Serons-nous à nouveau sauvés par les Américains ? L’exemple du Texas libéré !

Par le Dr Gérard Delépine

En cette période où les institutions européennes et nos politiques restreignent les libertés pour nous obliger à nous faire injecter des pseudo vaccins qui sont des médicaments expérimentaux géniques, les USA montrent la voie à suivre.

La liberté reviendra-t-elle une fois encore d’Amérique du Nord ?

Greg Abbott a libéré le Texas de la tyrannie des experts

Le 2 mars 2021, le gouverneur du Texas Greg Abbott a déclaré qu’il n’écouterait plus A. Fauci le conseiller médical des présidents des USA, et a supprimé par décret toutes les restrictions prétendument sanitaires, dont l’obligation emblématique du port de masque. Fauci, lui a prédit alors un cataclysme épidémique à venir.

Greg Abbott s’est aussi attiré les injures d’autres covido-terroristes dont le gouverneur de Californie, Gavin Newsom affirmant que cette décision était « absolument irresponsable », de Beto O’Rourke qualifiant le parti républicain « parti du « culte de la mort », de Joe Biden estimant la décision de « pensée néanderthalienne », et de Keith Olbermann répétant que « le Texas a décidé de rejoindre le camp du virus ».

Prophéties ou desiderata des politiques ?

Mais la vérité médicale ne suit pas les prophéties tirées de simulations catastrophiques plus ou moins dictées par les politiques. Au Texas, revenu à une vie quasi normale, la réouverture des écoles et universités, des commerces et des compétitions sportives au public (comme le montre cette vidéo de la réouverture du stade des Texas Rangers) ne s’est pas accompagnée de recrudescence de l’épidémie !

Au contraire, depuis la libération de l’état, la mortalité quotidienne attribuée au Covid19 diminue, alors que ce n’est pas toujours le cas dans les états qui maintiennent les restrictions de liberté. !

La régression de l’épidémie s’est poursuivie sans que les prophètes-modélisateurs parviennent à expliquer les erreurs considérables de leurs dernières simulations catastrophiques démenties par les faits. À moins qu’ils ne le souhaitent pas.

La décision courageuse de Greg Abbott a fait tache d’huile

La décision du gouverneur du Texas a été suivie par les autres gouverneurs républicains, puis dans la plupart des états démocrates. Aujourd’hui les états qui imposent encore des restrictions sont très minoritaires ainsi que l’illustre cette carte publiée le 3/5 par le New York Times (tous les états en bleu sont ouverts complètement).

Aux USA, depuis janvier 2021, la régression de l’épidémie se poursuit partout et plus rapidement dans les états libérés que dans ceux qui maintiennent des restrictions.

Ceci démontre que les confinements et l’obligation du port des masques et autres mesures pseudo-sanitaires ne servaient à rien ou étaient délétères, n’en déplaise aux désinformateurs de Arte et France télévision.

La régression de l’épidémie n’est pas due à la vaccination

L’analyse de la courbe de régression de la mortalité publiée par l’OMS le 9/5

et sa comparaison avec la courbe des vaccinations publiée par le CDC

montrent que la spectaculaire régression de la mortalité n’est pas due à la vaccination.

En effet cette régression de la mortalité a commencé début janvier 2021 alors que la vaccination, commencée le 13/12/2020 était trop récente pour agir, que les vaccinés n’avaient reçu qu’une dose t qu’ils ne représentaient que moins de 5 % de la population, alors que les apôtres de la vaccination affirment qu’un recul d’au moins deux mois et qu’une couverture vaccinale de 70 % sont nécessaires à son action.

Au revoir, les vaccinodromes

Le recul spontané de l’épidémie, la libération de la population des restrictions iniques et la prise en compte de complications parfois graves des pseudovaccins actuels ont montré aux Américains que la « vaccination » présentait actuellement une balance avantage/risques très défavorable pour la très grande majorité de la population qui a déserté les vaccinodromes.(([1] https://www.estrepublicain.fr/sante/2021/05/05/aux-etats-unis-la-vaccination-fatigue-et-le-reve-de-l-immunite-collective-s-eloigne))

Actuellement environ un tiers de la population américaine est vaccinée et les tentatives de Big Pharma et de ses représentants d’instaurer une obligation vaccinale par la loi ou par le pass vaccinal ont été refusées par la Maison-Blanche et par de nombreux gouverneurs d’états qui ont décrété illégal l’usage de passeport vaccinal, car contraire aux libertés individuelles garanties par la Constitution. C’est heureux pour nos amis d’Amérique qui éviteront ainsi le triste sort des habitants des Seychelles.

La catastrophe vaccinale des Seychelles

Ce petit état africain pauvre compte à peu près 100 000 habitants et cherche à favoriser le tourisme de luxe qui constitue sa principale ressource.

Fin décembre 2020, le pays comptait moins de 500 cas de Covid19 confirmés sans aucun mort. Pour sauver sa prochaine saison touristique et rassurer ses clients potentiels, le gouvernement a pourtant décidé de vacciner massivement la population (sous quelle influence ?

L’inde et la Chine lui ont fait cadeau de plus de 120 000 doses qui ont été administrées à partir du 11 janvier 2021. Le 5 mai, il est devenu le pays le plus vacciné au monde avec une couverture vaccinale de 70 %.

Mais depuis la vaccination, les Seychelles font face à une hausse considérable des cas positifs à coronavirus qui ont atteint près de 500 cas journaliers plusieurs jours de suite début mai, obligeant le gouvernement à fermer les écoles, interdire les rassemblements, fermer plus tôt les bars dans la journée, les casinos. Au 8 mai 21, le pays comptait 6811 cas confirmés et 28 morts contre 500 cas et 1 mort avant la vaccination.

Après 4 mois de vaccination, le nombre de contaminations a été multiplié par 12, la mortalité par 28, le pays est confiné et sa saison touristique est fortement compromise malgré un taux de couverture vaccinale de 70 %.

Le mythe vaccinal covid19 confronté à la réalité

Dans tous les pays pauvres, jusque-là relativement épargnés par le Covid19, les campagnes de vaccination ont été suivies par un accroissement considérable des contaminations et de la mortalité et leur espoir de rassurer leurs potentiels touristes a été déçu.

Ces constatations rappellent l’importance de disposer de résultats définitifs d’essais bien faits avant de recommander un traitement expérimental même s’il se fait passer à tort pour un vaccin.

Cette catastrophe sanitaire avérée dans ces pays va se transformer sous peu en scandale politique si nos autorités continuent de nier la réalité et à vouloir imposer des obligations mortifères.

Suivons l’exemple du peuple américain, n’ayons plus peur de vivre, de vivre normalement, libérons-nous !

En matière de santé aussi la démocratie est plus efficace que la dictature !





Troubles menstruels méconnus post-vaccin covid-19

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Les « vaccins » anti-covid font parler, au moins sur les réseaux sociaux, des accidents graves et même de décès liés à leur injection, et globalement d’incidents considérés comme potentiellement liés au vaccin, c’est-à-dire survenus dans les quatre semaines suivant l’injection (en particulier, accidents vasculaires et neurologiques).

Même si les signalements sont certainement très sous-estimés (de l’ordre de 1 % de la réalité) il est tout de même très impressionnant de constater en Union européenne (par exemple) près de 8 800 décès directement reconnus comme probablement en rapport avec un des 4 vaccins anti-covid par l’agence européenne.

Il est étonnant que ce chiffre énorme, (même si relativement faible par rapport aux millions de personnes vaccinées), ne perturbe pas plus les futurs vaccinés que les agences chargées de la sécurité. Rappelons qu’un vaccin devrait être préventif, s’adresser aux personnes à risque et en aucun cas à des jeunes qui présentent un risque zéro de l’infection visée, ici le covid-19.

Le rapport bénéfice/risque ne peut être que négatif dans les populations à risque zéro comme les enfants actuellement menacés par les politiciens dont certains corrompus.(([1] Comme la ministre chypriote Albert Coroz : Stella Kirikiades qui aurait touché 4 millions d’euros après avoir signé les contrats d’achat de vaccins https://lesobservateurs.ch/2021/05/03/le-scandale-de-corruption-de-lue-dont-les-medias-bienpensants-refusent-de-parler/ ))

La « tolérance » actuelle sur les décès entraînés par ces molécules en essai thérapeutique n’a de parallèle que l’immonde propagande qui inonde tous les médias dans le monde depuis plus d’un an pour cette sinistre mise en scène du coronacircus.

Dans l’émission « Tucker Carlson Tonight », sur Fox News, Carlson, célèbre présentateur américain habituellement pro-vaccin, a cité des statistiques gouvernementales montrant que plus d’Américains sont morts après avoir pris le vaccin covid en quatre mois qu’à la suite de tous les autres vaccins combinés en plus d’une décennie et demie.

Les données officielles du  gouvernement américain sur «  vaccine adverse event reporting system » (VAERS) montrent que 3 362 Américains – ou 30 personnes par jour – sont  morts du vaccin Covid entre décembre 2020 et le mois dernier.

« Plus de personnes, selon VAERS, sont mortes après avoir reçu le vaccin en quatre mois au cours d’une seule campagne de vaccination que de tous les autres vaccins combinés sur plus d’une décennie et demie », a déclaré Carlson.

Le nombre de décès est probablement beaucoup plus élevé que ce que VAERS rapporte, a déclaré Carlson, citant des rapports soumis au ministère de la Santé et des Services sociaux en 2010 qui ont révélé que « moins de 1 % des effets indésirables du vaccin sont signalés par le système VAERS ».

Carlson a également mentionné dans son émission les informations majeures suivantes :

« De tous les vaccins MENVEO administrés pour prévenir la méningite bactérienne, une seule personne est décédée du vaccin entre 2010 et 2015. En 1976, 45 millions d’Américains ont été vaccinés contre la grippe H1N1. Au total, 53 personnes sont mortes du vaccin. Le gouvernement américain a mis fin au programme de vaccination parce que les autorités ont décidé qu’il était trop risqué. »

Les vaccins Covid ont contribué à 8 000 hospitalisations aux États-Unis, selon VAERS ».(([2] Tucker Carlson : How Many Americans Have Died After Taking COVID Vaccines ? • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

Cette indication est capitale, car chacun se demande à partir de combien de décès une agence de l’État suspend-elle la pratique d’un vaccin. La réponse précise sur le vaccin H1N1 dont Mme Bachelot a dû jeter des millions de doses achetées trop rapidement nous informe sur les réactions de l’époque dans des situations similaires.  Près de 9 000 décès reconnus en UE en ce début du joli mois de mai depuis le début des vaccinations anti-covid et répartis parmi les quatre produits injectés. Ne serait-ce pas temps de cesser ce sinistre scénario ?

Où sont passées les féministes ?

Le corps de la femme une nouvelle fois maltraité n’intéresse-t-il que le docteur Marc Girard ?(([3] D’Hippocrate au “crime organisé” : comment la médicalisation de la femme a fait tomber les barrières de la moralité – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org) ))(([4] La brutalisation du corps féminin dans la médecine moderne – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org) ))

Les effets indésirables moins spectaculaires que les décès sont complètement invisibilisés mais gâchent la vie courante de nombreuses citoyennes devenues patientes après une vaccination sous prétexte d’un virus si peu méchant chez les femmes encore réglées sans comorbidité.

La protéine SPIKE dans le collimateur des vaccins anti-covid

Certes ceux qui s’intéressent aux vaccins savent maintenant qu’ils visent tous la fameuse protéine spike et qu’ils pourraient entraîner des troubles de la reproduction. Chacun a entendu la multiplication des avortements en Grande-Bretagne dans les premières semaines de la vaccination intensive et la mort d’un enfant allaité par une mère vaccinée deux jours plutôt.

Mais ces faits lourds ne doivent pas masquer le quotidien plus banal mais inacceptable de nombreuses femmes « pour une prévention d’une maladie à létalité mineure (moins de 0,01 % de décès liés au covid19) » ?

Alors qu’apprend-on sur le vécu des femmes vaccinées ?

De nombreuses femmes disent que les effets secondaires du vaccin Covid ont un impact sur leurs règles, alors pourquoi les médecins ne s’en soucient-ils pas ?(([5] Women say COVID vaccine side effects impact their periods, so why don’t doctors care ? – Israel News – Haaretz.com))

Nous rapportons ici les réflexions d’un journal israélien dans un pays fort largement vacciné en très peu de temps, et où les effets sur les contaminations et les décès post vaccinaux ont été déjà relayés.(([6] Analyse des résultats de la vaccination anti-Covid19 en Israël au 23 février 2021 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

N’importe quel vaccin peut perturber les menstruations, mais la façon dont l’établissement médical a réagi aux descriptions de cet effet secondaire possible du vaccin coronavirus reflète un problème plus général.

Quelques exemples de l’article cité concernant l’expérience israélienne sont relatés ici.

Une femme de 36 ans s’est rendue chez le médecin après avoir subi des saignements vaginaux deux jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin contre le coronavirus. Son gynécologue a effectué un examen et l’a envoyée pour des analyses sanguines. « L’hémorragie a duré 10 jours, et le médecin m’a dit qu’il semble que mes règles sont arrivées tôt. « Je lui ai dit : bizarre, parce que mes règles ont été très régulières au cours de la dernière année. » « Cela arrive », a rétorqué le docteur de façon désinvolte que cela peut être un signe de ménopause précoce. « C’était comme un coup de poing à l’intestin », dit-elle.

« Il n’est pas nécessaire d’expliquer à quel point il est difficile pour une femme de mon âge de recevoir des nouvelles comme celle-là de son médecin. Pendant quelques semaines, j’étais vraiment en deuil de la fertilité que j’avais apparemment perdue ».

« Ce n’est que lorsqu’un ami, après que je lui ai parlé de mon état déplorable, a suggéré qu’il est peut-être vraiment lié au vaccin – que je l’ai googolé et découvert, à ma grande surprise, qu’un grand nombre de femmes ont signalé des saignements vaginaux et des périodes irrégulières après avoir été vaccinées.

J’étais en état de choc. Pourquoi ne m’ont-ils pas avertie que cela pourrait être l’un des effets secondaires du vaccin, comme ils m’ont mis en garde contre une faible fièvre et des douleurs au bras ? Pourquoi mon médecin n’a-t-il pas dit un mot à ce sujet ?

« Une histoire parmi un nombre infini sur les effets du vaccin sur les cycles menstruels. Une période précoce ou tardive, plus lourde que jamais ou plus douloureuse que d’habitude – les témoignages des femmes s’accumulent. Et comment l’établissement médical les traite-t- il ? »

C’est pourquoi nous pensons utile de vous informer, car le consentement éclairé est la base de la médecine d’Hippocrate, particulièrement en ce qui concerne l’expérimentation au cours des essais thérapeutiques comme le sont actuellement les vaccins anti-covid-19 dont aucun essai phase 3 n’est terminé.

Bien sûr le stress émotionnel lié au contexte actuel depuis un an et la campagne au grand galop de vaccinations en Israël peuvent favoriser les troubles des règles. Les stress physiques liés aux changements de vie sont aussi des facteurs connus de dérèglement du cycle menstruel.

« On sait que l’acte d’inoculation lui-même peut susciter un certain stress physique, et en particulier le vaccin contre le coronavirus, qui a également causé un stress émotionnel pour beaucoup de gens. Une réponse inflammatoire est une réaction immunitaire normale aux vaccins, ce qui affecte également les saignements vaginaux. Dr. Lior Shahar in Tel Aviv donne un exemple : on sait que le fait de se faire vacciner contre le papillomavirus (Gardasil) perturbe les périodes des femmes et des jeunes filles.

Les effets du vaccin sur les menstruations n’ont pas été étudiés à l’avance par les entreprises qui fabriquent les vaccins. »

Comment les ressentis des femmes ont-ils été reçus par les institutions médicales ?

« L’établissement médical a traité la question avec dérision. En ce qui le concerne, l’apparition de saignements vaginaux ou de perturbations dans les menstruations sont des phénomènes de routine qui se produisent de temps en temps, il n’y a donc aucune raison de les traiter comme un effet secondaire. »

« Quand j’ai demandé dans les groupes de médecins, et aux médecins individuellement – médecins de famille et gynécologues, hommes et femmes – j’ai entendu : « il y a des rapports, mais ils sont sans fondement », « J’ai entendu des patients dire que cela arrive, mais je n’ai pas vérifié la littérature », « je ne connais aucune référence médicale à cela », et ainsi de suite.

Certains de ces médecins pratiquent également la médecine fondée sur le genre.

Le mois dernier, des personnes ont été testées pour le coronavirus dans un complexe de la ville arabe de Tayibe, dans le centre d’Israël. Il semble que les patientes signalent fréquemment ces troubles gynécologiques, mais l’établissement n’en tient pas compte.

Qu’est-ce que cette histoire nous dit sur la façon dont l’établissement médical considère les phénomènes qui n’affectent que les femmes ?

« Il y a une discrimination évidente ici ». Bien sûr, cela rappelle les déclarations terrifiantes que le professeur Galia Rahav, chef de l’unité des maladies infectieuses au Centre médical Shaba, Tel Hashomer, a déclaré à l’époque sur la paralysie du nerf facial comme un effet secondaire du vaccin :

« Au début, ils ont dit que ce sont des femmes hystériques, mais apparemment pas, parce que nous voyons les effets chez les hommes aussi, et je crois que c’est réel.

« Ce n’est pas la partie choquante. La paralysie faciale, comme le saignement vaginal, n’est pas un événement rare. Mais lorsqu’il y a soudainement une multiplicité d’incidents en conjonction avec le vaccin, cela soulève des questions.

Bien sûr, cela comprend la question de savoir s’il s’agit d’une distorsion résultant de la surdéclaration, mais aussi de savoir s’il s’agit d’un effet secondaire.

Dans les groupes de médecins dont je suis membre, il y a eu d’innombrables discussions sur le sujet de la paralysie du nerf facial, mais aucune discussion sur les saignements chez les femmes. Il est scandaleux de découvrir que lorsque ces rapports sont des femmes, cela ne soulève pas de questions ou de discussions.

Je suppose que nous avons fait des progrès dans ce domaine depuis que nous avons découvert la différence dans la façon dont les hommes et les femmes éprouvent des crises cardiaques, par exemple. Dans quelle mesure la médecine fondée sur le genre a-t-elle progressé et comment ces progrès sont-ils exprimés ?

« Il y a certainement eu des progrès dans la médecine fondée sur le genre. Par exemple, la FDA interdit maintenant d’approuver un médicament sans le tester sur les femmes aussi, et d’examiner la différence dans ses effets sur les femmes et les hommes. Aujourd’hui, il y a des médicaments qui sont approuvés à l’avance juste pour les femmes ou tout simplement pour les hommes. Mais dans les facultés de médecine, ils n’apprennent toujours pas ces différences d’une manière organisée, et la plupart des professionnels de la santé ne connaissent pas du tout les fondements de la médecine fondée sur le genre.

« Mais la médecine fondée sur le genre n’est qu’une partie du problème, et il y a le vrai problème. La médecine fondée sur le genre ne traite que des différences biologiques entre les hommes et les femmes et ne tient pas compte des problèmes liés aux déséquilibres de pouvoir, à la discrimination, aux stéréotypes, au silence, à la violence ouverte ou cachée, à la minimisation des femmes dans l’espace public, à l’accessibilité aux services de santé – autant de choses qui contribuent tant à l’inégalité entre les sexes en matière de santé. C’est certainement vrai pour les femmes qui sont marginalisées de plusieurs façons – les femmes qui sont mizrahi, arabes, lesbiennes, âgées, en surpoids, handicapées et ainsi de suite. »

« C’est pourquoi la médecine fondée sur le genre ne suffit pas. Il y a un besoin de médecine féministe. C’est la véritable médecine égale, qui donne une voix aux femmes, qui comprend qu’une femme n’est pas seulement un corps, mais une totalité des expériences et des rôles sociaux, des codes, des attentes et du harcèlement sexuel, et le lien entre elles et son état médical physique et psychologique ne peut être rompu.

Tant qu’il n’y aura pas une compréhension profonde de ce lien, il n’y aura pas de bonne médecine égale pour les femmes, ni pour aucun groupe défavorisé dans la société ».

Une façon originale de voir la médecine à laquelle il faut réfléchir, mais en attendant écouter les femmes qui subissent des troubles menstruels à la suite du vaccin serait une première étape.

Des témoignages dans d’autres régions du monde

Emma Kahn dans sa lettre mensuelle sur le site de l’AIMSIB(([7] Lettre d’infos du 5 mai 2021 – AIMSIB)) signale aussi le fait que de nombreuses femmes se plaignent de saignements irréguliers à la suite du vaccin Pfizer, cela pourrait être dû à des ménopauses précoces selon la publication de health.com.(([8] https://www.health.com/condition/infectious-diseases/coronavirus/can-covid-vaccine-affect-my-period))
Dans un long fil de discussion sur Twitter, Kate Clancy, PhD, professeur associé à l’université de l’Illinois, rapporte : « une collègue avait entendu d’autres personnes dire que leurs règles étaient abondantes après la vaccination. Je suis curieuse de savoir si d’autres femmes ayant leurs règles ont également remarqué des changements ? J’ai reçu la première dose de Moderna il y a une semaine et demie, j’ai eu mes règles un jour ou deux plus tôt et j’ai l’impression d’avoir à nouveau 20 ans. »
D’autres ont raconté leur propre histoire. « Je suis exactement une semaine après ma deuxième injection de Moderna et j’ai commencé un cycle très dur pour moi, et j’ai environ 2,5 semaines d’avance », a écrit l’une d’elles.

« J’ai reçu le Moderna le dernier jour de mes règles. Neuf (!!!!) jours plus tard, une autre période est apparue et cela a été un cauchemar », a commenté une autre.

Les histoires personnelles se multiplient : « je suis à trois semaines de ma première piqûre de Moderna et j’ai commencé mes règles au milieu d’une plaquette de contraceptifs ». « Cela ne m’est jamais arrivé en 12 ans de prise de la pilule. Je n’ai même jamais de taches entre les périodes. »

Les changements de règles sont-ils donc un effet secondaire légitime du vaccin ?

Existe-t-il des recherches sur les vaccins Covid-19 et les cycles menstruels ?
Pas vraiment. Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) disposent d’un Vaccine Adverse Event Reporting System (système de notification des effets indésirables des vaccins), programme de surveillance dans lequel chacun peut signaler les effets secondaires qu’il a ressentis après avoir reçu le vaccin.

Plusieurs dizaines de femmes ont déclaré avoir eu des règles plus abondantes que d’habitude, des crampes douloureuses et des cycles menstruels inhabituels après avoir été vaccinées. Mais étant donné que n’importe qui peut soumettre n’importe quoi au système, tout cela est considéré comme anecdotique à ce stade.
Pour les femmes qui signalent des douleurs plus importantes que d’habitude, « il se peut que les douleurs post-vaccinales s’ajoutent aux douleurs menstruelles normales », explique à Health l’expert en maladies infectieuses Amesh A. Adalja, MD, chercheur principal au Johns Hopkins Center for Health Security dans le Maryland.

Le flux plus abondant est un peu plus difficile à expliquer. Une petite étude portant sur 233 femmes en âge de procréer présentant un diagnostic clinique de Covid-19 a fait état de certains changements menstruels. Sur les 177 patientes ayant des données sur leurs règles, 25 % avaient des « changements de volume menstruel », 20 % avaient des règles plus légères que d’habitude et 19 % avaient un cycle plus long que d’habitude, selon l’étude, publiée en janvier dans la revue Reproductive BioMedicine Online.

Il est possible que le vaccin Covid-19 ait un effet similaire, mais on ne le sait pas pour l’instant.

À l’heure actuelle, ces données sur la vie quotidienne des femmes restent peu connues et il importe que des médecins cliniciens s’y intéressent. La médecine n’est pas que celle des épidémiologistes, des simulations.

Les chiffres ne doivent pas faire oublier les êtres humains soumis à des interventions extérieures pas nécessairement justifiées. Elles devraient être informées des conséquences graves possibles, y compris les décès, liées aux vaccins expérimentaux mais aussi aux troubles de la vie quotidienne à même parfois de leur gâcher la vie.

Les doutes sur les perturbations de la fertilité à court et plus long terme devraient être élucidés avant une généralisation des pseudo-vaccins anti-covid contre une maladie non létale dans l’extrême majorité des cas. Pourquoi tant de hâte à vacciner des femmes réglées qui, du fait de leur sexe et de leur âge, ne risquent rien ?

Nicole Delépine





Analyse de la gestion de la crise sanitaire : Vers une nouvelle inquisition

[Source et auteur : Martine Wonner]

« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire »

Phrase prêtée à Voltaire.

Pourtant, la crise sanitaire semble bien avoir éteint une flamme au Pays des lumières. Depuis plusieurs mois, en tant que parlementaire, en tant que médecin, en tant que citoyenne, je suis constamment attaquée selon des procédés particulièrement inquiétants.

Articles de presse aux titres calomnieux, accusations infondées, informations tronquées, lorsqu’elles ne sont pas simplement totalement erronées : certaines officines ont, depuis le début de cette crise, escamoté aux citoyens le droit le plus élémentaire d’être correctement informés.

Les conséquences de la gestion de la crise sanitaire sont pourtant réelles : de la lassitude à la colère ; alors que je constate avec stupeur le refus itératif de mes collègues de venir débattre avec leurs administrés, je vois une gronde se soulever sur les territoires, Je sais que bon nombre de mes collègues partage avec moi le constat des dérives actuelles du pouvoir omnipotent et souhaite ce dialogue.

Force est de constater que si ce débat est aujourd’hui impossible, ce n’est pas par crainte du débat lui-même, mais par peur des « décodages » de la presse. Soutenir que des molécules peuvent permettre d’améliorer l’immunité et donc diminuer le taux de létalité face à la Covid-19, entraine la sanction directe d’un article vous dépeignant avec des qualificatifs injurieux inadmissibles. Soutenir que nous glissons vers un État portant les traits caractéristiques de l’autoritarisme, induit la sanction directe d’un article vous dépeignant sous les traits d’une personne ayant embrassé les théories d’extrême droite, etc…

Mon combat en tant que parlementaire a été constant depuis le début de mon mandat : protéger les droits humains, les personnes vulnérables, les « exclus », toujours dans un esprit de justice sociale sur le socle d’une économie forte.

Protection des minorités, protection des migrants, lutte contre toutes formes de racismes et de discriminations, lutte contre la destruction de l’environnement, droit des femmes, ouverture à la PMA pour toutes, droit à l’IVG. Certains peuvent me reprocher ces prises de position, elles sont miennes, reflet de mes valeurs et de mes convictions. Je les assume.

En tant qu’élue de la Nation, j’assiste depuis le mois de mars 2020 à l’affaiblissement total de la démocratie parlementaire ; les médias jouent un rôle déterminant, n’hésitant pas, en tant que 4e pouvoir, à prendre position en faveur d’un exécutif disposant déjà de quasiment tous les pouvoirs. Le projet de loi « organisant la sortie de crise sanitaire », inscrit la semaine prochaine en séance publique à l’Assemblée nationale, est à ce titre illustratif de la volonté du Gouvernement de faire perdurer l’état d’urgence sanitaire et les restrictions que nous connaissons depuis maintenant plus de 13 mois.

Une nouvelle chasse aux sorcières, organisée par autant de nouveaux procureurs autodésignés, semble avoir débuté : fichage en ligne, délation, complicité et duperie avec le pouvoir, voilà le lot quotidien d’une nouvelle presse de non-information.

Je nourris l’espoir d’un sursaut citoyen, capable de pouvoir faire naître un esprit critique face à ces pratiques moyenâgeuses. Je nourris l’espoir d’une presse plurielle, d’une presse d’investigation, d’une presse indépendante.

« Liberté de la presse et séparation des pouvoirs » pourrait être la nouvelle devise des français. L’enjeu n’est ni plus ni moins celui de la sauvegarde de notre démocratie.




Dr. Gérard Delépine : Alerte sur les vaccins et le pass vaccinal

[Source : Cercle Aristote]




En Conscience

[Source : Tistrya Productions]

Depuis la nuit des temps, des individus ont vécu des expériences de mort imminente, des phénomènes d’expansion de conscience, ou encore des sorties hors du corps.

Nous sommes allés à la rencontre de quelques-unes de ces personnes qui ont accepté de témoigner : qu’ont-elles vécu ? Qu’ont-elles vu ? En quoi ces expériences étaient bien différentes de simples rêves ou d’hallucinations ?

Nous avons également interrogé des psychiatres, des psychologues en milieu hospitalier, et d’autres spécialistes pour tenter de percer la réalité de ces phénomènes.
Que disent ces expériences sur notre conscience et sur la structure de la réalité ?
Comment prendre conscience de la véritable nature de notre être ?

Intervenants:
– Olivier Chambon (Docteur psychiatre)
– Jean-Jacques Charbonier (Médecin anesthésiste-réanimateur)
– Sylvie Déthiollaz (Docteur en biologie moléculaire, directrice de l’ISSNOE)
– Eric Dudoit (Docteur en psychologie et psycho-pathologie)
– Marc Boucher de Lignon, Nicole Dron, Philippe Raboud




Général Piquemal : « Le Général Lecointre a peur de déplaire à la ministre des Armées »

[Source : Gérard Infos]


[Note de Joseph : la présente crise en France se résoudra peu probablement dans le cadre de la 5e République et du Système actuel, car celle-ci et ce dernier sont corrompus et en état de décomposition avancée. La nation gagnera toutefois à éviter le passage par une révolution sanglante ou une guerre civile.]




Belgique : initiative citoyenne contre la Loi Pandémie

[Source : Initiative (pompompidou.land)]

[Photo : © BENOIT DOPPAGNE – BELGA]

Initiative citoyenne : Assemblée citoyenne pour nos libertés

Nous, citoyens, souhaitons à travers cette initiative, être entendus par la commission compétente de
la Chambre en respectant les 4 conditions prévues :

● Elle contient au moins 25.000 signatures (authentifiées par écrit et/ou électroniquement).
● Les signataires sont âgés d’au moins 16 ans.
● Au moins 14.500 des pétitionnaires sont domiciliés en Région flamande, 2.500 en Région de
Bruxelles-Capitale et 8.000 en Région wallonne.
● Elle est conforme à la Convention européenne de sauvegarde des Droits de l’Homme et des
libertés fondamentales.

Le texte de notre interpellation

La crise Covid-19 actuelle et à venir concernant la gestion de la pandémie nous montre clairement les
limites de la « démocratie » en Belgique. Des arrêtés ministériels sans aucun débat, que ce soit des
débats parlementaires ou citoyens, sont totalement inacceptables sur le plan démocratique.
La Belgique vient d’être condamnée à juste titre par le tribunal de 1ère instance de Bruxelles par une
action en justice de la Ligue des Droits de l’Homme.

Nous souhaitons une interpellation citoyenne à la Chambre pour dire NON à cette dictature
sanitaire ! La loi pandémie : NOUS N’EN VOULONS PAS !

Grâce à cette pétition, l’initiative aura pour objectif de réclamer une assemblée citoyenne formée
par tirage au sort, afin de pouvoir débattre de la gestion de cette pandémie qui est une véritable
catastrophe sur le plan social et démocratique et ainsi trouver des alternatives à cette gestion.

Par cette assemblée citoyenne, nous proposerons des ateliers de travail, afin de soumettre ces textes
aux parlementaires qui devront les voter en l’état sans modification.


[Source : rtbf.be]

Coronavirus en Belgique : la « loi pandémie » est prête à être soumise au Parlement

Le texte de « loi pandémie » de la ministre de l’Intérieur Annelies Verlinden est prêt à être soumis au parlement. Il a été approuvé par le Conseil des ministres après prise en compte des différents avis requis, dont celui du Conseil d’État, communique son cabinet lundi.

« Deux mois exactement après la présentation de l’avant-projet au Parlement, le projet de loi définitif est aujourd’hui soumis », déclare la ministre Verlinden via communiqué. Le gouvernement espère « qu’un débat parlementaire suivra sous peu ».

Le parlement avait déjà eu l’occasion d’examiner la première mouture du texte, dans une tentative d’associer les élus plus avant au débat, dans le contexte particulier de la pandémie de Covid-19. Le parlement avait ensuite transmis des centaines de pages d’avis et de remarques.

Le projet de loi doit donner une assise juridique plus solide aux mesures de restriction prises dans le cadre de la crise sanitaire, qui dure depuis plus d’un an. Il a revêtu une importance accrue depuis une ordonnance du tribunal de première instance de Bruxelles siégeant en référé, qui a enjoint à l’État de donner une base légale à ces mesures d’ici la fin du mois. L’État a fait appel de cette ordonnance.

Le gouvernement a déjà modifié le texte, tenant compte des remarques du Parlement

Le Conseil d’État, dont l’avis était très attendu, s’est prononcé récemment sur le texte de la « Loi Pandémie », amenant le gouvernement à faire quelques adaptations. Ses remarques les plus critiques portaient sur le traitement des données à caractère personnel (définitions trop vagues, nombreuses délégations de pouvoir, absence de justification du caractère nécessaire et proportionné de la réutilisation de certaines données). La ministre de l’Intérieur indique lundi que la disposition relative au traitement des données à caractère personnel a justement été supprimée du texte définitif tel que soumis le même jour au parlement. « La possibilité de prévoir un cadre légal adéquat à cet égard sera examinée pour autant que cela soit nécessaire », ajoute la ministre.

Selon le projet de loi, les mesures sanitaires seront « en principe prises par arrêté royal », sauf si l’urgence impose de les prendre par arrêté ministériel. Sauf s’il y a extrême urgence, le gouvernement fédéral devrait aussi se concerter au préalable avec les gouvernements des entités fédérées si les mesures sont de nature à avoir un impact sur des domaines politiques qui relèvent de leurs compétences.

« Le délai accordé au parlement pour confirmer l’arrêté royal décrétant ou maintenant la situation d’urgence épidémique, a en outre été porté à 15 jours, permettant ainsi un débat parlementaire approfondi sur la question », indique la ministre de l’Intérieur.

Du côté de la Chambre, on indique qu’il ne sera pas possible de débattre du texte dès ce mardi 27 avril. La commission Intérieur avait gardé une place dans son agenda de mardi pour ce point, mais comme le texte n’avait pas encore été soumis lundi midi, il en a été retiré, indique à Belga son président Ortwin Depoortere (Vlaams Belang).

Le projet de loi est aussi inscrit à l’agenda de la commission Intérieur de mercredi après-midi. Pour le moment, il y est maintenu. Selon Ortwin Depoortere, la conférence des présidents qui se rassemble mercredi midi devrait préciser l’ordre des travaux.




Deux policiers tués en service en l’espace de 12 jours : le syndicat France Police – Policiers en colère adresse une lettre ouverte au président Macron

[Source : Syndicat France Police – Policiers en colère (france-police.org)]

Monsieur Le Président de la République,

À douze jours d’intervalle, une collègue a été égorgée par un terroriste islamiste à Rambouillet tandis qu’hier, un second fonctionnaire a été abattu par balle à Avignon par un membre d’un gang de narcotrafiquants.

Le temps des belles cérémonies d’hommage est révolu. Vous devez passer des bougies à l’action politique. Ce n’est pas avec des larmes qu’on mène une guerre.

Vous dites vous battre pour le droit à la vie paisible mais ce combat ne se gagne pas avec des mots.

Les policiers et les gendarmes ne peuvent pas se défendre en raison d’un texte sur la légitime défense trop flou, laissant le champ libre à toutes les interprétations jurisprudentielles.

Le police bashing permanent orchestré par les médias et les people entrave considérablement notre action.

En bout de chaîne, la faillite de l’appareil judiciaire annihile notre travail d’investigation.

Les Français ne croient plus en leur justice. La manifestation pour réclamer justice pour Sarah Halimi en est la preuve éclatante.

La population n’a plus confiance dans nos services et s’arme pour se défendre elle-même face aux criminels, les évènements de Stalingrad ne sont qu’un exemple parmi tant d’autres.

Si vous ne voulez pas terminer votre mandat avec le pire bilan en matière de sécurité de l’histoire moderne, notre syndicat de police vous invite à recourir aux dispositions prévues par la loi n° 55-385 du 3 avril 1955.

Dans le cadre de l’état d’urgence, il faut procéder au bouclage des 600 territoires perdus de la République, y compris avec le renfort de l’Armée, en contrôlant et en limitant les entrées et sorties de ces zones par des checkpoints sur le modèle israélien de séparation mis en place avec les territoires palestiniens.

Parallèlement, en recourant au 49-3, il faut adopter en urgence une réforme de la légitime défense pour les policiers et les gendarmes leur permettant d’ouvrir le feu dès lors qu’un fuyard n’obtempère pas ou qu’ils sont l’objet de tirs de mortiers et d’artifices ou de jets de cocktails Molotov.

Notre syndicat de police vous recommande de vous inspirer du modèle brésilien et Philippin en matière de lutte contre le narco-terrorisme.

Les présidents Bolsonaro et Duterte obtiennent d’excellents résultats en ayant donné carte blanche à la police pour reprendre le contrôle des zones de non droit.

L’heure n’est plus au en même temps. Il ne peut y avoir de compromis avec les terroristes et les dealers. Les hésitations, les frilosités politiques et autres tergiversations profitent aux narco-terroristes.

Certain de votre détermination à ne pas abandonner définitivement notre Nation aux mains des trafiquants, recevez, Monsieur Le Chef de l’Etat, l’expression de mon plus profond respect Républicain.

Michel Thooris, secrétaire général du syndicat France Police – Policiers en colère.


[Note de Joseph : face à la dégradation sociale et civilisationnelle favorisée par les « élites » dirigeantes françaises officielles et obscures, les solutions préconisées dans cette lettre vont malheureusement dans le sens voulu par le Nouvel Ordre Mondial, renforceront temporairement les divisions et le chaos, et aboutiront presque inéluctablement à une restriction encore plus grande des libertés, sur le modèle chinois (voir La Chine étend son crédit social à l’international). Créer de nouveaux ghettos sur le modèle de l’apartheid israélien envers les Palestiniens (contre l’intérêt à la fois des juifs et des musulmans du peuple sur le plan de la conscience et de la civilisation, mais pour celui de leurs élites sur le plan matériel du contrôle et du pouvoir) n’est pas une solution sage. La crise socioculturelle, politique et religieuse en France ne se résoudra probablement que par l’assimilation des arrivants ou par leur renvoi dans leur pays d’origine pour ceux qui ne voudront pas participer constructivement à la vie française et respecter l’âme de la nation. Et l’assimilation ne peut se faire par l’isolement dans des enclaves ou des zones de non-droit, mais par l’intégration dispersée sur l’ensemble du territoire, à l’image d’une mayonnaise dont on ne parvient plus à distinguer le vinaigre de l’huile grâce au pouvoir liant de l’œuf et de la moutarde. Dans l’Humanité, le meilleur liant est l’Amour, au contraire de la violence et de la répression.]




La Chine étend son crédit social à l’international

[Source : francesoir.fr]

Officiellement annoncé en 2014, le système de crédit social chinois fonctionne de mieux en mieux, et de plus en plus. En posant des caméras partout, en développant toujours plus de QR-Codes et en incitant à la délation, le Parti Communiste Chinois (PCC) crée Le Meilleur des Mondes [Ndlr : dystopie d’Aldous Huxley]. Quand il s’agit de surveillance, le credo est le suivant : toujours plus loin, toujours plus haut, toujours plus fort. Aujourd’hui, tous les citoyens chinois sont répertoriés dans la base de données, et sont notés. Ce système de crédit social que l’on dit souvent « orwellien », est double : nous avons d’un côté la surveillance individuelle, et de l’autre la surveillance des entreprises.

Comment cela fonctionne-t-il pour les citoyens ?

En France, nous avons par exemple l’habitude du permis à points pour la conduite. Grillez un feu rouge, vous perdrez quatre points (si vous vous êtes fait prendre). Soyez sages pendant plus de six mois, ou payez pour un stage, et vous récupérerez des points. Si vous êtes chauffeur de taxi, propriétaires de maisons d’hôtes ou simplement commerçants sur Internet, le système de notation vous est aussi familier. Soyez aimables, et les clients vous remercieront en vous notant correctement, ce qui vous donnera meilleure réputation. Si en revanche vous faites mauvaise impression pour telle ou telle raison, vous serez mal noté, et Dieu sait à quel point les notes influencent l’opinion publique.

Maintenant, imaginez que ces systèmes soient étendus à tous les aspects de notre vie quotidienne. C’est difficile, mais c’est réel. Comme dans un jeu vidéo, votre score ne cesserait de varier en fonction de vos actions. Voilà la promesse du crédit social chinois :

Ce qui vous ferait gagner des points : donner votre sang, faire l’éloge du gouvernement, réaliser un acte « héroïque », prendre soin des personnes âgées, aider les plus pauvres, s’engager dans une oeuvre de charité, avoir un bon historique de crédit financier.

Ce qui vous en ferait perdre : tricher sur des jeux en ligne, participer à ce qui peut être considérer comme une secte, ne pas être sincère quand vous vous excusez pour un crime que vous avez commis, répandre des rumeurs sur Internet, poster des messages contre le gouvernement sur les réseaux sociaux, ne pas aller voir vos aînés régulièrement, protester illégalement contre les autorités, commettre des infractions routières.

Ce dont vous pourrez bénéficier avec un bon score : la priorité pour des admissions scolaires ou professionnelles, un accès facilité à des emprunts bancaires ou des crédits, des locations de véhicules, un accès à des salles de sport, des transports en commun moins chers, des temps d’attentes moins longs à l’hôpital, une promotion accélérée au travail, pas de file d’attente pour l’accès au logement social, des taxes réduites.

Comment vous serez punis si vous avez un mauvais score : certains services sociaux vous serons refusés, les vols et les TGV vont seront interdits, vous n’aurez plus droit aux crédits, vous ne pourrez pas travailler auprès du gouvernement, vous n’aurez pas accès aux écoles privées.

La liste noire : si votre score descend trop bas, vous serez ajouté à la liste noire. Le gouvernement vous humiliera alors volontairement auprès du public en affichant votre nom, votre numéro d’identité et votre photo à la télévision ainsi que dans les espaces fréquentés. Aussi, ceux qui vous appelleront sur votre téléphone sauront grâce à un message automatique que vous faites partie de la liste noire. Entrer sciemment en contact avec une telle personne vous fait aussi perdre des points…

Ce modèle n’est pour le moment présent qu’en Chine.

Réplication du modèle des entreprises au Canada

Le système est tout à fait similaire pour ce qui est des entreprises. En évaluant les performances de cette dernière et en analysant plusieurs composantes (taxes, protection de l’environnement, droit de douanes, etc), le gouvernement peut ensuite récompenser les bonnes entreprises et punir les mauvaises.

L’année dernière, le Canada assurait que ce dispositif était prêt à être mis en place chez eux.

Aujourd’hui, à Vancouver, un restaurant de la chaîne chinoise Haidilao Hot Pot est pleinement opérationnel. Équipé de 60 caméras, deux à chaque table, l’endroit est prêt à accueillir ses clients, et à les surveiller en permanence. Ryan Pan, le responsable du restaurant, rapporte lui-même que les caméras sont installées « pour punir les citoyens qui n’adhèreraient pas aux choix de l’entreprise », assurant par ailleurs que « les données récoltées étaient ensuite transférées en Chine. » Ainsi, le mode de vie chinois se répend à l’international car le PCC considère que ses citoyens doivent être surveillés même s’ils sont expatriés. De facto, cela leur permettra aussi d’avoir un oeil sur les Canadiens. Ce qui peut être inquiétant, c’est que les entreprises chinoises sont aujourd’hui très largement réparties à travers le monde. Les restaurants Haidilao à eux seuls sont présents à 935 endroits différents et comptent plus de 60 000 salariés.

La réponse canadienne

Si certaines personnalités canadiennes se sont vivement montrées contre ces installations, il se trouve que les lois actuelles du pays ne peuvent pas réellement empêcher les entreprises chinoises d’installer leurs caméras. Le ministre du Travail de Colombie-Britannique, Harry Bains, a été interrogé pour savoir s’il avait prévu de modifier les lois pour protéger les citoyens canadiens vis-à-vis de la protection des données, mais aussi des punitions qu’ils encourent. Lui, tout comme la ministre des Services aux citoyens Lisa Beare, espère simplement que les citoyens respecteront et adhèreront au système, qui se repose uniquement la Personal Information Protection Act (PIPA).

Le 9 février 2021, David Vigneault, le directeur du service canadien du renseignement de sécurité (SCRS), assure au cours d’une déclaration publique que « la menace ne vient pas du peuple chinois, mais plutôt du gouvernement chinois qui poursuit une stratégie d’avantage géopolitique sur tous les fronts – économique, technique, politique et militaire – et utilise tous les éléments du pouvoir de l’État pour mener des activités qui constituent une menace directe pour notre sécurité et notre souveraineté nationales. »

Malgré cette mise en garde, et des relations parfois tendues avec la Chine, Justin Trudeau ne semble pour l’instant pas opposé à l’insertion du modèle chinois au Canada.

La Chine, après avoir imposé au monde son modèle économique en seulement quelques années, propose désormais son modèle social fondé sur la surveillance permanente des citoyens, les récompenses et les punitions.

Les virus s’enchaînent… Après le SARS-Cov2, le prochain sera-t-il celui du contrôle social ?




Billet charmant : où est ce Prince qui ne m’a pas embrassée, que je l’extermine ?

[Source : Russie politics]

Par Karine Bechet-Golovko

La culture de la destruction qu’est la cancel culture (en effet, c’est moins violent en anglais) s’attaque maintenant à Blanche Neige. Ou plutôt à ce pauvre Prince Charmant qui, sous le charme de la jeune femme, a eu la mauvaise idée de l’embrasser alors qu’elle était endormie. Ca mérite bien un combat ! Il n’y a rien de plus important aujourd’hui pour ces deux journalistes/activistes, que de s’attaquer aux Princes charmants, qui déjà ne courent pas les rues à force d’émasculation forcée de nos sociétés dévitalisées. Que deux personnes, mal dans leur peau, n’aient pas réussies à dépasser le stade de l’adolescence, c’est leur problème, mais comment notre société a pu se dégrader à ce point que des individus aussi primaires puissent avoir une telle audience ?

Un excellent article dans Le Figaro replace parfaitement le faux débat du baiser du Prince Charmant à sa place. L’on regrettera seulement cette nouvelle mode de ne pas signer ces textes…

Après les relectures anachroniques des pièces du dramaturge grec Eschyle, après le déboulonnage des statues de Churchill et de Colbert, après la dégradation de la petite Sirène de Copenhague, aurions-nous touché le fond ? C’est au tour de Blanche-Neige, conte mythologique des frères Grimm revisité en conte de fées au XXe siècle par Walt Disney, de se voir clouer au pilori par les disciples d’une cancel culture, mâtinée ici du plus intransigeant néoféminisme.

Et ce néoféminisme, qui n’a rien à voir avec les femmes, comme toujours porté Outre-Atlantique par deux activistes qui n’ont rien de journalistes, poussant le fanatisme à sa fin logique – la bêtise la plus crue. Et comme souvent, ce vent mauvais d’Amérique, prétend être un zéphyr, ce vent d’ouest jadis divinisé par les Anciens. Traquant la moindre trace de «cette domination patriarcale blanche», qui aurait soumis le monde depuis la nuit des temps, deux journalistes du SF Gate, la version numérique de l’important journal californien San Francisco Chronicle, ont cru déceler dans l’histoire de cette malheureuse princesse victime de la jalousie assassine d’une méchante reine, «un problème majeur». Dans la scène finale, le geste d’amour salvateur que lui donne le prince charmant ne serait pas autre chose, selon elles, qu’un vulgaire «baiser non consenti» et donc subi par l’héroïne.

Et elles insistent pour que Walt Disney modifie la fin – sans n’avoir rien à proposer. C’est bien l’impasse (heureusement pour nous) de ces mouvements dits « progressistes ». Ils ne sont que destructeurs, ils s’attaquent à ce qui existe, le dégradent, mais ils sont incapables de produire un monde attrayant.

Deux activistes n’ont toujours pas dépassé le refus de leur Prince Charmant de les embrasser et veulent alors exterminer tous les Princes Charmants. Ils sont déjà peu nombreux… Ne m’en voulez pas Messieurs, rien de personnel, cela ne nous empêche pas de vous aimer – comme vous êtes. Tout comme nous espérons être aimées comme des femmes et non pas comme des Princesses fantasmées. 

En quoi cela nous empêche-t-il d’aimer les Princes Charmants et les Princesses ? En quoi cela nous empêche-t-il d’aimer le rêve que les contes de fées mettent dans notre enfance, puis dans notre vie ? Laissez-nous fantasmer tranquilles !

Pourquoi des individus primaires, incapables de faire la différence entre la vie et le rêve, doivent-ils dicter leurs règles ? Pourquoi doit-on appauvrir notre monde, pour le rendre aussi fade, aussi vide, aussi triste que ces activistes ? Et surtout que nous est-il arrivé pour qu’ils aient une telle audience ?!

PS : Pour information, je crois aussi au Père Noël, vous savez ce vieux mâle Blanc, qui vient voir les petits enfants la nuit… Étrange qu’il n’ait pas encore été accusé de pédophilie celui-là…




Le totalitarisme vaccinal s’exprime sans masque

Par Gérard Delépine

Dans un journal financier français appelé l’Opinion,(([1] 2 mai 2021)) la chronique d’un inquisiteur de la secte covidiste, Éric le Boucher, jette le masque et affirme sans honte :

« il va être temps de s’occuper de ceux qui refusent le vaccin ».

Au-delà de la banalisation inadmissible d’un passeport vaccinal que trois quarts des Français refusent en dépit de l’intoxication médiatique,(([2] LES COLLABOS (co-labos ?) DU PASS SANITAIRE SE DÉMASQUENT – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) punir ceux qui refusent l’injection expérimentale d’une thérapie génique intitulée à tort « vaccin » devient une idée proposée par un journaliste français. Il est temps de se réveiller !

Que ceux qui pensent exagérée la comparaison de notre époque avec des périodes troublées des années trente, et les angoisses sur les mesures extrêmes comme l’isolement dans des « camps » appelés encore pudiquement hôtels de résistants à la secte covid, et éventuellement l’éloignement des enfants, soient vigilants à ce qui n’est encore qu’écart de langage, mais impose une attention de tous les instants de ceux pour qui les mots de liberté, de consentement éclairé, de convention d’Helsinki ou de code de Nuremberg ont encore un sens.

Cette chronique menaçante de l’Opinion affiche l’ignorance scientifique et/ou mauvaise foi du rédacteur, et proclame son mépris pour la démocratie, et la volonté du peuple.

Il faut la dénoncer, car malheureusement la faiblesse des réactions politiques à l’annonce d’un passeport vaccinal, sauf exception, ne saurait rassurer. L’hypnose ayant accompagné la sidération induite par une propagande continue sur les chaînes d’information TV ou radio et la presse écrite a conduit à un état d’apparente décérébration ou au moins d’apathie d’une part encore importante de la population, même si le réveil semble avoir quelques frémissements. Goebbels, de l’enfer où il brûle sûrement, doit être jaloux de la puissance médiatique actuelle et de ses pouvoirs de censure mondiale…

Ignorance et incohérence de la chronique à propos des USA

Manifestement, cet article comme d’autres n’a pas bien analysé la régression de l’épidémie aux USA. Contre toute évidence, il attribue celle-ci à la vaccination.

Or le recul de l’épidémie aux USA a commencé dès janvier 2021, alors que le taux de vaccinés ne dépassait pas les 5 %. En totale contradiction avec le credo de sa chronique :

« si l’on veut en finir véritablement avec cette pandémie, il faut atteindre le fameux seuil de “l’immunité collective”, autour de 70 % de la population vaccinée ».

En mars 2021, le gouverneur du Texas, Greg Abbott a supprimé les mesures prétendument sanitaires sans écouter les covido-terroristes, dont Joe Biden et Fauci, qui lui prédisaient un cataclysme épidémique. Il s’est aussi attiré les injures d’autres covido-terroristes dont le gouverneur de Californie, Gavin Newsom déclarant que cette décision était « absolument irresponsable ». Beto O’Rourke qualifiait le parti républicain du parti du « culte de la mort », et Joe Biden estimait la décision de « pensée néanderthalienne », Keith Olbermann répétait que « le Texas a décidé de rejoindre le camp du virus ».

Leur boule de cristal les a trahis. La vérité est têtue. Au Texas, revenu à une vie quasi normale, la régression de l’épidémie s’est poursuivie sans que les modélisateurs annonciateurs de catastrophes parviennent à s’expliquer sur les erreurs considérables de leur dernière prophétie catastrophique démentie par les faits.

La décision du Texas a été suivie par les autres gouverneurs républicains, puis dans de nombreux états démocrates ainsi que l’illustre cette carte publiée le 3/5 par le New York Time.

Aux USA, depuis janvier 2021, la régression de l’épidémie se poursuit partout et plus rapidement dans les états libérés que dans ceux qui maintiennent des restrictions. Ceci démontre que les confinements et l’obligation du port des masques et des autres mesures pseudo-sanitaires ne servaient à rien ou étaient délétères, n’en déplaise aux désinformateurs de Arte et France télévision.(([3] Désintox. États-Unis : non, le Texas n’a pas démontré l’inutilité du port du masque antiCovid
France télévision le 16/04/2021))

Compte tenu de cette évolution naturelle favorable et des complications parfois graves des pseudo-vaccins actuels, les Américains ont compris que la « vaccination » actuelle présentait une balance avantage/risques très défavorable pour la très grande majorité de la population et ils ont déserté les vaccinodromes.

Ceci est jugé intolérable par Éric Le Boucher dont les convictions démocratiques paraissent bien incertaines et qui réclame une obligation vaccinale par des médicaments expérimentaux qui n’ont toujours pas reçu d’autorisation autre que conditionnelle de mise sur le marché, les essais ne devant clore leur première estimation qu’en 2023.

Heureusement que la Constitution américaine protège mieux les Américains que la nôtre ou qu’elle est mieux respectée.

Les vaccinalistes à outrance voudraient vendre 7 milliards de vaccins même à ceux qui n’en ont pas besoin. Dans quel but ?

Fort de leur foi en des produits (ou en bons représentants de commerce de l’industrie pharmaceutique ?) Le Boucher et d’autres affirment : « il faudra vacciner au moins 70 % des 7,7 milliards d’individus sur Terre » comme l’avait déjà proposé un député français sur sud radio en avril 2020. Ils ne remarquent pas que le Covid a surtout sévi dans les pays occidentaux riches et qu’il n’y a donc aucune raison et au contraire beaucoup de risque à introduire les vaccins actuels dans des pays sans mortalité Covid 19 notable.

En effet, dans ces pays, les courbes publiées par l’OMS(([4] Que chacun peut vérifier sur https://covid19.who.int/)) montrent que la vaccination est suivie pendant quatre à six semaines d’une explosion de la mortalité attribuée au Covid19.

Qu’il s’agisse de la Mongolie :

De la Thaïlande :

Ou du Cambodge :

Ou encore les micro-États européens comme Monaco ou Gibraltar

OBJECTIFS OFFICIELS DES VACCINATIONS ANTICOVID

Le but théorique de la vaccination est de diminuer le nombre de malades et d’éviter les transmissions et les formes graves. Les données de l’OMS prouvent que c’est le contraire qui se produit avec les vaccins covid actuels.

Dans les pays souffrant fortement du Covid, des évolutions post vaccinales désastreuses ont aussi été observées

En Israël, la vaccination a commencé le 19 décembre 2020. Les mois de janvier et février 2021 ont établi les records mensuels de contaminations et de mortalité attribuées au Covid-19 depuis le début de l’épidémie.

Contrastant avec l’optimisme dithyrambique du gouvernement israélien actuel, le Comité populaire israélien (IPC), un organisme civil composé d’experts israéliens de la santé, a publié son rapport d’avril :(([5] Bilan catastrophique sur la vaccination en Israël – Michelle d’Astier de la Vigerie (michelledastier.com) ))

« les conclusions sont catastrophiques à tous les niveaux possibles. Selon les données du Bureau central des statistiques, en janvier-février 2021, on a constaté une augmentation de 22 % de la mortalité globale par rapport à l’année précédente. Ces mois de janvier-février 2021 ont été les mois les plus meurtriers, avec les taux de mortalité globale les plus élevés par rapport aux mois correspondants des dix dernières années. »

En Grande-Bretagne, la campagne de vaccination a commencé le 8 décembre 2020. Le mois de janvier 2021 a lui aussi établi le record de mortalité mensuelle depuis le début de l’épidémie et totalise près du quart de la mortalité globale.

Des évolutions aussi inquiétantes ont été constatées au Chili :

en Inde

au Koweït

aux Émirats Arabes Unis,

au Bahrein(([6] G Delépine : Et surgit une hécatombe post vaccinale
https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/))

Mais la foi des vaccinolâtres dans la vaccination Covid19, comme toutes les croyances, ne se discute pas et ne peut pas être mise en cause par les faits avérés dans le monde réel. Triste pour les victimes des vaccins et leurs proches.

Le totalitarisme militant

Le Boucher, entre autres, proclame sans honte :

« les gouvernements devront imposer, comme avec le confinement, la santé collective contre la liberté individuelle ».

Pourtant le confinement n’a pas imposé « la santé collective » dans le monde réel, mais lui a considérablement nui, augmentant la mortalité Covid et celles de toutes les pathologies chroniques, l’aggravant par les complications psychiatriques et les morts collatérales par défaut de soins.(([7] http://www.francesoir.fr/le-confinement-tout-ce-que-lon-ne-vous-pas-dit-aberration-humaine-sanitaire-economique)) Tous les pays qui ont imposé cette technique moyenâgeuse se retrouvent dans le peloton des plus fortes mortalités Covid19 par million d’habitants.

Tous les religieux fanatiques ou prophètes illuminés de cette secte covidiste tentent de nous effrayer avec la bête. Le Boucher le formule ainsi : « la bête n’est pas sur le déclin, elle n’est pas morte, elle peut revenir, donc elle reviendra » avant de réciter un crédo sans aucun argument scientifique du monde réel. « Pour en finir une bonne fois pour toutes, il faut vacciner tout le monde ou presque ». N’a-t-il jamais entendu parler des traitements précoces qui ont réglé le problème dans tous les pays qui l’ont accepté ?

Les covidistes militants, dont le Premier Ministre, ignorent-ils que le Pr Delfraissy lui-même ne croit plus au confinement ni au vaccin salvateur ainsi qu’il l’a précisé dans sa lettre récente au Lancet(([8] L Atlani-Duault, B Lina, B Chauvin, JF Delfraissy, D Malvy L’évasion immunitaire signifie que nous avons besoin d’un nouveau contrat social COVID-19 the Lancet public health 18 février 2021 VOLUME 6, NUMÉRO 4.)) cosignée par des membres du conseil scientifique ?

« Ce changement de comportement virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, à mesure que de nouveaux variants émergent et que l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. Par conséquent, il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur et fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire ».

Même le ministre de la Santé français commence à parler d’antibiotiques, d’anticoagulants pour les malades et Boris Johnson promet aux Anglais des traitements précoces à prendre à domicile pour septembre. Le journal l’Opinion retarde-t-il d’une guerre ou bien faut-il vendre le maximum de vaccins avant de devoir les jeter comme pour le vaccin de H1N1 de Mme Bachelot passée à la culture…

La vraie bête immonde qui nous menace dans le monde réel est le totalitarisme, quel qu’en soit le prétexte.

Les fanatiques de la secte Covid19 qui crachent depuis plus d’un an sur notre devise « Liberté », notre Constitution, notre démocratie sont responsables de la pire crise sociale, sanitaire, éducative, économique depuis un siècle.

S’ils « croient » au vaccin (ce qui est leur droit absolu), qu’ils se vaccinent, mais qu’ils soient logiques. Puisqu’ils sont sûrs de l’efficacité de leur médicament, ils devraient se sentir protégés et n’ont donc aucune raison d’avoir peur du contact avec les non-vaccinés et de vouloir imposer aux autres leur croyance mortifère, les discriminations, ou la nouvelle étoile jaune (le pass).

Les USA nous ont montré que le retour à la liberté est parfaitement possible sans risque. Suivons son exemple.

Les résultats des essais ne seront pas connus avant plusieurs mois

Il faut attendre les résultats définitifs des essais phase 3 et des campagnes vaccinales actuelles pour savoir si les vaccinés seront réellement globalement protégés et durant combien de temps, si la vaccination peut réellement diminuer les contaminations sur le long terme et si les complications ne seront pas trop nombreuses, en particulier chez les vieillards à comorbidité lourde qui auraient dû constituer la cible naturelle de cette thérapie.

Ce n’est donc qu’en 2023 que le bilan avantages-risques pourra commencer à être évalué permettant de définir éventuellement des indications médicalement fondées.

Les menaces des vaccinolâtres témoignent de leur foi, mais n’apportent aucun argument scientifique et leur agressivité sectaire montre le danger des extrémismes totalitaires.

Se contenter d’excommunications ou de fatwas contre ceux qui doutent nous ramène quelques siècles en arrière au temps des guerres de religion.

Revenons aux faits avérés et confrontons des arguments objectifs.





Crise sanitaire : « On va demander à la population de choisir entre 2 camps », estime Vincent Pavan

[Source : Epoch Times France]

Vincent Pavan est mathématicien, enseignant-chercheur à l’université d’Aix-Marseille. Sollicité par la défense dans le cadre d’une procédure judiciaire engagée à l’encontre de deux restaurateurs biterrois par le procureur de la République de Bayonne, il a revu le premier volet de l’étude ComCor, qui porte sur les lieux et les circonstances de contamination au virus Sars-COV-2.

Une étude épidémiologique coordonnée par le professeur Arnaud Fontanet, membre de l’Institut Pasteur et du Conseil scientifique, et menée en partenariat avec la Caisse nationale d’assurance Maladie (Cnam), Santé Publique France et l’institut de sondage Ipsos.

Cette étude a notamment été citée par Jean Castex au mois de décembre 2020 pour justifier le maintien de la fermeture des cafés et des restaurants décidée à la fin du mois d’octobre, dans le cadre du deuxième confinement.

La méthodologie retenue pour réaliser l’étude ComCor est-elle fiable ? Comment fonctionne le Conseil scientifique ? Quel regard peut-on porter sur la somme de chiffres et de statistiques produits depuis le début de l’épidémie ?

Esprits de Liberté a rencontré Vincent Pavan pour répondre à ces questions.




Macron et le chaos

[Source : RT en français]

Par Anne-Sophie Chazaud

Le niveau de chaos et de délitement désormais atteint dans notre pays est tel qu’il est devenu difficile de réagir. D’abord parce que nous sommes nombreux à avoir annoncé, dénoncé, prévenu ce qui était en train de se produire. Ensuite parce que la colère, la rage mais aussi une forme d’impuissance nous envahissent face à l’amoncellement des difficultés auxquelles nous sommes à présent confrontés. 

Hier soir, quelques jours à peine après l’égorgement islamiste d’une fonctionnaire de police, un policier qui perturbait le trafic de drogue a été abattu. Et je constate avec un dégoût profond l’opportunisme des soutiers du pouvoir pour récupérer à eux ce drame alors qu’ils en sont les principaux responsables.

Je rappelle donc que, pendant de longs mois, notre police a été dévoyée délibérément dans le but de réprimer l’opposition sociale et politique visant la critique de l’action macronienne, laquelle consiste à liquider le pays. Que la doctrine et les pratiques du maintien de l’ordre ont dans ce cadre politique été délibérément dévoyées, tournées contre le peuple de France, comme cela a été fort justement dit dans la lettre/constat des militaires la semaine dernière, tant critiquée à grands cris d’orfraies par ceux-là mêmes qui aujourd’hui versent des larmes de crocodiles sur le fruit de leur incurie, de leur mauvaise foi et de leur perversité.

« Il serait plus judicieux de cesser d’employer les forces de police à matraquer fiscalement avec zèle le peuple français pour des attestations d’Absurdistan »

Pendant que le pouvoir s’occupait et occupait notre police républicaine à mater le peuple, nous n’avons cessé de prévenir au sujet de l’ensauvagement du pays, nous disions «la racaille tue», nous refusions la lâcheté coupable d’un Castaner qui voulait faire mettre le genou à terre pour un meurtre commis de l’autre côté de l’Atlantique.

Le Garde des Sceaux, tout occupé à lutter contre le fascisme d’il y a 70 ans, déclarait que la France n’était pas un coupe-gorge tandis que, pour chacun de nos simples constats, nous étions réduits promptement ad hitlerum. 

Nous avons mis en garde lorsque des Tchétchènes et des Maghrébins firent la loi par les armes dans la capitale de la Bourgogne, lorsqu’Axelle fut abjectement tuée, lorsque tant d’agressions se produisirent. Depuis des semaines nous alertons sur la guerilla urbaine qui s’est désormais installée partout, et nous faisions remarquer qu’il serait plus judicieux de cesser d’employer les forces de police à matraquer fiscalement avec zèle le peuple français pour des attestations d’Absurdistan.

« Les rues sont, pour cause d’absurde couvre-feu, livrées, passée une certaine heure, aux seuls hommes et en particulier à ceux qui viennent semer le chaos »

Chaque semaine désormais des églises brûlent dans le total silence des autorités, des quartiers tous les soirs s’embrasent, les centres villes sont les scènes de violences, de rodéos, de n’importe quoi. Les rues sont, pour cause d’absurde couvre-feu, livrées, passée une certaine heure, aux seuls hommes et en particulier à ceux qui viennent semer le chaos. J’alerte sur ce point depuis des mois, sur cette insécurité totale engendrée en particulier par la prise de contrôle de l’espace public nocturne par les racailles à cause du couvre-feu.

« À aucun moment de ce quinquennat la sécurité des Français n’a été une priorité. »

La police est débordée et n’a plus les moyens de faire face, mais lorsque nous lisions Obertone, lorsque nous alertions, là encore nous étions traités de nazis et autres vieilles lunes pour gauchistes sur le retour en mal de programme. L’urgence était alors à la répression politique et sociale, pendant que les petits SA du système étaient laissés libres d’étendre leurs méfaits pour «ne pas faire de vagues» (et en réalité pour servir le pouvoir par la désorganisation de la nation tant honnie).

À aucun moment de ce quinquennat la sécurité des Français n’a été une priorité.

Tout était écrit, par nous en particulier, et voilà le résultat. Ce quinquennat est bien celui du chaos. Il a précisément prospéré, existé, intrinsèquement, grâce au chaos et à la dislocation du pays. Espérons que les Français s’en souviendront plus de dix jours.




Antidote au délire sanitaire et vaccinal des gouvernements et des médias dominants

[Source : Pierre Chaillot. Transmis par Ben Lyo]

[Pierre Chaillot rejoint les conclusions de Marc Girard concernant l’absence de significativité sanitaire de la présence d’un virus covid19 (voir https://www.rolandsimion.org/coronavirus-mortalite-epidemiologie-fake-intimidation/#Un_quizz_conclusif_et_concluant). Il le montre avec des éléments imparables reprenant simplement les statistiques de décès officielle.]

1 – 100 000 morts, vraiment ? (28 avril 2021 – vidéo 20 minutes)

2 – La dictature des tests (22 février 2021 – vidéo 19 minutes)

3 – Nouveau confinement : l’excuse des jeunes (2 avril 2021 – vidéo 8 minutes)

4 – Augmentation des décès de 9 % : c’est grave docteur ? (18 janvier 2021 – vidéo 10 minutes – c’est cette vidéo qui est reprise par Les Décodeurs du journal Le Monde et rediffusée dans la vidéo en 7)

5 – Les mauvais calculs d’une vidéo qui prétend que le Covid-19 serait « moins mortel que la grippe en 2017 » (Article des Décodeurs critiquant la vidéo en 4 – 22 janvier 2021) :
https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/01/22/les-mauvais-calculs-d-une-video-qui-pretend-que-le-covid-19-serait-moins-mortel-que-la-grippe-en-2017_6067272_4355770.html

6 – Covid VS Grippe : les mauvais calculs des décodeurs (27 janvier 2021 – vidéo 9 minutes répondant à l’article des Décodeurs en 5)

7 – L’arnaque de la chute de l’espérance de vie (11 avril 2021 – 16 min)

8 – COVID-19 : « LE PAPY-BOOM FAIT DE LA RESISTANCE ! » (Interview vidéo de Pierre Chaillot 1h35, par un média indépendant avec également la participation d’un Gilet Jaune) :
Sauter la partie entre 6 min 45 et 16 min 30 qui n’est que la rediffusion de la vidéo Augmentation des décès de 9 % : c’est grave docteur ?

9 – Les déconneurs du journal Le Monde au service de la propagande vaccinale (Marc Girard – 23 juillet 2017)
L’article de Marc qui mettait déjà en lumière les imbécillités de Adrien Sénécat des Décodeurs du journal Le Monde, rédigé au moment de la promotion du futur élargissement des obligations vaccinales.

Les déconneurs du journal Le Monde au service de la propagande vaccinale

23 juillet 2017

RÉSUMÉ – L’indigence des contributions signées par « les Décodeurs » du journal Le Monde me paraissait tellement évidente que je n’avais pas spontanément éprouvé le besoin d’en parler; néanmoins, il m’a été fait demande de les réfuter. Exécution…

Table des matières

  • Introduction
  • Critères intrinsèques de crédibilité
    • La vérité comme monopole durable
    • Formation intellectuelle
  • “Antivaccins : des mensonges dans un débat légitime” (11/07/17)
  • “Vaccin contre l’hépatite B et sclérose en plaques : non, la justice européenne n’a pas reconnu le lien”(12/07/17)
  • Conclusion

Introduction

Sous la rubrique « Venons-en aux faits », dont les rédacteurs ont été vaccinés d’office contre le doute cartésien et dont le titre suinte déjà l’humilité scientifique, le journal Le Monde éjacule sans désemparer des articles sur les vaccinations, qui s’ajoutent à d’autres contributions non moins rigoureuses[1] complétées par celles de blogueurs invités tels que celui qui introduit sa chronique de la façon suivante, laquelle suinte, elle, le souci de vérification : « Les vaccins constituent la plus belle victoire de la médecine »…

Réclamé par certains lecteurs, le présent article vise un décodage du décodage, mais sans souci d’exhaustivité : comme je dis souvent, « on n’a pas besoin de manger un œuf jusqu’au bout pour voir qu’il est pourri ».

Critères intrinsèques de crédibilité

La vérité comme monopole durable

Que les employés de Pierre Bergé (qui ne voit aucune différence entre salarier sa force de travail et louer son ventre à fin de gestation pour autrui) ou Xavier Niels (qui a gagné ses premiers sous grâce au Minitel rose) s’imaginent que la vérité scientifique, c’est juste un truc parmi d’autres qu’il suffit d’acheter comme le reste, cela n’est guère étonnant. Personnellement, je ne connais qu’une seule instance (elle aussi pourvue de moyens financiers conséquents) qui ait revendiqué un monopole durable de la Vérité : c’est le Saint-Office.[2] Autant dire que les « décodeurs » du Monde s’inscrivent dans une tradition notoirement prisée pour son ouverture d’esprit et son souci de la vérification expérimentale – demandez à Galilée.

Foin du passé, de toute façon : la rhétorique d’intimidation scientifique derrière le procédé qui consiste à se poser en croisé de la science (et donc à ravaler tout contradicteur au rang de mécréant) se déchiffre aisément sur la base de quelques précédents (parmi bien d’autres…).

  • Au moment de l’escroquerie H1N1, le site « Hoaxbuster » (supposé, comme « Venons-en aux faits », ne connaître que l’irréfutable Loi de la Science) avait mandaté un de ses preux pour se faire mon scalp « d’imposteur ». Dans l’affrontement-minute qui a suivi, les heaumes sont vite tombés : tandis que, conformément à mes prévisions depuis le tout début, la pandémie faisait lamentablement pschitt, il est vite apparu qu’au terme d’un cursus regrettablement erratique et lamentablement stérile, le croisé en question n’avait trouvé d’autre issue dans sa vie qu’acheter un ersatz de « diplôme » (n’ayons pas peur des mots…) moyennant deux mois de formation aux « éléments du langage médical » dispensée dans une école payante vouée au recrutement de sous-sous-larbins au service de l’industrie pharmaceutique…
  • S’attaquant à moi quelques années plus tard avec le courage de l’anonymat, mais assez bêtes pour laisser transparaître l’identité de leur sponsor, les collaborateurs du site PSIRAM – également autoproclamés défenseurs intransigeants de la Science – n’ont même pas été capables de trouver mon CV pourtant parfaitement disponible dès la page d’accueil de mon site, ce qui les a ridiculement conduits à m’attribuer – entre autres – des écrits d’exégèse biblique (dont le véritable auteur est un éminent homonyme, étranger de surcroît) : pour diverses raisons d’ordre biographique (dont je ne suis pas fier), j’ai déjà eu beaucoup de mal à apprendre – tardivement – un peu d’anglais, et j’avoue ne pas me sentir très à l’aise avec l’hébreu et l’araméen dans le texte… Mais il faut croire que pour mes sourcilleux critiques-au-service-de-la-Science, le travail de recherche documentaire, c’est du chinois…
  • Je suis tombé l’autre jour par hasard sur un autre site du même genre, dont je n’ai même pas retenu l’adresse, qui pourfendait sélectivement quelques anti-vaccinalistes parmi les plus nuls, tout en me citant subrepticement dans la « bibliographie » qui suivait mais évidemment sans prendre le risque de formuler précisément la moindre critique me concernant. Cette stratégie d’amalgame m’a rappelé ce passage d’un très officiel bouquin catho publié sous Vichy, qui se lançait dans une dénonciation collective en commençant de la façon suivante (je cite de mémoire, mais c’était le ton) : « Les communistes, les socialistes, les libertins, les francs-maçons (…) ». On a l’esprit Saint-Office ou on ne l’a pas…

À côté de ce procédé faux-cul qui consiste à décrédibiliser par allusion globalisante un intervenant significatif (qui peut inscrire à son tableau de chasse, entre autres, un rôle à tout le moins significatif dans le lamentable échec de la campagne de vaccination contre le H1N1) mais en esquivant la tâche de le réfuter sur ce qu’il a vraiment dit,[3] il y a aussi la méthode-Tartarin consistant à réfuter pied à pied un contradicteur qui n’en n’est pas un : dans le premier des deux articles qu’on va examiner plus bas, le décodeur de service va citer pas moins de sept fois Michèle Rivasi, dont on ne sache pas qu’elle ait la moindre compétence en matière de pharmacie industrielle ou de médecine, et dont l’un des titres de gloire les plus récents consiste à s’être posée en vaillant défenseur du vaccin contre la rougeole : c’est un retour « aux faits » finalement assez confortable que de fonder une propagande sur une pseudo-réfutation des propagandistes du même camp…[4] Mais le chevalier servant de « la » Science chérie par Le Monde ne se contente pas de réfuter une ancienne prof. de SVT : avec une audace qui frise la témérité, il va jusqu’à affronter le site breizh-info.com, tristement connu pour avoir fait courber l’échine des Riches et des Puissants, représentant parmi les plus redoutés de ce que d’autres croisés impayables dénoncent sans rire comme « lobbys (sic) antivaccinaux ».

Sans entrer dans une réflexion épistémologique tant soit peu élaborée, disons simplement que cette illusion que quiconque pourrait durablement s’installer dans le bunker de la Vérité pour y canarder les « imposteurs » ou dissiper « la rumeur » signe assez une remarquable inculture – pas seulement scientifique, d’ailleurs. C’est sur la base de cette évidence qu’avant qu’on ne m’en fît explicitement la demande, je n’avais jamais pris la peine de réfuter les bouffons qui se présentent comme missionnés (mais sans jamais nous dire par qui) pour « décoder » une réalité scientifique dont ils sont si manifestement éloignés.

Formation intellectuelle

La moindre des choses, quand on prétend prendre une position publique sur un problème technico-scientifique, c’est de justifier sur la base de quelle formation et de quelles réalisations antérieures. Les contributions de propagande vaccinale que je me propose d’analyser aujourd’hui ayant été rédigées par un certain Adrien Sénécat, il suffit de cliquer sur son nom pour constater, à partir de sa photo, qu’il n’a les cheveux blancs ni de l’érudition ni de l’expérience[5], et apprendre qu’il est simplement « journaliste », on ne sait même pas d’où : sans ironiser une fois encore sur le niveau des « journalistes » français tel qu’il saute aux yeux de n’importe quelle personne ayant un minimum de familiarité avec ce milieu, on émettra quelques doutes quant à la compétence que peut conférer une école de journalisme relativement à une problématique technico-réglementaire intriquée et complexe qui échappe déjà à la plupart des professionnels de santé[6] (pour ne rien dire des juges « spécialisés »)…

On se le permettra d’autant plus que ce même lien conduit à d’autres contributions dont notre jeune « décodeur » est apparemment très satisfait, et qui concernent, pêle-mêle, la circulation des informations, le problème du cumul chez les parlementaires, l’affaire des « pièces jaunes », les armes chimiques, les tensions religieuses, le terrorisme, le végétarisme, le chômage, la répression policière – j’en passe beaucoup, et des meilleures. Ce n’est certes pas sous ma plume que l’on trouvera une condamnation de principe de l’interdisciplinarité, mais outre qu’il s’agit alors plus d’une ascèse que d’une distraction, outre qu’entre apprendre pour soi et exposer pour les autres, il y a quand même un sacré saut, le dilettantisme de notre pigiste grimé en journaliste est encore confirmé par le temps record (moins d’un an et demi) qu’il lui a fallu pour rédiger (évidemment chaque fois après « enquête » – hi !hi !) pas moins de 34 « articles ».[7] C’est bien facile de « décoder » le Réel quand on n’a fait aucun effort pour en mesurer la complexité…

De nouveau, si je n’avais pas été expressément sollicité pour réfuter ces torche-culs, le constat qui précède aurait largement suffi pour que je passe mon chemin sans m’y attarder davantage : ne pas perdre son temps, ni son énergie, sur ce qui n’en vaut manifestement pas la peine est justement la fonction principale de mes « critères intrinsèques de crédibilité ».

Ces quelques préliminaires méthodologiques étant posés, examinons d’un peu plus près deux des récentes contributions de notre journaleux polygraphe – en pastichant, pour détendre l’atmosphère, la rhétorique faraude du site « Les Décodeurs » (« Pourquoi c’est faux/ Pourquoi c’est exagéré […] »).

“Antivaccins : des mensonges dans un débat légitime” (11/07/17)

Onze vaccins, mais pas onze piqûres à la fois

Pourquoi c’est exagéré

Il s’agit, pour notre sémillant décodeur, de décrédibiliser les abrutis qui voient un risque dans l’augmentation du nombre d’immunisations. Cependant :

  • si le nombre d’injections est un paramètre insignifiant, pourquoi ce dernier a-t-il été outrageusement exploité par le marketing pharmaceutique pour justifier l’introduction de vaccins multivalents (supposés permettre une réduction du nombre d’injections) ?
  • à limiter le nombre d’injections au seul problème de ce qu’un professionnel de recherche clinique appellerait « la qualité de vie » (à savoir, en l’espèce, les conséquences immédiatement douloureuses), notre oblat de la Science emboîte le pas aux commerciaux des fabricants qui s’obstinent à ignorer que le risque de réaction auto-immune est forcément augmenté par le nombre des immunisations (la fameuse « mosaïque de l’auto-immunité »).

Les nouveaux vaccins ont beaucoup moins de molécules antigéniques que les vieux

Pourquoi c’est inepte

On aimerait bien savoir comment le porte-plume de Bergé-Niels déguisé en porte-oriflamme de la Vérité fait en pratique pour dénombrer, quasiment à l’unité près, le nombre d’antigènes administrés par vaccin ! Sait-il qu’avec le moindre médicament, si anodin soit-il, on est dans une totale ignorance du nombre total de métabolites (molécules dérivées de la molécule-mère après « digestion » par l’organisme), dont certains peuvent néanmoins déclencher des réactions graves même s’ils n’existent qu’à l’état de trace indétectable par les moyens analytiques disponibles ? A-t-il entendu parler des normes de tolérance en matière d’impuretés, qui attestent qu’en pratique personne ne prétend maîtriser l’intégralité des substances contenues dans un produit manufacturé (qu’il s’agisse de médicament, de cosmétique, de produit alimentaire…) ?

Un bébé n’est pas « trop fragile » pour supporter des vaccins

Pourquoi c’est aussi idiot que monstrueux

  • C’est idiot : apparemment chapitré sur la portée de cet indice minimum de crédibilité, notre journaliste spécialisé en tout ne peut néanmoins s’empêcher de retomber dans une globalisation de propagande : si « LES » vaccins sont une entité dont on peut parler globalement, aurait-il l’obligeance de revenir sur le retrait d’Hexavac et sur ses raisons ? Sur celui du DTP ? Sur celui de Pandemrix ? Personne ne serait assez idiot pour clamer qu’un bébé n’est pas trop fragile pour supporter DES médicaments : ça dépend lesquels. Eh bien ! n’est-ce pas la même chose avec LES vaccins?…
  • C’est monstrueux : quand la tendance actuelle consiste à contourner le préalable naguère inévitable des essais cliniques, on aimerait bien que notre porte-voix de la pègre médico-pharmaceutique fasse une revue sérieuse des études attestant la bonne tolérance DES vaccins chez LE bébé (lequel, déjà ? Rappelez-moi son nom…). Dans l’entretemps, ce n’est pas sa référence ridicule à « une étude allemande de 2000 » qui sera de nature à rassurer quiconque dispose de la moindre compétence en recherche clinique :
    • aucune information sur le financement, aucune procédure d’aveugle, procédure de randomisation même pas apte à garantir un sex ratio équilibré entre les groupes et, de toute façon, ridiculisée par un taux d’exclusion de 39% dans le groupe vacciné contre 11% dans le groupe non vacciné ;
    • encore plus fort : l’évaluation des défenses immunitaires des enfants s’est faite – en ouvert, donc – sur la seule base d’un suivi assuré par les mères
    • dans un article correspondant à un volume total d’environ 350 lignes, la section Résultats, en principe centrale, se limite à… 15 lignes.

Au total et pour résumer, l’étude – « allemande », nous dit Adrien Sénécat avec des étoiles dans les yeux –, financée par on ne sait qui, et auditée on sait encore moins par qui, s’est contentée, après consultation sommaire des mamans, de poser la question de savoir si des gamins vaccinés au su et au vu de tout le monde allaient mieux que des gamins non vaccinés, également au su et au vu de tout le monde. Inattendue mais imparable, imparable parce qu’inattendue, la réponse été « Jawohl, natürlich ! » – et elle a retenti comme un cinglant démenti à « la rumeur » qui véhiculait que les choses pourraient être un peu plus complexes…

Même Goebbels faisait plus subtil…

L’organisation mondiale de la santé estime que (…) on pourrait sauver 1,5 millions de vies supplémentaires en améliorant la couverture mondiale de LA vaccination

Pourquoi il y a des limites dans le foutage de gueule, même quand il est financé par Bergé, Niels & Co

Curieusement, notre journaleux oublie d’en « revenir au faits » pour décoder tout un tas de « rumeurs ».

  • Pourquoi faudrait-il croire sur parole l’OMS qui, parmi tant d’autres escroqueries, nous avait prédit une catastrophe sans précédent si on omettait de se vacciner contre le H1N1 ?
  • À quelle vaccination précise pense l’OMS sous couvert de LA vaccination (cf. ci-dessus) ? À Pandemrix, retiré dans les conditions de clandestinité que l’on sait, à cause de complications pour lesquelles la solidarité nationale continue de casquer ? Au DTP introuvable en France – bien qu’apparemment, il « pourrait » contribuer à un sauvetage de vies par centaines de milliers au moins ? À la forme d’Hexavac retirée précipitamment en 2005 ? Au vaccin contre la rage ? À celui contre la maladie de Lyme retiré non moins précipitamment par GSK voici quelques années, sans un mot d’explication crédible ? À celui contre le terrible fléau des érections matinales ?
  • En quoi les « Français de souche » (pour parler comme la chère Nadine), surtout s’ils n’ont pas de quoi partir en vacances (il y en a de plus en plus), seraient-ils concernés par le poids sanitaire de toutes les maladies infectieuses du monde entier ? La fièvre jaune ? La maladie du sommeil ? La bilharziose ? Les filarioses ? En quoi seraient-ils concernés par une morbi-mortalité certes infectieuse, mais notoirement corrélée à des facteurs tels que la malnutrition ou l’absence d’eau potable ? Si tout le monde est indistinctement concerné par tous les problèmes sanitaires dont l’OMS est supposée s’occuper, faut-il obliger – puisque ça devient la mode ici – tous les adolescents obèses de cheunoux à manger encore plus pour épargner « les millions de vies » menacées ici et là par la malnutrition ?

Le ministère de la santé estime que l’élargissement de la couverture vaccinale coûtera [seulement] entre 10 et 20 millions à l’Assurance maladie

Pourquoi l’esprit est prompt alors que la chair est faible

Quand on brandit les menaces de l’OMS (cf. ci-dessus) concernant les risques encourus si l’on ose résister aux injonctions de Big Pharma relayées par l’OMS, on peut brandir les estimations financières du gouvernement français quant au coût des cadeaux offerts à Big Pharma par le gouvernement français : c’est un peu comme si on s’était fié à Bokassa pour estimer la valeur des diamants qu’il avait offerts à Giscard. Du grand journalisme…

Les parents qui refusent la prison iront-ils en prison ? (…) Dans les faits, [l’article L3116-4 du Code de la santé publique qui prévoit un tel emprisonnement] est très rarement appliqué

Pourquoi la France va connaître une grave pénurie de moquettes si les amoureux des « faits » continuent d’en fumer autant

Il a dû échapper à notre champion du retour aux faits que tout l’objet du débat était précisément de changer la loi : que l’actuelle soit ou non régulièrement « appliquée » n’est guère informatif quant à la façon dont la nouvelle loi le sera…

Dans 30% des cas [d’hépatite B] en France, le mode de contamination est inconnu

Pourquoi l’homme qui a vu l’homme (…)

Sans me vanter, je pense avoir été le premier à documenter, textes en main, que les autorités françaises – notamment par la voix de leurs experts les plus éminents, tels que le président du CTV – s’étaient continûment fichues du monde avec leurs estimations alarmistes tant de la fréquence de la maladie que des modes de contamination. Avide, à la différence du jeune Sénécat, de « revenir aux faits » s’il peut s’avérer que je me suis trompé d’une façon ou d’une autre, je me suis donc précipité sur le lien fourni par ce dernier supposé documenter (« Venons-en aux faits ») son estimation quantitative des modes de contaminations inconnus.

Cependant, « la preuve » en question est un banal texte du site officiel Santé Publique France qui soutient textuellement (mais sans la moindre référence) : « Dans 30 % des cas, le mode de contamination reste inconnu »… Ainsi :

  • comme démontré plus haut avec l’estimation par les autorités sanitaires du cadeau offert aux fabricants par les autorités sanitaires, le décodeur du Monde n’a pas meilleure source que les autorités sanitaires pour vérifier la propagande mensongère des autorités sanitaires ;[8]
  • lorsqu’il veut prouver que dans 30% des cas, le mode de contamination reste inconnu, le jeune Sénécat fournit un lien Internet renvoyant à une assertion exactement identique quoique pas mieux référencée. Nous sommes typiquement dans la pathologie Internet que j’ai décrite dans une contribution récente :
    “Parler sans savoir et, par conséquent, sans avoir l’obligation morale de vérifier : il suffit qu’en cliquant, je puisse me convaincre que je ne suis pas seul à parler et m’entretenir dans l’illusion que je suis écouté. (…) Par rapport à une pensée aussi plate, en contenu, qu’une feuille de papier à cigarette, l’interconnectivité produit une illusion de profondeur : par contraste, quand on s’est effectivement approprié un savoir ou une pensée, on n’a pas constamment besoin de se rassurer en multipliant les connexions qui en imposent pour des références.”

À lui seul, ce dernier exemple devrait suffire à caractériser la véritable nature du site « Les Décodeurs » du Monde :[9] une bête instance de propagande, et particulièrement balourde de surcroît.

“Vaccin contre l’hépatite B et sclérose en plaques : non, la justice européenne n’a pas reconnu le lien”(12/07/17)

À l’heure où l’on bat les blés au soleil en cumulant le plaisir de bronzer et celui de se refaire les biscoteaux, j’ai déjà été bien assez bon de commencer à évacuer – et gracieusement (sans même prendre le temps d’aller déposer une main courante, par exemple au Pôle santé…) – le fumier intellectuel sauvagement abandonné, en date du 11/07/17, par les décodeurs du Monde au beau milieu de la salle à manger. Comme annoncé en Introduction, ne comptez pas sur moi pour balayer toutes les déjections qui restent : mettez-vous au boulot ou évitez l’endroit.

Mais avant d’aller me tremper dans l’eau de Javel pour me désinfecter, j’aperçois encore une fosse à purin que je me propose de curer ; à cause de l’odeur – pour parler comme Chirac –, on va essayer de faire vite. Il s’agit du docte commentaire de notre décodeur sur une récente décision de la Cour de justice de l’Union Européenne (juin 2017) concernant la judiciarisation des complications survenues après vaccination contre l’hépatite B.

L’OMS a émis de sérieuses réserves

Pourquoi l’amour a ses raisons…

Ce n’est pas en lisant le journal de Pierre Bergé qu’on va s’émouvoir de l’intriguant amour qui unit si compulsivement l’OMS et les décodeurs du Monde (cf. plus haut), même si d’aucuns peuvent le juger contre-nature (l’intriguant amour – pas Pierre Bergé, cela va de soi)…

En tout cas, il faut vraiment les yeux de l’amour pour imaginer comme simplement possible une position critique de l’OMS à l’endroit des vaccins contre l’hépatite B, alors que, exactement comme avec le H1N1, cette instance a été l’ardent promoteur – forcément désintéressé – du génial projet de vaccination « universelle » tout au long des années 1990 : rappelez-vous le Viral Hepatitis Prevention Board

Rien ne permet donc aujourd’hui d’établir un lien de cause à effet entre [vaccination et SEP]

Pourquoi il vaut mieux entendre ça qu’être sourd

« Aujourd’hui », certes, vu ce que ça coûterait aux concepteurs et promoteurs du génial projet évoqué ci-dessus. Mais en 1991 – quand Adrien Sénécat n’était pas encore né – c’est bien le fabricant d’Engerix qui a pris l’initiative de demander aux autorités de mentionner le risque de SEP dans la notice du produit.

Et si, dans l’entre temps, le même Adrien Sénécat a eu l’occasion d’apprendre à lire, il pourra vérifier tout seul (un petit effort, allons !) que ce risque est toujours mentionné dans la plupart des notices de ce vaccin dans le monde entier.

Il pourra toujours soutenir – à l’instar de ses donneurs d’ordres – que ça ne veut rien dire, mais il aurait été plus crédible dans ses dénégations s’il avait été mieux informé de l’histoire : mieux informé des « faits », quoi… Et plus crédible, aussi, s’il avait connaissance des procédures réglementaires qui conditionnent la mention d’un tel risque dans le Résumé des Caractéristiques du Produit (c’est-à-dire, en l’espèce, dans la notice Vidal).

Accessoirement, s’avisant enfin du devoir de « vérification » pourtant posé en exergue du site où il sévit, Adrien Sénécat pourrait s’interroger sur la crédibilité de l’étude de Zipp et coll.[10] qui a tant contribué à réorienter la jurisprudence française dans une direction tellement plus favorable aux intérêts des fabricants. S’il ne sait pas faire, on pourra toujours l’aider…

Des débats juridiques qui dépassent le cadre scientifique

Pourquoi Macron va finir par rappeler son chef d’état-major en se disant que tout le monde peut péter une durite

Si le décodeur du Monde avait une meilleure connaissance des « faits » auxquels il prétend faire revenir ses lecteurs, il saurait que ce sont les promoteurs de cette vaccination[11], ainsi que les avocats des fabricants, qui ont constamment détourné la question scientifique cruciale (y a-t-il un lien de causalité ?) vers une problématique judiciaire, sinon juridique, en soutenant effrontément que si les fabricants étaient condamnés, cela engendrerait une intolérable crise de confiance du public à l’endroit de LA vaccination.

La justice européenne ne s’est pas prononcée sur le fond du dossier

Pourquoi « oculos habent et non videbunt »[12]

Tout dépend de ce qu’on appelle le « fond » : personne – à l’exception des fabricants et de leurs avocats (cf. plus haut) – n’aurait eu l’idée incongrue de demander à la justice de se prononcer sur la question scientifique du lien de causalité.

Mais si le « fond » du dossier tient aux conditions d’exonération de la responsabilité des fabricants dans l’apparition de complications vaccinales, notre polygraphe trop pressé n’a manifestement pas pris le temps d’enquêter sérieusement ni sur l’historique, ni sur la dynamique de la jurisprudence française à ce sujet. De la sorte, il n’a pas pu comprendre que la décision européenne était une gifle pour la Cour de cassation qui s’est crispée depuis quinze ans sur des motivations indigentes,[13] dans le but manifeste de ne pas créer un mouvement d’indemnisation qui n’aurait pas manqué de conduire à la ruine de la société Aventis, vitrine industrielle dont les autorités – toutes tendances politiques confondues – sont tellement fières et qu’elles se sont donné tant de mal à établir.

Ce pourrait être un vrai décodage, digne d’un journal naguère prestigieux, de se lancer dans une véritable investigation concernant un tel scandale, en essayant de comprendre le processus qui a permis :

  • au civil, de garantir une aussi confortable immunité aux responsables d’un drame de santé publique sans précédent à ma connaissance ;
  • au pénal, de cantonner le Pôle santé dans une inertie tellement inconcevable (compte tenu du nombre de preuves disponibles) qu’elle en serait comique si elle n’était tragique.

Conclusion

Tout ça pue : comme annoncé, je vais me doucher.

À l’eau de Javel…


  1. Dans celle qui vient d’être citée, la question des vaccinations est posée comme allant de soi (ça gagne déjà une étape dans la démonstration), avec pour seul problème : « comment restaurer la confiance », c’est-à-dire quasiment mot pour mot, la mission naguère confiée à Madame Hurel, dont les compétences médico-scientifiques sont internationalement reconnues. La brillante anthropologue interviewée par Le Monde poursuit en recommandant que l’école soit associée aux parents pour la promotion des vaccins, soit deux ressources dûment répertoriées comme stratégiques par le marketing pharmaceutique dans la promotion des traitements les plus fous (P. Conrad & MR Bergey. Social Science & Medicine 122 [2014] : 31-43) : c’est quand même ballot de se retrouver, au nom flamboyant de la Science, sur des recommandations édictées à son profit par la pègre médico-pharmaceutique…
  2. À y réfléchir de façon tant soit peu philosophique, on se rend compte que dans l’histoire des tyrannies idéologiques ou religieuses, il y a toujours une caste de gens (monarques, chefs religieux, réformateurs, chefs du Parti, Grands Timoniers…) qui s’attribuent le pouvoir de discriminer entre le Bien et le Mal, entre la Liberté et la Servitude, entre la Vérité ou le Mensonge – même si leurs justifications sont radicalement antagonistes selon le camp qu’ils ont choisi : ainsi et pour les chrétiens du Moyen Age, “la vraie liberté était de servir le Christ” – et, par conséquent, de se soumettre corps et âme à ceux qui s’arrogeaient le droit de parler en son nom (Ph. Buc. Guerre sainte, martyre et terreur, Gallimard, 2017: p. 330.). Ce raisonnement primaire est exactement celui des Décodeurs du Monde qui, nonobstant des CV pas toujours convaincants, s’arrogent le droit de discerner entre la Science et l’Erreur (“Pourquoi c’est faux”) : ainsi et malgré une série de scandales que ces derniers ignorent ou occultent, l’Organisation Mondiale de la Santé, c’est le “retour aux faits”, tandis que moi, c’est “la rumeur”. Il y a juste qu’à la fin, les “experts” de l’OMS gagnent beaucoup plus d’argent que moi… C’est une des escroqueries de l’époque (d’ailleurs hautement défendue par Madame Buzyn): que le meilleur moyen pour gagner de l’argent (beaucoup d’argent), ce serait de prendre le parti de la Science, de la Vérité (et de la rigueur opposée à la rumeur)…
  3. Objectif qui devrait être d’autant plus à la portée des intrépides pêcheurs de « faits » que l’intégralité de mes analyses est disponible sous forme écrite.
  4. Dans une interview parue sur Franceinfo le lendemain (24/07/17) de la présente mise en ligne, Madame Rivasi pose d’emblée et sans la moindre précaution oratoire: “je suis pour LES vaccins”. On ne saurait choisir son camp de façon plus caractérisée, quoique fondamentalement débile (LES vaccins…). Poursuivant sur la même ligne, elle affirme que ce n’est pas aux labos de “décider”, mais au médecin: nous qu’on croyait comme des cons au préalable du consentement informé des candidats à la vaccination (ou de leurs représentants légaux)… De toute façon, il a dû lui échapper que ce ne sont jamais les labos qui vaccinent, mais les médecins – même (et surtout) en cas de réquisition, d’où la question que ne pose pas notre “lanceuse d’alertes”: pourquoi les médecins mettent-ils en oeuvre aussi docilement les “décisions” des labos? C’est à des détails comme ça qu’on mesure la profondeur de réflexion qui prévaut chez nos parlementaires – notamment ceux qui se présentent médiatiquement comme les plus conscientisés. Dans la famille des parlementaires qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez, on avait déjà eu Gérard Bapt – grand pourfendeur des lobbies et des conflits d’intérêts – qui avait accepté de présider le Club Hippocrate apparemment sans s’être posé la moindre question sur ce qui pouvait conduire des firmes pharmaceutiques à financer une instance de “réflexion” regroupant des sénateurs et des députés…
  5. En cherchant un peu sur la Toile, on finit par reconstituer, à la louche, qu’il a aux alentours de 25 ans : « à la louche », car – indicateur intéressant de l’organisation cognitive propre à la génération Internet – le gars-là n’a apparemment pas réalisé que l’âge qu’il avait le jour où il a rédigé son CV a forcément évolué à mesure que le temps a passé depuis… Vingt-cinq ou 27 ans, de toute façon, ça fait un peu jeune pour pontifier, avec une telle fréquence et sur une telle variété de thèmes, dans un des principaux quotidiens de notre pays : en son temps, JY Nau devait y passer pour un vieux Sage à côté…
  6. Il suffit de se reporter au désopilant « rapport » sur le médicament signé en 2011 par B. Debré et Ph. Even pour apprécier l’ignorance abyssale de ces deux « prestigieux » auteurs sur le sujet…
  7. Pour la seule rubrique « Décodeurs du Monde »…
  8. Ça rappelle un peu le mode de raisonnement de la Cour de cassation…
  9. Une fois encore, ce procédé de “décodage” est parfaitement répertorié parmi les plus grosses ruses de la rhétorique pseudo-scientifique qu’affectionnent aujourd’hui les commerciaux de l’industrie pharmaceutique: on avance une énormité opportuniste que l’on référence par un petit chiffre, alors que la référence à laquelle renvoie ce petit chiffre n’a rien à voir avec l’assertion qu’elle est supposée documenter.
  10. Nature Medicine. 1999 ; 5(9):964-5.
  11. Calès P, Gastroenterol Clin Biol 2003 ; 27 : 865-867.
  12. “Elles [les idoles] ont des yeux et ne voient pas” (Psaume 115)
  13. Girard M. La défectuosité: vers une réappropriation juridique du fait. Petites Affiches 2006 ; n° 132 : 8-14. Girard M. L’intégrisme causal, avatar de l’inégalité des armes? Recueil Dalloz 2005 ; n° 38/7223 : 2620-1.




Michel Onfray : « Les militaires ont raison de sonner le tocsin »

[Source : Front Populaire]

Alors que la tribune des militaires à la retraite appelant le monde politique à renouer avec l’honneur et le patriotisme agite les débats au point d’ébranler la macronie, Michel Onfray livre son analyse.




Passeport vaccinal : un succédané de l’étoile jaune

[Source : mediapart.fr]

On rend visible une information totalement intime, on autorise n’importe qui a la contrôler et à exclure socialement les personnes en fonction de cette information, une forme d’apartheid. Violation des droits de l’homme et des droits du patient de la haute autorité de santé. Lepenisation des processus.

Par Hélène de Troyes

Je suis contre le passeport vaccinal que j’assimile à l’étoile jaune. Ce processus me fait profondément honte tellement il viole notre devise : liberté, égalité, fraternité.

Pour moi, c’est le début d’une dérive funeste qui viole profondément nos valeurs démocratiques.

On rend visible une information totalement intime, on autorise n’importe qui à la contrôler et à exclure socialement les personnes en fonction de cette information, une forme d’apartheid.

Excessif ? L’étoile jaune a conduit aux camps de la mort, ce n’est pas comparable! C’est peut-être un peu excessif en première lecture… aujourd’hui…, sauf que… Les camps de la mort sont le résultat de 20 ans de dérive et de quelques déséquilibrés. Et il y en a beaucoup des déséquilibrés en ce moment sur notre pauvre planète…

Et puis, ça a bien commencé comme cela, un petit »fichage » aimable, bénin au début… ne vous inquiétez pas, ce n’est rien, c’est juste pour votre sécurité…

  • Puis l’ajout de l’étoile jaune…
  • Puis une interdiction de fréquenter certains lieux, de pratiquer certains métiers…
  • Puis l’ouverture des ghettos…
  • Puis l’ouverture des camps…

On peut relire le roman Histoire d’un allemand pour retrouver ce crescendo pas bien méchant au début.

Donc ma comparaison n’est pas si légère, elle est aussi appuyée que ma triste empathie pour l’histoire de ces peuples.

Au début avec le carnet de vaccination papier, il n’y avait que toi qui avais l’info. Le problème du carnet médical numérique, c’est que tu donnes la main à l’État qui te « fiche », tu perds le secret médical dont on sait à ce jour que Macron a vendu à Microsoft l’accès. Qui dit que le but de ceci n’est pas de tester l’acceptation au fichage médical, le carnet digital, l’app tous covid ayant capoté, les sociétés de Big Data et Big Pharma en rêvent… en préambule à une forme de dictature médicale. Ce sont des stratégies de grenouille dans le bocal d’eau chaude.

La croisade de l’intolérance et son alliée la peur pourrait être ainsi :

  1. Le sermonage : « tout le monde doit se vacciner. Faites-nous confiance, c’est totalement sûr » (ce qui n’est pas vrai).
  2. La culpabilisation : « c’est facile de compter sur les autres pour se protéger, les antivax sont des égoïstes irresponsables. »
  3. La ridiculisation : « les antivax sont des ignorants qui croient aux théories du complot, comme ceux qui croient aux médecines alternatives, au yoga, au bien-être, censurons ces sources d’information qui détournent le peuple du droit chemin. » Déjà activé !
  4. Le fichage : en débat, ce n’est pas encore validé. Et une fois que tu sais, tu ne peux pas faire comme si tu ne savais pas.
  5. Donc sous les cris d’orfraie des « protégés », tu es obligé d’ exclure les antivax des lieux « protégés ». Étape suivante : le fichage… surtout si les vaccins ne sont pas suffisamment efficaces… ce qui semble être le cas, puis interdire certains métiers (non aux instits antivax : nos enfants seraient trop en danger!).
  6. Avant de les acculer dans des lieux réservés à…

Les antivax sont vraiment traités comme des pestiférés par certaines personnes, alors qu’il y a plusieurs façons d’assurer son immunité et sa santé. Quand on se donne la peine de lire les commentaires du Monde ou de Médiapart pour voir le niveau de haine qui s’y déploie, sur le racisme, Metoo, l’écologie et les antivax, cela fait vraiment peur…

Sur les articles sur les médecines alternatives, ça donne déjà la nausée tellement l’intolérance et l’idéologie sont radicales et le débat, la liberté, reniés.

Non ce n’est pas comparable aux vaccins entre pays, où on t’empêche d’aller quelque part qui n’est pas vital pour toi. Là, on te bloque sur ton propre lieu de vie et tu n’as aucune alternative donc la comparaison avec l’étoile jaune et l’apartheid est bien justifiée. (cf. Articles 13 et 30 des droits de l’homme qui sont ici violés). Sans ajouter l’injustice d’accès à cette décriée vaccination (âge, localisation, santé…).

Cela viole aussi plusieurs articles du droit des patients de l’haute autorité de santé retranscrit ci-dessous

Droit à participer à la décision médicale ou consentement aux soins

  • le droit à participer activement aux décisions médicales qui le concernent ou décision médicale partagée (art. L 1111-4 du CSP) ;
  • le droit de refuser un traitement ou un acte médical (art. L 1111-4 du CSP) ;
  • le droit de quitter l’établissement à tout moment.

Droit au respect de la personne soignée

  • Le droit au respect sa dignité (art. L 1110-2 du CSP) ;
  • le droit au respect de sa vie privée et au secret des informations la concernant (art. L 1110-4 du CSP) ;
  • le droit au respect de son intimité ;
  • le droit au respect de ses croyances et de ses convictions ;
  • le droit d’être en mesure de participer à l’exercice de leur culte lors d’une hospitalisation (art. R 1112-46 du CSP).

Quand je vois avec quelle intransigeance les médecines alternatives sont pourchassées actuellement avec des moyens dont la rigueur morale fait douter, une vraie chasse aux sorcières a commencé. Certes, on ne tue pas des gens, on détruit leur carrière et on les accule au suicide ou la dépression aggravée. En raison du non-respect des choix individuels, on peut même faire face au refus de soin… pour te punir, cela m’est déjà arrivé personnellement. Cela arrive aussi à ceux qui ont des cancers et là, l’issue peut être fatale.

Allez si on tue déjà des gens en masse en raison de l’intolérance aux médecines alternatives… et cela montre jusqu’où Big Pharma est prêt à aller…

Le scénario de la fabrique du consentement qui s’applique ici avec des boucs-émissaires désignés.

Depuis quelque années, que ce soit dû au terrorisme ou là à un petit risque sanitaire (le covid est à 3% en létalité vs SRAS à 10%, Ebola est à 50%, la peste bubonique à 80%, pneumonique à 100%), nos libertés reculent de façon excessive et dangereuse. La digitalisation des moyens de flicage rend ces pratiques encore plus intrusives et implacables. Quand on voit l’impact de la notation sociale en Chine, ça fait froid dans le dos : avec une montre digitale, on trace le nombre de fois ou un enfant lève le doigt en classe. On lit certains articles envieux qui disent que les dictatures sont plus efficientes dans la lutte contre le covid : CQFD?

Donc, je ne sais pas où on en sera dans 20 ans au niveau de l’intolérance et de la « norme » sociale. Marine Le Pen est tout de même aux portes du pouvoir, la dernière présidentielle s’est faite alors que nous étions en état d’urgence, c’est encore le cas actuellement… Enfin, l’enjeu écologique va challenger ces normes sociales fortement dans les années à venir, on parle déjà des Khmers verts… D’où l’intérêt du quota carbone individuel, mais global.

Pour reprendre leurs éléments de langage en termes de bénéfice/risque, le covid ne mérite pas de violer nos lois. Face aux enjeux à venir, la qualité de notre démocratie compte plus à mes yeux que le nombre de morts du covid qui reste modéré (chaque mort étant un drame individuel) sachant que l’un n’empêche pas l’autre.

Comparer cela à l’étoile jaune montre que la perspective peut-être très dommageable à terme, si on n’y est pas très vigilant dès le début.




Bill et Melinda divorcent, on ne nous dit pas tout !

[Source : lemediaen442.fr]

Par Jacqueline

Que Bill et Melinda divorcent, on s’en fout, me direz-vous. C’est d’ailleurs ce que j’ai répondu à Marcel quand il a proposé de faire un papier là-dessus. Sournoisement, il n’a pas manqué de me rappeler ce que je lui avais dit des « faits divers à la con » qui, mine de rien, offrent un tas informations sur la société.

Les médias ont annoncé l’« événement ». Vous avez remarqué leur unanimité ? Je ne vous donne que les titres — question de place —, mais vous pouvez vérifier, les articles sont tout aussi insipides.  « Bill et Melinda Gates annoncent leur divorce après 27 ans de mariage » titrent mot pour mot Le PointVoici20minutesFranceInfo et Ouest-France.  Une autre tournure : « Bill Gates et sa femme Melinda annoncent leur divorce », titre dont la sobriété reflète le sérieux du Monde, mais aussi des Échos, du Courrier International et même de La Provence. Certains audacieux osent tourner la phraseras légèrement différemment. « Bill et Melinda Gates mettent fin à 27 ans de mariage » annonce Le Dauphiné et Le Parisien : « Le milliardaire Bill Gates et son épouse Melinda divorcent après 27 ans de vie commune ». On sent qu’ils marchent sur des œufs. Faut faire attention à ce qu’on écrit, surtout ne pas contrarier Bill. Il peut être très généreux quand c’est son intérêt (Le Monde a reçu 4 millions).
Pourtant « la liberté d’expression n’a été aussi totale qu’aujourd’hui »,  nous dit François Busnel en présentant La Grande Librairie sur France5, ajoutant « c’est au nom de la liberté d’expression précisément que certains jouent les apprentis censeurs, se défoulent, et que des extrémismes se font entendre ».

Bill subventionne sa liberté d’expression

La liberté d’expression totale dont parle Busnel s’est pleinement manifestée à l’occasion du divorce de Bill et Melinda. « On » ne parle pas de Bill, ou seulement pour dire ce qu’il nous demande de dire. Et avec les mêmes phrases, sans déborder. Le « on », ce sont les milliardaires (Niel, Pinault, Arnaud, Dassault , Drahi, Bouygues…) propriétaires de médias. Ces milliardaires qui obéissent à Google, Facebook et… Bill Gates.

Les dessous d’une success story

Il faut chercher sur BBC News pour apprendre que lorsqu’ils se sont mariés en 1994 sur l’île hawaïenne de Lanai, ils auraient loué tous les hélicoptères locaux pour empêcher les invités indésirables de passer. Une ébauche, très ténue, de critique, car dans nos médias français, la vie de ce couple heureux — on se demande pourquoi ils divorcent — qui se consacre à la philanthropie et qui a des enfants magnifiques, ne souffre que d’une ombre : « Comment vont-ils se partager leur fortune ? » On cherche en vain comment ce couple le plus riche du monde, qui a distribué son argent aux pauvres via sa Fondation, a pu augmenter sa fortune. Elle est passée de 90 milliards de dollars en 2016 à 146 milliards de dollars en 2021. On peut se poser des questions. Les médias non. Tout est lisse dans la présentation de ce couple sympathique.
Allez ! on va fouiner dans cette  success story en commençant par le début. Par Microsoft.

Bill vole son associé 

Bill débute sa carrière en volant son associé, Paul Allen, un génie de l’informatique à l’origine de Microsoft, mais qui, malade, n’est pas en état de se défendre.

Des procès à la pelle

En 1998 Microsoft est attaqué par le gouvernement américain pour abus de position dominante.
Les motifs : 1. absence d’informations aux concurrents pour que leurs logiciels serveurs puissent s’intégrer aux systèmes Windows ; 2. vente incluant le logiciel Windows Media Player, intégré d’office dans Windows.

En 2000 le démantèlement de Microsoft est le « remède » proposé par le juge Jackson pour sanctionner cet abus. En 2004 : Verdict 497,2 millions d’euros d’amende. Bill, coriace, fait appel à la Cour de justice européenne. 2006 : 280 M€ d’amende. 2008 : 860 M€ d’amende. 2013 : 560 M€. On se cite pas tous les procès que ce procédurier de Bill Gates fait traîner d’appel en appel (violation de brevet, contrefaçon…). Un honnête homme.

Le loup se déguise, mais c’est pour mieux nous manger

Bill a senti le danger de la mauvaise publicité autour de son procès. Il va donc se construire une image de philanthrope, grâce à sa fondation  Bill et Melinda Gates au budget communication colossal et grâce à l’autocensure des médias (il leur distribue beaucoup d’argent). Cette image dure encore, on l’a vu à l’occasion de son divorce.

Bill Gates devient un pur philanthrope

Après avoir démissionné de son poste de PDG de Microsoft (en 2008), renoncé à son poste de président du conseil d’administration (en 2014), Bill Gates démissionne du conseil d’administration de Microsoft. Il veut se consacrer entièrement à la philanthropie, expliquent les médias qu’il paie. Le divorce arrive quand Bill Gates s’est complètement dépouillé, comme un moine cistercien, en tong et robe de bure. Il ne détient plus que 1,37 % des actions de Microsoft, ce qui représente… 26 milliards de dollars. 

Une fondation caritative, pour investir

Les actions Microsoft que Bill Gates a vendues ont été investies dans la société Cascade qu’il a créée en 1995. Cascade rapporte du 11 %. Les dividendes alimentent la Fondation ou plutôt son fonds d’investissement, Berkshire Hathaway, dirigé par Warren Buffett. Bill Gates détient 45,4 % du capital (9,76 milliards de dollars). Les investissements préférés de Berkshire Hathaway sont l’industrie de l’armement (BAE Systems au Royaume-Uni), les industries d’extraction minière, les OGM (Monsanto/Bayer), la malbouffe (McDonald’s, Coca-Cola),  les énergies fossiles (Total, BP…). Comptez sur eux pour protéger la santé des populations et l’environnement — c’est pourtant ce que veut officiellement la fondation.

Une fondation, pour l’« optimisation fiscale »

Faire partie d’une fondation, c’est payer moins d’impôts. Le site de la Fondation Bill et Melinda Gates l’explique très bien. Le montant de l’évitement fiscal est souvent supérieur à ce qui est donné par la fondation. 

Une fondation peut ouvrir des marchés

Les entreprises dont la fondation a des actions reçoivent des dons. CocaCola a reçu 538 millions d’euros de placement du trust de la Fondation Bill & Melinda Gates, en 2014. Il profite de programmes destinés à former 50 000 agriculteurs à la culture de fruits de la passion au Kenya.

Monsanto a au Kenya un centre de recherche sur les OGM, financé par la fondation dont fait partie un des ex-dirigeants de Monsanto. 

Bill Gates aide seulement les ONG dont le siège est aux États-Unis. Seuls 5 % de l’argent arrivent en Afrique. Les Africains sont obligés d’accepter les missions de l’ONU et ne peuvent développer leurs recherches sur place.

Une fondation, oui mais pour des médicaments rentables

La fondation choisit les maladies qui peuvent faire appel à des vaccins et non à des remèdes naturels locaux. La revue scientifique britannique The Lancet relève par exemple que la fondation lutte prioritairement contre les maladies qui appellent la diffusion de vaccins et néglige les autres maladies. Ainsi, l’organisation finance relativement peu la recherche sur la pneumonie, la diarrhée et la sous-nutrition maternelle et infantile, responsables de 75 % des morts d’enfants. Ces maladies ne nécessitent pas la création de nouveaux vaccins mais la mise en place de mesures de préventions efficaces déjà connues… 

Les vaccins sont la bonne affaire

La fondation a beaucoup œuvré pour le développement des vaccins. Financée principalement par des subventions publiques, Covax est menée par deux ONG internationales, Cepiet Gavi, que M. Gates finance, ainsi que par l’OMS. Il est le plus gros donateur de l’OMS (250 millions de dollars versés  en 2005) et prend la main sur l’environnement, la santé. Sa fondation a investi plus de $16 milliards dans différents programmes de vaccins, dont un quart est allé à Gavi.

Des liens entre Jeffrey Epstein et la Fondation de Bill et Melinda

Melanie Walker a travaillé pour Jeffrey Epstein en 1998, avant de rejoindre la fondation en 2006. Elle aurait joué un rôle important dans la relation Gates-Epstein. Melanie Walker a ensuite rencontré le conseiller scientifique de la fondation, Boris Nikolic, à qui elle a présenté Jeffrey Epstein. Boris Nikolic est ensuite devenu l’exécuteur testamentaire de ce dernier, rôle qu’il a ensuite refusé.

Bill Gates fait un faux pas : Jeffrey Epstein le fait chanter

Gates a rencontré Epstein à six occasions, selon une enquête du New York TimesBill Gates figure sur le carnet de vol d’un des avions d’Epstein le 1er mars 2013.

En tant que personne qui investit de manière maniaque dans la sécurité opérationnelle, n’épargnant aucune dépense au point d’avoir des gardes armés, quatre jets, un hélicoptère, un hydravion, des yachts, et du sang de son type l’attendant à beaucoup de ses destinations, vous pouvez être sûr que Bill Gates ne saute pas dans l’avion de n’importe qui. Il doit donc être désespéré pour abandonner un élément majeur de sa sécurité et risquer sa réputation en prenant l’avion d’Epstein avec lui. En tout cas cela explique son don au MIT.

Le MIT reçoit de l’argent de Bill Gates via Jeffrey Epstein

En 2014 le MIT reçoit 2 millions de dollars de Gates par l’intermédiaire de Jeffrey Epstein. Un agent de Gates a écrit à la direction du Media Lab, indiquant que Gates souhaitait que son nom ne soit pas mentionné dans toute discussion publique sur ce don.

Melanie investit dans une société à elle

En 2015 Melanie a fondé la société Pivotal Ventures à but lucratif pour promouvoir les femmes de couleur, dans le secteur informatique. Toujours la charité qui rapporte. Peut-être une façon prudente d’acquérir une certaine autonomie…

En 2015, Bill prédit une pandémie

Lors d’une conférence en 2015, Bill Gates a prédit que des millions de personnes seraient tuées par des « microbes, pas des missiles » lors d’une future pandémie.

En 2020, Bill prédit le passeport vaccinal 

8 mai 2020 : « Il y aura donc un jour cette preuve d’immunité numérique qui facilitera la réouverture mondiale. »https://www.facebook.com/plugins/video.php?height=314&href=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Flec.deb1%2Fvideos%2F2592371447748720%2F&show_text=false&width=560

Bill veut des vaccins pour toute la planète

14 décembre 2020 : la fondation investit des millions de dollars pour financer la recherche d’un vaccin Covid-19 ainsi que pour les tests et la logistique. La fondation promet 70 millions de dollars pour que le vaccin atteigne tout le monde, y compris les nations pauvres. 

Bill prédit le réchauffement climatique et ses remèdes

Les biocarburants

Bill Gates est le premier propriétaire de terres agricoles des États-Unis. C’est toujours pour notre bien : « On ne sait pas à quel point les biocarburants peuvent être bon marché, mais s’ils sont peu coûteux, ils peuvent résoudre les émissions des avions et des camions. » Les achats de terres agricoles ont été réalisés par sa société d’investissements Cascade Investments. 

Les OGM (nourrir la planète grâce à Monsanto)

« J’ai également bon espoir que le travail de notre fondation sur l’agriculture jouera un rôle clé pour aider les agriculteurs à résister au changement climatique. Il y a plus de dix ans, nous avons commencé à financer la recherche de variétés de cultures de base, comme le maïs et le riz, tolérant la sécheresse et les inondations. Ces nouvelles variétés aident déjà les agriculteurs à produire davantage de nourriture dans certaines régions d’Afrique et d’Inde, et d’autres options de cultures intelligentes du point de vue climatique seront disponibles dans davantage d’endroits dans les années à venir. » En bon partenaire de Davos, Bill Gates mise sur des terres résistantes aux effets du réchauffement climatique et même des cultures de substituts de viande à base de végétaux.

Pendant le réchauffement, le business des vaccins continue

Toujours dans la lettre de la Fondation : « Des organisations comme Gavi et le Fonds mondial vont jouer un rôle important dans ce domaine en améliorant la santé dans les endroits les plus vulnérables. Si nous voulons prévenir une catastrophe climatique, les interventions et solutions spécifiques au climat ne suffisent pas. Nous devons également penser aux effets indirects, comme la façon dont une planète plus chaude affectera la santé mondiale. »

Le nucléaire, énergie sûre

Bill Gates estimé que malgré les catastrophes de Tchernobyl (1986) et de Fukushima (2011), le nucléaire restait plus sûr que n’importe quelle autre source d’énergie. Déclaration faite en mars 2021. On peut compter sur le dynamisme de Bill pour sauver la planète !

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.




Les scientifiques travaillent sur des vaccins qui se propagent comme une maladie. Qu’est-ce qui pourrait bien se passer ?

[Source anglaise : Bulletin of the Atomic Scientists (thebulletin.org) (Bulletin des scientifiques atomiques)]

Par Filippa Lentzos, Guy Reeves | 18 septembre 2020

[Photo : Un détecteur de maladie pendant l’épidémie d’Ebola de 2014 au Liberia.
Un travailleur effectue des tests pendant l’épidémie d’Ebola de 2014 au Libéria.
Crédit : John Saindon/Centers for Disease Control and Prevention. CC BY 2.0.]

Une fois que le vaccin COVID-19 sera approuvé pour un usage public, les responsables du monde entier devront relever le défi monumental de vacciner des milliards de personnes, une opération logistique qui soulève d’épineuses questions éthiques. Et si, au lieu d’orchestrer des campagnes compliquées et gourmandes en ressources pour vacciner les humains contre des maladies infectieuses émergentes comme le COVID-19, nous pouvions plutôt stopper à la source les zoonoses qui passent parfois des animaux aux humains ? Un nombre restreint, mais croissant de scientifiques pensent qu’il est possible d’exploiter les propriétés d’autopropagation des virus et de les utiliser pour propager l’immunité plutôt que la maladie. Pouvons-nous battre des virus comme le SRAS-CoV-2, le nouveau coronavirus, à leur propre jeu ?

Un virus qui confère une immunité à l’ensemble d’une population animale à mesure qu’il se propage dans la nature pourrait théoriquement empêcher un débordement zoonotique [Ndlr : transmission de l’animal à l’Homme.] de se produire, étouffant ainsi l’étincelle qui pourrait déclencher la prochaine pandémie. Si les rats sauvages qui hébergent le virus mortel de Lassa, par exemple, sont vaccinés, les risques d’une future épidémie chez l’homme pourraient être réduits. Depuis au moins 20 ans, les scientifiques expérimentent de tels vaccins autodiffusés, un travail qui se poursuit encore aujourd’hui et qui a attiré l’attention de l’armée américaine.

Pour des raisons évidentes, l’intérêt du public et des scientifiques pour les vaccins est incroyablement élevé, y compris pour les vaccins autodiffusants, car ils pourraient être efficaces contre les menaces zoonotiques. Les biologistes Scott Nuismer et James Bull ont attiré l’attention des médias sur les vaccins à diffusion spontanée au cours de l’été après avoir publié un article dans la revue Nature Ecology & Evolution. Mais les reportages qui ont suivi n’ont pas fait grand cas des inconvénients potentiellement importants de la dissémination de ces vaccins dans l’environnement.

Les vaccins autodiffusés pourraient en effet comporter des risques sérieux, et la perspective de les utiliser soulève des questions difficiles.

Qui décide, par exemple, où et quand un vaccin doit être diffusé ? Une fois le vaccin libéré, les scientifiques n’auront plus le contrôle du virus. Il pourrait muter, comme le font naturellement les virus. Il peut changer d’espèce. Il traversera les frontières. Il y aura des résultats inattendus et des conséquences involontaires. Il y en a toujours.

S’il peut s’avérer techniquement possible de lutter contre les maladies infectieuses émergentes comme le COVID-19, le sida, le virus Ebola et le virus Zika avec des virus qui se propagent eux-mêmes, et si les avantages peuvent être importants, comment mettre en balance ces avantages et les risques qui peuvent être encore plus grands ?

Comment fonctionnent-ils ?

Les vaccins autodiffusants sont essentiellement des virus génétiquement modifiés conçus pour se déplacer dans les populations de la même manière que les maladies infectieuses, mais plutôt que de provoquer une maladie, ils confèrent une protection. Construits sur le châssis d’un virus bénin, les vaccins se voient ajouter du matériel génétique d’un agent pathogène qui stimule la création d’anticorps ou de globules blancs chez les hôtes « infectés ».

Ces vaccins pourraient être particulièrement utiles, selon certains scientifiques, pour les populations d’animaux sauvages pour lesquelles la vaccination directe est difficile en raison de problèmes tels que des habitats inaccessibles, des infrastructures insuffisantes, des coûts élevés ou un manque de ressources. L’idée, essentiellement, est de vacciner une petite proportion d’une population par inoculation directe. Ces « fondateurs » transmettront ensuite passivement le vaccin à d’autres animaux qu’ils rencontrent, que ce soit par le toucher, le sexe, l’allaitement ou la respiration du même air. Progressivement, ces interactions pourraient renforcer l’immunité de la population.

Schéma du fonctionnement d’un vaccin autodiffusant. Schéma de la façon dont un vaccin autodiffusant pourrait se propager parmi les chauves-souris. Les chauves-souris « fondatrices » auxquelles on a inoculé un vaccin autodiffusant transmettent passivement le vaccin aux autres chauves-souris qu’elles rencontrent au fil du temps, ce qui renforce progressivement l’immunité au niveau de la population.
Crédit : Derek Caetano-Anollés.

Les vaccins à autopropagation trouvent en partie leur origine dans les efforts visant à réduire les populations de parasites. Des chercheurs australiens ont décrit une immunocontraception à propagation virale, qui détournait le système immunitaire des animaux infectés — en l’occurrence une espèce de souris non indigène en Australie — et les empêchait de féconder leur progéniture. Les premiers efforts de vaccination à propagation automatique ont visé deux maladies infectieuses hautement mortelles dans la population européenne de lapins (le virus du myxome et le virus de la maladie hémorragique du lapin). En 2001, des chercheurs espagnols ont testé sur le terrain un vaccin sur une population de lapins sauvages vivant sur Isla del Aire, une petite île espagnole située au large de Minorque. Le vaccin s’est propagé à plus de la moitié des 300 lapins de l’île, et l’essai a été considéré comme un succès.

En 2015, une autre équipe de chercheurs a spéculé sur le développement d’un vaccin autodiffusant pour le virus Ebola qui pourrait être utilisé sur les grands singes sauvages comme les chimpanzés. Depuis lors, les scientifiques en sont venus à considérer un large éventail d’animaux — de la faune sauvage comme les chauves-souris, les oiseaux et les renards aux animaux domestiqués comme les chiens, les porcs et les moutons — comme se prêtant à des vaccins à autodiffusion.

Jusqu’à présent, les chercheurs n’ont pas mis au point de vaccins expérimentaux à diffusion spontanée pour les humains [Ndlr : toutefois, l’absence de preuves n’est pas preuve de l’absence.] ; rien ne prouve que quelqu’un travaille activement sur cette technologie. Nuismer et Bull soutiennent plutôt que les vaccins à diffusion spontanée constituent une approche révolutionnaire pour contrôler les maladies infectieuses émergentes avant même qu’elles ne se propagent des animaux à la population humaine.

La propagation zoonotique est certainement un problème urgent ; outre le SRAS-CoV-2, le VIH, le virus Ebola et le virus Zika, plus d’un millier d’autres nouveaux virus à potentiel zoonotique ont été détectés chez les animaux sauvages au cours de la dernière décennie. Mieux vaut prévenir que guérir, affirment Nuismer et Bull dans un article du New Scientist. Dans leur article paru dans Nature Ecology & Evolution, ils affirment qu’ils sont « prêts à commencer à développer des vaccins autodisséminant pour cibler un large éventail d’agents pathogènes humains » chez les animaux.

En dehors d’une expérience, les scientifiques seraient confrontés à d’énormes obstacles techniques et pratiques pour identifier les cibles d’intervention les plus appropriées et garantir le maintien de l’immunité dans les populations sauvages. Malgré ces défis de taille, les implications potentielles en matière de sécurité des vaccins autodiffusés sont encore plus graves.

Le principal problème de sécurité est celui du double usage. En substance, cela signifie que la recherche utilisée pour mettre au point des vaccins à diffusion spontanée afin de prévenir les maladies pourrait également être utilisée pour causer délibérément des dommages. On peut, par exemple, créer des déclencheurs dans un virus qui provoquent des défaillances du système immunitaire chez les personnes ou les animaux infectés, un peu comme le fait naturellement le VIH. On peut aussi créer des déclencheurs dans un virus qui provoquent une réaction auto-immune nocive, c’est-à-dire que le corps commence à attaquer ses propres cellules et tissus sains.

La question des armes biologiques

Si les chercheurs ont l’intention de créer des vaccins à diffusion automatique, d’autres pourraient détourner leur science et développer des armes biologiques. Une telle arme peut s’avérer incontrôlable et irréversible.

Il n’est pas nécessaire de creuser très loin pour trouver un exemple historique de biologie militarisée. Comme le montre le programme de guerre biologique sud-africain de l’époque de l’apartheid, les pressions sociales, politiques et scientifiques peuvent conduire à une mauvaise utilisation de l’innovation biologique.

Sous le nom de code « Project Coast », le programme sud-africain était principalement axé sur des armes d’assassinat secrètes destinées à être utilisées contre des individus considérés comme une menace pour le gouvernement raciste de l’apartheid. Outre la production d’engins permettant d’injecter des poisons, les chercheurs du projet Coast ont mis au point des techniques permettant d’injecter de la salmonelle dans des morceaux de sucre et du Bacillus anthracis dans des cigarettes.

Bien qu’il y ait eu de nombreux programmes de guerre biologique, dont plusieurs étaient beaucoup plus élaborés et sophistiqués, le programme sud-africain est particulièrement pertinent pour réfléchir aux utilisations malveillantes des vaccins à diffusion automatique. L’un des projets de recherche du projet Coast visait à développer un vaccin humain contre la fertilité.

L’idée a fait son chemin à une époque où l’explosion démographique mondiale suscitait de nombreuses inquiétudes. Schalk Van Rensburg, qui supervisait les travaux liés à la fertilité dans un laboratoire du Project Coast, a déclaré à la Commission Vérité et Réconciliation de l’Afrique du Sud après l’apartheid, un forum chargé d’examiner l’histoire sordide de l’époque et de jeter les bases de la paix et de la tolérance futures, qu’il pensait que le projet s’inscrivait dans le droit fil des tentatives de l’Organisation mondiale de la santé pour freiner la hausse des taux de natalité dans le monde. Il pensait que ce projet pourrait apporter à son laboratoire une renommée et un financement internationaux. Selon M. Van Rensburg, Wouter Basson, le directeur du programme de guerre biologique, a déclaré que l’armée avait besoin d’un vaccin contre la fertilité afin que les femmes soldats ne tombent pas enceintes.

Alors que certains des scientifiques impliqués dans le projet ont nié avoir eu connaissance d’intentions ultérieures ou même que leur travail sur la fertilité faisait partie d’un effort militaire, Van Rensburg et Daniel Goosen, un directeur de laboratoire, ont déclaré à la Commission Vérité et Réconciliation que la véritable intention derrière le projet était d’administrer sélectivement le contraceptif en secret à des femmes noires sud-africaines à leur insu.

En fin de compte, le vaccin contre la fertilité n’a pas été produit avant la fermeture officielle du projet Coast en 1995, 12 ans après son lancement. Une première version a été testée sur des babouins, mais jamais sur des humains. L’Afrique du Sud n’est pas le seul pays à essayer de stériliser de force une partie de sa population. Des pays européens, dont la Suède et la Suisse, ont stérilisé des membres de la minorité rom dans la première moitié du XXe siècle et certains, comme la Slovaquie, ont même continué au-delà. Plus récemment, des analystes ont affirmé que le gouvernement chinois stérilisait des femmes dans le Xinjiang, une province comptant une importante population de musulmans ouïgours.

Il n’est pas nécessaire de faire un grand saut dans l’imagination pour comprendre comment les objectifs du projet sud-africain de vaccin contre la fertilité auraient pu bénéficier de la recherche sur les vaccins à diffusion automatique, en particulier si l’on y associe les développements actuels en matière de pharmacogénomique, de développement de médicaments et de médecine personnalisée. Pris ensemble, ces axes de recherche pourraient permettre une guerre biologique ultra ciblée.

Un potentiel d’abus croissant

La Convention sur les armes biologiques, le traité qui interdit les armes biologiques, a presque 50 ans. Négociée et acceptée au plus profond de la guerre froide, la convention souffre de modes de fonctionnement dépassés. Elle pose également d’importants problèmes d’évaluation de la conformité. La convention n’a certainement pas empêché l’Afrique du Sud de poursuivre le projet Coast au début des années 1980.

La recherche sur les vaccins autoportés est un domaine restreint, mais en pleine expansion. À l’heure actuelle, une dizaine d’institutions effectuent des travaux importants dans ce domaine. Ces laboratoires sont principalement situés aux États-Unis, mais certains se trouvent également en Europe et en Australie. À mesure que le domaine s’étend, les risques d’abus augmentent.

Jusqu’à présent, la recherche a été principalement financée par des organismes de financement de la science et de la santé du gouvernement américain, comme la National Science Foundation, les National Institutes of Health et le Department of Health and Human Services. Des organisations privées comme la Fondation Gates et des institutions universitaires ont également financé des projets. Récemment, la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), parfois considérée comme l’aile de recherche et de développement de l’armée américaine, s’est impliquée dans la recherche. L’université de Californie, à Davis, par exemple, travaille sur un projet administré par la DARPA intitulé « Prediction of Spillover Potential and Interventional En Masse Animal Vaccination to Prevent Emerging Pathogen Threats in Current and Future Zones of US Military Operation ». Selon une brochure, le projet vise à « créer le premier prototype au monde d’un vaccin autodisséminant conçu pour induire un niveau élevé d’immunité collective (protection au niveau de la population sauvage) contre le virus de Lassa… et Ebola ».

L’investissement militaire dans l’innovation biologique à des fins défensives ou de protection est autorisé par la convention sur les armes biologiques, mais il peut néanmoins envoyer de mauvais signaux. Ils pourraient amener les pays à douter de leurs intentions respectives et conduire à des investissements réciproques dans des recherches potentiellement risquées, notamment dans des vaccins à diffusion automatique. Le résultat d’une recherche qui tourne mal ou d’une guerre biologique pourrait être catastrophique pour la santé et l’environnement.

À l’heure où la norme contre les armes chimiques se dégrade, comme l’a souligné récemment l’empoisonnement du leader de l’opposition russe Alexei Navalny avec l’agent neurotoxique Novichok — un crime dont de nombreux responsables européens accusent la Russie — la communauté internationale ne peut tout simplement pas se permettre qu’il en aille de même pour la norme contre l’utilisation d’armes biologiques. Cela défierait complètement l’esprit du traité si les États semblaient vouloir poursuivre des activités à double usage à haut risque dans le domaine de la biologie.

Des conversations précoces, ouvertes et de bonne foi sur les objectifs et les avancées scientifiques qui suscitent des préoccupations particulières en matière de double usage, comme c’est le cas des vaccins à diffusion automatique, sont essentielles pour explorer les enjeux plus larges de certaines trajectoires techniques. Le programme de l’université de Californie à Davis cherche des moyens d’intégrer un « interrupteur » pour contrôler la technologie en toute sécurité. Et la DARPA affirme que toute expérimentation sur le terrain liée au projet suivra les protocoles de biosécurité. Mais ces promesses ne suffiront pas. Notre ambition doit être de prendre une décision collective sur les voies techniques que nous sommes prêts, ou non, à emprunter en tant que société.




7m20 Pour Reprendre Le Pouvoir

[Source : Volte-Face]

Alors que l’argent liquide risque d’être complètent supprimé dans peu de temps au profit d’une monnaie complètement numérisée, afin que le gouvernement puisse contrôler chaque dépense des citoyens et bloquer ce qui ne lui convient pas, agissons ensemble pour contrer ce projet et récupérer notre pouvoir sur les banques !

TOUS ENSEMBLE DES LE 4 MAI !




Martine Wonner, parlementaire ex-LREM : « Nous sommes en dictature sanitaire » — Entretien vidéo

[Source : Magazine Nexus]

(Entretien du 14 avril) Dans sa toute nouvelle émission, Nexus a invité Martine Wonner, la députée qui milite pour la transparence dans la gestion sanitaire et la liberté de prescription des médecins. Depuis plus d’un an, elle a vu de l’intérieur les incohérences, les incompétences, les mensonges, et elle dénonce, faits à l’appui, les manquements graves, les pressions élyséennes et l’opacité des prises de décision au sein du Conseil de défense. Celle qui a appartenu 3 ans au groupe majoritaire fait partie aujourd’hui du groupe parlementaire Libertés et Territoires, du collectif Laissons les médecins prescrire, et s’accorde une liberté de parole sans détours. Elle nous livre également son analyse en tant que médecin-psychiatre sur l’impact psychologique de cette gestion sanitaire sur les Français. Elle nous apporte enfin un éclairage édifiant sur le fonctionnement du parlement et l’absence de contre-pouvoir face à un exécutif qui détient les pleins pouvoirs.

« L’Assemblée nationale, qui est la maison du peuple, n’a jamais accueilli de débat depuis le début de cette crise sanitaire »

extrait de notre entretien.

https://youtu.be/TeM7C17_Nm4



LES COLLABOS (co-labos ?) DU PASS SANITAIRE SE DÉMASQUENT

Par le docteur Gérard Delépine

Le chantage « vacciné ou discriminé » de nos gouvernants suscite la collaboration active de certains soumis, politiques, artistes, professions en péril, médecins, pharmaciens, biologistes, etc. et des médias aux ordres des milliardaires.

Au lieu de réclamer avec l’ensemble de la population le retour de nos libertés fondamentales bafouées inutilement, et l’autorisation des traitements précoces efficaces, ils préfèrent cautionner des mesures antidémocratiques d’apartheid et jouer les capos.

Ainsi certains prestataires de services du secteur des mariages auraient proposé au ministère la mise en place d’un pass sanitaire(([1] Marcelo Torello Covid-19 : pour les mariages, bientôt un pass sanitaire ? le point le 03/05/2021)) pour pouvoir se marier, comme le directeur du festival d’Avignon(([2] Festival d’Avignon – Olivier Py : « Il faudra un pass sanitaire pour entrer dans la Cour d’honneur « La Provence 1/5/2021)) pour pouvoir assister au festival. Jean Vilar doit se retourner dans sa tombe ! le maire de la Baule aurait aussi vendu son âme du diable pour des broutilles.

Certains politiques se démasquent, rendant très inquiets pour les prochaines élections.

De Marine Le Pen à Jean-Luc Mélenchon en passant par Jean-Christophe Lagarde et François Bayrou, nous avons entendu des appels à l’élargissement de la vaccination voire à son obligation, sans cri d’orfraie contre cette étoile jaune-verte du Covid qui viendrait discriminer honteusement des catégories de population : les vaccinés, les non-vaccinés, les allergiques, les anciens malades covid chroniques, etc. et tous ceux dont les statuts particuliers ne leur permettraient pas d’entrer dans les cases prévues par nos administratifs.

70 ans après la Seconde Guerre mondiale et les horreurs de la Shoah, et des juifs discriminés par le port de l’épouvantable étoile jaune, comment la mémoire collective peut-elle manquer à ce point ?

Cette discrimination envisagée ne choque pas la plupart des journalistes, y compris les femmes, les gens de couleur, etc. qui passent leurs vies à trouver des anomalies racialistes dans l’Histoire et dans notre culture.

Un exemple grotesque du jour : le baiser du Prince à la Belle au Bois dormant est-il raciste ?

Nous en sommes à ce degré de folie, mais séparer les gens sur la foi d’un vaccin qui ne protège pas, d’un test PCR qui est un vaste enfumage, d’un statut sanguin d’anticorps sans valeur médicale ne les gênerait pas ! Comme d’ailleurs les végans ou autres écologistes militants contre les OGM dans l’alimentation, qui ne sont pas pour autant conduits à refuser une drogue injectable dans son propre organisme de type OGM.

Et pourtant, rappelons-le une nouvelle fois, il n’y a pas de Pandémie comme l’affirme le rédacteur en chef du Lancet : « covid-19 » is not a pandemic »(([3] Lancet vol 396,10255 SEPT 2020 P 874)). La mortalité directe du Covid a touché essentiellement les plus de 80 ans et les conséquences se verront surtout sur tous les drames, non du virus, mais des mesures liberticides majeures prises par les pays soumis à l’ordre mondial dirigé au moins apparemment par l’OMS.

L’effet premier de la pseudo « pandémie » Covid est-il la perte de tout bon sens ?

QUELS SONT LES VRAIS MOTIFS D’UN PASSEPORT SANITAIRE ?

Notons qu’en ce début mai 2021, il est déjà refusé par les USA, la Russie, et l’Inde et singulièrement l’OMS. Mais l’UE, et la France à ses pieds sont plus extrémistes que tous les autres. Pourtant imagine-t-on la France se couper de sa riche clientèle américaine libre de circuler chez elle, ou bien imposer son passeport sanitaire aux Européens et pas à tous les autres voyageurs? On voit bien que tout cela est grotesque et a surtout dans l’immédiat le but de convaincre à la vaccination un maximum de Français et d’éviter d’avoir trop de doses inutilisées comme pour le vaccin H1N1.

NÉANMOINS LA TENTATION TOTALITAIRE EST PRÉSENTE

C’est la démocratie qu’ils veulent assassiner

Rappelons ici que le droit au mariage constitue l’un des droits humains fondamentaux, et que toutes les restrictions de liberté qu’on nous impose n’ont aucune utilité sanitaire démontrée. Elles ont totalement échoué et nous ont placés, en un an, parmi les six grands pays européens à la mortalité Covid19 la plus forte.

De même, la liberté de se réunir et de disposer de son corps représente un des droits humains essentiels.

Comme celui de refuser de prétendus vaccins (de fait produits de thérapie génique différents des vaccins classiques) totalement expérimentaux. Leurs résultats actuels en populations sont très inquiétants, car suivis de très fortes hausses post vaccinales des contaminations et des morts attribués au Covid19, pendant 4 à 6 semaines ainsi que l’illustre la comparaison des courbes OMS des épidémies en Grande-Bretagne que les médias érigent en succès.

Les Pays-Bas sont discrets, mais tellement plus efficaces, en ne vaccinant qu’avec discernement

On peut comprendre les difficultés extrêmes de nombreuses professions menacées de mort par les médias qui taisent les traitements précoces efficaces qui ont démontré tout leur intérêt dans les pays qui les ont utilisés.

Mais cela devrait les inciter à devenir des résistants, à combattre fermement la tyrannie au lieu de tenter des petits arrangements avec les tyrans. Les libertés ne se négocient pas, elles s’obtiennent et se défendent par la lutte ! La collaboration avec l’oppresseur affaiblit la résistance et doit être sanctionnée. Boycottons tous ceux qui prônent de pareilles mesures !

Se marier est un droit reconnu et protégé par des textes fondamentaux

Que ce soit l’article 16 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1948, l’article 23 du Pacte International des droits Civils et Politique, l’article 8 et 12 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme.

La décision n° 2003-484 du 20 novembre 2003 du Conseil Constitutionnel a rappelé que la liberté matrimoniale est un principe à valeur constitutionnelle protégé par les articles 2 et 4 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789.

Le mariage comme les festivals doivent rester des fêtes. Limiter le nombre de personnes, leur faculté de choisir leurs tenues (en fermant des magasins jugés non essentiels), leurs modalités festives constitue des atteintes disproportionnées à ce droit.

Ces fêtes ne sont pas dangereuses

Après la fête de la musique, les fêtes sauvages techno ou pas, le carnaval de Marseille ou la réunion récente des Buttes Chaumont, les covidterroristes ont prétendu que leurs participants mettaient en danger autrui, les policiers ont parfois dérapé(([4] Vidéo exclusive : les images d’une opération de police qui dérape à Marseille La Provence 3/5/2021 https://www.laprovence.com/actu/en-direct/6342405/video-exclusive-les-images-dune-operation-de-police-qui-derape-a-marseille.html)), et les procureurs ont poursuivi en justice leurs organisateurs.

Pourtant aucun de ces rassemblements n’a été suivi par le moindre cluster. Dans un monde où la raison dominerait, la charge de la preuve devrait incomber aux avocats du confinement et des mesures sanitaires, car ce sont eux qui ont abandonné 100 ans de sagesse médicale en santé publique et l’ont remplacé par des obligations jupitériennes non testées piétinant la liberté, le libre choix du médecin pour le traitement de son patient, et des droits de l’homme.

Des mesures sanitaires liberticides aux résultats catastrophiques

La chloroquine a été interdite de prescription au prétexte qu’il n’existait pas de preuve scientifique de son efficacité. Mais les mesures de restrictions de libertés ont été imposées alors qu’aucune preuve n’existe qu’elles puissent être utiles.

Et depuis un an, la totalité des études analysant les faits avérés montrent qu’elles ne modifient guère l’évolution de l’épidémie et qu’elles infligent des dommages considérables(([5] https://torontosun.com/opinion/columnists/canadian-experts-research-finds-lockdown-harms-are-10-times-gL Atlani, D Bruno Lina, Franc, Chauvin-F Delfraissy, D Malvy L’évasion immunitaire signifie que nous avons besoin d’un nouveau contrat social COVID-19 the Lancet public health 18 février 2021 DOI 6,reater-than-benefits/wcm/cc911cf4-fb29-4cb7-9f7e-3d39b368fb6f/amp/?)) non seulement sanitaires (victimes collatérales par défaut de soins, troubles psychiques, suicides), mais aussi crise économique, explosion de la dette, massacre de l’enseignement, et de l’avenir des jeunes, chômage.

Les avocats français de ces mesures (J. P. Delfraissy et le conseil scientifique) se sont basés sur leur foi dans la prophétie de Ferguson (simple simulation mathématique totalement erronée).

Analysant les faits avérés, ils ont récemment reconnu la nocivité du confinement : « l’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale. Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2 ».et la nécessité d’un changement de stratégie sanitaire(([6] Le Conseil scientifique retourne sa veste partiellement sur le confinement. L’heure des comptes approche-t-elle ? (francesoir.fr) )) : « il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur et fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire et stop-start comme principale réponse à la pandémie »

Les pays européens tels que la Biélorussie, les Pays-Bas, la Finlande et la Suède qui n’ont pas imposé ces mesures liberticides ont une mortalité Covid bien plus faible que la nôtre.

Les états américains qui ont supprimé la totalité de ces mesures abracadabrantesques, comme le Texas et le Mississippi, bénéficient de la poursuite de la décrue majeure de l’épidémie avant même que la vaccination ait pu agir, puisqu’au 23 avril 2021 moins d’un tiers de la population était vaccinée alors que ses promoteurs estiment que la couverture vaccinale doit atteindre 70-80% pour qu’elle soit efficace.

Le pass vaccinal témoigne d’une angoisse qui ignore la logique. Si l’on croit à l’efficacité et à l’innocuité du vaccin et si on a peur de la maladie, il est normal de se faire vacciner; mais si on croit que le vaccin protège le vacciné, il est totalement illogique de craindre le contact des non-vaccinés et incompréhensible de vouloir leur imposer un médicament expérimental, d’autant que le ministre lui-même reconnaît que la vaccination n’empêche pas les transmissions virales et que le Conseil d’État s’est rangé à son avis «les personnes vaccinées peuvent être porteuses du virus et contribuer à sa diffusion dans des proportions qui ne sont aujourd’hui pas connues. » (([7] https://www.europe1.fr/sante/le-conseil-detat-deboute-un-octogenaire-vaccine-qui-demandait-a-etre-deconfine-4035600)) (([8] https://www.conseil-etat.fr/actualites/actualites/les-restrictions-de-deplacement-des-personnes-vaccinees-sont-justifiees))

Conséquences du pass vaccinal en France

Le pass vaccinal n’est pas recommandé par l’OMS ni par la Maison-Blanche, et interdit dans de nombreux États américains, car jugé contraire à la constitution. Ni la Chine, ni l’Inde, ni la Russie ne le prônent.

Imposer dans les restaurants, les hôtels, les festivals et autres lieux de culture et de spectacles français un tel pass vaccinal aboutirait à dissuader les clientèles étrangères de venir visiter la France, de fréquenter nos établissements et les inciteraient à se diriger vers des pays plus libres.

Ce n’est pas d’un pass repoussoir de clientèle que ces professionnels ont besoin.

Ce dont la France a besoin ce n’est pas d’un pass inapplicable que seuls quelques pays européens veulent imposer, mais du retour aux libertés de se déplacer et de travailler pour tous et de la liberté de prescrire pour les médecins.

L’exemple de tous les pays qui ont récemment tenté la suppression des mesures prétendument sanitaires montre que ce n’est pas dangereux.

Comme le disait Victor Hugo « la seule chose dont j’ai peur, ce sont des gens qui ont peur »

Boycottons les collabos
Privilégions les commerçants résistants que vous trouverez en consultant ANIMAP, le site des commerçants qui ne demandent aucune preuve de test ou de vaccin sur les sites

Et des appels à se liguer pour refuser le passeport sanitaire émanent de partout. Citons l’appel de Mike Yeadon relayé par le blog de jeannesmits (réf 8)

Le passeport vaccinal, un instrument de tyrannie durable, inédit, et absolu, selon Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer(([9] https://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2021/04/Mike-.html)) 30 avril 21

Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, a évoqué il y a quelques jours les plans visant à étendre la mise en œuvre du passeport vert dans un appel public à la vigilance adressé à America ’s Front line Doctors, association de médecins qui soutient les traitements efficaces contre le COVID-19 et s’oppose à la vaccination au moyen d’un agent biologique expérimental :

« Nous y sommes en Israël maintenant, et le Royaume-Uni sera pareil dans quelques semaines. »

Emmanuel Macron a annoncé que le passeport sanitaire devrait être mis en place début juin en France pour autoriser l’accès aux grandes manifestations publiques. Ce ne serait pas un passeport vaccinal, mais de « statut COVID », puisqu’il faudrait apporter la preuve soit de la vaccination, soit d’un test covid négatif de moins de 48 heures, soit d’une infection ayant muni le porteur d’anticorps.

Ce que dit Mike Yeadon, les outils sont là : ce sont eux qui sont mis en place.

« Certains diront que cela relève du fantasme. Je les aide à l’espérer, comme le disait ma chère Maman. Mais sachez que d’ores et déjà en Alaska, un village interdit à ses habitants de faire leurs courses en personne si elles n’ont pas été vaccinées. Et là, pour le coup, il ne s’agit pas d’une mesure ponctuelle pour « stopper la pandémie » : il n’y a aucune raison de revenir en arrière. »

MESSAGE DE Mike Yeadon aux médecins américains de Front Line Doctors

  • « À vous qui pensez que les passeports vaccinaux sont bons, ou du moins corrects, je m’adresse à vous.
  • Si vous êtes une personne vulnérable et que vous avez été vacciné, vous êtes protégé. Vous n’avez pas besoin de connaître le statut immunitaire d’autrui. Remarquez que même s’ils ont été vaccinés, cela ne garantit pas qu’ils ne puissent pas être porteurs d’une seule particule virale et vous la transmettre. Il n’est donc pas utile pour vous ou pour votre sécurité de savoir que tout le monde a été vacciné.
  • Si vous avez refusé de vous faire vacciner, par exemple, parce que vous n’êtes pas exposé à ce virus, sachant que les jeunes sont PLUS exposés à la grippe qu’au COVID-19, vous n’avez pas non plus besoin de connaître le statut immunitaire des autres.
  • La vaccination protège ceux qui en ont besoin. Les passeports vaccinaux ne protègent personne.
  • Mais le passeport vaccinal est utile à nos maîtres. Il s’agira de la première base de données au format commun, utilisable de Boston à Bogota, contenant votre identifiant numérique unique et un indicateur d’état de santé modifiable (initialement relatif au statut vaccinal).
  • Celui qui contrôle cette base de données et tout algorithme régissant ce qu’elle autorise ou refuse, possède un contrôle absolument totalitaire sur tous les aspects de votre vie.
  • Imaginez un avenir dans lequel un passeport vaccinal valide serait nécessaire pour entrer dans un terrain de sport ou un musée. Passeport vaccinal invalide : pas d’entrée.
  • Imaginez maintenant que les règles soient durcies (et elles le seront). Désormais, vous ne pourrez plus entrer dans les grands centres commerciaux ou dans des hôtels sans un passe valide.
  • Ira-t-on plus loin ? Bien sûr, pourquoi pas. L’algorithme sera modifié et vous ne pourrez plus entrer dans les grands supermarchés ou prendre les transports publics.
  • Une étape tyrannique pourrait consister en une modification de Visa/MasterCard qui exigerait un passeport vaccinal valide AVANT qu’un terminal ne s’ouvre pour une transaction d’achat.
  • Dès lors, vous ne pourriez même pas acheter une bouteille d’eau. Ou du carburant. Ou quoi que ce soit d’autre.
  • Ping ! Votre passeport vaccinal vous ordonne de vous présenter pour votre rappel de vaccin. Si vous ne le faites pas, votre passe expire. Pensez-vous avoir le choix ?
  • Ping ! On vous rappelle que vous devez aussi amener votre petit-fils, car sa mère ne l’a pas fait. Si vous ne le faites pas, votre passe devient invalide, tout comme celui de la mère du bébé. Pensez-vous toujours que vous aurez le choix ?
  • Le fait que je puisse facilement trouver des exemples doit au moins vous indiquer que le potentiel de contrôle totalitaire de toute la population se trouve tapi comme un ver au centre de cet avenir orwellien.
  • Ce n’est pas de la spéculation. On nous dit que ce système est sur le point d’arriver. Vous serez contraint de vous faire vacciner ou vous serez rapidement marginalisé.
  • Une fois que vous serez vaccinés, les libertés limitées qu’ils vous accordent peuvent être retirées à tout moment.
  • Ne vous faites pas d’illusions en imaginant que « personne ne pourrait être aussi méchant ». Je vous renvoie à de nombreux exemples au cours du siècle dernier. Il y a beaucoup de gens mauvais et la seule différence ici est l’ÉCHELLE et la nature irréversible du mal.
  • Maintenant que vous avez vu ce qu’il est si facile de faire pour prendre le contrôle total d’une société entière, vous DEVEZ vous opposer et trouver des moyens d’empêcher un système de passeport vaccinal de voir le jour. Par tous les us et moyens nécessaires. Enfin, à ceux qui disent que tout cela relève seulement d’une série d’erreurs malencontreuses et de l’incompétence, je vous invite à regarder ce documentaire. Bien avant d’arriver à la fin, vous réaliserez, comme je l’ai fait avec une horreur croissante, qu’il ne s’agit absolument pas d’incompétence. C’est un exercice répété et des exercices de ce type sont utilisés pour des jeux de guerre depuis des années, voire des décennies. Cela vous fera peut-être changer d’avis sur les origines de ce désordre et de ces crimes. Mais s’il vous plaît, une chose : ne dites pas qu’on ne vous a pas prévenus. »(([10] © leblogdejeannesmits pour la traduction
    Les liens de partage sur les réseaux sociaux ne figurent plus sous les articles de ce blog. Censure ? Aidez-moi à faire circuler les informations ci-dessus en copiant ce lien permanent https://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2021/04/Mike-.html pour le partager par courriel ou sur une plateforme que vous fréquentez. Merci !))

Vous êtes prévenus ! PRÉVENEZ VOS VOISINS ET AMIS.

RÉSISTEZ !





Les révélations de la cosmonaute Marina Popovitch

[Source : urantia-gaia.info]

[NDLR Mise à jour en date du 11 février 2023 : malheureusement les sources en français et en espagnol ont visiblement disparu.]

Publié le 8 juillet 2011 par Le Passeur

Née en 1931, Marina Popovitch est un personnage légendaire en Russie. Une étoile dans la constellation du Cancer porte même son nom. Colonel dans les forces aériennes, ingénieur et pilote d’essai ayant survécu à six crashs, elle a volé sur une quarantaine de types d’avions et totalise 107 records du monde dans l’aviation, dont bon nombre n’ont toujours pas été battus. Elle est aussi la première femme à avoir piloté un avion de chasse et avoir franchi le mur du son.

Enfin, professeur en science aérodynamique, maître de conférences et vice-présidente de l’Université d’Arkhangelsk, elle a également suivi des études de théologie et de physique, ainsi que plusieurs enseignements pratiques destinés à éveiller les capacités psychiques dites paranormales. Elle est ainsi devenue capable de voir l’aura humaine et s’est formée à la communication par télépathie. Voilà pour cadrer le personnage.

Avec un tel cursus et un tel palmarès, il est difficile de ne pas prêter attention à ses paroles, d’autant qu’elle est connue depuis 1991 pour avoir publié ce qu’elle déclare être la dernière photo transmise par la sonde Phobos II avant sa disparition près de Mars, et avoir porté au public l’observation de plus de 3.000 OVNIS en Russie et la possession par les Russes de cinq d’entre eux qui se sont crashés, notamment à Tunguska en 1908 (voir article sur Tunguska) et Dalnegorsk en 1986.

Elle a surtout beaucoup parlé des découvertes des scientifiques russes quant à l’interaction permanente entre les émotions humaines et les champs électromagnétiques de la Terre et leur impact immédiat sur l’activité du Soleil. Elle a notamment évoqué la présence de zones obscures dans ces champs par exemple sur les pays où la guerre faisait rage, comme l’Irak.

[Voir aussi : Terre vivante ? et Catastrophes naturelles et pollution mentale]

[L’idée d’impact des émotions humaines sur le climat avait également été évoquée
dans le livre Urane – l’éducation et les lois cosmiques, publié en 1991]

Selon elle, les scientifiques estiment que le chaos émotionnel humain perturbe énormément la Terre, qui réagit de plus en plus violemment à cette saturation. Ce qui doit être porté à la connaissance des populations et doit absolument déclencher un changement radical de tous nos comportements.

Il est à noter que bien des révélations sont faites depuis quelques années par des personnalités issues du monde militaire, notamment des astronautes et des hauts gradés russes et américains. J’ai du mal à penser que ces « fuites » soient autorisées s’il n’y a pas une volonté sous-jacente d’une faction au moins de ceux qui exercent des pouvoirs dans ce domaine que cela soit su. Par ailleurs ce changement de communication reste timoré et la médiatisation grand public reste faible, voire même nulle dans certains pays comme la France.

Le fait que ces révélations existent peut vouloir annoncer la fameuse divulgation quant à la présence extraterrestre que beaucoup espèrent et pour laquelle ils luttent depuis des décennies. Mais on ne peut exclure qu’elle puisse encore servir une manipulation des marionnettistes de notre monde dans le but de conserver le contrôle dans une situation nouvelle, où des événements majeurs et contre lesquels ils ne peuvent rien auront eu lieu.

En attendant de vivre le scénario à venir, voici une intéressante interview de Marina Popovitch, réalisée pour le journal espagnol Planète urbaine :

Pendant la guerre froide, la Russie a donné une grande importance à l’étude du domaine paranormal. Vous avez fait des découvertes importantes sur la grille énergétique de la planète ainsi qu’un « champ d’enregistrement psychique » qui entoure la Terre. Comment cela fonctionne-t-il ?

– Les études réalisées à Moscou ont déterminé que la planète est entourée d’un immense réseau énergétique, un « tissu » d’énergie qui possède une distribution de forme géométrique. La géologie des continents répond aux schémas directeurs énergétiques de cette grille. Toute la structure de ce que nous connaissons comme l’univers physique s’ordonne selon des schémas géométriques déterminés. Ceci est connu sous le terme de « Géométrie sacrée ». Par ailleurs, en 1958, le professeur Bernascki a découvert une sorte d’anneau qui enveloppe la planète et qui contient un champ d’énergie dans lequel sont mémorisés des « registres » de toutes les formes de vie et de l’histoire de la planète. Il a été découvert que ce champ d’énergie ne se situe pas sur un plan physique. Nous avons été capables de détecter cette bande et de la «lire» avec des instruments scientifiques et en utilisant des médiums entraînés à le faire.

Nous avons ainsi découvert que ce champ est un tissu éthérique chargé d’émotions. C’est pourquoi il est nécessaire de contrôler nos passions. Chacun de nous a le pouvoir d’affecter ce champ de manière positive ou négative. Toute la négativité exprimée, comme la haine et la peur, a une incidence directe sur l’état de la planète. La Terre réagit violemment à nos pensées et nos sentiments et elle émet un type de rayonnement qui se répercute sur les modèles climatiques. Les éléments sont comme des anticorps planétaires.

Est-ce que cela pourrait être une des causes des changements climatiques violents qui se produisent actuellement ?

– C’est seulement une partie d’un immense processus qui s’inscrit dans un ordre cosmique parfait. Les scientifiques savent très bien que nous sommes confrontés à un processus cyclique et inévitable qui ne peut juste se réduire à l’homme. Dans l’univers tout est interconnecté, quoi que nous fassions d’harmonieux ou de dysharmonieux, et affecte la Terre. Ces charges négatives affectent en tout les êtres humains et sont en fait plus puissantes que l’énergie nucléaire elle-même. La planète, comme si elle était un corps malade, réagit avec des anticorps naturels pour soigner ce désarroi. La pollution n’est pas causée uniquement par la consommation des énergies résiduelles. Nous sommes nous-mêmes une puissante source de pollution. Le monde répond à la haine et l’amour (voir La Clé du Présent).

Est-il vrai que les Russes avaient une bonne avance par rapport aux Américains dans ce domaine ?

– Certains médiums russes ont dit qu’ils s’étaient retrouvés sur des plans astraux (non physiques) en présence d’Américains travaillant dans le même domaine.

Par le biais d’un entraînement spécifique, on a pu détecter ces champs de  pollution « psioniques » et on a vu comme un manteau obscur enveloppant certaines parties du globe terrestre. On a constaté qu’en utilisant certaines fréquences, il est non seulement possible d’influencer la vie en exerçant un contrôle mental, mais aussi de modifier le climat. Il existe des études poussées concernant l’antigravité qui ont amené des découvertes sur les champs scalaires, les énergies vectorielles et le vide.

Une application correcte de cette technologie pourrait avantageusement changer le monde.

[Voir aussi Note sur le mental et l’astral]

Tout nous indique que des changements climatiques majeurs vont nous obliger à changer radicalement la façon dont nous concevons notre civilisation. Quelles sont les conclusions que les scientifiques russes tirent pour la Russie à ce sujet ?

– Ces changements sont une réalité et nos scientifiques ont conclu que nous entrons dans une période de grands bouleversements de l’écosystème terrestre. Mais le plus important est que ces événements constituent un défi majeur pour l’humanité. Ils doivent être vus comme une opportunité ainsi que l’unique option pour le monde entier de décider unanimement que les vieilles formes d’exploitation de l’énergie soient remplacées par d’autres, renouvelables et non polluantes.

Il existe des preuves de visites extraterrestres à travers le monde. Il semble que les gouvernements aient même été prévenus des grands changements à venir. Que pouvez-vous nous dire à ce sujet et pourquoi personne dans le monde ne présente ces preuves ?

– Nous avons atteint un point dans l’évolution de l’intelligence humaine où il est plus logique et crédible de suggérer l’existence d’une vie au-delà de notre monde que de la nier. Les grands gouvernements le savent… et le nient. Parce que si vous aviez la connaissance que ces êtres possèdent — y compris la véritable histoire de notre planète — le système actuel des croyances s’effondrerait en un rien de temps. Le pouvoir même que ces gouvernements ont sur la population mondiale pourrait disparaître du jour au lendemain. Ces créatures ont des connaissances très avancées sur ce qu’on appelle « l’énergie libre ». Notre planète et l’univers possèdent d’innombrables sources d’énergies non polluantes dont l’usage pourrait blesser mortellement l’empire dominant de l’économie mondiale. Utiliser des sources d’énergie polluantes maintient la totalité du système actuel dans la dépendance des ressources monétaires.

[Voir aussi : L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]

Les ultimes photos de la sonde Phobos II

Ces êtres respectent notre libre arbitre et ne s’impliquent donc pas directement dans nos affaires. Ils ont prouvé qu’ils viennent avec de bonnes intentions et ont démontré comment ils peuvent neutraliser, en quelques secondes, la technologie terrestre la plus avancée si elle est utilisée pour les attaquer.

Cela ne peut pas et ne doit pas être caché aux populations du monde. Tout ce qui concerne la question doit être révélé. Dans toutes mes conférences et mes livres, je présente les événements les plus divers qui se sont déroulés sur le sol soviétique. La mission Phobos II *, que nous avons envoyée vers Mars, a disparu lorsqu’elle a transmis à la Terre des photos d’un vaisseau géant d’environ 15,5 miles de long (25 km).

Comparaison entre Phobos et l’OVNI

La disparition ou la perte de contact avec les sondes envoyées depuis la Terre a été un sujet de conversation et de débat entre le président Bush père et Gorbatchev à la Conférence de Malte. Il y a eu des contacts entre les astronautes dans l’espace et des êtres venus d’autres mondes. Je suis convaincue que très bientôt quelque chose va arriver sur la planète qui va obliger ces êtres à se présenter massivement dans notre monde pour nous aider. Et ce sera l’événement le plus important de l’histoire moderne.

Interview réalisée pour Planeta Urbano – Traduction Le Passeur (juillet 2011)


* Phobos II est une sonde envoyée en 1989 par les Russes pour observer Phobos, l’une des deux lunes de Mars qui ne fait que 28 km par 20 km, orbitant à peine à 6.000 km de la planète. Les deux sondes Phobos I et II ont mystérieusement perdu le contact avec la Terre. Seule Phobos II a pu émettre quelques photos.

Pour en savoir plus, voir cet article.

Source originale de l’interview (en espagnol).

Source : http://www.urantia-gaia.info
(en cas de copie, merci de respecter l’intégralité du texte et de citer la source)



Wuhan : entre info et intox!

[Source : La Minute de Ricardo]






La manipulation des algorithmes de la Silicon Valley est la seule chose qui maintient les médias grand public en vie

[Source : crashdebug.fr]

Par Caitlin Johnstone

L’émergence d’Internet a été accueillie avec espoir et enthousiasme par des personnes qui avaient compris que les grands médias contrôlés par les ploutocrates manipulaient l’opinion publique pour fabriquer un consentement au statu quo. La démocratisation du partage de l’information allait donner naissance à une conscience publique émancipée de la domination du contrôle narratif ploutocratique, ouvrant ainsi la possibilité d’un changement révolutionnaire des systèmes corrompus de notre société.

Mais cela ne s’est jamais produit. L’utilisation d’Internet est devenue courante dans le monde entier et l’humanité est capable de se mettre en réseau et de partager des informations comme jamais auparavant. Mais nous restons fermement sous la coupe des mêmes structures de pouvoir qui nous gouvernent depuis des générations, tant sur le plan politique que psychologique. Même les institutions médiatiques dominantes sont en quelque sorte toujours les mêmes.

Alors qu’est-ce qui a mal tourné ? Plus personne n’achète de journaux, les audiences de la télévision et de la radio diminuent. Comment est-il possible que ces mêmes institutions oligarchiques impérialistes contrôlent encore la façon dont la plupart des gens pensent à leur monde ?

La réponse est la manipulation des algorithmes.

Le mois dernier, une interview très instructive a vu le PDG de YouTube, qui appartient à Google, discuter franchement de la façon dont la plateforme utilise les algorithmes pour élever les médias traditionnels et supprimer les contenus indépendants.

Lors du sommet mondial sur la gouvernance technologique 2021 du Forum économique mondial, Susan Wojcicki, PDG de YouTube, a expliqué à Nicholas Thompson, PDG d’Atlantic, que si la plateforme permet toujours aux vidéos artistiques et de divertissement d’avoir les mêmes chances de devenir virales et d’obtenir un grand nombre de vues et d’abonnés, dans des domaines importants comme les médias d’information, elle privilégie artificiellement les « sources faisant autorité ».

« Ce que nous avons fait, c’est vraiment affiner nos algorithmes pour nous assurer que nous donnons toujours aux nouveaux créateurs la possibilité d’être trouvés lorsqu’il s’agit de musique, d’humour ou de quelque chose de drôle », a déclaré Wojcicki. « Mais lorsqu’il s’agit de domaines sensibles, nous devons vraiment adopter une approche différente. »

Wojcicki a déclaré qu’en plus d’interdire les contenus jugés préjudiciables, YouTube a également créé une catégorie appelée « contenu limite » qu’il déclasse de manière algorithmique afin qu’il n’apparaisse pas comme une vidéo recommandée aux spectateurs intéressés par ce sujet :

« Lorsque nous traitons de l’information, nous voulons nous assurer que les sources que nous recommandons sont des informations fiables, de la science médicale, etc. Nous avons également créé une catégorie de contenu plus limite, dans laquelle nous voyons parfois des gens qui regardent du contenu de moindre qualité et limite. Nous voulons donc faire attention à ne pas trop recommander ces contenus. Il s’agit donc d’un contenu qui reste sur la plateforme mais que nous ne recommandons pas. Nos algorithmes ont donc définitivement évolué en termes de traitement de tous ces différents types de contenu. »

Click to play the video

Le commentateur progressiste Kyle Kulinski a publié une bonne vidéo pour réagir aux commentaires de Wojcicki, disant qu’il pense que sa chaîne (tout à fait inoffensive) a été classée dans la catégorie « limite » parce que ses vues et ses nouveaux abonnés ont soudainement connu une chute spectaculaire et inexplicable. Kulinski rapporte que du jour au lendemain, il est passé de dizaines de milliers de nouveaux abonnements par mois à peut-être un millier.

« Les gens sont allés sur YouTube pour échapper aux bêtises qu’ils voient sur les chaînes d’information câblées et à la télévision, et maintenant YouTube veut devenir les chaînes d’information câblées et la télévision », explique M. Kulinski. « Les gens viennent ici pour échapper à cela et vous allez les gaver de ce qu’ils fuient comme CNN, MSNBC et Fox News. »

Il n’est pas terriblement surprenant d’entendre Susan Wojcicki admettre avoir élevé les médias de l’empire oligarchique au rang de PDG d’une publication néoconservatrice au Forum économique mondial. Elle est issue du même milieu de gestion d’empire d’élite que tous les gestionnaires d’empire qui ont été placés à la tête de médias grand public par leurs propriétaires ploutocratiques, puisqu’elle est allée à Harvard après avoir été littéralement élevée sur le campus de l’université de Stanford dans son enfance. Sa sœur Anne est la fondatrice de la société de tests génétiques 23andMe et elle était mariée au cofondateur de Google, Sergey Brin.

Google lui-même utilise également des algorithmes pour booster artificiellement les médias mainstream dans ses recherches. En 2017, World Socialist Website (WSWS) a commencé à documenter le fait qu’il, ainsi que d’autres médias de gauche et anti-guerre, avait soudainement connu une baisse spectaculaire du trafic provenant des recherches Google. En 2019, le Wall Street Journal a confirmé les affirmations de WSWS, rapportant que : « Bien qu’il nie publiquement le faire, Google tient des listes noires pour supprimer certains sites ou empêcher d’autres de faire surface dans certains types de résultats. » En 2020, le PDG d’Alphabet, la société mère de Google, a admis avoir censuré WSWS lors d’une audition au Sénat, en réponse à la suggestion d’un sénateur selon laquelle Google ne censure que les contenus de droite.

[Ndlr : Caitlin Johnstone reste politiquement polarisée et ne semble pas se rendre compte que la censure ne vise pas la « gauche », mais tous les sites, politiques ou non, qui s’écartent de la pensée unique et du politiquement correct diffusés par les médias dominants. Donald Trump, pourtant considéré de « droite » a même subi un traitement pire. Il n’a pas seulement été déclassé par les algorithmes, il a carrément été banni alors qu’il était encore Président des États-Unis ! Les sites considérés plutôt de droite subissent les mêmes traitements que ceux de gauche. La polarisation politique ne peut qu’aggraver la division des peuples et celle-ci favorise la tyrannie.]

Google, pour mémoire, est financièrement imbriqué avec les agences de renseignement américaines depuis sa création, lorsqu’il a reçu des subventions de recherche de la CIA et de la NSA. La société déverse des sommes considérables dans le lobbying fédéral et les groupes de réflexion de Washington, entretient des relations étroites avec la NSA et a toujours été un fournisseur de services de renseignement militaire.

Ensuite, il y a Facebook, où un tiers des Américains s’informent régulièrement. Facebook est un peu moins évasif en ce qui concerne ses pratiques de censure imposant le statu quo, et fait ouvertement appel à la société de gestion narrative impérialiste The Atlantic Council, financée par les gouvernements et les ploutocrates, pour l’aider à déterminer le contenu à censurer et celui à promouvoir. Facebook a déclaré que si ses « vérificateurs de faits », tels que The Atlantic Council, jugent une page ou un domaine coupable de diffuser de fausses informations, il « réduira considérablement la distribution de l’ensemble de son contenu au niveau de la page ou du domaine sur Facebook ».

Tout l’empilement d’algorithmes par les géants dominants de la distribution d’informations, Google et Facebook, garantit également que les plateformes et les reporters grand public auront beaucoup plus de followers que les médias indépendants sur des plateformes comme Twitter, puisqu’un article qui a été artificiellement amplifié recevra beaucoup plus de vues et donc beaucoup plus de clics sur leurs informations dans les médias sociaux. Les employés des médias de masse ont tendance à se regrouper et à s’amplifier mutuellement sur Twitter, ce qui ne fait qu’exacerber le fossé. Pendant ce temps, des voix de gauche et anti-guerre, dont je fais partiese plaignent depuis des années que Twitter limite artificiellement le nombre de leurs followers.

S’il n’y avait pas eu ces actes délibérés de sabotage et de manipulation de la part des mégacorporations de la Silicon Valley, les grands médias qui nous ont trompés en nous entraînant dans une guerre après l’autre et qui fabriquent le consentement à un statu quo oppressif auraient été remplacés par des médias indépendants depuis des années. Ces géants de la technologie sont le système de survie de la propagande des médias mainstream.

Source(s) : CaitlinJohnstone.medium.com via Activist Post




🎁 Cadeau de « déconfinement » : Lettre de Carole & Louis Fouché 🎁

[Source : Le ciel a tout filmé]

Tout d’abord chapeau bas à tous ceux qui ont réussi à transformer le Coronavirus en « crise sanitaire mondiale », en « pandémie globale. Merci aux médias alarmistes, merci aux politiques dictatoriaux, merci aux scientifiques corrompus ou dogmatiques.

Nous tenons par cet article à leur exprimer toute notre gratitude. Gratitude qui vient du mot « grâce ». Oui nous avons été touchés par la grâce, grâce à vous.

Cette crise est une révélation, un dévoilement, une apocalypse. Et après l’apocalypse vient un autre monde. Nous ne reviendrons jamais au monde d’avant, n’en déplaise à ceux qui s’y accrochent encore.

Depuis plusieurs années, nous sentions bien que plusieurs choses « clochaient » dans ce monde. Pris par la vie de tous les jours avec ce sentiment confus d’un « quelque chose » qui n’allait pas, nous errions sans vraiment comprendre, nous raccrochant à ce monde vicié pour éviter la douleur de s’en détacher. Heureusement, le virus et son narratif burlesque envahissant la surface du globe est arrivé, nous arrachant nos oeillères, nous laissant contempler le désastre.

D’abord, nous avons essayé de comprendre. Je peux vous le dire, nous n’avons jamais autant travaillé. Et je vais vous faire mal : nous sommes tous bénévoles ! Nous avons épluché tous les articles de sciences, toutes les informations, lois, décrets, ordonnances. Nous avons lu toutes les informations, celles des médias mainstream comme celles des « complotistes ». Nous avons appris à maîtriser internet, les réseaux sociaux, la communication, le graphisme, la communication non violente… Nous avons écrit, filmé, publié, coordonné, dessiné, chanté, dansé créé des œuvres d’art. Nous nous levons aux aurores et nous couchons lorsque nos yeux se ferment.

Vous vouliez nous appauvrir, vous nous avez tant enrichis : nos connaissances sont plus grandes, nous nous sommes découverts de nouveaux talents. Nous avons repoussé nos limites : plus que jamais nous sommes emplis d’espoir, de courage et d’allégresse.

Vous vouliez notre mort mais nous nous sentons plus vivants et rayonnants que jamais.

Vous vouliez nous désespérer, nous n’avons plus besoin d’espoir pour entreprendre.

Grâce à vous, nous avons pu cerner ce que nous ne voulions pas.

Nous ne voulons pas vivre masqués.

Nous ne voulons pas vivre en nous méfiant les uns des autres.

Nous ne voulons pas vivre dans la culpabilité hypothétique de « donner la mort » à nos proches en transmettant un virus.

Nous ne voulons pas vivre vaccinés de force tous les mois pour tous les virus qui sont ou viendront.

Nous ne voulons pas de passeport sanitaire, de reconnaissance faciale, nous ne voulons pas vivre fichés.

Nous ne voulons pas être incarcérés dans nos domiciles.

Vous vouliez nous séparer. «Attention, distanciation sociale: 1m, puis 1m50, puis 2m avec les nouveaux variants ».

Vous nous avez rassemblés.

Vous vouliez nous faire peur, nous sommes sortis de la caverne. Jouez tous seuls avec vos ombres.

Vous vouliez nous abrutir devant la télévision, nous l’avons éteinte et demain nous jetterons devant nos seuils tous vos biens de consommation à l’obsolescence programmée.

Vous vouliez nous imposer le passeport sanitaire, nous surveiller, nous reconnaître facialement, nous pucer peut-être ? Nous avons faim de liberté.

Vous vouliez nous vendre des médicaments couteux à l’efficacité et à la sécurité douteuse ? Nous arpentons d’autres chemins de santé.

Vous vouliez nous imposer votre vision du monde, marchande et basée sur la dette éternelle, la dépossession intégrale, jusqu’à celle de nos propres vies ? Nous posons les premières pierres d’un autre monde enthousiasmant basé sur la gratitude, la joie et la présence à l’autre.

Alors un immense merci à vous pour tous ces bienfaits.


[Voir aussi :
[wpfa5r icon= »hand-point-right » color= »pink »]Note sur les problèmes et les opportunités
[wpfa5r icon= »hand-point-right » color= »pink »]La clef de la libération
[wpfa5r icon= »hand-point-right » color= »pink »]Ne plus nourrir la Bête
[wpfa5r icon= »hand-point-right » color= »pink »]Amasser ou créer
[wpfa5r icon= »hand-point-right » color= »pink »]Sortir de la crise
[wpfa5r icon= »hand-point-right » color= »pink »]Note sur certaines actions contre la tyrannie sanitaire
[wpfa5r icon= »hand-point-right » color= »pink »]Note sur l’avenir
[wpfa5r icon= »hand-point-right » color= »pink »]L’avenir se crée maintenant]




Un nouveau rapport fait la lumière sur le culte apocalyptique des vaccins

[Source : reseauinternational.net]

« Le calcul bénéfice-risque est donc clair : les vaccins expérimentaux sont inutiles, inefficaces et dangereux. Les acteurs qui autorisent, contraignent ou administrent la vaccination expérimentale contre le Covid-19 exposent les populations et les patients à des risques médicaux graves, inutiles et injustifiés »

Doctors for Covid Ethics (Médecins pour l’Éthique du Covid), 29 avril 2021

Une nouvelle étude explosive menée par des chercheurs du prestigieux Salk Institute jette le doute sur la génération actuelle de vaccins qui pourraient présenter un risque grave pour la santé publique. L’article, intitulé « The novel coronavirus’ spike protein plays additional key role in illness » (La protéine spike du nouveau coronavirus joue un rôle clé supplémentaire dans la maladie), montre que la « protéine “spike” distinctive » du SRAS-CoV-2… « endommage les cellules, confirmant que le Covid-19 est une maladie essentiellement vasculaire ». Bien que l’article se concentre strictement sur les problèmes liés au Covid-19, il soulève inévitablement des questions sur les nouveaux vaccins qui contiennent des milliards de protéines spike qui pourraient augmenter considérablement les risques de maladie grave ou de décès. Voici un extrait de l’article daté du 30 avril 2021 :

« Dans la nouvelle étude, les chercheurs ont créé un « pseudovirus » qui était entouré de la couronne classique de protéines spike du SRAS-CoV-2, mais qui ne contenait aucun virus réel. L’exposition à ce pseudovirus a entraîné des lésions des poumons et des artères d’un modèle animal, ce qui prouve que la protéine spike suffit à elle seule à provoquer la maladie. Des échantillons de tissus ont révélé une inflammation des cellules endothéliales qui tapissent les parois des artères pulmonaires. » (Note : « Les cellules endothéliales vasculaires tapissent l’ensemble du système circulatoire, du cœur aux plus petits capillaires ») …

L’équipe a ensuite reproduit ce processus en laboratoire, en exposant des cellules endothéliales saines (qui tapissent les artères) à la protéine spike. Ils ont montré que la protéine spike endommageait les cellules en se liant à l’ACE2 (enzyme de conversion de l’angiotensine 2). Cette liaison a perturbé la signalisation moléculaire de l’ACE2 aux mitochondries (organites qui produisent de l’énergie pour les cellules), ce qui a endommagé et fragmenté les mitochondries …

Des études antérieures ont montré un effet similaire lorsque les cellules étaient exposées au virus SRAS-CoV-2, mais il s’agit de la première étude à montrer que les dommages se produisent lorsque les cellules sont exposées à la protéine spike seule »

« La protéine spike du nouveau coronavirus joue un rôle clé supplémentaire dans la maladie », Salk.edu

Ce nouveau document de recherche est l’équivalent d’une bombe à hydrogène. Il change tout en confirmant ce que les détracteurs des vaccins ont théorisé pendant des mois sans pouvoir le prouver.

Il existe maintenant des preuves solides que :

  • Le Covid-19 est principalement une maladie du système vasculaire (le système vasculaire, également appelé système circulatoire, est constitué des vaisseaux qui transportent le sang et la lymphe dans le corps) et non du système respiratoire.
  • Le principal coupable est la protéine spike. (Protéine spike – « une glycoprotéine qui fait saillie de l’enveloppe de certains virus », Merriam-Webster – « Comme une clé dans une serrure, ces protéines spike fusionnent avec des récepteurs à la surface des cellules, permettant au code génétique du virus d’envahir la cellule hôte, de prendre le contrôle de sa machinerie et de se répliquer » ~ Bruce Lieberman)

[Ndlr : les coronavirus et autres composants viraux naturellement présents dans le corps humain par centaines de milliers de milliards et constituant ce qui a été nommé assez récemment le « virome » sont souvent aussi dotés de telles protéines qui leur permettent de franchir la paroi cellulaire afin d’accomplir diverses fonctions biologiques. Pour autant, ces protéines n’endommagent habituellement pas les vaisseaux sanguins ni les parois d’autres composants ou tissus du corps. Par contre, si le SRAS-CoV-2 est bien d’origine artificielle, par altération génétique d’un virus comme le suspectent différents chercheurs du domaine médical (notamment les professeurs Fourtillan et Montagnier), alors ses protéines Spike peuvent avoir été intentionnellement transformées de manière similaire à celles des « vaccins » anticovid. Des protéines Spike ainsi altérées ont de fortes chances d’agresser les cellules humaines et de provoquer alors des inflammations et des lésions diverses. Selon l’endroit du corps exposé à ces pseudo virus (puisqu’artificiels), ce sont différents organes qui pourront ainsi se trouver plus ou moins gravement touchés. En cas par exemple de dispersion d’une telle arme biologique par aérosols dans des milieux confinés, alors les poumons se trouveront prioritairement affectés et en l’occurrence subiront inflammation des parois pulmonaires et lésions des vaisseaux capillaires. Ceci a été observé dans plusieurs cas de supposés malades de la Covid-19 (qui seraient en fait des victimes de cette arme biologique artificielle. Car dans un tel cas, on ne peut plus guère parler de « maladie », mais d’une forme d’empoisonnement). Toutefois et fort heureusement, des traitements relativement simples existent et permettent visiblement de contrecarrer d’une manière ou d’une autre les effets délétères de ces protéines Spike modifiées. Il est même possible qu’un antidote existe, surtout si les inventeurs d’une telle arme ne sont pas totalement stupides.]

En d’autres termes, si le Covid-19 est avant tout une maladie vasculaire et si le principal instrument des dommages physiques est la protéine spike, alors pourquoi injectons-nous aux gens des milliards de protéines spike ?

Voici comment l’architecte et auteur, Robin Monotti Graziadei, a résumé ces développements sur YouTube :

« Donc, on nous a dit depuis l’année dernière, que le seul rôle que la protéine spike était censée jouer était de pénétrer dans les cellules humaines. (Mais) il est clair que ce n’est pas ce qu’elle fait, (puisqu’) elle vous donne une maladie, une maladie vasculaire. Une maladie vasculaire peut avoir de nombreuses manifestations. Il peut s’agir de thromboses des veines sinusales, de caillots sanguins, d’hématomes et d’affections à plus long terme. Pensez-vous que c’est une bonne idée de contourner les premières (défenses) de votre système immunitaire, … et d’injecter… des milliards de protéines spike dans vos cellules compte tenu des informations qui viennent d’être publiées par le Salk Institute ? Pensez-y …

Les chercheurs du Salk Institute nous ont dit – sans aucune ambiguïté – que la protéine spike est un élément fondamental de la maladie Covid-19. Oui, il est vrai que la protéine spike avec la protéine N, ne se réplique pas. Cependant, des milliards (de ces protéines) induites par l’injection du vaccin ont la capacité de créer des dommages dans votre système vasculaire. C’est ce que dit l’étude et ce qui a été publié par un centre d’études biologiques extrêmement important. Il ne s’agit pas d’une théorie de la conspiration. Je pense qu’à ce stade, il y a suffisamment d’informations pour se demander si l’on nous dira la vérité dans les prochains jours, car ces informations devraient faire la couverture de tous les journaux et être à la une de toutes les chaînes d’information. Et ce qu’ils devraient dire est ceci : « La base fondamentale et technologique – sur laquelle reposent tous les vaccins qui ont été distribués en Occident – est défectueuse. Nous pensions que la protéine spike n’entrerait dans les cellules que pour créer des anticorps, de sorte que si vous étiez confronté au virus sauvage, il ne s’accrocherait pas à vos cellules, mais nous avions tort. Nous avions tort car la protéine spike en elle-même, crée la maladie, et si vous en injectez des milliards dans un corps humain, il y aura des manifestations de maladie dans de nombreux cas » …

Il n’est pas sûr d’injecter des milliards de protéines spike dans un muscle, car cela contourne les couches de votre système immunitaire qui auraient pu potentiellement neutraliser le virus… En franchissant le seuil du corps humain par l’injection de ces composés, vous ne donnez pas à votre système immunitaire la chance de monter une réponse suffisamment forte à la protéine spike pour la neutraliser. Si vous acceptez (de prendre) l’un de ces vaccins, (le vaccin) contiendra cette protéine spike génératrice de maladie. … C’est maintenant à nous d’essayer de réparer l’erreur qu’ils ont commise »

Robin Monotti Graziadei sur le nouveau document de recherche du Salk Institute, YouTube – voir avant que la vidéo ne soit supprimée.

Parfaitement énoncé et en plein dans le mille. Graziadei extrapole le sens caché du rapport Salk et clarifie sa signification. Comment les responsables de la santé publique, les politiciens, les médias et le reste du camp pro-Vaxx anti-covid vont-ils réagir à ces révélations, surtout avec l’imprimatur du Salk Institute apposé au recto du rapport ? Vont-ils essayer de balayer l’affaire sous le tapis ou de détourner l’attention du public vers les légendaires « variants » ? Ou bien tenteront-ils quelque chose d’entièrement différent, comme prétendre qu’une catégorie de protéines spike est bonne pour la santé alors que d’autres entraînent des maladies prolongées et la mort ? Que vont-ils faire ?

Le docteur Vladimir Zelenko, qui a été proposé pour le prix Nobel de la paix pour son utilisation de l’hydroxychloroquine dans le traitement des patients atteints du Covid-19, a déclaré ceci :

« Comprenez-vous ce que cela signifie ? Nous injectons le code génétique viral de la protéine spike à des personnes innocentes et elle s’introduit dans presque toutes les cellules du corps ».

(Candidat au prix Nobel, Zelenko a également été banni de Twitter).

En effet, c’est précisément ce qu’ils ont fait. Et, n’oublions pas, les fabricants de vaccins bénéficient d’une immunité juridique totale pour les blessures qu’ils produisent. L’immunité légale signifie l’impunité morale.

Alors, quel effet ces protéines spike auront-elles sur les personnes qui se sont fait vacciner ?

Voici ce que les Doctors for Covid Ethics ont à dire dans leur dernier article publié cette semaine :

« Les vaccins sont dangereux tant pour les personnes en bonne santé que pour celles souffrant de maladies chroniques préexistantes, pour les raisons suivantes : risque de perturbations létales et non létales de la coagulation sanguine, notamment troubles de la coagulation, thrombose cérébrale, accident vasculaire cérébral et crise cardiaque ; réactions auto-immunes et allergiques ; renforcement de la maladie par les anticorps ; impuretés des vaccins dues à une fabrication précipitée et à des normes de production non réglementées… on peut s’attendre à ce que tous les vaccins à ARNm provoquent des troubles de la coagulation du sang et des saignements… Les vaccins ne sont pas sûrs »

« Vaccins anti-covid : Nécessité, Efficacité et Sécurité », Doctors for Covid Ethics

C’est écrit noir sur blanc : « Les vaccins ne sont pas sûrs ». Voici un autre extrait d’un article de Children’s Health Defense sur le professeur Yehuda Shoenfeld, l’immunologiste clinique israélien qui est largement considéré comme le « père de l’auto-immunité ». Shoenfeld aborde la question sous un angle entièrement différent. Jetez-y un coup d’œil :

« La principale préoccupation de Shoenfeld se résume à ce que l’on appelle le mimétisme moléculaire. Il y a un certain nombre de séquences génétiques qui sont identiques dans le génome humain et dans celui du SRAS-CoV-2 …

Les immunologistes attirent particulièrement l’attention sur les séquences identiques dans un groupe spécifique de protéines que l’on trouve dans les poumons (le site de la pneumonie SDRA/Covid)… C’est une préoccupation de Shoenfeld …

C’est la raison pour laquelle Shoenfeld et ses collègues ont insisté l’an dernier, pendant la phase de développement du vaccin, pour que les séquences peptidiques utilisées dans les nouveaux vaccins soient uniques et non communes à celles que l’on trouve dans l’organisme …

Pour une personne prédisposée, une réaction indésirable au vaccin, selon Shoenfeld et ses collègues, pourrait suffire à la faire basculer dans une maladie auto-immune. L’un des signes les plus évidents de prédisposition est d’être déjà atteint de l’une des plus de 100 maladies auto-immunes qui sévissent dans les sociétés industrialisées. Pourtant, alors que le père de l’auto-immunité tire la sonnette d’alarme sur les risques auto-immuns, les gouvernements qui mettent en place des programmes de vaccination de masse n’émettent pas un seul mot d’avertissement. Honte à eux ! »

« Sommes-nous à la veille d’une “super-épidémie” de maladies auto-immunes ? », Children’s Health Defense

Ma compréhension limitée du « mimétisme moléculaire » est la suivante : En injectant dans l’organisme des protéines si semblables aux protéines du Covid qui font des ravages dans le système vasculaire, nous pourrions déclencher une situation dans laquelle le système immunitaire de l’organisme attaque ses propres organes ou son système vasculaire. C’est pourquoi l’auteur s’interroge : Sommes-nous à la veille d’une « super-épidémie » de maladies auto-immunes ?

Dans des articles précédents, nous avons présenté les points de vue de scientifiques et de professionnels de la santé qui ont anticipé les questions qui se posent actuellement à propos de la protéine spike. Par exemple, voici un extrait d’un article sur le rhumatologue pédiatrique, le Dr J. Patrick Whelan, qui a déclaré ce qui suit dans une lettre adressée à la FDA :

« Je suis préoccupé par la possibilité que les nouveaux vaccins visant à créer une immunité contre la protéine spike du SRAS-CoV-2 puissent causer des lésions microvasculaires au cerveau, au cœur, au foie et aux reins d’une manière qui ne semble pas avoir été évaluée actuellement dans les essais de sécurité de ces traitements potentiels …

Avant que l’un de ces vaccins ne soit approuvé pour une utilisation généralisée chez l’homme, il est important d’évaluer chez les sujets vaccinés les effets de la vaccination sur le cœur. Aussi important qu’il soit d’arrêter rapidement la propagation du virus en immunisant la population, il serait bien pire que des centaines de millions de personnes subissent des dommages durables, voire permanents, à la microvasculature de leur cerveau ou de leur cœur, parce qu’on n’a pas su apprécier à court terme un effet involontaire des vaccins à base de protéine spike sur ces autres organes ».

« Des scientifiques interpellent les responsables de la santé sur la vaccination des personnes qui ont déjà eu le COVID », Global Research

Nous avons également souligné que « les vaccins à ARNm libèrent une protéine spike qui se répand dans tout le corps, se retrouve piégée dans la circulation sanguine et s’accumule dans la couche de cellules (cellules endothéliales) qui recouvre les vaisseaux sanguins ». Nous pensons que les nouvelles recherches du Salk Institute confirment cette théorie générale.

En outre, selon le Dr Hyung Chun, cardiologue à Yale, les cellules « libèrent des cytokines inflammatoires qui exacerbent encore la réponse inflammatoire de l’organisme et conduisent à la formation de caillots sanguins ». Chun a déclaré : « L’endothélium “enflammé” contribue probablement non seulement à l’aggravation du résultat dans le cas du Covid-19, mais est également considéré comme un facteur important contribuant au risque de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral ».

Cela semble suggérer que la protéine spike du vaccin peut avoir le même effet que la protéine spike de l’infection. Voici d’autres informations :

« Les personnes atteintes du Covid-19 présentent un grand nombre de symptômes neurologiques, tels que des maux de tête, une ataxie, des troubles de la conscience, des hallucinations, des accidents vasculaires cérébraux et des hémorragies cérébrales. Mais les études d’autopsie n’ont pas encore trouvé de preuves claires d’une invasion virale destructrice dans le cerveau des patients, ce qui pousse les chercheurs à envisager d’autres explications de la manière dont le SRAS-CoV-2 provoque des symptômes neurologiques …

Si ce n’est pas une infection virale, qu’est-ce qui pourrait causer des lésions aux organes distants associées au Covid-19 ? …

Le coupable le plus probable qui a été identifié est la protéine spike du Covid-19 libérée par l’enveloppe externe du virus dans la circulation. Les recherches citées ci-dessous ont montré que la protéine spike virale est capable d’initier une cascade d’événements qui déclenchent des lésions d’organes distants chez les patients atteints de Covid-19 …

Il est inquiétant de constater que plusieurs études ont montré que les protéines spike ont à elles seules la capacité de provoquer des lésions étendues dans tout le corps, sans aucune trace de virus …

Ce qui rend cette découverte si inquiétante, c’est que les vaccins à ARNm COVID-19 fabriqués par Moderna et Pfizer et actuellement administrés dans tous les États-Unis programment nos cellules pour qu’elles fabriquent cette même protéine spike du coronavirus afin d’inciter notre corps à produire des anticorps contre le virus »

« La protéine de pointe des vaccins Moderna et Pfizer pourrait-elle provoquer des caillots sanguins, une inflammation cérébrale et des crises cardiaques ? », Global Research

La citation ci-dessus est essentielle pour comprendre ce qu’est réellement le Covid et pourquoi les nouveaux vaccins menacent d’exacerber considérablement le problème. Comme le dit Chun :

« … Les études d’autopsie n’ont pas encore trouvé de preuves claires d’une invasion virale destructrice dans le cerveau des patients, ce qui pousse les chercheurs à envisager d’autres explications sur la façon dont le SRAS-CoV-2 provoque des symptômes neurologiques… »

Cette observation est correcte. Les recherches n’indiquent pas une « invasion virale dans le cerveau des patients ».

Pourquoi ? Parce que – comme l’indique le rapport Salk, « ce n’est pas l’infection virale qui pénètre dans le cerveau, mais la protéine spike qui a franchi la barrière hémato-encéphalique via le système vasculaire ».

Voici encore le Dr Chun : « Quoi d’autre pourrait causer des lésions aux organes distants associées au Covid-19 ? »

Une fois de plus, ce n’est pas le virus mais la protéine spike et la réponse auto-immune.

Enfin, Chun reconnaît que les nouveaux vaccins « programment nos cellules pour qu’elles fabriquent cette même protéine spike du coronavirus afin de déclencher la production d’anticorps contre le virus par notre organisme ».

La production et la distribution de ces injections potentiellement mortelles vont bien au-delà de la simple imprudence. Il s’agit d’une catastrophe mondiale sans précédent qui pourrait entraîner la mort de millions de personnes. Combien de temps cette folie va-t-elle durer ?

source : https://www.unz.com

traduit par Réseau International




ANIMAP, l’annuaire professionnel pour tous ceux qui veulent s’affranchir de la ségrégation vaccinale

[Source : animap.fr]

[À l’heure de la mise en ligne de l’article :]

464 prestataires n’exigent ni dépistage ni vaccination

animap.fr – De quoi s’agit-il ?

À cause du Corona et de la gestion politique de ce virus, des fractures de plus en plus profondes se forment au sein de la population. Avec le passeport vaccinal prévu dans un avenir proche, seront désavantagées et exclues toutes les personnes qui ne veulent pas se faire injecter ce vaccin Covid-19 en phase expérimentale. La réponse à cet apartheid vaccinal imminent est ANIMAP.

Il s’agit d’un répertoire d’industries et de produits, pour les entreprises de tous les secteurs, n’excluant personne, vacciné ou non, testé ou non, et qui permettent à tous d’accéder librement à leurs produits et services.

Êtes-vous également et sans hésitation contre la discrimination et l’exclusion des personnes qui ne veulent pas se faire vacciner ? Cliquez ici pour enregistrer gratuitement votre entreprise.

Veuillez noter que l’ANIMAP est géré par des bénévoles et que, par conséquent, toutes les traductions ne sont pas encore correctes. Bien sûr, nous serions très heureux d’une contribution. Merci beaucoup.


Présentation par Richard Boutry dans La Minute de Ricardo :






Urgent : Le jour viendra

[Source : La Minute de Ricardo (Richard Boutry)]




[Voir aussi : La France revivra-t-elle?]




Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

Nous ne vivons pas une épidémie, nous vivons une épidémie de peur.

« La Virus Mania est une maladie de la société moderne. Pour la guérir, il faudra vaincre la peur, la peur étant le virus contagieux le plus mortel, le plus efficacement transmis par les médias… l’erreur est humaine, mais entretenir l’erreur est diabolique”

Étienne de Harven, médecin, dans la préface du livre.

Avant que la panique du coronavirus ne soit déclenchée aux États-Unis, Torsten Engelbrecht et Claus Köhnlein, M.D., Kiel, Allemagne, ont écrit un livre en 2007, “Virus Mania : How the Medical Industry Invents Epidemics Making Billion Dollar Profits at our Expense” (Virus Mania : comment l’industrie médicale invente les épidémies en réalisant des profits de plusieurs milliards de dollars à nos dépens). Ce livre est non seulement prophétique mais inattaquable avec 836 notes de bas de page sur 266 pages.

Ce livre rendra fous la plupart des gens qui ont perdu des entreprises et des emplois à cause de la réaction excessive du gouvernement à la soi-disant épidémie de virus. Le Dr Kohnlein réfute scientifiquement les idées reçues selon lesquelles le SARS Coronavirus, le SIDA, la grippe asiatique, l’hépatite, la polio et le cancer du col de l’utérus sont causés par un virus. Selon ses recherches, les virus sont accusés d’être à l’origine de nombreuses épidémies fabriquées par l’industrie pharmaceutique et les grands médias qui récoltent des milliards de dollars grâce à la panique des gouvernements.

Quel virus ?

Kohnlein indique clairement dès le départ que la médecine moderne en est encore à l’âge de pierre lorsqu’il s’agit d’épidémies virales. La cause de l’épidémie de corona virus n’est que supposée être un virus à partir d’anticorps indirects qui ne sont pas spécifiques pour déterminer la cause virale. Les anticorps sont une sorte d’empreinte, mais on ignore encore de quoi il s’agit, selon M. Kohniein. Les drogues récréatives et les antibiotiques peuvent également produire des anticorps, ce qui entraîne des résultats positifs aux tests de dépistage des virus. Il affirme que les virus peuvent être autoproduits dans le corps humain pour ce que nous en savons à l’heure actuelle.

Le livre de Kohniein ne nie pas que les gens tombent malades, “bien que beaucoup ne soient pas vraiment malades, mais sont seulement définis comme malades, et sont ensuite rendus malades ou tués”, dit-il.

Selon Kohnlein, l’absence totale de germes entraîne la mort. Il indique que les politiques de santé en matière d’épidémies sont fondées sur la “théorie des germes” erronée de Louis Pasteur, utilisée pour exploiter la peur. En revanche, la théorie du terrain (théorie du milieu) d’Antoine Bechamp est plus précise mais n’est jamais utilisée par les décideurs politiques. Selon la théorie du terrain, le système immunitaire doit d’abord être un milieu fertile pour qu’un virus, une bactérie ou une grippe puisse causer des dommages ou déclencher une réaction auto-immune qui peut tuer. Pour M. Kohnlein, le dépistage des virus revient à “essayer de dire que quelqu’un a mauvaise haleine en regardant son empreinte digitale”.

Selon Kohnlein, la théorie des germes a la faveur du gouvernement car “il préfère que l’homme périsse plutôt que de changer ses habitudes”, ce qui aide les politiciens à apaiser certains groupes.

Non pas une arme virale, mais une arme thérapeutique ?

Dans une autre interview (ici), Kohnlein cite une étude de cas du Lancet Journal sur la façon dont les médecins prescrivent trop de médicaments et de traitements afin de ne pas être légalement accusés de ne rien faire. Mais cela tue le patient. Selon lui, le protocole médical de traitement du prétendu coronavirus, publié dans le numéro du 18 février 2020 du prestigieux Lancet Journal au début de la panique virale, est une faute professionnelle.

Les auteurs de cette étude de cas du Lancet étaient liés à l’école des sciences de la santé de l’université de Wuhan, en Chine. Cela soulève la question de savoir si la Chine n’a pas nécessairement utilisé un virus comme arme, mais plutôt un protocole de traitement mortel qui a été utilisé sur des patients atteints de coronavirus aux États-Unis, qui avaient la grippe ou la tuberculose.

Dans son interview en ligne, Kohnlein dit qu’il traite les personnes qui entrent dans sa clinique et qui veulent être testées pour le coronavirus en raison de symptômes tels que la fièvre, l’essoufflement, etc. Il leur dit de rentrer chez eux avec les remèdes habituels pour la grippe (repos au lit, hydratation, aspirine, etc.). Lorsqu’on le pousse à faire le test, il constate qu’ils ont la grippe A et qualifie le test du coronavirus de très peu fiable car il est programmé pour donner de faux positifs.

Surtraitement

Kohnlein a déclaré que les médecins ont tendance à surtraiter pour qu’on ne puisse pas leur reprocher de ne rien faire.

Il a ajouté :

“Les hommes politiques sont dans la même position (que les médecins) et c’est pourquoi ils réagissent de manière excessive, car ils perdraient leur poste s’ils n’en faisaient pas assez. S’ils mettaient en œuvre toutes les mesures, comme ils l’ont fait jusqu’à présent, alors ils stopperaient une épidémie qui n’a sans doute jamais existé.”

Le secret

Selon Kohnlein, la science médicale est gouvernée par le “secret”, qui utilise une urgence épidémique ”autogénérée” comme couverture pour son ”octroi de privilèges, son absence de responsabilité, son manque flagrant de contrôle” et ses protocoles médicaux démesurés. Cette situation est soutenue par une “quasi-religion” qui invente ses propres marqueurs de maladie faussement positifs, sa propre théorie des germes et une fausse croyance en une “solution miracle” de vaccinations qui arrivent trop tard, ne fonctionnent pas et peuvent tuer.

Peur

Il ne s’agit pas d’un livre de charlatans écrit par des personnes en marge de la politique ou ayant un programme politique. Il a été écrit en Europe, avec un regard sur les politiques mondiales.

Joachim Mutter, MD, Freiberg, Allemagne, écrit dans la préface du livre :

“…la plupart des épidémies présentées dans les médias comme étant de véritables histoires d’horreur (grippe, grippe aviaire, sida, ESB, hépatite C, etc.) n’existent pas en réalité ou sont inoffensives.”

Etienne de Harven, médecin, professeur émérite de l’Université de Toronto, écrit également dans l’avant-propos :

“Nous ne sommes pas témoins d’épidémies ; nous sommes témoins d’épidémies de peur. Et ce sont les médias et l’industrie pharmaceutique qui portent la plus grande part de responsabilité dans l’amplification des peurs, peurs qui se trouvent, par ailleurs, être toujours à l’origine d’affaires fantastiquement rentables”.

Ce livre ne sera pas lu par ceux que Kohnlein appelle les profiteurs de l’industrie pharmaceutique “corrompue” et les médias opportunistes, ni par les responsables de la politique de santé du gouvernement. Mais peut-être les citoyens qui ont été emportés par la panique peuvent-ils être mieux informés sur la situation générale de la panique liée au coronavirus. Les hôpitaux devraient peut-être se concentrer sur la grippe et les porteurs de tuberculose latente qui sont plus sensibles au virus ou à la grippe.

Source : Virus Mania: How Big Pharma, Media Invent Epidemics – California Globe
Traduction par https://cv19.fr

Virus Mania: How the Medical Industry Continually Invents Epidemics, Making Billion-Dollar Profits At Our Expense




Quand un simple député français et un avocat deviennent une menace pour la dictature

Par Alain Tortosa

Quand un simple député français et un avocat deviennent une menace pour la dictature.
« L’ennemi de la nation » devient celui qui défend des libertés…
La nouvelle devise de la France est « Défendons les libertés en les interdisant ! »

Pamphlet pour une dictature joyeuse !

[Ndlr : voir le P.S. en fin d’article.]

« Mes amis écoutez-moi ! Martine Wonner et Carlo Brusa font peur, très peur, et il faut absolument les faire taire et leur interdire de manifester un premier mai pour les libertés.

Il y a encore quelques mois, la police craignait la violence dans les manifestations, des casseurs qui allaient briser les vitrines des magasins, brûler des voitures, piller des commerces ou casser du flic. C’était sans compter sur les « Bonnie and Clyde » du 8e arrondissement !

Gardons raison et remercions chaleureusement l’Obergruppenführer de Paris dont la mission principale est désormais de garantir la dictature sanitaire heureuse et protéger nos forces de l’ordre. Saluons l’initiative de politiciens qui envisagent de créer une police pour protéger des policiers.

Mais revenons à ce couple d’individus malfaisants qui auraient pu mettre en péril l’avenir de notre beau pays sans la clairvoyance et la diligence du préfet et des autorités.

Il faut dire qu’ils en imposent nos deux manifestants !

Nous avons d’un côté Carlo Brusa et son physique à la Johnny Weissmuller qui provoque l’effroi ou la jalousie chez tout jeune homme et fait tomber en pâmoison toutes les femmes qui le croisent. Celles et ceux qui sont trop jeunes pour connaître Tarzan, mais qui m’ont déjà croisé n’ont qu’à imaginer un physique sportif proche du mien… J’ai ouï dire, mais sans preuve, que cet odieux personnage revendait en pièces ses maîtresses qu’il avait hypnotisées en montrant ses pectoraux puissants et durs comme de l’acier.

Et ne vous laissez par attendrir par le physique avenant de Martine Wonner. Sa voix douce et ses paroles rassurantes ne sont que pièges tel le chant des sirènes. LA Martine comme on l’appelle dans le milieu du grand banditisme… Il suffit que l’on susurre son nom entre les murs de la prison de la Santé pour faire trembler d’effroi tous les malfrats, y compris les dépeceurs d’enfants à la cuillère à thé… Rappelons qu’elle est soupçonnée d’être le cerveau machiavélique du gang des voleuses d’organes de grand-mères dans la banlieue de Tournicole les Oies.

Tous deux sont réputés pour leur violence, leur barbarie et leur absence totale d’empathie face à leurs victimes.

Ne tombez pas dans le piège, « mes amis », comme pourrait dire l’odieux Carlo… Ces êtres diaboliques ne sont pas comme nous et ne méritent pas notre empathie ! Ils n’ont qu’un droit, c’est celui de disparaître du paysage médiatique !

Prenez conscience de la menace qu’ils représentent !

Rendez-vous compte qu’ils ont perdu tout sens commun, mais bon sang de bonsoir, écoutez leurs discours déments… Puisse aucune âme sensible lire mon texte, car c’est le cauchemar assuré pour des années…

Ces non-êtres, comment les nommer différemment, prônent un monde terrible et angoissant… puisse la dictature heureuse nous en préserver pour les prochains siècles, que dis-je les prochains millénaires !

S’il était encore nécessaire de vous convaincre, ô lecteurs incrédules, permettez-moi de vous citer en vrac quelques mots qui sortent du cloaque qui leur sert de bouche !

Ceux-ci nous parlent ainsi :

  • « De droit »
  • « De démocratie »
  • « De solidarité »
  • « De science »
  • « De vie »

Et, pardon… la vomissure me vient à la bouche en y pensant, ils parlent même…

  • « De fêtes, de chants, de danses ou d’amour… »

Imaginez notre merveilleuse société s’ils arrivaient à contaminer nos braves citoyens si justement éclairés par notre gouvernement bienfaiteur et notre dirigeant autocrate.

Ces psychopathes de la société, ces pervers manipulateurs, ces criminels en viennent même à proposer que des humains se fassent des câlins ou s’embrassent sans protections !

Leur folie et leur absence de conscience sont telles qu’ils vont jusqu’à souhaiter que des grands-parents embrassent leurs petits-enfants. … Ou que des amoureux se fassent des bisous alors même qu’un d’entre eux serait en parfaite bonne santé, sans le moindre symptôme, mais positif à un test PCR avant-coureur d’une mort atroce !

Nous n’allons quand même pas détruire des siècles de progrès et de civilisation, cette quasi-perfection qui nous a permis de masquer des enfants dès 6 ans pour qu’ils cessent enfin de tuer leurs grands-parents innocents et leurs professeurs héroïques bravant la mort pour les formater.

Nous avons permis à des nouveau-nés de ne pas être contaminés, grâce au masque, par des mères inconscientes qui osent encore mettre au monde des enfants par voie basse. Alors que la sécurité passe bien évidemment par la césarienne (fasse que dans les prochaines années elle devienne enfin obligatoire ainsi que la fécondation in vitro pour supprimer les aléas) !

Non, mes frères et mes sœurs, nous devons nous protéger, quoi qu’il en coûte de ces terroristes !

Il est des jours où je regrette que le supplice de la roue ait été supprimé, ce qui est dommage, car cela pourrait constituer une excellente émission de divertissement en Prime Time pour toute la famille et présentée par notre prochain Premier Ministre Cyril.

Mais ont-ils perdu tout sens commun au point d’imaginer que leurs crimes odieux comme l’absence de masque pourraient être moins graves que casser, voler, tuer ou violer un enfant, ce qui somme toute peut passer pour un hobby distrayant dans certains milieux parisiens qu’il ne nous appartient pas de juger.

Non, mesdames et messieurs, ces individus que j’ai peine à regarder dans les yeux sans frémir d’horreur ne sont pas de simples députés ou des avocats présidents d’une association de complotistes d’extrême droite adorateurs de Satan et mangeurs de fraises, mais constituent une profonde menace à l’ordre public.

Je me réjouis que de nombreux concitoyens ne tombent pas dans le piège grâce à nos médias vérificateurs de l’information qui font un travail exemplaire et remarquable au service de la Vérité établie par le Ministère du même nom, depuis le début de la crise du Covid.

J’en profite ainsi pour rendre un vibrant hommage à leur probité, leur déontologie, leur prise de risque, leur indépendance aussi bien éditoriale que financière. Je citerai par exemple les décodeurs de l’information du grand journal Le Monde qui font un travail remarquable pour protéger et éclairer les citoyens ou le checknews de Libération.

Combien de milliers de vies ont pu être épargnées grâce à eux !? Combien d’esprits faibles, de manants issus du peuple, ne sont pas tombés dans le piège du complotisme grâce à eux !?

Je tiens aussi à saluer l’excellent travail de nos parlementaires, députés et sénateurs, garants de la démocratie et de la séparation des pouvoirs. Ils sont restés droits pendant la crise, n’ont pensé qu’à la Nation, au peuple et pris des risques insensés pour le défendre lui et la démocratie. Ils ont vaillamment résisté aux sirènes du carriérisme ou de la corruption au profit du bien commun. La tache immonde créée par Martine Wonner ne sera pas en mesure de ternir leur merveilleux travail.

Quiconque pouvait douter de leur probité, de leur courage et de leur engagement avant la crise en est pour son grade ! Nous pouvons continuer à dormir profondément sur nos deux oreilles et pouvons être fiers de notre parlement que de nombreux pays doivent nous envier.

Dire que je doutais, comme un imbécile… dès le mois de mars 2020 quand je questionnais sans la moindre raison, sur la démocratie perdue et m’interrogeais sur le droit d’un Président de la République à interner son peuple sur son seul bon vouloir. Comment ai-je pu être choqué ??!!

Mais tout le monde, sans exception aucune, est conscient que c’était pour nous protéger contre nous-mêmes !

D’aucuns, toujours les mêmes complotistes, prétendent que les confinements ou les masques dans la population générale sont contre-productifs ou dangereux. Ces malades mentaux vont jusqu’à dire que le masque serait une muselière qui aurait pour but de rendre visible une épidémie invisible dont nous ignorerions son existence sans le travail exemplaire des médias. Ils vont même jusqu’à dire que cela fait des siècles que nous savons que les quarantaines sont inefficaces et qu’il n’existe pas la moindre étude indépendante prouvant l’inverse. Mais quel manque de dignité et de respect pour les millions de victimes du Covid !

Comment oser critiquer ensuite la décision pleine de bon sens du préfet ?

Ces mêmes terroristes n’hésitent pas à tromper et donner de faux espoirs au peuple et dire qu’il existe des traitements préventifs et curatifs efficaces, quasi gratuits, et ce depuis le début de la crise. Allant même jusqu’à affirmer que les vaccins ne seraient pas des vaccins, qu’ils sont toujours en phase III de tests, que leur autorisation de mise sur le marché est conditionnelle et conditionnée à l’absence de traitements contre le Covid, qu’ils ont court-circuité de nombreuses sécurités et que ces thérapies vaccinales sont dangereuses et inefficaces. Tout ceci n’est que délire bien sûr, et je vous invite à ne pas faire la moindre recherche sur ces médias dits indépendants ni à lire des dizaines d’études dites « scientifiques » qui pourraient vous induire en erreur. Soyez raisonnables, contentez-vous de l’information formidable fournie par tous les médias mainstream, par le gouvernement, par l’Union européenne indépendante des lobbies ou par l’OMS qui ne saurait être critiquée. Qui pourrait douter de l’honnêteté de l’industrie pharmaceutique qui voudrait autre chose que notre bonne santé ? Ils seraient prêts à renoncer à leurs dizaines de milliards de bénéfices si cela pouvait aider…

Il serait irresponsable de tendre l’oreille aux complotistes comme ces « Bonnie and Clyde ».

Ne prenez surtout pas la peine, ne serait-ce que d’écouter les arguments de celles et ceux qui vous disent que la crise du Covid est une vaste escroquerie. Ils pourraient abaisser votre garde et manipuler vos esprits faibles avec leurs faux arguments…

Ces complotistes vont même jusqu’à dire qu’il y aurait un lien entre l’explosion de la mortalité due au Covid dans les pays qui ont massivement vacciné leur population en bonne santé alors que tout être doué de raison sait que c’est la faute aux variants qui sont apparus, « par hasard » en même temps que la vaccination… Il ne saurait y avoir de corrélation entre ces événements que l’on retrouve dans de nombreux pays.

Sans compter qu’ils osent affirmer que rien ne prouve que la vaccination pourrait être de nature à protéger la population à risque qui est, soit très malade, soit très âgée et donc à l’espérance de vie réduite.

Heureusement que :

  • Les réseaux sociaux défendent la liberté d’expression, le pluralisme, la démocratie et les droits de l’homme en censurant à tout va et en fermant des chaînes complotistes anti-propagande.
  • Les médias sont au service inconditionnel de notre bonne dictature sanitaire joyeuse.
  • Toute pensée est qualifiée de déviante et complotiste.
  • Le droit de manifester n’existe plus et a été remplacé par un régime d’autorisation. Je me réjouis ô combien de savoir que les organisateurs doivent s’engager à respecter les consignes de la dictature joyeuse pour faire une manifestation contre ses consignes.
  • Le passeport sanitaire est devenu une évidence et un outil de la liberté retrouvée au service de la démocratie. Et pour citer Orwell « la liberté c’est l’esclavage et l’ignorance c’est la force. » comme nous le savons tous.
  • Les jeunes et les enfants VONT être massivement vaccinés même s’ils ne sont absolument pas concernés par cette maladie pour « protéger activement » les personnes à risque…
  • Le masque ne sera jamais retiré par précaution et la peur devra continuer à faire partie de notre quotidien pour nous protéger de nous-mêmes.
  • Les milliards continueront à couler à flots pour museler les imbéciles jusqu’aux prochaines « élections ». Nous étions dans un régime où l’ultralibéralisme disait aux esclaves ouvriers que ce serait pure folie d’augmenter leur pouvoir d’achat de 50 euros… … à un régime qui a fait le choix de faire pleuvoir des milliards et détruire l’économie mondiale puis le pouvoir d’achat de la middle class occidentale qui permettait de spolier la richesse des esclaves des pays pauvres.

Mais attention, la dictature joyeuse pourrait être tentée de faire de tous ces terroristes qui se prétendent les défenseurs emblématiques des droits de l’homme, des martyres. Qu’elle y réfléchisse à deux fois et prenne garde à la vague déferlante qui pourrait alors se libérer.

Ce dernier fait d’interdiction de manifester pour ces dangereux terroristes de la dictature sanitaire est finalement un non-événement… Une simple illustration de ce que nous vivons avec bon sens et courage au service de la lutte contre le fléau du Covid.

A se demander si ces complotistes ne seraient pas un peu naïfs en demandant à leur dictateur s’il voudrait bien les libérer.

Ils pourraient avoir l’idée de manifester sans autorisation, mais cela pourrait les conduire à tomber sous les coups de la milice qui, bien heureusement, n’hésitera pas à les gazer, tabasser, mettre en garde à vue, juger et les condamner pour troubles à l’ordre public et mise en danger de la vie d’autrui ou complot contre la république… Ce ne serait que justice au regard de leurs actions nauséabondes !

Vont-ils enfin se soumettre ou sont-ils foutus, condamnés à prendre le maquis, vivre de la chasse, porter des peaux de bêtes pour échapper aux nazis qu’ils imaginent dans leur délire ? C’est effectivement une des possibilités, mais nous pourrions là aussi prévoir des battues en prime time avec des chiens pour les déloger…

En attendant, ces fous pensent que la désobéissance civile est la voie et il nous faut combattre coûte que coûte cette pensée subversive pour sauver notre idéal de démocratie oligarchique !

Ils croient que plus ils seront dans l’espace public en désobéissance, sans porter le masque, en vivant, chantant, dansant, plus ils pourront bouleverser les honnêtes gens et la dictature joyeuse.

Quand on pense que nos concitoyens les moins intelligents ont été ébranlés par l’AstraZeneca alors même que les effets secondaires sont massivement exagérés. Nous savons tous que la transparence est totale dans le domaine de la santé et que le gouvernement a plutôt péché par excès de prudence et excès de transparence dans ce domaine.

Ils pensent que, lorsque les enfants et les jeunes vont commencer à décéder de la thérapie génique Pfizer, le gouvernement aura de sérieuses raisons de trembler.

Mais en attendant, le droit demeure et ces dangereux individus sont heureusement privés de la possibilité de manifester ! Ne tombez pas dans leur piège grossier, ils mentent, trompent et détestent la France et les Français. Soyez patriote, ne forgez pas votre propre opinion et soutenez la dictature joyeuse ! »

Merci

Alain Tortosa.

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

Pensée pour Carlo et Martine et toutes celles et ceux qui luttent contre la dictature.

https://7milliards.fr/tortosa20210502-dictature-fin-des-libertes.pdf

P.S. Si d’aventure vous pensez que mon texte est au premier degré et que vous adhérez à son contenu caustique, j’adorerais vous entendre… pour me distraire.




Sortir de la crise

Par Joseph Stroberg

De même que la perte d’un être cher et à l’image du deuil qui s’ensuit, toute situation critique vécue individuellement ou collectivement par un être humain, après le choc traumatique ou psychologique engendré par l’événement initial, suit un processus particulier pour se résoudre. Si une telle crise peut être symbolisée par la porte à ouvrir dans le mur qui se présente à nous, la résolution finale en est alors le franchissement pour se retrouver de l’autre côté du mur, éventuellement en terrain inconnu.

Un tel processus pour surmonter une crise passe généralement par différentes phases ou étapes dont plusieurs peuvent alterner plus ou moins rapidement ou même se chevaucher et ne suivent pas nécessairement un ordre précis.

Après le choc, les phases sont le plus souvent les suivantes pour ce qui est de ce que l’on peut considérer comme la pente descendante :

  • le déni, accompagné souvent de dissonance cognitive (on refuse de reconnaître la situation pour ce qu’elle est, de croire ou de voir l’information qui la représente. Par exemple, si on apprend la mort d’un proche par un intermédiaire, on refuse d’y croire. Et même si on a assisté directement à sa mort, on se dit que ce n’est pas possible, ça n’a pas pu lui arriver à lui, pas maintenant…) ;
  • incompréhension, sentiment d’injustice (on ne comprend pas pourquoi on doit vivre cela. On trouve que c’est injuste) ;
  • marchandage et/ou chantage (avec Dieu ou des êtres invisibles, par exemple, dans le faux espoir que ça permettra de résoudre la situation ou de retrouver l’état d’avant le choc. On promet de faire telle chose si on peut retourner à l’état d’avant ou ne plus souffrir de la situation. On menace de ne plus croire en Dieu ou de ne plus communiquer avec ces êtres invisibles s’ils n’aident pas à résoudre rapidement la situation.) ;
  • colère, révolte, rage, réclamation de vengeance… (contre celui ou ceux que l’on pense responsables de la situation ou qui serviront de bouc émissaire, ce qui se répercute négativement sur la santé) ;
  • plus ou moins grosse déprime, désespoir, sentiment d’impuissance, résignation, abandon de la lutte (on se sent vidé d’énergie, au bout du rouleau. On ne trouve plus de raison de vivre…) ;
  • « la vallée des larmes », plus ou moins profonde tristesse (on pleure sous le moindre prétexte. Sans le savoir, on se lave des émotions négatives qui ont impacté notre vie intérieure puis souvent notre santé).

Enfin, les étapes finales (qui permettent de résoudre la crise, de remonter la pente) :

  • l’acceptation, le lâcher-prise ou, mieux, l’accueil de la situation, en voyant celle-ci comme un moyen pour la conscience de progresser, de grandir, de s’élargir, de s’épanouir… ;
  • la reconstruction (on réorganise sa vie. On reprend contact avec les autres. On se découvre de nouvelles ressources, plus d’énergie et de force. On se connaît mieux qu’avant).

Et quels sont les meilleurs outils pour franchir les étapes ou directement passer aux dernières ?

Eh bien l’Amour inconditionnel, même envers les pauvres âmes qui seraient responsables de la situation ou y auraient participé plus ou moins volontairement, la Sagesse (notamment de reconnaître le chemin, la voie de résolution), la Volonté (de suivre ce chemin) et l’Intelligence (déployée pour le faire au mieux).

Application à la crise de la Covid-19

  • Choc initial : artificiel, sous l’influence des médias sans lesquels la pandémie serait passée relativement inaperçue, par le jeu combiné des confinements, du port du masque, de la distanciation, du rituel du lavage des mains et des fermetures économiques. Les pays qui n’ont pas recouru à ces mesures (Biélorussie, Tanzanie, et de nombreux autres pays, notamment en Afrique) n’ont pas vécu un tel choc ou l’ont vécu indirectement par leurs voisins (mais de manière alors atténuée).
  • Déni : refus de reconnaître la situation pour ce qu’elle est (essentiellement une crise artificielle d’origine humaine sous le prétexte de guerre contre un virus). Les pays qui n’ont pas joué le jeu du Nouvel Ordre Mondial (NOM) ou de l’OMS n’ont pas plus de morts en proportion.
  • Incompréhension, sentiment d’injustice (exacerbé par les mesures incohérentes et changeantes prises par les gouvernements des pays qui ont joué le jeu du NOM).
  • Marchandage et/ou chantage : s’imaginer qu’en se faisant vacciner on retrouvera l’état d’avant la crise, sachant que pourtant nos gouvernants nous ont maintes fois annoncé que nous allons vivre une nouvelle « normalité » (distanciation, port du masque, confinements, etc.).
  • Colère, révolte, rage, réclamation de vengeance… contre les élites ou les responsables politiques pour nous avoir plongés dans cette crise. Manifestations plus ou moins violentes. Haine contre les « moutons »…
  • Plus ou moins grosse déprime, désespoir, sentiment d’impuissance, résignation, abandon de la lutte : on se fait vacciner en désespoir de cause ; ou on ne fait rien à part ruminer des idées noires ou suicidaires.

Pour beaucoup d’êtres humains, il reste au moins à vivre la « la vallée des larmes », puis surtout :

  • l’acceptation, le lâcher-prise ou, mieux, l’accueil de la situation (en acceptant de voir les gens se faire vacciner, de devenir soi-même un paria ou un citoyen de seconde zone, voire un détenu en camp de concentration). L’acceptation et l’accueil de la situation critique ne signifient pas pour autant s’y soumettre, mais accueillir le défi qu’elle représente, l’opportunité de dépassement des limites qu’elle cherche à imposer, et même le dépassement de celles que nous nous étions nous-mêmes imposées, notamment par nos croyances. Nous ne pouvons pas relever un défi sans d’abord l’accepter. Nous ne pouvons pas franchir la porte sans d’abord avoir cherché la clef de la serrure, tourné la clef dans cette dernière, puis ouvert la porte. Cela part d’une démarche volontaire, intelligente et sage que l’on aimera entreprendre pour ce qu’elle permettra d’atteindre, pour le nouveau chemin qu’elle permettra de fouler, les vastes espaces qui seront ensuite explorés.
  • la reconstruction (en réorganisant sa vie dans le cadre de cette nouvelle situation imposée par les élites et les gouvernements grâce à la complicité des médias propagandistes, en découvrant de nouvelles ressources individuelles et collectives pour y faire face, en commençant par le niveau local, etc.).



La mystification du Covid19 en Inde : les faits réels

Par Gérard Delépine

Étude basée sur les chiffres officiels de l’OMS

La propagande terrorisante redouble via le croquemitaine indien

Nous devrions plutôt envier l’Inde pour ses résultats anti covid-19 ! Le pouvoir, et les médias proches de lui sentent que la population française commence à ne plus supporter les mesures prétendument sanitaires imposées depuis un an. La population devient de plus en plus réticente à la vaccination.

Ils ont donc créé un nouveau croquemitaine anxiogène destiné à relancer la panique qui bloque réflexion et rébellion : le double variant indien.

À les entendre, l’Inde serait en passe de se transformer en pays de zombies, par une catastrophe sanitaire sans précédent, avec des scènes d’apocalypse, des hôpitaux débordés, des respirateurs absents, des morts abandonnés sur les trottoirs.(([1] Une vidéo montrant des victimes sur les trottoirs a été démasquée comme correspondant à l’accident))

Avant de croire ces désinformations du pouvoir et des médias, il faut considérer les faits, les faits avérés et publiés sur des sites fiables tels que celui de l’OMS ou du OurWorldinData.

En vérifiant vous-même, vous constaterez que l’Inde comptabilise depuis le début de l’épidémie, par million d’habitants, dix fois moins de morts attribuées au Covid19 que la France.

Au lieu de pleurer sur leur sort et se laisser terroriser par leur « variant » supposé nous envahir et nous tuer tous, nous devrions être jaloux des résultats indiens et essayer de comprendre comment un pays moins avancé se montre capable de nous surpasser à ce point.

Les faits bruts : une situation globale meilleure que la nôtre

L’Inde est un immense pays, un véritable continent. Sa population (1,3 milliard) est le double de celle de l’Europe et presque vingt fois celle de la France.

Ce premier mai 2021, d’après l’OMS sur son site WHO Covid19 Dashboard consultable à https://covid19.who.int/region/searo/country/in), l’Inde a comptabilisé au total 18 762 976 cas confirmés de Covid19 et 208 330 morts contre 5 505 700 cas et 103 540 morts en France.

La mortalité par million d’habitants s’élève à 160 en Inde contre 1586 en France. Dix fois moins !

Comparaison des mortalités entre Inde et pays européens

Ces excellents résultats sur la mortalité attribuée au Covid19 ne sont pas récents. La comparaison des mortalités quotidiennes par million d’habitants avec les pays européens reste constamment en sa faveur depuis le début de la crise.

Les graphiques suivants issus de OurWorldinData sont suffisamment explicites, qu’il s’agisse de la comparaison avec la Grande-Bretagne et avec les grands pays européens ou américains.

MORTALITÉ COMPARÉE Inde — Grande-Bretagne

La courbe de l’Inde en vert se situe tout en bas sur le graphique ci-dessus.

La comparaison des mortalités attribués au Covid-19 avec les autres grands pays d’Europe ou d’Amérique est également très parlante.

La courbe des décès de l’Inde établie au 23 avril 2021, en orange, se situe tout en bas sur le graphique. La mortalité y est la plus faible des grands pays ici comparés.

Ces résultats globaux sont d’autant plus remarquables que les services de soins de santé de l’Inde sont nettement inadaptés, marqués par l’insuffisance d’approvisionnement en matériel critique (oxygène, respirateurs) et en lits d’hôpitaux, situation aggravée par la spéculation et la corruption, au point que le gouvernement a annoncé que tout fonctionnaire qui serait pris en flagrant délit d’organiser sciemment la pénurie serait passible de la peine de mort.

Tout se passait bien sous traitements précoces et avant la campagne de vaccination

Parmi les hypothèses permettant de comprendre pourquoi l’Inde a aussi bien résisté au Covid19, alors que nous subissions la crise de plein fouet, il faut rappeler que la task force sanitaire indienne a d’emblée recommandé les traitements précoces et en particulier l’hydroxychloroquine(([2] HIMANI CHANDNA India’s use of chloroquine to prevent Covid-19 based on data from Chinese studies
Niti Aayog member V.K Paul, The print Z7/3/2020)) à tous les malades dès le premier signe clinique et même à titre préventif(([3] 4 or more hydroxychloroquine doses reduced risk of coronavirus in healthcare workers : ICMR study)) pour les personnes exposées (soignants et famille dont un membre était contagieux.)

Une augmentation récente des cas et de la mortalité à l’arrivée du vaccin !

La menace Covid-19 indienne paraissait sous contrôle jusqu’à l’introduction de la vaccination le 16 janvier 2021, et l’accélération de la campagne de vaccination depuis début mars utilisant principalement la version indienne de l’injection expérimentale d’Astra Zeneca.

À la fin du mois de mars, l’Inde avait administré au total 55 800 000 premières doses et réalisé 9 300 000 vaccinations complètes.

Comme ailleurs, aggravation de la situation avec la campagne vaccinale

Cette campagne de vaccination a été suivie d’une franche augmentation des contaminations, puis des décès comme le montre cette courbe de l’OMS.

Notez que les cas de COVID-19 étaient en baisse au moment du début de la vaccination.

Cette explosion de nouvelles contaminations et de décès suivant la campagne de vaccination est plus sévère dans les zones très vaccinées, ce qui suggère qu’elle pourrait avoir une part de responsabilité, plus que le double mutant repéré là-bas, mais pas plus fréquent dans ces zones.

L’État indien de l’Uttar Pradesh(([4] L’Inde est une république fédérale depuis 1950))

a recommandé le traitement prophylactique ZIVERDO (zinc, ivermectine, antibiotique) et vacciné 2,7 % de sa population. Il regroupe 15 % de la population indienne avec 5 % des cas, 6 % des décès, un taux d’incidence de 0,32 % et 4,47 décès pour 100 000 habitants.

L’État de Mumbai

très vacciné compte 9 % de la population, mais 25 % des cas totaux en Inde, et 35 % des décès (soit une mortalité supérieure à 50 pour 100 000 habitants).

Le même phénomène d’exacerbation de l’épidémie après la vaccination a été observé dans tous les pays qui ont beaucoup vacciné et justifie la recherche d’un éventuel lien de cause à effet.(([5] Mise à jour le 30 avril 2021 dans :
https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/))

Cette relation possiblement causale est en tous cas apparue suffisamment évidente à de nombreux villageois hindous pour qu’ils chassent à coups de pierre les agents venus pour les vacciner !

Conclusions

Mise en perspective, la situation sanitaire en Inde n’a rien d’inquiétant, d’autant que le gouvernement indien a ralenti la campagne de vaccination.

Les 3000-3500 morts quotidiens rapportés en cette dernière semaine d’avril 2021 ne correspondent, à l’échelle de la France, qu’à 150-175 personnes, alors qu’au plus fort de la première vague, la France en comptait 3 fois plus.

La chronologie campagne de vaccination précédant une poussée épidémique, déjà observée dans tous les pays qui vaccinent beaucoup, soulève de véritables inquiétudes qui méritent des études épidémiologiques urgentes.

Il faut espérer que les nouvelles recommandations des autorités sanitaires indiennes, ajoutant l’Ivermectine aux autres traitements employés, permettront à ce grand pays de reprendre rapidement le contrôle de l’épidémie et de garder sa place de champion mondial anti covid des grands pays.





France : chez Monoprix, faites une téléconsultation médicale avant de passer en caisse !

[Source : Nexus]

Prendre votre température et votre tension vous-même en plein coeur d’un supermarché, manipuler un stéthoscope, avec un visio un médecin jamais rencontré jusqu’alors, c’est désormais possible chez Monoprix !

L’enseigne vient effectivement de mettre en place de nouveaux espaces « la santé au quotidien » équipés de cabines permettant des consultations avec des médecins par écrans interposés, dans les Monoprix de la Porte de Châtillon à Malakoff (92) et celui de Troyes (10).

◆ L’Ordre des médecins outré par cette self-médecine assistée à distance

« L’entreprise Tessan Pharma Express qui développe ses cabines assure travailler uniquement avec des médecins inscrits au Conseil national de l’ordre des médecins et conventionnés par la Sécurité sociale » , lit-on dans les Echos.
Ce qui n’ a pas empêché de faire bondir l’Ordre des médecins qui l’a fait savoir dans un communiqué de presse le 20 avril dernier. Sans se déclarer être contre la téléconsultation de manière générale, selon lui, « Il ne peut être accepté qu’un médecin prenne en charge un patient sans possibilité de procéder à un examen clinique chaque fois que cela est souhaitable ; sans aucun ancrage territorial ni aucune connaissance du tissu sanitaire et médico-social ; sans se préoccuper de son parcours de soins et sans apporter une garantie que la continuité des soins pourra être assurée ». Le Docteur François Simon se montre inquiet du fait que le professionnel de santé ne connaisse rien du patient au moment de la téléconsultation dans un article de LCI : « Là, le malade ne connaissait pas le médecin la veille et n’entendra plus parler de lui le lendemain” (…) C’est de la médecine au rabais. » On avait l’impression que cela avait été oublié ces derniers mois, et cela fait du bien de l’entendre. Pour l’Ordre des médecins,  « la médecine ne doit pas être pratiquée comme un commerce. »

◆ La position de Monoprix

L’enseigne assure dans un article de LSA que « ce service de télémédecine n’a absolument pas vocation à se substituer à une consultation présentielle ou à promouvoir un modèle unique dans l’exercice de l’art médical. Celui-ci constitue un outil complémentaire dans le parcours de soin et peut constituer une réponse particulièrement pertinente dans les déserts médicaux et dans les territoires en tension. »  Cependant, tout est facilité pour un accès facile à un médecin à distance : les cabines de téléconsultation « permettent – après présentation d’une carte vitale – d’être mis en relation avec un médecin en quelques minutes. Ce dernier peut délivrer une ordonnance directement imprimée dans la cabine à l’issue de la consultation. » Aucun risque pour l’enseigne en ce qui concerne les responsabilités médicales : « Sans consultation physique cependant, les risques d’erreur dans le diagnostic du patient sont plus grands. Cela soulève la question du contentieux médical. “La responsabilité de Monoprix ne sera pas engagée, ni celle du vendeur des cabines de téléconsultations”, note le Docteur Michel Van Rechem. “Ce sera uniquement la responsabilité du médecin.” »

◆ Des éléments à approfondir

Ces cabines seront-elles déployées après ces phases de tests dans tous les Monoprix, et les autres supermarchés vont-ils suivre le mouvement ? Qui se trouve derrière l’entreprise Tessan Pharma Express qui les a installées ? Combien ont coûté ces installations et comment ont-elles été financées précisément ? Par qui et comment cette démarche a-t-elle validée au sein de Monoprix ? Le Ministère de la Santé a-t-il signé un accord avec Tessan Pharma Express et Monoprix et si oui, qui a décidé au Gouvernement qu’une telle démarché était possible ? A-t-elle été validée par le Parlement et/ou un comité d’éthique ? Comment sont choisis les médecins intervenants ? Bientôt le personnel de caisse de Monoprix remplacé par des caisses automatiques sera-t-il formé à la vaccination pour nous faire des injections dans les files d’attente aux rayons boucherie ou fromage ? Tout autant de questions auxquelles nous tenterons de répondre.

Image par Alexandra_Koch de Pixabay




18 raisons pour lesquelles je ne me ferai pas vacciner contre le Covid

[Source : Sott.net]

Par Christian Elliot — Deconstructing Conventional

Quelques amis m’ont demandé mon avis sur le(s) « vaccin(s) » anti-Covid, alors j’ai pensé qu’il était temps d’écrire un article sur le sujet. Ils n’avaient pas tous pris connaissance de la plupart des détails que j’ai déjà partagés, j’ai donc pensé que vous pourriez apprécier de lire une partie de ce que je leur ai dit. Sachant à quel point ce sujet est controversé, une partie de moi préférerait écrire sur autre chose, mais j’ai l’impression que la discussion/les nouvelles sont tellement unilatérales que je dois m’exprimer. Comme je m’efforce toujours de le faire, je promets de faire de mon mieux pour être raisonnable et en aucun cas hystérique.

Je ne suis pas ici pour me battre avec qui que ce soit, mais simplement pour vous faire part de ce que j’ai lu, de mes questions persistantes et vous expliquer pourquoi je n’arrive pas à donner un sens à ces « vaccins » anti-Covid.

Trois règles de base pour la discussion

Si vous souhaitez vous engager sur ce sujet avec moi, excellent. Voici les règles…
Je suis plus qu’heureux de correspondre avec vous si…

  1. vous êtes respectueux et me traitez de la manière dont vous souhaiteriez être traité ;
  2. vous posez des questions sincères et réfléchies sur ce qui a du sens pour vous ;
  3. vous faites valoir vos arguments en utilisant une logique solide et ne vous cachez pas derrière des liens ou le mot « science ».

Si vous répondez et que vous enfreignez l’une de ces règles, vos commentaires seront ignorés/supprimés.
Ceci étant dit, laissez-moi vous dire une chose… Je ne sais pas tout, mais jusqu’à présent, personne n’a été en mesure de répondre aux objections ci-dessous.

Voici donc les raisons pour lesquelles je choisis de ne pas recevoir un de ces « vaccins » anti-Covid.

N°1 — Les fabricants de ces « vaccins » sont à l’abri de toute responsabilité

Les fabricants de vaccins sont la seule industrie au monde qui n’assume aucune responsabilité pour les préjudices ou les décès résultant de leurs produits.

Établis en 1986 par la loi nationale sur les préjudices aux enfants causés par les vaccins, et renforcés par la loi PREP, les fabricants de vaccins ne peuvent être poursuivis, même s’il est démontré qu’ils ont été négligents.

Les fabricants de « vaccins » anti-Covid sont autorisés à créer un produit unique, sans aucun test sur des sous-populations — c’est-à-dire des personnes présentant des problèmes de santé spécifiques — et pourtant ils ne sont pas disposés à accepter la moindre responsabilité pour les effets indésirables ou les décès causés par leurs produits.

Si une entreprise n’est pas disposée à garantir l’innocuité de son produit, surtout s’il s’agit d’un produit qu’elle a mis sur le marché à la hâte et sur lequel elle n’a pas effectué d’essais sur les animaux, je ne suis pas prêt à prendre le risque de recourir à son produit.

Pas de responsabilité. Pas de confiance.
Voici pourquoi…

N°2 — Le passé mouvementé des fabricants de ces « vaccins »

Soit les quatre grandes entreprises qui fabriquent ces vaccins anti-Covid,

  1. n’ont jamais mis de vaccin sur le marché avant le Covid (Moderna et Johnson & Johnson) ;
  2. sont des criminels en série (Pfizer/BioNTech et AstraZeneca) ;
  3. cochent les deux points précédents (Johnson & Johnson).

Moderna a essayé pendant des années de « Moderniser notre ARN » — d’où le nom de la société — mais n’a jamais réussi à mettre AUCUN produit sur le marché — ce qui ne les empêche pas d’être ravis d’avoir obtenu du gouvernement une importante injection de fonds pour continuer à essayer.

En fait, tous les grands fabricants de vaccins (à l’exception de Moderna) ont versé des dizaines de milliards de dollars en dommages et intérêts pour d’autres produits qu’ils ont mis sur le marché tout en sachant qu’ils pouvaient causer des préjudices et des décès — voir Vioxx, Bextra, Celebrex, Thalidomide et Opioïdes, pour ne citer que quelques exemples.

Si les entreprises pharmaceutiques choisissent délibérément de mettre sur le marché des produits nocifs, alors qu’elles peuvent être poursuivies, pourquoi ferions-nous confiance à un produit pour lequel elles n’ont AUCUNE responsabilité ?

Au cas où cela n’aurait pas été compris, laissez-moi répéter… Trois des quatre fabricants de vaccins contre la coqueluche ont été poursuivis pour des produits qu’ils ont mis sur le marché alors qu’ils savaient qu’il en résulterait des préjudices et des décès.

Permettez-moi de réitérer ce point :

Compte tenu de l’exonération de responsabilité et du passé douteux de ces entreprises, pourquoi devrions-nous supposer que tous leurs « vaccins » sont sûrs et fabriqués de manière complètement irréprochable ?

Dans quel autre domaine ferions-nous confiance à quelqu’un possédant ce genre de réputation ?
Pour moi, cela a autant de sens que d’attendre d’un amant sans remords, abusif et infidèle qu’il devienne une personne différente parce qu’un juge a dit qu’au fond, c’est une bonne personne.
Non. Je ne leur fais pas confiance.
Pas de responsabilité. Pas de confiance.
Voici une autre raison pour laquelle je ne leur fais pas confiance.

N°3 — L’histoire peu glorieuse des tentatives de fabrication de vaccins contre les coronavirus

Dans le passé, de nombreuses tentatives de fabrication de vaccins viraux se sont soldées par un échec total, ce qui explique pourquoi nous n’avons pas eu de vaccin contre le coronavirus en 2020.
Dans les années 1960, des scientifiques ont tenté de fabriquer un vaccin contre le VRS — virus respiratoire syncytial — destiné aux nourrissons.

Dans cette étude, ils ont évité les essais sur les animaux car ils n’étaient à l’époque pas nécessaires.

En fin de compte, lorsqu’ils ont été exposés au virus en milieu naturel, les nourrissons vaccinés ont été bien plus malades que les nourrissons qui ne l’avaient pas été, et 80 pour cent des nourrissons vaccinés ont dû être hospitalisés et deux d’entre eux sont morts.

Après 2000, les scientifiques ont fait de nombreuses tentatives pour créer des vaccins contre les coronavirus.
Au cours des vingt dernières années, toutes se sont soldées par un échec car, tout comme les enfants des années 1960, les animaux participant aux essais cliniques sont tombés très malades et beaucoup sont morts.
Vous pouvez lire un résumé de cette histoire/science ici.
Ou si vous voulez lire les études individuelles, vous pouvez consulter ces liens :

  • En 2004, une tentative de vaccin a provoqué une hépatite chez les furets ;
  • En 2005, des souris et des civettes sont devenues malades et plus sensibles aux coronavirus après avoir été vaccinées ;
  • En 2012, les furets sont tombés malades et sont morts. Et dans cette étude, les souris et les furets ont développé une maladie pulmonaire ;
  • En 2016, cette étude montre également que les souris ont développé une maladie pulmonaire.

Le schéma typique des études mentionnées ci-dessus est que les enfants et les animaux ont produit de belles réponses en anticorps après avoir été vaccinés.
Les fabricants pensaient avoir touché le jackpot.

Le problème est survenu lorsque les enfants et les animaux ont été exposés au virus en milieu naturel.

Lorsque cela s’est produit, il s’est produit un phénomène inexpliqué appelé « facilitation de l’infection par des anticorps » [acronyme ADE en anglais – NdT], également connu sous le nom de « maladie facilitée par le vaccin » [acronyme VED en anglais – NdT] : le système immunitaire a produit une « tempête de cytokines » — ce qui veut dire que le système immunitaire a attaqué l’organisme de façon massive — et les enfants/animaux sont morts.

Le problème persistant est le suivant…

Les fabricants de vaccins n’ont aucune donnée suggérant que leurs « vaccins » faits à la va-vite ont surmonté ce problème.

En d’autres termes, aucune tentative de fabrication d’un vaccin contre les coronavirus n’a jamais été couronnée de succès, et la technologie de thérapie génique que sont les « vaccins » à ARNm n’a jamais été mise sur le marché en toute sécurité, mais comme ils ont reçu des milliards de dollars de financement public, je suis sûr qu’ils ont trouvé une solution.

Sauf qu’ils ne savent pas s’ils ont trouvé une solution…

N°4 — Les « données manquantes » soumises à la FDA par les fabricants de ces « vaccins »

Lorsque les fabricants de ces « vaccins » ont soumis leurs documents à la FDA en vue d’obtenir une autorisation d’utilisation d’urgence — une autorisation d’utilisation d’urgence n’est pas la même chose qu’une approbation complète de la FDA — ils ont signalé, parmi les nombreuses « lacunes dans les données », que rien dans leurs essais ne permettait de penser qu’ils avaient surmonté le problème épineux de la maladie facilitée par le vaccin.

Ils ne savent tout simplement pas — c’est-à-dire qu’ils n’ont aucune idée si les « vaccins » qu’ils ont fabriqués produiront également la même tempête de cytokines — et les mêmes décès — que les tentatives précédentes de l’usage de tels produits.

Comme le souligne le Dr Joseph Mercola…

« Les précédentes tentatives de développement d’un médicament à base d’ARNm utilisant des nanoparticules lipidiques ont échoué et ont dû être abandonnées parce que lorsque la dose était trop faible, le médicament n’avait aucun effet, et lorsque la dose était trop élevée, le médicament devenait trop toxique. Une question évidente se pose : qu’est-ce qui a changé pour que cette technologie soit désormais suffisamment sans danger pour une utilisation à grande échelle ? »

Si cela n’est pas assez alarmant, voici d’autres lacunes dans les données — c’est-à-dire qu’il n’existe aucune donnée suggérant l’innocuité ou l’efficacité en ce qui concerne :

  • les personnes âgées de moins de 18 ans ou de plus de 55 ans ;
  • les femmes enceintes ou allaitantes ;
  • les maladies auto-immunes ;
  • les personnes immunodéprimées ;
  • la transmission du Covid ;
  • la prévention de la mortalité due au Covid ;
  • la durée de la protection contre le Covid.

Difficile à croire, n’est-ce pas ?

Si vous pensez que j’invente tout cela, ou si vous voulez voir les documents réels envoyés à la FDA par Pfizer et Moderna pour leur autorisation d’utilisation d’urgence, vous pouvez consulter respectivement ceci et ceci. Les lacunes dans les données se trouvent à partir de la page 46 et 48, respectivement.

Pour l’instant, tournons nos regards vers les données brutes que les fabricants de ces « vaccins » ont utilisées pour soumettre leur demande d’autorisation d’utilisation d’urgence.

N°5 — Aucun accès aux données brutes des essais

Vous aimeriez voir les données brutes à l’origine des affirmations tant vantées dans les journaux selon lesquelles il y aurait « 90 pour cent et 95 pour cent d’efficacité » ?
Moi aussi…
Mais ils ne nous laisseront pas voir ces données.

Comme le souligne le British Medical Journal, quelque chose dans les allégations d’efficacité des « vaccins » de Pfizer et Moderna laisse franchement à désirer. Il y a eu

« 3 410 cas totaux de Covid-19 suspectés mais non confirmés dans la population globale de l’étude, 1 594 sont survenus dans le groupe vacciné contre 1 816 dans le groupe placebo. »

Attendez… quoi ?
Ont-ils échoué dans leur étude scientifique en ne vérifiant pas une variable majeure ?
Ne pouvaient-ils pas tester ces cas « suspects mais non confirmés » pour savoir s’ils étaient atteints du Covid ?
Apparemment pas.

Pourquoi ne pas tester les 3 410 participants par souci d’exactitude ?

Pouvons-nous seulement supposer qu’ils n’ont pas fait de tests parce que cela aurait faussé leurs affirmations quant à leur « efficacité à 90-95 pour cent » ?
Que fait la FDA ?
Ne serait-il pas prudent que la FDA attende, voire exige, des fabricants de vaccins qu’ils testent les personnes présentant des « symptômes de type Covid » et qu’ils publient leurs données brutes afin que des tiers puissent examiner comment les fabricants ont justifié ces chiffres ?

Après tout, on essaye quand même de convaincre chaque citoyen du monde de prendre ces produits expérimentaux…

Pourquoi la FDA ne l’a pas exigé ? N’est-ce quand même pas son objectif principal ?
Bonne question.
Serait-ce les renards qui gardent le poulailler ?
On dirait bien.
Pas de responsabilité. Pas de confiance.

N°6 — Aucun test d’innocuité sur le long terme

Il est évident qu’avec les produits qui ne sont sur le marché que depuis quelques mois, nous ne disposons d’aucune donnée quant aux effets — innocuité & nocivité — sur le long terme.

En d’autres termes, nous n’avons aucune idée des conséquences de ce produit sur l’organisme dans quelques mois ou années — et ce, quel que soit le type de population [vaccinée ou pas vaccinée, jeune ou vieux, sain ou malade – NdT].

Compte tenu de tous les risques susmentionnés — risques que présentent TOUS les produits pharmaceutiques — ne serait-il pas prudent d’attendre de voir si les pires scénarios ont effectivement été évités ?

Ne serait-il pas logique de vouloir combler ces « lacunes » avant d’essayer d’injecter ce produit à chaque femme, homme et enfant de la planète ?

Eh bien… ce serait logique, mais pour obtenir ces données, ils doivent procéder à des tests sur des personnes, ce qui m’amène au point suivant…

N°7 — Pas de consentement éclairé

Ce que la plupart des personnes qui se font vacciner ne savent pas, c’est que, comme ces produits sont encore en phase d’essai clinique, toute personne qui se fait vacciner fait désormais partie de l’essai clinique.

Ils font partie intégrante de l’expérience.

Ceux — comme moi — qui ne se font pas vacciner font partie du groupe témoin.
Le temps nous dira ce qui ressortira de cette expérience.
Mais, me direz-vous, si ces « vaccins » sont nocifs, ne devrait-on pas en entendre parler partout dans les médias ?
La FDA n’interviendrait-elle pas pour interrompre la distribution ?
Eh bien, si le système de signalement des effets indésirables fonctionnait, les choses seraient peut-être différentes.

N°8 — Les effets indésirables et les décès sont sous-déclarés

Selon une étude réalisée par Harvard — à la demande de notre propre gouvernement — moins de 1 pour cent de tous les effets indésirables de ces « vaccins » sont effectivement soumis au National Vaccine Adverse Events Reports System (VAERS) [qui ne vaut que pour les États-Unis – NdT] — lire la page 6 du lien ci-dessus.

Bien que les problèmes du VAERS n’aient pas été résolus — comme vous pouvez le lire dans cette lettre au CDC — au moment où nous écrivons ces lignes [le 8 avril 2021 – NdT], le VAERS fait état de plus de 2 200 décès dus aux actuels « vaccins » anti-Covid, et de près de 60 000 réactions indésirables.

Note du traducteur : En date du 27 avril 2021, selon le site officiel européen European Medicines Agency / EudraVigilance, on atteint déjà presque 10 000 morts et 2 millions d’effets secondaires, tous susceptibles d’être liés aux « vaccins » anti-Covid-19, et pour la seule Union européenne ! Ces chiffres commencent à donner le tournis…

« Les données VAERS publiées aujourd’hui ont montré 50 861 signalements d’effets indésirables après les injections des « vaccins » anti-Covid, dont 2 249 décès et 7 726 préjudices graves entre le 14 décembre 2020 et le 26 mars 2021. »

Et ces chiffres n’incluent pas les actuels 578 cas de paralysie de Bell.

Si ces chiffres ne représentent encore que 1 pour cent du total des effets indésirables — ou 0,8 à 2 pour cent de ce que cette étude récemment publiée dans le JAMA a trouvé — vous pouvez faire le calcul, mais cela équivaut à ce jour à environ 110 000 à 220 000 décès dus aux « vaccins », et à un nombre ridicule d’effets indésirables.

Je parie que vous n’avez pas vu ça aux infos.

Ce nombre de décès serait actuellement encore inférieur aux 424 000 décès [aux seuls États-Unis – NdT] dus aux erreurs médicales qui se produisent chaque année — dont vous n’entendez probablement pas parler non plus — mais le déploiement de ces « vaccins » a débuté il y a moins de six mois.

Si vous souhaitez approfondir les problèmes liés au système de signalement VAERS, vous pouvez consulter ce document ou celui-ci.
Mais il y a aussi mon prochain point, qui pourrait laisser à penser que ces « vaccins » anti-Covid sont inutiles…

N°9 — Les vaccins ne préviennent ni l’infection ni la transmission

Attendez, quoi ?
Ces vaccins ne sont-ils pas censés constituer la solution tant attendue pour « revenir à la normale » ?
Non.
Pourquoi pensez-vous que nous recevons tous ces messages contradictoires sur la nécessité de pratiquer la distanciation sociale et de porter des masques même APRÈS avoir reçu un « vaccin » ?

La raison en est que ces « vaccins » n’ont jamais été conçus pour arrêter la transmission OU l’infection.

Si vous ne me croyez pas, je vous renvoie aux documents soumis à la FDA dont j’ai donné le lien ci-dessus.
L’objectif principal — ce que ces « vaccins » sont censés accomplir — est de réduire vos symptômes.
Ça ressemble à tous les autres médicaments sur le marché, non ?
C’est ça… la réduction des symptômes est le grand bénéfice que nous attendions.
Est-ce que ça semble complètement inutile à quelqu’un d’autre que moi ?

  1. Il ne peut pas nous empêcher de propager le virus.
  2. Il ne peut pas empêcher le virus de nous infecter une fois injecté.
  3. Se faire vacciner, c’est accepter tous les risques de ces produits expérimentaux et le mieux qu’il puisse faire, c’est de réduire les symptômes ?

Quoiqu’il en soit, il existe bien des moyens à ma portée pour réduire mes symptômes sans prendre ce qui semble être un produit très risqué.

Maintenant, en ce qui concerne la prochaine question logique :

Si nous sommes préoccupés par les disséminateurs asymptomatiques, le « vaccin » ne rendrait-il pas plus probable la création d’une dissémination asymptomatique ?

S’il réduit effectivement les symptômes, les personnes qui le reçoivent peuvent ne pas savoir qu’elles sont malades et sont donc plus susceptibles de propager le virus, non ?

Pour ce que ça vaut, j’ai entendu beaucoup de gens dire que les effets secondaires du « vaccin » — surtout la deuxième dose — sont pires que d’attraper le Covid.
Je n’arrive pas non plus à comprendre ce que cela signifie.
Prendre le risque.
Ne pas être protégé.
Subir les effets secondaires du « vaccin ».
Continuer à porter son masque et à se distancier socialement…
Et continuer à être à même de propager le virus.
Quoi ?
Et ça devient de pire en pire.

N°10 — Certaines personnes sont infectées par le Covid après avoir été complètement vaccinées

Tu parles d’une poisse.
Tu es vacciné et tu es quand même infecté par le Covid.

En réalité, ce phénomène se produit probablement partout, mais ce sont ces cas qui font l’actualité actuellement.
Compte tenu des raisons énumérées ci-dessus — et de celles qui suivent — cela ne vous surprend peut-être pas, mais si vous pensiez que le « vaccin » était un bouclier pour vous protéger, vous allez être déçu.
Ce n’est pas le cas.
Cela n’a jamais été le but.

Si 66 pour cent des professionnels de santéde Los Angeles vont retarder ou ignorer le « vaccin »… c’est qu’ils ne sont peut-être pas non plus emballés par une science bâclée.

Peut-être qu’ils observent la manière louche dont les décès et les cas sont communiqués…

N°11 — Le taux de mortalité globale dû au Covid

Selon les propres chiffres du CDC, le Covid a un taux de survie de 99,74 pour cent.
Pourquoi prendrais-je le risque de me faire injecter un produit qui n’empêche pas l’infection ou la transmission, tout ça pour m’aider à vaincre un rhume qui a 0,26 pour cent de chances de me tuer — en fait, dans ma tranche d’âge, c’est environ 0,1 pour cent, et 0,01 pour cent pour mes enfants — mais ne coupons pas les cheveux en quatre.

Avec une probabilité — taux de mortalité — aussi faible, nous serons enfermés chaque année… c’est-à-dire pour toujours.

Mais attendez, qu’en est-il des 500 000 morts et plus, c’est alarmant non ?
Je suis content que vous posiez la question.

N°12 — Les chiffres des morts dus au Covid sont surgonflés

Dans cette affaire, il y a vraiment quelque chose de bizarre.
Dans l’histoire des certificats de décès, c’est la première fois que notre propre gouvernement a changé la façon dont ces derniers sont déclarés.
Pourquoi déclarons-nous désormais que toutes les personnes qui meurent avec le Covid sont mortes du Covid, plutôt que des comorbidités qui sont réellement responsables de leurs trépas ?

Jusqu’à l’apparition du Covid, tous les coronavirus — rhumes courants — n’étaient jamais répertoriés comme la principale cause de décès lorsqu’une personne mourait d’une maladie cardiaque, d’un cancer, d’un diabète, d’une maladie auto-immune ou de toute autre comorbidité majeure.
La maladie était indiquée comme la cause du décès, et un facteur de confusion comme la grippe ou la pneumonie était indiqué sur une ligne distincte.

Pour gonfler encore plus le nombre des décès, l’OMS et le CDC ont modifié leurs directives de sorte que, et sans que cela ne nous soit jamais confirmé, les personnes probablement mortes ou suspectées de l’être à cause du Covid sont également incluses dans le nombre des décès.

Sérieusement ?
Si nous devons procéder ainsi, ne devrions-nous pas revenir en arrière et modifier les chiffres de toutes les saisons de rhume et de grippe passées afin de pouvoir comparer des pommes avec des pommes en ce qui concerne les taux de mortalité ?
Selon les chiffres mêmes des CDC — voir la section « Comorbidités et autres conditions » — seuls 6 pour cent des décès attribués au Covid sont des cas où ce dernier semble avoir été le seul problème en cause.

En d’autres termes, réduisez de 94 pour cent le nombre de décès annoncés aux informations et vous obtenez ce qui est probablement le nombre réel de décès dus au seul Covid.
Même si l’ancien directeur du CDC a raison et que le Covid-19 est un virus amélioré en laboratoire — voir la raison n° 14 ci-dessous — un taux de mortalité de 0,26 pour cent reste conforme au taux de mortalité virale qui fait le tour de la planète chaque année.

Ensuite, il y a ce type, Fauci.
J’aimerais vraiment lui faire confiance, mais outre le fait qu’il n’a pas traité un seul patient atteint du Covid… vous devriez probablement savoir ce qui suit…

N°13 — Fauci et six autres personnes du Niaid possèdent des brevets du « vaccin » Moderna

Grâce à la loi Bayh-Dole, les fonctionnaires sont autorisés à déposer des brevets sur toute recherche qu’ils effectuent avec l’argent des contribuables.

Tony Fauci possède plus de 1 000 brevets — voir cette vidéo pour plus de détails— y compris des brevets utilisés pour le « vaccin » Moderna… dont il a approuvé le financement gouvernemental.

En fait, le NIH — dont le NIAID fait partie — revendique la propriété conjointe du « vaccin » Moderna.
Suis-je le seul à considérer cela comme un conflit d’intérêt MAJEUR, voire criminel ?
Je dis criminel parce qu’il y a aussi ce problème pesant qui me rend encore plus méfiant à l’égard de Fauci, du NIAID et des NIH en général.

N°14 — Fauci est sur la sellette pour des recherches illégales sur les gains de fonction

Qu’est-ce que la recherche sur les « gains de fonction » ?
Les scientifiques tentent de faire en sorte que les virus acquièrent des fonctions — en gros, ils deviennent plus transmissibles et plus mortels.
Ça semble pour le moins un peu contraire à l’éthique, non ?
Quelle pourrait bien en être l’utilité ?
Notre gouvernement était d’accord et en a interdit la pratique.
Alors qu’a fait le NIAID dirigé par Fauci ?
Ils ont changé d’orientation et ont externalisé en Chine la recherche sur les gains de fonction — dans les coronavirus, rien de moins — pour un montant de 600 000 dollars.

Vous trouverez plus de détails, y compris l’importante chronologie de ces événements, dans ce film documentaire qui s’appuie sur une recherche extrêmement approfondie.
M. Fauci, vous avez des explications à fournir… et j’espère que les caméras enregistreront le moment où vous devrez défendre vos actions.
Pour l’instant, tournons notre attention vers le virus…

N°15 — Le virus continue à muter

Non seulement le virus — comme tous les virus — continue de muter, mais selon Geert Vanden Bossche, concepteur de vaccins de renommée mondiale — que vous rencontrerez ci-dessous si vous ne le connaissez pas — il mute environ toutes les 10 heures.

Comment diable allons-nous continuer à créer des « vaccins » pour suivre ce niveau de mutation ?
C’est impossible.
Cela pourrait-il également expliquer pourquoi des personnes entièrement vaccinées sont malgré tout infectées par le Covid ?
Pourquoi, alors que l’immunité naturelle n’a jamais failli à l’humanité, ne lui faisons-nous soudainement plus confiance ?
Pourquoi, si je pose des questions comme celles qui précèdent, ou si je publie des liens comme ceux que vous trouvez ci-dessus, mes réflexions seront supprimées de toutes les grandes plateformes de médias sociaux ?
Cela m’amène au prochain problème troublant que je rencontre avec ces « vaccins ».

N°16 — La censure… et l’absence totale de débat scientifique

Arrivé là, je ne peux m’empêcher d’être sarcastique, alors d’avance, pardonnez-moi.
Avez-vous apprécié tous ces débats animés, retransmis à l’échelle nationale et mondiale, organisés par des responsables de la santé publique et diffusés en simultané sur toutes les grandes chaînes d’information ?
N’était-ce pas formidable d’entendre les meilleurs esprits en médecine, virologie, épidémiologie, économie et les spécialistes des vaccins du monde entier débattre vigoureusement et respectueusement de sujets comme :

  • les confinements ;
  • le port du masque obligatoire ;
  • la distanciation sociale ;
  • les essais d’efficacité et d’innocuité des « vaccins » ;
  • comment dépister la sensibilité aux préjudices causés par les « vaccins » ?
  • les thérapies — à savoir les options non vaccinales.

N’était-ce pas formidable de voir la « science » des responsables de la santé publique — qui n’ont jamais traité personne atteint du Covid — remise en question ?
N’était-ce pas formidable de voir le comité de la FDA interroger publiquement les fabricants de vaccins à une heure de grande écoute, alors qu’ils étaient sous le feu de questions difficiles quant à leurs produits pour lesquels leur responsabilité ne peut pas être engagée ?

Oh, attendez… vous n’avez pas vu ces débats ?
Non, vous ne les avez jamais vus… parce qu’ils n’ont jamais eu lieu.
En revanche, ce qui a bien eu lieu, c’est une censure autoritaire de toute information hormis celles concordant à l’unique narration officielle.
Ironiquement, Mark Zuckerberg peut remettre en question l’innocuité des « vaccins », mais pas moi ?
Hypocrite ?
À quel moment le premier amendement est-il devenu une suggestion ?
Il s’agit du PREMIER amendement Mark — celui que nos fondateurs pensaient être le plus important.
Avec autant d’enjeux, pourquoi ne nous donne-t-on à entendre qu’une seule narration… ne devrait-on pas y avoir plusieurs points de vue qui seraient débattus de manière professionnelle ?

QU’EST-IL ARRIVÉ À LA SCIENCE ?
Qu’est-il arrivé à la méthode scientifique consistant à toujours remettre en question les hypothèses formulées ?
Qu’est-il arrivé au débat animé dans ce pays, ou du moins dans la société occidentale ?
Pourquoi quiconque est en désaccord avec l’OMS ou le CDC est-il si lourdement censuré ?

La science de la santé publique est-elle devenue une religion,
ou la science ne devrait-elle pas reposer sur le débat ?

Si quelqu’un dit « la science est établie », je sais que j’ai affaire à une personne qui a l’esprit fermé.
Par définition, la science — en particulier la science biologique — n’est jamais établie.
Si c’était le cas, ce serait un dogme, pas une science.
OK, avant de trop m’énerver, laissez-moi vous dire ceci…
JE VEUX ÊTRE UN BON CITOYEN.
Je le pense vraiment.
Si le confinement fonctionne, je veux faire ma part et rester chez moi.
Si les masques fonctionnent, je veux les porter.
Si la distanciation sociale est efficace, je veux m’y conformer.
Mais s’il est prouvé que ce n’est pas le cas — comme pour les masques par exemple — je veux aussi entendre cette preuve.
Si des scientifiques de renom ont des opinions différentes, je veux savoir ce qu’ils pensent.
Je veux avoir la possibilité d’entendre leurs arguments et me faire ma propre opinion.
Je ne pense pas être la personne la plus intelligente du monde, mais je pense pouvoir réfléchir.
Je suis peut-être bizarre, mais si quelqu’un est censuré, alors je veux VRAIMENT entendre ce qu’il pense.
Pas vous ?
À tous mes amis qui n’ont pas de problème avec la censure, aurez-vous la même opinion lorsque ce que vous pensez sera censuré ?

La censure n’est-elle pas la technique des dictateurs,
des tyrans et des personnes avides de pouvoir ?

N’est-elle pas le signe que ceux qui censurent savent que c’est le seul moyen de gagner ?

Et si un homme qui a passé toute sa vie à développer des vaccins était prêt à mettre toute sa réputation en jeu et à demander à tous les dirigeants mondiaux d’arrêter immédiatement les « vaccins » anti-Covid en raison de problèmes scientifiques ?

Et s’il plaidait pour un débat scientifique ouvert sur une scène mondiale ?
Voudriez-vous entendre ce qu’il a à dire ?
Voudriez-vous voir le débat qu’il demande ?

N°17 — Le plus grand spécialiste des vaccins au monde tire la sonnette d’alarme…

Voici ce qui pourrait être la plus grande raison pour laquelle ce « vaccin » anti-Covid n’a pas de sens pour moi.

Lorsqu’une personne très pro-vaccins, qui a passé toute sa carrière professionnelle à superviser le développement de vaccins, crie sur tous les toits que nous faisons face à un problème majeur, je pense que cet personne doit être entendu.

Au cas où vous l’auriez manqué, et au cas où vous auriez envie de savoir ce qu’il dit, voici les explications de Geert Vanden Bossche :

  1. Pourquoi le « vaccin » anti-Covid pourrait exercer une telle pression sur le virus que sa capacité à muter et à devenir plus mortel s’en trouverait accélérée.
  2. Pourquoi les « vaccins » anti-Covid pourraient créer des virus résistants aux vaccins — comme les bactéries résistantes aux antibiotiques.
  3. Pourquoi, en raison de problèmes antérieurs liés à la facilitation de l’infection par des anticorps, nous pourrions être confrontés à une explosion de victimes dans les prochains mois ou années.

Si vous voulez voir/lire un deuxième entretien, plus long, avec Vanden Bossche, dans lequel des questions difficiles lui ont été posées, vous pouvez consulter ceci.

Si la moitié de ce qu’il dit se réalise, ces « vaccins » pourraient être la pire invention de tous les temps.

Si vous n’aimez pas sa science, discutez-en avec lui.

Je ne suis que le messager.

Mais je peux aussi parler du Covid d’un point de vue personnel.

N°18 — J’ai déjà eu le Covid

Je n’ai pas apprécié.
J’ai eu un méchant rhume pendant deux jours :

  • des douleurs incessantes aux fesses et au bas du dos ;
  • une très faible énergie ;
  • une faible fièvre.

C’était bizarre de ne pas pouvoir sentir quoi que ce soit pendant deux jours.
Une semaine plus tard, le café avait toujours un goût « mauvais ».
Mais j’ai survécu.

Maintenant, il semble — comme cela a toujours été le cas — que j’ai une belle immunité naturelle, à vie
… et non pas quelque chose qui risque de s’estomper en quelques mois si je me fais vacciner.
Pour mon organisme, comme pour ma famille, le Covid c’est du passé.
En fait, maintenant que je l’ai eu, il existe des preuves que le « vaccin » anti-Covid pourrait être plus dangereux pour moi.
Ce n’est pas un risque que je suis prêt à prendre.

En résumé

Ce qui précède ne sont que mes raisons de ne pas vouloir le « vaccin ».
Peut-être que mes raisons ont du sens pour vous, peut-être pas.
Quelles que soient celles qui ont un sens pour vous, j’espère que nous pourrons rester amis.
Pour ma part, je pense que nous avons beaucoup plus en commun que ce qui nous sépare.

  • Nous voulons tous vivre dans un monde de liberté.
  • Nous voulons tous faire notre part pour aider les autres et vivre bien.
  • Nous voulons tous avoir le droit d’exprimer nos opinions sans craindre d’être censurés ou vicieusement attaqués.
  • Nous méritons tous d’avoir accès aux faits afin de pouvoir prendre des décisions éclairées.

Que vous soyez d’accord ou pas avec moi, je ne vous traiterai pas différemment.
Vous êtes un être humain tout aussi digne d’amour et de respect que n’importe qui d’autre.
Pour cela, je vous salue et je vous souhaite vraiment le meilleur.
J’espère que vous aurez trouvé cet article utile.
Si oui, n’hésitez pas à le partager.
Si ce n’est pas le cas, n’hésitez pas à me faire part — gentiment — de ce qui n’a pas eu de sens pour vous et je serais heureux d’entendre également vos réflexions.
Restez curieux et restez humble.
Jusqu’à la prochaine fois,

Christian

P.S. : Si vous pensez que j’ai bien étudié ce sujet, imaginez toutes les idées que je pourrais mettre en œuvre pour vous aider à préserver votre santé. Aider les gens à être en bonne santé, c’est ce que je fais toute la journée, tous les jours.

P.P.S. : La santé ne peut pas être injectée, mais elle peut être acquise.


Source de l’article initialement publié en anglais le 8 avril 2021 : Deconstructing Conventional
Traduction : Sott.net