Le film « Sound of Freedom » ne révèle pas qui sont les trafiquants d’enfants et comment y mettre fin

[Source : Health Impact News]

Par Brian Shilhavy

Hier soir, j’ai pu voir le film « Sound of Freedom », sorti récemment, dans un cinéma local qui, étonnamment, affichait complet pour une séance du lundi soir, plus d’une semaine après la sortie du film.

Le film met en scène Jim Caviezel dans le rôle de Tim Ballard, un ancien agent spécial du ministère de la Sécurité intérieure qui a été affecté au groupe de travail sur les crimes contre les enfants sur Internet (ICAC) et a créé sa propre organisation, Operation Underground Railroad, une association à but non lucratif qui se consacre au sauvetage des enfants victimes de la traite des êtres humains.

La production de ce film aurait commencé il y a plus de 5 ans, et depuis au moins 2021, j’ai vu de nombreuses interviews et articles sur Jim Caviezel parlant de ce film ainsi que de sujets tels que l’adrénochrome, les abus rituels sataniques, le prélèvement d’organes, et d’autres sujets sombres que nous avons couverts pendant la majeure partie d’une décennie ici à Health Impact News.

[Voir aussi :
Dossier adrénochrome
Adrénochrome et théorie du genre : les enfants cobayes
Sang d’enfants et adrénochrome : la parabiose hétérochronique est une pratique de gens riches
Le trafic sexuel mondial d’enfants rapporte des milliards de dollars
Les sacrifices humains de l’antiquité se poursuivent-ils aujourd’hui avec les mêmes rituels ?
Lumière sur les bals masqués de l’UNICEF pour « sauver » les enfants
La synagogue de Satan
et, du même auteur, l’article postérieur (en anglais) :
Le film Sound of Freedom aurait été financé par des milliardaires philanthropes liés à la traite des êtres humains ]

Bien qu’il s’agisse d’un bon film que je recommande à tous de regarder s’ils en ont l’occasion, sachez qu’aucun de ces sujets sombres n’est abordé dans ce film, et qu’il n’y a pas non plus de véritable appel à l’action avec des conseils pratiques sur la façon de mettre fin au trafic d’enfants.

Alors que j’étais sur le point de quitter la salle au moment où le générique commençait à défiler, l’écran a affiché un chronomètre indiquant qu’il y avait un « message spécial » de Jim Caviezel après le générique.

Ah, c’est peut-être là que Caviezel va aborder ces autres sujets, me suis-je dit, et donner des conseils pratiques sur la manière de mettre fin à tout cela.

Mais il ne l’a pas fait.

Le seul « appel à l’action » consistait à inciter un plus grand nombre de personnes à voir le film, en leur donnant la possibilité de scanner un code QR et de faire un don pour que d’autres puissent voir le film s’ils n’en ont pas les moyens.

Des copies de ce « message spécial » de Caviezel, d’une durée d’environ 2 minutes, sont disponibles sur l’Internet :



Il est vraiment regrettable que ce film soit présenté par les médias comme un film « chrétien conservateur de droite » (je ne pense pas que Caviezel ou Ballard le voient de cette façon), alors qu’il s’agit clairement d’une question non partisane qui touche tout le monde, quelles que soient les opinions politiques ou religieuses.

Caviezel déclare que le film a été réalisé pendant 5 ans « avec tous les obstacles imaginables ».

De nombreux médias alternatifs en ont déduit que les « élites » avaient fait tout ce qu’elles pouvaient pour empêcher le message de ce film d’être diffusé.

Mais le fait qu’il ne s’agisse manifestement pas d’un film à petit budget et qu’il soit déjà un énorme succès au box-office semble contredire ce point de vue. Les droits du film appartenaient à l’origine à la Fox, puis ont été rachetés par Disney, et Disney aurait décidé de ne pas le sortir.

Les studios Angel ont alors négocié l’achat des droits du film, qui est aujourd’hui dans tous les grands cinémas.

Ce type de retard n’est pas si rare dans l’industrie cinématographique, et si les « élites » ne voulaient vraiment pas que ce film sorte, je peux vous assurer que Disney n’aurait en premier lieu probablement pas vendu les droits du film.

Le fait que ce film soit aujourd’hui dans toutes les grandes salles de cinéma des États-Unis montre clairement que l’industrie cinématographique ne censure pas ce film.

Ils ont clairement le pouvoir de le faire.

Il suffit de demander à Del Bigtree, Polly Tomney et au Dr Andrew Wakefield qui ont produit le film VAXXED en 2016 et ont vu le film être interdit dans tous les festivals du film et ne jamais être présenté dans les grandes salles de cinéma.

De même, un documentaire de 1994 intitulé « Conspiracy of Silence », qui décrivait le réseau pédophile opérant à Boys Town, au Nebraska, a été financé à l’origine par Discovery Channel, mais a été mis de côté et n’a jamais été diffusé à la télévision. Voir :

Si l’industrie voulait empêcher Sound of Freedom d’apparaître sur le grand écran, elle l’aurait certainement fait, mais je pense qu’elle autorise la diffusion de ce film parce qu’il ne cite pas de noms, qu’il ne lance pas de véritable appel à l’action pour mettre fin à tout cela, et que les médias corporatifs de gauche peuvent facilement le rejeter en le qualifiant de « théories de conspiration Qanon ».

Ma critique de « Sound of Freedom »

Comme je l’ai écrit plus haut, je recommande de regarder ce film.

Mais en tant que personne qui couvre cette question depuis une dizaine d’années, je tiens également à souligner certains des problèmes que pose ce film.

Tout d’abord, il ne s’agit pas d’un documentaire, mais d’une dramatisation basée sur une « histoire vraie ». Quelques jours avant que le film ne sorte en salle, Tim Ballard a publié sur son site web une page indiquant quelles parties du film étaient vraies et lesquelles ne l’étaient pas.

Les spectateurs qui se pressent pour voir ce film savent-ils que des parties importantes du film sont fictives et n’ont jamais eu lieu ?

Cela soulève la question de savoir pourquoi l’histoire vraie n’était pas assez puissante en soi sans avoir à inventer des scènes qui n’ont jamais eu lieu.

Je soupçonne que la raison en est que les studios Fox ont commencé la production et ont estimé que c’était nécessaire, et qu’au moment où les studios Angel ont obtenu les droits, il était trop coûteux de recommencer.

Dans une scène qui m’a mis la puce à l’oreille, Caviezel se fait passer pour un médecin qui livre des vaccins « salvateurs » aux membres du cartel dans le but de sauver la petite fille qui faisait l’objet d’un trafic dans la jungle colombienne.

Les soldats du cartel fouillent son bateau et signalent qu’il ne transporte que des vaccins et que son voyage médical jusqu’à leur emplacement dans la jungle est probablement légitime.

Je ne crois pas qu’une telle chose puisse réellement se produire, car dans de nombreux autres endroits du monde, les forces rebelles antigouvernementales, telles que les talibans au Pakistan et en Afghanistan, ne font PAS confiance aux médecins et à leurs vaccins occidentaux, et empêchent en fait les Occidentaux d’injecter leurs enfants.

Tim Ballard cite cette scène comme étant fictive, mais il affirme également que son organisation s’est fait passer pour des médecins pour mener une mission en Haïti.

Tim s’est rendu seul dans la jungle colombienne pour sauver une petite fille. FAUX

Dans le film, Tim se fait passer pour un médecin et se rend dans la jungle, quelque part en Colombie, pour retrouver la sœur du petit garçon, peu après l’opération Triple Take.

Cela ne s’est pas produit.

Cependant, dans la vraie vie, Tim a conduit un groupe d’opérateurs de l’O.U.R., se faisant passer pour des médecins, dans une jungle à la frontière d’Haïti et de la République dominicaine, quelques années après l’opération Triple Take, à la recherche de Gardy.

Personne n’a été sauvé, mais l’opération a permis de faire avancer la recherche de Gardy, et les opérateurs ont pu fournir des soins médicaux à de nombreux enfants dans le besoin.
(Source.)

Des vaccins ont-ils été injectés à des enfants lors de leur opération en Haïti, où « les opérateurs ont pu fournir des soins médicaux à de nombreux enfants dans le besoin » ?

Par ailleurs, étant donné que Tim Ballard était à l’origine un agent d’une agence de renseignement du gouvernement américain, le mensonge semble être la norme et parfaitement acceptable, s’il permet d’atteindre l’objectif d’attraper des terroristes et des pédophiles.

Dans l’une des premières scènes, Tim Ballard se fait passer pour un pédophile (en mentant) afin de gagner la confiance d’un vrai pédophile pour l’arrêter.

Mais pour les personnes qui prétendent être des disciples de Jésus-Christ, le mensonge peut-il jamais être justifié ?

Jésus se présente comme « La Vérité » (Jean 14:6) et désigne les personnes qui prétendent le suivre, mais ne le suivent pas comme appartenant à leur père, le Diable, qui est « le Père du mensonge » (voir Jean chapitre 8).

Si vous êtes l’enfant ou l’épouse d’un homme qui ment pour gagner sa vie, pouvez-vous faire confiance à cette personne pour dire toujours la vérité lorsqu’elle ne remplit pas les fonctions de son travail, comme dans les agences de renseignement du gouvernement américain ?

La principale filière de trafic d’enfants est financée par le gouvernement américain

Le plus gros problème que j’ai avec le film « Sound of Freedom », c’est qu’il présente le trafic d’enfants comme un problème essentiellement international, sans exposer le fait que la plupart des enfants victimes de trafic aux États-Unis sont financés par notre propre gouvernement, principalement par le biais du système de protection de l’enfance, par le biais du placement en famille d’accueil et de l’adoption.

Nous avons couvert cette question au cours de la dernière décennie, notamment en publiant des centaines d’histoires de familles qui se sont vu arracher leurs enfants par le gouvernement, qui a ensuite fait la traite des enfants par le biais du placement en famille d’accueil et de l’adoption.

Voici quelques-uns des articles que nous avons publiés précédemment et qui exposent ce réseau de trafic d’enfants opérant aux États-Unis :

En 2009, Bill Bowen a diffusé la bande-annonce d’un documentaire qu’il produisait et qui dénonçait la corruption des services de protection de l’enfance aux États-Unis.

Le film s’intitule Innocence Destroyed (L’innocence détruite). Bill Bowen est décédé de manière inattendue l’année suivante, en 2010, apparemment d’une crise cardiaque, avant d’avoir pu terminer le film.

Les séquences achevées se trouvent maintenant sur YouTube, dans trois vidéos différentes, mais nous les avons combinées et mises en ligne sur Bitchute.

AVERTISSEMENT :
La vidéo contient des images qui ne conviennent pas aux enfants !
Réservé aux adultes.



Voici quelques informations sur Bill Bowen, y compris des citations qui lui sont directement attribuées, que nous avons pu trouver sur Internet.

À propos de Bill Bowen

Bill Bowen est un ancien pompier et enquêteur fédéral. Il est également connu pour avoir dénoncé le service des pompiers de la ville de New York dans un livre intitulé Radio Silence F.D.N.Y. The Betrayal of New York’s Bravest (Silence Radio F.D.N.Y. La trahison des plus braves de New York), qu’il a coécrit avec le chef de bataillon John Joyce. Ce livre décrit comment 125 pompiers de la ville de New York et de nombreux civils ont perdu la vie le 11 septembre à cause de problèmes liés à leurs radios bidirectionnelles.

Bien qu’il ait beaucoup de pain sur la planche, sa priorité absolue est de terminer Innocence Destroyed et d’aider les gens à engager des recours collectifs contre les agences des services de protection de l’enfance dans les cinquante États. (Source : Daniel Weaver — Albany CPS and Family Court Examiner, 10 septembre 2010.)

Plus d’informations :

Le cinéaste documentait les abus des services de protection de l’enfance et les enfants assassinés sous la garde de l’État avant sa mort

J’apprécie le fait que Jim Caviezel expose dans des interviews une grande partie de ce trafic sexuel d’enfants financé par le gouvernement, car ce sujet n’est PAS abordé dans le film Sound of Freedom. Il affirme que les agences de l’alphabet, telles que la CIA, financent une grande partie de ce trafic.

Mais ces informations sont accessibles au public depuis des décennies, notamment grâce aux présentations publiques de l’ancien directeur du FBI, Ted Gunderson, avant sa mort en 2011.

Ted Gunderson est né à Colorado Springs. Il est diplômé de l’université du Nebraska en 1950. Il a rejoint le Federal Bureau of Investigation (FBI) en décembre 1951, sous la direction de J. Edgar Hoover.

Il a travaillé dans les bureaux de Mobile, Knoxville, New York et Albuquerque. Il a occupé le poste d’agent spécial adjoint à New Haven et à Philadelphie. En 1973, il est devenu chef du FBI de Memphis, puis du FBI de Dallas en 1975. Ted Gunderson a été nommé à la tête du FBI de Los Angeles en 1977. En 1979, il fait partie des quelques candidats interviewés pour le poste de directeur du FBI, qui est finalement attribué à William H. Webster.

Après avoir pris sa retraite du FBI, Gunderson a créé une société d’enquêtes privées, Ted L. Gunderson and Associates, à Santa Monica. Lors d’une conférence donnée en 1995 à Dallas, Gunderson a mis en garde contre la prolifération de groupes sataniques secrets et le danger que représente le Nouvel Ordre Mondial, un gouvernement de l’ombre qui contrôle le gouvernement américain.

Il a également affirmé qu’une « vente aux enchères d’esclaves » au cours de laquelle des enfants étaient vendus à des hommes portant des turbans avait eu lieu à Las Vegas, que quatre mille sacrifices humains rituels étaient pratiqués chaque année à New York et que l’attentat à la bombe perpétré en 1995 contre le bâtiment fédéral Alfred P. Murrah à Oklahoma City avait été perpétré par le gouvernement américain.

Gunderson a découvert qu’il existe aux États-Unis un vaste réseau secret de groupes qui enlèvent des enfants et des nourrissons et les soumettent à des abus rituels sataniques suivis de sacrifices humains.

L’un de ces groupes s’appelle The Finders et, selon Gunderson, il est dirigé par la CIA.

M. Gunderson a parcouru le pays pour donner des conférences sur son travail, notamment sur les cas qui l’ont amené à découvrir les groupes cachés impliqués dans l’occultisme satanique, y compris les abus sexuels sur les enfants et les sacrifices d’enfants. Sa conférence générale durait environ 4 heures, mais il existe une conférence encore disponible aujourd’hui où il l’a condensée en un peu plus d’une heure.

À la fin de cette conférence, Gunderson demande à une femme nommée Linda Weigand de venir témoigner. Lorsqu’il l’a présentée, Gunderson a dit :

C’est l’un des exemples de corruption les plus classiques que j’aie jamais vus. Et croyez-moi, vous pouvez dire, d’après mon exposé, que j’ai vu des exemples de corruption assez terribles.

Comme son témoignage se trouve à la fin de sa conférence, nous l’avons extrait dans une vidéo séparée afin que vous puissiez choisir de le regarder en premier, si vous voulez avoir un avant-goût de ce dont il s’agit.

Mais je dois vous avertir que cette vidéo est très GRAPHIQUE et très maléfique. Elle vous perturbera.



Voici l’intégralité de la conférence de Ted Gunderson :

Une grande partie du travail de Gunderson reste en ligne ici (pour l’instant). Il serait judicieux de copier ses documents avant qu’ils ne disparaissent.

Voir aussi :

L’histoire de Jennifer Guskin, que nous venons de publier, est l’une des plus horribles qui soient sur la façon dont le système de placement familial a été utilisé pour faire du trafic sexuel d’enfants au profit des riches et des puissants de la région de Washington.

Nombre d’entre vous ne devraient probablement pas regarder cette vidéo, car elle pourrait vous causer un grave traumatisme émotionnel. Si vous avez regardé le documentaire publié par le producteur polonais Patryk Vega, intitulé « Eyes of the Devil », et que vous avez pu le supporter, sachez que l’histoire de Jennifer est bien pire.

AVERTISSEMENT : CONTENU GRAPHIQUE SUR DES SUJETS TELS QUE LE CANNIBALISME, LES RELATIONS SEXUELLES AVEC DES ENFANTS, LA TORTURE, LE MEURTRE, ETC. NE CONVIENT PAS AUX ENFANTS — DISCRÉTION CONSEILLÉE !

C’est sur notre chaîne Bitchute.



Regarder un film de fiction ne résoudra pas ce problème – Que peut-on faire pour aider les parents et les enfants ?

Le problème du trafic sexuel d’enfants aux États-Unis est si répandu que si l’on ne s’attaque pas au principal moyen de financement de ce système diabolique, à savoir le gouvernement américain et le système de protection de l’enfance, il n’y a guère d’espoir de changer quoi que ce soit.

Et non seulement l’organisation de Tim Ballard, Operation Underground Railroad, ne dénonce pas le trafic sexuel d’enfants dans le cadre du système national de protection de l’enfance financé par le gouvernement, par le biais du placement en famille d’accueil et de l’adoption, mais elle soutient en fait cette filière n° 1 pour le trafic sexuel d’enfants.

Lettre de Katherine Ballard, fondatrice de Children Need Families

Lorsque mon mari Tim et moi-même avons adopté nos deux enfants d’Haïti, nous avons fait l’expérience directe de tous les formulaires, des autorisations gouvernementales, des frais juridiques, du temps et de la patience qu’il a fallu pour les ramener enfin à la maison.

Ce fut un voyage long, frustrant, déroutant et coûteux. Je voulais que mes enfants soient en sécurité chez moi, mais notre famille ne pouvait rien faire d’autre que de suivre la procédure, de prier et d’attendre. Nous avons eu la chance d’avoir une famille et des amis généreux qui nous ont aidés financièrement et nous ont apporté un soutien général.

C’est à la suite de cette expérience que le projet Children Need Families (Les enfants ont besoin d’une famille) a vu le jour. J’ai senti que quelque chose devait et pouvait être fait pour aider d’autres familles à traverser le long et difficile processus d’adoption (jusqu’à trois ans dans de nombreux cas, comme le nôtre).(Article complet.)

Voir aussi :

Comment l’Église chrétienne et le gouvernement américain collaborent pour faire le trafic des enfants dans le monde entier par le biais du commerce lucratif de l’adoption

Pour être juste envers les Ballard, je crois qu’ils essaient d’abord de réunir ces enfants dans des endroits comme Haïti avec leurs familles biologiques, mais ce système ne pourra pas être réformé tant que les groupes et les organisations qui dénoncent le trafic sexuel d’enfants ne cesseront pas de travailler avec le gouvernement américain, qui est la principale source de financement du trafic d’enfants.

L’Arizona est l’un des endroits des États-Unis qui est clairement une plaque tournante de la traite sexuelle des enfants.

L’Arizona a toujours retiré les enfants à leurs parents par le biais du système de protection de l’enfance à un taux plus élevé que tous les autres États, et c’est aussi un endroit où de nombreux enfants sont amenés aux États-Unis pour le trafic sexuel à travers la frontière avec le Mexique.

Nous avons lancé MedicalKidnap.com en 2014 pour documenter la façon dont les enfants étaient victimes de la traite dans le cadre du système de protection de l’enfance, et l’Arizona est, de loin, l’État où nous avons réalisé le plus grand nombre d’articles sur la traite des enfants.

La situation est si grave en Arizona que nous avons acheté du temps d’antenne sur une station de radio locale basée à Phoenix et produit une série d’émissions en 2019 exposant le problème de la traite des enfants en Arizona en transmettant notre message directement à la population.

Avec la récente révélation du trafic sexuel d’enfants par le film Sound of Freedom, j’ai vu un clip d’une résidente de l’Arizona, Cindy McCain, épouse de l’ancien sénateur John McCain, qui avouait que tout le monde connaissait Jeffrey Epstein et son réseau de pédophiles.

Pendant des années, Cindy McCain a fait partie du Conseil de l’Arizona sur la traite des êtres humains, tout comme le gouverneur de l’époque, Doug Ducey.

Nous nous sommes donc intéressés au Conseil de l’Arizona sur la traite des êtres humains de Cindy McCain dans l’une de nos émissions diffusées sur KFNX Talk Radio 1100, en interviewant Lori Ford, responsable de l’AZ DCS Oversight Group, un groupe de bénévoles qui assistent aux réunions concernant les questions relatives au Département des services à l’enfance de l’Arizona.

Le groupe compte également des « observateurs » qui assistent aux audiences du tribunal des dépendances en tant que défenseurs des parents et qui observent la façon dont ces parents sont traités au tribunal des dépendances.

Lori a déclaré que le groupe ne voulait PAS devenir une société à but non lucratif 501 c3, car il ne voulait pas tomber sous la « coupe du gouvernement ».

Lorsqu’on lui a demandé pourquoi les membres du groupe fournissaient gratuitement leurs services aux familles et à d’autres personnes, elle a répondu :

La raison pour laquelle nous faisons cela, c’est que c’est très important. Il s’agit de l’avenir de notre pays, de l’avenir de notre nation. Et la famille représente tout pour nous tous.

C’est pourquoi nous le faisons. Nous constatons que de nombreux droits sont violés dans ce système de tribunaux de la dépendance.

Nous avons interviewé Lori juste après qu’elle et son groupe aient assisté à l’une des réunions du Conseil de l’Arizona sur la traite des êtres humains.

Lori s’est adressée au Conseil au cours de la section des commentaires publics, soulignant que si le Conseil avait dénoncé des sites Web qui pratiquaient la traite des enfants, tels que BackPage.com, qui a été fermé par le FBI en 2018, le Conseil n’avait pas abordé un autre site Web en Arizona qui pratiquait la traite des enfants, le site Web DCS .gov : « Children’s Heart Gallery ».

Ce site Web financé par les contribuables est destiné à recruter des parents adoptifs, mais il expose ces enfants à des prédateurs en publiant des photos et des descriptions d’enfants vivant actuellement dans des familles d’accueil.

Il n’y a aucune précaution à prendre pour accéder à ce site Web. Il n’est pas nécessaire de s’inscrire, il est simplement ouvert au monde.

Lorsqu’on lui a demandé si les enfants figurant sur le site Internet du DCS provenaient de parents qui avaient volontairement donné leurs enfants à l’adoption, Lori a répondu :

Les enfants qui figurent sur cette galerie du cœur, qui fait partie du site Web du DCS, sont des enfants qui sont sous la garde du DCS. Ce sont des enfants placés en famille d’accueil ou en foyer.

Il s’agit d’un site d’adoption forcée, d’un site de relogement forcé si vous voulez, d’enfants qui sont sous la garde du DCS.

Ils vendent des enfants en ligne.

Pourtant, si un parent qui se bat contre le système pour récupérer ses enfants met en ligne des photos de ses enfants placés en famille d’accueil, les juges du tribunal des dépendances de l’Arizona lui ordonnent systématiquement de retirer ses photos, et ont même menacé MedicalKidnap.com de mettre en ligne des photos que les parents ont fournies de leurs propres enfants, faisant ainsi pression sur les parents pour que Health Impact News retire leurs histoires et leurs photos (ce que nous n’avons JAMAIS fait).

Lorsqu’on lui a demandé ce que le Conseil de l’Arizona sur la traite des êtres humains avait réellement accompli, Lori a répondu :

Je ne sais pas ce qu’ils ont accompli, pour vous dire la vérité…. C’est un Conseil où des intervenants parlent de la traite des êtres humains… ils parlent de la traite des êtres humains.

D’après ce que j’ai vu de ce Conseil, je ne crois pas qu’il fasse quoi que ce soit pour empêcher la traite des êtres humains.

Écouter l’intégralité de l’entretien avec Lori Ford :

Lori et son groupe, l’AZ DCS Oversight Group, sont un exemple de ce qui peut être fait au niveau local pour dénoncer le trafic d’enfants par le biais du système de protection de l’enfance, en travaillant avec des parents dont les enfants ont été kidnappés par l’État, et en allant au tribunal avec eux en tant que « surveillants de tribunal » pour faire savoir aux criminels que les gens de leur communauté les surveillent et dénoncent leur trafic d’enfants sous le couvert de la loi.

Vous pouvez la trouver sur Twitter et Facebook sous le nom de « AZ DCS Warriors ».

Ce que ce groupe fait depuis de nombreuses années pour dénoncer le trafic d’enfants et aider les parents et les enfants devrait être un modèle pour TOUS les États des États-Unis.

Nous contactons Lori pour voir si nous pouvons l’aider à créer un site Web et à collecter des fonds pour aider d’autres personnes à travers les États-Unis à créer des groupes similaires dans d’autres États.

C’est ce type d’activisme, avec des « bottes sur le terrain », qui est nécessaire pour vraiment faire la différence dans le domaine de la traite sexuelle des enfants.

La frontière entre l’Arizona et le Mexique est un autre endroit où des bénévoles aident les victimes de la traite des enfants. J’ai récemment publié un rapport sur la façon dont les habitants de l’Arizona aident les enfants qui traversent la frontière. Voir :

En effet, ces bénévoles trouvent souvent des enfants seuls, abandonnés juste après avoir franchi la frontière dans le désert brûlant de l’Arizona, où ils risquent souvent de mourir de soif ou d’être ramassés par les cartels avant que les services de contrôle des frontières ne les trouvent et ne les traitent.

Certaines de ces personnes font cela à la frontière depuis des années.

Ainsi, bien que le film Sound of Freedom expose une partie de ce trafic d’enfants, le film lui-même ne présente aucune nouvelle information qui n’ait pas déjà été exposée par d’autres depuis de nombreuses années, et le simple fait de regarder un film dans un cinéma ne changera probablement pas grand-chose à ce trafic d’enfants financé et géré par le gouvernement.

Si vous voulez protéger les enfants de votre communauté contre la traite, vous devez vous solidariser avec les parents dont les enfants ont été enlevés par l’État, et la grande majorité d’entre eux sont des familles vivant dans la pauvreté qui aiment leurs enfants et feraient n’importe quoi pour les garder si les gens les aidaient.

C’est certainement vrai dans d’autres pays également, mais le secteur lucratif de l’adoption et du placement familial est tout simplement trop prospère et trop puissant pour permettre que cela se produise, car le gouvernement dépense d’énormes ressources financières pour que des parents sans enfants, y compris des pédophiles, accueillent et adoptent les enfants d’autres personnes, plutôt que de dépenser ces ressources pour que les enfants restent dans leur famille biologique.

Cet article a été écrit par un être humain, sans l’aide de l’IA