Les personnes âgées livrées à la haute finance globale

[Source : LHK]

Première publication, le 19 MARS 2020.

Par Liliane Held-Khawam

Les EHPAD, Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes, sont au front de l’épidémie en cours. Une eurodéputée signalait hier que « Dans les EHPAD, je crains une crise de la même intensité que lors de la canicule de 2003 ». À juste titre !

http://www.regards.fr/politique/article/dans-les-ehpad-je-crains-une-crise-de-la-meme-intensite-que-lors-de-la-canicule

Jusque-là, pas grand-chose à redire. Cela peut arriver qu’une grosse tourmente inattendue s’abatte sur un groupe de la population. Notre problème est ailleurs.

On nous signale 11 décès rien que dans l’EHPAD de Thise dans le Doubs. Et le journal d’ajouter : « Sachant que ces défunts ne comptent pas dans les statistiques du coronavirus, faute de tests. » Vous lisez bien ! Les personnes très avancées en âge ne semblent pas testées… et donc pas soignées… ? La fameuse molécule du professeur Raoult serait donc elle aussi confinée ! Cela se passe en France.

https://www.estrepublicain.fr/edition-besancon/2020/03/18/les-morts-fantomes-de-l-ehpad-de-thise

Dans le même article, on relèvera :

« La direction a tout de même demandé aux personnels de ne pas ébruiter l’information », confie le parent d’un salarié.

« D’autant qu’il n’y a plus aucun test réalisé auprès des patients. Or, depuis qu’ils sont passés en confinement, avec arrêt des visites des proches, plus de dix d’entre eux sont décédés. Pas forcément tous du coronavirus, car en EHPAD beaucoup de personnes meurent de vieillesse, mais cela fait beaucoup sur une courte période. Sans compter qu’ils présentaient les symptômes. »

Qu’en pense le maire, l’élu qui doit veiller à la sécurité de ses administrés? Je vous laisserai lire :

« Côté mairie de Thise, le 1er adjoint Loïc Alain, qui devrait accéder au siège de maire samedi, indique : « Nous n’avons aucun élément. Même si nos rapports avec l’EHPAD sont bons, ils ne nous informent pas du nombre de décès ni de contaminés. » D’autant que les pensionnaires de l’EHPAD ne sont pas tous, loin de là, des habitants de Thise. « Ces derniers jours on a eu des décès, mais on ne sait pas s’ils sont liés au coronavirus ou pas. » »

Et ce mercredi ? « Nous avons eu une vieille personne décédée, mais elle n’était pas à l’EHPAD. Et même si elle l’avait été, on ne pose pas la question de la cause du décès », répond l’élu. Avant de préciser : « Nous, ce qui nous importe le plus, c’est que les soignants qui vont au sein de l’établissement ne traînent pas dans les commerces, que les gestes barrière soient respectés et que notre population ne soit pas exposée. » Bref, que ce soit étanche de part et d’autre ? « Oui, c’est cela. »

Alors, face à autant de désinvolture, je me suis intéressée aux propriétaires de cet EHPAD. L’article nous apprend que « la maison de retraite Vill’alizé en question, propriété du groupe Korian  ».

Et à quid de ce groupe Korian ?

« Korian est une entreprise française de gestion de maisons de retraite médicalisées (EHPAD), de cliniques spécialisées (SSR), de résidences services, de soins et d’hospitalisation à domicile et est présent dans six pays (France, Allemagne, Belgique, Italie, Espagne et Pays-Bas). »

(Wikipédia)

CRÉATION 20031
FORME JURIDIQUE Société anonyme
ACTION Euronext : KORI
SIÈGE SOCIAL 21-25 rue Balzac,
75008 Paris
 France
ACTIONNAIRES 23,71 % Predica ;
13,84 % Investissements PSP (Office d’Investissement des Régimes de pensions du secteur public)
6,49 % Malakoff Médéric Assurances
55,96 % flottant2.
ACTIVITÉ EHPAD, Cliniques, Résidences seniors, soins infirmiers, hospitalisation à domicile
EFFECTIF 50 000
TVA EUROPÉENNE FR34447800475
SITE WEB korian.com
CAPITALISATION 3 000 M€ (août 2019)
CHIFFRE D’AFFAIRES 3 336 M€ (31 décembre 2018)
RÉSULTAT NET 123 M€ (31 décembre 2018)

Le principal actionnaire de l’EHPAD est une société d’assurance, propriété d’une banque !

Premier actionnaire est le groupe Predica. Et à qui appartient ledit groupe ? Predica est une compagnie d’assurance de personnes, filiale du groupe Crédit agricole assurances.(Wikipédia)

Et Predica s’est diversifiée dans bien d’autre choses encore.

Predica est en 2012 le 1er assureur sur le marché de la dépendance.

En novembre 2011, Predica s’associe à Frey et AG Real Estate pour créer Frey Retail 1 et Frey Retail 2, deux véhicules d’investissement d’une capacité totale de 200 millions d’euros.

En juin 2013, le ministère des Finances autorise Predica à racheter 4,81 % des parts d’ADP qui appartenaient précédemment à l’état et au FSI

En avril 2014, Predica monte à hauteur de 7,4 % au capital de la Société foncière lyonnaise4. Le même mois, via Predica, le Crédit Agricole fait l’acquisition avec Aviva France du campus SFR pour 680 millions d’euros.

Fin 2014, Predica investit 93,7 millions d’euros dans les énergies renouvelables en détenant 50 % d’un portefeuille de 440 MW de capacités installées.

Voici les autres actionnaires du groupe Korian

Investisseurs, et managers d’actifs du genre 

Le 2e actionnaire The Public Sector Pension Investment Board (PSP). Nous lisons sur leur site : 

« is one of Canada’s largest pension investment managers. We invest funds for the pension plans of the Public Service, the Canadian Armed Forces, the Royal Canadian Mounted Police and the Reserve Force. We manage a diversified global portfolio in more than 75 industries and 75 countries. »
[« est l’un des plus importants gestionnaires de placements de pensions au Canada. Nous investissons des fonds pour les régimes de retraite de la fonction publique, des Forces armées canadiennes, de la Gendarmerie royale du Canada et de la Force de réserve. Nous gérons un portefeuille mondial diversifié dans plus de 75 industries et 75 pays. »]

Petite remarque au sujet de ce fonds. Tout comme le groupe Predicta, ce groupe s’intéresse aux aéroports :

https://www.reuters.com/article/us-hochtief-airports/hochtief-sells-airport-unit-to-canadas-psp-investments-for-1-4-billion-idUSBRE94604J20130507

Notre étude de cas sur cet EHPAD du Doubs ne cherche pas à le stigmatiser. Elle vise uniquement à démontrer que nos aînés sont aux mains de la finance et que cela n’est pas rassurant. En Suisse, la fondation Pro Senectute, l’organisation au service de la vieillesse. Leur site explique que Pro Senectute s’engage depuis un siècle pour le bien-être des personnes âgées. Aujourd’hui, nous sommes la plus grande organisation de services suisse spécialisée dans ce domaine.

Ce qui n’est nullement rassurant dans le cas de Pro Senectute a été de voir que l’ancienne vice-présidente de la Banque nationale suisse, et ancienne conseillère fédérale aux finances Widmer-Schlumpf qui a mis à mort la place financière a été nommée à la tête de la fondation en octobre 2016.

Je vous mets ci-dessous un extrait de Coup d’État planétaire (que je vous invite à lire pour comprendre ce qui nous arrive en matière de révolution sociétale, voire de coup d’État).

Liliane Held-Khawam

Mise à jour :

https://www.courrierinternational.com/article/sante-lallemagne-alarmee-par-le-triage-des-patients-dans-les-hopitaux-alsaciens

Extrait de Coup d’État planétaire

Le point 5 de l’Agenda 21 intitulé « Dynamique démographique et durabilité » reprend la problématique démographique chère aux adeptes du développement durable et de la géonomie. Cet élément est un fil rouge de la gouvernance contemporaine, qui pose sur la table la question d’un eugénisme dit libéral, incluant le principe de l’avortement, du tri génétique et de l’euthanasie.

Plus tôt, dans un essai paru en 1798, Malthus s’inquiétait déjà de l’évolution démographique de l’humanité(([1] « Essai sur le principe de population », Thomas Malthus, Encyclopaedia Universalis, 2016)) :

« Je pense pouvoir poser franchement deux postulats : premièrement, que la nourriture est nécessaire à l’existence de l’homme ; deuxièmement, que la passion réciproque entre les sexes est une nécessité et restera à peu près ce qu’elle est à présent. Je dis que le pouvoir multiplicateur de la population est infiniment plus grand que le pouvoir de la terre de produire la subsistance de l’homme. »

« Si elle n’est pas freinée, la population s’accroît en progression géométrique. Les subsistances ne s’accroissent qu’en progression arithmétique. Les effets de ces deux pouvoirs inégaux doivent être maintenus en équilibre par le moyen de cette loi de la nature qui fait de la nourriture une nécessité vitale pour l’homme ». Les siècles passent, mais l’obsession de la croissance démographique reste une thématique centrale des travaux des mondes politique et scientifique. La géonomie intègre elle aussi ces inquiétudes et vise à analyser les expansions ou effondrements de populations par les facteurs environnementaux. Ce serait l’accès facilité aux énergies fossiles et au nucléaire (à l’uranium) qui a permis une croissance démographique jusqu’à atteindre les 7 à 8 milliards d’individus (théorie des pulsations). Par conséquent, le jour où ces ressources viendraient à être épuisées, ou leur mise à disposition réduite, la population mondiale, qui devrait alors renoncer aux activités qui en dépendent, reviendrait à des sources d’énergie naturelles (c’est-à-dire précaires), et son effectif se contracterait alors pour redescendre à un niveau estimé à moins d’un milliard d’habitants.

La réduction des populations est un thème qui tient une place centrale dans les réflexions menées par l’oligarchie. L’ONU a par exemple pleinement intégré l’évolution démographique dans différents rapports et accords stratégiques planétaires. Une journaliste du Monde, Audrey Garric a relevé que « le fonds des Nations Unies pour la population, UNFPA, a affirmé dans son rapport de 2009 sur l’état de la population mondiale, présenté lors de la conférence de Copenhague le 18 novembre 2009, que le réchauffement planétaire ne peut être endigué que par une réduction massive de la population mondiale ».(([2] « Faut-il réduire la population mondiale pour sauver la planète ? », Audrey Garric, ecologie.blog.lemonde.fr, 2010))

Suite à la publication de ce rapport, la ministre danoise du Développement a par exemple souhaité que la limitation démographique soit reprise dans l’accord issu du sommet sur le climat de Copenhague de décembre 2009.

En Suisse où l’Agenda 21 est pris très au sérieux, le parlement du canton de Neuchâtel a mis en place une loi qui oblige les Établissements médico-sociaux et les homes — hors des centres de soins palliatifs — à accepter l’aide au suicide. L’Armée du Salut a été sèchement priée de suivre le mouvement. Exit donc les croyances religieuses et autres convictions personnelles. Pour le parlement en question, la liberté de choix des résidents, pas forcément malades, l’emporte sur le règlement des EMS et des homes. Ceci n’est toutefois valable que pour les établissements publics. En revanche, pas de contraintes si vous gérez un établissement privé. Les pauvres ont du coup davantage droit à la liberté de se suicider que les riches !

L’euthanasie, outil démographique de choix, connaît une progression importante dans un nombre croissant de pays, y compris dans la très civilisée Hollande. Grâce à une loi votée en 2002, l’euthanasie connaît un boom fulgurant dans ce pays, avec plus de 7’000 personnes à éliminer pour l’année 2017(([3] « Any taboo has gone: Netherlands seese rise in demand for euthanasia », 2017, The Guardian)). Les médecins sont tellement débordés par leur nouvelle activité qu’il a fallu en recruter de nouveaux. La chose a suffisamment été banalisée pour que de plus en plus de gens choisissent l’euthanasie sans pour autant être en phase terminale de maladies graves. Le taux de personnes euthanasiées, car elles étaient en fin de vie a chuté en quelques années pour passer de 98 % à 70 %. À méditer…

Dernière information révélatrice de la mentalité ambiante. Selon des études, les Belges seraient favorables à l’arrêt des soins pour les plus de 85 ans. Évidemment que ceux qui ont les moyens de se payer les traitements ne sont pas concernés par une opinion publique chauffée à blanc par les coûts démesurés imposés par les Big Pharma, et la privatisation des services publics de la santé…

Une société qui est capable d’euthanasier des personnes dans un cadre médical qui est supposé soigner, interpelle. Philip Nitschke, le médecin fondateur de l’ONG EXIT – international qui milite en faveur de l’euthanasie est une coqueluche des médias. Dans ses interventions médiatiques, il banalise la mort des personnes en bonne santé, mais qui ont dépassé les 70 ans(([4] Philip Nitschke, « the man who think we shoud all choose when to die », 2016, Guardian)). Et comme le business n’est jamais très loin du système, il vient de mettre au point une boîte-capsule, imprimable en 3D, qui facilite le suicide, et mute ensuite en cercueil. Ces messages portés par les médias populaires, eux-mêmes financés par l’oligarchie, sont autant de messages qui influenceront fatalement les personnes isolées vivant dans la précarité. Économies sur les coûts de la santé, des pensions des retraités, et autres subsides aux handicapés.

Annexes, Extraits du rapport de l’UNFPA de 2009 http://www.unfpa.org/sites/default/files/pub-pdf/frenchswop09.pdf

  • « Le PIB/habitant et la croissance démographique ont été les principaux moteurs de la hausse des émissions de carbone pendant les 3 dernières décennies du XXe siècle », clame l’UNFPA.
  • « Les changements climatiques récents ont en premier lieu le résultat du volume sans cesse grandissant des gaz à effet de serre libérés dans l’atmosphère, et la plupart de ces émissions sont dues à la consommation de combustibles fossiles. La déforestation y a contribué aussi pour une part importante. Du fait de la constante diminution de la couverture forestière, la capacité de la terre d’absorber l’excès de carbone venu de l’atmosphère a diminué ».
  • « Comme la rapidité de la croissance démographique, de celle des économies et de la consommation distance la capacité de la terre à opérer les ajustements nécessaires, les changements climatiques pourraient devenir beaucoup plus extrêmes — voire, peut-on penser, catastrophiques. La dynamique de la population ne dit qu’une partie d’une histoire plus vaste et plus complexe concernant la manière dont certains pays et individus ont recherché le développement et défini le progrès et la manière dont d’autres ne pouvaient à peu près faire entendre leur voix dans les décisions qui retentissent sur leur vie. »

À ne pas rater: https://lilianeheldkhawam.com/2017/05/29/faut-il-reduire-la-population-mondiale-pour-sauver-la-planete-audrey-garric/





REVUE DE PRESSE DU 18 OCTOBRE 2022

Par MF

ÉDITORIAL
La fabrique du consentement par temps de fraude et de corruption

Lesquelles ne se cachent plus : Pfizer avoue son absence d’enquête préalable concernant l’efficacité du vaccin sur la transmission ; un contrat sort des tiroirs impliquant une société en Ukraine trois mois avant qu’on parle officiellement du Covid ; tandis que l’objectif d’inscrire la vaccination dans le calendrier pédiatrique n’a qu’un seul but, dédouaner définitivement le fabricant de toute responsabilité dans les effets indésirables, chez les adultes comme chez les enfants, alors que chaque injection constitue une menace immédiate de mort, comme nous le rappelle le décès subit de 80 médecins canadiens après vaccination, et que les preuves s’accumulent de l’extrême dangerosité de ces produits pour les femmes enceintes et les nourrissons.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

40 000 € pour se débarrasser des infirmiers suspendus en Guadeloupe

https://www.20minutes.fr/sante/4005370-20221014-vaccin-personnels-sante-suspendus-guadeloupe-refusent-sortie-crise

« Pour le collectif des organisations en lutte, la réintégration oui, le licenciement, non. »

Lettre de BonSens aux membres du Covars sur l’absence d’efficacité des masques

« Les décisions de Santé Publique ne doivent être prises qu’en accord avec les données de la science, et ce qu’importent les conseils du cabinet McKinsey. »

Corruption et fraude dans la société

Entretien avec Ariane Bilheran, diplômée de l’École Normale Supérieure,
philosophe, psychologue clinicienne et docteur en psychopathologie.

ÉTRANGER

Allemagne — Le pays renoue avec le masque obligatoire

https://www.lefigaro.fr/international/covid-19-face-a-l-augmentation-des-cas-l-allemagne-renoue-avec-le-masque-obligatoire-20221016

« Depuis le 1er octobre, le masque FFP2 est à nouveau obligatoire en Allemagne dans les trains longue distance, dans les hôpitaux et les établissements de soins. »

USA — Un contrat passé avec une société en Ukraine 3 mois avant l’existence officielle du Covid19

https://jeminformetv.com/2022/10/17/le-d-o-d-americain-a-emis-un-contrat-de-recherche-sur-le-covid-19-a-une-societe-en-ukraine-3-mois-avant-que-lexistence-du-covid-19-ne-soit-connue/

« Les informations trouvées ici montrent qu’Eco Health Alliance a participé à la création du virus Covid-19 et que Moderna a participé à la création du virus Covid-19.
Moderna, en collaboration avec le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), a accepté de transférer les « candidats vaccins coronavirus à ARNm » développés et détenus conjointement par le NIAID et Moderna, aux bénéficiaires « The University of North Carolina at Chapel Hill » le 12 décembre 2019. »

JUSTICE

Parquet européen — Ouverture d’une enquête sur les achats de vaccins

https://www.francesoir.fr/politique/achats-de-vaccins-anti-covid-le-parquet-europeen-annonce-l-ouverture-d-une-enquete

« Le parquet européen, officiellement institué en 2021, est un organe indépendant de l’UE chargé de lutter contre la fraude aux fonds de l’Union, et toute autre infraction portant atteinte à ses intérêts financiers (corruption, blanchiment de capitaux, fraude transfrontière à la TVA). »

et

Pfizer et la CE sur le grill

https://www.laselectiondujour.com/pfizer-et-la-commission-europeenne-sur-le-gril-des-parlementaires-de-lue-n1719/

COVID

Le virus combinant Wuhan et Omicron particulièrement dangereux et contagieux

https://pgibertie.com/2022/10/17/le-virus-combinant-omicron-et-wuhan-se-revele-particulierement-dangereux-et-contagieux-et-sils-attendaient-un-peu-avec-leur-bivalent/

« Le virus hybride échappe à l’immunité humorale induite par le vaccin mais contrairement à l’Omicron naturel, se réplique efficacement dans les cellules pulmonaires. Chez les souris K18-hACE2, alors qu’Omicron provoque une légère, infection non mortelle, le virus hybride inflige une maladie grave avec une mortalité taux de 80 %. »

Aggravation de l’infection par les anticorps monoclonaux et les vaccins

https://reinfocovid.fr/science/ade-aggravation-de-linfection-par-les-anticorps-monoclonaux-et-les-vaccins/

« Selon un article paru dans Scientific reports, les vaccinés contre la Covid-19 n’ont aucun anticorps neutralisant contre la souche Omicron/l’effet ADE a pu être mis en évidence pour 2 anticorps monoclonaux pourtant autorisés en prophylaxie de la Covid-19 mais aussi avec le sang de patients vaccinés contre la Covid-19. Conséquemment, les vaccinés infectés par Omicron pourraient avoir une maladie plus grave que s’ils n’avaient pas été vaccinés. »

INJECTIONS

La vaccination Covid bientôt au calendrier pédiatrique aux USA

https://igorchudov-substack-com.translate.goog/p/covid-vaxx-to-be-added-to-childhood

« Une fois qu’un vaccin est ajouté au calendrier de vaccination des enfants, ses fabricants (Pfizer et Moderna) ne sont plus responsables des blessures causées par le vaccin et de TOUT acte répréhensible, quel qu’il soit. Cela s’applique même aux ADULTES blessés par les mêmes vaccins Covid. »

Les aveux de Pfizer sur l’absence d’étude préalable quant à l’impact du vax sur la transmission

https://pgibertie.com/2022/10/13/ils-avouent-avoir-vaccine-sans-essais-concluants-vous-avez-servi-de-cobayes-mais-ils-vous-mentent-encore-maintenant-nous-avons-des-etudes-qui-prouvent-la-dangerosite/#Pfizer

« Il n’existe pas d’études randomisées en double aveugle prouvant l’efficacité des injections contre la contagion et les formes graves ! »

EFFETS INDÉSIRABLES

Il y a une menace immédiate de mort avec chaque vaccin

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/peter-Mccullough-il-y-une-menace-immediate-de-mort-avec-chaque-vaccin

« Peter McCullough livre de nouvelles informations sur les événements cliniques graves provoqués par les injections anti-Covid-19, sous-estimés par les agences de santé publique, niés par la majorité des grands médias et censurés par les grandes revues médicales. »

Canada : 80 médecins morts subitement après des injections anti-covid

https://brightlightnews.com/wp-content/uploads/2022/10/deaths-doctors-80-canadian-william-makis-2022-10-15-CMA-Letter-FINAL.pdf

La plupart des décès sont de nature soudaine, inattendue ou suspecte.

ARNm vaccinal dans le lait maternel

https://reinfocovid.fr/science/arnm-vaccinal-dans-le-lait-maternel/

« Cette découverte devrait pousser nos autorités de santé à réclamer urgemment aux laboratoires Pfizer et Moderna une étude sérieuse et solide de biodistribution non seulement de l’ARNm vaccinal mais aussi de la protéine spike, ainsi qu’une étude d’impact sur la santé des nouveau-nés. »

Il ne faut pas vacciner les femmes enceintes !

https://docteur.nicoledelepine.fr/ne-vaccinons-pas-les-femmes-enceintes/

« Les données VAERS américaines du 14 décembre 2020 au 1er juillet 2022, pour les enfants âgés de 6 mois à 5 ans, montrent : 1 941 indésirables, dont 64 cas qualifiés de graves et 3 décès signalés. »

RÉSISTANCES

Ariane Bilheran, la fabrique du consentement

« Il faut exciter les foules et entretenir la peur pour obtenir la soumission. »

https://youtu.be/aBteW4dSycM [Lien de la vidéo plus haut.]

CSI n°75 du 13 octobre 2022

Dr Martin ZIZI, vaccins ARNm et aspects légaux :






Le Parquet européen confirme une enquête sur l’acquisition de vaccins covid-19 dans l’Union européenne

[Source : lemediaen442.fr]

Le compte Twitter du ministère public indépendant de l’Union européenne (EPPO), confirme le 14 octobre 2022 qu’une enquête est en cours sur l’acquisition de vaccins covid-19 dans l’Union européenne. Cette confirmation exceptionnelle vient après l’intérêt extrêmement élevé du public soulevé par l’audience de Pfizer au Parlement européen. Aucun autre détail ne sera rendu public à ce stade.


Une confirmation qui vient le lendemain de l’audition sur les vaccins où Janine Small, présidente des marchés internationaux — qui représentait le PDG Albert Bourla (Pfizer) — laquelle avait admis le 10 octobre 2022 que aucun test sur l’arrêt de la transmission du covid n’a été réalisé sur les vaccins avant leur mise sur le marché. Elle s’était en revanche montrée très évasive concernant les contrats d’achat de vaccins et les textos échangés entre le laboratoire et Ursula von der Leyen.

Les efforts de plusieurs députés européens dont Virginie Joron, Michèle Rivasi, Christine Anderson, Cristian Terhes… ont porté leurs fruits.


Rappelons à nos lecteurs que Pfizer est une entreprise criminelle qui a été condamnée aux États-Unis à 91 reprises à plus de 10 milliards d’amendes pour infractions liées à la sécurité, délits liés à la santé, infractions liées aux marchés publics, charlatanisme, fausses déclarations, corruption, pots-de-vin… Comment une entreprise criminelle de ce type peut-elle avoir en charge la santé de milliards d’êtres humains ?




Un responsable de la santé admet devant le tribunal que des millions de Canadiens ont fait l’objet d’expériences avec les vaccins Covid

[Source : expose-news.com]

Un témoignage en cour révèle que le principal expert en santé du Canada n’a pas recommandé qu’un vaccin soit obligatoire pour monter dans un autobus, un train ou un avion. Pire encore, l’essai sur l’homme du vaccin Covid est en cours et des millions de Canadiens font partie de l’expérience.

C’est une révélation stupéfiante, selon l’avocat Keith Wilson, qui représente l’ancien premier ministre de Terre-Neuve, Brian Peckford, dans sa poursuite contre le gouvernement fédéral pour ce qu’ils décrivent comme la violation la plus profonde des droits garantis par la Charte [des droits et libertés] dans l’histoire du Canada. Elle a empêché six millions de personnes de jouir de leur droit à la liberté de mouvement en raison de l’interdiction faite aux personnes non vaccinées de voyager dans les bus, les trains et les avions.

[Vidéo 2 h en anglais :]


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Dans l’interview ci-dessus, Wilson a expliqué que non seulement la Dr Lisa Waddell, épidémiologiste en chef de l’Agence de la santé publique du Canada, n’a pas recommandé la vaccination forcée pour voyager, mais qu’elle « a dit que ce ne serait pas un conseil épidémiologiquement solide… Et voilà que c’est devenu la politique caractéristique des libéraux de Trudeau de restreindre six millions de Canadiens de voyager dans leur pays et de quitter leur pays. »

Le Premier ministre Justin Trudeau et ses ministres affirment depuis des mois qu’ils ont suivi la science et les conseils de leurs experts sur Covid-19.

Les règles absurdes ont tourmenté des millions de Canadiens à un moment où nous savions que les vaccins ne fonctionnaient pas. Cela indique que la politique de division d’un Premier ministre très impopulaire était une stratégie de survie politique, a déclaré M. Wilson.

« Amener les Canadiens à se battre entre eux pour qu’ils ne remarquent pas les échecs et l’incompétence à grande échelle des libéraux de Trudeau et de leurs ministres. »

Wilson a également rappelé son contre-interrogatoire de la Dr Celia Lourenco, directrice générale de Santé Canada qui approuve les vaccins. Elle a fait valoir que le processus d’approbation des vaccins a changé pour les vaccins Covid. Jusqu’au Covid, tous les vaccins étaient approuvés après des essais sur les animaux et deux phases d’essais sur les humains. Mais pour le vaccin Covid, les essais sur l’homme ont été supprimés.

La Dr Lourenco a confirmé sous serment que l’essai sur l’homme est en cours en ce moment même, que les données sont compilées avec la population générale et que les Canadiens n’ont pas été informés des risques, a déclaré M. Wilson.

« C’était important pour nous de lui faire confirmer qu’il s’agit d’une énorme expérience en cours ».

Wilson s’est étonné du black-out médiatique sur le déroulement des événements. J’ai souvent eu affaire à des cas bien moins graves où je suis sorti du tribunal en présence d’une foule de journalistes », a-t-il déclaré, mais dans ce cas-ci, il n’y a eu :

« aucune couverture médiatique. C’est comme si le Premier ministre Peckford n’existait pas. C’est comme si cette affaire n’existait pas ».

Il a ajouté que les 600 millions de dollars versés par le gouvernement fédéral aux médias corporatifs ont un effet.

« Les médias sont si extrêmement contrôlés en ce moment par leur désespoir pour l’argent. Ils sont dans une spirale de mort. De plus en plus de gens se déconnectent. Ils y voient de la propagande. »

Ce qui précède est extrait d’un article intitulé « LE PLUS GRAND PROCÈS DU CANADA : Les médias grand public ignorent la contestation judiciaire du programme de vaccination » publié par Farmers Forum. Lisez l’article complet ICI [en anglais].




Quels sont les « médias » les plus propagandistes ?

Par Lucien SA Oulahbib

À vrai dire tous, ou pratiquement (hormis une poignée pas plus et surtout sur les réseaux dits alternatifs). Les « médias » des sociétés autrefois « démocratiques » rivalisent désormais avec ceux des sociétés dites « illibérales » ou totalitaires. Ainsi, dans le domaine de la Santé par exemple, un des leurs s’en est pris à Riposte Laïque parce qu’un article (non cité, sans lien) aurait conseillé de « boire un mélange de chlorure de magnésium et d’eau » contre la Covid-19, d’après cette prose lanceuse aussi de sortilèges lorsqu’elle présente R. L. comme étant « anti-islam, extrême droite, complotiste ». Alors qu’il est possible de lire sur le site « journal des femmes » que ce traitement est déjà au moins conseillé pour combattre « une mauvaise réaction de défense immunitaire ». Or, n’est-ce pas précisément l’enjeu même dans cette maladie, y compris pour les injections qui se vantent de la combattre en mettant en avant la remontée des anticorps ?…

Mais en oubliant d’analyser qu’exciter sans cesse cette remontée ne suffit pas (d’où l’échec actuel des « rappels” incessants), y compris pour les formes graves et certainement pas pour les personnes ayant une immunité suffisante comme une solide littérature le souligne désormais, qu’il s’agisse des travaux du Conseil Scientifique Indépendant, du site Covid-factuel, des spécialistes en immunologie interviewés par FranceSoir.

Bien sûr ces médias propagandistes vont, d’emblée, « tuer » la source (en l’ensorcelant de bave faite des mots maudits) en s’employant parfois à agrémenter leurs jets de quelques « études » souvent mal ficelées ou médiocres ou encore faites dans un coin de laboratoire (telle celle prétendant prouver l’efficacité de la muselière ou des gestes dits barrières) soulignant au fond seulement que lorsque l’on est effectivement grippé ou enrhumé on prévient autrui et l’on fait plus attention…

Mais loin de ces précautions d’usage, et plutôt proche de cette fausse opposition entre médecine préventive naturelle homéopathique et médecine allopathique, nos propagandistes de “grand chemin” (au sens où ce sont des braqueurs de vérité qui éliminent même les porteurs sains par les sorts jetés contre eux) martèlent à qui mieux mieux leurs mensonges pour bien enfoncer leurs clous cruellement crus sur le cercueil de ce qui fut autrefois le journalisme, la science, la morale et la politique….

Car leurs méfaits s’étendent, se répandent partout, une vraie, une gigantesque, marée noire de contrevérités construites avec de faux chiffres et courbes (la nouvelle numérologie mystique et ses gris-gris) en matière de climat, de guerre, d’islam ; comme si, respectivement, le premier avait toujours été « réglé », une fois pour toutes, la seconde était toujours la faute d’un seul des belligérants, le dernier un bloc monolithique qui ne connaît déjà pas en interne de multiples divisions, frictions, voire guerres, sans que l’on ne puisse dire que chacune de ses factions soit d’emblée « islamophobe »…

Ces « médias », au fond, en tuant ainsi le débat, la tolérance, la science sont devenus des machines mortes manipulées par des zombies obscurantistes qui cherchent précisément à « obscurcir » les faits, à faire peur, au nom d’une fausse morale (dont ils n’ont cure : fais ce que je te dis…), ce qui sert cependant à décerveler les masses apeurées, à coloniser en effet « leur part de cerveau disponible » afin de la rendre plus malléable à une propagande jamais vue en réalité depuis des décennies (d’où la difficulté désormais de différencier ces « médias » de ceux fabriqués dans les pays ouvertement totalitaires).

Nous voilà donc revenus au temps de la presse clandestine qui peut parfois se faire attraper, clouer au pilori, puis tuer, non seulement verbalement, mais réellement, allant ensuite pleurer des larmes de crocodile sur le corps mutilé de Samuel Paty, alors qu’il a toujours été seul, isolé, lâché par sa hiérarchie et par tous ces gens qui aujourd’hui se précipitent sans honte sur sa tombe alors qu’ils ont armé ceux qui l’ont tué et menacent de tuer encore en empêchant tout débat, en diabolisant, en se comportant en bras armés de l’Ignorance volontaire.




Les chercheurs comprennent de mieux en mieux les causes de l’autisme

[Source : aimsib.org]

Alors que, de source officielle, l’autisme pourrait toucher un nouveau-né sur cent en France et que ce chiffre pourrait grimper à un sur quarante-quatre aux USA, les spécialistes de la question affectent toujours de ne se quereller que sur la définition exacte de la maladie. Il faudrait pourtant accepter de crever l’abcès du doute entourant la responsabilité des vaccins aluminiques dans la genèse de ces troubles incurables. Il faudrait admettre également que la frénésie vaccinale anticoquelucheuse chez les femmes enceintes est mortifère. Voici la démonstration d’Hypatie A, implacable, sourcée, terrible. Les adjuvants aluminiques induisent des complications catastrophiques et les défenseurs de ces vaccins doivent comprendre qu’il ne leur reste plus grand chose pour s’opposer à l’évidence. Des vaccins obligatoires qui donneraient l’autisme voire des lésions cérébrales de type « bébé secoué », des vaccins pour femmes enceintes qui induiraient des coqueluches post-natales, mais dans quel monde on vit ?  Bonne lecture.

Par Hypathie A

Résumé :
– Le système immunitaire est bien plus complexe et méconnu que ce qu’on croit.
– Les systèmes immunitaires et nerveux (entre autres) sont interconnectés : les mêmes molécules conditionnent les deux systèmes.
– Une très solide littérature démontre qu’activer de façon précoce le système immunitaire peut troubler le développement cérébral et nerveux du nourrisson.
– L’intensité, la durée et la fréquence des activations immunitaires sont des facteurs de risque, le tout en fonction du stade de développement du nourrisson.
– La vaccination a pour but d’activer le système immunitaire : pratiquée pendant la grossesse ou au début de la vie, elle présente un danger réel pour le développement nerveux du nourrisson (en particulier chez les garçons).
– Les adjuvants aluminiques sont un facteur supplémentaire de danger, en activant de manière répétée, plus fortement et plus durablement le système immunitaire (de façon immédiate ou retardée, l’aluminium étant neurotoxique).

Introduction

Les sites dédiés à l’autisme me laissent toujours perplexe : officiellement, on ne sait pas clairement ce qui cause l’autisme. Si tout le monde s’accorde pour considérer qu’il s’agit d’un trouble précoce du neurodéveloppement, probablement multifactoriel, personne ne semble lire la littérature scientifique sur le sujet.

Un exemple, l’article de l’INSERM dédié à l’autisme date toujours de 2018 ! Autant dire qu’on cultive l’obsolescence sur un sujet pourtant d’actualité.

Pour l’institution, l’origine est « largement génétique » [1] (ah bon ?) et bien sûr, il est impossible « de soigner l’autisme ». C’est quand même bizarre. Il y a des troubles, comme ça, qui impactent des millions d’enfants de façon dramatique [2] – la prévalence mondiale se situe officiellement entre 1 et 2% – et pourtant, on serait incapable d’en déterminer la cause… Sauf si on a l’idée saugrenue de lire la littérature scientifique. Car la recherche avance, malgré tout : elle a même fait d’énormes découvertes ces vingt dernières années. L’équipe du Dr Crépeaux nous offre aujourd’hui une revue [3] complète de la littérature.

On peut réellement affirmer qu’on sait quels sont les mécanismes en jeu dans l’apparition des troubles du neurodéveloppement. Et pourtant, l’information ne parvient pas au grand public.

Mais est-ce étonnant quand on comprend les implications cataclysmiques de ces découvertes ?

La clé de l’énigme : le système immunitaire

1 – Un système encore très mal connu

À en croire l’intégralité des articles grand public sur le sujet, le système immunitaire (SI) ne serait qu’un ensemble de « gentils policiers » chargés de poursuivre « les vilains pathogènes ». Il n’est question que de contrôle, de défense, d’attaque et d’entraînement.

Une « machine de guerre » dont chaque rouage n’aurait plus aucun secret à dévoiler… Il n’en est rien. Le système immunitaire est une galaxie inexplorée dont on aperçoit à peine quelques étoiles [4].

C’est ainsi, par exemple, qu’on se garde bien de communiquer sur le fait que le système immunitaire joue un rôle crucial dans le développement et le bon fonctionnement du système nerveux ou du système cardiaque [5]. Et donc, du SI dépend le meilleur… comme le pire, pour le développement de l’organisme [6].

Quelle importance, me direz-vous ? Eh bien, ça change tout ! Absolument tout, et on va voir ça en détail concernant le SI du cerveau.

[Note de Joseph : la notion de système immunitaire provient de la théorie des germes, de son corollaire la théorie virale et de l’idée que l’organisme devait se défendre contre de minuscules agresseurs étrangers tels que les bactéries et les virus. Comme certaines maladies attribuées à ces microscopiques éléments vivants ou pseudo vivants ne semblaient avoir lieu qu’une fois dans la vie d’un individu, la médecine a supposé que le corps s’en trouvait ensuite immunisé, ceci grâce à des composants cellulaires ou protéiques particuliers. Cependant, s’il s’avère — comme l’a pratiquement et scientifiquement démontré le virologue Stefan Lanka — que les virus et les bactéries ne sont pas la cause réelle de telles maladies (voir le dossier Vaccins et virus), mais de simples conséquences d’agressions diverses subies par l’organisme*, alors la notion de système immunitaire devient également caduque et devrait plutôt être remplacée plus judicieusement par celle de système d’autoréparation ou d’entretien du corps.
(* : Les bactéries se comportent en symbiotes vivant normalement en harmonie dans le corps humain et y permettent en particulier l’assimilation de nutriments dans les intestins. Cependant, lorsque leur environnement naturel est plus ou moins gravement perturbé dans ses conditions biochimiques (par exemple par manque d’oxygène), elles se mettent à produire d’autres substances, certaines pouvant être toxiques.
Ce que la virologie a appelé « virus » est naturellement produit par les cellules en manque de nutriment et/ou lorsqu’elles subissent diverses formes d’agression, y compris par des ondes électromagnétiques pulsées telles que le Wi-Fi, la 4G et la 5G.)]

2 – On devrait parler de système Neuro-Immun

Le SI est présent dans tout l’organisme, dans un état de vigilance non active. Lors d’un stimulus immunitaire (blessure, choc, infection, agression chimique, dysfonctionnement de cellules, vaccination…) ce système va réagir : on parle d’activation immunitaire. Cette activation se traduit notamment par la libération de cytokines, des molécules produites par les cellules du SI qui communiquent, amplifient ou inhibent la réponse immunitaire. Jusqu’ici, on est d’accord.

Mais il y a un hic.

Ce que personne ne nous dit, probablement par manque de connaissance sur le sujet, c’est que ces cytokines jouent également un rôle fondamental dans le développement du cerveau [7]. Elles sont nécessaires à chaque étape de sa maturation.

En clair, les mêmes molécules conditionnent le système immunitaire et le système nerveux [8].

Contrairement à la croyance officielle, le système immunitaire et le système nerveux (et donc le cerveau) ne sont pas séparés. Ils sont même carrément interconnectés. Les spécialistes parlent de système neuro-immun [9]. Activer le système immunitaire n’est pas du tout anodin, surtout à certains stades sensibles du développement. Cela peut avoir des répercussions bien plus importantes qu’on le croit.

Voyons ce qu’il en est pour le cerveau en développement.

Activations immunitaires cérébrales précoces

On sait depuis longtemps que le développement du cerveau peut être perturbé par une activation immunitaire précoce [10], et plus précisément par les cytokines générées en cas d’inflammation, qui semblent jouer un rôle clé dans l’apparition des troubles autistiques [11]. Ce mécanisme a fait l’objet de nombreuses études depuis près de vingt ans, à la fois chez la souris, le singe et l’humain [12].

Les cytokines, même produites à distance du cerveau [13], peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique (BHE) qui protège le cerveau (rappelons que la BHE du nourrisson est immature, plus poreuse que celle de l’adulte) et activer le système immunitaire cérébral : la microglie, les macrophages du système nerveux central. Or, ces cellules microgliales jouent un rôle fondamental dans la construction du cerveau [14] : la concentration en cytokines est critique pour un développement optimal. Une perturbation à ce niveau et c’est la microglie qui s’emballe, causant des troubles dans le développement du cerveau [15].

Plus l’activation immunitaire dure longtemps (voire de façon chronique), plus elle est forte, plus elle est répétée dans le temps… plus le risque d’autisme est grand [16].

Le timing de l’inflammation du cerveau, en fonction du stade de développement, joue un rôle fondamental [17].

Activation Immunitaire Maternelle (MIA)

Un modèle animal a été mis en place depuis 2006 pour étudier l’apparition des troubles du neurodéveloppement. L’idée est d’activer le système immunitaire de la femelle gestante par des injections de produits réactifs non-infectieux [18]. On peut citer les travaux essentiels de l’équipe du Pr Patterson de la prestigieuse Caltech aux USA, qui a mis en évidence ce mécanisme et qui a étudié les répercussions neurologiques de ces injections sur la progéniture [19]. Les résultats étaient si impressionnants que, dès 2006, le Pr Patterson tirait le signal d’alarme au sujet de la vaccination des femmes enceintes :

« Et que fait un vaccin ? Il active le système immunitaire. C’est le BUT de la vaccination. (…) Je pense que la vaccination universelle des femmes enceintes pourrait nous causer toute une série de problèmes » [20].

Leurs recherches, confirmées par d’autres équipes depuis, ont démontré un lien de causalité entre les cytokines pro-inflammatoires IL-6 et IL-17 et l’apparition de troubles autistiques chez la souris, mais aussi chez le singe [21], ainsi que de nombreux troubles associés à l’autisme (dysbiose intestinale, dysfonctionnement des mitochondries, inflammation cérébrale chronique, auto-immunité…) [22]. Chez l’homme, on retrouve des taux élevés de ces cytokines inflammatoires dans le liquide céphalo-rachidien de patients autistes, ainsi qu’une inflammation cérébrale chronique [23] (activation immunitaire permanente du cerveau).

Le « Multiple Hit »

Si une simple activation immunitaire, comme une grippe en cours de grossesse, suffisait à rendre un nourrisson autiste, il est évident que l’histoire de l’humanité aurait été bien différente… Des études récentes ont permis d’approfondir la compréhension du mécanisme en jeu : on observe que l’activation de la microglie, par les cytokines, se fait de façon progressive. La microglie peut en quelque sorte encaisser un certain nombre de stimuli immunitaires, jusqu’à un certain point [24]. Elle s’amorce progressivement avant de s’activer pleinement : on parle d’un modèle de « multiple hit » [25].

Une exposition à des toxiques environnementaux, une inflammation chronique ou une vaccination pendant la grossesse peuvent servir de « premier hit », capable d’amorcer la microglie, la plaçant dans un état de vigilance accrue : on parle d’amorçage. [26] Notons qu’il existe évidemment des susceptibilités génétiques, le fait que l’enfant soit un garçon étant la plus évidente – car les femelles seraient « moins inflammatoires » que les mâles [27].

Avec un deuxième voire troisième stimulus immunitaire, la microglie va s’activer pleinement. Une fois activée, elle va à son tour sécréter des cytokines pro-inflammatoires dont IL-17 et IL-6 [28] considérée comme nécessaire et suffisante pour causer l’autisme [29]. C’est un cercle vicieux : l’activation immunitaire devient chronique et délétère pour le système nerveux central (comme dans les maladies auto-immunes…) [30].

« … tous les facteurs qui modifient le nombre ou l’état d’activation de la microglie, soit in utero ou pendant la période post-natale précoce, peuvent affecter profondément le développement neuronal, entraînant ainsi des troubles neurodéveloppementaux dont l’autisme » [31].

Concrètement, un nourrisson mâle dont la maman aurait un trouble chronique, serait vaccinée et/ou en contact avec des polluants persistants, peut avoir une microglie amorcée in utero, et donc prête à s’activer au prochain stimulus immunitaire y compris après la naissance…

Activation Immunitaire Post-natale

Mais le plus intéressant, si je puis dire, c’est que les recherches récentes mettent en évidence que cet « amorçage », qui peut se faire in utero via « l’Activation Immunitaire Maternelle », peut également se produire après la naissance. Une étude de la Harvard Medical School [32] a testé toutes ces possibilités par des injections non-infectieuses pré et post-natales. Voici sa conclusion :

« Dans la plupart des cas, les effets les plus dramatiques ont été obtenus avec le « double hit » (activation immunitaire de la mère et activation immunitaire post-natale) »
et

« L’activation immunitaire post-natale semble être suffisante pour produire les trois caractéristiques principales de l’autisme ».

Déjà en 2018, l’équipe tentait de tirer le signal d’alarme [33], soulignant dans le résumé d’introduction : « L’activation du système immunitaire pendant le développement pré-natal et post-natal précoce peut contribuer au développement de l’autisme ».

Notez bien, car c’est d’une importance cruciale : toutes ces études ont été réalisées par injection de substances réactives en l’absence d’infection, autrement dit, la présence d’un virus ou d’une bactérie n’est pas nécessaire pour activer le système immunitaire. L’activation immunitaire est bien plus durable (plusieurs mois) en cas de toxiques persistants, comme un adjuvant vaccinal, dont le rôle est précisément d’activer le système immunitaire durablement.

Le rôle de la vaccination dans les troubles du neurodéveloppement

Les vaccinations ont lieu pendant les années cruciales du développement cérébral. La formation des neurones, des cellules gliales, des synapses ou des gaines de myéline commence pendant la grossesse et se poursuit pendant des années après la naissance. Toutes ces étapes peuvent être impactées par une surproduction de la cytokine IL-6 [34] (en particulier la formation des synapses, zones de contact fonctionnel entre les neurones).

Il est donc théoriquement possible qu’un vaccin puisse impacter le développement cérébral. Voyons en pratique.

Les vaccinations ont lieu pendant des phases cruciales du développement cérébral [35]
(calendrier vaccinal états-unien, proche du français)

L’histoire emblématique du vaccin DTCoq

Le lien entre vaccination et inflammation du cerveau (et donc perturbation de son développement) ne date pas d’hier… Le premier signal d’alarme sur le sujet remonte aux années 70, exactement au moment où les vaccins à l’aluminium ont remplacé leurs versions non-adjuvées [36].

Le fameux DTCoq (Diphtérie, Tétanos, Coqueluche contenant de l’aluminium) est devenu en quelques années le vaccin du scandale, accusé de provoquer des dommages cérébraux [37] et la mort subite de nourrissons [38].

Or, la formule du DTCoq a été modifiée au début des années 70, pour permettre une production à plus grande échelle : l’ajout de l’adjuvant aluminique a permis de produire beaucoup plus de vaccins à partir de la même quantité d’antigènes. Comme d’habitude, le choix des industriels est imposé de force au grand public. Mais devant le nombre de plaintes déposées, les grands laboratoires voient fondre leurs précieux bénéfices : la situation n’est pas tenable.

Les industriels prennent le problème en main :

– Ils envoient ces vaccins « impopulaires », mais très rentables, en Afrique (où ils font encore des ravages [39]).
– Ils modifient la formule du DTCoq (qu’ils recombinent dans les penta et hexavalents) pour dire que tout va beaucoup mieux maintenant, sans avoir à le démontrer…
– Car ils obtiennent l’immunité légale via l’obligation vaccinale [40], afin de ne plus être ennuyés par les réclamations intempestives du public : c’est la collectivité qui paiera les « très très rares » accidents vaccinaux désormais…
– Du coup, les systèmes de pharmacovigilance publics ne sont pas très motivés pour surveiller les signaux d’alarme, ils restent donc passifs, complexes et obsolètes, histoire de ne rien détecter de gênant [41].

Parallèlement à tout cela, on a vu la multiplication du nombre d’injections, mais aussi la dégradation de notre environnement, progressivement envahi par la chimie synthétique [42] et les métaux toxiques. On a surtout pu observer l’explosion exponentielle des cas d’autisme dans la population.

Environnement toxique et vaccins : un cocktail explosif

Il est certain que les systèmes immunitaires des femmes enceintes sont aujourd’hui sollicités en permanence pour gérer la pollution, un stress ou une maladie chronique. Une majorité d’enfants naissent probablement avec une microglie au moins en partie amorcée.

Dans ce contexte délétère, augmenter le nombre de stimulations immunitaires (le nombre de vaccinations obligatoires ou recommandées), ne peut que conduire à une explosion des troubles du neurodéveloppement.

Alors qu’il y a encore quelques années, le corps de la femme enceinte était considéré à juste titre comme intouchable, les autorités sanitaires recommandent désormais aux femmes enceintes de plus en plus de vaccins (certains contenant de l’aluminium, dont on sait qu’il peut traverser le placenta [43]).

Aucune étude portant sur la vaccination de la femme enceinte ne s’intéresse à l’impact de la vaccination sur le développement neurologique de l’enfant (on imagine bien pourquoi).

Ce n’est pourtant pas faute d’avoir vingt années de recherche disponibles sur un neurotoxique avéré…

Adjuvants aluminiques : une arme de destruction neurologique

On le sait bien aujourd’hui, les particules d’aluminium injectées dans le muscle sont phagocytées par les macrophages du système immunitaire et peuvent migrer dans tout l’organisme (y compris le cerveau) [44]. Ces particules peuvent nuire au développement neurologique de plein de façons différentes !

Neurotoxique et très persistant

L’aluminium, en plus d’être neurotoxique, est aussi très biopersistant, provoquant une stimulation immunitaire de longue durée… ce qui est un danger pour le développement du système nerveux central du nourrisson [45].

Pro-inflammatoire même à distance !

On sait qu’une vaccination adjuvée à l’aluminium peut provoquer la sécrétion de la cytokine IL-6 dans le cerveau de rats nouveau-nés [46]. Et on l’a vu, IL-6 est « nécessaire et suffisante » pour causer des troubles du neurodéveloppement [47].

Une étude de UC Davis [48] a observé qu’une simple injection d’adjuvant aluminique (seul ou dans un vaccin) chez le jeune rat causait une augmentation d’IL-6 dans le cerveau.

En clair, l’aluminium n’a même pas besoin d’entrer dans le cerveau : en déclenchant une inflammation dans le muscle, au site d’injection périphérique, il peut activer durablement la microglie cérébrale, via la sécrétion de cytokines (en particulier IL-6) [49].

Mais ce n’est pas tout…

Cette toxicité à court terme est renforcée par une toxicité retardée, due à la pénétration cérébrale des adjuvants aluminiques, qui peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique (BHE) en cas d’inflammation ou chez le nourrisson dont la BHE est immature. Certains produits contenus dans les vaccins pédiatriques, comme le polysorbate 80, permettent d’améliorer la porosité de la BHE… afin de faciliter l’accès au cerveau ? [50]

Le fait que la vaccination puisse provoquer une inflammation cérébrale, donc une augmentation du niveau de cytokines pro-inflammatoires, est aujourd’hui bien documenté, une revue sur ce sujet précis existe. [51]

Un dernier pour la route ?

L’autre facteur représentant un danger pour le développement neurologique est finalement la fréquence des injections : plus le système immunitaire est stimulé en intensité, en durée, mais aussi de façon répétée, plus la microglie a de chance de s’activer pleinement.

En clair, tout, absolument tout est fait pour activer au maximum la microglie des nourrissons et provoquer des troubles du neurodéveloppement : un environnement pollué, des activations immunitaires précoces et fréquentes, des croyances médicales obsolètes, des connaissances scientifiques totalement ignorées… voire censurées [52].

On voudrait causer ces troubles, on ne s’y prendrait pas autrement.

Vaccination de la femme enceinte

Pour finir, faisons un petit point sur la vaccination chez la femme enceinte. Je passe sur le « vaccin » anti-covid qui a déjà fait couler beaucoup d’encre [53].

Depuis avril 2022, la HAS recommande la vaccination des femmes enceintes contre la coqueluche à chaque grossesse (même si la femme a été vaccinée peu de temps avant la grossesse) afin de protéger les nouveau-nés et les nourrissons de moins de six mois [54]. Les vaccins recommandés sont généralement des tétravalents (Diphtérie Tétanos Coqueluche Polio) à l’aluminium.

Que sait-on de la sécurité de cette vaccination ? Sans grande surprise, pas grand-chose. Les études financées par les grands labos [55] sont bien évidemment rassurantes puisque tous les effets indésirables sont considérés comme non relatifs à la vaccination. Les bébés, eux, n’ont été observés que pendant un mois… et bien sûr, la question de leur développement neurologique n’a effleuré personne… Rappelons que l’âge moyen du diagnostic d’autisme est de 50 mois [56].

Mais alors, que sait-on de l’efficacité de ce procédé : vacciner la mère pour protéger l’enfant ? C’est là que ça se complique. Les labos nous disent qu’un transfert des anticorps anticoquelucheux maternels s’opère chez le nouveau-né. Peut-on réellement en conclure que l’enfant est mieux protégé contre la maladie ? Rien n’est moins sûr : de façon générale, la vaccination contre la coqueluche a été décriée dans la communauté scientifique ces dernières années, accusée d’être trop peu efficace [57]. Une étude de 2019 [58] conclut même que les enfants vaccinés seront plus sensibles à la maladie, tout au long de leur vie.

Mais le plus perturbant, c’est que les chercheurs (en lien avec l’industrie) semblent avoir décelé une potentielle interférence entre les anticorps de la mère et ceux de l’enfant vacciné, comme en témoigne cet échange entre la Pr Helen Petousis-Harris, vaccinologue membre du GAVSC de l’OMS, et Stanley Plotkin, surnommé le « parrain des vaccins », probablement l’une des plus grandes sommités dans le domaine.

Dans ce mail datant du 17 juillet 2019, Helen explique que, dans deux études de cohorte qu’ils viennent de réaliser, les enfants nés de mères vaccinées pendant la grossesse sont plus sensibles à la coqueluche, une fois vaccinés à six semaines.

On dirait bien un exemple de « facilitation de l’infection par les vaccins », comme on l’a vu pour le vaccin contre la dengue… ou le covid [59]. La vaccination des mères semble donc nuire à l’enfant, y compris en termes de protection contre la coqueluche : une forte concentration d’anticorps ne signifie pas que l’enfant est protégé. Peut-être même le contraire.

Mais ce qui est très étrange, c’est que le jour même, Mme Petousis-Harris envoyait pour publication cette étude de cohorte [60] dont elle parle… et qui ne mentionne absolument rien concernant ce « petit » problème de facilitation de l’infection…

Le grand public n’a de toute évidence pas besoin de savoir.

Conclusion

Je ne peux pas m’empêcher d’y penser… Si un vaccin peut causer une activation microgliale et que celle-ci devient hors de contrôle… cette inflammation cérébrale ne pourrait-elle pas conduire aux signes cliniques observés chez les enfants victimes du « syndrome du bébé secoué » sans qu’il y ait le moindre choc [61] ? Que penser alors de tous ces cas d’assistantes maternelles [62], bien évidemment formées au danger de secouer un bébé, et autres parents accusés d’avoir maltraité leurs enfants… alors qu’une vaccination pourrait être responsable de ces lésions cérébrales ? [63]

À la lecture de la revue du Dr Crépeaux et de son équipe (réalisée notamment grâce aux dons du public, je le souligne) et de la littérature dans son ensemble, une chose me paraît évidente : tous les ingrédients sont réunis pour nuire au bon développement neurologique d’un maximum d’enfants. Il me semble que la médecine est passée du côté obscur de la force, depuis très longtemps : en maintenant des croyances non fondées scientifiquement, au prétexte que la vaccination serait aussi incritiquable qu’un dogme religieux, on condamne une partie grandissante de l’humanité à vivre coupée d’elle-même, avec des cerveaux qui ne sont pas ceux qu’ils auraient dû avoir, avec des troubles chroniques qui ne permettent pas l’accès au bien-être physique et mental, pour la majorité des autistes… et leurs proches [64].

Nous sommes au milieu d’une guerre de l’information : chaque personne qui comprend les enjeux et a accès à ces données doit agir pour la diffusion de ce savoir, en particulier auprès des médecins. Nous avons absolument tous un rôle à jouer dans cette histoire.

– Les chercheurs qui, contre vents et marées, produisent la connaissance, sans savoir s’ils auront encore des financements l’année prochaine. N’hésitez pas à les soutenir : ce sont eux qui nous permettent de comprendre ce qui se passe réellement : https://www.helloasso.com/associations/association-e3m/formulaires/3
– Les médias alternatifs, les associations de patients et les citoyens qui lisent cette science et tentent de la transmettre au public le plus large possible.
– Les activistes qui déterrent des informations dissimulées au public
– Les soignants capables de remettre en question leurs croyances… et qui en paient le prix fort.
– Les parents qui luttent pour protéger leurs enfants de cette barbarie… ou pour les soigner (car oui, c’est possible).

C’est exactement ce que nous montrent les événements de ces deux dernières années. Nous avons tous un rôle à jouer dans cette histoire. C’est notre histoire. Et personne d’autre que nous n’a le droit de l’écrire à notre place. Alors n’hésitez pas à faire passer le message à tous les médecins, infirmiers, pédiatres, pharmaciens que vous croiserez :

« Ceux qui peuvent vous faire croire à des absurdités,
peuvent vous faire commettre des atrocités. »

Anonyme

Hypatie A
Octobre 2022




Suspensions, censures et science en déroute

[Source : Ligne Droite]

La généticienne et spécialiste de l’ARN revient sur le premier anniversaire de la suspension des soignants à cause de la politique sanitaire menée par nos gouvernants depuis deux ans.




Avec Roland Gori, relancer la pensée vers de nouvelles utopies

Par Nicole Delépine

En écho à l’appel des appels de Roland Gori, ici une suggestion pour le lire, l’écouter, puis penser, et aller mieux.

Roland Gori1, comme d’autres veilleurs, est-il l’équivalent du canari dans les mines qui guettait le danger comme il le raconte ? L’écouter fait toujours du bien, car il nous rappelle déjà la nécessité pour soi-même et son équilibre de penser, de lire, de réfléchir et ensuite de confronter ses idées avec d’autres. Et si l’on est en désaccord avec certaines positions, qu’importe, l’essentiel est de discuter avec les autres, avec soi-même, de redevenir humain et non machine obéissante et soumise.

Écoutez cette vidéo de 2020 sur son livre : «  et si l’effondrement avait déjà eu lieu »2

Prenez le temps, il sera gagné !

Et si l’effondrement avait déjà eu lieu : l’étrange défaite de nos croyances3

S’adapter à l’époque, à ses rythmes et mutations, s’impose comme un impératif dans nos sociétés contemporaines.

Dans ces adaptations sociétales, néolibéralisme et scientisme œuvrent au service d’une idéologie du progrès qui semble sans limites. Pris dans une logique du court terme faisant abstraction du temps et de l’espace, le sujet contemporain se trouve contraint à l’adaptabilité, entravé dans sa capacité à penser, à projeter, à créer…

Les crises écologiques et sanitaires actuelles interrogent tout particulièrement ce rapport au monde et à l’humain. S’y associent des discours sur l’effondrement qui ne sont pas sans effet.

Dans son ouvrage intitulé : « Et si l’effondrement avait déjà eu lieu ? L’étrange défaite de nos croyances », Roland Gori nous invite à appréhender et penser l’effondrement, dans une nécessaire articulation entre passé, présent et futur. Relancer la pensée… vers de nouvelles utopies…

Et je dirai pour chacun d’entre nous… Prenons le temps de lire, d’écouter, de réfléchir, il ne sera pas perdu… Sans oublier de lire « la fabrique des imposteurs ».

Appréhendons l’univers de Roland Gori à travers quelques interviews.

Roland Gori : « Il faut rêver le monde pour pouvoir le transformer »4

De « l’Appel des appels » en 20095, à son dernier ouvrage, Un monde sans esprit. La fabrique des terrorismes, en passant par La dignité de penser, La folie évaluation (Les nouvelles fabriques de la servitude) ou L’individu ingouvernable, Roland Gori, apporte sa contribution à l’agora politique.

Question : Vous avez récemment affirmé que plus personne ne croit que le libéralisme puisse réduire les inégalités. Est-ce à dire que le libéralisme est moribond et que la question du « progrès social » par exemple va pouvoir être posée dans de nouvelles conditions ?

R. G. :

« Depuis le début, le libéralisme fait fausse route sur sa conception de l’Homme, il fait l’impasse sur le besoin de reconnaissance sociale, symbolique. Après l’effondrement du Mur de Berlin et l’effondrement du discours révolutionnaire, il y a eu une autoroute pour l’ultralibéralisme ou le néo-libéralisme qui, aujourd’hui, est en train de se discréditer.

Le discours sous la forme du néo-libéralisme des années 1980-1990 n’est plus crédible et on aboutit à une crise qui rappelle la phrase de Gramsci, « Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître, et dans ce clair-obscur surgissent les monstres ».

Toutes les affaires qui sortent aujourd’hui mettent en évidence l’état d’un système qui se révèle hypocrite. On fait l’impasse sur le besoin de partager une expérience sensible, une certaine conception de la liberté.

La crise des valeurs libérales de la fin du XIXe siècle a débouché sur la Première Guerre mondiale, dans l’entre-deux-guerres, elle a débouché sur l’émergence de partis totalitaires, qui n’ont pas tenu leurs promesses par rapport à des populations humiliées. On voit comment ces partis ont récolté toutes les colères, les frustrations.

Aujourd’hui, on assiste à l’émergence de nouveaux fruits de cette crise avec Daech, Al-Qaïda, mais aussi le regain des nationalismes avec Trump, le Brexit d’une certaine façon, la montée de l’extrême droite en Autriche, certains gouvernements d’Europe centrale. Nous ne sommes pas dans une situation identique à celle des années 30, mais cela lui ressemble étrangement. D’où l’urgence de proposer une autre conception philosophique, une autre conception de la vie en société. On peut parier sur le progrès social, sur d’autres manières de travailler, de vivre ensemble.

La révolution numérique peut être une chance pour se parler, pour innover, même s’il y a aussi un risque de confiscation du monde, du savoir-faire et du savoir de l’artisan et de l’ouvrier, par le mode d’emploi de la machine.

C’est la raison pour laquelle nous avons décidé de lancer le « Manifeste des oeuvriers » avec le journaliste Charles Silvestre et le musicien Bernard Lubat. Il s’agit de restituer cette dimension d’œuvre alors que le travail est taylorisé, même chez les médecins, les infirmières, les enseignants, les magistrats où les activités sont de plus en plus semblables à des actes standardisés.

: Vous avez été l’initiateur de « l’Appel des appels » il y a huit ans. Quel chemin a été parcouru depuis selon vous ?

“Aujourd’hui, on voit bien avec « Nuit debout » et les tentatives de culture alternative qu’il y a un peu partout une remise en cause de cette civilisation néo-libérale qui, de mon point de vue, est à l’agonie, Macron relevant de la bulle politique spéculative. Il y a un discrédit du modèle, on y croit de moins en moins. L’échec du gouvernement a été de continuer avec un logiciel à peu près identique. En somme, on veut nous obliger à être pratiquants alors que nous ne sommes plus croyants (…)

L’idéologie libérale a réussi à dévaloriser le mot même d’utopie. Est-ce que ce n’est pas la source du problème ?

« C’est un mot traité de manière péjorative, non pas comme une fiction romanesque. Il y a une interdiction de rêver. Or, si un homme ne peut pas rêver, il crève. Il faut rêver le monde pour pouvoir le transformer. Je crois qu’un des mérites de la ligne de Pierre Laurent est d’inviter à des débats pour construire des projets. Il faut remettre l’utopie au cœur du discours politique. »

[NDLR : à propos d’utopies,
voir Manifeste pour un nouveau monde]

Réflexions de Jalil Bennani — extraits

L’effondrement dont il s’agit dans cet ouvrage6 est celui de nos catégories de pensée et de notre rapport au temps, du lien entre passé, présent et futur. (..) Il nous montre avec une grande érudition, en s’appuyant sur de nombreux exemples historiques, que les crises résultent d’une rencontre entre un événement et des conditions sociales. Il dénonce avec force l’impréparation de nos sociétés face à un facteur environnemental.

… « l’idée de catastrophe, la catégorie de l’effondrement, constituent le retour du refoulé qui se glisse dans le discours d’une civilisation de l’instant, l’irruption d’une temporalité que l’on veut méconnaître à la hauteur de l’oubli de la mort ». Les causes des catastrophes sont bien les inégalités sociales, l’atteinte à la dignité humaine, la dérégulation de la planète, la course à la rentabilité, les exigences toujours plus grandes de productivité et d’utilitarisme.

Parmi les questions qui m’ont fortement interpellé dans ce livre, je retiens celle relative à « l’homme machine ». Tout au long de ses recherches, Roland Gori a été fasciné par le texte de Tausk7, « La genèse de la machine à influencer au cours de la schizophrénie ».

La construction délirante est la véritable machine qui persécute le schizophrène et elle est isomorphe au corps, plus précisément au fantôme d’une totalité du corps à même de contenir et de donner un sens à ses cénesthopathies. J’avais dans les années quatre-vingt montré dans mon ouvrage Le corps suspect, à quel point l’ouvrier, dont le destin était brisé à la suite d’un accident du travail, s’exprimait comme si son corps était une machine.

La subjectivité est cachée et profondément réprimée. Le patient en appelle à une solution technique.

Ce corps sans plaisir interroge l’imaginaire du corps médical qui a montré bien des résistances aux notions freudiennes. Un corps auquel il n’a été demandé que d’être corps-machine a accepté ce contrat. En cela, il a rejoint la machine industrielle et la machine médicale.

Une machine objectivante et normalisante.8

Robert Linhart a vécu cette expérience en devenant ouvrier spécialisé dans l’usine Citroën de la Porte de Choisy à Paris, en 1968. Il a fait partie des centaines de militants intellectuels qui s’embauchaient dans les usines. Il raconte les rythmes, les méthodes de surveillance et de répression. L’auteur rapporte qu’il n’a jamais autant perçu le sens du mot « économie ». Économie de gestes, de paroles, de désirs. Il faut s’être frotté à cette réalité matérielle pour prendre conscience de sa dureté, des souffrances, des risques et de la mise à disposition du corps au profit de la machine.

Roland Gori rappelle bien dans son ouvrage le « spectre » qui hante nos sociétés, la situation des plus pauvres, des plus vulnérables parmi lesquels figurent les migrants. Ils « viennent de notre futur pour hanter notre présent », écrit-il. Sa réflexion sur le temps s’avère ici essentielle : ‘Penser la catastrophe supposerait que nous puissions changer notre rapport au temps.  Nous sommes aujourd’hui dans un paradoxe : en même temps que l’on nous enjoint de penser à l’avenir, nous nous trouvons contraints par « l’actualisme technique » de la civilisation des machines. Il dénonce « la religion positiviste » qui vient au service de l’industrie et dont nous sommes les héritiers : « C’est sur les ruines de cette révolution symbolique avec ses exigences de productivité, d’utilitarisme, de positivisme et d’efficacité louant la force et la raison instrumentale que se profilent les risques d’effondrement ».

Roland Gori relève très justement que le sujet de la psychanalyse a « besoin des normes de son époque pour pouvoir se les réapproprier et les trahir ». Comme l’artiste, le psychanalyste est témoin et acteur de son époque.9

… L’art, comme la vie, est une réparation par les émotions qu’il produit et des juxtapositions des images, des représentations, des installations… Alors que dans les cultures occidentales modernes, la réparation vise à revenir à l’état original, dans les cultures extra-occidentales traditionnelles la réparation procède de l’inverse. Roland Gori écrit très justement : « La vie moderne est une invitation à effacer les traces ». Cacher, masquer la suture d’un objet réparé est une prétention à revenir à l’identique, ce qui est impossible ou pure illusion…

Roland Gori articule avec brio les notions d’individuel et de collectif, en évitant toute confusion entre l’agent social et le sujet de la psychanalyse.

Et la référence à Winnicott apporte un étayage essentiel à l’ouvrage : « Le traumatisme a bien eu lieu, mais à un moment où, pour une raison ou pour une autre, le patient n’était pas en mesure de l’éprouver… à ce moment de son histoire, il n’avait pas la possibilité d’intégrer le traumatisme qui surgissait », la crainte de l’effondrement devenant alors une tentative de donner au traumatisme une existence psychique et sociale.

(…) Le traumatique est déjà là, avant qu’un événement ne lui permette de se révéler. Roland Gori s’appuie sur Winnicott pour poser cette hypothèse : les effondrements que nous craignons voir advenir dans le futur ou le présent ont déjà eu lieu. Ce qui s’est effondré c’est notre cadre mental, symbolique, psychique pour penser le monde, pour nous penser, ce qui justifie le sous-titre de l’ouvrage L’étrange défaite de nos croyances.

Et si l’effondrement avait déjà eu lieu est un ouvrage fort, psychanalytique, philosophique, sociologique, politique. L’auteur, initiateur de l’Appel des appels, un collectif national « pour résister à la destruction volontaire de tout ce qui tisse le lien social », nous invite à une réflexion riche et incontournable pour inventer de nouvelles catégories de pensée, repenser notre rapport au temps, le lien entre passé, présent et futur, nos oublis, nos croyances.

Sandre Evrard nous livre une autre approche de la pensée de Roland Gori et son analyse de la gestion de la crise du Covid :

« Face à des pouvoirs qui vident le peuple de sa dimension politique, il faut la rétablir » – Le Comptoir 10

Le Comptoir : Vous avez longtemps traité de la question de l’importance du rapport au patient, du dialogue et des affects mis à mal par un type de modernité asséchante et scientiste. Est-ce que ces mesures autoritaires prises pour lutter contre la covid-19 ne viennent pas justement mettre en place une biopolitique qui renforce la négation du citoyen en tant que sujet — et partant porte atteinte à la démocratie, qui est certes un ordre politique, mais aussi quelque chose qui s’ancre dans les mœurs de l’individu ?

Roland Gori :

Notre modernité accroît une hégémonie culturelle, celle de la rationalité instrumentale qui tend à exploiter les individus et le vivant comme un stock d’énergie à exploiter à l’infini.

D’où les problèmes actuels dont on ne dit pas suffisamment quelle part est la nôtre dans l’émergence des épidémies par nos modes de vie et nos industries qui modifient notre biotope. Nous sommes prisonniers de valeurs et d’un système de pensée qui datent du début des sociétés thermo-industrielles. Ces astres morts continuent à nous éclairer et les normes qu’ils prescrivent contribuent à la catastrophe dans laquelle nous nous trouvons.

Alors, plutôt que de remettre en cause ces normes dont le système de pensée s’effondre, les pouvoirs préfèrent gérer la crise sanitaire avec les moyens traditionnels de la biopolitique des populations.(..).

Mais le problème demeure, d’abord parce que cette prise en charge concerne le court terme et méconnaît que nous sommes actuellement dans ce que l’on appelle une « transition épidémique », c’est-à-dire une transition culturelle qui s’accompagne toujours de l’émergence des épidémies. Ensuite, au lieu de mobiliser les communautés, les peuples, pour lutter contre la pandémie, les pouvoirs politiques gèrent bureaucratiquement et algorithmiquement les populations avec l’arsenal des moyens de la santé publique, de l’épidémiologie et des nouvelles technologies.

C’est la même langue technocratique qui tend à se mondialiser avec des dialectes différents selon les pays et les régimes politiques. Il n’y a pas de représentants des sciences sociales et humaines dans les Conseils de crise, ce qui est significatif d’un déni du caractère social, culturel et psychologique de la crise.

Ce qui passe à la trappe dans cette approche de la pandémie, c’est le sujet singulier du colloque médical comme le concept de peuple, un peuple souverain de ses responsabilités politiques et sociales, un sujet responsable et solidaire.

À la place vous avez la notion de population qui fait de chaque individu un « segment de population statistique » et du peuple une « collection de catégories statistiques » dépourvue de toute dimension politique. Là est la vraie atteinte à la démocratie et pas dans les « gestes barrières », il faut prendre un peu de recul.

« L’extension sociale de la médecine appelée à jouer un rôle de contrôle et de normalisation ne doit pas être confondue avec les services véritables que ses savoirs et ses pratiques rendent. »

À cette défaite de la solidarité sociale et de la responsabilité subjective s’ajoute la notion d’opinion publique, notion qui témoigne de la dégénérescence des concepts et des moyens de penser le collectif.

Cette façon de faire appel aux experts pour justifier tout et son contraire, ces discours contradictoires, mais surtout ces appels au civisme et ces consignes comme « se laver les mains » ou « bien aérer la fenêtre »… Sans parler de ces lois qui semblent impossibles à respecter – et poussent ainsi à leur irrespect. Ne peut-on pas parler ici d’infantilisation ? Le cas échéant, quelles pourraient être les conséquences d’une telle infantilisation ?

… Depuis le XIXe siècle, l’hygiène publique joue deux rôles au moins qu’il ne faut surtout pas confondre. D’une part elle tend à éviter aux humains de tomber malades grâce à un dépistage et à une prévention des facteurs de risques des maladies.

Et, d’autre part elle tend à se transformer en « bible » des conduites, en « orthographe » des comportements en « pathologisant » les moindres des anomalies de comportement.

La notion « molle » de « troubles du comportement » arrive à point nommé pour séquestrer le plus de monde possible dans des dispositifs de contrôle et de normalisation des citoyens.

La néo-psychiatrie est devenue une hygiène du corps social en vue de contrôler et de normaliser, ce n’est pas la même chose que de dépister les facteurs de risques des épidémies et les moyens de s’en protéger. Ce serait une grave erreur. L’extension sociale de la médecine appelée à jouer un rôle de contrôle et de normalisation ne doit pas être confondue avec les services véritables que ses savoirs et ses pratiques rendent, au contraire.

Le politique s’est réduit toujours davantage à une « conduite de conduites » rationalisées en vue d’une production économique et industrielle, un « déblocage épistémologique » comme dit Michel Foucault, qui a permis à la médecine d’étendre à l’infini son pouvoir et son champ de compétence en se mettant au service des pouvoirs. C’est cette « médicalisation de l’existence » que Michel Foucault appelle biopolitique, bio-histoire, somatocratie, dans son essai Naissance de la biopolitique. Cet usage social des savoirs médicaux ne doit pas être confondu avec les découvertes et les soins des praticiens.

« Cette médicalisation du politique et cette politisation du champ de la santé expliquent la dramaturgie de l’“expertise” à laquelle les “experts” se sont livrés au moment de la pandémie. »

L’impression d’infantilisation dont vous parlez est davantage une réaction morale qu’une action politique à la perversion sociale et politique des savoirs médicaux. Ce serait se tromper de cible que de s’en prendre aux mesures sanitaires plutôt qu’au pouvoir en place. Bien au contraire les savoirs médico-biologiques peuvent contribuer à la résistance politique en interrogeant les pouvoirs sur leurs choix décisionnels : pourquoi laisser les grandes surfaces ouvertes et fermer les lieux culturels ? Pourquoi entasser les gens dans des transports en commun et fermer les amphithéâtres ? Pourquoi avoir externalisé la fabrication du matériel sanitaire (masques, tests, respirateurs, médicaments…) en faisant prévaloir les intérêts privés sur le Bien Public ?

L’hygiène publique a aussi, dès la fin du XIXe siècle, servi les intérêts du peuple en obligeant les puissants à reconnaître le rôle des facteurs environnementaux dans la fabrique de maladies (professionnelles en particulier ou le mal-logement).

Cette médicalisation du politique et cette politisation du champ de la santé expliquent la dramaturgie de l’« expertise » à laquelle les « experts » se sont livrés au moment de la pandémie. Ils n’étaient plus savants, mais « experts » et se sont trouvés associés à la crise d’autorité des politiques. Politiques et experts ont ainsi pris les vices de la « société du spectacle » pour reprendre le concept de Guy Debord. Les informations que les politiques et les scientifiques nous ont offertes se sont transformées en « marchandises » vendues à l’opinion publique à la cantonade des réseaux sociaux et des médias afin d’en capter des parts de marché.

Vous avez beaucoup travaillé sur la question de la normalisation des comportements notamment par l’usage abusif de la raison scientifique, mais aussi par celui des statistiques. Que vous inspire cette façon de faire la politique gouvernée par les statistiques et les modèles ? Peut-on voir là aussi une façon de « nous faire taire » pour reprendre vos mots, de fabriquer du consentement et de l’adhésion, car ce qui a été fait serait fait « pour notre bien » ?

Depuis le début du libéralisme, les pouvoirs politiques ont joué sur deux leviers pour conduire la conduite des citoyens : l’économie et l’opinion au nom desquelles ils rationalisent les comportements et fabriquent des habitus, au sens de Pierre Bourdieu, des schémas de pensée et d’action. La rationalité technoscientifique et les statistiques (qui signifient étymologiquement « en rapport à l’État ») sont au premier plan dans cette manière de gouverner au sein d’un univers désacralisé, désenchanté. De fait, les prescriptions d’hygiène publique apparaissent comme un ensemble de règles établies et codifiées par le savoir médical et scientifique qui sert à réguler socialement la société et à conformer les comportements par une soumission sociale librement consentie, car scientifiquement incontournable. C’est le nouage diabolique qui s’est alors historiquement établi entre le capitalisme (néo)— libéral et les savoirs et les pratiques biopolitiques.

… Il s’agit pour les citoyens de se réapproprier une démocratie confisquée par la technocratie et la propagande de la com’ qui fait de l’information une marchandise. Il faut donc décider, mais pas décider dans un individualisme de masse assassin et suicidaire, non, décider démocratiquement par plus de science, plus de parole et plus de responsabilité.

Face à des pouvoirs qui vident le peuple de sa dimension politique, il faut la rétablir. La population c’est le peuple moins la politique, un capital humain sans humanité, il faut rétablir l’humanité.

L’opinion publique, c’est le peuple transformé en marchandise, transformé en consommateurs, il faut remettre du politique et dénoncer un pouvoir qui prend ses décisions aux sondages d’opinion !

… La résistance à cette normalisation sociale insidieuse, à cette infantilisation, elle passe par la restitution de la vérité en sciences et en politique, vérité adultérée par le capitalisme néolibéral. Face aux virus et aux épidémies, c’est la fraternité et la solidarité qui prévalent. On ne s’en sortira pas autrement, car nous entrons dans une ère de turbulences, une période de « transition épidémique » dont la pandémie de covid-19 est la sentinelle.11


1 Roland Gori est psychanalyste et professeur émérite de psychopathologie à l’université d’Aix Marseille.

« Un monde sans esprit. La fabrique du terrorisme », « L’individu ingouvernable », « La dignité de penser », « La santé totalitaire, essai sur la médicalisation de l’existence ».

Engagé dans les débats d’actualité de notre société, il plaide notamment pour « des sciences encore humaines » et s’oppose aux « dérives du scientisme » notamment en psychiatrie et plus largement à « l’instrumentalisation de l’humain ».

2 Roland Gori, Et si l’effondrement avait déjà eu lieu. L’étrange défaite de nos croyances, Les liens qui libèrent, été 2020, 304 pages, 20 €, ISBN : 979-10-209-0864-3.

3 Vendredi 29 janvier : Visioconférence de Roland Gori autour de son dernier livre (appeldesappels.org)

4 LA MARSEILLAISE / MARSEILLE / 13/02/2017 | et Jean-François Arnichand

« Politis », n° 1438, du 26 janvier au 1er février 2017.

5 L’Appel des Appels

Nous, professionnels du soin, du travail social, de la justice, de l’éducation, de la recherche, de l’information, de la culture et de tous les secteurs dédiés au bien public, avons décidé de nous constituer en collectif national pour résister à la destruction volontaire et systématique de tout ce qui tisse le lien social.

Réunis sous le nom d’Appel des appels, nous affirmons la nécessité de nous réapproprier une liberté de parole et de pensée bafouée par une société du mépris.

6 [Chronique] Roland Gori, Et si l’effondrement avait déjà eu lieu, par Jalil Bennani (appeldesappels.org)

7

8 Lire l’ouvrage L’établi de Robert Linhart bouleversant qui raconte ce que représente, pour un Français ou un immigré, d’être ouvrier dans une grande entreprise parisienne. Il montre de manière étincelante le rapport que les hommes entretiennent entre eux par l’intermédiaire des objets, ce que Marx appelait les rapports de production.

9 Lire Kader Attia, un artiste de son temps qui a reçu le Prix Marcel Duchamp en 2016. Ses recherches socioculturelles l’ont conduit à la notion de réparation, un concept qu’il a développé philosophiquement dans ses écrits et symboliquement dans son œuvre.

10 PAR GALAAD WILGOS LE 18 MARS 2022

11 Voir aussi Podcast de France Inter où Roland Gori affirme que « le Progrès est un mirage » et une « doctrine de paresseux »

Tribune de Roland Gori dans L’Humanité : « Je suis en colère »

“Attention au relâchement” : l’infantilisation de masse comme stratégie politique, sur la revue Frustration

Roland Gori et Marie José Del Volgo, 2005, La santé totalitaire. Essai sur la médicalisation de l’existence, Paris, Flammarion, 2008.

R. Gori, De la société d’imposture au courage de la vérité, Conférence à Bordeaux, Colloque 24 février 2021.

Max Weber, 1904-1905, L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme, Paris, Pocket, 1991.




Les méthodes de Big Pharma sont les mêmes que celles du Crime organisé

[Source : Ami-Des-Peuples Premiers]






Nous sommes empoisonnés !

Nous sommes empoisonnés par un Président plus préoccupé de plonger notre pays dans la guerre plutôt que de jouer la carte de l’apaisement dans le conflit russo-ukrainien.(([1] : Imposture et Trahison. Jean-Michel Vernochet. Édition Dualpha))

Nous sommes empoisonnés par un déficit et une dette publique record, par une précarité et par une misère grandissante, pendant que la caste dirigeante continue à s’en mettre plein les poches. Les grands patrons du CAC 40 continuent de recevoir chaque année 200 milliards de cadeaux fiscaux — Subventions publiques, crédits d’impôt, et exonérations fiscales.(([2] “Le virus et le président”. Jean-Loup Izambert et Claude Janvier. IS Édition))

Nous sommes empoisonnés par des politiciens corrompus qui ne démissionnent pas et qui ne seront probablement jamais jugés correctement. Qu’il s’agisse d’Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée, mis en examen pour « prises illégales d’intérêts », d’Éric Dupond-Moretti, garde des Sceaux, accusé lui aussi de « prises illégales d’intérêts », et d’Édouard Philippe bientôt convoqué le 24 octobre 2022 devant la Cour de justice de la République, reste-t-il un politicien intègre dans notre pays ?

Nous sommes empoisonnés par des écolos de pacotille, les « Khmers Verts », favorisant les éoliennes qui, non seulement produisent peu d’énergie, mais dont les pales, les montants et les batteries sont non recyclables. Quand tous les parcs éoliens défigurant la France seront achevés, les éoliennes ne produiront que 13 % de nos besoins en électricité. Des milliards d’euros investis pour rien, mais pas perdus pour tout le monde. Bienvenue dans le monde glauque de la cupidité.(([3] Éoliennes. Un scandale d’état. Alban d’Arguin. Collection Pourquoi ? Synthèse))

Nous sommes empoisonnés par des usines de méthanisation censées produire du gaz et de l’électricité. Sauf que la production de ce gaz à partir d’excréments d’animaux et de déchets végétaux rejette 90 % de déchets. Ces déchets, appelés « Digestat » sont étalés dans les champs, détruisant les vers de terre indispensables à la survie des terres arables. Pollution olfactive, sonore, des nappes phréatiques et j’en passe. Déjà 1075 méthaniseurs en France qui produisent, tenez vous bien, 0,6 % d’électricité et 0,5 % de gaz naturel. On croit rêver.(([4] Méthanisation. La nouvelle escroquerie écologiste. Bernard Germain. Collection Pourquoi ? Synthèse))

Nous sommes empoisonnés par des médias mainstream aux ordres. Depuis plusieurs jours, la météo de l’électricité fait son apparition :

  • – Eco Watt Rouge, éteignez tout et mettez des cols roulés.
  • – Eco Watt Orange, alternez entre les pulls et les sous-pulls,
  • – Eco Watt Vert, consommez, mais avec modération.

Le compteur Linky va vous couper l’électricité à distance. Souriez, vous allez geler. La centrale Fessenheim est fermée sous des prétextes fallacieux, car tout fonctionne à l’intérieur. Un pas de plus vers l’esclavage voulu par nos gouvernants.

Nous sommes empoisonnés tous les jours par de la nourriture chimique, où règnent en maître les colorants, les sucres blancs, les huiles bas de gamme, les antibiotiques, les hormones, les pesticides et les fongicides. Les grandes firmes agroalimentaires ne cherchent qu’à engranger des bénéfices au détriment de votre santé et aussi de celle de vos animaux de compagnie. Jetez un œil sur la composition des croquettes et des pâtées pour chiens et chats. Édifiant. Un exemple : les chats sont des carnivores, mais leurs croquettes contiennent des légumes, des fibres et des sous-produits animaux tel que des cornes et des sabots qui ont été pulvérisés.

Nous sommes empoisonnés par une médecine allopathique corrompue dont une grande majorité de praticiens ont oublié le serment d’Hippocrate. Rappelez-vous : « Vous êtes malades ? Vous avez de la fièvre ? Restez chez vous. Prenez du Doliprane et si vous vous étouffez faites le 15 ». En revanche, faites-vous inoculer des liquides appelés frauduleusement vaccins toujours en essais cliniques phase 3.(([5] https://www.is-edition.com/actualites/parution-de-covid-19-le-bilan-en-40-questions-de-jean-loup-izambert-et-claude-janvier/))

Nous sommes empoisonnés par des poulets ukrainiens — et oui, il ne manquait plus que ça — déferlant en France. Yuriy Kiousuk, un oligarque ukrainien, spécialiste de la malbouffe, exporte depuis 2022 ses poulets aux hormones vers l’UE et la France. Au motif qu’il est Ukrainien — et qu’il faut soutenir l’Ukraine — la Commission européenne a décidé de laisser entrer sa production sans droits de douane ni vérification de la conformité de ses poulets avec les règlements phytosanitaires européens. C’est bien connu, la grippe aviaire n’existe pas en Ukraine… Allô, allô, les éleveurs français ? Il est temps de vous réveiller !(([6] https://www.youtube.com/watch?v=UVdvV9ugKxI))

Nous sommes empoisonnés par une justice de plus en plus laxiste et aux ordres. Article du média 442 :

« Olivier Bailly, ancien Premier vice-président du tribunal judiciaire de Dijon, juge des enfants de 2003 à 2008, avait proposé de violer sa fille de 12 ans sur des sites libertins entre octobre 2019 et juin 2020. Condamné le 11 mars 2022 à deux ans de prison, dont un ferme, il a été radié de la magistrature le 28 juillet 2021, mais cette décision fait l’objet d’un recours devant le Conseil d’État. Sa peine a été allégée en appel, le 29 septembre 2022. Le tribunal l’a reconnu coupable d’ “instigation à la corruption de mineur non suivie d’effet”, mais l’a relaxé pour les faits d’ “instigation à commettre un viol et une agression sexuelle sur mineur non suivie d’effet” ce qui ramène sa peine à deux ans avec sursis. Les juges ont été cléments envers un des leurs, car l’article 227-2 du Code pénal prévoit que “Le fait de favoriser ou de tenter de favoriser la corruption d’un mineur est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende. »(([7] https://lemediaen442.fr/le-magistrat-qui-proposait-sur-internet-de-violer-sa-fille-de-12-ans-a-eu-sa-peine-allegee-en-appel/))

Nous sommes empoisonnés par d’innombrables chefaillons de la république. Vire, capitale de l’Andouille, mais au propre comme au figuré. Car, si vous vous étouffez, direction les urgences de son hôpital. Et là, vous risquez en plus de mourir à cause du froid. En effet, il a été relevé 15°C dans une de ses chambres. La direction refuse d’allumer le chauffage depuis les déclarations fracassantes de la clique gouvernementale à propos du port des pulls cols roulés. Dociles, cupides et stupides, tel est le credo d’un bon nombre de petits chefs, plus soucieux de la taille de leur compte en banque que du bien-être de leur prochain. Que font les soignants et les syndicats de cet hôpital à part dénoncer les « mauvaises conditions de travail » ? Rien.(([8] https://www.ouest-france.fr/normandie/vire-normandie-14500/hopital-de-vire-la-direction-refuse-d-allumer-le-chauffage-on-a-releve-150c-dans-une-chambre-017830ec-4490-11ed-921f-8a68cbe64445))

Nous sommes empoisonnés par une dictature covidiste toujours omniprésente. Un article récent paru dans 20 minutes en date du 21 septembre 2022 fait état qu’entre le 12 et le 18 septembre 2022, 1 132 300 tests PCR et antigéniques ont été validés, ce qui représente la bagatelle de 56 615 000 euros engrangés dans les poches des fabricants de tests. Trop fort !

Jean Lassalle, ancien député, dans une vidéo devenue virale, annonce la couleur :

« Maintenant, tout est fait pour saboter et détruire tous les fondements de nos civilisations. Et puis ces vaccins, moi, je n’ai pas eu le Covid, j’ai eu le vaccin Johnson qui a failli me tuer, qui m’a déformé le cœur, j’ai eu 4 opérations depuis le 3 janvier de cette année. »

Cerise sur le gâteau, il déclare que le chef de l’État, les ministres et la majorité des parlementaires n’auraient pas été vaccinés. Voir sa courte vidéo(([9] https://ntdtv.fr/jean-lassalle-tout-est-fait-pour-detruire-notre-civilisation/))

Nous sommes empoisonnés par des zones de non-droit dues au laxisme de la police, de la justice et du gouvernement. D’après Alain Chouet(([10] Sept pas vers l’enfer, Flammarion, 2022.)), ancien chef du service de renseignement de crise à la DGSE, nous avons la bagatelle de 1514 quartiers de non-droit, répartis sur 859 communes et regroupant 4 millions d’habitants. Ces quartiers s’autogèrent. La police, les forces de sécurité, les secours, les services médicaux et sociaux n’y entrent jamais. La France, État de droit ? Vraiment ?

Nous sommes une minorité à dire non. Rejoignez la résistance et la désobéissance civile. À moins que votre credo ne soit de mourir à petit feu, atomisés et empoisonnés, vous avez le pouvoir de dire non. Sortons de l’UE, sortons du joug de Bruxelles inféodée aux USA, reprenons notre souveraineté et remettons de l’ordre dans notre pays.

Claude Janvier
Écrivain, essayiste. https://www.is-edition.com/

Notes :




Femmes enceintes, enfants allaités : l’injection anticovid19 est dangereuse. INFORMONS !

LA PUB pour l’injection revient sur les chaînes de télé et de radio !!!
ATTENTION DANGER !

Nous en avions parlé il y a bien longtemps dès 2021 lorsque les données du VAERS avaient rapporté des drames déjà signalés par les femmes enceintes. Mais curieusement la gent féminine soumise a continué, pour trop d’entre elles, à se laisser injecter sous de terribles et scandaleuses pressions, par ce poison terrible, tant pour elles-mêmes que pour leurs bébés.1

Ce 12 octobre 2022 sur Telegram, cette vidéo déjà connue d’un bébé qui doit souffrir… Remarquez son regard noir très éveillé, caractéristique https://t.me/c/1366813323/439694

Déjà début 2021 un rapport du VAERS signalait une tragédie : le nouveau-né d’une mère « entièrement vaccinée » meurt, ayant saigné de la bouche et du nez

AMPUTER des enfants à naître dans l’utérus… la cruauté est irréelle : Le bras d’un nouveau-né AMPUTÉ après que la mère ait pris des vaccins contre le virus COVID et que le bébé ait souffert de caillots sanguins dans l’utérus. — France Medias Numérique

Publié par Augustin Hamilton le 14/12/2021 15:17

« “Le médecin a dit qu’après la naissance du patient, il y a eu un cri. Lorsque le cordon ombilical a été coupé pour les soins au nouveau-né, le personnel infirmier a constaté que le patient présentait des symptômes de saignement buccal et nasal, et a immédiatement demandé au pédiatre de l’intuber et de lui donner de l’oxygène(.), son résultat d’examen a montré une coagulation sanguine anormale, une hémorragie pulmonaire [saignement aigu des poumons] et un dysfonctionnement cardiaque”.

Selon le rapport du VAERS (n° 1879991), ce décès est survenu à la suite d’une “exposition transplacentaire” au vaccin ARNm

Le décès du nourrisson est l’un des 52 décès signalés parmi les 30 550 événements indésirables enregistrés par le VAERS pour les enfants de moins de 17 ans au 3 décembre 2021. »

Un rapport du VAERS décrit un bébé de cinq mois qui était allaité et est décédé d’un trouble hémorragique auto-immun rare, le purpura thrombocytopénique thrombotique (PTT), après avoir développé une éruption cutanée le jour suivant la vaccination de sa mère par COVID.2

Et les informations se multiplient avec des chiffres ahurissants depuis bientôt deux ans.

L’info du jour d’octobre 2022 nous vient d’Allemagne :

« Le gynécologue-obstétricien James Thorp3 dit ce qu’il remarque chez ses patientes enceintes. Le nombre de fausses couches s’est multiplié. Il enregistre de nombreux cas d’anomalies fœtales, cardiaques en particulier.

Parfois, les anomalies entraînent un arrêt cardiaque, a expliqué Thorp. Il y a aussi de nombreux problèmes avec le placenta, qui bloquent la croissance du fœtus.

Nous avons vu une mortalité fœtale, une croissance anormale des organes et bien plus encore”, a poursuivi le gynécologue.

Il est convaincu que de nombreux enfants souffrent de VAIDS (Vaccine Acquired Immunodeficiency Syndrome), à cause du thymus, très grand chez le fœtus (très petit chez un adulte).

Le thymus est nécessaire au premier contact du corps avec un antigène pour déclencher la réaction des cellules T. La protéine Spike du vaccin s’accumule dans le thymus, entre autres, après une vaccination Covid ».

Et les commentaires, nombreux, confirment ce que tous ceux qui veulent bien parler avouent :

« Je suis naturopathe, et que ce soit mon entourage, les clients… je constate aussi pour beaucoup de problèmes lors de grossesses, il y a beaucoup de préma[turés], de soucis médicaux sur les enfants, de malformations plus ou moins importantes, de femmes alitées ou en arrêt très tôt pour divers soucis… malheureusement ce n’est que le début »

par Van MGL

Ou encore par Patricia Chaibriant :

« les bébés qui ont reçu le vaccin sont à classer dans la catégorie “génétiquement modifiés” comme les jumelles chinoises et leur avenir est derrière eux. »4

Dès juin 2022, l’Australie qui fut pourtant un des pires covidistes de la planète avoue :



Notons sur le VAERS à la date du 30 09 2022

162 enfants de moins de 18 ans décédés.

Oui, l’allaitement par une mère vaccinée fait des risques au le bébé et on le sait depuis des mois…

Après la découverte de traces du vaccin COVID-195 dans le lait maternel de femmes ayant récemment accouché, une nouvelle analyse a révélé6 un problème préoccupant7: 648 cas d’effets secondaires et 3 décès signalés chez des nourrissons allaités dont les mères avaient reçu le vaccin COVID-19.

📌 Décès 1 « J’allaitais mon fils à l’époque. J’ai tiré mon lait dans l’heure qui a suivi l’injection. Mon fils de 5 mois a été allaité la nuit suivant la piqûre et a ensuite bu le lait pompé que j’avais obtenu le jour même de la piqûre. 11 jours plus tard, il a été retrouvé sans réaction… »8

📌 Décès 2 « La patiente9 a reçu la deuxième dose de Pfizer… son enfant de 5 mois allaité au sein a développé une éruption cutanée et dans les 24 heures, il était inconsolable, refusait de s’alimenter et avait de la fièvre… Le nourrisson a été hospitalisé mais son état a continué à décliner et il est décédé. »10

📌 Décès 3 « La mère du nourrisson a reçu la deuxième dose de Pfizer… La mère allaite activement le nourrisson. 24 heures après que la mère ait reçu la 2e dose de Pfizer, le nourrisson a présenté une bradycardie importante (baisse du rythme cardiaque), une désaturation (faible taux d’oxygène dans le sang entraînant une coloration bleue du nourrisson)… »11

Des preuves académiques existent, comme l’article du JAMA12 de la présence de l’ARNm du « vaccin » dans le lait maternel

Et en Grande-Bretagne :


Les données VAERS américaines du 14 décembre 2020 au 1er juillet 2022, pour les enfants âgés de 6 mois à 5 ans, montrent :

  • 13 rapports de troubles de la coagulation sanguine.

EN RÉSUMÉ, INJECTER UNE FEMME ENCEINTE FAIT COURIR UN GROS RISQUE À SON BÉBÉ

Ces injections sont d’autant plus injustifiées que compte tenu de leur sexe et de leur âge jeune les femmes enceintes ne risquent pratiquement rien du covid (sauf si elles souffrent de pathologie préexistante lourde mais comme les injections sont incapables de les protéger…).

APPLIQUEZ LE PRINCIPE DE PRÉCAUTION : ABSTENEZ — VOUS !





L’achat de 4,5 milliards de doses du vaccin covid-19 pour 450 millions de citoyens de l’UE est le plus grand SCANDALE DE CORRUPTION de l’histoire de l’Humanité




Les révélations chocs de Pfizer au parlement européen rendent le passe sanitaire une vraie supercherie

[Source : medias-presse.info]

Par Francesca de Villasmundo

Albert Bourla va peut-être bien regretter de ne pas être venu en personne témoigner devant la Commission Covid-19 du Parlement Européen au vu de ce qui pourrait être, pour Pfizer, une véritable bourde de Janine Small, présidente des marchés de développement international de Pfizer.

Janine Small, au nom du directeur général de Pfizer, le Dr Albert Bourla, a témoigné lundi devant cette commission qui avait convoqué en premier son patron qui a préféré ne pas se présenter.

Au cours du débat avec les députés, le Néerlandais Rob Roos, conservateur et farouche opposant aux passeports européens Covid-19, a demandé à madame Small si Pfizer était en mesure de fournir aux législateurs les preuves réunies (avant de le mettre sur le marché) que le vaccin aurait empêché la transmission du coronavirus.

« Le vaccin Pfizer Covid a-t-il été testé pour arrêter la transmission du virus avant son entrée sur le marché ? Si ce n’est pas le cas, dites-le clairement. Si oui, êtes-vous prêt à partager les données avec ce comité ? Et je veux une réponse franche, oui ou non, et j’ai hâte d’y être. »

[Voir aussi :
Effets de l’audition Covid au parlement européen]

Désarçonnée par cette question précise et claire, la présidente des marchés de développement international de Pfizer a déclaré que Pfizer ne savait pas si le vaccin empêcherait la transmission du virus avant de le mettre sur le marché : « En ce qui concerne la question autour de, euh, savions-nous qu’il fallait arrêter la vaccination avant qu’elle n’entre sur le marché ? Non », a-t-elle admis.

Elle a en outre révélé que ce choix de mettre le vaccin sur le marché avant la fin de ces tests au sujet de la transmission a été dicté par… la loi du marché : « Ces, hum, vous savez, nous devions vraiment avancer à la vitesse de la science pour vraiment comprendre ce qui se passe sur le marché. Et de ce point de vue, nous avons dû prendre beaucoup de risque », a déclaré Mme Small, mais les risques ce sont les vaccinés qui les ont subis puisqu’ils ont été traités comme des cobayes.

Cette révélation, que l’on peut qualifier d’extraordinaire, élimine toute la base juridique du passeport sanitaire imposé dans de nombreux pays. En effet, avant que le vaccin ne soit approuvé aux États-Unis et en Europe, Pfizer déclarait — mais en réalité mentait — que des études montraient que son vaccin était efficace jusqu’à 91,3 % contre le Covid-19 et à 100 % pour prévenir les infections dans au moins une étude (avril 2021).

Les « passeports Covid » ont été délivrés sur la base de ce mensonge, diffusé par la bouche des fabricants de vaccins et de leur relais médiatiques et médecins complaisants de plateaux télé, qui affirmait que les vaccinés étaient protégés de la maladie et pouvaient être en contact avec d’autres personnes sans risquer de propager la maladie.

Ce mensonge, fondé sur les intérêts injustes du profit, a discriminé des millions de personnes, trompé des centaines de millions d’autres, et est à la base de la suspension sans salaire, ni aides, ni possibilité de démissionner d’un grand nombre de personnel soignant non-vacciné.

Au cours de ces auditions devant la commission covid, Pfizer a également été mis sous pression pour le scandale, toujours obscurci par la Commission européenne, des échanges de communications et d’accords contractuels, par le biais de messages, entre la présidente von der Leyen et le PDG du géant pharmaceutique mondial, durement critiqué par la médiatrice européenne Emily O’ Reilly en juillet dernier.

Les eurodéputés de tous les groupes politiques se sont plaints du choix coupable d’Albert Bourla de ne pas être présent, chacun s’est indigné de l’absence de réponses de Janine Small aussi sur l’opacité des contrats d’achat de vaccins COVID-19 : pas de réponse sur les prix convenus, les contrats restent secrets pour des parties importantes des textes, rien sur les éventuels effets indésirables du vaccin ARNm de Pfizer. Tous les parlementaires, à commencer par Virginie Joron qui se bat courageusement pour obtenir des réponses claires à toutes les questions de la Commission et pour la réintégration des soignants, ont demandé une nouvelle audition à Bourla, alors que la colère contre les abus de pouvoir injustifiés commis par l’UE et de nombreux États-nations grandit.

Entre-temps, la théorie « je me vaccine pour protéger les autres » vient de s’effondrer au parlement européen.




Premier procès pour décès injustifié lié au Gardasil, alléguant que le vaccin contre le VPH a causé la mort d’un adolescent de 13 ans

[Source : childrenshealthdefense.org]

Baum Hedlund Aristei & Goldman et Robert F. Kennedy Jr, président de Children’s Health Defense, ont déposé cette semaine leur première plainte pour « wrongful death » (mort injustifiée) contre Merck, alléguant que le vaccin VPH Gardasil du fabricant a causé la mort de Noah Tate Foley, 13 ans.

[Voir aussi :
Ne vaccinons pas non plus les garçons par le Gardasil]

Baum Hedlund Aristei & Goldman et Robert F. Kennedy Jr, président de Children’s Health Defense, ont intenté cette semaine un procès pour « wrongful death » (mort injustifiée) contre Merck, alléguant que le vaccin VPH Gardasil du fabricant a causé la mort de Noah Tate Foley, 13 ans.

L’action civile, déposée devant le tribunal de district américain du Middle District de la Caroline du Nord au nom des parents de Noah, Clifton et Kelli Foley, allègue que Noah est décédé le 8 octobre 2020 d’une encéphalite causée par un processus de dysrégulation auto-immune/autoinflammatoire directement lié à l’injection de Gardasil qu’il a reçue en 2018.

L’action en justice allègue également que le vaccin a provoqué une maladie dysautonomique, neurologique et auto-immune hétérogène ainsi qu’une constellation de symptômes, de complications, de blessures et d’autres événements indésirables, qui ont conduit au décès de Noah.

Baum Hedlund et Kennedy ont intenté plusieurs procès contre Merck pour avoir dissimulé les effets secondaires connus de son vaccin Gardasil, mais il s’agit de leur premier procès pour décès.

Noah a reçu sa première et unique injection de Gardasil le 7 mai 2018, deux jours après son 11e anniversaire.

Avant le Gardasil, Noah était un enfant heureux et en bonne santé, sans maladie auto-immune et sans problème d’autonomie. Il aimait chasser et pêcher avec son père, jouer avec sa petite sœur, construire des Legos et jouer de la batterie.

Il aimait aussi l’école et était actif dans son église. Par-dessus tout, Noah aimait sa famille et chérissait les moments qu’ils passaient ensemble.

Environ deux semaines après l’injection de Gardasil, Noah a développé des fièvres qui ont atteint jusqu’à 102,9 degrés. Une semaine plus tard, les médecins ont vérifié le sang de Noah afin d’exclure la mononucléose ou d’autres causes de ses symptômes.

Les tests n’ont pas identifié de cause, alors que les fièvres de Noah sont allées et venues tout au long de l’été 2018.

Le 10 octobre 2018, Noah s’est rendu à l’urgence du centre médical de l’université de Duke. Après un examen et des tests sanguins, les médecins ont dit à la mère de Noah, Kelli, que les marqueurs inflammatoires de son fils étaient élevés, peut-être en raison d’une infection virale.

Ils ont envoyé Noah au service des maladies infectieuses de l’université, où des analyses sanguines ont révélé que le nombre de globules blancs de Noah avait triplé en deux semaines.

Pendant des mois, Noah a subi d’innombrables visites chez le médecin et des tests, notamment une biopsie et un scanner d’un ganglion lymphatique gonflé.

La famille a attendu 35 jours avant que les médecins n’écartent la possibilité d’un cancer. La période d’attente a été « longue et torturante », selon Kelli.

Si les Foley se sont réjouis d’apprendre que Noah n’avait pas de cancer, ils n’avaient toujours pas de réponse à la cause sous-jacente de ses problèmes de santé.

Le 7 mai 2019, Noah a consulté un médecin pour discuter de sa perte de poids. Son poids avait chuté à 69 livres, son IMC (indice de masse corporelle) se situait dans le quatrième percentile à 14,79 et ses marqueurs inflammatoires restaient élevés.

Le 21 mai 2019, une consultation de gastroentérologie pédiatrique a porté sur un ” processus auto-immun ou inflammatoire. ”

Le 29 septembre 2020, la jambe gauche de Noah s’est engourdie. Son visage et sa langue se sont engourdis alors que sa mère le conduisait à l’hôpital.

Le temps que Noah arrive à l’urgence, il a vomi. À 18 h, il ne répondait plus du tout.

Noah a été transporté au Duke University Medical Hospital, où son état a rapidement décliné.

Le 30 septembre 2020, Noah était presque complètement mort cérébralement. Le 8 octobre 2020, il est décédé quatre heures après le retrait de son tube respiratoire.

« Notre foi est très forte », a déclaré Kelli, « c’est pourquoi je sais que, malgré la douleur que notre famille continue de ressentir en l’absence de Noah, nous ne laisserons pas sa mort être vaine. Nous nous battrons pour lui en obtenant justice contre Merck pour ce qu’ils lui ont fait. »

Le père de Noah, Clifton, a déclaré :

« J’ai perdu mon compagnon de pêche et de chasse, et ma fille a perdu son meilleur ami. On dit que le temps guérit toutes les blessures, mais perdre son fils est quelque chose dont on ne guérit jamais vraiment. Chaque jour, nous ressentons cette perte, et ça ne devient pas plus facile. »

Les Foley ont invoqué “plusieurs raisons” pour engager une action en justice contre Merck. Dans une déclaration, ils ont dit :

« Avant tout, nous voulons que justice soit rendue à notre fils, qui a énormément souffert parce que Merck ne nous a rien dit des effets indésirables graves qui étaient possibles. Nous voulons des comptes et la reconnaissance que ce qu’ils ont fait est mal.

“Nous espérons que notre affaire sensibilisera les gens et donnera à d’autres familles la possibilité de faire des choix plus éclairés sur les risques associés au Gardasil.

“Enfin, nous voulons une forme de clôture, ce qui est quelque chose que nous n’avons jamais eu”.

31 actions en justice pour préjudice causé par le vaccin Gardasil consolidées le mois dernier

En août, une commission judiciaire a rendu une ordonnance consolidant plus de 31 actions en justice intentées contre Merck pour des blessures prétendument causées par son vaccin anti-VPH Gardasil.

Les poursuites allèguent que le géant pharmaceutique a accéléré le processus d’approbation de Gardasil par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis et a mené des essais cliniques trompeurs pour masquer les effets secondaires graves et exagérer l’efficacité du vaccin.

Le panel n’a pas été « convaincu » par l’argument de Merck selon lequel la consolidation des affaires augmenterait l’hésitation à se faire vacciner et provoquerait un afflux de plaintes « infondées » pour blessures dues aux vaccins.

Les poursuites consistent en des actions en responsabilité des produits, des actions en rupture de garantie, en fraude, en négligence et, dans certains cas, en violation des lois étatiques de protection des consommateurs.

La consolidation de tous les cas de blessures liées au Gardasil aux États-Unis dans une seule salle d’audience signifie que chaque enfant et chaque adulte blessés par le vaccin Gardasil peuvent maintenant plaider leur cause devant un seul juge fédéral, a déclaré Kennedy.

Baum Hedlund et Kennedy ont intenté de nombreuses actions en justice contre Merck, alléguant que la société dissimule sciemment les effets indésirables associés à son vaccin Gardasil. Il s’agit notamment de :

Bien que chaque cas soit unique, tous les plaignants s’accordent à dire que si Merck avait dit la vérité sur les dangers connus associés à Gardasil, ils n’auraient jamais consenti au vaccin contre le VPH.




L’Europe enregistre officiellement une augmentation choquante de 239 % de la surmortalité chez les adolescents et les jeunes adultes depuis que l’EMA a approuvé le vaccin Covid-19

[Source : anna-bellas.com]

Les chiffres officiels de la mortalité en Europe révèlent une augmentation choquante de 239 % des décès en excès chez les adolescents et les jeunes adultes âgés de 15 à 44 ans depuis que l’Agence européenne des médicaments a approuvé l’injection de Covid-19.

La surmortalité de cette tranche d’âge a augmenté de 280 % dans toute l’Europe en 2021, avec 5 479 décès en excès.

Malheureusement, le nombre de décès enregistrés chez les 15-44 ans en 2022 est plus élevé que celui de la même période au cours des six dernières années, ce qui a été suivi d’une augmentation de 187 % des décès en excès depuis le début de l’année.

EuroMOMO est une activité européenne de surveillance de la mortalité. L’organisation déclare que son objectif est de « détecter et mesurer les décès excédentaires liés à la grippe saisonnière, aux pandémies et aux autres menaces pour la santé publique ».

Les statistiques nationales officielles de mortalité sont fournies chaque semaine par les 29 pays européens ou régions infranationales faisant partie du réseau de collaboration EuroMOMO, soutenu par le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), et hébergé par le Statens Serum Institut, au Danemark.

Le graphique suivant montre les totaux cumulés de décès hebdomadaires en excès entre 2017 et 2022 chez les adolescents et les jeunes adultes âgés de 15 à 44 ans à travers l’Europe. Le graphique a été extrait du site web d’EuroMOMO et peut être consulté ici.

Comme vous pouvez le constater, à partir de la semaine 37 de 2022, il y a eu plus de décès en excès chez les 15-44 ans qu’il n’y en a eu pendant la même période de n’importe quelle autre année, y compris en 2020 qui aurait été l’apogée de la pandémie de Covid-19.

Le nombre de décès en excès en 2021 dans cette tranche d’âge dépasse également largement le nombre de décès en excès de chaque année précédente.

Le graphique suivant a été établi à partir des données fournies par EuroMOMO et montre le nombre de décès en excès par an de 2017 à 2021 -.

L’Agence européenne des médicaments a accordé pour la première fois l’autorisation d’utilisation en urgence d’un vaccin Covid-19 le 21 décembre 2020 pour tous les plus de 18 ans. Comme vous pouvez le voir ci-dessus, l’année qui a suivi a vu les adolescents et les jeunes adultes souffrir d’un nombre record de décès en excès, totalisant 5 749.

Cela représente 2 462 décès de plus qu’en 2020, au plus fort de la pandémie de Covid-19, et 4 235 décès de plus que la moyenne de 2017 à 2020.

Cela équivaut à une augmentation de 280 % de la surmortalité chez les 15 à 44 ans en 2021 par rapport à la moyenne de 2017 à 2020.

Le graphique suivant a été établi à partir des données fournies par EuroMOMO et montre le nombre de décès en excès entre la semaine 0 et la semaine 37 par an de 2017 à 2022 -.

En 2022, il y a eu jusqu’à présent 3 437 décès en excès chez les 15 à 44 ans. Cela représente 1 179 décès de plus que ce qui s’est produit en 2020, à l’apogée présumée de la pandémie de Covid-19, et 2 241 décès de plus que la moyenne de 2017 à 2020.

Cela équivaut à une augmentation de 187 % de la surmortalité chez les 15-44 ans en 2021 par rapport à la moyenne de 2017 à 2020.

Le graphique suivant montre le nombre total de décès chez les 15 à 44 ans en 2021 et 2022 jusqu’à présent, ainsi que la moyenne combinée de la semaine 0 à la semaine 52 de 2017 à 2020 et de la semaine 0 à la semaine 37 de 2017 à 2020.

Cela montre qu’il y a eu 6 069 décès de plus tout au long de 2021 et 2022 jusqu’à présent par rapport à la moyenne de 2017 à 2020. Cela équivaut à une augmentation globale de 239 %.

Récemment, nous avons révélé comment une enquête exclusive menée par l’équipe de The Exposé a forcé le département officiel des statistiques de l’Union européenne à entamer une enquête à l’échelle européenne pour déterminer pourquoi il y a eu une augmentation significative de la surmortalité chez les enfants âgés de 0 à 14 ans depuis que l’Agence européenne des médicaments a approuvé l’injection de Covid-19 pour les enfants.

Nous demandons maintenant au même département de lancer une autre enquête à l’échelle européenne pour savoir pourquoi il y a également eu une augmentation significative de la surmortalité chez les adolescents et les jeunes adultes depuis que l’Agence européenne des médicaments a accordé pour la première fois une autorisation d’utilisation d’urgence à une injection de Covid-19 à la fin de 2020.

Une augmentation qui ne montre malheureusement aucun signe de ralentissement.

https://expose-news.com/2022/09/25/europe-young-adult-deaths-239-percent-increase/




Covid-19 : Pfizer reste discret sur les contrats des vaccins, les eurodéputés insistent

[Source : euractiv.fr]

Par Clara Bauer-Babef

[Illustration : Tous les groupes politiques au Parlement européens exigent que les contrats d’achat des vaccins Pfizer soient connus de tous. (myboys.me/Shutterstock)]

Face aux questions, nombreuses, des eurodéputés, Pfizer s’est montré évasif lundi (10 octobre) concernant les contrats d’achat de vaccins et les textos échangés entre le laboratoire et Ursula von der Leyen. De quoi faire monter la tension d’un cran.

La commission spéciale du Parlement européen sur la Covid, aussi appelée commission COVI, a auditionné lundi plusieurs laboratoires pharmaceutiques, dont Pfizer, sur leur rôle dans la gestion de la pandémie.

Première déception pour les eurodéputés : le PDG de Pfizer Albert Bourla, qui devait initialement être là pour répondre à leurs questions, ne s’est pas présenté. Il a été remplacé par Janine Small, présidente des marchés internationaux développés chez Pfizer.

Face aux protestations des députés présents dans la salle, Mme Small s’est dite « désolée » de l’absence de M. Bourla, et a assuré qu’elle était la « mieux placée » pour répondre à leurs interrogations.

« Je pense qu’il n’est volontairement pas venu, car il n’avait pas envie d’affronter les polémiques », a déclaré l’eurodéputée française, et membre de COVI, Véronique Trillet-Lenoir à EURACTIV France.

Les polémiques, justement, Mme Small a dû y faire face, à commencer par l’opacité des contrats d’achat des vaccins Pfizer-BioNTech contre la Covid.

Tous les groupes politiques au Parlement européen exigent que les contrats soient connus de tous.

Pfizer fait preuve « d’une grande transparence », tous les contrats sont « disponibles pour les eurodéputés », a assuré Mme Small.

Disponibles oui, mais certaines parties sont caviardées. Autrement dit, illisibles.

« Nous n’avons jamais réussi à connaître les sites de production, jamais réussi à avoir des calendriers de livraison », a précisé Mme Trillet-Lenoir à EURACTIV.

Mme Small a indiqué que les informations étaient « confidentielles » pour des raisons de « concurrence ».

« Vous devez le prendre en compte », a-t-elle déclaré aux eurodéputés.

« Si les sites de production sont basés en Inde, cela pose des questions quant au droit du travail, à la sécurité d’acheminement, à la qualité des produits, ou encore le respect de l’environnement », a souligné Mme Trillet-Lenoir.

L’affaire des SMS

Plusieurs eurodéputés comme Sara Cerdas (S&D) ou Michèle Rivasi (ALD/Les Verts), ont ensuite demandé des explications sur l’affaire des SMS échangés entre la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et Albert Bourla.

L’affaire concerne des SMS envoyés alors que l’UE était en train de conclure les contrats pour acheter les vaccins contre la Covid-19. Au même moment, éclatait un conflit avec AstraZeneca, le rival de Pfizer.

Lorsqu’un journaliste allemand a demandé à voir les SMS, la Commission a répondu qu’elle ne les avait pas. Depuis, les eurodéputés exigent de connaître le contenu de ces messages, qui n’ont toujours pas pu être retrouvés.

Mme Small a assuré aux députés qu’aucun contrat n’avait été négocié par SMS.

« Chacun comprend que pendant la pandémie nous avons tous télétravaillé », a-t-elle dit, ajoutant que le PDG de Pfizer avait donné son numéro à de multiples reprises durant cette période pour « échanger à travers le monde ».

En juillet dernier, la médiatrice européenne Emily O’Reilly a sévèrement critiqué la Commission européenne et a qualifié de « mauvaise gestion administrative » l’affaire des SMS.

 « Il n’est pas possible de mener ces négociations par SMS », tant ils sont « complexes », s’est défendue Mme Small, avant de conclure : « le contrat a suivi la procédure habituelle ».

Mais selon Mme Trillet-Lenoir, même si Pfizer a sauvé des millions de vie, le laboratoire doit répondre à des questions légitimes.

C’est pourquoi la présidente de la commission COVI a décidé de renvoyer une invitation à Albert Bourla. Viendra-t-il ? Affaire à suivre.




Effets de l’audition Covid au parlement européen

En vrac, des prises de conscience et des suites envisageables :

Source : Ciel voilé

(voir aussi :
Pfizer a déclaré à la Commission européenne que le vaccin n’a jamais été testé pour ce qui concerne la transmission. Véran a donc menti)




Pfizer a déclaré à la Commission européenne que le vaccin n’a jamais été testé pour ce qui concerne la transmission. Véran a donc menti

Lors de l’audition du COVID, le directeur de #Pfizer admet : Le #vaccin n’a jamais été testé pour prévenir la transmission.

« Se faire vacciner pour les autres » a toujours été un mensonge.

Le seul but du passeport #COVID : forcer les gens à se faire vacciner.

Le monde doit savoir. Partagez cette vidéo !

https://www.bmj.com/content/371/bmj.m4037

Alexandra Henrion Caude, généticienne : 
Merci beaucoup pour votre intervention avec vos collègues. Ce représentant de Pfizer vient de partager ce que nous savions depuis 2020, fortement souligné par le Dr #PeterDoshi dans son éditorial @bmj_latest
Le Dr Peter Hotez @Baylor a déclaré
Idéalement, vous voulez qu’un vaccin antiviral fasse 2 choses
1 réduire la probabilité que vous tombiez gravement malade et que vous alliez à l’hôpital
2 prévenir l’infection et donc interrompre la transmission de la maladie
POURTANT, LES ESSAIS DE PHASE III N’ONT PAS ÉTÉ MIS EN PLACE POUR PROUVER L’UN OU L’AUTRE »
dixit Doshi

http://www.senat.fr/rap/r20-234/r20-2341.pdf



REVUE DE PRESSE DU 11 OCTOBRE 2022

Par MF

ÉDITORIAL
Le principe de précaution, c’est fini !

Ainsi l’a voulu la Commission européenne en autorisant la mise sur le marché standard de Cominarty, alors même que de nombreux pays limitent les indications des vaccins selon l’âge et l’état de santé, que l’Australie va même jusqu’à rembourser les frais d’obsèques des victimes, qu’un consensus en Europe se dessine pour ne plus vacciner les jeunes, qu’aux USA les documents cachés révèlent qu’un injecté sur trois a souffert d’effets indésirables, que le mécanisme biologique de ceux-ci est révélé, que la dangerosité des tests et des masques se confirme, tandis que l’OMS sonne la fin de la pandémie.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Sénat : quand sera levée l’obligation vaccinale pour les soignants et pompiers ?

https://www.francesoir.fr/politique-france/sylviane-noel-cingle-gouvernement-refus-reintegration-soignants-suspendus

« Sylviane Noël a demandé le 4 octobre au gouvernement quand celui-ci comptait réintégrer les soignants et pompiers suspendus pour non-vaccination contre le Covid-19. »

Le retour du masque ?

https://www.francesoir.fr/societe-sante/covid-19-brigitte-autran-annonce-que-le-retour-du-masque-obligatoire-est-l-etude

« Le Covars (nouveau conseil scientifique) étudie ce point, avec différents modèles, comme l’ensemble des pays européens, les États-Unis, l’Amérique du Nord. Aujourd’hui, personne n’a réintroduit l’obligation du masque, mais tout le monde l’étudie. »

Notion de « personnes-années dans les études épidémiologiques »

https://ctiapchcholet.blogspot.com/2022/10/vaccin-contre-la-covid-19-des-milliers.html

« Une discipline notamment scientifique qui ne répond pas aux attentes réelles des personnes humaines/qui s’écarte du bon sens… est une discipline décadente, atteinte, moribonde. »

ÉTRANGER

EUROPE — La Commission européenne vient de transformer l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle de Cominarty en mise sur le marché standard

https://www.ema.europa.eu/en/human-regulatory/overview/public-health-threats/coronavirus-disease-covid-19/covid-19-latest-updates

Plus aucun principe de précaution, du jamais vu !

MONDE — Les décisions majeures ne venaient ni des États ni de l’OMS

https://www.limpertinentmedia.com/post/comment-la-machine-turbo-de-bill-gates-a-pilot%C3%A9-la-gestion-du-corona

« Pilotage par Le réseau du lobby Gates comprend la “Bill & Melinda Gates Foundation” à Seattle (“Un monde meilleur d’ici 2030 est à notre portée” ; ses actifs se montent à environ 70 milliards de dollars), le “Wellcome Trust”* de Londres (portefeuille d’investissement 38 milliards de livres), l’alliance pour la vaccination GAVI à Genève et le CEPI “Coalition for Epidemic Preparedness Innovations”) à Londres et Oslo. »

AUSTRALIE — Le gouvernement rembourse les frais d’obsèques des victimes des injections, et d’autres pays limitent les injections selon l’âge

https://pgibertie.com/2022/10/11/les-petits-pas-de-la-verite-laustralie-rembourse-meme-des-frais-dobseques-des-victimes-des-injections-plusieurs-pays-protegent-du-poison-les-moins-de-50-ans-et-les-etudes-multiplient-les-exemp/

La vérité avance à petits pas.

BELGIQUE, DANEMARK, ROYAUME-UNI, SUÈDE — Il ne faut pas vacciner les jeunes

« Vacciner les jeunes contre le covid est inutile, inefficace et dangereux »

CANADA — Tout ce qui n’est pas conforme au discours officiel est sanctionné

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/epictetus-tout-ce-qui-ne-conforme-pas-l-opinion-officielle-est-sanctionne

« Interview d’un biologiste qui attribue la censure au gouvernement canadien et à un Premier ministre qui n’a eu de cesse de diviser en ostracisant les personnes en désaccord avec le récit officiel, particulièrement sur la vaccination obligatoire ou encore sur les traitements précoces (ivermectine, hydroxychloroquine, vitamine D). »

CHINE — Refus d’acheter le vaccin Moderna sans connaître sa composition

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/10/04/moderna-refuse-de-ceder-a-la-chine-la-propriete-intellectuelle-du-spikevax/

« Moderna aurait pris cette décision par suite de problèmes commerciaux et de sécurité impliquant certaines personnes qui participent aux négociations. »

ROYAUME-UNI, ÉCOSSE — Lancement d’une enquête sur l’augmentation de mortalité des bébés

https://www.bbc.com/news/uk-scotland-63097142

Pas lien avec le Covid, mais les pics de mortalité pourraient-ils avoir un lien avec les injections ?

USA — Bourla le PDG de Pfizer refuse d’être auditionné par le Parlement européen

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/10/05/alerte-malgre-la-pression-des-deputes-europeens-bourla-refuse-toujours-detre-auditionne/

Il envoie une personnalité de second ordre pour l’audition du 10 octobre.

USA — Dissimulation de résultats d’autopsie chez des vaccinés

https://www.aubedigitale.com/la-fda-dissimule-les-resultats-dautopsie-des-personnes-decedees-apres-avoir-ete-vaccinees-contre-le-covid-19/

« Les autopsies peuvent constituer une partie importante de l’analyse post-mortem et devraient être pratiquées, notamment en cas d’augmentation du nombre de décès après la vaccination contre le COVID-19 »

SUÈDE — Abandon de la vaccination chez les adolescents

https://www.francesoir.fr/societe-sante/covid-19-la-suede-ne-recommande-plus-la-vaccination-pour-les-adolescents

« La décision signifie qu’à partir du 1er novembre la recommandation — vaudra seulement pour les mineurs des groupes à risque pour le Covid-19. Début septembre, le Royaume-Uni avait, lui, levé sa recommandation pour les moins de 11 ans en bonne santé. Le 13 septembre, le Danemark décidait de ne plus recommander la vaccination anti-Covid pour les personnes âgées de moins de 50 ans. »

JUSTICE

Edouard Philippe convoqué à la Cour de justice de la République pour sa gestion du covid

https://www.lemonde.fr/politique/article/2022/10/10/crise-du-covid-19-edouard-philippe-convoque-le-24-octobre-a-la-cour-de-justice-de-la-republique_6145233_823448.html

Les magistrats envisagent la mise en examen de l’ancien premier ministre pour « mise en danger de la vie d’autrui » et « abstention volontaire de combattre un sinistre ».

Un parent porte plainte contre un principal pour discrimination envers des non-vaccinés

https://www.francesoir.fr/opinions-entretien/passe-sanitaire-enfance-libertes-soutient-la-poursuite-penale-d-un-parent

« Les nombreuses tentatives amiables étant restées vaines, la voie pénale est apparue comme le seul recours susceptible de faire reconnaître l’infraction à la loi commise par ce fonctionnaire et déclencher les sanctions adéquates en conséquence. »

La requête d’un pompier suspendu rejetée par la Cour européenne des droits de l’homme

https://www.leparisien.fr/societe/covid-19-la-requete-dun-pompier-francais-suspendu-car-non-vaccine-rejete-par-la-cour-europeenne-des-droits-de-lhomme-06-10-2022-DQ22I4TJNNARPOJ6GRXF32EW7M.php

« À l’unanimité, les magistrats européens ont jugé la requête “irrecevable”, “faute pour le requérant d’avoir épuisé les voies de recours internes avant de la saisir”, en l’occurrence devant les juridictions administratives. Cette décision est définitive. »

USA — La justice américaine oblige l’administration à rendre publics des documents cachés sur les effets secondaires des injections

https://pgibertie.com/2022/10/06/la-justice-americaine-oblige-ladministration-a-rendre-publics-des-documents-caches-sur-les-effets-secondaires-un-injecte-sur-trois-en-a-souffert-un-sur-douze-a-ete-pris-en-charge-par-le-systeme/

Les 10 millions d’utilisateurs de V-safe ont signalé environ 71 millions de symptômes. !

USA — Le gouvernement sur le banc des accusés

https://www.laselectiondujour.com/politique-de-confinement-anti-covid-le-gouvernement-americain-sur-le-banc-des-accuses-n1708/

« Le but du procès n’est pas de réclamer de l’argent, mais d’établir une jurisprudence : le gouvernement ne peut pas utiliser des entreprises privées pour contourner la Constitution… »

USA — Plainte contre la FDA pour ses déclarations trompeuses sur l’Ivermectine

https://finance.yahoo.com/news/fda-misled-public-ivermectin-accountable-144900899.html

La FDA « s’est engagée dans une campagne d’interférence avec l’utilisation correcte par les médecins de l’ivermectine, qui a depuis longtemps été approuvée comme étant totalement sûre pour l’usage humain »

COVID

Le lavage nasal contre les formes graves de Covid

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/10/05/une-etude-preconise-un-simple-lavage-nasal-pour-prevenir-les-formes-graves-du-covid-19/

Pratique courante en Asie, peu coûteuse et sans danger.

Recul de contamination chez les petits enfants, heureusement peu vaccinés !

https://pgibertie.com/2022/10/01/heureusement-que-les-petits-enfants-nont-pas-ete-massivement-vaccxx-en-france-cest-la-seule-categorie-dage-qui-connaisse-un-fort-recul-de-la-contamination/

Comment le surpoids augmente le risque de covid sévère

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/09/30/une-etude-explique-comment-le-surpoids-augmente-le-risque-de-covid-severe/

« Les résultats de cette étude récente démontrent que lorsque le SARS-CoV-2 atteint les tissus adipeux, il y a une forte réplication virale au niveau des adipocytes. Cela provoque des inflammations locales et systématiques importantes, ce qui explique le développement de la forme grave du Covid-19. »

Fin de la pandémie en vue, d’après l’OMS

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/10/05/vers-la-fin-de-la-pandemie-de-covid-19-selon-loms/

Mais narratif inchangé avec un scénario du pire..

TESTS ET MASQUES

Pourquoi de nombreux bâtonnets de tests brillent-ils sous la lumière UV ?

https://report24.news/naechste-episode-in-antigentest-skandal-warum-leuchten-viele-teststaebchen-unter-uv-licht/?feed_id=22275

Impuretés, absence de contrôles, suspicion de la présence de résidus d’oxyde d’éthylène, toxique et cancérigène, microfibres aux arêtes parfois très vives qui se détachent de la tête de l’écouvillon dès l’emballage, mais aussi lors du prélèvement de l’échantillon, et restent dans la muqueuse nasale, pouvant expliquer la sensation de corps étranger dont de nombreuses personnes font état pendant plusieurs jours après le test.

« Il est du devoir des autorités de l’UE et des États respectifs de préserver la population de tout dommage et de contrôler la qualité et la nature des dispositifs médicaux et non de reporter en toute bonne foi cette activité de contrôle sur des fabricants chinois inconnus et douteux ».

Les effets secondaires du port du masque chez les enfants sont catastrophiques

https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/les-effets-secondaires-port-du-masque-enfants-catastrophiques-sabine-bauvaux

Éthique dans la fabrique de masques dans une entreprise française, ce qui n’est pas le cas pour les masques chinois !

INJECTIONS

Stocks à détruire !

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/covid-19-la-france-va-t-elle-devoir-detruire-ses-30-millions-de-doses-de-vaccins_2181153.html

Ah, c’est ballot ! « près de 30 millions de doses de vaccins à 19,50 € la dose ! 585 millions d’€ partis en fumée, soit le coût de construction de 2 hôpitaux ou 195 000 journées de réanimation… »

Essais thérapeutiques et biais d’expertises

https://qg.media/blog/laurent-mucchielli/essais-therapeutiques-et-biais-dexpertise-le-cas-du-vaccin-de-pfizer/

« Depuis la fin des années quatre-vingt, nous savons que le principal facteur prédictif des conclusions des études cliniques ne se situe pas dans la méthodologie, mais dans les liens d’intérêt entre le commanditaire ou le financeur de l’étude et ses cosignataires. L’essai clinique organisé par Pfizer, qui a scientifiquement fondé la “vaccination” obligatoire de tous les personnels et justifié l’exclusion des soignants réfractaires aux injections, en est une nouvelle illustration. »

EFFETS INDÉSIRABLES

Explication biologique des effets indésirables

https://www.aimsib.org/2022/10/02/explications-biologiques-du-mecanisme-des-effets-indesirables-des-vaccins-anti-covid-19/

« Les vaccins anti-COVID-19 utilisés sont tous fondés sur la spike ou la contiennent.Les vaccins reproduisent les effets pathogènes de la spike virale toxique.La plupart des mécanismes biologiques qui expliquent les effets indésirables des vaccins ont été anticipés par des experts officiels ou non.

La spike du SARS-CoV-2 interagit avec le système rénine-angiotensine (via sa liaison à l’ACE2) et va le déréguler : ce mécanisme permet d’anticiper la pathogénicité du virus et des vaccins.De plus, l’ADE est connu pour les vaccins anti-coronavirus et a été noté dans les essais de vaccins contre le SARS-CoV-1. L’ADE a été démontré dans la COIVD-19 et les anticorps facilitants trouvés après vaccination.Les autres mécanismes biologiques concernent l’effet allergisant du PEG des nanoparticules (LNPs), les homologies de la spike avec les protéines humaines, la biodistribution des LNPs dans le foie, la rate, les ovaires et testicules, la moelle osseuse, en particulier, la capacité de la spike de se transformer en prion. L’immunosuppression aspécifique et spécifique sont aussi explorées dans ce texte ainsi que l’effet cancérogène des vaccins. »

Les myocardites et thromboses seront abordées ultérieurement.

Vieillissement cellulaire accéléré et cancers

https://pgibertie.com/2022/10/02/les-injections-font-vieillir-les-cellules-a-une-vitesse-acceleree-facilitent-les-cancers-une-etude-japonaise-preconise-un-adjuvant-anticancereux-si-lon-veut-poursuivre-les-vaccxxx/

« Une étude japonaise démontre que les injections épuisent l’organisme et qu’une thérapie compensatoire anticancéreuse est nécessaire. »

Troubles oculaires après les injections

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8875181/pdf/vaccines-10-00342.pdf

« Troubles palpébraux, orbitaires, cornéens, uvéites, rétiniens, vasculaires, neuro-ophtalmologiques, troubles de la motilité oculaire… Une revue de la littérature : 58 articles scientifiques. »

Troubles du cycle féminin

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/10/03/vaccin-covid-et-troubles-du-cycle-feminin-le-probleme-se-fait-peniblement-son-chemin-dans-la-litterature-medicale/

« Banalisation des troubles, encore un triste exemple du déni de réalité d’une agence nationale prise dans un réseau sanitaire mondial qui a perdu son autonomie face à l’industrie pharmaceutique. »

Impact sur la fertilité

https://pgibertie.com/2022/10/04/les-injections-vaxx-covid-le-sperme-et-les-reserves-ovariennes/

« Est-ce à dire qu’au bout de 3 ou 4 rappels annuels la fertilité d’une bonne partie des hommes et des femmes sera anéantie ? Ces études peuvent le laisser supposer… Il est urgent d’interdire ces injections à tous ceux qui veulent des enfants ».

Multiplication des études sur les effets indésirables

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/10/04/les-revelations-des-etudes-sur-les-effets-indesirables-des-injections-covid-se-multiplient/

« Le chercheur recommande aux ophtalmologues de surveiller de près les patients atteints de maladies thyroïdiennes qui viennent de recevoir un vaccin. »

RÉSISTANCES

Témoignage d’un médecin suspendu

« Un Président, c’est un Président pour TOUS les Français. Il n’a pas le droit d’ostraciser des gens, il n’a pas le droit de les désigner à la vindicte populaire. »

Témoignage d’une infirmière suspendue

« Le plus souvent, la population pense que tout est redevenu “normal” ; mais non, l’obligation vaccinale est encore en vigueur : nous ne pouvons pas retourner exercer notre métier ! »

Réinfo Covid Québec, revue de presse du 3 octobre

Réinfocovid du 6 octobre 2022

https://reinfocovid.fr/

et en particulier :

https://reinfocovid.fr/science/myocardites-post-vaccinales-plus-graves-quannoncees/

« en raison de leurs effets potentiels à long terme »

CSI du 6 octobre 2022

Invité : Dr Jérome SAINTON Médecin généraliste
Sujet : De l’efficacité de la vaccination anti-Covid et de quelques (autres) biais.



ARTE 18 octobre, des vaccins et des hommes

https://www.arte.tv/fr/videos/091092-000-A/des-vaccins-et-des-hommes/

« Nous sommes un certain nombre dans le pays à déplorer qu’il n’y ait pas de débat autour de la vaccination dans les médias grand public.

ARTE décide de corriger cette anomalie en programmant mardi 18 octobre à 20 h 50 un documentaire sur la question : “Des vaccins et des hommes” d’Anne Georget »

Intégrité de la décision publique et corruption

« La question de la fraude et de la corruption au sein des politiques de santé, est centrale à la compréhension de la gestion désastreuse de la pandémie de Covid-19. »




Les nazis ont-ils gagné la guerre ?

« Le Maître du haut château1 »
Les nazis ont-ils gagné la guerre ?

À Shanti…

Typiquement le genre de titre qui pourrait réjouir certains complotistes et conforter les hypnotisés sur ma « folie » déviante.

Pour celles et ceux qui l’ignorent, « Le maître du haut château », « The man in the high castle » est un roman écrit en 1962 par Philip K. Dick. Je vais ici vous parler de la série télévisée inspirée du livre actuellement disponible sur le bouquet Amazon Prime, merci Jeff2, toujours là pour aider !

Les lignes qui suivent vont donc vous révéler certaines intrigues de la série et j’invite tous ceux qui seraient désireux de la voir (en gardant tout le suspens) de ne pas lire les paragraphes consacrés.

« Le maître du château. »

L’intrique se déroule dans les années 1960 principalement sur le territoire des États-Unis. La différence de taille, par rapport à notre époque, est que les nazis et les Japonais sont sortis vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale.

Le territoire Nord-Américain est ainsi divisé en 3 parties :

  • L’est pour le Reich.
  • L’ouest pour l’empire du Soleil levant.
  • Et une zone neutre sans droit, en son centre.

Un des points intéressants de la série est qu’elle ne fait pas dans le manichéisme de base cher à Disney ou à Hollywood. Les pourritures ne le sont pas tant que ça, et ils sont parfois plus humains que les résistants américains.

Je ne doute pas que vous appréciez me voir vous narrer une série, mais vous aurez bien compris que l’objectif de mon texte n’est pas là.

Les « valeurs » du Reich après guerre

Il est de bien entendu que les nazis ont exporté leurs « idéaux ». Être juif sur ce territoire relève de la folie, les noirs étant quant à eux considérés comme des sous-hommes à la limite de l’animal.

Dans ce monde « idyllique et harmonieux » (pour les Aryens), point de souffrances, point d’inutiles, points de handicapés, point de violence (autre que celle du régime).

Comme « au bon vieux temps », les inutiles sont éliminés pour leur « bien » et le bien du Reich. L’objet de ce nettoyage ne se veut pas uniquement eugéniste, mais a pour but d’éviter la déchéance et la souffrance à tous ces malheureux de la vie.

Le « Service de Santé du Reich » est donc là pour « abréger les souffrances » des malades mentaux, des handicapés moteurs et de tout individu qui serait condamné par une maladie incurable.

Cette composante « humaniste » et « généreuse » est affirmée par la propagande nazie et développée dans de nombreux ouvrages « scientifiques et philosophiques ».

« Thomas Smith. », citoyen du Reich.

Dans la série, il est le fils aîné de l’Obergruppenführer John Smith, un nazi haut placé fidèle à sa patrie qui n’hésite pas à faire tuer et torturer quand cela est nécessaire pour le bien de la patrie.

Thomas est un bon petit, d’une quinzaine d’années, dévoué et intègre, membre actif comme il se doit des jeunesses hitlériennes, fier de sa famille, de son pays et de son papa.

Tout irait pour le mieux quand, lors d’une visite de routine, le médecin de famille (aussi haut gradé) découvre que Thomas souffre d’une maladie génétique neurodégénérative pour laquelle il n’existe aucun traitement. Il est condamné à relativement court terme.

John et sa femme évoluent alors dans leur mentalité. Les lois « généreuses et humanistes » du Reich voudraient que Thomas soit immédiatement euthanasié avant que les symptômes handicapants et la souffrance ne fassent leur apparition.

Pour eux, leur fils doit vivre, ils sont et demeurent avant tout des parents, nazis ou pas. Ils prévoient ainsi de le faire partir pour un voyage d’études en Amérique du Sud où il « disparaîtrait » suite à un « enlèvement ».

Mais le médecin de famille, conscient de son devoir, explique au père que s’il ne dénonce pas lui-même son fils aux autorités, il s’en chargera. N’ayant plus d’échappatoires, l’Obergruppenführer tue le médecin et camoufle sa mort en crise cardiaque.

Thomas serait ainsi sauvé !

Jusqu’au moment où le drame se produit… En voyant son père en direct à la télé à Berlin, récompensé d’avoir sauvé le Reich et ses valeurs, Thomas comprend son devoir et commet l’irréparable.

Il se dénonce volontairement auprès du Service de Santé du Reich qui vient le chercher à son domicile pour le tuer « humainement ».

Cet enfant est à ce point fier de sa patrie, fier de sa famille, à ce point imbibé des « valeurs » du Reich, qu’il va « volontairement » se faire éliminer pour ne pas devenir un parasite inutile à la patrie.

Ainsi ni lui ni sa famille ne seront les témoins de sa déchéance. Il vit donc son suicide assisté comme un acte de bravoure dont toute la famille pourra être fière.

** fin de l’évocation de la série **

« Remercions le ciel de ne pas vivre dans un tel monde de nazis. »

Les alliés ont gagné la Deuxième Guerre mondiale, les nazis ont perdu et la dictature immonde d’Hitler s’en est allée.

Nous avons la chance de vivre dans une « démocratie » si loin des « valeurs immondes véhiculées par l’idéologie nazie » (quand bien même elle est partagée par de nombreux Ukrainiens nostalgiques du Reich).

Point d’eugénisme dans notre pays et notre belle Europe !

Euh, vous en êtes bien sûr ?

95 % des grossesses conduiraient à un avortement en cas de détection de trisomie3.

Je vous rappelle que le diagnostic de trisomie n’est pas une science totalement exacte, mais un faisceau d’indices plus ou moins forts. Ce qui veut dire que chaque année des enfants désirés et en pleine santé sont privés du droit à la vie.

C’est d’autant plus paradoxal que le nombre de lois pour respecter la dignité et les conditions de vie des handicapés ne faire que croître. Que de campagnes de lutte contre la discrimination alors que dans le même temps il y a une politique eugéniste organisée et valorisée.

Il y aurait 450 naissances d’enfants trisomiques par an en France. La prévalence de la maladie serait 1 sur 700 à 800 grossesses.

Notons qu’il y a eu en France en 2020, 222 000 interruptions de grossesse4 pour 697 000 naissances5, soit un total de 919 000 grossesses.

Selon l’OMS :

« Environ 73 millions d’avortements provoqués ont lieu chaque année dans le monde6. »

Il devrait y avoir environ 1100 naissances trisomiques par an (sans tenir compte des fausses couches).

« Une étude publiée par la revue European Journal of Human Genetics estime qu’entre 2011 et 2015, il y a eu chaque année 8 000 naissances d’enfants porteurs de trisomie 21 en Europe. Sans interruption médicale de grossesse, ce chiffre aurait atteint 17 331 naissances7. »

Sur 4 ans notre société a donc empêché la naissance d’environ 8 000 enfants « pas comme les autres ».

L’Islande un exemple à suivre ? Le magazine « génétique8 », qui se targue d’être le premier site de « Bioéthique » (je ne sais pas si il faut en rire ou en pleurer).Celui-ci note les « progrès » citant par exemple le Danemark où « 95 % des bébés porteurs de trisomie 21 sont avortés ». Quant à l’Islande, pays de grands espaces et d’harmonie, « aucune naissance de bébé trisomique n’a été recensée depuis 2017 ».

Rappelons que l’avortement, en l’occurrence le meurtre, si il est pratiqué sur un fœtus viable, est autorisé jusqu’à la naissance pour les bébés qui seraient trisomiques.

Comment appelez-vous le fait de sélectionner volontairement les enfants à naître
selon leurs caractéristiques génétiques sinon de l’eugénisme ?

Ah bien sûr, c’est pour éviter des souffrances… mais n’est-ce pas le même principe évoqué dans la série « le maître du haut château » ?

« Nous ne sommes pas comme des nazis, nous ne tuons pas des personnes dans la fleur de l’âge, en bonne santé physique. Et encore moins des malades mentaux ! »

Comment puis-je oser une telle question alors que nous vivons en France et en Europe dans les patries des droits de l’homme !

Pour autant, le 7 mai 2022 les services de santé belges ont « assassiné » à sa « demande », une jeune femme de 23 ans9

  • Cette femme était-elle en fin de vie ? NON !
  • Cette femme avait-elle une perte d’espérance de vie ? Non !
  • Cette femme avait-elle une maladie physique incurable ? NON !
  • Cette femme avait-elle des souffrances physiques ? NON !

Cette femme témoin de l’attentat en 2016 dans l’aéroport de Zaventem n’y avait pas été blessée.

Le média précise :

« Au printemps dernier, sa demande d’euthanasie a été acceptée par la Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie, au motif d’une “souffrance psychique irrévocable et permanente. Elle est morte entourée de sa famille »

Cela veut dire que cette jeune femme souffrait d’un trouble de stress post-traumatique !

Elle avait ce que l’on nomme une maladie psychiatrique ou mentale selon le vocabulaire, maladie exacerbée par le traumatisme de l’attentat.

Notre société a accepté la mise à mort d’un humain
« à sa demande » pour maladie psychiatrique.

Libre arbitre ?

Je vous rappelle que pour tout traitement, et je précise bien « traitement » et non « mise à mort », le consentement libre et éclairé du patient doit être obtenu.

(Vous n’imaginez pas ma souffrance en écrivant ces lignes.)

Le Conseil national de l’Ordre des Médecins10 précise :

« … Le majeur sous tutelle.
S’il est apte à exprimer sa volonté, son consentement doit être recherché. S’il est hors d’état de consentir aux soins en raison d’une altération de ses facultés mentales, le tuteur prend alors le relais, mais de façon encadrée. »

Nous avions à faire, sans l’ombre d’un doute, à une personne suicidaire, souffrant de trouble mental et sa demande a été acceptée par notre société.

Ce que certains nomment « suicide assisté » me laisse aussi perplexe d’un point de vue psychiatrique.

Pourquoi cette personne qui aurait fait la demande à plusieurs reprises selon les médias ne s’est-elle pas suicidée ? Il ne s’agit ici nullement d’une personne âgée grabataire, en soin palliatif ou inconsciente, mais d’un être humain physiquement « fonctionnel ».

Celle-ci avait d’ailleurs remplacé sa photo de profil Facebook11 le 11 mars par une photo gaie et pleine de vie.

Pourquoi a-t-elle fait appel aux autorités pour mettre fin à ses jours ?

Les méthodes ne manquent pas, des plus brutales en sautant du 8e étage ou sur les rails d’un train, aux plus douces comme l’ingestion de médicaments causant la mort. Je suis certain qu’il existe une multitude de sites expliquant avec moult détail comment se donner la mort efficacement et sans souffrance.

L’interrogation est d’autant plus forte qu’elle aurait fait une tentative de suicide12 en 2020. De plus elle aurait refusé13 de rejoindre un groupe de soutien pour les victimes de l’attentat afin de se faire aider.

D’un point de vue psy, il est intéressant de se demander si sa demande était profondément ancrée en elle ou si elle constituait en un appel à l’aide ? Une fois sa demande d’euthanasie active lancée, difficile de revenir en arrière !

Elle est certainement passée du stade de « femme sans espoir et sans but hormis une souffrance éternelle » à « femme avec un nouveau sens à sa vie, celui de la reconnaissance de sa souffrance et se faire tuer par la société ».

J’ai l’intime conviction que la bataille d’expert qu’elle a dû mener a rendu cette jeune femme « vivante ». Elle a donc été tuée par la société alors qu’elle n’avait pas été aussi vivante depuis des années ! Il est délirant de voir que les psychiatres chargés d’analyser sa demande n’aient pas perçu (ou qu’ils aient ignoré) ces faits.

Il est merveilleux de constater comment ces prétendus médecins ont trouvé la solution finale pour transformer leur incompétence en succès.

Alors que ces « soignants » devraient présenter des excuses en disant
« nous sommes impuissants, notre savoir est de paille,
nous ne savons pas soulager la souffrance
et nous allons nous battre pour progresser ! ».
Ceux-ci présentent comme une « victoire » le fait de dire
« Nous allons tuer un être humain pour abréger ses souffrances
comme on abat un cheval ! ».

Un cas isolé ?

Depuis les années 2000, date de la légalisation de l’euthanasie en Belgique, le nombre ne fait qu’augmenter avec un total de 2 699 euthanasies déclarées ! Soit un doublement depuis 2012.

La commission précise qu’un tiers des tués avait moins de 60 ans, soit 869 personnes !

Les données indiquent aussi que 50 souffraient uniquement d’affections psychiatriques. Si l’on rajoute les personnes souffrantes de troubles physiques ET psychiques, 20 % soit 540 personnes de plus, alors on peut affirmer le nombre d’euthanasies pour des personnes impactées par des troubles psy à 600, soit 22 % du total !

600 personnes ne bénéficiant pas d’un jugement objectif, car altéré par des troubles psy,
ont été autorisées à se faire tuer depuis la légalisation de l’euthanasie.

Et si on tuait aussi les enfants ?

« Il y a un an était promulguée la loi du 28 février 2014 « modifiant la loi du 28 mai 2002 relative à l’euthanasie, en vue de l’étendre aux mineurs ». La Belgique devenait ainsi le premier et seul pays au monde à autoriser l’euthanasie de mineurs sans qu’aucune condition relative à l’âge de ceux-ci ne doive être rencontrée.

Réalisez-vous, pesez-vous les mots que vous venez de lire ?

« Aucune condition relative à l’âge »

Et de rajouter :

« Certains s’en sont félicités, rappelant le rôle « pionnier » joué par la Belgique dans la mise en place d’un cadre légal pour l’euthanasie, présentée comme ultime “acte d’humanité” dont tout patient, majeur ou mineur, devrait pouvoir bénéficier14. »

« Rôle pionnier ! »
« Ultime acte d’humanité ! »

Ceci voudrait donc dire (comme dans cette série avec les nazis) qu’il serait non pas uniquement légal, mais « humain » de tuer un enfant de 10 ans en dépression prolongée suite à une rupture amoureuse !

Vous pourriez me dire que j’exagère et je vous dirais de revenir lire ce texte dans 5 ans. Si nous n’avons pas vaincu le satanisme, il est probable que cela sera devenu monnaie courante.

Je suis bon prince, je vais faire évoluer mon scénario :

Imaginons que non loin de cette femme de 23 ans légalement tuée, il y eut le jour de l’attentat (elle avait alors 16 ans), un enfant de 10 ans avec ses parents. Ses parents, qui plus est sa seule famille, sont déchiquetés par l’explosion sous ses yeux. Lui a le bras arraché et en plus du stress post-traumatique il a d’énormes douleurs « physiques » fantômes dans le bras que les antidouleurs ne soulagent pas. Deux ans après l’accident, il demande alors à être euthanasié, il aurait alors 12 ans.

Au nom de quoi les « gentils enculés » lui refuseraient-ils ce geste « d’ultime humanité » à l’âge de 16 ans ?

Ils « sauraient », comme pour la jeune fille de 23 ans, que sa souffrance serait « irrévocable » alors même qu’il aurait encore 70 ans d’espérance de vie !

Mais pourquoi n’accéderaient-ils pas à sa demande « légitime » et « légale » de mise à mort ?

Pente savonneuse, une euthanasie « humaine » ?

Le doigt a été mis dans l’engrenage et il est à prévoir que des enfants de cinq ans à l’espérance de vie longue comme le bras seront euthanasiés tôt ou tard. J’écris « seront » en priant que ce ne fut pas déjà le cas…

Celles et ceux qui font les malins aujourd’hui en pérorant :

« Je ne veux pas de déchéance, je veux être euthanasié sur le champ si je deviens grabataire. »

… n’ont pas été confrontés à la réalité de la mort.

Croyez bien qu’au moment où celle-ci s’approchera à grands pas, ils seront nombreux à regretter leur joli papier de décision purement intellectuelle.

Combien de petits cancéreux demandent leur mise à mort ou renoncent à vivre parce que le personnel soignant leur a bien fait comprendre qu’ils sont foutus, qu’ils dérangent, qu’ils coûtent une fortune à la société ou qu’ils font souffrir inutilement leurs parents désespérés ?

Hormis des cas exceptionnels, il est possible de soulager la douleur physique. Donnez de l’espoir ou ne serait-ce que de l’amour dans le présent et aucun de ces enfants ne demandera à en finir !

Une euthanasie « humaine » ? (bis)

Je vais sortir un instant du cas de cette pauvre victime d’une barbarie digne des plus grands nazis pour me focaliser sur les cas où elle pourrait avoir un sens.

Il est bien entendu qu’elle ne saurait être une assistance au suicide comme dans le cas de cette jeune femme qui avait toute la vie devant elle.

Alors existe-t-il des cas où le principe de l’euthanasie serait valide tout en ne tombant pas dans l’idéologie nazie ?

La douleur physique ?

Je vous rappelle que la douleur est aussi ce qui nous rend vivants, c’est aussi elle qui nous rappelle que l’on n’a pas basculé dans l’au-delà. Il existe de nombreux malades qui ne veulent par hurler à la mort, mais veulent continuer à ressentir, à être dans le présent et non dans un coma dont ils ne sortiront jamais vivants.

Donc une douleur physique ne saurait conduire à une euthanasie « humaine » que s’il n’est pas possible de la rendre supportable ET que « l’espérance de vie est résiduelle », comme le dirait ce « cher » Dr Alexandre15 probablement pro-euthanasie.

Si la personne en question peut être efficacement soulagée ou que son espérance de vie est importante alors il serait criminel de la tuer. Qui sait si le lendemain du meurtre ne verrait pas poindre un remède contre sa maladie ou contre sa souffrance physique ? Je parle bien sûr d’euthanasie et non pas d’une assistance à la mort pour les dernières minutes de vie. On ne laisse pas une personne mourir asphyxiée, on va abréger ses souffrances (exemple).

La douleur psychologique ?

Ce n’est pas moi, thérapeute, qui nierait la souffrance psychologique qui peut être terrible.

Je constate qu’il est relativement rare d’entendre parler de personnes qui se suicident, car elles ont physiquement trop mal. Nous ne sommes pas inondés de ce type de faits divers dans les médias.

C’est donc bien une preuve empirique que l’euthanasie telle qu’elle est proposée en Belgique ne saurait être légitime. Et ce, quand bien même, comme je viens de l’écrire, la souffrance psychique peut être infernale comme en témoigne le nombre de suicides.

Ici encore il ne saurait être moral d’aider une personne à se suicider dès lors qu’il existerait des molécules ou des thérapies à même de la soulager. Pour les autres cas, nous ne pouvons échapper au critère de l’âge et de l’espérance de vie.

La réalité d’aujourd’hui n’est pas celle de demain et c’est bien pour cela que l’euthanasie sur cette jeune femme était simplement criminelle.

Peut-être que maintenir en vie une personne souffrant de démence sénile peut questionner sur l’humanité de l’acte dès lors que le processus est irréversible et que la personne est en fin de vie (biologique). Mais c’est une autre paire de manches pour une personne jeune souffrant de troubles psys.

Vous pourriez me rétorquer la souffrance de ceux que l’on appelle « fous », ceux qui ont quitté probablement définitivement la réalité. Notez que ce « probablement » n’a rien d’anecdotique et si aujourd’hui la médecine est à l’âge de pierre notamment sur les traitements contre la schizophrénie, rien ne garantit qu’un miracle ne se produise dans 5 ans. Il est donc moralement inacceptable de tuer un être humain dont l’avenir n’est pas écrit.

Si d’aventure vous me parlez de souffrances insupportables et impossibles à soulager pour des « fous » réellement incurables, qui ont perdu le contact avec la réalité… … Pouvez-vous me dire en quoi votre euthanasie différerait des lois hitlériennes ?

Nous voyons que si l’usage de l’euthanasie est plus que délicat
pour des personnes souffrant de maladies physiques incurables,
l’application devient tout simplement impossible
dès lors que l’on aborde la souffrance psychique.

Ces lois belges n’ont, de fait, pas à rougir de la comparaison avec les lois du 3e Reich, elles sont simplement inhumaines et criminelles.

Quelle différence entre cette jeune fille (et tous les autres) et Thomas Smith de la série ?

Tous deux ont « décidé » « volontairement » de mettre fin à leurs jours. Une parce qu’elle ne voyait pas de sortie et l’autre parce qu’il avait été manipulé par la Société.

Comment un collège de médecins belges a-t-il pu affirmer qu’elle avait une « souffrance psychique irrévocable et permanente » ?

Quel médecin peut prétendre savoir qu’un trouble post-traumatique serait irréversible ?

Autant pour la schizophrénie, cela peut se discuter, mais là c’est une folie !

Combien de millions de personnes qui font une tentative de suicide et qui se « ratent » ne recommencent jamais ?

Faudrait-il les aider à mourir au nom de cette morale déviante avant qu’elles ne retrouvent un sens à leur vie et une sérénité ? Arrêtez, vous allez finir par rendre jaloux ce brave Adolf !

Cette jeune femme en souffrance pouvait signifier une forme de « consentement », mais que faire des fous qui hurlent 24 heures sur 24 dans leur tête ? Je dis « hurle dans leur tête », car la psychiatrie propose la camisole chimique.

Ne devrions-nous pas aussi les euthanasier par « humanité » ?

Nous vivons désormais dans une société qui admet
que l’on puisse tuer une personne qui souffre de pathologie mentale !

Au même titre que les nazis, allons-nous appeler cela de « l’humanisme », de la « compassion », voire même de « l’amour » ?

Vous appelez cela comment, vous ?

Je n’ai d’autre vocabulaire que celui de meurtre « prémédité » !

Soulager les souffrances, oui, tuer, non !

Que reste-t-il de notre humanité ?

Psychologie du « tueur »

« Je te tue pour ton bien, par bonté d’âme ! »

  • Comment un soignant ou un médecin a-t-il pu factuellement injecter la substance mortelle dans le corps de cette femme en bonne santé dont le corps ne demandait qu’à vivre ?
  • Qu’a-t-il ressenti au moment de pousser sur le piston ?
  • Qu’a-t-il ressenti en voyant la substance mortelle se répandre dans son sang ?
  • Quel a été son sentiment quant le cœur s’est arrêté, une plénitude suite au « devoir accompli » ?

Autant la mise à mort d’un psychopathe violeur et tueur d’enfants peut s’entendre et ne pas trop révulser, autant je suis plus perplexe sur l’effet psychologique lors de la mise à mort d’une jeune adulte en bonne santé et qui plus est innocente de tout crime et victime d’un attentat.

Comment ne pas vomir ses tripes après un tel acte ?

J’imagine aisément ce « médecin » (un médecin ne donne pas la mort) « humaniste » qualifier de barbares les États américains qui pratiquent la peine de mort par injection létale !

Après de tels faits, il ne faut pas s’étonner des expériences menées par les médecins nazis en Allemagne ou après guerre aux USA.

L’inversion des valeurs

Comme les nazis, le vocabulaire est toujours bien choisi alors que dans les faits c’est uniquement pour cacher le monstrueux de la chose.

La manipulation des foules et l’inversion des valeurs sont le leitmotiv.

Covid :

Les médecins qui ont continué à voir leurs patients, qui les ont soignés (et surtout guéris), qui ont bravé les interdictions de leur donner des molécules utilisées sans danger depuis des dizaines d’années, qui ont préféré les soigner que les finir au Rivotril, qui ont été réticents à l’idée de leur injecter des substances expérimentales… sont aujourd’hui poursuivis par leur hiérarchie pour « mise en danger » de leurs patients alors qu’eux, ont respecté leur serment d’Hippocrate.

Avortement :

C’est évidemment la même rhétorique qui est utilisée pour discréditer les mouvements antiavortement. Le discours est bien huilé, « Vous voulez que des femmes violées gardent leur bébé » ou « Vous voulez que des milliers de femmes soient mutilées dans des caves ou meurent dans des avortements clandestins ».

Ah oui ?

Pourriez-vous me dire combien d’entre elles parmi les 200 000 avortements pratiqués en France chaque année ont été violées ? Quant aux femmes mutilées ou mortes dans des avortements clandestins, c’est aussi con et malhonnête que l’argumentaire pour l’adoption par des couples homosexuels « Ah ou vous préférez que l’enfant soit battu dans un couple avec un homme et une femme plutôt qu’il reçoive l’amour de 2 papas ? »

D’abord j’aimerais disposer de chiffres fiables (et non de propagande) sur le nombre de morts ou de mutilations réelles avant l’avortement légal, mais surtout le nombre de morts et de mutilations réelles (exemple : retirer l’utérus) pour des avortements légaux et là on pourra commencer à causer !

Évidemment, il existe des cas où l’avortement est inévitable, mais les avortements économiques sont légions (la famille n’a pas les moyens ou les conditions) et criminels, car ils le sont contre la volonté de la femme ou du couple !

À noter aussi que l’avortement pour choix du sexe16 semble faire son chemin. Ce phénomène touchait essentiellement la Chine et l’Inde et semble se répandre en Europe. Le prolongement légal du délai légal d’avortement est de nature à encourager cette pratique, l’échographie à partir de la 14e semaine étant très fiable. Mais c’est oublier le test d’ADN fœtal17 qui peut être fiable dès la 8e semaine.

On ne peut pas balayer d’un revers de main 200 000 vies (n’appelons pas ça un humain pour ne pas compliquer le débat) qui sont démembrées vivantes et sans anesthésie, car ne « ressentant pas la douleur » (officiellement) et dont les pièces détachées sont revendues18 une fortune pour faire des vaccins, des médicaments ou même des cosmétiques19.

« Des États américains, avec le soutien des Églises chrétiennes, ont passé des lois permettant l’inhumation des fœtus avortés. Des partisans de l’avortement ont cependant engagé une lutte juridique pour contrer cette démarche20

Les milieux favorables à l’IVG affirment que les restes des enfants avortés ne devraient pas être traités comme des restes humains, mais comme le résidu d’une amputation. »

C’est qui les tueurs, les monstres et c’est qui les défenseurs de la vie et de la dignité humaine ?

Éducation :

À écouter ces psychopathes, le « bon » parent serait celui qui explique la « foufoune sexuelle21 » à ses enfants de 5 ans en leur montrant à quel endroit se trouve le clitoris et à quoi il sert. À quand les travaux pratiques ?

Les autres étant de bien entendu, des maltraitants, des intégristes religieux qui ne savent pas ce qui est bon pour eux.

Genre :

Et que dire de ces bouchers apprentis sorciers barbares qui se prétendent médecins et font croire à des personnes fragiles qu’elles peuvent factuellement changer de sexe ?! Elles mentent et manipulent en leur laissant croire qu’un homme biologique peut devenir femme biologique et inversement. Ils infligent des souffrances physiques terribles et torturent ces personnes en apportant des modifications physiques de leurs corps sans la moindre possibilité de retour en arrière. Non seulement ils infligent dans le temps des douleurs physiques, mais ils les privent définitivement de tout plaisir sexuel naturel. Les ersatz de vagin ne sont que des plaies béantes sans muqueuses et les pénis artificiels ne pourront avoir une érection naturelle et donner du plaisir.

La folie est telle qu’il sera désormais interdit de proposer à ces personnes en souffrance des psychothérapies pour les aider à se trouver. Il y a combien de personnes parmi elles, mal dans la peau, et de personnes qui seraient réellement d’un autre sexe dans leur tête ? Dans ce monde délirant, celles et ceux qui luttent contre cette folie, contre la propagande dans les écoles, contre des mutilations d’enfants dès l’âge de 3 ans, sont considérés comme des transphobes, des intolérants, et autres fascistes.

Euthanasie :

Et là on nous refait le même coup pour l’euthanasie. Les « monstres », les « inhumains », les « arriérés », c’est ceux qui refusent que l’on tue des humains ! Nous le voyons dans ce fait divers monstrueux dont nous avons connaissance, tuer à sa « demande » une jeune femme de 23 ans qui souffre de maladie mentale devient un geste d’une merveilleuse humanité.

On arrête quand de se foutre de notre gueule ? C’est quoi ce monde de merde où toutes les valeurs sont inversées ?

L’être humain a-t-il un avenir ?

Tout est mis en œuvre pour détruire ce qui faisait de l’humain un animal à part.

Que reste-t-il d’une société qui ne protège pas les plus faibles, que penser de l’eugénisme des trisomiques, d’IVG après 6 mois alors que le bébé est viable, que dire de personnes âgées terminées au Rivotril pour leur « bien », qui mutile des humains pour changer leur nature biologique ou désormais tuer des humains en grande souffrance psychologique au lieu de leur apporter amour et soutien ?

Pour le Covid les valeurs prônées étaient le sacrifice des enfants au bénéfice annoncé des vieux qui étaient éliminés dans les maisons de retraites, privés de soins.

Il faut dire que désormais rien n’interdira la vente de compost à base d’humains. On pourrait alors affirmer que cette jeune femme ne serait pas morte pour rien.

Je croyais naïvement que notre devoir d’humains
en pleine possession de nos capacités intellectuelles
était de protéger les plus faibles et les plus vulnérables,
pas de les éliminer !

Pour en sortir, il faudrait que les peuples ne se contentent pas d’écouter la propagande, mais se forgent leur propre opinion. L’information foisonne, il suffit d’aller la chercher et de dénouer le vrai du faux.

Regardez les interdits lors du Covid à l’égard des non-vaccinés, c’était l’exact copier-coller, mot pour mot, des mesures contre les juifs durant vichy22. Cette simple affirmation factuelle étant de nature à me faire qualifier, comme il se doit, d’extrême droite ou d’antisémite par le tribunal de la décadence.

Que reste-t-il des libertés ? Il ne reste de notre démocratie que le nom !

Alors :

Les nazis ont-ils gagné la guerre23 ?

  • Censure à outrance, fermeture des médias russes.
  • Médias nationaux financés par l’État ou la fondation Gates.
  • Création de fait d’un Ministère de la Vérité, toute opinion contraire à la doxa relevant du complotisme et de la désinformation.
  • Suppression du parlement et de l’indépendance des juges.
  • Gouvernement supra national européen non élu.
  • Réécriture permanente de l’histoire.
  • Destruction du sacré, démantèlement de la cellule familiale et de toutes les valeurs passées.
  • Gestation pour autrui avec marchandisation du vivant.
  • Promotion de la théorie du genre.
  • Scandales pédophiles à n’en plus finir.
  • Création d’une nouvelle « science » qui ne peut avoir tort.
  • Éradication de la fraternité, l’autre, le différent étant un ennemi à combattre qui mérite sa déchéance.
  • Suppression de libertés individuelles au profit de la nation.
  • Cobayes humains avec les vaccins expérimentaux. (Nous ne sommes pas des barbares l’Australie rembourse les frais d’obsèques24 en cas de décès dû au vaccin).
  • Apartheid pour les non-vaccinés, boucs émissaires « emmerdés » par leur « Président ».
  • Valorisation du transhumanisme25 avec ses demi-dieux et ses « inutiles ».
  • Interdiction d’exercer pour les soignants et pompiers non injectés.
  • Soutien indéfectible aux Ukrainiens y compris leurs milices nazies et leur volonté affichée publiquement de génocide des habitants du Donbass26, considérés comme une « sous-race ».
  • Euthanasie légalisée ou sous le manteau.
  • Eugénisme.
  • IVG jusqu’à la naissance.
  • Etc.

Je vous laisse répondre à la question sur la victoire supposée des nazis.

Alors ce soir je hurle de colère, je pleure de tristesse et de rage.

L’eugénisme et l’élimination des faibles sont présentés comme « l’ultime acte d’humanité ».

J’ai honte, oui j’ai honte de faire partie de la même espèce génétique que tous ces apprentis Mengele qui massacrent les valeurs humaines jour après jour.

Un être humain s’en est allé, il a été arraché à notre Terre nourricière
comme on arrache un fœtus trisomique
du ventre de sa mère pour le priver de force vitale.
Ce renoncement à le soulager de son vivant,

ce terrible aveu d’impuissance, est présenté comme « l’ultime acte d’humanité »,
tel un frère cherchant à camoufler son sororicide.

Merci

Alain Tortosa.
9 octobre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20221009-maitre-haut-chateau-nazis-guerre.pdf





De l’injection pro-Spike à l’injonction anti-Poutine

Par Lucien SA Oulahbib

Les preuves s’amoncellent sur l’inutilité d’une injection qui aggrave les formes graves comme l’indiquent les observateurs sérieux. Et comme le montrent nombre d’injectés qui tombent malades à plusieurs reprises et se réinjectent obsessionnellement la « chose », comme le P.D.G. de Pfizer (ce qui ne serait cependant pas le cas pour les duplicata politiques français comme l’indique Jean Lassalle à 0:45).

Et ces abrutis qui prétendent « gouverner » veulent également couper les Box la nuitcroyant rattraper ainsi, en plus des cols roulés, deux décennies d’absurdités en matière énergétique et aujourd’hui géopolitique.

Tandis que les syndicats, étatisés et désormais courroies de transmission officielles, non plus du PCF, mais carrément de l’État post-jacobin (officine « française » de la Secte SHA) et qui les subventionne grassement, au même titre que les médias de grand chemin, en rajoutent. Ils organisent la pénurie d’essence après avoir entériné la suspension des soignants, croyant ainsi les faire fléchir par cette pédagogie mielleuse qui sévit de plus en plus partout jusqu’à forcer les citoyens à abandonner tous leurs droits :

– de se défendre lorsque l’on est attaqué et/ou squatté, ce qui est désormais interdit sous peine de prison ferme (alors que les criminels vaquent sans souci à leurs occupations – viols, tabassages — avec rappels à la loi répétés ou peines légères) ;

– de résister à l’oppression, ce qui est dévié en boutant systématiquement tout recours à la loi en Appel ou devant le Conseil d’État, et le Conseil Constitutionnel en rajoute en abolissant de fait les frontières concernant le trafic d’êtres humains, de fait, appelés religieusement « demandeurs d’asile » et donc, de fait, la citoyenneté. Ou la « transition démographique »…

– d’avoir la liberté de s’exprimer de façon large et non pas seulement dans des feuilles de chou, même électrifiées (pas pour longtemps), ce qui est empêché au nom d’une OPA sur le service public opérée sous couvert de lutte contre « l’extrême droite » alors que ces commanditaires qui se prétendent même de « gauche » imitent celle-ci dans leur pratique, substituant ainsi Lénine-Trotski à Voltaire-Locke et leur « traité sur la tolérance » pourtant enseigné, mais en pure perte, à l’instar de l’enseignement tant vanté dans les pays totalitaires qui s’avère en fait inutile sinon à mettre en vitrine des singes savant(e)s qui pullulent aujourd’hui (alors que les cirques animaliers ferment un par un).

Il semble bien en fait qu’à l’instar des années 1920-1970 qui a vu deux générations d’intellectuels et d’artistes se fourvoyer dans le scientisme léniniste et nazi, il s’avère que de même et de façon pas si étonnante, les générations biberonnées au lait « critique » du productivisme et de la société de consommation de leurs aînés sont devenues les piliers idéologiques du nouvel obscurantisme mystique évacuant le bébé rationnel avec l’eau de bain techniciste. Elles compensent ainsi leur fermeture d’esprit en matière par exemple de nucléaire et d’OGM par un retour fixiste aux manipulations expérimentales non plus faites sur du cobaye animal, mais humain, y incluant également tout ce qui aura eu trait à sa civilisation comme les animaux domestiques comestibles accusés eux aussi de tous les maux, le tout au nom d’une nouvelle numérologie mystifiée par leurs courbes chiffrées animées, vibrants tours de magie fabriqués par les sorcières d’aujourd’hui.

Aussi Poutine chevauchant un ours (prouesse pas terrible au dire d’un Hollande) apparaît comme l’exemple type du mâle blanc arrogant à détruire, dénonçant ses incisives atomiques, réelles au lieu d’être seulement de « papier », oubliant leurs propres poutres (Mossadegh, Ben Barka, Lumumba, Abbane Ramdane [etc., etc., etc.]). Les SS (Services Secrets) du désormais feu « Ouest » se font forts aujourd’hui d’effacer la culture qui s’y oppose en « sortant leur revolver » pour listes noires diverses… (dernier en date, le responsable du Parquet suédois chargé d’enquêter sur le sabotage du gazoduc…)…

Chassez le naturel (totalitaire) sous un vernis « démocratique », il revient au galop…




Big Pharma, big baudruche

[Source (transmis par Christine Côte) : aimsib.org]

[Note de Joseph : l’aiguille qui peut faire éclater le ballon de baudruche Big Pharma est très possiblement une suffisamment large reconnaissance du caractère totalement fallacieux, voire frauduleux, de la théorie virale (et accessoirement également celle de la fausseté de la théorie mère qui est celle des germes). Voir le dossier Vaccins et virus.]

Par Dr François Choffat

Introduction

L’excellent texte de Michel Cucchi(([1] La pseudo-pandémie grippale de 2009 en France était une répétition générale)) que vous [L’AIMSIB] avez publié récemment donne de précieuses informations sur les coulisses politico-techniques de la grippe porcine de 2009. Il démontre que l’épisode Covid se préparait déjà à l’échelle planétaire. Mais l’énormité de la crise survenue avec l’avènement d’une société dictatoriale quasi mondialisée ne peut s’expliquer que par un certain nombre de causes plus ou moins coordonnées dont l’ensemble nous échappe encore. Mais il paraît de plus en plus évident que les entreprises pharmaceutiques sont parmi les plus compromises dans ces grandes manœuvres médico-financières… et qu’elles en sont les premières bénéficiaires.

[Note de Joseph : ces causes sont probablement très coordonnées par le chef d’orchestre Bill Gates.
Voir notamment :
Les responsables de la santé admettent que Bill Gates dirige le monde
Coup d’État furtif de l’OMS pour dicter le programme de santé mondial de Gates et Big Pharma
Qui est Bill Gates ?
Une lanceuse d’alerte de l’OMS : « Nous vivons une pandémie de mensonges – Bill Gates est aux commandes »
Le projet maléfique de Gates s’appuie sur la corruption. 319 millions déversés dans les médias
Le monstre de la vaccination GAVI : immunité juridique totale !
Fondation Bill & Melinda Gates — la grande arnaque révélée
Partenariats Public-Privé : de la Fondation Bill et Melinda Gates à Big Pharma
3 mois avant le COVID, l’Union mangeait la soupe du vaccin servie par Bill Gates et Big Pharma
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
Robert F Kennedy Jr. expose le plan de dictature des vaccins de Bill Gates – cite le «complexe du Messie» tordu de Gates]

« La grippe, pas de panique! »

J’avais écrit un petit livre que j’ai publié aux Éditions Jouvence, intitulé « La grippe ? Pas de panique !  » Il a été imprimé en septembre 2009, avant la survenue de cette pseudo pandémie sous nos latitudes. Le texte que je vous propose ici est une réflexion centrée sur la dynamique économique des puissances pharmaceutiques.

Les découvertes majeures de la biochimie ont été nombreuses au siècle dernier entre les années 50 à 80, donnant lieu à de nouvelles voies thérapeutiques et à de formidables bénéfices. Depuis lors, elles se sont raréfiées au point que, en 2008, et malgré des centaines de médicaments nouveaux annoncés cette année-là, pas un seul brevet n’a été considéré comme innovant par la revue médicale indépendante Prescrire. C’était la première fois depuis la création de cette publication en 1981. (2)

Notre système économique ultralibéral exige la croissance permanente des profits attestée par leur cotation en Bourse. Le moindre fléchissement de ses cours peut entraîner l’effondrement d’une entreprise et plus celle-ci est énorme, plus elle est menacée. Le grand public semble nourrir l’illusion que les pharmas fabriquent sans cesse des médicaments nouveaux assurant ainsi les progrès permanents de la médecine pour le bénéficie de toute l’humanité. En réalité, le filon biochimique semble tari comme si les chercheurs en avaient épuisé toutes les ressources. Et que parallèlement les spécialistes de la finance mettaient tout en œuvre pour cacher la situation aux investisseurs (3).

Pour ma part, je crois que la voie biochimique est réellement épuisée et qu’il serait temps d’explorer le domaine de la biophysique, mais les entreprises exploitant la biochimie s’acharnent à dévaloriser les recherches dans cette direction. Les calomnies pseudo-scientifiques mondialement organisées contre l’homéopathie en sont une illustration.

La croissance de la production, pourtant indispensable à la survie des grandes entreprises de la biochimie, s’est trouvée gravement menacée par la raréfaction des brevets rémunérateurs. J’ai cru alors naïvement à une conversion des investisseurs en faveur d’autres thérapeutiques, mais les traitements plus proches de la nature sont hors circuit, car impossibles à breveter donc sans avenir financier. J’ai aussi imaginé, plus ou moins consciemment, que les pharmas allaient simplement entrer en décroissance, ce n’était qu’un blasphème ! La cupidité rend ingénieux mais pas plus honnête.

Le coup des traitements contraints, concept de vaccination obligatoire

Comment continuer à faire croître ses revenus, encore et toujours, sans fabriquer de produits nouveaux ? Les pharmas ont alors changé leur politique. Elles ont investi massivement dans le marketing au détriment des unités de recherche qui ont été fermées. Elles ont alors adopté la devise du Dr Knock :

« Une personne en bonne santé est un malade qui s’ignore ! »

Dans notre société, on n’a pas le droit de se dire en bonne santé sans l’aval du médecin. On consulte souvent pour s’assurer qu’on va bien. On se soumet à des dépistages, à des checkups. Et on va bien parce que sa tension, son cholestérol ou son glucose sont dans les clous, avec ou sans traitement.

En réalité, les normes de ces mesures sont édictées et modifiées en permanence à la baisse par l’Organisation Mondiale de la Santé influencée par les pharmas. On augmente ainsi le nombre des patients en bonne santé à se faire traiter à vie. La mort dite « naturelle » est le plus souvent due à des complications vasculaires et il s’avère qu’une majorité de mourants sont en traitement par un médicament du cholestérol et un autre de la tension artérielle. Est-ce à dire qu’ils meurent guéris ? Un autre filon pour « traiter » les personnes en bonne santé, ce sont les vaccins. Les anciens vaccins comme celui de la variole et le BCG contre la tuberculose, celui du tétanos, de la diphtérie, étaient simples à fabriquer et à copier, donc bon marché, ils ne bénéficiaient pas de brevet, donc sans intérêt pour les pharmas. Mais la situation a changé avec le vaccin de l’hépatite B, plus complexe à fabriquer donc nettement plus cher et moins facile à copier. Il a relancé l’intérêt des fabricants et mis la pression sur le public et les soignants. Avec le succès que l’on sait, il est devenu incontournable juste après la naissance, bien que la maladie dans les pays riches soit rare, le plus souvent bénigne et qu’elle n’atteigne pas les jeunes avant l’adolescence. Vint ensuite le vaccin du papillomavirus, responsable d’un cancer de plus en plus rare chez nous, celui du col de l’utérus survenant après la ménopause et auxquels sont soumis les adolescents des deux sexes. Mais ces nouveautés généralisées et coûteuses n’ont pas permis de remplacer le manque de nouveaux brevets. Une exception inattendue cependant, le Tamiflu un antiviral anciennement proposé contre la grippe, mais pratiquement abandonné pour cause d’inefficacité et, bien que sans brevet, a propulsé le laboratoire Roche au sommet du classement des fabricants de médicaments en 2010, car seul médicament proposé contre la grippe H1N1.

La situation me faisait écrire en 2009 que « la vente des vaccins serait particulièrement prometteuse pour l’industrie pharmaceutique si le projet se réalisait de vacciner toute la population du globe. Ce serait le marché du siècle, les actionnaires ont aussi le droit de rêver ! ».

À force d’acquisitions et de fusions, les géants de la pharmacie ont atteint une taille incompatible avec une société démocratique. La moindre baisse de profit signifie l’effondrement de ces monstres obèses. Dans le monde de la finance regroupé dans cette institution maffieuse de la Bourse, personne ne souhaite l’affaiblissement de Big Pharma.

Tout le système économique risquerait de s’effondrer comme un château de cartes. Donc malgré la concurrence, la complicité est tacite dans les rangs du grand capital. D’ailleurs, les grands prédateurs du commerce en ligne ont très largement bénéficié du confinement et des mesures liberticides. De là en imaginer qu’ils ont participé activement au hold-up me paraît logique.

Sortir de la démocratie

Dans une démocratie, la consommation et sa croissance dépendent du désir du consommateur, attisé par la publicité. Le consommateur conserve une relative liberté.

Dans une société autoritaire, la consommation est assurée par la peur, la menace et la délation. Le citoyen n’a plus aucune liberté.

Même en démocratie, la consommation médicale fonctionne déjà partiellement sur le mode autoritaire, donc sur la peur : « votre santé est aux mains de la médecine, si vous ne vous soumettez pas à tel test, si vous ne prenez pas tel médicament, si vous ne vous vaccinez pas, vous mettez votre santé, voire votre vie, en danger. »… La peur prédomine sur le désir. La loi de l’offre et de la demande n’a pas cours ici, vous avez payé d’avance avec vos cotisations aux caisses maladie et vos impôts, c’est l’autorité médicale qui décide de votre consommation, sans que votre avis soit requis. Le prix est sans importance, puisqu’assuré d’avance. Vous n’avez pratiquement aucune liberté, sinon de désobéir en cachette. En orientant commercialement les recherches cliniques, les pharmas s’ouvrent de nouveaux marchés. Par exemple, en faisant croire que la ménopause est une maladie, c’est toute la clientèle des femmes de plus de cinquante ans qui s’est offerte. Et comme nous l’avons vu, en manipulant les normes de tension artérielle ou de cholestérol, on élargit également le marché sous prétexte de prévention. On peut ainsi faire prescrire des produits (à prendre à vie) à toujours plus de personnes en bonne santé à condition de leur faire peur. L’effort publicitaire des pharmas ne s’est jamais fait auprès du consommateur, mais auprès du médecin qui choisit sa prescription.

Sans tenir compte de l’avis du patient consommateur et sans même connaître le coût de sa prescription qui n’a aucun rapport avec le succès du traitement, moins bon est le traitement plus il dure et plus le bénéfice du vendeur est important.

Un patient qui meurt coûte moins cher qu’un malade qui survit. Donc à l’encontre des lois les plus élémentaires du marché, il n’y a, en médecine, aucune relation qualité/prix. Tout s’est passé comme si le système économique médical dans sa soif de croissance se trouvait à l’étroit dans une société démocratique alors que l’industrie pharmaceutique était jusqu’ici aux petits soins avec les médecins.

Conclusion

Depuis la phase Covid, le médecin est devenu complètement inutile, les labos ont dicté leurs consignes directement aux autorités politiques en les évinçant du circuit.

Interdiction de soigner les malades, de les rassurer, de prendre des mesures avant que la situation ne dégénère. Tout a été fait pour mettre la panique à son comble. Il reste un certain nombre de questions en suspens : Pourquoi les autorités politiques du monde se sont-elles soumises avec tant de docilité à ce plan diabolique ? Comment les médecins ont-ils pu accepter dans leur majorité ces consignes tellement contre nature ? Et question inquiétante, que feront les pharmas pour maintenir leur croissance après avoir utilisé toutes leurs cartouches ?

François CHOFFAT
Septembre 2022

[À propos de l’auteur]

Le Dr François Choffat est médecin généraliste et homéopathe, de nationalité suisse, en retraite, auteur de :

  • « Aït-Baha-ou-Baha », Thèse en anthropologie médicale, sur les rapports entre une population marocaine de culture traditionnelle et la médecine moderne. Revue de psychopathologie africaine, Dakar, 1968.
  • « Sur les traces d’Ounamir », avec CatherineChoffat. Relation de notre séjour au Maroc. Ed La Baconnière 1978
  • « L’homéopathie au chevet de la médecine », Essai, 2e édition, Paris 1993. Éditions du Cerf.
  • « Hold-Up sur la santé » Ed. Jouvence 2005 (épuisé) (2) Collectif, 
  • « L’année 2008 du médicament : gare à la non-qualité », Revue Prescrire, no 204, février 2009, Paris (3) Pignarre Philippe,
  • « Le grand secret de l’industrie pharmaceutique  », Ed. La Découverte, Paris 2003



Des juristes contre la tyrannie sanitaire

[Source : Maître X]






Port du masque chez les femmes enceintes — Effets négatifs sur le fœtus. Mise à jour

[Source : www.initiative-corona.info/fileadmin/dokumente/masque_foetus.pdf.
Document placé en bas d’article.]

[Mise à jour : correction de la figure 3]

26/09/2022

Par Dr Christian Fiala, Vienne,
Spécialiste en gynécologie et en obstétrique

Initiative pour une information corona basée sur des preuves, www.initiative-corona.info

Résumé : Il est indéniable qu’un masque entrave la respiration. Les données disponibles montrent clairement que cela entraîne une augmentation du dioxyde de carbone (CO2) dans le sang. Chez les femmes enceintes, le fœtus est donc également en danger, tout comme celui des femmes qui pendant la grossesse font des apnées du sommeil sans s’en rendre compte, c’est-à-dire qui souffrent de ce que l’on appelle le syndrome d’apnée obstructive du sommeil. Sur la base des données disponibles, il est à craindre que les femmes enceintes, en portant le masque fréquemment, exposent leur enfant à un risque accru de retard de développement, d’accouchement par césarienne et de troubles d’adaptation après la naissance.

Apports au fœtus pendant une grossesse normale

Pendant toute la grossesse et jusqu’à l’accouchement, le fœtus dépend fondamentalement de la respiration de la femme enceinte.1

Figure 1 : Représentation schématique de l’approvisionnement du fœtus en O2
et expiration du CO2 pendant une grossesse normale

Comme le fœtus ne respire pas lui-même, il doit s’approvisionner en oxygène via le sang de la femme enceinte et rejeter dans son sang le CO2 qu’il a produit. Cela ne peut se réaliser que par le biais d’une différence de pression.

Figure 2 : Représentation schématique, pendant une grossesse normale,
de l’approvisionnement du fœtus en O2 et expiration du CO2 au niveau du placenta

Par conséquent, la pression d’oxygène (pression O2 ) du fœtus est toujours inférieure à celle de la femme enceinte (pour que l’oxygène passe de la femme enceinte au fœtus), tandis que la pression de CO2 est toujours supérieure chez le fœtus (pour la même raison, afin que le dioxyde de carbone passe du fœtus à la femme enceinte). En raison de la dépendance du fœtus de la respiration maternelle – via la pression de CO2 – cette dernière a une influence dominante sur tous les paramètres fœtaux.1 (Le niveau de CO2 fœtal dans la veine ombilicale (pCO2) est en corrélation très significative avec le niveau de CO2 artériel de la femme enceinte).

Le fœtus réagit de manière très sensible à une entrave à la respiration avec une augmentation du CO2

C’est ainsi que toute détérioration de la respiration de la femme enceinte a un effet négatif direct et accru sur le fœtus, car celui-ci reçoit moins d’oxygène et il y a en même temps une accumulation de CO2 potentiellement nocif.1

Figure 3 : Représentation schématique au niveau du placenta
de l’entrave à la respiration de la femme conduisant à une augmentation du CO2 chez le fœtus

Au cours de la grossesse, il est particulièrement important d’éviter une augmentation du taux de CO2, car même une faible augmentation peut avoir des effets négatifs, voire toxiques, y compris des troubles du développement et des malformations.2 C’est entre autres pour cette raison qu’il est fortement déconseillé aux femmes enceintes de fumer des cigarettes et que, par mesure de prévention, la teneur en CO2 des sous-marins est maintenue à un niveau très bas.3 4

Pour cette raison la mesure du CO2 est également un paramètre important, car elle permet de détecter les problèmes respiratoires de manière plus sensible que la saturation en oxygène ou d’autres paramètres respiratoires.5

Mécanisme de protection naturel du fœtus contre des taux de CO2 trop élevés

En cas de grossesse, le taux de CO2 du fœtus serait forcément plus élevé, comme décrit, et atteindrait ainsi des valeurs nocives. Pour que le fœtus reçoive suffisamment d’oxygène malgré un approvisionnement plus difficile, car seulement indirect, et pour que le CO2 soit évacué efficacement sans qu’il y ait une accumulation nocive, l’hormone de grossesse, la progestérone, provoque une respiration accrue (hyperventilation) et une dilatation des voies respiratoires chez la femme enceinte. La pression de CO2 dans le sang de la femme enceinte passe ainsi de 35 à 46 mm Hg à moins de 30 mm Hg.6 (la pression a, entre autres, pour unité, comme pour les baromètres au mercure – de symbole chimique Hg – le mm de mercure – NdT). Ce n’est que cette pression de CO2 plus basse dans le sang de la femme enceinte qui permet au fœtus d’y évacuer facilement le CO2 qu’il produit et de se développer à des valeurs normales, sans qu’il se produise une accumulation.

L’entrave à la respiration met le fœtus en danger

Cette protection naturelle contre un retard de croissance dû au CO2 ne suffit toutefois pas si la respiration de la femme enceinte est entravée. Cela se produit parfois lorsque les femmes enceintes font des apnées du sommeil pendant la nuit, syndrome appelé « apnée obstructive du sommeil ». Ce phénomène s’observe notamment vers la fin de la grossesse et chez les femmes en surpoids, lorsque la taille de l’utérus entrave la respiration. Les pauses respiratoires entraînent une moins bonne prise en charge du fœtus, notamment une augmentation du CO2, ce qui a été démontré comme étant à l’origine de nombreux problèmes tels que retard de croissance, accouchement prématuré, augmentation du nombre de naissances par césarienne, une moins bonne adaptation à la respiration propre après l’accouchement ainsi qu’un risque de traitement médical intensif.6 7 8 9 10

Le masque met le fœtus en danger

De la même manière, le port d’un masque (appelé protection bucco-nasale) entrave la respiration. De ce fait la concentration de CO2 augmente fortement lors de l’inspiration, 11 12 ce qui entraîne une diminution significative du CO2 expiré.13 Cela vaut pour tous les types de masques, mais l’effet est plus prononcé pour les masques FFP2 que pour les masques chirurgicaux.

Après la mise en place d’un masque chirurgical, on peut constater que la pression de CO2 dans le sang peut augmenter de manière significative jusqu’à 5,5 mm Hg chez les adultes (valeur normale : 35 à 46 mm Hg).14 Chez une femme enceinte, cette augmentation du CO2 s’oppose à la baisse naturelle décrite du CO2 pendant la grossesse à environ 30 mm Hg et peut éventuellement l’annuler. L’approvisionnement du fœtus est ainsi mis en danger, car celui-ci est beaucoup plus touché par une perturbation de la respiration que la femme enceinte.

Les effets négatifs du port du masque sont encore plus importants lorsque se rajoutent des problèmes respiratoires, comme les apnées du sommeil, décrites ci-dessus, qui se produisent fréquemment en fin de grossesse et/ou une maladie pulmonaire.15 16

Le port d’un masque et l’entrave à la respiration qui en résulte annulent donc partiellement ou totalement la protection naturelle du fœtus par la respiration accrue décrite pendant la grossesse et exposent le fœtus à des risques aussi importants que ceux auxquels sont exposées les femmes souffrant du syndrome d’apnée obstructive du sommeil.

Le masque pendant l’accouchement – un risque supplémentaire dans une situation extrêmement critique

La dépendance du fœtus à l’égard d’une respiration suffisante de la femme enceinte est particulièrement élevée pendant l’accouchement.17 18 En raison des contractions et de la pression élevée qui en résulte dans l’utérus, l’approvisionnement en sang du fœtus est interrompu pendant la durée du travail et ne peut avoir lieu que pendant les pauses entre les contractions. Ce mécanisme de compensation essentiel pour le fœtus pendant les pauses entre les contractions est toutefois réduit par le port d’un masque et l’augmentation du CO2 dans le sang de la femme enceinte qui en résulte. Cela augmente inutilement le risque pour le fœtus pendant cette phase déjà suffisamment critique.

Premiers indices de la mise en danger d’enfants de deux classes d’âge

Une étude récente semble confirmer les craintes exprimées.19 Des retards de développement effrayants ont été constatés chez les enfants nés pendant les mesures Corona par rapport aux enfants nés au cours des dix années précédentes. Les retards de développement se sont manifestés dans tous les domaines, aussi bien dans les capacités verbales, motrices que mentales en général. L’ampleur du retard de développement représentait 27 à 37% de la moyenne des valeurs normales. Il est également inquiétant de constater que les auteurs affirment qu’il n’est pas encore possible de dire si ces retards de développement sont permanents ou s’ils seront rattrapés par les enfants. L’analyse des causes possibles n’est pas encore terminée, mais de nombreux éléments laissent penser que le port du masque par les femmes enceintes est à l’origine de ce constat dramatique.

Sur la base des connaissances disponibles, de telles craintes avaient déjà été exprimées lors d’une conférence de presse en octobre 2020.20 À l’époque, quatre médecins avaient présenté des données scientifiques qui faisaient craindre des effets négatifs massifs des nombreuses mesures Corona, notamment chez les femmes enceintes. La suspension immédiate de toutes les mesures, demandée à l’époque, a toutefois été ignorée par les politiques. Aujourd’hui, il semble que de plus en plus de choses se vérifient. Au grand désespoir des innombrables personnes concernées.

Des principes généralement admis ont été ignorés

Il existe un principe généralement accepté selon lequel toute mesure concernant les femmes enceintes ne peut être appliquée qu’avec une grande prudence et après un examen suffisant. Le scandale dit de la thalidomide vers 1960 a constitué un événement marquant et durable.21 22 23 24 A cette époque, le sédatif thalidomide a été autorisé et présenté sans examen suffisant comme un médicament inoffensif contre les nausées de la grossesse. Le résultat fut dramatique. Environ 10.000 enfants sont nés avec des bras ou des jambes en moins.

En raison de la visibilité retardée des conséquences pour le fœtus et de l’opposition massive à la reconnaissance de la cause, quatre ans se sont écoulés entre l’autorisation de mise sur le marché et le retrait de la préparation du marché. Autre fait inquiétant : les premières informations sur le lien avec le médicament, fournies par le pédiatre Dr. Lenz, n’ont pas été prises en compte et n’ont pas conduit à l’arrêt immédiat de la préparation, ce qui aurait permis d’éviter d’autres dommages. Au contraire, le fabricant a couvert le médecin de plaintes juridiques pour le faire taire, exposant ainsi inutilement de nombreux autres enfants à ce médicament nocif et les mettant au monde avec des malformations.

Une situation similaire se répète aujourd’hui : les critiques scientifiques fondées à l’encontre des mesures Corona ne sont pas prises en compte pour améliorer la situation ou la réfuter objectivement, mais les détracteurs sont diffamés, mis au pilori publiquement et poursuivis juridiquement, parfois avec des méthodes dignes d’un État policier. Malheureusement, cette tentative de dissimuler les dommages imminents ne fait que conduire à ce que de nombreuses personnes paient inutilement de leur santé l’action des politiques.

Quelles leçons pouvons-nous tirer du passé ?

C’est pourquoi la leçon la plus importante que nous devons tirer de ce scandale et d’autres scandales dans le domaine médical est la suivante : Tout soupçon de dommage potentiel pour le fœtus doit être pris très au sérieux et toutes les mesures prises à cet égard chez les femmes enceintes doivent être immédiatement suspendues jusqu’à ce que des résultats clairs prouvent leur innocuité.

Dans la situation actuelle, cela signifie que les femmes enceintes doivent non seulement être exemptées de toute obligation de porter un masque, mais qu’elles doivent également être activement averties du risque de porter un masque pendant la grossesse. Indépendamment de cela, les nouveau-nés des deux dernières années devraient être analysés en détail afin de confirmer ou d’exclure un éventuel préjudice dû au port du masque.

Qui porte la responsabilité ?

Au moyen d’une peur injustifiée du virus Corona, la population a pu être maintenue en état de choc pendant un certain temps.25 Mais les preuves des effets négatifs des mesures Corona, y compris le port du masque, l’isolement social et la vaccination, se multiplient de sorte qu’elles ne peuvent plus être dissimulées. La question de la responsabilité se pose donc de plus en plus :

  • Pourquoi et par qui ces mesures ont-elles été introduites en dépit du bon sens ?
  • Et qui doit assumer les dommages qui en résultent ?

Notre société a encore de nombreuses discussions difficiles à affronter à ce sujet.

Références bibliographiques




Dépistage du cancer du sein : les mensonges d’Octobre Rose

[Source : Jérémie Mercier]




Octobre Rose, l’arnaque continue

[Source : jeremie-mercier.com]

Par Jérémie Mercier

Comme chaque année, « Octobre Rose » revient.

Des femmes (surtout mais aussi des hommes) mettent un T-shirt rose, font une course et donnent quelques euros « pour lutter contre le cancer du sein ». D’autres, pleines de bonnes intentions achètent des petits rubans roses pour « soutenir la recherche contre cette satanée maladie ».

J’ai déjà expliqué pourquoi ce « dépistage du cancer du sein » était une arnaque dans deux autres articles : https://www.jeremie-mercier.com/octobre-rose-la-totale-arnaque/ (interview du cancérologue Gérard Delépine) et https://www.jeremie-mercier.com/depistage-organise-du-cancer-du-sein-inutile-et-dangereux/ (interview de la radiologue et présidente de l’association « Cancer Rose » Cécile Bour)

Cette année, j’en remets une couche, avec 2 vidéos.

• Dans la première, je rappelle qui est derrière Octobre Rose (pas des gens qui vous veulent du bien !) et pourquoi le dépistage du cancer du sein est inutile et dangereux (…) :



L’industrie de la maladie (et en particulier celle du cancer) prend les gens pour des imbéciles de façon assez incroyable…

• Dans la 2e vidéo, je rediscute avec Gérard Delépine (cancérologue avec lequel nous dénoncions l’arnaque Octobre Rose déjà en 2018) de sa position en 2022 et nous apportons quelques éclairages sur les autres dépistages de cancer (prostate, thyroïde, col de l’utérus). La vidéo est visible uniquement sur CrowdBunker pour le moment (à cause de ma punition par YouTube 🤬)

(Vidéo en début d’article)

Après ça, je pense que tu vas arrêter de courir en rose 😅

Sinon, je t’invite si ce n’est déjà fait à rejoindre mon Club Privé Santé, afin de réellement redevenir acteur et responsable de ta santé. Pour rejoindre le Club Privé Santé, c’est par ici : https://bit.ly/ClubPriveSante

Attention aux faux messages santé de l’industrie de la maladie et j’espère pouvoir t’aider à reprendre le contrôle sur ta santé par des approches intelligentes et efficaces !

Dis-moi en commentaire après avoir jeté un coup d’œil à la liste des prochains experts en santé naturelle que je vais inviter quelle(s) thématique(s) tu souhaiterais que j’aborde plus tard 🙂




Stop aux injections anti-covid chez les jeunes : la recommandation des agences sanitaires du Danemark, Royaume-Uni, Belgique et Suède

Vacciner les jeunes contre le covid est inutile, inefficace et dangereux. De plus en plus d’agences sanitaires nationales le reconnaissent et retirent leur recommandation initiale basée sur les communiqués publicitaires mensongers des fabricants de vaccin.

Dès que les pseudo vaccins covid ont été mis sur le marché, nous avons dénoncé leur utilisation comme totalement inutile chez l’enfant (car ils ne risquent rien du covid) et potentiellement dangereuse (car ces injections totalement expérimentales n’avaient pas été entièrement testées.)

Malheureusement les agences sanitaires ont collaboré à la propagande sanitaire gouvernementale en prétendant contre toute évidence scientifique que la balance avantages/risques de ces injections expérimentales était positive entraînant de trop nombreuses injections d’enfants. Mais le retour à la raison de nombreuses agences sanitaires étrangères vient relancer un débat jusqu’ici occulté.

Les enfants souffrent exceptionnellement du Covid19 et seulement de formes bénignes. Ils ne peuvent donc espérer aucun bénéfice personnel des injections.

Weiyong Liu rapporte1 que le Covid19 n’est responsable que de 2 % des pneumopathies de l’enfant et précise :

« Tous les patients se sont rétablis après l’hospitalisation pendant une durée médiane de 7, 5 jours ».

Hao Hong2 confirme les moins de 18 ans ne représentent que 0,6 % des infectés à Covid19. Le Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies sur 73 414 cas estime que les moins de 19 ans constituent moins de 1 % des infectés3. Zhonghua Liu4 a remarqué que : « sur 44 672 cas confirmés en laboratoire seulement 416 cas (0,9 %) étaient âgés de 0 à 9 ans et 549 (1,2 %) étaient âgés de 10 à 19 ans ; le taux de mortalité dans le groupe des 0-19 était de 0,18 % ». Aucune forme sévère observée sur les 300 nourrissons polonais de moins de 1 an atteints de covid suivi par Małgorzata Sobolewska —5 ni parmi les 1749 enfants islandais infectés par le SARS-CoV-2 en 3 vagues d’infections6.

Aux États-Unis, les données des CDC 7confirment la rareté des infections à Covid chez l’enfant : « Parmi 149 082 cas signalés pour lesquels l’âge était connu, 2 572 (1. 7 %) concernaient des enfants de moins de 18 ans » et leur risque létal très faible : « trois décès ont été signalés parmi les cas pédiatriques inclus dans cette analyse », soit un risque de 0,12 %. La macroanalyse (revue systématique de la littérature) de Jonas F Ludvigsson 8 confirme ces constatations.

Au 7 juillet 2022, après deux ans et demi d’épidémie santé publique France recensait 94 décès chez les moins de 18 ans « avec infection SARSCoV2 ». Le « lien possible avec la Covid-19 » était établi dans 33 cas dont 29 présentaient des comorbidités très sévères.

Santé publique France précisait : « Lorsque les enfants présentaient des comorbidités sévères, le lien entre la Covid-19 et le décès était cependant difficile à établir », « dans certains cas, l’infection était de découverte fortuite et le décès était en lien avec un accident ou une autre pathologie », soit seulement 4 enfants sans comorbidité morts en 30 mois contre 7 à 10 décès d’enfants (essentiellement chez les moins de 1 an) par an, lors des épidémies de grippe d’avant le covid.

Cette revue de la littérature confirme que le Covid 19 est rare, presque toujours bénin chez l’enfant et que sa mortalité dans cette tranche d’âge est inférieure à celle de la grippe saisonnière.

Les enfants ne sont pas vecteurs de contamination9. Leur vaccination ne diminuerait donc pas la transmission de la maladie autour d’eux.

L’étude de Santé Publique France du cas de l’enfant infecté des Contamines10 est très démonstrative. Ayant été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club, l’enfant n’a contaminé personne, pas même les deux autres enfants de sa fratrie.

Dans l’étude de l’institut Pasteur sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois11, les scientifiques ont étudié 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes et qui n’ont contaminé personne, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

L’étude Coville, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans permet de conclure que :

« sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »

Christèle Gras-Le Guen, vice-présidente de la société française de pédiatrie, a déclaré lors d’une interview :

« La Covid-19 n’est définitivement pas une maladie pédiatrique »12.

Aux Pays-Bas, dix patients COVID-19 âgés de moins de 18 ans ont eu 43 contacts étroits avec d’autres enfants et adultes et aucun d’entre eux n’est tombé malade13.

Une étude australienne a analysé des cas confirmés de COVID-19 chez 9 enfants et 9 employés des écoles qui ont été en contact étroit avec 735 enfants. Deux enfants pourraient avoir été infectés par l’un de ces 18 patients. Aucun autre enseignant ou membre du personnel n’a contracté le COVID-1914.

Une étude irlandaise 15 portant sur 924 enfants et 101 adultes qui avaient eu des contacts étroits avec un malade à l’école, aucun n’a eu le COVID-19.

En Suède16 la poursuite des activités scolaires n’a pas aggravé l’évolution de la pandémie pour les enfants en Suède, par rapport aux pays ayant des mesures de verrouillage strictes.

Comme le concluent B Lee et W V Raszka 17 dès août 2020 :

« dans la transmission du Covid19, l’enfant est innocent »..

La vaccination des enfants ne peut donc pas avoir d’intérêt altruiste, d’autant que les pseudo vaccins se sont révélés incapables d’empêcher les transmissions.

Comme le confirment les données officielles de l’OMS mises en graphique par l’université John Hopkins.

Inutiles chez l’enfant et inefficaces à tout âge, les injections ne sont pas sans risques

Trop d’enfants ont reçu ces injections expérimentales et certains ont souffert de complications sévères (en particulier des myocardites)18 dont le risque majoré par la seconde dose et estimé à 0,25 cas pour 100 000 doses du vaccin Comirnaty et 0,29 cas pour 100 000 doses du vaccin Spikevax.

D’autant que ces myocardites post-vaccinales se révèlent plus graves qu’annoncé : 25 % des myocardites post-vaccinales ont été hospitalisées en réanimation, 16,5 % des patients n’étaient pas guéris au bout de 90 jours, environ 50 % des patients présentaient des IRM anormales et 25 % des patients considérés « guéris » étaient encore sous traitement médicamenteux19.

Il ne faut pas « vacciner » les enfants contre le covid

Les faits établis montrent sans ambiguïté que la balance avantage/risques de la pseudo vaccination la contre-indique chez l’enfant. C’est l’opinion de Gérald Kierzek 20 ou de Martin Blachier.

De plus de nombreuses agences sanitaires européennes ne recommandent plus l’injection

Le 1er juillet 2022, les autorités sanitaires du Danemark ont émis de nouvelles directives recommandant aux moins de 18 ans de ne pas être vaccinés21 :

« Les enfants et les adolescents tombent très rarement gravement malades avec Covid-19 avec la variante Omicron. Ainsi, à compter du 1er juillet 2022, il ne sera plus possible pour les enfants et adolescents de moins de 18 ans de recevoir la 1re injection. À partir du 1er septembre 2022, recevoir la deuxième injection ne sera plus possible. Un petit nombre d’enfants présentant un risque particulièrement accru de progression grave de la maladie continueront d’avoir la possibilité de se faire vacciner après évaluation individuelle par un médecin. »

Le 3 septembre 2022, le Royaume-Uni a levé sa recommandation pour les moins de 11 ans en bonne santé22.

Et aussi les autorités sanitaires belges qui ne recommandent plus les injections pour les moins de 50 ans.

Le vendredi 30 septembre 2022, l’autorité de santé suédoise a annoncé qu’elle ne recommanderait plus la vaccination contre le Covid-19 pour les adolescents âgés de 12 à 17 ans en bonne santé, en raison du « risque très faible » de développer une forme grave de la maladie à cet âge.

Les agences sanitaires françaises seront-elles les dernières à reconnaître l’évidence ?


1 Weiyong Liu. et al : Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371

2Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001

3 Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China: summary of a report of 72,314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. JAMA 2020; published online Feb 24. DOI : 10.1001/jama.2020.2648.

4 Epidemiology Working Group for NCIP Epidemic Response, Chinese Center for Disease Control and Prevention. [The epidemiological characteristics of an outbreak of 2019 novel coronavirus diseases (COVID-19) in China]. Zhonghua Liu Xing Bing Xue Za Zhi. 2020 Feb 10;41(2):145-151. Chinese. doi : 10.3760/cma.j.issn.0254-6450.2020.02.003. PMID : 32064853.

5 Sobolewska-Pilarczyk, M., Pokorska-Śpiewak, M., Stachowiak, A. et al. COVID-19 infections in infants. Sci Rep 12, 7765 (2022). https://doi.org/10.1038/s41598-022-11068-0

6 Thors V, Bjornsdottir KL, Love T, Haraldsson A. SARS-CoV-2 Infections in Icelandic Children: Close Follow-up of All Confirmed Cases in a Nationwide Study. Pediatr Infect Dis J. 2022 Oct 1;41(10):835-840. doi: 10.1097/INF.0000000000003626. Epub 2022 Jul 8. PMID : 35797713 ; PMCID : PMC9508943.

7 Intervention Team CDC COVID-19. Coronavirus Disease 2019 in Children—US February 12th April 2. MMWR Morb Mortal Wkly Rep. 2020 10 avril ; 69 (14) : 422-426 doi: 10.15585 / mmwr.mm6914e4

8 Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 23 mars.

9 http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-grands-parents-peuvent-aller-chercher-leurs-petits-enfants-lecole-et-les

10 Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.

11 A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020

12 Christèle Gras-Le Guen https://theconversation.com/rentree-scolaire-la-covid-19-nest-definitivement-pas-une-maladie-pediatrique-145287

13 National Institute for Public Health and the Environment. Ministry of health, welfare, and sport. Netherlands. Children and COVID-19. Available: https://www.rivm.nl/en/novel-coronavirus-covid-19/ children-and-covid-19

14 Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles — L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020Google Scholar

15 Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020; 25 :2000903.

16 Hildenwall H, Luthander J, Rhedin S, et al. Paediatric COVID-19 admissions in a region with open schools during the two first months of the pandemic. Acta Paediatr. 2020; 00:1—3. https://doi.org/10.1111/apa.15432

17 Benjamin Lee and William V. Raszka COVID-19 Transmission and Children: The Child Is Not to Blame Pediatrics August 2020, 146 (2) e2020004879; DOI: https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879

18 https://actu.fr/grand-est/faulx_54188/lorraine-covid-19-atteint-d-une-myocardite-apres-son-vaccin-il-passe-quatre-jours-a-l-hopital_43988075.html

19 Myocardites post-vaccinales : plus graves qu’annoncées https://1001rss.com/myocardites-post-vaccinales-plus-graves-quannoncees/2022/10/06/

20 Gérald Kierzek Il ne faut pas vacciner les enfants HTTPS://WWW.GALA.FR/L_ACTU/NEWS_DE_STARS/EXCLU-GERALD-KIERZEK-IL-NE-FAUT-PAS-VACCINER-LES-ENFANTS_482383

21 https://www.riotimesonline.com/brazil-news/modern-day-censorship/denmark-to-completely-stop-covid-vaccinations-for-minors-as-of-sept-1/

22 Ouest-France avec AFP https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/royaume-uni-pas-de-vaccin-anti-covid-pour-les-12-15-ans-en-bonne-sante-2e9bed2e-0ccf-11ec-8f66-1caeab7b6




« De la punition et de l’obstination » : Sylviane Noël cingle le refus du gouvernement de réintégrer les soignants suspendus

[Source : FranceSoir]

Mardi 4 octobre, le Sénat a débattu sur les urgences hospitalières et les soins non programmés à la demande du groupe Les Républicains. À cette occasion, la sénatrice LR Sylviane Noël a interpellé Agnès Firmin Le Bodo, ministre déléguée auprès du ministre de la Santé et de la Prévention, chargée de l’Organisation territoriale et des Professions de santé, sur la nécessité de réintégrer les professionnels de santé suspendus depuis le 15 septembre 2021 suite à leur refus de recevoir la vaccination contre le Covid-19. Évoquant « un système de santé à l’agonie », elle a fait valoir que « nous ne pouvons plus nous passer du moindre soignant » en vue de pallier la pénurie d’effectifs dans les hôpitaux.

https://www.youtube.com/embed/Y2AS4tnd4BQ

La femme politique de droite a tout d’abord souligné dans la première partie de son intervention qu’en France :

« avec plus de 20 millions de passages par an, les hôpitaux sont engorgés au plus haut point et confrontés à un double effet ciseau : d’une part, la pénurie de soignants, plus grave que jamais, et un fort recours aux urgences pour nos compatriotes. »

Dans la seconde partie de son intervention, martelant que « cette situation n’est plus tenable », Mme Noël a ensuite rappelé que la « quasi-totalité des pays ont abandonné cette mesure » et que le gouvernement laisse désormais le « libre-choix » aux soignants de se faire vacciner contre le Covid-19. « Dans ces circonstances, le maintien de cette mesure est incompréhensible et relève davantage de la punition et de l’obstination que de la justification sanitaire », a-t-elle ensuite asséné, attirant l’attention sur le fait que « notre système de santé est à l’agonie » et que « nous ne pouvons plus nous passer du moindre soignant ». Et de demander à la ministre : 

« Ma question est simple : quand envisagez-vous de lever cette mesure, qui engendre un peu plus de dysfonctionnements et d’engorgements ? »

« Je veux dire à celles et ceux qui pensent que c’est une réponse miracle pour répondre aux problèmes d’effectifs de l’hôpital, qu’ils se trompent », a rétorqué Mme Firmin-Le Bodo, qui estime qu’il ne s’agit pas de milliers de soignants suspendus mais de « quelques centaines de personnes sur plus de 300 000 soignants ».

Bien qu’il soit établi que la vaccination n’empêche ni la transmission du Covid-19 ni de développer des formes graves de la maladie, et bien que l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPESCT) a reconnu dans son rapport d’étape rendu le 9 juin 2022 le risque d’effets indésirables liés à l’injection, la ministre a réitéré que le personnel médical non-vacciné avait « refusé de se protéger pour protéger les autres ». Elle ajoute : « Les avis du Conseil scientifique et de la Haute Autorité de santé ont été rendus et ils sont favorables au maintien de l’obligation de vaccination contre la Covid-19 des personnels exerçant dans les établissements de santé et médico-sociaux ». Se basant sur les avis très controversés de quelques scientifiques choisis, elle a assuré que le gouvernement a « toujours géré cette crise en nous basant sur les recommandations des scientifiques et ce n’est pas aujourd’hui que cela va changer. »




États-Unis — Les données récemment révélées par le CDC montrent l’ampleur des effets secondaires « vaccinaux » anticovid

[Source : Ciel voilé]






Lancement de la BFL — Banque de France Libre

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]

https://banquedefrancelibre.fr/

[Voir aussi :
Le Franc Libre : présentation de la série fiduciaire
Le FRANC LIBRE : deux mois plus tard. Point de situation et perspectives
Devenez la Force qui se dressera quand le vent de l’Histoire va souffler
Franc Libre et tournée CSP : point de situation
Résilience et Résistance pour la France]




Ne vaccinons pas non plus les garçons par le Gardasil

Par Dr Gérard Delépine

Pour les marchands de vaccins, limiter l’indication du Gardasil, vaccin anti-papillomavirus, à « la prévention du cancer du col de l’utérus » a un inconvénient majeur : on ne peut le vendre qu’aux femmes qui ne constituent qu’une moitié de la population mondiale. Perdre la moitié d’un marché si rentable leur est insupportable. C’est pour cela qu’une campagne de propagande pro Gardasil pour les garçons se développe actuellement dans les médias, relayée par le ministère, et des médecins trompés ou corrompus.

Il faut rappeler que les cancers liés au HPV sont rarissimes chez les hommes y compris chez les populations à risque que sont les homosexuels, quasiment les seuls concernés (800 cancers par an pour 67 millions de Français).

De plus, ces vaccins n’ont toujours pas démontré d’efficacité réelle dans la prévention des cancers invasifs du col utérin chez la femme, liés au HPV : au contraire on observe dans certains groupes de femmes une augmentation du risque de cancer après cette vaccination1 2.

Le Gardasil n’est pas un vaccin sans risque, car il expose à de complications, en particulier neurologiques.

Prendre des risques réels pour un bénéfice non démontré n’est pas raisonnable. Ne vaccinons pas les garçons par le Gardasil !

Le lien de causalité exclusive entre infection à HPV et cancer n’est pas démontré

(Un ami gendarme m’a rappelé que « Sur les lieux d’un crime, on trouve aussi les témoins »

Avant la mise sur le marché de ce vaccin, tous les articles recherchant les causes du cancer du col utérin démontraient que ce dernier est statistiquement lié à de très nombreux facteurs favorisants, eux — mêmes liés entre eux dont : l’activité sexuelle précoce, importante et variée (source de microtraumatismes répétés et d’inflammations chroniques qui constituent des causes classiques de cancérisation), le tabagisme, le nombre élevé d’enfants (plus de cinq), les déficits immunitaires et les infections génitales dont l’herpès, le Chlamydia et une vingtaine de souches de HPV.

Depuis la mise sur le marché des vaccins antiHPV les articles détaillant les facteurs favorisants des cancers se focalisent uniquement sur ces derniers virus.

Le papillomavirus qui ne donne aucun signe clinique est habituellement commensal comme le staphylocoque blanc sur la peau, le colibacille dans l’intestin et le bacille de Doderlein dans le vagin.

Plus de cent cinquante souches de papillomavirus infestent l’Homme. La contamination se fait par simple contact cutané (plus de 50 % des vierges sont ou ont été infectées3) ou lors d’acte sexuel. Près de 80 % des personnes sexuellement actives seront infectées sans le savoir un jour ou l’autre et à plusieurs reprises et s’en débarrasseront naturellement dans 90 % des cas en quelques mois sans séquelles avec acquisition d’une immunité solide contre la souche concernée.

Une réinfection est possible avec une autre des 150 souches existantes et la multiplicité des partenaires et des contacts sexuels fréquents favorisent la persistance d’une infection à HPV. Une vingtaine de souches connues peuvent précéder un cancer de plusieurs années, sans qu’aucune preuve de causalité directe n’ait jamais été établie avec certitude.

On n’a jamais réussi à créer un cancer chez une lapine en infestant son col de l’utérus par des HPV, alors qu’on fait apparaître un cancer cutané en badigeonnant de goudron la peau d’un lapin. Les HPV se comportent donc possiblement comme de simples témoins d’une activité sexuelle importante, accusés d’être coupables de cancérisation parce que présents sur les lieux. Possibles témoins innocents du cancer.

L’absence de lien de causalité exclusive démontré entre infection à HPV et cancer rend très hypothétique l’efficacité des vaccins anti HPV contre les cancers associés au virus, qu’il s’agisse du cancer du col de l’utérus, du cancer anal ou ORL.

D’ailleurs, après 15 ans de vaccination des filles en Australie et en Grande-Bretagne si l’efficacité des vaccins est démontrée sur les lésions bénignes (condylomes, verrues) contre les souches de HPV ciblées par le vaccin, aucune diminution d’incidence des cancers invasifs du col de l’utérus n’est apparue dans les registres nationaux du cancer.

En Australie : en 2018, 936 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus ont été diagnostiqués en Australie. En 2022, on estime que 942 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus seront diagnostiqués en Australie4

ou en Grande-Bretagne Au cours de la dernière décennie au Royaume-Uni (entre 2006-2008 et 2016-2018), les taux d’incidence du cancer du col de l’utérus chez les femmes sont restés stables.5

Il en est de même en Suède6.

Les multiples articles qui proclamant chaque année que les pays qui vaccinent sont en passe d’éradiquer ces cancers ne regardent pas les faits avérés et officiels, mais se basent uniquement sur des modélisations aux hypothèses fausses choisies à des fins de propagande marchande.

Le cancer anal ne menace qu’une partie infime de la population masculine

Le risque de cancer anal possiblement lié aux HPV a été le moteur de la proposition des centres de contrôle et de prévention des maladies infectieuses (CDC) américains de vacciner les garçons. Mais ce cancer, très rare, ne menace qu’un groupe très restreint de la population mâle et ne justifie donc pas une vaccination généralisée.

En France, environ 800 cas de cancer anal surviennent chaque année chez l’homme touchant presque exclusivement les homosexuels masculins (74% des cas) adeptes de rapports passifs anaux, surtout s’ils ont multiplié les partenaires sexuels.

La séropositivité au virus du sida (77 % des cas) multiplie par 40 leur risque de cancer anal qui n’est pas diminué par les antiviraux actifs sur la charge virale. Le tabagisme et les traitements immunodépresseurs représentent aussi des facteurs favorisants. Il existe certes une corrélation statistique entre la présence de HPV et le cancer, mais là encore la responsabilité causale n’est pas démontrée. Lorsqu’on n’est pas homosexuel passif, le risque de cancer anal est infime même si on est porteur de HPV.

De plus, les exemples de l’Australie et de la Grande-Bretagne ne sont pas en faveur d’une efficacité préventive des vaccins antiHPV contre le cancer anal.

Depuis 15 ans, malgré le très fort taux de vaccination chez les filles, leur incidence de cancer anal a augmenté et même plus vite que celle des garçons très peu vaccinés.

Les courbes britanniques sont très démonstratives, car depuis la vaccination des filles, l’incidence du cancer anal chez les femmes a augmenté de 50 % (de 2/100000 à 3/100000) alors que durant la même période, chez les hommes, l’incidence n’a augmenté que de 15 % de 1,5/100 000 à 1,7/100 000). On peut donc craindre que ce vaccin antiHPV favorise l’éclosion d’un cancer anal comme il favorise l’apparition précoce et plus fréquente d’un cancer du col utérin contrairement à tous les espoirs.

Pour éviter le cancer de l’anus, il est statistiquement beaucoup plus efficace d’utiliser un préservatif (qui diminue le risque de Sida et des autres maladies sexuellement transmissibles).

La peur du cancer anal instillée par les médias a permis de proposer le vaccin aux hommes homosexuels et à tous adultes ayant des « pratiques à risque » (sexe anal passif). Malheureusement pour les marchands de vaccin, ils représenteraient moins de 5% de la population, marché trop petit, sauf si on arrive à convaincre les politiques d’imposer une obligation pour tous, « au cas où » ou pour « éviter les discriminations » !

Les cancers ORL

Les hommes n’ont pas d’utérus et ne sont pas tous homosexuels passifs aussi, pour élargir le marché aux hétérosexuels masculins, les fabricants de vaccin7 ont instrumentalisé les cancers ORL comme une menace des virus HPV, sans davantage d’arguments scientifiques solides sur la causalité.

En France, on observe chaque année environ 14000 nouveaux cas8 de cancers des voies aériennes supérieures, ce qui en fait le 5e cancer le plus fréquent. La quasi-totalité de ces cancers est due à l’alcool et au tabac ainsi qu’en témoigne depuis quelques années leur diminution d’incidence après la diminution de consommation de ces toxiques chez les hommes alors qu’on note comme en Espagne9 une augmentation de l’incidence chez les femmes, depuis l’augmentation de leur consommation d’alcool et de tabac.

Certains cancers de la gorge et de l’amygdale s’accompagnent d’une infection par le papillomavirus comme dans les cas de Michael Douglas10, Marcia Cross et son mari11 très fortement médiatisés par les marchands de vaccin pour en faire une promotion hollywoodienne de leurs produits.

Mais si la responsabilité du cunnilingus est vraisemblable dans la transmission virale entre partenaires, il n’est toujours pas démontré que ce virus constitue un facteur de risque de cancer de l’oropharynx lorsque les autres les conditions du développement de ce cancer (tabagisme, immunodéficience) ne sont pas réunies.

D’ailleurs, après avoir imputé son cancer au sexe oral, Michael Douglas est finalement revenu sur ses déclarations initiales12, précisant qu’il était aussi fumeur et buveur levant ainsi le soupçon de responsabilité du cunnilingus comme raison de son cancer de la gorge.

Aux USA, l’analyse des chiffres bruts de l’étude qui a créé l’inquiétude montre qu’il est trop tôt pour parler d’une recrudescence de cancers oropharyngés dus à la sexualité orale. Certes une augmentation de l’incidence du cancer de l’oropharynx en particulier des amygdales chez les Américains blancs de moins de 50 ans sans antécédent de consommation d’alcool ou de tabac a été observé13, mais le nombre absolu de cas reste faible14.

Et comme il est rappelé à chaque fois qu’on évoque une complication vaccinale « lien statistique ne signifie pas causalité ».« Ce virus est retrouvé chez des malades souffrant de cancer des amygdales et dans celui de la base de la langue. Cela ne veut pas dire pour autant que le HPV va être la cause de la cancérogenèse au niveau de l’amygdale, ça reste à démontrer15. »

En France, il n’y a pas d’augmentation démontrée de cette étiologie de cancer même si la recherche devenue systématique du virus devant tout cancer ORL va faire apparaître sa présence plus fréquente qu’on ne supposait jadis.

De plus, en Australie comme en Grande-Bretagne la vaccination des filles depuis plus de 15 ans n’a pas été suivie par la diminution des cancers ORL.

Pour éviter les cancers ORL, il est beaucoup plus efficace de ne pas fumer, de boire peu d’alcool et d’utiliser des préservatifs pour se protéger du sida que de se vacciner par Gardasil.

Le Gardasil est parfois suivi de complications

Le calvaire d’Océane 16 17 a mis en évidence les risques neurologiques de ces vaccins liés certainement à l’aluminium utilisé comme adjuvant et possiblement à une prédisposition génétique. Le lien de causalité a été reconnu par les experts et une indemnisation accordée par les juges.

Ne vaccinons pas les garçons par le Gardasil, pas plus que les filles chez lesquelles les risques sont connus et les bénéfices non démontrés !

ATTENTION à la propagande marchande en cours !

Vacciner chaque année la totalité d’une classe d’âge (380 000 garçons) pour espérer prévenir, selon des hypothèses de causalité exclusive très incertaines, quelques cancers cantonnés à un groupe très spécifique est donc totalement disproportionné du point de vue médical, puisque cela reviendrait à prendre des risques certains pour un bénéfice hypothétique très incertain.

Le coût financier de la généralisation de cette vaccination est également totalement exorbitant, car il faudrait dépenser 3,5 milliards d’euros la première année puis 180 millions d’euros chaque année sans même pouvoir espérer le moindre résultat avant 15 ans ! Au point que la députée Laure de la Raudière18 avait proposé une taxe Gardasil sur le tabac afin de financer cette vaccination qu’elle voulait, avec 15 membres de la majorité présidentielle rendre obligatoire !





« Chaos » au sein de LA pensée occidentale : implosion, magma, résurrection ?…

Par Lucien SA Oulahbib

Un commentateur restituant archéologiquement telle ou telle « pensée » ou s’en servant comme ressassé mondain n’est pas un « penseur » en ce sens « ancien » quoique très strict de créateur d’un système d’explication objective du monde qu’il est possible de valider ou d’infirmer. C’est un « passeur » tout au plus. Certes, tel ou telle peut mettre en avant une approche, un angle, une analyse, mais, même argumenté, (dépassant la seule opinion) cela ne suffirait pas (« Que nul n’entre s’il n’est géomètre »). 

Même les sciences de la matière et de la vie sont désormais touchées par cette absence de vision globale (hormis le catastrophisme ambiant). L’échec, patent, de l’injection à ARN et la difficulté de la physique théorique à mettre de l’ordre dans sa vision cosmologique le montrent bien. Elles y arrivaient encore peu ou prou jusqu’à peu, surtout à la suite du tournant galiléen newtonien, darwinien, mendélien se séparant (en apparence) des physiques aristotéliciennes et cartésiennes — en apparence, car les questions de l’impulsion première et la consistance tourbillonnaire, par exemple au sein des interactions cellulaires sont, semble-t-il, encore bel et bien là, mais sans réponses convaincantes, malgré toute leur acuité, ne serait-ce qu’en astrophysique avec l’expansion permanente de l’univers et son lien au sein des cellules comme l’indique le paradoxe EPR.

Elles sont certes encore perçues de manière dynamique (avec le concept de Soi) et au moins restent toujours ouvertes permettant tout de même (malgré cependant de plus en plus d’« interdits »…) la résurrection de la spéculation heuristique à commencer par le principe anthropique (voir une interprétation possible dans Être et vérité du réel humain).

Néanmoins, ces sciences de la matière et de la vie, du fait de la censure ambiante d’aujourd’hui, par exemple sur les plans climatique et immunologique, et du fait de leur hyperspécialisation scientiste et industrialisation affairiste (y compris en recherche « fondamentale ») excluant frénétiquement homéopathie et médecines préventives ancestrales (naturothérapie), ces sciences dites autrefois « dures » ont bel et bien perdu en vigueur heuristique. Elles avaient pourtant su, à la fin du XIXe siècle, poser des questions critiques non quelconques envers la physique newtonienne au niveau micro, en questionnant par exemple le lien entre espace et temps en un instant T (la question de David Hume un siècle auparavant à vrai dire) ou la notion de quanta pour mesurer la force d’une onde lorsqu’elle est ainsi saisie par « partie » (parti/cule), sans oublier son côté dynamique vital permanent (ADN, ARN…) au sein même des relations entre le soma et le germen plus du tout aussi étanches l’un par rapport à l’autre ; d’où d’ailleurs les inquiétudes d’aujourd’hui avec l’injection massive d’ARN messager, dont les rétroactions répétées peuvent agir de façon épigénétique au sens de créer des mutations inédites négatives comme la fragilisation pérenne de notre système immunitaire naturel. Mais au lieu d’ouvrir le débat, cette inquiétude sera immédiatement cataloguée de « complotiste » dans une sorte de gestuelle obscurantiste de la pire eau comme si le terme même de « complot » venait d’être inventé par des « convalescents masqués »…

Sans oublier aussi que ce qui est transmis génétiquement n’est pas « que » de la biologie au sens seulement physico-chimique comme le prétendent les adeptes de la théorie du genre et de la double-parentalité, mais transmet aussi des traits psychiques. Ceux-ci se traduisant d’ailleurs par des dispositions conatives et cognitives singulières (voir les travaux de Maurice Reuchlin et Joseph Nuttin, la psychologie cognitive actuelle d’un Stanislas Dehaène s’orientant aussi dans cette direction) un peu trop évacués sous le prétexte d’un réductionnisme biologiste et sociologiste (la matière a fortiori vivante réduite à un champ de forces), ce qui ne se peut tant il existe des constantes certes évolutives, mais restant pérennes ou l’identité ET la différence… Vieux débat sur l’Un/l’Être depuis le Parménide de Platon que les économètres d’aujourd’hui modélisant passions et sentiments veulent réduire à des quanta de flux modifiables par injections d’injonctions paradoxales : la « maladie » devient un « dysfonctionnement » et un « désir » une fenêtre d’opportunité pour le prêt-à-consommer bas de gamme.

Ce qui fait qu’au niveau « mental », pour aller un peu plus vite, les attaques répétées deviennent exponentielles, vagues incessantes de non-sens obscurantistes contre le concept même de « Soi » par la destruction, voire l’autodestruction « volontaire » du lien entre le Moi (caractères et préférences conatives, voir ci-dessus) et le Je (tempérament qui en module les expressions) en le réduisant soit à son origine sociale (tout ne serait « que » construction sociale, donc le fossé entre privilégiés et gilets jaunes s’accroît) soit bio-ethnique (tout serait donné par la « race » qu’il faudrait purifier ou alors en créer une nouvelle par le « transhumanisme » et le transgenre), alors que ce lien entre Moi et Je se structure dans un Soi non seulement biologique, mais également politique (comme l’explique bien Norbert Élias : un humain sans société perd ce caractère même), en ce sens où le fait d’être reconnu à sa juste valeur renforce l’estime de soi et partant bonifie la dialectique de son triptyque (Sujet-moi-je/Acteur politique/Agent social) et ce bien plus au sein de la Nation que du clan seul (infra).

Aujourd’hui, comparés aux puissants débats entre un Einstein, un Bohr, un de Broglie, un Durac, voire même les intrusions d’un Lénine (critiquant Mach sur la perception multiforme du « réel », Habermas réitérant la même méprise sur les niveaux de réalité : « la preuve du pudding ? C’est qu’on le mange ! », une affirmation hors sujet en physique, la chose étant seulement à ce stade un combiné de particules) ou d’un Engels (sur la « dialectique de la nature » réitérant l’idée de Marx sur le surcroît de quantité qui créé la qualité alors qu’il l’a détruit en la remplaçant par une autre, comme le montre Hegel sur la question de « l’essence », cette substance posée…).

N’oublions pas aussi les confrontations de naguère si ouvertes en sciences de la société (ontologie, logique, éthique, économie…) par exemple entre Keynes/Hayek, Popper/Wittgenstein, Cohen/Cassirer/Heidegger/Schmitt/Strauss (Léo) ; l’analyse sans faille d’un Pareto sur la montée et l’effondrement des élites reprise en partie par Claude Lefort (dans La Complication) lorsqu’il explique pourquoi la petite bourgeoisie des villes choisit l’adhésion à la IIIe internationale après 1917 — d’où le schisme de 1920 en France : afin tout benoîtement de prendre des places, comme aujourd’hui au sein de l’idéologie catastrophiste du « trans » posé comme vecteur ou clé de la « grande bascule » civilisationnelle vers le cyborg ou la fusion homme-machine, avec en haut de la pyramide les Immortels s’amoncelant autour des nouvelles Babel.

Tous ces auteurs seraient aujourd’hui, sinon interdits, du moins marginalisés (trop « blanc », pas assez « sorcier ») : non pas au sens du débat posthume entre Boudon et Lévy-Bruhl sur la pensée magique ou la place effective de l’imaginaire, mais d’une démesure obscurantiste visant à opposer raison et imaginaire, ce qui faisait dire par exemple à Derrida que Husserl aurait trouvé incongru l’expression « un cercle carré » (lire une critique de cette acception p.98) alors que celle-ci peut s’entendre dans le domaine de la fiction, mais non dans celui de la logique…

Cet obscurantisme, ce prémarxisme, ce rabougrissement, ses chamailleries picrocholines, voile à nouveau le réel, par exemple en matière climatique ou immunologique. Le débat est à l’évidence de plus en plus fermé (Allègre, Courtillot, Leroux, Raoult sont écartés ou marginalisés), sous le prétexte d’un “consensus” en réalité seulement institutionnel et non pas épistémologiquement effectif : aucune preuve tangible sur la responsabilité unique du CO2 ou sur la supériorité des injections Spike (excitant seulement quelques anticorps sur trois à quatre mois qui deviennent des “agents doubles”, d’où l’extension de l’épidémie/syndémie en fait), alors que la médecine préventive antiparasitaire et stimulant les défenses immunitaires a décidément de plus en plus toute sa place…

Mais c’est l’effet Lyssenko en URSS ou Bourdieu-Foucault actuellement en France, c’est-à-dire bien loin des débats du XIXe et XXe siècle indiqués ci-dessus (rappelons aussi ceux entre Taine/Tarde/Durkheim, plus en amont Cuvier et St Hilaire). Lesdites sciences « sociales » proprement dites ne font d’ailleurs plus que du prémarxisme obscurantiste, répétons-le, avec par exemple cette idée, unique, de « domination » qui n’explique rien et ne décrit même pas ce qui « est », puisqu’elle ne le perçoit que négativement au sens mécaniste et non pas aristotélicien (qu’avait repris au moins Hegel) : la statue de marbre est certes « négative », du moins pour celui-ci, mais devient positive pour l’humain ; amendée aujourd’hui par la question de plus en plus cruciale, y compris en économie, du qualitatif (du « haut de gamme pour tous » disait Sagan…) qui s’oppose au productivisme quantitatif bas de gamme (Netflix, Disney compris avec leur faux progressisme, rétrograde en réalité : bienvenue dans le monde de Caligula…).

Ce qui nous manque au fond pour sortir de ce chaos non pas créatif, mais obscurantiste, c’est bien l’émergence d’une néo-modernité dépassant enfin l’enfance de la modernité issue de la fausse Renaissance (car il ne suffit pas d’imiter les Anciens pas plus que de rompre totalement avec eux, mais il faut inventer de nouvelles Traditions qui vaillent réellement le coup pour l’affinement humain ET citoyen).

Ainsi refondée, « la » Modernité quitterait son adolescence négativiste postmoderne d’aujourd’hui issue de l’impasse marxiste et scientiste (Marx se réclamant de « la » Science) qui veut tout détruire tel un adulescent rageur faute d’aller au-delà de Marx (qui n’était pas « marxiste » et a eu l’honnêteté de ne pas publier les tomes II et III du Capital, invalidés par le fait que la mécanisation n’aura pas détruit le capitalisme, bien au contraire…).

Mais ses Suivants, au lieu de métamorphose et d’innovation propre à une maturité sereine qu’il serait possible d’atteindre encore, ont préféré construire les impasses actuelles qui certes déploient le parfum dense de la décadence façon « Cabaret »… Pourtant la période n’a pas encore tout à fait basculé du côté du déclin (au sens non spenglerien) de l’irréversibilité décadente, ni même du côté de Huntington, puisque « le choc des civilisations » s’institue (de manière surprenante ?) au sein même de l’Occident (via également la guerre de l’OTAN postchrétienne et pseudo-islamisée contre la Russie orthodoxe, mais également poststalinienne, n’ayant pas établi son Nuremberg), entre d’une part sa frange sectaire déviationniste qui a perverti l’universalisme positif au profit de sa seule imposition arbitraire et d’autre part sa frange préservatrice, mais qui s’arc-boute uniquement sur une ligne défensive alors que l’offensive innovante (« de l’audace, toujours de l’audace ») reste la clé lorsque l’on entre en Polémos….

En « science de la Psyché » aussi par exemple : ainsi non seulement celle-ci ne sait plus où placer l’éthique (réduite à des « valeurs » au détriment des vertus, ces mesures ontologiques fondamentales), depuis que les termes « âme » et « esprit » ont été évincés au seul profit de la « conscience », alors que celle-ci est un écran sur lequel s’affiche ce qui (se) travaille dans l’interaction. C’est ce qui a été nommé la pneumatologie en reprenant un terme utilisé autrefois exprimant justement ce lien dans la « psyché » entre passions et raison, logique des passions de ce qui nous affecte d’une part, et vérité de la raison d’autre part ; au sens de donner une direction en raison à l’action allant vers la préservation ou la dispersion, l’affinement ou la dissolution, ce qui renforce ou affaiblit « positivement » ou « négativement » et ce qui a été nommé le travail oligomorphique de la Néo-modernité au sein même de cette pneumatologie : est-ce que cette action me renforce ou m’affaiblit, et où me mène cette oscillation qu’il ne vaudrait mieux peut-être ne pas réaliser du point de vue des conséquences ? Vers plus de préservation d’un Même, l’affinement d’un Semblable (développé aussi dans des livres et articles) ou se contenter d’une (auto)destruction jouissive (remplaçant « l’auto-mouvement » de Lénine) dont se sert la Secte SHA (scientiste, hygiéniste, affairiste) ou le néonazisme ayant absorbé le néo-léninisme dont il se sert comme milice (en col roulé) à tout faire ; mais qu’attendre de la canaille chic, celle de la lumpen-intelligentsia qui pullule façon racaille nihiliste sur les ondes les universités, les académies, les ministères, jusque chez les juges (ainsi ce « cas positif » condamné seulement avec sursis en appel alors qu’il voulait prostituer sa fille) ?…

Pour faire bref, et en conclusion concernant cette impasse théorique et pratique fondamentale qui fragmente de plus en plus ce qui reste encore de solide dans la pensée dite rationnelle (la pensée religieuse se porte bien mieux…) : il serait possible d’intégrer dans une nouvelle « Science du Vivant, de l’Humain et de la Société » à la fois les sciences de la matière et de la vie enrichies par une pneumatologie repensée et une science de la Société qui serait le Politique au sens de la Politeia (République chez Platon) puisque l’expérience historique nous montre que l’on ne rencontre pas seulement l’Humain en l’Homme, mais aussi l’Appartenant-à (membre d’un Clan — au sens large —, mais mieux encore Soi actif singulier d’une Nation comme le disait Bainville et que reprend Liah Greenfeld…) inséré conflictuellement dans une stratification qui distribue certes les êtres selon leur compétence, mais ce tempéré par un vécu donné ouvrant à des opportunités ou les fermant selon la « chance » (la « fortune et la vertu » de Machiavel et de Bonaparte) : ainsi, a-t-on été à même de les saisir au « bon » moment et qu’est-ce qui aura permis ou non de le faire ?… Le tout accompagné d’une Solidarité commune façon Durkheim à repenser (une Fraternité réelle…)…

Programme démesuré sans doute, impossible certainement, mais comme “impossible n’est pas français”… Le monde, aujourd’hui, au bord du chaos, nous regarde tout au fond de ce qui n’est pas encore une tombe.




Crack : Bordeaux, Rennes, Compiègne… La « drogue du pauvre » fait des ravages dans toute la France

[Source : planetes360.fr]

Le crack n’est plus l’apanage des Parisiens. En province et dans les campagnes, d’autres candidats frappent aux portes de l’enfer de cette drogue.

L’alerte a été donnée il y a plusieurs années déjà, mais l’inquiétude monte d’un cran. Le crack, surnommé la «drogue du pauvre», n’est plus un fléau exclusivement parisien. Cette substance dévastatrice, qui provoque une dépendance foudroyante dès les premières doses, s’est en effet répandue sur tout le territoire. Progressivement et discrètement, ce produit, fabriqué à partir de cocaïne coupée avec de l’ammoniaque ou du bicarbonate de soude, s’est infiltré dans les grandes agglomérations, mais aussi dans des villes plus modestes. Comment imaginer ainsi que Compiègne serait un lieu de vente de crack ? Mais Rennes, Niort, Mâcon, ou encore Orléans sont aussi touchées, selon les services de police judiciaire chargés de lutter contre ce trafic.

Au milieu des punks à chien, des marginaux et autre population vulnérable vivant dans la rue, cette drogue que l’on fume et qui s’écoule sous différentes formes – galettes, cristaux, cailloux – circule ainsi dans les cœurs de ces villes avec ses mêmes effets…

[Suite :] Le Figaro




Substance toxique dans des vaccins antigrippaux




Russie : obligation vaccinale et effets secondaires graves

[Source : conscience-du-peuple]

Ce qui se produit ici [au Québec] avec l’obligation et la coercition vaccinales, ainsi que les innombrables effets secondaires graves, c’est la même chose en Russie avec Spoutnik V.  

D’ailleurs, le fabricant de Spoutnik V est Gamalaya et il est un proche collaborateur de Astrazeneca…

Fin septembre, plusieurs régions russes, citant un décret de juin 2021 pris par le ministère de la Défense, ont annoncé qu’elles commenceraient à vacciner les habitants mobilisés.

En réponse à cette ordonnance, l’Association indépendante des médecins a publié deux lettres ouvertes, l’une adressée à Vladimir Poutine, l’autre faisant appel au ministre de la Défense Sergueï Choïgou, pour que l’obligation vaccinale soit arrêtée immédiatement.

Voici quelques extraits :

« Nous sommes des médecins, membres de l’Organisation publique internationale “Association indépendante des médecins”, qui font appel à vous pour exiger l’interdiction de la vaccination contre le SRAS-CoV-2 pour les personnes mobilisées et appelées au service militaire. »

« Notre organisme public a collecté plus de 1 000 cas de décès après l’introduction du vaccin Spoutnik V.

Aucun de ces cas n’a été examiné par une commission médicale, et le médicament continue d’être produit et utilisé pour vacciner des personnes, y compris des enfants d’un certain âge. Les décès et les atteintes graves à la santé à l’aide d’une préparation immunobiologique ont tout simplement été ignorés.

Ni le bureau du procureur, ni Rospotrebnadzor, ni le ministère de la Santé n’ont répondu à une seule demande d’arrêt de l’utilisation d’une drogue dangereuse et mortelle chez l’homme. »

« En outre, des vaccins développés à la hâte ont provoqué diverses réactions allergiques aiguës chez l’homme, qui ont parfois entraîné la mort. Et les vaccins russes contre le coronavirus ne font pas exception. En Russie, les données officielles sur les complications ne sont pas publiées, elles ne figurent pas dans les rapports sur les essais de vaccins. Peut-être parce que des militaires étaient impliqués dans des essais de vaccins. »

« Actuellement, Rospotrebnadzor déclare qu’il est impératif de vacciner tous les citoyens mobilisés de notre pays. Le vaccin qui, à notre avis, s’est avéré dans la pratique dangereux et même nocif sera désormais utilisé sur des citoyens mobilisés ? On sait qu’après la vaccination, des réactions locales et une augmentation de la température peuvent se développer. Nos combattants iront-ils au front avec de la fièvre et des symptômes du SRAS après la vaccination ?

Ceci est contraire aux normes de la médecine militaire. Toute vaccination est une intervention médicale majeure qui comporte des risques pour la santé, car la réponse du système immunitaire peut varier d’une personne à l’autre. Lors des vaccinations, la balance bénéfice/risque doit toujours être évaluée. »

https://edwardslavsquat.substack.com/p/russian-doctors-demand-end-to-compulsory