Macron ou l’implosion accélérée de l’État

Par Lucien SA Oulahbib

Cette évidence se renforce à l’écoute de Jean-Baptiste Rivoire, fondateur de Off Investigation interviewé par FranceSoir : il n’y est question que d’occultations, zones d’ombres, double jeu d’un côté, volonté de faire taire toute analyse contraire et sur divers sujets (jusqu’à certaines rides effacées) de l’autre ; ou comment certains principes fondamentaux de la République et de la Nation française, à savoir la liberté d’expression et l’exigence de vérité dans les affaires publiques (déjà) sont détruits, implosés, dispersés façon puzzle ; en sus des diverses autres institutions comme cela se sait depuis longtemps (justice, armée, police, taxes, système scolaire, mille-feuilles administratif…).

Ne serait-ce que d’ailleurs, à l’instar d’une Commission européenne prenant des décisions illégales en matière de liberté de la presse et de soutien unilatéral au régime de Kiev, l’émergence inédite et surtout superfétatoire de ce supposé « Conseil de défense » (avec la présence paraît-il de conseillers privés) et qui se sont tous deux (Commission et Conseil) superposés à toutes les instances légales jusqu’à les effacer de fait pour imposer de pseudo impératifs « sanitaires » ; le tout au nom d’études dites « scientifiques » aujourd’hui attaquées devant les tribunaux par certains membres du Conseil Scientifique Indépendant tant elles ne reposent que sur des suppositions d’exponentielles ad hoc c’est-à-dire arrangées à partir d’équations trafiquées à dessein.

Certes, cette implosion de l’État n’est pas nouvelle. Elle se résume par exemple dans ce qui est nommé depuis des lustres « la casse du service public », sauf que cette formulation employée au départ à « gauche » est quelque peu biaisée parce qu’elle ne tient pas compte du fait que ce dernier a été « cassé » également par cette dernière. La gauche et l’extrême gauche (conseillère moralisatrice à la Trotski) n’ont eu de cesse d’y empêcher toute réforme qualitative, et non pas tout simplement comptable, comme par exemple permettre enfin l’avancement par le mérite innovant, participatif, horizontal, et non par l’ancienneté verticale qui décourage les jeunes et permet le pantouflage (public-privé pour les A). De telles réformes impliquent de réellement autonomiser toutes les instances (jusqu’à la prépondérance surfaite de l’Assemblée sur le Sénat) jusqu’à permettre aux établissements scolaires de choisir leurs enseignants au lieu de se les voir parachutés via des comités noyautés de plus en plus idéologiquement en particulier à l’Université.

Il serait également loisible en matière de santé d’admettre enfin qu’au lieu d’asseoir le budget de la Sécurité Sociale uniquement sur les cotisations salariales il le soit aussi sur des dividendes gérés non pas par des fonds de pension privés, mais publics sous la houlette de la Banque des dépôts et des consignations (qui peut certes déléguer à des assurances et des mutuelles privées). Il serait alors possible d’octroyer au salarié son salaire complet (en l’aménageant : salaire brut + une partie seulement des cotisations patronales, le reste allant à un Fonds Commun de Solidarité afin d’alimenter les soins lourds) afin que chaque salarié puisse enfin choisir son affiliation assurantielle dans la mesure où celle-ci est en dernier ressort contrôlée par la structure publique (la Banque de dépôt peut être épaulée par la Cour des Comptes qui aurait droit de poursuivre.

Or, au lieu de démocratiser ainsi en innovant réellement à tous les niveaux, la technostructure au pouvoir depuis les années Pompidou et surtout Giscard l’a concentré entre quelques mains, certes publiques, mais inféodées de plus en plus à des fonds de pension privés en dernier ressort [les cabinets de conseils leur appartenant] ; d’où cette harmonisation quantitative comptable injuste et incohérente [suppression de lits et de services en pleine crise sanitaire], alors qu’une harmonisation qualitative de longue durée et réellement horizontale aurait permis de ne pas les fermer, surtout dans les campagnes, en permettant par exemple leur cogestion avec d’autres structures comme les médecines d’accompagnement [kiné, thérapies diverses, médecines alternatives], l’allopathie et les médecines dites « douces » devant ainsi travailler de concert, car comme l’a bien montré la crise de la C.19 la première n’a pas eu vraiment le dernier mot en prétendant se substituer au système immunitaire naturel voire en l’excitant partiellement et surtout provisoirement [une dose tous les trois mois relevant bien plus d’une médecine affairiste que réellement hippocratique].

Tout cela pour dire que l’État français, même plus jacobiniste dans le bon sens colbertiste du terme, s’effondre sous les doubles coups de boutoir du « conseil » privatisé exacerbé qui d’une part prétend suppléer aux dites lenteurs de la haute administration [ce qui n’est pas faux : ainsi l’emploi effréné de ces cabinets de conseils a bien été analysé par un Didier Raoult au sens où leur prégnance provient d’une incurie notoire entremêlée d’envie et de luttes de pouvoir au sein même des instances régulatrices publiques], et d’autre part, précisément, le second coup de boutoir provient, et ce depuis des lustres, de toutes ces structures superposées au fil du temps, tous ces « 400 fromages » non plus AOC, mais administratifs qui pompent littéralement les finances publiques, pour rien… Leurs rapports, qu’elles pondent erratiquement [même pas annuellement pour certaines], n’ayant guère à envier à ceux du conseil américain ayant aujourd’hui son quart d’heure de gloire.

Aussi, de deux choses l’une, soit l’on désire continuer à dépecer l’État pour « les copains et les coquins » comme le font Macron et Mélenchon, ces deux faces de la même médaille sectaire et scientiste, soit l’on donne une chance à une version que l’on espère raisonnée d’un souverainisme enfin retrouvé ; à charge cependant que cela ne se passe pas comme avec Sarkozy qui n’a même pas été capable « d’ouvrir son gouvernement jusqu’aux sarkozistes » comme l’avait déploré feu Patrick Devedjian

Or, « Nous », partisans de la France dite profonde, diesel, bière et pinard, saucisson [mais aussi couscous et canard laqué, mafé de poulet…], nucléaire, clopes, poire [whisky, vodka…] et franche rigolade autour de belles blagues salaces entrecoupées de poésies et de discussions féroces sur la Vieille Garde, César, le cor de Roland [que j’entends encore…], Foch et Galliéni, la bataille idéologique entre Proudhon et Marx [entre autres…], Say et Keynes, « nous » ne pouvons pas laisser ce beau pays entre les mains visqueuses d’un « Joker » sournois et sociopathe considérant par exemple qu’insulter les Français serait affectueux, alors que c’est du domaine de pratiques sado-maso qui n’ont pas leur place dans l’espace public ; au même titre d’ailleurs que le voile-gandoura islamique et la confusion père/mère, homme/femme à ranger comme points de vue privés, en aucun cas éléments publics propres à l’espace commun qui n’est pas un terrain vague, malgré ce vague à l’âme permanent qui me fait dire de plus en plus que celle-ci décidément n’appartient pas seulement à « la » Nation, surtout lorsque celle-ci est de plus en plus mal dirigée…




Selon un psychiatre italien, « Macron est un psychopathe »

[Source : Global INFOPRESS]

Le professeur Adriano Segatori est un psychiatre et psychothérapeute italien. Son analyse en 2017 du profil d’Emmanuel Macron, basée notamment sur sa biographie et ses images de campagne, le pousse à conclure, de manière très argumentée :

« Macron est un psychopathe qui travaille uniquement pour lui-même. »

Il confirme maintenant son diagnostic et va même plus loin :

« Macron est dangereux pour l’Europe entière »

gloria.tv

Pour voir la nouvelle vidéo (enlever les sous-titres italiens en cliquant sur cc vers le bas et à gauche de la vidéo, à côté du mot « italien ») :
https://www.gloria.tv/post/6N4fUnnr6N2G1HPrLZGDbHdn4#305




Lettre ouverte à Marine Le Pen

[Source : observatoiredumensonge.com]

L‘enjeu est tel que si vous ne vous adaptez pas, vous n’aurez aucune change de l’emporter.

Merci aux lecteurs qui pourraient lui faire parvenir cette lettre…


Par Jean-Jacques Badine

Comment voulez battre quelqu’un que l’on ne combat pas ?

Aujourd’hui l’électeur n’attend plus qu’un candidat lui dresse un programme de promesses dont il sait bien que ces dernières seront enterrées sitôt élu.

Le Président-candidat-sortant occupe le terrain :
tout le terrain !
Il possède le soutien inconditionnel des médias subventionnés, les chaînes de télévision, les grandes radios et toute la presse écrite vendue en kiosque.
Ensuite, Macron est en train de ressusciter facilement le Front républicain contre vous.

Tout cela vous place évidemment en challenger.
Alors, quitte à être challenger, profitez-en pour changer votre approche et concentrez-vous sur trois points :
1 – Le pouvoir d’achat détruit par le quinquennat Macron,
2 – L’insécurité qui n’a jamais été aussi haute en France depuis 2017 !
3 – La dialectique utilisée pour vous nuire.

Le premier point est très parlant avec les hausses vertigineuses des produits énergétiques (Essence, fioul, gazole, gaz, etc.) et dès que Macron sera réélu, les hausses exploseront de plus belle. Or, cela touche à peu près tous les Français. Sans oublier le retour des mesures contraignantes, lesquelles ont toutes échoué face au COVID-19, lesquelles mesures réapparaîtront après les législatives au mieux. Les promesses non tenues du quinquennat actuel notamment en matière de logements et l’augmentation criante et visible de la paupérisation des Français.
Des exemples concrets : dans Paris, un logement social de 25 à 30 mètres carrés est loué 650 euros par mois aux Français quand souvent il est attribué gratuitement aux étrangers. Déjà le prix mensuel est exorbitant et clairement les Français paient pour les autres. Y compris dans des mairies dites ou supposées de droite !

Le second point est simple avec une insécurité, violences, agressions, meurtres en constante hausse. Avec des forces de police aux moyens peu adaptés, euphémisme.

Le troisième point est essentiel pour vous !
Sachant que tous les autres ou presque seront contre vous, il faut vite adopter vos discours en conséquence. Vous avez plus à gagner en répondant aux fausses accusations qu’en les laissant sans réponse.
Ce n’est pas en cherchant à proposer un catalogue ou programme de mesures tous azimuts que vous augmenterez vos voix, bien au contraire. C’est en vous focalisant sur le mauvais bilan, celui-ci bien réel, du Président Macron que vous pourrez inverser les scores.

Le Président Macron occulte son bilan catastrophique.

C’est le troisième point que je viens de vous proposer : ne rien laisser passer et parler aux électeurs des problèmes réels qui les concernent directement.

Vous savez, Madame, pertinemment que vous allez être attaquée comme fasciste d’extrême droite, que vous représentez un danger pour la France et là vous devez répondre sans aucune faiblesse.

Qui a gouverné la France très mal pendant ces cinq ans ? Qui est en train de ruiner l’économie ? Qui a privé les Français à plusieurs reprises de leur liberté sans contrepartie et surtout sans aucun résultat tangible ? Qui est finalement le fasciste dans cette affaire ?
Qui a menti aux Français et n’a pas respecté ses principaux engagements de sa campagne 2017 ?
Vous devez absolument remettre les choses en perspective et refuser d’être le vilain petit canard alors que le vrai danger pour la France c’est l’actuel pouvoir.

Ne vous laissez pas enfermer dans ce débat stérile et dialectique que veulent vous imposer Macron, la gauche, LR et les médias, qui sont tous de connivence.

Ne perdez pas votre temps avec un catalogue, un programme de mesures qui ne vous permettra jamais de vous faire élire.

Madame, ne vous leurrez pas !

Nous vivons dans l’irréel, un pays imaginaire dirigé par des idéalistes qui n’ont aucune notion du peuple et qui osent faire croire qu’ils s’en préoccupent.
Pourtant le nombre de pauvres n’a cessé d’augmenter sous Macron.
Pire l’économie s’est effondrée sans que les médias ne daignent en parler alors que la Cour des Comptes a pourtant alerté le pouvoir sur la situation catastrophique en cours.
Les chiffres sont sans appel :
L’explosion des dépenses de l’Etat représente 560 milliards d’euros en deux ans dont seulement 100 liés au « quoi qu’il en coûte » sanitaire (Cour des Comptes).
C’est là qu’il faut porter votre action sur cette réalité des faits et marteler ces faits.

Les Français votent majoritairement à gauche et la gauche va tout leur piquer. Certes ce sera bien fait pour eux, mais pour les autres aussi.

Madame, vous devez jouer vos atouts et ne pas vous laissez piéger dans le grossier traquenard que la caste politico-médiatique met en place.

Essayons quand même d’éviter cette fatalité que nous propose le « déconstructeur » Macron.

Ras le bol généralisé de l’indifférence manifestée ouvertement par les élus face aux réalités de la vie de tous les jours !

#ToutSaufMacron

Jean-Jacques Badine

Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier : Jean-Jacques Badine pour Observatoire du MENSONGE ou http://observatoiredumensonge.com

Imaginez le nazisme aujourd’hui, avec cette société « ULTRALIGHT » :

la caste politico-médiatique, qui n’arrive toujours pas à appeler un chat un chat, vous expliquerait pendant des heures qu’il ne faut pas confondre nazi et nazisme !
Avec de nombreux experts, témoins, spécialistes et autres habitués, « les cireurs de botte » tenteraient de démontrer que le SS qui vient d’égorger ou de poignarder des passants est un « déséquilibré » et qu’il ne faut surtout pas faire d’amalgame.
Mieux, la caste prétendrait qu’il faut attendre de connaître les motivations dudit « déséquilibré » pour aller plus avant. Petit détail, ce ne sont plus des nazis en vert-de-gris mais de gentils islamistes en vert tout court.
Curieusement, le même acte intolérable peut devenir tolérable.
Question d’époque et de lâcheté.

Articles à lire :

Dernière ligne droite avant déconstruction finale de la France

Sauvez les enfants de la République




Jacques Baud : « Les Russes sont en passe d’atteindre leurs objectifs. »

[Source : Sud Radio]

Avec Jacques Baud, Ex-membre du renseignement stratégique suisse. Il a été partie prenante des négociations après la chute de l’URSS et a suivi de près la révolution de Maïdan en 2014.




Avec Macron, à quels « progrès » s’attendre ?

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur RL]

ATTENTION DANGER  SI VOUS PROLONGEZ CE MANDAT !

OBLIGATION VACCINALE ANTICOVID EN DISCUSSION  ET RETOUR DU PASS

Lors d’une interview sur Brut, le présidentiable Emmanuel Macron laisse entrevoir ses projets pour le peuple de France. S’il est réélu le 24 avril 2022, il ne s’interdira pas de réintroduire le pass vaccinal et donc l’obligation vaccinale pour accéder aux lieux de loisirs, bars, restaurants, transports…et satisfaire les desiderata de l’UE et de l’OMS…(([1] https://lemediaen442.fr/macron-annonce-que-sil-est-reelu-le-24-avril-il-ne-sinterdira-pas-davoir-recours-au-pass-vaccinal/))

ET LA DÉCONSTRUCTION EN MARCHE

Le président affectueusement, probablement, nous expliqua qu’il n’existait pas de culture française. La première fête de la musique à l’Élysée en 2017 nous fit rapidement comprendre que les « artistes » rappeurs LGBT étaient devenus les maîtres du temple, mais surtout que les autres devraient se taire. La suite le confirmera.

Il est urgent de se remémorer toutes les preuves de la déconstruction de nos valeurs, à commencer par celle de la famille.

Encore quelques jours pour réfléchir et ne pas laisser passer le représentant du « progressisme » sans limites imposé par le nouveau monde, dans lequel être un homme blanc hétérosexuel voire chrétien est une devenu une aberration et bientôt peut-être un délit …

Dans mon jeune temps, un pédopsychiatre bien introduit dans la nouvelle mafia de la déconstruction et du wokisme qu’on ne nommait pas encore ainsi, nous dit à propos de l’utilisation du MINITEL dans les années 1980 « soyez moderne, mon vieux ». Nous avons ri, souvent, en nous remémorant ce moment où un chef de service de pédiatrie était  plus préoccupé par les possibilités du Minitel que de ses patientes atteintes d’anorexie mentale.

Nous n’avions pas compris la gravité de ce « soyez modernes » et de tout ce qui s’ensuivit comme la gauchisation des universités conduisant à l’interdiction de certains auteurs célèbres à Sciences po ou à l’université de Lille ou d’un professeur d’allemand à l’université de Grenoble ou Lyon… et à la censure de plus en plus systématique de toute « opinion » différente de la doxa officielle, vite cataloguée complotiste, extrême droite, voire fasciste… Plusieurs chercheurs sérieux qui publiaient sur Médiapart en ont fait la douloureuse expérience au cours de ces deux ans.

CONSÉQUENCES TRAGIQUES DE LA DÉCONSTRUCTION EN COURS(([2] JL Touraine rapporteur de la loi de bioéthique expliqua qu’il voulait séparer sexe et reproduction…)): UN EXEMPLE MARQUANT

QU’ EST DEVENU LE CONCEPT DE BÉBÉ ? Réaffirmons que c’est un être pensant s’il en est, même encore fœtus !

Toutes les mères « normales «  en témoigneront. Ils réagissent à la voix du papa, et du grand frère,  à la musique classique ou à telle chanson ou morceau de jazz. UN BÉBÉ !

Et c’est ce bébé qu’on prétend pouvoir « TUER » selon son humeur y compris à neuf mois ! Combien de femmes malades ont -elles payé de prison cet INFANTICIDE  dont on voudrait faire disparaître le nom (mais pas l’acte monstrueux) en même temps que toutes les traces de « CIVILISATION » ?

LA VOLONTÉ AFFIRMÉE D’EXTENSION DE L’AVORTEMENT JUSQU’À NEUF MOIS

Pourquoi le porte-parole du gouvernement G. Attal se croit-il obligé de parler de cela  maintenant, deux jours après le premier tour à France info  ? Qui est sa clientèle ?

Les macronistes en sont-ils si fiers ? Difficile à comprendre si on n’a pas versé encore dans la pathologie de la secte internationale eugéniste et anaffective. TUER UN BÉBÉ A NEUF MOIS DE GROSSESSE, comment est-ce possible et pire encore s’en flatter ?

Oui ils ont cette volonté monstrueuse aberrante et purement idéologique car on ne voit pas bien à quoi cela peut servir ! (Qu’on m’explique … )

« Et Il suffisait pour le vérifier d’entendre ce matin à 8 heures le 11 avril au lendemain du premier tour sur France-Inter le  porte-parole Gabriel Attal d’E Macron exprimant la volonté macronienne d’extension encore et encore de l’avortement ; jusqu’à ce qu’il ne puisse plus être qualifié d’infanticide. »(([3] Le blog de Bernard Antony: Le 24 avril, pas une voix pour Macron (bernard-antony.com) ))

L’OMS préconise l’avortement jusqu’à 9 mois, sans condition | Epoch Times

Mais puisque l’OMS nous le demande, ce doit être bien. Conviction d’Attal, Macron et Cie,  ou simplement obéissance aux Maîtres du monde comme Bill Gates et son organisation, l’OMS qu’il finance en grande partie ?

« L’Organisation mondiale de la santé (OMS) vient de publier un document dans lequel elle préconise aux gouvernements de supprimer la limite de temps légale pour l’avortement, et ce, en toute circonstance, sans justification médicale. »

L’OMS invoque les droits des « femmes, des jeunes filles ou des autres personnes enceintes », droits qui seraient brimés par les lois leur interdisant de mettre fin à leur grossesse passé un certain délai, sans jamais évoquer le « droit de l’enfant à naître ».

C’est la même OMS qui nous a imposé la coronafolie depuis plus de deux ans. C’est de l’OMS qu’il faut se débarrasser pour que cessent ces terribles injonctions que les gouvernements obéissants appliquent aveuglément.

EN FRANCE L’AVORTEMENT FUT DÉPÉNALISÉ EN 1975

Simone Veil, en présentant la loi relative à l’interruption volontaire de grossesse, précisait :

« Je le dis avec toute ma conviction : l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. »

Poursuivant son discours, elle ajoutait :

« Mais comment le tolérer sans qu’il perde ce caractère d’exception, sans que la société paraisse l’encourager ? Je voudrais tout d’abord vous faire partager une conviction de femme – je m’excuse de le faire partager une conviction de femme – je m’excuse de la faire devant cette assemblée presque exclusivement d’hommes : aucune femme ne recourt de gaité de cœur à l’avortement. Il suffit d’écouter les femmes. »

Et que de mensonges n’a-t-on pas faire dire  depuis quarante ans à cette représentante de femmes véritables féministes, et non pas agents de déconstruction de l’Humanité. Elle voulait aider des femmes en détresse, et non détruire la civilisation.

Comment aurions pu imaginer que,  presque cinquante ans plus tard, il faudrait autoriser le meurtre d’un bébé de neuf mois de grossesse, un infanticide, pour ne pas être considéré comme RINGARD voire facho ?

ILS SONT DÉCONNECTÉS DE LA VIE, DE L’AMOUR

Il faut éviter de laisser au pouvoir le Progressisme, mais aussi d’élire des députés wokistes.

N’oublions pas qu’en Juillet 2020 LES DÉPUTÉS ONT DÉJÀ VOTÉ CETTE HORREUR : légalisation de l’avortement jusqu’à la fin de  grossesse, si mère en détresse … au nom des droits de la femme ?  Bientôt les discrètes limites vont tomber pour obéir à l’OMS.

L’ENFANT N’A -T-IL AUCUN DROIT ?

Écoutez  Mme le Pr Alexandra Henrion Caude sur la loi dite de « bioéthique »(([4] vote de la loi dite de bioéthique en 2020 autorisant le meurtre de fœtus à terme 
https://youtu.be/qAbdhGpUyo8
https://youtu.be/SIvah08L_Jk)) votée en juillet 2020 sous le mandat d’E. Macron et vous comprendrez ce que déshumanisation, déconstruction,  casse de la famille et même de son concept, veulent dire et à quoi l’on s’engage avec un nouveau mandat E. Macron ( mais aussi si  JL Mélenchon ou d’autres « progressistes avaient été élus) :

Il y avait bien eu quelques réactions au vote de cette épouvantable loi qui n’a d’éthique que le nom, mais peu audibles dans la mesure où les médias obéissants ne pouvaient que soutenir un projet présenté par le gouvernement.(([5] https://t.co/0g62Xvw3xO   l’avortement désormais autorisé pour “détresse psychosociale” jusqu’au terme de la grossesse. Ce n’est plus un avortement c’est un crime qui n’a rien d’éthique comme tous les crimes…. Christian Coulon  August 3, 2020))(([6] Après l’élimination des vieux dans les Ehpad, le massacre des innocents et la fabrication de « Frankenstein » (francesoir.fr) ))(([7] Une fin de nuit du 31 juillet 2020 comme par hasard…))

Chers lecteurs, cette déclaration de G. Attal au nom du Président est tellement grave que je pourrais m’arrêter là et vous demander de ne mettre au pouvoir présidentiel ou législatif une personne ayant voté  ou soutenu ce texte digne des dictatures les plus immondes :

« La légalisation de la Procréation Médicalement Assistée pour les couples lesbiens était le paravent de cette loi soi-disant attendue par les français (combien ?). Mais derrière ce sujet déjà clivant, se cachent des choses beaucoup plus graves, telles que l’autorisation de fabrication de chimères homme-animal à partir d’embryons humains sacrifiés et plus globalement la marchandisation du corps humain qui ouvre la voie vers la création en éprouvette d’être sans origine, sans âme. Au passage un cavalier législatif introduit dans la loi dite de Bioéthique l’avortement jusqu’au 9ème mois de grossesse. »

Loi dite de bioéthique, « urgence sanitaire » au temps d’Orwell ? 

Clairement, cette loi n’a rien de « bio » ni d’éthique ! Elle en est tout point son contraire, en bonne représentante de la dictature orwellienne qui se met en place et dans laquelle l’inversion du sens des mots est une astuce classique largement utilisée par nos gouvernants.

Voici ce qu’écrivait E.M.  le 1er aout 2020 : @EmmanuelMacron :

« le projet de loi bioéthique vient d’être adopté en 2e lecture par l’Assemblée nationale. Je salue l’engagement des parlementaires, des membres du gouvernement et du Comité consultatif national d’éthique. Ils ont permis l’adoption d’un texte d’équilibre dans un débat apaisé. »

Peut-on se sentir apaisé quand on autorise la fabrication d’enfants SANS PÈRE et qu’en même temps on légalise l’avortement de bébés viables et pensants jusqu’à neuf mois ?

« Le projet de ceux qui courent après le progrès sans regarder où il les mène est une fable destructrice ».

(J.-F. Poisson)

Rien n’a changé depuis le vote en 2020 et confirmé après passage au sénat en 2021, en dehors du fait qu’à l’aube d’un possible deuxième mandat ils s’en flattent.

Qui peut voter pour de telles personnes ?

On parle de vote en son « âme et conscience » …




François Asselineau : « Faire barrage à Macron »

[Source : TV Finance]

Avec François Asselineau, Président et fondateur de l’Union Populaire Républicaine, analyse du vote du 1er tour de l’élection présidentielle en France. Les raisons de la forte poussée des partis extrémistes, et les raisons du rejet des thèses libérales.




Rémi Tell : « Je me méfie plus de l’extrême centre que de l’extrême droite ! »

[Source : Sud Radio]

Avec Rémi Tell, entrepreneur et cofondateur du collectif Peuple Libre, auteur de Paroles révoltées, aux éditions Perspectives Libres.




Selon un journaliste français de retour d’Ukraine, les Américains sont « responsables » de la guerre

[Source : anguillesousroche.com]

« Je me suis retrouvé face au Pentagone. »

Un journaliste français qui est rentré d’Ukraine après avoir accompagné des combattants volontaires a déclaré au diffuseur CNews que les Américains sont directement « en charge » de la guerre sur le terrain.

Cette affirmation a été faite par le correspondant international senior du Figaro, Georges Malbrunot.

Malbrunot a déclaré qu’il avait accompagné des combattants volontaires français, dont deux avaient déjà combattu contre ISIS.

« J’ai eu la surprise, et eux aussi, de découvrir que pour pouvoir entrer dans l’armée ukrainienne, eh bien ce sont les Américains qui commandent », a déclaré Malbrunot.

Ajoutant que lui et les volontaires « ont presque été arrêtés » par les Américains, qui affirmaient être les responsables, le journaliste a ensuite révélé qu’ils ont été contraints de signer un contrat « jusqu’à la fin de la guerre ».

« Et qui est responsable ? Ce sont les Américains, je l’ai vu de mes propres yeux », a déclaré Malbrunot, ajoutant : « Je pensais être avec les brigades internationales, et je me suis retrouvé face au Pentagone. »

Malbrunot a également mentionné que l’Amérique fournissait à l’Ukraine des drones suicide à cran d’arrêt, ce que le secrétaire à la défense Lloyd Austin a souligné dans un tweet qui a révélé que les soldats ukrainiens étaient formés à l’utilisation de ces appareils à Biloxi, dans le Mississippi.

Citant une source du renseignement français, Malbrunot a également tweeté que des unités SAS britanniques « sont présentes en Ukraine depuis le début de la guerre, tout comme les Deltas américains ».

La Russie est apparemment bien au courant de la « guerre secrète » menée en Ukraine par des commandos étrangers qui sont dans la région depuis février.

Les États-Unis et le Royaume-Uni ont tous deux affirmé publiquement qu’il n’y aurait pas de « bottes sur le terrain » en Ukraine, mais il semble qu’il y ait une présence militaire américano-britannique depuis le début de la guerre.

« Les sondages ont montré qu’à l’approche de la guerre, l’écrasante majorité des Américains souhaitaient que notre gouvernement ne s’en mêle pas, mais nos dirigeants savent ce qu’il en est et sont plus qu’heureux de risquer une troisième guerre mondiale pour défendre le régime fantoche de l’Ukraine », écrit Chris Menahan.

Lire aussi : Twitter bannit un ancien inspecteur en désarmement de l’ONU pour avoir remis en question le récit de l’Ukraine




Great Reset : la Bête est-elle là ?

[Source : Chaîne officielle TVLibertés]

Pierre Hillard, docteur en sciences politiques, présente son dernier ouvrage « Des origines du mondialisme à la grande réinitialisation » publié chez Culture et Racines. Cet entretien pour « Politique & Eco » consiste à présenter les racines du mondialisme et ses fruits. Selon l’auteur, le covid n’est qu’un outil au service d’une cause supérieure :

« Il y a des manœuvres idéologiques, financières et politiques visant à amplifier l’effet de cette pathologie sur la société française ».

Le but étant l’avènement du « Great Reset », promu par le Forum économique mondial de Davos, qui prévoit une réduction de la population mondiale, un programme de technologies implantables et une monnaie numérique mondiale permettant un suivi à la trace. Pierre Hillard analyse également la guerre en Ukraine, conflit entre deux factions du mondialisme en rivalité. Et rappelle que « le fond de l’histoire et toujours religieux ». Un entretien qui décoiffe !




Vers une cohabitation Macron-Mélenchon ?

Par Lucien SA Oulahbib

[Photo : © LUDOVIC MARIN / POOL / AFP]

Pour enterrer au mieux la France, il faut une belle cérémonie, parce qu’il faut qu’elle soit plastiquement acceptable pour les caciques dits de « gauche » et de l’extrême centre. Déjà Plenel s’est réjoui du vote massif des enclaves islamiques (et antijuives) en faveur de son candidat Mélenchon qui lui se voit déjà en 1er ministre s’il arrache une majorité au Parlement en cas où les électeurs de plus en plus perdus décident de ne pas mettre leurs œufs sociaux dans le même panier. En parallèle à cela, le ralliement à Macron de toute la sarkozie, de la mitterranderie y compris critique (un Chevènement) et de la social-démocratie noyautée par les lambertistes chics (dont vient Mélenchon), le tout via Jospin, tous ces ralliements appendices ne sont que le remugle d’un épiphénomène final, un feuilleton sans fin qui n’aura que trop duré, celui d’une classe politique moribonde issue des années 60 et qui aujourd’hui finit dans l’antichambre interlope de cabinets de conseils américains pour gérer leurs lignes de fuite et autres dettes diverses dont certaines casseroles seraient toujours passibles sinon du pénal du moins du redressement fiscal…

[Note de Joseph : il est peut-être utile de rappeler que le fanatisme est loin d’être propre à l’islam — on le trouve partout, y compris en politique et dans les universités — et que les musulmans ne sont pas non plus nécessairement antichrétiens, anti-juifs ou anti-français.]

La situation au 24 avril au soir pourrait certes ne pas être celle-ci, et d’ailleurs je suis très mauvais en pronostic (ayant cru par exemple que Zemmour puisse réellement accéder au second tour en face de… Pécresse). Choux blanc. Je pensais pourtant que le discrédit contre Macron était si fort dans le pays qu’il était possible qu’un « vote caché » existe vraiment et l’écarte dès le premier tour au profit d’une opposition résolue (Zemmour) et d’un euthanasisme mou (Pécresse).

Au contraire, et sans doute à cause de la poussée contradictoire, mais réelle d’un Mélenchon et de ses soumis, les partisans encore indécis d’un sursaut radical ont préféré soutenir plutôt une Marine Le Pen incarnant désormais la vraie gauche républicaine, tandis que le « marais » désireux d’une euthanasie active (par la dissolution accélérée dans l’UE) ont préféré confier leur cinquième, sixième et énième dose de dissolution à Macron, espérant de toute façon que la planche à billets permettra toujours de payer leur retraite, du moins tant que les Allemands accepteront de supporter le différentiel inflationniste de plus en plus élevé, ce qui apparaît de moins en moins sûr si la guerre contre la Russie se prolonge via un régime de Kiev tenu à bout de bras et excité par un UK voyant là le moyen d’affaiblir encore plus l’UE, de la rendre plus docile aux projets globalistes de la Secte H.S.A ayant toujours son siège central aux USA (mais peut-être plus pour longtemps tant la révolte gronde également là-bas).

Pour qu’il y ait un scénario inverse, le fait que cela soit Marine qui l’emporte en fin de compte, il faudrait que l’emprise maléfique mélenchonienne sur un « peuple de gauche » apeuré soit brisée et a fortiori l’idée, farfelue, que le Rassemblement National représenterait « l’extrême droite » alors que cela concerne plutôt ladite « France Insoumise » qui relève, dans les faits, de tels traits permanents : nébuleuse autour d’un « guide » qui se veut unique, idéologie attrape-tout comme l’abolition de fait des frontières, donc de la citoyenneté, et refus de la séparation des pouvoirs en voulant transformer l’exécutif en simple supplétif du Parti de plus en plus unique et de plus en plus au service du Guide cherchant à dépouiller tous ceux qui ne rallient pas son racialisme…

Comment se fait-il par exemple que Mélenchon n’ait pas pu s’imposer comme candidat « naturel » de ladite officielle « gauche » ? C’est bien parce qu’il a fait le vide autour de lui. Ses concurrents l’ont bien vu dans les alliances antérieures, et ses « amis » qui voulaient encore garder une relation rationnelle à la réalité ont été écartés un par un. Seuls les conseillers plutôt issus de l’extrême gauche néo-léniniste comme Plenel, et pétris dans le ressentiment envieux qui suinte d’ailleurs de chaque mot prononcé par Mélenchon, poussent celui-ci vers encore plus de soumission envers les troupes fraîches de l’islam anti-juif, tout en s’aplatissant dans les coulisses devant les puissants (voir la vidéo de sa rencontre avec Macron à Marseille) jouant ainsi les grandes gueules (comme le dit Olivier Delamarche) vers ceux qu’il juge ne pas être dans la même catégorie que lui, un tyranneau opportuniste qui s’appuie désormais sur des hordes anti-françaises et antijuives pour maintenir son aura sur une frange de jeunes (islamisés) de plus en plus palestinistes, climatistes et dégen (r) (t) és…

D’ailleurs, ce sont des permanences écologistes et communistes qui ont été attaquées par certains de ses partisans dans la soirée du 1er tour (sans parler du saccage de la mairie du 1er arrondissement à Lyon en pleine enclave mélenchoniste) tant ils exigent la construction du Parti Unique et son Guide ; imaginez si ce dernier avait été au second tour, voire même gagné, imaginez si son parti ainsi unique (maquillé en « Union ») devenait majoritaire, la pression incroyable de ses fanatiques se ferait subir de plus en plus partout, à commencer par le système scolaire et universitaire, les logements sociaux, la légalisation des clandestins, la ponction des classes moyennes supérieures déjà détruites par le macronisme, avec comme fer de lance, son « avant-garde » ou l’alliance type grand écart entre les déconstructivistes climatistes et les djihadistes afin d’aller de l’avant, les uns ayant besoin des autres pour détruire leur ennemi commun, les préservateurs (innovants) des acquis judéo-chrétiens et républicains (au sens grec : politeia), avant de se détruire mutuellement, au bénéfice d’autres hordes plus mesurées dont le « mélencho-macronisme » aura besoin pour asseoir l’idéocratie globaliste de la Secte dont les appendices affairistes financent de plus en plus tout ce qui va dans le sens du transhumanisme hygiéniste et scientiste (ce néo-nazisme effectif).

Il est sûr que si les électeurs de Mélenchon étaient aussi anti-macronistes qu’ils l’affirment, le « narratif » diabolisant Marine Le Pen comme étant non seulement d » extrême droite, mais l’incarnant dans toute sa force et son horreur ne marcherait pas. Or, il semble bien que malgré l’évidence du contraire, toute la classe politico-médiatique au service de la Secte, à commencer par Mélenchon, leur clame qu’il faut faire bloc contre Marine Le Pen afin de « sauver la République » alors que toute cette élite, corrompue jusqu’aux os (tout en se prétendant « indépendante ») en est devenue la première fossoyeuse au sens de plus en plus littéral du terme ; on va bien voir si ces électeurs mélenchonnistes sont aussi moutonniers (et mascocéros) que les macroniens de plus en plus zombifiés au sens littéral (ou son socle électoral des plus de 65 ans et des jeunes ayant déjà basculé dans le Métaverse).




Stoppez le scénario covid19, toxique pour les peuples et la démocratie : l’exemple de l’Australie

La fin du mirage des confinements et des pseudo vaccins en Australie

Depuis l’apparition du Covid-19, les dirigeants australiens se sont illustrés par leur croyance en la stratégie « zéro Covid » par le confinement et la pseudo vaccination, et le mépris du Premier Ministre Scott Morrison pour les Droits de l’homme qui n’a pas hésité à utiliser tous les moyens pour imposer la pseudo vaccination.

Au début de la crise, l’isolement de leur île-continent leur a permis de contenir la maladie mieux que d’autres pays occidentaux (comme la France) appliquant des stratégies similaires et de faire croire la population à l’utilité des restrictions.

Mais l’arrivée d’Omicron a démontré la vanité de la croyance « zéro covid » et les dangers d’injecter massivement des produits expérimentaux. Des dizaines de milliers de demandes d’indemnisation d’effets secondaires des pseudo vaccins ont été déposées et le Sénat australien demande maintenant une transparence complète sur les obligations qui ont été imposées à la population sans aucun débat scientifique démocratique.

Évolution de l’épidémie

En mars 2020, l’Australie a fermé ses frontières presque hermétiquement à tout visiteur de l’extérieur (y compris à ses propres ressortissants), multiplié les confinements et imposé les injections expérimentales par tous les moyens. On ne compte plus les personnes qui n’ont pu retrouver leur famille ou accompagner un mourant. Les rares voyageurs autorisés devaient accepter une quarantaine obligatoire de 14 jours dans les hôtels australiens – qui coûtait à chaque voyageur 3 000 dollars australiens (1 900 euros).

Au 8 avril 2022, plus de 56 millions d’injections avaient été réalisées (à 95 % des 25 millions d’Australiens) et en novembre 2021 les dirigeants se vantaient d’avoir obtenu l’immunité collective qui devait assurer la fin de l’épidémie.

La tornade Omicron, arrivée début décembre 2021 en se moquant de la fermeture des frontières, a prouvé que l’immunité vaccinale n’était qu’un mythe et son intensité, plus forte en Australie que dans les pays moins vaccinés, suggère même que les injections expérimentales pourraient avoir favorisé les contaminations.

Au niveau mondial la poussée actuelle d’omicron semble en effet d’autant plus forte que la proportion de vaccinés est élevée.

Ce tsunami de contaminations manifestement d’autant plus fort que la population est davantage vaccinée fait que l’Australie a perdu son statut de pays relativement épargné par le Covid et qu’elle est en passe de rejoindre les pays les plus contaminés.

Et malheureusement la mortalité a suivi les contaminations plaçant maintenant l’Australie bien au-dessus des mortalités observées dans les pays pauvres (qui n’ont pas eu les moyens de se vacciner) et Madagascar peu vacciné (mais traité par Artémisine).

Ce brutal échec contre le covid est d’autant plus mal vécu que la population a payé le prix fort de la stratégie tout « confinement-vaccin » par les conséquences désastreuses des mesures sanitaires et les complications vaccinales.

Les mesures autoritaires ont-elles diminué la mortalité ? À quel prix ?

De très nombreuses études réalisées par des chercheurs indépendants de ceux qui les ont promues(([1] Ari R Joffe et al COVID-19 : Rethinking the Lockdown Groupthink
Front Public Health 2021 Feb 26;9:625778. doi : 10.3389/fpubh.2021.625778. eCollection 2021.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33718322/))
Lockdowns Do Not Control the Coronavirus: The Evidence AIER Staff — December 19, 2020))(([2] Rabail Chaudhry et al A country level analysis measuring the impact of government actions, country preparedness and socioeconomic factors on COVID-19 mortality and related health outcomes”. EClinicalMedicine 25 (2020) 100464. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32838237/))(([3] Christof Kuhbandner et al Was Germany’s Corona Lockdown Necessary?”. Advance: Sage Preprint, June 23, 2020
https://advance.sagepub.com/articles/preprint/Comment_on_Dehning_et_al_Science_15_May_2020_eabb9789_Inferring_change_points_in_the_spread_of_COVID-19_reveals_the_effectiveness_of_interventions_/12362645))(([4] Inferring change points in the spread of COVID-19 reveals the effectiveness of interventions
DOI: 10.1126/science.abb9789
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32414780/))(([5] Eran Bendavid Assessing mandatory stay‐at‐home and business closure effects on the spread of COVID‐19 Eur J Clin Invest. 2021 Feb 1 : e13484.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7883103/))(([6] Comment on Flaxman et al. (2020, Nature, https://doi.org/10.1038/s41586-020-2405-7): The 1illusory effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe
Authors:Stefan Homburg, Christof Kuhbandner
https://advance.sagepub.com/articles/preprint/Comment_on_Flaxman_et_al_2020_The_illusory_effects_of_non-pharmaceutical_interventions_on_COVID-19_in_Europe/12479987))(([7] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19 epidemic” by. MedRxiv Pre-print May 1, 2020 https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf))(([8] Jonas Herby, Lars Jonung, and Steve H. Hanke A LITERATURE REVIEW AND META-ANALYSIS OF THE EFFECTS OF LOCKDOWNS ON COVID-19 MORTALITY SAE./No.200/January 2022/October 2021
https://sites.krieger.jhu.edu/iae/files/2022/01/A-Literature-Review-and-Meta-Analysis-of-the-Effects-of-Lockdowns-on-COVID-19-Mortality.pdf)) ont analysé les évolutions avérées de l’épidémie selon les restrictions imposées. Elles ont toutes conclu, comme la dernière macroanalyse de l’université Johns Hopkins(([9] https://sites.krieger.jhu.edu/iae/files/2022/01/A-Literature-Review-and-Meta Analysis-of-the-Effects-of-Lockdowns-on-COVID-19-Mortality.pdf)):

« les mesures de confinement n’ont eu que peu ou pas d’effets sur la santé publique, elles ont imposé d’énormes coûts économiques et sociaux là où elles ont été adoptées. En conséquence, les politiques de confinement sont mal fondées et devraient être rejetées en tant que stratégies de gestion des pandémies ».

En Australie, le professeur Gigi Foster de l’Université de Galle du Sud, dans un article(([10] Gigi Foster Correctly counting the cost shows Australia’s lockdown was a mistake
https://www.afr.com/policy/economy/correctly-counting-the-cost-shows-australia-s-lockdown-was-a-mistake-20200525-p54w1o)) complétant son témoignage devant le Parlement de l’état de Victoria a démontré que le coût du confinement de six semaines est au moins trois fois supérieur au bénéfice que le confinement pourrait potentiellement apporter.

« Considérez que nous entendons parler de manière disproportionnée du nombre de cas, plutôt que du nombre de personnes souffrant de symptômes ou hospitalisées. Si nous comptions les cas de tous les virus qui nous infectent et les traitions comme la redoutable peste du genre de celle à laquelle le COVID a été élevé dans les médias, nous ne ferions rien toute la journée à part nous cacher sous le lit. Ce qui compte, ce sont les souffrances humaines et la mort, et non le fait que quelqu’un soit testé positif à un virus particulier… Ce qui se passe ici n’est pas le combat de nos vies contre une peste redoutable. Ce sont des politiciens qui sacrifient volontairement le bien-être de leur peuple, espérant que le peuple considère leurs actions comme une offrande suffisante. C’est l’équivalent moderne de tuer des vierges dans l’espoir d’obtenir une bonne récolte. Il faut arrêter cette folie ».

Le Dr Martin Lally, directeur d’un cabinet d’experts, examinant les complications et les avantages de la stratégie de verrouillage de l’Australie en mars 2020 par rapport à la poursuite d’une stratégie d’atténuation a conclu(([11] Lally M. A cost-benefit analysis of COVID-19 lockdowns in Australia. Monash Bioeth Rev. 2022 Jan 28:1–32. doi: 10.1007/s40592-021-00148-y. Epub ahead of print. PMID: 35088370; PMCID: PMC8794621.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8794621/)) comme le professeur Foster :

« les confinements coûtent bien plus de vies qu’ils n’en sauvent ».

En Australie, comme partout dans le monde, les restrictions de liberté n’ont aucunement atténué l’épidémie et ont entraîné d’innombrables victimes collatérales.

Cinq membres du comité scientifique, dont le Pr Delfraissy, l’ont d’ailleurs reconnu dans une lettre en anglais au Lancet(([12] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin
Jean-François Delfraissy Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract The Lancet : 2021 February 18
https://www.thelancet.com/journals/lanpub/article/PIIS2468-2667(21)00036-0/fulltext)):

« L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale ». « Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRASCoV-2. ».

Mais ces déclarations, cachées par les médias, sont restées lettre morte.

La santé mentale et le bien-être ont été touchés en raison de l’isolement social, tandis que les hôpitaux, le personnel et les patients sont également soufferts de traitements retardés ou annulés. Il y a aussi l’impact grave sur les enfants dont la scolarité a été interrompue pendant les fermetures d’écoles(([13] https://www.businessthink.unsw.edu.au/articles/covid-19-lockdowns-cost)), et les effets à long terme des réductions du PIB. En Australie, 2020 a sans aucun doute été l’une des années les plus difficiles jamais enregistrées. Les restrictions ont eu un effet négatif sur la majorité des 200 entreprises australiennes. L’indice ASX200 a subi une période de forte volatilité, de nombreuses entreprises perdant de la valeur en raison de la suspension de leurs activités, comme celles des secteurs du voyage. La situation de l’emploi reste difficile, avec un taux de chômage global de 6,8 % et des prévisions selon lesquelles le marché du travail ne reviendra pas à la normale avant 2023.

En Australie comme en France, des restrictions hypocrites

Envers la population ordinaire, ces restrictions de liberté inutiles ont été sauvages et sans aucune humanité, utilisant les brutalités policières pour les faire respecter.

En août 2020, une femme enceinte de jumeaux habitant le nord de la Galles du Sud a voulu consulter en urgence l’hôpital de plus proche (160 Kms) à Brisbane (Queensland), mais elle a été refoulée à la limite des deux états, et a dû repartir pour Sidney distant de 600 Kms ; après un voyage de 16 heures, les médecins ont constaté la mort d’un de ses deux bébés.

De même, un garçon de 6 ans atteint de paralysie cérébrale revenant des USA, où il venait d’être lourdement opéré, a été astreint à une quarantaine de 14 jours malgré son état et le fait que, comme tout enfant, il ne présentait aucun risque de contaminer autrui.

En octobre 2021, Melbourne est devenue la ville la plus fermée au monde avec un total de 277 jours de confinement,(([14] Cristal Wu Journaliste numérique
https://www.skynews.com.au/australia-news/coronavirus/melbourne-passes-buenos-aires-record-as-the-worlds-most-lockeddown-city/news-story/c59ca9114ea99c930eca57568cd2df35)) principalement en deux longues périodes de juillet à octobre 2020 et d’août à octobre 2021, et en même temps la plus contaminée d’Australie.

Mais le confinement, sévère avec la population ordinaire, s’est révélé tendre avec les riches et célèbres comme Nicole Kidman, Keith Urban et Dani Minogue qui ont été dispensés de quarantaine, et l’arrivée de 1200 personnes du monde entier lors du tournoi de tennis d’Australie ou lors des manifestations des Black lives Matters rassemblant 10 000 protestataires tolérées par le gouvernement en signe de sympathie à leur cause, tandis que 37 000 résidents australiens n’avaient pas le droit de rentrer chez eux et restaient coincés à l’étranger ou dans des états australiens voisins.

Et lorsque les habitants de Melbourne ont tenté de manifester contre la violation de leurs libertés, ils ont fait face à une police violente utilisant des lanceurs de balles, gaz lacrymogènes et bombes à poivre.

Tout cela pour imposer un confinement scientifiquement infondé et qui a coûté bien plus de vies qu’il prétendait en sauver.

Les pseudo vaccins sont bien plus dangereux que la maladie

Les injections anti-covid ont été présentées faussement comme des vaccins(([15] Ce ne sont pas des vaccins selon la définition de Pasteur, car ils ne contiennent aucun antigène. D’ailleurs Delfraissy lui-même l’a reconnu et les appelant  « vaxmédicament ».)) et déclarées très efficaces (>95 % d’efficacité alléguée) et sans danger alors même que leurs essais n’étaient pas terminés (ils ne le seront qu’en 2023).

15 mois plus tard, la persistance et souvent même l’exacerbation de l’épidémie dans les pays les plus vaccinés montre que la prétendue efficacité était mensongère. Partout où l’on avait le plus vacciné (Israël, Chili, Malte, Islande, Gibraltar, etc.), l’épidémie est repartie de plus belle… Globalement depuis la vaccination, le nombre total de cas par million a été multiplié par près de 200 en Australie (de 1200 à 192 000), par 10 en France (de 44 000/M à 400 000/M) et par 5 à 6 dans les autres pays très vaccinés alors que les gouvernants promettaient la fin de l’épidémie dès qu’une portion notable de la population serait vaccinée.

La prétendue « excellente tolérance des pseudo vaccins » était tout aussi mensongère.

15 mois après le début des injections en Australie, plus de 10 000 Australiens ont déposé des demandes d’indemnisations pour des complications graves des pseudo vaccins(([16] https://www.news.com.au/finance/work/at-work/more-than-10000-aussies-plan-to-claim-for-covid-injuries-under-the-governments-nofault-indemnity-scheme/news-story/4d4e8a1ff7489b6f0728766ebee5c8b2)) et devraient recevoir entre 5 000 et 20 000 dollars australiens sans avoir à entreprendre des poursuites judiciaires.

En effet le gouvernement australien a accordé aux fournisseurs de deux vaccins COVID-19 une immunité contre la responsabilité pour les effets secondaires. Bien que les détails précis ne soient pas publiés, il semble que le gouvernement paierait la facture de l’indemnisation si un vacciné gagnait une action en justice contre la société pharmaceutique.

Selon le Sydney Morning Herald, le gouvernement australien pourrait être obligé de débourser une somme pouvant atteindre au moins 50 millions de dollars australiens, afin de dédommager les personnes ayant subi des effets secondaires importants liés à la vaccination contre le Covid-19.

Comme les enfants et les jeunes ont moins à craindre du Covid19 que de la grippe saisonnière, le risque de complications vaccinales (thromboses, myocardites…) fait clairement pencher fortement la balance avantages/risques de ces traitements-injections du côté du risque. Les pseudo vaccins n’ont aucune justification chez les jeunes.

Le réveil de la démocratie ?

Le comité Covid du Sénat australien vient enfin de demander que tous les rapports de la commission nationale Covid soient rendus publics, y compris « toutes les déclarations de conflits d’intérêts réels et perçus faites par les commissaires », et « tous les procès-verbaux précédents et futurs du comité principal australien de protection de la santé ». La présidente du comité, Katy Gallagher, a déclaré aux journalistes à Canberra que le comité avait été « empêché » d’accéder à des informations cruciales. Cela comprenait des documents du cabinet national, que le gouvernement Morrison veut garder confidentiels.

Sa demande de transparence rejoint les exhortations d’experts indépendants.

« À l’heure actuelle(([17] 2021 https://www.smh.com.au/national/stop-this-human-sacrifice-the-case-against-lockdowns-20210627-p584o7.html)) (Juin21), nous devons concentrer notre attention et notre protection sur les personnes de notre population qui sont réellement vulnérables aux effets graves de ce virus. Nous devons acheter des médicaments et établir des protocoles de traitement qui permettent de réduire la gravité des symptômes du COVID, tout en offrant des vaccins à toute personne appartenant à des groupes vulnérables qui le souhaite – sans contrainte et sans attacher les taux de vaccination de la population aux ouvertures des frontières. »





Macron annonce que s’il est réélu le 24 avril, il ne s’interdira pas « d’avoir recours au pass vaccinal »

[Source : lemediaen442.fr]

Après que le gouvernement a suspendu les livraisons de « vaccin » Pfizer pendant les élections, Macron a lâché une information de taille qui ne va pas rassurer les Français qui pensaient être libres de tout mouvement. Ils vont peut-être devoir revenir au vaccin pour partir en vacances.


Lors d’une interview sur le pure player français Brut, le présidentiable Emmanuel Macron laisse entrevoir ses projets pour le peuple de France. S’il est réélu le 24 avril 2022, il ne s’interdira pas de réintroduire le pass vaccinal et donc l’obligation vaccinale pour accéder aux lieux de loisirs, bars, restaurants, transports… « La loi a donné la possibilité au gouvernement de l’utiliser jusqu’en juillet. Et donc s’il y avait une remontée très forte, qui s’accompagnait d’une montée des hospitalisations et en réanimation, qui conduit à une déprogrammation des opérations, il ne faut pas s’interdire de réutiliser le pass vaccinal », a expliqué l’actuel président.

Après les élections les affaires reprennent : les livraisons de Pfizer ne sont suspendues que jusqu’au 27 avril 2022. Le virus, ce pilier de bar, a horreur des isoloirs, donc même non vacciné, vous pourrez en toute décontraction aller voter Macron. Une fois Macron réélu et votre location d’été réservée, vous devrez vous faire injecter une dose. Sinon vous devrez rester chez vous !

La veille de l’élection, Macron montre qu’il fait le job jusqu’au bout pour que les principaux actionnaires de Pfizer, BlackRock et Vanguard, lui gardent une place au chaud bien payée. Au risque de ne pas être réélu…




Quel bénéfice les Français trouvent-ils à élire un président qui utilise une partie de leurs impôts pour engraisser des sociétés privées, surtout lorsqu’elles sont étrangères ?

Barbara Lefebvre sur RMC

[Voir aussi :
Affaire McKinsey : quelques vidéos pour ceux qui n’ont pas envie de lire
McKinsey : le Parquet a ouvert une enquête pour « blanchiment aggravé de fraude fiscale »
Les nombreuses fois où McKinsey a été mêlé à des scandales
L’opportun scandale Servier qui cache la forêt McKinsey
McKinsey Gate — Suite
McKinsey, ce cabinet qui conseille Macron et qui fraude le fisc
L’agence de presse Reuters, le cabinet McKinsey et Pfizer, l’énorme conflit d’intérêts !
Mc Kinsey : le Sénat a-t-il intentionnellement noyé la mèche qui devait exploser ?]

Bonus

   Mais si, mais si, « IL LE PEUT » !
   C’est-ce qu’il fait depuis des années !

Turiya




L’état de la liberté de la presse et de la liberté d’expression au Québec est pire qu’en France

[Source : putsch.media]

Julien Garon-Carrier : « Pourquoi au Québec aucun média n’a-t-il réussi à obtenir et à publier les documents que la firme Mc Kinsey a fourni au gouvernement du Québec? »

Les médias n’avaient pas bonne presse bien avant la crise sanitaire aussi bien en France qu’au Québec. Et la défiance s’est accélérée pendant la pandémie de Covid19, toujours aussi bien au Québec qu’en France.

Julien Garon-Carrier, Éditeur en chef, d’un nouveau média en lancement au Québec « Libre Média » explique dans les colonnes de Putsch cette méfiance pour les médias et la naissance de « Libre Média » actuellement en cours de financement participatif.

Quel est l’état de la liberté de la presse et de la liberté d’expression au Québec?

Comme dans le reste du monde occidental, la liberté de presse a été particulièrement mise à mal durant les deux dernières années, soit depuis le début de la crise sanitaire. Aujourd’hui, elle est peut-être bien dans un état plus lamentable au Québec qu’ailleurs, puisque l’écosystème médiatique québécois forme un microcosme unique et hermétique.
Ainsi, la plupart des grands médias pendant la pandémie se sont alimentés aux mêmes sources, soit strictement des experts médicaux québécois, qui sont quasiment devenus des vedettes médiatiques : invités à la radio et à la télévision, cités dans les journaux quotidiennement.
Or, ces experts, dont certains ont des conflits d’intérêts avec des entreprises pharmaceutiques, avaient presque tous les mêmes points de vue sur les mesures sanitaires adoptées par le gouvernement du Québec (confinement, couvre-feux, port du masque, distance entre les individus) et sur la vaccination. Et leurs points de vue ont été très peu nuancés, c’est-à-dire que trop souvent ils s’imbriquaient parfaitement à ceux du gouvernement et de la Santé publique du Québec.

« Les experts, dont certains ont des conflits d’intérêts avec des entreprises pharmaceutiques, avaient presque tous les mêmes points de vue sur les mesures sanitaires adoptées par le gouvernement du Québec »

Dans ce contexte, les médias ont manqué à leur obligation critique d’exercer pleinement leur rôle de chien de garde de la démocratie, celui propre au quatrième pouvoir. En somme, ils n’ont été que la courroie de transmission des discours des experts médicaux et des politiques.
Il n’y a eu aucun espace dans le débat public pour les opinions divergentes ou les propos d’experts qui allaient à l’encontre de la doxa. Et parlons franchement, il y a eu de la censure et de l’intimidation de la part des médias, et l’utilisation de techniques de manipulation psychologique de la part du gouvernement.

Bref, l’espace mental du libre arbitre s’est significativement rétréci depuis deux ans au Québec. Après tout, plus d’un Québécois sur deux croit que les représentants des médias tentent de les tromper volontairement. Avec Libre Média, nous comptons y remédier.

« Plus d’un Québécois sur deux croit que les représentants des médias tentent de les tromper volontairement »

Vous évoquez dans une vidéo que les sources de financement québécois ne favorisent pas leur indépendance ? Pouvez-vous nous en dire quelques mots?

Le financement des médias québécois pose problème pour deux raisons. D’une part, le gouvernement fédéral (gouvernement du Canada) subventionne le salaire de plusieurs journalistes. Et d’autre part, le gouvernement provincial (gouvernement du Québec) a acheté une quantité de publicité phénoménale pendant la pandémie, représentant des centaines de millions de dollars, pour inciter la population à respecter les mesures sanitaires et à se faire vacciner.
Un adage vieux comme le monde stipule qu’on ne mord pas la main qui nous nourrit. Cet adage prend tout son sens dans le contexte actuel : il révèle l’évidence.
Que se serait-il passé si un média de masse avait décidé de donner la parole chaque semaine à des experts qui n’auraient pas endossé le récit dominant, qui auraient véhiculé des hypothèses différentes, qui auraient émis des réserves sur l’approche à adopter pour la gestion sociale de la pandémie ?

Pourquoi au Québec aucun média n’a-t-il réussi à obtenir et à publier les documents-conseils que la firme Mc Kinsey a fourni au gouvernement du Québec ? Ce qui fait polémique en France est balayé sous le tapis de l’autre côté de l’Atlantique. Le financement est, et sera toujours, un levier pour effectuer des pressions sur les contenus.

« Pourquoi au Québec aucun média n’a-t-il réussi à obtenir et à publier les documents que la firme Mc Kinsey a fourni au gouvernement du Québec ? »

L’impartialité des grands médias a été remise en cause par beaucoup pendant la crise sanitaire. Quelle analyse faites-vous de cette situation ?

L’impartialité est un principe associé à celui de l’équilibre des points de vue, afin d’offrir un texte objectif aux lecteurs. Or, sous le couvert du consensus scientifique, les médias de masse nous ont balancé les propos d’experts qui, en fait, n’exposaient qu’un seul côté de la médaille, n’exploitaient qu’une seule facette de l’histoire.
Par exemple, nulle part dans les médias québécois, les risques des effets à long terme des injections ARN-m n’ont été sérieusement discutés. Lorsqu’ils étaient évoqués, ses détracteurs s’empressaient de lui opposer le risque de la forme longue de la maladie à coronavirus.
Ou encore, lorsque l’ancien animateur vedette de Radio-Canada, Stéphane Bureau, a interviewé le professeur Raoult à l’été 2021, cela lui a vivement été reproché, alors que les points de vue opposés à la chloroquine se sont maintes fois fait entendre sur les ondes du média d’État. Il a même reçu un blâme de l’ombudsman de Radio-Canada. Et au terme de cette saga, M. Bureau a choisi de ne pas renouveler son contrat avec le média d’État.
Et je pourrais continuer comme ça en dressant une liste effarante de sujets, de thèmes et d’angles qui ont, à toutes fins pratiques, soit été ignorés par les grands médias, soit reçus un traitement biaisé.
Bref, l’impartialité en a pris pour son rhume dans les médias au Québec pendant la pandémie de COVID-19.


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Le rôle du journaliste consiste à dévoiler la vérité au grand jour, dans une optique de probité publique.
Cela s’inscrit dans une démarche d’indépendance d’esprit, voire de marginalité, afin de promouvoir le libre-arbitre et de produire une information qui colle à la réalité, ce qui n’est pas une mince tâche, puisque les contraintes structurelles des organes de presse pèsent lourd sur le journaliste. Après quelques avertissements d’un patron, le journaliste intériorise la censure et met en place des mécanismes d’autocensure qui le poussent à livrer le type de contenu que son employeur attend de lui. Chez Libre Média, nous souhaitons offrir de la latitude à nos journalistes, tout en respectant l’éthique de la profession.

« Après quelques avertissements d’un patron, le journaliste intériorise la censure et met en place des mécanismes d’autocensure qui le poussent à livrer le type de contenu que son employeur attend de lui »

Quel sera votre modèle économique chez Libre Média ? Uniquement de l’abonnement ?

Nous revendiquons être un média financé par le peuple et pour le peuple, donc oui les abonnements constitueront une bonne part de nos recettes. Cependant, nous souhaitons avoir une couverture médiatique d’envergure à terme et cela nécessitera des revenus d’annonceurs, mais attention, pas n’importe lesquels. Nous désirons des annonceurs publicitaires dont la vision et les valeurs s’arrimeront à 100 % avec celles de Libre Média, afin d’assurer l’entière indépendance de pensée de nos contenus.

« Ni de gauche, ni de droite, nous créons un nouveau paradigme ». Néanmoins quelle sera votre ligne éditoriale ?

Notre ligne éditoriale mise sur le respect des valeurs de notre coopérative, soit la liberté, la transparence et la bienveillance. Nous voulons éviter les grilles de lecture prédéterminées qui encadrent la réflexion et la cloisonnent dans un espace mental restreint. Il y a de bonnes idées à gauche et de bonnes idées à droite. Néanmoins, la transcendance des clivages pour donner préséance à l’humain dans toute sa sacralité oriente notre ligne éditoriale.
En ce sens, la mission de Libre Média consiste également à mettre en vitrine l’émergence de modèles régénératifs économiques et de gouvernance du développement territorial. S’inscrivant dans un paradigme de décentralisation du pouvoir décisionnel et un retour à l’équilibre avec notre environnement naturel, ce mouvement régénératif s’accélère particulièrement depuis quelques années au Québec et à l’échelle de l’Occident.

Allez-vous aussi traiter de sujets internationaux ou vous concentrer sur le Québec ?

Naturellement, nous allons nous concentrer sur le Québec et le Canada. L’information internationale s’avère complexe et chaque région du monde possède ses enjeux géopolitiques stratégiques et ses particularités culturelles et politiques. Cela requiert des journalistes d’expérience avec un bon bagage, des études et une bonne tête, ce qui est assez dispendieux.
Par exemple, faute de budget, au Québec la plupart des médias de masse francophone, pour ne pas dire l’ensemble d’entre eux, emploient les services de l’AFP pour les nouvelles internationales. Nous voyons mal comment un média indépendant comme Libre Média pourrait diffuser les articles de l’AFP, qui admettons-le, sont « orientés ». Donc, oui, développer l’information internationale, mais sur le long terme, pour bien faire les choses.

Est-ce que les Québécois sont enclins aujourd’hui à s’abonner de nouveaux médias indépendants ?

Il y a deux ans, soit avant la crise sanitaire, la réponse à cette question aurait été toute autre, mais aujourd’hui, il y a une partie substantielle de la population qui est prête à poser ce geste. Le peuple n’est pas dupe. Une prise de conscience s’est opérée. Il a vu le « storytelling » des médias, la propagande des gouvernements, les articles biaisés en faveur d’un point de vue! Le peuple a soif d’une information qui sort de l’ordinaire.
Et à en juger par notre campagne de financement sur notre page libremedia.ca, ayant permis d’amasser plus de 80 000 $ en trois semaines, je crois que nous sommes sur la bonne voie. Il y a certainement un lectorat prêt à investir, c’est indéniable et de bon augure.

Pour en savoir plus sur Libre Media : https://libremedia.ca/




On a ce qu’on mérite

[Source : oumma.com]

Par Hocine Kerzazi
10 avril 2022, 9 h 39 min

L’élection présidentielle annonce des lendemains difficiles et celui du 24 avril sera particulièrement violent. La France se réveillera dans la douleur et il faudra se regarder en face. À moins qu’un sursaut salvateur ne se produise.

La France a besoin d’un bouleversement, d’une prise de conscience radicale. L’état de santé démocratique du pays est préoccupanti mais, à en croire les sondages, trop peu de Français en mesurent la gravitéii.

Et pour cause, de savants procédés de soumissioniii et de manipulation des massesiv sont déployés par le président depuis cinq ans, et ça marche : une foule d’adeptes sensibles aux grosses ficelles médiatiques s’interdit de réaliser qu’un désastre se prépare sous leur nez. Ils persistent à nier le péril démocratique en cours et refusent tout ce qui invalide désormais la légitimité du président-candidat. Ils font prévaloir la logorrhée médiatique, leur dogmatisme ou leur carrière sur la réalité du bilan présidentiel.

Quand on leur présente des faits concrets, ils refusent de les voir, s’enferment dans des calculs politiciens, des attaques personnelles et des raisonnements par étiquettes, déconsidérant les messagers pour s’épargner à bon compte de juger le réel. Ils sont comme le coyote du cartoon qui galope dans le vide sans s’apercevoir que le sol s’est dérobé sous ses pieds. La chute n’est pas moins inévitable.

Aussi, il y a là de quoi être particulièrement inquiet de ces attitudes d’aveuglement volontaire. Inquiet d’abord de voir des Français se résigner et attendre l’homme providentiel qu’on choisira pour eux. Inquiet ensuite d’en voir se défausser, et participer à leur propre naufrage.

Je suis d’autant plus préoccupé que j’ai dressé le bilan social catastrophique d’Emmanuel Macron, et que je tente d’alerter sur ce qui se joue sous leurs yeuxv. Je montre en effet dans mon livre qu’il est encore temps d’agir contre ce déclin de la démocratie et l’autoritarisme en cours. Par exemple, avec les mesures politiques de bon sens dont je rends compte dans le dernier chapitre, mais surtout par la critique à la racine du macronismevi, par le dévoilement de ses ressorts idéologiquesvii, de la teneur de son projetviii et de son échec manifesteix.

Le fait est que toutes ses belles promesses se sont envoléesx. Les mirages de la novlangue et du jargon techno-managérial se sont évanouisxi. Ne restent que le vide moral et les scandalesxii. Les milliardaires d’Open-Luxxiii privent nos services publics de milliers de milliards d’eurosxiv, mais le scandale continue d’être occulté par des gouvernants complaisants et une machine médiatique complicexv. Comment admettre qu’une infime part du peuple français « s’exonère, en cachette, des charges communes et de l’intérêt général »xvi alors que, dans le même temps, un président arrose de millions des cabinets privés américainsxvii, explique « qu’il n’y a pas d’argent magique » pour les hôpitaux aux aboisxviii, qu’il faut « se serrer la ceinture »xix, et donc travailler plus longtempsxx ?

À l’heure où les scandales sapent les bases de notre société, l’urgence du moment commande de ne plus faire semblant de rien. Les Français ne sont pas des moins que rien tout juste bons à consommer, à obéir et à se taire. Nombre d’entre eux oppose une résistance farouche à l’apathie que les empires du divertissement s’appliquent à instiller dans leurs esprits. Mais ils doivent encore se libérer d’une triple aliénation : celle des mass-médias qu’il est temps de rendre véritablement indépendantsxxi ; celle de l’oligarchie dont il faut révoquer les privilègesxxii ; celle de la croissance aveugle et forcenée qui mine le progrès humainxxiii.

Ce n’est qu’à cette condition, en développant une conscience avertie, libre et humaine, qu’ils pourront s’extraire du défaitisme ambiant et regagner leur souveraineté.

Mais pour que s’accomplisse cette espérance, un chemin tortueux reste à parcourir. L’élection présidentielle ouvre la voie et nous place devant nos responsabilités : décider de notre destin collectif ou se complaire dans l’effondrement. Alors, quelle que soit l’issue du scrutin, « on aura ce qu’on mérite ».

Notes

i https://www.economist.com/graphic-detail/2021/02/02/global-democracy-has-a-very-bad-year?utm_campaign=editorial-social&utm_medium=social-organic&utm_source=twitter

ii La situation tient en six points : 1. « Grand effondrement » des services publics : https://www.ouest-france.fr/elections/presidentielle/presidentielle-plusieurs-associations-alertent-du-grand-effondrement-des-services-publics-87115970-8dbd-11ec-b752-e3a9d18d1e6e; 2. Appauvrissement des plus pauvres : https://www.ouest-france.fr/economie/social/les-francais-les-plus-riches-s-enrichissent-les-plus-pauvres-s-appauvrissent-6971836 ; 3. Surveillance de masse : https://www.la-croix.com/France/Radicalisation-algorithmes-traquer-signaux-faibles-2021-04-28-1201153078 ; https://www.lci.fr/justice-faits-divers/fichiers-de-renseignement-le-conseil-d-etat-autorise-le-fichage-des-opinions-politiques-ou-appartenances-syndicales-2174615.html ; 4. Recul du droit à l’information : https://www.lemonde.fr/international/article/2020/12/18/loi-securite-globale-le-conseil-de-l-europe-exhorte-led-senat-a-amender-le-texte_6063815_3210.html ; 5. Limitation des libertés: https://www.laquadrature.net/2019/05/09/une-loi-contre-la-haine-anti-macron/https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/textes/l15b3452_proposition-loi; 6. Répression violente : https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/11/24/un-nouveau-camp-de-migrants-au-c-ur-de-paris-aussitot-violemment-demantele_6060869_3224.htmlhttps://www.lefigaro.fr/marches-des-libertes-un-photographe-syrien-blesse-rsf-denonce-des-violences-policieres-20201128https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/videos-le-journaliste-remy-buisine-frappe-au-sol-par-un-policier-a-paris-enquete-ouverte_37683319.htmlhttps://www.mediapart.fr/journal/france/030121/comment-les-forces-de-l-ordre-ont-sabote-la-manifestation-du-12-decembre-2020?onglet=fullhttps://www.amnesty.org/fr/latest/news/2020/11/france-is-not-the-free-speech-champion-it-says-it-is/http://www.snj.fr/thèmes/liberté ; https://rsf.org/fr/observatoire19-Coronavirus-Covid19https://www.lemonde.fr/police-justice/video/2019/12/11/notre-enquete-video-comment-la-police-a-grievement-blesse-un-gilet-jaune-le-16-novembre-sur-la-place-d-italie-a-paris_6022448_1653578.html ; https://www.lemonde.fr/police-justice/video/2019/10/17/gilets-jaunes-comment-un-policier-a-tire-au-lbd-40-dans-la-tete-d-un-manifestant_6015828_1653578.htmlhttp://www.snj.fr/thèmes/liberté ; https://rsf.org/fr/observatoire19-Coronavirus-Covid19https://www.mediapart.fr/journal/france/180619/liberte-d-expression-nicole-belloubet-veut-s-attaquer-la-loi-de-1881https://vincennesparisot.wordpress.com/page/3/, https://www.lemonde.fr/…/gilets-jaunes-reporters-sans… , https://www.coe.int/fr/web/commissioner/-/maintaining-public-order-and-freedom-of-assembly-in-the-context-of-the-yellow-vest-movement-recommendations-by-the-council-of-europe-commissioner-for-https://news.un.org/fr/story/2019/03/1037951, https://www.nouvelobs.com/societe/20190312.OBS1572/gilets-jaunes-le-defenseur-des-droits-denonce-un-renforcement-de-la-repression-en-france.html…

iii Comme l’écrit Français Ruffin, Emmanuel Macron a perdu le consentement du peuple : « Vous ne dirigez plus. Il ne vous reste que la force de coercition : la police tous les samedis, les matraques et les gaz lacrymogènes. Vous ne dirigez plus : vous dominez ». Ce qui importe à Emmanuel Macron n’est pas de gouverner le peuple français mais de le soumettre. https://francoisruffin.fr/pacte-aeroports-de-paris/.

iv Pour gérer la crise sanitaire, on attendait d’un Président de la République qu’il réunisse les experts français de santé publique et qu’il consulte les organes officiels. Cependant, Emmanuel Macron a préféré monter de toutes pièces un pseudo « conseil scientifique » créé par cooptation, sans valeur scientifique, ni aucune attribution en santé publique. Pire, il a préféré engager des organisations privées, des Nudge Unit, spécialisées dans le neuro-marketing, la suggestion mentale et les techniques manipulatoires d’incitation et de modulation des comportements. Celles-ci ont ainsi été chargées de prendre toutes les décisions concernant la crise sanitaire afin, espérait le président, nous conduire dans la « bonne direction ». https://www.francebleu.fr/infos/societe/coronavirus-comment-les-sciences-comportementales-aident-les-politiques-a-gerer-la-crise-sanitaire-1585316002,

v Hocine Kerzazi, Islamo-diversion. Un quinquennat de casse sociale, Paris : L’Harmattan, 2021, 196 p.

vi https://oumma.com/emmanuel-zemmour/

vii https://oumma.com/sublime-imposture/

viii https://oumma.com/si-macron-est-reelu/

ix https://oumma.com/2022-lapocalypse/

x https://www.acrimed.org/Les-editocrates-eblouis-par-Macron-et-en-rage, https://www.lemonde.fr/politique/article/2019/04/04/a-l-assemblee-le-grand-debat-accouche-d-une-souris_5445660_823448.html

xi https://www.marianne.net/politique/emmanuel-macron-elu-il-va-falloir-s-habituer-sa-novlanguehttps://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/la-novlangue-manageriale-un-instrument-de-manipulation-au-service-du-pouvoir/

xii https://oumma.com/lautre-scandale-de-macron/

xiii OpenLux est une enquête monumentale lancée par Le Monde et un consortium international de journalistes. Elle révèle l’ampleur de l’évasion et de la fraude fiscales : 37 des 50 familles les plus riches de France échappent ainsi au fisc. Des dizaines de privilégiés gravitant dans les arcanes de la finance, des médias et de la politique privent les caisses publiques françaises de centaines de milliards d’euros chaque année. 6 500 milliards de fortunes planqués dans des paradis fiscaux. Autant de recettes en moins pour nos hôpitaux, pour nos écoles, pour nos retraites.

xiv https://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/2017/11/06/25001-20171106ARTFIG00212-paradise-papers-face-a-l-evasion-fiscale-la-classe-politique-demunie.php

xv Pas un mot (ou presque), dans les médias de milliardaires parfois mis en cause. Rien dans Le Parisien et Les Échos du milliardaire Bernard Arnault ; rien sur BFM-TV, RMC, Libération du milliardaire Patrick Drahi ; rien sur Challenges et Sciences et Avenir du groupe Nouvel Observateur du milliardaire Claude Perdriel ; rien dans Paris Match, Journal du Dimanche et Europe 1 du milliardaire Arnaud Lagardère. https://www.francetvinfo.fr/economie/impots/paradis-fiscaux/paradis-fiscaux-on-vous-resume-openlux-ces-revelations-qui-epinglent-le-luxembourg-et-des-grandes-fortunes-francaises_4289725.html

xvi https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/02/08/openlux-en-n-osant-pas-nommer-un-paradis-fiscal-on-ne-s-attaque-pas-aux-questions-qui-minent-nos-democraties_6069135_3232.html

xvii https://www.humanite.fr/politique/vaccination/derriere-le-fiasco-vaccinal-les-ravages-dune-gestion-confiee-aux-cabinets

xviii https://www.franceculture.fr/emissions/le-temps-du-debat/budget-largent-est-il-devenu-magique

xix https://www.20minutes.fr/economie/2095087-20170629-jusqu-point-france-va-devoir-serrer-ceinture-cour-comptes-rend-rapport ; https://www.lepoint.fr/economie/comment-les-collectivites-locales-vont-devoir-se-serrer-la-ceinture-17-07-2017-2143796_28.php ; https://www.capital.fr/economie-politique/les-chambres-de-commerce-priees-de-se-serrer-la-ceinture-1297351 ;

xx https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2019/04/29/non-les-salaries-francais-ne-travaillent-pas-moins-que-leurs-voisins_5456229_4355770.html#:~:text=Les%20décodeurs-,Non%2C%20les%20salariés%20français%20ne%20travaillent%20pas%20moins%20que%20leurs,ou%20plus%20que%20leurs%20voisins.

xxi Cagé, J. Huet, B. L’Information est un bien public. Refonder la propriété des médias, Seuil, février 2021.

xxii https://www.bastamag.net/Herve-Kempf-Il-est-vital-pour-l

xxiii https://www.traxmag.com/elon-musk-veut-diffuser-de-la-musique-directement-dans-votre-cerveau/https://www.francetvinfo.fr/sciences/high-tech/bill-gates-steve-jobs-quand-les-patrons-de-la-silicon-valley-interdisent-les-portables-et-les-reseaux-a-leurs-enfants_2514445.html, https://www.techniques-ingenieur.fr/actualite/articles/implantation-sous-cutanee-des-micropuces-rfid-ou-en-est-on-91046/




Le plus gros mensonge de l’histoire: La base de données est erronée. Il n’y a jamais eu de pandémie. Les mandats Covid, y compris le vaccin, sont invalides.

[Source : mondialisation.ca]

Les « cas confirmés Covid-19 » par PCR n’ont aucun sens. Le projet de test d’antigènes et à domicile de plusieurs milliards de dollars est faux

Par Prof Michel Chossudovsky

Cet article a été publié initialement le 28 mars 2022.

Introduction

Déstabiliser la structure sociale, politique et économique de 190 pays souverains ne peut constituer une « solution » pour lutter contre le virus. Mais c’était la « solution » imposée qui fut mise en œuvre en plusieurs étapes dès le début de la crise corona en janvier 2020. C’est la destruction de la vie des populations à l’échelle mondiale. C’est la déstabilisation de la société civile.

La fausse science a soutenu ce programme dévastateur. Les mensonges ont été soutenus par une campagne de désinformation massive dans les médias. Des « alertes Covid » 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, incessantes et répétitives au cours des deux dernières années.

Le confinement historique du 11 mars 2020 a déclenché un chaos économique et social dans le monde entier. C’était un acte de « guerre économique » : une guerre contre l’humanité. 

Ce programme diabolique a sapé la souveraineté des États-nations. 

Il a contribué à une vague de faillites. Il a appauvri des populations entières à l’échelle mondiale.

Cela a conduit à une spirale de la dette globale libellée en dollars. 

Les puissantes structures du capitalisme mondial, le grand capital (Big money) et son appareil militaire et de renseignement en sont la force motrice.

En utilisant des technologies numériques et de communication avancées, le verrouillage et la «fermeture» de l’économie mondiale sont sans précédent dans l’histoire de l’humanité.

Le rôle central du test de réaction en chaîne par polymérase de transcription inverse (RT-PCR)

Dès le début, les médias et les gouvernements ont négligé et ignoré les défauts et les faussetés concernant le test RT-PCR comme moyen de détecter la propagation du virus et d’identifier le SRAS-CoV-2.

« Le PCR est un processus. Il ne vous dit pas que vous êtes malade ».

Dr. Kary Mullis , lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, est décédé en août 2019.

« Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est employée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements, appuyés par des conseils scientifiques de sécurité et par les médias dominants, pour justifier des mesures excessivescomme la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels, (…) sous prétexte d’une pandémie qui se base sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre de malades réels. »

Dr Pascal Sacrémédecin belge spécialisé en soins intensifs et analyste renommé en santé publique.

La base de données des « cas confirmés Covid-19 » est invalide.

La désinformation médiatique a prévalu pendant plus de deux ans malgré le fait que l’OMS et le CDC (avec les sous-entendus habituels) aient confirmé ce que l’on savait depuis le tout début en janvier 2020, à savoir que le test RT-PCR utilisé pour justifier tous les mandats Covid-19 sans exception incluant le confinement, la distanciation sociale, le masque, le confinement de la main-d’œuvre, la fermeture de l’activité économique, etc. étaient erronés et invalides. 

L’OMS a publié son Mea Culpa il y a plus d’un an, le 20 janvier 2021. Quelques mois plus tard, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC)   (21 juillet 2021) appelaient au retrait du test PCR comme méthode valide afin de  détecter et identifier le SRAS-CoV-2. 

Depuis le 31 décembre 2021, le test PCR n’est plus considéré comme valide par le CDC aux États-Unis. Pour plus de détails, voir :  Une véritable bombe : Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés Covid-19 »

Le CDC a maintenant fermement reconnu que le test PCR ne différencie pas de manière efficace entre la maladie Covid-19 et la grippe saisonnière. Un PCR positif n’implique pas un « cas confirmé Covid-19 ». Il pourrait s’agir de la grippe ou d’un rhume corona. Le CDC a appelé à son retrait à compter du 31 décembre 2021.

Cliquez ici ou sur l’écran pour voir la vidéo



Fake Data : 465 millions de soi-disant « cas confirmés Covid-19 »

Si le test PCR est invalide (confirmé par de nombreuses études ainsi que par l’OMS, les CDC),  les 465 millions dits « Confirmed Covid-19 Cases »  (voir schéma ci-dessous, 18 MARS 2022) collectés et compilés dans le monde depuis le début de la crise Covid-19 n’ont aucun sens. Cliquez ici pour obtenir les derniers chiffres.

Le traité sur la pandémie et le code de vérification QR 

Début mars 2022, un organe intergouvernemental de négociation (INB) a été créé avec le mandat de  créer un « traité sur la pandémie », c’est-à- dire  une entité mondiale de gouvernance de la santé sous les auspices de l’OMS, qui l’emporterait sur l’autorité des États membres de l’OMS :

« L’INB a tenu sa première réunion pour rédiger et négocier un instrument international sur la prévention, la préparation et la réponse à la pandémie sous l’autorité de l’OMS »

Mercola

Le traité sur la pandémie   est lié au  projet de code de vérification QR de l’OMS ,  qui vise à créer une banque de données numérique mondiale de 7,9 milliards de personnes. Les deux initiatives seraient menées simultanément par l’OMS en liaison avec ID2020  et la Gavi Alliance , toutes deux financées par la Fondation Gates.

Peter Koenig décrit le QR Code comme « une identification entièrement électronique – reliant tout à tout de chaque individu (dossiers de santé, bancaires, personnels et privés, etc.). »

Selon  David Scripac   « Un système mondial d’identification numérique est en cours de création. [L’objectif] du FEM – et de toutes les banques centrales  [est] de mettre en place un système mondial dans lequel les données personnelles de chacun seront intégrées au réseau de monnaie numérique de banque centrale – Central Bank Digital Currency (CBDC). 

Le code de vérification QR ouvre potentiellement la voie à la mise en place d’ un « État policier mondial » contrôlé par l’établissement financier. Cela fait partie de ce que feu David Rockefeller a appelé « la marche vers le gouvernement mondial ».

La légitimité du traité sur la pandémie et du code de vérification QR sous les auspices de l’OMS repose sur la présomption que la prétendue « pandémie de la Covid-19 est réelle » et que le « vaccin à ARNm constitue une SOLUTION à la prétendue pandémie Covid-19 ».

Les deux initiatives sont fondées sur la fraude pure et simple et la corruption: 

1. Le nombre de « cas confirmés cumulatifs de la Covid-19 » résultant du test RT-PCR ne justifiait aucunement la décision de l’OMS de lancer officiellement une pandémie à l’échelle planétaire en date du 11 mars 2020 Les chiffres étaient ridiculement bas. Il n’y avait aucune preuve que le SRAS-CoV-2 se propageait à l’échelle nationale ou internationale.

2. Les consignes de confinement transmises en mars 2020 à plus de 190 États membres de l’ONU sont totalement invalides.

3. La méthodologie utilisant le test PCR pour détecter et identifier le SRAS-CoV2 et ses variants présumées a été reconnue par l’OMS et le CDC comme étant totalement dysfonctionnelle, comme indiqué ci-dessus.

4. Toutes les données relatives aux cas confirmés cumulatifs de la Covid-19 compilées par les gouvernements nationaux et tabulées par l’OMS depuis janvier 2020 sont invalides et dénuées de sens.

5. Le vaccin Covid-19 lancé en novembre 2020 a entraîné une vague mondiale de mortalité et de morbidité à la hausse.

Dans cet article, je distinguerai plusieurs phases dans l’évolution de cette crise.

Phase I : un nombre ridiculement bas de « cas confirmés Covid-19 » utilisé pour justifier le lancement de la pandémie de la Covid-19

Depuis le tout début, les estimations de «cas positifs confirmés» font partie d’un «jeu de chiffres».

La première étape de cette crise fut le lancement d’une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) par l’OMS le 30 janvier . Bien qu’officiellement elle n’ait pas été désignée comme une « pandémie », cette décision a néanmoins contribué à mener la campagne de peur. Le nombre de «cas confirmés» basés sur des estimations erronées (PCR) utilisés pour justifier cette décision de grande envergure était ridiculement bas.

La population mondiale hors Chine est de l’ordre de 6,4 milliards. Au 30 janvier 2020 hors de Chine, il y avait :

83 cas dans 18 pays, et seulement 7 d’entre eux n’avaient aucun antécédent de voyage en Chine. (voir OMS , 30 janvier 2020).

Il n’y avait aucune « base scientifique » pour justifier le lancement d’une urgence mondiale de santé publique de portée internationale.

Capture d’écran du tableau OMS, 29 janvier 2020 ,

Le jour suivant, le 31 janvier 2020 :   le président Trump suspend les voyages aériens avec la Chine , ce qui a contribué à enclencher la crise du transport aérien et du commerce des marchandises. Les cinq soi-disant «cas confirmés» aux États-Unis  étaient suffisants pour «justifier» la décision du président Trump du 31 janvier 2020.

20 février 2020 :  Lors d’une conférence de presse le jeudi 20 février après-midi (heure CET) lors d’un  briefing à Genève, le directeur général de l’OMSLe Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus , a déclaré qu’il était:

« préoccupé par le fait que la possibilité de contenir l’épidémie de coronavirus se « fermait »…

« Je crois que la fenêtre d’opportunité est toujours là, mais qu’elle se rétrécit. »

Ces déclarations étaient basées sur 1076 cas en dehors de la Chine pour une population de 6,4 milliards.

Ces déclarations ont d’emblée contribué à intensifier la campagne de peur, malgré le fait que le nombre de cas confirmés en dehors de la Chine était extrêmement faible.

Les 20 et 21 février 2020 marquent le début du krach financier de 2020 qui fut enclenché par la déclaration du Dr Tedros. 

11 mars 2020 : Le 11 mars 2020 : Le verrouillage. 44 729 « cas confirmés » pour justifier la fermeture de 190 économies nationales.

Une pandémie est généralement définie comme:

« Une épidémie d’une maladie survenant sur une vaste zone géographique (telle que plusieurs pays ou continents) et affectant généralement une proportion importante de la population »

(Webster-Merriam , emphase ajoutée)

En supposant que le test PCR est valide (ce qui n’est pas le cas), le nombre de cas confirmés cumulés le 11 mars était ridiculement bas. 44 279 cas PCR positifs dans le monde en dehors de la Chine.

C’EST UNE FRAUDE. IL N’Y AVAIT PAS DE PANDÉMIE LE 11 MARS 2020

Le directeur général de l’OMS avait déjà annoncé la dite pandémie lors de sa conférence de presse du 21 février .

« le monde devrait faire plus pour se préparer à une éventuelle pandémie de coronavirus ». L’OMS avait appelé les pays à être « dans une phase de préparation ».

L’OMS a officiellement déclaré une pandémie mondiale à un moment où le  nombre de cas confirmés hors de Chine (6,4 milliards d’habitants) était de l’ordre de   44279 et 1440 décès  (chiffres enregistrés par l’OMS pour le 11 mars, (au 12 mars) (voir tableau). Ce sont les chiffres utilisés pour justifier le confinement et la fermeture de 190 économies nationales.

(Le nombre de décès hors de Chine mentionné dans la conférence de presse de Tedros était de 4291).

Aux États-Unis, recensés le 11 mars 2020, il y a eu selon John Hopkins : 1 335 « cas » et 29 décès  (« présomptifs » plus PCR confirmés).

Selon l’OMS,  le 9 mars, il y avait 3457 cas aux États-Unis.

Aux États-Unis, le 9 mars 2020, il y avait  3 457 «cas confirmés»  sur une population de 329,5 millions de personnes

Capture d’écran du graphique de l’OMS Graphique interactif de l’OMS .

Au Canada le 9 mars 2020, il y avait 125 « cas confirmés » sur une population de 38,5 millions de personnes

Capture d’écran du graphique de l’OMS Graphique interactif de l’OMS .

Ce sont les chiffres utilisés pour justifier la « fermeture » des États-Unis et du Canada en mars 2020.

C’EST UNE FRAUDE. UN GROS MENSONGE.  

Immédiatement après l’annonce de l’OMS du 11 mars 2020, la campagne de peur s’accélère

Pourtant, c’est sur la base de ces 44 729 cas que des politiques de confinement d’une ampleur sans précédent furent imposées à 190 pays souverains par le biais d’une procédure décisionnelle complexe qui inévitablement exigeait la fraude, les menaces et la corruption de la classe politique.

Le confinement du 11 mars a été suivi du jeudi noir, un deuxième krash financier majeur, qui a immédiatement suivi l’annonce de la pandémie.

Phase II. Mars-décembre 2020 : Campagne de peur. Le test PCR passe à la vitesse supérieure.

De mars 2020 jusqu’au lancement du vaccin ARNm COVID-19 en novembre 2020, le test PCR passe à la vitesse supérieure.

Depuis le 11 mars 2020, suite au confinement, les gouvernements nationaux furent invités à mettre en œuvre le test PCR-RT à grande échelle, dans le but d’augmenter le nombre de cas covid positifs dans le monde.

Test, Test, Test : Les chiffres ont commencé à grimper en vue de générer de plus en plus de fausses statistiques.

Regardez le tableau ci-dessous. On observe un très petit nombre de cas positifs au début mars 2020. Et puis, les cas positifs de la Covid montent en flèche en avril, mai et juin 2020.

Phase III. Début novembre 2020. Début du programme mondial de vaccination contre la Covid

Soutenu par la désinformation médiatique, le vaccin à ARNm fut présenté comme une solution pour endiguer la pandémie. Amplement documenté, ce vaccin a déclenché dès son apparition en décembre 2020 une tendance à la hausse de la mortalité et de la morbidité.

Vidéo : Dans de nombreux pays, il y a eu un changement significatif de la mortalité suite à l’introduction du vaccin à ARNm

https://www.youtube.com/embed/xSrc_s2Gqfw

Source : HeathData.org

#Oui, c’est un « Vaccin tueur »

Les preuves sont accablantes. Les derniers chiffres officiels  indiquent environ :

65 629 décès liés à l’injection Covid-19 et 10 439 642 blessures signalés au 24 février 2022. pour l’UE, les États-Unis et le Royaume-Uni réunis.

Mais seule une petite fraction des victimes ou des familles des personnes décédées passera par le processus fastidieux de déclaration des décès et des effets adverses liés au vaccin aux autorités sanitaires nationales.

Désinformation des médias : Le virus est un « tueur à gages », « Le vaccin sauve des vies » !

Le SARS-CoV2 détecté par le test PCR est de manière implacable dépeint comme  un « virus tueur ».

Il y a beaucoup d’inconnues cruciales à propos de ce virus, y compris la façon dont il tue exactement, s’il évoluera vers quelque chose de plus – ou de moins – mortel… « .

« Il  y a de nombreuses inconnues cruciales à propos de ce virus, y compris comment exactement il tue, s’il évoluera vers quelque chose de plus — ou moins — mortel  … »

Nature

Un rapport sensationnaliste de la BBC sous le titre :  « Pourquoi le virus est-il une telle menace » soutient (en citant et en déformant des « avis scientifiques ») que le virus a une « tactique évolutive tueur de délit de fuite » [hit and run] pour propager l’infection Covid-19 loin et large. Rapport opportun publié deux semaines avant le lancement du vaccin à ARNm :

« Maître de la tromperie. Aux premiers stades d’une infection, le virus est capable de tromper l’organisme . …

Il [le virus] se comporte comme un tueur « avec délit de fuite » 

La quantité de virus dans notre corps commence à culminer la veille de la maladie. …

Mais il faut au moins une semaine avant que la Covid ne progresse au point où les gens ont besoin d’un traitement hospitalier. « C’est une tactique évolutive vraiment géniale – vous ne vous couchez pas, vous sortez et passez un bon moment », déclare le professeur Lehner.

Ainsi, le virus est comme un conducteur dangereux qui fuit la scène – le virus est passé à la prochaine victime bien avant que nous ne guérissions ou ne mourions.

En termes clairs, « le virus se moque » de votre mort, dit le professeur Lehner, « c’est un virus de type hit and run »(un tueur en délit de fuite).Il fait des choses particulières et inattendues au corps ( BBC, James Gallagher, 22 octobre 2020, emphase ajoutée) (Voir l’article en français : Pourquoi le coronavirus est-il si mortel ?)Propos absurdes! La BBC personnifie le virus tueur, dans le but de semer la panique. Non seulement ces rapports sensationnalistes sont basés sur les résultats des tests PCR invalides, mais ils contredisent également la définition officielle de l’OMS concernant la Covid -19

« Les symptômes les plus courants de la COVID-19 sont la fièvre, la toux sèche et la fatigue. … Ces symptômes sont généralement légers et commencent progressivement. Certaines personnes sont infectées mais ne présentent que des symptômes très légers . La plupart des gens (environ 80 %) se rétablissent de la maladie sans avoir besoin de soins hospitaliers. Environ 1 personne sur 5 qui contracte la COVID-19 tombe gravement malade et développe des difficultés respiratoires. »

D’ailleurs, rarement évoqué par les médias ou par les politiciens : Le CDC (qui est une agence du gouvernement américain) confirme que la Covid-19 est similaire à la grippe:

« La grippe (grippe) et la COVID-19 sont toutes deux des maladies respiratoires contagieuses, mais elles sont causées par des virus différents . La COVID-19 est causé par une infection par un nouveau coronavirus (appelé SRAS-CoV-2) et la grippe est causée par une infection par des virus de la grippe .

Étant donné que certains des symptômes de la grippe et de la COVID-19 sont similaires, il peut être difficile de faire la différence entre eux en se basant uniquement sur les symptômes, et des tests peuvent être nécessaires pour aider à confirmer un diagnostic . La grippe et la COVID-19 partagent de nombreuses caractéristiques, mais il existe des différences essentielles entre les deux. »

Si le public avait été informé et rassuré que la Covid est « similaire à la grippe », la campagne de peur serait tombée à plat. Et le programme de vaccination aurait été carrément rejeté.

Il convient de noter que le vaccin à ARNm présenté à l’opinion publique comme une solution pour freiner le virus tueur s’est appuyé sur le test PCR comme moyen valable d’évaluer la propagation de la maladie. Aux États-Unis, le vaccin à ARNm a été lancé le 14 décembre 2020. Six semaines plus tard, l’OMS abroge la validité du test PCR. À son tour, le 21 juillet 2021, le CDC déclare le PCR invalide comme moyen de détecter le virus.

Phase IV : 26 novembre 2021, « Black Friday ». Le variant Omicron

Souvenez-vous de la crise d’Omicron, toujours en cours. Effrayant. Un nouveau variant Covid aurait été découverte en Afrique du Sud et qui s’est propagée dans le monde entier. Comment a-t-il été détecté ? Le test PCR ?

Tout a commencé le Black Friday, le lendemain du Thanksgiving (Action de Grâce aux Etats Unis), le 26 novembre 2021.

Cela a déclenché une nouvelle campagne de peur ainsi qu’une instabilité sur les marchés boursiers, les actions des producteurs de vaccins Big Pharma augment en flèche.  Cela a incité les gens à se faire vacciner.

L’annonce d’omicron était une fraude soigneusement préparée. Deux jours plus tard, l’OMS a poliment abrogé la déclaration de son propre groupe de travail consultatif :

«  Il n’y a actuellement aucune information suggérant que les symptômes associés à Omicron soient différents de ceux des autres variants . »  

À son tour,  le Dr Angelique Coetzee , présidente de l’Association médicale sud-africaine (SAMA) a décrit le variant omicron comme « extrêmement bénigne, pour nous [ce sont] des cas bénins.  … J’ai parlé à d’autres collègues à moi et ils donnent la même image. ( Voir l’interview vidéo sur CNBC )

Ces rectifications n’ont en rien entravé la campagne de peur 24 heures sur 7 jours alimentée par la désinformation médiatique. En fait, cela a créé la panique.

Pendant ce temps, une campagne massive de tests à domicile a été lancée.

Phase V : Des milliards de tests à domicile et antigéniques distribués à l’échelle mondiale

Tests massifs à domicile : la peur est « bonne pour les affaires » [Fear is Good for Business]

Littéralement, des milliards de kits de test d’antigènes et à domicile ont été distribués à l’échelle mondiale. Aux États-Unis, plus d’un milliard de kits de test ont été mis à la disposition d’une population de 340 millions d’Américains.

Au Canada, 291 millions de trousses de test ont été distribuées. La population du Canada est de l’ordre de 38,5 millions d’habitants.

Dans de nombreux pays, le variant « mortel » Omicron est devenue le prétexte pour mettre en place de nouveaux verrouillages partiels, l’accélération du mandat vaccinal, des restrictions de voyage ainsi que des mandats de confinement et de séjour à domicile pendant la période des vacances de Noël et du Nouvel An.

Vous trouverez ci-dessous les chiffres des soi-disant « cas confirmés Covid-19 » dans le monde au début novembre 2021. (01/11/21)

Augmenter le nombre de FAUX « cas confirmés Covid-19 »

Coïncidant avec la crise d’Omicron, l’augmentation de l’importation et de la distribution de littéralement des milliards de kits de test à domicile et d’antigènes a contribué à  faire augmenter le nombre de FAUX « cas confirmés Covid-19 ».

En moins de 5 mois (du 1er novembre 2021 au 18 mars 2022), les cas confirmés cumulés ont presque doublé.

L’achat par Joe Biden de plus d’un milliard de kits de test à domicile et d’antigènes  

Aux États-Unis , la Maison Blanche a annoncé en janvier qu’elle achetait aux frais des contribuables :

 » Un milliard de tests à offrir gratuitement aux Américains avec la commande en ligne d’un demi-milliard de tests commence le 19 janvier ». 

Cet achat s’ajoutait aux livraisons antérieures de plusieurs centaines de millions de kits à domicile.

À partir de fin novembre, les kits de test à domicile ont contribué à augmenter les soi-disant « cas confirmés » aux États-Unis. (Voir graphique ci-dessous)

Ces chiffres sont fake car l’OMS et le CDC ont classé le test PCR comme étant invalide.

Et les tests à domicile sont classés comme moins fiables que le test PCR qui est considéré comme la référence absolue (gold standard).

Achat par Justin Trudeau de 291 millions de kits de test à domicile et d’antigènes

Au Canada, le premier ministre Justin Trudeau a commandé une première livraison de  94 millions de kits de test rapide à domicile (kits d’auto-test et de test d’antigène) en novembre 2021, qui furent livrés et distribués dans les provinces.

140 millions de tests supplémentaires furent commandés par le gouvernement fédéral au début de janvier 2022 pour un coût de 1,7 milliard de dollars (canadiens) aux frais des contribuables.

Le Canada a une population de 38,5 millions d’habitants et nous avons maintenant 291 millions de kits de test rapide d’antigène (voir tableau ci-dessous). Autrement dit environ 7 tests par personne. 

Ce processus a contribué au cours des derniers mois à semer la peur et le chaos au sein des familles canadiennes tout en augmentant le nombre de soi-disant « cas confirmés Covid-19 »

Le coût estimé pour les contribuables canadiens est de l’ordre de 3,5 milliards de dollars canadiens.

Voir Santé Canada (tableau ci-dessous)

Test PCR Gold Standard. (Référence absolue)

Ironiquement, les tests à domicile sont comparés au test PCR (invalide) qui est maintenant considéré comme étant le soi-disant gold standardSelon le NYT ( mis à jour le 10 novembre 2021 ), les kits de test rapide d’antigène et à domicile sont moins efficaces que le test PCR :

Les tests antigéniques rapides sont moins fiables pour détecter la Covid-19 chez les personnes à faible charge virale que les tests PCR « gold standard » que vous obtiendrez d’un fournisseur de soins de santé. Une étude a révélé qu’un test antigénique rapide à domicile avait 64% de chances de détecter correctement le virus chez les personnes présentant des symptômes qui avaient été testées positives lors d’un test PCR. (Le test n’a détecté qu’environ 36% de ceux qui avaient le virus mais qui n’avaient pas de symptômes.)

Ce que le NYT ne mentionne  pas, c’est que le CDC avait demandé l’arrêt du test PCR « Gold Standard » en date du 23 juillet 2021 avant son retrait officiel le 31 décembre 2021. (voir analyse ci-dessus)

La directive du CDC admet tacitement que le test PCR ne différencie pas efficacement le « SARS-CoV-2 et les virus de la grippeNous le savons depuis le début. Bien qu’il leur ait fallu près de deux ans pour reconnaître que le test PCR est invalide, le test PCR est considéré comme la référence absolue (gold standard) par rapport aux kits de test d’antigène et à domicile.

  • 31 décembre 2021 : Le CDC déclare le test PCR invalide
  • Test PCR invalide confirmé comme Gold Standard (référence absolue)
  • Des milliards et des milliards d’antigènes et de tests à domicile font grimper les chiffres
  • 12 mars 2022 452 201 564 cas cumulés 

Les résultats des tests à domicile et antigéniques n’ont aucun sens. Ils ne confirment en aucun cas une augmentation des soi-disant « cas confirmés COVID-19 ».

L’augmentation des chiffres est largement attribuable à la vente et à la distribution mondiales de milliards de tests à domicile et d’antigènes. Cela a à son tour contribué à une nouvelle vague de peur et d’instabilité sociale.

Cette augmentation artificielle des soi-disant «cas confirmés COVID-19» s’est produite à un moment où un grand pourcentage de la population mondiale a été vacciné.

« La peur est bonne pour les affaires » : beaucoup d’argent derrière les kits d’auto-test Covid-19

Ce qui est en jeu, c’est une opération de plusieurs milliards de dollars afin de vendre et distribuer des kits d’auto-test Covid-19 dans le monde entier sur une période de plusieurs années..En décembre 2021, Bloomberg rapportait que.« le marché des autotests atteindra » 5,96 milliards de dollars en 2020 et devrait atteindre 8,11 milliards de dollars d’ici 2027 « ..Ces chiffres concernent uniquement le marché américain, qui représente environ 4% de la population mondiale. Il est maintenant avéré que les kits à domicile sont vendus dans un grand nombre de pays. C’est un programme au niveau mondial axé sur les profits de plusieurs milliards de dollars. .Qui détient les droits de propriété intellectuelle ?  .La Fondation Gates a joué un rôle clé dans le lancement du «test COVID-19 auto-administré» qui fut approuvé par la FDA fin mars 2021..« La FDA a pris cette décision sur la base des résultats d’une étude menée par United Health Group. La Fondation Gates a fourni un soutien technique pour la conception de cette étude » ( Fondation Gates)

En août 2021, la Fondation Gates et la Fondation Open Society de Soros ont  investi dans

« l’acquisition de Mologic, une société britannique spécialisée dans le développement de technologies de tests rapides, notamment pour la Covid-19 et diverses maladies tropicales ».

Mologic est décrit comme « un leader des tests rapides [qui] présente une opportunité unique ».

Cette initiative consistait à « renommer » Mologic en « une entreprise sociale à but non lucratif ». qui fonctionnerait sous les auspices du  Global Access Health de la Fondation Gates.

L’objectif déclaré de GAH est d’agir comme « une entreprise sociale qui élargit l’accès à une technologie médicale de pointe abordable, telle que des tests de diagnostic et des processus de fabrication ».

Michel Chossudovsky

L’article a été publié initialement en anglais le 19 mars 2022.

Traduction et révision par l’auteur.


À propos de l’auteur

Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRM), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.

Il a entrepris des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a beaucoup écrit sur les économies des pays en développement en mettant l’accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également entrepris des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPA), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, John Hopkins International Journal of Health Services (19791983)

Il est l’auteur de douze livres dont The Globalization of Poverty et The New World Order (2003) – La mondialisation de la pauvreté,  America’s « War on Terrorism » (2005) – Guerre et Mondialisation, The Globalization of War, America’s Long War against Humanity (2015).

Il collabore à l’Encyclopédie Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues. En 2014, il a reçu la médaille d’or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d’agression de l’OTAN contre la Yougoslavie. On peut le joindre à crgeditor@yahoo.com

Voir en anglais : Michel Chossudovsky, Notice biographique

Articles de Michel Chossudovsky sur Global Research

Articles en français de Michel Chossudovsky sur Mondialisation.ca
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2022




Réflexions d’un professeur de lettres soumise à un devoir d’information de ses élèves sur le vax covid, entre mythe et réalité

Par Sarah Bertran

Je fais partie de ce qu’on appelle une Institution, un organe de l’État salué comme étant l’école de la République, un lieu de vie et d’éducation présenté comme un bastion de l’éducation populaire avec une Charte de la laïcité en bonne et due forme et une devise que je me dois de ne pas ternir en tant que fonctionnaire de l’État. Et pourtant, combien de fois me suis-je demandé, avec cette boule amère au creux des côtes, surtout depuis la rentrée de septembre 2021, pourquoi je marchais à côté de zombies chargés de former d’autres golems en devenir. Souvent, ma besogne dans ce collège me faisait traverser des couloirs où je croisais sans cesse des adolescents entre 11 et 15 ans en moyenne, au regard terrifié d’attraper un virus mortifère pour lequel on ne leur donnerait pas de traitement efficace et même pire, auxquels on administrerait le sacro-saint Doliprane.

J’arpente le hall d’entrée de mon collège sans masque et à moi, le surveillant ne me dit rien. Je ne suis pas punie pour montrer le mauvais exemple, je regarde les condamnés exécuter leur peine et je rappelle que le port du masque n’est pas légal, juste une recommandation et une mise en danger de la vie d’autrui. Si si, les formaldéhydes, le graphène, foi d’animal, cela est reconnu toxique pour l’organisme.

Les enfants enlèvent leur masque et refusent les piqûres. Dès leur plus jeune âge, on peut constater ce comportement naturel chez la majorité. C’est pour cela que je me demande si ce ne sont pas eux la solution, eux qui finiront par être un exemple trop flagrant pour lesdits adultes, au point qu’ils ne pourront plus l’ignorer.
À ce jour, la plupart des individus semblent tombés dans le piège des médias de masse et de notre société capitaliste sans arrêt insatisfaite, inconsciente des bonheurs simples de l’existence. Ainsi, ce sera peut-être eux la solution, car ils restent encore une des seules choses que ces mêmes individus puissent encore peut-être avoir envie de défendre, en oubliant enfin leur égotisme.

Quand j’entre dans ma classe enfin, après avoir lu et vu tout cela, je fais cours, mais pas un cours comme ils aiment, une construction de l’esprit critique, un agora interdit par les autorités puisque je n’ai pas le profil, je ne fais pas les cours qu’on préconise, comme on les préconise. J’ai fait lire autre chose que du Victor Hugo en ce début d’année là, paix à son âme. J’ai osé faire lire la vérité alors que le monde entier semblait tourner autour du mensonge satellitaire. Mais il faut me comprendre et excuser la jeune enseignante que je suis et qui a fauté, comme l’a bien dit le syndicaliste qui m’a défendu lors de ma comparution, de ma convocation, dans le bureau du principal du collège pour m’annoncer mes chefs d’accusation et l’existence du terrible dossier qui avait été déposé contre moi à l’Infection d’académie.

J’avais commis l’irréparable, j’avais organisé un débat et distribué des documents interdits et non conformes à la propagande, mais vous excuserez bien vous aussi, la jeune enseignante que je suis, mauvaise élève qui a la responsabilité de l’avenir de 120 enfants, merveilles naturelles en devenir, potentiels coups de foudre à une société gangrenée, esprit pouvant encore être libre ou reprendre leur liberté d’esprit et de pensée par la rébellion. Aussi, je ne pouvais pas résister. Rajoutez à cela que j’ai des 5e, estimez leur âge à une douzaine d’années et mettez-vous à ma place : j’avais face à moi une grande partie de ces enfants qui allait fêter leur lendemain d’anniversaire au vaccinodrome le plus proche, leurs bougies à peine soufflées ! Que pouvais-je faire à part organiser un débat sur le pour ou contre de la vaccination ? N’aurait-il pas été injurieux de leur faire lire l’un des discours de notre injurieux président ? N’aurait-il pas été ostentatoire de leur faire lire Les contes de Perrault au programme de la classe de 5e même sans la morale finale ?

Et le plus ironique et effrayant dans tout cela, vous voulez le savoir ? C’est que j’ai su que c’est ce que je devais faire, envers et contre tout, quand j’ai consulté le site Eduscol, site de ressources pour professeurs abrutis : rectificatif, pour professeurs avertis bien sûr. Un cours s’y trouvait là, prêt pour moi, et me montrer le chemin, comme une lumière de confirmation évidente que quelque chose se jouait. Le cours modèle à reproduire se nommait : « Guide professeur sur la vaccination », un « guide » de propagande vers les enfers destiné aux professeurs de collège, particulièrement adapté aux professeurs de lettres comme moi puisqu’il s’agissait de mettre en place un débat en classe. Mais ne vous inquiétez pas, le même « guide » avait aussi été édité en version école primaire… L’enfer n’avait donc pas de limite.

[…]

Puis, les feuilles ont tourné entre les doigts fins et souvent encore minuscules de ces enfants, ébahis par tant de stratagèmes invisibles d’un monde effrayant, planant en silence autour d’eux. Il y avait la photo du Docteur Delépine, cette ancienne cheffe de service de cancérologie pédiatrique à l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris et son article, celui d’une éminente spécialiste qui parlait sans ambages de la balance bénéfice-risque concernant l’injection Covid pour les enfants. Une balance qui leur était clairement défavorable. J’ai vu leur regard… Ils se demandaient si tout ceci pouvait être une blague, attendant un signe de ma part pour les rassurer. Mais, rien n’est venu, ni mine inquiète ou menaçante, ni rassurante. Je me voulais l’instrument neutre de leur éducation, l’humble fournisseur de lumière pour qu’ils puissent choisir leur chemin par eux-mêmes, sans regrets. Un autre document évoquait la dangerosité de l’injection sur les femmes enceintes et les problèmes de stérilité. Puis, une main s’est levée, en jetant des coups d’œil nerveux à d’autres camarades sans arrêt. La voix était faible et gênée. Il est vrai qu’on était au début de l’année scolaire et qu’il peut être très intimidant de s’exprimer à cet âge au milieu de 29 autres congénères. Mais ici, il semblait qu’il y ait un secret qui allait être dévoilé dans la peur et l’incertitude de l’assentiment, même des amies les plus proches, un secret qui ne demandait pourtant qu’à s’ouvrir, une gesticulation insoutenable le trahissant. « C’est vrai ! », a-t-elle presque hurlé l’œil hirsute, « c’est vrai ! », « je connais des jeunes filles qui n’ont plus leurs règles depuis qu’elles se sont fait vacciner ». Puis, les autres, celles touchées en plein cœur par les œillades fébriles ont fini par ouvrir la bouche, au milieu des « n’importe quoi, ça se saurait si c’était vrai ». Cette vigueur à réfuter était la preuve manifeste d’un rejet de type déni comme l’on a pu en observer tant dans notre société adulte et cette scène n’échappait pas à la règle. Ses « sœurs » ont confirmé pourtant : il y avait bien un problème de menstruations dans bon nombre de cas, au moins temporaire, et de l’ordre de 1 à 3 mois en post-injection, voire de 6 mois au fil des injections. Puis, la cloche a sonné et vous savez comme c’est à cet âge ! Tous les sacs se sont refermés à la vitesse des fermetures éclair et de l’Enfer d’être là sans savoir vraiment pourquoi. Le pourquoi ? Un problème récurrent chez ces enfants qui ont besoin de sens là où on ne leur en donne pas.

J’ai cru aller boire mon café suite à l’incident, mais la jeune fille, la première, vous savez, celle qui s’étrangle de ce qu’elle voit et se jette au front, pas par courage, mais par incapacité à faire autrement face à l’inacceptable, elle attendait derrière moi comme une ombre. Elle était mince et s’était faufilée pour devenir ce mur et que les autres sortent en l’oubliant. Elle a fait signe à ses sœurs d’aller en récré sans elle puis, après s’être assuré que nulle autre que moi ne pouvait l’entendre, elle m’a raconté comment elle avait cherché des preuves pour argumenter en défaveur de la vaccination et n’en avait trouvé aucune et comment il n’y en avait pas plus en faveur sur les sites gouverne-menteurs. Elle souhaitait que je lui donne mes sources pour en lire plus.

Peut-être avait-elle trouvé pour la première fois sur le sujet, dans ce froid établissement, une porte ouverte et libre qui ne risquait pas de se refermer en couperet. Je lui demandais alors si c’était elle la jeune fille : elle m’a parlé de sa sœur biologique et de ses autres sœurs, de ses cousines, de toutes ces jeunes filles vaccinées qui n’avaient plus leurs règles. Il faut préciser que dans notre culture, je parle de l’une de mes cultures d’origine, la culture orientale, les femmes parlent entre elles, peu importe qu’il y ait un hammam ou pas. Dans ces familles marocaines comme dans les familles algériennes ou tunisiennes, les femmes échangent sur l’intimité et se confient. Là, la confidence était rude, glaçante : les jeunes femmes vaccinées voyaient leur vie changer, car elles se faisaient répudier par leurs maris, faute de pouvoir enfanter et d’avoir leurs règles, mauvais signe pour la fertilité.

La jeune fille vivait dans la peur et l’incompréhension, l’impuissance de pouvoir aider ses grandes sœurs, le sentiment d’appartenir à un monde qui n’était pas le même que ses camarades : liée à celles qui partageaient ce quotidien, ses amies, sœurs et cousines dans un communautarisme créé par ceux qui les y avaient enfermés et les regardaient de l’extérieur.

La cloche mit fin à la scène et la jeune fille s’enfuit après m’avoir confié à voix basse son cœur malgré le couloir vide dans lequel il n’y avait que les murs pour écouter, quelques instants plus tôt. L’autre classe était déjà à ma porte, si bien que tout ceci aurait pu être un cauchemar éveillé. C’est que, voir une vidéo ou lire un article est une chose, échanger avec un être humain meurtri qui vous regarde dans les yeux en est une autre : pas de triche, plus de doute, la vérité lue prend forme et vous frappe, en tant que mère, en tant que sœur, cousine, amie, en tant que femme.

Alors, le ventre lourd, j’ai fait entrer la classe suivante, comme dans ce système de masse à la chaîne qu’on sait cultiver sans le désigner ainsi. À nouveau, j’ai distribué les mêmes documents, en tentant de me persuader qu’une fois l’aigreur vécue une première fois, je serais blindée pour les autres, mais vous savez comme c’est ? On a beau dire, on a beau faire, ma main les regardait ouvrir de grands yeux sur les feuilles interdites encore une fois et, en contractant les muscles de mes doigts, j’avais d’autant plus conscience que je devais rester forte pour accomplir ce qui était, non plus, une mission éducative, mais une mission tout court, car notre vrai rôle est là : informer, développer, protéger, libérer, témoigner… en tant qu’enseignante, en tant que mère, en tant que sœur, cousine, amie, en tant que femme.

Sarah BERTRAN




Un des objectifs cachés de la guerre en Ukraine : la ruine et le dépeçage de l’Europe

[Source : srp-presse.fr]

Par François Martin

Parmi les diverses formes d’impensé politique que constitue l’atlantisme américain1, l’économie figure en bonne place. La guerre d’Ukraine offre aux néo-conservateurs et aux hommes d’affaires de ce pays une opportunité exceptionnelle, d’abord pour ruiner l’Europe, ensuite pour la dépecer.

À supposer que les herbivores aient une forme de conscience d’eux-mêmes, on peut penser qu’ils ne se perçoivent pas d’abord comme de la viande. Le problème, c’est que les carnivores, eux, ne voient pas les choses à la même enseigne. C’est toute la question de l’Europe.

Hubert Védrine a souvent dit que l’aventure européenne souffrait d’un défaut rédhibitoire, c’est le fait qu’elle était «un projet d’herbivores au milieu de carnivores». Et, de fait, l’Europe est construite depuis le départ sur une équivoque, une faiblesse si grave qu’il est essentiel, comme toutes les faiblesses majeures, de ne jamais la rappeler, même si elle est visible par tous : sa propre défense.

L’«AMITIÉ AMÉRICAINE» : PETITE RÉTROSPECTIVE

Cette prérogative essentielle est confiée, à travers l’OTAN, aux États-Unis2. Or il n’existe pas d’exemple dans l’Histoire où un pays ait eu à assurer durablement la sécurité d’un pays ou d’un groupe de pays sans qu’il ait perçu ces autres, à un moment donné, comme «de la viande». Les appétits du protecteur s’aiguisant, et les protégés étant à sa merci, il arrivera forcément un jour où il «passera à l’acte».

C’est dans la nature des choses : imaginons que nous engagions un «homme fort», suffisamment armé et au caractère bien trempé, pour protéger notre famille et notre maison. Il vit avec nous, il partage tous nos instants. Qui empêchera qu’un jour, quand l’envie lui en prendra, il se serve dans le frigidaire, puis dans la caisse domestique ? Puis il nous menacera si nous protestons. Il changera la décoration si celle-ci ne lui plaît pas, puis il battra nos enfants, enfin, il dormira dans notre lit, de préférence avec notre femme… Et ceci d’autant plus que le contexte du quartier sera plus dangereux. Dans ce cas-là, il se croira tout permis. Qui l’en empêchera, surtout si, pendant des décennies, nous lui renouvelons notre confiance malgré ses abus, sans jamais chercher ni à nous écarter de lui, ni à équilibrer nos relations en nous rapprochant d’un autre protecteur ? Certainement, ce moment arrivera un jour. L’Europe s’est mise dans cette situation, et ce jour, celui d’un pas supplémentaire dans la sujétion et l’humiliation, et demain la pauvreté et la misère, est arrivé.

D’abord, il faut remarquer que les USA, lorsqu’ils veulent quelque chose, ne font pas dans le détail, y compris avec leurs amis. Un exemple des plus éclairants est le plan du Débarquement de juin 1944. Ceux qui ne croient pas aveuglément l’Histoire officielle (celle des «libérateurs» de l’Europe) savent que le plan ne consistait pas à sauver Paris, mais au contraire à contourner le Bassin parisien, par le sud et par le nord, de façon à enfermer l’armée allemande dans une poche. Ainsi, cette dernière se serait certainement acharnée sur Paris3, ce qui aurait eu deux avantages : faire gagner du temps aux armées alliées pour foncer sur Berlin et, par ailleurs, faciliter ensuite la «prise en main» de la France, profondément traumatisée par une destruction atroce de sa capitale, par le système politique et administratif américain, ses gouverneurs et même sa monnaie. C’est le génie manœuvrier de de Gaulle et sa force de caractère qui nous ont sauvés de cette tragédie4.

Les Américains ont agi de même dans de nombreuses occasions, en trahissant, puis en ruinant leurs propres alliés :

En Iran, à l’époque du Shah5, celui-ci s’est d’abord appuyé sur les USA, grâce à son amitié avec Eisenhower, puis avec Nixon, pour prendre, puis consolider son pouvoir. Lorsque, plus tard, il tente de s’émanciper un peu en se rapprochant de l’Union soviétique et de la Chine, puis de l’Europe, les Américains se serviront précisément des oppositions internes à sa politique, jugée trop moderne, pro-occidentale et pro-américaine (ce qui est un comble !). Ils pousseront Komeyni pour le faire renverser. Il finira ses jours, atteint d’un cancer, en Égypte. On sait où en est l’Iran d’aujourd’hui, un pays où se conjuguent isolement et pauvreté.

Saddam Hussein6 est un autre exemple de «l’amitié» américaine. Il faut rappeler qu’à l’époque, l’Irak était, malgré ou à cause des méthodes du dictateur, le pays le plus développé du Proche-Orient. Lesquelles méthodes ne gênaient nullement l’Amérique7. D’aucuns ont affirmé que lorsque Saddam décide d’envahir le Koweït, en 1990, il a obtenu l’aval préalable de ses «grands amis». Mal lui en prend, comme on le sait8. Ensuite, l’Histoire a montré que la deuxième guerre du Golfe, en 2003, n’était pas une «guerre préventive», mais bien une opération de prédation pure, menée de main de maître, certainement, par Georges W Bush et son entourage néo-conservateur9. Aujourd’hui, l’Irak est un champ de ruines, économique et politique. On pourrait continuer la liste.

UNE OPÉRATION MINUTIEUSEMENT PRÉPARÉE DEPUIS 2014

Pour ces politiciens américains, souvent dirigeants eux-mêmes de groupes pétroliers et militaro-industriels américains, aucune opportunité n’est inintéressante10. Pour ces chasseurs invétérés, toujours en quête de proies, aucun gibier n’est négligeable. Lorsqu’on est persuadé de cela, suite à ces exemples historiques, il est facile d’imaginer à quel point la crise ukrainienne est pour eux une chance formidable, une opération minutieusement préparée depuis 201411 et déclenchée au moment choisi.

D’abord, le début coïncide très précisément avec la fin, assez calamiteuse, de leurs «affaires» en Irak, en Syrie et en Afghanistan, à l’été dernier12. Le début de la «phase opérationnelle» de l’affaire ukrainienne, démarrée au printemps avec le «carpet bombing13 médiatique », est trop parfait pour être l’effet du hasard. L’OTAN n’a jamais été «en état de mort cérébrale». Les questions moyen-orientales une fois soldées, le temps était venu d’ouvrir ce nouveau chapitre de la «lutte pour la liberté des peuples» soumis, cette fois-ci, à l’arbitraire russe. Est-ce qu’on n’a pas déjà entendu chanter cette chanson ?

Ensuite, la guerre a provoqué deux réflexes, de la part des Occidentaux, ces «herbivores» objets de la prochaine chasse :

Le premier a consisté à augmenter très fortement les budgets d’armements. La réaction la plus spectaculaire a été celle de l’Allemagne, qui a débloqué immédiatement une enveloppe de 100 Mds d’euros, avec la promesse d’augmenter ensuite son budget régulièrement14. Et ceci pour acheter principalement, cela va sans dire, du matériel américain15. Ce processus est le même pour tous les autres pays de l’OTAN, y compris la France16. Le tout début de cette guerre est donc déjà une extraordinaire opportunité pour l’industrie militaire américaine. On peut penser, d’ailleurs, que l’un de ses sous-objectifs, dans ce domaine, sera de ruiner et de piller dès que possible l’industrie d’armement française, qui représente, par rapport à ce «nouveau marché» européen qui s’ouvre à eux, une concurrence qu’ils vont rapidement considérer comme intolérable17.

L’autre «réflexe» européen a été celui des sanctions. Il a été unanime et fort important. On peut penser qu’il a été moins guidé par le choix d’une méthode propre à arrêter Poutine (quelques instants de réflexion suffisent pour comprendre que ce ne sera pas le cas) que par la nécessité d’allumer un «contre-feu médiatique» aux images, véhiculées par la presse, du malheur du peuple ukrainien. En effet, le choix, presque exclusif de la part des gouvernements occidentaux, d’une politique du verbe, de l’image et de la posture, au détriment d’une politique de l’action, les rend extrêmement sensibles aux campagnes médiatiques lancées par les autres, une chose que les Américains, des spécialistes de ce type de stratégie, ont bien compris, et dont ils se sont servis sans limite, avant et pendant ce conflit, et aussi par le passé.

Il est à remarquer par ailleurs que la façon dont ces sanctions ont été votées est particulièrement significative de la faiblesse européenne. En effet, selon ce qui a été indiqué par la presse, les sanctions auraient été mises au point directement par le Département d’État américain, avec la Commission européenne, sans que les États-membres n’aient eu voix au chapitre, et qu’ils en ont été informés vingt-quatre heures avant leur promulgation. Si c’est le cas, c’est particulièrement inquiétant.

Nonobstant le fait qu’il va falloir maintenant, et ça ne va pas être une mince affaire, expliquer aux opinions qu’on a violemment impacté leur pouvoir d’achat pour une guerre qui n’était pas dirigée contre eux18, cette «délégation» aux Américains d’une politique de sanctions qui concerne essentiellement l’Europe19 ouvre évidemment la porte, pour l’entourage de Biden, à des choix qui non seulement «embêtent» les Russes, mais favorisent également l’affaiblissement de l’industrie européenne, dans le but d’une future prédation sur nos industries et nos ressources.

Qui pourrait empêcher que nos «amis» de l’Ouest n’aient envie de raisonner ainsi, puisque nous avons indiqué, d’entrée de jeu, que nous le leur permettions ? Pourquoi se gêneraient-ils pour venir faire leur marché » chez nous, alors que nous leur ouvrons si complaisamment la porte ? Et pourquoi s’empêcheraient-ils, dès aujourd’hui, de préparer ce futur raid en choisissant les sanctions qui font le plus mal aux Russes, mais aussi à nous, puisque, visiblement, nous ne faisons rien pour leur dire non ? La problématique actuelle est bien le fait que nous servons, dans ce conflit, de «chair à canon», puisque c’est nous qui sommes en première ligne et qui prenons tous les risques, économiques, militaires et aussi nucléaires20. À l’évidence, la suite des opérations sera le fait que nous soyons aussi les «morceaux» qui seront ramassés, au moindre prix. Qu’est-ce qui montre, aujourd’hui, que les choses risquent de se passer différemment ?

DEUX CONFIRMATIONS

Un des exemples qui tendent à prouver que c’est bien dans ce sens que les choses se dessinent est la question du paiement des exportations russes en roubles. On sait en effet que Poutine, très intelligemment, a exigé, pour lutter contre la dépréciation du rouble induite par les sanctions, que les exportations de ses produits vers les pays «inamicaux» soient payées en roubles. Cela ne gêne en aucune façon, en principe, les pays européens. Qu’est-ce qui les empêche, en effet, d’acheter du rouble ? Les seuls que cela gêne – et c’est pour eux un point très important –, ce sont les USA, parce que cela tend à remettre en cause le monopole du USD pour les transactions internationales. Si demain, l’habitude se répand que les grandes transactions internationales soient payées en yuans, en euros, en roubles ou en yens, c’en est fini de l’avantage américain. Ce serait un affaiblissement politique de première grandeur. Pour cette raison, ils tiennent à ce «dogme» comme à la prunelle de leurs yeux.

Ils ont donc fait répondre, par l’Allemagne et la France entre autres, le refus de cette modalité. Mais si, demain matin, les Russes ne livrent plus leur gaz à l’Europe parce que nous refusons d’acheter des roubles (parce que les Américains nous l’interdisent, alors que cela ne nous gêne pas), ce sera la faillite pour de nombreuses entreprises européennes21. S’ouvrira alors, pour les fonds et les «majors» américaines, un «marché de la casse» dont ils seront bien bêtes de ne pas profiter. Dans une telle affaire, nous sommes clairement les «dindons de la farce», et les choses sont parties pour durer, puisqu’il est clair, nous l’avons démontré, que si les Russes ont tout intérêt à écourter le conflit, lorsqu’ils auront obtenu ce qu’ils veulent (la «finlandisation» de l’Ukraine), et à rentrer chez eux, les Américains, eux, ont un objectif principal, embourber les Russes sur place et «vietnamiser» leurs adversaires22.

Un autre exemple est le blocage commercial imposé par les sanctions. Il se développe dans trois directions :

  •  L’achat de produits russes : à mesure que les sanctions nous interdisent d’acheter aux Russes, nous sommes obligés de trouver des fournisseurs de substitution. Devinons, comme dans le cas du gaz, qui nous est imposé en priorité ?
  •  La vente de produits aux Russes : la Russie représentait pour nous un débouché important. Si nous ne pouvons plus leur vendre, nos entreprises seront très fragilisées. Devinons, là aussi, qui sera en première ligne pour nous racheter ?
  •  Enfin, les partenariats commerciaux avec la Russie, essentiellement par le biais de nos filiales sur place. C’est le pire scénario des trois puisque, nous le savons, le gouvernement russe a déjà présenté à la Douma un projet de loi visant à nationaliser les entreprises étrangères qui cesseraient, même momentanément, de travailler en Russie. Ainsi sont menacés des fleurons français comme Renault, Total, Auchan ou Décathlon. Si Auchan et Décathlon ont déjà indiqué qu’ils n’interrompraient pas leurs activités russes, il n’en est pas de même pour Renault, cloué au pilori (dans son message aux parlementaires français !) par le zélé Zélinsky, toujours bien disposé à relayer les injonctions américaines23. Ceci est particulièrement dangereux puisque, dans ce cas, nous perdrons à la fois notre CA et notre capital24. Malgré ce risque, notre propre État ne nous défend pas, et il laissera nos entreprises se faire «lyncher» par les médias si elles n’obtempèrent pas aux ordres américains. Et lorsqu’elles auront fait faillite, devinons, là aussi, d’où viendront les fonds pour les «sauver» ?

À QUI LE CRIME PROFITERA-T-IL ?

Dans tous ces cas, à qui le crime profite-t-il25 ? Et surtout, à qui profitera-t-il demain puisque, c’est une évidence, ce conflit va durer, non pas parce que les Russes le souhaitent, mais parce que les Américains le veulent26. Où en sera notre économie dans six mois, dans un an, dans deux ans, dans dix ans ? Et l’on comprend bien que la base, ce qui permet de faire justifier auprès d’opinions crédules, dans une certaine mesure27, les sacrifices et les souffrances qu’elles endurent, et celles qu’elles endureront à l’avenir, c’est la guerre. C’est elle qui peut faire accepter la veulerie des États européens, car, face à la menace, «les Américains nous protègent» et «nécessité fait loi28». C’est elle qui doit permettre, en fin de compte, d’accélérer la prédation. Il sera donc essentiel, aux yeux des stratèges américains de la communication, de faire en sorte que l’injonction «C’est la guerre !» et sa mise en scène durent le plus longtemps possible.

Ceci est d’autant plus grave que, encore une fois, cette guerre ne nous concernait pas29… jusqu’à ce que nous acceptions de nous-mêmes d’y entrer, en décidant de livrer des armes et en devenant cobelligérants. On comprend mieux pourquoi il était essentiel pour les Américains de nous pousser dans cette direction. On comprend aussi l’erreur magistrale que nous avons commise en ne refusant pas de nous engager sur ce terrain. Pourquoi ne pas nous être limités à l’humanitaire ? Maintenant, nous sommes de plein pied dans une «logique de guerre». En temps de paix, nous avons déjà eu la monstruosité arbitraire de l’extraterritorialité du droit américain. En temps de guerre, un temps qui justifie tout, où s’arrêteront les exigences de nos «protecteurs» ?

Il ne sert à rien de proposer de réparer la maison vétuste sur la plage, si l’on ne voit pas arriver l’énorme tsunami, dont la crête se découpe déjà sur l’horizon. Face à une telle mécanique, un processus terrifiant, qui se met en place sous nos yeux, et pour lequel rien ne semble montrer qu’il devrait s’arrêter (puisque personne ne le dénonce !), rien moins que la ruine programmée et consentante de l’Europe et ensuite sa vente à la découpe30, les propositions franco-françaises de tous les candidats à la future présidentielle seront de bien peu d’importance. La seule chose qui pourra influer sur le cours des choses, en réalité, sera notre politique étrangère.

François Martin

Image UE : Kaonos / Shutterstock


1 – Voir «L’atlantisme, un impensé politique français» dans la Smart Reading Press du 18 mars 2022.

2 – Mise à part celle de la France, mais uniquement dans sa composante nucléaire. Pour le reste, la France fait partie de l’OTAN. S’y applique donc le Traité de Lisbonne, qui indique que, pour la défense européenne, l’OTAN reste «le fondement de la défense et l’instance de la mise en œuvre» de la PESC (cf. article supra, NDBP no 15).

3 – Comme elle en avait l’habitude. C’est ce qui s’était déjà passé à Varsovie, en août 1944. Suite à l’insurrection, les Allemands s’étaient atrocement vengés sur la ville, qu’ils avaient entièrement détruite. Sur l’autre rive de la Vistule, les Russes avaient attendu patiemment la fin du martyre pour intervenir… (Voir sur Wikipédia. Le plan initial américain était de permettre la même chose avec Paris.)

4 – Voir TV5Monde.

5 – Voir Wikipédia.

6 – Voir Wikipédia.

7 – En 1983, le néo-conservateur Donald Rumsfeld lui vend le gaz moutarde avec lequel il gazera ensuite les Kurdes, l’un des méfaits qu’on lui reprochera. Voir sur cette vidéo.

8 – Voir Wikipédia.

9 – Dans les jours suivant l’invasion américaine, les 7 milliards de USD de la réserve du Trésor irakien disparaîtront comme par enchantement. Voir Wikipédia.

10 – À son époque, Eisenhower se plaignait déjà de leur rapacité. Il faut rappeler que le mari de Victoria Nuland, l’égérie de l’affaire ukrainienne, n’est autre que Robert Kagan, le chef de file des néo-conservateurs américains (voir Wikipédia). Et le budget de la défense américain est passé, entre 2001 et 2022, de 280 à 773 milliards de USD. Les enjeux industriels et commerciaux sont donc colossaux.

11 – Voir «Ukraine : le piège s’est refermé… sur Poutine» dans la Smart Rading Press du 25 février 2022.

12 – Voir «Afghanistan : le changement des fondamentaux géopolitiques» dans la Smart Reading Press du 24 septembre 2021.

13 – Tapis de bombes.

14 – De façon à atteindre 2 % du PIB.

15 – Comment les Français, dans un tel contexte, ont-ils pu s’étonner d’être ainsi «trahis»&nbsp,? Cette réaction est de la pure mise en scène, ou alors une incroyable naïveté !

16 – 2 % du PIB au minimum également, pour tous les pays européens. Voir touteleurope.eu.

17 – Ce sont les Allemands, semble-t-il, qui sont chargés de cette «basse besogne».

18 – Du moins, elle ne l’était pas avant que l’on ne décide de livrer des armes aux Ukrainiens…

19 – Les Américains, en effet, ne sont pas impactés par les sanctions. Elles leur profitent même, en particulier pour le gaz de roche-mère, dont ils sont exportateurs, alors que nous nous en sommes volontairement privés. Nous nous sommes enfoncés dans le piège énergétique. Voir atlantico.fr.

20 – Voir Ukraine : et maintenant ? (Smart Reading Press) et le développement sur le «parapluie nucléaire américain».

21 – D’après l’économiste Charles Gave, si la Russie ne livre plus, elle peut tenir deux ans, mais l’Allemagne peut tenir quatre jours avant que son industrie ne s’arrête. Voir Sud Radio.

22 – Voir Ukraine : et maintenant ? (Smart Reading Press) et la stratégie américaine.

23 – Lorsqu’un «parrain» prête à un emprunteur 10 milliards de USD, ce dernier fait exactement ce que l’autre lui demande, sinon, il risque très vite une balle dans la tête. Depuis le début des négociations entre Russes et Ukrainiens à la frontière biélorusse, deux des négociateurs ukrainiens, sans doute un peu trop zélés, ont été assassinés à leur retour à Kiev…

24 – Depuis que Renault a annoncé l’arrêt de son activité en Russie, et sans même attendre que ses activités soient nationalisées, l’action a déjà baissé de 25 %, et la direction a annoncé 2 milliards d’euros de pertes pour cette année. Comment l’entreprise s’en relèvera-t-elle ?

25 – Voir le tweet de Jean-Frédéric Poisson du 26 mars 2022.

26 – Voir ci-dessus, NDBP n° 22.

27 – Et de moins en moins, il faut l’espérer.

28 – En vérité, ils ne nous protègent pas. C’est nous qui les protégeons… en faisant le tampon !

29 – Ce qui ne veut pas dire que nous ne devons pas nous protéger aussi contre les Russes. La règle «si vis pacem, para bellum» ne doit souffrir aucune exception.

30 – Voir : Laurent Izard, La France vendue à la découpe, L’Artilleur, 2019




Effets toxiques des vax anticovid sur le cycle menstruel et la fonction érectile

Par Nicole Delépine

ATTENTION ! NOS VOTES ENGAGENT AUSSI VOTRE SANTÉ

Si nous insistons sur les dangers d’une vaccination obligatoire anticovid toujours expérimentale qui pourrait être imposée en cas de renouvellement du mandat de l’actuel président ou d’une élection de V. Pécresse, voire de Jadot et Hidalgo, c’est que les malheurs s’accumulent chez les vaccinés !

Certains, de force pour continuer à gagner leur vie (personnel soignant, pompiers, etc. les MALGRÉ EUX), d’autres sous pression pour poursuivre un sport ou plus simplement pour se sentir « comme tout le monde » ne doutant pas de la bonne foi des médecins de plateaux (ignorant leurs liens étroits avec Big Pharma) ou de nos gouvernants, ne pouvant imaginer leur indifférence par rapport aux conséquences potentielles. D’importants effets toxiques ont été rapportés : des décès immédiats, mais aussi de nombreux problèmes cardiaques, des AVC, etc..

Nous insisterons ici sur les conséquences morbides sur les menstruations et l’érection, souvent tues.

Très tôt on a entendu des « rumeurs » sur les femmes et leurs règles, sujet tabou par excellence au moins chez les plus âgées ou très jeunes. Aussi lorsqu’une femme de 75 ans ménopausée depuis un quart de siècle, s’est remise à saigner, il est évident que les médecins ont nié tout lien de cause à effet, si même on a osé OSE (!) évoquer cette absurde hypothèse.. Les rumeurs ont enflé, car les complotistes sont terribles et veulent écouter les citoyens. Et quand des bébés au sein de leur mère vaccinée (éliminant de la protéine spike dans son lait probablement) ont présenté des saignements vaginaux, on a hurlé au délire.

Mais les observations s’accumulant, des citoyens ont pris en main le problème que les scientifiques ou soi disant tels ont refusé de voir. Une jeune femme Mélanie, prise dans le drame des troubles des règles constatant que des amies avaient aussi des soucis, a créé un groupe Instagram « où est mon cycle » (#ouestmoncycle) qui a rapidement gonflé.

Une audition de la créatrice du compte Instagram dédié à cet effet secondaire, de maître Diane Protat (qui défend les hôtesses de l’air et les pilotes contraints à la vaccination) et du docteur Laurence Kayser a été réalisée au parlement européen en présence d’une députée européenne Virginie Joron, qui tente d’obtenir une commission d’enquête sur les possibles effets délétères des « vaccins ». Mais même cela est quasiment blasphématoire.

Table ronde sur les effets de secondaires qui seraient liés aux vaccins Covid !

Prenez le temps d’écouter cette table ronde qui décrit bien les troubles ressentis par de nombreuses victimes de l’expérimentation, des jeunes femmes qui ne peuvent plus dormir tant elles doivent se changer devant l’importance des saignements, ou pire ne peuvent plus sortir de la douche. La gynécologue belge témoigne de la grande difficulté de soigner certaines de ses patientes pour lesquelles les traitements classiques ne marchent pas et dont certaines sont obligées de passer à l’hystérectomie pour cesser de souffrir le martyre et de saigner.

Si la femme a déjà trois enfants, ce n’est que moindre mal encore que l’hystérectomie ne soit pas une opération anodine. Mais quid de la femme qui voulait faire des FIV pour lesquelles on lui a imposé le vax et qui a présenté ces saignements majeurs aboutissant à une ablation de son utérus. Vaccinée pour bénéficier de la chance de procréer et se retrouver sans utérus… Acceptable ?

Et ces gamines de treize ans réglées régulièrement qui voient leurs règles disparaître ou au contraire se retrouvent comme leurs aînées devant des saignements les coinçant à la maison plusieurs jours de suite. Tout ça pour quoi alors que cette injection n’a aucun intérêt à leur âge et ne protège personne de la contamination. Que les mamans soient inquiètes de leur fertilité à long terme est logique et personne ne peut leur répondre. ET NE FAITES PAS « VACCINER » VOS ENFANTS !

Témoignez auprès de Mélanie ou d’une des autres intervenantes. Le tabou doit être levé.

Quant aux hommes devenus impuissants après une ou deux injections, qu’ils osent parler même si c’est encore plus difficile que pour la gent féminine !

et Maître Protat devant le sénat où l’audience n’est malheureusement pas publique.

Maître Diane Protat 137 000 effets indésirables :

Vidéo : Me Diane Protat s’exprime suite à l’audition de l’OPECST du Sénat — La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org)

Des radiologues s’étonnent de la fréquence des examens des testicules demandés chez leurs patients depuis la vaccination. Thromboses multiples sont découvertes….

Il faut faire cesser ces injections à haut risque dans divers domaines (les cardiopathies chez les jeunes, etc..) exiger des enquêtes parlementaires et dans cette attente imposer un moratoire.

Bientôt le temps d’un vote national puis de législatives. Les candidats doivent se positionner clairement sur ce sujet majeur pour l’avenir de nos enfants et de l’humanité.

TÉMOIGNAGES REÇUS À LA SUITE DE LA PARUTION DE L’ARTICLE DANS RL

Covid : Injections responsables de troubles menstruels et d’impuissance — Riposte Laique, mais aussi cet article sur internet :

Covid-19 : des femmes accusent le vaccin, « l’ablation de l’utérus, c’est la seule solution qui se présentait à moi » (anguillesousroche.com)

« J’ai fait ma deuxième vaccination début août et quinze jours après j’ai commencé à avoir des douleurs extrêmement fortes qu’on peut comparer à des douleurs d’accouchement, non-stop jour et nuit et qui duraient pratiquement trois semaines », raconte Julie.

Pour Julie, l’apparition des premiers symptômes peu de temps après l’injection est la preuve que la survenue brutale de sa maladie est liée au vaccin.

« L’adénomyose est une maladie qui évolue lentement donc c’est surprenant », fait remarquer Julia Maruani, gynécologue libéral et hospitalier à Marseille, qui ajoute prudemment « maintenant, il y a des mécanismes qu’on ne connaît pas sur la vaccination et les effets sur l’utérus… »

La jeune femme est membre du collectif « Où est mon cycle », qui a été auditionnée lundi au Parlement européen et qui sera entendu mercredi par une commission d’études sur les effets secondaires des vaccins au Sénat.

UN TÉMOIGNAGE D’UN CABINET MÉDICAL DE GÉNÉRALISTES

« Une jeune patiente de 19 ans, en pleine santé, jamais de soucis de règles, a fait 2 doses de Pfizer pour pouvoir prendre le train des vacances l’été 2021. Aménorrhée de 6 semaines puis ménorragies continues après la 2e dose pendant plus de 3 mois entraînant une anémie, une asthénie majeure. Découverte d’un adénome hypophysaire et d’une hyperprolactinémie.

Sa gynéco affirme qu’elle voyait depuis quelques mois — après vaccination — une quantité de jeunes femmes présentant de tels troubles menstruels similaires avec d’immenses difficultés à faire remonter et accepter par la pharmacovigilance.

Aucun traitement efficace sur ces troubles (ni progestérone, ni pilule, ni Spotof)

Quel avenir pour la fertilité de cette jeune femme ?

Un collègue médecin généraliste m’a fait part de sa colère : une de ses patientes en PMA de 35 ans qui avait une bonne réserve folliculaire en février 2021 s’est retrouvée ménopausée (plus aucun follicule dans les ovaires à l’écho) dans les suites immédiates de la vaccination en juin 2021.

Une de mes patientes, enceinte de 7 mois, s’est fait vacciner sur les conseils de sa gynécologue. Résultat, myalgies, asthénie, toux, douleurs abdominales. Accouchement Ok mais covid périnatal pour la mère et l’enfant retrouvés en soins intensifs tous les deux.

Le bébé à un mois de vie présentait des marbrures généralisées anormales inquiétantes et un petit poids de naissance.

La filleule d’un ami vaccinée en juin, enceinte en juillet de son premier enfant a dû faire une interruption thérapeutique de grossesse en septembre à 14 SA pour anencéphalie du fœtus et graves malformations (alors que le taux de folates était parfaitement normal chez cette jeune femme en pleine santé de corpulence normale)

Un de mes patients travaillant aux pompes funèbres de notre secteur — qui souhaite rester anonyme- a témoigné auprès de moi, car il était choqué : Il a géré un bébé mort-né entre janvier et juin, et curieusement 8 mort-nés presque à terme de la grossesse entre juin et septembre 2021… Du jamais vu dans toute sa carrière ! Il constatait également une augmentation de 30 % des décès de personnes entre 45 et 60 ans l’été 2021… Du jamais vu non plus.

Ces signaux sont très alarmants, sachant qu’un cabinet médical est un échantillon représentatif de la population générale… »

ET MÊME UNE RÉACTION DE HANOUKA SUR TMTP

Cyril Hanouna consterné de voir Éloïse, 32 ans, victime du vaccin : « C’est inadmissible, elle n’aurait pas dû se faire vacciner ! » (lemediaen442.fr)

Quelles seront les conséquences sur l’ensemble de la population de ces injections imposées par la pub ou les institutions et l’autoritarisme du président en poste ? Qui va évaluer leurs responsabilités pour avoir fait croire avec les médias aux ordres à l’innocuité des vax et à leur efficacité ?

Trop de malheurs engendrés. Il faut que cela cesse et il faut changer de gouvernance !

ET POURQUOI L’ENSEMBLE DES CANDIDATS N’ONT-ILS PAS PROFITE DE LEURS SPOTS TV POUR DEMANDER L’INTERRUPTION DE CES INJECTIONS DANGEREUSES ET INUTILES ?

ATTENTION L’OBLIGATION VACCINALE EST ENCORE DANS LES TUYAUX DE L’UE
ET LES COMMANDES DE VAX SE MULTIPLIENT À NOUVEAU

https://ec.europa.eu/info/law/better-regulation/have-your-say/initiatives/13375-extension-of-the-regulation-about-the-digital — certificat-COVID-de

NOUS DEVONS RECONQUERIR NOTRE INDEPENDANCE ET FAIRE STOPPER DE TOUTE URGENCE CES INJECTIONS EXPERIMENTALES




Confirmation de la capture d’un général de division américain par la Russie alors qu’il tentait de fuir Marioupol

[Source : thetruthseeker.co.uk]

Par Jim Stone

MAINTENANT CONFIRMÉ : Le Major général américain Roger L. Cloutier a été capturé par la Russie alors qu’il tentait de fuir Marioupol après avoir donné des directives militaires aux forces ukrainiennes et mercenaires.

J’avais précédemment publié ceci comme une rumeur. Ce n’est plus une rumeur. C’est grave. Un acte de guerre manifeste dont les États-Unis espéraient s’affranchir. Voici comment il s’est fait prendre, d’après un résumé des rapports précédents publiés ici [sur le site de Jim Stone].

Les forces russes ont coupé toutes les voies d’évacuation terrestres, ce qui a « piégé le haut commandement des forces ukrainiennes », qui n’étaient finalement pas du tout ukrainiennes. L’Occident a commandé la guerre en Ukraine pendant la plus grande partie de celle-ci. Pour éviter d’être prises au piège, les forces occidentales ont ensuite tenté de libérer leurs gens par hélicoptère. La Russie a fait un bon travail en abattant les hélicoptères. Au fur et à mesure que les Russes avançaient, les chefs militaires de plusieurs pays, alimentés par les renseignements américains, se sont réfugiés dans une aciérie que les renseignements américains savaient que la Russie voulait à tout prix éviter de détruire. L’aciérie était un excellent endroit pour combattre, et comme bonus, elle était très facile à défendre.

Les forces américaines et occidentales n’ont cessé d’envoyer des hélicoptères, mais ceux-ci ont été abattus avant d’atteindre l’aciérie. Les Russes ont alors changé de tactique. Le changement tactique a été de permettre aux hélicoptères d’atteindre l’aciérie et d’atterrir dans des zones ouvertes sur le terrain de l’aciérie, puis de les abattre lorsqu’ils essayaient de partir. Ils ont permis, au fil du temps, à 8 d’entre eux d’atterrir et de prendre des personnes à l’intérieur de l’aciérie. Deux d’entre eux se sont enfuis, mais dans l’un des six qu’ils ont abattus, ils ont trouvé le général Cloutier.

C’EST UNE MAUVAISE NOUVELLE, car cela prouve sans l’ombre d’un doute que les États-Unis menaient vraiment la guerre en Ukraine, sur le sol ukrainien. La Russie peut maintenant légitimement faire ce qu’elle veut en représailles.

POUR ÉCLAIRCIR : dès le début, le Pentagone a commandé la guerre en Ukraine. Le Pentagone a ordonné l’utilisation de la population civile ukrainienne comme boucliers humains. Je doute que le Pentagone ait ordonné le meurtre de réfugiés en fuite, mais même l’utilisation de boucliers humains, surtout lorsqu’elle est commandée de l’étranger, n’est qu’une nuance de gris par rapport à cela. Les États-Unis peuvent à juste titre être tenus pour responsables des atrocités qui ont eu lieu en Ukraine.

Après la capture du général américain, les médias et les services de renseignement américains ont fait tourner l’usine à mensonges à plein régime, et les grandes entreprises technologiques se sont impliquées en déclarant ouvertement qu’elles démonétiseraient toute source médiatique qui ne mettrait pas précisément en avant les mensonges sous toutes leurs formes. Maintenant, tout ce que nous obtenons [de la part de ces entreprises], c’est comment les Russes ont joyeusement violé et assassiné d’innombrables civils, tandis que les corps des civils morts sont encore marqués par des marques ouvertement nazies qui ont été mises sur eux pour le plaisir. APRÈS QUE LES MÉDIAS OCCIDENTAUX AIENT OUVERTEMENT DÉCLARÉ QUE LES FORCES NAZIES UKRAINIENNES FAISAIENT LA GUERRE.

C’était un renversement complet de la narration, comme un interrupteur, accusant la Russie de laisser des marques nazies sur les gens, alors que les Russes ne se comportent pas ainsi.

Nous allons maintenant voir comment la Russie réagit à une telle calomnie, et comment elle réagit à une attaque pour quelque chose qu’elle n’a jamais fait.




Pour la paix en Syrie. Stop à l’embargo inhumain contre le peuple syrien

Pétition

Par Mouvement International pour la Souveraineté des Peuples

La pétition

Pour avoir visité les villes principales de Syrie, nous pouvons témoigner que l’embargo a pour effet de poursuivre la guerre en Syrie sur le plan économique. 

La Syrie, pourtant détentrice d’importantes ressources pétrolières, voit celle-ci confisquées par les forces américaines occupant les zones de production. Il en résulte une pénurie énergétique permanente, qui se traduit par des fournitures d’électricité intermittentes. La vie quotidienne des Syriens en est gravement perturbée.

Si officiellement, ces sanctions américaines et européennes ne concernent pas les aides humanitaires, leurs conséquences sont néanmoins dramatiques, car aucune banque ou entreprise n’ose exporter des équipements pour les hôpitaux ou des médicaments vers la Syrie par crainte de sanctions des États-Unis. Ceux-ci pratiquent en effet l’extraterritorialité juridique qui pénalise lourdement toutes relations avec les états sous embargo. Enfin, cette situation comporte aussi le risque, – connu et calculé par les promoteurs de l’embargo -, de créer à terme des troubles civils plus ou moins graves.

80 % des Syriens vivent en dessous du seuil de pauvreté. Les prix des produits alimentaires ont grimpé de 133 %. Ce qui se passe sur le sol syrien est un crime contre l’humanité.  

Ce mépris intolérable de la vie humaine doit s’arrêter sans délai. Nous demandons solennellement l’arrêt immédiat de l’embargo affamant le peuple syrien. Les morts inutiles et les souffrances des nourrissons et des enfants doivent cesser immédiatement et impérativement.

La ténacité, le courage et le patriotisme du peuple syrien forcent le respect. Aidons-le. Signez et diffusez largement cette pétition. La France, patrie des Droits de l’Homme, doit manifester sa vocation et affirmer ses valeurs humanistes en disant : Stop à l’embargo contre le peuple Syrien. 

Pour signer :
site de la pétition




Un exemple du bras long de l’OTAN et accessoirement de Soros dans le récit médiatique anti-russe

[Source : ahmedbensaada.com]

Soros et Le Quotidien d’Oran

Par Ahmed Bensaada

J’ai longtemps écrit pour Le Quotidien d’Oran (LQO). C’était un réel plaisir de composer des textes pour ce journal. En fait, ce n’était pas pour le « Quotidien » lui-même, mais pour « Oran », ma ville, mon phare, le centre de gravité de mes pérégrinations.

Je me suis éloigné de ce quotidien lorsque j’ai constaté que mes écrits (notamment « Arabesque$ ») sur le rôle néfaste de l’Occident dans la politique du monde arabe en général et de l’Algérie en particulier dérangeaient sa ligne éditoriale. Il en a été de même avec mon livre sur Kamel Daoud ou celui sur les « ténors autoproclamés du Hirak » dont les sujets sont directement ou indirectement liés au thème précédent.

Non seulement mes livres n’ont jamais fait l’objet de recensions sérieuses, ni de critiques argumentées, ni d’interviews sérieuses comme c’est le cas dans d’autres médias algériens ou étrangers, mais ils ont été systématiquement l’objet de sordides attaques et d’ignobles dénigrements sur les colonnes même du LQO.

C’est Ahcène-Djaballah (BAD pour les intimes), qui s’est chargé de ces basses besognes. Ah, ce sacré BAD! Avec un CV pédant aussi long que la Muraille de Chine, ce vénérable « môssieu » tient, sur LQO, la rubrique littéraire la plus malhonnête, la plus insignifiante et la plus insipide qu’il m’ait été donné de lire.

Voici deux exemples pour illustrer mon propos. Alors qu’il avoua ne pas avoir encore lu mon livre (sic) sur Kamel Daoud, BAD ne se priva pas de pondre une lamentable critique truffée de faussetés et d’attaques ad personam. Un vrai professionnel ce BAD!

J’ai adressé un texte à la direction de LQO pour faire valoir mon droit de réponse. Résultat? Motus et bouche cousue en parfaite contradiction avec l’éthique journalistique. J’attends toujours une réponse depuis…2016!

Au sujet de mon livre sur le Hirak, il le traita de « petit livre » « truffé de complots… mais, heureusement que les complots n’ont jamais fait l’Histoire ». Un langage identique, presque mot à mot, à celui d’un certain Zitout, sujet de Sa Majesté et accessoirement dirigeant du mouvement « Rachad » : LQO, BAD, Rachad, même combat?

Échaudé par ma première expérience et connaissant parfaitement la notion de « liberté d’expression » chez LQO, je n’ai pas osé demander un droit de réponse. Néanmoins, un honnête journaliste a décidé de ne pas laisser passer la chose.

Ah, j’oubliais. Il parait que BAD est « Professeur associé à l’École supérieure de journalisme et des sciences de l’information d’Alger/Ben Aknoun). Non, sérieux, ce n’est pas une blague?

Après cette nécessaire introduction pour situer dans quelle fange se vautre LQO, allons à notre sujet principal.

Il y a quelques jours, un ami me fit parvenir une copie du LQO datée du 23 mars 2022. J’allais poliment la mettre dans la corbeille lorsqu’un encadré, bien visible sur la une, attira mon intention.

Il s’agissait de trois articles présentés comme « supplément autour du monde » :

  • « Les conséquences économiques de la guerre en Ukraine » par Mohamed A. El-Erian;
  • « Des sanctions économiques, une arme de destruction massive », par Raghuram Rajan;
  • « Le Potemkine militaire de Poutine », par Daniel Gros.

Il est donc question de trois articles traitant tous du conflit entre la Russie et l’Ukraine. Intéressant à lire, n’est-ce pas?

Certes, mais on se rend vite compte que les articles en question sont politiquement orientés selon une vision occidentale, clairement anti-russe. On aurait cru qu’ils étaient écrits par le secrétaire général de l’OTAN en personne.

Extrait de la une du LQO du 23 mars 2022

Dans le premier texte, on peut lire, par exemple :

« La Russie va être confrontée à de graves problèmes de change, des pénuries massives, l’effondrement du rouble, des arriérés de plus en plus importants et aux prévisions d’une population qui s’attend à ce que sa situation se dégrade ».

Mais avec ce portrait de fin du monde en Russie, l’auteur est beaucoup plus indulgent quant aux conséquences du conflit sur les pays occidentaux qui ne cessent de souffler sur la braise de la guerre au lieu de chercher des solutions pour une rapide fin de crise.

Dans le second, l’auteur traite la Russie de « nain économique relativement à sa puissance militaire » et prédit que les sanctions contre la Russie « porteront atteinte au niveau de vie et la santé de la population russe et pousseront à la hausse son taux de mortalité ». Il qualifie les sanctions contre la Russie de « moyen efficace (autrement dit, douloureux) mais civilisé de répondre à l’agression et à la barbarie », tout en encourageant de « s’en prendre aux biens des élites du pays agresseur ».

On aurait bien aimé l’entendre parler de l’isolement politique de l’Occident par rapport au reste du monde, ou des conséquences économiques de ces sanctions sur les pays occidentaux eux-mêmes.

Dans le troisième et dernier article, Daniel Gros nous apprend que « les Ukrainiens qui défendent chèrement leur patrie, semblent avoir un net avantage sur les forces russes d’invasion », que « la corruption a envahi la gouvernance russe », que « les pilotes russes semblent avoir peu d’expérience », que « Poutine a déclaré une guerre à partir d’un point de départ matériel faible » et qu’il « a mis la Russie sur la voie d’un déclin économique démoralisant ».

Il ne s’agit pas d’un article d’analyse, mais d’un pamphlet de pure propagande otanesque anti-russe.

Dans ces trois textes, aucun mot n’a été prononcé sur les causes réelles du conflit, sur la position agressive de l’OTAN et son inexorable expansion vers l’Est, sur le coup d’État de l’Euromaïdan, sur les conséquences négatives des sanctions sur les pays occidentaux et sur l’isolement historique de l’Occident.

Mais pourquoi LQO publie-t-il les textes de propagande de l’OTAN? Pourquoi participe-t-il à la gigantesque opération de désinformation menée par les médias occidentaux? Que viennent faire ces trois auteurs dans un journal algérien?

La réponse se trouve dans le petit rectangle placé au-dessus des noms des auteurs : « Project Syndicate : an association of newspapers around the world ».

Logo de « Project Syndicate »

Une visite sur le site officiel de « Project Syndicate » nous donne nombre d’informations sur cet organisme.

Tout d’abord, sur la page d’accueil on peut lire une série d’articles idéologiquement orientés contre la Russie. Pas un seul petit billet qui pourrait nuancer la vision du conflit ou donner la parole à des analystes susceptibles de faire la part des choses. NIET!

Mais quel est cet organisme et quelle est sa mission? La réponse est sur leur site.

Tout d’abord voici son slogan :

« Nous croyons que le monde entier mérite d’avoir accès à ses plus grands esprits. Notre mission est d’atteindre ceux qui n’ont pas cette opportunité ».

Sa mission est définie comme suit :

« Project Syndicate produit et diffuse des commentaires originaux de haute qualité à un public mondial. Avec des contributions exclusives d’éminents dirigeants politiques, décideurs, universitaires, chefs d’entreprise et militants civiques du monde entier, nous fournissons aux médias et à leurs lecteurs des analyses et des informations de pointe, quelle que soit leur capacité de paiement. Nos membres comprennent plus de 600 médias – dont plus de la moitié reçoivent nos commentaires gratuitement ou à des tarifs subventionnés – dans 156 pays ».

Ainsi, cet organisme s’est fixé comme tâche, entre autres, de diffuser les écrits des « plus grands esprits » occidentaux ou non, pourvu qu’ils interprètent les évènements avec une grille d’analyse occidentale. Car, même si les noms des auteurs des trois articles cités précédemment ne sont pas tous occidentaux, il n’en demeure pas moins que leurs écrits épousent les thèses occidentales, sans nuance aucune. Comme nous l’avons souligné à maintes reprises par le passé, l’Occident a besoin de ses « néocolonisés » et de ses « alibis ethniques ».

Cette vision occidentale est ensuite propagée dans les pays moins développés et ce, en plusieurs langues. Tout cela gratuitement ou à des coûts très modiques.

Parmi les auteurs estampillés « grands esprits » par « Project Syndicate », on peut citer de célèbres noms comme Donald Rumsfeld, secrétaire à la Défense (2001-2006) de George W. Bush, George Robertson, secrétaire d’État à la Défense (1997-1999) de Tony Blair et secrétaire général de l’OTAN (1999-2003), Joseph S. Nye, concepteur américain du « Soft power », Zbigniew Brzezinski, conseiller à la sécurité nationale (1977-1981) du président Jimmy Carter, Saad Eddin Ibrahim (le collègue de Lahouari Addi à la NED), activiste égyptien largement financé par l’administration américaine et George Soros, spéculateur financier et milliardaire américain. N’oublions pas que Soros est le grand promoteur de la « société ouverte », qu’il a parmi ses multiples « réalisations », le financement des « révolutions colorées », en particulier la « révolution orange » (Ukraine 2004) et qu’il a été partie prenante dans la formation des cyberactivistes arabes qui ont été fortement impliqués dans le « printemps » arabe.

Comme on peut le constater, il s’agit bien de « grands esprits » qui ont servi avec ardeur le bellicisme de l’OTAN et l’hégémonie américaine à travers le monde.

À titre indicatif, il faut savoir que le plus récent article de George Soros publié sur le site de « Project Syndicate » a pour titre : « Vladimir Poutine et le risque de la IIIe guerre mondiale ». Pour se faire une idée sur sa teneur, il suffit de lire la dernière phrase :

« Nous ne pouvons qu’espérer que Poutine et Xi [Jinping] seront chassés du pouvoir avant qu’ils ne puissent détruire notre civilisation ».

Avec une telle animosité, on comprend bien pourquoi la fondation « Open Society » de Soros a été bannie de la Russie en 2015.

D’autre part, « Open Society » a récemment créé le « Fonds ukrainien pour la démocratie » doté de 25 millions de dollars, ce qui en dit long sur le positionnement de Soros et de sa fondation en ce qui concerne le conflit entre la Russie et l’Ukraine.

Et, bien entendu, si le nom de Soros est cité dans « Project Syndicate » son chéquier ne doit pas être très loin. En effet, le site officiel de « Project Syndicate » indique que « Open society » figure en première place parmi ses contributeurs financiers et cela a été ainsi depuis plusieurs années. À titre d’exemple, pour les années 2000 et 2002, la contribution de la fondation Soros a été respectivement de 902 000$ et 1 151 000$.

Dans un article universitaire intitulé « L' »empire » des médias Soros : le pouvoir de la philanthropie pour créer le consentement » publié en 2008, Michael Barker cite une « une liste non exhaustive de projets médiatiques financés par Soros pour illustrer la gamme d’organisations que Soros utilise pour manipuler la démocratie dans le monde ». Bien évidemment, « Project Syndicate » y figure.

Sur un autre document, on apprend que seuls deux journaux algériens ont été en relation avec « Project Syndicate » : LQO et La Tribune. Le second n’existant plus depuis quelques années, seul LQO continue à s’abreuver du savoir des « grands esprits » occidentalistes et à le disséminer dans les cerveaux de ses lecteurs.

LQO et La Tribune, les deux seuls membres algériens de « Project Syndicate »

En résumé, nous pouvons dire que le « Project Syndicate » sert à diffuser des analyses typiquement occidentales et otanesques. Financé, entre autres, par « Open Society » de George Soros, il permet actuellement à LQO à diffuser la propagande de l’OTAN en Algérie dans le cadre du conflit russo-ukrainien.

Sachant que nous vivons à l’ère des guerres de quatrième génération (G4G) et que l’information est devenue un produit « arsenalisé », il est inquiétant pour notre pays de constater que de tels points de vue, totalement orientés, puissent être aussi facilement publiés dans des journaux algériens et fallacieusement considérés comme émanant de « sommités » mondiales. Pourtant, les trois articles cités auparavant sont d’une navrante médiocrité.

D’autant plus que cela se fait par l’intermédiaire d’une organisation occidentale qui sous-entend que les « grands esprits » ne sont que celles ou ceux qui produisent des analyses qui sont en accord avec les intérêts occidentaux ou considérés comme tels. Ajoutons à cela un schéma de diffusion de l’information à sens unique, purement néocolonial : de l’Occident vers les pays moins développés.

Cela veut dire aussi qu’il est impossible à un « petit esprit » (non occidentaliste, bien sûr!) de publier, dans un journal occidental, un point de vue différent de celui dicté par les médias mainstream. Cela est encore plus clair actuellement, dans le contexte de la guerre russo-ukrainienne.

Tout cela tendrait à expliquer pourquoi mes livres dérangent tant la ligne éditoriale de LQO et pourquoi BAD a été chargé des basses besognes : Ahmed Bensaada n’a été adoubé ni par « Project Syndicate », ni par « Open Society ». Il ne sera donc jamais un « grand esprit » à leurs yeux parce qu’il ne parle pas leur langage.

Et toute voix discordante est automatiquement traitée de complotiste. N’est-ce pas BAD?




Pourquoi le système veut faire passer Marine Le Pen

Par Nicolas Bonnal

Pourquoi le système veut faire passer Marine Le Pen (écrit en 2017) :

« Le système pourrait alors imposer plus vite son agenda terroriste et totalitaire : guerre contre la rebelle Russie, invasion du sud, abolition du cash, contrôle biométrique, interdiction de l’or, censure du réseau, etc. »

Dedefensa.org, 18 février 2017 :

« La rapidité de la soumission de Trump au système a été admirable, comme la soumission de Syriza en Grèce, ou la rapidité de l’annulation du Brexit ! Comme dirait Céline, la résistance populiste ne demande qu’à foutre le camp — ou à cliquer rageusement sur sa souris…

Voyons le cas de Marine élue.

La France aurait des taux d’intérêt pour rembourser sa dette qui monteraient le soir même à 10 %. La France aurait une révolution orange dans la rue. La France aurait une rébellion de la fonction publique. La France aurait une fuite de capitaux. La France aurait des bourgeois désespérés par l’effondrement du prix des appartements parisiens et des châteaux ancestraux. La France se ferait ferrer par l’OTAN encore plus vite que la Serbie. La France se prendrait les attentats les plus rapides de sa carrière… Pour toutes ces raisons, le système veut Marine.

Il y a un mécontentement unique. Il ne cesse pas encore et il peut être stoppé. Par qui ? Par l’élection du candidat résiduel le plus méchant pour l’oligarchie mondiale : le candidat FN, qui est là depuis trente ans. Le caractère pseudo-révolutionnaire (la Bastille) de la France ici sera utilisé à plein. Soumettons les Français et le reste suivra vite.

Donc je dis : le système a intérêt à faire élire Marine Le Pen. Le Bataclan si elle est élue serait tel qu’elle se soumettrait encore plus vite que son modèle Trump. Le système pourrait alors imposer plus vite son agenda terroriste et totalitaire : guerre contre la rebelle Russie, invasion du sud, abolition du cash, contrôle biométrique, interdiction de l’or, censure du réseau, etc.

Le chaos de l’élection FN serait tel que le tsunami (qui est comme on sait une méthode de contrôle froid, comme l’attentat, l’effet de serre, le réfugié) serait imparable. Donc le système va faire élire Marine qui a déjà donné des garanties en virant son père. Tel est son intérêt : crever l’abcès populiste une fois pour toutes.

Dans mon livre sur Trump, publié avant son élection, j’annonçais déjà la couleur (p.171) :

“Relisant les pages informatives que nous avons rassemblées sur Donald Trump, nous traversons une crise morale. Tout nous semble boursouflé, truqué, presque minable. Ses affaires, sa fortune même semble gonflée. Ses propos sont nuls ou scandaleux, ou ne méritent même pas d’être relevés.

Quelques propositions intéressantes et courageuses sont vite contredites. Sa politique est inapplicable et c’est tant mieux comme ça. Il suscite en outre tellement d’hostilité à l’étranger et dans les milieux importants (télévision, négoces) qu’il risque d’être ruiné avant même l’élection.”

Et la suite était simple à prévoir au chapitre XVII :

“… il semble que l’affaire Trump va servir d’opération psychologique au niveau mondial. Le système a peur des foules, et il a besoin de faire un exemple — en montrant le mauvais… l’accusation de racisme, de nazisme, de fascisme, de machisme par les médias, les excès ou soi-disant excès de Trump porteront leurs fruits et tout le petit monde du petit blanc frustré rentrera dans sa niche comme en France. Il sera ‘agité’ une nouvelle fois avant de ‘s’asservir’ pour rien, et c’est tant mieux !”

Je donnais une bonne référence cinéma datant des troubles années Nixon-Ford (plus troublées qu’en 2017, car il y avait un reste de marxisme et le militant était encore disposé à se sacrifier pour les imposer — aujourd’hui il clique) :

“Dans le Film Network de 1976, le présentateur télé Howard Beale invite le téléspectateur à se rebeller et à gueuler par sa fenêtre — ce qu’il s’empresse de faire. Ensuite pour plaire à son patron, qui parle de marks, de dollars, de roubles, de shekels, de marché, de capital, de chiffres, de système holistique, de nature (le capital adore ça), d’investissements, de fin des peuples, de pognon, de ‘mouvement autonome du non-vivant’, il prêche un évangile de la résignation — et se fait enfin tuer pour baisse de taux d’écoute ! Le film marquait la transition de la rébellion à la soumission.”

Et je continuai :

“Il se peut que Trump serve aussi d’exorcisme à la fin pour calmer le ressentiment général en Amérique et organiser plus calmement la faillite du pays qui a déjà commencé, même si elle est décrite rarement. La fascisation et la militarisation des États-Unis décrite par Paul Craig Roberts servira à prévenir ou écraser massivement toute rébellion, d’où qu’elle vienne. Il semble bien que l’on en prenne aussi le chemin en France.”

Oui, faire monter le péril FN et même faire élire Marine est la meilleure chose qui puisse arriver au système. La bourse et l’immobilier écroulés pour un temps assez bref serviront les malins. L’optimisme des antisystèmes, on sait où cela mène (Cuba ? Caracas ?)…

Je rappelais que cette tactique est décrite par Aristote dans sa remarquable Politique :

“Dans la démocratie, les révolutions naissent avant tout de la turbulence des démagogues. Pour ce qui concerne les particuliers, ils contraignent par leurs dénonciations perpétuelles les riches eux-mêmes à se réunir pour conspirer ; car la communauté de crainte rapproche les gens les plus ennemis.

Et le plus grand philosophe de l’Antiquité de ponctuer froidement, comme s’il avait prévu la fin du mauvais film :

‘Par leurs injustices, les démagogues et leurs compères avaient contraint les citoyens puissants à quitter la ville ; mais les exilés se réunirent, et, revenant contre le peuple, ils lui arrachèrent tout son pouvoir.’

Cette tactique (une simple opération psy) n’a pas changé depuis trois mille ans. Le peuple en a parfois marre des élites. Les élites laissent un populiste arriver au pouvoir, puis elles le liquident — sauf quand elles le secondent, comme dans le cas trop connu du caporal bohémien.

Sourions, nous sommes bien gardés !”

Bibliographie

Aristote — Politique, livre VIII, théorie générale des révolutions (traduit par Barthélémy Sant-Hilaire, 1874 [sur Remacle.org]

Nicolas Bonnal — Donald Trump, candidat du chaos, Editions Dualpha, chapitres XVI et XVII

https://www.dedefensa.org/forum/pourquoi-le-systeme-veut-faire-passer-marine

http://www.dedefensa.org/article/pourquoi-le-systeme-veut-faire-passer-marine




Les « Russes » commettent encore une « atrocité » ?

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par The Saker – Le 8 avril 2022 – Source The Saker’s Blog

La grande nouvelle du jour est que les méchants Russes ont tiré un missile Tochka-U avec une ogive à fragmentation sur la ville de Kramatorsk, tuant des dizaines de civils innocents. Le « monde civilisé tout entier » est dégoûté et a immédiatement annoncé encore PLUS de sanctions, PLUS de condamnations et PLUS de signaux de vertu anti-russes.

Petit problème : La Russie n’a pas de missiles Tochka-U, qui sont des missiles soviétiques vieux de 30 ans qui ont été largement surpassés par les missiles russes modernes (dont la Russie dispose en quantité suffisante). Comment savons-nous que c’est le Tochka-U qui a été utilisé ?

Grâce à la section de la queue qui se sépare de la tête explosive pendant le vol. C’est ici :

Aucun missile tactique russe en service avec une telle section de queue, et seuls les Tochka-U ukrainiens en ont.

Queue et gouvernes du Tochka-U

À quel point est-ce un problème pour l’Empire de la haine et du mensonge ?

Très mineur, vraiment. Rappelez-vous que leurs PSYOPS sont dirigés vers deux types de personnes :

  • Ceux qui ont une faible intelligence ;
  • Ceux qui ne se soucient pas de la vérité.

La Russie n’avait pas non plus l’ancien modèle de Buk qui aurait abattu le MH-17, ce qui n’a pas empêché l’Empire de la haine et du mensonge de rejeter instantanément la responsabilité de l’accident sur la Russie. Et la Russie a depuis longtemps liquidé ses stocks d’armes chimiques, contrairement aux États-Unis ou au Royaume-Uni, soit dit en passant.

Mais qui se soucie de cela quand la haine de la Russie et des Russes est tout ce qui compte vraiment ?

En fait, c’est tout droit sorti du livre des PSYOPs occidentales :

  1. Exécuter un faux drapeau, puis
  2. Accusez immédiatement la Russie et demandez à toutes vos colonies de faire de même au nom de la « solidarité » occidentale.
  3. De cette façon, vous êtes absolument certain qu’aucune enquête réelle ne pourra avoir lieu ou, si elle a lieu, elle sera si loin dans le temps que personne ne s’en souciera.

Nous avons donc eu un faux-drapeau majeur à Bucha, et maintenant nous avons cette Tochka-U à Kramatorsk. Que se passera-t-il ensuite ?

Dieu seul le sait, mais l’objectif est d’associer les « Russes » aux « atrocités » dans ce qui reste de l’esprit des serfs avides de scatophilie de la zone A.

Pendant ce temps, en Russie, un scandale se prépare avec les dernières déclarations de Dmitry Peskov qui a dit beaucoup de choses très stupides dans ses dernières interviews. Franchement, le jour où Poutine licenciera Peskov, je ressentirai personnellement un immense soulagement. En temps de paix, il est déjà assez pénible d’avoir des gens comme Medinski et Peskov, mais en temps de guerre, les gens avec leur état d’esprit sont un véritable DANGER pour la Russie, car ils injectent directement la peur, l’incertitude et le doute dans l’esprit du public russe. La seule bonne nouvelle, mais c’est une très bonne nouvelle, c’est que de plus en plus de Russes sont vraiment contrariés par ces personnages : ils soutiennent Poutine et l’opération militaire, et ils en ont vraiment assez des intégrationnistes atlantiques et de leur façon de patronner les 5èmes colonnes (ce qu’a fait Peskov).

J’espère vivement le jour où des gens comme Peskov et Medinski seront mis à la retraite et remplacés par des personnes d’un tout autre genre.

Aparté

Je me demande si ceux qui ont catégoriquement nié l’existence même des intégrationnistes atlantiques auront un jour l’honnêteté d’admettre qu’ils avaient tort. Probablement pas.

Examinons maintenant le récent vote visant à suspendre la Russie du Conseil des droits de l’homme de l’ONU :

Premièrement, remarquez que ni la Hongrie ni la Serbie n’ont eu le courage et la décence de s’abstenir (et encore moins de s’opposer).

Deuxièmement, bien que cette carte ne reflète pas exactement ce que les habitants de ces pays ressentent à propos de cette guerre, cette carte fait un superbe travail en nous montrant la liste des classes dirigeantes coloniales compradores pures. Voici donc le score pour notre planète : l’Empire, bien que déjà mort, règne encore, par impulsion, sur 151 gouvernements et seuls 24 pays ont ce qu’il faut pour s’opposer ouvertement aux directives de vote de l’Empire de la haine et du mensonge. Les 58 pays qui, comme Pilate, se sont lavés les mains de ce vote sont particulièrement pathétiques, tout comme ceux qui n’ont même pas eu le courage de se présenter au vote.

Quant à ceux qui ont « voté vert », j’aimerais pouvoir leur envoyer à chacun un petit sac contenant 30 pièces d’argent.

Radovka a publié une carte intéressante montrant comment le monde est divisé :

Légende : de gauche à droite : pro Ukraine, sympathisant de l’Ukraine, neutre, sympathisant de la Russie, pro russe.

Et voici une carte des sanctions sur laquelle je suis tombé récemment :

Bien sûr, il ne s’agit que d’un cliché d’une situation en évolution. Mais le véritable intérêt de ces cartes est qu’elles montrent trois groupes différents :

  • Les vrais nazis modernes (CA+US+EU+AUS+NZ+JP).
  • Les régimes compradores qui votent « correctement » mais dont beaucoup ne veulent pas joindre l’acte à la parole et qui veulent aussi obtenir des biens et des services de la Russie (je pense que ces pays ont des estomacs énormes mais des couilles minuscules).
  • Les 25 pays qui ont osé défier l’Empire de la haine et du mensonge et ont ouvertement voté « non ».

Depuis le début de cette guerre, les Russes ont subi de nombreuses pertes en s’efforçant de NE PAS blesser les civils ou l’infrastructure civile. Les Ukronazis ont fait tout le contraire : non seulement ils ont enlevé des milliers de personnes qui ont « disparu », mais ils ont aussi ouvertement attaqué les civils en LDNR et, depuis l’Opération Spéciale, ils ont déchaîné leur haine contre presque toutes les villes qu’ils ont dû évacuer (pour faire payer les « séparatistes » locaux et tout mettre sur le compte des « atrocités russes »).

Et l’Occident n’a absolument rien remarqué.

Du moins officiellement. En réalité, bien sûr, c’est directement le résultat du type d’« instruction » que les Ukronazis ont reçu de leurs maîtres anglo-saxons.

Voici l’horrible vérité que personne ne veut admettre ouvertement : l’Occident veut génocider la Russie et l’Occident génocide DÉJÀ le peuple ukrainien. Si l’Empire de la haine et du mensonge suit son cours, cette guerre durera aussi longtemps que possible, comprendra autant d’atrocités horribles que possible et une destruction totale de l’infrastructure civile de l’Ukraine.

Quant à la Russie et au peuple russe, il n’y a qu’une seule chose que je n’ai pas encore entendue de la part de nos merveilleux voisins occidentaux : les cris « crucifiez-les ! crucifiez-les ! crucifiez-les ! ». Bien sûr, ce n’est pas ainsi que les croisés modernes expriment leurs sentiments, ils veulent simplement « annuler la Russie ». Des mots différents pour la même signification.

Si tout cela semble démoniaque, c’est parce que ça l’est. Littéralement. Et l’histoire de la Russie est remplie de telles invasions génocidaires, et aujourd’hui, pour conclure, plutôt que d’utiliser des mots, je veux utiliser quelques peintures de l’artiste russe Il’ia Glazunov. Je ne veux pas les « expliquer », regardez-les simplement et vous comprendrez peut-être un peu mieux qu’avant le peuple russe et son histoire, du moins c’est ce que j’espère.

Andrei

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone




En France (in)soumise, vous n’avez pas le droit de vous défendre

Par Lucien SA Oulahbib

Il est tout à fait « normal » que l’actuel locataire de l’Élysée déconseille fortement de se défendre, car un soumis par définition ne peut pas le faire sous peine de tomber sous le coup non pas de la « loi » politique (cette blague on l’a vu avec ladite crise « sanitaire »), mais « morale », surtout celle d’aujourd’hui qui cherche à punir le fait de se défendre, car cela fait trop « mec », donc hétéro-normé et suprématiste, voire pis, poutinien, russe, ce qui est absolument « mal » (sans « e » bien sûr, ou alors dans les salons interlopes).

Et lorsque l’on est ainsi (in)soumis il faut accepter de baisser les yeux, de se faire cracher dessus, insulter, malmener, violer pour les filles, tuer pour les juifs, massacrer pour les homosexuels. C’est la nouvelle « norme ». Et dire le contraire, soulever des « euh » revient à vous classer immédiatement comme « complotiste-adepte-du-grand-remplacement », de « deux et deux égal quatre », ce qui vous classe comme « vautour d’extrême droite » qui refuse l’évidence : il faut marcher droit et, de plus en plus, faire comme cette dame en Belgique dans une de ces villes soumises qui pour être tranquille s’est acheté l’uniforme adéquat qu’un Mélenchon d’ailleurs défend bec et ongles à l’Université, même si c’est un établissement public qui exigerait « normalement » une tenue conforme au principe de laïcité présupposant que l’on ne doit pas imposer par sa présence ostentatoire une tenue qui viole les autres principes comme l’égalité la liberté la fraternité, mais de cela Mélenchon s’en fiche comme de son dernier fichu.

L’égalité homme/femme ? Vieillerie ! Alors qu’il n’y a aucune raison que les femmes se voient imposer un vêtement qui cache violemment ses formes et, surtout nie, toute l’histoire du vêtement féminin en France. La liberté, parce que ce concept inconnu dans le monde islamique, chinois, indien, est un legs judéo-gréco-chrétien singulier qui a fait de l’Occident une particularité morphologique inédite jusqu’au point où l’on demande si ce n’est pas par ce biais que l’inventivité a pu plus s’épanouir que partout ailleurs. Enfin, la fraternité qui implique une solidarité entre membres d’une même Histoire, mais aussi entre les femmes de tous les pays qui doivent s’unir contre l’oppression en refusant de voir s’imposer un symbole qui, dans certains pays, est celui de l’enfermement identitaire, décrié pourtant par nos émules progressistes à la Mélenchon lorsqu’il s’agit de défendre l’identité de la France alors que souvent il s’agit plutôt de préserver ses acquis civilisationnels dont le voile, l’insulte, le chant du muezzin ne font à l’évidence pas partie.

Pas plus que le fait de se faire frapper d’entrée de jeu ou cracher dessus, insulter au moindre différent, comme si nous n’étions que de la viande soumise qu’il faut faire rentrer « fissa » dans le rang pour aller vers l’abattoir globaliste sous les quolibets des idéologues de la Secte idéocratique SHA (scientiste, hygiéniste, affairiste) avides de toucher les millions autant que faire se peut (« après-moi le déluge »).

Il serait peut-être temps de dire le mot de Cambronne à toute cette « chienlit » en glissant le bulletin adéquat dans les urnes non ?…




Laurent Mucchielli : « Nous contredisons des forces politiques et financières extrêmement puissantes »

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Dans les médias grand public, il avait droit de cité. Il en est désormais « blacklisté ». Jusqu’au déclenchement de la crise du Covid-19, il était considéré comme un adversaire majeur de l’extrême-droite. Le voilà désormais taxé d’extrême-droite. Laurent Mucchielli, directeur de recherche et sociologue au CNRS, est venu sur notre plateau témoigner de son combat d’universitaire au cours de ces deux dernières années et, en sa qualité de sociologue, livrer son analyse des causes et des mécanismes de cette « guerre d’influence » à laquelle nous sommes confrontés. Le chercheur, auteur de deux ouvrages sur la  « doxa du Covid », en est certain : « Nous enfreignons un tabou et nous venons contredire des forces politiques et financières extrêmement puissantes au niveau mondial ».



Le chercheur en sociologie, connu pour ses ouvrages sur la thématique de l’insécurité, compare la situation sociétale dans laquelle nous sommes plongés depuis le début de la crise du Covid-19 à celle de la période des « guerres de religion ». Une impression de rétropédalage au XVIᵉ siècle. Remettre en cause le bien-fondé des diverses mesures sanitaires ou celui du « miracle vaccinal », c’est professer une hérésie et s’excommunier, un phénomène particulièrement prégnant au sein de la communauté scientifique, nous rapporte Laurent Mucchielli : « Les plus agressifs, les plus arrogants sont une partie de mes collègues. C’est quelque chose que j’avais déjà analysé au moment du mouvement des gilets jaunes il y a 2 ans : une forme de racisme du diplôme ». Le directeur de recherche au CNRS rappelle que, pourtant, le fondement de la science, c’est « soumettre une vérité à la possibilité d’une réfutation ». Et de déplorer : « Or, là, on se heurte à des discours totalement dogmatiques qui, par définition, ne sont pas de la science ».

Il analyse aussi la communication médiatique branchée sur le registre émotionnel de la peur, une tactique qui a permis d’éteindre complètement les capacités d’analyse critique de nombreux Français. Cette peur qui « rend fou » traverse toute la société et n’a aucun rapport avec le niveau de diplôme, souligne le chercheur qui raconte : « J’ai vu d’éminents collègues se comporter comme des petits enfants, être prêt à gober n’importe quoi, et être incapable d’avoir la moindre argumentation, tout simplement parce qu’ils étaient terrorisés. »

Au cours de cet entretien, Laurent Mucchielli a aussi exprimé son effarement face à la censure qui sévit dans les médias largement responsables de cette panique, tel Médiapart, ou encore sur les réseaux sociaux. Autrefois porteurs d’une promesse de liberté et d’une meilleure participation des citoyens au débat public, pour le chercheur, ils sont aujourd’hui devenus « d’incroyables machines à formater la pensée ».

L’occasion aussi pour lui de dénoncer la malhonnêteté intellectuelle qui sous-tend le débat public. Dès 1984, sa première manifestation, alors qu’il n’était encore qu’au lycée, était organisée pour s’opposer à la venue de Jean-Marie le Pen dans sa ville. 36 années plus tard, en mars 2020, juste avant la crise du Covid-19, Laurent Mucchielli publiait un nouvel ouvrage intitulé La France telle qu’elle est : Pour en finir avec la complainte nationaliste. « Une sorte de manuel anti-Zemmour », explique-t-il. Pourtant, depuis ses prises de position sur le Covid, le sociologue serait désormais, pour une certaine presse… d’extrême-droite.

Autre exemple à l’appui de sa démonstration. La classe journalistique avait discrédité l’hydroxychloroquine en faisant valoir un rapport de pharmacovigilance de l’ANSM qui rapportait quatre morts, dont trois pourtant décédés par automédication, le quatrième s’étant suicidé par overdose plurimédicamenteuse. Or, mettre en avant la même pharmacovigilance pour alerter sur les effets secondaires du vaccin anti-Covid est, selon les mêmes personnes, une méthode qui « ne vaut rien ». « Le principe et la source même vous conviennent quand ça vous arrange et ne vous conviennent plus quand ça vous dérange », résume l’universitaire.

Laurent Mucchielli est aussi revenu sur l’International Covid Summit (ICS), congrès qui a réuni des experts scientifiques venus du monde entier à l’IHU Méditerranée Infection dirigé par le Pr Didier Raoult. Un succès, selon lui, qui a permis de faire vivre le débat scientifique. En fin d’entretien, le chercheur termine en expliquant que la crise que nous vivons est, au même titre que toutes les autres crises, « un moment d’accélération de l’histoire ». Cependant, en dépit des pressions, M. Mucchielli l’assure : « J’irai jusqu’au bout parce que le sujet le demande. »




Selon le chef du Service de renseignement extérieur (SVR) russe, il n’y aura pas de retour à l’ancien monde

[Source : rusreinfo.ru]

Note: Le rôle du SVR dans la situation actuelle est primordial puisqu’il contrôle des centaines d’agents opérant sous couverture dans le monde entier et pouvant être « activés » à tout moment en fonction des intérêts de la Russie.
Malgré les prétendues « informations » de certains « experts » auto-proclamés Sergey Narishkin reste une figure cle du gouvernement russe. Il peut être considéré comme un successeur potentiel de Vladimir Poutine.

Le chef du SVR (service de renseignement extérieur, équivalent de la CIA), Sergei Naryshkin, sur la situation en Ukraine et dans le monde

L’opération militaire spéciale de la Russie a été un véritable moment de vérité pour le monde russe, déclarant fermement qu’il était prêt à défendre pleinement son droit à une existence originale face au mondialisme agressif incarné par l’hégémonie américaine, l’élargissement de l’OTAN, la politique de « l’interventionnisme libéral » et la propagande LGBT.

L’amertume de la confrontation indique clairement que nous parlons de quelque chose de bien plus vaste que le sort du régime de Kiev. En fait, l’architecture de tout l’ordre mondial est en jeu. Nous pouvons dire avec confiance : il n’y aura pas de retour à l’ancien monde.

L’opération spéciale russe mettra définitivement fin aux tentatives de transformer l’Ukraine en un État fantoche russophobe, construisant son identité sur la base de la diabolisation de tout ce qui la relie objectivement à la Russie.

Au stade actuel, Washington considère que sa tâche principale est de prolonger le conflit autant que possible, de le rendre aussi coûteux que possible à la fois pour Moscou et Kiev, et en même temps d’empêcher l’escalade de se propager plus loin vers l’Occident. L’OTAN, comme le soulignent les « stratèges » américains, tente de transformer l’Ukraine « en une sorte d’Afghanistan ».

N’ayant ni la force ni le courage de défier la Russie ouvertement et honnêtement, l’Occident essaie d’organiser un blocus économique, informationnel et humanitaire pour notre pays, de créer une atmosphère de «toxicité» autour de lui qui y rendrait impossible la poursuite de la normalité la vie.

Tactiquement, cela utilise le mécanisme de la « culture d’annulation » élaboré par les élites libérales de gauche américaines sur leurs concurrents de droite, et désormais étendu au niveau mondial.

Une vie confortable et sécurisée, en particulier pour la classe moyenne, est depuis de nombreuses années l’un des piliers de la stabilité politique des pays occidentaux. Aujourd’hui, à cause de la « croisade » de Washington contre la Russie, la population des États-Unis et des pays de l’UE est confrontée à une hausse sans précédent des prix du carburant, de l’électricité et de la nourriture.

Les résidents d’Europe ont déjà commencé à se préparer mentalement aux perspectives d’introduire des cartes alimentaires et de couper les radiateurs, qui, il s’avère, « peuvent être facilement remplacées par des pulls ». Et tout cela sous prétexte d’aider le peuple ukrainien, alors que c’est précisément pour les ukrainiens que toutes ces mesures ne changent absolument rien.

Les élites occidentales utilisent simplement la situation actuelle pour mettre en œuvre des plans longtemps caressés pour l’élimination de facto de la classe moyenne dans l’esprit du scénario bien connu proposé par le Forum économique mondial de Davos : « D’ici 2030, vous n’aurez rien et vous serez heureux ! »

[Voir :
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux]

La volonté de maintenir le rôle d’hégémon mondial pousse les États-Unis à de dangereuses aventures militaro-politiques. Le développement de la confrontation géopolitique sur le théâtre d’opérations européen est suivi de près par les dirigeants des pays du monde non occidental. Tous, y compris les alliés des États-Unis, ne sont pas opposés à tester la force de l’hégémonie qui s’affaiblit en élargissant les limites de ce qui est possible en matière de politique étrangère et intérieure.

En ce moment, une étape fondamentalement nouvelle de l’histoire européenne et mondiale se déroule sous nos yeux. Son essence réside dans l’effondrement du monde unipolaire et du système de relations internationales fondé sur le droit du plus fort, c’est-à-dire les États-Unis, de détruire d’autres États afin d’empêcher la moindre possibilité de leur transformation en centres de pouvoir alternatifs.

Aujourd’hui, la Russie conteste ouvertement ce système – créant un monde véritablement multipolaire qui n’a jamais existé auparavant et dont tout le monde bénéficiera à l’avenir, même nos adversaires actuels.




Russie-Ukraine : la jeune femme enceinte de Marioupol dément le récit officiel occidental

[Source : FranceSoir]

[Illustration :
Capture d’écran d’une vidéo publiée par la police nationale ukrainienne, le 9 mars 2022.
Les soldats évacuent la matertiné de Marioupol, Ukraine.
AFP PHOTO / National Police of Ukraine / handout]

Auteur(s): FranceSoir

Le 9 mars dernier, des images chocs de la maternité de Marioupol, en Ukraine, défrayaient la chronique. Selon les sources d’informations occidentales, le bâtiment a été bombardé par les forces russes. Parmi les blessés, la photo de Marianna Vishegirskaya enceinte, capturée par l’Associated Press (AP), émeut l’opinion publique. Trois semaines après l’événement, l’influenceuse beauté ukrainienne reparaît sur YouTube, en accordant cette fois un entretien à un vidéaste russe. La vidéo est intitulée « Interview de la fille de la maternité de Marioupol : la vérité sur les militaires, l’explosion, et les journalistes d’Associated Press ». L’histoire qu’elle y raconte met à mal le récit occidental. Autour de cette jeune femme, une guerre de l’information est lancée.

On la voyait le visage ensanglanté, descendant les escaliers délabrés de la maternité avec le ventre gonflé par son bébé. Le cliché a rapidement fait le tour du monde et Marianna est, peut-être malgré elle, devenue un symbole ukrainien représentant les « crimes de guerre ». Le 2 avril dernier, on la retrouve assise sur un canapé beige, le visage un peu pâle, esquissant toutefois quelques sourires, en train de répondre aux questions de Denis Seleznev. Là, le récit est bien différent de celui qui était diffusé par l’Ukraine : elle explique en substance ne pas être sûre qu’il y ait bien eu un bombardement, que les soldats ukrainiens ne faisaient pas montre d’une grande sympathie, et que les journalistes d’AP l’ont filmée contre son gré. Elle a l’air plutôt détendue en début de vidéo, semble parfois contenir son agacement, mais ne parvient pas à cacher son émotion jusqu’à la fin. Au moment où elle semble « craquer », écran noir pendant cinq secondes. Le plan change légèrement, elle paraît moins triste mais davantage stressée, et s’adresse directement à Volodymyr Zelensky à la demande de son interlocuteur. Le Figaro rapporte ses propos :

« Cher président de l’Ukraine Vladimir Alexandrovitch, vous nous aviez promis que l’armée ukrainienne pourrait nous protéger, mais finalement la ville s’est transformée en cage. Plus personne ne peut en sortir. […] La majorité de la ville n’existe plus, sans parler de toute une partie de la population. Les habitants sont en train de mourir, des soldats des deux côtés, aussi. Les gens ont perdu espoir, l’espoir qu’ils pourraient survivre et s’en sortir (…) S’il vous plaît, il faut essayer de se mettre d’accord, de trouver des compromis, parce que c’est devenu insupportable. C’est douloureux de voir tout ça, et, là-bas, on vit dans la peur. Il faut essayer de trouver une solution à ce problème. »

La vidéo est partagée par certains comptes gouvernementaux russes, ainsi que sur le compte Telegram de Marianna. Aussitôt, AP se défend de toutes les accusations en dénonçant un faux récit de la jeune femme. Les autres médias se mettent en branle et enchaînent les « debunkages« . C’est une quasi-certitude : elle a été manipulée par les Russes.

Pour AP, elle ment. Non seulement « les récits de témoins oculaires et les vidéos des journalistes de l’AP à Mariupol démontrent l’existence d’une frappe aérienne », mais en plus, Marianna « est consciente qu’elle est filmée, et ne montre pas qu’elle est contre. » L’agence de presse redirige son lectorat vers une de ses vidéos pour prouver ses dires. Difficilement visionnable sur YouTube à cause des « règles de la communauté » qui en limitent le contenu, nous avons pris la liberté de télécharger la vidéo afin de l’intégrer ci-dessous :



Dans les premières secondes, on entend un bruit sourd qui pourrait être un avion, et le bruit d’une explosion. Quand l’image apparaît cependant, seulement de la fumée, pas d’avion visible. La preuve n’est pas d’une évidence criante, surtout en temps de guerre.

Ensuite, l’agence filme l’évacuation des blessés à travers les décombres. On voit alors une autre femme enceinte, blessée et transportée sur un brancard par les soldats. À ce sujet, l’ambassade russe au Royaume-Uni avait d’abord assuré qu’il s’agissait d’un montage et que les deux femmes étaient en réalité une seule et même actrice : Marianna Vishegirskaya. Dans la nouvelle vidéo du 2 avril, cette affirmation est aussi mise à mal. Marianna est catégorique : ce n’était pas elle. Elle explique avoir appris entretemps que l’autre femme est malheureusement décédée, avec son bébé.

En somme, l’information en temps de guerre est rapidement mise à mal. Une chose est sûre, comme nous le partageait le journaliste et écrivain Radu Portocala : 

« L’opinion publique peut tout accepter, si c’est bien présenté et si c’est émouvant ».




Racines nazies de la famille royale britannique ?

[Source : Sott.net]

[Photo : © Popperfoto/Getty Images
Le duc de Windsor, qui fut pendant quelques mois en 1936 le roi Édouard,
lors d’une tournée dans l’Allemagne nazie en 1937.]

Les racines nazies de la Maison de Saxe-Cobourg-Gotha (Windsor) mises en lumière par de nouvelles révélations

Par Matt Ehret

Au milieu de la tempête de désinformation orwellienne qui façonne notre monde actuel, le haut est devenu le bas, le blanc est devenu le noir et le bien est devenu le mal [plus que jamais sans doute – NdT].

Bien que les maux du nazisme aient été vaincus principalement grâce aux sacrifices consentis par les Russes pendant la Seconde Guerre mondiale, il est de plus en plus courant d’affirmer que le véritable méchant de la grande guerre était Staline. Et en dépit du fait que les nazis refusant d’accepter le changement social et économique ont été absorbés par la machine de renseignement dirigée par les Five Eyes pendant la Guerre froide — lesquels ont donné naissance à des nazis de deuxième et troisième générations présents en Ukraine aujourd’hui — on nous répète que l’Ukraine est un temple de la liberté et un phare de la démocratie sur le territoire duquel nous devrions risquer d’allumer le feu nucléaire mondial pour le défendre.

Lorsque des vérités gênantes sont capables de percer l’illusion enivrée de Novlangue orwellienne qui a contaminé les grandes lignes de la pensée actuelle, elles constituent une véritable bouffée d’air frais. L’une de ces vérités concerne la reconnaissance par les médias mainstream de l’authenticité du contenu scandaleux et funeste de l’ordinateur portable de Hunter Biden. Ces révélations ont forcé les États-uniens à prendre conscience que leur actuel président a, sous le règne d’Obama, directement bénéficié des systèmes de pots-de-vin et de corruption qu’il supervisait alors qu’il était vice-roi d’une Ukraine infestée de nazis.

Le roi nazi de Channel 4 est nu

Une autre révélation explosive — laquelle a provoqué une onde de choc dans les grandes lignes de la pensée occidentale ces derniers jours — a été présentée dans un documentaire diffusé sur la chaîne britannique Channel 4, intitulé « Edward VIII : Britain’s Traitor King » [Le roi traître de Grande-Bretagne – NdT].

Ce film, basé sur un livre de l’historien Andrew Lownie qui va bientôt sortir, utilise des rapports récemment déclassifiés issus des archives royales pour raconter l’histoire du roi britannique nazi Édouard VIII, qui non seulement souhaitait la victoire des nazis pendant la Seconde Guerre mondiale, mais a activement travaillé à la réalisation de cet objectif depuis le moment où il a été contraint d’abdiquer le trône en 1936 (prétendument pour épouser une divorcée américaine, Wallis Simpson) jusqu’aux jours les plus sombres de la guerre elle-même.

Comme le prouve ce documentaire, apprendre à sa jeune nièce Elizabeth II comment faire un sieg heil correct ne fut pas sa seule courbette envers le nazisme.

Alors qu’il était en exil au Portugal, où le couple royal s’est lié avec l’élite allemande, le documentaire cite des câbles diplomatiques envoyés par Édouard à des responsables allemands, exigeant que les nazis bombardent sans relâche l’Angleterre pour la soumettre en 1940, encourageant la mort de millions de civils innocents. Le film cite également un discours peu connu dans lequel Édouard a appelé à la capitulation de la Grande-Bretagne devant les nazis en 1939, discours que la BBC a refusé de diffuser. Même après avoir été envoyé aux Bahamas par des fonctionnaires impériaux qui avaient décidé qu’il était plus opportun d’abattre leur monstre Frankenstein que de poursuivre leurs plans antérieurs pour un Nouvel Ordre mondial fasciste, le futur roi nazi avait envoyé un câble aux fonctionnaires d’Hitler indiquant qu’il était prêt à revenir en Europe si nécessaire et à reprendre sa place légitime sur le trône en tant que roi aryen.

Édouard VIII et Hitler
© Alamy Stock Photo
Édouard VIII et Hitler

Au-delà du film — Les racines nazies des Windsor

Outre le cas d’Édouard VIII, il existe de nombreux autres liens pour le moins embarrassants entre les nazis et la maison de Windsor (anciennement Saxe-Cobourg-Gotha) que le film ne mentionne pas, dont certains impliquent directement le défunt prince consort Philip Mountbatten (alias le [décédé – NdT] duc d’Édimbourg).

Trois des quatre sœurs du duc d’Édimbourg ont été mariées à des princes nazis, et le mari de l’une d’entre elles (Sophie) est devenu un officier Waffen SS ayant le rang d’Oberführer (chef supérieur).

Ce dernier, le prince Christophe de Hesse-Cassel, était le chef du Forschungsamt (Direction de la recherche scientifique), une opération spéciale de renseignement dirigée par Hermann Göring, et il était également Standartenführer (colonel) de la SS dans l’équipe personnelle de Heinrich Himmler. Les quatre beaux-frères de Philip, avec lesquels il vivait, sont tous devenus des fonctionnaires de haut rang du parti nazi.

Philip a lui-même perpétué la tradition familiale, ayant d’abord été éduqué dans les années 30 dans le cadre d’un programme nazi centré sur l’eugénisme, avant de fonder en 1961 le World Wildlife Fund (WWF) avec un autre ancien membre du parti nazi, le prince Bernhard des Pays-Bas, eugéniste de toujours et fondateur du groupe Bilderberg. Philip et Bernhard ont été rejoints par Sir Julian Huxley (alors président de l’Eugenics Society of Britain) en tant que cofondateur du WWF. Dans une interview accordée en août 1988 à la Deutsche Press Agentur, le prince Philip a proclamé son désir de revenir dans une prochaine vie sous la forme d’un virus mortel pour aider à « résoudre la surpopulation ».

Note du traducteur : En 1907, l’Eugenics Educational Society (qui deviendra après 1926 l’Eugenics Society) est fondée en Grande-Bretagne à l’initiative de Francis Galton (1822-1911) et de la réformatrice sociale Sybil Gotto. Source

Le pendant de l’Eugenics Society of Britain se situe de l’autre côté de l’Atlantique : l’American Eugenics Society et l’American Society of Human Eugenics, financées par les familles Rockefeller, Carnegie et Harriman, ainsi que par l’Institut Rockefeller pour la Recherche médicale. Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme

Quant à Francis Galton, l’homme qui voulait améliorer l’espèce humaine et le fondateur de l’eugénisme, il était le cousin de Charles Darwin — dont les théories ont elles aussi largement alimenté le délire eugéniste — et, entre autres, connu pour avoir mis en place de façon systématique la méthode d’identification des individus au moyen de leurs empreintes digitales. Il a également développé des techniques considérées comme l’ancêtre du morphing.

Francis Galton est aussi le père de la formule « nature vs culture », encore au cœur des débats contemporains ; il la devait sans doute à La Tempête, pièce de théâtre de Shakespeare, dans laquelle Prospero se désole que son esclave Caliban soit « Un démon, un diable-né, car à sa nature, la culture ne saurait adhérer ».

Voir aussi : De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses

En ce qui concerne ce virulent concept de réduction de la population, il convient de revenir sur l’œuvre et les paroles de celui qui fut un éminent vice-président du WWF de 1978 à 1981, Maurice Strong, et qui travaillait directement sous les ordres du prince Philip (alors président par intérim du WWF). Selon Justin TrudeauStrong avait cofondé le Forum économique mondial aux côtés de Klaus Schwab en 1971, présidé la Conférence des Nations unies sur la population de 1972 et sa suite à Rio de Janeiro en 1992, tout en jonglant avec un large éventail de casquettes : président de la Banque mondiale, auteur de la Charte de la Terre, fondateur de l’Agence des Nations unies pour la protection de l’environnement et architecte de l’Agenda 21 (récemment rebaptisé Agenda 2030).

Note du traducteur : À propos de Maurice Strong et de l’Agenda 2030, voir les deux articles suivants :

Attachez vos ceintures ! Mesdames, Messieurs maintenant le « Grand Reset » de l’économie mondiale de Davos. Que se passe-t-il après la pandémie de la Covid-19 ? :

[Maurice Strong était] un pétrolier canadien milliardaire et ami proche de David Rockefeller, c’est l’homme qui a joué un rôle central dans les années 1970 pour l’idée que les émissions de CO2 dues à l’homme rendaient le monde non durable. Strong a créé le Programme des Nations unies pour l’environnement et, en 1988, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) pour étudier exclusivement le CO2 d’origine humaine.

Et Vanguard, Blackrock, Big Pharma, Gates, FEM, OMS, ONU & Co — Monopole et Grande réinitialisation

Maurice Strong
© Wikimedia
Maurice Strong

Dans un entretien accordé en mai 1990 au magazine WEST, Strong évoque une réunion à Davos et s’interroge :

« Et si un petit groupe de dirigeants mondiaux arrivait à la conclusion que le principal risque pour la Terre provient des actions des pays riches ? Et si le monde devait survivre, ces pays riches devraient signer un accord réduisant leur impact sur l’environnement. Le feraient-ils ? La conclusion du groupe est « non ». Les pays riches ne le feraient pas. Ils ne changeraient pas. Alors, pour sauver la planète, le groupe décide : Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-il pas de notre responsabilité d’y parvenir ? »

Le prince Philip a fait preuve d’une froideur misanthrope similaire en contemplant le zoo humain :

« Vous ne pouvez pas garder un troupeau de moutons plus important que la quantité que vous êtes capable de nourrir. En d’autres termes, la conservation peut impliquer un abattage afin de maintenir un équilibre entre les nombres relatifs de chaque espèce dans un habitat particulier. Je me rends compte que c’est un sujet très délicat, mais il n’en reste pas moins que l’humanité fait partie du monde vivant. Chaque nouvelle superficie mise en culture signifie qu’une autre superficie est refusée aux espèces sauvages. »

Le cas troublant du Prince Charles

Bien que Philip soit décédé en 2021, son fils et héritier du trône a pris la mission de son père de réduire la population mondiale à cœur, en dirigeant diverses organisations de protection de l’environnement et en tant que parrain de la défunte Liverpool Care Pathway, dont il a été révélé qu’elle a euthanasié plus de 60 000 citoyens britanniques par an, sans leur consentement, entre 2001 et 2013.

Au cours de ses 18 années de règne, la Liverpool Care Pathway a fait pression sur des centaines de prestataires de soins de santé pour qu’ils inscrivent des millions de patients malades et âgés — et coûteux — sur des listes de « fin de vie » sans leur consentement, avec pour conséquence une déshydratation forcée et des perfusions de morphine pour accélérer la mort, alors que des traitements vitaux étaient encore disponibles.

En juin 2020, le prince Charles a cofondé avec son collègue Klaus Schwab l’Initiative Great Reset du Forum économique mondial afin de profiter de la « double crise existentielle » du changement climatique et d’une pandémie [orchestrée – NdT] pour remodeler radicalement les comportements et les systèmes économiques mondiaux. Au-delà des belles paroles utilisées par les milliardaires de Davos pour rallier l’humanité au sauvetage de la planète, le fait est que ces réformes « vertes », « Build Back Better » [reconstruire en mieux – NdT], qui adhèrent à l’énergie durable, à la réduction des émissions de carbone et aux réformes de l’alimentation, comme en témoigne l’agenda européen « Farm to Fork » [de la ferme à la fourchette – NdT], entraîneraient une échelle de mort dont même un Hitler pourrait rougir.

Le pedigree nazi de la famille royale et de ses fidèles dirigeants soulève la question suivante : Pourquoi leur poursuite de la doctrine eugénique nazie sous la forme des mouvements d’euthanasie et de croissance zéro n’a-t-elle pas été plus largement portée à la connaissance du public ? Dans quel type de monde vivons-nous, pour que des faits aussi ahurissants ne soient pas de notoriété publique ?

Le système du Conseil privé

J’espère qu’il devient de plus en plus clair que l’empire britannique et ses aspirations au contrôle de la population n’ont jamais pris fin avec l’annulation du projet Hitler en 1945.

J’espère qu’il devient également clair que cet empire n’a jamais été la nation de Grande-Bretagne, son Parlement ou son peuple.

Le véritable Empire a toujours été une oligarchie financière utilisée par un vaste réseau de structures de pouvoir pour promouvoir les intérêts de l’aristocratie européenne. L’épicentre actuel du pouvoir est constitué par les monarchies anglo-néerlandaises (autrement appelées les Founts of All Honours). C’est ce pouvoir qui contrôle le groupe Bilderberg, son appendice junior le Forum économique mondial, et qui dirige la politique américaine par l’intermédiaire du Council on Foreign Relations basé à New York (la version américaine de Chatham House), surnommé par Hillary Clinton « le vaisseau-mère ».

Note du traducteur : Un « Fount of Honour » désigne le chef d’État d’une nation qui, en vertu de sa position officielle, a le droit exclusif de conférer des titres légitimes de noblesse et des ordres de chevalerie à d’autres personnes.

Chatham House est un autre nom pour le Royal Institute for International Affairs (RIIA) créé en 1919 par les principaux Milnerites du mouvement de la Table ronde qui ont créé le Council on Foreign Relations (CFR) afin de promouvoir l’eugénisme et un gouvernement mondial sous l’égide de la Société des Nations. La branche américaine a reçu son nom pour éviter toute allusion à la terminologie britannique en raison de la méfiance des Américains à l’égard des intrigues britanniques. Les branches canadienne et australienne ont été créées en 1928 et dirigées depuis lors le plus souvent par des agents formés à Oxford. Dans le cas des États-Unis, l’actuel président du CFR, Richard Haass, a obtenu une bourse Rhodes à Oxford en 1978.

Note du traducteur : Ce mouvement est aussi connu sous le nom de Rhodes-Milner Round Table Groups. Parmi les premiers membres se trouvent Lord Balfour, Cecil Rhodes et Lord Nathan Mayer Rothschild. La Table ronde sera financée par la Banque Lazard, la J.P. Morgan & Co. ainsi que par la famille Astor. C’est aujourd’hui un think tank toujours actif. Selon Wikipédia, l’influence de ce groupe aurait et serait très exagéré. Ben voyons…

C’est à Lord Lothian, membre éminent de Chatham House, qu’Hitler a exposé en 1937 son concept de nouvel ordre mondial anglo-allemand en déclarant :

« L’Allemagne, l’Angleterre, la France, l’Italie, l’Amérique et la Scandinavie… devraient parvenir à un accord par lequel elles empêcheraient leurs ressortissants d’aider à l’industrialisation de pays comme la Chine et l’Inde. Il est suicidaire de promouvoir l’établissement d’industries manufacturières dans les pays agricoles d’Asie. »[1]

N’importe quel technocrate prônant un projet de « Reconstruire en mieux pour le monde entier » ou un « New Deal vert mondial » pourrait être l’auteur de cette déclaration.

Aujourd’hui, l’Institut canadien des affaires internationales a été rebaptisé Conseil international du Canada (CIC). Le CIC est présidé par Ben Rowswell, spécialiste du changement de régime formé à Oxford, qui a travaillé en étroite collaboration avec la conseillère privée Chrystia Freeland pour tenter de renverser le gouvernement de Maduro en faveur de Juan Guaido, un pantin du Forum économique mondial, une tentative qui se poursuit encore aujourd’hui.

Un pilier essentiel du contrôle des colonies sous influence anglo-néerlandaise reste le système du Conseil privé, qui est centré sur la Grande-Bretagne, mais qui possède des branches secondaires dans certains pays du Commonwealth. C’est sous l’influence de ce Conseil privé que les agents de niveau inférieur sont institués sous la forme de sous-ministres, de Conseil du Trésor, de comités restreints et d’autres fonctionnaires nommés dans la fonction publique. D’autres acteurs clés des secteurs public et privé gèrent les intérêts de la Couronne. Tous les membres du cabinet du gouvernement sont nommés conseillers privés et tous les conseillers privés prêtent un serment de secret et d’allégeance à la Reine, y compris le serment de garder secret ce qui est discuté lors des réunions du Conseil privé[2].

Note du traducteur : Voir à ce sujet l’excellent article La psychopathie mondialisée et le Partenariat public-privé mondial et ses mécanismes de gouvernance multipartite

Au temps pour les parangons de « l’ordre libre et démocratique fondé sur des règles » !

Comme le documentaire de Channel 4 sur le roi nazi devrait nous le rappeler, certains placards royaux ne peuvent plus contenir le grand nombre de squelettes que certaines forces puissantes ont souhaité mettre à l’abri des regards. L’incapacité de la civilisation occidentale à rejeter la Novlangue orwellienne et autres inversions de la vérité a donné lieu à une tension existentielle qui sera résolue d’une manière ou d’une autre. Quant à savoir si cela signifie que l’héritage anti-humain d’Hitler, du Prince Philip, d’Edward VIII et d’autres nazis royaux passés et présents poussera l’humanité vers un nouvel Âge sombre ou si cela nous fera sortir de notre torpeur et chercher un nouveau destin plus digne, rien n’est certain.

Notes

[1] Transcription depuis l’ouvrage de Sir James R.M. Butler, Lord Lothian, Philip Kerr, 1882-1940, Macmillan and Co., Londres, 1960, pp. 332

[2] Étant donné qu’il est difficile pour les gens ordinaires de se faire à l’idée qu’une institution aussi médiévale existe encore dans le monde moderne, voici une extrait choisi du Serment d’allégeance que tous les conseillers privés doivent prêter en entrant dans cette fonction :

« Je, [nom], jure solennellement et sincèrement être un fidèle serviteur de Sa Majesté la Reine Elizabeth II, en tant que membre du Conseil privé de Sa Majesté pour le Canada. Je déclarerai fidèlement, honnêtement et véritablement ma pensée et mon opinion sur toutes les questions à traiter, à débattre et à résoudre au Conseil privé. En cette qualité, je garderai secrètes toutes les questions qui me seront confiées et révélées ou qui seront traitées secrètement devant le Conseil. D’une manière générale, j’agirai en toutes choses comme un fidèle et véritable serviteur doit le faire pour Sa Majesté. »

À propos de l’auteur

Matthew Ehret est le rédacteur en chef de la Canadian Patriot Review et Chargé de mission à l’université américaine de Moscou. Il est l’auteur de la série de livres Untold History of Canada et de Clash of the Two Americas. En 2019, il a cofondé la Rising Tide Foundation, basée à Montréal. Cet article a été publié pour la première fois sur le site de la Fondation pour la culture stratégique.

Source de l’article initialement publié en anglais le 3 avril 2022 : Substack
Traduction et emphases : Sott.net




Propagande : histoire et techniques de ses maîtres

[Source : maurizioblondet.it]

Par Roberto Pecchioli

Nous vivons dans la démocratie du spectateur, un concept du linguiste et sociologue Noam Chomsky emprunté aux idées du premier maître de la propagande et du conditionnement appliquées à la politique, Walter Lippman. Déjà dans les premières décennies du XXe siècle se posait le problème du contrôle de l’opinion publique dans les régimes formellement démocratiques. L’objectif était de contrôler les médias pour façonner, diriger et manipuler l’opinion publique, que Lippman appelait le troupeau perdu. La première grande opération de propagande a été commandée par le président américain Woodrow Wilson, pour pousser les États-Unis à entrer en guerre lors de la Première Guerre mondiale.

[Voir aussi :
Comment on manipule pour avoir le consentement
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
Une brève histoire de la propagande
Théories de contrôle de l’esprit et techniques utilisées par les médias de masse
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin]

La majorité était contre, mais Wilson et l’establishment américain voulaient la guerre. Ils créèrent la Commission Creel, qui parvint en quelques mois à transformer une population encline à la neutralité en une masse hystérique qui poussa à l’intervention, alors que le théatre de guerre était l’Europe et que les Américains ne voyaient pas leurs intérêts menacés. Le succès convainquit le pouvoir et ses consultants — entre-temps celui d’Edward Bernays s’était ajouté à l’œuvre de Lippman — d’étendre les techniques de propagande à d’autres combats politiques, comme contrer les revendications des syndicats.

Le véritable objectif était la neutralisation de facto de la liberté de la presse et de la pensée critique elle-même. La puissance financière et entrepreneuriale, propriétaire des médias (la radio rejoignait les journaux et le cinéma) a encouragé l’opération. La question clé était d’obtenir le soutien des membres les plus influents de la société. C’était la leçon de la Commission Creel : quand la propagande est utilisée par l’État et soutenue par des classes à haut niveau culturel, l’effet multiplicateur est énorme. Les masses ont toujours tendance à imiter les classes dirigeantes.

La « démocratie des spectateurs » est née, un système sans la participation active du peuple. La thèse fondamentale de Lippman, qui était également un théoricien du libéralisme politique, était que la masse ne comprend pas les problèmes de la société et doit être guidée par des techniques psychologiques de consensus capables de rassembler « le troupeau perdu ». L’objectif était de produire un consensus pour les politiques gouvernementales grâce à l’avancée des nouvelles sciences, à commencer par la psychologie. Lippman a introduit une conception de la démocratie basée sur une idée simple : seule une petite élite est capable de définir les problèmes du reste des citoyens et d’indiquer la solution. L’idée — appelée démocratie progressive — était qu’il existe différents groupes de citoyens. Au premier rang se trouvent ceux qui jouent un rôle actif dans les questions relatives au gouvernement et à l’administration, la classe spécialisée. À l’extérieur se trouve la majorité de la population, le troupeau « beuglant et piétinant dont il faut se protéger ».

Les techniques expérimentées par Lippman étaient déjà utilisées dans le cadre de ce que l’on commençait à appeler les relations publiques, formule inventée par Edward Bernays en 1920, première brique d’une ingénierie du consensus fondée sur l’utilisation sans scrupules de techniques de manipulation psychologique. Le système de relations publiques, dans la sphère commerciale, a des objectifs qui n’ont rien à voir avec la vérité : vendre des produits et des services, promouvoir ou modifier l’image d’un client. À cette fin, il utilise des méthodes, des théories et des techniques issues de la publicité, du marketing, du design, de la politique, de la psychologie, de la sociologie et du journalisme. On estime qu’au moins quatre-vingts pour cent du contenu des médias proviennent aujourd’hui des activités des travailleurs de la communication.

Le domaine de la publicité commerciale ne cache pas ses objectifs : convaincre le plus grand nombre d’acheter un produit, d’adopter des modes de vie favorables à la consommation, de préférer une marque à une autre jusqu’à en faire une raison de vivre. Jean Baudrillard l’a expliqué dans Le système des objets, où il a découvert les notions de valeur symbolique et de valeur des signes, n’existant qu’au sein d’un système d’autres objets. De nombreux produits — et notamment les marques — n’ont ni fonction ni utilité, mais véhiculent une valeur sociale, un statut, un goût ou une classe sociale à laquelle le propriétaire appartient – ou aspire à appartenir – façonnés par le système de persuasion et de propagande.

Une amie s’est fait demander par sa nièce l’œuf de Pâques d’Elettra Lamborghini, une personnalité de la télévision à la mode et « influenceuse », c’est-à-dire une personne qui guide les goûts et les préférences des adeptes. Les mécanismes de la propagande politique sont identiques. Bernays a écrit : si nous comprenons le mécanisme et les motivations de l’esprit collectif, nous sommes capables de contrôler et d’enrégimenter les masses selon notre volonté sans qu’elles s’en aperçoivent.

La tâche de la culture est de mettre en évidence la tromperie, de faire prendre conscience aux gens qu’ils sont l’objet de la manipulation dont parle Bernays, capables de déterminer un consensus soumis, orienté à volonté par des campagnes spécifiques des gouvernants, par le biais d’experts de premier ordre, comme l’étaient Lippman et Bernays. Ce dernier — le premier spin doctor de l’histoire, c’est-à-dire un expert en communication — a travaillé indifféremment dans les domaines politique et commercial. Il a développé des théories sur la propagande et a inventé l’expression « fabrique du consentement », qu’il a définie comme l’essence de la démocratie. Un nouveau moyen très efficace de diffuser des informations dans le but d’orienter le comportement des masses.

L’exemple le plus déconcertant de l’interaction entre la publicité commerciale et la propagande politique est une campagne de Bernays pour la diffusion du tabagisme chez les femmes, commandée par les fabricants de tabac. Il a imaginé une série d’images qui montraient des femmes émancipées, en carrière, toujours avec la cigarette au bec. L’allumage des cigarettes est devenu un geste politique transgressif, les « torches de la liberté », avec une référence claire à la statue symbole des États-Unis.

Comme Lippman, Bernays travaille à la Commission Creel et dirige en 1924 la campagne politique du président Coolidge, la première organisée selon les critères de la propagande « scientifique ». Il faut reconnaître que les médias — propriété du haut niveau du capitalisme dans un régime de quasi-monopole — manipulent la vérité au service des intérêts de leurs maîtres. La démocratie du spectateur est l’attitude passive de ceux qui, devant un écran (télévision, PC, smartphone) reçoivent des informations qui les amènent à croire que le seul bien précieux est de consommer plus, et à faire confiance aux valeurs véhiculées par la société du spectacle.

Ceux qui sont capables de produire un consensus sont ceux qui ont les ressources et le pouvoir de le faire — la communauté financière et commerciale — et nous travaillons pour eux, a admis Bernays, ajoutant que la manipulation consciente et intelligente de la conduite organisée et des opinions des masses est un élément important de la société démocratique. « Ceux qui manipulent ce mécanisme caché de la société constituent le gouvernement invisible qui détient le véritable pouvoir qui régit le destin de notre pays. Ceux qui nous gouvernent, façonnent nos esprits, définissent nos goûts ou suggèrent nos idées sont en grande partie des gens dont nous n’avons jamais entendu parler ». L’un était lui-même, mort très riche à 104 ans en 1995, après avoir également travaillé pour la CIA.

L’année en cours est celle du centenaire de la publication de The Public Opinion de Walter Lippman, l’essai qui a forgé le concept. Le principe sous-jacent est que les gens sont trop stupides pour comprendre la politique. Si des individus essayaient de participer à la gestion des affaires qui les concernaient, ils créeraient des problèmes. Il serait donc inapproprié et immoral de leur permettre de le faire. Le troupeau désorienté et perdu doit être apprivoisé. Il n’a aucune possibilité de participer à l’action : cela ne ferait que causer des troubles ; il doit rester spectateur.

Lippman a théorisé une double voie pour deux humanités distinctes, dans laquelle même le système éducatif, de nature privée, s’adressait également à la classe spécialisée, pour l’instruire sur les valeurs et les intérêts du pouvoir et sur le lien corporatif à maintenir entre ses membres et au sein des institutions. Le reste du troupeau doit être distrait, confiné au rôle de récepteur passif, endoctriné, hétérodirigé et formé pour remplir efficacement le rôle social choisi par le niveau supérieur. Il y a une vérité pour l’élite et une pour le commun des mortels, comme le pressentait Gilbert Chesterton qui, dans les mêmes années que l’essor des techniques de propagande, affirmait : les journaux ont commencé à exister pour dire la vérité et aujourd’hui ils existent pour empêcher que la vérité soit dite.

Si l’on regarde aujourd’hui, que dire de l’immense pouvoir de la propagande sur le troupeau de la télé, des réseaux sociaux, des maîtres du discours (les habituels…) ? Peut-être les théoriciens mêmes des techniques psychologiques de conditionnement et de propagande ont-ils été surpris par leur succès et la facilité avec laquelle ils ont obtenu les succès escomptés. Nous parlons d’idées qui ont été développées il y a un siècle et qui ont atteint aujourd’hui une incroyable perfection, démontrant l’existence d’un projet à long terme de manipulation et de contrôle de l’opinion publique.

Le fondement théorique reposait sur la nécessité de former une classe dirigeante éclairée capable de prendre en charge l’État, l’économie et le pouvoir. Une vision oligarchique théorisée par le premier penseur américain influent, John Dewey, le philosophe du pragmatisme américain, compris comme la « philosophie du succès ». Pour lui, seule une élite intellectuelle peut comprendre quels sont les véritables intérêts communs, quels sont les enjeux, ce qu’il est opportun de faire, car comprendre tout cela est hors de portée des gens ordinaires. La distance entre le « récit » libéral et démocratique et la pratique concrète des classes dirigeantes est énorme. Lippman, parmi les premiers à partager le diagnostic, organisa des commissions de propagande sur l’expérience desquelles s’élabora la thèse élitiste dans l’exercice de la démocratie qui en est la négation.

La justification théorique — tout non-sens a ses docteurs subtils — était qu’il fallait respecter le principe démocratique, mais reconnaître sa faiblesse et sa complexité. La solution était la propagande, c’est-à-dire éliminer, ou du moins affaiblir toute dissidence par des slogans simples, répétés à l’infini, avec l’aide de personnages célèbres — les témoignages de la publicité — c’est-à-dire fabriquer le consensus, induire dans la population, par de nouvelles techniques, l’acceptation des idées du pouvoir, le discrédit de tous les autres, l’approbation des politiques et des actes initialement indésirables.

La seule différence par rapport à l’époque récente est que la théorisation — et la concrétisation subséquente — a eu lieu avec une clarté des termes et de l’intention. Puis nous avons connu une longue période d’hypocrisie et de dissimulation, abandonnée ces dernières années. Aujourd’hui, les maîtres universels sont suffisamment forts pour permettre à leurs responsables — propagandistes, économistes, professionnels de la communication, personnalités de la culture et du divertissement — de révéler ouvertement leur programme. En fait, au fil du temps, ils ont parfaitement réprimé les compétences analytiques de la masse par la décontextualisation simplificatrice des faits, la manipulation et la virtualisation de la réalité. L’amplification du registre émotif-sentimental rend crédibles les mensonges les plus flagrants : le public ne sait plus penser.

Pour Lippman, l’élite doit se protéger du peuple, le troupeau désorienté qui « hurle et piétine ». Il y a deux humanités : d’un côté, la classe spécialisée, les responsables, de l’autre, la masse, spectatrice passive. Il appartient à la sensibilité de chacun d’évaluer si cela est bon ou mauvais et si le concept totem de la démocratie est un mensonge ou une vérité. L’art de la démocratie, pour ceux qui la contrôlent, c’est de faire consensus : les décideurs donnent un sens tolérable de la réalité et inculquent les « bonnes » opinions, les leurs.

Qui ne veut pas être du troupeau et un spectateur se met à douter, à se méfier. Un grand intellectuel italien du XXe siècle, Giuseppe Prezzolini, a encouragé la création de l’association des apothes, ceux qui « ne l’achètent pas », c’est-à-dire ne croient pas aux versions des faits à l’usage des spectateurs. La propagande, le nom de scène du mensonge.




Affaire McKinsey : quelques vidéos pour ceux qui n’ont pas envie de lire

[Source : vududroit.com]

Par Régis de Castelnau

L’affaire McKinsey est un scandale d’État assez considérable. On l’appelle de cette façon par commodité, mais il ne concerne pas seulement la firme américaine. C’est par milliards d’euros que l’État a confié, parfois avec des marchés de complaisance, des missions à l’utilité souvent douteuse.

Avec l’arrogance qui le caractérise Emmanuel Macron, reprenant sa technique du « qu’ils viennent me chercher » avait conseillé aux soupçonneux « d’aller au pénal ». J’ai publié quelques papiers pour baliser le chemin qu’il fallait emprunter en dressant la liste des infractions.

J’ai également enregistré quelques vidéos que l’on trouvera ci-dessous, dans lesquelles j’expose verbalement les éléments que j’ai déjà publiés. J’ajoute également une interview de Béatrice Brugère dirigeante d’un syndicat de magistrats qui donne son opinion. Ce qui permet de constater que je ne dis pas que des bêtises.

[Voir aussi :
McKinsey : le Parquet a ouvert une enquête pour « blanchiment aggravé de fraude fiscale »
Les nombreuses fois où McKinsey a été mêlé à des scandales
L’opportun scandale Servier qui cache la forêt McKinsey
McKinsey Gate — Suite
McKinsey, ce cabinet qui conseille Macron et qui fraude le fisc
L’agence de presse Reuters, le cabinet McKinsey et Pfizer, l’énorme conflit d’intérêts !
Mc Kinsey : le Sénat a-t-il intentionnellement noyé la mèche qui devait exploser ?]




Besoin urgent d’agir en ce qui concerne le SARS-CoV-2 et la vaccination obligatoire contre la rougeole

[Source en anglais : Open Letter to Jens Spahn (German Federal Minister of Health)]

Traduction : Jean Bitterlin

Dr. Stefan Lanka D-88085 Langenargen/Allemagne 5.10.2021
À M. Jens Spahn, Ministre Fédéral de la Santé
Friedrichstraße 108
10117 Berlin

Lettre ouverte à Jens Spahn
(Ministre fédéral allemand de la Santé)

Cher M. Jens Spahn, Ministre Fédéral de la Santé,

En Allemagne, vous êtes la personne qui détenez le plus de responsabilité dans l’établissement des mesures Corona/Covid et de l’obligation de la vaccination contre la rougeole. La Loi de Protection contre les Infections (IfSG/InfeksionsSchutzGesatz) interfère avec plusieurs autres droits fondamentaux inaliénables. Par exemple, le droit à la vie, à l’intégrité physique et à la liberté conformément à la Loi Fondamentale Allemande (GG/GrundGesetz) Article 2 (2) :

« Toute personne a le droit à la vie et à l’intégrité physique. La liberté d’une personne est inviolable. L’atteinte à ces droits ne peut être justifiée que sur la base d’une loi ».

Le paragraphe 1 (2) de l’IfSG exige de toutes les parties impliquées par l’examen, la conception et mise en œuvre des mesures Corona/Covid et de l’obligation vaccinale contre la rougeole de :

« concevoir et soutenir celles-ci conformément aux états d’avancements respectifs de la science médicale et épidémiologique et de la technologie ».

Vous avez omis de vérifier ou de faire vérifier l’exactitude scientifique des dires de la virologie au sujet des allégations d’existence d’un supposé nouveau virus SARS-CoV-2 et d’un virus de la rougeole, conformément aux règles du travail scientifique. Ces règles du travail scientifique, afin de pouvoir être qualifiées de scientifiques, ont été fixées par écrit depuis 1998, sont internationales et valides pour toutes les disciplines. Ces règles font partie des contrats de travail des scientifiques qui bénéficient de l’argent des contribuables.

Ces règles du travail scientifique sont manifestement bafouées par la virologie. Les expériences de contrôle requises afin d’écarter les erreurs et aveuglements n’ont jamais été effectuées et publiées.

Ce fait facilement vérifiable prouve que les affirmations des virologues ne sont pas scientifiques, mais doivent être qualifiées d’anti-scientifiques. Comme le fondement de notre démocratie dans les domaines essentiels est la science, cette attitude anti-scientifique de la virologie doit être dans sa responsabilité qualifiée d’antidémocratique et anticonstitutionnelle. Je me réfère ici à l’Article GG 5 (3) :

« L’Art et la Science, la Recherche et l’Éducation sont libres. La liberté de l’enseignement ne dispense pas de la loyauté envers l’État ».

L’enseignement est ce que vous et d’autres délivrez dans l’opinion publique en tant que faits scientifiques.

Il en résulte la conclusion logique que la condition préalable par l’IfSG d’interférer efficacement avec les droits fondamentaux n’est pas remplie. Puisque la scientificité n’est pas remplie, ce que l’IfSG dans son paragraphe 1 (2) exige, mais qui a été jusqu’à présent implicitement acceptée de manière légère, si ce n’est par grave négligence, ou qui a été affirmée comme étant une meilleure connaissance, tous les paragraphes suivants de l’IfSG sont inopérants et non contraignants.

Cela signifie que toutes les mesures Corona/Covid et l’obligation vaccinale contre la rougeole n’ont aucune valeur juridique, mais sont illégitimes, c’est-à-dire illégales. J’attire votre attention que je vous ai personnellement signalé ces faits et d’autres faits pertinents, et ce dès le 17 mars 2020 puis ultérieurement.

Basé sur ces faits identifiables et vérifiables, je vous invite à retirer immédiatement toutes les mesures Corona/Covid ainsi que l’obligation vaccinale contre la rougeole, de traduire en justice les virologues responsables sur le plan national ou international ainsi que les autres « scientifiques » impliqués et à assumer la responsabilité pour ce qui s’est produit.

Par le fait de l’absence des expériences de contrôle dans la virologie, et ce depuis 1954, et par le fait d’une construction purement mathématique de la soi-disant séquence génétique du présumé SARS-CoV-2 et/ou en raison du jugement ayant autorité de la Haute Cour Régionale de Justice de Stuttgart (OLG Stgt) du 16 février 2015, AZ : 12 U 63/15, du dit Procès du Virus de la Rougeole, les dispositions suivantes s’appliquent :

La constatation de ces faits exige que la valeur juridique de toutes les mesures Corona/Covid et l’obligation vaccinale contre la rougeole doivent être abandonnées immédiatement, même individuellement.

Je précise que les importantes « autres solutions » que demande l’article 20 (4) de la Constitution n’ont jusqu’à présent pas atteint leur but.

Remarques concernant :

I. Les allégations d’existence du matériel génétique du SARS-CoV-2

Le 10 janvier 2020, le groupe de recherche du Professeur Zhang à Shanghai a publié, sur une page Internet accessible aux virologues, une séquence génétique qui par la suite devait représenter le virus nommé SARS-CoV-2. Cette séquence génétique a été publiée le 3 février 2020 dans le magazine scientifique Nature (citation à la fin). Après la divulgation de cette séquence génétique TOUS les virologues suivants ont répété cette construction purement mathématique qui a été prédéterminée et en sont arrivés à des résultats similaires. Cela a donné l’impression à l’opinion publique et apparemment également à vous-même, qu’il s’agit d’un fait prouvé scientifiquement, à savoir la preuve de l’existence du matériel génétique d’un présumé nouveau virus, le SARS-CoV-2.

De la lecture de cette publication et de toutes les autres qui confirment la séquence génétique une fois prédéterminée il en ressort clairement trois faits :

  1. Un matériel génétique qui pourrait correspondre à la séquence publiée n’a jamais été détecté. Aucune séquence génétique d’un virus n’a été trouvée dans le mélange d’acides nucléiques provenant d’une personne ayant une pneumonie (et par la suite provenant d’autres personnes). Même après les premiers cycles de multiplication artificiels, extrêmement puissants et non spécifiques au moyen de la technique PCR de millions de courts fragments d’acides nucléiques, on n’a jamais découvert de séquences qui, assemblées, ont finalement été présentées aux citoyens.
  2. Sur la base des données de séquences qui sont issues des premiers cycles de la multiplication des acides nucléiques, de petits morceaux d’acides nucléiques, appelés « Primers », sont générés par voie biochimique pour la multiplication d’acides nucléiques en utilisant la PCR. Ces « primers », générés artificiellement, produisent eux-mêmes, selon le protocole utilisé, environ 4 à 20 % de l’alignement séquentiel (disposition des acides aminés sur les brins d’ADN — NdT) de ce qui sera finalement, après cette deuxième étape de multiplication par la PCR, présenté comme étant l’alignement séquentiel du SARS-CoV-2. Ce deuxième processus de multiplication par PCR effectué pour les mathématiques qui suivront, appelé formation bio-informatique, est qualifié, entre autres, de séquençage méta-transcriptomique profond. La réalité, que par le nombre de cycles extrêmement ascientifique qui est employé (35 à 45, appelé seuil de cycles Ct), sont générées automatiquement des séquences d’acide nucléique artificielles qui n’existent pas en réalité, est une preuve supplémentaire de l’anti-scientificité de la virologie, mais qui ne joue aucun rôle dans l’argumentation présentée ici.

    D’après les points 1 et 2 il s’en suit qu’aucun génome de virus n’a jamais été trouvé. Au lieu de cela, de petits fragments d’acides nucléiques ont été fortement multipliés, tout d’abord de manière biochimique au moyen d’une double PCR et avec une marge d’erreur extrêmement élevée. Les séquences, obtenues artificiellement, de ces millions d’acides nucléiques ont été déterminées, ont ensuite été subdivisées mathématiquement en des séquences encore bien plus courtes, et celles-ci ont été combinées de manière arbitraire. Du grand nombre de ces produits de combinaison artificiels ont été extraits, à l’aide de programmes informatiques, ceux qui correspondent aux acides nucléiques qui ont déjà été prédéfinis. La construction mathématique qui en résulte est présentée comme génome d’un virus.

    Ce qui prouve qu’on n’a jamais réussi à construire mathématiquement le soi-disant génome du soi-disant virus à partir de séquences d’acides nucléiques existant réellement. On ne parvient à la construction mathématique du soi-disant génome du soi-disant SARS-CoV-2 qu’après deux cycles de multiplication, non spécifique et extrêmement élevée, en utilisant la technique PCR.

  3. L’anti scientificité de tous les virologues concernés est prouvée par le fait que dans la publication même du Prof. Yong-Zhen Zhang de Shanghai, qui avec ses collègues a découvert et spécifié la soi-disant séquence du génome viral du soi-disant SARS-CoV-2, les impérieuses expériences de contrôle font défaut et cette absence frappante a été tolérée et est encore tolérée. Les impérieuses expériences de contrôle consistent ici en la tentative de construction de la séquence du génome viral de l’allégué ou présumé nouveau virus en utilisant les acides nucléiques de personnes en bonne santé et d’organismes les plus variés. Ce sont les conditions préalables pour qu’une déclaration puisse être qualifiée de scientifique. Votre rôle est également de détecter les interprétations erronées et de les prévenir.

Dans aucune des publications qui ont suivi, dans lesquelles la séquence donnée par le Prof. Yong-Zhen Zhang a été répétée, ne figurent les expériences de contrôle, même les mots « Contrôle » ou « Contrôle négatif » manquent. Non seulement les virologues se sont eux-mêmes réfutés par leurs actions, mais ils ont prouvé eux-mêmes leur anti scientificité et l’ont documentée dans chacune de leurs nombreuses publications.

[Voir aussi :
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
https://nouveau-monde.ca/stefan-lanka-conduit-les-experiences-temoins-refutant-la-virologie/
https://nouveau-monde.ca/la-verite-sur-la-rage-le-virus-de-la-mosaique-du-tabac-le-graphene-et-les-resultats-de-la-2e-phase-des-experiences-temoins/
https://nouveau-monde.ca/la-fin-de-la-virologie-la-3e-phase-des-experiences-temoins-du-sars-cov-2/
L’enterrement de la théorie virale]

II. Verdict de la Haute Cour de Justice de Stuttgart, AZ : 12 U 63/15, 16.2.2016 dans le procès du virus de la rougeole

Le procès du virus de la rougeole, que j’ai initié en 2011, a atteint son objectif en 2017, de générer une preuve juridique, que toute la virologie, non seulement la virologie de la rougeole, agit de manière ascientifique. Depuis 2017 fait partie intégrante de la jurisprudence allemande le fait qu’il manque à toute la virologie le fondement scientifique. Au cours du procès du virus de la rougeole il a été documenté, que dans la science les impérieuses expériences de contrôle requises n’ont, depuis 1954, jamais été menées ni documentées. C’est pourquoi tous les virologues concernés ont négligé le fait qu’ils produisent eux-mêmes les effets qu’ils ont interprétés comme viraux au moyen de techniques appliquées. C’est ainsi, comme l’a montré de manière exemplaire le SARS-CoV-2, des biomolécules typiques sont assemblées de manière intellectuelle en des modèles viraux qui n’existent pas dans la réalité.

Lors du procès, un médecin a réclamé la récompense de 100 000 € en contrepartie de la preuve scientifique de l’existence du virus de la rougeole. Sa plainte a été retenue en 2014, car il a présenté six publications, chacune d’entre elles prétendant prouver l’existence du virus de la rougeole. L’expert judiciaire chargé par la juridiction saisie, le tribunal régional de Ravensburg, a constaté qu’aucune des publications présentées ne contenait de preuve de l’existence d’un virus. Ce fait a été confirmé par le Tribunal de Grande instance de Stuttgart dans son jugement exécutoire du 16 février 2016, dans lequel j’ai été acquitté de devoir payer au plaignant la récompense des 100 000 €.

Dans le protocole du procès du tribunal de district de Ravensburg du 12 mars 2015, AZ : O 346/13 il est décrit que l’expert judiciaire désigné constate qu’aucune des six publications ne contient les expériences de contrôle requises par la science, qui sont également désignées sous le nom de témoins négatifs. C’est ainsi que l’expert judiciaire désigné a prouvé — ce qui a également été constaté par quatre autres experts que j’ai présentés — que toute la virologie agit de manière ascientifique. La conclusion logique : toutes les affirmations de la virologie ne peuvent être utilisées ni d’un point de vue pratique ni d’un point de vue juridique, mais doivent être rejetées comme étant une auto-illusion et une tromperie.

Se rajoute à cela que la plus ancienne des six publications qui a été présentée et qui a été constatée par voie judiciaire comme ne comportant également aucune preuve de l’existence d’un virus, est devenue depuis 1954 le fondement exclusif de toute la virologie. Ce qui signifie que le jugement définitif rendu par la Haute Cour de Justice de Stuttgart du 16 février 2016 a retiré tout fondement scientifique et juridique à toute la virologie qui prétend à l’existence de virus pathogènes.

Les détails sur ce sujet peuvent être trouvés dans mon article « La Cour fédérale de Justice laisse tomber la croyance aux virus » du magazine W+ de février 2017 qui se trouve dans vos dossiers depuis le 17 mars 2020 et que l’on peut trouver en libre d’accès sur Internet sur ma page www.wissenschafftplus.de sous la rubrique « Textes importants » (en allemand « Wichtige Texte » — NdT).

En tant qu’être humain je vous invite,

en tant que scientifique actif, docteur en virologie et découvreur d’une structure précieuse, qui est désormais désignée sous le nom de « Virus géant » et de « Viro-plancton », je vous exhorte,

en tant que citoyen souverain de la République Fédérale d’Allemagne, je vous demande en tant que serviteur de l’État me représentant,

que vous retiriez immédiatement toutes les mesures Corona/Covid ainsi que l’obligation vaccinale contre la rougeole.

J’attends de votre part que vous reconnaissiez devant la population toutes vos négligences et que vous contribuiez à réparer les dégâts causés sous votre responsabilité aux corps et aux âmes de la population et à l’économie par les non justifiées mesures Corona/Covid et obligation vaccinale contre la rougeole.

Avec mes amicales salutations du Lac de Constance.

Dr Stefan Lanka

Langenargen, le 5 octobre 2021.

La publication qui a fixé la séquence génétique établie mathématiquement que l’on fait passer pour génome du SARS-CoV-2 :

A new coronavirus associated with human respiratory disease in China.
(Un nouveau coronavirus associé à la maladie respiratoire chez l’homme en Chine)
Fan Wu, Su Zhao, Bin Yu, Yan-Mei Chen, Wen Wang, Zhi-Gang Song, Yi Hu, Zhao-Wu Tao, Jun-Hua Tian, Yuan-Yuan Pei, Ming-Li Yuan, Yu-Ling Zhang, Fa-Hui Dai, Yi Liu, Qi-Min Wang, Jiao-Jiao Zheng, Lin Xu, Edward C. Holmes & Yong-Zhen Zhang.
Nature | Vol 579 | 12 Mars 2020 | 265-269. Internet :
https://doi.org/10.1038/s41586-020-2008-3.
Reçu : 7 Janvier 2020.
Accepté : 28 Janvier 2020.
Publié en ligne : 3 Février 2020.

Traduction Jean Bitterlin le 07 avril 2022




Des dossiers non scellés révèlent comment les États-Unis ont abusé de l’agenda du changement climatique pour préserver leur puissance militaire

[Source : www.rt.com]

Des documents montrent une manipulation américaine malhonnête afin de maintenir l’hégémonie

Par l’unité d’enquête RT

[Illustration :© Getty Images / acinquantadue]

Des fichiers déclassifiés publiés par les archives de la sécurité nationale des États-Unis révèlent l’ampleur de l’intimidation américaine paranoïaque et agressive dans les coulisses des négociations sur le protocole de Kyoto, un accord historique des années 1990 qui obligeait presque tous les pays du monde à réduire les émissions de gaz à effet de serre, dans le but de contrecarrer le début du réchauffement climatique.

En particulier, Washington a cherché à s’assurer que le Pentagone était exempté des objectifs d’émissions. Ce désir était compréhensible — après tout, des recherches de l’Université de Durham et de Lancaster publiées en 2019 ont révélé que l’armée américaine est « l’un des plus grands pollueurs climatiques de l’histoire, consommant plus de carburants liquides et émettant plus de CO2 que la plupart des pays ». S’il s’agissait d’un État-nation, il serait le 47e plus grand émetteur de gaz à effet de serre au monde. 

Pourtant, le président Joe Biden a déclaré que le changement climatique était la plus grande menace pour la sécurité nationale, même si un cynique pourrait suggérer que la véritable crainte est que la destruction de l’environnement pourrait signifier que le budget de la défense américaine — 768 milliards de dollars cette année seulement — pourrait être légèrement réduit. Ce fut certainement le cas avant la signature du Protocole en décembre 1997.

Un câble confidentiel du Département d’État datant de la fin de 1997 conseillait à l’ambassadeur de l’ONU, Mark Hambley, de demander une « exemption de sécurité nationale relative aux activités militaires qui soutiennent directement le maintien de la paix », bien qu’il reconnaisse que le gouvernement fédéral et ses « installations de défense et opérations de formation » étaient les « seuls plus gros consommateurs d’énergie » par les États-Unis.

Un article de la Brookings Institution de 2007 a supposé que le Pentagone était responsable de 93 % de toute la consommation de carburant du gouvernement américain. Pourtant, de nombreux documents inclus dans la tranche des archives de la sécurité nationale montrent que les responsables américains, en particulier Bill Clinton, ont été [délibérément mal] informés que le vrai chiffre n’était qu’une fraction de cela. Cette fausse image a ensuite été servie aux médias, aux législateurs et au public pour justifier l’exemption des émissions du Pentagone.

Par exemple, lors d’un briefing de mars 1998, des conseillers clés de la Maison Blanche ont déclaré au résident du bureau ovale que le ministère de la Défense ne représentait que 1,4 % des émissions totales de carbone, les opérations et l’entraînement militaires ne contribuant qu’à 0,8 %. Pendant ce temps, un document du Département d’État deux mois plus tôt contestant les critiques nationales du Protocole déclarait que les émissions militaires américaines « représentaient moins d’un demi pour cent des émissions totales de gaz à effet de serre des États-Unis ».

Ces chiffres sont complètement absurdes, étant donné que le DOD utilisait environ 30 000 gigawattheures d’électricité par an en 2006 et 46 milliards de gallons de carburant en moyenne chaque année au moment de l’étude, soit plus du double de toutes les compagnies aériennes civiles américaines de 2004 à 2020.

De toute évidence, il est impossible de concilier un engagement à lutter sérieusement contre les émissions de gaz à effet de serre avec une détermination à maintenir un vaste réseau mondial de camions, d’avions et de navires. Cette contradiction dans les termes est parfaitement résumée dans un document décrivant les approches américaines vis- à-vis de la Russie pour établir un contournement de la sécurité nationale dans le protocole de Kyoto.

« Notre délégation apprécierait le soutien de tous les membres de cet organe pour examiner comment nous pouvons protéger la paix mondiale tout en préservant notre planète grâce à une sorte de sécurité nationale ou de disposition d’urgence nationale », ont déclaré les responsables le 31 octobre 1997. « Nous avons l’obligation à la communauté mondiale, à nos nations individuelles et, en fin de compte, aux hommes et aux femmes qui servent dans nos forces militaires pour qu’ils examinent attentivement la manière dont nous abordons les opérations militaires dans ce protocole.

Washington avait d’autres moyens d’assurer l’acquiescement à son programme dominé par la sécurité nationale. Une note de service de début décembre 1997 rédigée par Hambley indique que les délégués japonais à Kyoto lui avaient demandé de reconsidérer la position américaine — « Nous avons brièvement examiné cette idée et n’avons pas été impressionnés », rapporte le diplomate. À ce titre, il a proposé d’offrir des « carottes d’émissions » à Tokyo et plus largement aux  » pays en développement » pour « acheter leur acceptation ».

La même note détaille les sessions de négociation, notant que les représentants du Pentagone ont été directement impliqués dans les discussions, et en ce qui concerne les exemptions, ils « ont soigneusement orchestré cette question qui, de toute façon, semble très problématique ».  

Une autre tactique déployée par les États-Unis consistait à utiliser le délégué néo-zélandais Daryl Dunn pour introduire l’idée d’un processus de suivi des discussions de Kyoto, rendant ainsi tout accord simplement provisoire et sujet à d’autres négociations futures.

Un autre mémo de Hambley indique comment les États-Unis ont poussé Dunn à faire cette suggestion impopulaire, et Dunn a commenté qu’il se souvenait de la sitcom populaire de la BBC « Yes, Minister », « dans laquelle le ministre, qui proposait régulièrement d’entreprendre des projets risqués ou simplement stupides, était encouragé à le faire par ses conseillers principaux pour revenir de la bataille en sang ». Dunn, selon le mémo, « craignait de devenir ministre ». 

Cette combinaison de pots-de-vin, de mendicité et d’intimidation a abouti à une coalition de volontaires. Le Japon et un certain nombre d’autres pays dépendant de l’armée américaine — dont le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et la Suisse — se sont engagés à soutenir les exemptions de sécurité nationale aux objectifs d’émission.

Cependant, d’autres participants à Kyoto, dont la Chine, la Russie et même le Royaume-Uni, étaient moins convaincus. Hambley a désespéré dans une note de service du 5 décembre sur les « attaques inhabituellement amères » lancées contre les États-Unis au sujet de leurs efforts pour dissimuler toutes les discussions sur la sauvegarde de la planète dans un double langage de sécurité nationale.

Par chance, quatre jours plus tard, le comité de Kyoto a accepté des exemptions qui incluaient des efforts militaires conjoints entre les pays, ce qui signifie que les émissions résultant de telles opérations n’avaient pas besoin d’être déclarées dans le cadre des totaux nationaux. Surtout, cela s’étendait à l’aviation et aux « carburants de soute » utilisés par les avions de chasse, les navires de guerre et les véhicules militaires en dehors des frontières nationales.

Il est clair que les États-Unis ont obtenu ce qu’ils voulaient à Kyoto, mais même ces concessions importantes n’étaient pas suffisantes pour certains milieux. Lorsque la nouvelle des protocoles convenus a été reçue sur les côtes américaines, la dissidence s’est manifestée dans les rangs politiques.

Une lettre envoyée par un groupe de législateurs républicains au président de l’époque, Bill Clinton, en janvier 1998 affirmait que « la grande majorité de l’entraînement et des opérations nationales de notre armée tombera sous les limites du protocole », ce qui pourrait donc « générer des pressions de la part de l’ONU pour réduire l’entraînement et les opérations qui ont rendu nos forces armées sans égal. De toute évidence, maintenir la « dominance totale » de Washington était considéré comme beaucoup plus vital que d’essayer de sauver la planète sur laquelle il domine.

Cette attitude est également omniprésente dans une évaluation très critique des termes du Protocole par le Bureau des initiatives environnementales de la Maison Blanche , qui note qu’il exempte « uniquement » les efforts militaires  « multinationaux et humanitaires » de l’obligation de rendre compte. « Cela nous mettra inévitablement sous pression pour limiter les actions militaires unilatérales, comme à la Grenade, au Panama ou en Libye » , se désespère l’auteur anonyme du document.

Le document du bureau interne de l’environnement offre également un aperçu extraordinairement franc de l’état d’esprit paranoïaque des planificateurs américains. Par exemple, les incitations financières pour les pays atteignant les objectifs d’émissions étaient considérées comme des termes sinistres à somme nulle — « une imposture » à travers laquelle « des milliards de dollars » pourraient potentiellement être transférés vers des pays comme la Russie, et des « nations voyous » comme l’Iran, l’Irak , ou la Libye, tout en imposant à Washington des cibles « trop dures » et « pas assez dures » pour les autres.

Le mémo, situé dans la bibliothèque présidentielle de Clinton, déplore : « Ce protocole ne viendra-t-il pas inévitablement porter atteinte à la souveraineté des États-Unis ? » L’auteur est ensuite passé à la théorie du complot en posant la question suivante : « N’allons-nous pas inévitablement confier les décisions concernant l’utilisation de l’énergie américaine, et donc l’économie américaine, à des organismes internationaux dominés par les pays en développement, agissant peut-être de concert avec l’UE ? Quelles sont les procédures de vérification pour s’assurer que les autres pays respectent leurs obligations ? Comment le protocole sera-t-il appliqué ? »

En fin de compte, tous les complots, les machinations, les discussions et les angoisses de l’Amérique n’ont servi à rien. Le protocole de Kyoto est entré en vigueur en 2005 et a expiré 15 ans plus tard, sans que les États-Unis ne l’aient jamais ratifié et sans qu’ils n’aient jamais été près d’atteindre un seul des objectifs modestes et prospectifs qu’ils auraient été obligés — de manière tout à fait volontaire — de tenter d’atteindre, même s’ils étaient devenus signataires.

Ces documents illustrent amplement le fait que, lorsqu’il s’agit de choisir entre la « sécurité » mondiale et l’existence continue de la planète sous une forme vaguement habitable, le Pentagone et la Maison Blanche choisiront toujours la seconde solution, au détriment de l’environnement et de la vie humaine.




À Hong Kong comme ailleurs, les vaccins et les mesures contraignantes ne sont pas efficaces

Par Dr Gérard Delépine

Depuis l’apparition du Covid, la Chine représente pour beaucoup de nos dirigeants le modèle. C’est la Chine qui a réalisé le premier confinement aveugle contraire à toute l’expérience médicale des épidémies précédentes. Nos médias vantent aussi l’efficacité du gouvernement chinois à obliger la population à se vacciner.

Mais la situation actuelle à Hong Kong confirme que se vacciner ne protège ni celui qui se fait injecter ni les autres et que les confinements ne servent à rien.

À Hong Kong comme dans le reste de la Chine : « tous vaccinés »

Les vaccins chinois SinoPharm et Coronavac (SinoVac) élaborés à partir de virus inactivés sont de vrais vaccins au sens de Pasteur. Ils ont été approuvés par l’OMS et massivement distribués.

En Chine, 1 milliard 200 millions de personnes ont été vaccinées dont 100 % des personnes âgées ou à risque.

Les villes autour des aéroports internationaux et des ports de marchandises pourraient également être concernées par des mesures de confinement, si les cas de Covid se multiplient dans le pays.

En Chine, les cas réapparaissent

Le fantasme du zéro Covid, déjà abandonné par la plupart des pays qui ont essayé de le mettre en œuvre ne résiste pas à la réalité. Depuis Omicron, les cas se multiplient.

À Hong Kong, les cas explosent malgré vaccin et confinement

Les autorités de Hong Kong poursuivent la stratégie « zéro Covid » prônée par la Chine continentale associant vaccins et des confinements stricts dès l’apparition de nouveaux cas.

Dans cette ville de 7 millions d’habitants, vaccinés à 86 %, des mesures drastiques ont été instaurées dès le début de la pandémie et en l’espace de deux ans, la mégalopole n’avait enregistré que 12 000 cas de Covid-19.

Mais l’arrivée d’Omicron a sonné le glas des espoirs de ses gouvernants.

Malgré la vaccination, la quarantaine imposée à toute personne arrivant sur le territoire, le port du masque généralisé, les dépistages massifs et le traçage des cas contacts. Plus de 190 000 cas ont été enregistrés depuis janvier 2022.

D’après la Dépêche(([1] https://www.ladepeche.fr/2022/03/07/covid-19-le-variant-omicron-seme-le-chaos-a-Hong Kong-un-flot-record-de-ressortissants-quitte-la-ville-10153682.php)), les établissements hospitaliers affichent complet et les malades s’entassent sur des brancards positionnés à l’entrée des hôpitaux, en plein air. Les morgues, elles aussi, seraient saturées, car la vague affiche ici un taux de mortalité à 5,2 %, le plus élevé au monde.(([2] https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-hongkong-en-panique-face-a-la-flambee-epidemique-20220314))

Toute personne testée positive au virus est placée à l’isolement. Pour isoler tous les contaminés, y compris les asymptomatiques, dans des installations dédiées, la ville est en train de construire d’immenses centres de quarantaine où des cellules d’isolement ont été érigées.

Mais la comparaison des mortalités par million d’habitants de Hong Kong très vacciné (86 %) et très contraint et de l’Afrique peu vaccinée (<5 %) ou de Madagascar (<2 %) montre que l’utilisation de traitements précoces est infiniment plus efficace.

Vaccins et confinement valent-ils la peine ?

Devant cet échec manifeste, la population de Hong Kong, pourtant très résiliente, commence à s’interroger demandant à l’administration de faire le point sur l’énormité du prix et de l’utilité des mesures pour lutter contre la pandémie de Covid-19.

Naubahar Sharif professeur de politique publique à l’Université des sciences et technologies de Hong Kong (HKUST) résume ainsi le problème(([3] https://www.scmp.com/comment/opinion/article/3173137/Hong Kong-faces-hard-questions-over-pain-pandemic-restrictions)):

« l’éducation de nos enfants a été retardée entre février 2020 et maintenant par la nature stop-start de leur scolarité en personne.

Les enfants les plus chanceux ont eu la possibilité de participer à un maximum de six mois d’enseignement en face à face, à temps plein, dans les locaux de l’école. Les moins fortunés n’ont pas vécu une seule journée dans ce format depuis quelque 24 mois. Au cours de la pandémie, le consensus des éducateurs et des chercheurs montre clairement que beaucoup a été perdu. Nous avons payé un coût incalculable qui pèse sur le développement des compétences sociales, des aptitudes mentales et de la résilience des élèves.

Nos athlètes en herbe ont également été retardés dans leur développement. Outre le succès de Hong Kong aux Jeux olympiques de Tokyo — dont l’essentiel de la préparation a eu lieu avant la pandémie — nos athlètes ont payé le prix du manque d’opportunités de concourir au plus haut niveau et d’opposer leur talent à leurs pairs internationaux.

Cela a été particulièrement vrai pour les sports d’équipe, comme tout le monde peut le voir en considérant les saisons nationales tronquées de football et de rugby à Hong Kong. Les athlètes en développement, notamment les plus jeunes d’entre eux, n’ont pas pu progresser dans le développement de leurs compétences.

Je n’ai presque pas besoin de mentionner le ralentissement de notre croissance économique, si visible dans la vie quotidienne de beaucoup, des questions se posent sur les coûts et les avantages. À quel prix Hong Kong fait-il ce qu’il faut pour lutter contre le Covid-19 ? Quel prix Hong Kong a-t-il déjà payé et pour quel gain ? Quel prix supérieur est-il prêt à payer ? Quand tout est dit et fait, cela en aura-t-il valu la peine ? »

Les Chinois posent publiquement les questions que nos politiques n’osent pas aborder !

Quand le président français se félicite de sa politique anti-covid qui nous a pourtant assuré deux fois plus de morts Covid (et d’innombrables victimes collatérales) par million qu’à Hong Kong, presque aucun politique n’ose le critiquer !

Quel prix la France a-t-elle déjà payé et pour quel gain ? 

Quel prix supérieur sommes-nous prêts à payer avec la pseudo vaccination inefficace ? 

Cela en aura-t-il valu la peine ?