France – Pétition Sénat : GARANTIR L’INTERET SUPERIEUR DE L’ENFANT en situation d’état d’urgence

[Source : enfance-libertes.fr]

Lien pour signer la pétition :
Garantir l’intérêt supérieur de l’enfant en situation d’état d’urgence
e-pétitions du Sénat (senat.fr)

PRÉSENTATION

Au regard de la Convention relative aux Droits de l’Enfant (CDE) et du droit français, il apparaît une carence législative sur la situation des enfants lors d’un état d’urgence.

Ce vide législatif a autorisé le gouvernement français à imposer en milieu scolaire, à partir de Mai 2020, un protocole sanitaire de plus en plus contraignant, sans documents justificatifs, et sans considération des débats d’experts inhérents au contexte sanitaire.

Or l’efficacité et la pertinence de protocole ont largement été remises en question la communauté scientifique et pédiatrique.

Par cette pétition, nous demandons que cette carence législative soit comblée au plus vite dans les textes législatifs nationaux.

Nous demandons que la loi exige que toute décision contrevenant aux droits fondamentaux de l’enfant soit scientifiquement solidement justifiée et motivée.

Sans cela, le risque est réel de ne plus assurer dignement sa santé, sa liberté et sa protection.

***

Cette pétition est déposée sur le site du Sénat. Ce cadre légal offrira la possibilité de faire modifier la loi.

Atteindre 100.000 signatures mettra cette question à l’ordre du jour de la Commission des  Présidents du Sénat.

***

La signature se fait sur le site du Sénat par authentification FranceConnect. C’est une contrainte supplémentaire par rapport à d’autres pétitions habituelles, mais c’est aussi ce qui fera l’efficacité de la démarche :

  • si nous obtenions 100 000 signatures sans FranceConnect, il est fort probable que les autorités ne prendraient pas nécessairement en compte cette pétition
  • par contre, en obtenant 100 000 signatures par FranceConnect, les autorités seront obligées de considérer nos demandes.

TEXTE INTEGRAL

OBJECTIF

Malgré un contexte d’état d’urgence notamment sanitaire, garantir l’intérêt supérieur de l’enfant.

MESURES D’EXCEPTION ET DROITS FONDAMENTAUX

En déclarant l’état d’urgence sanitaire, le gouvernement français a imposé un protocole sanitaire contraignant, dont le port du masque aux enfants dès l’âge de 6 ans en milieu scolaire.

Au moment des prises de décisions, la communauté scientifique et professionnelle a largement exprimé des avis contraires étayés quant à la nécessité et à l’efficacité de ces mesures. Elle alerte également sur les risques néfastes du port du masque et du protocole sanitaire sur les enfants.

Au regard de la Convention relative aux Droits de l’Enfant (CDE) et du droit français, il apparaît une carence législative sur la situation des enfants lors d’un état d’urgence.

La CDE a été adoptée par l’ONU à l’unanimité en 1989 et a été renforcée ensuite par trois protocoles :

  • Portant sur la vente d’enfants, la prostitution des enfants et la pornographie mettant en scène des enfants,
  • Portant sur l’implication d’enfants dans les conflits armées
  • Et portant sur le recours possible devant le Comité des droits de l’enfant des Nations Unies en cas de non-respect des deux précédents protocoles.

Une carence est cependant constatable dans la CDE en ce qui concerne la protection des enfants en situation d’état d’urgence. Le droit français n’y répond pas non plus.

CHRONOLOGIE

  • En Mars 2020, l’exécutif décide de confiner le pays, avec fermeture des écoles. Les enfants sont officiellement jugés contagieux. Les critères et études ayant servis à ces arbitrages ne sont pas connus à ce jour.
  • En Juillet 2020, les masques chirurgicaux (jugés inutiles au printemps) deviennent obligatoires autant en intérieur qu’en extérieur, mais les moins de 11 ans peuvent respirer librement.
  • En Septembre 2020, le masque devient obligatoire pour les collégiens et les lycéens. Les critères et études ayant conduit à cette décision ne sont pas non plus connus à ce jour.
  • Le 2 novembre 2020, les enfants du primaire sont à leur tour masqués. Les critères et études ayant déclenché cet élargissement ne sont toujours pas identifiés à ce jour, malgré les questionnements récurrents de parents, enseignants et professionnels de l’enfance.
  • En Avril 2021, les écoles sont fermées avec une semaine de cours en distanciel et deux semaines en vacances anticipées. Les critères et études utilisés par les décisionnaires, une fois encore, ne sont pas connus à ce jour.

Au regard desdits événements, chaque décision a été prise sans documents justificatifs ni motivations, et sans considération des débats d’experts inhérents au contexte sanitaire. Or, ces éléments auraient dû être les requis préalables à chacune d’entre elles.

La carence à la fois dans le droit français, mais aussi dans la CDE, de la situation des enfants en état d’urgence autorise ainsi ce genre de dérives.

CHIFFRES

Alors que des propos médiatiques insistaient sur la dangerosité des enfants dans la propagation du Covid-19, Santé Publique France rapportait les données suivantes :

  • Les 0-14 ans comptabilisent 5 décès depuis mars 2020, soit 0,006% des décès hospitaliers avec une mention « covid-19 ».
  • Les 15-44 ans (tranche des fratries et parents) représentent 0,67% des décès hospitaliers.
  • La Société Française de Pédiatrie (SFP) rapporte qu’au sein du Ministère de l’Education nationale le niveau de contamination des enseignants (0,09 à 0,18%) est très faible de même que le nombre de classes ou écoles fermées depuis la rentrée scolaire de septembre 2020 (respectivement <0,2% et <0,14%).

Ces chiffres, non exhaustifs, étayent l’idée que les jeunes enfants ne sont majoritairement ni victimes du SARS-CoV2 (le bénéfice des mesures est pour eux relativement faibles), ni contaminants (le bénéfice de la communauté nationale est mineur au regard d’autres mesures impactant le reste de la population).

Ces avis contrebalancent fortement les risques et bénéfices invoqués par l’exécutif lors de la mise en œuvre des mesures sanitaires, qu’il n’a pas jugé utile de motiver avant ses prises de décisions.

IMPACT SUR LA SANTÉ PUBLIQUE, SUR LES LIBERTÉS ET SUR LES DROITS FONDAMENTAUX

Les multiples décisions impactent directement la santé publique, les libertés et les droits fondamentaux en lien avec les enfants, notamment :

  • Le droit à l’éducation stipulé par l’article 28 de la CDE
  • Le respect de l’autorité parentale
  • La qualité de l’encadrement éducatif et pédagogique
  • La dimension socioculturelle
  • Le droit à la santé physique et psychique (au sens de la définition de l’OMS) des enfants et des familles.

CONCLUSION

A la lecture des nombreux événements et de l’importance des chiffres énoncés, non exhaustifs, ainsi qu’aux impacts physiques et psychologiques sur la santé publique et l’équilibre sociétal, la situation de l’enfant lors d’un état d’urgence (notamment sanitaire) n’est aujourd’hui pas prise en compte dans les textes législatifs nationaux. Cette même situation d’exception aurait dû être fondée dans la CDE qui est malheureusement incomplète.

Toute décision contrevenant aux droits fondamentaux de l’enfant se doit ainsi d’être justifiée et motivée, sans quoi le risque est réel de ne plus assurer dignement leur santé, leur liberté et leur protection.

Afin de garantir l’intérêt supérieur de l’enfant, nous proposons que cette carence législative sur sa santé, ses libertés et ses droits soit prise en compte dans les textes législatifs nationaux au service de l’intérêt supérieur de l’enfant.

Lien pour signer la pétition :
Garantir l’intérêt supérieur de l’enfant en situation d’état d’urgence
e-pétitions du Sénat (senat.fr)




Les médecins sont tombés dans un trou noir

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

FIN DES PROBLÈMES DE NUMERUS CLAUSUS, ON N’A PLUS BESOIN DE MÉDECINS

Les médecins sont plus de 200 000 en France. Mais, malgré des incitations financières considérables, beaucoup paraissaient réticents à injecter un médicament expérimental vendu comme vaccin. Alors le ministre de la Santé a autorisé les infirmières, les vétérinaires et les pompiers à vacciner. Mais ce n’était pas encore assez. Alors tout le monde ou presque (bientôt) pourra maintenant vacciner, sans préalable, sans examen clinique, sans consentement éclairé.

On n’arrête pas le « progrès ». La loi de santé de Marisol Touraine de janvier 2017(([1] 1704-ANTIBES-CONSEQUENCES-LOI-TOURAINE PDF (nicoledelepine.fr) )) avait entamé le processus en permettant des glissements de tâches entre médecins et infirmiers, puis entre infirmiers et aide-soignant, etc. On était arrivé au fait qu’un personnel de garde non soignant aurait le droit d’aspirer un résident s’il s’étouffait et qu’il n’y avait aucune personne formée sur place. On était déjà dans le délire, mais encore exceptionnel, qui augurait bien de la suite…

Et l’on vient d’apprendre via Europe 1 que « les kinésithérapeutes, aides-soignants, puéricultrices, ambulanciers et titulaires d’une formation de secourisme de niveau 2 peuvent désormais participer à la campagne de vaccination. 500 000 nouveaux vaccinateurs viennent ainsi renforcer les rangs afin d’atteindre les objectifs fixés par le gouvernement. »  Par La rédaction d’Europe 1  13 MAI 2021.

Ce sont eux aussi qui fourniront les certificats verts, sésames de l’entrée en boîtes de nuit, j’imagine…

Rire ou pleurer, qu’est devenue la médecine que nous exercions encore il y a quinze mois ?  Les médecins généralistes libéraux l’ont bien cherché, me direz-vous ! Ils se sont tus, cachés, enfoncés dans leur grotte pour ne pas réagir à l’énorme arnaque du siècle qui fut l’interdiction aux médecins de prescrire selon le serment d’Hippocrate, en donnant les meilleurs soins en fonction des données actuelles de la science.(([2] Pourtant toujours en vigueur légale arrêt mercier 1936))

Une révolution après plus de 2 500 ans de médecine hippocratique

Le ministre, en février mars 2020 et les premiers cas de covid-19, donna l’ordre aux SAMU et au 15 de répondre aux patients de ne prendre que du Doliprane en attendant sagement à domicile l’aggravation et la détresse respiratoire qui les mènerait ou non à l’hôpital en fonction de leur âge.

Silence, on ne traite pas

Sous prétexte qu’un ministre l’impose, et qu’il est soutenu par le président du Conseil de l’Ordre dont la fonction, rappelons-le, n’est absolument pas scientifique, mais uniquement déontologique(([3] Et en autre de faire respecter la loi transparence en santé qui oblige tout médecin qui s’exprime en public de citer ses liens d’intérêts ce que le Conseil de l’Ordre refuse d’appliquer pour les médecins des plateaux télé)) et administrative.

Sidération, silence, les médecins ont disparu, ne vont plus à domicile sous prétexte de couvre-feu et de confinement, les malades restent chez eux et ne consultent pas et voient leurs pathologies chroniques évoluer et d’autres maladies survenir sans diagnostic ni traitement. Les malades s’aggravent dans le silence de leur « cabane » et les médecins disparaissent de la planète France en ville, mais aussi à l’hôpital où, en gros, on ne s’intéresse, ou plutôt on n’a que le droit de s’intéresser à ce qu’on peut classer Covid-19. Le reste attendra… En gros, tous les médecins disparaissent des radars et ne restent que les quelques « réanimateurs » d’hôpital ou de télévision pour entretenir la panique et promouvoir les traitements inefficaces et très chers (remdésivir) ou de prétendus vaccins expérimentaux.

Les cliniques se vident, sommées de stopper toute activité étiquetée non urgente selon le plan Blanc imposé par le Premier ministre Édouard Philippe fin mars 2020, et ce sont les ARS qui décident de ce qui est urgent ou non, se permettent d’annuler des opérations d’ablation de cancer en disant froidement au patient d’aller en radiothérapie…

Plus d’indications pesées longuement en réunion multidisciplinaire, des indications à la volée, administratives. Et toujours le silence des structures hospitalières publiques et privées obéissantes, dans le déni complet de notre métier.

Silence assourdissant de tout ce qui ressemblait antérieurement à un docteur ! Ils (le pouvoir toujours assez impersonnel des ARS !) nous inventent le nec plus ultra, la consultation par télémédecine, un grand rêve de nos dirigeants numérique-dépendants, pensant que cela allait se développer à la faveur de ce grand coronacircus. Ce sera raté comme l’enseignement à distance, mais les docteurs n’en auront pas moins sombré dans le trou noir de la société du Nouvel Ordre mondial.

TROU NOIR

Où sont passés les docteurs ? Craint-on qu’ils ne soient pas aussi obéissants que le gouvernement le souhaiterait pour vacciner en masse avec des substances dites « vaccins », mais insuffisamment testées avant leur autorisation « conditionnelle » de mise sur le marché ? Ces thérapies géniques ou vaccins OGM n’ont jamais été testés complètement chez l’homme et à peine chez l’animal. Elles sont en essai clinique comme l’examen du site clinicaltrials.gov le démontre.

Les médecins, après au moins dix ans d’études et surtout de mises en garde, de normes, de réunions multidisciplinaires, de multiples réunions pour accréditation pour vérifier « les bonnes pratiques », ne seraient-ils finalement pas assez mûrs pour administrer n’importe quoi aux citoyens sous prétexte d’une pandémie dont ils savent (au moins eux) qu’elle est terminée et que les vagues successives ne sont que la conséquence de la création de variants par les pseudo-vaccins ? Pour ceux qui doutent, consultez le site du réseau Sentinelles qui affiche en temps réel les consultations auprès des médecins de ville des maladies respiratoires, dont le Covid-19.

Malgré les assurances du gouvernement qu’ils seraient couverts en cas d’accident vaccinal ou même de décès, les médecins et les infirmiers rechignent à injecter un « produit » expérimental, dont les ingrédients sont cachés et dont les fabricants eux-mêmes, comme le PDG de Pfizer, ne souhaitent pas le recevoir.

Déficits de médecins, voire d’infirmiers pour injecter une substance, alors qu’on rappelle les retraités de ces professions à la rescousse ? Pourquoi tant de difficultés si ce vaccin ou prétendu tel était valable et sans danger ? Alors ils ont appelé les vétérinaires, espérant que nous, les humains, serions plus résistants que les souris et les furets tous morts lors des expérimentations pour vaccin des coronavirus du SRAS et du Mers. À moins que ?

En tous cas, l’aide des vétérinaires puis des pharmaciens à ce geste discutable, mais tout de même facile de réalisation ne suffit toujours pas. Alors ils ont osé appeler les pompiers, les ambulanciers et qui d’autre encore demain ?

Poser et discuter l’indication d’une vaccination reste un acte médical

Dans une vie antérieure pas si lointaine, la vaccination était bien considérée comme un geste médical représentant d’ailleurs le tiers des revenus des pédiatres de ville. Et que signifie acte médical ?

La Haute Autorité de santé avait formulé en début de campagne de vaccination contre le covid-19 le déroulé de la consultation prévaccinale. Demandons-nous si le charmant et dévoué pompier qui croit aider le peuple ou l’ambulancier aimable peuvent réaliser cette discussion préalable et en combien de temps.

« Le dimanche 27 décembre a marqué le coup d’envoi de la campagne de vaccination contre la Covid-19 en France et en Europe.(([4] Covid-19 : quel est le rôle de la consultation prévaccinale ? | Santé Magazine (santemagazine.fr) )) Sur le territoire, les résidents d’un EHPAD de Dijon et ceux d’une unité de soins de longue durée de l’hôpital de Sevran ont été les premiers à en avoir bénéficié. Si la vaccination n’est pas obligatoire pour la population, une étape l’est en revanche pour les personnes qui décident de se faire vacciner : la consultation prévaccinale ».

Comme l’explique la Haute Autorité de santé, elle se fonde

« sur l’évaluation de la situation clinique du patient, l’information sur les bénéfices et les risques du vaccin et sur les préférences, les questionnements et les craintes qu’exprime le patient. ».

« Concrètement, comment se déroule-t-elle ? Elle est réalisée par le médecin traitant ou, à défaut, en priorité par le médecin coordonnateur ou un autre médecin en cas d’indisponibilité des deux premiers. Et ce au plus tard dans les cinq jours qui précèdent la vaccination. À noter que “cette consultation peut être réalisée sur place ou, si cela n’est pas possible, à distance, en téléconsultation avec ou sans vidéotransmission.”, explique le ministère de la Santé dans un guide dédié. Le premier objectif de cette étape est d’identifier l’absence de contre-indication temporaire ou définitive à la vaccination et de déterminer le bénéfice/risque de la vaccination pour les patients ou résidents. »

Il semble bien qu’on ait changé de vie, de monde, de planète entre fin décembre et maintenant. Évidemment l’examen clinique, qui n’était déjà pas au premier plan, a sauté, mais tout le reste dans la foulée… Cela prenait trop de temps… La sécurité, les procédures, l’obsession de l’hôpital public et privé et surtout des tatillonnes ARS qui faisaient fermer un bloc pour quelques cm manquants par rapport à la sacrée sainte norme, une autre vie, l’Ancien Monde nous dira-t-on…

Alors si les ARS disparaissaient dans la foulée et les cérémonials d’accréditation également, tout cela n’aurait pas été vain. Rêvons un peu. Aussi.

Lisez la suite des précautions initiales prévues pour la vaccination extraite de Santé magazine : le patient pourra poser toutes ses questions.

« Sont recherchés les antécédents d’allergie, épisodes infectieux en cours, une infection Covid-19 avec symptômes et datant de moins de 3 mois ainsi qu’une vaccination contre la grippe, car celle-ci doit avoir eu lieu au moins 3 semaines avant la vaccination contre la Covid-19.

 Dans un deuxième temps, le médecin doit “apporter les éléments d’informations nécessaires (bénéfice/risque, effets secondaires connus…) pour que la personne puisse exprimer son choix de se faire vacciner ou non.”, ajoute le ministère de la Santé. Ainsi, le médecin veille à délivrer une information appropriée et compréhensible tandis que le patient peut faire part de ses questionnements et craintes.

La consultation fait l’objet d’une traçabilité écrite puisque les éléments qui en sont issus seront consignés dans le dossier médical de la personne, mais aussi dans le système d’information de suivi de la vaccination contre le SARS-COV-2 appelé “Vaccin Covid”, qui sera opérationnel à compter du 4 janvier 2021. Tout comme le reste de la procédure dans son ensemble : consentement, vaccination, suivi. Ce n’est d’ailleurs qu’à la fin de cette visite que le patient pourra verbaliser son consentement, sachant qu’un résident peut, s’il le souhaite, être accompagné d’un tiers qui observe un rôle d’accompagnement (parent ou proche, bénévole, mandataire judiciaire, personne de confiance…). »

 Eh bien oui, presque tout était prévu, mais trop long, trop compliqué, pas assez de médecins ou bien ceux qui acceptèrent vaccinaient quinze patients à l’heure, se faisant une petite rente au passage sur le dos de la Sécu. Mais finalement — et c’est consolant, il n’y eut probablement pas assez de volontaires pour l’abattage vaccinal des moutons consentants et peu curieux. Trop de responsabilité, au moins morale, puisque la responsabilité pénale est couverte d’emblée par l’État aux frais de la princesse, c’est-à-dire nos impôts pour réparation.

Faute de médecins, on recrute chez les pharmaciens, les vétos, les aides-soignants, les ambulanciers, etc.

Alors on eut recours à toutes les professions proches, mais chacun son métier avec tout le respect que nous leur devons pour leurs compétences, mais me voyez-vous demain remplacer mon voisin pompier ou vous conduire à votre consultation avec ma voiture en guise d’ambulance ? Quant à soigner votre chat, jamais vous ne me le confieriez ou faire vêler la vache de la ferme voisine, encore moins. Chacun son boulot, comme c’est bizarre. Le Président va peut-être demander à son chauffeur de le remplacer le temps de se reposer quelques jours…

Bref, les médecins ont disparu du système sanitaire français et si on l’a fait pour ce sacré covid, on ne voit pas pourquoi votre véto ne vous prescrirait pas votre chimio en même temps que celle de votre chien, cela gagnerait du temps.

Et tout cela pour aligner chaque soir à la télé le nombre de vaccinés et surtout en comparaison avec les pays voisins. Course à l’échalote en attendant les JO, ou programme sanitaire ? On n’en peut plus de ce délire construit, d’apparence de folie. Heureusement, au bout de 14 mois, on a fini par comprendre la stratégie de dissonance cognitive et de mise en sidération perpétuelle de la population afin qu’elle accepte la politique coercitive que le Nouvel Ordre mondial espère imposer.

Et dans tout ce magma délirant, quid de la responsabilité morale des volontaires, mais peut-être pénale quand les patients, victimes éventuelles ou familles de victimes (déjà plus de 10 000 morts reconnus par l’agence européenne sans la GB) découvriront que lors de cette expérimentation avec autorisation de mise sur le marché conditionnelle, il n’existait même pas cette dernière pour les mélanges de vaccin au hasard des disponibilités.

Sans AMM conditionnelle, probablement pas de couverture médicolégale. Ils sont bien courageux ou inconscients, les volontaires de la vaccination pour une maladie qui tue moins de 0,05 % de la population , mais n’est pas sans risque comme le montre le site de l’Agence européenne du médicament consultable par tout le monde, Eudravigilance.

MAIS CELA NE SUFFIT PAS : ON ENTRE DANS LA MÉDECINE FORAINE OU LA « MÉDECINE DRIVE »

Les médecins vont faire concurrence à Mac Do !

Bienvenue au pays du non-secret médical à Francoville [VACCI’DRIVE]

« Une première dans le Val-d’Oise !

En partenariat avec l’ARS, la ville a expérimenté un Vacci’drive (vaccination directement dans votre voiture) ce vendredi 14 mai de 18 h 30 à 19h30 au CSL.

Accueil, consultation médicale, vaccination, surveillance… Tout y est.

Déjà présent dans certains pays d’Europe, ce dispositif a le mérite d’être, pour certains, moins anxiogène. Il arrive à Franconville et sera reconduit selon l’approvisionnement en vaccins.

Inscriptions prochainement.

Merci aux agents et aux professionnels de santé pour la mise en place de cette nouvelle possibilité de vaccination. »

 Peut-on porter plainte pour non-conformité avec l’article 74 du Code de la santé publique, concernant l’interdiction de la médecine foraine, qui ne peut s’exercer qu’exceptionnellement, et dans une unité mobile, mais pas sur le trottoir, comme le plus vieux métier du monde ? se demandent des collègues choqués.

Article 74 (article R.4127-74 du code de la santé publique)

L’exercice de la médecine foraine est interdit ; toutefois des dérogations peuvent être accordées par le Conseil départemental de l’Ordre dans l’intérêt de la santé publique.
Toutefois, quand les nécessités de la santé publique l’exigent, un médecin peut être autorisé à dispenser des consultations et des soins dans une unité mobile selon un programme établi à l’avance.
La demande d’autorisation est adressée au Conseil départemental dans le ressort duquel se situe l’activité envisagée. Celui-ci vérifie que le médecin a pris toutes dispositions pour répondre aux urgences, garantir la qualité, la sécurité et la continuité des soins aux patients qu’il prend en charge.
L’autorisation est personnelle et incessible. Il peut y être mis fin si les conditions fixées aux deux alinéas précédents ne sont plus réunies.
Le Conseil départemental au tableau duquel le médecin est inscrit est informé de la demande lorsque celle-ci concerne une localité située dans un autre département. »

Quelques questions complémentaires à ce sujet :

Combien de temps durent la consultation médicale, l’examen clinique, et l’information sur les risques de médicaments au covid drive ?… On rit (jaune).

Si quelqu’un peut connaître les rémunérations des agents et professionnels de santé dans ces drive ?  Qui accepte cette non-médecine ?

Et si vous êtes curieux, allez voir les commentaires sur la page de Franconville citée qui montre que certains ont encore du bon sens, par exemple le phil o sophe :

« Chacun doit rester libre de se faire vacciner, ou pas, le débat n’est plus trop là… Ce qui devient délirant c’est d’adopter un mode de commercialisation popularisé par Ray Kroc pour un acte médical. Est-ce la proximité du Mc Do qui vous a donné cette idée folle ? Le progrès nous mènera-t-il à nous faire vacciner via ubervacx ? À quand la consultation dentaire en plein air ? À quand l’analyse de sang à l’arrêt de bus ? ! On a un centre de santé, un vaccinodrome, des médecins, des officines, plusieurs hôpitaux et cliniques à proximité, des personnels de santé libéraux, une caserne de pompiers… mais on vaccine à même le trottoir… Je crois que je ne comprends plus trop où on va, mais a priori on y va ! Une des 10 plus grandes puissances économiques mondiales vaccine ses citoyens en pleine rue et on s’en gargarise ».

ou encore Agnès Bernard :

« Je suis bien au Franconville drive ?
Oui, bonjour, je voudrais vous commander un happy vac.
Je prendrai un double cheese frites, un coca et un vaccin en cadeau. 

Je me souviens d’un temps où les moins de vingt ans connaissaient pourtant que l’on finissait devant le tribunal quand on faisait affaire sur un coin de trottoir !
Ahhhh! je suis heureuse de constater que notre société va bien. »

Vous me direz que vu les cadeaux proposés aux USA, comme des billets gratuits pour des parcs, et à NY une part de frites, etc. nous n’avons pas encore tout vu… Bonne lecture :
Les gouvernements du monde entier offrent des pots-de-vin extravagants dans un effort désespéré pour augmenter l’utilisation du vaccin COVID — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Nicole Delépine





Corruption et gestion de la Covid-19, on y est

[Source : AIMSIB]

Par La rédaction de l’AIMSIB

On s’en doutait tous, cette folie vaccinale n’est pas due qu’à l’incompétence de nos dirigeants. A présent les preuves s’accumulent pour relever également des comportements parfaitement répréhensibles pénalement. Nous ne parlons plus des contrats européens d’achats de vaccins allègrement caviardés avant transmission à nos représentants communautaires, nous visons bien ces sommes d’argent qui passent d’une main à une autre dans le but de pousser à l’achat de certains produits pour en interdire d’autres, et à la fin des fins, depuis un an, allonger la liste des morts de manière indiscutablement criminelle. C’est Inoxydable, membre AIMSIB de la première heure, ancien enquêteur de Police, qui est parti étayer ce dossier lamentable parce qu’il n’est présenté nulle part ailleurs dans la presse grand public: Pourquoi au fait?  Bonne lecture.

« La seule chose qui permet au mal de triompher est l’inaction des hommes de bien »

attribué à Edmond Burke

Introduction

Selon cet article (1),  la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a annoncé samedi un nouveau contrat pour acheter jusqu’à 1,8 milliard de doses de vaccins anti-Covid à BioNTech-Pfizer™:

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Non contente de cette commande pharamineuse dont elle doit se frotter les mains elle ajoute que « d’autres contrats et d’autres technologies vaccinales vont suivre». Ce contrat inclut une commande ferme pour 900 millions de doses et une option pour 900 millions supplémentaires. Ces nouvelles livraisons, prévues dès cette année et jusqu’en 2023, permettront notamment de «s’adapter aux nouveaux variants du coronavirus», mais aussi de «vacciner les enfants et adolescents».

Corruption, belotte…

Pour qui s’intéresse à cette information, on peut se demander jusqu’à quel point la commissaire européenne à la Santé, Madame Stella Kyriakides a joué de son entregent pour finaliser ce merveilleux contrat à propos duquel, le silence sépulcral de nos femmes et hommes politiques résonne d‘un assourdissant silence.

Stella Kyriakides en grande discussion avec le Commissaire Européen André Breton et le Ministre Français de la Santé, Olivier Véran (afp)

Ces faits sont relatés par la presse étrangère (2):

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Cet article provient d’un site non conformiste. lesobservateurs.ch , politiquement correct s’abstenir (3), dont les rédacteurs luttent contre la pensée unique et le conformisme idéologique… donc classé franchement à droite. Mais faut-il encore une fois tuer le messager et occulter le message ?

C’est là qu’on apprend que 4 millions d’€ ont gonflé le compte familial de la commissaire par l’intermédiaire de la Cooperative Bank of Cyprus, qui appartient à l’État Chypriote, et il a été tenté de le déguiser en une sorte de prêt pour éviter le scandale .

Cette somme demeure de provenance difficilement explicable. Les médias chypriotes ont essayé de « rattraper l’affaire » en parlant de corruption passive et c’est pourquoi lesobservateurs.ch  en parle après qu’une agence de presse hongroise ait soulevé le lièvre.

 « Stella Kirikiades, après sa chute, essaie de s’excuser de toutes les manières possibles faisant croire que cet argent apparemment « sale » n’a rien à voir avec les contrats de vaccination de l’UE s’agissant d’un… prêt. »

Prêt de qui pour quoi, « elle serait de toute façon bien incapable de rembourser », saut peut-être en continuant de sévir ( pardon, servir) au sein de la commission Européenne et c’est le cas par exemple ici (4) :

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Psychologue de formation, en doit s’y connaître en matière de vaccins, mais surtout de… politique.

Qui est derrière l’agence VAN4

Ces articles sont-ils crédibles ?
L’agence VAN4 est-elle digne de foi ? Bien qu’il s’agisse d’une agence d’information proche du premier ministre Hongrois Viktor ORBANà mon sens elle ne peut être plus polluée politiquement que notre bonne agence AFP, surtout sur les problèmes des vaccins et des traitements simples de la Covid.
Cette agence Hongroise, appelée V4NA, a d’ailleurs été enregistrée à Londres par l’ambassadeur de Hongrie au Royaume-Uni, Kristof Szalay-Bobrovniczky, le 31 décembre 2018, selon les documents déposés par la société (6):

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9 avr. 2019 — V4NA’s name reflects a focus on the Visegrad Four countries – Poland, Slovakia, Hungary and the Czech Republic. It plans more coverage of ..

Pourquoi donc ne pas leur accorder autant de crédits qu’aux autres agences de presse empressées auprès de Google, Facebook et des kyrielles de supports de publications relayant les délires vaccinalistes « officiels » ?

Voici ce que dit l’article qu’on peut aussi traduire en français sur son site ;

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Article intitulé : « Le plus grand scandale de corruption de l‘UE se déroule alors que 4 millions d‘€ se retrouvent sur le compte de la commissaire à la santé Européen , la Chypriote Mme Stella Kyriakides qui a signé les contrats d’approvisionnement en vaccins défectueux et tardifs de l’UE » , selon le journaliste M. Omolnar .

Corruption, rebelotte…

Il précise aussi qu’auparavant, il y a des années, Madame Stella Kyriakides a été impliquée dans un programme qui a vu tous les traitements anti-cancéreux privatisés à Chypre sous le déguisement d’opérations bancaires, puis – comme d’habitude – ils ont augmenté les prix de ces traitements, et ce Miklos Omolnar ajoute :

« J’ai rappelé que lorsque la situation était devenue intolérable, l’affaire a été devant le parlement chypriote. Tous les députés ont voté la nationalisation des traitements contre le cancer, réduisant leurs coûts, à l’exception d’une députée, actuelle commissaire européen à la Santé et signataire de ces contrats de vaccination qui ont mis le feu de toutes parts ».

C’est ainsi que l’Union européenne par la toute puissance de Stella Kyriakides, et de la présidente de la Commission européenne (CE), Ursula von der Leyen, a conclu un contrat invraisemblable avec AstraZeneca™. V4NA a envoyé une demande écrite aux deux responsable Européens citées, pour demander des informations supplémentaires sur la question.

Je vous laisse lire l’article de ce mic mac de contrats vaccinaux aux relents pestilentiels de corruptions qu’on veut faire passer comme des erreurs, ou des maladresses. À la Commission Européenne, certains s’en sont émus : question écrite posée par un certain Euro-Député du nom de Sven Giegold (7) :

https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2021-001844_EN.html

Madame Kyriakides semble donc coutumière de faits de prise illégale d’intérêt, voire de faits de corruption passive, voire de conflits d’intérêts disons très tortueux, dans ses missions.

Qui est par ailleurs la présidente de la commission européenne ? Elle est médecin, mais selon Wikipédia « Le 27 septembre 2015, le site internet anti-plagiat VroniPlag Wiki déclare avoir trouvé « des passages  plagiés dans 27 pages de la thèse de doctorat d’Ursula von der Leyen. » Pas très honnête tout ça. Qui se ressemble s’assemble. Passons.

Quel crédit accorder à l’agence V4NA?

Bien sûr, certains mettent en doute la compétence ce de cette agence Hongroise comme cet autre média du net (8) :

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– « V4 Agency, basée à Londres, est la machine de propagande d’Orbán déguisée en produit médiatique mondial »

Mais le site « atlatszo » est aligné sur l’Union européenne et si l’info relayée les dérangeait, c’est sans doute qu’elle était exacte. Dis-moi qui te finance et je te dirai pour qui tu travailles ou qui tu es…

En définitive lesobservateurs.ch ne fait pas partie du groupe Talmédia devenu TX Group (code SWX : TAMN), connu sous le nom de Tamedia jusqu’en 2020, qui est le plus grand groupe de médias privé de Suisse. „

En gros, Tamedia possède tout (9), et il est n‘est pas indépendant.

Conséquences de cet accord avec l’industrie pharmaceutique au niveau de l’UE, il oblige à l’unisson les états membres à commander pour des milliards d’€ de vaccins.

Ce scandaleux accord dont on aimerait bien connaître les distributions financières dans les différentes poches de leurs protagonistes, n’a semble t-il soulevé aucune campagne de protestations, ni dans les médias « mainstream » ni chez les responsables politiques de tous bords, pas même parmi les élus d’opposition qui auraient pu en faire un cheval de bataille comme la fameuse « tribune » des Officiers et Généraux en retraite ou non ayant recueilli plus de 100000 signatures !

Tout cela est-il dû à la malveillance des politiques, à la corruption, à la stupidité de la plupart des médias, à leurs compromissions, à la terreur inculquée depuis le début de l’épidémie à la population (pas seulement Française), même les jeunes ne réagissent plus ou si peu à la paralysie mentale des philosophes ou des leaders d’opinions, etc…

On comprend mieux quand on regarde qui fait l’opinion et à qui ça rapporte: Médias français, qui possède quoi ? (10)

Avec ça les lobbies de Big-Pharma ont de beaux jours devant eux et surtout, pour des vaccins aussi suspects qu’inutiles finalement, on se rend compte que ce qui intéresse les responsables de l’UE et de notre pays, c’est la manne financière que la vaccination obligatoire de fait rapportera probablement pour leurs intérêts personnels.

Corruption, dix de der provisoire

Pour finir sur le chapitre de la corruption, le dernier IHU Raoult (11) :

Effet des vaccins & Corruption Raoult 11 mai 2021

Vidéo dans laquelle le Pr Didier Raoult décortique l’épidémie, la vaccination et à partir de la 11e minute parle de la corruption en matière de sciences médicales, des liens et conflits d’intérêts. Il y va calmement mais férocement. Imparable. Décrié par certains, mal aimé par d’autres, adulé par ses nombreux sympathisants, on aime ou pas le personnage mais il dit tout.

Si certains ne comprennent pas, je désespère. Que penser d’ailleurs de cette dernière décision de justice (12) :

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Comment un médecin peut-il menacer de mort un confrère au prétexte qu’il défend en son âme et conscience l’utilisation d’une molécule en lieu et place d’une autre?

Probablement pour des raisons qu’il est difficile de détacher d’une corruption avérée, lisez ceci (13) :

France Soir, 24/06/2020

Et l’ANSM dans tout ça?

Elle a pour mission principale d’évaluer les risques sanitaires présentés par les médicaments et produits de santé destinés à l’être humain.

La demande de RTU pour l’ivermectine,  présentée par un gros millier de médecins en traitements de la Covid, tant en prophylaxie qu’en traitement a été complètement rejetée par cet organisme administratif décisionnaire de l’État : est-ce de l’aveuglement, de la corruption intellectuelle ou de la corruption par liens d’intérêts?

Voici entre autres les obligations que la Loi impose à l’ANSM :

« alors que les débats, en premier lieu ceux concernant les acceptations et refus d’AMM de RTU et d’ATU, doivent être enregistrés et conservés, avec le détail et les explications des votes, y compris les opinions minoritaires ».

Au lieu du respect de la Loi, voilà ce que l’ANSM à répondu aux requérants (14) :

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Il faut aujourd’hui que le Dr Maudrux, porte-parole Français de ces médecins adresse un recours hiérarchique contre la décision de l’ANSM auprès du Ministre des Solidarités et de la Santé, déposé le 12 mai 2021. Est-ce qu’on peut attendre quelque chose du Ministre alors que visiblement, lors de sa première demande de RTU pour l’Ivermectine (14) il avait opposé un refus qui bien sûr laisse la porte ouverte à une autorisation future, sur la base d’études scientifiques fiables… aux calendes grecques ou après l’épidémie… cela a déjà eu lieu par le passé et maintenant trop d’enjeux financiers existent.

Conclusion

Je ne sais pas si l’article de lesobservateurs.ch participe à une manipulation de l’opinion, mais je suis certain d’une chose : La nouvelle commande de vaccins AstraZenecca™ ou Pfizer™ destinée à nos enfants qui n’en ont absolument pas besoin, à qui rapportera t-elle ? Servira t-elle à payer les publicités TV lamentables du genre « Ca vous a fait mal ? Eu contraire, je me sens bien mieux maintenant », qui se « gavera » ?

Cet article sur un problème dont nos médias ne veulent pas parler concerne principalement la corruption dans le marché des vaccins Covid, mais en définitive l’épidémie est en baisse pour ne pas dire en chute libre, à quoi sert-il de faire vacciner par le chantage du Pass Sanitaire autant de monde si ce n’est pour justifier les milliards d’euros dépensés et promis à Big Pharma conduisant au désastre sanitaire actuel, à l’endettement faramineux de notre pays pour des générations ?

Il n’y a même pas besoin de démontrer la corruption à tous les étages de la politique sanitaire, cette gabegie se suffit à elle-même.

Donc que devons-nous faire à part hurler haut et fort ?

Inoxydable
Mai 2021


Notes et sources

(1) https://www.lefigaro.fr/flash-eco/vaccins-l-ue-signe-un-contrat-avec-pfizer-biontech-pour-1-8-milliard-de-doses-20210508
(2) https://lesobservateurs.ch/2021/05/03/le-scandale-de-corruption-de-lue-dont-les-medias-bienpensants-refusent-de-parler/
(3) https://lesobservateurs.ch
(4) https://ec.europa.eu/france/news/20210125/declaration_Stella_Kyriakides_livraison_vaccins_astrazeneca_fr
(5) https://v4na.com/en/eu-s-biggest-corruption-scandal-unfolds-as-4m-appear-in-commissioner-s-account
(6) https://www.reuters.com/article/us-hungary-media-news-agency-idUSKCN1RL15X
(7) https://fr.wikipedia.org/wiki/Sven_Giegold
(8) https://english.atlatszo.hu/2020/05/25/london-based-v4-agency-is-orbans-propaganda-machine-disguised-as-global-media-product/
(9) https://fr.wikipedia.org/wiki/Tamedia
(10) https://www.monde-diplomatique.fr/cartes/PPA#&gid=1&pid=2
(11) https://youtu.be/0-7R3r5_-EA
(12) https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/didier-raoult-avait-porte-plaine-pour-menace-de-mort-300-eu-d-amende-pour-le-professeur-nantais-7124598
(13) https://www.francesoir.fr/societe-sante/top-13-des-revenus-annuels-recents-verses-par-lindustrie-pharmaceutique
(14) https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/05/09/ivermectine-le-cote-obscur-des-decisions/
(15) https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/04/10/rtu-pour-livermectine-pourquoi-le-refus-de-lansm/




Le masque de l’Education nationale qui ne sert à rien

[Source : medias-presse.info]

Par Pierre-Alain Depauw

Un lecteur travaillant dans l’Éducation Nationale nous transmet des photographies du masque et du courrier d’accompagnement qu’il a reçus de l’administration.
Vous remarquerez l’étiquette cousue sur le devant, qui permet à Macron de cumuler propagande covidienne et relance de sa campagne.

La notice d’accompagnement démontre bien à quel point ces mesures sont absolument inutiles, inapplicables et délirantes.

Petit zoom sur la notice :

Ces masques sont réservés à des usages non sanitaires.
C’est donc juste pour faire beau ?
C’est un déguisement ?
Encore une fois, rien de nouveau, et ça ne sort pas de conspi.com, c’est écrit sur le document officiel.
Comme il est écrit sur certaines boîtes de masques chirurgicaux qu’ils ne protègent pas des contaminations virales…




La Dictature médicale Secrète : Entretien historique entre la rescapée de l’holocauste Vera Sherav et l’avocat Reiner Fuellmich

[Sources : Le Frexit et lumieresurgaia.com]

La dernière fois où la médecine était le pilier d’un gouvernement relié aux grandes industries, c’était durant le 3e Reich. Avec la propagande du Covid-19 d’aujourd’hui, nous sommes bien dans un système de type « 4e Reich ».

Vera Sharav livre son témoignage et son expertise éclairée de son expérience auprès de l’avocat combattant Reiner Fuellmich.

Vera Sharav est née en Roumanie et a survécu à l’Holocauste dans son enfance ; son père n’a pas survécu. Sa mère a émigré aux États-Unis alors qu’elle était prise en charge par des parents ; elle a rejoint sa mère, à New York, quand elle avait 8 ans. Elle a fréquenté le City College de New York et a étudié l’histoire de l’art, et après le mariage et deux enfants elle est retournée à l’école, au Pratt Institute, où en 1971 elle l’a reçue maîtrise en bibliothéconomie.

Elle est devenue une militante contre certains aspects de la recherche biomédicale après la mort de son fils adolescent des suites d’une réaction mortelle à la clozapine, qui lui avait été prescrite pour un trouble schizo-affectif. Dans son « blog vitriolique », elle critique l’industrie qui, selon elle, est axée sur le profit, ment à ses consommateurs et induit en erreur les gens en les faisant participer à des essais qu’elle prétend être un traitement médical. Les « renonciations au consentement éclairé » émises par la Food and Drug Administration, qui permettent à des sujets inconscients ou incapables d’être testés, présentent un intérêt particulier pour elle .

Sa critique des études cliniques où le consentement du patient est discutable l’a amenée à faire campagne contre Northfield Laboratories, les fabricants du substitut sanguin PolyHeme ; elle a déposé des plaintes et lancé une campagne de courrier électronique qui a conduit les médias puis le Sénat américain à enquêter sur la question. Sharav a affirmé que le produit était toxique et que les personnes et les communautés sur lesquelles il avait été testé n’avaient pas été correctement informées des risques.






Les gouvernements du monde entier offrent des pots-de-vin extravagants dans un effort désespéré pour augmenter l’utilisation du vaccin COVID

[Source anglaise : The Last American Vagabond]

[Traduction : MIRASTNEWS]

Alors que les communautés autochtones du Mexique rejettent le vaccin COVID-19, l’effort international pour convaincre le public de prendre l’injection est pleinement effectif.

Début mars, CNN a rapporté que «des villes entières refusent les vaccins Covid-19 au Mexique», dressant le profil de deux des plus d’une douzaine de municipalités qui ont rejeté les vaccins contre la COVID-19 [en anglais, Coronavirus Desease 2019 ou en français, Maladie à Coronavirus de 2019 – MIRASTNEWS] pour une raison ou une autre. CNN a rendu compte des déclarations des habitants d’Aldama et de San Juan Cancuc, petites villes autochtones situées dans les hauts plateaux du centre de l’État mexicain du Chiapas.

«Pourquoi me faire vacciner? Je ne suis pas malade. Ce ne serait pas bien s’ils essayaient de nous forcer à nous faire vacciner. Je ne sais pas»,

a déclaré à CNN María Magdalena Lopez Santís, une résidente d’Aldama.

Les communautés autochtones du Mexique (et de nombreux Mexicains en général) ont une histoire de méfiance envers le gouvernement fédéral. Après des générations d’ignorance ou de colonisation, les communautés sont largement autonomes et fonctionnent selon leur propre état de droit. C’est cette histoire qui a poussé plusieurs communautés du Chiapas et d’autres régions du Mexique à rejeter complètement les injections COVID-19.

Bien sûr, CNN rapporte que « le manque d’informations et les théories du complot qui se sont répandues dans la région comme une traînée de poudre sont à blâmer pour l’hésitation à la vaccination. » Le secrétaire municipal d’Aldama, Tomás Lopez Pérez, a déclaré à CNN que parce que son peuple «ne sait pas vraiment de quoi sont faits les vaccins, nous pensons qu’ils contiennent le virus [SRAS-CoV-2 de la Covid-19] et c’est la principale raison pour laquelle les gens ne veulent pas se faire vacciner.» 

Le 1er février, José Lopez Lopez, maire de San Juan Cancuc, a publié une lettre aux autorités sanitaires de l’État expliquant pourquoi sa ville n’accepterait pas le vaccin COVID. Lopez Lopez a déclaré que les habitants de San Juan Cancuc rejetteraient en fait tous les vaccins de l’État mexicain.

Le Département de la santé de l’État du Chiapas a déclaré qu’il respecterait l’autonomie des populations autochtones.

Je me suis récemment rendu à San Juan Cancuc pour découvrir par moi-même pourquoi ces communautés autochtones rejettent les vaccins. Les indigènes de San Juan Cancuc parlent un dialecte spécifique de la langue indigène Tseltal connue sous le nom de San Juan Cancuc Tseltal. Avec l’aide d’un homme local interprétant de l’anglais à l’espagnol et de l’espagnol au Tseltal, j’ai pu communiquer avec les membres du conseil de San Juan Cancuc. Bien qu’ils ne s’expriment pas devant la caméra sans la présence de José Lopez Lopez, ils ont partagé une mine d’informations sur la façon dont leur communauté a réagi à la COVID-19.

Pour commencer, le conseil de San Juan Cancuc a déclaré n’avoir vu aucun cas de COVID-19 dans sa communauté. Ils ont également déclaré que la ville n’avait jamais imposé de masques ni de distanciation sociale. Le conseil a déclaré qu’il disposait de ses propres méthodes de guérison des malades qui ne correspondent pas aux politiques du gouvernement mexicain.

Le conseil a déclaré qu’avant la publication de la lettre de février, la communauté avait rejeté les camions apportant des vaccins et d’autres soutiens du gouvernement. La communauté a rejeté les camions à deux reprises avant de finalement publier la lettre faisant savoir publiquement qu’elle rejetait les injections COVID. Le conseil a déclaré que les médecins qui tentaient de venir en ville pour administrer des vaccins se sont fait dire par les autorités de l’État qu’ils ne pourraient pas garantir leur sécurité s’ils entraient à San Juan Cancuc. 

Le conseil a également noté que des lois avaient été adoptées pour garantir que la politique «pas un vaccin de plus» ne puisse pas être modifiée une fois qu’un nouveau maire est élu. Lorsqu’on leur a demandé quel message ils aimeraient partager avec le reste du monde, le conseil a déclaré que «tout le monde devrait faire ce qu’il sait être juste». Ils ont également dit qu’ils croyaient que leur communauté avait prospéré parce qu’ils étaient organisés et unifiés. 

J’ai également parlé avec deux habitants du village indigène de Betania, à environ 30 minutes au sud de San Cristobal de las Casas, au Chiapas. Les habitants ont déclaré que toute leur ville avait également rejeté les injections COVID-19. Ils ont également noté que le gouvernement de l’État offre 950 pesos (environ 50 USD) aux résidents qui reçoivent les vaccins, avec des paiements supplémentaires par enfant dans certains cas. La femme autochtone à qui nous avons parlé a déclaré que les autorités sanitaires locales appellent les résidents et tentent de les persuader de prendre le vaccin. Dans certains cas, on dit aux résidents qu’ils ne peuvent pas continuer à recevoir des soins de santé sans le vaccin. Pourtant, les habitants de Betania ont rejeté les injections.

Burgers, frites, beignets et pots-de-vin

L’idée que les gouvernements pourraient littéralement soudoyer les citoyens avec de l’argent peut sembler choquante ou immorale, en particulier en ce qui concerne les populations autochtones des petits villages du Mexique. Cependant, cette pratique est de plus en plus courante aux États-Unis et en Europe.

Il y a quelques mois, Krispy Kreme a fait la une des journaux après avoir offert des beignets quotidiens gratuits aux clients avec une preuve de vaccin. Maintenant, les gouvernements des États interviennent avec des offres de hamburgers, de frites, de billets pour des événements et d’argent liquide. 

Dans l’Illinois, 50 000 résidents vaccinés se voient offrir des billets gratuits pour les parcs à thème Six Flags. Les billets sont évalués à un coût de 4 millions de dollars. Dans le Maine, les personnes vaccinées se voient offrir n’importe quoi, des cartes-cadeaux gratuites aux permis de chasse et de pêche. Les résidents vaccinés de l’Ohio sont désormais éligibles pour participer à une loterie avec un prix de 1 million de dollars pour cinq personnes vaccinées de l’Ohio.

L’Ohio donnera à cinq résidents 1 million de dollars chacun à la loterie des vaccins https://t.co/ClsDIHEEpL  

CBS News (@CBSNews) 13 mai 2021

Certaines villes métropolitaines des États-Unis offrent également des prix à ceux qui souhaitent soumettre leur corps et leur esprit au traitement médical expérimental. À Detroit, les résidents sont corrompus avec des cartes de débit prépayées de 50 $ s’ils conduisent une autre personne à un site de vaccination. Il n’y a actuellement aucune limite sur le montant d’argent qu’une personne peut gagner avec ce programme. Dans la région de Houston, le comté de Harris a récemment annoncé 250 000 $ à utiliser pour des cartes-cadeaux, des événements et d’autres incitations.

Les résidents de New York se voient offrir des cartes de métro gratuites de 7 jours, des billets pour des événements sportifs, le zoo du Bronx, le jardin botanique de Brooklyn et le Lincoln Center. Jeudi, le maire de Blasio a annoncé que ceux qui prennent la piqûre peuvent recevoir des bons pour des hamburgers et des frites gratuits de Shake Shack. «Je veux que vous regardiez ces frites et que vous pensiez à quel point il est bon de se faire vacciner», a déclaré le maire de Blasio dans une démonstration dégoûtante incitant les habitants de New York à obtenir un traitement expérimental et non approuvé en échange d’un, généralement, repas malsain.

« Mmmm! … vaccination. » Le maire de New York annonce que Shake Shack donnera de la nourriture gratuite aux New-Yorkais vaccinés.
«Je veux que vous regardiez ces frites et que vous pensiez à quel point il est bon de se faire vacciner.»
– Breaking911 (@ Breaking911) 13 mai 2021

Alors que les pots-de-vin d’argent et de nourriture sont offerts pour inciter les gens à se faire vacciner contre la COVID [Coronavirus Desease ou Maladie à Coronavirus – MIRASTNEWS], l’aspect le plus dérangeant est la tentative de convaincre le public que la seule façon de «revenir à la normale» est de se soumettre à une injection et / ou un passeport vaccinal. En fait, plus tôt cette semaine, le président Joe Biden a annoncé de nouvelles règles relatives au port du masque, déclarant«La règle est désormais simple: faites-vous vacciner ou portez un masque jusqu’à ce que vous le fassiez.» Le message diffusé au public est clair: si vous n’obtenez pas de vaccin, vous continuerez à être soumis aux restrictions COVID-19. Si vous ne vous conformez pas, vous ne pouvez pas revenir à la «normale».

De plus, ceux qui choisissent d’attendre pour se faire vacciner (ou de ne pas tout obtenir) subissent des pressions, sont diabolisés et censurés en ligne pour avoir exprimé leurs préoccupations et leurs raisons d’hésiter. Alors que les habitants de Betania et de San Juan Cancuc sont unifiés dans leur opposition aux traitements, les résidents des États-Unis sont moins unifiés et moins organisés. Les communautés autochtones du Chiapas peuvent continuer à vivre leur vie comme elles sont habituées, mais les habitants de Houston, New York, Detroit et ailleurs sont confrontés à un environnement de plus en plus totalitaire. 

La seule façon d’avancer est que le peuple des États-Unis et au-delà s’organise et s’oppose directement et rejette les mandats de vaccination forcée et les appels à des passeports vaccinaux. Rien de moins qu’une opposition unifiée ne parviendra à arrêter la marche de la COVID-1984.

Traduction : MIRASTNEWS

Source : The Last American Vagabond




Le Covid échappé d’un laboratoire : la théorie qui n’a plus rien de conspirationniste

[Source : marianne.net]

Par Jean-Loup Adenor

[Photo : Devant l’institut de virologie de Wuhan le 3 février 2021.]

Qualifiée de complotiste lorsqu’elle a émergé fin 2019, alors que le coronavirus se répandait comme une traînée de poudre, la théorie selon laquelle le virus aurait fuité d’un laboratoire chinois est aujourd’hui prise au sérieux par une partie de la communauté scientifique. Une leçon d’humilité pour les journalistes prompts à crier à la conspiration.

Le temps du « fact-checking » n’est assurément pas celui de la science. Une lettre de 18 scientifiques américains renommés publiée dans le magazine Science le 14 mai exhorte les autorités sanitaires et le reste de la communauté scientifique à envisager toutes les pistes quant aux origines, toujours inconnues, de l’épidémie de Sars-Cov-2.

Les signataires rappellent, dans un ton mesuré, un fait qui demeure incontestable : plus d’un an après le début de la crise, personne n’est en mesure d’établir avec certitude l’origine du virus, ni le chemin qu’il a emprunté pour contaminer l’homme. « Nous devons considérer les deux hypothèses d’origine de l’épidémie, celle d’une origine naturelle et celle d’une fuite de laboratoire, comme sérieuses jusqu’à ce que nous ayons assez de données pour trancher », écrivent les auteurs. Ils appellent à « conduire toutes les investigations nécessaires » pour déterminer cette origine.

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En France, le virologue spécialiste du VIH, directeur de recherche au CNRS et membre de la Société française de virologie Étienne Decroly, défend la même position depuis plusieurs mois. « Qu’on se comprenne bien : nous ne disons pas que le virus provient forcément du WIV [le laboratoire chinois situé près du marché de Wuhan]. Nous disons que la question n’est pas tranchée. Ce qui se joue est essentiel : il faut comprendre cette origine pour ne pas se retrouver dans une situation similaire dans quelques années », explique le spécialiste à Marianne.

UN « FACT-CHECKING » PRÉMATURÉ

Une courte escale dans le passé s’impose. Fin 2019, ce qui n’est encore qu’une épidémie chinoise frappe très durement la ville de Wuhan. De nombreux observateurs notent la présence d’un laboratoire de recherche virologique non loin du marché où l’épidémie est censée avoir démarré. Alors que l’Europe s’apprête, elle aussi, à connaître une multiplication exponentielle des contaminations et qu’une partie de sa population s’inquiète de ce mystérieux mal chinois, la machine s’emballe. Très vite, de nombreux médias réagissent et le nombre d’articles de « fact-checking » reprenant cette théorie explose. « Non, le virus ne s’est pas échappé d’un laboratoire », peut-on lire un peu partout. La piste d’une contamination de la chauve-souris vers le pangolin puis vers l’homme est alors envisagée. Elle est aujourd’hui infirmée.

Pourtant, la communauté scientifique n’a pas les éléments pour trancher le débat. La querelle se joue alors entre milieux complotistes, où des théories délirantes circulent quant à la nature et l’objectif de ce virus, et les médias qui tentent un travail de vérification prématuré et donc incomplet. À ce titre, on peut citer les déclarations du professeur Montagnier, qui parle de main humaine à l’origine du Covid ; des propos largement repris dans la « réinfosphère » complotiste.

DES SCIENTIFIQUES CLASSÉS COMPLOTISTES

Pourtant, à mesure que la crise s’installe dans le monde et que la communauté scientifique mondiale découvre et comprend le virus, l’hypothèse d’une zoonose, c’est-à-dire de la transmission de l’animal à l’humain, ne parvient toujours pas à se vérifier. « Il faut reconnaître que c’est l’hypothèse la plus naturelle : dans la majorité des virus émergents, leurs mécanismes d’émergence dépendent de mécanismes zoonotiques », décrypte Étienne Decroly.

Mais ce présupposé « naturel » va connaître une validation aux allures scientifiques. En février, la revue scientifique The Lancet publie une lettre signée par 27 scientifiques expliquant qu’il faut soutenir l’institut de virologie de Wuhan, reconnu pour la qualité de ses recherches. « La revue va jusqu’à affirmer que tous les scientifiques qui soutiendraient la thèse d’une fuite de laboratoire sont des complotistes. Le tout sans aucun élément scientifique pour corroborer cette déclaration. Ce n’est pas comme ça que la science fonctionne », regrette Étienne Decroly. Dès ce moment-là, un clivage important va diviser la communauté scientifique, dont la majorité se rallie à la thèse du Lancet.

UNE FUITE DE DOCUMENTS

Le spécialiste en virologie va alors publier dans Le Monde trois tribunes visant à alerter la communauté scientifique et la presse sur le manque d’éléments permettant d’infirmer définitivement cette hypothèse. À titre de contre-exemple, il cite l’épidémie de Mers (en 2012) et de SARS-CoV-1 (entre 2002 et 2004), dont la chaîne de contamination de l’homme vers l’animal a été étudiée et découverte rapidement après le début de l’épidémie. « Alors qu’on se trouve aujourd’hui dans une épidémie très importante, que les techniques de séquençage ont fait des progrès très importants, on n’a toujours pas de réponse », note le virologue.

Dernier événement en date étayant davantage la piste du laboratoire : des documents rédigés par des scientifiques ayant travaillé dans le laboratoire chinois ont fuité et été examinés par des scientifiques soucieux de comprendre l’origine du virus. Ces documents ont permis d’établir que le centre scientifique de Wuhan détenait plus de coronavirus différents qu’annoncé. Et notamment l’un, retrouvé dans une mine de la province du Yunnan en Chine, le RaTG13. Six mineurs qui fréquentaient la zone ont contracté en 2012 une pneumopathie dont les symptômes sont similaires au Covid-19. Si sa séquence est proche du SARS-Cov-2, elle ne l’est pas suffisamment pour qu’il puisse en être le parent.

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Pour autant, cette proximité pose question. « Une des hypothèses, c’est que se trouvait dans cette mine un autre virus qui pourrait être le progéniteur du Sars-Cov-2. Comme les virus échantillonnés dans la mine ne sont pas accessibles au public, cette opacité alimente les suspicions. Attention : il ne s’agit pas pour autant d’une démonstration scientifique », tempère Étienne Decroly. Qui rappelle également que cette opacité a été accentuée par la mise hors d’accès d’une base de données du laboratoire, dès le 12 septembre 2019, soit quelques semaines avant le début de la crise sanitaire en Chine.

Aujourd’hui, difficile de dire que l’hypothèse d’une fuite de laboratoire soit une thèse conspirationniste. Appeler à étudier toutes les pistes dans la recherche de l’origine du virus, comme le font ces scientifiques, s’apparente plutôt à l’antithèse même du complotisme : chercher la vérité. « Il faut qu’on sorte d’un système de suspicions, qu’on revienne à une science basée sur les preuves scientifiques. Il faut regarder avec toute l’objectivité nécessaire : à partir de ce virus de chauve-souris, quels sont les virus qui se retrouvent chez l’espèce humaine ? Lorsqu’une hypothèse naturelle, comme celle de la zoonose, ne se vérifie pas, il est nécessaire de chercher ailleurs. C’est le principe de la démarche scientifique », rappelle le chercheur.

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Par Jean-Loup Adenor




Le Prisonnier, un chef-d’œuvre télévisionnaire

Par Jean-Michel Grau

« La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude. »

Aldous Huxley, Le meilleur des mondes.

« Je ne suis pas un numéro, je suis un homme libre. »

Patrick Mc Goohan, alias N°6 dans Le Prisonnier.

En 1967, l’acteur fétiche de la série télévisée « Destination Danger » mettait en scène sa dystopie télévisionnaire « Le Prisonnier », qui allait devenir réalité une cinquantaine d’années plus tard.

En réalisant et en incarnant pour la chaîne de télévision britannique ITV le Prisonnier dans une série de 17 épisodes, Patrick Mc Goohan préfigurait la dictature dans laquelle nous venons de basculer depuis 2020 avec le Covid. Au-delà même de tout ce qu’on aurait pu imaginer en 1967.

Les scènes extérieures ont été filmées à Portmeirion, petite station balnéaire au Nord-Ouest du Pays de Galles, à l’architecture italienne excentrique aux couleurs pastel rappelant les crèmes glacées, créée par un architecte milliardaire excentrique, Sir Clough Williams-Ellis, dotant toute la série d’un style intemporel inoubliable, mélange improbable de styles baroque, victorien et rococo, mâtiné de colonnes doriques, de dômes florentins et de jardins tropicaux.

Personne ne sait qui est le N°1

« Chaque générique du Prisonnier répète, en version condensée, la première scène de la série. Le personnage incarné par Patrick Mc Goohan, regard bleu, cheveux blonds plaqués et costume sombre, démissionne de son mystérieux emploi en tapant du poing sur la table. Alors qu’il prépare sa valise, il est gazé dans son appartement londonien et s’évanouit avant de se réveiller groggy, dans une réplique de sa demeure.

En ouvrant les stores, il découvre qu’il n’est plus à Londres, mais dans un petit village aux bâtisses colorées, au bord d’un estuaire. Rapidement, il s’aperçoit que ses habitants aux accoutrements farfelus ne portent pas de nom, mais des numéros et qu’on ne peut pas s’échapper.

À la tête de ce camp de prisonniers à ciel ouvert qui ressemble plus au Club Med qu’à Dachau, on trouve le N°2, dont la personnalité change à chaque épisode. Personne ne sait qui est le N°1. »

(([1] slate.fr/story/171105/serie-tele-prisonnier-annees-1960-village-paralleles-monde-moderne-dystopie))

« Il tente alors de comprendre ce qu’il fait là, et part inspecter les lieux. Il essaie de téléphoner à la police, mais l’indicatif n’existe pas. Il demande alors un taxi pour sortir de la ville, mais il ne peut pas… Puis, il se rend dans une boutique pour acheter une carte de la cité. Étonnamment, celle-ci n’indique rien, à part la mer et les montagnes entourant le village.

Par la suite, il est invité dans la maison du N°2. Il y est accueilli par un homme mystérieux qui lui offre à manger. Celui-ci a un dossier de photographies sur lui. Des hommes hauts placés aimeraient savoir pourquoi il a démissionné du MI6.

Plus tard, avec le N°2, ils survolent le Village à bord d’un hélicoptère. Le Prisonnier découvre alors le bâtiment du Conseil Suprême, dont les membres seraient élus démocratiquement… Il est alors renommé N°6 par le N°2. Furieux, il hurle qu’il n’est pas un numéro, mais un homme libre. »

(([2] fantrippers.com/fr/magazine/article/407-le-prisonnier-une-serie-de-confinement-mcgoohan-prisoner))

Toute la série va reposer sur les tentatives désespérées du Prisonnier pour trouver des alliés, afin de s’échapper du Village et trouver l’identité du N°1, tout en évitant de croiser le chemin du Rôdeur, l’énorme ballon blanc tout mou chargé d’étouffer toute tentative d’évasion.

Reportons-nous maintenant à aujourd’hui.

Que découvrons-nous dans la rue ? Des zombies en train de marcher la tête rivée sur leur portable, tous muselés par un bâillon évoquant une couche-culotte faciale. Des dizaines de personnes faisant la queue devant des laboratoires d’analyses pour un test PCR. Tout autour d’eux, la plupart des magasins fermés, à part quelques rares supermarchés. Tous les rideaux des restaurants, des bars, des discothèques et des salles de sport baissés. Tout le monde confiné. Aucun déplacement permis sans une attestation qu’on s’autorise à signer pour sortir faire des achats, dits essentiels, avant l’heure du couvre-feu. Une atmosphère de peur, savamment entretenue par des médias aux ordres avec des injonctions inlassablement répétées du matin au soir, comme les gestes-barrière, l’interdiction de réunion, le port du masque dès 11 ans pour ne pas faire mourir grand-mère, et l’apparition de néologismes abscons comme le travail en présentiel ou en distanciel selon l’humeur du chef de l’État. Enfin, la promesse aussi hypothétique que fallacieuse de récupérer notre liberté perdue sous la condition expresse de prendre le risque de servir de cobaye aux labos pharmaceutiques en se faisant piquer comme des poulets OGM. Avec au bout : l’octroi d’un passeport sanitaire pour pouvoir à nouveau circuler et voyager librement, création implicite d’un monde à deux vitesses d’Alpha + et de bêta — qui n’a rien à envier à l’univers dystopique du Prisonnier.

Une situation inimaginable il y a encore deux ans et que personne n’aurait cru pouvoir devenir un jour réalité. Et pourtant ! Quand on y réfléchit bien, on ne peut que constater que nous sommes déjà tous entrés dans l’univers du Prisonnier bien avant le Covid. En fait, depuis déjà un certain nombre d’années, et ce sans même nous en rendre compte.

L’addiction au smartphone

Comme le rappelle Jean-Michel Philibert dans son livre « Le Prisonnier : une mythologie moderne », la technologie galopante de la communication nous asservit plus qu’elle nous libère par son omniprésence et ses injonctions dans notre quotidien :

« Aujourd’hui, l’événement est à peine en train de se dérouler qu’il est déjà info. Fausse ou réelle. Une immédiateté rendue possible grâce aux téléphones portables, déjà utilisés par les protagonistes du Prisonnier. « En 1967, c’était prophétique d’utiliser des téléphones sans fil. Aujourd’hui, la majorité des Occidentaux est collée à son « machin-phone », au travail, dans la rue, à table, au lit. L’addiction au smartphone est la manifestation la plus visible du fait que nous devenons un peu tous comme les habitants du Village »

(([3] Jean-Michel Philibert : facebook.com/LePrisonnierunemythologiemoderne/))

« Dans la série, l’usage des portables est toutefois réservé aux personnages de haut rang, ceux qui contrôlent les autres, ceux qui se relaient jour et nuit dans des salles circulaires pour observer en permanence des habitants dont ils souhaitent extraire « des renseignements » de manière aussi clinique qu’abstraite. Cette métaphore de l’administration, de la technocratie qui veut tout contrôler, est surtout celle de la surveillance de masse. »

(([1] slate.fr/story/171105/serie-tele-prisonnier-annees-1960-village-paralleles-monde-moderne-dystopie))

On ne peut s’empêcher de penser ici au délire psychotique de Klaus Schwab, le grand prêtre illuminé du Forum de Davos dont la surveillance de masse le fait baver d’envie dans son bréviaire 2.0, feuille de route suivie à la lettre par les dirigeants occidentaux, sous prétexte de pandémie covidienne :

« Le mouvement de l’entreprise ira vers une plus grande surveillance : pour le meilleur ou pour le pire, les entreprises surveilleront et enregistreront parfois ce que font leurs effectifs. La tendance pourrait prendre différentes formes, de la mesure de la température corporelle avec des caméras thermiques à la surveillance via une application de la manière dont les employés respectent la distanciation sociale. »

(([4] Klaus Schwab, Covid 19 : La Grande Réinitialisation, Forum Publishing))

Rick Davy, auteur de « The Prisoner, the essential guide » complète l’analyse de Jean-Michel Philibert :

« Dès le premier épisode, on montre au N°6 des extraits de sa vie entière, sur divers écrans. Le N°2 lui dit que les gens veulent tout savoir. Et cela semble vrai au vu de la société actuelle : ce qu’on mange, comment on vote, quels sont nos centres d’intérêt, tout est collecté, partagé, vendu et conservé par les réseaux sociaux, les banques, les magasins et les gouvernements. Avec les réseaux sociaux, tout le monde sait ce que tout le monde fait. »

(([5] Rick davy, The Prisoner, the Essential Guide))

Nous sommes nos propres surveillants

Selon Philibert, « C’est toute la contradiction qu’il faut assumer : entre profiter d’un espace de liberté d’expression et accepter qu’une organisation commerciale comme Facebook recueille des renseignements sur nous. Notre société de surveillance a ceci de particulier que nous sommes nos propres surveillants. C’est nous qui donnons « des renseignements » par l’intermédiaire de nos écrans. Cliquer, c’est se dénoncer. »(([4] Klaus Schwab, Covid 19 : La Grande Réinitialisation, Forum Publishing)) Il en va de même aujourd’hui avec les attestations de sortie de confinement que nous nous autorisons à nous-mêmes. Au nom de quoi ? On cherche encore…

« Comme les villageois qui rapportent les informations aux autorités en place, nous sommes, de par notre usage des réseaux sociaux, complices du fichage et du contrôle. Il faut donc bien avoir conscience que nous nous faisons déjà ficher, classer, estampiller et numéroter de notre plein gré.

Si la phrase la plus célèbre de la série est bien :

« Je ne suis pas un numéro, je suis un homme libre. »

Il semblerait que de nos jours, ce ne soit plus vraiment le cas. »

(([3] Jean-Michel Philibert : facebook.com/LePrisonnierunemythologiemoderne/))

En effet, nous sommes déjà tous devenus des numéros, avec un numéro de sécurité sociale, un numéro de portable, un code postal, un numéro de rue, un numéro de carte bancaire…

« Dans la série du Prisonnier, le N°6 se voit remettre un porte-cartes, contenant nombre de fiches d’identité, inondées de numéros. Le Prisonnier a prédit nos portefeuilles bourrés de diverses cartes, mais surtout quelque chose d’encore plus nouveau à l’époque. Au Village, rares sont les angles que les caméras de surveillance ne contrôlent pas. Aujourd’hui, ces mêmes caméras sont devenues banales. Plus ou moins consciemment, on décide de ne pas y prêter attention, optant pour la sécurité plutôt que la liberté, acceptant que tous nos faits et gestes puissent être connus des autres en échange de l’espoir qu’un attentat terroriste puisse être déjoué… »

(([1] slate.fr/story/171105/serie-tele-prisonnier-annees-1960-village-paralleles-monde-moderne-dystopie))

« Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux. »

Benjamin Franklin.

Avec les confinements et les couvre-feux Covidistes, la réalité vient rejoindre la fiction du Prisonnier. Les annonces anxiogènes et liberticides sur le masque obligatoire dès l’âge de 11 ans, les gestes-barrière et l’interdiction d’attroupement débitées toutes les demi-heures au haut-parleur aux quatre coins de la ville de Nice ou dans le métro parisien n’ont rien à envier aux annonces incessantes de la radio qu’on ne peut pas éteindre du Prisonnier.

L’uniformisation a un prix

« La sécurité se vend bien, c’est un bon argument pour faire accepter la diminution des libertés individuelles. Dans le Prisonnier, l’individualité est quasi criminelle, on peut être mis au ban de la société si on est différent. Tout comme il faut porter certains habits achetés par des gamins du monde entier pour se faire accepter à l’école. Ainsi, les captifs éclatent de rire quand le N°6 affirme être un individu.»(([4] Klaus Schwab, Covid 19 : La Grande Réinitialisation, Forum Publishing)) Les mêmes qui sont habitués à rire et applaudir sur demande. La démocratie et la liberté ne sont plus, tout comme aujourd’hui en Occident, que des fantoches au Village du N°6.

Tout comme les habitants du Village acceptent d’être fichés, la plupart d’entre nous acceptent le port de la muselière pour pouvoir continuer à vivre la même existence que les autres. Au-delà de la crainte d’écoper d’une amende de 135 euros, c’est cette peur de se singulariser, ce besoin de se fondre dans la masse qui fait que le commun des mortels finit par accepter l’inacceptable : on ne se sent plus muselé comme un chien quand on voit que tous les autres sont logés à la même enseigne. On est trop occupé par son quotidien pour consacrer encore du temps à remettre en question la perte de sa liberté.

Comment peut-il en être autrement aujourd’hui avec cette tyrannie du politiquement correct, où tout débat est devenu interdit depuis la dictature sanitaire ? Dès qu’un opposant remet en cause la pertinence de la doxa covidiste, il se fait immédiatement rabrouer et traiter de complotiste. Il en va de même pour tous ceux qui osent remettre en question le bonheur européiste dont les arguments se voient balayés par la reductio ad Hitlerum habituelle.

« Le Village ramollit ses habitants à coups d’alcool, de jeux et de sport qui ne sert qu’à tuer le temps. Malheureusement, nous en sommes parfois, nous aussi, réduits à occuper nos vies, à nous remplir de vide. C’est une prison dorée, pour nous autres Occidentaux qui jouissons de loisirs et de biens de consommation créés sur la misère du monde. Mettez un individu devant un écran, et il abdique sa vie pour contempler un spectacle.»

(([3] Jean-Michel Philibert : facebook.com/LePrisonnierunemythologiemoderne/))

La parodie de vie des personnages de la télé-réalité a remplacé avantageusement l’existence réelle.

Et Jean-Michel Philibert d’asséner : « Au Village, c’est la société du spectacle. Chacun joue un rôle dans la comédie ou la tragédie écrite par les dirigeants. Nous, nous contemplons le spectacle de la société sur nos écrans. Le journal télévisé nous dit quoi penser, l’émission de télé-réalité nous dit quoi ressentir. »(([4] Klaus Schwab, Covid 19 : La Grande Réinitialisation, Forum Publishing))

Parfois la fiction de la télé-réalité et la réalité finissent par se confondre. Tout comme le Village dystopique du N°6 se confond dorénavant avec le village de fous du monde covidiste d’aujourd’hui. Patrick Mac Goohan, lui-même, ne disait-il pas avant son décès en 2009 que le monde allait devenir « le Village » ?

Maintenant, quant à savoir qui est le N°1, il suffit de regarder la série pour le découvrir.

Beaucoup d’entre nous ne s’en sont jamais remis.

Le Prisonnier est un hymne à la liberté. C’est quand on la perd comme aujourd’hui qu’on réalise comme elle nous est précieuse. Raison de plus de redécouvrir aujourd’hui cette allégorie philosophique par excellence.





Pétition nationale contre le certificat numérique ou « passeport vaccinal »

[Source : Passeport sanitaire =Vaccination forcée déguisée (petition-passeport-sanitaire.com)]

[Pour signer la pétition, aller sur le site source.]

À l’attention de Monsieur le Premier ministre Jean Castex


Monsieur le Premier ministre,

  • Depuis 1 an, le Gouvernement et les autorités de santé ont adopté une série de mesures qui n’ont jamais pu être validées avec le recul nécessaire, sur le plan scientifique.
  • À chaque fois, le débat public a été quasiment écarté.
  • Comme jamais dans notre histoire récente, des décisions aussi importantes pour la santé publique ont pu être prises sans aucun débat démocratique.
  • Des restrictions de liberté sans précédent ont été mises en oeuvre en France : entrave à la liberté de circuler, couvre-feu, etc.

Les droits les plus fondamentaux de notre société ne doivent pas être malmenés même pour des raisons sanitaires.

C’est la force de notre démocratie.

Aujourd’hui, nous sommes très inquiets face au projet proposé par la Commission européenne sur le certificat numérique vert.

Cette mesure reviendrait notamment à stigmatiser les citoyens qui ne sont pas vaccinés, qui n’ont pas fait de tests ou qui n’ont pas développé d’anti-corps.

C’est une mesure contraire au principe d’égalité, qui est le ciment de notre société.

En tant que chef du Gouvernement, nous vous demandons :

  • de veiller à ce que la liberté élémentaire de chacun de se soigner comme il l’entend soit garantie, même en situation d’urgence sanitaire ;
  • de veiller à ce que chacun soit libre de se faire vacciner ou non, surtout quand il s’agit de vaccins nouvellement développés ;
  • de veiller à ce que nos autorités de santé prennent les décisions de façon raisonnée
  • de veiller à ce qu’aucune décision n’obéisse à la pression médiatique ni à celles des industriels de la santé.

C’est la responsabilité historique du Premier ministre de la France de prendre ces mesures difficiles pour garantir notre liberté et la santé de tous.

C’est pourquoi je vous adresse solennellement cette pétition nationale.

Je compte sur vous, Monsieur le Premier ministre, pour aider la France à faire face à cette crise sanitaire, en protégeant la santé de tous les habitants tout en garantissant notre liberté.

Avec ma respectueuse considération,

L’Association Santé Naturelle

[Pour signer la pétition, aller sur le site source.]

Association Internationale pour une Santé Naturelle, Scientifique et Humaniste (AISNSH) Adresse : 1211 Genève 3 Contact email : association.aisnhs@gmail.com




Le pass sanitaire, ce flash totalitaire entre novlangue de Big Brother et Great Reset

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

La mise en place du pass sanitaire donne lieu à un magnifique flash totalitaire provoqué par Emmanuel Macron. Dans ces moments où la démocratie cède brièvement la place à des mesures autoritaires illibérales, la propagande d’Etat donne dans la novlangue à la Big Brother de 1984. Ce qui est liberticide devient libérateur, et ce qui est libérateur est dénoncé comme une menace. Toute la question (non résolue à ce stade) est de savoir quel emprunt Macron et la Commission Européenne font au Great Reset de Davos pour se rallier à cette mesure fondamentale du capitalisme de surveillance prôné par Schwab.

Le pass sanitaire illustre à merveille ces moments de la démocratie qu’on peut appeler des flashs totalitaires: sans modifier l’état général du droit, le pouvoir décide soudain de ne plus le respecter et d’imposer une mesure totalement illégale en utilisant toutes les armes dissuasives du pouvoir : la contrainte, l’intimidation, la corruption. Une petite mise en perspective des différentes étapes de ce dossier emblématique permettra de mieux le comprendre. 

Le pass sanitaire venu de nulle part

L’affaire a commencé le 29 avril dans un entretien à la presse régionale où Emmanuel Macron annonce les mesures de déconfinement qui entrent en vigueur le lundi suivant… et il ajoute, dans une impressionnante démonstration de novlangue : 

Le pass sanitaire ne sera jamais un droit d’accès qui différencie les Français. Il ne saurait être obligatoire pour accéder aux lieux de la vie de tous les jours comme les restaurants, théâtres et cinémas, ou pour aller chez des amis. Par contre, dans des lieux où se brassent les foules, comme les stades, festivals, foires ou expositions, il serait absurde de ne pas l’utiliser.

Traduction : on ne différencie pas les Français tout de suite, sauf dans les lieux de rassemblement. Ne pas le faire serait « absurde ». Quelle idée au juste serait absurde ? Celle de ne pas différencier les Français ? On le comprend en creux, mais dans la novlangue du « en même temps » tout et son contraire sont dits en permanence : en réalité, le Président de la République saute à pieds joints dans un monde où l’accès aux lieux publics est subordonné à l’affichage de ses données de santé. Les malades sont exclus, et seuls les bien portants sont supposés avoir une place dans le groupe. 

Et Emmanuel Macron termine son intervention par ces phrases emblématiques de la propagande totalitaire :

C’est juste et ça ne fracturera pas le pays. Ce sera un outil supplémentaire pour assurer la protection des Français. 

On retrouve ici tous les mots-clés qui ne cherchent pas à convaincre, mais qui imposent une vision du monde pré-fabriquée aux « citoyens » : le pass sanitaire est juste, il ne fracture pas le pays et il protège les Français. 

Un flash totalitaire au Parlement

Aussitôt dit, aussitôt fait, ou presque. L’interview est publiée le 29 avril, c’est-à-dire un jeudi et, dès le lundi suivant, le gouvernement intègre la proposition d’un pass sanitaire dans le projet de loi mis en discussion à l’Assemblée Nationale sur la « sortie de crise ». Les esprits lucides noteront que, là encore, lorsque le gouvernement évoque la « sortie de crise », il faut comprendre le sens de la novlangue qui désigne en réalité le maintien des mesures liberticides au-delà de la crise. 

Voici la description de l’enchaînement des événements donnée par le député républicain Philippe Gosselin :

Le pass sanitaire, par exemple, nous a été présenté du jour au lendemain, deus ex machina , le 3 mai, quarante-huit heures avant l’examen du projet de loi en commission des lois et, bien sûr, sans que le Conseil d’État ou qu’aucune organisation ou autorité indépendante ne se soit prononcé.

Voilà donc une mesure légale qui restreint les libertés, parachutée dans la loi sans avis préalable du Conseil d’Etat, et finalement adoptée le 12 mai au soir. Soit un délai record pour une disposition fondamentale dans la pratique de nos libertés. C’est précisément ce qu’on appelle un flash totalitaire, un passage en force en dehors de nos libertés. 

La justification sanitaire ne tient pas

Officiellement, il s’agit de protéger notre santé. C’est le propre de la novlangue totalitaire, on ne viole pas les libertés pour abuser du pouvoir, mais pour protéger ceux qu’on enferme ou qu’on exclut. Rhétorique bien connue. 

Sauf que, consulté en urgence, le Conseil Scientifique ne va guère apporter de l’eau au moulin du gouvernement. Voici ce qu’il écrit, dans un avis rendu le 3 mai sur la question du pass sanitaire :

Le Conseil scientifique estime que le pass sanitaire, utilisé de manière temporaire et
exceptionnelle, peut permettre à la population une forme de retour à la vie normale en
minimisant les risques de contamination par le virus SARS-CoV-2. Son usage peut s’inscrire
dans une démarche citoyenne de renforcement des capacités et du pouvoir d’agir des
individus (empowerment) face à l’épidémie tout en prenant en compte la protection de
l’usage des données personnelles.

On s’amusera de l’obsession de la novlangue à tous les étages du pouvoir. Ainsi, instaurer un pass sanitaire serait un « renforcement du pouvoir d’agir des individus »… Il fallait l’oser celle-là. 

Mais, même en versant dans la novlangue, le conseil scientifique montre ses réserves sur les mesures, puisqu’il prétend que le pass « peut permettre » une forme de retour à la vie normale, à condition qu’il soit « temporaire et exceptionnel ». On ne pouvait pas faire plus prudent, et mieux marquer sa défiance vis-à-vis d’une mesure imposée par un Président à qui l’on ne peut manifestement plus dire non explicitement. 

Problème : le pass sanitaire prévu par la loi, et présenté par Olivier Véran à la commission des lois, n’est ni temporaire, ni exceptionnel : il devrait être gravé dans le marbre, même une fois la pandémie vaincue. Nouveau signal totalitaire, donc : on consulte un « corps intermédiaire » en urgence, et on outrepasse son avis. 

Le passage en force au Parlement

Nous avons largement relaté dans nos colonnes les péripéties d’un texte désormais très polémique où Olivier Véran a ouvertement méprisé le Parlement, jusqu’à mettre le texte en minorité. Finalement adopté après un marchandage serré avec le MODEM, dont toutes les contreparties ne sont pas connues, là encore, le flash totalitaire a donné sa mesure. 

Le groupe LREM ne dispose en effet plus d’une majorité absolue, et le gouvernement a dû céder à un marchandage pour faire passer un texte minoritaire. Là encore, on voit comment les mécanismes démocratiques sont tordus dans tous les sens pour faire adopter cette mesure liberticide. 

Un avis de la CNIL qui nourrit la défiance

Nouvelle étape mercredi, lendemain de l’adoption du texte en première lecture par l’Assemblée Nationale : la CNIL se prononce en urgence. Et elle manifeste les mêmes réticences que le Conseil Scientifique vis-à-vis d’une aventure imposée au forceps. 

Là encore, le flash totalitaire fait son oeuvre. Cet avis essentiel, qui souligne les difficultés du pass sanitaire au regard de la démocratie et des libertés, est rendu le lendemain de l’adoption du texte par l’Assemblée… Et l’avis comporte des phrases comme celles-ci :

La CNIL met en avant, dans son avis, l’importance d’assurer l’inclusion de l’ensemble de la population dans le dispositif afin d’éviter tout risque de discrimination, en raison de l’état de santé mais également en raison de la capacité d’accès et d’usage des outils numériques telle que l’application TousAntiCovid.

Il y aurait donc un risque de discrimination ? Mais on se souvient que, le 29 avril, le Président avait affirmé le contraire sans mollir. Il aurait donc menti ?

Macron met en place le Great Reset en France

Pour quelle raison Emmanuel Macron se risque-t-il à un tel flash totalitaire à un an de sa possible réélection, sur un dossier aussi sensible ? Pour l’instant, peu de Français ont compris l’impact que cette mesure aura sur leur vie quotidienne cet été, ce qui explique le calme relatif de leur agacement. Mais l’obligation de montrer des données de santé à un vigile venu d’on ne sait où cet été dans les grands rassemblements risque de susciter pas mal de controverses. 

Pourquoi prendre autant de risques, à l’unisson de ce que fait (ou essaie de faire) la Commission Européenne sur ce sujet ?

Quand c’est flou, on le sait, c’est qu’il y a un loup… Et le loup, nous savons tous quel il est. Il est exposé dans le Great Reset de Klaus Schwab, le fondateur du Forum de Davos. Les technostructures européennes sont bien décidées à utiliser la pandémie pour imposer des mesures durables de surveillance généralisée des populations, en violation de la démocratie, au nom de la protection sanitaire. C’est ce qu’on appelle le capitalisme de surveillance, qui passe par un traçage des populations au moyen des technologies nouvelles. 

Face à ce projet public, conscient et organisé, les mécanismes libéraux de protection comme la CNIL semblent bien faibles.  




Efficacité des vaccins : tout est une question de présentation !

[Source : francesoir.fr]

Par Marceau

Efficacité des vaccins : Pfizer annonce 95% et Moderna 94%…vraiment ?

Et si c’était plutôt : Pfizer 0.71% et Moderna 1.1%…vous feriez-vous vacciner ?

Quand Pfizer vous dit que son vaccin est efficace à 95%, qu’est-ce que cela signifie exactement ? 

Cette « efficacité » est la réduction du Risque Relatif de faire la forme grave de la maladie Covid-19.

Cette valeur est liée :

  • aux conditions de l’essai clinique
  • aux personnes sélectionnées pour cet essai 
  • ainsi qu’à la période durant laquelle l’essai a été effectué

Par exemple si les personnes sélectionnées avaient été plus âgées, avec plus de comorbidités ou si l’essai avait été effectué pendant une période de forte circulation du virus, comme en Inde aujourd’hui, l’efficacité relative de ce même vaccin aurait été beaucoup plus faible.

Ce qui est important pour les personnes auxquelles on propose un vaccin ou un traitement c’est la valeur de réduction du « Risque Absolu ».

Commençons par rappeler les définitions des risques relatifs et absolus :

Le Risque Relatif : c’est un nombre qui vous dit comment quelque chose que vous faites ou ne faites pas peut modifier votre risque de développer une maladie.

Par exemple : si vous ne fumez pas on va vous dire que vous avez 30% de chance en moins de faire une maladie cardiovasculaire qu’une personne qui fume. La réduction du risque relatif dans ce cas-là est de 30%. Il s’agit toujours de comparaisons entre deux groupes ; et savoir à quel groupe vous appartenez-vous permet d’évaluer la probabilité que vous avez de développer ou non ladite maladie.

Vous avez compris, ce nombre est relatif et ne s’applique pas à votre cas personnel mais au groupe auquel vous appartenez. Cette information sur la réduction du risque relatif est utile pour les chercheurs car elle leur permet de combiner les résultats de différents essais cliniques pour faire des méta-analyses. En aucun cas cette information ne permet de vous donner le bénéfice que vous pourriez attendre d’un traitement car elle ne tient pas compte de votre risque de base de développer la maladie sans traitement.

Ce qui importe pour chacun d’entre nous c’est de savoir ce que le traitement ou vaccin peut nous apporter à titre personnel. Pour cela il faut donc connaître la valeur de « Réduction du Risque Absolu ».

Le Risque Absolu : c’est votre propre probabilité initiale de développer une maladie comme un cancer, une maladie cardiovasculaire…ou le Covid-19 si vous êtes infectés par le Sars-Cov-2.  Il faut donc connaître son risque personnel (en %) de développer ladite maladie sans traitement et d’y soustraire la valeur de « réduction du risque absolu » (en %) provenant des essais cliniques.

  • C’est cette valeur que nous avons besoin de connaître pour pouvoir prendre une décision éclairée sur les bénéfices d’un traitement par rapport aux risques d’effets secondaires encourus à titre personnel.

Mais cette valeur de « réduction du risque absolu » est toujours beaucoup plus faible que la valeur de « réduction du risque relatif » et n’est donc pas assez sexy pour vendre de nouveaux produits faits à la va vite. C’est pour cette raison que les labos préfèrent utiliser la valeur de Réduction du Risque Relatif et non pas la valeur de Réduction du Risque Absolu.

Un exemple simple d’essai clinique pour illustrer (Ref.1) :

(Ref.1) https://www.mdpi.com/1648-9144/57/3/199

Vous comprendrez donc aisément pourquoi les labos utilisent la valeur de Réduction du Risque Relatif et non pas Absolu !

Cette donnée de réduction du risque relatif est utilisée pour le marketing et la propagande car elle exagère le bénéfice réel attendu. En revanche, ces mêmes labos utilisent la valeur de Réduction du Risque Absolu pour minimiser l’importance des effets secondaires !

Pour les personnes qui doivent décider de prendre ou non un traitement ou un vaccin, les médecins doivent leur donner la valeur de Réduction du Risque Absolu afin qu’ils puissent évaluer le bénéfice REEL qu’ils peuvent en espérer.  C’est la base du consentement éclairé !

Effectuons à présent l’exercice avec les vaccins de Pfizer et Moderna en utilisant les données des essais cliniques. Pour cela il nous faut quelques formules mathématiques (Ref.2):

(Ref.2) https://bestpractice.bmj.com/info/toolkit/learn-ebm/how-to-calculate-risk/

Vaccin Pfizer (Ref.3) :

(Ref.3)  https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2034577

Donc si vous êtes jeune avec un risque proche de 0% de faire une forme grave de la maladie Covid-19, prendriez-vous le vaccin pour une réduction de ce risque de 0.71% avec tous les effets secondaires graves voire mortels ? Même avec un risque de faire une forme grave de 30% qu’est-ce que ces 0.71% vont-ils bien pouvoir changer pour vous ? Posons-nous la question !

Un autre paramètre est aussi très important : c’est ce qu’on appelle le NNT qui est le nombre de personnes qui doivent être vaccinées, pour qu’une seule personne puisse avoir un bénéfice du vaccin.

Dans le cas du vaccin de Pfizer : NNT = 1 / ARR = 1 / 0.0071 = 141.

Cela veut dire que sur les 141 personnes vaccinées avec Pfizer, 140 personnes vont prendre le risque des effets secondaires sans en tirer aucun bénéfice !

Prendrez-vous ce risque ?

Surprise du chef : les données israéliennes confirment bien la réduction du risque relatif RRR de 94% mais pour ce qui est de la réduction du risque absolu dans la « vraie vie (masqués et distanciés) » ils tombent à ARR = 0.46%, donc pire que les 0.71% !!! Dans ce cas il faudra vacciner NNT = 1 / 0.0046 = 217 personnes pour qu’1 seule ait le bénéfice du vaccin soit 1.5 fois plus que les données de l’essai clinique. Mais les « experts » se sont bien gardés de s’étendre sur ce paramètre.
 

Au tour du vaccin Moderna (Ref.4) :

(Ref.4) https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/nejmoa2035389

Dans le cas du vaccin de Moderna : NNT = 1 / ARR = 1 / 0.011 = 91.

Il faudra donc vacciner 91 personnes pour qu’une seule en tire les bénéfices. Les 90 autres auront pris le risque des effets secondaires, voire de mourir sans aucun bénéfice !

Voilà donc les données complètes pour les vaccins Pfizer et Moderna qui sont sensés sauver le monde !

Dans la règlementation de mise sur le marché de la FDA (Ref.5), il est notifié que les labos doivent mettre toutes ces données à disposition du public afin que tout un chacun puisse évaluer les risques et les avantages basés sur des preuves et d’éclairer le consentement.

“ Fournir les risques absolus, pas uniquement les risques relatifs. Les patients sont indûment influencés lorsque les informations sur les risques sont présentées en utilisant une approche d’évaluation du risque relatif ; cela peut entraîner des décisions sous-optimales. Ainsi un format de risque absolu doit être utilisé »

(Ref.5) : P60. https://www.fda.gov/media/81597/download + https://www.fda.gov/about-fda/reports/communicating-risks-and-benefits-evidence-based-users-guide

2.          Provide absolute risks, not just relative risks. Patients are unduly influenced when risk information is presented using a relative risk approach; this can result in suboptimal decisions. Thus, an absolute risk format should be used.

Etrangement ni la FDA, ni l’EMA ne l’ont exigé pour ces vaccins… et au contraire elles n’insistent que sur le bénéfice basé sur l’évaluation de la Réduction du Risque RELATIF ! Omettre de donner toutes les infos au public pour permettre le consentement éclairé est non seulement malhonnête mais dangereux.

Un exemple de publicité « présentant », sans le dire, les données de réduction du risque relatif et absolu sur l’affiche (Ref.6) : il s’agit du blockbuster de Pfizer Atorvastatine « Lipitor – US ou Tahor – FR » qui est une statine permettant d’abaisser les taux de cholestérol et de triglycérides circulant dans le sang. 

L’affiche présente en gros la réduction du risque de faire une crise cardiaque en prenant ce médicament :  – 36%. Mais il s’agit de la Réduction du Risque Relatif et non pas du Risque Absolu. Pour trouver la Réduction du Risque Absolu, il faut suivre l’astérisque :

Ce médicament a permis à Pfizer d’engranger des bénéfices records pendant plus d’une décennie : US$ 130 milliards !

(Ref.6) : https://www.healthnewsreview.org/toolkit/tips-for-understanding-studies/number-needed-to-treat/

Comment est-ce possible que nos autorités sanitaires, nos ministres et autres médecins de plateau peuvent nous raconter que ces vaccins série spéciale Covid-19 fonctionnent, que leur bénéfice est supérieur au risque, qu’ils vont nous sortir de la crise avec de telles données ?

Comment peuvent-ils envisager de faire vacciner les personnes non à risque ou encore les enfants alors que ces vaccins ne leur seront non seulement d’aucun bénéfice mais que les effets secondaires, parfois mortels, sont eux bien réels et s’accumulent jour après jour… et bien sûr sans connaître les effets secondaires à long terme !

Pourtant certains rétorqueront que la vaccination fonctionne en citant les exemples en Israël et en Angleterre, pays dans lesquels il n’y a quasiment plus de morts.

Alors regardons les courbes de mortalité de ces deux pays (Ref.7, 8). Israël et l’Angleterre ont commencé par les plus âgés et plus fragiles : vous pouvez voir une explosion de la mortalité concomitante avec le début de la vaccination, phénomène qui est également observé dans tous les pays qui vaccinent en masse. C’est ce que certains épidémiologistes appellent l’effet « moisson ». Le début de la campagne de vaccination a précipité la mort des plus fragiles.

(Ref.7) : https://www.worldometers.info/coronavirus/country/uk/

(Ref.8) : https://www.worldometers.info/coronavirus/country/israel/

Après cela, il est normal que les courbes de la mortalité baissent comme nous le voyons. Rien de miraculeux !

Les cas d’infection de personnes doublement vaccinées se multiplient partout dans le monde, les personnes vaccinées dans les EHPADs continuent à mourir et personne ne veut regarder la vérité en face. Mais qui sont donc les 300-400 morts que nous avons encore tous les jours en France si les personnes vulnérables sont quasi toutes vaccinées ? Quelle différence avec avant la vaccination ? Pourquoi personne ne pose les bonnes questions mais au contraire, on s’obstine dans cette fuite en avant morbide.

Il y aura donc bien une quatrième vague à l’automne qui emportera les personnes vulnérables, vaccinées ou non, et au lieu de reconnaître l’inutilité et la toxicité de ces thérapies géniques, le narratif est déjà bien rôdé : on prépare les esprits aux nouveaux variants, aux vaccins qui ne seront pas efficaces et au booster dans 6 mois ! Puis il y aura l’abonnement annuel chez Pfizer. Et le plus cynique c’est que c’est le PDG de Pfizer lui-même qui annonce la suite (Ref.9) !

(Ref.9) : https://www.latribune.fr/economie/international/une-troisieme-dose-du-vaccin-pfizer-probablement-necessaire-selon-son-pdg-882539.html

Comment en est-on arrivé là ? Difficile de rationaliser cette folie furieuse qui va laisser des gens malades, infirmes ou morts alors que cette maladie ne leur aurait rien fait. Mais quelle société peut accepter et encourager cela ??? Quelle société qui a déjà fait tant de mal à ses plus jeunes envisage aujourd’hui de les mettre encore plus en danger avec des thérapies géniques dont on ne sait rien sur les effets secondaires à long terme ?

Et pour arriver à leurs fins, les dirigeants européens avancent avec le passeport sanitaire et le passeport vaccinal. Ils maintiennent la population dans la trouille pour l’empêcher de réfléchir.

Nous serons nombreux à nous en souvenir….et ils rendront des comptes !

Auteur(s): Marceau, pour FranceSoir




Le tableau de bord de CoVaxx-19 : Saignements, caillots sanguins et tout le reste

[Source : reseauinternational.net]

par Mike Whitney.

« Nous avons maintenant suffisamment de preuves pour établir une corrélation claire entre l’augmentation des décès dus au Covid et les campagnes de vaccination. Il ne s’agit pas d’une coïncidence. C’est un effet malheureux et involontaire des vaccins. Nous ne devons pas fermer les yeux et prétendre que cela ne se produit pas. Nous devons cesser immédiatement toute administration de vaccins Covid, avant de créer une véritable pandémie que nous ne pourrons pas maîtriser… »

Dr. Janci Lindsay, Ph.D.

Pourquoi quelqu’un se laisserait-il injecter une substance dont les effets indésirables à long terme sont totalement inconnus ?

C’est extrêmement dangereux. Et pourtant, des millions de personnes dans le monde ont déjà été inoculées avec une concoction hybride qui n’a pas été approuvée par la FDA, qui n’a pas respecté les mêmes normes rigoureuses de sécurité que les vaccins précédents, et qui est largement plus mortelle que n’importe quel vaccin des temps modernes.

Pourquoi ? Pourquoi tant de personnes se soumettent-elles à cette expérience ?

C’est un mystère, n’est-ce pas ?

La génération actuelle de vaccins Covid-19 n’a pas été testée de manière adéquate, n’a pas terminé les essais de phase 3 et n’est pas sûre. Et nous ne parlons pas ici des effets à « court terme » non plus. Aussi tragiques que soient les récents décès et blessures, ils ne sont rien en comparaison de la montagne de carnage à laquelle nous pourrions assister dans un avenir proche, lorsque les victimes du vaccin découvriront que leur système immunitaire compromis n’est plus capable de combattre de nouvelles infections ou des souches sauvages du virus. Ce même phénomène est apparu il y a des années lors d’essais sur des animaux où l’on a injecté à des furets un sérum expérimental qui les aidait à développer une « réponse anticorps durable » à l’infection. Malheureusement, lorsque les furets ont été exposés au virus sauvage un peu plus tard, ils sont tous morts. Chacun d’entre eux est mort.

Est-ce là notre avenir ? Est-ce à cela que nous devons nous attendre dans quelques années, lorsque les infections respiratoires de routine et la grippe saisonnière balayeront le pays, laissant des millions de personnes gravement malades ou mortes ?

Certes, les vaccins semblent procurer une certaine immunité temporaire, mais à quel prix ? Avez-vous parcouru les rapports sur les effets indésirables ou réfléchi à la possibilité que ces injections puissent causer des ravages à long terme sur votre système vasculaire, votre cœur ou vos capacités cognitives ? Les détracteurs des vaccins mettent généralement l’accent sur la longue liste des blessures et des décès liés aux vaccins, mais c’est une erreur. Ce ne sont pas les décès et les blessures qui ont déjà eu lieu, mais l’océan de morbidité auquel nous pourrions être confrontés à l’avenir, lorsque les maladies à incubation plus longue commenceront à émerger, submergeant le système de santé publique à bout de souffle et laissant de nombreuses personnes se débrouiller seules.

Un tel scénario est-il seulement possible ?

Oui, c’est possible, peut-être même probable.

Avez-vous la moindre idée de ce que font ces vaccins une fois qu’ils sont dans votre corps ? Réalisez-vous que la substance entre dans votre circulation sanguine et se propage partout, y compris dans votre cerveau ? Réalisez-vous les dangers que cela représente pour votre santé globale et votre survie ? Le professeur Sucharit Bhakdi, M.D., a produit un certain nombre de vidéos qui expliquent la biologie de base de l’inoculation en relation avec ces nouvelles injections à base de gènes. Toute personne qui envisage de se faire vacciner devrait tenir compte de ce qu’il a à dire :

« Le vaccin entre dans votre système sanguin… Vous mettez un gène viral dans votre système sanguin et il va circuler… Or, votre système sanguin est un système fermé de tuyaux. Une fois que ces paquets sont dans la circulation sanguine, ces millions de paquets du gène, ne sortiront jamais, car ils sont piégés. Et les principales cellules dans lesquelles ils entreront, seront celles qui tapissent les vaisseaux sanguins… Ces cellules tapissent les vaisseaux sanguins de tout votre corps et de tous vos organes …

Ces cellules assimilent le gène et commencent à produire la protéine spike (qui va étendre sa pointe dans la circulation sanguine – illustration) En même temps, la protéine crée des déchets… Donc il y a maintenant la protéine spike et il y a des déchets. … La protéine spike a la capacité d’attirer les plaquettes qui créent la coagulation du sang. Dès que les plaquettes entrent en contact avec la protéine spike, elles sont activées et commencent à coaguler le sang …

Malheureusement, il existe un autre type de cellules qui viennent voir les ordures. Ces cellules sont les lymphocytes tueurs, et ces lymphocytes tueurs sont programmés pour voir les déchets des virus et tuer les cellules qui créent le virus et qui tapissent les parois de vos vaisseaux sanguins. Cela peut se produire n’importe où (dans le corps.) …

Nous allons découvrir lesquelles de vos cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins vont prendre ces paquets et les produire (protéines spike et déchets) afin qu’elles soient attaquées par votre propre système immunitaire et détruites …
.
(Alors) Quel est le premier symptôme que les gens présentent après la vaccination ? Des maux de tête, n’est-ce pas ? Maux de tête, nausées, vertiges, douleurs musculaires, perte de contrôle moteur etc… Je me suis demandé quel était le dénominateur commun entre tous ces symptômes ? …

Nous avions prédit qu’il y aurait des événements thrombotiques très graves… en particulier le mal de tête intense qui est le signe typique que le sang coagule dans les veines du cerveau. …Toute formation de caillot dans le cerveau est potentiellement mortelle. Et, si vous avez des caillots dans les jambes, ils deviennent des embolies pulmonaires qui peuvent également vous tuer …

Et lorsque ces facteurs de coagulation (plaquettes) sont épuisés, les gens peuvent saigner. Pourquoi les gens ne pensent-ils pas à cela ? »

« Interview avec le professeur Sucharit Bhakdi, M.D. sur le vaccin Covid », New American : Commencez à la minute 18.

Résumons : Le vaccin est inséré dans un muscle du bras, mais le liquide passe rapidement dans la circulation sanguine où il est piégé. Une fois dans la circulation sanguine, il est pris en charge (absorbé) par la fine couche de cellules qui tapisse les vaisseaux sanguins (endothéliales). Les cellules qui ont été pénétrées par la substance commencent à produire de la protéine spike et des déchets. La protéine spike active les plaquettes, ce qui déclenche la formation de caillots sanguins qui peuvent bloquer la circulation du sang vers les organes vitaux. En même temps, la surutilisation des plaquettes – qui aident à coaguler le sang – peut entraîner des hémorragies internes excessives. Ces conditions apparemment contradictoires – la coagulation et les saignements – ont attiré l’attention de plus en plus de chercheurs, comme le Dr Mike Williams, qui s’exprimait ainsi dans un article récent intitulé : « La coagulation et la “science” du vaccin Covid ». En voici un extrait :

« En fait, nous sommes confrontés à deux problèmes opposés : la thrombose, qui forme un caillot pouvant bloquer un vaisseau apportant du sang à un organe, et la thrombocytopénie, qui réduit le nombre de plaquettes nécessaires à la formation d’un caillot et provoque un saignement, c’est-à-dire une hémorragie. L’un ou l’autre de ces problèmes peut être très difficile à gérer et extrêmement dangereux, voire mortel pour le patient – mais avoir les deux en même temps ! …

La thrombose et la thrombocytopénie combinées liées à la vaccination Covid sont considérées comme quelque chose de nouveau et de très rare, et si la coagulation se produit dans un organe vital… eh bien, nous en voyons les résultats : des jeunes qui ne devraient pas mourir, meurent »

« Clotting and Covid Vaccine “Science” », UK Column

En effet, « des jeunes gens ne devraient pas mourir », mais ils meurent parce qu’on leur a injecté une substance qui les a probablement tués. Quelqu’un réfute-t-il cette affirmation ? Et les problèmes d’hémorragie et de coagulation ne sont que deux des problèmes liés à ces injections. Il y a aussi les « déchets » dont parle Bhakdi. Ces déchets attirent les lymphocytes tueurs, des globules blancs qui sont aussi l’un des principaux types de cellules immunitaires de l’organisme. Ces lymphocytes attaquent les cellules de la paroi des vaisseaux sanguins, ce qui endommage le système vasculaire et les organes vitaux. Par définition, c’est le signe d’une maladie auto-immune dans laquelle un système immunitaire hyper-stimulé et hyper-agressif attaque votre propre corps. Voici d’autres extraits de l’article du Dr Williams :

« Si nous devions nous fier aux nouvelles grand public et aux rapports gouvernementaux, nous pourrions être amenés à croire que les problèmes de coagulation avec les vaccins Covid étaient tout à fait inattendus et rares. Pourtant, les premières mises en garde contre le trouble de la coagulation d’Astrazeneca ont été lancées… Bien plus d’une décennie auparavant, pour être précis… En 2007, un document de recherche l’a exposé très clairement :

Des cas de thrombocytopénie ont été régulièrement signalés après l’administration de vecteurs adénoviraux de transfert de gènes… On savait en 2007 que le même vecteur utilisé pour de nombreux vaccins Covid provoquait systématiquement des cas de thrombocytopénie. En septembre 2020, un autre article a été publié « SARS-CoV-2 binds platelet ACE2 to enhance thrombosis in COVID-19 » (Le SARS-CoV-2 se lie à l’ACE2 des plaquettes pour favoriser la thrombose dans le COVID-19), qui soulignait un problème avec le SARS-CoV-2(([1] En d’autres termes, les compagnies pharmaceutiques sont au courant des problèmes de coagulation et de saignement depuis 2007)):

“Le SRAS-CoV-2 et sa protéine Spike ont directement stimulé les plaquettes pour faciliter la libération de facteurs de coagulation, la sécrétion de facteurs inflammatoires et la formation d’agrégats leucocytes-plaquettes” …

Cet article identifie une protéine spike comme facteur causal de la coagulation. Et, bien sûr, c’est une protéine spike qui est produite par la plupart des vaccins Covid. Les régulateurs auraient dû tirer la sonnette d’alarme, mais rien n’a été fait… Ils ont brillamment démontré que dans les petits vaisseaux sanguins, la protéine spike, à elle seule, peut induire la coagulation en se fixant dans divers tissus …

L’élément clé de cet article concernant les vaccins Covid est que la protéine spike, dépourvue d’ARN viral, se déplace jusqu’au cerveau et provoque la coagulation. Encore une fois, au cas où vous auriez besoin de le rappeler : les vaccins Covid produisent cette protéine spike …

Un autre article de Nuovo et al, intitulé « Endothelial cell damage is the central part of COVID-19 » (L’endommagement des cellules endothéliales est la partie centrale du COVID-19) …

En d’autres termes, il existe des preuves accablantes que la protéine spike du SRAS-CoV-2 (qui est également produite synthétiquement par les vaccins Covid) est un élément central des mécanismes de morbidité et de mortalité du SRAS-CoV-2, et constitue donc également un risque du vaccin. En ce qui concerne la coagulation, ce risque est plus important si vous recevez un vaccin …

Les données démontrent clairement que la dernière chose à faire est de fabriquer un vaccin qui produit une protéine spike. Comme la littérature l’a clairement montré, cela causerait des dommages importants, notamment des caillots cérébraux et la mort. Et cette littérature, pour la plupart, était disponible avant la diffusion des vaccins Covid au public »

« Clotting and Covid Vaccine “Science” », Dr Mike Williams, UK Column

Vous voyez le tableau ?

En d’autres termes, les chercheurs savent depuis longtemps que ces types de protéines produisent des problèmes de coagulation, de saignement et d’auto-immunité, qui sont précisément les problèmes que nous observons actuellement. C’est pourquoi nous pensons que notre principal sujet de préoccupation ne devrait pas être les effets indésirables et les blessures à court terme, mais le profil de sécurité à long terme. En bref, quelle est la probabilité que les millions de personnes qui ont reçu ces injections soient gravement atteintes par ces pathologies à l’avenir ? Nous devons le savoir.

Maintenant, regardez cet extrait d’une lettre ouverte de Doctors for Covid Ethics à l’Agence européenne des Médicaments (EMA) datée du 1er avril 2021 :

« Nos préoccupations découlent de multiples sources de preuves, notamment le fait que la « protéine spike » du SRAS-CoV-2 n’est pas une protéine d’arrimage passive, mais que sa production est susceptible d’initier la coagulation sanguine par de multiples mécanismes… la thrombose veineuse cérébrale, est toujours une condition qui met la vie en danger et qui exige une attention médicale immédiate. Le nombre de cas que vous avez concédé s’être produits peut ne représenter que la partie émergée d’un énorme iceberg. Comme vous devez le savoir, les symptômes les plus courants de la thrombose veineuse cérébrale sont des maux de tête aigus, une vision floue, des nausées et des vomissements. Dans les cas graves, des symptômes semblables à ceux d’un accident vasculaire cérébral apparaissent, notamment des troubles de la parole, de la vision et de l’audition, un engourdissement du corps, une faiblesse, une baisse de la vigilance et une perte de contrôle moteur. Vous n’êtes certainement pas sans savoir que d’innombrables personnes ont souffert précisément de ces symptômes directement après avoir été « vaccinées » avec tous les agents expérimentaux à base de gènes » …

La formation de caillots dans les veines profondes des jambes peut entraîner des embolies pulmonaires mortelles. Vous devez certainement savoir que des thromboses veineuses périphériques ont été signalées à plusieurs reprises après des « vaccinations » avec tous les agents expérimentaux à base de gènes …

Étant donné qu’il existe une explication mécaniquement plausible pour ces effets indésirables thromboemboliques, à savoir que les produits à base de gènes incitent les cellules humaines à fabriquer une protéine spike potentiellement pro-thrombotique, l’hypothèse raisonnée et responsable doit maintenant être que cela peut être un effet de classe. En d’autres termes, les dangers doivent être écartés pour tous les vaccins à base de gènes autorisés en urgence, et pas seulement pour le produit AZ »

« Open Letter to the EMA from Doctors for Covid Ethics », Doctors for Covid Ethics

En résumé : La coagulation du sang, les embolies pulmonaires, la destruction des plaquettes, la diathèse hémorragique et les saignements sont tous liés à la production de protéines spike, le même type de protéines que les vaccins entraînent vos cellules à produire. Naturellement, l’action responsable à ce stade serait de mettre fin immédiatement à la campagne de vaccination de masse jusqu’à ce que ces questions puissent être résolues et que la sécurité des patients puisse être garantie. Mais ne retenez pas votre souffle, car cela ne se produira pas.

La Dr Janci Chunn Lindsay, biologiste moléculaire et toxicologue, est arrivée à la même conclusion dans un commentaire public qu’elle a adressé au CDC. Voici un extrait de sa déclaration :

« Au milieu des années 1990, j’ai contribué au développement d’un vaccin contraceptif humain temporaire qui a fini par provoquer une destruction ovarienne auto-immune involontaire et la stérilité chez les modèles d’expérimentation animale. Malgré les efforts déployés pour éviter cela et les analyses de séquences qui ne le prévoyaient pas. Je suis fermement convaincu que tous les vaccins de thérapie génique doivent être arrêtés immédiatement en raison de problèmes de sécurité sur plusieurs fronts …

Premièrement, il y a une raison crédible de croire que les vaccins Covid auront une réaction croisée avec la syncytine et les protéines reproductrices dans le sperme, les ovules et le placenta, ce qui entraînera une altération de la fertilité et des résultats reproductifs et gestationnels …

Nous avons vu 100 pertes de grossesse signalées dans le VAERS en date du 9 avril. Et il y a eu des rapports sur l’altération de la spermatogenèse et des résultats placentaires à la fois dans les modèles animaux d’infection naturelle, de vaccination et de knock-out de la syncytine qui présentent une pathologie placentaire similaire, impliquant un rôle de médiation de la syncytine dans ces résultats… De plus, nous avons entendu parler de multiples rapports d’irrégularités des règles chez les personnes vaccinées. Ces cas doivent être étudiés …

Nous ne pouvons tout simplement pas administrer ces [vaccins] à nos enfants, qui présentent un risque de 0,002% de mortalité due au Covid, s’ils sont infectés, ou à toute autre personne en âge de procréer, sans mener une enquête approfondie sur cette question …

Si nous le faisons, nous pourrions potentiellement stériliser une génération entière. La spéculation selon laquelle cela ne se produira pas et quelques rapports anecdotiques de grossesses dans le cadre de l’essai ne sont pas une preuve suffisante que cela n’a pas d’impact à l’échelle de la population …

Deuxièmement, toutes les thérapies géniques [les vaccins Covid] provoquent des coagulopathies (coagulation). Ce n’est pas isolé à un fabricant. Et ce n’est pas isolé à un groupe d’âge. Nous constatons des décès par coagulopathie chez de jeunes adultes en bonne santé, sans comorbidité secondaire …

Il y a des principes mécanistes d’avant et d’arrière garde pour expliquer pourquoi cela se produit. L’infection naturelle est connue pour provoquer une coagulopathie due à la protéine spike. Tous les vaccins de thérapie génique incitent l’organisme à fabriquer la protéine spike …

La protéine spike incubée avec du sang humain in vitro a également provoqué le développement de caillots sanguins résistants à la fibrinolyse. La protéine spike provoque des événements thrombocytaires, qui ne peuvent être résolus par des moyens naturels. Et tous les vaccins doivent être arrêtés dans l’espoir qu’ils puissent être reformulés pour se prémunir contre cet effet indésirable …

Nous avons maintenant suffisamment de preuves pour établir une corrélation claire entre l’augmentation des décès dus au Covid et les campagnes de vaccination. Il ne s’agit pas d’une coïncidence. C’est un effet malheureux et involontaire des vaccins. Nous ne pouvons tout simplement pas fermer les yeux et prétendre que cela ne se produit pas. Nous devons arrêter immédiatement toute administration de vaccins Covid, avant de créer une véritable pandémie que nous ne pourrons pas maîtriser… »

« Halt Covid Vaccine, Prominent Scientist Tells CDC », jennifermargulis.ne

C’est un bon conseil, mais est-ce que quelqu’un l’écoute ?

source : https://www.unz.com

traduit par Réseau International




Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr) via reseauinternational.net]

Précédemment, sur cv19.fr, étaient publiés les articles de Stefan Lanka traitant du coronavirus, critiquant les fondements scientifiques de ce qui nous a amenés à la crise que nous vivons actuellement.

Il était décrit en détail les procédés et méthodes utilisés par les virologues pour définir et caractériser un virus, l’histoire de cette science et la manière de la réfuter.

Stefan Lanka a commencé ces expériences et a déjà montré un aperçu de la première étape le 21 avril 2021 dans une conférence vidéo.

Ces expériences témoins consistent à appliquer les méthodes utilisées par les virologues sans utiliser de tissus infectieux, pour démontrer que les résultats obtenus avec ou sans tissus infectieux donnent les mêmes résultats pour l’isolation du virus, les images en microscopie électronique et le séquençage génétique.



Il dévoile dans cette vidéo la première étape des expériences témoins destinées à réfuter la virologie concernant l’isolation du virus, démontrant que sans tissus infectieux, on observe une mort cellulaire due aux procédés utilisés et non par le fait d’un virus.

Ce n’est pas une surprise, car il avait déjà conduit ces expériences pour le virus de la rougeole au cours d’un procès en Allemagne, démontrant qu’il n’existait pas de preuves de l’existence d’un virus responsable de la rougeole, ce qui avait suffi à l’époque pour gagner l’affaire. Dans cette nouvelle expérience, Lanka va plus loin en ajoutant deux étapes, en utilisant le microscope électronique pour démontrer que les particules observées ne sont pas différentes entre un tissu infectieux et non-infectieux et en faisant un séquençage génétique des tissus pour démontrer qu’il est possible d’établir un génome complet de n’importe quel virus grâce aux logiciels et aux méthodes utilisées par les virologues pour construire un génome.

Stefan Lanka avait lancé un appel il y a quelques mois pour financer lui-même une telle expérience, il semble donc qu’une équipe à répondu à son appel, et que les résultats complets de ces expériences témoins seront bientôt publiés.

En attendant, vous pouvez relire ses quatre articles de 2020 (12 et 4 en français), ainsi que l’affaire du procès de la rougeole.

Tous les articles de ce site sur le même thème sont disponibles ici : 
https://cv19.fr/category/theorie/


Vidéo trouvée via 
https://docs.google.com/document/d/17kQC8RKZrFLKwnPhcn1Y81_twJT-XCasclcsnBMJbOw/edit [archive]
qui contient une bonne liste de ressources (en anglais) sur le même sujet.

Également un gros dossier en trois partie sur le même sujet, bien documenté, beaucoup de vidéos (en anglais) :
https://justpaste.it/383×9 [archive] : (Pt 1) Dr. Andrew Kaufman: No Proof SARS-CoV-2 Virus Exists
https://justpaste.it/1ngmb [archive] : (Pt 2) Dr. Andrew Kaufman Proves Fake Virus – Fake PCR Test Panics the World
https://justpaste.it/2cxzd [archive] : (Pt 3) No Proof SARS-Cov-2 Exists – Dr. Tom Cowan/Jon Rappaport

Voir aussi : The end of virology is only a single control experiment away – October 01, 2020 [archive]

Ce qu’ils appellent « virus » ne sont que des fragments d’anciennes cellules
dont il n’a jamais été prouvé qu’elles pouvaient causer quoi que ce soit

[Voir aussi :
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
La théorie des exosomes contre celle des virus
Vaccins: le système immunitaire ne fait plus la différence entre ce qu’il doit rejeter et lui-même
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Covid-19 et Sras-Cov-2 — Les preuves d’une fraude globale ?
5G, virus et covid-19]




Point sur la vaccination en France et probabilité d’évolution

Par Alain Tortosa

Si des enfants vaccinés ne meurent pas, il est à craindre que nous atteignions probablement plus de 70 % de la population française vaccinée avant la fin 2021.

Les plus de 80 ans

(source geodes.santepubliquefrance.fr)

La couverture vaccinale est de 73 % et nous voyons sur la courbe qu’elle montera au plus à 80 %.

Les 75-79 ans

82,6 %, chiffre délirant, et ce n’est pas totalement terminé. On finira probablement à 85 %.

Les 70-74 ans

78,2 % actuellement, et on atteindra aussi probablement les 85 % à terme sauf événements majeurs.

Les 65-69 ans

Ils en sont à 63,5 % de vaccinés. Cette tranche commence à montrer un très léger ralentissement.

En toute logique il est vraisemblable d’atteindre les 80 %, voir les 90 % de vaccinés à terme.

Les 60-64 ans

Ils en sont à 57,2 %, la courbe est très proche des 65-69 ans et atteindra aussi probablement les 80 %.

Les 55-59 ans

Nous sommes là dans une tranche d’âges qui est très très peu concernée par la maladie et pourtant…

Ils ne sont « qu’à » 36 % de vaccinés, mais la courbe semble prendre une tournure exponentielle. Il demeure difficile de faire du prévisionnel, mais étant donné la progression, il est impossible qu’elle s’oriente immédiatement vers une tendance logarithmique. Une vaccination à 80 % à terme de cette tranche d’âges n’aurait strictement rien de délirant.

Les 40-49 ans

Nous sommes en plein dans une tranche où les personnes en bonne santé ne sont pas concernées.

16 % des 40-49 ans sont déjà vaccinés, ce qui est peu, mais aussi énorme, car officiellement cette tranche d’âges n’est pas, jusqu’à présent, dans les publics ciblés. 463 847 personnels de santés de 40-49 ans sont vaccinés sur un total de 1,4 million de vaccinés dans la tranche d’âges, ils représentent un peu moins d’un tiers des vaccinés de 40 à 49 ans. La couverture vaccinale des personnels de santé tous âges est de 90 % et devrait atteindre 95 %. Mais il est très difficile de prédire la couverture vaccinale des 40-49 ans à ce jour. Il est juste possible de dire qu’elle semble être exponentielle, qu’elle n’a pas fléchi, alors même que la vaccination des personnels de santé est quasi terminée et donc la demande reste forte.

Les autres tranches d’âges

Plus on descend en âge et moins il y a de vaccinés ce qui peut sembler logique. Difficile aussi d’avoir un jugement sur l’évolution à long terme de la couverture vaccinale étant donné que l’échelle actuelle est graduée par 0,5 % pour les 18-24 ans et 1 % pour les moins de 40 ans. De fait l’exponentielle visible est trompeuse.

Que conclure avec le peu d’éléments à notre disposition ?

La vaccination pour les plus de 70 ans est un succès colossal totalement inattendu pour ma part. Le chantage, la volonté d’appartenance sociale, les mensonges et la peur du virus ont marqué.

Pour les 60-65 ans c’est plus nuancé, car on voit déjà un léger fléchissement pour autant il n’a débuté qu’à 55 % de couverture vaccinale alors même que le fléchissement a débuté à 61 % pour les plus de 70 ans soit seulement 6 % de moins et donc à un niveau très élevé. Je vous rappelle que les 60-65 ans en bonne santé ne sont pas un public particulièrement à risque et d’autant moins si les traitements n’étaient pas interdits.

Alors les « jeunes » vont-ils se vacciner en masse par « solidarité » et pour « retrouver leurs libertés » selon les injonctions de la propagande ?

C’est très possible, voire même fort possible…

Même si la population générale n’est pas la même que celle des soignants et ne subit pas les mêmes chantages, on peut voir que ceux-ci (les jeunes soignants) se sont massivement vaccinés. Ils devraient quand même savoir que leur risque de faire des formes graves ou de décéder est NUL ! Et ils devraient savoir qu’il n’existe pas de preuve que les vaccinés empêchent la contamination des personnes à risque. Ils devraient aussi savoir que la vaccination favorise les variants… Bref, ils devraient, si nous ne vivions pas une des périodes les plus obscurantistes de notre histoire, digne de l’inquisition, être la catégorie de la société la moins vaccinée ! Or à ce jour 90 % des soignants sont officiellement vaccinés ! Si ce chiffre est réel, il devrait être de nature à nous paniquer.

Dans ces conditions, pourquoi une jeunesse théoriquement moins informée que les soignants se vaccinerait moins qu’eux ? Et histoire de vous angoisser un peu plus, je vous rappelle qu’en temps normal, les soignants se vaccinent moins contre la grippe que la population générale !

Nous pouvons aussi nous baser sur le comportement de la jeunesse en ce qui concerne les autres mesures. On peut aussi constater qu’elle porte le masque comme un petit soldat même dans des zones où il n’est pas obligatoire. Il n’y qu’à voir les sorties des lycées ou des collèges… Dramatique ! Ils sont aussi massivement absents de la contestation et des manifestations et l’on n’entend pas ou peu de revendications de libertés chez eux. Ils semblent plus préoccupés par l’âge de départ à la retraite que par leurs libertés.

Si nous étions un peu optimistes, nous pourrions dire que de nombreux centres de vaccinations sont vides, mais hélas ce sont généralement des centres AstraZeneca. La manipulation et la désinformation sont telles que le public en est à fuir l’AstraZeneca et réclamer la thérapie génique expérimentale Pfizer « beaucoup plus sûre » à leurs yeux !

Et je vous rappelle que la vaccination des plus de 50 ans n’est ouverte que depuis 3 jours ! Au 10 mai, jour d’ouverture de la vaccination, ils étaient déjà 35 % à être vaccinés chez les 50-59 ans. Nous allons donc probablement assister à une explosion de la vaccination dans cette tranche d’âges s’ils ont accès à Pfizer BioNTech.

Je vais encore passer pour un éternel pessimiste et un oiseau de mauvais augure, mais à la vue des paramètres indiqués il est à parier qu’au moins 70 % des moins de 50 ans vont se faire vacciner et peut-être même plus.

Le public croit au méchant virus, il croit à l’efficacité et à l’innocuité des vaccins et ils sont nombreux à croire que le passeport vaccinal est un passeport pour la liberté…

Mon seul espoir, et une fois de plus je vais passer pour un monstre, est que la vérité sur les morts sorte enfin et que des enfants français en pleine santé décèdent ! Sans cette horreur, la vaccination des jeunes et le passeport vaccinal seront probablement couronnés de succès. Tabler sur une vaccination de la population française de plus de 70 % avant la fin de l’année 2021 n’a rien de délirant et il pourra y avoir alors une accélération massive du passeport vaccinal après les futures vagues qui sont probablement déjà programmées. Et comme les vaccins favorisent les variants, la poule aux œufs d’or n’est pas prête de disparaître.

Fasse que je me trompe et que je dise n’importe quoi, mais à ce jour les événements passés me donnent raison. Réveillons la population !

Merci.

Alain Tortosa.

13 mai 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210513-evolution-vaccination.pdf




Sous nos yeux, le suicide de l’Union Européenne, des institutions, et de tous les politiques qui prônent la vaccination anti-covid

Par Alain Nicolaï

« Celui qui ne fait pas la différence entre le bien et le mal
n’est pas un homme »
*

Combien de temps faut-il pour élaborer un vaccin?

Photo: Données: Potkins’s Vaccines et FDA

Dans le contexte actuel, le développement suit un paradigme complètement différent. D’abord, les phases d’essais cliniques s’enchaînent à une vitesse inédite. Ensuite, les compagnies pharmaceutiques consacrent tous leurs efforts pour trouver un vaccin contre la COVID-19, tandis qu’elles se penchent habituellement sur plusieurs maladies en parallèle. Des usines sont préparées pour la production industrielle des milliards de doses nécessaires, même si on ne sait pas encore quel type de vaccin va fonctionner. Du côté de la recherche universitaire, les cordons de la bourse des subventions se sont déliés et permettent aux scientifiques d’engager plus d’assistants et d’acheter du meilleur matériel. Pour sa part, Santé Canada a déjà indiqué qu’il s’efforçait d’accélérer les demandes d’essais cliniques pour les vaccins candidats contre la COVID-19. On peut également parier que les organismes régulateurs vont tout faire pour rapidement boucler l’homologation finale. En temps normal, cette étape peut parfois être très longue: il a fallu 11 ans pour que la FDA approuve le vaccin contre la varicelle, aux États-Unis.

Vaccin contre le coronavirus : sprinter un marathon

PAR ALEXIS RIOPEL ET ANTOINE BÉLAND

Le coup de départ a été donné le 10 janvier, quand des chercheurs chinois et australiens ont publié en ligne le génome du mystérieux virus surgissant à Wuhan. Le fil d’arrivée, c’est le début de la distribution à grande échelle d’un vaccin contre le SRAS-CoV-2. D’ici là, tous espèrent voir une équipe courir ce marathon à la vitesse d’un sprinteur. Le Devoir vous propose un aperçu visuel de cette course historique.

L’élaboration d’un vaccin s’échelonne habituellement sur 10 à 15 ans. Le vaccin développé le plus rapidement, celui contre Ebola, a exigé cinq ans d’efforts. Pour mettre un terme à la pandémie de COVID-19, un échéancier encore plus rapide, de l’ordre de 18 mois, est envisagé.

Voyons d’abord quelles sont les étapes du développement traditionnel d’un vaccin. Les durées indiquées le sont à titre indicatif seulement.

Recherche universitaire et études précliniques

D’abord, les scientifiques déterminent la séquence génétique du virus. Ils tentent de comprendre quels anticorps sont efficaces pour s’en prémunir. Ils conçoivent une ébauche de vaccin, qu’ils testent sur des animaux.

Études cliniques

Ensuite, les chercheurs passent aux essais cliniques sur des humains.

Phase I / On administre le vaccin candidat à quelques dizaines de volontaires en bonne santé afin de s’assurer qu’il n’est pas dangereux. On détermine la dose idéale, qui déclenche une bonne réaction immunitaire sans produire d’effets secondaires.

Phase II / On tente de confirmer la sécurité du vaccin en le donnant à quelques centaines de volontaires représentatifs de la population qu’on veut protéger. Les volontaires appartiennent à différents groupes d’âge et leur état de santé varie.

Phase III / On évalue finalement l’efficacité du vaccin pour protéger de la maladie infectieuse en l’administrant à des milliers de personnes. Cette phase se déroule dans le contexte « naturel » de la maladie.

Fabrication

En parallèle au développement, la compagnie doit préparer une usine pour le vaccin. Puisque ces installations coûtent des centaines de millions de dollars, les investisseurs attendent habituellement que les essais cliniques soient bien avancés avant d’accorder leur financement.

Homologation

Finalement, les organismes régulateurs, comme Santé Canada ou la FDA aux États-Unis, révisent les études avant d’homologuer le vaccin. Ils peuvent demander des travaux supplémentaires en cas de doutes. Le processus peut être long : il a fallu 11 ans pour que la FDA approuve le vaccin contre la varicelle.

Réaliste ?

Ainsi, la durée de 18 mois souvent évoquée par les gouvernements apparaît assez audacieuse.

« Quand on parle d’un à deux ans, il faut savoir que c’est extrêmement rapide pour le développement d’un vaccin », souligne le virologue Alain Lamarre, de l’Institut national de la recherche scientifique.

Durée variable

Plusieurs facteurs entrent en ligne de compte lorsqu’il s’agit de développer un vaccin : le financement, bien sûr, ainsi que l’évolution des connaissances scientifiques, mais aussi le type de maladie et ses répercussions à court et long terme sur la santé publique.

Certains virus sont toujours orphelins de vaccins, même des décennies après qu’ils aient été identifiés. L’absence d’un vaccin contre le VIH est un des exemples les plus utilisés pour illustrer les difficulté de la démarche.Recherche universitaire2 ansÉtudes précliniques2,5 ansÉtudes cliniques de phase I6 moisÉtudes cliniques de phase II2 ansÉtudes cliniques de phase III1 anFabrication6 ansHomologation1 an015 ans18 moisObjectif de la créationd’un vaccin contre la COVID-1915 ansVaricelle30 ansInfluenza30 ansVirus du papillome humain16 ansRotavirus16 ansVaccins pédiatriques combinés12 ansEbola5 ansVaccin contre la COVID-1918 mois

Textes par Alexis Riopel. Visualisations de données et développement par Antoine Béland. Design par Cédric Gagnon.

Commentaire : à la lecture de ce qui précède il est très facile de constater que l’élaboration des vaccins anti covid19, faite ici en 18 mois, a battu tous les records de vitesse de l’histoire. Très étrange, non ?!


Les vaccins sont expérimentaux

Par Dr Gérard Delépine

Dans une « fast check » [Note : non pas “fact check” qui signifierait “vérification de faits”, mais “fast check” pour “vérification rapide” ou hâtive.] du 11 mars 2021, Juliette Mansour et l’AFP nous accusent de diffuser de fausses informations. Cet article trompeur se contente d’affirmer les croyances de la pensée unique du politiquement correct, sans rapporter les faits établis, car ils confirmeraient nos dires. Nous fournissons ici les preuves de leurs erreurs.

Non, les essais phase trois des vaccins ne sont pas terminés ! Il suffit de consulter le site « clinical trials.gov » pour le vérifier

Juliette Mansour et l’AFP prétendent que « cette dernière phase [phase 3] avant la mise sur le marché, qui se déroule sur des milliers de volontaires, est bien terminée pour les quatre vaccins homologués. » Cette affirmation est totalement fausse !

Pour connaître l’état d’avancement d’un essai, il suffit de se référer au site américain officiel « clinical trials.gov[1] » chargé de les lister. En l’interrogeant par Internet (vous pouvez le faire en français) vous obtiendrez les mentions : aucune étude phase 3 terminée.

En poursuivant la lecture de ce site, vous pourrez lire que la phase 3 du vaccin Pfizer, essai plus avancé que ceux de ses concurrents, se poursuit selon le schéma prévu avec une première analyse provisoire prévue en août 2021, et la fin de l’essai espérée en janvier 2023, soit dans à peu près deux ans.

L’essai phase 3 de Pfizer est donc loin d’être terminé ! Et il en est de même avec tous autres vaccins covid actuels.

Pour le vaccin Astra Zeneca, second dans l’avancement des essais phase 3, la fin de l’essai phase 3 est prévue en février 2023 :

Pour le Janssen, l’essai ne se terminera pas avant 2024 :

Malheureusement la journaliste de l’Agence France presse n’a pas pris le temps de vérifier ces faits indiscutables, avant de prétendre que les essais phase 3 étaient terminés ! Les écoles actuelles de journalistes ne leur apprendraient-elles plus à enquêter ?

Les publications des résultats cliniques définitifs des phase 3 n’existent pas

Juliette Mansour aurait pu aussi s’étonner de l’absence de publications détaillant les résultats cliniques définitifs des essais phase 3 chez l‘homme en les recherchant dans cette même base bibliographique « clinical trials.gov » dans chaque essai, ou dans « PubMed »[2] qui recensent les articles médicaux publiés dans la littérature internationale.

Interrogée le 14/3/2021 avec les mots clefs « Covid vaccine trials Results ». PubMed listait 26 articles dont aucun ne rapporte de résultats définitifs d’un quelconque essai phase 3 de vaccin Covid. La vérification est facile pour tous, l’accès PubMed étant libre et possible en français. Alors pourquoi Juliette Mansour n’en a pas pris le temps ?

Avant de publier sa tribune mensongère, nocive pour les citoyens crédules, elle aurait aussi pu nous interroger sur nos sources et nous demander ces preuves que nous lui aurions volontiers fournies. Mais au lieu de confronter les opinions dans un débat contradictoire honnête, elle a choisi le camp des corona terroristes trahissant ainsi l’éthique des journalistes qui doivent se comporter en observateurs impartiaux.

Mais où sont passés les journalismes d’investigation d’antan ?

Nous réaffirmons que les essais n’ont pas été conduits correctement et surtout ne sont pas terminés

Jusqu’à la crise COVID-19, un essai vaccinal suivait un parcours long nécessitant de nombreuses années, avant d’arriver à la commercialisation. Il comprenait de multiples phases aux objectifs précis avant de passer à la suivante, chaque étape apportant des informations nécessaires à la conception de la suivante.

Beaucoup de candidats-vaccins étaient abandonnés (comme pour le Sida où deux candidats ont été éliminés, car ils augmentaient paradoxalement le risque d’attraper la maladie). Rappelons-en schématiquement le parcours habituel qui nécessitait de 9 à 12 ans (en moyenne 10) cette lenteur étant indispensable à la sécurité.

Essais précliniques

Depuis le code de Nuremberg (1947), les essais sur l’homme doivent être précédés d’expériences sur les animaux. Cette étape indispensable ne préjuge pas des résultats chez l’homme, mais permet d’éliminer des médicaments très toxiques et de préciser les organes susceptibles d’en souffrir. Prétextant l’urgence de la crise actuelle ou le manque d’animaux adéquats[3], le développement très rapide de plusieurs vaccins anticovid n’a été possible que parce que de nombreuses expériences animales ont été ignorées.

La presse anglo-saxonne l’a souvent dénoncé en titrant que les protocoles de certains essais “sautaient” cette phase, sans que l’AFP ni les médias hexagonaux les relaient. D’autres tests animaliers ont été abrégés ou effectués simultanément, voire après les essais sur l’humain. Ainsi les vaccins de la société pharmaceutique allemande BioNTech et de la société américaine Moderna ont été testés sur des singes seulement après avoir été injectés à des sujets humains.

Cette étape préclinique animalière est pourtant importante pour la sécurité : ce sont les essais sur des animaux qui ont mis en évidence le risque d’anticorps facilitants des candidats vaccins contre les précédents coronavirus SARS et MERS.

 Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline a été abandonné à cause de cette complication. Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV spike protéine, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essais de vaccins contre le coronavirus du Mers, les lapins développent des anticorps, mais leur pathologie pulmonaire est aggravée. Ces complications inattendues ont conduit au rejet des candidats vaccins contre les précédents coronavirus et sont peut-être aussi responsables de l’accroissement de mortalité constatée juste après le début des campagnes de vaccination dans les pays qui se sont érigés en champions de celle-ci.

Les essais cliniques humains bien faits sont indispensables à la sécurité

Les essais thérapeutiques nécessaires à l’obtention de l’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) chez l’homme comprennent schématiquement trois phases successives, les conclusions de chaque phase permettant d’optimiser la suivante.

La phase I porte sur quelques dizaines de volontaires a pour objectif de déterminer la toxicité du candidat-vaccin chez l’homme à court terme et la réponse immunitaire en mesurant les anticorps générés par le vaccin. 

La phase II nécessite quelques centaines de malades et dure en moyenne un à quatre ans. Elle doit confirmer les résultats précédents (tolérance et innocuité du candidat-vaccin, réponse immunitaire), mais son but principal est de déterminer la dose optimale et le schéma d’administration le plus efficace, de vérifier si le vaccin procure bien une protection durable contre l’infection et s’il empêche la transmission du virus.

La phase III visant à préciser l’efficacité et les risques sur un groupe représentatif de la population cible dure de trois à cinq ans. Les essais portent sur des milliers, de personnes pour évaluer le rapport bénéfices/risques du vaccin à court et moyen terme. Ces études permettent de préciser les conditions et les précautions d’emploi du vaccin et constituent le document (sous le terme d’étude pivot) le plus attendu du dossier de la demande d’Autorisation de Mise sur le Marché soumis à l’agence du médicament.

La phase IV appelée aussi pharmacovigilance commence avec la commercialisation du vaccin ou du médicament (ici avancée). 

Laboratoires fabricants, patients et médecins sont invités à déclarer à l’ANSM, agence française du médicament, des effets secondaires non signalés. Mais l’expérience des scandales sanitaires récents montre que la pharmacovigilance française est tout à fait insuffisante et les sous-déclarations considérables.

Les insuffisances majeures des essais des vaccins anticovid menacent la sécurité sanitaire

Absence ou diminution considérable des essais sur les animaux

Regroupement des phases, I et II ou II et III, ne permettant pas d’utiliser les résultats de la phase précédente pour concevoir convenablement la phase suivante.

Durée de suivi des sujets des essais totalement insuffisante (en moyenne 2-3 mois lors des évaluations intermédiaires présentées aux agences), ne permettant d’avoir aucune estimation sérieuse, ni sur la durée de l’immunité éventuelle, ni sur les éventuelles complications (les narcolepsies causées par les vaccins antigrippe H1N1 ne sont apparues qu’après plusieurs mois).

Autorisation de mise sur le marché transitoire « conditionnelle accordée alors que les résultats définitifs des essais phase III ne sont ni obtenus, ni publiés, et que la durée insuffisante de leur suivi ne permet pas d’estimer leurs complications à moyen terme.

Personnes âgées à forte comorbidité trop peu représentées dans les essais alors qu’elles constitueraient l’indication préférentielle d’un vaccin qui serait efficace et sûr.

Critères de jugement non pertinents

 Le but d’un vaccin est de diminuer la mortalité et de supprimer la transmission de la maladie dans la population. Or le critère de mortalité a été négligé par les firmes et le critère de contamination souvent réduit à la positivité de tests PCR seuls dont la non-fiabilité est maintenant reconnue unanimement (être positif au test PCR ne signifie pas être porteur du virus entier, ni malade, ni contagieux)

Aussi, lorsque l’Agence nationale du médicament prétend que : “l’AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients“, elle nous rappelle tristement les affirmations de l’agence de sécurité nucléaire sur le nuage de Tchernobyl ou ses dénégations répétées dans l’affaire du médiator (entre autres …).

Présentation biaisée des résultats provisoires

Un avis du BMJ[4] souligne que Pfizer / BioNTech et Moderna ont signalé la réduction du risque relatif de leurs vaccins en donnant des chiffres supérieurs à 90%, mais les fabricants n’ont pas signalé de réduction du risque absolu correspondante, qui « semble être inférieure à 1% ».

L’insuffisance des essais est d’autant plus critiquable que certains vaccins utilisent des techniques totalement nouvelles

Les vaccins conçus par Pasteur injectent des antigènes spécifiques de la maladie pour susciter la création d’anticorps neutralisants spécifiques qui protègent de l’affection. Pour abaisser les coûts de production en diminuant les quantités d’antigènes spécifiques, les firmes ont rajouté des adjuvants (tels que l’aluminium) stimulant la réponse immunitaire non spécifique dont le rôle dans l’augmentation des maladies allergiques et auto-immunes est fortement suspecté, mais ils restent des vaccins au sens pasteurien.

Les produits Pfizer, Moderna et Astra Zeneca et Janssen qui sont des médicaments nouveaux, ne contiennent pas d’antigènes, mais des produits génétiques (ARN messager, virus vecteurs pour Astra Zeneca) destinés à en faire fabriquer par notre propre corps en donnant des ordres à nos cellules.

OUI, les vaccins ARN messagers exposent au risque de modifier notre ADN

On sait depuis une cinquantaine d’années, que jusqu’à 10% de notre patrimoine génétique est d’origine virale.  Une partie de ces 10% provient de rétrovirus, mais pas la totalité évoquant la possibilité d’une inclusion dans l’ADN de mécanismes différents pour l’instant inconnus.

Introduire un ARNm ou un virus dans nos cellules, comme dans les autres thérapies géniques expose donc à un risque potentiel de modifier à terme notre ADN et constitue une technique dont la sécurité génétique n’a pas été évaluée, car plusieurs décennies seraient nécessaires pour en avoir le cœur net. Ces pseudo vaccins-thérapies géniques, dont la technique n’a jamais été utilisée auparavant pour un vaccin exposent donc à des risques non maîtrisés, en opposition totale avec le principe de précaution.

Nos contradicteurscités par l’AFP ont oublié de citer leurs liens d’intérêts avec les firmes vaccinales. Certaines de leurs affirmations telles que « le vaccin à ARN reste localement, il ne va pas se promener partout dans vos testicules, qui sont un sanctuaire immunologique et on n’a jamais vacciné quelqu’un dans les testicules » frisent le ridicule, car personne ne peut un instant croire qu’un médicament à ARN injecté dans l’organisme ne va pas circuler dans l’ensemble du corps qu’il est censé protéger. Par la circulation sanguine, il se répand partout comme les antibiotiques, les hormones, l’oxygène, le glucose…et ce médicament ne serait pas véhiculé par le sang jusqu’aux testicules ?

Oui : les vaccins mis actuellement sur le marché sont expérimentaux

Tant que les résultats définitifs et complets des essais phase III n’ont pas été analysés et publiés, l’utilisation d’un vaccin ou d’un médicament est expérimentale.

Les campagnes de vaccination en cours dans le monde constituent des essais phase III, simultanés de la phase IV qui a été instaurée par l’attribution d’AMM conditionnelle, en totale contradiction avec le schéma traditionnel des essais qui doivent respecter la hiérarchie des phases.

Le caractère expérimental de la vaccination actuelle se reflète d’ailleurs dans la fréquence très inhabituelle des complications observées après vaccination entraînant des alertes des agences sanitaires et la suspension de la vaccination dans de très nombreux pays.

Alerte de l’agence norvégienne après 28 morts post vaccinales chez des vieillards, abandon du vaccin Astra Zeneca par l’Afrique du Sud pour inefficacité, arrêt de l’utilisation de ce même vaccin par l’Autriche, abandon de ce même vaccin pour les plus de 65 ans en France et en Allemagne, puis suspension de l’utilisation de ce même vaccin dans la majorité pays européens après plusieurs décès post vaccinaux par phlébites et embolie.

Même chez les jeunes adultes qui ne risquent guère du Covid19, les vaccins sont suivis de complications comme le confirme l’alerte de l’agence française du médicament demandant ne pas vacciner en même temps les soignants d’une même équipe hospitalière pour éviter que de trop nombreux arrêts de travail empêchent la poursuite des activités[5] [6] [7], la suspension de la vaccination des pompiers dans les bouches du Rhône[8] après un arrêt cardiaque survenu 48 heures après vaccination…

OUI la vaccination est suivie de nombreux morts et incidents majeurs

Ne pouvant pas contester les chiffres d’Eudravigilance de 2500 morts survenues après vaccination, l’AFP avance l’absence de preuve de liens de causalité.

Pourtant lorsqu’une personne entre à l’hôpital pour une maladie cardiaque ou un cancer en phase critique et qu’elle meurt après un test PCR de dépistage positif, la cause de la mort est systématiquement étiquetée Cocid19 même si aucun signe clinque ou autopsique ne le suggère. Présomption de culpabilité en cas de test Covid19 positif.

Mais si un décès succède à une vaccination, il est systématiquement attribué à autre chose par les Agences. Présomption d’innocence en cas de vaccination anti covid.

Dans un jugement du 26 juin 2017, le tribunal européen de Luxembourg[9] a statué :

en cas de complication post vaccinale grave

« même en l’absence de consensus scientifique, les juges nationaux peuvent s’appuyer sur certains éléments de fait invoqués par le demandeur »

et ces éléments, s’ils constituent des « indices graves, précis et concordants » peuvent permettre « de conclure à l’existence d’un défaut du vaccin et à celle d’un lien de causalité entre ce défaut et ladite maladie ».

Les attendus de ce jugement paraissent ignorer des membres des agences. Ce refus systématique de la responsabilité de la vaccination représente un frein considérable à l’analyse objective des liens éventuels de causalité et à la recherche de cofacteurs qui pourraient éventuellement constituer des contre-indications et constitue la cause principale de la perte de confiance envers la parole publique et de la méfiance croissante envers les vaccinations.

Si les essais avaient été convenablement conçus en incluant un grand nombre de personnes âgées à forte comorbidité et si les témoins avaient reçu de vrais placebos totalement inactifs, les complications des vaccins auraient pu être reconnues et le lien de causalité analysé.

Mais les agences ont accepté des essais biaisés et bâclés, et autorisé l’injection de vaccin à des groupes de personnes pour lesquelles elles ne disposent d’aucune donnée de tolérance. Nous en payons actuellement le prix.

OUI la vaccination a partout été suivie d’une augmentation de la mortalité

Qu’il s’agisse des Émirats Arabes Unis :

D’Israël :

Ou en Grande-Bretagne :

La vaccination, comme tout traitement actif expose à des complications. Celles -ci sont d’autant plus graves qu’elles des touchent des personnes saines et non pas des malades et que pour elle le bénéfice éventuel n’est qu’incertain.

Seule une totale transparence peut rétablir la confiance. Les mensonges et les volte-face répétés du gouvernement et des médias, les mesures inutiles et parfois ridicules, voire grotesques, qu’on nous impose et la censure des opposants ne font qu’aggraver la méfiance.

Si on veut rassembler le pays, il faut changer de politique et arrêter de mentir et cesser la propagande mensongère qu’illustre la tribune de Juliette Mansour et de l’AFP.

Le ministre des Affaires étrangères de Taiwan, Wu avait proclamé fin février[10] :

« la véracité totale des informations sur la maladie et la transparence des motivations des décisions sanitaires sont les meilleures armes dans la lutte contre le Covid19 ».

Pourquoi nos gouvernants et nos médias ne l’ont-ils pas écouté au lieu de suivre l’exemple totalitaire chinois ?


[1] La base de données sur les résultats du ClinicalTrials.gov a été créée en septembre 2008 pour mettre en œuvre l’article 801 de la Food and Drug Administration Amendments Act of 2007 (FDAAA) (PDF), qui exige la présentation de « résultats de base » pour certains essais cliniques, généralement au plus tard un an après leur date d’achèvement (voir date d’achèvement primaire le ClinicalTrials.gov).

[2] Principal moteur de recherche de données bibliographiques de la biologie et de la médecine. PubMed est gratuit et donne accès à la base de données bibliographique MEDLINE.

[3] « Nous ne trouvons plus de macaques rhésus. Ils ont complètement disparu », témoigne ainsi Mark Lewis, PDG de Bioqual, sur le site américain the Atlantic.

[4] Ronald B. Brown Biais de déclaration des résultats dans les essais cliniques sur le vaccin à ARNm COVID-19 – Medicina 2021, 57 (3), 199 ;
https://doi.org/10.3390/medicina57030199

[5] France Info Vaccins Astra Zeneca : 149 soignants vaccinés ont présenté des “syndromes grippaux de forte intensité” après leur injection d’après l’ANSM 5/2/2021
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/vaccins-astrazeneca-149-soignants-vaccines-ont-presente-des-syndromes-grippaux-de-forte-intensite-apres-leur-injection-ansm_4293231.html[]

[6] FR3 Normandie Pourquoi l’hôpital de Saint-Lô a-t-il suspendu la vaccination des soignants par le vaccin Astra Zeneca ? 12/2/2021

[7] FR3 Normandie Vaccin Astra Zeneca : près de Rouen, des soignants inquiets après leur première injection Sur les 20 soignants de l’établissement hospitalier vaccinés durant la semaine, sept ont présenté d’importants effets secondaires qui ont mené à des arrêts maladie. Cela représente 30% du nombre de personnes ayant reçu une dose du sérum Astra Zeneca.

[8] par le Colonel Grégory Allione, Président de la Fédération Nationale des Sapeurs-Pompiers de France[]

[9] https://www.village-justice.com/articles/cjue-tranche-question-admission-preuve-par-presomption-defaut-vaccin-son-lien,26650.html

[10] Victor (Lin) Pu L’épidémie de coronavirus : comment Taiwan démocratique a surpassé la Chine autoritaire
le Diplomat 27 février 2020


Texte Dr Gérard Delepine.

Commentaire : à la lecture de ce qui précède, il est très facile de constater que les vaccins actuellement disponibles en Europe sont incontestablement en phase III, la phase d’expérimentation sur des cobayes.


Question

À la suite, nous pourrions continuer en présentant de très nombreuses études faites récemment par des scientifiques reconnus, démontrant la nocivité de ces soi-disant vaccins, mais nous préférons dans cet article nous arrêter sur un point précis en posant une question très simple.

Avant la « vaccination » anticovid, il avait fallu cinq ans pour élaborer et tester le vaccin contre le virus Ebola dont la mise sur le marché a été la plus rapide. Cinq ans, notamment pour avoir le temps d’effectuer les essais sur les animaux et les tests cliniques qui sont indispensables.

Comment peut-on donc définir, en étant sûr de ne pas se tromper, les personnes qui ne savent pas qu’un vaccin ne s’élabore pas en moins d’un an, mais en plusieurs années ?

Ce sont des ignorants.


Conclusion

Il n’est pas nécessaire d’être un grand clerc pour comprendre que cette crise a fait ressortir au grand jour – au minimum – la nullité crasse de ceux qui poussent aujourd’hui à la vaccination, qu’ils soient des politiques ou non.

Il en résulte que, issues du monde politique, des médias, ou de la santé, tous ceux qui incitent les gens à se faire vacciner sont désormais complètement discrédités. Ils ne méritent plus du tout notre confiance, définitivement plus !!!!

C’est la première fois dans l’histoire, que d’une manière aussi flagrante et massive, se dévoile aux yeux des gens sensés un tel degré d’ineptie.

En conséquence, déjà en ce qui concerne plus particulièrement les politiques, il est grand temps de se débarrasser rapidement de tous ces individus qui ont montré leurs limites, atteint et révélé – pour le moins – leur niveau d’incompétence à l’occasion de la crise sanitaire.

C’est à tout cela que nous songerons, quand nous mettrons notre bulletin de vote en papier dans une urne classique lors des prochaines élections.

Il est en effet hors de question, après ce qui s’est passé aux USA, de nous faire voter par l’intermédiaire de machines électroniques. Pour défendre les valeurs démocratiques, s’ils osent cependant nous les proposer, nous préférons les brûler.

Il est maintenant grand temps, pour les êtres éclairés, de passer à l’action et d’envisager sérieusement à reprendre légitimement les pouvoirs que des individus dominateurs et sans conscience ne méritent pas de détenir.

Un magnifique exemple à suivre étant celui de la doctoresse et députée Martine Wonner, puisse-t-elle faire de très nombreux enfants…


La convergence des vices cachés de l’Union Européenne va la couler définitivement

Pour ne pas lasser le lecteur nous nous limiterons à six.


L’Union Européenne coulée par l’objectivité




Les militaires français font-ils tache d’huile ? États-Unis : 124 généraux et amiraux à la retraite signent une lettre contre l’administration Biden

[Source : RT en français]

[Photo : © Eduardo Munoz
Source: Reuters
Militaire américain lors d’une cérémonie à New York en 2017]

États-Unis : 124 généraux et amiraux à la retraite signent une lettre contre l’administration Biden

Plus de 120 hauts gradés à la retraite américains qui remettent en doute l’élection de 2020 ont signé une lettre au vitriol contre l’administration Biden et les démocrates qu’ils jugent infiltrés par des «marxistes et des socialistes».

La crise migratoire, le processus électoral, la censure, la Chine, l’Iran, les émeutiers et la santé mentale du président Biden… tout y passe. 124 généraux et amiraux à la retraite ont apposé leur signature à une lettre ouverte rendue publique le 10 mai, lançant aux Américains un appel à défendre leur «survie en tant que République constitutionnelle», contre le «socialisme, le marxisme et le progressisme» qui se seraient selon eux infiltrés aux plus hauts sommets de l’État via le parti démocrate.

Ces officiers se sont réunis sous l’appellation Flag officer 4 america et sont pour beaucoup à la retraite depuis des années, voire des décennies, comme le note Politico. L’un d’entre eux, le général Donald Bolduc, a annoncé sa candidature aux élections sénatoriales de 2022 contre la sénatrice démocrate du New-Hampshire Maggie Hassan. 

«Sous le Congrès démocrate et l’administration actuelle, notre pays a pris un tournant à gauche brutal vers le socialisme et une forme marxiste de gouvernement tyrannique qui doit être contré maintenant», dénoncent-il, appelant la population à élire des parlementaires et des candidats à la présidence qui agiront toujours pour défendre la «République constitutionnelle». 

«Le conflit oppose les partisans du socialisme et du marxisme aux partisans des libertés constitutionnelles», lit-on encore. La cible des officiers : l’administration Biden arrivée au pouvoir après une élection survenues dans des conditions qu’ils critiquent. «L’intégrité électorale exige de s’assurer qu’il y a une voix légale exprimée et comptée par citoyen», disent-ils, reprenant les arguments d’une partie du camp Trump qui a contesté le résultat de l’élection américaine de 2020.

Les officiers demandent un contrôle plus minutieux des identités des votants, reprenant une autre demande de Donald Trump mainte fois formulée pendant la campagne. L’argument avait été balayé par ses adversaires qui avaient accusé ces revendications de pénaliser les votants issus des minorités. «Utiliser des termes raciaux pour supprimer les preuves d’éligibilités [à apporter pour voter] est en soi une tactique d’intimidation tyrannique», rétorquent les anciens militaires. 

Inquiétudes sur la santé physique et mentale de Joe Biden

Autre cible des généraux et amiraux, la dérive «dictatoriale» du nouveau gouvernement «avec plus de 50 décrets exécutifs rapidement signés» et des attaques jugées contraires aux libertés telles que les «confinements excessifs, les fermetures d’écoles et d’entreprises et, le plus alarmant, la censure de l’expression écrite et verbale». Les généraux appellent à voter pour des personnalités politiques qui défendront «tous les Américains en particulier la classe moyenne», opposée dans le texte aux «groupes d’intérêts ou extrémistes utilisés pour nous diviser en factions belligérantes». 

Le courrier liste ensuite plusieurs griefs sur les points clés des premiers mois de Joe Biden aux affaires, comme le rapport des Etats-Unis à l’Iran et à la Chine (qualifiée de «plus grande menace extérieure») ou encore l’oléoduc Keystone XL (entre les Etats-Unis et le Canada), accusé d’«éliminer [l’]indépendance énergétique [du pays]». 

Les militaires émettent aussi des doutes sur la santé physique et mentale du président, un point là encore maintes fois agité par Donald Trump pour discréditer Joe Biden. «[Joe Biden] doit être capable de prendre rapidement des décisions précises en matière de sécurité nationale impliquant la vie et l’intégrité physique n’importe où, de jour comme de nuit», notent-ils. Il veulent aussi mettre fin à l’«infusion corrosive du politiquement correct dans [l’]armée qui endommage la morale et la cohésion au combat». 

Interrogé par Politico, un des généraux à l’origine du texte, Joe Arbuckle, a justifié cette entrée tonitruante des militaires dans le débat public par la situation «désastreuse» dans laquelle se trouverait selon lui le pays. Pour cet officier, vétéran de la guerre du Vietnam à la retraite depuis l’an 2000, ces militaires agissent dans le cadre de leur serment de «soutenir et de défendre la Constitution des États-Unis contre tous les ennemis, étrangers et nationaux». «Nous sommes confrontés à des menaces plus grandes qu’à tout autre moment depuis la création de notre pays», a-t-il encore déclaré, attribuant cette situation, outre la question de la Chine, aux positions politiques et agissements de son «propre gouvernement». 

« Nous sommes confrontés à des menaces plus grandes qu’à tout autre moment depuis la création de notre pays »

Politico note la concordance de cette publication avec la polémiques soulevées en France par la tribune des généraux de fin avril, sans qu’il soit possible de savoir si les officiers américains se sont inspirés de cette initiative. Le courrier s’est en tout cas attiré les foudres de militaires, éditorialistes et commentateurs favorables au gouvernement en place qui les ont accusés de faire échos aux allégations jugées mensongères de fraudes électorales de Donald Trump, et d’avoir rompu leur devoir de réserve en s’ingérant dans les affaires politiques.

D’autres détracteurs des officiers ont fait valoir qu’aucun des généraux quatre étoiles (les plus hauts gradés) à la retraite n’avait signé le texte, ce qui tendrait à prouver que ces officiers sont marginaux au sein de l’armée. Comme en France, il a été aussi avancé que la plupart de ces officiers étaient à la retraite depuis de nombreuses années, ce qui tendrait à prouver qu’ils ne sont pas représentatifs de l’armée actuelle. 




Un putsch sans soldats

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

À l’heure où la « lettre des généraux » ébranle le Pouvoir qui s’imaginait s’appuyer sur la léthargie ou la niaiserie des militaires, il est bon de rappeler que le général Henri Roure écrivait une autre lettre, le 27 mai 2017, quelques jours à peine après le putsch sans soldat de Macron (publiée dans le magazine suisse Arrêt sur info).
Nous relayons volontiers cette lettre qui vient conforter celles qui circulent en ce moment au sein des Armées.

L’élection présidentielle, qui a amené M. Macron à la présidence, est le fruit vénéneux d’un déni de démocratie.

Il s’agit d’une spoliation, résultat d’un rejet masqué de l’idéal démocratique. La manipulation vient de loin. Elle est probablement la forme la plus élaborée du coup d’État car elle ne refuse pas le principe des élections sur lequel repose l’expression de la volonté populaire, mais, sciemment – j’allais écrire scientifiquement – elle pervertit, oriente, sculpte l’opinion publique. Elle repose sur l’énorme puissance d’un système qui a l’ambition de s’imposer au monde, à commencer par ce que nous appelons, aujourd’hui, improprement, l’Occident. Ses moyens sont, à l’évidence, considérables.

Nous sommes confrontés à un monstre que certains ont baptisé l’internationalisme financier, ou l’ultralibéralisme, mais qui, en tout état de cause, est intimement lié à la puissance étatsunienne. Il s’agit de l’avatar le plus ingénieux de l’impérialisme étatsunien relayé par son allié fidèle l’Union Européenne.

La vraie démocratie est trop dangereuse pour la finance internationale, car elle peut amener au Pouvoir des personnes véritablement choisies par le Peuple avec des idées aussi saugrenues que la défense des intérêts nationaux, la patrie, la protection sociale, la morale, l’éducation et la culture, le service public ou encore l’État de droit. Ce risque ne peut être accepté quand il s’agit de globaliser ou plus exactement d’américaniser et de subordonner les Peuples au puissant réseau politico-bancaire piloté par Washington. Il est donc nécessaire de tendre vers une pensée unique.

Difficile cependant de s’affranchir des élections… Dès lors il faut les truquer à l’aide de la désinformation aboutissant à la manipulation de l’opinion publique ; c’est tellement plus simple et moins risqué puisque le Système est propriétaire des médias et des instituts de sondage et peut s’appuyer sur quelques dirigeants, intellectuels ou bobos, bien placés et convaincus. Il ne faut pas s’étonner, ainsi, de l’assassinat politique de François Fillon, dont le programme trop judicieux et national pouvait éloigner la France de cette subordination. L’astuce fut de l’accuser de ce que l’immense majorité des parlementaires fait, en toute légalité, mais qui, pour lui, fut présenté, dans un acharnement médiatique sans limite, comme de la corruption. Aucun journaliste ne s’éleva pour regarder les faits avec objectivité. Et pour cause, tous dépendent du Système…

Aude Lancelin, ancienne rédactrice en chef adjointe de l’Obs le dit clairement : « L’ensemble des médias est sous la coupe du CAC 40 ».
En association avec eux quelques juges haineux trop liés à un Pouvoir désireux de se survivre à lui même et intimement impliqué dans le réseau.

La suite se présentait d’évidence. Face à un éclatement consommé des partis traditionnels, résultat de primaires inspirées de la vision étatsunienne de la sélection des candidats et inadaptées à la culture politique française, un inconnu, issu directement du milieu bancaire, et présentant l’image de la nouveauté, pu être propulsé dans le pseudo débat. Le Système, alors, n’a même pas cherché à se dissimuler sous les atours d’une apparente objectivité. Les médias aux ordres n’eurent qu’à relayer l’habituelle hystérie anti Front National en utilisant tous les vieux procédés passant de l’association d’images aux citations hors contexte et à l’insinuation. Il fallait faire « barrage » sans que quiconque sache vraiment pourquoi, ou, plus justement, de crainte que le constat devienne trop clair que ce parti avait récupéré les idées gaullistes, imprudemment abandonnées par la droite classique.

Le matraquage, cette fois, fit l’éloge du néophyte et, toute honte bue, ceux qui auraient dû rester neutres ou au moins discrets, affirmèrent péremptoirement qu’il fallait voter pour lui.

Libération Votez Macron 6-7 mai 2017

Nice Provence Info aime bien cette une de Libération qui en dit long avec quelques mots seulement

Preuve suprême de cet internationalisme bien loin d’être prolétarien, l’étatsunien Obama apporta bruyamment son soutien, Merkel de même et l’inénarrable Junker donna sa contribution. Des étrangers intervenaient dans une élection française ! Personne n’y vit un scandale…

Dans un panorama politique trafiqué et disloqué, le banquier fut élu

Il le fut avec les voix d’électeurs qui, par opposition, viscérale et entretenue, à l’autre candidat, celui de la négation absolue de ce Système, se sont piégés. Comment faire désormais pour se séparer de celui qu’ils ont, de fait, contribué fortement à porter à la magistrature suprême ?

Ajoutons que l’opération était tellement bien montée que le nouveau président a été élu alors que l’immense majorité du corps électoral lui était, sinon hostile, du moins opposée. Qui le dit ? Regardons les chiffres sous un angle particulier. La participation a été de 74,56% soit 25% d’abstentions. Il y a eu 66% de suffrages exprimés, c’est à dire 34% de nuls ou blancs. Si, à ce chiffre, nous ajoutons les 34% qui ont voté Le Pen, nous constatons que 68% des personnes qui se sont déplacées jusqu’aux urnes n’ont pas voté pour Macron. Dans cette élection nombreux sont ceux qui se sont abstenu par hostilité aux finalistes. En minorant leur nombre parmi les non-votants, nous pouvons les estimer à 6 ou 7%. Ce qui fait un total intermédiaire voisin de 75% qui ont refusé Macron. Si nous ajoutons à ce dernier chiffre ceux qui ont voté Macron par opposition à le Pen, mais pas par adhésion à ses idées, nous aboutissons, probablement, à 85% du corps électoral qui ne soutient pas le nouvel « élu »

Le nouveau président est peut être légal aux termes de la Constitution, mais illégitime au regard de la morale politique. Au bilan, Macron est un usurpateur. En réalité, la démocratie française d’aujourd’hui n’est qu’une dictature qui se déguise. Elle est devenue le pire des régimes comme tous les autres. J’ose espérer que personne parmi ces profiteurs, qui vont suivre Macron, ne proférera la moindre critique sur la façon dont nos amis africains voient la démocratie…

Je ne suis donc pas en opposition mais en résistance, tout en sachant que le combat sera long et difficile. Je débute ma marche…

Général Henri Roure
Secrétaire national pour les questions de défense au CNIP (Centre National des Indépendant et Paysans)




Les thérapies géniques à ARN messager ne sont pas des « vaccins » et peuvent modifier le génome humain ! MàJ

[Mise à jour : ajout du texte suivant]

L’arrivée du vaccin dit à ARN messager de Pfizer, un vaccin à « acide nucléique » premier de son genre, issu des biotechnologies, contre la covid-19, n’a pas été sans susciter de nombreuses questions teintées d’inquiétude. Elles concernent deux points en particulier:

Cet ARN inoculé peut-il se transformer en ADN et intégrer le génome de l’hôte ? Si ce vaccin modifie l’ADN, quels sont les effets potentiels à long terme sur la santé, et ses répercussions sur la descendance ?

Ce sont des questions justes*, que se propose d’explorer Jean-Yves Bilien dans ce reportage qui nous invite à un voyage passionnant au cœur de la biologie moléculaire, guidé par le Dr Tadeusz Nawrocki, spécialiste en la matière et dont les travaux se sont intéressés de très près aux virus à ARN, dont fait partie le SARS-CoV2, responsable de la Covid-19.
Ces questions sont souvent écartées, minimisées, voire moquées par les différents « experts » invités à s’exprimer sur le sujet dans les colonnes des journaux ou sur les plateaux TV.
Mais ils sont formels : il est impossible que l’ARN se transforme en ADN. Le processus suit un chemin précis qui ne peut pas se faire en sens inverse.

Pour nous permettre de comprendre tout ce qui se joue et les implications potentielles sur l’ADN de l’hôte d’un vaccin contenant des petits fragments d’ARN viral, le Dr Tadeusz Nawrocki nous explique en détail le fonctionnement de la biologie moléculaire : l’ADN, l’ARN, les différents ARN, dont le messager, les mécanismes de duplication-transcription-traduction, ainsi que les acteurs en jeu que sont les enzymes. Ce décryptage nous apporte peu à peu cet éclairage nécessaire et salutaire dont nous avons tous besoin, y compris dans le choix du terme ARN messager dont se targue le vaccin de Pfizer, un «abus de langage», une uniformisation de l’appellation, permettant d’occulter des questions gênantes…
Le Dr Nawrocki commence par démonter le paradigme « has been » depuis 40 ans qu’est le dogme central de la biologie moléculaire, énoncé pour la première fois par Francis Crick en 1958, et selon lequel l’ADN produit l’ARN et l’ARN produit la protéine. Une fois que « l’information » est passée par la protéine, elle ne peut plus en sortir. Le mécanisme de la traduction est strictement irréversible, a ajouté Jacques Monod en 1970.

Il n’est ni observé, ni d’ailleurs concevable que de « l’information » soit jamais transférée dans le sens inverse, c’est-à-dire de protéine à ADN. Pourtant la même année, un scientifique américain, Howard Temin (Prix Nobel 1975), faisait la découverte d’une enzyme très particulière : la transcriptase inverse, permettant à certains virus de fonctionner « à l’envers », qu’il appellera de ce fait des rétrovirus : c’est leur ARN qui se transformera en ADN et non l’inverse quand ils infectent une cellule. Quelques mois plus tard le Dr Mirko Beljanski (avec lequel le Dr Nawrocki à collaboré 22 ans) mettait en évidence la transcriptase inverse chez les bactéries. Enfin, la détection de cette enzyme dans les cultures de cellules infectées a permis la découverte du VIH, en 1983.
Donc, ce n’est pas impossible.

Le Dr Nawrocki nous parle avec précision de l’ARN messager et nous explique pourquoi cette appellation est utilisée pour le vaccin. L’ARN messager est en effet le seul à ne pas pouvoir véhiculer une information qui serait transcrite en ADN. La plupart des autres ARN identifiés du cytoplasme savent utiliser les mécanismes décrits pour remonter à l’ADN du noyau, or il ne l’est pas parce que c’est un modèle d’ARN transformant, les ARN transformants déclenchent la réplication de l’ADN, ils sont appelés pour cela ARN amorceurs.
Ainsi, le Dr Nawrocki invite à se poser des questions fondamentales sur la fabrication des vaccins, notamment ceux obtenus par génie génétique, et tout récemment par les ARN dits messagers,
« véritables systèmes OGM », pouvant induire, par exemple, des segments aberrants d’ADN dans les cellules hôtes. Qu’en sera-t-il de cet ADN dégradé ou des fragments d’ARN libérés, qui entraînent autant d’activités incontrôlables, ceci en fonction de notre mimétisme moléculaire HLA spécifique, viral et microbien ?

Enfin, la découverte récente par le bio-informaticien Chase W. Nelson, en octobre 2020, d’un gène mystérieusement caché dans la Covid-19, alors que cela fait des mois que des centaines d’équipes à travers le monde scrutent le génome du coronavirus, sans l’avoir détecté, invite à quelque modestie et surtout beaucoup de prudence aussi bien de la part de la communauté scientifique que des autorités sanitaires.
Ainsi, plutôt que la vaccination, conclut le Dr Nawrocki, il est préférable d’envisager une stratégie d’ensemble. Dans la lutte contre les virus, il faut à la fois entraver le virus lui-même, bloquer sa multiplication, bloquer les enzymes de transcription et/ou d’intégration dans la cellule hôte.
Cette autre orientation thérapeutique existe, élaborée sur la base de substances naturelles et consistant dans l’action conjuguée de trois principes actifs.
Cette mise en bouche étant faite, vous pourrez découvrir, en visionnant ce reportage de Jean-Yves Bilien, les détails des différents rouages pour un jugement éclairé.

* Selon les termes du Dr Doug Corrigan, docteur en biochimie et en biologie moléculaire, cité en ouverture de ce reportage de Jean-Yves Bilien.
Un article de Myriam Marino 22 Mars 2021


[Article initial :]

Emmanuelle Marie Charpentier, prix Nobel de Chimie en 2020 et l’un des inventeurs de l’outil moléculaire Crispr-Cas9 permettant de faciles manipulations génétiques, déclare que leur invention permet la fabrication d’ARN messagers destinés à modifier le génome du receveur.


[Mise à jour : le point de vue mainstream qui voulait que l’ARN messager des vaccins ne puisse pas produire de modifications de l’ADN est rendu caduque par les recherches génétiques récentes ou plus avancées, comme celles du Dr Tadeusz Nawrocki, qui montrent notamment que l’ARN contenu dans ces vaccins n’est pas « messager », mais « transformant ».]




Un collectif international de médecins met en cause la vaccination anti-COVID

[Source : Le courrier des stratèges]

Un collectif international de médecins se constitue progressivement pour contester devant l’OMS les choix majoritairement effectués en matière de lutte contre le COVID. En particulier, ce collectif regrette l’absence de preuves en matière de « tout vaccin » et pointe du doigt, de manière explosive, l’augmentation de la mortalité due à la vaccination. Nous publions aujourd’hui la première version de leur saisine en cours de préparation. Elle a le mérite de synthétiser les points de débat essentiels aujourd’hui sur la gestion du COVID. Nous insistons sur le fait qu’il ne s’agit pas d’un document définitif.

Qu’un collectif international de médecins, de scientifiques, d’avocats, se regroupe pour saisir l’Organisation Mondiale de la Santé à propos de la gestion du COVID est un fait majeur qui devrait susciter des débats dans les semaines à venir. Ce collectif encore anonyme a longuement planché sur un document d’une trentaine de pages étayant ses critiques contre l’absence de fondement scientifique propre à de nombreuses mesures prises pour lutter contre le COVID à travers le monde. 

Un collectif international de médecins dénonce les violations de la constitution de l’OMS

Mise en place en 1946, la constitution de l’OMS énumère un certain nombre d’objectifs et de missions poursuivis par l’organisation. Le collectif énumère les manquements à ces fonctions ou objectifs dans la gestion internationale du COVID. 

En particulier, le collectif considère que la plupart des gouvernements ont agi sans preuve scientifique et sans la rigueur scientifique nécessaire pour justifier les mesures de restrictions aux libertés qu’ils ont imposées. 

La question de la vaccination au centre du débat

Le document accorde une large part à la question de la vaccination et apporte des graphiques troublants sur l’impact réel de la vaccination dans la population. On retrouvera par exemple celui-ci, qui retrace la mortalité du fait du virus :

Dans l’hypothèse où ils se confirmeraient ou se vérifieraient, ils indiqueraient une très forte progression de la mortalité dans les semaines qui suivent le début des campagnes de vaccination, avant que ces chiffres ne retombent. 

Ce graphique mérite une ample discussion, soulignons-le, car il indique une coïncidence de temps, mais n’indique pas le lien direct entre vaccination et hausse de la mortalité. De nombreuses explications sont donc encore à trouver sur cet étrange phénomène. En l’état, nous ne savons pas qui sont les personnes décédées après surcroît après le début des campagnes de vaccination : sont-elles décédées du fait de l’injection ou pas ?

Le collectif demande un débat

L’intérêt de ce document ne tient pas aux réponses qu’il donne, mais au droit qu’il revendique de poser des questions, ce qui reste le propre d’une démarche scientifique. Si cette démarche arrivait à son terme, elle présenterait l’immense intérêt de regrouper les questions que posent aujourd’hui des esprits critiques attachés à la démarche scientifique, et qu’une propagande massive qualifie de « complotistes ». 




Vaccin anti-covid-19, un cadeau empoisonné pour les pays pauvres ?

[Source : francesoir.fr]

Par Dr Gérard Delépine

POINT DE VUE – Alors que la propagande vaccinale mobilise tous les médias avec des appels à offrir les vaccins aux pays pauvres, à donner 25 € au cobaye consentant ou selon les pays et leur niveau de vie un bon d’achat de 5 € ou une bière, l’analyse des premiers résultats montre qu’il s’agit d’un cadeau empoisonné.

À quoi correspond cette soi-disant bonté des pays riches ? Faire semblant de vouloir aider les pays pauvres en suspendant les brevets des vaccins expérimentaux ? Pourtant, leurs effets dramatiques remplissent les pages Facebook, puisqu’ils ne sont pas retransmis pas les médias aux ordres… Cadeau empoisonné sûrement, pour faire mine d’avoir une clientèle potentielle. Pourtant, les pays dits pauvres ont été riches des résultats de leurs traitements anti-covid-19 précoces, méprisés par les pays européens par exemple.

En conséquence, pour la majorité d’entre eux, ces pays pauvres n’ont pas eu de mortalité covid-19, et il est extrêmement intrigant de les voir sombrer dans le drame de la vaccination à outrance. Il serait évidemment important de savoir sous quelles pressions des pays aussi efficaces – pendant l’année 2020 – que la Thaïlande, avec très peu de décès, prennent le risque de ces drames post vaccinaux. On saura peut-être un jour pourquoi…

En tout cas, citons l’exemple de Haïti pour lequel l’OMS voulait jouer les pères Noël plutôt que le Diable.

L’OMS offre le vaccin AstraZeneca à Haïti, qui n’en veut pas

« Bien sûr que non, qui voudrait d’un vaccin dont personne ne veut en Occident ? Les Haïtiens ne sont pas des cobayes, ils savent parfaitement ce qui est bien pour eux ou ne l’est pas. De plus, pourquoi s’aventurer dans une campagne de vaccination expérimentale massive pour à peine 251 morts du covid19 pour une population de 11 millions d’habitants ? »
Selon le quotidien haïtien le Nouvelliste, les autorités sanitaires refusent les doses gratuites du vaccin AstraZeneca contre la covid-19.
Une source anonyme au sein du gouvernement estime qu’à cause de la controverse autour de ce vaccin, la population ne l’acceptera pas.
L’Organisation Mondiale de Santé (OMS) s’apprête à expédier gratuitement 756.000 doses du vaccin AstraZeneca en Haïti.
Selon un article publié dans le quotidien, le Nouvelliste, le 6 avril 2021, les autorités sanitaires d’Haïti ne veulent pas accepter ces doses.
Elles estiment que la population va refuser ce vaccin à cause de la polémique autour du produit, soupçonné de provoquer des caillots de sang.

« Comme c’est un cadeau, ils veulent nous l’imposer. » source anonyme au sein des autorités sanitaires haïtiennes.

Le gouvernement haïtien aurait demandé à l’OMS d’expédier le vaccin unidose fabriqué par Johnson and Johnson qui n’a pas besoin d’être conservé à des températures basses. Informations obtenues par la presse espagnole. C’est l’Agencia EFE, la 4e agence de presse mondiale, qui a publié cette information en exclusivité. Le reportage a été repris par la presse internationale, notamment en République Dominicaine.

QUI RÉCLAME DES VACCINS POUR LES PAYS PAUVRES ? 
LES DIRIGEANTS DES PAYS RICHES ! BIZARRE, NON ?

Rappel des faits avérés à la date du 7 mai 2021 : des signaux d’alerte européens négligés

En Grande-Bretagne

La campagne nationale de vaccination a commencé début décembre 2020. Au 3 mai 2021, un total de 50 297 911 doses de vaccin avait été administré, assurant une couverture vaccinale de la population supérieure à 50%. Les autorités se félicitent du faible taux actuel de nouveaux cas qu’ils attribuent à la vaccination, mais oublient de rappeler les très fortes augmentations de contaminations et de décès observés juste après cette vaccination, avec 32 023 morts en janvier et 17 000 morts en février 2021, les 2 mois records de la mortalité attribuée au covid-19 depuis le début de l’épidémie.

Le recul actuel de l’épidémie en GB pourrait ainsi être en partie la conséquence du « moissonnage » du début d’année qui a fait disparaitre les personnes les plus fragiles et diminué d’autant le nombre des anglais âgés à risque.

Le recul concomitant et général de l’épidémie observé aussi et « en même temps » dans les pays européens peu vaccinés comme les Pays-Bas ou la Suède est évidemment un élément majeur à prendre en compte dans l’évaluation de l’effet « vaccin ».

Le premier ministre B. Johnson ne s’y trompe probablement pas puisqu’il a lancé un grand plan de recherche sur les traitements précoces du covid-19 et promet aux sujets de la Reine des médicaments simples à prendre à domicile à partir de septembre en cas de covid-19 débutant. Adieu le sacro-saint doliprane.

À Monaco

Au 31 décembre 2020, Monaco recensait 3 morts attribuées au covid-19. La vaccination a commencé début janvier 2021. Depuis le nombre de morts covid-19 a été multiplié par 10.

À Gibraltar

Au 8 décembre 2020, après dix mois d’épidémie, Gibraltar recensait 1034 cas confirmés et 5 morts attribuées au covid-19. La vaccination a commencé début décembre comme en Grande-Bretagne.

Depuis lors, le nombre de contaminés a été multiplié par quatre et celui des morts covid-19 par 19.

Mais ces signes d’alerte, comme la nature expérimentale des vaccins anti-covid-19 actuels, ont été cachés par les médias qui ont amplifié leur propagande vaccinale mensongère. 

Dramatique évolution post vaccinale en Mongolie pays jusque-là sans covid-19

Le covid-19 aurait été introduit en Mongolie par un Français travaillant dans le commerce d’uranium. Avant la vaccination, la Mongolie faisant partie des pays presque épargnés par la mortalité covid-19. Au 23 février 2021, elle comptait 2 morts du covid et un total de 2 723 cas positifs depuis le début de l’épidémie. Qu’avait-elle besoin de se lancer dans ce scénario mondial tragique, sans besoin sanitaire évident et sachant qu’il existe des traitements précoces très efficaces et bon marché.

Appliquant les recommandations de l’OMS et avec l’aide du GAVI et de la Chine et quelles pressions (?), elle a vacciné largement sa population à partir du 23 février. Depuis, le nombre de contaminés a été multiplié par 18 et celui des morts par 65 (130 le 6/5/2021).

Malheureux Cambodge

Le covid-19 aurait été introduit dans le pays par un chinois âgé de 60 ans de Wuhan traité, guéri et reparti en Chine avec sa famille. Jusqu’en février 2021, la situation était très satisfaisante avec un taux très faible de contaminés et l’absence de mortalité attribuée au covid-19.  Mais après une rupture de quarantaine d’un nouveau groupe de chinois en visite, la peur (?) a gagné le gouvernement. Officiellement pour protéger la saison touristique qui assure une grande part des ressources du pays, la vaccination a débuté le 24 février 2021 avec un don de vaccins chinois et au premier mai 2021, un total de 2 284 788 doses de vaccin avait été administré.

Mais depuis la vaccination, le nombre de contaminés a explosé passant de 633 le 24/2/2021 à 16 971 le 5 mai et le pays déplore maintenant 110 morts malgré un confinement sévère qui a entraîné des émeutes de la faim durement réprimées.

Et les touristes ne se pressent plus guère pour visiter le pays.

Il faut espérer que les autorités s’inspireront de l’Inde et proposerons rapidement les traitements précoces pour stopper les transmissions et les malades.

La Thaïlande victime de son pari vaccinal : le modèle s’effondre

Avant la vaccination, la Thaïlande, grâce aux contrôles des frontières et aux traitements précoces, faisait partie des nombreux pays affichant un bilan covid-19 satisfaisant avec seulement 25 000 contaminés et 83 morts en un an. Malheureusement, les prudentes réserves du premier ministre concernant le caractère expérimental des vaccins ont été abandonnées en espérant qu’une vaccination généralisée de la population puisse faire revenir les touristes étrangers.

La campagne de vaccination a débuté fin février 2021. Le modèle asiatique s’est effondré et la conformité à la mode mondiale reste peu compréhensible, car ils avaient su résister à la mode du confinement généralisé. Depuis la vaccination, les contaminations et la mortalité ont augmenté fortement. Au 5/5/21 la Thaïlande comptait 74 900 cas (+200%) et 318 morts (+300%). Et d’après le journal Gavroche de Thaïlande, citant le ministre Phiphat Ratchakitprakarn, les espoirs touristiques de 2021 basés sur l’accueil des touristes vaccinés sont en train de s’évanouir.

Pauvres Seychelles, victimes de la propagande vaccinale

Ce petit état africain, qui compte à peu près 100 000 habitants, est pauvre et le tourisme constitue sa principale ressource. Fin décembre 2020, le pays comptait moins de 500 cas confirmés, sans aucun mort, mais avait dû fermer les liaisons aériennes avec les pays infectés. Pour sauver sa prochaine saison touristique et rassurer ses clients potentiels, le gouvernement a décidé de vacciner massivement la population. L’inde et la Chine lui ont fait cadeau de plus de 120 000 doses, qui ont été administrées à partir du 11 janvier 2021. Le 5 mai 2021, il est devenu le pays le plus vacciné au monde avec une couverture vaccinale de 70%.

Mais depuis, les Seychelles font face à une hausse considérable des cas de coronavirus atteignant près de 500 cas journaliers, plusieurs jours de suite en début mai, obligeant ainsi le gouvernement à fermer les écoles, interdire les rassemblements, fermer plus tôt les bars, les casinos.

Avant la vaccination, le pays comptait 500 cas et un mort. Après 4 mois de vaccination, le nombre de contaminations a été multiplié par 12, la mortalité par 28, le pays est confiné et sa saison touristique est fortement compromise.

Le vaccin covid-19 confronté à la réalité

Dans tous les pays pauvres, jusque-là relativement épargnés par le covid-19, les campagnes de vaccination ont été suivies par un accroissement considérable des contaminations et de la mortalité, et leur espoir de rassurer les touristes a été déçu.

Ces constatations rappellent l’importance de disposer de résultats définitifs et d’essais qualitatifs avant de recommander un traitement. Même s’il se fait passer à tort pour un vaccin… La catastrophe sanitaire constatée dans ces pays risque de se transformer sous peu en scandale politique, si nos autorités continuent à nier la réalité et à jouer les bons samaritains en offrant des doses de vaccins aux pays pauvres.




Doit-on avoir peur des personnes vaccinées contre le Covid ? Les non-vaccinés sont-ils menacés ou en danger ?

Par Alain Tortosa

Voilà une question qui doit sembler hautement complotiste pour les paniqués vaccinés adorateurs de l’Église du Coronavirus…

Si notre monde n’avait pas finalisé sa bascule dans une 4e dimension alors je serais peut-être en train de vous parler de la dangerosité potentielle des non-vaccinés.

Encore que la notion de « vaccin solidaire » a toujours fait des bulles dans ma tête au même titre que le « masque solidaire ».

Si un vaccin ou un port du masque est efficace alors le vacciné ou le masqué n’a pas besoin de ma vaccination ou de mon masque pour se protéger.

Et s’il en a besoin, c’est une preuve de leur inefficacité et pourquoi donc devrais-je le protéger en utilisant des moyens inefficaces ?

Enfin je pense que c’est à la médecine de trouver des stratégies à même de protéger les personnes à risque qui ne peuvent pas bénéficier d’un vaccin.

Ici encore il est étrange de mettre au point des thérapeutiques qui ne seraient efficaces que pour les personnes qui n’en ont pas besoin et je demeure définitivement allergique à la notion de délit de bonne santé…

Revenons à ma question et surtout :

Existe-t-il une réponse scientifique autour de la dangerosité potentielle des vaccinés qui ferait « consensus » ou tout du moins une quasi-unanimité ? (Que la réponse soit « oui » ou « non ».)

Tout est fait pour nier la dangerosité des thérapies vaccinales.

Tout est fait pour ignorer l’explosion des cas et des décès dans de nombreux pays qui pratiquent une vaccination massive.

Et surtout une augmentation des cas dans des populations jeunes non concernées par le Covid.

Une modélisation au Royaume-Uni(([1] https://dailyexpose.co.uk/2021/04/11/uk-government-model-states-the-fully-vaccinated-will-dominate-deaths-in-3rd-wave-and-they-will-blame-children-and-unvaccinated-for-it/)) a fait état que 60 à 70% des décès de la future 3e vague seraient des personnes vaccinées.

Comme de bien entendu, la faute en serait imputée aux non-vaccinés et aux enfants comme c’est le cas actuellement dans tous les pays qui pratiquent la vaccination et qui ont une recrudescence de Covid.

Pour en revenir à cette prévision, une fois n’est pas coutume, les médias et les pseudo-scientifiques incompétents ou corrompus n’ont pas manqué de souligner que ceci n’était qu’hypothèse.

Alors quand les modélisations prévoient des centaines de milliers de morts du Covid au Royaume-Uni, c’est évidemment digne d’intérêt, mais une modélisation qui annoncerait plus de décès chez les vaccinés est bien sûr sans valeur aux yeux des médias, même si les auteurs sont les mêmes.

Il demeure néanmoins intéressant de noter, quand bien même les prévisions seraient délirantes, que l’hypothèse d’un surcroît de décès chez les vaccinées est considérée comme plausible dans les milieux « non-complotistes ».

Dans le monde d’avant le Covid, le principe de précaution voulait que l’on s’abstienne en cas de risque ou de doute… mais c’était avant !

Quelles sont les hypothèses sur la dangerosité potentielle des vaccinés pour les non-vaccinés ?

Le sentiment erroné de confiance ?

Les personnes vaccinées peuvent croire, à tort, qu’elles protègent les personnes à risque et il serait d’autant plus possible qu’elles le pensent que la propagande fait croire que cette vaccination est « solidaire »… (ce qui est indispensable pour le business plan).

Une vaccination qui serait à la fois « solidaire », mais qui ne protégerait pas autrui est certainement difficile à appréhender pour un public qui croit ce qu’on lui dit.

Quand bien même les gestes barrières relèvent plus de la patte de lapin que de la science, cette confiance, cette « libération », pourrait se traduire par un certain relâchement qui pourrait donc potentiellement mettre en danger des non-vaccinés.

Il est intéressant de constater que le gouvernement et le Ministre de la Santé sont totalement informés de l’absence d’efficacité des produits appelés « vaccins ».

Ils redoutent de fait le comportement futur des vaccinés qui auraient pu croire les mensonges du gouvernement.

Raisons pour lesquelles vaccinés et non vaccinés ont obligation de respecter les confinements, couvre-feux, port du masque et autres gestes barrières jusqu’à ce que mort nous sépare.

Nous entendons de plus en plus de médias mainstream nous dire que l’immunité de masse sera soit impossible à atteindre, soit ne sera pas de nature à éradiquer notre brave virus dont le métier est de muter pour survivre.

Les variants ?

Il y a d’un côté une réalité observationnelle…

Les variants qui nous « menacent » sont apparus dans des pays qui ont fortement vacciné leur population ou les pays dans lesquels ont été testés les « vaccins ».

Citons par exemple le Royaume-Uni, le Brésil, l’Inde, l’Afrique du Sud,…

Et de l’autre des théories.

Dès lors que l’on vaccine une population, le vaccin sera plus à même de combattre la souche d’origine, d’autant plus que ces faux vaccins ne ciblent que la protéine Spike du virus et non d’autres éléments constitutionnels.

Ce qui les rend extrêmement peu performants et peu « adaptatifs » à la différence de vaccins classiques ou de notre système immunitaire qui est capable de combattre l’infection sur plusieurs fronts et de demeurer efficace pour des variants.

De fait plus vous aurez de mutations sur la protéine Spike et moins la thérapie vaccinale sera efficace.

Les personnes injectées agissent donc comme des filtres à souche initiale et des passoires à mutants.

C’est une des raisons pour lesquelles il est d’usage de ne pas vacciner pas pendant une épidémie.

Des faux vaccins ?

Ces « vaccins », comme ils sont appelés, ne sont pas des vaccins. Vous ne trouverez aucune publication scientifique, aucun médecin qui écriront qu’ils empêchent les personnes à risque de tomber malade, qu’ils préviennent la mortalité et qu’ils vous empêchent d’être contagieux.

Le Conseil d’État(([2] https://www.conseil-etat.fr/actualites/actualites/les-restrictions-de-deplacement-des-personnes-vaccinees-sont-justifiees)) a confirmé grâce aux informations fournies par le Ministre de la Santé, Olivier Véran que les personnes vaccinées étaient potentiellement contagieuses, qu’elles pouvaient attraper le virus et donc qu’elles devaient continuer à porter le masque.

« Bien que la vaccination assure une protection efficace, le juge des référés relève que les personnes vaccinées peuvent être porteuses du virus et contribuer à sa diffusion dans des proportions qui ne sont aujourd’hui pas connues. La levée des restrictions de déplacement pourrait dès lors aggraver le risque de contamination, notamment pour les personnes vulnérables qui sont majoritairement non vaccinées. »

On ne peut être plus clair…

Cela confirme que les personnes vaccinées peuvent (ou sont ?) être génératrices et propagateurs de nouveaux variants.

Ces variants pouvant être potentiellement plus dangereux que le coronavirus d’origine qui n’est pas bien méchant et ne tue que les personnes en fin de vie, avec de fortes comorbidités (et sans traitements), mais laisse tranquille les personnes jeunes et en bonne santé.

Les transfusions sanguines ?

En premier lieu les médias ne se privent pas de dire que les ARNm de la vaccigénie Pfizer BioNTech disparaissent du sang en quelques minutes, qu’ils ne se propagent pas dans d’autres organes et qu’ils sont détériorés par nos défenses immunitaires.

À les écouter, c’est tellement rapide que l’on se demande comment il peut pénétrer les cellules pour faire fabriquer la protéine Spike.

Pour autant on peut le trouver plusieurs jours après l’injection dans nos organes.

Et l’ARN pourrait demeurer dans le sang entre 1 et 3 jours.

Donc il serait totalement possible d’être vacciné sans son consentement en recevant une transfusion sanguine d’une personne vaccinée il y a moins de trois jours.

Quid des anticorps ?

Leur durée de vie est d’environ un mois ce qui signifie qu’une personne transfusée peut avoir les anticorps anti-spike du vacciné. Elle peut donc être considérée positive.

Si d’aventure vous croisez le virus durant cette période, il n’est pas impossible que votre corps considère que vous faites un 2e Covid et vous n’êtes peut-être pas à l’abri d’un Covid grave du fait d’anticorps facilitant…

D’autre part, il a été prouvé que les personnes qui avaient développé une thrombose suite à une injection d’AstraZeneca avaient des anticorps anti-pf4(([3] http://www.slate.fr/story/207491/thromboses-vaccination-covid-19-auto-immunite-anticorps-astrazeneca)) à l’origine des thromboses.

« La vaccination avec ChAdOx1 nCov-19 peut entraîner le développement rare d’une thrombopénie thrombotique immunitaire médiée par des anticorps activateurs de plaquettes dirigés contre le PF4, qui imite cliniquement la thrombopénie auto-immune induite par l’héparine. »

(([4] https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2104840))

Si vous êtes transfusé d’une personne ayant ces anticorps vous risquez de faire vous-même une thrombose alors même que vous n’êtes ni vacciné, ni à risque.

Si de plus vous êtes enceinte, vous risquez de les transmettre à votre enfant et si vous allaitez votre bébé, il y a aussi un risque de transmission de ces anticorps et donc de thrombopénie auto-immune.

Mais que nous dit l’Établissement Français du Sang(([5] https://dondesang.efs.sante.fr/don-de-sang-et-covid-19)) à propos du don du sang ?

« Puis-je donner mon sang si je suis vacciné contre la Covid-19 ? »

« Dans la grande majorité des cas, il est possible de donner son sang après une injection de vaccin contre la Covid-19, sans aucun délai d’ajournement à respecter. »

Donc aucun délai n’est nécessaire pas même 24 heures !

En revanche la Croix-Rouge japonaise(([6] https://www.jrc.or.jp/donation/blood/news/210222_006549.html)) est plus prudente

En février dernier elle publiait le texte suivant :

« En ce qui concerne les critères d’acceptation du don de sang pour ceux qui ont été vaccinés contre le Covid, nous sommes en train de l’examiner dans le pays, alors comprenez bien que nous nous abstiendrons de donner du sang tant que les critères ne seront pas définis. »

Le 29 avril un journal indien titrait quant à lui :

« La campagne de vaccination pour toutes les personnes de plus de 18 ans débutera le 1er mai. Une personne vaccinée ne pourrait pas donner de sang pendant au moins 60 jours, selon la réglementation. La majorité des donneurs de sang volontaires étant âgés de 18 à 45 ans, cela pourrait entraîner une pénurie importante de banques de sang.
Les banques de sang et les médecins ont exhorté les personnes qui donnent du sang à le faire avant de se faire vacciner »

Il semblerait donc, comme le nuage de Tchernobyl, que le risque engendré par le don du sang de personnes vaccinées ne concerne pas la France.

Une fois encore, nous voyons que le principe de précaution est jeté aux oubliettes alors même qu’il serait raisonnable de l’interdire et de faire des études.

Je ne saurais conseiller aux personnes qui ont une intervention chirurgicale programmée de faire appel à l’autotransfusion, ce que l’on appelle la transfusion autologue programmée.

La vaccination « contagieuse(([7] Merci à C pour son aide…)) » ?

Une théorie qui circule sur les réseaux sociaux voudrait que les personnes vaccinées pourraient être en capacité de vacciner les non-vaccinés « automatiquement » sans la moindre injection.

Quelques éléments de réflexion qui vont à l’encontre de cette théorie :

  • Aucun intérêt d’un point de vue économique, le vaccin devient gratuit.
  • Aucune obligation de faire des campagnes de vaccination délirantes étant donné que la contamination vaccinale sera automatique.
  • La thèse des industriels « bons » ou des gouvernements « bons » ne peut que faire rire.
  • La thèse du vaccin contagieux éradicateur de la population ne tient pas non plus la route, car tôt ou tard les instigateurs finiraient par être aussi contaminés et donc tués par leur propre arme et s’ils attendaient l’extinction de l’espèce humaine dans un abri antiatomique, rien ne dit que le virus vaccin ne se répandrait pas aussi chez les animaux…

Quand bien même, cela serait-il totalement impossible d’un point de vue théorique ?

Prenons par exemple l’AstraZeneca et son adénovirus.

Celui-ci est rendu « stérile » pour justement éviter le problème.

Mais si d’aventure une personne était contaminée en même temps par un adénovirus anodin et par l’adénovirus de l’AstraZeneca, une recombinaison de ces adénovirus pourrait rendre sa capacité « reproductive » au « vaccin » et ainsi une personne qui serait contaminée par ce nouveau virus recombiné serait ainsi vaccinée en attrapant le virus qui pourrait se répandre librement.

Pas évident, difficilement, voire totalement incontrôlable, économiquement débile, extrêmement dangereux, mais pas totalement délirant d’un point de vue théorique.

Conclusion :

Alors est-ce que les vaccinés sont dangereux pour les non-vaccinés ?

La réponse est sans hésiter « oui », mais nous ignorons dans quelle mesure.

Non seulement les vaccinés sont probablement plus en danger que les non-vaccinés, car ils risquent de développer des Covid graves du fait des anticorps facilitants qui sont « aidés » par ces faux vaccins qui ne ciblent que la protéine spike et en plus de façon imparfaite…

Mais ils sont aussi réellement dangereux pour les non-vaccinés du fait de la prolifération des variants qu’ils favorisent.

Il est aussi totalement évident que les dons du sang devraient être à minima interdits dans les 30 jours suivant une vaccination.

Je terminerai en rappelant que le principe de précaution est bafoué depuis des mois…

Mais alors que j’étais choqué des projets d’étoiles jaunes pour les non-vaccinés ou d’apartheid, je dois vous dire que l’idée me séduit de plus en plus de me retrouver en sécurité et libre de vie avec des non vaccinés… loin des vaccinés potentiellement dangereux.

Si une majorité du peuple accepte ou demande d’être prisonnier, piqué, pucé, obligé de respecter des gestes barrières et des masques ad vitam æternam (un coup oui, un coup non), je préfère de loin fabriquer mon petit monde où nous serions libres de nous réunir, de vivre, de nous serrer dans les bras ou d’aller au restaurant sans gestes barrières ou muselières.

Merci.

Alain Tortosa.

Le 10 mai 2021

https://7milliards.fr/tortosa20210510-avoir-peur-des-personnes-vaccinees.pdf





Pourquoi une écrasante majorité de nos concitoyens n’est pas opposée à un pass sanitaire ?

Par Alain Tortosa

Pourquoi une écrasante majorité de nos concitoyens n’est pas opposée à un pass sanitaire ?
Comment toute « perte » est assimilée à un « gain »

« J’approuve le passeport sanitaire parce qu’il est un outil de la liberté… Il va me permettre d’aller en discothèque alors que je ne le pouvais plus et va m’apporter une liberté que je n’avais plus. »

Comment en est-on arrivé là ?

Perte de liberté ou gain de sécurité ?

Il est intéressant de constater que la suppression d’une liberté comme ne plus aller en discothèque n’est pas vécue comme une « perte » de liberté, mais comme un « gain » de sécurité.

Dans la même logique, le passeport vaccinal, l’obligation de s’identifier en tous lieux et toutes circonstances ne seront pas vécus comme une perte de liberté, une perte du droit à la vie privée pour aller en boîte avec sa maîtresse, mais un double gain :

  • Un gain de sécurité (illusoire et manipulateur).

Et

  • un gain de liberté (retourner en discothèque – Le geôlier qui vous libère).

Il est paradoxal de constater que l’on peut donc gagner en liberté (en retournant en discothèque) sans avoir auparavant perdu cette même liberté (le fait de ne plus pouvoir y aller).

Il en est de même pour le confinement, l’obligation de la distanciation, l’obligation du port du masque, les interdictions d’aller au restaurant ou au cinéma et j’en passe, qui ne sont pas vécues comme des privations de liberté, mais des « gains » de sécurité.

Quid des opposants, des résistants qui crient à la perte de liberté ?

Dans les faits la psychologie sera bien souvent identique à celle des moutons hypnotisés.

Ils vont mettre leur énergie à démontrer l’inefficacité des mesures…

« Le masque n’est pas efficace donc il n’apporte pas de gain de sécurité donc il est inutile donc la mesure d’obligation est une atteinte à nos libertés et elle est donc inacceptable. »

Ici encore la légitimité ne se mesure pas par rapport à la privation de libertés, mais uniquement par rapport à l’absence d’efficacité de la mesure.

Nous pourrions donc imaginer que si le vaccin protégeait réellement les personnes âgées en fin de vie, qu’il était sans le moindre danger pour les enfants, alors nous serions nombreux parmi les « complotistes » à considérer que leur vaccination serait acceptable au nom du fameux « gain ».

La « démocratie » et les droits de l’homme se mesurent-ils à la somme des libertés ou à la somme des interdits ou « gains » de sécurité ?

Dans les faits, notre « démocratie » pourrait plutôt se résumer à la somme des interdits toujours plus nombreux et le peuple (manipulé) ne la mesure qu’en gain de sécurité…

Limitations de vitesse, obligation du port du casque, contrôles techniques, obligations de diplômes, permis en tous genres, normes… ne sont donc que des « gains » de sécurité et donc totalement « légitimes ».

Ils sont de fait le prix à payer « pour une vie en société » et aucunement une privation de liberté.

L’écologie biaisée, la nouvelle dictature

Le libéralisme (ou les forces du mal qui veulent nous asservir) a désormais inventé « l’écologie » exclusivement punitive ou libérale.

Obligation de jeter son véhicule (à non, pardon, interdiction de l’utiliser en ville), normes antipollution, voitures électriques, énergies dites renouvelables ou propres, lutte contre le CO2, etc. conduisent à de plus en plus d’interdits qui ne sont pas vécus comme tels, mais comme un « gain de sécurité » et qui plus est, la fierté de « sauver la planète ».

L’idéal démocratique, et maintenant « écologique », n’est dans les faits qu’une somme d’interdits « au nom de… » qui sont présentés et vécus comme des « gains de sécurité »…

La gouvernance par la peur

Mais réveillez-vous !

Tout est faux dans ces mesures de privation et de contrôle de nos libertés « pour notre bien »…

L’unique objectif est de nous inventer des dangers et nous maintenir dans la peur, l’obéissance et la sidération et/ou dans la consommation.

Dans les années 50, le danger, l’ennemi, était le communiste et les chars russes qui allaient débouler sur les champs Élysées. Nous avons vécu dans la peur de la 3e guerre mondiale.

Dans les années 70, nous avons inventé la crise pétrolière totalement artificielle avec le mythe du pic de production (le début de la fin du pétrole) qui, 50 ans plus tard, n’est toujours pas là et qui dans 50 ans ne sera toujours pas là…

Grâce à cela, nous avons inventé le chômage et la précarité, la crainte de perdre son emploi afin de nous maintenir dans la peur et la docilité.

La peur du réchauffement climatique

Depuis quelques années, nous subissons désormais le mythe du réchauffement climatique dont L’UNIQUE cause serait l’activité humaine…

Il est merveilleux de voir que nous avons adhéré à ces modèles mathématiques sur des décennies alors qu’au quotidien, les prévisions météo à plus de 24 heures relèvent du journal de Mickey…

Nous avons fait du CO2, un gaz 100% naturel, un ennemi, alors même que le CO2 c’est la vie.

La surface forestière de la planète serait en augmentation depuis des années notamment du fait que les plantes se nourrissent de CO2 et que les campagnes sont de plus en plus désertées.

Le réchauffement climatique participerait aussi à l’augmentation de la surface verte de la planète.

Nous mettons sur le marché des véhicules dits « propres » qui émettent des gaz un million de fois plus dangereux que le CO2 ou qui émettent des particules fines cancérigènes.

Nous faisons croire que la voiture électrique a un avenir alors même qu’elle est basée sur des matières fossiles disponibles en faible quantité et que leur fabrication est un désastre écologique.

Il sera impossible de fournir l’électricité pour les recharger sans construire des centaines de lignes à haute tension et ouvrir au moins 50 centrales nucléaires de plus, juste en France.

Nous avons gobé que la voiture à essence était un monstre écologique, qu’il fallait acheter des diesels « propres » et désormais nous devons acheter des voitures électriques ou hybrides.

Dans quelques années il faudra les jeter à la poubelle pour leur manque d’écologie pour acheter des véhicules à hydrogène, si nous avons encore le droit de posséder des voitures…

Les énergies renouvelables n’ont de renouvelables que le nom et sont tout autant un mythe…

100% des sujets qui nous sont assénés ne sont que manipulations, se nourrissent de nos peurs et visent à nous faire surconsommer ou nous obliger à changer de mode de vie au nom d’un « idéal ».

Mode de vie dans lequel il faudra interdire le déplacement individuel au profit du collectif, interdire de se déplacer en avion, interdire de faire des croisières toujours au nom de cet « idéal écologique ». Toutes ces libertés étant réservées, bien sûr, à une élite…

La crise du Covid, qu’elle ait été provoquée ou qu’elle soit accidentelle, est un formidable outil au service de notre asservissement toujours présenté « pour notre bien ».

Fausse science, interdiction de pensée, formatage

Le drame est que nous vivons une période qui se voudrait scientifique alors même que la science n’est qu’un instrument au service d’une pensée unique et d’une manipulation des peuples.

La force de l’argent est telle qu’elle pervertit tout et la corruption mène le monde.

Rappelez-vous de l’industrie du sucre qui a dépensé des millions de dollars en lobbying et corruption pour inventer le mauvais cholestérol et détourner l’attention de ce poison.

L’industrie pharmaceutique génère plus de bénéfices que l’industrie pétrolière… Elle est régulièrement condamnée à des milliards d’amendes pour tromperie et les « vaccins » actuels ont été autorisés sur les seules données de cette industrie.

Celui qui aujourd’hui critique ou interroge cette pensée unique est qualifié d’extrémiste, d’imbécile ou de complotiste.

Avoir rendu la scolarisation obligatoire dès l’âge de 3 ans ne relève pas du hasard et ne vise qu’à formater les enfants avant que les parents n’aient pu intervenir.

La vérité ?

Nous pourrions penser que la « Vérité » avec un grand « V » était le fruit de faits, de démonstrations scientifiques et qu’elle pouvait évoluer en fonction des découvertes scientifiques, alors qu’il n’en est rien !

La vérité dans notre monde n’est qu’officielle et statistique.

Si vous possédez l’argent, vous posséderez le pouvoir, les politiques, les médias et vous détiendrez donc LA « vérité » officielle.

C’est ainsi que le port du masque, les confinements ou la vaccination sont devenus « efficaces » au 21e siècle parce c’est devenu une vérité statistique énoncée par le Ministère de la Vérité lui-même dans les mains des forces d’argent (et du mal).

Nous ne sommes pas (ou peu) conscients que 100% de nos vérités sont manipulées.

Nous subissons des décennies (et je suis modeste) de manipulations de notre cerveau.

Au point qu’il est plus que raisonnable de se poser la question pour chaque affirmation reçue et dans tous les domaines ! (Dont je ne prétends pas détenir toutes les réponses.)

  • Est-ce que la Terre est ronde ou plate ? (je prends volontairement cet exemple pour dire qu’il faut selon moi prendre le problème de très loin).
  • Est-ce qu’on a vraiment fait des progrès dans les cancers ou guéri des cancers qui guérissaient seuls ?
  • Est-ce qu’une mammographie sert à prévenir le cancer du sein ?
  • Est-ce que le réchauffement climatique est le fruit de l’activité humaine ou d’un changement d’orbite de la Terre ?
  • L’accouchement à domicile est-il dangereux ?
  • Est-ce que le contrôle technique sauve des vies ?
  • La limitation de vitesse sur autoroute est-elle efficace ?
  • Est-ce que le réchauffement climatique est forcément une mauvaise chose ?
  • Les vaches polluent-elles la planète et vaut-il mieux manger de l’herbe ?
  • Est-il plus écolo de rouler en voiture hybride ou électrique que d’utiliser sa voiture diesel de plus de 30 ans ?

Et je pourrais ainsi en écrire pendant des dizaines de pages !

Mais dès lors que nos croyances sont quasi toutes manipulées et biaisées par un système qui veut nous amener dans une direction unique pour son unique intérêt, quelle est notre liberté de « pensée » ?

Comment pourrions-nous avoir un avis éclairé sur tel ou tel sujet si nous avons été formatés à croire sans nous poser la moindre question dès le plus jeune âge ?

La crise du Covid aura permis à de nombreuses personnes de voir à quel point nous sommes manipulés principalement par la peur.

Soyons raisonnables et appliquons le même doute à tous les autres sujets…

Protection et irresponsabilité

Nous sommes terrorisés par la liberté et le libre arbitre.

Nous voulons d’un bon roi qui nous protège, nous apporte la sécurité, l’emploi, la santé et qui surtout décide (de plus en plus) pour nous !

« Panem et circenses » qui durant le Covid s’est traduit par « indemnités Covid » et « Hanouna ».

Nous redoutons la démocratie, nous redoutons les responsabilités et c’est pourquoi nos institutions de la cinquième république sont « parfaites ».

Elles nous donnent l’illusion de décider alors même que les candidats élus sont choisis par Goldman Sachs et que leur marge de manœuvre n’excède pas les 1% dans un monde ultralibéral.

À celles et ceux qui ont vraiment soif de démocratie populaire, je vous le dis haut et fort :

« Le peuple ne veut PAS de démocratie, il ne veut PAS être consulté et décisionnaire, il ne veut surtout PAS être responsable, il veut juste pouvoir critiquer. »

Et c’est pour cela qu’il approuve le passeport sanitaire qui lui apporte deux choses primordiales :

  • La « sécurité » : « Je ne risque pas d’être contaminé par un terroriste complotiste ! »
  • L’irresponsabilité. « Je ne serai pas coupable de transmettre la maladie ! »

L’irresponsabilité, nerf de la destruction de l’individu

Le corollaire de la liberté est la responsabilité.

Pourquoi adorons-nous les limitations de vitesse ?

Pourquoi avons-nous dans la tête que celui qui roule à 100 km/h au lieu de 90 km/h est un irresponsable, voire un chauffard ou un criminel ?

Si l’État me dit ici « tu ne dois pas dépasser le 70 », que je roule à 65 et que j’ai un accident alors c’est la faute à pas de chance.

Si l’État me dit « tu roules à la vitesse que tu veux, mais si tu as un accident et que la cause de l’accident est imputée à une vitesse excessive alors ta responsabilité sera engagée » alors c’est panique à bord.

C’est pour cela que j’adore et que je réclame le passeport vaccinal ou l’obligation du masque.

C’est l’État qui fixe la règle et donc qui assume la responsabilité en cas d’échec.

Si c’est moi qui décide si et quand porter un masque ou me vacciner, c’est moi qui serais responsable de la mort de mamie que j’aurai contaminée.

Donc si c’est l’État qui me dit que je peux voir mamie le mardi soir entre 17h02 et 17h24, que je dois aérer la pièce pendant 8min27, que je dois porter un masque ffp2 et une plume dans le cul…

Si mamie décède, cela ne sera pas de mon fait, de ma responsabilité, mais de la malchance.

Le passeport vaccinal a de fait un grand avenir et je suis persuadé que des millions de Français seraient aussi soulagés si les « vaccins » Covid devenaient obligatoires.

« Sécurité, irresponsabilité » devrait être la nouvelle devise de la France !

Nous ne pourrons pas leur ouvrir les yeux, nous ne pourrons pas les convaincre !

En revanche si demain cette même autorité leur dit que le masque ou le vaccin ou le passeport ne sont pas utiles, les mêmes qui adhèrent aujourd’hui sans se poser de question adhéreront de même à la nouvelle règle sans broncher.

Nous le voyons bien avec les injonctions contradictoires qui se succèdent depuis des mois et qui n’empêchent pas le peuple de suivre chaque nouvelle règle plus ridicule que la précédente.

Promenez-vous après le couvre-feu en ce moment et vous constaterez l’acceptation de la masse…

Merci.

Alain Tortosa

12 mai 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210512-illusion-liberte-irresponsabilite.pdf


[Voir aussi :
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »red »]Liberté et responsabilité
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »red »]Prise de conscience et autisme
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »red »]Changement climatique – Les hommes pris entre connaissance et croyance]




Mascarade nocturne dans l’hémicycle : le pass sanitaire est voté malgré le premier rejet !

[Source : Nicolas Dupont-Aignan]

« Mascarade nocturne dans l’hémicycle : quand le vote ne plaît pas au Gouvernement, la représentation nationale est forcée de revoter ! Tout cela pour imposer le couvre-feu et le pass sanitaire liberticide. Honteux spectacle d’une majorité indigne. En 2022 nous abrogerons ces pleins pouvoirs et mettrons fin à ce mandat dangereux et destructeur. »

Nicolas Dupont-Aignan

[Ndlr : la démocratie en France, en Belgique et dans la plupart des pays européens (comme aussi au Canada) n’existe plus depuis longtemps. Des dispositions existent pour faire passer les lois en force (Par exemple le « 49.3 » en France et le « Bâillon » au Québec). Peu de candidats aux fonctions suprêmes respectent leur promesses électorales une fois qu’ils sont élus. Lorsque le résultat d’un vote ne convient pas aux gouvernements, ceux-ci n’en tiennent aucun compte et refont le vote. De plus, les pays de l’Union Européenne se trouvent avoir abandonné leur souveraineté pour une structure de pouvoir très similaire à celle de l’ex-URSS. Enfin, depuis la Covid-19, ces pays sont passés en mode de loi d’urgence ou de loi martiale, avec des mesures de guerre, non pas contre un virus, mais contre leurs peuples devenus prisonniers.]




Pass sanitaire en France : l’incroyable rejet!!!

[Source : La Minute de Ricardo]






La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ?

[Source : Cogiito]

[Ndlr : l’utilisation du mot « thé » dans la traduction originale a été remplacée ici par le terme plus approprié de « tisane ».]


par Mike Adams
https://www.afinalwarning.com/517717.html

La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ? Découvrez la suramine, l’acide shikimique et comment fabriquer vos propres extraits

Avis de non-responsabilité : les informations présentées dans cet article et ce podcast sont uniquement destinées à des fins d’information.

Rien de ce qui est présenté ici n’est destiné à diagnostiquer ou à traiter une quelconque maladie, et aucun supplément ou produit n’est proposé à la vente en relation avec ces informations.

Il semblerait que la tisane aux aiguilles de pin pourrait offrir une solution contre l’« excrétion » ou la transmission du vaccin contre le covid, qui semble être un phénomène où les personnes vaccinées propagent des particules ou des substances nocives à leur entourage.

https://www.naturalnews.com/2021-05-07-salk-institute-reveals-the-covid-spike-protein-causing-deadly-blood-clots.html

Voir cet article d’un site de blog WordPress appelé « Ambassador Love » :
PINE TEA: Possible Antidote for Spike Protein Transmission

Cet article déclare :

Il existe un antidote potentiel à la contagion actuelle de la protéine Spike qui s’appelle Suramin. On la trouve dans de nombreuses forêts du monde, dans les aiguilles de pin.

La suramine a des effets inhibiteurs sur les composants provoquant la cascade de coagulation et sur la réplication et la modification inappropriées de l’ARN et de l’ADN. Une coagulation excessive provoque des caillots sanguins, des mini-caillots, des accidents vasculaires cérébraux et des cycles menstruels anormalement lourds.

La tisane aux aiguilles de pin est l’un des antioxydants les plus puissants qui soient et elle est connue pour traiter le cancer, les inflammations, le stress et la dépression, la douleur et les infections respiratoires. La tisane aux aiguilles de pin tue également les parasites.

Vous trouverez ci-dessous un podcast et une vidéo complets qui révèlent deux méthodes d’extraction, qui sont toutes deux des méthodes simples, de faible technicité et peu coûteuses, pouvant être utilisées presque partout.

Les aiguilles de pin fraîches provenant d’arbres appropriés sont utilisées depuis des siècles comme sources de vitamine C et d’autres substances phytochimiques que les Amérindiens utilisaient pour traiter les infections respiratoires et d’autres affections. La vitamine C est un remède connu contre le scorbut, puisque le scorbut est une maladie due à une carence en vitamine C.

Les aiguilles de pin contiennent de nombreuses autres substances qui semblent réduire l’agrégation des plaquettes dans le sang, prévenant ainsi potentiellement la formation de caillots sanguins à l’origine des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques et des embolies pulmonaires. (Voir les sources scientifiques publiées ci-dessous).

Les aiguilles de pin sont utilisées par les populations indigènes du monde entier comme aliment et comme médicament depuis des milliers d’années. Nombreux sont ceux qui pensent aujourd’hui que les aiguilles de pin peuvent offrir une protection contre les protéines Spike du covid – qui sont des armes biologiques artificielles présentes dans les vaccins contre le covid – ainsi que contre les particules d’excrétion du vaccin contre le covid, qui semblent également être des armes biologiques conçues pour parvenir à une dépopulation mondiale.

Le Dr Judy Mikovits affirme que les mondialistes savent parfaitement que la tisane d’aiguilles de pin est la réponse aux armes de dépeuplement covidien, et ils utilisent secrètement la tisane d’aiguilles de pin pour se protéger du fléau qu’ils ont lâché sur le monde, explique Mikovitz.

Fouiller dans la science derrière les aiguilles de pin et les covidés

En tant que scientifique de laboratoire, j’ai décidé de creuser cette question à l’aide de mes connaissances et de mon expérience en laboratoire. Faire bouillir des aiguilles de pin fraîches pour en faire une tisane [ou infusion] est une méthode d’extraction couramment utilisée en science alimentaire et en médecine traditionnelle chinoise (MTC).

L’eau agit comme un solvant et, grâce à la chaleur et au temps, certains composés phytochimiques des aiguilles de pin sont extraits dans l’eau, ce qui donne une tisane aux aiguilles de pin. (C’est ainsi que toutes les infusions sont fabriquées).

En parcourant les recherches scientifiques publiées sur ce sujet, je me suis posé deux questions principales :

1) Quelles sont les molécules que l’on trouve dans les aiguilles de pin, et quelles sont leurs fonctions en ce qui concerne l’arrêt de la formation de caillots sanguins ou la protection des personnes non vaccinées contre l’excrétion du vaccin covid ?

2) Quelle est la meilleure méthode d’extraction pour extraire ces molécules des aiguilles de pin ? Existe-t-il une méthode d’extraction à faible technicité que presque tout le monde peut utiliser, sans avoir besoin d’un laboratoire ?

Grâce à mes recherches, j’ai découvert que les aiguilles de pin contiennent non seulement de la suramine, une grosse molécule à laquelle on attribue divers effets médicinaux, mais aussi de l’acide shikimique.

L’acide shikimique est à la base du Tamiflu, et c’est la molécule que l’on trouve dans l’anis étoilé, une herbe de la médecine chinoise, qui guérit les pestes.

Imaginez ma surprise lorsque j’ai découvert que les aiguilles de pin contiennent de l’acide shikimique, la même molécule que l’on trouve dans l’anis étoilé utilisé en médecine traditionnelle chinoise pour traiter les pestes et les maladies respiratoires.

En 2010, le Boston Herald a publié un article révélant que des chercheurs étudiaient les techniques d’extraction de l’acide shikimique des aiguilles de pin afin de fournir cette matière première à l’industrie pharmaceutique pour la fabrication de médicaments antiviraux, antigrippaux et antipandémiques.

http://archive.boston.com/news/local/massachusetts/articles/2010/11/07/maine_pine_needles_yield_valuable_tamiflu_material/

Extrait de cette histoire :

Des chercheurs de l’université du Maine à Orono affirment avoir trouvé une nouvelle méthode relativement facile pour extraire l’acide shikimique – un ingrédient clé du médicament Tamiflu – des aiguilles de pin.

L’acide shikimique peut être extrait des aiguilles de pin blanc, de pin rouge et d’autres conifères simplement en faisant bouillir les aiguilles dans l’eau, a déclaré le professeur de chimie Ray Fort Jr.

Mais l’acide extrait pourrait être précieux car, le Tamiflu est le médicament antiviral le plus utilisé au monde pour traiter la grippe porcine, la grippe aviaire et la grippe saisonnière. La principale source d’acide shikimique est actuellement l’anis étoilé, un fruit inhabituel en forme d’étoile qui pousse sur de petits arbres originaires de Chine.

Les recherches ont été financées par diverses sources, dont le Maine Technology Institute, le ministère américain de l’agriculture, la National Science Foundation et le département de chimie de l’université.

Une étude publiée dans ResearchGate confirme que l’acide shikimique présente une activité antiagrégante plaquettaire, ce qui signifie qu’il aide à stopper la formation de caillots sanguins : Analyse du contenu de l’acide shikimique dans les aiguilles de pin de Masson et activité antiagrégante plaquettaire.

Extrait de l’étude :

L’acide shikimique, lorsqu’il est séparé par HPLC, présente un effet inhibiteur dose-dépendant sur l’agrégation plaquettaire induite par l’adénosine diphosphate et le collagène chez les lapins. En raison de la teneur relativement élevée et de la bonne activité antiagrégante plaquettaire de l’acide shikimique, les aiguilles de pin de Masson peuvent être utilisées comme source potentielle d’acide shikimique.

https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/ceat.200700413

(…)ont obtenu un rendement d’environ 6% d’acide shikimique à partir d’aiguilles de pin Masson, ce qui est probablement le rendement le plus élevé extrait de toute espèce de pin jusqu’à présent (Chen et al. 2014). Puisque les aiguilles de pin sont peu coûteuses et facilement disponibles en Asie du Nord, en Amérique du Nord et en Europe, il est fort possible de les utiliser pour fabriquer des médicaments contre les espèces d’anis étoilé moins disponibles.

Cette étude a révélé que les aiguilles de pin fournissent environ deux tiers de l’acide shikimique de l’herbe d’anis étoilé :

Aiguilles de pin de Masson = 5,71% d’acide shikimique
Anis étoilé = 8,95% d’acide shikimique

Nous savons donc que les aiguilles de pin, qui sont extrêmement répandues en Amérique du Nord, en Chine et en Europe, fournissent de l’acide shikimique, une sorte de molécule « miracle » qui pourrait s’avérer incroyablement utile pour arrêter la formation de caillots sanguins et défendre les personnes contre les infections respiratoires.

Des recherches plus approfondies m’ont conduit à une étude qui a utilisé la recherche sur les réseaux neuronaux pour optimiser les conditions d’extraction afin de réaliser un extrait très efficace des aiguilles de pin : 17 Optimization of Extraction Conditions of Shikimic Acid in Pine Needles Based on Artificial Neural Network.

https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/ceat.200700413

Cette étude propose la recette suivante pour optimiser l’extraction :

Utiliser environ 75 % d’alcool (comme la vodka) et 25 % d’eau.
Utilisez une machine à ultrasons avec un récipient en acier inoxydable.
Réglez la température à 65 degrés C.
Utilisez 280 ml de solution d’extraction pour 10 grammes d’aiguilles de pin.
Utilisez une durée de 25 minutes pour l’extraction par ultrasons.
Cette infusion terminée doit être filtrée à travers un filtre à café ou un autre filtre en papier afin d’éliminer les grosses particules. Le liquide obtenu contiendra de l’acide shikimique, de la suramine, des pigments et divers terpènes, et présentera généralement une certaine coloration et un goût plutôt piquant.

Regardez cette vidéo pour voir comment j’ai utilisé un appareil de nettoyage à ultrasons pour créer un extrait aqueux d’herbe de romarin :



Comment extraire l’acide shikimique à l’aide d’une machine à expresso ordinaire ?

Le résultat le plus intéressant de cette recherche a été la découverte d’un article scientifique publié qui décrit l’utilisation d’une machine à expresso ordinaire pour effectuer une extraction très efficace de l’acide shikimique de l’anis étoilé.

Cet article est publié dans Science Direct :

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S2352554116300493

Quantification totale et extraction de l’acide shikimique de l’anis étoilé (llicium verum) en utilisant la RMN à l’état solide et des solutions aqueuses d’hydroxyde dissolvant la cellulose.

L’article a été publié dans Organic Letters en 2015, et apparaît également sous forme de PDF sur le site de l’université de l’Oregon. (Ce lien peut poser problème dans certains navigateurs car il contient des espaces dans l’URL).

Extrait du résumé de cette étude :

RÉSUMÉ :

Un nouveau processus pratique, rapide et à haut rendement pour l’extraction à l’eau chaude sous pression (PHWE) de quantités de plusieurs grammes d’acide shikimique à partir d’une plante.

L’acide shikimique de l’anis étoilé (Illicium verum) à l’aide d’une machine à expresso domestique non modifiée. Cette méthode, simple et peu coûteuse, permet d’isoler de manière efficace et directe l’acide shikimique et de préparer facilement une série de dérivés synthétiques.

Préparation facile d’une série de ses dérivés synthétiques :

En d’autres termes, ils profitent de la chambre pressurisée d’une machine à expresso pour effectuer une extraction chaleur + pression de l’acide shikimique de l’anis étoilé.

D’après mon expérience, on peut remplacer l’anis étoilé par des aiguilles de pin fraîches moulues (vertes, pas brunes) pour obtenir un résultat similaire, en extrayant l’acide shikimique des aiguilles de pin. Pour une extraction efficace, il est conseillé de broyer d’abord les aiguilles de pin, en utilisant un broyeur à herbes bon marché.

J’ai l’intention de reproduire ce résultat dans mon propre laboratoire, mais j’ai pensé que je devais le partager publiquement dès que possible en raison de la menace mortelle que représentent actuellement pour l’humanité les vaccins covidés armés.

Les auteurs de l’étude confirment également que l’acide shikimique est une molécule antivirale efficace qui inhibe également la réplication virale dans l’organisme :

Il a également été démontré que les dérivés de l’acide shikimique présentent une activité biologique utile. Plus particulièrement, le célèbre médicament antiviral oseltamivir (Tamiflu), qui agit comme un inhibiteur de la neuraminidase virale, est utilisé pour traiter la grippe saisonnière et a été déployé pendant les épidémies de grippe H1N1.

En outre, il a été démontré que les analogues fluorés du shikimate inhibent P. falciparum et ont été testés comme médicaments antipaludiques. En outre, la zeylénone (3) dérivée de l’acide shikimique présente un comportement anticancéreux, antiviral et antibiotique, et l’acide triacétylshikimique présente des propriétés anticoagulantes et antithromiques.

Une activité anticoagulante et antithrombotique

Remarquez le terme clé « anticoagulant » dans la phrase ci-dessus.

L’étude, qui a été réalisée en Tasmanie, en Australie, a délibérément cherché une méthode peu coûteuse et peu technologique pour extraire l’acide shikimique de plantes communes (aiguilles de pin) :

Cette méthode est une extraction rapide et peu coûteuse à l’eau chaude sous pression (PHWE)… le premier exemple de l’utilisation en laboratoire d’une simple machine à expresso pour faciliter l’extraction de l’acide shikimique.
premier exemple de l’utilisation en laboratoire d’une simple machine à expresso pour faciliter l’extraction de produits naturels (autres que la caféine) à partir de matériel végétal.

Nous avons cherché à utiliser spécifiquement un équipement relativement bon marché, peu sophistiqué et disponible dans le commerce pour réaliser l’extraction de quantités de plusieurs grammes d’anis étoilé.21 Par conséquent, étant donné que la pompe d’une machine à expresso permet l’écoulement continu d’eau à des températures allant jusqu’à 96 °C et à des pressions de 9 bars, nous avons pensé qu’un tel système serait adapté à nos besoins.

En effet, cette idée est purement géniale dans sa simplicité. Et les auteurs de l’étude ont réussi à extraire puis à purifier les cristaux d’acide shikimique par un procédé relativement simple.

Cela pourrait signifier que le « remède » contre le covid est disponible gratuitement et se développe sur de nombreux continents.

Le résultat de tout ceci est qu’un éventuel « remède » contre le covid – ou du moins une défense contre l’excrétion/la transmission du covid – semble être déjà fourni par Mère Nature et est facilement disponible sur plusieurs continents.

Sans avoir à compter sur des produits pharmaceutiques brevetés, contrôlés et des vaccins armés qui sont clairement conçus pour répandre la maladie et atteindre une dépopulation mondiale par la mort de masse, les personnes qui veulent survivre à l’holocauste du vaccin contre le covid peuvent simplement récolter et traiter les aiguilles de pin en utilisant des machines à expresso, et ils peuvent potentiellement fabriquer leur propre médicament anti-peste.

Naturellement, nous aimerions voir plus de recherches sur tout cela – et s’il vous plaît tenez compte des précautions de sécurité ci-dessous – mais il est clair que l’establishment de la science et de la médecine a perdu toute crédibilité ou intérêt à protéger l’humanité et travaille maintenant délibérément à exterminer des milliards d’êtres humains.

Par conséquent, attendre que cette industrie étudie les plantes médicinales communes est une course folle. Il n’y aura jamais de financement disponible pour de telles recherches, car ces découvertes n’augmentent pas les profits de Big Pharma en matière de vaccins et de médicaments.

Pourtant, pour ceux qui sont en mesure d’accéder aux bons types d’aiguilles de pin – et qui ne sont pas enceintes ou ne prévoient pas de l’être, voir ci-dessous – ce remède simple et naturel pourrait finalement s’avérer être un traitement « miracle » qui sauve des vies contre les vaccins contre le covid et le covid.

Pour information, nous ne vendons pas d’aiguilles de pin ou d’extraits d’aiguilles de pin, donc les régulateurs qui cherchent à interdire cet article devront aller harceler quelqu’un d’autre. Nous offrons ces informations telles quelles, sans garantie, dans un souci de « publication d’autorisation d’urgence » pour le bien de l’humanité et dans l’intention de sauver des vies de ce vaccin mortel.

Écoutez mon podcast complet ici pour en savoir encore plus sur ce sujet passionnant et sur le remède possible contre les vaccins covidés [en anglais] :



https://www.brighteon.com/7c129e86-7e2b-47a7-bc74-dd19621e4042

Précautions à prendre lors de l’utilisation d’aiguilles de pin

Avant de consommer une tisane ou un extrait fabriqué à partir de plantes, assurez-vous de savoir quelles plantes vous utilisez. Tous les pins ne conviennent pas, et certains conifères – comme l’if – sont toxiques.

Le bétail est connu pour avoir subi des avortements spontanés après avoir consommé des aiguilles de pin fraîches comme source de nourriture. Par conséquent, toute personne qui prévoit une grossesse (ou qui est déjà enceinte) devrait évidemment éviter de consommer de la tisane aux aiguilles de pin, par simple précaution.

Tous les crétins de la science « réveillée » en Amérique et dans le monde ont oublié que seules les femmes peuvent tomber enceintes, donc cette précaution particulière ne s’applique évidemment pas aux hommes. Si vous pensez que les hommes peuvent tomber enceintes, vous avez peut-être déjà subi des dommages cognitifs dus aux vaccins covidés et vous devriez consulter immédiatement un médecin.

Le pin de l’île de Norfolk et le pin ponderosa sont également soupçonnés de provoquer des avortements spontanés et devraient probablement être évités.

Nous ne connaissons pas la composition complète des diverses espèces de pins, et nous ne pouvons donc pas, en toute conscience, dire à qui que ce soit de boire de la tisane faite à partir d’aiguilles de pin. Si vous décidez de le faire, faites preuve de bon sens et prenez toutes les précautions nécessaires, et travaillez avec un naturopathe qualifié pour élaborer une stratégie à base de plantes compatible avec votre propre biologie et vos objectifs de santé particuliers.

Sachez également que la tisane d’aiguilles de pin peut interagir de manière inattendue avec des médicaments sur ordonnance, dont la plupart sont toxiques en soi.

Nous allons confirmer ce processus d’extraction à l’aide d’une machine à expresso et d’un instrument de spectrométrie de masse quadruple à CWC Labs.

La bonne nouvelle dans tout cela, c’est qu’il semble que les gens ordinaires peuvent récolter l’acide shikimique à partir des aiguilles de pin en utilisant une machine à expresso ordinaire.

Ou, pour une extraction plus approfondie d’un large spectre de terpènes, les gens peuvent utiliser un appareil à ultrasons pour réaliser de telles extractions (voir ma vidéo ci-dessus).

En tant que service public, je suis en train de lancer un projet de laboratoire dans mon laboratoire privé pour reproduire cette méthode d’extraction de l’acide shikimique, mais en utilisant des aiguilles de pin au lieu de l’anis étoilé :

Nous achetons des standards d’acide shikimique et recherchons une méthode HPLC / Mass spec pour la quantification de l’acide shikimique.
Nous sommes en train d’acheter un simple moulin à herbe et une machine à expresso neuve et propre pour tester l’extraction.
Une fois terminé, nous prévoyons de diffuser une vidéo de notre laboratoire, vous montrant les résultats de nos tentatives d’extraction.
Nous allons probablement utiliser des aiguilles de pin loblobby, car c’est ce qui est commun dans la région centrale du Texas. Je ne connais pas la teneur en acide shikimique des pins loblobby.

Restez à l’écoute de NaturalNews.com et de ma chaîne Brighteon.com pour d’autres mises à jour sur ce sujet extrêmement important pour l’humanité :

https://www.brighteon.com/channels/hrreport




Parents, protégez vos enfants : refusez tests et vaccins !

Par Nicole Delépine

Qu’en diront nos enfants ? – YouTube

Dis papa, dis pourquoi, tu n’as pas réagi,
Quand ils nous ont masqués nous aussi ?
Et pourquoi, dis papa, tu n’t’es pas opposé
Quand ils nous empêchaient de respirer ?
Dis papa, mais de quoi, aviez-vous donc si peur
Pour les laisser commettre ces horreurs ?
Qui a pris votre esprit, a glacé votre cœur
A fait d’vous des robots sans valeurs ?

Ma chérie, la télé les médias répétaient qu’on était en danger
Les gens n’arrivaient plus à penser, à s’aimer, s’demander simplement
Qu’en diront nos enfants ?
Dis papa, dis pourquoi, tu n t’es pas rebellé,

Quand ils punirent ceux qui résistaient ?
Et comment, dis papa, as-tu pu les laisser
M’injecter l’ARN messager ?
Mais par quoi, dis papa, étiez-vous aveuglés
Pour ne pas voir la vérité ?
L’imposture nous paraît tellement grosse aujourd’hui
Qu’on n’comprend pas ce qui vous a pris

J ai si honte, mon bébé, de les avoir laissés contrôler mes pensées
Aveuglé par la peur, la confiance en ces gens, j’oubliais simplement
Qu’en diront nos enfants ?

Dis papa, dis comment, avez-vous finalement
Mis fin à cet acharnement ?
Et comment avez-vous fait pour tout reconstruire
Pour que renaissent l’amour les sourires ?
Dis papa, dis comment, as-tu pu surmonter
Les blessures, la colère, les regrets?
Retrouver la joie d’vivre, la foi et l’insouciance?
Malgré ce poids sur ta conscience ?

Ma chérie il fallut pardonner nos erreurs pour tout recommencer
Pour ouvrir notre cœur et sourire à la vie, dans un nouvel élan
Réinventer le temps
Qu’en dis-tu mon enfant ?

Si vous arrivez à écouter cette chanson sans quelques larmes, alors fermez tout, partez sur une île déserte ou une baraque en haut d’une montagne, quelques jours sans médias, sans journaux, sans voisins, sans collègues et sans commerçants.

Personne, personne autour de vous, isolez-vous dans une cabane sans confort, quelques jours pour vous retrouver et réaliser ce que nous avons fait ensemble aux enfants, aux bébés incapables de reconnaître les visages de leurs nurses, aux étudiants dont certains entraient pour la première fois dans une chambre de quelques m² loin du cocon familial, aux soignants auxquels on a laissé croire qu’interdire les médicaments était logique, les conduisant à l’impasse psychologique et au désespoir, aux adultes auxquels on a fait croire qu’il fallait refuser les visites à leurs vieux parents enfermés non coupables sans amour, aux enfants – le pire – qu’ils faisaient courir un risque à leurs familles s’ils jouaient avec un camarade dans la cour d’école.

Et pourquoi, pour qui, pour obéir à quelques angoissés délirants inconscients ou indifférents au mal qu’ils allaient engendrer sur plusieurs générations ?

Nous avons laissé faire, plus ou moins, mais laissé faire de fait, puisque nous en sommes encore là quatorze mois plus tard et que des patients contaminés (par les vaccinés ou pas) se retrouvent avec une prescription de Doliprane parce que le docteur a peur. Peur de quoi ? De devoir se suicider bientôt quand il réalisera qu’il a laissé mourir des malades pour rien, pour avoir eu peur d’un « ordre » qui aurait dû se taire rapidement si une majorité de collègues avait parlé haut et fort !

Certes, certains d’entre nous ont essayé de parler, d’informer mais nous n’avons pas trouvé les mots pour toucher les proches, les voisins, les amis, les lecteurs, les auditeurs des nombreuses petites chaînes web qui pourtant donnaient la parole à ceux qui sentaient le drame s’étendre.

Nous en sommes venus, pour certains, trop nombreux, à décider de ne plus parler de « ça » avec des frères, des parents, des beaux-parents pour ne pas se « fâcher ». Vous aurez, nous aurons la guerre et le déshonneur.

Nous avons plus ou moins essayé de combattre la bête immonde qui montait inexorablement, relu les auteurs qui l’avaient si bien décrite, de Hannah Arendt à Orwell et Huxley, mais raté notre alerte trop basse, trop peu audible, trop douce, trop bienveillante dans un monde de brutes.

Et maintenant les enfants de six ans sont handicapés par le masque pour apprendre à lire, à parler, alors que nous savions tous d’emblée que les enfants n’attrapaient pas le covid et ne le transmettaient pas. Ils étouffent et nous regardons ailleurs après avoir signé une pétition de bonne conscience.

Les articles sur Nexus, France soir et quelques autres médias résistants mais tellement minoritaires le répétaient, mais sans les mots adaptés probablement pour combattre l’hydre de la désinformation permanente qui continue à démolir tous les papiers qui expliquent, rassurent, combattent, encore aujourd’hui alors que la sidération est passée, que beaucoup savent.

Nos parents, à nous babyboomers, nous ont donné une enfance paisible, évitant les récits trop durs de la guerre mondiale qu’ils venaient de vivre. Nous aurions dû comprendre que 70 ans de paix ne pouvaient durer sans terreur, sans drame, que ce qui s’était vécu à quelques centaines de km de nous en Serbie, au Kosovo ou ailleurs nous concernait et que nous ne sommes protégés d’aucune horreur, d’aucun totalitarisme. Se mettre la tête dans le sable n’a jamais sauvé une autruche.

Vous savez tout cela finalement, même si votre cerveau vous refuse encore de l’accepter.

Alors aujourd’hui je ne répéterai qu’une chose, ne laissez pas vos enfants se faire tester inutilement deux fois par semaine. L’énorme angoisse que vont leur entraîner ces prélèvements récurrents impossibles à leur expliquer sans les affoler, et le drame d’un « positif » éventuel qui fermera la classe « par sa faute », alors que nous savons que ces tests sont faux,(([1] Chez les asymptomatiques, un test PCR positif avec le nombre de séances d’amplification trop élevé fait en France ne signifie dans 97 % des cas ni que vous êtes porteur de virus, ni que vous serez malade, ni que vous êtes ou serez contagieux.)) non fiables, même de l’avis de l’OMS en janvier 2021.

Et pire encore, ne les laissez pas vacciner par ces molécules expérimentales aux 230 composants et plus, jamais testées sérieusement, dont les risques immédiats filtrent dans les journaux et dont les risques à moyen et long terme sur leur fertilité, leur immunité, etc. sont INCONNUS.

Alors que vos enfants ne risquent rien du Covid-19 et qu’ils ne peuvent donc pas tirer le moindre bénéfice des prétendus vaccins

Écoutez cette chanson, pleurez un bon coup, autant que nécessaire et enfin réveillez-vous et réagissez.

Il n’y aura pas de tests à l’école si les parents en majorité refusent ces examens.

Il n’y aura pas de vaccination des enfants si VOUS refusez l’inconnu pour vos petits.

Il n’y aura pas de passeport sanitaire si les Français se rappellent enfin qu’ils sont des hommes responsables qui doivent décider de leur destin et ne sont pas les robots que les dirigeants et leurs amis milliardaires souhaiteraient qu’ils deviennent.

Les pays européens qui ont refusé les restrictions de liberté prétendument sanitaires inefficaces comme la Finlande, la Biélorussie, les Pays-Bas ou la Suède ont de bien meilleurs résultats Covid-19 que nous.

Des pays entiers sont libérés, le Texas et les quatre cinquièmes des USA et bien d’autres. Soyons ou plutôt redevenons les dignes enfants de nos illustres ancêtres, faisons respecter les libertés qu’ils ont chèrement léguées.

Qu’en diront nos enfants ? – YouTube

Dis papa, dis pourquoi, tu n’as pas réagi,
Quand ils nous ont masqués nous aussi ?
Et pourquoi, dis papa, tu n’t’es pas opposé
Quand ils nous empêchaient de respirer ?
Dis papa, mais de quoi, aviez-vous donc si peur
Pour les laisser commettre ces horreurs ?
Qui a pris votre esprit, a glacé votre cœur
A fait d’vous des robots sans valeurs ?

Ma chérie, la télé les médias répétaient qu’on était en danger
Les gens n’arrivaient plus à penser, à s’aimer, s’demander simplement
Qu’en diront nos enfants ?
Dis papa, dis pourquoi, tu n t’es pas rebellé,

Quand ils punirent ceux qui résistaient ?
Et comment, dis papa, as-tu pu les laisser
M’injecter l’ARN messager ?
Mais par quoi, dis papa, étiez-vous aveuglés
Pour ne pas voir la vérité ?
L’imposture nous paraît tellement grosse aujourd’hui
Qu’on n’comprend pas ce qui vous a pris

J ai si honte, mon bébé, de les avoir laissés contrôler mes pensées
Aveuglé par la peur, la confiance en ces gens, j’oubliais simplement
Qu’en diront nos enfants ?

Dis papa, dis comment, avez-vous finalement
Mis fin à cet acharnement ?
Et comment avez-vous fait pour tout reconstruire
Pour que renaissent l’amour les sourires ?
Dis papa, dis comment, as-tu pu surmonter
Les blessures, la colère, les regrets?
Retrouver la joie d’vivre, la foi et l’insouciance?
Malgré ce poids sur ta conscience ?

Ma chérie il fallut pardonner nos erreurs pour tout recommencer
Pour ouvrir notre cœur et sourire à la vie, dans un nouvel élan
Réinventer le temps
Qu’en dis-tu mon enfant ?

Nicole Delépine


[Note de Joseph : Il n’y a pour l’instant malheureusement pas beaucoup de monde à vraiment réaliser ce qu’il se passe, à regarder les choses en face et à vouloir trouver et utiliser La clef de la libération, car notamment cette dernière demande des efforts et plus les gens ont vécu dans le confort matériel et l’éloignement de toute religion et de toute spiritualité authentique, plus ils demandent avant tout de rester dans leur confort physique, émotionnel, mental et faussement moral. Il semble bien que nous soyons très proches de l’époque de la « moisson » (voir L’épée, le bon grain et l’ivraie).]




L’avertissement des militaires d’active aux autorités de l’État

[Source : breizh-info.com]

Armée. « Oui, de nouveau, la guerre civile couve en France et vous le savez parfaitement » : L’avertissement des militaires d’active aux autorités de l’État

« Si nous ne pouvons pas, réglementairement, nous exprimer à visage découvert, il nous est tout aussi impossible de nous taire ». Après l’appel citoyen lancé par des anciens militaires qui a fait la une de l’actualité ces jours derniers, voici qu’à leur tour des militaires d’active prennent la plume pour s’adresser aux autorités de l’État. Du jamais vu dans l’histoire de l’Armée française depuis des décennies. Voici ce texte, appelé à faire date, que Valeurs actuelles a également publié. 


Monsieur le Président de la République,

Mesdames et Messieurs les ministres, parlementaires, officiers généraux, en vos grades et qualités,

On ne chante plus le septième couplet de la Marseillaise, dit « couplet des enfants ». Il est pourtant riche d’enseignements. Laissons-lui le soin de nous les prodiguer :

« Nous entrerons dans la carrière quand nos aînés n’y seront plus. Nous y trouverons leur poussière, et la trace de leurs vertus. Bien moins jaloux de leur survivre que de partager leur cercueil, nous aurons le sublime orgueil de les venger ou de les suivre ».

Nos aînés, ce sont des combattants qui ont mérité qu’on les respecte. Ce sont par exemple les vieux soldats dont vous avez piétiné l’honneur ces dernières semaines. Ce sont ces milliers de serviteurs de la France, signataires d’une tribune de simple bon sens, des soldats qui ont donné leurs plus belles années pour défendre notre liberté, obéissant à vos ordres, pour faire vos guerres ou mettre en œuvre vos restrictions budgétaires, que vous avez salis alors que le peuple de France les soutenait.

Ces gens qui ont lutté contre tous les ennemis de la France, vous les avez traités de factieux alors que leur seul tort est d’aimer leur pays et de pleurer sa visible déchéance.

Dans ces conditions, c’est à nous, qui sommes récemment entrés dans la carrière, d’entrer dans l’arène pour avoir simplement l’honneur d’y dire la vérité.

Nous sommes de ce que les journaux ont nommé « la génération du feu ». Hommes et femmes, militaires en activité, de toutes les armées et de tous les grades, de toutes les sensibilités, nous aimons notre pays. Ce sont nos seuls titres de gloire. Et si nous ne pouvons pas, réglementairement, nous exprimer à visage découvert, il nous est tout aussi impossible de nous taire.

Afghanistan, Mali, Centrafrique ou ailleurs, un certain nombre d’entre nous ont connu le feu ennemi. Certains y ont laissé des camarades. Ils ont offert leur peau pour détruire l’islamisme auquel vous faites des concessions sur notre sol.

Presque tous, nous avons connu l’opération Sentinelle. Nous y avons vu de nos yeux les banlieues abandonnées, les accommodements avec la délinquance. Nous avons subi les tentatives d’instrumentalisation de plusieurs communautés religieuses, pour qui la France ne signifie rien -rien qu’un objet de sarcasmes, de mépris voire de haine.

Nous avons défilé le 14 juillet. Et cette foule bienveillante et diverse, qui nous acclamait parce que nous en sommes l’émanation, on nous a demandé de nous en méfier pendant des mois, en nous interdisant de circuler en uniforme, en faisant de nous des victimes en puissance, sur un sol que nous sommes pourtant capables de défendre.

Oui, nos aînés ont raison sur le fond de leur texte, dans sa totalité. Nous voyons la violence dans nos villes et villages. Nous voyons le communautarisme s’installer dans l’espace public, dans le débat public. Nous voyons la haine de la France et de son histoire devenir la norme.

Ce n’est peut-être pas à des militaires de dire cela, arguerez-vous. Bien au contraire : parce que nous sommes apolitiques dans nos appréciations de situation, c’est un constat professionnel que nous livrons. Car cette déchéance, nous l’avons vue dans bien des pays en crise. Elle précède l’effondrement. Elle annonce le chaos et la violence, et contrairement à ce que vous affirmez ici où là, ce chaos et cette violence ne viendront pas d’un « pronunciamento militaire » mais d’une insurrection civile.

Pour ergoter sur la forme de la tribune de nos aînés au lieu de reconnaître l’évidence de leurs constats, il faut être bien lâche. Pour invoquer un devoir de réserve mal interprété dans le but de faire taire des citoyens français, il faut être bien fourbe. Pour encourager les cadres dirigeants de l’armée à prendre position et à s’exposer, avant de les sanctionner rageusement dès qu’ils écrivent autre chose que des récits de batailles, il faut être bien pervers.

Lâcheté, fourberie, perversion : telle n’est pas notre vision de la hiérarchie.

L’armée est au contraire, par excellence, le lieu où l’on se parle vrai parce que l’on engage sa vie. C’est cette confiance en l’institution militaire que nous appelons de nos vœux.

Oui, si une guerre civile éclate, l’armée maintiendra l’ordre sur son propre sol, parce qu’on le lui demandera. C’est même la définition de la guerre civile. Personne ne peut vouloir une situation aussi terrible, nos aînés pas plus que nous, mais oui, de nouveau, la guerre civile couve en France et vous le savez parfaitement.

Le cri d’alarme de nos Anciens renvoie enfin à de plus lointains échos. Nos aînés, ce sont les résistants de 1940, que, bien souvent, des gens comme vous traitaient de factieux, et qui ont continué le combat pendant que les légalistes, transis de peur, misaient déjà sur les concessions avec le mal pour limiter les dégâts ; ce sont les poilus de 14, qui mouraient pour quelques mètres de terre, alors que vous abandonnez, sans réagir, des quartiers entiers de notre pays à la loi du plus fort; ce sont tous les morts, célèbres ou anonymes, tombés au front ou après une vie de service.

Tous nos aînés, ceux qui ont fait de notre pays ce qu’il est, qui ont dessiné son territoire, défendu sa culture, donné ou reçu des ordres dans sa langue, ont-ils combattu pour que vous laissiez la France devenir un Etat failli, qui remplace son impuissance régalienne de plus en plus patente par une tyrannie brutale contre ceux de ses serviteurs qui veulent encore l’avertir ?

Agissez, Mesdames et Messieurs. Il ne s’agit pas, cette fois, d’émotion sur commande, de formules toutes faites ou de médiatisation. Il ne s’agit pas de prolonger vos mandats ou d’en conquérir d’autres. Il s’agit de la survie de notre pays, de votre pays.

Photo d’illustration : DR
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie

[Source : anguillesousroche.com]

L’Esprit et Dieu : La nouvelle science de la neurothéologie

Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. Notre recherche vise à comprendre comment et pourquoi.

  • La neurothéologie est un domaine qui unit la science et la psychologie du cerveau aux croyances et pratiques religieuses.
  • Il existe plusieurs mécanismes indirects et directs qui relient la spiritualité à une meilleure santé mentale.
  • La compassion et l’amour sont des émotions positives qui rendent votre cerveau plus sain.

Le domaine de la neurothéologie continue de s’étendre depuis ses origines il y a plusieurs décennies jusqu’à aujourd’hui. Dans sa définition la plus simple, la neurothéologie désigne le champ d’études qui cherche à comprendre la relation entre le cerveau et notre moi religieux et spirituel. Comme j’aime toujours le dire, il est important de considérer les deux côtés de la neurothéologie de manière très large. Ainsi, le côté “neuro” comprend l’imagerie cérébrale, la psychologie, la neurologie, la médecine et même l’anthropologie. Et le côté “théologie” comprend la théologie elle-même, mais aussi divers aspects liés aux croyances, attitudes, pratiques et expériences religieuses.

Les bienfaits de la spiritualité sur la santé mentale

La neurothéologie va également de l’examen de concepts très ésotériques, notamment les questions relatives au libre arbitre, à la conscience et à l’âme, à des concepts très pratiques tels que la compréhension du fonctionnement du cerveau et la relation entre la spiritualité et la santé physique et mentale. Ce dernier sujet pourrait être appelé “neurothéologie appliquée”. La neurothéologie appliquée cherche donc à comprendre les aspects liés à la santé de notre cerveau et de notre moi spirituel. En particulier, nous pouvons essayer de comprendre comment le fait d’être religieux ou spirituel, ou d’effectuer diverses pratiques spirituelles, peut être bénéfique pour notre santé et notre bien-être général. Dans notre dernier livre, intitulé Brain Weaver, nous examinons cette dimension importante de la santé du cerveau humain.

Même pour ceux qui ne sont pas religieux, l’exercice de pratiques telles que la méditation et la prière – même sécularisées – peut être bénéfique pour réduire le stress et l’anxiété.

Un nombre croissant d’études ont montré le lien entre la spiritualité et la santé mentale. Il est important de noter que les personnes religieuses et spirituelles ont tendance à avoir des taux plus faibles de dépression, d’anxiété et de suicide. Cette constatation s’applique à tous les âges, les études sur les adolescents montrant que les activités religieuses et spirituelles protègent des problèmes de santé mentale. Et de nombreux adultes citent les croyances religieuses et spirituelles comme étant importantes pour faire face aux divers facteurs de stress de la vie.

Mécanismes indirects

S’il existe une relation entre la spiritualité et la santé mentale positive, nous pouvons nous demander quel pourrait être le mécanisme d’action. J’ai généralement divisé les mécanismes en mécanismes indirects et directs. Les mécanismes indirects sont liés à des aspects spécifiques d’une tradition donnée qui finissent par avoir des effets bénéfiques sur la santé mentale. Par exemple, aller à l’église ou à d’autres événements sociaux qui font partie d’une tradition religieuse peut être bénéfique parce que le soutien social, en soi, est bénéfique pour notre santé mentale. Plus nous avons de personnes dans notre réseau de soutien social, plus nous sommes en mesure de faire face aux divers facteurs de stress de la vie, y compris les problèmes d’emploi, de relations ou de santé.

La plupart des religions enseignent également aux gens à éviter un grand nombre de comportements à risque qui peuvent être très préjudiciables à notre santé mentale et à notre bien-être. Par exemple, la plupart des religions nous enseignent à éviter l’alcool et les drogues, à ne pas avoir de mœurs légères et à essayer d’être compatissant et charitable envers les autres. En suivant ces enseignements, les gens éviteront naturellement les problèmes de santé mentale tels que la toxicomanie et auront tendance à être plus optimistes et moins déprimés. Ces effets n’ont rien à voir avec le fait d’être religieux en soi et tout à voir avec le fait de suivre les conseils d’une religion.

Un autre mécanisme d’action indirect intéressant lié à la religion concerne l’alimentation et la nutrition. Le régime alimentaire et la nutrition sont souvent négligés lorsqu’il s’agit d’une bonne santé mentale, même si les recherches indiquent de plus en plus qu’ils sont essentiels. De nombreuses traditions demandent aux individus de suivre certaines directives alimentaires. Par exemple, les hindous ont tendance à avoir un régime végétarien, et la plupart des recherches menées à ce jour montrent qu’une alimentation plus végétale, comportant beaucoup d’aliments peu inflammatoires, est bonne non seulement pour le corps, mais aussi pour le cerveau. En fait, nous menons actuellement une étude sur des patients présentant des symptômes chroniques de commotion cérébrale afin de déterminer l’effet d’une amélioration du régime alimentaire sur la fonction cérébrale globale.

Mécanismes directs

Les mécanismes d’action directs sont liés à des pratiques spirituelles spécifiques, voire au sens personnel de la spiritualité d’une personne. Une grande partie de mes recherches au cours des 30 dernières années a consisté à étudier le cerveau pendant que les gens s’engagent dans différentes pratiques telles que la méditation ou la prière. Nous avons même observé les changements cérébraux associés à des pratiques spirituelles uniques comme le parler en langues ou les états de transe. Les effets cérébraux liés à ces pratiques sont tout à fait remarquables et variés. Il n’y a rien d’étonnant à cela puisque ces pratiques affectent les gens à de nombreux niveaux différents, comme la façon dont ils pensent, ressentent et expérimentent le monde qui les entoure. Nous devrions donc nous attendre à observer des différences physiologiques dans les parties du cerveau impliquées dans ces pratiques.

La méditation et la prière, par exemple, activent les lobes frontaux ainsi que les zones linguistiques du cerveau, et la recherche démontre que cela se produit non seulement pendant la pratique, mais aussi à long terme. Notre étude sur la méditation Kirtan Kriya a montré des améliorations d’environ 10 à 15 % en matière de cognition ainsi que des réductions du stress, de l’anxiété et de la dépression. Ces améliorations étaient associées à des changements de base dans les fonctions du lobe frontal du cerveau, qui régulent ces processus cognitifs et modulent les réponses émotionnelles.

Des recherches plus récentes ont exploré les effets de ces pratiques sur des réseaux cérébraux plus larges, et peut-être plus important encore, sur des systèmes de neurotransmetteurs spécifiques. L’une de nos récentes études sur un programme de retraite spirituelle a montré des changements significatifs dans les zones du cerveau qui libèrent la dopamine et la sérotonine. Ces zones sont connues pour être impliquées dans la cognition et la santé émotionnelle. De plus, un nombre croissant d’études cliniques ont démontré la valeur de diverses pratiques spirituelles ou thérapies à orientation religieuse pour aider les gens à gérer une variété de problèmes de santé mentale, notamment la dépression, l’anxiété et le TDAH, ainsi que des problèmes neurologiques comme la maladie d’Alzheimer et les troubles épileptiques.

Enfin, un sentiment personnel de spiritualité peut être protecteur en soi. Lorsqu’une personne se sent connectée à l’ensemble de l’humanité, à une puissance supérieure ou à l’univers tout entier, cette expérience lui donne un sens et un but dans la vie et une perspective optimiste sur ce que l’avenir lui réserve. Un certain nombre de recherches ont montré qu’une telle foi peut être bénéfique pour la santé physique et mentale globale.

Améliorer la santé du cerveau grâce à la neurothéologie appliquée

La neurothéologie appliquée peut nous enseigner la valeur de l’exploration de notre côté religieux et spirituel comme moyen d’améliorer notre santé mentale et notre bien-être. Même pour ceux qui ne sont pas religieux, la poursuite de pratiques telles que la méditation et la prière – même sécularisées – peut être bénéfique pour réduire le stress et l’anxiété. Le fait de se connecter au monde extérieur – en faisant une promenade dans la nature, en se réunissant avec ses amis et sa famille ou en essayant d’améliorer son quartier en aidant les autres – renforce le sentiment de compassion et d’amour, des émotions positives qui contribuent à la santé du cerveau.

Source : Big Think – Traduit par Anguille sous roche




L’effondrement politique qui vient

[Source : Le Média]

Reprendre le pouvoir. Le titre du dernier essai de François Boulo a le mérite d’être compréhensible par tout citoyen qui a un jour goûté à la sensation étrange de n’avoir, en réalité, aucun moyen de peser réellement dans le cours de l’histoire de son pays. Une sensation d’autant plus étrange qu’à première vue, nous sommes en démocratie. Nous pouvons élire notre président de la République, notre député, notre maire, nos conseillers régionaux.

Et pourtant. Il y a un malaise démocratique en France et plus largement dans le monde. Il se double aussi d’une sorte de lent déclassement des classes populaires en Occident, où un néolibéralisme conquérant impose désormais sa règle d’airain. Ce mouvement préoccupant s’est accéléré avec la crise financière de 2008 et s’accentue avec la crise sanitaire que nous vivons.

Que deviennent les Gilets jaunes, courant né du refus de l’ordre qui se consolidait avant même le COVID 19 et ses confinements ? Le mouvement est-il mort ? Peut-il se réinventer ? Ne vaut-il que parce qu’il a été le signe du retour de la lutte des classes qui s’exprimera dès que la vie sociale reprendra ?

C’est autour de ces questionnements que se structure cet entretien avec François Boulo, avocat au barreau de Rouen, très vite devenu une figure de proue des Gilets jaunes. Une figure de proue qui a aujourd’hui pris du recul sans cesser de combattre, et qui s’exprime désormais sur sa chaîne Youtube, dénommée Praxis.




Au pays de Dracula, les vaccinés reçoivent un diplôme de courage !

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Lors de la peste noire – la vraie, qui décima des millions d’Européens, et pas celle inventée par notre ministre de la « Santé » (selon son titre officiel), les paysans et villageois fuyaient le plus loin possible des lieux infestés où s’accumulaient les morts.

Imagine-t-on, si un traitement efficace avait été connu, la nécessité de trouver toutes sortes de sollicitations holistiques pour conduire les gens à accepter le traitement miracle ?

Mais en ce XXIe siècle on aura tout vu !  De la prime de 25 € au bon d’achat de 5 euros à la pinte de bière, ou 20 points proposés par Bernard Pivot à l’oral du bac (une blague ?), les avantages proposés aux cobayes sont variés pour les conduire à accepter cette redoutable piqûre dont ils sentent bien, pour le moins, que le bénéfice n’est pas évident.

Des cobayes non rémunérés mais flattés

Il est vrai que les vaccins covid sont en phase expérimentale et que les citoyens commencent au moins à le savoir un peu. Notons que Big Pharma s’est vraiment bien débrouillée, elle ne paie pas ses cobayes comme habituellement (des sommes de plusieurs centaines d’euros pour les essais habituels de médicaments) et de plus les agences de santé et les États l’ont exonérée de toute responsabilité pénale ou/financière en cas de pépin… y compris le décès. Les États paieront, enfin… nos impôts. Pas belle la vie ?

En ce qui concerne l’épidémie presque terminée du covid qui a nettoyé la grippe au passage, mais pour laquelle il faut continuer à affoler la population, l’imagination des marchands du temple est au pouvoir.  Le double but est bien sûr les bénéfices financiers fantastiques liés aux vaccins pour Big Pharma et des avantages politiques pour les dirigeants du Nouvel Ordre mondial, imposer des lois liberticides et une surveillance policière croissante.

L’imagination au pouvoir des marchands

Et nous pouvons être admiratifs des qualités commerciales des marchands de vaccins. Là où on découvre s’il en était besoin qu’il n’est plus question de médecine, mais bien de commerce et donc de marketing.

Dans le petit papier de msn.com[1] qui relate la vaccination des Roumains chez Dracula, tout y est et on ne sait plus s’il faut rire ou pleurer. Malgré le côté tragique de la situation, quand on connaît les multiples effets secondaires, dont des décès (près de 9 000 post-vaccinaux en UE chez des sujets qui ne risquaient rien, pour beaucoup, du covid ou presque) et la flambée des cas et des malades dans des pays jusque-là quasiment indemnes avec l’arrivée des campagnes de vaccination[2] [3] [4].

Le pseudo-vaccin au château de Dracula

Examinons ce petit article : tous les mots clefs y sont. Tout d’abord le titre : les Roumains se font « piquer » au château de Dracula.  De mon temps, on disait vacciner et se faire piquer était réservé aux animaux qu’on faisait euthanasier en fin de vie par le vétérinaire. Tout un programme.

Poursuivons : le futur cobaye profite de l’opportunité « prend son courage à deux mains ». Pourquoi ? pour un DTPolio, en faisait-on autant ? Non, cela sous-entend bien le mystère, et le cinéma qui entoure cette « piquouse » pour parler comme eux.

Le comble, comme aux gosses qui passent un diplôme de nage ou de sécurité routière, les personnes piquées reçoivent un « diplôme » attestant de quoi ? Je vous le donne en mille : de « leur courage et responsabilité ». Pourquoi tant de courage si ce pseudo-vaccin était anodin comme les médias veulent nous le faire admettre à longueur d’émission ?

Ils seront accueillis au château de Dracula à Bran dans les « cent prochaines années »… Message subliminal de vie éternelle grâce à la potion magique prônée par Bill Gates ? Faust hante-t-il le château de Dracula ?

Qui organise ces séances de distraction faustienne ?

Évidemment pas un médecin qui s’évertuerait à expliquer avantages (? s’il en trouvait par rapport aux traitements précoces et sans danger) et inconvénients possibles, les effets secondaires beaucoup plus fréquents qu’avec les autres vaccins, comme celui de la grippe par exemple (et déjà signalés sur le site de l’agence européenne du médicament, l’EMA et Eudravigilance, où chaque curieux peut aller, surtout avant de se décider, ce serait prudent).

Le médecin respecterait ainsi le serment d’Hippocrate et le Code de Nuremberg sanctifié par la déclaration d’Helsinki et la convention d’Oviedo.

Mais non, ici à Bran comme à Disney en France, on est dans le plaisir, le ludique, le léger et donc c’est le directeur du MARKETING qui invite et organise. Tout y est, n’est-ce pas ?  Et comme il ne doute de rien dans la pub, il prévoit pour les futurs cobayes qu’il qualifie de « téméraires, une visite de : « la salle des tortures » abritée dans la forteresse. On est dans un « ciblage touristique ».

Nous voilà donc dans les fins fonds des Carpates, chez « l’empaleur » Vlad Tepes, prince roumain du XVe  siècle, particulièrement sanguinaire pour avoir inspiré à l’écrivain irlandais Bram Stoker le personnage de Dracula. Tout est dans le symbole, volontaire ou inconscient, ils font très fort ces Roumains.

Comme aux USA, et en France en particulier, tout le monde n’est pas forcément volontaire pour être cobaye non rémunéré du plus grand essai mondial de médicaments encore jamais testés, et dont les prédécesseurs, tentatives de vaccins anti-coronavirus du SRAS et du Mers avaient tué les animaux tests.

Ici en matière de vaccin anti-covid, les labos ont sauté l’étape animale officiellement en raison de manque d’animaux de laboratoire et des militants anti-souffrance animale. Si ces associations pouvaient inclure dans leurs combats les animaux humains, ce serait une bonne idée.

Alors les Roumains qui avaient refusé les mesures liberticides sont sollicités via des vaccidrives et des marathons vaccinatoires ouverts 24 h sur 24 dans des lieux mythiques comme la salle du Palais à Bucarest. Pourquoi pas dans les salles de l’hôpital ? Non, c’est un peu comme la nuit de visite gratuite des musées français !  Et les moins de 50 ans (moins de mille morts en France depuis quatorze mois pour une maladie qui, le cas échéant, se traite facilement si on donne le traitement tôt), y vont en famille, en sortie du dimanche.  Pourquoi tout ce CIRQUE ?

Et comme partout la campagne vaccinale s’accompagne d’une remontée des décès…

Beatrice Mahler, directrice de l’hôpital Marius Nasta de Bucarest dit que près de 3,6 millions de Roumains ont reçu au moins une dose de vaccin contre le coronavirus dans ce pays de 19 millions d’habitants qui veut franchir le cap des 5 millions de vaccinés d’ici début juin.

Pourquoi ? Au nom de qui ? Sous la pression de qui ? Au moins on connaît le montant des motivations [5] de Stella Kirikiades, la ministre de la Santé chypriote de l’Union européenne qui a signé les contrats des vaccins covid avec les entreprises pharma et dont le compte bancaire privé a depuis été crédité de 4 millions d’euros

Nicole Delépine


[1] Vaccination : Les Roumains se font piquer au « château de Dracula » (msn.com)

[2] Bientôt 10 000 morts et 2 millions d’effets secondaires susceptibles d’être liés aux « vaccins » contre la Covid-19 (reseauinternational.net)
En date du 27.04.21, selon le site officiel européen European Medicines Agency / EudraVigilance, on atteint déjà presque 10 000 morts et 2 millions d’effets secondaires, tous susceptibles d’être liés aux « vaccins » anti-Covid-19, pour la seule Union européenne (sans la Grande-Bretagne).

[3] Faut-il se faire vacciner ? À trancher sur les faits objectifs ! | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation

[4] https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/

[5] https://lesobservateurs.ch/2021/05/03/le-scandale-de-corruption-de-lue-dont-les-medias-bienpensants-refusent-de-parler/




Covid : les visages de la dissidence

[Source : Contrepoints]

Les traitements journalistes injurieux et condescendants des médias envers les manifestations de dissidence sont l’occasion de questionner les stéréotypes qui les animent, en partant de l’expérience personnelle de l’auteur du présent article.


Par Gabriel Lacoste.

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Samedi le 1er mai 2021, 30 000 personnes ont manifesté à Montréal contre les restrictions sanitaires. Le lendemain, des millions de Québécois ont ouvert le journal ou écouté les informations à la télévision pour s’en faire une opinion. Ils sont tombés sur une série de portraits caricaturaux de cette dissidence.

Sous une plume remplie d’insultes, Richard Martineau décrit les opposants comme des imbéciles qui se refusent à comprendre des évidences, soit parce qu’ils sont très égoïstes, soit parce qu’ils veulent que le virus circule davantage. Dans sa tête, il suffit de lire les dernières nouvelles sur l’Inde pour comprendre l’importance d’obéir au gouvernement. Même un enfant de 5 ans le comprend.

Sur un ton un peu plus raffiné, Patrick Lagacé affirme que la dissidence est généralement composée de nazis en puissance désormais incapables de raisonner, car passionnément désireux de faire partie d’un groupe, à la manière d’une secte. De plus, ce sont des imbéciles qui préfèrent croire le docteur Didier Raoult avec sa blouse blanche plutôt qu’un article dans The Lancet.

Il y a aussi eu de nombreux récits d’intimidation envers ceux qui soutiennent les mesures provenant de ces opposants, les dépeignant donc comme une foule stupide, violente et dangereuse.

COMMENT JE SUIS DEVENU DISSIDENT

Ma propre histoire contredit cette caricature.

Lorsque cette pandémie a été déclarée par l’Organisation mondiale de la santé, j’ai vu circuler sur mon fil d’actualités les prédictions de Neil Ferguson et de l’Imperial College, qui évaluaient à deux millions et demi le nombre de morts aux États-Unis s’il n’y avait pas de confinement strict. Ma première réaction a été d’y croire et de soutenir les mesures.

Deux événements sont venus changer ma perception.

Premièrement, j’ai lu un article de Reason Magazine mentionnant le cas du bateau de croisière Diamond Princess, dont les données indiquaient que les taux de mortalité utilisés par le modèle de Neil Ferguson étaient largement surestimés. J’ai donc fait une recherche supplémentaire sur l’auteur cité par cet article, John Ioannidis.

Deuxièmement, trois semaines après la déclaration de la pandémie, nous avons eu un cluster sur mon lieu de travail. Cet incident a fait l’objet d’une couverture médiatique. Pour vous mettre dans le contexte, je travaille dans un centre d’hébergement pour personnes à risque d’itinérance.

Dans les plans du gouvernement, nous sommes traités comme autant à risque qu’une maison de retraite. J’occupais donc alors une position privilégiée pour observer comment les autorités intervenaient durant la crise auprès des populations les plus vulnérables.

Ce dont j’ai été témoin m’a choqué profondément. En tant qu’administrateur, pour répondre aux ordres de la santé publique, j’ai dû organiser un système de surveillance et de contrôle pour confiner dans de petites chambres individuelles, et pendant plus d’un mois, une soixantaine d’individus, avec un système d’escorte pour aller aux toilettes. Je devais quotidiennement composer avec la souffrance que j’imposais à ces gens et leur incompréhension des raisons d’agir ainsi.

Nombreux sont les employés qui ont démissionné ou été en congé maladie. Puis les résidents ont carrément préféré aller vivre dans la rue.

Après ces deux évènements combinés, j’ai passé de plus en plus de temps à utiliser le moteur de recherche Google Scholar pour m’informer de ce que dit vraiment la science.

J’ai suivi les activités des chercheurs signataires de la « Great Barrington Declaration ». J’ai écouté les podcasts critiques de Tom Wood et les analyses statistiques de Ivor Cummins. J’ai régulièrement cherché sur le site « World of Data » des données comparatives entre pays pour tester différentes hypothèses (ici et ici).

Plus je faisais ces recherches, plus j’étais opposé aux restrictions et plus la couverture qu’en faisaient les journalistes m’inspirait du mépris et de la colère. C’est alors que j’ai pris la décision de partager mes réflexions avec Contrepoints et donc avec vous.

COMMENT LA CARICATURE DE LA DISSIDENCE PAR LES MÉDIAS EST TROMPEUSE

Selon Socrate, le début de la sagesse commence avec le conseil « connais-toi toi-même ». Lorsque je lis Richard Martineau et Patrick Lagacé sur la dissidence, je suis dans une étonnante position. Il suffit de me regarder dans le miroir pour vérifier si ce qu’ils disent est vrai.

Ils prétendent que nous sommes des imbéciles qui réfléchissent peu, puis qui s’informent sur YouTube. Pourtant, j’utilise mes compétences de deuxième cycle universitaire pour trouver les études-clés des chercheurs. Je lis leur méthodologie et les évalue à la lumière de ce que j’ai appris lors de mes cours d’épistémologie ou de méthodologie de la recherche scientifique. J’imagine des moyens de tester des hypothèses en consultant les bases de données disponibles au grand public.

Sincèrement, lorsque je me regarde dans le miroir, puis me compare à Patrick Lagacé et Richard Martineau, j’en conclus qu’ils sont beaucoup moins réfléchis et informés que moi. Le fait qu’ils ignorent l’existence de dissidents comme moi est la preuve de leur profonde ignorance.

Richard Martineau prétend que nous sommes égoïstes. Pourtant, c’est la souffrance que j’ai été obligé d’imposer à des personnes vulnérables qui m’a motivé à entrer en dissidence et non mon propre intérêt. Ici aussi, lorsque je me regarde dans le miroir et me compare à lui, la conclusion est évidente.

D’un côté, il y a un homme qui gagne bien sa vie à nourrir des préjugés sur les autres pendant la crise dans un journal à sensation, en n’hésitant pas à multiplier le langage ordurier envers de larges portions de la population.

De l’autre, il y a quelqu’un qui travaille directement à prévenir l’itinérance, qui voit de ses yeux les conséquences du confinement et qui en est troublé.

Formez votre propre jugement…

Patrick Lagacé insinue que la dissidence est constituée de nazis en puissance, en utilisant les termes subtils de « négationnistes » et de « chemises brunes » pour les décrire. Il affirme aussi qu’ils sont motivés par un désir d’appartenance au groupe. Lorsque je me regarde dans le miroir, ce n’est pas ce que je vois.

Personnellement, je prends le risque de perdre des amis en m’exprimant aussi fortement contre les restrictions sanitaires. En fait, j’en ai vu quitter mon profil Facebook.

Sinon, je vous le demande : de moi ou de Patrick Lagacé, lequel aurait le plus de chance de suivre les nazis durant les années trente ? Quelqu’un comme moi, qui défend en public des libertés individuelles tant controversées ou quelqu’un comme lui, qui flatte les autorités dans le sens du poil pour s’assurer les bonnes grâces de son lectorat ? Qui de moi ou de lui aurait le plus de chance de résumer le visage de la dissidence ? Qui ressent le besoin de chiffrer le nombre de personnes qui sont d’accord avec lui pour se faire une opinion ? Poser ces questions, c’est y répondre…

SUIS-JE UNE EXCEPTION ?

J’imagine déjà une réponse toute faite à mon argumentation : je suis une exception. La majorité des dissidents ressemble à la caricature qu’en font Richard Martineau et Patrick Lagacé.

La réalité c’est que ni vous ni eux n’en savez rien. Vous choisissez le visage de la dissidence qui plait à votre vision du monde avant même d’en avoir fait la moindre étude rigoureuse.

À ce titre, je mentionne au passage l’explosion de vidéos sur YouTube de gens qui dansent en public sur la chanson de HK et les Saltimbank, dans différentes langues. En voici quelques passages :

« Nous sommes des oiseaux de passage, jamais dociles ni vraiment sages. Nous ne faisons pas allégeance, à l’aube en toutes circonstances. Nous venons briser le silence. Et quand le soir à la télé, monsieur le bon roi a parlé, venu annoncer la sentence, nous faisons preuve d’irrévérence, mais toujours avec élégance. […] Chaque mesure autoritaire, chaque relent sécuritaire, voit s’envoler notre confiance. Ils font preuve de tant d’insistance, pour confiner notre conscience. Nous on veut continuer à danser encore, voir nos pensées enlacer nos corps… »

Il s’agit là d’un autre visage de la dissidence qui diffère de la caricature. Ce sont des artistes et des bons vivants qui ont vu leur existence chamboulée par les mesures relatives au domaine de la culture, puis qui expriment leur opposition « avec élégance ». Des exceptions aux stéréotypes, il y en a, et elles sont nombreuses.

Et même si nous n’étions qu’une exception, c’est une erreur d’accorder davantage d’importance aux points communs qui confortent des préjugés qu’aux détails qui les contredisent. Ne pas médiatiser des dissidents comme nous, c’est un choix.

Peut-être que les historiens du futur les désigneront eux et non pas nous comme étant les fascistes de notre époque. Peut-être que ce texte sera classé dans la même famille de discours que celui de ce héros du film de V for Vendetta. On verra.

« Ne soyons pas impressionnables, par tous ces gens déraisonnables, vendeurs de peur en abondance, angoissants jusqu’à l’indécence. Sachons les tenir à distance. »

HK et les Saltimbanks, Danser encore.


À propos de Gabriel Lacoste

Gabriel Lacoste est un maître en philosophie également formé en administration et en intervention psychosociale.  Son expérience de travail dans la gestion de services d’entraide lui a également permis de développer un savoir-faire en matière d’utilisation de l’ironie socratique comme moyen de confronter les comportements toxiques, chez les individus et dans les organisations.




57 scientifiques et médecins demandent l’arrêt immédiat de toutes les « vaccinations » Covid-19

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Un groupe de 57 scientifiques, médecins et experts politiques de premier plan a publié un rapport appelant à remettre en question la sécurité et l’efficacité des « vaccins » COVID-19 actuels et réclame maintenant la fin immédiate de tous les programmes de vaccination – parmi eux la généticienne Alexandra Henrion-Caude.

Les thérapies utilisées appelés « vaccins » ne répondent pas à la définition du mot vaccin et il serait plus approprié de les nommer thérapies géniques ou thérapies à vecteurs vaccinaux.

Il existe deux certitudes concernant la distribution mondiale de ces thérapies Covid-19 :

  • La première est que les gouvernements et la grande majorité des médias grand public mettent toutes leurs forces pour que ces médicaments expérimentaux s’adressent au plus grand nombre de personnes possible. 
  • La deuxième est que ceux qui sont prêts à affronter le mépris qui accompagne le fait de poser des questions sérieuses sur les vaccins sont des acteurs essentiels dans nos efforts continus pour répandre la vérité.

Vous pouvez lire ce manuscrit en pré-impression ci-dessous. Il a été préparé par près de soixante médecins, scientifiques et experts en politiques publiques du monde entier pour être envoyé de toute urgence aux dirigeants mondiaux ainsi qu’à tous ceux qui sont associés à la production et à la distribution des différents vaccins Covid-19 en circulation.

Il y a encore beaucoup trop de questions sans réponse concernant l’innocuitél’efficacité et la nécessité de ces thérapies Covid-19. 

Cette étude est une bombe qui devrait être lue par tout le monde, quel que soit son point de vue sur les thérapies géniques ou vaccins. Il n’y a pas assez de citoyens qui posent des questions. La plupart des gens suivent simplement les ordres des gouvernements mondiaux, comme s’ils avaient gagné notre entière confiance. Ce n’est pas le cas. Ce manuscrit est un pas en avant en termes de responsabilité et de libre circulation de l’information sur ce sujet crucial. Veuillez prendre le temps de le lire et de le partager largement.
 


Vaccination de masse contre le SRAS-CoV-2: questions urgentes sur la sécurité des vaccins qui exigent des réponses des agences internationales de santé, des autorités réglementaires, des gouvernements et des développeurs de vaccins

Auteurs : Roxana Bruno 1 , Peter McCullough 2 , Teresa Forcades i Vila 3 , Alexandra Henrion-Caude 4 , Teresa García-Gasca 5 , Galina P. Zaitzeva 6 , Sally Priester 7 , María J.Martínez Albarracín 8 , Alejandro Sousa-Escandon 9 , Fernando López Mirones 10 , Bartomeu Payeras Cifre 11 , Almudena Zaragoza Velilla 10 , Leopoldo M. Borini 1 , Mario Mas 1 , Ramiro Salazar 1 , Edgardo Schinder 1 , Eduardo A Yahbes 1 , Marcela Witt 1, Mariana Salmeron 1 , Patricia Fernández 1 , Miriam M. Marchesini 1 , Alberto J. Kajihara 1 , Marisol V. de la Riva 1 , Patricia J. Chimeno 1 , Paola A. Grellet 1 , Matelda Lisdero 1 , Pamela Mas 1 , Abelardo J. Gatica Baudo 12 , Elisabeth Retamoza 12 , Oscar Botta 13 , Chinda C. Brandolino 13 , Javier Sciuto 14 , Mario Cabrera Avivar 14 , Mauricio Castillo 15 , Patricio Villarroel 15 , Emilia P. Poblete Rojas 15, Bárbara Aguayo 15 , Dan I. Macías Flores 15 , Jose V. Rossell 16 , Julio C. Sarmiento 17 , Victor Andrade-Sotomayor 17 , Wilfredo R. Stokes Baltazar 18 , Virna Cedeño Escobar 19 , Ulises Arrúa 20 , Atilio Farina del Río 21 , Tatiana Campos Esquivel 22 , Patricia Callisperis 23 , María Eugenia Barrientos 24 , Karina Acevedo-Whitehouse 5 ,

Résumé

Depuis le début de l’épidémie de COVID-19, la course au test de nouvelles plates-formes conçues pour conférer une immunité contre le SRAS-CoV-2, a été endémique et sans précédent, conduisant à l’autorisation d’urgence de divers vaccins. Malgré les progrès de la polychimiothérapie précoce pour les patients atteints de COVID-19, le mandat actuel est de vacciner la population mondiale le plus rapidement possible. Le manque de tests approfondis sur les animaux avant les essais cliniques et l’autorisation basée sur les données de sécurité générées lors des essais qui ont duré moins de 3,5 mois, soulèvent des questions concernant la sécurité de ces vaccins. Le rôle récemment identifié du pic de glycoprotéine du SRAS-CoV-2 qui peut induire des lésions endothéliales caractéristiques du COVID-19, même en l’absence d’infection, est extrêmement pertinent étant donné que la plupart des vaccins autorisés induisent la production de glycoprotéine Spike chez les receveurs. Compte tenu du taux élevé d’occurrence des effets indésirables et du large éventail de types d’effets indésirables signalés à ce jour, ainsi que du potentiel d’amélioration de la maladie due au vaccin, de l’immunopathologie Th2, de l’auto-immunité et de l’évasion immunitaire, il y a la nécessité d’une meilleure compréhension des bénéfices et des risques de la vaccination de masse, en particulier dans les groupes exclus des essais cliniques. Malgré les appels à la prudence, les risques de vaccination contre le SRAS-CoV-2 ont été minimisés ou ignorés par les organisations de santé et les autorités gouvernementales. Nous appelons à la nécessité d’un dialogue pluraliste dans le cadre des politiques de santé.

Introduction

Depuis que la déclaration de la pandémie Covid-19 en mars 2020, plus de 150 millions de cas et 3 millions de décès ont été rapportés dans le monde. Malgré les progrès de la polychimiothérapie ambulatoire précoce pour les patients à haut risque, entraînant une réduction de 85% des hospitalisations et des décès liés au COVID-19 [1], le paradigme actuel de contrôle est la vaccination de masse. Bien que nous reconnaissions l’effort impliqué dans le développement, la production et l’autorisation d’urgence des vaccins contre le SRAS-CoV-2, nous sommes préoccupés par le fait que les risques ont été minimisés ou ignorés par les organisations de santé et les autorités gouvernementales, malgré les appels à la prudence [2-8].

Les vaccins contre d’autres coronavirus n’ont jamais été approuvés pour l’homme, et les données générées dans le développement de vaccins contre les coronavirus conçus pour susciter des anticorps neutralisants montrent qu’ils peuvent aggraver la maladie COVID-19 via une amélioration dépendante des anticorps (ADE) et l’immunopathologie Th2, quel que soit le vaccin. plate-forme et méthode de livraison [9-11]. On sait que l’augmentation de la maladie d’origine vaccinale chez les animaux vaccinés contre le SRAS-CoV et le MERS-CoV se produit à la suite d’une provocation virale et a été attribuée à des complexes immuns et à la capture virale médiée par Fc par les macrophages, qui augmentent l’activation et l’inflammation des lymphocytes T [11 -13].

En mars 2020, des immunologistes vaccinaux et des experts en coronavirus ont évalué les risques du vaccin contre le SRAS-CoV-2 sur la base d’essais de vaccins contre le SRAS-CoV sur des modèles animaux. Le groupe d’experts a conclu que l’EIM et l’immunopathologie constituaient une réelle préoccupation, mais a déclaré que leur risque était insuffisant pour retarder les essais cliniques, même si une surveillance continue serait nécessaire [14]. Bien qu’il n’y ait aucune preuve claire de la survenue d’EIM et d’immunopathologie liée au vaccin chez des volontaires immunisés avec des vaccins contre le SRAS-CoV-2 [15], les essais de sécurité à ce jour n’ont pas spécifiquement abordé ces effets indésirables graves (EIG). Étant donné que le suivi des volontaires n’a pas dépassé 2-3,5 mois après la deuxième dose [16-19], il est peu probable qu’un tel EIG ait été observé. Malgré 92 erreurs de déclaration, on ne peut ignorer que même en tenant compte du nombre de vaccins administrés, selon le système américain de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS), le nombre de décès par million de doses de vaccin administrées a été multiplié par plus de 10. Nous pensons qu’il y a un besoin urgent d’un dialogue scientifique ouvert sur la sécurité des vaccins dans le contexte de la vaccination à grande échelle. 

Dans cet article, nous décrivons certains des risques de la vaccination de masse dans le contexte des critères d’exclusion des essais de phase 3 et discutons de l’ESG rapporté dans les systèmes nationaux et régionaux d’enregistrement des effets indésirables. Nous soulignons les questions sans réponse et attirons l’attention sur la nécessité d’une approche plus prudente de la vaccination de masse. Nous pensons qu’il y a un besoin urgent d’un dialogue scientifique ouvert sur la sécurité des vaccins dans le contexte de la vaccination à grande échelle. Dans cet article, nous décrivons certains des risques de la vaccination de masse dans le contexte des critères d’exclusion des essais de phase 3 et discutons de l’ESG rapporté dans les systèmes nationaux et régionaux d’enregistrement des effets indésirables. Nous soulignons les questions sans réponse et attirons l’attention sur la nécessité d’une approche plus prudente de la vaccination de masse. Nous pensons qu’il y a un besoin urgent d’un dialogue scientifique ouvert sur la sécurité des vaccins dans le contexte de la vaccination à grande échelle. Dans cet article, nous décrivons certains des risques de la vaccination de masse dans le contexte des critères d’exclusion des essais de phase 3 et discutons de l’ESG rapporté dans les systèmes nationaux et régionaux d’enregistrement des effets indésirables. Nous soulignons les questions sans réponse et attirons l’attention sur la nécessité d’une approche plus prudente de la vaccination de masse.

Critères d’exclusion de l’essai de phase 3 du SRAS-CoV-2

À quelques exceptions près, les essais vaccinaux contre le SRAS-CoV-2 ont exclu les personnes âgées [16-19], ce qui a rendu impossible l’identification de la survenue d’une éosinophilie post-vaccination et d’une inflammation accrue chez les personnes âgées. Des études sur les vaccins contre le SRAS-CoV ont montré que les souris âgées immunisées couraient un risque particulièrement élevé d’immunopathologie Th2 potentiellement mortelle [9,20]. Malgré ces preuves et les données extrêmement limitées sur l’innocuité et l’efficacité des vaccins contre le SRAS-CoV-2 chez les personnes âgées, les campagnes de vaccination de masse se sont concentrées dès le début sur cette tranche d’âge. La plupart des essais ont également exclu les volontaires enceintes et allaitantes, ainsi que celles souffrant d’affections chroniques et graves telles que la tuberculose, l’hépatite C, l’auto-immunité, les coagulopathies, le cancer et l’immunosuppression [16-29], bien que ces receveurs se voient désormais proposer le vaccin sous la prémisse de la sécurité.

Un autre critère d’exclusion de presque tous les essais était l’exposition antérieure au SRAS-CoV-2. Ceci est regrettable car cela a nié la possibilité d’obtenir des informations extrêmement pertinentes concernant les effets indésirables post-vaccinaux chez les personnes qui ont déjà des anticorps anti-SRAS-Cov-2. Au meilleur de nos connaissances, les EAD ne sont pas systématiquement surveillées pour tout âge ou groupe de conditions médicales actuellement administré le vaccin. De plus, malgré une proportion substantielle de la population ayant déjà des anticorps [21], des tests pour déterminer le statut des anticorps anti-SRAS-CoV-2 avant l’administration du vaccin ne sont pas effectués en routine.

Les effets indésirables graves des vaccins contre le SRAS-CoV-2 passeront-ils inaperçus?

Le COVID-19 englobe un large spectre clinique, allant de la pathologie pulmonaire très légère à sévère et de la maladie multi-organique mortelle avec dérégulation inflammatoire, cardiovasculaire et de la coagulation sanguine [22-24]. En ce sens, les cas d’EIM ou d’immunopathologie liés au vaccin seraient cliniquement indiscernables d’un COVID-19 sévère [25]. De plus, même en l’absence de virus SRAS-CoV-2, la glycoprotéine de Spike seule provoque des lésions endothéliales et une hypertension in vitro et in vivo chez les hamsters syriens en régulant à la baisse l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2) et en altérant la fonction mitochondriale [26]. Bien que ces résultats doivent être confirmés chez l’homme, les implications de cette découverte sont stupéfiantes, car tous les vaccins autorisés pour une utilisation d’urgence sont basés sur l’administration ou l’induction de la synthèse de glycoprotéines Spike. Dans le cas des vaccins à ARNm et des vaccins vectorisés par adénovirus, aucune étude n’a examiné la durée de la production de Spike chez l’homme après la vaccination. Selon le principe de prudence, il est parcimonieux de considérer que la synthèse de Spike induite par le vaccin pourrait provoquer des signes cliniques de COVID-19 sévère et être à tort comptée comme de nouveaux cas d’infections par le SRAS-CoV-2. Si tel est le cas, les véritables effets indésirables de la stratégie de vaccination mondiale actuelle pourraient ne jamais être reconnus à moins que des études n’examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. aucune étude n’a examiné la durée de la production de Spike chez l’homme après la vaccination. Selon le principe de prudence, il est parcimonieux de considérer que la synthèse de Spike induite par le vaccin pourrait provoquer des signes cliniques de COVID-19 sévère et être à tort comptée comme de nouveaux cas d’infections par le SRAS-CoV-2. Si tel est le cas, les véritables effets indésirables de la stratégie de vaccination mondiale actuelle pourraient ne jamais être reconnus à moins que des études n’examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. aucune étude n’a examiné la durée de la production de Spike chez l’homme après la vaccination. Selon le principe de prudence, il est parcimonieux de considérer que la synthèse de Spike induite par le vaccin pourrait provoquer des signes cliniques de COVID-19 sévère et être à tort comptée comme de nouveaux cas d’infections par le SRAS-CoV-2. Si tel est le cas, les véritables effets indésirables de la stratégie de vaccination mondiale actuelle pourraient ne jamais être reconnus à moins que des études n’examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. il est parcimonieux de considérer que la synthèse de Spike induite par le vaccin pourrait provoquer des signes cliniques de COVID-19 sévère et être comptabilisée à tort comme de nouveaux cas d’infections par le SRAS-CoV-2. Si tel est le cas, les véritables effets indésirables de la stratégie de vaccination mondiale actuelle pourraient ne jamais être reconnus à moins que des études n’examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. il est parcimonieux de considérer que la synthèse de Spike induite par le vaccin pourrait provoquer des signes cliniques de COVID-19 sévère et être comptabilisée à tort comme de nouveaux cas d’infections par le SRAS-CoV-2. Si tel est le cas, les véritables effets indésirables de la stratégie de vaccination mondiale actuelle pourraient ne jamais être reconnus à moins que des études n’examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. les véritables effets indésirables de la stratégie mondiale actuelle de vaccination ne seront peut-être jamais reconnus à moins que des études examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. les véritables effets indésirables de la stratégie mondiale actuelle de vaccination ne seront peut-être jamais reconnus à moins que des études examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination.

Réactions indésirables imprévues aux vaccins contre le SRAS-CoV-2

L’auto-immunité est un autre problème critique à prendre en compte compte tenu de l’échelle mondiale de la vaccination contre le SRAS-CoV-2. Le SRAS-CoV-2 possède de nombreuses protéines immunogènes et tous ses épitopes immunogènes sauf un ont des similitudes avec les protéines humaines [27]. Ceux-ci peuvent agir comme une source d’antigènes, conduisant à une auto-immunité [28]. S’il est vrai que les mêmes effets pourraient être observés lors d’une infection naturelle par le SRAS-CoV-2, la vaccination est destinée à la plupart de la population mondiale, alors que l’on estime que seulement 10% de la population mondiale a été infectée par le SRAS-CoV -2, selon le Dr Michael Ryan, responsable des urgences à l’Organisation mondiale de la santé. Nous n’avons pas pu trouver de preuve que l’un quelconque des vaccins actuellement autorisés a criblé et exclu les épitopes immunogènes homologues pour éviter une auto-immunité potentielle due à un amorçage pathogène.

Certains effets indésirables, notamment des troubles de la coagulation sanguine, ont déjà été rapportés chez des personnes vaccinées en bonne santé et jeunes. Ces cas ont conduit à la suspension ou à l’annulation de l’utilisation des vaccins adénoviraux vectorisés ChAdOx1-nCov-19 et Janssen dans certains pays. Il a maintenant été proposé que la vaccination avec ChAdOx1-nCov-19 puisse entraîner une thrombopénie thrombotique immunitaire (VITT) médiée par des anticorps activant les plaquettes contre le facteur plaquettaire-4, qui imite cliniquement la thrombocytopénie auto-immune induite par l’héparine [29]. Malheureusement, le risque a été négligé lors de l’autorisation de ces vaccins, bien que la thrombocytopénie induite par les adénovirus soit connue depuis plus d’une décennie et ait été un événement constant avec les vecteurs adénoviraux [30]. Le risque de VITT serait vraisemblablement plus élevé chez les personnes déjà à risque de caillots sanguins,

Au niveau de la population, il pourrait également y avoir des impacts liés aux vaccins. Le SARS-CoV-2 est un virus à ARN à évolution rapide qui a jusqu’à présent produit plus de 40 000 variants [32,33] dont certains affectent le domaine antigénique de la glycoprotéine de Spike [34,35]. Compte tenu des taux de mutation élevés, la synthèse induite par le vaccin de niveaux élevés d’anticorps anti-SRAS-CoV-2-Spike pourrait théoriquement conduire à des réponses sous-optimales contre les infections ultérieures par d’autres variants chez les individus vaccinés [36], un phénomène connu sous le nom de « sin »[37] ou amorçage antigénique [38]. On ne sait pas dans quelle mesure les mutations qui affectent l’antigénicité du SRAS-CoV-2 se fixeront au cours de l’évolution virale [39], mais les vaccins pourraient vraisemblablement agir comme des forces sélectives entraînant des variantes avec une infectivité ou une transmissibilité plus élevée. Compte tenu de la forte similitude entre les variantes connues du SRAS-CoV-2, ce scénario est peu probable [32,34] mais si les variantes futures devaient différer davantage dans les épitopes clés, la stratégie de vaccination mondiale aurait pu contribuer à façonner un virus encore plus dangereux. Ce risque a été récemment porté à l’attention de l’OMS sous forme de lettre ouverte [40].

Discussion

Les risques décrits ici constituent un obstacle majeur à la poursuite de la vaccination mondiale contre le SRAS-CoV-2. Des preuves de l’innocuité de tous les vaccins contre le SRAS-CoV-2 sont nécessaires avant d’exposer davantage de personnes au risque 184 de ces expériences, car la libération d’un vaccin candidat sans le temps de bien comprendre l’impact qui en résulterait sur la santé pourrait conduire à une exacerbation de la crise mondiale actuelle. [41]. La stratification des risques des vaccinés est essentielle. Selon le gouvernement britannique, les personnes de moins de 60 ans ont un risque extrêmement faible de mourir du COVID-191 187. Cependant, selon Eudravigillance, la plupart des effets indésirables graves consécutifs à la vaccination contre le SRAS-CoV-2 surviennent chez des personnes âgées de 18 à 64 ans. Le calendrier de vaccination prévu pour les enfants âgés de 6 ans et plus aux États-Unis et au Royaume-Uni est particulièrement préoccupant. Dr. Anthony Fauci a récemment prévu que les adolescents de tout le pays seront vaccinés à l’automne et les plus jeunes au début de 2022, et le Royaume-Uni attend les résultats des essais pour commencer la vaccination de 11 millions d’enfants de moins de 18 ans. aux vaccins expérimentaux, étant donné que les Centers for Disease Control and Prevention estime qu’ils ont un taux de survie de 99,997% s’ils sont infectés par le SRAS-CoV-2. Non seulement le COVID-19 n’est pas pertinent en tant que menace pour ce groupe d’âge, mais il n’existe aucune preuve fiable pour étayer l’efficacité ou l’efficacité du vaccin dans cette population ou pour écarter les effets secondaires nocifs de ces vaccins expérimentaux. En ce sens, lorsque les médecins conseillent les patients sur l’administration élective de la vaccination COVID-19,

En conclusion, dans le contexte de l’autorisation d’urgence d’utilisation précipitée des vaccins contre le SRAS-CoV-2 et des lacunes actuelles dans notre compréhension de leur innocuité, les questions suivantes doivent être soulevées:

Est-ce que l’on sait si les anticorps à réaction croisée provenant d’infections antérieures à coronavirus ou les anticorps induits par le vaccin 206 peuvent influencer le risque de pathogenèse involontaire après la vaccination avec COVID-19?

Le risque spécifique d’EIM, d’immunopathologie, d’auto-immunité et de réactions indésirables graves a-t-il été clairement divulgué aux receveurs de vaccins afin de répondre à la norme d’éthique médicale de compréhension du patient pour le consentement éclairé? Sinon, quelles en sont les raisons et comment pourrait-il être mis en œuvre?

Quelle est la justification de l’administration du vaccin à chaque individu lorsque le risque de mourir du COVID-19 n’est pas égal entre les groupes d’âge et les conditions cliniques et lorsque les essais de phase 3 ont exclu les personnes âgées, les enfants et les affections spécifiques fréquentes?

Quels sont les droits légaux des patients s’ils sont lésés par un vaccin contre le SRAS-CoV-2? Qui couvrira les frais de traitement médical? Si les réclamations devaient être réglées avec des fonds publics, le public a-t-il été informé que les fabricants de vaccins ont obtenu l’immunité et que leur responsabilité d’indemniser les personnes lésées par le vaccin a été transférée aux contribuables?

Dans le contexte de ces préoccupations, nous proposons de mettre un terme à la vaccination de masse et d’ouvrir un dialogue urgent pluraliste, critique et scientifiquement fondé sur la vaccination contre le SRAS-CoV-2 entre les scientifiques, les médecins, les agences internationales de santé, les autorités réglementaires, les gouvernements et les vaccins. développeurs. C’est le seul moyen de combler le fossé actuel entre les preuves scientifiques et la politique de santé publique concernant les vaccins contre le SRAS-CoV-2. Nous sommes convaincus que l’humanité mérite une compréhension plus profonde des risques que ce qui est actuellement présenté comme la position officielle. Un dialogue scientifique ouvert est urgent et indispensable pour éviter l’érosion de la confiance du public dans la science et la santé publique et pour garantir que l’OMS et les autorités sanitaires nationales protègent les intérêts de l’humanité pendant la pandémie actuelle. Il est urgent de ramener la politique de santé publique à la médecine factuelle, en s’appuyant sur une évaluation minutieuse de la recherche scientifique pertinente. Il est impératif de suivre la science.

[1]  https://www.gov.uk/government/publications/covid-19-reported-sars-cov-2-deaths-in-england/covid-19-confirmed-deaths-in-england-report

Déclaration de conflit d’intérêts

Les auteurs déclarent que la recherche a été menée en l’absence de toute relation commerciale ou financière pouvant être interprétée comme un conflit d’intérêts potentiel.

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Légendes de la figure

Figure 1. Nombre de nouveaux décès dus au COVID-19 par rapport au nombre de personnes ayant reçu au moins une dose de vaccin pour certains pays. Le graphique montre les données du début de la vaccination au 3 mai 365, 2021. A) Inde (9,25% de la population vaccinée), B) Thaïlande (1,58% de la population vaccinée), C) Colombie (6,79% de la population vaccinée), D) Mongolie (31,65% de la population vaccinée), E) Israël (62,47% de la population vaccinée), F) Monde entier (7,81% de la population vaccinée). Les graphiques ont été construits à l’aide des données de Our World in Data (consulté le 4 mai 2021) 
https : // github . com / owid / covid – 19 – données / arbre / maître /public / données / vaccinations

Affiliations

1 Epidemiólogos Argentinos Metadisciplinarios. República Argentina.
2 Centre médical de l’Université Baylor. Dallas, Texas, États-Unis.
3 Monestir de Sant Benet de Montserrat, Montserrat, Espagne
4 INSERM U781 Hôpital Necker-Enfants Malades, Université Paris Descartes-Sorbonne Cité, Institut Imagine, Paris, France.
5 École des sciences naturelles. Université autonome de Querétaro, Querétaro, Mexique.
6 Professeur retraité d’immunologie médicale. Universidad de Guadalajara, Jalisco, Mexique.
7 Médicos por la Verdad Puerto Rico. Centre médical d’Ashford. San Juan, Porto Rico.
8 Professeur retraité de processus de diagnostic clinique. Université de Murcie, Murcie, Espagne
9Urologue Hôpital Comarcal de Monforte, Université de Saint-Jacques-de-Compostelle, Espagne.
10 Biólogos por la Verdad, Espagne.
11 Biologiste à la retraite. Université de Barcelone. Spécialisé en microbiologie. Barcelone, Espagne.
12 Centre de médecine intégrative MICAEL (Medicina Integrativa Centro Antroposófico Educando en Libertad). Mendoza, République argentine.
13 Médicos por la Verdad Argentina. República Argentina. ´
14 Médicos por la Verdad Uruguay. República Oriental del Uruguay.
15 Médicos por la Libertad Chili. República de Chile.
16 Médecin, orthopédiste. República de Chile.
17 Médicos por la Verdad Perú. República del Perú.
18Médicos por la Verdad Guatemala. República de Guatemala.
19 Concepto Azul SA Équateur.
20 Médicos por la Verdad Brasil. Brésil.
21 Médicos por la Verdad Paraguay.
22 Médicos par Costa Rica.
23 Médicos por la Verdad Bolivie.
24 Médicos por la Verdad El Salvador.
* Correspondance: Karina Acevedo-Whitehouse,  karina.acevedo.whitehouse@uaq.mx

Auteur(s): FranceSoir




Où mène ce train ?

[Source : Régis Chamagne (regischamagne.fr) – Réinscrire la France dans l’Histoire]

Par Mathias Masclet et Régis Chamagne

L’histoire nous apprend, en particulier depuis la deuxième partie du XIXe siècle, que les bonnes intentions hygiénistes et sanitaires ont souvent produit les pires atrocités. Alors qu’en est-il aujourd’hui face à la question du coronavirus ? Les mesures coercitives que nous subissons sont-elles acceptables ? Relèvent-elles seulement d’une logique de santé publique ?

On peut saisir un point commun, qui n’apparaît pas comme évident, entre le fanatisme religieux, le nazisme, le fascisme ou le communisme soviétique : une fascination morbide de la pureté, qu’elle soit d’ordre biologique dans le cas du nazisme et du fascisme, symbolique dans le cas du fanatisme religieux ou encore idéologique dans le cas du soviétisme. Cette fascination de la pureté relève de l’hygiénisme hypocondriaque et justifie des mesures prophylactiques qui ont été acceptées à l’époque et qui pourtant aujourd’hui nous font horreur.

Soyons clair, le propos n’est ni de dénoncer l’hygiène élémentaire comme une dérive fasciste, ni de prétendre que toute mesure sanitaire face au coronavirus serait une plongée dans la barbarie. Le propos est bien de montrer que la stratégie française et plus largement européenne de la gestion du coronavirus relève d’une politique de la peur et de persécution de « l’impur » avec toute la rhétorique paranoïaque et hypocondriaque typique des montées du fanatisme et de la barbarie.

Un cas d’école : le nazisme

Au-delà de nombreuses approches communément admises, le nazisme pourrait être ontologiquement une idéologie biologique et médicale, c’est en tous cas la thèse de Johann Chapoutot, chercheur en histoire contemporaine à la Sorbonne, spécialiste du nazisme. Il s’agit de régénérer et de purifier la race allemande, le corps allemand. Ces idées triomphent avant même l’avènement du nazisme : c’est sous la République de Weimar que l’on installe aux frontières de l’est de l’Allemagne des stations de désinfection obligatoire, pour filtrer et décontaminer les va-nu-pieds venus de l’est. C’est aussi sous la République de Weimar que s’installent les grands instituts de l’eugénisme racial soutenus par la gauche comme par la droite. Les conclusions des études scientifiques eugénistes sont limpides : la castration ou l’euthanasie des handicapés est indispensable pour régénérer le corps organique du peuple allemand. De l’autre côté de l’Atlantique on n’est pas en reste, 26 États des États-Unis d’Amérique appliquent la stérilisation obligatoire des membres les moins désirables de la société, souvent des jeunes femmes : de 1908 à 1945 ils stérilisent 50 000 personnes à des fins d’eugénisme sanitaire. En somme, la biopolitique était déjà bien à l’œuvre avant le nazisme et s’est installée sans rencontrer de réelle résistance car précisément, il était question de politique sanitaire et médicale. Qui pouvait s’opposer à la protection et à la santé des siens ?

Johann Chapoutot décrit parfaitement l’ambiance médico-sanitaire de l’Allemagne nazie et explique que les nazis se considéraient comme des médecins du corps de la race germanique :

« Nous respectons le serment d’Hippocrate, primum non nocere, sauf que l’objet de notre art n’est pas l’individu puisque l’individu n’existe pas, c’est le grand tout, c’est le grand corps. Tout cela sous la plume de médecins et de juristes qui sont les deux corporations choyées, gâtées, dotées à partir de 1933 de moyens considérables en matière de postes de responsabilités, de crédits et de prestiges intellectuels. »

À cet égard, après la rencontre entre Hitler et Mussolini le 9 mai 1938, un groupe de travail fut constitué. La délégation nazie fut emmenée par le juriste Walter Hallstein, futur président de la Commission européenne. Les thèmes prioritaires qui furent discutés étaient la protection de la propriété intellectuelle (à savoir l’extension des brevets, et tout particulièrement ceux du cartel IG Farben à travers toute l’Europe) et la protection de la race… Juristes et médecins.

Sous le Troisième Reich, le peuple germanique est en danger mortel, un corps étranger menace la race allemande. Ce virus c’est le juif. Il s’agit au départ d’observer une distance sanitaire avec lui. Mais le mal est trop profond et les mesures doivent être renforcées, le juif sera alors isolé, confiné, mis en quarantaine. Enfin, puisque le nazisme doit régler définitivement ce problème sanitaire, le juif sera alors traité de façon à l’empêcher définitivement de parasiter et corrompre la race pure germanique. Les camps de concentrations sont promus dans la presse par les autorités nazies comme des camps de santé pour les malades et les dégénérés juifs, communistes ou schizophrènes qui seront rééduqués et soignés. Il ne faut pas confondre les camps de concentration dont on faisait la publicité, et les camps de mise à mort, qui eux étaient tenus secret.

Avec les camps de concentration, les mesures prophylactiques s’enchaînent :

  • Le nazisme interdit tous les partis politiques, car l’opposition est l’ennemie du corps allemand qui l’infecte et le corrompt.
  • La stérilisation obligatoire des malades héréditaires est aussi actée (l’alcoolisme, la fainéantise, la danse de Saint Guy et la schizophrénie). On stérilise aussi les criminels et délinquants. 400 000 personnes sont stérilisées en douze ans en Allemagne jusqu’en 1945.
  • En octobre 1939 la stérilisation ne suffit plus, Hitler signe un ordre écrit qui demande de tuer les malades incurables. Ce sont des médecins qui, après expertise médicale, considèrent que le meilleur traitement prophylactique pour telle ou telle personne est la mort.
  • Enfin, les nazis, en bons médecins du corps allemand luttent contre la maladie et interdisent tout rapprochement avec l’impur comme l’explique Johann Chapoutot :

« Les médecins du corps allemand interdisent la mixtion des sangs, le mélange des substances et des fluides (entre races), et on se rend compte avec tout cet arsenal législatif auquel travaillent des médecins qui sont requis par le ministère de la justice […] et de l’intérieur ; ce sont ses lois qui touchent tous les domaines de la vie et qui contribuent à la destruction de la maladie. Tous les domaines de la vie sont touchés, du plus intime, la sexualité, au plus abstrait, au plus sublime, les arts plastiques, l’art en général, tout ça doit être assujetti à un traitement biologique. »

L’assassinat de masse se met en place à partir de février 1942. Johann Chapoutot continue :

« L’assassinat de masse est présenté aux bourreaux et aux victimes comme des politiques biomédicales de masse. Et c’est le coup de Génie de Paul Winling d’avoir vu le rapport qu’il peut y avoir entre des politiques biomédicales d’État “attendez avant de venir, on vous désinfecte” […] et la pratique de la mise à mort qui présente les procédures ainsi aux victimes : “on va vous déporter très à l’est mais comme nous sommes allemands, comme nous sommes médecins et puisque nous faisons les choses proprement, nous allons vous désinfecter d’abord”. Voilà ce que l’on dit aux victimes, et ça tranquillise de fait les victimes, […] et ça légitime les bourreaux qui apparaissent à eux même véritablement comme les médecins du corps allemand qui vont détruire un foyer typhique. »

La question sanitaire est omniprésente dans le nazisme, la menace du typhus et la menace juive sont deux menaces sanitaires et les maladies doivent être éradiquées. Le nazisme est une obsession sanitaire, une hypocondrie permanente, ils sont terrorisés par les infections et les maladies qui attaquent et détruisent le corps Allemand. Ils manquent de temps et doivent agir dans l’urgence, c’est cette urgence sanitaire qui permet de légitimer la brutalité de leur politique sanitaire.

Aujourd’hui et maintenant

Que seriez-vous prêts à faire pour sauver votre peau et celle de vos proches ? Votre famille et votre nation sont en danger de mort, un confinement ou un couvre feu ne sont rien s’ils peuvent sauver des vies, la fermeture et la faillite des petits commerces est un bien faible prix à payer. Interdire aux enfants de se toucher ne choque presque plus. Méfiez-vous du corps de l’autre, gardez vos distances, pas de poignées de main ! La bise ? Êtes-vous sérieux ? Vous voudriez tuer vos grands parents pour une simple bise ?

Ça commence comme ça et les Français acceptent parce qu’ils ont un fort sens du civisme, mais l’affaire dure, l’hygiénisme s’affole, le masque devient obligatoire à l’extérieur, durant le premier confinement, plus d’un million d’amendes ont été dressées. Dehors c’est dangereux ! Il est question d’interdire les fêtes de Noël si importantes pour les familles, les gens qui succombent du coronavirus meurent souvent seuls, les visiteurs sont interdits. Dans les Ephad, les vieillards ne voient plus leurs enfants, ou de temps en temps derrière d’épaisses plaques de plexiglas. Nous nageons en plein arbitraire et l’arbitraire est parti pour durer. Là aussi, le fait de commencer à obéir à des règles arbitraires est une caractéristique inquiétante typique des systèmes totalitaires.

Non seulement, sous l’impulsion de la Commission européenne, un passeport sanitaire apparaîtra dans la République Française, fracturant le secret médical et mettant en place des citoyens de seconde zone, mais personne ne connaît l’avenir de ce pass sanitaire. Disparaîtra-t-il dès lors qu’il ne sera plus utile ou suivra t-il la même trajectoire que l’état d’urgence qui était censé être temporaire et qui fut finalement inscrit dans le droit commun ? Sommes-nous véritablement certains que les valeurs républicaines et démocratiques, contraires au paternalisme technocratique infantilisant, sont encore voulues et respectées par nos élites et élus ? La répression policière et judiciaire des Gilets jaunes, sans état d’âme, qui a occasionné des milliers de blessés et des milliers de condamnations dont plus de 1000 peines de prison ferme, nous donne un élément de réponse. Après avoir observé l’absence totale de scrupule du gouvernement pour mater en règle un mouvement soutenu par plus de 7 Français sur 10, est-il exagéré de penser qu’une dérive anti-populaire et anti-démocratique est à l’œuvre et que nos élites saisissent toutes les opportunités pour transformer lentement notre société ?

En fait, la crise sanitaire est une excellente opportunité. Les Français ne l’auraient jamais accepté par la force et elle est passé sans problème pour des raisons hygiénistes et sanitaires. Dans les hautes sphères oligarchiques internationales on chuchote, on pense à un monde nouveau, à une société de contrôle et d’asepsie où tout un dispositif techno sanitaire entourerait les peuples européens afin d’accroître leur dépendance. Ce Grand Reset rêvé par Davos semble à portée de main, il leur manque une population terrorisée et docile, s’en remettant à eux pour toujours plus de protection. Pas de chance, pour le moment les Français gardent la tête froide, ils font attention et acceptent les règles d’hygiène élémentaires, mais refusent d’obéir bêtement à toutes les injonctions gouvernementales. Comme leurs aïeux avant eux, Ils acceptent la mort comme faisant partie de la vie, n’en déplaise à Google qui leur promet le transhumanisme et la vie éternelle. Les Français veulent vivre heureux, loin du décompte macabre gouvernemental. Nous sommes lancés dans un train de mesures et de coercitions sociales. Où va ce train ? Tout dépendra si les Français cèdent au chant des sirènes de l’hypocondrie sanitaire, ou si l’envie de vivre triomphe de la peur de la mort et qu’ils veulent continuer à danser encore, comme le chante si bien cette chanson d’espoir :

Et malheur à celui qui pense / Et malheur à celui qui danse / Ne soyons pas impressionnables

Par tous ces gens déraisonnables / Vendeurs de peur en abondance / Angoissants, jusqu’à l’indécence !

Nous on veut continuer à danser encore / Voir nos pensées enlacer nos corps / Passer nos vies sur une grille d’accords / Oh, non non non non non !

Et pour la suite ?

Il y a un virus. Il y a une certaine mortalité. Il y a des mesures gouvernementales. Au regard de l’Histoire, la raison autant que la conscience d’Homme Libre doit nous inviter à nous poser certaines questions :

  • Quelle est la létalité de ce virus par rapport à ceux des années passées ?
  • Quelle est la moyenne d’âge des morts du virus comparée à notre espérance de vie ?
  • Faut-il avoir peur ?
  • Les décisions gouvernementales sont-elles cohérentes et logiques ?
  • Enfin et surtout, où tout cela nous mène-t-il ?

Où mène ce train… de mesures dans lequel le gouvernement veut nous faire monter ?

Mathias Masclet et Régis Chamagne




Saverio Blasi, un artiste musicien de talent qui offre sa musique

[Source : Savfk – Music | Free Listening on SoundCloud]

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