Une publicité révoltante de Pfizer présente les enfants vaccinés comme des « super-héros », et oublie ceux qui souffrent d’effets secondaires

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Matt Agorist

Le géant pharmaceutique multimilliardaire, dont les malversations ont défrayé la chronique dans le passé, a non seulement enregistré des profits exponentiels pendant la pandémie du fait que les contribuables ont été contraints de payer le vaccin, mais a également bénéficié de milliards de dollars des contribuables pour faire la publicité dudit vaccin. La manne de profits réalisés grâce à la vaccination des adultes a rapidement incité la firme à s’intéresser aux enfants pour pallier la diminution de sa clientèle. Bien que les enfants n’aient pratiquement aucune chance de mourir du COVID-19, la Food and Drug Administration (FDA) s’est empressée d’approuver le vaccin à ARNm de Pfizer pour les enfants âgés de 5 à 11 ans.

Après avoir dépensé des milliards de dollars en publicités financées par les contribuables pour convaincre les adultes de se faire vacciner, Pfizer a lancé cette semaine une nouvelle publicité qui cible sa nouvelle clientèle, les enfants. La société s’est surpassée en qualifiant les enfants, qui ont reçu l’injection dans le cadre de l’expérience, de « super-héros » dotés de « super-pouvoirs ».

« Il y a des super-héros de toutes les tailles.🦸🏽‍♀️🦸🏻🦸🏿‍♂️🦸🏼‍♀️ Regardez cette vidéo où de vrais enfants remercient leurs super-héros : les volontaires de l’essai clinique du vaccin #Covid19 âgés de 5 à 11 ans. Notre reconnaissance envers les participants à l’essai et leurs familles est infinie 💙 #ScienceWillWin »

Voilà la scandaleuse vidéo en question:

Malheureusement, les enfants de la vidéo ci-dessus ne sont pas des héros. Aucun d’entre eux n’est en âge de consentir à recevoir un vaccin et ils ont tous été offerts au géant pharmaceutique comme cobayes par leurs parents.

La publicité semble s’adresser spécifiquement aux « super-héros », que seraient les enfants qui ont servi de cobayes, mais elle a, en réalité, pour objectif d’influencer tous les enfants.

« Si je me fais vacciner, je serai un super-héros ! »

Naturellement, cette publicité n’enthousiasme pas ceux dont un membre de la famille ou un ami a souffert d’effets secondaires. En conséquence, les dislikes [pouce en bas] sur la vidéo ont déjà dépassé les likes [pouce en haut] et ils s’accumulent rapidement.

Il est important de souligner que l’écrasante majorité des personnes qui se font vacciner n’ont que peu ou pas d’effets secondaires. Cependant, dire qu’il n’y a aucun risque et censurer ceux qui soulignent ces risques est, au mieux, contraire à l’éthique et, au pire, carrément malhonnête.

[Ndlr : le nombre de vaccinés anticovid n’ayant pas eu d’effets secondaires notables est probablement loin de représenter une majorité « écrasante ». Selon les sites officiels chargés de rapporter les effets secondaires post-vaccinaux, autant en Amérique qu’en Europe, leur nombre dépasse le million, sachant que de nombreux médecins s’accordent à dire que seulement 1 à 10 % des effets secondaires y sont rapportés.]

Comme le rapporte le TFTP (TheFreeThoughtProject), la pression en faveur de la vaccination des enfants s’intensifie en dépit du fait que le virus ne représente pas une menace pour les enfants. De plus, comme les Américains sont en train de le découvrir, le vaccin perd de son efficacité au fil du temps, ce qui entraîne un grand nombre de nouveaux cas que les Centres de contrôle des maladies (CDC) ne peuvent plus dissimuler.

En plus de ces nouveaux cas, il a été signalé aux CDC un nombre record d’effets indésirables dont souffrent aussi un grand nombre d’enfants. L’un de ces enfants – qui a participé à l’essai de Pfizer et qui est un « super-héros » selon la publicité ci-dessus – est Maddie de Garay. On lui a injecté le vaccin de Pfizer lorsqu’elle avait 12 ans. Elle est aujourd’hui en fauteuil roulant.

Comme Pfizer, la famille de Maddie a réalisé une vidéo pour raconter son expérience du vaccin. Mais contrairement à Pfizer, la vidéo de Maddie a été censurée sur YouTube et l’est toujours. De plus, Comcast a retiré la vidéo la semaine dernière, alors qu’elle devait être diffusée avant que le comité consultatif de la FDA sur les vaccins et les produits biologiques connexes ne se réunisse pour discuter des vaccins COVID-19 destinés aux enfants.



Un autre de ces « super-héros » qui a été censuré jusqu’à l’oubli est Ernesto Ramirez Jr. qui faisait partie des centaines d’enfants qui, comme Maddie, ont été vaccinés très tôt. Malheureusement, contrairement à Maddie, il n’a pas survécu et cinq jours après l’injection, selon son père, Ernesto est mort subitement.

« J’ai entendu toujours plus de publicités affirmer que c’était sans danger pour les adolescents, alors j’ai dit ‘OK’ », a déclaré le père d’Ernesto Ramirez à Ivory Hecker, un journaliste de Fox 26 Houston, plus tôt dans l’année. « Deux ou trois semaines plus tard, le CDC a commencé à annoncer que des enfants avaient le cœur hypertrophié. »

« Le cœur d’un garçon de cet âge pèse normalement moins de 250 grammes », a déclaré le Dr Peter McCullough, un médecin de Dallas dans la vidéo de Hecker. « Dans son cas, il pesait plus de 500 grammes ».

Ramirez a essayé de collecter des fonds pour les funérailles de son fils décédé, mais parce qu’il a prétendu que l’injection a tué son fils, GoFundMe a supprimé sa collecte.

Apparemment, les multinationales de la haute technologie ont décidé que seuls ceux qui louent l’efficacité du vaccin ont droit à la parole. Si vous ou votre enfant avez souffert des effets secondaires du vaccin, vous n’avez pas le droit de le dire. Si vous vous interrogez sur le raison de cette censure, regardez la vidéo ci-dessous !

Matt Agorist

Article original en anglais :

Creepy Pfizer Ad Tells Kids They Are “Superheroes” for Taking Jab, Ignores Injuries of Others

Traduction : Dominique Muselet pour Mondialisation.ca

La source originale de cet article est TheFreeThoughtProject.com
Copyright © Matt AgoristTheFreeThoughtProject.com, 2021




Je ne sais plus où et quand je me suis perdu… Avant j’étais médecin, avant j’avais une éthique, avant je ne tuais pas…

Par Alain Tortosa

« Toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existé est purement fortuite. »

NDLR

Je sors d’un direct de plus sur une chaîne « d’informations » et je ne compte plus mes interventions. J’ai l’impression de passer plus de temps dans les taxis et sur les plateaux télé que dans mon service. En même temps, comme dirait notre Président, pour ce que j’y fais, cela ne changerait pas grand-chose.

Toute l’équipe m’a congratulé une fois de plus… les journalistes, les techniciens, le rédacteur en chef… Ils semblent heureux, ils semblent apprécier le « grand » médecin et professeur que je suis.

Me voici dans la salle de démaquillage, je me vois dans le miroir… en fait non, je ne me vois plus, je vois une image, mais ce n’est plus moi… juste un pantin éteint sans âme qui vient de jouer la même scène macabre une fois de plus.

Pendant « l’interview », les « journalistes » buvaient mes mots comme des paroles d’évangile. Comme d’habitude aucun d’entre eux n’a émis le moindre questionnement ni la moindre réflexion pouvant mettre en doute mes propos. Ils se contentaient d’en rajouter une couche… Si moi je me suis perdu, que dire de ces robots décérébrés imbus d’eux-mêmes ?

Rendez-vous compte que je leur ai affirmé que ces injections étaient parfaitement tolérées, pas le moindre effet secondaire grave ! Je leur dirais que les injectés ont vu leur cancer disparaître qu’ils approuveraient sans sourciller.

Tout passe !
Hier Véran a dit qu’il n’y avait aucun mort d’une injection et ça passe comme une lettre à la poste. Les « vérificateurs de l’information », comme ils se nomment, ont fait une démonstration magistrale !

« Il n’y a aucun mort parce qu’il ne peut pas être prouvé que le vaccin soit la cause du décès. »

L’autre jour, j’ai vu arriver aux urgences un homme de 30 ans sportif, sans antécédent, qui est décédé sous mes yeux 30 minutes après sa « dose »… un de plus. Ah, ils ont raison, il n’y a pas de preuves, car il faudrait remonter le temps et voir si il serait décédé sans l’injection, la belle affaire.

Quant aux effets secondaires, c’est extraordinaire… nous n’avons même plus besoin de faire pression pour empêcher les médecins du service de les déclarer. Ils savent qu’ils ont intérêt à se taire pour ne pas compromettre leur carrière. Et à ce stade, ils ne font même plus le lien entre les injections et les effets qui se produisent dans les heures ou jours qui suivent. Leur cerveau est en dissociation.

Je suis bien tranquille pour ma fin de carrière et je sais que je vais pouvoir encore monter en grade. Le directeur de l’hôpital m’a dit que nous avions reçu une subvention de 30 millions d’euros d’un laboratoire pharmaceutique et que d’autres suivront ! Une « chance » inespérée… mais pour qui, pour quoi ? Pour s’en mettre plein les poches ?

Et voilà j’en suis à dire sur les plateaux qu’il n’y a aucun effet secondaire des vaccins ! Mon service croule de patients hospitalisés et je fais semblant d’ignorer que la majorité de ces personnes sont vaccinées et qu’avant, soit elles allaient bien, soit leur maladie chronique était stabilisée avant leur injection… J’en suis même à dire, sans être perturbé, que leurs défenses immunitaires sont affaiblies par le masque.

Et je rajoute quoi devant les médias ? Qu’il ne faut surtout pas se relâcher, qu’il faut porter le masque et que le remettre aux enfants est totalement indispensable ! Je me dégoûte, nous masquons des enfants quand nous n’en portons que devant le public ou les médias. Je peux aussi dire avec un aplomb terrible qu’il y a des enfants hospitalisés pour Covid dans l’hôpital. C’est sûr, ils ont le Covid, ou disons plutôt que quelqu’un a inscrit Covid dans leur dossier, et puis c’est toujours ça de gagné pour les entrées d’argent de l’hôpital. Une « omission » de plus devant les médias quand « j’oublierai » de parler de leur maladie de cœur, de leur leucémie ou de leur obésité morbide. Ah il a bon dos le Covid !

Et c’est ainsi que je n’hésite pas à affirmer que le Covid touche aussi les enfants, que le vaccin ne présente aucun danger pour eux et qu’il faut absolument les vacciner pour… protéger les vaccinés !

Existe-t-il ce journaliste qui va me faire taire ? Existe-t-il ce journaliste qui va vouloir se rendre dans mon service et regarder les dossiers médicaux quand j’ose affirmer que 90 % des patients Covid ne sont pas vaccinés ?! Tu m’étonnes qu’il n’y a que des non-vaccinés, on se garde bien de faire des tests sur les vaccinés…

Demain on va passer le message de nos services « saturés » par des vaccinés deux doses et qu’il faut donc faire la troisième qui « protège » et ce, sans contradicteurs. Quand ce sera l’heure de la quatrième dose, on parlera alors des services saturés par les vaccinés trois doses et ce dans l’indifférence générale des médias.

Attention, j’insiste bien dans ces médias pour que l’on ne parle pas de 3e dose, mais de « rappel » et même de « booster ». J’en suis même à dire que c’est aussi la procédure standard pour de nombreux vaccins comme celui de la tuberculose. Qu’il est tout à fait « classique » et même « habituel » pour un vaccin de ne pas bloquer les contaminations et ne pas prévenir de tomber malade… Nous sommes abreuvés depuis des dizaines d’années sur le « vaccin solidaire », celui qui sauve des vies et j’ose dire (une vérité ?) que l’absence de protection contre les contaminations est un classique chez les vaccins. Tout passe, je vous le dis, je peux tout dire et ils gobent tout avec bonheur.

Ils croient même que je m’informe, que je lis les études, que je passe des heures alors que j’ai acquis mon « savoir » en écoutant la radio dans le taxi qui menait au studio d’enregistrement. Je n’en sais pas plus ou pas moins, question de point de vue, que l’AFP ! C’est d’autant plus « drôle » que je n’hésite pas à cracher sur mes confrères complotistes dont je sais pertinemment qu’ils investissent leur temps et leur intelligence dans une démarche scientifique.

Et oui, mais eux n’ont pas droit de cité… Une affirmation scientifique, fruit d’un travail de longue haleine, étayée par des preuves, que je balaye d’un simple mot : « Mensonge ! » et le tour est joué pour les discréditer.

Je ne sais plus quand je me suis perdu… quand j’ai renoncé à voir mes patients comme des êtres humains, mais comme une rente viagère.

Est-ce quand je me suis mis à prescrire des « nouvelles » molécules trois fois plus chères dans lesquelles les laboratoires avaient ajouté un peu de vitamines à la formulation précédente qui allait tomber dans le domaine public et devenir un générique ? En même temps, comme dirait l’autre, si ce n’était pas moi qui faisais la promotion de ces « médicaments », un autre confrère aux dents longues s’en chargerait… Alors, autant profiter de quinze jours de vacances, pardon de « séminaire », aux Caraïbes. Ou est-ce quand j’ai renoncé à guérir pour faire de chaque humain un « malade » à vie avec un traitement ?
Je ne suis plus médecin, je suis un VRP, un commercial au service de la mauvaise santé chronique cité en exemple par ses pairs.

Les années précédentes, je passais dans les médias en disant que mon service était saturé par la grippe, service qu’il fallait bien que je remplisse avec n’importe qui pour ne pas risquer la fermeture de lits l’année suivante. Que voulez-vous, il faut bien faire tourner l’usine… Le service qui a le plus de personnels sera bientôt celui de la branche « croissance et optimisation »… Les administratifs étant depuis belle lurette plus nombreux que les soignants. Et quand je dis « soignants », je rigole. Ils passent la moitié de leur temps sur leur ordinateur à saisir des données pour prouver la « qualité » des soins. Parfois j’ai l’impression de vivre en URSS à l’époque ou elle produisait sur le papier de quoi nourrir trois fois la planète entière alors que le peuple crevait de faim. Ah! il peut être fier le directeur, ah il peut être fier le ministre de la Santé ! Nous sommes les meilleurs !

Que reste-t-il de mes illusions, de mes valeurs ? J’en suis là aujourd’hui, devant des plateaux télé, à me réjouir de l’interdiction faite à des médecins de prescrire des molécules de plusieurs dizaines d’années. J’ose même dire qu’elles sont (devenues) dangereuses (tout en étant prescrites tous les jours à des dizaines de milliers de patients, mais pour d’autres pathologies).

Qui aurait pu croire que j’eusse pu tomber si bas !

J’ose me réjouir devant les médias de l’interdiction de travailler pour des confrères qui n’ont pas un vrai faux passe-sanitaire… comme moi. Rendez-vous compte, ces « mauvaises » personnes « égoïstes et complotistes » menacent la santé des patients vaccinés… ben voyons ! Les héros d’hier sont devenus les salauds d’aujourd’hui. Tous ces bons Français qui les applaudissaient seraient prêts à les tondre sur la place publique pour garantir leur « sécurité ».

Il n’y a pas UN journaliste mainstream pour noter que le manque dramatique de postes et la fermeture de services sont aussi liés à cette obligation vaccinale !

Je ne cherche plus à soulager la souffrance, je ne cherche plus à soigner, je ne cherche plus à guérir…

J’explique à mes employés qu’il faut passer un minimum de temps avec les patients, que l’on est pas là pour papoter avec eux, que nous devons être « efficaces ».

30 ans d’études et d’exercice de la médecine pour donner du paracétamol qui, au mieux, ne fera pas empirer les symptômes d’un malade Covid et dont la toxicité est largement documentée. Puis de l’oxygène à forte dose histoire de bien faire exploser les alvéoles pulmonaires et si ce n’est pas suffisant, un petit coup de Rivotril pour terminer le patient grabataire !

Je suis un « bon » praticien qui s’empêche de vomir dès qu’il se regarde.

Officiellement, grâce à cela, je ne suis pas une « pourriture » comme certains de mes confrères, ceux qui « osent » donner de l’hydroxychloroquine, des antibiotiques ou de l’Ivermectine à leurs patients qui en auraient besoin plutôt que rester spectateur (ou même acteur) de leur mort.

Nous pouvons être vraiment « fiers » de disposer d’un Conseil de l’Ordre qui les poursuit aujourd’hui pour « exercice de la médecine ».

Des siècles de recherche, des siècles de lumière, des siècles de déontologie pour en arriver à punir celles et ceux qui n’ont pas trahi leur serment ! Sartre disait que l’enfer c’est les autres alors que l’enfer c’est moi-même.

Je me suis à ce point perdu que j’en suis à recommander l’injection d’ARNm totalement expérimental chez des enfants et des bébés en bonne santé dont je sais bien qu’ils ne font JAMAIS de formes graves de Covid ! Ne vous méprenez pas, je me garde bien de dire aux journalistes que cette technique est expérimentale. Bien au contraire, je rassure en disant qu’elle est utilisée sans risque depuis des dizaines d’années. De toutes les façons, si c’est pour mentir tout passe. Seule la vérité est devenue totalement prohibée.

Ah ! j’en ai vu des jeunes enfants en bonne santé mourir de la grippe, mais pas un seul du Covid ! J’ai beau me mentir pour m’éviter de vomir tous les matins, je sais bien, comme TOUS les professionnels de santé, que ce gentil Covid n’est pas une maladie pédiatrique. Mais cela ne m’empêche pas ni mes illustres confrères « respectables », de dire le contraire et de parler de ce fameux Covid long.

Je suis abject au point de dire que personne ne connaît le devenir sur 10 ou 20 ans d’enfants qui ont attrapé le Covid comme si nous pouvions connaître les conséquences à long terme des injections expérimentales ! Et quand on voit les dégâts actuels, difficile d’être optimiste sur ce long terme.

J’envoie donc des enfants vers l’injection dont je sais pertinemment que certains vont faire des réactions graves et même mourir pour une minorité d’entre eux. Et ce alors que je sais et que j’ose même dire à la télé que le vaccin n’empêche pas la contamination. Êtes-vous conscients de l’absurdité criminelle de ma démarche ?

Injecter des enfants en bas âge en bonne santé d’un produit expérimental dangereux qui au mieux les protégerait d’une forme grave qu’ils ne font jamais, et ce dans le but officiel de protéger des personnes en fin de vie, tout en sachant que cette injection ne les empêchera pas de les contaminer !

Non seulement ce délire n’est pas contredit par le moindre journaliste, journaliste qui censure la parole des professionnels qui eux n’ont pas perdu leur dignité. Pire encore, cette folie est amplifiée à l’infinie comme une « démarche à la fois éthique et efficace » pour lutter contre le Covid. Covid que le réseau Sentinelles ne voit même plus dans les consultations des généralistes !

Primum non nocere [D’abord ne pas nuire] qu’ils disaient ? Trop drôle !

Après des adultes en bonne santé, j’envoie désormais à la mort des enfants avec strictement aucun bénéfice personnel ni même d’un point de vue de la santé publique.

Et tout ce que je risque, c’est une Légion d’honneur remise des mains par ce « Président » à la solde des entreprises pharmaceutiques et autres maîtres du monde !

Heureusement, j’arrive suffisamment à me mentir à moi-même certains jours pour croire en mes mensonges avec l’aide de l’OMS, des politiques, des médecins médiatiques et des journalistes qui répètent tous la même chose, « preuve » en est que les « autres » ne sont que des complotistes !

Je ne sais pas si je serai rattrapé un jour par la justice des hommes, mais s’il y a un enfer, je me suis acheté un billet de première classe ! Et ce n’est pas des avions privés qu’il faudra affréter vers l’enfer, mais des charters entiers, tant nous sommes nombreux à avoir du sang sur les mains.

Alain Tortosa.(([1] Fiction ?))

9 novembre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211109-j-ai-vendu-mon-ame-au-diable.pdf




Julie Ponesse, professeur d’éthique, sur la politique COVID : « La plus grande menace pour l’humanité à laquelle nous ayons jamais été confrontés »

[Source : Le blog de Jeanne Smits]

Je vous propose aujourd’hui la traduction intégrale de l’intervention publique d’un professeur d’éthique canadien, Julie Ponesse, lors d’une réunion de The Democracy Fund. Le Dr Ponesse a été licenciée pour faute en septembre pour avoir refusé le vaccin expérimental COVID exigé par son employeur, Western University au Canada. Son appel à la résistance est un modèle du genre.

La retranscription de son intervention originale en anglais a été publiée ici par le Brownstone Institute.

J’aurais sans doute quelques points de désaccord avec cette femme remarquable (notamment au sujet de la démocratie – il faisait sûrement meilleur être sujet de Louis IX que citoyen sous Macron ! – et de son choix de personnalités ; ainsi Margaret Mead dont elle invoque une remarque intéressante et vraie a ouvert la voie à la révolution sexuelle des années 1960) mais nous pouvons tous partager l’essentiel de son message. – J.S.

Jeanne Smits


Revenez quelques années en arrière, à l’automne 2019, par exemple. Que faisiez-vous alors ? À quoi ressemblait votre vie ? A quoi teniez-vous alors ? De quoi aviez-vous le plus peur ? Comment imaginiez-vous l’avenir ?

Voilà la personne avec laquelle j’aimerais parler pendant les 15 prochaines minutes, et je commencerai par ma propre histoire ; à la fin, j’aurai une faveur à demander et un petit secret à partager.

À l’automne 2019, j’étais professeur d’éthique et de philosophie antique ; j’enseignais aux étudiants la pensée critique et l’importance de la réflexion personnelle, comment poser de bonnes questions et évaluer les preuves, comment apprendre du passé et pourquoi la démocratie exige la vertu civique.

Faisons un accéléré au 16 septembre 2021, date à laquelle j’ai reçu une lettre de « licenciement avec motif » après avoir contesté, et refusé de respecter, la vaccination obligatoire imposée par mon employeur. J’ai été licenciée pour avoir fait exactement ce pour quoi j’avais été engagé. J’étais un professeur d’éthique qui remettait en question ce que je considérais comme une exigence contraire à l’éthique. Il ne faut pas chercher bien loin pour voir l’ironie de la chose.

Le Canada est régi par des lois qui sont fondées sur l’éthique. On pourrait dire que l’éthique est le fondement de notre démocratie.

« Le droit de déterminer ce qui doit ou ne doit pas être fait avec son propre corps, et d’être libre vis-à-vis des traitements médicaux non consensuels, est un droit profondément ancré dans notre système de common law. »

Ces mots ne sont pas de moi ; ce sont ceux du juge Sydney Robins de la Cour d’appel de l’Ontario.

À de très rares exceptions près, le corps de chaque personne est considéré comme inviolable dans le droit canadien, et c’est l’éthique sous-jacente du Code de Nuremberg, la promesse faite à l’humanité que nous n’autoriserions plus jamais des prises de décision médicale non informée et non volontaire, même pour le bien du patient, et même au nom du bien public.

Par définition, la vaccination obligatoire est une stratégie d’immunisation coercitive : en l’absence de coercition – la menace de perdre son emploi, par exemple – les gens accepteraient volontairement de faire ce que le mandat tente de réaliser !

Aujourd’hui, les employeurs prennent nos carrières en otage et nous privent de notre participation à l’économie et à la vie publique. Leur justification est suivante :

« Nous sommes en pleine pandémie, et nous devons donc renoncer à l’autonomie de notre corps au nom du bien public. »

Parlons donc un peu d’autonomie et de bien public.

En cas d’urgence, le Parlement et les législatures provinciales disposent d’un pouvoir limité pour adopter des lois qui violent certains droits de la Charte au nom du bien public. Mais, pour justifier ces violations, la vaccination obligatoire devrait satisfaire à un seuil d’exigence très élevé : il faudrait, par exemple, que le COVID-19, soit un agent pathogène très virulent pour lequel il n’existe aucun traitement adéquat, et l’efficacité et la sécurité des vaccins devraient être démontrées.

L’état actuel des choses au Canada ne répond à aucun de ces critères.

Considérons les faits suivants :

1) le COVID-19 a un taux de fatalité par rapport à l’infection qui ne représente même pas 1 % de celui de la variole (et il pose encore moins de risque pour les enfants) ;

2) il existe un certain nombre de produits pharmaceutiques sûrs et très efficaces pour le traiter (notamment des anticorps monoclonaux, l’Ivermectine, la fluvoxamine, la vitamine D et le zinc) ;

3) ET les vaccins ont fait l’objet de plus d’événements indésirables (y compris d’innombrables décès) que tous les autres vaccins sur le marché au cours des 30 dernières années.

À la lumière de ces faits, je me pose de nombreuses questions :

  • Pourquoi les vaccinés se voient-ils accorder des passeports vaccinaux et l’accès aux espaces publics, alors que le directeur du CDC a déclaré que les vaccins COVID-19 ne peuvent pas empêcher la transmission ?
  • Pourquoi la vaccination est-elle la SEULE stratégie d’atténuation alors que les preuves émergentes (y compris une étude récente de Harvard) ne mettent en évidence aucune relation perceptible entre le taux de vaccination et les nouveaux cas ?
  • Pourquoi notre gouvernement continue-t-il de ne pas recommander l’ivermectine comme traitement, alors que les National Institutes of Health des États-Unis le soutiennent et que l’État d’Uttar Pradesh, en Inde, l’a distribué à ses 230 millions d’habitants, réduisant ainsi son taux de mortalité liée au COVID à près de zéro ? Comment l’Inde a-t-elle pu dépasser le Canada en matière de soins de santé ?
  • Pourquoi sommes-nous sur le point de vacciner des enfants de 5 ans alors que le COVID présente pour eux moins de risques que les réactions potentielles aux vaccins ET alors qu’il n’existe AUCUN système de surveillance efficace des vaccins ?
  • Pourquoi nous concentrons-nous sur les avantages limités de l’immunité induite par le vaccin alors que des études dans le monde réel montrent que l’immunité naturelle est plus protectrice, plus puissante et plus durable ?
  • Pourquoi flétrissons-nous ceux qui hésitent à se faire vacciner et non ceux qui veulent imposer le vaccin à tout prix ?
  • « Pourquoi, comme l’a récemment demandé une infirmière, les personnes protégées doivent-elles être protégées des personnes non protégées en contraignant ces dernières à utiliser une protection qui de toute façon n’a pas protégé les personnes protégées ? »

À tous les égards et sous tous les angles, ce château de cartes est sur le point de s’effondrer…

Mais la question qui m’intéresse est de savoir pourquoi il ne s’est pas déjà effondré ? Pourquoi ces questions ne font-elles pas la une de tous les grands journaux du Canada chaque jour ?

Les bonnes personnes n’ont-elles tout simplement pas vu les bonnes données ? S’agit-il simplement d’une erreur administrative… à l’échelle mondiale ?

Qu’est-il donc arrivé à nos dirigeants ? Notre premier ministre a lancé le cri de guerre : « Ne croyez pas que vous monterez dans un avion », a-t-il menacé. Les promesses de campagne sont devenues des politiques publiques ségrégationnistes. Notre gouvernement nous encourage quotidiennement à nous diviser et à être haineux.

Comment les choses ont-elles pu changer si radicalement ? Comment nous, Canadiens, avons-nous pu changer aussi radicalement ?

J’observe que nous sommes confrontés à une pandémie, non pas seulement d’un virus, mais d’une pandémie de conformisme et de complaisance, dans une culture du silence, de la censure et de l’intimidation institutionnalisée.

Les médias mainstream aiment à dire que nous menons une « guerre de l’information » : que la désinformation, et même le questionnement et le doute, ont été les fléaux de cette pandémie.

Mais ce n’est pas seulement l’information qui a été instrumentalisée comme arme, dans cette guerre ; c’est aussi le droit d’une personne à penser par elle-même.

J’ai entendu dire : « Eh bien, je n’y connais pas grand-chose en virus, donc je ne devrais pas vraiment avoir d’opinion », mais…

La question n’est pas de savoir si vous en savez plus sur la virologie que nos responsables de la santé publique ; la question est de savoir pourquoi nous ne leur reprochons pas tous de ne pas être prêts à s’engager sur la voie des preuves et à débattre avec celui qui a une opinion différente.

Nous devrions demander non pas un résultat, mais le rétablissement d’un processus.

Sans ce processus, nous n’avons pas de science, nous n’avons pas de démocratie.

Sans ce processus, nous sommes dans une espèce de guerre morale.

Mais, les guerres du passé avaient des frontières claires et nettes : l’Est et l’Ouest, les patriotes et le gouvernement.

La guerre où nous nous trouvons aujourd’hui est une guerre d’infiltration et non d’invasion, d’intimidation et non de libre choix, de forces psychologiques si insidieuses que nous en venons à croire que les idées sont les nôtres et que nous y faisons notre devoir en abandonnant nos droits.

Comme l’a dit récemment un sage collègue :

« C’est une guerre qui porte sur le rôle du gouvernement. Il s’agit de notre liberté de penser et de poser des questions, et de savoir si l’autonomie individuelle peut être réduite à un privilège conditionnel ou si elle demeure un droit. C’est une guerre qui vise à déterminer si vous devez rester un citoyen ou devenir un sujet. Il s’agit de savoir à qui vous appartenez… à vous-même ou à l’État. »

Elle porte sur le point où nous établissons la ligne de démarcation.

Il n’est pas question ici de libéraux et de conservateurs, de pro et d’anti-vaxx, d’experts et de profanes. Chacun a le devoir de se soucier de la vérité, chacun devrait se soucier des processus scientifiques et démocratiques, chacun devrait se soucier des autres.

Je dirais qu’il n’y a pas grand-chose à faire pour assurer la survie de notre nation si notre liberté de débattre, de critiquer, d’exiger des preuves quant à ce que notre gouvernement nous demande, ne survit pas avec elle.

En tant que personne née dans les années 70, je n’ai jamais pensé que je devrais mener CE type de guerre ; que le droit à l’autonomie corporelle, à l’échange libre et transparent d’informations serait menacé.

Pensez un instant aux horreurs les plus inimaginables du siècle dernier – la « solution finale », l’apartheid sud-africain, les génocides rwandais et cambodgiens. Ne sommes-nous pas censés nous souvenir des atrocités du passé pour ne pas les répéter ? Eh bien, la mémoire est courte, les chaînes familiales sont brisées, les nouveaux soucis éclipsent les anciens, et les leçons du passé se perdent dans l’histoire ancienne pour être oubliées.

Aujourd’hui, les vaccinés semblent jouir de tous les droits et privilèges d’une société civilisée : liberté de mouvement, accès à l’éducation, approbation des gouvernements, des législateurs, des journalistes, des amis et de la famille. La vaccination est le ticket pour un retour CONDITIONNEL de notre droit à participer à la société canadienne.

Mais comme l’a dit John F Kennedy :

« Les droits de chaque homme sont diminués lorsque les droits d’un seul homme sont menacés. »

CONCLUSION :

Je n’ai aucun doute sur le fait que COVID-19 est la plus grande menace pour l’humanité à laquelle nous ayons jamais été confrontés ; non pas à cause d’un virus ; celui-ci n’est qu’un chapitre d’une histoire beaucoup plus longue et complexe ; mais à cause de notre réponse à ce virus.

Et cette réponse est en train, je crois, de gagner sa place dans tous les manuels d’éthique médicale qui seront publiés au cours du siècle prochain.

Que pouvons-nous faire ?

Comme l’a dit le chimiste et auteur canadien Orlando Battista, « Une erreur ne devient une faute que lorsque vous refusez de la corriger. »

Dans notre monde, la politesse, « se débrouiller », « passer sous le radar » semblent être devenus les seuls objectifs. Finis les révolutionnaires des années 60, finis les patriotes de l’Amérique primitive. Nous sommes les victimes – et les soldats – d’une pandémie du conformisme.

Mais le conformisme n’est pas une vertu, il n’est pas neutre, et il n’est certainement pas inoffensif.

Lorsque Hannah Arendt a couvert le procès d’Adolf Eichmann pour le New Yorker en 1961, elle s’attendait à trouver un homme complexe, arrogant, diabolique, voire psychotique. Elle a trouvé tout le contraire. Elle a été frappée par son « caractère très ordinaire ». Il était « terriblement normal, terrifiant dans sa normalité », écrit-elle, un homme qui « ne faisait que suivre les ordres », comme il le répétait sans cesse. Ce qu’elle a découvert, c’est ce qu’elle a appelé la « banalité du mal », la tendance irréfléchie des gens ordinaires à obéir aux ordres afin de se conformer sans penser par eux-mêmes.

Les messages dédaigneux et bien rodés de nos responsables de la santé publique ont créé une machine très efficace qui ne publie pas ses preuves et ne s’engage pas dans un débat, mais émet des ordres que nous suivons avec empressement. Avec l’aide des médias, ses erreurs sont cachées, ses politiques ne sont pas remises en question et ses dissidents réduits au silence.

Comment briser ce silence ? Comment retrouver la raison et reconstruire notre démocratie ? Il est peut-être temps de faire un peu de bruit. Des études ont prouvé qu’une fois qu’une idée est adoptée par seulement 10 % de la population, c’est le point de basculement où les idées, opinions et croyances seront rapidement adoptées par les autres. Un 10 % qui parle, un 10 % qui fait du bruit, il n’en faut pas plus.

La démocratie, « le règne du peuple », ne permet pas seulement la liberté d’expression et de recherche, elle l’exige.

Et le petit secret que je vous ai promis au début ? Le voici : vous n’êtes PAS une mauvaise personne parce que vous exigez des preuves, vous n’êtes pas une mauvaise personne parce que vous faites confiance à votre instinct, et vous n’êtes pas une mauvaise personne parce que vous voulez penser par vous-même. En réalité, c’est le contraire qui est vrai.

Si la perte de la justice vous inquiète, si le genre de vie que pourront mener nos enfants vous fait du souci, si vous voulez retrouver votre pays – le pays qui était autrefois l’envie du monde entier – c’est maintenant qu’il faut agir. Il n’y a pas de raison d’attendre, vous ne pouvez pas vous offrir le luxe d’attendre, ou trouver des excuses. C’est maintenant que nous avons besoin de vous.

C’est maintenant qu’il faut appeler nos politiciens et écrire à nos journaux. C’est le moment de protester, c’est le moment de contester et même de désobéir à notre gouvernement.

Comme l’a dit Margaret Mead :

« Ne doutez jamais qu’un petit groupe de citoyens réfléchis et engagés puisse changer le monde ; en fait, c’est la seule chose qui y soit jamais parvenue. »

En d’autres termes, vous n’avez pas besoin d’une tribu de héros, d’une masse de héros, d’un pays de héros. Il ne vous en faut qu’un seul. Vous pouvez apporter votre contribution et vous POUVEZ faire la différence. Les pilotes de Southwest Airlines, la police montée canadienne, les infirmières du University Health Network font tous une différence.

Et cette faveur que je devais vous demander ? Nous avons besoin de héros maintenant plus que jamais. Notre démocratie demande des volontaires… Serez-vous un héros, pour notre pays, pour nos enfants ? Ferez-vous partie des 10 % qui font du bruit ?

Dr Julie Ponesse,
Discours du 28 octobre 2021
pour “The Democracy Fund”

© leblogdejeannesmits pour la traduction.




La solution finale. Numérisation complète. « La codification QR du monde »

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Peter Koenig

Imaginez que l’humanité déciderait un jour – très bientôt – d’arrêter de porter des masques. À l’unisson : pas [de masques] dans la rue, pas dans les restaurants, pas dans les magasins, pas dans les événements sportifs – tout simplement nulle part. Contre tous les ordres d’une bonne partie des 193 gouvernements membres de l’ONU, ou du moins des gouvernements occidentaux. Et, en effet, contre l’ensemble du système des Nations Unies – contre les ordres de M. Antonio Guterres, lui-même. Oui, en effet. Beaucoup d’agences des Nations Unies, pas encore toutes, ont commencé à rendre obligatoire l’injection pour leur personnel… ou autres.

Comment se fait-il que tout le monde n’ait pas encore pensé que quelque chose ne va pas ? Qui va très mal. Se peut-il qu’il s’agisse simplement de la dissonance cognitive ? Vous savez qu’il y a quelque chose qui ne va pas du tout, mais le confort de votre maison ne vous permet pas de l’admettre ? C’était le cas dans le Troisième Reich, cela a mis en avant la tyrannie d’Hitler. Le reste appartient à l’histoire.

L’alternative à envisager serait que tous ceux qui ont décidé de ne pas se faire injecter s’en tiennent à leur décision et la rendent publique. Ils défient les ordres totalement illégaux et inconstitutionnels du gouvernement, le système de l’ONU qui reçoit leurs ordres de l’obscur culte invisible menaçant de mort ceux qui refusent d’obéir.

Il faut s’imaginer que personne n’écouterait ces ordres absurdes et anticonstitutionnels, pas même la police, ni l’armée – les deux institutions chargées d’appliquer la loi se rangeraient du côté du peuple – ce même peuple dont ils ont juré de défendre les droits.

En fait, cela s’est produit plus d’une fois dans le monde, là où la brutalité policière était particulièrement importante, un groupe de policiers de première ligne a soudainement enlevé leur casque et marché avec le peuple – en France, en Allemagne, en Autriche, en Italie, en Suisse et ailleurs. Dernièrement, une situation similaire s’est probablement manifestée dans l’État de Victoria, en Australie, où les habitants de Melbourne sont littéralement confinés depuis des mois.

Une policière a démissionné et s’est présentée sur le devant de la scène en donnant des entrevues et en révélant que la majorité de ses collègues pensent de la même façon, mais ils ont peur de perdre leur emploi et / ou d’être punis par le gouverneur tyrannique de Victoria. C’est un bon début. Regardez ce reportage.

Cela doit se produire à l’unisson. Dans la solidarité. Dans la plupart des pays européens, vous n’êtes pas le droit d’aller au restaurant ou à tout événement public à moins que vous ne puissiez présenter le votre preuve de vaccination anti-Covid (certificat vaxx) – un infâme code QR sur votre téléphone portable, qui sera lu par un autre téléphone portable, programmé pour lire votre QR-code.

Photo : Manifestation à Montréal, le 30 octobre 2021, par Micheline Ladouceur

Vous n’avez aucune idée de ce qui est ou de ce qui sera éventuellement mis sur ce code QR. L’objectif est d’obtenir tous vos renseignements personnels, votre dossier médial complet, votre casier judiciaire, en passant par vos comptes bancaires – tout sur vous en fait. Mais cela sans que vous soyez au courant. Vous ne pouvez pas lire ce qui se trouve sur le code QR. « Eux », « ils » le peuvent, car il est programmé de cette façon.

En fait, l’objectif est d’implanter ce code QR dans votre corps. C’est à peu près ce que Klaus Schwab a fièrement dit dans un bref entretien (environ 2 minutes de vidéo ci-dessous) avec la télévision suisse française en 2016. Il présente les choses comme suit :  : les humains deviendront des « transhumains ».

Vidéo : Vers la tyrannie numérique avec Peter Koenig



La vidéo a depuis été « vérifiée » (“fact-checked”) sur Internet. M. Microsoft, Bill Gates, a en fait parlé d’un système d’exploitation (Operating System) implanté dans le corps humain. Ainsi, nous, les humains, devons avoir un corps capable de répondre aux ondes électromagnétiques, en d’autres termes, notre corps doit être transformé en champs électromagnétiques (CEM). Cela se fait, par l’ARNm- « vaccin » (« vaxx)  qui est injecté dans les tissus de notre corps.

Avez-vous remarqué que Pfizer et Moderna, les deux sociétés pionnières  de l’ARNm – qui n’est absolument pas un vaccin, vous feriez mieux de le croire – sont-elles les seules compagnies à avoir obtenu l’autorisation en Occident ? Ils ont maintenant ajouté AstraZeneca et Johnson & Johnson – ces « vaccins » ne sont différents que dans la mesure où leur mécanisme de « mise à mort » est différent.

Ces « vaccins » produisent également des caillots sanguins et des protéines de pointe (protéine Spike). Les premiers peuvent entraîner des blocages respiratoires allant jusqu’aux embolies du poumon, du cerveau, voire du cœur. La protéine de pointe se propage à toutes vos cellules. Ils finissent par attaquer votre système de défense immunitaire, vous rendant beaucoup plus vulnérable à tout type de maladie, en particulier aux cancers. Pourquoi n’autorisent-ils pas le Spoutnik V russe ou l’un des vaccins chinois, tous deux basés sur des méthodes de vaccination traditionnelles ?

Les Russes et les Chinois ne travaillent pas pour le programme de réduction de la population.

Voyez cette histoire / vidéo d’horreur bien documentée par le Dr Madej : Dr. Carrie Madej: First U.S. Lab Examines “Vaccine” Vials, Horrific Findings Revealed (Dr Carrie Madej : Premier États-Unis Le laboratoire examine les flacons « vaccins », des résultats horribles révélés). Non, ce n’est pas pour effrayer qui que ce soit. C’est pour apporter la réalité dans le confort de votre maison et, espérons-le, vous jeter hors de votre confort dans un monde auquel vous et tout le monde devez participer à la résistance.

Savez-vous que les vaccins d’ARNm vous injectent du graphène, un fluide hautement toxique, qui crée dans tout votre corps un champ électromagnétique (CEM), réceptif aux ondes courtes ultra-courtes 5G et bientôt 6G qui pourront éventuellement manipuler votre cerveau et toutes vos informations, maintenant progressivement stockées sur votre QR-code personnalisé, vous transformant, humain, en – selon les mots de Klaus Schwab, un « transhumain » – qui n’est plus en possession de sa propre volonté ou de son compte bancaire ?

Votre argent, soit dit en passant, si vous ne l’avez pas déjà remarqué, ne sera bientôt plus de l’argent physique que vous pourrez toucher et remettre à un caissier ou à un fournisseur, mais il s’agira de toute l’argent électronique et numérique, sur lequel vous pouvez toujours avoir le contrôle, parce qu’ils vous le permettent. Mais une fois qu’ils auront décidé que vous devez abandonner le contrôle, il disparaîtra.

Avez-vous remarqué à quelle vitesse les distributeurs automatiques disparaissent ? Comment les caissiers dans les banques disparaissent? Ils ne seront bientôt plus nécessaires, car vous ne contrôlez plus l’argent liquide. Il y a des pays d’Europe du Nord qui en sont presque là : la numérisation complète. Dans certains pays, dont la Suède, certaines personnes ont déjà volontairement laissé implanter une nanopuce sous la peau de leur poignet. La puce fonctionne comme un compte bancaire intégré. Les jeunes adorent ça. C’est tellement cool. Vous balayez votre main, même plus de carte et le paiement est effectué. Sauf que ces personnes n’ont aucune idée de la façon dont cela se déroulera dans le futur.

Attention, cela ne s’applique qu’aux personnes qui survivent à la fausse vaccination – ou plutôt à la campagne d’inoculation. Parce que, savez-vous, que beaucoup plus de personnes sont mortes et meurent encore en recevant le vaccin-ARNm toxique que de la covid elle-même ? – Non, bien sûr que non. Le gouvernement et les grands médias ne vous en parleront pas. Les HARSAH reçoivent des milliards de dollars des gouvernements pour vous mentir.

Donc, tout ce qui précède ne s’applique qu’aux personnes qui survivent aux inoculations à long terme. Parce qu’il y a de fortes chances que vous ne surviviez pas. Du faux vaccin, pas du covid. Voir la vidéo en anglais : A Final Warning to Humanity from Former Pfizer Chief Scientist Michael Yeadon (Vidéo : Un dernier avertissement à l’humanité de l’ancien scientifique en chef de Pfizer Michael Yeadon).

Revenons au port du masque. C’était la première étape – dans la phase du verrouillage (Lockstep) – souvenez-vous du rapport Rockefeller 2010 – où les auteurs décrivent la « phase Lockstep« , ce qui signifie que les 193 pays membres de l’ONU les 193 pays membres de l’ONU font la même chose au même moment, le verrouillage (en « lockstep ») ? – Eh bien, nous avons déjà dépassé cette phase.

Cette phase Lockstep permet à chaque gouvernement du monde d’ordonner à son peuple de porter des masques, partout. La science (non corrompue) a prouvé depuis longtemps que le port du masque ne prévient ni le covid ni aucune maladie virale, mais cela cause d’énormes dommages en réduisant l’apport en oxygène de 20 à 50 %, selon le type de masque. Au lieu de cela, vous respirez votre propre CO2.

Mais ce n’est pas tout, les séquelles psychologiques causés par le port forcé d’un masque sont énormes. C’est une humiliation pure et simple; c’est une expérience pouvant mener à la dépression. Vous parlez aux gens, mais vous ne pouvez pas les reconnaître dans de nombreux cas, les voix sont étouffées, souvent difficiles à comprendre – et l’expression faciale qui en dit tant dans une conversation a disparu. Les dépressions ont explosé, tout comme les suicides. Mais les gouvernements et les grands média, bien rémunérés, ainsi que la « science corrompue » (bought science), ne parlent pas de ces effets désastreux.

À propos de la « science corrompue » : Beaucoup de gens ne peuvent tout simplement pas imaginer le monde corrompu que nous sommes devenus en l’espace de seulement deux décennies.

Mettons le début du compte à rebours au 11 septembre.

C’est à ce moment-là que les grands mensonges officiels ont commencé, et que la coercition des diseurs de vérité s’est installée. La plupart des scientifiques, de la police ou d’autres témoins de première main ont des familles, une carrière, un revenu stable. Ils ne veulent pas de « ennuis ». Et les ennuis peuvent aller du harcèlement à la perte d’emploi en passant par la mort. Ce n’est pas une blague. C’est ainsi que fonctionne le « système » aujourd’hui. Soit vous êtes dans la matrice et vivez une vie d’un certain confort, soit vous prenez la pilule rouge – et vous êtes seul.

Dernièrement,  le système a franchi une étape supplémentaire : l’internet, « la mine d’or » de toutes les informations, est soumis à une censure sévère.

Toutes les informations gênantes sont soit complètement supprimées, soit « vérifiées par les faits ». Si vous vérifiez qui est derrière les vérificateurs de faits (“fact-checked’), ce que la plupart des gens ne font pas, vous voyez qu’il s’agit de grands groupes d’intérêt, dans le cas du covid, principalement des produits pharmaceutiques, aidés par Bill Gates et compagnie. Il est donc de plus en plus difficile de trouver des informations crédibles.

Youtube vient de déclarer que toute information, aussi scientifiquement prouvée soit-elle, qui va à l’encontre du « récit officiel du changement climatique » sera supprimée. C’est si simple. Nous sommes ainsi contrôlés alors que la VÉRITÉ est dominé et manipulé par des intérêts privés.

Oui, le monde a besoin d’une Grande réinitialisation (Great Reset), mais non pas à la façon Klaus Schwab, pas non plus selon le FEM (Forum économique mondial) mais selon une conception issuet du peuple. C’est pourquoi la solidarité, et non la soumission, est si importante. Quand prendrons-nous conscience de cette réalité ?

Il y a néanmoins d’importantes exceptions. Aux États-Unis, au moins au Texas et en Floride et dans d’autres, États, principalement les États républicains, ne suivent pas le mot d’ordre de port du masque, ni toutes les conséquences qui l’accompagnent, comme les tests. Les gens sont libres de porter ou de ne pas porter le masque. La plupart ne le portent pas. Et le taux de contamination covid est en fait moins élevé que dans d’autres États, comme la Californie, où cette règle absurde est strictement appliquée. Peut-être que cette « moins grande incidence du covid », comme au Texas, va de pair, avec le nombre de personnes qui n’optent pas de se faire injecter. De plus, les rapports du gouvernement de l’État sont plus honnêtes que dans les États qui imposent le port du masque et injection.

C’est quelque chose à prendre en considération.

Pour augmenter la cadence de la peur – Bill Gates a déjà déclaré en 2018 qu’une maladie bien plus mortelle que le covid attend peut-être l’humanité, une épidémie de Marburg-R. Regardez ça.

C’est une fièvre hémorragique qui a été décrite pour la première fois en 1967, avec une brève épidémie qui a tué 376 personnes. Il est décrit comme étant à peu près aussi mortel qu’Ebola. Dans la vidéo ci-dessous se trouve un message de Kieran Morrisey – directeur de l’hôpital universitaire, Dublin, Irlande. Voir aussi ça de plus près.

Vrai ou faux ? Peu importe. Il est d’abord conçu pour inculquer la peur, et la peur, nous le savons maintenant, abaisse notre système de défense et nous rend vulnérables à obéir aux ordres – exactement ce que nous, en tant qu’humanité, devrions cesser de faire et de redevenir nous-mêmes : des êtres humains souverains.



L’étape suivante est la numérisation complète. La vaccination imaginaire qui est contrainte par quelque moyen que ce soit par l’administration Biden, qui est un excellent exemple pour de nombreux pays européens, et le QR-code progressent rapidement, sans même que les gens ne s’en rendent compte.

N’oubliez pas que l’Agenda ID2020 – également une invention de Bill Gates – bat son plein. Voyez ceci.

Il est maintenant testé en Afrique de l’Ouest, où des personnes se sont portées « volontaires » pour participer à un exercice dans lequel elles n’ont accès à leur argent que par le biais d’un « compte bancaire » implanté dans leur corps. Ce compte peut être et est contrôlé de l’extérieur. C’est une partie de ce qui nous attend en Occident lorsque la Grande réinitialisation se mettra en place. Voir aussi ceci (dernier tiers de la même vidéo que ci-dessus) Dr. Carrie Madej : Le premier laboratoire américain examine les fioles de « vaccins », des résultats horribles sont révélés (en anglais).

Dans une certaine mesure, ce système est également testé par certaines personnes en Suède qui ont volontairement implanté sous leur peau une puce. Peut-être plus encore, mais ils ne le savent pas.

C’est la future codification QR du monde.

Il faut donc être conscient de ce à quoi les codes QR sont réellement destinés, de ce qu’ils peuvent faire et feront à l’avenir, si nous ne les arrêtons pas. C’est toujours la même question. Nous devons être pleinement conscients de ce qui arrive – et nous devons nous libérer de la peur, nous devons devenir désobéissants et redevenir nous-mêmes. Nous devons revenir à ce que nous sommes depuis la naissance, des êtres humains souverains.

Nous n’avons pas de temps à perdre. Nous devons réagir rapidement.

Peter Koenig


Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il travaille depuis plus de 30 ans sur l’eau et l’environnement dans le monde entier. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l’auteur d’Implosion – An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed ; et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1er novembre 2020)

Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation

Lien vers l’article original :

The Final Solution. Full Digitization. “The QR Codification of the World”
By Peter Koenig, le 22 octobre 2021

Traduit par Maya pour Mondialisation

Image en vedette : Image du domaine public de la page COVID-Protest de Wiki.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Peter Koenig, Mondialisation.ca, 2021




QAnon, mouvement manipulé par le régime communiste chinois ?

[Source : theepochtimes.com]

Une note des services de renseignement français, dont les éléments les plus saillants viennent d’être publiés dans les colonnes du JDD, jette une lumière crue sur la mouvance QAnon en France. On y découvre l’anatomie complexe d’une nébuleuse agrégeant des convictions diverses et d’apparence incompatibles, dans un corps protéiforme allant de la lutte contre les sociétés secrètes à la recherche de spiritualité, en passant par des groupuscules semi-militaires dont certains membres vont aujourd’hui, d’après la note, jusqu’à préparer des « projets de coup d’État et d’autres actions violentes ».

Les multiples comptes de réseaux sociaux des relais de QAnon en Occident varient dans leur style, mais se rejoignent sur certains éléments-clés, dont l’idée qu’un pouvoir corrompu œuvre au niveau mondial à la manipulation et l’asservissement des populations. Les multiples théories et rumeurs alimentant cette galaxie ont séduit aussi bien une large frange de survivalistes voyant dans notre mode de vie actuel une folie insoutenable, que des citoyens ne trouvant d’explication possible à l’absurdité du développement du monde que dans l’existence de forces liguées pour le mal de l’humanité.

L’ancien président Donald Trump a d’abord bénéficié, puis subi le fait d’être l’homme dit providentiel de la mouvance QAnon : les premiers patriotes conservateurs emmenant le mouvement ont progressivement été débordés par des messages de plus en plus radicaux, ce qui a offert aux opposants de Trump les munitions pour le qualifier, lui, d’agitateur et de danger pour la démocratie, et eux, d’extrémistes irrationnels.

Or, lorsqu’on observe l’évolution de QAnon, on est frappé de voir, sur le courant de 2020, émerger progressivement des rumeurs de plus en plus diverses et de moins en moins étayées, appuyées par un véritable matraquage sur Facebook. Les révélations factuelles de l’affaire Epstein et de l’implication du clan Clinton dans un trafic sexuel organisé ont ainsi progressivement été élargies, déformées, jusqu’à conduire à des accusations sans aucun élément tangible pour les soutenir. Dans le même temps, une version techno-ésotérique de l’idéal marxiste de lutte des classes s’est insinuée dans les réseaux QAnon, avec une identification du mal chez un « autre » représenté par la classe bourgeoise mondialiste des puissants.

L’observation de cette inquiétante inflexion trouve un éclairage particulier à la lecture du remarquable rapport « Les Opérations d’influence chinoise » de l’Institut de Recherche Stratégique de l’École Militaire. Celui-ci révèle que la Chine est l’acteur étatique « le plus impliqué dans l’amplification des récits QAnon sur Facebook ». Début 2021 par exemple, plus de la moitié des publications QAnon sur Facebook étaient ainsi originaires de Chine. Ceci éclaire brutalement l’évolution de QAnon, au point que le rapport reprend à son compte les conclusions de ses collègues du Soufan Center, pour qui, à travers QAnon, « l’objectif de la Chine est très probablement de semer la discorde et la division au sein de la population ».

[Voir aussi :
Les Opérations d’influence chinoises
Q-Anon a une ressemblance frappante avec la psy-op bolchevique des années 1920 connue sous le nom d’opération Trust
Note sur la lecture des événements]

Après le niveau élémentaire de l’infiltration, qui par la corruption et la propagande fait taire toutes les voix critiques, le « raffinement » de la stratégie guerrière du Parti communiste chinois se poursuit donc avec des niveaux secondaires et tertiaires : le régime chinois alimente avec son armée d’internautes des mythes urbains et diversions publiques qui ont le considérable avantage d’occuper les esprits. Cette stratégie permet aussi d’accumuler, petit à petit, tout le combustible pouvant permettre une flambée de guerres civiles dans les pays occidentaux. Démonstration sur le terrain : les partisans QAnon considèrent les progressistes et les électeurs de gauche comme des gens corrompus et dangereux contre qui il faut lutter ; ceux-ci considèrent les QAnon comme des extrémistes qu’il faut enfermer. Le mal est toujours chez l’autre. Pour le régime chinois, il n’est donc plus aujourd’hui nécessaire de soutenir un camp « ami » contre un autre : il est beaucoup plus efficace de pousser tous les camps à s’opposer l’un à l’autre de manière irréconciliable, jusqu’à l’autodestruction. Peu importe le sujet, qu’il s’agisse de lutte des femmes, de lutte des minorités sexuelles ou ethniques, de lutte des modestes contre les nantis : tant que la lutte des classes peut exister, elle peut être amplifiée, hystérisée par l’armée des trolls du Parti jusqu’à faire abandonner toute raison et mener à la censure outrée de toute idée différente.

Ceux et celles qui refusent d’être les marionnettes d’une « doxa », d’un « diktat », d’un « patriarcat » devraient donc aussi prendre garde à ne pas devenir eux-mêmes, involontairement, les idiots utiles de forces étrangères hostiles. C’est dans la capacité à voir que les opinions sont fragiles et ne définissent pas en profondeur qui nous sommes, que se trouve peut-être une partie du chemin vers plus de tolérance et de compréhension d’autrui… et vers l’identification des vrais ennemis.




Information et désinformation, une histoire de contrôle !

[Source : REINFOCOVID]

Par : Collectif Reinfocovid

Point sur la Trusted News Initiative (TNI), « Initiative pour une information fiable » :  action collective visant à éliminer la désinformation avant qu’elle ne s’installe.

À Retenir

  • La Trusted News Initiative (TNI), « Initiative pour une information fiable » a été lancée en 2019 dans le but de protéger le public de la désinformation
  • La BBC a organisé un sommet sur la fiabilité de l’information (Trusted News Summit), réunissant des personnalités de haut niveau représentant des entreprises technologiques mondiales et de grands médias d’information.
  • Une action rapide et collective est demandée pour éliminer la désinformation avant qu’elle ne s’installe
  • La TNI inclut à ce jour : Agence France Presse, BBC, CBC/Radio-Canada, Union Européenne de Radio-Télévision (UER), Facebook, Financial Times, First Draft, Google/YouTube, The Hindu, Microsoft, Reuters, l’Institut Reuters pour l’étude du journalisme, Twitter, le Wall Street Journal.

À propos du contrôle de l’information

La Trusted News Initiative a été créée suite aux craintes de nombreux médias de risques d’influence de pays étrangers sur les élections présidentielles américaines. La finalité était de lutter contre les « cas de désinformation présentant une menace vitale imminente »

https://www.ebu.ch/fr/news/2020/12/trusted-news-initiative-to-combat-spread-of-harmful-vaccine-disinformation

C’est pourquoi, en décembre 2020, Tim Davie, directeur général de la BBC, déclare : «2020 a été une année comme aucune autre. Nous avons assisté à la propagation rapide d’une désinformation néfaste et d’un nombre croissant de théories du complot en ligne. Qu’elle représente une menace pour notre santé ou pour notre démocratie, la désinformation a un coût humain. Les partenaires de la TNI continueront à travailler ensemble pour élargir notre cadre et faire en sorte que les préoccupations légitimes concernant les futures vaccinations soient entendues, tout en mettant un terme aux mythes nuisibles sur la désinformation.»

https://www.bbc.com/mediacentre/2020/trusted-news-initiative-vaccine-disinformation

On constate donc qu’il existe officiellement une organisation d’ampleur internationale comprenant les principales entreprises technologiques mondiales (Google/YouTube, Facebook, Microsoft, Twitter) ainsi que les plus grands médias d’information (Agence France Presse,  BBC, CBC/Radio-Canada, Union Européenne de Radio-Télévision (UER), Financial Times, The Hindu, Reuters, l’Institut Reuters pour l’étude du journalisme, le Wall Street Journal). Le but de cette organisation est officiellement de porter « LA » vérité, « SA » vérité.

          Le collectif de scientifiques et de soignants Réinfocovid tient à rappeler à cette initiative que la science et la médecine opèrent fondamentalement par le contradictoire entre les savoirs validés et les hypothèses non encore validées qui ne sauraient améliorer le savoir validé que si elles ont la liberté d’être exprimées puis analysées.

Dans cette crise sanitaire, on comprend mieux pourquoi les informations « contradictoires » ont tant de mal à trouver un écho médiatique. Par exemple, on trouve dans les conditions d’utilisation de Google/YouTube :

https://support.google.com/youtube/answer/9891785?hl=fr

Ne publiez pas de contenu sur YouTube s’il correspond à l’une des descriptions ci-dessous.

  • Informations incorrectes concernant la prévention : contenus faisant la promotion de méthodes de prévention qui contredisent les autorités sanitaires locales ou l’OMS
  • Contenus qui recommandent l’utilisation d’ivermectine ou d’hydroxychloroquine pour la prévention de la COVID-19
  • Contenus qui affirment que l’ivermectine et l’hydroxychloroquine peuvent être utilisées sans risque pour soigner la COVID-19
  • Contenus qui affirment que le port du masque est dangereux ou entraîne des effets néfastes sur la santé physique
  • Contenus qui affirment que les masques ne permettent pas d’éviter de contracter ou de transmettre la COVID-19
  • Contenus qui contredisent le consensus des experts d’autorités sanitaires locales ou de l’OMS au sujet du vaccin contre la COVID-19
  • Contenus qui affirment qu’un vaccin approuvé contre la COVID-19 causera la mort, l’infertilité ou l’autisme des personnes qui le reçoivent, entraînera des fausses couches ou communiquera d’autres maladies contagieuses

Si l’un de vos contenus enfreint ces règles, nous le supprimerons

Si l’information contradictoire n’est pas relayée, alors l’initiative n’est qu’une censure autoritaire. La Trusted News Initiative, va à l’encontre du principe même de la science que défendait le journal Le Monde en 2011« le doute scientifique, une attitude exemplaire » : https://www.lemonde.fr/planete/article/2011/09/24/le-doute-scientifique-une-attitude-exemplaire_1577191_3244.html

Deux poids et deux mesures

Curieusement, La FDA (Food and Drug Administration) américaine a par contre publié sans la moindre difficulté sur Twitter une affiche ouvertement fallacieuse sur l’utilisation de l’Ivermectine ( https://twitter.com/us_fda/status/1429050070243192839 ):

Traduction :

« Vous n’êtes pas un cheval. Vous n’êtes pas une vache. Sérieusement, vous tous, arrêtez! »     

« Pourquoi vous ne devriez pas utiliser l’ivermectine pour traiter et prévenir la Covid-19. Utiliser l’ivermectine pour traiter la Covid-19 peut être dangereux et même létal, la FDA n’a pas approuvé ce médicament dans ce cas »

Dans cette image, la FDA discrédite ceux qui se soignent en prenant de l’Ivermectine, les assimilant à des vaches ou des chevaux. La FDA oublie de préciser que l’ivermectine fait partie de la liste des médicaments essentiels pour l’humanité publiée par l’OMS : p63, liste disponible sur :

https://www.who.int/publications/i/item/WHO-MHP-HPS-EML-2021.02.

L’ivermectine reste l’un des médicaments les plus sûrs selon vigiaccess.org, base de données sur laquelle tous les pays membres de l’OMS rapportent les effets indésirables observés suite à des prises de médicaments. A ce jour (21 octobre 2021) seulement 5701 cas d’effets indésirables (dont 16 décès) ont été rapportés depuis 30 ans pour plus de 4 milliards de prises d’Ivermectine. Par comparaison, le Remdesivir de Gilead, initialement approuvé pour traiter la COVID-19, a fait l’objet depuis 2020 (donc en moins de 2 ans) de 8630 cas d’effets indésirables.

De nombreuses publications scientifiques montrent pourtant une efficacité de l’ivermectine, et d’autres médicaments, en tant que traitements précoces de la Covid-19.

Y aurait-il donc deux poids et deux mesures ?

https://reinfocovid.fr/science/prise-en-charge-ambulatoire-du-covid-19/ et https://c19early.com/




Une vache folle dans chaque vaccin ?

[Source : ripostelaique.com]

Un train peut en cacher un autre, disait-on. Mais une mixture vaccinale peut aussi cacher une vache folle. Ou du moins des prions. En plus de tous les éléments nocifs qu’elle contient. Des prix Nobel le pensent et dénoncent les apprentis sorciers.

Tout est parti d’un délire de science fiction : le transhumanisme ou recherche de « l’homme augmenté ». Demain des supermen et des wonder women comme au cinéma. Avec le NZT-48, la pilule qui rend intelligent. Mais vu les effets secondaires désastreux, les cerveaux lents ne changez rien à vos habitudes !

Pour le moment on a le Modafinil qui booste les capacités intellectuelles avec le risque de vous transformer ultérieurement en légume. Néanmoins, les armées française et américaine l’utilisent pour maintenir la vigilance des soldats sans dormir pendant 3 jours. Mais les militaires veulent mieux que cette amphétamine…

Depuis 20 ans, on traficote dans les laboratoires secrets des grandes puissances toutes sortes de mixtures bizarroïdes à base d’ARN messager dont on attend des miracles. Les rats et les cochons qui y ont été soumis n’ont pas survécu.  Alors on a décidé de passer aux humains. Avec l’alibi du covid.

Les prions kézako ?

Dans les années 1980 le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine et de physiologie, avait entrepris une grande étude des prions.

Un prion est un agent pathogène constitué d’une protéine dont la conformation est anormale et qui, au contraire d’agents infectieux tels que les virus ne dispose pas d’acide nucléique (ADN ou ARN) comme support de l’information infectieuse.

Comme la nature a horreur du vide, le prion (acronyme de PROteinaceous INfectious particle ou particule protéique infectieuse) va se servir dans l’organisme hôte. Parmi les cellules saines ou les virus déjà en place. Provoquant des  dégénérescences du système nerveux central (cerveau et moelle épinière) liées à la propagation puis à la multiplication des prions chez l’hôte infecté.

On observe alors au niveau de l’encéphale la formation de « vacuoles » donnant un aspect spongieux au cerveau, d’où le nom de spongiforme, une mort des neurones et une déficience des glioses (cellules de soutien du système nerveux central) avec perte de contrôle des fonctions motrices et/ou intellectuelles.

Pour le grand public, c’est « la maladie de la vache folle ».

Une hypothèse inquiétante

Pour le moment, les spéculations intellectuelles s’appuient sur de troublantes observations. Des sommités scientifiques s’interrogent sur le rôle probable des brins d’ARN messager trafiqué dans la création de prions ou de néo-prions.

Étant donné l’évolution lente de ces dégradations, on ne dispose pas encore de suffisamment de cas d’étude dans la durée. Et quand on en aura, il sera trop tard.

On considère néanmoins que les grandes fatigues et les comportements débiles-agressifs des piqués et multipiqués ne seraient pas provoqués uniquement par une réponse aberrante et aléatoire de l’ADN à l’ARN messager, au niveau des neurotransmetteurs.

À ces dysfonctionnements peut s’additionner la dégénérescence provoquée par les prions. Mais alors, le fardeau est tellement lourd pour l’organisme que la paraplégie survient quand ce n’est pas la mort immédiate.

Et si on veut le bouquet complet, la protéine Spike ne se contente pas d’accroître la probabilité d’apparition de prions, elle y ajoute le taux anormalement élevé de micro-caillots sanguins qui affectent les tissus cérébraux, en plus de provoquer des myocardites et des AVC.

En clair, si vous étiez déjà un peu jobard avant de vous faire vacciner, vous serez complètement barjot après. Si toutefois vous survivez.

Prions et prétendus vaccins covidiens

Même s’ils disent à la télé que les risques présentés par les prions sont  exagérés par les complotistes, le 27 juillet 2021, sur ordre du  dictateur Macronescu, les laboratoires français ont interrompu leurs travaux sur les prions au nom du principe de précaution, car il y a eu des contaminations mortelles.

Approcher les prions est très dangereux si un contact cutané s’établit, ou s’ils prolifèrent en aérosol dans l’air que vous respirez.

Mais si on vous les inocule dans les veines, il n’y aurait aucun danger !

De la même manière cynique et assassine, après plus de 30 ans d’interdictions,  l’Eurocrature vient d’autoriser à nouveau les farines animales pour nourrir le bétail et les poissons. Et donc contaminer les humains qui mangeront de la vache carnivore sans se douter de rien.

Alors qu’on sait que les prions franchissent aisément la barrière des espèces, donc sont transmissibles à l’homme et font preuve d’une résistance  exceptionnelle à la chaleur, aux rayonnements ionisants ou aux traitements chimiques, ce qui rend très compliquée toute thérapie.

Selon Montagnier, la protéine spike des vaccins a ARNm été modifiée de telle manière qu’elle risque de se comporter comme un prion dit aussi néo-prion.

 En Angleterre le « journal of Medical & Clinical Research », dans un article du 25 juin 2021 annonce que les patients vaccinés avec Astra Zeneca sont 2,6 fois plus touchés par le Parkinson, qui est une maladie à prions.

On finira bien par s’interroger aussi sur les raisons de la recrudescence d’Alzheimer précoces et fulgurants chez des vaccinés de quelques mois, jeunes ou d’âge moyen pour la plupart, alors que dans « le monde d’avant » c’était une maladie de vieillesse.

Il y a pire : toute votre descendance peut être contaminée !

Le passage de fragments du code génétique du virus du covid dans le génome humain est relativement rare mais pas impossible, et s’accroît à chaque nouvelle injection par effet cumulatif. C’est carrément l’ADN qui est modifié, pouvant créer à terme une nouvelle espèce. Plus docile et plus stupide pour faire des moutons. Ou plus agressive et plus bornée pour produire des miliciens.

Les virus mélangent depuis toujours des fragments de leur code génétique au génome humain, avec transmission à la descendance. Ainsi une part du génome humain est constitué de résidus de virus.

Ces fragments sont appelés rétrovirus endogènes, et en règle générale, leurs effets ne sont pas forcément négatifs. Les uns sont inactifs. Les autres peuvent renforcer les protections naturelles ou faciliter les échanges biochimiques. Mais nos lointains ancêtres ont mis des centaines de milliers d’années pour s’y adapter. Et si quelques groupes y ont gagné, beaucoup n’y ont pas résisté.

On peut supposer que l’extinction de Neandertal, de Denisova ou de Florensiensis, qui furent contemporains des premiers Sapiens, et fusionnèrent en partie avec eux, fut une résultante de l’action des virus préhistoriques.

En toute hypothèse, ce genre de mutation génétique ne peut s’envisager sur quelques années, sauf chez les mabouls du transhumanisme.

L’avis d’une généticienne de classe internationale

Conspuée dans les médias du NWO, Alexandra Henrion Caude, neurobiologiste à la Harvard Medical School puis ex-directrice de recherche à l’INSERM, est une scientifique de haut niveau, spécialiste de l’ARN dont les travaux faisaient autorité jusqu’à sa mise à la retraite à 50 ans.

Sa formation, son expérience et la qualité reconnue de ses publications lui donnent une réelle crédibilité lorsqu’elle se prononce sur des sujets scientifiques très pointus et prend un recul suffisant pour évaluer de façon exhaustive une situation sanitaire.

Elle n’a aucun lien avec Big Pharma et ne brigue aucun mandat ou sinécure. Elle fait donc partie de ces rares scientifiques dont la parole est libre.

Ses pairs soumis et/ou vendus lui reprochent de s’interroger sur l’innocuité des vaccins ARNm. Or n’est-ce pas le rôle de tout scientifique digne de ce nom d’alerter s’il lui apparaît, sans son domaine d’expertise, que des pratiques mal maîtrisées peuvent s’avérer dommageables pour des patients qui ne se doutent de rien ?

« Administrer des vaccins ARN à des individus sains est une pure folie », a-t-elle déclaré. Risquant de faire perdre de gros profits à Big Pharma. La réponse fut immédiate : bannissement des médias, censure sur FB et YT, traitée d’« égérie des complotistes » avec toute la délectation perfide des journaleux vendus.

On lui reproche d’avoir évoqué une possibilité de transformation de l’ARN en ADN par l’action de la transcriptase inverse. On lui oppose que l’enzyme utilisée pour cette transcription n’existerait pas pour le coronavirus, en théorie. Mais elle n’est pas la seule scientifique à avoir observé que des mutations induites peuvent créer cette enzyme. En ajoutant que, si l’on a des raisons objectives, du fait des observations in vivo de ne pas douter du phénomène, on ignore pour le moment sa fréquence, sa répétition, l’étendue de son action et l’importance du rôle qu’il joue dans l’apparition de néo-prions dans un contexte multifactoriel. Mais les prions sont bien là. Avec les prétendus vaccins. Ce n’est pas le fait du hasard.

Conclusion empruntées à ces 2 savants :

1/ Les effets secondaires des mixtures ne sont pas uniquement les réactions locales normales que l’on trouve pour n’importe quel vaccin, mais des réactions imprévisibles mettant en jeu la vie du destinataire comme le montre le test D-Dimère pour les caillots, ou les chocs anaphylactiques observés, ou une réaction auto-immune allant jusqu’à l’aplasie cellulaire (destruction des cellules cérébrales)

2/ Le manque de protection vaccinale est désormais patent puisqu’il est reconnu, même par une gaufre comme Blachier, que les vaccinés et polyvaccinés ne sont pas à l’abri d’une contamination et peuvent contaminer leur entourage. Pire, les anticorps produits par les pseudo-vaccins, fragiles et éphémères, peuvent annihiler les anticorps naturels, plus efficaces et durables, privant le sujet de toute défense.

3/ La production d’anticorps induits par la « vaccination » dans une population exposée au virus conduit à la sélection de variants résistants à ces anticorps, plus virulents et plus transmissibles que l’original. C’est ce que nous voyons maintenant. Une course sans fin de virus-vaccin à vaccin-virus qui tournera toujours à l’avantage pour le virus.

4/ Contrairement aux affirmations des fabricants des vaccins à ARN messager, il existe un risque d’intégration de l’ARN viral dans le génome humain.

En effet, chacune de nos cellules a des rétrovirus endogènes ayant la capacité de faire la transcriptase inverse de l’ARN dans l’ADN. On ne peut exclure son passage par l’ADN des cellules germinales et leur transmission aux générations futures.

Il ne vous reste plus qu’à prendre un billet à la loterie de la vache folle !

Vous pourrez y gagner des prions qui vous ramollissent le cerveau de suite, ou d’autres  en « stand by » qui ne se réveilleront que dans plusieurs années. Ou même jamais chez vous. Mais causeront des dégâts irréparables chez vos enfants à venir.

Tout est mis en œuvre pour étouffer ces questionnements légitimes.

La propaganda staffel (pardon les journalistes) applique l’omerta imposée par la mafia macronesque et interdit d’antenne quiconque aborde le sujet des neurotransmetteurs et des prions.

Les commissaires politiques (pardon les fact checkers) ratissent le web pour discréditer Alexandra Henrion Caudé et ridiculiser le professeur Luc Montagnier.

Les réseaux sociaux ne sont pas en reste. Évoquer ces risques est contraire à leur « charte de bonne conduire ». Les hérétiques sont bannis car il ne peut y avoir qu’une seule vérité : celle des médicastres stipendiés par Big Pharma.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/




Le crime organisé : COVID-19 et ANTHRAX-01 — Interview avec Heiko Schöning

[Source : Kla.TV]

Le médecin et officier de réserve Heiko Schöning prouve dans son nouveau livre « GAME OVER » les machinations criminelles autour du COVID-19. Comme dans un copier-coller, dix-huit ans plus tôt, les auteurs d’aujourd’hui ont commis un crime similaire avec la bactérie mortelle de l’anthrax. Les détails criminels et le pouvoir de déduction de Heiko Schöning l’ont conduit à la conclusion suivante : les mêmes entreprises et clans sont encore et toujours impliqués dans ce jeu diabolique. Même l’ex-Président Trump y joue un rôle… Dans son interview exclusive avec Kla.TV, Schöning donne un premier aperçu de ses révélations explosives.



Transcription :

Heiko Schöning :

« C’est effectivement ainsi que nous avons maintenant la meilleure chance depuis plus de cent ans de surmonter ce système, ce système criminel dans lequel nous vivons.
La véritable différence par rapport aux années et décennies précédentes, où il y avait déjà des mensonges de guerre qui ont mené des millions de personnes à la mort, c’est que maintenant, ici en Occident, on y prête attention. Parce que trop de gens, dont moi-même, ont trop détourné le regard de ce crime organisé au fil des décennies. Des millions de morts au Vietnam, en Irak. Est-ce qu’on s’en souciait vraiment ? Avons-nous fait tout ce qui était possible ? Et maintenant, c’est notre tour. Et c’est là le principal message. Nous devons maintenant, en tant que pères, fonctionnaires, officiers, médecins responsables – tout le monde, nous devons maintenant nous rassembler et dire : Non à la mafia ! Parce que tôt ou tard, ce sera notre tour et c’est ce que nous réalisons maintenant, sur le plan économique et sur le plan physique. Non seulement nous sommes traités avec mépris, contrôlés, endoctrinés, mais nos vies sont en danger, ainsi que celles de nos familles. »

Présentatrice :

Heiko Schöning, fondateur de la Commission d’enquête de l’affaire Covid et vice-président de la « World Freedom Alliance », vient de publier un nouveau livre. Le titre est « Game Over ». Fidèle aux détails tout en étant compréhensible, il prouve sur environ 500 pages que le COVID-19 est un crime planifié. Dix-huit ans plus tôt, les auteurs du crime d’aujourd’hui ont commis un crime similaire avec la bactérie mortelle de l’anthrax (ANTRAX-01), comme s’il s’agissait d’un copié-collé.

Kla.TV a fait une émission au sujet de l’attaque à l’anthrax (en français :/www.kla.tv/16694). En 2001 également, la panique a été attisée, des lois d’urgence ont été promulguées et des vaccinations de masse ont été effectuées. Le suicide étrange de l’unique coupable désigné, le Dr Bruce Ivins, et son lien avec le fabricant du vaccin contre l’anthrax, Emergent BioSolutions, ont attiré l’attention du médecin Schöning. Cela l’a incité à mener des années de recherches discrètes. Les connaissances qu’il en a tirées lui ont permis de prédire publiquement en septembre 2019 qu’une autre panique liée aux agents pathogènes était à prévoir pour 2020 – quelques mois avant le COVID-19.

Les détails criminels et son pouvoir de déduction l’ont conduit à la conclusion suivante : Emergent BioSolutions et ses décideurs préparent des choses bien plus grandes. Mais le crime organisé joue le tout pour le tout et perdra la partie lorsque les criminels seront dévoilés, ce sera « Game Over » pour eux !
Dans son interview exclusif avec Kla.TV, M. Schöning donne un premier aperçu de ses révélations explosives. Aidez-nous à faire connaître les criminels qui se cachent dans l’ombre, en diffusant cette interview brûlante d’actualité !

Intervieweur :

M. Schöning, bonjour !
Je suis heureux que nous puissions faire aujourd’hui cette interview ensemble. Il sera question aujourd’hui de votre nouveau livre, qui s’appelle « Game Over ». Un livre qui cite les auteurs et les actes, c’est ainsi que vous l’avez décrit et vous avez dit au préalable que vous donneriez des indications pour que les gens puissent savoir de quoi il s’agit.
Mais tout d’abord, faisons un peu connaissance avec M. Heiko Schöning. Vous n’êtes pas seulement un auteur mais aussi un médecin et donc du côté gagnant du système actuel. En termes de réputation et d’avantages financiers, vous avez donc les bonnes cartes en main.
Qu’est-ce qui pousse une personne comme vous à se dire maintenant c’est « Game Over » et il y a peut-être eu un événement clé qui vous a conduit à suivre ce chemin, qui n’est pas facile ?

Heiko Schöning :

Oui, merci beaucoup ! Eh bien, nous sommes en septembre 2021 et ma motivation de base n’est pas seulement la profession de médecin, mais c’est aussi le fait que je suis un père, donc que j’ai la responsabilité de mes enfants, et en plus de cela, je suis aussi un officier de réserve dans les forces armées allemandes et j’ai aussi prêté serment à un moment donné pour protéger les gens. Nous devons simplement savoir que ce que ce qui se passe est un crime organisé mondial.

Intervieweur :

Et pour en revenir à cet événement clé, est-ce qu’il y a quelque chose qui vous a préoccupé, où vous avez déduit que quelque chose ne colle pas ?

Heiko Schöning :

Oui exactement, Je vais vous dire simplement, comment j’en suis arrivé à cette constatation. J’ai moi-même travaillé sur trois continents au cours de ma formation. J’ai étudié à la Charité de Berlin, ainsi qu’en Australie et en Angleterre. J’ai traité des suicides au paracétamol sur trois continents, c’est-à-dire des personnes qui ont délibérément pris une surdose de l’analgésique paracétamol. Et en 2008, il y a eu un suicide présumé d’un assassin qui se serait tué avec du paracétamol et c’était le criminel de l’arme biologique anthrax, de septembre 2001. Et pour faire court, j’ai suivi cette affaire parce que je me suis dit : « Attends une minute, un tel microbiologiste se tuerait avec du paracétamol ? » C’est comme si un pilote de Formule 1 tel que Sebastian Vettel, prenait un vélo pour foncer contre un arbre avec l’intention de se tuer. J’ai alors fait des recherches plus approfondie et j’ai vu que ce suicide n’en était en fait pas un, et ainsi j’ai découvert une chose après l’autre.

Intervieweur :

Donc c’est quelque chose où vous avez dit que d’une certaine façon ça ne peut pas être, ce n’est pas plausible, le paracétamol n’est pas une drogue particulièrement puissante pour se tuer. Avec l’exemple du vélo, c’est facile à comprendre, et au cours de votre carrière de conférencier, il est également arrivé qu’on vous a empêché de parler.
J’ai appris qu’en septembre 2020, vous avez été interrompu et arrêté à Hyde Park à Londres, au célèbre Speakers Corner, alors que vous vouliez faire un discours. Il s’agit d’un endroit, comme nous l’avons appris en cours d’anglais, où depuis 900 ans, même les plus grands dissidents et critiques du gouvernement ont pu dire ce qu’ils voulaient sans en être empêchés. Est-ce un signe d’une société et d’un gouvernement hyper nerveux ?

Heiko Schöning :

C’est malheureusement le signe d’un crime mondial et vous avez raison, cette bonne tradition de 900 ans de liberté d’expression au Royaume-Uni, à Londres, à Speakers Corner, a pris fin le 26 septembre 2020 lorsque j’ai été arrêté, emmené avec des menottes parce que j’ai parlé, sur un banc, tout à fait pacifiquement, devant des gens, au sujet du Covid-19, donc sur le Coronavirus. Et ces images ont fait le tour du monde. Et ce que j’ai dit là c’étaient des informations importantes, c’étaient des preuves qu’il n’y a pas de virus mortel. Il s’agit plutôt d’une grippe saisonnière normale et toutes les mesures qui existent, là-derrière se cache un crime organisé mondial.

J’ai dit cela aussi là-bas et j’ai été arrêté, en toute illégalité. Cela a fait le tour du monde, mais bien sûr, le contenu est beaucoup plus important, et comme je viens de le dire, une fois j’ai résolu un suicide, l’affaire du meurtrier de l’anthrax de 2001 qui se serait soi-disant tué avec du paracétamol et qui a ensuite été stigmatisé comme seul coupable, alors j’ai rassemblé les preuves pour dire : Premièrement, cet homme ne s’est pas suicidé, et deuxième, il n’est pas le seul responsable.

Il était employé d’Emergent BioSolutions, une entreprise américaine de vaccins qui avait le monopole du vaccin contre l’anthrax, 20 ans auparavant.
Ces attaques qui ont tué des gens ont déclenché une telle panique ! Comme aujourd’hui c’est le Covid, Covid, Covid, à l’époque c’était l’anthrax, l’anthrax, l’anthrax.

Et quel est le lien maintenant ? Le lien est qu’aujourd’hui, la plupart des vaccins sont également produits à nouveau – comme je peux le prouver – par cette société criminelle Emergent BioSolutions. Nous connaissons donc les marques AstraZeneca, Johnson & Johnson, Janssen, Novavax et autres. Et pour toutes ces marques, c’est la société Emergent BioSolutions des États-Unis qui produit le vaccin pour eux.

Et le Dr. Bruce Ivins était un employé direct d’Emergent BioSolutions de 2000 à 2002, au moment du crime. Cette société a gagné des milliards de dollars avec ça et aujourd’hui à nouveau avec le Covid-19. C’est juste un bref résumé. C’est ce que j’avais essayé de dire à Londres. J’ai été invité à prendre la parole devant des dizaines de milliers de personnes à Trafalgar Square, à Londres. Au milieu de cette manifestation pacifique, la police l’a interrompue alors que j’avais le micro et quelques heures plus tard – comme vous l’avez déjà dit – j’étais encore une fois arrêté à Speakers Corner.

Intervieweur :

Et c’est peut-être cet événement qui vous a motivé à continuer à travailler sur votre livre. C’est de cela que nous voulons parler. Nous en arrivons au livre « Game Over ». Dans votre interview avec la chaine « Auf1 », vous avez dit que vous avez été empêché de parler à plusieurs reprises lors de manifestations dans toutes sortes d’endroits, et pas seulement à Speakers Corner. Finalement, votre livre comprend 500 pages – presque 500 pages. Et puis je lis ici que c’est le premier volume. Donc, de votre point de vue, il y a encore beaucoup de choses qui doivent être dites, même si on ne veut pas les entendre. Parlez-nous en.

Heiko Schöning :

Je ne peux que dire très sérieusement une chose : c’est que ce nous vivons actuellement – le Covid – est une supercherie, une illusion. Et cela dans le monde entier. C’est très sérieux. Et de nombreuses personnes sont déjà mortes à cause de ces mesures. Avec les mesures de confinement, des gens meurent en Inde et aussi en Afrique parce qu’ils sont affamés. Nous voyons ici aussi, bien sûr, les mesures répressives, notamment en matière d’économie. Et c’est, pour ainsi dire, l’objectif principal, c’est-à-dire l’économie de taille moyenne, qui est détruite, par un crack économique délibérément provoqué. Et quel est le prétexte, le stratagème ? C’est un virus, qui a été épandu – j’avais déjà averti en septembre 2019 lors d’une longue interview – virus déversé en septembre 2019. Et à ce moment-là j’ai pu prédire que des criminels planifiaient pour 2020 une grande panique avec des agents pathogènes. C’était 4 mois avant le début de la crise du Covid.

Intervieweur :

C’est intéressant, donc ça veut dire que vous étiez capable de prédire quelque chose qui s’est réellement produit ? Quel genre de preuve circonstancielle aviez-vous pour pouvoir dire ça ?

Heiko Schöning :

Oui, cette interview de septembre 2019, qui avait alors été diffusée, est également incluse dans le livre. Le livre comporte aussi deux DVD, ce qui signifie que la vidéo originale s’y trouve également. À l’époque, j’enquêtais sur les attaques à l’anthrax de septembre 2001 et je pouvais déjà affirmer que certains des mêmes auteurs planifiaient une panique pathogène majeure pour 2020 et qu’elle est à nouveau liée à la société Ermergent BioSolutions. Parce qu’ils ont aussi dit, par exemple, qu’ils allaient doubler leur chiffre d’affaires en deux ans. Et oui, ils ont plus que réalisé cela.

Intervieweur :

Maintenant peut-être que beaucoup de gens se demandent : « Comment pouvez-vous appeler cela un crime organisé international ? » De nombreuses personnes s’intéressent maintenant aux virus, aux protéines spike, à toutes sortes de choses et c’est comme ça que, comme il y a une grande confusion, les gens pensent : « Pour l’amour de Dieu, nous allons tous mourir ». Et d’autres pensent : « Ça ne peut pas être vrai, ils sont fous ».
Et on prétend dans de nombreux endroits – comme vous pouvez le lire dans les médias – que c’est ainsi, que tout est déjà correct. Cela signifie que vous devez expliquer de manière concluante pourquoi vous pensez qu’il s’agit d’un crime et non d’une pandémie mondiale, comme on dit.

HeikoSchöning :

Oui, exactement. Et c’est exactement ce qui a été fait. Nous avons créé une commission d’enquête extraparlementaire sur l’affaire du coronavirus lorsque celle-ci a éclaté, et ce livre « Game Over » présente le rapport final, pour ainsi dire, avec deux DVD, qui contiennent également les faits médicaux, où vous pouvez écouter les auditions d’experts avec des professeurs et des médecins de renommée internationale, c’est-à-dire que toute l’histoire de ce qui s’est passé y est inclus.

Vous pouvez entendre cela de la bouche des experts. Mais il est bien plus important de comprendre que nous avons affaire à des criminels. Des criminels dont on peut clairement prouver qu’ils ont commis des crimes il y a 20 ans. C’est ce que démontre le livre et le lien à faire c’est de dire : « Si nous savons déjà que c’est un quasi Al Capone de Chicago ou le Dr Josef Mengele qui a commis des crimes terribles pendant la Seconde Guerre mondiale, on ne fera plus confiance à ces personnes. » Et ce sont exactement les mêmes auteurs qui sont à nouveau actifs aujourd’hui autour du Covid-19.

Et tous les liens entre les personnes de cette organisation criminelle sont décrits dans le livre. Et ce qui est bien, c’est que ce n’est pas seulement du texte, mais aussi plus d’une centaine d’infographies, de sorte que vous pouvez aussi comprendre visuellement comment l’ensemble est relié.

Intervieweur :

Et maintenant voici encore ce jeu de cartes sur la table. C’est une autre approche que j’ai trouvée spéciale. Vous pourriez peut-être en dire plus à ce sujet.

Heiko Schöning :

C’est rendu très confus, bien sûr. Quand il y a un crime, les gens essaient toujours de le camoufler et de tromper. C’est similaire dans l’armée, camoufler et tromper. C’est pourquoi c’est relativement compliqué. Pour représenter quelque chose, il faut ensuite le placer dans un ordre déjà connu. Et un jeu de cartes, ici avec 52 cartes, c’est connu. Vous pouvez y jouer au skat, au poker et à bien d’autres jeux. Et là, les 52 personnages principaux, notamment les auteurs, sont représentés, et vous comprenez l’ordre. Vous avez le cœur, le pique, le trèfle, le carreau, vous comprenez l’ordre, tout comme si vous avez l’as ou le sept ou la reine et le roi. Et j’ai également placé ces mafiosi individuels dans cet ordre afin que vous puissiez comprendre quels sont les différents clans à l’œuvre ici.

En plus du livre nous avons également inclus ce jeu de cartes en allemand et en anglais, afin que vous puissiez vous faire une image de ces personnes. Car lorsque vous entendez un nom, il est bien plus facile de s’en souvenir, si vous avez un visage correspondant. Et c’est ce que tout ce jeu de carte peut faire.
Dans le livre également, ces criminels sont toujours représentés, dessinés. C’est ce qui est important et ce qui est nouveau. Ce livre ose non seulement appeler les auteurs par leur nom, mais aussi montrer les visages et les liens criminels.

Intervieweur :

Si nous avons maintenant affaire à une mafia, comme vous le dites, ne prenez-vous pas un grand risque ?

Heiko Schöning :

On me l’a déjà demandé en septembre 2019, car le projet de livre « Game Over » était déjà sur la table il y a deux ans, et j’ai pu brandir quelques preuves devant la caméra et j’ai également mentionné les connexions. Beaucoup de gens qui l’ont vu ont été choqués. Cette vidéo a ensuite été également censurée, elle a été supprimée de YouTube et bien d’autres choses encore. Et comme vous l’avez dit au début, j’ai souvent été empêché de parler, pas seulement à Londres, mais aussi à Berlin, le 1er août 2020, il y avait plus d’un million de personnes dans les rues, six heures de manifestation pacifique, et ensuite, nous, les médecins, étions censés parler sur scène. Et puis la police a pris la scène d’assaut. Le 1er août 2020 à Berlin.
Et oui, malheureusement, encore plein d’autres choses que nous voyons : la censure règne ici.

Intervieweur :

Bien, ce livre est disponible dès maintenant, si j’ai bien compris, ou est-il encore en phase de planification ?

Heiko Schöning :

Non, le livre est terminé maintenant. Beaucoup d’autres choses ont encore été intégrées en plus. Au lieu de le publier immédiatement, auquel cas il aurait principalement fait référence à l’anthrax de 2001, j’ai décidé de dire que les nouveaux crimes, qui sont beaucoup plus importants maintenant, qui sont beaucoup plus grands comme le Covid-19, doivent être inclus afin de montrer que ce sont les mêmes criminels qui l’ont planifié. Et la préconnaissance criminelle est la clé pour prouver que le Covid-19 est une fraude.

Et ce livre prouve simplement que certains des principaux responsables avaient une préconnaissance criminelle du Covid-19. Ce n’était pas une surprise, tout était prévu. Et nous voyons aussi que tout est orchestré, au niveau mondial !

Intervieweur :

Nous parlons du monde entier. Ainsi, en tant qu’observateur, on se demande, par exemple, l’Australie a mis en place l’une des stratégies anti-covid les plus rigides : « Zéro Covid » – extrêmement rapide, extrêmement dur dans les confinements et on se demande : Pourquoi l’Australie ?

Heiko Schöning :

Oui, il faut comprendre, enfin, j’ai dit, dans le jeu de cartes, les différents clans mafieux sont rassemblés, pour ainsi dire. Et il y a un clan mafieux qui est maintenant nouveau, que j’ai appelé la mafia techno. Et il faut bien voir que les entreprises qui se cachent derrière ont une grande connaissance du comportement des gens grâce aux stratégies publicitaires et autres. Et vous devez penser au Covid-19 comme à un produit. Ce sera comme un lancement d’un nouveau produit.

Et cela ne se fait pas partout et soudainement de façon égale à 100%, mais des zones tests sont d’abord créées. Et malheureusement, l’Australie et la Nouvelle-Zélande sont des marchés tests occidentaux pour ces criminels, pour tester jusqu’où ils peuvent aller avec ces mesures, avec ce confinement, avec ces mesures répressives. Et maintenant, l’armée est également utilisée contre le peuple pour faire appliquer les mesures coercitives. Et c’est exactement ce qui nous attend en Europe et aux États-Unis.

Intervieweur :

C’était ma prochaine question : Vous dites que si les choses continuent comme ça, il y aura des scènes comme celle que nous voyons actuellement en Australie.

Heiko Schöning :

Absolument. Nous l’avons vu au préalable, et c’est évident. Et c’est ce que j’ai également dit au début de l’année 2020. Et cette fois-ci aussi à Berlin le 29 août 2020, lors de cette grande manifestation de millions de personnes, où j’ai pu parler devant plus d’un million de personnes. Dans ce discours à Berlin, j’ai dit :
En Australie la phase de confinement est comme une démonstration de ce déroulement. Et exactement ces mesures seront appliquées en Europe. Et ces mesures sont effectivement arrivées. Comme je l’ai déjà clairement dit dans des interviews, nous sommes confrontés à une loi martiale médicale .Et c’est ce que nous vivons ici.

Intervieweur :

Eh bien, la question est : Que peut-on faire maintenant ? C’est une question qui préoccupe de nombreuses personnes. Il y avait et il y a des gens qui, sur la base de discussions sur Internet, avaient de très grands espoirs dans les États-Unis, dans le président Trump, et finalement rien n’en est sorti.
On peut donc dire que finalement l’attentisme n’est plus de mise. Alors, que conseillez-vous aux gens et comment peuvent-ils vous soutenir, par exemple ?

Heiko Schöning :

D’une part, je dois dire que tous ceux qui ont réellement mis leur espoir dans le président Trump ont été trompés. Parce que c’est un coup monté. M. Trump est également l’un des criminels, l’un des membres d’un petit clan mafieux. La vieille mafia de Reagan est derrière tout ça, les « Reaganites ». Et ils sont en concurrence avec un grand clan mafieux, appelé « l’establishment », que vous pouvez consulter en détail. Mais aussi dans ce livre il est clairement déclaré que Donald Trump est en contact avec l’un des principaux criminels, et son nom est Edwin Meese, qui a reçu une médaille en octobre 2019 dans le Bureau ovale de Donald Trump. Et c’est l’un des principaux criminels. En bref, Donald Trump est aussi l’un d’entre eux.

Et nous devons également nous rendre compte que nous, les humains, nous sommes en train d’être divisés en deux camps : les vaccinés et les non-vaccinés. Et les États-Unis risquent aussi maintenant de ne plus être les États-Unis, mais de devenir les États-non-unis. Il est donc très, très important que nous restions pacifiques, que nous restions dans un dialogue, que nous vainquons la censure et que nous ne nous laissions pas divisés. Parce que c’est précisément ça leur calcul. Parce que : « Quand deux se disputent, le troisième est content ».

Edwin Meese, en tant que bras droit de Ronald Reagan, a également fourni des armes aux deux camps : L’Iran contre des affaires, par exemple, est l’un de ses principaux crimes. Et l’Iran et l’Irak, les deux côtés, ont été livrés en armes pendant huit ans, massacrés et, à la fin, les sociétés américaines ont pris le contrôle d’un Irak affaibli. Et l’Iran sera confronté à une situation similaire.

Je ne peux que dire que c’est un coup monté. Et ce livre montre également les grandes structures, les structures historiques, comment on en est arrivé là. C’est pourquoi il est si important de comprendre ce qui se passe au début. C’est la raison pour laquelle le livre est structuré de cette manière ; pour passer de l’actualité et de la simplification à l’intemporel et à l’approfondissement. Cela vaut donc vraiment la peine d’avoir le courage de lire ce livre. Il contient de nombreuses illustrations originales, de nombreuses sources et vous pouvez également le vérifier par vous-même.

Intervieweur :

Oui, c’est également très important. Il y aura certainement une personne ou une autre qui fera des recherches. Mais vous avez dit que c’est un jeu orchestré, c’est international. C’est pourquoi nous allons peut-être retourner au niveau international. Il est certainement avantageux de ne pas continuer à réinventer la roue, mais de regrouper les initiatives et associations existantes, d’apprendre et de profiter les unes des autres. Vous êtes membre et vice-président de la « World Doctors Alliance » (« Alliance mondiale des médecins »), puis de l’« ACU 2020 » et de la « World Freedom Alliance » (« Alliance mondiale pour la paix »). Ce sont toutes des organisations que vous soutenez ou que vous avez fondées. Parlez-nous de l’importance de ces réseaux internationaux.

Heiko Schöning :

Une chose est la connaissance. En fait, je dis que nous devons faire cinq actions.
La première : nous devons montrer qu’ils sont des criminels – et c’est ce que ce livre montre, que ce sont des criminels et que c’est aussi le crime organisé et maintenant la question est aussi : Que faisons-nous – comment entrons-nous en action ? Et là il est important que nous nous réunissions ; nous, ensemble et que nous prenions des mesures contre tout ça. Et à cet égard, j’avais déjà créé la « Commission extraparlementaire d’enquête Covid19 » en mai 2020 et en juin nous avons déjà eu la première réunion de lancement avec les premières auditions. C’est aussi sur les DVD ici, donc là les preuves sont aussi intégrées pour qu’on puisse les consulter. Et en peu de temps, nous avons également rassemblé plus de 1 000 médecins en Allemagne, qui ont également affiché ouvertement leur nom sur le site web, afin de dire :

« Les mesures qui sont prises ici, sont absolument exagérées ! ». Et en fait, encore plus – nous le disons aussi avec la « World Freedom Alliance », c’est-à-dire l’organisation faîtière des mouvements de liberté mondiaux qu’il s’agit d’un crime orchestré, mondial, et nous allons même au-delà pour offrir une meilleure alternative. Car il ne s’agit pas seulement de présenter les problèmes, mais aussi la solution en même temps. Et là, j’ai eu l’honneur, comme vous l’avez dit très justement, de devenir également le vice-président de cette association médicale mondiale et aussi… de cette fédération du mouvement pour la liberté « The World Freedom Alliance.org ».

Intervieweur :

M. Schöning – merci beaucoup d’avoir pu discuter de votre livre aujourd’hui !
Je vous souhaite beaucoup de succès, que le plus grand nombre de personnes possible le lise, que ce soit quelque chose qui fasse avancer les gens, qui les rassemble. Je ne peux que souscrire à ces propos. Nous ne résoudrons le problème qu’ensemble, ou pas du tout.
C’est la chance du siècle. Vous l’avez également dit dans le discours préliminaire, c’est quelque chose qui donne de l’espoir, que nous voulons aussi transmettre aux gens.
Y a-t-il encore quelque chose que vous aimeriez dire au téléspectateurs, en conclusion ?

Heiko Schöning :

Oui, absolument ! Parce que vous avez tout à fait raison. Il est vrai que nous avons maintenant la meilleure chance depuis plus de cent ans de surmonter ce système. Ce système criminel dans lequel nous vivons et de ne pas simplement accepter cette « nouvelle normalité » criminelle et oligarchique, mais de créer une « meilleure normalité ». C’est ce que défend l’Alliance mondiale pour la liberté et c’est aussi ce que défend le programme économique « Wirkraft » – « wirkraft.org ».

« C’est effectivement ainsi que nous avons maintenant la meilleure chance depuis plus de cent ans de surmonter ce système, ce système criminel dans lequel nous vivons.
La véritable différence par rapport aux années et décennies précédentes, où les mensonges de guerre qui existaient déjà, ont entrainé la mort de millions de personnes, c’est que maintenant, ici en Occident, on y prête attention. Parce que trop de gens, dont moi-même, ont trop détourné le regard de ce crime organisé au fil des décennies. Des millions de morts au Vietnam, en Irak. Est-ce qu’on s’en souciait vraiment ? Avons-nous fait tout ce qui était possible ? Et maintenant, c’est notre tour. Et c’est là le principal message. Nous devons maintenant, en tant que pères, fonctionnaires, officiers, médecins responsables – tout le monde, nous devons maintenant nous rassembler et dire : Non à la mafia !

Parce que tôt ou tard, ce sera notre tour et c’est ce que nous réalisons maintenant, sur le plan économique et sur le plan physique. Non seulement nous sommes traités avec mépris, contrôlés, endoctrinés, mais nos vies sont en danger, ainsi que celles de nos familles. »
Par conséquent, unissons-nous maintenant ! Transmettez les preuves, elles sont résumées, dans le rapport final de la commission d’enquête Covid-19. Transmettez-le ! Merci beaucoup.

Intervieweur :

Oui, merci beaucoup. Kla.tv vous remercie pour cette journée ! Au revoir.

de s.l.

Sources / Liens

Livre de Heiko Schöning:
„GAME OVER. COVID-19 I ANTHRAX-01“, Septembre 2021.




Le nouveau monde orwellien, basé sur le contrôle et la surveillance

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Sonja van den Ende − Source OneWorld Press

J’ai déjà beaucoup écrit à ce sujet, nous le voyons progresser, mais uniquement dans le monde dit développé. Une société dystopique, vouée en fin de compte à l’échec. Un monde de surveillance, de dictature sanitaire, de QR-codes, de paiements électroniques, invivable pour la plupart des gens, qui ressemble aux anciens systèmes comme le fascisme ou le communisme totalitaire, simplement paré de nouveaux atours. On peut désigner ce monde comme technocratique, et fondé sur un système totalitaire à base d’Intelligence Artificielle. Reste que l’histoire nous a enseigné que tous les systèmes et idéologies qui sont devenus totalitaires ont échoué.

Les preuves affluent pour illustrer la nouvelle société dystopique, sur la vague de la soi-disant pandémie. J’aurais tendance à la considérer comme un nouveau système dictatorial et technocrate, et sanitaire également, mis en place dans de nombreuses régions du monde. Les tests de ce nouveau système mondial, intégrant un composant de crédit social, ont été menés en Afrique pour mettre en place ce système de crédit social, sur la base d’une pandémie, avec la coopération du GAVI, de la Fondation Bill et Melinda Gates, et en coopération avec le Forum Économique Mondial. Non sans ironie, ils l’ont baptisé « passe pour le bien-être », attention Afrique, on va voir le niveau d’utopie que vous allez atteindre! Comme chacun le sait désormais (j’espère sincèrement que nombre d’entre nous se sont enfin éveillés), il ne s’est jamais agi d’un virus. Il s’agit d’une problématique de contrôle, de villes connectées, de véhicules électriques, où l’Afrique va de nouveau se trouver exploitée pour le Lithium, ainsi que l’Afghanistan ; c’est la raison pour laquelle l’occident a dû quitter ce pays, un conflit géopolitique est en cours, avec pour enjeu non pas l’Afghanistan comme territoire, et encore moins son peuple, mais son lithium. Build Back Better, ainsi que la dépopulation du monde, choses en lesquelles Bill Gates et son père sont des experts, sont autant de composantes de ce nouveau monde dystopique.

Même l’Église Catholique trempe dans cette grande expérience, bien entendu en Afrique depuis de nombreuses années, mais également en Occident, après des années d’abus commis sur des enfants et de scandales pédophiles, ils ne font que poursuivre leurs politiques non-chrétiennes. Il ne faut pas oublier que l’Église Catholique est une excroissance de l’Empire romain, ou de ce que nombre de personnes appellent de nos jours l’Empire britannique ; c’est fondamentalement la même chose : l’idéologie unipolaire occidentale, et le colonialisme dans tous leurs excès. Donc, l’Église Catholique est impliquée dans ce nouveau monde dystopique, car elle possède beaucoup de richesses, et dispose de son propre État, le Vatican. L’Église protestante ne jouit pas de cette position et est désormais vue comme « ennemie » de l’État, surtout aux Pays-Bas. Le gouvernement hollandais vient d’entamer l’« approche douce » pour persécuter les Protestants, un sentiment de déjà-vu se fait sentir, qui rappelle l’époque des Huguenots. Ce sont bien les descendants des Huguenots qui vont subir le même sort, mais cette fois-ci dans les pays qu’ils avaient élus domicile il y a des siècles, pour y mener une vie de liberté, en jouissant de la tolérance des peuples. Aux Pays-Bas, ces Protestants vont être contraints à rester confinés, car nombre d’entre eux, pour des raisons religieuses, refusent de se laisser vacciner. Le gouvernement hollandais a également lancé un projet de recherche (en partenariat avec des organisations) pour établir si l’Église protestante fut impliquée dans l’esclavage aux Indes néerlandaises orientales. Bien évidemment que oui, c’est l’ensemble de la société qui l’était à l’époque, mais les plus grands criminels, et cela n’a pas changé, étaient l’élite, la famille royale hollandaise, qui feignent d’être chrétiens, mais leur religiosité n’est qu’un spectacle, joué pour duper le citoyen ignorant.

Le parlement hollandais a rejeté une motion qui avait été introduite par plusieurs partis, y compris le Forum for Democracy (FVD), qui énonçait le refus d’un système de crédit social aux Pays-Bas. Le gouvernement peut désormais introduire le système de crédit social, qui a déjà été lancé, bien entendu, avec le soi-disant passe Corona à QR-code. La prochaine étape sera le niveau d’émission en CO2, et la mesure de la quantité de viande consommée, pour en arriver à une censure de l’Internet, avec l’introduction d’un passe digital pour accéder à internet. Le système de crédit social de l’union européenne sera bien pire que l’expérience menée en Chine, qui n’a été menée que dans quelques villes. Le système de crédit social de l’UE vise à un contrôle absolu de votre corps, de votre comportement, de votre vie privée et en fin de compte de votre vie physique. Si vous ne vous soumettez pas, il n’y aura ni pitié ni recours, votre vie sera celle d’un marginal, sans aucun des avantages que vous vous êtes habitué à connaître. Préparez-vous.

Dans d’autres régions du monde occidental, comme en Australie, la société dystopique est d’ores-et-déjà une réalité. L’Australie a par le passé, et continue en ce moment, en tant que membre de l’Empire britannique, et sous influence des États-Unis, à préparer un conflit contre la Chine. L’Australie est le pays occidental le plus proche de la Chine, et nous connaissons tous son nouvel « AUKUS », présenté comme un nouveau pacte de sécurité entre le Royaume-Uni, les États-Unis et l’Australie ; c’est une tentative de contrer la Chine. Pour se préparer et doubler la Chine, ils ont déjà lancé leur système de crédit social draconien, et pire encore, leur État de surveillance constitue déjà une réalité. Des rapports alarmants pointent du doigt ce pays, qui fut jadis appelé terre des hommes libres, et qui constitue désormais le pays le plus répressif du monde occidental. Vous vous demandez ce que font Amnesty International ou les Droits de l’Homme? Bien évidemment qu’ils ne vont pas en parler, ils ne sont qu’un outil dans la main du même monde occidental, et ils ne parlent que des pays non-soumis, comme la Russie, la Syrie, ou bien les pays sous-développés. Mais l’Australie a toujours été un pays « raciste », basé sur le principe du meurtre des Aborigènes, et l’envoi des criminels sur la terre conquise. Le Canada en est un autre exemple, d’une manière différente de l’Australie, mais avec la même idéologie sous-jacente. Bien sûr, le pays le pire du monde est la soi-disant démocratie d’Israël, où la vie est un « enfer » pour la plupart des citoyens. C’était déjà le cas pour les Palestiniens, c’est en train de le devenir également pour les Juifs orthodoxes.

CONCLUSION

J’aimerais produire une conclusion, mais pouvons-nous en établir une? Je ne crois pas, le monde que nous connaissons désormais est instable, bourré de conflits et ultra-polarisé, avec de nombreux différends géopolitiques. Je crains que nous soyons revenus, comme les rugissantes années vingt du siècle passé, qui avaient débouché sur les terribles années trente, au chômage, à l’introduction (par la force) d’un nouveau système, conçu par les élites du monde occidental. Ce monde semble à présent mûr pour un conflit, et très probablement la guerre, par une guerre comme la seconde guerre mondiale, mais une guerre différente, une guerre biologique (nous en subissons peut-être déjà les effets), un agenda de dépopulation, mis en œuvre par les vaccinations et l’introduction de l’intelligence artificielle. L’eugénisme (qui n’est pas une nouveauté) est nécessaire aux yeux de l’élite, comme au cours des deux guerres mondiales, où l’eugénisme fut produit par la mort des soldats sur les champs de bataille, et bien sûr l’holocauste. À présent, à en croire la même élite, il y a trop de bouches à nourrir, et pas de travail (intelligence artificielle), et bien évidemment l’élite n’a aucune intention de partager ses richesses avec les pauvres. Les heures sombres de l’histoire de l’humanité sont de retour.

Sonja van den Ende

Traduit par José Martí, relu par Wayan, pour le Saker Francophone




Dictature, démocratie et liberté d’expression

Par Alain Tortosa

[Illustration : dessin d’Hector]

Aucune censure en France ?!

Les autorités et les Gafa tentent de nous museler
pour notre « bien » et « protéger la démocratie ».

Une limite à l’expression d’opinions est-elle compatible avec la démocratie ?

J’imagine que ce débat est aussi vieux que la politique. Notons que dans le domaine de la dictature, certains ont plus le droit de cité que d’autres. Il n’existe pas un jour sans un documentaire sur Hitler et les nazis sur les chaînes spécialisées. En revanche, vous verrez très rarement des documents sur Staline et strictement jamais sur la dictature chinoise et Mao. Il faut dire qu’il serait bien étrange de parler de cette dictature chinoise alors même qu’elle est importée dans notre pays chaque jour un peu plus. Les médias français ne manquant pas d’éloges sur la gestion et le contrôle de l’épidémie par les autorités chinoises.

Je vais donc me rabattre sur Pinochet, un dictateur de droite qu’il nous est permis de détester.

Sous son règne, un opposant qui prenait la parole était censuré, emprisonné, potentiellement torturé puis exécuté. Nous occidentaux criions avec justesse devant l’horrible censure de la dictature (et la cruauté du régime). Quand un opposant exilé écrivait un pamphlet dans lequel il appelait à renverser le régime, celui-ci avait toutes les louanges des « bons » occidentaux démocrates que nous sommes et pouvait même être couronné d’un prix Nobel de la paix. Au point que nul n’était choqué par un appel au meurtre du dictateur ou tout du moins que l’auteur se réjouirait de le voir mort.

Transposez exactement le même discours par le même opposant dans notre grande « démocratie ». L’opinion publique, les médias et les politiques trouveront totalement légitime de censurer l’auteur d’un texte visant à renverser notre Président. Et imaginez s’il appelait au meurtre de celui-ci ou du fait de se réjouir s’il venait à mourir… Pensez-vous un seul instant qu’il pourrait échapper à la condamnation morale, au matraquage médiatique, au procès et à la prison ferme ?

Même texte, même auteur, mais lieu ou régime « différent »…

Faire taire cet opposant en pleine « dictature » serait donc de la censure et en ferait un prisonnier politique à nos yeux. En revanche le faire taire en « démocratie » serait de la légitime défense et viserait à protéger notre système et nos valeurs pour le « bien commun »…

Cela ne vous ébranle pas ? Cela ne vous ébranle pas qu’un réseau social puisse censurer un président des États-Unis en exercice, un président brésilien ou une députée de la République française pendant son mandat ? Cela ne vous ébranle pas que nos médias nationaux (et publics) s’acharnent sur eux et les traîne dans la boue alors même qu’ils sont démocratiquement élus ?

Alors qui décide si nous vivons en dictature ou en démocratie ?

Il suffit de l’écrire sur un papier à en-tête ? Rappelez-vous de la RDA, République Démocratique Allemande !

Connaissez-vous des dictatures joyeuses qui clament leur statut haut et fort ? Le fait est que seul le vainqueur décide du vocabulaire adéquat.

Durant la 2e guerre mondiale (et dans tous les pays dans lesquels il y a opposition politique et/ou guerre civile), celui qui provoquait des attentats sur son propre sol était qualifié de « résistant » ou de « terroriste » selon le camp de chacun :

  • Les alliés ont gagné la guerre, l’auteur des attentats est donc devenu un « résistant » que l’on adule et que l’on célèbre. « Résistant » qui appelait à la révolte, « résistant » qui appelait au meurtre et « résistant » qui a assassiné « héroïquement ».
  • Si les nazis avaient gagné, l’auteur des attentats serait resté un « terroriste » que l’on déteste pour ses propos et ses meurtres odieux.

Prenons l’exemple un peu plus récent des brigades rouges en Italie. Ces antifascistes ont décidé de poursuivre la guerre et en sont arrivés à détruire des biens puis enlever et exécuter des personnes de pouvoir ou leurs proches. Ils ont terrorisé l’Italie pendant des années et fait couler du sang. Ils n’ont pas gagné, ils n’ont pas fait tomber le pouvoir en place et sont donc automatiquement décrits comme des « terroristes » qui ont provoqué des « attentats sanguinaires » et des « assassinats ».

Si ils avaient gagné, ils seraient fêtés comme des « héros de la révolution » pour leurs actes de « résistance » et « d’héroïsme ». Et ne croyez pas que si nous étions venus au monde juste après leur victoire nous aurions pensé qu’ils étaient des « criminels sanguinaires ». Nous les penserions « héros » comme tout le monde.

Ceci prouve à quel point notre vision est sous le prisme d’une idéologie et d’un formatage.

La censure n’existe que dans les dictatures tandis que dans les démocraties il n’y a que la protection de l’idéal démocratique et des personnes.

Nous sommes face à un dogme.

La censure ne peut donc PAS exister en démocratie, car si elle existait ce ne serait plus une démocratie.

Et comme il a été décidé que nous vivions en démocratie, il ne peut y avoir de censure. CQFD.

La « censure » ou la « protection de la démocratie » que nous subissons ou que nous vivons aujourd’hui est ainsi exactement du même ordre que durant la Deuxième Guerre mondiale ou les brigades rouges.

Revenons à notre présent…

S’il ne s’opère pas de changement majeur dans la gouvernance de notre pays et la gouvernance mondiale alors les personnes qui sont actuellement privées de liberté de parole demeureront des « complotistes », des « personnes d’extrême droite » ou des « antisémites » tels que décrits exclusivement et abondamment par les médias classiques.

Et tout naturellement si une nouvelle gouvernance et un nouveau modèle voyaient le jour alors les personnes qui sont actuellement privées de liberté de paroles deviendront des « résistants » et des « garants des droits de l’homme et des libertés » avec l’approbation des médias qui auront alors retourné leur veste sans le moindre éclair de conscience.

Toujours la même rengaine, même discours, mêmes actes, mais vocabulaire qui est défini par le vainqueur.

D’aucuns penseraient que la démocratie est l’expression du « bien » et du « sens moral »… Nous vivons en « démocratie » et nous sommes donc les « gentils ».

Avez-vous la naïveté de croire que la majorité du peuple allemand se sentait du côté des forces du mal et qu’il avait le sentiment de vivre en dictature durant la 2e guerre mondiale ? Avez-vous cette même naïveté concernant le peuple sous Staline ? Rappelez-vous la chanson de Sting « The Russians Love Their Children Too ».

Seuls les habitants des USA ou de l’Europe se pensaient être les « gentils » ? »

Demandez aux Français qui se confinent, portent des masques, s’injectent trois doses de médicaments expérimentaux, doivent présenter un passe-sanitaire pour aller au restaurant et voient d’autres Français interdits de voyages ou de sport, s’ils se sentent vivre en dictature ?

Pour autant, tout « démocrate » que nous sommes, tout adhérent à la doctrine des élections libres à scrutin majoritaire que nous sommes, nous demeurons viscéralement opposés à une démocratie qui autoriserait VRAIMENT le peuple à décider de la politique de son pays, et ce, quelle qu’elle soit.

Nous avons la naïveté ou l’aveuglement de croire que nos lois sont l’expression de la majorité alors même que nous dénions à la majorité le droit de décider librement des orientations du pays.

Vous voulez quelques exemples ?

  • Demain 70 % des Français décident que l’état islamique doit s’appliquer en France.
  • Demain 70 % des Français décident que toutes les personnes d’une certaine ethnie doivent être déportées et placées dans des camps pour « leur sécurité ». (Notons que cette annonce ferait scandale sauf si cette « ethnie » représentait les non-vaccinés comme cela est désormais proposé dans plusieurs pays.)

Vous êtes d’accord, vous acceptez la décision démocratique issue de cette majorité de français ? Au nom de quel principe aurions-nous le droit de refuser cette décision librement issue des urnes ? Ce ne serait « que » l’expression de la démocratie ! Ici encore, vous pourriez vous réfugier derrière la légendaire « moralité de la démocratie ».

Iriez-vous jusqu’à dire que tous les crimes odieux ou discriminations perpétrés dans le monde par des gouvernements n’étaient pas légaux ? Il y a toujours eu des lois pour autoriser des discriminations et même des meurtres ou des génocides. Je vous rappelle que l’assemblée a librement donné les pleins pouvoirs à P. Pétain en 1940 et qu’elle a donné les pleins pouvoirs à E. Macron en 2020.

Vous voyez, on veut bien d’une liberté, mais « encadrée ». Dès que l’on commence à parler de liberté d’expression… celui qui veut la limiter « pour notre bien » s’empresse de dire que ne pas mettre de limites reviendrait à avaliser l’anarchie et l’appel au meurtre. Trop facile comme pirouette !

Je vous rappelle que toutes les mesures de diminution de nos libertés sont systématiquement mises en œuvre pour le « bien commun ». Limitations de vitesse, contrôle technique, ceintures de sécurité, interdictions de fumer, vaccins obligatoires, normes en tout genre, passeports pour les déplacements, interdiction de véhicules anciens, etc. La prétendue sécurité grignote chaque jour un peu plus nos libertés depuis des dizaines d’années. Regardez les panneaux d’interdictions à l’entrée d’une plage ou d’un parc !

La crise Covid en est une apothéose avec les interdictions de déplacements, de loisirs, d’obligation d’une muselière, de passeport avec vaccination obligatoire pour aller au restaurant, et bientôt sans doute, un abonnement à vie à une injection expérimentale et dangereuse tous les 6 mois ! Le pire est que cette dictature Covid est d’une douceur extrême au regard de la dictature dite « écologique » en préparation qui va battre tous les records de suppression des droits de l’homme ad vitam æternam pour « sauver la planète » !

« Condamner l’humain pour sauver l’humanité ! » Tel pourrait être le slogan de Skynet dans Terminator.

Mais revenons à la liberté d’expression, le « démocrate » utilise des exemples extrêmes pour justifier la censure. En novlangue chère à Georges Orwell, « l’interdit c’est la liberté ».

Dans ce délire sécuritaire fantasmagorique, si une liberté sans limites n’est pas soutenable alors la limite devient légitime et souhaitable.

Bien entendu dès lors qu’il y a une limite, c’est la porte ouverte à l’arbitraire. Qui va décider du bon curseur ? Selon que vous êtes considéré comme « résistant » ou « complotiste » vous voyez bien que le réglage est totalement différent.

Mais suis-je bête ! Je n’ai toujours rien compris ! Dès lors que la limite est instaurée par un État démocratique, aucune limite ne peut être arbitraire ! Encore une fois, voyez comment nos libertés ne sont qu’un lointain souvenir dans le cadre de la dictature pseudo-sanitaire que nous subissons sans broncher.

Et une majorité de Français se révolte ou en redemande ?

Question pour un champion :

« Je ne veux pas mourir du méchant virus. Je suis un vieil obèse avec du diabète. »
« Je me suis éclaté pendant les années 60. »
« Ma maison a été payée par l’inflation. »
« J’ai une retraite indécente que la moitié des Français ne pourra pas toucher même durant sa période active… »
« Je ne veux pas mourir du méchant virus. »
« Je veux continuer à faire des croisières sur des paquebots géants au personnel réduit en esclavage, tandis que vous serez obligé d’aller au boulot en vélo ou dans un RER bondé ! »
« Je pense qu’il faut généraliser le pass sanitaire, rendre la vaccination obligatoire, masquer mes petits-enfants, enfermer les non-vaccinés dans des camps et piquer tous les nourrissons dès leur naissance tous les 6 mois ! »

Qui suis-je ?

« Je suis, je suis… »
« … Un enculé d’Occidental ! »

Mais bon, ce n’est pas parce que de nombreuses personnes sont absolument opposées à la liberté d’expression et à la liberté tout court que cela doit m’empêcher de poursuivre ma réflexion.

Une liberté totale d’opinion et d’expression est-elle viable sans tomber dans le chaos et la barbarie ?

Prenons un exemple extrême… Une démocratie peut-elle autoriser un individu ou un groupe d’individus à exprimer son désir de voir disparaître un autre individu ou un autre groupe d’individus ? Pour le législateur ou pour des millions de Français, cette question n’a pas de sens, mais poursuivons.

En premier lieu, il ne faut pas confondre l’interdiction de l’expression avec l’interdiction de la pensée. Vous pourrez empêcher (plus ou moins) une personne de s’exprimer publiquement, beaucoup moins en privé, mais vous ne pourrez pas l’empêcher de penser. Quel serait le but d’interdire l’expression d’une pensée ?

Sommes-nous plus protégés si nous ignorons que X ou Y veut tuer Z ?

Aux USA, le parti nazi a le droit d’exister, de s’exprimer et de défiler… Personnellement je pense que je me sentirais plus en sécurité si je pouvais comptabiliser mes ennemis. Ça m’intéresse de savoir s’ils sont 10 ou 10 millions ! Et comment le savoir s’ils doivent cacher leur pensée ?

En France, celui qui pense et dit qu’il faudrait exterminer X ou Y peut et même « doit » être condamné selon les lois en vigueur. Celui qui pense et dit que X ou Y est inférieur peut et « doit » aussi être condamné Et celui qui pense et dit qu’il n’y a pas eu de crime contre X ou Y par le passé peut et « doit » être condamné.

Toutes ces censures protègent-elles une victime potentielle d’une éventuelle agression ou d’un crime ?

Prenons l’exemple récent du pauvre Samuel Paty. Je ne me suis pas vraiment penché sur l’affaire, mais voilà ce que j’en ai retenu.

La légende voudrait que le malade mental en « mission divine » ait décapité cet homme grâce à la « complicité » ou tout du moins le « laisser faire » des réseaux sociaux. Nous avons donc « machin le taré » qui se balade sur Facebook, voit qu’un prof a « blasphémé » et va donc aiguiser sa hache pour lui couper la tète. Et toutes les bonnes âmes de penser que s’il n’avait pas disposé de l’information, il n’y aurait pas eu de victime. Permettez-moi d’en douter, car je peux supposer que son désir de couper des têtes avait débuté avant d’avoir accès à cette information sur Samuel Paty. Il n’est pas totalement illogique de supputer que son crime était en gestation et que s’il n’avait pas assassiné Paul, il eut été probable qu’il eut assassiné Jacques.

On peut donc se poser la question suivante :

« Qui a mis dans la tète de ce taré qu’il était juste de couper des têtes et que cela permettait d’aller au paradis ? »

Et là je marque un premier point… Tout simplement parce qu’il sera plus facile de repérer et suivre l’individu s’il a toute liberté de publier sur les réseaux sociaux son désir de couper des têtes que s’il garde l’information en lui ou dans son carnet planqué sous son matelas.

Vient alors le dernier argument « massue » de la « contagiosité de la folie ». Parce que notre taré a bien été influencé par d’autres tarés pour avoir cette idée de taré dans la tête. Et d’imaginer que si le taré qui lui a mis dans la tète n’avait pas pu lui communiquer l’idée tarée, notre exécuteur n’aurait pas été contaminé et ne serait pas passé à l’acte.

La « censure » ou « protection de la nation » viserait donc à empêcher le « taré penseur » de pouvoir répandre son fiel. (je n’aborderai pas le fait que le « taré penseur » est lui-même nourri par le « taré penseur précédent », etc.)

Nous arrivons là sur le seul argument qui pourrait tenir un peu la route pour justifier de la censure : « La contamination ! »

Empêcher un meurtrier d’annoncer son meurtre avant de le commettre me paraît complètement idiot. Si un gars écrit que demain il va buter Marcel, c’est plutôt une bonne chose qu’il l’annonce et que les forces de l’ordre enquêtent ou aillent l’interroger pour savoir si le gars fait « œuvre littéraire » ou qu’il a déjà la mitraillette chez lui. Bref un argument de plus en faveur de la liberté d’expression.

C’est donc principalement au nom de la « contamination » que tous les résistants à la dictature sanitaire sont entravés dans leur expression.

Questions :

  • Les crimes de masse existent-ils uniquement depuis l’avènement des réseaux sociaux ?
  • Les crimes de masse existent-ils uniquement depuis l’avènement de la télévision ?
  • Les crimes de masse existent-ils depuis l’avènement du téléphone ?
  • Les crimes de masse existent-ils depuis l’avènement de la radio ?
  • Les crimes de masse existent-ils depuis l’avènement de l’imprimerie ?

Et bien non… Peut-être n’existaient-ils pas avant l’invention du langage, et encore, je n’en suis pas sûr.

Je poserai donc la question suivante pas moins inintéressante :

« Ces outils de communication toujours plus “efficaces” ont-ils été de nature à pouvoir prévenir ces crimes ? »
La réponse est tout aussi négative.

Donc si ces outils de communication ne sont pas de nature à pouvoir prévenir des crimes de masse, comment pourraient-ils être de nature à pouvoir les encourager ou les autoriser ?

La censure, la bonne arme pour prévenir et combattre les idées nauséabondes ?

A-t-on évalué l’efficacité des lois qui « encadrent » (limitent) la liberté d’expression afin de lutter contre le racisme, l’antisémitisme ou tous les « ismes » que vous voulez ? Ces lois qui ont juridicisé la prise de parole ont-elles été de nature à faire reculer ces idées (nauséabondes) dans l’opinion publique ? Peut-on dire que la France d’aujourd’hui (censurée) est moins raciste qu’il y a 30 ans grâce à ces lois ?

Alors le racisme a-t-il reculé grâce à ces lois ou l’iceberg est-il plus immergé ?

Je pense que l’on doit combattre les idées par les idées et non par la censure. Pour cela on doit pouvoir s’exprimer sur tout et débattre de tout.

Si nos valeurs humanistes sont les « bonnes », pourquoi devrions-nous penser qu’il nous est impossible de gagner le combat ? Si notre discours est vérité historique, pourquoi devrions-nous craindre le débat ? Pourquoi ne pourrions-nous pas éduquer, former, expliquer, pour convaincre que l’autre en face à tort ou que ce qu’il pense est mal.

À moins de penser que l’homme est foncièrement mauvais, je ne vois pas pourquoi il faudrait lui interdire d’exprimer ses pensées, ce qui au demeurant relève de l’utopie.

La censure n’est probablement pas de nature à tuer l’idée, mais au contraire un terreau fertile !

L’adhésion sera toujours plus efficace et durable que la contrainte qui ne fait que renforcer son opposition et fait grandir les rangs des « anti ».

Être en permanence, dans des propos victimaires, prêt à dégainer l’arme juridique est sans doute le meilleur moyen d’entretenir un fond de commerce d’un statut de victime.

Expression sans limites ? Probablement, car c’est cela la démocratie ET la méthode présente probablement le meilleur « rendement » en termes de paix sociale et de sécurité.

  • Au risque qu’un individu énonce qu’il serait justice que je sois mort ? Oui je préférerais en avoir connaissance avant qu’il ne passe à l’acte si telle était son intention.
  • Au risque qu’un groupe d’individus exprime qu’il serait juste que les blancs mâles hétérosexuels dont je fais partie n’existent plus ? Oui je préfère en avoir connaissance et combattre leurs idées.

Qui n’a jamais souhaité la mort de tel ou tel en se disant que le monde serait plus beau ou que si par le passé tel ou tel avait été éliminé alors cela aurait évité des massacres ?

Si ce groupe demeure au stade de la pensée « ce serait mieux si », alors il est libre de le dire. Si ce groupe bascule dans l’organisation et la mise en œuvre de l’idée, alors il est du ressort de la justice et condamnable. Aux forces de l’ordre de faire leur travail et d’enquêter sur les individus dangereux plutôt que de traquer des enfants sans pass sanitaire !

Le mot juste a son importance capitale…

Reprenons les exemples suivants avec monsieur X :

Il ne peut y avoir de limite à l’expression d’une idée :

« Je pense que le monde serait plus beau si M. X n’existait pas » est l’expression d’une idée que je ne partage peut-être pas, mais qui peut s’entendre et se contre-argumenter.

Et même que :

« Je pense que le monde serait plus beau si M. X était mort » est toujours l’expression d’une idée sur laquelle je n’ai pas vraiment évolué depuis la ligne précédente.

En revanche :

« Je pense qu’il faudrait tuer M. X ou tous ses frères » ne relève plus de la liberté d’expression, mais d’une volonté affichée de nuire. Nous sortons du domaine de la liberté d’expression, du domaine de la pensée, du domaine de l’opinion, pour passer dans le domaine du projet qui vise à nuire.

Expression de la pensée versus mise en œuvre de la pensée.

Une justice indépendante avec à sa tète un collège de magistrats élus par le peuple et représentant les principaux courants politiques et de pensée, serait garante de la liberté d’expression. Le juge élu, contrôlé et sanctionné par ses pairs en cas de manquement, serait là pour statuer si le propos de tel ou tel relève de l’opinion, de la liberté d’expression ou s’il préconise une mise en œuvre, une action visant à nuire à autrui.

Alors suis-je pour la démocratie ?
Encore faudrait-il la définir…

Chaque individu est pour la « démocratie », au sens de l’expression de la majorité, uniquement lorsqu’il peut adhérer à cette expression. Je ne peux adhérer à l’actuelle « démocratie » française faite de privations de liberté de mouvement, de travailler, etc. Je ne peux adhérer à cette « démocratie » qui prône l’obligation d’injections qu’elles soient expérimentales ou pas, efficaces ou pas, inoffensives ou pas. Je ne peux adhérer à cette « démocratie » qui valide le crédit social, met en œuvre un passe-sanitaire, la discrimination et entérine une forme d’apartheid.

Je confirme ainsi être contre toute forme de censure et que la liberté d’expression est sans limites.

  • Je reconnais le droit à un professeur de médecine médiatique de penser que l’injection d’enfants avec le risque d’en voir mourir, pour sauver officiellement des vieux grabataire, serait une bonne chose. Je lui reconnais le droit d’avoir cette pensée, de l’exprimer, mais pas de me l’imposer.
  • Je me reconnais le droit de combattre sa pensée et que ma parole ne soit pas censurée.

En revanche :

  • Promouvoir l’injection chez des enfants alors même qu’il aurait connaissance des risques de décès et de l’inefficacité de la mesure ne relève plus de la liberté d’expression, mais d’une volonté de nuire, ce qui pourrait être interdit de publication, mais aussi relever du pénal.

On ne peut pas condamner une personne pour l’expression de ses pensées, mais uniquement sur ses actes répréhensibles commis ou pour lesquels il n’y a aucun doute sur le fait qu’il allait passer à l’acte, l’organiser avec des complices ou entraîner autrui à passer à l’acte…

J’ai bien conscience que ma vision de la liberté d’expression est actuellement totalement illégale en France et que toute personne qui en userait pourrait être poursuivie et condamnée.

Raison pour laquelle je pense (et il y en a d’autres) que nous vivons dans une dictature que l’on nomme « démocratie ».

Et le fait que je puisse écrire ces mots sans être a priori inquiété ne prouve en rien que nous sommes en démocratie, mais prouve uniquement que la dictature me pense inoffensif ou « utile ».

Je me retrouve malgré moi dans le rôle involontaire d’une opposition contrôlée, un alibi qui montrerait à ceux qui doutent :

« Il a le droit de s’exprimer, c’est bien la preuve que nous ne vivons pas en dictature ».

Le corollaire serait la censure ou la condamnation politique comme « ennemi du peuple » qui permettrait à la dictature de se protéger tout en présentant l’inconvénient de la faire apparaître au grand jour.

Est-il dans ces conditions « logique » que des « complotistes » soient interdits de réseaux sociaux, que leurs discours soient supprimés, voire même qu’ils soient condamnés dans notre belle « démocratie » ?

Bien évidemment, car leurs propos s’opposent à la politique sanitaire, la seule, l’unique qu’il soit possible de mettre en œuvre selon le Ministère de la Vérité. Par leurs propos ou leurs actes, ils « menacent » la politique gouvernementale et sont de fait un danger pour cette « démocratie ».

Pourquoi en est-il encore ainsi aujourd’hui ?
Parce qu’à ce jour tous les résistants sont encore les perdants.

Nous demeurerons donc des « complotistes » jusqu’à que nous fassions tomber la dictature et que l’on soit alors considérés comme des résistants. Mais pour cela, il faut faire tomber de nombreux murs du mensonge qui demeurent debout même si ils sont de plus en plus lézardés par des vérités de plus en plus difficiles à dissimuler.

Vive la liberté d’expression sans limites.

Merci

Alain Tortosa.

26 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211026-liberte-expression-censure-democratie.pdf

[Voir aussi : Effets de la censure]




Le gouvernement mondial de l’ombre

[Source : Le R D H]

Philippe Argillier explique le gouvernement de l’ombre et le pouvoir dynamique des banques de données.

« N’étant pas un homme politique, mais bien un homme dénué de tout intérêt personnel, je suis prêt à répondre à l’appel des françaises et des français en prenant les commandes de la France en 2022 sous une condition, celle de me positionner avec un mandat révocatoire de 36 mois avec un référendum à l’appui à date échéance afin que les françaises et les français décident s’ils veulent continuer ou pas avec mon gouvernement jusqu’à la fin des cinq années du mandat présidentiel. »

Philippe Argillier
Président du Rassemblement des Droits de l’Homme

https://youtu.be/IyJ2lxhgEL4
https://youtu.be/mSgTVdyfAYI
https://youtu.be/BOiXZ8fkBAw



S’opposant à l’obligation de se faire vacciner contre le COVID, le n°1 mondial de tennis Novak Djokovic ne participera probablement pas à l’Open d’Australie

[Source : @Laveritecensure]






Ariane Bilheran : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire »

[Source : limpertinentmedia.com]

[Photo : © DR]

Ariane Bilheran est normalienne, psychologue clinicienne, docteure en psychopathologie et auteure de plus de vingt-cinq ouvrages. Ses domaines d’expertise sont le harcèlement, la paranoïa, les déviances du pouvoir et la reprise de son pouvoir personnel. Depuis le début de la crise Covid, elle fait partie de ceux qui ont tôt fait de déceler les incohérences et les abus des politiques mises en place. Depuis la Colombie, où elle réside, cette observatrice du psychisme humain a accepté de nous livrer son regard sur la situation actuelle.

Amèle Debey, pour L’Impertinent : En tant que docteure en psychopathologie, qu’est-ce qui vous frappe le plus dans la situation que nous vivons depuis 18 mois?

Ariane Bilheran : La violence des décideurs sur les populations, le harcèlement exercé sur les populations, à tous les niveaux. Idéologie, manipulation de masse, violence économique, violence sur les corps, censure, atteintes à la liberté d’expression.

Un de vos domaines d’expertise est les déviances du pouvoir. Ce qui se passe en ce moment à de quoi nourrir votre réflexion?

Oui. Dès avril 2020, j’ai écrit un article appelé Totalitarisme sanitaire: «c’est pour ton bien»… Le mal radical. C’était encore un gros mot, on n’avait pas le droit d’en parler. Mais depuis, cela a fait son chemin. Après, j’ai éprouvé le besoin d’écrire un autre article en août que j’ai appelé Le moment paranoïaque, où j’ai trouvé l’expression de «déferlement totalitaire» qui, depuis, a bien circulé. Et puis, en décembre, je me suis exprimée sur Radio Canada à propos du totalitarisme actuel dont on voit la manifestation.

Grâce à mon expertise, j’en ai repéré les symptômes très tôt: dans le caractère idéologique, c’est-à-dire le fait de présenter comme une vérité une fiction mensongère tout en demandant l’adhésion de la population à cette fiction. Le passage à l’acte: les obligations de confinement, la suppression des droits les plus élémentaires; les paradoxes permanents.

«La souffrance engendrée sur les populations m’a frappée très tôt»

En Amérique du Sud par exemple, empêcher les gens d’aller travailler ne peut pas être dans l’intérêt de leur santé, parce que lorsqu’on n’a pas de source de revenus fruits de notre travail pendant plusieurs mois, et qu’on n’a pas d’aide, ce n’est à priori pas ce qui va nous mettre en bonne santé!

La souffrance engendrée sur les populations m’a frappée très tôt. De la même façon, il y a une notion qu’on appelle le clivage, en psychologie, qui consiste à diviser un collectif en deux populations irréductibles qui ne peuvent plus s’entendre entre elles. Car l’une étant sous perfusion idéologique. Elles ne peuvent plus communiquer.

J’ai travaillé pendant longtemps dans des organisations du travail. Quand elles devenaient pathogènes, créatrices de troubles psychosociaux au travail, j’en repérerais les mécanismes à différentes échelles. Que ce soient les manipulations émotionnelles, les contradictions, les mensonges, les paradoxes sur les discours, le fait de réduire la complexité du réel à un seul paradigme, à un seul paramètre, tout cela m’a paru quand même assez fou.

On voit que ce sont les pays les plus riches qui ont réagi de la façon la plus disproportionnée. N’étions-nous pas installés dans une sorte de confort?

Je ne sais pas si la première phrase est juste. Parce que la Colombie n’est pas un pays riche et nous avons eu six mois de confinement extrêmement sévère. Il y a eu beaucoup de pays pauvres où cela s’est également joué comme ça.

Par contre, dans les pays occidentaux, il y a eu beaucoup d’aides distribuées aux gens. Ils ont donc davantage eu l’impression que c’était pour leur bien cette affaire, puisqu’on les prenait en charge. Il y a donc eu moins de dissonances au départ sur ce point. La différence est sans doute là.

Certains pensent tout de même que ces mesures étaient tout à fait justifiées.

J’ai une seule question pour eux: on sait qu’en 2020, ne serait-ce que pour l’Amérique du Sud, les décisions politiques ont plongé dans la misère plus de 20 millions de gens. Près de 30 millions en 2021. Est-ce qu’on peut prendre soin de sa santé lorsqu’on est dans la pauvreté extrême? Est-ce vraiment justifié? Est-ce vraiment une politique tout à fait mesurée, équilibrée, qui prend en compte différents paramètres?

Est-ce que la docilité des gens vous a surprise?

Oui et non. D’abord, je pense que tous les peuples ne réagissent pas de la même façon par rapport à leur passé. Au niveau européen, il y a souvent une croyance naïve que les gouvernants sont là pour notre bien. Ce qui fait qu’il est très compliqué de remettre en question deux choses: les gouvernements ne nous veulent pas du bien, mais en plus ils nous veulent sciemment du mal.

Vous pensez vraiment que les gouvernements nous veulent sciemment du mal?

Peut-être pas tous. Mais je pense en effet que les décideurs à haut niveau et en particulier les soi-disant philanthropes qui, avec leurs milliards, auraient de quoi faire de la planète un paradis, nous veulent sciemment du mal.

Dans quel but?

A partir du moment où vous avez confisqué la majorité des richesses au détriment d’une plus grande population, cette population représente une menace pour vous.

C’est pourtant celle qui fait fonctionner le système, non? Ils ont forcément besoin de nous.

Dans quelle mesure ont-ils besoin de nous, je n’en sais rien. Ça ne me paraît pas évident. Nous sommes vus comme des pollueurs, des parasites. Je crois qu’à un moment donné, la question d’accumulation de richesses à un stade qu’on ne peut pas se représenter, ni vous, ni moi, fait tourner la tête si elle n’était déjà pas solide avant. Ça crée un gouffre incommensurable entre les pauvres et une toute petite minorité d’une classe extrêmement riche qui prétend dicter à la planète toutes sortes de choses. Et qui fait des gouvernants de simples exécutants.

On voit bien que si les gouvernements étaient autonomes, ce ne se serait pas passé comme ça. Or, la marche de manœuvre pendant la crise était assez réduite, puisque tout le monde a appliqué à peu près la même politique. Et pas dans l’intérêt des peuples.

Vous disiez récemment qu’il s’agissait d’une guerre des riches contre les pauvres?

Oui. Encore une fois je pense que l’on observe l’arbre à ses fruits. On a un appauvrissement toujours croissant de la pauvreté et un enrichissement toujours plus grand de l’autre côté. Il y a des gens qui s’enrichissent considérablement sur la crise. On a basculé l’immense majorité de la population mondiale dans une extrême pauvreté, sans se préoccuper des impacts sur la santé.

Il y a une intention de nuire, totalement assumée dans les discours d’ailleurs, dans les projets. Il y a un très fort déficit d’empathie de la part de cette micro-caste de très, très riches par rapport au reste de l’humanité. C’est à cela qu’on caractérise le harcèlement, d’ailleurs. Une partie des citoyens doit se sacrifier pour le bien commun. C’est une logique totalitaire. On se rend compte que ceux dont on exige le sacrifice sont à peu près toujours les mêmes.

Il semblerait qu’on ait amené les gens à confondre les conséquences des mesures prises avec les conséquences du Covid. On a donc créé le contexte pour qu’ils aient envie de cette servitude volontaire dont parlais La Boétie. Comment peut-on expliquer cette situation?

Sur le plan de la philosophie politique, on peut l’expliquer par le fait qu’a été mis en place de façon assez clair et un peu partout un régime totalitaire. Il rencontre de la résistance ça et là, mais c’est le projet.

Pourquoi totalitaire, parce qu’il vise la domination totale des individus, la rupture des classes, de l’appartenance sociale, des familles, jusqu’à l’intrusion dans l’intimité de la personne. Pour que le projet totalitaire fonctionne, il doit se maintenir au pouvoir grâce à la terreur, donc il faut un ennemi. Visible ou invisible. Auquel on va faire la guerre, pour justifier le terrorisme de l’État. Pour justifier aussi la suppression des libertés et des droits. Il faut une idéologie. Un discours qui mette en scène un ennemi contre lequel on va partir en guerre et qui, supposément, nous met en danger de mort. Il va falloir construire pour cela un discours mensonger, complètement déconnecté de la réalité de l’expérience. Mais afin qu’il puisse avoir une certaine légitimité, il faut qu’il évolue en permanence, pour empêcher qu’il soit figé et donc soumis à la critique.

Il faut que l’idéologie réussisse à modifier la réalité. Ce n’est donc plus la réalité de l’expérience qui fait foi. Avec l’idéologie, on va modifier l’expérience pour qu’elle corresponde à ce qu’on est en train de raconter.

Par exemple, si on désigne telle population comme paria, comme danger pour la nation, on va faire en sorte qu’elle devienne dangereuse. On va l’exclure économiquement, lui supprimer ses droits. Si on veut démontrer qu’elle met en danger la santé des individus, on va la mettre elle-même dans des conditions d’hygiène précaire, etc., etc. De telle sorte que le retour de la réalité finisse par correspondre à l’idéologie.

«On crée les conditions pour que la réalité finisse par correspondre à l’idéologie»

En 2020, on n’a pas du tout pris les mesures nécessaires pour soigner. Au contraire, il y a eu une grande exposition des gens sur le plan de la santé. J’ai pris l’exemple économique tout à l’heure: quand vous n’avez plus à manger, que vous ne pouvez plus payer vos factures, comment faites-vous pour vous alimenter correctement, ne pas être dans l’angoisse et la précarité, vous protéger au niveau de votre santé et de votre immunité ainsi que vos enfants? Ce n’est donc pas du tout une politique en faveur de la santé, mais une politique de précarisation qui a eu lieu dans de nombreux pays du monde et qui a entraîné davantage de troubles de santé.

Quand on interdit à des médecins de prescrire ou de soigner, on crée des maladies. Quand on renvoie les gens chez eux avec du doliprane, on crée les conditions pour que la réalité finisse par correspondre à l’idéologie.

Comment peut-on expliquer que la majorité des gens ne se rendent pas compte de tout cela? N’y a-t-il pas un fonctionnement, au niveau du cerveau, qui fait que nous ne sommes pas capables d’envisager certaines réalités trop éloignées de notre ligne de pensées, au risque de devenir complètement fous?

Tout à fait. C’est lié à la violence. Il y a eu des chocs traumatiques répétés envoyés aux populations. De diverses manières, avec différents décors. Et ces chocs traumatiques ont été créés par les discours politiques, par les décisions prises, dont l’absurdité et l’arbitraire ont cassé tous les repères des gens. Il faut savoir que cette violence entraîne, pour le psychisme, la mise en place de mécanismes de défense. Le meilleur exemple: quand vous subissez un traumatisme grave, cela peut déclencher une amnésie. C’est un mécanisme de défense. Ou, encore une fois, on peut être dans le déni: le réel est tellement insupportable que je ne peux pas me le représenter.

Donc je pense que moins on s’attend à la violence, plus on est vulnérable, comme c’est le cas des pays occidentaux qui ont l’habitude de fonctionnement plus équilibrés. Nier la réalité de la violence, ou la justifier, dans la mesure où il y a en face un discours très séducteur du type «on fait ça pour votre bien»: c’est très tentant d’y entrer. Je pense que la majorité des gens, et c’est bien normal, ne parvenant pas à comprendre ni accepter l’existence de la violence que ça véhicule, régressent sur le plan psychologique et se laissent prendre en charge par le discours dominant.

Il y a également une bonne partie de gens qui préfère tout simplement ne pas s’interroger et suivre le mouvement, sans chercher à savoir si ce qu’il se passe est normal ou non.

Oui, alors là c’est le syndrome du fonctionnaire qui fonctionne. C’est-à-dire qui préfère restreindre son champ de pensée et le réduire à la tâche qu’il a à exécuter. Car s’il devait penser vraiment ce qu’il se passe, probablement qu’il pourrait en devenir fou.

Je pense que le psychisme protège, jusqu’à un certain point, les gens de ce basculement. De cette désintégration psychique.

On constate aussi que ce n’est pas une question d’intellect, de connaissances, ni de niveau d’éducation. L’autrefois philosophe Raphaël Enthoven en est le parfait exemple.

D’abord, c’est lié à une solidité psychologique et non pas à une intelligence. C’est lié à la capacité d’être ancré dans plusieurs choses et dans la capacité d’affronter la solitude, même si la majorité du groupe se désaxe. Ancré dans quoi? Dans le rapport à la réalité. Dans le désir de vérité. Dans la valeur morale de se rendre compte, dans le réel, qu’on fait du mal aux gens.

Il y a des profils très hétérogènes qui peuvent se retrouver dans une prise de conscience, mais tous sont caractérisés par plusieurs choses: d’abord, ils ont un fort ancrage dans la réalité, des gens qui ont plein de bon sens, des gens qui ont d’autres références, y compris chez leurs ancêtres, qui leur permettent d’apprécier d’une autre façon ce qu’il se passe, de sortir du discours dominant. Ensuite, ce sont des gens qui questionnent la légitimité de l’autorité; ils n’obéissent pas pour obéir, mais parce que le discours de l’autorité a du sens. Et enfin, la caractéristique commune à chaque fois, c’est de ne pas se satisfaire d’un à peu près au niveau de la vérité. Il y a une recherche de vérité, de compréhension. Et le quatrième point: ce sont des gens qui sont capables de faire face à l’isolement. Parce qu’en ce moment, penser au vent contraire, c’est être exposé au harcèlement, à l’isolement, à l’insulte, à la censure et pour cela, il faut avoir une sacrée solidité psychologique.

Il faut bien se dire que le système devient fou, mais que quand on fait partie du système parce qu’on y a des avantages, des privilèges et que remettre en question la doxa dominante impliquerait de perdre ces privilèges et sa place dans ces groupes d’appartenance (groupes de pairs notamment), tout le monde n’est pas prêt à le faire. Je connais des gens qui ont des doubles discours. Des discours publics et des discours privés. Donc ils ne sont pas si naïfs que ça.

Pourtant, j’avais tendance à penser que Raphaël Enthoven pouvait réunir ces caractéristiques.

Il fait sans doute partie de groupes d’appartenance (par exemple, l’intelligentsia parisienne) qu’il n’est pas prêt à quitter. Et ces groupes d’appartenance ont fait cette allégeance-là. Cela met tout le monde face à des conflits de loyauté.

C’est à dire?

On voit le prix qu’ont payé certains scientifiques, certains universitaires et certains chercheurs à dire leur vérité. Si l’on n’est pas prêt à payer ce prix-là et si son groupe d’appartenance exige de manière implicite ou explicite une adhésion au dogme, pour accéder aux privilèges du sérail, on est réduit à une forme de soumission, consciente ou non.

Quand Laurent Mucchielli se fait dédire par le CNRS, la question est de qui dépend le CNRS? Qui a peur de perdre sa place? Je ne suis pas sûre qu’il n’y ait que des endoctrinés là-dedans, si vous voulez. Je suis même sûre du contraire. Il y a des sommes d’intérêts, de corruptions, de peurs. Certains s’empêchent eux-mêmes de critiquer, de penser, pour ne pas perdre ces privilèges. Le plus ironique est que, souvent, ce sont les mêmes qui ont hurlé à la défense de la liberté d’expression en France.

De manière plus générale, la collaboration des intellectuels avec les régimes totalitaires n’est pas nouvelle. Hannah Arendt avait exprimé son dégoût des intellectuels dès le début des années 1930; Klemperer avait été sidéré par l’opportunisme de certains universitaires; Günther Anders avait dit son aversion pour la complaisance active d’Heidegger, en particulier car ce dernier avait tous les outils de philosophie politique pour penser ce qu’li se passait.

Vous disiez aussi que la crise sanitaire était un peu l’aboutissement d’une déliquescence qui a débuté il y a longtemps. Que vouliez-vous dire?

Le totalitarisme, c’est considérer que les individus sont des cellules interchangeables d’un même corps au sens propre, avec la suppression totale et l’éradication totale de toute singularité. La singularité c’est le fait qu’aucun individu n’est comparable à un autre sur Terre. Que tout le monde est unique, différent, avec l’humanité en partage, où «rien d’humain ne m’est étranger». Le totalitarisme est la proposition inverse.

Dans l’idée que nous sommes tous des cellules d’un même corps, il y a l’idée qu’il faut sacrifier les cellules cancéreuses, celles qui s’autonomisent du corps. Donc l’individu n’est pas sacré en soi, mais plutôt quelque chose qui peut être éliminé si on en a besoin. Et je pense que cela est en cours depuis très longtemps. C’est une perte à la fois de la transcendance, de la transmission, de valeurs morales et spirituelles. Et en même temps, c’est la profanation de tous les individus. «Vous ne pourrez plus rien cacher», c’est la proposition totalitaire: l’exact inverse de la pudeur, socle de la civilisation selon Hegel. On doit cacher notre intimité, c’est un devoir, elle ne peut pas être profanée sous peine de sombrer dans la barbarie.

C’est en cours depuis longtemps, on le voit dans l’évolution du management au travail, dans la prolifération des écrans pour les enfants: ce sont des façons d’abraser complètement le sujet et de le nier dans ses besoins propres pour en faire un bon consommateur. On va mettre les gens dans des cases, où ils vont devenir a minima des instruments de production, et quand ils ne servent plus, qu’ils sont inutiles du point de vue de la production capitalistique, on les jette.

Tout cela est le total inverse des valeurs qui ont été le socle de notre civilisation, mais ça fait longtemps que c’est à l’œuvre.

Mais qu’est-ce qui a déclenché tout ça? C’est à l’œuvre depuis combien de temps, selon vous?

C’est difficile à dire. Je pense qu’il y a une conjonction de plusieurs facteurs et ce n’est pas exhaustif: premièrement, le transhumanisme est la référence nazie par excellence, celle du surhomme. Cela veut dire que le nazisme, dans sa valeur première de recherche d’immortalité matérielle et de surhomme humain, qui en même temps est un humain modifié, n’est pas mort. L’idéologie de fond n’est pas morte. Le nazisme n’a pas été totalement pourchassé, il a fait des petits dans les sectes idéologiques de pouvoir qui ont pour vocation à s’étendre et visent l’expansion. Je pense que la question de la conquête idéologique d’un pouvoir mondial par des sectes occultes est rarement abordée, mais devrait être étudiée de très près. Mais ce n’est pas suffisant.

Le deuxième point, c’est le développement technologique. On arrive à une époque – on y est sans doute depuis Hiroshima – où on n’arrive pas à se représenter, ni imaginer ce que les outils que nous créons sont capables d’engendrer. L’humanité engendre des monstruosités qu’elle n’a pas forcément les moyens de freiner, comme l’illustrent la création des chimères, le clonage, les trafics génétiques… Je pense que cela est aussi à œuvre.

«Nous nous sommes laissé destituer des contre-pouvoirs»

Si on regarde du point de vue de l’instruction publique, il y a eu une volonté délibérée de supprimer l’apprentissage auprès des enfants. Ces sonnettes d’alarme ont été tirées par les enseignants. Il y a quand même un pouvoir qui orchestre le fait de rendre les citoyens dociles. Mais ça n’est pas nouveau. C’est la nature du pouvoir de comploter pour se maintenir. La question nouvelle, c’est que nous nous sommes laissé destituer des contre-pouvoirs.

Peut-être, mais ça n’est qu’une hypothèse, que l’ère de la jouissance et de la consommation à tout va a fait s’effondrer les individus moralement. Mais c’est compliqué de répondre à cette question et je pense que la nature est polyfactorielle. En même temps, c’est presque inéluctable.

La seule question qui aurait dû occuper l’humanité après la deuxième guerre mondiale, c’est: comment en est-on arrivé à un tel degré d’autodestruction? Les gens ne se sont pas tellement préoccupés de cette question. Ils ont voulu récupérer la vie; ils ont été incités à jouir de tout, mais cela aurait dû les préoccuper. Tout comme le fait que des chefs d’État aient aujourd’hui la possibilité de balancer des Hiroshima bis devrait nous préoccuper. Günther Anders n’a cessé de tirer la sonnette d’alarme. Pourquoi avons-nous la capacité de nous autodétruire? Pourquoi la majorité des gens préfère être dans la jouissance plutôt que dans cette conscience, qui est certes très austère? Parce que ce n’est pas très marrant de se poser la question de notre responsabilité. C’est plus confortable de se laisser régresser dans un statut de consommateur.

Vous avez des réponses à cette question ? Pourquoi en est-on arrivés là?

Il y a eu, en tout cas du point de vue du développement des technologies de masse, de la publicité, du marketing etc. un encouragement, une dérégulation qui ont fait que les individus n’ont plus été protégés, en particulier de l’émergence de ces nouvelles technologies, des écrans. Et à partir du moment où l’on contrôle un cerveau et le temps de cerveau disponible, on contrôle toute possible révolte de la part des citoyens. C’est un peu le monde de Huxley.

Ne pensez-vous pas que cette crise peut être une opportunité? Tout ce qui se passe est tellement gros que ça ne peut que déclencher une révolte et aboutir sur quelque chose de positif, non?

Je ne sais pas, peut-être. Il me semble que c’est un peu David contre Goliath pour l’instant. On peut toujours espérer un miracle.

Comment expliquer l’apathie totale de la gauche? Et qu’il faille finalement compter sur la droite, voire l’extrême-droite, pour s’opposer aux mesures?

Ma réponse est peut-être un peu trash, mais je pense que la politique n’est plus du tout représentative des aspirations des peuples. C’est une caste qui se reproduit entre elle, selon des codes d’initiation conférés, et qui a trahi les peuples depuis longtemps. Quelle qu’elle soit. Ils roulent pour leur pomme. Les États sont managés comme de grandes entreprises, avec des actionnaires de l’ombre et des gens qu’on va placer aux commandes. On les remplace lorsqu’ils ne conviennent plus. On va orienter des sondages, des votes, jusqu’à les trafiquer dans certains pays.

L’Impertinent a publié plusieurs articles sur la maltraitance des enfants, car l’état dans lequel se retrouve la génération de demain m’inquiète beaucoup. Quel est votre avis là-dessus ? A quoi vont ressembler les adultes dans 10 ans?

Ce qu’il faut bien comprendre c’est que, du point de vue psychologique, la psychose paranoïaque produit des traumatismes en chaîne, des dissociations traumatiques et donc de la schizophrénie. On risque donc d’avoir, sur des esprits fragiles, une augmentation exponentielle des taux de suicides et une augmentation des pathologies de type schizophrène chez les enfants. C’est gravissime. Tous les totalitarismes s’en prennent systématiquement aux enfants, les endoctrinent, poussent à la délation, divisent les familles, tournent les enfants en opposition contre leurs parents, etc. On est dans cette politique-là.

J’observe que certains de mes collègues passent beaucoup plus de temps à dénoncer les complotistes qu’à enquêter sur les véritables sujets et je me demande s’ils n’ont pas une part de responsabilité dans la radicalisation de certaines minorités?

Pour la radicalisation des minorités, il faut comprendre que le régime totalitaire fonctionne sur un mode paranoïaque. Mais la paranoïa est partout. C’est une structure collective, non un psychisme seul. C’est la notion de la méfiance tous contre tous. Il va donc y avoir, dans l’opposition, des phénomènes en miroir de ceux qui sont dénoncés dans cette fameuse opposition. Finalement, pour certains, il peut y avoir aussi une vraie folie en miroir. C’est pourquoi il faut toujours faire attention aux assimilations qui sont faites.

Dans l’idéologie sur la santé qui nous occupe, il y a la création d’une nouvelle langue. Celle-ci inclut a minima plus de 60 nouveau mots et d’expressions détournées de leur sens. A partir du moment où cette nouvelle langue est acceptée (comme le terme «complotiste» d’ailleurs, avec lequel on croit faire allusion à une certaine réalité mais sans savoir exactement bien laquelle, chacun y met de sa subjectivité interprétative), cela crée une adhésion au système. Si les opposants à cette politique générale acceptent cette nouvelle langue, ils en deviennent les promoteurs. C’est donc très compliqué. On le voit déjà à un tout petit niveau avec les anglicismes. Le terme «narratif» n’existe en français que comme un adjectif. Le terme exact est «narration». Pourtant, moi comprise, nous avons souvent utilisé «narratif» au lieu de «narration». C’est de la colonisation linguistique.

Tout cela fait qu’on n’a plus la capacité de se représenter la réalité au travers de notre patrimoine, qui est une langue commune que nous partageons. Et, en prime, on n’a plus la capacité de communiquer avec les autres. Pour ce faire, il faudrait rentrer dans la nouvelle langue, mais elle n’a plus la capacité de désigner la réalité de l’expérience. Donc les dés sont pipés.

On entend régulièrement, depuis près de deux ans, les gens nous dire que cette crise est bientôt finie. Comment est-ce que vous voyez les choses se terminer?

Mal. Le problème c’est qu’une fois qu’on est entrés dans l’idéologie, elle ne va pas lâcher le morceau. Cette histoire, je la vois se terminer de deux façons possibles: soit en guerre, soit en autodestruction qu’il ne va pas être possible de cacher. Ou les deux. Pour sortir de l’idéologie, il faut que la réalité soit suffisamment difficile pour que les gens se réveillent. Un peu comme dans les sectes desquelles les endoctrinés parviennent à se sortir lorsqu’un événement suffisamment grave est survenu.

Tout ceci va mal se terminer. Par une recrudescence de violence. Y compris dans l’opposition qui fera qu’elle pourra même ressembler à ce qu’elle dénonce. Ceux qui n’ont pas compris en théorie devront comprendre en pratique. À partir du moment où vous niez qu’il y a une porte devant vous, vous allez devoir vous la prendre en pleine figure pour accepter son existence. Hannah Arendt disait que le totalitarisme s’effondre quand les masses cessent de croire. Le problème c’est qu’on n’y est pas.

Et si cela s’arrêtait simplement, dans quelques mois, avec la levée totale de toutes les mesures et qu’on décidait enfin de vivre avec ce virus?

Non, parce que le sanitaire est un prétexte à une gouvernance mondiale de type totalitaire. À une mise sous contrôle totale de l’individu, dans ses mouvements, dans ses réflexions, dans ses faits et gestes. Ça ne marchera pas parce que ce n’est pas compatible avec la nature humaine. Mais ça ne veut pas dire que ça ne va pas créer des dégâts immenses. C’est déjà le cas.

Le site d’Ariane Bilheran, c’est par ICI!

[Voir aussi :
Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave (arianebilheran.com)
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
Les mécanismes des régimes totalitaires
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Le contrôle mental au temps du Covid]




Le chef de l’OMS a-t-il été un des acteurs-clés qui se seraient livrés à « des meurtres » et auraient autorisé « la détention arbitraire et la torture d’Éthiopiens »? La plainte qui le discrédite

[Source : lilianeheldkhawam.com]

Par Liliane Held-Khawam



L’économiste américain David Steinman, qui a été nominé pour le prix Nobel de la paix en 2019, a déposé une plainte auprès de la CPI, exigeant des poursuites contre le chef de l’OMS.

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Les gouvernements du monde soutiennent l’OMS de Tedros Adhanom Ghebryssus (TAG). Plus que cela, il y a consensus pour transférer à l’organisation supranationale la gouvernance mondiale en matière de santé publique.(([1] L’OMS veut l’Autorité absolue en matière de Santé Publique Mondiale. Alain Berset en fer de lance.))

Nous avons vu récemment qu’une Académie avait vu le jour sous l’impulsion du gouvernement français. Un Accord-cadre avait déjà été signé avant la crise du Covid, soit en décembre 2019. Le document français porte la signature de Mme Agnès Buzyn qui en est depuis septembre 2021 la patronne fondatrice.(([2] Le troublant Accord signé par la France en décembre 2019 confirme le pouvoir mondial de l’OMS. Fin probable de l’hôpital public…))

Ce message fait suite à celui publié mardi soir par le dirigeant français sur son compte Twitter officiel appelant à « construire, autour de l’OMS, une initiative forte sur les diagnostics, les traitements et les vaccins accessibles à tous ».(([3] https://www.20minutes.fr/monde/2762671-20200417-coronavirus-patron-oms-remercie-macron-leadership-reponse-internationale-pandemie))

Cependant, l’OMS est aussi le lieu du lobbying actif de tout ce que la terre compte comme « philanthropes » et lobbyistes. Pour faire simple, en d’autres temps, ces accointances publiques-privées auraient été qualifiées de corruptions et de conflits d’intérêt. D’autres temps, d’autres moeurs…(([4] Bill Gates: la philanthropie dans le circuit fermé du grand business. Le Média.
L’argent des Gates infiltre notre environnement.
La haute finance prend le contrôle de votre santé.))

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Dans les faits, plus les gouvernants des Etats sponsorisent et cautionnent l’OMS financiarisée, et plus les tenants du marché financier global sont renforcés et légitimés pour pénétrer la sphère publique et l’influencer. Dès le début de l’épidémie, la Fondation Bill & Melinda Gates a appelé mercredi 15 avril « à un effort mondial pour fabriquer un vaccin ».

« Il y a sept milliards de gens sur la planète et nous devrons vacciner pratiquement tout le monde, mais nous n’avons pas les capacités de production », a ajouté Mark Suzman, le directeur général de la fondation. Les gouvernements devraient selon lui « unifier leurs efforts et leur argent » pour que les vaccins soient accessibles au plus grand nombre, une campagne mondiale qui devrait coûter « plusieurs milliards de dollars »(([5] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/coronavirus-l-oms-la-fondation-223461))

Et voici une dame qui siège simultanément chez Pfizer ET à la Fondation Gates. Ca vous pose problème?

Eh bien oui. Problème il y a. Nous ne parlons plus à ce stade de se faire piquer les avoirs bancaires ou de se faire refiler leurs casseroles. Là nous parlons de la conception que les financiers ont du corps humain de la masse de l’humanité qu’ils considèrent comme des inutiles. Les rapports multiples provenant de scientifiques honnêtes convergent vers des questionnements lourds et urgents quant à la nature et à l’ampleur des conséquences résultant des injections expérimentales imposées à l’humanité.

En ce moment, il est question entre autres de surmortalité « toutes causes confondues » qu’aucun politique ne cherche à étudier. Pire la censure continue de frapper ce genre d’informations.



Nous parlons de surmortalité. Cela signifie qu’une quantité importante de gens meurent sans qu’aucune enquête ne soit diligentée par les autorités des différents pays.

Et de me souvenir de cet échange entre Harari et un journaliste. Celui-ci demande:

Quelle sera l’utilité des humains dans un tel monde ? Que ferons-nous de milliards d’humain sans valeur économique ?

Nous ne savons pas. Nous n’avons pas de modèle économique pour une telle situation. Ce pourrait bien être la plus grande question économique et politique du XXIème siècle.

https://lilianeheldkhawam.com/2016/03/30/la-reorganisation-du-monde-confirmee-par-deux-entretiens-liliane-held-khawam/

Et si l’impensable était en train de se produire à l’instant même où j’écris ces quelques lignes? A-t-on autorisé/obligé les responsables de la Santé publique de fermer les yeux sur les chiffres de surmortalité? Se pourrait-il que cela soit la solution à la grande question économique qui ne trouvait pas de réponse.

Et pour les autres? Souvenez-vous que nous sommes très concernés sur ce site par la question du transhumanisme. Or, manifestement, les scientifiques honnêtes sont en train de mettre au jour de drôles de « choses » présentes dans les produits injectés et qu’ils ne savent nommer. Ces découvertes tournent autour de nos publications sur le sujet.(([6] Qu’y a-t-il d’autre que de l’ARN messager dans le vaccin? Les nanoparticules peuvent s’auto-assembler. L’argent anglo-saxon développe la technologie nécessaire au transhumanisme… en Chine.))

En voici une de plus dont les filaments ressemblent furieusement à ce que les scientifiques découvrent dans les produits dont on bombarde l’humanité.



Plongée dans mes interrogations, je me suis retrouvée très concernée par l’information qui titre: » Un candidat au prix Nobel de la paix accuse le chef de l’OMS, Tedros Ghebreyseus, d’avoir aidé au génocide en Éthiopie « . Fâcheux tout de même!

Je vous ai mis l’article en question avec la traduction automatique de google.Voir aussi la vidéo.

Dernière information et non des moindres: Tedros Ghebreyseus avait nommé à son arrivée à l’OMS… Robert Mugabe comme ambassadeur de bonne volonté! Grotesque!

Il dut le démettre quelques jours plus tard… Il faut dire que 2 ans avant qu’il ne le nomme, Mugabe faisait parler de lui au sujet d’un génocide. Le Guardian nous explique en 2015 que: A partir de janvier 1983, une campagne de terreur a été menée contre le peuple Ndebele au Matabeleland, dans l’ouest du Zimbabwe. Les soi-disant massacres de Gukurahundi restent la période la plus sombre de l’histoire post-indépendance du pays, lorsque plus de 20 000 civils ont été tués par la redoutable cinquième brigade de Robert Mugabe.(([9] https://www.theguardian.com/world/2015/may/19/mugabe-zimbabwe-gukurahundi-massacre-matabeleland))

Je vous laisse prendre connaissance de ce qui suit. Je me permets de rappeler qu’une rencontre aura lieu le 29 novembre (au lendemain de la votation suisse sur le pass) au cours de laquelle le monsieur mis en accusation pourrait devenir l’homme fort de la santé publique mondiale.

Un candidat au prix Nobel de la paix accuse le chef de l’OMS, Tedros Ghebreyseus, d’avoir aidé au génocide en Éthiopie

L’économiste américain David Steinman, qui a été nominé pour le prix Nobel de la paix en 2019, a déposé une plainte auprès de la CPI, exigeant des poursuites contre le chef de l’OMS.

Par Krishnendu Banerjee 15 décembre 2020(([11] https://www.ibtimes.sg/nobel-peace-prize-nominee-accuses-who-chief-tedros-ghebreyseus-aiding-genocide-ethiopia-54207))

Le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, a connu une année difficile. Pendant ce temps, l’Éthiopien devait non seulement coordonner une riposte mondiale à la pandémie, mais était constamment sous les projecteurs des médias. Il a été accusé d’être une « marionnette » de la Chine tandis que son incapacité à accepter l’échec du pays asiatique à gérer les premiers jours de la pandémie de COVID-19 a également nui à son image. Aujourd’hui, un candidat au prix Nobel de la paix l’a accusé d’avoir aidé au génocide en Éthiopie et a exigé des poursuites.

Selon l’économiste américain David Steinman, nominé pour le prix Nobel de la paix en 2019, Ghebreyesus était l’un des trois responsables en charge des services de sécurité éthiopiens entre 2013 et 2015. Durant cette période, son parti Tigray People’s Liberation Front était le principal membre. de la coalition au pouvoir. Steinman a déclaré que Ghebreyesus était un « décideur crucial en ce qui concerne les actions des services de sécurité qui comprenaient le meurtre, la détention arbitraire et la torture d’Éthiopiens ».

Les revendications de Steinman

Avant de devenir le premier Africain à occuper le poste le plus élevé de l’OMS, Ghebreyesus a été ministre éthiopien de la Santé entre 2005 et 2012, puis ministre des Affaires étrangères entre 2012 et 2016. Pendant ce temps, des manifestations à grande échelle ont balayé les régions d’Oromia et d’Amhara.

Tedros Adhanom Ghebreyesus
Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, a été accusé d’avoir aidé au génocide en Éthiopie Wikimedia Commons

Le gouvernement éthiopien a été accusé de ne pas maintenir le contrôle de ses forces de sécurité et de la police locale. Selon un rapport du gouvernement américain de 2016 sur les pratiques en matière de droits humains en Éthiopie, « les autorités civiles n’ont parfois pas maintenu le contrôle sur les forces de sécurité, et la police locale dans les zones rurales et les milices locales ont parfois agi de manière indépendante ».

Même un rapport de Human Rights Watch a accusé le gouvernement, dont Ghebreyesus faisait partie, d’avoir réprimé les manifestants pacifiques, entraînant plus de 500 morts. En dehors de cela, les deux rapports ont cité des crimes systémiques contre l’humanité et la corruption par le gouvernement. Steinman, se référant aux deux rapports, a déclaré que Ghebreyesus avait supervisé « tuer et causer des dommages corporels et mentaux graves aux membres des tribus Amhara, Konso, Oromo et Somali avec l’intention de détruire ces tribus en tout ou en partie », a rapporté le Times . .

Steinman a passé 27 ans en Éthiopie et a co-planifié la résistance civile du pays et la campagne électorale en 2005. Il a été le principal conseiller étranger du mouvement démocratique éthiopien jusqu’en 2018. Pendant son séjour, il a été témoin de la montée de Ghebreyesus en tant que personnalité politique. L’économiste a maintenant déposé une plainte auprès de la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye, appelant à la poursuite du chef de l’OMS pour génocide. Dans sa plainte, Steinman a ajouté que Ghebreyesus était impliqué dans « l’intimidation des candidats et des partisans de l’opposition », qui comprenait « une arrestation arbitraire et une longue détention provisoire ».

Éthiopie proteste
Le gouvernement central éthiopien dont faisait partie le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus accusé d’une violente répression des manifestations pacifiques de 2015-16 ayant fait plus de 500 morts
(image représentative) Pixabay

La voix anti-Ghebreyesus grandit

Cependant, ce n’est pas la première fois que Ghebreyesus est critiqué. L’administration Trump l’avait précédemment accusé de se ranger du côté de Pékin et de réprimer l’échec de la Chine dans la gestion du coronavirus qui a fait plus de 1,5 million de morts et une récession mondiale en raison des blocages à l’échelle nationale.

Récemment, le chef de l’armée éthiopienne, le général Berhanu Jula, a également accusé Ghebreyesus de fournir des armes aux forces locales dans la région du Tigré, lui demandant de démissionner de son poste à l’OMS. Les accusations de Jula sont venues au milieu du conflit du Tigré. Depuis novembre 2020, les forces centrales éthiopiennes combattent les forces locales du Tigré fidèles au parti de Ghebreyesus, le Front populaire de libération du Tigré (TPLF). Le TPLF, qui faisait partie de la coalition du Front démocratique révolutionnaire du peuple éthiopien (EPRDF), s’est retiré de l’alliance en raison de divergences en 2018.

Quant à la plainte devant la CPI, l’affaire ne peut se poursuivre que si les procureurs de la CPI décident de la saisir. S’ils le font, ce sera la première fois qu’un haut responsable des Nations Unies sera poursuivi. Cependant, Ghebreyesus a nié les allégations dans un communiqué le mois dernier.

Vidéo Bonus






Chaque nouveau mensonge couvre le mensonge précédent

Par Alain Tortosa

Chaque nouveau mensonge couvre le mensonge précédent.

La somme des mensonges rend l’émergence de la vérité de plus en plus difficile.

Jusqu’au jour où le château de cartes s’effondrera.

Les médias et les politiques ont menti de tout temps, ce qui est probablement dans leur ADN.

Mais depuis début 2020, nous battons tous les records.

Même lors du premier confinement, les sondages indiquaient déjà (et ceux-ci n’ont pas été infirmés par une révolte de la rue) que plus de 90 % des Français approuvaient la mesure.

Je vous rappelle qu’il y a avait officiellement à ce moment-là 7 000 morts présumés (car non testés) sur la planète et 149 en France. Les Français avaient forgé leur intime conviction non pas sur une réalité épidémique et des cadavres dans la rue, mais sur un modèle mathématique (frauduleux ?) relayé par tous les médias et les médecins de plateau.

Si le 17 mars vous disiez à votre voisin : « Ce virus n’est rien d’autre qu’une grippe et les confinements sont inefficaces et dangereux », votre discours était déjà, à ce moment-là, totalement inaudible.

Alors imaginez-vous entrer en discussion aujourd’hui avec un convaincu triplement injecté (hypothèse délirante, car il refuse tout échange).

Mais imaginons que vous alliez vers lui pour lui dire :

« L’étude gouvernementale qui confirme l’efficacité à 90 % des injections géniques est un faux grossier qui va à l’encontre des protocoles et de toutes les données internationales connues sur la vaccination Covid. »

Interrogé par votre affirmation il pourrait alors vous répondre par une série d’autres questions :

« Et le fait que le vaccin soit efficace contre les formes graves c’est un mensonge ? »

Question à laquelle vous répondriez par l’affirmative et lui de poursuivre :

  • « Et le fait que la vaccination a permis de contrôler le virus et éviter une 4e vague terrible, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les hospitalisés sont majoritairement non vaccinés, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la vaccination limite la propagation du virus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la 3e dose va protéger les plus faibles et permettre de ralentir encore plus le virus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la vaccination entraîne très peu d’effets secondaires, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin n’a entraîné aucun décès et que les vaccinés décédés ne le sont que de leurs comorbidités, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin ne présente aucun danger pour les enfants, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les enfants ont un bénéfice propre à se faire vacciner au-delà de l’acte solidaire, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin ne présente aucun danger pour la femme enceinte et le fœtus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les vaccins ne peuvent pas favoriser les variants, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les pays qui ont une mauvaise couverture vaccinale ont plus de morts, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les vaccins ont subi toutes les étapes de sécurité, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que nous avons la garantie que les vaccins sont sans danger, car inoculés à plus d’un milliard de personnes, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’ARNm est déjà utilisé sans problème depuis des années, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin ne puisse absolument pas interagir avec notre ADN et/ou créer des maladies auto-immunes, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que seul le vaccin nous permettra de venir à bout du virus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que si 100 % des personnes sont vaccinées le virus disparaîtra, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait qu’il faille absolument vacciner les enfants pour parvenir à l’immunité vaccinale de masse, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin est vraiment efficace, mais que les non-vaccinés sont dangereux pour les vaccinés, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’on connaît parfaitement la composition des vaccins, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les couvre-feux d’une population en bonne santé sauvent des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le passe-sanitaire sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la fermeture des commerces non essentiels sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le confinement de la population générale en bonne santé sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’État a fait ce qu’il pouvait et ouvert de nouveaux lits, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les gestes barrières en population générale en bonne santé sauvent des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le port du masque en population générale en bonne santé sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le port prolongé du masque est inoffensif y compris pour les enfants les plus jeunes, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait qu’il n’existe aucun traitement efficace contre le Covid, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la Chloroquine ou l’Ivermectine sont inefficaces, mais surtout dangereux, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que toutes les études sérieuses prouvent que ces molécules sont inefficaces c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait d’avoir interdit les médecins de prescrire a sauvé des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’on a jamais empêché de soigner et que l’on n’a jamais terminé des vieux au Rivotril, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’on ne disposait que du paracétamol sous la main, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le Sars-cov2 est extrêmement dangereux, largement plus que la grippe, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que tout le monde peut en mourir ou avoir de graves séquelles y compris les enfants et les personnes en parfaite santé, c’est un mensonge ? »
  • « Et sur le nombre de cas, d’hospitalisés, de personnes en réanimation, de morts… c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait qu’il n’y a pas de censure en France, que seuls les propos dangereux sont supprimés, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les prétendus bons résultats d’autres pays que la France ne sont pas comparables, c’est un mensonge ? »
  • Etc. (j’en ai certainement oublié).

Oui, oui, oui… et encore oui… pour TOUT !

(Il y a bien eu quelques bribes de vérité durant la crise.
Par exemple lorsque M. Véran, emporté dans son élan, affirmait que telle ou telle mesure ne servait à rien, mais se ressaisissait par la suite en balayant ses propos de la veille.)

Et mon interlocuteur convaincu qu’il n’y a pas eu de mensonges systématiques, de me demander :

« Alors pour toi tout est faux, on nous ment sur tout, toute l’OMS est corrompue, tous les médecins sont corrompus, tous les politiques sont corrompus et tous les journalistes sont complices ? »

M’obligeant à répondre : « Oui, les autres n’ont pas la parole, sont poursuivis ou sont terrorisés ».

Alors bien sûr, il a pu arriver que pour telle ou telle mesure, le convaincu hypnotisé ait ressenti quelques doutes sur une mesure. Quand on lui disait qu’il ne pouvait pas y avoir de clusters dans une rame de métro bondée, mais qu’il ne fallait pas dépasser 4 personnes dans une boutique, ça a pu quand même interroger le plus aveugle des non-voyants… comme le fait d’interdire de se promener sur une plage déserte en plein hiver, mais avoir le droit d’aller dans un supermarché.

Sa bouée de sauvetage prenait alors une des formes suivantes :

  • « Les humains sont idiots et nous assistons à une accumulation de bêtise humaine. »
  • « On apprend tous les jours du virus, on ne savait pas. »

Mais rien qui puisse laisser supposer qu’il pourrait y avoir quelque intention de nuire de la part de nos dirigeants ou de Big Pharma.

Afin de pouvoir échapper à ces interrogations sans réponse, la personne « intelligente » va poser la fameuse question bateau suivante, pour balayer toute argumentation d’un revers de manche.

« Pourquoi feraient-ils cela ? »

N’ayant pas de réponses (ou de preuves par rapport à des hypothèses), le convaincu s’autorise alors à jeter aux oubliettes le bébé avec l’eau du bain.

C’est comme si un inspecteur arrivait sur les lieux d’un crime et, en consultant la scène, voyait un cadavre, des traces de lutte, du sang partout et un couteau ensanglanté…
Bref qu’il ait sous les yeux des preuves qu’il y a bien eu un assassinat.
Puis soudain une personne « censée » (donc non-complotiste) arrivait et posait la question suivante :

« Mais qui, mais pourquoi, dans quel but ? »

[Note de Joseph Stroberg : bien des « complotistes » peuvent proposer des réponses.
À la question « Qui ? », ils pourraient répondre : les élites psychopathes qui détiennent les leviers de la finance mondiale.
À « Pourquoi ? », ils pourraient répondre : pour liquider 90 % de l’Humanité sans se faire accuser du crime et pour asservir les survivants.
À la question « Dans quel but ? », ils pourraient répondre : pour nettoyer la planète, sachant qu’aux yeux de ces élites, nous ne sommes que des « sans-dents », des « vaux », des quantités et des qualités négligeables. Maintenant qu’ils développent grâce à nous des robots et qu’ils rêvent eux-mêmes à l’immortalité qu’ils croient promise par les machines sous forme de surhumains transgéniques ou de cyborgs, ils pensent pouvoir se passer de 90 % des êtres humains pour continuer à exploiter la planète à leur profit.
De telles réponses paraîtraient bien sûr particulièrement délirantes aux yeux d’un convaincu vacciné.
Sont-elles pour autant fausses ?]

Et l’inspecteur de répondre bien évidemment qu’il n’a pas, en tous les cas pas encore, la réponse.
Et donc d’en déduire qu’il n’y a eu ni décès ni meurtre !

C’est exactement ce processus utilisé pour jeter aux oubliettes la réalité des faits dans la crise du Covid.

« Tu ne sais pas pourquoi et par qui tous ces mensonges ont été mis en œuvre au niveau mondial, c’est donc qu’ils n’existent pas et que tu es dans le délire en énumérant tous ces prétendus mensonges. »

Le fait de disposer d’indices concordants et de preuves pour chacun des mensonges n’est pas de nature à les rendre réels en l’absence de mobile.

Il est extraordinaire de voir à quel point il est facile de tromper le public.

Prenons l’exemple de l’HCQ et du Remdesivir.

  • Tout part de scientifiques chinois qui affirment, étude à l’appui, que l’hydroxychloroquine couplée à un antibiotique montre une efficacité.
  • Le professeur Raoult annonce en janvier sur l’IHU l’existence des essais pratiqués par des Chinois.
  • Immédiatement les médias et les médecins corrompus donnent la paternité de l’annonce non pas aux Chinois, mais au professeur Raoult. Premier mensonge.
  • Ces mêmes corrompus corrupteurs répandent l’idée que Raoult est un irresponsable incompétent, que la molécule est non seulement inefficace, mais dangereuse. Mensonge au moins sur la 1re et 3e assertion.
  • Le Remdesivir (hors de prix) est commandé en masse par l’Union Européenne et la promotion en est faite (alors même que son efficacité n’est pas prouvée et que sa dangerosité est prouvée). Mensonges.
  • La fameuse étude du Lancet annonce la mise à mort de l’HCQ (alors que cette étude est un FAUX). Mensonges.
  • Le Ministre de la Santé fait interdire le produit sur la base de l’étude qui est un faux. Mensonges.
  • L’escroquerie sur le faux éclate au grand jour dans l’indifférence des médias et des politiques…

Dans un monde « normal », la molécule est, au minimum, réautorisée et les chercheurs du monde entier se mettent à l’étudier avec neutralité.
Et bien là non ! C’est l’inverse !
Tout ceci pour dire que même lorsque l’on amène la preuve d’un mensonge (une fausse étude dans l’illustre Lancet), cette preuve n’est pas de nature à réviser les croyances.

Toutes les études qui par la suite diront que la molécule est inoffensive et efficace à divers degrés seront étiquetées non fiables et toutes les autres avec des conflits d’intérêts concluant à son inefficacité seront validées par les scientifiques médiatiques et le gouvernement.

La science ne sert plus à RIEN, elle est corrompue, un simple outil au service de la manipulation des peuples.

Et je le redis encore, ils arrivent à transmettre leurs mensonges parce que le commun des mortels est foncièrement gentil et qu’il ne peut imaginer à quel point il existe des méchants.

Réfléchissons un peu sur la « vaccination » des enfants.

  • Les autorités SAVENT (et reconnaissent) que le Covid ne concerne pas les enfants en bonne santé.
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que le Covid long chez des enfants en bonne santé n’est que légende.
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que les « vaccins » n’empêchent ni d’être contaminé ni d’être contaminant.
  • Les autorités SAVENT (l’ANSM le dit) qu’il y a des effets secondaires rares (à court terme), mais graves sur des enfants injectés en pleine santé.
  • Les autorités SAVENT qu’il y a des décès « étranges » chez des enfants injectés sans problèmes de santé connus.
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que les effets à long terme sont totalement inconnus, notamment pour la procréation (ils ont connaissance des problèmes sur les règles).
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que le rapport bénéfice vs risque d’une injection pour un enfant ne peut qu’être défavorable.
  • Les autorités SAVENT qu’elles manipulent et mentent quand elles comparent ces injections expérimentales en phase III aux vaccins obligatoires, vaccins qui ont plus de 20 ans et qui sont là pour prévenir des maladies qui tuent des enfants (à la différence du Covid).
  • Les autorités de l’Alberta SAVENT qu’un enfant de 14 ans avec une tumeur au cerveau de stade 4 n’est pas décédé du Covid. Alors, pourquoi le tester (et positif) deux jours avant son décès et le déclarer mort du Covid ?

Ils fabriquent sciemment de la peur et mettent en place un pass sanitaire pour les enfants afin de les contraindre à se faire injecter. Cet acte n’est pas de la bêtise ni de l’incompétence. Au regard de l’ensemble de ces faits connus, non-complotistes, publiés notamment par l’ANSM, nous pouvons affirmer qu’il y a une volonté objective de nuire aux enfants !

Les autorités décident sciemment de menacer la santé de millions d’enfants (de plus en plus jeunes).
Ils prennent sciemment le risque que des enfants aient des effets secondaires graves ou à vie.
Ils prennent sciemment le risque d’effets secondaires dans les prochaines années.
Ils prennent sciemment le risque que des enfants meurent de ces injections expérimentales.
Ils mentent sciemment aux enfants et aux parents en cachant volontairement ces faits.
Ils font taire ou dénigrent sciemment tous les scientifiques, médecins et lanceurs d’alertes qui rapportent ces faits.

Et ce alors qu’ils SAVENT que ces injections chez les enfants (et les autres) ne seront PAS de nature à réduire ou éradiquer le virus et que l’immunité vaccinale de masse est une chimère.

Ne me posez pas la question du « pourquoi » pour tenter d’occulter à nouveau ces vérités.

Pourquoi ces instigateurs qui sont des êtres humains, des parents, des grands-parents agiraient volontairement de façon aussi immonde ?
Je n’ai pas la réponse.
Mais regardez l’histoire du monde et des bourreaux, ceux-ci avaient bien souvent une famille, des enfants et cela ne les empêchait pas de commettre les pires horreurs.

Nous voyons bien une fois encore, que plus il y a de mensonges et plus il est impossible pour le commun des mortels de les voir, les débusquer et les remettre en question.

[Note de Joseph Stroberg : certaines hypothèses et certains faits exposés notamment dans l’article
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial laissent présager qu’il existe un plus gros mensonge chapeautant le tout, celui de la théorie virale qui veut que les virus soient de méchantes et minuscules bestioles qui pourtant ne répondent pas à tous les critères pour être qualifiées de « vivantes », puisqu’ils ne peuvent pas se répliquer seuls. Et au-dessus, il existerait même le mensonge de la théorie des germes qui veut qu’aussi les bactéries soient de méchantes micro bestioles, alors que dans le même temps le corps humain contient naturellement environ un million de milliards de virus dans son « virome » et des dizaines de milliers de milliards de bactéries dans son « microbiote ».

Si en réalité, les bactéries ne sont que des symbiotes des corps vivants végétaux, animaux et humains et si les virus ne sont que des composants naturels du corps participant au fonctionnement cellulaire (dans certains cas comme éboueurs, dans d’autres cas comme déchets, dans d’autres cas comme messagers, etc. selon leur forme et leurs spécificités, sachant notamment que les virus sont similaires aux « exosomes » ou aux « endosomes »), alors ils ne sont en fait pas contagieux, ni la cause véritable des maladies dont on les accuse, mais la simple conséquence d’empoisonnements du corps par diverses causes.

Sous l’effet des poisons et toxines que sont les pesticides, les additifs alimentaires, les adjuvants vaccinaux, les produits ménagers, les cosmétiques artificiels, les polluants atmosphériques, les matières plastiques, les médicaments produits par l’industrie pharmaceutique, les thérapies géniques, mais aussi la peur et d’autres émotions négatives, le stress, les pensées négatives, et les ondes électromagnétiques pulsées (Bluetooth, Wi-Fi, 2G, 3G, 4G, 4G+, 5G…), ainsi que par les toxines produites par des bactéries sous certaines conditions non souhaitables, les cellules corporelles sont agressées en permanence. Il suffit alors de dépasser le seuil de tolérance par la dose de trop ou aussi par l’affaiblissement du corps (par le froid ou le manque de soleil en hiver, ou encore par la malnutrition et le manque de nutriments essentiels à son fonctionnement) pour que la maladie apparaisse.

Pour peu que les causes d’empoisonnement et/ou de déficience soient endémiques ou communes à un endroit donné (village, région, pays…), elles procurent l’illusion d’une contagion et même d’une contagion fulgurante dans certains cas.

Dans une telle perspective qui est peut-être la vérité et qui renverra alors un jour aux oubliettes les mensonges que sont la théorie virale et celle des germes, les prétendus « variants » ne sont que l’observation des variations génétiques virales entres ethnies et individus d’une part et selon les conditions de l’agression du corps d’autre part, ainsi que selon le modèle viral pris comme base de contrôle dans les processus d’analyse. De même, le prétendu affaiblissement des virus lors de nouvelles vagues épidémiques traduit seulement le fait que le corps est déjà habitué à réagir à certains poisons lorsqu’il s’y trouve de nouveau exposé et qu’il se nettoie plus vite dans le processus qui se traduit sous forme apparente de maladie.]

Le mensonge est en danger d’être dévoilé lorsqu’il est tout seul alors qu’il se renforce via l’apport des autres mensonges.
Dans ces conditions ma liste de faits sur les mensonges du Covid ou de la vaccination des enfants n’est peut-être pas exhaustive, mais tellement « délirante », pour quiconque nourri aux médias classiques, qu’il ne peut l’entendre.

Médias qui passent en plus leur temps à faire du « fact checking » en prenant bien soin de n’être qu’à charge et en ne donnant la parole qu’aux auteurs et complices des mensonges.

Plus les mensonges sont nombreux et délirants, plus ils passent et plus il s’ancre dans l’imaginaire que tout n’est que vérité.
Faire tomber ne serait-ce qu’un seul mensonge n’est pas possible pour le manipulé.
Cela l’obligerait à les regarder tous, un par un, et prendre le risque d’ouvrir une boîte de pandore.

Le risque pour la dictature est bien là et c’est bien pour cela qu’elle verrouille le système au maximum.
Si la vérité sort publiquement sur les morts dus aux injections alors le château de cartes s’effondrera.

[Note de Joseph Stroberg : si la théorie des germes et son corollaire la théorie virale sont un jour reconnues fausses par suffisamment de scientifiques, puis de politiciens et d’hommes ordinaires, alors les mensonges subséquents comme tous ceux liés à la crise Covid s’effondreront à leur tour, vaccination comprise (y compris pasteurienne).]

Merci.

Alain Tortosa.

22 octobre 2021, https://7milliards.fr/tortosa20211022-les-mensonges-se-nourrissent-de-mensonges.pdf




« Primum non nocere » : la suite de « Hold-up » va faire du bruit

[Source : francesoir.fr]

[illustration : La citation de Soljenitsyne est le fil rouge de la bande-annonce.
Z_caricature, à retrouver sur instagram.com/z_caricature]

Auteur(s): FranceSoir

Un collectif d’anciens journalistes de grands médias se rassemble pour donner un second souffle au documentaire « Hold-up ». « Primum non nocere » sortira officiellement le 11 novembre prochain, un an jour pour jour après le film dénonçant la gestion de la crise sanitaire. Dans la continuité de « Hold-up », la bande-annonce de onze minutes frappe déjà fort.



Selon les réalisateurs, « tout ce que « Hold-up » avait initié et suspecté sous forme de questionnement est maintenant révélé et prouvé ». Il n’y a qu’à voir le titre du documentaire (premier principe du Serment d’Hippocrate, « d’abord, ne pas nuire ») pour comprendre que ce ne sont pas des bonnes nouvelles. Effets secondaires des vaccins, cris d’alarme des médecins, mensonges d’État, chiffres falsifiés, tout va y passer. En somme, une crise dite sanitaire passée au peigne fin par « d’anciens journalistes de TF1, France Télévisions, Canal +, et de l’AFP ».

Comme pour « Hold-up », il ne s’agit pas de passer par quatre chemins. Dès les premières secondes de la bande-annonce, on nous donne à voir des chiffres alarmants quant à la vaccination :

– Avant vaccination (jusqu’à décembre 2020) : 1,57 million de morts par covid-19 selon l’OMS (sur douze mois)
– Après vaccination (après décembre 2020) : 3,23 millions de morts par covid-19 selon l’OMS (sur neuf mois)

Ensuite, on devine que le documentaire suivra le même modèle que son prédécesseur : de nombreux invités qui feront part de leur expérience avec leur expérience professionnelle ou leur engagement citoyen. Ainsi, on retrouve, entre autres, Amine Umlil, docteur en pharmacologie et juriste, Pierre Jovanovic, journaliste et écrivain, John O’Looney, thanatopracteur, Rui Fonseca e Castro, juge au Portugal… mais également de nombreux Français venus témoigner des effets secondaires qu’ils ont subis. Un casting qui doit à n’en pas douter déjà faire saliver certains médias qui s’étaient échinés à discréditer « Hold-up », dont le succès retentissant avait été alimenté par les censures et dénigrements multiples subis.

Voir aussi : Le « Hold up » de l’AFP : « debunk » de leur « debunk »

Le message est évidemment de souligner les incohérences des politiques sanitaires, les mensonges médiatiques ou étatiques, et les conséquences que tout cela a, ou aura, sur la société. D’aucuns pourront certainement leur reprocher le parti pris franchement assumé du documentaire. Toujours est-il que « Primum non nocere » aura sans nul doute le mérite de souligner ce que d’autres essaient de cacher.

La propagande gouvernementale, y compris télévisée, a fait bondir certains – on se rappelle les clips incitant à la vaccination, que de nombreux Français ont jugé révoltants… Ici, les témoignages poignants, le montage léché et la musique élégiaque élaborent un « contre-poison » du discours mais à trop jouer sur ce registre émotionnel, le film prend peut-être le risque de « nuire d’abord » à son propos en se coupant de ceux qui jugeront l’enrobage un peu racoleur.

Reste que cette bande-annonce intrigue et suscite l’attente : que ce soit par les conquis d’avance, les détracteurs attendus, les réservés qui attendent de voir, cette « suite » sera très attendue et risque de faire du bruit.




Des journalistes mainstream se rebiffent-ils contre la propagande vaccinale ?

Par Diane Vincero

Appel à témoins sur CNews

🚨📢🔴🇲🇫 Sur CNEWS ce soir, Pascal Praud invite toutes les personnes victimes d’effets secondaires du vaccin à venir témoigner sur son plateau.

Faites tourner partout pour inonder la chaine.
Pascal Praud attend vos appels.
Soyez nombreux pour témoigner et dénoncer.

Pascal Praud ne croyant pas ce que vient de dire Yvan Rioufol sur Cnews à savoir qu’il y a de nombreux effets secondaires suite aux vaccins et qu’il suffisait de lire les témoignages sur les réseaux sociaux…
Praud met en doute les réseaux sociaux et affirme qu’il n’y a pas d’effets secondaires car personne n’en témoigne sur les plateaux TV.

Rioufol repond que c’est normal car personne n’invite les victimes à témoigner !

Praud lance donc un appel à témoignages pour inviter des personnes à témoigner sur le plateau appeler Cnews.

Numéros de CNews :
0171355555
0146964433

S’ils ne vous répondent pas, vous avez le mail Yvan Rioufol : irioufol@lefigaro.fr

N’hésitez pas à relayer au maximum

Rejoignez la Vérité Censurée
https://t.me/LaveriteCensure

Vidéo d’un collectif de journalistes

[Source : https://www.bitchute.com/video/fbmeXnSvUKYR/]






Le Québec sur les traces du Rwanda : la propagande gouvernementale haineuse

[Source : Les 7 du quebec]

Par Serge Charbonneau

Il y a quelques années, l’un des sujets politico-médiatiques était « le discours haineux »[1].   Combien de fois n’avons-nous pas été mis en garde et même sermonnés concernant les fameux discours « haineux » ? [2]    Puis, peu à peu, on a utilisé cette notion du discours haineux pour limiter la liberté d’expression et même, par la bande, la liberté d’opinion.  Sous le prétexte de la lutte contre les « discours haineux » : les géants du Web concluent un accord avec les annonceurs ! [3] Les grandes plateformes Internet, dont Facebook, ont conclu un accord avec les annonceurs pour mieux lutter contre les contenus incitant à la haine !

Comment peut-on s’opposer au bien !

Les Facebook, YouTube, Google surveillent maintenant les discours haineux !  Puis ce fut les gouvernements qui emboitèrent le pas pour eux aussi assainir la société.  

« Le gouvernement du Canada prend des mesures pour protéger les Canadiens contre les discours et les crimes haineux ! »[4]

En fait, le gouvernement tout comme les grands de l’Internet se sont donné des outils de censure.   Et la censure prévaut de façon incroyable.

La liberté d’opinion est devenue illusoire.  Dès qu’une opinion interdite est émise (sécurité des vaccins, mesures sanitaires, points positifs pour l’administration Trump, fraude électorale américaine) c’est la censure partout tout le temps.  Quant au discours haineux, il a été « oublié ».  La haine est permise et même requise pour lutter contre cette résistance à la dictature sanitaire.

Le discours haineux est devenu monnaie courante et semble même être considéré comme étant nécessaire.

Prenons quelques exemples :

Un chroniqueur au service de la propagande de la secte de Davos compare les travailleurs de la santé qui refusent d’être injectés à des terroristes.

« J’ai un arrière-goût terrible en disant cela : les antivax ont gagné. Le même arrière-goût que je ressens quand des terroristes libèrent des otages… on encourage les bourreaux à recommencer. » [5]

Selon le chroniqueur Patrick Lagacé, ces gens formés en santé seraient des terroristes parce qu’ils refusent de se faire injecter ce produit expérimental que l’on présente comme étant « le vaccin de la liberté » !  Il dit : « Ces gens-là, les conspi-négationnistes… Ces gens-là n’ont qu’un pouvoir de nuisance. Et pour nuire, ils nuisent. »

Monsieur Lagacé attise la haine, tout comme les commentateurs de la Radio des Milles Collines au Rwanda attisaient la haine des Tutsies avant de lancer le massacre.   M. Lagacé n’est pas le seul à attiser la haine de ceux qui refusent l’injection expérimentale, ils sont légion sur tous nos grands médias.

Chez-nous au Québec outre Lagacé, nous avons les Martineau, Bombardier, Dumont, Lamarche, Dussault, Roy, Chouinard, Haché, bref tout le gratin des grands médias qui chaque jour vomissent sur les gens qui mettent en doute la sécurité et l’utilité de cette injection.  On traite ces derniers de tous les noms : Covidiots, coucous [6], sous-éduqués, bande de crétins, d’illuminés [7], d’édentés [8], de conspirationnistes, de complotistes, d’analphabètes fonctionnels et j’en passe et j’en oublie. Le discours haineux est partout. Il est soutenu et constant.

Chaque jour les médias font monter la haine envers les gens non vaccinés. Nous vivons définitivement une situation semblable à celle qu’ont vécu les Rwandais.

Il y a vingt-sept ans, la Radio-Télévision des Mille Collines (RTLM) encouragea le génocide au Rwanda. Sur ses ondes, le média a diffusé la haine, timidement d’abord, puis de façon totalement assumée : « Vous allez mettre le feu aux Tutsis et ils vont regretter d’être nés… Faites du bon travail ! », « Les fosses sont encore à moitié vides, vous devez les remplir ! » La RTLM a joué un rôle capital dans le génocide de 1994, où 800 000 Tutsi et Hutu modérés ont perdu la vie. [9]

« Réjouissons-nous, amis! Les inkotanyi [Tutsis] ont été exterminés! Réjouissons-nous, amis! Dieu ne peut jamais être injuste ! », entonne Habimana Kantano sur les ondes de la Radio télévision libre des Mille collines (RTLM), le 2 juillet 1994. »   Cet extrait est tiré de l’article de Manon Cornellier intitulé  « Un outil d’endoctrinement – Les médias assassins » [10].

Au Rwanda, la Radio mille collines, l’organe du gouvernement hutu, prônait quotidiennement l’éradication des Tutsis. [11]  RTLM, Radio Mille Collines était définitivement la radio de la haine [12].

Au Québec, va-t-on se rendre jusque là ?  Espérons que non.  Cependant, force est de constater que la haine contre les gens non vaccinés est en croissance constante dans notre société.  Il suffirait que les Lagacé, Martineau, Dussault, Roy, Dumont, Lamarche et Cie sonnent la charge pour « purifier » (sic) la société que probablement les endoctrinés emboiteraient le pas et iraient éliminer la menace que représente les non vaccinés pour eux.   Bien sûr, cette avenue semble exagérée, mais demandons-nous sérieusement si les Rwandais pouvaient s’imaginer que leurs voisins avec lesquels ils ont été sur les bancs d’école puissent un jour les pourchasser avec des machettes ?   Je pense que non. Le peuple juif pouvait-il s’imaginer que les nazis les exterminaient systématiquement ?  Lorsque ces pauvres gens  montaient dans les trains, qui donc montait en se disant qu’il se dirigeait vers la mort et non vers un camp de travail ?

On ne peut imaginer jusqu’où peut se rendre la folie.  Et force est de constater que, présentement, la folie est bien réelle.   Chaque jour nos « journalistes » (sic) émettent des propos haineux envers ceux qui remettent en question la doctrine covid.   

Avec le recul on constate que le Rwanda a servi de laboratoire humain.  Tout indique qu’on cherchait à savoir jusqu’où on pouvait pousser une population en utilisant, entre autres, les médias.   Le général Dallaire a bien vu cet endoctrinement de la population et cette montée de la haine.  Il a tenté de contrer cette folie qu’il voyait s’installer, mais l’ONU l’en a empêché.   Comment peut-on expliquer autrement que par une volonté de tester une manipulation de masse qu’on lui refusa les outils (armes et soldats) pour empêcher le massacre ?

La réalité crève de plus en plus les yeux. Il y a définitivement des puissants qui possèdent les moyens pour manipuler les masses.   Pensons à la folie Pokémon !  Une autre expérience mondiale pour connaître à quel point et avec quelle efficacité on pouvait contrôler les populations occidentalisées.

Le Pokémon Go chargé 150 millions de fois dans le monde en l’espace de quelques jours.   La folie est implantée avec une facilité incroyable ! [13]

Ludique, sympathique, un retour irrésistible à l’enfance. Un marketing courriel agressif et avec l’aide précieuse des médias [14], même les adultes les plus sérieux se laisse séduire.   Tous sont dans la rue, l’œil rivé sur leur écran de cellulaire ou leur tablette pour chasser le Pokémon.

L’agence France-Presse répand la nouvelle :

La folie Pokémon Go gagne la planète 

Des joueurs chassant des Pikachu et autres Bulbizarre dans un hôpital d’Amsterdam, des «battues» organisées à Sydney, des jeunes Américains se hasardant en terrains interdits : la folie Pokémon Go, ce jeu de réalité augmentée qui permet d’attraper ces créatures virtuelles, envahit le monde. [15]

Depuis des lustres on étudie et on développe des stratégies de manipulation de l’opinion publique et la manipulation mentale des masses.   En 2014 Facebook avouait avoir testé sa capacité de manipulation mentale des foules [16].

Combien d’ouvrages traitent du sujet !  Nous savons tous que la propagande ou la publicité cherchent à mobiliser le comportement des masses en utilisant des moyens généralement malhonnêtes. Militairement, la désinformation est considérée comme une arme de guerre.  La désinformation est utilisée, tout comme la propagande, pour manipuler l’opinion publique.  La désinformation est vicieuse et probablement l’une des manipulations les plus difficiles à déceler. Nos médias désinforment massivement et utilisent aussi l’inversion des valeurs.   Ceux qui à l’aide des faits exposent la réalité indéniable sont considérés comme étant les menteurs et les porteurs de désinformation alors que c’est tout l’inverse.   Les propagandistes crachent allègrement sur la réalité et ignorent totalement les faits véritables et vérifiables.

À l’aide de la propagande, on endoctrine les gens.   C’est ce qui a été fait pendant des mois au Rwanda.  Puis en utilisant des méthodes démagogiques, on cultive la haine et on la fait croître.  Il faut être conscient des méthodes qui ont cours et des conséquences qui peuvent en découler.

Soyons conscients de cette haine véhiculée par ces faux porteurs de « vérité » (sic) qui nous endoctrinent.

Il faut éveiller ceux qui se laissent entrainer vers la haine avant qu’il ne soit trop tard.

Merci de rester alerte et de réfléchir sérieusement à ce que nous vivons.

Réfléchir n’est pas un luxe.   C’est de plus en plus une nécessité.

Salutations,

Serge Charbonneau.  Québec


Liste des liens

[1] Qu’est-ce qui constitue un discours haineux ?

https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/le-15-18/segments/chronique/93062/justice-droit-incitation-haine-crime

[2] Le discours haineux, un phénomène tentaculaire

https://www.concordia.ca/ucactualites/central/nouvelles/2018/03/12/institut-interdisciplinaire-estival-discours-haineux.html

[3] Discours haineux : les géants du Web concluent un accord avec les annonceurs

https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/discours-haineux-les-geants-du-web-concluent-un-accord-avec-les-annonceurs-20200923

[4] Le gouvernement du Canada prend des mesures pour protéger les Canadiens contre les discours et les crimes haineux

https://www.canada.ca/fr/ministere-justice/nouvelles/2021/06/le-gouvernement-du-canada-prend-des-mesures-pour-proteger-les-canadiens-contre-les-discours-et-les-crimes-haineux.html

[5] Les antivax ont gagné  – Patrick Lagacé

https://www.lapresse.ca/actualites/chroniques/2021-10-13/les-antivax-ont-gagne.php

[6]  La victoire des coucous  – Richard Martineau

https://www.journaldequebec.com/2021/10/14/la-victoire-des-coucous

[7]  Les illuminés  – Marie-Andrée Chouinard

https://www.ledevoir.com/opinion/editoriaux/632673/-les-illumines

[8]  Les édentés  – Patrick Lagacé

https://www.lapresse.ca/actualites/2021-03-19/les-edentes.php#

[9] Au Rwanda, les funestes échos de Radio-Mille Collines

https://www.lemonde.fr/afrique/article/2019/04/08/au-rwanda-les-funestes-echos-de-la-radio-des-mille-collines_5447242_3212.html

[10] Un outil d’endoctrinement – Les médias assassins

https://www.ledevoir.com/societe/51434/un-outil-d-endoctrinement-les-medias-assassins

[11]  Rwanda : «Tuez-les tous», «éradication totale», «nettoyage»… les voix funestes du génocide

https://www.leparisien.fr/international/rwanda-tuez-les-tous-eradication-totale-nettoyage-les-voix-funestes-du-genocide-21-04-2019-8057496.php

[12] Mille Collines, la radio de la haine

https://www.la-croix.com/Culture/Theatre/Mille-Collines-la-radio-de-la-haine-_NG_-2012-12-13-887560

[13] La folie Pokemon Go contamine tout le monde

[14] La folie Pokémon Go arrive chez nous! 

https://www.lecourrierdusud.ca/la-folie-pokemon-go-arrive-chez-nous/

[15] La folie Pokémon Go gagne la planète

https://www.lesoleil.com/affaires/techno/la-folie-pokemon-go-gagne-la-planete-876b2b8f8ea6ff258425fc4f03d2a07c

[16]  Facebook a testé sa capacité de manipulation mentale des foules

https://www.numerama.com/magazine/29852-facebook-a-teste-sa-capacite-de-manipulation-mentale-des-foules.html




L’homme politique britannique George Galloway a averti que Facebook est secrètement de connivence avec le « Nouvel ordre mondial » pour éradiquer la liberté d’expression et tuer à jamais les éditeurs indépendants

[Source : anguillesousroche.com]

Dans une tribune pour RT, M. Galloway a souligné que la récente vague de « dénonciations » de Facebook, qui survient au moment même où Big Tech a promis de « réduire la présence de la politique » sur le site, fait partie d’un plan coordonné visant à contrôler davantage la liberté d’expression en ligne.

Galloway écrit :

« Si vous m’aviez dit, pendant les années où j’ai siégé avec Nick Clegg au Parlement britannique, que le député douloureusement libéral de Sheffield Hallam – qui deviendra plus tard vice-premier ministre du Royaume-Uni et Sir Nick – deviendrait le censeur en chef de la plus grande place publique de la planète, Facebook, je ne l’aurais jamais cru.

Lors des élections générales de 2010, lorsque Clegg a fait décoller les libéraux-démocrates lors des débats télévisés, « Je suis d’accord avec Nick » est devenu le slogan de ses adversaires. Ce qui n’était au départ qu’un expédient est aujourd’hui devenu obligatoire.

Car si vous êtes sur Facebook et que Sir Nick Clegg n’apprécie pas ce que vous avez à dire, vous ne serez pas entendu longtemps.

Je déclare un intérêt. Je suis très investi dans la liberté d’expression sur Facebook. J’y ai 600 000 abonnés – plus que la quasi-totalité des personnalités politiques britanniques – et un public de plusieurs millions de personnes pour mes discours, mes clips, etc.

Lorsque j’ai lu récemment le pronunciamento de Clegg selon lequel il allait réduire le contenu politique sur la plateforme, je l’ai perçu comme une menace. Les photos de mon petit-déjeuner ne sont qu’une petite partie de mon œuvre sur Facebook ».

Rt.com rapporte : Selon Clegg

« L’une des choses que nous avons entendues de la part des utilisateurs américains et du monde entier depuis l’élection est que les gens veulent voir plus d’amis, moins de politique. Nous avons donc testé des moyens de réduire la présence de la politique dans les expériences des gens sur Facebook. »

Puis j’ai observé avec fascination les manœuvres orchestrales dans l’obscurité d’une enquête du Congrès sur Facebook où une lanceuse d’alerte, Frances Haugen, sifflait un air très commode pour les puissants – dans l’entreprise et dans les centrales de l’establishment – et j’ai réalisé que nous étions tous joués. Et que Nick Clegg n’est plus un libéral.

Facebook se battra jusqu’à la mort pour empêcher ceux qui ont de « mauvaises » opinions d’être entendus. Signal : il faut faire quelque chose !

Le lanceur d’alerte A de Facebook a été entendu dans le monde entier. Un autre lanceur d’alerte, Julian Assange, n’a pas été entendu depuis plusieurs années en raison de son incarcération dans la prison de haute sécurité de Belmarsh à Londres, et il risque de passer le reste de sa vie sous terre dans un Guantanamo américain.

Le lanceur d’alerte A était préoccupé par le body-shaming sur Instagram et d’autres éphémères de ce genre. Le lanceur d’alerte Assange s’inquiétait des corps, bien morts, aux mains de ceux qui, comme le public du Congrès, fredonnaient avec une horreur feinte les récits du lanceur d’alerte A.

Et voilà qu’arrive de l’Ouest la nouvelle d’un lanceur d’alerte B. Une autre ex-employée de Facebook, Sophie Zhang, a fait part de ses histoires d’horreur sur les fausses nouvelles de Facebook qui influencent les élections dans le monde entier.

Mme B, une tribune de San Francisco, n’a pas encore été nommée, mais il est peu probable que les élections en question soient celles – en Russie par exemple – où une presse d’ONG à fond de train a été filmée pour tenter de réduire la victoire du parti parlementaire du président Vladimir Poutine, quitte à favoriser les communistes !

Il est plus probable qu’elle ait en tête des personnes comme Donald Trump, alors que les dirigeants américains commencent à montrer des signes d’effondrement face à l’éventualité de la résurrection de l’homme orange.

Il ne fait aucun doute que Mme Chang parviendra à citer les mystérieux Ivans et Lis qui continuent de travailler sans relâche pour installer des candidats favorables au pouvoir d’une manière dont l’ENSEMBLE des médias de masse et de la classe politique occidentaux ne pourrait jamais rêver.

La musique d’ambiance est claire. Les mauvaises personnes ont réussi à persuader le public que nos dirigeants et leurs principaux récits sont tout à fait nus. Ils n’ont pas de vêtements.

Il faut les arrêter. Et comme le fameux village du Vietnam qu’il a fallu détruire pour le sauver, la liberté d’expression doit être éteinte pour la préserver. C’est la voie libérale…




Le Nouvel ordre mondial pour Les Nuls en sept étapes et en images

[Source : Sott.net]

Voici en images un condensé explicatif plus ou moins hypothétique du plan qui se déroule actuellement sous nos yeux pour celles et ceux qui se sont réveillés récemment et ont encore du mal à y voir clair. Le texte a été écrit Jean-Jacques Crèvecoeur et le graphisme créé par Le Grand Réveil.

[Ndlr : l’intérêt d’un tel exposé n’est pas de sombrer dans le pessimisme et le défaitisme, mais d’une part de se préparer au mieux (notamment psychologiquement) au cas où de telles éventualités interviendraient malgré tout, mais d’autre part d’envisager dès maintenant les meilleurs moyens d’empêcher que cela arrive.]

Théorie ou réalité il n’en reste pas moins que nous sommes bel et bien entre la phase 4 et la phase 5…

Le NOM pour les Nuls-2
Le NOM pour les Nuls-3
Le NOM pour les Nuls-4
Le NOM pour les Nuls-5
Le NOM pour les Nuls-6
Le NOM pour les Nuls-7
Le NOM pour les Nuls-8
Le NOM pour les Nuls-9

[Voir aussi :
Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry, Ancien Présentateur TV (Censuré)
et Les 13 étapes machiavéliques ! – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)]




Bill Gates explique que le vaccin covid utilisera une technologie expérimentale et modifiera de façon permanente votre ADN… MàJ

[Source : crashdebug.fr]

Vous trouverez dans ces articles plus d’informations sur le vaccin de Gates et de la DARPA,

https://youtu.be/2MGXePjIzXE [Vidéo censurée]

[Mise à jour : ]

[anglais]

Et dans cette autre vidéo,

[anglais]

Bill Gates explique tranquillement, sans aucun état d’âme, ça semble même le faire marrer, qu’il pourrait y avoir un effet de bord toutes les 10.000 vaccinations, ce qui ferait 700.000 personnes potentiellement impactées [anglais], et pour lui c’est une bagatelle. Ces gens sont des psychopates….

Plutôt que d’enseigner aux gens comment améliorer leur état de santé général ou renforcer leur immunité grâce à des aliments sains, des compléments de qualité et une activité physique, les pouvoirs en place disent au monde que la seule façon de survivre à la crise du Coronavirus est de hâter le développement d’un vaccin et de l’injecter ensuite à chaque être humain sur la planète.

Le gouvernement américain, ainsi que de grandes villes comme Chicago, vont déjà de l’avant avec des plans visant à utiliser les ressources gouvernementales et l’armée pour distribuer des centaines de millions de doses de vaccins aux Américains d’ici la fin de l’année.

Au premier plan de cette conversation se trouve Bill Gates, qui est devenu en quelque sorte le plus grand expert mondial en matière de pandémies et de vaccins. Par le biais de sa fondation, il soutient l’OMS et le développement de nouveaux vaccins, et soutient actuellement un certain nombre de sociétés pharmaceutiques dans leur course à l’invention du produit qui sauvera le monde du Covid-19.

En règle générale, le processus de développement, d’essai et de production de masse des vaccins prend des années, mais grâce à la nouvelle technologie expérimentale émergente, M. Gates espère pouvoir vacciner « 7 milliards de personnes en bonne santé » en un temps record.

Une nouvelle génération de vaccins est en train d’émerger à l’heure où nous parlons. Pour l’instant, il n’existe pas de vaccins à ADN et à ARN approuvés pour l’usage humain, mais comme le dit M. Gates dans le post suivant de son blog personnel, le moment est venu de les essayer sur tout le monde. Dans le commentaire suivant, il explique la différence entre les vaccins traditionnels et les vaccins à ADN/ARN, qui, une fois encore, n’ont jamais été approuvés pour un usage humain :

Enseigner à votre corps comment vaincre un agent pathogène sans jamais tomber malade. Les deux types les plus courants – et ceux que vous connaissez probablement le mieux – sont les vaccins inactivés et les vaccins vivants. Les vaccins inactivés contiennent des agents pathogènes qui ont été tués. Les vaccins vivants, en revanche, sont constitués d’agents pathogènes vivants qui ont été affaiblis (ou « atténués »). Ils sont très efficaces, mais plus sujets aux effets secondaires que leurs homologues inactivés.

Les vaccins inactivés et vivants sont ce que nous considérons comme des approches « traditionnelles ». Il existe un certain nombre de candidats vaccins COVID-19 des deux types, et pour une bonne raison : ils sont bien établis. Nous savons comment les tester et les fabriquer.

L’inconvénient est que leur fabrication prend du temps. Il y a une tonne de matière dans chaque dose d’un vaccin. La plupart de ce matériel est biologique, ce qui signifie que vous devez le cultiver. Cela prend du temps, malheureusement.

C’est pourquoi je suis particulièrement enthousiaste à l’égard de deux nouvelles approches adoptées par certains des candidats : Les vaccins à ARN et à ADN. Si l’une de ces nouvelles approches se révèle efficace, nous serons probablement en mesure de diffuser les vaccins dans le monde entier beaucoup plus rapidement (par souci de simplicité, je ne vais expliquer que les vaccins à ARN. Les vaccins à ADN sont similaires, mais avec un type de matériel génétique et un mode d’administration différents).

Notre fondation – à la fois par son propre financement et par l’intermédiaire de la CEPI – soutient le développement d’une plateforme de vaccins à ARN depuis près de dix ans. Nous avions prévu de l’utiliser pour fabriquer des vaccins contre des maladies qui touchent les pauvres comme la malaria, mais aujourd’hui, elle semble être l’une des options les plus prometteuses pour le COVID. Le premier candidat à entamer des essais sur l’homme était un vaccin à ARN créé par une société appelée Moderna.

Voici comment fonctionne un vaccin à ARN : plutôt que d’injecter l’antigène d’un agent pathogène dans votre corps, vous lui donnez le code génétique nécessaire pour produire cet antigène lui-même. Lorsque les antigènes apparaissent à l’extérieur de vos cellules, votre système immunitaire les attaque et apprend à vaincre les futurs intrus au cours du processus. En gros, vous transformez votre corps en sa propre unité de fabrication de vaccins.

Comme les vaccins à ARN laissent votre corps faire la plus grande partie du travail, ils n’ont pas besoin de beaucoup de matériel. Cela les rend beaucoup plus rapides à fabriquer. Mais il y a un hic : nous ne savons pas encore avec certitude si l’ARN est une plate-forme viable pour les vaccins. Étant donné que le COVID serait le premier vaccin à ARN à sortir, nous devons prouver à la fois que la plateforme elle-même fonctionne et qu’elle crée une immunité. C’est un peu comme si vous construisiez votre système informatique et votre premier logiciel en même temps ». ~ Bill Gates

Ainsi, le vaccin Covid-19 ne sera pas un vaccin traditionnel. Il ne sera pas testé de manière significative ou standard étant donné l’état d’urgence actuel. Il sera administré par les militaires, et tout le monde sur la planète devra le prendre.

Comme l’a fait remarquer le journaliste d’investigation Jon Rappoport :

« Deux nouvelles technologies sont dans la filière de test COVID au moment où nous parlons : Les vaccins à ADN et à ARN. Ils n’ont jamais été mis en circulation pour un usage public. La technologie de l’ADN est en fait une thérapie génique. Des gènes sont injectés dans le corps et modifient de façon permanente et inconnue la composition génétique du receveur. Les vaccins à ARN comporteraient le danger de déclencher des réactions auto-immunes, c’est-à-dire que l’organisme se mettrait en guerre contre lui-même.

Le vaccin qui est exploité par le gouvernement américain… sous l’égide de ses National Institutes of Health… par le biais de la société pharmaceutique Moderna… n’a JAMAIS été utilisé sur le marché avant.

IL N’EST PAS AUTORISÉ À ÊTRE UTILISÉ PAR LE PUBLIC.

LES VACCINS ARN ET LA TECHNOLOGIE QU’ILS UTILISENT SONT ENTIÈREMENT EXPÉRIMENTAUX.

ET C’EST LE TYPE DE VACCIN QUI EST MIS EN PLACE À LA HÂTE EN 90 JOURS.

Qu’est-ce qui pourrait bien mal tourner dans le monde ?

Une façon de le découvrir est de le lancer sur des millions de personnes, de prendre du recul et de voir ». ~Jon Rappoport

Vous êtes prêts à ce que votre famille et vos enfants servent de cobayes dans le cadre de la plus grande expérience de santé mondiale jamais menée ?

Alex Pietrowski est un artiste et un écrivain soucieux de préserver une bonne santé et la liberté fondamentale de jouir d’un mode de vie sain. Il est rédacteur pour WakingTimes.com. Alex est un étudiant passionné de yoga et de vie.

Cet article (Bill Gates explique que le vaccin Covid utilisera une technologie expérimentale et modifiera de façon permanente votre ADN), créé et publié à l’origine par Waking Times, est publié ici sous une licence Creative Commons avec mention d’Alex Pietrowski et de WakingTimes.com.

Source : Dcdirtylaundry.com

Informations complémentaires :


Source : https://www.santeglobale.world :

« Il est à noter, qu’à cette occasion, j’ai pu observer un délire, qui est le plus stupéfiant sur le plan médicamenteux, de toute ma carrière, pourtant longue, sur le danger extrême de l’utilisation de l’hydroxychloroquine et de la chloroquine. Ces médicaments sont prescrits depuis 80 ans, il est probable qu’au moins 1/3 de la population a eu l’occasion d’en manger. En France, la CNAM rapporte que 36 millions de comprimés de Plaquenil 200 mg ont été́ distribués en 2019. L’émotion formidable, sur les risques de la chloroquine et l’hydroxy-chloroquine, témoigne d’une absence complète de contrôle de l’information raisonnée, basée sur la bibliographie, et non pas sur les émotions des uns et des autres, voire la manipulation de l’opinion et je mesure mes termes. Par définition, le directeur de l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé), en est responsable. »

Professeur RAOULT : La chloroquine : émotion, délire, manipulation de l’opinion

Youtube : (sud radio) J.D Michel – « Les courbes épidémiques des pays confinés et des pays non confinés sont les mêmes ! »

Le confinement était la dernière chose à faire !!

DAVID ICKE SANS CENSURE !! LA FIN DU CONTRÔLE, LE TRIOMPHE DE L’AMOUR !

Troisième interview de David Icke par Brian Rose sur ©London Real (mai 2020) :



(en anglais)

David Icke montre avec clarté toute la folie de la « pandémie » créée par le technocrates pour nous asservir :

Tony Robbins interroge des médecins sur la pseuodo épidémie de coronavirus, décapant !

(audio, en anglais)




Lettre ouverte aux journalistes diffamateurs

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Maryse Laurence Lewis

Ce texte a été motivé par la lecture d’un article rédigé par la psychologue Geneviève Beaulieu-Pelletier, publié dans le journal le Soleil.(([1] https://www.lesoleil.com/actualite/science/neuf-barrieres-psychologiques-derriere-le-refus-de-la-vaccination-314dc917f0c619c1956b5396bbdf5f51))

Les gens qui refusent actuellement la vaccination, et dont on parle tant, sont en fonction dans les hôpitaux et les CHSLD. Contrairement aux journalistes des grands médias, leurs études englobent l’anatomie, la biologie, la connaissance des substances chimiques. De plus, même pour les préposés n’ayant pas cette formation, ceux-ci et le personnel soignant sont en contact direct avec les patients. Donc, mieux placés que quiconque pour savoir combien de malades décèdent réellement de la Covid-19 et combien de cas lui sont attribués par “co-morbidité”, alors que des centaines de patients sont hospitalisés pour des maladies respiratoires, cardiaques ou pour faiblesses immunitaires. Selon la Société Canadienne du Cancer, ce sont en moyenne 228 personnes par jour, au Québec et au Canada, qui meurent de cette maladie. (Des conspirationnistes, sans doute!) Excluant les cas habituels de mortalité par grippes saisonnières, malgré la vaccination effectuée chaque automne, depuis des années. Faites le compte et n’allez pas insinuer que ces causes de décès n’existent plus, et ne confondez pas les détections supposées de cas positifs d’avec les individus réellement atteints par un virus.(([2] https://cancer.ca/fr/research/cancer-statistics/cancer-statistics-at-a-glance))

La publicité mensongère

Dans les publicités gouvernementales, radiodiffusées ou livrées par la poste aux citoyens, on affirme que la vaccination ne présente aucun risque. Même l’Organisation Mondiale de la Santé mentionne les effets secondaires possibles et les incertitudes. Sans doute, les journalistes des grands médias et le gouvernement ignorent-ils ce qu’est un choc anaphylactique ou le syndrome de Guillain Barré. Et on insulte ceux qui refusent la vaccination et qui, eux, savent la différence entre les quatre types de vaccins que l’on administre en ce moment.(([3] https://www.who.int/fr/news-room/q-a-detail/coronavirus-disease-(covid-19)-vaccines?adgroupsurvey))

De même, Mme Beaulieu-Pelletier affirme que les vaccins dérivent de techniques connues depuis longtemps. En ce qui concerne le vaccin des Chinois, oui. Ce sont d’ailleurs eux qui ont inventé le principe des vaccins, bien avant Pasteur! Dans “Les voyages de Potocki”, en 1791, cet aventurier polonais le confirme, durant un périple au Maroc, un père montrait fièrement son enfant vacciné, grâce au procédé utilisé en Chine et en pays musulmans pour contrer la variole.(([4] Jean Potocki, Voyages, Éditions Garnier-Flammarion, publication de 2015.))

Si on parle de vaccin à virus inactivé ou atténué, oui, la technique est maîtrisée depuis longtemps. De vaccin à véhicule viral ou protéine recombinante, c’est plus récent, mais déjà testé. Quant aux doses de Moderna et Pfizer, toutes les deux utilisant un brin d’ARN, il est totalement faux de prétendre que cette technique est éprouvée et que les tests sur les humains sont achevés. Bill Gates n’est pas un philanthrope, il a investi dans tous les vaccins, sauf celui des Russes, et s’il se préoccupait de la santé des Africains, il n’aurait pas fait entreposer ses doses dans un hangar à 28 degrés Celsius, alors que même un congélateur ordinaire ne suffit pas à conserver adéquatement ces composés à l’ARN. 

L’Esprit critique, c’est justement savoir rejeter les sites farfelus et s’informer au-delà des médias subventionnées par des entreprises privées et des monopoles financiers. Et surtout, se renseigner auprès des scientifiques qui ne sont pas en collusion avec les entreprises pharmaceutiques. Celles-ci ont d’ailleurs exigé des États de ne jamais être tenues responsables de l’inefficacité ou des dommages entraînés par leurs vaccins. De plus, si les vaccins s’avéraient si efficaces, le peu d’individus non vaccinés ne pourraient contaminer ceux qui ont reçus les deux doses, et auxquels on en proposera une troisième, une quatrième… Étant donné qu’il existe une cinquantaine de laboratoires de niveau P4 où l’on conserve les pires virus, cette histoire n’aura de fin que lorsqu’on les interdira.

Si j’en avais les moyens, j’initierais un procès en diffamation et pour non respect de la neutralité journalistique, entre autres, à Mme Marie-Andrée Chouinard et à Richard Martineau, à Mme la Bien-Pensante psychologue, ainsi qu’aux responsables d’Info-sectes qui confondent les gens lucides et les  instigateurs de groupes ésotériques. Ces journalistes trahissent leur rôle de média d’information en ne présentant pas les arguments des gens qui s’opposent à la vaccination obligatoire. Ils sont incapables de justifier ou décrire les particularités des vaccins, ne sont aptes qu’à insulter ceux qui savent pourquoi ils ne désirent pas devenir cobayes pour des entreprises n’ayant rien de philanthropiques. Les gens qui défendent la liberté de recevoir ou de refuser le vaccin, lié à la Covid, ne sont pas des ignorants aux prises avec des problèmes psychologiques. Au lieu de confondre les amateurs de sectes, les visionnaires d’extraterrestres et autres fabulateurs d’avec les gens conscients, formés en médecine ou en biologie, Mme Beaulieu-Pelletier ferait mieux de soigner de véritables complotistes et pervers tel que Klaus Schwab, le fondateur du Forum Économique Mondial et les membres de la Fondation Rockefeller.

[Note de Joseph : les personnes qui ont vu des entités non humaines, supposément extraterrestres ou d’une autre nature, ou celles qui pensent que celles-ci peuvent réellement exister ne sont pas du tout nécessairement des fabulateurs ni des tarés. Un nombre non négligeable de scientifiques en font partie, dont des astronomes professionnels. Quant aux sectes, n’importe qui peut s’y retrouver embarqué sans s’en rendre compte au départ, parce qu’il traverse une période de vulnérabilité, ou parce qu’il trouve un groupe sympathique, ou encore parce que les idéaux, les philosophies, ou les modes de vie présentés l’attirent. Des individus de tous milieux socioculturels, de toutes professions, et de n’importe quel QI s’y sont déjà retrouvés.

Le procédé qui consiste à dénigrer des groupes humains pour tenter de revaloriser celui auquel on s’identifie est beaucoup trop facile. S’il y a présentement un combat contre l’Humanité, peut-être vaut-il mieux éviter de se tromper d’adversaire ou de s’en créer inutilement. Cette dernière se trouve déjà suffisamment divisée.]

Le premier publiant sans censure des élucubrations transhumanistes dans sa “Quatrième révolution industrielle” et les seconds ayant financé les recherches eugénistes avant, pendant et après la période nazie. Quant à la « théorie conspirationniste » de volonté de réduction de la population, faites une recherche sur l’initiative de Henry Kissinger et son Memorendum-200. Des femmes et aussi des hommes pauvres, de l’Inde, du Brésil, du Pérou, entre autres, ont été stérilisés grâce au Fonds des Nations-Unies pour la Population. Un travail parfois effectué à une vitesse digne d’une usine performante, comprenant des dommages collatéraux sous forme de décès. Sur le site officiel, on parle de contraception, de prévention, jamais de charcuterie en série.(([5] https://fr.wikipedia.org/wiki/St%C3%A9rilisation_contrainte
//pdf.usaid>pdf_docs>PCAAB500 (document qui se télécharge) ))

À l’ensemble du personnel soignant que l’on menace de congédiement, je suggère donc de s’allier au groupe CSAPE qui demande à la Cour Pénale Internationale de juger les responsables de la crise actuelle pour crime contre l’humanité.(([6] https://www.csape.international/))

Maryse Laurence Lewis

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Maryse Laurence Lewis, Mondialisation.ca, 2021

Notes – Références :




Le Pass sanitaire a été annulé à l’hôpital de Trinité en Martinique

[Source : qactus.fr]

VICTOIRE DES SOIGNANTS EN MARTINIQUE !!

Le Pass sanitaire a été annulé à l’hôpital de Trinité en Martinique. VICTOIRE des soignants en Martinique contre le Pass sanitaire.

Le directeur de l’hôpital de Trinité en Martinique vient d’annuler le Pass sanitaire face à la résistance des soignants. Le Pass sanitaire devait être applicable à partir d’aujourd’hui pour les salariés du CHUM de Trinité en Martinique.

Bravo  !





Voilà comment la Martinique se défend contre l’obligation vaccinale et voilà pourquoi la Martinique a gagné la bataille

Cette vidéo devrait être envoyé à la direction de tous les établissements de santé concernés :




Lapsus révélateur sur un plateau de télé

« Les chiffres sont évidents, il y a un vaccin qui tue » !

Ce monsieur est le directeur du CHU Martinique :




Liza – figure de la résistance – Martinique

Suite à la censure de la vidéo sur Youtube, Liza est de retour sur Viméo.

https://player.vimeo.com/video/623558728?h=f3c78cf83b
Liza – figure de la résistance – Martinique from MAWONAJ on Vimeo.

Le 11/10/2011 en MARTINIQUE

Les syndicats hospitaliers, opposés à l’obligation vaccinale, ont rencontré la direction du CHU de Martinique contre le Pass sanitaire obligatoire dans les hôpitaux.

Le personnel hospitalier, opposé à l’obligation vaccinale, a été reçu par Benjamin Garel, le directeur du CHU de Martinique hier matin (lundi 11 octobre).

Les syndicats hospitaliers ont érigé des barrages devant les entrées des différents hôpitaux de l’île (Fort-de-France, Lamentin, Trinité…).

Benjamin Garel a proposé la mise en place d’un test antigénique à compter de ce mercredi (13 octobre 2021) pour les soignants qui ne veulent pas se faire vacciner.

Une soignante a exigé de Benjamin Garel qu’il s’engage et ‘assume sa responsabilité pour les effets secondaires du vaccin… mais il n’a pas assumé!!






Et si j’exagérais, et si je me trompais et si la masse avait raison ?…

Par Alain Tortosa

Et si j’exagérais, et si je me trompais et si la masse avait raison…
Et si je me faisais des idées, et si je m’étais pris à mon propre piège.
Et si nous vivions en démocratie, et si nos gouvernants et l’industrie étaient « bons ».
Et si les médias étaient ce qu’ils disent :
compétents, intègres, intelligents, professionnels et indépendants ?

Liberté ?

Hier j’étais encore une fois de plus en train de manifester aux cris de « liberté » et de « dictature ». Nous étions bien entendu peu nombreux au regard de la population.

Je n’avais pas l’impression que ceux qui nous dévisageaient avaient le sentiment de ne pas être libres. Ni même ceux que nous pouvons croiser (pas moi, je n’y mets plus les pieds) dans un supermarché avec un masque jusqu’au front et trois doses de « vaccin ».

Dictature ?

Voilà un mot que nous devrions bannir ou manier avec précaution comme ne manque pas de nous le rappeler les « journalistes » tous les jours. Ceci n’étant « qu’une simple marque de respect à l’égard des peuples opprimés » qui eux, vivent « vraiment » dans une dictature !

Si j’interroge nom voisin en évoquant les mots de « dictature sanitaire », il va me regarder avec des yeux exorbités comme si je lui avais annoncé avoir vu une soucoupe volante débarquer dans mon jardin.

La masse, le peuple français, ne vit pas en dictature… mais pourquoi moi oui ?

Histoire d’enfoncer encore plus le clou, j’ajouterais que je vivais déjà en dictature avant même la crise du Covid, c’est dire si je dois être complètement « allumé » aux yeux de certains.

Afin de tenter de mettre un peu d’objectivité, je vais d’abord me référer à la définition du dictionnaire.

Si l’on en croit Le Larousse, une dictature c’est un :

« Régime politique dans lequel le pouvoir est détenu par une personne ou par un groupe de personnes (junte) qui l’exercent sans contrôle, de façon autoritaire »

Tout être « raisonnable » ou « journaliste » confirmera que nous vivons bien dans une « démocratie ». Et oui, où avais-je la tête… nous avons un président élu, un gouvernement, un parlement élu, des institutions, des contre-pouvoirs, des juges « indépendants », une presse « libre » et surtout des « élections libres »… Comment pourrions-nous vivre en dic-ta-tu-re ?

Mais j’y pense, Hitler est bien arrivé au pouvoir par des élections, Pétain a bien obtenu les pleins pouvoirs par les députés, il y a aussi un parlement en Corée du Nord où le dictateur a été élu ! En fait, si on y regarde bien, quasi tous les régimes totalitaires ont des élections et un parlement, non ?

Et voilà, emporté par ma crise délirante, je me mets à oser comparer la France à la Corée du Nord ! Tout être de raison sera bien conscient que mes propos sont outranciers et frisent le ridicule…

Vous dites « Un parlement » ?

Pour autant, une démocratie existe principalement par la liberté d’expression et ses contre-pouvoirs.

Or, depuis le début de la crise, le Conseil d’État et même le Conseil Constitutionnel approuvent des lois d’exception que ledit conseil reconnaît non-constitutionnelles, mais « acceptables » au motif que nous vivons un état d’urgence, une crise « exceptionnelle » et que ces lois sont « temporaires ».

Je vous rappelle pour exemple que le « temporaire » du passe sanitaire qui est censé prendre fin le 15 novembre sera probablement reconduit jusqu’à l’été prochain « pour notre sécurité »…

Depuis le début de la prétendue crise sanitaire, les décisions sont prises en dehors de toute transparence, de tout contre-pouvoir et par un « conseil de défense ». Les lois d’urgence sont votées par un parlement qui, lorsque les décisions ne sont pas en accord avec le gouvernement, sont revotées le plus « légalement » du monde… dans l’indifférence quasi générale.

Cette « démocratie » a pour le moins un fonctionnement bien étrange. Elle donne le sentiment que TOUS les pouvoirs sont dans les mains d’un seul homme, le Président de la République, président dont nous ne savons pas précisément de qui il tient les siens.

Tout ceci serait votre définition d’une démocratie ?

L’indice de bonheur et le totalitarisme ?

Les Français semblent globalement heureux. Je ne perçois pas le moindre désespoir chez tous ces masqués, vaccinés, passe-sanités… Ils sont confinés, privés de liberté de mouvement, privés de loisirs, contraints à porter une muselière, contraints de se vacciner pour avoir le droit de vivre, mais… heureux. Nous pouvons supposer que si nous vivions en dictature ils seraient écrasés par tout ceci ?!

Et bien non !

« Le bonheur ne se mesure pas non plus à la liberté.

Je ne pense pas qu’il y avait de sondages, mais le peuple allemand semblait heureux en Allemagne pendant la période nazie (avant 1944).

Ils avaient leur ennemi commun, de quoi manger, du travail… et ils croyaient en leur leader charismatique qui allait les sauver et leur rendre leur honneur.

Un article publié par Forbes en 2008 “Chasing Happiness” (à la poursuite du bonheur), indique : “Les données révèlent que le bonheur n’est pas proportionnel au revenu moyen, au type de gouvernement — démocratie contre dictature…” »(([1] Extrait « 7 milliards d’esclaves et demain ? »))

Nous voyons donc que celui qui vit dans une dictature, mais qui n’est pas ciblé par cette même dictature pourra être aussi heureux que dans une démocratie.

Mais pourquoi ne suis-je pas comme tout le monde ? Les droits de l’homme sont pour moi une donnée non négociable alors qu’ils semblent totalement annexes pour des millions de Français.

Démocratie, liberté d’expression et censure ?

Nous vivons à ce point une période « merveilleuse » qu’il n’existe aucune censure en France. Non, non, ne riez pas ! Je ne fais que rapporter le sentiment de la masse.

Une majorité de Français adhère à la propagande et regrette que les réseaux sociaux soient si laxistes. D’aucuns pensent même que les médias classiques font une part trop belle aux « complotistes ».
Et oui !
Il n’y a de fait aucune « censure » en France, mais uniquement une chasse à la « désinformation ».

Une preuve de plus que nous vivons donc bien en démocratie pour la majorité des Français qui approuvent la suppression des « informations mensongères ». C’est d’autant plus intéressant que cette même majorité, totalement servile, se dit à la fois « Charlie » et pour la « liberté d’expression ».

Rappelons que celui qui ne suit pas la Doxa est un « ennemi du peuple », un « assassin » en puissance. Allons bon, ne pas adhérer, discuter, critiquer toutes les mesures mises en œuvre « pour notre bien » ne peut qu’être « objectivement » criminel.

Par exemple, celui qui ne met pas de masque (comme votre serviteur) et qui affirme que celui-ci est inefficace, contre-productif et dangereux va, de fait, automatiquement mettre en danger les personnes qui sont autour de lui. Il n’y a donc pas « censure » en le muselant, mais « suppression de propos dangereux ».

Le monde est à ce point délirant que l’on applaudit l’interdiction de publier sur Facebook ou Twitter à un président des États-Unis en exercice et démocratiquement élu…

Démocratie qui définit donc ce qui est vrai ou pas, acceptable ou pas, dangereux ou pas. Tout français est ainsi totalement libre de dire ce qui est autorisé par le Ministère de la Vérité.

Nous ne serions donc pas dans une « dictature qui censure la liberté d’expression », mais dans une « démocratie qui protège son peuple de personnes dangereuses ».

Et moi, naïf, qui m’obstine à nommer un tel régime une dictature. L’idée de l’État « grand frère » et bienveillant qui me protège choque profondément mes valeurs.
Éduquer, oui, mettre en garde oui, interdire non !

Les confinements ?

Étant indécrottable, je n’ai toujours pas digéré le fait d’avoir été assigné à résidence en l’absence d’accusation, de procès et de jugement. Procédé qui me semble plus présent dans un régime dictatorial qu’en démocratie…

Pour être honnête, le confinement a été plutôt agréable pour ma famille. Notre dictateur bienfaiteur a acheté notre silence (que nous devrons rembourser avec intérêts)… Et puis nous avions la chance de sortir sans les nuisances des voitures, les enfants étaient heureux de ne pas aller à l’école… Je confesse que cette période était pour moi à la fois viscéralement inacceptable et dans le même temps plutôt agréable.

Ici encore mon émoi n’était pas celui de la majorité des Français.

« Mais n’as-tu pas compris qu’à virus exceptionnel, solution exceptionnelle ? »

Ben non, quand bien même, la fin ne justifie pas les moyens !

Petit rappel des déclarations du président du conseil scientifique en juin 2020 :

« Nous assumons le fait d’avoir proposé le confinement durant les trois journées très difficiles des 12, 13 et 14  mars. Ce n’était pas notre décision, car elle appartient au politique.

Ce n’était pas une bonne décision, mais la moins mauvaise, étant donné les outils que nous avions. » 

Une autorité a dit aux Français, en dehors de toute preuve scientifique, qu’il fallait confiner ensemble malades et bien portants pour éviter le pire. Puis cette autorité leur a dit que ce confinement a sauvé des dizaines de milliers de vies. Et enfin nombreux sont celles et ceux qui croient encore à ce joli conte pour enfants.

Les catastrophes économiques, sur la santé mentale, sur la violence conjugale, sur les retards de soin ? Cela n’interpelle que les Français concernés. Pour les autres, c’était plutôt des vacances payées. Et si vous leur dites que les pays qui n’ont pas confiné ont eu moins de morts par habitant que nous, ils ne peuvent l’entendre, grâce au soutien actif de la propagande.

Alors ?

  • Si je ne m’obstinais pas à vouloir me rappeler le « liberté égalité fraternité » sur le fronton de toutes les mairies…
  • Si j’oubliais que je pouvais me prendre 135 euros d’amende juste pour être sorti de mon domicile…
  • Qu’il y avait des haut-parleurs dans la ville répétant les consignes…
  • Que des drones tournaient sur la plage au cas où un promeneur en plein hiver contaminait une mouette…
  • Ceci tandis que l’on pouvait s’entasser devant des supermarchés bondés…

Alors j’aurais peut-être pu me convaincre que nous étions en démocratie et que le confinement des personnes non malades était une « bonne » chose.

  • Aussi « bonne » que de dire aux malades de rester chez eux et de ne surtout pas se rendre chez leur médecin de famille avant d’être à l’article de la mort ?
  • Aussi « bonne » que d’interdire les médecins de prescrire ?
  • Aussi « bonne » que de « finir » les vieux au Rivotril ?

Les masques ?

Et que dire de ces « appendices naturels » ? Encore aujourd’hui je croise des centaines de personnes qui ne semblent souffrir en rien avec leur accessoire sur le nez. Après tout, ce n’est qu’un bout de tissu ou du plastique devant la bouche. Elles semblent ne présenter aucune souffrance, même si je ne peux voir leur visage.

Pire encore, elles continuent de le porter et je vois encore des cours d’école pleines d’enfants masqués alors même que le seigneur du département (préfet) a supprimé son arrêté l’obligeant à l’extérieur. Je ne supporte pas de les voir, cela me retourne les tripes à en avoir physiquement mal.

Suis-je juste un crétin d’égoïste (comme le disent les autorités ou les masqués que je croise) ? Le plus drôle avec l’affaire du masque est qu’elle a eu des débuts rocambolesques. Sans doute le seul épisode de la crise qui a débuté par une vérité « le masque ne sert à rien et est dangereux » Pour terminer en « le masque est vital pour ne pas assister à la fin du monde », masque qui demeure indispensable pour protéger les vaccinés d’un « vaccin efficace à 90 % ». L’affaire est à ce point comique que le français manipulé croit que c’est la première annonce qui était un mensonge et la deuxième une vérité.

Ici encore mon problème est que je sais lire et que je ne me contente pas d’écouter la Pravda.

  • Que dois-je faire de toutes les études publiées avant la crise, y compris des écrits de l’OMS, qui affirmaient que ce masque en population générale ne sert strictement à rien, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur ?
  • Que dois-je penser des pays qui n’ont pas masqué leur population et qui n’ont pas plus de décès ?
  • Que dois-je faire du nombre de cas qui n’a cessé d’augmenter au fil de la généralisation du port du masque ?
  • Que dois-je faire de la dangerosité du produit et du faux sentiment de sécurité qui était aussi affirmé par l’OMS ?
  • Que dois-je faire de ce nid à bactéries, de cet appendice qui augmente votre taux de CO2 et diminue votre oxygène ?
  • Que dois-je faire des troubles psychiques induits chez les bébés, les enfants et même les adultes ?
  • Que dois-je faire d’une société qui fait d’une personne en bonne santé une menace pour la vie d’autrui et dont on doit se méfier ?

De toute évidence, aucune de ces pensées ne traverse l’esprit de celles et ceux qui le portent toute la journée y compris seuls dans une voiture.

Une autorité qu’ils ne peuvent penser malveillante leur a dit qu’il fallait le porter et ils arrêteront de le porter temporairement uniquement le jour où cette même autorité leur dira qu’il n’est plus nécessaire.

Autorités qui nous ont dit que le confinement nous sauverait, puis que la distanciation nous sauverait, puis que les tests PCR nous sauveraient, puis que le masque nous sauverait, puis que le vaccin nous sauverait, puis que le passe sanitaire nous sauverait… et aujourd’hui ?

Aujourd’hui, on vous dit que la suppression en tous lieux du masque n’est pas à l’ordre du jour et que ce serait même irresponsable, alors même que 90 % des personnes à risque seraient injectées… Cela gêne-t-il ou questionne-t-il ces mêmes Français qui le portent sans colère ni révolte ?
Non, absolument pas… « C’est comme ça et c’est pas bien grave ».

Je m’aperçois de l’échec qui se dessine au fil de mon écriture… comment pourrais-je raisonnablement adhérer à la doxa et me dire que je me fourvoie depuis le début de la crise ?

Le vaccin et le passe sanitaire ?

C’est peut-être ma dernière chance de « pouvoir me réveiller, de sortir de mes délires complotistes et enfin revenir vers le bon sens ». Comment douter de la vérité sanitaire quand 100 % des politiques, médecins médiatiques, journalistes vous répètent depuis des mois que les « vaccins » sont efficaces et sans danger ? Après tout, je ne vois pas les gens tomber comme des mouches autour de moi alors qu’ils sont presque tout injectés. OK, mais je n’ai pas vu les gens tomber comme des mouches autour de moi alors qu’il y avait cette fameuse terrible pandémie !

Pourquoi des personnes en bonne santé, et encore plus des enfants, se feraient-elles injecter ces produits expérimentaux pour lesquels nous n’avons que quelques mois de recul ? Même la majorité des médecins corrompus reconnaît que le Covid ne touche que les personnes en mauvaise santé, aux défenses immunitaires défaillantes.

Je suis décidément sur une très mauvaise pente et je sens déjà les portes de l’enfer se refermer sur moi. Mais j’ai encore une petite chance de pouvoir revenir dans le bon chemin. Tel un éclair d’espoir, une lumière vient d’apparaître… Une étude « indépendante » vient d’être publiée en France sur l’efficacité des vaccins. Réjouissons-nous mes frères, les vaccins sont bien efficaces à plus de 90 % comme on le pensait, pour réduire les hospitalisations ! C’est une étude « indépendante » (si, si, c’est écrit sur leur site) conduite par « epi-phare », une émanation de l’ANSM (qui évalue la sécurité des médicaments pour le ministère). Je vais enfin pouvoir cesser de regarder les courbes épidémiques des pays qui ont massivement vacciné et pour lesquels nous assistons à une explosion des cas et des décès.. Et puis pourquoi irais-je chercher la petite bête comme le fait que l’étude s’arrête juste avant la remontée des décès de la 4e vague ? Ou quelle compare 3,6 millions de vaccinés à 3,6 millions de non vaccinés de plus de 75 ans alors même que plus de 75 % des personnes dans la tranche d’âge étaient vaccinés vers la fin de l’étude et que de fait il n’y avait plus suffisamment de non-vaccinés pour en trouver autant que de vaccinés. Le plus rigolo est qu’il semble que l’étude portait sur 7,5 millions de plus de 75 ans alors que la France en compterait un million de moins !
Et voilà, mes délires me reprennent, je vais chercher la petite bête au lieu de me contenter de cette simple affirmation d’efficacité.

Quand bien même le risque de s’injecter et d’avoir des séquelles graves ou de mourir ne serait que d’un sur un million, pourquoi le prendre ? Comment pourrais-je survivre à la mort de mon enfant en pleine santé si d’aventure il décédait d’une injection expérimentale ?

Vient alors le mythe de la vaccination solidaire et altruiste. Il faut que je me ressaisisse et me rappelle que le français de 2020 et 2021 est devenu so-li-dai-re !
Ça va rentrer oui ?

Je dois absolument m’empêcher de penser que même les autorités sanitaires reconnaissent et insistent sur le fait que les vaccinés sont contaminants, qu’ils doivent continuer à porter le masque et qu’ils doivent désormais prendre une troisième dose d’un produit « efficace » pour le rendre « efficace ».

Effacer de ma mémoire les pays qui ont eu un recours massif à l’injection et dont la situation est catastrophique.

Pendant ce temps, tout ce petit monde de « vaccinés » vit comme si tout ceci n’était que mythe ! Pour être honnête, ce n’est pas tout à fait vrai, la plupart ignorent totalement les faits que j’ai relatés, n’ayant qu’une unique source « d’informations ».

Mais revenons au fameux « vaccin solidaire » qui vise à injecter tous les enfants pour (officiellement) empêcher de vieux grabataires de mourir…

Qui peut croire qu’un humain s’injecterait ces poisons ou qu’il l’injecterait à ses enfants pour protéger quiconque s’il avait le sentiment que ces produits sont potentiellement dangereux ou mortels ?

Seule la publicité peut nous faire gober un truc pareil. Les injections sont purement égoïstes. POINT.

Nous avons eu dans un premier temps une petite frange de la population paniquée qui s’est vaccinée « volontairement » pour se protéger du « méchant virus ». Puis le gros de la troupe s’est fait injecter pour aller en vacances, au cinéma ou au restaurant. Croyez-vous que ces millions de Français auraient fait ces injections s’ils avaient pensé qu’il y avait un risque, même infinitésimal, pour leur propre vie ou celle de leurs enfants ? Non, ils sont à ce point crédules (j’avais ajouté « et con », mais je suis désormais politiquement correct) pour gober les mensonges de la dictature et croire ce que les médias vomissent à longueur de journée :

« Une injection expérimentale de masse inédite d’ARNm sur des sujets sains et jeunes ne présente aucun danger ni à court ni à long terme ! »

Ce monde est merveilleux.

À noter que par le passé, l’alcool, le tabac, les rayonnements ionisants, le mercure, l’amiante et j’en passe… ne présentaient aucun danger pour la santé et, qui plus est, étaient considérés pour certains comme bénéfiques, alors pourquoi pas de l’ARN messager ?!

Donc ici aussi je ne peux pas… Je suis dans l’incapacité de croire que cette injection d’ARNm sur tous les habitants de la planète permettra d’éradiquer un virus qu’ils croient dangereux et que cet acte ne présente strictement aucun danger pour la santé.

Nous, les complotistes dissidents, disposons de milliers de témoignages d’effets secondaires graves, nous disposons de centaines de témoignages sur la planète de médecins qui signalent des effets secondaires et des décès à court terme chez des enfants. Nous disposons aussi de témoignages sur les soignants menacés et interdits de faire remonter ces informations. Tous ces soignants respectés hier seraient-ils devenus soudainement fous ou menteurs ?

Mais quand bien même toutes mes objections ne seraient que délire complotiste… Pourquoi prendre le risque d’un cancer à 20 ou 30 ans pour une maladie somme toute bénigne qui ne menace que des personnes à risques spécifiques et pour laquelle il est désormais prouvé que l’injection massive n’amènera pas une immunité de masse ?

Qui est le fou, l’irresponsable ou le criminel comme certains aiment à l’affirmer ? Celui qui critique comme moi ou celui qui injecte ses propres enfants ?

Alors ?

Et moi dans tout ça ?
Je ne suis pas comme tous ces Français absents, je vis les débuts d’une vraie dictature dans laquelle la censure est « juste », dans laquelle il n’y a plus de parlement, ni même de gouvernement et encore moins de juges, mais un « conseil de défense ».
Je suis victime de discrimination, interdit de commerces, de restaurants, de cinémas, de vacances, de voyages et bientôt de travail au nom de la « sécurité ».

Je souffre, je hurle, je pleure… souffrance d’autant plus grande que je ne vois pas les endormis souffrir.
Je suis bien sûr interdit de communication avec toutes ces personnes « heureuses », les médias ne cessant de les mettre en garde contre moi le non-malade, mais pour autant potentiellement contaminateur d’idées. Je possède non pas des indices, mais des centaines de preuves que mes pensées ne sortent pas d’un chapeau, mais toute discussion est vaine et interdite. Tous ces masqués, confinés, vaccinés ne veulent surtout pas savoir… alors je suis leur con et la réciproque l’est tout autant. Ces pourritures de vérificateurs qui pleuvent sur tous les médias de toutes les grandes chaînes rient en parlant de nous les « complotistes ». Ils font de nous des débiles, des naïfs, des analphabètes ou de dangereux psychopathes d’extrême droite de la fachosphère et donc bien sûr antisémites comme il se doit. Ceci afin de bien dédouaner les « bons » Français de discuter avec nous, les « pervers manipulateurs ».

J’ai passé et je passe encore des milliers d’heures à étudier la maladie, les symptômes, les publics touchés, les traitements, les statistiques, l’efficacité de telle ou telle mesure, les « vaccins » ou les études scientifiques publiées avant ou depuis la crise.

Et pourtant ma parole a moins de crédit à leurs yeux qu’un « médecin » médiatique :

  • Qui passe sa vie sur un plateau TV.
  • Qui est allé jusqu’à approuver l’interdiction de prescrire.
  • Dont la « vérité » se résume à la vérité médiatique.
  • Qui de fait n’a pas lu la moindre étude.
  • Et, qui plus est, croule sous les conflits d’intérêts.

Dans notre monde qui a perdu toutes ses valeurs, un tel gars corrompu est crédible, car il passe dans les grands médias et a un diplôme.

Au-delà de l’injustice, au-delà de ce procès en sorcellerie, au-delà de cette interdiction qui m’est faite de discuter, d’argumenter, de prouver mon absence de folie…

Ces autorités, ces médias et ces moutons (comment les appeler autrement ?) m’ont fait un mal terrible.

ILS ont tué (ou tout du moins blessé mortellement) mon empathie ! Je confesse n’en avoir plus rien à faire de leur sort. Je suis usé, lessivé…

Ils veulent continuer à porter leur muselière jusqu’à la fin de leurs jours, vivre comme des moutons et diminuer leurs défenses immunitaires… je n’en ai plus que faire. Ils veulent prendre le risque d’avoir des effets secondaires graves à court, moyen ou long terme ou même mourir de ces injections expérimentales… Grand bien leur fasse ! Pire encore, ils ont pris la décision d’injecter leurs propres enfants dont certains sont déjà ou vont décéder pour qu’ils puissent jouer au foot… Eh bien, cela ne me fait plus rien.

J’ai fait ma part. J’ai écrit des dizaines d’articles sur la dangerosité et la totale inutilité de ces poisons. Ils veulent croire la propagande ? Ils veulent croire l’industrie pharmaceutique alors qu’elle est la plus pourrie de toutes les industries qui de plus prétend agir pour nous ?

Grand bien leur fasse !… Ils m’ont à ce point déçu. Ils ont à ce point cette volonté de mettre la tête dans le sable, de ne pas vouloir savoir… que je ne peux plus RIEN pour eux.

Je les vois tel un banc de sardines. Leur survie est purement statistique comme la survie d’une sardine l’est aussi. D’un côté nous avons (pour peu que les sardines et la masse des Français pensent) « avec de la chance, je vais survivre à l’attaque des requins » et de l’autre « avec de la chance, je vais survivre au vaccin ». Ils ne comptent que sur le faible pourcentage de risques, à leurs yeux inexistants, tout en croyant à la dangerosité de ce virus… statistiquement anodin.

C’est trop tard. Je ne peux plus être empathique. J’ai acquis la conviction que si on leur disait de marcher à quatre pattes ou qu’on les faisait monter dans des trains pour aller dans des camps « afin de se mettre à l’abri du virus », ils le feraient sans la moindre réaction.

Ma survie n’est plus que pur égoïsme pour moi et pour les miens. Tous les résistants, les personnes qui réfléchissent et doutent, nous allons finir par faire tomber cette dictature immonde qui se drape sous ses airs de « bienveillance ». Mais personnellement, et même s’ils en tireront aussi les bénéfices, je ne le fais plus du tout pour eux.
Ils ont tué cette lumière en moi et je ne suis pas prêt de leur pardonner.

Alain Tortosa

12 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211012-et-si-ils-avaient-raison.pdf




Laboratoires pharmaceutiques, psychiatrie et oligarchie apatride mondiale ! Le cocktail mortifère

Par Claude Janvier

Laboratoires pharmaceutiques, psychiatrie et oligarchie apatride mondiale ! Le cocktail mortifère.

28 septembre 2021 : Emmanuel Macron a reçu un œuf sur l’épaule. Immédiatement, le lanceur a été placé en garde à vue, puis interné en hôpital psychiatrique. (1) Depuis, il y est toujours. Ça ne rigole pas dans notre beau pays. Un lancé d’œuf peut vous conduire direct en HP. Et là, vous n’êtes plus rien. Un psychiatre peut conclure à l’abolition de votre discernement et hop ! Bouclé, drogué, voire électrochoqué. — pardon sismochoqué, le terme est plus soft, voire plus chic qu’un électrochoc —, mais le résultat sera le même. Tout est une question de langage diplomatique et démagogique.

Hospitalisation d’office :

Depuis quelque temps, les hospitalisations d’office en hôpital psychiatrique d’opposants ou supposés gênants à la doxa gouvernementale sont à la mode.

— 10 décembre 2020 : le professeur Jean-Bernard Fourtillan, professeur émérite connu notamment pour ses travaux de recherche sur la maladie de Parkinson et d’Alzheimer, a été interné dans un hôpital psychiatrique. Il a été placé en détention provisoire à la maison d’arrêt de Nîmes après son interpellation. Trois jours plus tard, un médecin a considéré que son état de santé nécessitait un placement dans un établissement psychiatrique et le préfet a suivi ces recommandations. (2)

— Décembre 2020 : maître Bernard Ripert, ténor du barreau grenoblois, a été placé en garde à vue à Grenoble dans le cadre d’une procédure ouverte à la suite d’un incident survenu avec un magistrat. Puis, à cause d’une tension élevée, il a été hospitalisé, a reçu une expertise psychiatrique et a été interné sous contrainte. (3) (4)

— 14 juin 2021 : le professeur Éric Caumes, chef de service à l’hôpital de La Pitié-Salpêtrière, docteur en pathologie infectieuse et tropicale, clinique et biologique a été hospitalisé pour « décompensation psychiatrique ». Les sources proches du dossier déclarent qu’il est arrêté pour trois mois à ce jour. (5)

Quid de la facilité de faire interner quelqu’un ? Que dit la loi ?

« Comment se déroule l’hospitalisation sous contrainte ?

La personne hospitalisée sous contrainte est d’abord placée en observation, dans le cadre d’une hospitalisation complète. Dans les premières 24 heures, un médecin réalise un examen complet de la personne, et un psychiatre établit un certificat médical (article L 3211-2-2 du Code de la santé publique). Le certificat médical doit comporter le constat de l’état mental de la personne, et confirmer (ou infirmer) la nécessité de maintenir les soins psychiatriques. Puis, dans les 72 heures qui suivent l’admission, un nouveau certificat médical doit être établi. Si les deux certificats médicaux confirment la nécessité de maintenir les soins psychiatriques, le psychiatre propose alors un parcours de soins et de prise en charge du malade. Avant toute décision, précise la loi, la personne concernée “doit être informée et doit aussi être mise en mesure d’émettre un avis”.

La personne hospitalisée peut-elle contester ?

Depuis le 1er septembre 2014, la légalité de cet acte administratif individuel doit être examinée par le juge des libertés et de la détention dans un délai maximal de douze jours à compter de l’admission, ou à compter du retour en hospitalisation complète. Le tribunal judiciaire se prononce donc dans les douze jours sur la légalité et le bien-fondé de cet acte privatif de liberté pris par une autorité administrative (le Préfet ou un directeur d’établissement).

Donc, pendant 12 jours, vous pouvez être, sans votre consentement, bourré de psychotropes et/ou subir une “sismothérapie”. »

Qui peut lever l’hospitalisation sous contrainte ?

« Plusieurs personnes peuvent en décider.

Le psychiatre : il doit alors certifier que les conditions de l’hospitalisation sur demande d’un tiers ne sont plus réunies. Un certificat circonstancié doit mentionner l’évolution ou la disparition des troubles ayant justifié l’hospitalisation. Dans les vingt-quatre heures qui suivent la fin de cette mesure d’hospitalisation, le directeur de l’établissement en informe le représentant de l’État dans le département, le procureur de la République, et la personne qui a demandé l’hospitalisation.

Le juge peut aussi en décider. L’article L. 3211-12-1 — III du Code de la santé publique précise que “lorsque le juge ordonne une mainlevée, il peut, au vu des éléments du dossier et par décision motivée, décider que la mainlevée prend effet dans un délai maximal de vingt-quatre heures, afin qu’un programme de soins puisse, le cas échéant, être établi en application du II de l’article L. 3211-2-1. Dès l’établissement de ce programme ou à l’issue du délai [de 24 heures], la mesure d’hospitalisation complète prend fin”.

Le représentant de l’État dans le département (généralement le préfet) peut également ordonner la levée immédiate d’une hospitalisation à la demande d’un tiers lorsque les conditions de l’hospitalisation ne sont plus réunies. (6)

Le 19 juin 2020, le Conseil constitutionnel a ordonné au législateur de prendre des mesures pour que le maintien à l’isolement ou en contention en psychiatrie d’une personne hospitalisée sans son consentement soit contrôlé par un juge. En 2017, on estimait que 92 000 patients étaient enfermés en psychiatrie contre leur gré, parfois quelques jours, parfois plusieurs semaines (étude de la démographe Magali Coldefy). » (7) (8) (9)

Un médecin ou un psychiatre et un Préfet peuvent donc vous embastiller et vous pouvez vous retrouver sans le vouloir, drogué, voire plus grave électrochoqué. Et vu que dans un hôpital psychiatrique, vos droits sont réduits pratiquement à zéro, tout peut se faire sans votre consentement.

Vous pensez que j’exagère ? Vu l’historique de la psychiatrie, on peut légitimement se poser la question du bien-fondé de cette « science ».

Psychiatrie : une science vraiment ?

En essence, ce mot signifie médecine de l’âme. La psychiatrie s’est donc, dès le début, perdue en chemin. Si vous pensez guérir d’un passage à vide en allant voir un psychiatre, oubliez. Au mieux, vous tomberez sur un praticien qui vous écoutera et vous fera un peu de bien, mais en général, vous ressortirez avec une ordonnance vous prescrivant un ou plusieurs neuroleptiques.

La psychiatrie a son origine dans les traitements médicaux les plus inhumains. Les neurologues portugais Egas Moniz et Almeida Lima de l’Université de Lisbonne ont reçu un Prix Nobel en 1949 — incroyable, mais vrai ! — pour l’invention et la formalisation de la lobotomie en 1935. En gros, la lobotomie était un trifouillage de votre cerveau se faisant découper ou sectionner par un « boucher chirurgien ».

Vous êtes bien assis ? Prenez un petit cognac, car ce que vous allez lire n’est pas de la science-fiction.

Lobotomie : une horreur absolue

En 1936, le Dr Egas Moniz, neurologue, inventa la lobotomie au « pic à glace ». La technique constitue à enfoncer un pic à glace au coin de l’œil pour atteindre le cerveau, et plus particulièrement le lobe frontal. Cette partie gère, soi-disant les émotions. Le but était donc de créer une lésion au cerveau pour toutes les pathologies, qui à l’époque, relevaient d’un trouble de l’émotion : dépression lourde, schizophrénie, homosexualité et bien d’autres états…

Un de ses disciples, le docteur Walter Freeman, entre 1945 et 1954, parcourut les États-Unis dans sa « Lobotomobile » — véridique — et lobotomisa à peu près 4 000 personnes en enfonçant un pic à glace après avoir soulevé une paupière. Le plus souvent sans anesthésie. À peu près 100 000 personnes furent lobotomisées dans le monde à l’époque. Il faudra attendre 1960 pour que cette abomination soit rayée du menu des « soins » psychiatriques.

À noter qu’en 1941, Freeman opéra la plus célèbre de ses patientes, Rosemary Kennedy, sœur du futur président, âgée de 23 ans. Souffrant, selon ses parents et la thèse officielle, d’un léger retard mental et de trouble de l’humeur, elle subit l’opération, en resta incontinente et passe le reste de sa vie dans un état quasiment végétatif. La lobotomie n’est plus en application heureusement, mais l’électrochoc est toujours réalisé. (10) et (11)

L’Électrochoc : une thérapie ?

Mode d’emploi : le psychiatre envoie un courant électrique dans votre cerveau afin de créer une crise convulsive. Contrairement aux débuts de « l’électrothérapie » le patient est aujourd’hui mis sous anesthésie générale courte (5 à 10 minutes) — ouf, nous voici rassurés, quoique… Car le produit injecté est du curare — oui vous lisez bien —, une substance provoquant une paralysie des muscles, afin de prévenir les convulsions musculaires et éviter qu’il ne se blesse — . Toujours partant pour essayer ?

En bref, cette pratique barbare n’a aucun intérêt, sauf de vous cramer les neurones. Malgré le fait que ce procédé ne soigne pas, la médecine traditionnelle vous en vante toujours les mérites, sous le nom plus chic, mais toujours aussi choc, de sismothérapie. En revanche, la petite cure de « sismo » risque fort de faire de vous un légume au fil des années.

Au final, ce court-jus cervical peut s’avérer bien pratique afin de museler des opposants politiques, ou des gens en petite ou grande détresse mentale. D’ailleurs, les effets secondaires sont significatifs : maux de tête, nausées, et pertes de mémoire à court, moyen ou long terme. Sympa !

Ajoutez à une petite « sismo », un cocktail de neuroleptiques, plus communément appelé « camisole chimique » et vous obtenez un lavage de cerveau très efficace. Vous devenez branché ou à la masse — c’est peut-être là l’origine des deux expressions —. Plus aucune résistance. Tout passe par le bon vouloir du psychiatre qui, suivant son humeur, peut vous délivrer de cet enfer ou vous y maintenir.

Ce qui est incroyable sont les tonnes de louanges figurant dans des sites médicaux, tel que « Passeport santé » (12) par exemple sur ce genre de pratiques et autres.

Louanges que vous avez certainement déjà lues concernant par exemple des médicaments néfastes et des affaires scandaleuses tel que le Médiator, le Distilibène, l’Isoméride, la Dépakine, le Vioxx, les vaccins H1N1, le Lévothyrox et de bien d’autres comme l’histoire ubuesque du Remdesivir dont l’Union européenne a acheté pour plus 1 milliard d’euros de doses juste avant que l’OMS le déconseille contre la Covid-19…

À ce propos, les vaccins Covid-19 qui malgré le fait qu’ils soient toujours en essais cliniques, sont injectés à grand renfort de publicité à quasiment toute la population, provoquant beaucoup de décès et d’innombrables effets secondaires. — Union européenne – dans la base de données de l’Union européenne sur les effets indésirables des vaccins anti-Covid, appelée EudraVigilance, 1 509 266 blessures ont été signalées, dont 15 472 décès, au 19 juin 2021. EudraVigilance n’accepte que les rapports des membres de l’UE, et ne couvre donc que 27 des 50 pays européens —(13)

Mais à écouter la presse mainstream, le gouvernement et la haute caste médicale, les nouveaux vaccins sont si « merveilleux » ! Donc, ceux qui croient encore que les laboratoires pharmaceutiques œuvrent afin d’améliorer votre santé feraient bien de réviser leur copie. Rares sont les médicaments chimiques efficaces vous menant à une guérison complète. En revanche, les bénéfices sont énormes pour les labos et leurs actionnaires.

Bénéfices ultra juteux :

La psychiatrie et l’industrie pharmaceutique ont compris que si chaque comportement pouvait être redéfini comme une maladie mentale, il serait alors possible de vendre des quantités considérables de psychotropes censés modifier les comportements. C’est ainsi que l’on a vu se multiplier le nombre de « troubles mentaux ». Ces derniers sont répertoriés depuis 1952 dans le DSM, Diagnostic Statistical Manual, un ouvrage publié par l’Association Américaine de Psychiatrie, véritable bible mondiale de la psychiatrie.

En 1952, la première version du DSM recensait 112 troubles. En 1968, une nouvelle édition comptait 182 troubles. Aujourd’hui, nous en sommes à la quatrième édition et à 374 troubles mentaux recensés.

Ainsi, par exemple, la timidité est devenue le trouble d’anxiété sociale et il existe bien sûr un antidépresseur supposé le traiter. En 2012, est sortie la cinquième édition du DSM. De nouveaux troubles sont apparus. Ainsi, le trouble de l’acheteur compulsif, le syndrome d’aliénation parentale, le trouble explosif intermittent (colère), le trouble d’alimentation excessive et le trouble relationnel devraient tous faire partie des maladies mentales à traiter. La stupidité et la cupidité ne sont toujours pas traitées… Dommage.

Quelques chiffres :

En 2012, il s’est vendu 131 millions de boîtes de médicaments psychotropes en France. Soit deux boîtes par habitant. À quatre euros le prix moyen d’une boîte de psychotropes, cela fait 524 millions d’euros par an de CA. Bien loin d’être neutre.

À noter qu’en 2018, le chiffre d’affaires des médicaments en France s’élevait à environ 29 milliards d’euros. Chiffre d’affaires mondial en 2020 des médicaments : 1 046 milliards de dollars. (14) et (15)

Edouard Zarifian, un rare psychiatre honnête

« Dans son rapport, publié en 1996, concernant la prescription et l’utilisation de médicaments en France, le regretté Édouard Zarifian, psychiatre hospitalier universitaire à Caen avait écrit : “La France consomme plus de médicaments que les pays de niveau économique comparable. Les psychotropes, en particulier, sont trois fois moins utilisés en Allemagne ou en Grande-Bretagne. En France, ‘l’évolution totale de la classe de psychotropes est due à l’augmentation des ventes d’antidépresseurs. Cette classe thérapeutique a connu une augmentation de 5,63 % par an en moyenne de 1990 à 1994’, soit une hausse en dépenses de 10 % par an. ‘Si le taux de croissance de la Grande-Bretagne paraît plus élevé que celui de la France dans la période 1990-1994, il faut noter que le volume de prescriptions [d’antidépresseurs] en France en 1990 était de 40 % supérieur à celui de la Grande-Bretagne à la même époque. […]»

Les femmes en consomment plus que les hommes. 22,7 % de femmes contre 12,9 % pour les hommes, et plus elles avancent en âge, plus la consommation augmente jusqu’à 75 ans. Les adolescents ne sont pas épargnés et comme pour les adultes, ce sont les adolescentes qui en prennent le plus : 23,4 % contre 13,8 %. Et dans un tiers des cas, ce ne sont pas les médecins qui prescrivent en première intention ces psychotropes, mais leurs parents qui prennent sur leur bonnet de leur en donner, car leurs médecins leur ont fait une ordonnance !

Il n’existe actuellement aucune réflexion dans le milieu médical, et en particulier dans le milieu psychiatrique académique, sur l’éthique de la prescription de médicaments psychotropes. Les leaders d’opinion restent muets face à l’abaissement de la limite entre le normal et le pathologique, ouvrant de nouveaux marchés à la prescription ; […] ils acceptent la banalisation de l’utilisation des psychotropes pour lesquels il n’existe nulle part de pharmacovigilance spécifique de leurs possibles effets psychiques indésirables. […] Il existe une intentionnalité claire de fournir exclusivement aux médecins généralistes ou aux spécialistes, par la voie de discours académiques, une représentation monolithique réduite aux seuls symptômes accessibles aux seuls médicaments.” Alors que “pratiquement toutes les études cliniques, épidémiologiques, médico-économiques, sont suscitées, financées et exploitées au plan statistique de manière autonome par l’industrie ou par des sous-traitants qu’elle rémunère.” » (16)

Après cet exposé clair et concis, revenons aux « pilules magiques » qu’une majorité de gens avalent comme des boules de gomme.

Pilules et vaccins magiques : une relation ?

« La collectivité débourse environ un milliard d’euros chaque année pour ses petites pilules du bonheur quand la moitié voire les deux tiers pourrait être facilement économisé. Ajoutons à cela, le prix des dizaines de milliers de journées d’hospitalisations liées aux effets secondaires. Mais surtout, la facture est très lourde sur le plan humain. On a tendance à l’oublier, mais les psychotropes agissent en modifiant la chimie de nos neurones. Mal prescrits, mal utilisés, ils peuvent mettre le feu dans le cerveau et être à l’origine de détérioration cérébrale (troubles de mémoire, voire Alzheimer), modifications du comportement (agitation, confusion mentale, désinhibition…), malformations du fœtus, accidents de toute sorte (voitures, chutes notamment des personnes âgées) et jusqu’à des actes de violence de type infanticides, homicides, suicides. »

Nous avons donc une population sur-gavée de neuroleptiques, donc droguée et de facto avec une réflexion amoindrie. Corollaire : l’acceptation aussi rapide par une majorité de gens d’un liquide expérimental appelé trompeusement vaccin ne peut se faire qu’avec une réflexion amoindrie, ce qui expliquerait en partie cette ruée inexplicable. Bien que chaque personne, droguée ou non, peut toujours conserver un certain pourcentage de lucidité et ne pas être en accord. Mais le désir de voyager, de manger au resto et d’aller siroter sur une terrasse son verre de Spritz avec son bol de pop-corn vaut bien une piquouse… Vendre son âme pour un shoot… Pathétique et affligeant. (17)

Le Prozac est à la mode et se vend sans ordonnance sur Internet.

Hé oui, vous pouvez vous droguer tranquille.

Extrait de « Santé Féminine » : — le titre de ce canard serait-il trompeur ? — .

« Pourquoi faut-il prendre le Prozac ?

Le Prozac est un médicament de la famille des inhibiteurs sélectifs du re captage de la sérotonine, on l’utilise dans le traitement de la dépression où il aide à améliorer l’humeur. Nombreuses sont les personnes qui font usage de cet antidépresseur efficace aux effets secondaires réduits. La substance active contenue dans le Prozac est la Fluoxétine qui est un psychotrope de type inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine (ISRS). La Fluoxétine a été développée par la firme Eli Lilly en 1974 et mise sur le marché pharmaceutique sous le nom commercial de Prozac en 1986. La Fluoxétine va agir au niveau de certaines parties du cerveau en augmentant le niveau de la sérotonine qui est un neurotransmetteur. Les bienfaits du Prozac sont souvent visibles au bout de quelques semaines après le début du traitement. Il sera donc possible d’attendre quelques semaines avant que l’effet de la Fluoxétine n’atteigne son seuil maximal. En plus de traiter la dépression, le Prozac permet également de réduire ou d’éliminer les symptômes du trouble obsessionnel compulsif et pour traiter la boulimie, un trouble de l’alimentation. En effet, la FDA qui est l’équivalent de l’Agence européenne des médicaments (AEM) aux États-Unis a approuvé l’utilisation du Prozac 60 mg par jour pour le traitement de la boulimie. De façon simple, vous pouvez utiliser le Prozac pour la perte de poids, mais ceci sous le contrôle d’un spécialiste. Le Prozac peut donc être prescrit pour : épisodes dépressifs majeurs. Troubles obsessionnels compulsifs. Boulimie, trouble dysphorique prémenstruel.

Prozac en France :

En France, le médicament Prozac est très demandé, il est d’ailleurs le troisième meilleur médicament le plus vendu. Les chiffres parlent d’eux-mêmes avec près de 11,2 millions de boîtes achetées et 1 million de Français par an à prendre du Prozac. Les avis des Français sont divergents : beaucoup le trouvent génial, et à ce titre, il a d’ailleurs reçu le petit nom de pilule du bonheur ou pilule de tous les fantasmes, celle qui fait jouir. Suite à l’expiration du brevet Prozac détenue par Eli Lilly d’autres laboratoires ont également développé et commercialisé la Fluoxétine, ainsi, on trouve plusieurs génériques Prozac en vente en France. Le Prozac générique est également en vente sous le nom de Sarafem.

Prozac sevrage : ça se gâte.

Un arrêt brutal du traitement Prozac peut entraîner des symptômes de sevrage. Le risque de symptômes de sevrage dépend de plusieurs paramètres comme : posologie, durée du traitement, rythme de diminution de la posologie. Les réactions les plus fréquentes rapportées étaient les suivantes : sensations vertigineuses, troubles sensoriels, troubles du sommeil, asthénie, agitation ou anxiété, nausées, tremblements, céphalées. L’arrêt du traitement Prozac doit se faire de façon progressive en diminuant la dose.

Prozac effets secondaires :

Les effets indésirables du Prozac fréquemment rapportés sont : céphalées, nausées, insomnie, fatigue, diarrhée. Les effets indésirables peuvent diminuer en intensité et en fréquence lors de la poursuite du traitement sans toutefois que l’arrêt du traitement ne soit nécessaire. » (18)

Et vous faites toujours confiance aux labos ?

La drogue du violeur

Un benzodiazépine hypnotique, le Zolpidem reste la principale « drogue du violeur »

La soumission chimique, en vue d’agression sexuelle, de vol ou de maltraitance, est liée dans les trois-quarts des cas à la prise d’un médicament, benzodiazépine en tête.

« La soumission chimique consiste en l’administration à des fins criminelles ou délictuelles (agression sexuelle, vol, maltraitance) de substances psychoactives à l’insu de la victime ou sous la menace. En 2017, ces méfaits, qui touchent principalement les femmes, sont en augmentation de 36 % par rapport à 2016, avec 462 cas de soumission chimique rapportés, selon une enquête publiée le 13 mars par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). Dans les trois-quarts des cas, un médicament est impliqué : 4 fois sur 10, il s’agit de benzodiazépines ou apparentés.

Le produit le plus utilisé reste le Zolpidem. Il est suivi du Diazépam, puis du Bromazépam et de la Zopiclone. “L’utilisation du Zolpidem a toutefois amorcé une baisse, alors que le recours au Diazépam et à la Zopiclone a bien progressé. Quant au Clonazépam, il persiste encore, mais en faible proportion”, indiquent les auteurs de l’enquête. On retrouve également des sédatifs divers, avec sur le podium la Cyamémazine, les antipsychotiques puis l’Hydroxyzine. Enfin, parmi les substances non médicamenteuses utilisées, le MDMA se maintient en tête et voit son chiffre doubler par rapport à 2016, et le GHB a été détecté dans 3 cas. » (19)

Donc, la drogue du violeur est un médicament chimique inventé par des labos. Pas belle la vie ?

Et vous faites toujours confiance aux labos ? Oui, je sais, je me répète, mais c’est au cas où…

Oligarchie mondiale financière apatride :

Les liens entre les laboratoires pharmaceutiques, la psychiatrie, et l’oligarchie mondiale financière sont évidents. Tout ce « beau linge » marche ensemble, engrange des bénéfices indécents, tout en regardant la majorité de la population planétaire obtempérer sans résistance. Droguez-vous en paix, dormez en paix, moutonnez en paix braves gens, nous veillons sur vous… Continuez à ne vous préoccuper que de futilités, nous nous occupons du reste. Désolé, si certains n’apprécient pas mes propos, mais le fait est que, si la majorité de gens refusait que des lois liberticides soient votées et appliquées, nous n’en serions pas là.

Ajoutez à cela la facilité avec laquelle la majorité a accepté le port du masque généralisé, a accepté sans broncher l’injection d’un liquide expérimental, — encore sous essais cliniques, a accepté le passe sanitaire de la honte, et enfin accepte de continuer à se bourrer de médicaments nocifs à la santé, nous n’en serions toujours pas là. C’est bien normal de s’occuper de sa vie, de sa famille, de sa petite auto et de ses vacances, mais c’est très loin d’être complet. La vie embrasse beaucoup de domaines, à commencer par la vie en société, la politique, les relations avec les autres, les animaux, la planète et la spiritualité.

À noter que les vaccins Covid-19 n’ont bénéficié à leur lancement que d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle en raison du fait que les expérimentations, normalement réalisées d’abord avec des animaux infectés, puis avec des patients infectés afin d’observer le degré de succès du médicament sont insuffisantes pour en garantir l’efficacité et la sûreté. C’est également la raison pour laquelle les fabricants de produits à ARNm ont demandé à être déchargés de leurs responsabilités quant aux effets secondaires pouvant survenir. De ce fait, leur injection viole l’article 32 de la Convention de Genève de 1949. Cet article stipule que « les mutilations et les expériences médicales ou scientifiques non nécessaires au traitement médical d’une personne protégée » sont interdites.

Au-delà de quelques familles connues — Rothschild, Rockefeller, Warburg — pour leur fortune et leurs implications dans l’organisation et l’établissement d’un gouvernement occulte mondial, il est nécessaire de souligner que depuis quelques années, l’oligarchie mondiale financière apatride a pris l’aspect de groupes financiers mondiaux tentaculaires, dirigé au sommet par la City de Londres et possédant des actions dans presque toutes les sociétés mondiales. Leurs valets obéissants et ultra-friqués tels que Bill Gates, George Soros, et les GAFAM — Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft — s’assurent de la propagande, du noyautage des états et de la censure. (20)

Tout ce beau monde ultra protégé par une armée de mercenaires et de gardes du corps, s’assure d’emmagasiner toujours plus d’argent tout en se faisant construire, en Nouvelle-Zélande par exemple, une villa bunker tout confort — piscine intérieure, jacuzzi, lumière artificielle, etc. –

Un exemple :

« Le milliardaire Peter Thiel, fondateur de PayPal et de Palantir, a lancé le mouvement en 2015, en achetant pour près de 12 millions d’euros une ferme et près de 200 hectares de terrain sur les rives du lac Wanaka, dans le sud de la Nouvelle-Zélande. Il y a fait construire une pièce ultra sécurisée. Avec quatre autres entrepreneurs de la Silicon Valley, dont Sam Altman, patron de Y Combinator, il garde toujours un avion prêt à s’envoler et à traverser 7 000 kilomètres au-dessus du Pacifique au moindre signe d’apocalypse ou de révolte sociale. L’un d’entre eux avoue même conserver dans son garage de San Francisco une moto et des armes, pour rejoindre au plus vite l’avion privé. » (21)

Parano les cocos. Altération mentale en vue, mauvais signe ! Un petit Prozac ? Il parait que ça détend…

Vanguard, BlackRock, State Street sont les nouveaux empires financiers tentaculaires. Time Warner, Comcats, Disney, News Corp appartiennent aux deux premiers, contrôlant ainsi plus de 90 % des médias américains. À eux trois, ils détiennent des participations dans 1600 entreprises américaines avec des revenus combinés en 2015 s’élevant à 9 100 milliards de dollars. Bagatelle !

Les actions des plus grandes entreprises du monde sont détenus par ces quelques investisseurs. Ils sont tous propriétaires interactifs. Des marques concurrentes comme Coca-Cola et Pepsi ne le sont pas, puisque leurs actions sont détenues par ces conglomérats. La mondialisation financière dans toute sa splendeur. Un rapport de Bloomberg indique que ces deux sociétés, en 2028, auront ensemble des investissements d’un montant de 20 000 milliards de dollars. Cela signifie qu’elles posséderont presque tout.

Vanguard, le principal actionnaire de BlackRock depuis mars 2021, n’est pas coté en bourse. Ceux qui possèdent Vanguard n’aiment apparemment pas être sous les feux de la rampe : Rothschild Investment Corp et Edmond De Rothschild Holding en font partie, tout comme la famille italienne Orsini, la famille américaine Bush, la famille royale britannique, la famille du Pont, les Morgan, les Vanderbilt, les Rockefeller, etc. Toujours les mêmes !

BlackRock et Vanguard possèdent Big Pharma. En février 2020, BlackRock et Vanguard étaient les deux plus grands actionnaires de GlaxoSmithKline, avec respectivement 7 % et 3,5 % des actions. Chez Pfizer, la propriété est inversée, Vanguard étant le premier investisseur et BlackRock le deuxième plus grand actionnaire.

Vous n’y croyez toujours pas ? Un exemple : Merckgroup.

Page de pub du site de Merck : « C’est une équipe vibrante de spécialistes dans les domaines de la Santé, des Sciences de la vie et des Matériaux de haute performance. Chez Merck, nous partageons le même amour de la science et la même passion pour la technologie. » (22)

Oh, que c’est beau ! Sauf que le premier actionnaire de Merck est The Vanguard Group, Inc., qui détient par ailleurs aussi des parts dans des grandes sociétés comme Michelin, Amazon, American Express, Pernod-Ricard, Monsanto, ExxonMobil, Alphabet, Dow Chemical ou encore Foxconn (liste non-exhaustive). N’en jetez plus… Les grandes sociétés françaises du CAC -40 sont aussi gangrenées. J’avais presque oublié que Vanguard est également le principal actionnaire de Microsoft, Facebook, Google, Apple — en gros, les Big Techs — et de Goldman Sachs.

Blackrock Inc., est n° 1 mondial de la gestion d’actifs avec 8 676 milliards de dollars d’actifs à la fin de 2020, le positionnant devant The Vanguard Group avec ses 6 200 milliards de dollars d’actifs sous gestion au début de 2020.

Vertigineux. Dans l’absolu, on pourrait penser qu’un gouvernement mondial serait une bonne solution, car il éviterait les querelles et guerres inutiles entre pays et qu’au final, tous les citoyens de cette planète bénéficieraient de la bienveillance de ces « bons samaritains oligarchiques ». Sauf que ce n’est pas le cas. Leurs âmes sont noires et leurs desseins sont tout, sauf altruistes.

La meilleure preuve en est qu’avec autant d’argent empilés dans des actions, des comptes bancaires numérotés et des stocks options, la misère, la faim, l’illettrisme et la pauvreté n’ont toujours pas disparu de la planète et sont même plutôt en augmentation. Donc, bémol, il y a, et bémol, il y aura si nous leur laissons le champ libre.

Claude Janvier


Ecrivain polémiste.
https://www.is-edition.com/actualites/parution-le-virus-et-le-president-jean-loup-izambert-claude-janvier/




Fact checkers ou désinformateurs ? Trois questions à Jean-Yves Le Gallou

[Source : Observatoire du journalisme (Ojim.fr)]

“Fact checkers”, vérificateurs, décodeursdésintox… Pas un média ne fait désormais l’économie de ces spécialistes, chargés de “débunker” (démystifier) les “fake news” (fausses nouvelles), que ce soit sur internet ou dans la bouche des politiques (de préférence à droite de l’échiquier). Derrière ces anglicismes se cache un appareillage militant où la neutralité passe souvent au second plan. Le dernier exemple en date, lors du débat Zemmour-Mélenchon sur BFMTV, a mis en lumière certaines de leurs pratiques mais également leurs limites.
Jean-Yves Le Gallou est essayiste, haut fonctionnaire et ancien Député européen. Depuis bientôt 10 ans, il dirige la fondation Polémia, “réservoir à idées” particulièrement actif dans le domaine de la critique média. Il anime également depuis plusieurs années l’émission I Média sur TV Libertés, offrant un décryptage de l’actualité médiatique. L’un des derniers épisodes d’I Média portait justement sur le “fact-checking”. L’Ojim a voulu en savoir plus.

Voir aussi : Franceinfo : le Vrai du Faux décode à pleins tubes – Ojim.fr

Vous vous êtes exprimé récemment à propos du “fact checking” réalisé par les équipes de BFMTV à l’occasion du débat Zemmour-Mélenchon. Selon vous, ces “vérificateurs” sont des désinformateurs. Pouvez-vous développer ce point ?

Le « fact checking », la « vérification »  des informations telle qu’elle est effectuée par les journalistes des grands médias a un double objectif :

  • permettre aux journalistes de reprendre le pouvoir et le contrôle de l’information aux dépens de leurs invités, en particulier les politiques,
  • sauver le point de vue politiquement correct des attaques qu’il subit et le protéger des assauts du réel.

J’ajouterais que tous ces anglicismes (“fact checking”, “fake news”, “debunkage”) sont à l’image du salmigondis prétentieux en usage dans les agences de communication, pour donner une impression de sérieux, « un vocabulaire de spécialistes qui ne peuvent se tromper ».

Le « fact checking »  présente un triple biais :

  • dans le choix des personnalités dont on vérifie ou non les affirmations : à ce propos combien de « fact checking » sur les déclarations de Véran, régulièrement approximatives  et non sourcées, sinon carrément mensongères ?
  • dans le choix des questions et des sujets,
  • dans le choix des « experts » : ainsi sur la question de l’immigration pourquoi faire appel à Hervé Le Bras qui prétendait déjà il y a 30 ans que « l’immigration était stable » et « qu’il n’y avait pas de baisse de la fécondité des Françaises » et non à Michèle Tribalat plus lucide et plus rigoureuse, sinon pour tromper l’opinion ?

Qu’est-ce qu’un bon expert ? Ce n’est pas quelqu’un qui dit des choses justes, c’est quelqu’un qui présente de manière pseudo scientifique les affirmations politiquement correctes qu’on attend de lui. Et qui lui permettent d’être réinvité, d’avoir un accès régulier aux grands médias et donc de trouver des éditeurs et des sponsors pour ses travaux.

Voir aussi : Qui sont les « Décodeurs » ? Entre GAFAM, argent et influence. Première partie – Ojim.fr

Cela pose la question plus large de l’objectivité et du devoir de neutralité : un mythe ?

Il n’y a pas d’objectivité possible car tout article, tout reportage, tout documentaire est « anglé » : il analyse les faits depuis un point de vue. Et celui-ci est par nature subjectif et partiel, sinon partial ! Le point de vue de la victime n’est pas le même que celui du délinquant. Et un chiffre même exact n’a de sens qu’en rapport avec d’autres chiffres.

J’ajoute que dans la pensée européenne – et en dehors des dogmes religieux – il n’est possible d’approcher les vérités que par la libre confrontation des points de vue. La logique du « fact checking » n’est pas celle-là, c’est celle du MINIVER, le ministère de la vérité dans 1984 d’Orwell. Les « fact checkers » sont au service de la vérité officielle de Macron.

Il faut les dénoncer avant qu’ils n’arraisonnent le débat démocratique : imaginez le rôle qu’ils pourraient jouer dans un débat de deuxième tour de l’élection présidentielle où ils ne manqueraient pas de confirmer les dires du candidat « gentil » et de désavouer les affirmations du candidat « méchant ».

Derrière la guerre de l’information, la guerre culturelle ?

Bien sûr : c’est une guerre des représentations. La propagande vise à faire croire des affirmations contradictoires : ainsi « le Grand Remplacement n’existe pas »  mais « la créolisation, c’est formidable ».

Voir aussi : Loi sur les fake news, le point de vue de François-Bernard Huyghe : une loi idéologique – Ojim.fr

Voir aussi : I‑Média n° 364 — Fact-checkers : Les désinformateurs

Ce contenu est mis à disposition selon les termes
de la Licence Creative Commons Attribution – Pas d’Utilisation Commerciale – Pas de Modification 4.0 International.


[Voir aussi :
Un journaliste parle : « la censure est permanente dans les médias mainstream »
Les relations troubles entre les journalistes et la CIA
La Presse-Système
Paris. Étudiante en école de journalisme, une jeune Kabyle subit la censure et la pression de sa direction et des autres élèves
Journalisme et vérité font-ils bon ménage dans les grands médias ?]




Au sujet de la vaccination obligatoire




Project Veritas : des scientifiques de Pfizer piégés en caméra cachée sur la vaccination ?

[Source : RT en français]

Trois hommes interrogés à leur insu par le média conservateur Project Veritas, présentés comme des scientifiques travaillant pour l’entreprise pharmaceutique américaine Pfizer, se sont exprimés sans filtre sur la vaccination contre le Covid-19.

Le média conservateur américain Project Veritas – connu pour diffuser des enregistrements en caméras cachées – a mis en ligne le 5 octobre une vidéo d’une dizaine de minutes dans laquelle apparaissent à tour de rôle des protagonistes présentés comme des scientifiques du laboratoire Pfizer, filmés à leur insu lors de conversations informelles sur la vaccination contre le Covid-19. A l’heure où nous écrivons ces lignes, la vidéo en question a déjà cumulé plusieurs millions de vues, toutes plateformes confondues.

Les différents profils qui apparaissent à l’écran émettent en premier lieu de sérieuses réserves concernant la pertinence de la stratégie vaccinale en vigueur aux Etats-Unis. «Il s’agit juste de rendre la vie impossible à tous les non-vaccinés», jusqu’à les faire céder, «Si vous empêchez les non-vaccinés de faire quoi que ce soit, en permettant aux vaccinés de faire ce qu’ils veulent, les gens finissent par se dire : « Putain, laissez-moi juste me faire vacciner »», résume par exemple l’un des protagonistes.

«Tout se résume au profit», dénonce un protagoniste

Ils pointent en outre une recherche excessive de profit dans le secteur pharmaceutique qui, selon certains interlocuteurs de Project Veritas, aurait joué un rôle significatif pour écarter des traitements contre le coronavirus. «Vous avez des entreprises qui ont reçu énormément d’argent pour produire des vaccins et [les traitements par anticorps monoclonaux] sont mis de côté juste pour l’argent, c’est dégoûtant», déplore ainsi un des hommes interrogés à son insu, faisant ici référence à des anticorps fabriqués spécifiquement pour traiter une maladie, dont l’arrivée en France avait d’ailleurs été annoncée par le gouvernement en février 2021.

«J’ai vraiment l’impression de travailler pour une entreprise diabolique, tout se résume au profit alors que mon rôle est d’aider les gens, pas de faire des millions de dollars, ça pose un dilemme d’ordre moral […]. En ce moment, notre entreprise est dirigée par l’argent du Covid», surenchérit le même personnage à d’autres moments de la vidéo.

Vous ne parlez pas de choses qui pourraient vous causer du tort à vous, ou à Big pharma

Enfin, les interlocuteurs de Project Veritas décrivent le climat de censure auquel ils seraient confrontés, évoquant notamment une surveillance accrue sur leur lieu de travail. «On nous répète que « le vaccin est plus sûr que le Covid ». Genre, franchement, on a du faire tellement de séminaires là-dessus, tu n’as pas idée. Genre, on doit s’assoir pendant des heures et des heures en mode « Vous ne pouvez pas parler de cela… ce n’est pas public »», affirme l’un d’entre eux. «Il y a des yeux et des oreilles partout […] à Pfizer, dans les locaux. Donc vous ne parlez pas de choses qui pourraient vous causer du tort à vous, ou à Big pharma», abonde encore en ce sens un autre. 

Project Veritas, qui n’a pas précisé comment avait été obtenus ces propos ni dans quel contexte, a fait le choix de révéler l’identité de ses interlocuteurs, tous présentés comme scientifiques travaillant pour le laboratoire américain : Chris Croce, Rahul Khandke ou encore Nicholas Karl. Pour ce dernier, le média américain a d’ailleurs publié une autre vidéo dans laquelle le protagoniste semble réaliser qu’il a été filmé sans le savoir.

Nicholas Karl aurait depuis supprimé son compte sur Linkedin selon Eric Spracklen de Project Veritas. 

Fondée par James O’Keefe, cette organisation militante conservatrice publie régulièrement du contenu multimédia obtenu dans le cadre de caméras cachées ou encore d’enregistrements téléphoniques, parfois sujets à controverse.

De l’autre côté de l’Atlantique, l’Agence européenne des médicaments (EMA) vient de donner, le 4 octobre, son accord pour envisager l’administration d’une troisième dose du vaccin Pfizer-BioNtech pour les plus de 18 ans, «au moins six mois après la deuxième dose». Selon elle, ce rappel renforce la protection face au Covid-19.




« Je n’en peux plus »

[Source en allemand : multipolar-magazin.de]

Dans une lettre ouverte, un collaborateur d’ARD critique un an et demi de reportages sur la Covid-19. Ole Skambraks travaille depuis 12 ans comme collaborateur éditorial et rédacteur en chef de la radio publique.


Par OLE SKAMBRAKS

Je ne peux plus me taire. Je ne peux plus accepter sans mot dire ce qui se passe depuis maintenant un an et demi chez mon employeur, la radiodiffusion de service public. Les statuts et les traités d’État sur les médias consacrent des éléments tels que « l’équilibre », la « cohésion sociale » et la « diversité » dans la couverture médiatique. C’est tout le contraire qui se pratique. Il n’y a pas de véritable discours et d’échange dans lequel toutes les composantes de la société se retrouvent.

Dès le début, j’ai estimé que la radiodiffusion de service public devait remplir précisément cet espace : promouvoir le dialogue entre les partisans de l’action et les critiques, entre les personnes qui ont peur du virus et les personnes qui ont peur de perdre leurs droits fondamentaux, entre les partisans de la vaccination et les sceptiques de la vaccination. Mais depuis un an et demi, l’espace de discussion s’est considérablement rétréci.

Les scientifiques et les experts respectés avant la Covid-19, qui ont reçu un espace dans le discours public, sont soudainement des cinglés, des porteurs de chapeaux d’aluminium ou des covidiots. L’exemple cité est celui de Wolfgang Wodarg. Il est médecin spécialiste, épidémiologiste et politicien de longue date en santé. Jusqu’à la crise Covid, il a également siégé au conseil d’administration de Transparency International. En 2010, en tant que président de la commission de la santé publique du Conseil de l’Europe, il a mis au jour l’influence de l’industrie pharmaceutique dans la pandémie de grippe porcine. À l’époque, il pouvait exprimer personnellement son opinion à la radio publique, et ce n’est plus possible depuis la Covid-19. Il a été remplacé par ce que l’on appelle des vérificateurs de faits [ou « fact checkers » en anglais] qui le discréditent.

Un consensus paralysant

Au lieu d’un échange de vues ouvert, un « consensus scientifique » a été proclamé, qu’il convient de défendre. Ceux qui en doutent et réclament une perspective multidimensionnelle sur la pandémie récoltent l’indignation et l’hésitation.

Ce schéma fonctionne aussi au sein des rédactions. Depuis un an et demi, je ne travaille plus dans les actualités quotidiennes, ce dont je suis très heureux. Dans ma position actuelle, je ne participe pas aux décisions sur les questions qui seront traitées ni sur la manière dont elles le seront. Je décris ici ma perception des conférences de rédaction et d’une analyse de la couverture médiatique. Pendant longtemps, je n’ai pas osé sortir du rôle d’observateur, le prétendu consensus semblait trop absolu et à l’unisson.

Depuis quelques mois, je m’aventure sur la glace [au risque de glisser] et j’apporte ici et là une remarque critique lors de conférences. Il est souvent suivi d’un silence affecté, parfois d’un « merci pour l’indication » et parfois d’une leçon sur les raisons pour lesquelles ce n’est pas vrai. Cela n’a jamais donné lieu à des reportages.

Le résultat d’un an et demi de Covid-19 est une division de la société sans équivalent [dans l’Histoire]. La radiodiffusion de service public y a largement contribué. Elle assume de moins en moins sa responsabilité de construire des ponts entre les camps et de promouvoir les échanges.

On avance souvent l’argument selon lequel les critiques constituent une petite minorité qui n’a pas besoin d’être concertée, à qui il ne faut pas accorder trop de place pour des raisons de proportion. Cela devrait être réfuté au plus tard depuis le référendum en Suisse sur les mesures sanitaires. Bien qu’il n’y ait pas non plus d’échanges de vues libres dans les médias, le vote n’y a été que de 60 pour le gouvernement contre 40.(([1] L’exception était la couverture du référendum, pendant laquelle la télévision suisse était tenue de donner aux deux parties la même place de diffusion (vidéo ici) )) Peut-on parler d’une petite minorité à 40 % des suffrages exprimés ? Il convient de mentionner que le gouvernement suisse avait lié l’aide Covid au vote, ce qui a pu influencer la décision de certains de cocher le « oui » [en faveur du gouvernement].

Les développements de cette crise se déroulent à tant de niveaux, avec des répercussions sur toutes les composantes de la société, qu’en ce moment même, il faut non pas moins d’espace de débat, mais plus de liberté de débat.

Ceci n’est pas révélateur de tout ce qui est discuté à la radio publique, mais de ce qui n’est pas évoqué. Les raisons en sont multiples et nécessitent une analyse interne honnête. Les publications du chercheur en médias et ancien conseiller de la radio MDR Uwe Krüger peuvent y contribuer, comme par exemple son livre « Grand public — Pourquoi nous ne faisons plus confiance aux médias ».

Quoi qu’il en soit, il faut beaucoup de courage pour nager à contre-courant lors de conférences où des sujets sont débattus et discutés. Souvent, c’est celui qui est le plus éloquent qui peut présenter ses arguments, qui les imposent, et en cas de doute, c’est bien sûr la direction de la rédaction qui décide. Très tôt, l’équation a été que la critique des mesures sanitaires appartient au spectre de droite. Quel rédacteur en chef ose encore formuler une pensée contraire ?

Questions en suspens

Ainsi, la liste des incohérences et des questions en suspens qui n’ont pas reçu de rapports substantiels est très large :

  • Pourquoi en savons-nous si peu dans la recherche de « gain de fonction » sur la façon de rendre les virus plus dangereux pour l’homme ?
  • Pourquoi la nouvelle loi sur la protection contre les infections stipule-t-elle que le droit fondamental à l’intégrité physique et l’inviolabilité du logement peuvent désormais être restreints, indépendamment d’une situation épidémique ?
  • Pourquoi les personnes qui avaient déjà eu la Covid-19 doivent-elles se faire vacciner alors qu’elles sont au moins aussi bien protégées que les personnes vaccinées ?
  • Pourquoi ne parle-t-on pas de l’événement 201 et des exercices pandémiques mondiaux avant la propagation du SRAS-CoV-2 ou seulement en liaison avec des mythes conspirationnistes ?(([2] Les autres exercices d’urgence pandémique étaient « Clade X » (2018), « Atlantic Storm » (2005), « Global Mercury » (2003) et « Dark Winter » (2001). Ces exercices ont toujours porté sur la gestion de l’information.))
  • Pourquoi le document interne du ministère fédéral de l’Intérieur, connu des médias, n’a-t-il pas été publié dans son intégralité — et a-t-il été discuté par l’opinion publique ? — alors qu’il demandait que les autorités aient un « effet de choc » pour mettre en évidence les effets de la pandémie Covid sur la société humaine ?
  • Pourquoi l’étude du Professeur Ioannidis sur le taux de survie (99,41 % chez les moins de 70 ans) n’arrive-t-elle pas à faire les gros titres, alors que les projections fatalement fausses de l’Imperial College l’ont déjà fait (Neil Fergusson a prédit un demi-million de morts de la Covid-19 au Royaume-Uni au printemps 2020 et plus de 2 millions aux États-Unis) ?
  • Pourquoi un rapport d’expertise a-t-il été établi pour le ministère fédéral de la Santé que le taux d’utilisation des hôpitaux par les patients de Covid-19 n’était que de 2 % en 2020 ?
  • Pourquoi Brême a-t-elle de loin l’incidence la plus élevée (113 le 4/10/2021) et de loin le taux de vaccination le plus élevé en Allemagne (79 %) ?
  • Pourquoi des paiements de 4 millions d’euros ont-ils été versés sur un compte familial de la commissaire européenne chargée de la santé, Stella Kyriakides, responsable de la conclusion des premiers contrats européens de vaccins avec les groupes pharmaceutiques ?(([3] Panorama a fait état des paiements, mais le rôle des Kyriakides dans les contrats de vaccin anti-Covid n’a pas été clairement indiqué. Pour le reste, le sujet n’a pas eu beaucoup d’importance dans les médias.))
  • Pourquoi les personnes ayant de graves effets vaccinaux ne sont-elles pas dépeintes dans la même mesure qu’en 2020 les personnes atteintes de Covid-19 l’étaient ?(([4] Par exemple, la radio publique n’a guère parlé du musicien britannique Eric Clapton, qui a développé de vives réactions après la vaccination et qui les regrette aujourd’hui.))
  • Pourquoi personne ne s’inquiète-t-il de l’impropre comptage des « cas » de contamination ?(([5] Selon l’ICR, il y a un « cas » si un vacciné présente à la fois un test positif et des symptômes — pour les personnes non vaccinées, un test positif suffit. De cette manière, les personnes non vaccinées sont statistiquement plus importantes.))
  • Pourquoi les Pays-Bas signalent-ils beaucoup plus d’effets indésirables des vaccins Covid-19 que les autres pays ?
  • Pourquoi la description de l’efficacité des vaccins Covid-19 du côté de l’Institut Paul Ehrlich a-t-elle changé trois fois au cours des dernières semaines ? « Les vaccins Covid-19 protègent contre les infections par le virus SRAS-CoV-2. » (15 août 2021) « Les vaccins Covid-19 protègent contre toute infection grave par le virus SRAS-CoV-2 » (7. « Les vaccins Covid-19 sont indiqués pour l’immunisation active pour la prévention de la maladie de Covid-19 causée par le virus SRAS-CoV-2 » (27 septembre 2021)(([6] sous la rubrique « Liste des vaccins autorisés » ; éditions de sites web précédents de PEI accessibles via les archives Internet Wayback Machine (ici, ici, et ici).))

Je voudrais aborder quelques points en détail.

« Gain de fonction » et « Fuite de laboratoire »

En ce qui concerne la recherche sur le gain de fonction — c’est la recherche pour rendre les virus plus dangereux, ce qui a été pratiqué à l’Institut de virologie de Wuhan, en Chine, et financé par les États-Unis — je n’ai rien entendu ni lu de substantiel à ce jour. Cette recherche a lieu dans ce que l’on appelle les laboratoires P4, où l’on travaille depuis des décennies à la manière dont les virus présents dans le règne animal peuvent être modifiés pour devenir dangereux pour l’homme. Jusqu’à présent, ARD et ZDF ont fait un grand pas en avant sur cette question, alors qu’il faut clairement discuter de cette question. Une première question à débattre pourrait être, par exemple, la suivante : voulons-nous, en tant que société, une telle recherche ?

La théorie de la fuite du laboratoire — c’est-à-dire l’hypothèse que le SRAS-CoV-2 est issu d’un laboratoire — a fait l’objet de nombreux rapports. Il convient de mentionner que cette question a été immédiatement qualifiée de mythe conspirationniste l’année dernière. Les médias alternatifs qui ont suivi cette piste ont été bannis des réseaux sociaux tels que YouTube et Twitter et les informations ont été supprimées. Les scientifiques qui ont exprimé cette thèse ont été massivement attaqués. Aujourd’hui, la théorie de la « fuite du laboratoire » est au moins aussi plausible que la transmission par une chauve-souris. Le journaliste d’investigation américain Paul Thacker a publié dans le British Medical Journal les résultats de ses recherches minutieuses. À ce sujet, le Dr Ingrid Mühlhauser, professeur de sciences de la santé à l’Université de Hambourg, écrit :

« Pas à pas, il montre [Thacker] comment les opérateurs d’un groupe de laboratoires américain développent de manière ciblée une théorie du complot pour masquer leur accident de laboratoire à Wuhan comme un complot. Le mythe est soutenu par des magazines prestigieux comme le Lancet. Les journalistes scientifiques et les prestataires de services de vérification des faits prennent en charge les informations sans réfléchir. Les scientifiques impliqués se taisent de peur de perdre du prestige et du soutien pour leur recherche. Facebook bloque pendant près d’un an les messages qui remettent en question l’origine naturelle du SRAS-CoV-2. Si la thèse de l’accident de laboratoire était confirmée, ZDF et d’autres médias auraient défendu les mythes conspirationnistes. »

Ivermectine et alternatives à la vaccination

Depuis des mois, on voit également qu’il existe des traitements efficaces et peu coûteux contre la Covid-19 qui [pourtant et officiellement] ne doivent pas être utilisés. Les données à ce sujet sont claires. Mais les campagnes pseudo-scientifiques de désinformation contre ces moyens sont révélatrices de l’état de notre médecine. L’hydroxychloroquine est connue depuis des décennies et a été utilisée des millions de fois contre le paludisme et les maladies rhumatismales. L’année dernière, elle a été soudainement déclaré dangereuse. La déclaration du président Donald Trump selon laquelle l’hydroxychloroquine est un « changement de jeu » a fait le reste pour la discréditer. La raison politique ne permettait plus une confrontation scientifique sur l’HCQ [l’hydroxychloroquine].

Tous les médias ont largement parlé de la situation catastrophique en Inde due à la prolifération du Delta au printemps (à l’époque, on parlait encore de la variante indienne du virus). En revanche, le fait que l’Inde ait maîtrisé la situation assez rapidement et que le médicament ivermectine ait joué un rôle déterminant à cet égard dans de grands États comme l’Uttar Pradesh ne valait plus la peine d’être rapporté.(([7] L’OMS a même fait l’éloge de l’État indien de l’Uttar Pradesh pour sa politique covidienne, mais sans mentionner l’ivermectine. Le taux de vaccination dans l’Uttar Pradesh est inférieur à 10 %.))

L’ivermectine est également autorisée provisoirement en République tchèque et en Slovaquie pour le traitement des patients atteints de Covid-19. C’est tout de même ce que rapporte le MDR, mais avec une connotation négative.

Dans la liste des médicaments possibles de la Bayerische Rundfunk, l’ivermectine n’est même pas mentionnée, et à l’hydroxychloroquine sont citées seulement des études négatives et non positives.

La molécule clofoctol a également démontré un bon effet contre le SRAS-CoV-2 lors des tests effectués en laboratoire au cours de l’été 2020. Jusqu’en 2005, l’antibiotique était commercialisé en France et en Italie sous les noms d’Octofene et Gramplus. À plusieurs reprises, les autorités françaises ont empêché l’Institut Pasteur de Lille de réaliser une étude portant sur des patients atteints de Covid-19. Après plusieurs tentatives, ils ont recruté le premier patient début septembre.

Pourquoi les autorités sanitaires s’opposent-elles avec véhémence aux traitements qui auraient été disponibles dès le début de la pandémie ? Pour ce faire, j’aurais souhaité des recherches d’investigation de l’ARD ! Il convient de mentionner que les nouveaux vaccins anti-Covid n’ont pu obtenir une autorisation d’urgence que parce qu’il n’existait pas de traitement officiellement reconnu pour le SRAS-CoV-2.

Il ne s’agit pas de vanter n’importe quel remède miracle contre la Covid-19. Je voudrais mettre en évidence des faits qui n’ont pas reçu l’attention nécessaire. Dès le début, le discours public a fait état de l’opinion selon laquelle seule une vaccination peut y remédier. L’OMS est même allée temporairement jusqu’à modifier la définition de « l’immunité collective » dans le sens où celle-ci ne peut être obtenue que par la vaccination et non plus par une infection antérieure comme c’était le cas jusqu’à présent.

Et si la voie empruntée était une impasse ?

Questions sur l’efficacité vaccinale

Les données des pays où les taux de vaccination sont particulièrement élevés montrent que les infections par le SRAS-CoV-2 ne sont pas rares, même chez les personnes entièrement vaccinées, mais qu’elles sont monnaie courante. Le Dr Kobi Haviv, directeur de l’hôpital Herzog à Jérusalem, dit que 85 à 90 % des personnes gravement malades sont doublement vaccinées dans ses soins intensifs.(([8] Voir aussi la réunion de la FDA du 17 septembre 2021, à 5:47:25))

Le magazine Science écrit en référence à tout Israël : « Le 15 août, 514 Israéliens ont été hospitalisés avec des maladies graves ou critiques de Covid-19… Parmi ces 514 personnes, 59 % étaient entièrement vaccinées. Parmi les personnes vaccinées, 87 % avaient 60 ans ou plus. » Science cite un conseiller du gouvernement israélien qui dit : « L’une des grandes histoires d’Israël est : « Les vaccins fonctionnent, mais pas assez bien ».

En outre, il est désormais évident que les personnes vaccinées ont en elles (et le répandent) autant de matériel viral de la variante Delta que les personnes non vaccinées.

Qu’en est-il de ces données en Allemagne ? — Un verrouillage spécifiquement pour les personnes non ou insuffisamment vaccinées ou : la règle 2G. La société est de facto divisée en deux classes. Les personnes vaccinées retrouvent leurs libertés (parce qu’elles ne représentent [soi-disant] aucun risque pour les autres), les personnes non vaccinées (car présentant un risque potentiel pour les autres) doivent se soumettre à des tests qu’elles sont censées payer elles-mêmes et ne reçoivent plus de paiement de salaire en cas de quarantaine. De même, les interdictions d’emploi et les licenciements dus au statut vaccinal ne sont plus exclus et les caisses de maladie pourraient imposer à l’avenir des tarifs moins favorables aux non-vaccinés. Pourquoi cette pression sur les non-vaccinés ? D’un point de vue scientifique, ce n’est pas justifiable et très dommageable sur le plan social.

Les anticorps générés par la vaccination diminuent considérablement au bout de quelques mois. Le regard porté sur Israël montre qu’après la deuxième vaccination, il y a maintenant la troisième dose pour l’ensemble de la population et que la quatrième est déjà annoncée. Ceux qui ne rafraîchissent pas la vaccination au bout de six mois ne sont plus considérés comme immunisés et perdent leur « passeport vert » (la carte de vaccination numérique introduite par Israël). Aux États-Unis, Joe Biden parle maintenant de boosters anti-Covid à injecter tous les 5 mois. Marion Pepper, immunologue à l’Université de Washington, remet toutefois en question cette stratégie. Elle a déclaré au New York Times que « la stimulation répétée des défenses de l’organisme peut aussi conduire à un phénomène appelé « l’épuisement immunitaire » ».

On discute peu du fait que l’infection naturelle peut créer une immunité nettement plus robuste. Des anticorps ultrapuissants ou une « super-immunité » ont été trouvés chez des personnes infectées par le SRAS-CoV-2 l’année dernière. Ces anticorps réagissent à plus de 20 mutations virales différentes et sont conservés plus longtemps que les anticorps générés par le vaccin.

Après tout, le ministre de la Santé, Jens Spahn, vient d’annoncer qu’une détection d’anticorps serait également autorisée. Toutefois, pour être officiellement considéré comme immunisé, une vaccination doit toujours suivre. Qui comprend cette logique ? Une interview de CNN avec le Dr Anthony Fauci, président de l’Institut national de santé (l’équivalent américain de l’ICR), illustre l’absurdité. Jusqu’à présent, les personnes ayant une immunité naturelle ne sont pas prises en considération par la politique !

Je connais un médecin qui essaie désespérément d’obtenir une réponse de la part des autorités sanitaires et de l’ICR à ce sujet : un de ses patients a un titre d’anticorps IgG de 400 UI/ml, bien plus que beaucoup de vaccins. Son infection Covid remonte à plus de six mois, donc il n’est plus considéré comme immunisé. La réponse qu’il a reçue était : « Vaccinez-le ! », ce que le médecin refuse de faire [du fait de l’immunité naturelle acquise].

Absence de compréhension journalistique de base

Le moyen de sortir de la pandémie, prôné par la politique et les médias, s’avère être un abonnement de vaccination permanente. Les scientifiques qui demandent une approche différente sur la Covid n’obtiennent toujours pas une place adéquate dans les médias publics, comme l’a montré une fois de plus la couverture médiatique parfois diffamatoire de l’action #allesaufdentisch. Au lieu de discuter avec les participants du contenu des vidéos, des experts ont été recherchés pour discréditer la campagne. Ce faisant, les justiciables font exactement l’erreur qu’ils accusent #allesaufdentisch.

Le journaliste du Spiegel Anton Rainer a déclaré dans l’interview du CES à propos de l’action vidéo qu’il ne s’agissait pas d’interviews au sens classique du terme : « En principe, on voit deux personnes se donnant raison l’une à l’autre. » J’ai eu mal au ventre après avoir écouté la couverture de ma chaîne et j’ai été totalement irrité par l’absence de compréhension journalistique fondamentale de laisser l’autre partie prendre la parole.(([9] Les rapports les plus justes viennent du BR, où, là aussi, on a débattu, mais pas seulement avec une partie. Le MDR offre sur son portail de médias une analyse complète et différenciée.)) J’ai fait part de mes préoccupations par courrier électronique aux parties concernées et à la direction de la rédaction.

Une mention classique dans les conférences est qu’un sujet est « déjà traité ». Par exemple, lorsque j’ai évoqué la très probable sous-couverture des complications vaccinales. Oui, c’est vrai, le sujet a été abordé avec l’expert de la maison qui a conclu — c’est peu surprenant — qu’il n’y avait pas de sous-couverture. « L’autre côté » est mentionné ici et là, mais très rarement sous la forme de parler réellement aux personnes qui adoptent des points de vue critiques.

Les critiques sous pression

Les critiques les plus claires doivent s’attendre à des perquisitions, poursuites, fermeture de compte, transfert ou licenciement, jusqu’à l’internement en psychiatrie. Même s’il s’agit d’opinions dont on ne partage pas les positions, cela ne doit pas exister dans un État de droit.

Aux États-Unis, on discute déjà de la question de savoir si la critique scientifique doit être considérée comme un « hate crime » (crime de haine). La Fondation Rockefeller a décerné 13,5 millions de dollars pour la censure de la désinformation dans le domaine de la santé.

Jörg Schönenborn, directeur de la télévision WDR, a déclaré : « Les faits sont des faits qui sont établis ». Si tel était le cas, comment est-il possible que des scientifiques se disputent sans cesse à huis clos et soient même profondément divisés sur certaines questions assez fondamentales ? Tant que nous ne nous en rendrons pas compte, toute hypothèse d’objectivité présumée conduira à une impasse. Nous ne pouvons que nous rapprocher de la réalité — et cela ne peut se faire que dans un discours ouvert d’opinions et de connaissances scientifiques.

Ce qui se passe en ce moment n’est pas une lutte sincère contre les « fausses nouvelles ». On a plutôt l’impression que toute information, toute preuve ou discussion contraire au récit officiel est interdite.

Un exemple récent est la vidéo objective et scientifiquement transparente de l’informaticien Marcel Barz. Lors d’une analyse de données brutes, Barz constate avec étonnement que ni les chiffres relatifs à la surmortalité, ni à l’occupation des lits, ni à l’infection ne correspondent à ce que nous avons lu ou entendu des médias et de la politique depuis un an et demi. Il montre également comment ces données peuvent constituer une pandémie et explique pourquoi c’est malhonnête pour lui. La vidéo a été supprimée par YouTube après 145 000 visonnements au bout de trois jours (et n’a été de nouveau rendue accessible qu’après l’opposition de Barz et beaucoup de protestation). La raison invoquée est la « désinformation médicale ». Ici aussi, la question est la suivante : qui a pris une telle décision, et sur quelle base ?

Les fact checkers du contrefacteur discréditent Marcel Barz comme un faux. Le jugement de Correctiv est un peu plus clément (Barz y a répondu publiquement et en détail). L’expertise réalisée pour le ministère fédéral de la Santé, qui montre que le taux d’utilisation des hôpitaux par les patients atteints de Covid-19 en 2020 n’était que de 2 %, lui donne raison. Barz a contacté la presse avec son analyse, mais n’a pas reçu d’attention. Dans un discours qui fonctionne, nos médias l’inviteraient au débat.

Des millions de fois, le contenu sur les sujets Covid a été supprimé, comme le montre la journaliste Laurie Clarke dans le British Medical Journal, Facebook et Cie sont des entreprises privées et peuvent donc décider de ce qui sera publié sur leurs plateformes. Mais peuvent-ils contrôler le discours ?

La radiodiffusion de service public pourrait apporter un équilibre important en assurant un échange de vues ouvert. Malheureusement, mauvaise indication !

Passeports d’application numériques et surveillance

Les fondations Gates et Rockefeller ont conçu et financé les directives de l’OMS pour les passeports d’application numériques. Ceux-ci sont maintenant introduits dans le monde entier. Ce n’est qu’avec eux que la vie publique doit être possible, qu’il s’agisse de prendre le tramway, de prendre un café ou de recevoir un traitement médical. L’exemple français montre que cette carte d’identité numérique doit être maintenue même après la fin de la pandémie. La députée Emanuelle Ménard a demandé l’ajout suivant dans le texte de loi : le passeport de vaccination numérique « prendra fin si la propagation du virus ne présente plus un risque suffisant pour justifier son application ». Son amendement a été rejeté. Le pas vers le contrôle mondial de la population, voire vers l’État de surveillance, par le biais de projets tels que ID2020, est donc très petit.

L’Australie teste maintenant une demande de reconnaissance faciale pour s’assurer que les gens restent en quarantaine à la maison. Israël utilise des bracelets électroniques. Dans une ville italienne, des drones sont testés pour mesurer la température des visiteurs de la plage, et en France, la loi est en cours de modification pour permettre la surveillance par drones à grande échelle.

Tous ces sujets nécessitent des échanges intenses et critiques au sein de la société. Mais il n’a pas lieu suffisamment dans la couverture médiatique de nos radiodiffuseurs et n’a pas fait l’objet d’une campagne électorale.

Point de vue rétréci

La manière dont le point de vue du discours est rétréci est révélatrice des « gardiens de la porte de l’information ». Jan Böhmermann fournit un exemple récent en demandant que le virologue Hendrik Streeck et le professeur Alexander S. Kekulé ne soient plus en place parce qu’ils ne sont pas compétents.

Outre le fait que les deux médecins ont une Vita [?] extrêmement respectable, Böhmermann a ainsi réajusté ses œillères. Ne faut-il même plus entendre les gens qui présentent leur critique du cours du gouvernement avec des gants de velours ?

La limitation du discours est désormais telle que la Bayerische Rundfunk n’a pas diffusé à plusieurs reprises, lors de la retransmission des débats parlementaires du parlement régional, les discours de députés critiques à l’égard des mesures.

Telle est la nouvelle conception de la démocratie de la radiodiffusion de service public ? Les plateformes médiatiques alternatives prospèrent d’abord parce que les personnes établies ne remplissent plus leurs fonctions de correctif démocratique.

Quelque chose a mal tourné

Pendant longtemps, j’ai pu dire avec fierté et joie que je travaillais à la radio publique. De nombreux formats, recherches et contenus exceptionnels viennent d’ARD, de ZDF et de la radio allemande. Les normes de qualité sont extrêmement élevées et des milliers de collaborateurs font un excellent travail, même sous une pression accrue sur les coûts et des objectifs d’économie. Mais quelque chose a mal tourné avec la Covid-19. Soudain, je perçois une vue de tunnel et des œillères et un prétendu consensus qui n’est plus remis en question.(([10] Je ne veux pas parler d’une véritable « opinion unique » des justiciables publics. Il y a toujours eu des contributions critiques et des changements de cap dans les rapports. Mais c’est toujours une question de contexte, de temps d’antenne et d’étendue de la façon dont un sujet est traité. Mes observations ont également été faites par d’autres collègues.))

La chaîne autrichienne Servus TV montre qu’il en va autrement. Dans l’émission « Corona-Quartet » / « Talk im Hanger 7 », les partisans et les critiques prennent également la parole. Pourquoi cela ne serait-il pas possible à la télévision allemande ?(([11] Des formats frais comme « Sur le canapé » du ZDF donnent de l’espoir, même si je ne pense pas qu’il y aura bientôt une Karina Reiß ou un Wolfgang Wodarg.)) « Il ne faut pas donner une place à tous les cinglés », c’est la réponse rapide. Il faut éviter le faux équilibre, le fait que les opinions sérieuses et peu sérieuses soient entendues doit être évité. — Un argument d’homicide involontaire qui n’est pas scientifique. Le principe fondamental de la science est le doute, la remise en question, la vérification. Si ça n’a plus lieu, la science deviendra une religion. [Ndlr : c’est déjà le cas en médecine, en climatologie et dans d’autres domaines politisés.]

Oui, il y a en fait un faux équilibre. C’est la tache aveugle qui est revenue dans nos esprits, qui ne permet plus une véritable confrontation. On se jette des faits apparents, mais on ne peut plus s’écouter. Le mépris remplace la compréhension, la lutte contre l’autre opinion remplace la tolérance. Les valeurs fondamentales de notre société sont balancées par-dessus bord. Ici, on dit que les gens qui ne veulent pas se faire vacciner sont fous, qu’ils disent : « Honte aux brebis endormies ».

Pendant que nous nous disputons, nous ne réalisons pas que le monde qui nous entoure change à une vitesse fulgurante. Presque tous les domaines de notre vie sont en pleine transformation. La manière dont cela se passe est déterminante pour notre capacité de coopération, de compassion et de conscience de nous-mêmes et de nos paroles et de nos actes. Pour notre santé mentale, nous ferions bien d’ouvrir l’espace de débat, avec attention, respect et compréhension des différentes perspectives.(([12] L’initiative « Dialogue culture » ouvre des approches valables qui peuvent également intéresser les formats de médias.))

En écrivant ces lignes, j’ai l’impression d’être un hérétique, quelqu’un qui commet une trahison et qui doit s’attendre à une punition. Ce n’est peut-être pas le cas. Je ne risquerai peut-être pas mon travail et la liberté d’expression et le pluralisme ne sont pas menacés. Je le souhaite vivement et je me réjouis d’un échange constructif avec mes collègues.

Ole Skambraks

ole.skambraks@protonmail.com

À propos de l’auteur :

Ole Skambraks, né en 1979, a étudié les sciences politiques et le français à l’Université Queen Mary, à Londres et à la gestion des médias à l’ESCP Business School, Paris. Il était présentateur, reporter et auteur à Radio France Internationale, rédacteur en ligne et community manager chez cafebabel.com, directeur de l’émission du matin chez MDR Spoutnik et rédacteur chez WDR Funkhaus Europa / Cosmo. Actuellement, il travaille en tant que rédacteur en chef dans la gestion/conception de son de programmes chez SWR2.

Informations complémentaires de l’auteur

P.S. Pour les vérificateurs factuels et les personnes intéressées par une perspective multiple, voici les contre-positions aux points abordés dans le texte :

Étude ARD-ZDF

https://www.rnd.de/medien/kritik-an-corona-berichterstattung-von-ard-und-zdf-sender-wehren-sich-gegen-medienstudie-C3B4FEKAMNBFBNTKGO5EETMR3E.html

Pr John Ioannidis

https://www.faz.net/aktuell/wissen/forscher-john-ioannidis-verharmlost-corona-und-provoziert-17290403.html

Imperial College Modelling

https://blogs.bmj.com/bmj/2020/10/07/Covid-19-modelling-the-pandemic/

Gain of function reserch

https://www.gavi.org/vaccineswork/next-pandemic/nipah-virus

Hydroxychloroquine/ivermectine

https://www.br.de/nachrichten/wissen/corona-malaria-mittel-hydroxychloroquin-bei-Covid-19-unwirksam,RtghbZ4

https://www.who.int/publications/i/item/WHO-2019-nCoV-therapeutics-2021.2

https://www.forbes.com/sites/siladityaray/2021/05/11/indian-state-will-offer-ivermectin-to-entire-adult-population—even-as-who-warns-against-its-use-as-Covid-19-treatment/

Immunité des personnes vaccinées

https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.08.23.457229v1

Immunité des convalescents

https://science.orf.at/stories/3208411/?utm_source=pocket-newtab-global-de-DE

https://www.businessinsider.com/fauci-why-covid-vaccines-work-better-than-natural-infection-alone-2021-5

Percées / pandémie

https://www.spektrum.de/news/corona-impfung-wie-viele-geimpfte-liegen-im-krankenhaus/1921090#Echobox=1631206725

https://www.mdr.de/wissen/covid-corona-impfdurchbrueche-sind-selten-100.html

https://www.businessinsider.de/wissenschaft/gesundheit/neue-daten-risiko-an-Covid-19-zu-sterben-fuer-ungeimpfte-elfmal-hoeher-a/

Pseudo-experts / Négationnistes / PRINCIPE PLURV

https://www.ndr.de/nachrichten/info/82-Coronavirus-Update-Die-Lage-ist-ernst,podcastcoronavirus300.html#Argument

Notes :




Sommes-nous encore en démocratie en France ?

[Source : Gérard Infos]

https://youtu.be/lDsyIIQFm_c



Le Seigneur des « vaccins »

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Je ne suis pas pratiquant, au sens habituel du terme, d’une religion ou d’un courant ésotérique.

Par contre, j’ai beaucoup lu, étudié, réfléchi, curieux de tout, ouvert à priori à tout. 

Je n’exclus rien, je vais partout, surtout si une autorité me dit, sans autre argument que son « autorité », de ne pas y aller.

Grâce à cette qualité (considérée comme un danger par certains), je continue à apprendre, inlassablement.

Médecin « orthodoxe » issu d’une université belge et d’un cursus classique, j’ai longtemps suivi le chemin balisé, marché dans les clous et traversé lorsque le feu passe au vert, presque toujours.

La curiosité, défaut incurable chez moi, m’a amené sur des chemins de traverse, là où vous rencontrez des personnes, foulez des sols, dénichez des trésors qualifiés par ceux qui tracent les routes et balisent les passages pour piétons, de sources corrompues (expression moderne : « fake news »), d’enseignants infréquentables.

Je ne suis pas un gourou, pas plus qu’Alexander De Croo, Young Global Leader 2015, Alexander De Croo devient Young Global Leader | Focus on Belgium, pas plus qu’Edouard Philippe et le président Macron, Young Global Leaders respectivement en 2011 et 2012, ou Olivier Véran en 2019, Emmanuel Macron et Edouard Philippe, ces « young leaders » qui nous gouvernent – Gala

Vérifiez par vous-même, tous les chefs ou sous-chefs des gouvernements ayant appliqué la feuille de route en 2020,  le plan établi par le cartel des véritables gourous, ont été des Young Global Leaders, la « secte du forum économique mondial du Great Reset »

Non, je ne suis pas un gourou, pas plus ou moins que Bill Gates ou Tedros Adhanom Ghebreyesus (chef de l’OMS-Organisation Mondiale de la Santé) qui eux, pourtant, sans être soignant ni médecin, entraînent le monde dans leur idéologie terroriste sanitaire.

Par contre, oui, je suis médecin depuis 25 ans, anesthésiste-réanimateur depuis 17 ans (quelqu’un qui endort et réveille les gens, les endort pour leur éviter la souffrance et les réveille pour leur rendre leur autonomie).

Fort de ma curiosité, de mes apprentissages et de mon ouverture à tout ce qui peut aider l’humanité, sans tabous ni censures, je dis à l’humanité entière de stopper cette course vers la mort.

Descendez du train fou en marche. 

Je sais, cela fait peur, cela peut faire mal, et en même temps, tant que vous sentez la douleur, c’est que vous êtes vivant.

Reprenez votre autonomie physique et intellectuelle et protégez vos enfants.

Ces Young Global leader devenus « Leaders » (gourous) tout courts ne vous veulent pas du bien.

Sous couvert de ces injections mortelles (immédiatement ou à distance par stérilisation), autant de chevaux de Troie de la mort dans votre corps, dans votre esprit et dans votre âme, ils vont font croire qu’ils veulent vous sauver.

C’est faux. C’est convaincant, bien présenté, mais c’est faux.

S’ils voulaient vous sauver, ils vous diraient depuis longtemps de bouger davantage, de mieux manger (vraiment, pas des produits lights qui vous empoisonnent autant que les produits « lourds », Reévaluer les risques de l’aspartame. Nouvelles données expérimentales et épidémiologiques), de gérer votre stress au quotidien, de prendre soin de votre microbiote, de prendre des compléments alimentaires, certains toute l’année dans un pays comme la Belgique (vitamine D).

Cela n’est possible, malheureusement, que grâce à la complicité de certaines personnes qui dirigent les institutions censées nous protéger et les médias principaux censés nous informer. 

Comme le dit le professeur Nagarra au procureur Henry Volney (Yves Montand) dans I comme Icare, le film d’Henri Verneuil, il suffit de morceler les responsabilités : 

« Un tyran a besoin avant tout d’un état-tyran, alors il va utiliser un million de petits tyrans fonctionnaires qui ont chacun une tâche banale à exécuter, et chacun va exécuter cette tâche avec compétence, et sans remords, et personne ne se rendra compte qu’il est le millionième maillon de l’acte final. Les uns vont arrêter les victimes, ils n’auront commis que de simples arrestations, d’autres vont conduire ces victimes dans des camps. Ils n’auront fait que leur métier de mécanicien de locomotive, et le directeur de prison ouvrant ses portes n’aura fait que son devoir de directeur de prison. Bien entendu les chefs-tyrans utilisent les individus les plus cruels dans la violence finale, mais à tous les maillons de la chaîne, on a rendu l’obéissance confortable. » © Henri Verneuil, I comme Icare, 1979.

Cela vous rappelle quelque chose ? 

Délation encouragée, violence sur des citoyens sans défense banalisée, justifiée même, citoyens exclus des hôpitaux pour le seul « crime » de ne pas être « encore » injecté par un produit expérimental, ce vendeur dans un magasin d’électro-ménager qui vous ordonne de mettre votre masque correctement, le tenancier de bar transformé à la fois en policier et en médecin puisque vous devez dorénavant lui montrer votre état de santé.

Où croyez-vous que cela nous mène ?

Le dire maintenant, ce qui est considéré comme choquant par les mêmes qui vous disent que tout va bien, est la seule chance de ne pas franchir le seuil au-delà duquel tout espoir d’éviter la répétition de l’Histoire sera définitivement perdu.

Qui est Pfizer pour être aussi « puissant », à la fin ? 

Malgré le total de décès dus à la vaccination, même ce chiffre officiel de 15 937 morts issu du programme de surveillance des États-Unis (VAERS)-période du 14 décembre 2020 au 24 septembre 2021), dont on sait qu’il est largement sous-estimé, Pfizer, au casier judiciaire lourdement chargé, continue, reste en lice (Le casier judiciaire de Pfizer et son « vaccin » tueur (reseauinternational.net) 

Pfizer s’attaque à présent aux femmes enceintes sur toute la durée de leur grossesse, aux femmes ayant accouché malgré 1444 fausses couches déclarées (en réalité bien plus) ou naissances prématurées, malformées.

Certaines femmes font pression pour résister, appeler à l’aide ou alerter (« La main sur le berceau », Big Pharma étend ses injections aux femmes enceintes et aux enfants — Les Maîtres du Monde — Sott.net) mais c’est la pression de Pfizer qui l’emporte, systématiquement.

Alors, logiquement puisque nous les laissons faire, Pfizer s’attaque aux enfants de 5 à 11 ans, avec une demande d’autorisation en urgence pour leur produit toxique, alors que 21 jeunes de 12 à 17 ans sont décédés récemment aux États-Unis.

La seule chose de nouvelle dans leur vie ? Avoir accepté le produit toxique de Pfizer. 

Sérieusement, faut-il faire des autopsies pour vous convaincre ?

Alors que presqu’aucun jeune de moins de 30 ans, à moins d’une maladie débilitante préalable, n’est mort du COVID-19 ou n’a fait la moindre forme grave.

Qui est Pfizer ? 

Qui est « Big Pharma » ? 

Derrière ces firmes se trouvent des personnes, des noms, des responsables autorisés. 

Dorénavant, citons ces noms qui servent le Système, appelé Sauron dans le Seigneur des Anneaux.

Nous pourrions appeler le Système actuel, le Seigneur des ‘vaccins’, avec à sa tête Sauron, à son service des Balrogs, des serviteurs zélés, des « idiots » utiles (cf. I comme Icare), des traîtres (Saroumane), des gens qui regardent et d’autres qui attendent.

Ne riez pas. 

L’analogie est réaliste.

Les mots sont importants ! 

Ils activent à notre insu des concepts profondément ancrés dans nos inconscients individuel et collectif : les archétypes chers à Carl Jung.

Malgré l’évidence, les preuves de plus en plus solides et les témoignages de plus en plus convaincants, les ‘vaccins’, même avant le Covid, ne sont pas les bienfaiteurs de l’humanité (Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ? — Santé et Bien-être — Sott.net), mais il faut du temps pour tirer un archétype de son piédestal doré.

Aujourd’hui, le concept de ‘vaccin’ utilisé comme cheval de Troie, permet à une firme frappée de la plus grosse amende fédérale de l’histoire des États-Unis, associée à BioNTech, et à d’autres firmes aussi peu recommandables d’entraîner la partie de l’humanité qui les dérange (vous et moi) vers une extinction qui ne devra rien au hasard, avec la complicité d’escrocs aux dents blanches et au costume parfait.

Certains y vont gaiement, en chantant, en suivant le joueur de flûte. 

D’autres y vont car ils se sentent coupable d’être vivant : les gourous criminels ont réussi à leur faire croire qu’ils sont les responsables-coupables du dérèglement climatique, du racisme à l’égard des gens de couleur (le blanc est une couleur), du terrorisme, des inégalités, des crises et aujourd’hui, des pandémies.

Oui, pour « Sauron le système », nous ne nous laverons jamais assez les mains, nous ne mettrons jamais assez bien notre masque et nous n’accepterons jamais assez de leurs produits (faussement appelés vaccins) dans notre corps meurtri.

Certains, les pires, y vont sciemment, soit pour y gratter quelque avantage, soit pour y briller telle une lumière d’Udûn*.

Faites attention aux mots. N’utilisez plus ceux de l’Ennemi. 

Bannissez le mot qui commence par v et se termine par n ! Et les mots comme ‘obligatoire’, ‘confinement’, ‘masque’, ‘lavage des mains’, ‘distanciation sociale’…, leurs mots, leurs expressions utilisées à dessein pour envelopper leurs poisons dans un concept archétypal puissant et salvateur (perçu comme tel par la majorité de l’humanité), pour mieux les faire accepter à une population de plus « hypnotisée » via la peur, la répétition, la confusion et les ruptures de pattern (outils utilisés pour plonger à son insu une personne en hypnose, état de conscience caractérisé par une hypersuggestibilité, une sensibilité exagérée à l’influence).

Utilisez les mots réels  qui désignent ce que ces choses sont vraiment :

  • V…n = injection transgénique
  • Masque = obstacle respiratoire
  • Lavage des mains = trouble hygiénique compulsif
  • Distanciation sociale = isolement social

Ce sont des propositions. 

Le plus important est d’avoir compris la raison pour laquelle ces considérations sémantiques sont capitales dans le combat que nous menons contre l’idéologie transgénique actuelle.

Je m’adresse particulièrement à tous ceux qui ont compris, qui ont ouvert les yeux sur tout cela aujourd’hui.

Dans ce passage particulièrement sombre du premier volet du Seigneur des Anneaux (« La Communauté de l’Anneau), dans la Moria, les caves de Khazad-dûm, le spectateur-lecteur voit deux feux s’affronter.

Gandalf contre le Balrog. Anor contre Udûn. La Flamme peut servir le Bien, elle peut servir le Mal. La Flamme peut vous réchauffer, comme elle peut vous brûler.

Quel fabuleux message d’espoir à toute la planète encore libre et vivace.

Udûn ne passera pas, grâce à chacun d’entre vous, petites et grandes flammes d’Anor.

Dr Pascal Sacré


Que veut dire Gandalf par « Feu secret », « Flamme d’Anor » et « Flamme d’Udûn » ? (askfrance.me)  Anor est un nom pour le Soleil en Terre du Milieu, tandis qu’Udûn (qui se traduit par enfer) est le nom de l’un des premiers repaires de Morgoth, le Maître de Sauron. « J’ai le pouvoir du bien de mon côté, vous avez le pouvoir du mal ».

Image en vedette : Photo du film : Le Seigneur des anneaux : la communauté de l’anneau

Dr Pascal Sacré est diplômé en médecine, en Belgique, depuis 1995. Il a entamé une spécialité en anesthésie-réanimation en 1997, terminée en 2002 et complétée par une spécialisation en soins intensifs (critical care) en 2003. Il travaille en milieu hospitalier depuis cette date, en soins intensifs, avec un passage de 2,5 ans dans un centre pour grands brûlés (l’hopital militaire Reine Astrid HMRA à Bruxelles) entre 2009 et 2011. Depuis 2011, il travaille dans un centre de soins intensifs médico-chirurgical à Charleroi, Belgique. Il est formé en hypnothérapie en milieu médical depuis 2014 et à ce titre, il est responsable de formations en gestion du stress pour le personnel de son hôpital. Il collabore pour le Centre de recherche sur la Mondialisation depuis 2009.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2021




Une ex-employée de Facebook fait trembler le géant américain avec ses révélations

[Source : sputniknews.com]

[Photo : © REUTERS / Stephen Lam]

Par Julia Belyakova

Une série de révélations a été faite grâce à des documents connus sous le nom de Facebook Files, transmis à la Security and Exchange Commission par une lanceuse d’alertes. Selon le Wall Street Journal, qui a pu consulter des documents, le fonctionnement de l’entreprise semble ne toujours pas correspondre au discours public de la direction.Est-ce que des temps difficiles attendent l’entreprise Facebook et sa direction? Une lanceuse d’alertes qui avait déjà révélé une partie des documents portant sur des règlements intérieurs de travail du réseau social, donnant la base à une série de publications par le Wall Street Journal qui a pu les consulter, aurait promis de sortir de l’ombre ce dimanche 3 octobre dans l’émission 60 Minutes de la chaîne CBS.

Toutefois, elle avait déjà transmis certains documents, connus sous le nom de Facebook Files, pour une étude à la Security and Exchange Commission (SEC), l’organisme fédéral américain de réglementation et de contrôle des marchés financiers. Et selon les investigations menées par le Wall Street Journal, parmi les révélations faites par cette lanceuse d’alertes, il y a l’effet négatif d’Instagram sur les jeunes, jamais communiqué par Facebook, alors qu’il s’agit de résultats d’une étude interne, la censure manuelle des comptes de personnalités et influenceurs, ce qui prouverait l’implication du facteur humain dans cette censure qui comme il s’avère n’est pas faite par des robots.

L’influence négative d’Instagram

Les chercheurs d’Instagram, qui appartient à Facebook, étudient depuis des années comment l’application de partage de photos touche des millions de jeunes utilisateurs. À plusieurs reprises, la société a constaté qu’Instagram était nuisible pour un pourcentage important d’entre eux, en particulier les adolescentes, plus que d’autres plateformes de réseaux sociaux. En public, Facebook a constamment minimisé les effets négatifs de l’application, y compris dans les déclarations au Congrès, et n’a pas rendu sa recherche publique ou disponible pour les universitaires ou les législateurs qui l’ont demandée. En réponse, Facebook dit que les effets négatifs ne sont pas répandus, que la recherche en santé mentale est précieuse et que certains des aspects nocifs ne sont pas faciles à traiter, précise le Wall Street Journal dans sa publication.

Les comptes privilégiés

Mark Zuckerberg a publiquement déclaré que Facebook permettait à ses plus de trois milliards d’utilisateurs de parler sur un pied d’égalité avec les élites de la politique, de la culture et du journalisme, et que ses normes de comportement s’appliquent à tous, peu importe leur statut ou leur renommée, rappelle le média. En privé, l’entreprise a conçu un programme, connu sous le nom de « vérification croisée » ou « XCheck », créé comme une mesure de contrôle de la qualité pour les comptes de haut niveau. Aujourd’hui, il protège des millions de comptes privilégiés, montrent les documents. Beaucoup abusent de ce privilège, publiant des images relevant du harcèlement et de l’incitation à la violence qui conduiraient généralement à des sanctions. Les comptes de personnalités faisant partie de ces listes « privilégiées » sont traités manuellement, ainsi cela prend plus de temps et la modération n’est pas exempte d’un facteur et jugement humains. Cela concerne presque six millions de comptes (5,8 millions à en croire les documents dévoilés). Parfois, XCheck avait protégé des personnalités publiques dont les messages contiennent du harcèlement ou de l’incitation à la violence, violations qui généralement conduiraient à des sanctions pour les utilisateurs réguliers. En 2019, il a permis à la star internationale du football Neymar de montrer des photos nues d’une femme, qui l’avait accusé de viol, à des dizaines de millions de ses fans avant que le contenu ne soit supprimé par Facebook, démontrent les documents.

L’un des documents internes consultés explique aux employés ce qu’est le programme XCheck de la manière suivante:

« Cela signifie que, pour un petit nombre de membres de notre communauté, nous n’appliquons pas nos politiques et nos normes. Contrairement au reste de notre communauté, ces personnes peuvent violer nos normes sans aucune conséquence », indique le Wall Street Journal, citant l’une des notes il a pu consulter.

Facebook a répondu pour sa part que critiquer ce programme était justifié, qu’il a été conçu pour un bon but et que l’entreprise travaillait à le corriger.

Le trafic d’organes humains, la pornographie et les cartels de la drogue

De nombreux documents Facebook examinés par le Wall Street Journal montrent des employés s’alarmant de la façon dont la plateforme est utilisée dans les pays en développement, où sa base d’utilisateurs est énorme et en expansion. Des employés ont signalé que les trafiquants d’êtres humains au Moyen-Orient utilisaient le site pour attirer les femmes. Ils ont averti que les groupes armés éthiopiens utilisaient le site pour inciter à la violence contre les minorités ethniques. Ils ont envoyé des alertes à leurs patrons sur la vente d’organes, la pornographie et l’action du gouvernement contre la dissidence politique, selon les documents. Ils montrent également la réaction de l’entreprise, qui dans de nombreux cas est inadéquate ou reste sans réponse.

Notamment, en janvier 2021, un ancien policier devenu enquêteur pour Facebook a publié une note de service pour tout le personnel sur le tableau des messages internes où il a détaillé un nouvel ensemble de ce qu’il a appelé « les apprentissages ». Le plus important d’entre eux était celui qui portait sur un cartel mexicain de la drogue utilisant Facebook pour recruter, former et payer les tueurs à gages, donne comme exemple le Wall Street Journal, en se référant aux documents révélés. Le comportement était choquant dans nombre de cas rapportés et en violation flagrante des règles de Facebook. Mais l’entreprise n’a pas empêché le cartel de publier sur Facebook ou Instagram.

Un porte-parole de Facebook a déclaré que l’entreprise avait déployé des équipes à travers le monde, des partenariats locaux et des vérificateurs de faits tiers pour augmenter la sécurité des utilisateurs.

L’impact de Facebook dans la campagne vaccinale

Facebook a pesé de tout son poids dans la promotion des vaccins contre le Covid-19, « une priorité de compagnie supérieure », souligne une note interne, dans une démonstration de Mark Zuckerberg pour faire valoir que sa création est une force pour le bien dans le monde. Il a fini par démontrer des lacunes entre ses aspirations et la réalité de la plus grande plateforme sociale du monde. Les activistes ont inondé le réseau, selon les notes internes consultées par le quotidien. Ils ont utilisé les outils de Facebook pour semer le doute sur la gravité de la menace de la pandémie et la sécurité de la principale arme des autorités pour la combattre. Les problèmes liés au Covid-19 ont créé des difficultés pour la direction de Facebook. Même quand il fixait un objectif, le chef de l’exécutif ne pouvait pas diriger la plateforme comme il le voulait. Un porte-parole de Facebook a déclaré dans un communiqué que les données montrent que l’hésitation vaccinale des gens aux États-Unis sur Facebook a diminué d’environ 50% depuis janvier, et que les documents montrent le « processus de routine de l’entreprise pour faire face à des défis difficiles ».

Une fuite précédente liée à Cambridge Analytica

Il ne s’agit pas de la première fuite géante chez Facebook. En 2018, le scandale autour du cabinet britannique Cambridge Analytica, qui avait récupéré les données de 87 millions d’utilisateurs à des fins de propagande politique, avait porté un coup dur à la réputation du réseau social qui compte actuellement près de 2,8 milliards d’usagers mensuels.

En octobre 2020, une association de consommateurs a annoncé lancer une action en justice au Royaume-Uni contre Facebook pour l’utilisation illégale de données d’utilisateurs en Angleterre et au pays de Galles, à la suite de l’affaire Cambridge Analytica. Précédemment, Facebook avait accepté de payer une amende de 500.000 livres sterling (585.000 euros) au Royaume-Uni.




Le train est en marche

Par Diane Vincero

[Photo : bahnbilder.ch]

Sachant que le monde entier se retrouve actuellement soumis au pouvoir infini et écrasant des GAFA (Google, Apple, Facebook et Amazon), des grands lobbies pharmaceutiques (Pfizer etc.) et chimiques (Monsanto etc.), l’action doit se porter directement au niveau de la Cour pénale internationale (CPI) pour dépasser les instances mineures (nationales et européennes) — dépassées par — soumises aux grands lobbies.

En ce sens, le CSAPE, syndicat anti-corruption, a pris maintenant une position de force à l’échelle mondiale en rassemblant des acteurs de tous les pays :

CSAPE SYNDICATS ET ASSOCIATIONS anti-corruption

Plainte personnalisée CSAPE

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<object class="wp-block-file__embed" data="https://nouveau-monde.ca/wp-content/uploads/2021/10/RESUME-PLAINTE-CSAPE-soutien-plainte-CPI.pdf" type="application/pdf" style="width:100%;height:600px" aria-label="Contenu embarqué <strong>RESUME-PLAINTE-CSAPE-soutien-plainte-CPIRESUME-PLAINTE-CSAPE-soutien-plainte-CPITélécharger
<object class="wp-block-file__embed" data="https://nouveau-monde.ca/wp-content/uploads/2021/10/PLAINTE-CSAPE-FRA-CRIME-CONTRE-HUMANITE.pdf" type="application/pdf" style="width:100%;height:600px" aria-label="Contenu embarqué <strong>PLAINTE-CSAPE-FRA-CRIME-CONTRE-HUMANITEPLAINTE-CSAPE-FRA-CRIME-CONTRE-HUMANITETélécharger

LE TRAIN EST LANCÉ : 7,8 milliards d’habitants face à… une poignée de possédants (politiques et lobbyistes)…

Cette poignée de dirigeants table sur l’asservissement, à son unique profit, de l’armée, de la gendarmerie et de la police, pour détruire l’Humanité et engranger toujours plus de richesses. 

Projet manifestement totalement délirant et machiavélique puisque dores et déjà, 1 % de l’Humanité détient… 99 % des richesses!! 

Ce besoin pathologique d’asservir le monde entier, est en fait, une position de faiblesse de la part de cette poignée de dirigeants. 

En effet, quand on est normalement constitué, on n’a nul besoin d’asservir qui que ce soit …

Mais, ce besoin coûte que coûte d’asservir et de manipuler l’armée, la gendarmerie et la police… montre également et surtout, une peur intense des 7,8 milliards de membres de l’Humanité que nous sommes.

Des milliers de personnes sont mortes du Covid à la suite d’un refus de traitement précoce salvateur.
La Déclaration ci-dessous est un cri de guerre des médecins qui se battent quotidiennement pour le droit de traiter leurs patients et le droit des patients de recevoir ces traitements — sans crainte d’ingérence, de représailles ou de censure de la part du gouvernement, des instances ordinales (conseils de l’ordre des médecins, des avocats, etc.), des pharmacies, des sociétés pharmaceutiques et des grandes technologies.

Si vous êtes médecin ou scientifique et que vous souhaitez signer la déclaration :

https://doctorsandscientistsdeclaration.org/ (traduction en français : Plus de 5000 médecins et scientifiques accusent les gouvernements d’incompétence criminelle contre le COVID-19).

En n’oubliant pas que l’action du CSAPE sera celle qui prévaudra sur l’ensemble, d’où l’intérêt que toutes ces différentes actions et groupements ci-dessus et ci-dessous se fédèrent. 

Lettre pour les médecins de l’enfant – Collectif de santé pédiatrique (collectifdesantepediatrique.fr)

LETTRE OUVERTE A NOS CONSOEURS ET CONFRERES MEDECINS DE L’ENFANT, Pédiatres, Généralistes, Médecins Scolaires, Médecins de PMI, Pédopsychiatres…
Cher(è)s Collègues, Nous sommes à l’aube d’une vaccination de masse des enfants contre une maladie qui ne les concerne quasiment pas, qu’ils transmettent peu et cela avec une technique expérimentale dont les […]

Hallucinant! Qui sont les victimes ? Les parents et ceux décédés après vaccin : Mélanie Macip 15 ans, Maxime Beltra 22 ans, Anthony Rio 24 ans? Ou bien, ces messieurs en costume qui refusent de discuter? Je n’ai jamais menacé. Ils ont peur de la vérité.

Pour respecter le serment d’Hippocrate, un médecin démissionne de l’ordre des médecins et de son statut de praticien hospitalier

Pause avec Olivier Soulier, venu nous présenter le Syndicat Liberté Santé :

« En 2021, la médecine est passée totalement sous le joug de l’industrie pharmaceutique […] asservie à des objectifs qui ne sont plus la santé. »

Article :

« On nous ment encore sur les chiffres des soignants non-vaccinés » Olivier Soulier (francesoir.fr)

🧭 Après l’obligation vaccinale, le retour du confinement et l’arrestation du Dr Théron [Voir La Gestapo 2.0 : un médecin arrêté pour avoir traité ses patients contre la Covid], entretien avec RéinfoCovid Nouvelle-Calédonie pour faire un point sur la situation sanitaire : « Que le monde ouvre l’œil » 👇

Nouvelle-Calédonie : « l’île va être un théâtre expérimental surprenant » alors que l’obligation vaccinale a été votée début septembre en Nouvelle-Calédonie et que l’actualité s’y montre dense depuis.

Nouvelle-Calédonie : « l’île va être un théâtre expérimental surprenant » (francesoir.fr)

Une fois de plus, il faut que toutes ces actions, collectifs, associations, se fédèrent et rejoignent le CSAPE pour avoir enfin LE poids indispensable et qu’elles portent ainsi leur action au niveau suprême de la Cour pénale internationale (CPI) pour dépasser les instances mineures (nationales et européennes) soumises aux GAFA, Big Pharma, Monsanto, etc.

UNE CHOSE IMPORTANTE ENFIN : 

la poignée de dirigeants fonctionne sur le mode de la manipulation perverse : ils tablent entre autres, sur de la violence de la part des peuples, pour justifier du lancement de l’armée, de la gendarmerie et de la police contre eux. 

Ces dirigeants n’hésiteront pas non plus à payer des individus pour semer le début de la violence, comme une sorte de détonateur…

Coupons-leur l’herbe sous les pieds : ne marchons pas dans leur stratagème. Et si par malheur, quelques personnes commencent à faire preuve de violence, la règle d’or sera alors de s’en écarter immédiatement, pour bien scinder les choses et éviter l’amalgame…

En termes de manipulation, n’oublions jamais que le principe est de mettre en avant un « beau principe » (« prendre telle décision pour soi-disant le bien du peuple »), pour mieux cacher derrière, des actions destructrices et financières… 

N’oublions jamais que les états ne sont pas philanthropes (ils ne sont pas là dans l’intérêt des peuples), c’est même écrit dans les manuels scolaires de philo!!!…

Voici un exemple de l’absence de philanthropie, parmi tant d’autres, à réfléchir : pourquoi et de quel droit, un agriculteur n’a-t-il pas le droit de vendre des semences originelles de fruits et de légumes (!!!!), alors qu’en Norvège, dans un bunker, toutes les semences originelles sont stockées, ne laissant aux peuples que les semences OGM qui détruisent la santé de milliards d’individus et les rendent tributaires de Big Pharma ?? 

Où est le lézard ??? Etc., etc.

DIFFUSEZ LARGEMENT


Site pour l’organisation de mobilisations

Les clés de la mobilisation citoyenne (accelerateurdelamobilisation.org)




Le coup d’État trop pressé du système financier numérique

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Ceci est la suite et fin de la conférence donnée dans le cadre des auditions de l’avocat Reiner Fuellmich en vue du procès des responsables de la crise covidienne. Cette publication est une exclusivité Antipresse/Le Courrier des Stratèges. Nous remercions François Stecher pour son remarquable effort.

[NDLR Pour voir la première partie avec la vidéo complète sous-titrée en Français :
Une Conférence d’Ernst Wolff – La logique destructrice qui se cache derrière le “Great Reset]

Vers la monnaie programmable

Et à quoi ce système doit-il ressembler, nous le savons déjà. Il s’agit de la disparition complète de l’argent liquide, des banques dans leur forme actuelle, et de l’introduction de monnaie numérique de banque centrale. L’objectif final prévoit que chacun d’entre nous ne détienne plus qu’un unique compte en banque, par lequel s’effectueront toutes les transactions. Ce compte ne sera plus tenu par une banque commerciale, mais par la banque centrale. La raison profonde de ce plan est la suivante: la monnaie numérique de banque centrale est programmable (18:44). Comme une banque centrale peut créer de la monnaie sans limites, on peut ainsi, par le fait, introduire des taux négatifs sans détruire le système. Mais cela n’est pas, loin s’en faut, la seule propriété que possède la monnaie numérique de banque centrale. Elle permettrait à l’État de surveiller toutes les transactions (19:12), de nous appliquer des taux d’imposition différenciés, et de nous infliger individuellement des sanctions pécuniaires. L’État pourrait lier certaines sommes à une date de péremption, nous contraindre à dépenser certaines sommes dans une période déterminée (19:33). Il pourrait également donner cet argent pour un but fixé, et nous imposer d’utiliser certains montants uniquement pour l’achat de certains biens, ou de dépenser seulement dans certaines régions. Mais avant tout, il lui serait possible, d’un simple clic, de nous couper de tous les flux de transactions, et ainsi de nous débrancher financièrement (20:04). La monnaie numérique de banque centrale serait le mécanisme de contrôle social le plus efficace qu’on ait jamais eu dans l’histoire de l’humanité, et par là, ni plus ni moins que l’achèvement d’une dictature universelle obtenue par le moyen de l’argent (20:25).

La tactique du renversement

Tout cela est cependant soumis à une énorme hypothèque: la résistance à laquelle il faut s’attendre de la part de la population. Il faut très sûrement compter avec le fait qu’une grande partie des gens n’accepterait pas cette forme de paiement, et que l’introduction de la monnaie numérique de banque centrale provoquerait de graves troubles sociaux. Et c’est précisément cette difficulté qui a très clairement conduit le complexe financier digital à imaginer de renverser la problématique de l’introduction de cette monnaie (21:07). Plutôt que d’introduire cette monnaie numérique de banque centrale progressivement, et risquer ainsi de provoquer une grosse résistance, procéder à l’inverse, c’est-à-dire faire sombrer la société dans le chaos, afin de faire apparaître la monnaie numérique de banque centrale comme la solution pour régler tous les problèmes, à savoir sous la forme du revenu universel de base (21:35).

Celui qui pense maintenant qu’il s’agit encore d’une théorie du complot tombée de nulle part, je lui recommande de se remémorer très précisément tout ce que nous avons vécu au cours des dix-huit derniers mois. Sous le prétexte de combattre une maladie, on a provoqué des dommages dévastateurs et irréversibles, qu’ils soient sanitaires, économiques ou financiers, dont nous n’avons encore perçu les effets qu’à la marge (22:09). En même temps, on travaille chaque jour à aggraver ces dommages. En parallèle, on s’emploie à creuser de manière systématique les divisions au sein de la société, en enfonçant toujours plus de division entre les gens. Tout cela nous conduit, conformément au but, dans une seule direction: celle des troubles sociaux, jusqu’à la guerre civile, dans le monde entier. Et tout cela, c’est exactement ce qui est voulu, selon toutes les informations dont je dispose (22:46).

Ce que nous vivons actuellement, c’est que l’on essaye, par la mise en œuvre de tous les moyens imaginables, de provoquer le chaos social le plus énorme, d’attendre que le chaos ait atteint son intensité maximale, et, alors à l’aide d’une panacée nommée «revenu universel de base», de passer d’une situation de chaos maximal à celle d’un contrôle total (23:12). Il y a du reste encore une deuxième raison pour laquelle le revenu universel, du point de vue des puissants, doit arriver. Nous sommes en plein dans la quatrième révolution universelle, et nous allons vivre, dans la période qui s’étend devant nous, la perte de millions et de millions d’emplois, par le recours à l’intelligence artificielle. En d’autres termes, des millions de consommateurs vont faire défaut, la demande de biens de consommation va se réduire de plus en plus fortement. Comme le modèle économique actuel repose sur la consommation, il faut, pour le maintenir en vie, bloquer la descente sur cette pente fatale. Et cela ne peut fonctionner que si l’on distribue de l’argent aux chômeurs-consommateurs même s’ils sont sans emploi (24:09).

Une apocalypse préparée et agendée

Nous voyons donc que ce que nous avons vécu ces dix-huit derniers mois, et ce que nous vivons actuellement, suit manifestement un plan; et ce plan peut s’énoncer ainsi: démontage du système actuel au bénéfice de l’élite, instigation d’un chaos économique et social maximal, et établissement d’un nouveau système au bénéfice de l’élite, sous le prétexte de vouloir apporter une assistance humanitaire (24:42). Ce plan, on peut d’ailleurs le trouver dans les deux ouvrages, La Quatrième révolution industrielle et Le Grand Reset de Klaus Schwab, dont le World Economic Forum joue un rôle clef dans l’élaboration et la mise en œuvre de cet agenda. Le WEF a réussi à devenir au cours des 50 dernières années l’une des plus importantes plateformes du complexe financier digital, en mettant en relation, d’abord des dirigeants d’entreprises, ensuite des politiciens, puis des représentants des médias, plus tard encore de la haute aristocratie et du monde du spectacle, et en les soumettant en outre à partir des années 90 à une formation dédiée (25:33).

Nous savons aujourd’hui qu’à partir de 1992 les «Global Leaders of Tomorrow», et depuis 2005 les «Young Global Leaders» ont été soumis à une formation systématique et toujours plus approfondie, et que ce sont précisément ces personnes-là qui se trouvent placées aujourd’hui aux leviers de commande du pouvoir. Qu’il s’agisse de Bill Gates, Jeff Bezos ou Jack Ma, du secteur du numérique, qu’il s’agisse du patron de BlackRock Larry Fink, de la patronne du FMI Kristalina Georgiewa, ou de l’ex-directeur de la Bank of England Mark Carney, pour la finance, ou encore d’Emmanuel Macron, de Sebastian Kurz ou bien d’Angela Merkel pour la politique: tous, ils ont été formés par le WEF ou bien siègent dans ses instances dirigeantes (26:38).

Et ce ne sont pas seulement les 1.300 membres de cette petite élite dirigeante étroitement connectée qui tirent les ficelles à travers le monde. Depuis 1992, ce sont encore 10’000 «Global Shapers» de moins de 30 ans qui ont également été réunis et mis en relation par le WEF, et s’emploient désormais à influer sur la marche du monde dans le sens qui lui convient (27:08). À qui veut savoir à quoi cette marche du monde devrait ressembler, il faut recommander la lecture des œuvres du fondateur du WEF, Klaus Schwab. Et celui qui, parvenu à ce point, ne serait toujours pas convaincu que ce que nous avons vécu et vivons encore suit un plan devrait jeter un œil à la date de publication du «Great Reset» de Schwab: le livre est paru le 9 juillet 2020, soit à peine quatre mois après le confinement mondial, et donne déjà les instructions précises expliquant comment utiliser le COVID-19 afin de, selon les propres mots de Schwab, «détruire le monde de manière créative et construire un nouveau monde», où il laisse transparaître une vision de l’homme qui renvoie aux temps les plus sombres du national-socialisme (28:02).

Je sais, tout cela est terrifiant, comme une apocalypse préparée de manière minutieuse. Et de fait l’agenda qui est poursuivi ici n’est pas seulement planifié, visiblement, mais c’est à peine s’il peut, de surcroît, être dépassé en malignité et en sournoiserie. Qui aurait jamais imaginé que l’on fasse s’effondrer l’économie mondiale sous le prétexte de protéger les gens des effets d’une maladie, que l’on retire aux gens la liberté de voyager, de se rassembler, de parler et d’exprimer librement leurs opinions, et que l’on condamne encore plus de 100 millions d’entre eux à la famine, tout cela soi-disant pour la protection de leur propre santé. Et qui aurait pensé qu’un eugéniste déclaré du nom de Klaus Schwab pourrait se retrouver en situation, non seulement de répandre à travers le monde son infernale vision de la fusion entre l’homme et l’intelligence artificielle, mais encore de trouver 10’000 aides pour la faire avancer (29:18). Tout cela, ce sont des événements bouleversants au plus haut point, avec lesquels nous devons vivre actuellement, dont nous devons souffrir, et dont les détails devraient glacer le sang de tout être humain pensant et sentant normalement.

La déraison conduit à l’échec

Mais – et j’en viens maintenant au message le plus important que je veux délivrer ce soir – tout cela a un autre aspect, un tout autre aspect, un aspect qui doit nous donner une énorme impulsion et des forces à profusion pour les tâches qui nous attendent. Les plans de l’élite, et la vision de Klaus Schwab, sont en effet voués à l’échec, et cela pour plusieurs raisons (30:11). La raison principale réside dans le fait que le narratif d’un virus mortel, qui menacerait l’humanité dans son existence même, ne pourra pas tenir dans la durée. Nous voyons déjà comment l’échafaudage de mensonges s’effondre sous nos yeux, et comment, pour le justifier, on a recours à des argumentations toujours plus absurdes et à des diffamations toujours plus furieuses (30:39).

Arrivée à ce point, il est important de comprendre que la véhémence que les médias mettent en branle n’est pas un signe de force mais bien de faiblesse. Celui qui, avec une insistance toujours plus forte, répand des mensonges toujours plus grotesques tel que celui de «la pandémie des non-vaccinés», celui qui déclare que les personnes en bonne santé représentent le facteur de risque numéro 1 au sein de la société, celui qui à cause d’une poignée de malades ou de testés positifs met un pays tout entier à l’arrêt, celui-là n’agit ainsi que parce qu’il est à bout d’arguments et que, dans son désespoir, il frappe à l’aveugle autour de lui (31:21).

Abraham Lincoln a déclaré: «on peut mentir tout le temps à une partie des gens; on peut mentir à tout le monde une partie du temps; mais on ne peut pas mentir tout le temps à tout le monde». C’est exactement cela qui se vérifie en notre temps. Et cela a pour nous, naturellement, une immense signification. Car cela ouvre, de manière ironique, ce que Klaus Schwab appelle «a window of opportunity», une fenêtre d’opportunité – à ceci près qu’elle s’ouvre avec une dynamique exactement inverse (32:07). En effet, grâce à la désintégration du narratif, la crédibilité de ceux qui nous ont amenés à cette situation est chaque jour plus profondément sapée, nous ouvrant à tous une fenêtre temporelle pour une campagne d’éclaircissements puissante et de grande envergure. Les conditions objectives pour éclairer les gens sur les véritables faits derrière la soi-disant pandémie, sur les relations de pouvoir réelles dans le monde et sur les vraies menaces auxquelles nous sommes confrontés n’ont jamais été meilleures qu’aujourd’hui (32:51). Et elles s’améliorent de jour en jour, parce que le camp d’en face doit s’empêtrer chaque jour davantage dans des mensonges toujours moins crédibles.

Et même si le complexe financier digital devait parvenir à introduire la nouvelle monnaie, cela ne serait pas encore la fin du monde. En effet, la monnaie numérique de banque centrale ne peut fonctionner qu’adossée à un système de contraintes complet. Il faudra introduire sans cesse de nouveaux contrôles des prix, augmenter constamment le revenu universel de base, et générer avec vigueur une inflation permanente, ce qui conduira en retour à un appauvrissement continu de la population et à un conflit permanent avec l’État et les autorités (33:49).

Ce que nous devons savoir est la chose suivante: nous nous trouvons en toute certitude au seuil d’une période de turbulences et de dangers. Mais nous avons en main un atout historique : il tient au fait que ceux d’en face n’agissent pas conformément aux lois de la raison, mais poussés par des mobiles comme la cupidité et la soif de pouvoir, et ne peuvent, pour cette raison, rien faire d’autre que de se mettre toujours plus inextricablement en difficulté (34:21). De cela, précisément, nous devons profiter, et garder ceci présent à l’esprit : le camp d’en face peut bien disposer de plus d’argent, de plus de biens, et en plus de toutes les armes du monde; son pouvoir ne réside ni dans son argent, ni dans ses biens, ni même dans ses armes, mais repose sur un seul et unique facteur: l’ignorance de la majorité des gens, ou pour le dire autrement, le fait que la majorité ne voit pas clair dans le jeu que la minorité joue avec elle (35:01).

Quelle que soit l’atrocité de ce que le complexe financier digital a commis au cours des dix-huit derniers mois et continue à commettre avec ses suppôts, il s’est enfermé dans une situation dont il ne pourra pas s’extirper, et dans laquelle il doit, dans son désespoir, franchir de plus en plus de lignes rouges (35:25). Pour nous tous, cela signifie que nous devrions dans cette situation exceptionnelle, tout simplement: conserver notre calme, démasquer résolument les mensonges, et montrer ainsi aux gens, pièce par pièce, pourquoi et par qui ils se font berner. Si nous faisons cela, et qu’en le faisant nous nous souvenons de la force de nos arguments, alors nous pourrons, non seulement résoudre les problèmes actuels, mais peut-être réussir quelque chose de beaucoup plus grand, à savoir : utiliser l’une des crises les plus profondes qu’ait affrontées l’humanité pour redresser la barre de l’histoire du monde, et ouvrir ainsi d’un coup la porte sur une ère nouvelle. Je vous remercie.