Révolution de 1789 : le détail qui tue…

[Source : zonefr.com]

Par Éric Montana

[Ndlr : l’auteur perçoit une cause fondamentale unique derrière la situation. Est-ce réellement le cas ? Comme il le conseille, c’est à chacun de faire ses propres recherches. Cependant, Internet n’est probablement pas suffisant, car on y trouve de tout et son contraire et que certaines parties de cet univers virtuel manquent presque totalement de fiabilité, voire d’honnêteté. Il peut être alors utile de compléter des recherches virtuelles par la lecture d’ouvrages d’Histoire et d’autres domaines, d’auteurs variés et aux opinions éventuellement contradictoires afin de peser le pour et le contre et de faire la part des choses.]

Faites vos propres recherches, fouillez, et vous verrez que ce que Kennedy qualifiait de « conspiration monolithique » a un seul et unique lien, un seul et unique point commun. Et si vous ne comprenez pas ce que le mot « monolithique » signifie, ouvrez un dictionnaire bordel !!

Il y a des moments où je m’interroge sur la passivité et la crédulité des Français. Je n’arrive pas à croire qu’il y ait une telle masse de dégénérés, incapables de réfléchir, incapables d’analyser, incapables de comprendre que nous vivons actuellement le plus grand crime contre l’humanité de l’Histoire.

Alors je me dis qu’il faut qu’il en soit ainsi, il faut que des gens meurent en masse pour qu’une partie des endormis finisse par réaliser ce qui se passe vraiment. Et malgré ça, je suis certain que nombreux continueront à croire la télé ou le gouvernement qui leur diront : « ils sont morts du Covid, d’un variant particulièrement virulent… »

Nom de Dieu de nom de Dieu !! Mais quand allez-vous ouvrir les yeux ? Quand allez-vous comprendre qu’avec la vaccination, nous faisons l’objet d’un génocide programmé qui selon les propres mots de Bill Gates permettra de réduire la population mondiale de 10 à 15% ?

Vérifiez-le si vous ne me croyez pas. Internet est là pour ça !!

Ce plan criminel est planifié depuis des dizaines d’années ! Et pour l’avoir dénoncé, le Président John F. Kennedy l’a payé de sa vie, il a été assassiné !!!

Si vous n’avez pas de la merde à la place du cerveau, vous parviendrez très rapidement à identifier ceux qui ont conçu ce plan criminel. Et c’est facile !!!
Qui sont ceux qui rêvent de nous réduire en esclavage ? Qui sont ceux qui prétendent qu’ils sont nés pour dominer le monde ? Qui sont ceux qui nous décrivent comme étant du bétail né pour les servir ?

Il faut vous faire un dessin ?

Faites vos propres recherches, fouillez, et vous verrez que ce que Kennedy qualifiait de « conspiration monolithique » a un seul et unique lien, un seul et unique point commun. Et si vous ne comprenez pas ce que le mot « monolithique » signifie, ouvrez un dictionnaire bordel !!

Savez-vous que la Révolution française a été démarrée par 300 ou 400 personnes à Paris ? Ils n’étaient pas des milliers, pas des dizaines de milliers, pas des millions mais quelques centaines de gens payés par les usuriers !!

Savez-vous que la première loi votée par l’Assemblée Constituante en octobre ou novembre 1789 a été la légalisation de l’usure ? La légalisation du prêt avec intérêt ?

Pendant qu’on mettait le pays à feu et à sang, les faux révolutionnaires agissaient pour le compte des banquiers en faisant voter une loi que des siècles de monarchie ont refusé, à cause de son immoralité et du danger qu’elle représente pour un pays, pour un peuple, pour une nation !

Français ignorants et endormis, nos ancêtres ont fait la révolution pour faire de nous les esclaves des banquiers !! Le saviez-vous ça ? Et vous continuez à croire ce que les livres d’histoire nous racontent ?

Nathan Rothschild a déclaré :

« Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je me fiche de qui fait ses lois. »

Ses descendants possèdent désormais plus de 193 banques nationales dans 193 pays du monde. Vous comprenez ce que cela signifie ? Ils possèdent la planète ! Nos gouvernements sont leurs employés, leurs serviteurs, leurs domestiques !! Et maintenant ils considèrent que nous sommes trop nombreux et qu’il faut nous éliminer par la maladie, par le test, par le vaccin après nous avoir empoisonnés par la nourriture industrielle qui est à l’origine de l’explosion des cancers, des maladies cardiaques et cardio-vasculaires !

Alors réveillez-vous, car si Klaus Schwab et les gens de sa tribu réussissent leur coup, nous gémirons et pleurerons toutes les larmes de notre corps en nous demandant comment nous avons fait pour être aussi abrutis, pour être les responsables de nos malheurs, les fossoyeurs de nos propres vies, les idiots qui sont allés à l’abattoir de leur plein gré…

Nous n’avons pas besoin d’être des millions pour renverser cette tyrannie mais quelques centaines de milliers d’hommes courageux et déterminés. N’attendons rien des faibles, des soumis et des ignorants !! Il en va de nos vies, de nos familles, de nos enfants, de notre peuple et de l’avenir de cette nation !

Et pour ce qui me concerne, je suis prêt à sacrifier ma vie !




Selon le président de Microsoft, 1984 d’Orwell pourrait advenir dès 2024

Par Jean-Michel Grau

La vie telle que décrite dans le roman 1984 de George Orwell « pourrait se réaliser en 2024 » si les législateurs ne protègent pas le public contre l’intelligence artificielle, a averti le président de Microsoft.(([1] bbc.com/news/technology-57122120))

S’exprimant dans l’émission Panorama de la BBC, Brad Smith a déclaré qu’il sera « difficile de rattraper » la technologie qui progresse rapidement.

L’émission a exploré l’utilisation croissante de l’IA par la Chine pour surveiller ses citoyens.

Les critiques craignent que la domination de l’État dans ce domaine ne menace la démocratie.

« Si nous ne promulguons pas les lois qui protégeront le public à l’avenir, nous allons constater que la technologie avance à toute allure, et il sera très difficile de la rattraper », a déclaré M. Smith.

« Je me souviens constamment des leçons de George Orwell dans son livre 1984. Vous savez que l’histoire fondamentale était celle d’un gouvernement qui pouvait voir tout ce que chacun faisait et entendre tout ce que chacun disait, tout le temps. Eh bien, cela ne s’est pas produit en 1984, mais si nous ne faisons pas attention, cela pourrait se produire en 2024. »

« Dans certaines parties du monde, la réalité rattrape de plus en plus cette vision de la science-fiction », a-t-il ajouté.

Brad Smith, président de Microsoft

L’intelligence artificielle chinoise

L’ambition de la Chine est de devenir le leader mondial de l’IA d’ici 2030, et beaucoup considèrent que ses capacités sont bien supérieures à celles de l’UE.

En 2019, la Chine a battu les États-Unis au niveau du nombre de brevets obtenus par les institutions universitaires pour l’innovation dans les technologies d’IA.

54 % des 770 millions de caméras de vidéosurveillance dans le monde se trouvent en Chine, selon une étude de Comparitech.

L’émission a donné aussi l’occasion d’entendre Eric Schmidt, ancien directeur général de Google et actuel président de la Commission de sécurité nationale américaine sur l’intelligence artificielle.

Celui-ci a prévenu qu’il était impératif de battre la Chine en matière d’IA :

« Nous sommes dans un conflit stratégique géopolitique avec la Chine », a-t-il déclaré.

« Le moyen de gagner est de rassembler toutes nos ressources afin de mettre en place des stratégies nationales et mondiales permettant aux démocraties de gagner dans le domaine de l’IA. Si nous ne le faisons pas, nous serons confrontés à un avenir où d’autres valeurs nous seront imposées. »

Dr Eric Schmidt, président de la Commision de sécurité américaine sur l’IA

Le Dr Lan Xue, qui conseille le gouvernement chinois, invité aussi de l’émission, a déclaré que la reconnaissance faciale pourrait se révéler « extrêmement utile » pour identifier les personnes dans les rassemblements de masse « en cas d’accident majeur. »

« La Chine a en effet fait d’énormes progrès en matière de développement technologique », a ajouté le Dr Xue. « Les États-Unis ressentent cela comme une menace et ils ont voulu lancer cette guerre froide sur la technologie. »

« Bien que la Chine ait des différences énormes dans ses valeurs et sa politique, la vision du monde de ce pays n’est pas la convergence, mais la coexistence. La Chine ne cherche pas à exporter ses valeurs », a déclaré le Dr Keyu Jin, professeur associé à la London School of Economics.

Le projet Maven

Le Dr Schmidt est devenu conseiller du Pentagone en 2016, tout en conservant un poste de président exécutif d’Alphabet, la société mère de Google.

Dans les années suivantes, Google a entamé un contrat avec le Pentagone, lui permettant d’utiliser certaines de ses technologies de reconnaissance d’images dans le cadre d’un projet militaire.

Le projet Maven utilisait l’apprentissage automatique pour distinguer les personnes et les objets dans des vidéos de drones.

« Maven était à l’époque un moyen de remplacer les yeux humains par une vision automatique pour les séquences de drones qui étaient utilisées dans les différents conflits arabes », a déclaré le Dr Schmidt. « Je considérais l’utilisation de cette technologie comme une chose positive pour la sécurité nationale et un bon partenariat pour Google. »

Du sang sur les mains

Mais le projet a reçu des critiques de la part d’employés de Google qui ont démissionné, et ont lancé une pétition contre le projet.

« Google ne devrait pas être impliqué dans le commerce de la guerre », a déclaré Laura Nolan, ingénieure logiciel qui a démissionné en 2018, lorsqu’elle a découvert la nature du projet sur lequel Google travaillait. « J’avais un peu l’impression d’avoir du sang sur les mains » a-t-elle ajouté.(([1] bbc.com/news/technology-57122120))

Elle a fait valoir que la technologie pourrait être utilisée dans de futures décisions de ciblage.

Mais Google a déclaré que son IA ne serait utilisée qu’à des fins non offensives, avant de se retirer complètement du projet Maven en juin 2018.

Le Dr Schmidt a déclaré qu’il pensait que la technologie qui pouvait aider les militaires à prendre les bonnes décisions était néanmoins une « bonne chose. »

Course à l’armement de l’IA

Mais le ministère de la Défense américain continue de chercher des partenariats dans la Silicon Valley, pour tenter de remporter la course mondiale aux armements en IA.

Seth Moulton, président du groupe de travail américain sur l’avenir de la défense, exhorte les entreprises technologiques à soutenir le ministère de la défense :

« Parce que nous sommes dans une course, nous sommes dans cette compétition. C’est vraiment de quoi il est question », a-t-il déclaré. « Va-t-on nous aider à gagner cette course ou bien va-t-on essentiellement être contre nous ? La Chine n’a pas le même système de gouvernement que nous.

La course à l’armement en matière d’IA pourrait-elle conduire à un conflit avec la Chine ? Absolument. »

Le Dr Xue reconnaît qu’il existe un potentiel de conflit :

« Mais ce n’est pas inévitable : les États-Unis et la Chine devraient vraiment collaborer pour éviter que cela ne se produise. »

En attendant ce vœu pieux chinois, Panorama a découvert des preuves « choquantes et effrayantes » selon le Daily Mail,(([2] dailymail.co.uk/sciencetech/article-9625719/Microsoft-president-Brad-Smith-warns-life-like-Orwells-1984-2024.html?ico=embedded)) montrant que la Chine utilise déjà l’IA pour surveiller sa population, y compris une technologie qui prétend être capable de « reconnaître les émotions » et de déterminer la culpabilité.

« Le documentaire se base sur des preuves apportées par un ingénieur informatique qui a déclaré anonymement, car il craint pour sa sécurité, qu’il avait aidé à installer le système dans les commissariats de police de la province du Xinjiang, qui abrite 12 millions de Ouïghours, principalement musulmans. Il a déclaré ainsi :

« Nous avons placé la caméra de détection des émotions à trois mètres du sujet. C’est similaire à un détecteur de mensonges, mais il s’agit d’une technologie beaucoup plus avancée. Elle est utilisée pour confirmer le préjugé des autorités sans aucune preuve crédible. Le score informatique révèle que le suspect est dangereux, il doit donc être coupable de nombreux actes répréhensibles qui n’ont pas encore été avoués. »

L’IA conventionnelle utilise une entrée pour « enseigner » un algorithme sur un sujet particulier en lui fournissant d’énormes quantités d’informations. Elle peut donc être utilisée à des fins néfastes, comme c’est le cas en Chine où elle tente de déterminer la culpabilité des personnes interpellées par la police. »(([3] medias-presse.info/le-president-de-microsoft-previent-la-vie-deviendra-comme-celle-de-1984-dorwell/143056/))

Si même le président de Microsoft s’inquiète des dérives totalitaires où peut mener l’intelligence artificielle, c’est qu’il y a vraiment péril en la demeure. Il est certainement mieux placé que Klaus Schwab pour comprendre le monde cauchemardesque vers lequel cela peut mener.

Traduction et adaptation : Jean-Michel Grau





Guide de survie pour Républicains en péril: le macronisme, voilà l’ennemi !

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Le parti les Républicains (LR) joue son existence à la prochaine élection présidentielle. Or, semaine après semaine, les sondages indiquent que l’ancien parti de gouvernement n’est plus capable de placer un candidat au second tour de l’élection présidentielle. Dans « Les Droites de Husson », cette semaine, je propose une stratégie élémentaire de rebond à un parti dont se demande s’il est encore doté d’un instinct de survie.

Les sondages pour la présidentielle se suivent et se ressemblent. Lundi 24 mai, le sondage mensuel IFOP-Fiducial pour LCI et Le Figaro annonce une nouvelle fois un second tout Macron-Le Pen. Les protagonistes gagnent même légèrement en intentions de vote au premier tour, tandis que le second tour donne 54-46. Une nouvelle fois LR, même avec Xavier Bertrand, est hors jeu. C’est confirmé, s’il en était besoin, par un sondage Harris-Interactive/Challenges et par un sondage YouGov pour l’Internaute, qui montrent que Xavier Bertrand, Valérie Pécresse et Laurent Wauquiez n’arrivent pas à rayonner dans l’opinion au-delà de leur bon enracinement régional. Les Républicains sont face à une interrogation stratégique de base: quand on a deux adversaires, quel est celui qu’on doit affronter le premier puisque c’est celui qu’on a le plus de chances de vaincre? Il est bien évident que Marine Le Pen est le plus fort des deux adversaires. Il vaut mieux concentrer le combat politique sur Emmanuel Macron.

La bonne intuition de Guillaume Peltier

Un membre de la direction de LR semble avoir compris les enjeux. Dans l’entretien qu’il a accordé à Valeurs Actuelles, paru le 28 mai, Guillaume Peltier, vice-président de LR, tranche avec les propos habituels que l’on entend chez LR dans la mesure où l’adversaire politique qu’il désigne, c’est Emmanuel Macron et non Marine Le Pen.

« Contrairement à la bien-pensance, je le dis, Marine Le Pen n’est pas l’ennemi de la République (…) Emmanuel Macron est le pire président de la Ve République. Il est le président du record de la dette (2 500 milliards), des impôts (1 000 milliards par an), de la pauvreté (10 millions de pauvres), de l’immigration (2 millions de nouveaux étrangers depuis 2017), de l’insécurité (700 agressions par jour en France). Au fond, Emmanuel Macron incarne l’alliance entre le gauchisme culturel et la mondialisation financière ».

On a envie de dire à Guillaume Peltier: encore un effort, vous y êtes presque. Comme Michel Keyah et Eric Verhaeghe l’ont analysé dans nos colonnes cette semaine, le problème n’est pas d’abord « la finance » mais le mondialisme. Le renversement de Margaret Thatcher par son propre parti fin 1990, le passage aux États-Unis du libéralisme patriotique de Ronald Reagan au globalisme des Bush et des Clinton ont mis en place une redoutable machine à casser l’économie de marché et le capitalisme. Quand il n’est plus soumis à l’arbitrage des juridictions nationales ni stimulé par la concurrence entre nations, le libéralisme se transforme en son contraire: ce que Klaus Schwab appelle Great Reset est à l’opposé de la « révolution conservatrice » d’une Margaret Thatcher ou d’un Ronald Reagan, ces disciples de Hayek.  

Le Great Reset version Macron

Emmanuel Macron vient de donner une illustration de ce que la droite LR, si elle était fidèle à ses racines gaulliennes et pompidoliennes, devrait désigner comme le projet qu’elle combat sans répit. Il a prononcé le discours d’ouverture du sommet « Sauver le bien commun » co-organisé par la Toulouse School of Economics et le magazine Challenges. Occasion pour lui d’envoyer des signaux appuyés à la gauche:  « Nous avons laissé le capitalisme se déployer sans garde-fou, nous l’avons laissé se dévoyer – trop dérégulé, trop court-termiste, au point parfois de devenir fou. Ce schéma de pensée n’est plus adapté au monde actuel, car il ne prend pas assez en compte les biens communs, comme la préservation de la planète ou la justice sociale, ce qui sous-tend pour l’humanité la possibilité de poursuivre son chemin« . Le Président a justement rappelé son engagement pour « une fiscalité juste et robuste des entreprises multinationales ». Entendez la tentative d’imposer par l’intermédiaire du G7 ou de l’Union Européenne un taux universel minimal de l’Impôt sur les Sociétés. Emmanuel Macron est, dans ce combat, aux côtés de la gauche du Parti démocrate américain et d’une Angela Merkel qui ne cache plus, à quelques mois de quitter le pouvoir, ce qu’elle doit à sa jeunesse en RDA. 

Voici également comment le Président a présenté le fait que la France connaisse la part des dépenses publiques la plus élevée des économies occidentales: 63% en 2020« Nous sommes un des pays de l’OCDE qui répare le plus les inégalités par sa fiscalité et l’ensemble de ses aides et ses dispositifs de soutien« . Il a également annoncé son intention, malgré la crise des Gilets Jaunes, de revenir à la charge en matière de fiscalité écologique: « Nous courrons à l’échec si nous cherchons à décourager une action polluante par un signal prix trop vigoureux, si aucune alternative crédible n’est offerte. La France a fait l’expérience d’une politique incomplète en la matière : il faut offrir un accompagnement social massif pour permettre aux classes moyennes, aux classes populaires, de pouvoir franchir ce pas« . Non content d’avoir endetté le pays à presque 120% de son PIB, Emmanuel Macron annonce son intention de continuer: « Quant aux finances publiques, il faut raisonner à l’inverse de ce que nous faisons aujourd’hui : fixons-nous nos objectifs de croissance et donnons-nous les moyens de les atteindre. Cela ne veut pas dire endosser quelque laxisme budgétaire que ce soit, mais plutôt de réinventer un cadre rigoureux d’évaluation de la qualité de la dépense publique. »  Ah la belle langue de bois ! Demain on rase gratis: « Visons plus de croissance, car c’est le seul chemin qui nous permet de viser plus de protection sociale, plus d’innovation, plus d’investissement dans la transition écologique, plus d’égalité et de justice dans nos sociétés mais aussi entre les continents ». 

Le macronisme, voilà l’ennemi !….

Le macronisme, voilà l’ennemi ! La stratégie politique de LR devrait tenir dans ces mots simples. On n’existe pas en politique si on ne sait pas ce qu’on combat. Ou bien si on se trompe d’adversaire. Les Républicains sont à la croisée des chemins. Soit ils s’obstinent dans l’impasse du chiraquisme (« Nous n’avons qu’un ennemi, le Front National! ») et ils escamotent les raisons de la défaite de Nicolas Sarkozy en 2012. Soit ils comprennent deux choses fondamentales: 1. Ils se privent de toute chance d’être au second tour en ciblant Marine Le Pen plutôt qu’Emmanuel Macron dans un scrutin où le vote des Français va se structurer autour de la question du rejet d’Emmanuel Macron.  2. Marine Le Pen sera éventuellement élue mais son programme économique est inconsistant et elle ne semble pas, jusqu’à aujourd’hui, avoir compris qu’un renouveau de l’Etat régalien et de la faculté à en financer les postes budgétaires passe par une nouvelle « révolution conservatrice », une libération des forces entrepreneuriales et créatives du pays qui périssent actuellement étouffées sous des monceaux de régulation et une fiscalité délirante. 

Pour que la défaite, souhaitable, du président sortant, ne débouche pas sur un énorme ratage, le pays a besoin d’une droite entrepreneuriale qui joue tout son rôle à côté de la droite régalienne. 




Le Forum économique mondial annule son édition à Singapour

[Source : La Presse]

(Zurich) Le Forum économique mondial, connu sous le nom de Forum de Davos, annule l’édition 2021 qui devait se tenir à Singapour, ont annoncé lundi ses organisateurs, précisant que la prochaine rencontre n’aura lieu qu’au premier semestre 2022.  

AGENCE FRANCE-PRESSE

Le lieu, mais aussi la date définitive seront déterminés ultérieurement, en fonction d’une réévaluation de la situation au cours de l’été, ont précisé les organisateurs de cet évènement qui rassemble habituellement le gratin de la politique, de la finance et de la diplomatie dans la station chic des Alpes suisses de Davos.

Cette édition annuelle du Forum économique mondial (WEF) devait se tenir en août à Singapour, mais les organisateurs ont finalement annulé alors que la Cité-État, jusqu’à présent très peu touchée par la pandémie de COVID-19, a annoncé la semaine dernière une série de restrictions pour juguler une récente hausse du nombre de cas.  

« Ce fut une décision difficile, notamment en raison du grand intérêt de nos partenaires à se réunir non seulement virtuellement, mais aussi en personne, pour contribuer à un monde plus résilient, plus inclusif et plus durable », a déclaré le professeur Klaus Schwab, son fondateur et président exécutif, cité dans le communiqué.  

« Mais en fin de compte, la santé et la sécurité de toutes les personnes concernées restent notre priorité absolue », a-t-il ajouté.

Les organisateurs du Forum ont annulé cette édition, invoquant notamment les perspectives incertaines en matière de voyages, la mise en œuvre des stratégies de vaccination à des vitesses différentes ainsi que l’incertitude autour des nouveaux variants qui « font qu’il est aujourd’hui impossible d’organiser une rencontre internationale réunissant des dirigeants d’entreprises, de gouvernements et de la société civile à l’échelle initialement prévue », précise le communiqué.

Avec la crise sanitaire, les organisateurs du Forum avaient d’abord décidé de déplacer l’évènement ailleurs en Suisse, sur les sommets du Bürgenstock, près de Lucerne, avant d’opter pour Singapour face à l’envolée des infections dans le pays alpin durant l’automne.

La date de l’édition à Singapour qui devait permettre aux participants de se rencontrer sur place, initialement prévue fin mai, avait cependant déjà été repoussée une première fois. Elle devait finalement se tenir du 17 au 20 août.  

En janvier, le WEF avait néanmoins organisé un sommet virtuel consacré aux grands sujets du moment, dont la pandémie et le nationalisme vaccinal ou encore la crise économique.  




Étude Pfizer : 79% d’enfants de plus de 12 ans vaccinés ont développé des effets indésirables

[Source : report24.news]

[Traduction automatique partiellement révisée.]

Le 19 mai, Pfizer/Biontech a publié une fiche d’information de 37 pages sur la sécurité et l’utilisation de leur vaccin. Il se réfère à l’état actuel des études de vaccination dans le cadre de l’autorisation d’urgence de l’AEE (Autorisation d’utilisation d’urgence). Ces contenus sont passés sous silence par les médias traditionnels, qui préfèrent réciter le dogme des gouvernants: les avantages seraient plus importants que les dégâts, les enfants seraient en danger. En réalité, les enfants tombent très rarement ou légèrement malades, mais 80% d’entre eux sont susceptibles d’avoir des effets traumatiques lorsqu’on les vaccine.

Comme en Allemagne, où nous avons publié hier une statistique sur la base des données de l’Institut Paul Ehrlich (les statistiques suggèrent que le risque de vaccination pour les moins de 50 ans est considérablement plus élevé que le risque de Covid), la répartition par âge des maladies Covid problématiques aux États-Unis est en baisse. À titre d’exemple, à New York (8,4 millions d’habitants), 24 décès d’enfants et d’adolescents de moins de 18 ans sont à ce jour associés à la Covid-19. 18 d’entre eux avaient des antécédents de maladie grave, et 2 étaient en attente de confirmation. Peu des enfants et des adolescents sont atteints de covid-19, voire pas du tout. C’est ce que confirme également la CDC: La plupart des enfants diagnostiqués Covid [Par tests PCR] ont des symptômes légers ou pas du tout.

Ce tableau actuel montre la répartition des décès liés à Covid-19 dans la grande ville américaine de New York (8,4 millions d’habitants).

Les antécédents médicaux comprennent: asthme, maladies cardiaques, système immunitaire affaibli, surpoids, diabète, maladies rénales, maladies du foie et cancer.

Source: Service de santé publique de la ville de New York, https://www1.nyc.gov/site/doh/covid/covid-19-data-totals.page

Malgré des cas moins critiques, on pousse à la vaccination

Pourtant, les médias système et les autorités sanitaires frappent l’imagination des gens : les enfants seraient en danger et doivent être vaccinés d’urgence avec les vaccins expérimentaux. Les données de Pfizer/Biontech montrent [pourtant] que jusqu’à 80% des enfants développent des effets secondaires qui peuvent entraîner un traumatisme grave et qui, très probablement, ancrent une profonde méfiance envers le système de santé dans la conscience des personnes vaccinées. En effet, les enfants et les adolescents âgés de 12 ans et plus ne peuvent pas décider seuls de leur vaccination, et la vaccination est toujours obligatoire pour les personnes protégées et les personnes sous tutelle.

Taux d’effets indésirables extrêmement élevé

La nouvelle fiche d’information indique que la vaccination biontech/pfizer a été testée sur 1.097 enfants et adolescents âgés de 12 à 15 ans. 78,9% des personnes vaccinées, soit 8 66 enfants sur 1 097, ont développé une forme ou une autre d’effet secondaire. Chez 466, les effets indésirables sont décrits comme « légers », 393 sont « modérés » et 7 sont considérés comme « graves ».

L’étude a été évaluée en double aveugle, et en plus des 1 127 avec la première dose et 1 097 enfants et adolescents vaccinés avec la deuxième dose, 1.127 et 1.078 ont été vaccinés avec une solution saline sous forme de placebo. Les différences sont extrêmement significatives, parmi les enfants vaccinés par un vaccin réel, plus de 5 fois plus d’enfants se plaignent d’effets indésirables au cours des 7 premiers jours.

Un enfant sur cinq développe une forte fièvre

Les effets indésirables ont été:

Première vaccination
Fièvre supérieure à 38 degrés C
(114)
Fatigue (677) Maux de tête
(623) Fresque (311)
Vomissements (31)
Diarrhée (90)
Douleurs musculaires (272)
Douleurs articulaires (109)

Deuxième vaccination

Fièvre supérieure à 38 degrés C (215)
Fatigue
(726)
Maux de tête (708) Fresseaux (455)
Vomissements
(29) Diarrhée (65)
Douleurs musculaires (355)
Douleurs articulaires (173)

Les effets indésirables graves pouvant être observés plus fréquemment chez les vaccinés que chez le groupe témoin sont une appendicite potentiellement fatale. Ici, Pfizer / Biontech rejette néanmoins tout lien avec la vaccination.

Les effets indésirables graves envisagés pour 660.000 enfants en cas de vaccination

Le nombre d’effets indésirables graves est estimé par Pfizer/Biontech entre 0,4 et 0,8% des personnes vaccinées. Actuellement, environ 82 millions d’habitants âgés de 0 à 19 ans vivent aux États-Unis. (Source: Population pyramid). Si tous ces enfants et adolescents étaient vaccinés, on peut s’attendre à de graves effets secondaires chez 330.000 à 660.000 personnes! Cela est dû à un nombre de décès de 295 enfants et adolescents âgés de 0 à 17 ans (incohérences dues aux données disponibles, mais une comparaison ou une évaluation est possible sans problème). Les chiffres correspondants des personnes présumées décédées de la Covid-19 sont annexés à cet article.

Les statistiques et les expériences d’autres pays nous ont fait comprendre que de nombreux décès sont également à prévoir. La Norvège a arrêté la vaccination d’Astrazeneca pour des raisons statistiques, car on s’attendait à ce qu’au moins 10 enfants meurent en cas de vaccination. Les chiffres attendus sont nettement plus élevés et plus dramatiques aux États-Unis.

Haute vigilance recommandée

Pfizer/Biontech appelle le personnel médical qui administre les vaccins à indiquer tous les effets indésirables dans la base de données VAERS américaine. La soumission des données est obligatoire dans les cas où un vaccin a été mal administré, où des effets indésirables graves surviennent, où des réactions inflammatoires graves surviennent ou où des patients doivent être hospitalisés ou étritionnés après vaccination pour Covid-19.

Annexe: Répartition par âge des morts présumés de Covid dans l’ensemble des États-Unis

Les États-Unis comptent 328,2 millions d’habitants. Une infection Covid-19 a été rapportée pour 295 décès (!) d’enfants et d’adolescents, en plus d’autres diagnostics. Source: CDC

Les antécédents de maladie ou de maladie concomitante ont été enregistrés chez 388 personnes décédées de moins de 25 ans (le tableau ne suit malheureusement pas de façon cohérente le premier). Il en résulte qu’aucun enfant ou adolescent n’est mort « exclusivement » du Covid-19.




Analyse des résultats de la vaccination anti-Covid19 en Israël au 25 mai 2021

Par Dr Gérard Delépine

[Photo : VACCINATION D’UN ISRAÉLIEN DANS UN CENTRE MÉDICAL À HAIFA, LE 11 JANVIER 2021.AFP – JACK GUEZ]

https://ripostelaique.com/israel-analyse-des-resultats-de-la-vaccination-et-de-ses-contre-parties.html

Le suivi de l’épidémie en Israël permet de prévoir ce qui risque d’arriver chez nous si la vaccination se généralise, justifiant une nouvelle analyse avec 5 mois de recul. Les avocats de la vaccination prétendent que la campagne de vaccination d’Israël serait un succès démontrant l’efficacité du Pfizer. Pourtant tant les moyens utilisés que les résultats cliniques actuels sont franchement inquiétants.

Les succès de la campagne de vaccination et ses contreparties discutables

En termes de personnes vaccinées, le succès de la campagne de vaccination est indéniable avec 63% de la population israélienne qui auraient reçu au moins une dose de vaccin.

Mais de vaccination éclair n’a été obtenu que grâce à l’acceptation d’un sur paiement des doses vaccinales et à l’engagement du gouvernement de communiquer à Pfizer les données de santé des Israéliens sans que ceux-ci n’aient été préalablement consultés.

De plus, les méthodes utilisées sont très discutables : propagande mensongère cachant la nature expérimentale de ce médicament nommé à tors vaccin,(([1] Selon Pasteur un vaccin est un ensemble d’antigènes injecté pour induire la création d’anticorps spécifique. Le prétendu vaccin de Pfizer ne comporte pas d’antigène viral mais une protéine supposée induire la formation d’anticorps. Ce type de traitement n’a jusqu’ici jamais été utilisé pour prévenir des infections chez l’homme.)) censure féroce des opposants empêchant tout débat démocratique, chantage au confinement et création d’un pass vaccinal restreignant les libertés des non-vaccinés. Ces méthodes n’ont pas respecté les règles éthiques de la déclaration d’Helsinki(([2] DÉCLARATION D’HELSINKI DE l’Association Médicale Mondiale – PRINCIPES ÉTHIQUES APPLICABLES À LA RECHERCHE MÉDICALE IMPLIQUANT DES ÊTRES HUMAINS La santé de mon patient prévaudra sur toutes les autres considérations »… Il est du devoir des médecins engagés dans la recherche médicale de protéger la vie, la santé, la dignité, l’intégrité, le droit à l’autodétermination, la vie privée et la confidentialité des informations des personnes impliquées dans la recherche. 25. La participation de personnes capables de donner un consentement éclairé à une recherche médicale doit être un acte volontaire.)) ni les droits des personnes sur le consentement éclairé indispensable pour le traitement expérimental qu’est le vaccin Pfizer (car les résultats des essais phase 3 ne sont espérés qu’en 2023).

Quoiqu’il en soit, cette pseudo vaccination massive représente un essai phase 3 sauvage(([3] Dans un essai phase 3 traditionnel tous les malades sont enregistrés et bénéficient d’une surveillance régulière pour dépister tôt les éventuelles complications)) et complète les maigres données intérimaires que le département communication de Pfizer a publiées pour l’instant.

Critères d’évaluation

Les promoteurs de la vaccination et les médias journaux parlent de succès sur les pourcentages de vaccinés ou le taux prétendu de protection que le vaccin conférerait d’après les communiqués du fabricant ou des caisses qui sont chargés de la vaccination.

Un examen objectif des résultats médicaux avérés doit tenter de répondre aux deux questions qui déterminent son utilité réelle en population globale : le vaccin prévient-il les transmissions du virus ? Diminue-t-il la gravité de la maladie et tout particulièrement le risque d’en mourir ?

Pour répondre à cette question, nous nous baserons sur les données OMS quotidiennement mises à jour sur son site officiel consultable en tapant https://covid19.who.int/ qui précisent chaque jour pour chaque pays le nombre de contaminations et le nombre de décès attribués au Covd19.

Évolution du nombre quotidien des contaminations

La vaccination commencée le 19 décembre 2020 a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières, dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict. En novembre 2020 18 000 nouveaux cas confirmés avaient été enregistrés. Les mois de janvier (218 000 cas) et février (134 000 cas) ont établi les records mensuels de contaminations depuis le début de l’épidémie.

Le 18 décembre 2020 (veille du début de la vaccination) après dix mois d’épidémie Israël comptait 366000 cas confirmés. Les cinq mois suivant la vaccination ont enregistré 473000 cas de plus.

Les avocats de la vaccination prétendent que cette augmentation ne serait pas due à la vaccination, mais seulement à la coïncidence malencontreuse de la survenue d’une flambée épidémique. Mais comment une poussée au hasard surviendrait avec le même délai dans tous les pays qui vaccinent beaucoup ?

Un autre argument des pro vaccin est que la vaccination n’a pas eu le temps d’agir, mais l’exemple des Émirats Arabes Unis montre que même cinq mois après le début de la vaccination le nombre de contaminations hebdomadaires reste plus élevé qu’avant vaccination.

Ce phénomène paradoxal suggère plutôt que le pseudo vaccin Pfizer serait susceptible d’accélérer transitoirement la transmission de la maladie. Plutôt que de nier tout lien causal les défenseurs de la vaccination devraient diligenter des études permettant d’en comprendre le mécanisme pour y porter remède.

En Israël la diminution des contaminations n’a commencé qu’après 10 semaines, suivant la cinétique naturelle de l’épidémie décrite par le professeur Ben Israël(([4] Pr Isaac Ben Israël : Le virus disparaît de lui-même après 70 jours 17 avril 2020  https://strategika.fr/2020/04/17/pr-isaac-ben-israel-le-virus-disparait-de-lui-meme-apres-70-jours/)) qui affirmait dès 2020 que « le nombre de nouveaux cas du virus atteint un pic après environ 40 jours et décline progressivement pour atteindre presque 0 après 70 jours ou pas ». On ne pourra donc juger définitivement des capacités réelles du vaccin Pfizer d’interrompre la transmission du virus qu’à l’occasion d’une éventuelle nouvelle poussée de l’épidémie.

Le porte-parole de l’OMS Swaminathan a déclaré en décembre :

« Je ne crois pas que nous avons les preuves sur l’un ou l’autre des vaccins pour être sûrs que cela va empêcher les gens d’avoir réellement l’infection et donc d’être en mesure de la transmettre », « Je pense donc que nous devons supposer que les personnes qui ont été vaccinées doivent également prendre les mêmes précautions »

Doute confirmé officiellement en France par le ministre de la Santé O Veran a affirmant devant le Conseil d’État qui conclue(([5] Ordonnance du 30 mars dernier)):

« les personnes vaccinées peuvent cependant demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie dans une mesure à ce stade difficile à quantifier ».

Évolution de la mortalité quotidienne

En Israël, malgré un confinement strict, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable des mortalités hebdomadaires.

Les mois de janvier et février ont établi les records mensuels de mortalité attribuée au Covid19 avec près de 30% de la totalité des morts depuis le début de l’épidémie dans ce pays.

La vaccination, loin de diminuer le risque létal de la maladie, paraît au contraire l’avoir exacerbé transitoirement comme dans les autres pays vaccinés(([6] https://www.mondialisation.ca/lhecatombe-post-vaccinale-setend-dans-le-monde/5656922)) Heureusement que la décrue mondiale de l’épidémie a limité cette évolution post vaccinale mortifère !

Le faible taux de mortalité actuel est lié à la fin de la vague épidémique mis aussi à la disparition prématurée (post vaccinale) d’une grande partie des patients les plus à risques. Les personnes fragiles dont la fin a été hâtée par le vaccin en janvier et février ne sont plus à risque en mars et avril. On ne peut pas mourir deux fois !

Comment expliquer ce résultat paradoxal ?

Un traitement préventif se juge à l’évolution observée de la maladie cible. En Israël, l’évolution post vaccinale précoce a été catastrophique tant sur les contaminations que sur l’évolution des formes graves.

En attendant que des travaux scientifiques expliquent les causes de cet échec, de nombreuses hypothèses peuvent être soulevées. L’un des plus probables est que la vaccination Pfizer se heurte au phénomène d’anticorps facilitants déjà responsables de l’échec du Dengvaxia aux Philippines et des vaccins contre les précédentes épidémies à coronavirus (SRAS en 2003 et MERS en 2012).

La possibilité de cette complication avait été soulevée par l’Académie de médecine française, dans son communiqué du 11 janvier 2021(([7] Communiqué de l’Académie : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages 11 janvier 2021)):

« dans le contexte actuel de recrudescence épidémique, c’est la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection qui doit être prise en considération. Le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants. »

Ce communiqué soulignait aussi le risque de faire émerger un variant par une vaccination insuffisamment efficace.

« Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination. »

Le trop faible niveau d’immunité observée après la première injection accusée de pouvoir faciliter l’émergence de variants, et l’échec de la vaccination a été tout récemment signalé par 5 membres du comité scientifique français, dont le Pr Delfraissy dans une courte lettre au BMJ.(([8] *Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Laetitia. Atlan Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet Public Health 2021 Published Online February 18, 2021
https://doi.org/10.1016/S2468-2667(21)00036-0))

« Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de fuite immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus… En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variants ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

Que pourrait-on conseiller aux citoyens ? Attendre et résister aux pressions et chantages pour le vaccin

Un débat vaccinal serein est actuellement impossible à court terme, car complètement pollué par la situation politique. Reconnaître l’échec de la vaccination porterait en effet un coup sévère à la crédibilité des dirigeants qui ont tout misé sur la vaccination. Il faut donc s’attendre à ce que les gouvernements et les médias qui leur sont proches continuent de clamer la victoire de la vaccination contre le méchant virus. Car comme l’analysait un panel de scientifiques indépendants dans le BMJ,(([9] Covid-19 : Social murder, they wrote—elected, unaccountable, and unrepentant
BMJ 2021 ; 372 doi :
https://doi.org/10.1136/bmj.n314)) quel que soit le pays

« quiconque ose dire la vérité au pouvoir est antipatriotique, déloyal ou radical ».

En l’absence de débat démocratique permettant d’évaluer rationnellement la situation, nous ne pouvons que conseiller d’attendre pour se faire vacciner. Il n’y a aucune urgence pour se faire vacciner, le risque de la maladie étant minuscule pour les moins de 65 ans.

Dans quelques mois, un bilan plus objectif pourra être tiré et la décision de se faire vacciner ou pas pourra alors reposer sur des données consolidées. C’est peut-être ce que veut éviter le ministre de la Santé et la commission de Bruxelles, avec sa volonté d’imposer le pass sanitaire pour forcer les Européens à se faire vacciner.

Pour un senior qui se souvient de la guerre de 1939-1945 ou plus souvent maintenant des témoignages terribles de la génération de ses parents ou grands-parents, voire pour les férus d’histoire plus jeunes (il en reste) l’obligation du port d’un badge (ouf ce n’est pas une étoile, ouf elle n’est pas jaune !) par un gouvernement qui se prétend démocratique est incroyable, consternant, invraisemblable, insupportable.

Elle rappelle l’avertissement de Bertolt Brecht et de Margaret Steffin dans « la résistible ascension d’Arturo Ui » : « le ventre est encore fécond d’où est sortie la bête immonde » et les leçons d’Hannah Arendt sur la banalité du mal :

« le mal ne réside pas dans l’extraordinaire, mais dans les petites choses, une quotidienneté à commettre les crimes les plus graves. »

Espérons que la majorité de la population qui n’a probablement pas la mémoire courte saura RÉSISTER à cet effroyable et monstrueux pied de nez de l’Histoire.

Les mesures dites sanitaires veulent tuer la démocratie.

La tentation totalitaire, particulièrement frappante au pays des droits de l’homme, est bien évidemment mondiale dans le cadre de la prise en main en cours de la population mondiale par la clique de Davos et l’application du plan explicité clairement dans le livre de Klaus Schwab sur covid19 et Grand Reset, paru en juillet 2020, impossible à traiter de complotiste.

Ainsi de nombreux gouvernements, dont le nôtre, essaient de faire croire que le passeport vaccinal nous libérera des chaînes qu’ils nous ont imposées et qu’ils resserrent chaque jour, alors que l’épidémie disparaît aux USA et en Europe indépendamment des mesures liberticides présentes ou pas.

Comme depuis des millénaires, les virus vivent leur vie et les épidémies finissent assez brutalement comme celles du MERS et du SRAS pour les deux cousins de notre Covid19, n’ayant pas laissé aux labos le temps de trouver et imposer un vaccin rentable.

Manifestement suffisamment de données permettent d’affirmer que le vaccin ne protège pas de la contagion, ni les vaccinés, ni les autres, et nos dirigeants avouent d’ailleurs qu’ils poursuivront port du masque et distanciation, chez les vaccinés et les autres (Véran il y a peu de jours, y compris dans les EHPADs si quelques pensionnaires ne sont pas vaccinés !).

Le passeport ne constitue, comme le masque et le couvre-feu, qu’un outil d’asservissement sans intérêt sanitaire (et l’accepter ne représente qu’un signe de soumission) dont le but est une société à la chinoise que rêvent de mettre en place les dirigeants actuels nourris à la coopération franco-chinoise, comme les Veran, et bien d’autres reconnus comme « Young leaders franco-chinois. Mais si ce modèle leur convient, qu’en pensera la société française une fois réveillée de son cauchemar covidien ? Les camps, passeport vaccinal, isolement autoritaire que nous préparent les médias seront-ils acceptés sans bruit et sans violence ?(([10] Passeport vaccinal sur TV liberté
https://www.youtube.com/watch?v=DzZTsBbwpo0 ))

Pour terminer, méditons la tirade du secrétaire général de l’ONU le 22 FÉVR. qui fut diffusée à juste titre sur les réseaux sociaux (mais si peu relayée à la TV) :

« Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certainspays ont pris des mesures de sécurité sévères et adopté des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales, faire taire les médias indépendants et entraver le travail des ONG. »

Antonio Guterres, Secrétaire Général de l’ONU
Conseil des droits de l’homme du 22 février 2021
Source : Sitedel’ONU

Le chef de l’Organisation des Nations Unies ajoute, notamment :

« Des défenseurs des droits humains, des journalistes ,des avocats, des militants, et même des professionnels de la santé, ont fait l’objet […] de poursuites, et de mesures d’intimidation et de surveillance pour avoir critiqué les mesures — ou le manque de mesures — prises pour faire face à la pandémie. Les restrictions liées à la pandémie servent d’excuses pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques. »

Devrons-nous regagner dans la rue nos libertés ignoblement confisquées ?





Project Veritas : Mark Zuckerberg s’inquiète de la « modification de l’ADN et de l’ARN »

[Source : anguillesousroche.com]

Mark Zuckerberg, fondateur et PDG de Facebook, a exprimé à un moment donné son inquiétude quant aux « effets secondaires à long terme » de « la modification fondamentale de l’ADN et de l’ARN des gens » dans une vidéo divulguée à Project Veritas.

Selon Project Veritas, le PDG de Facebook a fait ces commentaires lors d’un appel vidéo avec les employés le 16 juillet 2020.

« Je partage une certaine prudence à ce sujet, parce que nous ne connaissons pas les effets secondaires à long terme de la modification de l’ADN et de l’ARN des gens », a déclaré M. Zuckerberg dans le clip.

[Traduction en français de la déclaration enregistrée en vidéo : Peter EL Baze
« Je ne sais pas si Facebook France m’autorise à publier une vidéo de Mark Zuckerberg, leur grand patron, qui s’adresse à ses employés pour leur donner son avis sur les vax seins ?
VOUS ALLEZ AUSSI CENSURER VOTRE PATRON ? ? ?
NB : Cette vidéo date du 16 Juillet 2020, à cette époque il n’y avait pas encore de vaccin disponible, ils étaient en test
Je ne sais pas si c’est un fake ?
Mais il semble que non, voir : https://fr.theepochtimes.com/le-pdg-de-facebook-mark-zu…/amp »]

Dans une interview vidéo publique réalisée plusieurs mois plus tard avec le Dr Anthony Fauci, M. Zuckerberg déclare que « ces vaccins ne modifient pas votre ADN ou votre ARN », ce que confirme M. Fauci.

« Tout d’abord, l’ADN est inhérent à votre propre noyau de cellule – quelque chose d’étranger sera finalement éliminé », a déclaré Fauci.

Bien que Zuckerberg ne précise pas s’il parle des vaccins COVID dans la vidéo divulguée, l’idée que les vaccins puissent altérer ou modifier l’ADN et l’ARN des gens est l’une des préoccupations publiques identifiées par Facebook comme de la « désinformation ».

La version la plus récente de la liste des contenus COVID-19 interdits sur Facebook inclut « des affirmations selon lesquelles le vaccin COVID-19 modifie l’ADN des gens ».

Commentant la fuite, James O’Keefe, fondateur de Project Veritas, a déclaré que Mark Zuckerberg imposait à ses utilisateurs des normes qu’il ne respectait pas.

« N’est-il pas intéressant que Zuckerberg puisse vaciller et faire évoluer sa réflexion sur le sujet des vaccins. Mais dès qu’il a pris une décision, ou semble avoir pris une décision sur un sujet, il interdit aux quelque 3 milliards d’utilisateurs de Facebook de faire de même », a déclaré O’Keefe.

« Des règles pour toi, mais pas pour moi. »

Lire aussi : Les vaccins COVID-19 à ARNm sont en fait une « thérapie génique » et non des vaccins : éthicien

Source : Breitbart – Traduit par Anguille sous roche




Lisa Shaw, 44 ans, est décédée, assassinée par la propagande !

Par Alain Tortosa

Lisa Shaw, 44 ans, est décédée, assassinée par la propagande !
Elle avait 7 fois plus de risque de décéder de l’AstraZeneca que du Covid et 10 fois plus si elle s’était faite injecter le Pfizer !
La thérapie génique Pfizer BioNTech est encore plus dangereuse que l’AstraZeneca !

Cette jeune femme de 44 ans, célèbre présentatrice à la BBC(([1] https://www.bbc.com/news/uk-england-tyne-57267169)) est décédée d’une thrombophlébite cérébrale (thrombose des sinus veineux cérébraux)quelques jours après avoir été injectée du médicament expérimental OGM d’AstraZeneca.

Une victime de plus de la propagande odieuse pratiquée par les laboratoires pharmaceutiques et leurs complices politiques, médiatiques et autres médecins corrompus ou débiles.

Elle est morte à cause de la cupidité, de la corruption ou de desseins encore plus sombres…

Combien d’innocents vont encore succomber après elle pour « retrouver leur liberté » ou assister à un concert ou partir en voyage ?

À la différence des victimes anonymes, la mort de Lisa a pu bénéficier d’une certaine « publicité ».

Alors que la BBC, le Guardian, ou Sky-News, pour ne citer qu’eux, ont précisé qu’elle avait été injectée par l’AstraZeneca, le magazine Métro(([2] https://metro.co.uk/2021/05/23/lisa-shaw-dead-bbc-radio-newcastle-presenter-dies-aged-44-14630262/)) a quant à lui indiqué dans un premier temps, avant de rectifier, qu’elle était décédée d’une « courte maladie » en omettant de parler de son injection.

Bien que le décès remonte à plus d’une semaine, les médias français ne se sont pas précipités pour nous faire parvenir cette triste nouvelle.

Seul le magazine Voici,(([3] https://www.voici.fr/news-people/actu-people/astrazeneca-mort-de-lisa-shaw-journaliste-de-la-bbc-a-lage-de-44-ans-704745)) reprenant les données de la BBC, a publié un article.

Sans doute suis-je un peu nul pour chercher sur Internet, mais je n’ai vu aucune dépêche AFP, rien sur BFM, LCI, France Info ou autres Cnews… Pas plus que dans le journal Le Monde, Libération ou Le Parisien, pour ne citer qu’eux…

Si les résistants s’emparent de cette affaire, il est probable que les vautours et charognards dits « décodeurs » vont intervenir pour « éclairer » à leur manière le public.

Nous allons certainement assister une fois de plus au bal des escrocs et autres corrompus, ou pire, au bal des débiles, qui vont s’empresser de nous dire qu’il n’y a aucune preuve de lien entre l’injection et le décès. Une fois de plus, ils vont nous rappeler que la chose est exceptionnelle et que le rapport bénéfice risque des thérapies expérimentales vaccinales demeure hautement favorable et souhaitable.

Je vais donc répondre à ces menteurs, vendeurs de propagande mortelle, en me basant UNIQUEMENT sur les données (erronées, car partielles) fournies par nos autorités de santé.

Je voudrais préciser que la sous-déclaration des effets secondaires est un secret de polichinelle.
L’ANSM nous dit :

« Ces informations, si l’on prend en compte la sous-déclaration des effets indésirables, habituelle, et probablement accentuée dans cette période de forte tension dans les services hospitaliers, constituent un signal important(([4] https://ansm.sante.fr/actualites/medicaments-utilises-chez-les-patients-atteints-de-la-covid-19-une-surveillance-renforcee-des-effets-indesirables))»

Un rapport du Sénat(([5] http://www.senat.fr/rap/r14-266/r14-266.pdf)) de 2015 précisait déjà :

« Des progrès ont été faits dans la déclaration des effets des vaccins, même si je crois que tout le monde a été d’accord pour dire, tout à l’heure, que la sous-déclaration reste problématique. »

Bref nous savons que les chiffres actuels sont faux et fortement optimistes. Nous disposons aussi de nombreux témoignages de personnels hospitaliers qui n’osent parler au grand jour de l’énorme difficulté à faire remonter les informations.

Avant le vaccin, de nombreux décès ont été imputés au Covid même pour des accidentés de la route qui avaient le tort d’être positifs au PCR, et aujourd’hui dès lors que vous êtes vacciné, un décès ne peut plus être causé ni par le Covid, ni par le vaccin…

Il est estimé qu’il faudrait multiplier au moins par 10 les chiffres pour s’approcher de la réalité.

Je vais, quant à moi, me borner à n’utiliser QUE des données officielles.

Regardons donc le risque que courait officiellement Lisa :

Lisa était une jeune femme de 44 ans en bonne santé et n’était pas dans le groupe des personnes à risque (sinon nous aurions basculé dans le meurtre prémédité).

Si l’on se réfère au dernier bulletin épidémiologique du 20 mai de Santé Publique France,(([6] https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/infection-a-coronavirus/documents/bulletin-national/covid-19-point-epidemiologique-du-20-mai-2021)) le nombre total de personnes décédées du Covid entre 15 et 44 ans est de 103 sur une population de 23 369 649 personnes (selon l’INSEE).

Le risque de décès pour Lisa du Covid (rappelons qu’il a été probablement gonflé par les « faux » morts ») était donc de 0,44 pour 100 000 personnes de son âge.

Regardons maintenant le risque de décéder du « vaccin » AstraZeneca. Les dernières données françaises disponibles(([7] https://ansm.sante.fr/uploads/2021/05/17/rapport-n11-covid-19-vaccine-astrazeneca-12-05-2021-vfa.pdf)) remontent au 6 mai 2021. 3 996 867 personnes avaient reçu une première dose à cette date et 120 décès officiels.

Ce qui porte le risque de décès d’un vacciné AstraZeneca à 3 pour 100 000 soit 7 fois plus (6,81) que de la maladie !

Si on ajoute le nombre de personnes dont le pronostic vital est engagé (fort risque de mourir) alors nous passons à 279 personnes. Le risque de mourir ou d’être à l’article de la mort suite à l’injection d’AstraZeneca est 16 fois supérieur (15,83) à celui de décéder d’un Covid pour une personne en bonne santé de l’âge de Lisa.

Et ils osent parler d’un rapport bénéfice risque positif alors que l’on a 16 fois de risque de mourir ou d’être à l’article de la mort en étant vacciné !!!

Et ce ne sont que les données officielles qu’il faudrait multiplier par 10 pour s’approcher de la réalité… nous passerions alors à un risque de mort pour les vaccinés multiplié par 160 !!!

Alors j’entends les menteurs malhonnêtes nous dire qu’en France, AstraZeneca est réservé aux personnes de plus de 50 ans et que la thérapie expérimentale Pfizer BioNTech est extrêmement sûre, au point que la campagne criminelle de vaccination des enfants va bientôt débuter en France.

Pour Pfizer, les dernières données disponibles(([8] https://ansm.sante.fr/uploads/2021/05/21/20210521-covid-19-vaccins-rapport-hebdomadaire-15-pfizer-2.pdf)) remontent au 15 mai 2021.

À cette date 13 520 434 personnes ont reçu une première dose de Pfizer et il y a 580 décès officiels.

Ce qui porte le risque de décès d’un « vacciné » Pfizer à 4,3 pour 100 000.

Le risque de mourir du Pfizer est donc 1,4 fois supérieur à celui de mourir de l’AstraZeneca pourtant réputé plus dangereux que le Pfizer !

Le risque de décéder pour Lisa, si elle avait été injectée par la thérapie génique expérimentale de Pfizer BioNTech aurait été 10 fois (9,73) supérieur au risque de mourir de la maladie.

Le risque de mourir pour une personne en bonne santé entre 15 et 44 ans est donc bien multiplié par 10 avec le Pfizer !!!

Si on ajoute le nombre de personnes dont le pronostic vital est engagé (fort risque de mourir) alors nous passons à 866 personnes et le risque de mourir ou d’être à l’article de la mort suite à l’injection de la thérapie génique est alors 15 fois supérieur (14,5) à celui de décéder d’un Covid pour une personne en bonne santé de l’âge de Lisa.

Je me répète, mais ils osent parler d’un rapport bénéfice vs risque positif alors que l’on a 15 fois plus de risque de mourir ou d’être à l’article de la mort en étant vacciné !!!

Et il faudrait en théorie multiplier ces chiffres par 10 pour s’approcher de la réalité… nous passerions alors à un risque de décès multiplié par 150 !!!

Et pendant ce temps, zéro enfant de moins de 15 ans et en bonne santé est officiellement mort du coronavirus.

En résumé :

  • Contrairement au mensonge véhiculé sciemment, le risque de mourir du Pfizer est supérieur à celui de mourir de l’AstraZeneca (x1,4).
  • Le risque de décéder du Pfizer est 10 fois plus important, selon les données officielles partielles, que de mourir du Covid si vous êtes en bonne santé et avez moins de 45 ans.

Et les autorités s’apprêtent à tuer sciemment des enfants en bonne santé chez qui le risque de décès du Covid est nul !

Allez-vous être complice de ces crimes pour pouvoir partir en vacances cet été ?

Merci.

Alain Tortosa
Le 28 mai 2021
Auteur du livre « 7 milliards d’esclaves et demain ? »
https://7milliards.fr/tortosa20210528-victime-propagande-criminelle.pdf





Quelle est l’ampleur des effets secondaires des pseudo-vaccins anticovid ?

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Cette question est difficile, car il est certain que comme toujours, de nombreux effets secondaires ne sont pas déclarés ni par les médecins, ni par les familles ni par les patients. Nous nous contenterons de résumer ici les effets reconnus par les institutions officielles américaines (Vaers pour les USA) et européennes (Eudravigilance de l’agence européenne du médicament).

POUR L’UE (ANGLETERRE EXCLUE) : LES EFFETS SECONDAIRES DONT DES DÉCÈS SONT NOMBREUX

Plus de 10 000 Européens tués par les vaccins Covid-19 selon les données officielles de l’UE(([1] Massacre: More than 10,000 Europeans KILLED by COVID-19 Vaccines According to Official EU Data ))

La base de données européenne des rapports de réactions médicamenteuses présumées est EudraVigilance, qui suit également les rapports faisant état d’accidents et de décès à la suite des « vaccins » expérimentaux Covid-19.

Pour tous ceux qui sur Tweeter ou FB doutent des résultats de cette banque de données, nous publions ici la politique de l’EMA concernant les accidents médicamenteux. Seuls les bots, robots d’internet au service de Big Pharma pourront encore dire que ces infos sont fakes !

Voici ce qu’EudraVigilance déclare au sujet de leur base de données(([2] Oracle BI Interactive Dashboards – DAP (europa.eu) )) :

« Ce site web a été lancé par l’Agence européenne des médicaments en 2012 pour donner au public accès aux rapports sur les effets secondaires présumés (également connus sous le nom de effets indésirables présumés). Ces rapports sont soumis électroniquement à EudraVigilance par les autorités nationales de réglementation des médicaments et par les sociétés pharmaceutiques qui détiennent des autorisations de mise sur le marché (licences) pour les médicaments.

EudraVigilance est un système conçu pour recueillir des rapports d’effets secondaires suspects. Ces rapports sont utilisés pour évaluer les avantages et les risques des médicaments lors de leur développement et pour surveiller leur innocuité après leur autorisation dans l’Espace économique européen (EEE). »

ÉTAT DES LIEUX AU 8 MAI 2021 sur les EFFETS SECONDAIRES DES VACCINS ANTICOVID EN UE

Leur rapport du 8 mai 2021 fait état de 10 570 décès et 405 259 complications à la suite d’une des quatre injections expérimentales de Covid-19. Chaque catégorie d’incidents est notée avec le nombre de personnes malades et le nombre de décès.

Réactions totales pour le vaccin expérimental à l’ARNm

PFIZER : Tozinameran (code BNT162b2,Comirnaty) de BioNTech/ Pfizer

5 368 décès et 170 528 incidents au 08/05/2021

MODERNA

Réactions totales pour le vaccin expérimental arNm d’ARNm-1273 (CX-024414) de Moderna  2 865 décès et 22 985 effets secondaires au 08/05/2021

 ASTRAZENECA

Réactions totales pour le vaccin expérimental AZD1222/VAXZEVRIA (CHADOX1 NCOV-19) d’Oxford/

AstraZeneca : 2 102 décès et 208 873 complications au 08/05/2021

JANSSEN

Réactions totales pour le vaccin expérimental COVID-19 JANSSEN (AD26. COV2. S) de Johnson & Johnson: 235 morts et 2873 complications au 08/05/2021

ON PEUT ÉTUDIER LA BASE DE DONNÉES PAR PATHOLOGIE  COMME SUR CE TABLEAU et voir l’augmentation rapide du nombre d’effets secondaires et de décès avec la mise à jour du 22 MAI

COMPARAISON PSEUDO-VACCINS ANTICOVID ET VACCIN H1N1

UN TABLEAU PUBLIÉ PAR L’EMA EN AVRIL 2021 permet de se faire une idée du nombre d’injections par type de substance génique et la comparaison avec le vaccin H1N1 et on constate que le nombre d’incidents signalés pour ces produits, dont les essais thérapeutiques ne sont pas terminés, est beaucoup plus élevé que pour le vaccin H1N1

EN FRANCE

Des chiffres sont disponibles sur l’ANSM, mais pas très rapidement dirons-nous.

Ils sont submergés par les témoignages de centres de vaccination qui demandent de ne pas remonter les incidents vaccinaux car débordés par les déclarations.  Par exemple :

Vaccins Covid-19 : environ 4 000 déclarations d’effets secondaires en Limousin  : un exemple

Publié le 24/05/2021(([3] https://www.lepopulaire.fr/limoges-87000/actualites/vaccins-covid-19-environ-4-000-declarations-d-effets-secondaires-en-limousin_13956157/?fbclid=IwAR1-FlTfK41S7ymHS8aWGZ2Zhcd7qbREeBgVabffgz3Flw67x9FbN7WzHDs)) : « Trier, traiter, enquêter, enregistrer : un travail colossal pour l’activité du centre. » © stephane Lefèvre, selon l’article du Populaire :

« Depuis début 2021, c’est un afflux inédit pour le Centre régional de pharmacovigilance de Limoges qui recueille tous les signalements d’effets indésirables des médicaments. Parmi eux, un des 34 cas français de thrombose atypique liée à l’injection du vaccin AstraZeneca.

(…) Plus précisément 4 000 en quatre mois et demi (sur 283 000 personnes ayant reçu une ou deux doses de vaccin en Limousin) : un record pour cette structure qui recueille les déclarations des effets indésirables des médicaments et fait remonter ses observations à l’Agence nationale de sécurité du médicament, l’ANSM (*).  Plus de la moitié des déclarations en attente ».

« En temps normal, on en reçoit environ 1 200 par an, dont à peine dix notifications pour des vaccins “classiques” », compare le Pr Laroche, responsable du centre.

Sur les 4 000, le CRPV a pu en saisir 1 200 dans la base, en a traité 400 autres en attente d’enregistrement. Il lui reste plus de la moitié à gérer. « Mais on trie tous les jours les déclarations reçues, par priorité, afin de ne pas laisser passer des effets secondaires graves. Notre stock de retard concerne surtout les signalements pour des effets indésirables ordinaires. »

Des effets dits « graves » pour 25 % des déclarations, proportion semblable au niveau national.

(…)  Parmi les effets indésirables notables, le CRPV de Limoges a surtout enregistré un des 34 cas de thromboses de localisation atypique(cérébrale, intestinale) recensés en France, à la suite du vaccin AstraZeneca, et ayant entraîné 11 décès. Le cas limousin n’a pas été mortel ».

À côté de ce cas marquant, tachycardie, zona, hypertension artérielle, paralysie faciale, urticaire font partie des autres conséquences non répertoriées dans la notice des produits. Toute hospitalisation est aussi intégrée dans les 25 % d’effets graves.

« Notre travail consiste à déterminer si c’est le vaccin qui est à l’origine d’un problème de santé ou s’il y a d’autres explications possibles. »

« Quand le cas est plus compliqué, cela va d’une demi-journée à une journée, le temps de documenter le cas, de recontacter la personne pour qu’elle nous raconte son histoire, d’aller chercher des informations médicales pour un dossier clinique complet. Il faut que tout soit précis afin de justifier une éventuelle décision sanitaire. »

Un appel à des déclarations plus ciblées

Si Mme Laroche se réjouit de la participation massive, elle appelle à des déclarations plus ciblées sur les effets « graves, très gênants ou méconnus ». Une pertinence nécessaire pour garantir la réactivité de la surveillance vaccinale.

(*) Il existe 31 centres régionaux de pharmacovigilance en France : c’est ce réseau territorial qui alimente l’ANSM, l’agence du médicament française.

Les déclarations dans le détail

« Répartition géographique : 80 % des déclarations reçues par le CRPV de Limoges sont originaires de Haute-Vienne, 15 % de Corrèze et 5 % de Creuse.

Répartition par vaccin : 78 % des 1 600 déclarations traitées concernent le vaccin Pfizer, 18 % AstraZeneca et 4 % Moderna et Janssen.

Répartition par profil de déclarant : 74 % des remontées viennent de patients et 26 % de professionnels de santé.

Répartition par moyen de signalement : 25 % des déclarations reçues par le CRPV passent par le portail national mis en place par le ministère de la Santé. La majorité arrive par mail ou courrier avec l’envoi de la fiche de suivi et de déclaration d’événements indésirables éditée par le CRPV Limousin et remise à chaque patient vacciné. Une initiative locale qui a fortement incité à participer à la déclaration. »

D’autres centres régionaux font état de débordements du même genre comme celui de Toulouse.

Toulouse. Vaccins Covid : les déclarations d’effets indésirables explosent (lejournaltoulousain.fr)

ET LES INQUIÉTUDES SUR L’AVENIR DE LA FERTILITÉ DES JEUNES FEMMES

Sera à approfondir rapidement car les fausses couches se sont multipliées en Grande-Bretagne pendant la période d’accélération de la vaccination. Les troubles menstruels sont aussi signalés par de nombreuses femmes.(([4] Covid-19 : le vaccin aurait un effet secondaire sur les règles (aufeminin.com) ))

Quant aux inquiétudes sur la fertilité, il importera d’y revenir.

AUX USA(([5] Latest CDC Data Show Reports of Adverse Events After COVID Vaccines Surpass 200,000, Including 943 Among 12- to 17-Year-Olds • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

selon les rapports officiels des CDC et du fichier VAERS organisme officiel fédéral

Aux États-Unis, 268,4 millions de doses de vaccin Covid avaient été administrées au 14 mai. Cela comprend 115 millions de doses du vaccin Moderna, 144 millions de doses de Pfizer et 9 millions de doses du vaccin Covid Johnson & Johnson (J&J).

Le nombre d’effets indésirables signalés à la suite des vaccins Covid a dépassé les 200 000, selon les données publiées le 21 MAI par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC). Les données proviennent directement des rapports soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS).

VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour signaler les effets indésirables des vaccins dans les rapports américains soumis à VAERS nécessitent une enquête plus approfondie avant qu’une relation causale puisse être confirmée.

Entre le 14 décembre et le 14 mai 2021, le Vaers a dénombré 227,805 reports d’effets indésirables suivant les vaccins anticovid, dont  4,201 morts et  18,528 incidents cotés sérieux  (Megan Redshaw le 21 mai 2021(([6] https://childrenshealthdefense.org/defender/vaers-cdc-adverse-events-covid-vaccines-surpass-200000/))).

Les dernières données des CDC montrent que les rapports d’événements indésirables après les vaccins COVID sont de 943 chez les 12 à 17 ans.

Sur les 4 201 décès signalés au 14 mai, 23 % se sont produits dans les 48 heures suivant la vaccination, 16 % se sont produits dans les 24 heures et 38 % chez les personnes tombées malades dans les 48 heures suivant leur vaccination.

Les données VAERS montrent :

20 % des décès étaient liés à des troubles cardiaques,

54 % des personnes décédées étaient des hommes, 44 % étaient des femmes et les autres rapports de décès n’incluaient pas le sexe du défunt.

L’âge moyen du décès était de 74,7 ans et les décès les plus jeunes signalés comprennent deux jeunes de 15 ans (VAERS I.D. 1187918 et 1242573 ) et un jeune de 16 ans (VAERS I.D. 1225942).

D’autres décès chez des enfants de moins de 16 ans ont été signalés et n’ont pu être confirmés ou contenaient des erreurs évidentes.

Au 14 mai, 1 140 femmes enceintes avaient signalé des effets indésirables liés aux vaccins Covid, dont 351 cas de fausse couche ou de naissance prématurée.

Sur les 2 275 cas signalés de paralysie faciale de Bell, 51 % ont été signalés après les vaccinations Pfizer-BioNTech, 42 % après la vaccination avec le vaccin Moderna et 192 cas, soit 10 %, des cas de paralysie de Bell ont été signalés conjointement avec J&J.

Il y a eu 195 rapports du syndrome de Guillain-Barré avec 40 % de cas attribués à Pfizer, 38 % à Moderna et 26 % à J&J.

Il y avait 65 854 rapports d’anaphylaxie avec 38 % des cas attribués au vaccin de Pfizer, 51 % à Moderna et 11 % à J&J.

Il y a eu 3 758 rapports de troubles de la coagulation et d’autres affections connexes. De ce nombre, 1 468 rapports ont été attribués à Pfizer, 1 093 rapports à Moderna et 1 093 rapports à J&J.

Selon l’article du Childrenshealthdefense.org qui commente ces résultats : 

« les vaccins COVID pourraient ne pas fonctionner pour des millions de personnes atteintes de maladies sous-jacentes. Certains experts remettent en question la recommandation des CDC selon laquelle les personnes immunodéprimées se font vacciner après que de nouvelles recherches 15 % à 80 % des personnes atteintes de troubles de santé sous-jacents et celles qui prennent des médicaments immunosuppresseurs montent peu d’anticorps, voire aucun, contre les vaccins COVID.

Pourtant, les lignes directrices actuelles des CDC indiquent que les personnes dont le système immunitaire est affaibli devraient être vaccinées contre le COVID même si « aucune donnée n’est disponible pour établir l’innocuité et l’efficacité du vaccin COVID dans ces groupes » car les personnes dont le système immunitaire est affaibli ou celles qui prennent des immunosuppresseurs pour une affection médicale ont été en grande partie exclues des essais cliniques sur les vaccins ».

« Dr Meryl Nass, un médecin de médecine interne, a déclaré qu’il est de la responsabilité des CDC de déterminer les risques et les avantages de chaque vaccin pour différents groupes de personnes. Pour les vaccins COVID, a dit Nass, les CDC n’ont pas publié cette information, ou dire au public quels groupes pourraient être à un risque plus élevé de subir une réaction indésirable qui l’emporte de loin sur tout avantage potentiel ».

RESPONSABILITÉ DE L’EMPLOYEUR QUI EXIGERAIT LE VACCIN AUX USA

Les employeurs pourraient être tenus responsables de « toute réaction indésirable » s’ils imposaient la vaccination anti-Covid.

« Si vous exigez que vos employés soient vaccinés comme condition d’emploi (c.-à-d. pour des raisons liées au travail), toute réaction indésirable au vaccin Covid-19 est liée au travail. L’effet indésirable est consigné s’il s’agit d’un nouveau cas en vertu du 29 CFR 1904.6 et répond à un ou plusieurs des critères généraux d’enregistrement en 29 CFR 1904.7.

« À l’inverse, l’OSHA(([7] Occupational Safety and Health Administration — Wikipédia (wikipedia.org)
L’Occupational Safety and Health Administration (OSHA) est une agence gouvernementale fédérale des États-Unis dont la mission est la prévention des blessures, maladies et décès dans le cadre du travail. Pour ce faire, elle émet des règlements pour la sécurité et la santé au travail. L’OSHA a été établie par l’Occupational Safety and Health Act (en) de 1970, l’une des lois majeures sur la sécurité au travail aux États-Unis. OSHA a développé la Norme 29 CFR de Gestion de la Sécurité des procédés (PSM), « Gestion de la Sécurité des procédés de produits chimiques à très haute dangerosité ».)) a déclaré qu’elle exercera un pouvoir discrétionnaire en matière d’application de la loi et qu’elle n’exigera pas que des effets indésirables soient consignés lorsqu’un employeur « recommande » seulement aux employés de recevoir le vaccin, tout en notant que pour que ce pouvoir discrétionnaire s’applique, le vaccin doit être véritablement volontaire. »

Pour déterminer si un vaccin est « volontaire », le site Web indique que « le choix d’un employé d’accepter ou de rejeter le vaccin ne peut avoir d’incidence sur [sa] cote de rendement ou son avancement professionnel » et qu’un « employé qui choisit de ne pas recevoir le vaccin ne peut subir de répercussions de ce choix ».

COMMENTAIRE DU CHILDRENSHEALTHDEFENSE SUR LE DRAME DU MUSICIEN ERIC CLAPTON

Eric Clapton blâme la propagande pour de graves réactions indésirables à AstraZeneca. Le 17 mai, The Defender a rapporté qu’Eric Clapton, 76 ans, a subi une grave réaction indésirable après avoir reçu le vaccin Covid d’AstraZeneca qui l’a laissé craindre qu’il ne rejoue plus  jamais.

« Inutile de dire que les réactions ont été désastreuses, mes mains et mes pieds étaient gelés, engourdis ou brûlants, et à peu près inutile pendant deux semaines. Je craignais de ne plus jamais jouer, a dit Clapton. « Mais la propagande a dit que le vaccin était sans danger pour tout le monde. »

Quelques jours après les critiques de Clapton sur la « propagande » vaccinale, le Wall Street Journal a rapporté que les fabricants de vaccins américains parrainent des campagnes publicitaires ciblant environ un tiers des Américains qui hésitent à se faire vacciner contre le Covid.

Pfizer, Moderna, Regeneron et d’autres sociétés pharmaceutiques parrainent des annonces à la télévision, à la radio et sur les médias sociaux louant les vaccins et les médicaments Covid dans le but d’augmenter les vaccinations. Contrairement aux annonces pour les médicaments où les noms de marque sont présentés, les annonces générales « get the vaccine » n’ont pas à suivre les lignes directrices légales, qui comprennent la liste des effets secondaires potentiels du médicament.(([8] La ruée vers les vaccins, immense manipulation organisée ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

74 jours et le comptage, CDC ignore les enquêtes du Défenseur

Selon le site Web des CDC :

« les CDC font le suivi de tout rapport de décès afin de demander des renseignements supplémentaires et d’en apprendre davantage sur ce qui s’est produit et de déterminer si le décès est le résultat du vaccin ou s’il n’est pas lié ».

« Le 8 mars, The Defender a communiqué avec les CDC pour lui poser une liste écrite de questions sur les décès et les accidents signalés liés aux vaccins COVID. Après des tentatives répétées, par téléphone et par courriel, d’obtenir une réponse à nos questions, un spécialiste des communications de santé du Groupe de travail sur les vaccins des CDC nous a contactés le 29 mars , soit trois semaines après notre enquête initiale.

La personne a reçu notre demande d’information de VAERS, mais a dit qu’elle n’avait jamais reçu notre liste de questions, même si les employés à qui nous avons parlé à plusieurs reprises ont déclaré que les attachés de presse de la CDC travaillaient à travers les questions et ont confirmé que le représentant les avait reçues. Nous avons fourni la liste des questions à nouveau avec une nouvelle date limite, mais nous n’avons jamais reçu de réponse.

Le Défenseur a également fait un suivi auprès du service des médias du CDC, qui nous a dit que l’unité d’intervention du COVID serait informée que le spécialiste des communications de santé n’avait jamais répondu. Aucune explication n’a été donnée quant à la raison pour laquelle nos demandes ont été ignorées. On nous a dit de rappeler, ce que nous avons fait à de nombreuses reprises.

Le 19 mai, un employé du CDC a déclaré que nos questions avaient été examinées et que notre enquête était en instance dans leur système, mais qu’elle ne nous fournirait pas de copie de la réponse. Cela fait 74 jours que nous avons envoyé notre premier e-mail pour nous renseigner sur les données et les rapports VAERS.

Children’s Health Defense demande à toute personne ayant subi une réaction indésirable, à n’importe quel vaccin, de déposer un rapport. »

En conclusion : il est bien difficile d’avoir des informations, mais des éléments connus sont déjà majeurs : par exemple le fait que le nombre de décès répertoriés en trois mois après vaccins Covid atteint déjà celui du recensé en 21 ans aux USA pour tous les autres vaccins.

Souvenons-nous aussi que le vaccin contre la grippe aviaire en 1976 fut retiré après 53 décès et le vaccin contre le H1N1 en 2009 après 57 décès. Manifestement le monde de la vigilance et de la sécurité a changé d’échelle.

En conclusion très provisoire

« Ils sont enseignants, médecins, juristes, artistes, gendarmes, scientifiques, psychologues, essayistes, journalistes et autre. Face à la situation actuelle, ils lancent un appel à chacun d’entre nous. Un appel à la résistance civile et au réveil des consciences :



Tout seul on va plus vite. Ensemble on va plus loin. Proverbe africain »

ET RAPPELONS QU’IL S’AGIT DE SUBSTANCES GÉNIQUES (en aucun cas des vaccins classiques) en essai thérapeutique

Nicole Delépine





L’avocat R. Kennedy Jr révèle pourquoi l’hydroxychloroquine a été interdite

[Source : lemediaen442.fr]






Courrier adressé par Réaction 19 à l’Académie de médecine en réponse à sa recommandation de l’obligation vaccinale

[Source : profession-gendarme.com]

Par Maitre Carlo Alberto Brusa




Nanoparticules dans l’alimentation : où se cachent-elles ?

[Source : agirpourlenvironnement.org]

OÙ SE CACHENT LES NANOPARTICULES ?

La liste des produits* contenant ou pouvant contenir des nanoparticules

Les nanoparticules se sont introduites secrètement dans nos assiettes via certains additifs alimentaires. Leur présence superflue nous fait courir des dangers sanitaires et environnementaux graves. Refusons d’être les cobayes de cette technologie incontrôlée.
Interpellons les industriels !

Liste imprimable : liste-nano-imprimable.pdf (apeorg.com)


*Pour la France




USA : le recul du COVID-19 n’est absolument pas dû à la vaccination

[Source : Riposte Laïque (ripostelaique.com)]

Par Gérard Delépine

Ne pouvant plus nier le succès des États-Unis contre le Covid depuis maintenant près de six mois, les médias et des experts proches des laboratoires tentent de nous faire croire qu’il serait dû à la vaccination pour nous inciter à accepter ces traitements expérimentaux inutiles et dangereux.

Il s’agit d’une contre-vérité totale : la décrue des infections aux USA a commencé en janvier 21, alors que personne n’avait reçu deux doses et le taux actuel de vaccinés est trop faible pour atteindre l’immunité collective.

La baisse des contaminations se confirme chaque jour depuis 6 mois

La courbe des contaminations publiée par l’OMS est démonstrative : la chute des contaminations a commencé début janvier 2021

La chute des contaminations a précédé la vaccination

Début janvier 2021, moins de 2% des Américains avait été vacciné et aucun n’avait reçu une vaccination complète. La vaccination ne pouvait donc exercer aucune action efficace. Le recul de l’épidémie est vraisemblablement spontané, lié à la saisonnalité comme la grippe ou à d’autres facteurs environnementaux.

La couverture vaccinale faible ne peut expliquer le recul de l’infection

Pour inciter les Français à se vacciner, les apôtres de ces traitements expérimentaux nous répètent à chaque instant qu’il faut atteindre une couverture vaccinale d’au moins 70% pour obtenir l’immunité collective.

Actuellement aux USA, le taux de vaccinés plafonne autour de 40%. Les vaccinolâtres cohérents avec leurs croyances ne peuvent donc pas prétendre que la vaccination a joué un rôle dans l’évolution épidémique favorable des USA.

Les prétendues mesures sanitaires ne servaient à rien

Le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a supprimé début mars, par décret, toutes les restrictions prétendument sanitaires.(([1] dont l’obligation emblématique du port de masque))

Greg Abbott s’est ainsi attiré les foudres des experts dont Fauci qui lui a prédit une catastrophe sanitaire et les injures des covido-terroristes dont le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, affirmant que cette décision était « absolument irresponsable », de Beto O’Rourke qualifiant le parti républicain « parti du « culte de la mort », de Joe Biden estimant la décision de « pensée néanderthalienne », et de Keith Olbermann répétant que « le Texas a décidé de rejoindre le camp du virus ».

Depuis l’évolution favorable dans cet état a démontré qu’elles ne servaient à rien et que tous ces covidoterroristes se sont trompés.

Au Texas, la vie est redevenue normale sans aucune restriction, et l’usage du pass sanitaire est interdit et passible d’amende.

L’exemple du Texas a fait tache d’huile. Les restrictions prétendument sanitaires ont été abolies dans une large majorité d’états dont l’obligation des masques à l’intérieur sans que l’épidémie ne reparte.

La vie a donc repris presque normalement aux USA sauf dans quelques états gouvernés par des démocrates têtus qui ne parviennent pas à d’admettre leurs erreurs. Mais l’opinion publique s’en désolidarise de plus en plus comme à New York.

Quelles conséquences pour la France ?

L’épidémie régresse depuis début avril 21 comme chez nos amis américains, mais avec 3 mois de retard.

En France, comme aux USA, cette régression ne peut pas être en relation avec la vaccination puisque chez nous, le taux de couverture vaccinale complète ne dépasse pas 16%.

Après deux mois de régression continue de l’épidémie, nous sommes exactement dans la situation du Texas lorsque son gouverneur Greg Abbott a libéré son état avec succès.

Au lieu de continuer à baser leur politique sur une propagande mensongère terrorisante et des mesures coercitives antidémocratiques pour nous imposer des pseudo-vaccins expérimentaux dangereux et inefficaces, nos gouvernants devraient suivre l’exemple des USA pour que les Français puissent enfin revivre, nos enfants apprendre et la France pouvoir retravailler.

Gérard Delépine





À madame Laurence Rossignol, Vice-présidente du Sénat français

Par Djerrad Amar

À madame Laurence Rossignol,
Vice-présidente du Sénat français

Algérie, le 27 mai 2021

Par Djerrad Amar

Suite à votre intervention, à propos de l’Algérie, au Sénat français.
Vous écrivez sur votre Facebook :

« Ce mercredi 26 mai, lors des Questions d’Actualité au Gouvernement, j’ai interpellé Monsieur le Ministre des Affaires Étrangères sur la situation des droits humains en Algérie, ainsi que sur la possibilité pour la France de soutenir les aspirations démocratiques des Algériens qui s’expriment au sein du hirak. Un mouvement pacifiste qui réclame un État civil, le respect des droits humains fondamentaux et, entre autres, la fin de la corruption qui gangrène l’économie du pays. »

Au début, j’ai évité de vous répondre parce que votre intervention au Sénat français est tellement orientée et débile que je me suis dit qu’il est futile de répliquer à un perroquet d’une part et que d’autre part votre Ministre des Affaires Étrangères, en réponse, a bien suggéré en quelques mots et qualificatifs votre pensée et votre objectif.
Finalement, je vous réponds et par ricochet à vos manipulateurs français et algériens de l’émigration qui vous ont utilisé, en particulier, parce qu’ils ont dû déceler chez vous une bébête qui gobe tout sans trop de réflexion !
Comme, je l’ai déjà fait à une de vos collègues — elle députée aussi niaise que vous sénatrice socialiste, en l’occurrence Madame Mathilde Panot qui crèche chez « France Insoumise » — vous dégurgitez un ramassis de slogans et de propagande qui prouve bien que votre but est plutôt l’ingérence et la subversion !

Et si vous vous occupiez de vos oignons, de votre salade, de votre Covid, de vos gilets jaunes, de votre pseudo-démocratie, de votre presse aux ordres, de vos corrompus, de vos pauvres, de votre récession, de votre déchéance sur le plan international, de votre retard en matière de recherche scientifique, etc.

Vous n’avez pas cité aussi la nouvelle loi électorale, en particulier pour les législatives, qui doit être « moins démocratique » que celle de votre pays, car la nôtre prévoit un mode de scrutin à la « proportionnelle » avec vote « préférentiel » c’est-à-dire que l’électeur algérien doit choisir, le pauvre, son ou ses candidats au sein de sa liste préférée ! Pas comme la France « démocratique » qui privilégie les « têtes de liste » qui épargne aux Français la peine de cocher un ou des candidats ! Cela doit être sans aucun doute ce mode « tête de liste », où l’on privilégie les copains et les coquins, qui vous a propulsé « sénatrice » !

Qu’avez-vous fait pour aider vos « hirakistes » des gilets jaunes ? Ils sont interdits de manifestation depuis longtemps chez vous, alors qu’en Algérie ils le sont depuis une semaine, au 117e pseudo-hirak, qui commençait à exhiber des slogans violents, « importés » depuis votre pays, visant l’Armée algérienne, ses services de sécurité et ses institutions dont le Président de la République élu !

On a tout vu chez vous ! En Algérie, le simple citoyen peut tout voir de ce qui se passe ici et chez vous, mieux que vous ne le pensez et mieux que vous la sénatrice qui se fie au « bouche à oreille » !

Avez-vous comparé le nombre de morts, de blessés, d’arrestations et de condamnés chez vous et chez nous en Algérie ? Bien sûr que non ! Votre genre ne voit et n’entend rien de ce qui se passe chez lui et même hors de France, mais porte une oreille attentive à ceux, résidants en France, qui lui rapporte les bruits et chuchotements qui se produiraient ou pourrait se produire en Algérie ! Même dans le faux, vous vous empressez à les dégurgiter dans votre parlement ou Sénat, pourvu que cela donne l’ivresse ! Êtes-vous rémunéré pour ça ? Fort possible ! Avec ce que l’on voit au parlement européen et les lobbies qui le dirigent, ce n’est pas étonnant et nouveau !

En voyant votre parcours, professionnel, associatif et politique, il nous est permis de douter de vos engagements et de votre honnêteté ! Passer du coq à l’âne en politique n’est-ce pas selon « ce que ça rapporte » et non selon les principes ? Ligue communiste révolutionnaire, journaliste à « La Vie ouvrière », différents syndicats, Parti socialiste, cheffe de cabinet Fabius (celui qui aime Daesh pour avoir fait du « bon boulot »), chargée d’étude à la Mutuelle des étudiants où elle perçoit une rémunération de 1100 euros pendant dix-huit ans pour 2 jours de travail partiel par semaines, impliquée dans l’affaire d’enrichissement personnel et d’emplois fictifs de la MNEF (Que choisir, s’interroge : « Si Mme Rossignol a vraiment été au service de la santé des étudiants » wikipédia), échoue à deux reprises à la députation, Ministre au Gouvernement Valls, à RMC elle a comparé les femmes musulmanes choisissant de porter le voile aux « nègres américains qui étaient pour l’esclavage »… Passons !

Franchement étiez-vous sérieuse et convaincue que ce que vous rapportiez, au Sénat, à vos collègues, n’était pas des canulars, des mensonges et des rumeurs ? Si oui, je vous invite à lire ce commentaire tiré de mon prochain article et peut-être qu’il vous instruira ou vous réveillera sur ce qui s’est déroulé en Algérie que vous semblez aimer voir démocratique, libre, humaine, sans arrestations arbitraires, sans tortures et peut-être aussi sans armée, sans policiers, sans justice, sans écoles, sans universités, sans pétrole, sans avions, sans bateaux, sans moyens pour fuir et rejoindre votre pays de paix, de culture, des droits de l’homme, de liberté et de démocratie !

Est-il acceptable et logique que le Hirak original des débuts (jusqu’au 7e/8e) qui a regroupé des centaines de milliers de citoyens dans une douzaine de grandes villes d’Algérie criant des slogans clairs et précis comme « non au 5e mandat », « changement du système de gouvernance », « yetnehaw ga3 (on les enlève tous) », « armée et peuple des frères » puis « poursuite judiciaire des pontes corrompues » puisse se transformer en slogans opposés après avoir obtenu l’essentiel des revendications (possibles dans l’immédiat) avec l’aide agissante de l’Armée dont on a réclamé d’assumer la responsabilité ? C’est alors que (au 10e hirak et suivant jusqu’aux 117e) des forces chevauchant la vague, sont apparues, avec des slogans insolites et violents entrant dans le cadre « printaniste » et « islamistes » exigeant qu’on « enlève tout le monde », entendre même ceux à l’origine de la déchéance du pouvoir, le chef de l’État intérimaire, les ministres intérimaires, le refus de toutes nouvelles élections, même après l’élection au suffrage universel du nouveau Président ! Des slogans surgissant curieusement au moment où les poursuites judiciaires battent leur plein ! Des centaines de milliers dans au moins une douzaine de grandes villes le « hirak » a vu le nombre de ses manifestants se réduire subitement comme peau de chagrin pour se limiter à 3/4 villes ne regroupant que quelques milliers puis quelques centaines ! Il faut dire que les slogans sont devenus clairement séditieux ! Contre le Président, contre l’Institution militaire en s’attaquant à ses officiers, contre les services de sécurité, les qualifiant tous de « traitres » à la nation et au Peuple, contre les législatives en préparation malgré un nouveau code électoral des plus démocratiques ! Ils réclament, par contre, le changement par une « phase de transition » (anticonstitutionnelle), sans vote du peuple, que dirigerait un trio de personnalités inconnues dont les noms sont balancés par un certain professeur… depuis la France ! Curieux non ? Les autorités, par souci de stabilité, étaient obligées d’appliquer la loi en matière de manifestations… tout comme en France ! Chez vous, c’est réglementé, non ? Certains ont enfreint la loi, ils ont été arrêtés. Le reste, ce sont des arrestations entrant dans le cadre des délits commis par des voyous. C’est arbitraire aussi ? Est-ce des affaires algéro-algériennes ou algéro-françaises ?

Êtes-vous venue au « secours » des gilets jaunes ? On ne vous a pas entendu, au Sénat, soutenir le Hirak, dès ses débuts, lorsqu’il réclamait le refus du 5e mandat, le limogeage des pontes corrompues du pouvoir, les poursuites judiciaires des figures du «système» comme vous le faites pour ces fossoyeurs! Ce n’est qu’une fois que le peuple a obtenu l’essentiel de ses revendications que des activistes et des agitateurs, suppôts du régime déchu, sont apparus et dont vous venez de porter les revendications au Sénat avec l’aide de vos maîtres-manipulateurs de chez vous en France. Vous êtes donc un maillon.

Savez-vous que vous soutenez des activistes qui refusent les élections présidentielles pour une «transition» qu’ils veulent diriger sans élections, qui refusent les législatives prochaines du 12 juin? Est-ce un hasard que vous intervenez à quelques jours des élections pour interpeller vos collègues au Sénat ?

On vous a instruit de dire qu’il y a des « détenus d’opinion » ? Si vous avez des noms, alors portez-les à la connaissance des autorités compétentes qui vous donneront sûrement les griefs !

Maintenant que « la vache à traire » n’est plus dans leur étable, mais dans celle du peuple, qui exige plus de comptes, les voilà tirer à boulets rouges sur tous ceux qui s’emploient, à éliminer les traces de ce régime de privilèges, de passe-droits, avec l’aide de votre clan par l’ingérence. Drôle de démocrate vous êtes !

Des démocrates, comme vous, qui soutiennent une solution par une « phase de transition » sans élections, contrairement à nos militaires qui soutiennent obstinément la solution par les élections ? Vraiment, le monde à l’envers !

Pouvez-vous imposer cette insanité chez vous ?

Au lieu de vous ingérer dans les affaires qui ne vous regarde, pas en tant que sénatrice ou autre, intéressez-vous plutôt à cette Françafrique que ne cessent d’appuyer des autocrates pour servir vos intérêts.

Pour votre gouverne, en guise de conclusion, voici un extrait du défunt chef d’État-major de l’Armée nationale populaire (ANP). Peut-être que vous comprendrez la définition du mot « dictateur » et à qui il s’applique : «Leur véritable objectif est d’induire l’opinion publique nationale en erreur… pour s’autoproclamer fallacieusement comme les porte-voix du peuple algérien… [notre] approche s’articule sur la primauté de la légitimité constitutionnelle, à travers l’organisation d’élections présidentielles transparentes… afin d’éviter toutes les phases de transition dont les conséquences sont périlleuses, clamées par certaines parties… qui commencent à être démasquées, et nous avons des informations confirmées de leur implication, que nous dévoilerons au moment opportun… »

Je vous raconte cela non pas pour justifier quoi que ce soit, mais pour montrer votre ignorance en politique et en affaires internationales. Quand vous, de surcroît, ignorez celles de vos voisins proches, mieux vaut changer de métier ! Vous faites de l’ingérence dans les affaires d’autres pays ! C’est interdit par les lois internationales ! Le savez-vous, madame la sénatrice ?

Amar Djerrad




Canada : un médecin de la Colombie-Britannique se fait retirer son poste après avoir soulevé la question des effets secondaires des vaccins anticovid

[Source : quebecnouvelles.info]

Par Cosmin Dzsurdzsa

Un médecin de famille de la Colombie-Britannique affirme avoir été réprimandé par des responsables de la santé après avoir fait part de prétendues complications liées au vaccin Moderna lors de l’administration du médicament aux patients.

Selon le Dr Charles Hoffe, de Lytton, en Colombie-Britannique, il a été suspendu de l’équipe d’urgence du centre de santé de Saint-Barthélemy en raison de la prétendue “hésitation à se faire vacciner” que ses affirmations ont provoquée.

“Le 29 avril 2021, l’Autorité sanitaire de l’intérieur a suspendu mes privilèges cliniques pour avoir causé une “hésitation vaccinale”, pour avoir parlé de mes patients blessés par un vaccin. Je ne suis donc plus autorisé à travailler aux urgences “, a déclaré le Dr Hoffe à True North.

“Je suis toujours autorisé à voir des patients dans mon cabinet privé, qui n’est pas sous la juridiction de l’autorité sanitaire intérieure, mais j’ai effectivement perdu environ 50 % de mes revenus. C’est le prix à payer pour défendre la sécurité de mes patients. “

En avril, Hoffe a publié une lettre ouverte adressée à la responsable provinciale de la santé de la Colombie-Britannique, le Dr Bonnie Henry, affirmant avoir vu “de nombreuses réactions allergiques”, un “décès soudain” et quelques cas de “déficits neurologiques continus et invalidants” après avoir administré 900 doses du vaccin COVID-19 de Moderna aux membres de la communauté des Premières Nations voisine.

“En bref, dans notre petite communauté de Lytton, en Colombie-Britannique, nous avons une personne décédée et trois personnes qui semblent devoir être handicapées de façon permanente, après avoir reçu leur première dose du vaccin Moderna. L’âge des personnes touchées varie de 38 à 82 ans”, affirme M. Hoffe dans sa lettre.

Ses allégations ont été rejetées par le Dr Carol Fenton, médecin hygiéniste de Interior Health à Kamloops, qui a déclaré qu’il n’y avait eu “aucun décès ou effet indésirable durable” lié à un quelconque vaccin COVID-19 en Colombie-Britannique, et encore moins dans la région de Interior Health.

Un avis communautaire daté du 4 mai et affiché à la clinique allègue que le retrait du Dr Hoffe ” laisserait un vide important dans le personnel médical ” de l’hôpital. Cependant, le Dr Hoffe continue de voir ses patients en privé à son cabinet qui est rattaché à Saint-Barthélémy.

L’avis a été affiché à l’extérieur de la Lytton Medical Clinic, où le Dr Hoffe exerce.

“Le Dr Hoffe est habituellement en service en tant que médecin des urgences à Lytton pendant deux semaines par mois. Sa suspension par l’Interior Health Authority risque donc de signifier que la salle d’urgence de Lytton sera fermée au moins deux semaines par mois”, affirme l’avis.

“Ces problèmes sont encore exacerbés par le fait que l’Interior Health Authority a également décidé de réduire les services de laboratoire à Lytton à deux jours par semaine. Outre l’impact négatif sur la qualité des soins de santé à Lytton, cela rendra le recrutement de tout nouveau médecin extrêmement difficile.”

Ni l’Interior Health Authority ni le ministre de la Santé de la Colombie-Britannique, Adrian Dix, n’ont répondu aux demandes de renseignements de True North pour savoir si le Dr Hoffe fait l’objet d’une enquête.

Récemment, le College of Physicians and Surgeons of British Columbia a émis un avertissement selon lequel tout médecin dont on découvrirait qu’il ” contredit les ordres et les directives en matière de santé publique ” ferait l’objet d’une enquête et pourrait être soumis à des mesures réglementaires.

Selon le site officiel du collège, les lois sur la protection de la vie privée empêchent l’organisation de révéler si une enquête est en cours concernant l’un de ses membres.




France : Alain Fischer, le “Monsieur Vaccin” du gouvernement, siège au Conseil d’administration de la Fondation Edmond de Rothschild

[Source : medias-presse.info]

Depuis le 3 décembre 2020, Alain Fischer est devenu le “Monsieur Vaccin” du gouvernement, nommé par le Premier ministre Jean Castex.

Ce professeur d’immunologie est là pour pousser les Français à se faire vacciner. Et si six Français sont déjà morts après avoir été vaccinés, Alain Fischer se fait l’écho de la communication de l’industrie pharmaceutique Pfizer qui estime que ce ne sont que des “incidents”.

Les médias ne font guère allusion à un autre aspect de la carte de visite d’Alain Fischer. Alain Fischer est en effet président du conseil d’administration de la Fondation Edmond de Rothschild. Cela doit lui faire un sujet de conversation supplémentaire avec Emmanuel Macron…




Académie de médecine : grosse manipulation pour escamoter le Pass sanitaire

[Source : AgoraVox le média citoyen]

par Régis DESMARAIS (son site)

Le communiqué de l’Académie Nationale de Médecine sur l’obligation vaccinale, pour anxiogène qu’il soit, est un modèle de manipulation mentale, destiné à créer un effet Nocebo chez les Français et à détourner l’attention sur le Pass sanitaire qui reste le but ultime du pouvoir : le traçage des populations. Attention, le piège doit être évité. Restons sereins et combatifs !

Un communiqué anxiogène

Le 25 mai 2021, l’Académie nationale de médecine (ANM) a publié un communiqué des plus surprenants. Les académiciens ont décidé de retrouver un peu de verdeur en se plongeant dans leur lointaine jeunesse, mais un plongeon vraiment très profond, pour retrouver leurs années d’avant les études de médecine. Forts de leur ignorance retrouvée, mais zélés de leur arrogance toute juvénile, ils ont rédigé un communiqué ludique à lire et mémorable pour les siècles à venir.

En quelques lignes, l’ANM place sur un même pied la Covid-19 (taux de mortalité de 0,16%) et la variole (taux de mortalité de 30 %) puis elle affirme – sans fondement autre que la publicité des laboratoires – que les vaccins sont efficaces à 90% voire 95% (sic) et elle conclut que l’obligation (vaccinale) ne doit pas être un gros mot mais la seule solution susceptible de nous sauver. Un tel sauvetage, pour être digne de ce nom, nécessite de vacciner obligatoirement le plus grand nombre d’individus, 80% de la population totale, à savoir : les enfants, les adolescents, les pompiers, les policiers, les militaires et tous ceux qui ont un contact avec le public. L’idée est d’atteindre l’immunité collective par la vaccination, cette fameuse immunité collective dont la définition a été opportunément refaite par l’OMS pour lier immunité et vaccination !

La lecture de ce communiqué procure les frissons d’un blockbuster horrifique : tous les codes de la manipulation mentale sont employés, toutes les ficelles de la peur et de la panique suscitées sont tendues et ça marche car c’est très efficace, effet Nocebo garanti.

Évidemment, comme pour toute œuvre de fiction, il faut rappeler au public, ici les lecteurs de ce communiqué, qu’il est indispensable de ne pas confondre la fiction et le réel, une production de l’esprit, cet esprit fût-il dérangé et usé, et notre quotidien. Ce communiqué est évidemment une œuvre de fiction car il décrit les caractéristiques d’une pandémie et des risques qui n’existent pas sur le terrain. Mieux, l’ANM nous propose une solution loufoque, à la hauteur des délires d’un Josej Mengele se rêvant dictateur au sommet de son nid d’aigle.

L’ANM complice d’une manipulation des Français ?

Si le mot obligation n’est pas un gros mot, l’Académie nationale de médecine est un gros problème dans le paysage institutionnel français. Petite Académie, écrasée par l’ombre de l’Institut de France, elle s’est désagrégée et délitée à notre insu car, à force d’inutilité, nous ne la regardions plus depuis longtemps. Ce communiqué, aux accents de novices jouant les professeurs, braque un violent faisceau de lumière sur la moribonde. L’ANM est-elle si moribonde et ses membres ont-ils oublié tous les enseignements reçus sur les bancs de l’université et, d’une façon empirique, au cours de leur expérience professionnelle ? La réponse est évidemment non, sauf à considérer que l’ANM est un cénacle de malades d’Alzheimer au dernier stade de la maladie. Alors quoi ? Comment des gens sérieux peuvent-ils écrire de telles inepties ? La réponse la plus probable est celle de la commande, de la main qui dicte. En clair, ce communiqué n’est rien d’autre qu’un objet destiné à créer un mode panique au sein de la population et dont la vocation est de détourner l’attention … du Pass sanitaire adopté définitivement par l’Assemblée nationale le même jour que le communiqué de l’ANM !

On comprend donc aisément que ce communiqué de l’ANM va à l’encontre des données acquises de la science sur la pandémie actuelle. Par ailleurs, l’ANM ne peut pas sérieusement vouloir imposer une vaccination obligatoire qui conduirait à une révolte et à la chute du pouvoir. Seules trois hypothèses peuvent tenir la corde pour justifier ce communiqué :

1°) Il s’agit de la méthode « Macron » qui est de nouveau appliquée : l’ANM propose l’enfer à la population et le président, tel un chevalier blanc, viendra sauver les Français en écartant de si décalées et dangereuses propositions académiques. Le scénario est lui aussi assez usé et abusé mais on sait qu’il fonctionnera toujours auprès des plus crédules.

2°) Il s’agit de détourner l’attention du public sur l’adoption définitive du Pass sanitaire et la prochaine publication, par décret, de ses modalités pratiques de mise en œuvre. Pendant que l’on s’excite sur le communiqué de l’ANM et que, pour certains, on plonge dans le désarroi et la peur, le Gouvernement avance dans son projet de traçage et de surveillance généralisée de la population. La société à la chinoise se met en place selon les désirs d’un pouvoir pervers et totalitaire. Cette hypothèse est en lien très fort avec la 1ère hypothèse.

3°) Il s’agit de créer la panique au sein de la population et de la fracturer entre ceux qui acceptent le vaccin comme un acte obligé pour continuer sa vie sociale et ceux qui refusent l’arbitraire et la montée sur l’échafaud. Terroriser pour exacerber les détestations entre les camps et conduire à la panique et son cortège de dérapages violents et incontrôlés. Cette hypothèse trace les lignes floues d’une guerre civile tant redoutée, une guerre au sein du peuple.

Encore une fois, on ne peut que s’interroger sur les conditions qui peuvent conduire les membres de l’ANM à rédiger un communiqué d’une violence inouïe sur les personnes, et d’un dédain absolu vis-à-vis de ses conséquences sur le mental des gens. Comment ces gens ont-ils pu accepter de diffuser un communiqué si peu scientifique et reposant sur des approximations, des oublis et des mensonges éhontés ? C’est le grand mystère de ce drame qui frappe notre pays et presque toute l’Europe : comment une « élite » a-t-elle pu se révéler si faillible et si compromise dans une démarche que l’on pourrait qualifier de criminelle sur les populations ? Cette question hantera longtemps ceux qui survivront à cette folie. Ces derniers seront nombreux car une chose est sûre et certaine : tous les Français doivent lire ce communiqué comme s’ils lisaient le pitch d’un mauvais film dont le réalisateur aurait oublié que le festival d’Avoriaz, c’est fini, et depuis longtemps.

Objectif : se préserver et dire non au Pass sanitaire 

Nous devons rire de ce communiqué et de sa tentative de détourner l’attention. Il faut surtout ne pas en avoir peur et ne pas en tenir compte dans notre vie de tous les jours. Jamais l’expression « sortir du jeu » n’aura eu autant de pertinence face à cette production de l’ANM. Nous devons mener notre existence au regard et dans le respect des valeurs qui nous semblent essentielles et inviolables. Un conseil : laissons les fous entre eux, laissons les s’épuiser à nous effrayer et à détourner notre attention. Vivons notre vie sous l’ombre protectrice des droits de l’Homme. Pour ce faire, gardons à l’esprit que le poison de la démocratie est désormais ce Pass sanitaire adopté en parallèle du communiqué de l’ANM. Refusons ce Pass, contraire à nos valeurs et redoutable pour ses conséquences !




Note sur l’illusion de l’« information »

Par Joseph Stroberg

Une partie de l’Humanité actuelle est prise dans une spirale de recherche d’informations, de Big Data (([1] Données massives, engrangées dans d’immenses bases de données informatiques ou numériques)), de « Nouvelles » sur tout et n’importe quoi, pourvu que ça fasse le « buzz », que ça relève de « scoop », de controverse, de provocation ou que ça puisse être utilisé comme outil de manipulation. La science s’empare du concept de l’information pour en faire la prétendue base de l’Univers, comme si celui-ci devait la vie à une série de chiffres ou de lettres. De pair avec l’Intelligence artificielle, elle s’en sert pour pousser l’élite de l’Humanité et une partie de ses esclaves à se prendre pour Dieu. Pourtant, qu’est-ce que l’information ? Quelle est sa nature fondamentale ?

À la base, l’information renseigne sur l’état, le mouvement, les propriétés ou l’action d’un objet ou d’un être formel. L’information est intimement liée au monde de la Forme, à celui de structures ou de systèmes organisés, que ce soit aux niveaux infinitésimaux (atomes, électrons, quarks…) comme aux niveaux macrocosmiques (planètes, systèmes solaires, galaxies…), en passant par les formes dites « vivantes » telles que celles des végétaux, des animaux et des êtres humains. L’information passe d’une forme à l’autre par des moyens de communication, d’émission de l’information par un émetteur (la parole, un émetteur radio, etc.) et de sa réception par un organe sensoriel ou récepteur (oreille, œil, récepteur radio, etc.). L’information permet aux systèmes formels de s’organiser en structures plus complexes :
– les cellules fonctionnelles communiquent entre elles notamment par des signaux chimiques pour que l’organe constitué par leur assemblage particulier remplisse une fonction d’un autre niveau (pour que le cœurs batte et pompe le sang dans le système sanguin, pour que les reins filtrent des substances, pour que les intestins en assimilent certaines et en rejettent d’autres, pour que le cerveau calcule ou visualise, etc.);
– les ouvrières, les soldats et la reine des fourmis s’organisent en fourmilières;
– les êtres humains s’organisent en sociétés, en villages, en entreprises…;
– les systèmes solaires s’organisent en galaxies;
– Etc.

Cependant, d’où vient l’impulsion de l’organisation et de la communication d’informations à cette fin ? Si l’informatique tend à démontrer que l’information peut se ramener à des suites de chiffres ou de lettres, celle-ci reste « lettre morte » si elle n’est pas comprise de ceux censés l’utiliser. Et la compréhension nécessite une sorte d’intelligence ou de mécanisme intelligent susceptible de permettre une prise de conscience. À cette fin, l’« intelligence artificielle » ne suffit pas. Si cette dernière peut traiter l’information et même la transformer, celle-ci ne lui sert à rien. Elle ne devient utile que lorsqu’elle est reçue par la conscience d’un être humain qui peut alors décider d’en faire usage ou non. L’information est utilisable seulement par une conscience apte à utiliser des mécanismes intelligents ou intelligemment conçus, à son niveau d’expérience des mondes de la Forme, à son échelle d’organisation. L’information ne peut servir qu’à une conscience compatible, grâce à son degré de maîtrise du plan organisationnel ou formel correspondant. Schématiquement, seule la conscience d’une cellule peut utiliser les signaux chimiques et électriques d’information qui se propagent dans son milieu ou univers cellulaire. Seule la conscience d’une fourmi peut utiliser les signaux chimiques d’un des autres membres de la fourmilière. Seule une conscience humaine peut utiliser adéquatement et intelligemment la parole humaine. Etc. Du moins, ceci à l’origine. Ensuite, il est toujours possible à une conscience donnée de s’étendre et de déborder vers les autres domaines d’organisation (et d’information correspondante). Ainsi, un savant humain peut chercher à décoder les signaux cellulaires ou ceux d’une fourmilière, de sorte à interagir à ces niveaux, au risque d’y foutre le bordel.

L’impulsion de l’organisation est intimement liée à la Conscience et le phénomène de conscience apparaît dès que le principe de Vie (La Cause créatrice, l’Esprit animateur) interagit avec la Forme. L’information sert à organiser les formes et systèmes dans l’univers formel, le monde de la Forme. Elle ne sert plus dans celui de l’informe qui est celui de l’être, de l’essence, de l’éternité immuable. L’Esprit n’a pas besoin d’informations pour créer un univers. Il le fait. De son souffle de vie, il l’étend à partir d’un point singulier, à partir du néant, un peu à la manière dont un enfant souffle dans un ballon de baudruche pour un étendre la surface et augmenter le volume. L’Esprit crée le potentiel d’information dans la Forme en même temps qu’il expand celle-ci et engendre la Conscience par des formes organisées de plus en plus complexes.(([2] Voir aussi :
– Vie et mort des systèmes
– Les machines pour jouer à Dieu
– Réflexion sur la vie, la matière et la conscience))

Sans conscience organisatrice, l’information reste lettre morte, un message sans destinataire. L’information n’est pas une cause fondamentale de l’univers, mais une conséquence. Elle est produite par des consciences organisées dans la Forme pour d’autres consciences organisées capables de les recevoir et surtout de les utiliser afin d’augmenter ou de transformer les formes existantes. Certains hommes ont ainsi utilisé certaines informations pour augmenter certains « virus » et en faire des « vaccins » ou des armes bactériologiques, pour le meilleur ou pour le pire, souvent avec une trop faible dose de conscience et de responsabilité, sans réellement se préoccuper sur les multiples conséquences possibles, à court, moyen et long termes.





Le Dr Louis Fouché alerte sur l’agenda transhumaniste de la tyrannie sanitaire

[Source : Ethique TV via medias-presse.info]

Le Dr Louis Fouché explique comment ceux qui organisent la dictature sanitaire sont les mêmes que ceux qui ont à leur agenda de nous imposer le transhumanisme.




Des scientifiques norvégiens affirment que le climat de l’Antarctique est très stable et n’est pas détruit par les pets de vache

[Source : Aube Digitale]

PAR JADE

Greta Thunberg s’est ridiculisée récemment en interprétant un phénomène naturel à la lumière du réchauffement climatique.

Nous sommes à la fin d’une période glaciaire, il est donc possible que le globe se réchauffe de lui-même.

Cependant, les preuves de ce phénomène sont rares.

Via Sputnik News :

Mettant en garde contre les “prophéties d’apocalypse” non fondées et la “propagande alarmiste”, des chercheurs norvégiens ont déclaré que la limite de la glace dans les parties les plus importantes de l’Antarctique, surnommé “le congélateur du monde”, non seulement ne s’est pas amincie, mais a même augmenté, contrairement à certaines attentes.

Après avoir mesuré à la fois les températures, les courants océaniques et la salinité dans la mer et sous la glace en Antarctique depuis la fin des années 60, des chercheurs norvégiens sont arrivés à des résultats plutôt surprenants.

Contrairement aux prédictions alarmistes et aux tendances observées ailleurs, le climat au pôle Sud est stable depuis 40 ans, a déclaré à TV2 Svein Osterhus, océanographe et chercheur principal au Centre de recherche norvégien (NORCE).

“Jusqu’à présent, nous n’avons pas constaté de changements significatifs. La lisière de glace que nous étudions ne s’est pas amincie, au contraire”, a déclaré M. Osterhus après son 15e voyage en Antarctique.

Selon les mots du journaliste de TV2, Osterhus “s’est élevé contre les prophéties apocalyptiques” en affirmant que les zones les plus importantes du “congélateur du monde” sont actuellement “très stables”.

“Il est vrai que dans certaines zones, il y a une fonte de la glace. Dans le nord, la glace de mer est en train de fondre. Elle fond aussi au Groenland et dans certaines parties de l’Antarctique, mais ce qui compte vraiment en matière d’élévation du niveau des mers, oui, heureusement, il ne se passe pas grand-chose ici”, a souligné M. Osterhus.

Le chercheur a souligné l’importance de faire attention à la “propagande alarmiste” sur le climat.

“En tant que chercheur, je fais attention à ne pas faire d’affirmations sans avoir de réels arguments à l’appui. Je pense que cela peut nous toucher durement si nous présentons les choses comme s’il y avait des changements majeurs et dramatiques”, a souligné M. Osterhus.

Tout cela n’est que de la propagande alarmiste, et ce serait ridicule même si tout était vrai.

Greta Thunberg est littéralement à l’ouest, et elle est constamment en état de crise, pensant que le monde va brûler.




Le « Fact-Checking* » prend une nouvelle raclée

[Source : Aube Digitale]

[* Fact-Checking = Vérification des faits]

Le monde de l’actualité n’arrête pas de se ridiculiser. La dernière énormité en date est une débâcle internationale en matière de vérification des faits qui trouve son origine, entre autres, dans un “festival de vérification des faits”.

Le Poynter Institute est peut-être le groupe de réflexion le plus respecté dans notre secteur, une organisation qui cherche à “fortifier le rôle du journalisme dans une société libre”, notamment en parrainant le site de vérification des faits PolitiFact. Il y a quelques semaines, elle a organisé une convention virtuelle intitulée “United Facts of America : Un festival de vérification des faits”.

Cet événement de trois jours a accueilli des invités spéciaux tels que Christiane Amanpour, le Dr Anthony Fauci, Brian Stelter et le sénateur Mark Warner – une brochette de “stars” des faits dont l’énergie ironique rappelait l’exécution téléthon de Terrance et Phillip par l’USO avant l’invasion du Canada dans South Park : Bigger, Longer, and Uncut. Les billets coûtaient 50 dollars, mais si vous vouliez un “happy hour virtuel privé” avec Stelter, vous deviez payer 100 dollars pour l’”expérience VIP”.

Au cours de la conférence, Katie Sanders, de PolitiFact, a demandé à Fauci : “Êtes-vous toujours convaincu que le [Covid-19] s’est développé naturellement ?”. Ce à quoi le sympathique médecin a répondu : “Non, je n’en suis pas convaincu”, poursuivant en disant que “nous” devrions continuer à étudier toutes les hypothèses sur la façon dont la pandémie a commencé :

https://www.youtube.com/embed/sELaURSW_7o

Les conservateurs, en particulier, se sont empressés de rappeler que Fauci avait déclaré l’an dernier : “Tout ce qui concerne l’évolution par étapes au fil du temps indique fortement que [ce virus] a évolué dans la nature et a ensuite sauté d’une espèce à l’autre. “À cette époque, en mai dernier, bien sûr, la question de l’origine de la pandémie avait déjà été politisée depuis longtemps, l’administration de Donald Trump étant soucieuse de pointer du doigt la Chine comme responsable de la catastrophe. Mike Pompeo est allé jusqu’à dire qu’il y avait “d’énormes preuves” que la maladie avait été créée à l’Institut de virologie de Wuhan. Fauci a été présenté comme un héros pour s’être opposé à ce sujet et à bien d’autres.

La nouvelle déclaration de Fauci, qui affirme ne pas être “convaincu” que le Covid-19 a des origines naturelles, s’inscrit toutefois dans le cadre de ce qui devient un changement d’avis plutôt ostentatoire au sein des autorités sur la viabilité de l’hypothèse dite de “l’origine laboratoire”. Jusqu’en 2020, les officiels et la presse grand public ont fermé la plupart des discussions à ce sujet. Les journalistes ont été fortement influencés par une lettre collective signée par 27 éminents virologues, publiée dans le Lancet en février dernier, dans laquelle les auteurs déclaraient “condamner fermement les théories du complot suggérant que le COVID-19 n’a pas d’origine naturelle”, ainsi que par une lettre publiée dans Nature Medicine en mars dernier, dans laquelle on pouvait lire : “Nos analyses montrent clairement que le SARS-CoV-2 n’est pas une création en laboratoire”.

Le consensus était si fort que certaines voix connues ont vu leurs comptes de médias sociaux suspendus ou fermés pour avoir spéculé sur le fait que le Covid-19 avait une “origine en laboratoire”. L’une d’entre elles a été la Dre Li-Meng Yan, virologue à l’Université de Hong Kong, qui a participé à l’émission de Tucker Carlson le 15 septembre dernier pour affirmer que ” [le Covid-19] est un virus créé par l’homme en laboratoire “. Après cette apparition, PolitiFact – le PolitiFact de Poynter – a attribué à cette déclaration sa redoutable note “Pants on Fire”.

Environ six mois plus tard, en février 2021, l’OMS s’est rendue en Chine. Apparemment, certains membres de la délégation sont repartis avec quelques doutes sur l’origine naturelle du virus, même si le rapport de l’OMS déclarait “extrêmement improbable” la théorie de l’origine en laboratoire.” S’en est suivi un cortège de scientifiques exigeant que la possibilité d’une origine en laboratoire soit prise au sérieux, dont une lettre signée par 18 experts dans Science. Lorsque le Wall Street Journal a publié une histoire selon laquelle un rapport des services de renseignement américains, jusqu’alors non divulgué, détaillait comment trois chercheurs de Wuhan étaient devenus suffisamment malades pour être hospitalisés en novembre 2019, le dentifrice était complètement sorti du tube : il n’y avait plus aucun moyen de dire que l’hypothèse de “l’origine laboratoire” était trop idiote pour être rapportée.

Cela ne veut pas dire que la théorie de “l’origine en laboratoire” est correcte, du tout. Mais cela n’a rien à voir avec la question qui nous occupe. En dépit de ce que vous avez pu être amené à croire, les vérificateurs de faits n’existent pas pour que les choses soient correctes à 100%. Ils sont là en tant que mécanisme de sécurité de dernier recours, que les organismes d’information utilisent comme un moyen d’éviter les grimaces publiques.

Quoi qu’il en soit, le 17 mai, quelques jours seulement après son “Festival of Fact-Checking”, Poynter/PolitiFact a dû publier une correction à sa décision “Pants on Fire” de septembre 2020 sur l’histoire de “l’origine du laboratoire”, en écrivant :

Lorsque cette vérification des faits a été publiée pour la première fois en septembre 2020, les sources de PolitiFact comprenaient des chercheurs qui affirmaient que le virus SARS-CoV-2 ne pouvait pas avoir été manipulé. Cette affirmation est maintenant plus largement contestée. Pour cette raison, nous retirons cette vérification des faits de notre base de données en attendant un examen plus approfondi.

Les vérificateurs de faits ont probablement sauvé ma carrière à au moins une douzaine de reprises. Lorsque je commençais à faire des reportages sur Wall Street, Rolling Stone devait souvent demander à plusieurs personnes de relire chaque ligne de mes articles pour s’assurer que je ne me ridiculisais pas. J’ai plaisanté une fois en disant qu’un vérificateur de faits de RS avait failli rater la fameuse phrase selon laquelle Goldman, Sachs était “un grand calmar vampire enroulé autour du visage de l’humanité, enfonçant sans relâche son entonnoir plein de sang dans tout ce qui sent l’argent” en faisant remarquer à juste titre que les calamars n’ont pas d’entonnoir à sang. C’est arrivé, mais le gros du travail que ces pauvres vérificateurs ont fait pour moi était beaucoup moins humoristique et plus ingrat. La personne qui a dû réviser ma pathétique explication d’un véhicule d’investissement structuré (VIS) dans cet article méritait probablement une prime de pénibilité et un approvisionnement à vie en Thorazine. Comme tous les écrivains, je me plains des vérificateurs de faits, mais je serais le dernier à dire que leur travail n’est pas important.

Cependant, le public est régulièrement mal informé sur ce que font les vérificateurs de faits. Dans la plupart des cas, et notamment dans les quotidiens, la vérification des faits, si elle est utilisée, est l’équivalent de l’assurance collision minimale que souscrit le locataire de voiture le plus économe. Il y a généralement juste assez de temps pour signaler quelques dangers potentiels de litige et/ou des erreurs majeures et évidentes sur des choses comme les dates, l’orthographe des noms, la formulation des citations, si un certain événement décrit par un journaliste s’est produit, etc.

Pour tout ce qui est plus complexe que cela, c’est-à-dire la plupart des choses, les vérificateurs de faits doivent s’efforcer de prendre des décisions difficiles. Les meilleurs ont tendance à voter pour l’élimination de tout ce qui pourrait exploser au visage de l’organisation par la suite. Les bons vérificateurs sont là pour aider à perpétuer l’illusion de la compétence. Ce sont des découvreurs de fesses professionnels, dont le travail consiste à empêcher qu’il soit évident que Wolf Blitzer, Matt Taibbi ou quiconque vous suit sur l’histoire critique du jour vient juste d’apprendre le terme “Chad”, “protéine de spicule” ou “immunité collective”. D’après mon expérience, ils sont généralement très doués pour cela, mais leur travail consiste moins à déterminer les faits qu’à empêcher les vastes mers d’ignorance qui sous-tendent la plupart des opérations d’information professionnelles de s’infiltrer dans le public.

Malheureusement, au cours des cinq dernières années en particulier, alors que les médias commerciaux ont connu une chute vertigineuse du niveau de confiance du public, de nombreuses organisations ont choisi de vanter les mérites des programmes de vérification des faits comme un moyen d’afficher leur dévouement à la “vérité”. La vérification des faits est en outre devenue un élément de l’argument de la “clarté morale”, selon lequel une fausse norme d’objectivité obligeait autrefois les entreprises d’information à toujours inclure des gestes en faveur d’une autre partie qui a toujours tort, faisant de la “vérité” une victime de la fausse “équité”.

Voici comment Amanpour s’est exprimée au Poynter Festival :

[L’objectivité] ne consiste pas à prendre n’importe quelle question, qu’il s’agisse de génocide, de climat, d’élections américaines ou de n’importe quoi d’autre dans le monde – le Covid, par exemple – et à dire, ‘Eh bien, d’un côté, et de l’autre côté’, en prétendant qu’il y a une quantité égale de faits et de vérité dans chaque panier…

Amanpour a poursuivi en faisant remarquer que sa carrière a démarré en Bosnie, où une partie était “agressée” et l’autre non, et qu’il aurait été contraire à la décence de dire le contraire. Il s’agit là d’un clin d’œil à l’argument “l’objectivité ne signifie pas qu’il faille donner un temps égal aux Républicains” qui est devenu si populaire dans l’industrie ces derniers temps (Fox a institutionnalisé le même argument à l’envers il y a trois décennies).

Mais l’objectivité n’a jamais consisté à accorder un temps et un poids identiques aux “deux camps”. Il s’agit simplement d’admettre que l’industrie de l’information est une opération à grande vitesse dont les principaux décideurs travaillent à partir d’un niveau de connaissance proche de zéro sur la plupart des sujets, faisant au mieux un effort honnête pour atteindre la cible mobile de la vérité.

Comme la vérification des faits elle-même, le format “d’un côté et de l’autre” n’est qu’un mécanisme de défense. Ces gens disent X, ces [autres] gens disent Y, et parce que les mannequins jacassants qui lisent sur nos téléprompteurs ne savent rien, nous laisserons le temps faire le tri dans les passages difficiles.

Le public appréciait autrefois l’humilité de cette approche, mais ce qu’il obtient de nous plus souvent aujourd’hui, ce sont des discours moralisateurs sur la façon dont les journalistes sont d’intrépides chercheurs de vérité qui dorment à côté de Dieu et avalent des amphétamines afin de pouvoir rester éveillés toute la nuit pour défendre la démocratie contre la “désinformation”. Mais une fois que l’on a dépassé les noms, les dates et le fait de savoir si le ciel était bleu ou nuageux ce jour-là, la pire forme de désinformation en journalisme est d’être trop sûr de quelque chose. C’est particulièrement vrai lorsqu’il s’agit de questions techniques complexes, et encore plus lorsque les sources officielles semblent investies dans l’élimination de la discussion de scénarios alternatifs sur ces questions.

Dès le début, la presse a mal géré les reportages sur le Covid-19. Cela s’explique en partie par le fait que la quasi-totalité des questions essentielles – utilisation de masques, confinement, viabilité des programmes de vaccination, etc. – ont été vendus par les sociétés de presse comme des récits de guerre culturelle. Un problème connexe était lié au fait que les entreprises d’information utilisaient l’idée erronée que l’information est une science exacte pour promouvoir l’idée encore plus erronée que la science est une science exacte. Cela a donné lieu à des spectacles absurdes, tels que des agences de presse tentant de dissimuler ou de dénoncer comme fausse la réalité naturelle selon laquelle les responsables avaient des opinions changeantes sur des sujets tels que l’efficacité des ventilateurs ou l’utilisation des masques.

Lorsque CNN a vérifié les faits à la question “Fauci a-t-il changé d’avis sur l’efficacité des masques ?”, la chaîne a semblé s’inquiéter de la joie qu’éprouveraient les partisans de Trump s’ils écrivaient simplement “oui”, si bien que la réponse est devenue “oui, mais Trump est aussi un c*nnard” (parce qu’il a laissé entendre que la nécessité de porter des masques était toujours sujette à débat). En qualifiant de “fait” immuable le consensus scientifique actuel, les médias ont donné l’impression que l’évolution normale des débats scientifiques était malhonnête, et ont inutilement renforcé la méfiance à l’égard des scientifiques et des médias.

La vérification des faits était un atout considérable lorsqu’il s’agissait d’un processus invisible qui polissait discrètement l’étron du reportage industriel. Lorsque les entreprises l’ont fait sortir en public et en ont fait une bête de somme pour impressionner le public, elles ont diffamé la tradition.

Nous ne savons que peu de choses avec certitude, comme l’orthographe de “fémur” ou le nombre d’interceptions de Blaine Gabbert dans sa carrière. Le public sait que presque tout le reste est sujet à discussion, et nous avons donc l’air d’abrutis en prétendant pouvoir vérifier les faits dans l’univers. Nous ferions mieux d’admettre ce que nous ne savons pas.

Traduit par Aube Digitale
Source : TK News (Etats-Unis)




Le code de Nuremberg pour LES NULS (mise à jour)

Par Jean-Michel Grau

Mise à jour 26/05/2021

Deux mois après sa volonté de rendre la vaccination Covid obligatoire pour les personnels soignants, l’Académie de médecine revient maintenant à la charge pour rendre obligatoire cette fois-ci, la vaccination pour tout le monde !(([1] francais.rt.com/france/87120-covid-19-obligation-vaccinale-doit-maintenant-etre-envisagee-estime-academie-medecine))Qui peut le plus peut le moins !

Il faut vraiment que cette académie soit aux abois pour en arriver à une telle mesure de coercition en voulant imposer des piqûres géniques de 7 à 77 ans, alors que, rappelons-le encore, ce ne sont pas des vaccins, mais des expérimentations médicales OGM en phase de tests (phase 3), n’ayant reçu qu’une autorisation provisoire de mise sur le marché par l’Agence européenne du médicament.

En conséquence, la vaccination obligatoire qui revient à une expérimentation humaine sans consentement est contraire au code de Nuremberg, comme l’a expliqué en 2016 à la tribune des Nations Unies, Mary Holland, docteur en droit et professeur d’université.

Qu’à cela ne tienne ! Cela n’empêche apparemment pas l’Académie de médecine de s’asseoir sur ce code qui régit les expériences médicales depuis 1947, l’appât du gain restant apparemment le plus fort. Car on ne peut imaginer un seul instant que tous les aimables représentants de cette auguste académie ne soient pas tous plus ou moins liés par des conflits d’intérêts aux laboratoires pharmaceutiques. Sinon, pourquoi autant d’insistance à vouloir vacciner tout le monde ?

Le prétexte de l’immunité collective est un argument qui ne tient pas : le Covid 19 générant des variants à l’infini ne pourra jamais être éradiqué par des vaccins qui n’ont jamais entraîné une immunité collective contre les coronavirus. La preuve par la grippe. On est donc bien en présence ici d’un sophisme éhonté, uniquement guidé par la cupidité et l’appât du gain. Car qui dit vaccin pour tous ces médecins, dit gros pots-de-vin dans leur escarcelle. Doit-on encore rappeler ici que Pfizer, Moderna, Astra-Zeneca et Cie font partie des plus grosses cotations boursières ?

Alors que la contamination du Covid continue de diminuer drastiquement de par le monde,(([2] breizh-info.com/2021/05/24/164831/covid-19-les-nombres-hebdomadaires-de-contamination-et-de-deces-ne-cessent-de-baisser-au-niveau-planetaire/)) on comprend aisément que cette académie corrompue par l’argent commence à paniquer sévère, car dans ces conditions, les différents pays concernés se retrouvant maintenant avec des stocks de doses sur les bras, les labos risquent fort d’arrêter bientôt les injections vaccinales en même temps que les injections financières de ceux qui les promeuvent, au profit de traitements plus rentables.(([3] lecourrierdesstrateges.fr/2021/05/25/un-traitement-melant-ivermectine-et-hydroxychloroquine-qui-pourrait-detroner-le-vaccin-anti-covid-19/))

L’Académie de Médecine vient de publier le 9 mars 2021 un communiqué de presse déclarant vouloir rendre la vaccination obligatoire, en particulier pour tous les personnels soignants.

Problème : « La vaccination obligatoire qui revient à une expérimentation humaine sans consentement est contraire au Code de Nuremberg », expliquait en 2016 à la tribune des Nations Unies, Mary Holland, docteur en droit et professeur d’université.

Le code de Nuremberg s’appliquant aux expériences médicales, il s’applique donc aux vaccins à ARN messager Covid-19 dont l’estampille « programme de santé approuvé par le gouvernement » n’a aucune légitimité.

EN EFFET, SANS ATTENDRE LES RÉSULTATS DES ESSAIS THÉRAPEUTIQUES HABITUELLEMENT EXIGÉS, CES VACCINS N’ONT PU OBTENIR DE L’ANSM ET DE l’UE QU’UNE AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHÉ CONDITIONNELLE, CAR ILS SONT ENCORE EN COURS D’ESSAI DE PHASE 3.

Ils sont donc à ce jour encore expérimentaux et ne respectent pas le protocole en matière de vaccins qui a été abrégé sous la fausse allégation que le Covid-19 constituerait une « pandémie mortelle » présentant une « grave menace pour la santé publique mondiale ».

En réalité, il ne s’agit ni d’une pandémie ni d’une menace pour la santé publique mondiale, tout juste une épidémie dont la létalité est de 0,05 %, loin derrière la grippe saisonnière qui n’a jamais fait l’objet de toutes les mesures coercitives que connaît aujourd’hui notre pays.

L’application des principes du Code de Nuremberg aux vaccins à ARN messagers : voici en résumé ce qu’en disait Christian Cotten,(([4] youtube.com/watch?v=5rxeNg7zLzg)) psychosociologue, le 2 décembre 2020 :

Une campagne de vaccination est organisée par la Haute Autorité de Santé de l’État français. Les vaccins utilisés sont des vaccins à ARN messager. Ce type de formulation n’a jamais été utilisée auparavant et les études préliminaires ne sont pas publiées. Il n’existe à ce jour aucune information disponible ni pour les scientifiques, ni pour la population, relativement à la composition précise et exacte de ces produits médicaux, pas plus qu’à leurs potentiels effets secondaires à court ou long termes, ou encore leurs séquelles handicapantes, voire mortelles.

Cette campagne vaccinale est une expérimentation médicale, puisque son caractère novateur conduit à ce que strictement personne ne puisse en connaître les conséquences pour les populations qui seraient les sujets de ces expérimentations.

Les expérimentations médicales sont encadrées en droit pénal international par le Code de Nuremberg, d’interprétation la plus stricte : un certain nombre de médecins ont ainsi été condamnés à mort en 1947 pour violation des principes de ce Code international, largement reconnu depuis cette époque.

L’article 1 du Code de Nuremberg expose ce qui suit :

Le consentement volontaire du sujet humain à l’expérimentation est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.

Ce dernier point demande que, avant de consentir à l’expérience, le sujet doit connaître sa nature, sa durée et son but ; les méthodes et moyens par lesquels elle sera conduite ; tous les désagréments et risques qui peuvent être raisonnablement envisagés et les conséquences pour sa santé ou sa personne qui pourraient possiblement advenir du fait de sa participation à l’expérience. .L’obligation et la responsabilité d’apprécier la qualité du consentement incombent à chaque personne qui prend l’initiative, dirige ou exécute l’expérience. Il s’agit d’une obligation et d’une responsabilité personnelles qui ne peuvent pas être déléguées impunément.

Ainsi, le fait pour toute personne qui participerait à tout acte coercitif de vaccination avec l’un des vaccins anti-Covid-19 annoncés, serait en situation de commettre une expérience médicale inacceptable en violation du Code de Nuremberg et une atteinte à l’intégrité d’autrui par administration de substances potentiellement nuisibles, en application de l’article 222-15 du Code pénal, sanctionnable par les articles 222-7 à 222-14-1 du même code.

En d’autres termes, toute institution hospitalière publique ou privée, tout médecin prescripteur, tout infirmier, qui participerait directement ou indirectement à la vaccination obligatoire du personnel soignant, comme cela est demandé par l’Académie de Médecine, se rendrait coupable d’un acte délictuel en violation du Code de Nuremberg selon les articles précités.

La présente vaut donc, d’une part, avertissement à l’ensemble des acteurs du système de santé, des fabricants aux médecins, infirmiers ou aides-soignants susceptibles de prêter leur concours à ces opérations d’expériences médicales coercitives fondées sur un produit dont la nocivité potentielle n’a pas été suffisamment testée à ce jour.

La présente vaut donc, d’autre part, mise en garde à tous les personnels soignants soucieux de leur santé contre une expérience médicale coercitive injustifiée au regard des droits fondamentaux garantis par le droit international et plus particulièrement le Code de Nuremberg.

Dans ces circonstances, la plainte publique et nominative contre les acteurs professionnels qui participeraient à cette expérience, directement ou indirectement devient une nécessité éthique urgente visant à la sauvegarde de la santé de tous.

En conséquence de ce qui précède, les responsables de santé de l’Académie de Médecine doivent savoir en connaissance de cause à quelles sanctions ils s’exposent en cas de vaccination obligatoire des personnels soignants, celle-ci violant le code de Nuremberg, à plusieurs titres.

L’obligation vaccinale est donc une imposture qui ne pourra résister un seul instant aux nombreux avocats qui étudient attentivement en France et à l’étranger ces vaccins à ARN messager expérimentaux.

TOUTE PERSONNE IMPLIQUÉE DANS LA MISE EN PLACE OU L’EXÉCUTION DE PROGRAMMES EXPÉRIMENTAUX DE VACCINATION OBLIGATOIRE SE TROUVERA DONC « DE FACTO » EN INFRACTION AVEC LE CODE DE NUREMBERG ET LE DROIT INTERNATIONAL. EN TANT QUE TELLE, ELLE DEVIENDRA PERSONNELLEMENT RESPONSABLE, DANS TOUT FUTUR PROCÈS INTENTE POUR CRIME CONTRE L’HUMANITÉ.





France : le journaliste Richard Boutry explosif à l’émission TPMP ouvre une brèche dans le mur oppressif des mesures sanitaires totalitaires

[Source : La Minute de Ricardo]






Témoignage d’un pompier sur les AVC suite aux vaccins covid

[Source : La minute de Ricardo]






Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!

[Source et auteur : Liliane Held-Khawam (lilianeheldkhawam.com)]

Nous volons de découverte en découverte, avec pour seul fil rouge la stupeur pour ne pas dire l’effroi.

Souvenez-vous du choc que certains ont pu ressentir lorsque nous avions découvert la fabrication des jumelles chinoises OGM.

Il y a quelques jours, la mise au grand jour des vaccins autodisséminés représenta une étape essentielle de nos recherches.

L’article de Science qui nous rapproche toujours plus de la confirmation de l’hypothèse d’un virus SARS-CoV-2 fabriqué en laboratoire aurait dû faire la une des médias officiels.

Aux quelques doléances qui précèdent doivent s’ajouter l’euthanasie bien entendue des personnes âgées, le refus de considérer un tant soit peu le traitement de l’infection par le coronavirus, l’acharnement à ne rien changer au protocole ou aux composants des « vaccins » malgré les chiffres accablants dont nous disposons, mais aussi des conséquences problématiques de ces produits sur des personnes jeunes et en bonne santé. 
https://childrenshealthdefense.org/defender/cdc-investigating-reports-heart-problems-teens-adolescents-covid-vaccine/?utm_source=salsa&eType=EmailBlastContent&eId=bcaaec43-2eda-4bae-b08c-4612a77b3b03

Nous avons tenté de traiter ces thèmes de la manière la plus neutre et la plus sourcée possible… En revanche, nous avons du mal à répondre à la question du pourquoi!

Pourquoi s’acharner pareillement sur l’humanité? Pourquoi s’en prendre aux personnes vulnérables et sans défenses ?

Il est très compliqué de répondre à cette question sans affoler et/ou sans être traités de complotiste. Pourtant, si les autorités sanitaires avaient été loyales envers les populations, elles auraient dû faire une pause dans ce que l’on appelle « vaccination », étudier les effets indésirables nombreux et handicapants, et refuser net de continuer d’administrer ces choses aux populations âgées. C’est une question de bon sens n’est-ce pas? Pourtant, rien n’a été fait. Et pire face aux résultats catastrophiques de AstrZeneca, on a poursuivi dans la stratégie destructrice de vies et de familles. Dans certains pays, on a poussé le cynisme encore plus loin en réservant ce qui devrait être apparenté à un produit dangereux pour la santé aux plus de 55 ans. Quelles conclusions en tirer?

À ce stade, nous sommes sûrs d’une chose:

Manifestement, ce que nous observons ne correspond pas aux résultats communiqués par les industriels qui nous parlaient de 95 % d’efficacité n’est-ce pas?

En même temps, les résultats des essais ont été présentés par les industriels eux-mêmes et les « scientifiques » et les gouvernants ont accepté leurs chiffres, et les critiques européennes vues précédemment dans les mails hackés ont été mises en sourdine.

Des vidéos de bras aimantés

Tous les jours apportent donc son lot de surprises dans un monde qui semble avoir basculé dans un chaos éthique. Ainsi un jour, je découvre des vaccinés qui arrivent à s’accrocher un aimant là où ils ont reçu l’injection.

Les vaccinés qui testent des aimants sur leur bras ridiculisés dans une émission grand public.

C’est en choeur que les animateurs de l’espace public ont crié à la fake info. A priori les images ne pouvaient convaincre un esprit rationnel. Impossible donc que le corps humain soit aimanté. Mon professeur de biologie du Lycée aurait dit la même chose. Sauf que la science des années 70-80 n’a plus rien à voir avec les défouloir débridés que sont devenus les labos du 21ème siècle. Forte de cette conviction j’ai mené ma petite enquête. J’ai commencé par tomber sur les liens mis en avant par Google tous dénonçant la fausse info. Voici un message pris au hasard:

« Pour cet épisode, Elsa de La Roche Saint André a contacté Julien Bobroff, physicien français spécialiste du magnétisme, qui enseigne à l’Université Paris-Saclay. “Un vaccin contre le Covid-19 qui puisse contenir des puces, et qui accrocherait des aimants quand on l’injecte, c’est absolument impossible du point de vue de la physique”, assure-t-il. 

Alors comment faire croire en vidéo qu’un magnet est attiré par une puce implantée dans le bras par le biais de la vaccination ? L’auteur scientifique anglo-américain Mick West, qui s’est spécialisé dans la vérification des théories du complot, détaille dans une vidéo quelques possibilités, comme le fait que la peau soit grasse ou l’utilisation d’une crème huileuse. 

Une dernière hypothèse repérée sur le site de fact-checking “Fact and Furious”, créé en réaction aux fausses informations circulant depuis le début de la crise sanitaire, serait que certaines des personnes qui tournent ces vidéos soient porteuses d’une prothèse d’épaule. En effet, les prothèses peuvent contenir du cobalt, un métal qui attire les aimants. »

https://observers.france24.com/fr/%C3%A9missions/info-ou-intox/20210521-info-ou-intox-episode-47-vaccin-covid-19-magnet-challenge-aimant-puce

Comment fonctionne un aimant?

Des nanoparticules magnétiques

Eh bien nous avons mené notre propre check. Et figurez-vous que j’ai découvert des paquets d’ »inventions » plus qu’édifiantes! Il existe même un projet tout ce qu’il y a de plus officiel puisque figurant sur le site de l’UE.

Sous le titre de « Comment faire croître les neurones avec des aimants et des nanoparticules », nous découvrons des trésors. La chose est présentée sous le prétexte acceptable de venir en aide aux malades de Parkinson, les réformes des lois sur la bioéthique feront le reste. On nous dit notamment que:

« Le projet MAGNEURON vise à développer une nouvelle technologie d’actionnement magnétique des fonctions cellulaires pour traiter la maladie de Parkinson. Le concept innovant de notre technologie est de contrôler à distance le comportement des cellules à l’aide de nanoparticules magnétiques bio-fonctionnalisées. Les nanoparticules sont de très petits objets, de l’ordre du nanomètre, généralement connus pour être nocifs, mais ils peuvent également être utilisés de manière positive. En attachant à leur surface des biomolécules spécifiques, il est possible d’interagir avec les molécules cellulaires pour donner des signaux spécifiques aux cellules. En utilisant des nanoparticules magnétiquesil est possible d’utiliser des dispositifs magnétiques pour agir sur elles à distance afin de déclencher des réponses cellulaires.

Pour relever le défi de la télécommande des neurones à distance, nous proposons l’utilisation de nanoparticules magnétiques bio-fonctionnalisées conçues pour fonctionner comme des «points chauds» intracellulaires qui indiqueront à la machinerie cellulaire ce qu’il faut faire. Une fois délivrées dans le cytoplasme des neurones, ces nanoparticules magnétiques activeront des réactions biochimiques spécifiques à l’intérieur des cellules en réponse à des champs magnétiques externes de sorte que les nanoparticules favoriseront et orienteront la croissance des bras des neurones. » 

http://magneuron.eu/

Le principe de cette technologie qui révolutionne la biologie et la médecine est expliquée ci-dessous par un schéma. Dans ce cas, il est question de reprogrammation cellulaire dans un but fort louable puisque le patient est atteint d’une maladie grave. Qu’est-ce qui empêcherait de l’utiliser dans d’autres circonstances? A relever que lesdites cellules augmentées sont contrôlables à distance (par remote coontrol).

Vous constaterez aussi qu’il est question d’un outil magnétique communiquant avec les nanoparticules aimantées. Est-ce que dans notre environnement cet outil peut être représenté par les antennes 5G, ce qui nous introduirait brusquement et brutalement dans le monde de l’Internet des Humains?

Les scientifiques de l’Université de Washington espèrent que l’avenir permettra d’améliorer considérablement cette technologie du Brain to brain communication pour envoyer des informations plus complexes d’une personne à une autre.  Andrea Stoco souligne “Internet est un moyen pour connecter les ordinateurs, et maintenant il peut être un moyen des connecter des cerveaux. »

Qu’est-ce que le sigle iPSCs qui figure sur le dessin de Magneuron?

N’étant pas biologiste, mais simplement capable de suivre les flèches de ce processus, j’ai été intriguée par le iPSCs qui semble tenir un rôle central. Et voici ce que j’ai trouvé. Une plateforme dédiée à la communauté des sciences de la vie à Zurich. On nous dit:

Depuis la découverte par Yamanaka et Takahashi des cellules souches pluripotentes induites (iPSC), cette technologie a ouvert des possibilités sans précédent pour étudier pratiquement tous les types de cellules d’intérêt in vitro et pour modéliser les maladies humaines «dans une boîte». La communauté des sciences de la vie de Zurich profite activement de ces nouvelles possibilités.

L’objectif de cette plateforme est de favoriser les interactions, les collaborations et l’éducation sur cette technologie parmi les chercheurs travaillant sur les iPSC dans la région de Zurich . Les groupes affiliés à toutes les institutions académiques sont invités à présenter leurs recherches liées à l’iPSC, y compris l’Université de Zurich, l’ETH Zurich et les hôpitaux universitaires (USZ, Kinderspital, PUK, Balgrist, Zentrum für Zahnmedizin). Tous les sujets de recherche peuvent être inclus, allant des questions de recherche fondamentale sur la pluripotence des cellules souches à la modélisation des maladies ou à la médecine régénérativeLes troubles affectant tout système organique peuvent être inclus (système nerveux central, cœur, rein, muscles, système immunitaire, yeux ou maladies métaboliques).

https://www.ipsc-research.uzh.ch/en.html

Et qui est M Yamanaka qui semble occuper une place centrale dans cette médecine d’un nouveau genre? Shinya Yamanaka (山中 伸弥 : Yamanaka Shinya) est né à Higashiosaka au Japon. Médecin japonais, il est chercheur sur l’induction des cellules souches pluripotentes et la reprogrammation des cellules somatiques. (Wikipédia)

Dans un article paru dans Science en février 2008, Yamanaka affirme que la méthode de transformation génétique des cellules à l’aide d’un virus n’entraîne pas de problème de tumeurs, ce qui pourrait ouvrir la voie vers un usage thérapeutique pour la régénération de tissu.

Wikipédia

Cette assertion est à la fois énorme pour le monde de la médecine, mais en même temps effrayante dans le contexte actuelle. Et comme Wikipédia n’a pas donné de références sur l’article de Science, il a bien fallu aller dénicher ce qui pourrait être une perle dans l’énigme vaccinale covidienne. Voici le résumé d’une publication mRNA-Based Genetic Reprogramming écrite cette fois en 2018:

La découverte que les cellules cutanées ordinaires peuvent être transformées en cellules souches pluripotentes par l’expression forcée de facteurs définis a fait naître l’espoir que des traitements régénératifs personnalisés basés sur du matériel immunologiquement compatible dérivé des propres cellules d’un patient pourraient être réalisés dans un avenir pas trop lointain. Un obstacle majeur à l’utilisation clinique des cellules souches pluripotentes induites (iPSC) a été initialement présenté par la nécessité d’utiliser des vecteurs viraux d‘intégration pour exprimer les facteurs qui induisent un profil d’expression génique embryonnaire, ce qui entraîne une altération potentiellement oncogène du génome normal. Plusieurs systèmes de reprogrammation «non intégrateurs» ont été développés au cours de la dernière décennie pour résoudre ce problème. Parmi ces techniques, la reprogrammation de l’ARNm est la plus sans ambiguïté «sans empreinte», la plus productive,et peut-être le mieux adapté à la production clinique de cellules souches. Ici, nous discutons des origines du système de reprogrammation à base d’ARNm, de ses avantages et inconvénients, des améliorations techniques récentes qui simplifient son application et de l’état des efforts actuels pour industrialiser cette approche pour produire en masse des cellules souches humaines pour la clinique.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6453511/

Magneuron, projet porté par les gouvernants!

Retour au projet Magneuron. Dans un silence consternant, on découvre que ce genre de projet est porté par les gouvernants qui ne jugent pas utiles d’informer les sans-dents de ce qu’ils leur ont réservé pour un avenir immédiat! Voici ce que présente le Portail français du programme européen pour la recherche et l’innovation. Dans la liste des témoignages des lauréats, nous trouvons une référence à Magneuron:

Détournement des voies de signalisation cellulaire avec des nanoactionneurs magnétiques pour les thérapies télécommandées par cellules souches des troubles neurodégénératifs.

magneuron : Télécharger

https://www.horizon2020.gouv.fr/cid130111/boite-outils-pour-les-projets-technologies-futures-emergentes-fet.html

Tout aussi intéressant que ce projet Magneuron est celui de Luminous

Ce projet est décrit en termes de vision de la manière suivante. plutôt très inquiétant…

Vision à long terme « Notre vision est que les informations théoriques joueront un rôle central dans la compréhension de la conscience, que la conscience sera un jour de plus en plus mesurée, quantifiée et modifiée en toute sécurité grâce à l’interaction électromagnétique » Percée scientifique et objectif technologique – « La première percée proposée est » la création d’une nouvelle classe motrice de la conscience sensorielle, qui minimise « la création d’une nouvelle classe de conscience motrice ou de dépassement de la conscience ». La deuxième percée ciblée ici est l’altération électrique de la conscience. « Nouveauté » travail pionnier en science fondamentale, y compris les concepts de théorie de l’information, et la physiologie expérimentale, les applications cliniques et la technologie »

Voilà donc que l’insertion de nanoparticules magnétiques n’est pas une vue de l’esprit de complotistes. Ces individus qui squattent les laboratoires d’un nouveau genre et qui bénéficient de l’argent pléthorique de Planète finance sont en train de reléguer Frankenstein dans un coin de l’histoire, avec bonnet d’âne en prime.

Nous avons affaire à de très grands chercheurs de diverses disciplines qui se sont retrouvés autour de projets communs. La synergie qui s’en dégage semble libérer une puissance dont le potentiel maléfique n’est pas difficile à imaginer.

Alors ami lecteur, je vous ai apporté ces quelques infos dans le but de nous aider à décoder l’image finale très probablement monstrueuse que des esprits malades ont dessinés pour l’humanité.

Tout silence de tout individu habitant cette terre face à ces données publiques financées avec nos impôts aura un coût humain inimaginable à ce stade.

LHK

Complément d’info

Le projet MAGNEURON Future and Emerging Technologies (FET) a pour objectif de déterminer comment contrôler les neurones nouvellement implantés dans le cerveau, afin qu’ils puissent se développer, se recâbler et fonctionner correctement. Ceci est particulièrement important pour les maladies neurodégénératives comme la maladie de Parkinson.

Image montrant le fonctionnement du projet MAGNEURON
Projet MAGNEURON – Schéma du fonctionnement du projet MAGNEURON

Le   projet FET-Open MAGNEURON vise à développer une nouvelle technologie d’actionnement magnétique des fonctions cellulaires pour traiter la maladie de Parkinson. Le concept innovant de leur technologie est de contrôler à distance le comportement des cellules à l’aide de nanoparticules magnétiques bio-fonctionnalisées. MAGNEURON est dirigé par le Dr Mathieu Coppey, de l’Institut Curie, France. Le projet comprend 6 partenaires de France, d’Allemagne et du Royaume-Uni, couvrant les domaines de la physique-chimie, de la biochimie, de la biophysique, des nanosciences, des neurosciences et de la médecine régénérative.




Rav Dynovisz : la délivrance finale viendra de France

[Source : TORAH STUDIO]




« Vaccination en anneaux » triste relent du totalitarisme contraire à la Déclaration d’Helsinki

Par Nicole Delépine

« Vaccination en anneaux » triste relent du totalitarisme contraire à la Déclaration d’Helsinki(([1] signée par la France))

Ce projet de « vaccination en anneaux »(([2] https://m.facebook.com/holduplefilm/videos/316294543200951/?refsrc=https%3A%2F%2Fm.facebook.com%2Fwatch%2F&_rdr ou https://odysee.com/@Tony%D8%B7%D9%88%D9%86%D9%8A:8/hold-up-Le-Coup-de-gueule-de-Pierre-Barn%C3%A9rias:1)) est sorti, en cette période discrète du week-end de Pentecôte, du chapeau du gouvernement déçu de trop de vaccino-sceptiques et du plafond de verre des vaccinations, malgré l’invraisemblable propagande, sur toutes les chaînes, qui peut-être en fait trop et met la puce à l’oreille aux plus soumis.

Il est soutenu par le Pr Alain Fischer, pédiatre, père des premières thérapies géniques pour enfants nés sans défense immunitaire (dits enfants bulles), avec un succès mitigé depuis leur début dans les années 2000. Il est surnommé Mr Vaccin et est membre du conseil d’administration de Rothschild(([3] Alain Fischer, le « Monsieur Vaccin » du gouvernement, siège au Conseil d’administration de la Fondation Edmond de Rothschild — information nationaliste)) en bonne compagnie de Mr Y Levy ancien patron de l’INSERM.

Cette technique de vaccinations en anneaux évoque la sinistre méthode des « liquidations en anneaux » de Staline. Tout dissident était abattu, sa famille et ses contacts étaient abattus à leur tour, et les contacts de ces derniers étaient ensuite liquidés.

Méthode du « nettoyage par le vide » en somme. Le Parti Communiste Chinois procède encore de la sorte, semble-t-il. Peut-être a-t-il soufflé ces directives à notre ministre de la Santé, qui serait Young leader France-Chine comme son épouse députée…

[Note de Joseph : plus on avance dans la « gestion » de la crise sanitaire (artificiellement gonflée), et plus on constate une utilisation croissante des méthodes totalitaires des régimes nazis et soviétiques au nom d’idéologies qui ne servaient que les élites au pouvoir. À ces anciennes idéologies se sont ajoutés notamment l’antiracisme (qui dans les faits ne fait qu’accroître le racisme), la théorie du genre, le véganisme, le malthusianisme, et l’idéologie du réchauffement climatique anthropique.]

De fait comme le mentionne un de nos correspondants vigilants :

« 1) L’identification des “cas contacts” et des “contacts des cas contacts”, sera très compliquée à réaliser et saturera très vite le système… À condition évidemment que les gens n’aillent pas stupidement collaborer avec leurs persécuteurs ! Mais comme il y aura probablement une troisième crise en octobre 2021, ils auront quand même le temps de développer leur machination à l’occasion de cette prétendue “troisième vague pandémique”.

    2) Comme je l’ai déjà préconisé, évitez coûte que coûte dans le cadre du passeport sanitaire de télécharger quoi que ce soit sur votre iPhone ou utilisez un vieux téléphone sans internet. N’utilisez que des attestations papier…

Dans les restaurants où l’on vous demandera d’inscrire votre nom et votre adresse pour vous prévenir d’un cas contact, utiliser un nom d’emprunt et une adresse différente de la vôtre… Avec le numéro de téléphone par exemple du ministère de la Santé… Ou de votre meilleur ennemi…

Enfin, je ne saurais trop vous recommander de diffuser massivement à vos correspondants les mêmes recommandations. O. »

LA FRANCE EST SIGNATAIRE DE CONVENTIONS INTERNATIONALES QUI DEVRAIENT NOUS PROTÉGER DE TELLES DÉVIANCES

La révélation des horreurs de la Seconde Guerre mondiale et plus largement de l’eugénisme qui s’était développé depuis la fin du XIXe siècle a conduit le monde de l’après-guerre au rêve du « plus jamais cela » et à la création de l’ONU et de nombreuses structures qui vont en dériver.

Le célèbre CODE DE NUREMBERG rédigé en 1947 à la suite du procès du même nom des médecins nazis semble inconnu d’un certain nombre de collègues y compris ceux travaillant en réanimation ou encore en cancérologie, où la pratique des essais thérapeutiques s’est pourtant répandue comme des petits pains. Il nous semble intéressant, au moment où une gigantesque propagande pour la plus grande expérimentation de médicaments peu testés et aux résultats des essais officiels attendus pour 2023 dans le meilleur des cas, de rappeler les conventions internationales qui depuis 70 ans tentent de limiter les dérives humaines qui avaient souillé la médecine des années trente.

L’ASSOCIATION MÉDICALE MONDIALE (AMM) EST UNE ORGANISATION INTERNATIONALE DE MÉDECINS.(([4] À propos de l’AMM — WMA — The World Medical Association))

(infos extraites du site de l’AMM)

« Fondée le 17 septembre 1947, alors que des médecins de 27 pays se réunissaient en première assemblée générale à Paris avec pour “objectif d’assurer l’indépendance des médecins et les plus hautes normes possibles en matière d’éthique et de soins” — mesures particulièrement importantes pour les médecins après la Seconde Guerre mondiale.

L’AMM est une confédération d’associations professionnelles libres. Elle est financée par les contributions annuelles de ses membres dont le nombre s’élève aujourd’hui à 115 et constitue pour ses associations membres un forum de libre communication et de coopération active dont le but est de parvenir à un consensus sur les plus hautes normes d’éthique médicale et de compétence professionnelle et de promouvoir l’indépendance professionnelle des médecins.

L’AMM a pour objectif de servir l’humanité en s’efforçant d’atteindre les plus hautes normes internationales en matière d’enseignement médical, de science médicale, d’art médical, d’éthique médicale et de soins de santé pour tous les peuples du monde.

L’organisation élabore, sous la forme de déclarations, de résolutions ou de prises de position, des recommandations éthiques pour les médecins, directives utiles pour les associations médicales nationales, les gouvernements et les organisations internationales du monde entier. Ces textes traitent une multitude de questions, notamment les droits du patient, la recherche sur les sujets humains, les soins en temps de conflit armé, la torture des prisonniers, l’utilisation et l’abus des médicaments, le planning familial et la pollution.

Autres domaines d’activité : droits de l’homme en relation avec la santé – promotion et défense des droits fondamentaux du patient et du médecin, enseignement médical — soutien des médecins pour une amélioration continuelle de leurs connaissances et de leurs compétences, planification des ressources humaines pour les services de santé, sécurité du patient (…).

L’AMM entretient des relations officielles avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS). La collaboration avec les associations professionnelles de santé, les agences gouvernementales et non gouvernementales et les associations médicales régionales renforce sa capacité à fournir les meilleurs soins possibles aux patients du monde entier. En particulier, l’Alliance mondiale des professions de santé (www.whpa.org) combine les forces des associations professionnelles de médecins, d’infirmières et de pharmaciens pour défendre les plus hautes normes de santé possible pour tous les peuples du monde ».

L’histoire de l’AMM : contexte et organisation préliminaire (extrait du site de l’AMM)

En juillet 1945, se déroula à Londres une conférence informelle de médecins de plusieurs pays afin d’établir les bases d’une future organisation médicale internationale destinée à remplacer l’« Association Professionnelle Internationale des Médecins », créée en 1926, qui avait, à son apogée, réuni plus de 23 pays et qui cessa ses activités au moment de la Seconde Guerre mondiale.

Une deuxième conférence eut lieu à Londres en septembre 1946. C’est au cours de cette rencontre qu’il fut décidé que cette organisation porterait le nom de « Association Médicale Mondiale » et qu’elle devrait élargir ses activités et le nombre de ses membres par rapport à la précédente Association Professionnelle Internationale des Médecins.

Le projet final de la Constitution et des Statuts fut approuvé lors de la troisième réunion du Comité Organisateur à Londres en avril 1947.

La Constitution telle qu’elle fut adoptée permettait, entre autres, aux associations médicales nationales de devenir membres de l’AMM et ces associations étaient totalement représentatives de la profession médicale dans leurs pays ou territoires, mais une seule association membre par pays était autorisée. L’Assemblée générale était investie d’une mission de contrôle général des politiques et des affaires de l’association et devait siéger chaque année dans un pays différent.

« En 1948, le bureau exécutif, connu sous le nom de Conseil, établit le secrétariat de l’AMM à New York afin d’être à proximité des Nations Unies et de ses diverses agences. Le Secrétariat de l’AMM resta à New York jusqu’en 1974 quand, pour des motifs économiques et afin de travailler dans le voisinage des organisations internationales basées à Genève (OMS, ILO, ICN, ISSA, etc.), il fut transféré à Ferney-Voltaire, France, son siège encore aujourd’hui.

En juillet 1964, l’AMM fut enregistrée comme organisation à but non lucratif pour l’éducation et la science sous les lois de l’État de New York, États-Unis

Siège social de l’AMM depuis sa fondation jusqu’en 1974 : NEW YORK, ÉTATS-UNIS. De 1975 à ce jour : FERNEY-VOLTAIRE, France »

L’AMM – une plateforme de création d’un consensus mondial sur l’éthique médicale

Après la Seconde Guerre mondiale et juste après sa création, l’AMM se préoccupa de la situation de l’éthique médicale en général dans le monde entier. L’AMM endossa la responsabilité d’établir des directives éthiques pour les médecins dans le monde.

Elle remarqua qu’à l’époque, la coutume des écoles de médecine de faire prêter serment par ses élèves médecins une fois diplômés ou de leur attribuer une autorisation de pratiquer la médecine n’était plus respectée ou devenue une simple formalité. L’AMM a lors jugé souhaitable que les médecins fraîchement diplômés prêtent serment lors de la cérémonie de remise du diplôme afin de les sensibiliser aux fondements éthiques de la médecine et afin de faire progresser les normes de conduite professionnelle.

Le serment médical fut adopté par l’Assemblée et baptisé « Déclaration de Genève ». Les associations membres furent invitées à en recommander l’usage aux écoles et facultés de médecine de leurs pays.

« Un rapport sur les “Crimes de guerre et la Médecine” réceptionné lors de la IIe Assemblée générale décida le Conseil à nommer un autre Comité d’Étude pour préparer un Code International d’Éthique Médicale.

Avec l’adoption de ces deux documents, l’AMM était prête à s’attaquer à d’autres problèmes éthiques auxquels était confrontée la profession médicale. De 1949 à 1952, des violations de l’éthique médicale et des crimes commis par des médecins en temps de guerre furent dénoncés à l’AMM ».

On attira l’attention de l’AMM sur la nécessité de mettre en place des mesures de protection contre l’expérimentation sur les êtres humains. À la même époque, l’AMM fut mise au courant des diverses activités menées par des organisations incompétentes dans le domaine de l’éthique et de la législation médicales. Ces informations amenèrent le Conseil à créer un Comité permanent d’Éthique Médicale (1952).

« Depuis sa création en 1952, le Comité Permanent d’Éthique Médicale a effectué un travail considérable, en réceptionnant, étudiant, discutant, acceptant ou refusant des douzaines de dossiers relatifs à l’éthique portés à son attention. Certains ont été adoptés en tant que Déclarations ou Prises de position de l’AMM et la plupart ont été actualisées en fonction des évolutions rapides de la science médicale. Certaines sont en cours d’étude et nul doute que d’autres suivront en temps voulu après une mûre réflexion si de nouvelles situations l’exigent.

Ces documents ont tous été diffusés dans le monde entier et mis en pratique. Du fait de ce qu’elle a accompli dans le domaine de l’éthique médicale, l’AMM a gagné le droit de se désigner voix internationale de la médecine organisée. L’éthique médicale n’est pas pour autant une simple question de déclarations ou de codes. L’AMM doit rester attentive à toute violation des codes et prête à réagir rapidement face à de telles violations. Ainsi l’AMM a apporté et continue d’assister et d’agir pour le compte des médecins que l’on empêche d’exercer dans un contexte éthique. »

DÉCLARATION DE GENÈVE : le « Serment d’Hippocrate moderne »

La Déclaration de Genève a été adoptée par la 2e Assemblée générale à Genève en 1947, rapidement reconnue comme étant la version moderne du Serment d’Hippocrate.

Le serment demeure l’un des documents les plus constants de l’AMM. Ayant subi très peu de révisions en cours des décennies passées, il préserve les principes éthiques de la profession et n’est relativement que peu influencé par l’esprit du temps et le modernisme.

Le Serment ne doit pas être lu seul, mais parallèlement aux politiques plus spécifiques de l’AMM, notamment le Code International d’Éthique Médicale, faisant suite à la Déclaration de Genève dès 1948.(([5] Adopté par la 3e Assemblée générale de l’AMM Londres, Grande-Bretagne, octobre 1949 et amendé par les 22e Assemblée Médicale Mondiale Sydney, Australie, Août 1968 et 35e Assemblée Médicale Mondiale Venise, Italie, octobre 1983 et la 57e Assemblée générale de l’AMM, Pilanesberg, Afrique du Sud, octobre 2006))

DEVOIRS GÉNÉRAUX DES MÉDECINS

LE MÉDECIN DEVRA toujours exercer son jugement professionnel de manière indépendante et respecter les plus hautes normes en matière de conduite professionnelle.
LE MÉDECIN DEVRA respecter le droit d’un patient jouissant de ses capacités d’accepter ou de refuser un traitement.
LE MÉDECIN NE DEVRA PAS se laisser influencer dans son jugement par un profit personnel ou une discrimination injuste.
LE MÉDECIN DEVRA se consacrer en toute indépendance professionnelle et morale à la prestation de soins compétents avec compassion et respect pour la dignité humaine.
LE MÉDECIN DEVRA être honnête avec ses patients et ses collègues et signaler aux autorités compétentes les médecins dont la pratique est dépourvue d’éthique et de compétences ou qui ont recours à la fraude et à la tromperie.
LE MÉDECIN NE DEVRA PAS profiter d’avantages financiers ou autres uniquement pour avoir adressé des patients ou prescrit des produits spécifiques.
LE MÉDECIN DEVRA respecter les droits et préférences des patients, des confrères et des autres professionnels de santé.
LE MÉDECIN DEVRA être conscient de son rôle important en matière d’éducation du public, mais devra faire preuve de la prudence requise lorsqu’il divulguera des découvertes, des nouvelles techniques ou de nouveaux traitements par un canal non professionnel.
LE MÉDECIN DEVRA certifier uniquement ce qu’il a personnellement vérifié.
LE MÉDECIN DEVRA s’efforcer d’utiliser de la meilleure façon possible les ressources de santé afin d’en faire bénéficier les patients et leurs communautés.
LE MÉDECIN DEVRA chercher à se faire soigner correctement s’il souffre de maladie mentale ou physique.
LE MÉDECIN DEVRA respecter les codes d’éthique régionaux et nationaux.

DEVOIRS DU MÉDECIN ENVERS SES PATIENTS

LE MÉDECIN DEVRA toujours avoir à l’esprit son obligation de respecter la vie humaine.
LE MÉDECIN DEVRA agir dans le meilleur intérêt du patient lorsqu’il délivrera des soins.
LE MÉDECIN DEVRA faire preuve de la plus complète loyauté envers ses patients et leur faire profiter de toutes les ressources scientifiques dont il dispose. Lorsqu’un examen ou un traitement dépasse ses capacités, le médecin devrait consulter ou adresser le patient à un autre médecin disposant des compétences nécessaires.
LE MÉDECIN DEVRA respecter le droit du patient à la confidentialité. Il est conforme à l’éthique de divulguer des informations confidentielles lorsque le patient y consent ou lorsqu’il existe une menace dangereuse réelle et imminente pour le patient ou les autres et que cette menace ne peut être éliminée e qu’en rompant la confidentialité.
LE MÉDECIN DEVRA considérer les soins d’urgence comme un devoir humanitaire à moins d’avoir la certitude que d’autres sont prêts et capables d’apporter ces soins.
LE MÉDECIN DEVRA dans les situations où il agit pour une tierce partie, s’assurer que le patient est totalement informé de la situation.
LE MÉDECIN NE DEVRA PAS avoir de relations sexuelles avec un patient qu’il traite ou une relation de nature abusive ou manipulatrice.

DEVOIRS DU MÉDECIN ENVERS SES COLLÈGUES

LE MÉDECIN DEVRA avoir envers ses collègues le même comportement que celui qu’il attend d’eux envers lui.
LE MÉDECIN NE DEVRA PAS saper la relation patient-médecin des confrères afin d’attirer des patients.
LE MÉDECIN DEVRA lorsque cela s’avère médicalement nécessaire, communiquer avec ses collègues impliqués dans les soins du même patient. Cette communication doit respecter la confidentialité concernant le patient et se limiter aux informations nécessaires.

DÉCLARATION D’HELSINKI : recherche médicale impliquant des sujets humains

La Déclaration d’Helsinki est le document politique le plus connu de l’AMM. La première version adoptée en 1964 a été révisée sept fois, la dernière révision datant de l’Assemblée générale d’octobre 2013. La version actuelle (2013) est la seule version officielle.(([6] Nouvelle version publiée sur le site internet du Journal of American Medical Association (JAMA) (disponible en PDF).))

En 2014, l’AMM a édité une publication pour commémorer le 50e anniversaire de l’adoption de la Déclaration d’Helsinki. « La Déclaration d’Helsinki de L’association Médicale Mondiale : 1964-2014 50 ans d’évolution de l’éthique dans la recherche médicale ». untitled (wma.net)

Depuis 2016, la Déclaration d’Helsinki est complétée par la Déclaration de Taipei sur les Considérations éthiques concernant les bases de données de santé et les biobanques.

« PRÉAMBULE

« 1. La Déclaration d’Helsinki énonce les principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains y compris l’importance de protéger la dignité, l’autonomie, la vie privée et la confidentialité des sujets de recherche, ainsi que d’obtenir leur consentement éclairé pour l’utilisation de données et de matériels biologiques humains identifiables.

2. Dans le cadre des soins de santé, des informations de santé sont collectées par les médecins ou d’autres membres de l’équipe médicale afin d’enregistrer les évènements de santé et d’aider les médecins dans la prise en charge continue de leurs patients.

3. Cette Déclaration a pour objectif de traiter de la collecte, du stockage et de l’utilisation de données et de matériels biologiques identifiables, au-delà des soins individuels prodigués aux patients. En concordance avec la Déclaration d’Helsinki, elle énonce des principes éthiques complémentaires relatifs à leur utilisation dans les bases de données de santé et les biobanques.

La Déclaration doit être lue dans son ensemble et chacun de ses paragraphes doit être appliqué en tenant compte de tous les autres paragraphes pertinents.

4. Une base de données de santé est un système visant à collecter, organiser et stocker des informations de santé. Une biobanque est une collection de matériel biologique avec des données s’y rapportant. Le matériel biologique fait référence à un échantillon prélevé sur un être humain, vivant ou décédé, pouvant fournir des informations biologiques, y compris génétiques, sur cet individu. Les bases de données de santé et les biobanques sont toutes deux des collections qui concernent des individus et une population. Elles suscitent des préoccupations similaires en termes de dignité, d’autonomie, de vie privée, de confidentialité et de discrimination.

5. La recherche, faisant appel aux bases de données de santé et aux biobanques, peut souvent accélérer significativement une meilleure compréhension de la santé et des maladies, ainsi que de l’efficacité, de l’efficience, de la sécurité et de la qualité des interventions de prévention, de diagnostic et de traitement. La recherche dans le domaine de la santé représente un bien commun au service des patients individuels ainsi que de la population et de la société.

6. Les médecins doivent tenir compte des normes et standards éthiques, juridiques et réglementaires concernant les bases de données de santé et les biobanques de leur propre pays ainsi que des normes et standards internationaux. Aucune disposition nationale ou internationale de nature éthique, juridique ou réglementaire ne devrait réduire ou supprimer la protection des personnes et des populations telle qu’énoncée dans cette Déclaration.

Lorsqu’autorisées par une loi nationale adoptée selon un processus démocratique dans le respect des droits humains, d’autres procédures peuvent être adoptées afin de protéger la dignité, l’autonomie et la vie privée des personnes. De telles procédures sont acceptables uniquement si des règles strictes en matière de protection des données sont mises en œuvre.

7. Conformément au mandat de l’AMM, la Déclaration s’adresse en priorité aux médecins. L’AMM encourage les autres personnes utilisant des données ou du matériel biologique figurant dans les bases de données de santé et les biobanques à adopter ces principes.

PRINCIPES ÉTHIQUES

8. La recherche et les autres activités en lien avec les bases de données de santé et les biobanques doivent contribuer au bénéfice de la société, en particulier aux objectifs de santé publique.

9. Dans le cadre du respect de la dignité, de l’autonomie, de la vie privée et de la confidentialité des personnes, les médecins ont des obligations spécifiques, à la fois éthiques et juridiques, en tant que responsables de la protection des informations fournies par leurs patients. Les droits à l’autonomie, à la vie privée et à la confidentialité habilitent aussi les individus à exercer un contrôle sur l’utilisation de leurs données personnelles et de leur matériel biologique.

10. La confidentialité est primordiale afin de préserver la confiance dans les bases de données de santé et les biobanques et leur intégrité. Savoir que leur vie privée sera respectée donne aux patients et aux donneurs la confiance nécessaire afin de partager des données personnelles sensibles. Leur vie privée est protégée par le devoir de confidentialité de tous ceux impliqués dans le traitement des données et du matériel biologique.

11. La collecte, le stockage et l’utilisation des données et du matériel biologique de personnes capables de donner un consentement éclairé doivent être volontaires. Si les données et le matériel biologique sont collectés pour un projet de recherche donné, le consentement spécifique, libre et éclairé des participants doit être obtenu en conformité avec la Déclaration d’Helsinki.

12. Si les données ou le matériel biologique sont collectés et stockés dans une base de données de santé ou une biobanque pour des utilisations multiples et indéfinies, le consentement est valable uniquement si les personnes concernées ont été informées de manière adéquate sur :

  • L’objet de la base de données de santé ou de la biobanque ;
  • Les risques et contraintes associés à la collecte, au stockage et à l’utilisation des données et du matériel ;
  • La nature des données ou du matériel à collecter ;
  • Les procédures de retour des résultats y compris des découvertes fortuites ;
  • Les règles d’accès à la base de données de santé ou à la biobanque ;
  • La manière dont la vie privée est protégée ;
  • Les dispositifs de gouvernance tels que stipulés dans le paragraphe 22 ;
  • Le fait que dans les cas où les données et le matériel sont rendus non identifiables, la personne n’est plus en mesure de savoir ce qui est fait de ses données/matériel et ne peut plus retirer son consentement.
  • Leurs droits fondamentaux et les mesures de sauvegarde énoncées dans cette Déclaration ; et le cas échéant, l’utilisation commerciale et le partage des bénéfices, la propriété intellectuelle et le transfert de données ou de matériel à d’autres institutions ou à des pays tiers.

13. En plus des dispositions énoncées dans la Déclaration d’Helsinki, lorsque les personnes qui n’ont pas été en mesure de donner leur consentement, mais dont les données et le matériel biologique ont été stockés pour de futures recherches, acquièrent ou récupèrent leur capacité de consentir, des efforts raisonnables doivent être déployés afin d’obtenir leur consentement pour poursuivre le stockage et l’utilisation à des fins de recherche de leurs données et de leur matériel biologique.

14. Les personnes ont le droit de demander et d’obtenir des informations sur leurs données et leur utilisation ainsi que de faire corriger les erreurs ou omissions. Les bases de données de santé et les biobanques devraient adopter des mesures adéquates pour informer les personnes concernées sur leurs activités.

15. Les personnes ont le droit à tout moment et sans crainte de représailles de modifier leur consentement ou de demander le retrait de leurs données identifiables d’une base de données de santé et de leur matériel biologique d’une biobanque. Ceci s’applique à l’utilisation future des données et du matériel biologique.

16. Dans l’éventualité d’une menace sérieuse, immédiate et clairement identifiée et lorsque des données anonymes ne suffisent pas, les exigences en matière de consentement peuvent éventuellement être levées afin de protéger la santé de la population. Un comité d’éthique indépendant devrait confirmer que chaque cas exceptionnel se justifie.

17. Les intérêts et les droits des communautés concernées, en particulier lorsqu’elles sont vulnérables, doivent être protégés, spécialement en termes de partage des bénéfices.

18. Des considérations spéciales doivent être accordées à l’exploitation éventuelle de la propriété intellectuelle. Les protections concernant la propriété des matériels, les droits et les privilèges doivent être prises en considération et réglées contractuellement avant de prélever et de partager le matériel. Les questions de propriété intellectuelle devraient être traitées dans une politique couvrant les droits de toutes les parties intéressées et communiquée en toute transparence.

19. Un comité d’éthique indépendant doit approuver la création des bases de données de santé et des biobanques utilisées à des fins de recherche et à d’autres fins. Le comité d’éthique doit aussi approuver l’utilisation des données et du matériel biologique, et vérifier si le consentement donné au moment de la collecte est suffisant pour l’utilisation prévue ou si d’autres mesures doivent être prises pour protéger le donneur. Le comité doit avoir le droit de contrôler les activités en cours. D’autres mécanismes d’évaluation éthique, conformes au paragraphe 6, peuvent être mis en place.

GOUVERNANCE

20. Afin de favoriser la confiance, les bases de données de santé et les biobanques doivent être gérées par des mécanismes internes et externes, basés sur les principes suivants :

  • Protection des personnes : la gouvernance devrait être conçue de telle manière que les droits des individus prévalent sur les intérêts des autres parties intéressées et de la science
  • Transparence : toute information pertinente sur les bases de données de santé et les biobanques doit être mise à la disposition du public ;
  • Participation et inclusion : les responsables des bases de données de santé et des biobanques doivent consulter et se mettre en relation avec les personnes et leurs communautés.
  • Responsabilité : les responsables des bases de données de santé et des biobanques doivent être accessibles et réceptifs aux demandes des parties intéressées.

21. Les dispositions de gouvernance doivent inclure les éléments suivants :

  • L’objet de la base de données de santé ou de la biobanque ;
  • La nature des données de santé et du matériel biologique qui seront contenus dans la base de données de santé ou la biobanque ;
  • Les dispositions relatives à la durée de stockage des données ou du matériel ;
  • Les dispositions réglementaires pour l’élimination et la destruction des données et du matériel ;
  • Les dispositions sur la manière dont les données et le matériel seront documentés et traçables conformément au consentement des personnes concernées ;
  • Les dispositions sur la manière dont les données et le matériel seront traités dans le cas d’un changement de propriétaire ou de fermeture ;
  • Les dispositions relatives à l’obtention d’un consentement adéquat ou les autres bases légales pour la collecte des données ou du matériel ;
  • Les dispositions pour protéger la dignité, l’autonomie, la vie privée et pour prévenir les discriminations ;
  • Les critères et procédures concernant l’accès et le partage des données de santé ou du matériel biologique, y compris, si nécessaire, l’utilisation systématique d’un accord de transfert de matériel (MTA) ;
  • La ou les personnes responsables de la gouvernance ;
  • Les mesures de sécurité afin de prévenir les accès non autorisés ou les partages inappropriés ;
  • Les procédures pour reprendre, si nécessaire, contact avec les participants ;
  • Les procédures d’enregistrement et de traitement des demandes et des réclamations.

22. Les professionnels de santé qui contribuent ou travaillent avec les bases de données de santé et les biobanques doivent se conformer aux dispositions pertinentes relatives à la gouvernance.

23. Les bases de données de santé et les biobanques doivent fonctionner sous la responsabilité d’un professionnel dûment qualifié qui veillera au respect de la présente Déclaration.

24. L’AMM exhorte les autorités concernées à formuler des politiques et des lois protégeant les données de santé et le matériel biologique sur la base des principes énoncés dans ce document. »

État actuel de l’éthique quotidienne

Ainsi la pratique de la médecine fut parfaitement encadrée après la Seconde Guerre mondiale, mais manifestement l’oubli progressif a transformé notre quotidien. En France, en tous cas, le serment d’Hippocrate dit de Genève n’est pratiquement plus prêté par chaque étudiant présentant leur thèse. L’un d’entre eux lit le fameux serment pour tous (un raccourci) et à la fin les étudiants présents disent prêter serment.

Le consentement éclairé est trop souvent dévoyé depuis déjà deux décennies au moins en oncologie et particulièrement en pédiatrie.(([7] Éthique et essais cliniques en cancérologie (nicoledelepine.fr) )) (([8] Vaccins obligatoires et éthique médicale ? Qu’est devenue la référence au code de Nuremberg ? — AgoraVox le média citoyen.))

« Les patients cancéreux et leurs familles comprennent bien ce que veut dire ce monopole via les « protocoles » dont il est difficile de sortir. Nous avons détaillé ces dérives dans de nombreux ouvrages et articles. Nous avons expliqué la dérive éthique et la violation des droits du patient dans le cadre du traitement du cancer en l’absence d’information de fond sur le fameux « protocole » et de droit à un autre schéma.

Ainsi, le « Servir la science » est la justification alléguée du changement de paradigme imposé aux cancérologues depuis le début du siècle, avec les conséquences délétères : perte de chance de survie par abandon des schémas de traitement éprouvés, et relégation trop fréquence de la chirurgie au bénéfice des nouvelles drogues, comme si l’innovation était forcément un progrès. Le « servir la science » a été complété par « sauver des vies », tout aussi mensonger depuis plus d’un an.

Or servir la science était l’argument massue de défense des médecins obéissant au totalitarisme hitlérien : celui-ci donnait l’absolue priorité au collectif, la personnalité individuelle devant lui être soumise.

Karl Brand, médecin personnel d’Hitler, avait déclaré que « lorsque la personnalité est dissoute au sein du corps collectif, toute demande qui lui est soumise doit être dissoute au sein du concept de système collectif ; les besoins de la société sont maintenant des besoins individuels, et l’être humain, ce complexe individuel, sert uniquement à l’intérêt de la société »

Le train-train de la soumission

Malheureusement ces années de dévoiement progressif du consentement éclairé et du secret médical ont doucement habitué les citoyens à obéir plus qu’à choisir et aux médecins à se couler dans le train de l’obéissance aux recommandations devenues progressivement injonctions, puis opposables, c’est-à-dire obligatoires.

Ainsi l’obéissance aux ordres de la sécurité sociale qui n’en a plus que le nom, à l’ordre des médecins, aux agences régionales de santé est devenue la posture la plus simple des médecins. Ceci explique en partie leur soumission depuis mars 2020 devant l’interdiction de soigner tout simplement leurs patients et actuellement leur jeu pervers dans la chasse au non-vacciné, oubliant pour nombre d’entre eux d’exposer avant la piqûre les effets secondaires nombreux (pour les Américains, c’est autant en trois mois qu’en vingt ans pour l’ensemble des complications vaccinales). Le médecin est devenu un robot aux ordres avant même que la machine adéquate ne fût conçue.

Les vaccins étant en essai thérapeutique (au moins jusqu’en 2023), le gouvernement ne peut pas le rendre officiellement obligatoire, mais contourne le problème par la propagande éhontée, et la tentative d’imposer un pass vaccinal. Le chantage aux voyages est bien plus efficace que l’argument sanitaire qui a disparu ou presque. Mais les malheureux pour un certain nombre ne feront pas ce voyage comme cette jeune mannequin anglais qui rêvait tant de Chypre, plus de 10 000 morts en UE et plus de cent mille effets secondaires invalidants.

Le consentement éclairé est violé chaque jour (vacciner en voiture et vacci drive ?) et la volonté affichée du ministre de la Santé et de Mr Fischer membre d’administration de Rothschild, de vacciner les enfants nous horrifie.

Les enfants ne risquent rien du Covid et ne transmettent pas ni aux adultes ni aux enfants.(([9] Il ne faut pas vacciner les enfants contre le Covid-19 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Il est temps de rappeler ce que disait Mary Holland, professeur de droit devant l’ONU en 2016 au moment de la discussion sur les vaccinations obligatoires des nourrissons malheureusement imposées par Mme Buzyn depuis lors démissionnaire, recasée à Genève.

Ne doit-on pas réfléchir aujourd’hui aux discours que tiennent certains médecins aux patients effondrés sur l’intérêt pour la société d’accepter de signer « ces papiers » pour une expérience d’une nouvelle molécule peu ou pas testée, qui permettront à leur traitement de servir à la « science », oubliant le consentement véritablement éclairé ?

Ne doit-on pas réfléchir aux implications éthiques d’une obligation vaccinale ?

Ne doit-on pas suffoquer lorsque le président du conseil de l’ordre ou des médecins connus se permettent d’affirmer haut et fort que « la vaccination ne se discute pas » et que ceux qui oseraient élever une objection se verraient soumis aux foudres de l’ordre des médecins, vieille institution fondée sous Vichy ?

Or la vaccination est un acte médical qui relève du soin comme de la recherche, des responsabilités médicolégales et de l’éthique médicale. La vaccination comme tout acte médical relèvent du code de Nuremberg et c’est un professeur de droit, américaine qui en parle le mieux. On peut s’étonner que sa prise de position à la tribune de l’ONU soit apparemment passée inaperçue en France, nous qui pourtant suivons (quand cela nous arrange) les avis de nos amis américains.

Le professeur Holland a évoqué les droits civils liés qui élimineraient le droit au consentement éclairé de refuser les vaccinations. Elle a rappelé que « l’histoire nous a montré les résultats d’une intrusion du gouvernement dans les droits médicaux personnels » et à cette occasion, la genèse du code de Nuremberg pour protéger les individus contre l’intrusion des gouvernements et des abus médicaux.

Citons le Pr Holland :

« Les Nations Unies, ainsi que la communauté internationale ont l’obligation de respecter les droits humains liés à la vaccination.

Le Code de Nuremberg stipule que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques a repris cette interdiction contre toute expérimentation involontaire, dans son texte de 1966 qui stipule : nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique. » Cette interdiction est maintenant si universellement reconnue que certains tribunaux et chercheurs ont considéré ce droit au consentement éclairé comme une question de droit international coutumier. (….).

Comment pouvoir concilier les droits individuels avec les droits du collectif ?

En 2005, l’UNESCO (…) a adopté la Déclaration Universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme avec un consensus de 193 pays (…), elle stipule que toute intervention médicale préventive ne doit être effectuée qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, et fondé sur des informations suffisantes. Elle note également (en son article 2) que “le seul intérêt de la science ou de la société” ne doit pas prévaloir.

Cette déclaration est une extension du serment médical attribué à Hippocrate il y a 2 500 ans, et qui stipule que les médecins doivent œuvrer pour le bien de leurs patients et ne jamais faire de mal.

Sous forme abrégée “D’abord ne pas nuire”, ce credo incarne le principe de précaution en médecine, en mettant clairement les intérêts des patients au-dessus des intérêts de la collectivité ou du “troupeau”. Ce principe de précaution en médecine mène directement à l’idée que les politiques de vaccination doivent être recommandées et non rendues obligatoires.

La relation médecin-patient doit être d’abord et avant tout basée sur la confiance, alors que la coercition la mine. Lorsque la relation médecin-patient est basée sur la coercition, c’est la confiance qui en fait les frais. Les médecins servent alors l’état et par extension la société, avant l’intérêt de leurs patients. Nous nous trouvons ici sur une pente glissante où la médecine civilisée a trop souvent déraillé dans le passé.

Le Dr Leo Alexander, chef médical consultant américain au procès de Nuremberg, a averti en 1949 que « C’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une société entière peuvent être renversées ». Il a souligné que bien avant l’arrivée au pouvoir des nazis en Allemagne, un changement dans la culture médicale s’étaient déjà produit “ouvrant la voie à l’adoption d’un point de vue hégélien utilitariste” avec une littérature traitant de l’euthanasie et de l’extermination des personnes handicapées dès 1931.

Selon le principe de précaution médicale, le principe, par défaut, de la vaccination doit relever de recommandations et non d’obligations.

Les politiques de vaccination de nombreux pays développés incarnent ce principe des recommandations de vaccination des enfants, y compris la conférence qui a réuni l’Ukraine, l’Allemagne et le Japon. D’autres pays développés permettent d’atteindre d’excellents résultats en santé publique sans avoir recours à la contrainte. Citons : le Royaume-Uni, l’Australie, l’Autriche, le Danemark, l’Islande, les Pays-Bas, la Nouvelle-Zélande, la Suède, la Norvège, la Finlande, la Corée du Sud, et l’Espagne entre autres. »

Les précautions du PR Holland en conclusion de son exposé

« Comme nous le savons tous, les soins de santé partout dans le monde représentent un fameux business. Les vaccins représentent un marché qui ne cesse de croître, comme d’apporter des marges de plus en plus élevées de profits.

Si nous ne respectons pas les premiers principes du droit à la vie, à la liberté et à l’intégrité corporelle des personnes, du droit à consentement préalable libre et éclairé en médecine, nous pourrions nous retrouver dans des situations désastreuses prévisibles ou même inconnues.

Pour conclure, je veux paraphraser le discours d’adieu du Président Eisenhower aux États-Unis en 1961, quand il faisait allusion aux risques que pouvait comporter le « complexe militaro-industriel ». Je substitue le terme “médico-industriel” aux paroles du président parce que je crois que ce “complexe médico-industriel” présente de nombreux risques que le président avait prédits dans son discours :

 “Le potentiel d’une montée désastreuse du pouvoir existe et persistera. Nous ne devons jamais permettre que ce complexe mette en danger nos libertés ou notre processus démocratique. Nous ne devons rien prendre pour acquis. Seuls des citoyens éveillés et bien informés peuvent contraindre l’énorme machinerie industrielle et médicale à respecter nos méthodes et nos objectifs pour que la sécurité et la liberté puissent prospérer ensemble… En gardant l’œil sur la recherche et les découvertes scientifiques, comme il nous appartient de le faire, nous devons aussi rester attentifs au danger égal et opposé qui conduirait la politique à devenir elle-même captive d’une élite scientifique et technologique”. »

Tout est dit dans ce discours d’un professeur de droit à l’ONU ni anti ni provaccin, mais respecte les droits de l’homme et du citoyen.

Il serait tellement important que nos députés, sénateurs, élus et chaque citoyen prennent le temps de lire ces déclarations ou d’écouter son discours à l’ONU en se rappelant peut-être la phrase majeure de son exposé :

C’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une société entière peuvent être renversées.”

 Ne l’oublions jamais.





Chiffre des décès Covid-19 : canular, charlatanisme et contre-vérité

Par Claude Janvier

[Photo : Chip Somodevilla/Getty Images]

La courte prestation récente en vidéo de Pierre Barnérias — [réalisateur et metteur en scène du documentaire Hold-Up(([1] https://odysee.com/@Tony%D8%B7%D9%88%D9%86%D9%8A:8/hold-up-Le-Coup-de-gueule-de-Pierre-Barn%C3%A9rias:1)) — m’a fait l’effet d’un électrochoc. En effet, Pierre Barnérias montre un document émanant de Santé publique France*(([2] organisme officiel)) où est indiqué un total de 41 502 décès Covid-19, dont 14 471 décès sans comorbidités et 27 031 décès avec comorbidités.

En clair, 14 471 personnes sont réellement décédées du virus depuis mars 2020. Diantre ! Si les chiffres des autres pays sont aussi faibles, on peut se demander légitimement pourquoi avoir paralysé une planète entière. Pourquoi avoir fait tant d’efforts pour faire s’écrouler un pan entier de l’économie mondiale ? Pourquoi avoir précipité dans la détresse et le chagrin un bon nombre de personnes ?

Si la vente des vaccins afin d’engraisser les laboratoires pharmaceutiques est une des réponses et l’imposition d’un pass sanitaire liberticide à une population en majorité tétanisée par le bourrage de crâne coronavirus en est une autre, il n’empêche que lire une des preuves énoncées par Santé publique France — le Saint Graal en matière d’informations statistiques de la santé — laisse rêveur et ne peut qu’interpeller.

Qu’en est-il exactement ?

* Santé publique France : Covid-19 : Point épidémiologique hebdomadaire du 1er avril 2021. Page 47, tableau 10 :

Description des décès certifiés par voie électronique avec une mention de COVID-19 dans les causes médicales de décès, du 1er mars 2020 au 29 mars 2021, France (données au 30 mars 2021)

Sexe Nombre Pourcentage
Hommes 22 677 55 %
Femmes 18 824 45 %
Cas selon la classe d’âge Sans comorbidité ou non renseigné Avec comorbidités Total
  nombre % nombre % nombre %
0-14 ans 1 20 4 80 5 0
15-44 ans 78 33 162 68 240 1
45-64 ans 771 28 1 978 72 2 749 7
65-74 ans 1 808 30 4 260 70 6 068 15
75 ans et plus 11 813 36 20 627 64 32 440 78
Tous âges 14 471 35 27 031 65 41 502 100
Description des comorbidités nombre %
Pathologie cardiaque 9 554 35
Hypertension artérielle 5 990 22
Diabète 4 335 16
Pathologie respiratoire 3 571 13
Pathologie rénale 3 565 13
Pathologies neurologiques(([3] Ce groupe inclut les pathologies neurovasculaires et neuromusculaires. 1 % présentés en ligne ; 2 % présentés en colonne [?])) 2 341 9
Obésité 1 561 6
Immunodéficience 609 2

Plus loin dans ce rapport :

SURVEILLANCE DE LA MORTALITÉ
► Mortalité lors d’une hospitalisation et en ESMS — établissements sociaux et médico-sociaux (page 41)

  • Entre le 1er mars 2020 et le 30 mars 2021, 95 364 décès de patients COVID-19 ont été rapportés à Santé publique France : 69 320 décès sont survenus au cours d’une hospitalisation et 26 044 décès en établissements d’hébergement pour personnes âgées (EHPA) et autres établissements sociaux et médico-sociaux (ESMS) (données au 28 mars 2021).
  • 93 % des cas de COVID-19 décédés étaient âgés de 65 ans ou plus.

Ça se complique.

Entre ces deux pages du même rapport, nous avons une différence de 53 862 personnes décédées et potentiellement égarées. Pourtant Santé publique France, avec ses 3,831 milliards d’euros pour 2021 (oui vous lisez bien) (([4] Tec hopital 24 février 2021 la dotation exceptionnelle de Santé publique France pour 2021 passe à 3,8 milliards d’euros pour la « prévention épidémique et la constitution de stocks stratégiques » (de caviar et de champagne peut-être, car à ce tarif-là) )) devrait avoir les moyens de ne pas se tromper. (déjà en 2020, Santé publique France, 625 agents, avait reçu une dotation exceptionnelle de 860 millions d’euros…)

Poursuivons dans le même rapport.

► Mortalité issue de la certification électronique des décès (page 42)

  • Parmi les certificats de décès rédigés par voie électronique et transmis à Santé publique France depuis le 1er mars 2020, 41 502 certificats contenaient une mention de COVID-19 parmi les causes médicales de décès renseignées (Tableau 10).
  • L’âge médian au décès était de 85 ans et 92,7 % des personnes avaient 65 ans et plus.

Quittons le rapport de Santé publique France et regardons un extrait d’un rapport du CEPIDC(([5] Le Centre d’épidémiologie sur les causes médicales de Décès (CépiDc) est le laboratoire de l’INSERM (institut national de la santé et de la recherche médicale) en charge de la production de la statistique sur les causes médicales de décès))

« Les données sont issues de la partie médicale du certificat de décès certifié par voie électronique. Les décès peuvent être enregistrés dans tous les types de lieu de décès (établissements publics ou privés de santé, EHPAD/maison de retraite, domicile, ou dans autres lieux non précisés). Toutefois, un établissement de santé n’utilise pas forcément la certification électronique de décès dans l’ensemble de ces services. »

Donc la différence provient des données de certification électronique des décès associés au Covid-19 (CEPIDC) ?

En 2021, à l’ère électronique et de la 5G, où le personnel administratif est plus important que le personnel technique, et où les e-mails s’échangent instantanément, il y a encore des certificats de décès papier non envoyé électroniquement. On croit rêver. Mais quand on y réfléchit, c’est impossible, car même un certificat papier va être envoyé tôt ou tard par voie électronique.

Plus loin dans ce rapport :

« Les décès associés au Covid-19 sont identifiés à partir des mentions exprimées par les médecins dans les causes médicales de décès. L’infection au Covid-19 peut être une suspicion ou avoir été confirmée biologiquement. »

Pour conclure, voici un extrait d’un rapport du 27 août 2020 :

Les modalités du certificat de décès électronique. La rédaction et la transmission du certificat de décès par Marie-Emilie Pétigny, Juriste MACSF

« Le décret du 27 juillet 2006 a institué, à l’article R. 2213-1-2 du Code général des collectivités territoriales, le certificat de décès établi sur support électronique.

Le médecin doit tout d’abord s’identifier au moyen d’une carte de professionnel de santé ou d’un dispositif équivalent d’authentification.

Le certificat établi par le médecin, l’étudiant ou le praticien comporte deux volets ou trois suivant le cas :

Le volet administratif

Ce volet comporte les rubriques habituelles auxquelles on pourrait s’attendre en matière administrative.

Il mentionne la commune du décès, la date et l’heure du décès, les noms, prénoms, la date de naissance, le sexe et le domicile du défunt ainsi que les informations nécessaires à la délivrance de l’autorisation de fermeture du cercueil et à la réalisation des opérations funéraires.

Ce document est établi en 4 exemplaires, signés par le médecin et transmis par voie électronique à la mairie du lieu de décès, au service chargé des funérailles et à la mairie du lieu de dépôt du corps et au gestionnaire de la chambre funéraire en cas de transport du corps.

Le volet médical

Le certificat de décès comporte également un volet médical relatif aux causes du décès. Soucieux de la protection du secret médical, le législateur a entendu faire mention d’un volet médical ne comportant ni le nom ni le prénom de la personne décédée.

Les données du volet médical sont transmises par voie électronique à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale.

Le médecin qui atteste du décès peut procéder à des modifications des informations médicales pendant les 96 heures qui suivent l’établissement du certificat et doit opérer une nouvelle transmission à l’Institut de la Santé et de la recherche biomédicale.

L’accès aux informations du volet médical du certificat de décès est instantané, ce qui facilite l’exercice des missions de veille sanitaire.

Le volet médical complémentaire

Quand le médecin qui remplit le volet médical sur les causes du décès constate un obstacle médico-légal, le corps fait l’objet d’une recherche médicale ou scientifique des causes du décès ou d’une autopsie. Le volet médical complémentaire est alors établi par le médecin qui procède à la recherche médicale ou scientifique des causes de décès ou à l’autopsie.

Et la version papier ?

Bien que la version électronique du certificat de décès soit en vigueur depuis 2006, la version papier existe toujours et peut être fournie par l’ARS.

Celle-ci ne doit être utilisée qu’en cas de dysfonctionnement des moyens électroniques et d’impossibilité de transmettre le certificat de décès par voie électronique dans des délais raisonnables. »

Donc, cela laisse entrevoir que chez les instances administratives de santé il n’y a que des dysfonctionnements électroniques ? Curieux, car au Ministère des Finances, section Trésor Public, l’électronique semble fonctionner remarquablement…

Trop d’incohérences tuent la crédibilité. Les décès imputés au seul Covid-19 sont minimes. Depuis 2006 — 15 ans quand même — il est certain que les certificats de décès sont pratiquement tous en version électronique. C’est vraiment très très peu probable qu’il y ait eu 53 862 certificats de décès en version papier qui se soient égarés… Ou alors, nous sommes revenus à l’âge de pierre !

Les chiffres ont été faussés et instrumentalisés sciemment afin de tromper la population, de permettre la fabrication de vaccins « salvateurs » vendus à prix d’or et enfin d’imposer un passeport vaccinal international. Répugnant.

Claude Janvier
Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président », IS édition (www.is-edition.com)





Le vaccin Moderna contient bel et bien un ingrédient douteux

[Source : reseauinternational.net]

par Philippe Huysmans.

Peut-être avez-vous déjà entendu parler de la polémique qui fait rage autour d’un des ingrédients listés par le fabricant Moderna pour l’élaboration de son vaccin à ARNm. Tout débute lorsque, sur les réseaux sociaux, un internaute curieux à cherché à savoir à quoi correspondait l’ingrédient listé sous sa dénomination commerciale, le SM-102.

Ceci faisait suite à la publication, sur le site officiel de l’État du Connecticut de la liste des substances intervenant dans la fabrication du vaccin de Pfizer et celui de Moderna.

Tout d’abord il faut savoir que le produit SM-102 est une dénomination commerciale, un peu comme les fraises Tagada sont un produit du catalogue de la société Haribo.

En l’occurence, le SM-102 est un produit de la société Cayman Chemical

Vous pouvez trouver sa fiche technique ici.  Il s’agit d’un amino lipide ionisable (corps gras, donc), dont la description stipule :

« Le SM-102 est un lipide aminé ionisable qui a été utilisé en combinaison avec d’autres lipides dans la formation de nanoparticules lipidiques. L’administration d’ARNm de luciférase dans des nanoparticules lipidiques contenant du SM-102 induit l’expression de la luciférase hépatique chez la souris. Des formulations contenant du SM-102 ont été utilisées dans le développement de nanoparticules lipidiques pour l’administration de vaccin à base d’ARNm ».

Le problème ? Sur la page de description du produit on trouve l’avertissement suivant :

AVERTISSEMENT : Ce produit n’est pas destiné à un usage humain ou vétérinaire.(([1] WARNING This product is not for human or veterinary use.))

Ce que les internautes pointaient du doigt c’est que le SM-102, le fameux lipide est stabilisé en le diluant dans du chloroforme qui s’avère pour l’homme un poison violent. Le produit final contient 90% de chloroforme pour 10% de lipide.

Sentant le désastre arriver, les représentants de la ligue du beau, du bon et de la vérité vraie (les débunkeurs à gages) se sont aussitôt attelés à la tâche qui consistait à désamorcer ce qui est dans le fond, une bombe.

C’est précisément quand j’ai lu ces débunkages d’une maladresse crasse que j’ai commencé à croire sérieusement qu’il y avait anguille sous roche, et nous le verrons, c’est une belle bête.

Petit florilège des arguments des débunkeurs
  1. Le vaccin Moderna ne contient pas de chloroforme mais utilise du SM-102, qui fait partie du lipide utilisé pour délivrer le code génétique, ou ARNm de la protéine de pointe qui recouvre le coronavirus, dans nos cellules. Source : AP
  2. Les messages ignorent les informations sur Cayman Chemical qui répertorie le chloroforme comme « composant dangereux » sur la fiche de données de sécurité du produit et répertorie le SM-102 séparément sous « autres ingrédients ». Source : AP
  3. Le chloroforme est utilisé comme milieu stabilisant pour transporter les lipides, a déclaré le Dr Nicholas Davidson, médecin et biologiste lipidique. « Ils ne sont certainement pas injectés avec du chloroforme », a déclaré Davidson à propos des vaccins. Source : AP
  4. Le vaccin Moderna contient des lipides comme le SM-102, et ils sont sans danger pour l’homme. Les lipides permettent à l’ARNm utilisé dans le vaccin de se glisser dans une cellule en recouvrant la molécule d’une enveloppe grasse. Les sociétés de biotechnologie vendent des versions du lipide en suspension dans une solution de chloroforme aux sociétés pharmaceutiques à des fins de recherche. Le chloroforme est toxique, mais pas le lipide lui-même. Cette version ne fait pas partie du vaccin COVID-19. Source : Politifact
  5. Le vaccin COVID-19 de Moderna est-il toxique ? S’adressant au Newsweek, Al Edwards, responsable de l’impact pour la division de recherche en pharmacie de l’Université de Reading, a déclaré que certains solvants sont souvent utilisés pour préparer des choses comme les lipides, mais sont éliminés après utilisation. « Je ne connais pas le processus exact utilisé pour fabriquer le vaccin Moderna, mais même s’il s’agissait de dissoudre le lipide dans un solvant tel que le chloroforme, toute quantité résiduelle de solvant laissée dans le vaccin – si elle n’est pas complètement éliminée – serait mesurée très précisément et répertorié comme un ingrédient. Il ne serait également autorisé que s’il était connu pour être sûr », a ajouté Edwards.
Quelques éléments de réflexions sur ces arguments
  1. Ne contient pas de chloroforme ? Ah, ils ont donc retiré totalement le chloroforme pour ne garder que le lipide SM-102 sans casser la fragile molécule. Ils ont utilisé quel solvant, du coup ? Se souvenir que ce produit a bel et bien été utilisé tel quel pour l’expérimentation de vaccins ARNm sur des primates.
  2. Eh bien c’est là qu’est l’os, en fait, nous y reviendrons.
  3. Idem que pour le point 1. Reste à nous expliquer par quel solvant ils ont remplacé le chloroforme sans détruire le lipide.
  4. Cette version ne fait pas partie du vaccin COVID-19 : est un complet mensonge c’est bien le produit qu’ils ont utilisé, indiqué par sa dénomination commerciale, et Cayman ne produit pas d’autre version (API) de ce lipide.
  5. Du grand n’importe quoi, il vaut mieux garder en tête que ces vaccins restent des produits expérimentaux et n’ont jamais fait l’objet d’une procédure d’agréation FDA autre qu’une Autorisation de Mises sur le Marché Conditionnelle (AMMC).

De fait, vous pouvez être bien sûr qu’il y a comme qui dirait un problème puisque presque immédiatement après le début de cette polémique, Cayman Chemical s’était fendu d’un communiqué précisant notamment :

SM-102 pour la recherche uniquement (RUO)

Les produits de qualité RUO, tels que le Cayman’s SM-102 (article n°33474), sont destinés uniquement à une utilisation in vitro ou animale (exploratoire ou préclinique).[…] Les API utilisées pour la fabrication pharmaceutique commerciale adhèrent à des directives strictes en vertu des protocoles de bonnes pratiques de fabrication (GMP) réglementés par la FDA afin de garantir leur sécurité pour un usage humain et vétérinaire.[..] Les FDS sont nécessaires pour présenter le contenu et les dangers de chaque ingrédient d’un produit chimique expédié. La FDS du Cayman’s SM-102 (article n°33474) indique avec précision que le mélange de produits chimiques dans le produit est composé de 90% de chloroforme (un solvant courant) et de 10% de SM-102. Bien qu’il s’agisse d’un solvant courant, le chloroforme présente plusieurs dangers graves connus, qui ont été inclus dans la FDS de Cayman.

Dans lequel on comprend que Cayman Chemical a décidé de sortir immédiatement le parapluie (format familial) pour ne pas risquer d’être éclaboussée par le scandale qu’ils ont bien vu venir.

Parce que le fondement du problème n’est pas de savoir si le vaccin contient ou pas du chloroforme,(([2] Ce qui reste quand même à établir, or pour l’instant, c’est le silence radio du côté de Moderna qui n’a pas souhaité répondre aux demande des débunkeurs à gage.)) mais que le produit n’est tout simplement pas destiné à l’usage pharmaceutique. Pour produire des substances destinées à l’usage médical, les fabricants doivent suivre des règles draconiennes, qu’on appelle les règles GMP (Good Manufacturing Practices). Ce sont les fameux API mentionnés par Cayman. Chaque ingrédient rentrant dans la composition du produit fait l’objet d’une évaluation permanente, il doit respecter des critères de pureté très stricts, chaque lot est libéré par le pharmacien, et s’accompagne du dossier complet de production, qui peut être audité ultérieurement par la FDA ou des mandataires du client. La moindre déviation fait l’objet d’un rapport et la traçabilité doit être totale.

Rien de tout ça ici, le SM-102 est fabriqué comme n’importe quel produit qui n’est pas destiné à l’usage humain ou même vétérinaire. Je vous laisse imaginer l’écart de prix entre une version RUO et une version API d’une même substance, on arrive aisément à un prix multiplié par mille.Ce SM-102 n’a pas sa place dans l’élaboration d’un vaccin, c’est un produit chimique lambda fabriqué sans aucun respect des procédures en vigueur dans l’industrie pharmaceutique. À cette aune, à quand les poils de chauve-souris dignes de figurer dans les potions concoctées dans le chaudron de Gargamel ? Une petite goutte de sang de pangolin tué à la pleine lune, peut-être ? Il est là le scandale, et les débunkages bidons ne changent rien à ce simple fait.





L’épée à l’ombre de l’équerre et du compas

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Par Walther.

Les trois lettres ouvertes de militaires :
• la première lancée par le site Place d’Armes,
• la deuxième, publiée sur le site de Valérie Bugault,
• la troisième, dite des militaires d’active,
ne cessent de provoquer des ondes de choc dans l’univers médiatique et politique.

L’ancien soldat et celui d’active viennent d’enfourcher un même cheval de bataille pour la sauvegarde d’une patrie millénaire désormais vouée au « chantier de déconstruction », selon l’annonce d’un haut responsable de l’état. Deux sur un même cheval, comme sur le sceau de l’Ordre du Temple :

Sceau Temple

Ce célèbre sceau comporte, on s’en doute, une signification ésotérique. Le double chevalier est en réalité l’image d’un preux de chair et d’os – donc mortel – et de son Double (son âme) immortel(le), version médiévale d’une évocation secrète de Castor (l’être périssable) et de Pollux (l’être immortel), les jumeaux du mythe grec devenus les Gémeaux du zodiaque(1).

Retenons l’évocation des Templiers qui trouvera sa raison d’être dans notre propos.

La troisième lettre comporte la formule « en leurs grades et qualités » qui est manifestement un clin d’œil maçonnique dès lors que prononcée lors des travaux de loge (lire La tribune des militaires laboure en profondeur du 11 mai 2021). Il a été également dit que la mention du septième couplet de La Marseillaise en serait un autre indice. Et pour cause, ledit couplet, qui ne fut pas rédigé par Rouget de Lisle mais par l’abbé Antoine Pessonneaux(3), semble bien comporter des allusions au symbolisme maçonnique :

« Nous entrerons dans la carrière
Quand nos aînés n’y seront plus.
Nous y trouverons leur poussière
Et la trace de leur vertu.
Bien moins jaloux de leur survivre
Que de partager leur cercueil
Nous aurons le sublime orgueil
De les venger ou de les suivre ».

Le premier vers évoque une « carrière » et ce terme fait, a priori, référence à une situation professionnelle (en l’occurrence le métier des armes). Mais il est aisé de prendre ce même mot au sens littéral : « un lieu d’où sont extraits des matériaux de construction » et, comme tel, indispensable aux maçons.

Maçons - bâtisseurs cathédrales

Tailleurs de pierres médiévaux. L’exactitude qu’exige leur travail nécessite l’équerre et le compas, instruments formant l’emblème du Compagnonnage et, plus tard, de la Franc-Maçonnerie

Le sixième vers parle de « partager un cercueil ». Il s’agit de celui de maître Hiram, le mythique architecte du temple de Salomon à Jérusalem. Ce symbolisme intervient lors de la réception du grade de maître maçon.

Cérémonie maçonnique - Cercueil Hiram

Réception à ce grade dans une loge maçonnique du XVIIIe siècle. L’impétrant est couché sur l’ombre du cercueil d’Hiram auquel on ajoute le crâne, les tibias et une équerre. Le tout au milieu des larmes évocatrices de tristesse

Le fait que ce couplet soit le septième n’est pas innocent non plus. En effet, ce chiffre 7 correspond à la lettre G, car elle est la septième de notre alphabet et l’initiale de Géométrie(2), discipline nécessitant l’usage de l’équerre et du compas. Et, précisément, le symbolisme maçonnique place le G entre une équerre, figurant la « terre » et le compas manifestant, par sa rotation, le « ciel ».

Maçonnerie équerre compas_G

Septième lettre de notre alphabet, le G figure le passage entre l’être terrestre (mortel) et l’être céleste (immortel). Ce qui explique l’omniprésence du chiffre sept dans de diverses traditions et notre semaine de sept jours s’y réfère

Ces précisions énoncées, si, comme le laissent supposer de telles références maçonniques dans cette troisième lettre, nombre de ces initiateurs sont membres de diverses obédiences, cela signifie que les connaissances ésotériques en usage dans les loges se conjoint à leur cri d’alarme concernant la situation dramatique vers laquelle se dirige la France.

Expliquons-nous : issue du travail de la pierre et du bois, la symbolique de base présente en Maçonnerie, sur ce que l’on nomme les « Tableaux de loges », n’est pas, insistons sur ce fait, une invention des maîtres maçons du XVIIIe siècle. Elle est directement issue des bâtisseurs de cathédrales et, avant eux, de ceux qui, à travers toute l’Antiquité, érigèrent les monuments que l’on connaît. Après les captivantes constructions romanes, il en a résulté cet opus francigenum (l’« œuvre francilienne ») qui allait émerveiller toute l’Europe.

Maçons - bâtisseurs cathédrales - équeerre

Miniature médiévale montrant un roi de France visitant un chantier où se construit une cathédrale. Au premier plan, à droite, un tailleur de pierres vérifie l’exactitude de son travail

Car l’élan vertical du gothique et sa floraison de rosaces focalise le génie de notre nation. Le peuple qui réalisa de tels prodiges doit-il, maintenant et au nom d’une hypothétique « diversité » et autre « mondialisation (décrétée) heureuse », s’effacer à jamais ? Car les « déconstructeurs » de l’Histoire décrétèrent un jour qu’ « il n’y avait pas de culture française mais de culture en France ». C’est l’identité même de ce pays qui était ainsi remise en cause. Et l’incendie de N‑D. de Paris a montré qu’un chef‑d’œuvre pouvait s’écrouler et partir en fumée. D’autant que cet édifice, au pied duquel se rejoignent toutes les routes de notre nation, est précisément emblématique d’un symbolisme prenant plastiquement racine dans l’âme française tout en exprimant des concepts hautement métaphysiques(4).

De fait, la Franc-Maçonnerie a souvent été considérée, par toute une droite identitaire ou souverainiste, comme un instrument de subversion. Le mondialisme et l’encouragement de certains de ses dirigeants ostensiblement francs-maçons à voir s’opérer un « Grand remplacement » de population au nom d’un pseudo humanisme déliquescent, ne pouvaient qu’aller dans ce sens.

Preuve patente de leur ignorance des authentiques significations du symbolisme dont ils se réclament

Il est fort possible que les actuels « hauts gradés » (militaires autant que maçons) aient pris conscience que l’héritage des constructeurs de cathédrales était menacé de mort à brève échéance. En regard de l’action subversive menée par des individus s’enrageant à faire de la France un openfield pour invasion migratoire, le souvenir d’une chevalerie templière, nimbée de légendes, et des « Logeurs du Bon Dieu »(5) (surnom de ceux qui édifiaient une spiritualité d’ogives et de vitrail) a sans doute provoqué un sursaut dans la conscience des officiers affiliés à diverses obédiences.

Bref rappel historique expliquant l’attirance de la « Grande Muette » pour la Franc-Maçonnerie :

En France cette organisation a vu le jour à la fin du XVIIe siècle à Saint-Germain-en-Laye, dans le milieu d’Écossais en exil, membres de la Garde Écossaise des rois de France fondée en 1422 sous Charles VII, et parmi les officiers du régiment Royal Irlandais. La Garde Écossaise est la première armée royale.

Garde Écossaise - Charles VII

On parlera de « Rite écossais ancien et accepté » puis, dans la dernière partie du siècle de « Rite écossais rectifié », fondé par le Lyonnais Jean-Baptiste Willermoz.

Donc, comme on le voit, ce sont des militaires qui s’imposent dans la fondation des loges françaises. Par la suite, il sera courant de voir des uniformes fréquenter les loges, particulièrement sous l’Empire et, puisque nous célébrons l’anniversaire de la mort de Napoléon, retenons cette image d’époque ne laissant aucun doute sur le rôle éminent joué par la Maçonnerie dans l’épopée impériale(6) :

Napoléon - Nid aigle - Franc-maçon

Cette allégorie d’un Napoléon survolant le monde porté par un aigle est aussi celle de la Maçonnerie triomphante car l’oiseau qui plane au zénith tient dans ses serres l’équerre, le compas et la clef du pouvoir. Sous la banderole déployant les signes du zodiaque, on voit l’étoile (dans laquelle s’inscrit la silhouette humaine) portant la lettre G.

La suite des événements se montrera des plus intéressantes car, comme on vient de le voir, nous assistons au retour de concepts qui, sous des auspices hautement spirituels, s’inscrivirent dans le Destin de notre nation. L’occasion pour une Maçonnerie authentique, se libérant enfin des entraves du mondialisme, d’apporter sa pierre de faîte – la « clef de voûte » – à la reconstruction de la France.

Aux dernières nouvelles, une autre lettre ouverte, émanant, cette fois, des forces de police, est adressée au gouvernement. En outre, aux États-Unis, plus d’une centaine d’anciens généraux viennent de publier un message avertissant Biden qu’ils ne toléreront pas de voir l’Amérique s’effondrer dans le chaos des casseurs de statues Black Lives Matter et autres adeptes déments de la woke attitude. De part et d’autre de l’Atlantique, même réaction enracinée contre l’anéantissement des peuples : « La Fayette nous voilà ! »(7).

Walther


Paul-Georges Sansonetti - Énigme Pôle

(1) Cf. P‑G. Sansonetti, Hergé et l’énigme du Pôle, Éditions Le Mercure Dauphinois
(2) Né en 1761, cette rédaction lui vaudra la vie sauve devant un tribunal révolutionnaire bien décidé à le passer au « rasoir républicain ».
(3) Mais aussi de « Gnose », autrement dit la Connaissance.
(4) Prenons pour exemple le fait singulier, signalé par des ésotéristes, que N‑D. a pris feu exactement 666 jours après l’élection d’une majorité présidentielle favorable à l’idée d’une déconstruction de l’Histoire de France. C’est comme si l’embrasement de ce chef‑d’œuvre répondait tragiquement à l’indifférence des Français quant à leur mémoire collective.
(5) On notera le jeu de mots entre logeurs et loge.
(6) Son frère Joseph Bonaparte (1768−1844) : Roi de Naples puis Roi d’Espagne avant de s’exiler plus tard aux États Unis. Initié Franc-Maçon à la loge « La Parfaite Sincérité » à Marseille, il devient, en 1804, Grand Maître du Grand Orient de France.
(7)

La-Fayette-nous-voila



L’hécatombe post vaccinale s’étend dans le monde

Par Gérard Delépine

Il y a deux mois, nous avons tenté d’alerter sur les résultats paradoxaux des vaccin covid19 en publiant les courbes de mortalité pré et post vaccination d’Israël et de Grande-Bretagne(([1] Grande-Bretagne : résultats réels de la vaccination anti-Covid-19 au 29 mars – (ripostelaique.com) )) qui montraient déjà que ces vaccinations ont été suivies d’une hausse considérable des contaminations et de la mortalité durant 6 à 8 semaines après le début de la vaccination.(([2] Analyse des résultats de la vaccination anti-Covid19 en Israël au 23 février 2021 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Depuis cette période, les campagnes de vaccination se sont étendues mondialement même aux pays où le covid était peu présent. Et partout elles ont été suivies d’une hausse considérable des nouvelles infections et de la mortalité pendant plusieurs semaines ou mois.(([3] https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/))

Combien faudra-t-il de morts et d’accidents sévères pour que les dirigeants, l’OMS, les agences de santé FDA, EMA entre autres, regardent les résultats avérés de cette pseudo-vaccination expérimentale dans le monde réel et en tirent les conséquences ?

Rappel des faits avérés publiés par l’OMS

Nous présentons ci-après les courbes de l’épidémie des pays les plus vaccinés telles que publiées par l’OMS (avec nos commentaires en rouge).

ASIE

Au Népal, pays de 28 millions d’habitants

La campagne de vaccination, utilisant le vaccin chinois et l’Astra Zeneca indien, a commencé fin janvier 2021. Jusque là, après dix mois d’épidémie, le pays comptait 270 092 cas confirmés et 2017 morts et la moyenne journalière de nouveaux cas s’élevait à 350.

Quatre mois après le début de la vaccination, l’épidémie a explosé avec une moyenne actuelle de 8000 nouveaux cas quotidiens. Au 22 mai, le Népal comptait 497052 (+90%) cas confirmés et 6024 morts (+200%.)

En Thaïlande, pays de 70 millions d’habitants

La campagne de vaccination utilisant le vaccin chinois a commencé dans la première semaine de mars. Jusque là, depuis le début de l’épidémie, le pays ne recensait que 25000 contaminés et 83 morts attribuées au Covid19.

Depuis le début de la vaccination, en 2 mois, le nombre des contaminés a été multiplié par 5 (123 066 au 22/5) et celui des morts par 9 (735 au 22/5).

Au Cambodge, pays de 27 millions d’habitants

En Mongolie, pays de 3, 3 millions d’ habitants

Amérique du Sud

En Colombie, pays de 50 millions d’habitants

pays fortement éprouvé par la maladie l’épidémie amorçait une franche décrue jusqu’au début de la campagne de vaccination le 18 février2021.

Depuis, le nombre de contaminations quotidiennes a quadruplé et la mortalité journalière multiplié par 3

Chili, pays de 18 millions d’habitants

La vaccination a commencé le 24 décembre et un total de près 17,1 millions de doses de vaccin a été administré à moins de 20 millions d’habitants. Mais malgré un taux de couverture vaccinal le plus élevé d’Amérique du Sud et des confinements durs, le nombre de contaminations quotidiennes et le nombre de décès restent près du triple de ce qu’ils étaient avant le démarrage de la campagne vaccinale …

Au Brésil, pays de 217 millions d’habitants

La vaccination a débuté le 18 janvier alors que la mortalité hebdomadaire se stabilisait autour de 7000

Moyen-Orient

Aux Émirats Arabes Unis, pays de 10,5 millions d’habitants

Au Koweït, pays de 4,2 millions d’habitants

EUROPE

En Hongrie, pays de 9,8 millions d’habitants

La campagne de vaccination débutée fin février a été suivie d’une forte hausse des contaminations hebdomadaires passées de 25576 le 25/2 à 62265 un mois plus tard, avant de redescendre progressivement au niveau pré vaccinal.

En deux mois et demi la Hongrie a ainsi doublé ses chiffres de contaminés (400000 à 800000) et de morts (de 14000 à 29000) atteints après 11 mois d’épidémie

En Roumanie, pays de 20 millions d’habitants

La campagne de vaccination a débuté fin décembre à une période où l’épidémie décroissait, et d’après les données officielles du 4 mai 21, Bucarest a le taux de vaccination le plus élevé du pays avec 31,2% de sa population éligible vaccinée. Mais peu après le début de la vaccination, le nombre des contaminations quotidiennes et la mortalité ont augmenté.

Avant la vaccination après dix mois d’épidémie, la Roumanie recensait 618000 infectés et 15000 morts. Après cinq mois de vaccination, elle en compte le double.

Monaco, pays de 38000 habitants

comptait seulement 3 décès avant la vaccination et 32 depuis la vaccination

Gibraltar, 34000 habitants

: la vaccination de la totalité de la population a été suivie d’une augmentation de 800% de la mortalité de 10 à 94)

Que peut-on déduire de ces données officielles. Hypothèses

Les victoires à la Pyrrhus(([4] Une victoire à la Pyrrhus est une victoire tactique, obtenue au prix de pertes si lourdes pour le vainqueur qu’elles compromettent ses chances de victoire finale.)) israélienne et britannique

Les avocats de la vaccination prétendent que les vaccinations en Israël et en Grande-Bretagne auraient été des succès, car les contaminations et la mortalité quotidienne, actuelles sont faibles.

Mais ces succès apparents correspondent en fait à la disparition d’une grande partie des personnes à risque (le « moissonnage ») réalisée par la vaccination et à la régression spontanée de la maladie observée aussi dans les pays peu vaccinés.

Le « moissonnage » vaccinal

Dans ces deux pays, la mortalité attribuée au Covid a fortement augmenté durant 4 à 6 semaines égalisant la totalité des morts de l’année 2020. La courbe de mortalité covid péri vaccination en Israël est démonstrative.

Le « moissonnage » de 1404 personnes en janvier et de 949 autres en février, soit l’équivalent d’une année complète de mortalité Covid sans vaccin (l’année 2020) a fortement réduit le nombre d’Israéliens à risque, entraînant de facto probablement une diminution du risque apparent de mortalité dans l’année à venir, dans cette tranche d’âge.

Mais parallèlement à cette diminution de sa cible initiale, le virus s’est transformé par mutation pour s’attaquer à d’autres segments de la société et en particulier aux groupes d’âge plus jeunes.

En novembre 2020, les données du ministère israélien de la Santé ont révélé qu’Israël avait détecté 400 cas de coronavirus chez des enfants de moins de deux ans. En février 2021, ce nombre est passé à 5 800.

Le même « moissonnage » a été observé en Grande-Bretagne. Comme le Covid19 ne menace qu’une petite partie de la population (les grands vieillards avec comorbidité) la disparition péri vaccinale d’une grande partie de cette population (autant que les morts de l’année 2020) à risque, diminue mathématiquement la mortalité observée, au moins transitoirement.

Depuis la campagne de vaccination britannique, la mortalité moyenne par million d’habitants en Grande-Bretagne (934/M) dépasse le double de celle des Pays-Bas (411/M).

La régression naturelle de l’épidémie

Explique aussi la chute de mortalité ainsi que le montre la comparaison entre la Grande-Bretagne très vaccinée et les Pays-Bas très peu vaccinés

Les courbes de mortalité par million d’habitants suivent la même temporalité dans ces deux pays proches. Celle du Royaume-Uni souffre d’un pic péri vaccinal beaucoup plus élevé, la mortalité actuelle des Pays-Bas est légèrement plus élevée traduisant l’absence du « moissonnage » anglais.

La vaccination actuelle, accélérateur de l’épidémie et de la mortalité ?

La revue des principaux pays apôtres de la vaccination large montre qu’en population réelle, la vaccination généralisée se comporte plus comme un accélérateur de l’épidémie et de la mortalité que comme une prévention de celles-ci.(([5] F Gobert Depuis qu’on vaccine (anticovid), la mortalité moyenne quotidienne a augmenté dans 13 pays sur 14 Agoravox https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/depuis-qu-on-vaccine-anticovid-la-233252))

Dans tous les pays très vaccinés, la mortalité comptabilisée durant les deux mois post vaccinaux égale ou dépasse celle de toute l’année 2020.

ABSENCE DE DONNÉES EXPÉRIMENTALES SOLIDES

Les essais de ces vaccins ont été insuffisants, sans recul, car ils sont en cours. Les premiers résultats sont promis pour début 2023.

Aucun d’entre eux n’a signalé la possibilité d’une possible augmentation des contaminations et de la mortalité qui heureusement paraissent transitoires. Ils sont peu informatifs sur les effets secondaires plus ou moins graves, comme la fréquence des accidents vasculaires précoces dans les jours suivant la vaccination, ou encore les multiplications de fausse-couche et les troubles menstruels des femmes par exemple et bien sûr les possibles complications plus tardives à moyen et long terme.

La course à la vaccination accélérée à tout prix pourrait à terme être contre performante pour la confiance populaire en toutes les vaccinations. Rien ne sert de courir, il faut partir à point aurait dit la Fontaine. Mais les nouveaux milliardaires comme le PDG de Moderna ne pensent probablement pas comme la tortue de la Fable ayant d’ores et déjà amassé des fortunes.

L’AVENIR EST AUX TRAITEMENTS PRÉCOCES MAÎTRISÉS PAR LES MÉDECINS DE TERRAIN

Des études transparentes sont indispensables pour comprendre le mécanisme de ces aggravations transitoires de l’épidémie après vaccination et en déduire d’éventuelles mesures préventives, si une nouvelle poussée survenait.

D’autant que l’avenir, après cette hécatombe vaccinale, reste très incertain. Les dirigeants qui ont violé les bases de la médecine et de la démocratie en imposant la vaccination expresse sans respect des procédures habituelles pour la sécurité et l’efficacité des drogues mises sur le marché, se retrouvent tous à promettre à leurs populations des traitements précoces pour les vagues futures, prouvant par-là, comme Boris Johnson qu’ils ne croient plus à la vaccination qu’ils ont imposée.(([6] https://www.francesoir.fr/societe-sante/boris-johnson-veut-un-traitement-precoce-contre-la-covid-dici-lautomne))

LA MÉDECINE NE DOIT PAS ÊTRE DÉCIDÉE PAR LA POLITIQUE

La politique sanitaire ne doit plus être imposée ni guidée par des simulations le plus souvent inexactes (et leurs affichages parfois influencés par les politiques comme l’avouent les scientifiques anglais), mais doit reposer sur le respect de la démocratie et de l’expérience clinique des médecins de terrain guidés éventuellement par de simples recommandations non contraignantes.

Toutes les données doivent être transparentes comme les chiffres du Réseau Sentinelles qui reflète le nombre de malades réels, consultant les médecins pour des signes cliniques. Beaucoup plus fiables que les éternels chiffres de contamination basés sur des tests PCR peu fiables.

LIBERTÉ DE SOIGNER ET D’ÊTRE SOIGNÉ

Surtout les médecins doivent être autorisés à traiter librement leurs patients avec tous les moyens à leur disposition sans diktat bureaucratique, et ce dès le début de la maladie, comme dans toute autre pathologie. Dès le début de l’épidémie, les traitements précoces basés sur les antibiotiques, macrolides, l’hydroxychloroquine, l’Artemisia, les vitamines D et C et le zinc, puis l’ivermectine étaient connus et diabolisés par les médecins de plateau au service de nouvelles drogues hors de prix comme le remdésivir, et surtout des futurs vaccins.

Le choix politique d’interdire le libre choix du traitement par les autorités a conduit dans plusieurs pays du monde, dont la France, à des morts nombreuses dont au moins une partie était évitable. Les procès en cours donneront la parole aux familles des victimes sans réparer l’irréparable perte d’un être cher.

MORATOIRE INDISPENSABLE

Le totalitarisme, la censure systématique et la persécution des opposants et la suppression des libertés fondamentales n’aboutissent en science, en médecine comme en économie, qu’à des catastrophes à plus ou moins long terme, y compris pour ceux qui en sont responsables.

Il est grand temps de revenir aux faits avérés et à leur examen critique sans a priori. Dans tous les pays, les vaccinations expérimentales ont été suivies par une augmentation des contaminations et de la mortalité attribuée au Covid19 et l’apparition de mutants. Tant que le phénomène n’aura pas été élucidé, un moratoire des vaccinations anticovid est indispensable et urgent.





La vertu ostentatoire des vaccins et le culte de l’Éveil

[Source : Le Saker Francophone]


Par Brandon Smith − Le 13 mai 2021 − Source Alt-Market

Tous les systèmes tyranniques ont besoin d’un important contingent de pom-pom girls pour survivre et prospérer ; un groupe d’acolytes exploitables et dévoués qui porteront le flambeau et évangéliseront les masses avec l’idéologie du contrôle. Sans ce pourcentage agressif de la population, les totalitaires ne peuvent rester au pouvoir. Aux États-Unis et dans la plupart des pays occidentaux, les idéologues gauchistes ont parfaitement rempli ce rôle. Ils prétendent se battre pour les droits des opprimés, mais leurs actions sont bien plus éloquentes que leurs paroles.

Ils ont soutenu et défendu vicieusement presque toutes les mesures draconiennes que les gouvernements et les élites des entreprises ont adoptées ces dernières années. Ils ont soutenu la censure massive des conservateurs et des modérés par les grandes entreprises technologiques. Ils ont soutenu les confinements nationaux qui ont détruit des centaines de milliers de petites entreprises et violé les droits constitutionnels de millions d’Américains. Ils continuent à soutenir des règles de masquage non scientifiques dont il a été prouvé qu’elles n’apportent rien de tangible en termes de prévention de la propagation virale. Ils soutiennent l’utilisation de « passeports vaccinaux » qui auraient pour effet d’exclure les personnes non vaccinées de l’économie et de la société normales et de les plonger dans la pauvreté. Et maintenant, ils sont partout sur le web à essayer de faire de la propagande pour le vaccin.

Nous connaissons ces créatures déséquilibrées sous de nombreux noms, notamment guerriers de la justice sociale, flocons de neige, puritains, gauchistes, marxistes, communistes, globalistes, collectivistes, narcissiques, etc. En gros, ce sont les pires personnes de la planète, et alors qu’elles parlent généralement de « racisme institutionnel » qui n’existe pas, de culture du viol qui n’existe pas, ou de patriarcat qui n’existe pas (bien que je commence à me demander si nous ne devrions pas en créer un), elles ont maintenant trouvé un nouvel amour dans la « crise » de la Covid-19.

Mais avant de parler de la secte des Éveillés et de sa relation perverse avec l’establishment, je dois poser une question fondamentale sur le « vaccin » que personne dans les médias dominants ne semble poser :

Pourquoi devrions-nous prendre un vaccin expérimental à ARNm pour un virus auquel 99,7 % des gens, en dehors des maisons de retraite, survivront facilement ?

Cette seule question fait généralement exploser la tête des adeptes du vaccin. La plupart d’entre eux, pour une raison quelconque, croient encore que le taux de mortalité de la Covid-19 est de « 3 % ou plus ». Pourquoi colportent-ils ces absurdités ? Eh bien, je tiens à souligner que les médias grand public ne parlent JAMAIS du taux de mortalité de la Covid-19 ; ils laissent plutôt les gens faire des hypothèses basées sur des choses qu’ils ont entendues dans le passé de la part d’entités comme l’Organisation mondiale de la santé ou le CDC.

Le chiffre de 3 % semble provenir de PRÉDICTIONS faites par l’OMS en janvier 2020, avant que le virus n’ait atteint les États-Unis, ainsi que d’une étude préliminaire du Lancet. Ces prédictions ont été avancées par l’Imperial College de Londres, une institution globaliste qui a créé les modèles complexes de mandat et de confinement que les nations du monde entier utilisent maintenant pour contrôler le public. Leurs modèles étaient si complètement faux qu’ils sont déconcertants pour quiconque connaît la théorie statistique ou la gestion médicale.

Il s’avère que le taux de mortalité lié à la Covid-19 est de seulement 0,26% des personnes infectées (il n’a jamais été de 3%) et nous le savons depuis longtemps. Les patients des maisons de retraite souffrant de maladies préexistantes représentent environ 40 % de tous les décès. Plus de 80 % des décès concernent des personnes âgées de plus de 65 ans. Et, selon le CDC, au moins 30 % de toutes les hospitalisations du à la Covid-19 étaient dues à des complications liées à une obésité sévère.

Donc, si vous n’avez pas plus de 65 ans et que vous n’êtes pas un gros tas de graisse dégoûtant, vous n’avez pas grand-chose à craindre des statistiques sur la Covid-19. Si vous avez plus de 65 ans et que vous êtes gros, vous avez environ 0,26 % de chances de mourir si vous êtes infecté. Si vous avez plus de 65 ans, que vous êtes gros et que vous vivez dans une maison de retraite, alors vous devriez peut-être vous inquiéter.

En résumé, le virus de la Covid-19 ne constitue pas une menace pour la grande majorité des gens, mais il existe un grand groupe d’obsessionnels qui semblent vouloir en avoir peur de toute façon, ou qui veulent simplement que nous ayons peur.

La vertu ostentatoire  autour des vaccins est de plus en plus bizarre. On trouve de nombreuses vidéos sur YouTube, des vidéos sur TikTok, des articles et des messages sur les médias sociaux de personnes qui proclament avec suffisance leur statut de « jab« , comme si elles venaient d’être touchées par la main de Dieu en tant qu’élues. En outre, l’idolâtrie de fraudeurs médicaux comme le Dr Anthony Fauci est digne d’intérêt. Si vous ne me croyez pas, vous pouvez voir quelques exemples ci-dessous :

https://www.youtube.com/embed/RAbPBW8vqN0?feature=oembed

Il semble que les SJWs essaient vraiment de normaliser les vaccins Covid en fabriquant un consensus. Si tout le monde le fait, vous risquez d’être exclu et isolé de la foule, et c’est une idée effrayante, non ?

Peut-être que je lis trop d’informations dans cette affaire, mais je détecte un sérieux désespoir derrière ce mouvement d’astro-turfing contre les « anti-vaccins ». Personne n’écoute le culte de l’Éveil, personne ne les aime et personne ne leur fait confiance pour être informés ou honnêtes dans leur agenda. Pourtant, ils exercent un pouvoir considérable dans notre société parce qu’ils sont soutenus par les gouvernements et les grandes entreprises. Leur relation avec l’establishment est symbiotique.

Cela ne veut pas dire qu’aucune de ces personnes n’est consciente de l’agenda sous-jacent. L’état d’esprit qui se cache derrière les signaux de vertu des vaccins peut être attribué à certaines fragilités de base dont souffre le gauchiste moyen :

Premièrement, ils ont l’habitude de compter sur le gouvernement et le système en général pour leur procurer un sentiment de normalité. En d’autres termes, ils vénèrent le vaccin Covid en partie parce qu’ils le considèrent comme leur ticket pour apaiser le gouvernement et avoir accès à certains conforts. Malheureusement, ils ne réalisent pas que ces conforts peuvent être conquis à tout moment s’ils n’étaient pas aussi lâches.

Dans mon comté, les résidents ont ignoré les mandats Covid pendant la majeure partie de l’année dernière. Personne ne porte de masque. Personne n’utilise la distanciation sociale. Et plus de 70 % de la population n’est pas vaccinée. La conséquence ? Seulement 17 décès l’année dernière, dont la plupart étaient des personnes avec des conditions préexistantes, et nous avons été libres tout ce temps parce que nous avons choisi de l’être.

Deuxièmement, les gauchistes argumentent toujours à partir de la position de « la majorité », même lorsqu’ils ne sont pas la majorité. La Covid-19 est un outil, comme un pied de biche psychologique utilisé pour faire levier sur la conformité, parce que la présomption est que c’est une menace pour tout le monde. Et, si tout le monde est menacé par le même croque-mitaine, alors tout le monde fait partie du même monolithe, du même collectif. Et si tout le monde fait partie du même collectif, alors tout le monde doit combattre ce croque-mitaine ensemble, dans l’unité. Si vous ne travaillez pas avec le collectif, cela signifie que vous travaillez contre le collectif.

« Nous vivons dans une société », crachent et ricanent les gauchistes avec arrogance, « ce qui signifie que vous devez faire ce que NOUS disons être le mieux pour tout le monde ».

Comme je l’ai déjà expliqué en détail ci-dessus, la Covid-19 n’est pas une menace pour tout le monde. Ce n’est même pas une menace pour plus de 0,26% des gens. Nous ne « vivons PAS dans une société », du moins, nous ne vivons pas dans leur société ou sous leurs règles. Ils ne se soucient pas de sauver des vies, c’est juste l’excuse dont ils ont besoin pour exercer un contrôle. Le contrôle est ce qu’ils désirent le plus.

Comment puis-je le savoir ? Regardez l’effervescence qui entoure l’existence même des militants anti-confinements et des « anti-vaccins ». Regardez combien ils parlent de nous. Ils ne peuvent pas s’en empêcher. Pourquoi ces gens se soucient-ils tant de savoir si nous prenons ou non le vaccin ? S’il fonctionne réellement, alors ils sont parfaitement à l’abri de nous, et lorsque nous mourrons tous d’une mort horrible à cause de la Covid-19, ils pourront dire « nous vous l’avions dit ».

Ce qu’ils craignent vraiment, c’est que nous ayons raison et qu’ils aient tort. La science est certainement de notre côté et l’a été pendant toute la durée de la pandémie. L’OMS avait tort, le CDC avait tort, l’Imperial College of London avait tort. Les militants anti-confinement étaient plus proches de la vérité que tous ces acteurs réunis. Il a été prouvé que les masques étaient inutiles. Il a été prouvé que les confinements étaient inutiles. Les prévisions du taux de mortalité se sont avérées très exagérées. Et, maintenant, la nécessité même des vaccins est remise en question.

En ce qui concerne le récent récit des médias grand public, nous pouvons tirer quelques conclusions : Tout d’abord, le déploiement des vaccins ne se déroule pas comme prévu. Chaque jour, les médias sont inondés d’articles sur « l’hésitation à se faire vacciner » et sur ce que le gouvernement doit faire pour y remédier. Cela me fait dire que beaucoup trop d’Américains refusent de se faire vacciner et que la propagande est donc poussée à son paroxysme.

Je soupçonne que la vertu ostentatoire du vaccin fait partie de cette campagne, ou du moins qu’il est encouragé par l’establishment. Ne voulez-vous pas être du bon côté de l’histoire ? Ne voulez-vous pas être du « côté qui se soucie des gens » ? Ou voulez-vous être du « côté égoïste », du côté qui veut tuer la grand-mère, du côté qui est raciste, sexiste, méchant et répugnant ?

Une autre conclusion facile que nous pouvons tirer des médias est que ce problème ne va pas disparaître et que l’establishment a l’intention d’insister si nous continuons à le défier. Par le passé, j’ai vu la suggestion de la « force » être abordée avec précaution, mais récemment, le discours est devenu plus agressif. Le mot « force » apparaît plus souvent. Les médias cherchent à nous rappeler qu’en vertu de cette loi, l’établissement pourrait nous obliger à nous faire vacciner. Le message ? Autant se faire vacciner maintenant pour éviter tout désagrément plus tard.

Nous savons tous que cela finira par une guerre, mais les élites ont besoin d’une proportion énorme de personnes favorables au mandat pour soumettre efficacement les individus épris de liberté. Ils ne l’ont pas et ça se voit.

Les adhérents à l’Éveil voient toute cette même propagande tous les jours ; ils entendent le message haut et fort : le système indique que les vaccins seront obligatoires, que ce soit par mandat gouvernemental ou par exigence des entreprises. Alors, les gauchistes se démènent pour montrer leur allégeance à leur dieu (l’État), et ils agissent comme de bons petits fantassins pour gagner des points de vertu supplémentaires.

Il existe de nombreuses raisons de ne pas accepter un vaccin expérimental, certaines d’entre elles étant scientifiques et d’autres fondées sur des principes. Je voudrais simplement souligner que de nombreux virologues se sont prononcés sur la sécurité de ces vaccins, y compris un ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, qui, avec ses pairs, a conclu que PERSONNE ne devrait accepter les vaccins à ARNm tant que des tests supplémentaires n’ont pas été effectués, faute de quoi il existe un risque considérable d’effets à long terme sur la santé, notamment des troubles auto-immunes et d’infertilité.

La promotion de la thérapie génique à ARNm est essentiellement un essai expérimental géant utilisant les masses comme sujets d’essai involontaires. Nous n’avons vraiment aucune idée de ce que seront les conséquences au bout du compte, mais j’ai le sentiment que d’ici quelques années, nous verrons les résultats et qu’ils ne seront pas beaux à voir. Ce n’est pas pour rien que les gouvernements font en sorte qu’il soit légalement impossible de poursuivre les fabricants de vaccins pour leurs effets secondaires.

Au-delà des nombreux problèmes de santé, il y a le problème de l’incrémentalisme. Une seule vaccination ne représente peut-être pas une grande menace. C’est peut-être un pari qui ne se termine pas si mal pour la plupart des gens. Mais qu’en est-il de la prochaine ? Et la suivante ? Qu’en est-il des 20 prochains vaccins ? Il y a maintenant une demi-douzaine de mutations différentes du virus de la Covid-19 qui sont mentionnées par le gouvernement et les médias comme étant potentiellement résistantes aux vaccins actuels et plus dangereuses que la première itération du virus.

Il s’agit sûrement d’un mensonge, mais cela montre bien que les mandats sont destinés à durer éternellement. Si nous les acceptons maintenant, ils ne prendront jamais fin. Ce n’est pas parce que vous êtes vacciné aujourd’hui que vous serez libre demain.

Et, avec chaque nouveau vaccin, surgit le spectre des passeports vaccinaux. Et avec les passeports vaccinaux surgit le spectre d’une micro-gestion gouvernementale complète de la vie des gens. Bien sûr, vous pouvez choisir de ne pas vous faire vacciner, mais le système va s’assurer que vous en souffriez jusqu’à ce que vous ne puissiez plus survivre sans le vaccin. Le vaccin est un tremplin vers la tyrannie déguisé en empathie et en devoir envers votre communauté.

Le culte de l’Éveil adore ce genre d’environnement, cependant. C’est le type de grotte sombre et gluante dans laquelle ils aiment se nicher. Le besoin de contrôler les autres est une aberration, une déficience mentale commune aux psychopathes, mais dans le nouveau monde, les maniaques du contrôle trouvent une justification et ont le champ libre. L’ironie frappante ici est que ces personnes aiment contrôler, mais elles aiment aussi ÊTRE contrôlées. Elles trouvent confort et sécurité dans leurs chaînes. Le monde est un endroit effrayant, et pour y être indépendant, il faut du courage, de la force mentale et la volonté d’apprendre de ses erreurs afin de gagner en sagesse et en expérience.

Les platitudes et les pontificats de la foule gauchiste sont une tentative d’éviter les tribulations de la vie réelle ; leur soumission à l’État, aussi douteux ou mauvais soit-il, est une tentative de se sentir à l’abri de leurs propres peurs irrationnelles, de leurs faiblesses et de leurs insuffisances. Comme l’a dit un jour l’auteur Robert Anton Wilson :

Les obéissants se considèrent toujours comme des vertueux plutôt que des lâches.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Manifeste pour un droit à l’apartheid dans une dictature sanitaire

Par A. Tortosa, version du 24 mai 2020.

Par ce manifeste, nous signataires affirmons que :

  • Nous luttons pour faire abroger les lois et décrets qui bafouent les droits de l’homme.
  • Nous informons nos concitoyens sur les mensonges qu’ils subissent depuis début 2020 pour les maintenir dans la peur, l’ignorance et la soumission.
  • Nous mettons tout en œuvre afin que le passeport sanitaire ne soit pas appliqué, que celui-ci soit basé sur des examens médicaux, des tests de positivité, d’injections régulières ou autres.
  • Nous refusons la création de citoyens de seconde zone et de sous-castes.
  • Tout projet de coercition, d’assignation à domicile ou d’internement des personnes non vaccinées ou non-détentrices d’un passeport vaccinal ou d’un crédit social serait dévastateur d’un point de vue humain, social, mais aussi économique.

Nous ne nous soumettrons pas :

  • Nous ne nous injecterons pas des thérapies vaccinales expérimentales.
  • Nous refuserons d’injecter nos enfants pour des maladies qui ne les concernent pas.
  • À des tests ou QR, codes pour accéder à des activités relevant de nos droits fondamentaux.

Nous ne céderons pas au chantage, nous sommes déterminés et :

  • Prêts à retirer nos enfants des établissements scolaires.
  • Prêts à perdre notre emploi pour conserver nos droits.
  • Prêts à ne plus fréquenter des lieux publics, restaurants, cinémas, commerces, etc.

Nous refusons toute violence, mais :

  • Nous ne nous laisserons pas vacciner ou tester de force, ni nous ni nos enfants.
  • Nous n’accepterons pas de renoncer à nos droits fondamentaux de liberté de travail, de circulation, de loisirs ou de droit à l’éducation pour nos enfants, etc.
  • Nous ne resterons pas passifs face à une violence institutionnelle subie.

Les zones d’apartheid se définissent comme des lieux dans lesquels :

  • L’urgence sanitaire n’existe pas.
  • Le port du masque, la distanciation sociale ou les tests ne sont pas obligatoires.
  • Il n’y a pas de limites de regroupement de personnes.
  • Il n’y a aucune obligation de passeport vaccinal ou sanitaire ni règle de crédit social.

L’apartheid :

Dès lors que le passeport vaccinal ou sanitaire ou un crédit social serait mis en œuvre, nous réclamons notre droit à pouvoir bénéficier de ce régime d’apartheid basé sur le volontariat.

Cette liberté de choix pour chaque individu garantit l’absence de heurs entre les « pro » et les « anti » et annihile le risque de conflits, voire de guerre civile.

  • Toute personne physique ou morale est en droit de bénéficier de ce régime.
  • Tout lieu privé ou privatisé peut bénéficier de ce régime.

Exemples (la liste n’étant pas exhaustive)

  • Entreprises, commerces, lieux de loisirs…
  • Moyens de transport (autos, bus, trains, avions, bateaux…).
  • Garderie, écoles, universités…
  • Centre de soins…
  • Des espaces de liberté ou plages horaires sont réservés dans les services publics.

https://7milliards.fr/tortosa20210524-manifeste-pour-un-apartheid-volontaire.pdf




Cette psychologue détruit Karine Lacombe et les marchands de la peur chez Éric Brunet

[Source : Le Dissident]

https://youtu.be/IpY6udodX54

[Voir aussi :
[wpfa icon= »bomb » color= »red »]Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population
[wpfa icon= »bomb » color= »red »]En Suisse, le conseil scientifique est traîné devant les tribunaux pour avoir joué sur les peurs du COVID
[wpfa icon= »bomb » color= »red »]Même le Pr Delfraissy déconseille confinement et politique de la peur
[wpfa icon= »bomb » color= »red »]La vérité contre la peur
[wpfa icon= »bomb » color= »red »]Pourquoi la condition humaine est-elle conditionnée par la peur et le refus de la vérité ? « Par pitié, mentez-moi ! »
[wpfa icon= »bomb » color= »red »]Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid
[wpfa icon= »bomb » color= »red »]La France a peur… de la réalité
[wpfa icon= »bomb » color= »red »]La liberté mise en pièces par la peur
[wpfa icon= »bomb » color= »red »]S’échapper du syndrome de Stockholm — passer de la peur du virus (leurre) à un danger réel, la Grande Réinitialisation
[wpfa icon= »bomb » color= »red »]La peur et l’espoir comme outils politiques
[wpfa icon= »bomb » color= »red »]Gestion des épidémies – Étude sur l’exploitation médiatique, commerciale ou politique de la peur, et sur l’avènement d’un totalitarisme “sanitaire”
[wpfa icon= »bomb » color= »red »]“STOP ! Manipulations, masques, mensonges, peur…” un collectif international de professionnels de santé dénonce des “mesures folles et disproportionnées”]