il dit, vous inventez ce qu’il ne dit pas. Là où je veux en venir en termes de théoricien du complot… finalement c’était 24 heures, pas 48 heures avant que je sois censé parler – en fait, j’étais déjà sur la côte Est de l’Angleterre en attendant de traverser le tunnel sous la Manche jusqu’à Amsterdam – le gouvernement Néerlandais a annoncé que, parce que je constituais une menace pour la société, j’allais être banni non seulement des Pays-Bas, mais aussi de 25 autres pays européens. Cela signifie de nombreux autres pays en plus, car les Pays-Bas font partie de ce qu’ils appellent le groupe Schengen de pays qui partagent une politique frontalière commune. Donc quand vous êtes banni, vous êtes également banni par eux. Mais d’autres pays, y compris l’Amérique, utilisent les critères de Schengen pour – eh bien, ils le font quand ça les arrange – pour empêcher d’autres personnes d’entrer dans leur pays et c’est la même chose avec d’autres pays du monde. Donc, alors que je suis assis ici, je suis banni des grandes voies du monde. Mais là où je veux en venir en termes de théoricien du complot, c’est que des gens merveilleux aux Pays-Bas, des avocats, pensaient que ce qui se passait était inacceptable et ils ont donc défié le gouvernement devant les tribunaux et ce qui s’est passé – j’étais au procès – ils ne voulaient même pas me laisser entrer aux Pays-Bas pour comparaître devant le tribunal, je représentais un tel danger ! Et l’avocat du gouvernement a abandonné l’accusation d’antisémitisme en entier et de négation de l’holocauste et tout ça parce qu’il ne pouvait pas la maintenir. Donc, ce qu’ils ont fait, c’est de dire que j’étais anti-gouvernemental et en étant anti-gouvernemental, c’est-à-dire que je disais que le gouvernement ment, ce que le gouvernement néerlandais, comme tous les gouvernements, mais surtout le gouvernement néerlandais, fait à bien des égards par réflexe, que j’étais une menace pour la démocratie. Et puis, c’est là le problème, quand le juge – bien évidemment que ça allait arriver – a rendu son jugement, il a dit que le gouvernement avait raison de m’interdire parce qu’il était clair que j’étais un théoricien du complot. Et donc nous avons maintenant une situation où, si vous défiez le gouvernement de dire la vérité, vous êtes qualifié de théoricien du complot et si vous êtes un théoricien du complot, vous pouvez être banni de 26 pays européens.

C’est donc la voie qui est suivie et c’est la raison pour laquelle toute cette histoire du théoricien du complot et de la théorie du complot est si importante parce qu’elle devient centrale pour justifier de faire taire la dissidence. Donc, même à ce niveau, ces premières lignes de la page Wikipédia n’ont aucun sens en termes de réalité, mais encore une fois, la plupart de ce qui se trouve sur Wikipédia n’en a pas.

Interviewer : Oui, je pense qu’il est temps d’enterrer ce terme si nous le pouvons. Parce que, je veux dire, pourquoi avons-nous même le mot « conspirer » en anglais ? Vous savez, s’il existe une telle chose que la conspiration, si les gens conspirent, le ciel nous interdit de théoriser à ce sujet, n’est-ce pas ?

Icke : Oui, et la plupart de ce que les gens avaient décrit comme une théorie du complot, s’est avéré vrai avec le temps.

Intervieweur : Exactement !

Icke : Bien sûr, il y avait des théories du complot, où vous dites : Eh bien, en regardant les preuves, il semble que ça pourrait être ça, c’est justement ça, d’accord. Mais une grande partie est en réalité prouvable à partir des preuves et au cours des décennies- comme je le dis -, à tel point que c’était une théorie du complot qui s’avère être de plus en plus vraie, et c’est la raison pour laquelle ils veulent la discréditer bien sûr, si ce n’était pas vrai, ils n’auraient pas de problème avec ça. Ce qui leur pose problème, c’est le fait qu’elle est vraie. Ce que nous voyons, et c’est la société en général, c’est la façon dont elle est structurée : tout est inversé, tout est à l’envers. Et il n’y a pas de plus grand exemple de cela que les termes de propagande et désinformation sont des termes injurieux pour des personnes qui produisent des preuves crédibles. Des termes utilisés par des personnes qui mentent 24 heures sur 24, et même dans leur sommeil probablement. Nous ne devons donc pas nous soucier des étiquettes et nous énerver à cause des étiquettes. Nous devons juste continuer à marteler ce que nous disons parce que, vous savez, en fin de compte, ce qui pousse les gens à envisager d’autres possibilités, plus que toute autre chose, c’est leur propre expérience. Et depuis le tournant de l’ère Covid, ce que les gens ont expérimenté, c’est la suppression de la liberté à un rythme de plus en plus rapide. Et c’est ce qui les terrifie. Ce que j’ai dit il y a des décennies, c’est que le plan était – et c’est pourquoi ils ont introduit les nombreuses manières, les nombreuses raisons d’avoir Internet – parce qu’ils voulaient finalement une situation où personne ne verrait ou n’entendrait jamais quoi que ce soit qui n’ait pas été approuvé par le gouvernement, je veux dire carrément « 1984 » [1984 = Un roman dystopique écrit par George Orwell décrivant la vie d’un non-conformiste dans un État totalitaire]. Et c’est là où nous allons, je veux dire que nous avons une législation en cours d’examen au parlement britannique, appelée « projet de loi sur la sécurité en ligne » qui est conçue pour supprimer davantage le fondement-même de la liberté d’expression, et des lois similaires sont en cours dans le monde entier. La raison pour laquelle cela se produit – nous revenons au fondement de tout cela – c’est que l’autorité nous ment, elle nous ment à une échelle d’une telle ampleur peut-être jamais vue auparavant. Et parce qu’elle ment, elle ne supporte pas les interrogations. Donc, toute l’idée de la censure est d’arrêter cette analyse.

Interviewer : Oui, je ne comprends pas pourquoi ceci n’est pas plus évident pour tout le monde. Théoricien du complot signifie maintenant quand vous allez devant un tribunal, quand vous avez un procès en Hollande et qu’ils disent qu’on vous accuse d’être anti-gouvernemental. Quelle constitution dans le monde occidental, ou probablement même dans le monde, a écrit que vous ne pouvez pas être anti-gouvernemental ? C’est scandaleux !

Icke : Oui, et l’histoire, vous savez, c’est que nous sommes allés au tribunal avec ça et nous allons continuer, mais nous sommes allés au tribunal avec ça sans penser que nous allions gagner tout en sachant que nous n’allions probablement pas gagner, parce que c’était évident, c’est la façon dont le système est ficelé maintenant : ce sont les mécanismes de contrôle de l’autorité gouvernementale, ce ne sont que des illusions. Et donc on savait bien que ce juge de district aux Pays-Bas n’oserait pas aller à l’encontre du gouvernement. Et donc il a pris une décision et un jugement ridicule que parce que j’étais un « théoricien du complot », c’était justifié que je sois banni de 26 pays européens. Et il était d’autant plus d’accord avec les gens intelligents qui voient cela comme un outrage qu’il ne l’aurait été d’aller à l’encontre du gouvernement qui l’emploie et qu’il aurait bousculé à ses risques et périls. C’est ainsi que cela fonctionne, tout le système est ficelé. Et je ne dis pas que tous les juges sont corrompus, même si beaucoup d’entre eux le sont, corrompus pas nécessairement dans le sens de prendre de l’argent, mais corrompus en termes de corruption morale en ce sens qu’ils prendraient des décisions en fonction de ce qui est bon pour eux plutôt que de ce qui est bon pour la justice. Et c’est, à mon avis, ce qui s’est manifestement passé dans ce cas.
C’est la même chose partout dans le monde, c’est la même chose que ce que vous voyez en Amérique. Vous savez, j’ai été stupéfait quand j’ai entendu pour la première fois l’expression « le juge est un démocrate » [démocrate = membre du parti démocrate aux États-Unis], « le juge est un républicain » [républicain = membre du parti du parti républicain aux États-Unis]. C’est quoi, ça ? Qu’importe le parti des politiciens, et pourquoi devons-nous le savoir de toute façon ? Quelle en est la pertinence ? Si vous êtes un juge au sens propre du terme, vous prenez des décisions sur la preuve, pas sur votre conviction politique et une fois que vous avez une affaire comme c’est si souvent le cas en Amérique, si c’est un juge démocrate, on connaît le verdict. Ou s’il y a une scission démocrate-républicain à la Cour suprême, vous saurez quelle sera la scission. Et bien la justice a disparu, c’est terminé, c’est fini, c’est une illusion. Et ce que nous avons vu, décennie après décennie, ce sont de plus en plus de sources d’information, les sources de la justice étant occupées par ce que j’appelle cette « secte mondiale » [Secte = groupe ayant une idéologie exclusive généralement avec des pratiques rituelles, le symbolisme et une forte dévotion à une cause, un programme ou à un être] qui est finalement derrière les événements mondiaux et non les politiciens absents aujourd’hui, disparus demain que nous sommes censés croire qui sont derrière les événements mondiaux, ce sont les hommes de main ; c’est tout ce qu’ils sont.

Interviewer : Oui, je pense que leur prochaine étape sera probablement, puisque le truc de l’antisémitisme n’a pas fonctionné, d’attaquer le gouvernement. J’espère que cela échouera, mais je pense que la prochaine chose qu’ils serviront sera la vieille rengaine selon laquelle plus nous avançons dans cette guerre, plus nous apportons aide et réconfort à l’ennemi : Ils ne veulent pas qu’on s’exprime contre la guerre.

Icke : Non. Et l’histoire, c’est qu’ils introduisaient en fait la loi antiterroriste dans cette équation. Et je vais vous dire autre chose aussi – ce qui m’a même surpris. Vous savez, j’ai dit qu’en fin de compte, il y a une force non humaine « dans l’ombre ». Je le dis depuis très longtemps. Et alors que l’agenda du monde devient de plus en plus manifestement anti-humain, de plus en plus de gens commencent à dire : « Eh bien, attendez, il n’est peut-être pas si fou ! » Mais ce qui m’a stupéfié, c’est que, dans le jugement du département de l’immigration des Pays-Bas selon lequel je ne devrais pas être autorisé à entrer, le jugement original que j’ai reçu deux jours avant l’événement, incluait le fait que parce que j’ai dit ‘une force non-humaine est derrière les événements humains’ – c’était une raison supplémentaire pour être banni parce que j’ai déshumanisé le putain de gouvernement.

Et comme je l’ai dit, pourquoi déshumaniserais-je le gouvernement alors qu’il le fait lui-même avec brio sans aucune aide de ma part, en déshumanisant la population ! N’oublions pas que c’est le gouvernement néerlandais dirigé par cet homme de main du Forum économique mondial Mark Rutte, Premier ministre des Pays-Bas, qui cherche à s’emparer des terres de trois mille agriculteurs néerlandais à cause – je cite – de la politique en matière de changement climatique. Et étant donné que les Pays-Bas représentent en valeur le deuxième plus grand exportateur de nourriture au monde, comment cela va-t-il se passer pour l’humanité ? Parce que – ce réseau passant par ces politiciens déshumanise l’humanité et dit maintenant que nous allons interdire ce type parce qu’il nous déshumanise, ils le font eux-mêmes, ils n’ont pas besoin de moi.

Intervieweur : C’est vrai. J’aimerais, si possible, passer à la plandemie qui, apparemment, n’est pas encore terminée. Ça continue, Elle fait toujours rage. Avons-nous suffisamment de preuves médico-légales pour traduire en justice les auteurs de l’arnaque au Covid ? Quelles sont certaines des pièces les plus accablantes que nous ayons, quelles sont certaines des choses que nous pourrions faire ressortir qu’ils ne pourraient pas réfuter ?

Icke : Eh bien, nous en avons… nous en avons déjà en ce qui concerne le faux vaccin. Vous savez, il y a des choses qui vous font ouvrir les yeux quand vous êtes à la recherche de la vérité. Vous êtes donc prêt à aller là où se trouvent les preuves, là où les informations vous mènent. Et c’est ce que font essentiellement ce que nous appelons les médias alternatifs, ils recherchent la vérité, et je ne suis pas toujours d’accord avec eux – je suis d’accord avec le fait qu’ils l’ont trouvée – mais je suis d’accord avec la plupart d’entre eux. Mais c’est une prise de conscience qui donne à réfléchir lorsque vous sortez de cette arène et que vous parlez avec des gens qui n’obtiennent leur point de vue qu’à travers les médias grand public, comment un nombre faramineux de personnes sont mortes après avoir reçu l’injection et ont eu leur santé détruite, combien peu les gens réalisent réellement qu’il en est ainsi– en raison du contrôle de l’information grand public – J’ai parlé à des gens : ils disent : « J’ai été injecté. » – « Eh bien, étiez-vous au courant de ceci, étiez-vous au courant de cela ? » – « Non ! Je n’ai jamais su cela ! » – Quoi ? Donc, il y a ce clivage massif entre les gens qui vont chercher des informations, qui scannent les rapports du VAERS [VAERS = Vaccine Adverse Event Reporting System of the US-Government], le système de la « carte jaune », qui est la même chose en Grande-Bretagne, et regardez tous les jeunes qui s’effondrent après avoir été injectés, un nombre qui n’a jamais existé auparavant. Vous constatez maintenant les décès excessifs dans le monde entier qui ont été provoqués depuis le déploiement (des vaccins) en 2021, particulièrement en 2021. Et pourtant, un nombre important de personnes n’en n’ont pas conscience. Si cette information était présentée à un tribunal public, signalée de façon adéquate, alors un nombre gigantesque de personnes du système seraient en prison. Et, vous savez, à ce stade, quand vous parlez d’une poursuite judiciaire : il y a une stupidité irréfléchie, une stupidité aveugle où des gens comme les médecins et les infirmières, les politiciens et tout ça qui devraient mieux savoir, leur travail est d’être informés, mais au lieu de cela, en fin de compte et si vous creusez un peu plus, ils croient simplement une poignée de fonctionnaires, et ils croient que ce que les gens leur disent est la réalité – c’est-à-dire que cette injection arrêtera la transmission (du virus)… et ainsi de suite. Il y a ce niveau de stupidité où vous croyez simplement ce qu’on vous dit et vous le faites sans poser de questions.

Interviewer : Je ne sais pas si j’appellerais cela de la stupidité ou de l’ignorance volontaire. Mais le résultat est le même, non ?

Icke : Oui, eh bien stupidité ou ignorance volontaire, fondamentalement, si vous acceptez ce que l’autorité vous dit sans poser de questions, vous choisissez d’être ignorant. C’est un choix. Donc, vous êtes à ce niveau, mais c’est le « mais » maintenant. Il y a une multitude de preuves qui sont sorties – notamment grâce à l’expérience personnelle des gens. Eh bien, il y a eu un sondage récemment dans lequel, vous savez, un énorme pourcentage d’Américains croient qu’ils connaissaient quelqu’un dont la santé avait été endommagée par l’injection ou qui avait été tué par l’injection. C’était une expérience personnelle de ce qu’ils ont vu et de leurs interactions quotidiennes, et ce qu’on leur dit est complètement différent. C’est là que je veux en venir. La preuve est maintenant là. Ils connaissent le carnage et les morts que cela a causés et pourtant ils continuent à dire aux gens de se faire injecter. Vous voyez par les baisses spectaculaires du nombre de personnes qui font cela à quel point l’expérience personnelle et peut-être l’examen d’autres preuves en dehors du courant dominant commencent de plus en plus à avoir un impact sur leurs actions plutôt que de simplement croire le gouvernement sans contester. Mais si vous savez et qu’ils le savent, cette ignorance n’est plus une défense. Si vous savez ce qui s’est passé et que vous insistez toujours, ce n’est pas de l’ignorance, c’est de la psychopathie. Et vous savez, l’une des choses les plus difficiles que j’ai fait circuler au cours de ces presque 30, 33 dernières années, c’est l’ampleur du mal auquel nous avons affaire. Le mal pour moi, ma définition du mal est l’absence d’amour. Et si vous regardez ce qu’on appelle le test Hare du nom du gars qui l’a développé, le test Hare de la psychopathie, si vous avez suffisamment de traits du test Hare, vous devenez officiellement un psychopathe. Les deux principaux traits sont le manque d’empathie et le manque de compassion, ce sont des manifestations d’un manque d’amour, et ils se manifestent en ce que nous appelons le mal.
Et si vous avez un manque d’empathie, de cette capacité de vous mettre dans les sensations et l’expérience de ce que vous faites ressentir et vivre aux autres, vous ne pouvez pas vous mettre à leur place et donc comprendre l’impact que vous avez sur eux, alors vous n’avez pas de limites. Il n’y a plus de limites. Parce que vous n’avez aucune conséquence émotionnelle, alors vous savez : l’empathie, pour moi en tout cas, c’est le mécanisme de sécurité du comportement humain. Si vous avez de l’empathie qui limite vos actions parce que vous avez un résultat émotionnel suivant ce que vous faites aux gens, je dirais juste à tous ceux qui disent encore qu’ils ne feraient jamais ça : Imaginez si vous n’avez pas cette capacité empathique sécurisée et qu’il n’y ait aucune conséquence émotionnelle pour vous, peu importe ce que vous avez fait, c’est-à-dire, des niveaux extrêmes de psychopathie, cela signifierait non seulement qu’ils ne feraient jamais cela mais ils se tireraient d’affaire en faisant ça. C’est ce qui se passe avec ces gens. Donc, cette difficulté qu’ont les gens à imaginer l’ampleur du mal auquel nous avons affaire fait que lorsqu’on le pointe du doigt, on entend : Oh non, ils ne feraient jamais ça. Personne ne ferait ça. Non, tu ne ferais pas ça !
Ils le feraient. Ils le font!

Intervieweur : Exact ! Oui. Nous n’arrivons pas à nous mettre dans leur esprit psychotique.

Icke : Oui.

Interviewer : En parlant d’empathie, je me souviens quand j’étais petit, qu’il y avait cette émission de radio en Amérique appelée « CBS Mystery Theatre » et il y avait une émission qui était vraiment bonne, elle s’appelait « Le bouton chinois ». En avez-vous déjà entendu parler ?

Icke : Non, je n’en ai jamais entendu parler. De quoi s’agissait-il ?

Interviewer : C’était un peu… je ne sais pas comment c’est arrivé. Dans cette histoire, un Américain ou un Britannique appuyait sur un bouton et vous deveniez millionnaire. Mais un Chinois mourrait quelque part. C’était donc un test de votre empathie. Je pense que nos dirigeants aujourd’hui sont constamment le « bouton chinois ». Ils n’ont aucune empathie.

Icke : Il y a un ajout intéressant à cela. Vous l’avez probablement vu lorsqu’ils ont fait cette expérience pour voir si les gens feraient ce qu’on leur disait de faire simplement parce que quelqu’un de l’autorité le leur avait dit.

Interviewer : Oui, les expériences de Milgram.

Icke : Oui. Vous savez, quand vous appuyez sur ce bouton et que vous entendez quelqu’un crier. Quelqu’un en blouse blanche leur dit de le faire et ils le font, vous savez ?

Interviewer : Ils utilisent le choc électrique jusqu’à la mort, c’est fou !

Icke : Oui, mais il est intéressant que nous nous soyons lancés là-dedans, car si vous mettez ces deux mentalités ensemble, vous avez la raison pour laquelle quelques-uns contrôlent le monde. Vous avez quelques personnes – ils ne sont pas si peu nombreux que les gens le pensent – j’ai lu que le nombre de psychopathes dans le monde est d’environ 4 %. Je pense que cela ne peut être qu’une blague ; il doit y en avoir beaucoup plus. Mais bien sûr, c’est loin d’être la majorité. Vous avez donc la mentalité psychopathe qui n’a aucune empathie et qui fait juste ce qu’elle veut sans conséquences émotionnelles, et vous avez ceux qui appuient sur le « bouton chinois ».

intervieweur : Oui.

Icke : – et puis vous avez les autres, la grande majorité, ils sont moins nombreux maintenant qu’ils ne l’étaient, mais ils sont toujours la majorité, qui feront ce que l’autorité leur dit, simplement parce que l’autorité le leur dit et vous mettez ces deux mentalités ensemble et c’est comme ça que tout au long de l’histoire humaine, quelques-uns ont toujours contrôlé le plus grand nombre.

Intervieweur : Oui. David, vous avez mentionné comment les gens qui recherchent des informations et veulent découvrir des choses ont un état d’esprit, puis les autres qui ne veulent rien savoir à ce sujet, en ont un autre et des gens comme vous et moi sommes surpris de voir à quel point les gens ne savent pas. Mais ensuite, vous avez mentionné les athlètes qui s’effondrent… et il y a beaucoup de mecs dans les pubs qui regardent les matchs de football et je suis sûr que vous connaissez le cas de Damar Hamlin, le quart-arrière de la NFL qui est tombé l’autre jour. Quand les gens voient ça – je veux dire que vous parlez (d’environ) des dizaines de millions de personnes qui regardent ça en direct, il se fait frapper, se lève, ajuste son casque, et tombe en arrière, c’est comme les footballeurs, comme les basketteurs. Connaissez-vous le concept stop au crime – le concept orwellien d’arrêt au crime où vous entraînez votre esprit à ne pas avoir de mauvaises pensées. Je me demande si cela se passe dans l’esprit des gens dans le stade et à la maison. Quand ils voient ça, ils se disent : « Ok, il se passe quelque chose ici mais je sais ce que je ne suis pas censé penser – je vais être un théoricien du complot fou si je pense qu’il y a un lien avec le vaccin ”… Je pense que les gens s’engagent vraiment dans cet stop au crime.

Icke : Oui, et je pense que vous avez raison – et je pense qu’il y a une autre motivation qui est due au nombre incroyable de personnes qui ont pris le faux vaccin – ce n’est pas vraiment un vaccin, selon les critères précédents. C’est donc une autre façon d’évacuer le sujet – en gros, c’est une version de « change de sujet – je ne veux pas en parler, je ne veux pas y faire face ». Vous savez, vous avez soulevé un sujet important, car comme je l’ai dit plus tôt, c’est extraordinaire de rencontrer des gens qui, après tout ce temps et toutes ces preuves, n’ont aucune idée de l’existence de ces certitudes ou de ce qui se passe. Mais parce que les médias grand public n’en parlent pas, parce que les médias grand public sont contrôlés par cette secte, tout comme la Silicon Valley. Mais les sportifs professionnels sont le talon d’Achille parce qu’ils tombent souvent en direct devant les yeux du public, et vous ne pouvez pas le cacher parce que quand un footballeur ou un joueur de hockey ou un basketteur tombe et s’effondre, c’est relaté, ça doit être signalé. Ils cacheront pourquoi c’est arrivé, mais ils le relateront. Et les chiffres viennent de grimper en flèche depuis le déploiement du faux vaccin. Et c’est un domaine qu’ils n’ont pas été en mesure de dissimuler – ils peuvent dissimuler la cause, mais pas l’événement réel – et cela a réveillé beaucoup de gens. Et, vous savez ce à quoi les gens qui ne connaissent pas du tout ce sujet pourraient réfléchir ? C’est : Se pourrait-il que seuls les sportifs professionnels subissent ces conséquences ? Non, bien sûr que non ! Oh, vous savez que nous avons ce vaccin et il ne tue et ne mutile que les sportifs professionnels. Non bien sûr que non. Mais c’est juste un domaine qu’ils ne peuvent pas cacher. Alors, qu’est-ce qui se passe d’autre au sein de la population. Et la réponse est : « la même chose » ! Mais, vous savez, je comprends tout à fait cela, vraiment. Mais si vous avez eu deux, trois, quatre faux vaccins et que vous commencez à voir ce qui arrive aux personnes qui en ont eu, cela ne se produisait pas auparavant dans les mêmes quantités, alors bien sûr vous contournez le sujet pour ne plus en parler. Parce que nous parlons d’une autre question – la différence entre ce qui se fait dans les médias alternatifs et ce qui se fait dans les médias grand public et l’autorité – c’est une question très très importante. Et, j’ai vécu cela tellement de fois, que de dire aux gens ce qu’ils veulent entendre est la chose la plus facile au monde. La chose la plus facile au monde parce que leur porte s’ouvre déjà. Ils veulent penser que ce que vous leur dites est vrai. Vous parlez à des vendeurs professionnels. Vous savez, ils sont formés pour glaner dans les conversations avec leurs clients potentiels ce que le client pense et comment ils voient la vie parce qu’ils commencent alors à être d’accord avec eux ou à dire des choses comme « Oh, nous sommes comme vous, je suis d’accord avec vous » – et c’est comme ça que vous obtenez ce lien avec eux. Cela aide simplement à vendre votre produit. Donc, dire aux gens ce qu’ils veulent entendre est la chose la plus facile au monde. Dire aux gens ce qu’ils ne veulent pas entendre est la réelle difficulté car ils ont fermé et verrouillé leur entendement. Ils ne veulent pas croire que c’est vrai, et c’est là le défi. Et donc, quand l’autorité arrive et dit, « Oh non, avez-vous entendu les excuses qu’ils mettent en avant pour tous ces jeunes souffrant de malformations cardiaques ? Oh mon Dieu, l’absurdité dans leur désespoir est incroyable ».

Intervieweur : C’est le Commotio cordis. [Commotio Cordis = une perturbation rare du rythme cardiaque qui se produit à la suite d’un coup dans la zone directement au-dessus du cœur]

Icke : Oui, si vous prêtez l’oreille, vous ne le voulez pas vraiment parce que vous avez eu les vaccins, vous ne voulez vraiment pas faire face aux possibilités, alors vous croirez aux absurdités parce que c’est ce que vous voulez entendre. Et, vous savez, vous obtenez cela aussi de façon intéressante dans les médias alternatifs, dans certains domaines, où certaines personnes ont une idée de ce qui est et veulent croire que c’est vrai. Et puis, quand vous contestez que ce n’est peut-être pas vrai, vous savez, vous êtes aussi attaqué par des gens de l’arène alternative. Et vous savez, c’est ce que je vis en ce moment, et j’en ai déjà fait l’expérience. Parce que je n’ai pas mordu au battage médiatique de Trump et je ne mords absolument pas au battage médiatique d’Elon Musk. Et le fait est, bien sûr, que les gens aimeraient croire que ce type – c’est-à-dire Trump – se met là, devant, et qu’il dit toutes les bonnes choses et qu’il veut défier la tyrannie et c’est formidable de croire que ce type Musk se met là, qu’il est vraiment un intransigeant de la liberté d’expression et qu’il n’a pas un autre programme en arrière-plan. Mais si nous voulons remettre en question la société dominante, nous devons tout remettre en question et voir si cela résiste à un examen minutieux. Et encore une fois, parce que vous ne voulez pas croire que ce n’est pas ce qui semble être, on vous rejette. Mais, vous savez, si vous allez vraiment sur le long terme, et si vous êtes vraiment à fond dans la recherche de la vérité, quelle qu’elle soit, alors vous faites ce que vous pensez être nécessaire et juste et non ce que vous pensez que vous amener plein d’amis. C’est la dernière chose que vous devrez faire si vous voulez la vérité.

Intervieweur : Oui, tout à fait. J’aimerais parler brièvement d’Elon Musk un peu plus tard. Je veux en finir avec les trucs de la plandémie Covid. Vous savez, quand vous dites que les gens ont ces raisons pour ne pas vouloir voir ce qui se passe – c’est assez drôle, ils doivent souffrir un peu de dissonance cognitive parce que comme vous l’avez dit, la demande pour les rappels, le premier, le deuxième et un autre troisième rappel est très faible. Et donc leurs actions parlent plus fort que leur réticence à en parler. Comme s’ils ne voulaient pas en parler parce qu’ils ne veulent pas le reconnaître. Mais dans leurs actions, ils vous montrent, peut-être inconsciemment, – oui, vous avez peut-être raison, je vais faire attention.

Icke : Oui, et c’est une bonne chose, comme je dis… si vous essayez de comprendre pourquoi les gens font des choses, vous devez vous mettre à leur place. Et je comprends parfaitement pourquoi les personnes injectées ne veulent pas savoir ce qui arrive aux autres personnes vaccinées. Je comprends tout à fait cela. Oui tu as absolument raison. Bien qu’ils n’y croient peut-être pas ouvertement, ils n’y croient peut-être même pas personnellement, ils n’en auront plus. Et donc, vous savez à bien des égards, mis à part ceux que vous ne persuaderez jamais que l’autorité leur ment, à part eux, nous avons à peu près gagné l’argumentation en ce qui concerne l’injection, en termes de leur action, sinon leur adhésion sincère qu’ils ont été arnaqués.

Intervieweur : Oui, c’est vrai. J’imagine qu’à partir de maintenant, il n’y aura plus trop de joueurs de la NFL qui recevront d’autres rappels. Et une anecdote intéressante de ce match où Damar Hamlin est tombé. La première histoire de l’actualité était, « Eh bien, les officiels ont jugé sage, prudent d’arrêter le jeu. » Ils n’ont jamais fait ça dans l’histoire du football NFL. Vous avez entendu parler des matchs de football américain, il y a toujours une ambulance au bord de la route… parce qu’il y a des commotions cérébrales, toutes sortes de choses se passent tout le temps. Et puis le jeu continue. Et c’est donc ce qu’ils ont dit qui s’est passé. Mais j’ai lu quelque chose, d’accord, c’était dans les commentaires, donc je ne peux pas corroborer, je ne sais donc pas si c’est vrai, mais j’ai lu quelque chose qui disait : Les joueurs ont refusé de revenir sur le terrain et de jouer. Et cela me parait logique. Parce que le joueur vedette des Buffalo Bills, un gars nommé Josh – je ne connais pas son nom de famille – lui et un joueur vedette étaient les deux seuls à ne pas avoir reçu l’injection. Je veux dire que le joueur quart-arrière est le capitaine de l’équipe. Je me demande donc s’ils se sont réunis et ont dit nous ne reviendrons pas sur ce terrain.

Icke : Oui, eh bien, vous savez, tout ce truc à propos de prendre l’injection et de ne pas avoir l’injection était une vraie séparation des chemins, si vous voulez, entre des gens qui pensent vraiment par eux-mêmes et qui s’en tiennent à ce qu’ils croient – et ceux qui seront influencés soit en ne remettant pas en question sans réfléchir tout ce que l’autorité leur dit ou tant d’autres, tant d’autres, peut-être même la majorité en fait, qui ont eu l’injection parce qu’ils ne voulaient pas les conséquences de ne pas avoir l’injection. Et ceux qui sont restés convaincus que non, je suis très sceptique à ce sujet, je ne l’ai pas reçue, ce sont eux maintenant qui bénéficient du fait qu’ils ne l’ont pas eue. Et il y a eu presque une sorte de revirement parce que ceux qui ne l’avaient pas, bien sûr, c’était moi compris, vous compris, j’en suis sûr, ils ont été attaqués, fustigés, diabolisés, accusés de tuer des gens et tout ça. Et l’un des grands moments charnières, je pense de toute façon, certainement en Europe, j’en suis sûr, qui a également imprégné l’Amérique quand, au Parlement européen avant Noël, un membre néerlandais du Parlement européen a interrogé la responsable de Pfizer sur leurs essais pour voir si le faux vaccin arrêtait la transmission, et il s’est avéré qu’elle a admis que ces essais n’avaient jamais été effectués. Ils ne savaient pas si cela arrêtait la transmission. Donc, ce qu’ils faisaient, c’était nous mentir et l’imposer aux gens avec des conséquences sur les emplois etc. Et cela inclut bien sûr les sportifs sur la base du « cela arrêtera la transmission sinon vous mettriez d’autres personnes en danger », alors que Pfizer n’avait jamais fait d’essais pour voir si c’était le cas. Parce que l’injection n’a rien à voir avec la santé. Cela a à voir en fait avec des agendas beaucoup plus profonds, des agendas beaucoup plus sinistres, sombres et démoniaques. Et cela a mis beaucoup de gens très en colère, certainement en Europe. Quand ils ont pensé que la raison-même pour laquelle ils avaient pris l’injection, – on m’a leur avait dit que c’était la raison,- s’avère non seulement fausse, mais beaucoup l’ont même testé pour savoir que ce n’était pas vrai bien qu’ils nous aient dit que c’était vrai.

Et, vous savez, si les gens réfléchissent, il y a deux choses : ils vous ont dit de vous faire injecter, et vous donnent disent les conséquences si vous ne le faites pas – sur la base de quelque chose qu’ils savaient ne pas être vrai. Et ils ont vu les conséquences des gens qui ont été injectés sur la base de quelque chose qui n’était pas vrai, et pourtant ils vous disent toujours de le faire. Maintenant, pensez-y et réfléchissez à l’ampleur de la psychopathie – et du mal pur qu’il faut pour faire ces deux choses ensemble parce que c’est ce que l’autorité a fait. Et vous savez, les prisons n’existent pas vraiment pour contenir le nombre de personnes qui devraient y rester pour le reste de leur vie, ces gens comme Bill Gates qui ont sciemment menti à l’échelle mondiale pour un programme profondément sombre et sinistre. Et cet homme devrait non seulement être en prison, mais il devrait être forcé de se réincarner sans fin pour terminer sa sentence sanglante.

Interviewer : En quoi devrait-il être forcé de se réincarner ?

Icke : Eh bien, comme quelqu’un l’a dit un jour dans une émission comique, connaissant ma chance dans la vie, si la réincarnation existe, je reviendrai en tant que moi-même. Je pense donc que la pire réincarnation possible pour Bill Gates serait de revenir encore et encore en tant que Bill Gates. Se réveiller tous les matins et se rendre compte que vous êtes toujours Bill Gates, cela doit sûrement être le pire cauchemar.

Intervieweur : Exact ! Eh bien, pour en finir avec la partie Covid, nous avons donc la preuve, nous avons les preuves médico-légales. C’est très clair. S’il était présenté devant un tribunal, ce serait une victoire. Maintenant, on ne va pas nous remettre les clés des portes de La Haye [La Haye = la Cour internationale de justice siégeant à La Haye, Pays-Bas], la Cour suprême ne va pas accepter cette preuve. Les autorités ne veulent pas l’entendre. Quel genre de lieu public, comment devrions-nous nous y prendre si nous ne pouvons pas entrer par les moyens légaux, je veux dire devrions-nous aller avec les moyens semi-légaux ? Devrions-nous aller à l’union des étudiants d’Oxford et avoir un débat ? Où apporteriez-vous cette évidence au public, pas juste sur Bitchute et sur Odysee, et je ne mentionnerai même pas Youtube, car ce ne sera pas là.

Icke : Non, ce ne sera pas là, non. Mais ce qu’il faut faire, tout d’abord, …la censure n’est pas une expression de pouvoir. C’est une expression de vulnérabilité.

Interviewer : Oui !

Icke : Parce que je ne veux censurer personne. Je suis heureux que ce que je dis soit débattu ouvertement et que d’autres personnes aient une opinion différente parce que je suis convaincu que je peux soutenir ce que je dis. Ceux qui ne peuvent pas soutenir ce qu’ils disent, et ce culte et toutes ses expressions mondiales savent qu’ils ne le peuvent pas. Ils doivent censurer les points de vue, les opinions et les preuves alternatifs, car ils savent que cela détruirait les leurs. Donc, tout d’abord, ils n’en viennent pas à la censure en situation de force, mais de faiblesse. Et le fait qu’ils élèvent constamment le niveau de censure signifie qu’ils sont de plus en plus préoccupés par le nombre de personnes qui commencent à s’éveiller à ce qui se passe réellement. Peut-être pas la vue d’ensemble, mais certains niveaux de celle-ci. Assez pour que la panique tombe chez les gens quand ils comprennent que les forces qui contrôlent le monde ne sont pas celles qu’ils voient et qu’on leur dit de croire. Mais en termes de politique en ce qui concerne cette voie, tout est cousu de fil blanc. Je vous donne un exemple de ce pays, la Grande-Bretagne. Nous avons un gouvernement conservateur, l’équivalent de vos républicains, qui a supervisé la catastrophe de la débâcle du Covid. Cela a conduit au faux vaccin. Les partis d’opposition, appelés le Parti travailliste – votre équivalent des démocrates ont dit non pas que la politique du Parti conservateur était fasciste, mais qu’elle n’était pas assez fasciste. Donc, quand ce gouvernement conservateur, maintenant avec ce type Rishi Sunak, un autre homme de main du Forum économique mondial, sera démis de ses fonctions à un moment donné, il devra être remplacé par le Parti travailliste. Et le parti travailliste fera à la Grande-Bretagne tout ce que les démocrates font à l’Amérique. Mêmes politiques, tout pareil. Donc, en termes de choix politique, il n’y en a pas. Et tout s’écroule quand on se rend compte que la politique n’est pas là pour le changer. La politique est là pour perpétuer ce qui devrait être changé. Et donc si vous regardez les jours où la royauté régnait sur tout, et il y a une raison pour laquelle c’était aussi le cas, vous aviez un roi ou une reine imposant sa volonté à la population via les hommes de main dans les armées, etc. Et puis quand l’humanité a rejeté cela, parce que c’était vraiment trop voyant, évidemment les quelques-uns contrôlant les masses…

Interviewer : Oui, les gens savaient qui blâmer.

Icke : Ils pouvaient voir qu’ils étaient sous le contrôle d’un monarque. Donc, finalement, vous avez eu ce mouvement de la monarchie vers la politique, eh bien, nous l’avons toujours eu dans ce pays de manière stupéfiante, et donc, ce culte qui remonte à très loin a dû trouver, sans se cacher, un moyen de remplacer le contrôle de la monarchie par une forme de contrôle qui semblait donner le pouvoir au peuple mais qui ne l’a pas fait. Et donc ils ont créé cette structure de partis politiques. Et c’est comme ça que ça fonctionne. Il y a normalement deux partis politiques qui ont une chance de former un gouvernement, parfois trois, mais normalement deux dans l’exemple classique de l’Amérique . Et ce sont des hiérarchies, ce sont des pyramides. Et quand vous entrez dans la pyramide, si vous progressez dans la pyramide, alors vous devez être aligné avec ce que la hiérarchie de la pyramide, le parti, veut que vous soyez. Donc, si vous y allez, disons que vous voulez vous présenter comme député au Parlement britannique, vous allez du côté du parti de la circonscription locale et vous devez vous vendre à eux. Et vous vous vendez en répétant ce que le parti de la hiérarchie veut que vous croyiez et que vous soyez. Et puis au fur et à mesure que vous entrez, si vous voulez être rebelle et aller à l’encontre de la ligne du parti, eh bien ça va tant que vous survivez, mais vous n’allez pas entrer au gouvernement, vous n’allez pas entrer dans la hiérarchie du parti. Si vous voulez entrer dans la hiérarchie du parti, alors ce que vous devez faire est de rester en ligne avec ce que la hiérarchie du parti veut que vous soyez – et la hiérarchie du parti est composée de très peu de personnes. Et cela se produit aussi bien avec le parti au pouvoir qu’avec le parti d’opposition. Et la clé pour comprendre la politique, c’est que quand vous arrivez au sommet de ces deux pyramides où ces partis sont apparemment en opposition, alors la prochaine étape … vous emmène dans l’ombre, ils répondent tous les deux aux mêmes maîtres. Et donc, si vous regardez l’exemple américain, vous avez ce type qui s’appelle Mitch McConnell ? [Mitch McConnell = Chef de la minorité au Sénat américain, membre du Parti républicain] Le soi-disant républicain qui est absolument aligné avec les politiques démocrates parce que les hiérarchies répondent au même maître. Au sein du parti républicain en Amérique, vous aurez des rebelles – mais des rebelles dans le classement de Capital Hill, si vous voulez, vous n’aurez pas de rebelles au sommet de la hiérarchie. Et ce sont les non-rebelles qui accèdent généralement à ces positions de pouvoir. Nous venons d’en avoir un autre avec McCarthy [Kevin McCarthy = actuel président de la Chambre des représentants des États-Unis, membre du Parti républicain] dans la Chambre qui, encore une fois, est vraiment un républicain.

Interviewer : … oh, ils l’ont forcé à faire toutes sortes de concessions.

Icke : Oh, c’est super que quelqu’un ou quelques personnes aient eu le courage ainsi que la lucidité de penser que nous avons ici une chance de tirer quelque chose de la situation et pas seulement d’approuver la ligne du parti. C’est une métaphore fantastique pour l’ensemble du système et la population en général en termes de ce que nous pouvons faire et où nous pouvons aller. Cela dépend à quel point vous le voulez. Maintenant, vous savez, ces gens qui se sont levés et ont dit que nous n’allions pas voter sans concessions pour McCarthy comme président de la Chambre, ils savaient qu’ils seraient en quelque sorte diabolisés – et ils l’ont été, par des idiots et ils savaient qu’ils allaient être très impopulaires mais ils l’ont quand même fait. Et c’est ce qu’on doit faire ! Si on ne le fait pas, si on baisse simplement les bras et qu’on se dit « Je ne suis pas d’accord avec ça, mais quelles seront les conséquences pour moi si je dis ou si je fais quelque chose à ce sujet ? » … alors tout ce que vous faites est de permettre aux psychopathes de l’emporter, c’est comme ça que ça se passe. Donc, si vous regardez la politique de la manière que j’ai décrite, c’est fondamentalement une forme de monarchie, mais c’est une forme cachée de monarchie. Là où ce n’est pas si évident, c’est quand ils vous disent que vous avez le pouvoir de décider pour qui voter tous les quatre ou cinq ans ou peu importe. Mais en fait, vous votez pour des masques sur le même visage. C’est ce pour quoi vous votez, avec des exceptions honorables. Et ce que nous voyons en ce moment, et j’ai été stupéfait, je dois dire, quand je suis arrivé pour la première fois en Amérique et que le vote électronique arrivait, je pensais  » Pardon ? le vote électronique ?! » Comment peut-on savoir au juste ? Et donc, c’est très… Je veux dire, vous n’êtes pas censé remettre en question la dernière élection où Biden a été élu. Je veux dire, quelle a été l’élection la plus manifestement biaisée que j’aie jamais vue ? Et donc ce qu’ils font maintenant, c’est qu’ils passent au niveau supérieur où ils manipulent non seulement qui ils veulent au pouvoir en manipulant la perception du public. En fait, ils sabotent les élections. Donc, les gens qui étaient en Arizona – des gens comme Kari Lake [Kari Lake = candidat républicain au poste de gouverneur de l’Arizona, États-Unis aux élections de 2022] par exemple et d’autres qui défendaient ce qu’ils croyaient être juste et qui repoussaient ce culte – c’est-à-dire l’agenda – ils n’étaient pas seulement ciblés par les démocrates, ils étaient ciblés par leur propre parti, des gens comme Mitch McConnell en termes de financement etc. Parce que c’est un État à parti unique partout dans le monde, mais nous devons penser que c’est un État à deux partis, sinon nous réaliserions que c’est juste une autre tyrannie qui a remplacé la tyrannie de la monarchie. Et donc la question se pose : si nous voulons faire quelque chose à propos de ce qui se passe, au lieu de nous tourner vers la politique, nous devons regarder la calculatrice. Nous avons besoin de voir huit milliards de personnes se voir imposer la direction de leur monde et de leurs vies dictées par littéralement, une poignée de personnes – par rapport aux huit milliards. C’est ainsi que c’est possible – c’est pourquoi ça a été possible tout au long de l’histoire humaine. Pourquoi est-ce possible ? En raison du consentement de milliards de personnes à côté de quelques-uns. Et tout au long de l’histoire de l’humanité, les quelques-uns ont contrôlé les masses ; parce que les masses ont consenti aux quelques-uns et obéi aux quelques-uns, ils ont fait ce que les quelques-uns leur ont dit, ou parce qu’ils ne voulaient pas le faire mais craignaient les conséquences de ne pas le faire, alors ils le font quand même. C’est ainsi que tout a fonctionné. Le complot s’effondrerait si les gens arrêtaient de ne pas remettre en question l’autorité et insistaient pour que tout ce que l’autorité leur dit soit remis en question et justifié par les preuves… S’ils étaient déterminés et disaient : « Quand je vois que ce n’est pas bien, je ne vais pas le faire », et ils rejoindraient alors le troisième groupe qui a mis fin à toutes les tyrannies de l’histoire, et ce sont les vrais opposants qui voient qu’on leur ment et qui refusent de coopérer avec l’autorité qui leur ment.

Interviewer : Oui, je pensais que nous pourrions passer à un nouveau sujet. Kla.TV est une organisation suisse-allemande et la majorité de nos auditeurs seront germanophones et je pense qu’ils seront vraiment intéressés par votre opinion sur un nouveau sujet à venir en parlant de la question de la restructuration de la dette en Allemagne, une nouvelle loi est en préparation appelée la « loi sur le partage des charges ». Elle entre en vigueur le 1er janvier 2024 et l’idée est que les déficits qu’ils ont accumulés sont si élevés… pendant l’ère Covid… toutes les dépenses qui ont eu lieu pendant l’ère Covid – ils vont devoir payer la note et donc dans cette loi sur la restructuration de la dette, ils vont l’imposer directement aux gens et cela va devenir une taxe massive. Et je veux dire qu’elle menace de mettre en faillite toutes sortes de personnes. Je suppose qu’aux États-Unis, on procède d’une manière un peu différente, on dévalorise simplement l’argent qu’on dépense sans fin. Mais en Allemagne, apparemment, ce ne sera qu’un impôt direct pour toutes les dettes qu’ils ont contractées. Et mon équipe m’a envoyé une note et m’a dit : en bref, nous nous dirigeons vers une dépossession totale analogue au Great Reset de Klaus Schwab « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux ». J’aimerais entendre votre commentaire là-dessus.

Icke : Eh bien, j’ai une expression que j’utilise depuis des décennies : Voyez le résultat et vous verrez le chemin. Si vous ne connaissez pas le résultat prévu, les événements quotidiens, y compris des choses comme celle-ci, semblent être aléatoires et sans lien avec tout le reste – alors qu’en réalité ils ne sont pas aléatoires et qu’ils sont connectés à tout le reste. Voyons donc le résultat : je décris depuis des décennies la structure sociétale qui est prévue pour nous si nous continuons comme nous le faisons, et je l’ai appelée « la société des jeux de famine ». Je l’appelais autrement avant, mais quand les films Hunger Games sont sortis, ils symbolisaient tellement cette société qu’ils lui ont donné le nom. Donc, si vous regardez la structure de la société Hunger Games, vous avez des gens dans ce qu’ils appellent le Capitole, dans le luxe absolu high tech et le reste de la société n’était pas seulement dans la pauvreté et la servitude, servant les intérêts de quelques-uns, ils étaient divisés en secteurs et les différents secteurs n’étaient pas autorisés à interagir avec les autres secteurs. Compartimentation de cette population. Et alors, comment créez-vous cette situation ? Eh bien, soit les quelques-uns sont en situation de dépendance, soit les masses sont en situation de dépendance vis-à-vis des quelques-uns, donc contrôlées. Dépendance veut dire contrôle. Ensuite, il faut détruire les moyens de subsistance et l’accès à un revenu indépendant de la population. Et la structure de cette société Hunger Games, (peut-être vous la reconnaissez) ressemble à ceci : au sommet, vous avez les moins de 1 % qui contrôlent la richesse, les ressources et l’accès aux ressources. Ils contrôlent l’accès à la nourriture, ils contrôlent l’accès à toutes les bases de la survie humaine. Au bas de cette pyramide des « jeux de famine », se trouve essentiellement le reste de la population en servitude, qui dépendent, pour les bases de la survie, des quelques personnes au sommet. Et entre les deux, il est prévu qu’il y ait éventuellement une fusion de la police et de l’armée dans un État policier et militaire pour imposer la volonté des quelques-uns sur le plus grand nombre et empêcher le plus grand nombre de se rebeller contre le petit nombre. Examinons donc l’histoire récente sur cette base et sur ce que vous venez de décrire en Allemagne. Les fermetures ont été faites pour cibler les petites et moyennes entreprises, et même les plus grandes entreprises qui n’appartiennent pas à la secte. Les formidables sociétés appartenant à la secte comme Amazon et Facebook et toutes les autres se sont très bien comportées bien sûr pendant la période de confinement. Mais beaucoup d’entreprises ont cessé leurs activités et bien d’autres depuis. Vous avez donc créé une situation de dépendance parce que vous détruisez la petite entreprise et vous détruisez l’accès à l’emploi dans la petite entreprise. Vous créez la dépendance. Ce que vous faites alors, c’est suivre un canular extraordinaire appelé changement climatique causé par l’homme. Et vous dites que vous allez remplacer les combustibles fossiles par des énergies dites renouvelables comme l’éolien, le solaire. Vous savez que vous ne pouvez pas faire ça.

Interviewer : N’oubliez pas d’inclure les voitures électriques qui roulent… avec des combustibles fossiles.

Icke : Oui exactement ! J’ai parlé avec quelqu’un l’autre jour, il s’agissait de voitures électriques, et j’ai demandé : Selon vous, qu’est-ce qui produit l’électricité que vous mettez dans votre voiture ? Mais c’est l’échelle de la manipulation mentale que les gens n’associent pas à l’électricité – ils associent l’électricité de leur maison aux combustibles fossiles, « vous devez réduire votre consommation d’électricité pour sauver le monde du changement climatique ». Mais ils ne feront pas le lien avec l’électricité utilisée par leur voiture. Je veux dire que c’est l’échelle de la manipulation mentale. C’est finalement ça : la manipulation mentale est à la base de tout, vous gonflez artificiellement le coût de l’énergie à travers vos politiques de lutte contre le changement climatique. Ensuite, comme l’a fait Biden, vous fermez les pipelines et vous ciblez les combustibles fossiles afin qu’une fois de plus, vous augmentiez le coût de l’énergie en affectant l’approvisionnement.

Interviewer : Excusez-moi, non seulement on a fermé des pipelines, mais on les a aussi fait exploser.

Icke : Oh oui, j’y viens, oui, exactement, ce qu’on fait, c’est qu’on déclenche une guerre en Ukraine alors que l’Europe peut obtenir du gaz naturel de la Russie via un oléoduc. On ne veut pas que l’Europe reçoive du gaz naturel, on veut mettre en place la société du jeu de famine, on veut que le prix de l’énergie soit disproportionné, soit plus important, parce que lorsqu’on augmente le prix de l’énergie, on augmente le prix de tout parce que tout à un moment donné a besoin d’énergie pour être produit et transporté. En même temps, on utilise le confinement pour démanteler la chaîne mondiale de production alimentaire. Parce que lorsqu’on contrôle la nourriture, on contrôle les gens. Lorsqu’on contrôle l’accès à la nourriture, on contrôle les gens. Nous avons donc maintenant Bill Gates, le revoici ! en tant que plus grand propriétaire de terres agricoles en Amérique et vous avez le forum économique mondial contrôlé par Mark Rutte aux Pays-Bas, ciblant 3 000 agriculteurs néerlandais pour détruire leurs moyens de production faisant partie du deuxième plus grand exportateur de nourriture dans le monde. Donc tout cela est lié et c’est lié à la création d’une dépendance. Et ce qu’ils veulent faire, c’est créer une situation où les gens n’ont pas la capacité de subvenir à leurs besoins parce qu’ils démantèlent cette capacité systématiquement. Et puis ils veulent se manifester, c’est déjà en train de se produire. Et ils disent : La seule façon de régler cela est d’avoir un revenu garanti, où nous vous donnerons une certaine somme d’argent – ce sera une somme dérisoire – chaque mois, pour les nécessités de la vie. Mais si vous voulez défier le gouvernement et que vous voulez avoir une vision différente de ce qui se passe, eh bien, vous n’aurez pas votre revenu garanti. Et alors, qui vous le donnera ? Parce que nous avons démantelé votre capacité à gagner votre vie. Ajoutez à cela que l’intelligence artificielle prend de plus en plus d’emplois normalement occupés par des personnes. Et on a cette situation où les gens ne pourront pas gagner leur vie et qu’est-ce qu’ils vont devenir ? 100 % dépendant de toute autorité qui exigera une conformité totale. Donc, si vous ne ciblez pas seulement les pauvres et ce que nous appelons en Grande-Bretagne les classes ouvrières, vous allez cibler chaque personne de la société qui n’est pas liée à votre secte, qui forme la grande majorité, la majorité écrasante, vous ne devrez pas seulement les empêcher de gagner leur vie, ceux qui ont déjà accumulé des richesses, vous devrez également vous en débarrasser. Et donc ce qui s’est passé en Allemagne, ce qui s’est passé partout dans le monde, et encore une fois, une fois que les gens comprennent « Voyez le résultat et vous verrez le chemin » – toutes ces choses se relient de manière assez évidente. La raison pour laquelle, si vous vouliez de l’argent avant le Covid, le canular du Covid, pour des choses qui le méritaient, c’était « Ah non, non, ben vous savez, on aimerait bien le faire mais il n’y a pas d’argent. » Toujours de l’argent pour les guerres bien sûr mais non, il n’y avait pas d’argent pour ceci, pas d’argent pour les sans-abris, pas d’argent pour ceci, pas d’argent pour cela. Mais une fois que le canular du Covid a été enclenché, l’argent n’était plus un problème dans la réponse au Covid. Partout dans le monde, tout le monde y jetait de l’argent. Des sommes d’argent incroyables. Pourquoi ? Parce qu’une autre façon de détruire l’économie et l’accès indépendant des gens à un moyen de subsistance est que l’inflation monte en flêche. Quiconque a de l’argent à la banque, dont la valeur diminue tout le temps à cause de l’inflation et toute personne ayant un revenu fixe comme un retraité ou autre, la même chose leur arrive. Vous écrasez la population avec ces moyens. Alors, qu’est-ce qu’ils font maintenant – et nous avons un Premier ministre en Grande-Bretagne, appelé Rishi Sunak, qui était chancelier de l’Échiquier en charge des finances du pays et qui a distribué tous ces chèques monstrueux à l’époque du Covid comme l’ont fait d’autres pays. Et il est maintenant le premier ministre qui dit « oh non, nous allons avoir des difficultés économiques pour la population à cause de l’impact de ce que j’ai fait ». En réalité, il n’a pas dit cela bien sûr, et c’est partout comme ça. Et ce que vous avez décrit en Allemagne est un exemple classique de ce qui se passe partout. Donc, vous créez le problème et ensuite vous proposez la solution qui consiste à dévaster économiquement la population pour faire avancer votre programme vers la société des « jeux de famine ». Donc toutes ces choses sont liées et ce qu’ils veulent – et ils en parlent tous, et quand ils en parlent tous comme une chorale partout dans le monde, ces soi-disant dirigeants mondiaux, vous savez que c’est l’agenda qui est décrit. Ils veulent se débarrasser de l’argent. J’ai écrit un livre en 1992 intitulé « La rébellion des robots » et j’y ai dit que le plan est de se débarrasser de l’argent liquide et de n’abriter qu’une monnaie électronique qui serait mondiale. Et ce qu’ils cherchent à faire maintenant, c’est d’avoir cette monnaie numérique qui leur permet de tout contrôler. Vous n’avez pas votre propre argent, vous ne pouvez pas avoir une économie monétaire parce que cela a disparu, vous ne pouvez plus utiliser d’argent liquide. Et encore une fois, le Covid est l’arnaque qui continue toujours, si vous vous souvenez : pratiquement immédiatement, lorsque le canular du Covid a commencé, Tedros [Tedros Ghebreyesus = directeur général de l’Organisation mondiale de la santé] à l’Organisation mondiale de la santé, qui n’est qu’un homme de main pour Gates qui est un homme de main pour les Rockefeller qui sont des hommes de main pour le culte – il a dit que vous pouviez attraper le Covid en…

Interviewer : … touchant de l’argent liquide.

Icke : De l’argent liquide, oui. Maintenant, cela n’avait bien sûr rien à voir avec la santé, c’était une arnaque pour se débarrasser de l’argent liquide. Et vous savez, il y avait des gares avec de petits kiosques en bois pour boire un café, où vous leur remettiez juste de l’argent liquide, ils ne voulaient vraiment rien d’autre que du liquide. Et après, très peu de temps après, ils disaient qu’ils ne prenaient que les cartes pour une tasse de café ! À cause de la peur d’avoir le Covid à cause de l’argent liquide ! Bien sûr, c’était un non-sens, c’était un mensonge, ce ne sont que des mensonges. Maintenant, ils veulent se débarrasser de l’argent liquide, c’est pourquoi c’est la mode des guichets automatiques, c’est la raison pour laquelle les agences bancaires ferment, afin que tout soit en ligne, que tout soit numérique. Parce qu’alors ils ont le contrôle total de votre argent. Et le plan, cela se produit déjà dans des endroits comme la Chine, c’est que si vous faites des infractions par exemple, l’une de ces caméras peut vous identifier, c’est le plan de l’IA, alors l’amende sera simplement ponctionnée sur votre compte. C’est ce qu’ils concoctent. Ils peuvent essentiellement effacer votre accès à l’argent – si vous êtes un dissident du système et si vous contestez le système, ils peuvent simplement fermer votre compte. Et si les gens disent … « Non, c’est tiré par les cheveux » – Allôoo ! Justin Trudeau, Camionneurs, Canada. [Regardez notre interview de Hugh Hunter, un habitant d’Ottawa, expliquant la situation des camionneurs : www.kla.tv/21785] Vous savez ce qui s’est passé. Et ce n’était qu’un avant-goût de ce qui est prévu partout. Donc, cette situation en Allemagne correspond parfaitement à ce programme que je viens de décrire, car il vise la capacité de la population à survivre et à payer ses factures.

Parce que l’idée est que cela n’est pas censé se produire. Vous n’êtes pas censé pouvoir vivre votre vie et payer vos factures, mais plutôt être complètement dépendant du gouvernement pour votre survie. C’est le plan. Et si nous continuons simplement à observer cela, alors cela arrivera mais pas forcément. Huit milliards ne peuvent être contrôlés par une poignée de gens que si les huit milliards y consentent. C’est tout.

Interviewer : C’est vrai, David, et vous terminez souvent vos vidéos par « Okay, levons-nous et faisons quelque chose à ce sujet ! » Un de mes blogs Substack préférés [Substack = une plate-forme Internet où les écrivains peuvent publier directement à leur public. Il n’a pas encore censuré les voix dissidentes] est un gars qui termine chaque message avec « Ne vous conformez pas. Parlons donc des solutions ». Je veux savoir ce que cela signifie concrètement dans votre esprit « Ne pas se conformer » ?

Icke : Eh bien, si quelque chose est clairement fait pour vous asservir de quelques manières que ce soit, alors vous ne le faites pas. Vous savez, ils se sont imposés dans ce pays au printemps 2020 et ils ont dit : « Vous devez garder vos distances sociales, ne sortez qu’une heure par jour, et vous devez porter, au fur et à mesure que l’été se déroule, vous devez porter une couche sur le visage, une couche faciale partout où vous allez à un moment donné. Et vous ne pouvez pas voyager ». Moi, je n’ai rien fait de tout cela. Je n’ai pas fait de distance sociale. Si quelqu’un voulait me fuir dans la rue, c’était son choix. Mais je n’avais pas peur d’eux donc je n’allais pas faire ça. Je sortais quand je voulais. J’ai voyagé, je suis allé à de gigantesques rassemblements à Londres et je n’ai jamais porté de couche faciale et je ne le ferai jamais, je préférerais mourir. Alors imaginez… – il y a quelques 60 millions de personnes dans les îles britanniques – imaginez si même un quart d’entre eux faisaient la même chose et refusaient de faire l’une de ces choses parce qu’elles étaient manifestement absurdes et qu’elles étaient évidemment une arnaque, alors ces ordres n’auraient pas été applicables.

Intervieweur : C’est vrai… même pas un quart des gens, j’ai entendu dire qu’il faudrait à peu près entre 13 et 20 %.

Icke : Oui. Voici un excellent exemple. Lorsque le gouvernement britannique a introduit le confinement la première fois, une poignée de personnes sont sorties pour protester. Et parce qu’il y en avait une poignée, la police s’est déplacée et les a arrêtées. En août 2020, il y avait 35 à 40 000 personnes à Trafalgar Square, j’y ai moi-même parlé. Il y avait tant de monde qu’ils ne pouvaient pas empêcher que cela se produise. Ensuite, 40 ou 45 000 autres personnes se sont présentées à la manifestation suivante. Et au printemps 2021, il y avait tellement de monde dans ces manifestations à travers Londres, je veux dire des centaines de milliers, que la police qui venait juste d’arriver et d’arrêter les premiers manifestants, se tenait juste debout sur le côté de la rue à nous regarder passer. Parce qu’il y avait tellement de gens qui disaient « Nous ne nous conformons pas », les autorités ne pouvaient rien y faire. Et c’est une telle métaphore de ce dont je parle. Et pour arrêter cela, ils doivent diviser et gouverner la population et obtenir de grandes divisions de la population pour attaquer, diaboliser et condamner ceux qui cherchent à protéger la liberté de la population. C’est pourquoi l’accent a été mis sur ces prétendus anti-vax, les négationnistes du Covid etc., parce que si nous nous réunissons en nombre quelconque – et vous avez raison, on est loin d’être la majorité, je veux dire, si nous attendons la majorité, franchement nous pourrions attendre longtemps. Mais cela n’a rien à voir avec la majorité, c’est juste qu’on a besoin d’un grand nombre de personnes dans chaque pays qui disent simplement : « Non, on va arrêter de faire ça, nous ne sommes pas d’accord de nous faire asservir de la sorte ». Si quelqu’un sort de la Maison Blanche ou de Downing Street [Downing Street = résidence officielle et bureaux du Premier ministre britannique et d’autres représentants du gouvernement] et dit « nous avons eu une discussion et c’est ce qui va se passer ». Si suffisamment de personnes disent : « nous ne le ferons pas », Ils n’auront aucun pouvoir ! Ils n’ont pas de pouvoir ! Le pouvoir qu’ils ont est le pouvoir que la population leur donne sous la forme A) d’un consentement incontesté, et B) d’une acceptation qui ne veut pas consentir, mais qui a trop peur de ne pas se conformer. Ces deux mentalités sont la seule chose qui ait jamais permis à quelques-uns de contrôler le plus grand nombre et c’est toujours l’équation. Et si on veut… et c’est encore ce que les gens disent, on ne peut rien faire. Mais bien sûr qu’on peut faire quelque chose ! Huit milliards de personnes ne peuvent pas être contrôlées par une poignée de gens, c’est impossible sans le respect des huit milliards. La réponse est devant nous, mais les gens doivent s’informer pour qu’ils réalisent qu’on leur ment, avoir une paire de ….. pour ne pas consentir par peur, et rejoindre les groupes d’opposants, les vrais opposants, et ce nombre augmente tout le temps, qui disent « Non, nous ne participons pas à nos propre asservissement ». Et si les gens faisaient juste cela, ils réaliseraient non seulement où se trouve le pouvoir, mais que c’était le cas depuis le début. Je vais vous donner un exemple rapide. Margaret Thatcher, le Premier ministre britannique, était considérée comme la Dame de fer et invincible. Et puis elle a sorti quelque chose qui s’appelle la poll tax vers la fin de son mandat de premier ministre, et c’était vers la fin du mandat de premier ministre à cause de ce qui s’est passé, cette dame de fer invincible, (qui pensait) « J’ai le pouvoir. » Et ce que la poll tax a fait, c’est qu’elle a non seulement affecté la classe ouvrière, les pauvres, mais aussi la classe moyenne, qui est différente de votre classe moyenne. Notre classe moyenne a un peu plus d’argent que votre classe moyenne, vous voyez ce que je veux dire. C’est juste une description différente. Mais ce que (cette taxe) a fait, c’est qu’elle a uni deux groupes qui ne se seraient normalement pas mis ensemble. Donc c’était comme, « oh, ça affecte la classe ouvrière, je suis de la classe moyenne, ça ne m’affecte pas. » « Oh, c’est la classe moyenne, ça ne m’affecte pas, je suis de la classe ouvrière », ça a affecté les deux. En conséquence, de mémoire, un très, très grand nombre de personnes a dit : « Nous ne paierons pas. Nous refusons de la payer ». Et j’ai en fait été impliqué dans le premier procès, qui a eu lieu en bas de la rue où ils ont essayé d’engager des poursuites contre les gens qui ne voulaient pas payer, et cela s’est terminé en queue de poisson, c’est une longue histoire, mais leur poursuite a été un véritable fiasco à la première audience.

Intervieweur : Je ne connais pas cette expression « en queue de poisson ».

Icke : Ca a mal tourné.

Interviewer : C’est devenu compliqué.

Icke : Ça a mal tourné pour le gouvernement, ils n’ont rien eu. C’est ce qui s’est passé. Mais ce que je dis, c’est que le refus de ces deux groupes normalement divisés mais désormais unis sur ce point signifiait non seulement que la taxe en question a été supprimée, mais elle a tellement blessé l’image de la « Dame de fer » de Margaret Thatcher qu’elle a démissionné très rapidement après. Et cela montre juste que vous êtes le vrai pouvoir. Le pouvoir de la Dame de Fer était là avec le consentement de la population et de la peur de ne pas se conformer. Une fois que ce groupe uni a dit « nous ne coopérons pas », c’était fini. Et vous savez, quand les gens me disent : « on ne peut rien faire, qu’est-ce qu’on peut faire ? » Et je dis juste : « Oh mon Dieu, procurez-vous une calculatrice. » Mettez huit milliards, enlevez les gens qui savent très bien ce qu’ils font, enlevez les hommes de main du gouvernement qui imposent et administrent ce que quelques-uns veulent faire, enlevez la police, enlevez les forces de l’ordre, enlevez l’armée, déduisez cela maintenant des huit milliards. Il reste la meilleure partie des huit milliards. La réponse est donc là. Mais il faut avoir le choix de faire en sorte que la réponse se produise en disant simplement « je ne le fais pas ». « Non » est le mot le plus puissant dans n’importe quelle langue, à partir du moment où nous défendons notre point de vue « Non, on ne va rien m’imposer et ma liberté ne sera pas supprimée si je ne me plie pas à ce que vous me dites de faire ».

Intervieweur : Excellent, eh bien, soulignons ce point important, et terminons cette interview.




Turquie, Syrie : un séisme qui rebat les cartes au Moyen Orient ?

[Source : geopragma.fr]

Par Patricia Lalonde

Indécence… 44 000 morts. À peine quelque jours après le désastreux tremblement de terre qui a frappé la Turquie et la Syrie, elle-même déjà en proie à douze années de guerre, certains journalistes, sans doute mus par leurs belles âmes « droit de l’hommistes » occidentales osent souffler sur les braises d’une polémique choquante contre les régimes turc et syrien.

Alors que les Émirats arabes unis, l’Égypte, la Jordanie, la Russie, l’Iran, l’Irak, l’Algérie, Oman, la Chine et plus récemment l’Arabie Saoudite ont rapidement envoyé des secours sur place sans prendre en considération la situation politique de la région, les Nations-Unies n’ont pas pu réunir le Conseil de Sécurité suffisamment tôt pour envoyer Martin Griffith, le représentant spécial sur place, alors que l’espoir de retrouver des survivants sous les décombres s’amenuisait… Certains pays européens ont traîné des pieds, pris de panique à l’idée d’être obligés de négocier avec Bachar el Assad, l’ennemi, traité au même titre que Daesh… l’Italie osera enfreindre le blocus et acheminer un cargo au port de Beyrouth afin de livrer le plus vite possible l’aide nécessaire aux besoins urgents des sauveteurs sur place.

La France apportera sa pierre, plus tard, en faisant parvenir un hôpital de campagne en Turquie…

 Qu’y a-t-il de choquant à ce que le président Assad demande de pouvoir coordonner l’aide internationale ? On imagine aisément qu’il ne fasse pas une confiance aveugle aux « Casques blancs », organisation humanitaire qui travaille dans la province d’Idleb, afin d’aider les « rebelles », c’est-à-dire les milices d’Hayat Tarhir el Sham, du Front al Nusra et autres groupes djihadistes, proches d’el Qaida et de Daesh qui furent l’arme des occidentaux pour essayer d’en finir avec le régime de Damas, et qui par ailleurs, tentent actuellement d’empêcher les camions des Nations-Unies d’acheminer l’aide de Damas dans la région…

Et alors que 65 civils et 7 militaires syriens viennent d’être assassinés par ces membres de Daesh, ajoutant ainsi du malheur au malheur… Il est vrai que 10 d’entre eux avaient miraculeusement réussi à s’échapper de leur prison.

Selon le journaliste Simon Hersh, accusé de complotisme par tous ceux que cette version dérange, ces « Casques blancs » ont sans doute été à l’origine de l’opération sous faux drapeau sur armes chimiques à la Goutha, pour en accuser le régime syrien.

Et comme si ce malheur ne suffisait pas, Israël a tenu à envoyer quelques missiles sur Damas, faisant encore plus de victimes…

Après une telle catastrophe, un peu d’humanité, de réalisme politique, aurait suggéré que Paris tente de reprendre contact avec Damas ; selon les propos du journaliste Georges Malbrunot, un rapprochement aurait été envisagé par le président Macron, puis démenti, alors qu’il avait pourtant reconnu en 2017 « qu’on ne lui avait pas encore présenté de successeur à Bachar el Assad »…

Et que dire de cette polémique autour des images du président syrien et de sa femme, Asma, dans les hôpitaux d’Alep, accusés de faire de la récupération politique ?

Alors que l’on aurait pu penser que la levée des sanctions imposées à la Syrie sous la loi « Cesar Act » semblait évidente, certains préfèrent encore expliquer que celles-ci n’affectent pas le travail humanitaire, n’hésitant pas à jouer sur les mots… La Chine en a évidemment profité pour appeler à leur levée immédiate… Quant à la solidarité des pays arabes, elle a été exemplaire et pourrait combler les effets dévastateurs de leur implication dans la guerre.

R.T Erdogan, dont le pays vit l’apocalypse, n’a pas échappé non plus aux critiques des médias occidentaux sur la mauvaise construction des bâtiments effondrés…

Ce drame aurait pu pousser l’Occident à un peu d’humilité, de décence ; il aurait pu être l’occasion de faire un « mea culpa » concernant notre politique au Moyen-Orient où nous n’avons semé que désespoir, misère, et attisé les conflits ethniques.

Que nenni !

Le camp du mal s’est ainsi mué en celui du bien…

Le rapprochement d’Erdogan et d’Assad, déjà initié par les services des deux pays, va sans doute s’accélérer, au grand dam des États-Unis et de l’OTAN qui chercheront à tout faire pour l’en l’empêcher.

Le président turc, confronté au problème des réfugiés et des Kurdes du PKK, après une décennie qui a ensanglanté la Syrie pour pas grand-chose, pourrait ainsi essayer de faire également en sorte que d’un « mal » sorte un « bien »…

 Dans sa volonté de demeurer le « pivot » entre l’Ouest et l’Est, et de garder un pied dans l’OTAN, il aura réussi à rester neutre dans le conflit ukrainien, en maintenant de bonnes relations avec les deux parties, après avoir tenté une médiation pour y mettre fin… Il pourrait chercher à mettre d’accord tous les protagonistes de la région, à condition bien sûr qu’il remporte les élections, vraisemblablement repoussées à l’automne prochain.

L’Europe, et tout particulièrement la France, dans leurs persistances à nier leurs erreurs, déjà engluées dans leurs contradictions dans la guerre en Ukraine, par peur de prendre le risque de fâcher Washington, prend ainsi le risque d’être marginalisée et de le payer cher.