Appel du Patriarcat Catholique Byzantin pour jeter les masques le 4 avril

[Source : vkpatriarhat.org]

Chrétiens, rassemblez-vous devant les églises le 4 avril !

Chrétiens, le jour de la résurrection, le 4 avril, rassemblez-vous devant les églises ! Arrêtez cette fausse pandémie !

Le Patriarcat Catholique Byzantin (PCB), qui est une voix prophétique, appelle par l’autorité de Dieu : « Chrétiens et gens de bonne volonté, le jour de la résurrection du Christ, le 4 avril 2021, rassemblez-vous devant les églises et célébrez la résurrection du Christ par des chants et des prières ! Ce sera aussi votre résurrection spirituelle face à la peur et à la mort. Jetez les masques par terre à l’extérieur des églises ! Piétinez cette marque d’esclavage et de mort programmée !



Regardez cette vidéo sur: https://prophets-voice.wistia.com/medias/qisbrgc85l   
https://rumble.com/vf3hp7-rassemblez-vous-devant-les-glises-le-4.3.html   
https://cos.tv/videos/play/26822232782967808   
https://ugetube.com/watch/HLtCuPGB2Vgw8GH   
https://gloria.tv/post/mPbJtpcnEg9A3wADx4TvWBbcY   

Téléchargement de vidéo: 122.4 MB, 1280×720 / 36.9 MB, 768×432

La fausse pandémie, les confinements et la maléfique vaccination expérimentale ne visent pas à prendre soin de votre santé. Leur objectif consiste à propager l’infection et la dépopulation génocidaire : la mort ! Dressez-vous contre l’esprit du mensonge et de mort : Satan et ses serviteurs ! Seul Dieu peut arrêter ce génocide planifié. Le jour de la résurrection, il vous demande : sortez de l’église ! C’est votre geste de foi. N’ayez pas peur de la persécution ou du martyre! Lorsque vous répondez à la demande de Dieu, Dieu interviendra ! »

OÙ ? En dehors de l’église.

QUAND ? A Pâques, le 4 avril, à 9 heures.

QUOI ? La victoire du Christ ! Chantez ! Priez ! Jetez et piétinez le masque !

POURQUOI ? Dieu veut que vous le fassiez !

Le Christ est ressuscité ! Il est vraiment ressuscité !

En vous accordant une bénédiction,

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

Téléchargement: Chrétiens, rassemblez-vous devant les églises le 4 avril !


Voir aussi : https://bcp-video.org/fr/le-jour-de-la-resurrection/




Florian Philippot : « Il faut rouvrir tout, tout de suite »

[Source : Sud Radio]




Parlement européen : Ivan Vilibor Sinčić balance tout !

[Source : rumble.com]






Entre une policière espagnole et l’AFP, qui désinforme le plus ?

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Wolf WAGNER pour FranceSoir

Suite à l’appel vidéo lancé par une policière espagnole incitant les spectateurs à enquêter sur ce qu’elle considère être « un recul inquiétant de la démocratie et des libertés » au sein de pays comme la France et l’Espagne, qu’elle qualifie de « dictatures sanitaires », l’AFP-Factuel, le service de vérification de l’Agence France Presse, lui a répondu en dénonçant les incohérences et autres fausses informations qu’elle pense déceler dans son discours. Problème : l’AFP s’appuie elle-aussi sur des informations erronées pour asseoir sa démonstration. Pire, elle ne peut l’ignorer, puisque France Soir l’en avait déjà avertie.

Sonia Vescovacci est, comme nous le rapporte le site Publico cité par l’AFP dans son article, officier du Corps national de police espagnole (CNP). Elle est également à la tête du collectif « policiers pour la liberté » (« policiàs por la libertad », la traduction en français de la description du collectif est proposée sur ce blog). Un collectif qui avait notamment appelé fin 2020 les agents des forces de l’ordre espagnoles à ne pas verbaliser les citoyens ne portant pas de masque ou ne respectant pas les restrictions sanitaires.closevolume_off

Dans sa dernière vidéo rapidement devenue virale, la policière, qui déclare avoir grandit dans la région marseillaise, se présente devant la caméra en uniforme et s’exprime dans un français à la tonalité hispanique. Elle y dénonce des « lois liberticides, absurdes et sans fondement scientifique » et appelle les citoyens et les journalistes à enquêter sur « les anomalies, les mensonges et les incohérences » existant autour de la crise actuelle, ainsi que sur cette « dictature sanitaire » qui, selon elle, fera « prochainement place à une dictature économico-techno-sanitaire ».

Considérée par les uns comme une « lanceuse d’alerte », elle est moquée et raillée par les autres. L’AFP en tête.

Dans son papier, l’Agence France Presse isole quatre points contenus dans les propos de Sonia Vescovacci qu’elle considère comme fallacieux :

– Les tests PCR sont frauduleux

– Les masques sont inutiles et toxiques

– Il existe des traitements capables de mettre fin à la pandémie

– Les vaccins sont toxiques

Une logorrhée d’arguments accessoires

Concernant ces quatre points, l’Agence France Presse va mettre en avant une logorrhée d’arguments nous renvoyant vers différents articles qu’elle a déjà écrit. Plusieurs heures de lecture vous seront ainsi nécessaires si vous souhaitiez consulter l’ensemble des papiers et autres références vers lesquels nous renvoie l’AFP.

Quelle meilleure preuve possible, pour nous convaincre que cette démonstration faite à l’encontre des arguments avancés par Sonia Vescovacci est juste, que celle de constater que l’AFP avait déjà éclaircie et largement étayée cette problématique ? Sous-entendu qu’il est particulièrement agaçant pour l’agence de presse de devoir nous informer à nouveau sur un sujet qu’elle pensait pourtant à présent entendu par chacun, tant elle avait déjà longuement écrit et « enquêté » sur le sujet.

Comment en vouloir à l’AFP de se sentir agacée de devoir se répéter quand nous le sommes nous-mêmes de lui faire à nouveau remarquer qu’elle ne cesse de toujours mettre en avant les mêmes arguments erronés ?

À l’instar de la manière d’opérer des complotistes les plus fantaisistes, obsédés par la conquête d’un auditoire qui, pour se laisser séduire, réclame de nos jours des théories aux allures de plus en plus vraisemblables, factuelles et argumentées, l’AFP pratique la technique de la « noyade de poisson ». Dit de manière plus intellectuelle, l’agence de presse verse dans le sophisme. En assénant sur un même thème des dizaines de paragraphes reposant principalement sur des préceptes factuellement vrais, l’agence de presse en profite ainsi pour faire passer des contre-vérités et pour, in fine, fuir les véritables questions posées qu’elle entendait pourtant éclaircir.

Par exemple, Sonia Vescovacci parle de « fraude aux tests PCR que l’on appelle aussi la fabrique de faux cas positifs pour ensuite justifier la mise en place de mesures pernicieuses ». Elle déclare que, selon elle, « l’inventeur de ce test, le prix nobel Kary Mullis, a bien expliqué que ce test ne pouvait pas servir à diagnostiquer de maladies et encore moins le covid… encore moins si l’on l’utilise couramment comme des cycles d’amplification supérieurs à 25 comme c’est le cas à 99% ».

Ce que l’agence de presse résumera ainsi : « La policière fustige, dès le début de sa vidéo, « une fraude aux faux cas positifs pour les tests PCR » et assure qu’ils ne sont pas efficaces si on les utilise « avec des cycles d’amplification supérieurs à 25 comme c’est le cas à 99% » ».

Notez comment l’AFP détourne le sens du discours de la policière. Elle qui explique que « ce test ne pouvait pas servir à diagnostiquer de maladies et encore moins le covid… encore moins si l’on l’utilise couramment comme des cycles d’amplification supérieurs à 25 » voit ses propos être mutilés en : « la policière (…) fustige qu’ils ne sont pas efficaces si on les utilise avec des cycles d’amplification supérieurs à 25 ». La partie considérant l’efficacité d’un test en fonction de sa capacité à détecter une maladie a été retirée, vidant ainsi de son sens le propos initialement défendu par Sonia Vescovacci.

Et c’est du coup sur cette base tronquée, et donc fallacieuse, que l’AFP va contredire la policière en expliquant pourquoi il est, à juste titre, faux d’annoncer que les tests PCR ne sont pas en mesure de détecter le Sars-CoV-2. Pour autant, tout au long de son argumentaire, l’agence de presse prendra précisément bien garde à rester beaucoup plus évasive concernant la nuance existant entre « présence de virus » et « maladie ».

Pour remettre en question les propos de l’agent des forces de l’ordre espagnoles, l’AFP va brièvement rappeler avoir déjà « démystifié » l’affirmation selon laquelle Kary Mullis aurait déclaré que les tests ne permettaient pas de diagnostiquer « des virus ». L’agence de presse nous renvoie ainsi vers deux articles, l’un du journal Le Monde et le second issu de son cru. (cf le point 2.).

Dans ces papiers, il est expliqué que, contrairement à une affirmation largement relayée sur les réseaux sociaux, jamais Kary Mullis n’a dit que « les tests PCR étaient incapables de détecter des virus ». Dont acte, mais l’AFP nous emmène bien sur un chemin de recherche qui ne convient pas à l’objet du débat instigué par la policière, puisque celui-ci porte sur la détection, via ces tests PCR, de maladies, et non de virus.

Une nuance qui ne semble vraiment pas évidente aux yeux de l’AFP qui considère peut-être qu’il n’est pas possible d’être porteur d’un virus, voire d’une infime part de virus, sans pour autant être malade ? Ce qui serait bien évidemment une erreur d’analyse non-négligeable.

Toujours est-il que dans ce second papier, l’agence de presse s’épanche un peu plus sur la question de la fiabilité du test et en vient à conclure qu’il « est exact en revanche qu’il n’est pas conçu pour déterminer précisément la quantité de virus présent dans l’échantillon ».

De son côté, l’exposé du Monde se contente de retrouver l’article originel d’où est véritablement tirée la phrase partagée sur les réseaux sociaux et dont l’auteur, John Lauritsen, n’est en effet pas l’ancien prix Nobel de chimie inventeur du test PCR.

En résumé, ces conclusions de l’AFP sur l’efficacité des tests PCR sont pour le moins déconcertantes, puisque selon elle :

  • Il est inexact de déclarer que ces tests empêcheraient de détecter des virus, alors que Sonia Vescovacci parlait de maladies.
  • Cette détection est réalisée à l’aide de tests dont l’agence de presse consent à reconnaître que leur résultats ne permettent pas de quantifier la présence d’un virus, et donc implicitement de pouvoir estimer sa proportion à pouvoir rendre malade l’organisme qui le porte.

Face à cette argumentation aux aspects proches de celui d’un oxymore, nul doute que les esprits les plus cyniques auront tendance à vouloir répondre à l’Agence France Presse : Kamoulox ! 

Une conclusion particulièrement contradictoire qui n’est pas, ou plus, partagée par Reuters (texte en anglais). En effet, l’agence de presse britannique qui, comme Le Monde, avait également décidé de classer cette citation attribuée à Kary Mullis (« PCR tests cannot detect free infectious viruses at all », c’est-à-dire « Les tests PCR ne peuvent pas du tout détecter les virus libres et infectieux ») comme « fausse » a finalement décidé de se rétracter pour la qualifier de « trompeuse ».

Reuters explique, tout comme l’AFP l’avait fait avant elle, que « le contexte autour de la citation montre que Lauritsen ne dit pas que les tests PCR ne fonctionnent pas. Au lieu de cela, il précise que la PCR identifie les substances qualitativement et non quantitativement ».

« Les tests peuvent détecter les séquences génétiques des virus, mais pas les virus eux-mêmes. »

Là où l’interprétation varie entre les deux agences de presse, c’est lorsque Reuters cite l’extrait de l’article de Lauritsen incluant la fameuse phrase polémique : « La PCR est destinée à identifier les substances de manière qualitative, mais de par sa nature même, elle n’est pas adaptée à l’estimation des nombres. Bien qu’il y ait une fausse impression commune que les tests de charge virale comptent réellement le nombre de virus dans le sang, ces tests ne peuvent pas détecter du tout les virus libres et infectieux (…) Les tests peuvent détecter les séquences génétiques des virus, mais pas les virus eux-mêmes. ».

Ce qui incite Reuters à conclure en notant que « même si Mullis avait fait une déclaration similaire avant sa mort en 2019 (ndla : comme par exemple ici), cette citation ne signifie pas que le test PCR est incapable de détecter la présence du SARS-CoV-2 (…) [mais] plutôt qu’il ne peut pas déterminer si l’individu testé est infectieux (ndla : « infectious » se traduit en français par « infectieux », il faut donc comprendre ici : « il ne peut pas déterminer si l’individu testé est contagieux et/ou porteur d’un virus infectieux ») ».

En résumé :

  • Avant sa mort, Mullis avait bien fait une déclaration similaire à celle de Lauritsen, ce pourquoi Reuters a requalifié la citation comme « trompeuse ».
  • Le test PCR est bien en mesure de détecter des traces de virus, mais il n’est pas capable de qualifier dans quelle proportion il s’est développé dans l’organisme sur lequel on a détecté sa présence, tout comme il n’est pas en mesure de déceler si vous êtes malade.

Soit, en définitive, une conclusion proche de ce qu’affirmait Sonia Vescovacci lorsqu’elle disait que : « ce test ne pouvait pas servir à diagnostiquer des maladies et encore moins le covid ».

Même si l’AFP a dénaturé le sens de ses propos, l’agence de presse a, ainsi que Le Monde et Reuters, démontré de manière plus ou moins explicite et consciente que les tests PCR ne faisaient en réalité que révéler la présence, même inactive et infime, d’un virus dans un organisme, sans pour autant être en capacité de qualifier si un individu était malade.

Or, en médecine, la différence entre un individu qui abrite un virus et celui qui est malade est bel et bien de taille. Une différence si notable que nous pourrions trouver là motif à nous interroger sur la fiabilité des tests positifs au Covid quotidiennement recensés sur des personnes « asymptomatiques » et en pleine possession de leurs moyens.

« Le nombre de cycles, on s’en fiche » ?

Une nuance qui devient d’autant plus importante puisque, selon Sonia Vescovacci, ce test devient de moins en moins fiable dès lors qu’on « l’utilise couramment avec des cycles d’amplification supérieurs à 25 ».

La policière fait ici référence à la méthodologie utilisée lors de la recherche de virus à l’aide de ces tests. Plusieurs cycles d’amplification sont effectués sous diverses conditions. Plus vous effectuez de cycles, plus vous avez ainsi de chances de déceler la présence d’un virus. Une méthodologie expliquée dans cette vidéo des Hôpitaux universitaires de Genève et reprise en exemple par l’AFP dans son article.

https://www.youtube.com/embed/_IiCS5r9gaU

À la différence des propos tenus par l’agent des forces de l’ordre espagnoles, pour l’AFP il n’est pas possible de parler de manière générique concernant ces cycles d’amplification, puisque, comme l’agence de presse le démontre, chaque type de tests PCR répond à des technologies et à des normes différentes. De plus, selon les caractéristiques du virus que vous recherchez, vos analyses se devront d’être plus ou moins approfondies. Vouloir fixer une barre universelle maximale à 25 cycles d’amplification n’aurait donc pas de sens.

C’est ce qu’explique à l’AFP Vincent Enouf, directeur adjoint du Centre national de référence des virus respiratoires de l’Institut Pasteur : « cette valeur est généralement comprise entre 10 et 45. (…) En fait le nombre de cycles, on s’en fiche, tout dépend de la PCR, de la technologie que vous utilisez ».

« On s’en fiche » dans le sens où le nombre de cycles optimal à effectuer variera selon le virus et selon la technologie utilisée. Il ne peut donc pas y avoir de seuil normé.

« On s’en fiche » donc surtout en tant que référence universelle, mais s’en fiche-t-on réellement dans l’absolu ?

Quid d’un éventuel seuil, propre à chaque type de tests PCR (par exemple et au hasard 25 cycles pour l’un, 35 pour l’autre, 45 pour un troisième), qui une fois franchi rendrait caduc le résultat d’un test, tant on aurait multiplié ses cycles d’amplification au point de détecter d’infimes parties de virus qui n’impliqueraient aucune maladie chez le sujet testé ? À moins que l’AFP et Vincent Enouf ne considèrent qu’un test reste fiable quel que soit le nombre de cycles effectué ?

Il est malheureusement impossible de le déterminer après lecture du flot d’articles pourtant proposé par l’AFP sur ce sujet. En étant à la fois incapable de définir s’il existe un seuil maximal de cycles à ne pas dépasser pour chaque technologie utilisée, tout en n’ayant aucune idée du nombre de cycles d’amplification effectué dans les différents laboratoires français, l’Agence France Presse est, contrairement à ce qu’elle s’estime être en mesure d’affirmer, factuellement dans l’impossibilité de nous apporter des éléments tangibles permettant de contredire sur le fond Sonia Vescovacci quant à la potentialité que les résultats de tests PCR puissent être, d’une manière ou d’une autre, frauduleux.

En l’état, l’agence de presse s’obstine simplement à expliquer pourquoi le stade fixé à 25 cycles par la policière est en soi un non-sens et pourquoi ces tests sont bien en mesure de déceler la présence du virus. Si l’AFP a raison sur ces points, cette superposition d’arguments orchestrée autour de questions secondaires sonne davantage comme des victoires à la Pyrrhus pour sa démonstration, puisque in fine, face à un poisson refusant de se noyer, nous restons sur notre faim.

Peut-être ces tests PCR peuvent-ils être frauduleux si sujets à trop de cycles d’amplification, peut-être pas, mais ce n’est pas à la lecture de l’article de l’AFP, et de ses nombreux satellites, que nous sommes plus avancés pour le définir. Pourtant, ces-derniers entendaient bien répondre à notre attente par la négative, tout en prétendant contester la véracité des propos tenus par Sonia Vescovacci.

Une vingtaine de scientifiques, un grand média et des juges portugais ne partagent pas les mêmes conclusions que l’AFP 

Ce manque d’informations autour de la fiabilité d’un test en cas de dépassement d’un certain nombre de cycles est d’autant plus dommageable que cette question n’est quasiment jamais soulevée dans la presse, tout comme la vidéo des Hôpitaux universitaires de Genève ne l’explicite pas non plus. À l’inverse, ils sont nombreux à dénoncer une aberration autour de ce sujet. C’est notamment le cas de cette vingtaine de scientifiques dont l’étude remet en cause l’utilisation des tests PCR sous leur forme actuelle.

Et ils ne sont pas les seuls. Au Portugal, des juges ont qualifié de « discutables » les résultats obtenus par ces tests, notamment concernant ces ambiguïtés touchant aux cycles d’amplification.

En Belgique, un « grand média », la RTBF, ira même jusqu’à communiquer le nombre de cycles réalisé, selon eux, dans le plat pays : « entre 30 et 35 ». Mieux, la RTBF interrogera Frédéric Cotton, responsable de l’un « des cinq plus grands labos belges ». qui admettra « [qu’]aujourd’hui, on n’a peut-être pas intérêt à autant amplifier le virus parce que le risque est d’en détecter parfois des traces d’un virus qui n’est plus infectieux, d’un virus entre guillemet mort ».

Frédéric Cotton ajoutera, avec un certain bon sens que l’AFP aime à occulter dans ses analyses, que « cela dit, on devrait pouvoir donner au médecin un résultat de dépistage où le nombre de cycles seraient mentionnésce qui lui donnerait une meilleure idée de la contagiosité de son patient Covid. (…) N’empêche en attendant, une standardisation, les labos pourraient commencer à donner une évaluation de la quantité de virus (faible, moyenne ou forte), ce serait un progrès. ».

Un progrès qui permettrait surtout d’offrir de la transparence à l’étude scientifique et publique relative à la fiabilité de ces tests, puisque selon Frédéric Cotton, il suffit de communiquer sur la quantité de virus détectée à chaque cycle pour avoir une idée bien plus précise de la contagiosité, et donc de la charge virale d’un individu. De quoi y voir beaucoup plus clair dans la différenciation à réaliser entre les cas les plus graves et ceux les plus anodins.

Dans Hold-up, le documentaire de Pierre Barnéras, qui avait défrayé la chronique l’an dernier et dont les approximations et diverses projections subjectives avaient permis de dénaturer son travail journalistique aux yeux de l’opinion publique, figurait l’extrait d’un reportage de 8 Mont-Blancune chaine de télévision savoyarde disponible sur le cable. Dans cet extrait, un analyste était interrogé sur le nombre de cycles d’amplification effectué dans son laboratoire (à partir de 11’06 »)Ce-dernier expliquait alors devant la caméra procéder à des recherches allant jusqu’à 50 cycles, ponctuant sa phrase par « ce qui fait qu’on est très très très très sensible (sic) »

Image tirée du reportage réalisé par 8 Mont-Blanc dans un laboratoire effectuant des tests jusqu’à 50 cycles d’amplification.

Qu’importe l’avis que chacun s’est fait sur Hold-Up, ce passage est extrait d’un reportage réalisé par une rédaction de journalistes, dont le travail ne peut pas, faute de contradiction probante, être remis en question.

Si grâce à l’AFP nous sommes à présent en mesure d’affirmer que le seuil de 25 cycles ne peut pas être pris comme référence universelle maximale à ne pas dépasser pour obtenir des résultats fiables lorsque l’on cherche à détecter la présence suffisamment importante d’un virus dans un organisme, nous restons en revanche ignorants sur l’interprétation que nous pouvons faire vis à vis d’une amplification portée à 50 cycles, et ce, quelle que soit la technologie utilisée par ce laboratoire. Les seules réponses que nous ayons pour le moment émanent d’individus qui ne sont, certes, pas journalistes à l’AFP, mais qui le sont néanmoins bien à la RTBF, ou qui sont des scientifiques reconnus, quand ils ne sont pas juges au Portugal, et qui, tous, remettent en cause la fiabilité supposée implacable des tests PCR.

Quant au responsable du grand labo belge, s’il juge déjà qu’à « 30 à 35 cycles », « on n’a peut-être pas intérêt à autant amplifier le virus parce que le risque est d’en détecter parfois des traces d’un virus qui n’est plus infectieux, d’un virus entre guillemet mort », il serait intéressant de le questionner sur la technologie utilisée permettant, selon lui, de nécéssiter de monter jusqu’aux 50 cycles évoqués dans le reportage de 8 Mont-Blanc.

N’en déplaise à l’AFP, voici la preuve a minima que le débat scientifique et sociétal sur le sujet n’est pas tranché, et encore moins clos. La probabilité que des tests PCR puissent être frauduleux existe. Pour lever tout soupçon, il suffirait, comme le préconise Frédéric Cotton, de rendre plus transparent le calcul des résultats en donnant simplement « au médecin », et au patient, « un résultat de dépistage où le nombre de cycles seraient mentionnés ».

Différents avis divergents auxquels chacun décidera d’octroyer plus ou moins d’importance selon l’analyse qui lui est propre, mais que l’AFP, elle, ne juge visiblement que trop peu pertinents pour devoir nous les dévoiler. On notera toutefois que le seuil de 50 cycles d’amplification se situe en dehors de la « valeur généralement comprise entre 10 et 45 » annoncée par Vincent Enouf.

De quoi à nouveau relancer nos interrogations concernant les cas asymptomatiques et en bonne santé. De la même manière, redescendre sous la barre des 5,000 cas par jour fixée par Emmanuel Macron pourrait dès lors apparaître comme particulièrement difficile à atteindre si toute personne abritant une infime part de virus, potentiellement « mort entre guillemets », était obligatoirement testée positive.

L’AFP répète systématiquement les mêmes erreurs… et les mêmes fausses informations

Autre preuve du déni de l’AFP, dès les premières lignes de son article, l’agence de presse cherche à contredire la policière espagnole qui dit s’appuyer sur les propos des « professeurs Perronne, Toussaint, Raoult et Alexandra Henrion-Caude ». Pour cela, l’agence de presse fait référence à l’un de ses précédents papiers (qui lui-même renvoyait déjà à de nombreux autres) censé(s) prouver pourquoi Hold-up était truffé d’une trentaine de fausses informations.

Or, déjà à l’époque dans sa démonstration, l’AFP s’était elle-même faite l’écho de nombreuses informations erronées, pour ne pas dire mensongères, comme nous vous le révélions dans ce non moins court article sur le sujet.

Malgré notre travail journalistique qui n’a depuis été contredit ni de près ni de loin par aucun service de vérification de la presse dominante, il est particulièrement exaspérant de constater que l’Agence France Presse persiste et signe dans sa démarche visant à cultiver des zones d’ombre, voire des passages purement fallacieux ou faux, lors de démonstrations pourtant extrêmement détaillées.

En effet, si vous allez au bout de la lecture des différents papiers proposés par l’AFP, vous constaterez qu’en ce qui concerne la partie de son article touchant aux « traitements capables de mettre fin à la pandémie », et donc à la question de l’hydroxychloroquine, elle continue d’appuyer l’ensemble de sa contre-argumentation sur 3 études scientifiques qui, contrairement à ce qu’affirme l’agence de presse, ne démontrent en réalité pas que cette molécule est inefficace pour lutter contre le Covid (ndla : Cf le point 5/ de notre papier).

Deux d’entre elles, Solidarity et Discovery, ont administré des doses de cheval à leurs patients, qui plus est sans avoir associé la molécule à aucun antibiotique, rendant ainsi caduque tout constat fiable sur le traitement proposé par le professeur Raoult. Des doses véritablement dangereuses au regard des posologies préconisées par l’Agence nationale de sécurité du médicament. La troisième étude, Hycovid, a, pour sa part, clairement eu tendance à prouver l’inverse de l’interprétation à laquelle se réfère l’AFP, puisqu’elle montrait qu’associée à l’azithromycine, l’hydroxychloroquine obtenait des effets sensiblement positifs sur les malades atteints de Covid-19. Le trop faible nombre de patients concernés et la trop courte durée de l’étude n’ayant pas permis de confirmer ces résultats.

Bis repetita sur le sujet des masques, où l’AFP contredit l’idée qu’ils puissent être inutiles et toxiques. Là encore, l’agence de presse usera de multiples arguments pour expliquer pourquoi le masque est bien utile dans certaines situations et conditions, tout en omettant de préciser dans lesquelles il ne l’est pas et en ne mentionnant pas le fait que l’Organisation mondiale de la santé, elle-même, n’est pas en mesure de prouver scientifiquement qu’il le soit. Le même procédé est utilisé concernant leur toxicité (ndla : cf les points 1/ et 2/ de notre précédent papier).

Que l’AFP puisse faire des erreurs, voire qu’elle puisse colporter plusieurs fausses informations dans ses articles, est de l’ordre du tolérable. A fortiori durant une crise où se mêlent de multiples incertitudes. Nul n’est parfait… même s’il fut un temps où cela impliquait une démission immédiate de son équipe dirigeante. En revanche, ce qui intrigue davantage sur les motivations qui animent maintenant la parution de ses articles, c’est que, même une fois alertée, l’AFP choisisse tout de même de s’obstiner à répéter des démonstrations interminables qu’elle sait pourtant biaisées, et donc fausses, le tout en promotionnant toujours la même idée directrice sans jamais chercher à opposer ses arguments aux informations contradictoires les plus pertinentes.

En bref, l’AFP ne s’embarrasse à présent plus à chercher la vérité. Elle la décrète directement et distribue ensuite ses bons points.

 

Wolf WAGNER est journaliste indépendant.




Covid, une opération des pouvoirs sionistes et financiers

[Source : zonefr.com]

Par Éric Montana

Parlons de choses sérieuses parce que les événements qui se produisent depuis un an, ne se prêtent ni à la légèreté ni à la plaisanterie.

Le premier point que je souhaite aborder dans l’article d’aujourd’hui, concerne les attaques incroyables sur nos libertés. Tout comme le 11 septembre a permis l’abject Patriot Act qui fait de chaque citoyen américain un individu sous haute surveillance sous prétexte de « lutter contre le terrorisme‘, l’opération Covid est la phase suivante.

Ce virus dont nous savons grâce au Prix Nobel de Médecine Luc Montagnier, qu’il a été produit en laboratoire, n’est rien d’autre qu’une arme biologique à visée terroriste. Mais cette fois à grande échelle puisque presque tous les pays du monde sont visés.

Alors la première question qui vient à l’esprit c’est : mais qui a donc fait ça ? Et pourquoi ?

Avant de vous faire part de mon idée sur la question, idée que beaucoup d’entre vous connaissent déjà si vous me lisez régulièrement, je ne peux m’empêcher de repenser à la manière dont Poutine a fait face au problème en dénonçant l’échec probable du Nouvel Ordre Mondial et à cette déclaration fracassante du colonel à la retraite Vladimir Kvachkov [Ndlr: voir Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation] du GRU (renseignement militaire russe) sur le coronavirus. Le colonel Kvachkov n’est pas n’importe quel péquin insignifiant car c’est un ancien du Centre d’études de défense et stratégiques de l’état-major général des forces armées russes. Il ne parle pas à la légère car on ne peut pas s’offrir ce luxe dans une situation aussi grave. Il faut donc le prendre au sérieux.

Je le cite : « Le phénomène des coronavirus, la soi-disant « pandémie » – et laissez-moi vous dire – il n’y a pas de pandémie, tout ça, c’est un gros mensonge. – Il doit être considéré comme une opération spéciale, stratégique et mondiale. Ce sont des exercices des pouvoirs sionistes et financiers qui manipulent en coulisse le monde pour le contrôle de l’humanité. Ils veulent réduire notre liberté et accroître leur contrôle politique. Le coronavirus et la crise financière qui ont immédiatement éclaté sont inextricablement liés. Une première tentative mondiale de retirer des droits politiques (des gens) a eu lieu le 11 septembre 2001, puis il y a eu une déclaration de guerre à l’humanité déguisée en guerre contre le terrorisme. Maintenant, ils ont besoin d’une autre excuse pour une prise de contrôle de l’humanité. Le coronavirus a été lancé par les puissances sionistes et financières mondiales dans le but de limiter les droits politiques et de faire peur aux gens.

« Le coronavirus a une origine artificielle; c’est déjà prouvé scientifiquement. Nous recevons une propagande d’information psycho-politique spéciale, une opération des médias de masse mondialistes au service des pouvoirs en coulisse qui créent cette terreur. “Ils” scrutent et recherchent qui obéit et qui ne n’obéit pas pas. De plus, les relations économiques sont passées de l’économie réelle à la bulle financière de l’économie virtuelle, qui doit maintenant être dégonflée. En Chine, ils ont une faction patriotique et une autre de pro-américains dont le seul intérêt est le fric, [les traîtres] qui ont essayé d’utiliser le coronavirus à Wuhan [jusqu’à ce que le président Xi mette fin aux enfermements]. Et puis ça a commencé en Europe. L’Europe et la Chine sont deux adversaires géo-économiques des USA. Et c’est là qu’ils ont d’abord injecté ce virus. »

« Un autre objectif est de réduire la population mondiale. Ils pensent qu’il y a trop de gens ordinaires [Ils veulent] 100 millions de leur propre genre et peut-être 1 milliard de serfs pour les servir. Tant que nous ne nous débarrasserons pas des parasites internes qui nous gouvernent, nous ne résisterons pas aux autres parasites. »

Dans ces trois paragraphes nous avons la réponse possible à nos deux questions : qui et pourquoi. Certains douteront et d’autres verront dans ces déclarations du colonel Vladimir Kvachkov, la seule explication plausible à ce que nous subissons depuis un an.

Maintenant l’autre question c’est : mais pourquoi notre gouvernement ne nous protège pas de ces criminels ? La réponse est simple. Voyons qui a choisi Macron et qui a financé son accession au pouvoir et nous comprendrons pourquoi.

Sans revenir en détail sur chaque point et en allant à l’essentiel, Macron a été choisi par le groupe Bilderberg, groupe réunissant les puissants de ce monde et tenant à le rester. Le deal c’est « tu fais tout ce qu’on te dit et on fera de toi le Président de la France. En contre partie de ta participation à nos plans, tu pourras même en profiter pour t’enrichir autant que tu voudras puisque tu bénéficies du privilège de la fonction et que tu es intouchable vu que tu es protégé par l’immunité. » Et Macron a répondu selon ses propres mots : « Banco !« 

Macron n’est ni un moine bouddhiste, ni un jésuite. Il n’a aucune attache spirituelle d’aucune sorte, n’a aucune moralité, est dépourvu de tout scrupule puisqu’il considère comme quantité négligeable « ceux qui ne sont rien ». Sa vie, son parcours démontrent que la seule chose qui l’intéresse c’est de devenir riche et puissant. Il est donc le complice idéal des mondialistes, car lui-même semble obsédé par le projet messianique du gouvernement mondial de Jacques Attali et de tous les sionistes, à qui le grand rabbin Schneerson a demandé d’agir pour accélerer la venue du « Mechia’h« .

Et comme l’explique en détail Youssef Hindi dans ses écrits sur les origines du sionisme messianique, pour que cette venue puisse se produire, la mise en place du Nouvel Ordre Mondial est un préalable.

Alors, que va-t-il se produire dans un futur proche ?

Un peu partout, les peuples divisés entre les crédules qui font encore confiance aux gouvernements criminels obéissant aux ordres de ces « illuminés » (Illuminati ?) et les éveillés qui ont parfaitement compris ce qui est en train de s’accomplir sous nos yeux, vont provoquer une scission qui ne pourra aboutir qu’à des désordres, des affrontements, peut-être même une insurrection ou une guerre civile.

Pourquoi Attali semblait si sûr de lui quand il a déclaré qu’il y aurait une révolution en France avant 2022 ?

Attali n’est ni prophète ni devin, mais a cette faculté étrange d’annoncer des catastrophes auto-réalisatrices. C’est un agent du Nouvel Ordre Mondial qui est parfaitement informé du plan criminel mis en place par ceux qui ont déclenché l’opération Covid. Et il sait aussi que la partie du peuple qui prend conscience de ce qui se passe, va réagir et peut-être même violemment. Voilà pourquoi il a fait cette prédiction. D’ailleurs cette déclaration est bien antérieure à l’opération Covid. Il savait donc déjà tout et avait envisagé tous les scénarios possibles car on peut faire confiance à ces gens, experts en manipulation des masses pour prévoir chaque détail du plan.

Attali comme tous ceux qui se rendent complices de cette opération criiminelle savent que s’ils échouent, leurs sorts seront peu enviables. C’est donc un pari risqué. Mais compte tenu qu’ils sont le vrai pouvoir et qu’ils disposent de complicités dans les institutions, dans les médias et des forces de police et de généraux traîtres à la nation au sein de l’armée, ils pensent être capables de mater une insurrection ou une révolution et continuer à rester les « Maîtres » du pays.

Donc, le désordre et la violence sont le scénario le plus probable et c’est pour l’éviter que la vaccination est utilisée. Le nombre de victimes de ces vaccins qui provoquera une vraie pandémie ne fera qu’augmenter, la peur et la psychose aussi et on compte sur ce stratagème pour maintenir les populations sous pression et soumises, à travers les confinements et autres mesures extrêmes pour éviter une révolte du peuple.

Machiavélique n’est-ce pas ?

J’ai pour habitude de dire ce que je m’applique à moi-même : espérons le meilleur tout en étant prêts à affronter le pire. Et si le pire n’est pas toujours probable, il est souvent possible.

Je vous laisse méditer sur tout ça…

Bonne semaine à tous.




La vraie vie du pape des pauvres

[Source : Le Saker Francophone]

Par Dmitry Orlov – Source Club Orlov

La pape avec sa Lamborghini

Je suis en train de réfléchir à mon prochain grand essai. En attendant, voici une petite vignette de ma vie quotidienne qui pourrait vous plaire.

Dmitry Orlov

[Ndlr : Poisson d’avril ou réalité ? Ne pas oublier non plus le rôle actif du pape François dans la promotion et l’achèvement de la construction du Nouvel Ordre Mondial.]




« Qui veut la peau de l’euro ? La Cour de Karlsruhe ! » L’édito de Charles SANNAT

[Source : Les moutons enragés (lesmoutonsenrages.fr)]

Par Charles SANNAT

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Cette information n’a pas franchement fait les gros titres de la presse nationale ni de nos télés, même Hanouna n’en a pas parlé, c’est dire si c’est une information insignifiante. [Voir cependant https://nouveau-monde.ca/le-plan-de-relance-europeen-suspendu-par-karlsruhe/]

D’ailleurs, l’euro, notre monnaie commune, n’a aucune importance n’est-ce pas.

Et puis les Allemands, comme chacun le sait, sont nos AMIS, car en plus, l’Europe c’est la PAIX.

Répétez après moi :

« L’Europe c’est la PAIX, l’amour entre les peuples et la félicité ».

Donc en fait c’est parce que le narratif Européen est construit sur cette foutaise d’amitié franco-allemande, que l’on vous parle assez peu de tous les coups de nos amis allemands.

Comme disait l’autre, méfiez vous de vos amis, mes ennemis, je m’en occupe !!

Nous sommes à couteaux tirés actuellement avec les Allemands qui sont à la manœuvre pour dissoudre au maximum l’industrie française de l’armement. Une menace à long terme pour la suprématie allemande en Europe. Et oui. Il ne faut pas être naïfs. Il n’y a qu’en France que nous avons abandonné le temps long de la géopolitique. En Chine, aux USA, en Russie, ou aux États-Unis, ils se battent tous bec et ongles pour assurer leur souveraineté et leur indépendance.

En France nous sommes dirigés par des nains politiques qui se pensent « européens »… hahahahahahahahaha ! Résultat ils organisent le pillage de notre nation et la ruine de notre population unie dans sa diversité et dans de plus en plus grande pauvreté !

Bref, c’est dans ce contexte d’amitié franco-allemande et d’amour entre les peuples que…

La Cour constitutionnelle allemande suspend la ratification du plan de relance !

D’après cette dépêche presque confidentielle de l’agence de presse Reuters, 

« la Cour constitutionnelle allemande a bloqué vendredi la ratification du fonds de relance européen, approuvé cette semaine par les deux chambres du Parlement, le temps d’examiner un recours contre ce plan d’investissement financé par la dette.

Les opposants au plan de relance de l’UE, notamment le parti d’extrême droite alternative pour l’Allemagne (AfD), affirment que le plan viole les traités européens en ouvrant la voie à des emprunts communs par les États membres.

La Commission européenne s’est déclarée convaincue que la législation européenne visée par le recours, la « décision sur les ressources propres », serait validée par le tribunal constitutionnel allemand. Cette loi constitue depuis des décennies la base de tous les budgets pluriannuels de l’UE.

La modification qui doit être ratifiée relève de 0,6 point de pourcentage le plafond des contributions nationales au budget de l’UE pour le porter à 2 % du revenu national brut jusqu’en 2058, afin de garantir le remboursement de l’emprunt de recouvrement au cas où les recettes fiscales prévues à cet effet seraient insuffisantes.

« Nous notons que la validité de la décision sur les ressources propres n’a pas été remise en question par la Cour constitutionnelle allemande », a déclaré une porte-parole de la Commission.

Aucun délai n’est prévu pour que la Cour se prononce sur la plainte, mais il pourrait lui falloir jusqu’à trois mois pour rendre une décision.

La ratification allemande pourrait ainsi être retardée jusqu’en juin, ce qui permettrait néanmoins de respecter le calendrier de la Commission européenne, qui prévoit le versement des premières tranches du fonds de relance de 750 milliards d’euros au cours de l’été ».

Donc il est fort probable que nos aimables voisins retardent les versements du plan d’aide européen, au mieux, car au pire, cela pourrait même provoquer son annulation.

Est-il illégal au sens des traités ce plan d’aide ?

Évidemment !!

Cela fait bien longtemps que l’Europe s’est assise sur tous les traités et toutes les règles.

Vous vous souvenez les règles du traité de Maastricht, les fameux « critères » du genre 60 % de dettes et 3 % de déficit — hahahahahaha — ce n’est plus qu’un souvenir, ou encore l’interdiction de monétiser la dette, oubliée également ! De même que la lutte contre l’inflation et tous ces fils à la patte nécessitant une bonne gestion pour assurer une « convergence ». Terminé. Je vous en ai parlé dans cette vidéo.

Pourquoi cela menace-t-il l’euro?

Soyons clairs.

Nous avons tous la même monnaie.

Mais nous n’avons pas tous le même endettement.

Ceux qui sont trop endettés — et la France en fait désormais partie avec plus de 120% de dettes sur PIB — ne pourront jamais s’en sortir avec l’austérité ou la croissance.

Il ne reste que la fuite en avant monétaire. Sous forme de plans d’aides ou de rachats d’actifs c’est-à-dire de dettes par la BCE directement ou hypocritement indirectement et sur le marché secondaire comme c’est le cas aujourd’hui.

Si la Cour Constitutionnelle allemande s’oppose (juridiquement à juste titre) à ces politiques économiques, alors son refus entraînera l’explosion de fait de la zone euro.

Il ne fera alors pas bon détenir des « liquidités ».

Plus nous approcherons de la « sortie » de crise sanitaire et plus les tensions entre les pays bien gérés et les paniers percés seront fortes.

Ce sera un moment de tous les dangers pour l’Europe avec une Allemagne qui gagne du temps pour payer le moins possible depuis maintenant 12 ans et la crise des Subprimes.

L’heure de vérité approche.

L’euro peut exploser, comme l’Europe faire son grand saut fédéral.

Ce ne sera qu’au pied du mur que nous verrons qui l’emportera.

Nul doute que les mamamouchis français sauront vendre notre pays à l’Allemagne pour qu’elle accepte de « payer » un peu pour nous, après avoir dépecé la bête France.

Triste politique.

Tristes résultats, conséquence de pauvres sires à la tête de notre grand pays.

Un peuple de lions menés par des ânes.

Restez à l’écoute.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

Charles SANNAT

[Ndlr : l’Union Européenne contribue à détruire les nations. Sa destruction permettrait-elle de reconstruire ces dernières et de leur redonner un minimum de souveraineté ?]



Page 1
Chart
La dette publique dans l’UE
Allemagne
Luxembourg
Slovaquie
Slovénie
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Chypre
Malte

Dette publique des Etats membres en pourcentage du PIB, au 3e trimestre 2020
Données : Eurostat
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MAJ 7370 – dette publique (T3 2020)
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L’ancien vice-président de Pfizer à l’AFLDS : « Il est tout à fait possible que cela soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle »

[Source : Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

Mordechai Sones – Le 25 mars 2021

America’s Frontline Doctors (AFLDS) s’est entretenu avec l’ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, le Dr Mike Yeadon, pour connaître son point de vue sur le vaccin COVID-19, l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, les autorités de réglementation, etc.

D’emblée, le Dr Yeadon a déclaré :

« Je suis bien conscient des crimes contre l’humanité perpétrés contre une grande partie de la population mondiale.

Je ressens une grande peur, mais je ne suis pas dissuadé de donner un témoignage d’expert à de multiples groupes d’avocats compétents comme Rocco Galati au Canada et Reiner Fuellmich en Allemagne.

Je n’ai absolument aucun doute sur le fait que nous sommes en présence de produits maléfiques (ce n’est pas une décision que j’ai déjà prise en 40 ans de carrière de chercheur) et dangereux.

Au Royaume-Uni, il est tout à fait clair que les autorités sont déterminées à administrer des « vaccins » au plus grand nombre possible de personnes. C’est de la folie, car même si ces agents étaient légitimes, la protection n’est nécessaire que pour les personnes présentant un risque particulièrement élevé de mourir du virus. Chez ces personnes, on pourrait même argumenter que les risques valent la peine d’être supportés. Et il y a certainement des risques qui sont ce que j’appelle « mécanistes », c’est-à-dire intégrés dans la façon dont ils fonctionnent.

Mais toutes les autres personnes, celles en bonne santé et âgées de moins de 60 ans, peut-être un peu plus, ne meurent pas du virus. Dans ce grand groupe, il est tout à fait contraire à l’éthique d’administrer quelque chose de nouveau et dont le potentiel d’effets indésirables après quelques mois n’est absolument pas déterminé.

Il ne serait sage à aucun moment de faire ce qu’ils ont déclaré avoir l’intention de réaliser.

Puisque je le sais avec certitude, et que je sais que ceux qui le dirigent le savent aussi, nous devons nous interroger : Quel est leur motif ?

Bien que je ne le sache pas, j’ai de fortes réponses théoriques, dont une seule est liée à l’argent et ce motif ne fonctionne pas, car on peut arriver au même quantum en doublant le coût unitaire et en donnant l’agent à deux fois moins de personnes. Dilemme résolu. Donc c’est autre chose.

Sachant que, par population entière, il est également prévu que les enfants mineurs et éventuellement les bébés soient inclus dans le filet, et c’est ce que j’interprète comme un acte maléfique.

Il n’y a aucune justification médicale à cela. Sachant comme je le sais que la conception de ces « vaccins » aboutit, dans le corps des destinataires, à l’expression de la protéine spike, qui a des effets biologiques indésirables propres qui, chez certaines personnes, sont nocifs (déclenchement de la coagulation du sang et activation du « système de complément » immunitaire), je suis déterminé à souligner que ceux qui ne sont pas à risque de ce virus ne devraient pas être exposés au risque d’effets indésirables de ces agents. »

AFLDS : La décision de la Cour suprême d’Israël de la semaine dernière annulant les restrictions de vol du COVID disait : « À l’avenir, toute nouvelle restriction sur les voyages à destination ou en provenance d’Israël doit, en termes juridiques, reposer sur une base complète, factuelle et fondée sur des données. »

Dans une conférence que vous avez donnée il y a quatre mois, vous avez dit que

« La durée la plus probable de l’immunité contre un virus respiratoire comme le SRAS-CoV-2 est de plusieurs années. Pourquoi est-ce que je dis cela ? Nous disposons en fait des données relatives à un virus qui a balayé certaines parties du monde il y a dix-sept ans, le SRAS, et souvenez-vous que le CoV-2 du SRAS est similaire à 80 % au SRAS, donc je pense que c’est la meilleure comparaison que l’on puisse fournir.

Les preuves sont claires : ces immunologistes cellulaires très intelligents ont étudié toutes les personnes qui avaient survécu au SRAS il y a 17 ans et sur lesquelles ils ont pu mettre la main. Ils ont prélevé un échantillon de sang et ont vérifié s’ils réagissaient ou non au SRAS original, et ils l’ont tous fait ; ils avaient tous une mémoire cellulaire T robuste et parfaitement normale. En fait, ils étaient également protégés contre le CoV-2 du SRAS, car ils sont très similaires ; c’est une immunité croisée.

Je dirais donc que les meilleures données existantes indiquent que l’immunité devrait être robuste pendant au moins 17 ans. Je pense qu’il est tout à fait possible qu’elle dure toute la vie. Le style des réponses des cellules T de ces personnes était le même que si vous aviez été vacciné et vous revenez des années plus tard pour voir si cette immunité s’est maintenue. Je pense donc que la preuve est vraiment forte que la durée de l’immunité sera de plusieurs années, voire de toute une vie. »

En d’autres termes, une exposition antérieure au SRAS – c’est-à-dire à une variante similaire au CoV-2 du SRAS – confère une immunité au CoV-2 du SRAS.

Le gouvernement israélien invoque de nouveaux variants pour justifier les confinements, les annulations de vols, les restrictions et la délivrance de passeports verts. Compte tenu du verdict de la Cour suprême, pensez-vous qu’il soit possible de prévenir les futures mesures gouvernementales en fournissant des informations précises sur les variants, l’immunité, l’immunité collective, etc. aux avocats qui contesteront ces futures mesures ?

Yeadon :

« Ce que j’ai décrit en ce qui concerne l’immunité contre le SRAS est précisément ce que nous observons avec le SRAS-CoV-2. L’étude provient de l’un des meilleurs laboratoires dans son domaine.

Donc, en théorie, les gens pourraient tester leur immunité aux cellules T en mesurant les réponses des cellules dans un petit échantillon de leur sang. De tels tests existent, ils ne sont pas « à haut débit » et ils sont susceptibles de coûter quelques centaines de dollars chacun à grande échelle. Mais pas des milliers. Le test dont j’ai connaissance n’est pas encore disponible dans le commerce, mais fait l’objet de recherches uniquement au Royaume-Uni.

Cependant, je pense que l’entreprise pourrait être incitée à fournir des kits de test « pour la recherche » à grande échelle, sous réserve d’un accord. Si vous deviez vous arranger pour tester quelques milliers d’Israéliens non vaccinés, cela pourrait être une arme à double tranchant. D’après l’expérience d’autres pays, 30 à 50 % des gens étaient déjà immunisés et environ 25 % ont été infectés et sont maintenant immunisés.

Personnellement, je ne voudrais pas avoir affaire aux autorités selon leurs propres termes : vous êtes soupçonné d’être une source d’infection jusqu’à preuve du contraire. Vous ne devriez pas avoir à prouver que vous ne représentez pas un risque pour la santé des autres. Ceux qui ne présentent pas de symptômes ne sont jamais une menace pour la santé des autres. Et dans tous les cas, une fois que ceux qui se sentent concernés par le virus sont vaccinés, il n’y a tout simplement aucun argument pour que quelqu’un d’autre ait besoin d’être vacciné. »

[AFLDS :] Ma compréhension d’un « vaccin fuyant » est qu’il ne fait qu’atténuer les symptômes chez les vaccinés, mais n’arrête pas la transmission ; il permet donc la propagation de ce qui devient alors un virus plus mortel.

Par exemple, en Chine, on utilise délibérément des vaccins non étanches contre la grippe aviaire pour éliminer rapidement les troupeaux de poulets, car les personnes non vaccinées meurent en trois jours. Dans le cas de la maladie de Marek, dont ils devaient sauver tous les poulets, la seule solution était de vacciner 100 % du troupeau, car tous les non-vaccinés couraient un risque élevé de mourir. L’utilisation d’une fuite de vaccin est donc dictée par l’intention, c’est-à-dire qu’il est possible que l’intention soit de causer un grand tort aux personnes non vaccinées.

Les souches les plus fortes ne se propagent généralement pas dans une population car elles tuent l’hôte trop rapidement, mais si les personnes vaccinées ne sont atteintes que de maladies moins graves, elles transmettent ces souches aux personnes non vaccinées qui contractent des maladies graves et meurent.

Êtes-vous d’accord avec cette évaluation ? De plus, êtes-vous d’accord avec le fait que si les non-vaccinés deviennent les personnes sensibles, la seule solution est une prophylaxie par HCQ [Hydroxychloroquine] pour ceux qui n’ont pas déjà eu le COVID-19 ?

Le protocole Zelenko fonctionnerait-il contre ces souches plus fortes si c’est le cas ?

Et si beaucoup de personnes ont déjà l’ancienne « immunité de 17 ans contre le SRAS » mentionnée plus haut, cela ne les protégerait-il pas contre un super-variant ?

[Yeadon :]

« Je pense que l’histoire de Gerrt Vanden Bossche est très suspecte. Il n’y a aucune preuve que la vaccination conduise ou conduira à des ‘variants dangereux’. Je crains qu’il ne s’agisse d’une sorte de ruse.

En règle générale, les variants se forment très souvent, régulièrement, et ont tendance à devenir moins dangereux et plus infectieux avec le temps, à mesure qu’ils s’équilibrent avec leur hôte humain. Les variants ne deviennent généralement pas plus dangereux.

Aucun variant ne diffère de la séquence originale de plus de 0,3 %. En d’autres termes, tous les variants sont identiques à 99,7 % au moins à la séquence de Wuhan.

C’est une fiction, et une fiction diabolique, que les variants soient susceptibles d' »échapper à l’immunité ».

Non seulement c’est intrinsèquement improbable — car ce degré de similitude entre les variants signifie qu’il n’y a aucune chance qu’une personne immunisée (que ce soit par une infection naturelle ou par la vaccination) soit rendue malade par un variant — mais c’est également soutenu empiriquement par des recherches de grande qualité.

Les recherches auxquelles je fais référence montrent que les personnes qui se remettent d’une infection ou qui ont été vaccinées possèdent TOUTES un large éventail de cellules immunitaires qui reconnaissent TOUS les variants.

Cet article montre que la reconnaissance moléculaire étendue par le système immunitaire rend les minuscules changements dans les variants non pertinents.

Je ne saurais trop insister : Les histoires autour des variants et du besoin de vaccins complémentaires sont FAUSSES. Je crains qu’il y ait une raison très maligne derrière tout cela. Elle n’est certainement pas étayée par les meilleures méthodes d’étude de l’immunité. Les affirmations manquent toujours de substance lorsqu’on les examine, et utilisent diverses astuces, comme la manipulation des conditions pour tester l’efficacité des anticorps. Les anticorps sont probablement assez peu importants dans la protection de l’hôte contre ce virus. Quelques « expériences naturelles » ont été réalisées sur des personnes qui ne peuvent malheureusement pas produire d’anticorps, mais qui parviennent à repousser le virus avec succès. Il est certain qu’elles se portent mieux avec des anticorps que sans. Je mentionne ces rares patients parce qu’ils montrent que les anticorps ne sont pas essentiels à l’immunité de l’hôte, de sorte qu’un test inventé dans un laboratoire sur les anticorps et les variants de virus modifiés ne justifie PAS le besoin de vaccins complémentaires.

Les seules personnes qui pourraient rester vulnérables et avoir besoin d’une prophylaxie ou d’un traitement sont celles qui sont âgées et/ou malades et qui ne souhaitent pas recevoir de vaccin (ce qui est leur droit).

La bonne nouvelle est qu’il existe de multiples choix possibles : l’hydroxychloroquine, l’Ivermectine, le budésonide (stéroïde inhalé utilisé chez les asthmatiques), et bien sûr la vitamine D orale, le zinc, l’azithromycine, etc. Ces traitements réduisent la gravité à tel point que ce virus n’aurait pas eu besoin de devenir une crise de santé publique. »

[AFLDS :] Pensez-vous que la FDA fait un bon travail de régulation des grandes entreprises pharmaceutiques ? De quelle manière les grandes entreprises pharmaceutiques contournent-elles l’autorité de réglementation ? Pensez-vous qu’elles l’ont fait pour l’injection d’ARNm ?

[Yeadon :]

« Jusqu’à récemment, j’avais une grande estime pour les régulateurs mondiaux des médicaments. Lorsque j’étais chez Pfizer, et plus tard PDG d’une biotech que j’ai fondée (Ziarco, rachetée plus tard par Novartis), nous avons eu des échanges respectueux avec la FDA, l’EMA et la MHRA du Royaume-Uni.

Des interactions toujours de bonne qualité.

Récemment, j’ai remarqué que la Fondation Bill & Melinda Gates (BMGF) avait accordé une subvention à l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) ! Est-ce que cela peut être approprié ? L’agence est financée par des fonds publics. Ils ne devraient jamais accepter de l’argent d’un organisme privé.

Voici donc un exemple où le régulateur britannique est en conflit d’intérêts.

L’Agence européenne des médicaments n’a pas exigé certaines choses, comme l’a révélé le « piratage » de ses dossiers lors de l’examen du vaccin Pfizer.

Vous pouvez trouver des exemples sur le « Comité Corona » de Reiner Fuellmich en ligne.

Je ne crois donc plus que les régulateurs soient capables de nous protéger. L »approbation’ n’a donc aucun sens.

Le Dr Wolfgang Wodarg et moi-même avons adressé une pétition à l’EMA le 1er décembre 2020 sur les vaccins génétiques. Ils nous ont ignorés.

Récemment, nous leur avons écrit en privé, les mettant en garde contre les caillots sanguins, ils nous ont ignorés. Lorsque nous avons rendu publique notre lettre, nous avons été complètement censurés. Quelques jours plus tard, plus de dix pays ont interrompu l’utilisation d’un vaccin en invoquant des caillots sanguins.

Je pense que les grosses sommes d’argent de l’industrie pharmaceutique et de la BMGF créent un environnement où dire non n’est pas une option pour l’organisme de réglementation.

Je dois revenir sur la question des « vaccins complémentaires » (piqûres de rappel) et je crains que tout ce récit ne soit exploité et utilisé pour acquérir un pouvoir inégalé sur nous.

S’IL VOUS PLAÎT, avertissez chaque personne de ne pas s’approcher des vaccins complémentaires. Ils ne sont absolument pas nécessaires.

Comme ils ne sont pas nécessaires, mais qu’ils sont fabriqués par des entreprises pharmaceutiques et que les autorités de réglementation se sont tenues à l’écart (pas de tests de sécurité), je ne peux que déduire qu’ils seront utilisés à des fins néfastes.

Par exemple, si quelqu’un souhaite blesser ou tuer une proportion importante de la population mondiale au cours des prochaines années, les systèmes mis en place actuellement le permettront.

Je pense qu’il est tout à fait possible que ces systèmes soient utilisés pour une dépopulation à grande échelle. »

https://www.americasfrontlinedoctors.com/exclusive-former-pfizer-vp-to-aflds-entirely-possible-this-will-be-used-for-massive-scale-depopulation/



Macron, Merkel et Johnson appellent formellement à la dictature sanitaire globale

[Source : Russie politics]

par Karine Bechet-Golovko

La France, La Grande-Bretagne et l’Allemagne sont lancées en première ligne pour tenter de mettre fin à l’organisation mondiale découlant de la Seconde Guerre mondiale, telle que nous la connaissons aujourd’hui. Or, pour détruire un système international, il faut généralement une grande guerre, qui met à plat les sociétés et les économies. Le Covid trouve ici toute son utilité : contre « la tentation du nationalisme », à l’heure d’une dévastation socio-économique et humaine comme l’on en n’a pas connue depuis 1945, il nous est intimé de repenser le système des relations internationales. La Première Guerre globale [Ndlr : des élites mondialistes contre l’Humanité ordinaire] doit permettre l’avènement d’un monde global, basé sur un principe primaire totalisant de « santé ». Toute vie, humaine ou animale, est assimilée et réduite à sa dimension biologique; les États ou les sociétés privées, au même niveau, sont gouvernés par des instances globales. Les États-Unis restent formellement en retrait, la Russie et la Chine n’ont pas signé cet appel, mais soyons certains que le front diplomatique va s’ouvrir. Cet appel « pour une architecture internationale sanitaire plus robuste » explique enfin pourquoi la gestion de cette crise sanitaire du Covid a été aussi désastreuse : elle permet de mettre en scène les conditions nécessaires à la tentative de ce qui ressemble à s’y méprendre à un coup d’État global, avec un changement formel du lieu et du fondement légitime de l’exercice du pouvoir.

La presse britannique diffuse un appel signé par 26 dirigeants de pays dont la France, la Grande-Bretagne, l’Allemagne, l’Italie, le Portugal, l’Ukraine, la Thaïlande, l’Albanie, le Costa Rica, le Rwanda, le Kenya, etc. Parmi les États, qui doivent représenter tous les continents, l’on notera l’absence significative, d’une part des États-Unis, qui ne partent pas en première ligne, puisque leurs pays-satellites sont là pour prendre la responsabilité de ces combats. D’autre part, l’absence de la Russie est également notable, elle qui tente de ne pas dissoudre sa souveraineté dans cette vague covidienne globale. En ce sens, en plus des États, cet appel est signé par différents organes de la gouvernance globale, à savoir par le directeur général de l’OMS (organe, qui est devenu le centre de gouvernance, puisque le pouvoir est légitimé par la « santé ») et par le président du Conseil européen, Charles Michel, qui est à la pointe du combat idéologique dans la zone européenne, zone stratégique en raison de la nécessité de faire plier la Russie. 

Cet appel a été diffusé, en ce qui concerne la France, sur le site de Macron, mais étrangement en anglais, de l’Élysée — en anglais et en français, et évidemment par les institutions européennes, qui retrouvent ici un nouveau souffle, dans la destruction de l’ordre international issu de la Seconde Guerre mondiale.

Cet appel s’appuie sur la crise sanitaire pour tenter de reformater les relations entre les pays. Ce qui est posé dès le titre :

« Agir pour une architecture sanitaire internationale plus robuste »

La « crise » étant étiquetée sanitaire, toutes les réformes de l’organisation des relations internationales doivent être a priori justifiées par le facteur sanitaire, sans que cela ne se discute. Pourtant, les différentes pandémies, d’hépatites ou de SIDA par exemple, qui ont fait des millions de morts et qui sont toujours en cours, n’ont jamais nécessité de réformes de l’ordre international. Peu importe, le Covid doit le nécessiter. 

Historiquement, pour schématiser, les changements radicaux des rapports internationaux ont découlé des grands conflits. Nous vivons actuellement dans le système issu de la Seconde Guerre mondiale, qui avait mis fin au système des États nations, remplacé alors par celui des pôles de pouvoir, initialement deux, chacun dominé par un État central. Déjà, par ces mécanismes, les États furent attaqués et fragilisés. Lorsque l’URSS a été détruite comme pays, le bloc qu’elle dirigeait s’est écroulé avec elle, laissant flotter et dériver des pays, dont les structures politiques et étatiques étaient trop faibles pour assumer une véritable souveraineté. Ils furent absorbés sans aucune difficulté dans le bloc atlantiste. Nous sommes alors passés à un système global régionalisé, et l’UE a pris toute son importance pour aboutir le processus visant à évider les États de toute substance souveraine. Le retour de la Russie sur la scène internationale, tout d’abord sur le plan de la communication avec le fameux discours de Poutine à Munich, puis réellement avec la Crimée et la Syrie, a provoqué une rupture dans cette organisation lissée. À la différence de la Chine, la Russie a une dimension civilisationnelle et peut proposer un modèle qui soit acceptable en Occident, comme cela a déjà été le cas, elle présente donc un danger accru pour le monde global, qui ne peut avoir qu’un seul projet.

Or, les conflits militaires qui se développent aujourd’hui sous différentes étiquettes sur la planète, au nom de l’exportation démocratique, s’ils permettent un combat pour les ressources stratégiques, ne sont pas de dimension à justifier un changement des relations internationales, à justifier l’avènement d’une globalisation décomplexée, assumée, revendiquée, contre des États réduits aux slogans d’isolationnisme et de nationalisme.

Le Covid, avec tout le travail en amont de déstructuration des États, de destruction des économies nationales, d’écrasement des hommes et des sociétés, de négations des valeurs humanistes et libérales, a permis de mettre en scène une « Première Guerre globale », menée… contre nous, sous l’égide de structures globales (OMS, UE, ONU), faisant des dégâts socio-économiques comparables à ceux d’un conflit armé de grande ampleur, et, grâce à une statistique plus qu’inclusive venant en aide à une gestion manifestement volontairement catastrophique, des dégâts humains également significatifs.

Le moment est donc venu de cet appel pour un monde global sanitaire, ou plutôt pour une dictatude sanitaire globale :

La pandémie de Covid-19 représente le plus grand défi auquel la communauté mondiale est confrontée depuis les années 1940. À cette époque, les dirigeants politiques ont pris la mesure des ravages provoqués par les deux guerres mondiales et se sont retrouvés pour former le système multilatéral. Leurs objectifs étaient clairs : rassembler les pays, éloigner les tentations de l’isolationnisme et du nationalisme, et faire face aux enjeux pour lesquels une solution commune n’était possible que dans un esprit de solidarité et de coopération, à savoir la paix, la prospérité, la santé et la sécurité.

Il est donc demandé de revenir sur l’organisation des relations entre les pays, et ce de manière pérenne, puisque le risque sanitaire existera toujours – il y a toujours eu et il y aura toujours des virus :

Alors que nous luttons ensemble pour venir à bout de la pandémie de Covid-19, notre espoir est aujourd’hui le même de mettre en place une structure plus solide pour le secteur de la santé internationale afin de protéger les prochaines générations.

Il y aura d’autres pandémies et d’autres situations d’urgence sanitaire de grande ampleur. Aucun gouvernement ni aucun organisme multilatéral ne peut, seul, faire face à cette menace. La question n’est pas de savoir si cela aura lieu, mais quand.

L’avenir de la santé de l’humanité ne passe plus par les soins, mais par la vaccination, et sur cette base un nouvel accord global doit être conclu :

Dans cette optique, nous croyons que les pays devraient œuvrer ensemble à l’élaboration d’un nouveau traité international sur la préparation et la riposte aux pandémies.

Un tel engagement collectif renouvelé serait une étape importante pour consolider la préparation aux pandémies au plus haut niveau politique. La Constitution de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) lui servirait d’ancrage et il serait soutenu par d’autres organisations sans lesquelles cette entreprise — qui s’appuie sur le principe de santé pour tous — ne pourrait aboutir.

Et le système mis en place par le Règlement sanitaire international (voir notre texte ici) et qui met en place une architecture de soumission et de contrôle des États doit alors être renforcé et servir de base. Le nouveau principe de base de l’organisation des relations internationales, devenu en même temps principe de légitimation du pouvoir, est la « santé ». L’homme, dans ce nouveau monde, n’est plus appréhendé dans sa dimension humaine, spécifique, qui va bien au-delà de la vie biologique. Bien au contraire, il est réduit, à n’importe quelle forme de vie :

Ce traité ferait sien également le principe « une seule santé », qui relie la santé des humains, des animaux et de notre planète. 

Et la concentration du pouvoir, sous l’égide de l’OMS et de ses structures, qui gouvernent les autres « acteurs », mais de second rang. Ainsi, les États et les institutions publiques sont mis au même niveau que les ONG ou les entreprises.

Pour ce faire, nous travaillerons avec les chefs d’État et de gouvernement du monde entier et avec toutes les parties prenantes concernées, dont la société civile et le secteur privé

C’est la fin officielle de la souveraineté des États, qui ne sont que des structures vides d’exécution, au nom d’une conception totalitaire et primaire de la « santé » et de la « vie », réduite à sa plus petite dimension. Le moment est donc venu pour utiliser le Covid, afin de transformer en profondeur le système international :

Au moment où le Covid-19 tire parti de nos faiblesses et de nos divisions, nous devons saisir cette occasion pour nous rassembler en tant que communauté mondiale en faveur d’une coopération pacifique qui aille au-delà de cette crise. Le renforcement de nos capacités et de nos systèmes pour y parvenir prendra du temps et exigera un engagement soutenu pendant de nombreuses années d’un point de vue politique, financier et de la société en général. (…) La préparation aux pandémies a besoin d’un leadership mondial pour bâtir un système de santé mondial à la hauteur de ce millénaire.

Ce système de pouvoir global, basé sur le culte de la santé, s’accompagne d’une transformation puissante des économies, avec la montée en puissance, comme nous le voyons déjà, de certains secteurs liés à la santé et au numérique, au détriment de beaucoup d’autres. C’est aussi un enjeu de pouvoir. Le grand absent de ce nouvel ordre global, c’est l’homme. L’homme dans sa richesse, sa diversité, sa complexité. L’homme, son âme, son esprit. Sa culture, sa civilisation.




L’État belge condamné à lever toutes les mesures covid d’ici 30 jours

[Source : Le Soir]

Par Laurence Wauters

Info «Le Soir» – L’État condamné à lever toutes les mesures covid d’ici 30 jours

Le tribunal de première instance de Bruxelles a ordonné à l’État, ce mercredi, de mettre fin aux mesures exceptionnelles prises dans le cadre de la pandémie, et ce dans les 30 jours. Une astreinte de 5.000 euros par jour sera due si l’État ne se conforme pas à la décision.

[NDLR Dans l’hypothèse où cette décision judiciaire serait effectivement suivie d’effets, elle n’est malheureusement pas obtenue par le biais des preuves existantes en matière médicale, mais pour des raisons procédurales et, de plus, l’État belge fera probablement appel.]

La Ligue des droits humains avait introduit, il y a trois semaines au nom de tous les Belges, une action en référé devant le tribunal de première instance de Bruxelles. Celui-ci a ordonné à l’État, ce mercredi, de mettre fin aux mesures exceptionnelles prises dans le cadre de la pandémie, et ce dans les 30 jours, a appris « Le Soir ». Une astreinte de 5.000 euros par jour sera due si l’État ne se conforme pas à la décision. Le tribunal des référés a estimé que l’urgence invoquée par les demandeurs était établie par le fait de la prolongation jusqu’au 1er avril, par arrêté ministériel du 6 février dernier, des mesures querellées, et ce « sans qu’une réelle communication ait été faite sur le sujet ».

Les demandeurs mettaient en cause la responsabilité de l’État belge en ce qu’il aurait commis une faute en adoptant des mesures, par voie réglementaire, attentatoires aux libertés fondamentales « en méconnaissance des règles constitutionnelles et/ou légales qui lui imposent de s’abstenir ou d’agir dans un sens déterminé ». Aucune des trois lois invoquées par l’État belge pour restreindre les libertés des Belges, estimaient Me Despontin et Me Lackner pour la LDH, ne pouvaient servir de base sous-jacente à l’arrêté ministériel litigieux. L’arrêté ministériel, soulignaient les deux avocates, « viole le principe de subsidiarité du droit pénal, l’obligation de consultation du Conseil d’État et le principe de la sécurité juridique ».

https://www.ultimedia.com/deliver/generic/iframe/mdtk/01613302/zone/34/showtitle/1/src/q00kxur/?tagparamdecoded=News

Comme d’autres l’avaient fait avant, sans jusqu’ici obtenir gain de cause, la LDH soulignait que le défendeur, en l’occurrence l’État, « s’était abstenu de légiférer alors qu’il savait que l’arrêté ministériel était illégal » et que d’autre part, il a cautionné les poursuites et les sanctions pénales « illégales » liées à l’application de cet arrêté.

La principale loi sur laquelle se basait la ministre de l’Intérieur pour adopter les mesures « corona » est celle du 15 mai 2007 sur la société civile, qui concerne des mesures d’évacuation et qui a été adoptée suite à la catastrophe de Ghislenghien. Le tribunal de première instance constate, dans l’ordonnance rendue ce matin, que cette loi définit « de manière restrictive et prévisible les pouvoirs ainsi conférés à l’exécutif », et que la situation liée au covid-19 n’est pas visée par cette loi. « La fermeture des divers établissements (culturels, festifs, sportifs, récréatifs, événementiels, horeca, des professions de contacts), la suspension de l’obligation scolaire, la limitation des rassemblements publics ou privés, la limitation de circuler depuis et vers la Belgique échappent aux notions que le langage courant nous impose des termes « réquisition et évacuation », conclut l’ordonnance.

Il apparaît, dit le tribunal de première instance, que les mesures restrictives des libertés constitutionnelles et des droits de l’homme, édictées par l’arrêté ministériel du 28 octobre 2020 et ses arrêtés subséquents « ne reposent, en apparence, pas sur une base légale suffisante. »

Le montant d’astreinte fixé à 5.000 euros/jour ne pourra excéder un total de 200.000 euros. « Au regard des circonstances complexes liées à la crise sanitaire et sans les remettre en cause », le tribunal a accordé un délai de 30 jours calendrier à l’État pour se conformer à la décision. Il serait étonnant que l’État n’interjette pas appel de cette décision.

Notons que la loi « pandémie », destinée à mettre fin à ces problématiques, sera débattue ce mercredi après-midi en commission à la Chambre.

Au cabinet du Premier ministre, on ne réagit pas pour l’instant. On attend d’étudier le jugement du tribunal de première instance de Bruxelles.




Canada : Une famille enfermée et condamnée à une amende de 18 000 dollars pour avoir fourni des résultats de tests Covid « périmés » de 2 heures

[Source : Aube Digitale]

Le nombre d’histoires de folles dignes d’États policiers est trop élevé pour être compté. Il suffit d’en choisir quelques-unes pour se rendre compte qu’elles sont représentatives de ce qui se passe dans l’ensemble du monde occidental.

Via Life Site News :

Une mère canadienne, qui, avec ses quatre enfants et la grand-mère des enfants, a été condamnée à une amende de 3 000 dollars après que des agents frontaliers canadiens ont refusé d’accepter les résultats de leurs tests COVID – parce que les résultats étaient périmés depuis deux heures – va contester les accusations devant les tribunaux si elles ne sont pas abandonnées par la Couronne.

“Nous avons des droits en tant que Canadiens et ces droits sont violés. Je suis prête à mener le bon combat”, a déclaré à LifeSiteNews la mère, une infirmière autorisée (RNBN) qui travaille dans le domaine des soins chroniques, à condition que son nom ne soit pas publié par crainte de représailles.

“Si les accusations ne sont pas abandonnées par la Couronne, la prochaine étape consiste à fixer une date de procès. Notre date limite est le 2 avril 2021.”

LifeSiteNews a créé une page LifeFunder pour la famille afin de l’aider à couvrir les frais.

LifeSiteNews a rapporté le mois dernier comment la mère et sa famille revenaient des États-Unis au Manitoba après avoir assisté au rendez-vous médical de la grand-mère de 79 ans et rendu visite à sa famille.

Elles ont toutes reçu des tests négatifs du Covid avant de traverser la frontière en voiture pour rentrer chez elles. En raison d’un problème de voiture, lorsqu’ils ont atteint la frontière, les tests, qui ont une fenêtre de validité de 72 heures, étaient expirés depuis deux heures. Les agents frontaliers ont non seulement rejeté les tests, mais ont également infligé à la famille l’amende maximale pour ne pas avoir “respecté un ordre concernant [sic] une mesure de traitement visant à prévenir l’introduction et la propagation d’une maladie transmissible”.

La famille a ensuite été emmenée dans une installation de quarantaine COVID gérée par le gouvernement, où elle a été contrainte de rester jusqu’à ce qu’elle puisse subir d’autres tests COVID.

La mère a raconté à LifeSiteNews cette semaine les détails de leur séjour dans l’installation de mise en quarantaine.

“Nous sommes restées à l’hôtel, 3 jours et 2 nuits. Nous avons fait nos devoirs, prié, pris des leçons de danse via Zoom, et mangé nos repas”, a-t-elle déclaré.

“Nous étions escortées à l’extérieur une fois par jour pour une promenade autour de la propriété. Une infirmière est venue dans la chambre pour un contrôle de bien-être/symptômes tous les matins. Finalement, nous avons tous reçu nos résultats négatifs à 20 heures le mercredi 17 février. Nous devions attendre que l’agent de quarantaine envoie par courriel une note de sortie pour chacun d’entre nous, ce qui s’est fait rapidement.”

“Nous étions si heureuses de pouvoir rentrer à la maison. Nous étions tellement contentes de pouvoir rentrer chez nous, mais nous nous demandions encore pourquoi nous devions aller à l’hôtel en premier lieu”, a-t-elle ajouté.

Au cours des jours suivants, des agents du gouvernement, habilités par la loi sur la quarantaine, ont appelé la famille pour s’assurer qu’elle respectait les règles relatives à la mise en quarantaine à domicile.

“Ils appelaient 6 fois par jour”, a raconté la mère, “un appel pour chaque personne”.

“Ils étaient très préoccupés par l’endroit où le non-voyageur, mon mari, vivait dans la maison. Ils n’arrêtaient pas de demander comment nous faisions pour rester séparés, même si nous avions tous deux des tests négatifs. Ils ont aussi fait une visite à domicile où nous avons dû montrer une pièce d’identité et répondre à un tas de questions à nouveau.”

La mère n’est pas restée inactive à la maison. Elle a raconté comment elle a appelé les agents frontaliers à de nombreuses reprises, demandant pourquoi ses enfants avaient reçu une amende et comment ils étaient censés la payer.

“J’ai expliqué la situation, en insistant sur le fait que je ne comprenais pas comment mon enfant de 9 ans, ou de 12 ans, etc. devait payer cette amende. Dans la semaine qui a suivi, j’ai reçu une lettre envoyée par courrier recommandé par le Service des poursuites pénales du Canada, indiquant que “la Couronne ne poursuivra pas vos enfants”.

La mère a déclaré qu’elle aurait souhaité, au moment du passage de la frontière, en savoir plus sur ses droits en tant que citoyenne canadienne. Elle aurait insisté pour que les agents respectent ses droits.

Plus personne n’a de droits.




Maître Carlo Brusa dévoile toute la SUPERCHERIE du COVID !

[Source : Quartier Libre TV]






Le «vaccin» d’AstraZeneca change-t-il de nom pour continuer en douce ?

[Source : European Medicines Agency (Agence européenne des médicaments)]

Vaxxevria (anciennement Vaccin Covid-19 AstraZeneca)
[Dans le rectangle sur fond vert :]
AUTORISÉ
Ce médicament est autorisé pour utilisation dans l’Union Européenne

Formes autorisées

(Document COVID-19 Vaccine AstraZeneca, COVID-19 Vaccine (ChAdOx1-S [recombinant]) (europa.eu))

Numéro AMM UE Nom (de fantaisie) Dosage Forme Voie pharmaceutique d’administration primaire Conditionnement Contenu
(Concentration)
Présentation
EU/1/21/1529/001 Vaxzevria –1 Suspension injectable Voie intramusculaire Flacon (verre) 4 ml (8 doses de 0,5 ml) 10 flacons multidoses (80 doses)
EU/1/21/1529/002 Vaxzevria –1 Suspension injectable Voie intramusculaire Flacon (verre) 5 ml (10 doses de 0,5 ml) 10 flacons multidoses (100 doses)

Extraits du document « Annexe I »

(Document Vaxzevria, COVID-19 Vaccine (ChAdOx1-S [recombinant]) (europa.eu))

[Les effets secondaires reconnus par le fabricant :]

Effets indésirables du médicament SOC MedDRA Fréquence Effets indésirables
Affections hématologiques et du système lymphatique Peu fréquent Lymphadénopathie
Troubles du métabolisme et de la nutrition Peu fréquent Diminution de l’appétit
Affections du système nerveux Très fréquent Céphalées
Peu fréquent Étourdissements
Somnolence
Affections gastro-intestinales Très fréquent Nausées
Fréquent Vomissements
Diarrhées
Affections de la peau et du tissu sous-cutané Peu fréquent Hyperhidrose
Prurit
Éruption cutanée
Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif Très fréquent Myalgies
Arthralgies
Troubles généraux et anomalies au site d’administration Très fréquent Sensibilité au site d’injection
Douleur au site d’injection
Chaleur au site d’injection
Prurit au site d’injection
Ecchymoses au site d’injection (a)
Fatigue
Malaise
État fébrile
Frissons
Fréquent Gonflement au site d’injection
Érythème au site d’injection
Fièvre (b)
(a) : Les ecchymoses au site d’injection incluent un hématome au site d’injection (peu fréquent)
(b) : Fièvre mesurée ≥ 38°C



Le plan de relance européen suspendu par Karlsruhe !

[Source : MINURNE-RÉSISTANCE]

Par Jean Goychman

La Cour constitutionnelle allemande a décidé de suspendre la ratification du plan de relance européen qui devait sceller la solidarité retrouvée des États-membres de la zone euro. Il était, du reste, assez étonnant qu’après avoir plusieurs fois alerté les instances européennes sur la non-conformité des actions entreprises par la BCE en regard des modalités définies dans les différents traités européens, la Cour de Karlsruhe ne se soit pas manifestée plus tôt.

UN PLAN DE RELANCE DE 750 MDS €

Ce programme de relance, porté par la BCE à hauteur de 750 milliards d’euros, est destiné à aider les pays qui ont vu leur situation financière dégradée par la crise du COVID.
Comme la BCE ne peut créer de la monnaie que sur des dettes, il faut donc que ce soit les Etats-membres qui empruntent de l’argent auprès des marchés financiers privés. Jusqu’à présent, un certain nombre de pays, dont l’Allemagne, avaient constamment refusé l’idée de la mise en commun des dettes publiques. Ils passaient pour des « radins » alors qu’ils voulaient simplement ne pas payer pour les autres, jugés trop « dispendieux ».

Compte-tenu de l’ampleur de la crise, Emmanuel Macron, avant tout partisan de la création d’une Europe fédérale, crut qu’il avait une opportunité de pousser ses idées. La rapide et énorme augmentation de la dette française, due au confinement généralisé sur le territoire, pouvant fragiliser la France et peut-être même la zone euro, ne pouvait laisser insensible la Chancelière allemande.

Celle-ci accepta sans entrain excessif le plan de la BCE poussé par Emmanuel Macron. Mais le plus dur restait à faire : convaincre les autres pays « dissidents » du bien-fondé de ce plan de relance qui passait par la mutualisation des dettes des États.

Les négociations s’engagèrent au sein du Conseil de l’Europe et furent longues et difficiles. Toutefois, un accord arriva le 20 juillet 2020 et, pour la 1ère fois, les États acceptèrent d’emprunter collectivement en déléguant les modalités à la Commission Européenne.

Pour entrer en vigueur, ce plan de relance doit toutefois être ratifié par chacun des Etats-membres.

COUP DE TONNERRE À BRUXELLES !

Le texte ayant été approuvé par les parlementaires européens le 12 février 2021, il convient maintenant le faire ratifier par les chefs d’État.

Et c’est là où la Cour Constitutionnelle allemande intervient en suspendant le processus en raison

« d’un recours contre ce mécanisme basé sur une dette commune.
L’instance suprême « a décidé que le texte de loi » sur ce plan, qui venait d’être approuvé par les parlementaires, « ne devait pas être paraphé par le chef de l’Etat » dans l’attente d’une décision sur ce recours en référé, selon un communiqué de la Cour 
».

Véritable « coup de tonnerre » dans le Landerneau bruxellois, cette demande en référé porte justement sur l’inconstitutionnalité de la mise en commun des dettes publiques. Les demandeurs estiment que la Constitution allemande ne permet pas à l’Allemagne de partager sa dette avec d’autres États, invoquant une sorte de transfert financier des pays « vertueux » vers ceux considérés comme « dépensiers »

De plus, se pose à nouveau le problème des financements des déficits publics par la BCE, ce qui lui est interdit par l’article 123 du traité de Lisbonne :

« Il est interdit à la Banque centrale européenne et aux banques centrales des États membres, ci-après dénommées « banques centrales nationales », d’accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions, organes ou organismes de l’Union, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres ; l’acquisition directe, auprès d’eux, par la Banque centrale européenne ou les banques centrales nationales des instruments de leur dette est également interdite ».

EST-CE UN MOMENT CRUCIAL POUR L’UNION EUROPÉENNE ?

C’est plus que probable, car la crise du COVID a agi comme un véritable révélateur de ce qu’était la réalité de l’Union Européenne. La concurrence entre les États et la défiance des uns envers les autres a pris des proportions alarmantes. De plus, les disparités économiques, déjà considérables, ont été amplifiées par la crise sanitaire qui risque de se prolonger par une crise sociale sans précédent.

Le jeu d’Emmanuel Macron, qui se voulait le champion de l’intégration européenne peut se retourner contre lui et contre Angela Merkel. La différence entre les deux est que Mme Merkel a prévu de quitter bientôt la scène politique, et que M Macron ne partage pas nécessairement ce dessein…

Jean Goychman




Révélations de l’économiste Gaël Giraud sur le système bancaire, le blanchiment d’argent, le chaos économique…

[Sources : Thinkerview et My Cost Killer]

Version complète :

Extrait sur le fonctionnement des banques :




La vérité contre la peur

[Source anglaise : LifeSite (lifesitenews.com)]

[Ndlr : Les notes et références ne font pas partie de lettre originale, mais sont ajoutées par Nouveau Monde.]

La vérité contre la peur : Covid-19, le vaccin et la grande réinitialisation

Par Mgr Carlo Maria Viganò

Cette lettre reflète dans une large mesure l’intervention que je vais donner aux participants du prochain sommet «La vérité contre la peur : Covid-19, le vaccin et la grande réinitialisation», du 30 avril au 1er mai 2021, organisé par Patrick Coffin. Cet événement vital met en vedette plus de 20 des meilleurs médecins, chercheurs et avocats du monde, et offrira une approche scientifique et sensée de la pseudo-pandémie. Tout le monde a droit au consentement éclairé.

Mgr Carlo Maria Viganò

25 mars 2021 (LifeSiteNews) — Ce que nous avons appris jusqu’à présent sur la pseudo-pandémie nous donne l’image d’une réalité inquiétante et d’une conspiration criminelle encore plus inquiétante ourdie par des esprits égarés. Cette réalité n’est cependant pas prise en considération par ceux qui, hypnotisés par l’endoctrinement médiatique, persistent à considérer une grippe saisonnière grave comme un fléau pandémique, les traitements connus comme inefficaces, et les prétendus vaccins reconnus inutiles et nocifs comme rien moins que miraculeux.

La réputation des entreprises pharmaceutiques

Nous savons que les géants de l’industrie pharmaceutique — AstraZeneca(([1] https://www.industriepharma.fr/amende-aux-etats-unis-pour-astrazeneca,35697)), Pfizer(([2] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/445723/pfizer-entente,
https://www.lapresse.ca/affaires/economie/200909/02/01-898108-pfizer-va-payer-une-amende-record-de-23-milliards.php)), Moderna, Johnson & Johnson(([3] https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/johnson-johnson-ecope-dune-amende-de-8-milliards-de-dollars-aux-etats-unis-1138460)) — non seulement n’ont pas suivi les protocoles ordinaires de test des médicaments, mais ont de plus un long historique de condamnations pour avoir précédemment causé de graves dommages à la population, en distribuant des vaccins dont il s’est avéré qu’ils provoquaient des maladies invalidantes.

Conflits d’intérêt

Nous connaissons les conflits d’intérêts(([4] http://agora.qc.ca/Documents/Conflit_dinterets–Medecine_et_conflits_dinterets_par_Josette_Lanteigne,
https://www.quechoisir.org/dossier-conflits-d-interets-en-medecine-t2687/,
https://formindep.fr/les-conflits-dinterets-en-medecine-quel-avenir-pour-la-sante-france-etats-unis-japon/
https://nouveau-monde.ca/de-mediator-a-astrazeneca-mensonges-et-corruptions-au-sein-de-la-gouvernance-francaise-et-europeenne/)) macroscopiques qui existent entre les entreprises pharmaceutiques et les organismes chargés de leur contrôle : dans de nombreux cas, les employés de ces entreprises sont passés par les entités qui doivent approuver et autoriser l’utilisation des médicaments, et il est difficile d’imaginer qu’ils aient la liberté de faire une évaluation juste et prudente tout en continuant souvent à avoir des liens professionnels avec Big Pharma. En effet, nous venons de voir récemment avec le cas d’AstraZeneca en Europe que la nocivité évidente du soi-disant vaccin — qui a conduit certaines Nations à suspendre sa distribution(([5] https://www.rfi.fr/fr/europe/20210311-covid-19-plusieurs-pays-europ%C3%A9ens-suspendent-l-utilisation-du-vaccin-astrazeneca)) — n’est pas considérée comme une raison suffisante par l’EMA (Agence européenne des médicaments) pour en interdire l’adoption(([6] https://www.journaldemontreal.com/2021/03/18/le-vaccin-astrazeneca-est-sur-et-efficace)). Les récentes découvertes sur les effets secondaires(([7] https://www.fawkes-news.com/2020/12/la-fda-enumere-les-effets-secondaires.html)) graves ont été conçues pour exclure la majorité des cas et surtout pour ignorer délibérément la relation de cause à effet entre l’inoculation du vaccin et ses effets secondaires à court ou à long terme.

Déresponsabilisation contre les effets secondaires

Nous savons qu’au mépris de tout principe juridique et de la protection de la population les entreprises pharmaceutiques ont exigé d’être dégagées de toute responsabilité pour les dommages que pourraient subir les patients(([8] https://blogs.mediapart.fr/le-cri-des-peuples/blog/270820/vaccin-covid-19-les-laboratoires-ne-seront-pas-responsables-des-effets-secondaires (bien qu’officiellement ce ne soit pas le cas :
https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/vaccins-et-covid-en-cas-d-effets-indesirables-contre-qui-les-patients-pourront-ils-se-retourner-7074158
https://www.lci.fr/sante/vaccins-contre-le-covid-19-les-laboratoires-seront-ils-vraiment-decharges-de-toute-responsabilite-en-cas-d-effets-secondaires-2165265.html
https://www.leparisien.fr/societe/vaccins-une-clause-de-non-responsabilite-pour-les-labos-cinq-minutes-pour-comprendre-la-polemique-10-12-2020-8413532.php, mais :
https://www.humanite.fr/vaccins-decryptage-des-contrats-signes-entre-les-laboratoires-et-lunion-europeenne-700194) )), à qui l’on demande de signer une décharge en même temps que leur consentement éclairé(([9] Cela dépend probablement des pays. Au Québec, le futur vacciné ne reçoit apparemment qu’un feuillet « Pour aider au consentement éclairé – Opération vaccination Covid-19 »
https://publications.msss.gouv.qc.ca/msss/fichiers/2020/20-279-23WF.pdf)). Ainsi, en plus des profits scandaleux tirés de la vente des vaccins, les multinationales pharmaceutiques garantissent leur propre impunité pour une opération criminelle, menée avec la complicité des institutions internationales et des gouvernements.

Le secret sur les clauses contractuelles

Nous savons que les termes contractuels des accords passés par les nations et par l’Union européenne avec ces entreprises pharmaceutiques sont inaccessibles et secrets : même les parlementaires et les représentants politiques ne sont pas autorisés à voir les clauses qu’ils ont dû approuver dans une boîte scellée.(([10] Cependant, certains documents ont pu partiellement fuiter :
https://www.humanite.fr/vaccins-decryptage-des-contrats-signes-entre-les-laboratoires-et-lunion-europeenne-700194)) Et nous savons que ces mêmes entreprises pharmaceutiques, non seulement n’assument aucune responsabilité quant aux effets secondaires, mais déclarent même ne pas garantir leur efficacité à immuniser contre le virus. (([11] Un vaccin procurant à coup sûr l’immunité aurait 100 % d’efficacité. Or, celui qui revendique le maximum d’efficacité ne serait efficace qu’à 95 %.
https://reinfocovid.fr/science/les-vaccins-efficaces-a-95-de-pfizer-et-moderna-nous-avons-besoin-de-plus-de-details-et-de-donnees/))

L’origine chinoise du virus

(([12] En toute rigueur, l’hypothèse n’est pas définitivement prouvée, même si plusieurs indices y concourent.
https://www.francesoir.fr/societe-sante/sars-cov-2-lhypothese-quil-proviendrait-dun-laboratoire-gagne-du-terrain))
Nous savons que le virus SRAS-CoV-2 a, selon toute probabilité, été produit en laboratoire, avec la complicité de la dictature chinoise. La Chine étant l’un des principaux financiers de l’OMS après la Fondation Bill & Melinda Gates, elle a pu empêcher toute enquête sur l’origine du virus ou les premiers stades de sa propagation.(([13] https://siksik.org/qui-finance-loms/))

Complicité du personnel de santé

Nous savons que chaque nation, à de très rares exceptions près, a immédiatement adopté les protocoles sanitaires les plus absurdes émanant de l’OMS, à commencer par la décision malheureuse de ne pas traiter les malades dès l’apparition des premiers symptômes et de les soumettre à une ventilation profonde une fois que le syndrome grippal a dégénéré en pneumonie bilatérale aiguë. Et cela s’est produit avec l’exécrable complicité du personnel sanitaire — des médecins au personnel hospitalier — provoquant des milliers de décès non pas à cause de la COVID, comme nous le disent les grands médias, mais à cause d’un traitement incorrect.(([14] https://nouveau-monde.ca/flavia-grosan-pneumologue-roumaine-cest-le-protocole-covid-applique-dans-les-hopitaux-qui-tue-les-malades/))

Délégitimation et boycott des traitements disponibles

(([15] Et même souvent leur interdiction pure et simple.
https://www.gatsbyonline.com/ataraxie/ce-que-cache-l-interdiction-de-vente-de-lhydroxychloroquine-420416/))
Nous connaissons également la campagne furieuse contre l’efficacité des traitements déjà existants(([16]
https://nouveau-monde.ca/laissons-les-medecins-prescrire-la-resistance-des-medecins-liberaux-sorganise/)), depuis l’utilisation de plasma hyperimmun(([17] ou convalescent.)) jusqu’à l’utilisation de médicaments que de nombreux médecins, bien que violant les normes sanitaires imposées pendant ces mois, ont jugé de leur devoir d’administrer à leurs patients, avec succès.(([18] https://reinfocovid.fr/science/ivermectine/
[19] https://cv19.fr/2020/12/18/le-traitement-du-covid-existe-azithromycine-ivermectine-hydroxychloroquine-et-les-vaccins/)) Et il n’est pas difficile de comprendre que le faible coût des traitements, le fait que beaucoup d’entre eux ne sont pas soumis à des brevets, et surtout leur efficacité immédiate dans le traitement représentent pour les entreprises pharmaceutiques et leurs complices une raison plus que suffisante pour s’y opposer et les discréditer, jusqu’à en interdire l’usage.

Un projet planifié depuis des années

(([20] https://nouveau-monde.ca/preuves-que-la-pandemie-a-ete-planifiee/
https://www.mondialisation.ca/la-vaccination-mondiale-le-veritable-objectif-de-loperation-covid-19/5653966))
Nous savons que pour mener à bien cette opération criminelle — puisqu’il faut parler de crime contre Dieu et contre l’humanité, et non d’un simple destin malheureux — il a fallu des années de planification, menées de manière systématique, afin d’affaiblir les plans nationaux de lutte contre les pandémies, de réduire drastiquement le nombre de lits dans les hôpitaux et les unités de soins intensifs(([21] https://nouveau-monde.ca/covid-et-saturation-des-hopitaux-les-plans-de-restructurations-de-lhopital-public-sur-le-banc-des-accuses/
https://www.belgiqueenbonnesante.be/fr/donnees-phares-dans-les-soins-de-sante/hopitaux-generaux/organisation-du-paysage-hospitalier/categorisation-des-activites-hospitalieres/l-evolution-du-nombre-de-lits-agrees-d-hospitalisation)), de créer une masse d’employés aveugles, sourds et muets, qui ne sont plus médecins et qui placent leur propre sécurité sur le lieu de travail avant leur devoir de soigner les malades. Le serment d’Hippocrate a été violé au nom du profit des entreprises pharmaceutiques et de la poursuite d’un projet d’ingénierie sociale.

Implication du système de santé

Nous savons que pour obtenir la complicité des médecins et des scientifiques, on a eu recours non seulement au système de corruption et de conflits d’intérêts qui existe depuis des décennies, mais aussi à la distribution de prix et de primes en espèces.(([22] https://nouveau-monde.ca/de-mediator-a-astrazeneca-mensonges-et-corruptions-au-sein-de-la-gouvernance-francaise-et-europeenne/
https://nouveau-monde.ca/quand-la-pensee-unique-la-quete-de-notoriete-une-betise-sans-limite-la-corruption-ou-pourquoi-pas-des-menaces-menent-a-limmonde/
https://nouveau-monde.ca/pourquoi-les-scientifiques-ne-font-pas-de-science-pourquoi-lobscurantisme-est-il-la-regle/)) Pour donner un exemple, en Italie, un médecin spécialiste reçoit 60 euros par heure pour administrer des vaccins dans les centres de vaccination ; les médecins généralistes reçoivent des primes pour chaque patient qu’ils ont vacciné ; un lit en soins intensifs est payé environ 3000 euros par jour par le service national de santé. Il est évident que ni les médecins généralistes, ni le personnel hospitalier, ni les agences régionales de santé n’ont intérêt à se priver d’énormes revenus, après que la santé publique ait été démolie au cours de la dernière décennie au nom de la réduction du gaspillage imposée par l’Union européenne. Pour donner une idée, l’Italie a reçu 72 invitations de Bruxelles à fermer tous les petits hôpitaux qui, aujourd’hui, sous le prétexte de la pandémie, ont été rouverts et financés avec des fonds que l’UE alloue à titre de prêt avec des contraintes et des conditionnalités qui, en d’autres moments, auraient été jugées inacceptables. Pourtant, ces hôpitaux ont bien fonctionné, permettant d’offrir un service étendu aux citoyens, et ils ont pu éviter la propagation des maladies.

Le rôle fondamental des médias

Nous savons que des nations ont accordé des financements aux médias, en guise de contribution à l’information sur le COVID. En Italie, le gouvernement de Giuseppe Conte a alloué des sommes importantes pour que le système d’information national donne une version alignée de la pandémie, et il a censuré toute voix dissidente. La diffusion des données sur les infections et les décès a été grossièrement manipulée, suggérant que toute personne ayant un résultat positif au test doit être considérée comme malade(([24] https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2020/04/06/coronavirus-reveillez-vous-on-se-fout-de-vous-il-y-a-des-directives-pour-surestimer-considerablement-le-nombre-de-deces-dans-tous-les-pays/
https://bam.news/tribune/lettre-ouverte-a-yves-coppieters/
https://www.francesoir.fr/societe-sante/transcription-de-la-conference-de-presse-scotus-des-medecins-de-premiere-ligne-de)), même si les asymptomatiques ne sont pas contagieux — de l’aveu même de l’OMS et des organismes analogues aux États-Unis, au Canada, en Australie, etc..(([25] https://nouveau-monde.ca/les-depistages-massifs-par-pcr-ne-servent-a-rien-stop-depistage/)) Et à côté de ces financements gouvernementaux, dans de nombreux cas, les conflits d’intérêt avec les entreprises pharmaceutiques ont pu également interférer dans les choix des diffuseurs et des journaux, d’une part parce que Big Pharma représente l’un des principaux acheteurs d’espaces publicitaires, et d’autre part parce qu’elle est présente dans le conseil d’administration des sociétés d’information. Il est difficile de croire que le rédacteur en chef d’un journal, même s’il est persuadé que la pandémie est une fraude, oserait aller à l’encontre du PDG ou priver le journal des bénéfices publicitaires de Pfizer ou Johnson & Johnson.(([26] https://nouveau-monde.ca/pourquoi-la-fondation-bill-melinda-gates-a-subventionne-le-journal-le-monde-a-hauteur-de-4-millions-de-dollars/
https://nouveau-monde.ca/covid-et-domination-planetaire-comment-bill-gates-et-ses-amis-milliardaires-se-sont-assures-le-soutien-des-medias/
https://observatoiredumensonge.com/2020/12/16/medias-francais-que-devient-lobjectivite/))

Responsabilité des médias sociaux

Nous savons qu’en plus de la complicité des médias, la machine infernale des médias sociaux, de Facebook à Twitter, de Google à YouTube, a mobilisé une opération de censure éhontée et scandaleuse, au point d’effacer les profils d’éminents scientifiques et de journalistes reconnus, pour la seule raison qu’ils n’obéissaient pas aux diktats de la narration du COVID. Même dans ce cas, il n’est pas surprenant de découvrir les relations économiques et de parenté existant entre ces multinationales colossales, qui sont devenues au fil du temps les propriétaires de l’information et les arbitres de qui a le droit à la liberté d’expression et qui ne l’a pas.(([27] Ces médias sont allés jusqu’à censurer complètement l’ancien Président des États-Unis, Donald Trump, parce qu’il ne s’alignait pas avec leur discours !))

Qui en bénéficie ?

Nous savons également qui sont les principaux bénéficiaires de la pandémie, en termes économiques : les usuriers des banques, qui ont le pouvoir de maintenir à flot les entreprises idéologiquement alignées, et en même temps de faire échouer les petites entreprises si elles constituent un obstacle gênant à l’établissement du Nouvel Ordre Mondial. Ces petites entreprises, répandues surtout sur le Vieux Continent et en particulier en Italie, constituent le tissu social et l’identité économique de nombreuses nations. Leur large diffusion dérange les multinationales de la grande distribution, d’Amazon à JustEat, qui, pendant la période de blocage, ont augmenté leurs profits de manière scandaleuse, au détriment des activités commerciales normales, car ce livre que nous avions l’habitude d’acheter à la librairie du coin doit maintenant être commandé en ligne, tout comme le déjeuner, le toner de l’imprimante et le détergent pour lave-vaisselle. Cette « nouvelle économie » s’est imposée avec arrogance en quelques semaines seulement l’année dernière, grâce à la fermeture simultanée des magasins et à l’obligation de rester à la maison qui ont été imposées aux citoyens.(([28] https://nouveau-monde.ca/la-covid-19-sourit-aux-milliardaires/))

L’éducation

Nous savons que la nécessité d’endoctriner les jeunes générations ne pouvait pas exclure de ce plan l’enseignement scolaire et universitaire, qui est aujourd’hui dispensé via « l’enseignement à distance » avec des conséquences psychologiques très graves pour les enfants et les jeunes. Cette opération jette aujourd’hui les bases pour qu’un jour l’enseignement offert via internet puisse être unifié, décidant quels professeurs sont autorisés à donner des cours et ce qu’ils doivent dire, et je ne serai pas surpris si bientôt cette forme d’enseignement aligné comprend un nombre de plus en plus restreint de professeurs : un seul professeur d’histoire pour tous les élèves d’une nation, avec un programme étroitement défini et contrôlé. Il ne s’agit pas d’une réalité lointaine, lorsque chaque élève sera obligé de se connecter en ligne et ne pourra plus faire appel à un professeur de sa propre école, mis à la retraite ou retiré de l’enseignement parce qu’il ne se conforme pas aux ordres du pouvoir. Nous ne pouvons pas non plus être surpris si les nouveaux enseignants sont des hologrammes qui élaborent des algorithmes, ou des intelligences artificielles inquiétantes qui endoctrinent des millions de jeunes dans la théorie du genre, la doctrine LGBT, et toutes les aberrations morales que nous avons anticipées ces dernières années.(([29] La technologie informatique actuelle rend ceci tout à fait possible :
https://www.etonnante-epoque.fr/deep-fake/))

Les promoteurs de la pandémie

Nous savons qui sont les théoriciens de la pandémie utilisée comme instrumentum regni (([30] un royaume d’outils)), de Bill Gates(([31] https://fr.sott.net/article/36020-Bill-Gates-dicte-aussi-et-en-toute-discretion-la-politique-alimentaire-mondiale-et-plus-encore)) à George Soros(([32] https://cogiito.com/a-la-une/les-mondialistes-utilisent-covid-19-pour-inaugurer-lagenda-2030-des-nations-unies-brave-new-world-avec-dix-ans-davance-sur-le-calendrier/)), dans un réseau de complicité d’intérêts si vaste et organisé(([33] https://nouveau-monde.ca/lagenda-2030-vert-de-lonu-est-derriere-la-grande-reinitialisation-du-forum-economique-mondial-suivez-la-piste-de-largent/)) que toute mesure d’opposition est pratiquement impossible. Avec eux, nous trouvons le répertoire le plus inquiétant d’organisations dites philanthropiques et de lobbies de pouvoir, comme le Forum économique mondial avec Klaus Schwab(([34] https://nouveau-monde.ca/le-%e2%80%89great-reset%e2%80%89-nest-pas-du-complotisme/)), l’OMS(([35] https://nouveau-monde.ca/loms-veut-immuniser-le-public-contre-la-desinformation-tous-les-moyens-de-controle-et-de-persuasion-sont-mis-en-oeuvre/)) et toutes ses branches nationales, la Commission trilatérale(([36] https://aphadolie.com/2019/06/13/commission-trilaterale-a-infiltre-les-gouvernements/)), le groupe Bildeberg(([37] https://blogs.mediapart.fr/candice-vacle/blog/160819/le-pouvoir-secret-du-groupe-bilderberg-0)), le Conseil pour le capitalisme inclusif dirigé par Lady Lynn Forester de Rothschild(([38] https://www.c2montreal.com/fr/speaker/lady-lynn-forester-de-rothschild/#/)) sous la direction spirituelle de Bergoglio(([39] Le pape François.)) et, plus généralement, la phalange de multinationales, de banques et de groupes de pouvoir qui font partie du sommet des conspirateurs. Ne soyez pas surpris si, en parfaite cohérence avec leurs plans, les sectes et les mouvements satanistes mondiaux se mobilisent également, à commencer par l’Église de Satan qui exalte l’avortement comme rituel propitiatoire pour la fin de la pandémie, exactement comme Big Pharma exige des pseudo-vaccins produits avec des fœtus avortés.

[…]

Si quelque chose ne fonctionne pas, on peut l’utiliser pour autre chose

Il faut reconnaître que l’illogisme apparent de ce que nous voyons se produire — le boycott des traitements préventifs, les thérapies erronées, les vaccins inefficaces, les confinements sans utilité(([40] https://nouveau-monde.ca/loms-confirme-que-le-test-covid-19-pcr-est-invalide-les-estimations-des-cas-positifs-sont-sans-fondement-le-confinement-na-aucune-base-scientifique/
https://nouveau-monde.ca/lechec-du-confinement-et-des-vaccins-reconnu-par-ceux-qui-les-ont-conseilles-le-pr-delfraissy-et-coll/
https://nouveau-monde.ca/les-confinements-sont-catastrophiques-partout-dans-le-monde/)), l’utilisation de masques absolument inutiles(([41] https://nouveau-monde.ca/masques-tests-vaccins-prevention-actions-et-recours/
https://lesakerfrancophone.fr/mise-a-jour-des-donnees-scientifiques-recentes-concernant-la-politique-covid-19
https://nouveau-monde.ca/le-masque-un-lent-assassinat-collectif-monte-sur-des-mensonges-une-museliere-anti-sociale-pour-esclaves-consentants/)) — prend tout son sens dès lors que l’on comprend que l’objectif déclaré — vaincre la prétendue pandémie — est un mensonge, et que le véritable objectif est la planification d’une crise économique, sociale et religieuse en utilisant comme outil une pseudo-pandémie habilement provoquée. Ce n’est qu’ainsi que l’on peut comprendre la simultanéité et l’univocité des dispositions adoptées par les différentes nations, la narration alignée des médias et le comportement des dirigeants politiques. Il y a un seul scénario sous une seule direction(([42] https://nouveau-monde.ca/les-acteurs-mondiaux-peuvent-utiliser-le-coronavirus-pour-remodeler-le-monde-sans-guerre-president-de-bielorussie/
https://valeriebugault.fr/de-letat-profond-au-gouvernement-mondial-avec-pierre-bergerault-tvl)), qui utilise la collaboration et la complicité des politiciens et des gouvernants, des médecins et des scientifiques, des évêques et des prêtres, des journalistes et des intellectuels, des acteurs et des influenceurs, des multinationales et des banquiers, des fonctionnaires et des spéculateurs. Les profits et les gains y contribuent, car ils achètent et assurent la loyauté des subordonnés, mais cette guerre — ne l’oublions jamais ! — est une guerre idéologique et religieuse.(([43] https://nouveau-monde.ca/covid-19-le-port-du-masque-le-lavage-des-mains-la-separation-sociale-et-le-verrouillage-sont-des-rituels-occultes-seculaires/))

Deux mondes opposés

Cette crise sert à créer les conditions nécessaires pour rendre inévitable la Grande Réinitialisation(([44] https://nouveau-monde.ca/du-confinement-a-la-grande-reinitialisation/)), c’est-à-dire le passage du monde basé sur la civilisation gréco-romaine et le christianisme à un monde sans âme, sans racines, sans idéaux. En pratique, c’est le passage du Royaume du Christ au Royaume de l’Antéchrist, d’une société vertueuse qui punit les méchants à la société impie et méchante qui punit les bons. Cette idée détestable d’« égalité » qui nous a été inculquée par les libres penseurs a été utilisée pour mettre sur un pied d’égalité le bien et le mal, le vrai et le faux, le beau et le laid, sous le prétexte de reconnaître la liberté d’expression. Aujourd’hui, elle sert à promouvoir le mal, l’injustice et le mauvais, et même à les rendre obligatoires, afin de délégitimer et d’interdire le bien, la justice et la beauté. […] Nous devons donc comprendre que, si nous n’assistons pas passivement aux changements en cours et si nous ne nous laissons pas imposer l’idéologie mondialiste dans toutes ses formes les plus abjectes, nous serons bientôt considérés comme des criminels, hostes publici(([45] ennemis publics.)) […]

Nul n’est prophète en son pays

Bien sûr, ce que nous voyons se produire aujourd’hui sous nos yeux aurait pu être compris et prédit depuis des années, si seulement nous avions prêté attention à ce que les théoriciens du Great Reset déclaraient en toute impunité. En réalité, ceux qui ont dénoncé ce plan, qui est actuellement en cours, ont été traités de théoriciens du complot, ridiculisés ou passés pour des fous, ostracisés par l’information grand public et criminalisés, chassés des chaires universitaires et de la communauté scientifique. Aujourd’hui, nous comprenons la clairvoyance des alarmes qui ont été lancées et la puissance du mécanisme d’organisation mis en place par nos adversaires. Au nom de la liberté, nous nous sommes habitués à nous voir privés du droit de parler et de penser, et l’effort de pathologisation de la dissidence(([46] https://nouveau-monde.ca/la-pathologisation-de-la-dissidence/)) afin de légitimer les camps de détention(([47] https://guyboulianne.com/2020/11/05/un-camp-secret-covid-19-capable-dheberger-pres-de-100-personnes-infectees-par-le-coronavirus-est-pret-a-lemploi-au-manitoba/
https://guyboulianne.com/2020/11/20/un-camp-covid-19-est-il-bati-sur-le-terrain-de-lhopital-hotel-dieu-de-saint-jerome-dans-la-region-des-laurentides-dossier-dinvestigation/
https://guyboulianne.com/2021/01/26/lallemagne-instaure-des-camps-de-detention-obligatoire-pour-les-individus-qui-enfreignent-a-plusieurs-reprises-les-mesures-de-quarantaine/)) et de limiter les mouvements sur la base du passeport sanitaire est déjà en cours.

[…]

L’Homme n’est pas un robot

Il y a cependant un élément que les conspirateurs n’ont pas pris en compte : la faiblesse humaine d’une part, et la puissance de Dieu d’autre part. La faiblesse humaine fera que certains des complices de cette conspiration ne seront pas totalement obéissants aux ordres qui leur ont été donnés, ou bien ils penseront qu’ils peuvent tirer un avantage personnel de la pseudo-pandémie en dénonçant la tricherie et la corruption. Certains penseront d’abord à leur propre intérêt, d’autres imposeront l’obligation du vaccin à n’importe qui, mais ils auront quelques scrupules lorsqu’il s’agira de vacciner leur propre enfant ou leur parent âgé. Certains craindront que la farce pandémique ne les implique d’une manière ou d’une autre dans le scandale, et ils commenceront à avouer et à parler, d’autres seront utilisés puis brutalement écartés, ce qui éveillera en eux le désir de vengeance et les conduira à révéler les dessous du plan. Petit à petit, ce colosse aux pieds d’argile s’effondrera, inexorablement, sur ses propres mensonges et ses propres crimes.

[…]

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

25 mars 2021


Notes et références




Un cimetière d’abeilles sous les antennes 5G à Toulouse

[Source : Guy Fawkes News]

À Toulouse, dans ma résidence, des antennes 5G ont été installées sur le toit. Depuis, les cadavres d’abeilles s’accumulent sur le sol, juste en dessous des antennes 5G. Je suis effarée, effrayée, choquée! On va droit dans le mur. C’est un suicide collectif bien connecté! J’en appelle à nos politiques. Arrêtons ce massacre!
Source: Lune Troc



Le passeport vert européen et les QR codes d’ATOS

[Source : Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

Le commissaire européen Thierry Breton nous annonce le passeport sanitaire européen pour le 15 juin. Or on savait qu’il y aurait conflit d’intérêts puisque par le plus grand des hasards sa société ATOS dont il a été le PDG de 2009 à 2019, est précisément spécialisée dans les QR codes, les contrôles aux frontières par le numérique et la digitalisation des données de santé. C’est du reste cette société ATOS qui gère les applications de QR code pour les voyages en Espagne. Edouard Philippe est devenu administrateur de cette société dont les principaux actionnaires sont Blackrock et Siemens. Une plainte d’anticor avait été déposée suite à du favoritisme dans des marchés publics pour la mise en place des radars automatiques alors que Thierry Breton était ministre. Vous avez compris la toile d’araignée? Alors qu’ils sont nommés dans le cadre d’un mandat politique ou européen, ils font leur business sur la mise en esclavage numérique des peuples européens avec des techniques de contrôle et surveillance digitales commercialisées par leurs propres boîtes.

https://www.lefigaro.fr/politique/covid-19-thierry-breton-annonce-l-arrivee-d-un-passeport-vaccinal-des-le-15-juin-20210328

https://www.bastamag.net/Thierry-Breton-audition-Commission-Europe-conflit-interets-PDG-Atos-Macron

https://www.leparisien.fr/politique/commission-europeenne-thierry-breton-cible-par-une-nouvelle-plainte-d-anticor-25-10-2019-8180385.php

https://www.zonebourse.com/cours/action/ATOS-SE-4612/actualite/ATOS-nbsp-va-gerer-les-formulaires-de-controle-sanitaires-des-voyageurs-vers-l-Espagne-31151155/

https://www.capital.fr/economie-politique/la-future-remuneration-dedouard-philippe-chez-atos-1381412
 Thierry Breton, PDG d’une multinationale financée par les fonds européens en voie de devenir commissaire… européen

par Rachel Knaebel 14 novembre 2019

Après le rejet de Sylvie Goulard par le Parlement européen, Emmanuel Macron a proposé Thierry Breton au poste de commissaire européen au Marché intérieur. Au vu du curriculum vitæ du personnage et des marchés sur lesquels intervient l’entreprise dont il était PDG, Atos, ce choix pose de sérieuses questions.

Le 12 novembre, le Parlement de Strasbourg a approuvé en commission la candidature de Thierry Breton au poste de commissaire européen. À 12 voix contre 11, les députés de la commission des Affaires juridiques ont estimé que le profil de l’ancien ministre de l’Économie français, Thierry Breton, ne présentait pas de conflits d’intérêts. L’ingénieur de formation a donc passé cette première étape de justesse. Il y a deux semaines, le Parlement européen avait rejeté la candidature de Sylvie Goulard, ancienne ministre de la Défense mise en cause dans une affaire d’emplois présumés fictifs d’assistants parlementaires.

Exempt de tout conflit d’intérêt, Thierry Breton, vraiment ? Si sa candidature est validée, le Français proposé par Emmanuel Macron pour le portefeuille du Marché intérieur arrivera directement à la Commission depuis sa position de… PDG de grande entreprise. De 2008 à octobre 2019, Thierry Breton a dirigé le groupe Atos. L’entreprise fournit des solutions en télécommunications et électronique, pour la défense ou l’aéronautique, ainsi que pour des fichiers administratifs. Le méga-fichier français TES (pour titres électroniques sécurisés) qui rassemble les données personnelles et biométriques des Français pour les cartes d’identité ou les passeports, c’est Atos.

L’entreprise est aussi active dans le secteur des services sociaux privatisés au Royaume Uni, où sa politique de réduction des dépenses sociales est très controversée (voir notre article). Thierry Breton a démissionné de son poste de PDG d’Atos le mois dernier dans la perspective de devenir commissaire européen, et renoncé à sa rémunération qui avoisinait les 6,1 millions d’euros en 2017 (salaire fixe, part variable et rémunérations en actions).

La suite sur Bastamag




La danse des mougeons

[Source : Exister en Liberté]




Un passeport vert pour un État mondial numérisé

[Source : Le blog de Liliane Held-Khawam]

Le Programme de développement durable de l’Agenda 2030  » jette les bases du nouveau monde en proposant ce qui ressemble à une ébauche de Constitution planétaire. Celle-ci exalte l’esprit d’universalité, et la nécessité d’un consensus – voire d’unanimité – entre les Etats, qui décident de s’unir pour gérer au mieux l’avenir du monde. » Ce texte a été écrit en 2019 quelques semaines avant la pandémie planétaire annoncée quelques semaines plus tard.

Le virus va permettre de faire vivre ces quelques mots quotidiennement grâce à une coordination médiatique planétaire pour le moins fascinante par le consensus dont elle fait l’objet.

À l’heure actuelle, il est question d’un passeport vaccinal. Or, plus je me documente sur le sujet, et plus je repense au Programme de Développement Durable de l’ONU pour 2030. J’avais présenté celui-ci dans Coup d’Etat planétaire en tant que nouvelle Constitution planétaire d’un territoire, de frontières et d’une économie atomisés et captés par la haute finance internationale.

Le Digital Green Pass peut être considéré comme la nouvelle carte d’identi(fication)té de citoyens numériques.

Ce document officiel est très intéressant et très important car il relègue à l’arrière-plan le passeport national.

Le passeport vert semble faire l’unanimité planétaire au niveau de gouvernants, tous signataires du Programme 2030. Dans les faits, il acte la fin des Etats-Nations.

Pourtant quelque chose de plus est en train de se passer. Les nouveaux documents « officiels » émis par des corporations globalisées signifient la fin des libertés individuelles au profit de l’humain en cours de normalisation et d’uniformisation.

Le Green pass n’est rien d’autres que la marche vers la définition de normes standardisées et universelles auxquelles le transhumain idéal devra répondre. La digitalisation fait que l’évaluation permanente (crédit social) sera facilitée d’autant grâce à une connectivité permanente sur fond d’hygiénisme surfait. Les résultats qu’elle indiquera lui permettra de recevoir sa pitance. Zéro carbone bien sûr.

Le Green Pass est le sésame qui fait entrer le terrien dans le monde de l’Agenda 2030, un monde atomisé et complexe, incompréhensible au terrien normal. Ce passeport le reliera au Green New Deal de la haute finance, dont l’Agenda 2030 est l’aboutissement d’un long processus démarré avec le président Roosevelt et la fondation de la structure supranationale, enfant de Bretton Woods.

Bref, à passeport universel, une citoyenneté universelle pour une gouvernance planétaire.

La couleur verte rappelle que l’homme ne doit plus trop bouger au nom d’une santé planétaire dorénavant gérée par ses pollueurs …

La digitalisation permet l’intrusion permanente de tiers au nom de la santé. Votre corps ne vous appartient plus

Je vous invite à lire ce petit chapitre qui explique certains mécanismes fondateurs de la citoyenneté universelle prévue de très longue date. Vos élus avaient juste oublié de vous en parler.

LHK

La Politique Commune des États. Coup d’État planétaire (Extrait)

« We the peoples of the United Nations». C’est par ces quelques mots que s’ouvre le préambule de la Charte des Nations Unies. Signée le 26 juin 1945 à San Francisco, cette assertion n’est pas sans rappeler les premiers mots de la Constitution américaine « We The People of the United States ».

De fait, l’ONU est non seulement un lieu de rassemblement supranational, mais aussi d’intégration des Etats et des peuples par une multitude de projets communs. En 2000, la Déclaration du Millénaire des Nations Unies, qui ressuscitait les valeurs des four freedoms, fut signée à New York par les 193 Etats-membres. Un consensus, une unanimité qui en fait une feuille de route à destination des Etats de la planète. Un texte fondamental, voire fondateur de la nouvelle gouvernance planétaire. Dans son préambule les quelques mots qui suivent donnent le ton pour un projet planétaire et universel : « Nous réaffirmons solennellement, en cette occasion historique, que l’Organisation des Nations Unies est le lieu de rassemblement indispensable de l’humanité tout entière où nous nous efforçons de concrétiser nos aspirations universelles à la paix, à la coopération et au développement. Nous nous engageons donc à accorder un soutien indéfectible à la réalisation de ces objectifs communs et nous nous déclarons résolus à les atteindre».

Ainsi, la dimension universelle de l’ONU est admise par l’ensemble des Etats signataires de la Déclaration, et on a le sentiment, que les aspects concernés sont si nombreux et si conséquents qu’aucun thème social, économique ou politique n’y échappe Cette réalité est porteuse de conséquences lorsque les mêmes signataires font de l’ONU le lieu de gestion de leurs nombreux objectifs communs. La Déclaration du Millénaire confirme la démarche communautariste quand elle demande de « renforcer davantage la coopération entre l’Organisation des Nations Unies et les parlements nationaux, représentés par leur organisation mondiale, l’Union interparlementaire, dans divers domaines, notamment la paix et la sécurité, le développement économique et social, le droit international et les droits de l’homme, la démocratie et la parité entre les sexes. » Une vaste entente entre les responsables de l’ensemble des secteurs qui régissent la planète doit tricoter le nouveau monde sur fond de promesses de droits de l’homme, sous l’égide de l’ONU et du droit international. C’est ainsi que les opposés s’allient sur fond de promesses de paix et de sécurité. Mais objectivement, nous peinons à voir la paix et la sécurité dans un monde marqué par la souffrance humaine.

Qu’est-ce que l’Union interparlementaire ? (Extraits du site ipu.org)

 « L’Union interparlementaire (UIP, en anglais IPU) est l’organisation mondiale des parlements des États souverains. Créée en 1889, elle est la plus ancienne des institutions internationales à caractère politique.
Désireuse de promouvoir la paix et le principe de l’arbitrage international, elle a jeté les bases de ce qui est aujourd’hui la coopération multilatérale institutionnelle et a plaidé pour la création d’institutions analogues au niveau gouvernemental, qui se sont concrétisées sous la forme de l’Organisation des Nations unies.
L’Union a également contribué à la création de ce qui est aujourd’hui la Cour permanente d’arbitrage de La Haye.
A l’origine, simple association de parlementaires, l’Union est devenue l’organisation internationale des Parlements des États souverains (Article 1er des Statuts de l’Union interparlementaire). Foyer de la concertation et de la diplomatie parlementaires entre législateurs de tous les systèmes politiques du monde, et réunissant en son sein des représentants de toutes les tendances politiques, l’Union constitue un exceptionnel poste d’observation de l’évolution de la pensée politique. En outre, les Assemblées statutaires et les réunions spécialisées de l’Union fournissent l’occasion de lancer des idées nouvelles ou des initiatives qui font avancer la cause de la paix et de la coopération internationale. » ( Histoire de l’IPU)
« L’Union œuvre en étroite collaboration avec l’Organisation des Nations Unies dont elle partage les objectifs et appuie les efforts. Elle coopère en outre avec les organisations interparlementaires régionales et les organisations internationales, intergouvernementales et non gouvernementales qui s’inspirent des mêmes idéaux. En octobre 2016, l’UIP a adopté sa stratégie 2017-2021 sous le titre général « De meilleurs parlements pour des démocraties plus fortes ». »

Si le rôle de l’ONU en tant que médiatrice de paix est connu du grand public, celui de plateforme de la mondialisation l’est nettement moins.

La Déclaration du millénaire précise : « Nous sommes convaincus que le principal défi que nous devons relever aujourd’hui est de faire en sorte que la mondialisation devienne une force positive pour l’humanité tout entière ». Le nouvel ordre du monde de Roosevelt et de Truman est bien ancré.

L’ONU est donc cet organe facilitateur du nouveau monde, en tant que pivot entre les Etats-membres d’une part et d’autre part, entre les Etats-membres et les multinationales.

L’ultralibéralisme de l’OMC y est cautionné[1]. L’ONU promeut un multilatéralisme planétaire doublé de partenariats publics-privés si forts, que sa référence semble être un modèle qui vise à collectiviser et organiser la gestion des ressources – y compris humaines- de la planète sous bannière privée.

Quinze ans après la signature de la Déclaration, un autre programme de communautarisation globale voit le jour. Tout le monde se souvient du jour où le pape François a ouvert en personne un rassemblement historique de l’ONU à New York, qui devait marquer le 70ème anniversaire des Nations Unies, qui fut célébré du 25 au 27 septembre 2015. A cette occasion, l’Assemblée, forte de 160 représentants de pays, avait adopté à l’unanimité le projet de « Transformer notre monde : le Programme de développement durable à l’horizon 2030 ».

Ce programme jette les bases du nouveau monde en proposant ce qui ressemble à une ébauche de Constitution planétaire. Celle-ci exalte l’esprit d’universalité, et la nécessité d’un consensus – voire d’unanimité – entre les Etats, qui décident de s’unir pour gérer au mieux l’avenir du monde.

D’ailleurs, cela est confirmé dès l’introduction du Programme : « Ce Programme a une portée et une importance sans précédent. Il est accepté par tous les pays et applicable à tous, compte tenu des réalités, capacités et niveaux de développement de chacun et dans le respect des priorités et politiques nationales. Les objectifs et les cibles qui y sont énoncés ont un caractère universel et concernent le monde entier, pays développés comme pays en développement. Ils sont intégrés et indissociables et concilient les trois dimensions du développement durable ».Tout est acté au nom du développement durable et de ses déclinaisons.

Les contradictions abondent dans ce texte qui prône à la fois la politique ultralibérale de l’OMC et la redistribution des richesses, le multilatéralisme et la souveraineté des États, l’humanisme et le sponsoring par les firmes globales, l’accessibilité aux contrées reculées, aux biens élémentaires, sans parler de gratuité. La toute-puissance du marché unique mondial, de ses multinationales, de la finance en grand architecte, n’y est pas remise en question.

Exemple. Alors que le Programme prône l’éradication de la famine, l’article 68 demande « (…) à tous les membres de l’Organisation mondiale du commerce de n’épargner aucun effort pour parachever rapidement les négociations du Programme de Doha pour le développement. (…) » 

Or, le cycle de Doha est piloté par l’OMC dans le but, entre aures, de libéraliser le commerce international et dont le Programme fait la promotion des produits agricoles des pays pauvres. Mais le cycle promeut aussi la libéralisation des services publics. Récemment, Pierre Moscovici, commissaire européen, confirmait sur France Inter que l’« On peut très bien avoir des services publics qui sont gérés par des entreprises privées. ».

Et si un État venait à refuser le fameux programme 2030 qui vise à transformer le monde ? Le point 30 du Programme y répond de manière très explicite « Il est demandé instamment aux États de s’abstenir d’adopter et d’appliquer des mesures économiques, financières ou commerciales unilatérales dérogeant au droit international ou à la Charte des Nations Unies et qui font obstacle à la pleine réalisation du développement économique et social, en particulier dans les pays en développement. » L’épée de Damoclès, due à l’endettement public détenue par le privé, se chargerait de rappeler à l’ordre les États récalcitrants.

Voici un exemple supplémentaire qui démontre la perte d’autonomie, voire de l’impuissance des Etats. Elle nous vient de l’UE et du pilotage et de la « surveillance multilatérale » que ses organes exercent sur les Etats. Le rôle de la Commission européenne -entité inscrite au Registre du Commerce belge, et donc de type commercial- y est central.

Il est dit : « Le Conseil, sur recommandation de la Commission, élabore un projet pour les grandes orientations des politiques économiques des États membres et de l’Union et en fait rapport au Conseil européen. [2]» Les Etats membres qui ont ratifié ce genre de traités considèrent dans le même texte « leurs politiques économiques comme une question d’intérêt commun », raison pour laquelle ils ont transféré leur souveraineté à la Commission européenne. Cette organisation va jouer un rôle essentiel pour assurer « (…) une coordination plus étroite des politiques économiques et une convergence soutenue des performances économiques des États membres, (…) ».

Puis intervient la surveillance de ce qui devient de fait une autorité de contrôle : « (…) le Conseil, sur la base de rapports présentés par la Commission, surveille l’évolution économique dans chacun des États membres et dans la Communauté, ainsi que la conformité des politiques économiques avec les grandes orientations visées au paragraphe 2, et procède régulièrement à une évaluation d’ensemble.
Pour les besoins de cette surveillance multilatérale, les États membres transmettent à la Commission des informations sur les mesures importantes qu’ils ont prises dans le domaine de leur politique économique et toute autre information qu’ils jugent nécessaire. »
Et enfin, qui dit contrôle, dit sanction. « 4. Lorsqu’il est constaté, (…) que les politiques économiques d’un État membre ne sont pas conformes aux grandes orientations visées au paragraphe 2 ou qu’elles risquent de compromettre le bon fonctionnement de l’Union économique et monétaire, la Commission peut adresser un avertissement à l’État membre concerné. (…). Dans le cadre du présent paragraphe, le Conseil statue sans tenir compte du vote du membre du Conseil représentant l’État membre concerné. (…) »Une perte d’indépendance déjà annoncée : « Dans les faits, les banquiers centraux, notamment sous la forte influence de l’aristocratie financière supranationale, ont tricoté un réseau systémique entre eux (…). Plus ils avancent dans le processus de multilatéralisation, et plus les États de la planète sont automatiquement rendus inopérants. (…) Quel gouvernement national, dépendant des primary dealers pour sa dette publique, pourrait s’opposer à une telle alliance banco-financière ? »[3]Toutes les voies mènent à l’ONU, FMI, OMC, et autre Banque mondiale, structure supranationale de l’après-guerre et relais de la finance globale.

Annexe : Extrait de l’inscription de la Commission européenne au registre des entreprises belges.


[1] « 68. Le commerce international est un moteur de la croissance économique pour tous et un moyen de réduire la pauvreté ; il contribue au développement durable. Nous continuerons à soutenir un système commercial multilatéral universel, fondé sur des règles, ouvert, transparent, prévisible, inclusif, non discriminatoire et équitable établi sous l’égide de l’Organisation mondiale du commerce, et nous sommes favorables à une véritable libéralisation des échanges. »

[2] TFUE ; Chapitre 1, article 121 (ex-Article 99 TCE)

[3] Dépossession, id.




Stratégie du Chaos Contrôlé

[Source : krystalstarcenter.com]

[Ndlr : L’hypothèse d’une influence non humaine derrière une telle stratégie n’enlève pas pour autant à la pertinence de l’analyse.]

Par Lisa Renee

Aujourd’hui, trop de personnes de bon cœur dans le monde accordent à leurs dirigeants et décideurs corrompus le bénéfice du doute, en invoquant l’incompétence ou la compassion pathologique lorsqu’ils tentent d’expliquer la destruction et le déclin rapidement croissant de leur culture occidentale dans les grandes villes soumises au programme du Chaos Contrôlé. La destruction systématique et méthodique des ressources naturelles et des cadres culturels civilisés, la destruction ou la dissimulation de beaux chefs-d’œuvre de l’art et de la littérature, et la décimation intentionnelle d’artefacts et d’antiquités mettant en évidence les âges précédents d’une culture humaine éclairée n’est pas un accident. Le Chaos Contrôlé est basé sur la soumission des individus à des méthodes sophistiquées de Manipulation Psychologique globale conçues pour réformer et réprimer la conscience de masse, en Façonnant de Faux Récits qui détruisent l’Unité et l’Empathie au sein de l’humanité. Les stratégies de division et de domination encouragent les divisions, les conflits et le chaos entre les groupes opposés afin d’empêcher la formation d’alliances fortes et l’unification qui pourraient remettre en cause le pouvoir du Contrôleur ou du Dirigeant. Cela s’étend aux entités négatives, telles que les groupes Lucifériens ou Sataniques, qui exercent un contrôle supplémentaire sur leurs représentants humains qui ont été socialement conçus pour mener à bien leur programme de division et de conquête de la race humaine.

Comprendre les motivations de l’élite du pouvoir en place signifie comprendre leurs croyances spirituelles et idéologiques liées à l’utilisation du chaos contrôlé contre leur opposition, qui est essentiellement d’inciter continuellement au chaos et à la division afin de contrôler le reste des habitants de la terre. Le chaos contrôlé, c’est comprendre le rôle de la théorie du chaos qui est utilisée dans la prise de décision militaire, lors de la planification de tactiques de division et de conquête visant tout groupe, toute population ou toute nation. Le Chaos contrôlé est utilisé à la fois comme une stratégie de guerre spirituelle sur le front métaphysique par des forces obscures non physiques, et comme un outil de désinformation et une tactique d’affaiblissement basé sur la propagande et visant les masses du monde physique. Il s’agit d’une stratégie globale de domination de la Terre sur tout le spectre (full spectrum domination), menée par les forces des EANs [Ndlr: Entités Aliénigènes (ou non-humaines) Négatives, à l’image des « démons » ou des « Archontes » dans certaines traditions religieuses ou culturelles, ou encore des Reptiliens dans des théories plus récentes relevant du domaine ufologique.], qui utilisent des contrôleurs humains sur le terrain qui ont eu accès à des richesses et des ressources illimitées de la planète afin de gérer le reste d’entre nous dans un Chaos Contrôlé.

En détruisant méthodiquement la cohésion et l’unité qui existent au sein de tout groupe, organisation, État ou nation ciblé, le groupe est affaibli par la division interne et le chaos, ce qui fait que des forces organisées extérieures qui utilisent des tactiques de chaos contrôlé peuvent intercepter et imposer facilement le contrôle des ressources du groupe. Dans le cadre d’une étude de cas, la destruction d’un état puissant pourrait être souhaitée par des sociétés multinationales, des syndicats du crime et des institutions qui ont l’intention d’obtenir un contrôle agressif sur les ressources financières, militaires et informationnelles de cet état. Les stratégies consisteraient notamment à saturer la propagande de la culture de la mort dans la population en renforçant les comportements destructeurs, tels que l’augmentation du dénuement et du nombre de sans-abri, la distribution gratuite de seringues d’héroïne, la promotion de la misère sexuelle pour réduire le taux de natalité et augmenter le taux de mortalité. Lorsqu’il y a indifférence à la souffrance, à la misère et au dénuement des autres, les gens deviennent suicidaires et perdent leur volonté de vivre. Cela agit comme un mécanisme d’euthanasie générale pour faciliter une stratégie eugénique ou tuer dans la culture ciblée.

Une autre étude de cas permettant d’observer les stratégies de chaos contrôlé en action, comme l’utilisation de la modification du climat pour provoquer le chaos, est mise en évidence par l’activité récente de l’Ouragan Florence sur la côte est. Dane Wigington, de GeoengineeringWatch.org, a attiré l’attention du public sur ce sujet avec son récent article et la vidéo ci-dessous.

« L’ouragan Florence infligera-t-il le niveau de dommages catastrophiques prévu ? L’immobilisme « prévu » de Florence sera-t-il, dans une certaine mesure, parallèle au scénario de l’Ouragan Harvey ? Ou bien un changement de direction et un affaiblissement de la tempête au cours de la dernière heure diminueront-ils une partie ou une grande partie des impacts prévus ? Dans les deux cas, l’ingénierie climatique est la partie essentielle de l’équation qui n’est reconnue par aucune source officielle. Bien que la nature engendre de plus en plus d’ouragans / cyclones en raison du réchauffement rapide des mers, les opérations massives d’ingénierie climatique mondiale (et les technologies associées) sont de plus en plus capables de manipuler et de diriger de telles tempêtes. Dès le début, les météorologues savaient que l’Ouragan Florence suivrait une trajectoire presque rectiligne vers une région spécifique de la côte est des États-Unis. Comment le savaient-ils ? Parce qu’ils lisent un script qui leur est transmis de haut en bas de l’échelle. Un script qui, en fin de compte, provient de l’entrepreneur en génie climatique Raytheon, qui effectue toute la modélisation pour le National Weather Service (NWS) et la National Oceanic and Atmospheric Administration NOAA (les deux agences gouvernementales sont soumises à un bâillon fédéral illégal). Les guerres météorologiques continuent de s’intensifier dans le monde entier, l’Ouragan Florence n’est qu’un exemple de manipulation des ouragans et des cyclones. On prévoit que le Super-Typhon Mangkhut deviendra probablement la tempête la plus puissante depuis que l’on a commencé à tenir des registres. Mangkhut touchera les Philippines et même Hong Kong. Les grands médias Américains vont-ils même en parler ? Combien d’autres problèmes d’actualité mondiale seront omis en raison de la couverture de l’Ouragan Florence ? Cela fait-il partie de l’agenda mis en place ? Bien que d’innombrables formes d’activité humaine déciment et fassent dérailler le système climatique, les programmes de géo-ingénierie sont le plus grand facteur de perturbation du climat. La couverture continue des médias mainstream concernant les opérations illégales d’ingénérie climatique en fait des complices de ces crimes. Le reportage vidéo de 5 minutes ci-dessous fournit des informations sur l’Ouragan Florence et sur certains des programmes potentiels qui se cachent derrière la manipulation de cette tempête. L’Ouragan Florence, la Géo-Ingénierie de Destruction Massive et de Distraction (Dane Wigington) »

Instiguer et semer un chaos continu, particulièrement par le biais de catastrophes naturelles ou de situations d’urgence, dépasse la capacité de soutenir un mode de vie durable et perturbe la stabilité et la cohésion nécessaires pour rétablir l’ordre dans le désordre. Le déracinement des populations, la création de réfugiés et les migrations massives sont des outils de déstabilisation et de guerre psychologique, en prenant le contrôle de ces zones par l’incitation au chaos tout en détruisant la culture locale. Lorsque l’environnement naturel et la beauté de la terre sont détruits, tels que les arbres, les plantes et les animaux, cette décimation produit un effet de Déshumanisation et de démoralisation sur les personnes qui y vivent. Vivre dans une terre désolée et stérile à cause de la pauvreté abjecte, de la guerre et des événements cataclysmiques n’est pas très souhaitable pour faire évoluer la conscience et développer la culture locale, cela produit des valeurs primitives et de la barbarie. En conditionnant la propagande du chaos contrôlé continu comme un mode de vie semé comme la Culture de la Mort mondiale, elle atteint les objectifs des Contrôleurs de diverses manières.

  • Vivre sur le terrain de la guerre psychologique des stratégies de chaos mondial contrôlé freine la croissance de la conscience humaine, exploite les émotions négatives primitives et neutralise la volonté intérieure de créer et de se développer davantage de manière positive qui contribue à la société, personnellement et professionnellement. (invoque la peur, de la division à la confusion).
  • Il détruit le développement des liens de communication entre les personnes, augmentant la compartimentation et la déconnexion de la vision de la somme plus importante des parties mobiles, supprimant l’accès à l’information qui permet aux personnes et aux groupes de voir l’ensemble du tableau. (ignorance contre intelligence, semer la division et la confusion).
  • Elle réduit la capacité des gens ordinaires à influencer les événements dans les structures de pouvoir et de contrôle, en promouvant des valeurs barbares et primitives comme étant acceptables, tout en fermant les médias indépendants et alternatifs. (déshumanisation et démoralisation, ignorance contre intelligence).
  • Augmente la bureaucratie, répand le gaslighting par de faux récits, sème la croyance illusoire qu’il faut plus d’argent pour tout résoudre, augmente l’esclavage de la dette et favorise la corruption et les comportements criminels. (accablement et usure, démoralisation).
  • Détruit les progrès de l’enseignement supérieur et contrecarre les véritables découvertes scientifiques, élimine la possibilité de poursuivre les voies d’un développement supérieur de l’humanité vers des technologies libres et ouvertes qui élimineraient la guerre, le carburant et les économies basées sur les catastrophes. (ignorance contre intelligence, division contre confusion).
  • Cache un ciblage spirituel secret et une persécution qui vise à freiner l’expansion de la conscience, nous bombardant de négativité, tout en réprimant la vérité et les attributs Krystiques dans les personnes Eveillées, car tous les médias et les piliers de contrôle de la société sont utilisés pour nous soumettre spirituellement, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. (invoquer la peur, semer la division et la confusion, la démoralisation).

Les stratégies du Chaos Contrôlé et l’incitation intentionnelle aux forces du chaos dans le monde en général sont également liées à l’Idéologie Satanique générale et à ses principes les plus élevés. Les individus qui sont des occultistes modérés ou extrêmes dans leurs différentes branches du système de croyance satanique pratiquent également les mêmes stratégies de division et de conquête afin de prendre l’avantage et d’opprimer les masses, par Manque d’Empathie et de compassion pour le sort des autres. Le Satanisme favorise la montée de maîtres manipulateurs et de personnalités sociopathes pour exploiter toute la faiblesse psychologique et émotionnelle de l’homme à des fins personnelles. Pour l’occultiste Satanique, l’attaque psychique et la Magie Noire sont conçues pour siphonner l’énergie de l’âme afin de produire une faiblesse spirituelle ainsi que la préméditation de stratégies complexes qui visent à détruire leur opposition à tout prix. C’est pourquoi de nombreux Satanistes sont des maîtres de la propagande, utilisant des tromperies complexes à des fins de manipulation psychologique pour tenter d’endoctriner le public dans diverses formes d’Idéologie Satanique de modéré à extrême au travers des médias mainstream contrôlés.

(Source: Propaganda, Hurricane Florence, Geoengineering Mass Destruction, Dane Wigington GeoengineeringWatch.org)

→ Voir Principes de base de la Guerre Psychologique.

Auteur : Lisa Renee, energeticsynthesis.com




Un passeport de liberté ou de détention…?

[Source : Voyage Forum via Profession Gendarme]

Bonjour à tous,

Avec la crise actuelle et l’arrivée à grands pas du passeport (ou « pass ») vaccinal obligatoire pour non seulement se déplacer entre les pays, mais aussi dans notre propre pays, tout l’univers du voyage risque de bientôt changer de manière très drastique. Nos différents gouvernements nous font miroiter que le passeport vaccinal en sera un de liberté. Mais est-ce vraiment le cas?

Personnellement, je n’y crois pas du tout (cliquez ici pour lire mon questionnement en septembre 2020 concernant cette crise). Nos gouvernements nous disent que, grâce à ce passeport vaccinal, nous pourrons retrouver une partie de notre vie d’avant, retourner au restaurant, revoir nos proches, voyager… Ce brin de liberté est très attirant pour bien des gens, mais une grosse partie de la population réalisera rapidement que ce passeport vaccinal et ses conditions sous-jacentes cachent en fait, entre autres, un système extrêmement sophistiqué de suivi et de surveillance gouvernementale de tous les déplacements et fréquentations de chaque citoyen (bien des dictateurs ont rêvé d’un tel système de surveillance…). Puis viendra le moment des rappels des vaccins à chaque quelques mois et de l’obligation de passer des tests covid pour diverses situations, sous peine de voir son passeport vaccinal être désactivé. Par la suite, nos gouvernements intégreront très certainement d’autres informations dans ce fameux passeport, de sorte qu’il se transformera en une identité numérique contenant bien plus que notre simple fiche vaccinale du covid. Dans un tel système, il est légitime de se demander aussi ce qu’il adviendra de ceux qui critiqueront le gouvernement: ces personnes auront-elles autant de liberté pour se déplacer et vaquer à leurs occupations dans la société que les autres personnes plus dociles et/ou apeurées? Jusqu’où les élites dirigeantes iront-elles pour garder le contrôle sur la population, sur nous: menaces de perdre notre revenu, notre emploi, notre statut, nos droits, nos libertés, nos possessions…? Ces menaces ont de toute évidence déjà commencé dans de nombreux pays par différents subterfuges. Et, tout cela est sans compter les immenses problèmes éthiques entourant le choix de se faire vacciner ou non sous de telles conditions.

Pour ma part, il est évident que nous nous dirigeons rapidement vers un système similaire au régime totalitaire chinois. Je vous invite fortement à écouter cette vidéo sur le crédit social en Chine. Souhaitons-nous vivre dans ce genre de monde? À la vue de tous les changements qu’il y a eus dans nos sociétés depuis un an (lois et mesures très liberticides et infondées, pensée unique dans les grands médias et dans le monde scientifique (du moins en apparence…), censure de tout ce qui est contraire à la version officielle médiatisée, censure ou discréditation infondée de traitements efficaces et peu coûteux, valeurs morales inversées à différents niveaux de la société, menaces de toute sorte si on critique les décisions gouvernementales, etc.), qui peut croire encore qu’il n’y a aucun risque que nous basculions, si ce n’est pas déjà fait, vers un régime totalitaire? Au nom de la sécurité médicale absolue et du risque zéro (le plus grand des leurres pour les hypocondriaques en herbe), au nom du pseudo altruisme (par exemple, se faire vacciner en pensant que c’est «pour les autres», alors que le vaccin n’empêche pas la contagion selon les données officielles des fabricants), combien de droits et libertés sommes-nous prêts à perdre? Et, une fois perdus, n’est-il pas extrêmement naïf de penser que nos gouvernements nous les redonneront un jour d’eux-mêmes?

En tant que Canadien, je suis d’autant plus inquiet lorsque je me rappelle que l’actuel premier ministre du Canada a déjà dit publiquement qu’il admire le régime dictatorial chinois…! 

Surpris

Ça explique probablement pourquoi il ne dénonce pas haut et fort et ne fait rien de concret pour contrer les camps de concentration des Ouïghours en Chine (vidéo)… 

Incertain

Je suis aussi inquiet de réaliser à quel point l’OMS semble très liée à la Chine et à quel point le directeur de cette organisation, en plus d’être soupçonné de très sérieux crimes (article1 et article2), semble apprécier lui aussi les régimes dictatoriaux (vidéo).

Les démocraties un peu partout dans le monde sont de plus en plus à l’agonie. En guise d’exemple, voici ce qui se passe en ce moment en Israël derrière le mur opaque des grands médias (ce scénario est fort probablement prévu pour les pays d’Europe et au Canada d’ici quelques mois…):
– Sonnette d’alarme sur ce qu’il se passe en Israël
– Une Israélienne lance un S.O.S

Et, à ceux qui crient derrière leur écran «complotiste!» en lisant ce message, je leur rappelle que ces fameux «complotistes» ont eu pratiquement tout bon depuis le début de cette crise. Ils ont en fait été vraiment excellents pour annoncer (dénoncer?) les événements un an ou quelques mois d’avance. Il serait peut-être temps de commencer à les écouter…

Concernant l’avenir de VoyageForum, dans la mesure où faire la promotion des voyages impliquera bientôt nécessairement de faire indirectement la promotion du vaccin, du passeport vaccinal ainsi que de tout le contrôle et la surveillance gouvernementale derrière ce passeport, je refuse catégoriquement de participer, d’alimenter ou de promouvoir une telle machination qui nous rendra encore plus esclaves de nos gouvernements et de leurs volontés. Continuer d’administrer VoyageForum dans de telles conditions impliquerait d’outrepasser mes valeurs les plus profondes, sans compter le fait que je suis totalement contre l’obligation de recevoir un vaccin entièrement expérimental et qui demeurera selon les fabricants en phase test jusqu’à la fin de 2022 (nous sommes littéralement des cobayes).

Qu’adviendra-t-il de VoyageForum? Honnêtement, je n’en ai aucune idée pour le moment et, bien franchement, cela devrait être ces temps-ci la dernière de nos préoccupations. Le temps n’est vraiment pas aux voyages, mais bien à la réflexion sur ce qui est en train de se passer dans nos sociétés et sur ce qu’on peut faire pacifiquement pour éviter le pire.

Pour départir le vrai du faux concernant cette crise, il devient aussi de plus en plus flagrant qu’il faille maintenant aller chercher l’information ailleurs que dans les grands médias (« médias mainstream »). Les principaux médias (qui prennent la majorité de leurs informations de seulement quatre agences de presse au niveau mondial), nos gouvernements, les quelques organisations mondiales ainsi que de grandes entreprises pharmaceutiques sont en effet devenus de toute évidence les différents visages d’une seule et même entité, pour ne pas dire d’une même «bête». Posons-nous sérieusement la question si cette entité, dont les ramifications financières et d’influences sont à tous les niveaux de notre société, souhaite vraiment notre bien. Est-ce que l’état providence existe toujours? C’est une question capitale sur laquelle il est très urgent que chaque personne réfléchisse.

J’en aurais tant à dire sur le sujet, mais je vais plutôt laisser parler des scientifiques et experts par l’intermédiaire de vidéos et articles ci-dessous. Cela aidera sûrement certains d’entre vous à avoir un aperçu plus juste de ce qui se passe derrière le mur de la « version officielle » des grands médias. Vous verrez que de très nombreux scientifiques, médecins et autres spécialistes sont loin d’être unanimes sur la gestion de cette crise, sur ce qui est vraiment en train de se passer à l’arrière-scène et sur les moyens pour remédier à cette crise.

Réveillons-nous, levons-nous et reprenons notre destin en main ainsi que nos droits et libertés. Mais surtout restons pacifiques et solidaires en tant que peuple (nous sommes 99,9% de la population et ils ont tellement peur que le peuple se réveille et se lève…). Prenez bien soin aussi de vous et de vos proches.
Une vidéo inspirante qui donne de l’espoir… Cultivons notre courage et unissons-nous…

Appel à la résistance civile et à l’éveil des consciences
Bien cordialement,
François Boucher, fondateur de VoyageForum

VoyageForum.com
VoyageRéseau Inc.



Flavia Groșan, pneumologue roumaine : c’est le protocole Covid appliqué dans les hôpitaux qui tue les malades !

[Source : Visegrád Post (visegradpost.com)]

Article paru le 19 mars 2021 sur le site Erdély Ma.

« Une pneumologue roumaine fait des miracles : elle a guéri 100% de ses malades du Covid » – C’est sous ce titre que vient de paraître un article assez long dans le quotidien roumain Național, vendu dans tout le pays. Le secret de cette femme médecin d’Oradea ? Pour guérir ses patients, elle n’applique pas le protocole médical dont l’usage est devenu obligatoire presque partout.

Couverture du Național du 18 mars 2021.

L’entretien publié par le Național a aussi été mis en ligne en langue hongroise sur ce site, qui reprend, concernant l’épidémie, diverses nouvelles alternatives que la presse de grand chemin refuse de publier. Nous ne sommes pas en mesure de vérifier la crédibilité des matériaux souvent touffus que reprend le site, mais nous pouvons, en revanche, évaluer celle de la traduction hongroise de l’entretien : le contenu de la traduction hongroise correspond bien à l’original. Voici donc cette traduction, à laquelle nous n’avons ajouté que d’infimes améliorations stylistiques :

« Le portail d’informations national.ro vient de publier un entretien intéressant, dans lequel une pneumologue d’Oradea nous explique que, décidant de ne pas tenir compte du protocole Covid officiellement en vigueur [en Roumanie], elle a préféré se baser sur sa propre expérience de la pneumologie pour traiter de façon traditionnelle ceux de ses patients atteints de pneumonie suite à une infection virale – y compris ceux qu’on dit « souffrant du Covid », méthode débouchant sur un succès impressionnant : pratiquement 100% de ses patients ont guéri sans le moindre soin hospitalier. D’après ce médecin, c’est en réalité le protocole Covid actuellement appliqué que tue les patients dans les hôpitaux.

Capture d’écran de l’article du Național en date du 17 mars 2021.

Le docteur Flavia Groșan, pneumologue à Oradea (département du Bihor). Elle est l’un de ces médecins qui ne sont pas d’accord avec le protocole de guérison actuellement prescrit par le ministère [roumain] de la Santé, et en fonction duquel sont censés être traités les malades infectés par le Covid-19. Laissant de côté cette prescription, elle guérit les patients infectés avec ses propres méthodes, en partant des connaissances qu’elle doit à son expérience de médecin, et tout semble indiquer qu’elle s’y prend très bien : son traitement a été appliqué à presque mille patients arrivant chez elle à des stades différents de la maladie causée par le SarS-CoV-2. 100% de ses patients ont guéri, sans la moindre prise en charge hospitalière.

Le docteur Groșan traite les conséquences de l’infection par le virus SARS-CoV-2 comme une pneumonie atypique. Elle a aussi déclaré que les hôpitaux commettent d’énormes erreurs, et que c’est en réalité le protocole Covid qui tue les patients.

« Le Covid est une pneumonie – certes atypique, mais une pneumonie – et doit être traité comme tel » – a-t-elle affirmé.

« Dès l’annonce de la pandémie, mon but a été qu’aucun patient ne finisse intubé, car c’est un procédé qui entraîne la mort. J’applique mes traitement classiques, médicamenteux, qui incluent la clarithromycine, un antibiotique de la famille des macrolides. Cette famille ne compte que trois antibiotiques : l’érythromycine, que tout le monde connaît, l’azithromycine et la clarithromycine. Je n’aime pas trop l’azithromycine, qui est une copie affaiblie de la clarithromycine. J’ai participé à des recherches cliniques très intéressantes sur les pneumonies, au cours desquelles j’ai pu constater le pouvoir qu’a la clarithromycine de réduire l’inflammation comme aucun autre antibiotique ne sait le faire. »

La pneumologue fait remarquer que les surdoses d’oxygène administrées en milieu hospitalier provoquent des œdèmes cérébraux, qui constituent l’une des causes de mortalité des patients.

À ce sujet, elle a tenu les propos suivants :

« Au-dessus de 80% de saturation, je n’administre que de très petites doses d’oxygène à mes patients, de l’ordre de 2-3 litres par minute, sous la forme d’administrations quotidiennes courtes, de 4 à 5 heures tout au plus. Il faut en effet savoir qu’un excès d’oxygène inhibe le cerveau, car en général, c’est le cerveau qui contrôle notre corps, et non un appareil. Sur ce point, j’ai été en total désaccord avec le protocole Covid en vigueur : les fortes doses d’oxygène qu’il prescrit, de l’ordre de 20 litres, conduisent à l’acidose, provoquant des œdèmes cérébraux chez les patients… lesquels, à leur tour, conduisent bien entendu à leur décès. »

Flavia Groșan voit comme une lourde erreur l’administration aux malades de Covid de Kaletra et de codéine, qui ne peuvent qu’aggraver les symptômes de la maladie.

« Heureusement, il y a eu quelques infirmières – celles que je considère comme de vraies héroïnes – qui ont observé les malades, et les ont avertis, leur conseillant de ne pas avaler le Kaletra et de jeter les médicaments. Après quoi, les médecins venant procéder à leur contrôle s’étonnaient de l’absence de diarrhée, et du fait qu’ils se sentent bien. La raison en était qu’ils n’avaient pas pris les médicaments prescrits par le protocole. C’est ainsi que ces soignantes ont véritablement sauvé la vie de leurs patients. »

« En cas d’utilisation de la codéine, la toux étant bloquée, le malade ne peut pas cracher les sécrétions qui se forment dans les poumons, et ce sont ces sécrétions qui l’étouffent – pas les caillots sanguins, mais l’accumulation des sécrétions. Arrivés à ce point, les malades, comme on pouvait s’y attendre, entrent en état de panique, car ils n’arrivent plus à respirer : du coup, on leur administre des calmants et on les place sur respirateur – à partir de là, il n’y a plus que la miséricorde divine pour les sauver ! »

Cette méthode couronnée de succès et cette attitude intrépide ont aussitôt assuré à cette pneumologue d’Oradea une popularité nationale. D’innombrables organes de presse ont rendu compte de la méthode qu’elle applique. Sur cette vidéo, elle répond aux questions d’une chaîne nationale basée à Bucarest, dont les journalistes adoptent à son égard un ton plutôt hostile et accusatoire, mais madame le docteur reste inébranlable. Voici un résumé de l’entretien télévisé :

Flavia Groşan

La pneumologue applique son propre protocole. Elle consulte en ligne, et traite ses patients en partant du principe qu’ils souffrent d’une pneumonie atypique. Elle a par exemple guéri les cinq membres d’une même famille, dont les âges allaient de 37 à 97 ans ; le traitement a eu tant de succès que cette famille a déjà pu fêter Noël réunie. Les malades ont très peur – affirme-t-elle –, tout le monde veut être hospitalisé, alors qu’on peut guérir en restant chez soi et en prenant des médicaments. Elle a déjà été dénoncée par l’un de ses collègues pour ne pas suivre le protocole prescrit, mais cela la laisse indifférente, car elle voit que le protocole prescrit n’est pas correct, et que son protocole à elle, en revanche, est le bon – le principe de ce dernier étant que, dès l’apparition des premiers symptômes, même avec une température de 37.1°, elle place ses patients sous clarithromycine. Elle se déclare perplexe en voyant les sommités médicales se succéder à la télévision pour effrayer la population, car pour elle, il était clair d’entrée de jeu qu’elle a à faire à une pneumonie, et que c’est cette constatation qui doit aussi déterminer la mise au point du traitement.

Traduit du hongrois par le Visegrád Post




Bill Gates et la fin de l’Amérique

[Source anglaise : Video Rebel’s Blog]

[Traduction : LA CAUSE DU PEUPLE]

Naomi Wolf a écrit Les dix étapes du fascisme  sous le régime Bush II dans le cadre de son livre de 2007 End of America: A Letter to a Young Patriot [Ndlr: Fin de l’Amérique : lettre à un jeune patriote]. À ce moment-là, elle a dit que nous avions déjà franchi les neuf premières étapes du fascisme. Et aussi à l’époque dans ses conférences, elle nous a promis qu’elle nous avertirait quand nous serions arrivés à l’étape 10 et au fascisme complet. Elle vient d’émettre son avertissement : Naomi Wolf croit maintenant que nous vivons tous sous le fascisme. Et elle dit que c’est la pandémie de covid qui nous a poussés par-dessus bord.

Elle a énuméré dix étapes que chaque coup d’État prend pour mettre en place une dictature. Elles sont :

1. Invoquer un terrifiant ennemi interne et externe.
2. Créer des prisons secrètes où la torture est pratiquée.
3. Développer une caste de voyous ou une force paramilitaire qui ne relève pas des citoyens.
4. Mettre en place un système de surveillance interne.
5. Infiltrer et harceler les groupes de citoyens.
6. Se livrer à la détention et à la libération arbitraires.
7. Cibler les personnes clés.
8. Contrôler la presse.
9. Qualifier la critique comme de l’espionnage et la dissidence comme une trahison.
10. Subvertir la primauté du droit.

Elle écrit maintenant son nouveau livre Step Ten [Ndlr: Étape 10] parce qu’elle croit que nous sommes dans la dernière étape, la transition vers le fascisme mondial. Nous vivons maintenant sous le fascisme parce qu’il n’y a pas d’État de droit avec les mesures d’urgence covid imposées à tous. Même le London Telegraph défend «No jab, No job» (Pas de piqûre, pas de job). Des passeports de vaccins sont en cours d’élaboration. Nous vivrons dans une société contrôlée. La Grande-Bretagne est dans une situation bien pire que l’Amérique. Je pense qu’il en est ainsi pour deux raisons, que Wolf, en tant qu’intellectuelle juive diplômée de Yale et d’Oxford et qui n’a résidé qu’à San Francisco et dans le nord-est des États-Unis, ne comprend pas.

Premièrement, l’Amérique est une nation fédéraliste. Nos gouverneurs d’État ont dit non aux verrouillages et aux masques. Le gouverneur républicain du Dakota du Sud a rejeté les confinements. De nombreux gouverneurs républicains suivent maintenant son exemple et rejettent même les obligations de masque.

Deuxièmement, nous avons un deuxième amendement qui garantit tous les autres. Le Guardian nous a dit que l’année dernière, les Américains possédaient 493 millions d’armes à feu. En raison de Covid et des émeutes du BLM et de l’ANTIFA, les ventes d’armes à feu ont augmenté. USA Today affirme que 40 millions d’armes à feu ont été légalement achetées en 2020 et 4 millions de plus en janvier 2021. Les libéraux ne semblent pas comprendre que si nous n’avions pas plus de 500 millions d’armes à feu, nous aurions perdu nos libertés depuis longtemps.

Un exemple serait le plan de l’administration Bush II pour arrêter 8 millions d’Américains figurant sur une liste principale de personnes à faire disparaître sans procès en cas d’urgence nationale. Cela signifie que si le dollar meurt à cause de la cupidité et de la stupidité des banquiers et de leurs politiciens ʺtoutous à sa mémèreʺ, ils prévoient d’arrêter 8 millions de personnes ʺdangereusesʺ car elles refusent les diktats de Wall Street, des créatures du marais de Washington DC et de Bill Gates.

Ce que Naomi Wolf ne peut pas voir, c’est que, selon cet article du Guardian, 7,1 millions d’Américains possèdent 40 armes ou plus. Que pensez-vous qu’il se passerait si quelqu’un à Washington donnait l’ordre à 20 ou même 30.000 agents fédéraux armés de faire du porte-à-porte et d’arrêter 8 millions d’Américains sans procès? Pensez-vous que quelques uns résisteraient à la torture et à la mort sans procès ? saisiraient-ils quelques unes de ces 500 millions d’armes à feu pour tirer sur des fédéraux? Ne pensez-vous pas que quelques millions d’Américains bien armés passeraient à l’offensive contre les mondialistes dès le 3ème ou 4ème jour des arrestations illégales?

Wolf omet également toute discussion sur les origines du covid en tant qu’arme biologique dans un laboratoire de l’Université de Caroline du Nord. Il a ensuite été perfectionné dans un laboratoire militaire à Wuhan en Chine avec 3,7 millions de dollars de subventions des NIH du Dr Fauci et du président Obama en 2014.

Elle dit qu’à l’étape 10, il n’y a pas de règle de droit. Pfizer et Moderna ont développé des traitements expérimentaux qui, selon la législation américaine, ne pouvaient pas être appelés vaccins. Ils sont probablement beaucoup plus dangereux que le covid. Le CDC, si vous croyez à ses mensonges, nous a dit que le port d’un masque pourrait réduire notre taux de mortalité covid à moins de 2% mais ne nous a pas dit combien d’entre nous mourraient d’infections bactériennes. Lors de l’épidémie de grippe espagnole, des millions de porteurs de masques sont morts d’infections et non de grippe. Une bien meilleure réponse serait de dire aux 70% d’Américains déficients en vitamine D de prendre des suppléments comme ils l’ont fait en Espagne. La région d’Andalousie a réduit son taux de mortalité covid de 82% avec des doses quotidiennes minimales de vitamine D-3.

Il n’est pas surprenant pour moi qu’en tant que démocrate, Wolf n’ait jamais mentionné le vol de l’élection présidentielle de 2020 comme exemple de la perte de l’état de droit. En 2016, malgré le vol par les démocrates de 8 millions de voix, l’Hillarante a quant même perdu. En 2020, ils ont probablement volé quelque 14 millions de voix et ont gagné parce qu’aucun tribunal n’a été disposé à prendre en compte les preuves documentées de vols massifs de votes. Un exemple serait celui de Milwaukee dans Wisconsin où les circonscriptions avec 1.000 électeurs ont enregistré 7.000 votes. Cela ne pourrait jamais arriver si nous avions la primauté du droit et une presse libre et responsable.

Si vous voulez savoir ce qu’est l’Amérique, jetez un œil à ses présidents

Brady Hartfield

Lorsque les menteurs guident, seuls les lâches, les complices et les esprits affaiblis suivent.

Auteur inconnu.

Cela nous indique tout ce que nous devons savoir sur la politique américaine à l’époque de Biden et Harris. Nous avons en Biden un leader corrompu, pervers, menteur, voleur et sénile. La presse et la plupart des gens sont d’accord avec cela.

Je dois souligner que je me suis opposé à de nombreuses politiques de Trump. Je me suis opposé à son sionisme et à son acceptation de l’escroquerie Covid et des vaccins. Mais il était entouré de créatures du marais et de sionistes à Washington.

Gates vs. the goon squad | The Seattle Times

Où se situe Bill Gates dans cette image?
Ces vaccins ont été jugés acceptables parce que nous étions censés être dans un état d’urgence, ce qui signifie qu’ils n’auraient jamais été mis en œuvre si nous avions encore la primauté du droit. M. Bill Gates a donné 750 millions de dollars à GAVI (Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination) en 1999. C’est lui qui nous a donné les vaccins qui, selon le Dr Vernon Coleman, sont des armes de destruction massive.

M. Gates croit en la réduction de la population. Les Georgia Guidestones  nous disent que nous devons réduire la population mondiale à 500 millions. Certains disent que nos grands et glorieux dirigeants permettraient à un milliard d’entre nous, simples roturiers, de continuer à vivre. Bien sûr, cela signifie que 7 milliards ou plus de gens ordinaires devraient mourir.

Vous devez comprendre maintenant que les Boss croient que vous avez été créés pour améliorer la vie des super milliardaires.

Articles Liés

J’ai évoqué le plan d’arrestation et de torture de 8 millions d’Américains. Il a été discuté dans le Huffington Post et dans l’émission de radio Democracy Now.
Fuck Up: 8 millions d’Américains sont sur la liste des disparus https://vidrebel.wordpress.com/2014/02/02/screw-up-8-million-americans-are-on-the-list-to-be -disapparue.
J’ai mentionné le fait que les responsables veulent votre mort. J’ai écrit à ce sujet ici: David Rothkopf était le directeur général de Kissinger Associates dans les années 1990. Il a écrit le livre Superclass dans lequel il a dit que le monde était dirigé par 30 familles et leurs 6000 Minions. Les trente familles sont le nouvel ordre mondial. Cet article prouve également que covid a été créé dans un laboratoire en tant qu’arme biologique
Le patron veut que vous soyez mort (mis à jour) https://vidrebel.wordpress.com/2020/06/08/the-boss-wants-you-dead/.
J’ai mentionné Bill Gates. J’ai écrit plusieurs articles sur lui dont celui-ci:
Bill Gates Prédiction 1997: Extinction 2020 par le virus pulmonaire. https://vidrebel.wordpress.com/2020/04/17/bill-gates-1997-prediction-2020-extinction-by-lung-attacking-virus/.
Je pense que Kamala Harris, qui a des liens étroits avec George Soros et Warren Buffett, est encore plus dangereuse que Joe Biden.
Kamala Harris #PedoQueen # PedoDefender https://vidrebel.wordpress.com/2021/03/09/kamala-harris-pedoqueen-pedodefender/.
J’ai également dit que le Dr Vernon Coleman a dit que ces vaccins étaient des armes biologiques. Jugez par vous-même et regardez sa vidéo.
https://brandnewtube.com/watch/covid-19-vaccines-are-weapons-of-mass-destruction-and-could-wipe-out-the-human-race_GcjtJu9dY1RcSNh.html.

Source : Naomi Wolf, The End of America and Bill Gates




Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid

[Source : Geopolintel]

L’expérience de Asch, publiée en 1951, est une expérience du psychologue Solomon Asch qui démontre le pouvoir du conformisme sur les décisions d’un individu au sein d’un groupe. Solomon Asch invita un groupe d’étudiants de 17 à 25 ans à participer à un prétendu test de vision. Tous les participants étaient complices avec l’expérimentateur, sauf un. L’expérience avait pour objet d’observer comment cet étudiant (le sujet) allait réagir au comportement des autres.

Dans notre cas on va expérimenter le terme complotiste inventé par des psychologues de la CIA, pour forcer les gens à rentrer dans la pensée admise et non divergente.

Le ministère de la santé a expérimenté cette technique de conformité du groupe avec le port du masque et en faisant croire qu’un test PCR positif équivaut à avoir le Covid.
L’ effet de répétition des campagnes de sensibilisation permet une autohypnose où la force du groupe prime sur l’individu. Cette technique est idéale en dictature pour forcer les gens à renier leur propre opinion plutôt que de sortir du rang.

Autre phénomène utilisé par le gouvernement Macron et le cabinet de conseil McKinsey est la « pensée de groupe » (« groupthink »). Le terme a été inventé par le psychologue américain Irving Janis. C’est une dysfonction du groupe. Il mène les dissidents à taire leur opinion, par peur d’être exclus du groupe, isolés ou ridiculisés.
La distinction entre une parole dissidente mais crédible et une théorie fantaisiste peut être subtile et être instrumentalisée pour valider la pensée du groupe.
C’est pour cela que la presse continue à interviewer le professeur Didier Raoult.
Si on ne lui donne pas la parole on laisse le champ libre aux réseaux sociaux et au complotisme.
Se faire traiter de complotiste agit surtout dans la sphère familiale, depuis le premier confinement ceux qui ne portent pas le masque sont isolés et empêchés de voir leur proches. S’il veulent retrouver une vie familiale ils se résignent à écouter les paroles infantilisantes de l’idiot de Matignon qui préconisait de placer les grands parents dans la cuisine le jour de Noël pour manger la bûche.

Le discours de la « carotte » consiste à mélanger maintien sous contrôle du virus et le retour progressif à une vie normale avec le vaccin pour nous forcer à accepter la dictature sanitaire. Le véritable objectif de l’élite mondialiste est d’écrouler notre économie mais cette pensée est complotiste.

Ceux qui sont sortis du rang doivent assumer leur dissidence pour garder leur liberté.

L’expérience de Asch

Les complices et le sujet furent assis dans une pièce et on leur demanda de juger la longueur de plusieurs lignes tracées sur une série d’affiches. À chaque fois, il fallait qu’ils désignent laquelle était la plus courte, lesquelles étaient de même longueur, etc. Au début, les complices donnent à l’unanimité la même fausse réponse avant de laisser le sujet répondre en dernier.

Tandis que la plupart des sujets répondirent correctement, beaucoup furent assez perturbés, et un grand nombre (33 %) finissait par se conformer aux mauvaises réponses soutenues à l’unanimité par les complices. Les sujets étaient même amenés à soutenir des réponses allant contre l’évidence et leur propre vue (voir les expériences filmées), pour par exemple affirmer que deux lignes avaient la même longueur, alors que l’écart était très visible car de plus de 5 cm.

Lorsqu’il n’y avait pas unanimité parmi les complices, les sujets s’émancipaient du groupe pour soutenir la réponse vraie, mais dissidente et contrariante pour le groupe ; Des sujets témoins qui n’étaient pas soumis à un point de vue majoritaire, n’eurent aucun mal à donner toujours la bonne réponse. Après l’annonce des résultats, le sujet attribuait généralement sa piètre performance à sa propre « mauvaise vue ». Ceci rejoint dans une certaine mesure l’expérience de Milgram où le sujet accuse l’expérimentateur d’être responsable de son comportement. Dans les deux cas, le sujet se dédouane de la responsabilité de ses décisions sur un élément extérieur à sa volonté.

L’effet Asch

Son hypothèse de départ est la suivante : Un individu est susceptible de faire sien un jugement qu’il sait contraire au bon sens, à la réalité et cela sans que quiconque n’ait à délivrer la moindre récompense ou punition. La situation est simple et ne présente aucune ambiguïté ; tous les Sujets sont capables de fournir la réponse exacte. En effet, les sujets devaient dire quelle baguette est équivalente à la baguette de présentation. Les erreurs doivent donc être quasi inexistantes ou marginales.

Les résultats sont les suivants :
Les Sujets naïfs, influencés par les compères vont donner en moyenne 36,8 % de réponses erronées. Pour pouvoir comparer ; l’expérimentateur avait constitué ce qu’on appelle un groupe contrôle qui ne comportait pas de sujets compères ; dans cette situation les erreurs sont effectivement marginales avec seulement 2 sujets sur 37 qui montraient une ou deux erreurs sur les 18 évaluations.
Asch observe également de grandes différences entre les sujets ; sur 123, 29 ne font aucune erreur et 39 font plus de 50 % d’erreurs en présence de compères. Le processus de conformité est ici mis à jour.

Dans cette expérience, on a :
Une dépendance ou Influence informationnelle induisant le conflit cognitif.

  • Importance numérique de la majorité
  • L’unanimité de la majorité
  • Support social ou consensus de la majorité Une dépendance ou Influence normative : Il y a conflit motivationnel, dans la mesure où le maintient réel ou symbolique dans le groupe est subordonné à l’adhésion aux Normes, aux règles de ce groupe.

Surmars




Barbier révèle enfin le complot Covid !

[Source : zonefr.com]

Eric Montana

Par Eric Montana

Christophe Barbier le « Conseiller médias » de Macron, dans un élan de sincérité lâche le morceau dans son dernier livre « Les Tyrannies de l’épidémie » (éditions Fayard) : « L’angoisse a été organisée par l’administration et le pouvoir politique pour que les gens se tiennent à carreaux. Et cela a marché ! »

Dans l’article d’hier intitulé « Le Pouvoir redoute une explosion sociale« , ma consoeur Brigitte Bouzonnie comparait la situation sociale à une « cocotte minute qui bouillonnne ras la marmite. »

Et au risque de me tromper, je dirais que nous sommes plutôt proches d’une insurrection car les manifestations ne servent à rien, qu’elles sont interdites et violemment réprimées. Depuis 2 ans les défilés chantants n’ont produit que des blessés, des éborgnés, des mutilés. Pour rien !

Ce Pouvoir mafieux a réduit nos libertés au strict minimum, nous a conditionnés et manipulés avec une pandémie qu’il fait durer plutôt que de la traiter, privilégie la vaccination aux traitements préconisés par les plus grands virologues, tente de faire passer pour des charlatans tous les scientifiques, médecins, infectiologues qui décrivent la gestion du Covid comme absurde et infondée, ne tient même pas compte des mises en garde de l’ONU, fait le contraire de ce que préconise l’OMS et comble du cynisme,  continue à maintenir la population dans un climat de peur et de psychose digne des pires dictatures.

Alors on trompe l’opinion à coups de sondages truqués en tentant de faire croire qu’une majorité de Français serait favorable au confinement, au couvre feu, à la vaccination et à toutes les mesures décidées par ce gouvernement qui est sans doute le plus impopulaire que nous ayons eu depuis longtemps.

Jamais de mémoire d’homme, le parti d’un Président de la République n’a enregistré une telle claque dans des élections municipales où il a atteint péniblement, 2,6% des votes exprimés. Les chiffres en disent plus que les mots.

Qui peut croire que Macron dit la vérité ? Qui peut encore avaler la propagande mensongère des médias quand on sait qu’ils appartiennent tous à ceux qui ont financé sa campagne et l’ont mis au pouvoir ?

Des médias jusqu’à la censure des réseaux sociaux américains, nous sommes gavés de désinformation, gavés de mensonges, gavés de manipulations jusqu’à l’indécence. Et le résultat c’est que l’opinion publique est au bord de l’explosion, ce qui démontre que personne ne croit plus ni à la sincérité des médias et encore moins à l’honnêteté des politiques. Si les Français se plient aux mesures liberticides de ce gouvernement ce n’est pas par peur du virus mais par peur des amendes, des poursuites judiciaires, de la répression extrême que Macron exige.

Quelle est la réalité ? Dans un sondage paru en 2020 depuis disparu des radars de Google, la presse s’était faite écho d’un sondage qui a provoqué une onde de choc à l’Elysée : 91% des Français ne font plus confiance à ce gouvernement ! Macron a résolu le problème en faisant appel à un autre institut de sondage où le fils de son épouse Brigitte Trogneux est aux commandes. On n’est jamais mieux servi que par soi-même… mais les Français ne sont pas dupes… Ce président sait parfaitement que sans la police, il serait probablement lynché par le peuple et c’est la raison pour laquelle il accorde aux forces de la répression tout ce qu’elles demandent…

La vaccination est selon les propres aveux de la chaîne d’infos italienne RAI News, un échec total en France comme en Italie. Les gens ne sont pas stupides, ils s’informent sur les médias indépendants sur Internet et découvrent les conséquences tragiques de cette vaccination chez ceux qui étaient fiers d’être les « champions » : Israël, Royaume Uni, Chili. Le nombre de morts que l’on tente de minimiser et de faire passer en dégâts collatéraux, en pertes et profits, est infiniment supérieur aux morts que l’on attribue au virus lui-même puisque la moyenne est de 13 à 15% de décès et complications graves pour la vaccination contre 0,03% pour le Covid ! Ca fait une sacrée différence !

Et puis chaque jour qui passe apporte son lot de révélations. Bien sûr il y a le Grand Reset mais aussi la corruption habituelle mais révélée des instances européennes, des chantres de la vaccination liés aux labos, les témoignages bidonnés de médecins vendus, les faux chiffres des hospitalisés, les reportages truqués où on utilise des figurants jouant les malades du Covid pour les besoins de la propagande. Avec ce gouvernement, on assiste au pire !

Et même ce pauvre Christophe Barbier le « Conseiller médias » de Macron, dans un élan de sincérité lâche le morceau dans son dernier livre Les Tyrannies de l’épidémie (éditions Fayard) : « L’angoisse a été organisée par l’administration et le pouvoir politique pour que les gens se tiennent à carreaux. Et cela a marché ! »

Merci de cet aveu qui confirme tout ce que les complotistes s’échinent à dire depuis un an ! Nous méritons respect et reconnaissance.

Cette psychose collective a donc été organisée aussi pour mettre un terme aux Gilets Jaunes et éviter l’explosion sociale. Le Covid a servi d’alibi à ce pouvoir assassin pour mettre en oeuvre les mesures liberticides les plus abjectes qu’un gouvernement pouvait décréter. L’urgence sanitaire a servi d’excuse au pire crime contre l’humanité car nos anciens ont été euthanasiés et enterrés dans l’anonymat, les familles ne pouvant même pas organiser de funérailles pour leurs êtres chers, accusés d’être contaminés et dangereux.

C’est proprement dégueulasse ! Il n’y a pas de mots pour décrire le dégoût qu’inspire ce pouvoir criminel ! Il n’y a pas de mots pour décrire la rage que nous éprouvons tous.

Chaque jour nous apprenons que des plaintes sont déposées par des avocats pour homicide volontaire donc pour crime, pour assassinat ! Le nombre de victimes de cette campagne de vaccination menée à marche forcée est hallucinant et Macron ne pourra pas le dissimuler indéfiniment car il est le principal responsable, le vrai coupable de cette boucherie de masse.

Cela fait un an que je m’évertue à dire et à écrire que le virus est une arme biologique fabriquée en laboratoire et génétiquement modifiée donc l’opération Covid est criminelle, elle masque d’autres objectifs, elle est utilisée pour nous faire peur et nous réduire au silence ! Cela fait un an que je tente à ma modeste échelle d’avertir l’opinion publique, preuves à l’appui, avec tant d’autres journalistes indépendants et lanceurs d’alerte. Cela fait un an que je diffuse les messages d’alerte des esprits éveillés, des scientifiques, des virologues, de grands avocats comme Robert F. KennedyReiner FuellmichCarlo BrusaVirginie de Araujo-Recchia, Rocco Galati, Dominic Desjarlais, Fabrice Di Vizio.

[Ndlr : voir aussi sur Nouveau Monde, le dossier Avocats dans le menu en haut du site.]

Je ne sais plus comment faire pour que tous ensemble nous réagissions enfin et mettions un terme à ce cauchemar.
Je suis à bout de forces, j’ai fait ma part, j’ai pris tous les risques que l’on peut prendre en tant qu’être humain pour tenter d’informer du mieux que j’ai pu mes frères humains. A part des ennuis, je n’ai rien à gagner car personne ne me paye pour écrire ce que je publie. Je le fais car ne pas dire la vérité quand on la connait, serait un acte lâche.

J’ai au fond de moi la conviction que le futur de mes enfants sera atroce si je ne fais rien. C’est surtout pour eux et pour tous les enfants de France que je manifeste ma colère, mes indignations et que je suis prêt à mourir sur les barricades s’il le faut.

Si nous sommes des parents dignes de ce nom, si nous sommes des êtres humains dignes de notre humanité, si nous sommes un peuple attaché à la liberté et à la dignité, nous avons l’impérieux devoir de nous mobiliser, de nous unir et d’agir pour que ce pouvoir criminel soit stoppé et jugé dans un Nuremberg II !

Selon Macron « la vaccination est une priorité nationale »…

Les sondages sont catastrophiques ? Qu’à cela ne tienne, Macron a la solution

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Amazon.fr – Les tyrannies de l’épidémie – Barbier, Christophe – Livres




L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est invalide, les estimations des « cas positifs » sont sans fondement. Le confinement n’a aucune base scientifique

[Source : Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Prof Michel Chossudovsky

Le test du polymérase de transcription inverse en temps réel (rRT-PCR) fut appliqué par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en date du 23 janvier 2020 afin de détecter le virus SARS-COV-2, suivant les recommandations d’un groupe de recherche en virologie (basé à l’hôpital universitaire Charité de Berlin), soutenu par la Fondation Bill et Melinda Gates. (Pour plus de détails, voir l’étude Drosten).

Exactement un an plus tard, le 20 janvier 2021, l’OMS se rétracte. Ils ne disent pas «Nous avons fait une erreur». La rétraction est soigneusement formulée. 

Alors que l’OMS ne nie pas la validité de ses « directives trompeuses » en date de janvier 2020, elle suggère néanmoins de « Retester », ce qui dans la pratique est une impossibilité.

La question litigieuse concerne le nombre de cycles de seuil d’amplification (Ct). Selon Pieter Borger, et al. :

Le nombre de cycles d’amplification [devrait être] inférieur à 35; de préférence 25-30 cycles. En cas de détection de virus, > 35 cycles détecte uniquement les signaux qui ne sont pas corrélés avec le virus infectieux tel que déterminé par l’isolement en culture cellulaire… (en anglais, Critique de l’étude Drosten)

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) admet implicitement un an plus tard que TOUS les tests PCR effectués à un seuil d’amplification (Ct) de 35 cycles ou plus sont INVALIDES. Mais c’est ce qu’ils ont recommandé au point de départ en janvier 2020, en liaison  avec l’équipe de virologie de l’hôpital Charité de Berlin.

Si le test est effectué à un seuil de 35 Ct ou plus (ce qui fut recommandé par l’OMS), les segments du virus SRAS-CoV-2 ne peuvent pas être détectés, ce qui signifie que TOUS les soi-disant «cas positifs» confirmés et enregistrés dans les bases de données au cours des 14 derniers mois sont erronés (n’ont aucune validité du point de vue scientifique ).

Selon Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, et al., le Ct> 35 a été la norme «dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis».

Mea Culpa de l’OMS

Vous trouverez ci-dessous la «rétractation» soigneusement formulée par l’OMS. Le texte intégral avec le lien vers le document original est en annexe:

« Le document d’orientation de l’OMS sur les Tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2 souligne que les résultats faiblement positifs doivent être interprétés avec prudence (1). La valeur de cycle seuil (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnelle à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas au tableau clinique, il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test en utilisant une méthode d’amplification des acides nucléiques identique ou différente.

L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence d’une maladie altère la valeur prédictive des résultats de test ; à mesure que la prévalence diminue, le risque de faux positifs augmente (2). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant obtenu un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité déclarée du test.  (emphase ajoutée par l’auteur). »

Estimations Erronées 

Ce n’est pas une question de  «faibles positifs» ou de «risque de faux positifs». L’enjeu relève  au point de départ en janvier 2020 de la mise en application par l’OMS d’une méthodologie trompeuse et erronée qui conduit à des estimations qui n’ont aucune base scientifique. 

Ce que cette déclaration contradictoire de l’OMS confirme, c’est que  l’estimation du covid positif à partir d’un test PCR (avec un seuil d’amplification de 35 cycles ou plus) est tout simplement invalide. Dans ce cas, l’OMS recommande de répéter le test PCR:   «il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test…».

« Retester, On s’est trompé… ».  Cette recommandation de RÉPÉTER LE TEST n’a aucun sense. C’est une impossibilité. Des millions de personnes dans le monde entier ont déjà été testées, à partir du début février 2020. Il s’agit néanmoins de conclure que la recommendation contradictoire de l’OMS de « retester » confirme sans équivoque QUE CES ESTIMATIONS PCR RELATIVES À LA COVID SONT TOUT SIMPLEMENT ERRONÉES.


Je dois mentionner qu’il existe plusieurs autres défauts concernant le test PCR qui ne sont pas abordés dans cet article. (Voir le livre électronique de Michel Chossudovsky :   The 2020 Worldwide Corona Crisis: Destroying Civil Society, Engineered Economic Depression, Global Coup d’État and the Great Reset  (Chapitre II). Egalement disponible en français.


Au point de départ en janvier 2020, le test PCR fut (de manière routinière) appliqué à un seuil d’amplification Ct de 35 ou plus, conformément aux recommandations de l’OMS. Cela signifie que la méthodologie PCR appliquée dans 193 pays membres des Nation Unies a mené au cours des 12 à 14 derniers mois à la compilation de statistiques Covid erronées et trompeuses.

Et ce sont ces statistiques (erronées) qui servent à mesurer l’évolution de la dite  «pandémie». Au-dessus d’un cycle d’amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas les segments du virus Par conséquent, ces chiffres n’ont aucun sens.

Il s’ensuit qu’il n’y a aucune base scientifique pour confirmer l’existence d’une pandémie.

Ce qui signifie également que le verrouillage (confinement) ainsi que les mesures économiques qui ont entraîné la panique sociale, l’extrême  pauvreté et le chômage (dont l’objectif annoncé par les gouvernements était de freiner la propagation du virus) n’ont aucune justification.

Selon l’avis scientifique Pieter Borger et al. :

« Si quelqu’un est testé par PCR positif lorsqu’un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme cela est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne est infectée est inférieure à 3% , la probabilité que ledit résultat est un faux positif est de 97%   (Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, Clare Craig, Kevin McKernan, et al, Critique of Drosten Study )

Comme indiqué ci-dessus, « la probabilité que ledit résultat soit un faux positif est de 97% » : il s’ensuit que l’utilisation de la détection > 35 cycles contribuera de manière indélébile à « augmenter » le nombre de « faux positifs ».

Au moment d’écrire ces lignes (mi-mars 2021), malgré le mea culpa de l’OMS, le test PCR continue à être utilisé afin de faire augmenter les chiffres en flèche.
L’objectif consiste à  justifier les politiques de verrouillage en cours.

Ces estimations erronées sont à leur tour manipulées afin d’assurer une tendance à la hausse des positifs Covid. De plus, ces tests PCR ne sont pas accompagnés d’un diagnostic médical des patients testés.

Et maintenant, les gouvernements dans plusieurs pays ont émis des avertissements d’une « troisième vague » dans le cadre de leur campagne de propagande en faveur du vaccin Covid-19.

Et ces déclarations trompeuses se basent sur des statistiques qui sont le résultat d’une méthodologie totalement erronée. Par ailleurs, il n’y a absolument aucune base scientifique pour mettre en œuvre le vaccin Covid-19.

L’OMS et l’évaluation scientifique de Pieter Borger , et al. (cité ci-dessus) confirment sans équivoque que les tests RT-PCR adoptés par les gouvernements afin de justifier le verrouillage et la déstabilisation des économies nationales sont (selon l’OMS) totalement ERRONÉES. 

Il s’agit de comprendre qu’il y a un jeu de chiffres (basées sur des estimations qui au point de départ sont trompeuses). Ces chiffres sont cités sans relâche 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 par les médias et les gouvernements.

Il s’agit d’une vérité mensongère dont l’objectif est d’alimenter la campagne de la peur. L’ objectif est de «justifier»  TOUTES les politiques mises en avant par les gouvernements :

  • verrouillage, confinement,
  • fermeture de l’activité économique, chômage, pauvreté et banqueroutes,
  • distanciation sociale,
  • masque facial,
  • couvre-feu,
  • programme de vaccination.

Données et statistiques mensongères.
Réfléchissez avant de vous faire vacciner.
Et maintenant, nous sommes entrés dans une soi-disant «troisième vague». (où sont les données ??).
C’est «un paquet de mensonges». 
C’est un crime contre l’humanité. 

Michel Chossudovsky

Cet article a été publié initialement en anglais :

The WHO Confirms that the Covid-19 PCR Test is Flawed: Estimates of “Positive Cases” are Meaningless. The Lockdown Has No Scientific Basis, le 19 mars 2021.

Version française par l’auteur, Michel Chossudovsky.


A consulter :

Livre électronique de Michel Chossudovsky intitulé: (Dix chapitres)

La crise mondiale du coronavirus de 2020 : Détruire la société civile, la dépression économique, le coup d’État mondial et la « grande réinitialisation »

Voir Michel Chossudovsky, Note biographique

Articles de Michel Chossudovsky (en français)


Texte intégral de la directive OMS du 20 janvier 2021
English
français

Tests d’amplification des acides nucléiques basés sur la méthode PCR (amplification en chaîne par polymérase) pour la détection du SARS-CoV-2

20 janvier 2021Alerte de produit médical

Type de produit : Tests d’amplification des acides nucléiques basés sur la méthode PCR (amplification en chaîne par polymérase) pour la détection du SARS-CoV-2

Date: 13 janvier 2021

Identifiant OMS : 2020/5, version 2

Public cible : Personnel de laboratoire et utilisateurs de dispositifs de diagnostic in vitro (DIV).

Objetif de cet avis : Apporter des précisions aux informations précédemment transmises par l’OMS. Cet avis remplace la version 1 de l’avis de l’OMS à l’attention des utilisateurs de tests de diagnostic in vitro 2020/5, publiée le 14 décembre 2020.

Description du problème : L’OMS demande aux utilisateurs de suivre les instructions fournies dans le mode d’emploi lors de l’interprétation des résultats obtenus pour les échantillons analysés par la méthode PCR.

Les utilisateurs de DIV doivent lire et suivre attentivement le mode d’emploi pour déterminer si un ajustement manuel du seuil de positivité de la PCR est recommandé par le fabricant.

Le document d’orientation de l’OMS sur les Tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2 souligne que les résultats faiblement positifs doivent être interprétés avec prudence (1). La valeur de cycle seuil (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnelle à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas au tableau clinique, il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test en utilisant une méthode d’amplification des acides nucléiques identique ou différente.

L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence d’une maladie altère la valeur prédictive des résultats de test ; à mesure que la prévalence diminue, le risque de faux positifs augmente (2). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant obtenu un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité déclarée du test.

La plupart des épreuves de PCR sont indiquées à titre d’aide au diagnostic et les prestataires de soins doivent donc examiner les résultats en tenant également compte de la date de prélèvement, du type d’échantillon, des caractéristiques spécifiques du test, des observations cliniques, des antécédents du patient, du statut confirmé des contacts éventuels et des informations épidémiologiques.

Conseils aux utilisateurs de DIV : 

  1. Veuillez lire attentivement le mode d’emploi dans son intégralité.
  2. Contactez votre représentant local si un élément quelconque du mode d’emploi vous paraît ambigu.
  3. Vérifiez le mode d’emploi de chaque lot entrant afin de repérer toute modification des instructions.
  4. Indiquez la valeur de Ct dans le rapport transmis au prestataire de soins ayant demandé l’analyse.

Personne à contacter pour toute information complémentaire :

Anita SANDS, Réglementation et préqualification, Organisation mondiale de la Santé, courriel : rapidalert@who.int

Références bibliographiques :

  1. Tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2. Genève, Organisation mondiale de la Santé, 2020, numéro de référence OMS : WHO/2019-nCoV/laboratory/2020.6.2. Altman DG, Bland JM. Diagnostic tests
  2. Predictive values. BMJ. 1994 Jul 9;309(6947):102. doi: 10.1136/bmj.309.6947.102.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2021




Arrêt de la vaccination Pfizer à Hong Kong

[Source : L’Échelle de Jacob]

Les responsables de la santé de Hong Kong ont ARRÊTÉ les expéditions du vaccin Pfizer après que de multiples problèmes aient été identifiés et signalés. Le South China Morning Post rapporte que des travailleurs de santé de première ligne ont découvert plus de cinquante exemples de flacons fissurés et qui fuyaient. Comment Pfizer peut-il garantir la cohérence et la sécurité de la science de l’ARNm, s’ils ne peuvent pas garder les flacons intacts et correctement préservés?

Il n’existe aucun moyen pratique d’assurer la sécurité d’un vaccin expérimental qui doit être conservé à -93 degrés Fahrenheit. Le vaccin à ARNm Pfizer est expédié dans des boîtes qui ne peuvent être ouvertes que deux fois par jour pendant un maximum de 180 secondes. Si les nanoparticules de la préparation ne sont pas correctement conservées à cette température, elles deviennent dangereuses et inefficaces pour le système immunitaire humain. De plus, une prouesse de fabrication à cette échelle est naturellement sujette à de multiples erreurs.

Vingt et un centres de vaccination de Hong Kong suspendent les rendez-vous

Une fois les flacons qui fuyaient identifiés, les responsables de la santé de Hong Kong ont annulé les rendez-vous pour les vaccins dans les 21 centres de vaccination communautaires. Au moins 1.080 doses avaient déjà été administrées dans dix-neuf centres de vaccination le jour même où les doses ont été suspendues. Les citoyens qui devaient recevoir le vaccin Pfizer ce jour-là ont été informés qu’ils ne pouvaient pas recevoir le vaccin «jusqu’à nouvel ordre». Certains ont attendu en colère dans les centres de vaccination, exigeant leur dose.

Tout comme l’héroïnomane se précipite pour ressentir un sentiment d’exaltation et un sentiment de liberté, il en va de même pour les toxicomanes d’aujourd’hui, qui se précipitent pour avoir un sentiment d’exaltation et un sentiment psychologique de liberté. Les accros aux vaccins tirent un sentiment d’exaltation et de liberté grâce à une série de clichés. Bien qu’ils ne soient pas techniquement dépendants au niveau physiologique, leur cerveau est tout de même entraîné à dépendre des aiguilles. Peu importe d’où viennent les injections, si les flacons sont cassés ou si les aiguilles sont sales et dangereuses. Les accros aux vaccins ont besoin de leur injection.

Ce phénomène psychologique embarrassant se produit parce que les gouvernements continuent de retenir les gens, les obligeant à renoncer à leurs libertés, tout en leur faisant subir un lavage de cerveau en leur faisant croire qu’ils ne se porteront plus jamais bien s’ils ne s’enfoncent pas les aiguilles dans leurs bras. Les gouvernements et les sociétés pharmaceutiques sont devenus comme des gangs et des trafiquants de drogue, contrôlant et ruinant la vie des gens. Ce n’est pas de la science, c’est de la coercition. Ce sont des gens avec de vrais PROBLÈMES et ils viendront bientôt pour vacciner chaque enfant, pour continuer le cycle et plonger plus d’aiguilles dans des bras.

Le fabricant cherche un alibi, mais n’a pas à s’inquiéter car il bénéficie de l’immunité face aux poursuites

Le programme de vaccination contre le covid-19 de Hong Kong avait précédemment traité huit incidents de flacons BioNTech fissurés et vingt-deux problèmes de pression atmosphérique entraînant des fuites. Ces problèmes de contrôle de la qualité remontaient tous au fabricant et n’étaient pas le résultat d’un sabotage tout au long du processus de distribution. Après seize autres rapports faisant état de fuites de flacons, le directeur de la santé de Hong Kong a dû enquêter. Il y avait onze flacons supplémentaires qui étaient tachés, avec des marques suspectes à l’extérieur des récipients en verre. Ces flacons remontaient au lot 210102, dont plus de cent cinquante mille doses avaient déjà été injectées dans des bras. Le directeur de la santé de Hong Kong se prépare à ouvrir le lot 210104, qui comprend sept cent cinquante-huit mille doses de réserve.

BioNTech, le fabricant, a lancé une enquête distincte sur les flacons bâclés, tachés et qui fuient. BioNTech a écrit aux responsables de la santé de Hong Kong, confirmant qu’il n’y avait aucun problème de sécurité avec le lot; cependant, BioNTech a demandé à Hong Kong d’arrêter d’utiliser des flacons de ce lot par prudence. BioNTech a écrit que les cent cinquante mille doses qui ont déjà été reçues de ce lot ne poseraient aucun risque pour la sécurité des personnes qui les ont reçues.

En fin de compte, Pfizer et BioNTech n’ont pas à s’inquiéter. Même si quelqu’un subit une réaction grave au vaccin, Pfizer est dédouané de toute poursuite civile ou pénale. Ces sociétés de vaccins exercent un pouvoir absolu sur les nations, subvertissant l’état de droit, tout en contraignant les gens à obéir, sans recours possibles.

Les sources comprennent :
Zerohedge.com
SCMP.com
NaturalNews.com
Vu ici




« Demain, ça pourrait être quelqu’un d’autre » : Bernie Sanders se prononce contre l’interdiction de Trump sur Twitter

[Source : Aube Digitale]

PAR JADE

Le sénateur Bernie Sanders (Indépendant-Vermont) s’est prononcé hier contre l’interdiction de Twitter de l’ancien président Donald Trump. M. Sanders a exprimé son malaise face au rôle des grandes entreprises technologiques dans la censure des points de vue, ce qui le démarque nettement de ses collègues démocrates qui ont réclamé davantage de censure de la part des entreprises. Dans une interview accordée mardi au chroniqueur du New York Times Ezra Klein, M. Sanders a déclaré qu’il ne se sentait pas “particulièrement à l’aise” avec le bannissement malgré son opinion selon laquelle Trump est “un raciste, un sexiste, un xénophobe, un menteur pathologique, un autoritaire… un mauvais élément”. Il a déclaré : “Si vous me demandez si je me sens particulièrement à l’aise avec le fait que le président des États-Unis de l’époque ne pouvait pas exprimer ses opinions sur Twitter ? Je ne me sens pas à l’aise à ce sujet”.

J’ose espérer que Sanders adopterait le même point de vue qu’un président qui ne siège pas ou qu’un citoyen moyen. Ils devraient tous pouvoir s’exprimer librement. Sanders ne va pas jusqu’à cette position d’”originaliste de l’Internet”, mais il reconnaît au moins le danger d’une telle censure. Il a noté que “nous devons réfléchir, parce que si quelqu’un pense qu’hier c’était Donald Trump qui a été banni et demain cela pourrait être quelqu’un d’autre qui a un point de vue très différent.” Il a déclaré que c’est un risque d’avoir une “poignée de personnes à la pointe de la technologie” qui contrôlent la liberté d’expression en Amérique.

J’ai longtemps fait l’éloge de M. Sanders pour sa position de principe sur de nombreuses questions et cette opinion dissidente est très bien accueillie par les membres de la communauté de la liberté d’expression. Elle contraste fortement avec celle de ses collègues démocrates qui ont célébré l’interdiction et appelé à davantage de censure. L’une des principales voix de la censure au Sénat est le sénateur Richard Blumenthal (Démocrate-Connecticut) qui a fustigé les Big Tech pour avoir attendu si longtemps avant d’émettre de telles interdictions : “La question n’est pas de savoir pourquoi Facebook et Twitter ont agi, mais ce qui a pris tant de temps et pourquoi les autres ne l’ont pas fait”.

Comme nous l’avons déjà évoquéles démocrates ont abandonné les valeurs de longue date de la liberté d’expression en faveur de la censure des entreprises. Ils ont clairement une “zone de confort” différente de celle de Sanders. Ce qui met mal à l’aise de nombreux membres démocrates, c’est la capacité des gens à s’exprimer librement sur ces plateformes et à diffuser ce qu’ils considèrent comme de la “désinformation.”

Lorsque le PDG de Twitter, Jack Dorsey, s’est présenté devant le Sénat pour s’excuser d’avoir bloqué le reportage sur Hunter Biden avant l’élection, estimant qu’il s’agissait d’une erreur, les sénateurs l’ont pressé, lui et d’autres dirigeants des Big Tech, de renforcer la censure.

Lors de cette audition, des membres comme le sénateur Mazie Hirono (Démocrate-Hawaï) ont pressé des témoins comme Mark Zuckerberg et Jack Dorsey pour obtenir l’assurance que Trump resterait interdit de parole sur leurs plateformes : “Qu’êtes-vous tous deux prêts à faire concernant l’utilisation de vos plateformes par Donald Trump après qu’il aura cessé d’être président, sera-t-il toujours considéré comme digne d’être publié dans les journaux et pourra-t-il toujours utiliser vos plateformes pour diffuser des informations erronées ?”

Plutôt que d’aborder les dangers d’une telle censure des comptes d’actualités, le sénateur Chris Coons a pressé Dorsey d’élargir les catégories de matériel censuré pour empêcher les gens de partager toute opinion qu’il considère comme du “négationnisme climatique.” De même, le sénateur Richard Blumenthal a semblé prendre le sens inverse de Twitter, en admettant qu’il avait eu tort de censurer l’histoire de Biden. Blumenthal a déclaré qu’il était “préoccupé par le fait que vos deux entreprises sont, en fait, en train de reculer ou de se retrancher, que vous ne prenez pas de mesures contre la désinformation dangereuse.” En conséquence, il a exigé une réponse à cette question :

“Allez-vous vous engager à appliquer le même type de règles de modification robuste du contenu lors des prochaines élections, y compris la vérification des faits, l’étiquetage, la réduction de la diffusion de la désinformation et d’autres mesures, même pour les politiciens lors du second tour des élections à venir ?”

“La “modification robuste du contenu” a un certain attrait, comme un type de mise à niveau du logiciel. Ce n’est pas une modification de contenu. C’est de la censure. Si nos représentants veulent réprimer la liberté d’expression, ils devraient admettre qu’ils sont des partisans de la censure. En effet, des universitaires de premier plan ont eu l’intégrité de déclarer récemment qu’ils pensaient que “la Chine a raison” en matière de censure.

Sanders ne croit manifestement pas que “la Chine a raison”, du moins lorsqu’elle s’applique à un président en exercice. Il faut espérer que Sanders continuera à s’exprimer sur la liberté d’expression et qu’il étendra cette position de principe pour s’opposer aux pressions incessantes de Blumenthal et d’autres en faveur d’un contrôle des entreprises sur les discours sur Internet.

Traduction de Jonathan Turley par Aube Digitale




« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !

[Source : New Eastern Outlook (journal-neo.org)]

[Traduction : Le Grand Changement]

Par F. William Engdahl

La réorganisation descendante de l’économie mondiale par une cabale de technocrates corporatistes, dirigée par le groupe autour du Forum économique mondial de Davos – la soi-disant Grande Réinitialisation (Great Reset) ou l’Agenda 2030 de l’ONU – n’est pas une proposition future.
Elle est en bonne voie d’actualisation, alors que le monde reste enfermé dans un enfermement insensé pour un virus. Le domaine d’investissement le plus en vogue depuis le début des lockdowns [Ndlr : confinements et fermetures économiques] mondiaux du coronavirus est ce qu’on appelle l’investissement ESG [Ndlr : pour Environnement, valeurs Sociales et Gouvernance]. Ce jeu hautement subjectif et très contrôlé déplace de façon spectaculaire les flux de capitaux mondiaux vers un groupe restreint d’actions et d’obligations d’entreprises « approuvées ». Il fait notamment progresser le dystopique Agenda 2030 des Nations Unies ou le programme Great Reset du WEF. Cette évolution est l’un des changements les plus dangereux et les moins bien compris depuis au moins le siècle dernier. Le programme d' »économie durable » de l’ONU est réalisé en toute discrétion par les mêmes banques mondiales qui ont provoqué les crises financières de 2008. Cette fois-ci, elles préparent la grande réinitialisation du WEF de Klaus Schwab en orientant des centaines de milliards, et bientôt des milliers de milliards, d’investissements vers leurs entreprises « réveillées » triées sur le volet, au détriment de celles qui ne le sont pas, comme les compagnies pétrolières et gazières ou le charbon. Les banquiers et les fonds d’investissement géants comme BlackRock ont créé une nouvelle infrastructure d’investissement qui sélectionne les « gagnants » et les « perdants » en fonction du sérieux de l’entreprise en matière d’ESG (environnement, valeurs sociales et gouvernance). Par exemple, une entreprise obtient des notes positives pour le sérieux avec lequel elle embauche des cadres et des employés de sexe différent, ou prend des mesures pour éliminer son « empreinte » carbone en rendant ses sources d’énergie vertes ou durables pour utiliser le terme des Nations unies.

La façon dont les entreprises contribuent à une gouvernance mondiale durable est la plus vague des ESG, et pourrait inclure n’importe quoi, des dons d’entreprises à Black Lives Matter au soutien d’agences de l’ONU comme l’OMS. L’objectif central crucial des stratèges du GNE est de créer une transition vers des énergies alternatives inefficaces et coûteuses, l’utopie promise du zéro carbone. Les grandes institutions financières et les banques centrales du monde entier sont à l’origine de ce mouvement. Elles ont créé un éventail éblouissant d’organisations pour mener leur programme d’investissement vert.Plus de 100 articles scientifiques ont conclu : le CO2 a un Effet Minuscule sur le Climat !

En 2013, bien avant le coronavirus, la grande banque de Wall Street, Morgan Stanley, a créé son propre Institut pour l’investissement durable. Celui-ci s’est rapidement développé en 2015 lorsque Morgan Stanley a rejoint le comité directeur du Partnership for Carbon Accounting Financials (PCAF). Sur son site internet, ils déclarent , »Le PCAF se fonde sur la position de l’Accord de Paris sur le climat selon laquelle la communauté mondiale doit s’efforcer de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C par rapport aux niveaux préindustriels et la société doit se décarboniser et atteindre des émissions nettes nulles d’ici 2050. » En 2020, le PCAF comptait plus de 100 banques et institutions financières, dont ABN Amro, Nat West, Lloyds Bank, Barcylays, Bank of America, Citi Group, CIBC, Danske Bank et d’autres. Plusieurs des banques membres de la PCAF ont été inculpées dans des affaires de blanchiment d’argent. Elles se sentent maintenant investies d’un nouveau rôle de modèles de vertu pour changer l’économie mondiale, si l’on en croit la rhétorique. Notamment, l’ancien gouverneur de la Banque d’Angleterre, Mark Carney, est un « observateur » ou un consultant du PCAF. En août 2020, le PCAF a publié un projet de norme décrivant une proposition d’approche pour la comptabilité carbone mondiale. Cela signifie que les banquiers créent leurs propres règles comptables pour évaluer l’empreinte carbone ou le profil écologique d’une entreprise.

Mark Carney s’exprime à Mansion House (Reuters)

Le rôle central de Mark Carney : Mark Carney est au centre de la réorganisation de la finance mondiale pour soutenir l’agenda vert 2030 de l’ONU derrière la Grande Réinitialisation du Forum Économique Mondial de Davos, où il est membre du conseil d’administration. Il est également conseiller du secrétaire général des Nations unies en tant qu’envoyé spécial des Nations unies pour l’action climatique. Il a décrit le plan du PCAF comme suit : »Pour atteindre le zéro net, nous avons besoin d’une transition de l’ensemble de l’économie – chaque entreprise, chaque banque, chaque assureur et chaque investisseur devra ajuster ses modèles d’affaires, développer des plans crédibles pour la transition et les mettre en œuvre. Pour les entreprises financières, cela signifie qu’elles doivent examiner plus que les émissions générées par leur propre activité commerciale. »Elles doivent mesurer et déclarer les émissions générées par les entreprises dans lesquelles elles investissent et auxquelles elles prêtent. Le travail du PCAF pour standardiser l’approche de la mesure des émissions financées est une étape importante pour garantir que chaque décision financière tienne compte du changement climatique. » En tant que gouverneur de la Banque d’Angleterre, M. Carney a joué un rôle clé dans le soutien des banques centrales mondiales à l’Agenda Vert du programme 2030 des Nations unies.  Les principales banques centrales du monde, par l’intermédiaire de leur banque faîtière, la Banque des règlements internationaux (BRI) à Bâle, ont créé un élément clé de l’infrastructure mondiale croissante qui oriente les flux d’investissement vers les entreprises « durables » et les éloigne de celles, comme les entreprises pétrolières et gazières, qu’elle juge « non durables. » Lorsque Mark Carney, alors gouverneur de la Banque d’Angleterre, était à la tête du Conseil de stabilité financière (FSB) de la BRI, il a créé en 2015 un groupe de travail sur la communication financière relative au climat (TCFD). Les banquiers centraux du FSB ont nommé 31 personnes pour former la TCFD. Présidée par le milliardaire Michael Bloomberg, elle comprenait, outre BlackRock, JP MorganChase, Barclays Bank, HSBC, Swiss Re, le deuxième réassureur mondial, la banque chinoise ICBC, Tata Steel, ENI Oil, Dow Chemical, le géant minier BHP et David Blood de Generation Investment LLC d’Al Gore.

Anne Finucane, vice-présidente de la Bank of America, membre à la fois du PCAF et de la TCFD, a fait remarquer : « Nous sommes déterminés à faire en sorte que les risques et les opportunités liés au climat soient correctement gérés au sein de notre entreprise et que nous collaborions avec les gouvernements et les marchés pour accélérer les changements nécessaires… le changement climatique présente des risques pour le monde des affaires, et il est important que les entreprises expliquent comment ces risques sont gérés. » Le vice-président de Bank of America décrit comment ils évaluent les risques dans leur portefeuille de prêts immobiliers en procédant à « une analyse des risques physiques aigus sur un portefeuille échantillon de prêts hypothécaires résidentiels de Bank of America à travers les États-Unis. Chaque propriété a reçu un score basé sur le niveau de risque associé à 12 dangers potentiels : tornade, tremblement de terre, cyclone tropical, tempête de grêle, incendie de forêt, inondation fluviale, inondation éclair, inondation côtière, foudre, tsunami, volcan et tempête d’hiver. » De même, le « risque » d’investissement des banques dans le pétrole et le gaz ainsi que dans d’autres secteurs industriels est examiné selon les critères de la TCFD de Carney. Tous les risques sont définis comme étant liés au CO2, malgré le fait qu’il n’existe aucune preuve scientifique concluante que l’émission de CO2 par l’homme est sur le point de détruire notre planète par le réchauffement climatique. Les preuves de l’activité solaire suggèrent plutôt que nous entrons dans une période de refroidissement instable, le Grand Minimum Solaire. Cela ne préoccupe pas les intérêts financiers qui vont récolter des billions de dollars au cours de la prochaine décennie. Un autre élément clé de la préparation financière de la Grande Réinitialisation, la transformation fondamentale d’une économie à forte intensité énergétique en une économie à faible intensité et économiquement inefficace, est le Conseil des normes comptables de durabilité (SASB). Le SASB affirme qu’il « fournit un ensemble de normes claires pour la communication d’informations sur la durabilité dans un large éventail de domaines… ». Cela semble rassurant jusqu’à ce que l’on regarde qui compose les membres du SASB qui donneront l’imprimatur favorable au climat.Parmi les membres figurent, outre le plus grand gestionnaire de fonds au monde, BlackRock (plus de 7.000 milliards de dollars sous gestion), les fonds Vanguard, Fidelity Investments, State Street Global, Goldman Sachs, Carlyle Group, Rockefeller Capital Management et de nombreuses grandes banques comme Bank of America et UBS.Beaucoup d’entre eux sont responsables de l’effondrement financier mondial de 2008. Que fait ce groupe-cadre ? Selon leur site web, « Depuis 2011, nous travaillons à un objectif ambitieux : développer et maintenir des normes comptables de durabilité pour 77 industries. » L’objectif est de créer un réseau d’entités financières mondiales qui contrôlent la richesse combinée, y compris les assurances et les fonds de pension, pour une valeur de 100.000 milliards de dollars. Elles fixent les règles et définiront une entreprise, voire un pays, en fonction du degré d’émission de carbone qu’elle crée. Si vous êtes propre et vert, vous pouvez potentiellement obtenir des investissements. Si vous êtes considéré comme un pollueur de carbone, comme c’est le cas aujourd’hui pour les industries du pétrole, du gaz et du charbon, les flux de capitaux mondiaux vous désinvestiront ou éviteront de vous financer. La cible immédiate de cette cabale financière est l’épine dorsale de l’économie mondiale, l’industrie pétrolière et gazière ainsi que le charbon.

Les hydrocarbures attaqués ! La cible immédiate de cette cabale financière est l’épine dorsale de l’économie mondiale, le secteur du pétrole, du charbon et du gaz naturel. Les analystes de l’industrie pétrolière prévoient qu’au cours des cinq prochaines années, voire moins, les flux d’investissement dans le plus grand secteur énergétique du monde vont chuter de façon spectaculaire. « Compte tenu de la place centrale qu’occupera la transition énergétique dans les perspectives de croissance de chaque entreprise, nous demandons aux entreprises de divulguer un plan expliquant comment leur modèle économique sera compatible avec une économie nette zéro », a écrit Larry Fink, président-directeur général de BlackRock, dans sa lettre aux PDG de 2021. Blackrock est le plus grand groupe d’investissement au monde, avec plus de 7.000 milliards de dollars à investir. Un autre dirigeant de BlackRock a déclaré lors d’une récente conférence sur l’énergie que « là où BlackRock va, les autres suivront ». « Pour continuer à attirer les capitaux, les portefeuilles doivent être construits autour d’actifs avantageux de base – des barils à faible coût, à longue durée de vie et à faible intensité de carbone », a déclaré Andrew Latham, vice-président de l’exploration mondiale chez WoodMac, une société de conseil en énergie. Le saviez-vous ? La mégacorporation BlackRock vient de prendre le contrôle du Trésor américain et de la Réserve fédérale. L’administration Biden tient déjà sa promesse d’éliminer progressivement le pétrole et le gaz en interdisant les nouvelles locations sur les terres fédérales et en mer, ainsi que l’oléoduc Keystone XL. Le secteur du pétrole et du gaz et ses dérivés tels que la pétrochimie sont au cœur de l’économie mondiale. Les 50 plus grandes entreprises pétrolières et gazières du monde, y compris les entreprises publiques et cotées en bourse, ont enregistré des revenus d’environ 5.400 milliards de dollars en 2015. Alors qu’une nouvelle administration Biden pousse son opposition idéologique aux soi-disant combustibles fossiles, le monde verra un déclin précipité des investissements dans le pétrole et le gaz. Le rôle des mondialistes de Davos et des acteurs financiers de l’ESG est de garantir cela.

Et les perdants seront nous. Les prix de l’énergie vont monter en flèche, comme ce fut le cas lors des récents blizzards au Texas. Le coût de l’électricité dans les pays industriels deviendra prohibitif pour l’industrie manufacturière. Mais soyez rassurés. Tout cela fait partie de la grande réinitialisation en cours et de sa nouvelle doctrine d’investissement ESG.En 2010, le chef du groupe de travail 3 du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat de l’ONU, le Dr Otmar Edenhofer, a déclaré à un interviewer : »…Il faut dire clairement que nous redistribuons de facto la richesse du monde par la politique climatique. Il faut se libérer de l’illusion que la politique climatique internationale est une politique environnementale. Cela n’a presque plus rien à voir avec la politique environnementale… »Le Great Reset du WEF (Davos) n’est pas simplement une grande idée de Klaus Schwab réfléchissant aux ravages économiques du coronavirus. Elle a été planifiée depuis longtemps par les maîtres de l’argent.

F. William Engdahl, consultant en risques stratégiques et conférencier, il est diplômé en politique de l’université de Princeton et auteur de best-sellers sur le pétrole et la géopolitique, exclusivement pour le magazine en ligne « New Eastern Outlook ».




Une Policière Espagnole s’adresse aux Gendarmes et Policiers Français

[Source : Profession Gendarme (profession-gendarme.com)]

Une policière Espagnole s’adresse aux membres des Forces de l’ordre de France. La France, pays de la Révolution de 1789, pays des Droits de l’Homme, pays de Démocratie et de Liberté, qui affiche  au fronton de chacune de nos mairies  « Liberté, Égalité, Fraternité ».

De quelle manière nos camarades Gendarmes et collègues Policiers, en activité de service, recevront-ils ce message ? Savez-vous qu’une majorité de la population espagnole surnomment leurs « Flics » les Anges gardiens ? 

Nos voisins européens et en particulier Espagnols, vont-ils finir par nous donner des leçons de Démocratie ?

Sonia Vescovacci, 41 ans, policière et créatrice du mouvement « Policia Por la Libertad »



Source : Rumble

Quiénes somos. [Qui sommes-nous?]

La asociación “Policías por la Libertad” nace con el objetivo de unir a Policías y ciudadanos en estos momentos tan difíciles, tanto para los ciudadanos como para los miembros de las Fuerzas y Cuerpos de Seguridad y Vigilantes de Seguridad.
[L’association «Police pour la liberté» a été créée dans le but d’unir les policiers et les citoyens en ces temps difficiles, tant pour les citoyens que pour les membres des forces et corps de sécurité et des gardes de sécurité.]

Somos muchos los Compañeros de los distintos Cuerpos que queremos seguir desempeñando nuestra labor en base a nuestra ética personal y profesional, nuestros principios básicos de actuación y como marcan nuestros Códigos Deontológicos, sin dejarnos llevar por nuestros propios miedos y nuestras diferencias de opiniones.
“Prometimos PROTEGER Y SERVIR a los ciudadanos, NO METERLES MIEDO.”
[Nous sommes de nombreux collègues des différentes instances qui souhaitons continuer à mener notre travail sur la base de notre éthique personnelle et professionnelle, de nos principes d’action de base et de la façon dont l’indiquent nos Codes Déontologiques, sans nous laisser emporter par nos propres peurs et nos différences. d’opinions.
« Nous avons promis de PROTÉGER ET DE SERVIR les citoyens, PAS DE LES CRAINDRE. »]




La vérité brutale #6

Par Amélie Paul



Les épisodes précédents :

#1 https://odysee.com/@ameliepaul:8/les-nouvelles-de-la-v-rit-brutale-du:4

#2 https://odysee.com/@ameliepaul:8/les-nouvelles-de-la-v-rit-brutale-2:3

#3 https://odysee.com/@ameliepaul:8/les-nouvelles-de-la-v-rit-brutale-3:a

#4 https://odysee.com/@ameliepaul:8/les-nouvelles-de-la-v-rit-brutale-4:f

#5 https://odysee.com/@ameliepaul:8/laveritebrutale5:9




Quand le Parlement Européen devient une tribune pour le terrorisme international

[Source : Algerie54]

Le parlement européen, par le biais de la présidente de la Sous-commission des droits de l’homme, Marie Arena a accordé récemment la parole à Rachid Mesli, un des fers de lance de l’organisation qatarie Al Karama, dont le président Al Nuaimi, est inscrit dans la liste des personnes soutenant le terrorisme international par le département américain.

Mesli plaidait la cause des droits de l’homme en Arabie saoudite, et oublie le Qatar

En prenant la parole, devant les députés européens, le défenseur des droits de l’homme des commanditaires des assassinats d’intellectuels en Algérie, défendait la cause des droits de l’homme en Arabie saoudite, l’incarcération arbitraire et la torture des opposants aux tenants du pouvoir à Ryad, et l’ignoble assassinat du journaliste Jamal Khashoggi.
Se versant largement dans le sélectif, lorsqu’il s’agit de la défense des droits de l’homme, Rachid Mesli, ; excellant le mensonge par omission, n’a aucun moment durant ces dernières années, défendu le poète qatari Mohammed al-Ajami, alias Ibn al-Dhib, condamné par un tribunal qatari , à la prison à perpétuité pour avoir rédigé un poème qualifié d’hostile à l’actuel Emir du Qatar Tamim Bin Hamad Al Thani , ou défendu les conditions du travail inhumaines des étrangers en charge de la réalisation d’infrastructures qui accueilleront la coupe du monde 2022 au Qatar

Mesli et Dhina, compagnons du combat terroriste

Il n’est un secret pour personne, que la doctrine du combat pour l’instauration d’un régime théocratique et anti-démocratique, lie Rachid Mesli, Mourad Dhina et autres Zitout, depuis des décennies, à commencer par la décennie noire en Algérie avec les fetwas d’élimination de journalistes, intellectuels , artistes et chercheurs. Des liens renforcés au sein de la nébuleuse de Rachad et Al Karama dirigée par Al Nuaim, les dons et la générosité financière des commanditaires du terrorisme international, aidant

Rachad et Al Karama, même objectif

Le mouvement intégriste Rachad, composé essentiellement par les anciens du FIS dissous, à l’instar de Larbi Zitout ,  Mourad Dhina, et autres Abbes Aroua et Rachid Mesli, avait rejoint l’organisation qatarie Al Qarama, créée en 2004, en terre helvétique, est considérée comme le bailleur de fonds du terrorisme international, et principal soutien des groupes terroristes en Syrie, Irak et Libye, sachant que son fondateur Abderrahmane Al Nuaimi, est inscrit sur la liste des personnes soutenant le terrorisme international par le département d’Etat américain.

Comme à son habitude le youtubeur algérien Rafaa n’a pas tardé à réagir à la plaidoirie accordée, à Rachid Mesli, en interpellant, Marie Arena, présidente de la Sous-commission des droits de l’homme au Parlement Européen, et a diffusé une vidéo pleine d’informations et de documents compromettants les Mesli, Dhina, Zitout, et leurs mentors financiers et idéologiques à savoir, les Abderrahmane Al Nuaimi, Al Matiri et Mossab al Souri(syrien).

Lien https://www.facebook.com/838965286151328/videos/3850505248369603






De la psychologie des adeptes du déni de conspiration

[Source : Sott.net]

Par Tim Foyle — Reporting For Beauty

Comment se fait-il que des personnes par ailleurs parfaitement intelligentes, réfléchies et rationnelles reculent devant l’idée que les psychopathes conspirent pour les manipuler et les tromper ? Et pourquoi défendent-ils avec autant de véhémence cette position sans fondement ?

L’histoire elle-même regorge de machinations commises par des menteurs, des voleurs, des tyrans et des narcissiques et décrit leurs effets dévastateurs. Les preuves de corruption et d’inouïes fourberies abondent également à l’époque moderne.

Nous savons, sans la moindre équivoque, que les hommes politiques mentent et occultent les relations qu’ils ont entre eux et que les entreprises témoignent couramment d’un mépris total pour les normes morales — en bref, nous baignons dans la corruption.

Nous savons que le jeu des chaises musicales entre les entreprises et les sphères politiques, le système de lobbying, les régulateurs corrompus, les médias et le système judiciaire signifie que les actes répréhensibles ne sont pratiquement jamais soumis à un semblant de véritable justice.

Nous savons que la presse évoque bruyamment ces questions de temps à autre, mais sans jamais les examiner avec une véritable vigueur.

Nous savons que les actes répréhensibles commis par les services de renseignement et les forces de police sont, dans des proportions stupéfiantes, monnaie courante et que, là encore, la justice n’est jamais rendue.

Nous savons que les gouvernements ne cessent d’ignorer ou de piétiner les droits des citoyens, et qu’ils abusent et maltraitent les populations de manière répétée. Rien de tout cela ne porte à controverse.

Alors, que refusent exactement les adeptes du déni de conspiration avec la ferveur, la droiture et la condescendance qui sont les leurs ? Pourquoi, contre toute évidence, en viennent-ils à défendre d’un ton narquois et méprisant le mythe en décrépitude selon lequel « les puissants » sont quelque part un peu comme nous, qu’ils ont la situation bien en main, n’ont que notre intérêt à cœur et sont scrupuleux, sages et sincères ? Que la presse est au service du peuple et de la vérité plutôt qu’à celui des escrocs ? Que les injustices successives résultent d’erreurs et d’oublis, et qu’elles ne peuvent jamais procéder de ce concept redoutable : la conspiration ?

Quelle personne raisonnable continuerait à croire à un monde à ce point illusoire ?

Le point de désaccord ici porte uniquement sur la question de la proportion. Une personne véritablement curieuse des desseins élaborés par de puissants psychopathes élargira le périmètre de ses recherches au-delà d’une entreprise ou d’une nation. Pourquoi ne le ferait-elle pas ? Une telle personne part du principe que les mécanismes observés à une petite échelle sont susceptibles d’être les mêmes à tous les niveaux du pouvoir. Mais les adeptes du déni de conspiration insistent sur le fait que c’est absurde.

Pourquoi ?

Le fait que les structures sociétales et juridiques pyramidales que l’humanité a laissé se développer sont précisément le type de hiérarchies de dominance qui avantagent indubitablement le psychopathe est cruellement évident. Un être humain doté d’un esprit de coopération normal et sain s’avère peu enclin à se lancer dans les combats nécessaires à une ascension sociale ou politique.

Alors, que s’imaginent les individus qui réfutent l’existence des conspirations ? Selon eux, que font chaque jour les 70 millions ou plus de psychopathes dans le monde, tous nés dans un « jeu » où la richesse et le pouvoir se concentrent au sommet de la pyramide, et dans lequel les attributs les plus efficaces pour atteindre la « victoire » sont la cruauté et l’amoralité ? N’ont-ils jamais joué au Monopoly ?

Les psychopathes ne choisissent pas leur conception du monde grâce à leur conscience, et sont tout simplement incapables de comprendre pourquoi les gens normaux se mettraient dans une situation aussi désavantageuse en se limitant à la conscience et à l’empathie, vertus dont l’existence échappe à la compréhension du psychopathe et qui est à la mesure de ce que serait pour l’être humain un monde qui en serait dénué.

Le psychopathe n’a besoin que d’une seule chose pour gagner : mentir publiquement tout en conspirant en privé. Quoi de plus simple ? En 2021, continuer à imaginer que le monde dans lequel nous vivons n’est pas largement déterminé par cette dynamique relève d’une naïveté téméraire qui confine à la folie. Quelle est la source d’une pulsion à ce point malencontreusement destructrice ?

L’enfant en bas âge accorde une confiance innée aux personnes qui l’entourent — une confiance qui, le plus souvent, s’avère par nature justifiée. Si ce n’était pas le cas, l’enfant ne pourrait pas survivre.

Au sein d’une société saine et équilibrée, cet instinct profond évolue au rythme du développement de la psyché. Au fur et à mesure de l’évolution chez un individu de la conscience de soi, des facultés cognitives et logiques et du scepticisme, cette instinct de confiance innée continuerait à être compris comme un besoin central de la psyché. L’évolution et le développement conscients de cette tendance enfantine serait favorisées par l’existence de systèmes de croyances partagées qui placeraient consciemment cette foi dans des valeurs et des croyances porteuse d’une signification et d’une valeur durables pour la société, l’individu ou, idéalement, les deux.

La déférence et le respect de la tradition, des forces naturelles, des ancêtres, de la raison, de la vérité, de la beauté, de la liberté, de la valeur innée de la vie, ou de l’esprit initiateur de toutes choses, peuvent tous être considérés comme des qualités indispensables au sein desquelles nous pouvons en toute conscience placer notre confiance et notre foi — tout comme celles qui découlent de systèmes de croyance plus formalisés.
Indépendamment du chemin emprunté pour évoluer et développer une foi personnelle, l’apport de sa propre conscience et de sa propre connaissance à cette élan naturel en constitue le point clé. Je pense que développer et cultiver une foi mature représente une responsabilité fondamentale dont beaucoup — ce qui est compréhensible — ne sont pas conscients.

Que se passe-t-il lorsque subsiste en nous un besoin enfantin qui n’a jamais évolué au-delà de sa fonction originelle de survie et qui consiste à faire confiance à ceux qui, dans notre environnement, sont simplement les plus puissants, les plus présents et les plus actifs ? Lorsque nous n’avons jamais vraiment exploré notre propre psyché, et n’avons jamais profondément questionné ce en quoi nous croyons vraiment et pourquoi ? Lorsque la raison pour laquelle nous accordons notre confiance à quelque chose ou à quelqu’un n’est pas remise en question ? Quand la philosophie est laissée aux philosophes ?

Je pense que la réponse est simple, et que les preuves de ce phénomène et des ravages qu’il provoque sont visibles partout autour de nous : le besoin inné de faire confiance à la mère n’évolue jamais, ne rencontre ni n’entre jamais en contact avec sa contrepartie, la raison (ou la foi mature), et reste en permanence sur son réglage infantile « par défaut ».

Alors que cette psyché immature ne dépend plus des parents pour son bien-être, la puissance motivationnelle du principe fondamental que je viens de décrire reste intact : incontesté, négligé et non développé. Et, dans un monde où la stabilité et la sécurité sont de lointains souvenirs, ces instincts de survie, plutôt que d’être bien affûtés, réfléchis, pertinents, discernés et actualisés, restent, littéralement, ceux d’un bébé. Parce que l’instinct décrète que la survie en dépend, la confiance est dès lors accordée à l’influence la plus importante, la plus bruyante, la plus présente et la plus indéniable.

Et, dans cette grande « pépinière mondiale », la force la plus omniprésente est celle des institutions interconnectées qui projettent en permanence une image de pouvoir, de calme, d’expertise, d’intérêt et de stabilité.

À mon avis, c’est ce qui permet aux adeptes du déni de conspiration de s’agripper au, et de défendre d’une manière agressive le fantasme totalement illogique selon lequel — au-delà d’un certain niveau indéfini de la hiérarchie sociétale — la corruption, la tromperie, la malveillance et le narcissisme s’évaporent mystérieusement, d’une manière ou d’une autre. Que, contrairement à la maxime, plus une personne a de pouvoir, plus elle fera inévitablement preuve d’intégrité. Ces âmes fragiles et bercées d’illusions sont intimement persuadées que, là où l’expérience personnelle et les connaissances préalables ne sauraient combler les lacunes de leur vision du monde — en d’autres termes, tous les endroits dont l’accès est interdit — papa et maman seront toujours là pour veiller à ce que leur petit trésor soit à l’aise, heureux et en sécurité pour toujours.

Il s’agit là de l’illusion fondamentale et réconfortante qui sous-tend l’état d’esprit des adeptes du déni de conspiration, le socle délabré sur lequel ils érigent un monumental édifice de justifications et à partir duquel ils peuvent de manière pompeuse ridiculiser et railler toutes les personnes dont la vision est différente.

On comprend dès lors pourquoi ces adeptes du déni de conspiration combattent la moindre suggestion selon laquelle l’archétype du soignant n’existe plus — que des psychopathes se trouvent derrière chaque accès interdit, et qu’ils nous traitent avec le plus grand mépris voire nous ignorent complètement. Ces adeptes du déni de conspiration s’en prendront à toute suggestion similaire aussi violemment que si leur survie en dépendait — ce qui, dans la composition de leur psyché inconsciente et précaire, est, d’une certaine manière, le cas.

Leur sentiment de bien-être, de sécurité, de confort, voire même d’avenir, est complètement — et de manière totalement inconsciente — investi dans ce fantasme. L’enfant en eux n’a jamais mûri et, parce qu’ils n’en sont pas conscients, si ce n’est sous la forme d’un attachement profond à leur sécurité personnelle, ils attaqueront férocement toute menace envers cet aspect inconscient et central de leur vision du monde.

Leur refrain épuisant de banalité est le suivant : « une conspiration d’une telle ampleur ne peut exister ».

La réponse simple à un tel expert autoproclamé des conspirations est évidente : quelle ampleur ?

Les plus grandes entreprises « médicales » du monde peuvent, depuis des décennies, considérer comme de simples dépenses commerciales les amendes considérables dont elles écopent pour des crimes qui vont de la dissimulation d’effets indésirables liés à aux tests de leurs produits à des meurtres multiples provoqués par des expérimentations non déclarées, en passant par des crimes environnementaux colossaux.

Sans être le moins du monde inquiétés, les gouvernements mènent sur leurs propres populations les « expériences » — les crimes — les plus viles et les plus impensables.

Les politiciens ont coutume de nous mentir ouvertement, sans conséquence.

Et ainsi de suite. À quel moment, exactement, une conspiration devient-elle à ce point considérable qu’elle constitue pour « eux » une limite, et pourquoi ? Je pense que le point de rupture se produit lorsque leur capacité cognitive faiblit et que leur instinct de survie inconscient se déclenche. Le moment même où l’intellect est submergé par l’ampleur des événements et où l’instinct se replie sur la foi familière et réconfortante qu’ils connaissent et ont cultivé depuis leur toute première tétée. La foi selon laquelle quelqu’un d’autre s’en occupe — qu’au moment où le monde devient inconnu, il suffit de placer une foi absolue dans l’existence d’une autorité humaine puissante et bienveillante pour être assuré d’une sécurité émotionnelle éternelle.

Cette dangereuse illusion pourrait bien être le facteur clé qui remet entre les mains des psychopathes la sécurité physique et l’avenir de l’humanité.

À tous ceux qui ont l’habitude de rejeter les personnes qui posent des questions, enquêtent et sont sceptiques — comme peuvent l’être les partisans de Trump, qui nient la science, sont paranoïaques et portent un chapeau en aluminium — je pose la question suivante : en quoi croyez-vous ? Où avez-vous placé votre foi et pourquoi ? Comment pouvez-vous, alors que personne ne fait confiance aux autorités, vous fier de manière absolue aux organisations degouvernance mondialenaissantes ? En quoi est-ce rationnel ?

Si vous accordez votre confiance en de telles organisations, considérez qu’à l’ère de la mondialisation, ces organisations — aussi extraordinaires puissent-elles paraître — ne sont que des émanations plus ambitieuses des versions locales auxquelles noussavonsne pas pouvoir nous fier. Elles ne sont pas nos parents et ne font preuve d’aucune loyauté envers les valeurs humaines. Il n’existeaucuneraison d’accorder une quelconque confiance à ne serait-ce qu’une seule d’entre elles.

Si vous n’avez pas développé consciemment une foi ou si vous ne vous êtes pas, dans une certaine mesure, interrogé sur les raisons pour lesquelles vos croyances sont animées d’une telle ferveur, une telle position peut sembler misanthropique, mais en vérité, c’est le contraire. L’argent des relations publiques et les mensonges mielleux sont les deux seules formules qui ont permis à ces organisations de gagner votre confiance. Le véritable pouvoir reste, comme toujours, entre les mains du peuple.

Ce n’est pas pour rien si les bouddhistes recommandent vivement de placer sa foi dans le Dharma, ou loi naturelle de la vie, plutôt que dans les personnes, et que des préceptes similaires sont courants au sein d’autres systèmes de croyance.

Le pouvoir corrompt. Et, dans le monde d’aujourd’hui, la confiance mal placée et non fondée pourrait bien être l’une des plus grandes sources de pouvoir qui soit.

Les conspirations criminelles monumentales existent. Les preuves sont accablantes. L’ampleur de celles en cours actuellement est inconnue, mais rien, dans la nouvelle ère mondiale, ne permet d’imaginer une diminution de la quête psychopathique du pouvoir ou la possession des ressources nécessaires pour y parvenir. En tout cas, pas tant que la dissidence est tournée en dérision et réduite au silence par les gardiens, les « idiots utiles » et les adeptes du déni de conspiration, lesquels, par leurs attaques incessantes contre ceux qui voudraient faire la lumière sur les malversations, sont en fait les complices directs du programme des psychopathes.

Il est de la responsabilité urgente de chaque être humain d’exposer les agendas psychopathiques peu importe où ils se manifestent — et de ne jamais attaquer ceux qui cherchent à le faire.

Plus que jamais, il est temps aujourd’hui de mettre de côté les futilités et les pulsions enfantines, et de réagir en adultes afin de protéger l’avenir des enfants qui n’ont d’autre choix que de nous confier leur vie.

Cet essai s’est concentré sur ce que je considère comme le moteur psychologique le plus profond du déni de conspiration.

Il en existe certainement d’autres, comme le désir d’être accepté ; fuir la connaissance et le combat des zones d’ombre intérieure et extérieure ; préserver une image positive et juste de soi qui constitue une version généralisée du phénomène d’« abus par procuration », dans lequel une classe sociale intéressée et vicieuse se protège en se regroupant autour du tyran ; adopter de manière subtile et inconsciente la vision psychopathique du monde (par exemple, « l’humanité est un virus pour la planète ») ; développer une addiction à l’indignation, au complexe de supériorité et aux jeux de prestige ; entretenir un intellect rabougri ou sans ambition qui octroie au maintien du statu quo sa raison d’être ; adopter un mécanisme de protection dissociatif en imaginant que les crimes et les horreurs commis à plusieurs reprises au cours de notre vie ne se produisent pas maintenant, pas « ici », et enfin la bonne vieille paresse et la lâcheté.

Je pense que, dans une certaine mesure, tous ces mécanismes reposent sur les fondements de la cause principale que j’ai décrite ici.

Source de l’article initialement publié en anglais le 6 mars 2021 : Reporting For Beauty
Traduction : Sott.net