STOP TESTS INUTILES ET RUINEUX : COÛT DIRECT ESTIME À 6,4 MILLIARDS D’EUROS (le point au 14 juin 2021)

Par Gérard Delépine

Qui dit mieux ?

En tenant compte des arrêts de travail liés aux quarantaines inutiles de deux millions d’asymptomatiques,(([1] https://www.industrie-techno.com/article/au-rythme-actuel-avec-nos-tests-rt-pcr-nous-allons-confiner-des-dizaines-de-milliers-de-gens-pour-rien-alerte-le-dr-yvon-le-flohic.61409)) de leur indemnisation par la sécurité sociale et de la désorganisation des entreprises liée à ces absences imprévues, le coût réel global des tests inutiles atteint 20 à 30 milliards d’euros.

On aggrave actuellement la gabegie en poursuivant la propagande pour des tests inutiles chez les asymptomatiques, alors que les soignants, et internes en médecine manifestent de plus belle et que le cinéma du manque de lits de réanimation continue à animer les émissions de pseudo-informations pour servir de prétexte aux confinements catastrophiques qu’ils veulent nous imposer à la rentrée.

Jusqu’à quand ? Que le peuple se fâche en plus de bouder les urnes, tellement il lui semble que les décisions sont prises tout à fait indépendamment de la volonté populaire et de ce qui se passe dans le monde réel ?

Dépister les asymptomatiques ne sert à rien

Sinon à entretenir la panique dans la population en confondant cas et malades. Les tests PCR positifs ne permettent pas à eux seuls d’affirmer qu’une personne est/ou sera malade, ni contagieuse.

La littérature internationale l’a démontré largement.(([2] Ou dans la quasi-totalité des états américains, les mesures sanitaires ont été abolies depuis plusieurs mois sans reprise de l’épidémie qui a commencé sa disparition progressive dès janvier 2021 alors que moins de 5 % de la population était vaccinée.))

L’OMS l’a reconnu dès mai 2020(([3] Avis d’information de l’OMS pour les utilisateurs de DIV 2020/05 Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2 https://www.who.int/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05)) et rappelé récemment.

Aucune étude médicale publiée n’a pu démontrer que le dépistage des asymptomatiques ait pu ralentir l’épidémie.

Isoler les asymptomatiques ne sert à rien

Une personne sans signe clinique dont le test PCR est positif n’est pas infectée et a extrêmement peu de risque d’être contaminante. L’isoler ne permet donc pas de diminuer les transmissions.

La cour d’appel de Lisbonne(([4] Le test PCR va au tribunal au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr) )) l’a affirmé dans un arrêt exposant au grand jour les ratés et l’imposture du test PCR et de son utilisation à grande échelle sans examen clinique et a condamnant le ministère de la santé portugais à interrompre la quarantaine de touristes allemands injustement isolés.

« Au vu des preuves scientifiques actuelles, ce test ne permet pas à lui seul de déterminer, au-delà de tout doute raisonnable, qu’une telle positivité correspond, en fait, à l’infection d’une personne par le virus SRAS-CoV-2 ».

Que valent les tests PCR ?

Depuis l’été 2020, les articles sérieux référencés(([5] A N. Cohen, B Kesse False positives in reverse transcription PCR testing for SARS-CoV-2))(([6] R Jaafar, S Aherfi, N Wurtz, C Grimaldier, Thuan Van Hoang, P Colson, D Raoult, B La Scola Corrélation entre 3790 échantillons positifs de réaction en chaîne de polymérase quantitative et cultures de cellules positives, y compris 1941 isolats de coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère
Maladies infectieuses cliniques, ciaa1491, https://doi.org/10.1093/cid/ciaa1491)) se sont multipliés dans la presse internationale et française, permettant à ceux qui voulaient savoir de s’informer.

Pascal Sacré, médecin anesthésiste, réanimateur, qui travaille dans une unité de soins intensifs en Belgique également expert en hypnose, dans un article « PCR ou comment enfumer toute l’humanité»(([7] Mondialisation.ca et COVID-19 : RT-PCR ou comment enfumer toute l’humanité (Dr Pascal Sacré) — Éloge de la raison dure (aitia.fr)
https://www.mondialisation.ca/covid-19-rt-pcr-ou-comment-enfumer-toute-lhumanite/5650143)) expose l’utilisation mensongère de ces tests pour faire passer des mesures liberticides dans de nombreux pays :

« en se soumettant aux tests PCR avec docilité, la population maintient sans le savoir la propagande de terreur (non basée sur les faits) des gouvernements ainsi que l’état de transe hypnotique induit par les mesures autoritaires liées à la crise “sanitaire”.(([8] Tests PCR l’arnaque des cas positifs avec le Dr Pascal Sacré (lapressedupeuple. quebec)
Source de la Vidéo Jérémie Mercier :
https://Youtube/i5taO2_QDQc
https://www.jeremie-mercier.com/))

Il faut stopper les tests pour les bien portants abusivement appelés asymptomatiques :

ils ruinent la sécurité sociale et entretiennent la peur, et c’est probablement la raison pour laquelle contre toute évidence médicale ou scientifique, le ministre de la Santé essaie par tous les moyens de pousser la population à accepter les tests et à les multiplier encore et encore : un million de tests prévus à l’école depuis la dernière rentrée scolaire d’avril et rebelote, autotests tous azimuts sur les plages de l’été !

Le coût des dépistages est considérable : financier, mais aussi psychologique, voire psychiatrique trop souvent

Au 9 juin 2021, Santé publique France précise que 87 568 197 tests ont été réalisés. Pour chaque test réalisé par un laboratoire public ou privé, l’Assurance Maladie verse 73,59 euros. Le coût direct des tests en France avoisine donc actuellement les 6,4 milliards d’euros.

Depuis près de 18 mois, la politique sanitaire repose sur le crédo “dépister par les tests, masquer, distancier (entre autres en fermant les écoles), confiner jusqu’à vacciner”. Cette politique, qui a coûté des dizaines de milliards d’euros, ne repose sur aucune preuve scientifique et n’a jamais été évaluée ni médicalement ni financièrement et a oublié malheureusement le crédo habituel des vrais médecins fidèles à Hippocrate, SOIGNER ! Et ce ne sont pas les médicaments efficaces qui manquaient de l’hydroxychloroquine à l’ivermectine, zinc, vitamines D et C et macrolides entre autres.

Mais leur usage aurait gêné l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle des vaccins pendant les essais cliniques, qui nécessite l’absence de traitement efficace connu.

La publication de Wuhan sur le dépistage de dix millions de Chinois(([9] Weiyong Liu .et al : Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/nejmc2003717))

La pratique généralisée à des fins de dépistage chez les personnes saines et la quarantaine des positifs asymptomatiques ne permet pas de limiter la propagation de l’infection.

Le plus grand dépistage mondial (10 millions de dépistés), de Wuhan,(([10] Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! (francesoir.fr) )) est démonstratif : les asymptomatiques testés positifs ont subi ensuite des tests antigéniques, des cultures virales, et ont été mis en quarantaine pour surveillance ; près de la moitié n’avaient pas d’anticorps (il s’agissait donc de PCR faux positifs), aucun des asymptomatiques n’excrétait de virus, aucun n’a contaminé quiconque, aucun n’est tombé malade. Au total, ce gigantesque dépistage publié par les Chinois, dont l’intérêt scientifique est considérable, n’a donc permis de n’éviter aucune contamination nouvelle.

Un dépistage plus limité pratiqué dans les écoles de Vilnius lors de la première vague conclut : “les enfants de notre étude qui ne présentaient pas de symptômes d’infection aiguë et de contact avec une autre personne infectée par le COVID-19 n’ont pas reçu de diagnostic de COVID-19, de sorte que le bénéfice du test PCR est discutable.”

Alors pourquoi O. Véran a-t-il demandé de tester un million d’enfants et s’apprête-t-il à multiplier les autotests cet été sur les plages ?

Pour contenir l’épidémie, il eût été plus efficace et beaucoup moins coûteux de se contenter d’utiliser la technique traditionnelle de mise en quarantaine des seuls malades suspectés cliniquement, ceux qui ont de la fièvre, qui toussent et qui crachent — et de les traiter précocement, et de laisser les autres travailler, étudier, produire, faire du sport. Mais qui voulait stopper l’épidémie ?

Il fallait attiser la peur et au passage ruiner la sécurité sociale qu’on nous imposera bientôt de privatiser après avoir jeté l’argent par les fenêtres.

Tromperie internationale

Il s’agit d’une erreur et/ou d’une tromperie internationale orchestrée par l’OMS et Drosten. La supercherie des tests PCR date de janvier 2020 via le docteur Drosten, conseiller de Mme Merkel.

La démonstration en a été faite par la cour d’appel portugaise et détaillée dans la plainte allemande déposée le 23 novembre 2020. La justice française devrait s’en emparer, et les ARS qui ont imposé encore le 7 décembre des fermetures d’écoles injustifiées et pire encore des isolements des aînés en EHPAD pourraient peut-être finalement avoir des comptes à rendre pour leurs décisions autoritaires et mortifères basées sur l’utilisation inadaptée des tests PCR.

Le PCR (Polymerase Chain Reaction) ne permet pas de diagnostiquer seul la COVID-19 et encore plus pour savoir si une personne est contagieuse ou pas.

Sensibilité et spécificité de la technique PCR

Tout test à visée diagnostique est exposé à deux types d’erreurs ; celle consistant à ne pas reconnaître un sujet malade (faux négatif) ; et l’erreur inverse, celle à déclarer malade une personne qui ne l’est pas (faux positif). On qualifie de spécifique un test qui expose à très peu de faux positifs et de sensible un test qui donne très peu de faux négatifs. Les tests PCR tels qu’ils sont pratiqués actuellement sont trop sensibles et peu spécifiques.

Cette technique consiste à “amplifier (multiplier)” les petits segments d’ARN retrouvés dans les prélèvements pour voir s’ils correspondent à une partie du virus. Le test ne recherche donc pas un virus entier capable de se reproduire dans les cellules de l’hôte, mais de simples fragments de l’ARN viral qui ne sont en aucun cas infectieux.(([11] Pascal Sacré COVID : La PCR nasale peut-elle mentir ? 30 août 2020))

Un test PCR ne permet pas seul le diagnostic de maladie

L’inventeur de la PCR, Karys Mullis (décédé en août 2019) lui-même avait d’emblée averti que ce n’était pas un test permettant seul un diagnostic. Ce test manque souvent de spécificité, en particulier lorsqu’il ne recherche qu’un marqueur (un seul fragment du virus). Et ce seul marqueur peut éventuellement se retrouver dans le génome d’autres virus tels que d’autres coronavirus sources d’infection saisonnière banale. Pour pallier cette spécificité trop faible, les Chinois en recherchent plusieurs (5 à 6). La sensibilité et la spécificité dépendent beaucoup du nombre de cycles d’amplification réalisé ; lorsque ce nombre est faible, le test est spécifique, mais peu sensible ; mais lorsque le nombre de cycles d’amplification augmente et dépasse les 30, le test est très sensible, mais la spécificité diminue fortement. En France, comme dans beaucoup d’autres pays, le nombre d’amplifications dépasse les 40 entraînant un nombre considérable de faux positifs.

Et même lorsque le test est juste, il ne signifie pas que la personne est malade, mais seulement qu’elle a rencontré le virus à un moment ou un autre ; il a été en particulier démontré que des fragments de virus pouvaient être retrouvés près de 2 mois après la guérison du Covid19.

Le diagnostic d’une infection doit donc être posé par un médecin et seulement par un médecin après examen clinique et examens paracliniques prescrits par lui s’il le juge nécessaire.

Le diagnostic posé uniquement sur un test PCR viole l’article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme signée par le Portugal et autres pays européens. Elle n’est pas respectée, car il n’a pas eu de consentement éclairé des personnes. »

Un test positif ne signifie donc pas que vous êtes malade, ni même porteur du virus et ne devrait jamais être utilisé à des fins de décisions contraignantes.

Un test positif ne signifie pas que vous êtes contagieux

Pour transmettre la maladie, une personne contaminée doit recéler des virus entiers (son génome complet) et l’excréter en quantité suffisante.

Pour évaluer la contagiosité d’une personne infectée, il faut donc voir si les prélèvements permettent de faire pousser le virus en culture. Deux très larges études récentes comparant la positivité des tests (3790 tests positifs) et positivité des cultures montrent qu’il existe une bonne corrélation (supérieure à 70 % des cas) pour un nombre de cycles d’amplification inférieur à 25, puis qu’elle diminue fortement à mesure que le nombre de cycles augmente (environ 10 % pour 34 cycles et moins de 5 % au-delà).

UTILISATION ABUSIVE DES TESTS PCR DANS LE MONDE SOUMIS À L’OMS ET À FAUCI

Le test PCR a été et est toujours vanté et promu par l’OMS — et par d’autres institutions sanitaires de premier plan dans le monde occidental, comme le NIAID/NIH et le CDC des États-Unis, ainsi que par des chercheurs du Centre allemand de recherche sur les infections (DZIF) à l’hôpital Charité de Berlin, et sans que le risque de faux positifs et/ou qu’une limite maximale du nombre de cycles d’amplification ne soit clairement spécifiée.

La croyance aveugle en ce seul test est délétère, et sa manipulation volontaire délictueuse.(([12] Espoir pour les restaurateurs : le judiciaire international (economiematin.fr) )) Son coût direct est considérable.

La taille du marché mondial du diagnostic COVID-19 est évaluée à 19,8 milliards de dollars en 2020 et devrait croître chaque année de 3,1 % d’ici 2027, si le monde ne met pas fin rapidement à cette supercherie.

LA GRATUITÉ DES TESTS SANS PRESCRIPTION EN FRANCE A FAVORISÉ LA GABEGIE ET LA PEUR

En France, la généralisation des tests PCR, sa réalisation sans ordonnance et sa prise en charge à 100 % ont coûté plus de 6 milliards d’euros à la sécurité sociale, sans aucun bénéfice sanitaire appréciable, bien au contraire (angoisse généralisée, arrêt de travail, fermetures de classe, dépression, peur panique du sujet déclaré positif et de sa famille et amis). Une hystérie collective peu maîtrisable.

Ses coûts indirects sont beaucoup plus lourds

Coût sanitaire (les victimes collatérales des tests) : les malades urgents ne présentant aucun signe évoquant le Covid19 voient leurs soins retardés par l’attente des résultats d’un test qu’on leur a imposé à l’entrée dans le service adapté à leur pathologie, sans raison médicale valable (les tests ne devraient être indiqués médicalement qu’en cas de suspicion clinique de Covid19).

D’autant que cette attente peut être très longue : nous avons connaissance de plusieurs malades qui ont attendu plusieurs semaines avec des tests tantôt positifs, tantôt négatifs avant qu’ils ne puissent recevoir les soins dont ils avaient besoin, tout en bloquant pour rien ces fameux lits d’hospitalisation aigus (cardiologie intensive par exemple). Comme lors du confinement, ces retards aux soins diminuent largement leur chance de guérison et plusieurs cas de décès évitables ont été publiés par des plaignants.

RESPONSABILITÉ DES MÉDECINS DE PLATEAU ET GÉNÉRALISTES ET DES POLITIQUES ET DES ADMINISTRATIFS DES ARS

Au lieu d’examiner une personne, ces responsables conseillent de faire un test PCR et malheur à lui s’il est négatif alors qu’il est cliniquement malade et abandonné sous Doliprane sans utilisation précoce d’ivermectine ou de chloroquine ou d’antibiotique.

Il arrivera trop tard à l’hôpital et sera inclus dans un essai thérapeutique le plus souvent sans consentement éclairé. Comment est-ce supportable en juin 2021 alors que l’on connaît les traitements précoces efficaces ?

Quelle sera la responsabilité personnelle des médecins qui se sont livrés à ces pratiques douteuses en obéissant à une hiérarchie soumise aux agences régionales de santé et à Big Pharma ?

Ils feraient bien en tous cas d’être prudents, car la mystification des tests se dévoile au grand jour dans de nombreux pays, y compris en France. Les lanceurs d’alerte comme le Dr Peter El Baze ou le docteur Pascal Sacré et le Pr Denis Rancourt, qui le disaient depuis des mois dans un silence assourdissant commencent à être relayés et entendus.

Les pensionnaires des EHPAD ont été séparés de longs mois sans raison valable, de leur famille et de leurs soutiens supposés non essentiels, favorisant les syndromes de glissement, les suicides, parce que des tests faux font croire à une persistance de l’épidémie, à un risque non calculé, à une balance bénéfices-risques jamais prise en compte.

Et le coronacircus continue en juin 2021 alors que l’épidémie a disparu et que de nombreux états comme le Texas ou la Floride ont repris une vie normale et oublié le covid.

La maltraitance de nos aînés non déchus de leurs droits civiques et pourtant auxquels on n’a pas demandé leurs choix constitue une violation de leurs droits fondamentaux et ne saurait perdurer sans recours judiciaire. Les plaintes s’accumulent. Les directeurs soumis aux ARS dont ils ne fournissent que rarement les ordres administratifs ne seront pas absous sous prétexte de caporalisation.

Le panic Paper

Un rapport allemand classé, mais divulgué (volontairement semble-t-il) a mis en exergue l’utilisation de la multiplication des tests faussement positifs pour répandre la peur en Allemagne.

Manifestement les techniques utilisées pour faire croire à la pandémie sont celles imposées par l’OMS conformément aux accords signés par 194 pays en 2017 en cas de pandémie (dont l’OMS elle — même déclare l’existence en modifiant les critères antérieurs).

Les faux positifs entretiennent la peur dans la population et augmentent considérablement le nombre de dépressions, de suicides, d’hospitalisations en psychiatrie dont le manque de lits est largement aussi criant que les lits de réanimation, mais dont on parle peu dans les médias ; la consommation d’antidépresseurs a largement doublé depuis les mesures sanitaires liberticides, de même que les demandes de consultations spécialisées ou d’aides téléphoniques. La fermeture des universités prévue a été également une catastrophe non seulement pour l’enseignement — la démonstration est maintenant sous nos yeux que le virtuel ne remplace pas la présence physique — mais psychologique avec plus de la moitié des étudiants déprimés, parfois gravement.

La peur choisie comme mode de gouvernance

entraîne la sidération du peuple et explique la facilité avec laquelle les gouvernements obéissants à Big Pharma via l’OMS ont pu depuis des mois imposer des mesures arbitraires, incohérentes à tout un ensemble de citoyens.

L’exemple de l’interdiction de l’ouverture des remonte-pentes dans les stations de ski françaises ouvertes sans restaurants ni bars témoigne de l’ampleur de la manipulation. L’interdiction aux Français d’aller skier en Suisse ou en Autriche, alors que la France a toujours refusé la fermeture des frontières relève aussi de l’absurde, ou d’une stratégie visant à créer de la confusion mentale et de la dissonance cognitive. La stupidité de ces interdictions françaises a depuis été largement confirmée par l’absence de toute poussée épidémique en Suisse et en Autriche qui ont laissé leurs stations fonctionner normalement.


L’acceptation de la soumission ne fait qu’encourager les bourreaux et ne conduit qu’à une soumission de plus en plus intense.

L’expérience des conjoints victimes de pervers narcissiques aurait dû alerter les différentes professions « maltraitées » au sens propre, sans aucune justification sanitaire. Une femme qui accepte une gifle en croyant que son conjoint l’aime entre dans le cercle vicieux qui peut l’entraîner vers la mort. Un peuple qui se soumet aussi.

Coûts économiques et sociaux

Les tests ont probablement parfois servi de prétexte pour des salariés protégés qui désiraient ne plus travailler pendant dix jours par peur ou confort apparent, ou volonté d’éloignement d’un environnement de travail toxique dans cette atmosphère de peur.

Il suffisait de se faire tester de manière répétitive jusqu’au premier faux positif. Après un « contact supposé à risque », le trop long temps d’attente des résultats des tests et les isolements secondaires aux faux positifs désorganisent la production et plombent davantage les comptes sociaux et finalement déstabilisent le salarié qui a cru initialement en bénéficier, mais sombre peu à peu dans l’isolement, l’illogisme, l’incompréhension.

Manipulation psychologique et corruption

Lors d’une interview récente d’un journaliste anglais par l’avocat Fuellmich(([13] Ont-ils décidé de sacrifier Fauci pour mieux accélérer la vaccination mondiale ? — (ripostelaique.com) ))(([14] Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain — Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu) )) Brian Gerrish raconte sa vue des choses à Reiner Fuellmich et Viviane Fischer, avocats du Comité Corona créé en juillet 2020, et nous exposent la manipulation psychologique organisée par la programmation neuropsychique et son application lors la plandémie du coronacircus.

Brian s’étend en particulier sur la manipulation dont est victime le peuple britannique :

« le groupe consultatif scientifique du gouvernement, SAGE, avait eu une entrevue avec des membres de l’équipe Behavioural Insights du gouvernement. L’homme clé concerné par cette question est Dr David Halpern. Une fiche d’information a été publiée à l’issue de la réunion, datée du 22 mars 2020, il est admis que l’équipe SAGE et la politique du gouvernement sur le coronavirus allaient utiliser la psychologie appliquée afin d’accroître la peur dans la population, afin que celle-ci adhère plus étroitement à la politique du gouvernement en réponse au coronavirus ».

Un éditorial du British Medical Journal une des plus prestigieuses revues médicales britanniques précise :

« la composition, la recherche et les délibérations du Groupe consultatif scientifique pour les urgences (SAGE) étaient initialement secrètes jusqu’à ce qu’une fuite dans la presse force la transparence

Les politiciens et les gouvernements suppriment la science. Ils le font dans l’intérêt public, disent-ils, mais en réalité la science est supprimée à des fins politiques et financières.(([15] Kamran Abbasi, rédacteur en chef Editorial du BMJ Covid-19 : politisation, « corruption » et suppression de la science BMJ 13/11/2020 ; 371 doi : https://doi.org/10.1136/bmj.m4425 (Publié le 13 novembre 2020) BMJ 2020 ;371 :m4425))

Le Covid-19 a déclenché une corruption d’État à grande échelle, et il est nocif pour la santé publique.

Les politiques et l’industrie sont responsables de ces malversations opportunistes. Il en va de même pour les scientifiques et les experts de la santé. La pandémie a révélé comment le complexe médico-politique peut être manipulé en cas d’urgence, à un moment où il est encore plus important de protéger la science. »

L’avocat Reiner Fuellmich fait le parallèle avec le « Panic Paper » allemand dont nous avons déjà parlé dans les premiers articles sur le Nuremberg 2.

Conclusion : NE VOUS FAITES PAS TESTER !

Osez remettre en question l’intérêt du test ainsi que des mesures « sanitaires » actuelles alors que l’épidémie est terminée et que même certains médias aux ordres se sentent obligés de l’avouer.

Les Corona terroristes recourent au mythe de la vague suivante continuant à oublier que ces vagues et ces morts n’auraient pas existé sans l’interdiction invraisemblable de soigner les patients sur leurs signes cliniques et précocement.

La santé ne doit plus servir de prétexte fallacieux pour installer des mesures liberticides irrationnelles.

LA DICTATURE SANITAIRE DE VERAN RENOUVELÉE LE 20 JUIN

La fin de l’épidémie démontrée par les nouveaux cas en nombre minime malgré la folie des tests et le réseau sentinelle qui montre la disparition de pathologies covid doit poser un problème à notre ministre.

Il lui faut tenir le peuple s’il veut imposer le nouveau confinement prévu à la rentrée par Ferguson et le plan Davos. Malgré l’évidence d’un échec de leur plan en particulier devant les échecs et drames accumulés des vaccins, il accélère autant que faire se peut pour tenter de tenir asservi ce peuple qu’il sent de plus en plus rétif et éveillé.

Course de vitesse. Ce sont toujours les peuples qui gagnent, la question est combien de victimes jusqu’à la libération.

« L’objectif gouvernemental ne change pas : il consiste toujours à “tester-alerter-protéger”, mais la méthode, elle, évolue. Cette méthode s’adapte d’abord à quelques bonnes nouvelles. “Avec 2000 à 3000 cas par jour, ce n’est plus le virus qui nous traque, mais nous qui le traquons” », assure le ministre de la Santé dans les colonnes du JDD.(([16] https://www.leparisien.fr/societe/sante/covid-19-autotests-partout-mediateurs-mesures-coercitives-veran-annonce-son-plan-pour-lete-20-06-2021-5))»Manifestement il se complaît dans le négationniste et refuse encore aux médecins de traiter et aux malades de choisir leur traitement, le b a ba de la médecine depuis ses origines.

Rappelons tout de même que nous sommes plus de 67 millions d’habitants et que les laboratoires ne fournissent toujours pas le nombre de CT utilisé qui permettrait de se faire une idée de la fiabilité de ces données.

Olivier Véran revendique un été « différent du précédent », enrichi de « plus d’outils » susceptibles d’aider à lutter contre le coronavirus.

Des autotests sur les plages et dans les campings

« Parmi ces outils, les autotests devraient figurer en bonne place d’un été serein, certes, mais placé également sous le signe de la prudence. Ces tests à réaliser soi-même devraient “être distribués gratuitement sur les plages, dans les campings, les hôtels ou les salles de sport », détaille Le Journal du dimanche.

Au total, plus de 8 millions d’autotests vont être distribués à compter de ces prochains jours et pour les deux mois à venir. Ces tests n’ont pas vocation à remplacer les tests PCR et antigéniques, mais à ajouter “une maille supplémentaire” au dispositif.

Ces tests particulièrement peu sensibles pour les personnes sans symptôme sont toujours aussi inutiles que les autres tests, mais ont au moins l’avantage d’être nettement moins chers et de ne pas être remboursés (sauf exception professionnelle). Ils alourdiront donc peu la facture pour la sécurité sociale. Mais fuyez-les absolument, ils vous feront entrer dans un cercle vicieux de chasse au contact !

Médiateurs et contact-tracing

Vous pensiez oublier le covid qui a quasiment disparu de France depuis début avril pendant vos vacances ? Le ministre ne veut pas que vous vous croyez à Miami ou au Texas. Il veut raviver la peur qui risquerait de vous quitter avec la suppression du port de la muselière à l’extérieur.

Olivier Véran annonce le déploiement de médiateurs antiCovid, chargés de conseiller les estivants sur le dépistage, l’isolement ou la vaccination. “Ils seront présents absolument partout : sur les lieux de vacances, dans les campings, les colonies”, assure Olivier Véran.

2 000 d’entre eux seront “capables de réaliser des tests, des enquêtes sanitaires ou de fournir une aide à l’isolement à domicile” en renfort des brigades de l’Assurance maladie !

Créer ces emplois inutiles est-il en réalité une mesure pour lutter contre le chômage ?

Liberté chérie où es-tu passée ?

Ça ne suffisait pas dans l’horreur, alors une nouvelle méthode de contact tracing, “à la japonaise”, devrait être expérimentée “à partir de début juillet” : enquête approfondie » visant à déterminer qui a infecté une personne positive et dans quelles circonstances.

Les chiens renifleurs au secours de Veran : rien ne nous sera épargné !

Le dépistage collectif rendu possible via des chiens renifleurs va être expérimenté « dans un port » et « dans un aéroport ».

« On a désormais la preuve que ça marche dans la vraie vie grâce aux résultats très prometteurs obtenus par les équipes de recherche et l’APHP », fait valoir Olivier Véran, qui signale « un déploiement plus large durant l’été » en cas de succès des expérimentations. Vu les succès de l’aphp dans le traitement du covid, la publicité choisie n’est pas forcément la meilleure.

Ces pauvres chiens risquent de s’épuiser à la tâche, car compte tenu de l’incidence actuelle du covid en France (3/100 000 d’après le réseau sentinelle

(([17] Surveillance de la COVID-19 : La semaine dernière (2021s23), le taux de positivité au SARS-CoV-2 des patients consultant pour une IRA était de 0 %, 11 % et 11 %, respectivement chez les 0-14, 15-64 et 65 ans et plus.

Le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 3 cas pour 100 000 habitants (IC 95 % [1 ; 4]), ce qui représente 1 758 [959 ; 2 557] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux est stable par rapport à celui de la semaine dernière (données consolidées pour 2021s22 : 3 [2 ; 4], soit 2 199 [1 445 ; 2 953] nouveaux cas d’IRA dus à la COVID-19 vus en médecine générale).))) il leur faudra renifler 33333 personnes pour retrouver un malade du covid ! Mais que fait la SPA pour protéger ces pauvres bêtes ?

La dictature sanitaire en marche pour une épidémie disparue…

Depuis avril 2021(bien avant que le vaccin y soit pour quelque chose) l’épidémie a quitté peu à peu le territoire Français. Mais O. Veran ne l’annonce pas et préfère continuer à instiller la peur en agitant la possibilité d’une quatrième vague. Si nous étions en véritable « guerre », un tel défaitisme serait passible de lourdes condamnations.

Le ministre de la Santé annonce un plan « plus coercitif » face à un variant Delta « très, très contagieux ».

« Si une personne contaminée par le variant indien refuse de répondre aux équipes de l’Assurance maladie ou de respecter les consignes de mise à l’abri, une alerte est faite aux préfets, indique-t-il. Ces derniers peuvent prendre des mesures d’isolement. (…) Nous n’hésiterons pas à le faire, car nous ne pouvons pas prendre le risque de départ d’une nouvelle vague épidémique. »

Les Français échaudés se laisseront-ils convaincre que l’épidémie ne continue qu’en France alors que les autres pays sont libérés et que les chiffres de l’OMS de Santé Publique France prouvent le contraire ?

Une première prudence pour vous protéger et pour protéger vos proches est de REFUSER TOUT TEST dont on a vu l’absence de fiabilité et d’utilité en l’absence de signes cliniques. La France est — elle sur une autre planète ?





L’effondrement démographique qui vient, la crise sociétale qui est déjà là

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s) : Christophe Lemardelé, pour FranceSoir

TRIBUNE – Les collapsologues envisagent de nombreux scénarios d’effondrement planétaire, en particulier ceux résultant du réchauffement climatique et de l’épuisement des ressources causé par une humanité trop nombreuse et insouciante. Ils ignorent le plus souvent un scénario bien plus plausible qui rendra nul à terme un certain nombre de leurs hypothèses les plus pessimistes. Car la population ne va pas exploser – c’est déjà fait ! –, elle va imploser.

On se targue de science aujourd’hui tout en délaissant la démographie. Un ancien président comme Nicolas Sarkozy pense pouvoir parler démographie sans en connaître les données et, surtout, un outil conceptuel central : la transition démographique. Pendant des siècles et même des millénaires, la population mondiale a peu augmenté, la mortalité, notamment infantile, était trop élevée. L’explosion démographique a commencé en Europe au XIXe siècle non parce que la natalité aurait augmenté, mais parce que la mortalité, notamment infantile, a baissé. Il en a été de même ensuite en Asie, en Amérique et, finalement, en Afrique. 

Passant de 1 milliard d’habitants en 1800 à 9 ou 10 milliards vers 2050 – plus de 7 milliards aujourd’hui –, la population mondiale aura explosé à cause du développement économique, sanitaire et éducationnel touchant peu ou prou les diverses régions du monde, même les plus périphériques. L’explosion démographique ne s’explique que par un décalage dans le temps entre la baisse de la mortalité et la baisse de la natalité. Dans une société où la vie est fragile, les gens ont beaucoup d’enfants afin d’assurer en moyenne la survie à vingt ans de deux enfants sur quatre. Quand la mortalité infantile baisse, il leur faut un certain temps avant de réaliser qu’il n’est plus utile d’assurer l’avenir en ayant une progéniture fournie de l’ordre de 7 à 8 enfants par couple. De meilleures conditions de vie et l’accès à l’éducation conduit alors les couples à maîtriser les naissances par une contraception au départ naturelle et rudimentaire.

La France fut le premier pays au monde à limiter ainsi les naissances peu avant la révolution française. D’avoir été le premier pays à entrer dans la transition démographique fit que ce pays fut toujours en léger décalage avec ses voisins : moins nataliste qu’eux un siècle plus tard, moins dénataliste qu’eux deux siècles plus tard… Mais cette exception française semble relever du passé car l’indice de fécondité est désormais inférieur à 2,1 enfants par femme, en dessous donc du seuil de renouvellement naturel d’une population. Avec 1,8 enfants par femme, la France n’est donc pas plus nataliste que le reste de l’Europe (moyenne de 1,6 enfants par femme) mais moins dénataliste… 

Au niveau mondial, l’indice de fécondité est de 2,4 enfants par femme (chiffre de l’Institut National des Études Démographiques en 2019). Dès lors, l’augmentation encore forte de la population mondiale ne s’explique pas par la forte natalité mais par la progression de l’espérance de vie dans presque tous les pays du monde : les enfants survivent mieux, les jeunes aussi, et de plus en plus d’adultes parviennent à un âge avancé. Quand on observe cet indice au niveau continental et à l’échelle sous-continentale, on en déduit que la natalité est en berne presque partout à l’exception de l’Afrique subsaharienne qui n’est entrée dans la troisième phase de la transition démographique – baisse de la natalité – que récemment. En Amérique du Nord et du Sud, l’indice de fécondité est bas : 1,7 au Brésil. En Extrême-Orient, la situation est même catastrophique : 1,1 en Corée du Sud. L’Europe, première région du monde à avoir explosé démographiquement et donc à migrer en masse en Amérique du Nord, est un sous-continent dénataliste au nord comme au sud, à l’est comme à l’ouest. 

Le concept de transition démographique comporte deux étapes intermédiaires permettant de passer d’un régime démographique ancien à un régime démographique moderne, ce qui nous fait la présenter en 4 temps forts : 1) natalité élevée/mortalité élevée ; 2) natalité élevée/baisse de la mortalité ; 3) mortalité faible/baisse de la natalité ; 4) mortalité faible/natalité faible.  

 Mais il nous faut ajouter un temps 5 : mortalité très faible/natalité insuffisante. Alors que l’on pensait que l’adoption d’un régime démographique moderne permettrait de retrouver un équilibre, une stabilité, il n’en est rien. Comme l’écrivent Darrel Bricker et John Ibbitson : « Aujourd’hui, la population est déjà en diminution dans plus d’une vingtaine de pays. En 2050, une trentaine de nations seront concernées. Certaines des plus riches voient leurs effectifs baisser chaque année : le Japon, la Corée, l’Espagne, l’Italie, une grande partie de l’Europe de l’Est » (Planète vide. Le choc de la décroissance démographique mondiale, éd. Les Arènes, 2020, p. 11). 

Il semble donc qu’inconsciemment et pour des raisons diverses difficiles à identifier précisément, le développement des sociétés, plus urbaines que rurales, conduit les couples à limiter drastiquement les naissances, voire à ne plus envisager de descendance. Les malthusiens de tous ordres devraient donc être rassurés car le pire scénario pour eux est désormais un pur fantasme qui n’a eu de réalité que dans les deux derniers siècles. Envisager une dépopulation à terme et au cours de notre présent siècle induit de nombreuses interrogations. D’abord à long terme et d’un point de vue anthropologique (philosophique, si l’on veut) : comment et pourquoi une espèce peut prendre le risque de ne plus se perpétuer ? Une espèce comme un individu se devant naturellement, selon les termes de Spinoza, de persévérer dans son être… Ensuite à court terme et d’un point de vue sociologique (sociétal même) : comment une société ne se régénérant plus peut-elle envisager son avenir et affronter sereinement les crises ? 

Dans un régime démographique ancien, les enfants sont les individus les plus fragiles. Dans un régime démographique « postmoderne », dans lequel la part des personnes âgées l’emporte sur celle des plus jeunes, les progrès en espérance de vie étant privilégiés par rapport à un regain de natalité, les gens très âgés deviennent de fait les plus fragiles. Il n’est plus besoin de lutter contre la mortalité infantile mais de repousser le plus loin possible la fin de vie… Mais comme on ne vit pas éternellement, la mortalité finit quand même par peser, les progrès de l’espérance de vie ayant différé le départ des anciens. Dès lors, le « temps 5 » doit être affiné car le vieillissement d’une population finit par entraîner une augmentation de la mortalité.

Dans un article de 2016, dans la revue de l’INED Population & Sociétés, les démographes Gilles Pison et Laurent Toulemon écrivaient : « Même dans un scénario improbable où des innovations majeures en matière de lutte contre le vieillissement biologique permettraient à l’espérance de vie de faire un bond rapide de 10 à 20 ans, on n’échapperait pas à une forte hausse du nombre de décès quand viendrait le moment de la mort pour les baby-boomers, leurs propres décès n’étant alors retardé que d’une à deux décennies ». Or, il a suffi qu’un coronavirus plus virulent que d’autres survienne pour que dans les pays vieillissants de l’Occident les services hospitaliers soient débordés – gouverner un pays vieillissant sans renforcer l’hôpital public est une faute politique ! Gouverner c’est prévoir… – et pour que l’on sacralise la vie au point de considérer qu’une vie est une vie quel que soit l’âge. 

Dans une conférence de 2014 sur le vieillissement, le démographe Emmanuel Todd avait conclu ainsi : « Ce qui rend une espèce animale compétitive dans l’histoire de la biologie de la planète, c’est qu’elle s’occupe de ses enfants, et pas de ses parents. Les sociétés occidentales sont en ce moment à l’heure du choix : est-ce qu’on s’occupe des jeunes ou est-ce qu’on s’occupe des vieux ? ». Il semble bien que le choix ait été fait et c’est un choix intenable car la gestion néolibérale de l’hôpital a conduit et conduit encore à supprimer des lits, ce qui entraîne des mesures de confinement coûteuses économiquement – faillites, chômage, précarité des jeunes, suicides, endettement des particuliers et de l’État, etc. – en cas de pandémie. Choix irraisonné pouvant s’avérer même funeste quand on considère que pour maintenir une société ouverte il faille en passer par la vaccination des plus jeunes sans garantie sur des effets secondaires à long terme. Pour sauver ce qui reste d’un présent qui nous fait voir une forme de déclin, on semble prêt à compromettre un avenir…

Article original publié sur le blog Ethique… et toc ! et écrit par Christophe Lemardelé, enseignant, licencié d’histoire, docteur en sciences religieuses, auteur de nombreux articles scientifiques en histoire des religions et en anthropologie sociale.

Auteur(s): Christophe Lemardelé, pour FranceSoir




Cyber Polygon : Le prochain jeu de guerre globaliste conduira-t-il à une autre catastrophe bien commode ?

[Source : Cyber Polygon : Le prochain jeu de guerre globaliste conduira-t-il à une autre catastrophe bien commode ? – Le Saker Francophone]

Par Brandon Smith − Le 3 juin 2021 − Source Alt-Market

En avril dernier, j’ai publié un article intitulé « Les globalistes auront besoin d’une autre crise en Amérique alors que leur programme de Grand Reset échoue ». J’y notais une tendance étrange dont beaucoup d’entre nous, dans les médias libertariens, ont pris conscience au fil des ans – Presque toutes les catastrophes majeures causées par l’homme aux États-Unis et dans de nombreuses autres parties du monde au cours des deux dernières décennies ont été précédées d’un  « exercice »  gouvernemental ou globaliste. Ces exercices et jeux de guerre ont tendance à imiter la catastrophe exacte qui frappera finalement le public quelques jours ou semaines plus tard. Parfois, les exercices de simulation de catastrophe et les événements réels se produisent en même temps.

La pandémie de Covid-19 n’a pas fait exception. C’est assez miraculeux…

J’ai spécifiquement souligné la « coïncidence » bizarre de l’exercice Event 201 du Forum économique global, un jeu de guerre cofinancé par Bill Gates et l’Université Johns Hopkins et lancé en octobre 2019. Event 201 simulait une nouvelle pandémie globale de coronavirus zoonotique (censée se propager des chauves-souris à l’homme) qui « nécessitait » une réponse globale de confinement. Seulement deux mois plus tard, la vraie chose s’est réellement produite. Presque tous les aspects de l’événement Covid se sont déroulés exactement comme cela avait été prévu lors du jeu de guerre du Forum économique mondial.

Un élément très inquiétant de la réponse à la Covid-19 a été la campagne de suppression coordonnée par les plateformes Big Tech, de YouTube à Facebook et Twitter. Cette campagne a cherché à saper ou à détruire tous les faits, données et opinions qui vont à l’encontre du discours gouvernemental sur la Covid-19, même si le discours officiel sur la Covid-19 finit par être complètement faux. La stratégie a été décrite en détail lors de l’« Event 201 » et elle a été exécutée avec une extrême efficacité parmi des entreprises et des gouvernements supposés déconnectés dans le monde entier. C’est presque comme s’ils SAVAIENT qu’une pandémie de coronavirus était sur le point de se produire et qu’ils avaient déjà mis en place une stratégie pour contrôler la réaction du public bien à l’avance.

Et soyons clairs, car je ne veux pas paraître ambigu : le Forum économique mondial et ses partenaires globalistes ont été les premiers bénéficiaires de la pandémie. Comme le chef du FEM, Klaus Schwab, l’a fait remarquer avec enthousiasme à maintes reprises, la pandémie est une « occasion » parfaite pour les globalistes d’accélérer ce qu’ils appellent le programme du « Grand Reset »  – un plan visant à démanteler complètement le cadre politique et économique actuel du monde et à le reconstruire en une civilisation socialiste hautement centralisée dans laquelle ils ont un contrôle total et où la liberté individuelle n’est plus qu’un vague souvenir.

C’est pourquoi les récentes révélations sur les origines probables de la Covid d’un laboratoire ne sont pas du tout surprenantes. Le simple fait de mentionner cette idée il y a un an dans les médias sociaux suffisait à vous faire bannir. Et, si vous voulez savoir où trouver la vérité, regardez toujours en premier lieu les sujets dont vous n’êtes pas autorisé à discuter. Comme je l’ai déclaré dans mon article « Comment la pandémie virale profite à l’agenda globaliste », publié en janvier 2020 au tout début de l’épidémie :

J’ai du mal à ignorer l’étrange  « coïncidence » des laboratoires de haut niveau en matière de risques biologiques à Wuhan en faveur de l’idée que le virus a été lancé par hasard en raison des régimes alimentaires bizarres des Chinois du centre. Au vu des preuves, il semble que le coronavirus ait été mis en gestation dans un laboratoire, et non dans la soupe de chauve-souris et de serpent de quelqu’un. En 2017, des scientifiques extérieurs à la Chine ont averti que ces laboratoires n’étaient pas sécurisés et qu’un virus pouvait s’échapper de l’une des installations… J’utiliserais le terme « échapper » de manière vague, car il est possible que cet événement ait été créé intentionnellement…

Des élites comme le Dr Anthony Fauci (un proche associé de Bill Gates et Bill Gates SR.) ont directement financé des études au laboratoire de Wuhan par le biais du NIAID depuis 2015, et ont spécifiquement financé l’étude du transfert infectieux des coronavirus des chauves-souris vers d’autres mammifères, y compris les humains. Et oui, le NIAID était en fait impliqué dans des expériences de « gain de fonction » utilisant des variantes du SRAS et du coronavirus à cette époque, malgré les affirmations contraires d’Anthony Fauci. Le site Web de l’Institut national de la santé le confirme.

Tous ces faits étayent l’argument selon lequel la Covid-19 est une arme biologique créée en laboratoire et, selon moi, d’après les preuves recueillies jusqu’à présent, il a été diffusé délibérément en étroite collaboration avec le gouvernement chinois. Fauci a même en quelque sorte « prédit » en 2017 que Donald Trump serait confronté à une « épidémie surprise de maladie infectieuse » pendant sa présidence, déclarant que « Nous serons certainement surpris dans les prochaines années… »

Le stratagème a certainement fonctionné dans une certaine mesure. Dans une grande partie de l’Europe, de l’Asie et de l’Australie, le FEM obtient ce qu’il a toujours voulu.

Cela dit, certaines choses ne se sont pas déroulées comme prévu. Par exemple, l’« Event 201 » prévoyait la mort de 65 millions de personnes au cours de la première année de la pandémie ; cela ne s’est pas produit, et ce n’est pas parce que les gouvernements ont sauvé des vies. En fait, les confinements et les restrictions gouvernementales n’ont rien fait pour empêcher la propagation de la Covid-19 et des études indépendantes ont prouvé que les mandats de masquage étaient totalement inefficaces pour arrêter le virus. Le nombre relativement faible de victimes s’explique par le fait que le taux de mortalité de la Covid-19 n’est que de 0,26 % chez les personnes en bonne santé. Le seul endroit où la Covid-19 représente une véritable menace est dans les maisons de retraite, chez les personnes âgées souffrant de maladies préexistantes.

En raison des erreurs de calcul des élites, le programme de Reset semble échouer dans certaines parties du monde. Aux États-Unis, la résistance aux mesures de confinement et aux vaccins expérimentaux s’est développée de manière exponentielle, au point que des dizaines d’États ont adopté des lois interdisant l’application des restrictions sur les malades de la Covid-19 et les « passeports médicaux ».

Les médias alternatifs ont également prouvé leur résistance à la censure et à la suppression de l’information, et il a été prouvé que nous avions raison à maintes reprises. Nous avons été les premiers à avertir que le taux de mortalité de la Covid-19 était exagéré (l’OMS et d’autres institutions de l’establishment avaient prédit un taux de mortalité d’au moins 3 %, bien au-dessus de la réalité). Nous avons été les premières personnes à avertir que les mesures de confinement et les règles relatives aux masques n’ont rien fait pour arrêter la propagation (les États qui ont supprimé les restrictions ont vu le nombre d’infections et de décès chuter). Nous avons été les premiers à signaler que le virus se comportait davantage comme une arme biologique et que son origine était plus vraisemblablement le laboratoire de niveau 4 de Wuhan, en Chine, situé juste à côté du marché aux animaux qui, selon le gouvernement chinois, était à l’origine de l’épidémie.

Nous avons également été les premiers à avertir que la pandémie serait utilisée pour justifier l’application des passeports vaccinaux, ce qui créerait une société à deux vitesses conçue pour forcer les personnes qui ne veulent pas prendre les vaccins à ARNm à se conformer. Nous avons eu raison une fois de plus puisque l’État de l’Oregon est devenu le premier aux États-Unis à exiger une preuve de vaccination (un passeport) avant que les résidents puissent entrer dans n’importe quel commerce ou établissement.

Tout au long de cet événement, nous avons été traités de « théoriciens de la conspiration » par les bureaucrates du gouvernement et les médias. Mais nous avions raison sur presque tout, et les grands médias ont eu tort sur presque tout. Soit cela, soit ils ont sciemment menti sur presque tout.

Il est important de comprendre cette dynamique car je pense que la situation est loin d’être terminée et que d’autres événements de crise sont sur le point de se produire (ou qu’ils se produiront comme par magie par coïncidence).

Ce qui me préoccupe le plus en ce moment, c’est le prochain exercice « Cyberpolygon » dirigé par le FEM en juillet. Ce jeu de guerre est censé « simuler » une cyberattaque contre des infrastructures vitales qui entraînerait l’arrêt de la chaîne d’approvisionnement globale, ou du moins des chaînes d’approvisionnement de certains pays. Comme je l’ai signalé en avril, le calendrier du Cyberpolygon est suspect. Comme le programme de confinement des malades de la Covid-19 est en train de s’effondrer aux États-Unis et que les passeports vaccinaux ne remportent pas la faveur d’un grand pourcentage d’Américains, les globalistes auront besoin d’une autre crise, s’ils espèrent atteindre leurs objectifs pour leur Grand Reset.

[Voir aussi : La quatrième phase de Schwab]

Quelques semaines seulement après que j’ai publié mes premières inquiétudes concernant le Cyberpolygon, une cyberattaque massive a été signalée, qui a frappé le Colonial Pipeline, long de 5 500 miles. Ce pipeline fournit de l’essence à la majeure partie de la côte est et, après une semaine de fermeture, de nombreux États ont signalé des pénuries d’essence. L’histoire s’est depuis tranquillement effacée des grands cycles d’information.

Ces derniers jours, une autre cyberattaque majeure a été signalée contre JBS, une entreprise de viande qui fournit environ 23 % de l’ensemble du bœuf et du porc américains. La production de JBS s’est arrêtée, et il y a maintenant une possibilité de pénurie de viande dans tout le pays si les problèmes ne sont pas résolus rapidement.

Encore une fois, est-ce une coïncidence que ces cyberattaques de grande envergure se produisent plus fréquemment à l’approche de la simulation Cyberpolygon du FEM ? Ou bien, Cyberpolygon est-il un autre Event 201 ? S’agit-il d’un test bêta pour une catastrophe prévue dans un avenir proche ? Le FEM compare ouvertement les futures cyberattaques à des épidémies de Covid-19, je suis donc enclin à soupçonner la seconde hypothèse :

La question de la chaîne d’approvisionnement est passée au premier plan dans le sillage de la pandémie, car les détaillants ont dû faire face à des pénuries intermittentes et les fabricants à un manque de composants. En outre, les problèmes d’inflation pèsent également sur les approvisionnements. Cela dit, une cyberattaque est une toute autre affaire ; que l’événement soit réel ou non, la chaîne d’approvisionnement est fragile en raison de l’interdépendance globale. Aux États-Unis, de nombreux produits de première nécessité dépendent de fabricants étrangers ou du système de fret « juste à temps ». La préparation et le stockage à long terme ne font pas partie du vocabulaire de l’entreprise américaine commune.

Je ne sais pas vraiment si la chaîne d’approvisionnement pourrait être complètement interrompue par une cyberattaque, mais en combinaison avec l’inflation et des restrictions draconiennes en cas de pandémie, il est possible de perturber le flux de marchandises pendant des semaines. Il est également impossible de prévoir combien de personnes sont préparées à une telle calamité. J’espère que plus de 30 % des Américains ont au moins commencé à se préparer, mais il ne fait aucun doute que la majorité du pays ne l’est pas. Il suffirait de quelques semaines de pénurie ou d’un scénario de panne de réseau pour que la plupart des gens soient confrontés à la famine, entre autres choses.

Si l’Event 201 est une indication, nous devons rester vigilants et surveiller attentivement une autre cyberattaque majeure affectant la chaîne d’approvisionnement dans les deux mois suivant l’exercice Cyberpolygon du FEM en juillet.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Jeunesse, où sont passés tes rêves et tes idéaux ?

Par Alain Tortosa

Toi qui vivais dans l’utopie d’un monde meilleur, de solidarité, de partage, de paix sur Terre et de libertés… que sont devenus tes rêves ?

Ton optimisme, ton innocence et ta naïveté étaient ta force que tu n’hésitais pas à exprimer lors de manifestations d’ampleur ou de blocages d’universités…

As-tu troqué toutes tes valeurs et tes idéaux contre un CDI, un plan d’épargne retraite, 35 heures de travail hebdomadaire et un accès au crédit à la consommation ?

Je pourrais te demander pourquoi tu ne résistes pas à la dictature sanitaire ou pourquoi tes inquiétudes portent sur un protocole sanitaire pas assez oppressif…

Ou pourquoi tu ne te poses pas de questions et ne cherches aucune réponse sur la dictature que nous vivons au quotidien et qui n’est qu’un prélude aux pires scénarios décrits dans les livres de fiction.

Mais la réalité semble bien plus dramatique, la vérité est que tu n’en as strictement rien à foutre d’être un pion ou un esclave !

  • Rien à foutre que l’on te dise quand et où sortir et avec combien de personnes.
  • Rien à foutre que l’on te demande un passeport sanitaire pour tes déplacements.
  • Rien à foutre que l’on te demande de t’injecter un poison expérimental.

Tu montres plus de zèle à respecter ces lois absurdes qu’un membre de la jeunesse hitlérienne.

Pour autant j’aurais plus de respect pour eux, que pour toi.

Eux au moins avaient un idéal, un idéal de merde, soit, mais un idéal !

Toi qui as 15 ou 20 ans, as-tu si peur de mourir à ton âge d’une maladie qui ne touche pas les jeunes ?

Mais à ton âge on est immortel ! Personne ne te l’a appris ?

Tu es plus vieux, plus handicapé que ton grand-père de 85 ans qui devrait te foutre une paire de baffes lorsque tu approuves de renoncer à ta vie, à l’insouciance et à l’égoïsme pour le protéger lui…

… Lui qui a vécu, lui qui s’est battu, lui qui a souffert… mais lui qui a joui !

Oui vivre ça fait mal, oui vivre ça fait peur… mais vivre c’est ressentir !

  • Ce n’est pas porter un masque inefficace et nocif.
  • Ce n’est pas arrêter d’embrasser tes amis ou de faire la fête.
  • Ce n’est pas t’injecter un poison.

… uniquement parce qu’une autorité malfaisante et corrompue te l’a demandé.

Tu devrais avoir toute la vie devant toi !

Mais tu as si peur de mourir que tu ignores que tu l’es déjà…

Réveille-toi, ressens, exprime-toi, vis… à moins que tu ne préfères t’inscrire dans un EHPAD !

Tu as le choix entre devenir la première génération qui a dit non à la première dictature mondiale ou la première génération de la fin de l’humanité !

J’ai peur de ton choix…

Alain Tortosa.

22 juin 2021. https://7milliards.fr/tortosa20210622-jeunesse-reveille-toi.pdf




Origine du virus : FAUCI passe aux aveux et ça éclabousse tout le monde !

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]




Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective

[Source : Sott.net]

[Illustration : © Sott.net]

Par Ariane Bilheran — L’Antipresse

Ariane Bilheran est normalienne (Ulm), philosophe, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, spécialisée dans l’étude de la manipulation, de la paranoïa, de la perversion, du harcèlement et du totalitarisme.

[Voir aussi :
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
“Seconde vague” : une bonne leçon de la philosophe Hannah Arendt
Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
Alexandre Soljenitsyne : «Les hommes ont oublié Dieu»]

Épisode 1 — La structure totalitaire : le délire paranoïaque

« Bien des gens affirment qu’on ne saurait combattre le totalitarisme sans le comprendre. Ce n’est heureusement pas vrai car, autrement, notre situation serait sans espoir. »

Hannah Arendt, La nature du totalitarisme, 1953

En 2020, je suis intervenue trois fois pour alerter sur l’émergence du totalitarisme actuel, au prétexte sanitaire : le 13 mai, avec « Totalitarisme sanitaire : « C’est pour ton bien… Le mal radical »[1], le 30 août, avec « Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave »[2], et le 30 décembre, à Radio Canada[3], entrevue au cours de laquelle j’ai affirmé que ce que nous vivions n’était pas autoritaire, mais totalitaire, en examinant la certitude délirante de la psychose paranoïaque. Ces interventions m’ont valu railleries, quolibets et insultes en tout genre, de la part de ceux qui ne peuvent pas entendre ce qui se passe (ou n’y ont pas intérêt), prétendant que j’exagère ou que je souffrirais moi-même de paranoïa.

Pourtant, en un an, nos libertés, conquises de haute lutte durant des siècles, au prix du sang de nos ancêtres, se sont évaporées en fumée, jusqu’à la survenue de ce « passeport sanitaire », jugé impensable par la majorité des gens il y a quelques mois encore. Afin d’élaborer un tel diagnostic précoce de délire collectif, je me suis appuyée sur ma longue expérience professionnelle d’observations des groupes, des institutions et des entreprises, lorsqu’ils se transforment en îlots totalitaires. En avril 2020, bien que certains signes eussent pu paraître insignifiants aux yeux du plus grand nombre, ils étaient suffisants pour caractériser l’entrée dans une psychose paranoïaque collective, en particulier le déni de réalité, le mensonge, le clivage, la projection[4], l’interprétation, la persécution (ici, d’un virus, ennemi invisible, qui autorise la persécution des individus en tant qu’organismes porteurs d’une multiplicité de virus), la manipulation des masses (terreur, culpabilité et chantage), l’idéologie sanitaire (et la propagande qui la soutient), mais aussi la survenue d’une nouvelle langue pour décrire une « nouvelle normalité » ou une « nouvelle réalité » faisant table rase de l’ancien. Rappelons les critères politiques du totalitarisme, qui ne saurait se réduire à une dictature, un despotisme, ou encore, une tyrannie : monopole des médias de masse et du corps policier, direction centrale de l’économie, persécution des opposants et de toute critique, système de surveillance d’individus, encouragement aux délations, logique concentrationnaire orchestrée sur la terreur, politique de la table rase, idéologie mouvante construite sur le clivage entre bons citoyens et mauvais citoyens, sur l’ennemi — visible ou invisible — et la pureté.

Les individus s’organisent selon des structures psychiques (certains préfèreront le terme organisation, moins rigide), qui traduisent leur rapport à la réalité, à l’expérience, à l’autre, à la Loi, aux pulsions, à la rationalité. Ces structures sont évolutives à la faveur des événements, en particulier des charges traumatiques lourdes, et c’est ce qui explique qu’en temps « normal », des individus respectant des tabous moraux fondamentaux (notamment, ne pas transgresser ni tuer), se désinhibent en temps totalitaire (ou plutôt régressent psychiquement), l’idéologie de masse permettant de justifier la levée des interdits anthropologiques du meurtre et de l’inceste — et de leurs dérivés — qui fondent une civilisation. Ce que l’on sait moins, c’est que ces structures psychiques concernent aussi les collectifs. Il existe des personnalités psychiques au niveau des groupes, des institutions, des entreprises… J’ai longuement étudié la nature des groupes que j’ai appelés « régressés », lorsqu’ils basculent sur un mode pervers ou pire, paranoïaque. Les pathologies narcissiques graves ont en effet ce talent de créer une unité pathologique dans les groupes, avec des interactions inconscientes. C’est dire à quel point l’individu est pris dans un système, où le tout est d’une autre nature que la somme de ses parties. Ce système contraint le psychisme individuel, qui en retour nourrira le délire collectif. Voilà expliqué en peu de mots le phénomène sectaire et fanatique.

Le totalitarisme correspond à un délire psychotique, celui de la paranoïa. Il s’agit d’une psychose, qui s’articule sur le déni de réalité (la réalité et l’expérience n’existent pas, ne servent pas de boucles de rétroaction pour qualifier la pensée délirante dogmatique), un délire interprétatif (un ennemi extérieur ou intérieur, visible ou invisible, nous veut du mal) avec des idéologies dédiés (mégalomanie, pseudo-idéaux humanitaires, hypocondrie, persécution…), la projection, la méfiance, le clivage, l’hyper-contrôle. Cette folie présente l’apparence de la raison, du discours argumenté, tout en s’organisant sur un délire de persécution justifiant la persécution d’autrui. Elle ne nie pas la Loi, elle l’interprète à son avantage et, si elle en a le pouvoir, elle l’instrumentalise pour persécuter les individus, et non plus les protéger. « Para » (παρά), dans le grec ancien παράνοια, est un préfixe qui signifie tout à la fois « à côté », « en parallèle », comme dans « parapharmacie », ou « contre », comme dans « parapluie ». De même que le parapluie agit contre la pluie, le paranoïaque agit contre l’esprit (νοῦς), contre l’intelligence, contre la logique. Et, pour ce faire, il subvertit l’esprit, l’intelligence, la logique, et leur fait la guerre.

Peu importe le contenu du délire, à savoir son décor théâtralisé, car la paranoïa, « folie raisonnante » comme l’ont nommé les psychiatres Sérieux et Capgras, obéit toujours à une même structuration des processus psychiques. Nourrie par la haine et la manipulation érotisée des institutions, elle peut être dangereusement collective et psychiquement contagieuse, « pour notre bien ». Il convient d’accuser l’ennemi désigné comme persécuteur, et si possible, de le personnifier. Un virus « pris en tenailles » — cf. discours d’E. Macron du 31 mars 2021 — est l’ennemi parfait, car il est invisible, en perpétuelle transformation — « variants ». L’interprétation — déduction à partir d’une opinion subjective — est au centre du dispositif : ce virus est si dangereux qu’il en va de la survie de l’espèce humaine — postulat implicite, qui permet de justifier la destruction de l’économie, des libertés et du droit fondamental) ; l’interprétation est à la fois exogène — le virus tueur est à l’extérieur de nous — et endogène — à l’intérieur de nous.

Osons une question blasphématoire : un virus aurait-il l’intention de nous tuer ? Les virus sont inscrits dans notre ADN ; nous en touchons des centaines de millions chaque jour. Curtis Suttle, virologue à l’université de la Colombie-Britannique au Canada, indique dans une étude de 2018, que plus de 800 millions de virus se déposent sur chaque mètre carré de terre chaque jour. Dans une cuillère à soupe d’eau de mer, il y a plus de virus que d’habitants en Europe !

« Nous avalons plus d’un milliard de virus chaque fois que nous allons nager […]. Nous sommes inondés de virus. »

Un article de 2011 publié dans Nature Microbiology estime qu’il y a plus d’un quintillion (1 suivi de 30 zéros) de virus sur Terre !!! Environ 8 pour cent du génome humain est d’origine virale, et les virus ont été présents bien avant l’espèce humaine sur Terre, ils ont contribué à donner naissance à la vie cellulaire[5]. Partir en guerre[6] contre un virus, est-on sérieux ? C’est pourtant ce que propose l’hypocondrie délirante de la paranoïa collective, dans laquelle le corps devient étranger à soi-même et persécuteur. Il faut donc persécuter le corps, dans un Syndrome de Münchhausen de masse, qui consiste à surmédicaliser de façon inadaptée — interdiction de remèdes, couplée à des vaccins expérimentaux, dont les études qui visent à prouver la qualité, la sécurité et l’efficacité ne sont pas achevées[7] — une maladie virale commune (qui mériterait des soins appropriés et précoces), et dont ceux qui en sont gravement atteints — entre autres, décideurs politiques, des lobbies et leurs relais médiatiques — dénient la tempérance et l’expérience des experts, et créent davantage de problèmes et de souffrances qu’ils n’en résolvent.

L’idéalisation est un mécanisme de défense très puissant, de l’ordre du fanatisme de l’idéal inatteignable. Cet idéal en soi devient persécuteur, car nul ne peut jamais être à la hauteur. La suggestion de l’idéal sanitaire tyrannique est forte depuis le départ : la santé est conçue comme absence de maladie potentielle (d’où la confusion entre les cas et les malades), et il faut éradiquer le virus. Avec ce chantage de fond : pas de retour aux temps anciens avant l’éradication du virus. La sophistique change selon les circonstances. Car le « vaccin », présenté dès le départ comme objet fétiche et talisman magique contre le virus, semble ne pas fonctionner à la mesure des ambitions initiales, voire présenter de graves et sérieux problèmes. Insuffisant (il faudrait continuer les mesures sanitaires contraignantes[8]), insatisfaisant (il n’empêche pas les contaminations[9], et serait même à l’origine des variants[10]), éventuellement dangereux[11] — cf. des effets secondaires graves, que certaines compagnies d’assurance ne prendront pas en charge[12], et pour d’autres, il sera fort compliqué de démontrer le lien de cause à effet !.

Devant cet échec vaccinal, l’on peut s’attendre à ce que la persécution se renforce : il faudra, pour répondre à l’idéal inatteignable d’éradication du virus, éliminer les individus qui sont supposés potentiellement porteurs du virus — en puissance, toute l’espèce humaine est visée. D’ores et déjà, des troupeaux entiers d’animaux ont été disséminés selon la même logique nazie d’un virus étranger qu’il convient d’éradiquer. Goebbels notait dans son Journal :

« Dans le ghetto de Varsovie, on a noté une certaine montée du typhus. Mais on a pris des mesures pour qu’on ne les fasse pas sortir du ghetto. Après tout, les Juifs ont toujours été des vecteurs de maladies contagieuses. Il faut ou bien les entasser dans un ghetto et les abandonner à eux-mêmes, ou bien les liquider ; sinon, ils contamineront toujours la population saine des États civilisés. »

Les non-vaccinés seront-ils persécutés puis éliminés pour camoufler l’échec vaccinal à répondre à l’idéal inatteignable ? Abdiquer l’idéal tyrannique serait renoncer au délire, et signifierait l’effondrement, la chute devant l’ennemi, la mort, la plongée dans le trou noir. La réalité de l’expérience doit donc être tordue et asservie, pour coïncider avec l’idéal archaïque et sadique, qui la disqualifie.

« La scientificité de la propagande totalitaire se caractérise par l’accent qu’elle met presque exclusivement sur la prophétie scientifique, par opposition à la référence plus traditionnelle au passé »[13], et je renvoie aux travaux du mathématicien Vincent Pavan. La confusion entre la fiction et la réalité de l’expérience règne, appuyée sur un déni des experts, et la certitude délirante, niant toute objection et doute. Il est même hérétique d’avoir une opinion sur la propagande totalitaire ; elle « n’est plus un problème objectif à propos duquel les gens peuvent avoir une opinion, mais est devenue dans leur vie un élément aussi réel et intangible que les règles de l’arithmétique. »[14] Elle place l’atteinte de ses buts dans un futur qui est toujours lointain, une sorte de promesse finale, un paradis, la fin du calvaire, la pureté de la race, le territoire purifié de la maladie, le retour au monde d’avant etc. Il s’agit de fédérer la masse contre un ennemi commun, censé incarner l’opposition à la réalisation de ce but. L’ennemi, autant extérieur qu’intérieur, sera susceptible de changer, suivant l’interprétation à l’instant T, pourvu que demeure ce que je nomme « la xénophobie dans la pensée », à savoir la notion d’un « étranger organique qui serait un « non-soi » menaçant le soi, au lieu que le « soi » soit « capable de se reconnaître porteur du « non-soi » et donc de pouvoir l’assimiler. »[15] Pour faire vivre cette xénophobie sanitaire, il faut opérer une « gigantesque opération de falsification de la vérité »[16], traduisant tout à la fois une confusion mentale et un défaut d’intégrité. La scientificité idéologique et sa technique prédictive ne cessent de se mouvoir ; leur dimension « caméléon » les fait perdurer au pouvoir.

Conclusion

La psychose paranoïaque est un délire d’enfermement collectif menant à un destin concentrationnaire, un projet destructeur de « la vie nue » — cf. Giorgio Agamben — , du « simple fait de vivre », et dont le rôle des Humanités nous rappelle qu’il est sacré. La paranoïa pose une relation d’objet narcissique paradoxale : « vivre ensemble tue et se séparer est mortel »[17] est bien le leitmotiv de l’idéologie sanitaire actuelle qui, si elle est menacée dans sa subsistance hypnotique, conduira inévitablement à des passages à l’acte meurtriers et transgressifs sur les peuples désobéissants, ce que l’on voit d’ailleurs poindre à différents endroits de la planète. Dans les deux prochains billets consacrés à la psychopathologie du totalitarisme, j’analyserai les méthodes, les étapes et l’objectif, puis la contagion délirante, les alliances psychiques et les conditions de sortie du délire collectif.

Épisode 2 — Méthodes, étapes, objectif du projet totalitaire

« Pour combattre le totalitarisme, il suffit de comprendre ceci : il représente la négation la plus absolue de la liberté. »

Hannah Arendt, La nature du totalitarisme, 1953

« Celui qui n’est pas intérieurement préparé à la violence est toujours plus faible que celui qui l’exerce. »

Alexandre I. Soljenitsyne, L’archipel du goulag, 1973

Le régime totalitaire vise « la domination totale » — cf. H. Arendt — , c’est-à-dire s’immisce dans la totalité des sphères sociales, privées et intimes, jusqu’au psychisme des individus. Pour y voir clair, il me semble impératif là encore de convoquer la psychopathologie. Un individu, ou un groupe d’individus, peut représenter et cristalliser l’expression de la paranoïa collective, dont l’essence est contagieuse, comme dans les sectes[18].

« Vaccination-évacuation », vaccinodrome d’Annecy et quais de Paris.

L’instrument clé de la mise en place du pouvoir totalitaire est d’abord le harcèlement des esprits qui doivent devenir perméables à l’idéologie. Il faut que la propagande médiatique obtienne la division du collectif, des clans traditionnels — familles, classes sociales, clans politiques — selon le clivage paranoïaque entre les « bons » et les « méchants » ; la ligne de désignation peut évoluer selon l’idéologie caméléon. Intervient rapidement la terreur, par la désignation de l’ennemi — ici, au départ, l’ennemi est un virus affreux qui entend décimer l’espèce humaine, et contre lequel « nous sommes en guerre », puis les ennemis deviennent les désobéissants qui ne veulent pas respecter les mesures dites sanitaires imposées par le champ politique. La propagande, souvent masquée derrière de subtiles manipulations (« c’est pour votre bien »), jubile à créer des chocs traumatiques collectifs (par exemple, la comptabilité mortifère répétée quotidiennement), qui lui permettront ensuite d’étendre tout son contrôle sur la population sidérée et terrorisée, laquelle, sous l’effet des injonctions paradoxales et de l’usure, appellera le pouvoir tortionnaire en sauveur, ignorant, pour son plus grand malheur, que ce prétendu sauveur est dans le même temps le persécuteur. La propagande se fera le reflet de l’ambition de « l’homme nouveau », niant le passé, les origines, les anciens repères, et toute forme d’altérité, par d’innombrables mensonges, paradoxes, incohérences et absurdités. L’idéologie, origine et principe de l’action totalitaire, doit annihiler l’existence du réel et les retours d’expérience. Hannah Arendt note que, dans le régime stalinien,

« tous les faits qui ne concordaient pas ou qui étaient susceptibles de ne pas concorder, avec la fiction officielle — données sur les révoltes, la criminalité, les véritables incidences des activités « contre-révolutionnaires » par opposition aux ultérieures conspirations fictives — étaient traités comme irréels. » — p. 18

C’est exactement ce qui se passe aujourd’hui, et je renvoie aux travaux de Vincent Pavan[19], ou encore aux alertes régulières de Jean-Dominique Michelpour mesurer le grand écart entre la réalité de l’expérience et de l’analyse, et le narratif officiel.

La terreur glisse rapidement sur les opposants qu’il s’agit de persécuter, à savoir ceux qui ne croient pas à l’idéologie, la mettent en doute, ou encore dénoncent les manipulations de masse. C’est la première phase, celle de la mise au pas par l’élimination des opposants. Mais le déferlement totalitaire se déchaîne bien davantage ensuite : la décompensation paranoïaque devient aveugle, et se cherche des ennemis potentiels (coupables en puissance, et non en acte), puisqu’il n’y a plus d’opposants réels. Pour soumettre les masses, tous les moyens sont permis, en particulier celui de la terreur par l’arbitraire. Tout allait « bien », en effet, lorsque les masses pouvaient se rassurer quant au harcèlement des opposants visibles, finalement, ils l’avaient bien cherché puisqu’ils n’obéissaient pas ! Il est indispensable ensuite que les représailles du pouvoir totalitaire tombent au hasard, afin d’assurer le contrôle total. L’arbitraire suscite l’incompréhension et la sidération — paralysie du psychisme et de la pensée. Croyant ainsi se couvrir, beaucoup deviennent délateurs, et sont encouragés à l’être par le délire de persécution paranoïaque : il s’agit de reconnaître l’ennemi, « si bien masqué soit-il »[20].

Le modus operandi du totalitarisme est le harcèlement. Il s’agit moins de détruire que de conduire à l’autodestruction[21], jusqu’au suicide, par les traumatismes réitérés sur la durée, engendrés dans la terreur et la violence. Les régimes politiques fonctionnant à l’idéologie utilisent la violence extrême, car il s’agit de transformer l’expérience du réel, de gré ou de force, pour faire régner l’idéologie, quoi qu’il en coûte. Ceux qui diffusent l’idéologie et l’organisent savent-ils que l’idéologie est fausse ? Ce n’est pas sûr, si l’on continue l’analyse sous l’angle de la psychopathologie. Ils peuvent y croire, et sont sans doute d’autant plus dangereux qu’ils y croient, d’une croyance religieuse transformée en fanatisme du dogme. Certains d’entre eux sont sans doute plus cyniques ; nous le voyons aujourd’hui avec les scandales d’hommes riches et/ou politiques, qui s’exonèrent des mesures sanitaires qu’ils imposent au peuple. Dans ce cas, l’illusion idéologique, elle est pour les autres, et non pour eux. D’ailleurs, pour H. Arendt, la force de l’idéologie ne tient pas à son contenu — lutte des classes, lutte des races, vaccinés contre non vaccinés, comploteurs contre « complotistes » etc. — mais à sa forme logique. Pour manipuler au mieux les individus, il faut les isoler. Le pervers ne fait pas autrement, lorsqu’il entend exercer son emprise sur sa proie : il l’isole. N’est-ce pas de ce tour de passe-passe dont il s’agit en prônant la nécessité des multiples confinements, dont le grand expert mondial en épidémiologie, John Ioannidis, récuse les bienfaits ? Le totalitarisme enlève aux individus les rapports sociaux, ou plutôt, il ne leur tolérera que certains rapports sociaux, ceux qui seront politisés par l’idéologie — par exemple, s’entasser dans le métro pour aller travailler, ne pouvoir voyager que pour des « motifs impérieux » dont le travail fait partie, mais pas la maladie d’un proche, ni la naissance d’un petit-fils etc. Les liens familiaux sont attaqués, par la désunion que crée le fanatisme idéologique.

Le totalitarisme exige une loyauté « à la vie, à la mort » de l’individu, jusqu’à son sacrifice ultime. Pour cela, il faut capturer l’individu par une série de gestes obsessionnels aliénant le psychisme, comme dans les clans mafieux ou encore les sociétés secrètes : quiconque n’est pas inclus, est exclu ; le pouvoir totalitaire convoque l’utilisation de rituels, l’absence de factions, la suppression des opinions dissidentes, la centralisation absolue du commandement, l’exigence d’une loyauté totale, la promesse d’une protection et de davantage de quelque chose — bonheur, pouvoir, argent, liberté de mouvement, loisirs… — qui ferait de l’initié un privilégié. N’est-ce pas exactement ce dont il s’agit à propos du passeport sanitaire, qui est en tout point similaire au passeport aryen de 1933 quant aux prérogatives conférées (musées, théâtres etc.) : une communauté de privilégiés ? L’écrivain hongrois, déporté à Auschwitz à l’âge de 15 ans, Imre Kertész, dans son livre L’Holocauste comme culture indique que le totalitarisme ne peut exister sans la stigmatisation de certaines populations qu’il se donne pour mission idéologique de persécuter :

« Au procès de Jérusalem, Eichmann affirmait n’avoir jamais été antisémite et, bien que la salle ait alors éclaté de rire, je ne trouve pas impossible qu’il ait dit vrai. […] Nous devons nous dire clairement qu’aucun totalitarisme de parti ou d’État n’est possible sans discrimination, or la forme totalitaire de la discrimination est nécessairement le massacre, la tuerie de masse. »

Ajoutons que la logique concentrationnaire est indissociable du totalitarisme, car elle est inséparable de l’enfermement psychique de la paranoïa. Depuis quelques mois, j’entends des murmures sur la création ou l’existence des camps de mises en quarantaine, dans différents pays[22]. Si l’idéologie n’est pas stoppée net (et elle ne le sera pas), par une incrédulité de masse, la logique concentrationnaire se déploiera, car elle est l’aboutissement du projet totalitaire : dans le camp, la liberté n’est qu’un lointain souvenir, la liberté de se mouvoir, d’entreprendre, et la Loi comme protection de l’individu n’est plus opérante. Il faut nous souvenir que, pour le paranoïaque, la Loi c’est lui, selon son bon vouloir ; elle n’est plus l’expression de ce qui fait tiers entre les individus, pour protéger leur intégrité, mais devient un instrument de persécution des opposants et des plus vulnérables. Dans le camp, l’on perd son nom, son identité (l’on devient au mieux un numéro), ses racines, ses liens, voire toute forme de socialisation ; l’on perd toute représentation du temps ; c’est la négation de l’humain, le corps est soumis aux agressions, à la faim, au froid, aux maladies, aux maltraitances sexuelles, à la déshumanisation — par exemple, les femmes sont tondues, les hommes rasés, on récupère des bouts de corps… L’objectif totalitaire de la domination totale est atteint par les camps de concentration. Dans la psychose paranoïaque, le sujet est psychiquement enfermé, et s’enferme sans cesse toujours davantage ; il existe une fuite en avant pour toujours davantage de contrôle, avant d’aboutir à l’extermination.

Pour Hannah Arendt, « le prisonnier d’un camp n’a pas de prix puisqu’on peut le remplacer »[23]. La logique concentrationnaire du totalitarisme en ce sens est pire que l’esclavage, parce que l’esclave possède une valeur marchande : il peut être vendu au marché aux esclaves. La valeur marchande sur le corps humain relève de la perversion : instrumentaliser à outrance ce qui en saurait l’être. Rappelons-nous que la perversion est l’instrument du déploiement du totalitarisme, mais elle n’en est pas le but : le but n’est plus l’aliénation (soumission) mais l’annihilation (la réduction au rien) du sujet humain, c’est un cap supplémentaire qui est franchi. La valeur marchande sur le corps humain peut encore conférer un statut de personnalité juridique mineure, bien sûr sous un mode pervers. Mais dans l’apogée du totalitarisme les corps sont remplaçables, interchangeables, n’ont plus aucune valeur sacrée, et plus aucune valeur, tout court, même matérielle ou marchande. La personne morale est détruite. Hannah Arendt appelle cela « l’assassinat de l’individualité ». Elle ajoute[24] :

« Le dessein des idéologies totalitaires n’est donc pas de transformer le monde extérieur, ni d’opérer une transmutation révolutionnaire de la société, mais de transformer la nature humaine elle-même. »

Et poursuite :

« Les États totalitaires s’efforcent sans cesse de démontrer que l’homme est superflu. »

Le totalitarisme est quant à lui et par essence génocidaire : il n’a plus besoin de l’humain, ou plutôt, il prétend le créer de nouveau, à partir de zéro. C’est le projet de « l’homme nouveau » ; il faut à la fois supprimer la liberté humaine, et l’humain dans toutes ses aspérités, pour faire régner la notion de pureté. N’est-ce pas là le projet en cours du Grand Reset, et du transhumanisme qui l’accompagne ? Les privilégiés auront une « valeur marchande » et pourront continuer de vivre dans le monde marchand — voyager, consommer etc. Quant aux autres ? La paranoïa fonctionne sur un mode binaire : les purs et les impurs, les forts et les faibles, les utiles et les inutiles, les essentiels et les non-essentiels… Et c’est cette notion de pureté qui la fait parquer dans des camps les éléments jugés indésirables car ces dits impurs ne sauraient venir souiller « l’espace vital ». La pureté est déjà présente dans l’idéologie sanitaire, où l’on fumige à tout va, y compris au Leclerc d’Ajaccio[25], comme si nous étions des cafards. Les populations nomades, apatrides, marginales, et pauvres sont toujours visées, car elles ne se laissent pas assujettir au contrôle. Il est fort à parier que c’est ce qui guette une partie de la population ; attendons de voir qui sera l’ennemi désigné : pour l’instant, l’on suppose qu’il s’agira des non-vaccinés, mais cela peut tout aussi bien s’étendre aux « islamo-gauchistes » (néologisme flou), à toute population désignée comme « terroriste » (sur quels critères ?), mais aussi pourquoi pas aux vaccinés estimés porteurs de variants, car l’ennemi désigné peut mouvoir, au gré de l’idéologie caméléon.

Conclusion

Le totalitarisme est international dans son organisation, universel dans sa visée idéologique, et planétaire dans ses aspirations politiques. Il poursuit « l’expérience de domination totale. »[26]Le but est la disparition totale de toute spontanéité. Pour y parvenir, il faut à la fois l’endoctrinement idéologique — nous y sommes déjà —, la terreur arbitraire et l’ambition concentrationnaire — c’est en route — pour briser ce que hait la paranoïa : toute forme de spontanéité. Les camps sont le lieu d’achèvement du processus de déshumanisation et de spoliation de la personne, par la soumission des corps incarnés, après la brisure des esprits. Hannah Arendt parle de désolation pour nommer cette épreuve d’une perte radicale des moyens de faire l’expérience du monde. Le mal est radical : à la racine. Dans un prochain et dernier épisode, j’analyserai la contagion délirante et les alliances psychiques inconscientes dans le collectif et les issues envisageables.

Épisode 3 — Contagion délirante et alliances psychiques, sortie du délire

« La liberté est ce qu’il y a de plus intime, et c’est à partir d’elle que s’élève tout l’édifice du monde de l’Esprit ».

Hegel, Principes de la philosophie du droit, « Cours de philosophie du droit de 1831 »

Pour entrevoir une issue au totalitarisme, il nous faut comprendre comment les esprits ont été emprisonnés dans la folie paranoïaque. Cela suppose de rendre intelligible le phénomène de contagion délirante[27], et de mettre en lumière les interactions psychiques inconscientes qui s’allient pour promouvoir l’idéologie.

La paranoïa est une pathologie contagieuse, qui érode les liens traditionnels[28] pour soumettre les psychismes à de nouveaux liens, ceux de l’idéologie[29].

Il faut d’abord comprendre — et je ne pourrai rentrer ici dans le détail d’un processus psychique fort complexe — que le psychisme tend à se défendre face à la violence du harcèlement, de la propagande médiatique et de la terreur. Pour cela, il érige des remparts qui lui permettent de tolérer une réalité insoutenable, parmi lesquels : le déni, le refoulement, la banalisation, l’idéalisation, le clivage, la projection, la radicalisation, l’interprétation, l’isolation, la décharge dans le passage à l’acte, l’automatisation des faits et des gestes, l’anesthésie affective, le désinvestissement[30]… Ces « mécanismes de défense » érodent la lucidité de l’individu. En particulier, le déni est une impossibilité absolue de se représenter la violence de ce qui se passe, jusqu’à rendre hermétique à toute argumentation ou évidence des faits. Je précise que ce processus psychique n’a rien à voir avec l’intelligence, mais concerne les « plus fragiles » psychologiquement, c’est-à-dire ceux qui n’ont pas les ressources internes suffisantes pour résister à une telle distorsion interprétative du monde : la majorité des êtres humains. Car il faut une force psychique hors du commun pour parvenir à garder un raisonnement sain dans un monde qui devient fou, où les repères sont inversés, la vérité travestie en mensonge, et les innocents désignés comme coupables, tandis que les coupables exercent une terreur indécente, au nom du bien du peuple, et de jolis idéaux tels que « la santé pour tous » ou « la protection de nos aînés. » La contagion délirante opère à partir de ces remparts, rendant l’individu perméable à l’idéologie, et désormais adepte inconditionnel de la secte totalitaire.

Il existe une hiérarchie des profils psychiques dans l’accès aux fonctions structurantes de civilisation que sont la symbolisation et la sublimation[31]. Nous pouvons déjà distinguer ceux qui ont structurellement intégré les tabous fondamentaux de l’interdit du meurtre et de l’inceste (et leurs dérivés : calomnie, envie, transgressions sexuelles etc.), et les autres. Ces derniers, qui ne sont plus tenus par une structure extérieure, sont alors « activés » par le délire paranoïaque, qui les autorise désormais à passer à l’acte, sans plus aucune répression légale, pourvu que l’action mortifère et transgressive s’inscrive dans la lignée dogmatique de l’idéologie. C’est ainsi que, sous propagande, des profils pervers peuvent torturer impunément — cf. Klaus Barbie —, des profils paranoïaques peuvent disséminer la terreur[32], et des psychopathes, être utilisés comme des mercenaires du régime.

Les névroses ordinaires[33] sont fragilisées, c’est-à-dire qu’en temps « normal », des personnes se comportant de façon respectueuse des interdits fondamentaux, peuvent, à la faveur d’une idéologie totalitaire, régresser, et notamment sur un mode pervers. En clair, le système totalitaire, par sa dimension délirante massive, fait décompenser des pervers en paranoïa, et régresser des profils névrosés, en perversion, la perversion étant une sorte d’ultime digue psychique pour ne pas sombrer dans le délire — cf. Racamier. Le déploiement du système totalitaire entraîne donc la survenue de nombreux abus de pouvoir et actes sadiques, commis par des chefaillons qui se révèlent. Et l’on se demande alors comment ce bon père de famille, d’ordinaire si agréable, et connu depuis si longtemps, est devenu capable de tant d’atrocités… Je rappelle que la perversion[34] est l’exécutante consciencieuse et habile de la folie paranoïaque.

Le paranoïaque définit la stratégie, quand le pervers déploie la tactique.

Les autres profils névrosés, plus rares, sont tout de même fragilisés, jusqu’à nourrir des dépressions et des idées suicidaires, ou encore convertir leur angoisse en névrose obsessionnelle grave : l’individu fonctionne sur un mode automatisé, par des attitudes ritualisées, qui l’empêchent de penser sa fonction dans l’ensemble du système, comme Eichmann qui ne faisait que s’occuper de ce que les trains arrivent à l’heure. L’individu préfère en effet être entraîné dans la régression psychique collective, plutôt que d’affronter l’épreuve de la solitude, de la perte et de la séparation — épreuve à laquelle le philosophe traditionnel est généralement aguerri. Ainsi, dans des situations incitatives, hors normes, les auteurs d’actes barbares sont aussi des « honnêtes gens », aux profils obéissants.

Seuls trois types de profils résistent au déferlement totalitaire :

  • Des « anti-sociaux », déjà habitués à ne pas se soumettre aux règles du monde qu’ils interrogent toujours avec une grande vitalité ;
  • Des personnes ancrées sur Terre avec un bon sens paysan qui les vaccine contre toute idéologie hors sol ;
  • Quelques intellectuels et artistes.

Tous disposent d’une profondeur émotionnelle intérieure, d’une autonomie interne, et de références morales à l’autorité transcendante, suffisantes pour arrimer l’affirmation d’eux-mêmes dans une filiation temporelle verticale (anciens maîtres, généalogie, ancêtres…), ce qui les affranchit de l’adhésion horizontale au groupe et du collage à l’idéologie. Parmi ces profils, l’on peut trouver (mais pas obligatoirement), des personnes aux hautes valeurs morales, d’une grande intégrité, et d’autres (ou les mêmes), avec une forte sensibilité aux processus liberticides

Les rares qui ont compris dès les premiers signaux d’alerte, et n’ont pas besoin de l’expérience de la désolation pour mesurer le danger de la construction mentale délirante, incarnent le chemin étroit de la vérité et les résistants de la première heure.

Ils appellent à la désobéissance face à l’abus de pouvoir, et invoquent un idéal humain de liberté, contre le règne absolu de la contrainte. Il faudra néanmoins attendre le réveil des masses, pour que le totalitarisme s’effondre, ces masses qui réagissent favorablement à la suggestion hypnotique, et se laissent facilement séduire, par le cadeau empoisonné de l’idéologie et son apparente cohérence : la fuite d’une réalité vécue comme désagréable. La propagande totalitaire fonctionne, car elle promet de transformer radicalement un monde dont les masses ne veulent plus, parce qu’elles n’y trouvent plus leur place. Bien entendu, ce sentiment d’être perdu, sans racine, le totalitarisme a pu lui-même en être à l’origine, avant d’en tirer profit. La globalisation offerte par l’idéologie totalitaire rassure ; elle donne l’illusion de la prise en charge totale, peu importe que cette prise en charge soit le fruit d’une mère omnipotente qui peut changer d’humeur à n’importe quel moment, jusqu’à tuer sa progéniture si cela lui chante.

Les masses doivent cesser de collaborer et, partant, de croire. Et c’est inéluctable : l’expérience de la réalité totalitaire se chargera elle-même de la désillusion.

Les masses, en éprouvant le fait totalitaire dans leur chair, dans leurs familles, dans leurs individualités, confrontées à l’action mortifère de la secte, finiront par ouvrir les yeux. Il est donc essentiel que cette alliance provisoire entre les propagateurs politiques de l’idéologie — décideurs politiques et économiques/propagandistes et intellectuels collaborant à l’idéologie — et une grande partie du peuple cesse. La diffusion de l’information, ainsi que le bouche-à-oreille de ceux qui témoignent à ceux qui les relaient, est également un facteur essentiel dans la désillusion des masses.

Désobéir est vital. Faire partie des hérétiques au sens propre, de ceux qui font le choix de ne pas se plier à la croyance religieuse de l’idéologie totalitaire. Il y a autant de désobéissances que de spontanéités individuelles. L’artiste qui ne suit pas l’art totalitaire désobéit, et fait de la liberté sa foi.

« L’initiative intellectuelle, spirituelle et artistique est aussi dangereuse pour le totalitarisme que l’initiative criminelle de la populace, et l’une et l’autre sont plus dangereuses que la simple opposition politique. La persécution systématique de toutes les formes supérieures d’activité intellectuelle par les nouveaux dirigeants de masse a des raisons plus profondes que leur ressentiment naturel pour tout ce qu’ils ne peuvent comprendre. La domination totale ne tolère la libre initiative dans aucun domaine de l’existence ; elle ne tolère aucune activité qui ne soit pas entièrement prévisible. Le totalitarisme, une fois au pouvoir, remplace invariablement tous les vrais talents, quelles que soient leurs sympathies, par ces illuminés et ces imbéciles dont le manque d’intelligence et de créativité reste la meilleure garantie de leur loyauté. »[35]

Ne pas se soumettre au dogme, l’interroger et conserver son esprit critique, créer en-dehors de ce qui est permis, emprunter les sentiers de traverse, mais aussi archiver, conserver cet ancien que le pouvoir totalitaire désire détruire, informer, tout ceci fait partie de la résistance. Le totalitarisme craint le primat de la subjectivité, la texture unique du témoin qui transcrit ses émotions, sa sensibilité, sa vie psychique et son humanité ; il redoute cette liberté de l’esprit contre la rigueur de la lettre, l’ironie ou « le trait d’esprit », le rire contagieux qui le détrône de sa toute-puissance. Penser est dangereux, mais « ne pas penser est encore plus dangereux. »[36]

Que nous reste-t-il lorsque tout est perdu ? Devenir, pour reprendre le titre du livre d’Imre Kertész, un « être sans destin ».

Cet auteur, déporté à Auschwitz à l’âge de 15 ans, et libéré du camp de Buchenwald en 1945, pose la question de savoir ce qu’il advient, lorsqu’un homme est privé de tout destin :

« S’il y a un destin, la liberté n’est pas possible ; […] si la liberté existe, alors il n’y a pas de destin […], c’est-à-dire qu’alors nous sommes nous-mêmes le destin. »

Peut-être devons-nous simplement accepter d’être dans la non-maîtrise des événements, et reprendre à l’inverse la devise de l’Abbaye de Thélème : « fais ce que dois ». Accomplir notre devoir humain, jusqu’au bout de ce dont nous avons la maîtrise, et au-delà, embrasser les affres de notre expérience humaine. Le ballon du délire paranoïaque collectif se dégonfle lorsque le langage trafiqué de l’idéologie perd de son charme envoûtant. C’est pourquoi notre liberté se conquiert dans le Verbe, qui nomme avec justesse l’expérience humaine, et ce fut depuis toujours le rôle des Humanités. Le « philosophe-médecin »[37] doit diagnostiquer, nommer le délire, et le caractériser.

Irrespectueux des lois du vivant, qui sont immuables, destructeur des lois transcendantes régissant la condition humaine, le système totalitaire est par essence voué à l’effondrement[38]. Il s’engraisse et survit par la collaboration de nombreux individus, la compromission des esprits et du langage, un renoncement à la vérité, et donc à la justice, le primat de la peur, donc de la haine. Je clôturerai ces trois épisodes avec Kertész :

« […] je ne pense pas me leurrer en le disant, je me suis efforcé d’effectuer le travail existentiel, la tâche que m’a imposée le fait d’avoir survécu à Auschwitz. Je sais très bien à quel point j’ai été privilégié : j’ai vu le véritable visage de ce siècle monstrueux, j’ai regardé la Gorgone dans les yeux et j’ai survécu. Mais j’ai su dès lors que je ne me libèrerais jamais de ce spectacle, j’ai su que ce visage me garderait éternellement sous son emprise. […] Et, si vous me demandez maintenant ce qui me maintient en vie sur cette Terre, je vous répondrai sans hésiter : l’amour. »[39]

Notes [regroupées – NdE]

Commentaire : Voici quelques ouvrages en lien avec le sujet développé dans l’article :

  • La marche irrésistible du nouvel ordre mondial, Pierre Hillard
  • Neuro-esclaves — Techniques et psychopathologies de la manipulation politique, économique et religieuse, Marco Della Luna & Paolo Cioni
  • Un si fragile vernis d’humanité — Banalité du mal, banalité du bien, Michel Terestchenko
  • La ponérologie politique, Andrew Lobaczewski
  • Propagandes, Jacques Ellul
  • Les origines du totalitarisme, Hannah Arendt
  • La langue des médias — Destruction du langage et fabrication du consentement, Ingrid Riocreux
  • Histoire d’un Allemand — Souvenirs (1914-1933), Sebastian Haffner

Et toujours en lien avec l’article, nos Focus suivants :

Sources de l’article initialement publié en trois parties dans le magazine L’Antipresse — accès réservé aux abonnés — et reprises sur le site personnel d’Ariane Bilheran :




Les témoignages des drames post-vaccination s’accumulent chaque heure

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

HALTE A LA VACCINATION COVID DES ENFANTS ! STOP DESINFORMATION  MEDIATIQUE(([1] Un groupe de médecins accuse la BBC de diffuser des déclarations simplistes et biaisées sur la vaccination des enfants – Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu) ))

Un nouveau cri d’alarme !

En attendant que les médias fassent leur travail comme cela commence en Allemagne avec le journal Bild(([2] https://youtu.be/dgvmHdttEEc)) qui fait son mea culpa ou en Irlande où un grand journal titre sur les morts de la vaccination,(([3] https://twitter.com/i/status/1405256231778926599)) combien faudra-t-il d’articles, de vidéos pour informer nos concitoyens de l’horreur de cette substance génique appelée vaccin, sans en avoir les caractéristiques, à l’intérêt nul pour les enfants qui ne risquent rien du covid et ne transmettent pas le virus, dont les risques sont loin d’être négligeables, en particulier cardiaques ?

Même l’agence du médicament français ANSM enquête sur le lien entre myocardites et thérapie génique. Quand on connait leur lenteur à la détente, il y a de quoi être inquiet…(([4] Cas de myocardite : l’ANSM retient un “rôle possible” du vaccin Pfizer (europe1.fr) ))

La litanie quotidienne du frère ou du copain moqueur fier de se vacciner et mort six semaines plus tard, des personnalités qui ont vanté le pseudo-vaccin à la télé italienne américaine anglaise ou française qui disparaissent brutalement d’une crise cardiaque… Deux présentateurs de la télévision britannique, un espoir du tennis de 12 ans, un mannequin et une célèbre youtubeur handicapé féru de sport et suivi par 260.000 personnes qui avait fait la pub du vaccin il y a quelques semaines, meurent brutalement de crise cardiaque et même un footballeur de l’Inter de Milan, danois qui s’écroule sur le stade et s’en tire avec un défibrillateur. Quel sera son avenir sportif, et les assurances vont -elles l’indemniser à hauteur de ses pertes financières ?  Ce jour une infirmière argentine meurt brutalement quelques jours après le vaccin et presque toujours le même scénario brutal.

Hasard ? Coincidence me dira-t-on ? Ça commence à faire beaucoup et s’additionne aux chiffres des agences comme le Vaers aux USA, l’EMA, l’ANSM, ou anglaise.(([5] How can the UK Gov. make these mandatory ? – 20th update on Adverse Reactions to the Covid Vaccines shows 949,287 Adverse Reactions & 1,332 Deaths – Daily Expose))

LA PROPAGANDE DE LA BBC MISE EN CAUSE

Le cri d’alerte du jour succédant aux appels de collègues américains en particulier est celui d’un groupe de médecins britanniques accusant  la BBC de diffuser des déclarations simplistes et biaisées sur la vaccination des enfants (juin 17, 2021). Ils demandent à tous de diffuser largement leur lettre ouverte.

La UK Medical Freedom Alliance a envoyé cette lettre ouverte  au Professeur Devi Sridhar concernant l’épisode de BBC Newsround (7 juin 2021) faisant la promotion de la vaccination Covid pour les enfants.

La UK Medical Freedom Alliance a envoyé cette  lettre de plainte au professeur Sridhar en réponse aux déclarations qu’elle a faites dans l’émission BBC Newsround, diffusée dans la plupart des écoles britanniques, qui comprenait plusieurs affirmations fausses ou trompeuses. Par exemple, les vaccins Covid-19 seraient sûrs à 100 %,  les enfants devraient se faire vacciner pour protéger leurs parents et  les avantages pour les enfants seraient supérieurs aux risques.

INVRAISEMBLABLE TRIPLE MENSONGE : les pseudo-vaccins sont dangereux, incapables d’empêcher les transmissions et les enfants ne transmettent pas le covid.

L’injection ne protègerait pas leurs parents, si même il était éthique de leur demander cela, mettre leur vie en péril pour un risque mineur de maladie pour leurs parents jeunes à risque infiniment faible de mourir du covid.

« Présenter un message aussi simplifié et biaisé est, à notre avis, profondément irresponsable, relève de la propagande et a un impact négatif sur le processus de consentement pleinement éclairé. Nous avons demandé au professeur Sridhar de retirer immédiatement l’intégralité de son message et de présenter des excuses publiques claires pour avoir déformé les faits relatifs aux problèmes de sécurité des vaccins Covid-19 chez les enfants. »

Veuillez partager cette lettre aussi largement que possible sur vos canaux de médias sociaux et avec les journalistes, les médias, les célébrités et autres. Merci pour tous et en particulier les enfants.

Lettre ouverte de l’Alliance britannique pour la liberté médicale adressée à :
Professeur Devi Sridhar concernant l’épisode de 
BBC Newsround (7 juin 2021) sur les vaccins anti-covid pour les enfants.

“Nous aimerions partager avec vous notre lettre ouverte à la MHRA datée du 7 juin 2021 concernant les vaccins Covid-19 pour les enfants.(([6] UKMFA Urgent Open Letter to the MHRA re Emergency Authorisation of the Pfizer Covid-19 vaccine for Children (ukmedfreedom.org)
60c886afa15a510c85059d51_UKMFA_Open_Letter_Devi_Sridhar.pdf (childrenshealthdefense.eu) ))

Cette lettre est une réponse à votre récente apparition sur BBC Newsround, où vous avez fait plusieurs déclarations qui ne sont absolument pas soutenues par des preuves scientifiques.

Les préoccupations sont principalement liées, mais pas limitées, aux points suivants :

« Vous déclarez que l’avantage du vaccin pour les enfants serait qu’ils n’auraient alors « pas à s’inquiéter de Covid-19 ». Les enfants sont déjà dans une position où ils n’ont pas à s’inquiéter du Covid-19, car le risque pour eux est proche de zéro.

Vous affirmez qu’un autre avantage serait qu’ils sont alors susceptibles de ne pas infecter leurs parents.

Les enfants ne jouent pas un rôle majeur dans la transmission, et les essais réglementaires ne prouvent pas non plus que les vaccins empêchent la transmission.

Il s’agit clairement d’une déclaration destinée à provoquer une réaction émotionnelle de culpabilité suivie d’un sentiment de devoir, et en tant que telle, il s’agit de propagande plutôt que de conseils factuels.

Vous affirmez que le principal inconvénient du vaccin est qu’il s’agit d’une « autre injection dans votre bras ».

Il s’agit d’une déformation grossière des risques connus et inconnus d’effets indésirables graves potentiels des vaccins Covid-19 pour les enfants.

Nous sommes sûrs que vous savez que le CDC aux Etats-Unis a convoqué une réunion d’urgence, spécifiquement pour discuter des centaines de cas de myocardite survenus chez des jeunes après la vaccination(([7] https://www.dailymail.co.uk/news/article-9672233/The-Latest-WHO-warns-delta-variant-hold-Europe.html))

Des effets potentiellement mortels et des décès ont été signalés chez de jeunes adultes et des enfants aux Etats-Unis et en Israël, ce à quoi vous ne faites pas du tout référence.

Vous trouverez les références pertinentes à tous ces points dans notre lettre ouverte.

Dans la situation actuelle, marquée par l’incertitude et la peur, le public se tourne vers les professionnels pour obtenir des conseils équilibrés.

Présenter un message aussi simplifié et biaisé est, à notre avis, profondément irresponsable. Lorsqu’il s’adresse spécifiquement à un groupe d’enfants vulnérables, il est impardonnable.

Nous notons que la version actuellement accessible de votre déclaration sur Newsround a déjà été expurgée, car vous avez initialement affirmé que le vaccin Pfizer-BioNTech était sûr à 100 %.

Vous deviez être conscient que le fait de déclarer toute intervention médicale sûre à 100 % sape la crédibilité de quiconque.

Modifier un article après qu’il a déjà été diffusé et visionné par un très grand nombre de personnes et d’enfants, sans explication ni excuses publiques, est très irrégulier. Le commentaire à la fin de la transcription écrite, se contentant de noter une correction, ne touchera pas la majorité du public qui a entendu et assimilé votre affirmation initiale.

Nous vous demandons donc de retirer immédiatement l’intégralité de votre message et de présenter des excuses publiques claires pour avoir déformé les faits relatifs aux problèmes de sécurité des vaccins Covid-19 chez les enfants”.

14 juin 2021

« Nous demandons que votre rétractation et vos excuses soient diffusées aussi largement que votre message initial, et plus particulièrement à toutes les écoles où ce matériel a pu être montré à des enfants.

Nous attendons une réponse confirmant que vous avez pris les mesures appropriées, ou justifiant les raisons pour lesquelles vous ne l’avez pas fait.

Nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos salutations distinguées.
Alliance britannique pour la liberté médicale www.ukmedfreedom.org

Cc : BBC
Rt. Hon. Gavin Williamson – Secrétaire d’Etat à l’Education
Rt. Hon. Oliver Dowden – Secrétaire d’État au numérique, à la culture, aux médias et aux sports Shirley-Anne Somerville – Secrétaire d’État écossaise à l’éducation et aux compétences » 

En conclusion

Les témoignages de drames post vaccination y compris chez des enfants s’accumulent chaque heure… Il suffit d’ouvrir Tweeter ou Telegram pour trouver une nouvelle histoire tragique de parents ayant perdu leur fils de 32 ans pour rien et qui veulent alerter sur les réseaux sociaux faute de pouvoir s’exprimer sur les grandes chaines de télévision.

Tous ceux qui participent à la désinformation auprès des enfants et de leurs familles porteront le poids de ces décès, mais aussi de ces enfants devenus invalides à vie, pour RIEN, pour soutenir inconsciemment le projet funeste de quelques milliardaires contre l’Humanité.  Tous  ceux qui par leur silence contribuent à l’accumulation de nouvelles victimes.

Les responsables commencent à être mis en cause comme le Dr Fauci dont le Sénat américain demande le licenciement dans une nouvelle conférence de presse.(([8] https://youtu.be/UYVAZkXcYOg)) Nous y reviendrons, mais personne ne peut être sûr de son impunité. Tous les tyrans tombent un jour. Tâchons de limiter le nombre de victimes dans cette attente.

Nicole Delépine





Les technocrates du Grand Reset ont-ils vraiment réfléchi à tout cela ?

[Source : Aube Digitale]

PAR JADE

La seule chose qui reste à détruire dans un monde peuplé uniquement d’élites, ce sont les autres élites. Il semblerait que le désir de dominer les autres ne s’arrête pas de lui-même.

Alors que le Programme alimentaire mondial des Nations unies annonce que quelque 270 millions de personnes dans le monde sont aujourd’hui menacées de famine, le débat actuel sur les véritables objectifs de la technocratie est profond. La question est de savoir si leur objectif tend plutôt vers une réduction majeure de la population, ou plutôt vers un nouveau type d’esclavage.

Il semble que les questions philosophiques et pratiques à long terme restent un mystère. Nous soutiendrons que le mal, et pas simplement l’influence de la base sur la superstructure, est au cœur de cette entreprise. Nous avons défini le mal comme le fait d’infliger le plus haut degré de douleur au plus grand nombre de sujets qui résistent. En bref, nous avons défini le mal comme un sadisme, qui consiste à infliger le mal parce qu’il apporte une satisfaction à ceux qui l’infligent.

Parce que le mal est fondamentalement une force destructrice, il ne peut rien créer : rien en lui n’est vraiment nouveau ni utile à l’humanité. Ses plaisirs sont éphémères et fallacieux. Il est insoutenable, autodestructeur et mène finalement à l’autodestruction.

Nous avons évalué de manière adéquate, à partir d’un certain nombre de sources, que des intérêts néfastes sont derrière ce processus, qui cherchent à faire en sorte que le processus concerne également l’exercice du pouvoir, en plus de plusieurs autres objectifs (rester au pouvoir, exercer le pouvoir d’une manière conforme à leurs croyances occultes sur le mal, etc.) Nous comprenons qu’ils sont « maléfiques » parce qu’ils impliquent un type de « pouvoir sur » (par opposition au pouvoir avec/consentement) qui tire ce pouvoir de l’apologie de la peur et du terrorisme sur la population. Le terrorisme est défini ici comme l’utilisation opérationnelle de la peur, de la douleur et d’autres blessures à des fins socio-politiques.

Si leurs plans n’avaient pas été ancrés dans le mal, ils auraient utilisé des tactiques de pouvoir doux, comme la fabrication du consentement, pour arriver à leurs fins.

Le but du Grand Reset est de transformer l’oligarchie ploutocratique au pouvoir en une oligarchie technocratique. La base de la ploutocratie est la finance, et l’introduction de l’IA et de l’automatisation élimine la base de la finance comme fondement d’une économie d’échelle. En effet, l’automatisation et la déflation évoluent en tandem, faisant des nouvelles technologies des perdants nets. Il faut donc introduire un nouveau paradigme qui tienne compte de cette « quatrième révolution industrielle » post-financière.

Comparaison côte à côte d’une chaîne de montage automobile : 1920 contre 2020 – « Les humains n’ont pas besoin de s’appliquer ».

Mais l’idéologie du Grand Reset est fondée sur le vieux paradigme financier, qui est celui de l’externalisation des coûts. Lorsque les êtres humains ne sont plus impliqués dans le processus de valorisation de la production de biens et de services, alors l’humanité elle-même est le coût qui doit être externalisé – éliminé.

Mais comment se fait-il que le sadisme soit devenu la religion occulte de la classe dirigeante, c’est une question du type « la poule ou l’œuf ». C’est-à-dire, est-ce que l’idéologie corporative a muté en sadisme occulte, ou est-ce que le sadisme occulte a trouvé son expression à travers l’idéologie corporative ? Cette question servira sans doute de base à une enquête ultérieure.

Nous nous référons souvent à des motivations ou à des processus néfastes en termes de « cupidité », d’« intérêt personnel », d’« obsession du pouvoir » ou de « crise de l’accumulation du capital », de « bulles spéculatives ».

Et cela ne suffit pas en dernière analyse, même si cela fournit un pouvoir explicatif. Le problème se pose en termes de pouvoir prédictif, car si nous sommes confrontés à une crise des rendements décroissants due à l’automatisation (comme la tendance croissante à la perte nette sur les nouveaux investissements en capital), les besoins psychologiques réels qui motivent la ploutocratie actuelle en tant que groupe de pouvoir sont en fait sapés par une réduction significative et soudaine de la population, ou par de nouvelles technologies post-coercitives qui éliminent l’action humaine. Cela peut sembler contre-intuitif, mais à la lumière d’une compréhension de la nature autodestructrice du mal, nous allons explorer cette question.

Lorsque nous établissons les probabilités de trois vecteurs politiques qui se croisent, nous pouvons encore mieux comprendre cette question. Ces vecteurs politiques sont
a.) le lien neuralink/l’IA/les implants neuraux/les protéines magnétiques et le transhumanisme qui y est associé,
b.) la dépopulation dans le cadre des objectifs déclarés de l’Agenda 2030,
c.) l’automatisation/la robotisation, le 4IR et l’IoT.

Cela fera suite à notre dernier article sur le sujet, La moralité du Grand Reset : L’euthanasie de l’inessentiel :

Implants neuronaux

Le développement et l’introduction d’implants neuronaux, de protéines magnétiques, etc. peuvent prendre de nombreuses directions. Certains de ces types d’implants promettent de donner aux élites des capacités cognitives « surhumaines ». Toutefois, une autre application très pratique consisterait à exiger que ces implants soient utilisés sur le grand public afin de les handicaper ou de contrôler leurs pensées d’une manière ou d’une autre.

En ce sens, les implants neuronaux peuvent fonctionner comme les produits pharmaceutiques utilisés en psychiatrie. Dans la création de cette sorte de « Meilleur des Mondes » huxleyien, nous pouvons facilement voir la continuation d’un paradigme qui existe déjà aujourd’hui. Il s’agit d’un paradigme où il est courant de trouver diverses dépressions, angoisses et névroses prévisibles causées par les conditions sociales contemporaines, mais traitées par la psychiatrie au lieu d’être résolues par la socio-économie.

Les implants neuronaux peuvent également remplir une fonction similaire, mais vont encore plus loin. Au-delà des émotions ou de l’effet de base sur la recapture de certaines hormones comme la sérotonine, etc., les implants neuronaux peuvent diriger les pensées ou modifier des processus cognitifs entiers. Au-delà des sentiments, des pulsions et des impulsions, les implants neuronaux promettent de produire des pensées réelles dans l’esprit du sujet.

Vanessa Tolosa, ingénieure au LLNL, présente un implant cérébral – crédit : Extreme Tech Magazine, juillet 2014.

Entre les deux, il existe une forme hybride – les nanotechnologies et la chimiogénétique travaillant avec l’optogénétique. Comme le système d’administration au cerveau peut se faire par injection, les nanolipides et autres composés peuvent se présenter sous forme de piqûres. Ils peuvent être administrés dans le cadre d’un régime de « vaccination » obligatoire (dans la mesure où ce terme a été redéfini), les nanotechnologies étant déjà présentes dans la piqûre du Covid-19.

Elles peuvent donc être incluses – qu’elles soient divulguées ou non au public – dans les vaccinations obligatoires.

Leur développement semble toutefois être une technologie qui soutiendrait l’esclavage, mais n’exclut pas le génocide. Il est certain que la capacité de contrôler les pensées d’une population atténuerait considérablement le risque aux yeux de l’appareil d’État, en particulier lorsqu’il s’oriente vers le génocide.

La dépopulation : Mythes et faits

Le contrôle et la réduction de la population font depuis longtemps partie des politiques de diverses institutions et groupes de réflexion engagés dans la gouvernance mondiale, de l’ONU au Forum économique mondial. Ils faisaient partie des objectifs du millénaire de l’ONU et, depuis l’aube du XXIe siècle, de l’Agenda 2030 de l’ONU.

Il est important d’introduire maintenant un cadre permettant de comprendre le problème de la population à la lumière du développement économique. On a longtemps pensé que le développement économique entraînait une stagnation, voire un déclin, de la population. L’idée ici est que l’éducation et l’urbanisation sont des processus qui conduisent à une meilleure connaissance de la planification familiale de base, parallèlement à un meilleur accès à l’avortement et au contrôle des naissances.

Le postulat sous-jacent est que les gens ne veulent naturellement pas être encombrés d’enfants, que les enfants sont un affront à la liberté dans l’abstrait. La formule est la suivante : à mesure que les gens sont mieux éduqués, qu’ils ont un travail plus intéressant et une vie plus riche, ils savent comment prévenir les grossesses et n’ont plus de penchant « primitif » pour les familles nombreuses.

Cette mythologie s’est construite autour de l’idée que les gens sont fondamentalement intéressés au sens le plus étroit du terme, à l’exclusion de tout autre désir, besoin ou impulsion. Ils sont présentés comme la norme afin de créer une culture plus large qui s’oppose à la procréation.

Au contraire, le véritable mécanisme qui pousse à la stagnation de la population dans le premier monde est la pression accrue du travail et l’augmentation du coût de la vie. Plutôt que d’attribuer la stagnation de la population à l’amélioration des conditions de vie, il s’agit plutôt de conditions austères imposées par la modernité tardive. Le coût de la propriété, des loyers, de la nourriture, ainsi que la baisse de la qualité des biens en raison de l’obsolescence planifiée accrue, ont accru la pression économique sur les individus et les couples. Elle a conduit à l’obligation pour les deux membres d’un ménage de travailler à temps plein. Et même avec cela, l’accession à la propriété dans les centres cosmopolites est pratiquement impossible pour la plupart. L’austérité a également entraîné une stagnation de l’espérance de vie.

Cette vérité est exposée dans de véritables documents d’orientation comme « Nouvelles stratégies pour ralentir la croissance démographique » (1995). Ici, le double langage est évident, avec des phrases facilement déchiffrables : « …réduire les grossesses non désirées en développant les services qui favorisent le choix reproductif et une meilleure santé, réduire la demande de familles nombreuses en créant des conditions favorables aux petites familles… ». Qu’est-ce que l’on peut bien entendre par « créer des conditions favorables aux petites familles » ?

Le développement économique ne réduit pas la population, mais si on y ajoute l’austérité et des obligations professionnelles exigeantes et rigides, on tombe sur une réponse. La prospérité économique, comme elle l’a fait depuis des temps immémoriaux, promet d’augmenter fortement la population en l’absence d’un programme de réduction de la population. Parce qu’un 4IR organique non introduit par la technocratie diminuerait les obligations de travail et augmenterait les marqueurs de qualité de vie, nous nous attendons à un boom démographique.

Par conséquent, les projections selon lesquelles la population atteindra un peu moins de 10 milliards d’habitants dans les années 2060 sont aussi erronées que linéaires. Sans une technocratie travaillant à réduire activement la population, comme ils le croient, une économie basée sur l’automatisation et l’IA verrait une explosion démographique.

Conclusion

Il est toujours probable que les technocrates en puissance ont effectivement réfléchi à la finalité et qu’il existe un grand nombre de possibilités qui leur permettront de récolter un plaisir sadique dans le cadre de l’exercice d’un pouvoir absolu, à perpétuité. Cela pourrait signifier augmenter la peur de l’extermination bien au-delà de la réduction réelle de la population. Cela pourrait signifier le maintien de nombreux aspects de l’agence pour la population contrôlée, de sorte que leurs douleurs soient intériorisées de manière multivariée et complexe, incluant des sentiments confus d’auto-culpabilité, d’identification à l’agresseur, de ressentiment, de regret, ainsi que des violations de la volonté et de la dignité. Encore une fois, si la volonté n’est pas un facteur, alors tous ces domaines potentiels de douleur psychologique ne sont pas présents.

Pour encadrer ce qui suit, il est fondamental de comprendre que dans une civilisation post-travail, le statut de l’humanité n’existe plus selon une mesure d’utilité. Soit la civilisation existe pour améliorer la condition humaine, soit pour augmenter la souffrance humaine. Il n’y a pas de compromis ou de coûts. La société est soit bonne, soit mauvaise.

Mais le mal est de courte durée et peu clairvoyant, et voici pourquoi : La réduction soudaine de la population est un pétard, il n’explose qu’une fois. Le plaisir que procure le processus d’éradication de milliards de personnes, ainsi que la peur, la douleur et la souffrance qui en découleraient, en l’espace de quelques années, ne peut être ressenti qu’une seule fois. C’est un rituel sacrificiel sur l’autel de Moloch qui ne peut être exécuté qu’une seule fois.

De même avec les technologies post-coercitives : Sans agence, contrôler les gens ne sert à rien en termes de violation de leur propre volonté ou désir. Faire souffrir un sujet qui ne résiste pas parce qu’il n’a pas de volonté donne au sadique beaucoup moins de plaisir que de faire souffrir un sujet contre sa volonté.

De plus, la position d’élite est relative à un certain nombre de facteurs tels que la distribution de la richesse, du pouvoir et/ou des privilèges, et le simple nombre en termes de population sur lequel on possède ces avantages.

S’il ne reste que des élites, elles n’auront fait qu’introduire un nouveau type de société égalitaire sur la base de la surabondance et d’une population humaine minuscule. Si les conditions de vie d’une humanité existante peuvent être considérablement réduites, alors le privilège et le luxe relatifs dont jouissent les élites augmentent dans la même proportion.

En l’absence d’une technologie radicale de prolongation de la vie, il est concevable que la science et la technologie aient déjà atteint le point zénithal auquel les privilèges et le luxe ne peuvent plus être améliorés. Une solution raisonnable consisterait à réduire les conditions de vie des autres afin d’améliorer leur propre privilège relatif. Plus le nombre de personnes qui vivent dans des conditions réduites est important, plus la position de privilège de chacun est réelle.

De même, il semblerait que le maintien d’une partie de la population humaine en tant que « possession » servirait à accroître la propriété des êtres humains, qui sont peut-être le type de possession le plus précieux, car ils sont conscients d’être possédés – mais seulement si cela les humilie. Car quel autre but pourrait avoir l’esclavage, dans un monde sans travail humain ?

A-t-il un sens, ou obtient-on une quelconque satisfaction, en gouvernant des personnes sans la possibilité d’avoir la volonté de consentir ou, au contraire, d’en vouloir au dirigeant ? Dans ce cas, nous pouvons le comprendre de la manière suivante : la possibilité de l’agence signifie que le gouvernement peut se faire avec leur soutien, ou contre leur volonté.

Mais le contrôle des processus cognitifs par les implants neuronaux élimine la possibilité de la volonté, ce qui priverait les technocrates du plaisir de gouverner avec ou contre la volonté des gouvernés.

Par conséquent, le cadre maléfique destructeur de ceux qui sont derrière la Grande Réinitialisation est révélé. L’utilisation de la stratégie, de la planification et de la ruse pour atteindre le résultat souhaité est prédominante. Mais ont-ils examiné les fondements de leurs désirs ? Comprennent-ils ce que leur victoire leur apporterait ?

La seule chose qui reste à détruire dans un monde peuplé uniquement d’élites, ce sont les autres élites. Il semblerait que le désir de dominer les autres ne s’arrête pas de lui-même.

Pour ces raisons, il est probable que certaines élites ont vu le problème dans cette fin de partie. Cela expliquerait le conflit inter-élite que nous avons exploré précédemment, et sur lequel nous reviendrons dans un avenir proche.




Le partisanisme politique déroule un tapis rouge à la propagande

[Source : entelekheia.fr]

Traduction et note d’introduction : Corinne Autey-Roussel

Aujourd’hui, sur les réseaux sociaux, les forums internet, etc, on en vient souvent à croiser des gens dont les opinions semblent se confondre avec l’individualité elle-même. Ils sont ce qu’ils croient, et rien de plus. Tout argument, si raisonnable soit-il, contre une de leurs opinions est perçue conne une insulte personnelle. Cette perte d’identité propre, signalée par une identification totale de leur ego à des idées extérieures (« l’esprit de gramophone » d’Orwell) est dangereuse, car elle les soumet à toutes sortes de manipulations – politiques, médiatiques, professionnelles, etc. Or, nous ne nous résumons certainement pas à une compilation d’opinions ! Quand nous changeons d’avis parce que des éléments nouveaux nous ont fait avancer dans une réflexion, notre personnalité ne change pas d’un iota ; bien au contraire, elle se développe, mûrit et s’affirme. C’est une réalité de la construction de l’individualité que bon nombre d’entre nous devraient se réapproprier. En attendant…

Corinne Autey-Roussel


Par Caitlin Johnstone
Paru sur le site de l’auteur et Consortium News sous le titre Political Partisanship Is a Propaganda Lubricant

La création de grandes structures psychologiques identitaires facilite grandement le travail des propagandistes.

L‘étude du déroulement du nouveau récit des médias américains sur les ovnis a été très instructive, car elle met en lumière les dynamiques dont je parle souvent sous un jour nouveau qui les rend plus visibles. [Voir, en français, USA : Le Pentagone et les médias grand public voient des ovnis, NdT]

Un thème qui revient en ce moment est celui de gens qui s’étonnent de la discrétion de la réponse de l’opinion publique à toute cette affaire. On pourrait s’attendre à ce que la déclaration officielle du gouvernement américain selon laquelle l’armée a souvent rencontré d’étranges aéronefs inconnus dotés d’avancées technologiques impensables susciterait un peu plus d’intérêt de la part du public, mais jusqu’à présent, ce n’est pas le cas.

Un YouTuber a récemment résumé ce sentiment avec une diatribe de 13 minutes sur l’étrangeté du silence relatif des gens à ce sujet. J’ai vu de nombreuses autres tentatives d’explications de la réponse apathique à la présence d’ovnis dans les actualités. La plus courante est que les gens ont tellement de choses à faire, de nos jours, que la possibilité d’extraterrestres survolant des navires de la marine américaine ne fait pas partie de leurs priorités. D’autres suggèrent qu’il s’agit si évidemment d’une psy-op militaire que le public n’y prête pas attention.

Aucune de ces hypothèses n’est particulièrement convaincante. Nous voyons tous les jours des polémiques absurdes captiver le public, donc l’idée que les gens n’ont pas d’espace mental à dédier à cette histoire ne tient pas la route.

Bien que la conviction selon laquelle le récit des ovnis ressemble à une sorte de psy-op militaire soit largement acceptée par le type de personnes susceptibles de lire cet article (je le dis moi-même depuis un certain temps), le scepticisme à l’égard des affirmations suspectes du gouvernement n’est pas une attitude répandue dans le grand public.

Il me semble assez clair que la raison pour laquelle cette histoire ne suscite pas autant d’intérêt de la part du public que l’on pourrait attendre est qu’elle n’entre pas dans les petites cases où les gens ont été entraînés à classer les actus dans cette société. Il n’y a pas d’angle partisan dans cette histoire, elle ne fait donc appel à aucune des constructions de l’ego auxquelles le grand public a tendance à raccrocher les actus.

Dans notre société, la probabilité pour qu’une nouvelle devienne virale n’a pas grand-chose à voir avec sa valeur informative, son caractère inhabituel, ni même avec son exactitude factuelle. Le facteur le plus probable pour déterminer si une nouvelle aura ou non un attrait massif est qu’elle valide, ou non, la vision du monde de l’une des deux factions politiques dominantes.

Les médias grand public sèment la zizanie

C’est la raison pour laquelle les grands médias sèment délibérément la division et ciblent des chambres d’écho partisanes de plus en plus extrêmes, au lieu de se contenter de rapporter des informations ; ils ont une motivation de lucre évidente, car flatter l’ego des gens avec du « hate porn » et une validation illusoire de leurs idées est le meilleur moyen d’obtenir des clics et de générer des revenus publicitaires.

C’est pourquoi ceux qui ont soutenu la théorie selon laquelle Trump était un agent russe ont vu leur audience grimper en flèche pendant des années, avant d’être définitivement discrédités par l’avocat spécial [Robert Mueller, NdT] auquel ils avaient littéralement tressé des lauriers et à qui ils avaient même allumé des bougies votives. Il y a plus de preuves de présence d’aliens dans l’atmosphère terrestre que de preuves d’ingérence secrète de Vladimir Poutine aux plus hauts niveaux du gouvernement américain. Mais comme le Russiagate a enflammé les passions de la « gauche » libérale et lui a donné l’impression que sa vision partisane du monde était sur le point d’être corroborée par des faits indéniables, il s’est vendu comme du crack à des junkies.

Vous pouvez immédiatement dire si quelque chose va devenir viral par son degré d’appel à un des courants dominants. Un article sur la façon dont les écoles veulent rendre vos enfants transgenres. Un partisan noir de Trump affirmant que Trump n’est pas raciste. [En France, une énième polémique sur Zemmour, ou Alice Coffin, ou Assa Traore, etc, NdT]. Si vous vous éloignez trop des courants dominants, comme avec le gouvernement américain qui s’est fait prendre à trafiquer une enquête de l’OIAC en Syrie, par exemple, vous ne verrez pas de tonnes de clics, mais si le sujet plaît à des dizaines de millions de partisans de l’un des deux courants dominants, vous en verrez.

L’appel à l’ego

Dans une société asservie à la conscience égotiste comme la nôtre, les choses qui suscitent le plus d’intérêt de la part du public sont celles qui flattent ou exaspèrent les constructions de l’ego. Ce phénomène n’est pas propre à la politique ; les publicitaires ont amassé des fortunes en associant des produits à des virus mentaux culturels tels que des problèmes d’image corporelle ou de manque de confiance en soi, et des animateurs d’émissions télévisées ont compris il y a des décennies qu’il était possible d’attirer des audiences massives par la flatterie envers le public, en lui permettant de se sentir autosatisfait et supérieur par rapport à des personnes pauvres et sans éducation.

Pour que quelque chose devienne viral, il faut que cela fasse appel à l’ego. Les annonceurs l’ont compris. Les responsables des médias l’ont compris. Les propagandistes l’ont compris.

La création de grandes structures psychologiques identitaires facilite énormément le travail des propagandistes ; c’est comme un lubrifiant qui permet aux psy-ops de masse de s’insérer en douceur dans la conscience publique. À partir de là, il est très facile de pousser les gens à détester la Russie ou la Chine pour telle ou telle raison partisane, ou de faire croire que l’ancien président Donald Trump ou l’actuel président Joe Biden aident le peuple, alors qu’ils maintiennent et étendent tous deux le même statu quo meurtrier et oppressif que leurs prédécesseurs.

C’est pourquoi le clivage partisan actuel est plus passionné et conflictuel que jamais, alors que le comportement réel de chaque parti dominant, lorsqu’il est au pouvoir, n’apporte que les changements cosmétiques les plus superficiels.

Les oligarques qui possèdent la classe politique et médiatique désirent la perpétuation du statu quo sur lequel ils ont construit leur empire, mais ils veulent aussi garder le public aussi enfermé que possible dans des optiques partisanes – les marchepieds de la propagande qui emprisonne nos esprits.

La solution à ce problème, au niveau individuel, est de démanteler tout attachement égotiste que vous pourriez avoir pour l’une ou l’autre des factions politiques dominantes soumises au maintien du statu quo. Cela inclut tout attachement au populisme factice de la gauche libérale progressiste, et cela inclut tout attachement au populisme factice de la droite « dure » libérale. Ces factions insérées au sein des factions dominantes sont elles-mêmes des constructions de propagande. Elles ne seront jamais autorisées à promouvoir un programme qui ne serait pas souhaité par l’empire oligarchique ; elles servent uniquement à garder sous l’emprise de la politique dominante les gens qui seraient enclins à la rejeter.

Et bien sûr, la solution ultime à ce problème est que l’humanité prenne ses distances avec l’ego. Toute propagande s’appuie sur des ressorts égotistes de la conscience publique, donc si l’humanité commence à abandonner complètement son habitude de créer des structures d’identité psychologique (ce qui semble commencer à être le cas), nous deviendrons de plus en plus difficiles à manipuler par la propagande. Puisque les problèmes collectifs de l’humanité se résument finalement au fait que des sociopathes manipulent nos esprits à grande échelle, une transformation de ce type rendrait un nouveau monde plus sain non seulement possible, mais inévitable.




La Flamme

[Source : La Minute de Ricardo]

[Illustration : © CC0 / Sbox]

Par Delphine Volange

Je suis Delphine Volange et j’appartiens à la société du beau sexe.

N’étant la mère de personne j’escomptais que celles qui le sont iraient enragées par les rues de France défendre en lionnes la vitalité et le visage outragés de leurs petits qui vivent depuis des mois sous la chiffe.

Comme j’avais cru que celles proclamées féministes iraient ensemble gonfler une vague irrépressible contre l’affront sans nom fait à leurs sœurs en couche tenues jusqu’à l’automne dernier de donner la vie sous un masque.

Mais je vis hier encore une jeune mère indigne gourmander son petit garçon déjà emmuselé qui risquait de rendre des gens fort malades en portant trop négligemment sa chiffe.

J’ai dû rêver enfant d’un Armageddon où nous serions unis d’évidence contre l’épouvante, où le roi mon père saluerait mes bravoures, où nous serions les héros flamboyants et solidaires dans le roman.

Je croyais que les ailes de l’amour tiendraient tous les gentils blottis ensemble contre l’adversité par-delà les abîmes.

Je n’avais pas imaginé que ce cauchemar où nous sommes serait doublé d’un autre mauvais rêve, non moins insidieux.

Car nos frères, nos sœurs et nos parents cachent encore je ne sais quelle honte sous un chiffon chimique et envisagent le sérum salvateur comme une heureuse fatalité.

Au sein de nos liens chéris, spéciaux et uniques ces désaccords caricaturaux, communs s’insinuent effrontément, avec pour nous leur dure leçon d’humilité.

Mais tout cela trahit bien pire qu’un différend sous le ciel de la matrice.

Si nos érudits bien-aimés et civilisés peinent à comprendre ce que des grands-mères roumaines ou inuit sentent d’instinct dans les plaines de l’Arctique c’est parce qu’elles savent les choses de la Nature, les hauts secrets de la Vie et qu’aucuns poisons artificiels aucuns sortilèges malfaisants de l’Apocalypse ne sauraient jamais se soustraire à leur éminence.

Pour moi, à défaut d’herbes folles et de Carpates j’ai grandi au jardin des Tuileries quelque part dans la Voie lactée où la lune fait luire dans le noir le marbre des statues. Mais dans ces tragédies d’amour qui vous dérobent le monde et le goût des fleurs, les fils de mes bas ont fini par se prendre à ces voiles qui dit-on recouvrent la conscience, me laissant entrevoir un peu ce qui est caché et que je ne saurais raconter sans mystère ni précautions infinies de délicatesse envers mes frères humains.

Faut-il donc s’être éveillé souventes fois d’un lieu crépusculaire de l’intelligence et d’une sorte d’hypnose pour n’être plus dupe du pervers ou grossier cours des choses…sous le ciel de la matrice où la fausse lumière, les mensonges et le ridicule tuent ?

Nous la Légion des Doux qui avons surmonté en secret de vertigineux scandales, la profanation de notre tendresse, nos allégeances insensées et de cruels vaudevilles, nous n’avons plus peur de voir en face : la Ténèbre.

Et nous brillons dans le noir.

Mais nous tremblons aussi pour ceux que nous aimons.

En plus de saigner chaque jour face à l’humiliation consentie et à l’héroïsme châtré de beaucoup.

Nous craignons pour eux, quand bien même ils s’agacent de nous ou nous mésestiment.

Nous brûlons d’amour.

Serait-ce parce que l’ange d’amour est sans pitié ?

Parce qu’il nous veut toujours plus grands et sages et bienveillants et pleins de courage ?

Et nous fait passer ici l’épreuve de la plus haute flamme.

Pour qu’une fois conquise elle embrase tous ceux que nous chérissons et les protègent surnaturellement des dangers encourus, des bêtes cornues, des enfers et de tous les venins.

Et qu’elle éclaire notre passage à tous depuis les caves de l’Empire vers la lumière du jour.

Bien que la nuit fasse peser sur nous son lourd manteau, l’aube viendra.


À propos de l’auteur

Delphine Volange est née parmi les roses d’un jardin sarthois. Elle fut élevée au cœur de Paris, chez les Sœurs qui ne contrarient pas son goût pour les crépuscules inquiétants, les romans d’amour impossible ni les mystères de l’Au-delà… Dès son enfance, elle invoque les Muses et le Saint-Esprit, invente avec allégresse ses spectacles et chante des incantations à l’âme ardente des étoiles : Sirius, Bételgeuse, Aldébaran… Elle obtient ses premiers succès dans les salons du tout-Paris, où elle rencontre – parmi de nombreux personnages du Roman de sa vie – les acteurs de ses futures destinées musicales…




Macron impose le pass sanitaire aux discothèques dans un grand flash totalitaire

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

L’accès aux discothèques sera donc subordonné, cet été, à la présentation d’un pass sanitaire, ce qui est probablement contraire à la loi de gestion de sortie de crise et relève donc du flash totalitaire. Cette décision est absurde, puisque la majorité de la clientèle des discothèques est composée de jeunes qui n’ont aucun intérêt à bénéficier d’une vaccination dont les bienfaits collectifs sont encore discutables. Cette annonce à quelques jours de l’échéance risque de faire monter en température une jeunesse qui commence à contester l’ordre ambiant.

Les ministres de la Culture et de PME ont annoncé hier que l’accès aux discothèques qui pourront rouvrir le 9 juillet sera subordonné à la présentation d’un pass sanitaire. Cette décision semble avoir été prise en parfait accord avec les représentants de la profession, en l’espèce l’UMIH. Mais il n’est pas sûr qu’elle satisfasse complètement les jeunes qui fréquentent ces établissements. 

Le pass sanitaire pour les discothèques est-il légal ?

Les amateurs de droit auront évidemment la tentation de contester la décision ministérielle prise s’agissant des discothèques, qui n’avait jamais été évoquée jusqu’ici. Rappelons que la loi limite l’usage de ce pass, puisqu’elle permet seulement de :

Subordonner l’accès des personnes à certains lieux, établissements ou événements impliquant de grands rassemblements de personnes pour des activités de loisirs ou des foires ou salons professionnels à la présentation soit du résultat d’un examen de dépistage virologique ne concluant pas à une contamination par la covid-19, soit d’un justificatif de statut vaccinal concernant la covid-19, soit d’un certificat de rétablissement à la suite d’une contamination par la covid-19. Cette réglementation est appliquée en prenant en compte une densité adaptée aux caractéristiques des lieux, établissements ou événements concernés, y compris à l’extérieur, pour permettre de garantir la mise en œuvre de mesures de nature à prévenir les risques de propagation du virus.

Autrement dit, l’introduction du pass sanitaire s’apprécie au vu de la caractéristique des lieux et des établissements. Peut-on, dans ce cas, imposer des règles générales ? Nous avons un sérieux doute, et quelques référés liberté pourraient bien avoir raison de la décision. 

Nous pensons en tout cas que cette décision au forceps ne correspond pas absolument à l’esprit dans lequel les parlementaires ont voté le texte, et relève purement et simplement de l’un de ces flash totalitaires où le pouvoir viole la loi. 

Vers des fêtes hors les murs ?

Les jeunes obéiront-ils tous docilement à cette décision ? ou bien l’obligation de présenter un pass sanitaire conduira-t-elle au boycott des établissements qui le demandent et à la mise en place de fêtes sauvages ?

Les Parisiens ont eu un premier aperçu de phénomène de « compensation » que les restrictions imposées à une jeunesse qui a subi le COVID sans en être malade, peuvent produire. Ainsi, après l’indigne dispersion de la Fête de la Musique place de la République à coups de gaz lacrymogènes, la Fête a repris sauvagement sur les quais de Seine, dans des conditions de sécurité très douteuses :

Mais laissez-les faire la fête !

On notera que, fait du hasard ? Après avoir massivement déserté les urnes, les jeunes se sont massé le lendemain du scrutin dans les rues pour faire la fête. Mal inspirées, le Préfet de police a parfois ordonné de violentes dispersions des rassemblements. Mais pas qu’à Paris

Ci-dessus, vous pouvez voir l’évacuation de la place de la République. Mais place de l’Hôtel de Ville, l’ambiance était aussi tendue :

Et que dire de ces scènes d’émeute à Annecy ?

Est-ce bien raisonnable de traiter ainsi les forces vives d’un pays, après un an de confinement ? Il faut parfois savoir jusqu’où ne pas trop tirer sur la corde. 




Le cerveau électronique

[Source : conférence transcrite : C053a]

[Ndlr : les passages mis en relief le sont par la Rédaction.]

Par Bernard de Montréal [Ndlr : mort en 2003]

Le cerveau électronique

Nous sommes arrivés à un stade où nous devons passer du plan de la communication au plan de l’information. Afin de bénéficier de l’information, nous devons faire en sorte que nous ne tombions pas dans le piège trop avancé de l’occultisme. Prenons pour cet effet le domaine par exemple de l’informatique ou des cerveaux électroniques.

Il sera reconnu éventuellement, par un certain nombre, que les forces de l’involution [Ndlr : plongeant dans la matière, le matérialisme, au lien de nous en abstraire.] dirigent le développement de la science sur la Terre dans le domaine de l’électronique, des cerveaux électroniques.

Il sera reconnu que sur les plans parallèles, les plans invisibles, des intelligences travaillent de façon de plus en plus subtile, à travers des moyens de plus en plus sophistiqués, à l’involution, et au maintien de leur contrôle sur l’esprit de l’humain. Et il sera reconnu, sur le plan de l’expérience humaine, que le phénomène de la fascination pour les cerveaux électroniques est justement l’outil utilisé par ces forces contre l’humain.

Il ne faut pas tomber dans le piège de l’occultisme exagéré, mais il nous faut éventuellement comprendre la nature des activités de ces intelligences qui travaillent sur des plans en dehors des limites spatiotemporelles [Ndlr : en dehors du plan tangible perceptible par les cinq sens conventionnels et par les instruments scientifiques actuels.], et qui à cause de leurs activités risquent de créer sur le plan matériel une condition technologique à travers laquelle ces forces peuvent, sans que l’humain ne s’en rende compte, étouffer en lui l’intelligence créative, afin de le soumettre à une forme d’intelligence mécanisée qui pourrait avec les années endommager le pouvoir créatif de l’humain et l’assujettir à une mécanisation des données et de l’information, d’où il ne pourrait plus sortir, se libérer, parce que le poids, les conséquences, et le très vaste domaine de cette information, deviendraient éventuellement pour lui trop onéreux et trop difficile à démolir, à cause de son impuissance fondamentale à réaliser les lois de la vie et les lois de l’influence.

Les humains les plus avancés en sensibilité verront clairement, nettement, que le développement de la science d’aujourd’hui vise à restreindre l’humain dans sa capacité créative, vise à amener l’humain à une conjonction entre le pouvoir mécanique régit par les influences subtiles, et le pouvoir créatif, naissant d’une nouvelle conscience qui ne fait pas partie encore de la conscience humaine, et qui fera demain partie de la nouvelle évolution.

La science des cerveaux électroniques est régie par des plans qui s’occupent de contrôler de plus en plus l’esprit de l’humain et qui s’occupent aussi de maintenir leur pouvoir à travers la conscience planétaire astrale [Ndlr : en relation avec le monde des émotions, de l’affect et des désirs.] de l’humain sur la Terre, et ceci, ce qui est remarquable, toujours à son insu !

Le scientiste d’aujourd’hui travaille malgré lui-même avec les forces de l’involution. Il n’est pas conscient de l’activité de ces forces parce qu’il n’est pas conscient de la nature des lois de la pensée, donc, sans s’en rendre compte, il travaille sous l’hégémonie de ces forces, et manifeste dans la matière, sous l’infusion de leurs données vibratoirement canalisées à travers ses pensées, une science qui au lieu de corriger les excès, les amplifie.

Il est presque impossible à l’humain aujourd’hui de réaliser qu’une science aussi intéressante, magnifique, que celle des cerveaux mécaniques, puisse être infusée par des intelligences qui opèrent sur des plans parallèles, et dont la fonction jusqu’à la fin du cycle est de chercher à « coercer » (contraindre) [Ndlr : Bernard de Montréal avait une certaine tendance à inventer des termes.] l’esprit de l’humain, à l’emprisonner, et à l’empêcher de réaliser qu’au-delà de cette science il en existe une autre qui soit libre, qui soit totalement créative, et qui puisse donner à l’humain toute l’abondance, généralement, mondialement nécessaire, afin que l’humain vive une civilisation qui fasse partie d’un cycle où le peuple, les masses, toutes les nations, puissent être harmonisés, et fonctionner à l’intérieur d’une conscience mondiale, politiquement harmonisée, économiquement stabilisée, que nous pouvons appeler l’âge d’or.

Il nous est difficile de reconnaître la relation occulte qui existe entre des intelligences évoluant sur des plans parallèles et une technologie savamment organisée par des humains intelligents, technologie qui fascine les humains et qui fascine surtout les enfants.

Notre science, notre intelligence aujourd’hui est à l’aube de son développement réel, donc tout ce qui est occulte, c’est-à-dire voilé, tout ce qui est organisationnel, tout ce qui est de la conjonction, de la relation entre ce que nous appelons les plans invisibles qui ne sont en fait que des plans parallèles, et la matière, nous ne le voyons pas ! Et c’est pourquoi aujourd’hui la science des cerveaux électroniques est devenue malgré sa qualité manifestement glorieuse, est devenue un danger pour la liberté de l’humain.

L’humain découvrira que la technologie merveilleuse d’aujourd’hui est une technologie qui sera de plus en plus utilisée par les forces astrales de la Terre, afin de maintenir le pouvoir d’influence de ces intelligences sur l’esprit de l’humain.

Tant que l’humain ne sera pas parfaitement équilibré dans son esprit, tant que l’humain ne sera pas amené à réellement comprendre qu’il y a en lui des forces de lumière, des forces créatives géantes, des forces créatives infinies, qui puissent lui donner une parfaite compréhension des lois de l’évolution, il sera utilisé à travers une technologie qu’il aimera de plus en plus par d’autres intelligences qui cherchent à maintenir sur la Terre le pouvoir de l’ignorance, même si cette ignorance semble être très intelligente.

Si l’humain existe sur le plan matériel, c’est qu’il a un esprit, donc son esprit vient ultérieurement de plans invisibles, de plans parallèles au plan de la matière. Donc si l’humain n’est pas suffisamment évolué en esprit sur le plan matériel, évidemment que l’humain ou l’esprit de l’humain aussi sur les plans invisibles peut avoir une conséquence sur la conscience de l’humain lorsqu’il est dans la matière, puisque l’esprit a et possède le pouvoir sur la matière. Donc, si l’esprit n’est pas créateur, si l’esprit n’est pas libre dans les plans parallèles, cet esprit est retardataire, et c’est cet esprit qui peut facilement influencer l’esprit de l’humain dans la matière et lui faire croire qu’une science telle que celle dont nous parlons puisse être pour lui une panacée, alors qu’en fait elle peut lui enlever au cours des générations, la moindre liberté, la moindre liberté.

C’est pourquoi l’humain verra de par son expérience qu’avec le temps, cette technologie deviendra de plus en plus puissante, de plus en plus sophistiquée et que la banque d’informations qui s’étendra dans le monde deviendra pour lui une condition insurmontable. L’humain ne pourra plus en fait se séparer de ce qu’il aura créé, il ne pourra plus être libre de ce qu’il a créé, parce que ce qu’il aura créé aura été rendu si vous voulez, tellement complexe, tellement énorme, que l’individu ne pourra plus rien faire pour se débarrasser de ce grand monstre, de ce beau monstre qu’est la technologie des cerveaux électroniques.

[Ndlr : un très grand nombre d’êtres humains est déjà esclave des téléphones prétendument « intelligents »]

Je disais au début qu’il ne faut pas tomber dans le piège de l’occultisme, il ne faut pas faire de quelque chose qui ne l’est pas, nous ne pouvons pas risquer de perdre ce que nous pouvons faire et ce qui peut nous servir, mais nous devons voir clairement, nous devons comprendre clairement, nous devons sentir parfaitement les dangers qui naissent d’une technologie qui n’est plus contrôlée par l’intelligence créative de l’humain, mais qui est contrôlée par des intelligences à travers le corps de désirs de l’humain, à travers l’imagination de l’humain, à travers le goût du pouvoir de l’humain, à travers la recherche de la standardisation de tout ce qui sur le plan matériel puisse servir l’humain.

Ce sera sous le prétexte de l’organisation des données, sous le prétexte de la nécessité, sous le prétexte du besoin d’organiser, de centraliser les informations, que l’humain se fera prendre, ce sera ce prétexte, mis dans son cerveau, sans qu’il ne s’en rende compte, que l’humain donnera à la science des cerveaux électroniques, le pouvoir de contrôler l’évolution mécanique, l’évolution politique, économique, sociale, d’une grande masse d’êtres humains, ce qui amènera l’humanité éventuellement à un conflit interne entre l’humain, l’individu et la grosse machine créée par une élite scientifique, financée par une élite financière, pour le contrôle en apparence bénéfique de toute la gestion des affaires de l’humanité.

Il ne faut pas se jeter la poudre aux yeux, il ne faut pas demeurer ignorant, il ne faut pas être imperméable à ce que nous sentons, nous devons ajuster notre intelligence à nos besoins et non laisser nos besoins flirter avec des influences astrales, qui naturellement, à leurs façons, chercheront à remplir nos besoins, mais au prix de perdre notre liberté, de perdre le contrôle de notre activité humaine à cause d’une technologie qui sera pour nous trop grande, trop puissante, trop vaste et éventuellement incontrôlable.

Là où aujourd’hui beaucoup d’humains croient que la technologie sera la panacée sera la clé à l’évolution de notre civilisation, un certain nombre d’humains, les plus évolués en intelligence intérieure réaliseront qu’effectivement la technologie, la science des cerveaux électroniques, lorsqu’elle sera poussée à un très haut niveau de programmation, sera le signe avant-coureur de la fin du cycle, ce sera le signe qui permettra à l’humain de réaliser qu’effectivement il a atteint sur le plan de la science mécanique les limites que lui peut subir, que lui peut souffrir, avant de perdre totalement sa liberté. Et c’est alors qu’un certain nombre de personnes dans le monde réaliseront que le cerveau électronique, cette machine, fait partie des agissements à travers le cerveau humain, de forces qui évoluent dans des mondes parallèles et auxquelles nous pouvons donner le terme des « intelligences lucifériennes ».

Donc, si l’humain un jour réalise que sa technologie est le produit subtil d’une influence luciférienne, il sera obligé de se raviser, de reprendre le contrôle de sa science, et de réorganiser sa science en fonction de ses besoins réels, en fonction de son bien-être réel et non pour le bénéfice du contrôle et de l’emprisonnement de l’humanité.

Ce n’est pas le cerveau mécanique en lui-même qui est le danger pour l’humain, c’est l’attitude de l’humain vis-à-vis de cette machine. C’est l’attitude des gouvernements, des organisations, des grands pouvoirs vis-à-vis de cette machine, et c’est l’attitude de l’humain qui deviendra le prix qu’il devra payer pour avoir mis sur le marché une mécanique qu’il ne peut plus contrôler, c’est là que le danger réside. C’est dans l’attitude humaine, foncièrement enracinée dans une conscience astrale inférieure, assujettie à des données, à des impulsions, à des influences très subtiles et très occultes, que l’humain verra le danger de sa technologie.

Lorsque cette science des cerveaux mécaniques aura atteint son point d’évolution maximal, lorsque les cerveaux seront intelligents, lorsque la nouvelle génération de ces cerveaux intelligents sera sur le marché, c’est à ce moment-là que l’humain aura atteint la limite de sa folie scientifique, c’est à ce moment-là que l’humain réalisera la puissance de la conscience anti-christique sur la Terre, c’est à ce moment-là que l’humain verra qu’effectivement sa science avait le pouvoir de le détruire, et que cette science afin de ne pas détruire l’humanité doit être remplacée par une autre science, et ceci se fera lorsque d’autres intelligences, créatives, amicales à l’humain, viendront vers lui, pour l’aider à construire une science, une science suffisamment puissante, suffisamment intelligente et lumineuse pour neutraliser le pouvoir de la science ancienne, cette science qui avait été contrôlée dans son évolution, dans son perfectionnement, par des forces, des intelligences antihumaines.

Lorsque l’âge de ces cerveaux sera amorcé, l’intelligence de ces cerveaux créera chez l’humain un choc. Elle forcera l’humain à se ressaisir, elle le forcera à voir la situation telle qu’elle est.

L’humain verra que l’intelligence de ces machines est devenue pour lui un piège, qu’elle est devenue pour lui une forme d’hypnose, neutralisant ainsi la créativité de son mental, et permettant en même temps que sa conscience mentale astralisée, c’est-à-dire sa conscience inférieure, sa conscience ignorante, soit sous le contrôle, sous l’emprise, de forces qu’il ne pourra plus de par lui-même neutraliser.

L’humain sera à ce moment-là conscient d’une très grande transformation psychologique. Il verra que sur le plan de son individualité il se fera une perte d’énergie. L’humain sentira, en tant qu’individu, qu’il est dépassé et c’est ce dépassement qui sera le signe du besoin d’un très grand renouveau dans la conscience de l’humain dans l’allure de sa civilisation et dans la relation entre sa technologie et son bien-être personnel.

Déjà, des signes concrets de l’influence ou de l’utilisation de notre technologie par des forces de basse évolution témoignent du pouvoir d’influence de ces forces sur notre planète. Regardez le cas de ces disques, de cette musique aux États-Unis où il a été remarqué, observé, que des incantations de magie noire, incantations sataniques, sont dirigées vers une population de jeunes qui n’ont pas encore la maturité, la suffisance mentale pour pouvoir discerner les influences créatives et les influences maléfiques, qui naissent du pouvoir et du contrôle des forces qui évoluent sur les plans parallèles.

Donc, si à travers notre musique, qui devient de plus en plus elle aussi le produit de l’agencement entre la nouvelle technologie et l’humain, si à travers cette musique les forces sataniques peuvent exercer leur influence sur l’humain, imaginez-vous comment et jusqu’à quel point ces forces peuvent encore plus subtilement utiliser le cerveau électronique pour barrer à tout jamais sur la Terre, le pouvoir de reconnaissance chez l’humain de son individualité, de sa liberté et de sa conscience créative.

Nous sommes toujours surpris lorsqu’il nous est dit que telle chose ou telle chose se produit dans le monde, parce que nous ne la comprenons pas, nous ne la voyons pas, nous ne l’apercevons pas, mais avec le temps cette chose devient de plus en plus puissante, elle décuple, et éventuellement elle prend racine dans la terre de l’humain, et elle produit ses ravages, ce fut le cas avec Hitler, ce fut le cas avec Mussolini, ce fut le cas avec tous les humains, toutes les forces, qui dans le passé ont essayé de truquer l’esprit humain, toutes les forces dans le passé qui ont essayé de jeter de la poudre aux yeux à l’humain.

Aujourd’hui nous sommes à un âge où nous semblons être protégés par une certaine constitution, nous semblons être protégés par les droits de l’humain, ceci est très bien, ceci est merveilleux même, mais lorsque les forces ne peuvent plus passer par un canal, elles ont le pouvoir d’en ouvrir un autre ! Et l’humain, lui, croyant que tout est bien, repose sur son oreiller, et manque de voir que les forces négatives, que les forces retardataires de l’involution sont toujours en œuvre, et plus l’humain semble prendre du pouvoir créatif, plus l’humain semble vivre du pouvoir créatif, plus en même temps il y a d’autres avenues créées contre lui pour qu’il puisse éventuellement être de plus en plus contrôlé par ces forces, de façon subversive et de façon occulte, c’est-à-dire voilée, incompréhensible, suprarationnelle, irrationnelle.

Mais, il y a des humains sur la Terre qui voient, il y a des humains sur la Terre qui sentent, il y a des humains sur la Terre qui savent, et ce sont ces humains qui sont probablement les premiers à pouvoir ériger, lancer l’appel, l’appel à l’ouverture d’esprit, l’appel à l’ouverture de la conscience, afin que l’humanité soit protégée de ce fléau.

L’humain croira que les machines qu’il construit sont le produit de sa grande intelligence. Il sera enchanté par cette technologie, et c’est justement cet enchantement avec cette technologie qui sera son piège, parce que l’humain ne connaissant pas les lois de la vie, ne réalisant pas les lois des mondes parallèles, ne verra pas la relation qui existe entre son intelligence influencée par d’autres intelligences, et automatiquement il se trouvera un jour forcé de réaliser qu’effectivement sa science au lieu de le servir d’une façon totale et parfaite, l’a desservi, lui a enlevé le peu de liberté qu’il avait réussi à développer au cours des civilisations antérieures, afin de le rendre totalement esclave de ces influences sataniques, perverses, subtiles, et extrêmement intelligentes.

Vous remarquerez que ces êtres qui travaillent jour et nuit à la programmation de ces machines, développeront, avec le temps, une particulière personnalité : ils seront drôles, ils auront des habitudes nerveuses, ils auront des attitudes particulières, ils feront un peu partie d’une race à part, ils ne seront pas remarquables, excepté dans leurs domaines où ils seront très remarquables.

Ces humains seront pour la plupart, des êtres très intelligents, très sensibles, et sans s’en rendre compte, seront très facilement influençables par la voix de leur conscience astrale, par ces forces qui s’occupent d’influencer l’humain et de retarder le développement de sa conscience créative.

Ces êtres seront dans un sens, médiumniques, dans ce sens qu’il apparaîtra que leur intelligence très grande, très limpide, très rapide, semblera être une intelligence servant l’humain, lorsqu’en fait cette intelligence sera au service des influences qui veillent à maintenir sur la planète le contrôle des forces de l’involution.

Nous avons tendance naturelle à rejeter ce que nous ne pouvons pas saisir, à rejeter ce que nous ne comprenons pas, à rejeter ce qui semble être de l’ordre du fantastique, nous avons fait la même chose avec Hitler, nous avons toujours fait la même chose ! Les quelques voix dans le désert qui se sont écriées contre l’influence nocturne de l’humain, ont toujours été étouffées par l’ordre qui régnait et pourtant ces humains avaient toujours raison, et c’est la masse, c’est l’humanité, qui devait payer cher le prix de l’exécution sur le plan matériel d’un plan d’involution qui servait à maintenir l’humain dans l’ignorance.

Nous ne pouvons pas facilement voir et comprendre ce que veut dire occultement ignorance. Ignorance ne veut pas dire que l’humain n’est pas intelligent.

« Ignorance » veut dire que l’humain ne connaît pas, ne comprend pas les plans et les voix et les activités d’autres intelligences sur des plans parallèles et invisibles. Nous sommes encore trop cartésiens pour réaliser que le monde, l’univers est fait de plans solides et de plans immatériaux.

Nous sommes trop cartésiens pour réaliser que la pensée de l’humain est ajustée vibratoirement par des intelligences sur d’autres plans. Nous croyons que l’humain est un être qui pense par lui seul ! Nous croyons que l’humain est un être qui se suffit à lui-même sur le plan psychologique. Nous ne comprenons pas, nous n’avons aucune idée de l’organisation invisible de l’humain et de la vie.

C’est pourquoi la science des cerveaux électroniques doit être comprise, elle doit être vue et réalisée selon une intelligence créative, selon une intelligence qui n’a pas peur de voir les dimensions possibles et imaginables de l’influence astrale contre l’humain.

Il ne faut pas que l’humain attende à la dernière minute, mais malheureusement l’humain devra attendre à la dernière minute, parce que l’humain est trop aveuglé par sa science, il est trop fasciné par la technologie, et il ne se rend pas compte que la fascination est l’enfant de la Terreur. Nous pouvons faire une étude comparative entre deux technologies, par exemple, regardons la télévision :

La télévision est un outil, le produit d’une science technologique qui aide l’humain, elle diffuse dans le monde les évènements marquants de l’humanité. Elle fait partie de l’extension sociale de la conscience humaine mondiale. C’est un objet, un outil, qui ne rend pas l’humain prisonnier, l’humain peut l’éteindre, il peut s’en servir, ou la foutre aux poubelles selon son cas.

Tandis que dans le cas des cerveaux électroniques, ces machines deviennent de plus en plus puissantes.

Avec le temps, elles pénètrent dans tous les domaines de l’information. Avec le temps, elles servent à tous les niveaux de la société, l’information. Et l’humain ne peut plus l’éteindre, il ne peut plus la mettre de côté, cette technologie, elle est là ! Elle est fixée dans le temps et dans l’espace. Elle fait partie de l’organisation sociale de l’humain. Elle n’est plus, cette technologie, utilisée pour le bien-être personnel de l’individu, elle est utilisée pour la fécondité de l’activité sociale dirigée par des influences qui sont d’un autre ordre, des influences qui sont en dehors du contrôle de l’humain.

Là où la télévision devient de plus en plus perfectionnée, là où elle donne à l’humain une image de plus en plus claire, de plus en plus belle [Ndlr : ce n’est plus guère le cas depuis son couplage avec l’univers informatique et qu’elle sert manifestement trop souvent d’outil de propagande pour ceux qui possèdent les chaînes télévisuelles.], le cerveau électronique lui, devient un outil qui devient de plus en plus puissant, et de plus en plus incontrôlable.

Donc, il est très important pour l’humain de comprendre la valeur relative de deux technologies, de voir, de savoir, de sentir et d’admettre le danger lorsqu’il y a danger, et le bénéfice lorsqu’il y a bénéfice.

L’humain doit comprendre l’effet sur son cerveau de la technologie.

Il doit comprendre que chaque technologie amène dans sa civilisation, soit un bien-être, un bénéfice, ou un danger. Et s’il n’a pas le courage, s’il n’a pas la force, la volonté, la créativité, pour reprendre le contrôle de la technologie, pour veiller à ce que la technologie ne l’emprisonne pas, pour veiller à ce que la technologie soit toujours sous sa domination, il est évident que l’humain deviendra victime de sa technologie.

Et dans le domaine aujourd’hui de l’armement, dans le domaine de la guerre, le cerveau électronique devient l’extension mécanique puissante de toutes les machinations invisibles de l’esprit des ténèbres contre l’esprit de l’humain.

Nous sommes des enfants, les humains sont des enfants, les humains n’ont pas la maturité, les humains n’ont pas la connaissance, les humains n’ont pas le savoir, les humains sont au début de l’évolution de l’intelligence créative, ils sont à l’aube d’un nouveau cycle d’évolution, mais ils sont suffisamment intelligents dans leur mental, ils sont suffisamment dans l’activité rationnelle de leur science pour bien servir des forces dont ils ne connaissent pas l’existence, dont ils ne connaissent pas le pouvoir, dont ils ne réalisent pas la puissance.

Les cerveaux électroniques, quel que soit leur dimensionnalité, quel que soit leur ordre, quel que soit leur perfectionnement, doivent être compris sur le plan des conséquences, lorsque l’humain met sur le marché mondial une organisation si vaste de mémoire, il doit en contrôler l’évolution, il doit en contrôler l’activité, il doit en régir la mécanicité, sinon ces machines deviendront de plus en plus subtiles, de plus en plus sophistiquées et l’humain à un certain moment donné deviendra la victime de sa propre création.

Il ne s’agit pas de blâmer l’humain, sa technologie, il s’agit de lui faire comprendre que sa technologie peut facilement être utilisée contre lui, à cause de ses attitudes ignorantes.

L’humain est un être qui peut facilement violer les lois de la vie, ignorammant [Ndlr : par ignorance] les violer ces lois de la vie, pour des raisons purement d’ordre matériel, égoïstes. Ce n’est pas que l’humain est en lui-même mauvais, c’est que l’humain peut facilement devenir mauvais non pas parce qu’il le veut, mais parce qu’il est ignorant des lois de la vie, il est ignorant des lois qui régissent l’évolution des planètes et des systèmes. Et
tout ceci parce qu’il est naïf
, il ne connaît pas les lois des mondes invisibles parce qu’il n’est pas totalement dans son intelligence créative, il n’est que partiellement dans cette intelligence, et sa subjectivité, ses passions, peuvent facilement l’éblouir, peuvent facilement neutraliser cette intelligence créative et le rendre esclave de ce qu’il met à sa disposition.
Et c’est précisément à ce point qu’il se met en danger, qu’il tombe en pâmoison, qu’il devient fasciné par ce qu’il crée, par ce qu’il génère. Il est là son danger.

La science des cerveaux électroniques est à ses débuts et l’humain naturellement est fasciné comme un enfant, mais viendra le jour où cette science sera tellement avancée, tellement créative, et coïncidera tellement avec son mental, que l’humain regardera derrière lui, regardera la vieille histoire des cerveaux mécaniques du 20e siècle avec dédain. Car au lieu de lui donner l’avantage d’une intelligence créative coïncidant avec son mental, selon des lois qui lui seront connues en temps et lieu, ces machines, ces monstres lui auront donné le désavantage de supporter le poids d’une mémoire très vaste, qu’il ne pouvait plus contrôler, et dont il devait inévitablement devenir l’esclave.

Les cerveaux de l’avenir seront fondés sur le principe du cristal.

Le cristal n’existe pas aujourd’hui sur notre planète.

Le cristal doit être créé dans l’éther, sur les plans supérieurs de l’espace-temps humain et ensuite matérialisé sur le plan matériel. Une fois ces cristaux matérialisés, ils peuvent être incorporés dans une mécanique, et ajustés, syntonisés, avec l’intelligence créative de ces plans, afin de donner à l’humain le bénéfice d’une mémoire créative qui ultimement le sert, qui ultimement lui permet de créer sur le plan matériel, une vaste organisation d’informations non plus assujetties aux lois de l’influence, mais assujetties aux lois de l’intelligence créative des êtres humains et extrahumains qui évoluent sur des plans parallèles à notre planète, sur des plans qui coïncident avec notre spatiotemporalité, mais dont ils sont libres des conséquences et des lois matérielles.

Ainsi que la psychologie fait partie de la dernière évolution mentale de l’humain, sur le plan de la compréhension des lois de son esprit, et que cette psychologie aujourd’hui embryonnaire sera remplacée par une autre psychologie à la fin du cycle, ainsi la science des cerveaux mécaniques aujourd’hui est embryonnaire et sera remplacée par une autre science beaucoup plus avancée qui coïncidera avec une nouvelle évolution de la pensée créative de l’humain, une nouvelle relation entre l’humain dans la matière et l’humain dans l’invisible.

Viendra le temps où l’humain entrera en contact avec d’autres intelligences venant d’ailleurs dans la galaxie, et le contact avec ces êtres lui apportera une nouvelle science, une nouvelle science des cerveaux électroniques, des cerveaux à mémoriser, mais cette nouvelle science sera tellement grande que celle que nous connaissons aujourd’hui s’effondrera et sera révolue.

[Fin enregistrement]


[Voir aussi :
La fin des temps
Note sur l’illusion de l’« information »
Les machines pour jouer à Dieu
La faillite de la science matérialiste ?]




Yannick Jaffré : «les femmes russes ne redoutent pas la domination de l’homme, mais sa défaillance». Mise à Jour

[Source : Sputnik France (sputniknews.com)]

[Photo : © Pexels/cottonbro / femme russe]

En Occident, la guerre de sexes semble faire rage. L’occasion pour certains d’interroger d’autres modèles de féminité, peut-être trop facilement caricaturés. L’essayiste Yannick Jaffré se livre dans son dernier ouvrage à une description élogieuse de la féminité russe, doublée d’une critique au vitriol du féminisme occidental.

L’«agression» au bouquet de la militante féministe Alice Coffin à Rouen, par un jeune qui voulait savoir «pourquoi elle n’aimait pas les hommes», a fait sourire Yannick Jaffré. «Chez certaines féministes, on a l’impression que le simple fait d’être gentille avec un homme est déjà une marque d’aliénation», ironise l’essayiste.

Devant les caméras de Sputnik donne la parole, il s’attaque aux excès du féminisme occidental. Pour éviter cette «criminalisation» d’un désir masculin «toujours suspect», l’auteur de Paris-Moscou: Aller simple contre le féminisme (Éd. La Nouvelle Librairie) invite à tourner notre regard vers l’Est. 

La Russie est pour l’essayiste l’exemple d’un «patriarcat dirigé par des femmes». 

«Les femmes russes exigent des hommes qu’ils assument les attributs traditionnels de la virilité, mais en même temps, elles ne sont pas de petites choses qui seraient écrasées sous un voile, reléguées dans le seul foyer. Ce qu’elles redoutent, ce n’est pas la domination de l’homme, mais sa défaillance», défend Yannick Jaffré.

Un modèle compatible avec la France? «Sur le plan de la tenue, de l’élégance, du goût pour la galanterie, les femmes russes ne sont pas si éloignées des Françaises des années 50-60», ajoute-t-il.


[Source : Paris-Moscou | Yannick Jaffré | La Nouvelle Librairie (nouvelle-librairie.com)]

Les femmes seraient-elles désormais à l’Est, et les féministes à l’Ouest ? À cette question de géographie érotique, Yannick Jaffré répond par un essai enlevé qui mêle anecdotes, analyses historiques, sociologiques, philosophiques et charges polémiques au sabre clair.




Ce que je sais et ne sais pas sur le virus SRAS-CoV-2

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Edward Curtin

Après quinze mois de lecture, d’étude, d’observation et de recherche assidues, j’en suis arrivé à quelques conclusions sur ce qu’on appelle le COVID-19.

Je tiens à souligner que j’ai fait ce travail obsessionnel car il semblait si important. J’ai consulté des informations et des arguments sur tous les médias, corporatifs et alternatifs, universitaires, médicaux, livres, etc.
J’ai consulté des chercheurs du monde entier. J’ai lu les sites Web des CDC, de l’Organisation mondiale de la santé et des organisations gouvernementales et non gouvernementales de la santé. En d’autres termes, je n’ai laissé aucun effort, malgré les penchants politiques manifestes ou cachés des sources. Je l’ai fait en tant que sociologue et écrivain, et non en tant que médecin, bien que beaucoup de mes sources aient été des médecins et des études médicales.

Mes conclusions succinctes suivent sans liens avec les sources, car je n’essaie de persuader personne de quoi que ce soit, mais simplement de déclarer pour le compte rendu public ce que j’ai conclu. La vie est courte. Je vais le dire maintenant.

Je sais qu’un grand nombre de personnes ont été hypnotisées par la peur, les menaces et les pots-de-vin pour accepter la version de COVID-19 des médias grand public. J’ai conclu que plusieurs millions de personnes sont en « état de transe » et ne le savent pas. Ils ont été induits en erreur dans cet état par une campagne de propagande bien organisée et très sophistiquée qui s’est inspirée de la peur humaine de la mort et de la maladie. Ceux qui sont derrière cela ont sans aucun doute étudié la forte incidence de l’hypocondriase dans la population générale et la peur d’un « virus » invisible dans les sociétés où la croyance en Dieu et en l’invisible spirituel a été remplacée par la foi en la science. Connaissant bien leur public, ils ont concocté une campagne de peur et de confusion pour induire l’obéissance.

Je ne sais pas, mais je soupçonne que ceux qui ont été si hypnotisés ont tendance à être principalement des membres de la classe moyenne à la classe supérieure, ceux qui ont tant investi dans le système. Cela inclut les personnes très scolarisées.

Je sais que pour enfermer des centaines de millions de personnes en bonne santé, insister sur le port de masques inutiles, pour leur dire d’éviter les contacts humains, pour détruire la vie économique des personnes ordinaires, ont créé de vastes souffrances qui visaient à enseigner aux gens une leçon sur qui contrôlaient et qu’ils révisaient mieux leur compréhension des relations humaines pour s’adapter à la nouvelle irréalité numérique que les producteurs de cette mascarade tentent de mettre en place de la chair et du sang, face à face à la réalité humaine.

Je sais que le test PCR inventé par Kary Mullis ne peut pas tester le virus présumé ou tout virus et que, par conséquent, tout le nombre de cas et de décès est basé sur absolument rien. Ils sont le fruit d’un tour de passe-passe, d’un immense tour de magie. Je sais que la conviction que le virus peut être testé a commencé avec le protocole non scientifique PCR Corona [le premier test de diagnostic simple de la COVID-19] créé par Christian Drosten en Allemagne en janvier 2020. Ce dernier est devenu la méthode standard de test du CoV-2 du SRAS dans le monde entier. Je suis sûr que cela a été planifié à l’avance et qu’il faisait partie d’une conspiration de haut niveau. Ce protocole a fixé le seuil de cycle (amplification) à 45, ce qui ne pouvait donner que de faux résultats positifs. On les appelait alors des cas : Un acte de fraude à grande échelle.

Je ne sais pas si le prétendu virus a déjà été isolé dans le sens où il était purifié ou isolé de tout le reste, à part être cultivé en laboratoire. Par conséquent, je ne sais pas si le virus existe.

Je sais que les « vaccins » expérimentaux à l’ARNm que l’on impose à tout le monde ne sont pas des vaccins traditionnels, mais des expériences dangereuses dont les conséquences à long terme sont inconnues. Et je sais que Moderna dit que son « vaccin » non vaccinal à ARN messager (ARNm) fonctionne « comme un système d’exploitation sur un ordinateur » et que le Dr. Robert Malone, inventeur de la technologie du vaccin à ARNm, affirme que les nanoparticules lipidiques des injections voyagent dans tout le corps et s’installent en grande quantité dans de multiples organes où la protéine de pointe, étant biologiquement active, peut causer des dommages massifs et que la FDA le sait. En outre, je sais que des dizaines de milliers de personnes ont subi des effets indésirables de ces injections et que plusieurs milliers en sont mortes et que ces chiffres sont grandement sous-estimés en raison des systèmes de déclaration de ces cas. Je sais qu’avec ce nombre [déclaré] de victimes dans le passé, ces injections expérimentales auraient été arrêtées il y a longtemps ou n’auraient jamais commencé. Le fait que la vaccination se poursuit malgré tout, me persuade qu’un programme extrêmement diabolique est en cours dont le but est de nuire à la santé parce que les responsables savent ce que je sais et bien plus encore.

Je ne sais pas d’où vient ce prétendu virus, s’il existe.

Je sais que dès le début de cette crise, il y a eu un effort concerté dans le monde entier pour refuser l’accès à des traitements efficaces éprouvés tels que l’hydroxychloroquine, les stéroïdes, l’ivermectine dans un effort planifié pour vacciner le plus grand nombre de personnes possible. Cela révèle à lui seul un programme centré non pas sur la santé, mais sur la volonté d’amener le plus grand nombre de personnes possible à se faire vacciner et à être contrôlées.

Le contrôle social est le nom de ce scénario meurtrier.

Je sais que les promoteurs de la vaccination Covid-19 – le Forum économique mondial, l’Organisation mondiale de la santé, la Fondation Gates, la Fondation Rockefeller, etc. – ont une longue histoire de volonté de réduire considérablement la population mondiale et que leur promotion de l’eugénisme sous divers noms est très bien connue. Je suis convaincu que la « thérapie génique » de type ARNm non encore testée est la clé de leur plan de réduction de la population.

Je ne sais pas s’ils réussiront.

Je sais qu’il faut nous y opposer.

Je ne sais pas pourquoi il y a autant de citoyens honnêtes qui n’arrivent pas à voir le problème. Je ne peux que l’attribuer au fait qu’elles ont été victimes d’une campagne de propagande gigantesque et hypnotique se servant de leurs peurs les plus profondes et qui aboutira à la manifestation de ces peurs sous prétexte qu’ils pensaient être libres. C’est une grande tragédie.

Je sais que toutes les statistiques sur les cas et les décès « dus » à » COVID-19 ont été manipulées pour créer une fausse pandémie. L’une des preuves les plus évidentes en est la disparition présumée de la grippe et les décès dus à la grippe. Seule une personne en transe pouvait ne pas comprendre la logique absurde de l’argument selon lequel c’était le résultat du port du masque alors que le COVID-19  d’origine aérienne s’est répandu comme une traînée de poudre jusqu’à ce qu’il s’arrête brusquement en janvier 2021 alors qu’un nombre infime de personnes avaient été vaccinées.

Je sais qu’il n’y a guère eu de surmortalité.

Je ne sais pas où tout cela va s’arrêter, mais j’espère contre toute attente que l’opposition croissante à cette fraude se développera et la fera échouer malgré la censure organisée, qui est en cours, contre les opinions dissidentes.

Je sais que lorsque la censure organisée à cette échelle a lieu, ceux qui sont derrière elle ont peur de la révélation de la vérité. Une simple compréhension de l’histoire le confirme.

Je sais que le sursis temporaire accordé par les autorités à leurs sujets sera suivi de nouvelles restrictions aux libertés fondamentales, que les confinements du virus corona reviendront probablement, que les rappels de « vaccins » seront promus et que la pression du Forum économique mondial pour une grande réinitialisation avec une quatrième révolution industrielle conduira au mariage de l’intelligence artificielle, des cyborgs, de la technologie numérique et de la biologie avec les États-Unis et d’autres pays continuant à glisser dans une nouvelle forme de contrôle fasciste à moins que des gens du monde entier ne se lèvent et ne résistent en grand nombre. Je suis rassuré par les signes qui montrent que cette résistance se fait de plus en plus sentir.

Enfin, je sais que si les forces autoritaires gagnent la bataille immédiate, quelqu’un écrira un livre avec un titre comme celui du classique de Milton Mayer, They Thought They Were Free. Il sera censuré. Peut-être sera-t-il d’abord partagé via samizdat. Mais à la fin, après beaucoup de souffrances et de morts, la vérité sur ce mauvais programme prévaudra et il y aura beaucoup de pleurs et de grincements de dents.

Nous sommes dans une guerre spirituelle pour l’âme du monde [une guerre psychologique pour la conquête du monde].

Edward Curtin

Article original en anglais :

What I Know and Don’t Know about SARS-CoV-2 Virus

Traduit par Maya pour Mondialisation


Edward Curtin est un auteur, un chercheur et un sociologue éminent basé dans l’ouest du Massachusetts.

Il est associé de recherche du Centre de recherche sur la mondialisation (CRG).

Il est l’auteur de Seeking the Truth in a Country of Lies

Pour commander son livre, cliquez sur la page couverture

« Chercher la vérité dans un pays de mensonges est un voyage éblouissant au cœur de nombreuses questions – politiques, philosophiques et personnelles – qui devraient nous préoccuper tous. Ed Curtin a le toucher du poète et l’œil d’un aigle. » 

Robert F. Kennedy, Jr.

« Edward Curtin met nos têtes farcies par la propagande dans une guillotine, puis en un éclair nous emmène dans une promenade rédemptrice dans les bois – de l’enfer au paradiso. Marchez avec Ed et ses amis – Daniel Berrigan, Albert Camus, George Orwell et bien d’autres – à travers les bois les plus sombres et les plus remplis de lucioles de cette terre. » 

James W. Douglass, auteur, JFK et l’indicible

« Un exposé puissant de la CIA et de notre État secret… Curtin est un ardent défenseur de la réforme de longue date ; ses histoires vous réveilleront le cœur. » 

Oliver Stone, cinéaste, écrivain et réalisateur

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Edward Curtin, Mondialisation.ca, 2021




Julian Assange sur les médias

[Source inconnue]

[Ndlr : la traduction paraît fidèle, même si l’orthographe des sous-titres n’est pas parfaite.]




Pr Christian Vélot : « Il est urgent de ne pas vacciner les enfants »

[Source : Collectif VRAI ou sur VK ou Internet Archive]

Christian Vélot est docteur en sciences médicales et biologie, spécialisé en génétique moléculaire, généticien moléculaire et Professeur à l’université de Paris-Saclay, Président du conseil scientifique du CRIGEN.

Dans cet entretien, le collectif V.R.A.I. [Vaccination Réinformation Action Israël] interroge Christian Vélot sur la question spécifique de la vaccination des enfants contre la COVID :

  • quel rôle particulier jouent les enfants au plan épidémique en ce qui concerne la protection contre l’apparition de variants potentiellement plus dangereux ?
  • quels sont les risques de génotoxicité et d’immunotoxicité des vaccins contre la COVID ? quels sont les risques de vacciner en pleine pandémie sur le plan de l’apparition de variants plus dangereux ?
  • quelle est la balance bénéfice/risque des vaccins contre la COVID pour les enfants ?
  • qu’est-ce que la recherche récente nous apprend des effets de la protéine spike (que le vaccin nous fait produire) sur l’organisme?
  • comment peuvent s’expliquer les effets secondaires déjà constatés sur les populations jeunes vaccinées (myocardites, déréglements menstruels…) ?
  • pourquoi faut-il attendre plusieurs années avant de connaître les effets à long terme d’un vaccin ?
  • quelles stratégies alternatives à la vaccination de masse pour sortir de la crise ?
  • quel grave problème sanitaire des nations occidentales a révélé la crise actuelle ?

Liens vers les articles et vidéos évoqués dans l’entretien :

La Tribune de Delfraissy ( + 4 autres personnes) :
Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract – The Lancet Public Health

Expertise écrite du Dr VÉLOT : (09/2020)
Covid-19 : Rapport d’expertise sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM (criigen.org)

L’étude scientifique démontrant la toxicité de Spike à elle seule sur des aspects cardio-vasculaires :
SARS-CoV-2 Spike Protein Impairs Endothelial Function via Downregulation of ACE 2 | Circulation Research (ahajournals.org)

L’article tout récemment publié sur l’action de la polymerase theta capable de transformer l’ARN en ADN :
New discovery shows human cells can write RNA sequences into DNA — ScienceDaily

Vidéo Vaccins (20/12/2020 – 48mn)
https://criigen.org/covid-19-les-technologies-vaccinales-a-la-loupe-video/

DVD CRIIGEN (2 autres Conférences du Dr VÉLOT / L’une sur les « Techniques de manipulation génétique » et l’autre sur les « Perturbateurs endocriniens et l’épigénétique ») :
Les DVD du CRIIGEN – CRIIGEN

Conférence Direct Zoom + Youtube : « Vaccins anti-Covid-19 • Quelles technologies ? – Quels risques ? (Approfondissements et Actualités) » (22/04/2021 – 2H44)
https://youtu.be/MG0AOKssJII




Lettre ouverte aux chasseurs de « complotistes »

[Source : zonefr.com]

La liberté d’expression comme la liberté de pensée sont des droits inaliénables car ils appartiennent à l’être humain et aucune officine de propagande ne pourra jamais ni les interdire, ni les étouffer.

Eric Montana

Par Eric Montana

Étonnant que dans notre pays, certains se sentent tellement peu sûrs des « vérités » qu’ils assènent; qu’il leur faille créer un « observatoire de la conspiration » pour tenter de ridiculiser tous ceux qui ne parviennent plus à avaler la propagande médiatique… Le procédé est surprenant car en règle générale, la vérité se suffit à elle-même, elle n’a pas besoin d’un service après vente pour s’assurer que les citoyens/consommateurs y croient dur comme fer…

Et puis quelle importance si les gens doutent ou n’y croient pas ? Quand on est sûr de ce l’on affirme et que l’on peut étayer sa vérité avec des preuves irréfutables, pourquoi se préoccuper de ceux qui n’y croient pas ?

Ce qui pose question, ce ne sont pas les gens qui doutent ou qui remettent en cause certaines vérités mais le fait que l’on crée une structure d’observation et d’enquête pour essayer d’en comprendre les raisons et identifier tous ceux qui ne parviennent plus à avaler ces « vérités » officielles et que l’on affuble du sobriquet « complotiste » ou « conspirationniste » pour essayer de les faire passer pour des malades mentaux et ainsi tenter de décrédibiliser leurs thèses et leurs discours. Mais plus grave encore, cette structure intrusive cherche le détail qui lui permettrait d’affubler ces « complotistes » de l’étiquette qui tue : antisémite ou révisionniste ou négationniste.

Et ça, ce serait risible s’il n’y avait pas derrière une franche malveillance et le désir de nuire.

Mais enfin messieurs de l’Observatoire du Conspirationnisme, il paraît que nous vivons dans une démocratie. En tout cas c’est ce que vous affirmez. Et dans une démocratie, la liberté de penser et de dire ce que l’on croit, n’est-il pas un des droits fondamentaux ?

Visiblement votre démocratie est à géométrie variable. Tout pour ceux qui prétendent détenir les vérités universelles et rien pour ceux qui doutent ? Êtes-vous les agents de l’ordre établi qui veillent à ce que le troupeau reste bien confiné dans l’enclos dont vous fixez les limites ? Êtes-vous les kapos de la pensée, de la parole et de l’esprit censés vous assurer que cette pensée, cette parole et ces esprits se plient à la pensée unique dont vous êtes les détenteurs ?

Et sur quoi vous basez-vous pour affirmer que vous êtes les détenteurs de la vérité ? Et sur quels éléments vous appuyez-vous pour décréter que tous ceux qui ne croient pas à votre vérité, seraient des complotistes ou des conspirationnistes ? L’Histoire ne démontre-t-elle pas qu’elle n’est qu’une suite de complots et de conspirations ?

La Révolution française n’est-elle pas la conséquence d’une conspiration ? Êtes-vous trop ignorants pour savoir que des milliers d’éléments et de preuves en attestent ? Ou faites-vous semblant de les ignorer parce que cela prouverait votre inutilité ?

L’assassinat du Président John F. Kennedy à Dallas, n’est-il pas la conséquence d’un complot, d’une conspiration ? Est-ce que le rapport Warren ridiculisé par tous les chercheurs de vérité est votre Bible, votre credo ? Dans ce cas vous seriez davantage des doctrinaires idiots que des détenteurs de la vérité. Comment vous prendre au sérieux ?

Les attentats du World Trade Center ne sont-ils pas la preuve d’un complot et d’une conspiration ?

Alors, vous voyez bien que les complots existent. Pourquoi vous intéressez-vous davantage aux chercheurs de vérité qu’à la vérité elle-même ?

Cela ne vous intéresse pas de savoir que l’Histoire officielle depuis la Révolution de 1789 jusqu’aux attentats du World Trade Center n’est qu’un ramassis de mensonges, tous plus ridicules les uns que les autres ?

Non, vous ce qui vous intéresse ce sont ceux qui doutent et qui par leurs recherches, remettent en cause les vérités que vous voulez nous faire avaler de gré ou de force car vous craignez que cette soif de vérité conduisent certains à s’interroger sur d’autres « vérités » que vous souhaitez immuables et indiscutables… C’est surtout ça qui vous inquiète…

Donc, dans votre démocratie de théâtre, nous pourrions nier jusqu’à l’existence de Dieu, remettre en cause tout ce qui a nourri l’humanité depuis que l’homme vit sur la terre, mais il y a des sujets tabous sur lesquels il serait interdit de s’interroger. Et vous vous arrangez pour faire voter des lois qui criminalisent les esprits trop curieux et qui s’interrogent sur des sujets que vous voulez interdire d’examen et d’étude, même par les plus irréprochables des historiens ?

Croyez-vous que l’on peut imposer à l’esprit humain cette forme de dictature contraignante ? Croyez-vous vraiment que l’on peut obliger des êtres doués de bon sens et de raison, à se plier à ce terrorisme intellectuel, à ce nazisme de l’esprit ? Croyez-vous que l’on peut interdire à un être humain de réfléchir, de s’interroger et même de douter ?

Qui êtes-vous vraiment ? Quels intérêts défendez-vous vraiment ?

Vous n’êtes pas les défenseurs des valeurs démocratiques car votre officine inquisitrice s’apparente davantage à la Stasi qu’à une organisation chargée de veiller au respect des droits humains dont la liberté de penser et de s’exprimer est l’un des plus importants.

Vous êtes l’exact contraire de ce que vous prétendez être. Vous êtes les complices objectifs des comploteurs et des conspirateurs. Vous êtes une grave menace pour nos droits fondamentaux et un danger pour nos libertés. Votre existence est une anomalie dans une prétendue démocratie où ce genre d’organisation ne devrait pas exister car vous êtes des pollueurs d’esprits, des défenseurs du mensonge, des kapos de la pensée.

Ne croyez pas que nous soyons trop stupides pour vous démasquer et vous confondre car votre simple existence suffit à vous condamner. Les moyens que vous utilisez pour fouiller dans la vie privée des individus comme on cherche des détritus dans les poubelles, n’ont rien d’innocent. Ce n’est pas la vérité qui vous intéresse mais ceux qui propagent une autre vérité que la votre, celle sur laquelle vous prétendez détenir le monopole.

Puis, vous avez été pris tellement de fois en flagrant délit de maquillage de la réalité, de travestissement des événements, qu’à part la petite minorité de fouille-merdes qui s’intéresse à vos élucubrations, personne ne vous prend au sérieux.

Vous devriez vous trouver un vrai travail, une occupation honorable et digne car vous êtes non seulement inutiles mais nuisibles à tous les principes démocratiques.

La liberté d’expression comme la liberté de pensée sont des droits inaliénables car ils appartiennent à l’être humain et aucune officine de propagande ne pourra jamais ni les interdire, ni les étouffer.




Québec : c’est l’opinion, pas la science, qui influence la politique sanitaire

[Source : Contrepoints]

Les récents succès de la prestigieuse équipe de hockey Montréalaise au Québec illustrent comment les politiques sanitaires ne sont pas déterminées par la science.

Par Gabriel Lacoste.

Nos politiques pour contrôler la pandémie de Covid-19 seraient informées par la science. En tant qu’habitant d’une petite province d’Amérique du Nord, le Québec, je peux témoigner que n’est pas le cas.

Si la science était aux commandes, l’agenda du déconfinement serait dicté par des hommes en blouse blanche étudiant sérieusement des graphiques, puis manipulant des éprouvettes, motivés essentiellement par l’amour de la vérité et du bien public.

Or, il a suffi d’une passe spectaculaire de Cole Caufield à Tyler Toffoli, au cours d’une partie de hockey opposant le Canadien de Montréal aux Jets de Winnipeg, pour voir notre Premier ministre faire pression pour accélérer le retour à la vie normale.

C’est vous dire comment les restrictions sanitaires ont d’autres ressorts que l’épidémiologie…

LE CANADIEN DE MONTRÉAL DÉBARQUE À LAS VEGAS

Tout d’abord, il faut savoir que le Canadien de Montréal est une équipe de la ligue nationale de hockey, puis que le peuple Québec y voue un culte frénétique. Depuis notre plus jeune âge, nous apprenons tous l’histoire de Maurice Richard, cet humble Canadien français qui a combattu la discrimination des « Anglais » pour devenir une légende. Nous nous répétons que « nous avons gagné 24 coupes Stanley ».

La dernière, en 1993, grâce à son gardien de but Patrick Roy trône au-dessus de n’importe quel politicien dans le panthéon des célébrités québécoises dont nous sommes fiers, probablement à égalité avec Céline Dion. Pour un Québécois ordinaire, la guerre froide rime avec la série du siècle, opposant l’équipe du Canada à celle de l’Union soviétique. C’est de cette manière que notre petit peuple de Province peut se donner, le temps d’un spectacle, les allures d’un géant.

[Ndlr : Si le Québec a une superficie qui vaut 3 fois celle de la France, sa population n’est que d’environ 8 millions d’habitants.]

Le Canadien de Montréal a eu très peu de succès depuis 1993. Les séries de la Ligue nationale de hockey se jouent en quatre rondes où il faut gagner 4 parties sur 7 pour passer à la suivante. Or, depuis sa dernière victoire ultime, cette équipe n’a réussi à se rendre que deux fois en troisième ronde. Or, cette année, nous y sommes !

Et l’adversaire n’est pas n’importe qui. Ce sont les Golden Knight de Las Vegas, qui jouent au royaume du show-business. C’est vous dire comment les Québécois ont maintenant d’autres préoccupations que de contrôler le Covid-19.

Seulement, voilà que le Québécois ordinaire découvre une réalité surprenante : l’aréna de Las Vegas est pleine à craquer de spectateurs, alors que notre Premier ministre a limité le nombre autorisé à 2500. Nous voudrions avoir l’air d’un grand peuple, mais là, en comparaison, nous avons l’air… petit.

L’OBSTRUCTION DU SEPTIÈME JOUEUR

Vous devinez que l’affaire a pris des proportions politiques.

Au hockey, il y a 6 joueurs de chaque équipe sur la glace. Or, dans la psychologie d’un passionné de hockey, le septième joueur, c’est la foule et celle-ci peut influencer le jeu. C’est pourquoi une équipe est supposée avoir de meilleures chances de gagner à la maison que chez son adversaire.

Voilà donc qui peut nuire à l’image de marque de notre Premier ministre, car s’il fallait que le Canadien de Montréal se prive d’une coupe Stanley au motif d’un trop petit public, il pourrait perdre des votes.

D’ailleurs, ça augure mal, car le parti conservateur du Québec est passé récemment d’obscur parti qui va chercher 1 % des votes aux élections à une organisation qui recueille 8 % des intentions de vote dans les derniers sondages, surtout parce qu’il s’oppose aux restrictions sanitaires.

[Ndlr : Le parti conservateur du Québec est seul parti politique provincial du Québec qui s’oppose aux mesures sanitaires à notre connaissance. De même, au niveau fédéral, le seul parti du Canada qui s’oppose à ses mesures est le Parti Populaire du Canada, autre parti de tendance conservatrice.]

Au même moment, un de ses députés envisage de faire sédition pour rejoindre les rangs de cette opposition.

[Ndlr : c’est fait en date du 18 juin.]

C’est donc dans ce contexte que la joute journaliste s’empare de l’affaire. Éric Duhaime, le plus célèbre et le plus détesté des libertariens québécois (mais aussi le nouveau chef du parti conservateur cité précédemment), s’empresse de diffuser des graphiques et des informations montrant que les habitants du Nevada jouissent de plus de libertés que nous, mais qu’ils ne déplorent pas davantage de morts de la Covid-19.

La petite clique de chroniqueurs bien-pensants montréalais, avec Patrick Lagacé en tête, s’empresse de leur répondre. Tout y est : cherry-picking, attribution douteuse, injures, anti-américanisme primaire. Pour des raisons évidentes, la mortalité canadienne est préférée à celle du Québec comme point de comparaison.

Et jamais l’hypothèse de la faute républicaine n’est testée en la comparant avec les résultats des États démocrates. Bref, du bon vieux journalisme à la québécoise…

L’ÉTAT COMMANDITAIRE

Récemment, j’ai commencé à suivre le Premier ministre sur Twitter pour découvrir qu’il est un grand fan du Canadien de Montréal, multipliant les likes en commentant chacune de ses victoires. Il a également « convaincu la santé publique » de faire passer le nombre de partisans autorisés dans l’aréna de 2500 à 3500.

Pendant ce temps-là, le Québécois ordinaire qui n’aime pas le hockey trouve bizarre de ne pas pouvoir rencontrer plus d’un ami au restaurant. C’est comme si le manque de logique de nos autorités ne se dissimule plus.

Pourtant, le philosophe qui contemple la scène y voit la démonstration d’une vérité évidente : c’est l’opinion du public et non la science qui détermine les politiques sanitaires. Or cette opinion est faite de mode. Elle change au gré des saisons.

Au Québec, nous sommes habitués à hiberner durant l’hiver, mais lorsque la chaleur arrive au mois de juin, nous sommes plus difficiles à confiner. Si au même moment notre équipe de hockey aspire à gagner la coupe Stanley, puis que nous avons l’air ridicules devant les partisans de Las Vegas, nous sommes capables d’oublier la logique de nos décisions passées. Un politicien comme François Legault, qui se donne comme mission de nous suivre, risque fort d’avoir l’air d’une girouette sans directions.

Plus profondément, ce fait divers illustre la nature fondamentale de l’État moderne. Plutôt que de veiller au bien public, informé par la science, il est dirigé par des influenceurs dont la principale mission dans la vie est de se faire photographier à côté de causes à la mode, à la manière d’un commanditaire. Un jour, les gens ont peur d’un virus.

Vite, le Premier ministre ira se faire photographier à côté d’infirmières et de médecins qui le combattent héroïquement. Le jour suivant, une prestigieuse équipe de hockey se retrouve en troisième ronde d’une série éliminatoire ? Il assouplira donc les règles sanitaires pour aider le septième joueur, puis ira se faire photographier avec le maillot de cette équipe à côté des joueurs.

La science et la morale nous dirigent ? Sérieusement ?




Big Pharma est par principe contraire à l’éthique, voilà pourquoi on ne peut lui faire confiance sur rien

[Source : Cogiito]

[Sur l’illustration : « Big Pharma est un cartel monopolistique protégé par le gouvernement. »]

par Lance D Johnson.

D’août 2013 à décembre 2018, l’industrie pharmaceutique a versé plus de 12 milliards de dollars (en paiements divulgués) à

  • 1 036 163 médecins,
  • 1 249 hôpitaux universitaires et
  • 2 191 entreprises.

Le modèle actuel de « médecine » encourage la corruption, les commissions occultes et le contrôle institutionnel sur les scientifiques, les médias et les professionnels de la santé.   

Ce système dominé par les grandes sociétés pharmaceutiques est également légalement autorisé à commercialiser directement auprès des consommateurs, permettant un lavage de cerveau perpétuel de la population en général et des professionnels de la santé.

projects.propublica.org/docdollars

Pire encore, Big Pharma est mis en place de manière à générer des rendements élevés pour leurs actionnaires ; le système n’est pas incité à promouvoir la meilleure santé d’une population. Cette incitation à haut rendement fait ressortir les comportements les plus épouvantables et les décisions commerciales les plus antihumaines .

PDF à télécharger en anglais seulement : pharma_covid-19_report

Big Pharma est parvenue à convaincre des populations entières qu’il n’y a pas d’immunité naturelle, pas d’autres solutions contre les infections que ses produits de santé.

Par exemple, lors de l’épidémie de covid-19, certains médecins ont eu le courage d’utiliser des antiviraux sûrs et peu coûteux tels que l’hydroxychloroquine, le zinc, l’ivermectine, le glutathion, la vitamine D et C. Mais au lieu de promouvoir des traitements antiviraux sûrs et faciles à utiliser, l’establishment Big Pharma s’est battu pour supprimer les traitements et autres approches pour aider la population à développer une réponse immunitaire saine.

Rien de nouveau sous le soleil, pour ceux qui comprennent comment fonctionne ce monopole. Au fil des décennies, la nutrition et la phytothérapie traditionnelle ont été systématiquement retirées de la médecine occidentale.   

Cette suppression des informations vitales et des solutions d’immunité naturelle ouvre finalement la voie à une autorisation d’utilisation d’urgence des investissements dans les vaccins « trop gros pour échouer ». Alors que ces sociétés se battent pour la domination, leur influence sur les agences de réglementation, les médias et la « science » conduit à des activités commerciales contraires à l’éthique et c’est la raison pour laquelle aucune société pharmaceutique ne peut être digne de confiance.

La cupidité des grandes sociétés pharmaceutiques rend les systèmes médicaux vulnérables, en particulier lors d’une épidémie  

Rien qu’en 2020 : Pfizer, GlaxoSmithKline, Johnson & Johnson, Sanofi, Gilead et AstraZeneca ont généré un flux de revenus combiné de 266 milliards de dollars.

Même si l’industrie regorge d’argent, le gouvernement fédéral américain a remis aux monopoles Big Pharma au moins 18 milliards de dollars de fonds publics pour développer des vaccins contre le covid-19. Ce siphonnage de la richesse du peuple américain est mené sans un seul vote du peuple lui-même.

Le Congrès ne représente pas la Volonté du Peuple ; eux aussi sont rachetés par cette monstruosité Big Pharma.  

Au cours de la dernière décennie, GlaxoSmithKline (GSK) a été condamnée à une amende de 3 milliards de dollars pour avoir versé des pots-de-vin à des médecins américains.

En Grande-Bretagne, GSK a été condamné à une amende pour corruption de producteurs de médicaments génériques.

GSK a publié un article dans une revue médicale qui a induit les parents en erreur sur la sécurité d’un antidépresseur pour leurs enfants.

Pour gagner 100 milliards de dollars supplémentaires, GSK a augmenté le prix d’un inhalateur pour l’asthme de 18% sur le marché américain. Au fur et à mesure que les actionnaires encaissent, blesser les gens devient plus susceptible d’être une pratique commerciale.

Pfizer a également augmenté le prix des médicaments essentiels sur lesquels les patients comptent.   

Pfizer a augmenté le prix d’un médicament antiépileptique dont 48 000 patients britanniques avaient besoin. En un an, les services de santé nationaux ont dû payer plus de vingt-cinq fois le prix initial de ce médicament juste pour garder ces patients en vie.

Dans l’ensemble, les grossistes et les pharmacies britanniques ont été confrontés à des hausses de prix de 2 300%, ce qui a permis à Pfizer de générer 16 milliards de dollars de bénéfices l’année dernière seulement.

Dans un essai de médicament au Nigeria, Pfizer a profité d’une épidémie, a menti sur son traitement expérimental contre la méningite et a soumis les enfants à des médicaments expérimentaux à risque, sans fournir un consentement éclairé adéquat aux parents.

Pfizer a finalement dû verser 75 millions de dollars aux familles touchées – des centimes par rapport au montant que le gouvernement fédéral les a renfloués en 2020.  

Johnson & Johnson (J&J) est actuellement la société pharmaceutique la plus prospère au monde, avec un chiffre d’affaires de 82 milliards de dollars au cours de la dernière année. Ce succès repose également sur des hausses de prix contraires à l’éthique, notamment une hausse sans précédent de 19% des prix des médicaments contre la leucémie et le cancer de la prostate et une hausse de 16% des prix des médicaments contre le VIH.

AstraZeneca construit son empire en supprimant les médicaments génériques qui pourraient offrir des options plus abordables aux patients. La Cour européenne de Justice a récemment soutenu la Commission européenne et a jugé qu’AstraZeneca avait abusé de sa position sur le marché pour bloquer les médicaments génériques.

AstraZeneca a manipulé les marchés en retirant son autorisation de mise sur le marché pour le Losec, en même temps qu’ils ont introduit une version de deuxième génération du médicament. Cette tactique a retenu les essais cliniques assez longtemps pour empêcher les fabricants de médicaments génériques de proposer une alternative moins chère sur le marché.

Le système de cupidité, de censure et de contrôle de Big Pharma rend les systèmes médicaux vulnérables et met la vie des gens en danger, en particulier lors d’une épidémie.




Dire « Non » à la dictature sanitaire, mais « Oui » à la vie

[Source : sciencedusoi.com]

[Illustration : Martin Luther King]

Par Arthur Mantes

MOI, je dis NON (et je dis oui à la vie)

Parfois, dire non c’est dire oui à la vie.

À tous ceux qui ne voient pas, ne disent rien, et trouvent que tout est normal en cette période, en cette société : vous faites partie du problème. Pardon, mais c’est juste la vérité. La vérité ne transige pas et ne parle pas pour faire plaisir, elle dit ce qui est.

À chaque époque de l’histoire, il y a eu des injustices commises par ce qu’on appelle le « gouvernement », ceux qui s’octroient le droit de décider pour les autres. Allant de l’apartheid, à la prohibition, la taxation, en passant par des génocides… On justifie des crimes, on justifie des guerres, on justifie des privations extrêmes de liberté…

Et a chacune de ces époques, la majorité des gens, confinés dans leur peur et leur lâcheté, laissent faire et ferment les eux. Soit par peur, soit par ignorance aveugle de ce que ce gouvernement ne sert pas les intérêts de la communauté.

Aujourd’hui, on glorifie le courage des Gandhi, Martin Luther King, et résistants pendant les grandes guerres, et dans le même temps on ose tourner en ridicule et ignorer les lanceurs d’alerte modernes.

Aujourd’hui, on s’offusque avec terreur de ce qui a pu être fait dans le passé, comme l’extermination juive, la traite noire, l’inquisition, et dans le même temps on ferme les yeux sur ce qui se fait aujourd’hui. Car la forme a changé, les costumes et les institutions qui dirigent ont changé, et la dimension de subtilité de cette guerre a changé aussi.

Rappelez-vous que dans la pensée collective, les horreurs d’hier étaient considérées normales et justifiées. Car notre esprit est soigneusement conditionné pour trouver cela normal et se conformer à la volonté de cette autorité qui décide.

Aujourd’hui, ceux-là qui jouent leur vie et leur carrière pour dénoncer et montrer au grand jour ce qui n’est pas normal et ce qui est dangereux sont ridiculisés et purement ignorés.

Et au lieu d’instaurer un dialogue, pour créer des décisions basées sur un consensus, on traite de « conspirationnistes » ceux qui pensent différemment, ceux qui opposent et critiquent. Dans ce même temps, le gouvernement continue d’avancer vers les décisions qu’il prend dans l’autarcie de son égoïsme, en ignorant totalement l’avis de son peuple, et même des experts des domaines qu’on dit sacrés : la science et la médecine.

C’est comme cela qu’un pass sanitaire sera adopté, celui-là contre lequel les conspirationnistes mettaient en garde il y a des mois déjà. Un pass obligeant les personnes saines à devoir prendre des mesures hautement intrusives pour se conformer à ce que le gouvernement dit qui est « bon » et « juste » pour tous. Et une personne saine, mais qui ne se contraint pas à exécuter les ordres se verra privée de ses libertés.

Vous trouvez cela normal ?

Alors oui, dire NON n’est pas facile. Cela fait peur.

Avoir peur est normal. Car ce système autoritaire est basé sur la peur. Il existe un chantage permanent : « si tu ne fais pas ce que je dis, tu seras puni ». On nous infantilise et nous traite comme des esclaves, des êtres sur qui on a le droit de vie et de liberté.

Toute opposition est sanctionnée de coercition : on te prend ton argent, ta liberté voire ta vie. Encore une méthode mafieuse pour forcer à ce que tout le monde soit d’accord. On parle de liberté de penser et d’expression, mais celle-ci est enfermée dans une cage, depuis longtemps. Ce système est la cage.

Avoir peur est normal, car la vie est tellement grandiose que personne ne voudrait la perdre, ne serait-ce qu’en partie.

Mais nous nous sommes déjà fait voler tellement de libertés. Depuis si longtemps que nous ne nous en souvenons même pas.

À tous ceux qui ne se posent pas encore de question, à ceux qui font confiance au gouvernement, à ceux qui oublient ce qui s’est produit dans le passé : ouvrez les yeux.

Pas seulement pour vous, mais aussi pour ceux que vous aimez, et pour vos enfants.

Car notre système dérive, dangereusement, vers de plus en plus de « contrôle ». Et le contrôle, même s’il est mis en place sous d’apparentes bonnes intentions, ne peut PAS coexister avec la valeur fondamentale de liberté.

Liberté, égalité et fraternité sont à l’agonie.

L’enfer est pavé de bonnes intentions, comme on dit. Sous couvert de faire le bien, on peut faire le mal et le faire accepter. On peut justifier des actes qui sont hors-la-loi (de ce qui est juste et bon dans l’absolu) et mauvais, pour les faire passer comme bons et les rendre acceptables dans la pensée collective. Et si on sait bien s’y prendre, on crée comme terrain préparatoire un climat de peur collective intense, et cela passe comme une lettre à la poste…

Car une personne qui a peur est facilement manipulable.

Mais ceux qui s’en rendent compte doivent se lever, et protester. Car celui qui ne dit rien consent. Et personne ne devrait consentir à perdre sa liberté et une partie de sa vie. Personne ne devrait accepter des décisions qui sont injustes et intrusives.

Moi, je dis NON.

On peut être spirituel, on peut toucher l’unité et faire un avec le cosmos en soi, et savoir dire NON.

Car dire NON est la manifestation d’une limite qui doit être posée, affirmée. Dire NON, c’est refuser certaines choses qui ne sont pas justes et acceptables, car elles ne sont pas le reflet de notre nature véritable. Dire NON, c’est refuser ce qui est MAL et choisir ce qui est BIEN. Dire NON, c’est faire preuve de conscience et reconnaître la vérité.

Parfois, dire NON c’est dire OUI à la vie.

Moi, je dis non.

Je dis non à ce que l’on choisisse pour moi. Je dis non à ce que l’on me punisse. Je dis non à ce que l’on m’infantilise. Je dis non à ce que l’on me dise ce que je dois croire et penser. Je dis non à ce que l’on me prenne ma liberté. Je dis non à une société qui prône l’esclavage sous des apparences dorées. Je dis non à ce que l’on m’impose des décisions que je ne souhaite pas. Je dis non à ce que l’on m’empêche de choisir pour moi. Je dis non à ce que l’on me fasse du chantage. Je dis non aux menaces.

Et je dis OUI à la vie, et aux valeurs auxquelles je crois profondément : la liberté, le respect, l’amour, la fraternité, le bien.

« La désobéissance civile devient un devoir sacré lorsque l’État est devenu sans loi ou corrompu. Et un citoyen qui courtise avec un tel État partage sa corruption et son anarchie. »

Mahatma Gandhi

La première étape est de dire NON, au moins intérieurement.

Car on est chacun souverain des décisions que l’on prend. Soit on choisit ce qui est juste et bon, soit on choisit ce qui est mal et injuste. Et si on ne choisit pas, on choisit aussi.

On est chacun responsable ce chaque choix que l’on prend. Cela veut dire que chaque choix a des conséquences, et que si on veut vraiment le meilleur pour nous et pour les autres, il est un devoir de choisir ce qui est bon dans l’absolu.

Affirmer ses valeurs, affirmer sa liberté, affirmer ses limites.

Et cela commence par dire NON.

PARTAGEZ CE MESSAGE :

À tous ceux qui sont en accord avec ce message, partagez-le partout où il pourra semer une graine.


[Voir aussi : La clef de la libération]




La propagande vacciniste en roue libre

Par Lucien Samir Oulahbib

La boucle obsessionnelle de l’idée fixe propre au psychotique codiviste (le «MAXcin» sinon rien et sus aux contestataires!) fait que ce type de syllogisme fixiste s’auto-nourrit de ses prémisses, même si elles sont fausses, le vrai le faux ne devenant qu’une affaire d’ami/ennemi : ainsi puisqu’il n’y a pas de traitement qui marche (ce qui est faux) et comme cette maladie est inconnue et qu’elle peut tuer de façon exponentielle (c’est faux également, surtout après plus de 18 mois d’expérience), alors il faut vite vite vite trouver un palliatif — la thérapie génique, censée en quelques mois répondre à la question alors que d’une part cette maladie est très soignable y compris chez les personnes dites « âgées » et ce pour pas très cher, d’autre part la prudence doit prévaloir surtout lorsqu’il s’agit d’autorisations provisoires et alors que d’aucuns faisaient des pieds et des mains contre les OGM qui étaient (qui sont toujours) accusés de « modifier » le génome humain ; mais « vérité en deçà [des Pyrénées], mensonge au-delà », selon l’adage…

Tout le spectre politico-intello-médiatique et les « scientifiques » aux ordres prennent ainsi pour argent comptant le fait que la médecine « mécaniste » (physico-chimiste) serait une science « dure », ils jouent de plus en plus violemment cet air, du Wagner quasiment, nous entraînant bon gré mal gré vers la falaise de l’absurde (une maladie soignable à plus de 99 % pourtant) et observe que la chute s’avère impeccable il n’y a guère « d’effets secondaires » en effet, la trajectoire du plongeon dans l’inconnu est très belle à regarder, les moutons se jettent en plus « volontairement », le vol est parfait, certes un peu à gauche à droite, extrême gauche, extrême droite, extrême centre, mais « l’essentiel » est là : « flop » le corps s’enfonce dans l’eau du Gange « vaccinal » ; baptême et fin de partie.

Mais une pensée surnage au-dessus de ce naufrage : tout ça pour ça ?… Alors que les milliards dépensés auraient pu servir à mettre sur pied un système sanitaire digne de ce nom permettant ainsi aux malades d’être soignés avec des traitements qui marchent tandis que la grande majorité de la société vaquerait à ses occupations permettant de payer la bonne qualité d’ensemble du système de soins sans en passer par la dette (qui va peut-être inciter les gouvernants français à reculer l’âge de la retraite à 67 ans pour rembourser).

Eh bien non, l’idée fixe du tout physico-chimique visant à la réduction du corps humain à un automatisme (alors que l’idée de « machine » est bien plus complexe chez Descartes) non seulement s’avère toute puissante, mais s’acoquine avec tout un calcul ourdi multifactoriel qui ne peut que susciter la suspicion comme les emails de Fauci le révèlent ainsi que la classification soudaine des traitements qui marchent comme étant en fait des « substances venimeuses » alors que le nombre d’effets secondaires des essais géniques actuels se comptent, eux, par dizaines de milliers en France (en ajoutant qu’une infime partie reste relatée, tant il est fastidieux de retrouver le numéro du flacon faire la démarche, etc., sans oublier le manque de temps…) et que les effets peuvent se voir à moyen et long terme (rendez-vous dans quelques mois : rappel, un vaccin digne de ce nom met des années avant d’être autorisé…).

COVID-19 MRNA VACCINE MODERNA (CX-024414)
COVID-19 MRNA VACCINE PFIZER-BIONTECH (TOZINAMERAN)
COVID-19 VACCINE ASTRAZENECA (CHADOX1 NCOV-19)
COVID-19 VACCINE JANSSEN (AD26.COV2.S)

Mais cependant, et il faut le reconnaître si c’est exact, cette expérimentation pourrait montrer quelques effets positifs pour les plus de 81 ans en déficience immunitaire (car l’ARN fragmenté du virus injecté leur excite le système lymphocyte) c’est du moins ce qu’indiquent ces deux chercheurs israéliens interviewés par FranceSoir, tout en soulignant cependant qu’il n’en est rien pour les plus jeunes, bien au contraire, et que c’est inutile puisque les traitements adéquats marchent et sont là en suffisance désormais…

Ce qui fait que le tableau s’éclaircit par touches successives :

  • la pédanterie scientiste mécaniste (productiviste quantitativiste) écarte de façon méprisante tout repositionnement de médicaments antiparasitaires alors que l’expérimentation à doses adéquates prouve leur efficacité;
  • à cela se conjugue l’idée qu’une thérapie génique pourrait rapporter (très) gros, d’où l’idée de classer comme substances vénéneuses ces médicaments « remastérisés » au nom d’effets secondaires imaginaires (tout en minimisant ceux produits par la thérapie générique promise);
  • et, enfin, à ces deux facteurs (à savoir donc l’outrecuidance pédante d’une épistémologie modale désuète et l’affairisme se conjuguant à la jouissance narcissique d’être et de se voir agir au faîte de divers pouvoirs) se conjuguent à diverses fenêtres d’opportunité comme la numérisation à marche forcée des liens humains permettant une marchandisation supplémentaire alors que les biens dits « classiques » sont diabolisés, telle la voiture, de plus en plus propre pourtant, et que se trouve confondus exprès pollution, déchets nucléaires, CO2, alors que l’un dans l’autre le CO2 ne doit pas être confondu avec le CO et que le nucléaire ne peut être réduit à ses déchets de plus en plus miniaturisés et recyclés.

Il y a donc une conjonction conflictuelle de plusieurs facteurs qui peuvent faire croire en effet à un « complot systémique » par certains aspects, alors qu’il peut s’agir aussi d’une rencontre « opportune » entre plusieurs courants de faits (façon Cournot et sa théorie du « hasard ») tels que le mépris scientiste (le corps humain n’est qu’un magma physico-chimique manipulable par « gain de fonction » ou le « trans » et « post » humanisme, au sens littéral), l’affairisme avide et jouisseur (empêcher le repositionnement de médicaments peu coûteux, profiter de l’occasion pour étendre l’étatisme tentaculaire au détriment de la société civile), la bêtise, l’envie (comme l’acharnement anti-Raoult opéré par des ignares en plus : oui il y a plus de jeunes accidentés par trottinettes électriques que par la C-19), enfin le calcul politicien de bas étage et toute sa libido virale ouvrant aux psychotiques narcissiques la fente du donjuanisme à bon compte démultiplié par l’effet chatoiement des grands écrans plasma intrusifs permettant à l’onanisme y compris mobile de s’ériger au moment où tout implose façon plutôt passive, et soumission ou l’« horizon indépassable » d’un Occident en débandade généralisée.

Mais « la » vie humaine en a vu d’autres… « Chaque génération est un nouveau peuple », disait Tocqueville. Et comme tout s’accélère, rira bien, non pas le dernier, mais qui pourra rire…




Une journaliste vedette de Fox News dévoile ce que des sites « complotistes » avaient révélé depuis des mois : le document Rockefeller sur un scénario pandémie publié en 2010

[Source : Pro Fide Catholica]

[Vidéo orignelle en anglais : ‘Ingraham Angle’ on Democrat leaders, COVID origins | Fox News]

Par brianajane

LAURA INGRAHAM DE FOX NEWS DÉVOILE À LA TÉLÉ AMÉRICAINE LES DOCUMENTS MONTRANT QUE LES ROCKEFELLER AVAIENT PRÉVU LE SCÉNARIO DE LA PANDÉMIE EN 2010

Fox News aux Etats-Unis, c’est TF1, France 2, France 3, BFM TV, CNEWS, LCI… en France. C’est une Chaîne de Grande écoute et surtout une chaîne qui a moulte fois crié « Au Complotisme » !

[Ndlr : cette chaîne est néanmoins dénigrée par la plupart des autres médias dominants américains en raison de son orientation plutôt pro républicaine.]

Donc, Laura Ingraham, la présentatrice Vedette de la Chaîne annonce très clairement qu’il existe bien un rapport ROCKEFELLER de 2010 annonçant la Pandémie et la manière dont le pouvoir en place ne laissera JAMAIS cette crise imaginaire prendre fin avec un contrôle total et absolu des Peuples qui ont auront été ainsi privés de Libertés.

Nous vous avions fait part de ce rapport Rockefeller le 1er Mai 2020 :

https://profidecatholica.com/2020/05/01/le-rapport-de-la-fondation-rockefeller-de-2010-qui-annoncait-la-pandemie-et-le-confinement/
[Voir aussi : La crise de la covid-19 prévue en 2010 par la fondation Rockefeller ?]



Les « Choses » bougent énormément aux Etats-Unis et nous espérons un changement radical de Cap pour bientôt.

Vous avez LA PREUVE, avec cette vidéo de FOX-NEWS, que le COVID-19 est bel et bien UN COMPLOT CONTRE L’HUMANITE car quand une pandémie sugit, elle ne se signale pas 21 ans en avance.

De Plus c’est ROCKEFELLER qui signe, c’est pour ainsi dire DOUBLEMENT SIGNE.


[Voir aussi :
Des passeports pour les vaccins ont été planifiés avant même le début de la pandémie
Preuves que la pandémie a été planifiée ?
La vaccination mondiale : le véritable objectif de l’opération COVID-19
Le bon virus au bon moment
Ce que nous vivons était décrit par le journaliste Serge Monast en 1994]




Selon le Dr. McCullough, les vaccins COVID représenteraient la seconde étape d’une attaque bio-terroriste

[Source : Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

Debra Heine – Le 15 juin 2021

Lors d’une interview extraordinaire la semaine dernière, le Dr Peter McCullough, professeur américain de médecine et vice-chef du service de médecine interne de l’université Baylor, a déclaré que le monde avait été soumis à une forme de bioterrorisme et que la suppression des premiers traitements contre le COVID-19 – comme l’hydroxychloroquine – « était étroitement liée au développement d’un vaccin ».

Le Dr McCullough a fait ces commentaires explosifs lors d’un webinaire le 11 juin, avec le Dr Reiner Fuellmich, un avocat allemand, qui pense que la pandémie a été planifiée et qu’elle constitue « un crime contre l’humanité. »

Le Dr McCullough a déclaré que, selon lui, le bioterrorisme s’est déroulé en deux étapes – la première étant le déploiement du coronavirus, et la seconde, le déploiement des vaccins dangereux, qui, selon lui, pourraient déjà être responsables de la mort de milliers d’Américains.

Le Dr McCullough pratique la médecine interne et la cardiologie, est rédacteur en chef de Reviews in Cardiovascular Medicine, rédacteur principal de l’American Journal of Cardiology, rédacteur en chef du manuel Cardiorenal Medicine et président de la Cardiorenal Society.

« La première vague de bioterrorisme est un virus respiratoire qui s’est répandu dans le monde entier et qui a touché relativement peu de personnes – environ un pour cent de la population – mais qui a suscité une grande peur », a expliqué le Dr McCullough lors du webinaire organisé par Oval Media avec d’autres médecins. Il a fait remarquer que le virus visait « principalement les personnes fragiles et les personnes âgées, mais pour les autres personnes en bonne santé, c’était un peu comme un simple rhume ».

Le Dr McCullough a ensuite précisé qu’il avait traité de nombreux patients atteints de la maladie, qu’il avait écrit des articles sur le sujet, qu’il avait lui-même été atteint de la maladie et qu’il avait vu un décès dans sa propre famille dû au COVID.

Le médecin a déclaré qu’il pense que la peur du virus a été utilisée très rapidement pour générer des politiques qui auraient un impact énorme sur la vie humaine, comme les mesures draconiennes de confinement.

« Tout ce qui a été fait en matière de santé publique en réponse à la pandémie n’a fait qu’aggraver la situation », a-t-il souligné.

M. McCullough a expliqué que, très tôt, en tant que médecin traitant des patients atteints du COVID, il a mis au point un régime de traitement précoce pour les personnes atteintes du virus, qui a permis de réduire les séjours à l’hôpital d’environ 85 %, et il a commencé à publier des articles sur ce qu’il avait appris. Le médecin a noté qu’il s’était heurté à une « résistance à tous les niveaux » pour ce qui est de traiter les patients et de publier ses articles.

« Heureusement, j’ai eu assez de force de publication pour publier les deux seuls articles de toute la littérature médicale qui enseignent aux médecins comment traiter les patients atteints de COVID-19 à la maison pour éviter l’hospitalisation », a-t-il déclaré.

« Ce que nous avons découvert, c’est que la suppression du traitement précoce était étroitement liée à la mise au point d’un vaccin, et que l’ensemble du programme – et dans un sens, la phase 1 du bioterrorisme – a été déployé, [et] consistait réellement à maintenir la population dans la peur, et à l’isoler pour la préparer à accepter le vaccin, qui semble être la phase 2 d’une opération de bioterrorisme. »

M. McCullough a expliqué que le coronavirus et les vaccins diffusent tous deux « dans le corps humain, la protéine spike, [qui est] la cible de gain de fonction de cette recherche bioterroriste. »

Il a reconnu qu’il ne pouvait pas dire tout cela à la télévision nationale, car l’establishment médical a fait un travail de propagande très poussé sur la question.

« Ce que nous avons appris avec le temps, c’est que nous ne pouvions plus communiquer avec les agences gouvernementales. En fait, nous ne pouvions pas communiquer avec nos collègues propagandistes des grands centres médicaux, qui semblent tous être sous le charme, presque comme s’ils avaient été hypnotisés. »

« De bons médecins font des choses impensables comme injecter à des femmes enceintes de l’ARN messager biologiquement actif qui produit cette protéine de pointe pathogène. Je pense que lorsque ces médecins se réveilleront de leur transe, ils seront choqués de penser à ce qu’ils ont fait aux gens », a-t-il déclaré, faisant écho à ce que lui-même et le Dr Harvey Risch, professeur à l’école de santé publique de Yale, ont déclaré à Laura Ingraham, animatrice de Fox News, lors d’une interview le mois dernier.

M. McCullough a expliqué à Reiner Fuellmich que l’été dernier, il a lancé une initiative de traitement précoce pour éviter que les patients atteints du COVID ne soient hospitalisés, ce qui a nécessité l’organisation de plusieurs groupes de médecins aux États-Unis et à l’étranger.  Le médecin a noté que certains gouvernements ont essayé d’empêcher ces médecins de fournir les traitements, mais avec l’aide de l’Association des médecins et chirurgiens, ils ont pu publier un guide du patient à domicile et, aux États-Unis, ils ont organisé quatre services télémédicaux différents et quinze services télémédicaux régionaux.

Ainsi, les personnes atteintes du COVID-19 ont pu appeler ces services et se faire prescrire les médicaments dont elles avaient besoin dans des pharmacies locales ou des pharmacies de distribution par correspondance, a-t-il expliqué.

« Sans que le gouvernement ne comprenne vraiment ce qui se passait, nous avons écrasé la courbe épidémique des États-Unis », a affirmé M. McCullough. « Vers la fin décembre et en janvier, nous avons essentiellement pris en charge la pandémie avec environ 500 médecins et des services de télémédecine, et à ce jour, nous traitons environ 25 % de la population américaine du COVID-19 qui sont en fait à haut risque, âgés de plus de 50 ans avec des problèmes médicaux qui présentent des symptômes graves. »

Le médecin a déclaré que sa conviction que la suppression du traitement précoce était « étroitement liée » aux vaccins, est ce qui l’a conduit à concentrer son attention sur la mise en garde du public contre les vaccins.

« Nous savons qu’il s’agit de la phase deux du bioterrorisme, nous ne savons pas qui est derrière, mais nous savons qu’ils veulent une aiguille dans chaque bras pour injecter de l’ARN messager ou de l’ADN adénoviral dans chaque être humain », a-t-il déclaré. « Ils veulent chaque être humain ». Le médecin a par la suite averti que les vaccins expérimentaux pourraient à terme provoquer des cancers, et stériliser les jeunes femmes.

Le Dr McCullough a déclaré que son objectif est de mettre à part un grand groupe de personnes que le système ne peut atteindre, ce qui inclurait les personnes qui ont déjà eu le virus, celles qui sont immunisées, les enfants, les femmes enceintes et les femmes en âge de procréer.

Le cardiologue a poursuivi en disant qu’étant donné qu’il n’y a aucun avantage clinique pour les jeunes à se faire vacciner, même un seul cas de myocardite ou de péricardite après les injections « est de trop ». Pourtant, même si le CDC a connaissance de centaines de rapports alarmants de cas de gonflement du cœur chez les adolescents et les jeunes adultes, il ne va réévaluer la question que plus tard en juin. Il a accusé le corps médical de négliger de faire quoi que ce soit pour réduire les risques des vaccins.

Ayant présidé plus de deux douzaines de comités de surveillance de la sécurité des vaccins pour la FDA et l’Institut national de la santé, M. McCullough a pu critiquer la manière dont les vaccins ont été mis en place.

« Avec ce programme, il n’y a pas de comité des événements critiques, il n’y a pas de comité de surveillance de la sécurité des données, et il n’y a pas de comité d’éthique humaine. Ces structures sont obligatoires pour toutes les grandes enquêtes cliniques, et donc le mot qui est vraiment utilisé pour ce qui se passe est une malversation, c’est-à-dire la faute des personnes en autorité », a expliqué le médecin.

« Sans aucune mesure de sécurité en place, vous pouvez voir ce qui se passe », a-t-il poursuivi.

« En gros, c’est la plus grande application d’un produit biologique avec la plus grande quantité de morbidité et de mortalité de l’histoire de notre pays ».

« Nous en sommes à plus de 5 000 décès jusqu’à présent, comme vous le savez, et je pense à environ 15 000 hospitalisations. Dans l’UE, c’est plus de 10 000 décès. Nous travaillons avec les données du Center for Medicaid (CMS), et nous avons une assez bonne piste pour que le chiffre réel soit décuplé. »

McCullough a expliqué que, comme la base de données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) ne représente qu’environ 10 % des mauvaises réactions aux vaccins, son équipe a dû se tourner vers d’autres sources pour obtenir des informations.

« Nous avons maintenant un lanceur d’alerte au sein du CMS, et nous avons deux lanceurs d’alerte au sein du CDC », a révélé le médecin. « Nous estimons que 50 000 Américains morts. Cinquante mille morts. Donc nous avons en fait plus de décès dus au vaccin par jour que certainement la maladie virale de loin. C’est essentiellement de la propagande pour du bioterrorisme par injection. »

Le Dr McCullough dit avoir vu dans son cabinet des personnes présentant des cas de thrombose de la veine porte, de myocardite et de graves problèmes de mémoire post-vaccination. « C’est tellement déconcertant », a-t-il dit.

Il a ajouté qu’il a récemment été violemment attaqué dans les médias par une femme de Singapour qui est liée à la Fondation Gates.

Le Dr McCullough a ensuite exprimé une théorie effrayante selon laquelle les vaccins pourraient avoir été conçus pour réduire la population mondiale.

« Si vous dites que tout cela est un programme de la Fondation Gates pour réduire la population, cela correspond très bien à cette hypothèse, non ? La première vague a été de tuer les personnes âgées par l’infection respiratoire, la deuxième vague est de prendre les survivants et de cibler les jeunes et de les stériliser », a-t-il déclaré.

« Si vous remarquez les messages dans le pays, aux États-Unis, ils ne sont même pas intéressés par les personnes âgées maintenant. Ils veulent les enfants. Ils veulent les enfants, les enfants, les enfants, les enfants, les enfants ! Ils se concentrent tellement sur les enfants », a-t-il déclaré, notant qu’à Toronto, au Canada, le mois dernier, ils ont attiré les enfants en leur promettant des glaces pour obtenir le vaccin. Selon un rapport, le gouvernement de l’Ontario – qui n’exige pas le consentement des parents pour la vaccination des enfants – a encouragé les enfants à se faire vacciner par Pfizer lors d’un événement pop-up.

« Ils ont retenu les parents, et ils ont vacciné les enfants », s’insurge le médecin. Il a ajouté que la mère de son épouse canadienne avait été vaccinée de force contre son gré.

M. McCullough a prédit que les États-Unis se préparent à forcer les gens à recevoir les injections.

« Nous devons arrêter cela, et nous devons voir ce qui se cache derrière tout cela », a-t-il conclu.

[Source :] https://amgreatness.com/2021/06/15/dr-mccullough-covid-vaccines-have-already-killed-up-to-50000-americans-according-to-whistleblowers/

Vidéo de l’interview en anglais






Après le covid, une cyberattaque mondiale ? — Pierre Hillard

[Source : Chaîne officielle TVLibertés]

Quel avenir nous réservent nos « élites » mondialisées ? Depuis l’arrivée du covid et les troubles qui en ont découlé, les oligarchies du monde entier semblent vouloir accélérer leur politique sur les peuples. Dans ce numéro de « Politique &Eco », Pierre Hillard, docteur en sciences politiques, dresse le panorama, véritable continuum, de l’idéologie mondialiste des origines à nos jours : de l’ouvrage « Utopia » de Thomas Moore en 1516, en passant par l’esprit des Lumières, l’Union paneuropéenne internationale, jusqu’aux dessins des différentes organisations comme le FMI ou le Forum économique international de Davos de Klaus Schwab, qui redoute une cyberattaque mondiale susceptible de provoquer l’effondrement du système financier international. Un entretien de salubrité publique… à diffuser en masse !

[Voir aussi :
La quatrième phase de Schwab
Le prétendu “plan Kalergi” de destruction de l’Europe
Comprendre l’Adversaire – Pierre Hillard
Des origines du mondialisme à la Société ouverte de Soros
Le Nouvel Ordre Mondial va-t-il gagner ?
Les valeurs familiales de Schwab
La vérité contre la peur
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”
Le Grand Reset pour les nuls
La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme]




Petite histoire de la surveillance

[Source : blast-info.fr]

Une BD américaine : “La Machine ne ferme jamais les yeux”, entreprend de raconter l’histoire de la surveillance des citoyens par les Etats et des consommateurs par les entreprises, depuis le mythe antique du Cheval de Troie jusqu’à l’espionnage de masse opéré aujourd’hui par les GAFAM. Cet essai stimulant invite à prendre de la hauteur sur le sujet et réfléchir aux solutions pour remettre les libertés publiques au premier plan.

Benjamin Franklin affirmait qu’« un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre et finit par perdre les deux ». La citation est devenue un adage repris un peu partout, presque un poncif. Son avertissement ne semble pourtant pas avoir été entendu : notre société a basculé avec l’avènement d’internet et de la « big data » dans une ère de surveillance généralisée où les libertés publiques ont été restreintes, de même que notre droit à la tranquillité. Tel la grenouille qui meurt s’en sans rendre compte dans une eau mise à l’ébullition, le citoyen subit jour après jour l’érosion de ses libertés fondamentales et constitutionnelles, sans être capable de définir précisément à quel moment il a renoncé à se battre.

Il est ainsi curieux de se remémorer l’énorme scandale qu’ont pu constituer les écoutes téléphoniques dans les années 1980 sous François Mitterrand, en comparaison du désintérêt presque total des citoyens d’aujourd’hui sur le fait que l’ensemble de leurs communications téléphoniques, de leurs courriers électroniques, de leur navigation internet et de leurs déplacements quotidiens sont enregistrés par des entreprises sans leur consentement, et sans le moindre contrôle. Qui hésite aujourd’hui à accepter sans les lire les conditions générales de services comme Facebook ou Amazon qui leur permettent d’enregistrer notre intimité du matin jusqu’au soir ?

Nos vies quotidiennes – personnelles et professionnelles – tournent aujourd’hui autour de nos ordinateurs, de nos téléphones mobiles et de nos tablettes, qui sont devenus des outils de surveillance permanents. Nous y stockons nos photos, nos contacts, nos agendas, nous les utilisons pour notre correspondance, pour nous repérer dans les villes ou à la campagne. Edward Snowden nous a appris que toutes ces informations étaient instantanément mises à disposition d’Etats qui ne rendent pas de compte sur leur utilisation. Ceux-ci tentent parfois d’y intégrer un soupçon de légalité, dans une escalade qui ne cesse jamais. Le gouvernement français a par exemple légiféré il y a peu pour autoriser la surveillance par drones de la population, ce que le Conseil Constitutionnel a immédiatement interdit. Mais le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin a déjà promis un nouveau texte sur le sujet.

Editions Delcourt / Encrages

Avant la télésurveillance, la surveillance

Paradoxalement, alors que la technologie permet aujourd’hui le pire – ce que même George Orwell ne pouvait imaginer en écrivant “1984”, qui reste pourtant la dystopie la plus inquiétante jamais écrite sur le sujet – les consciences sont moins éveillées sur les risques qu’à l’époque de la sortie de son livre. Car il faut rappeler qu’avant la télésurveillance massive que permet Internet, la surveillance était opérée par de nombreux autres moyens, et que cela faisait déjà débat. C’est ce que rappelle une bande dessinée de Greenberg, Patterson & Canlas, traduite de l’américain chez Delcourt (“La Machine ne ferme jamais les yeux, Une histoire de la télésurveillance de “1984” à Facebook”).

Editions Delcourt / Encrages

L’ouvrage déroule l’histoire, les causes et les conséquences de la surveillance dans nos sociétés en remontant jusqu’à l’Antiquité. Si la démonstration est brillante, elle pêche un peu par son ethnocentrisme : le sujet est analysé dans le monde moderne à l’aune des seuls Etats-Unis et de leur législation. Mais comme chacun sait, toutes les démocraties occidentales finissent par suivre ce modèle avec quelques années de décalage, et ce léger défaut n’invalide en rien l’analyse.

Tout le monde a quelque chose à cacher, rappellent les auteurs en ouverture. C’est le principe même du droit au respect de la vie privée, garanti par toutes les Constitutions, sauf dans les dictatures. C’est même ce qui les distinguent des démocraties ! Pourtant, les grandes entreprises “gouvernementales, commerciales et criminelles” cherchent sans cesse (et parviennent aujourd’hui sans difficulté) à comprendre et enregistrer chacune de nos petites habitudes.

De Jeremy Bentham à Michel Foucault

Les premiers chapitres s’attachent à élucider les raisons de la soumission des populations à une surveillance contraire à leurs intérêts, que les auteurs expliquent d’abord par les croyances religieuses et la conviction ancrée dans les Ecritures que Dieu surveille les actions de chacun en vue du jugement dernier. Avec la sécularisation, le concept opère un glissement : la morale publique se substitue à la morale religieuse et justifie la mise en place d’une surveillance sociale, au départ pour des raisons plutôt nobles (la nécessité d’un ordre public, le besoin d’avoir une police et une justice efficace).

Editions Delcourt / Encrages

Au XVIIIe siècle, le philosophe Jeremy Bentham propose une réflexion nouvelle autour de la société de surveillance, en imaginant une structure architecturale circulaire (le panoptique) propre à permettre à un observateur de surveiller tous les sujets vivant à l’intérieur sans qu’eux-mêmes ne puissent savoir quand ils sont observés. Son objectif : installer dans une population donnée le concept d’autosurveillance. Sans parvenir à mettre en place son projet de bâtiment, Bentham pense alors œuvrer pour le progrès ! On retrouvera jusqu’à aujourd’hui des échos de son argumentation, par exemple dans les discours des politiques visant à truffer nos rues, nos métros et nos magasins de caméras de vidéosurveillance.

Un autre philosophe, au XXe siècle, s’est interrogé à la suite de Bentham sur la surveillance : le Français Michel Foucault. Il conclut que les autorités contemporaines contrôlent les populations à leur insu pour asseoir un pouvoir et une relation verticale de domination. Les auteurs de la bande dessinée démontrent la justesse de son argumentation dans de nombreux épisodes de l’histoire, depuis le système de surveillance mis en place par les esclavagistes américains (pensé comme un système de défense de la propriété !) jusqu’au McCarthysme.

La surveillance au service de la domination des États et des entreprises

Il existe différents systèmes de surveillance de la population, que l’on peut répartir en quatre catégories principales :

● La surveillance policière : elle s’accélère au XXe siècle dans les démocraties qui considèrent qu’il faut se prémunir de la délinquance par le contrôle de leurs populations.

● La surveillance par les patrons : le fordisme – qui révolutionne le monde du travail au début du XXe siècle – implique de mesurer chaque geste de l’ouvrier pour mettre en place la division du travail. En 1920, ce sont 200 000 “espions” qui sont employés par l’industrie américaine pour surveiller les faits et gestes des salariés !

● La surveillance politique : le XXe siècle est une période de grandes batailles idéologiques. La Seconde guerre mondiale puis la Guerre froide amènent les États à se méfier de la « Cinquième colonne » et à espionner ses ennemis intérieurs.

● La surveillance des mouvements sociaux : plus grave, les gouvernements modernes ont appris à utiliser la surveillance intérieure pour mettre au pas l’opposition, de façon très extensive : des mouvements pacifistes ou des défenseurs de l’environnement ont pu être considérés comme provocateurs de trouble. De nombreuses formes de militantisme se retrouvent aujourd’hui assimilées à du terrorisme pour justifier l’espionnage de leurs activités.

C’est avec J. Edgar Hoover, le premier directeur du FBI, que les Etats-Unis généralisent l’espionnage abusif de leurs citoyens au prétexte de la lutte contre le communisme. Le fichier secret mis en place par Hoover (qu’il fera détruire après sa mort pour éviter d’être jugé par l’Histoire) liste à la fin de sa vie plusieurs millions d’Américains dont en réalité très peu sont communistes. Martin Luther King, futur Prix Nobel de la Paix, fait partie des personnalités mises sous surveillance.

Editions Delcourt / Encrages

Dans le sillage de Hoover, la CIA et la NSA développent des outils électroniques pour surveiller le monde entier. George W. Bush autorise après les attentats du 11 septembre 2001 ces deux agences à surveiller les communications de l’ensemble des Américains. Le paradigme s’inverse : auparavant, on surveillait les suspects. Après lui, tout le monde se trouve considéré comme suspect par défaut. Un nouveau paradigme démontré par Snowden amène à la surveillance de masse de centaines de millions de citoyens innocents, et même de milliards d’étrangers. Selon le lanceur d’alerte, la devise interne de la NSA devient : “Collectez-les tous”.

Que faire ? Réglementer !

Au début du XXIe siècle, des programmes sont mis en place pour espionner les téléphones et les navigations sur Internet, d’autres permettent de prendre le contrôle de n’importe quelle webcam ou d’analyser les documents enregistrés sur nos disques durs (plus de 850 milliards auraient déjà été scannés). Enfin, une base de données de reconnaissance faciale mondiale est construite. Ceci en dehors de toute légalité, même si le « Patriot Act » (2001) rend largement possible ce qui était auparavant considéré comme criminel. Pendant la longue mise en place de cette société de surveillance par plusieurs gouvernements successifs, les élus américains ne cessent de mentir à ce sujet, parfois sous serment au Congrès, sans que jamais personne n’en paye les conséquences. Le “progressiste” Barack Obama, une fois au pouvoir, ne voit rien à redire ou à corriger dans ces dispositifs, et il est probable qu’il en sera de même pour Joe Biden.

Que faire ? Peut-être reprendre la main sur un plan politique. A titre personnel, militer auprès d’organisations engagées sur le sujet comme la Quadrature du Net. Et obliger nos politiques à prendre position sur le sujet. Des propositions pourtant très simples ne sont aujourd’hui appropriées par personne, ni à gauche ni à droite (tandis que les responsables politiques de tous bords ne cessent de citer, à tort et à travers, George Orwell pour faire semblant de se plaindre de l’évolution de la société).

Il faudrait commencer par légiférer pour interdire à toute société privée de conserver des données personnelles plus de six mois, sous peine d’interdiction totale. Netflix ou Google ont-ils vraiment besoin de se remémorer de nos recherches sur internet il y a 10 ans pour nous vendre leurs services ? Et si toutes les entreprises étaient soumises à cette règle de bons sens, cela ferait-il ralentir l’économie ? Évidemment pas. Voici donc un bon début, facile à mettre en œuvre.

Editions Delcourt / Encrages

Une réglementation plus sévère pour interdire le forçage de l’acceptation des conditions générales des biens et services de consommation courante est également nécessaire. Personne ne s’interroge par exemple sur le fait qu’il est obligatoire de lire et d’accepter les conditions générales d’Apple après avoir acheté un téléphone, sans pouvoir le ramener en magasin une fois déballé, faute de quoi il reste inutilisable. Un peu difficile à avaler pour un appareil qui peut coûter jusqu’à 1 300 euros. Chacun sait que l’acceptation de conditions totalement abusives n’est en réalité jamais optionnelle, mais personne ne s’intéresse à résoudre cette absurdité.

Enfin, l’Union Européenne devrait – plutôt qu’une réglementation RGPD nourrie de bonnes intentions mais complexe et trop peu efficace – s’attacher à réglementer la surveillance des citoyens par ses Etats-membres en rappelant qu’en démocratie on ne peut surveiller que des suspects sous le contrôle d’un juge, et poser des limites à ses partenaires. Il faudrait de toute urgence cesser de se plier systématiquement aux demandes des services américains et leur interdire de stocker toute donnée sur des citoyens européens qui ne seraient pas suspectés d’activités criminelles, en utilisant l’arme diplomatique. On devine hélas, que sur ce point, il est permis de rêver.

Sur ces sujets plus que n’importe quel autre, la créativité politique sera essentielle. Faute d’une rapide prise de conscience générale, le monde basculera dans une ère véritablement orwellienne.

La Machine ne ferme jamais les yeux,
Une histoire de la télésurveillance de “1984” à Facebook,
Greenberg, Patterson & Canlas
(Delcourt / Encrages), 144 pages, 15,95 €

Crédits photo/illustration en haut de page :
Editions Delcourt / Encrages




Red Mirror : le livre pour comprendre le quotidien hypertechnologique des Chinois

[Source : ladn.eu]

[Photo : © Owen Winkel via Unsplash]

Dans Red Mirror : l’avenir s’écrit en Chine, le journaliste Simone Pieranni livre un récit précis et vivant du développement effréné des technologies en Chine. Voici quelques bonnes feuilles de cet ouvrage à lire absolument.

La Chine et sa surveillance de masseson système de notation des individus, l’omniprésence de la reconnaissance faciale… Le pays de Xi Jinping alimente de nombreux fantasmes et commentaires. Mais peu de témoignages rapportent avec précision la nature de ces technologies et leur impact sur les comportements des citoyens. Celui de Simone Pieranni, journaliste italien du quotidien Il manifesto, qui a vécu plusieurs années en Chine et continue de s’y rendre, est particulièrement instructif et précieux.

Son livre Red Mirror : l’avenir s’écrit en Chine raconte aussi la manière dont la Chine est devenue l’épicentre technologique du monde, en influençant largement l’Occident. Sa traduction française a été publiée aux éditions C&F le 4 février 2021. Extraits choisis.

L’application Wechat partout, tout le temps, sans interruption

« Pékin, mars 2019. Pendant que je prends mon petit-déjeuner à la maison, je consulte sur WeChat les nouvelles du jour. Puis je sors, et tout en me promenant dans les hutongs (les anciennes ruelles étroites de la capitale qui survivent aux nombreux changements qui ont lieu dans la ville), je réserve par WeChat un taxi pour me rendre à un rendez-vous dans un bar du quartier de l’électronique de la capitale chinoise. À l’intérieur du bar, grâce à mon identifiant WeChat, je mets mon smartphone en charge dans une des cabines spéciales près de l’entrée avant de rencontrer la personne avec laquelle j’ai rendez-vous. Puis je récupère mon smartphone et je règle ma consommation avec WeChat. J’ai faim, alors dès que je sors, je cherche un restaurant mongol – une de mes passions – à proximité. WeChat m’en indique un à quelques centaines de mètres de ma position, à l’intérieur d’un centre commercial. (…) Enfin, je rejoins un événement dans l’un des gratte-ciels de Jianguomen, la longue rue qui mène à la place Tian’anmen. L’invitation m’a été envoyée par une amie via WeChat lorsque j’étais encore en Italie : dans notre chat, je retrouve la localisation, le billet électronique et le reçu du paiement (que j’archive dans une application spéciale, toujours dans WeChat, qui vous aide à gérer votre comptabilité). (…) À la fin de la conférence, je vais dîner avec certains des participants. À un même moment, tous nos yeux se tournent vers nos téléphones : WeChat demande une mise à jour de nos informations. Et nous voilà, toute une tablée occupée à faire des selfies pour donner à WeChat notre consentement à garder le contrôle de nos données biométriques.»

« La super-app a fini par créer une sorte d’écosystème au sein duquel rien d’autre n’est nécessaire, car elle est capable de s’occuper de tous les aspects de notre vie quotidienne. Dans certaines villes, le profil WeChat est déjà utilisé comme document d’identité. Tout est dans WeChat et cela signifie qu’en Chine, si vous n’avez pas « l’app des apps», vous êtes complètement hors du monde. Ne pas télécharger WeChat est un véritable choix de vie.»

Le culte de la smart city

« On accède aux bureaux de l’entreprise Terminus à Pékin par reconnaissance faciale. Le hall d’entrée est entièrement blanc : les rideaux aux fenêtres, les bureaux de réception et deux fauteuils aux formes futuristes sont également blancs. La découpe en zigzag des portes qui permettent d’entrer dans les open spaces nous rappelle les films de science-fiction, notamment la célèbre saga Star Wars. Ce dispositif veut porter l’idée d’un « futur » plus ou moins imaginé et connu, car Terminus – fondée en 2015, une des nombreuses start-up chinoises devenue rapidement une « licorne », c’est- à-dire estimée à plus d’un milliard de dollars – manie l’avenir pour le rendre extrêmement « présent ». Son but est en effet de pourvoir au nom du gouvernement à la gestion « intelligente » de complexes résidentiels et de quartiers entiers des villes, en utilisant ce qui se fait de mieux en termes d’intelligence artificielle et d’Internet des Objets (IoT – Internet of Things). Les quartiers urbains gérés par Terminus fournissent toutes sortes d’informations tant sur les habitants que sur les passants. Toutes ces données proviennent du travail silencieux et incessant de caméras intelligentes, de systèmes de reconnaissance faciale, de géolocalisation, de voiceprint (empreintes vocales) et d’empreintes sonores : la fusion de toutes ces informations circule sur des écrans contrôlés par des agents de sécurité. Tout est consigné, chaque mouvement est enregistré. “Si pendant quelques jours nous ne voyons pas certains habitants du bâtiment – nous expliquent les chargés de la communication en traversant un couloir – nous allons vérifier que tout va bien”.»

[NDLR: ceci représente une partie de l’avenir de la plupart des pays occidentaux si le Nouvel Ordre Mondial parvient à s’implanter complètement : une société de zombies ou de robots entassés dans les villes pendant que les élites disposeront des ressources planétaires et des campagnes.
Voir :
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]




« Quand les événements nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs !!! » L’édito de Charles SANNAT

[Source : Charles SANNAT – Insolentiae]

par Charles Sannat

[Illustration : Georges Clemenceau]

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

« Quand les événements nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs. » disait Georges Clemenceau.

Et c’est exactement ce que font les guignols qui sont aux manettes de ce pays et qui président à nos destinées en ces temps troublés et troublants de pandémie.

Je me souviens encore de ce match de foot de préparation des bleus il y a à peine quelques jours. Ce match signait le retour des « spectateurs » dans le stade de France, quelle bonne nouvelle pour les sportifs et les footeux !

Mais quand on regarde les images, on se demande tout de même quel est l’abruti de service qui a décidé de ne laisser rentrer « que » 5 000 personnes pour les entasser au même endroit dans le stade et laisser tous les autres gradins vides.

Oui mes amis.

Après plus d’un an de pandémie, nous avons toujours droit à ce type de crétineries, car il n’y a pas d’autre mot pour désigner de telles décisions. On a l’impression qu’ils le font exprès. Depuis que l’euro, je parle de la compétition, a commencé pas un seul pays européen ne procède évidemment de la sorte. On « éparpille » les gens dans le stade, on met de la distanciation bien évidemment.

[Ndlr : il y a de fortes chances qu’ils le fassent exprès, aux ordres des élites financières qui veulent absolument l’achèvement de leur Nouvel Ordre Mondial, et si possible par le chaos.
Voir :
Covid-19 et contrôle des masses — Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire
Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population
Le contrôle mental au temps du Covid
Stratégie du Chaos Contrôlé
Théories de contrôle de l’esprit et techniques utilisées par les médias de masse]

Le bon sens du premier ministre !

Alors Jean Castex a pris la parole aujourd’hui pour parler du bon sens avec lequel il fallait appliquer les avis du haut conseil à je ne sais plus quoi.

Ainsi, le port du masque dans la rue ne sera plus obligatoire sauf là où c’est bondé. Pourquoi pas.

De même nous dit le premier ministre que dans les stades… c’est sûr que si lon se colle les uns aux autres là où nous pourrions nous distancier, mieux vaut porter un masque… Bon sens donc.

Tenez regardez les photos. Elles parlent d’elles-mêmes. Là où c’est tout blanc sur le coté droit de la photo, ce sont tous les sièges vides. Au centre, c’est bondé et il n’y a aucune distanciation mais la jauge des 5 000 personnes (alors que le Stade de France peut accueillir 80 000 supporters) est respectée. Bon sens en action donc !

Fin du couvre-feu le 21 juin, le jour de la fête de la musique !

Tous les soirs, depuis notamment que nos tristes sires ont eu l’excellente idée (c’est ironique bien sûr) d’autoriser les spectateurs (riches, et snobinards) de Roland-Garros à rentrer après 23 heures pour assister à la fin du match, mais en maintenant les restrictions à 23 heures pour la plèbe, ce sont des fêtes sauvages de protestation qui se déroulent tous les soirs.

Ce couvre-feu est également très critiquable sur son efficacité médicale car, pour le moment, scientifiquement, rien ne démontre ni ne prouve son efficacité. D’ailleurs pour en être certain, il faudrait faire la même chose que pour la chloroquine de Raoult, une étude « randomisée en double aveugle », sinon les effets « observationnels » de Raoult qui ne valent pas tripettes selon nos mamamouchis pour la chloroquine ne valent pas un kopeck de plus pour leur couvre-feu.

Il faut donc pour prouver l’efficacité dudit couvre-feu, prendre un échantillon représentatif de la population (différentes catégories d’âge, de lieux de résidence etc) et lui imposer le couvre feu, puis un autre échantillon à qui on impose aucun couvre feu. On fait une étude de 6 mois, et l’on voit qui est le plus malade ou pas. On peut alors en déduire l’efficacité d’une telle mesure qui prive de liberté une population toute entière.

Evidemment, ce que l’on impose à un traitement potentiel, n’est pas demandé à une mesure privatrice de liberté pour toute la population et qui transforme en « criminel » de braves gens qui rentrent trop tard chez eux.

Terrifiante dérive. 

Mais lorsque l’Etat et les guignols qui nous dirigent sentent que le point de rupture approche, ils ont tout de même encore un instinct de survie qui leur souffle de desserrer l’étau qui brise les peuples.

Un carcan imposé sans preuves scientifiques je tiens à le préciser perfidement et de manière très insolente.

Alors Castex passe à la télé, et grand seigneur annonce qu’il nous libère enfin du couvre-feu et du masque sur la plage où il n’y a personne.

Il habille tout cela d’un sabir technocratique visant à faire croire qu’il s’agit de décisions réfléchies, pensées, et qui correspondent à un grand savoir-faire et des avis très scientifiques et techniques émanant de grands professionnels.

En réalité il n’en est rien de tout cela.

C’est juste des abrutis et des guignols qui font semblant de savoir ce qu’ils font et cela, depuis le début.

Jamais la citation de Clémenceau a été aussi appropriée.

« Quand les événements nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs. »

Tout cela va leur sauter à la figure, et l’idée de passer une réforme des retraites cet été en catimini risque d’être la dernière très mauvaise idée de ces dirigeants à la légitimité toute relative et à la popularité historiquement basse.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

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Comment votre cerveau est contrôlé !

[Source : La Minute de Ricardo]

[Illustration : ©shutterstock.com/13Smile]



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Lettre à un ami qui n’est plus… accessible

Par Alain Tortosa

Hier j’ai perdu un ami qui m’a été « volé » par le Covid…

Hier tu m’as signifié à quel point mon existence te met dans l’embarras.

[Illustration : indiatimes.com]

Ne croyez pas que mon ami soit décédé du « fléau », son corps est bien vivant et il est bel et bien en bonne santé… mais que dire de son âme, de son esprit, de ses valeurs ou de son esprit critique ?

Ne croyez pas que j’accuse ce virus, jusqu’à présent plutôt gentil au demeurant, mais uniquement la dictature sanitaire et les médias à sa botte.

« Ce texte est pour toi et tous les autres qui ne pourront pas me lire et encore moins adhérer… »

Mon cœur pleure, car tu es mon ami depuis 30 ans et tu ne peux plus me parler. Il ne nous est plus possible de communiquer, d’échanger, d’argumenter… alors que c’est une des richesses de l’humanité…

Le problème couvait depuis des mois et je préférais me taire, ne pas te faire parvenir les informations en ma possession, ne pas te perturber dans tes certitudes fragiles… que de te heurter.

Il était évident que tu ne pouvais pas (et non voulais pas) entendre, même si j’imagine que tu penses demeurer dans un libre arbitre et des pensées propres.

Tu as donc ressenti le besoin de m’écrire que…

  • Tu es heureux d’être vacciné.
  • Tu es heureux que toute ta famille soit vaccinée.
  • Tu es heureux de savoir que ton petit fils de douze ans et en pleine santé sera lui aussi bientôt vacciné.

Tu es donc vacciné. Ton bonheur de l’être ne me dérangerait pas s’il été issu d’un choix libre et éclairé, mais…

  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur », respecter encore les confinements ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur » respecter les couvre-feux ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur », porter encore un masque ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur » respecter la distanciation ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur », te laver les mains au gel hydroalcoolique ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur », être prudent et te méfier des non-vaccinés comme moi, mais aussi des vaccinés ?(([1] Interrogé sur BFM le 16 juin par un journaliste demandant si deux vaccinés double dose pouvaient se serrer la main, un médecin a répondu qu’il « valait mieux éviter et rester prudent »…))

Et incroyable…

  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur » et « protecteur » présenter un test PCR négatif, comme les non-vaccinés, avant de te rendre en Corse ?

Sans doute pas… parce que les médias t’ont dit que c’était à la fois logique et transitoire…

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait une telle vaccination légitime…
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Je cherche à comprendre ce que t’apporte ton vaccin.

En effet, que t’apporte-t-il au quotidien que tu n’avais pas lorsque tu n’étais pas vacciné ?

  • Le fait d’être membre à part entière de notre « merveilleuse » société devenue soudainement « solidaire » en 2020 ?
  • Le fait d’être un « bon » citoyen ?
  • Le fait d’être « comme tout le monde » ?
  • Le fait de pouvoir répondre à ta marchande de légumes « oui ! » lorsqu’elle te demande si tu t’es injecté ?
  • Le fait d’être enfin rassuré par un « vaccin » qui n’empêche pas de tomber malade, ne protège pas autrui et permet, au mieux, de ne pas faire de formes graves si l’on ignore les risques d’anticorps facilitants ?

Trouves-tu légitime et moral de demander aux enfants, jeunes et moins jeunes, de se vacciner pour officiellement protéger des personnes âgées, malades ou en fin de vie ?(([2] Les autorités sanitaires ne cachent plus que les enfants ne risquent rien et le Dr Fischer, « m.vaccin » a même dit que la décision de les vacciner n’était qu’arithmétique.))

Trouves-tu légitime et moral de demander à TON petit-fils de porter un masque toute la journée, d’être confiné, de renoncer à l’insouciance de l’enfance, et maintenant lui demander (ou l’avoir manipulé pour…) de se vacciner pour protéger qui ? Ses grands-parents ?

Les médias t’ont dit que c’était normal, l’unique voie « altruiste »…

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait ces mesures légitimes et morales…
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Pourquoi tant de peurs, tant d’acceptations, tant de renoncements ?

En toute sincérité…

  • Crois-tu vraiment que cette maladie ne se soigne pas ?
  • Crois-tu vraiment qu’il n’existe aucun traitement efficace ?
  • Crois-tu vraiment que tous les experts mondiaux (au-delà de tout soupçon et sans conflit d’intérêts, eux) qui ont un discours diamétralement opposé à la doxa sont, du jour au lendemain, devenus délirants ou complotistes ?
  • Crois-tu que l’Hydroxychloroquine et l’Ivermectine sont inefficaces et, qui plus est, devenus soudainement dangereux en 2020, après des dizaines d’années de commercialisation ?

Les médias, les incompétents ou les corrompus le répètent tous les jours, toute la journée…

Ils osent même parler de « bon sens » !

Ce petit club d’imbéciles et de corrompus qui peut accéder aux médias mainstream, ne peut parler que de « consensus » et tu ne peux que les croire…

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans…

  • Si je lui avais dit qu’il trouverait logique ou raisonnable que le seul traitement possible contre un virus respiratoire soit le paracétamol.
  • Qu’il ne fallait pas consulter son médecin avant d’être à l’article de la mort.
  • Que des molécules inoffensives utilisées depuis plus de 70 ans devaient être interdites.
  • Que le droit de prescription devrait être retiré aux médecins et que certains seraient poursuivis devant leur Conseil de l’Ordre de Vichy.
  • Et que la vaccination serait, comme par « hasard », l’unique voie…

Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Tu vois, mon texte est long, très long…, mon ami, plus long que tes quelques lignes pour condamner notre amitié.

Il est tellement plus facile de répéter en boucle le discours de France Info sans réfléchir que d’analyser et chercher à comprendre…

Les vaccins sont-ils pour toi, un tout petit peu, source d’inquiétudes ou ne serait-ce que de questionnements ?

Sais-tu que :

  • Les premiers essais sur l’homme ont eu lieu en avril 2020 ! Non-événement !
  • Des pans entiers de sécurités ont été volontairement ignorés « à cause de l’urgence » ! Non-événement !
  • La commercialisation a débuté en phase III avant la fin des essais ! Non-événement !
  • Une technologie ARN messager expérimentale jamais déployée ! Non-événement !
  • Des effets secondaires à moyen et long terme totalement inconnus ! Non-événement !
  • Le risque de variants induits par la vaccination ! FakeNews !
  • Le risque d’anticorps facilitants qui rendraient une nouvelle infection plus dangereuse pour les vaccinés ! Délire complotiste !

Ces thérapies géniques vaccinales sont autorisées, elles sont recommandées par tous les « médecins » médiatiques, toutes les autorités de santé, tous les gouvernements et même l’OMS…

Elle est vendue toute la journée par tous les médias mainstream… « C’est bien parce qu’ils sont sans danger et efficaces », non ?

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait normal de s’injecter à lui-même et sa famille des substances expérimentales à base d’ARNm jamais utilisées sur l’homme hormis pour des cancers en phase terminale.
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Qu’as-tu fait du principe de précaution qui te semblait un préambule indispensable à toute action ?

Selon toi, le masque doit-il aussi être porté « au nom du principe de précaution » ?

  • Aucune étude n’a jamais prouvé l’efficacité du port du masque dans une population générale. Même l’OMS le disait ainsi que les autorités françaises avant la grande mystification.
  • Tu es bien conscient qu’il ne peut pas être anodin de porter un masque toute la journée pendant des mois et d’autant plus pour des enfants.
  • Tu es bien conscient que si le dispositif avait une efficacité, il perturberait les échanges gazeux et que plus il filtrerait les virus et plus il gênerait la respiration.
  • Tu es bien conscient que tu réingères notamment une partie de ton CO2 et que tu respires les produits chimiques toxiques du masque et/ou de ta lessive ?
  • Tu es bien conscient que tu détruis la relation à autrui, les interactions humaines et les émotions avec cette muselière faite pour rendre visible une épidémie dont nous ignorerions l’existence sans les médias et que nous aurions pris comme une simple grippe…
  • Tu es bien conscient que tu perturbes gravement l’apprentissage des émotions et du langage chez les tout petits…

Ah, mais la Pravda t’a répété qu’il n’y avait pas d’alternative, que le masque était sans aucun danger et qu’il sauvait des vies.

Il fallait même le porter, seul, en montagne ou à la plage, au nom du « principe de précaution » !

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait normal et logique de faire porter un masque en toute circonstance à une population en bonne santé.
Il aurait aussi trouvé étrange l’invention de l’asymptomatique contagieux et dangereux !
Il m’aurait rappelé que lorsque qu’il existe des certitudes concernant les risques et les effets secondaires négatifs certains d’une mesure et de nombreux indices ou études passées montrant que la mesure est non seulement dangereuse et sans doute inefficace, alors on s’abstenait !
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Selon toi, les confinements doivent-ils aussi être mis en place au nom du principe de précaution ?

  • Cela fait des siècles que nous savons que les quarantaines ne fonctionnent pas à grande échelle et qu’il suffit d’un seul individu pour faire effondrer l’édifice.
  • Tu es bien sûr au fait que par le passé on confinait les malades… pas les bien portants…
  • Tu sais que les conséquences économiques et psychologiques ne peuvent qu’être désastreuses…
  • Tu entends même désormais que les suicides explosent notamment chez les jeunes.
  • Veux-tu ignorer le fait que des pays qui n’ont pas confiné ont eu de meilleurs résultats ?
  • Veux-tu ignorer que les pays qui ont le moins détruit les droits de l’homme ont eu moins de morts ?
  • Veux-tu ignorer que les pays les plus pauvres ont le moins souffert ?
  • Veux-tu ignorer que la courbe ne s’est jamais aplanie en France durant le confinement et qu’il n’y a eu aucun rebond au déconfinement malgré les prévisions catastrophiques des oracles ?

Ah, mais la Pravda t’a dit qu’il n’y avait pas d’alternative et que le confinement avait sauvé au moins 80 000 vies en France. Il fallait confiner « au nom du principe de précaution » !

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait normal et logique d’enfermer ensemble les malades, interdits de traitements, et les bien portants notamment dans les maisons de retraite.
Il m’aurait rappelé que lorsqu’il existe des certitudes concernant les risques et les effets secondaires certains négatifs et de nombreux indices ou preuves montrant que la mesure pourrait être inefficace, alors on s’abstient !
Il m’aurait dit que c’est ça le principe de précaution !
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Alors tu te vaccines et il faut désormais vacciner toute la population mondiale au nom du « principe de précaution » ?

  • Jamais personne n’a réussi à mettre au point des vaccins contre les coronavirus.
  • Tout scientifique sait que les coronavirus mutent en permanence pour survivre.
  • Les faux vaccins mis au point en quelques semaines ne ciblent que la protéine Spike les rendant vulnérables à toutes mutations.
  • La vaccination durant une épidémie augmente naturellement le risque de création de variants et d’autant plus que les vaccins ne sont pas de vrais vaccins, des virus atténués et qu’ils sont imparfaits.(([3] La prétendue efficacité de 90 % n’est pas sur l’impossibilité de tomber malade, ni sur le blocage de la transmission, mais sur l’absence de formes graves. Bref les études elles-mêmes précisent que ce n’est pas des vaccins.))
  • La technologie ARN messager ou des adénovirus modifiés génétiquement est totalement expérimentale et n’a jamais été déployée à grande échelle sur l’homme et encore moins sur des enfants ou des femmes enceintes.

Mais suis-bête mon ami, nos « gentilles » autorités nous ont expliqué que la vaccination de la population générale était l’unique option et qu’il fallait la généraliser, même sur les enfants, « au nom du principe de précaution » !

  • Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait normal et logique d’utiliser une technologie expérimentale sur l’ensemble des humains pour espérer, peut-être, mettre fin à une pandémie pour laquelle plus de 99 % des Français ont survécu malgré l’interdiction de traitement et toutes les mesures contre-productives.
  • Le risque de modification de notre ADN ? Jeté aux oubliettes.
  • Le rapport bénéfice versus risque obligatoirement défavorable pour des personnes en bonne santé qui ne risquent RIEN de ce virus ? Jeté aux oubliettes.
  • Le risque de maladies auto-immunes ou de cancers à long terme ? Jeté aux oubliettes !
  • Le risque sur la fertilité ? Jeté aux oubliettes. Il m’aurait aussi rappelé que lorsqu’il existe des certitudes concernant les risques, les effets secondaires et de nombreux indices montrant que la mesure pourrait être inefficace,voire même dangereuse, notamment du fait des mutations du virus, alors on s’abstient ! Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Ta pensée cartésienne a disparu petit à petit pour se transformer en foi !
Ta foi, car il ne peut s’agir maintenant que de foi, est devenue inébranlable.
Ta pensée actuelle ne peut plus être ta pensée, mais uniquement le reflet des tables de la loi de l’église du coronavirus et ses fidèles serviteurs…

Mais toi, toi qui te disait (ou pourrait peut-être encore dire que tu es) mon ami…

… Pourquoi ne m’aides-tu pas à ouvrir les yeux sur ma « folie » et ta « réalité », toi qui es convaincu de toutes ces « vérités » répétées sans cesse depuis des mois ?

Pourquoi ne pas essayer de me convaincre que :

  • « Le Covid est un fléau. »
  • « Le masque protège avec un rapport bénéfice vs risque favorable. »
  • « Le confinement sauve des vies avec un rapport bénéfice vs risque favorable. »
  • « Il n’y a pas de traitements hormis le paracétamol et il faut absolument interdire aux médecins de prescrire. »
  • « Le vaccin est l’unique voie avec un rapport bénéfice vs risque favorable même pour les populations qui ne risquent strictement rien ! »
  • etc.

Pourquoi as-tu de fait renoncé avant même d’essayer de me « sauver » ?

Te penses-tu incapable d’y parvenir ou est-ce parce que les médias t’ont répété jour après jour de ne surtout pas me parler à moi le « complotiste », de ne pas essayer de me raisonner ?

Les médias te l’ont dit…

  • Ma raison a « vacillé ».
  • Je suis devenu un « complotiste ».
  • Je mets en doute le « consensus » scientifique édicté par le Ministère de l’Unique Vérité.
  • Mon esprit de contradiction va jusqu’à remettre en question les « évidences ».
  • Je suis prisonnier de mon « délire », incapable de penser et me remettre en question.
  • Sans doute suis-je un « adolescent cinquantenaire »…
  • Suis-je à ce point « aveuglé » que je vais finir par affirmer que la Terre est plate ?

Pourquoi m’as-tu abandonné ?
Pourquoi m’as-tu condamné sans procès, sans avoir cherché à me comprendre ?
Pourquoi m’as-tu condamné sans savoir ce que j’avais à dire ?
Pourquoi m’as-tu condamné sans chercher à discuter ?

Notre amitié ne valait pas de…

  • Chercher à m’expliquer ? Non.
  • Lire mes dizaines de textes, mes milliers de pages que j’ai écrites sur le sujet depuis le mois de mars 2020 ? Non.
  • Chercher à savoir d’où venaient mes « croyances délirantes » ? Non.

Et toi ?

  • As-tu pensé à vérifier et me demander si mes affirmations étaient sourcées ?
  • As-tu fait tes propres recherches ou t’es-tu contenté d’ingérer le discours officiel comme on gave une oie ?

Peux-tu au moins m’accorder le bénéfice d’un travail délirant auquel s’ajoute le travail titanesque de mes amis scientifiques, juristes ou simples « humains » qui cherchent à comprendre ?

Mon ami l’aurait pu…

Toi qui as tant travaillé et étudié dans ta vie, as-tu oublié la valeur du travail ?

  • Sais-tu que j’ai passé des milliers d’heures, si si, des milliers d’heures à étudier le sujet ?
  • Sais-tu que j’ai lu des centaines d’études scientifiques ?
  • Sais-tu que j’ai étudié des statistiques nationales et mondiales ?
  • Sais-tu que je suis entouré de spécialistes qui font de moi un être insignifiant face à des puits de science ?
  • Sais-tu que je doute et que je me remets en question tous les jours et que je m’interroge depuis le mois de mars et même en t’écrivant cette lettre ?

Bien sûr que non, tu ne peux pas l’imaginer…

Car si c’était le cas, je serais « obligatoirement » arrivé aux mêmes conclusions que toi, toi qui détiens une « vérité prémâchée » par les autorités.

Je serais donc arrivé aux mêmes conclusions que toi et les médias. Je serais sorti de mon délire et j’adhérerais pleinement à la doxa que nous subissons depuis plus d’un an…

Mon ami, celui qui avait ses propres pensées aurait pu m’accorder le bénéfice du doute et surtout le bénéfice du travail accompli…

Tu juges donc que mon temps n’a aucune valeur, que j’ai perdu tout sens commun alors même que tu me pensais plutôt intelligent.

Tes valeurs ne te poussent-elles pas à m’aider au même titre que les miennes me poussent à informer et aider autrui à ouvrir les yeux autant que faire se peut.

Les médias t’ont répété que j’ai évidemment perdu toute capacité de raisonnement, que je suis dans le délire, que je suis dans une secte et que nul ne peut m’aider à en sortir…
Pire encore, je serais devenu « dangereux » au point qu’il ne faut plus me parler, plus discuter avec moi ou mes amis.

À moins que… à moins que tu ne sois toi, en état de sujétion, et que ce soit toi qui te trouves hypnotisé et dans une secte.

Mais le couperet est tombé et tu m’as proposé par écrit (sans doute moins contagieux) ta « solution » :

Voici la proposition de mon « ami ».

« Pourrais-tu supprimer ma photo (et celles de ma famille) sur le site ou tu exposes tes convictions sur ce sujet ? Dans la mesure où je ne partage pas ton analyse de la situation, cette proximité me met dans l’embarras. »

Sommes-nous encore amis ?

Pouvons-nous encore nous rencontrer dans une cave ou le sous-sol d’un parking souterrain qui serait dépourvu de caméras de surveillance ?

Adhères-tu à ce monde et est-ce que tu vis bien de ne surtout pas t’afficher à côté d’un « complotiste », de celui qui ne pense pas « comme tout le monde » ?

Mais de quoi as-tu si peur ?

Que l’on imagine que tu pourrais toi aussi avoir ou soutenir des pensées « déviantes » ?

Et si on m’obligeait à porter une étoile sur le torse ou me parquer dans un camp, cela pourrait-il être de nature à te soulager ?

Le plus simple, le plus rassurant pour toi est, de toute évidence, que je n’existe pas, ni moi ni mes amis.

Sommes-nous si anxiogènes à :

  • Répéter que cette maladie n’est pas si grave.
  • Répéter que cette maladie se traite.
  • Répéter qu’elle ne tue qu’exceptionnellement et qu’en général elle ne fait qu’accompagner des personnes en fin de vie.
  • Répéter qu’elle ne tue pas plus que les infections respiratoires des autres années ?

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs aurait adhéré à ces propos.
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre et personne ne doit savoir que nous étions amis…

Et quelle angoisse pour toi d’entendre que nous ne pouvons pas contrôler un virus, que nous n’avons jamais contrôlé la moindre épidémie, que le mieux est de laisser circuler le virus au maximum parmi la population en bonne santé afin de parvenir à une immunité naturelle de masse, et ce afin qu’il disparaisse de lui-même…

La dictature sanitaire a ainsi réussi le tour de force de rendre anxiogène celui qui, comme moi, avec des centaines de preuves à l’appui te dit qu’il n’y a pas à s’inquiéter et que les choses s’arrangeront naturellement avec le temps.

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs aurait adhéré à ces évidences.
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Hélas :

  • Tout a été volontairement mis en œuvre pour perturber le processus naturel et l’immunité naturelle de masse.
  • Tout a été fait pour affaiblir et traumatiser la population.
  • Tout a été fait pour dénigrer et interdire les traitements efficaces.
  • Tout a été fait pour rendre indispensable des vaccins qui, par leur nature, ne pourront pas enrayer la maladie.

Mais rien de neuf sous le soleil.

Cela fait des dizaines d’années que l’industrie pharmaceutique a arrêté de fabriquer des médicaments qui guérissent pour se consacrer quasi exclusivement à des médicaments qui traitent le malade à vie en faisant tout pour que le patient ne guérisse jamais.

Et cette année serait l’année de l’industrie pharmaceutique qui deviendrait au service de l’humanité ?

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs aurait confirmé 1000 fois ces affirmations !
Mais tout ceci je ne peux plus te le dire, tu ne peux plus l’entendre…

Je suis triste, les médias ont eu (provisoirement ?) raison de notre amitié, car je ne conçois pas une amitié dans laquelle un des deux « amis » ne peut exposer son amitié au grand jour…

J’espère qu’une fois sorti de ta léthargie, de ta sidération, que les vérités seront sorties dans les médias nationaux (elles sortent dans la plupart des pays sauf en France pour l’instant), tu pourras rouvrir ton esprit.

Ce jour-là tu te rendras d’abord sur le site de mon livre « 7 milliards d’esclaves et demain ? » et tu pourras lire que tout ce que j’affirme depuis le mois de mars 2020 ne relève pas de théories du complot ou de fakenews, mais de faits scientifiques avérés.

En attendant, même si je pleure, je poursuis mon chemin avec mes nouveaux amis de grande valeur avec qui j’ai tant à partager…

Alain Tortosa.

Le 14 juin 2021.

https://7milliards.fr/tortosa20210614-hier-jai-perdu-un-ami.pdf





Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !

[Source : kla.tv]

La belle chanson populaire allemande « Les pensées sont libres – qui peut les deviner ? » est malheureusement devenue une illusion à l’ère de la digitalisation. C’est ce qu’affirme et ce que prouve le Dr. Karl Hecht., médecin et professeur de neurophysiologie renommé, chercheur en neuroscience et médecin de l’environnement.
Le spécialiste, âgé de 96 ans, décrit de façon très claire le fonctionnement technique de la manipulation et du contrôle de l’esprit, notamment par le biais des ondes électromagnétiques. Il nous fait ainsi découvrir les débuts des expériences technologiques sur le contrôle des esprits dans les années 1950 et 1960, qu’il qualifie de « vieux jeu » dans la perspective d’aujourd’hui. Car jamais auparavant les conditions technologiques d’une dictature totale n’ont été aussi mûres qu’aujourd’hui.
Le professeur Hecht demande instamment que ce processus inhumain soit arrêté, afin que l’humanité ne se supprime pas elle-même par la digitalisation. Il est grand temps de revenir à la nature divine si nous ne voulons pas être dépouillés de toute humanité par l’idéologie de la digitalisation et être dégradés en robots humains totalement contrôlés.
Regardez maintenant l’interview du professeur Dr. Karl Hecht, que Kla.TV a réalisée pour vous en décembre 2020.

Interview:

Modérateur : Professeur Hecht, merci de nous permettre d’être avec vous aujourd’hui, de nous inviter et de nous permettre de parler du thème de la « digitalisation de l’humanité ». Professeur, en cette année marquée presque exclusivement par la crise de la Covid-19, vous avez écrit un article académique en août qui semble être un réveil urgent. Son titre : « Les pensées sont libres, mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini. » Qu’est-ce qui vous a poussé à écrire un article aussi complet et percutant à l’âge de 96 ans ?

Professeur Hecht : C’est mon habitude, je veux transmettre à l’humanité la vérité fondée sur la science. L’idéologie de la digitalisation crée une euphorie, c’est-à-dire un enthousiasme pour cette technologie, et il y a beaucoup de promesse. Prospérité, confort, voire santé et même immortalité grâce à l’intelligence artificielle. Mais la vérité est ailleurs. La digitalisation apporte une surveillance totale. La digitalisation entraîne une diminution des emplois et rend les humains superflus. La digitalisation entraîne ou provoque la manipulation de l’opinion publique, et finalement nous vivons une situation où l’homme perd lentement le contrôle sur la technologie. Ces derniers temps, les médias ont diffusé l’information selon laquelle Elon Musk a inventé ou est même en train d’expérimenter un implant Neuralink, qui est une interface entre l’ordinateur et le cerveau. Il décrit que c’est assez simple. Cet implant Neuralink n’est pas plus grand qu’une pièce d’euro et vous pouvez le mettre sur le crâne en incisant le cuir chevelu, puis il y a une connexion, une interface entre le cerveau et ce Neuralink, puis l’ordinateur ou le téléphone portable, etc. Il disait encore que la connexion entre le cerveau et l’ordinateur est nécessaire pour que les humains, ou l’humanité dans son ensemble, puissent bénéficier du développement de l’intelligence artificielle. Et c’est bien sûr un message choquant et c’est aussi l’une des raisons pour lesquelles j’ai écrit cet article.

Modérateur : Professeur, l’implant cérébral Neuralink d’Elon Musk a fait l’objet d’une large publicité dans les médias. Comment le Neuralink d’Elon Musk est-il censé fonctionner ? Et quels dangers y voyez-vous ?

Prof. Hecht : Oui, je voudrais tout d’abord vous expliquer comment cela va fonctionner, et pour que vous puissiez comprendre tout cela je dois vous donner une petite leçon de neurophysiologie. Voici le cerveau humain – ici une coupe transversale. Je tiens à dire à ce propos que notre cerveau compte 100 milliards de cellules nerveuses, et que chaque cellule nerveuse peut se connecter à toutes les autres, c’est-à-dire à 10 000 autres, c’est alors comme un organe à part entière ; c’est la caractéristique de l’être humain.
Vous voyez ici le cerveau antérieur, et Mme Teuchert-Noodt pense que le plus important c’est qu’il arrive à maturité, et cela ne se produit que jusqu’à l’âge de 18 ans, et il ne doit pas être irradié par des ondes ou par des facteurs externes ou être endommagé. Vous voyez ici au milieu ce qu’on appelle l’hippocampe, ce qu’on appelle le système limbique, et ici l’amygdale, qui est le centre émotionnel. Et dans les années 1940, le neurophysiologiste suisse Walter Rudolf Hess a découvert que s’il insère une électrode très fine et la stimule électriquement, des émotions sont générées dans cette zone. Par exemple, le rire, les pleurs, la colère, l’agacement. Donc on a constaté que dans cette région se reflètent nos émotions. C’était une grande découverte pour l’époque, il a reçu le prix Nobel pour cela. Et on a également partiellement appliqué ça en médecine, de telle sorte que des électrodes ont été insérées dans certaines zones du cerveau chez des patients souffrant d’épilepsie et de la maladie de Parkinson. J’ai moi-même vu la professeure Bechtereva travailler avec des épileptiques dans la clinique de Saint-Pétersbourg. Mme Olga Bechtereva est la fille du Bechterev dont une maladie porte le nom. Et il s’agissait surtout de blessés de guerre qui avaient des balles dans le cerveau ou des éclats d’obus. Et ils avaient jusqu’à 20 crises d’épilepsie et quand ils ont mis l’appareil dans une certaine région, l’appareil a produit une courte et légère stimulation électrique, et la crise n’a pas eu lieu. Cela n’a pas été fait en masse, mais ça a été répété souvent. Et chez les patients atteints de la maladie de Parkinson, les tremblements se sont arrêtés. Voilà comment ça a commencé.
Ensuite, deuxième chose : Tout ce traitement de l’information entre les centaines de milliards de cellules nerveuses se fait par des moyens électriques et nous pouvons mesurer l’électricité. C’est ce qu’on appelle l’EEG, l’électroencéphalogramme, et vous pouvez voir ici que nous avons des ondes différentes et aussi des fréquences différentes. Par exemple, le rythme alpha de 7-12 Hz, ou le rythme bêta de 13 Hz et plus. Ou ici le rythme thêta de 4-7 Hz, qu’on voit par exemple dans la méditation. Et puis le rythme delta qui est, par exemple, le rythme du sommeil profond, mais aussi d’autres fonctions, il est inférieur à 4 Hz. Et sur la base de cette configuration, de cette amplitude et aussi de la fréquence, on peut déterminer certaines fonctions. C’est là le point de départ pour les micro-ondes, les ondes radio qui sont introduites dans le cerveau
Cela se produit donc lorsque, à partir d’un émetteur ou d’un téléphone portable, on intervient dans les ondes cérébrales et ainsi on peut influencer le cerveau, selon les fréquences utilisées et selon comment vous l’appliquez.
Et aujourd’hui, comme [Armin] Grunwald l’a également dit, tout est possible avec la modulation de fréquence. Ça déjà été fait dans les années 70 aux États-Unis, des expériences ont été faites pour influencer l’électroencéphalogramme avec des micro-ondes, et donc aussi manipuler le cerveau.
Il y a aussi d’autres études, nous avons le champ magnétique de la terre, appelé onde de Schumann qui nous protège. Et cela passe également par le cerveau et constitue en fait une fonction vitale et les ondes radio peuvent également perturber cette fonction vitale. Et maintenant Musk a fait la chose suivante : il apporte cette interface et grâce à cela, si j’ai maintenant un téléphone portable, par exemple, ou un ordinateur, cela va à l’interface et l’interface se transforme alors en cerveau. Il s’agit donc en fait d’une sorte de petit ordinateur qui peut également stocker des données. Et à partir du cerveau, l’information peut alors revenir à l’interface et retourne au téléphone portable ou à l’ordinateur.
Et bien sûr, vous pouvez également l’influencer en conséquence et ainsi, un cerveau de robot est créé, qui peut alors influencer le vrai cerveau.

Modérateur : Est-ce que j’ai bien compris ? On a comme une application pour téléphone portable, et ensuite on peut en pratique influencer la conscience, etc., c’est très dangereux !

Prof. Hecht : Oui. Et vous pouvez même, si quelqu’un téléphone, influencer la conscience par le biais du téléphone portable. Vous pouvez donc manipuler comme vous le souhaitez et guider réellement la personne ou même lui donner des instructions, pour qu’elle tire sur quelqu’un par exemple, ou qu’elle fasse ceci ou cela. Il est alors en fait un « tenu en laisse par la digitalisation », si je peux le présenter ainsi.

Modérateur : On a à peine perçu une réaction publique critique à l’implant cérébral Neuralink d’Elon Musk. Le fait que ce soit sous-estimé pourrait-il avoir un rapport avec le fait que le contrôle des esprits, c’est-à-dire le contrôle mental ou le contrôle des pensées, est connu dans les romans ou les films de science-fiction, mais qu’on dit généralement qu’il s’agit d’une théorie de conspiration ?

Prof. Hecht : C’est possible. Mais un scientifique américain, dont je viens d’oublier le nom, a dit un jour qu’on ne peut garder que les petits secrets. Les grands secrets sont gardés secrets par l’incrédulité du peuple. Et c’est précisément cela : le peuple croit plus au mensonge qu’à la vérité et à la science. Il existe des enquêtes à ce sujet. Mais beaucoup de choses se passent dans le plus grand secret ou à l’arrière-plan. Je voudrais rappeler dans ce contexte comment j’ai découvert ce contrôle des esprits et ces influences.

Modérateur : Oui, avec plaisir.

Prof. Hecht : En 1968, il y a eu le Congrès mondial de physiologie à Washington, et à ce congrès, il y a eu une nouveauté. Un professeur, le Dr José Delgado, un Espagnol, qui a travaillé en Amérique à l’Université de Yales, a mené une expérience sensationnelle. Il avait un groupe de singes, dans ce groupe, le singe dominant était un colérique, c’est-à-dire qu’il se mettait très vite en colère. Et quand il se mettait en colère, il mettait sa patte dans sa bouche, rugissait, puis s’en prenait aux singes, les mordant et les frappant.

Ensuite M. Delgado a fait ce qui suit : il lui a mis sur la tête une interface, similaire à la courbe du cerveau antérieur, attachée avec un récepteur.

Et dans la salle se trouvait un émetteur qui s’activait lorsqu’on appuyait sur un levier. Et quand ce singe dominant mettait la main dans sa bouche, un singe du troupeau courait vers le levier pour le descendre et ce singe dominant devenait tout de suite doux comme un agneau. M. Delgado a ensuite effectué ces recherches dans des arènes de tauromachie en Espagne. Il a également mis cette interface sur les taureaux qu’on avait rendus colériques, et lorsqu’il appuyait sur le bouton, le taureau était complètement calme et n’était plus agressif. C’est-à-dire qu’à l’aide de cette technique il était possible, par exemple, de rendre les personnes agressives complètement paisibles.
Mais bien sûr, les services secrets ont immédiatement pris conscience de ce phénomène et ont travaillé avec cela. Et M. Delgado a ensuite approfondi le tout, puis a découvert, comme je l’ai déjà dit, à l’aide des micro-ondes, des ondes radio, qu’il pouvait entrer directement dans l’électroencéphalogramme. Et il a ensuite écrit un livre : « Le contrôle physique de l’esprit », en fait des pensées… Mais nous voyons que le contrôle de l’esprit est en partie fait sous le couvert d’agir pour la médecine… peut-être est-ce le cas. Il est toujours difficile dans ce domaine de séparer le bon et le mauvais. Et puis je voudrais parler d’un événement qui m’a également étonné : À l’Université de Tübingen, une étude est en cours intitulée « L’interface pour améliorer l’enseignement ». Là, les enfants reçoivent une sorte de bandeau, avec lequel l’électroencéphalogramme est enregistré. Et l’électroencéphalogramme reflète alors trois états, trois « émotions », c’est-à-dire : « attentif », « indifférent» et « inattentif », ce qui est déjà critique. Donc, trois lampes s’allument : le bleu « inattentif », le jaune « attentif » et le rouge « très concentré ».

Modérateur : Comme un feu tricolore sur le front, que l’enseignant est…

Prof. Hecht : Oui, et pas seulement cela. L’institutrice a comme un ordinateur ou un téléphone portable où elle voit chaque élève par ondes radio : « Aha, là ça s’allume en rouge, là ça s’allume en bleu » etc. et elle peut ainsi contrôler. Ça va même plus loin : une moyenne est calculée et elle voit quels élèves sont inattentifs et quels élèves sont attentifs et concentrés. Et je trouve que c’est une intrusion terrible dans le cerveau de l’enfant. Mais cette étude est soutenue par la ministre de l’éducation du Bade-Wurtemberg et présentée comme un progrès dans l’enseignement.

Modérateur: Mais prenons un peu de temps pour approfondir ce sujet, car il est aussi question de la 5G : son extension progresse de plus en plus. Et Elon Musk a également prévu de mettre en orbite autour du globe des satellites qui sont aussi équipés de rayonnement 5G. Cela signifierait donc qu’il peut pratiquement contrôler le monde entier si les gens sont prêts à faire installer l’un de ces dispositifs. Mais c’est… et surtout avec la 5G…

Prof. Hecht : Exactement. Que ce soit avec la 5G ou avec le WiFi, cela peut être fait avec n’importe quel… Mais la 5G c’est surtout la mise en réseau du monde entier. Et avec ça, on peut influencer tout le monde. Et je reviens encore une fois sur le Neuralink de Musk : c’est exactement avec ça qu’on peut contrôler chaque personne à tout moment, on peut la tuer et on peut faire toutes sortes de choses.

Modérateur : Dans votre article, vous mentionnez également une série de brevets pour le contrôle de l’esprit et de la pensée, qui peuvent être utilisés ou ont été utilisés depuis longtemps à des fins militaires et aussi pour les services secrets. Pouvez-vous nous expliquer le fonctionnement de cette technique à l’aide d’un exemple ?

Prof. Hecht : Oui. Ici, j’ai un brevet, un brevet allemand de 2002. C’est de la « transmission de pensée ». Et les domaines d’application sont, par exemple, les suivants : pouvoir communiquer avec les pensées, mais aussi pouvoir transmettre des informations discrètement. En outre, on dit qu’on peut écouter les criminels avec cette application, ce qui permet de savoir quelles sont leurs pensées. Ou à l’aide de ces micro-ondes, on peut stabiliser les pensées – si quelqu’un est en négociation et a besoin de soutien, on peut le soutenir. Et puis vous avez la possibilité d’influencer le métabolisme du cerveau et tout le reste à l’aide de ces pensées. Et ça fonctionne dans la gamme des gigahertz – on ne précise pas ici d’intensité de champ. Mais je sais que la fonction cérébrale réagit à un champ, le champ magnétique, de 0,3 picowatt (pW) par centimètre carré. Donc à des stimuli très faibles. Et c’est ce que la plupart des gens ne savent pas ou ne reconnaissent pas, le fait que notre cerveau réagit particulièrement à des champs électromagnétiques très faibles, et que ces stimuli peuvent soit causer des maladies, soit être utilisés pour manipuler. Et j’ai ici quelques vues de ce brevet, que je voudrais vous montrer brièvement. Ainsi, à l’aide d’un système de radar, on peut irradier chaque être humain de manière appropriée. Il est montré ici qu’on peut également le faire à travers des murs, des murs en béton, à partir de n’importe où. Ici, prochain exemple, à l’intérieur d’une maison ; ainsi par exemple je peux, du premier au dernier étage, influencer les pensées d’une personne ou les lire, etc.

Modérateur: Au moyen d’un canon à ondes ou d’une antenne ou… ?

Prof. Hecht : Et c’est possible, même s’il y a une quelconque protection, les ondes peuvent passer à travers. Et enfin, encore une très mauvaise chose : depuis un avion ou un drone, je peux aussi influencer avec cette technique et ensuite causer des dégâts ou donner des ordres, etc. Ça fonctionne à nouveau selon le principe suivant, je le répète : si les micro-ondes sont émises depuis ces endroits, ça va dans le cerveau et le cerveau traite cela de manière appropriée. Il existe des preuves à cela. Et il s’agit d’un brevet allemand, c’est pourquoi je tiens à le dire. En Amérique, il y en a encore beaucoup plus. J’ai trouvé dans un livre 27 sources de brevets, qui vont dans le même sens d’une influence sur les émotions. Ainsi, par exemple, vous pouvez influencer l’être humain comme José Delgado a influencé les singes, comme il a influencé le singe dominant. Par ces méthodes on peut aussi provoquer l’agressivité. Tout est donc possible.

Modérateur: Cela signifie donc que nous avons affaire ici à une technologie qui déshumanise l’homme concrètement. L’homme est transformé en machine contrôlable, en robot.

Prof. Hecht : C’est exactement ce qu’ [Armin] Grunwald a dit : Nous sommes en train de nous digitaliser et la société technologique qui se développe ne fera aucun bien à l’humanité. C’est aussi la raison pour laquelle j’ai écrit cet article. Nous devons faire bouger les choses. Nous devons réduire l’enthousiasme pour la digitalisation et revenir à la nature.

Modérateur : Pensez-vous donc qu’il soit possible, à notre époque, que les micro-ondes générées techniquement puissent fonctionner non seulement pour contrôler les esprits, mais aussi comme une arme, pour chasser ou éliminer pratiquement les masses indésirables ? Et puis, comment peut-on, tout d’abord, se défendre contre ces armes ou contre tout cela, en tant que citoyen ordinaire ?

Prof. Hecht : Se protéger…

Modérateur : Oui, se protéger.

Prof. Hecht : Oui, eh bien, je dirai presque que l’arme à micro-ondes est « vieux jeu ». Paul Brodeur, un Américain, a écrit un livre. Il est sorti en 1980, « Le danger dissimulé » et avec ce livre il a tout décrit, les effets néfastes des micro-ondes – en 1980 ! – et il a également fait état des armes qui sont développées aux Etats-Unis, par exemple. À l’époque, c’était encore les micro-ondes qui étaient liées à la chaleur… je dois dire qu’on fait une distinction entre les rayonnements ionisants et les rayonnements non ionisants. Et avec les rayonnements non ionisants, on a des effets thermiques et athermiques. En Allemagne, par exemple, la valeur limite est fixée en fonction de la notion thermique, c’est-à-dire qu’elle nous protège juste de ne pas nous faire griller. Et aux États-Unis, selon M. Brodeur, des armes développées à cette époque pouvaient tuer les gens en les chauffant. Mais il ne s’agit là que d’une seule sorte. M. Brodeur décrit également un événement que je voudrais raconter. Il écrit que, par exemple, des équipages de sous-marins américains et soviétiques se sont rencontrés en mer, et ils sont tous immédiatement rentrés à l’intérieur parce qu’ils s’irradiaient les uns les autres. Mais il existe des armes psychotropes. Et par exemple, pour que je puisse présenter beaucoup de rapports, voici un rapport du conseil scientifique consultatif de l’armée de l’air américaine. Il y est dit qu’à l’aide des champs électromagnétiques, on peut influencer les gens à la manière d’un psychotrope. On peut ainsi les faire dormir, par exemple, on peut provoquer des hallucinations, ils peuvent provoquer de la peur, de l’agressivité, ou même des troubles de la mémoire. Tout cela est possible, c’est en train de se passer.

Modérateur : Ce qui est possible dans le cadre militaire est également possible pour nous citoyens.

Prof. Hecht : Oui. Ou bien ici, le major soviétique Tchernishev, il a écrit un article en 1997 dans une revue militaire en Russie, où il parle des armes psychotropes et il dit que c’est commun et il dit qu’il y a des générateurs assez puissants pour influencer le cerveau et le psychisme des êtres humains de manière appropriée. Et il énumère toute une série de générateurs de ce type qui rendent cela possible. C’était en 1997. Ça fait maintenant plus de 20 ans. Il y en a donc certainement d’autres aujourd’hui. Mais je voudrais parler d’une autre chose, ce n’est peut-être pas une arme, mais indirectement, c’est une arme. C’est ce qu’on appelle le « signal de Moscou ». Il y avait notamment dans l’ambassade américaine de la rue Tchaïkovski à Moscou, un émetteur de 1 000 watts installé pour espionner. C’était courant à l’époque, c’est probablement le cas encore aujourd’hui. Et les Soviétiques avaient installé un émetteur de l’autre côté de la route, à 70 m de distance, mais avec une intensité de champ magnétique de 0,001 mW par cm2.

Modérateur : C’est moins que la limite actuelle.

Prof. Hecht : Oui, à l’époque la limite en Amérique et en Europe était de 10 mW par cm² et en Russie, en Union soviétique, mais aussi dans d’autres pays à l’époque du bloc socialiste, elle était de 0,01 mW par cm2. C’était donc 10 000 fois inférieur à la limite applicable en Europe, aux États-Unis, je dois dire. Et puis, il y a eu une discussion ou une rencontre entre le président Johnson et Kossyguine de l’Union soviétique, et ils en ont parlé. Mais Kossyguine a dit, nous sommes dix fois en dessous de la valeur limite, de votre valeur limite, alors est-ce qu’il peut arriver quelque chose ? Oui, quelque chose est arrivé. En 17 ans, sur les 4 ambassadeurs, les ambassadeurs américains qui étaient à Moscou, deux sont morts d’un cancer –Thompson et Pullan, et Stoessel d’une leucémie. C’est-à-dire que, par cette irradiation faible et constante, ces hommes ont eu le cancer et leur organisme tout entier a été détruit. Maintenant, je fais le lien avec la 5G d’aujourd’hui. La 5G est conçue en basse fréquence, pour qu’elle puisse rayonner partout dans les maisons. Et si maintenant on a ces ondes 5G, ça peut durer des années avant que le cancer se développe. Mais c’est possible même avec des valeurs aussi faibles. Il faut sans cesse se rappeler cela : ça produit des effets et la valeur limite en Allemagne et en Europe ne vaut rien du tout. Ça produit des effets.

Modérateur : Hmm, donc beaucoup trop haut.

Prof. Hecht : Mais je voudrais dire autre chose, une dernière chose, qui est aussi très grave. Il y a eu une conférence à Genève en 2018, à laquelle plus de 70 pays ont participé, et là ils ont parlé et ils se sont disputés à propos de l’interdiction des robots-tueurs ! Ça signifie donc qu’aujourd’hui, vous pouvez constituer une armée de robots-tueurs qui va ensuite contre les humains ou qui est dirigée d’une manière ou d’une autre. Une telle chose est planifiée et, bien sûr, je dis que ce n’est pas croyable de faire de telles choses. L’astronaute Gerst, l’astronaute allemand Gerst, qui était dans la Station Spatiale Internationale [ISS – Station Spatiale Internationale], il voulait diriger le robot Justin, parce qu’ils veulent éventuellement coloniser Mars avec des robots ; et tout le temps qu’il était là-haut, pendant trois mois, Justin a réagi complètement d’une autre manière que ce que l’astronaute voulait. Cela signifie donc que les robots ont aussi leur propre intelligence artificielle et qu’ils ne peuvent pas être contrôlés du tout. L’idée même de créer une telle armée ou même de produire une telle chose est, à mon avis, un crime de guerre, et ça doit donc être interdit. Je n’ai pas eu plus d’informations sur le déroulement de la réunion. Mais le fait que cela ait eu lieu m’a choqué. Ainsi, il y a un très vaste travail en cours qui consiste à fabriquer des armes à micro-ondes et des armes digitalisées ou à travailler sur ce projet. Bien sûr, d’une certaine façon c’est gardé secret, et c’est qualifié de théorie de conspiration. Mais le fait est qu’une telle chose existe, et je voudrais protester contre ça en tant que médecin et appeler le gouvernement à interdire de tels projets de recherche et à ne pas dépenser d’argent pour cela. Donc, et pour conclure, je voudrais dire que j’ai donné comme titre « Les pensées sont libres », et j’aimerais qu’en stoppant cette folie de digitalisation, nous ayons à nouveau les pensées libres. Que nous puissions chanter la chanson « Les pensées sont libres, qui peut les deviner, elles passent comme des ombres dans la nuit. Aucun chasseur ne peut les abattre, personne ne peut les connaître. Je m’y tiens, les pensées sont libres. » C’est ce que nous devons réaliser ! Et je voudrais citer Bertolt Brecht, qui est bien connu ici au théâtre de Berlin. Il a dit : « Penser est le plus grand plaisir de la race humaine. » Et c’est exactement ce que nous devons poursuivre. Nous ne pouvons pas faire cela avec la digitalisation, nous ne pouvons le faire qu’avec la libre pensée. Et nous devons maintenant nous battre pour ces pensées libres, nous devons les diffuser à travers la science, à travers le savoir, à travers la vérité scientifique, et c’est pourquoi j’ai écrit cet article.

Modérateur : Très bien. On peut sentir votre cœur. Il est évident que vous êtes très engagé dans ce domaine. Oui, merci beaucoup de nous avoir donné l’occasion de vous interviewer. Malgré votre âge, vous êtes encore si éveillé et si déterminé pour un monde meilleur, pour un monde plus pacifique. Et je souhaite aussi que nous puissions continuer à penser librement à l’avenir. Merci beaucoup.

[Voir aussi :
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?]




Algérie — N. Boukrouh : un éclairé avili après la déroute de son clan !

Par Djerrad Amar

L’autre avantage du hirak est qu’il a mis à nu bien des choses cachées jusque dans la face cachée de la conscience.

Rappeler la maladie de quelqu’un (ici Le Président), en guise d’argument pour taper sur un processus politique en marche vers une nécessaire démocratisation, est un acte fourbe et méprisable. Traiter en plus le Président de la République de son pays de « fou » d’être atteint de « delirium tremens » c’est du délire ! Cela relève aussi de la psychiatrie et non de la politique !

M. Boukrouh reprend les mêmes pensées, voire les mêmes mots, que ceux de Nicolas Beau, cette canaille qui aime voir l’Algérie à feu et à sang et ceux de El Kadi Ihsane de Radio M que finance le Quai d’Orsay ! Même équipe ? N’est-ce pas une attitude démoniaque ?

Les chiffres de participation qu’il cite sont donc « illégitimes » ! Uniquement pour l’Algérie ? (40 % pour les présidentielles, 25 % pour la Constitution qui est pourtant meilleure et plus démocratique que la/les précédentes, 30/25 % pour les législatives.) Parce qu’habitué aux 99 %, puis 80 %, puis 70 % et un peu moins par le « traficotage » depuis des décennies ? Le monde sait qu’ils ne dépassaient pas les 20/25 %, par bouderie, jusqu’au départ du dernier Président où la fraude était « institutionnalisée » !

Voilà que les chiffres commencent à refléter la réalité, malgré la persistance du scepticisme de beaucoup de citoyens, que des voix par opportunisme et hypocrisie crient déjà « au rejet par le peuple d’une politique » (menée par un nouveau Président depuis 1 an et demi seulement prônant le renouveau) oubliant les décennies de mensonges et d’instrumentalisation, marquées par des gouvernances funestes que ces mêmes voix avaient approuvées et accompagnées !

Qu’il compare plutôt aux chiffres des pays « démocratiques » comme ceux de « fafa » puisque nos démocrates la prennent comme référence ! Chez elle, même bas ou élevés, c’est toujours « légitime et démocratique », par contre les mêmes chiffres, ou un peu bas ou un peu haut, en Algérie de Tebboune c’est toujours « illégitime et non démocratique » !

C’est Fafa qui doit peut-être les valider en les comparant aux siens pour voir si c’est « démocratique » ? Ce serait du suivisme, de la francophilie aveugle ou de l’assujettissement !

Selon la « logique » de son clan anti Tebboune, si les taux sont élevés il y a fraude. S’ils sont bas entre 25 et 40, c’est « illégitime » ! Quelle est donc leur norme même en s’aidant de leurs référents français ! Celle de la « phase de transition » sans vote du peuple pour réinstaurer le régime et système putréfié honni par le peuple ; aidé par la presse mainstream française surtout depuis la fin du hirak véritable ? Oui, une « phase » incongrue que dirigeraient des personnes désignées (par qui ?) en lieu et place d’un Président élu ? Étrange conception de la démocratie ! Rappelons que l’Armée, contrairement aux « démocrates », s’en tenait au respect de la Constitution par l’élection du Président au suffrage universel !

M Broukrouh était bien un des dirigeants du système déchu et partisan des « quotas d’élus », car le vote réel n’arrangeait pas la plupart des partis politiques. Ils s’accommodaient bien avec ces « quotas de sièges » que les membres de leur direction se partageaient ! Le peuple était alors une « foule » bigarrée ?

Il avait, comme ses semblables, « tété la vache à traire » ! Maintenant que cette vache est désormais du côté du Peuple et que des « compères » se retrouvent en prison, en voie ou recherchés, la situation est devenue problématique surtout avec ce « pouvoir » que dirige un « fou » qui risque de chercher encore ce qui est « illégitime » partout, même du côté de l’ex PRA !

Le voilà aujourd’hui, après échec de la « phase de transition », devenu lanceur d’alerte et donneur de leçons à ceux qui ont anéanti le « régime » déchu par la grâce du hirak avec l’aide de l’Armée ! Quel culot ! C’est plutôt son clan qui a fait « courir un grave danger à l’Algérie » par sa gouvernance chaotique depuis des années et non Tebboune qui dirige depuis un an et demi seulement ! Il aurait peut-être mieux fait que Tebboune élu s’il était lui Président non élu de cette « phase de transition » ? On peut rêver !

C’est le hirak qui a éliminé son clan initiateur des pseudo-hirak déviant pour réhabiliter un système corrompu via cette « phase de transition » grossière ! On l’a compris : une transition « démocratique » sans vote ! Toutes leurs manœuvres ont échoué ! Le peuple dans son écrasante majorité n’a pas suivi ! Seule leur propagande oppressante et confuse, que mène une poignée d’activistes, fouette encore quelques esprits fragiles ou têtus !

Le nouveau Parlement est composé de jeunes, instruits, hautement diplômés, patriotes qui n’avaient aucune chance d’évoluer dans un système de copains, de coquins et « familial » ! C’est ce « système » qui a fait fuir des milliers de compétences vers d’autres pays ! C’est fini, ils sont désormais au pouvoir pour 5 ans grâce à la volonté politique et le patriotisme de ceux qui sont leur antithèse ! C’est le 1er Parlement algérien légal, légitime, élu démocratiquement !

Les abstentions appartiennent à ceux qui n’ont pas voté pour de multiples raisons, moins souvent liées à la politique ou aux consignes des partis ! Se les approprier est malsain, indigne et hypocrite en plus d’être indéchiffrables et majoritairement sans sens politique !

Que pense M. Boukrouh des groupes de voyous qui empêchent par les menaces et la violence les citoyens de Kabylie de voter en emmurant les entrées des mairies et qui envahissent les bureaux de vote pour détruire les urnes en éparpillant dans les rues les bulletins de vote ? Est-ce légitime et démocratique ? S’est-il prononcé sur ces faits graves ? Quel est dans leur cas le diagnostic psychiatrique ? Les classera-t-il comme « détenus d’opinion » en cas d’arrestation et de condamnation comme les journalistes qui ont comploté et incité au désordre via les pseudo-hirak impurs ?

M Boukrouh surgit comme un félin ces derniers temps, surtout à l’occasion des législatives, pour nous débiter ses canailleries dont celles faussement anti Macron parce que ce dernier soutien « vaguement » un processus certainement démocratique tout en s’abstenant des propos pouvant être interprétés « d’ingérence » dans les affaires algériennes ! Il aurait sûrement souhaité qu’il s’ingère puisqu’il semble approuver l’ingérence de quelques fripouilles du Parlement européen sur demande d’Algériens de son bord ! S’est-il prononcé sur les multiples ingérences dont d’officines françaises ?

Mieux vaut pour lui profiter de sa retraite très confortable et d’éviter les commentaires séditieux, trompeurs visant le peuple et irrévérencieux envers une haute autorité en l’occurrence la personne du Président de la République ! Qu’il exprime son point de vue ou celui du clan déchu c’est son droit, mais porter atteinte à l’intégrité et l’honneur d’un Chef d’État représentant un peuple et une nation ce n’est pas un avis ou une opinion, mais une sentence crasse condamnable par la loi !

Le Président Tebboune « fou » atteint du « delirium tremens » n’est-ce pas des propos dégoûtants, méprisants et absurdes pour un ex-ministre ?

A.D




Piqûre de rappel : UNCED, sommet pour la terre et Nouvel Ordre Mondial — George Hunt

[Source : Jeanne Traduction]






Victor : « Nous, les jeunes, avons été endormis par une société de service, de divertissement »

[Source : lemediaen442.fr]

Quand Marcel avait lancé sa sainte-colère sur le suicide des enfants, Victor nous avait envoyé sa vidéo « Leurs projets ». Bluffés par le talent de ce jeune homme de 18 ans [à l’époque], nous vous avions fait partager sa réalisation. Devant les très belles réactions qu’elle a suscitées, nous avons décidé de reprendre contact avec Victor pour vous le faire découvrir parce que, vous allez voir, ça vaut vraiment le coup d’en savoir plus sur lui !

Le Média en 4-4-2 : Bonjour Victor et bienvenue sur Le Média en 4-4-2 ! Nous vous avons découvert tout début mai grâce à votre vidéo « Leurs projets ». Pouvez-vous brièvement vous présenter à nos lecteurs ?

Victor : Bonjour, et encore merci de me permettre cette prise de parole. Je m’appelle Victor et viens fraîchement d’acquérir mes 19 ans. Anciennement en série Littéraire au lycée, je me décide à m’orienter vers une faculté d’arts du spectacle afin d’approfondir mes connaissances, mon rapport au monde. Très vite, les cours en distanciel s’imposent et redessinent totalement mon rapport au savoir théorique de la fac. Alors qu’on nous apprenait les fondements des arts du spectacle, du cinéma, qu’on nous expliquait à quel point L’Homme est un être sociable, qui ne peut se passer de son voisin, alors qu’on passait des heures entières à analyser les œuvres de Fritz Lang, on nous apprend finalement que toute cette chaleur, toute cette théorie devait se soustraire aux cours en distanciel. Ma première incompréhension, ma première colère s’est tournée vers le système scolaire. Je prends donc la décision de ne plus rester quatre heures par cours devant mon écran d’ordinateur. La situation paradoxale que je vivais, les professeurs muets face à de telles decisions sanitaires, c’était glaçant. Je décide donc de me déscolariser. La première peur, de passer pour un branleur, de ne plus savoir où me placer, mais de savoir intimement que mon humanité, ainsi que ma curiosité, pouvait me permettre de comprendre, de dire ce que je ressens. Après tout ça, découlera quatre mois de solitude, de réflexion liées à la situation que nous traversons, consacrés à la création de mon nouveau projet : « Leurs projets ».

Le Média en 4-4-2 : On a constaté que la « crise du Covid » a accentué le phénomène de déscolarisation et vous êtes loin d’être le seul à regretter le manque de soutien des professeurs envers les élèves en difficulté dans ce contexte sanitaire. Selon vous, quel est l’impact de ces mesures prises par le système scolaire sur les jeunes de votre âge ?

Victor : Encore une fois, je voudrais préciser qu’à travers mes réponses, je n’engage que mon ressenti et ma vision personnelle de ce que je vois et entends. Lorsque j’aborde la question avec d’autres jeunes de mon âge, je suis confronté à deux types de réponses. D’une part, je retrouve des jeunes qui, comme moi, voient leur année compromise par les décisions, les restrictions sanitaires. Il est difficile de se plier aux restrictions, de supporter l’enseignement 2.0 (complètement numérique) que nous n’avons pas le choix de supporter. D’autre part, j’entends des jeunes qui ne sont pas trop dérangés par les cours en ligne, ils trouvent ça confortable. Je n’aimerais pas les caricaturer ou les blâmer, je ne sais ce qui les fait tenir. Par ignorance, par peur, par docilité ou par détermination, ces jeunes ne se questionnent même plus sur la situation, ils subissent sans réaction. Ils s’éloignent de nous, parce qu’on leur a demandé. Actuellement j’ai comme l’impression qu’une grande sélection s’est faite : les élèves un peu trop faibles pour ce nouveau système se sont fait éliminer. Personnellement je ne sais même pas quoi faire l’année prochaine. Je vais sûrement travailler en tant que caissier, à défaut de pouvoir supporter les nouvelles règles. On assiste à une véritable épuration dans le monde de l’enseignement. Ils tuent toute forme de résistance, de différence. Les élèves qui supportent tout ça, les bons petits soldats (en qui j’ai énormément de respect, ou de mépris) conservent leur place dans le grand voyage des études. En espérant qu’ils ne deviendront pas les nouveaux hommes robots de demain. J’ai toujours été dans ma scolarité ce jeune qui écoute attentivement et vient assaillir le professeur de tout un tas de questions. A défaut d’être un élève exemplaire dans mon travail personnel, je l’étais dans la vie de la classe. L’énergie de l’échange, la chaleur des idées du professeur… Je n’ai plus rien à faire à l’école, car il n’y a plus d’école. J’ai peur pour mes amis qui s’accrochent, pour moi qui me détache. Je donne toute ma force à ces jeunes qui supportent encore la grosse sélection que nous subissons actuellement. Accrochez-vous, vous aurez réussi et je ne serai rien lorsqu’on se croisera dans la gare du coin !

Le Média en 4-4-2 : Vos paroles sont bouleversantes contre ce système qui opère, selon vos mots, à une sélection, à une épuration. Cela nous fait penser à ce passage de votre vidéo : « Enfermés dans nos chambres, on éteint les lumières, contraints à s’épanouir dans le noir. »  Comment en est-on arrivé à un point où la jeunesse ne se rend même pas compte de cette situation et/ou l’accepte sans rechigner ? Une certaine forme de conditionnement n’en serait-elle pas en partie responsable ?

Victor : A mon avis nous avons, en particulier les jeunes, été endormis par une société de service, de divertissement. Tout est à portée de clic. Le confort matériel tout autour de nous formerait une sorte de carapace à l’épreuve des chocs émotionnels, des lacunes sentimentales. Ce que je raconte a déjà été prédit par tant de bouches. Je vous conseille notamment de vous plonger dans les films de Guy Debord qui m’ont aidé à comprendre en quoi le divertissement deviendrait un gouffre pour quiconque s’y aventurerait. Au fil du temps qui passe, je comprends que nous grandissons dans une violence, dans une négligence sans nom. Habitués au spectacle, à la démesure, ou à l’extrême, le rapport de forces, la méfiance et l’hostilité deviennent réflexes. Le cœur et l’esprit complètement anesthésiés cèdent la place à la compulsivité. Des esprits en perdition (je m’inclus dedans) qui ne sont parfois même plus en quête de sagesse. Bloqués à jamais sur la bande d’arrêt d’urgence. L’égo sous toutes ses facettes qu’il peut avoir de négatives vient bousiller nos relations. La sensibilité, la curiosité, la subtilité de certains finalement écrasées par le paraître ou le pouvoir d’autres. Il est donc plus évident de ranger sa personne tout au fond de soi, afin de ne pas se faire piétiner par l’époque. De nos jours tout se sait, pourquoi chercher à se battre, pourquoi chercher à chercher ? Pour une âme fatiguée, étouffée par son milieu, son époque, il devient évident de se soustraire et de suivre en silence.

Le Média en 4-4-2 : En parlant de société de divertissement qui « vous a éduqué » pour reprendre vos mots dans votre vidéo, quel est votre point de vue sur la vidéo de Mcfly et Carlito à l’Elysée avec Emmanuel Macron ? Vous serez sans doute d’accord avec nous sur le fait qu’ils participent (consciemment ?) à la campagne présidentielle du président sortant, la cible étant les jeunes. Pensez-vous que cela puissent redorer son image auprès de votre génération ?

Victor : Je suis sidéré de constater qu’il n’y ait plus de frontière entre nos divertissements et notre politique. Tout végète dans un jeu décadent mettant en scène des apparences, mais ne venant à aucun moment confronter les idées des participants, ni même insuffler quelconque forme de subtilité, profondeur. On stagne au stade de la grimace, de l’anecdotique. Sidéré de le voir se pavaner autour de ses deux bouffons. Ils n’ont rien en commun, si ce n’est cette forme de corruption à laquelle ils s’adonnent pour marquer, infantiliser, l’histoire. Pour rafler l’audience, l’égocentrisme atteint son paroxysme. Le sensationnel, dans cette époque, pour stimuler des jeunes consciences amorphes, avides d’expérience. Si le public demande du spectacle, ils vont nous en donner. Le président s’importe sur nos écrans. Il est évident que les plus influençables l’apprécieront, car sympathique. Deux bouffons au service du roi. Je ne peux prédire, ou parler au nom de ma jeunesse, mais j’espère qu’elle n’est pas aussi facile à piéger. J’espère qu’elle sait faire la distinction entre la réalité et le divertissement qui lui est adressé. Triste spectacle devant lequel je ne comprends plus la démesure de son absurdité. Macron devient son propre outil de propagande, il s’adapte à la jeunesse, à ses codes. Il tente de nous chercher dans les zones où se regroupe la masse. Il cible, il s’adapte et il tire. Méfions-nous de nos programmes !

Le Média en 4-4-2 : Vous évoquez ce « sentiment d’esclave, prisonnier dans la peur qu’on nous inculque, le temps qui passe, on coupe les ailes de la jeunesse ». Les jeunes ont-ils vraiment peur du Covid et de la société qu’on leur présente à travers leurs écrans, ou sont-ils simplement « endormis par une société de service, de divertissement » comme vous nous le disiez précédemment ?

Victor : Personnellement, je me sens prisonnier dans cette peur. Je pense que cette jeunesse malléable à souhait a accepté les restrictions de vie. Pour ressentir cette peur, dans laquelle je me trouve, encore faut-il réussir à ouvrir les yeux sur ce qui nous entoure. Les jeunes sont bien rangés, les jeunes sont bien rongés : tout dépend de leurs source d’inspiration, d’information. Les jeunes qui vivent dans la peur sont ces jeunes qui sont en quête de liberté, de vie. Lorsqu’à 23 heures je me promène en ville, j’ai la rage et la peur au ventre. Peur de faire face aux gardiens de la paix. Nous ne sortons plus, nous ne crions plus, nous ne dansons plus, par peur de se faire réprimander. Énormément de jeunes sont ignorants. Et acceptent comme s’il fallait rester sage. Ils s’en remettent à la sagesse des informations qu’il ne cherchent même plus à comprendre, ils se contentent d’appliquer. Il existe cependant une jeunesse qui se bat et respire fort. Elle court et laisse ses plumes au contact des forces de l’ordre. Elle est nourrie par la peur.

Le Média en 4-4-2 : La fin de votre vidéo offre un magnifique appel au réveil, à la mobilisation : « Va falloir frapper fort, retrouver la vérité, forger les plus éveillés, soyons des soldats de l’ombre, nous sommes en guerre, parce que c’est leurs projets ». Comment et de quelle manière voyez-vous cette prise de conscience de la jeunesse, mais pas que ?

Victor : J’appelle au réveil, au retour de la force, à bousculer les choses intelligemment, implicitement. Il faudrait réussir à parler aux gens. Je suis agacé de constater les barrières qui ne se franchiront peut-être jamais dans les discussions des passants dans la rue. Il est important de toucher les gens par notre authenticité, notre droiture d’esprit, notre charisme, notre bienveillance. J’aimerais retrouver la vitalité dont on nous éloigne. Leurs projets nous divisent. Ils nous infantilisent et nous privent de sortie. Même mes parents ne m’ont jamais puni aussi longtemps. J’espère retrouver la jeunesse cet été, dans l’amour et dans la fête. Je garde espoir en la tempête, mais j’en ai peur également. La violence, la bêtise, la haine qui nous rongent sans arrêt depuis un moment vont sûrement s’échapper de nos corps par inadvertance pour finalement se bousculer dans les rues. Nos énergies vont nous guider. Il reste à savoir comment cela se déroulera. Je ne sais prédire ou anticiper cette libération, bien que je m’inquiète de cette explosion.

Le Média en 4-4-2 : Et d’un point de vue strictement personnel, comment voyez-vous votre avenir proche dans ce monde en plein chamboulement ?

Victor : De mon côté, je garde confiance en moi, en la lumière que je garde tout au fond de moi. J’essaie de l’entretenir, de la nourrir d’expériences, qu’elles soient intérieures ou au contact du monde. Je trace mon petit chemin en espérant que le grand chamboulement ne vienne mettre sur mon sentier tout un tas d’obstacles. J’ai peur de l’inconnu qui guide mes journées. Je tente une école de cinéma pour la rentrée prochaine, mais pas de plan B en cas d’échec. J’irai sûrement travailler là où on voudra bien de moi. Je suis prêt à bouger, à rencontrer n’importe qui, n’importe où. J’ai peur que mon destin se trace trop vite, dans une boulangerie à la caisse du magasin ou à la caisse du Super U. J’ai besoin de trouver de nouvelles personnes, de nouvelles idées, de nouvelles destinations. Je dois l’avouer, si j’ai fait cette vidéo, c’était pour témoigner du flou qui vient perturber ma vision du chemin. Cependant, même si je n’ai encore rien d’acquis, de façon concrète, je suis vraiment fier, à vrai dire déboussolé, de constater la force que ma vidéo a reçue de la part de tout ce monde. Cela me donne confiance, en ma perception du jeu. J’espère que mon avenir se tracera grâce à ce que je développe lors de mes projets vidéo, grâce à ce qui se dessine aux côtés de ceux qui m’écoutent, grâce à ceux que j’écoute. J’aimerais prendre mon indépendance surtout financièrement, afin de pouvoir soulager le porte-monnaie de mes parents. Je tiens au passage à les remercier de tout mon cœur pour la liberté qu’ils m’accordent, pour leur confiance en mes projets. N’hésitez pas, vous qui me lisez à me soumettre propositions, projets, collaborations, emplois ! Je reste ouvert. Je garde confiance en mon authenticité, ma curiosité, et mon amour pour les autres.

Le Média en 4-4-2 : Merci Victor pour cet entretien très instructif ! Nous vous souhaitons bonne chance pour votre école de cinéma et espérons que votre vidéo sera la première d’une belle série. Nous vous laissons le mot de la fin !

Victor : Merci à vous ! Vous m’avez offert cette chance, de pouvoir parler. L’intérêt que vous avez porté à ma vision m’a profondément touché. Il m’a également permis de prendre confiance en moi, en cette marginalité qui habite mes idées ainsi que les vôtres. J’ai toujours composé l’ensemble de mes vidéos dans l’intimité. Grâce à vous, je me suis ouvert. J’espère très vite reprendre la parole, j’attends le bon moment. J’attends, comme à chaque fois, l’inspiration foudroyante. J’incite n’importe qui à prendre la parole, avec panache, style et passion. Ne cédons pas à la panique générale et restons confiants. Nos états d’âmes, nos sentiments nous aident à comprendre les embûches, les douleurs. Tentons de les déchiffrer pour y trouver la nature de nos névroses. A bientôt !

Propos recueillis par Yoann pour Le Média en 4-4-2




« Cette crise peut changer l’histoire de l’humanité », selon Philippe Guillemant

[Source : PLANETES360]

https://youtu.be/oOpwc8c_oAY

Philippe Guillemant est ingénieur physicien, diplômé de l’École Centrale Paris et de l’Institut de Physique du Globe. Docteur en Physique, il travaille au CNRS sur le site de l’université d’Aix-Marseille en tant qu’ingénieur de recherche hors classe.