Des scientifiques remettent en question les préceptes fondamentaux de la virologie. Les virus existent-ils vraiment ?

[Source : https://www.lifesitenews.com]

[Traduction Jean Bitterlin, le 31 juillet 2024]

Un certain nombre d’experts en santé favorables à la liberté, dont l’ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, remettent désormais en question non seulement l’existence du COVID-19, mais aussi celle de tous les virus.

(NDT L’image ci-dessus n’est pas une image provenant de la microscopie électronique, mais est l’œuvre d’un artiste qui l’a réalisée à l’aide d’un programme informatique. Nous y voyons des « virus SARS-CoV-2 » nageant au milieu de globules rouges. Cette « œuvre » figurera peut-être un jour dans un musée dédié à la farce COVID-19.)

Mercredi 17 juillet 2024

Citoyens américains : Exigez du Congrès qu’il enquête sur la surmortalité qui s’élève en flèche. (Demand Congress investigate soaring excess death rates)

(LifeSiteNews) —  Dans une interview accordée le 20 juin à Tucker Carlson1 le présentateur de télévision et auteur écossais Neil Oliver a indiqué qu’il n’était « pas persuadé » qu’il existait une chose telle qu’un virus COVID-19 circulant dans la population depuis 2019 et 2020, expliquant que selon lui, sur la base des statistiques de lits d’hôpitaux et de décès, il n’y avait « pas de pandémie », mais plutôt « une pandémie de propagande, une pandémie de mensonges et une pandémie de (faux) tests PCR. »

Pourtant, lui et d’autres seront peut-être surpris d’apprendre que de nombreux scientifiques ont affirmé avoir la preuve qu’il a raison et que le virus SARS-CoV-2 n’existe même pas. En outre, ils affirment, avec une confiance impressionnante et des démonstrations détaillées, qu’il n’y a en fait aucune preuve que les virus existent et que la virologie elle-même est une « pseudoscience ».

Dans une vidéo de 40 minutes intitulée « Preuve officielle que la virologie est une pseudoscience », la chercheuse canadienne Christine Massey explique comment elle et d’autres ont adressé des demandes au titre de la liberté d’information2 à des centaines d’institutions scientifiques dans 40 pays différents « pour obtenir tout document attestant que quelqu’un dans le monde a jamais trouvé ce prétendu virus (SARS-CoV-2) dans le liquide corporel, les tissus ou les excréments de n’importe quelle personne, n’importe où sur Terre, et par n’importe qui ».

« À ce jour, nous avons reçu des réponses de 216 institutions différentes provenant de 40 pays. Et jusqu’à présent, personne n’a été en mesure de nous fournir ne serait-ce qu’un seul dossier » et par conséquent « ils ne peuvent citer aucun dossier », a-t-elle déclaré. « Ils ont donc tous admis qu’ils n’avaient pas d’échantillon du prétendu virus et qu’ils ne connaissaient même pas une personne qui ait un jour obtenu un échantillon de ce prétendu virus ».

Un tel échantillon serait nécessaire « afin de séquencer et caractériser une particule et l’étudier au moyen d’expériences de contrôle, ce qui est le fondement de la méthode scientifique », a-t-elle poursuivi. « Et si personne n’a d’échantillon du prétendu virus, alors personne ne peut avoir fait de la science ».

Christine Massey, ancienne biostatisticienne spécialisée dans le cancer et titulaire d’une maîtrise en sciences, fournit une documentation complète sur ses recherches, y compris une liste des organisations qu’elle a contactées, dont l’Organisation Mondiale de la Santé, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis, le Conseil National de la Recherche du Canada, le Public Health of England, et des centaines d’autres. Elle fournit également une longue liste de leurs réponses respectives.

Aucun rapport scientifique de quelque virus que ce soit chez l’homme ou l’animal

Parmi ces réponses l’une provient du CDC et une autre, qu’elle cite, émane de l’hôpital Mount Sinai au Canada, qui déclare :

« Nous ne savons pas si l’isolement d’un virus de la manière que vous avez décrite est possible pour n’importe quel virus. Cela n’entre pas dans le cadre des processus scientifiques actuels ».

Toutefois, Christine Massey précise qu’« il ne s’agit pas d’une limitation de la technologie (car) les protéines et autres particules plus petites sont censées être purifiées », mais ce que ces lettres indiquent, c’est qu’une telle purification et un tel isolement « n’ont jamais lieu en virologie », probablement « parce que s’ils purifiaient des particules, ils ne seraient pas en mesure de montrer qu’elles correspondent réellement à la définition d’un virus ».

Par conséquent, comme d’autres experts au cours des dernières décennies, Christine Massey déclare qu’elle et ses collègues chercheurs ont réalisé que cette anomalie ne se limitait pas au COVID-19, mais à l’ensemble de la virologie. Elle en a déduit que ce domaine d’étude n’était « pas scientifique ». Il n’y a jamais de variable indépendante valable », mais au contraire « on va dans la direction opposée » en menant ce qu’elle appelle « une pseudoscience flagrante ».

[Voir :
Aveuglés par la pseudoscience]

En conséquence, elle et ses collègues ont fait des demandes similaires au titre de la liberté d’information pour « d’autres virus supposés », demandant « toute trace d’un virus supposé infecter les humains qui aurait été purifié à partir d’une personne malade. Et ils ont admis qu’ils n’en avaient aucune ». La même information a été demandée à des institutions telles que le CDC concernant « tout virus supposé être couvert par un soi-disant vaccin dans leurs calendriers de vaccination, que ce soit pour les enfants ou pour les adultes, et ils n’ont pas été en mesure de fournir le moindre dossier ».

Ces mêmes demandes ont également été adressées à des institutions telles que l’Agence Canadienne d’Inspection des Aliments qui, à l’occasion, ordonne la destruction d’un grand nombre d’animaux de ferme « au motif qu’ils sont prétendument infectés par des virus dangereux ».

« Ils ont admis sans ambages qu’ils ne disposaient d’aucun dossier de ce type », a-t-elle déclaré.

La virologie n’a jamais réussi à remplir ses propres exigences afin de prouver l’existence des virus

Pour compléter les découvertes de Christine Massey, le Dr Mark Bailey, médecin néo-zélandais, a rédigé un long document technique en 2022. La thèse de 29 000 mots de Bailey est intitulée « UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT) » et a également été transformée en une série de vidéos en trois parties pour expliquer ses arguments à un public plus large.

La première vidéo décrit Bailey comme « un chercheur en microbiologie, en industrie médicale et en santé qui a travaillé dans le domaine médical, y compris les essais cliniques pendant deux décennies » et déclare que son article détaillé, qui s’attaque aux fondements mêmes de toute la discipline de la virologie, reste « incontesté ».

« La virologie a inventé le modèle théorique fictif des virus, mais n’a jamais réussi à remplir ses propres exigences afin de prouver leur existence », résume le narrateur Steve Falconer. « On prétend que les virus provoquent des maladies après s’être transmis entre des hôtes tels que les humains. Pourtant, en dehors des dessins animés, des modèles informatiques et des films hollywoodiens, il n’existe aucune preuve scientifique de ces affirmations ».

Le plus grand échec de la virologie « a peut-être été l’incapacité d’obtenir des particules virales directement à partir des tissus ou des fluides d’organismes tels que les humains censés souffrir de maladies virales », poursuit la vidéo. « Afin d’obscurcir cet état de fait, les virologues ont eu recours à la création de leurs propres méthodes pseudoscientifiques pour remplacer la méthode scientifique traditionnelle, comme des expériences de contrôle rigoureuses pour tenter de réfuter leur hypothèse initiale. »

« Pourtant, les virologues n’ont jamais isolé cette particule de vésicule extracellulaire seule et séparée des milliers d’autres particules trouvées dans les tissus humains, les fluides et dans leurs expériences en boîte de Petri et en tube à essai pour « la caractériser génétiquement et prouver qu’il s’agit bien d’une particule virale », affirme la vidéo. Les virologues doivent isoler une particule qu’ils croient être un virus grâce à l’imagerie photographique, afin de prouver qu’il s’agit bien d’un virus « et non de simples débris cellulaires ».

En outre, une particule virale doit être testée pour « remplir des propriétés physiques et biologiques définies, notamment être un parasite intracellulaire capable de se répliquer, ce qui signifie qu’il produit des copies identiques de lui-même à l’intérieur d’un organisme hôte, et qu’il est également capable de provoquer une maladie chez un hôte tel que l’homme », explique M. Falconer.

Il n’existe pas un seul article scientifique publié qui de manière légitime trouve un « virus »

« Cependant », poursuit la vidéo, « les virus tels que le SARS-CoV-2 ne sont rien d’autre que des constructions fantômes qui n’existent que dans l’imagination et les simulations informatiques ».

« Dans ce paradigme, les cas de maladies inventées comme le COVID-19 ne sont rien d’autre que la détection de minuscules séquences génétiques communes sélectionnées et de protéines supposées ou plutôt prétendues être virales », affirme Falconer. « L’existence d’un véritable virus n’est pas nécessaire dans ce raisonnement circulaire fallacieux. Ainsi, des pandémies fictives entières peuvent être construites sur la base de créations numériques fictives, puis faussement maintenues grâce à des réactions moléculaires in vitro3 qui n’ont aucune signification ».

Dans la vidéo, le docteur Thomas Cowan, qui se décrit comme un médecin spécialisé dans les médecines alternatives, affirme un « fait sur lequel tous les virologues s’accordent », à savoir qu’« il n’y a pas un seul article scientifique publié dans lequel une particule que l’on pourrait qualifier de virus » ait été trouvée « dans le liquide biologique d’un homme ou d’un animal malade, où que ce soit. Et tout le monde est d’accord. Tous les virologues sont d’accord. Ils disent que ce n’est pas comme ça qu’on trouve un virus ».

En outre, comme le stipule un document dont le Dr Cowan est l’un des principaux auteurs, intitulé « Settling the Virus Debate » (SVD – Régler le débat sur les virus), des particules similaires appelées exosomes « ont été isolées avec succès par purification, mais il n’a pas été démontré qu’elles étaient capables de se répliquer, qu’elles étaient infectieuses et qu’elles provoquaient des maladies ; on ne peut donc pas dire qu’il s’agit de virus ».

Des particules infiniment plus petites que de « prétendus virus » sont régulièrement isolées, expérimentées, fabriquées et même construites en tant que nanotechnologies

Le documentaire poursuit en expliquant que « la centrifugation en gradient de densité est la technique standard scientifiquement requise pour démontrer l’existence d’un virus ». Pourtant, « bien que cette méthode soit décrite dans tous les manuels de microbiologie comme la technique d’isolement des virus, elle n’est en fait jamais appliquée dans les expériences visant à démontrer l’existence de virus pathogènes ».

En outre, Falconer explique que les virologues décrivent les virus comme ayant un diamètre de « 30 à 150 nanomètres », alors que « les chimistes moléculaires trouvent et isolent tous les jours sans problème des molécules plus petites qu’un nanomètre… et font toutes sortes de choses avec elles ».

En fait, « IBM a dévoilé en 2021 la première technologie de puce à deux nanomètres au monde avec des nanofeuilles de deux nanomètres qu’ils sont facilement capables de fabriquer, de trouver, d’isoler et même d’attacher à d’autres nanobandes qui ne font que 12 à 44 nanomètres de large et 75 nanomètres de long, qu’ils peuvent clairement fabriquer, trouver et isoler afin d’y attacher les nanofeuilles plus petites de deux nanomètres ».

« Pourtant, les virologues ne peuvent pas trouver un virus de 30 à 150 nanomètres dans un grand échantillon d’expectoration », observe le documentaire vidéo, bien que la propagande du gouvernement COVID-19 suggère que les personnes infectées sont porteuses du virus à des niveaux si importants qu’il peut rendre une personne dangereusement malade à une distance de six pieds et qu’il peut être filtré par un masque N95.

Selon le document SVD, au lieu d’utiliser la centrifugation pour isoler ces particules, les virologues proposent des « preuves de l’existence des virus » par le biais de « génomes » et d’expériences sur les animaux, qui, selon les auteurs, « découlent de méthodologies avec des contrôles insuffisants ».

Outre le Dr Tom Cowan on trouve, parmi les signataires du document SVD, Christine Massey, le Dr Mark Bailey et sa femme le Dr Samantha Bailey, M.D., et seize autres experts dont l’ancien vice-président et scientifique en chef de Pfizer pour les allergies et maladies respiratoires, le Dr Michael Yeadon.

L’opinion dominante selon laquelle les virus existent est défendue par d’autres médecins de la liberté de la santé : « le bébé a été jeté avec l’eau du bain »

Le document SVD continue à « rencontrer les virologues n’ayant parcouru que la moitié du chemin » en proposant une première expérience qui n’exige pas de leur part qu’ils isolent correctement un virus, mais qui est plutôt basée sur leur méthodologie actuelle de séquençage des génomes de « prétendus virus ».

Bien que personne dans la communauté des virologues n’ait apparemment accepté de relever ce défi, une réponse au document a été apportée en mai par un article des docteurs Michael Palmer et Sucharit Bhakdi (P&B), qui cherchent à défendre le consensus de longue date selon lequel l’existence des virus a été correctement démontrée depuis de nombreuses années.

Dans « Les virus existent-ils ? », ces deux médecins reconnaissent tout d’abord qu’à la suite du phénomène COVID-19, « le public a de nombreuses raisons de se méfier… de la «communauté scientifique» » en raison d’une foule de « mensonges absurdes et éhontés » avancés par ces prétendues autorités scientifiques et politiques. Cependant, ils mettent en garde contre un « scepticisme radical » compréhensible et accusent les sceptiques du virus d’avoir « jeté le bébé avec l’eau du bain ».

Après avoir discuté de l’histoire de la théorie des germes, P&B font quelques déclarations fondamentales qui ont été peu après contrées par Massey dans un courriel qu’elle leur a envoyé et qui a été publié par la suite, ainsi que dans une analyse vidéo d’environ 43 minutes réalisée par Tom Cowan le 29 mai.

Par exemple, P&B défendent l’identification et l’« isolement » des virus à l’aide de cultures cellulaires en présentant trois points distincts.

Premièrement, les virus ont souvent « des formes très caractéristiques qui ne risquent pas d’être confondues avec des particules produites par des cellules vivantes ou avec des débris laissés par des cellules mortes ».

En réponse, Cowan souligne que P&B admettent implicitement que « ces virus n’ont jamais été isolés selon la définition courante de l’isolement ». Il poursuit en affirmant que la déclaration de P&B à ce sujet est « clairement fausse », comme le démontrent de nombreux documents qui la réfutent directement, dont un qui affirme qu’il n’y a « aucun moyen » de distinguer ces prétendus virus d’autres particules en se basant uniquement sur des images.

[Voir aussi :
Ça sent la mort pour la pseudoscience qu’est la virologie]

Deuxièmement, P&B poursuivent en disant qu’« il existe de nombreuses méthodes biochimiques pour caractériser les particules virales », ce que Cowan qualifie de « raisonnement circulaire ». Il demande comment on peut savoir qu’on a affaire à des particules virales si on ne les a jamais isolées et identifiées correctement. En outre, comment peut-on savoir que l’on établit « l’information génétique caractéristique du virus plutôt que de la culture de la cellule hôte » si l’on n’a « jamais isolé, c’est-à-dire séparé, le virus de la culture de la cellule hôte » ?

« Aucune particule n’a jamais été séquencée, caractérisée, étudiée au moyen d’expériences contrôlées et valables, et il n’a jamais été démontré qu’elle correspondait à la définition d’un virus »

Troisièmement, P&B précise que « tous les virus ne sont pas faciles à cultiver dans des cultures cellulaires », ce qui, selon le Dr Tom Cowan, est « une réflexion étonnante ».

« En d’autres termes, ils nous disent que la façon d’isoler, c’est-à-dire de trouver, c’est-à-dire de prouver l’existence d’un virus, est de le cultiver dans une culture cellulaire et de voir l’effet cytopathique sur ces cellules très spécialisées », a-t-il déclaré. “C’est ainsi que l’on identifie la présence d’un virus. Ensuite, ils se retournent et disent : « Eh bien, il y a des virus qu’on ne peut pas cultiver dans des cellules ».

“Vous ne venez pas de me dire que la définition pour savoir s’il y a un virus, c’est qu’il faut qu’il provoque un effet cytopathique dans une culture cellulaire ?” demande Cowan. « Et maintenant, vous me dites que tous les virus ne peuvent pas être cultivés dans une culture cellulaire. Comment avez-vous su en premier lieu qu’il s’agissait d’un virus, parce que c’est ce que vous venez de me dire à l’instant, comment je pourrais le savoir. Et ils font cela encore et encore ».

Christine Massey a ajouté que dans nombre de leurs déclarations, y compris celles mentionnées ci-dessus, P&B s’appuient sur des « sophismes de réification », qui sont définis comme « lorsqu’un argument s’appuie sur un concept abstrait comme s’il s’agissait d’un fait concret ; lorsqu’un scénario ou une situation hypothétique est évoqué et traité comme s’il s’agissait d’une chose réelle ».

Le fait de qualifier continuellement les particules de « virus » n’en fait pas des virus, ne prouve pas qu’elles le sont et induit en erreur en raison de l’absence de preuves valables et logiques », a déclaré la chercheuse canadienne. Il existe peut-être de nombreuses méthodes pour caractériser les particules submicroscopiques, mais aucune particule n’a jamais été séquencée, caractérisée, étudiée à l’aide d’expériences contrôlées et valables, et il n’a jamais été démontré qu’elle correspondait à la définition d’un « virus ».

Aucune analyse d’un « génome » fabriqué par un programme informatique, dont on n’a jamais démontré qu’il avait une contrepartie physique, ne pourrait nous apprendre quoi que ce soit sur un prétendu virus

P&B affirment également que les virus, y compris le virus SARS-CoV-2, ont été isolés « à de nombreuses reprises » et que cet « isolement est souvent utilisé pour la caractérisation initiale d’un nouveau virus », tandis que des méthodes plus rapides d’utilisation d’une culture cellulaire sont utilisées pour la détection de routine.

Faisant référence à ses recherches approfondies qui n’ont pas permis de trouver de preuves d’un tel isolement, Christine Massey a répondu : « Je vous mets au défi de citer une étude dans laquelle un prétendu “virus” a été trouvé dans le liquide corporel/tissu/excrément d’un soi-disant “hôte” et a été effectivement isolé (purifié), séquencé, caractérisé et montré comme causant la maladie en question ».

« J’ai littéralement sur mon site web des centaines de réponses dans le cadre de demandes de liberté d’information4 émanant de plus de 220 institutions dans 40 pays et, dans aucun cas une institution a été en mesure de citer une étude décrivant l’isolement ou la purification réels d’un prétendu virus », a-t-elle écrit.

P&B ont également affirmé que « la nature artificielle du SARS-CoV-2 peut être démontrée de manière convaincante en se basant uniquement sur la séquence de nucléotides de son génome », ce à quoi Christine Massey a répondu qu’ils devaient, pour commencer, d’abord citer « des preuves valables de l’existence du « SARS-COV-2 ». Aucune analyse d’un « génome » informatique inventé dont il n’a jamais été démontré qu’il avait une contrepartie physique ne peut nous apprendre quoi que ce soit sur un prétendu « virus ».

En outre, P&B affirment qu’« il est également possible d’acheter des échantillons du virus purifié auprès de l’American Type Culture Collection », ce à quoi Christine Massey a répondu : “Je vous mets au défi d’étayer cette affirmation en démontrant que tout « isolat » vendu par l’ATCC ou tout autre fournisseur consiste en fait en des particules purifiées et que ces particules se sont avérées être un « virus », en fournissant un lien supplémentaire pour plus d’explications.5

Créé en 1914, l’ATCC est devenu le leader mondial dans la recherche et le développement d’expertise pour l’identification, la caractérisation, de conservation et de distribution d’une large gamme de cellules les lignes et les microbes.

Dr Tom Cowan : P&B « ne disposent d’aucune preuve scientifique solide », mais seulement d’une « étude incontrôlée et irrationnelle datant de 1984, qui ne tente même pas d’isoler quoi que ce soit »

P&B poursuivent en citant une étude de 1985 dans laquelle ils affirment qu’un virus a été « directement isolé » grâce à l’utilisation de porcs « gnotobiotiques », c’est-à-dire « exempts de germes ». Cowan fournit une analyse approfondie de l’étude, affirmant qu’elle a d’abord présumé la présence d’un virus sans la démontrer, qu’elle n’avait pas de groupe de contrôle et qu’elle a simplement présumé que les effets de la diarrhée chez les porcs étaient causés par un virus, sans vérification scientifique suffisante.

« Palmer et Bhakdi utilisent cette étude et doivent remonter à 1985 pour trouver une étude dans laquelle ils ont isolé le virus directement sans utiliser de culture cellulaire », a proposé M. Cowan. Et pourtant, « il n’y a aucune preuve de l’existence d’un virus dans cette étude ».

« Cet article ne démontre donc clairement pas le point que ces deux auteurs essayaient de faire valoir. Il n’y a aucune preuve de l’isolement d’un virus, nouveau ou autre », poursuit-il. « Ils n’ont jamais eu de forme pure de ce virus et n’ont donc jamais pu l’étudier ».

Vers la fin de leur article, P&B affirment que « la légende selon laquelle le SARS-CoV-2 n’a jamais été isolé est fondée uniquement sur l’exigence rigide qu’un tel isolement soit accompli sans l’utilisation de cultures cellulaires ».

À cela, M. Cowan répond :

« Ce n’est pas une exigence rigide, c’est une question de bon sens. Et si vous n’êtes pas d’accord avec cela, donnez-nous une définition de ce qu’est l’isolement et montrez-nous dans quelle partie de la culture cellulaire l’isolement a été effectué. Et je peux vous garantir qu’ils ne répondront pas à cette question ».

P&B affirment en outre que ‘les virologues praticiens sont très enclins à ignorer cette exigence (rigide)’, en raison de la commodité d’utilisation d’une culture cellulaire, et « nous ne pouvons pas les en blâmer ».

« La raison pour laquelle ils ignorent cette exigence est qu’il n’y a aucune partie de la culture cellulaire qui corresponde à la définition de l’isolement ou qui montre que le virus a été isolé », a répondu M. Cowan. « Ainsi, lorsqu’ils affirment que c’est plus facile pour eux, bien sûr que c’est plus facile, c’est tout simplement faux ».6

Dans leur conclusion, P&B déclarent : « Bien que nous ayons toutes les raisons de nous méfier et de mettre en accusation l’establishment médical et scientifique d’aujourd’hui, cela ne doit pas nous conduire à ignorer les preuves scientifiques solides lorsqu’elles existent ».

« Ils n’ont pas de preuves scientifiques solides », a rétorqué M. Cowan. «Ils ont une étude incontrôlée et irrationnelle datant de 1984 qui ne commence même pas, qui ne tente même pas d’isoler quoi que ce soit, ce qui est tout le point central de (leur) article, de nous montrer un article qui a isolé et prouvé l’existence d’un virus sans faire de culture cellulaire».

Le Dr Peter McCullough plaide en faveur des virus, d’autres experts de la liberté de la santé lui répondent

Le Dr Peter McCullough, cardiologue très connu et très respecté, qui est devenu un héros pour beaucoup en s’opposant aux vaccins COVID-19, a répondu à cette question dans un podcast du 10 juin, indiquant qu’il était mal à l’aise face à la remise en question du consensus sur l’existence des virus.

‘Il existe toute une littérature évaluée par des pairs sur le SARS-1, ainsi que sur le MERS, le virus respiratoire du Moyen-Orient, et maintenant sur le SARS-CoV-2, la maladie respiratoire aiguë soudaine, et la maladie COVID-19’, a-t-il déclaré. « Tous ces virus ont été cultivés et isolés. Il y a eu des tentatives pour tuer le virus et l’utiliser comme vaccin dans ces trois exemples ».

Tout en exprimant son grand respect pour le Dr McCullough, y compris son « soutien à son travail fantastique, avertissant les gens de ne pas suivre ces absurdités et de ne pas prendre ces injections toxiques », le Dr Mark Bailey a fait part de la nécessité d’apporter une réponse aux déclarations similaires faites par le célèbre défenseur de la liberté médicale en septembre dernier :

Lorsque Peter dit des choses comme « isolement », comprend-il ce qu’il veut dire, parce qu’il ne parle pas ici d’isolement physique. Nous savons qu’ils ne le font pas, et nous savons qu’ils ont essayé. Ce n’est pas faute d’avoir essayé au cours du siècle dernier. Dans les années 70, en particulier, on s’est efforcé de purifier les particules dont on pouvait démontrer qu’elles étaient de nature virale, mais sans succès.

Ainsi, lorsqu’il parle d’isolement, nous devons rappeler à tout le monde qu’il s’agit de la définition virologique de l’isolement, qui n’a en fait pas vraiment de définition. Certains manuels de virologie ne donnent même pas de sens spécifique à ce mot. Ils l’utilisent donc comme bon leur semble…

(Et) avec ce qu’il appelle la culture standard, il parle simplement d’expériences de décomposition cellulaire où un échantillon biologique est ajouté à quelque chose de traditionnel comme des cellules de rein de singe, qui ont tendance à se décomposer parce qu’elles présentent des anomalies chromosomiques, et il prétend qu’il s’agit d’une technique d’isolement en regardant cette décomposition.

Le Dr Peter McCullough a poursuivi son podcast en soulignant que « Sinopharm, la société qui fabrique le vaccin chinois, cultive en fait le virus en grandes quantités, puis le tue et l’administre sous forme de vaccin ».

En réponse à une déclaration similaire, M. Bailey a fait référence à son article expliquant une étude chinoise de février 2020 qui décrit comment les scientifiques ont prélevé un échantillon de poumon sur « un homme de 41 ans atteint d’une pneumonie » et ont ensuite « cherché toutes les séquences d’ARN qu’ils pouvaient trouver dans ce liquide », créé un modèle silico7 et l’ont ensuite comparé à d’autres dans la base de données génétiques.8

« Sur cette base, ils ont déclaré qu’il existait un nouveau coronavirus, alors qu’il n’y a rien dans ce document qui montre que quoi que ce soit se réplique, qui montre que quoi que ce soit soit infectieux, et qu’il n’y a certainement aucune preuve que les séquences génétiques qu’ils ont publiées proviennent de l’intérieur d’une particule qu’ils prétendent avoir identifiée », a-t-il déclaré.

« C’est donc de ce genre de pseudoscience dont nous parlons lorsqu’ils font des déclarations d’isolement. Ils n’ont rien fait de tel, et nous ne pouvons qu’encourager Peter à lire le travail que nous avons tous effectué », a-t-il poursuivi. « Nous passons en revue ces (nombreuses) méthodologies et montrons pourquoi elles ne sont pas scientifiques et pourquoi elles ne démontrent pas l’existence de parasites intracellulaires capables de se répliquer ».

Il n’a jamais été démontré que les particules obtenues par microscopie électronique étaient capables de se ‘répliquer ou de provoquer des maladies, et on ne peut donc pas dire qu’elles soient des « virus »

Le Dr Peter McCullough a poursuivi son podcast en proposant que le virus COVID-19 est scientifiquement « visible au microscope électronique ». Ainsi, lorsque nous l’observons, le virus envahit une cellule humaine, se multiplie à l’intérieur de la cellule, puis la cellule éclate et toutes les particules virales sortent comme un champignon ».

Pourtant, après avoir présenté des arguments similaires sur sa page Substack en novembre 2022, le Dr Sam Bailey a apporté une réfutation quatre jours plus tard en affirmant que la section des méthodes de l’étude citée par McCullough « révèle que les auteurs ont simplement affirmé qu’ils avaient commencé avec des « souches virales » dans certains spécimens obtenus» et qu’après les avoir ajoutées à des cellules rénales de singe et avoir observé leur décomposition 4 à 5 jours plus tard, ils avaient déclaré que « diverses particules » parmi les « débris cellulaires » étaient des « virions ». En outre, il n’y a eu « bien sûr aucune expérience de contrôle ».

Ils sont tombés dans le piège de l’un des plus vieux stratagèmes de la virologie : ce que nous appelons l’escroquerie du « pointer et déclarer ». Il n’a jamais été démontré qu’une de ces particules imagées était capable de se répliquer ou de provoquer des maladies. Et aucune d’entre elles n’a été caractérisée pour déterminer le matériel génétique qu’elle contient, si tant est qu’il y en ait un », a-t-elle expliqué.

En effet, « aucune particule ne s’est jamais avérée capable de se répliquer et d’être pathogène pour répondre à ce concept imaginaire » de virus.

Le médecin néo-zélandais a également inclus une vidéo qu’elle a produite en février 2022 et qui traite de ce qu’elle considère comme la « prémisse non établie » sur laquelle reposent de tels arguments de la microscopie électronique et qui donne lieu à des conclusions non prouvées.

« Comme je l’ai souligné, si l’on veut affirmer qu’un virus a été découvert, les images de la micrographie électronique ne sont pas suffisantes, à moins qu’elles ne montrent des particules complètement purifiées qui peuvent ensuite être testées », résume-t-elle.

Son mari, le Dr Mark Bailey, a également déploré que « malheureusement » le Dr McCullough « semble tout simplement ignorer » ces réfutations et continue de prétendre que les arguments qu’il présente sont « tous des éléments incontestés, ce qui n’est pas correct ».

Dr Michael Yeadon met en garde contre la « pensée de groupe » : « De nombreux articles affirmant la même chose non prouvée »9 ne soutiennent tout simplement pas l’affirmation non prouvée

Le Dr Peter McCullough a poursuivi l’explication de son podcast en déclarant : « Pour ceux qui nient la présence du virus, je pense que nous approchons les 300 000 articles évalués par des pairs sur le sujet. Je veux dire que c’est une montagne de preuves qu’on ne peut rejeter du revers de la main ».

Interrogé par LifeSiteNews pour commenter ces déclarations, le Dr Michael Yeadon, qui est un expert en toxicologie, a fourni une réponse détaillée comprenant l’introduction suivante :

Mes préoccupations initiales concernent principalement la tentative de prétendre qu’un grand nombre d’articles affirmant la même chose non prouvée renforce l’affirmation non prouvée. Ce n’est tout simplement pas le cas.

À l’époque où les gens pensaient que la Terre était immobile et que le Soleil tournait autour d’elle, s’il y avait eu des « articles évalués par des pairs », tous les évaluateurs auraient approuvé les articles sur les systèmes centrés sur la Terre. Les chiffres n’en font pas une vérité. Simplement, une fois que la pensée de groupe s’installe, presque tout le monde interprétera les preuves sous cet angle. Cela continue jusqu’à ce que des preuves sans équivoque apparaissent pour contrer les erreurs de pensée.

Titulaire d’un doctorat en pharmacologie respiratoire et ayant travaillé pendant plus de 30 ans pour les plus grandes sociétés pharmaceutiques du monde, Michael Yeadon a accédé au poste de recherche le plus élevé dans ce domaine chez Pfizer, devenant vice-président et scientifique en chef pour les allergies et les maladies respiratoires. Il a démissionné en 2011 et a fondé sa propre société de biotechnologie, Ziarco, qui a ensuite été vendue à Novartis en 2017.

À LIRE : Former Pfizer VP: Why evidence is lacking for the existence of COVID-19 “virus” or any other (L’ancien vice-président de Pfizer : Pourquoi les preuves de l’existence du « virus » COVID-19 ou de tout autre virus font-elles défaut ?)

Le Dr Sam Bailey a expliqué un jour que toutes les personnes qu’elle connaît et qui ont mis ou mettent actuellement en évidence les failles fondamentales de la théorie virale y ont cru à un moment donné, mais ont changé d’avis à la suite d’une enquête personnelle.

De la même manière, le Dr Yeadon a déclaré dans une interview en 2022 qu’à la suite de conversations avec certains de ces individus, qui l’ont perturbé pendant un certain temps, il a fini par réaliser qu’il ne pouvait « plus maintenir » sa « compréhension des virus respiratoires » et qu’après avoir obtenu des informations supplémentaires, « la possibilité que les virus respiratoires tels qu’ils sont décrits existent s’est effondrée. Ils n’existent pas ».

« La science est dirigée par les industries »

Le Dr Kevin Corbett, spécialiste des sciences de la santé, s’est joint à Mark Bailey dans sa réponse vidéo au Dr McCullough en septembre dernier. Il a été présenté comme ayant avancé le même argument contre l’existence du virus VIH « pendant plus de trois décennies, avec des publications réfutant les méthodologies et les tests virologiques ».

Le chercheur britannique a affirmé que même un grand nombre de ses collègues défenseurs de la liberté médicale ont « reculé » devant ces défis à la virologie « parce qu’ils ne la comprennent pas et qu’ils sont effrayés par les arguments en raison de leur investissement dans l’industrie. Ils sont liés à l’industrie biotechnologique, qu’ils le veuillent ou non, et c’est pourquoi l’enjeu est si important ».

Il a ensuite cité un article publié en 1993 dans la prestigieuse revue Nature Biotechnology, article qui a fait l’objet d’un examen par les pairs et qui, selon lui, indique « qu’il n’existe pas d’isolat de VIH avéré » et que le mécanisme de test est donc « frauduleux » pour démontrer l’existence d’une infection par le VIH.

Bien que les scientifiques « ouverts aux arguments » aient vu « la logique de cet article », il a été « complètement ignoré » par les « soi-disant scientifiques », en particulier dans le « domaine du VIH », simplement parce que « l’industrie ne l’acceptera pas, et c’est l’industrie qui dicte cela, pas la science ». La science est dirigée par les industries », a affirmé M. Corbett.

Les conséquences de cette thèse « incroyable » signifieraient « l’effondrement de la moitié du système médical pharmaceutique » et « des calendriers de vaccination des enfants »

En effet, Mark Bailey ajoute que les ramifications de cette question sont très importantes pour l’industrie médicale, car cette thèse remet en question l’existence de « tous les prétendus virus », y compris le SARS-CoV-2, le VIH et le reste. S’il est « démontré que les virus n’existent pas, c’est l’effondrement de la moitié du système médical pharmaceutique. C’est l’effondrement des calendriers de vaccination des enfants. Les conséquences sont tout simplement incroyables ».

Selon le Dr Tom Cowan, cette question est également importante parce que « si les soi-disant leaders du mouvement pour la liberté de la santé ne sont même pas capables de comprendre la science de base des virus, qui est la question fondamentale de cette soi-disant pandémie, et de toute la tyrannie médicale, alors il n’y a aucun espoir que nous sortions de tout cela avec une position plus saine, rationnelle, logique et de bon sens, que nous nous libérions de ce système de croyances scientiste, et que nous vivions réellement notre vie sur la base de la pensée rationnelle, du bon sens et de la recherche de la vérité ».

Les sceptiques recherchent simplement des « expériences scientifiques contrôlées » pour démontrer que les « virus » agissent tels qu’ils sont définis

Résumant la position du mouvement sceptique viral, le médecin du nord de l’État de New York a déclaré : « Ce que nous demandons est très clair. Donnez-nous une définition de l’isolement. Expliquez-nous pourquoi l’isolement est fondamental. Il faut séparer une chose de tout le reste pour savoir de quoi elle est faite, quels sont ses composants et ce qu’elle fait ».

« Et ensuite, nous voulons des expériences scientifiques contrôlées pour montrer que ce virus purifié et isolé fait ce que vous dites qu’il fait », a-t-il proposé. « Et pour autant que nous puissions en juger, personne n’a été en mesure de fournir la moindre preuve. Notre position, ou du moins la mienne, repose donc sur la logique, le bon sens et la rigueur scientifique. »

Alors qu’au moins un virologue de l’establishment ayant admis avoir « essayé pendant longtemps d’isoler des virus dans des cultures cellulaires », mais « n’y être jamais parvenu », Christine Massey, a fait état de la création par un philanthrope allemand d’un « Fonds pour la Vérité de l’Isolement » qui, jusqu’au début de cette année, promettait 1,5 million d’euros à tout « virologue qui présenterait une preuve scientifique de l’existence d’un virus corona, y compris des expériences de contrôle documentées de toutes les étapes suivies pour la preuve ». Bien qu’une chercheuse ait tenté d’obtenir le prix, elle aurait apparemment refusé de fournir la preuve de sa prétendue découverte.

« Il n’y a aucune preuve de l’existence d’un virus », poursuit le Dr Tom Cowan. « Plus vite nous nous rendrons compte que toute l’escroquerie du COVID était basée sur cette escroquerie virale, et plus jamais nous ne tomberons dans le panneau ; et tous ceux qui prétendent être des leaders dans le mouvement pour la liberté de la santé, ou qui ont quelque chose à voir avec l’avenir de notre santé, doivent comprendre cela en premier lieu. Ou, je dirais, “dégagez du chemin” parce que nous ne pouvons pas nous permettre de continuer à répéter cette arnaque majeure (des virus) encore et encore ».

« D’accord, j’espère que c’est très clair », a conclu le Dr Tom Cowan à l’intention de ses téléspectateurs. « J’attendrai avec impatience de voir si nous recevons notre réponse, mais je peux déjà vous dire que je sais que nous ne l’aurons pas. »