Dhimmitude*, Covid-19, climat : la même engeance ignare

Par Lucien Oulahbib

Le niveau bac aujourd’hui en France est grosso modo l’équivalent du certificat d’études avant-guerre avec en plus une moins bonne syntaxe et orthographe à en lire les lettres de nos Poilus. Ce qui fait qu’un doctorat aujourd’hui en particulier dans les Humanités et Lettres atteint à peine un niveau bac avant-guerre. Sauf exception bien sûr où là peut-être le niveau d’une licence est sans doute approché (toujours avant-guerre).

À cela s’ajoute la malignité perverse de gens certes ignares donc, mais dont l’intelligence naturelle mise au service de certains réseaux (et faisceaux sectaires) permet de se hisser tout de même à des postes de pouvoir (instruction et intelligence différant) et, selon les circonstances, vont en abuser lorsque c’est possible à l’encontre de personnes ayant, elles, le bagage requis, mais dont les premiers sentent bien que dans ce cas elles les dépassent de cent coudées surtout si elles ont en plus une certaine classe et intelligence du monde elles aussi. Aussi s’agira-t-il, surtout si elles font preuve d’indépendance d’esprit conforme somme toute à une certaine tradition qui remonte à… Adam et Eve…, de les briser, de les accuser de « charlatanisme », également aujourd’hui de complotisme, de conspirationnisme, même si le fait qu’il y ait des complots est pourtant vrai par ailleurs, mais il sera interdit ne serait-ce que d’y songer, ce qui est le comble évidemment…

D’où l’impossibilité qu’un ex/futur commissaire politique comme un certain Joseph Plenelski puisse comprendre un Raoult à mille coudées au-dessus évidemment (ce qui est dur à avaler évidemment pour quelqu’un qui se croit, toujours, au niveau d’un Marx), d’où le désir de lui chercher les poux en optant pour des accusations puériles dévoilant en réalité cela même que l’on cherche à couvrir. Ainsi alors que nous sommes toujours en phase expérimentale massive totalement illégitime tout en étant couverte par des lois scélérates et dont l’efficacité est d’autant plus quasi nulle que le risque reste infime lorsque la maladie est soignée de façon précoce, l’ami commissaire politique va accuser l’Institut du second d’avoir fait des expériences « sauvages » sur des malades atteints de la tuberculose, ce qui est évidemment faux. Mais plus c’est gros… (idem pour les commissaires politiques confondant météo et climat).

C’est ce que de toute façon ne peuvent pas comprendre ces ignorants qui tout n’ayant jamais été du camp démocratique (marqué par l’esprit fraternel de liberté, soc de l’égalité) n’ont en plus sans doute jamais vu une expérience chimique ou physique de leur vie : lorsque la dose, la vitesse ou la résistance ne sont pas bonnes cela ne MARCHE PAS.

Il en est de même pour les affaires humaines : si les fondamentaux ne sont pas respectés — comme la liberté de penser et d’entreprendre — dans le cadre d’un système politico-juridique à la fois protecteur et flexible, les chances de réussir à « persister dans son être » sont très faibles.

C’est ce que ne comprennent également pas les représentants dits de ladite « communauté juive » en France, qui préfèrent somme toute la dhimmitude(*) au fait de persister à préserver la Nation française dont ils n’ont visiblement cure tant leurs attaques contre Zemmour (contre Trump aussi pour leurs équivalents états-uniens alors que Jérusalem a pu être reconnue par ce dernier…) relatent bien de cette tendance cherchant plutôt la soumission pour éviter « le déshonneur et la guerre » alors qu’au bout du compte…

Et sans aller jusqu’à indiquer que « les Juifs pessimistes ont fini à Hollywood et les optimistes à Auschwitz », les défaitistes ont toujours vanté les mérites de la soumission au Sultan ottoman ou marocain, tandis que les autres acceptant d’être enfants de leur nation d’accueil ont donné des Spinoza, Bergson, Einstein, Simone Weil, Edith Stein… Même Barrès a été obligé de s’en rendre compte durant la guerre de 14…

Cette ignorance (de plus en plus) crasse est telle qu’à l’instar des périodes totalitaires dans lesquels des bandes d’adolescents enfiévrés allaient casser du renégat « en chantant », aujourd’hui des « adulescent(e)s » viennent éructer dans les radios et TV pour clouer au pilori des sommités parce que la Propagande 1984 leur aura par exemple intimé l’ordre de confondre « cas » et « malades » et de ne faire aucun lien (aucun) entre absence de soins précoces, injonctions expérimentales hasardeuses exacerbées et aléas des résurgences épidémiques, ou encore d’insinuer que le 0,90 % d’impact français en matière de gaz à effet de serre serait la goutte d’H20 insupportable, tout en oubliant que sans C02 il n’y aurait plus de végétation sur Terre… et donc d’Humanité (ce qu’ils cherchent sans doute… par cette fuite en avant folle, non plus à l’instar de ces sectes allant se jeter, elles, dans les précipices en conformité à leur doctrine, mais en nous forçant à le faire alors qu’elles restent bien au chaud à nous regarder sombrer chacun petit Titanic individualisé).

Nous nageons donc en plein délire totalitaire de type paranoïaque, prélude aux répressions physiques à venir, déjà en interdisant à la partie adverse de parler, donc en la considérant comme « ennemie » avec laquelle en effet l’on se bat seulement physiquement, la joute « méta » (physique) ne suffisant pas (d’autant qu’ils ne sont pas au niveau, voire supra).

Nous en sommes donc . Le reste n’étant que billevesée.


(*) : Le terme est un néologisme français créé en ajoutant le suffixe -tude à dhimmi, un mot arabe qui signifie littéralement « protégé ». Historiquement, il a été utilisé pour désigner une personne vivant dans une région envahie par les musulmans, à qui l’on accordait un statut de protégé et qui était autorisée à conserver sa foi d’origine en échange du paiement de taxes.
Par généralisation ici, cela peut signifier le fait de se soumettre (notamment aux mesures sanitaires ou à la piqûre) en échange du maintien d’une partie de son confort cette fois physique (et non plus moral, psychique ou spirituel).




Gigantesque recrutement à l’échelle mondiale ? Sommes-nous en train de subir des tests d’embauche ?

Par Alain Tortosa

Tout être pensant sait qu’il n’y a pas eu de crise sanitaire.
Les statistiques INSEE prouvent que le nombre de décès est totalement classique.

De plus dans une crise sanitaire :

  • On n’investit pas des milliards pour contrôler les populations.
  • On investit les milliards dans la recherche, la prévention et l’hôpital.
  • On n’empêche pas les médecins de prescrire.
  • On n’interdit pas la vente de molécules inoffensives qui, au pire, ne fonctionnent pas.
  • On ne fait pas tout pour massacrer les défenses immunitaires des citoyens.
  • On ne commercialise pas un pseudo vaccin qui cible la protéine spike du sars-cov-2 qui est un virus ARN dont le métier est de muter et dont la spike est la plus à même de muter.

Mais surtout :

  • On stoppe les injections dès l’émergence des preuves de leur inefficacité et de leur dangerosité.
  • On ne se met pas à injecter en masse des enfants de plus en plus jeunes au péril de leur vie.

Bref nous savons qu’il n’y a pas de pandémie et nous savons que l’intention est de nuire.
En revanche, même si j’ai des indices, je ne sais pas pourquoi…

Il serait une erreur de désigner LE coupable, car dans l’affaire il est probable, pour ne pas dire certain, que des alliances de circonstance « contre nature » aient vu le jour :

  • Les « satanistes ».
  • Les fervents de la diminution de la population mondiale.
  • Les fervents de l’importation de la dictature chinoise et du contrôle des populations.
  • Les fervents de l’ultralibéralisme, du fric pour du fric.
  • Etc.

Ils ont tous des intérêts et il serait de fait logique qu’ils travaillent temporairement main dans la main.

Je me pose néanmoins la question suivante.
La stratégie mise en œuvre cible principalement les populations des pays riches, pourquoi ?

La thèse de l’extermination de la population par un virus expérimental

Échec

Cette thèse présente l’avantage de cibler tout le monde, pays riches et pays pauvres.
Répandu volontairement ou accidentellement ? Les preuves manquent.
Si ce virus a été mis au point pour tuer, le résultat est très décevant et même un échec cuisant !
Ils ont fabriqué au final un « tueur » moins méchant que la grippe saisonnière.
Pour valider la thèse du virus exterminateur d’une partie non négligeable de la population, il faut aussi partir du principe que ces pourritures disposaient d’un VRAI vaccin (qui n’a pas été commercialisé).

[Note de Joseph Stroberg :
L’Event 201 prévoyait la mort de 65 millions d’individus dans leur simulation préalable à la pandémie. Cela n’a pas fonctionné comme prévu, car les virus ne sont probablement pas du tout ce que la plupart des virologues et autres experts ont cru toute leur vie sur la base de leur formation universitaire. Si un virus à ARN est en fait créé par la cellule pour expulser sous forme de déchet un brin d’ARN qui a fini son travail, alors modifier génétiquement un tel virus revient à modifier un déchet pour le réintroduire dans l’organisme, un peu comme si nous modifions chimiquement notre urine avant de la reboire. Au mieux, ça n’aurait pas bon goût et pourrait être plus ou moins nocif pour notre santé. Au pire, ça deviendrait un poison non naturel même si on y ajoutait une saveur de fraise. L’élément particulièrement dommageable dans leur tentative de réinjection du déchet (qu’eux pensaient être un méchant virus capable de se répliquer à l’intérieur d’une cellule) est la protéine spike que la chaîne d’ARN encapsulée parvient apparemment à commander au corps de produire, au moins chez certaines personnes et qui tend en particulier à se relier aux récepteurs ACE2 et à provoquer ainsi de sales dommages aux tissus cellulaires.

Lorsque les virologues croient isoler un virus, ils commencent en fait par chercher à en produire en quantité suffisante en les cultivant à partir d’un tissu biologique supposé infecté dans une soupe contenant des cellules de singe vero (ou quelque chose d’équivalent) et divers produits chimiques dont des antibiotiques pour tuer les bactéries. Ils observent alors la production par les cellules de ces supposés virus fils qui selon eux proviendrait de la multiplication du virus infectant initial. Pourtant, avant cette tentative de multiplication virale dans l’espoir de pouvoir observer ensuite en quantité suffisante celui qui est ciblé, ils n’en trouvaient généralement pas suffisamment d’exemplaires sur le matériel infecté, alors qu’un malade de maladie virale est supposé en être envahi.

L’explication alternative beaucoup plus logique est la suivante : la préparation effectuée pour prétendument permettre la multiplication du virus tend en fait à tuer rapidement les cellules du tissu biologique et lors de leur mort, elles se désagrègent progressivement en produisant de nombreux brins d’ADN et d’ARN qu’elles expulsent au départ avec une enveloppe lipidique sous forme d’exosome ou de virus.
Les cellules meurent pour les deux raisons suivantes :
– elles sont empoisonnées par les substances introduites dans la préparation ;
– elles ne sont plus alimentées par le corps en nutriments, puisqu’elles en sont désormais séparées.
Les millions de cellules du tissu supposément infecté produisent chacune un certain nombre de déchets viraux provenant des brins d’ADN endommagés et des brins d’ARN divers participants à la vie cellulaire, ceci jusqu’à ce que la cellule finisse par mourir.

Dans une telle préparation, au lieu de multiplier un prétendu virus infectant, on créée en fait des millions de virus à ARN et d’autres à ADN différents en multiples exemplaires.

Ensuite, les virologues prennent cette soupe résultante et la passent à la centrifugeuse dans le but de séparer les couches de déchets génétiques selon leur densité et donc selon leur taille supposée. Ils isolent celle correspondant supposément au virus infectant qui selon eux doit avoir une composition génétique spécifique, une chaîne de nucléotides particulière. Parmi les millions de déchets viraux, ils auront en général d’assez fortes chances d’en trouver de très proches du matériel génétique ciblé.

Enfin, ils effectuent le « séquençage » génétique du matériel biologique récupéré dans la couche isolée et qui contient un grand nombre de bouts d’ARN et d’ADN. Ceci est la reconstitution logicielle d’un puzzle pour tenter de reconstituer la chaîne génétique intégrale du virus recherché. Ce faisant, ils doivent se baser sur le modèle génétique (également supposé) de ce dernier. Mais dans la pratique, il manque toujours des zones non remplies et d’autres qui ne cadrent pas sont éliminées. Le virus n’est quasiment jamais reconstitué ainsi à 100 %.

(Voir notamment : Déclaration sur l’isolement des virus)

Pour un scientifique pur tel qu’un physicien, cet ensemble d’opérations ne prouve rien, mais relève de « bullshit » (foutaise, conneries), d’escroquerie intellectuelle, ceci d’autant plus qu’elles sont accompagnées d’un grand nombre de suppositions qui n’ont finalement jamais été réellement démontrées dans selon une méthode scientifique rigoureuse qui doit inclure obligatoirement des contre-expériences. À aucun moment le supposé virus n’a réellement été isolé en entier et observé simultanément au microscope électronique. Changez le modèle viral recherché et dans toute la soupe génétique récupérée par l’opération, il y a de fortes chances que vous le trouviez aussi, surtout avec une méthode d’amplification telle que celle utilisée pour les tests PCR qui introduisent potentiellement des erreurs lors de chaque cycle d’amplification.

Pour finir, le virologue Stefan Lanka a gagné un procès en cours suprême d’Allemagne pour démontrer la non-existence du virus de la rougeole. Pour ce faire, il a réalisé une contre-expérience à celle supposée démontrer la présence de virus dans la préparation partant d’un tissu supposément infecté par la rougeole. Il a fait la même chose dans une préparation parallèle, mais avec un tissu sain supposément non infecté. Eh bien celui-ci a produit les mêmes virus (déchets) que l’autre, car les conditions de mort cellulaires sont les mêmes dans les deux préparations : empoisonnement chimique et absence de nutriment. Les « virus » se sont multipliés pareillement dans les deux alors que dans l’une il n’y avait pas de virus de rougeole présent.

(Voir notamment Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
et Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
avec les liens inclus)

Pour résumer : le virus trafiqué génétiquement a été mis au point pour tuer massivement, mais comme les virus ne sont pas ce que les virologues croient, ça n’a pas donné les résultats escomptés.

Qu’à cela ne tienne, les vaccins prennent le relais.
Les poisons sont cette fois directement injectés dans le corps.]

Cet échec aurait pu inciter à changer de plan et se focaliser finalement sur les « vaccins ».

La thèse de l’extermination massive de la population par l’injection

Échec

Si vous voulez exterminer une partie de la population mondiale pourquoi ne pas cibler principalement les Africains ou les Indiens ? (Les Chinois ce n’est pas possible, c’est leur dictature qui gère.)
Ces populations sont bien des « inutiles » pour reprendre le vocabulaire de ce cher Dr Alexandre.

[Note de Joseph Stroberg :
Pour ne pas être accusés d’extermination, les commanditaires et les agents de la procédure doivent éviter que ce soit trop visible. En conséquence, le génocide doit être lent, rendre stérile une partie de la population, et cibler en priorité les nations « éduquées » et « informées » pour s’occuper tranquillement ensuite, sans plus aucun gêneur, des nations « arriérées ».]

De plus, d’un point de vue capitalistique, les pauvres produisent et les classes moyennes consomment.
Les richesses colossales acquises par les entreprises tentaculaires le sont par la surconsommation des classes moyennes de biens produits par les pauvres.
Tuer la classe moyenne revient à tuer le consommateur sans tuer le producteur (les pauvres) et donc la poule aux œufs d’or.
En plus, les occidentaux ne se reproduisent plus alors que plus vous êtes pauvre et plus vous faites d’enfants, ce n’est donc pas logique si vous voulez lutter contre la surpopulation.
J’ai toujours dit que si vous vouliez diminuer la population mondiale, il suffit de donner un capital, un crédit et une voiture à tous les pauvres et ils cesseront de faire des enfants ou la grève.

[Note de Joseph Stroberg : les ressources minérales et énergétiques sont insuffisantes pour généraliser le mode de vie occidental à l’ensemble de la planète.]

Je ne suis donc pas séduit par la stratégie de l’injection de masse pour supprimer la majeure partie de la population occidentale mondiale.
J’aurais personnellement commencé par tuer un milliard d’Africains et d’Asiatiques avant de me retourner vers les classes moyennes occidentales.
J’aurais donc plus tendance à penser que les morts provoquées par les injections seraient plus une cerise sur le cadeau, un lot de consolation pour les exterminateurs, un bénéfice secondaire non quantifié… qu’un plan mûrement réfléchi. Les injections ne tuent pas (encore ?) assez et pas assez vite…

[Note de Joseph Stroberg :
La grande majorité des êtres humains, lorsqu’ils combattent, tendent à rechercher et viser le point faible de l’adversaire.
Les élites mondiales qui relèvent de pensée satanique visent au contraire le point fort. Lorsque la tête tombe, le corps ne survit pas longtemps. Alors qu’avec l’approche du point faible, l’adversaire peut encore résister. On peut continuer à combattre même avec un bras en moins.
(De manière allégorique).]

La thèse de l’injection purement capitalistique

Succès

Dans ce cas, « vacciner » des riches et non des pauvres a un sens.
Produire des injections inefficaces et qui plus est, favorisant des variants, a aussi un sens.
Cela expliquerait sans doute pourquoi les injections mises à jour ne sont pas présentes sur le marché.
Économies, attente de variants et on ne sortira les mises à jour que lorsqu’il ne sera plus possible de camoufler la totale inefficacité des injections.
Et avec un peu de chance, un nouveau variant un peu méchant arrivera, ce qui permettra de bien relancer le marché des « vaccins ».
Bien entendu il y aurait le risque de faire émerger un variant vraiment mortel, mais ça, l’industrie n’en a que faire. On peut bien prendre le risque de détruire l’espèce humaine si on peut en tirer 50 dollars.

Cette thèse présente néanmoins des contradictions.
Si le nombre de 80 % de vaccinés en France est réel, pourquoi s’acharner à vouloir vacciner les 20 % restants au lieu de se focaliser sur les 3e, 4e… 10e dose qui sont des rentes à vie ?
Vacciner dès la naissance, ça c’est bien, même si quelques enfants meurent on s’en tape…
Mais pourquoi se focaliser sur les irréductibles alors même qu’ils sont irréductibles et qu’ils pourraient finir par vraiment se fâcher ?
Ou alors c’est encore une fois l’appât du gain… j’ai 80 % du marché, j’aurai les 100 % !

[Note de Joseph : Bill Gates veut vacciner 7 milliards d’êtres humains et non pas 7,5 ni 8 milliards que l’Humanité est en passe d’atteindre. Et c’est lui qui est derrière toute cette plandémie par le biais notamment de l’OMS dont il est le principal donateur privé et de la GAVI qu’il contrôle aussi, sachant qu’il a aussi financé la plupart des fabricants de vaccins à ARN ou à adénovirus. Son but n’est pas l’extermination de l’Humanité, mais son contrôle (son asservissement), même si cela doit passer par l’extermination d’une partie de cette humanité.]

Le crédit social

Succès

Quand bien même l’objectif initial eut été d’éliminer une partie non négligeable de la population, l’opération est un succès sans précédent du point de vue de son contrôle.

Dans la vie, il y a souvent des galères, mais parfois de très bonnes surprises.
Qui aurait pu croire qu’il était si facile de se foutre de la gueule des gens et leur faire gober n’importe quoi ?
Au point qu’ils acceptent TOUT, sans limites !

  • Se confiner ? No problem.
  • Porter une muselière et la mettre à ses enfants ? No problem.
  • S’injecter des substances expérimentales dangereuses ? No problem.
  • Présenter un passeport vaccinal pour se rendre au cinéma ? No problem.

Si la dictature sanitaire était une mise en bouche pour la dictature climatique alors c’est un succès total.
Nous savons désormais qu’il suffit de faire croire en une menace mortelle imaginaire pour obtenir une obéissance sans limites.
Il y en a qui vont prendre leur pied et bien se marrer en nous regardant avec la nouvelle dictature climatique.
Dictature qui présente l’avantage d’être sans fin pour « sauver la planète » avec le concours d’une autiste au QI d’un singe qu’on exhibe comme au cirque et à qui l’on donne le prix Nobel sous les applaudissements des moutons terrorisés.

[Note de Joseph : Prise de conscience et autisme.]

Une campagne de recrutement à l’échelle mondiale ?

Pas impossible

Et si cette campagne de « vaccination » ciblée principalement dans les pays riches n’était qu’une campagne de recrutement ? Un test d’embauche ?
Des centaines de millions de personnes sont ainsi pucées. Pour l’instant avec leur smartphone, peut-être avec un système d’identification qui serait dans l’injection, mais qu’importe…
Et si les confinements, les masques, les injections, les pass sanitaires n’étaient que des épreuves de sélection ?
Avec ces tests à grande échelle, la dictature mondiale est en capacité de différencier précisément ceux qui acceptent tout et ceux qui refusent, ceux qui gobent et ceux qui réfléchissent !
Je ne doute pas que parmi ces maîtres du monde il y a de grands tarés qui ont des visions plus sataniques que chrétiennes.
Mais il y a aussi certainement des personnes sincères qui ont peur de la surpopulation, de l’évolution de la planète, de la destruction des écosystèmes, etc.

Les plus pessimistes (réalistes ?) d’entre nous pensent que les résistants termineront leur vie dans des camps et qu’ils seront exterminés petit à petit… On est idéaliste ou on ne l’est pas (sourire).

Mais si c’était le contraire ?
Et si nous étions en train de vivre une campagne de recrutement ?
Nous serions alors les recrutés sur des critères de volonté, d’indépendance, de réflexion, d’esprit critique, de curiosité, et donc d’intelligence instinctive.
Ceci pourrait aussi expliquer pourquoi l’Afrique n’est pas dans le plan, nous les Occidentaux étant si « supérieurs ».

Parce que si l’on se ramène au modèle des tarés qui veulent des surhommes, pensez-vous qu’ils vont les sélectionner parmi les moutons hypnotisés qui ont dit oui à tout ou parmi nous ?

[Note de Joseph Stroberg : pour l’instant, ceux qui mènent le jeu sont dans le camp génocidaire et de recherche de contrôle par coercition de Bill Gates. Eux ne recrutent que parmi les gens de leur caste et même de leur lignée sanguine. Si parmi le peuple certains les rejoignent à un relativement haut niveau, ce n’est alors qu’en tant que subalternes et parce qu’ils auront pu les contrôler d’une manière ou d’une autre. Le président actuel de l’OMS, un Africain, est là pour démontrer qu’ils ne s’occupent pas de la provenance, mettant tout le monde externe à leur caste dans le même paquet. Une condition presque indispensable pour travailler avec eux est d’être psychopathe.

S’il y a sélection d’êtres humains à l’échelle de l’Humanité, elle est d’un autre ordre, plus élevé.
Voir : L’épée, le bon grain et l’ivraie.]

Parce que je vous rappelle que tous les « grands » de ce monde n’ont respecté aucun confinement, qu’ils ne portaient pas de masque et ne les portent que devant les caméras. Qu’ils ne respectent les gestes barrières que face aux gueux, qu’ils ont fait semblant de s’injecter et ont des faux pass sanitaires !
Mis à part les faux pass (qui sont certainement légion dans le milieu médical), nous avons fait comme eux.
Ils sont libres et nous aussi !

Réfléchissez avant de jeter aux oubliettes ma théorie.
Nous sommes peut-être dans une campagne de recrutement et c’est nous qui serons embauchés dans ce nouveau monde.
(Ne me faites pas dire que nous allons accepter et ne pas leur cracher à la gueule.)
Là aussi, il y aurait prise de risque de leur part, car si nous n’adhérons pas à leur projet, nous serons debout pour décider du monde que nous voulons et il n’est pas dit qu’ils soient de la partie.

Merci.

Alain Tortosa.

29 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211029-dictarure-mondiale-cherche-cadres.pdf




Robert F. Kennedy : Appel à une grève mondiale le 3 novembre !

[Source : zonefr.com]

Ces élites sûres de leur puissance, ne se cachent même plus. Leur conspiration se déroule devant les yeux de tous car malheureusement la masse des ignorants est telle, qu’ils peuvent agir sans même être inquiétés !

Robert F. Kennedy Jr. appelle à une grève mondiale pour le 3 novembre.

Le neveu du Président John F. Kennedy, fils de l’ex Ministre de la Justice Bob Kennedy, tous deux assassinés par la Cabale, fondateur de Children’s Health Defense appelle à une « grève mondiale » pour le 3 novembre, contre la perte de libertés, pour le retour aux principes démocratiques, contre les mandats illégaux et les gouvernements tyranniques.

La situation est grave, nous ne pouvons plus attendre de ces gouvernements d’assassins qu’ils répondent à nos demandes car ils sont missionnés pour le génocide vaccinal et la mise en place du Nouvel Ordre Mondial.

Nous ne sommes ni des complotistes ni des illuminés mais des Éveillés plus informés que la masse des hypnotisés par les médias mainstream, chargés de désinformer et manipuler l’opinion publique. Nous pourrions publier la longue liste de leurs mensonges, nous pouvons prouver et démontrer ce que nous affirmons car leurs propres déclarations les condamnent.

Le Système tyrannique qui nous est imposé depuis bientôt 2 ans n’a rien à voir avec la crise sanitaire car comment expliquer que des médecins et des infirmiers ayant gérée l’épidémie à ses débuts, sans moyens, sans masques, sans aucune aide de l’Etat, soient aujourd’hui mis à pied alors qu’on nous fait croire à une fausse pandémie ?

Les chiffres des morts décédés du Covid publiés par l’Istituto Superiore della Sanità italien (ISS – Institut Supérieur de la Santé) prouvent que le gouvernement italien ment à son peuple en lui faisant croire que plus de 130.000 personnes seraient mortes du Covid alors qu’elles ne sont « que » 3783 !!

Et même si la même campagne de diffamation qu’a vécue le Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de Médecine quand il a déclaré que le virus est un « produit de laboratoire » est maintenant déclenchée par les médias terroristes contre l’ISS considéré jusqu’à hier comme LA référence absolue en matière de santé, ils ne pourront plus cacher la vérité très longtemps car partout le narratif officiel se fissure, prouvant que l’ensemble des gouvernements des pays de l’OTAN, du Canada jusqu’à l’Australie et la Nouvelle Zélande en passant par la France et l’Italie, mentent à leurs peuples !

Tous les jours des êtres humains meurent à cause des faux vaccinsLes effets secondaires sont dramatiques, des personnes jeunes et en bonne santé deviennent soudain paralysées. Des jeunes meurent de crises cardiaques ! Des familles et des vies sont brisées et nos gouvernements font semblant de croire que tout va bien, s’appuyant sur un « bénéfice/risque » totalement mensonger et criminel !

Les plus grands virologues, chercheurs, biologistes, infectiologues mondiaux lancent des cris d’alerte et jugent cette campagne vaccinale au mieux « irresponsable » et au pire criminelle, parlant même de « crimes contre l’humanité«  !

Des collectifs d’avocats internationaux se sont constitués pour dénoncer ce génocide programmé mais malgré leurs efforts, toutes les instances internationales comme la Cour Européenne des Droits de l’homme ou même nos tribunaux corrompus, se refusent à appliquer le droit et répondre à la demande de justice de groupements de citoyens déposant plainte sur plainte. 

Comment ne pas faire le lien avec le discours historique du Président John Kennedy quand il a voulu avertir l’Amérique et le monde d’une « conspiration monolithique et sans merci » ayant pour objectif de mettre l’humanité en esclavage ?

Comment ne pas faire le lien avec les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial gravés dans presque toutes les langues sur les Georgia Guidestones et prévoyant de ramener la population mondiale à 500 millions d’individus ?

Comment ne pas se souvenir que de Sarkozy en passant par AttaliRockefeller, le Duc d’EdimbourgBill GatesKlaus Schwab et d’autres tarés de la même espèce, tous ont en commun l’obsession de la surpopulation et la nécessité de la réduireAttali écrivant même que « les idiots iront à l’abattoir de leur plein gré« .

Et c’est exactement ce qui se passe car l’individu moyen maintenu dans l’ignorance et manipulé par la désinformation, ne parvient pas à croire que le gouvernement puisse lui vouloir du mal. Erreur fatale car tous ceux qui gouvernent en ce moment l’Occident, proviennent tous des Young Global Leaders, formés et formatés par le Forum Economique Mondial du transhumaniste fou Klaus Schwab, temple et guru de la mondialisation et du Nouvel Ordre Mondial collectiviste et dictatorial ! Nous sommes gouvernés par des fous !

Ce Klaus Schwab qui ose déclarer : « Dans 10 ans vous ne posséderez plus rien et vous en serez heureux.« 

Réveillons-nous frères humains avant qu’il ne soit  trop tard !

Ces élites sûres de leur puissance, ne se cachent même plus. Leur conspiration se déroule devant les yeux de tous car malheureusement la masse des ignorants est telle, qu’ils peuvent agir sans même être inquiétés !

Si nous réagissons pas, si nous restons passifs, le pire est devant nous. En nous limitant à des manifestations pacifiques encadrées par la police, nous n’obtiendrons rien car ce pouvoir s’amuse de nous voir déambuler tous les samedis. La police est le rempart, leur bouclier protecteur, leur garde rapprochée. Cette milice « républicaine«  dirigée par des Francs Maçons, ne réalise pas qu’on lui ment, qu’on la conditionne, qu’on la dresse contre le peuple pour protéger les intérêts de cette élite sans morale, sans scrupule, sans foi ni loi. On leur fait croire qu’elle protège la République alors qu’elle assure la sécurité des corrompus, des traîtres et des assassins qui sont en train de détruire notre pays, notre économie et nos vies !

Cette première grève mondiale doit être le premier signal d’une mobilisation globale. Nos amis italiens manifestent tous les jours, bloquent les ports, décrètent des grèves surprises, harcèlent députés et sénateurs, publient les vrais chiffres de cette fausse pandémie et exercent une pression massive sur Mario Draghi qui envisagerait même sa démission.

Nous, Français, sommes trop modérés. Nous ne réalisons pas que face à ce pouvoir criminel, nous sommes en danger de mort et que la légitime défense est désormais la dernière alternative pour sauver nos vies !

MOBILISATION !

Nous avons le devoir moral de protéger nos vies et la vie de nos enfants !

Commençons par paralyser l’économie et si cela ne suffit pas, que Dieu nous garde, nous aviserons !!

En 7 mn, vous allez tout comprendre…




Alain de Benoist : « Aucune élection, fût-elle présidentielle, ne peut créer les conditions de la véritable révolution dont notre peuple a besoin »

[Source : breizh-info.com]

Nous n’avions pas eu l’occasion de recueillir les analyses d’Alain de Benoist au sujet de la percée d’Éric Zemmour dans la bataille présidentielle, mais aussi de son affrontement probable avec Marine Le Pen et Emmanuel Macron notamment. C’est chose faite, ci-dessous.

Nous en avons également profité pour l’interroger sur la continuité de la politique de tyrannie sanitaire mise en place par les autorités, mais également sur le rôle de l’Europe centrale dans le sauvetage de la civilisation européenne.

Alain de Benoist, tout d’abord, quel regard portez-vous sur l’ascension médiatico-politique d’Eric Zemmour à quelques mois de l’élection présidentielle ? Cette ascension n’est-elle pas le signe de l’échec définitif du Rassemblement national en politique ?

Toute campagne présidentielle en France a ses coups de théâtre et ses événements imprévus. Cette année, c’est le phénomène Zemmour. Je le regarde avec curiosité – mais aussi avec détachement, tant je reste convaincu qu’aucune élection, fût-elle présidentielle, ne peut créer les conditions de la véritable révolution dont notre peuple a besoin.

Éric Zemmour est un ami, dont je connais la vaste culture politico-historique et dont j’admire la posture réfractaire et la pugnacité, ce qui ne m’empêche d’être en désaccord avec lui sur des points nombreux (son jacobinisme, sa critique de l’idée d’Empire, son parti-pris sans nuances pour l’assimilation, son hostilité aux prénoms régionaux, pour ne rien dire de la question des « racines chrétiennes »). Son ascension de « presque candidat » a été remarquable, puisqu’il semble être aujourd’hui en mesure d’empêcher Marine Le Pen d’arriver en tête au premier tour, voire de l’empêcher d’être présente au second. Cela dit, à six mois du scrutin, rien n’autorise à faire un pronostic. Zemmour peut très bien continuer à progresser, comme Macron en 2017, ou s’effondrer brusquement, comme Chevènement en 2002.

Au départ, la candidature Zemmour a été soutenue, d’un côté par des républicains d’accord avec Marine Le Pen sur l’immigration, mais qui trouvent trop extrémistes ses positions en matière sociale, et par une farandole de déçus du Rassemblement national qui lui reprochent au contraire d’avoir excessivement voulu se dédiaboliser au risque de « banaliser » son discours, leur grand objectif étant, non pas d’empêcher la réélection de Macron, mais de « dégager définitivement Marine ». Le problème est évidemment qu’il est difficile de séduire durablement des gens qui trouvent cette dernière trop radicale et d’autres qui trouvent qu’elle ne l’est pas assez…

Je pense par ailleurs que l’on aurait tort d’enterrer trop vite Marine Le Pen. En dépit de l’état lamentable du RN (mais à une présidentielle, on vote pour une personne, pas pour un parti), elle reste la candidate préférée des classes populaires. Zemmour, tout à son désir de « réinventer le RPR », dit vouloir réconcilier les classes populaires et la « bourgeoisie patriote » (ou fusionner la sociologie de la Manif pour tous et celle des Gilets jaunes), mais pour l’instant il ne touche pratiquement pas les premières, qui le connaissent en outre assez peu. Il l’a indirectement reconnu lorsqu’il a déclaré, le 22 octobre, que « Marine Le Pen n’a pour elle que des classes populaires, elle est enfermée dans une sorte de ghetto ouvrier et chômeur, qui sont des gens tout à fait respectables et importants, mais elle ne touche pas les CSP+ et la bourgeoisie ». Zemmour, lui, connaît surtout du succès auprès des anciens électeurs de Fillon et de Bellamy, des CSP+ et des cathos versaillais, c’est-à-dire auprès de cette petite et moyenne bourgeoisie qui craint pour son avenir et son identité parce qu’elle s’inquiète de son insécurité culturelle, mais très peu d’une insécurité économique qui est au contraire l’une des préoccupations majeures d’une « France périphérique » qui, comme l’a dit Marine Le Pen, « n’acceptera pas d’être sacrifiée à une vision ultralibérale de l’économie ».

Il y a en fait deux façons bien différentes de concevoir la formation d’un nouveau bloc historique à vocation hégémonique : l’« union des droites » et ce que Christophe Guilluy ou Jérôme Sainte-Marie (Bloc contre bloc, 2019, Bloc populaire, 2021) appellent le « bloc populaire ». La première s’appuie sur un clivage droite-gauche qui n’a plus grand sens aujourd’hui, l’autre sur un rapport de classe qui s’affirme au contraire de plus en plus, au fur et à mesure que diminue le pouvoir d’achat et que se généralise la précarité. Ces deux manières de voir ne sont guère conciliables. A un moment où toutes les institutions qui fabriquaient hier du consentement sont entrées en état de crise systémique, il est difficile de prendre en compte les revendications des classes populaires, confrontées à la fois à la misère sociale et une immigration devenue immaîtrisable, et qui savent très bien que la question de l’identité nationale est indissociable de la question sociale, tout en s’employant à donner des gages aux patrons du CAC 40.

Attendons donc encore six mois. On saura alors si Zemmour est parvenu à autre chose qu’à faire réélire Macron.

Alain de Benoist

La politique tyrannique (officiellement sanitaire) mise en place par les autorités françaises se poursuit. La population française, dans sa majorité, semble avoir capitulé, tout du moins accepté, d’être réduite à présenter un code barre et une preuve de vaccination pour dîner en ville, aller au cinéma, etc. La soumission généralisée d’une population est-elle de tendance à vous inquiéter ?

Vous oubliez quand même qu’au cœur même de l’été dernier, à une période de l’année où aucun syndicat n’a jamais osé organiser une manifestation, on a vu des centaines de milliers de Français défiler semaine après semaine pour protester contre le passe sanitaire. Du jamais vu.

D’un autre côté – je crois que nous en avons déjà parlé – il est clair qu’un grand nombre de gens sont prêts à abandonner leurs libertés quand ils croient leur sécurité ou leur santé menacée. La peur est le moteur premier de la servitude volontaire. Mais ce que vous interprétez en termes de soumission peut aussi s’interpréter en termes de résilience ou de pouvoir d’adaptation, sans que cela empêche la colère de gronder. La soumission généralisée, personnellement, je la verrais plutôt dans l’acceptation par les masses d’un système capitaliste qui est en passe de les déposséder de leur humanité.

Alain de Benoist

Vous avez publié récemment « Survivre à la désinformation », livre qui compile et reprend vos entretiens donnés à Nicolas Gauthier sur le site « Boulevard Voltaire ». Comment s’informer correctement dans une société ouverte qui produit de l’information à chaque seconde ?

Il y a évidemment des sources d’information qui sont meilleures que d’autres. Inutile d’en faire l’énumération (Breizh-Info y aurait bien sûr sa place). Mais l’important n’est pas tant de savoir quelle quantité d’informations on absorbe que de savoir en évaluer l’importance. Le drame est que les médias actuels, du fait même de leur structure, interdisent de plus en plus de hiérarchiser les informations, et surtout d’en comprendre le sens et la portée. Montrer que les événements susceptibles d’avoir une véritable portée historique ne sont pas nécessairement (et sont même rarement) ceux dont on parle le plus est précisément l’un des objectifs de ce recueil.

Alain de Benoist

Finalement, quelle différence peut-on faire entre la personne sous-informée – c’est-à-dire celle qui ne regarde que le JT de 20 h ou ne lit que quelques extraits d’un quotidien régional – et la personne qui a la tête dans l’information toute la journée, à ne plus pouvoir prendre du recul dessus ?

En fin de compte aucune. La première ne sait pas grand-chose, la seconde a entendu parler de tout mais n’y comprend rien. L’excès d’informations est parfaitement équivalent à l’absence d’informations, du fait d’un phénomène de contre-productivité dont Ivan Illich a donné bien d’autres exemples.

Alain de Benoist

Pour s’élever un peu et évoquer l’Europe et son avenir, comment analysez-vous les offensives de plus en plus violentes des commissaires de Bruxelles vis-à-vis des pays d’Europe centrale, Pologne et Hongrie en tête ? Pensez-vous que l’Union européenne puisse possiblement exploser, ou se scinder en deux ?

La Commission de Bruxelles ne supporte pas ce qu’elle présente invariablement comme des « atteintes à l’Etat de droit ». Cela n’a rien d’étonnant, puisqu’elle est l’un des vecteurs d’une idéologie dominante qui voit dans l’Etat de droit un moyen de soumettre le politique à l’autorité des juges et la souveraineté populaire à la morale des « droits de l’homme ». Les pays de l’Est, de leur côté, ont découvert que le « monde libre » qui les avait fait rêver à l’époque communiste est d’autant moins un exemple à suivre qu’il peut aussi constituer une menace. Dans la polémique que vous évoquez, la Pologne et la Hongrie ne sont pas isolées puisque le 7 octobre, pas moins de douze pays-membres (Autriche, Bulgarie, Chypre, Danemark, Estonie, Grèce, Hongrie, Lituanie, Lettonie, Pologne, République tchèque et Slovaquie) ont tenté de faire adopter un texte visant à ce que la Commission finance la construction de murs ou de clôtures de barbelés aux frontières extérieures de l’Union. Cette demande a bien entendu été rejetée, mais elle n’en reste pas moins significative.

On pourrait certes voir dans le groupe de Visegrád l’amorce d’une « autre Europe ». C’est un espoir raisonnable, mais il ne faut pas se dissimuler que les pays qui en font partie sont loin d’être d’accord sur tout. En matière de politique étrangère, par exemple, la Pologne continue de s’aligner aveuglément sur les Etats-Unis et professe une russophobie que la Hongrie ne partage pas. Il ne faut pas oublier non plus que la Pologne a beaucoup à perdre dans une épreuve de force avec l’Union européenne, car elle est actuellement la principale bénéficiaire des fonds européens. Plus qu’à une explosion, j’ai tendance à croire à une implosion de l’UE qui aboutirait à une dislocation de fait.

Alain de Benoist

En France, dans cette hypothèse, nous nous retrouverions alors sans doute dans le camp occidental… c’est-à-dire pas franchement le camp des défenseurs de l’Europe civilisation… Que faire alors demain pour maintenir les ponts fondamentaux ?

Le risque de se retrouver dans le « camp occidental » me semble surtout considérable dans le bras de fer qui oppose actuellement Washington et Pékin, et qui pourrait très bien aboutir un jour ou l’autre à un conflit armé entre une hyperpuissance américaine déclinante et une puissance montante chinoise qui ne cesse de s’affirmer. Les Etats-Unis manœuvrent déjà pour reconstituer contre la Chine une « coalition occidentale » semblable à celle qui visait à contenir l’Union soviétique à l’époque de la guerre froide. En cas de guerre, la plus grande erreur pour les Européens consisterait à s’aligner sur Washington, au lieu d’adopter pour le moins une attitude de neutralité. L’Europe n’a pas vocation à faire la guerre aux Chinois !

Alain de Benoist

Propos recueillis par YV

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




France — Passe sanitaire : le Sénat s’oppose en partie au projet de loi du gouvernement

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

C’est une version du projet de loi « vigilance sanitaire » largement détricotée qui a été votée hier par le Sénat. Comme c’était attendu, la chambre haute, dominée par la droite, s’est prononcée pour une prolongation de l’état d’urgence, mais jusqu’au 28 février seulement et non jusqu’au 31 juillet, comme le prévoyait le texte voté par l’Assemblée nationale la semaine dernière. « Trois mois et demi ça va, huit mois c’est trop », a commenté le rapporteur LR au Sénat Philippe Bas.

Le texte adopté par le Sénat — avec 156 voix pour (LR et centristes) et 106 contre — propose aussi de supprimer le passe sanitaire dans les départements où la population éligible est vaccinée à plus de 80 %. « De fait, [cet] amendement a pour conséquence de supprimer le passe sanitaire sur le territoire métropolitain, où l’ensemble des départements ont dépassé le taux de vaccination complet de 80 % au sein de leur population », expliquent les sénateurs. « Si l’objectif est de supprimer la passe sanitaire, pourquoi ne pas le supprimer tout simplement », s’interroge le sénateur Loïc Hervé (UDI).

Une exception toutefois : il restera obligatoire pour accéder aux établissements accueillant des personnes fragiles. Mais il sera possible de recourir aux autotests, peut-être pour éviter de trop débourser dans les tests PCR ; « L’outil le moins onéreux pour identifier la maladie », notent les parlementaires. Et de poursuivre :

« S’il a été reconnu comme valable et sûr pour accéder aux ERP, l’autotest ne saurait se voir ainsi écarté, au risque de susciter l’interrogation légitime des Français quant à l’objectif premier du gouvernement, qui doit rester le maintien d’une situation sanitaire et non le développement d’outils de coercition à l’encontre des Français qui ne souhaitent pas se faire vacciner. »c

Enfin, le Sénat souhaite que les personnes vaccinées hors de France puissent bénéficier, elles aussi, d’un passe sanitaire. Y compris celles qui ont reçu une injection du vaccin russe Spoutnik.

Bien que largement remanié, le texte adopté par les sénateurs est loin de faire l’unanimité. « Au mois de mars, on nous a juré que le passe sanitaire ne serait appliqué que pour les grands rassemblements. Ensuite, on nous a dit que ce n’était que pour l’été. Et maintenant, le gouvernement veut le prolonger de neuf mois. Il faut arrêter », s’est insurgée la sénatrice Sylviane Noël, interrogée par France Soir.

Une analyse partagée par plusieurs figures de l’opposition radicale au passe sanitaire.

Sept députés et sept sénateurs se retrouveront la semaine prochaine en commission mixte paritaire afin de trouver un compromis. Un scénario auquel ne croit pas Loïc Hervé, « à moins que le gouvernement fasse des pas en direction du Sénat, ou que le Sénat se renie ». En cas de désaccord, le dernier mot reviendra à l’Assemblée nationale.




Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »

[Source : Epoch Times (theepochtimes.com)]

« En contexte totalitaire, les pervers sont autorisés à assouvir leurs pulsions de contrôle et de domination »

Ariane Bilheran

Ariane Bilheran est diplômée de l’École Normale Supérieure (Ulm), psychologue clinicienne et Docteur en psychopathologie.

Spécialiste de la psychologie du pouvoir, elle a prononcé des conférences en France et à l’étranger sur les thèmes de la paranoïa, de l’emprise, du harcèlement, de la manipulation et de l’autorité.

Elle a également publié de nombreux ouvrages consacrés à la littérature, la poésie, la philosophie ou la psychologie.

Au cours de sa carrière, Ariane Bilheran est intervenue en tant que consultante et a dispensé des formations dans différentes entreprises ou institutions. Elle a aussi été amenée à produire des expertises judiciaires dans le cadre de procès portant sur des cas de harcèlement ou d’emprise devant les juridictions civiles et pénales.

Depuis 2015, Ariane Bilheran réside en Amérique du Sud où elle poursuit son activité clinique ainsi que son travail de recherche et d’écriture, tout en consacrant une part de son temps à des actions agricoles et humanitaires.

Nous l’avons rencontrée afin d’évoquer la crise sanitaire sous un autre angle, au croisement de la psychologie, de la psychopathologie et de la philosophie.

Que dit cette crise de notre société ? Les mesures mises en place dans le cadre de la lutte contre l’épidémie participent-elles d’une logique totalitaire ?

Comment expliquer le fait qu’une grande part de la population française se soit accommodée des différentes politiques restrictives de liberté adoptées ?

Quelle peut-être l’issue des divisions et des fractures engendrées par les mesures prises pendant la crise sanitaire ? Quelles vertus cultiver pour retrouver le chemin de l’harmonie ?

Découvrez le point de vue d’Ariane Bilheran dans la vidéo.

Retrouvez les articlesateliers et conférences d’Ariane Bilheran sur son site : https://www.arianebilheran.com/

[Voir aussi :
Ariane Bilheran : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire »
Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave (arianebilheran.com)
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
Les mécanismes des régimes totalitaires
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Le contrôle mental au temps du Covid]




À quoi pourrait ressembler votre avenir si vous continuez à obéir au Système ?

[Source : L’Échelle de Jacob]






L’idéologie woke saborde l’identité culturelle du Canada

[Source : theepochtimes.com]

[Photo : Une statue sans tête de la Vierge Marie est vue à l’extérieur de l’église Our Lady of Lebanon à Parkdale, à Toronto, le 30 août 2020. (Facebook)]

Par SHANE MILLER

En 2002, John Fonte, membre de l’Institut Hudson, présentait l’analyse d’une nouvelle idéologie émergeant au sein des institutions nationales et internationales. Il qualifiait cette idéologie de « progressisme transnational ». Selon lui, cette idéologie donnait la priorité au groupe sur l’individu et tenait pour acquis que la société repose sur un conflit inhérent entre oppresseurs et victimes. De ce fait, les institutions avaient pour obligation morale d’agir en faveur des dites « victimes ». Aujourd’hui, nous savons qu’il s’agissait du wokisme à ses premiers stades, avant d’être définitivement adopté par les institutions et de devenir irréfutable.

Le bilan de M. Fonte établissait qu’en démantelant les narratifs et les symboles nationaux, cette idéologie constituait une réelle menace. Pousser les populations à acclamer une diversité aussi abstraite qu’irréalisable, c’était les mener à perdre progressivement confiance envers leur patrie. Le Canada, en bon élève, a parfaitement assimilé tous ces principes et les a exacerbés dans des proportions redoutables.

De fait, aujourd’hui, dans bien des secteurs, le pays s’adonne à l’autocritique continue, au désaveu de ses valeurs fondamentales. Le vandalisme et la destruction des statues, dont celle de Sir John A. Macdonald, sont légitimés ou approuvés. Il s’agit, avance-t-on, d’une étape nécessaire pour tirer les leçons du passé.

De même, la série d’incendies criminels visant les églises autochtones cet été a été qualifiée par un responsable politique d’outrage compréhensible au vu de la discrimination dont souffre la population autochtone. Sur ce point, selon le gouvernement actuel, l’heure est venue de reconnaitre que le Canada perpétue un génocide, et constitue donc, par définition, un État illégitime. De ce fait, selon le leader du groupe des sénateurs indépendants (ISG), le pays n’est en aucun cas en position de critiquer la Chine communiste pour sa répression des Ouïghours.

En termes de politique intérieure, la « diversité » entraine le clivage culturel. Sur la scène mondiale, le Canada se retrouve sans identité ni réalisations à défendre. Le pays est donc particulièrement fragilisé en cette période de conflits idéologiques entre grandes puissances, car Pékin n’hésitera pas à exploiter cette perplexité à son avantage.

L’émergence de l’idéologie woke n’est pas sans rappeler celle de la contre-culture des années 1960, en pleine guerre froide. La Nouvelle Gauche constituée en force politique contestait alors la légitimité de l’Occident de l’intérieur, tout en défendant ou en atténuant les crimes perpétués par les gouvernements communistes.

L’ancien secrétaire d’État américain Henry Kissinger a décrit la contre-culture comme un mouvement qui résultait d’un renouveau radical établi pour nuire à ceux même qui le défendaient. Essentiellement axée sur la condamnation du monde libre du fait de ses insuffisances, elle entravait, sous couvert de dénoncer l’arrogance occidentale, les actions concrètes de résistance au communisme.

Ainsi, dans son ouvrage intitulé Diplomacy, Henry Kissinger a mis en évidence que le mouvement engendrait un certain état d’esprit, celui-ci « mettait l’accent sur les insuffisances américaines et celles des amis qu’il soutenait ; sur une équivalence morale entre l’Amérique et ses adversaires communistes ; sur la proposition selon laquelle l’Amérique n’avait aucune obligation de défendre une quelconque région du monde contre des menaces largement imaginaires ; sur l’idée que l’opinion mondiale était un meilleur guide en termes de politique étrangère que des concepts géopolitiques ».

L’idéologie constituait une menace concrète durant la guerre froide pour l’Occident, comme l’ont montré les années qui ont immédiatement suivi la fin de la guerre du Vietnam. Cependant le courant dominant s’est maintenu, l’Amérique et ses alliés sont restés, malgré tous leurs défauts, les protagonistes et forces du bien dans l’opinion publique.

Mais aujourd’hui, au Canada, force est de constater que le courant dominant ne s’est pas maintenu et que les institutions évoluent dans un climat d’autodépréciation. Ceux qui estiment qu’il faut défendre la grandeur du Canada sont mis au rebut et la vertu du citoyen semble être proportionnelle au mépris qu’il affiche pour son pays.

De ce fait le Canada est très amoindri face au Parti communiste chinois de plus en plus hostile. Face à ce constat, le député conservateur Michael Chong a exhorté les Canadiens à retrouver leurs esprits : « La politique étrangère commence par ce que nous sommes », a-t-il rappelé. Peut-être que l’escalade rapide vers une autre guerre froide permettra à ce pays de redécouvrir ce qui le rend exceptionnel, par contraste avec le totalitarisme infernal du PCC.




Une journée ordinaire… Brève revue de presse des dernières heures dans ce monde de folie

Par Alain Tortosa

Noam Chomsky(([1] https://lemediaen442.fr/noam-chomsky-les-non-vaccines-doivent-etre-isoles-de-la-societe-et-se-debrouiller-pour-se-nourrir/))

Ce (ex-) maître étalon de la liberté nous dit désormais :

« Les gens qui refusent d’accepter les vaccins, la réponse pour eux n’est pas de les forcer, mais plutôt d’insister pour qu’ils soient isolés. Si les gens décident d’être prêts à être un danger pour la communauté en refusant un vaccin, ils doivent avoir la décence de s’isoler. Ils n’ont pas le droit de courir partout en faisant du mal aux gens. »

« Si cela atteint vraiment le point où ils mettent gravement en danger les gens, alors bien sûr, il faudra faire quelque chose. Si la “variole” s’avère à nouveau endémique et que certaines personnes insistent pour courir dans tous les lieux publics, alors il faudra faire quelque chose avec eux. »

Celui-ci précise dans Primo Radical :

« Si les gens ne respectent pas la vaccination et sont isolés chez eux, est-ce qu’ils devront se faire livrer de la nourriture ? »

La réponse lapidaire du philosophe :

« Ces personnes doivent avoir la décence de se retirer de la communauté. Si elles refusent de le faire, alors des mesures doivent être prises pour protéger la communauté. En ce qui concerne la question pratique que vous posez “Comment pouvons-nous pour leur fournir de la nourriture ?” En fait, c’est leur problème. Bien sûr s’ils deviennent vraiment démunis, alors oui, nous devrons assurer leur survie comme on le fait avec les gens en prison. »

Maxime Beltra(([2] https://fb.watch/8W1oWbMW39/))

Fin juillet, Maxime, 22ans, est décédé quelques heures après son injection.
Les médias se précipitent pour affirmer que c’est à cause de ses allergies (connues et traitées).
Le 23 octobre Checknews(([3] https://www.liberation.fr/checknews/maxime-beltra-est-il-finalement-decede-dune-pericardite-liee-au-vaccin-contre-le-covid-19-20211023_3FBGUSTTIZEEFP2PQ653JT6YL4/)) de libération en rajoute une couche :

« Il n’est mention à aucun moment d’une péricardite dans la conclusion du rapport (d’autopsie). »

Il y a quelques heures, le père de Maxime dit avoir eu les résultats de l’autopsie qui indiquent qu’il y a bien eu une myocardite, et ce pour un enfant qui n’avait aucun problème cardiaque connu.
Il est logique de penser qu’il était suivi depuis des années par le corps médical du fait de ses graves problèmes allergiques et que ce type de fragilité aurait été détecté depuis bien longtemps s’ils préexistaient.
Que va répondre Libération dans les prochains jours pour nous affirmer encore qu’il est décédé en mangeant des cacahuètes ?
Comment peuvent-ils encore se regarder dans un miroir ?!

France Bleu(([4] https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/nord-isere-un-gardien-de-decede-d-un-arret-cardiaque-a-la-mi-temps-d-un-match-1635141400))

« C’est un fléau qui se multiplie sur les terrains de football amateurs : les arrêts cardiaques. Et malheureusement dimanche, c’était en Isère, près de La Tour-du-Pin, à la Bâtie Montgascon. Un gardien de but a fait un malaise cardiaque à la mi-temps, il n’a pas pu être réanimé. »

Pas un mot sur la vaccination.
Ce n’est plus l’année du buffle ou du cochon, mais l’année de la crise cardiaque !

Olivier Véran, checknews Libération(([5] https://www.liberation.fr/checknews/olivier-veran-peut-il-affirmer-quil-ny-a-aucun-deces-imputable-a-la-vaccination-contre-le-covid-19-en-france-20211025_WUX4X43XIVEUJK4IVVSVSMMOBQ/))

« Olivier Véran peut-il affirmer qu’il n’y a aucun décès “imputable à la vaccination” contre le Covid-19 en France ? »

« Selon la pharmacovigilance, 1 224 cas de décès ont été signalés suite à l’injection d’un vaccin contre le Covid-19 depuis le début de la vaccination. Mais leur imputabilité aux vaccins n’est pas avérée. » CQFD.

Je vous rappelle que pour imputer le décès aux injections la procédure est simplissime :
Vous ressuscitez la personne vaccinée, puis vous regardez si elle décède à nouveau dans les jours suivants.
Si elle ne meurt pas une deuxième fois, alors c’était bien le vaccin qui avait causé le décès !
Exactement l’inverse que pour les cas de Covid.
Si vous êtes positif au Covid ou qu’il y a soupçon de Covid, si vous décédez alors le décès est OBLIGATOIREMENT causé par le Covid quand bien même vous avez été écrasé par un camion.

Olivier Véran commande des médicaments.(([6] https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/traitement-contre-le-covid-19-cinq-choses-a-savoir-sur-le-molnupiravir-dont-la-france-a-commande-50-000-doses_4823367.html))

« Selon Olivier Véran, la France a commandé 50 000 traitements de Molnupiravir »

Silvano Trotta de préciser « à 700 dollars la dose, d’un cancérigène connu par les études, dont le fabricant donne, 50 % d’efficacité contre le Covid et ne veut toujours pas entendre parler d’Ivermectine, à 4 dollars. »

Baisse de fréquentation des lieux culturels. LCI(([7] https://www.lci.fr/culture/coronavirus-covid-19-selon-une-etude-devoilee-mercredi-27-octobre-par-roselyne-bachelot-de-nombreux-francais-sont-toujours-reticents-a-reprendre-le-chemin-des-lieux-culturels-cinema-musees-theatre-2200122.html))

« Covid-19 : de nombreux Français toujours réticents à reprendre le chemin des lieux culturels »

J’ai suivi les débats sur LCI imaginant naïvement que les « journalistes » parleraient du pass sanitaire qui serait un frein… mais non !
Et de préciser que contrairement à cette croyance (stupide), cette baisse n’était nullement due au pass sanitaire mais au fait que les Français avaient peur de mourir du virus et qu’ils préféraient de fait rester chez eux.
Et moi de me demander pourquoi les Français ne semblent pas terrorisés au supermarché…

RIP journalisme.

CHU de St Étienne — LCI.

Le CHU de Saint-Étienne refuse la réintégration de deux agents non vaccinés suite à une décision de justice.
Précisons que ces agents ne sont pas en contact direct avec le public, mais travaillent aux cuisines.
Cela ne semble pas traumatiser les journalistes… si on plus il fallait accepter les décisions de justice, où irait-on ?!

Professeur Caumes — LCI(([8] https://www.lci.fr/sante/video-covid-19-vaccination-des-enfants-de-5-a-11-ans-contre-le-coronavirus-pour-le-professeur-eric-caumes-on-manque-encore-de-recul-2200240.html))

« Je pense que si l’on veut prendre le maximum de précautions et atténuer le plus possible la circulation du virus, oui il faut vacciner les enfants »

« “Penser que l’hiver sera serein n’engage que lui”, rétorque le professeur,“personnellement je n’en suis pas du tout sûr”. “Pour que l’hiver soit serein, il faudra que les Français se vaccinent, non seulement contre le Covid-19, mais aussi contre la grippe”, note-t-il. Sinon, “on risque d’avoir une épidémie très sévère” »

Et(([9] https://twitter.com/LCI/status/1453435630550126592)):

« “Probablement que le #passsanitaire sera amené à évoluer, surtout s’il doit se prolonger pendant encore 1 an. Je pense que la 3e dose, on en aura besoin.” Pour tous ? “On va y venir”, estime le Pr Éric Caumes »

Primum non nocere ? Sauf si c’est des enfants et pour sauver des vieux grabataires.

Décès des garçons vaccinés au Royaume-Uni(([10] https://theexpose.uk/2021/10/27/deaths-among-male-children-increased-by-89-percent-since-given-covid-19-vaccine/))

« Les décès chez les enfants de sexe masculin sont 83 % plus élevés que la moyenne sur 5 ans depuis qu’ils ont reçu le vaccin Covid-19., la semaine la plus récente a vu une augmentation aussi élevée que 200 %. »

Un hasard de plus, la saison de la crise cardiaque bat son plein.

Canada, un prêtre arrête la messe.(([11] https://vk.com/wall430568862_22606))

« Canada : Impressionnant : le prêtre arrête la messe en raison de la présence d’un fidèle sans masque. L’homme revendique son droit de rester dans la maison de Dieu »

Une bagarre générale se déclenche dans l’église. Si, si, et l’homme est expulsé. Amen mes frères.

Économie(([12] https://actu.orange.fr/france/covid-19-faut-il-rendre-le-pass-sanitaire-obligatoire-en-entreprise-pour-enlever-le-masque-magic-CNT000001FKdMc.html))

« Elisabeth Borne s’est réjouie de la bonne reprise économique du pays. “On a une reprise économique qui est très dynamique, on voit une baisse du nombre de demandeurs d’emploi sans activité, donc c’est une bonne nouvelle.” »

« Faut-il imposer le pass sanitaire en entreprise et permettre aux salariés d’enlever le masque ? “Il est logique que cette question se pose” “à l’heure où une écrasante majorité des Français est vaccinée et que le pass sanitaire est accepté de tous”, “les conditions ne sont pas encore réunies”. »

« L’épidémie n’est pas derrière nous. (…) Le nombre de cas repart à la hausse et le taux d’incidence s’approche à nouveau de son seuil d’alerte au niveau national » »

« Le pass nous a permis d’affronter la quatrième vague de Covid-19 tout en gardant ouverts les cafés et restaurants ». »

Inceste :

« La Commission Inceste recommande de suspendre l’exercice de l’autorité parentale et les droits de visite d’un parent poursuivi pour inceste pour “mieux protéger les enfants” »

La commission « recommande »… voilà, voilà… mieux vaut tard que jamais ?

Hiver catastrophique. G. Pialoux sur BFM.

« Covid-19 : Gilles Pialoux prédit “un hiver catastrophique” si les gestes barrières ne sont plus respectés ».

Donc les autorités nous répètent que 80 % des personnes sont vaccinées avec un vaccin « efficace » à 90 %.
Elles ajoutent que 90 % des personnes à risque sont vaccinées.
De plus ce vaccin est tellement « efficace » qu’il faut un rappel tous les 6 mois…
Mais si on ne respecte pas les gestes barrières on va à la catastrophe !
Où est passé le cerveau des moutons hypnotisés et terrorisés ???
Le Covid est vraiment une maladie neurologique, aucun doute….

5e vague(([13] https://www.letelegramme.fr/coronavirus/cinquieme-vague-de-covid-19-a-quoi-faut-il-s-attendre-25-10-2021-12855187.php))

« Malgré la vaccination, une cinquième vague n’est pas évitable.
Mais son ampleur dépendra du maintien des gestes barrières.
Si les spécialistes se veulent plus optimistes face au risque de cinquième vague, la vigilance reste de mise.
Peut-on échapper à une cinquième vague ?

Selon l’Institut Pasteur, il faudrait que les plus de 60 ans soient entièrement vaccinés à 95 % pour éviter une nouvelle vague de contamination. Le taux devrait atteindre les 90 % chez les 19-59 ans et les 70 % chez les adolescents. La France s’approche de l’objectif, mais n’y est pas encore : 90 % des 60 ans et plus sont vaccinés ; 86 % des 19-59 ans et 71 % des ados. Éviter une 5e vague sera donc difficile, surtout avec un variant Delta qui n’empêche pas les contaminations. Olivier Véran note d’ailleurs une “petite poussée” des cas ces derniers jours, avec près de 5 000 nouveaux malades quotidiens. »

Vous noterez que le reporter précise que la vaccination n’empêche pas les contaminations et qu’il faudrait 95 % de vaccinés pour prévenir les contaminations et une nouvelle vague.

La routine…

LCI 5e vague(([14] https://www.lci.fr/sante/en-direct-france-covid-19-coronavirus-vaccination-pandemie-pass-sanitaire-le-senat-veut-imposer-une-clause-de-revoyure-2196156.html))

« Le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, note une “hausse de 16 %” des contaminations “sur une semaine”. “L’épidémie gagne du terrain même si nous partons d’un niveau faible”, rappelle-t-il en sortie du Conseil des ministres.

Le seuil d’alerte a été franchi dans une quarantaine de départements”, poursuit le ministre, qui note que dans les “Pays de la Loire, le taux d’incidence a augmenté d’un tiers en une semaine.”

Le porte-parole assure également que les hospitalisations ne diminuent plus, et que les admissions dans les services de soins augmentent. »

Le réseau Sentinelle n’est toujours pas au courant d’une épidémie de Covid et la seule épidémie existante serait une épidémie de gastro !

Épinal, patient de 95 ans refoulé à l’hôpital(([15] https://epinalinfos.fr/2021/10/vosges-patient-de-95-ans-pass-sanitaire-refoule-a-lentree-de-lhopital/))

« Vosges : un patient de 95 ans sans “Pass sanitaire” refoulé à l’entrée de l’hôpital

Notre oncle, âgé de 95 ans parti de La Bresse en VSL pour une consultation d’urologie, à l’hôpital Emile Durckeim d’Épinal, se voit interdire l’accès dans les services au motif qu’il ne peut présenter un passe sanitaire. Notre oncle qui venait déjà de passer plus de 5 semaines dans deux hôpitaux, porteur d’une sonde urinaire, avait rendez-vous afin d’évaluer le traitement qui lui avait été prescrit, l’urologue devant décider si la sonde devait être maintenue en place ou non. La consultation n’était donc pas sans conséquence, et le refus de voir ce patient s’apparente à un refus de soin. Un acte incompréhensible de la part d’un médecin spécialiste. Le patient a donc dû rebrousser chemin, 120 km aller-retour pour rien ! Le conducteur VSL qui l’accompagnait a eu beau insister auprès de l’hôpital et du médecin, mettre en avant l’âge de la personne qu’il transportait, sa fatigue et le stress généré : rien n’y a fait. Cet homme de 95 ans en situation de faiblesse fut renvoyé chez lui sans le moindre égard, comme un malpropre. »

No limit, où est passée l’humanité ?

Si demain une loi oblige à placer les non-vaccinés dans des camps, ces mêmes monstres qui ont refusé l’entrée à ce vieil homme le feront monter dans un train sans le moindre problème de conscience.

Voilà pour ma (sale) revue de presse qui, hélas, ne représente qu’un petit extrait des dernières heures.
Les nouvelles sont les mêmes tous les jours.
Les mêmes horreurs, à moins que cela n’empire… oui c’est cela en fait ça empire. Champagne !

Merci

Alain Tortosa.

28 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211028-journee-comme-les-autres.pdf





Le crime organisé : COVID-19 et ANTHRAX-01 — Interview avec Heiko Schöning

[Source : Kla.TV]

Le médecin et officier de réserve Heiko Schöning prouve dans son nouveau livre « GAME OVER » les machinations criminelles autour du COVID-19. Comme dans un copier-coller, dix-huit ans plus tôt, les auteurs d’aujourd’hui ont commis un crime similaire avec la bactérie mortelle de l’anthrax. Les détails criminels et le pouvoir de déduction de Heiko Schöning l’ont conduit à la conclusion suivante : les mêmes entreprises et clans sont encore et toujours impliqués dans ce jeu diabolique. Même l’ex-Président Trump y joue un rôle… Dans son interview exclusive avec Kla.TV, Schöning donne un premier aperçu de ses révélations explosives.



Transcription :

Heiko Schöning :

« C’est effectivement ainsi que nous avons maintenant la meilleure chance depuis plus de cent ans de surmonter ce système, ce système criminel dans lequel nous vivons.
La véritable différence par rapport aux années et décennies précédentes, où il y avait déjà des mensonges de guerre qui ont mené des millions de personnes à la mort, c’est que maintenant, ici en Occident, on y prête attention. Parce que trop de gens, dont moi-même, ont trop détourné le regard de ce crime organisé au fil des décennies. Des millions de morts au Vietnam, en Irak. Est-ce qu’on s’en souciait vraiment ? Avons-nous fait tout ce qui était possible ? Et maintenant, c’est notre tour. Et c’est là le principal message. Nous devons maintenant, en tant que pères, fonctionnaires, officiers, médecins responsables – tout le monde, nous devons maintenant nous rassembler et dire : Non à la mafia ! Parce que tôt ou tard, ce sera notre tour et c’est ce que nous réalisons maintenant, sur le plan économique et sur le plan physique. Non seulement nous sommes traités avec mépris, contrôlés, endoctrinés, mais nos vies sont en danger, ainsi que celles de nos familles. »

Présentatrice :

Heiko Schöning, fondateur de la Commission d’enquête de l’affaire Covid et vice-président de la « World Freedom Alliance », vient de publier un nouveau livre. Le titre est « Game Over ». Fidèle aux détails tout en étant compréhensible, il prouve sur environ 500 pages que le COVID-19 est un crime planifié. Dix-huit ans plus tôt, les auteurs du crime d’aujourd’hui ont commis un crime similaire avec la bactérie mortelle de l’anthrax (ANTRAX-01), comme s’il s’agissait d’un copié-collé.

Kla.TV a fait une émission au sujet de l’attaque à l’anthrax (en français :/www.kla.tv/16694). En 2001 également, la panique a été attisée, des lois d’urgence ont été promulguées et des vaccinations de masse ont été effectuées. Le suicide étrange de l’unique coupable désigné, le Dr Bruce Ivins, et son lien avec le fabricant du vaccin contre l’anthrax, Emergent BioSolutions, ont attiré l’attention du médecin Schöning. Cela l’a incité à mener des années de recherches discrètes. Les connaissances qu’il en a tirées lui ont permis de prédire publiquement en septembre 2019 qu’une autre panique liée aux agents pathogènes était à prévoir pour 2020 – quelques mois avant le COVID-19.

Les détails criminels et son pouvoir de déduction l’ont conduit à la conclusion suivante : Emergent BioSolutions et ses décideurs préparent des choses bien plus grandes. Mais le crime organisé joue le tout pour le tout et perdra la partie lorsque les criminels seront dévoilés, ce sera « Game Over » pour eux !
Dans son interview exclusif avec Kla.TV, M. Schöning donne un premier aperçu de ses révélations explosives. Aidez-nous à faire connaître les criminels qui se cachent dans l’ombre, en diffusant cette interview brûlante d’actualité !

Intervieweur :

M. Schöning, bonjour !
Je suis heureux que nous puissions faire aujourd’hui cette interview ensemble. Il sera question aujourd’hui de votre nouveau livre, qui s’appelle « Game Over ». Un livre qui cite les auteurs et les actes, c’est ainsi que vous l’avez décrit et vous avez dit au préalable que vous donneriez des indications pour que les gens puissent savoir de quoi il s’agit.
Mais tout d’abord, faisons un peu connaissance avec M. Heiko Schöning. Vous n’êtes pas seulement un auteur mais aussi un médecin et donc du côté gagnant du système actuel. En termes de réputation et d’avantages financiers, vous avez donc les bonnes cartes en main.
Qu’est-ce qui pousse une personne comme vous à se dire maintenant c’est « Game Over » et il y a peut-être eu un événement clé qui vous a conduit à suivre ce chemin, qui n’est pas facile ?

Heiko Schöning :

Oui, merci beaucoup ! Eh bien, nous sommes en septembre 2021 et ma motivation de base n’est pas seulement la profession de médecin, mais c’est aussi le fait que je suis un père, donc que j’ai la responsabilité de mes enfants, et en plus de cela, je suis aussi un officier de réserve dans les forces armées allemandes et j’ai aussi prêté serment à un moment donné pour protéger les gens. Nous devons simplement savoir que ce que ce qui se passe est un crime organisé mondial.

Intervieweur :

Et pour en revenir à cet événement clé, est-ce qu’il y a quelque chose qui vous a préoccupé, où vous avez déduit que quelque chose ne colle pas ?

Heiko Schöning :

Oui exactement, Je vais vous dire simplement, comment j’en suis arrivé à cette constatation. J’ai moi-même travaillé sur trois continents au cours de ma formation. J’ai étudié à la Charité de Berlin, ainsi qu’en Australie et en Angleterre. J’ai traité des suicides au paracétamol sur trois continents, c’est-à-dire des personnes qui ont délibérément pris une surdose de l’analgésique paracétamol. Et en 2008, il y a eu un suicide présumé d’un assassin qui se serait tué avec du paracétamol et c’était le criminel de l’arme biologique anthrax, de septembre 2001. Et pour faire court, j’ai suivi cette affaire parce que je me suis dit : « Attends une minute, un tel microbiologiste se tuerait avec du paracétamol ? » C’est comme si un pilote de Formule 1 tel que Sebastian Vettel, prenait un vélo pour foncer contre un arbre avec l’intention de se tuer. J’ai alors fait des recherches plus approfondie et j’ai vu que ce suicide n’en était en fait pas un, et ainsi j’ai découvert une chose après l’autre.

Intervieweur :

Donc c’est quelque chose où vous avez dit que d’une certaine façon ça ne peut pas être, ce n’est pas plausible, le paracétamol n’est pas une drogue particulièrement puissante pour se tuer. Avec l’exemple du vélo, c’est facile à comprendre, et au cours de votre carrière de conférencier, il est également arrivé qu’on vous a empêché de parler.
J’ai appris qu’en septembre 2020, vous avez été interrompu et arrêté à Hyde Park à Londres, au célèbre Speakers Corner, alors que vous vouliez faire un discours. Il s’agit d’un endroit, comme nous l’avons appris en cours d’anglais, où depuis 900 ans, même les plus grands dissidents et critiques du gouvernement ont pu dire ce qu’ils voulaient sans en être empêchés. Est-ce un signe d’une société et d’un gouvernement hyper nerveux ?

Heiko Schöning :

C’est malheureusement le signe d’un crime mondial et vous avez raison, cette bonne tradition de 900 ans de liberté d’expression au Royaume-Uni, à Londres, à Speakers Corner, a pris fin le 26 septembre 2020 lorsque j’ai été arrêté, emmené avec des menottes parce que j’ai parlé, sur un banc, tout à fait pacifiquement, devant des gens, au sujet du Covid-19, donc sur le Coronavirus. Et ces images ont fait le tour du monde. Et ce que j’ai dit là c’étaient des informations importantes, c’étaient des preuves qu’il n’y a pas de virus mortel. Il s’agit plutôt d’une grippe saisonnière normale et toutes les mesures qui existent, là-derrière se cache un crime organisé mondial.

J’ai dit cela aussi là-bas et j’ai été arrêté, en toute illégalité. Cela a fait le tour du monde, mais bien sûr, le contenu est beaucoup plus important, et comme je viens de le dire, une fois j’ai résolu un suicide, l’affaire du meurtrier de l’anthrax de 2001 qui se serait soi-disant tué avec du paracétamol et qui a ensuite été stigmatisé comme seul coupable, alors j’ai rassemblé les preuves pour dire : Premièrement, cet homme ne s’est pas suicidé, et deuxième, il n’est pas le seul responsable.

Il était employé d’Emergent BioSolutions, une entreprise américaine de vaccins qui avait le monopole du vaccin contre l’anthrax, 20 ans auparavant.
Ces attaques qui ont tué des gens ont déclenché une telle panique ! Comme aujourd’hui c’est le Covid, Covid, Covid, à l’époque c’était l’anthrax, l’anthrax, l’anthrax.

Et quel est le lien maintenant ? Le lien est qu’aujourd’hui, la plupart des vaccins sont également produits à nouveau – comme je peux le prouver – par cette société criminelle Emergent BioSolutions. Nous connaissons donc les marques AstraZeneca, Johnson & Johnson, Janssen, Novavax et autres. Et pour toutes ces marques, c’est la société Emergent BioSolutions des États-Unis qui produit le vaccin pour eux.

Et le Dr. Bruce Ivins était un employé direct d’Emergent BioSolutions de 2000 à 2002, au moment du crime. Cette société a gagné des milliards de dollars avec ça et aujourd’hui à nouveau avec le Covid-19. C’est juste un bref résumé. C’est ce que j’avais essayé de dire à Londres. J’ai été invité à prendre la parole devant des dizaines de milliers de personnes à Trafalgar Square, à Londres. Au milieu de cette manifestation pacifique, la police l’a interrompue alors que j’avais le micro et quelques heures plus tard – comme vous l’avez déjà dit – j’étais encore une fois arrêté à Speakers Corner.

Intervieweur :

Et c’est peut-être cet événement qui vous a motivé à continuer à travailler sur votre livre. C’est de cela que nous voulons parler. Nous en arrivons au livre « Game Over ». Dans votre interview avec la chaine « Auf1 », vous avez dit que vous avez été empêché de parler à plusieurs reprises lors de manifestations dans toutes sortes d’endroits, et pas seulement à Speakers Corner. Finalement, votre livre comprend 500 pages – presque 500 pages. Et puis je lis ici que c’est le premier volume. Donc, de votre point de vue, il y a encore beaucoup de choses qui doivent être dites, même si on ne veut pas les entendre. Parlez-nous en.

Heiko Schöning :

Je ne peux que dire très sérieusement une chose : c’est que ce nous vivons actuellement – le Covid – est une supercherie, une illusion. Et cela dans le monde entier. C’est très sérieux. Et de nombreuses personnes sont déjà mortes à cause de ces mesures. Avec les mesures de confinement, des gens meurent en Inde et aussi en Afrique parce qu’ils sont affamés. Nous voyons ici aussi, bien sûr, les mesures répressives, notamment en matière d’économie. Et c’est, pour ainsi dire, l’objectif principal, c’est-à-dire l’économie de taille moyenne, qui est détruite, par un crack économique délibérément provoqué. Et quel est le prétexte, le stratagème ? C’est un virus, qui a été épandu – j’avais déjà averti en septembre 2019 lors d’une longue interview – virus déversé en septembre 2019. Et à ce moment-là j’ai pu prédire que des criminels planifiaient pour 2020 une grande panique avec des agents pathogènes. C’était 4 mois avant le début de la crise du Covid.

Intervieweur :

C’est intéressant, donc ça veut dire que vous étiez capable de prédire quelque chose qui s’est réellement produit ? Quel genre de preuve circonstancielle aviez-vous pour pouvoir dire ça ?

Heiko Schöning :

Oui, cette interview de septembre 2019, qui avait alors été diffusée, est également incluse dans le livre. Le livre comporte aussi deux DVD, ce qui signifie que la vidéo originale s’y trouve également. À l’époque, j’enquêtais sur les attaques à l’anthrax de septembre 2001 et je pouvais déjà affirmer que certains des mêmes auteurs planifiaient une panique pathogène majeure pour 2020 et qu’elle est à nouveau liée à la société Ermergent BioSolutions. Parce qu’ils ont aussi dit, par exemple, qu’ils allaient doubler leur chiffre d’affaires en deux ans. Et oui, ils ont plus que réalisé cela.

Intervieweur :

Maintenant peut-être que beaucoup de gens se demandent : « Comment pouvez-vous appeler cela un crime organisé international ? » De nombreuses personnes s’intéressent maintenant aux virus, aux protéines spike, à toutes sortes de choses et c’est comme ça que, comme il y a une grande confusion, les gens pensent : « Pour l’amour de Dieu, nous allons tous mourir ». Et d’autres pensent : « Ça ne peut pas être vrai, ils sont fous ».
Et on prétend dans de nombreux endroits – comme vous pouvez le lire dans les médias – que c’est ainsi, que tout est déjà correct. Cela signifie que vous devez expliquer de manière concluante pourquoi vous pensez qu’il s’agit d’un crime et non d’une pandémie mondiale, comme on dit.

HeikoSchöning :

Oui, exactement. Et c’est exactement ce qui a été fait. Nous avons créé une commission d’enquête extraparlementaire sur l’affaire du coronavirus lorsque celle-ci a éclaté, et ce livre « Game Over » présente le rapport final, pour ainsi dire, avec deux DVD, qui contiennent également les faits médicaux, où vous pouvez écouter les auditions d’experts avec des professeurs et des médecins de renommée internationale, c’est-à-dire que toute l’histoire de ce qui s’est passé y est inclus.

Vous pouvez entendre cela de la bouche des experts. Mais il est bien plus important de comprendre que nous avons affaire à des criminels. Des criminels dont on peut clairement prouver qu’ils ont commis des crimes il y a 20 ans. C’est ce que démontre le livre et le lien à faire c’est de dire : « Si nous savons déjà que c’est un quasi Al Capone de Chicago ou le Dr Josef Mengele qui a commis des crimes terribles pendant la Seconde Guerre mondiale, on ne fera plus confiance à ces personnes. » Et ce sont exactement les mêmes auteurs qui sont à nouveau actifs aujourd’hui autour du Covid-19.

Et tous les liens entre les personnes de cette organisation criminelle sont décrits dans le livre. Et ce qui est bien, c’est que ce n’est pas seulement du texte, mais aussi plus d’une centaine d’infographies, de sorte que vous pouvez aussi comprendre visuellement comment l’ensemble est relié.

Intervieweur :

Et maintenant voici encore ce jeu de cartes sur la table. C’est une autre approche que j’ai trouvée spéciale. Vous pourriez peut-être en dire plus à ce sujet.

Heiko Schöning :

C’est rendu très confus, bien sûr. Quand il y a un crime, les gens essaient toujours de le camoufler et de tromper. C’est similaire dans l’armée, camoufler et tromper. C’est pourquoi c’est relativement compliqué. Pour représenter quelque chose, il faut ensuite le placer dans un ordre déjà connu. Et un jeu de cartes, ici avec 52 cartes, c’est connu. Vous pouvez y jouer au skat, au poker et à bien d’autres jeux. Et là, les 52 personnages principaux, notamment les auteurs, sont représentés, et vous comprenez l’ordre. Vous avez le cœur, le pique, le trèfle, le carreau, vous comprenez l’ordre, tout comme si vous avez l’as ou le sept ou la reine et le roi. Et j’ai également placé ces mafiosi individuels dans cet ordre afin que vous puissiez comprendre quels sont les différents clans à l’œuvre ici.

En plus du livre nous avons également inclus ce jeu de cartes en allemand et en anglais, afin que vous puissiez vous faire une image de ces personnes. Car lorsque vous entendez un nom, il est bien plus facile de s’en souvenir, si vous avez un visage correspondant. Et c’est ce que tout ce jeu de carte peut faire.
Dans le livre également, ces criminels sont toujours représentés, dessinés. C’est ce qui est important et ce qui est nouveau. Ce livre ose non seulement appeler les auteurs par leur nom, mais aussi montrer les visages et les liens criminels.

Intervieweur :

Si nous avons maintenant affaire à une mafia, comme vous le dites, ne prenez-vous pas un grand risque ?

Heiko Schöning :

On me l’a déjà demandé en septembre 2019, car le projet de livre « Game Over » était déjà sur la table il y a deux ans, et j’ai pu brandir quelques preuves devant la caméra et j’ai également mentionné les connexions. Beaucoup de gens qui l’ont vu ont été choqués. Cette vidéo a ensuite été également censurée, elle a été supprimée de YouTube et bien d’autres choses encore. Et comme vous l’avez dit au début, j’ai souvent été empêché de parler, pas seulement à Londres, mais aussi à Berlin, le 1er août 2020, il y avait plus d’un million de personnes dans les rues, six heures de manifestation pacifique, et ensuite, nous, les médecins, étions censés parler sur scène. Et puis la police a pris la scène d’assaut. Le 1er août 2020 à Berlin.
Et oui, malheureusement, encore plein d’autres choses que nous voyons : la censure règne ici.

Intervieweur :

Bien, ce livre est disponible dès maintenant, si j’ai bien compris, ou est-il encore en phase de planification ?

Heiko Schöning :

Non, le livre est terminé maintenant. Beaucoup d’autres choses ont encore été intégrées en plus. Au lieu de le publier immédiatement, auquel cas il aurait principalement fait référence à l’anthrax de 2001, j’ai décidé de dire que les nouveaux crimes, qui sont beaucoup plus importants maintenant, qui sont beaucoup plus grands comme le Covid-19, doivent être inclus afin de montrer que ce sont les mêmes criminels qui l’ont planifié. Et la préconnaissance criminelle est la clé pour prouver que le Covid-19 est une fraude.

Et ce livre prouve simplement que certains des principaux responsables avaient une préconnaissance criminelle du Covid-19. Ce n’était pas une surprise, tout était prévu. Et nous voyons aussi que tout est orchestré, au niveau mondial !

Intervieweur :

Nous parlons du monde entier. Ainsi, en tant qu’observateur, on se demande, par exemple, l’Australie a mis en place l’une des stratégies anti-covid les plus rigides : « Zéro Covid » – extrêmement rapide, extrêmement dur dans les confinements et on se demande : Pourquoi l’Australie ?

Heiko Schöning :

Oui, il faut comprendre, enfin, j’ai dit, dans le jeu de cartes, les différents clans mafieux sont rassemblés, pour ainsi dire. Et il y a un clan mafieux qui est maintenant nouveau, que j’ai appelé la mafia techno. Et il faut bien voir que les entreprises qui se cachent derrière ont une grande connaissance du comportement des gens grâce aux stratégies publicitaires et autres. Et vous devez penser au Covid-19 comme à un produit. Ce sera comme un lancement d’un nouveau produit.

Et cela ne se fait pas partout et soudainement de façon égale à 100%, mais des zones tests sont d’abord créées. Et malheureusement, l’Australie et la Nouvelle-Zélande sont des marchés tests occidentaux pour ces criminels, pour tester jusqu’où ils peuvent aller avec ces mesures, avec ce confinement, avec ces mesures répressives. Et maintenant, l’armée est également utilisée contre le peuple pour faire appliquer les mesures coercitives. Et c’est exactement ce qui nous attend en Europe et aux États-Unis.

Intervieweur :

C’était ma prochaine question : Vous dites que si les choses continuent comme ça, il y aura des scènes comme celle que nous voyons actuellement en Australie.

Heiko Schöning :

Absolument. Nous l’avons vu au préalable, et c’est évident. Et c’est ce que j’ai également dit au début de l’année 2020. Et cette fois-ci aussi à Berlin le 29 août 2020, lors de cette grande manifestation de millions de personnes, où j’ai pu parler devant plus d’un million de personnes. Dans ce discours à Berlin, j’ai dit :
En Australie la phase de confinement est comme une démonstration de ce déroulement. Et exactement ces mesures seront appliquées en Europe. Et ces mesures sont effectivement arrivées. Comme je l’ai déjà clairement dit dans des interviews, nous sommes confrontés à une loi martiale médicale .Et c’est ce que nous vivons ici.

Intervieweur :

Eh bien, la question est : Que peut-on faire maintenant ? C’est une question qui préoccupe de nombreuses personnes. Il y avait et il y a des gens qui, sur la base de discussions sur Internet, avaient de très grands espoirs dans les États-Unis, dans le président Trump, et finalement rien n’en est sorti.
On peut donc dire que finalement l’attentisme n’est plus de mise. Alors, que conseillez-vous aux gens et comment peuvent-ils vous soutenir, par exemple ?

Heiko Schöning :

D’une part, je dois dire que tous ceux qui ont réellement mis leur espoir dans le président Trump ont été trompés. Parce que c’est un coup monté. M. Trump est également l’un des criminels, l’un des membres d’un petit clan mafieux. La vieille mafia de Reagan est derrière tout ça, les « Reaganites ». Et ils sont en concurrence avec un grand clan mafieux, appelé « l’establishment », que vous pouvez consulter en détail. Mais aussi dans ce livre il est clairement déclaré que Donald Trump est en contact avec l’un des principaux criminels, et son nom est Edwin Meese, qui a reçu une médaille en octobre 2019 dans le Bureau ovale de Donald Trump. Et c’est l’un des principaux criminels. En bref, Donald Trump est aussi l’un d’entre eux.

Et nous devons également nous rendre compte que nous, les humains, nous sommes en train d’être divisés en deux camps : les vaccinés et les non-vaccinés. Et les États-Unis risquent aussi maintenant de ne plus être les États-Unis, mais de devenir les États-non-unis. Il est donc très, très important que nous restions pacifiques, que nous restions dans un dialogue, que nous vainquons la censure et que nous ne nous laissions pas divisés. Parce que c’est précisément ça leur calcul. Parce que : « Quand deux se disputent, le troisième est content ».

Edwin Meese, en tant que bras droit de Ronald Reagan, a également fourni des armes aux deux camps : L’Iran contre des affaires, par exemple, est l’un de ses principaux crimes. Et l’Iran et l’Irak, les deux côtés, ont été livrés en armes pendant huit ans, massacrés et, à la fin, les sociétés américaines ont pris le contrôle d’un Irak affaibli. Et l’Iran sera confronté à une situation similaire.

Je ne peux que dire que c’est un coup monté. Et ce livre montre également les grandes structures, les structures historiques, comment on en est arrivé là. C’est pourquoi il est si important de comprendre ce qui se passe au début. C’est la raison pour laquelle le livre est structuré de cette manière ; pour passer de l’actualité et de la simplification à l’intemporel et à l’approfondissement. Cela vaut donc vraiment la peine d’avoir le courage de lire ce livre. Il contient de nombreuses illustrations originales, de nombreuses sources et vous pouvez également le vérifier par vous-même.

Intervieweur :

Oui, c’est également très important. Il y aura certainement une personne ou une autre qui fera des recherches. Mais vous avez dit que c’est un jeu orchestré, c’est international. C’est pourquoi nous allons peut-être retourner au niveau international. Il est certainement avantageux de ne pas continuer à réinventer la roue, mais de regrouper les initiatives et associations existantes, d’apprendre et de profiter les unes des autres. Vous êtes membre et vice-président de la « World Doctors Alliance » (« Alliance mondiale des médecins »), puis de l’« ACU 2020 » et de la « World Freedom Alliance » (« Alliance mondiale pour la paix »). Ce sont toutes des organisations que vous soutenez ou que vous avez fondées. Parlez-nous de l’importance de ces réseaux internationaux.

Heiko Schöning :

Une chose est la connaissance. En fait, je dis que nous devons faire cinq actions.
La première : nous devons montrer qu’ils sont des criminels – et c’est ce que ce livre montre, que ce sont des criminels et que c’est aussi le crime organisé et maintenant la question est aussi : Que faisons-nous – comment entrons-nous en action ? Et là il est important que nous nous réunissions ; nous, ensemble et que nous prenions des mesures contre tout ça. Et à cet égard, j’avais déjà créé la « Commission extraparlementaire d’enquête Covid19 » en mai 2020 et en juin nous avons déjà eu la première réunion de lancement avec les premières auditions. C’est aussi sur les DVD ici, donc là les preuves sont aussi intégrées pour qu’on puisse les consulter. Et en peu de temps, nous avons également rassemblé plus de 1 000 médecins en Allemagne, qui ont également affiché ouvertement leur nom sur le site web, afin de dire :

« Les mesures qui sont prises ici, sont absolument exagérées ! ». Et en fait, encore plus – nous le disons aussi avec la « World Freedom Alliance », c’est-à-dire l’organisation faîtière des mouvements de liberté mondiaux qu’il s’agit d’un crime orchestré, mondial, et nous allons même au-delà pour offrir une meilleure alternative. Car il ne s’agit pas seulement de présenter les problèmes, mais aussi la solution en même temps. Et là, j’ai eu l’honneur, comme vous l’avez dit très justement, de devenir également le vice-président de cette association médicale mondiale et aussi… de cette fédération du mouvement pour la liberté « The World Freedom Alliance.org ».

Intervieweur :

M. Schöning – merci beaucoup d’avoir pu discuter de votre livre aujourd’hui !
Je vous souhaite beaucoup de succès, que le plus grand nombre de personnes possible le lise, que ce soit quelque chose qui fasse avancer les gens, qui les rassemble. Je ne peux que souscrire à ces propos. Nous ne résoudrons le problème qu’ensemble, ou pas du tout.
C’est la chance du siècle. Vous l’avez également dit dans le discours préliminaire, c’est quelque chose qui donne de l’espoir, que nous voulons aussi transmettre aux gens.
Y a-t-il encore quelque chose que vous aimeriez dire au téléspectateurs, en conclusion ?

Heiko Schöning :

Oui, absolument ! Parce que vous avez tout à fait raison. Il est vrai que nous avons maintenant la meilleure chance depuis plus de cent ans de surmonter ce système. Ce système criminel dans lequel nous vivons et de ne pas simplement accepter cette « nouvelle normalité » criminelle et oligarchique, mais de créer une « meilleure normalité ». C’est ce que défend l’Alliance mondiale pour la liberté et c’est aussi ce que défend le programme économique « Wirkraft » – « wirkraft.org ».

« C’est effectivement ainsi que nous avons maintenant la meilleure chance depuis plus de cent ans de surmonter ce système, ce système criminel dans lequel nous vivons.
La véritable différence par rapport aux années et décennies précédentes, où les mensonges de guerre qui existaient déjà, ont entrainé la mort de millions de personnes, c’est que maintenant, ici en Occident, on y prête attention. Parce que trop de gens, dont moi-même, ont trop détourné le regard de ce crime organisé au fil des décennies. Des millions de morts au Vietnam, en Irak. Est-ce qu’on s’en souciait vraiment ? Avons-nous fait tout ce qui était possible ? Et maintenant, c’est notre tour. Et c’est là le principal message. Nous devons maintenant, en tant que pères, fonctionnaires, officiers, médecins responsables – tout le monde, nous devons maintenant nous rassembler et dire : Non à la mafia !

Parce que tôt ou tard, ce sera notre tour et c’est ce que nous réalisons maintenant, sur le plan économique et sur le plan physique. Non seulement nous sommes traités avec mépris, contrôlés, endoctrinés, mais nos vies sont en danger, ainsi que celles de nos familles. »
Par conséquent, unissons-nous maintenant ! Transmettez les preuves, elles sont résumées, dans le rapport final de la commission d’enquête Covid-19. Transmettez-le ! Merci beaucoup.

Intervieweur :

Oui, merci beaucoup. Kla.tv vous remercie pour cette journée ! Au revoir.

de s.l.

Sources / Liens

Livre de Heiko Schöning:
„GAME OVER. COVID-19 I ANTHRAX-01“, Septembre 2021.




Le Pr Didier Raoult répond aux mensonges de Mediapart

[Source : lemediaen442.fr]

Par Jacqueline pour Le Média en 4-4-2

Les chiens sont lâchés contre le Pr Raoult. Avant-garde de Big Pharma, Médiapart montre les crocs. Mais pourquoi la loi Avia ne s’applique-t-elle pas à tant de haine ? Et d’ailleurs pourquoi tant de haine ? Ah ! elle est belle l’attaque sans argument, le scud sans munition ! On vous a déjà montré l’embrouille dans cet article .

Sans l’OMS pas de salut, et pourtant…

Quels sont les « arguments » de Médiapart ? La première banderille : sulfadiazine et minocycline, deux composants du cocktail utilisé à l’IHU de Marseille pour soigner la tuberculose, ne sont pas approuvés par l’OMS.
Sur le site de l’OMS, p 108, les médicaments préconisés pour la tuberculose sont l’isoniazide, la rifampicine, la pyrazinamide, l’éthambutol et la streptomycine. Ce sont les premiers à avoir été découverts en 1946-1948. Ils se sont révélés soit inefficaces contre la tuberculose pulmonaire (streptomycine), soit trop longs à administrer pour être efficaces (18 mois dans les années 60), car les patients des pays pauvres ne suivent pas le protocole jusqu’au bout (voir la conférence du Pr Jacques Grosset). Et quand on dit pas efficaces, cela veut dire 1,2 à 1,6 million de morts par an.

Sulfadiazine et minocycline, utilisés à l’IHU de Marseille, ont pourtant été approuvés par l’ANSM : la sulfadiazine dans le traitement de la toxoplasmose et la minocycline contre l’acnée.
Outre la liberté de prescription du médecin (fort mise à mal actuellement), l’ordre des Médecins prévoit qu’il est licite d’utiliser des médicaments hors AMM. Rien n’interdit de les utiliser pour une autre maladie que celle qu’ils ont traitée à l’origine.
Le Pr Chabrière signale une étude de 2013 du Pr Drancourt (IHU de Marseille) sur la sulfadiazine concluant à l’efficacité de cette sulfamide comme alternative aux antibiotiques antituberculeux.

Des médicaments connus de tous, sauf de Médiapart

Deuxième banderille : les deux autres médicaments faisant partie de cette « expérimentation », affirme Médiapart, sans se soucier ni de prouver qu’il y a eu expérimentation ni de préciser les noms des médicaments, ne sont pas considérés comme les plus performants contre la tuberculose. Le Pr Raoult est certainement moins compétent que la journaliste de Médiapart, mais lui, il connaît le nom de ces médicaments. Il s’agit de deux traitements de la lèpre, la moxifloxacine et la clofazimine. Quant à une pseudo expérimentation, il s’en explique. La journaliste de Médiapart n’est pas outillée intellectuellement pour faire la différence entre expérimentation et traitement. Les explications psychologiques de Didier Raoult des méfaits de lobbies qui brassent des milliards et interdisent la recherche en France sont moins convaincantes que ses arguments scientifiques. Disons qu’il se refuse à hausser le ton.

Le Pr Jacques Grosset était le numéro 1 mondial du traitement de la tuberculose. Ses recherches à La Pitié-Salpêtrière, puis à l’université John Hopkins, avaient deux objectifs :

  • réduire la durée du traitement de la tuberculose
  • traiter les bactéries résistant aux antibiotiques actuels à cause de traitements interrompus. Les deux problèmes sont liés : des traitements sont interrompus parce que leur durée est très longue et créent des bactéries qui leur résistent.

Premier objectif des médecins et chercheurs : réduire la durée du traitement

Dans une étude en 2015, il a réanalysé la clofazimine, un antibiotique très bon antituberculeux, découvert dans les années 50 et utilisé des centaines de millions de fois. Titre de l’étude : « La clofazimine raccourcit la durée du régime de traitement de première intention pour la chimiothérapie expérimentale de la tuberculose ». La clofazimine (ou Lamprène®) est le traitement le plus efficace de la tuberculose et réduit la durée de l’infection. Ce médicament anodin, connu dans le monde entier, associé à un antituberculeux traditionnel, la pyrazinamide, est le meilleur de tous les traitements de la tuberculose.

La clofazimine reste efficace quand les autres antibiotiques sont devenus inefficaces. Il y a très peu de résistance à la clofazimine (0,22 %). Nouvelle référence du corps médical, Médiapart, la classait sans rire dans les médicaments qui « ne sont pas considérés comme les plus performants contre la tuberculose ».

À l’IHU, en revanche, on sait de quoi on parle quand on parle de tuberculose. Le premier des « publiants », en dehors de Harries, est Michel Drancourt, un collègue de Raoult. Pour nous, ajoute ce dernier, la bactérie la plus proche de celle de la tuberculose, c’est celle de la lèpre. Les médicaments utilisés depuis des décennies contre la lèpre (moxifloxacine et clofazimine) marchent pour la tuberculose. Inutile donc de mettre au point des nouvelles molécules qui vont coûter cher.

Deuxième objectif : traiter les bactéries résistant aux antibiotiques

Le Pr Raoult ajoute : 

« Est-ce qu’on peut traiter une tuberculose multi résistante avec la moxifloxacine et la clofazimine ? La réponse est oui. C’est pas de la recherche, c’est de la médecine. et c’est sur le site de l’OMS. La tuberculose fait partie des maladies en deuxième intention qu’on peut soigner avec les médicaments contre la lèpre. »

Attention ! soigner, c’est de l’expérimentation illégale

A l’accusation de Médiapart d’avoir pratiqué de l’expérimentation illégale, le Pr Raoult explique : 

« Est-ce que en associant la clofazimine à la pyriméthamine, on peut raccourcir le traitement chez les populations dont on sait qu’elles vont avoir de grandes difficultés à prendre le traitement ? Pour cela, on a demandé à faire un essai thérapeutique. Deux fois un comité des personnes nous a donné un avis favorable, puis on a eu une interdiction de l’ANSM fondée sur on ne sait quoi, qui nous a dit il n’y a pas assez de bibliographie là-dessus. Pourtant il est sorti 411 publications dans les 25 dernières années. Est-il normal que pour des recherches menées par des chercheurs reconnus sur des médicaments qui sont utilisés depuis des années avec succès, soient interdites par des gens n’ayant aucune compétence ? Il y a dix pays qui font des essais pour savoir si on peut raccourcir le traitement en ajoutant de la clofazimine. Résultats : on peut réduire le traitement des tuberculoses résistantes à neuf mois en ajoutant clofazimine et pyriméthamine ! »

Recherche ? interdit ! danger !

« Donc on n’a pas fait de recherches, car on a bien assez d’ennuis comme ça. Sur près de 300 tuberculose qui ont été diagnostiquées, 85 ont été traitées ici, dont 17 ont reçu de la clofazimine et pyriméthamine, 13 avaient des bacilles résistants qui correspondaient à une des recommandations de l’OMS, 3 SDF (on sait qu’ils n’arriveront pas à appliquer pendant 6 mois le traitement). Ce sont des décisions qui sont prises, comme le dit la loi sur la prescription et délivrance des médicaments hors AMM. »

Un médecin de plateau complotiste se lâche contre Raoult

Si le Pr Gilbert Deray n’a pas déclaré ses conflits d’intérêts (160 649 € versés par les labos), en revanche il a déclaré sur France 5 : « Quand vous rajoutez là-dessus de la politique, Didier Raoult finalement, dans l’HCL, moi, ce que je dis, n’a été qu’un pantin dont les fils ont été tirés par des gens bien plus puissants que lui : Bolsonaro, Trump et Narendra Modi (NDLR : Premier ministre de l’Inde) qui se sont servis de ce qui leur a été offert pour faire du mal à leurs populations. Vous avez vu ce qui se passe au Brésil avec l’affaire de cette chaîne de pitou (sic) qui ont donné des kits de chloroquine à des vieilles personnes qu’ils ont laissé mourir parce qu’ils ne voulaient pas que l’on puisse dire que l’épidémie était un problème. Quand vous mélangez l’ubris et la politique, vous avez un désastre. »

Un vrai cas d’école de « projection mentale » ! Définition : opération par laquelle une personne place sur quelqu’un d’autre ses propres sentiments, afin de se sortir d’une situation émotionnelle vécue comme intolérable. Ou plus simplement : « c’est celui qui l’dit qui l’est ». Muni de cet éclairage hautement psychanalytique, on comprend mieux le vrai message délivré par Gilbert Deray :

« Quand vous rajoutez là-dessus de la politique, Olivier Véran finalement, dans la vaccination covid, moi, ce que je dis, n’a été qu’un pantin dont les fils ont été tirés par des gens bien plus puissants que lui : Vanguard, Pfizer et Bill Gates qui se sont servis de ce qui leur a été offert pour faire du mal aux populations. Vous avez vu ce qui se passe en Israël avec l’affaire de cette troisième dose à des personnes qu’ils ont laissé mourir parce qu’ils ne voulaient pas que l’on puisse dire que la vaccination était un problème. Quand vous mélangez l’ubris et la politique, vous avez un désastre. »

La Timone : un état des lieux désolant

Didier Raoult, de son côté, ne peut que constater les dégâts de la gestion politico-bureaucratique : 

« Des dossiers personnels de patients diffusés dans la presse, des taupes partout, de l’hostilité, du mensonge, des réactions immédiates sur des rumeurs fausses. Notre directeur général devrait nous protéger au lieu de nous harceler. Quelqu’un veut détruire l’IHU. Me foutre dehors et Chabrière aussi. La Timone est moins bien gérée que l’hôpital général à Dakar. C’est un hôpital du tiers-monde. Il y a un peu de jalousie parce que, ici, on a refait les peintures et qu’on marche bien. A La Timone les prof s’en vont. Que le directeur général s’en occupe ! Que les administratifs retournent à leur métier. Quant aux journalistes, ils perdent toute crédibilité. » 

S’ils l’ont jamais eue, peut-on ajouter. Il faut dire que Pascale Pascariello, c’est pas Albert Londres et qu’il faut bien qu’elle gagne sa croûte. Pourquoi ne pas essayer de trouver un métier honnête, hein Pascale ?




Les Vérités laides de l’État Profond !

[Source : changera.blogspot.com via profession-gendarme.com]

Ce qui est constaté par cet avocat américain vaut en grande partie pour la France et il est temps d’en prendre conscience. Que ce soit les agressions et viols dans les trains de banlieues jusqu’aux abus de l’état policier envers les citoyens sans histoires tant par les policiers stricto sensu que par les institutions étatiques comme le fisc et autres services bureaucratiques contraignants obéissant à une caste qui veut garder le pouvoir, droite comme à gauche, complices dans une fausse opposition dont le seul but est de tromper le peuple qui a du mal à ouvrir les yeux sur le sort qui l’attend s’il persiste à n’être que spectateur de son malheur.
« “Quelle est la différence entre un politicien et un psychopathe ?” La réponse, hier et aujourd’hui, reste la même : aucune. »


Par John et Nisha Whitehead

L’empire des mensonges s’effondre : des vérités laides que l’État profond veut garder cachées !

« Le monde est un endroit dangereux, non à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et ne font rien. »

Albert Einstein

L’Amérique s’effondre ! Cette rupture déclenchée par la politique polarisante du cirque, l’hystérie de masse alimentée par les médias, le racisme, le classisme, le fascisme, la peur, le politiquement correct, l’assainissement culturel, la signalisation de la vertu, un sentiment de désespoir et d’impuissance face à la corruption et à la brutalité croissantes du gouvernement, une fracture économique croissante qui fait qu’une grande partie de la population a du mal à s’en sortir, et la militarisation et le « militainment » (la vente de la guerre et de la violence comme divertissement) – se manifeste dans la folie, le chaos et un mépris total pour les principes et les libertés mêmes qui ont gardé nous sortir des griffes du totalitarisme depuis si longtemps.

À New York, par exemple, une statue vieille de 200 ans de Thomas Jefferson tenant la Déclaration d’indépendance sera retirée de la salle du conseil municipal où il préside depuis 1915. Malgré les nombreuses réalisations importantes de Jefferson, sans lesquelles nous n’aurions peut-être pas les droits que nous faisons aujourd’hui, il sera banni pour avoir été, comme beaucoup de ses jours, un propriétaire d’esclaves. Curieusement, cette même attente brutale d’infaillibilité n’a pas encore été appliquée à de nombreux autres modèles de rôle politiquement corrects mais tout aussi imparfaits et faillibles de l’époque.

À Washington, DC, un tribunal de neuf hommes et femmes a parlé d’une seule voix pour affirmer que le gouvernement et ses hommes de main peuvent littéralement s’en tirer avec un meurtre et ne pas être tenus responsables de leurs actes répréhensibles. Les derniers arrêts de la Cour suprême sont une autre douloureuse leçon de conformité, un rappel que dans l’État policier américain, « nous, le peuple » sommes à la merci des forces de l’ordre qui ont un pouvoir discrétionnaire presque absolu pour décider qui est une menace, ce qui constitue une résistance, et à quel point ils peuvent traiter durement les citoyens qu’ils ont été nommés pour « servir et protéger ».

Partout dans le pays, de la Californie au Connecticut et à chaque point intermédiaire, des hommes et des femmes qui ont travaillé fidèlement et avec diligence à leur travail pendant des années sont licenciés pour avoir osé croire qu’ils ont droit à l’intégrité physique ; qu’ils ne devraient pas être contraints, contre leur conscience ou un meilleur jugement, de choisir entre la liberté individuelle et la survie économique ; et qu’ils — et non le gouvernement, ou la FDA, ou le CDC, ou l’État corporatif — ont la domination sur leurs corps. Assez commodément, cette pandémie de COVID-19 a créé un autre double standard dans la façon dont « Nous, le peuple » naviguons dans ce pays : alors que « nous, les classes moyennes » sommes soumis à des mandats de vaccination et se voient refuser même le droit d’être sceptique quant aux origines du virus COVID, sans parler de l’efficacité du soi-disant remède, le gouvernement, à l’abri de toute responsabilité grâce à des lois générales sur l’immunité qui garantissent que nous ne sommes guère plus que des cobayes pour leurs expériences douteuses.

Et puis en Pennsylvanie, un homme voyageant dans un train de banlieue a harcelé, agressé puis violé une femme pendant 40 minutes et plus de deux douzaines d’arrêts de train alors que d’autres voyageurs, regardant et filmant l’attaque, ne faisaient rien. Pas un seul témoin n’a appelé le 911. Pas un seul passant n’est intervenu pour aider la femme. Malgré le fait que l’homme était en infériorité numérique et aurait pu être dépassé par les passagers du train, aucun effort collectif n’a été fait pour parer à l’attaque. Ce n’est que lorsqu’il était trop tard, lorsque les dégâts avaient été causés et que le train avait atteint son dernier arrêt, que la police s’est présentée pour intervenir. Il y a ici une allégorie de ce qui arrive à notre pays et à ses citoyens, qui ont également été attaqués par un fou (l’État Profond), dépouillés de leurs filets de sécurité (leurs droits sapés et érodés) et sauvagement un démon (l’État policier américain et ses nombreux agents — les tribunaux, les législatures et leurs diverses armées) qui est dépourvu d’humanité tandis que ceux qui ne sont pas dans le collimateur immédiat regardent en toute sécurité à distance sans faire un geste pour aider. C’est de la folie, mais il y a une méthode à cette folie. C’est ainsi que la liberté tombe et que la tyrannie monte. N’oubliez pas que les régimes autoritaires commencent par des étapes progressives : surcriminalisation, surveillance de citoyens innocents, emprisonnement pour crimes non violents – sans victime, etc. Petit à petit, les citoyens voient leurs libertés restreintes et sapées au nom de la sécurité nationale. Et lentement, la population commence à se soumettre. Personne ne défend les personnes ciblées. Personne ne résiste à ces actes mineurs d’oppression. Personne ne reconnaît l’endoctrinement à la tyrannie pour ce qu’il est.

Historiquement, cet échec à dire la vérité au pouvoir a conditionné des populations entières à tolérer une cruauté tacite envers leurs semblables, un syndrome du spectateur dans lequel les gens restent silencieux et désengagés — de simples spectateurs — face aux horreurs abjectes et à l’injustice. Le temps nous a isolés de la violence perpétrée par les régimes passés dans leur quête du pouvoir : la crucifixion et le massacre d’innocents par les Romains, la torture de l’Inquisition, les atrocités des nazis, la boucherie des fascistes, l’effusion de sang par les communistes , et les machines de guerre à sang froid gérées par le complexe militaro-industriel. Nous pouvons nous dissocier d’une telle violence. Nous pouvons nous convaincre que nous sommes en quelque sorte différents des victimes d’abus du gouvernement. Nous pouvons continuer à débiter une rhétorique politique creuse sur la grandeur de l’Amérique, malgré les preuves du contraire. Déclarez votre Souveraineté ! Profitez en dehors du système truqué ! Protégez-vous de la tyrannie et de l’effondrement économique. Apprenez à vivre libre et répandez la paix ! Nous pouvons éviter la responsabilité de tenir le gouvernement responsable.

Service de drainage du marais par Trump face à l’État profond (CIA, NSA…)

Nous pouvons fermer nos bouches, lier nos mains et fermer nos yeux. En d’autres termes, nous pouvons continuer à exister dans un état de déni. Pourtant, on ne peut nier les vérités laides et dures qui deviennent plus évidentes chaque jour qui passe. Le gouvernement n’est pas notre ami. Cela ne fonctionne pas non plus pour « Nous, le peuple ». Nos soi-disant représentants du gouvernement ne nous représentent pas réellement, nous, les citoyens. Nous sommes maintenant gouvernés par une élite oligarchique d’intérêts gouvernementaux et corporatifs dont l’intérêt principal est de perpétuer le pouvoir et le contrôle. Les républicains et les démocrates aiment agir comme s’il y avait une énorme différence entre eux et leurs politiques. Cependant, ils ne sont pas tant des ennemis jurés que des complices, unis dans un objectif commun, celui de maintenir le statu quo . Le moindre de deux maux reste le mal. Il y a quelques années, un titre de journal posait la question : « Quelle est la différence entre un politicien et un psychopathe ? » La réponse, hier et aujourd’hui, reste la même : aucune. Il n’y a pratiquement aucune différence entre les psychopathes et les politiciens.

Plus que le terrorisme, plus que l’extrémisme domestique, plus que la violence armée et le crime organisé, le gouvernement américain est devenu une menace plus grande pour la vie, la liberté et les biens de ses citoyens que n’importe lequel des soi-disant dangers contre lesquels le gouvernement prétend protéger nous Le gouvernement sait exactement sur quels boutons appuyer pour manipuler la population et obtenir la coopération et la conformité du public. Si le vote faisait une différence, ils ne nous laisseraient pas le faire. Le gouvernement fantôme des États-Unis — qui est composé de bureaucrates gouvernementaux non élus, d’entreprises, d’entrepreneurs, de pousse-papiers et de boutons-poussoirs qui prennent actuellement la tête dans les coulisses et opèrent au-delà de la portée de la Constitution sans véritable responsabilité envers les citoyens — est la vraie raison pour laquelle « nous, le peuple » n’avons aucun contrôle sur notre gouvernement. Vous n’avez plus besoin d’être pauvre, noir ou coupable pour être traité comme un criminel en Amérique. Tout ce qu’il faut, c’est que vous apparteniez à la classe suspecte, c’est-à-dire les citoyens, de l’État policier américain. En tant que membre de facto de cette soi-disant classe criminelle, chaque citoyen américain est désormais coupable jusqu’à ce que son innocence soit prouvée.

« Nous, le peuple » ne sommes plus protégés par la primauté du droit. En rognant progressivement nos libertés – liberté d’expression, de réunion, de procédure régulière, vie privée, etc. aucune déclaration des droits pour nous protéger du bras long du gouvernement. La propriété privée ne signifie rien si le gouvernement peut prendre votre maison, votre voiture ou votre argent sous le prétexte le plus fragile, qu’il s’agisse de plans de confiscation d’actifs, de domaine éminent ou d’impôts fonciers en souffrance. De même, la propriété privée signifie peu à un moment où les équipes SWAT et autres agents gouvernementaux peuvent envahir votre maison, enfoncer vos portes, tuer votre chien, vous blesser ou vous tuer, endommager votre mobilier et terroriser votre famille .

Nous nous trouvons maintenant pris dans la ligne de mire d’une confrontation entre les droits de l’individu et l’état dit « d’urgence », et « nous, le peuple », sommes en train de perdre. Toutes ces libertés que nous chérissons — celles inscrites dans la Constitution, celles qui affirment notre droit à la liberté d’expression et de réunion, à une procédure régulière, à la vie privée, à l’intégrité corporelle, le droit de ne pas laisser la police saisir nos biens sans mandat, ou de perquisitionner et nous détenir sans cause probable – cela ne vaut rien lorsque le gouvernement et ses agents sont autorisés à ignorer ces interdictions sur les excès du gouvernement à volonté. S’il y a une maxime absolue selon laquelle le gouvernement fédéral semble fonctionner, c’est que le contribuable américain se fait toujours arnaquer.

Nos libertés, en particulier le quatrième amendement, continuent d’être étouffées par l’opinion dominante parmi les bureaucrates du gouvernement selon laquelle ils ont le droit de fouiller, de saisir, de dépouiller, de scanner, d’espionner, de sonder, de palper, d’utiliser un pistolet Taser et d’arrêter n’importe quel individu à n’importe quel moment pour la moindre provocation. Vaccinations forcées, fouilles forcées des cavités, coloscopies forcées, prélèvements sanguins forcés, alcootests forcés, extractions forcées d’ADN, scans oculaires forcés, inclusion forcée dans les bases de données biométriques : ce ne sont là que quelques-unes des façons dont les Américains continuent de se rappeler que nous avons aucun contrôle sur ce qui arrive à notre corps lors d’une rencontre avec des représentants du gouvernement. Enfin, la liberté n’est jamais gratuite. Il y a toujours un prix, toujours un sacrifice, qu’il faut faire pour sauvegarder ses libertés.

Nous ne pouvons pas rester silencieux face aux excès continus du gouvernement, aux prises de pouvoir et aux crimes contre l’humanité. Le mal déguisé en bureaucratie est toujours le mal. En effet, c’est ce que Hannah Arendt appelait la banalité du mal. Comme je le précise dans mon livre Battlefield America : The War on the American People et dans son pendant fictif The Erik Blair Diaries, un tel mal se produit lorsque des bureaucrates (gouvernementaux et privés) exécutent sans poser de questions des ordres immoral et inhumain ; obéir à des instructions immorales sans réfléchir ; marchez au pas des tyrans ; perpétuer sans réfléchir des actes de terreur et d’inhumanité ; et justifiez tout simplement comme « faire son travail ». Un tel mal prévaut lorsque les hommes et les femmes de bien ne font rien. En ne faisant rien, en gardant le silence, en étant témoins de l’injustice, de la haine et des méfaits, les bonnes personnes deviennent aussi coupables que l’auteur. Il y a un terme pour ce phénomène où les gens se tiennent debout, regardent et ne font rien — même lorsqu’il n’y a aucun risque pour leur sécurité — pendant qu’un acte horrible a lieu (quelqu’un est agressé ou violé ou intimidé ou laissé mourir) : on l’appelle le spectateur effet. Cela fonctionne de la même manière, qu’il s’agisse d’enfants regardant des intimidateurs tourmenter un camarade de classe sur une aire de jeux, de passants regardant quelqu’un mourir sur un trottoir, de passagers d’un train filmant un compagnon de voyage se faire violer sans intervenir pour les aider, ou de citoyens gardant le silence dans le face aux atrocités gouvernementales. Nous devons cesser d’être des spectateurs silencieux. Il est temps de défendre la vérité, la justice, la liberté, pas seulement pour nous-mêmes, mais pour toute l’humanité. Demain ce sera trop tard !

À PROPOS DE JOHN W. WHITEHEAD

L’avocat constitutionnel et auteur John W. Whitehead est le fondateur et président du Rutherford Institute . Ses livres Battlefield America: The War on the American People et A Government of Wolves: The Emerging American Police State sont disponibles sur www.amazon.com . Il peut être contacté à johnw@rutherford.org . Nisha Whitehead est la directrice exécutive du Rutherford Institute. Des informations sur l’Institut Rutherford sont disponibles sur www.rutherford.org.

https://www.activistpost.com/2021/10/the-empire-of-lies-breaks-down-ugly-truths-the-deep-state-wants-to-keep-hidden.html




Vers l’abolition de vos droits fondamentaux

Par Thibaux de Santé Non Censurée

Chère lectrice, cher lecteur,

La semaine dernière, lors d’une conférence de presse1, les membres du Parlement européen ont tiré la sonnette d’alarme.

Selon eux, “les droits civiques sont de plus en plus restreints2” suite à la mise en place du pass sanitaire. Le Pass sanitaire : un puissant outil de discrimination. Confrontés, comme vous et moi, au besoin de montrer patte blanche pour accéder à leur lieu de travail, les membres du Parlement européen dressent un constat inquiétant :

“Les droits humains fondamentaux tels que les droits humains à la liberté individuelle, à l’emploi, l’égalité, l‘éducation, la santé, la libre expression de la pensée sont gravement violés. Et dans toute l’Europe, des protestations pacifiques sont violemment réprimées3.” 

Destiné à l’origine à faciliter la circulation au sein de l’Europe, le pass sanitaire s’est transformé en un puissant outil de discrimination.

Nos droits les plus élémentaires sont aujourd’hui devenus des privilèges accordés par l’État sous la forme d’un… QR code !

Jamais il n’avait été question de restreindre l’accès à un lieu ou à une activité aux personnes non vaccinées… et pourtant !

Ce que les pires complotistes imaginaient… nos Gouvernements élus démocratiquement sont en train de le faire ! Des confinements pour les non vaccinés. Il faut croire que les pays de l’Union Européenne n’ont pas compris le problème. 

Puisque quelques jours après cette conférence, voilà que le chancelier autrichien, Alexander Schallenberg, annonce la potentielle mise en place d’un confinement pour les non vaccinés en cas de dégradation de la situation sanitaire actuelle4.

“Je ne permettrai pas que le système de santé soit surchargé parce qu’il y a encore trop d’hésitants et de procrastinateurs qui ne peuvent se résoudre au vaccin5.” assène-t-il. 

Donc faire un choix libre et éclairé concernant sa santé personnelle, ce qui, rappelons-le, est le droit le plus strict des citoyens, c’est faire preuve de procrastination ?

En Russie, de nouvelles mesures drastiques ont d’ores et déjà été prises dans ce sens. 

Les autorités ont ordonné un confinement pour “tous les plus de 60 ans non vaccinés” et ce pendant 4 mois6 ! 

Idem en Colombie, où une municipalité a imposé un confinement obligatoire sous peine d’amende à ses habitants “récalcitrants”7. Vite, ma 3ème dose… En France, la situation n’est pas plus rose pour les anti-pass (abusivement traités “d’anti-vax” par les médias).

Si un confinement n’est pas à l’ordre du jour, les employés non vaccinés sont la première cible de la dictature sanitaire, mettant à mal le droit à l’emploi. Pour rappel :

“Si un professionnel soumis au pass sanitaire ou à la vaccination obligatoire ne respecte pas cette règle, il ne sera pas forcément licencié, mais ne pourra toucher ni son salaire, ni d’indemnité chômage8.”

Tels étaient les mots de la ministre française du Travail et de l’Emploi, Elisabeth Borne, en août dernier.

En résumé, l’employé ne perd pas son emploi, mais ne touche pas un centime et se retrouve à la rue s’il ne suit pas la norme sanitaire. 

Je ne sais pas vous, mais moi j’appelle cela de l’asservissement par la contrainte.

En octobre, cette même ministre annonçait ne pas “exclure la perte du pass sanitaire pour ceux qui refuseraient la 3e dose9.”Fini la marelle à l’école sans QR code. Pire encore, les discriminations se propagent également dans les collèges et les lycées ! 

Les jeunes non vaccinés décelés cas contact sont “évincés” (dixit le Ministre de l’Éducation) pendant 7 jours, contrairement à leurs camarades vaccinés ou immunisés10.

Comble de l’absurde, cette mesure est également en vigueur pour les sixièmes, qui n’ont pourtant pas tous 12 ans et ne sont donc pas éligibles pour le vaccin11.

Et le tout sans assurance que l’enfant contraint de rester à domicile puisse continuer à suivre les cours.

C’est une véritable atteinte au droit à l’éducation !

Et dire que tout ceci part du postulat erroné que les non vaccinés sont les uniques porteurs du virus. NON !

Les personnes vaccinées peuvent toujours être porteuses du virus, elles peuvent toujours être malades ! Le vaccin n’assure qu’une potentielle protection, mais celle-ci n’est pas infaillible… sans parler des effets secondaires.

Pourtant… “Les personnes vaccinées sont testées positives à un taux plus important que les non vaccinés12”. Encore tout récemment, un rapport de surveillance de l’Agence de santé publique britannique a illustré que désormais, “les personnes vaccinées sont testées positives à un taux plus important que les non vaccinés, et ceci pour toutes les tranches d’âge à partir de 30-39 ans13.”

Ce qui est parfaitement normal dans une population majoritairement vaccinée et prouve bien que le vaccin n’empêche pas une contamination.

Alors pourquoi, partout dans le monde, observe-t-on de telles discriminations ?

Quels autres droits fondamentaux allons-nous voir disparaître au nom de la “santé publique” ?

Prenez soin de vous,

Thibaud de Santé Non Censurée

P.S. : Je viens d’apprendre dans le journal Libération que l’hôpital est à nouveau en “surchauffe”. Apparemment 20 % des lits d’hôpitaux seraient fermés faute de soignants14. Un chiffre nié par le Ministre Olivier Véran15, bien qu’il convienne d’un absentéisme inhabituel lié à une augmentation des démissions et de l’épuisement du personnel (rien à voir bien sûr avec les soignants suspendus parce qu’ils ne veulent pas du vaccin…). Comme en 2020, l’histoire se répète : face à la surcharge d’hospitalisation, les hôpitaux craquent de toutes parts et la seule solution viable que nous présente le gouvernement est de vacciner à tour de bras, sinon gare au reconfinement !! Je prépare activement un projet de résistance à ce choix infâme. Je vous en parle très vite.

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Sources

https://www.youtube.com/watch?v=MuVguEJA-tU
idem
idem
https://www.lematin.ch/story/lautriche-envisage-de-confiner-les-non-vaccines-746575434886
idem
https://www.capital.fr/economie-politique/face-au-boom-du-covid-19-en-russie-4-mois-de-confinement-a-moscou-pour-les-seniors-non-vaccines-1417681
https://www.rtbf.be/info/societe/detail_confinement-pour-les-non-vaccines-dans-une-ville-de-colombie-objectif-atteint-aux-etats-unis-le-point-sur-la-pandemie-de-coronavirus-dans-le-monde?id=10816979
https://www.capital.fr/votre-carriere/pass-sanitaire-un-salarie-suspendu-ne-touchera-pas-dallocation-chomage-1411587
https://www.europe1.fr/politique/borne-nexclut-pas-la-perte-du-pass-sanitaire-pour-ceux-qui-refuseraient-la-3e-dose-4071491
10 https://www.liberation.fr/societe/education/aux-colleges-et-lycees-on-aboutit-a-une-discrimination-des-eleves-par-rapport-a-leur-statut-vaccinal-20210902_PNP2OFXGKJECDDL7ODO4VBFC3U/
11 https://www.midilibre.fr/2021/07/29/nouveau-protocole-sanitaire-dans-les-colleges-quelles-regles-pour-les-moins-de-12-ans-non-soumis-a-la-vaccination-9701179.php
12 https://www.lefigaro.fr/sciences/les-personnes-vaccinees-ont-elles-plus-de-risque-d-etre-contaminees-que-les-autres-20211020
13 idem
14 https://www.leparisien.fr/societe/sante/hopital-public-un-lit-sur-cinq-ferme-dans-le-public-faute-de-soignants-selon-une-etude-menee-par-jean-francois-delfraissy-27-10-2021-HPUOXBFRZRDH5OLIAVN36KBMXM.php
15 https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/olivier-v%C3%A9ran-met-en-doute-le-chiffre-de-20-de-lits-ferm%C3%A9s-dans-les-h%C3%B4pitaux/ar-AAQ1GU5




Le nouveau monde orwellien, basé sur le contrôle et la surveillance

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Sonja van den Ende − Source OneWorld Press

J’ai déjà beaucoup écrit à ce sujet, nous le voyons progresser, mais uniquement dans le monde dit développé. Une société dystopique, vouée en fin de compte à l’échec. Un monde de surveillance, de dictature sanitaire, de QR-codes, de paiements électroniques, invivable pour la plupart des gens, qui ressemble aux anciens systèmes comme le fascisme ou le communisme totalitaire, simplement paré de nouveaux atours. On peut désigner ce monde comme technocratique, et fondé sur un système totalitaire à base d’Intelligence Artificielle. Reste que l’histoire nous a enseigné que tous les systèmes et idéologies qui sont devenus totalitaires ont échoué.

Les preuves affluent pour illustrer la nouvelle société dystopique, sur la vague de la soi-disant pandémie. J’aurais tendance à la considérer comme un nouveau système dictatorial et technocrate, et sanitaire également, mis en place dans de nombreuses régions du monde. Les tests de ce nouveau système mondial, intégrant un composant de crédit social, ont été menés en Afrique pour mettre en place ce système de crédit social, sur la base d’une pandémie, avec la coopération du GAVI, de la Fondation Bill et Melinda Gates, et en coopération avec le Forum Économique Mondial. Non sans ironie, ils l’ont baptisé « passe pour le bien-être », attention Afrique, on va voir le niveau d’utopie que vous allez atteindre! Comme chacun le sait désormais (j’espère sincèrement que nombre d’entre nous se sont enfin éveillés), il ne s’est jamais agi d’un virus. Il s’agit d’une problématique de contrôle, de villes connectées, de véhicules électriques, où l’Afrique va de nouveau se trouver exploitée pour le Lithium, ainsi que l’Afghanistan ; c’est la raison pour laquelle l’occident a dû quitter ce pays, un conflit géopolitique est en cours, avec pour enjeu non pas l’Afghanistan comme territoire, et encore moins son peuple, mais son lithium. Build Back Better, ainsi que la dépopulation du monde, choses en lesquelles Bill Gates et son père sont des experts, sont autant de composantes de ce nouveau monde dystopique.

Même l’Église Catholique trempe dans cette grande expérience, bien entendu en Afrique depuis de nombreuses années, mais également en Occident, après des années d’abus commis sur des enfants et de scandales pédophiles, ils ne font que poursuivre leurs politiques non-chrétiennes. Il ne faut pas oublier que l’Église Catholique est une excroissance de l’Empire romain, ou de ce que nombre de personnes appellent de nos jours l’Empire britannique ; c’est fondamentalement la même chose : l’idéologie unipolaire occidentale, et le colonialisme dans tous leurs excès. Donc, l’Église Catholique est impliquée dans ce nouveau monde dystopique, car elle possède beaucoup de richesses, et dispose de son propre État, le Vatican. L’Église protestante ne jouit pas de cette position et est désormais vue comme « ennemie » de l’État, surtout aux Pays-Bas. Le gouvernement hollandais vient d’entamer l’« approche douce » pour persécuter les Protestants, un sentiment de déjà-vu se fait sentir, qui rappelle l’époque des Huguenots. Ce sont bien les descendants des Huguenots qui vont subir le même sort, mais cette fois-ci dans les pays qu’ils avaient élus domicile il y a des siècles, pour y mener une vie de liberté, en jouissant de la tolérance des peuples. Aux Pays-Bas, ces Protestants vont être contraints à rester confinés, car nombre d’entre eux, pour des raisons religieuses, refusent de se laisser vacciner. Le gouvernement hollandais a également lancé un projet de recherche (en partenariat avec des organisations) pour établir si l’Église protestante fut impliquée dans l’esclavage aux Indes néerlandaises orientales. Bien évidemment que oui, c’est l’ensemble de la société qui l’était à l’époque, mais les plus grands criminels, et cela n’a pas changé, étaient l’élite, la famille royale hollandaise, qui feignent d’être chrétiens, mais leur religiosité n’est qu’un spectacle, joué pour duper le citoyen ignorant.

Le parlement hollandais a rejeté une motion qui avait été introduite par plusieurs partis, y compris le Forum for Democracy (FVD), qui énonçait le refus d’un système de crédit social aux Pays-Bas. Le gouvernement peut désormais introduire le système de crédit social, qui a déjà été lancé, bien entendu, avec le soi-disant passe Corona à QR-code. La prochaine étape sera le niveau d’émission en CO2, et la mesure de la quantité de viande consommée, pour en arriver à une censure de l’Internet, avec l’introduction d’un passe digital pour accéder à internet. Le système de crédit social de l’union européenne sera bien pire que l’expérience menée en Chine, qui n’a été menée que dans quelques villes. Le système de crédit social de l’UE vise à un contrôle absolu de votre corps, de votre comportement, de votre vie privée et en fin de compte de votre vie physique. Si vous ne vous soumettez pas, il n’y aura ni pitié ni recours, votre vie sera celle d’un marginal, sans aucun des avantages que vous vous êtes habitué à connaître. Préparez-vous.

Dans d’autres régions du monde occidental, comme en Australie, la société dystopique est d’ores-et-déjà une réalité. L’Australie a par le passé, et continue en ce moment, en tant que membre de l’Empire britannique, et sous influence des États-Unis, à préparer un conflit contre la Chine. L’Australie est le pays occidental le plus proche de la Chine, et nous connaissons tous son nouvel « AUKUS », présenté comme un nouveau pacte de sécurité entre le Royaume-Uni, les États-Unis et l’Australie ; c’est une tentative de contrer la Chine. Pour se préparer et doubler la Chine, ils ont déjà lancé leur système de crédit social draconien, et pire encore, leur État de surveillance constitue déjà une réalité. Des rapports alarmants pointent du doigt ce pays, qui fut jadis appelé terre des hommes libres, et qui constitue désormais le pays le plus répressif du monde occidental. Vous vous demandez ce que font Amnesty International ou les Droits de l’Homme? Bien évidemment qu’ils ne vont pas en parler, ils ne sont qu’un outil dans la main du même monde occidental, et ils ne parlent que des pays non-soumis, comme la Russie, la Syrie, ou bien les pays sous-développés. Mais l’Australie a toujours été un pays « raciste », basé sur le principe du meurtre des Aborigènes, et l’envoi des criminels sur la terre conquise. Le Canada en est un autre exemple, d’une manière différente de l’Australie, mais avec la même idéologie sous-jacente. Bien sûr, le pays le pire du monde est la soi-disant démocratie d’Israël, où la vie est un « enfer » pour la plupart des citoyens. C’était déjà le cas pour les Palestiniens, c’est en train de le devenir également pour les Juifs orthodoxes.

CONCLUSION

J’aimerais produire une conclusion, mais pouvons-nous en établir une? Je ne crois pas, le monde que nous connaissons désormais est instable, bourré de conflits et ultra-polarisé, avec de nombreux différends géopolitiques. Je crains que nous soyons revenus, comme les rugissantes années vingt du siècle passé, qui avaient débouché sur les terribles années trente, au chômage, à l’introduction (par la force) d’un nouveau système, conçu par les élites du monde occidental. Ce monde semble à présent mûr pour un conflit, et très probablement la guerre, par une guerre comme la seconde guerre mondiale, mais une guerre différente, une guerre biologique (nous en subissons peut-être déjà les effets), un agenda de dépopulation, mis en œuvre par les vaccinations et l’introduction de l’intelligence artificielle. L’eugénisme (qui n’est pas une nouveauté) est nécessaire aux yeux de l’élite, comme au cours des deux guerres mondiales, où l’eugénisme fut produit par la mort des soldats sur les champs de bataille, et bien sûr l’holocauste. À présent, à en croire la même élite, il y a trop de bouches à nourrir, et pas de travail (intelligence artificielle), et bien évidemment l’élite n’a aucune intention de partager ses richesses avec les pauvres. Les heures sombres de l’histoire de l’humanité sont de retour.

Sonja van den Ende

Traduit par José Martí, relu par Wayan, pour le Saker Francophone




« Panique aux USA. Les gens ne veulent plus travailler ! » L’édito de Charles SANNAT

[Source : Insolentiae]

Par Charles SANNAT

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

C’est un article des Echos.fr ici qui revient sur un mouvement qui panique aux Etats-Unis. Bon cela ne panique pas tout le monde. Disons que cela panique le patronat américain.

La « Grande Démission », le mouvement qui inquiète aux Etats-Unis

Voilà ce qui fait peur aux Etats-Unis.

En effet :

« 5 millions de personnes sont sorties du marché du travail depuis le début de la pandémie, notamment grâce aux performances de la Bourse qui ont permis aux plus âgés d’anticiper leur départ en retraite. Conjuguée à la reprise et à la transformation des emplois, « The Great Resignation » dope les salaires et accélère aussi les démissions dans les emplois de services ».

Je ne sais pas si c’est une grande démission, car je crois que c’est plutôt une grande évasion !

Les gens sont de plus en plus nombreux à rejeter ce système économique devenu fou, cette pression psychologique d’un « management » devenu insupportable ou encore la vie en ville épouvantable.

En réalité que propose le système au sens large.

Je vous en fait un résumé.

Un boulot mal payé, qu’il faut exercer dans une ville bondée, où les loyers sont hors de prix. Il faut donc s’entasser loin, au mieux loin, de son travail, utiliser des transports en commun qui sont inconfortables tant on on est serré et compressé comme des sardines, pour aller faire un boulot sans grand intérêt où l’on se fait pourrir par un chef sous pression des chiffres, pour un reste à vivre minable. Lorsque le voisin tire la chasse d’eau il vous réveille.

Alors, oui.

C’est la grande évasion, car beaucoup commence à prendre conscience qu’une autre vie est possible, loin de la ville et de « l’intensité heureuse » comme le dit en novlangue notre ministre du logement.

Ce mouvement n’est pas propre aux Etats-Unis.

Il est mondial .

Parce que les méthodes de management sont mondiales.

Parce que la pression qui s’impose à nous est mondiale de New-York à Paris c’est la même.

Parce que les grandes villes mondialisées sont toutes devenues tellement chères qu’elles contribuent à la ruine des classes moyennes censées faire tourner la machine.

Parce qu’Internet et les outils de télétravail abolissent en grande partie la distance.

Parce que nous n’avons presque plus d’usines.

Parce que le système a tellement tiré sur la corde qu’elle a cassé.

Ce n’est pas une « grande démission », c’est encore plus grave que cela.

C’est une grande grève.

Ce sont les gens qui, naturellement, ne veulent plus jouer le jeu que le système veut leur imposer.

C’est une grande évasion, pour plus de liberté.

C’est en réalité une excellent nouvelle.

Peut-être mauvaise pour le patronat, mais en réalité une très bonne nouvelle.

Le système ne peut fonctionner que parce que nous en sommes ses esclaves volontairement soumis, croyants à une fiction imaginaire imposée.

Ne plus jouer est suffisant pour entraîner ce système dans la chute.

Ce mouvement est également profondément favorable à l’environnement car il s’accompagne d’une volonté de vivre autrement, plus simplement, de façon plus sobre pour être plus libre et moins aliéné par la nécessité de la consommation.

Vive la grande évasion. Vive la liberté.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
Pour m’écrire charles@insolentiae.com
Pour écrire à ma femme helene@insolentiae.com

Vous pouvez également vous abonner à ma lettre mensuelle « STRATÉGIES » qui vous permettra d’aller plus loin et dans laquelle je partage avec vous les solutions concrètes à mettre en œuvre pour vous préparer au monde d’après. Ces solutions sont articulées autour de l’approche PEL – patrimoine, emploi, localisation. L’idée c’est de partager avec vous les moyens et les méthodes pour mettre en place votre résilience personnelle et familiale.

« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes »

(JFK)

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »




L’intellectuel Noam Chomsky préconise la stratégie de l’Holodomor 2.0 : Affamer les non-vaccinés pour les soumettre

[Source : reseauinternational.net]

Par Chris Menahan.

« Comment pouvons-nous leur fournir de la nourriture ? Eh bien, c’est en fait leur problème ».

Dans une récente interview, l’intellectuel de gauche Noam Chomsky a approuvé la mise à l’écart de la société des personnes non vaccinées et le refus de leur fournir de la nourriture dans le cadre d’une stratégie néo-bolchévique de type Holodomor 2.0 visant à les affamer pour les soumettre.

« Ces personnes doivent être… elles devraient avoir la décence de se retirer de la communauté, si elles refusent de le faire, alors des mesures doivent être prises pour préserver la communauté vis-à-vis de ces personnes », a déclaré Chomsky à l’émission Primo Radical sur YouTube ce week-end. « Vient ensuite la question pratique que vous avez posée : comment pouvons-nous leur fournir de la nourriture ? Eh bien, c’est en fait leur problème ».

« Bien sûr, s’ils deviennent vraiment indigents, alors oui on doit intervenir avec des mesures pour assurer leur survie, tout comme on le fait avec les personnes en prison », a ajouté Chomsky.

source : https://www.informationliberation.com

traduit par Avic pour Réseau International




France — Une croix pour faire tomber le régime

Par Joseph Stroberg

Comme l’a brièvement mentionné Alexandra Henrion-Caude dans une vidéo récente (voir Alexandra Henrion-Caude : « Le temps de la manifestation est révolu »), les chaînes humaines présentent un meilleur potentiel démonstratif et de concrétisation que des manifestations.
Lorsque les êtres humains se tiennent par la main, ils échangent directement leurs énergies vitales, émotionnelles et même mentales et psychiques. Ils se mettent à l’unisson, vibrent sur une note unique, se trouvent en symbiose, leurs énergies tournées dans la même direction. Si leur intention commune a été suffisamment définie au départ, cela représente un bien plus grand potentiel de concrétisation de leur projet que par le biais de manifestations même lorsque ces dernières sont organisées à l’échelle du pays dans plusieurs centaines de villes.

Comme rappel historique, la France représente la Fille aînée de l’Église chrétienne et l’esprit chrétien l’a marquée dès le baptême de Clovis. Sur un plan occulte, elle est gardienne du christianisme. Comme il a été évoqué dans l’article La France revivra-t-elle?, la France ne retrouvera sa grandeur passée qu’en puisant dans ses racines. Le symbole de la croix christique est puissant par l’égrégore qui le soutient, par le sang des nombreux saints et martyrs qui ont donné leur vie dans ce pays et pour cette nation. En réalisant deux immenses chaînes humaines, l’une du nord au sud de la France (de Dunkerque à Perpignan) et l’autre d’ouest en est (entre Brest et Strasbourg), chaînes se croisant à Paris, la capitale intellectuelle et spirituelle du pays, les Français participants, à condition de le faire dans un esprit chrétien, seraient en mesure de faire tomber le régime et le Système dans son ensemble.

Note

En comptant approximativement 1200 kilomètres par croix, compte tenu du kilométrage routier non linéaire, et 1 mètre cinquante par individu, il faut réunir environ 800 000 Français par croix, et donc 1 600 000 au total.
Une telle double chaîne humaine en croix peut se réaliser sur une journée à partir notamment de toutes les villes et bourgades situées sur le parcours routier ou au voisinage (jusqu’à 50 ou 100 kilomètres éventuellement).




Dictature, démocratie et liberté d’expression

Par Alain Tortosa

[Illustration : dessin d’Hector]

Aucune censure en France ?!

Les autorités et les Gafa tentent de nous museler
pour notre « bien » et « protéger la démocratie ».

Une limite à l’expression d’opinions est-elle compatible avec la démocratie ?

J’imagine que ce débat est aussi vieux que la politique. Notons que dans le domaine de la dictature, certains ont plus le droit de cité que d’autres. Il n’existe pas un jour sans un documentaire sur Hitler et les nazis sur les chaînes spécialisées. En revanche, vous verrez très rarement des documents sur Staline et strictement jamais sur la dictature chinoise et Mao. Il faut dire qu’il serait bien étrange de parler de cette dictature chinoise alors même qu’elle est importée dans notre pays chaque jour un peu plus. Les médias français ne manquant pas d’éloges sur la gestion et le contrôle de l’épidémie par les autorités chinoises.

Je vais donc me rabattre sur Pinochet, un dictateur de droite qu’il nous est permis de détester.

Sous son règne, un opposant qui prenait la parole était censuré, emprisonné, potentiellement torturé puis exécuté. Nous occidentaux criions avec justesse devant l’horrible censure de la dictature (et la cruauté du régime). Quand un opposant exilé écrivait un pamphlet dans lequel il appelait à renverser le régime, celui-ci avait toutes les louanges des « bons » occidentaux démocrates que nous sommes et pouvait même être couronné d’un prix Nobel de la paix. Au point que nul n’était choqué par un appel au meurtre du dictateur ou tout du moins que l’auteur se réjouirait de le voir mort.

Transposez exactement le même discours par le même opposant dans notre grande « démocratie ». L’opinion publique, les médias et les politiques trouveront totalement légitime de censurer l’auteur d’un texte visant à renverser notre Président. Et imaginez s’il appelait au meurtre de celui-ci ou du fait de se réjouir s’il venait à mourir… Pensez-vous un seul instant qu’il pourrait échapper à la condamnation morale, au matraquage médiatique, au procès et à la prison ferme ?

Même texte, même auteur, mais lieu ou régime « différent »…

Faire taire cet opposant en pleine « dictature » serait donc de la censure et en ferait un prisonnier politique à nos yeux. En revanche le faire taire en « démocratie » serait de la légitime défense et viserait à protéger notre système et nos valeurs pour le « bien commun »…

Cela ne vous ébranle pas ? Cela ne vous ébranle pas qu’un réseau social puisse censurer un président des États-Unis en exercice, un président brésilien ou une députée de la République française pendant son mandat ? Cela ne vous ébranle pas que nos médias nationaux (et publics) s’acharnent sur eux et les traîne dans la boue alors même qu’ils sont démocratiquement élus ?

Alors qui décide si nous vivons en dictature ou en démocratie ?

Il suffit de l’écrire sur un papier à en-tête ? Rappelez-vous de la RDA, République Démocratique Allemande !

Connaissez-vous des dictatures joyeuses qui clament leur statut haut et fort ? Le fait est que seul le vainqueur décide du vocabulaire adéquat.

Durant la 2e guerre mondiale (et dans tous les pays dans lesquels il y a opposition politique et/ou guerre civile), celui qui provoquait des attentats sur son propre sol était qualifié de « résistant » ou de « terroriste » selon le camp de chacun :

  • Les alliés ont gagné la guerre, l’auteur des attentats est donc devenu un « résistant » que l’on adule et que l’on célèbre. « Résistant » qui appelait à la révolte, « résistant » qui appelait au meurtre et « résistant » qui a assassiné « héroïquement ».
  • Si les nazis avaient gagné, l’auteur des attentats serait resté un « terroriste » que l’on déteste pour ses propos et ses meurtres odieux.

Prenons l’exemple un peu plus récent des brigades rouges en Italie. Ces antifascistes ont décidé de poursuivre la guerre et en sont arrivés à détruire des biens puis enlever et exécuter des personnes de pouvoir ou leurs proches. Ils ont terrorisé l’Italie pendant des années et fait couler du sang. Ils n’ont pas gagné, ils n’ont pas fait tomber le pouvoir en place et sont donc automatiquement décrits comme des « terroristes » qui ont provoqué des « attentats sanguinaires » et des « assassinats ».

Si ils avaient gagné, ils seraient fêtés comme des « héros de la révolution » pour leurs actes de « résistance » et « d’héroïsme ». Et ne croyez pas que si nous étions venus au monde juste après leur victoire nous aurions pensé qu’ils étaient des « criminels sanguinaires ». Nous les penserions « héros » comme tout le monde.

Ceci prouve à quel point notre vision est sous le prisme d’une idéologie et d’un formatage.

La censure n’existe que dans les dictatures tandis que dans les démocraties il n’y a que la protection de l’idéal démocratique et des personnes.

Nous sommes face à un dogme.

La censure ne peut donc PAS exister en démocratie, car si elle existait ce ne serait plus une démocratie.

Et comme il a été décidé que nous vivions en démocratie, il ne peut y avoir de censure. CQFD.

La « censure » ou la « protection de la démocratie » que nous subissons ou que nous vivons aujourd’hui est ainsi exactement du même ordre que durant la Deuxième Guerre mondiale ou les brigades rouges.

Revenons à notre présent…

S’il ne s’opère pas de changement majeur dans la gouvernance de notre pays et la gouvernance mondiale alors les personnes qui sont actuellement privées de liberté de parole demeureront des « complotistes », des « personnes d’extrême droite » ou des « antisémites » tels que décrits exclusivement et abondamment par les médias classiques.

Et tout naturellement si une nouvelle gouvernance et un nouveau modèle voyaient le jour alors les personnes qui sont actuellement privées de liberté de paroles deviendront des « résistants » et des « garants des droits de l’homme et des libertés » avec l’approbation des médias qui auront alors retourné leur veste sans le moindre éclair de conscience.

Toujours la même rengaine, même discours, mêmes actes, mais vocabulaire qui est défini par le vainqueur.

D’aucuns penseraient que la démocratie est l’expression du « bien » et du « sens moral »… Nous vivons en « démocratie » et nous sommes donc les « gentils ».

Avez-vous la naïveté de croire que la majorité du peuple allemand se sentait du côté des forces du mal et qu’il avait le sentiment de vivre en dictature durant la 2e guerre mondiale ? Avez-vous cette même naïveté concernant le peuple sous Staline ? Rappelez-vous la chanson de Sting « The Russians Love Their Children Too ».

Seuls les habitants des USA ou de l’Europe se pensaient être les « gentils » ? »

Demandez aux Français qui se confinent, portent des masques, s’injectent trois doses de médicaments expérimentaux, doivent présenter un passe-sanitaire pour aller au restaurant et voient d’autres Français interdits de voyages ou de sport, s’ils se sentent vivre en dictature ?

Pour autant, tout « démocrate » que nous sommes, tout adhérent à la doctrine des élections libres à scrutin majoritaire que nous sommes, nous demeurons viscéralement opposés à une démocratie qui autoriserait VRAIMENT le peuple à décider de la politique de son pays, et ce, quelle qu’elle soit.

Nous avons la naïveté ou l’aveuglement de croire que nos lois sont l’expression de la majorité alors même que nous dénions à la majorité le droit de décider librement des orientations du pays.

Vous voulez quelques exemples ?

  • Demain 70 % des Français décident que l’état islamique doit s’appliquer en France.
  • Demain 70 % des Français décident que toutes les personnes d’une certaine ethnie doivent être déportées et placées dans des camps pour « leur sécurité ». (Notons que cette annonce ferait scandale sauf si cette « ethnie » représentait les non-vaccinés comme cela est désormais proposé dans plusieurs pays.)

Vous êtes d’accord, vous acceptez la décision démocratique issue de cette majorité de français ? Au nom de quel principe aurions-nous le droit de refuser cette décision librement issue des urnes ? Ce ne serait « que » l’expression de la démocratie ! Ici encore, vous pourriez vous réfugier derrière la légendaire « moralité de la démocratie ».

Iriez-vous jusqu’à dire que tous les crimes odieux ou discriminations perpétrés dans le monde par des gouvernements n’étaient pas légaux ? Il y a toujours eu des lois pour autoriser des discriminations et même des meurtres ou des génocides. Je vous rappelle que l’assemblée a librement donné les pleins pouvoirs à P. Pétain en 1940 et qu’elle a donné les pleins pouvoirs à E. Macron en 2020.

Vous voyez, on veut bien d’une liberté, mais « encadrée ». Dès que l’on commence à parler de liberté d’expression… celui qui veut la limiter « pour notre bien » s’empresse de dire que ne pas mettre de limites reviendrait à avaliser l’anarchie et l’appel au meurtre. Trop facile comme pirouette !

Je vous rappelle que toutes les mesures de diminution de nos libertés sont systématiquement mises en œuvre pour le « bien commun ». Limitations de vitesse, contrôle technique, ceintures de sécurité, interdictions de fumer, vaccins obligatoires, normes en tout genre, passeports pour les déplacements, interdiction de véhicules anciens, etc. La prétendue sécurité grignote chaque jour un peu plus nos libertés depuis des dizaines d’années. Regardez les panneaux d’interdictions à l’entrée d’une plage ou d’un parc !

La crise Covid en est une apothéose avec les interdictions de déplacements, de loisirs, d’obligation d’une muselière, de passeport avec vaccination obligatoire pour aller au restaurant, et bientôt sans doute, un abonnement à vie à une injection expérimentale et dangereuse tous les 6 mois ! Le pire est que cette dictature Covid est d’une douceur extrême au regard de la dictature dite « écologique » en préparation qui va battre tous les records de suppression des droits de l’homme ad vitam æternam pour « sauver la planète » !

« Condamner l’humain pour sauver l’humanité ! » Tel pourrait être le slogan de Skynet dans Terminator.

Mais revenons à la liberté d’expression, le « démocrate » utilise des exemples extrêmes pour justifier la censure. En novlangue chère à Georges Orwell, « l’interdit c’est la liberté ».

Dans ce délire sécuritaire fantasmagorique, si une liberté sans limites n’est pas soutenable alors la limite devient légitime et souhaitable.

Bien entendu dès lors qu’il y a une limite, c’est la porte ouverte à l’arbitraire. Qui va décider du bon curseur ? Selon que vous êtes considéré comme « résistant » ou « complotiste » vous voyez bien que le réglage est totalement différent.

Mais suis-je bête ! Je n’ai toujours rien compris ! Dès lors que la limite est instaurée par un État démocratique, aucune limite ne peut être arbitraire ! Encore une fois, voyez comment nos libertés ne sont qu’un lointain souvenir dans le cadre de la dictature pseudo-sanitaire que nous subissons sans broncher.

Et une majorité de Français se révolte ou en redemande ?

Question pour un champion :

« Je ne veux pas mourir du méchant virus. Je suis un vieil obèse avec du diabète. »
« Je me suis éclaté pendant les années 60. »
« Ma maison a été payée par l’inflation. »
« J’ai une retraite indécente que la moitié des Français ne pourra pas toucher même durant sa période active… »
« Je ne veux pas mourir du méchant virus. »
« Je veux continuer à faire des croisières sur des paquebots géants au personnel réduit en esclavage, tandis que vous serez obligé d’aller au boulot en vélo ou dans un RER bondé ! »
« Je pense qu’il faut généraliser le pass sanitaire, rendre la vaccination obligatoire, masquer mes petits-enfants, enfermer les non-vaccinés dans des camps et piquer tous les nourrissons dès leur naissance tous les 6 mois ! »

Qui suis-je ?

« Je suis, je suis… »
« … Un enculé d’Occidental ! »

Mais bon, ce n’est pas parce que de nombreuses personnes sont absolument opposées à la liberté d’expression et à la liberté tout court que cela doit m’empêcher de poursuivre ma réflexion.

Une liberté totale d’opinion et d’expression est-elle viable sans tomber dans le chaos et la barbarie ?

Prenons un exemple extrême… Une démocratie peut-elle autoriser un individu ou un groupe d’individus à exprimer son désir de voir disparaître un autre individu ou un autre groupe d’individus ? Pour le législateur ou pour des millions de Français, cette question n’a pas de sens, mais poursuivons.

En premier lieu, il ne faut pas confondre l’interdiction de l’expression avec l’interdiction de la pensée. Vous pourrez empêcher (plus ou moins) une personne de s’exprimer publiquement, beaucoup moins en privé, mais vous ne pourrez pas l’empêcher de penser. Quel serait le but d’interdire l’expression d’une pensée ?

Sommes-nous plus protégés si nous ignorons que X ou Y veut tuer Z ?

Aux USA, le parti nazi a le droit d’exister, de s’exprimer et de défiler… Personnellement je pense que je me sentirais plus en sécurité si je pouvais comptabiliser mes ennemis. Ça m’intéresse de savoir s’ils sont 10 ou 10 millions ! Et comment le savoir s’ils doivent cacher leur pensée ?

En France, celui qui pense et dit qu’il faudrait exterminer X ou Y peut et même « doit » être condamné selon les lois en vigueur. Celui qui pense et dit que X ou Y est inférieur peut et « doit » aussi être condamné Et celui qui pense et dit qu’il n’y a pas eu de crime contre X ou Y par le passé peut et « doit » être condamné.

Toutes ces censures protègent-elles une victime potentielle d’une éventuelle agression ou d’un crime ?

Prenons l’exemple récent du pauvre Samuel Paty. Je ne me suis pas vraiment penché sur l’affaire, mais voilà ce que j’en ai retenu.

La légende voudrait que le malade mental en « mission divine » ait décapité cet homme grâce à la « complicité » ou tout du moins le « laisser faire » des réseaux sociaux. Nous avons donc « machin le taré » qui se balade sur Facebook, voit qu’un prof a « blasphémé » et va donc aiguiser sa hache pour lui couper la tète. Et toutes les bonnes âmes de penser que s’il n’avait pas disposé de l’information, il n’y aurait pas eu de victime. Permettez-moi d’en douter, car je peux supposer que son désir de couper des têtes avait débuté avant d’avoir accès à cette information sur Samuel Paty. Il n’est pas totalement illogique de supputer que son crime était en gestation et que s’il n’avait pas assassiné Paul, il eut été probable qu’il eut assassiné Jacques.

On peut donc se poser la question suivante :

« Qui a mis dans la tète de ce taré qu’il était juste de couper des têtes et que cela permettait d’aller au paradis ? »

Et là je marque un premier point… Tout simplement parce qu’il sera plus facile de repérer et suivre l’individu s’il a toute liberté de publier sur les réseaux sociaux son désir de couper des têtes que s’il garde l’information en lui ou dans son carnet planqué sous son matelas.

Vient alors le dernier argument « massue » de la « contagiosité de la folie ». Parce que notre taré a bien été influencé par d’autres tarés pour avoir cette idée de taré dans la tête. Et d’imaginer que si le taré qui lui a mis dans la tète n’avait pas pu lui communiquer l’idée tarée, notre exécuteur n’aurait pas été contaminé et ne serait pas passé à l’acte.

La « censure » ou « protection de la nation » viserait donc à empêcher le « taré penseur » de pouvoir répandre son fiel. (je n’aborderai pas le fait que le « taré penseur » est lui-même nourri par le « taré penseur précédent », etc.)

Nous arrivons là sur le seul argument qui pourrait tenir un peu la route pour justifier de la censure : « La contamination ! »

Empêcher un meurtrier d’annoncer son meurtre avant de le commettre me paraît complètement idiot. Si un gars écrit que demain il va buter Marcel, c’est plutôt une bonne chose qu’il l’annonce et que les forces de l’ordre enquêtent ou aillent l’interroger pour savoir si le gars fait « œuvre littéraire » ou qu’il a déjà la mitraillette chez lui. Bref un argument de plus en faveur de la liberté d’expression.

C’est donc principalement au nom de la « contamination » que tous les résistants à la dictature sanitaire sont entravés dans leur expression.

Questions :

  • Les crimes de masse existent-ils uniquement depuis l’avènement des réseaux sociaux ?
  • Les crimes de masse existent-ils uniquement depuis l’avènement de la télévision ?
  • Les crimes de masse existent-ils depuis l’avènement du téléphone ?
  • Les crimes de masse existent-ils depuis l’avènement de la radio ?
  • Les crimes de masse existent-ils depuis l’avènement de l’imprimerie ?

Et bien non… Peut-être n’existaient-ils pas avant l’invention du langage, et encore, je n’en suis pas sûr.

Je poserai donc la question suivante pas moins inintéressante :

« Ces outils de communication toujours plus “efficaces” ont-ils été de nature à pouvoir prévenir ces crimes ? »
La réponse est tout aussi négative.

Donc si ces outils de communication ne sont pas de nature à pouvoir prévenir des crimes de masse, comment pourraient-ils être de nature à pouvoir les encourager ou les autoriser ?

La censure, la bonne arme pour prévenir et combattre les idées nauséabondes ?

A-t-on évalué l’efficacité des lois qui « encadrent » (limitent) la liberté d’expression afin de lutter contre le racisme, l’antisémitisme ou tous les « ismes » que vous voulez ? Ces lois qui ont juridicisé la prise de parole ont-elles été de nature à faire reculer ces idées (nauséabondes) dans l’opinion publique ? Peut-on dire que la France d’aujourd’hui (censurée) est moins raciste qu’il y a 30 ans grâce à ces lois ?

Alors le racisme a-t-il reculé grâce à ces lois ou l’iceberg est-il plus immergé ?

Je pense que l’on doit combattre les idées par les idées et non par la censure. Pour cela on doit pouvoir s’exprimer sur tout et débattre de tout.

Si nos valeurs humanistes sont les « bonnes », pourquoi devrions-nous penser qu’il nous est impossible de gagner le combat ? Si notre discours est vérité historique, pourquoi devrions-nous craindre le débat ? Pourquoi ne pourrions-nous pas éduquer, former, expliquer, pour convaincre que l’autre en face à tort ou que ce qu’il pense est mal.

À moins de penser que l’homme est foncièrement mauvais, je ne vois pas pourquoi il faudrait lui interdire d’exprimer ses pensées, ce qui au demeurant relève de l’utopie.

La censure n’est probablement pas de nature à tuer l’idée, mais au contraire un terreau fertile !

L’adhésion sera toujours plus efficace et durable que la contrainte qui ne fait que renforcer son opposition et fait grandir les rangs des « anti ».

Être en permanence, dans des propos victimaires, prêt à dégainer l’arme juridique est sans doute le meilleur moyen d’entretenir un fond de commerce d’un statut de victime.

Expression sans limites ? Probablement, car c’est cela la démocratie ET la méthode présente probablement le meilleur « rendement » en termes de paix sociale et de sécurité.

  • Au risque qu’un individu énonce qu’il serait justice que je sois mort ? Oui je préférerais en avoir connaissance avant qu’il ne passe à l’acte si telle était son intention.
  • Au risque qu’un groupe d’individus exprime qu’il serait juste que les blancs mâles hétérosexuels dont je fais partie n’existent plus ? Oui je préfère en avoir connaissance et combattre leurs idées.

Qui n’a jamais souhaité la mort de tel ou tel en se disant que le monde serait plus beau ou que si par le passé tel ou tel avait été éliminé alors cela aurait évité des massacres ?

Si ce groupe demeure au stade de la pensée « ce serait mieux si », alors il est libre de le dire. Si ce groupe bascule dans l’organisation et la mise en œuvre de l’idée, alors il est du ressort de la justice et condamnable. Aux forces de l’ordre de faire leur travail et d’enquêter sur les individus dangereux plutôt que de traquer des enfants sans pass sanitaire !

Le mot juste a son importance capitale…

Reprenons les exemples suivants avec monsieur X :

Il ne peut y avoir de limite à l’expression d’une idée :

« Je pense que le monde serait plus beau si M. X n’existait pas » est l’expression d’une idée que je ne partage peut-être pas, mais qui peut s’entendre et se contre-argumenter.

Et même que :

« Je pense que le monde serait plus beau si M. X était mort » est toujours l’expression d’une idée sur laquelle je n’ai pas vraiment évolué depuis la ligne précédente.

En revanche :

« Je pense qu’il faudrait tuer M. X ou tous ses frères » ne relève plus de la liberté d’expression, mais d’une volonté affichée de nuire. Nous sortons du domaine de la liberté d’expression, du domaine de la pensée, du domaine de l’opinion, pour passer dans le domaine du projet qui vise à nuire.

Expression de la pensée versus mise en œuvre de la pensée.

Une justice indépendante avec à sa tète un collège de magistrats élus par le peuple et représentant les principaux courants politiques et de pensée, serait garante de la liberté d’expression. Le juge élu, contrôlé et sanctionné par ses pairs en cas de manquement, serait là pour statuer si le propos de tel ou tel relève de l’opinion, de la liberté d’expression ou s’il préconise une mise en œuvre, une action visant à nuire à autrui.

Alors suis-je pour la démocratie ?
Encore faudrait-il la définir…

Chaque individu est pour la « démocratie », au sens de l’expression de la majorité, uniquement lorsqu’il peut adhérer à cette expression. Je ne peux adhérer à l’actuelle « démocratie » française faite de privations de liberté de mouvement, de travailler, etc. Je ne peux adhérer à cette « démocratie » qui prône l’obligation d’injections qu’elles soient expérimentales ou pas, efficaces ou pas, inoffensives ou pas. Je ne peux adhérer à cette « démocratie » qui valide le crédit social, met en œuvre un passe-sanitaire, la discrimination et entérine une forme d’apartheid.

Je confirme ainsi être contre toute forme de censure et que la liberté d’expression est sans limites.

  • Je reconnais le droit à un professeur de médecine médiatique de penser que l’injection d’enfants avec le risque d’en voir mourir, pour sauver officiellement des vieux grabataire, serait une bonne chose. Je lui reconnais le droit d’avoir cette pensée, de l’exprimer, mais pas de me l’imposer.
  • Je me reconnais le droit de combattre sa pensée et que ma parole ne soit pas censurée.

En revanche :

  • Promouvoir l’injection chez des enfants alors même qu’il aurait connaissance des risques de décès et de l’inefficacité de la mesure ne relève plus de la liberté d’expression, mais d’une volonté de nuire, ce qui pourrait être interdit de publication, mais aussi relever du pénal.

On ne peut pas condamner une personne pour l’expression de ses pensées, mais uniquement sur ses actes répréhensibles commis ou pour lesquels il n’y a aucun doute sur le fait qu’il allait passer à l’acte, l’organiser avec des complices ou entraîner autrui à passer à l’acte…

J’ai bien conscience que ma vision de la liberté d’expression est actuellement totalement illégale en France et que toute personne qui en userait pourrait être poursuivie et condamnée.

Raison pour laquelle je pense (et il y en a d’autres) que nous vivons dans une dictature que l’on nomme « démocratie ».

Et le fait que je puisse écrire ces mots sans être a priori inquiété ne prouve en rien que nous sommes en démocratie, mais prouve uniquement que la dictature me pense inoffensif ou « utile ».

Je me retrouve malgré moi dans le rôle involontaire d’une opposition contrôlée, un alibi qui montrerait à ceux qui doutent :

« Il a le droit de s’exprimer, c’est bien la preuve que nous ne vivons pas en dictature ».

Le corollaire serait la censure ou la condamnation politique comme « ennemi du peuple » qui permettrait à la dictature de se protéger tout en présentant l’inconvénient de la faire apparaître au grand jour.

Est-il dans ces conditions « logique » que des « complotistes » soient interdits de réseaux sociaux, que leurs discours soient supprimés, voire même qu’ils soient condamnés dans notre belle « démocratie » ?

Bien évidemment, car leurs propos s’opposent à la politique sanitaire, la seule, l’unique qu’il soit possible de mettre en œuvre selon le Ministère de la Vérité. Par leurs propos ou leurs actes, ils « menacent » la politique gouvernementale et sont de fait un danger pour cette « démocratie ».

Pourquoi en est-il encore ainsi aujourd’hui ?
Parce qu’à ce jour tous les résistants sont encore les perdants.

Nous demeurerons donc des « complotistes » jusqu’à que nous fassions tomber la dictature et que l’on soit alors considérés comme des résistants. Mais pour cela, il faut faire tomber de nombreux murs du mensonge qui demeurent debout même si ils sont de plus en plus lézardés par des vérités de plus en plus difficiles à dissimuler.

Vive la liberté d’expression sans limites.

Merci

Alain Tortosa.

26 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211026-liberte-expression-censure-democratie.pdf

[Voir aussi : Effets de la censure]




La Belle et les truands (partie III)

Par Lucien Oulahbib

[Voir La belle et les truands
et La belle et les truands (Partie 2)]

Le déplacement à Drancy lui sembla bien instructif, alors que la voiture filait tant bien que mal entre les 30 et 50 à l’heure le long de murs gris laissés à l’abandon, avec de temps à temps une « griffe », mais plutôt des tags épars, suintant la crasse, mais aussi comme gardant en creux les souffrances humaines transportées dans cette patine sombre tant il lui semblait entendre encore (comme Proust le décrit si bien dans « À l’ombre des jeunes filles en fleurs ») leurs « murmures » enfouis en atomes de son implantés ainsi par les passants, en particulier lorsqu’il s’agissait de ces murs d’anciennes usines que tous ces travailleurs avaient croisés en 3/8 ; illusions perdues…

Aujourd’hui, leurs représentants ayant échoué à construire ne serait-ce qu’une contre-société tant les individus étaient de plus en plus « seuls » dans leur « existé » (disait Lévinas), tentaient encore de se rattraper aux branches du clientélisme le plus rance en fomentant l’idée par exemple qu’il était plus juste d’aider financièrement et de fournir un logement à une famille étrangère fraîchement débarquée qu’à un jeune couple de Français attendant depuis plusieurs années une même aide pour pouvoir s’installer et procréer. Certes, cette famille étrangère avait pu arracher une sorte de permis de séjour provisoire le temps d’étudier son dossier, mais tout le monde savait bien qu’il suffisait de placer ses enfants à l’école et d’en fabriquer un dans la foulée pour que cette famille ne soit plus expulsable. Or l’on mélangeait deux choses : le droit humanitaire qui doit relever d’instances communautaires mondiales (comme en bénéficient lesdits réfugiés palestiniens) et le droit national qui ne peut être réservé qu’aux citoyens et aux personnes ayant de réels permis de séjour.

L’appartement était douillet et silencieux, et alors qu’il mangeait sur le pouce, Z en profita pour se lover au coin du feu dans le fauteuil qu’il affectionnait pour feuilleter un ouvrage « collectif » (avec Éric Fassin en maître d’œuvre) que venait de lui conseiller un ami, et qui exprimait parfaitement cet esprit-là rencontré à Drancy imprégnant de plus en plus fortement les élites dites françaises, à savoir cette confusion des genres (entre problèmes internationaux — qui relèvent strictement de la solidarité internationale — et problèmes nationaux) présupposant dans ce cas à terme la suppression effective de la distinction juridique puis politique et donc électorale entre nationaux et non-nationaux.

Tandis qu’il prenait donc ce livre (intitulé « Cette France-là », 01 07 2008/30 06 2009 volume 2, diffusion la Librairie la Découverte, 2010), il apprit au même moment que le Groupe Sud Ouest avait décidé de ne plus faire état de sondages dans ses journaux, et que la gauche et l’extrême gauche avaient donné le feu vert au nom de la « lutte contre les violences d’extrême droite » à diverses milices Black bloc et autres Antifa afin de semer la terreur néo-léniniste façon année 30 lorsque les milices communistes staliniennes allemandes faisaient quasiment cause commune avec les milices nationales-socialistes pour aller casser sinon ensemble du moins parallèlement les meetings sociaux-démocrates considérés depuis 14 comme des sociaux-traîtres, voire comme pire que les nazis ; comme si aujourd’hui les patriotes nationalistes français étaient considérés bien plus dangereux que les djihadistes, ceux-ci étant au fond méprisés ou alors évalués de manière condescendante comme étant manipulés par le « sionisme » international provenant soit du « Mossad », soit du « néo-libéralisme ». C’était d’ailleurs la parfaite jonction entre les vieux courants drumontistes et maurrassistes — plutôt que maurrassiens — n’ayant d’un côté jamais rien compris à la chute de la Monarchie française, et de l’autre des histrions genre Vieille Taupe ramassis d’anarchistes se réclament à la fois de Proudhon et de Bakounine façon CNT espagnole bien implantée à nouveau parmi Sud et autres « Solidaires ». Tout ce beau monde formait ce remugle hérétique d’antijuifs congénitaux entremêlant des éléments illuministes christiques luttant contre les francs-maçons et le peuple « déicide » et tout un fatras « alter » post tiers-mondistes recyclé dans la « deep ecology » et supportant la matrice des ZAD et « intersectionnalistes » néo-léninistes (adeptes de l’écriture inclusive forçant à signifier masculin et féminin alors que la théorie queer du genre insistait à les effacer), chair à canon des affairistes, djihadistes et mélenchonistes en chambre (eux-mêmes idiots utiles des deux premiers).

À la page 4 de l’ouvrage, il est fait état d’une question écrite (dans un langage diplomatique et soumise au Premier Ministre de l’époque — fin 2009 — François Fillon) qui exprimait le souci suivant (suite à la crise de 2008 dite des « subprimes ») : » 

C’est ainsi que nous écrivions :

« (…) si la crise fait ressurgir le spectre d’un protectionnisme digne des années 1930, ceux qui s’en inquiètent aujourd’hui auraient tort d’oublier comment la xénophobie le suivait alors comme son ombre ; il serait donc illusoire de prétendre conjurer le premier en s’accommodant de la seconde. »

Dans un courrier reçu le 20 mars (2009) le Premier ministre nous répondait avec courtoisie : « vous affichez dans cet ouvrage l’intention de soumettre la politique de l’immigration conduite par le gouvernement à un examen argumenté. J’en prends acte et m’en remets à l’objectivité de votre travail. Je salue le caractère méthodique et l’ambition du premier volume paru. » Son courrier dépassait toutefois les exigences de la politesse, puisque François Fillon entreprenait de conjurer nos inquiétudes en s’y associant. « Quant aux craintes que votre lettre exprime, je peux vous assurer que j’en partage les principes et qu’aucun effort ne sera ménagé pour en écarter la menace : la République ne tolérera pas que la crise serve de prétexte au rejet, à la discrimination ou à la haine raciale. Le gouvernement que je dirige condamne avec une entière fermeté toute démarche visant à faire des immigrés, légaux ou illégaux, des boucs émissaires de difficultés économiques dont ils sont souvent les premières victimes. » (…) Un an plus tard, qu’en est-il ? Si les propos du Premier ministre se voulaient rassurants, l’action menée par son nouveau ministre de l’Immigration est au moins de nature à jeter le trouble. (…) Éric Besson n’hésite pas à aller plus loin que son prédécesseur (Brice Hortefeux) par exemple avec le « démantèlement de la jungle » de Calais ou l’expulsion d’étrangers vers des pays en guerre comme l’Afghanistan. (…) Ainsi parler de « mariages gris » ou de « supermarché de l’asile », c’est s’en prendre, en pratique, aux couples binationaux ainsi qu’aux réfugiés. (…) Avec la crise, le nationalisme et la xénophobie ne reviennent-ils pas en force, dans la société comme dans le monde politique, ainsi qu’on a pu le constater dans les dérapages qu’a encouragés le débat sur l’identité nationale et comme me montrerait l’acharnement de l’État français à l’encontre des étrangers ? (…) » 

(pages 4 et 5).

Tout y est dit pensa Z en fermant l’ouvrage. Et alors que son chat sautait sur ses genoux, il prit un grog, regardant les flammes éternelles dévorer la nouvelle bûche, et songea aux dégâts incommensurables exprimés par ce qu’il venait de lire. D’un côté, l’aveuglement tenace du pouvoir en place à l’époque qui n’a pas réussi à hisser le débat au niveau adéquat, à savoir cette confusion des genres entre un problème mondial, celui des flux migratoires liés pour une grande part à la faillite idéologique de la gauche, et la droite dite progressiste. À croire que la division internationale du travail et les fameux « avantages comparatifs » étaient la solution à tout, y compris aux corruptions locales (Wilson en 14 avait fait la même erreur avec l’Allemagne en forçant la France à ne pas faire en sorte que la première paye rubis sur l’ongle les dégâts de la guerre). Et de l’autre côté, la pression idéologique immense d’une gauche et d’une extrême gauche qui ne s’avouaient pas vaincue à faire de telles injonctions confusionnistes, alors que par ailleurs tous leurs modèles de « société socialiste » avaient échoué soit dans la misère, soit dans les massacres, soit dans la combinaison des deux, sans que pour autant il n’y ait eu de procès international pour juger ces millions d’assassinés aux divers Goulag staliniens et maoïstes, ces luttes internes qui ont vu des liquidations par dizaines de milliers comme en Algérie, à Cuba, au Venezuela, au Mozambique, actuellement en Afrique du Sud, voire des millions comme au Cambodge…

Sans que pour autant également ces gens ne se remettent en cause en tentant de se demander ce qui a pu échoué dans leur analyse, un peu comme Marx qui après avoir publié le premier tome du Capital, hésita à publier les deux autres tomes (sur la paupérisation généralisée et l’accélération de la baisse tendancielle du taux de profit liées à la mécanisation, ce qui était déjà faux comme Marx le pressentait), les confiant à son ami Engels qui les remit ensuite à Bebel et puis Kautsky (ennemi déclaré de Lénine, celui-ci n’ayant par ailleurs rien compris à l’attachement affectif à la notion de Nation). Or ces gens qui avaient écrit ce livre « Cette France-là » persistaient dans cette même engeance pédante des post-jacobins, celle de croire que si les Russes, les Chinois, les Vietnamiens, les Cubains, les Algériens avaient échoué c’est qu’ils avaient mal lu les textes, mais qu’eux, révolutionnaires « républicains » tendance remugle sauraient mieux réaliser. Sans oublier le fait que les centrales à charbon tournent au maximum en Chine et en Allemagne, mais que guère d’opposants viennent assombrir la quiétude de leurs ambassades feutrées nichées dans les quartiers cossus des grandes capitales occidentales.

Z toussa. Le chat maugréa et sauta vers le canapé à côté. À vrai dire, il réfléchit encore à cette lancinante tension à Drancy, celle de personnes se satisfaisant de cette espèce de no man’s land ambiant (tels ces vociférations quasi guerrières permanentes de femmes et ces « sale juif » relatés par Christine Kelly de C News) dans lequel le délitement se fait pratiquement par effet d’usure et superposition d’actions volontaires et involontaires. Ainsi cette vieille association d’habitants de Drancy aussi dépassée que les « patronages » pour occuper une génération biberonnée aux jeux vidéo et aux clips affriolants des raps à l’ambiance gangestérisée, sans oublier ces élus venus le toiser avec moult chiffres sur les retraites des étrangers et leur taux de chômage, ou même cette dame et son fichu fichu qui expliquait qu’elle paye ses impôts alors qu’il ne s’agit pas du tout de cela, mais d’abord de savoir si l’on partage un « être ensemble » et non seulement « un vivre ensemble ». Il ne s’agit pas seulement d’une cohabitation, mais aussi d’un « être » fait d’attributs divers. Ceci signifie que l’on a du bonheur à être là, définition même de la Cité selon Aristote et de la République pour Platon qui se traduit par Politeia et non pas Res publica (qui n’en est qu’un aspect) ou la distinction entre Le Politique (l’être singulier d’un Peuple ou Nation : ainsi la Nation cheyenne) et La Politique (les institutions permettant de gérer un régime nécessairement mixte dirait Aristote, car absorbant les conflits permanents et nécessaires entre l’Élite et le Peuple comme l’avait théorisé Machiavel).

Z soupira. Toutes ces choses n’étaient plus apprises à SciencePo. Bien au contraire. Au loin une sirène retentit. Il reconnut celle d’un camion de pompier et se rappela ce mot d’enfant qui dit tout de l’ambiance d’une époque : « tu vois Papa, quand c’est un camion de pompiers, la sirène veut dire “tiens bon, tiens bon”, mais quand c’est celle d’une ambulance elle veut dire “t’es foutu t’es foutu”. Il eut les larmes aux yeux : les camions de pompiers se faisaient plus fréquemment caillasser qu’admirer, sans oublier maintenant leur mise à l’index s’ils ne se faisaient pas injecter… Z se gratta la tête à cette idée. Il fallait bien pourtant dire quelque chose bientôt dessus tant cette hystérie sanitaire se doublait d’une frénésie à la fois affairiste et sécuritaire, une drôle d’atmosphère de plus en plus dilatée entre d’un côté le monde feutré des médias et des institutions qui vivaient dans une bulle semblable à celle des stations orbitales ou des nouveaux bordels échangistes dans lesquels amis et ennemis se croisaient et toisaient un moment, et de l’autre, le monde de la troisième étape des moments insurrectionnels lorsque la guérilla d’usure se superpose à la formation d’îlots fonctionnant sinon en enclaves du moins en isolats

Le temps était compté. Mais de plus en plus très mal conté. L’horloge sonna avec ce carillon de la cathédrale de Reims qu’il affectionnait. Quoique celui de Big Ben n’était pas mal non plus…

À suivre.

[Voir aussi L’immigration]




1 sur 5 : Nouveau film de Karl Zéro sur la pédocriminalité

[Source : fawkes-news.com]

Une fois encore, les médias français sont aux abonnés absents (le contraire aurait été étonnant vu le sujet abordé). Seul Le Figaro parle indirectement de la sortie de ce film. C’est à nous de participer à sa diffusion au plus grand nombre.

Nous dédions ce film à toutes celles et ceux qui, enfants, ont été sexuellement abusés . 
Aux enfants qui le sont aujourd’hui. Ensemble, nous devons faire changer la peur de camp. Ensemble, nous allons définitivement éradiquer ce fléau de notre société. Nous tenons à remercier toutes celles et ceux qui nous aidé à produire ce film, grâce à leurs dons, sur Ulule et Tipeee. 

La bataille ne fait que commencer. Nous allons avoir besoin de vous toutes et tous. Car 1 sur 5, ça fait 13 500 000 personnes…Plus toutes celles et ceux à qui 1 SUR 5 va ouvrir les yeux. Ca fait du monde. 

Ca tombe bien, la présidentielle arrive. Nous allons maintenant nous charger d’aller expliquer la réalité de la situation aux candidats. Leur proposer 5 mesures d’urgences. Et nous vous diront tout. Qui reprend nos mesures dans son programme, qui s’engage à les faire voter dans les cent premiers jours, et qui… n’en n’a rien à faire. 

Parce que si le fléau pédocriminel n’est pas un enjeu de société, alors…qu’est ce qui en est un ? Si d’aventure (on ne sait jamais) le film disparaissait d’ici, il resterait visible sur https://www.1sur5.org et sur https://vimeo.com/637839464/c31993c0bdO
Des news en plus sur https://twitter.com/karlitozero
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Des camps de quarantaine sont construits en Australie… pour les non vaccinés

[Source : Guy Fawkes News]




Alexandra Henrion-Caude : « Le temps de la manifestation est révolu »

[Source : Reservoir Apps]




Révélations de Philippe Argillier auprés de Christian Tal Schaller

[Source : Philippe Argillier le RDH / le HRU]

https://youtu.be/WpTlUCcFop0

[Voir aussi : Le gouvernement mondial de l’ombre]




Mathématiques et Enseignement : entre état des lieux et état d’urgence

Par Karen Brandin

Quel que soit le chemin qui nous aura finalement conduit un jour à nous présenter devant un parterre d’élèves avec l’envie, l’espoir, le devoir, la responsabilité toujours de transmettre de manière motivée et loyale un peu de mathématiques, nous avons tous à un moment emprunté de manière joyeuse souvent, douloureuse parfois, celui escarpé de l’algèbre. On a alors forcément croisé la route de la notion de groupe tout d’abord ; un enfant terrible, un peu insaisissable, à l’origine d’une théorie aussi difficile que riche, et qu’étudiante je trouvais redoutable parce « qu’instable ».

Dans un groupe, on se rassemble bien sûr par « caractères », par « classes d’équivalence », mais tout en gardant son identité et une certaine indépendance aussi. Il peut donc y avoir des tensions, car après tout, il n’y a qu’une loi interne pour régir l’ensemble.

Quand nous avons ensuite abordé la notion d’anneaux, je me souviens avoir été soulagée. On avait rigidifié le cadre ; c’était un peu comme si l’on avait ajouté un angle à une figure et avec lui, la possibilité nouvelle de se réfugier en cas de menace. Avec l’anneau, qu’il soit factoriel, principal ou noethérien, on devinait les prémisses d’une structure « idéale. »

Sont ensuite venus, dans cette maladroite esquisse d’une hiérarchie algébrique aussi partielle qu’imparfaite, les corps. De nombres ou de fonctions, on pouvait les étendre, les décomposer, mais dans tous les cas, on avait à faire à une structure stable, fiable, sur laquelle on pouvait s’appuyer ; une structure garante d’une certaine homogénéité.

Si j’évoque en préambule ces notions si peu présentes au lycée ou alors seulement en filigrane, c’est parce que l’on parle bel et bien du « Corps enseignant », du « Corps professoral » et que cela suggère peut-être qu’il est plus que temps de renouer avec la volonté, le courage, mais aussi une forme de solidarité intra et interdisciplinaire. Car en plus de masquer durablement les visages, les sourires et les expressions, la crise dite sanitaire, désormais suivie d’une vigilance du même nom, camoufle une entreprise de destruction massive contre laquelle il est urgent de se dresser : celle de l’éducation.

En conséquence, si l’on comprend difficilement ce qui pourrait justifier la prolongation d’un état d’urgence sanitaire, on souscrit en revanche sans réserve à un état d’urgence de l’école comme de l’hôpital, deux zones désormais sinistrées.

On nous avait prévenus : « Nous sommes en guerre, en guerre contre un ennemi invisible. » Cette guerre des mots, des idées, de la parole libre et éclairée brutalise les Corps forcément, menace de les disloquer.

Voici donc un nouvel appel à une résistance active, un appel à « faire corps » pour « faire sens » puisqu’il est urgent de protéger une discipline qu’à force de regarder agoniser, on va finir pour mettre en bière, mais cette fois sans l’humour et le talent tant regretté du groupe Bourbaki au moment de la publication de leur inoubliable faire-part de décès. Un canular à lire, à relire absolument alors que quelques mois à peine nous séparent de l’édition de « Récoltes et Semailles » d’A. Grothendieck annoncée chez Gallimard pour janvier 2022.

Cette tribune militante, engagée sans doute, n’a pas la prétention d’être exhaustive ; d’autres avant et avec moi se sont inquiétés de la tentation d’une forme de désinstruction, voire de déconstruction des savoirs et des êtres. Il s’agit avant tout d’une invitation aux enseignants, notamment issus de l’éducation nationale, à se mobiliser tout d’abord contre l’aberration d’une épreuve de spécialité prévue au mois de mars qui empêche d’aborder sereinement et de manière équilibrée, motivée aussi, les différentes parties d’un programme aussi hétérogène qu’ambitieux. Cette échéance doit être repoussée au mois de mai au plus tôt. Enseigner n’est pas associable à un processus de gavage, car d’un gavage, on ressort écoeuré, mais certainement pas instruit.

Parce que le temps presse, les profs doivent absolument sortir de leur mutisme et s’emparer à voix haute du débat, l’alimenter de sorte de construire une réflexion étoffée en plus d’un plaidoyer argumenté pour un enseignement de qualité, à la mesure tout simplement de celui que l’on a parfois eu la chance de recevoir et que l’on souhaite légitimement, à notre tour, dispenser. Je compte donc sur l’APMEP (([1] APMEP : Association des Profs de Maths de l’Enseignement Public)) et sur la SMF (([2] SMF : Société Mathématique de France)) dont on connaît l’engagement, pour soutenir cette requête.

Il conviendra aussi dans un second temps de se pencher sur la pertinence desdits programmes, notamment dans le cadre du lycée. Comme d’autres j’imagine, je serais curieuse de comprendre ce qui a pu motiver en terminale, la réintégration d’un chapitre sur les méthodes de dénombrement quand cet outil n’est finalement pas appliqué aux calculs des probabilités (ou si peu, avec la loi binomiale enseignée en classe de première il y a de cela deux ans). Pourquoi et comment a-t-on pu estimer que le chapitre pourtant fondamental des nombres complexes n’avait plus sa place dans le socle de spécialité, mais seulement dans le cadre de l’option facultative des maths dites « expertes ? » Pourquoi avoir réintroduit la notion d’équations différentielles du premier ordre, ce qui laisserait penser à une orientation vers des outils de maths appliquées, pour se séparer dans le même temps des lois continues dont l’étude de la loi normale si présente en médecine et en économie (cette loi associée à la fameuse courbe en cloche, la gaussienne, désormais si familière aux Français, covid oblige) ? Pourquoi lui avoir préféré l’inégalité de Bienaymé-Tchebychev, un outil difficile à appréhender si bien que l’on se retrouve réduit à des applications naïves qui produisent des résultats qui le sont tout autant avec des majorations souvent grossières ? S’il y a dans ces choix une motivation pédagogique, je ne la comprends pas. Que les enseignants des classes préparatoires notamment, ces observateurs en première ligne, n’hésitent pas à nous communiquer leur ressenti ainsi que les universitaires dont les retours sont encore trop timides.

André Revuz, dans les années 80, se posait déjà une question qui allait devenir le titre d’un magnifique ouvrage d’une intelligence et d’une pertinence intemporelle et qui forcent l’admiration, question plus que jamais d’actualité : « Est-il impossible d’enseigner les maths ? »

Avait-il seulement imaginé que cette discipline serait un jour considérée comme secondaire et reléguée sans émotion au rang d’option, les si mal nommées : « spécialités » ? Nous y reviendrons.

On est à un moment charnière, précipité par une réforme tellement aberrante qu’elle en serait presque risible si les conséquences n’étaient pas dramatiques ; un moment où l’on se demande si les maths ont encore un avenir en France ou si l’on finira par simplement les tolérer en les associant aux caprices de quelques originaux parqués au fond d’un couloir. À moins qu’on ne les réduise à des compétences strictement numériques, les maths « utiles » du digital. Depuis quelques mois d’ailleurs, elles sont trop souvent réduites voire assimilées aux entreprises, à bien des titres contestables, de modélisation. Un point de vue pour le moins réducteur.

Bien entendu, chaque début d’année est l’occasion de dresser un cahier de doléances pour ne pas dire de lamentations face aux dommages causés par un été mathématiquement meurtrier. Mais pour travailler avec des élèves de première et de terminale essentiellement depuis plus de quinze ans dans des contextes variés, force est de constater que je n’ai jamais observé avec cette intensité, une telle détresse en matière de compréhension, et ce, que les élèves soient issus de lycées privés réputés prestigieux ou de structures publiques ; c’est à dire qu’ils aient été soumis ou pas l’an dernier à ce régime absurde en plus d’être inégalitaire, de demi-jauge.

On a désormais le sentiment douloureux d’être réduits à dispenser un enseignement d’urgence, quelque chose comme les premiers secours pour parer au plus pressé en évitant l’hémorragie fatale à quelques heures du devoir surveillé, mais rien de réellement abouti qui garantirait la satisfaction d’un travail bien fait, c’est-à-dire, durable. À cette urgence, est associée une forme de maltraitance, au sens littéral de : « traiter mal, » qu’il s’agisse des élèves ou de la discipline avec un corollaire immédiat : le mal-être, la culpabilité de l’enseignant. Donc non, la fuite des profs ne saurait être réduite à des arguments strictement comptables que l’on pourrait imaginer juguler par une simple augmentation de salaire. Le malaise, puisqu’il existe, est bien plus profond et plus dense. Il faudra un jour comprendre que l’on ne peut pas tout chiffrer. Alors bien sûr, on dit : « le temps, c’est de l’argent » ; si la réciproque est vraie, alors les profs ont besoin d’argent parce qu’ils ont besoin de temps et les élèves aussi.

Il faut bien avouer que prof de maths est désormais sur un siège éjectable, car sa discipline a été reconnue, décrétée, « non essentielle » si l’on se réfère à un vocabulaire qui nous est désormais familier. Il n’a plus d’autres choix pour attirer les élèves dans son cours et surtout les convaincre de rester, que de se transformer en une sorte de VRP et de consentir par la même occasion à un certain nombre de concessions quitte à s’arranger un peu avec la réalité pour la rendre plus attractive, plus « vendeuse » (on pense aux notes largement ajustées, au programme libre d’interprétation).

Dans le lycée start-up de Blanquer, le client-élève est roi et il le sait. Concrètement, « maths expertes » ou « matelas-confort », même combat. Vous essayez le produit durant 30 jours et s’il ne vous convient pas, vous avez jusqu’au 30 novembre pour vous désister après acceptation de votre requête auprès du proviseur. Une formalité si j’en crois mon expérience. « Satisfait ou remboursé » en quelque sorte. Certains en rêvaient, Blanquer l’a fait. L’élève est désormais un consommateur en fin de chaîne, encouragé à choisir ses options par opportunisme, c’est-à-dire en en évaluant la rentabilité notamment au regard du redoutable et insondable Parcoursup, le côté décidément obscur de la force. À la manière du gouvernement, le jeune gère un risque, un risque seulement d’une autre nature que pénal. Pour le moment…

Il serait trop long de revenir sur l’imposture du Grand Oral qui a été dénoncée à de nombreuses reprises par des collègues de philosophie notamment ; en réalité, le simple nom un peu trop « ronflant » de ce simulacre d’épreuve suscite naturellement inquiétude et méfiance. Il s’agit du bac option « force de vente » à tous les étages ; on teste durant quelques minutes l’éloquence de l’élève, paraît-il, ou plutôt sa capacité à faire un peu de tout avec beaucoup de rien.

Pendant que ce temps commercial s’écoule lentement, on est face à un illettrisme mathématique grandissant. Les lacunes ont atteint un tel seuil dans une discipline qui se construit par strates, une discipline faite de correspondances que l’on sort de cours presque hagard tant il faut déployer d’énergie pour tenter de donner ne serait-ce qu’un peu de recul aux élèves, espérant ainsi les soulager. On a toujours dans un coin de la tête cette phrase de Nicolas Boileau : « Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement ». Reste que l’on ne parvient notamment plus en terminale à convaincre nos jeunes que les questions d’un exercice sont autant de bribes, autant de personnages d’une histoire dont il s’agit simplement de respecter le déroulement, le fil conducteur. Que les questions ne sont ni gratuites ni indépendantes en général. Qu’il faut se saisir du : « en déduire » qui débute une phrase parce qu’il est en soi une partie de la réponse à venir et qu’il est primordial de se saisir de ce tremplin…

Parce qu’ils ne savent plus vraiment lire, plus vraiment écrire non plus et qu’ils n’ont plus de connecteurs logiques à leur disposition, les élèves sont trop souvent incapables de construire un raisonnement indépendant et argumenté. On parvient tout au plus à déclencher chez eux des réflexes, des automatismes régis par les circuits courts de la récompense, à grand renfort d’exercices types qu’ils reproduisent inlassablement sans passion et sans haine, mais surtout, sans jamais aiguiser leur esprit critique. C’est pour nous, enseignants, les prémisses de l’échec.

Mais qu’importe finalement puisqu’à chaque élève, on est juste tenus d’associer un camembert (un diagramme circulaire, retour dans le monde merveilleux de marketing) qui rend compte d’un coup d’œil (code couleur oblige) des acquis et des faiblesses suivant les séquences.

C’est bien là ce que l’on nous présente, avec l’introduction des neurosciences à l’école couplées à la troublante « pédagogie inversée, » comme la Rolls-Royce de l’enseignement : le fameux enseignement personnalisé, celui des capsules et des bilans de compétences. Celui des profils et des pronostics aussi.

Il faut bien comprendre qu’en maths, on est dépendants de la maîtrise de la langue ; c’est une discipline d’expression avec sa ponctuation et sa grammaire. Une langue pour nous tous (ou presque) étrangère bien sûr, mais qu’à force de pratiquer, on a des chances de parler assez correctement. Suffisamment en tout cas, pour se faire comprendre et être compris en retour. Toujours est-il que l’on a besoin du : « mais, ou, et, donc, or, ni, car » si cher au primaire et aux exercices de Bled de mon enfance. Ce sont ces mots « minuscules » qui permettent d’articuler le raisonnement, en lui donnant sa cohérence et sa consistance.

Dans une phrase mathématique, il y a une action, une sorte de verbe (=, ≤, ≥, 6= ) que la plupart des élèves ne repèrent plus si bien que l’on est sans cesse contraints, tentés, de reformuler les questions pour qu’ils parviennent enfin à se les approprier. Si seulement ils cherchaient à comprendre plutôt qu’à reconnaître, plutôt qu’à se souvenir… Si seulement, ils osaient de nouveau prendre leur raisonnement en main.

Les mots qui devraient tant les aider à se repérer, à se raccrocher, les déroutent au contraire. Je prends souvent l’exemple des suites auxiliaires, ces suites au service d’une suite-mère dont l’étude pose quelques problèmes puisqu’elle ne tombe pas sous la coupe des suites simples à savoir, les suites arithmétiques ou géométriques. Comment est-il possible que le parallèle pourtant naturel avec une auxiliaire de vie qui vient vous seconder dans les tâches quotidiennes ne les aide pas à comprendre la philosophie de ce type d’énoncés ?

Autre exemple, la relation de Chasles rapidement évoquée dans les prémisses du chapitre de géométrie dans l’espace avec la notion de vecteurs coplanaires. Là encore, quand on évoque, pour les aider à s’approprier la notion, les mots de : « copropriété, codirection, colocation », ils vous rétorquent qu’ils ne voient pas le rapport ! J’ai des terminales, assez brillants au demeurant, qui m’écrivent tranquillement, pas une fois, mais bien à dix reprises :

Je rappelle que cet outil très intuitif était au programme du brevet des collèges il y a encore une dizaine d’années. Quand vous leur dites : « Donc si tu fais le trajet Antibes-Bordeaux, tu penses que tu pars de Marseille ou bien que tu peux faire, si tu le souhaites, une escale à Marseille ? » Et le gamin de répondre : « vu comme çà c’est évident, mais d’habitude, les maths ne veulent rien dire donc… »

Ce matin encore, pour prouver que trois points de l’espace formaient un plan, j’ai un élève qui envisageait de prouver que ces derniers étaient coplanaires. Pour plaisanter un peu, je lui demande alors : « je voudrais bien que tu me prouves s’il te plaît que les points A et B sont alignés… !

Les maths pour cette génération, ça ne se comprend pas ; ça se retient et encore, pas longtemps. C’est un peu magique finalement ; il faut avoir un don, être fait pour ça comme ils disent. Quand on ne comprend pas, c’est la fatalité en quelque sorte et on n’y peut rien !

Les outils fondamentaux normalement vus au collège ne sont plus jamais acquis ; qu’il s’agisse des fractions, des propriétés des puissances, de celles des racines carrées ou encore de la factorisation, sans parler des identités remarquables devenues une exigence digne de Normale Sup à écouter les élèves. On paie au prix fort l’application aux maths d’une sorte de méthode globale au lieu d’avoir conservé la bonne vieille méthode syllabique basée sur la compréhension.

Ils retiennent que diviser par 0, 1 revient à multiplier par 10, mais ils ne savent pas pourquoi. Ce qui est grave, c’est que de ne pas comprendre ne leur manque pas ou plus. Ils délèguent aussi facilement qu’ils abdiquent et s’en remettent malheureusement complètement à nous. Il faudrait “les repousser” d’une certaine manière pour leur rendre leur autonomie. On rencontre des erreurs réellement grossières qu’ils devraient être en mesure de corriger d’eux-mêmes, simplement via des arguments de bon sens dont ils sont largement capables. Mais pour cela, il faudrait encore qu’ils acceptent de s’immerger dans les énoncés.

Ci-dessous, une galerie d’art non soumise au pass sanitaire ; une sorte de chambre des curiosités extraite de mon, de notre quotidien. “Parce qu’il faut rire de tout avant que d’en pleurer”, que mes élèves soient chaleureusement remerciés pour leur extraordinaire… créativité :

Or la concentration est désormais vécue comme une sorte de vertige, de saut dans l’inconnu ; elle revêt un caractère inquiétant même, car elle semble avoir pour but de les isoler, de les éloigner de leur tribu. Combien de notifications loupées pendant que je planchais sur cet exercice ? On retrouve ici la fameuse balance : “bénéfices/risques.”

C’est ainsi que ce temps consacré à la réflexion, ce temps “calme” bien plus que “mort”, est associé à du temps perdu. En première, puisque j’évoque les fractions, j’ai vu en septembre le “calcul” suivant :

Pour cet élève de seize ans, tout à fait standard au demeurant, quand vous avez deux moitiés de pomme, vous avez… une demi-pomme. Et oui. Pas besoin des neurosciences pour comprendre que chez certains élèves, le 2 de x = 2 n’est pas le 2 de “deux pommes”.

Pour ne rien arranger, il y a chez cette génération une addiction aux raccourcis, une dépendance à l’immédiateté que l’on a, sinon crée, du moins entretenue à grand renfort de QCM. Cette manière synthétique et très artificielle d’évaluer les élèves contre laquelle je ne cesse de m’insurger, a pour conséquence qu’il est désormais nécessaire de déployer les grands moyens pour restaurer l’envie d’une rédaction soigneuse, rigoureuse et précise. Le déconditionnement est assez douloureux en plus d’être incertain.

Les explications, estimées fleuves, les étouffent. “TROP DE MOTS”, disent-ils. Ou encore : “Il faut vraiment écrire tout çà ?” en espérant négocier une remise de peine d’une ligne ou deux. Il faut d’ailleurs reconnaître que lorsqu’ils communiquent entre eux ou avec nous par messages, ils en décuplent le nombre comme s’il était désormais nécessaire pour assimiler une information ou bien la transmettre, de la démembrer, de la disséquer.

Ce qui est incohérent, voire paradoxal, c’est que ces mêmes élèves rétifs aux phrases sont souvent terriblement réfractaires au langage algorithmique qui aurait a priori tout pour les séduire. Était-il donc si urgent d’investir (je n’ose pas dire : “contaminer”) le cours de maths par des séances de Python quand la plupart des élèves ne connaissent ni le sens du mot “hypothèse” ni celui du mot “conjecture” à presque 18 ans ? Rien n’est moins sûr.

On constate enfin une résistance à l’effort très dégradée et en même temps une forme de crédulité, de passivité surtout, teintée d’indifférence qui doit nous alerter, car notre but est bien de participer à l’émancipation intellectuelle de ces jeunes. On ne souhaite en faire des matheux à tout prix, mais seulement des citoyens libres, capables si besoin de démonter, de repérer un argumentaire fallacieux. Ils assistent trop souvent au cours en zombie, réduits à l’état de scribes. J’ai en tête un exemple récent d’un élève de terminale dont je consultais le cahier de cours et notamment le chapitre concernant les limites de suites. Au moment de produire les énoncés relatifs aux théorèmes des “Gendarmes” et de comparaison, je me rends compte que le lycéen, parce qu’il y voyait mal au tableau, avait remplacé tous les termes vn par √n !!!! Comment peut-on en arriver à un tel degré d’incompréhension alors qu’il s’agit là encore d’énoncés très intuitifs (jusqu’au nom qui est très imagé et ne fait d’ailleurs pas l’unanimité). Il s’agit aussi de les déconditionner de l’ambiance délétère des derniers mois qui, sans état d’âme, a associé le doute nécessaire, le doute légitime, à une forme de complotisme.

Pour clore ce long, trop long billet, je vais suivre la voie de l’humour, celle de la dérision en même temps que les conseils d’une amie cancérologue qui m’encourage toujours à témoigner, à revenir à des cas concrets. “C’est ce qui intéresse les gens”, me dit-elle.

Faute de témoignages pertinents, je vais entreprendre en revanche de rassurer les jeunes collègues qui n’auraient pas été aussi attentifs que nécessaire lors des précieux cours dispensés à l’INSPE (autrefois, l’IUFM) pour gérer au mieux une classe. Ne vous inquiétez pas ; rien n’est perdu, bien au contraire, car nous disposons grâce à ce gouvernement, cet État-care bien décidé à combler nos moindres désirs et à anticiper chacune de nos inquiétudes, de séances de travaux pratiques hebdomadaires.

J’ai nommé : les séances à l’Assemblée Nationale avec un maître de stage incontesté, que le monde entier nous envie : Olivier Véran. On pourra se reporter aux séances hautement instructives des 19 et 20 octobre 2021. Première règle : jauger (voire juger ; l’œil acéré d’un neurologue aide bien sûr) l’auditoire. Autrement dit, intégrer le douloureux principe de réalité selon lequel cette année encore, vous n’êtes pas face à des lumières. Oh que non… ! Mais que voulez-vous ? Chacun sa croix.

Ne pas hésiter à parcourir l’amphi, fût-il clairsemé, d’un regard oscillant entre résignation, suffisance et accablement avant de se lancer dans l’arène,

fougueusement en entreprenant un monologue aussi inintelligible que possible, ce qui nécessite une élocution assez rapide en plus d’une aptitude à l’apnée que vous seriez bien inspirés de développer. Le but est d’éviter au maximum les questions. Que l’adhésion à vos propos soit par la suite extorquée ou consentie, peu importe. On ne va pas jouer sur les mots/maux.

Malheureusement, il y a dans toutes les classes des élèves terriblement lents comme ce député, peu coutumier d’internet, qui ne parvenait pas à trouver sur le site de l’agence européenne du médicament, la description et le report des effets secondaires incombables au vaccin (vaccin dans un sens à préciser, puisque “non pasteurien”). Mais il faut aussi et surtout compter avec les fortes têtes du type F. Ruffin, la réincarnation du redouté élève Ducobu bien connu des bédéphiles. Toujours au fond de la classe, tripotant son masque et adepte d’un humour douteux, avec des questions plein le cartable et qui n’en finit pas de discuter avec son voisin alors même que le prof s’exprime. Bref, cet élève, c’est votre défi. Vous noterez en conséquence, avant de vous en inspirer bien sûr, l’agilité et l’extrême patience dont on a fait preuve O. Véran face à cet élément perturbateur. On peut même parler de bienveillance, ce mot devenu un concept, si cher à J. M. Blanquer. Toujours très pédagogue, serein même, le ministre de la Santé et des Solidarités (et oui, on ne s’y fait pas…) l’a gentiment rappelé à l’ordre en prenant soin de préciser qu’il ne répéterait pas l’explication en cas de récidive.

Il n’y a pas à dire : “une main de fer dans un gant de velours”… Une main de fer surtout. Car c’est çà la réalité et “si vous ne voulez pas l’entendre, sortez d’ici.”

En attendant, restons groupés. “L’orage aussi peut conduire au port” disait Jean-François Senault alors gardons espoir.

Karen Brandin




Le gouvernement mondial de l’ombre

[Source : Le R D H]

Philippe Argillier explique le gouvernement de l’ombre et le pouvoir dynamique des banques de données.

« N’étant pas un homme politique, mais bien un homme dénué de tout intérêt personnel, je suis prêt à répondre à l’appel des françaises et des français en prenant les commandes de la France en 2022 sous une condition, celle de me positionner avec un mandat révocatoire de 36 mois avec un référendum à l’appui à date échéance afin que les françaises et les français décident s’ils veulent continuer ou pas avec mon gouvernement jusqu’à la fin des cinq années du mandat présidentiel. »

Philippe Argillier
Président du Rassemblement des Droits de l’Homme

https://youtu.be/IyJ2lxhgEL4
https://youtu.be/mSgTVdyfAYI
https://youtu.be/BOiXZ8fkBAw



Choc : un médecin critique de Corona de la première heure, se suicide tragiquement

Par Christine Côte

[Illustration : Bild: Dr. Jens Bengen; Hintergrund: freepic @Dragana_Gordic]

J’ai traduit cet article en français, surtout pour un parent allopathe (et vaXXinator) qui s’est méchamment réjoui l’année dernière du suicide d’un homéopathe de sa région, qui avait été harcelé et traîné dans la boue par les merdias après avoir perdu UN patient échoué chez lui en phase terminale. (En France, que je sache, tous les médecins homéopathes sont obligés de faire les études allopathiques et font donc les études d’homéopathie, EN PLUS.

L’on sait qu’à peine 10% des victimes de la chimio”thérapie” survivent. Selon le Dr. Coldwell, ce ne seraient que 2%. 

Je pense donc que cette nouvelle lui fera grand plaisir également.

Après une répression brutale, un médecin critique s’est donné la mort.

Les enfants se suicident, les médecins honnêtes se suicident, les artistes, les pères de famille, les mères, les petits entrepreneurs, les policiers, les infirmières se suicident, les personnes âgées se laissent mourir… et ils prétendent « se préoccuper pour notre santé » ? 

Merci Dr Bengen pour votre engagement et votre courage, et nous espérons que vous n’êtes pas mort en vain…


https://report24.news/schock-corona-kritscher-arzt-der-ersten-stunde-beging-tragisch-selbstmord/

Le Dr Jens Bengen a été l’un des premiers médecins à critiquer le battage médiatique autour de Corona. Il est allé au fond des choses et les a expliquées à un large public via sa chaîne « Sword of Truth ». Le 26 mai, Bengen ne voit plus d’issue pour lui-même, ou peut-être pour l’ensemble de la société. Il choisit le suicide, laissant derrière lui un grand trou sombre. Les Résistants sont choqués, horrifiés et exhortent les responsables à réaliser enfin ce qu’ils font par leurs actions.

Le Dr Bengen est arrivé très tôt à la conclusion qu’il s’agissait d’une fausse pandémie. Les histoires officielles ne collaient pas, les hôpitaux étaient vides. Il a adopté le point de vue bien documenté selon lequel les masques faciaux n’offraient aucune protection contre un virus qui n’était de toute façon pas plus dangereux que la grippe annuelle. Bengen a tenté sans relâche d’éduquer le public et a produit de nombreuses vidéos, notamment sur la chaîne YouTube « Sword of Truth » (L’épé de la vérité). 

Les médias du système avec leur harcèlement incessant, sont indiscutablement complices. De nombreux médias grand public se sont acharnés sur le médecin résistant et ont contribué à son désespoir ultime par leur constante incitation à la haine. On ne peut même pas s’attendre  à ce qu’un seul des journalistes fidèles au système ait honte de ce qu’il ait fait. 

HNA.de : Le médecin de Trendelburg est une star pour les sceptiques de la couronne et les “complotistes”.




Dans la série « une image vaut mille mots »




Ariane Bilheran : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire »

[Source : limpertinentmedia.com]

[Photo : © DR]

Ariane Bilheran est normalienne, psychologue clinicienne, docteure en psychopathologie et auteure de plus de vingt-cinq ouvrages. Ses domaines d’expertise sont le harcèlement, la paranoïa, les déviances du pouvoir et la reprise de son pouvoir personnel. Depuis le début de la crise Covid, elle fait partie de ceux qui ont tôt fait de déceler les incohérences et les abus des politiques mises en place. Depuis la Colombie, où elle réside, cette observatrice du psychisme humain a accepté de nous livrer son regard sur la situation actuelle.

Amèle Debey, pour L’Impertinent : En tant que docteure en psychopathologie, qu’est-ce qui vous frappe le plus dans la situation que nous vivons depuis 18 mois?

Ariane Bilheran : La violence des décideurs sur les populations, le harcèlement exercé sur les populations, à tous les niveaux. Idéologie, manipulation de masse, violence économique, violence sur les corps, censure, atteintes à la liberté d’expression.

Un de vos domaines d’expertise est les déviances du pouvoir. Ce qui se passe en ce moment à de quoi nourrir votre réflexion?

Oui. Dès avril 2020, j’ai écrit un article appelé Totalitarisme sanitaire: «c’est pour ton bien»… Le mal radical. C’était encore un gros mot, on n’avait pas le droit d’en parler. Mais depuis, cela a fait son chemin. Après, j’ai éprouvé le besoin d’écrire un autre article en août que j’ai appelé Le moment paranoïaque, où j’ai trouvé l’expression de «déferlement totalitaire» qui, depuis, a bien circulé. Et puis, en décembre, je me suis exprimée sur Radio Canada à propos du totalitarisme actuel dont on voit la manifestation.

Grâce à mon expertise, j’en ai repéré les symptômes très tôt: dans le caractère idéologique, c’est-à-dire le fait de présenter comme une vérité une fiction mensongère tout en demandant l’adhésion de la population à cette fiction. Le passage à l’acte: les obligations de confinement, la suppression des droits les plus élémentaires; les paradoxes permanents.

«La souffrance engendrée sur les populations m’a frappée très tôt»

En Amérique du Sud par exemple, empêcher les gens d’aller travailler ne peut pas être dans l’intérêt de leur santé, parce que lorsqu’on n’a pas de source de revenus fruits de notre travail pendant plusieurs mois, et qu’on n’a pas d’aide, ce n’est à priori pas ce qui va nous mettre en bonne santé!

La souffrance engendrée sur les populations m’a frappée très tôt. De la même façon, il y a une notion qu’on appelle le clivage, en psychologie, qui consiste à diviser un collectif en deux populations irréductibles qui ne peuvent plus s’entendre entre elles. Car l’une étant sous perfusion idéologique. Elles ne peuvent plus communiquer.

J’ai travaillé pendant longtemps dans des organisations du travail. Quand elles devenaient pathogènes, créatrices de troubles psychosociaux au travail, j’en repérerais les mécanismes à différentes échelles. Que ce soient les manipulations émotionnelles, les contradictions, les mensonges, les paradoxes sur les discours, le fait de réduire la complexité du réel à un seul paradigme, à un seul paramètre, tout cela m’a paru quand même assez fou.

On voit que ce sont les pays les plus riches qui ont réagi de la façon la plus disproportionnée. N’étions-nous pas installés dans une sorte de confort?

Je ne sais pas si la première phrase est juste. Parce que la Colombie n’est pas un pays riche et nous avons eu six mois de confinement extrêmement sévère. Il y a eu beaucoup de pays pauvres où cela s’est également joué comme ça.

Par contre, dans les pays occidentaux, il y a eu beaucoup d’aides distribuées aux gens. Ils ont donc davantage eu l’impression que c’était pour leur bien cette affaire, puisqu’on les prenait en charge. Il y a donc eu moins de dissonances au départ sur ce point. La différence est sans doute là.

Certains pensent tout de même que ces mesures étaient tout à fait justifiées.

J’ai une seule question pour eux: on sait qu’en 2020, ne serait-ce que pour l’Amérique du Sud, les décisions politiques ont plongé dans la misère plus de 20 millions de gens. Près de 30 millions en 2021. Est-ce qu’on peut prendre soin de sa santé lorsqu’on est dans la pauvreté extrême? Est-ce vraiment justifié? Est-ce vraiment une politique tout à fait mesurée, équilibrée, qui prend en compte différents paramètres?

Est-ce que la docilité des gens vous a surprise?

Oui et non. D’abord, je pense que tous les peuples ne réagissent pas de la même façon par rapport à leur passé. Au niveau européen, il y a souvent une croyance naïve que les gouvernants sont là pour notre bien. Ce qui fait qu’il est très compliqué de remettre en question deux choses: les gouvernements ne nous veulent pas du bien, mais en plus ils nous veulent sciemment du mal.

Vous pensez vraiment que les gouvernements nous veulent sciemment du mal?

Peut-être pas tous. Mais je pense en effet que les décideurs à haut niveau et en particulier les soi-disant philanthropes qui, avec leurs milliards, auraient de quoi faire de la planète un paradis, nous veulent sciemment du mal.

Dans quel but?

A partir du moment où vous avez confisqué la majorité des richesses au détriment d’une plus grande population, cette population représente une menace pour vous.

C’est pourtant celle qui fait fonctionner le système, non? Ils ont forcément besoin de nous.

Dans quelle mesure ont-ils besoin de nous, je n’en sais rien. Ça ne me paraît pas évident. Nous sommes vus comme des pollueurs, des parasites. Je crois qu’à un moment donné, la question d’accumulation de richesses à un stade qu’on ne peut pas se représenter, ni vous, ni moi, fait tourner la tête si elle n’était déjà pas solide avant. Ça crée un gouffre incommensurable entre les pauvres et une toute petite minorité d’une classe extrêmement riche qui prétend dicter à la planète toutes sortes de choses. Et qui fait des gouvernants de simples exécutants.

On voit bien que si les gouvernements étaient autonomes, ce ne se serait pas passé comme ça. Or, la marche de manœuvre pendant la crise était assez réduite, puisque tout le monde a appliqué à peu près la même politique. Et pas dans l’intérêt des peuples.

Vous disiez récemment qu’il s’agissait d’une guerre des riches contre les pauvres?

Oui. Encore une fois je pense que l’on observe l’arbre à ses fruits. On a un appauvrissement toujours croissant de la pauvreté et un enrichissement toujours plus grand de l’autre côté. Il y a des gens qui s’enrichissent considérablement sur la crise. On a basculé l’immense majorité de la population mondiale dans une extrême pauvreté, sans se préoccuper des impacts sur la santé.

Il y a une intention de nuire, totalement assumée dans les discours d’ailleurs, dans les projets. Il y a un très fort déficit d’empathie de la part de cette micro-caste de très, très riches par rapport au reste de l’humanité. C’est à cela qu’on caractérise le harcèlement, d’ailleurs. Une partie des citoyens doit se sacrifier pour le bien commun. C’est une logique totalitaire. On se rend compte que ceux dont on exige le sacrifice sont à peu près toujours les mêmes.

Il semblerait qu’on ait amené les gens à confondre les conséquences des mesures prises avec les conséquences du Covid. On a donc créé le contexte pour qu’ils aient envie de cette servitude volontaire dont parlais La Boétie. Comment peut-on expliquer cette situation?

Sur le plan de la philosophie politique, on peut l’expliquer par le fait qu’a été mis en place de façon assez clair et un peu partout un régime totalitaire. Il rencontre de la résistance ça et là, mais c’est le projet.

Pourquoi totalitaire, parce qu’il vise la domination totale des individus, la rupture des classes, de l’appartenance sociale, des familles, jusqu’à l’intrusion dans l’intimité de la personne. Pour que le projet totalitaire fonctionne, il doit se maintenir au pouvoir grâce à la terreur, donc il faut un ennemi. Visible ou invisible. Auquel on va faire la guerre, pour justifier le terrorisme de l’État. Pour justifier aussi la suppression des libertés et des droits. Il faut une idéologie. Un discours qui mette en scène un ennemi contre lequel on va partir en guerre et qui, supposément, nous met en danger de mort. Il va falloir construire pour cela un discours mensonger, complètement déconnecté de la réalité de l’expérience. Mais afin qu’il puisse avoir une certaine légitimité, il faut qu’il évolue en permanence, pour empêcher qu’il soit figé et donc soumis à la critique.

Il faut que l’idéologie réussisse à modifier la réalité. Ce n’est donc plus la réalité de l’expérience qui fait foi. Avec l’idéologie, on va modifier l’expérience pour qu’elle corresponde à ce qu’on est en train de raconter.

Par exemple, si on désigne telle population comme paria, comme danger pour la nation, on va faire en sorte qu’elle devienne dangereuse. On va l’exclure économiquement, lui supprimer ses droits. Si on veut démontrer qu’elle met en danger la santé des individus, on va la mettre elle-même dans des conditions d’hygiène précaire, etc., etc. De telle sorte que le retour de la réalité finisse par correspondre à l’idéologie.

«On crée les conditions pour que la réalité finisse par correspondre à l’idéologie»

En 2020, on n’a pas du tout pris les mesures nécessaires pour soigner. Au contraire, il y a eu une grande exposition des gens sur le plan de la santé. J’ai pris l’exemple économique tout à l’heure: quand vous n’avez plus à manger, que vous ne pouvez plus payer vos factures, comment faites-vous pour vous alimenter correctement, ne pas être dans l’angoisse et la précarité, vous protéger au niveau de votre santé et de votre immunité ainsi que vos enfants? Ce n’est donc pas du tout une politique en faveur de la santé, mais une politique de précarisation qui a eu lieu dans de nombreux pays du monde et qui a entraîné davantage de troubles de santé.

Quand on interdit à des médecins de prescrire ou de soigner, on crée des maladies. Quand on renvoie les gens chez eux avec du doliprane, on crée les conditions pour que la réalité finisse par correspondre à l’idéologie.

Comment peut-on expliquer que la majorité des gens ne se rendent pas compte de tout cela? N’y a-t-il pas un fonctionnement, au niveau du cerveau, qui fait que nous ne sommes pas capables d’envisager certaines réalités trop éloignées de notre ligne de pensées, au risque de devenir complètement fous?

Tout à fait. C’est lié à la violence. Il y a eu des chocs traumatiques répétés envoyés aux populations. De diverses manières, avec différents décors. Et ces chocs traumatiques ont été créés par les discours politiques, par les décisions prises, dont l’absurdité et l’arbitraire ont cassé tous les repères des gens. Il faut savoir que cette violence entraîne, pour le psychisme, la mise en place de mécanismes de défense. Le meilleur exemple: quand vous subissez un traumatisme grave, cela peut déclencher une amnésie. C’est un mécanisme de défense. Ou, encore une fois, on peut être dans le déni: le réel est tellement insupportable que je ne peux pas me le représenter.

Donc je pense que moins on s’attend à la violence, plus on est vulnérable, comme c’est le cas des pays occidentaux qui ont l’habitude de fonctionnement plus équilibrés. Nier la réalité de la violence, ou la justifier, dans la mesure où il y a en face un discours très séducteur du type «on fait ça pour votre bien»: c’est très tentant d’y entrer. Je pense que la majorité des gens, et c’est bien normal, ne parvenant pas à comprendre ni accepter l’existence de la violence que ça véhicule, régressent sur le plan psychologique et se laissent prendre en charge par le discours dominant.

Il y a également une bonne partie de gens qui préfère tout simplement ne pas s’interroger et suivre le mouvement, sans chercher à savoir si ce qu’il se passe est normal ou non.

Oui, alors là c’est le syndrome du fonctionnaire qui fonctionne. C’est-à-dire qui préfère restreindre son champ de pensée et le réduire à la tâche qu’il a à exécuter. Car s’il devait penser vraiment ce qu’il se passe, probablement qu’il pourrait en devenir fou.

Je pense que le psychisme protège, jusqu’à un certain point, les gens de ce basculement. De cette désintégration psychique.

On constate aussi que ce n’est pas une question d’intellect, de connaissances, ni de niveau d’éducation. L’autrefois philosophe Raphaël Enthoven en est le parfait exemple.

D’abord, c’est lié à une solidité psychologique et non pas à une intelligence. C’est lié à la capacité d’être ancré dans plusieurs choses et dans la capacité d’affronter la solitude, même si la majorité du groupe se désaxe. Ancré dans quoi? Dans le rapport à la réalité. Dans le désir de vérité. Dans la valeur morale de se rendre compte, dans le réel, qu’on fait du mal aux gens.

Il y a des profils très hétérogènes qui peuvent se retrouver dans une prise de conscience, mais tous sont caractérisés par plusieurs choses: d’abord, ils ont un fort ancrage dans la réalité, des gens qui ont plein de bon sens, des gens qui ont d’autres références, y compris chez leurs ancêtres, qui leur permettent d’apprécier d’une autre façon ce qu’il se passe, de sortir du discours dominant. Ensuite, ce sont des gens qui questionnent la légitimité de l’autorité; ils n’obéissent pas pour obéir, mais parce que le discours de l’autorité a du sens. Et enfin, la caractéristique commune à chaque fois, c’est de ne pas se satisfaire d’un à peu près au niveau de la vérité. Il y a une recherche de vérité, de compréhension. Et le quatrième point: ce sont des gens qui sont capables de faire face à l’isolement. Parce qu’en ce moment, penser au vent contraire, c’est être exposé au harcèlement, à l’isolement, à l’insulte, à la censure et pour cela, il faut avoir une sacrée solidité psychologique.

Il faut bien se dire que le système devient fou, mais que quand on fait partie du système parce qu’on y a des avantages, des privilèges et que remettre en question la doxa dominante impliquerait de perdre ces privilèges et sa place dans ces groupes d’appartenance (groupes de pairs notamment), tout le monde n’est pas prêt à le faire. Je connais des gens qui ont des doubles discours. Des discours publics et des discours privés. Donc ils ne sont pas si naïfs que ça.

Pourtant, j’avais tendance à penser que Raphaël Enthoven pouvait réunir ces caractéristiques.

Il fait sans doute partie de groupes d’appartenance (par exemple, l’intelligentsia parisienne) qu’il n’est pas prêt à quitter. Et ces groupes d’appartenance ont fait cette allégeance-là. Cela met tout le monde face à des conflits de loyauté.

C’est à dire?

On voit le prix qu’ont payé certains scientifiques, certains universitaires et certains chercheurs à dire leur vérité. Si l’on n’est pas prêt à payer ce prix-là et si son groupe d’appartenance exige de manière implicite ou explicite une adhésion au dogme, pour accéder aux privilèges du sérail, on est réduit à une forme de soumission, consciente ou non.

Quand Laurent Mucchielli se fait dédire par le CNRS, la question est de qui dépend le CNRS? Qui a peur de perdre sa place? Je ne suis pas sûre qu’il n’y ait que des endoctrinés là-dedans, si vous voulez. Je suis même sûre du contraire. Il y a des sommes d’intérêts, de corruptions, de peurs. Certains s’empêchent eux-mêmes de critiquer, de penser, pour ne pas perdre ces privilèges. Le plus ironique est que, souvent, ce sont les mêmes qui ont hurlé à la défense de la liberté d’expression en France.

De manière plus générale, la collaboration des intellectuels avec les régimes totalitaires n’est pas nouvelle. Hannah Arendt avait exprimé son dégoût des intellectuels dès le début des années 1930; Klemperer avait été sidéré par l’opportunisme de certains universitaires; Günther Anders avait dit son aversion pour la complaisance active d’Heidegger, en particulier car ce dernier avait tous les outils de philosophie politique pour penser ce qu’li se passait.

Vous disiez aussi que la crise sanitaire était un peu l’aboutissement d’une déliquescence qui a débuté il y a longtemps. Que vouliez-vous dire?

Le totalitarisme, c’est considérer que les individus sont des cellules interchangeables d’un même corps au sens propre, avec la suppression totale et l’éradication totale de toute singularité. La singularité c’est le fait qu’aucun individu n’est comparable à un autre sur Terre. Que tout le monde est unique, différent, avec l’humanité en partage, où «rien d’humain ne m’est étranger». Le totalitarisme est la proposition inverse.

Dans l’idée que nous sommes tous des cellules d’un même corps, il y a l’idée qu’il faut sacrifier les cellules cancéreuses, celles qui s’autonomisent du corps. Donc l’individu n’est pas sacré en soi, mais plutôt quelque chose qui peut être éliminé si on en a besoin. Et je pense que cela est en cours depuis très longtemps. C’est une perte à la fois de la transcendance, de la transmission, de valeurs morales et spirituelles. Et en même temps, c’est la profanation de tous les individus. «Vous ne pourrez plus rien cacher», c’est la proposition totalitaire: l’exact inverse de la pudeur, socle de la civilisation selon Hegel. On doit cacher notre intimité, c’est un devoir, elle ne peut pas être profanée sous peine de sombrer dans la barbarie.

C’est en cours depuis longtemps, on le voit dans l’évolution du management au travail, dans la prolifération des écrans pour les enfants: ce sont des façons d’abraser complètement le sujet et de le nier dans ses besoins propres pour en faire un bon consommateur. On va mettre les gens dans des cases, où ils vont devenir a minima des instruments de production, et quand ils ne servent plus, qu’ils sont inutiles du point de vue de la production capitalistique, on les jette.

Tout cela est le total inverse des valeurs qui ont été le socle de notre civilisation, mais ça fait longtemps que c’est à l’œuvre.

Mais qu’est-ce qui a déclenché tout ça? C’est à l’œuvre depuis combien de temps, selon vous?

C’est difficile à dire. Je pense qu’il y a une conjonction de plusieurs facteurs et ce n’est pas exhaustif: premièrement, le transhumanisme est la référence nazie par excellence, celle du surhomme. Cela veut dire que le nazisme, dans sa valeur première de recherche d’immortalité matérielle et de surhomme humain, qui en même temps est un humain modifié, n’est pas mort. L’idéologie de fond n’est pas morte. Le nazisme n’a pas été totalement pourchassé, il a fait des petits dans les sectes idéologiques de pouvoir qui ont pour vocation à s’étendre et visent l’expansion. Je pense que la question de la conquête idéologique d’un pouvoir mondial par des sectes occultes est rarement abordée, mais devrait être étudiée de très près. Mais ce n’est pas suffisant.

Le deuxième point, c’est le développement technologique. On arrive à une époque – on y est sans doute depuis Hiroshima – où on n’arrive pas à se représenter, ni imaginer ce que les outils que nous créons sont capables d’engendrer. L’humanité engendre des monstruosités qu’elle n’a pas forcément les moyens de freiner, comme l’illustrent la création des chimères, le clonage, les trafics génétiques… Je pense que cela est aussi à œuvre.

«Nous nous sommes laissé destituer des contre-pouvoirs»

Si on regarde du point de vue de l’instruction publique, il y a eu une volonté délibérée de supprimer l’apprentissage auprès des enfants. Ces sonnettes d’alarme ont été tirées par les enseignants. Il y a quand même un pouvoir qui orchestre le fait de rendre les citoyens dociles. Mais ça n’est pas nouveau. C’est la nature du pouvoir de comploter pour se maintenir. La question nouvelle, c’est que nous nous sommes laissé destituer des contre-pouvoirs.

Peut-être, mais ça n’est qu’une hypothèse, que l’ère de la jouissance et de la consommation à tout va a fait s’effondrer les individus moralement. Mais c’est compliqué de répondre à cette question et je pense que la nature est polyfactorielle. En même temps, c’est presque inéluctable.

La seule question qui aurait dû occuper l’humanité après la deuxième guerre mondiale, c’est: comment en est-on arrivé à un tel degré d’autodestruction? Les gens ne se sont pas tellement préoccupés de cette question. Ils ont voulu récupérer la vie; ils ont été incités à jouir de tout, mais cela aurait dû les préoccuper. Tout comme le fait que des chefs d’État aient aujourd’hui la possibilité de balancer des Hiroshima bis devrait nous préoccuper. Günther Anders n’a cessé de tirer la sonnette d’alarme. Pourquoi avons-nous la capacité de nous autodétruire? Pourquoi la majorité des gens préfère être dans la jouissance plutôt que dans cette conscience, qui est certes très austère? Parce que ce n’est pas très marrant de se poser la question de notre responsabilité. C’est plus confortable de se laisser régresser dans un statut de consommateur.

Vous avez des réponses à cette question ? Pourquoi en est-on arrivés là?

Il y a eu, en tout cas du point de vue du développement des technologies de masse, de la publicité, du marketing etc. un encouragement, une dérégulation qui ont fait que les individus n’ont plus été protégés, en particulier de l’émergence de ces nouvelles technologies, des écrans. Et à partir du moment où l’on contrôle un cerveau et le temps de cerveau disponible, on contrôle toute possible révolte de la part des citoyens. C’est un peu le monde de Huxley.

Ne pensez-vous pas que cette crise peut être une opportunité? Tout ce qui se passe est tellement gros que ça ne peut que déclencher une révolte et aboutir sur quelque chose de positif, non?

Je ne sais pas, peut-être. Il me semble que c’est un peu David contre Goliath pour l’instant. On peut toujours espérer un miracle.

Comment expliquer l’apathie totale de la gauche? Et qu’il faille finalement compter sur la droite, voire l’extrême-droite, pour s’opposer aux mesures?

Ma réponse est peut-être un peu trash, mais je pense que la politique n’est plus du tout représentative des aspirations des peuples. C’est une caste qui se reproduit entre elle, selon des codes d’initiation conférés, et qui a trahi les peuples depuis longtemps. Quelle qu’elle soit. Ils roulent pour leur pomme. Les États sont managés comme de grandes entreprises, avec des actionnaires de l’ombre et des gens qu’on va placer aux commandes. On les remplace lorsqu’ils ne conviennent plus. On va orienter des sondages, des votes, jusqu’à les trafiquer dans certains pays.

L’Impertinent a publié plusieurs articles sur la maltraitance des enfants, car l’état dans lequel se retrouve la génération de demain m’inquiète beaucoup. Quel est votre avis là-dessus ? A quoi vont ressembler les adultes dans 10 ans?

Ce qu’il faut bien comprendre c’est que, du point de vue psychologique, la psychose paranoïaque produit des traumatismes en chaîne, des dissociations traumatiques et donc de la schizophrénie. On risque donc d’avoir, sur des esprits fragiles, une augmentation exponentielle des taux de suicides et une augmentation des pathologies de type schizophrène chez les enfants. C’est gravissime. Tous les totalitarismes s’en prennent systématiquement aux enfants, les endoctrinent, poussent à la délation, divisent les familles, tournent les enfants en opposition contre leurs parents, etc. On est dans cette politique-là.

J’observe que certains de mes collègues passent beaucoup plus de temps à dénoncer les complotistes qu’à enquêter sur les véritables sujets et je me demande s’ils n’ont pas une part de responsabilité dans la radicalisation de certaines minorités?

Pour la radicalisation des minorités, il faut comprendre que le régime totalitaire fonctionne sur un mode paranoïaque. Mais la paranoïa est partout. C’est une structure collective, non un psychisme seul. C’est la notion de la méfiance tous contre tous. Il va donc y avoir, dans l’opposition, des phénomènes en miroir de ceux qui sont dénoncés dans cette fameuse opposition. Finalement, pour certains, il peut y avoir aussi une vraie folie en miroir. C’est pourquoi il faut toujours faire attention aux assimilations qui sont faites.

Dans l’idéologie sur la santé qui nous occupe, il y a la création d’une nouvelle langue. Celle-ci inclut a minima plus de 60 nouveau mots et d’expressions détournées de leur sens. A partir du moment où cette nouvelle langue est acceptée (comme le terme «complotiste» d’ailleurs, avec lequel on croit faire allusion à une certaine réalité mais sans savoir exactement bien laquelle, chacun y met de sa subjectivité interprétative), cela crée une adhésion au système. Si les opposants à cette politique générale acceptent cette nouvelle langue, ils en deviennent les promoteurs. C’est donc très compliqué. On le voit déjà à un tout petit niveau avec les anglicismes. Le terme «narratif» n’existe en français que comme un adjectif. Le terme exact est «narration». Pourtant, moi comprise, nous avons souvent utilisé «narratif» au lieu de «narration». C’est de la colonisation linguistique.

Tout cela fait qu’on n’a plus la capacité de se représenter la réalité au travers de notre patrimoine, qui est une langue commune que nous partageons. Et, en prime, on n’a plus la capacité de communiquer avec les autres. Pour ce faire, il faudrait rentrer dans la nouvelle langue, mais elle n’a plus la capacité de désigner la réalité de l’expérience. Donc les dés sont pipés.

On entend régulièrement, depuis près de deux ans, les gens nous dire que cette crise est bientôt finie. Comment est-ce que vous voyez les choses se terminer?

Mal. Le problème c’est qu’une fois qu’on est entrés dans l’idéologie, elle ne va pas lâcher le morceau. Cette histoire, je la vois se terminer de deux façons possibles: soit en guerre, soit en autodestruction qu’il ne va pas être possible de cacher. Ou les deux. Pour sortir de l’idéologie, il faut que la réalité soit suffisamment difficile pour que les gens se réveillent. Un peu comme dans les sectes desquelles les endoctrinés parviennent à se sortir lorsqu’un événement suffisamment grave est survenu.

Tout ceci va mal se terminer. Par une recrudescence de violence. Y compris dans l’opposition qui fera qu’elle pourra même ressembler à ce qu’elle dénonce. Ceux qui n’ont pas compris en théorie devront comprendre en pratique. À partir du moment où vous niez qu’il y a une porte devant vous, vous allez devoir vous la prendre en pleine figure pour accepter son existence. Hannah Arendt disait que le totalitarisme s’effondre quand les masses cessent de croire. Le problème c’est qu’on n’y est pas.

Et si cela s’arrêtait simplement, dans quelques mois, avec la levée totale de toutes les mesures et qu’on décidait enfin de vivre avec ce virus?

Non, parce que le sanitaire est un prétexte à une gouvernance mondiale de type totalitaire. À une mise sous contrôle totale de l’individu, dans ses mouvements, dans ses réflexions, dans ses faits et gestes. Ça ne marchera pas parce que ce n’est pas compatible avec la nature humaine. Mais ça ne veut pas dire que ça ne va pas créer des dégâts immenses. C’est déjà le cas.

Le site d’Ariane Bilheran, c’est par ICI!

[Voir aussi :
Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave (arianebilheran.com)
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
Les mécanismes des régimes totalitaires
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Le contrôle mental au temps du Covid]




Le Royaume-Uni installe la reconnaissance faciale dans les cantines

[Source : francesoir.fr]

Au Royaume-Uni, neuf écoles ont mis en place le paiement biométrique pour accéder aux services de la cantine. Un dispositif associé à un logiciel scanne le visage des enfants pour vérifier que le paiement de la cantine est en règle. L’enfant est ensuite admis ou rejeté de la salle de la cantine ! Cette procédure, de plus en plus répandue dans le monde pour payer des services publics, a attiré l’attention de plusieurs associations défenseurs des droits et libertés qui jugent ce système superflu, et dangereux pour la protection des données personnelles.

Une volonté des cantines de rendre l’entrée plus hygiénique et plus rapide

Selon les écoles concernées, situées dans la région du North Ayrshire en Écosse, l’utilisation de cette technologie est plus rapide et plus hygiénique que d’accepter des paiements à l’aide de cartes ou de scanners d’empreintes digitales. Cela “permet un service de déjeuner plus rapide tout en supprimant tout contact au point de vente », explique un dépliant distribué aux parents par les écoles. Selon David Swanston, directeur général de la société responsable de l’installation de la technologie, la reconnaissance faciale réduirait le temps de paiement par élève à cinq secondes en moyenne. Les parents doivent autoriser les enfants à utiliser la technologie de reconnaissance faciale et peuvent s’y opposer s’ils ne sont pas intéressés. Selon le conseil du North Ayrshire, cité par le média britannique Financial Times, 97 % des enfants ou des parents ont consenti à être inscrits. Mais, certains parents pensent que la décision de leurs enfants a été influencée par la pression de leurs camarades.closevolume_off

Une technologie superflue dans les écoles

Pour Ella Jakubowska, conseillère politique à European Digital Rights, l’utilisation de la reconnaissance faciale dans les écoles est « manifestement inutile ». Sa position est partagée par Silkie Carlo du groupe de campagne britannique Big Brother Watch. Selon elle, « cela normalise les contrôles d’identité biométriques pour quelque chose de banal ». Pour les militants, cette décision montre comment le Brexit est une occasion pour le Royaume de s’écarter des normes strictes de la protection des données de l’UE. « Les autorités françaises et suédoises ont interdit l’utilisation de la reconnaissance faciale dans les écoles pour protéger les enfants de technologies plus invasives que nécessaires. Notre régulateur, l’ICO, doit faire de même », a déclaré Jen Persson, directrice de Defend Digital Me, une organisation à but non lucratif.

Devons-nous laisser les machines prendre la responsabilité de décider de l’entrée à la cantine d’un enfant ?

Les enfants ne sont pas responsables de la gestion économique de leurs parents, et les priver des repas est une question trop sensible pour laisser les machines décider. Cependant, les décisions humaines ne sont pas toujours plus judicieuses que celles des machines. Le 9 septembre dernier, un enfant de sept ans était raccompagné chez lui par la police en Gironde, car sa famille était débitrice de 800 euros. La faute à l’implémentation de systèmes numériques de gestion de la cantine, qui a obligé à des parents à faire face à des retards de trois mois après la prise des repas, faisant monter les factures à des sommes plus difficiles à régler.

Auteur(s): FranceSoir




Chaque nouveau mensonge couvre le mensonge précédent

Par Alain Tortosa

Chaque nouveau mensonge couvre le mensonge précédent.

La somme des mensonges rend l’émergence de la vérité de plus en plus difficile.

Jusqu’au jour où le château de cartes s’effondrera.

Les médias et les politiques ont menti de tout temps, ce qui est probablement dans leur ADN.

Mais depuis début 2020, nous battons tous les records.

Même lors du premier confinement, les sondages indiquaient déjà (et ceux-ci n’ont pas été infirmés par une révolte de la rue) que plus de 90 % des Français approuvaient la mesure.

Je vous rappelle qu’il y a avait officiellement à ce moment-là 7 000 morts présumés (car non testés) sur la planète et 149 en France. Les Français avaient forgé leur intime conviction non pas sur une réalité épidémique et des cadavres dans la rue, mais sur un modèle mathématique (frauduleux ?) relayé par tous les médias et les médecins de plateau.

Si le 17 mars vous disiez à votre voisin : « Ce virus n’est rien d’autre qu’une grippe et les confinements sont inefficaces et dangereux », votre discours était déjà, à ce moment-là, totalement inaudible.

Alors imaginez-vous entrer en discussion aujourd’hui avec un convaincu triplement injecté (hypothèse délirante, car il refuse tout échange).

Mais imaginons que vous alliez vers lui pour lui dire :

« L’étude gouvernementale qui confirme l’efficacité à 90 % des injections géniques est un faux grossier qui va à l’encontre des protocoles et de toutes les données internationales connues sur la vaccination Covid. »

Interrogé par votre affirmation il pourrait alors vous répondre par une série d’autres questions :

« Et le fait que le vaccin soit efficace contre les formes graves c’est un mensonge ? »

Question à laquelle vous répondriez par l’affirmative et lui de poursuivre :

  • « Et le fait que la vaccination a permis de contrôler le virus et éviter une 4e vague terrible, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les hospitalisés sont majoritairement non vaccinés, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la vaccination limite la propagation du virus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la 3e dose va protéger les plus faibles et permettre de ralentir encore plus le virus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la vaccination entraîne très peu d’effets secondaires, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin n’a entraîné aucun décès et que les vaccinés décédés ne le sont que de leurs comorbidités, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin ne présente aucun danger pour les enfants, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les enfants ont un bénéfice propre à se faire vacciner au-delà de l’acte solidaire, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin ne présente aucun danger pour la femme enceinte et le fœtus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les vaccins ne peuvent pas favoriser les variants, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les pays qui ont une mauvaise couverture vaccinale ont plus de morts, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les vaccins ont subi toutes les étapes de sécurité, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que nous avons la garantie que les vaccins sont sans danger, car inoculés à plus d’un milliard de personnes, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’ARNm est déjà utilisé sans problème depuis des années, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin ne puisse absolument pas interagir avec notre ADN et/ou créer des maladies auto-immunes, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que seul le vaccin nous permettra de venir à bout du virus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que si 100 % des personnes sont vaccinées le virus disparaîtra, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait qu’il faille absolument vacciner les enfants pour parvenir à l’immunité vaccinale de masse, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin est vraiment efficace, mais que les non-vaccinés sont dangereux pour les vaccinés, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’on connaît parfaitement la composition des vaccins, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les couvre-feux d’une population en bonne santé sauvent des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le passe-sanitaire sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la fermeture des commerces non essentiels sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le confinement de la population générale en bonne santé sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’État a fait ce qu’il pouvait et ouvert de nouveaux lits, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les gestes barrières en population générale en bonne santé sauvent des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le port du masque en population générale en bonne santé sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le port prolongé du masque est inoffensif y compris pour les enfants les plus jeunes, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait qu’il n’existe aucun traitement efficace contre le Covid, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la Chloroquine ou l’Ivermectine sont inefficaces, mais surtout dangereux, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que toutes les études sérieuses prouvent que ces molécules sont inefficaces c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait d’avoir interdit les médecins de prescrire a sauvé des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’on a jamais empêché de soigner et que l’on n’a jamais terminé des vieux au Rivotril, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’on ne disposait que du paracétamol sous la main, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le Sars-cov2 est extrêmement dangereux, largement plus que la grippe, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que tout le monde peut en mourir ou avoir de graves séquelles y compris les enfants et les personnes en parfaite santé, c’est un mensonge ? »
  • « Et sur le nombre de cas, d’hospitalisés, de personnes en réanimation, de morts… c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait qu’il n’y a pas de censure en France, que seuls les propos dangereux sont supprimés, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les prétendus bons résultats d’autres pays que la France ne sont pas comparables, c’est un mensonge ? »
  • Etc. (j’en ai certainement oublié).

Oui, oui, oui… et encore oui… pour TOUT !

(Il y a bien eu quelques bribes de vérité durant la crise.
Par exemple lorsque M. Véran, emporté dans son élan, affirmait que telle ou telle mesure ne servait à rien, mais se ressaisissait par la suite en balayant ses propos de la veille.)

Et mon interlocuteur convaincu qu’il n’y a pas eu de mensonges systématiques, de me demander :

« Alors pour toi tout est faux, on nous ment sur tout, toute l’OMS est corrompue, tous les médecins sont corrompus, tous les politiques sont corrompus et tous les journalistes sont complices ? »

M’obligeant à répondre : « Oui, les autres n’ont pas la parole, sont poursuivis ou sont terrorisés ».

Alors bien sûr, il a pu arriver que pour telle ou telle mesure, le convaincu hypnotisé ait ressenti quelques doutes sur une mesure. Quand on lui disait qu’il ne pouvait pas y avoir de clusters dans une rame de métro bondée, mais qu’il ne fallait pas dépasser 4 personnes dans une boutique, ça a pu quand même interroger le plus aveugle des non-voyants… comme le fait d’interdire de se promener sur une plage déserte en plein hiver, mais avoir le droit d’aller dans un supermarché.

Sa bouée de sauvetage prenait alors une des formes suivantes :

  • « Les humains sont idiots et nous assistons à une accumulation de bêtise humaine. »
  • « On apprend tous les jours du virus, on ne savait pas. »

Mais rien qui puisse laisser supposer qu’il pourrait y avoir quelque intention de nuire de la part de nos dirigeants ou de Big Pharma.

Afin de pouvoir échapper à ces interrogations sans réponse, la personne « intelligente » va poser la fameuse question bateau suivante, pour balayer toute argumentation d’un revers de manche.

« Pourquoi feraient-ils cela ? »

N’ayant pas de réponses (ou de preuves par rapport à des hypothèses), le convaincu s’autorise alors à jeter aux oubliettes le bébé avec l’eau du bain.

C’est comme si un inspecteur arrivait sur les lieux d’un crime et, en consultant la scène, voyait un cadavre, des traces de lutte, du sang partout et un couteau ensanglanté…
Bref qu’il ait sous les yeux des preuves qu’il y a bien eu un assassinat.
Puis soudain une personne « censée » (donc non-complotiste) arrivait et posait la question suivante :

« Mais qui, mais pourquoi, dans quel but ? »

[Note de Joseph Stroberg : bien des « complotistes » peuvent proposer des réponses.
À la question « Qui ? », ils pourraient répondre : les élites psychopathes qui détiennent les leviers de la finance mondiale.
À « Pourquoi ? », ils pourraient répondre : pour liquider 90 % de l’Humanité sans se faire accuser du crime et pour asservir les survivants.
À la question « Dans quel but ? », ils pourraient répondre : pour nettoyer la planète, sachant qu’aux yeux de ces élites, nous ne sommes que des « sans-dents », des « vaux », des quantités et des qualités négligeables. Maintenant qu’ils développent grâce à nous des robots et qu’ils rêvent eux-mêmes à l’immortalité qu’ils croient promise par les machines sous forme de surhumains transgéniques ou de cyborgs, ils pensent pouvoir se passer de 90 % des êtres humains pour continuer à exploiter la planète à leur profit.
De telles réponses paraîtraient bien sûr particulièrement délirantes aux yeux d’un convaincu vacciné.
Sont-elles pour autant fausses ?]

Et l’inspecteur de répondre bien évidemment qu’il n’a pas, en tous les cas pas encore, la réponse.
Et donc d’en déduire qu’il n’y a eu ni décès ni meurtre !

C’est exactement ce processus utilisé pour jeter aux oubliettes la réalité des faits dans la crise du Covid.

« Tu ne sais pas pourquoi et par qui tous ces mensonges ont été mis en œuvre au niveau mondial, c’est donc qu’ils n’existent pas et que tu es dans le délire en énumérant tous ces prétendus mensonges. »

Le fait de disposer d’indices concordants et de preuves pour chacun des mensonges n’est pas de nature à les rendre réels en l’absence de mobile.

Il est extraordinaire de voir à quel point il est facile de tromper le public.

Prenons l’exemple de l’HCQ et du Remdesivir.

  • Tout part de scientifiques chinois qui affirment, étude à l’appui, que l’hydroxychloroquine couplée à un antibiotique montre une efficacité.
  • Le professeur Raoult annonce en janvier sur l’IHU l’existence des essais pratiqués par des Chinois.
  • Immédiatement les médias et les médecins corrompus donnent la paternité de l’annonce non pas aux Chinois, mais au professeur Raoult. Premier mensonge.
  • Ces mêmes corrompus corrupteurs répandent l’idée que Raoult est un irresponsable incompétent, que la molécule est non seulement inefficace, mais dangereuse. Mensonge au moins sur la 1re et 3e assertion.
  • Le Remdesivir (hors de prix) est commandé en masse par l’Union Européenne et la promotion en est faite (alors même que son efficacité n’est pas prouvée et que sa dangerosité est prouvée). Mensonges.
  • La fameuse étude du Lancet annonce la mise à mort de l’HCQ (alors que cette étude est un FAUX). Mensonges.
  • Le Ministre de la Santé fait interdire le produit sur la base de l’étude qui est un faux. Mensonges.
  • L’escroquerie sur le faux éclate au grand jour dans l’indifférence des médias et des politiques…

Dans un monde « normal », la molécule est, au minimum, réautorisée et les chercheurs du monde entier se mettent à l’étudier avec neutralité.
Et bien là non ! C’est l’inverse !
Tout ceci pour dire que même lorsque l’on amène la preuve d’un mensonge (une fausse étude dans l’illustre Lancet), cette preuve n’est pas de nature à réviser les croyances.

Toutes les études qui par la suite diront que la molécule est inoffensive et efficace à divers degrés seront étiquetées non fiables et toutes les autres avec des conflits d’intérêts concluant à son inefficacité seront validées par les scientifiques médiatiques et le gouvernement.

La science ne sert plus à RIEN, elle est corrompue, un simple outil au service de la manipulation des peuples.

Et je le redis encore, ils arrivent à transmettre leurs mensonges parce que le commun des mortels est foncièrement gentil et qu’il ne peut imaginer à quel point il existe des méchants.

Réfléchissons un peu sur la « vaccination » des enfants.

  • Les autorités SAVENT (et reconnaissent) que le Covid ne concerne pas les enfants en bonne santé.
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que le Covid long chez des enfants en bonne santé n’est que légende.
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que les « vaccins » n’empêchent ni d’être contaminé ni d’être contaminant.
  • Les autorités SAVENT (l’ANSM le dit) qu’il y a des effets secondaires rares (à court terme), mais graves sur des enfants injectés en pleine santé.
  • Les autorités SAVENT qu’il y a des décès « étranges » chez des enfants injectés sans problèmes de santé connus.
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que les effets à long terme sont totalement inconnus, notamment pour la procréation (ils ont connaissance des problèmes sur les règles).
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que le rapport bénéfice vs risque d’une injection pour un enfant ne peut qu’être défavorable.
  • Les autorités SAVENT qu’elles manipulent et mentent quand elles comparent ces injections expérimentales en phase III aux vaccins obligatoires, vaccins qui ont plus de 20 ans et qui sont là pour prévenir des maladies qui tuent des enfants (à la différence du Covid).
  • Les autorités de l’Alberta SAVENT qu’un enfant de 14 ans avec une tumeur au cerveau de stade 4 n’est pas décédé du Covid. Alors, pourquoi le tester (et positif) deux jours avant son décès et le déclarer mort du Covid ?

Ils fabriquent sciemment de la peur et mettent en place un pass sanitaire pour les enfants afin de les contraindre à se faire injecter. Cet acte n’est pas de la bêtise ni de l’incompétence. Au regard de l’ensemble de ces faits connus, non-complotistes, publiés notamment par l’ANSM, nous pouvons affirmer qu’il y a une volonté objective de nuire aux enfants !

Les autorités décident sciemment de menacer la santé de millions d’enfants (de plus en plus jeunes).
Ils prennent sciemment le risque que des enfants aient des effets secondaires graves ou à vie.
Ils prennent sciemment le risque d’effets secondaires dans les prochaines années.
Ils prennent sciemment le risque que des enfants meurent de ces injections expérimentales.
Ils mentent sciemment aux enfants et aux parents en cachant volontairement ces faits.
Ils font taire ou dénigrent sciemment tous les scientifiques, médecins et lanceurs d’alertes qui rapportent ces faits.

Et ce alors qu’ils SAVENT que ces injections chez les enfants (et les autres) ne seront PAS de nature à réduire ou éradiquer le virus et que l’immunité vaccinale de masse est une chimère.

Ne me posez pas la question du « pourquoi » pour tenter d’occulter à nouveau ces vérités.

Pourquoi ces instigateurs qui sont des êtres humains, des parents, des grands-parents agiraient volontairement de façon aussi immonde ?
Je n’ai pas la réponse.
Mais regardez l’histoire du monde et des bourreaux, ceux-ci avaient bien souvent une famille, des enfants et cela ne les empêchait pas de commettre les pires horreurs.

Nous voyons bien une fois encore, que plus il y a de mensonges et plus il est impossible pour le commun des mortels de les voir, les débusquer et les remettre en question.

[Note de Joseph Stroberg : certaines hypothèses et certains faits exposés notamment dans l’article
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial laissent présager qu’il existe un plus gros mensonge chapeautant le tout, celui de la théorie virale qui veut que les virus soient de méchantes et minuscules bestioles qui pourtant ne répondent pas à tous les critères pour être qualifiées de « vivantes », puisqu’ils ne peuvent pas se répliquer seuls. Et au-dessus, il existerait même le mensonge de la théorie des germes qui veut qu’aussi les bactéries soient de méchantes micro bestioles, alors que dans le même temps le corps humain contient naturellement environ un million de milliards de virus dans son « virome » et des dizaines de milliers de milliards de bactéries dans son « microbiote ».

Si en réalité, les bactéries ne sont que des symbiotes des corps vivants végétaux, animaux et humains et si les virus ne sont que des composants naturels du corps participant au fonctionnement cellulaire (dans certains cas comme éboueurs, dans d’autres cas comme déchets, dans d’autres cas comme messagers, etc. selon leur forme et leurs spécificités, sachant notamment que les virus sont similaires aux « exosomes » ou aux « endosomes »), alors ils ne sont en fait pas contagieux, ni la cause véritable des maladies dont on les accuse, mais la simple conséquence d’empoisonnements du corps par diverses causes.

Sous l’effet des poisons et toxines que sont les pesticides, les additifs alimentaires, les adjuvants vaccinaux, les produits ménagers, les cosmétiques artificiels, les polluants atmosphériques, les matières plastiques, les médicaments produits par l’industrie pharmaceutique, les thérapies géniques, mais aussi la peur et d’autres émotions négatives, le stress, les pensées négatives, et les ondes électromagnétiques pulsées (Bluetooth, Wi-Fi, 2G, 3G, 4G, 4G+, 5G…), ainsi que par les toxines produites par des bactéries sous certaines conditions non souhaitables, les cellules corporelles sont agressées en permanence. Il suffit alors de dépasser le seuil de tolérance par la dose de trop ou aussi par l’affaiblissement du corps (par le froid ou le manque de soleil en hiver, ou encore par la malnutrition et le manque de nutriments essentiels à son fonctionnement) pour que la maladie apparaisse.

Pour peu que les causes d’empoisonnement et/ou de déficience soient endémiques ou communes à un endroit donné (village, région, pays…), elles procurent l’illusion d’une contagion et même d’une contagion fulgurante dans certains cas.

Dans une telle perspective qui est peut-être la vérité et qui renverra alors un jour aux oubliettes les mensonges que sont la théorie virale et celle des germes, les prétendus « variants » ne sont que l’observation des variations génétiques virales entres ethnies et individus d’une part et selon les conditions de l’agression du corps d’autre part, ainsi que selon le modèle viral pris comme base de contrôle dans les processus d’analyse. De même, le prétendu affaiblissement des virus lors de nouvelles vagues épidémiques traduit seulement le fait que le corps est déjà habitué à réagir à certains poisons lorsqu’il s’y trouve de nouveau exposé et qu’il se nettoie plus vite dans le processus qui se traduit sous forme apparente de maladie.]

Le mensonge est en danger d’être dévoilé lorsqu’il est tout seul alors qu’il se renforce via l’apport des autres mensonges.
Dans ces conditions ma liste de faits sur les mensonges du Covid ou de la vaccination des enfants n’est peut-être pas exhaustive, mais tellement « délirante », pour quiconque nourri aux médias classiques, qu’il ne peut l’entendre.

Médias qui passent en plus leur temps à faire du « fact checking » en prenant bien soin de n’être qu’à charge et en ne donnant la parole qu’aux auteurs et complices des mensonges.

Plus les mensonges sont nombreux et délirants, plus ils passent et plus il s’ancre dans l’imaginaire que tout n’est que vérité.
Faire tomber ne serait-ce qu’un seul mensonge n’est pas possible pour le manipulé.
Cela l’obligerait à les regarder tous, un par un, et prendre le risque d’ouvrir une boîte de pandore.

Le risque pour la dictature est bien là et c’est bien pour cela qu’elle verrouille le système au maximum.
Si la vérité sort publiquement sur les morts dus aux injections alors le château de cartes s’effondrera.

[Note de Joseph Stroberg : si la théorie des germes et son corollaire la théorie virale sont un jour reconnues fausses par suffisamment de scientifiques, puis de politiciens et d’hommes ordinaires, alors les mensonges subséquents comme tous ceux liés à la crise Covid s’effondreront à leur tour, vaccination comprise (y compris pasteurienne).]

Merci.

Alain Tortosa.

22 octobre 2021, https://7milliards.fr/tortosa20211022-les-mensonges-se-nourrissent-de-mensonges.pdf




Lettre ouverte à Mmes Mrs les Sénateurs et Députés, adressée par N et G Delépine médecins cancérologues

Par Nicole et Gérard Delépine

Objet : loi Vigilance santé Le 23 octobre 2021

Mmes, Mrs les Députés et Sénateurs,

Vous allez être amenés une nouvelle fois à voter pour ou contre l’élargissement de nos libertés et nous mesurons l’importance de vos responsabilités. Néanmoins beaucoup d’éléments se sont accumulés dans les derniers mois que nous nous permettons de vous rappeler ici, conscients de votre charge de travail sur tant de sujets différents.

Contrairement aux espoirs, la « vaccination » injection génique nouvelle technique utilisée pour la première fois chez l’Homme en infectiologie n’a pas permis d’éradiquer le coronavirus Sars Cov 2, puisque dans tous les pays très vaccinés, les contaminations ont repris, suivies par la hausse de la mortalité. L’exemple d’ISRAËL, qui devait convaincre le monde, est tristement instructif, puisque des responsables ont reconnu qu’ils ne pourront atteindre par ce biais l’immunité collective et devront injecter les citoyens au moins tous les six mois.

L’accumulation des effets indésirables quantifiée par les agences officielles, VAERS pour les USA, Eudravigilance pour l’UE, MHRA pour le Royaume-Uni entre autres, atteint des chiffres jusqu’ici inédits avec plus de 50 000 décès imputables cumulés, et des millions d’accidents dont près de la moitié la moitié sont notés graves par les mêmes agences.

Pouvons-nous douter de ces rapports de nos agences officielles et ne pas au minimum exiger un moratoire ? L’arrêt de toute injection au moins chez les jeunes parait une urgence tant les complications en particulier cardiaques sont tragiques pour un bénéfice nul.

Ces rapports chiffrent un nombre de décès post vaccinaux et d’accidents secondaires aux injections, bien supérieur aux chiffres ayant abouti à l’interdiction du vaccin H1N1 (53 morts). Ce silence devant ces morts officialisés par les responsables de santé publique et niés par notre ministre pose des problèmes.

Nous espérons qu’en tant que représentants du peuple, vous pourrez avoir des réponses sur ce silence assourdissant, qui ne peut à long terme qu’augmenter la méfiance des citoyens sur la parole de l’État, ses représentants et les vaccinations véritables au sens pasteurien.

Les jeunes ne risquent rien du covid, ne transmettent pas le virus et le « vaccin » ne protège pas des contaminations, et peu des formes graves. La vaccination des plus jeunes n’a aucun intérêt sanitaire.

Parallèlement à l’échec du tout vaccin, bientôt reconnu par les instances, comme le prouve la mise sur le marché de cinq médicaments anticovid par l’agence européenne EMA courant octobre 2021, les pays qui se sont libérés de toute mesure sanitaire vont très bien, sans contamination ni mortalité élevée, en l’absence d’isolement, masque, etc. du fait de la très faible létalité du virus qui diminue à chaque nouveau variant, comme habituellement.

Ce sont les conséquences des vaccins et des mesures anticovid qui laissent évoluer le marasme sanitaire et économique. La comparaison entre les pays peu vaccinateurs qui facilitent un libre accès aux traitements précoces, et les pays hautement vaccinés qui les interdisent est éloquente et devrait convaincre le monde entier de cesser les restrictions des libertés. Les pays européens qui ont choisi cette option avec succès comme l’Angleterre et tous les pays nordiques s’en trouvent rassérénés.

En l’absence d’efficacité réelle de la vaccination contre les transmissions, le pass sanitaire n’a plus de justification médicale. Les conséquences juridiques de ces privations de liberté ne sont par ailleurs plus à souligner et inacceptables en l’absence de danger sévère comme une peste par exemple, mais pas pour un virus très peu létal et encore seulement chez les sujets à forte morbidité et âgés.

La décision de ne plus rembourser les tests apparaît comme une extorsion de consentement aux plus démunis et le porte-parole du gouvernement a avoué que c’était une ruse pour obliger à la vaccination non obligatoire. Cette décision est inacceptable. Elle va discriminer ceux qui ne pourront s’assurer un budget « tests » et contraindre les plus pauvres à s’injecter cette thérapie inefficace et dangereuse.

À l’occasion de cette extorsion de prolongation de l’état d’urgence, le ministre piétine encore plus le Secret médical : Olivier Véran veut autoriser les directeurs d’établissements à savoir si votre enfant est vacciné. Les maires n’ont pas connaissance des fichés S, mais on saura si les enfants seront ou pas vaccinés. Les directeurs concernés rejettent d’ailleurs officiellement cette décision.

Le pass s’oppose à La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen.(([1] « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits » (art. 1)

« La Loi est l’expression de la volonté générale. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents » (art. 6).
))

La rupture du principe d’égalité peut également entraîner des conséquences pénales puisque toute discrimination au sens du Code pénal (article 225-1) est passible de peines correctionnelles, notamment lorsqu’elle porte sur l’état de santé d’un citoyen.

Les plaintes pour discrimination s’accumulent, en particulier depuis l’interdiction de travail et rémunération de soignants et pompiers opposés à recevoir l’injection génique encore en expérimentation thérapeutique jusqu’en 2023 et sujet à de nombreux accidents dont témoigne l’éviction au moins temporaire de Moderna et d’AstraZeneca, en plus des rapports officiels des agences de santé FDA, MHRA, EMA, et ANSM.

Le droit international érige un principe de non-discrimination

Le pass s’oppose à ce droit reconnu par la France.(([2] L’article 14 de la Convention européenne des droits de l’homme dispose

« La jouissance des droits et libertés… doit être assurée, sans distinction aucune, fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, la langue, la religion, les opinions politiques ou toutes autres opinions, l’origine nationale ou sociale, l’appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance ou toute autre situation ».
))

Le Protocole nº 12 à ladite Convention européenne des droits de l’homme, plus large encore, interdit tout acte de discrimination lié à la « jouissance de tout droit prévu par la loi ».

« Nul ne peut faire l’objet d’une discrimination de la part d’une autorité publique, quelle qu’elle soit » (article 1).

La Défenseure des droits est très critique, dans son avis rendu en urgence « Extension du passe sanitaire : les 10 points d’alerte de la Défenseure des droits » du 20 juillet 21(([3] Fondamentalement, elle remet en cause la proportionnalité des restrictions apportées à l’objectif de sauvegarde de la santé publique qu’elles poursuivent. Et l’avis du 20 octobre 2021 explicite ses inquiétudes.)) ainsi qu’en octobre 2021.

Le 31 mars 2021, le Conseil de l’Europe avait alerté dans son avis « Protection des droits de l’homme et pass vaccinal » sur l’utilisation éventuelle de certificats de vaccination, comme celle de données relatives à l’immunisation, « à des fins autres que strictement médicales, par exemple pour donner aux personnes concernées un accès exclusif à des droits, services ou lieux publics ». Cette question de respect des droits de l’homme devait être considérée « avec la plus grande prudence ».

En ce 22 octobre, des députés du Parlement Européen ont tenu une conférence de presse sur les abus de l’usage du Green Pass qui explicite une nouvelle fois les violations des droits de l’homme, les fondements démocratiques de L’Europe et des engagements du Parlement européen.

CHERS ÉLUS, NOUS COMPTONS SUR VOUS

Pour nous rendre nos libertés chèrement acquises il y a un peu plus de deux siècles.

Les avancées de l’Assemblée nationale avec de nombreuses interventions de députés de tous bords lors de la première lecture de cette loi, nous font espérer que le Parlement aura la possibilité de s’opposer à la prorogation injustifiée de l’état d’urgence, et retrouver ainsi ses prérogatives législatives, sachant qu’en cas d’une reprise épidémique, l’utilisation des traitements précoces permettrait de régler rapidement la situation sanitaire comme dans tous les pays qui l’ont décidé, telle l’Inde.

En restant à votre disposition pour tout complément d’information, croyez en nos sentiments respectueux.





Le premier ministre de l’Ontario annonce la fin du passeport vaccinal en janvier 2022 ? Voici pourquoi !

[Source : ontario.ca via Conscience du peuple]

ID numérique en Ontario [Extraits]

Découvrez l’identité numérique, une nouvelle façon de vous identifier qui rendra l’accès aux services en ligne et en personne plus simple, plus sécuritaire et plus sécurisé.

Nous présenterons l’ID numérique de l’Ontario à la fin de 2021.

Qu’est-ce que c’est l’ID numérique?

L’ID (identification) numérique est une version électronique d’une pièce d’identité gouvernementale fiable assurant une meilleure sécurité et une meilleure protection de la vie privée que les cartes d’identité ou les documents physiques.

Elle peut être sauvegardée en toute sécurité dans la future application Portefeuille de l’Ontario conçue pour les téléphones intelligents et autres appareils numériques (comme les tablettes et les ordinateurs) et permettra aux particuliers et aux entreprises de prouver leur identité en ligne et en personne.

L’identification numérique est le fondement qui facilitera l’accès aux services en ligne et fera de l’Ontario l’un des territoires les plus avancés au monde en matière de numérisation, dont la valeur pour les Ontariens, les entreprises et le gouvernement est estimée à 20 milliards de dollars footnote 1[1] .

Comment pouvez-vous utiliser l’ID numérique?

Services financiers

Services bancaires

  • Ouvrir un compte bancaire ou un compte d’investissement
  • Demander un prêt personnel ou hypothécaire
  • Demander un compte d’entreprise ou un prêt commercial

Assurances

  • Demander des services liés aux assurances
  • Soumettre une demande de règlement auprès d’un assureur

Autres

  • Acheter ou vendre des biens immobiliers
  • Acheter, louer ou vendre un véhicule

Soins de santé

Traditionnels

  • Fixer un rendez-vous médical
  • Consulter un médecin ou un autre professionnel de la santé en personne
  • Obtenir une ordonnance
  • Accéder aux carnets de vaccination et les utiliser

Numériques

  • Accéder aux dossiers médicaux en ligne
  • Participer à un rendez-vous médical en ligne

Services publics pour particuliers

  • Obtenir, renouveler ou remplacer un permis de conduire
  • Demander, renouveler ou remplacer une carte de santé
  • Renouveler ou remplacer un autocollant de plaque d’immatriculation
  • Obtenir ou renouveler une carte pour activités récréatives de plein air
  • Obtenir un permis de chasse ou de pêche
  • Faire une demande de RAFEO
  • Demander des prestations ou des crédits d’impôt provinciaux
  • Demander une pension alimentaire pour enfant ou pour conjoint ou le partage des biens
  • Déposer une demande auprès de la Commission de la location immobilière

Accueillir un nouveau client ou une nouvelle entreprise

  • Vérifier les références et l’historique d’une autre entreprise
  • Vérifier d’autres entreprises qui offrent des produits et services en ligne
  • Vérifier l’identité d’un client sans mot de passe ou sans sa présence physique

Gestion d’une entreprise

Opérations

  • Louer des propriétés ou des véhicules pour une entreprise
  • Vérifier les antécédents des employés
  • Demander la preuve de l’âge des clients
  • Obtenir des licences ou des documents d’importation ou d’exportation
  • Vérifier les références et l’historique d’une autre entreprise

Propriété

  • Prouver la propriété d’une autre entreprise

Numérique

  • Souscrire des contrats numériques
  • Demander et envoyer des signatures numériques
  • Recevoir des paiements en ligne

Services publics pour les entreprises

Licences

  • Obtenir l’enregistrement d’une entreprise, des permis ou des licences
  • Obtenir des licences ou des documents d’importation ou d’exportation

Prestations

  • Demander des subventions ou des avantages gouvernementaux
  • Obtenir un financement pour le commerce international

Rapports

  • Produire une déclaration de revenus ou d’autres rapports légaux ou réglementaires



Témoignage d’un Belge refoulé de son propre pays !

[Source : lesmoutonsenrages.fr]

Bonjour,

Mon nom est Raphaël Van Renterghem, bien Belge d’origine, possédant une carte d’identité belge et un passeport belge, résidant toutefois en Angleterre depuis mai 2004.

Je souhaite vous faire part de mon expérience de retour en Belgique pour uniquement rendre visite à ma famille à Dinant (oncles et cousines) et ma mère (Anseremme). Donc, pas de tourisme ! Famille que je n’ai plus vue depuis plus de treize mois en raison, paraît-il selon les médias traditionnels, d’un « contexte sanitaire » particulier.

J’ai eu l’honneur d’être refoulé aux contrôles de sécurité à l’aéroport de Courtrai après mon arrivée par vol privé et direct le lundi 11 octobre 2021 aux alentours de 14h30, m’empêchant ainsi de rendre visite à ma famille. Avec une conscience professionnelle exemplaire, les deux agents de police m’ont demandé, dans un premier temps, de remplir un formulaire de localisation (depuis le sas de sécurité de l’aéroport, bien sûr) avant qu’il me soit finalement demandé de quitter le territoire belge par le même avion. Ce qui fut fait 1 heure après. Mon séjour en Belgique ne s’est donc limité, en tout, qu’à une durée de 1h30 sur le bord du tarmac de l’aéroport de Courtrai.

La raison de mon refoulement par les deux agents de police résulte de mon refus parfaitement légitime de me soumettre à un acte médical sur ma propre personne—i.e. test PCR—avant de pouvoir éventuellement bénéficier du droit de rendre visite à ma famille.

Je précise que les deux agents de police se sont admirablement bien comportés. Ils ont été compréhensifs au sujet de ma situation et n’ont absolument exercé aucune contrainte physique sur ma personne. Tout s’est passé dans une ambiance parfaitement cordiale. J’ai pu faire preuve de sang-froid, j’ai joué carte sur table et collaboré pour leur faciliter la tâche.

Mon témoignage va dans ce sens : aussi surprenant que cela puisse paraître, la Belgique n’hésite pas à refouler ses propres citoyens belges hors de ses frontières. Alors que je ne demandais qu’à visiter ma famille (uniquement) que je n’ai plus vue depuis plus de treize mois.

Je suis, ce qu’on appelle, un « récalcitrant » selon les médias traditionnelles du Royaume ! Ma dignité et mes valeurs avant tout le reste. Si je dois sacrifier mes relations familiales, je le ferai. Je ne me ferai ni testé ni vacciné, ni QR-codé, ni tracé. Je ne veux pas participer à cette mise en scène ou mascarade. Comme s’il fallait encore se justifier : je ne suis pas anti-vax, mais seulement bien informé sur ce qu’il se passe en-dehors des plateaux télés.

Je vous joins ma correspondance avec l’AVIQ pour leur avoir signifié que je ne suis pas en Belgique vu que j’ai été refoulé. En effet, avant d’être refoulé, j’ai dû remplir le PLF sur place (puisque je ne l’avais pas rempli avant de venir en Belgique)

Je vous donne le droit d’en parler autour de vous, sur votre site, lettres, etc. et même de rendre public mon témoignage. J’accepte que mon nom soit rendu public.

Je souhaite également vous signaler que je suis une personne de 45 ans, en parfaite santé, pratique beaucoup le sport (VTT, course à pied, banc rameur + un peu de muscu pour entretenir les muscles), mène une vie saine, vis en partie sur mon potager, prends des douches froides (seulement après le sport, pas au réveil le matin, LOL), pratique le jeûne intermittent de manière quotidienne, un jeûne mensuel de 3½ jours, et prend aussi des compléments alimentaires (C, D, magnésium, Zinc (bientôt, donc), protéine de lait, etc.). Je dois mon hygiène de vie au Docteur Mercola maintenant censuré de partout !

Aussi bizarre que cela puisse paraître (lol), je n’ai eu, jusqu’à présent, aucune infection respiratoire ni pulmonaire depuis décembre 2018. Serais-je donc passé entre les gouttes en 2019 et une bonne partie de 2020 malgré l’affreuse pandémie qui a éradiqué la moitié de la planète ? Ah, mais non, j’avais oublié, la définition de la pandémie a été changée…

Je vous notifie également que je contacterai d’autres relais indépendants d’informations.

Mes coordonnées : +44 xxxx xxxxxx

Sincères salutations,

Raphael Van Renterghem




Lettre de la Nation au Président de la République, le mettant en demeure de faire toute la Vérité sur l’épidémie, de déclassifier les rapports du Conseil de Défense Sanitaire, de mettre fin sans délai à la vaccination de masse et au passeport anti-sanitaire, et de mettre un terme à l’état d’urgence sanitaire

Par Capitaine Alexandre JUVING-BRUNET

[Transmis par upinsky.work]

[Illustration : Comité de Salut du Peuple / National – Accueil | Facebook]

Monsieur le Président de la République,

Votre Liberté de chef de l’État ne vous dispense pas du devoir de respecter votre parole donnée de n’imposer ni le « pass sanitaire » ni l’obligation vaccinale. Votre liberté ne vous dispense ; ni du devoir de Vérité médicale ; ni, pour pouvoir établir la balance bénéfice/coût, du devoir de publier journellement l’évaluation du « quoi qu’il en coûte ! » de votre politique de guerre épidémique ; ni de votre devoir de ne pas cacher la Vérité médicale des faits et chiffres prouvant que le résultat de votre politique frappant d’interdit la Médecine d’Hippocrate est exactement inverse de celui que vous avez annoncé, comme l’atteste les huit éléments de preuve suivants.

Premier élément : la négation du traitement au profit du tout-vaccin

La « Réponse de la Nation au Président de la République, Pour en finir avec le coronavirus et la peur : Ordre de Mission, Exit le Vaccin ! », du 28 avril 2020, apportée àl’Élysée par les Gilets Jaunes constituants, a apporté la Preuve de l’intention criminelle ayant présidé à la politique anti-sanitaire de refus d’appliquer la véritable médecine avec un protocole basé sur le traitement qui s’imposait pour ramener cette épidémie à sa plus simple expression. Cette lettre vous alertait sur l’applicabilité et l’efficacité immédiate du traitement, en ces termes : « Le 15 avril le Dr. Gilles Besnainou a lancé un appel de salut public pathétique à tous les Français : “on a les antibiotiques, on a le traitement ; maintenant on sait soigner le coronavirus !” cette lettre évaluait la surmortalité de 82,5 % devant résulter dunégationnisme du traitement sur les malades du coronavirus. Mais insensible à toute humanité et aux intérêts fondamentaux de la France, vous n’avez ni répondu à cette lettre écrite au nom de la Nation, ni a fortiori agi pour sauver vos compatriotes d’une mort barbare ! Le serment d’Hippocrate est violé, la médecine immémoriale mise hors la loi.

Deuxième élément : la fraude sur les autorisations d’AMM conditionnelles

Compte tenu des délais et des conditions nécessaires pour obtenir d’authentiques AMM répondant à tous les critères de garantie, nulle AMM d’injection d’ARN-messager ou autre n’aurait pu être obtenue si l’existence de traitement n’avait tout de suite été niée par votre gouvernement. C’est donc par fraude, par négationnisme mortifère du traitement que les AMM conditionnelles des prétendus vaccins ont été obtenus. C’est ce qu’atteste le règlement européen n°2020/1043, adopté en urgence le 15 juillet 2020, qui a supprimé toutes les procédures de protection, d’analyse du risque, de contrôle, de suivi, d’étiquetage et d’information du public concernant l’utilisation, le transport, la dissémination dans l’environnement, l’injection aux Êtres humains d’organismes et de micro-organismes génétiquement modifiés, dès qu’il s’agit de recherches ou essais cliniques sur un vaccin ou un médicament contre la Covid-19.

Troisième élément : le vaccin ne protège ni de la contamination ni même des cas graves

C’est le constat officiel. Dans son ordonnance du 2 avril 2021, le Conseil d’État a bien estimé que les personnes vaccinées “peuvent demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à

  • la diffusion de l’épidémie”. Et à cette occasion, Olivier Véran, Ministre de la solidarité et de la santé a bien déclaré : “les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin [admirez la litote] ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant […] Le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. L’impact de la vaccination sur la propagation du virus n’est pas encore connu.” Soit l’inverse du Mensonge d’État diffusé partout : “Tous vaccinés, tous protégés”.

Quatrième élément : le passeport vaccinal est anti-sanitaire

Encore une inversion. Le passeport imposé même pour prendre un café sur une terrasse

n’est qu’une persécution pour rendre la vie insupportable à ceux qui ne sont pas vaccinés. Dispenser du test les vaccinés, potentiellement contaminants, qui vont dans un lieu confiné pour se mélanger avec des non-vaccinés à test négatif, au risque de les infecter est donc anti-sanitaire !

Cinquième élément : la preuve de l’inefficacité vaccinale par le Royaume-Uni et Israël

Exactement à l’inverse de ce que vous aviez annoncé à Tahiti, le 24 juillet 2021, à savoir

que partout où l’on vaccinait le virus reculait, les chiffres prouvent que dès son apparition la

vaccination fait flamber les poussées épidémiques, avec deux modèles :

  • Le Royaume-Uni constitue le champion européen de la vaccination utilisant l’Astra Zeneca avec plus de 70 % des habitants primo-vaccinés, et 59 % disposant d’un schéma vaccinal complet. Ce taux élevé de “vaccination” n’a pas évité une explosion des cas au début de l’été, avec, à la mi-juillet jusqu’à 60 000 nouveaux cas quotidiens. Devant cette reprise importante de l’épidémie malgré la vaccination, monsieur Andrew Pollard, représentant de l’Oxford Vaccine Group, a reconnu devant le parlement : “l’immunité collective par le vaccin est un mythe” ;
  • Israël est une catastrophe niée par les responsables politiques. Champion de l’injection Pfizer, jadis partout cité en exemple d’efficacité, Israël est actuellement durement rappelé à la réalité et représente maintenant le modèle de l’échec vaccinal. 70 % de la population est primo-vaccinée, et près de 90 % des personnes à risque ont un cycle vaccinal complet. Mais l’épidémie est repartie plus forte que jamais depuis fin juin et plus de 11 000 nouveaux cas ont été enregistrés en 1 jour (le 14 septembre 2021) dépassant de près de 50 % les pics observés en janvier 2021 lors de la poussée qui a suivi les premières injections Pfizer. Depuis les vaccinations, les poussées épidémiques sont de plus en plus fortes.

Sixième élément : la vaccination provoque l’irruption des variants

Exactement à l’inverse de votre campagne de propagande — “Tous vaccinés, tous protégés” — la vaccination ne combat pas l’épidémie, elle la multiplie, comme l’attestenotamment, sous sa haute autorité, notre prix Nobel de médecine le professeur Luc Montagner : “Les variants viennent des vaccinations”.

Septième élément : le tabou sur la vague de morts et d’effets graves de la vaccination

Tout est fait pour cacher le “quoi qu’il en coûte” de votre campagne de vaccination forcée. L’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé), chargée de recenser et d’évaluer les résultats d’enquête de pharmacovigilance devant surveiller “en temps réel” le profil de sécurité des vaccins, à partir des déclarations réalisées par les professionnels de santé, les personnes vaccinées ou leur entourage, est d’une opacité totale. Au 26 septembre 2021, 1205 morts, 90 236 effets indésirables — dont 22 559 graves — ont été déclarés en France, à la suite d’injections. Coût en vie et préjudices dramatiquement sous-évalué. C’est ce que montre une étude comparative avec l’Écosse où le département de Santé Publique a recensé 5 522 personnes décédées dans les 28 jours suivant un vaccin contre le covid-19, alors que la population écossaise n’a que de 5,454 millions d’habitants, avec un recensement de 7 820 décès covid-19 depuis le début de la pandémie. En France le sujet est tabou, l’omerta règne, alors que le nombre de morts et d’effets indésirables devrait être donné dans les média quotidiennement au même titre que les autres chiffres de l’épidémie.

Huitième élément : l’obligation vaccinale, une condamnation à mort potentielle

Portant atteinte à nos droits élémentaires en créant des discriminations parmi les Citoyens d’un même Peuple, le passeport imposé même pour prendre un café sur une terrasse n’est qu’une persécution pour rendre la vie insupportable à ceux qui ne sont pas vaccinés. Mais elle équivaut à une condamnation à mort potentielle comme la vaccination obligatoire. C’est donc en toute logique médicale et orale que le Pr Montagnier, prix Nobel de médecine, a dit qu’il “était temps de stopper cette campagne”.

En conclusion, vous avez dit aux Français que leur droit à la liberté ne les dispensait pas de leur devoir de se faire vacciner. Au contraire, c’est votre devoir de chef d’État de faire toute la vérité sur le “quoi qu’il en coûte” de votre politique de vaccination forcée plus mortifère et dévastatrice que le virus et d’en tirer les conséquences qui s’imposent.

En plein accord avec le professeur Montagnier et au nom de la Vérité, de la science médicale, du Conseil d’État et de la Nation, de sa lettre du 28 avril 2020, nous vous mettons donc en demeure :

  1. De faire toute la vérité médicale sur l’épidémie, en publiant quotidiennement les chiffres des morts et des effets indésirables de votre vaccination de masse forcée ;
  1. D’en tirer une base de données, facilement utilisable par tous les Français par synthèse et périmètres (âges, vaccin, catégories d’effet, etc.) avec un historique cumulable depuis 2020 ;
  1. D’en tirer toutes les conséquences, en mettant fin sans délai à votre campagne de vaccination forcée et au passeport anti-sanitaire, liberticides et plus mortifères que le virus lui-même avec les variants qu’il multiplie.

Monsieur le Président de la République, nous sommes prêts à débattre publiquement, scientifiquement et démocratiquement, de ces huit éléments de preuve — prouvant que votre politique est exactement l’inverse de la science médicale, de la protection de la santé des Français et de leurs intérêts fondamentaux —, avec vous ou avec vos représentants, en vue d’un retour sans délai à la vie normale des Français.

Sans réponse de votre part, prenant acte du fait que vous ne seriez plus alors l’émanation ni de la Nation, ni de ses droits naturels et imprescriptibles, ni de ses intérêts fondamentaux, ni de sa volonté générale et par conséquent du Peuple français dans son ensemble, nous nous verrions dans l’obligation d’en tirer toutes les conséquences, de fait et de droit, pour restaurer au plus vite le Peuple souverain dans sa pleine souveraineté et la Démocratie dans son juste fonctionnement, comme expression de la volonté générale et non d’intérêts particuliers contraires aux intérêts vitaux de la France.

Dans cette attente, veuillez agréer, Monsieur le Président, l’assurance de notre haute considération.

Au nom de la Nation,

Capitaine Alexandre JUVING-BRUNET

Initiateur des Comités de Salut du Peuple