Pr. Philippe Parola: « Le confinement est néfaste et destructeur »

[Source : Le dissident (extrait de BFMTV)]

Le Pr. Philippe Parola sans langue de bois sur BFMTV : « Le confinement est inefficace ! »

https://youtu.be/NZB99TXF6C0



Les chiffres COVID-19 – Vous les croyez encore?

[Source : Menaces sur la santé via ZE journal]

Par Jean-Louis Gueydon de Dives

Question intéressante : quel est le nombre réel de patients hospitalisés pour cause de COVID-19 ?

Ce nombre est d’autant plus important à connaître que son évolution est :

  1. non seulement un indicateur du succès ou de l’échec des mesures prises contre la « pandémie »
  2. mais aussi la justification de certaines décisions, comme par exemple celles de confiner

La question n’est donc pas anodine. Essayons d’y voir plus clair…

Lorsque l’on vous donne « le nombre de patients hospitalisés avec diagnostic COVID-19 », de quoi parle-t’on au juste ? S’agit-il d’hospitalisations conventionnelles ? en réanimation ? en soins intensifs ? de patients n’ayant plus le COVID-19 mais toujours hospitalisés pour le suivi des séquelles ? ou pour des soins de longue durée ou de réadaptation ? Ou d’un amalgame de tout cela ?

S’agit-il de patients entrés à l’hopital à cause d’un soupçon de COVID-19, ou bien de patients entrés à l’hopital pour un problème différent, cardiaque par exemple, mais qui ont eu un résultat positif au test PCR pratiqué par l’hopital, tout en n’ayant aucun symptôme ? Sans oublier que ces tests PCR positifs sont très souvent de faux positifs, et que même s’ils sont réellement positifs cela ne signifie pas nécessairement que la personne soit contagieuse…

Et sans oublier non plus les fréquentes « erreurs de saisie » des administrations hospitalières. Errare humanum est…

Vous suivez ou vous êtes déjà perdus ?

Le journal Nice Matin s’est récemment intéressé à cette question, et quelle n’a pas été sa surprise de constater de profondes divergences entre les nombres de « patients hospitalisés avec diagnostic COVID-19 » donnés par Santé Publique France, et ceux des hopitaux, pour le département des Alpes Maritimes :

Intéressant n’est-ce pas ?

Interrogée par les journalistes sur ces profondes divergences, Santé Publique France a donné des explications rassurantes ( voir ici un article de 20 Minutes ), quoiqu’un peu confuses, comme quoi le « périmètre » pris en compte par les uns et les autres n’était pas le même, et que donc tout cela était absolument normal.

Admettons….Mais cela n’explique pas pour autant pourquoi :

  1. cette divergence d’évolution a commencé subitement au début du 2ème confinement ( fin octobre ) pour s’arrêter à la fin de celui-ci ( mi-décembre ). Santé Publique France changerait-elle en permanence de méthode statistique ? Et pourquoi ?
  2. cette divergence soudaine apparue au début du deuxième confinement, a comme par hasard transformée une courbe décroissante ( statistiques hospitalières ) en courbe croissante ( statistiques SPF ), soit une différence capitale…qui tombait à pic pour justifier le dit confinement…

Sans doute suis-je un affreux complotiste d’imaginer de telles manipulations de chiffres. Cependant ceci n’est pas un cas isolé, et cette « évolution » du mode de recueil des données s’est curieusement produite un peu partout.

Par exemple aux USA une étude, parue en Octobre 2020, de l’IPAK ( Institute of Pure and Applied Knowledge ), que l’on peut trouver ici, montre que le CDC américain a subitement modifié en Mars 2020 son mode de collecte des données concernant les causes de décès, sans d’ailleurs au préalable obtenir les autorisations nécessaires, en créant une catégorie de « cas probables », en plus des cas dûment diagnostiqués par des tests de laboratoire.

Comme il n’y a que 6 % des morts pour lesquels le Covid-19 est la seule cause possible de décès, le résultat de cette étrange et soudaine modification a été une multiplication par plus de quinze du nombre de morts dus au covid, ainsi que cela apparaît bien clairement dans le schéma ci-dessous, avec une diminution parallèle des comorbidités comme causes de décès :

Voici comment l’on peut créer l’illusion d’une effrayante pandémie se répandant à grande vitesse, et ainsi répandre la peur et faire accepter les mesures que l’on veut mettre en œuvre.

C’est malin, non ?




N’écoutez plus ces médias mainstream, ils sont vendus ! L’incident GameStop en est la parfaite illustration !!

[Source : BusinessBourse]

On pourrait penser qu’un courageux groupe de boursicoteurs rebelles qui se sont opposés à une poignée de fonds spéculatifs et de gros vendeurs reconnus, serait une histoire intéressante pour les médias mainstream s’ils étaient capables de bien tout cerner, et même ça, ils n’ont pas été en mesure de la faire correctement. Comme vous le verrez ci-dessous, les médias contrôlés par les entreprises tentent de nous convaincre que tous les fonds spéculatifs et les gros poissons positions à la vente font en réalité partie des bonnes personnes et que le bande de gars de Reddit, sont tout simplement des personnes très dangereuses avec un esprit insurrectionnel qui représentent aussi une menace sérieuse pour tout le système financier. Bien sûr, cela ne vous surprend pas vraiment sachant que les médias sont contrôlés par les grandes entreprises et défendent du coup tout l’establishment américain, étant donné qu’ils reçoivent de leur part des millions de dollars par le biais des publicités. Mais franchement, c’était assez honteux de les voir se couche à ce point même dans de telles circonstances.

Les journalistes sont arrivés à tel un niveau de décadence que si j’en étais un, j’aurais honte !

Si vous écoutez ces médias mainstream depuis un bon moment, vous vous rendrez compte rapidement que nous vivons dans un drôle de monde au sein duquel ce qui était jadis pourri est désormais bien, et vis versa.

Au cours de ces derniers jours, le New York Times a qualifié « l’armée des Reddit de rebelles », et le Investing Daily a qualifié leur action « d’insurrection » pour décrire ces boursicoteurs.

Mais le premier prix revient en fait au Washington post. Ils ont eu le culot de publier une histoire intitulée « Les gentils avec l’histoire de Gamestop ? Eh bien ce sont les fonds spéculatifs et les shorts sellers »…

Cette frénésie concernant ces boursicoteurs de GameStop ne se cantonne pas qu’à une seule action. Leur objectif est de détruire les traders qui négocient les actions à leur juste valeur sur les marchés. En suggérant une analogie politique, ils ne sont pas simplement dévoués aveuglement à leur candidat, ils nient la légitimité du parti adverse. Ils n’agissent pas seulement au sein du système ; ils veulent renverser tout le système. C’est comme si – imaginez – une poignée d’agitateurs qui saisissent certaines théories du complot et décident d’attaquer les règles de la démocratie elle-même. C’est vrai que le nom de GameStop est particulièrement bien choisi.

Vous plaisantez j’espère ?

Quel est le prochain délire ? Le post va-t-il publier une histoire sur la façon dont Luke Skywalker était maléfique parce qu’il voulait renverser l’ordre établi que Dark Vador et l’empereur avaient institué à travers toute la galaxie ?

Le slogan officiel du Washington post est « La démocratie meurt dans les ténèbres », et c’est assez ironique car ils sont totalement passés du côté obscur. Dans le même article que je viens de citer ci-dessous, le post affirmait de manière ridicule « qu’un marché sans vendeurs serait comme un système politique sans journalistes d’investigations »…

Qu’en est-il des vendeurs ? Ce sont des spécialistes qui recherchent des actions susceptibles de baisser, parfois parce que les patrons dissimulent illégalement de mauvaises nouvelles concernant leurs entreprises. Lorsque les vendeurs identifient un cas de fraude ou similaire, ils empruntent et vendent l’action, dans l’espoir de la racheter à un prix inférieur plus tard. Encore une fois, il n’y a rien de mal à cela. Au contraire, c’est une sorte de contre pouvoir. Un marché sans vendeurs est comme un système politique sans journalistes d’investigations.

Oui, prenons un instant maintenant pour reconnaître toutes les merveilleuses contributions que les vendeurs ont apportées à notre société.

C’est vraiment incroyable de regarder les efforts que certains médias mainstream feront pour tenter de diaboliser les boursicoteurs qui se sont regroupés pour s’attaquer aux gros poissons positionnés à la vente. Sur le site Web de CNN, Chris Cillizza a fait de son mieux pour essayer de retourner les spectateurs contre les boursicoteurs de Reddit en les comparant à Trump. Ce qui suit provient de son article intitulé : « Comment le Trumpisme explique la flambée des actions Gamestop »…

Le seul point qui a été soulevé dans cette histoire, c’est que les pros de la bourse – ils ne sont pas aussi intelligents qu’ils le pensent et qu’ils n’ont absolument la capacité de tout contrôler.

Ce qui, une fois encore, a ses racines dans le Trumpisme. La notion même de candidature et de celle de Trump était de rester proche des élites. Et puis, en fait, il n’y avait pas vraiment de plan au-delà de ça.

D’autres sont allés encore plus loin. Pour moi, c’est extrêmement offensant lorsque l’ancienne commissaire de la SEC (Securities and Exchange Commission), Laura Unger, a comparé la courte pression à Wall Street aux émeutes au Capitole américain.

https://twitter.com/pghowie3/status/1354915156199944194

Bien sûr, chaque fois qu’il se passe quelque chose que l’establishment n’aime pas vraiment, ce n’est qu’une question de temps avant de commencer à blâmer la Russie.

L’autre soir, Jimmy Kimmel a suggéré que peut-être même certains perturbateurs russes étaient au moins partiellement responsables du chaos à Wall Street, et MarketWatch a en fait publié un article intitulé « La saga GameStop est une feuille de route pour le Kremelin et d’autres ennemis de l’Amérique. »Bill Bonner: « GameStop: un jeu dangereux ! »

Depuis les élections de 2016, la Russie est devenue le bouc émissaire de tous les temps.

Si quelque chose de grave tourne mal, c’est inévitablement à cause de la Russie.

Au moins le président Trump a tenté de maintenir nos relations avec la Russie assez stables pendant qu’il était au pouvoir, mais maintenant qu’il est parti, j’ai le sentiment que les relations des Etats-Unis avec la Russie vont finir par terriblement se dégrader.

Mais bon, ce sera le sujet de mon prochain article.

Pour en revenir au sujet à l’étude, les vendeurs n’ont qu’à se blâmer eux-mêmes pour ce qui s’est passé. Le nombre d’actions GameStop qui avaient été vendues était supérieur au nombre d’actions GameStop qui existaient réellement, et c’était une invitation en or pour quiconque souhaitait tenter un short squeeze massive.

Si ce n’avait pas été les boursicoteurs de Reddit, ce serait probablement quelqu’un d’autre.

Quand on y pense, cela a été une sacrée année…

Le premier mercredi de 2021, il y a eu une émeute effrayante au capitole américain.

Le deuxième mercredi de 2021, le président Trump a été destitué par la Chambre des représentants.

Le troisième mercredi de 2021, on a inauguré Joe Biden en tant que 46e président des Etats-Unis.

Le quatrième mercredi de 2021, le coup de GameStop a fait la une de tous les journaux et ce, dans le monde entier.

Alors que va-t-il se passer ce prochain mercredi qui marquera l’histoire ?




Le livre du mois : « 10 ans après la crise : Prenons le contrôle de la finance »

[Source : attac.org]

Une décennie après la crise financière de 2008, l’époque est toujours aussi favorable à la finance, aux fonds d’investissement et aux banques. L’actuelle crise du Covid l’a confirmé : même en des temps économiques difficiles, les riches et les multinationales en profitent, pendant que les plus pauvres trinquent. Les timides réformes engagées depuis sont loin d’avoir renversé ce déséquilibre. Sans compter qu’un nouveau cycle de dérégulation financière a démarré ces dernières années en Europe et aux États-Unis.

Mais, aujourd’hui, de plus en plus de gens ne supportent plus de devoir payer pour les dérives du secteur financier. Plus encore, ils ne croient plus que la croissance est sans limites, que la question écologique est secondaire, et qu’une société peut vivre sans désordre avec de fortes inégalités.

Publié en plusieurs langues, ce livre donne des clés de compréhension aux citoyennes et aux citoyens afin qu’ils s’approprient le débat sur la finance. Il présente les réformes nécessaires pour mettre la finance au service de la société. Il est aussi le support d’une vaste campagne, « 10 ans après la crise », organisée par les mouvements sociaux et citoyens européens, dont le point culminant est fixé au 15 septembre 2018, date anniversaire de la chute de la banque Lehman Brothers en 2008, qui a marqué le début de la crise financière internationale. 


Informations complémentaires

Ce livre a été conçu par une équipe internationale composée de membres d’Attac Allemagne, Attac France et SOMO (Pays Bas). Isabelle Bourboulon (Attac France) en est la rédactrice principale et des contributions substantielles lui ont été apportées par Dominique Plihon (Attac France), Myriam Vander Stichele (SOMO, Pays Bas) et Peter Wahl (Attac Allemagne).  ttac France — 2021




Le masque, premier pas vers le transhumanisme

[Source : LHK]

La vidéo ci-dessus dans laquelle se livre M Klaus Schwab vous permet de mieux connaître l’avenir qui vous est réservé. Et croyez-moi si les plans arrivent à leur terme, les membres de l’humanité, qui auront survécu aux péripéties actuelles, devront accepter l’implant cérébral. (Voir ci-dessous)

Ami lecteur, il y a un consensus de la supra-élite autour du transhumanisme et de l’implant cérébral à l’horizon de 2030. Au plus tard. Kurtzweil, Musk, ou Diamandis, ces chouchous de Planète finance, vous le promettent depuis de nombreuses années, et personne n’ose les contredire. PERSONNE.

La part de l’élite actuelle qui ne consent pas à ce qui est considéré comme un dérapage politique n’ose pas prendre la parole et tenir un discours contraire à celui du mainstream. J’admets qu’il faut prendre le risque de tout perdre. En même temps, quelle sera votre vie dans un environnement techno-fasciste qui croit agir pour le bonheur de l’humanité?

Une révolution anti-humaniste est en marche

La robotisation de l’humain a déjà commencé avec le port du masque. On ne s’en rend pas compte parce que les plus de 80% des gens ne comprennent pas ce qu’est la globalisation par la technoscience. Toutefois, avec l’hécatombe qui s’est abattue sur les très âgés, ce pourcentage diminuera. Simultanément, les jeunes et les enfants seront toujours plus harcelés par l’hygiénisme ambiant.

Dans sa logique de robotisation de l’humain, Elon Musk « prédit » (ou promet) que le langage humain sera obsolète dans à peine cinq ans: «  Nous pourrions encore le faire pour des raisons sentimentales  » (Mai 2020)

https://www.independent.co.uk/life-style/gadgets-and-tech/news/elon-musk-joe-rogan-podcast-language-neuralink-grimes-baby-a9506451.html http://cdn.jwplayer.com/players/vD3llbs9-XLzx33eA.html

L’objectif de Musk confirme notre thèse selon laquelle le transhumain n’aura pas de proximité humaine avec des tiers (relations de couple, de famille, d’amis, professionnelles,etc.). Robotisé, il deviendra un point de contact traversé par un ensemble de relations digitalisées.

https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/03/remise-en-question-de-la-societe/

Cette philosophie qui vise la robotisation de l’humain, et qui passe par une phase transitoire appelée transhumanisme, est un crime contre l’humanité.

Les fans de ces fascistes, rhabillés en progressistes, ont pénétré les gouvernements, et occupent à l’heure actuelle des postes-clés de la sphère aussi bien publique que privée. Ils jouent ainsi depuis de nombreuses décennies les facilitateurs, voire les ouvreurs de portes, pour mettre à disposition de la « technoscience » et des nanosystèmes: les écoles, les universités, les entreprises, les laboratoires, ou les hôpitaux .

Grâce au virus, cette supra-élite s’est donnée les pleins pouvoirs, et grâce à l’argent qui coule à flot, des politiciens ambitieux et corrompus vont faire réviser avec une facilité déconcertante les législations, la sacralité de l’humain, ou la bioéthique(voir ce qui se passe dans les homes pour personnes âgées, ou le bricolage génétique du vivant).

Voici le masque qui fait l’unanimité des médias officiels et financiarisés. Il vous aide à mettre le pied à l’étrier du transhumanisme.

Ce masque est vanté par Reuters ou France Inter. Un piège pour les jeunes à qui il fait miroiter des performances autour de la thématique musicale par exemple! Et cette prison numérique vous sera refilé sous l’appellation de durabilité, une écologie trompeuse qui a largement fait ses preuves.

Avez-vous l’impression qu’un jour vous pourriez vous débarrasser de ce masque et de retourner normalement au travail ou à l’université? Si oui, c’est que vous n’avez pas saisi le concept fascisant du projet qui s’abat sur la terre. La fin de l’humanité telle que connue est en train d’être mise en place sous nos yeux impuissants.

Grâce à des assemblées planétaires et à des traités signés par l’ensemble des gouvernants, ceux-ci ont déjà acté ce mouvement qu’ils ne comprennent probablement pas et ne protègeront donc pas les récalcitrants. De toute manière, ils n’en ont plus les moyens.

LHK

Ne ratez pas cette vidéo SVP!

https://www.researchsquare.com/article/rs-124394/v1

Autriche : La cour suprême juge illégal le masque obligatoire à l’école et les cours en alternance (20minutes.fr)

Elon Musk avait présenté cet implant cérébral en 2019

En 2020, Elon Musk a présenté son nouveau modèle implanté sur une cochonne, son cobaye.

Est-ce que papa Gates avait reçu un implant, lui qui souffrait d’Alzheimer?

Mais à y regarder de plus près, il se pourrait que des humains aient accepté l’opération. Voici une photo de papa Gates. Et à y regarder de près, il se pourrait bien qu’il ait accepté de tester un produit similaire..?

Vidéo explicative de John Kennedy du 27 avril 1961

https://www.dailymotion.com/embed/video/xzu7kw https://fr.wikisource.org/wiki/Discours_de_John_F._Kennedy,_le_27_avril_1961




Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”

[Source : Nous sommes partout]

Le Forum 2021 de Davos (World Economic Forum) s’est tenu virtuellement du 25 au 29 janvier, avec pour sujet principal la fameuse « pandémie » et sa solution économique le “Great Reset” (Grande réinitialisation) qui mènera l’humanité, bon gré mal gré vers un “New normal” [Une « nouvelle normalité »].


Rédaction NSP
KLARA VON KUSTNITZ

Loin d’être, comme le prétendent les médias aux ordres, une théorie du complot et un fantasme d’extrême-droite, la théorie du Great Reset est au contraire directement issue des réflexions du forum mondial de l’économie de Davos 2020 et parfaitement résumée dans l’ouvrage de son fondateur Klaus Schwab Covid-19 la Grande Réinitialisation (Ed. Forum Publishing). Schwab, qui cosigne l’ouvrage avec Thierry Mailleret, dit Milton Peel, ancien  collaborateur de Jacques Attali,  est un fervent sioniste,  membre du groupe Bilderberg,  et en a d’ailleurs annoncé le lancement le 3 juin 2020 avec à ses côtés, entre autres, le prince Charles, la Bill & Melinda Gates Foundation, Antonio Guterres secrétaire général de l’ONU et haut-commissaire des Nations-Unies aux réfugiés, Kristina Georgieva  directrice du FMI, Nicolas Stern “économiste du climat”, le PDG de Mastercard et autres banquiers, des personnalités démocrates, gauchistes et bien sûr pro Joe Biden. Le ton était donné, on allait causer pognon, virus, climat et migrations.

Bill Gates, Nostradamus de la pandémie

En 2015, lors d’une Conférence TED (Technologie Entertainment and Design), Bill Gates avait mis le monde en garde contre les conséquences désastreuses d’une éventuelle pandémie. Quatre ans plus tard en 2019, le centre américain John Hopkins, largement financé par le milliardaire “philanthrope”, organise un exercice de simulation de pandémie fictive de coronavirus  nommé EVENT 201

[Voir aussi :
L’OMS, Bill Gates et les vaccins.
La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19.
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme.
Le bon virus au bon moment.
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset ».
Bill Gates, « expert en santé publique » : investir dans les vaccins, c’est payant!.]

Curieusement, en 2019, la pandémie est là et le coronavirus en même temps. Naturellement, les complotistes de tous poils — dont nous ne sommes évidemment pas — n’ont pas manqué de conclure qu’entre les oiseaux de mauvais augure de Event 201 et la volonté de rendre réelle la pandémie, il n’y avait qu’un pas. Nos lecteurs jugeront.

En tous cas, à Davos en 2020, les économistes, dignitaires bien pensants, européistes convaincus, démocrates forcenés, ont clairement établi le plan qui nous frappe actuellement. Ce plan est d’ailleurs fidèlement suivi par l’Union Européenne avec la France et l’Allemagne en tête et n’est rien d’autre que le programme de Joe Biden.

Davos 2021: du Great Reset 2020 au New Normal 

Appliquer le plan du Great Reset ou Grande Réinitialisation a bien sûr un but clairement défini : transformer la société et l’humanité pour arriver à une nouvelle situation post-crise: le New Normal. Le “New Normal” est une expression inventée par l’écrivain de science-fiction Robert A. Heinlein dans son roman The moon is a harsh mistress (Révolte sur la Lune), roman considéré comme libertarien. Dans cette “nouvelle normalité”, l’humanité qui a survécu à la crise , vit dans le tout-numérique et le sans-contact dans un monde déshumanisé, métissé et transgenre, asservi à une idéologie sanitaire, climatique et sociétale. Une oligarchie toute-puissante règne sur des populations abruties par les drogues légales et réduites en esclavage par un revenu conditionné aux idées “conformes”.

Le terme de “New Normal” revient régulièrement dans les paroles d’Emmanuel Macron lors de son grand oral du 26 janvier face à Klaus Schwab. Nous vous invitons à consulter le calendrier ci-dessous puis à visionner la video de l’intervention du Président de la république française. Celui-ci y déroule le plan à la perfection jusqu’à ce jour et la pandémie et le climat en sont les deux fils rouges — et parfaits alibis des financiers —  qui mèneront inéluctablement vers leur “nouvelle normalité”.https://www.youtube.com/embed/4mml-GYM39A

Le calendrier

Vous découvrirez ci-dessous un résumé de ce plan de “réinitialisation individuelle” que l’oligarchie veut nous imposer pour maintenir ses bénéfices dans une ère post-capitaliste. Un commentaire explicatif en italique aidera nos lecteurs à mieux comprendre et à voir à quel moment de ce diabolique projet nous nous situons.

  • 2019, apparition de la pandémie (Il s’agit de créer la peur, excellent moyen de manipuler les foules)
  • Début de l’ère de la surveillance sanitaire (Application stop-Covid, traçage numérique, utilisation de drones, fichage de l’état-civil dans les restaurants) 
  • Diminution du ratio vie privée/vie publique (Le pouvoir commence à passer outre les droits individuels)
  • Surveillance accrue, politique sécuritaire (Grâce à la peur générée par le virus, la surveillance ne sera pas contestée)
  • Explosion des problèmes mentaux (Dépressions, suicides, violences. Le plan précise que l’enfermement (confinement) provoquera l’émergence des fake-news et des théories du complot)
  • Internement psychiatrique des opposants politiques
  • Faillite de l’économie sans aucun redémarrage possible  (Licenciements, récession, chômage de masse)
  • Études sur un possible vaccin (Rien ne sera plus “comme avant” et le chômage augmentera tant que le vaccin ne sera pas administré à tous)
  • Crise des liquidités (Les entreprises ne sont plus solvables, innombrables faillites, les banques sont en danger)
  • Début de l’ère de l’automatisation  (Innovations techniques lucratives pour les banques mais jeunes sans emploi, vieux remplacés par des machines, millions de chômeurs en plus)
  • Début de l’ère du sans-contact (La distanciation imposée par la peur permet l’automatisation prévue: 75 % des commerces de détail ferment, 86% des restaurants, 59% des sociétés de divertissement disparaissent.)
  • Fin de la tyrannie du P.I.B., décroissance forcée (Augmentation de la fiscalité)
  • Prise de contrôle gouvernemental des entreprises privées
  • Contrôle sanitaire et dictature du “climat”, le Grand Alibi (Les idéologies du “climat et de la pandémie” créent la peur, peur personnelle et peur pour la planète)
  • Montée en puissance et enrichissement exponentiel de Big Pharma (Développement des technologies de la santé et du bien-être) 
  • Surveillance accrue par IA (Intelligence artificielle) et IoT (Intelligence des objets)
  • Ère du tout numérique et du “tout-distant” (Economie sans-contact, télémédecine, livraison par drones, paiements mobiles, éducation virtuelle, cryptomonnaie, fin de l’hégémonie du dollar)
  • Enrichissement exponentiel des entreprises qui investissent dans les infrastructures énergétiques progressistes ( Adhésion des consommateurs par la propagande climatique, la colère organisée des “militants” écologistes et la politique de la terreur de la pollution)
  • 4ème révolution industrielle, 5G
  • Ère du” comportement adéquat” et punition des entreprises non-conformes (Climat, diversité, augmentation des troubles sociaux — BLM, antifas, LGBT, écologistes, féministes — pour faire pression)
  • Légalisation des psychotropes (Une population abrutie par le cannabis “récréatif” se révolte rarement)
  • Rupture des chaînes commerciales et d’approvisionnement (Dévastation immédiate, émeutes de la faim)
  • Effondrement des prix du pétrole (Fin des énergies fossiles polluantes)
  • Déstabilisation des pays du Sud à destination touristique, troubles sociaux, guerres civiles, famines (Dictature sanitaire, impossibilité de voyager sans vaccin)
  • Migration massive de réfugiés “climatiques”(Conséquences des famines dans les pays du Sud)
  • Ère de la distanciation sociale  totale (Même les réunions de famille obligatoires en virtuel par le règne de la peur des pandémies)
  •  Revenu universel et Assistance sociale universelle, conditionnés à un “crédit social” (Le mal-pensant ou le réfractaire au vaccin est exclu du revenu, de l’aide, du travail et éventuellement interné en HP ou en camp d’isolement)
  • Alternance des périodes de confinement et de déconfinement sous prétexte de santé et de décarbonisation (Politique de la peur pour obtenir l’adhésion des masses par “contagion comportementale”)
  • Plan de relance lié à la dictature écologique
  • Diminution drastique de la population mondiale (Guerres, pandémies, vaccins, famines) jusqu’au chiffre d’occupation correcte de la planète estimé par le plan: un milliard d’êtres humains, et pourquoi pas diminuer encore?
  • 2035 Résolution du problème de la surpopulation (Merci les philanthropes et leur idéologie malthusienne qui nous fait irrésistiblement penser aux Georgia Guidestones qui suggèrent de maintenir l’humanité en dessous d’un seuil de 500 millions.)
  • New Normal (le monde modifié d’après la crise) 

[Voir aussi : Les « Georgia Guidestones » ou les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial]

Derrière tous ces braves philanthropes, les Big Three [Les trois gros] (BlackrockVanguard et State Street) qui détiennent près de 90% des entreprises du S&P500, c’est-à-dire ont des intérêts énormes dans les médias, Big Pharma et les GAFAM.  A savoir que les actifs de Blackrock sont gérés par l’intelligence artificielle via son logiciel Aladdin qui lui a permis de prendre les rênes de la FED et est donc clairement au sommet de la pyramide du Great Reset.

[Voir aussi :
2020 : Le règne des marchands du Temple…
Les 4 firmes qui possèdent les USA]

Finalement, chers lecteurs, il ne nous reste plus qu’à devenir Amish pour faire échouer le plan et éviter d’être “réinitialisés”…

“C’est un triomphe pour la science car au moins nous sommes parvenus à stabiliser quelques chose : à savoir, l’estimation de la capacité d’accueil de la planète, c’est-à-dire un milliard de personnes. Quel triomphe ! D’un autre côté, voulons-nous en arriver là ? Je pense que l’on peut faire bien mieux.” 

(Hans Joachim Schellnhuber, climatologue, Conférence de Copenhague,2009)

En cas de réincarnation, je souhaiterais revenir sous la forme d’un virus mortel, afin de contribuer à résoudre le problème de la surpopulation.” 

(Prince Philip — père du prince Charles – 1988, Deutsche Presse-Agentur).


Source: Faits & documents N° 487,488 et 489




Histoire de l’origine de Google

[Source : Marguerite Rothe • Le Blogue]

Par Jeff Nesbit

Il y a vingt ans, les services de renseignements américains ont travaillé en étroite collaboration avec la Silicon Valley pour suivre les citoyens dans le cyberespace. Et Google est au cœur de cette histoire d’origine. Certaines des recherches qui ont conduit à la création ambitieuse de Google ont été financées et coordonnées par un groupe de recherche créé par la communauté du renseignement pour trouver des moyens de suivre des individus et des groupes en ligne.

La communauté du renseignement espérait que les plus grands informaticiens du pays pourraient prendre des informations non classifiées et des données sur les utilisateurs, les combiner avec ce qui allait devenir l’Internet, et commencer à créer des entreprises commerciales à but lucratif pour répondre aux besoins de la communauté du renseignement et du public. Ils espéraient diriger la révolution de la super informatique dès le début afin de donner un sens à ce que des millions d’êtres humains faisaient à l’intérieur de ce réseau d’information numérique. Cette collaboration a rendu possible aujourd’hui un état de surveillance de masse public-privé complet.

L’histoire de la création délibérée de l’État moderne de surveillance de masse inclut des éléments de l’origine surprenante, et largement inconnue, de Google. Il s’agit d’une histoire de création quelque peu différente de celle que le public a entendue, et qui explique ce que les cofondateurs de Google, Sergey Brin et Larry Page, ont entrepris de construire, et pourquoi.

Mais il ne s’agit pas seulement de l’histoire de l’origine de Google : C’est l’histoire de l’origine de l’État de surveillance de masse et de l’argent du gouvernement qui l’a financé.
L’histoire : La communauté du renseignement et la Silicon Valley

Au milieu des années 1990, les services de renseignement américains ont commencé à se rendre compte qu’ils avaient une opportunité. La communauté des superordinateurs commençait tout juste à passer du milieu universitaire au secteur privé, grâce à des investissements provenant d’un endroit qui allait devenir la Silicon Valley.

Dès le début, la communauté du renseignement a voulu donner une forme aux efforts de la Silicon Valley afin qu’ils soient utiles à la sécurité intérieure.

Une révolution numérique était en cours : une révolution qui allait transformer le monde de la collecte de données et la façon dont nous donnons un sens à des quantités massives d’informations. La communauté du renseignement voulait donner forme aux efforts de la Silicon Valley en matière de super informatique dès leur création afin qu’ils soient utiles à des fins militaires et de sécurité intérieure. Ce réseau de supercalculateurs, qui deviendrait capable de stocker des téraoctets d’informations, pourrait-il donner un sens intelligent à la trace numérique que les êtres humains laissent derrière eux ?

La réponse à cette question a suscité un grand intérêt dans la communauté du renseignement.

La collecte de renseignements était peut-être leur univers, mais la Central Intelligence Agency (CIA) et la National Security Agency (NSA) avaient pris conscience que leur avenir allait probablement être profondément façonné en dehors du gouvernement. C’était à une époque où les budgets militaires et de renseignement au sein de l’administration Clinton étaient en danger, et où le secteur privé disposait de vastes ressources. Si la communauté du renseignement voulait effectuer une surveillance de masse à des fins de sécurité nationale, il faudrait une coopération entre le gouvernement et les nouvelles sociétés de super informatique.

Pour ce faire, ils ont commencé à prendre contact avec les scientifiques des universités américaines qui étaient à l’origine de cette révolution de la super informatique. Ces scientifiques développaient des moyens de faire ce qu’aucun groupe d’êtres humains assis à des postes de travail de la NSA et de la CIA ne pourrait jamais espérer faire : rassembler d’énormes quantités de données et les interpréter intelligemment.

Une riche histoire du financement de la science par le gouvernement

Il y avait déjà une longue histoire de collaboration entre les meilleurs scientifiques américains et la communauté du renseignement, depuis la création de la bombe atomique et de la technologie des satellites jusqu’aux efforts pour envoyer un homme sur la lune.

L’internet lui-même a été créé grâce à un effort de renseignement.

En fait, l’internet lui-même a été créé grâce à un effort de renseignement : Dans les années 1970, l’agence chargée de développer les technologies émergentes à des fins militaires, de renseignement et de sécurité nationale, la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), a relié quatre superordinateurs pour traiter des transferts de données massifs. Elle a confié les opérations à la National Science Foundation (NSF) une dizaine d’années plus tard, qui a fait proliférer le réseau dans des milliers d’universités et, finalement, auprès du public, créant ainsi l’architecture et l’échafaudage du World Wide Web.

La Silicon Valley n’a pas fait exception à la règle. Au milieu des années 1990, la communauté du renseignement a commencé à financer les efforts les plus prometteurs en matière de super calcul dans le monde universitaire, guidant la création d’efforts visant à rendre des quantités massives d’informations utiles à la fois pour le secteur privé et pour la communauté du renseignement.

Ils ont financé ces informaticiens par le biais d’un programme non classifié et très cloisonné, géré pour la CIA et la NSA par de grands contractants militaires et de renseignement. Il s’agissait du projet « Massive Digital Data Systems » (MDDS).

Le projet « Massive Digital Data Systems » (MDDS)

Le MDDS a été présenté à plusieurs dizaines d’informaticiens de premier plan à Stanford, CalTech, MIT, Carnegie Mellon, Harvard, et d’autres dans un livre blanc qui décrivait ce que la CIA, la NSA, la DARPA et d’autres agences espéraient réaliser. La recherche serait en grande partie financée et gérée par des agences scientifiques non classées comme la NSF, ce qui permettrait d’étendre l’architecture au secteur privé si elle parvenait à atteindre les objectifs de la communauté du renseignement.

« Non seulement les activités deviennent plus complexes, mais l’évolution de la demande exige que la communauté du renseignement traite différents types de données ainsi que des volumes plus importants », a déclaré la communauté du renseignement dans son livre blanc de 1993 sur le MDDS. « Par conséquent, la communauté du renseignement joue un rôle proactif en stimulant la recherche dans la gestion efficace de bases de données massives et en veillant à ce que les exigences de la communauté du renseignement puissent être incorporées ou adaptées dans des produits commerciaux. Comme les défis ne sont pas propres à une seule agence, le Community Management Staff (CMS) a chargé un groupe de travail sur les systèmes de données numériques massives (MDDS) de répondre aux besoins et d’identifier et d’évaluer les solutions possibles ».

Au cours des prochaines années, l’objectif déclaré du programme était de fournir plus d’une douzaine de subventions de plusieurs millions de dollars chacune pour faire avancer ce concept de recherche. Les subventions devaient être dirigées en grande partie par la NSF afin que les efforts les plus prometteurs et les plus fructueux puissent être captés sous forme de propriété intellectuelle et constituer la base d’entreprises attirant des investissements de la Silicon Valley. Ce type de système d’innovation public-privé a permis de lancer de puissantes entreprises scientifiques et technologiques comme Qualcomm, Symantec, Netscape et d’autres, et a financé la recherche fondamentale dans des domaines comme le radar Doppler et la fibre optique, qui sont aujourd’hui au cœur de grandes entreprises comme AccuWeather, Verizon et AT&T. Aujourd’hui, la NSF fournit près de 90 % de l’ensemble du financement fédéral pour la recherche universitaire en informatique.

L’objectif final de la CIA et de la NSA

Les services de recherche de la CIA et de la NSA espéraient que les meilleurs esprits informatiques du monde universitaire pourraient identifier ce qu’ils appelaient les « oiseaux d’une plume » : tout comme les oies volent ensemble en forme de grand V, ou des volées de moineaux font des mouvements soudains ensemble en harmonie, ils ont prédit que des groupes d’humains partageant les mêmes idées se déplaceraient ensemble en ligne. La communauté du renseignement a baptisé sa première réunion d’information non classifiée destinée aux scientifiques « Birds of a Feather »*, et la « Session Birds of a Feather sur l’initiative de la communauté du renseignement en matière de systèmes de données numériques massives » a eu lieu à l’hôtel Fairmont de San José au printemps 1995.

La communauté du renseignement a baptisé son premier briefing non classifié destiné aux scientifiques le briefing « birds of a feather » (les oiseaux d’une plume).

Leur objectif de recherche était de suivre les empreintes digitales à l’intérieur du réseau d’information mondial en pleine expansion, qui était alors connu sous le nom de World Wide Web. Un monde entier d’informations numériques pourrait-il être organisé de manière à ce que les demandes faites par les humains à l’intérieur d’un tel réseau soient suivies et triées ? Leurs demandes pourraient-elles être reliées et classées par ordre d’importance ? Pourrait-on identifier les « oiseaux de plume » dans cette mer d’informations afin que les communautés et les groupes puissent être suivis de manière organisée ?

En travaillant avec de nouvelles sociétés de données commerciales, leur intention était de suivre des groupes de personnes partageant les mêmes idées sur Internet et de les identifier à partir des empreintes digitales qu’ils avaient laissées, un peu comme les scientifiques utilisent les empreintes digitales pour identifier les criminels. Tout comme « les oiseaux de plume s’assemblent », ils ont prédit que les terroristes potentiels communiqueraient entre eux dans ce nouveau monde global et connecté – et qu’ils pourraient les trouver en identifiant des modèles dans cette énorme quantité de nouvelles informations. Une fois ces groupes identifiés, ils pouvaient alors suivre leurs traces numériques partout.

Sergey Brin et Larry Page, les jeunes prodiges de l’informatique

En 1995, l’une des premières et des plus prometteuses bourses MDDS a été attribuée à une équipe de recherche en informatique de l’université de Stanford, qui travaillait depuis dix ans avec des bourses de la NSF et de la DARPA. L’objectif principal de cette subvention était « l’optimisation des requêtes très complexes qui sont décrites à l’aide de l’approche « query flocks » ». Une deuxième subvention, celle de la DARPA-NSF, la plus étroitement associée à l’origine de Google, faisait partie d’un effort coordonné pour construire une bibliothèque numérique massive utilisant l’Internet comme épine dorsale. Les deux subventions ont financé les recherches de deux étudiants diplômés qui ont fait des progrès rapides dans le classement des pages web, ainsi que dans le suivi (et la compréhension) des requêtes des utilisateurs : les futurs cofondateurs de Google, Sergey Brin et Larry Page.

Les recherches menées par Brin et Page dans le cadre de ces subventions sont devenues le cœur de Google : des personnes utilisant des fonctions de recherche pour trouver précisément ce qu’elles voulaient dans un très vaste ensemble de données. La communauté du renseignement, cependant, a vu un avantage légèrement différent dans leurs recherches : Le réseau pouvait-il être organisé de manière si efficace que les utilisateurs individuels pouvaient être identifiés et suivis de manière unique ?

Ce processus est parfaitement adapté aux objectifs de la lutte contre le terrorisme et de la sécurité intérieure : Les êtres humains et les groupes de même sensibilité qui pourraient représenter une menace pour la sécurité nationale peuvent être identifiés de manière unique en ligne avant de nuire. Cela explique pourquoi la communauté du renseignement a trouvé les efforts de recherche de Brin et Page si attrayants ; avant cette époque, la CIA utilisait largement les efforts de renseignement humain sur le terrain pour identifier les personnes et les groupes susceptibles de constituer une menace. La possibilité de les suivre virtuellement (en conjonction avec les efforts sur le terrain) allait tout changer.

C’était le début de ce qui, dans quelques années, allait devenir Google. Les deux responsables de la communauté du renseignement chargés de diriger le programme ont rencontré régulièrement Brin au fur et à mesure de l’avancement de ses recherches. Il a également été l’auteur de plusieurs autres documents de recherche résultant de cette subvention MDDS avant que lui et Page ne partent pour former Google.

Les subventions ont permis à Brin et à Page de faire leur travail et ont contribué à leurs percées en matière de classement des pages web et de suivi des requêtes des utilisateurs. Brin ne travaillait pas pour la communauté du renseignement – ni pour personne d’autre. Google n’avait pas encore été constitué en société. Il n’était qu’un chercheur de Stanford profitant de la subvention accordée par la NSA et la CIA dans le cadre du programme MDDS non classifié.

Laissé de côté dans l’histoire de Google

L’effort de recherche du MDDS n’a jamais fait partie de l’histoire des origines de Google, même si le chercheur principal de la subvention MDDS a spécifiquement nommé Google comme résultant directement de leur recherche : « Sa technologie de base, qui lui permet de trouver des pages bien plus précisément que les autres moteurs de recherche, a été partiellement soutenue par cette subvention », a-t-il écrit. Dans un document de recherche publié qui inclut certains des travaux essentiels de Brin, les auteurs font également référence à la subvention de la NSF qui a été créée par le programme MDDS.

Au lieu de cela, chaque histoire de création de Google ne mentionne qu’une seule subvention fédérale : la subvention NSF/DARPA pour les « bibliothèques numériques », qui a été conçue pour permettre aux chercheurs de Stanford de faire des recherches sur l’ensemble de la Toile mondiale stockée sur les serveurs de l’université à l’époque. « Le développement des algorithmes de Google a été effectué sur divers ordinateurs, principalement grâce au projet de bibliothèque numérique de Stanford financé par la NSF/DARPA-NASA », explique par exemple l’Infolab de Stanford à propos de son origine. De même, la NSF ne fait référence qu’à la subvention pour les bibliothèques numériques, et non à la subvention MDDS également, dans sa propre histoire de l’origine de Google. Dans le célèbre document de recherche, « The Anatomy of a Large-Scale Hypertextual Web Search Engine », qui décrit la création de Google, Brin and Page remercie la NSF et la DARPA pour la subvention accordée à Stanford pour les bibliothèques numériques. Mais la subvention du programme MDDS de la communauté du renseignement – spécifiquement conçue pour la percée sur laquelle Google a été construit – s’est effacée dans l’obscurité.

Google a déclaré par le passé qu’il n’était pas financé ou créé par la CIA. Par exemple, lorsque des histoires ont circulé en 2006 selon lesquelles Google avait reçu des fonds de la communauté du renseignement pendant des années pour aider à la lutte contre le terrorisme, la société a déclaré au fondateur du magazine Wired, John Battelle, que « les déclarations relatives à Google sont complètement fausses ».

La CIA a-t-elle directement financé le travail de Brin et Page, et donc créé Google ? Non. Mais Brin and Page faisait-il des recherches précisément pour répondre aux attentes de la NSA, de la CIA et de la communauté du renseignement, avec l’aide de leurs subventions ? Absolument.

La CIA et la NSA ont financé un programme non classifié et cloisonné conçu dès le départ pour favoriser la création d’un site ressemblant presque à Google.

Pour comprendre cette importance, il faut considérer ce que la communauté du renseignement essayait de réaliser en accordant des subventions aux meilleurs esprits informatiques du monde universitaire : La CIA et la NSA ont financé un programme non classifié et cloisonné conçu dès le départ pour stimuler le développement de quelque chose qui ressemble presque exactement à Google. La recherche révolutionnaire de Brin sur le classement des pages en suivant les requêtes des utilisateurs et en les reliant aux nombreuses recherches effectuées – identifiant essentiellement les « oiseaux de plume » – était en grande partie l’objectif du programme MDDS de la communauté du renseignement. Et Google a réussi au-delà de leurs rêves les plus fous.
L’héritage durable de la communauté du renseignement dans la Silicon Valley

Ces dernières années, les préoccupations relatives à la protection de la vie privée en milieu numérique, à l’intersection entre la communauté du renseignement et les géants de la technologie commerciale, se sont accrues. Mais la plupart des gens ne comprennent toujours pas à quel point la communauté du renseignement s’appuie sur les plus grandes entreprises scientifiques et technologiques du monde pour son travail de lutte contre le terrorisme et de sécurité nationale.

Les groupes de défense de la liberté civile font part de leurs préoccupations en matière de protection de la vie privée depuis des années, notamment en ce qui concerne le Patriot Act. « Adopté à la hâte 45 jours après le 11 septembre au nom de la sécurité nationale, le Patriot Act a été le premier des nombreux changements apportés aux lois sur la surveillance qui ont permis au gouvernement d’espionner plus facilement les Américains ordinaires en élargissant le pouvoir de surveiller les communications téléphoniques et les courriels, de collecter les dossiers bancaires et de crédit et de suivre les activités d’Américains innocents sur Internet », explique l’ACLU. « Alors que la plupart des Américains pensent qu’il a été créé pour attraper les terroristes, le Patriot Act transforme en fait les citoyens ordinaires en suspects ».

Lorsqu’on leur pose la question, les plus grandes entreprises de technologie et de communication – de Verizon et AT&T à Google, Facebook et Microsoft – affirment qu’elles ne proposent jamais délibérément et de manière proactive leurs vastes bases de données sur leurs clients aux agences fédérales de sécurité et d’application de la loi : Elles affirment qu’elles ne répondent qu’aux citations à comparaître ou aux demandes déposées en bonne et due forme en vertu du Patriot Act.

Mais même un bref coup d’œil dans les archives publiques récentes montre qu’il existe un tapis roulant de demandes constantes qui pourraient saper l’intention derrière cette promesse de protection de la vie privée. Selon les dossiers de demande de données que les entreprises mettent à la disposition du public, au cours de la dernière période de référence, entre 2016 et 2017, les autorités locales, étatiques et fédérales à la recherche d’informations liées à la sécurité nationale, à la lutte contre le terrorisme ou à des préoccupations criminelles ont émis plus de 260 000 citations à comparaître, ordonnances de tribunal, mandats et autres demandes légales à Verizon, plus de 250 000 demandes de ce type à AT&T, et près de 24 000 citations à comparaître, mandats de recherche ou ordonnances de tribunal à Google. Les demandes directes liées à la sécurité nationale ou à la lutte contre le terrorisme ne représentent qu’une petite fraction de ce groupe de demandes, mais la procédure juridique du Patriot Act est désormais tellement routinière que les entreprises ont chacune un groupe d’employés qui s’occupent simplement du flux de demandes.

Ainsi, la collaboration entre la communauté du renseignement et les grandes entreprises commerciales scientifiques et technologiques a connu un succès foudroyant. Lorsque les agences de sécurité nationale doivent identifier et suivre des personnes et des groupes, elles savent à qui s’adresser – et le font fréquemment. C’était l’objectif au départ. Il a réussi peut-être plus que quiconque aurait pu l’imaginer à l’époque.

(Traduction DeepL)

Pour avoir accès aux liens hypertexte dans l’article (anglais), suivre le lien ci-dessous :

Google’s true origin partly lies in CIA and NSA research grants for mass surveillance




Indice de confiance par profession

[Source : Investig’Action]

[Pour la Belgique, mais probablement pas trop différent pour les autres pays d’Europe et pour l’Amérique du Nord.]




France — Vaccinations dans les EHPAD : l’arnaque au consentement ?

[Source : Boulevard Voltaire]

« L’adhésion à la vaccination contre le Covid atteint le taux de 80 % en EHPAD », nous annonçait triomphalement Les Échos, le week-end dernier : « Samedi, 241.000 [résidents] avaient déjà reçu au moins la première injection. Le 6 février, ils devraient être 450.000. » Un record. Même si, faute de combattants, le combat risque de cesser : on n’a plus de vaccins.

Après les soignants, les vieux sont nos héros. Jetez un œil sur l’ami Google et vous trouverez la liste des premiers de cordée : « Henri, 94 ans, premier vacciné d’EHPAD en Savoie »« Denise, 91 ans, première vaccinée de l’EHPAD Bonnef » à Belfort, « Éliane, 76 ans, première vaccinée en Guyane »« Germaine, 87 ans, vaccinée au sein de l’EHPAD du Carmel, à Tarbes ». Etc.

À défaut de monuments aux morts de la guerre économique post-Covid-19, on va sans doute ériger des monuments aux pionniers de la vaccination.

Donc, nos anciens sont bien sages, disciplinés, tous prêts à remonter leur manche pour se faire piquer le gras du bras. Au début, ils renâclaient un peu, mais on leur a tout bien expliqué et ils ont tout compris, c’est sûr. Il faut dire qu’on ne lésine pas devant les moyens.

Ainsi, dans l’EHPAD de la Drôme où vit Simone, 105 ans. À son âge, elle en a vu d’autres, des guerres et des couvre-feux. Simone est une battante qui n’a renoncé à l’autonomie que contrainte et forcée, à 100 ans passés. Elle se moque bien du Covid-19 : mourir de ça ou d’autre chose quand on attend tous les jours que la Faucheuse vienne vous cueillir, quelle importance ? L’important, à son âge, c’est l’affection de ses proches. Ce sont les visites, les appels quotidiens, le peu de socialisation qui reste encore possible et dont on risque de la priver pour la troisième fois cette année.

Simone a dit tout de suite qu’ils pouvaient remballer leur vaccin : « Merci bien, je passe mon tour ! » Alors, on lui a dépêché une psy. Une jeune stagiaire de 22 ans, fraîche émoulue de l’école, pour lui faire avaler le consentement. J’ai sous les yeux la fiche qu’on a voulu lui faire signer et dont sa petite-fille a obtenu à grand-peine qu’on la lui communique. La voici :

« Je soussigné… atteste avoir reçu les informations concernant la vaccination contre la Covid-19, NOTAMMENT SUR LES BÉNÉFICES ET LES RISQUES LIÉS À LA VACCINATON TELS QUE MENTIONNÉS DANS LA NOTICE DU VACCIN Pfizer à ARNm (COMINARTY).

J’ai compris l’ensemble de ces informations et j’autorise le médecin à me vacciner. »

Suivent dix lignes sur la traçabilité et la protection des données personnelles, avant cette invitation finale :

« Pour plus d’information sur la vaccination : https://www.ameli.fr/medecin/actualites/vaccination-contre-la-covid-19-le-point-surla-strategie-et-les-vaccins. »

Qui peut croire que Simone, à 105 ans, a bien eu accès et compris les informations mentionnées dans la notice de Pfizer ? Qui peut croire que Simone, 105 ans et les doigts déformés par l’arthrose, va descendre avec son déambulateur jusqu’au secrétariat de l’établissement, fermé à double tour, pour demander l’accès à l’ordinateur afin d’y consulter le site ameli.fr ?

Plus scandaleux, car plus hypocrite encore : il n’y a, sur ce document, aucune case prévue pour le renoncement. Il a fallu que Simone exige que la jeune stagiaire note, au bas de la page : « Je refuse la vaccination contre la Covid-19. »

La laissera-t-on en paix pour autant ? Non. Après avoir consenti sèchement à communiquer ce document à la famille, la directrice de l’établissement a annoncé que le médecin reviendrait à la charge.

D’accord ou pas, il va falloir passer à la piqûre, sinon retour à la case prison ?

Ce matin, une femme âgée pleurait au micro de RTL. Trois fois, déjà, qu’on lui reporte son rendez-vous de vaccination. On lui dit maintenant que, peut-être, on pourra la piquer début avril… si la peur ne l’a pas tuée avant.




La chaîne YouTube de Guy Boulianne a été censurée et ses vidéos retirées

[Source : Guy Boulianne]

YouTube a complètement fermé ma chaîne et retiré l’ensemble de mes vidéos.

Chers abonnés. YouTube a fermé ma chaîne et retiré l’ensemble de mes vidéos pour avoir diffusé un extrait des propos du ministre de la Santé et des Services sociaux du Québec, Christian Dubé, propos qui sont pourtant publics et qui sont toujours disponibles sur la chaîne YouTube et Facebook du Premier ministre du Québec, François Legault. Pourquoi donc s’en prendre à moi de cette façon.

Toutes mes vidéos ont été effacées, incluant les différentes conférences que j’avais organisées par le passé. Je verrai donc une vidéo en direct pour vous expliquer le pourquoi du comment. C’est un rendez-vous aujourd’hui même à 13h00 (Paris: 19h00) sur mes pages Facebook ci-dessous :

– https://www.facebook.com/guy.boulianne.963
– https://www.facebook.com/groups/guyboulianne
– https://www.facebook.com/groups/radioimpact

J’ai tout de même ouvert une nouvelle chaîne sur YouTube. Je vous invite à vous y abonner en grand nombre : www.youtube.com/c/GuyBoulianne007.

Je vous reviendrai plus tard avec plus de détails. Merci.




COVID-19 : le gouvernement fédéral du Canada arrête et détient des voyageurs internationaux, même si leur test est négatif

[Source : leblogdejeannesmitsl]

[NdNM : à confirmer]

Le Justice Centre for Constitutional Freedoms canadien vient de révéler que le gouvernement fédéral a arrêté des Canadiens arrivant dans le pays depuis l’étranger par avion et les transporte dans un lieu secret où ils sont détenus, alors même qu’ils présentent un test COVID anti-génique négatif, au nom de la lutte contre le COVID-19. Le Centre de défense des droits constitutionnels souligne que ces citoyens sont détenus illégalement alors qu’ils n’ont été déclarés coupables d’aucune infraction, qu’ils n’ont pas eu accès à un avocat et qu’ils n’ont pas comparu devant un juge. Selon le Centre, les forces de l’ordre canadiennes refusent d’informer les membres de leur famille du lieu où leurs proches sont détenus.

Le Justice Centre a adressé une lettre de protestation au ministre canadien du transport, Omar Alghabra, accusant le gouvernement canadien de s’être ainsi aligné sur les régimes « les plus répressifs et antidémocratiques du monde ». « Arrêter et détenir ainsi des Canadiens est illégal et anticonstitutionnel », souligne la lettre, en exigeant la remise en liberté des intéressés afin que ceux-ci puissent, si nécessaire, observer un éventuel protocole d’isolement chez eux.

À l’heure actuelle, toute personne entrant sur le territoire canadien depuis l’étranger, même s’il bénéficie d’un test COVID-19 négatif, est tenue de rester à l’isolement pendant 14 jours aux termes d’un « plan de quarantaine » soumis à un représentant de l’autorité qui a pouvoir discrétionnaire pour l’agréer ou non, n’étant soumise à aucune règle ou directive à ce sujet.
De nouvelles mesures annoncées vendredi par le Premier ministre Justin Trudeau vont encore alourdir la pression de la dictature sanitaire sur les Canadiens. Trudeau a fait savoir que les résidents canadiens seront désormais soumis à une quarantaine obligatoire, à leurs propres frais, à leur retour d’un voyage international, quel que soit leur statut COVID. Il a précisé que les voyageurs en provenance de l’étranger devront passer jusqu’à trois jours dans un hôtel agréé par les pouvoirs publics, pour un coût qui devrait dépasser les 2.000 dollars canadiens (près de 1.300 euros). « Ceux dont le test sera négatif pourront alors se maintenir en quarantaine dans leur domicile tout en restant sous une surveillance et une répression accrues », a-t-il ajouté.

Ces mesures constituent une violation flagrante de la Charte canadienne des droits et libertés, y compris le droit d’entrer au Canada et d’en sortir, le droit à la liberté et à la sécurité de la personne, le droit de ne pas être détenu ou emprisonné arbitrairement, le droit de recourir à un avocat et le droit de ne pas être soumis à des peines cruelles et inhabituelles, dénonce le Justice Centre for Constitutional Freedom.

Celui-ci prépare une plainte contre le gouvernement du Canada, soulignant que même les mesures d’urgence prises dans un cadre épidémique doivent être prises dans le respect de la Charte, dont les dispositions ne peuvent être suspendues que dans un cadre légal strict. Il conteste ainsi non seulement les arrestations et détentions et les dispositions concernant le maintien à l’isolement dans des hôtels agréés, mais aussi la quarantaine de 14 jours elle-même lorsqu’elle est imposée à des individus « asymptomatiques » et ayant un test COVID négatif. « Et ce d’autant que le gouvernement fédéral a reconnu qu’il sait bien que les voyages internationaux par avion donnent lieu à un nombre négligeable de cas actifs », rappelle le président du Centre, John Carpay.


[Voir aussi :




La tricherie criminelle des banques — Politique & Eco n°285 avec Pierre Jovanovic (Revue de presse)

[Source : TVLibertés]

La BCE n’est pas en reste dans la fabrication de fausse monnaie conduisant toujours plus aux taux d’intérêts négatifs, une menace sur les retraites et l’épargne. L’essentiel des flux financiers se dirigent vers Wall Street et la City, tandis qu’en Europe se préparent les taxes covid.

Fusions bancaires en masse et création de bad banks sont le signe d’une grave crise bancaire qui menace. Un signe qui ne trompe pas sur la nature du nouveau pouvoir étatsunien, Biden a nommé à la tête du gendarme de la bourse américains Gary Gensler, ce qui a fait hurler de rire toute la profession. En effet, Gary Gensler est celui qui a permis la manipulation des cours de l’or, de l’argent, et surtout, la prolifération des CDS (Crédit Default Swap, produits dérivés hyper toxiques) pendant une décennie.

Cela n’empêche d’ailleurs pas que le monde commence à se défaire du Dollar, tandis qu’il est de plus en plus question du Revenu de Base Universel, l’aumône du Grand Reset. Et d’autres perspectives, à dire vrai, bien sombres, traitées avec une pointe d’humour pour garder le moral… Pour en parler, Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent le journaliste financier Pierre Jovanovic.




L’ineptie des « vaccins » à ARN pour « traiter » le Covid-19

[Source : Sott.net]

Par Pierre Lescaudron

Le présent article fait suite à celui intitulé « Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2 », publié en juin 2020 [le 1er juillet pour la traduction française – NdT], que nous vous invitons à lire d’abord. La conclusion en était en partie la suivante :

« Il est probable qu’une épidémie de grippe apparaîtra d’ici la fin de l’année 2020, comme chaque année. Ce virus sera, comme par hasard, considéré comme un proche parent du Sras-Cov-2, qui présentera peut-être des « caractéristiques supplémentaires terrifiantes ».

Nul besoin toutefois de désespérer, car à ce moment-là, les pouvoirs publics auront préparé un vaccin. C’est l’une des raisons pour lesquelles l’hydroxycholoroquine a été interdite. Si un traitement sûr et efficace existe déjà, qui acceptera un vaccin précipité et inconnu ? Un vaccin qui protégera prétendument les gens contre le Covid-20, mais qui sera en réalité conçu pour « annuler » les changements bénéfiques induits par la souche mutée du Sras-Cov-2.
[…]
Il est probable que la vaccination ne sera pas obligatoire. N’oubliez pas que les pouvoirs publics sont devenus pour le moment « plus affables et plus dociles ». Au lieu de recourir à la force brute, ces autorités publiques sont plus susceptibles d’exercer un chantage moral : « Faites-vous vacciner pour protéger les autres ! », combiné à un chantage social : « Pas de vaccin = pas de travail, pas de shopping, pas de voyage, pas de socialisation ! ». En gros, vous êtes libre de choisir entre le passeport d’immunité ou une peine de prison à vie dans une cellule isolée. »

© Sott.net
Citation de Denis Rancourt

Nous voici 7 mois plus tard. Comme on pouvait s’y attendre, de nouveaux variants sont apparus, les décès dus au Covid-19 d’origine humaine s’accumulent, le passeport vaccinal a déjà été adopté par plusieurs pays et les vaccinations ont commencé partout dans le monde.

En théorie, les médicaments, vaccins compris, sont approuvés et utilisés parce que leurs bénéfices dépassent de loin leurs risques. En ce sens, le médicament idéal présenterait un risque zéro et une efficacité totale contre une maladie incurable et mortelle. Nous verrons dans le présent article que les « vaccins » Covid-19, en particulier celui de Pfizer, sont quasiment à l’opposé du médicament idéal. Ils sont dangereux, inefficaces et ciblent une maladie bénigne pour laquelle des traitements efficaces et sûrs sont déjà connus.

Où est la pandémie ?

Le taux de létalité

Selon l’OMS, en octobre 2020, environ 750 millions de personnes, soit environ 10 pour cent de la population mondiale, avaient été infectées par le Sras-CoV-2 et un million de personnes étaient mortes du Covid-19. Ces chiffres conduisent à un taux de létalité de 0,13 pour cent, qui correspond au taux typique de la grippe saisonnière. Lorsqu’il est traité correctement, comme à Marseille où le protocole de l’hydroxychloroquine et le diagnostic clinique précoce sont utilisés, le taux de létalité tombe à 0,05 pour cent.

À Singapour, où l’utilisation de l’hydroxichloroquine est très répandue et où aucun confinement national n’a jamais été imposé, le taux de létalité du Covid-19 est le même que celui de Marseille, soit 0,05 pour cent seulement (29 décès sur 59 000 cas).

Quel type de pandémie présente un taux de létalité égal ou inférieur à celui de la grippe saisonnière ?

Les véritables décès du Covid

Les chiffres ci-dessus sont basés sur les données officielles publiées par l’OMS. Ces chiffres, en particulier le nombre total de décès par Covid, sont largement exagérés grâce à diverses supercheries :

1/ Comorbidité

94 pour cent des personnes qui sont mortes du Covid-19 présentaient des facteurs de comorbidité. La majorité d’entre elles présentaient non pas un mais plusieurs facteurs de comorbidité, notamment l’hypertension, l’obésité, les maladies pulmonaires chroniques, le diabète et les maladies cardiovasculaires. Par exemple, un patient britannique atteint d’un cancer avancé, d’une insuffisance rénale et d’un diabète, et dont le test s’est révélé positif dans les 60 jours précédant son décès, verra sa mort automatiquement attribuée au Covid-19. Au Royaume-Uni, au moins 30 pour cent des décès attribués au Covid-19 sont en fait dus à une comorbidité.

2/ Faux positifs

De nombreux décès ont été attribués au Covid-19 uniquement sur la base d’un test PCR positif. Selon les mots de son inventeur Kary Mullis, prix Nobel de chimie 1993 :

« [les tests PCR] ne peuvent pas du tout détecter les virus infectieux en circulation […] Les tests peuvent détecter des séquences génétiques de virus, mais pas les virus eux-mêmes »

Par conséquent, les questions évidentes sont les suivantes : combien d’autres virus affichent des séquences virales similaires à celles du Sras-CoV-2 et sont ensuite détectés et sont étiquetés à tort comme étant des Sras-CoV-2 ? Combien de séquences virales non pathogènes et non transmissibles du Sras-CoV-2 conduisent à un test PCR « positif » ?

Pour couronner le tout, le nombre de cycles d’amplification de la PCR pose un sérieux problème. Selon le CDC, il est pratiquement impossible de détecter un virus vivant au-delà d’un seuil de 33 cycles. Cependant, de nombreux États effectuent 4045 voire 50 cycles d’amplification. Par exemple, un test positif obtenu à 40 cycles a environ 43 pour cent de chances de ne plus être positif avec un seuil de 35, et 85 pour cent de chances avec un seuil de 30.

Le test antigène est encore pire que le test PCR, puisqu’il entraîne 63 pour cent de faux positifs en plus ! Ces tests sont si peu fiables que même l’OMS en déconseille l’utilisation.

3/ Interdiction des traitements efficaces

À Marseille, en France, où un diagnostic précoce est établi et suivi d’un traitement approprié, notamment l’hydroxychloroquine combinée à l’azythromycine, le taux brut de mortalité est de 0,01 pour cent. À environ 700 kilomètres de là, à Paris, où le diagnostic est tardif et où l’interdiction de ces deux médicaments est appliquée, le taux de mortalité global grimpe à 0,075 pour cent. Cela représente une augmentation d’un facteur de 7,5.

Comme à Marseille, le Belarus et l’Islande ont effectué un diagnostic précoce et/ont administré des soins appropriés et ils figurent parmi les pays où le nombre de décès par Covid-19 est le plus faible, avec respectivement 1 560 (taux de mortalité brut de 0,016 pour cent) et 29 (taux de mortalité brut de 0,008 pour cent) à la mi-janvier 2021. Dans la même veine, le Vietnam qui utilise le diagnostic précocel’hydroxichloroquine et n’a pas mis en place de confinement national, la mortalité brute due au Covid-19 est de 0,000036 pour cent (35 décès pour 96 millions d’habitants)

4/ Transfert du nombre de victimes de la grippe

L’hémisphère sud semble avoir purement et simplement échappé à la grippe saisonnière de l’hiver 2020, où les décès dus à la grippe ont diminué de 90 pour cent par rapport aux années précédentes. Selon les principaux médias, cette baisse des décès dus à la grippe est imputable au confinement. Si c’est le cas, comment expliquer que la France ait enregistré un nombre étonnamment bas de décès dus à la grippe pendant la saison 2019-2020 qui s’est terminée avant l’imposition du confinement le 17 mars ? En effet, seuls 3 680 décès dus à la grippe ont été enregistrés durant l’hiver 2019-2020. Cela représente une baisse de 70 pour cent par rapport à la moyenne des dix dernières années.

Un autre récit classique explique cette baisse brutale et inattendue du nombre de victimes de la grippe par le fait que le coronavirus empêche l’activité d’autres virus. Mais les virus n’ont aucune difficulté à cohabiter. Par exemple, rien qu’en Europe, pendant la saison de la grippe 2019/2020, au moins six souches actives de grippe ont été détectées : type A A(H1N1)pdm09, A(H3N2)) A(Inconnu), B/Victoria, B/Yamagata et B/Unknown, et nous savons que le Sras-CoV-2 était sur le continent depuis au moins le 2 décembre 2019.

Dans l’hémisphère nord, la France n’est pas le seul pays à avoir enregistré la disparition de la grippe saisonnière. Les États-Unis et le Royaume-Uni ont respectivement fait état d’une diminution stupéfiante de 98 pour cent et 90 pour cent des décès qui lui sont attribués.

En se basant sur le nombre hyper exagéré de décès par Covid de l’OMS, qui est de 1,7 million en janvier 2021, on peut déduire les chiffres suivants :

  • Les décès faussement positifs, c’est-à-dire les patients qui n’ont même pas eu le Covid, représentent au moins 33 pour cent du nombre total de décès attribués au Covid-19. Cela représente 700 000 sur 1,7 million ;
  • Les décès dus à des comorbidités représentent 30 pour cent du nombre total de décès attribués au Covid, soit 500 000 sur 1,7 million ;
  • Environ 90 pour cent du nombre de décès dus généralement à la grippe a été imputé au Covid, soit 300 000 décès sur 1,7 million.

En fonction des chevauchements entre ces trois types de décès non liés au Covid-19, le nombre réel de décès liés au Covid-19 peut être estimé entre 300 000 et 1,1 million.

Cette fourchette ne tient même pas compte de la réduction par 7 de la mortalité liée à un diagnostic précoce approprié et à un traitement adéquat. En tenant compte de ce paramètre, la mortalité totale due au Covid-19 avec un diagnostic précoce et des soins appropriés diminuerait de 40 000 à 140 000 victimes dans le monde. Notez que les estimations ci-dessus sont très prudentes, nous sommes donc amenés à nous demander si le Sras-CoV-2 a véritablement causé de façon directe un nombre important de décès.

Quel type de pandémie provoque bien moins de décès que la grippe saisonnière ?

Excès de mortalité

La surmortalité comprend les décès attribués au Covid-19 ainsi que les nombreux décès dus au confinement. Comme nous le verrons, il est probable que ces derniers ont provoqué beaucoup plus de décès que le Covid-19 lui-même.

1/ Retards dans les traitements et les diagnostics

En Angleterre et au Pays de Galles, seul un tiers de la surmortalité observée dans les maisons de retraite médicalisées et les résidences privées peut s’expliquer par le Covid-19, les deux tiers restants sont dus à des citoyens âgés qui se sont vu refuser les soins primaires et « qui auraient pu vivre plus longtemps s’ils avaient pu se rendre à l’hôpital ». Ce problème est particulièrement vrai pour les patients atteints de cancer. Au Royaume-Uni, le fait d’en avoir empêché le diagnostic et le traitement médical pourrait entraîner la mort de 18 000 patients supplémentaires.

2/ Conditions psychiatriques

Une méta-analyse de la santé mentale de la population générale a été publiée en décembre 2020. Comme prévu, la « pandémie » a considérablement aggravé le problème :

« Des taux relativement élevés de symptômes d’anxiété (6,33 pour cent à 50,9 pour cent), de dépression (14,6 pour cent à 48,3 pour cent), de stress post-traumatique (7 pour cent à 53,8 pour cent), de détresse psychologique (34,43 pour cent à 38 pour cent) et de stress (8,1 pour cent à 81,9 pour cent) ont été signalés pendant la pandémie de Covid-19 au sein des populations en Chine, en Espagne, en Italie, en Iran, aux États-Unis, en Turquie, au Népal et au Danemark […] La pandémie de Covid-19 est associée à des niveaux très élevés de détresse psychologique qui, dans de nombreux cas, atteindraient le seuil de gravité clinique. »

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Il convient de noter que l’espérance de vie des personnes souffrant de maladies mentales est inférieure d’environ 8 ans à celle de la population générale.

3/ Suicide

Les chiffres définitifs concernant les décès en 2020 n’ont pas encore été compilés. Cependant, la tendance est déjà claire. Selon certaines études, le suicide a augmenté de 145 pour cent. En toute logique, les tendances suicidaires ont augmenté parallèlement aux suicides avérés, l’Inde, par exemple, enregistrant une hausse de 67,7 pour cent des signalements de comportements suicidaires pendant le confinement. De même, en Chine, l’apparition de très fréquentes pensées suicidaires a été constatée tandis qu’au Canada, on prévoit une augmentation de 500 pour cent des suicides.

4/ Alcoolisme et toxicomanie

L’abus d’alcool a fortement augmenté pendant la « pandémie ». Au Royaume-Uni, le nombre d’appels à la ligne d’assistance du British Liver Trust a augmenté de 500 pour cent depuis le début du confinement en mars. De même, Alcohol Change a pendant le confinement enregistré une augmentation de 242 pour cent des visites sur les pages de conseil et de soutien de son site Web. Les enquêtes sur la consommation d’alcool révèlent une situation similaire, avec 21 pour cent des personnes déclarant qu’elles buvaient plus souvent pendant le confinement. Les gros buveurs sont les plus touchés : 38 pour cent de ceux qui buvaient beaucoup avant le confinement ont déclaré qu’ils buvaient encore plus pendant le confinement. Aux États-Unis, une augmentation de 54 pour cent des ventes nationales d’alcool a été enregistrée pour la semaine se terminant le 21 mars 2020, par rapport à l’année précédente.

De même, les surdoses de drogues ont fortement augmenté en 2020. Par exemple, aux États-Unis, les surdoses ont tué le nombre stupéfiant de 81 000 personnes, soit une augmentation de 38 pour cent des surdoses mortelles par rapport à 2019.

5/ Pauvreté

Selon la Banque mondiale, la « pandémie » pourrait plonger environ 100 millions de personnes supplémentaires dans l’extrême pauvreté. La différence d’espérance de vie entre un individu en situation d’extrême pauvreté et un individu riche est d’au moins 20 ans. Il faut toutefois préciser que la plupart des décès provoqués par la montée de l’extrême pauvreté ne se produiront pas immédiatement mais dans les années, voire les décennies, qui suivront cette crise économique mondiale fabriquée de toutes pièces.

En dépit du nombre de décès dus au confinement et à ses conséquences plutôt qu’au Covid-19, de nombreux pays n’ont même pas enregistré d’augmentation de la surmortalité pendant la pandémie. C’est le cas de l’Allemagne où l’hydroxychloroquine a été utilisée et où de nombreux diagnostics précoces ont été effectués. Mieux que cela, l’Islande — qui a mis en œuvre l’une des approches de diagnostic précoce les plus efficaces au monde — affiche un taux de mortalité en 2020 inférieur à sa mortalité annuelle moyenne. Mais la cerise sur le gâteau est la Chine, où environ 55 tonnes d’hydroxychloroquine ont été consommées en 2020 et où aucun confinement national n’a été mis en place : en conséquence, la Chine n’a connu pratiquement aucun décès dû au Covid depuis avril 2020.

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Les décès quotidiens du Covid-19 en Chine

Même la France, qui a interdit l’hydroxychloroquine et l’azythromycine et a mis en place des mesures de confinement et des couvre-feux prolongés, a connu un taux de mortalité au printemps 2020 inférieur à celui de la saison de la grippe de 2017, et depuis le 1er mai 2020, aucune augmentation de la mortalité n’a été constatée.

Quel type de pandémie n’entraîne pas un excès marqué de mortalité ?

Espérance de vie

En France, et avant même d’être testées positives pour le virus, 80 pour cent des victimes présumées du Covid-19 avaient une espérance de vie inférieure à un an en raison de comorbidités et d’un âge avancé. Dans l’ensemble, les victimes du Covid-19 avaient une espérance de vie d’à peine 3 ans et 82 pour cent des victimes avaient plus de 70 ans. L’âge moyen d’un décès Covid-19 est de 82 ans, soit quelques mois de moins que l’espérance de vie globale.

Dans plusieurs pays, l’âge moyen des décès attribués au Covid-19 est même supérieur à l’espérance de vie. Par exemple, au Royaume-Uni, l’âge moyen des décès attribués au Covid-19 est de 82,6 ans alors que l’espérance de vie moyenne y est de 81,2 ans. En Suède, l’âge moyen des personnes qui seraient mortes du Covid-19 est de 84 ans, soit deux ans de plus que l’âge moyen des décès qui y est de 82 ans.

En raison de l’âge très avancé des personnes qui seraient mortes du Covid-19, de nombreux pays n’ont pas connu de baisse de l’espérance de vie. C’est le cas de la Chine qui a enregistré 4 600 décès attribués au Covid-19 sur une population de 1,4 milliard d’habitants, ou de l’Islande et de ses 19 victimes du Covid sur 400 000 citoyens islandais.

Même en France, où beaucoup de personnes âgées ont été condamnées à mourir dans des maisons de retraite, où des mesures de confinement draconiennes ont été mises en place, où le diagnostic et les soins ont été retardés pour des affections graves et où des médicaments efficaces contre le Covid-19 ont été interdits et des médicaments toxiques comme le Rivotril ou le Remdesivir ont par contre été administrés, l’espérance de vie n’a diminué que de 5 mois.

Quel type de pandémie ne diminue pas sensiblement l’espérance de vie ?

En résumé, la victime type du Covid-19 est une personne octogénaire qui vit dans une maison de retraite et qui présente plusieurs comorbidités. En général, cette personne est morte à cause du désespoir de l’isolement social et du retard dans le diagnostic et le traitement de ses graves comorbidités. Dans de nombreux cas, le patient n’avait même pas le Covid-19. Toutefois, le Covid-19 l’a bien tué, non pas directement, mais par l’isolement et le refus de soins induits par la pandémie d’hystérie bien orchestrée.

Pour résumer, nous faisons l’expérience d’une « pandémie » assez particulière qui présente un taux de létalité inférieur à celui de la grippe saisonnière, qui tue moins que les maladies infectieuses habituelles, qui n’a pas provoqué de surmortalité marquée et qui n’a pas vraiment réduit l’espérance de vie.

Les traitements disponibles

Non seulement le Covid-19 est une maladie bénigne, mais elle peut être soignée par de nombreux traitements sûrs, efficaces et peu coûteux : l’artémisiala vitamine C à forte dose, la vitamine Dle cuivrele zincla doxycyclinela fluvoxaminela bromhexinela colchicinel’ivermectinel’azythromycine et, bien sûr, l’hydroxychloroquine. En outre, la combinaison de certains de ces médicaments a révélé des synergies bénéfiques, notamment un cocktailhydroxychloroquine + azythromycine + zinc. Notez également que l’efficacité des médicaments susmentionnés a été publiée dans des revues à comité de lecture il y a plusieurs mois.

Un bon exemple est l’hydroxychloroquine dont l’efficacité contre le Covid-19 a été testée dans pas moins de 195 articles publiés. La conclusion de la méta-analyse statistique de ces articles ne pourrait être plus claire :

« L’hydroxychloroquine est un traitement efficace contre le Covid-19. La probabilité qu’un traitement inefficace produise des résultats aussi positifs que les 166 études réalisées à ce jour est estimée à 1 sur 1 quadrillion (p = 0,00000000000000099). »

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Une autre façon de déterminer l’efficacité de l’hydroxychloroquine est simplement de vérifier si les articles scientifiques publiés ont reçu un financement de Gilead — la société américano-israélienne, bourrée de conflits d’intérêts — qui produit le désormais tristement célèbre Remdesivir.

En cas de conflit d’intérêts avec Gilead,73 pour centdes articles affirment que l’hydroxychloroquinene fonctionne pas, et s’il n’y a pas de conflit d’intérêts,83 pour centdes articles concluent que l’hydroxychloroquinefonctionne. C’est aussi simple que cela.

© IHUM
Chloroquine et mortalité du Covid-19

Malgré son efficacité testée à plusieurs reprises, l’hydroxychloroquine a été interdite dans un certain nombre de pays occidentaux. En revanche, il n’a fallu qu’un seul faux article scientifique (démystifié peu après) pour que les États achètent du Remdesivir pour des milliards de dollars avant d’administrer ce produit par ailleurs toxique en plus d’être inefficace.

La raison de la suppression des traitements connus est au moins double :

  • sociale : le refus de soigner pour augmenter délibérément le nombre de décès et donc la peur dans la population, ce qui conduit à l’acceptation peu enthousiaste des vaccins ;
  • juridique : l’approbation accélérée par la FDA d’un nouveau médicament n’est possible que lorsque la maladie ciblée « n’a pas de remède ». La suppression des remèdes connus a permis au « vaccin » Pfizer d’être approuvé après deux mois d’essais limités et un maigre rapport des tests, alors qu’une approbation correcte de la FDA nécessite environ 12 années d’essais approfondis et une demande d’homologation pour un nouveau médicament de plus de 100 000 pages.

Pour résumer, le Covid-19 est une maladie bénigne pour laquelle il existe de nombreux traitements sûrs et efficaces. Dans ce contexte, l’approche logique serait d’augmenter le diagnostic clinique précoce et de diffuser et d’améliorer les stratégies thérapeutiques existantes. Ce n’est pas ce que les élites ont décidé, surtout dans le monde occidental. Elles ont plutôt interdit les traitements efficaces et, parmi toutes sortes de vaccins douteux, ont imposé le pire, le « vaccin » à ARN de Pfizer sur lequel nous allons maintenant concentrer notre attention.

« Vaccin » à ARNm ou thérapie génique ?

En dépit de son nom, le « vaccin » de Pfizer s’apparente davantage à la thérapie génique, dont la définition est la suivante : « l’utilisation de l’apport thérapeutique d’acides nucléiques dans les cellules d’un patient ». Le « vaccin » de Pfizer est exactement cela, une séquence d’ARN artificielle délivrée par des nanolipides dans les cellules du patient, pour les pirater et les inciter à produire la protéine Spike que l’on trouve dans le Sras-CoV-2, ou au moins dans l’un de ses anciens variants. De là, l’hôte devrait réagir à cette protéine en produisant des anticorps. Si la quantité d’anticorps est trop importante, il se produit une tempête immunitaire [aussi appelé choc cytokinique ou encore tempête de cytokines – NdT] ; si la quantité d’anticorps est insuffisante, l’immunité induite est inutile.

Remarquez que la thérapie génique n’a jamais été utilisée à grande échelle. Elle n’a été utilisée que dans des protocoles expérimentaux anti-tumoraux de phase 1. Les médicaments étaient tellement toxiques que les essais de phase 2 n’ont jamais été réalisés. Les « vaccins » à ARN contre le Mers et le Sras ont suivi la même trajectoire conduisant à l’échec.

En 1999, le généticien Alain Fischer, a mené le premier essai clinique avec quelques rares résultats positifs dans le monde des thérapies géniques [pour les lecteurs francophones qui aimeraient en savoir plus sur Fischer dans le cadre des thérapies géniques qu’il a menés, lire cette interview menée par La Jaune et la Rouge en janvier 2002 – NdT]. Ce même Alain Fischer a été nommé expert en vaccins par les autorités françaises. Interrogé sur le « vaccin » Pfizer, Fischer a répondu avec prudence, soulignant que les effets de l’infectiosité et la durée de l’immunité étaient inconnus, que les effets secondaires étaient inévitables et que la crainte du vaccin était compréhensible. De toute évidence, l’analyse de Fischer ne correspondait pas au discours pro-vaccin, puisqu’il ne bénéficie plus [aujourd’hui – NdT] d’une exposition médiatique.

Un « vaccin » au mieux inutile, au pire nuisible ?

L’histoire des vaccins est pleine de scandales majeurs. En voici quelques exemples :

  1. Le vaccin de Salk contre la polio qui a provoqué la pire épidémie de polio de l’histoire en infectant 200 000 personnes avec un poliovirus vivant, dont 70 000 sont tombées malades ;
  2. La prévalence actuelle de la poliomyélite causée par les vaccins par rapport à la poliomyélite d’origine naturelle ;
  3. Le vaccin contre la dengue déclenchant la production d’anticorps qui ne sont pas nuisibles mais bénéfiques au virus de la dengue, ce qui entraîne des formes plus graves de la maladie ;
  4. Et n’oublions pas Bergame, en Italie, où la population a connu une forte prévalence de formes graves de Covid-19 parmi les personnes vaccinées. Il n’y a pas de mystère, car depuis des années, on sait que le vaccin anti-grippe favorise et aggrave les infections à coronavirus.

De même, les vaccins contre les proches parents du Sras-CoV-2 comme le Sras ou le Mers, qui comme le « vaccin » Pfizer ciblent la protéine Spike, ont également été testés mais rapidement abandonnés, l’un des principaux effets indésirables étant la création d’anticorps qui ne préviennent pas mais favorisent les infections virales.

Les vaccins contre la dengue, la grippe, le Sras et le Mers partagent le même défaut fondamental, bien connu des scientifiques sous le nom de renforcement dépendant des anticorps[ou facilitation de l’infection par des anticorps – NdT], causé par le vaccin qui, au lieu de fournir une immunité, augmente la vulnérabilité à et la gravité de la maladie qu’il cible. Dans ce contexte, il ne serait pas surprenant que les « vaccins » à ARN déclenchent des formes plus graves de Covid-19.

En outre, comme la plupart des rétrovirus, le Sras-CoV-2 est extrêmement enclin aux mutations. L’analyse de 10 000 de ses génomes a révélé un nombre élevé de modifications génétiques :

« 2 969 mutations faux-sens, 1 965 mutations silencieuses, 484 mutations dans les régions non codantes, 142 suppressions non codantes, 100 suppressions dans le cadre de lecture, 66 insertions non codantes, 36 variants à mutation ponctuelle, 11 suppressions de décalage du cadre de lecture et deux insertions dans le cadre de lecture. »

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Ce nombre important de variations génomiques a conduit à l’émergence d’au moins 14 variants distincts, dont le « variant anglais » qui présente 23 mutations détectables, dont 70 pour cent sont situées sur sa protéine Spike, qui est la cible même du « vaccin » Pfizer.

© Nextstrain
Variants Sras-CoV-2

Que ce soit une coïncidence ou pas, le Remdevisir mentionné ci-dessus a été testé sur des patients britanniques dans au moins 15 centres de santé différents et largement administré après sa pseudo-approbation. Il est désormais établi que le Remdevisir déclenche des mutations dans le Sras-CoV-2, en particulier dans sa protéine Spike. Étant donné sa propriété mutagène et son utilisation au Royaume-Uni, la question évidente est la suivante : « Le Remdesivir a-t-il joué un rôle dans l’apparition du variant anglais ? »

Quoi qu’il en soit, dans la seule ville de Marseille, pas moins de 33 patients sont tombés malades à deux reprises, du variant appelé Marseille 1, puis du variant Marseille 4. Pire encore, toujours à Marseille, un patient a été infecté trois fois par des variants du Sras-CoV-2 en seulement neuf mois.

La réinfection par le Sras-CoV-2 est suffisamment répandue pour que les scientifiques ne se demandent plus si elle se produit, mais comment elle se produit :

« la possibilité de réinfection par le Sras-CoV-2 n’est pas bien comprise […] une exposition antérieure au Sras-CoV-2 ne se traduit pas nécessairement par une immunité totale garantie. Les implications des réinfections pourraient être pertinentes pour le développement de vaccins […] L’analyse génomique du Sras-CoV-2 a montré des différences génétiquement significatives entre chaque variant associé à chaque cas d’infection. »

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Ces réinfections suggèrent que l’immunité naturelle contre le Covid-19 pourrait ne durer que quelques mois, l’une des raisons de cette courte immunité étant probablement les nombreuses mutations du Sras-CoV-2. Si l’immunité naturelle n’empêche pas une réinfection rapide, le « vaccin » Pfizer, qui, contrairement à l’immunité naturelle, ne cible qu’une petite partie du virus — à savoir sa protéine Spike, qui a considérablement changé depuis la conception du « vaccin » — devrait donner des résultats encore plus médiocres. En conclusion, il est peu probable que le « vaccin » Pfizer confère une immunité durable, si tant est qu’il en confère une tout court, en particulier contre les variants actuels et futurs.

Ce qui précède n’est pas seulement théorique. En Israël, par exemple, pas moins de 12 400 résidents ont été testés positifs au Sras-CoV-2 après avoir reçu le « vaccin » Pfizer, parmi lesquels 69 personnes qui avaient déjà reçu la deuxième dose.

La méthodologie du « vaccin » Pfizer

1/ Objectifs de procédure inappropriés

L’essai de Pfizer avait pour objectif principal d’évaluer, 28 jours après la première inoculation, la fréquence des formes légères à sévères du Covid-19. Le taux de mortalité, l’infectiosité, la durée de l’immunité (le cas échéant), ou même l’apparition de formes légères à sévères à long terme n’ont pas été étudiés. Mais, attendez une minute, toute la pandémie et l’hystérie vaccinale ont été construites sur ces mêmes craintes de mort et de contamination, nous avons entendu ad nauseam les injonctions des médias : « les gens meurent en masse », « faites-vous vacciner pour éviter d’infecter les autres », « faites-vous vacciner pour être immunisé contre le Covid-19 », « faites-vous vacciner pour éviter de mourir du Covid-19 », etc.

2/ Partialité du groupe testé

La sélection des essais, en particulier l’âge combiné à l’état de santé, constitue un autre préjugé frappant. Nous avons montré ci-dessus que les personnes fragiles et âgées sont de loin les plus susceptibles de souffrir du Covid-19. Mais seulement 2 pour cent de l’essai de Pfizer comprend des patients de plus de 75 ans et souffrant de maladies préexistantes. En outre, les sujets de tout âge présentant des comorbidités sont nettement sous-représentés :

« Au total, seule une personne sur cinq semble souffrir d’une affection sous-jacente, et pour les différentes affections sous-jacentes individuelles, le pourcentage de personnes qui en souffrent est souvent inférieur à 1 pour cent. »

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De plus, la taille limitée du groupe vaccinal (environ 20 000 participants) ne présente pas toutes les combinaisons âge – race – sexe – maladie – traitement – profil génétique rencontrées dans la population générale. Il n’existe aucune donnée de sécurité concernant les enfants, les personnes immunodéprimées ou les femmes enceintes, pour la bonne et simple raison qu’ils ont été exclus de l’essai.

Fondamentalement, Pfizer a sélectionné des sujets jeunes et sains pour tester un « vaccin » qui est maintenant administré en priorité aux personnes âgées et malades. Quel est l’intérêt d’étudier de jeunes individus en bonne santé, qui, vaccinés ou non, sont de toute façon à peine touchés par le Covid-19 ? Ce préjugé minimise-t-il les effets secondaires et maintient-il l’illusion d’un « vaccin » sûr ?

3/ Placebo au lieu de médicaments dont l’efficacité est connue

Un nouveau médicament est testé contre un placebo lorsque la maladie ciblée n’a pas de remède connu. Dans le cas du Covid-19, il existe plusieurs remèdes connus auxquels Pfizer aurait dû comparer son « vaccin ».

C’était le concept de l’essai clinique Discovery qui comparait le Remdesivir, l’hydroxychloroquine et d’autres médicaments. Lorsque les résultats préliminaires ont commencé à montrer que l’hydroxychloroquine était le plus efficace, elle a rapidement été retirée des essais. Pfizer n’a pas fait la même erreur en testant son nouveau médicament contre un médicament efficace. Au lieu de cela, ils ont testé leur « vaccin » contre un placebo.

4/ Conception et traitement unilatéral des données

Aucune partie tierce n’a été impliquée dans la conception de l’essai, son suivi et le traitement des résultats. Toute l’étude a été conçue, menée, analysée, publiée et payée par l’entreprise Pfizer elle-même.

Comme l’a déclaré le neurologue néerlandais Jan B. Hommel :

« Le fait qu’un comité indépendant sur les données et la sécurité ait pu voir les données ne change rien à cela, pour la simple raison qu’il n’était pas inclus ni n’a rien eu à dire dans la conception de la recherche, la sélection des participants, les statistiques utilisées ou la publication. […] Je n’ai pas besoin d’expliquer ici comment une telle façon de faire peut conduire à des résultats biaisés de la recherche scientifique, parce que cette question a fait l’objet de recherches et de publications approfondies au cours des vingt dernières années. »

Bénéfices

Le principal argument marketing du « vaccin » de Pfizer est son efficacité supposée de 95 pour cent. Ce chiffre est la seule affirmation de Pfizer et il doit être pris avec des pincettes en raison de nombreux facteurs :

1/ Les précédents de Pfizer

Nous devons d’abord comprendre le contexte de l’entreprise à laquelle nous avons affaire ici. Pfizer est la plus grande entreprise pharmaceutique au monde et c’est également l’entreprise qui a été condamnée à la deuxième plus grosse amende pénale de l’histoire des États-Unis pour avoir menti sur l’un de ses médicaments et avoir soudoyé des médecins. Cette amende record n’est qu’un exemple parmi d’autres. Pfizer a été condamné à de nombreuses reprises pour avoir dissimulé les principaux effets secondaires du Protonix, caché les propriétés cancérigènes du Prempro, menti sur le comportement suicidaire provoqué par le Chantix, fait la promotion de la Depo-Testosterone comme étant efficace et sûre alors qu’elle est inefficace et induiit des effets secondaires importants, et mené des essais cliniques illégaux pour le Trovan au Nigeria, qui a causé la mort de 11 enfants. La liste des crimes commis par Pfizer ne cesse d’augmenter.

N’oublions pas non plus que grâce à la vente mondiale de son « vaccin » à ARN, Pfizer encaissera 14 milliards de dollars par an — soit plus que le PIB du Nicaragua.

2/ Efficacité relative versus efficacité absolue

Au cours de l’essai clinique de Pfizer, 8 cas de Covid-19 ont été trouvés dans le groupe des 20 000 personnes vaccinées et 86 cas dans le groupe placebo de 20 000 personnes. Cela signifie que le taux de contamination au Covid-19 est de 0,0004 dans le groupe du vaccin et de 0,0043 dans le groupe placebo. Par conséquent, la réduction absolue du risque pour un individu n’est que d’environ 0,4 pour cent (0,0043 – 0,0004 x 100).

Le « nombre de personnes qui a besoin d’être vacciné (NNTV) » est égal à 256 (1 / 0,0039), ce qui signifie que pour prévenir un seul cas de Covid-19, 256 personnes doivent recevoir le « vaccin » ; les 255 autres personnes ne retirent aucun bénéfice, mais sont soumises à ses nombreux effets indésirables [le NNTV est une métrique utilisée dans l’évaluation des vaccins et dans la détermination de la politique de vaccination. Il s’agit d’une application spécifique du nombre nécessaire pour traiter la métrique qui intègre les implications de l’immunité collective – NdT].

3/ Exclusion des cas suspects

L’efficacité (relative) revendiquée de 95 pour cent a été obtenue en excluant un total de 3 410 cas Covid-19 suspectés, mais non confirmés (probablement en raison de faux négatifs). Lorsque ces 3 410 cas suspects sont réintégrés, l’efficacité relative tombe à 19 pour cent (ce qui est bien inférieur au seuil d’efficacité de 50 pour cent fixé par les autorités de réglementation) et la réduction absolue du risque tombe à un ridicule 0,08 pour cent.

4/ Résultats non reproduits

La pierre angulaire de tout travail scientifique est sa reproductibilité. Les résultats de l’essai clinique ont été publiés dans une revue à la fin de 2020, mais les essais cliniques n’ont pas été reproduits et il est peu probable qu’ils le soient, car aucune entreprise pharmaceutique ne réalisera d’essais cliniques coûteux pour une molécule brevetée par un concurrent. Nous n’avons donc que la parole de Pfizer, qui est également un criminel récidiviste.

En résumé, selon Pfizer, l’avantage de son « vaccin » repose sur une réduction des symptômes de la grippe chez les jeunes en bonne santé. Ils ne savent pas, ou plutôt, ils ne veulent pas que nous sachions, ce qui importe vraiment : les symptômes chez les personnes fragiles et âgées, la mortalité, l’infectiosité ou la durée de l’immunité. Nous commençons à en avoir une idée.

L’ironie est que le « vaccin » n’a même pas atteint son objectif principal (et non pertinent) qui était la réduction de la forme grave du Covid-19. On peut lire dans l’éditorial du New England Journal of Medicine où ont été publiés les résultats de l’essai clinique de Pfizer :

« Le nombre de cas graves de Covid-19 (un dans le groupe du vaccin et neuf dans le groupe placebo) est trop faible pour que l’on puisse tirer des conclusions quant à savoir si les rares cas qui surviennent chez les personnes vaccinées sont réellement plus graves. »

Les risques du vaccin Pfizer

On sait peu de choses sur les bénéfices du « vaccin » de Pfizer et le peu qui est revendiqué n’est pas pertinent. Mais les informations sur les risques arrivent lentement, et les résultats ne sont pas très reluisants.

1/ Les effets indésirables du « vaccin»

Selon la FDA, le « vaccin » Pfizer peut provoquer de nombreux « effets indésirables » graves, et ce ne sont que les effets indésirables connus induits par les vaccins « traditionnels » et leurs adjuvants habituels :

© FDA
Les effets indésirables du « vaccin » Pfizer

Note du traducteur : La FDA a émis dans sa Présentation de la réunion de la commission du 22 octobre 2020, un avis sur les vaccins et produits biologiques connexes, ***Sous réserve de modifications***. Pour ce qui concerne la surveillance de l’innocuité des vaccins Covid-19, le rapport de la FDA liste — dans une ébauche — la survenue possible d’effets indésirables, dont la mort ; cette liste se trouve à la page 16 dudit rapport, d’où est tiré l’image ci-dessus :

  • Syndrome de Guillain-Barré ;
  • Encéphalomyélite aiguë disséminée ;
  • Myélite transverse ;
  • Encéphalite / Myélite / Encéphalomyélite / Méningo-encéphalite / Méningite / Encéphalopathie ;
  • Convulsions / Crises ;
  • AVC ;
  • Narcolepsie et cataplexie ;
  • Anaphylaxie ;
  • Infarctus aigu du myocarde ;
  • Myocardite / Péricardite ;
  • Maladie auto-immune ;
  • Décès ;
  • Fausse couche ;
  • Autres maladies démyélinisantes aiguës ;
  • Réactions allergiques non anaphylactiques ;
  • Thrombocytopénie ;
  • Coagulation intra-vasculaire disséminée ;
  • Thrombo-embolie veineuse ;
  • Arthrite et arthralgie / Douleurs articulaires ;
  • Maladie de Kawasaki ;
  • Syndrome inflammatoire multi-systémique chez les enfants ;
  • Maladie renforcée par le vaccin.

Les effets à long terme des vaccins sont connus pour être parmi les plus dévastateurs. Ainsi, en plus de la liste ci-dessus, il est très probable que de nombreux autres effets indésirables graves induits par les « vaccins » à ARN seront progressivement identifiés, comme la maladie de Lou Gehrig, la maladie d’Alzheimer, le cancer et la sclérose en plaques, comme le suggère Judy Mikovitz [Voir un extrait de cet échange vidéo traduit en français dans cet article – NdT].

L’infertilité sera probablement un autre effet secondaire « inattendu » à long terme puisque la protéine Spike ciblée est très similaire à la syncytine, une protéine impliquée dans le développement du placenta [la syncytine est également présente dans le sperme – NdT]. Lorsque Pfizer a testé ses « vaccins » sur des rats, il a constaté une baisse de 50 pour cent du comportement reproductif par rapport aux rats non vaccinés. C’est probablement pour cacher cet effet secondaire que Pfizer a exclu les femmes enceintes de son essai.

Les effets indésirables des vaccins énumérés ci-dessus sont de plus en plus considérés par les autorités comme une conséquence du Covid-19. C’est le cas du syndrome de Guillain-Barré qui, depuis décembre 2020 et peu après le début de la campagne de vaccination, serait causé par le Covid-19. Jusqu’alors, aucune causalité entre les deux n’était revendiquée, si ce n’est une aggravation des symptômes du Covid-19 chez les patients atteints du syndrome de Guillain-Barré. Il en va de même pour le syndrome inflammatoire multi-systèmes chez les enfants, qui est maintenant considéré comme étant causé par le Sras-CoV-2, et pour le syndrome de Kawasaki, une réaction vaccinale avérée qui est maintenant imputée au Covid-19.

Pour minimiser encore les effets potentiellement dévastateurs du « vaccin » Pfizer, un rapport des CDC indique que l’anaphylaxie est à l’origine d’un nombre croissant d’effets indésirables.

Tout serait parfait, sauf que lorsque l’on calcule le pourcentage d’incidence de ces événements, on obtient les chiffres suivants :

  • 14 décembre : 3 / 679 = 0,4 pour cent ;
  • 15 décembre : 50 / 6 090 = 0,8 pour cent ;
  • 16 décembre : 373 / 27 823 = 1,3 pour cent ;
  • 17 décembre : 1 476 / 67 963 = 2,2 pour cent ;
  • 18 décembre : 3 150 / 112 807 = 2,8 pour cent.

Comme vous pouvez le constater, le taux d’incidence de l’« anaphylaxie » ne cesse d’augmenter. Il a été multiplié par sept, passant de 0,4 à 2,8 pour cent en cinq jours seulement, ce qui laisse supposer que le vaccin a des effets indésirables retardés qui peuvent mettre des jours à se manifester. Le problème est que l’anaphylaxie est connue pour se manifester presque immédiatement après l’exposition à l’agent allergène :

« Les symptômes peuvent commencer quelques secondes ou minutes après l’exposition à l’aliment ou à la substance à laquelle vous êtes allergique et, en général, ils progressent rapidement. Dans de rares cas, il peut y avoir un retard de quelques heures dans l’apparition des symptômes. »

Source

Cela signifie que d’autres effets indésirables (retardés) se produiront probablement parallèlement à l’anaphylaxie (immédiate).

2/ Les réactions négatives au « vaccin »

À ces effets négatifs, il faut en outre ajouter les réactions négatives. Le tableau ci-dessous récapitule les réactions au « vaccin Pfizer » (selon Pfizer) lors de la deuxième inoculation :

© Vox
Réactions secondaires signalées du « vaccin » Pfizer

Note du traducteur : Colonne de gauche : Douleurs – Rougeurs – Gonflements – Fatigue – Fièvre – Maux de tête – Frissons – Vomissements – Diarrhées – Douleurs musculaires – Douleurs articulaires
Deuxième colonne : Toute réaction – Troisième colonne : réactions moyennes – Quatrième colonne : Réactions modérées – Cinquième colonne : Réactions graves

Toutefois, une réserve s’impose. Ce tableau se concentre uniquement sur le sous-groupe des 18-55 ans, essentiellement les jeunes et les personnes en bonne santé, qui développent rarement une forme grave de Covid-19 et en meurent encore plus rarement.

La fréquence des réactions secondaires est élevée : 59 pour cent éprouvent de la fatigue, 52 pour cent des maux de tête, 37 pour cent des douleurs musculaires. Presque tous les patients ont ressenti des réactions secondaires. La gravité des symptômes est également assez effrayante. Par exemple, 38 pour cent des sujets jeunes et en bonne santé ont éprouvé une fatigue modérée à forte et 26 pour cent des maux de tête modérés à forts. « modéré » signifie interférer avec l’activité et « grave » signifie empêcher l’activité quotidienne.

En revanche, la population générale a une probabilité de plus de 60 pour cent de ne pas avoir de symptômes après avoir contracté le Sras-CoV-2. La sous-population relativement jeune et saine sélectionnéepar Pfizer a environ 80 pour cent de probabilité d’être asymptomatique. Ainsi, d’un côté, nous avons le « vaccin » Pfizer avec ses réactions secondaires garanties à 100 pour cent, et de l’autre, nous avons le Sras-CoV-2 à 80 pour cent asymptomatique.

Ce « vaccin » cause-t-il plus de symptômes que la maladie qu’il est censé guérir ?

Notez dans le tableau ci-dessus que, tout comme le tableau des effets indésirables des vaccins, seules les réactions négatives peu après l’inoculation sont enregistrées. Les réactions négatives survenues plus de deux mois après la première inoculation n’ont tout simplement pas été évaluées.

Cela signifie que nous n’avons aucune idée des risques à moyen et long terme du « vaccin ».

3/ Les décès dus aux vaccins

La mort figurait sur la liste des effets indésirables de la FDA, et la FDA avait raison. Plusieurs décès sont survenus peu après la vaccination. Au début, les cas semblaient sporadiques. Un décès, puis un second sont survenus en Israël peu après l’inoculation. À peu près au même moment, un décès similaire est survenu en Suisse. Puis un médecin de Floride est mort peu après avoir reçu le « vaccin » Pfizer.

Le cas de la Norvège est plus singulier avec 2 décès dus au vaccin début janvier, suivis de 23 décès dans une maison de retraite. Cela fait un total de 25 décès dus au vaccin alors qu’environ 20 000 doses y ont été administrées dans les semaines précédant les « incidents ». Ainsi, le taux de mortalité lié au « vaccin » est d’environ 0,125 pour cent, ce qui est comparable au taux de létalité du Covid-19 mentionné plus haut. Et ces décès induits par le « vaccin » ne sont que les premiers et ils sont consécutifs à une seule inoculation.

Plus choquant encore est le cas des maisons de retraite de Nice, avec 50 décès en surnombre le 15 janvier, soit seulement 4 jours après le début des vaccinations. Au cours de ces quatre jours, environ 16 000 doses du « vaccin » Pfizer y ont été administrées. Cela donne un taux de mortalité préliminaire par vaccin supérieur à 0,3 pour cent, soit plus du double du taux de létalité du Covid-19 et, là encore, ce nombre de décès est limité à quelques jours après la toute première inoculation.

La Norvège et Nice ne sont pas des cas isolés. Après la première inoculation du « vaccin » Pfizer à 5 847 patients de Gibraltar, 53 d’entre eux sont morts en quelques jours. Cela représente un taux de mortalité lié au vaccin de 0,9 pour cent. Une maison de retraite de New York qui n’avait connu aucun décès dû au Covid-19 avant la vaccination, a signalé 24 décès juste après la vaccination de 193 résidents. Cela représente un taux de mortalité vaccinale de 12 pour cent. La liste des victimes du vaccin se poursuit, et ce juste après la première dose.

Le « médicament » est-il plus mortel que la maladie qu’il est censé guérir ?

Bien entendu, les autorités nient tout lien entre les vaccinations et ces décès. Elles accusent les comorbidités. Quand un individu vacciné avec des comorbidités meurt, c’est à cause des comorbidités. Lorsqu’un individu présumé positif au Sras-CoV-2 et présentant des comorbidités meurt, c’est à cause du Sras-CoV-2. Tout cela a-t-il un sens ?

Conclusion

Le Covid-19 est une maladie bénigne pour laquelle il existe des traitements sûrs et efficaces. Mais ces traitements sont interdits ou supprimés alors qu’un dangereux et inefficace « vaccin » à ARN nous est imposé par chantage : pas de vaccin = pas de liberté. Des dizaines de millions de personnes ont déjà été vaccinées, alors, si vous devez vous faire injecter le « vaccin », voici un article décrivant les approches thérapeutiques et nutritionnelles pour atténuer ses effets secondaires.

Les élites ne veulent pas nous protéger, elles veulent nous contrôler. Ces créateurs de réalité autoproclamés ont fabriqué un vaccin [pour diffuser le virus] de l’« obéissance » qui s’est royalement retourné contre eux et s’est transformé en un [virus] mutant [diffusant la] « désobéissance ». Ils ont donc créé de toutes pièces une fausse pandémie afin d’imposer un vaccin qui, je crois, est conçu pour annuler les effets bénéfiques du mutant « désobéissance ». En outre, ce vaccin est plus mortel et plus nocif que la maladie mineure qu’il est censé guérir.

Mais comme nous le verrons dans le prochain épisode, au lieu de faire semblant de prévenir une fausse pandémie, le « vaccin » à ARN pourrait très bien se recombiner avec des endo-rétrovirus dormants et déclencher une véritable pandémie lors d’une seconde épopée. Si cela devait se produire, cela montrerait une fois de plus que l’histoire a un sens de l’ironie superbe.


Notes : 

Certains des liens de cet article mènent à des vidéos en français de chercheurs du laboratoire de l’IHU comme Didier Raoult, Louis Fouché, Michel Drancourt ou Philippe Parola. En dehors de la Chine, le laboratoire IHU a publié le plus grand nombre d’articles sur le SARS-COV-2 à ce jour. Ces chercheurs ont donc une connaissance unique de la « pandémie », malheureusement [sauf pour les francophones – NdT] leurs présentations vidéo sont pour la plupart en français.

Cet article a initialement été publié en anglais le 27 janvier 2021 : Sott.net

Pierre Lescaudron 

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Après une formation d’Ingénieur et l’obtention d’un MBA, Pierre a occupé des fonctions de direction générale, de consultant et d’enseignant en 3e cycle. Pierre a rejoint Sott.net pour qui il écrit des articles et mène des traductions, satisfaisant ainsi sa soif de découverte en particulier dans les domaines des sciences, des technologies, de la santé et de l’histoire.

Pierre est également instructeur certifié du programme Eiriu Eolas et pendant son temps libre, il aime fabriquer ou construire toute sorte de choses.




Coronavirus — En Autriche les policiers marchent contre la dictature sanitaire

[Source : mai68.org via Réseau International]

En Autriche (Vienne), une partie de la police enlève ses casques et marche avec les citoyens contre la fermeture et la dictature de la santé.

https://twitter.com/silvano_trotta/status/1355937503069556736?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1355937503069556736%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Freseauinternational.net%2Fen-autriche-les-policiers-marchent-contre-la-dictature-sanitaire%2F



Le plan de destruction derrière le programme de Biden concernant la Russie

[Source : Réseau International]

par F. William Engdahl.

Dès le premier jour, la nouvelle administration Biden a clairement fait savoir qu’elle adopterait une politique hostile et agressive contre la Fédération de Russie de Vladimir Poutine. La politique qui sous-tend cette position n’a rien à voir avec les actes répréhensibles que la Russie de Poutine pourrait ou non avoir commis contre l’Occident. Elle n’a rien à voir avec les allégations absurdes selon lesquelles Poutine aurait fait empoisonner le dissident pro-américain Alexei Navalny avec l’agent neurotoxique ultra-mortel Novichok. Cela a à voir avec un programme bien plus profond des puissances mondialistes. C’est ce programme qui est mis en avant aujourd’hui.

Les choix du cabinet de Joe Biden sont très révélateurs. Ses principaux choix en matière de politique étrangère – Tony Blinken au poste de secrétaire d’État et Victoria Nuland au poste de sous-secrétaire d’État aux Affaires politiques ; Bill Burns à la tête de la CIA ; Jake Sullivan au poste de conseiller à la Sécurité nationale ; Avril Haines au poste de directeur du Renseignement national – sont tous issus de l’administration Obama-Biden et ont tous travaillé en étroite collaboration. De plus, tous considèrent la Russie, et non la Chine, comme la principale menace à la sécurité de l’hégémonie mondiale des États-Unis.

En tant que candidat, Joe Biden l’a souvent affirmé. Ses choix clés en matière de politique étrangère soulignent que l’attention de l’administration Biden, quelle que soit la compétence de Joe Biden, se déplacera des menaces chinoises vers celles de la Russie de Poutine. Le chef de la CIA de Joe Biden, Bill Burns, est un ancien ambassadeur à Moscou et a été secrétaire d’État adjoint lors du coup d’État de la CIA d’Obama en Ukraine en 2014. Notamment, lorsque Burns a quitté l’État en novembre 2014, il a été remplacé par Tony Blinken, aujourd’hui secrétaire d’État. Blinken aurait formulé la réponse du Département d’État américain à l’annexion de la Crimée par la Russie.

Nuland est la clé

Tous les choix de Biden sont uniformément clairs : il blâme la Russie de Poutine pour tout, de l’ingérence des États-Unis dans les élections de 2016 au récent piratage informatique de SolarWinds par le gouvernement américain, en passant par toutes les autres accusations portées contre la Russie ces dernières années, qu’elles soient prouvées ou non.

Cependant, pour déterminer ce que la nouvelle administration Biden et les agences de renseignement américaines ont en réserve à l’égard de Poutine et de la Russie, la meilleure indication est le rôle prépondérant accordé à Victoria Nuland, la personne qui, avec le vice-président Joe Biden, a dirigé le côté politique du coup d’État américain en Ukraine en 2013-14. Elle a été mise sur écoute lors d’un appel téléphonique à l’ambassadeur des États-Unis à Kiev pendant les manifestations de la place Maidan en 2013-14, pour parler à l’ambassadeur Geoffrey Pyatt des choix de l’UE pour un nouveau régime en Ukraine, « F**k the EU ». Son mari, Robert Kagan, est un célèbre néoconservateur de Washington.

En quittant le gouvernement lors de l’élection de Trump en 2016, Nuland est devenu conseiller principal au sein du groupe Albright Stonebridge, dirigé par l’ancienne secrétaire d’État de Clinton, Madeline Albright, qui est également présidente du National Endowment for Democracy (NED), affilié au National Democratic Institute. Nuland a également rejoint le conseil d’administration du NED, après 2016, en gardant un contact étroit avec les opérations de changement de régime du NED. C’est une experte de la Russie, qui parle couramment le russe et qui est spécialisée dans le changement de régime.

En tant que secrétaire d’État adjointe d’Obama pour les affaires eurasiennes et européennes en 2013, Nuland a travaillé en étroite collaboration avec le vice-président Joe Biden pour mettre au pouvoir Arseniy Yatsenyuk lors d’un coup d’État en Ukraine, favorable aux États-Unis et hostile à la Russie. Elle a encouragé des mois de protestation contre le régime du président élu de l’Ukraine, Victor Ianoukovitch, afin de forcer son éviction après sa décision de rejoindre l’Union économique eurasiatique russe. Le fondateur du groupe de renseignement privé Stratfor, George Friedman, dans une interview juste après le coup d’État de février 2014 à Kiev, a qualifié ce coup d’État de « plus flagrant de l’histoire (américaine) ».

Nouvelles initiatives

Dans un article important du journal Foreign Affairs du New York Council on Foreign Relations (CFR) en août 2020, Nuland décrit ce que sera très probablement la stratégie américaine pour saper la Russie dans les mois à venir. Elle se plaint que « la résignation s’est installée sur l’état des relations américano-russes, et les Américains ont perdu confiance dans leur propre capacité à changer la donne ». En d’autres termes, elle veut « changer la donne » avec Poutine. Elle affirme qu’au cours des 12 dernières années, « la Russie a violé les traités de contrôle des armements, mis en place de nouvelles armes déstabilisatrices, menacé la souveraineté de la Géorgie, saisi la Crimée et une grande partie du Donbass, et soutenu des despotes en Libye, en Syrie et au Venezuela. Elle a utilisé des cyber-armes contre des banques étrangères, des réseaux électriques et des systèmes gouvernementaux, s’est immiscée dans des élections démocratiques étrangères et a assassiné ses ennemis sur le sol européen ».

Elle poursuit en disant que les sanctions économiques américaines répétées contre certaines banques et entreprises russes ainsi que contre les partisans de Poutine n’ont pas fait grand-chose pour changer la politique russe, affirmant que « les sanctions américaines et alliées, bien que douloureuses au départ, ont pris l’eau ou sont devenues impuissantes à force d’être trop utilisées et n’impressionnent plus le Kremlin ».

Mais Nuland suggère que la Russie de Poutine est aujourd’hui plus vulnérable que jamais au cours des 20 dernières années : « la seule chose qui devrait inquiéter le président russe : l’humeur à l’intérieur de la Russie. Malgré les actions du pouvoir de Poutine à l’étranger, 20 ans d’absence d’investissement dans la modernisation de la Russie pourraient le rattraper. En 2019, la croissance du PIB russe était anémique à 1,3%. Cette année, la pandémie de coronavirus et la chute libre des prix du pétrole pourraient entraîner une importante contraction économique… Les routes, les rails, les écoles et les hôpitaux de Russie s’effondrent. Ses citoyens sont devenus réticents car les dépenses d’infrastructure promises n’apparaissent jamais, et leurs impôts et l’âge de la retraite augmentent. La corruption reste endémique, et le pouvoir d’achat des Russes continue de diminuer ».

Dans son article sur le Foreign Affairs du CFR, Nuland préconise l’utilisation de « Facebook, YouTube et d’autres plateformes numériques… il n’y a aucune raison pour que Washington et ses alliés ne soient pas plus disposés à donner à Poutine une dose de sa propre médecine à l’intérieur de la Russie, tout en maintenant le même déni ». Elle ajoute que parce que les Russes utilisent largement l’Internet et qu’il est largement ouvert, « malgré les efforts de Poutine, la Russie d’aujourd’hui est plus perméable. Les jeunes Russes sont beaucoup plus susceptibles de consommer des informations et des nouvelles via Internet que par le biais de la télévision ou de la presse écrite parrainées par l’État. Washington devrait essayer d’en toucher davantage là où ils se trouvent : sur les réseaux sociaux Odnoklassniki et VKontakte ; sur Facebook, Telegram et YouTube ; et sur les nombreuses nouvelles plateformes numériques en langue russe qui voient le jour ».

Navalny

Au moment où Nuland a soumis son article de juillet-août sur les affaires étrangères, éternel adversaire de Poutine, Alexey Navalny était à Berlin, se remettant ostensiblement de ce qu’il prétend être une tentative des services secrets de Poutine de le tuer avec un agent neurotoxique hautement toxique, le Novichok. Navalny, une figure de l’opposition ayant fait ses études aux États-Unis et qui était boursier de l’Université de Yale en 2010, essaie de gagner de nombreux partisans depuis plus de dix ans. Il a été prouvé qu’il recevait de l’argent du National Endowment for Democracy de Nuland, dont le fondateur dans les années 1990 a décrit les activités comme étant « ce que la CIA faisait, mais en privé ». En 2018, selon National Public Radio aux États-Unis, Navalny comptait plus de six millions d’abonnés à YouTube et plus de deux millions d’adeptes de Twitter. On ne sait pas combien de bots sont payés par les services de renseignement américains. Aujourd’hui, cinq mois après son exil à Berlin, Navalny fait un retour audacieux où il sait qu’il risque la prison pour des accusations passées. Il s’agissait manifestement d’un calcul clair de ses parrains occidentaux.

L’ONG du gouvernement américain pour le changement de régime par révolution colorée, le NED, dans un article publié le 25 janvier, fait écho à l’appel de Nuland en faveur d’une déstabilisation de Poutine par les médias sociaux. En écrivant sur l’arrestation de Navalny à Moscou juste trois jours avant l’inauguration de Biden, le NED déclare que « En créant un modèle de guérilla politique pour l’ère numérique, Navalny a exposé le manque total d’imagination et l’incapacité du régime… » Ils ajoutent : « Poutine est dans une impasse : si Poutine tue Navalny, cela pourrait attirer davantage l’attention sur le problème et exacerber les troubles. Si Poutine laisse vivre Navalny, alors Navalny reste un foyer de résistance, qu’il soit en prison ou non… Navalny a largement supplanté Poutine à chaque étape depuis l’empoisonnement. Cela devient un peu humiliant pour lui ».

Depuis son prétendu empoisonnement bâclé en août en Extrême-Orient russe, Navalny a été autorisé par le gouvernement russe à s’envoler pour Berlin pour y être soigné, un acte étrange si, en effet, Poutine et les services secrets russes avaient vraiment voulu sa mort. Ce qui s’est clairement passé au cours des cinq mois d’exil qui se sont écoulés depuis lors suggère que le retour de Navalny a été préparé professionnellement par des spécialistes non nommés du changement de régime des services de renseignement occidentaux. Le Kremlin a revendiqué des renseignements qui montrent que Navalny était directement encadré pendant son exil par des spécialistes de la CIA.

Lors de l’arrestation de Navalny à Moscou le 17 janvier, son ONG de lutte contre la corruption a diffusé sur la chaîne Navalny un documentaire YouTube sophistiqué, prétendant montrer un vaste palais qui aurait appartenu à Poutine sur la mer Noire, filmé à l’aide d’un drone, ce qui n’est pas une mince affaire. Dans la vidéo, Navalny appelle les Russes à marcher contre le prétendu « Palais de Poutine », d’un milliard de dollars, pour protester contre la corruption.

Navalny, qui est clairement soutenu par des spécialistes américains de la guerre de l’information et des groupes tels que le NED, est probablement invité à créer un mouvement pour contester les candidats du parti Russie unie aux élections de septembre à la Douma où Poutine n’est pas candidat. On lui a même donné une nouvelle tactique, qu’il appelle une stratégie de « vote intelligent », une tactique caractéristique du NED.

Stephen Sestanovich, expert de la Russie au Council on Foreign Relations de New York et ancien membre du conseil d’administration du NED, a suggéré le plan de match probable de la nouvelle équipe Biden. Le 25 janvier, Sestanovich a écrit sur le blog du CFR : « Le régime de Poutine reste fort, mais les manifestations nationales de soutien à Alexei Navalny constituent le défi le plus sérieux qu’il ait eu à relever depuis des années. Le leader de l’opposition Alexei Navalny fait preuve d’une créativité politique et d’une habileté tactique que Poutine n’avait jamais rencontrées auparavant. Si les protestations se poursuivent, elles pourraient révéler les vulnérabilités de son pouvoir qui dure depuis des décennies ». C’était deux jours après les protestations à travers la Russie pour demander la libération de Navalny. « Avec sa décision audacieuse de retourner à Moscou et la publication d’une vidéo largement diffusée prétendant exposer la corruption du régime, Navalny a montré qu’il était une figure politique capable et imaginative – même en prison, peut-être l’adversaire le plus redoutable auquel Poutine ait été confronté », a-t-il écrit. « La sophistication stratégique de l’équipe de Navalny est soulignée à la fois par sa vidéo et, avant cela, par son exposé sur le personnel des services de sécurité fédéraux (FSB) qui l’a empoisonné l’été dernier ».

La décision claire de l’équipe Biden de nommer un ancien ambassadeur de Moscou à la tête de la CIA et Victoria Nuland au poste de numéro 3 du Département d’État, ainsi que ses autres choix en matière de renseignement, indiquent que la déstabilisation de la Russie sera l’un des principaux objectifs de Washington à l’avenir. Comme le NED l’a joyeusement dit, « l’arrestation de Navalny, trois jours avant l’investiture de Biden, l’ancien ambassadeur américain en Russie, Michael McFaul, a tous les éléments de la « première crise de politique étrangère de Biden ». Quoi qu’il y ait eu dans leurs documents de transition, c’est maintenant au premier plan pour eux ».

La raison n’en est pas pour autant la corruption interne du cercle restreint de Poutine, qu’elle soit vraie ou non. Biden s’en moque. C’est plutôt l’existence même de la Russie sous Poutine en tant que nation souveraine indépendante qui tente de défendre cette identité nationale, que ce soit dans le cadre de la défense militaire ou de la défense d’une culture russe traditionnellement conservatrice. Depuis la déstabilisation de l’Union soviétique par le NED, soutenu par les États-Unis, en 1990 sous l’administration Bush, la politique de l’OTAN et celle des intérêts financiers influents derrière l’OTAN a consisté à diviser la Russie en plusieurs parties, à démanteler l’État et à piller ce qui reste de ses énormes ressources en matières premières. La Grande Réinitialisation mondialiste n’a pas de place pour les États nations indépendants comme la Russie est le message que la nouvelle équipe Biden va maintenant clairement transmettre.

source : https://journal-neo.org

traduit par Réseau International




Annonces de la coordination Santé Libre : des anomalies méthodologiques dans les études sur les vaccins Covid-19

[Source : Réseau International]

par Candice Vacle.

Ce dimanche 31 janvier 2021, la coordination Santé Libre a fait une conférence de presse sur le Covid-19. Cette coordination s’est mise en place lors de l’appel du 9 janvier 2021 rassemblant plusieurs collectifs tels Laissons les médecins prescrire, Réinfocovid, Azy-thro-d’hospitalisations, Bon Sens et ChroniLyme.*

Leur Conseil scientifique indépendant a fait, ce dimanche 31 janvier 202, ses premières annonces dont certaines d’entre elles sont alarmantes.

Que disent-ils sur les vaccins Covid-19 ?

Précisons que la coordination Santé Libre n’est pas anti-vaccin. Dr Vincent Reliquet, médecin responsable de la cellule stratégie vaccinale de cette coordination, remet radicalement en cause le développement pharmaceutique des vaccins Covid-19. Il souligne, suivant les vaccins, des anomalies dans les études, tels :

  • des biais de recrutement des sujets,
  • l’absence d’études randomisées,
  • l’absence de double aveugle,
  • la modification du placebo en cours d’étude,
  • des anomalies dans la présentation des effets indésirables,
  • un suivi du sujet réduit par rapport au protocole initial,
  • et des modifications des analyses statistiques par rapport aux hypothèses de départ, etc. Et les vaccins commercialisés présentent des lots de commercialisation différents des lots cliniques des essais, etc.

Dr Vincent Reliquet souligne, aussi, de multiples inquiétudes concernant ces vaccins, notamment pour les femmes enceintes car les industries pharmaceutiques ont exclu cette population de leurs études. Il s’attend à des effets indésirables graves et retardés de ces vaccins. La psychiatre et députée Martine Wonner rappelle qu’en Europe, il n’y a « aucune obligation vaccinale. » Et Dr Violaine Guérin insiste sur la liberté de prescription des vaccins Covid-19 par le médecin et le libre consentement du patient. Elle s’inquiète d’une possible « extorsion » du consentement du patient, notamment avec un possible passeport-vaccinal, des licenciements pour non- vaccination, ou le refus d’accéder au réfectoire pour les personnes âgées en Ehpad.

Ceci amène Dr Vincent Reliquet à s’interroger : « Pourquoi prendre le risque [de se vacciner contre le Covid-19] puisqu’il y aurait des traitements préventifs ? » D’autant plus, ajoute Dr Wonner, que la logistique de la vaccination va prendre beaucoup de temps avant que tous les citoyens puissent y accéder.

Ceci nous amène à la prévention et au traitement.

Que dit la cellule stratégie préventive et thérapeutique ?

Les médecins de cette cellule disent : « La notion de prévention est importante » et « le traitement [précoce] ramène le niveau du Covid-19 a une grippe. »

La coordination Santé Libre partage ses protocoles Covid-19 de prévention, de traitements précoces et ses commentaires sur ces protocoles thérapeutiques avec les tableaux que vous trouverez en pièce-jointes 1, 2 et 3. Ils disent sourcer toutes leurs préconisations avec la bibliographie, en pièce-jointes 4 et 5. Soyez prudent dans la lecture de ces tableaux ; par exemple, attention au surdosage en vitamine D.

La coordination Santé Libre annonce une « action-médicale » collective : du « sport sur ordonnance »

Cette « action-médicale » débutera le 7 février 2021. Elle se déroulera de 11h à 11h45 en musique avec des médecins, des professionnels de la culture, des restaurateurs (pour une collation après l’effort) et les étudiants seront les bienvenus. Ceci pour prendre soin de soi, des autres et remettre du lien humain.

La coordination Santé Libre fourmille d’idées et d’initiatives pour prévenir et soigner les citoyens du Covid-19.

Source principale : visioconférence le 31 janvier 2021

Candice Vacle


Note

*Communiqué de presse portant création de la Coordination Santé Libre (CSL) et des actions à venir.https://platform.twitter.com/embed/index.html?creatorScreenName=avic_sy&dnt=false&embedId=twitter-widget-0&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1348942646350401542&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Freseauinternational.net%2Fannonces-de-la-coordination-sante-libre-des-anomalies-methodologiques-dans-les-etudes-sur-les-vaccins-covid-19%2F&siteScreenName=avic_sy&theme=light&widgetsVersion=ed20a2b%3A1601588405575&width=550px


Pièces jointes

Pièce 1 – Prévention Covid-19 – situations pratiques – PCR négatives

Pièce 2 – Traitement ambulatoire précoce Covid-19 – PCR positives

Pièce 3 – Commentaires sur les protocoles thérapeutiques Covid-19

Pièces 4 et 5 – Bibliographie des préconisations de la coordination Santé Libre Terminé le 31 janvier 2021

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Si je me fais vacciner et si j’ai bien compris :

[Source : Le vilain petit canard]

1 – Pourrai-je arrêter de porter le masque ?

Réponse : Non

2 – Est-ce que les restaurants, les bars, les théâtres, cinémas, musées, bibliothèques, etc. pourront rouvrir ?

Réponse : Non

3 – Est-ce que je serai résistant au covid ?

Réponse : Peut-être. On ne sait pas trop avec tous ces variants…

4 – Au moins, je ne serai plus contagieux pour les autres ?

Réponse : Non, vous pouvez toujours le transmettre.

5 – Si je me vaccine et mon grand-père aussi, peut-on se serrer dans nos bras ?

Réponse : Non

6 – Est-ce que les vaccinés pourront se rassembler ?

Réponse : Non

7 – Si je suis vacciné, puis-je arrêter la distanciation sociale ?

Réponse : Non

8 – Si je suis vacciné, puis-je arrêter de me désinfecter les mains ?

Réponse du gouvernement : Non

9 – Est-ce que les cinémas, théâtres et stades seront rouverts grâce aux vaccins ?

Réponse : Non

10 – Si nous vaccinons tous les enfants, l’école reprendra-t-elle normalement ?

Réponse : Peut-être

11 – Est-ce que les vaccins seront efficaces contre tous les variants ?

Réponse : certainement non.

12 – Faudra-t-il inventer d’autres vaccins et se faire de nouveau vacciner ?

Réponse : on doit envisager cette hypothèse.

13 – Quel est le véritable avantage de la vaccination ?

Réponse : Le virus vous rendra moins malade.

14 – Êtes vous sûrs que ça ne me tuera pas ?

Réponse : Non

15 – Si statistiquement le virus ne me tue pas de toute façon… Pourquoi me ferais-je vacciner?

Réponse : Pour protéger les autres.

16 – Donc si je me fais vacciner, les autres sont sûrs à 100 % que je ne les infecte pas?

Réponse : Non

17 – Ah, au fait, est-on certains de l’innocuité des vaccins à long terme.

Réponse : on n’a pas assez de recul pour le savoir.

Alors… Qu’est-ce qu’il fait vraiment le vaccin ?

Réponse : Qu’on atteigne l’immunité collective.

18 – Vous êtes sûrs ?

Réponse : Non

19 – Bah alors, si ça se trouve, ils ne servent pas à grand-chose les vaccins.

Réponse : Si, si, de toute façon, ils servent à enrichir les firmes pharmaceutiques,

20 – Vous en êtes certains ?

Réponse : Absolument certain !

Donc en résumé, le vaccin contre la Covid-19 :

  • Ne donne pas l’immunité individuelle ni collective.
  • N’élimine pas le virus.
  • Ne vous empêche pas de l’attraper ni de le transmettre.
  • N’élimine pas la nécessité des gestes barrières et la distanciation sociale.
  • N’élimine pas la nécessité de fermer certaines entreprises.
  • N’élimine pas la nécessité de confiner.
  • N’élimine pas de futures vaccinations.



Moderna et Pfizer-BioNTech — Combien de temps allons-nous continuer à autoriser les meurtres de masse par injection létale ?

[Source : Guy Boulianne]

Le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) est une base de données des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) financée par le gouvernement américain qui suit les blessures et les décès causés par les vaccins. Un rapport de 2011 de Harvard Pilgrim Health Care, Inc. pour le ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) a déclaré que moins d’un pour cent de tous les événements indésirables liés aux vaccins sont signalés au gouvernement :

« Bien que 25% des patients ambulatoires subissent un événement indésirable médicamenteux, moins de 0,3% de tous les événements indésirables médicamenteux et 1 à 13% des événements graves sont signalés à la Food and Drug Administration (FDA).

« De même, moins de 1% des événements indésirables liés au vaccin sont signalés. Les faibles taux de notification empêchent ou ralentissent l’identification des médicaments et vaccins «problématiques» qui mettent en danger la santé publique. De nouvelles méthodes de surveillance des effets indésirables des médicaments et des vaccins sont nécessaires. » 

(Source)

Actuellement, les données des deux injections expérimentales d’ARNm COVID qui ont été signalées volontairement sont disponibles pour une période de deux semaines de la fin décembre au 22 janvier 2021. Les données couvrent 9 845 cas, dont 329 décès. Le plus grand nombre de décès est survenu chez des personnes de plus de 75 ans.

On ne saurait trop insister sur le fait que ces données VAERS sont entièrement volontaires — de la part des prestataires de « soins de santé » ou des patients — et puisque pratiquement tous les prestataires de « soins de santé » estiment que les vaccins sont sûrs et efficaces, très peu d’entre eux relieront des effets indésirables aux vaccins eux-mêmes – en particulier les décès. Cela signifie que potentiellement le nombre de décès réels dus aux vaccins COVID est bien supérieur aux 329 signalés au VAERS – et pourrait être 100 fois plus élevé, ou 18 000 !

Nous vous recommandons vivement de prendre le temps de lire ces rapports de décès VAERS — au bas de chaque rapport se trouve une entrée « Rédaction » décrivant comment chaque patient est décédé — et c’est vraiment horrible. Un homme de 82 ans dans une maison de soins infirmiers a reçu cyniquement un test COVID PCR le lendemain de la vaccination – testé « positif » pour COVID – est décédé peu de temps après – et le décès a été attribué à un COVID asymptomatique, pas au vaccin :

« Après la vaccination, le patient a été testé positif au COVID-19. Le patient était très malade et avait de nombreux problèmes de santé chroniques avant la vaccination. L’établissement avait un certain nombre de patients qui avaient déjà été testés positifs pour le COVID-19. La vaccination s’est poursuivie dans un effort pour empêcher ce patient de contracter le virus ou pour atténuer son risque. Cela a échoué et le patient est décédé. » 

(VAERS ID # 917117)

Il y a eu au moins un décès enregistré d’un bébé à naître mourant juste après que la mère ait reçu une injection expérimentale d’ARNm Pfizer pendant la grossesse :

« J’étais enceinte de 28 semaines et 5 jours lorsque j’ai reçu la première dose du vaccin COVID19. Deux jours plus tard (25/12/2020 dans l’après-midi), j’ai remarqué une diminution du mouvement du bébé. Il a été constaté que le bébé n’avait pas de rythme cardiaque au début de la matinée le 26/12/2020 et j’ai accouché d’un fœtus femelle non viable de 2 lb 7 oz à 29 semaines de gestation. J’avais 35 ans au moment de la mort fœtale et le seul antécédent de grossesse pour cette grossesse comprenait une insertion de cordon velamenteux qui était étroitement surveillée par un OB à haut risque. Mon dû estimé était le 12 mars 2021. » 

(VAERS ID # 918034)

Comme il a déjà été signalé sur Health Impact News, les lignes directrices pour l’utilisation d’urgence de l’injection expérimentale d’ARNm Pfizer au Royaume-Uni ont averti les femmes enceintes et les femmes prévoyant de devenir enceintes de NE PAS recevoir le vaccin expérimental. Mais les directives de la FDA publiées aux États-Unis pour la même injection expérimentale de Pfizer n’incluaient pas de tels avertissements. (Lire cet article)

À la lecture des notes d’accompagnement de ces cas qui ont été signalés au VAERS, il est clair que de nombreux professionnels de la santé hésitent à déclarer ces cas, craignant probablement des répercussions. Dans certains cas, les membres de la famille ont déposé le rapport parce que l’établissement de santé a refusé de le faire. Voici quelques exemples :

« Ma grand-mère est décédée quelques heures après avoir reçu le rappel du vaccin moderna covid 1. Bien que je ne m’attends pas à ce que les événements soient liés, l’hôpital traitant ne l’a pas reconnu et je voulais être sûr qu’un rapport a été fait. »

(VAERS ID # 913733)

« Résident dans notre établissement de soins de longue durée qui a reçu la première dose du vaccin Moderna COVID-19 le 22/12/2020, le seul effet secondaire documenté était une légère fatigue après avoir reçu. Elle est décédée le 27/12/2020 de causes naturelles par rapport. A déjà été dans et hors des soins palliatifs, a résidé dans une maison de soins infirmiers pendant 9 ans et plus, des personnes âgées atteintes de démence. En raison de la proximité de la vaccination, nous avons estimé que nous devrions signaler le décès, même s’il n’est pas soupçonné d’être lié. »

(VAERS ID # 914621)

« Injection donnée le 28/12/20 – aucun événement indésirable et aucun problème hier; Décès aujourd’hui, 30/12/20, vers 2h aujourd’hui (inconnu si lié – Administrateur marqué comme causes naturelles). »

(VAERS ID # 914895)

Étant donné que si peu de rapports sont effectivement enregistrés dans le système de rapport du VAERS, quel est le nombre réel de personnes tuées par ces injections mortelles ? Pour ceux qui ne sont pas tués, combien seront paralysés ou souffriront de maladies auto-immunes pour le reste de leur vie ?

Si pendant les périodes pré-COVID, moins de 1% de toutes les blessures et décès dus au vaccin ont été signalés au VAERS, faisons une estimation prudente et disons cela, car il est largement connu que les injections de COVID ont été accélérées sur le marché et n’ont pas encore été approuvées par la FDA, qu’un plus grand pourcentage est signalé, comme 10% des effets indésirables, y compris des décès.

Nous envisageons un rythme de près de 1000 décès par semaine par injection en raison d’injections d’ARNm non approuvées par la FDA parmi près de 40 000 cas par semaine de blessures dues à ces injections. Il s’agit d’une crise de santé publique qui est 100% évitable et 100% causée par Big Pharma et le gouvernement !

https://youtu.be/rq-Djg7pk_E
Le ministre de la Santé et des Services sociaux du Québec, Christian Dubé, affirma lors du point de presse du 28 janvier 2021 : « On a hâte de vacciner pour éliminer nos personnes les plus vulnérables ». (Source)

Alors que presque TOUS les décès en 2020 ont été enregistrés comme décès par COVID, voici pourquoi AUCUN décès en 2021 ne sera enregistré comme décès par vaccin.

Il est bien connu maintenant qu’en raison du financement fédéral du COVID en 2020, presque tous les décès ont été enregistrés comme des décès « COVID », même dans les cas où le décès est survenu par accident de la route, fusillade, crise cardiaque, etc. Maintenant, nous voyons exactement le contraire se produire avec le déploiement des injections expérimentales COVID.

AUCUN d’entre eux n’est enregistré comme décès par vaccin. Pourquoi ? Parce que le CDC ne fournit pas de catégorie pour les « décès par vaccin » à utiliser sur les certificats de décès. Pour en savoir plus à ce sujet, consultez cet article publié par Health Impact News en 2018 d’une dénonciatrice du greffier des certificats de décès qui a révélé la politique derrière l’inscription de la « cause de décès » sur les certificats de décès. Elle a écrit :

« Notre système actuel de saisie des taux de mortalité peut fournir et fournit une image généralement inexacte et inexacte des causes d’un décès. Le processus de création et d’enregistrement des causes de décès dans les archives publiques est un processus compliqué, alambiqué, politisé, complètement ouvert à la fois à l’ignorance et aux manipulations d’intérêts personnels, professionnels et gouvernementaux.

« C’est moi qui crée ces statistiques et je vous propose ceci: si vous enlevez une chose, éliminez un scepticisme plus sain, même sur les statistiques traditionnelles les plus acceptées, rapportées au niveau national, CDC ou autres statistiques «scientifiques».

« Ce que la plupart des gens ne savent pas, c’est que les médecins ne sont pas autorisés à attester quoi que ce soit qui ne soit pas une cause strictement NATURELLE de décès. »

L’éditeur du site internet de Health Impact News, Brian Shilhavy, écrit :

« Des accusations criminelles pour meurtre doivent être déposées IMMÉDIATEMENT – Les injections expérimentales DOIVENT ÊTRE ARRÊTÉES !! »

Brian Shilhavy ajoute : 

« Nous assistons au meurtre de masse d’Américains sous nos yeux et au génocide de notre population âgée ! Les médias d’entreprise contrôlés par Pharma sont complices de ces meurtres qui non seulement échouent à publier ces statistiques dérivées d’un système de rapport gouvernemental, mais publient en fait des mensonges et des fausses nouvelles pour encourager les gens à recevoir des injections mortelles. En tant que journaliste d’investigation, j’ai toujours présenté les preuves qui devraient être utilisées pour arrêter et inculper les criminels derrière cette atrocité qui n’est rien de moins qu’un MEURTRE DE MASSE, et des crimes contre l’humanité. »

Le magazine Principia Scientific International (PSI) précise ceci : 

« Les maisons de soins infirmiers hésitent probablement beaucoup à affirmer que ces vaccins tuent leurs résidents – peu importe à quel point cela devient évident. Les régulateurs d’État pourraient retirer leurs licences d’exploitation pour avoir fait des déclarations « irresponsables » qui pourraient « alarmer » les résidents et les faire hésiter à prendre les vaccins – même si une condition de leur résidence est qu’ils prennent le vaccin. »

Et la plupart des résidents des maisons de soins infirmiers reçoivent des prestations du gouvernement pour payer leurs soins en maison de retraite – il y a donc une incitation financière pour les maisons de soins infirmiers à rester délibérément ignorantes de tous les résidents éliminés avec les vaccins.

Du point de vue du gouvernement, ces vaccins COVID sont très rentables — un investissement de 20 $ par injection, leur permet d’économiser des centaines de milliers de dollars par an en frais de logement et de soins de santé — lorsque ces aînés sont marqués aux orteils et emmenés à la morgue sans autopsie nécessaire. Ce n’est pas comme si nous n’avions pas été prévenus que cela arriverait.

En 1988, le journaliste d’investigation Eustace Mullins a publié son livre, « Murder By Injection » (Meurtre par injection) — qui a été ignoré par les médias grand public comme seulement une autre de ses « théories du complot » farfelues — comme son exposé sur la Réserve fédérale. Que la « Fed » ait un intérêt direct dans la progression de cette « pandémie » n’est qu’une autre « théorie du complot ».


RÉFÉRENCES :




Radio Télévision Suisse sur les vaccins : Le Dr Édouard Broussalian dénonce les conflits d’intérêts de son interlocuteur et remet les pendules à l’heure sur la pseudoscience du nouveau vaccin

[Source : emakrusi.com ou Pascal Prod’]




Le conseiller C. Drosten de Merkel une nouvelle fois en justice pour fausses allégations

Par Dre Nicole Delépine

Nouvelle attaque de l’avocat Fuellmich contre Drosten et ses conseils dramatiques la gestion du Covid

Le Dr Reiner Fuellmich, avocat, persiste et signe contre C. Drosten, conseiller de la chancelière et responsable de la cascade de décisions délétères à propos du Covid, dont les tragiques confinements.

En complément de la plainte pénale portée par Maître Fuellmich en novembre 2020 au nom de son client lésé par la fermeture autoritaire de son établissement bar avec karaoké, l’avocat fait une procédure judiciaire civile [1] pour obtention de dommages et intérêts, contre le directeur de l’institut Robert Koch et conseiller de Mme Merkel (et par dominos de l’ensemble des dirigeants mondiaux) sur la crise Covid, Mr C. Drosten. Nous rapporterons ici les éléments nouveaux et/ou majeurs sur lesquels insiste l’avocat, les articles précédents détaillant les arguments déjà évoqués.[2]

Cas du plaignant, exploitant d’un bar et représentant de fait de tous les petits entrepreneurs ruinés

Le plaignant est exploitant d’un grand bar à karaoké très populaire à Berlin, qui connaît un grand succès depuis des années. Depuis la mi-mars 2020, le plaignant n’a pu générer aucun revenu de ce bar, car il a été forcé de rester fermé en raison du confinement. Le demandeur n’a reçu aucun paiement en réponse à une demande d’aide d’urgence présentée par le demandeur.

Ce n’est qu’après la publication de la lettre d’avertissement sur laquelle se fonde cette action que le demandeur a soudainement reçu des paiements substantiels s’élevant — à ce jour — à 92 235,64 € ; l’aide de novembre et décembre a été promise. Toutefois, le demandeur n’est toujours pas autorisé à reprendre ses activités commerciales, de sorte que de nouveaux dommages s’accumulent ; cette action vise initialement à obtenir des dommages-intérêts partiels pour le mois de janvier 2021. La demande de jugement déclaratif garantit que les dommages futurs, encore non quantifiables, sont également couverts.

Dans cette procédure, l’avocat rappelle les exigences faites auprès de l’accusé (défendeur) C. Drosten, conseiller scientifique de la chancelière, par lettre extrajudiciaire datée de décembre 2020 : il lui a demandé de s’abstenir de faire un total de cinq fausses allégations factuelles et par ailleurs de rembourser au demandeur les dommages partiels du confinement résultant de ces fausses allégations factuelles et des recommandations du défendeur pour un montant initial de 50 000 euros.

L’avocat réexpose les allégations mensongères de l’accusé qui ont fondé la politique sanitaire du gouvernement allemand et en conséquence de la plupart des pays affiliés à l’OMS qui ont suivi les affirmations et conseils de C. Drosten l’accusé. Ces mensonges sont évidemment particulièrement graves en raison de leur impact mondial, les confinements ayant ruiné une bonne partie de l’humanité.

L’accusé C. Drosten qui joue en Allemagne le même rôle le professeur Delfraissy et coll. auprès du président français, est poursuivi pour cause d’omissions et de dommages et intérêts.

L’avocat demande

  1. de condamner l’accusé, sous peine d’une amende maximale de 250 000 euros ou, à défaut, d’un emprisonnement à durée indéterminée pouvant aller jusqu’à six mois s’il ne s’abstient pas de faire les déclarations suivantes et/ou de diffuser ces déclarations (mensongères) et/ou de les faire diffuser : Le CoV-2 du SRAS est un pathogène entièrement nouveau qui peut même être transmis par des personnes qui ne présentent elles-mêmes aucun symptôme. Par conséquent, la seule solution est de diagnostiquer la maladie COVID-19 (remarquée ou non) au moyen d’un test PCR. Deux affirmations qui sont des mensonges avérés qui ont conduit aux aberrations de confinement généralisé, masques, etc.
  2. L’accusé est condamné à verser au requérant des dommages-intérêts d’un montant de 5 000 euros.
  3. Il est déclaré par la présente que l’accusé est tenu d’indemniser le demandeur pour tous les autres dommages, non encore quantifiables, que le demandeur a subis et subira en raison des mesures de verrouillage fondées sur les allégations visées aux points 1. a et b ci-dessus.
  4. Condamner la partie défenderesse (accusée) aux dépens du litige.

    En outre, l’avocat demande

  5. Si aucune première date n’est fixée pour la procédure orale, au cas où l’accusé ne respecterait pas un délai qui lui a été fixé 3
  6. en vertu de l’article 283 du code de procédure civile, de présenter par écrit, dans un délai fixé par le tribunal, l’exposé des conclusions de l’opposant qui n’ont pas été communiquées en temps utile avant la date de l’audience ;
  7. une copie intégrale de l’arrêt
  8. dans le cas où le jugement est exécutoire à l’encontre du requérant, accorder un titre exécutoire
  9. de certifier la date de signification aux défendeurs.

Les fausses hypothèses fondement de la politique anticovid du gouvernement fédéral allemand basée sur les fausses affirmations de l’accusé

Les mesures prises par le gouvernement fédéral, puis par les gouvernements des États fédérés, pour endiguer la pandémie dite COVID-19 reposent sur les hypothèses suivantes, qui reposent sur les affirmations de l’accusé en tant que principal conseiller du gouvernement fédéral telles qu’elles ont déjà été exposées dans la lettre du 15.12.2020 (annexe K 1)

En bref : cinq affirmations erronées ont été à la source de manipulations majeures et fatales pour une bonne partie du monde :

  • pas d’immunité de base ;
  • deuxième fausse déclaration : infectiosité sans symptômes ;
  • la troisième fausse déclaration : les diagnostics basés sur la PCR ;
  • la quatrième fausse déclaration : surcharge imminente des systèmes de soins de santé ;
  • la cinquième fausse déclaration : les restrictions à la liberté comme remède, l’imbrication des allégations de verrouillage délibérément fausses.

Deux fausses affirmations sont détaillées dans la procédure.

  • C’est l’affirmation factuelle erronée selon laquelle il existe des infections asymptomatiques qui a conduit à l’erreur selon laquelle même les personnes ne présentant aucun symptôme de maladie sont potentiellement des sources très dangereuses d’infection par le virus CoV 2 du SRAS.
  • C’est l’affirmation factuelle erronée selon laquelle le test PCR de Drosten peut être utilisé pour déterminer des infections spécifiques et, plus important encore, l’infectiosité des « positifs » qui a conduit à l’erreur selon laquelle ce test peut être utilisé pour déterminer l’étendue des infections dans la population, sur la base de soi-disant « numéros de cas » spécifiques.

Les tests PCR ne sont pas seulement inadaptés au diagnostic individuel, mais aussi au dépistage. Le seul facteur décisif peut et doit être le nombre de personnes qui tombent malades, le nombre de celles qui doivent être hospitalisées, le nombre de celles qui doivent être traitées en soins intensifs et le nombre de celles qui doivent être ventilées.

L’instrument permettant d’évaluer de manière fiable ces événements existe depuis longtemps à l’Institut Robert Koch, notamment dans le domaine de la surveillance de la grippe : le programme sentinelle. Il est totalement incompréhensible que cela ne soit pas utilisé dans une plus large mesure pour le COVID-19. Le chef du département de santé publique d’Aichach-Friedberg (entre-temps transféré), Friedrich Pürner, avait récemment demandé à juste titre que les instruments sentinelles soient également utilisés pour la surveillance COVID-19.

L’OMS a également reconnu que le défendeur a trompé l’humanité entière dans le monde entier à l’aide de la méthode de test qu’il a mise au point par ses communiquées de décembre 2020 et janvier 2021, mettant en cause les tests PCR détachés de l’examen clinique.

Faits

Les parties affirment que les allégations de l’accusé exposées ci-dessus et ses recommandations de confinement basées sur celles-ci sont de fausses déclarations sur lesquelles les injonctions de confinement mises en œuvre par le gouvernement fédéral obligent le défendeur à payer des dommages et intérêts au plaignant.

Contexte international des positions de Drosten : le Great Reset

Le contexte plus large des déclarations litigieuses n’est qu’indirectement pertinent pour le jugement en l’espèce. Il concerne en particulier le fondateur de Microsoft Bill Gates pendant des années, notamment via le Forum économique mondial, qui a propagé ce que l’on appelle le « Great Reset » [La Grande Réinitialisation], très controversé, qui a pour objet un « redémarrage » sociopolitique mondial dirigé par les entreprises. [4]

Le journaliste Paul Schreyer décrit dans son rapport « Pandemic-Planspiele » l’imbrication des « élites » des entreprises avec les « élites » politiques, qui se rapprochent de plus en plus depuis au moins 20 ans.

Il y décrit également comment ces « élites » ont délibérément et pendant des années tenter non seulement de conserver leur pouvoir — illégitime —, mais de l’étendre à l’infini à l’aide des mécanismes de contrôle les plus massifs et les plus inhumains, avant que les objets (= tous les autres humains devenus parties prenantes donc objets) de ces mécanismes de contrôle ne le remarquent et ne puissent se révolter contre lui. Il faut ici penser aux contrôles des citoyens chinois par leur dictature que nos gouvernements occidentaux adeptes de la grande réinitialisation (lire le livre de Klaus Schwab) souhaitent appliquer aux peuples européens.

Le professeur de psychologie générale Dr Rainer Mausfeld avait expliqué au début de 2019, dans sa conférence « Pourquoi les agneaux sont-ils silencieux » comment la politique pendant de nombreuses années — inaperçue du public — met en scène de manière répétée la peur et la panique et l’utilise comme un outil pour amener les gens à accepter des décisions politiques qu’ils ne soutiendraient pas autrement.[5] Et l’ancienne vice-ministre américaine du Logement et banquière d’affaires Catherine Austin Fitts explique dans « Catherine Austin Fitts Full Interview Planet Lockdown » [6] comment ces « élites » mettent en œuvre ou tentent de mettre en œuvre économiquement la reprise des actifs de la classe moyenne (car si seulement 10 % de la population s’en rend compte, le château de cartes s’effondre immédiatement, certains scientifiques supposent même un pourcentage inférieur).

Cela s’explique notamment par le fait que les premières zones où se trouvent des petites et moyennes entreprises qui fonctionnent bien, par exemple dans la restauration et le commerce de détail, sont « fermées » par le confinement, de sorte que ces entreprises — comme le plaignant et son bar de karaoké — ne peuvent plus obtenir de revenus, notamment parce que leurs crédits et leurs loyers ne peuvent plus être payés.

L’aide est annoncée — comme dans le cas du plaignant — mais n’est en réalité versée que de manière limitée, voire pas du tout.

Ensuite, des émeutes sont organisées dans ces régions — cela ne s’applique peut-être actuellement qu’aux États-Unis — entraînent la destruction physique supplémentaire de ces entreprises, de sorte qu’elles ne peuvent même plus être vendues. Les « investisseurs » privilégiés sur le plan fiscal, à savoir les sociétés susmentionnées, reprennent alors ces sociétés quasi gratuitement.

La pression des médias appartenant essentiellement aux milliardaires qui tentent de mettre en œuvre le Great Reset

Les mêmes personnes et sociétés qui ont investi dans les industries pharmaceutiques et technologiques dans le cadre de ce soi-disant « Great Reset » ont investi également massivement dans les médias grand public, par lesquels C. Drosten l’accusé a diffusé à plusieurs reprises ses allégations à un large public, y compris dans le cadre de son podcast dit NDR pendant de nombreux mois.

Le professeur Martin Schwab de l’université de Bielefeld a expliqué, dans une vaste expertise intitulée « Liberté d’opinion et discours scientifique dans la crise du Covid19 », comment les paiements massifs versés aux médias principaux, y compris publics, ont eu et continuent d’avoir un effet au détriment des reportages informatifs habituels, dans lequel il traite également de la diffusion des allégations de l’accusé via les Ndr-podcasts. Le professeur Schwab avait préparé cet avis d’expert pour le Dr Wolfgang Wodarg, un expert reconnu violemment diffamé au début de la crise Covid19 en raison de sa position critique.

Contexte de la personnalité et des antécédents du conseiller C. Drosten

En plus des faits rapportés dans la procédure initiale du 23 novembre, l’avocat revient sur le parcours de C Drosten qui conseille la chancelière allemande et de fait l’OMS et le monde entier. L’hebdomadaire Stern titrait, ébloui, en mars 2020 : « Le coronavirus a fait du virologue Christian Drosten l’homme le plus recherché de la République. Et une étoile. » [7]

Fuellmich s’étonne des éléments particuliers de son parcours professionnel discordant pour le moins avec l’importance et la gravité de ses fonctions.

Erreurs multiples dans les années précédentes lors des crises sanitaires

L’accusé est le directeur de l’Institut de virologie de la Charité Universitätsmedizin de Berlin. Dans le passé, il a attiré l’attention sur le fait que ses pronostics toujours alarmistes et extrêmement inquiétants sur certaines maladies virales, associés à des recommandations de vaccination, se sont révélés catastrophiquement erronés.

Par exemple, le cirque du SRAS

– lors de l’épidémie de SRAS en 2003, à propos du virus du SRAS (autre coronavirus), il a affirmé que ce virus pouvait être combattu avec un vaccin efficace, mais seulement en un ou deux ans, mais qu’il entraînerait — « si l’épidémie ne pouvait pas être repoussée » — de telles maladies pulmonaires encore et encore, et aurait « de graves effets sur les économies nationales ».

En fait, le SRAS s’est avéré relativement inoffensif. Selon l’OMS, il n’y a eu que 8096 cas de SRAS dans le monde depuis la découverte du virus du SRAS, avec 774 décès. En Allemagne, il y a eu 9 cas et pas un seul décès.

En ce qui concerne la grippe porcine 2009 (virus de la grippe, sous-type A/[H12N1] 2009/2010), qui s’est avérée être une grippe bénigne, il a lancé un appel urgent — sans aucune donnée fiable sur le nombre de cas — pour être vacciné contre la grippe porcine, affirmant que le vaccin n’était pas disponible : « La maladie est une infection virale grave et courante qui a des effets secondaires beaucoup plus graves que ce que l’on peut imaginer du pire vaccin ». L’épidémie qu’il avait prophétisée ne s’est jamais produite.

On remarque, comme le dit également Fuellmich le parallélisme entre les prophéties délirantes de Drosten et celle du mage anglais Ferguson, sur les mêmes sujets avec les mêmes déclarations fausses et délirantes, démontrant si besoin en était, la collusion des gouvernements occidentaux en accord avec le conseil sanitaire de l’OMS.

Les prophètes avaient provoqué la panique dans la politique en faveur des entreprises pharmaceutiques et commandé des vaccins pour des milliards d’euros — en Angleterre et en France seulement plus de 2 milliards d’euros — sur la base de contrats tenus secrets jusqu’à aujourd’hui, que la grande majorité de la population allemande (correctement conseillée par les médecins généralistes, qui à l’époque n’étaient pas encore contournés par les « centres de vaccination ») a cependant refusés. Lorsqu’il s’est avéré que la prétendue épidémie était une saison de grippe légère, les vaccins ont dû être détruits, ce qui a coûté des millions d’euros.

Toutefois, dans certaines régions d’Europe, les vaccins avaient déjà été inoculés et avaient causé des dommages bien plus graves que la grippe porcine elle-même, à savoir des handicaps graves et très sérieux chez environ 1 300 personnes, par exemple sous la forme de narcolepsie.

Le dossier universitaire de l’accusé également devenu très controversé

La recherche de sa thèse fut un long parcours du combattant pas vraiment couronné de succès.

Un rapport de synthèse sur les prédictions dramatiquement erronées, le parcours académique manifestement falsifié, mais aussi sur les liens financiers de l’accusé avec les fabricants de tests PCR et d’autres incohérences le concernant peut être trouvé sur le lien suivant : https://www.kla.tv/17877

La procédure revient sur ce que devrait être un conseiller des politiques à ce niveau de responsabilité

L’avocat évoque une des dernières prises de position de Drosten en décembre lors de la déclaration Léopoldine, l’équivalent de notre conseil scientifique.

« La déclaration dite ad hoc de Léopoldine n’est pas un document scientifique ni un résumé scientifique de l’état de la recherche. Il s’agit d’un assortiment de déclarations inquiétantes sur la situation actuelle, combinées à des propositions drastiques censées tirer leur autorité du fait que les auteurs occupent désormais des postes de haut niveau dans l’entreprise de recherche ».

Dans une lettre adressée à l’Académie des sciences de Mayence, Thomas Aigner a souligné avec insistance que peu après la publication du 7e avis ad hoc, des voix du terrain prédisaient l’échec de la politique de confinement.

« À mon avis, ce document n’est pas digne d’une science honnête, équilibrée, orientée vers le service et le bien-être ».

Cette évaluation est également pertinente sur le plan juridique.

Un chapitre de cette procédure civile est particulièrement pertinent et intéressant pour nous français, posant les qualités que devraient posséder les « experts » qui conseillent les présidents ou ministres, étant donné les enjeux majeurs de leurs préconisations. La procédure engagée ici contre « l’étoile allemande » Drosten, montre que ces messieurs ou dames ne devraient pas dormir tranquilles sur le tas de leurs diplômes universitaires réels ou fantasmés, et redouter que la roue tourne surtout quand tant de personnes vont sombrer dans la misère ou mourir à cause d’eux. Tels les membres de notre conseil scientifique dont les comptes-rendus de réunions ne sont pas accessibles, jamais écrits, semble-t-il.

Qualité des experts selon Maître Reiner Fuellmich exposée dans sa procédure contre Drosten.

Les exigences de base : Expertise, objectivité et neutralité

« Toute personne qui conseille l’État doit remplir trois postulats de base : expertise, objectivité et neutralité. Pour l’expert judiciaire, cela découle des codes de procédure : Il doit, du fait de la nature de l’affaire, représenter en sa personne l’expertise pertinente et, conformément à l’article 406 ZPO, s’expose à un refus pour crainte de partialité s’il n’utilise pas son expertise de manière objective et neutre. Cependant, rien d’autre ne s’applique aux conseils aux autres branches du pouvoir de l’État. [8]

En fournissant un avis expert, objectif et neutre, l’expert doit se montrer à la hauteur du rôle que l’organisme gouvernemental conseillé lui confie.

Le conseiller ne doit pas seulement se porter garant de ces postulats en sa personne, mais le résultat du conseil en tant que tel doit également témoigner de ces vertus.

Comme les conseils donnés aux hommes politiques conduisent délibérément à une action de l’État, ils ne sont pas non plus protégés par l’article 5.3 de la loi constitutionnelle. Le conseil politique participe plutôt à l’engagement des décideurs de l’État en faveur des droits fondamentaux.

Dans ce cas, l’argument bien connu de la Cour constitutionnelle fédérale en matière de confusion s’applique également à eux : quiconque est tenu à la liberté ne peut pas en même temps avoir droit à la liberté. [9]

Il ne peut y avoir aucun doute raisonnable sur le fait que l’activité de l’accusé telle qu’elle est décrite ci-dessus constitue un conseil politique. C’est ce qui ressort des explications données par l’accusé lui-même au sujet du document de Leopoldina mentionné ci-dessus.

Le 7e avis ad hoc doit être compris comme un “un avertissement clair et définitif de la science” aux politiciens. »

On peut conclure en conséquence que le conseiller Drosten est responsable de ses avis qui ont indéniablement influencé les politiques et les juges et donc en assumer les conséquences civiles et pénales. Cette responsabilité directe devrait s’appliquer aux membres du conseil scientifique français et singulièrement du Pr Delfraissy dont les déclarations télévisées exigeant un confinement dépassent ses missions, mais surtout dépriment les Français qui l’écoutent. Il devrait tenir compte du jugement du tribunal de Berlin déclarant inconstitutionnel le confinement et des nombreuses études internationales qui démontrent que les confinements n’ont pas sauvé de vies, mais ont tué des humains au contraire.[10] à [20]


Notes

[1] Green Mango GmbH, Bülowstrasse 56, 10783 Berlin, représentée par le directeur général, M. Nils Roth
– Demandeur –
représenté par : Dr Fuellmich & Associates, avocats, Sen-derstrasse 37, 37077 Göttingen, Allemagne
Sync and corrected by Dr. Jackson for
Christian Drosten, c/o Charité – Universitätsmedizin Berlin, Institut de virologie, Charitéplatz 1 à 10117 Berlin Tribunal d’arrondissement de Berlin Tegeler Weg 17 – 21
10589 Berlin 21 01 21

[2] Christian Drosten : l’heure des comptes ? (francesoir.fr)

[3] conformément à l’article 276, paragraphe 1, du code de procédure civile, de décider par défaut conformément à l’article 331, paragraphe 3, du code de procédure civile

[4] S’échapper du syndrome de Stockholm — passer de la peur du virus (leurre) à un danger réel, la Grande Réinitialisation — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[5] https://www.youtube.com/watch?v=-kLzmatet8w

[6] https://www.youtube.com/watch?v=LVuA98P4aA8&feature=youtu.be (version originale anglaise)

[7]  kla.tv/index. PHP a=showlanguage&lang=fr cité par Drosten poursuivi pour crimes contre l’humanité — (ripostelaique.com)

[8] Martin Schwab, Rechtsfragen der Politikberatung im Spannungsfeld zwischen Wissenschaftsfreiheit und Unternehmensschutz, 1999, p. 370 s.) :

[9] (BVerfGE 61, 82 100).

[10] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19 epidemics https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf

[11] Christof Kuhbandner, Stefan Homburg, Harald Walach, Stefan Hockertz. « Le verrouillage du Covid allemand était-il nécessaire ? » Sage Preprint, 23 juin 2020.

[12] Norvège : « le confinement n’était pas nécessaire contre le coronavirus » 29 mai 2020 Strategika

[13] Stefan Homburg et Christof Kuhbandner Commentaire sur Flaxman et coll. (2020) : Les effets illusoires des interventions non pharmaceutiques sur le COVID-19 en Europe » 17 juin 2020. Advance, Sage Pre-Print

[14] Rabail Chaudhry, George Dranitsaris, Talha Mubashir, Justyna Bartoszko, Sheila Riazi Une analyse nationale mesurant l’impact des actions gouvernementales, de la préparation du pays et des facteurs socio-économiques sur la mortalité COVID-19 et les résultats sanitaires associés ». EClinicalMedicine 25 (2020) 100464

[15] Surjit S Bhalla, directeur exécutif pour l’Inde du Fonds monétaire international « Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins » http://ssbhalla.org/wp-content/uploads/2020/10/Lockdowns-Closures-vs.-COVID19-Covid-Wins-Nov-4.pdf

[16] Kasper Planeta Kepp Christian Bjørnskov Lockdown Effects on Sars-CoV-2 Transmission – The evidence from Northern Jutland https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.12.28.20248936v1.full.pdf

[17] Simon N. Wood. Les infections au COVID-19 ont-elles diminué avant le verrouillage du Royaume-Uni ? Préimpression de l’Université Cornell, 8 août 2020.

[18] R Shlomai, Ari Leshno, Ella H Sklan, Moshe Leshno Modélisation de stratégies de distanciation sociale pour empêcher la propagation du SRAS-CoV2 en Israël – Une analyse coût-efficacité » par Ami. Pré-impression MedRxiv. 20

[19] Morris Altman Smart Thinking, Lockdown et COVID-19 : Implications pour les politiques publiques

Journal of Behavioral Economics for Policy, 2020 Publié le : 26 mai 2020

[20] Christian Bjørnskov « Le verrouillage a-t-il fonctionné ? Comparaison transnationale d’un économiste » Document de travail du SSRN, 2 août 2020.




Covid-Arnaque : il n’y a pas de pandémie — une vision britannique de l’imposture

[Source : La cause du peuple]

[Traduction de There Is No Pandemic, by Nick Kollerstrom – The Unz Review]

2020 a vu 14% de décès de plus que la moyenne, l’année dernière en Angleterre et au Pays de Galles et cela s’est élevé à soixante-quinze mille décès supplémentaires. Nous utilisons ici les chiffres du Bureau des statistiques nationales , car il donne le total des décès hebdomadaires, plus également à titre de comparaison une valeur moyenne des décès hebdomadaires correspondants au cours des cinq années précédentes.[1]
Cela se compare au chiffre de quatre-vingt dix mille morts pour l’ensemble du Royaume-Uni, prétendument attribuable au covid-19.

Nous posons ici et répondons à la question, qu’est – ce qui a causé cet excès de décès ? La réponse ne sera pas certaine, mais sera l’explication la plus simple possible. Par le rasoir d’Occam, nous sommes obligés de le prendre.

Pour le premier trimestre de l’année dernière, les décès en Angleterre et au Pays de Galles ont diminué : pour une raison quelconque, la mortalité hebdomadaire globale était de 3% inférieure à la moyenne annuelle. Ensuite , autour de l’équinoxe de printemps le 23 Mars rd Lockdown a été annoncé et tout à coup, les décès ont bondi jusqu’à alors que des milliers de morts supplémentaires ont commencé à se produire semaine après semaine. Cela a continué tout au long des mois d’avril et de mai, puis finalement, la première semaine de juin, les Britanniques ont de nouveau été autorisés à sortir: avec soulagement, nous avons pu marcher dans les rues et les parcs, les cafés et les pubs ont rouvert.

Ces mois de verrouillage ont vu 59 000 décès en excès (voir graphique). Cela vient de compter les onze semaines se terminant le 27 Mars au 5 e Juin, comme la période de verrouillage.

La question se pose de savoir ce qui les a provoqués? Cela aurait-il pu être, par exemple, le choc? Le mois d’avril a enregistré en moyenne 90% de décès de plus que d’habitude! Puis mai n’était pas si mal, car les gens se sont habitués à la nouvelle réalité sinistre.

Dans les semaines qui ont suivi le Lockdown, c’est-à-dire après la première semaine de juin, tout l’excédent de décès a soudainement disparu. Au cours des quatre mois suivants, les décès sont restés exactement moyens par rapport aux années précédentes.

Le graphique montre ce processus distinct en trois étapes.

Données OBNS pour les semaines se terminant
3 janvier au 20 mars 12 semaines 138 916 143 738 -4 822 -3%
27 mars au 5 juin 11 semaines 168 396 109 703 +58 693 + 54% CONFINEMENT
12 juin au 9 oct 18 semaines 166 392 165 808 +584 0%

Ces chiffres suggèrent que c’est le verrouillage lui-même et non aucun virus, qui a causé les décès excessifs.

Nous rappelons ici une enquête minutieuse réalisée en mai dernier qui a révélé que, dans tous les pays disposant de chiffres de mortalité fiables, leur augmentation de la mortalité a commencé après l’ imposition du verrouillage et pas avant. Il y a une différence très simple entre cause et effet: la cause vient en premier, avant l’effet!

Un deuxième Lockdown a été imposé au cours du mois de novembre. Celui-ci manquait de la même valeur de terreur et de choc que le premier et n’atteignait donc qu’une surmortalité nette de 18%: pour les cinq semaines allant de la semaine se terminant le 6 novembre à celle du 4 décembre, il y avait neuf mille décès en excès, par rapport à la moyenne saisonnière.

Figure: données hebdomadaires du Bureau des statistiques nationales pour 2020, comparant la mortalité totale par semaine avec une moyenne estimée des cinq années précédentes.

Figure: données hebdomadaires du Bureau des statistiques nationales pour 2020, comparant la mortalité totale par semaine avec une moyenne estimée des cinq années précédentes.

Après l’équinoxe d’automne, alors que les nuits s’allongeaient, le gouvernement a recommencé à terroriser la population en parlant de «l’hiver sombre» à venir. D’une manière ou d’une autre, ils savaient qu’une «deuxième vague» arrivait, et qu’il faudrait donc un «deuxième verrouillage» et pas de Noël. Voici ce que j’ai dit dans un podcast du 20 octobre :

Ils essaient de susciter une autre grosse panique, prétendant qu’il y a une deuxième vague… survenue cet automne. Ils ont recommencé à propager la peur. Ils ont imposé ces niveaux de Lockdown qui sont plutôt terrifiants. Beaucoup de stress qu’ils mettent sur les gens. Je me suis demandé : est-ce que les morts vont recommencer comme la dernière fois?

Cela s’est-il produit? Comme auparavant, les chiffres montrent une augmentation au moment du verrouillage et juste avant, mais cette fois, elle n’a pas disparu après le verrouillage. C’est parce qu’il n’y a pas vraiment eu de détente. Au contraire, des mesures encore plus draconiennes ont été annoncées, avec la mesure inouïe de la police arrêtant les gens qui marchent dehors, pour leur demander s’ils avaient de bonnes raisons de sortir de chez eux. Rencontrer des amis a été interdit, etc. Cette pression a augmenté la mortalité encore davantage et nous avons ici en particulier relevé la « semaine de Noël » finissant le 25 décembre, avec une surmortalité énorme de 45%. Ce n’était pas un joyeux Noël. C’est trois mille cinq cents personnes supplémentaires (par rapport aux années précédentes) en une semaine, probablement causées par le choc et le désespoir de l’annulation de Noël. La semaine suivante, c’était encore très élevé : 26% d’excès, alors que les gens affrontaient la sombre nouvelle année.

Exprimer cette surmortalité comme une moyenne mensuelle globale, pour les derniers mois de 2020, facilite les choses. En prenant ainsi chaque mois dans son ensemble et en sélectionnant quatre semaines de données pour chaque mois :

Septembre des semaines se terminant 11 sept au 2 oct. + 4%
octobre 9 oct au 30 oct + 7%
novembre 6 nov au 27 nov + 18%
décembre 4 décembre au 1er janvier + 21%

Lentement, les décès excédentaires (comparés, comme auparavant, aux années précédentes) ont augmenté tout au long de l’automne et de l’hiver. Le mois de décembre a eu dix mille morts supplémentaires. Doit-on prendre l’avis du gouvernement, que ces décès ont été causés par le virus CV19, et que les restrictions de plus en plus sévères étaient une réponse nécessaire pour «contenir» la propagation de ce virus ? Une hypothèse plus simple serait qu’il n’y a pas de virus tuant des gens, alors que le stress de la faillite, de la solitude, etc. imposé par les décrets du gouvernement a vraiment tué des gens. Ainsi, par exemple le « niveau 4 » [de confinement] a été annoncé le 19 Décembre pour une grande partie de l’Angleterre, ce qui a donné lieu à la mortalité la plus élevée pour la semaine suivante. Ce coup de grâce à Noël pour tout le monde — jamais interdit depuis l’époque d’Oliver Cromwell — a eu un impact profond, faisant grimper l’indice de mortalité.

Dans l’ensemble, il semblerait que ce soit la politique de verrouillage du gouvernement qui tue des gens et non une nouvelle maladie. Le stress, la solitude, la peur et le désespoir sont à l’origine de l’excès de décès, avec le vidage des hôpitaux, en particulier des personnes âgées, et l’annulation des services normaux en raison de la «pandémie». Si le gouvernement le sait, il s’agit d’un programme de réduction de la population.

Un rapport récent du CDC américain a approuvé l’approche que nous avons adoptée ici, à savoir que l’importance de CV19 ne peut être appréciée qu’en termes de mortalité totale. Publié sur le site de l’Université John Hopkins, le 22 novembre (mais retiré peu après), il partage l’avis qu’aucun virus tue des gens plus que la grippe normale, alors que les décès dus à d’autres causes sont reclassés Covid19 :

Selon de nouvelles données, les États-Unis se classent actuellement au premier rang pour le nombre total de cas de COVID-19, de nouveaux cas par jour et de décès. Genevieve Briand, directrice adjointe du programme de maîtrise en économie appliquée à Hopkins, a analysé de manière critique l’effet du COVID-19 sur les décès aux États-Unis en utilisant les données des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) dans son webinaire intitulé « Morts COVID-19 : un regard sur les données américaines. »

De la mi-mars à la mi-septembre, le nombre total de décès aux États-Unis a atteint 1,7 million, dont 200 000, soit 12% du total des décès, sont liés au COVID-19. Au lieu de regarder directement les décès dus au COVID-19, Briand s’est concentrée sur le nombre total de décès par groupe d’âge et par cause de décès aux États-Unis et a utilisé ces informations pour faire la lumière sur les effets du COVID-19.

Elle a expliqué que l’importance du COVID-19 sur les décès aux États-Unis ne peut être pleinement comprise que par comparaison avec le nombre total de décès aux États-Unis.

Après avoir récupéré des données sur le site Web du CDC, Briand a compilé un graphique représentant les pourcentages du nombre total de décès par catégorie d’âge du début février au début septembre, qui comprend la période allant de la détection du COVID-19 aux États-Unis à la montée en flèche des taux d’infection.

Étonnamment, les décès de personnes âgées sont restés les mêmes avant et après le COVID-19. Étant donné que le COVID-19 affecte principalement les personnes âgées, les experts s’attendaient à une augmentation du pourcentage de décès dans les groupes plus âgés. Cependant, cette augmentation ne ressort pas des données du CDC. En fait, les pourcentages de décès parmi tous les groupes d’âge restent relativement les mêmes.

« La raison pour laquelle nous avons un nombre plus élevé de décès par COVID-19 signalés chez les personnes âgées que chez les personnes plus jeunes est tout simplement parce que chaque jour aux États-Unis, les personnes âgées meurent en plus grand nombre que les personnes plus jeunes », a déclaré Briand.

Briand a également noté que 50 000 à 70 000 décès sont observés avant et après le COVID-19, indiquant que ce nombre de décès était normal bien avant l’apparition du COVID-19. Par conséquent, selon Briand, non seulement le COVID-19 n’a eu aucun effet sur le pourcentage de décès de personnes âgées, mais il n’a pas non plus augmenté le nombre total de décès.

Ces analyses de données suggèrent que contrairement aux hypothèses de la plupart des gens, le nombre de décès par COVID-19 n’est pas alarmant. En fait, il n’a relativement aucun effet sur les décès aux États-Unis…

Lorsque Briand a examiné les données de 2020 au cours de cette période saisonnière, les décès liés au COVID-19 ont dépassé les décès dus aux maladies cardiaques. C’était très inhabituel puisque les maladies cardiaques ont toujours prévalu comme la principale cause de décès. Cependant, en examinant de plus près les chiffres des décès, elle a noté quelque chose d’étrange. Alors que Briand comparait le nombre de décès par cause au cours de cette période en 2020 à 2018, elle a remarqué qu’au lieu de l’augmentation drastique attendue pour toutes les causes, il y avait une diminution significative des décès dus aux maladies cardiaques. Plus surprenant encore, comme le montre le graphique ci-dessous, cette baisse soudaine des décès est observée pour toutes les autres causes.

Cette tendance est tout à fait contraire à la tendance observée toutes les années précédentes. Fait intéressant, comme le montre le tableau ci-dessous, la diminution totale des décès dus à d’autres causes équivaut presque exactement à l’augmentation des décès par COVID-19. Cela suggère, selon Briand, que le nombre de morts du COVID-19 est trompeur. Briand pense que les décès dus aux maladies cardiaques, aux maladies respiratoires, à la grippe et à la pneumonie peuvent plutôt être reclassés comme étant dus au COVID-19.

[NdNM : selon la phrase mise en rouge, la conclusion ici devrait plutôt être formulée comme suit : Briand pense qu’une partie (importante ?) des décès habituellement attribués aux maladies cardiaques, aux maladies respiratoires, à la grippe et à la pneumonie ont été reclassés comme étant dus au Covid-19.]

Sur la base de cette analyse, le meilleur moyen de mettre fin au massacre continu de Britanniques âgés serait de mettre fin aux verrouillages et de reprendre une vie normale. Comme l’a bien expliqué le Dr Simone Gold (de Frontline Doctors) , CV19 ne fait que «tuer» des personnes âgées qui étaient sur le point de mourir de toute façon. Il ne peut pas être démontré qu’ «avoir» CV19, c’est-à-dire être testé PCR «positif» a contribué à raccourcir leur durée de vie. Ce n’est donc pas un lien causal, c’est-à-dire que la prétendue maladie n’a pas «causé» leur mort. C’est pourquoi la distribution par âge du CV-19 ne se distingue pas de celle de la population normale.

L’âge moyen des décès en Angleterre et au Pays de Galles est de 81,5 ans, tandis que l’âge moyen des décès de «Covid-19» est de 82,4 ans (données ONS). Ce que cela nous dit est très simple : la maladie n’existe pas.

Le concept de «test» PCR a toujours été frauduleux . Le soi-disant «test» PCR multiplie les fragments de chaînes nucléotidiques et le nombre de cas «positifs» dépend du facteur de multiplication utilisé ainsi que du nombre de personnes testées. Il ne viendra jamais un moment où le virus sera «guéri» ou «résolu» ou quoi que ce soit que les gens imaginent que le gouvernement essaie de faire (s’il le sait!), de sorte que le test PCR cesse [alors] de générer des tests «positifs». Personne ne vous donnera jamais la preuve que les personnes dont le test est «positif» tombent malades plus souvent que les autres. Y a-t-il un but de la politique gouvernementale, à part terroriser la population ? Est-ce [vraiment] pour tuer le virus ? Cela ne pourra jamais arriver car le virus n’est pas vivant.

Le 13 janvier, l’Organisation mondiale de la Santé a fait machine arrière sur le « test » PCR, en disant qu’il est simplement un outil de diagnostic qui peut aider. Elle conseille maintenant :

Lorsque les résultats des tests ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant une technologie NAT identique ou différente.

En d’autres termes, un seul test PCR ne doit pas être utilisé pour diagnostiquer une infection à Sars-Cov-2. Ce n’est qu’un guide !

La plupart des tests PCR sont indiqués comme une aide au diagnostic. Par conséquent, les prestataires de soins de santé doivent considérer tout résultat en combinaison avec le moment de l’échantillonnage, le type d’échantillon, les spécificités du test, les observations cliniques, les antécédents du patient, le statut confirmé de tout contact et les informations épidémiologiques.

Nous avons donc finalement compris que le PCR ne peut pas servir au diagnostique. C’est exactement ce qu’a dit son inventeur Kary Mullis. Alors oubliez tous les chiffres que vous avez entendus sur les «cas» et les «décès de covid» — on ne peut pas s’y fier.

Si l’on voulait croire qu’il y avait une maladie associée à ce virus, nous serions sûrement d’accord avec le Dr Alexander Myasnikov, nommé l’année dernière en tant que conseiller médical en chef de la Russie. Dans une interview, il a expliqué comment le monde avait fortement réagi de manière excessive à l’histoire de CV19 et que le nombre de morts en Occident était largement surestimé. Il a ajouté :

«Tout est exagéré. C’est une maladie respiratoire aiguë avec une mortalité minimale. »

Ainsi, l’ancien médecin-chef de l’Ontario a récemment contesté la politique de son gouvernement en disant: « Nous sommes bloqués pour un taux de mortalité par infection de moins de 0,2 % ? » et le verrouillage n’est pas «soutenu par une science solide». Il veut dire ici que pour ceux dont le test PCR est positif, un sur cinq cents mourra. La période de temps impliquée ici doit être définie, par exemple elle pourrait être d’un mois : nous mourons tous, et étant donné que l’âge médian des décès présumés CV19 est d’environ 80 ans, ce qui pourrait bien être un taux de mortalité normal — surtout si on teste avec le PCR toutes les personnes admises à l’hôpital.

En novembre dernier, une infirmière de Cornouailles s’est fait connaître en affirmant que les salles de l’hôpital étaient vides depuis des mois quand on a prétendu qu’elles débordaient. Elle a déclaré que chaque fois qu’ils avaient des patients grippés, ils étaient classés comme Covid : « Les cas de grippe et de Covid sont désormais enregistrés comme “la même chose” sur les certificats de décès. » Ce ne serait pas nécessaire si la maladie existait vraiment. Sans surprise, la grippe de cet hiver a mystérieusement disparu. Une femme qui a marché autour de son hôpital local en train de filmer ses salles vides a été arrêtée chez elle par la police le lendemain.

L’existence même du virus ne peut pas être démontrée, ce qui signifie qu’il ne peut pas être différencié, de manière fiable, de tous les autres coronavirus normaux, avec lesquels nous vivons depuis le début des temps. Il n’a jamais été isolé. Soyons clairs à ce sujet ! En avril dernier, un département scientifique de l’UE a admis :

« Aucun isolat de virus avec une quantité quantifiée de SARS-CoV-2 n’est actuellement disponible… »

Et la même chose a été reprise quelques mois plus tard par le Center for Disease Control américain :

« Étant donné qu’aucun isolat viral quantifié du nCoV 2019 n’est actuellement disponible , des tests [de diagnostic] conçus pour la détection de l’ARN du nCoV 2019 ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro… »[2]

En d’autres termes, personne ne peut tenir un tube à essai ou une boîte de Pétri et dire: «Voici le COVID-19». Les séquences génétiques publiées du prétendu virus ne sont que de simples constructions hypothétiques. Oui, une maladie a éclaté à Wuhan en novembre 2019 et oui, les autorités chinoises ont publié une séquence génétique qui en serait, mais alors ?

Promotion pornographique de la peur

Le gouvernement a besoin de votre peur. Il veut votre attention, mais sait qu’il n’a aucune chance d’améliorer votre vie de quelque manière que ce soit. Nous avons donc un ministre de la Santé qui ne sait rien de la santé ou du bien-être : il peut attirer votre attention en vous disant que vous ne pourrez pas voyager sans vaccin. Ils ont besoin de votre peur et, au siècle dernier, le gouvernement a pu stimuler votre peur en menaçant d’appuyer sur le bouton nucléaire. Cela ne fonctionne plus. Le dernier exercice du gouvernement britannique en matière de pornographie de peur conseille aux citoyens de se comporter comme s’ils étaient malades . («Agissez comme vous l’avez compris»). Oui, cela ressemble à la façon de promouvoir la santé.

Il promeut en outre l’idée diabolique selon laquelle des personnes en parfaite santé peuvent transmettre des maladies («n’importe qui peut la propager»). On pourrait citer ici l’expert de l’OMS, la Dre Maria van Kerkhove :

« D’après les données dont nous disposons, il semble encore rare qu’une personne asymptomatique transmette effectivement à un individu secondaire. C’est très rare. » 

Dre Maria van Kerkhove (Chef de l’unité Maladies émergentes et zoonose de l’OMS lors d’un point de presse du siège de l’agence des Nations Unies à Genève, 6.6.20). 

Certes, elle a été obligée de faire marche arrière et de se rétracter, mais elle l’a dit.[3]

Pour reprendre les mots du Daily Mail , de « Terrifiantes nouvelles annonces télévisées » sont promues par le gouvernement (23 janvier 2021). Cette pornographie de peur est organisée par l’agence de presse américaine Omnigov qui a signé le 2 mars un contrat publicitaire pro confinement trois semaines avant le verrouillage :

Le journaliste Neil Clark a commenté[4] la nouvelle du Daily Telegraph selon laquelle le gouvernement britannique a conclu un accord d’une valeur de 119 millions de livres sterling avec une société de publicité américaine, OMD Group, exhortant les gens à « rester à la maison, rester en sécurité » trois semaines complètes avant que Boris Johnson ordonne un verrouillage. Pensez à ce que cela signifie. Ce mème «Stay home Stay safe» aurait été planifié l’année précédente lors de l’événement américain «Event 201» organisé par Bill Gates et autres. La peur bloque la pensée rationnelle et cohérente, c’est pourquoi le gouvernement en a besoin.

Les gens oublient peut-être à quel point la grippe hivernale peut être débilitante et comment elle peut durer des semaines. Maintenant, ils veulent l’appeler COVID. Soutenons ici la professeure Dolores Cahill, qui s’est penchée sur le séquençage des tests PCR. En Irlande, il a été constaté que sur quinze cents tests PCR «tous étaient des virus de la grippe A et B, aucun d’entre eux n’était du SRAS-COV2». Son groupe demandera une action en justice lorsque les tests indiquent la grippe plutôt que le CV19 spécifique et les médecins pourront être poursuivis pour négligence médicale. (Rapport Corbett, 23 minutes). Cela semble être une manière prometteuse de lutter contre ce virus fantôme.

« Est-ce une épidémie de désespoir ? » a demandé ce commentateur perspicace, Peter Hitchins. Les scientifiques sont formés à ne pas prendre en compte les émotions et à rechercher les choses, les objets comme agents causaux, alors qu’ici nous sommes d’accord avec Peter Hitchens sur le fait que les conditions négatives de l’âme de la population causées par les politiques gouvernementales conduisent à la mort. L’article de Hitchens cite l’éminent professeur de microbiologie médicale, Sucharit Bhakdi :

« Il a dit que les personnes âgées avaient le droit de faire des efforts pour rester en forme, actives, occupées et en bonne santé. Mais il a averti que la fermeture de la société les condamnerait à une mort prématurée en empêchant cela.

« Les contacts sociaux et les événements sociaux, le théâtre et la musique, les voyages, les sports et les loisirs contribuent tous à prolonger leur séjour sur terre. L’espérance de vie de millions de personnes est raccourcie ».

Dans une prédiction qui s’est révélée terriblement précise, il a ajouté : « L’impact horrible sur l’économie mondiale menace l’existence d’innombrables personnes. Les conséquences pour les soins médicaux sont profondes. Déjà, les services aux patients qui en ont besoin sont réduits, les opérations annulées, les cabinets vides, à cause du personnel hospitalier qui diminue. Tout cela aura un impact profond sur toute notre société ».

C’est ce qui tue des gens, il n’y a pas d’autre pandémie.

Nous sommes ici préoccupés par le Royaume-Uni, mais à titre de comparaison, terminons par un graphique montrant le taux de mortalité hebdomadaire aux États-Unis en 2020, montrant le même effet.

Le graphique montrait un excès de 280 000 décès au-dessus des niveaux normaux attendus, après le verrouillage. La page Web hébergeant ce graphique indique que « le grand pic de décès en avril 2020 correspond à l’épidémie de coronavirus ». Je suggère ici un point de vue différent.

Par Nick Kollerstrom , PhD, auteur de The Great British coronavirus Hoax, A Skeptics view (interdit par Amazon.)


Notes

[1] En utilisant cinquante-deux semaines pour 364 jours de l’année, de celle se terminant le 3 janvier 2020 à celle du 1er Janvier 2021, l’ONS compare une semaine de 2020 avec la valeur moyenne pour la période 2015-9.

[2] CDC «Caractéristiques de performance du panneau de diagnostic PCR en temps réel 2019-Novel Coronavirus» p.39, 13.7.20. Cela a été effacé du Web, mais voyez la réponse du BMJ.

[3] Une vaste étude chinoise de dix millions de personnes autour de Wuhan entre mai et juin n’a montré « aucune preuve que les cas positifs sans symptômes propagent la maladie » : Nature 20.11.20 « Dépistage de l’acide nucléique du SRAS-CoV-2 après le verrouillage ».

[4] RT «Psychologie inversée Covid-19» de Neil Clarke, 28.10.20, supprimée, mais conservée sur la vidéo Hugo Talks [Note : vidéo également censurée].




«Chasse aux sorcières», «délation» : ces médias adeptes du «lynchage public»

Par Adrien Peltier

[Source : Sputnik News]

Les grands médias semblent s’adonner de plus en plus fréquemment à la dénonciation gratuite. Des «révélations» largement relayées et commentées, encourageant la pratique à se répandre. Claude Chollet, fondateur de l’Observatoire du journalisme, décrypte cette tendance pour Sputnik.

Les cas de délation médiatique sont-ils de plus en plus nombreux?

Loopsider qui dévoile les images d’un pot de départ au commissariat d’Aubervilliers où les policiers font fi des gestes barrières. Mediapart qui publie le nom d’une enseignante ayant critiqué l’islam. Libération qui révèle les plaintes de salariées de la mère du jeune Yuriy, sauvagement agressé, une information sans aucun lien avec le lynchage de l’adolescent. Ces faits, au potentiel viral considérable, sont devenus incontournables une fois en ligne.

Les réseaux sociaux et sites d’actualité  –Sputnik compris– n’ont pas manqué de nourrir la polémique en les relayant. Au nom de l’audience, la sphère médiatique se dirige ainsi vers une banalisation de la délation, emboîtant peut-être le pas à la société qui, en temps de pandémie, serait gagnée par les mêmes réflexes.

Cette pratique des médias n’est pourtant pas nouvelle, nuance Claude Chollet, président fondateur de l’Observatoire du Journalisme (OJIM), qui s’emploie à «informer sur ceux qui informent». Elles ne seraient pas tant des manœuvres politiques que des «chasses aux sorcières» orchestrées par le «camp autoproclamé du Bien», un exercice bien différent:

«On ne discute pas avec une sorcière, on la brûle publiquement avec des cris de joie», analyse-t-il pour Sputnik.

Une attitude qui se serait donc banalisée, se produisant de plus en plus régulièrement sans engendrer d’indignation particulière. On se souvient ainsi qu’en novembre dernier, une reporter de l’émission Quotidien sur TMC, avait incité la police à verbaliser des manifestants priant dans la rue pour protester contre la fermeture des églises.

Un procédé qui serait, au fond, pratiqué depuis 50 ans, «par une certaine gauche militante», accuse Claude Chollet. «Souvenons-nous de Guy Debord, l’auteur de La Société du spectacle, qui déclarait “je ne suis pas de gauche, je n’ai jamais dénoncé personne”», ironise-t-il avant de souligner des pratiques peu déontologiques:

«David Perrotin lorsqu’il était chez Buzzfeed France [il travaille aujourd’hui pour Mediapart après un passage chez Loopsider, ndlr] interpellait alors la préfecture de police pour se plaindre qu’une manifestation contre l’Islamisation ait été autorisée», rappelle le Président de l’Observatoire du journalisme.

Ces faits de délation semblent selon lui s’inscrire au sein d’une tendance idéologique plus générale, qui a déjà accepté l’idée de la mise à l’index. Aux États-Unis, elle a été baptisée «Cancel Culture», ou «culture du bannissement», visant à interdire toute forme d’expression non inclusive et dont la délation est le prolongement naturel, et sans doute l’aggravation.

«Cancel culture» et dénonciation publique, même combat?

La France vivrait ainsi les prémisses de ce renversement moral. En août 2020, Valeurs actuelles illustre une fiction avec un dessin de l’élue de LFI Danièle Obono, représentée en esclave. Un dessin quasi unanimement jugé raciste. Le directeur de la publication, Geoffroy Lejeune se voit alors immédiatement remercié par la chaîne d’information LCI, où il le faisait intervenait régulièrement comme chroniqueur.

«Cet excès de Valeurs actuelles contrevient à notre ligne et à nos valeurs», déclarait alors Gilles Pélisson, le PDG du groupe TF1.

L’observatoire du journalisme vient d’éditer une brochure sur cette affaire, Retour sur un emballement médiatique (Éd. Nouvelle Librairie), indique Claude Chollet, pour qui cet «épisode bouffon» symbolise parfaitement la machine médiatique.

«On a vu le monde politique, artistique et encore plus médiatique pratiquer la chasse à l’homme au sujet d’un pastiche, d’une fiction. Tous les ingrédients du médiatiquement correct étaient réunis: racisme, mouvement décolonial, néo-féminisme», tance-t-il.

La loi Avia «contre la haine», qui est actuellement réétudiée à la faveur du projet de loi «confortant les principes républicains» contre séparatisme, allait, selon notre interlocuteur, dans ce sens: en encourageant la signalisation de contenu potentiellement «haineux», elle ne serait «rien d’autre qu’un encouragement à la délation de tous contre tous.»

En janvier 2021, c’est au tour d’Alain Finkielkraut d’être écarté par LCI. Interrogé sur l’affaire Duhamel et la «libération de la parole» sur l’inceste, le philosophe avait maladroitement envisagé le consentement éventuel de la victime, en distinguant l’adolescence de l’enfance dans ce genre d’affaires. Il n’en fallut pas plus pour qu’il soit «jeté en pâture», selon ses mots, et livré à la vindicte médiatique et numérique.

Vers «la société de surveillance»

Il sera rejoint dans son exil par Xavier Gorce, dessinateur du Monde qui fit, lui, le choix de démissionner après la publication d’un dessin humoristique également lié à l’affaire. La directrice de la rédaction présentera même des excuses au nom du quotidien envers les «lectrices et lecteurs qui ont pu en être choqués.»

Nées de la même culture du bannissement, les pratiques du «lynchage public» et la délation peuvent toutes deux, au-delà d’une mort sociale, provoquer des répercussions pénales. La dernière vidéo de Loopsider mettant en cause le commissariat d’Aubervilliers vient d’ailleurs justement d’obtenir l’effet escompté, puisque la préfecture de police a promis des sanctions et qu’une enquête judiciaire, confiée à l’IGPN, a été ouverte. Au mois d’août, Danièle Obono portait plainte contre Valeurs actuelles pour «incitation à la haine raciale».

«Le regretté Philippe Muray [romancier et philosophe, auteur de L’empire du bien, ndlr] parlait “d’envie du pénal”, comme Freud parlait “d’envie du pénis”. La mise à l’index conduit à la mise au tribunal», estime Claude Chollet.

Cette volonté de jeter en pâture à laquelle s’adonnent médias et réseaux sociaux porte même un nom: «La société de surveillance», conclut-il.




Greg Hunter: « Le gouvernement Us est illégitime ! Leur mise en accusation de Trump va leur éclater en pleine Gueule… L’économie américaine est ravagée ! »

[Source : BusinessBourse]

Greg Hunter : « Les démocrates et les républicains veulent que les électeurs de Trump, et cela inclut de nombreux démocrates, disent publiquement que Joe Biden a remporté légitimement les élections de 2020, même si les preuves ainsi que les chiffres démontrent tout le contraire. Mais pourquoi ? Est-ce parce que cette fraude a été si énorme qu’il faut absolument la faire disparaître par tous les moyens ? ou alors est-ce que le Deep State veut vraiment qu’on arrête de douter sur le fait que l’administration Biden soit arrivée au pouvoir légitimement alors qu’il y a beaucoup de personnes aux Etats-Unis qui pensent, en réalité, tout le contraire. J’ai l’impression que cette fraude en effet, a été si importante, qu’il y a de fortes chances que Trump puisse reprendre les rênes du pays un jour ou l’autre. Qui sait, il y a beaucoup de choses étranges qui se passent aujourd’hui dans notre capitale et franchement, on n’avait encore jamais vu ça auparavant. Nous vivons à une époque extrêmement intéressante et surprenante. C’est la seule chose que l’on puisse dire avec certitude…

Les démocrates et certains républicains ont voté pour tenter de destituer le président Trump une seconde fois, et cette accusation est encore plus tordue que la précédente. Ils disent que ses affirmations sur l’énorme fraude électorale qui s’est produite dans toue l’Amérique lors des élections de 2020 sont fausses. Jusqu’à maintenant, pas un seul tribunal, y compris la Cour suprême, n’a entendu ou analysé les preuves. C’est un fait absolument stupéfiant. Sachez que plus de 40 affaires ont été déposées et immédiatement refusées. Il y a quatre autres affaires en suspens devant la Cour suprême des Etats-Unis. Une fois de plus, elles ont été rejetées sans avoir été entendues et sans analyser les moindres preuves. Avec la mise en accusation à la Chambre et le procès au Sénat, le président Donald Trump pourra enfin s’expliquer devant les tribunaux. Ce sera pour lui l’occasion de montrer toutes les preuves de cette incroyable fraude électorale. Cette mise en examen va certainement faire exploser la vérité et va également se retourner contre les démocrates. Espérons que la plupart des américains vont enfin voir et comprendre grâce aux preuves, ce qui s’est réellement passé lors de ces élections présidentielles.

Il y a eu 847 000 nouvelles demandes d’allocation chômage déposées cette semaine. C’est effectivement un chiffre hallucinant et avec l’administration Biden, je peux vous dire que ce genre de chiffres ne vont que s’accentuer avec le temps. Nous le savons tous, l’économie américaine est malade et s’effondre progressivement jour après jour, mais avec les différentes politiques menées par Joe Biden et tous ses clowns, la situation économique de notre pays va s’aggraver comme jamais. »






Tranquillement le ministre de la santé québécois : « On a hâte de commencer à vacciner pour éliminer nos personnes vulnérables »

[Source : Guy Fawkes News]

Cet extrait est issu de cette conférence de presse à 57:00. 
Non seulement le ministre n’a pas corrigé sa déclaration, mais personne ne lui a faite remarquer. C’est passé comme une lettre à la poste.


Autre source :

https://youtu.be/rq-Djg7pk_E



S’échapper du syndrome de Stockholm — passer de la peur du virus (leurre) à un danger réel, la Grande Réinitialisation

Par Dr Nicole Delépine

S’échapper du syndrome de Stockholm[1] — passer de la peur du virus (leurre) à un danger réel, la Grande Réinitialisation

Dans son livre « La peur de la liberté » Eric Fromm décrit un phénomène semblable au syndrome de Stockholm. Il analyse la façon dont le citoyen peut affectionner ou vénérer les figures autoritaires afin d’échapper à l’angoisse que provoquerait une remise en question ou une confrontation au régime politique.

« L’identification à la pensée dominante et l’idéalisation de ceux qui nous régentent deviennent les palliatifs à une réflexion complexe et rationnelle sur la situation sociale vécue. Malgré tous les dommages collatéraux observés en lien avec les mesures sanitaires, les gens qui soutiennent les mesures sanitaires du gouvernement sont-ils en proie à un tel phénomène psychosocial ? »[2].

Le but réel des mesures qu’on nous impose est de mettre les humains en état de sidération pour les rendre complices de nos agresseurs et céder à leur désir, le rêve de l’oligarchie mondialiste. Mais mettre au pas 99 % de la population mondiale au service des milliardaires n’est pas si facile malgré leur puissance financière… qui ne suffit pas toujours, car tout ne s’achète pas dans le monde des humains que ces pervers narcissiques ne connaissent pas.

L’instrumentalisation du covid démasquée [3]

Depuis bientôt un an nous sommes quelques-uns — et heureusement de plus en plus nombreux — à informer sur la grande supercherie de la pseudo-pandémie covid19 liée aux tests PCR incapables de détecter un virus complet susceptible de se transmettre[4] [5], ou du faux risque de contagion par les asymptomatiques mis en scène par les médias. Les chiffres alarmants des malades et morts sont aussi gonflés, additionnant de vrais malades du covid à toutes sortes d’autres causes de mortalité, de l’accident de trottinette à la blessure par balles, tout en interdisant les autopsies[6].

Le spectre de la persistance indéfinie du Covid19 est maintenant entretenu par les mutants (favorisés par les vaccins et leurs taux d’anticorps souvent insuffisants). La vaccination, objectif financier majeur de nos manipulateurs, arrive sur le marché avec de grosses difficultés[7] et des résultats désastreux sur l’épidémie[8] [9]. Il est temps d’en sortir.

Oublions le virus, et armons-nous, au moins intellectuellement, contre la grande réinitialisation

Il est peut-être temps de passer aux raisons profondes de la crise politique mondiale actuelle et de sortir du mensonge Covid, sachant que si vous attrapez cette grippe, il existe de nombreux traitements précoces qui régleront le problème rapidement à condition de les exiger.

Le Great Reset paré du voile du Covid19

L’idée n’est pas nouvelle, puisque depuis les années 70 des documents sortent : livres, vidéos, etc. dont celle de notre célèbre Attali qui demande aux retraités de se suicider à 70 ans[10], sauf ceux de l’oligarchie régnante dont il fait partie (il a dépassé l’âge du suicide qu’il prescrit aux autres).

Un des théoriciens, fondateur en 1971 du forum économique de Davos[11], est Klaus Schwab qui a écrit au moins quatre livres sur le sujet dont le dernier paru en juillet 2020, « Covid et grande réinitialisation » est disponible sur le web[12]. Sa lecture vous libérera de l’idée de « complotisme » et vous montrera les grandes lignes de ce projet terrible, mêlant transhumanisme et fascisme technocratique.

Un livre de science-fiction qu’ils veulent nous imposer dans le monde réel

Nous en donnerons ici quelques extraits reposant essentiellement sur le dernier livre de K.S. pour tenter d’entrevoir les conséquences de sa vision tragique.[13]

« Sa vision fasciste technocratique est une vision transhumaniste tordue, qui fusionnera les humains avec des machines dans des « curieux mélanges de vie numérique et analogique », qui infecteront notre corps avec de la « poussière intelligente » et dans lesquelles la police sera apparemment capable de lire nos cerveaux. »

Nous avons eu quelques échos des espoirs de ces illuminés, par exemple dans les propos de Laurent Alexandre qui fut médecin, largement invité dans les médias, ce qui prouve non seulement la complaisance, mais l’investissement des médias dans ce projet funeste de transhumanisme[14], masqué par des leurres successifs, comme les guerres en Irak ou en Lybie, et depuis un an le pouvoir magique de ce fabuleux virus qui détruirait les hommes.

Non il ne peut rien détruire, sauf si on l’aide via quelques malfaisantes injonctions sanitaires et/ou « vaccin » (expérimentation génique), venu à point pour modifier notre génome et au moins diminuer notre fertilité.

Une triste formation

K.S. (né en 1938) est enfant du « régime policier-État d’Hitler construit sur la peur et la violence, sur le lavage de cerveau et le contrôle, sur la propagande et le mensonge, sur l’industrialisation et l’eugénisme, sur la déshumanisation et la « désinfection », sur une vision glaçante et grandiose d’un « nouvel ordre » qui durerait mille ans. »[15]

Le fascisme du XXIe siècle tente de remodeler l’humanité pour l’adapter aux besoins du capitalisme financier par des moyens ouvertement autoritaires, sous couvert de gouvernance mondiale, de biosécurité, de «nouvelle normalité», de «New Deal pour la nature» et de «quatrième révolution industrielle». Vous reconnaissez ici les thèmes favoris de nos gouvernants et de leur soumission à Greta Grunberg bien formatée par sa famille.

« Schwab, le fondateur octogénaire et président exécutif du Forum économique mondial, se trouve au centre de cette matrice comme une araignée sur une toile géante ».

Le fascisme utilise les pouvoirs l’État pour protéger et faire avancer les intérêts de l’élite ultra riche. Schwab poursuit cette approche dans un contexte insuffisamment dénazifié après la Seconde Guerre mondiale lorsqu’il a fondé en 1971 le Forum européen de gestion à Davos. Il promeut son idéologie du capitalisme d’actionnaires « dans lequel les entreprises sont proches de la coopération avec le gouvernement ».

« Capitalisme des parties prenantes »

L’idée est qu’une entreprise se concentre sur la réponse aux besoins de toutes ses parties prenantes : clients, employés, partenaires, communauté et société dans son ensemble.

Comme le note l’article du magazine Forbes, cela signifie en fait seulement que « les entreprises peuvent continuer à pelleter de l’argent en privé à leurs actionnaires et dirigeants, tout en maintenant un front public d’une sensibilité sociale exquise et d’un altruisme exemplaire ».

Le projet rejette toute idée de démocratie, de domination du système par le peuple, en faveur de la règle : tout pour les intérêts des entreprises. La société n’est plus considérée comme une communauté vivante, mais comme une entreprise dont la rentabilité au bénéfice de l’élite est le seul objectif valable de l’activité humaine.

Son utilisation du terme «parties prenantes» a effectivement redéfini les êtres humains non pas en tant que citoyens, individus libres ou membres de communautés, mais en tant que participants secondaires à une entreprise commerciale massive, dans le but de protéger et d’accroître le pouvoir et la richesse de l’élite capitaliste.

Les «partenariats» que le forum économique mondial de Davos (World Economic Forum) crée visent à remplacer la démocratie par un leadership mondial d’individus choisis par l’élite financière (non élus) dont la tâche n’est pas de servir le public, mais d’imposer la règle du 1 % à ce public avec le moins d’ingérence possible du reste d’entre nous.

Véritable motivation du «capitalisme d’acteurs» : profits et exploitation sous surveillance policière à la chinoise

Hélas, nous ne sommes plus dans un roman de science-fiction, mais bien déjà dans la politique que nous subissons depuis plusieurs décennies, qui s’est déchaînée sans scrupules depuis les trois dernières années. Les mots très durs du Président à l’égard des Français, les riens, les Gaulois réfractaires, etc. ne montrent que sa soumission totale à cette philosophie dont il est un très bon élève. Les «sans dents» de Hollande montrent que le processus était déjà bien engagé. L’entretien tout récent par vidéoconférence de Macron et de K Schwab, à l’occasion du forum de Davos[16] actuel confirme leur étroite collaboration.

L’apôtre de la quatrième révolution industrielle[17]

« Les technologies de la révolution industrielle bouleversent les façons existantes de détecter, de calculer, d’organiser, d’agir et de livrer. Ils représentent des façons entièrement nouvelles de créer de la valeur [= profit] pour les organisations et les citoyens. »

Le sens de «créer de la valeur» n’étant pas clair, il donne quelques exemples :

 « Les drones représentent un nouveau type d’employé permettant de réduire les coûts en travaillant parmi nous et effectuant des emplois qui impliquaient autrefois des personnes réelles »,

« l’utilisation d’algorithmes toujours plus intelligents est d’étendre rapidement la productivité des employés, par exemple, dans l’utilisation de robots de chat (discussions entre humains par internet) pour augmenter (et, de plus en plus, remplacer) « chat humain en direct » de soutien pour les interactions avec les clients par les robots ».

Attention, professions en danger

Selon K.S et affidés, le travail des avocats, analystes financiers, médecins, journalistes, comptables, assureurs ou bibliothécaires peut être partiellement ou complètement automatisé….

Les journalistes feraient bien d’être plus conscients du projet du gouvernement mondialiste et comprendre ce qui les attend si nous laissons faire.

D’ici le milieu des années 2020, 90 % des nouvelles pourraient être générées par un algorithme, la plupart sans aucune intervention humaine (en dehors de la conception de l’algorithme, bien sûr). Le but est 

« une révolution qui change fondamentalement notre façon de vivre, de travailler et de nous relier les uns aux autres, contrairement à tout ce que l’humanité a connu avant ».

Manifestement beaucoup de journalistes sont mal informés ou déjà victimes du syndrome de Stockholm.

Le mythe de l’éducation en ligne

L’épisode confinement sur une grande partie du monde a consisté en une grande expérimentation de l’éducation en ligne QUI FUT UN ÉCHEC. Contrairement aux espoirs des mondialistes et de nombreux professeurs, en particulier d’université, le drame qui se joue actuellement avec l’échec des étudiants à leurs examens, le nombre croissant de décrocheurs y compris dans l’enseignement supérieur, les suicides démontre que le rêve de Davos ne marche pas.

La meilleure éducation en ligne, impliquant « l’utilisation de la réalité virtuelle et augmentée » pour « améliorer considérablement les résultats scolaires » n’est qu’un fantasme qui ne fonctionne pas dans le monde réel.

L’illusion du mythe de la ville intelligente

Les capteurs généralisés et les villes dites intelligentes de notre Méphisto sont en développement, mais rien ne prouve que cela marchera mieux que l’enseignement en ligne.

« Des capteurs « installés dans les maisons, les vêtements et les accessoires, les villes, les réseaux de transport et d’énergie » et les villes intelligentes, avec leurs « plateformes de données » très importantes ».

« Toutes les choses seront intelligentes et connectées à Internet », dit Schwab, et cela s’étendra aux animaux, car « les capteurs câblés dans les bovins peuvent communiquer les uns avec les autres par le biais d’un réseau de téléphonie mobile ».

Il aime l’idée « d’usines de cellules intelligentes» qui pourraient permettre «la production accélérée de vaccins» et les «technologies big data ». Nous y voilà et l’arrivée à toute vitesse dans nos vies de ces vaccins, expérimentations géniques à risque de modification de nos gènes entrent dans cette logique qui ne tombe pas du ciel, mais de la stratégie rêvée des membres de la secte Davos. Il semble que pour être membre, il faut avoir une société à plus de 5 milliards de bénéfice annuel…

Faire de la valeur [= du profit] en cessant de geindre sur nos données privées

Si nous obéissons, nous devrons cesser de nous opposer aux entreprises qui profitent de l’exploitation et de la vente d’informations sur tous les aspects de notre vie personnelle.

« Il sera essentiel d’établir la confiance dans les données et les algorithmes utilisés pour prendre des décisions », insiste M. Schwab.

 « Les préoccupations des citoyens au sujet de la protection de la vie privée dans les structures commerciales et juridiques exigeront des ajustements dans la pensée ».

Fini la pensée autonome, ils veulent nous expliquer quoi penser ! On en voit bien l’expérimentation sur nos chaînes de télévision qui ne nous informent plus, mais nous disent quoi penser sur les faits mensongers qu’ils assènent.

Les technologies de la 4IR[18], déployées via la 5G, représentent des menaces sans précédent pour notre liberté : les outils de la quatrième révolution industrielle permettent de nouvelles formes de surveillance et d’autres moyens de contrôle qui va à l’encontre de sociétés démocratiques et ouvertes. Elles sont déjà fort expérimentées en Chine, modèle actuel de nos gouvernants.

Cela n’empêche pas KS de les présenter sous un jour positif, « la criminalité publique est susceptible de diminuer en raison de la convergence des capteurs, des caméras, de l’IA et des logiciels de reconnaissance faciale ».

Il décrit avec une certaine délectation comment ces technologies « peuvent s’immiscer dans l’espace jusque-là privé de nos esprits, lire nos pensées et influencer notre comportement ».

Science-fiction ou drame moderne ?

« Le prochain modèle d’affaires tendance » pourrait impliquer quelqu’un « échanger l’accès à ses pensées pour l’option de gain de temps de taper un post de médias sociaux par la pensée seule ».

Transhumanisme en marche

Ce nouvel ordre mondial qui tente de s’imposer à nos sociétés sous prétexte d’un petit virus est un transhumaniste qui rêve de mettre fin à la vie humaine et à la communauté naturelle saine.

Les innovations ahurissantes déclenchées par la quatrième révolution industrielle, de la biotechnologie à l’IA, redéfinissent ce que signifie «être humain», tant d’un point de vue biologique que social.

Façonner l’avenir de la quatrième révolution industrielle

Les technologies de la quatrième révolution industrielle ne cesseront pas de faire partie du monde physique qui nous entoure, elles feront partie de nous[19] comme dans les films et séries prémonitoires de Robocop, souhaite K.S. et alliés comme nos dirigeants.

« Certains d’entre nous ont déjà l’impression que nos smartphones sont devenus une extension de nous-mêmes. Les appareils externes d’aujourd’hui, des ordinateurs portables aux casques de réalité virtuelle, deviendront presque certainement implantables dans notre corps et notre cerveau. Les exosquelettes et les prothèses augmenteront notre puissance physique, tandis que les progrès de la neuro-technologie amélioreront nos capacités cognitives ».[20]

Où tracer la ligne entre l’humain et la machine ? Qu’est-ce que cela signifie d’être humain ?

Il invoque un avenir cyborg impliquant « curieux mélanges de la vie numérique et analogique qui redéfinira nos natures mêmes »

Schwab rêve de « puces implantables actives qui brisent la barrière cutanée de notre corps », « tatouages intelligents », « informatique biologique » et « organismes conçus sur mesure ».

Il est ravi d’annoncer que « les capteurs, les interrupteurs de mémoire et les circuits peuvent être codés en bactéries intestinales humaines communes », que « smart dust, des rangées d’ordinateurs complets avec des antennes, toutes beaucoup plus petites qu’un grain de sable, peuvent maintenant s’organiser à l’intérieur du corps » et que « les appareils implantés aideront probablement aussi à communiquer des pensées normalement exprimées verbalement à travers un smartphone “intégré”, et des pensées ou des humeurs potentiellement non exprimées en lisant des ondes cérébrales et d’autres signaux. »

La «biologie synthétique» se profile à l’horizon dans le monde 4IR de Schwab, donnant aux dirigeants capitalistes technocratiques du monde « la capacité de personnaliser les organismes en écrivant de l’ADN ».

Du moins le croient-ils, car ils ont oublié dans leurs rêves les plus fous, la capacité du vivant en général et de l’humain en particulier à s’adapter aux pires attaques. Il leur manque manifestement d’avoir traité des cancers et compris que le dernier remède miracle qui allait faire disparaître le cancer est toujours un mythe et sûrement pour longtemps.

Dans le fameux traité transhumaniste de 2002, Cyborg,[21] vous allez comprendre le rêve de ces milliardaires qui s’ennuient manifestement et reçoivent notre autiste Greta, proche de Soros, à leur forum. Mascotte triste…

Ils feraient bien de tenter de comprendre la flambée de l’autisme parallèle à la multiplication des vaccins obligatoires et du règne de la chimie industrielle. Coïncidence ?

Nous serons les chimpanzés de l’avenir et fiers de l’être

« Si vous êtes heureux avec votre état en tant qu’être humain, alors qu’il en soit ainsi, vous pouvez rester tel que vous êtes. Mais attention — tout comme nous, les humains, nous nous séparions de nos cousins chimpanzés il y a des années, les cyborgs se sépareront des humains. Ceux qui restent en tant qu’êtres humains sont susceptibles de devenir une sous-espèce. Ils seront, effectivement, les chimpanzés de l’avenir. »

Schwab semble faire allusion à l’avenir de l’élite transhumaine artificielle améliorée « supérieure » se séparant de la racaille naturelle.

« Nous sommes au seuil d’un changement systémique radical qui exige que les êtres humains s’adaptent continuellement. Par conséquent, nous pouvons assister à un degré croissant de polarisation dans le monde, marqué par ceux qui embrassent le changement par rapport à ceux qui y résistent.

Cela donne lieu à une inégalité qui va au-delà de la société décrite précédemment. Cette inégalité ontologique séparera ceux qui s’adaptent à ceux qui résistent, les gagnants matériels [les premiers de cordée] et les perdants [les riens, les sans dents, les Gaulois réfractaires] dans tous les sens des mots.

Les gagnants peuvent même bénéficier d’une certaine forme d’amélioration humaine générée par certains segments de la quatrième révolution industrielle [comme le génie génétique] dont les perdants seront privés. Cela risque de créer des conflits de classes et d’autres affrontements différents de tout ce que nous avons vu auparavant. »

Oui, effectivement la résistance sociétale est indispensable

Nous en reparlerons. Nous n’avons pas gagné la bataille contre le gouvernement mondial qui nous enfume avec le climat et le covid19, mais pas perdu non plus. Ils ont oublié la nature humaine, l’humain dans leurs ordinateurs qui ne savent manifestement pas le prendre en compte.

Ceux de Davos qui se rêvent des terminators[22] ont commencé la guerre contre les humains. Ils la perdront si nous nous battons.


Notes

[1] Propension des victimes-otages à sympathiser avec leurs geôliers-bourreaux et à adopter leur point de vue. Ce syndrome a été observé et décrit après un hold-up dans une banque commis en 1973 à Stockholm par deux évadés de prison qui ont pris en otage quatre employés

[2] Ces éduqués non-cultivés. L’ère de la pensée unique : Menace autoritaire et gouvernement mondial — Mondialisation.ca

[3] http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

[4] RAPPORT-DICTATURE-2020.pdf

[5] Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[6] Nombreux témoignages dont celui du CDC américain qui avouent que seulement 6 % des décès déclarés Covid étaient directement et uniquement liés au virus

[7] Robin-Ivan Capar — L’Agence norvégienne des médicaments lie 13 décès aux effets secondaires des vaccins. Ceux qui sont morts étaient frêles et vieux Norway — 14/1/2021

[8] Docteur Gérard Delépine — Le vaccin Pfizer augmente-t-il le risque de contamination et de mort par Covid19 ? — France Soir 16/01/2021

[9] Docteur Gérard Delépine — La mortalité en Israël continue d’augmenter, contrairement à ce que dit le Parisien.

[10] Il n’a pas osé demander le suicide à 30 ans comme dans « l’âge de Crystal » film américain réalisé par Michael Anderson, sorti en 1976. ou, dans un monde postapocalyptique, les humains vivent enfermés dans des villes bulles. Leur mode de vie, géré par des ordinateurs et des automatismes. Mais afin de limiter la surpopulation et de pouvoir gérer les ressources alimentaires rationnées, la vie des individus est limitée à 30 ans, où, sous couvert de renaissance, son corps est purement et simplement désintégré. Pour détecter cette phase, une horloge de vie sous forme de cristal, est implantée dans la paume de chaque humain et change de couleur à l’approche du dernier jour.

[11] Actuellement réuni en janvier 2021

[12] https://www.amazon.fr/COVID-19-Grande-R%C3%A9initialisation-Klaus-Schwab-ebook/dp/B08K1H3C3Q

[13] Extraits largement inspirés de l’article Klaus Schwab and his great fascist reset | winter oak de Winter Oak d’octobre 2020

[14] Romain Scotto Transhumanisme : A quoi ressemblera l’homme « augmenté » de 2050 ? 20 minutes santé 3/6/2016 https://www.20minutes.fr/sante/1831643-20160603-transhumanisme-quoi-ressemblera-homme-augmente-2050

[15] Klaus Schwab et sa grande réinitialisation fasciste/https_off-guardian.org/ ?url=https : Fklaus-schwab-his-great-fascist-reset%2F Klaus Schwab and his great fascist reset | winter oak

[16] Site de l’Elysée — Intervention du Président Emmanuel Macron dans le cadre de l’Agenda de Davos organisé par le World Economic Forum 26/1/2021.

[17] Klaus Schwab avec Nicholas Davis, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution : A Guide to Building a Better World (Genève : WEF, 2018), e-book.

[18] Quatrième révolution industrielle en cours

[19] Dans les films et séries de Robocop, le héros, l’officier Alex Murphy, brutalement assassiné par les membres d’un gang de criminels, est ramené à la vie par l’OCPa, un important conglomérat militaro-industriel et commercial qui le transforme en mi-humain -mi-robot-policier, le RoboCop. Mais la moitié humaine de robocop l’emporte et finit par combattre les dérives mafieuses des dirigeants de la firme qui l’a créé.

[20] Schwab, The Fourth Industrial Revolution (Genève : WEF, 2016), e-book.

[21] Kevin Warwick, I, Cyborg (Londres : Century, 2002), p. 4. Voir aussi Paul Cudenec, Nature, Essence and Anarchy (Sussex : Winter Oak, 2016).

[22] D’après la série de six films américains de science-fiction dont le premier, Terminator réalisé par James Cameron, est sorti en 1984 qui décrit la guerre d’extermination que mènent les robots contre les humains




Discours de Vladimir Poutine au forum de Davos 2021 – L’homme ne doit pas être un moyen, mais un but de l’économie

[Source : Donbass Insider]

Le Président russe Vladimir Poutine a participé à distance au Forum annuel de Davos, qui a lieu cette année du 25 au 29 janvier 2021. Cette année, le principal sujet de discussion est la nouvelle situation mondiale suite à la pandémie de coronavirus. Vladimir Poutine a réitéré ses déjà nombreux appels à la coopération internationale pour résoudre les problèmes les plus graves, mais aussi à résoudre le problème du creusement des inégalités sociales dans le monde, afin d’éviter que les tensions que créent ces inégalités ne finissent pas déboucher sur une instabilité et un conflit globaux. Il parle aussi des dangers que peut représenter le passage au tout robotique et informatique ainsi que le poids excessif de certaines sociétés numériques dans la vie politique des États.


Cher M. Schwab, cher Klaus ! Chers collègues !

J’ai assisté à de nombreux événements organisés par M. Schwab dans les années 90. Klaus vient de se rappeler que nous nous sommes rencontrés en 1992. Au cours de mon travail à Saint-Pétersbourg, j’ai assisté à plusieurs reprises à ce forum consultatif. Je tiens à vous remercier pour l’occasion qui m’est donnée aujourd’hui d’apporter mon point de vue à la communauté des experts, qui se réunit sur cette plateforme mondialement reconnue grâce aux efforts de M. Schwab.

Tout d’abord, Mesdames et Messieurs, je tiens à vous souhaiter à tous la bienvenue au Forum économique mondial.

Il est agréable de constater que cette année, malgré la pandémie, malgré toutes les restrictions, le forum poursuit encore ses travaux. Bien qu’il soit en ligne, il fonctionne toujours et donne aux participants l’occasion de partager leurs évaluations et leurs prévisions dans le cadre d’une discussion ouverte et libre, ce qui compense en partie le manque de communication directe entre les dirigeants, les représentants des entreprises mondiales et le public, qui s’est accumulé au cours des derniers mois. Tout cela est important à un moment où nous avons tant de questions difficiles auxquelles il faut répondre.

Le forum de cette année est le premier de la troisième décennie du XXIe siècle, et la plupart de ses thèmes portent, bien sûr, sur les profonds changements qui se produisent sur la planète.

En effet, il est difficile de ne pas remarquer des transformations fondamentales dans l’économie, la politique, la vie sociale et la technologie mondiales. La pandémie de coronavirus que Klaus vient de mentionner, et qui est devenue un sérieux défi pour l’ensemble de l’humanité, n’a fait que stimuler et accélérer les changements structurels, dont les conditions préalables étaient déjà réunies depuis longtemps. La pandémie a exacerbé les problèmes et les déséquilibres accumulés jusqu’alors dans le monde. Il y a tout lieu de croire qu’il existe des risques d’escalade des conflits. Et ces tendances peuvent se manifester pratiquement dans tous les domaines.

Bien sûr, il n’y a pas de parallèles directs dans l’histoire. Mais certains experts – je respecte leur opinion – comparent la situation actuelle avec les années 30 du siècle dernier. Vous pouvez être d’accord ou non avec cette situation. Mais à de nombreux égards, en termes d’ampleur et de nature complexe et systémique des défis et des menaces potentielles, certaines analogies sont néanmoins justifiées.

Nous assistons à une crise des modèles et des outils de développement économique antérieurs. La stratification sociale s’intensifie, tant au niveau mondial que dans les différents pays. Nous en avons déjà parlé. Mais cela entraîne à son tour une forte polarisation de l’opinion publique, provoque la croissance du populisme, du radicalisme de droite et de gauche et d’autres extrêmes, et aggrave et exacerbe les processus politiques internes, y compris dans les pays leaders.

Tout cela affecte inévitablement la nature des relations internationales et n’y apporte ni stabilité ni prévisibilité. Les institutions internationales s’affaiblissent, les conflits régionaux se multiplient et le système de sécurité mondial se dégrade.

Klaus a mentionné ma conversation d’hier avec le président des États-Unis et l’extension du traité sur la limitation des armes stratégiques. C’est certainement un pas dans la bonne direction. Néanmoins, les conflits se multiplient, comme on dit. Comme on le sait, l’incapacité et le manque de volonté de résoudre en substance de tels problèmes au XXe siècle ont conduit à la catastrophe de la Seconde Guerre mondiale.

Bien sûr, un tel conflit mondial « brûlant » est désormais, je l’espère, impossible, en principe. Je l’espère vraiment. Cela signifierait la fin de la civilisation. Mais, là encore, la situation peut évoluer de manière imprévisible et incontrôlable. Si, bien sûr, rien n’est fait pour l’empêcher. Il est possible que nous devions faire face à un véritable bouleversement du développement mondial, avec une lutte de tous contre tous, avec des tentatives de résoudre les conflits latents par la recherche d’ennemis « internes » et « externes », avec la destruction non seulement des valeurs traditionnelles (que nous chérissons en Russie), telles que la famille, mais aussi des libertés fondamentales, y compris le droit au choix et à la vie privée.

Permettez-moi de noter ici que la crise sociale et de valeurs se transforme déjà en conséquences démographiques négatives, à cause desquelles l’humanité risque de perdre des continents civilisationnels et culturels entiers.

Notre responsabilité commune aujourd’hui est d’éviter une telle perspective, semblable à une sinistre dystopie, pour assurer un développement sur une trajectoire différente, positive, harmonieuse et créative.

À cet égard, je m’attarderai sur les principaux défis auxquels, à mon avis, la communauté mondiale est actuellement confrontée.

Le premier est d’ordre socio-économique.

Oui, à en juger par les statistiques, même en dépit des crises profondes de 2008 et 2020, la période des quarante dernières années peut être qualifiée de succès, voire de super succès pour l’économie mondiale. Le PIB mondial en parité de pouvoir d’achat a doublé en termes réels par habitant depuis 1980. C’est assurément une évolution positive.

La mondialisation et la croissance intérieure ont entraîné une forte reprise dans les pays en développement, permettant à plus d’un milliard de personnes de sortir de la pauvreté. Ainsi, si l’on prend un niveau de revenu de 5,5 dollars par personne et par jour (à parité de pouvoir d’achat), la Banque Mondiale estime qu’en Chine, par exemple, le nombre de personnes à faible revenu est passé de 1,1 milliard en 1990 à moins de 300 millions ces dernières années. C’est assurément un succès pour la Chine. Et en Russie, de 64 millions de personnes en 1999 à environ 5 millions aujourd’hui. Et nous pensons qu’il s’agit également d’un progrès dans notre pays dans la direction principale, soit dit en passant.

Néanmoins, la question principale, dont la réponse permet dans une large mesure de comprendre les problèmes actuels, est de savoir quelle était la nature de cette croissance mondiale, qui en a le plus profité.

Bien sûr, comme je l’ai déjà dit, à bien des égards, les pays en développement ont bénéficié de la demande croissante pour leurs produits traditionnels et même pour de nouveaux produits. Cependant, cette intégration dans l’économie mondiale n’a pas seulement eu pour résultat des emplois et des recettes d’exportation. Mais aussi des coûts sociaux. Y compris un écart important dans les revenus des citoyens.

Qu’en est-il des économies développées, où le niveau moyen de richesse est beaucoup plus élevé ? Aussi paradoxal que cela puisse paraître, les problèmes de stratification ici dans le monde développé ont été encore plus profonds. La Banque Mondiale estime que si 3,6 millions de personnes vivaient avec moins de 5,50 dollars par jour aux États-Unis en 2000, elles étaient 5,6 millions en 2016.

Au cours de la même période, la mondialisation a entraîné une augmentation significative des profits des grandes multinationales, principalement des entreprises américaines et européennes.

D’ailleurs, en ce qui concerne les citoyens, la tendance dans les économies développées de l’Europe est la même qu’aux États-Unis.

Mais encore une fois, quand il s’agit des bénéfices des entreprises, qui en profite ? La réponse est connue, elle est évidente – un pour cent de la population.

Et que s’est-il passé dans la vie du reste des gens ? Au cours des 30 dernières années, dans certains pays développés, le revenu de plus de la moitié des citoyens en termes réels a stagné, n’a pas augmenté. Mais le coût de l’éducation et des services de santé a augmenté. Et savez-vous de combien ? Trois fois.

Cela signifie que des millions de personnes, même dans les pays riches, n’ont pas vu la perspective d’une augmentation de leurs revenus. Et ils doivent faire face à plusieurs problèmes, comment se maintenir et maintenir leurs parents en bonne santé, comment offrir aux enfants une éducation de qualité.

Il y a aussi une accumulation de personnes qui, en fait, ne sont pas employées. Par exemple, l’Organisation internationale du travail estime qu’en 2019, 21 % des jeunes du monde, soit 267 millions de personnes, n’ont ni étudié ni travaillé nulle part. Et même parmi les actifs (voici un chiffre intéressant, des chiffres intéressants), même parmi les actifs, 30 % vivent avec des revenus inférieurs à 3,2 dollars par jour à parité de pouvoir d’achat.

Ces distorsions du développement socio-économique mondial sont le résultat direct des politiques menées dans les années 1980, souvent de manière grossière et dogmatique. Ces politiques étaient basées sur le soi-disant « consensus de Washington ». Avec ses règles non écrites, donnant la priorité à une croissance économique basée sur la dette privée avec une déréglementation et des impôts peu élevés sur les riches et les entreprises.

Comme je l’ai dit, la pandémie de coronavirus n’a fait qu’exacerber ces problèmes. L’année dernière, la chute de l’économie mondiale a été la plus importante depuis la Seconde Guerre mondiale. En juillet, les pertes sur le marché du travail équivalaient à près de 500 millions d’emplois. Oui, la moitié d’entre eux avaient été récupérés à la fin de l’année. Mais cela représente tout de même près de 250 millions d’emplois perdus. C’est un chiffre important et très alarmant. Rien qu’au cours des neuf premiers mois de l’année dernière, les pertes de revenus du travail dans le monde se sont élevées à 3,5 trillions de dollars. Et ce chiffre ne cesse de croître. Cela signifie que les tensions sociales sont en hausse.

Dans le même temps, la reprise après la crise n’est pas facile. Si, il y a 20 ou 30 ans, le problème pouvait être résolu en stimulant la politique macroéconomique (et c’est d’ailleurs ce qu’ils font encore), aujourd’hui, de tels mécanismes sont pratiquement épuisés, ils ne fonctionnent pas. Leurs ressources sont pratiquement épuisées. Ce n’est pas une affirmation infondée de ma part.

Ainsi, selon les estimations du FMI, le niveau de la dette agrégée des secteurs public et privé est proche de 200 % du PIB mondial. Et dans certaines économies, il a dépassé 300 % du PIB national. Pendant ce temps, les taux d’intérêt sont proches de zéro dans les économies développées. Et dans les principales économies émergentes, ils sont à des niveaux historiquement bas.

[NdNM : la dette auprès des banques privées était déjà irremboursable depuis au moins quelques décennies. Que se passe-t-il habituellement lorsqu’un prêteur sur gages ne se fait pas rembourser par un joueur malavisé qui a tout perdu au Casino ? Il envoie ses gros bras ! Ces derniers finissent généralement par se faire rembourser d’une manière ou d’une autre, éventuellement en accaparant certains de ses biens matériels, ou bien en tuant l’imprudent. Que risquent de faire les actionnaires des banques centrales à l’occasion de la Grande Réinitialisation ? Il y a de fortes chances qu’ils ordonnent à leurs hommes de paille de saisir une partie importante des possessions nationales des nations endettées : terrains, bâtiments, entreprises… et même le bétail humain qui deviendra leur esclave. L’alternative serait une guerre mondiale permettant la liquidation d’une bonne partie de la population.

Voir aussi :
Le Vatican conclut une «alliance mondiale» avec les Rothschild, la Fondation Rockefeller et les banques pour créer une Grande Réinitialisation,
Pour tous ceux qui veulent éviter de se laisser formater par le modèle du Forum Économique Mondial selon une «Grande réinitialisation» censée être induite par le coronavirus,
La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19,
Du confinement à la Grande réinitialisation,
Klaus Schwab et sa prise d’otages de masse 2.0,
D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux,
La mort de la propriété privée,
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme,
Great reset : c’est pour bientôt !,
La mondialisation… en marche — 9 alertes rouges,
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
• et Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »]

Tout cela rend la stimulation de l’économie par les outils traditionnels au détriment de l’augmentation des prêts privés pratiquement impossible. L’assouplissement dit quantitatif, qui ne fait qu’augmenter, gonfle la « bulle » de la valeur des actifs financiers et conduit à une stratification supplémentaire de la société. Et l’écart croissant entre l’économie « réelle » et « virtuelle » (d’ailleurs, j’en entends souvent parler par les représentants de l’économie réelle de nombreux pays, et je pense que les participants à la réunion d’aujourd’hui issus du monde des affaires seront également d’accord avec moi) est une menace réelle, porteuse de chocs graves et imprévisibles.

Certains espoirs de pouvoir « redémarrer » l’ancien modèle de croissance sont liés à la rapidité du développement technologique. En effet, les 20 dernières années ont jeté les bases de ce que l’on appelle la quatrième révolution industrielle, qui repose sur l’utilisation généralisée de l’intelligence artificielle, des solutions automatisées et de la robotique. La pandémie de coronavirus a considérablement accéléré ces développements et leur mise en œuvre.

Cependant, ce processus génère de nouveaux changements structurels, je pense tout d’abord au marché du travail. Cela signifie que sans une action gouvernementale efficace, de nombreuses personnes courent le risque d’être au chômage. Et c’est souvent ce qu’on appelle la classe moyenne. Or c’est la base de toute société moderne.

Et cela est lié au deuxième défi fondamental de la décennie à venir – le défi sociopolitique. La croissance des problèmes économiques et des inégalités divise la société, génère l’intolérance sociale, raciale et ethnique, et cette tension éclate même dans les pays dont les institutions civiles et démocratiques apparemment bien établies sont conçues pour aplanir et réprimer ces phénomènes et ces excès.

Les problèmes socio-économiques systémiques génèrent un tel mécontentement du public qu’ils nécessitent une attention particulière, qu’ils exigent que ces problèmes soient résolus de manière concrète. La dangereuse illusion qu’ils peuvent être ignorés, négligés, mis sur le côté est lourde de conséquences. Dans ce cas, la société sera toujours divisée, tant politiquement que socialement. Parce que pour les gens, les raisons d’être mécontents ne sont en fait pas des spéculations, mais de véritables problèmes qui concernent tout le monde, quelles que soient les opinions, y compris politiques, auxquelles on n’adhère. Ou auxquelles on pense tenir. Et ce sont les vrais problèmes qui génèrent le mécontentement.

Je voudrais souligner un autre point fondamental. Les géants technologiques modernes et, surtout, numériques ont commencé à jouer un rôle de plus en plus important dans la société. On en parle beaucoup aujourd’hui, notamment en relation avec les événements qui se sont déroulés aux États-Unis pendant la campagne électorale. Et ce ne sont plus des géants économiques quelconques ; dans certains domaines, ils sont en concurrence de facto avec les États. Leur audience se chiffre en milliards d’utilisateurs qui passent une partie importante de leur vie au sein de ces écosystèmes.

Du point de vue des entreprises elles-mêmes, leur position de monopole est optimale pour organiser les processus technologiques et commerciaux. C’est peut-être juste, mais le public se pose une question : dans quelle mesure un tel monopole correspond-il exactement à l’intérêt public ? Où se situe la limite entre le succès des entreprises mondiales, les services et les prestations demandés, la consolidation des données personnelles et les tentatives de gérer grossièrement, à sa guise, la société, de se substituer aux institutions démocratiques légitimes, en fait, d’usurper ou de limiter le droit naturel des gens à décider eux-mêmes comment vivre, quoi choisir, quelle position exprimer librement ? Nous l’avons tous vu récemment aux États-Unis, et tout le monde comprend ce dont je parle maintenant. Je suis sûr que la grande majorité des gens partagent cette position, y compris ceux qui participent à la conférence avec nous aujourd’hui.

Enfin, le troisième défi, ou plus précisément la menace évidente à laquelle nous pourrions être confrontés au cours de la prochaine décennie, est une nouvelle aggravation de l’ensemble des problèmes internationaux. Après tout, les problèmes socio-économiques intérieurs non résolus et croissants peuvent nous inciter à chercher un responsable pour tous les problèmes et à rediriger l’irritation et le mécontentement de nos citoyens. Et nous pouvons déjà le voir, nous pouvons sentir que le niveau de la politique étrangère, de la rhétorique de propagande augmente. Nous pouvons nous attendre à ce que la nature des actions concrètes devienne plus agressive, y compris la pression sur les pays qui ne sont pas d’accord avec le rôle de satellites obéissants et dirigés, l’utilisation de barrières commerciales, les sanctions illégitimes et les restrictions dans les sphères financières, technologiques et de l’information.

Ce jeu sans règles augmente de manière critique les risques d’utilisation unilatérale de la force militaire – c’est-à-dire le danger du recours à la force sous n’importe quel prétexte farfelu. Il multiplie la probabilité de nouveaux « points chauds » sur notre planète. C’est un tout qui ne peut que nous inquiéter.

Dans le même temps, chers participants au Forum, malgré un tel enchevêtrement de contradictions et de défis, nous ne devons certainement pas perdre notre vision positive de l’avenir et devons rester engagés dans un programme constructif. Il serait naïf de suggérer quelques remèdes miracles universels pour les problèmes évoqués. Mais nous devons tous essayer d’élaborer des approches communes, rapprocher nos positions le plus possible et identifier les sources de tensions mondiales.

Je voudrais répéter ma thèse : la cause fondamentale de l’insoutenabilité du développement mondial est, dans une large mesure, l’accumulation des problèmes socio-économiques. Par conséquent, la question clé aujourd’hui est de savoir comment élaborer la logique des actions afin non seulement de restaurer rapidement les économies et les secteurs mondiaux et nationaux touchés par la pandémie, mais aussi de garantir que cette restauration soit durable à long terme et ait une structure qualitative qui aide à surmonter le poids des déséquilibres sociaux. Il est clair que, compte tenu des contraintes de politique macroéconomique déjà mentionnées, la poursuite du développement économique dépendra davantage de la relance budgétaire, les budgets des gouvernements et les banques centrales jouant un rôle clé.

En fait, nous observons déjà de telles tendances dans les pays développés, et dans certains pays en développement également. Le rôle croissant des États dans la sphère socio-économique au niveau national exige évidemment une plus grande responsabilité et une coopération interétatique étroite sur l’agenda mondial également. Dans divers forums internationaux, on peut entendre des appels constants à une croissance inclusive, à la création de conditions permettant d’atteindre un niveau de vie digne pour chaque personne. C’est la bonne chose à faire, et notre travail commun va absolument dans la bonne direction.

Il est absolument clair que le monde ne peut pas s’engager sur la voie de la construction d’une économie qui fonctionne pour un million de personnes ou même un « milliard doré ». C’est tout simplement une position destructrice. Un tel modèle est par définition non viable. Les événements récents, notamment les crises migratoires, l’ont confirmé une fois de plus.

Il importe maintenant de passer d’une déclaration générale à l’action, de diriger les ressources et les efforts réels pour parvenir à la fois à la réduction des inégalités sociales au sein des différents pays et à la convergence progressive du niveau de développement économique des différents pays et régions de la planète. Il n’y aura alors pas de crise migratoire.

Le sens, l’importance d’une telle politique, destinée à assurer un développement durable et harmonieux, est évident. Qu’est-ce que c’est ? C’est la création de nouvelles opportunités pour chacun, des conditions pour le développement et la réalisation du potentiel humain, indépendamment de l’endroit où il est né et vit.

Et je vais ici présenter quatre grandes priorités. Pourquoi je les considère comme des priorités. Peut-être que je ne dirai rien d’original. Néanmoins, puisque Klaus m’a permis d’exprimer la position de la Russie, ma position, je le ferai volontiers.

Premièrement. Une personne doit avoir un environnement de vie confortable. Il s’agit du logement et des infrastructures accessibles : transport, énergie, services publics. Et, bien sûr, le bien-être environnemental, il ne doit jamais être oublié.

Deuxièmement. Une personne doit être sûre qu’elle aura un emploi, qui lui procurera un revenu en constante augmentation et, par conséquent, un niveau de vie décent. Elle devrait avoir accès à des mécanismes efficaces d’apprentissage tout au long de la vie, aujourd’hui c’est absolument nécessaire, lui permettant de développer et de construire sa carrière, et après son achèvement d’obtenir une retraite et un paquet social décents.

Troisièmement. Une personne doit être sûre qu’elle recevra des soins médicaux efficaces et de qualité lorsqu’elle en aura besoin, que le système de soins de santé lui garantit en tout cas l’accès à un niveau moderne de services.

Quatrièmement. Quel que soit le revenu familial, les enfants doivent avoir la possibilité de recevoir une éducation décente et de réaliser leur potentiel. Chaque enfant a ce potentiel.

C’est la seule façon de garantir le développement le plus efficace de l’économie moderne. Une économie où l’homme n’est pas un moyen, mais un but. Et seuls les pays qui pourront progresser dans ces quatre domaines (ils ne sont pas exhaustifs, je n’ai dit que l’essentiel), mais seuls les pays qui pourront progresser au moins dans ces quatre domaines, assureront un développement durable et inclusif.

Ce sont les approches qui sont au cœur de la stratégie que mon pays, la Russie, met également en œuvre. Nos priorités s’articulent autour de l’individu, de sa famille, et visent le développement démographique et la préservation de la nation, l’amélioration du bien-être des personnes et la protection de leur santé. Nous nous efforçons de créer les conditions d’un travail digne et efficace et d’un entrepreneuriat réussi, afin d’assurer la transformation numérique comme base du mode technologique de l’avenir de tout le pays, plutôt que d’un groupe étroit d’entreprises.

Nous voulons concentrer les efforts du gouvernement, des entreprises et de la société civile sur ces tâches et mettre en place une politique budgétaire stimulante dans les années à venir.

Nous sommes ouverts à la coopération internationale la plus large possible pour atteindre nos objectifs nationaux de développement et nous pensons qu’une coopération sur l’agenda socio-économique mondial aurait un impact positif sur l’atmosphère générale des affaires mondiales également, tandis qu’une interdépendance dans le traitement des questions urgentes acttuelles ajouterait à la confiance mutuelle, ce qui est particulièrement important et urgent de nos jours.

De toute évidence, l’ère associée aux tentatives de construction d’un ordre mondial centralisé et unipolaire, cette époque est révolue. En fait, elle n’a même pas encore commencé. Seule une tentative a été faite dans ce sens. Mais cela aussi est passé. Un tel monopole était tout simplement intrinsèquement contraire à la diversité culturelle et historique de notre civilisation.

La réalité est que différents pôles de développement avec leurs propres modèles originaux, systèmes politiques et institutions sociales ont émergé dans le monde et se sont fait connaître. Et aujourd’hui, il est extrêmement important de construire des mécanismes de coordination de leurs intérêts, afin que la diversité et la concurrence naturelle des pôles de développement ne se transforment pas en anarchie et en une série de conflits prolongés.

À cette fin, nous devons notamment travailler au renforcement et au développement des institutions universelles qui ont une responsabilité particulière pour assurer la stabilité et la sécurité dans le monde et pour élaborer les règles de conduite de l’économie mondiale et du commerce.

J’ai déjà déclaré plus d’une fois que beaucoup de ces institutions traversent des moments difficiles. Nous en parlons constamment lors de différents sommets. Bien sûr, ces institutions ont été créées à une autre époque, c’est clair. Il peut être objectivement difficile pour elles de relever les défis d’aujourd’hui. Toutefois, je voudrais souligner que ce n’est pas une raison pour les rejeter, sans rien offrir à la place. D’autant plus que ces structures ont une expérience unique et un grand potentiel, largement inexploité. Il ne fait aucun doute qu’elles doivent être soigneusement adaptées aux réalités actuelles. Mais il est encore trop tôt pour les jeter à la poubelle de l’histoire. Nous devons travailler avec elles et les utiliser.

Parallèlement, il est bien sûr important d’utiliser des formats d’interaction nouveaux et supplémentaires. Je fais ici référence au phénomène du multilatéralisme. Bien sûr, il peut aussi être compris de différentes manières. Il peut s’agir soit de faire valoir ses intérêts, en donnant un semblant de légitimité aux actions unilatérales alors que les autres n’ont qu’à hocher la tête pour approuver. Ou bien il s’agit d’une véritable unification des efforts des États souverains pour résoudre des problèmes spécifiques dans l’intérêt commun. Dans ce cas, nous pouvons parler du règlement des conflits régionaux, de la création d’alliances technologiques et de nombreux autres domaines, y compris la formation de couloirs transfrontaliers de transport et d’énergie, etc.

Chers amis, Mesdames et Messieurs !

Vous comprenez qu’il existe un vaste champ de travail commun. De telles approches multilatérales fonctionnent vraiment. La pratique montre qu’elles fonctionnent. Permettez-moi de vous rappeler que dans le cadre du format Astana, la Russie, l’Iran et la Turquie font beaucoup pour stabiliser la situation en Syrie et aident maintenant à établir un dialogue politique en Syrie. Bien sûr, avec d’autres pays. Nous le faisons ensemble. Et ce n’est généralement pas sans succès, je tiens à le souligner.

Par exemple, la Russie a entrepris des efforts de médiation actifs pour mettre fin au conflit armé dans la région du Haut-Karabakh, dans lequel les peuples et les États proches de nous – l’Azerbaïdjan et l’Arménie – ont été impliqués. Dans le même temps, nous avons cherché à suivre les principaux accords conclus au sein du groupe de Minsk de l’OSCE, en particulier entre ses coprésidents – la Russie, les États-Unis et la France. C’est également un très bon exemple de coopération.

Comme vous le savez, une déclaration trilatérale entre la Russie, l’Azerbaïdjan et l’Arménie a été signée en novembre. Et il est important qu’elle soit, dans l’ensemble, mise en œuvre de manière cohérente. Nous avons réussi à arrêter le bain de sang. C’est la chose la plus importante. Nous avons réussi à arrêter l’effusion de sang, à obtenir un cessez-le-feu complet et à entamer le processus de stabilisation.

La communauté internationale et, sans aucun doute, les pays impliqués dans la résolution de la crise doivent maintenant aider les zones touchées à relever les défis humanitaires que sont le retour des réfugiés, la reconstruction des infrastructures détruites et la protection et la restauration des monuments historiques, religieux et culturels.

Ou un autre exemple. Je voudrais souligner le rôle de la Russie, de l’Arabie saoudite, des États-Unis et d’un certain nombre d’autres pays dans la stabilisation du marché mondial de l’énergie. Ce format est devenu un exemple productif d’interaction entre des pays ayant des points de vue différents, parfois même complètement opposés, sur les processus mondiaux et leurs propres visions du monde.

Dans le même temps, bien sûr, il y a des problèmes qui concernent tous les États sans exception. La coopération dans l’étude et le contrôle de la pandémie de coronavirus en est un exemple. Récemment, plusieurs variantes de ce que l’on sait être une maladie dangereuse ont fait leur apparition. Et la communauté internationale doit créer les conditions permettant aux scientifiques et aux spécialistes de travailler ensemble pour comprendre pourquoi et comment les mutations du coronavirus se produisent et comment les différentes souches diffèrent les unes des autres. Et bien sûr, nous devons coordonner les efforts du monde entier, comme l’a demandé le secrétaire général de l’ONU et comme nous l’avons demandé lors du sommet du G20 il n’y a pas si longtemps, afin d’unir et de coordonner les efforts du monde entier pour lutter contre la propagation de la maladie et accroître la disponibilité des vaccins contre le coronavirus dont nous avons tant besoin. Nous devons aider les nations qui ont besoin de soutien, y compris les nations africaines. Je parle de l’intensification des tests et de la vaccination. Nous constatons que la vaccination de masse est désormais accessible principalement aux citoyens des pays développés. Alors que des centaines de millions de personnes dans le monde n’ont même pas l’espoir de bénéficier d’une telle protection. Dans la pratique, cette disparité peut représenter une menace générale, car, comme on le sait et comme on l’a dit à maintes reprises, l’épidémie continuera à se prolonger et des poches incontrôlables persisteront. Elle n’a pas de frontières.

Il n’y a pas de frontières pour les infections et les pandémies. Nous devons donc tirer les leçons de la situation actuelle et proposer des mesures visant à accroître l’efficacité du système de surveillance de l’apparition de ces maladies dans le monde et de l’évolution de ces situations.

Un autre domaine important dans lequel nous devons coordonner notre travail, voire celui de la communauté internationale dans son ensemble, est la protection du climat et de la nature de notre planète. Je ne vais rien dire de nouveau ici non plus.

Ce n’est qu’ensemble que nous pourrons progresser dans la résolution de problèmes aussi graves que le réchauffement climatique, la déforestation, la perte de biodiversité, l’augmentation des déchets, la pollution des océans par les plastiques, etc, et trouver le meilleur équilibre entre les intérêts du développement économique et la préservation de l’environnement pour les générations actuelles et futures.

Chers participants du forum ! Chers amis !

Nous savons tous que la concurrence, la rivalité entre les pays dans l’histoire du monde n’a pas cessé, ne cesse pas et ne cessera jamais. En fait, les divergences et les conflits d’intérêts sont aussi une chose naturelle pour un organisme aussi complexe que la civilisation humaine. Toutefois, à des moments critiques, cela ne nous a pas empêchés, mais au contraire, nous a encouragés à unir nos efforts dans les directions les plus importantes et les plus décisives. Et il me semble que nous vivons précisément une telle époque.

Il est très important d’évaluer honnêtement la situation, de se concentrer non pas sur des problèmes mondiaux imaginaires mais bien réels, d’éliminer les déséquilibres qui sont d’une importance capitale pour l’ensemble de la communauté internationale. Et alors, j’en suis sûr, nous pourrons réussir, relever les défis de la troisième décennie du XXIe siècle avec dignité.

J’aimerais terminer ici et vous remercier pour votre patience et votre attention.

Merci beaucoup.

Vladimir Poutine

Source : Site officiel du Kremlin

Traduction par Christelle Néant pour Donbass Insider




La Troïka Kinsey, Rockefeller et Cia, ou le Mal au service du Nouvel ordre mondial

[Source : Marion Sigaut – Officiel]

Dévouée depuis quarante ans à la défense des enfants contre la pieuvre pédo-sadique, Judith Reisman nous livre sa dernière analyse des liens entre la révolution sexuelle, la philanthropie des Rockefeller et les manipulations de la CIA. Ou la collusion entre la dépravation sexuelle, la science sans conscience et les services secrets. Terrifiant.

[Voir aussi une présentation écrite sur Strategika]




Les esclaves ne sont pas libérés plus vite parce qu’ils obéissent mieux

[Source : breizh-info.com]

[Sur la photo :
Covid–1984 est une histoire de couverture
Le cartel médical vous ment
Le cartel médiatique vous ment
Bill Gates vous ment
Le totalitarisme est le véritable virus
et il tue nos libertés
]

Covid-1984 (Telegram) : « Dans l’Histoire du monde, je n’ai pas souvenir que des esclaves aient été libérés plus vite parce qu’ils obéissaient mieux » [Interview]

Sur le canal Telegram, dont nous vous avons expliqué le process récemment, on trouve énormément de chaines qui diffusent du contenu de qualité (voir notre liste mise à jour ici). Parmi elles, Covid-1984 (http://t.me/ReOpenCovid1984) où l’on trouve énormément d’informations — qui ne seront pas communiquées par les médias de grand chemin — au sujet de la crise sanitaire et des politiques mises en place pour asservir les populations au prétexte de les soigner.

Nous avons rencontré l’animateur de la chaîne, qui souhaite rester anonyme et qui a répondu à quelques-unes de nos questions.

Breizh-info.com : Qu’est-ce qui vous a amené à lancer la chaine telegram covid 1984 ?

Covid-1984 (Telegram) : Dès le 1er février, j’ai posé des questions sur cette « pandémie » de chauve-souris mal cuite à l’un de mes oncles, médecin généraliste à la retraite (40 ans de médecine de ville à Paris, 20 ans externe attaché à l’APHP, notamment en réanimation digestive, et qui a travaillé sur le VIH), pour essayer de comprendre ce qu’il en était vraiment et si, réellement et comme on commençait à nous le faire croire, nous allions tous en mourir.

Ses réponses m’ont fait beaucoup sourire et m’ont amené ensuite à passer des heures et des heures à me renseigner, à croiser des sources, à analyser la situation, à interroger d’autres médecins, des infirmières, et je suis vite arrivé à la conclusion qu’on se foutait totalement de notre tronche.

Du coup, dès le mois de mars, j’ai essayé d’apporter quelques informations alternatives sur Facebook ou sur des groupes de discussion privés, parce que je voyais bien où tout cela allait nous mener. J’ai évidemment pris une volée de bois vert, y compris de la part de camarades pourtant formés politiquement, mais j’ai continué, semaine après semaine, mois après mois.

Le problème de Facebook, c’est la visibilité relative (je ne partageais pas en public) et les commentaires sans fin de ceux qui, n’ayant pas pris la peine de bosser un minimum le sujet, viennent expliquer qu’il faut continuer à faire confiance au gouvernement et que les mesures imposées ne sont pas si graves. Comme le résume très bien Florian Philippot, qui fait un gros boulot sur le sujet, quand on rentre dans l’état d’esprit covidiste, on peut toujours trouver une justification aux privations de liberté.

Cela m’a fatigué et j’ai opté pour une chaîne sur le réseau Telegram, ce qui me permet de relayer les informations et analyses sans gaspiller du temps et de l’énergie à répondre aux commentaires. Cela fonctionne assez bien, je crois que la chaîne compte près de 800 abonnés à ce jour et certaines de mes publications ont été vues plus de 2 500 fois. Ce qui est pas mal, mais évidemment trop peu.

Breizh-info.com : Le maire d’Eindhoven (Pays-Bas) a évoqué la possibilité d’une guerre civile en Europe du fait des restrictions, qualifiant les opposants aux mesures sanitaires de « lie » de la société. Qu’en dites-vous ?

Covid-1984 (Telegram) : La guerre civile qui vient et qui aura 15 minutes en retard, j’en entends parler depuis 30 ans.

Ce qui est vrai, en revanche, c’est que nous allons au-devant de cataclysmes sociaux et économiques majeurs, conséquence directe des confinements et des mesures liberticides, et que la seule réponse des gouvernements sera, comme toujours, d’envoyer la police (puis l’armée ?) sur les manifestants et de mâter tout ça en tirant dans le tas.

On a vu lors de l’épisode Gilets Jaunes. Je crains donc plus un massacre de population qui n’est pas armée (condition sine qua non pour parler de « guerre » civile), mais le nombre et le désespoir peuvent faire la différence.

Et cela pourrait vite très mal tourner.

En tout cas, en France comme ailleurs, nos gouvernants s’y préparent, il n’y a qu’à se pencher sur la mise en place de la troupe d’intervention rapide de « super CRS », créée pour intervenir sur les violences urbaines partout sur le territoire.

Notre cher Président nous avait prévenus : « Nous sommes en guerre ». Alors oui, nous sommes en guerre.

Mais pas contre un virus (qui se combat avec une politique de Santé cohérente, des diagnostics, des traitements et des soins, pas avec des masques en papier crépon et des couvre-feux). C’est une guerre ouverte entre les gouvernements, mandatés par quelques assassins psychopathes, et leurs peuples.

Quant à la posture de cet élu hollandais qui parle de la « lie de la société », quand on veut tuer son chien (ou son peuple), on dit qu’il a la rage, et on sait à quel point les mots aujourd’hui n’ont plus aucune valeur, dans des sociétés où règne l’inversion accusatoire.

Lorsqu’il finira pendu par le cul à un lampadaire, il sera un peu plus déférent.

Breizh-info.com : Il semblerait que nous allions tout droit vers un troisième confinement. Vous faites partie de ceux qui appellent les Français à sortir, dès le 1er février, pour quelles raisons ?

Covid-1984 (Telegram) : Déjà, parce que le confinement, contrairement à ce que nous affirmait péremptoirement notre cher Jérôme Salomon, ne sauve pas « une vie toutes les 8 minutes », mais ne sert à rien et pire, il tue.

Par l’absence de soin (les spécialistes ne consultaient pratiquement plus lors du premier confinement de mars 2020), par l’abandon des personnes âgées, par la non-prise en charge des problématiques médicales autres (cancers et pathologies cardiaques en tête).

Les pays qui ont imposé les mesures restrictives les plus strictes sont ceux qui ont connu et connaissent les surmortalités les plus importantes. À l’inverse, les pays qui n’ont presque pris aucune mesure ont des surmortalités très basses.

Ensuite, parce que c’est une privation de liberté absolument intolérable.

Je ne comprends même pas comment autant de mes concitoyens ont pu accepter de rester cloîtrés chez eux, par peur de choper une grippe ou une amende (alors que les attestations dérogatoires permettent d’aller et venir absolument où on veut et quand on veut). Certainement Étienne de La Boetie avait tristement raison quand il évoquait la servitude volontaire il y a près de 500 ans.

Dans l’Histoire du monde, je n’ai pas souvenir que des esclaves aient été libérés plus vite parce qu’ils obéissaient mieux. Alors quand j’entends l’argument du « Reste confiné deux semaines et on pourra revivre normalement », pardon, mais c’est stupide.

Surtout que c’est exactement l’inverse qui se passe depuis bientôt un an. Chaque mesure est une étape supplémentaire vers la soumission totale.

Et la désobéissance civile est une réponse à mon sens mesurée, radicale, non violente et efficace, qui consiste juste à dire : « Nous n’attendons plus votre autorisation pour revivre comme avant, nous vous avons fait confiance une fois, deux fois, maintenant c’est fini ».

Breizh-info.com : La majorité des Français semble toutefois pour les mesures sanitaires strictes. N’est-ce pas finalement aller à l’encontre de la volonté populaire ?

Covid-1984 (Telegram) : Je me méfie des sondages d’opinion. Même s’il est probable qu’une grande partie de la population vive encore dans la peur du virus ou dans la volonté de rester sous la tutelle de Macron et Véran (ou, plus précisément, de Bill Gates et Klaus Schwab), je ne sais pas si c’est réellement la majorité.

Beaucoup de Français commencent quand même à comprendre l’entourloupe.

Mais même si c’est le cas, que cette majorité reste chez elle, vive avec un masque toute la journée, se badigeonne de gel hydroalcoolique, qu’elle aille se faire piquer et qu’elle nous lâche la grappe. Si une majorité de mes concitoyens est hypocondriaque et mue par la trouille, ce n’est pas pour cela qu’elle a raison et que les gens sains d’esprit doivent faire comme elle.

La masse ne comprend pas toujours ce qui se passe.

Et je me réfère toujours à José Antonio Primo de Rivera dans ces cas-là :

« La révolution est l’œuvre d’une minorité résolue, inaccessible au découragement, d’une minorité dont la masse ne comprend pas les premiers mouvements parce que, victime d’une période de décadence, elle a perdu cette chose précieuse qu’est la lumière intérieure. »

Terrible d’actualité, non ?

Breizh-info.com : Comment s’y retrouver dans le flot d’informations, y compris alternatives, concernant la question du Covid-19 ? Comment éviter les pièges sur lesquels les « chasseurs de complotistes » sont prêts à se jeter ?

Covid-1984 (Telegram) : Déjà, il faut arrêter de croire (et c’est un travers du système démocratique) qu’un avis en vaut un autre.

À mon sens, il faut écouter les avis divergents pour se forger le sien, mais il faut être attentif à deux critères :

  • Quel est le CV de la personne qui me parle
  • Quels sont ses intérêts (officiels ou plus masqués)

Je prends un exemple simple.

Le Dr Louis Fouché a fait 11 ans d’études de médecine, 3 ans de DEA d’Éthique de la médecine ; après avoir fait un an de philosophie. Il est médecin réanimateur. Son métier est de soigner et de sauver des gens, toute la journée.

Il est clinicien et a les mains dans le cambouis, si je puis dire.

Le Dr Jérôme Salomon, dont je vous parlais déjà tout à l’heure, a exercé 5 ans seulement comme médecin. Le reste de sa carrière, il l’a passé derrière un bureau à gérer de la paperasse. Il est Directeur général de la Santé, il est donc fonctionnaire de l’État.

Il a été nommé à ce poste par Agnès Buzyn (oui, celle-là même), femme de Yves Lévy, qui accompagnait Bernard Cazeneuve lors de la cérémonie d’inauguration et d’accréditation du laboratoire P4 de Wuhan en Chine (ce même laboratoire dont se serait échappé le fameux virus, décidément le monde est petit).

Alors à votre avis, lequel des deux à un point de vue pertinent, rationnel et objectif ?

Lequel des deux veut réellement le bien des malades, et lequel fait le sale boulot pour le gouvernement ?

On pourrait renouveler cent fois l’expérience, en comparant Raoult, Perronne, Toussaint, Bricaire, Toubiana, avec Laurent Alexandre (chef d’entreprise qui n’a jamais exercé comme médecin), Blachier (il n’a jamais exercé non plus et fait de la projection mathématique), et même Olivier Véran (12 ans de neurologie), qui début mars et dans un éclair de lucidité nous expliquait que c’était le confinement qui permettait la propagation des épidémies grippales.

Sans parler des conflits d’intérêts de certains praticiens avec les laboratoires pharmaceutiques. La plupart des informations sont officielles et trouvables facilement, c’est édifiant.

Pour ce qui est des « chasseurs de complotistes », je crois qu’il ne faut pas s’en soucier. Et le meilleur moyen d’échapper à leurs pièges est de savoir de quoi on parle, d’avoir des sources fiables, de toujours vérifier plusieurs fois les informations.
Et d’arrêter de vouloir toujours se justifier.

De toute façon, à la fin, si vous allez à l’encontre de la doxa officielle, vous serez taxés de complotisme.

Il faut voir ça comme un hommage du vice à la vertu, une médaille plus qu’une insulte. Je rappelle d’ailleurs à ce propos que toutes les « théories du complot » de 2020 se sont finalement avérées exactes.

Breizh-info.com : Comment expliquez-vous la faculté d’accepter d’être réduits au silence et à la mort économique d’une large partie des restaurateurs, des gérants de discothèque, de ce pays. La France est tout de même un pays traditionnellement et historiquement contestataire, et même violent non ?

Covid-1984 (Telegram) : Parce que pour le moment, la plupart touchent des aides de l’État qui leur permettent de survivre. Aides financées par nos impôts, ce qui est un poil agaçant, vous en conviendrez.

Les petits meurent et sont isolés (je crois que 300 discothèques ont déjà déposé le bilan, et ça va continuer), les moyens survivent grâce à ces aides (et à des emprunts qu’ils ne pourront jamais rembourser), et les gros ont des trésoreries (et des aides) qui leur permettent de tenir jusqu’au moment où ils pourront racheter les petits (et au pire, ils licencient à tour de bras, comme le font certains grands hôtels parisiens).

En Italie, ou dans d’autres pays, ces aides ne sont jamais venues ou ont mis 6 mois à être versées. Raison pour laquelle le peuple est descendu plus spontanément dans la rue.

Malheureusement, dans de nombreux cas, c’était plus pour quémander des sous au papa État que pour réellement s’en affranchir et renverser la table.

Est-ce que cela va durer ? Le peuple va-t-il se laisser martyriser encore longtemps sans broncher ? J’en doute. En tout cas, il faudra ne pas rater l’occasion que nous avons de changer le cours de l’Histoire.

Breizh-info.com : Le mot de la fin ?

Covid-1984 (Telegram) : Nous vivons notre pire cauchemar.

Je suis militant politique depuis 1993, et tout ce que nous dénonçons depuis des décennies se met en place sous nos yeux. Chacun doit en avoir conscience, et admettre cette terrible réalité : il est possible que les gens qui nous gouvernent ne nous veulent pas du bien.

Quand on a compris et intégré cette donnée, il est plus facile d’opérer une juste sécession mentale et organique, et d’aller de l’avant. Nous sommes tous devons un choix terrible, celui de faire partie du problème, ou de faire partie de la solution.

Ou en d’autres termes, et puisque ce monde ne nous laisse pas le choix, de rester esclaves ou de devenir des hors-la-loi (ou, à minima, des renards furtifs).

Il est l’heure les amis. Réveillons-nous, battons-nous, avec force, courage, humilité et endurance.

Je vous donne rendez-vous à la Victoire !

Propos recueillis par YV

Crédit photo : wikipedia (cc)
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




La mortalité en Israël continue d’augmenter, contrairement à ce que dit le Parisien

Par Dr Gérard Delépine

[Source : FranceSoir]

En Israël la mortalité Covid19 n’est pas nulle, mais a au contraire battu son record le 26 janvier !

La campagne médiatique glorifiant la campagne de vaccination israélienne sans s’intéresser à l’évolution de l’épidémie[1] nous oblige à revenir sur le sujet des contaminations et mortalité en Israël concomitants à la vaccination afin que nos lecteurs bénéficient d’une information équilibrée.

Une information mensongère

Un article du Parisien[2] signé J. Cl. m’a particulièrement interpellé en affirmant : « Zéro, zéro. Ces dernières 24 heures, Israël n’a dénombré aucune nouvelle contamination et aucun nouveau mort du coronavirus. » Qui a pu le renseigner aussi mal ?  A-t-il été trompé par un employé de Pfizer ? Il aurait dû vérifier ses informations parfaitement incompatibles avec les chiffres des dix jours précédents rappelés ci-après[3]. Ceci est particulièrement grave car les chaines de télévision ont diffusé ce même message, lui faisant probablement confiance.

Dans aucune épidémie de l’histoire ancienne et récente, n’a été observée en un jour une chute totale des contaminations de 4492 à zéro, ni de 79 décès à 0. L’invraisemblance de ces données aurait dû l’interpeller et justifier une vérification, règle d’or des journalistes d’enquête.

Un pari risqué

Le gouvernement israélien a réussi la prouesse de vacciner près de 3 millions de ses concitoyens en cinq semaines, mais a-t-il eu raison de les transformer si vite en cobayes ?

Du point de vue scientifique, c’est passionnant car il s’agit d’un essai thérapeutique phase 3 d’ampleur inégalée qui apportera les réponses aux questions auxquelles Pfizer n’a pas répondu par ses essais bâclés.

Mais d’un point de vue éthique et médical, c’est très discutable. L’association Médicale Mondiale dans la déclaration d’Helsinki rappelant les leçons de Nuremberg stipule qu’un traitement expérimental[4] ne doit être administré que s’il est susceptible de rendre un service personnel à celui qui le reçoit après une information loyale.

Or chez les moins de 45 ans sans comorbidité qui représente 70% des israéliens la balance avantages-risques ne peut être que défavorable ; en effet, à cet âge le risque naturel de la maladie est infime alors que des complications graves en particulier allergiques ont été observées et qu’on ne se sait toujours pas si le vaccin est susceptible d’empêcher les contaminations, ni s’il est capable de diminuer la mortalité. La surveillance serrée de l’épidémie en scrutant l’incidence des contaminations et de la mortalité après vaccination est donc capitale.

Et chez les personnes âgées à risques (qui sont extrêmement peu représentées dans les essais) les risques de complications vaccinales graves ont été mis en évidence par l’alerte lancée récemment par l’agence sanitaire norvégienne [5].

Il est difficile d’être Cassandre [6]

L’évolution inquiétante de l’épidémie observée depuis la vaccination d’après les données publiées par l’OMS m’avait amené à lancer un cri d’alarme[7], largement critiqué dans les médias et rapidement noyé dans une floppée d’articles vantant les succès de cette vaccination d’après les taux d’anticorps ou l’évolution favorable de petits groupes particuliers. Et ces journalistes n’ont pas paru s’intéresser à l’évolution de l’épidémie sur l’ensemble de la population. Or une campagne de vaccination a pour but d’empêcher la transmission de la maladie et de diminuer la mortalité dans la population. Ces deux critères sont les seuls pertinents.

Depuis la vaccination, d’après l’OMS[8], incidence et mortalité quotidiennes se sont envolées avec une incidence de nouveaux cas passée de 2792 le 20 décembre à 4924 le 25 janvier et une mortalité quotidienne passée de 18 le 20 décembre à 69 le 26/1 établissant ainsi le record absolu mensuel (plus de 1000 morts en un mois[9]) et journalier (69) depuis le début de l’épidémie.

Pourquoi les médias toujours prompts à diffuser des communiqués des services de communication des firmes ne s’intéressent plus aux faits objectifs publiés par l’OMS ? Se censurent-ils spontanément ou cèdent-ils aux pressions extérieures ?

Certes, on ne peut affirmer pour l’instant que la vaccination est seule responsable de cette flambée de la maladie. Il ne s’agit pour l’instant que d’une corrélation temporelle, mais d’un signal d’alarme fort.

Après examen du dossier remis à la FDA, Peter Doshi chargé de recherche sur les services de santé pharmaceutiques de l’Université du Maryland estime[10] : « l’efficacité réelle est beaucoup plus faible que celle affirmée jusqu’à présent, bien en dessous du seuil d’efficacité de 50 % fixé par les autorités réglementaires pour l’approbation”.

Or le risque d’une telle flambée après la première injection du vaccin Pfizer avait été précisément souligné par un communiqué de presse de l’Académie de Médecine du 11 janvier [11] :

« dans le contexte actuel de recrudescence épidémique, c’est la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection qui doit être prise en considération.  Le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants ».

Ce même communiqué de presse attirait aussi l’attention sur le risque de favoriser des variants :

 « sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constitue un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination ».

Nous espérons de tout cœur que les craintes que nous inspirent cette aggravation considérable de l’épidémie depuis la vaccination n’annoncent pas une catastrophe vaccinale et qu’après la deuxième injection, les choses s’amélioreront pour nos amis israéliens par l’infléchissement des courbes de contaminations et de mortalité.

Mais cette affaire montre qu’il est dangereux de jouer les apprentis sorciers et d’accélérer les mises sur le marché aux dépens de la sécurité sanitaire.

Auteur(s): Gérard Delépine pour FranceSoir


Notes

[1] https://www.rtl.fr/actu/international/coronavirus-en-israel-non-l-explosion-des-cas-ne-prouve-pas-l-inefficacite-du-vaccin-7800959556.

[2] Coronavirus : en Israël, le vaccin fait chuter de 60% l’hospitalisation des plus âgés Le Parisien 26/1/21 https://www.leparisien.fr/societe/sante/coronavirus-en-israel-le-vaccin-fait-chuter-de-60-l-hospitalisation-des-plus-ages-26-01-2021-8421312.php.

[3] Tableau coronavirus-statistiques.com choisir le pays souhaité, ici nombre de cas en Israël.

[4] Actuellement les vaccins anticovid ne représentent pas des traitements validés par la science car les résultats définitifs complets n’ont pas été publiés.

[5] Covid-19 : l’Agence norvégienne du médicament établit un lien entre 13 décès et les effets secondaires du vaccin France info 16/01/2021.

[6] Cassandre aimée d’Appolon avait reçu en cadeau le don de la prophétie ; mais quand elle l’a quitté, faute de pouvoir lui retirer sa voyance, Appolon s’est vengé en empêchant les gens de croire à ce qu’elle prophétisait. Cela a causé la destruction de Troie par les grecs car Cassandre, qui avait averti qu’il ne fallait surtout pas faire entrer le cheval dans la ville, n’a été crue par personne.

[7] Le vaccin Pfizer augmente-t-il le risque de contamination et de mort par Covid19 ? France soir le 16/01/2021 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-vaccin-pfizer-augmente-t-il-le-risque-de-contamination-et-de-mort-par-covid19.

[8] OMS Covid Dashboard du 27/1/2021 https://covid19.who.int/.

[9] Coronavirus: Israël franchit la barre des 4.000 décès, le taux de contamination grimpe à 9,1% (ministère) I24 news
https://www.i24news.tv/fr/actu/israel/1610919208-coronavirus-israel-franchi-la-barre-des-4-000-deces-ministere.

[10] Peter Doshi Will covid-19 vaccines save lives ? BMJ 27 10 2020 Current trials aren’t designed to tell us : BMJ 2020 ;371 :m4037 http://dx.doi.org/10.1136/bmj.m403.

[11] https://www.academie-medecine.fr/communique-de-lacademie-elargir-le-delai-entre-les-deux-injections-de-vaccin-contre-la-covid-19-quels-risques-pour-quels-avantages/.




L’illusion du choix et de la liberté — L’opposition contrôlée est un mouvement de protestation dirigé par des agents du gouvernement

[Source : Guy Boulianne]

Une opposition contrôlée est un mouvement de protestation qui est en fait dirigé par des agents du gouvernement. Presque tous les gouvernements de l’histoire ont utilisé cette technique pour tromper et maîtriser leurs adversaires. Notamment Vladimir Lénine qui a déclaré : « La meilleure façon de contrôler l’opposition est de la diriger nous-mêmes ». Le comte Mirabeau faisait partie de l’opposition contrôlée, car si tout le monde pensait qu’il soutenait la révolution, en réalité il soutenait la monarchie et était un ami personnel du roi. C’était un agent du gouvernement.

[Par Roderick Campbell, 29 août 2019] — Si vous allez en ligne et recherchez « opposition contrôlée », vous trouverez plus de 2 millions de résultats, et essentiellement tous sont des ordures. C’est une tactique qui a été utilisée tout au long de l’histoire humaine connue, et pourtant vous constaterez qu’Internet a été nettoyé de presque toutes les références significatives. Ma première introduction à l’opposition contrôlée a été le livre 1984 de George Orwell, un roman dystopique qui dresse un tableau éclatant d’un avenir sombre : l’humanité est devenue l’esclave d’une guerre perpétuelle, d’une surveillance gouvernementale inéluctable, d’une propagande insidieuse et d’un déni irrationnel. Cela vous rappelle-t-il le projet pour le nouveau siècle américain ? Cela devrait.

Dans le roman d’Orwell, les gens se concentrent sur les super-États, la police de la pensée et Big Brother. Mais, en fait, le plus grand personnage est une personne oubliable nommée Goldstein; il est le leader de « The Brotherhood » et il est basé sur Léon Trotsky. Dans le récit du roman, Goldstein est censé être le héros dont l’écriture révolutionnaire inspire ces esprits « éveillés » du système à se lever et à démanteler le système corrompu dans lequel ils sont asservis. Pourtant, au fur et à mesure que le roman progresse, Orwell nous révèle bientôt que l’héroïque « Goldstein » n’est rien d’autre que de la fiction, un personnage créé par la culture dominante pour attirer les dissidents au grand jour afin qu’ils puissent être identifiés et neutralisés. Orwell utilise « Goldstein » pour peindre une image vivante de l’opposition contrôlée.

Orwell utilise le personnage de Goldstein pour démontrer une tactique insidieuse, utilisée par la culture dominante, pour contrôler les limites de la dissidence. Ce personnage est effectivement un « piège à rats » pour captiver ces quelques individus qui osent regarder au-delà du voile de notre réalité fabriquée, afin qu’ils puissent être traités et neutralisés avant de fomenter une réelle résistance contre l’hégémonie de l’État.

Aujourd’hui, nous sommes confrontés à une planète mourante. Les entreprises utilisent des marionnettes comme Donald Trump, Boris Johnson et Jair Bolsonaro pour jouer des rôles de rotation en tant que méchants afin de concentrer les masses irréfléchies sur « deux minutes de haine » contre des ennemis fugaces, nous distrayant des forces plus fondamentales derrière notre extinction collective. Notre espèce a été victime de la vision horrible de Gustave Le Bon de foules irréfléchies, divisées les unes contre les autres et incapables de réfléchir profondément. De cette manière, nous devenons si polarisés que nous sommes plus enclins à accepter l’annihilation globale qu’à concevoir la possibilité de changer les systèmes de pouvoir dominants. De cette manière, la politique identitaire nous a rendus incapables de percevoir la réalité objective, et nous refusons ainsi l’apocalypse alors même qu’elle pleut sur nos têtes.

Aux États-Unis, nous témoignons d’une comédie tragique d’opposition contrôlée; deux partis représentant la même cause s’affrontent dans de violentes batailles culturelles, aux dépens des marginalisés et au profit de ces quelques mains invisibles qui amassent les figures abstraites des jeux monétaires. Les États-Unis sont une nation d’opposition contrôlée; le Parti républicain marche de manière incontrôlable vers une envie de mort, tandis que le Parti démocrate contrôle la réaction du public par la faiblesse, le compromis et l’incrémentation. Pour chaque 10 ans qu’ils gagnent, ils donnent 20 ans, et ainsi le cycle va jusqu’à ce qu’il ne reste plus que l’épave en feu d’une planète pillée concentrée dans les silos de quelques bunkers sans espoir habités par des milliardaires fictifs sur une planète morte.

Notre dernière itération d’opposition contrôlée pourrait être Extinction Rebellion, qui est censée être en contraste avec les cultes de la mort de la fin des temps qui contrôlent maintenant une grande partie du monde — y compris des personnalités comme Donald Trump et Jair Bolsonaro. Ce prétendu mouvement de résistance est composé de membres privilégiés de la société qui se drapent dans les robes de la supériorité morale tout en ignorant en grande partie l’esclavage des enfants dans les mines de cobalt nécessaires à leurs iPhones, les écosystèmes dévorants à travers leur papier toilette, et la combustion de la planète vivant grâce à leur consommation de combustibles fossiles. Nous sommes amenés à croire que le théâtre de rue, les marches du week-end et les interviews avec les médias sont en marge de la rébellion. En encadrant le monde de cette façon, ils sont effectivement une opposition contrôlée. Rejoindre leur cause, dans sa forme actuelle, fait bien plus que nous ajouter aux listes gouvernementales; elle nous enferme dans les limites prédéterminées des cultes de la mort qui, en ce moment même, nous conduisent à l’extinction globale.

Dans la politique américaine, on nous demande « voterez-vous le rouge ou le bleu » et dans l’activisme environnemental, on nous demande « allez-vous faire du théâtre de rue ou nier le réchauffement climatique? » En contrôlant l’opposition et en définissant les paramètres d’une rébellion acceptable, les forces de la mort annulent notre capacité à résister de manière significative à notre propre annihilation; ils font de nous à la fois les victimes et les auteurs du génocide.

[Par Aliana, édité par Eric Cram, 4 juin 2020] — L’opposition contrôlée est la technique consistant à jouer deux camps apparemment opposés l’un contre l’autre pour obtenir le résultat souhaité. Ceci est également connu comme la dialectique hégélienne ou la résolution artificielle des conflits. Si un manipulateur peut contrôler le conflit, il peut également contrôler le résultat.

Une dialectique est un débat destiné à résoudre les différences entre deux points de vue plutôt qu’à établir l’un d’entre eux comme vrai. L’opposition qui est créée à travers cela donne le pouvoir à une troisième force qui siège au-dessus et contrôle les deux côtés.

L’opposition contrôlée est une technique de contrôle de l’esprit et fonctionne de pair avec la stratégie de division et de conquête. Pour créer la division, le manipulateur présentera aux victimes l’illusion du choix. S’il n’y a qu’un seul chemin disponible, une personne sentira le contrôle derrière lui et résistera. Mais lorsqu’on lui permet de choisir, même entre deux options pratiquement identiques, on lui donne l’impression d’avoir choisi le résultat et il est beaucoup plus susceptible de l’accepter, de s’y identifier et de le défendre.

À mesure que les gens s’identifient à leur choix, ils considèrent quiconque s’y oppose comme un ennemi. En réalité, les deux camps ont été mis en place et contrôlés par le même maître de marionnettes, et le conflit qui en résulte est toujours à l’avantage du manipulateur.

La politique est une dialectique très évidente. Les gens sont amenés à s’identifier fortement à l’une ou l’autre des positions opposées; conservateur ou libéral. Ces deux parties sont en conflit constant l’une avec l’autre car leurs partisans sont amenés à croire que le changement et les solutions qu’ils souhaitent, incombent au parti pour lequel ils votent.

En vérité, aucune des deux parties ne détient de pouvoir réel autre que celui de rendre les gens conformes à la volonté d’une force supérieure tout en pensant que c’était leur propre décision.

La guerre est un autre excellent exemple de cette technique. Aucune personne saine d’esprit et en bonne santé ne choisirait volontiers la guerre. Pourtant, la guerre est continue et se poursuit dans notre monde. Les seuls qui en bénéficient sont ceux qui contrôlent les mécanismes par lesquels ces guerres sont menées; les armes qui sont fabriquées, les banques centrales et les dettes qui découlent de ces conflits, le carburant nécessaire pour alimenter ces guerres… Ces mécanismes sont tous contrôlés par le même groupe de personnes, et souvent ce même groupe de personnes finance les deux côtés de la guerre.

«… Le cadre pour guider les pensées et les actions dans les conflits menant à une solution prédéterminée. Ceci est accompli en manipulant la conscience dans un modèle circulaire de pensée et d’action. La solution synthétique de ces conflits ne peut être introduite que si ceux qui sont manipulés prennent un parti qui fera avancer l’ordre du jour prédéterminé. »

George Wilhelm Friedrich Hegel

L’Opposition Contrôlée a été utilisée pour nous contrôler, non seulement au niveau physique et mental, mais aussi et à un niveau encore plus grand au niveau spirituel. L’évolution consciente a été ralentie par l’utilisation de cette technique à travers des idéologies telles que la spiritualité New Age et les religions culturelles.

[NdNM : par « religions culturelles », les auteurs entendent probablement les religions telles qu’elles tendent à s’opposer culturellement en divergeant de leur source et de leur esprit originels. Si en essence, leur message est sensiblement le même, dans les faits sociétaux elles tendent à entrer en conflit sur la base d’éléments de plus en plus éloignés de leurs fondamentaux spirituels, jusqu’à amener des épisodes tels que ce qui a été nommé « guerres de religion » et à stimuler le fanatisme au lieu d’encourager le mysticisme, la sainteté et/ou la sagesse.
Voir aussi :
L’histoire cachée de l’effroyable mafia khazare,
Note sur la science, la magie et la religion,
Mourir libre ou vivre esclave,
Note sur la lecture des événements,
Note sur la vision,
La peur et l’espoir comme outils politiques,
NOM : qui tire les ficelles ?,
Note sur le fanatisme,
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources,
La fin des partis politiques,
L’enjeu majeur de notre époque,
Les trois versions d’un conflit.]

Les contrôleurs savent que les humains recherchent inconsciemment une évolution spirituelle et reconnaîtraient quelque chose qui ne va pas avec le système déséquilibré du cerveau gauche dans lequel nous vivons. La solution était de nous présenter leurs propres fausses versions de spiritualité et d’illumination, tout en gardant la vraie connaissance spirituelle occultée. En tant que dernier cul-de-sac avant la mine d’or, cela nous a égarés; loin du vrai chemin et vers la passivité et l’inaction.

Il y a beaucoup de vérités cachées dans le nouvel âge et les enseignements religieux, mais cela nécessite du discernement. L’une des techniques de manipulation consiste à infuser la vérité avec la tromperie. Le manipulateur sait qu’on ne prendra pas de poison évident, alors il le cache dans quelque chose de bon et de vrai pour le rendre agréable au goût.

Le courant sous-jacent imbriqué dans beaucoup de ces enseignements est celui de l’inaction. L’accent est mis sur la croyance et la pensée, plutôt que sur la connaissance et l’action. La sagesse s’acquiert en prenant la connaissance de la vérité, puis en agissant sur cette connaissance. Une action juste est ce qui entraînera en fin de compte le changement dont nous avons besoin dans ce monde. Le nouvel âge et les enseignements religieux ont été conçus pour nous passiver, de sorte que nous ne ferons rien contre l’usurpation de nos droits naturels.

« La sagesse est le pouvoir et le pouvoir est la sagesse, l’un avec l’autre, perfectionnant le tout. Ne sois pas fier, ô homme, de ta sagesse. Discours avec les ignorants aussi bien qu’avec les sages. Si quelqu’un vient à vous plein de connaissances, écoutez et faites attention, car la sagesse est tout. Ne restez pas silencieux quand le mal est dit pour la vérité. Car comme la lumière du soleil, la vérité brille avant tout. Celui qui outrepasse la loi sera tenu responsable. Car c’est seulement à travers la Loi que vient la vraie liberté. Ne faites pas peur aux autres, car la peur est la servitude; un lien qui lie les ténèbres à l’homme »

Philosophie hermétique

De plus, ces idéologies enseignent à ne pas regarder le négatif, l’erreur étant que c’est ainsi que fonctionne la loi de l’attraction; Si vous pensez au négatif, vous l’attirez dans votre vie. C’est une notion attrayante. Les gens évitent naturellement le côté obscur. Mais le contraire est vrai. La connaissance et la compréhension du côté obscur et de la manière dont il est utilisé contre nous, nous permettront de le reconnaître et d’y résister. Si nous ne reconnaissons pas et ne reconnaissons pas les choses les plus sombres, à la fois en nous et autour de nous, nous serons impuissants à nous élever et à les conquérir.

« On ne s’illumine pas en imaginant des figures de lumière, mais en rendant les ténèbres conscientes. Cette dernière procédure, cependant, est désagréable et, par conséquent, peu populaire. »

Carl Jung

Les contrôleurs nous ont donné l’illusion du choix et l’illusion de la liberté. En échange, nous leur avons donné notre conformité à leur système. C’est la sombre vérité. Nous devons l’examiner, le discerner et le reconnaître. Nous devons récupérer notre pouvoir de pensée, agir et commencer à créer des changements. Ignorer cette vérité est le moyen le plus sûr de détruire la vraie liberté.





La gauche face à la guerre sanitaire

[Source : Les 7 du Québec]

De la crise pandémique à la guerre sanitaire

Il y a maintenant un an s’échappait opportunément un coronavirus de type SRAS-CoV-2 concocté dans un laboratoire militaire chinois à sécurité maximale (c’est du moins l’hypothèse admise dans les milieux de l’espionnage). Depuis, la communauté internationale, celle de gauche comme celle de droite, a eu largement le temps de faire son lit et d’élever la voix au milieu de ce qui est devenu la pire crise sanitaire, politique, juridique et économique des temps modernes. C’est du moins ce qu’en a fait la gestion incompétente de la plupart des gouvernements bourgeois et qui en sont aujourd’hui réduit à porter tous leurs espoirs vers des vaccins coûteux, inconnus, bricolés pressés, non validés et risqués.

En pleine cacophonie catastrophique mondiale, on se serait attendu à ce que la gauche, impatiente de s’emparer du pouvoir étatique totalitaire, profite de l’occasion pour tirer le tapis sous les pieds de la droite tétanisée. Au contraire, dans la plupart des pays du monde les gauches n’ont même pas protesté quand les exécutifs nationaux effrayés se sont octroyé des pouvoirs extraordinaires, réservés au temps de guerre, afin de forcer les peuples récalcitrants à rentrer dans le rang des confinements et pour briser toute résistance populaire aux restrictions arbitraires. Encore une fois, comme pour chaque grande guerre, le peuple se retrouve seul face à la confrérie des larbins politiciens de gauche et de droite.

Nous en convenons sans peine, comme le disaient Macron et d’autres leaders de la communauté internationale bancale: «Le monde est en guerre». Hier, c’était contre le terrorisme djihadiste patenté, aujourd’hui, c’est contre le terrorisme viral alambiqué. Ces deux menaces terroristes sont d’envergure mondiale. Mais cette dimension internationale n’est pas le facteur primordial du défi que ces menaces présentent pour les populations nationales. Nous y reviendrons.

La gauche, constatant l’amateurisme de la gestion pandémique confiée à des médecins au service de grandes entreprises pharmaceutiques – tout s’effrite en cette fin de règne capitaliste – la gauche disions-nous préconise de profiter de l’opportunité pour hausser la paralysie administrative de l’ordre national à l’ordre international. Tout le pouvoir à l’OMS, à Bill Gates, à George Soros et aux autres malfrats de la confrérie des milliardaires internationaux.(1)

Lisons plutôt:

«Les nouvelles variantes du virus, qui sont sur le point de gâcher les quelques avancées (sic) de ce qui est déjà une situation dramatique, sont le résultat direct de l’incapacité à apporter une réponse universelle à un problème universel. Le monde de la classe dirigeante avec ses instruments nationaux plus ou moins coordonnés, des systèmes de santé plus ou moins débordés et plus ou moins insuffisants, ne peut pas répondre à une pandémie de cette envergure mondiale. Selon nous, la principale leçon que le développement de l’épidémie laissera aux travailleurs est que les menaces globales auxquelles nous sommes confrontés en tant que classe sociale sont mondiales: le virus, comme la crise, ne connaît pas de frontières et ce qui se passe dans chaque pays affectera les autres pays. Il n’y a tout simplement pas de solutions nationales. Nous ne pouvons même pas nous attendre à une «coordination» internationale; les intérêts de chaque capitale nationale empêchent les classes dirigeantes d’apporter des solutions véritablement mondiales. Ils seront toujours incités à «attendre un peu plus longtemps», à nous pousser à «continuer avec la vie normale» d’abord et ensuite à invoquer «la responsabilité individuelle» tant qu’ils ne perdent pas leur situation concurrentielle.»(2)

Et l’organisation de gauche de conclure :

«C’est l’équivalent de mener des guerres en attendant patiemment qu’elles se terminent d’elles-mêmes. Il est temps d’appliquer dans le monde entier ce que nous avons déjà appris à un coût immense, de résister à la primauté des investissements et des profits sur les vies humaines et d’imposer le confinement total et la fermeture de toute activité non essentielle»(3).

Quelle filouterie démagogique, opposer ainsi les profits des ploutocrates à la vie des populations qui compterait plus que tout autre chose aux yeux des milliardaires cosmopolites et de leurs affidés de la gauche hypocrite. Que répondre devant tant de philanthropie obséquieuse? La gauche accrédite et supporte de la sorte la guerre sanitaire qu’une faction du grand capital mène contre une autre faction, retenant la population mondiale en otage de leur affrontement pour l’hégémonie…quoiqu’il en coûte… au peuple.

Que faut-il attendre de cette guerre sanitaire mondialisée?

Pour notre part nous n’y voyons qu’une hystérie politico-médicale alimentée par le monde pharmaceutique et les entreprises numériques (Big Pharma et Big Tech) qui y voit une opportunité en or de réaliser des fortunes avec de nouveaux médicaments, vaccins, et services en ligne aux dépens de leurs concurrents. Nous anticipons la faillite assurée pour des centaines de milliers de petites et moyennes entreprises et pour des milliers d’autoentrepreneurs créant des millions de chômeurs supplémentaires sur l’ensemble de la planète et particulièrement dans les pays pauvres du tiers monde. Déjà, en Inde et en Afrique, en France et au Canada les suicides de paysans endettés se comptent par milliers.  Enfin, nous voyons se profiler le renforcement de l’État bourgeois totalitaire préparant les conditions d’une 3e guerre mondialisée.(4)

Poursuivons l’énumération du coût social, économique et politique du confinement, du couvre-feu et des autres restrictions imaginés par les tortionnaires de l’État totalitaire.

Le coût économique et social du confinement rapporté à la mortalité effectivement observée est absolument dément, suicidaire et injustifiable.

Un principe de précaution poussé jusqu’à l’absurde dénué de toutes traces de rationalité. Abandonné cependant face à la diffusion de vaccins à ARN messager non validé.

Le système de santé français, ou Canadien, et de la plupart des pays n’est pas encore saturé, malgré les cris d’alarme des faiseurs de peurs. On crée des lits, on évacue vers des hôpitaux moins chargés. C’est un problème de logistique plus que de capacité absolue malgré les coupes budgétaires et les politiques d’austérité.

La surmortalité associée au non-confinement, toutes choses par ailleurs égales, semble toujours être de zéro (pas de « pertes de chance »).

La surmortalité associée au confinement des Ehpads et CHSLD, par contre, semble réel.

Les traumatismes et violences ménagères et sociales associées au confinement sont, elles aussi, bien réelles et dramatiques même si les élites n’en ont strictement rien à faire vu qu’elles ont les moyens, elles, de vivre un confinement confortable.

Les séquelles innombrables qui hanteront nos enfants enfermés, privés d’école et de fratries.

Le système des attestations à la con relève, ni plus ni moins, d’un racket policier.

En France comme au Canada le confinement s’inscrit dans une « loi » d’État d’urgence sanitaire qui relève d’un abus de pouvoir inacceptable et dangereux, ce que le pénaliste Raphaël Kempf nomme une «loi scélérate» (5). De même pour tous les pays qui ont produit chacun leur propre «Patriot Act sanitaire».  
https://les7duquebec.net/archives/261671

La gauche confinée et déconnectée d’avec la réalité du prolétariat opprimé

La 3e guerre mondiale est en marche et je ne crois pas que les masses populaires devraient se mettre à la traîne de la petite bourgeoisie réformiste ou gauchiste.

Il a un siècle que la gauche maintient le prolétariat en laisse avec la promesse que des réformes amélioreront les conditions de vie et de travail, et qu’elles contribueront à hausser la conscience politique des travailleurs, alors qu’en réalité, les réformes sont toujours des mesures visant à consolider l’esclavage salarié. Ces réformes sont moussées par les larbins de la gauche qui une fois au pouvoir font la politique des capitalistes.

La trahison n’est pas le fait de ces larbins politiciens de gauche ou de droite…ceux-là servent leurs maîtres. La trahison commence le jour où  un militant de gauche proclame que les chefs de la gauche offrent une alternative prolétarienne par des réformes politiques et économiques souhaitées par le capital.  La gauche se compromet ainsi à soutenir les manigances du capital et elle en subit aujourd’hui les conséquences. Qu’y a-t-il d’étonnant à ce que le prolétariat fuit toutes les sectes de gauche et toutes les factions de droite ? Le prolétariat a retiré toute crédibilité à tous les larbins politiciens de gauche comme à ceux de droite manifestant ainsi sa conscience de classe.

C’est dans la lutte – classe contre classe – que la conscience de classe s’aiguise. Le mouvement de Résistance populaire à la guerre sanitaire qu’on nous impose indique le chemin à suivre d’Amsterdam à Atlanta en passant par Paris et Montréal. 

https://les7duquebec.net/archives/261626


Notes

  1. Louis Fouché. La corruption de la médecine. https://www.facebook.com/100028301435413/posts/757230411897000/?sfnsn=scwspmo
  2. https://en.communia.blog/covid-mutations-and-the-inability-of-the-system-to-respond-to-a-pandemic/
  3. https://en.communia.blog/covid-mutations-and-the-inability-of-the -system-to-respond-to-a-pandemic/
  4. La 3e guerre mondiale est là : https://les7duquebec.net/archives/261662
  5. https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/03/24/raphael-kempf-il-faut-denoncer-l-etat-d-urgence-sanitaire-pour-ce-qu-il-est-une-loi-scelerate_6034279_3232.html
  6. Stop de lockdown (Pays-Bas) : https://les7duquebec.net/archives/261626



Les personnes âgées meurent comme des mouches après des injections COVID

[Source : Mirast News]

Dénonciateur des foyers de soins de CNA: les personnes âgées meurent comme des mouches après des injections COVID! S’EXPRIMER !!!

Ils cachent les informations importantes ces meurtriers !!!! – MIRASTNEWS

Par Brian Shilhavy

Rédacteur, Health Impact News

James (il donne son nom de famille dans la vidéo) est un CNA (Certified Nursing Assistant), et il a enregistré cette vidéo en tant que dénonciateur parce qu’il ne pouvait plus garder le silence.

James rapporte qu’en 2020, très peu de résidents de la maison de soins infirmiers où il travaille sont tombés malades de la COVID, et aucun d’entre eux n’est décédé pendant toute l’année 2020.

Cependant, peu de temps après avoir administré les injections expérimentales d’ARNm de Pfizer, 14 sont décédés dans les deux semaines, et il rapporte que de nombreux autres sont sur le point de mourir.

La vidéo est longue (47 minutes), et il est clair que James souffre de stress émotionnel, et il admet qu’il n’a rien à gagner à être rendu public, et qu’il perdra probablement son travail pour cela.

Mais il précise très clairement qu’il s’agissait de patients qu’il connaissait et qu’il prenait en charge (il est aussi un «pasteur laïc»), et qu’après avoir reçu une injection d’ARNm, les résidents qui avaient l’habitude de marcher seuls ne peuvent plus marcher. Les résidents qui avaient l’habitude d’avoir une conversation intelligente avec lui ne pouvaient plus parler.

Et maintenant, ils meurent. « Ils tombent comme des mouches. »

Ses supérieurs expliquent que les décès ont été causés par un «super-épandeur COVID-19».

Cependant, les résidents qui ont refusé de prendre les injections ne sont pas malades, selon James.

James dit très clairement qu’en tant que chrétien, il ne peut plus vivre avec sa conscience et qu’il ne peut plus rester silencieux.

Il n’est pas anti-vaccin, mais partage simplement ce qu’il sait être vrai, concernant les personnes dont il s’occupe dans sa profession depuis plus de 10 ans maintenant.

C’est un modèle très clair maintenant. Injectez aux personnes âgées les injections d’ARNm, puis blâmez leurs maladies et décès sur le virus COVID.

La seule raison pour laquelle Big Pharma et leurs médias d’entreprise sponsorisés s’en tirent, c’est parce que plus de travailleurs de la santé comme James ne se manifestent pas pour parler au nom des impuissants.

Même beaucoup dans les médias alternatifs sont coupables de ne pas avoir couvert ce génocide contre nos aînés, comme le dit James, parce que les gens sont plus préoccupés par l’actualité politique de Donald Trump et Joe Biden, tandis que la grand-mère, le grand-père et d’autres sont tués par ces injections.

James demande aux autres CNA, infirmières et membres de la famille de rendre public et de dire au monde ce qui se passe avec ces injections expérimentales d’ARNm COVID.

Combien de vies doivent encore être perdues avant que nous disions quelque chose?

Si vous savez ce qui se passe, mais que vous ne vous exprimez pas, vous faites partie du problème.

Et honte à vous, dans les médias alternatifs, qui vous souciez plus de savoir quel tyran devrait être président que de couvrir le plus grand crime de génocide que ce pays ait jamais connu.

Sauvez ceux qui sont emmenés à la mort; retenez ceux qui titubent vers l’abattage.

Si vous dites: «Mais nous n’en savions rien», celui qui pèse le cœur ne le perçoit-il pas? Celui qui garde votre vie ne le sait-il pas? Ne remboursera-t-il pas chacun selon ce qu’il a fait? (Proverbes 24: 11-12)

La vidéo provient de notre compte Minds.com. Il devrait également être bientôt disponible sur notre chaîne Bitchute et notre compte Rumble.

Traduction : MIRASTNEWS

Source : Health Impact News




Révoltes contre la dictature sanitaire dans plusieurs pays d’Europe

[Source : breizh-info.com]

Dans plusieurs pays d’Europe, des hommes libres se réveillent, et cela inquiète les autorités, qui sortent les matraques et font usage d’une violence inouïe. Aux Pays-Bas ce week end, des violences ont éclaté dans plusieurs villes alors que des manifestants descendaient dans la rue pour protester contre la mise en place , inédite, d’un couvre-feu.

La police a chargé et réprimé sans sourciller les manifestants – ce qui n’a pas provoqué d’indignation médiatique comme on a pu le voir pourtant avec des images similaires en Biélorussie il y a quelques mois – comme en témoignent les images ci-dessous. Des incidents ont été signalés notamment à Amsterdam, Eindhoven, La Haye, Breda, Arnhem, Tilbourg, Enschede, Appeldoorn, Venlo et Ruremond. Une centaine d’arrestations ont été enregistrées.

« Je pense que si on va sur ce chemin, nous nous dirigeons vers une guerre civile », a déclaré dimanche devant les caméras de télévision le maire d’Eindhoven John Jorritsma, qualifiant sans aucune retenue les personnes présentes au rassemblement de ‘lie de la société‘ et suggérant la nécessité d’une intervention de l’armée.

A noter l’incendie d’un centre de dépistage du Covid-19 dans le village d’Urk, dans le nord du pays, samedi soir.

https://youtu.be/KDc9KGpLEjM

Les Pays-Bas ont entamé samedi leur premier couvre-feu depuis la Seconde Guerre mondiale. Il est interdit de sortir de chez soi entre 21h00 et 04h30, et ce au moins jusqu’au 9 février. Tout contrevenant encourt une amende de 95 euros.

En Espagne, en Suède, mais aussi en France, des manifestations commencent à avoir lieu pour dénoncer les mesures sanitaires folles décidées par des dirigeants qui mènent une expérimentation sociale d’ampleur inédite, expérimentation dont le Covid-19 ne semble qu’un prétexte et dont les principaux acteurs, c’est vous, c’est nous.

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Restaurants ouverts, pas de masque obligatoire, que se passe-t-il réellement en Suède ?

[Source : Nexus]

Nous avons contacté l’un de nos journalistes, Olivier Kauffer, vivant à Stockholm depuis plusieurs mois. Dans cette vidéo du 16 janvier 2021, il nous montre images à l’appui comment vivent les Suédois et quelle est la véritable situation sanitaire dans le pays. Les masques ne sont pas obligatoires et les restaurants sont toujours ouverts.

Contrairement à la désinformation des médias français qui circule depuis plusieurs semaines, la situation sanitaire n’est pas catastrophique. La Suède n’a pas confiné le pays, et n’est pas en passe de le faire. Les restaurants sont ouverts et la majorité des Suédois ne porte pas le masque qui n’est pas obligatoire dans les lieux publics. Pour rappel, le jour de ce reportage, la situation sanitaire en Suède et en France était quasiment similaire en termes de mortalité et de proportion de morts sur la population générale (légèrement plus importante pour la France), alors que la France a drastiquement confiné le territoire, imposé le masque obligatoire et fermé les restaurants.

Voici les chiffres officiels au 22 janvier 2021 :

  • Suède : nombre de morts du Covid-19 : 10 921, pour 10 230 000 d’habitants, soit une mortalité de 0,106 %.
  • France : nombre de morts du Covid-19 : 71 998 pour 66 990 000 d’habitants, soit une mortalité de 0,107 %.

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https://youtu.be/-xGLvXTstlI