Courrier adressé par Réaction 19 à l’Académie de médecine en réponse à sa recommandation de l’obligation vaccinale

[Source : profession-gendarme.com]

Par Maitre Carlo Alberto Brusa




Nanoparticules dans l’alimentation : où se cachent-elles ?

[Source : agirpourlenvironnement.org]

OÙ SE CACHENT LES NANOPARTICULES ?

La liste des produits* contenant ou pouvant contenir des nanoparticules

Les nanoparticules se sont introduites secrètement dans nos assiettes via certains additifs alimentaires. Leur présence superflue nous fait courir des dangers sanitaires et environnementaux graves. Refusons d’être les cobayes de cette technologie incontrôlée.
Interpellons les industriels !

Liste imprimable : liste-nano-imprimable.pdf (apeorg.com)


*Pour la France




USA : le recul du COVID-19 n’est absolument pas dû à la vaccination

[Source : Riposte Laïque (ripostelaique.com)]

Par Gérard Delépine

Ne pouvant plus nier le succès des États-Unis contre le Covid depuis maintenant près de six mois, les médias et des experts proches des laboratoires tentent de nous faire croire qu’il serait dû à la vaccination pour nous inciter à accepter ces traitements expérimentaux inutiles et dangereux.

Il s’agit d’une contre-vérité totale : la décrue des infections aux USA a commencé en janvier 21, alors que personne n’avait reçu deux doses et le taux actuel de vaccinés est trop faible pour atteindre l’immunité collective.

La baisse des contaminations se confirme chaque jour depuis 6 mois

La courbe des contaminations publiée par l’OMS est démonstrative : la chute des contaminations a commencé début janvier 2021

La chute des contaminations a précédé la vaccination

Début janvier 2021, moins de 2% des Américains avait été vacciné et aucun n’avait reçu une vaccination complète. La vaccination ne pouvait donc exercer aucune action efficace. Le recul de l’épidémie est vraisemblablement spontané, lié à la saisonnalité comme la grippe ou à d’autres facteurs environnementaux.

La couverture vaccinale faible ne peut expliquer le recul de l’infection

Pour inciter les Français à se vacciner, les apôtres de ces traitements expérimentaux nous répètent à chaque instant qu’il faut atteindre une couverture vaccinale d’au moins 70% pour obtenir l’immunité collective.

Actuellement aux USA, le taux de vaccinés plafonne autour de 40%. Les vaccinolâtres cohérents avec leurs croyances ne peuvent donc pas prétendre que la vaccination a joué un rôle dans l’évolution épidémique favorable des USA.

Les prétendues mesures sanitaires ne servaient à rien

Le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a supprimé début mars, par décret, toutes les restrictions prétendument sanitaires.(([1] dont l’obligation emblématique du port de masque))

Greg Abbott s’est ainsi attiré les foudres des experts dont Fauci qui lui a prédit une catastrophe sanitaire et les injures des covido-terroristes dont le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, affirmant que cette décision était « absolument irresponsable », de Beto O’Rourke qualifiant le parti républicain « parti du « culte de la mort », de Joe Biden estimant la décision de « pensée néanderthalienne », et de Keith Olbermann répétant que « le Texas a décidé de rejoindre le camp du virus ».

Depuis l’évolution favorable dans cet état a démontré qu’elles ne servaient à rien et que tous ces covidoterroristes se sont trompés.

Au Texas, la vie est redevenue normale sans aucune restriction, et l’usage du pass sanitaire est interdit et passible d’amende.

L’exemple du Texas a fait tache d’huile. Les restrictions prétendument sanitaires ont été abolies dans une large majorité d’états dont l’obligation des masques à l’intérieur sans que l’épidémie ne reparte.

La vie a donc repris presque normalement aux USA sauf dans quelques états gouvernés par des démocrates têtus qui ne parviennent pas à d’admettre leurs erreurs. Mais l’opinion publique s’en désolidarise de plus en plus comme à New York.

Quelles conséquences pour la France ?

L’épidémie régresse depuis début avril 21 comme chez nos amis américains, mais avec 3 mois de retard.

En France, comme aux USA, cette régression ne peut pas être en relation avec la vaccination puisque chez nous, le taux de couverture vaccinale complète ne dépasse pas 16%.

Après deux mois de régression continue de l’épidémie, nous sommes exactement dans la situation du Texas lorsque son gouverneur Greg Abbott a libéré son état avec succès.

Au lieu de continuer à baser leur politique sur une propagande mensongère terrorisante et des mesures coercitives antidémocratiques pour nous imposer des pseudo-vaccins expérimentaux dangereux et inefficaces, nos gouvernants devraient suivre l’exemple des USA pour que les Français puissent enfin revivre, nos enfants apprendre et la France pouvoir retravailler.

Gérard Delépine





Canada : un médecin de la Colombie-Britannique se fait retirer son poste après avoir soulevé la question des effets secondaires des vaccins anticovid

[Source : quebecnouvelles.info]

Par Cosmin Dzsurdzsa

Un médecin de famille de la Colombie-Britannique affirme avoir été réprimandé par des responsables de la santé après avoir fait part de prétendues complications liées au vaccin Moderna lors de l’administration du médicament aux patients.

Selon le Dr Charles Hoffe, de Lytton, en Colombie-Britannique, il a été suspendu de l’équipe d’urgence du centre de santé de Saint-Barthélemy en raison de la prétendue “hésitation à se faire vacciner” que ses affirmations ont provoquée.

“Le 29 avril 2021, l’Autorité sanitaire de l’intérieur a suspendu mes privilèges cliniques pour avoir causé une “hésitation vaccinale”, pour avoir parlé de mes patients blessés par un vaccin. Je ne suis donc plus autorisé à travailler aux urgences “, a déclaré le Dr Hoffe à True North.

“Je suis toujours autorisé à voir des patients dans mon cabinet privé, qui n’est pas sous la juridiction de l’autorité sanitaire intérieure, mais j’ai effectivement perdu environ 50 % de mes revenus. C’est le prix à payer pour défendre la sécurité de mes patients. “

En avril, Hoffe a publié une lettre ouverte adressée à la responsable provinciale de la santé de la Colombie-Britannique, le Dr Bonnie Henry, affirmant avoir vu “de nombreuses réactions allergiques”, un “décès soudain” et quelques cas de “déficits neurologiques continus et invalidants” après avoir administré 900 doses du vaccin COVID-19 de Moderna aux membres de la communauté des Premières Nations voisine.

“En bref, dans notre petite communauté de Lytton, en Colombie-Britannique, nous avons une personne décédée et trois personnes qui semblent devoir être handicapées de façon permanente, après avoir reçu leur première dose du vaccin Moderna. L’âge des personnes touchées varie de 38 à 82 ans”, affirme M. Hoffe dans sa lettre.

Ses allégations ont été rejetées par le Dr Carol Fenton, médecin hygiéniste de Interior Health à Kamloops, qui a déclaré qu’il n’y avait eu “aucun décès ou effet indésirable durable” lié à un quelconque vaccin COVID-19 en Colombie-Britannique, et encore moins dans la région de Interior Health.

Un avis communautaire daté du 4 mai et affiché à la clinique allègue que le retrait du Dr Hoffe ” laisserait un vide important dans le personnel médical ” de l’hôpital. Cependant, le Dr Hoffe continue de voir ses patients en privé à son cabinet qui est rattaché à Saint-Barthélémy.

L’avis a été affiché à l’extérieur de la Lytton Medical Clinic, où le Dr Hoffe exerce.

“Le Dr Hoffe est habituellement en service en tant que médecin des urgences à Lytton pendant deux semaines par mois. Sa suspension par l’Interior Health Authority risque donc de signifier que la salle d’urgence de Lytton sera fermée au moins deux semaines par mois”, affirme l’avis.

“Ces problèmes sont encore exacerbés par le fait que l’Interior Health Authority a également décidé de réduire les services de laboratoire à Lytton à deux jours par semaine. Outre l’impact négatif sur la qualité des soins de santé à Lytton, cela rendra le recrutement de tout nouveau médecin extrêmement difficile.”

Ni l’Interior Health Authority ni le ministre de la Santé de la Colombie-Britannique, Adrian Dix, n’ont répondu aux demandes de renseignements de True North pour savoir si le Dr Hoffe fait l’objet d’une enquête.

Récemment, le College of Physicians and Surgeons of British Columbia a émis un avertissement selon lequel tout médecin dont on découvrirait qu’il ” contredit les ordres et les directives en matière de santé publique ” ferait l’objet d’une enquête et pourrait être soumis à des mesures réglementaires.

Selon le site officiel du collège, les lois sur la protection de la vie privée empêchent l’organisation de révéler si une enquête est en cours concernant l’un de ses membres.




France : Alain Fischer, le “Monsieur Vaccin” du gouvernement, siège au Conseil d’administration de la Fondation Edmond de Rothschild

[Source : medias-presse.info]

Depuis le 3 décembre 2020, Alain Fischer est devenu le “Monsieur Vaccin” du gouvernement, nommé par le Premier ministre Jean Castex.

Ce professeur d’immunologie est là pour pousser les Français à se faire vacciner. Et si six Français sont déjà morts après avoir été vaccinés, Alain Fischer se fait l’écho de la communication de l’industrie pharmaceutique Pfizer qui estime que ce ne sont que des “incidents”.

Les médias ne font guère allusion à un autre aspect de la carte de visite d’Alain Fischer. Alain Fischer est en effet président du conseil d’administration de la Fondation Edmond de Rothschild. Cela doit lui faire un sujet de conversation supplémentaire avec Emmanuel Macron…




Académie de médecine : grosse manipulation pour escamoter le Pass sanitaire

[Source : AgoraVox le média citoyen]

par Régis DESMARAIS (son site)

Le communiqué de l’Académie Nationale de Médecine sur l’obligation vaccinale, pour anxiogène qu’il soit, est un modèle de manipulation mentale, destiné à créer un effet Nocebo chez les Français et à détourner l’attention sur le Pass sanitaire qui reste le but ultime du pouvoir : le traçage des populations. Attention, le piège doit être évité. Restons sereins et combatifs !

Un communiqué anxiogène

Le 25 mai 2021, l’Académie nationale de médecine (ANM) a publié un communiqué des plus surprenants. Les académiciens ont décidé de retrouver un peu de verdeur en se plongeant dans leur lointaine jeunesse, mais un plongeon vraiment très profond, pour retrouver leurs années d’avant les études de médecine. Forts de leur ignorance retrouvée, mais zélés de leur arrogance toute juvénile, ils ont rédigé un communiqué ludique à lire et mémorable pour les siècles à venir.

En quelques lignes, l’ANM place sur un même pied la Covid-19 (taux de mortalité de 0,16%) et la variole (taux de mortalité de 30 %) puis elle affirme – sans fondement autre que la publicité des laboratoires – que les vaccins sont efficaces à 90% voire 95% (sic) et elle conclut que l’obligation (vaccinale) ne doit pas être un gros mot mais la seule solution susceptible de nous sauver. Un tel sauvetage, pour être digne de ce nom, nécessite de vacciner obligatoirement le plus grand nombre d’individus, 80% de la population totale, à savoir : les enfants, les adolescents, les pompiers, les policiers, les militaires et tous ceux qui ont un contact avec le public. L’idée est d’atteindre l’immunité collective par la vaccination, cette fameuse immunité collective dont la définition a été opportunément refaite par l’OMS pour lier immunité et vaccination !

La lecture de ce communiqué procure les frissons d’un blockbuster horrifique : tous les codes de la manipulation mentale sont employés, toutes les ficelles de la peur et de la panique suscitées sont tendues et ça marche car c’est très efficace, effet Nocebo garanti.

Évidemment, comme pour toute œuvre de fiction, il faut rappeler au public, ici les lecteurs de ce communiqué, qu’il est indispensable de ne pas confondre la fiction et le réel, une production de l’esprit, cet esprit fût-il dérangé et usé, et notre quotidien. Ce communiqué est évidemment une œuvre de fiction car il décrit les caractéristiques d’une pandémie et des risques qui n’existent pas sur le terrain. Mieux, l’ANM nous propose une solution loufoque, à la hauteur des délires d’un Josej Mengele se rêvant dictateur au sommet de son nid d’aigle.

L’ANM complice d’une manipulation des Français ?

Si le mot obligation n’est pas un gros mot, l’Académie nationale de médecine est un gros problème dans le paysage institutionnel français. Petite Académie, écrasée par l’ombre de l’Institut de France, elle s’est désagrégée et délitée à notre insu car, à force d’inutilité, nous ne la regardions plus depuis longtemps. Ce communiqué, aux accents de novices jouant les professeurs, braque un violent faisceau de lumière sur la moribonde. L’ANM est-elle si moribonde et ses membres ont-ils oublié tous les enseignements reçus sur les bancs de l’université et, d’une façon empirique, au cours de leur expérience professionnelle ? La réponse est évidemment non, sauf à considérer que l’ANM est un cénacle de malades d’Alzheimer au dernier stade de la maladie. Alors quoi ? Comment des gens sérieux peuvent-ils écrire de telles inepties ? La réponse la plus probable est celle de la commande, de la main qui dicte. En clair, ce communiqué n’est rien d’autre qu’un objet destiné à créer un mode panique au sein de la population et dont la vocation est de détourner l’attention … du Pass sanitaire adopté définitivement par l’Assemblée nationale le même jour que le communiqué de l’ANM !

On comprend donc aisément que ce communiqué de l’ANM va à l’encontre des données acquises de la science sur la pandémie actuelle. Par ailleurs, l’ANM ne peut pas sérieusement vouloir imposer une vaccination obligatoire qui conduirait à une révolte et à la chute du pouvoir. Seules trois hypothèses peuvent tenir la corde pour justifier ce communiqué :

1°) Il s’agit de la méthode « Macron » qui est de nouveau appliquée : l’ANM propose l’enfer à la population et le président, tel un chevalier blanc, viendra sauver les Français en écartant de si décalées et dangereuses propositions académiques. Le scénario est lui aussi assez usé et abusé mais on sait qu’il fonctionnera toujours auprès des plus crédules.

2°) Il s’agit de détourner l’attention du public sur l’adoption définitive du Pass sanitaire et la prochaine publication, par décret, de ses modalités pratiques de mise en œuvre. Pendant que l’on s’excite sur le communiqué de l’ANM et que, pour certains, on plonge dans le désarroi et la peur, le Gouvernement avance dans son projet de traçage et de surveillance généralisée de la population. La société à la chinoise se met en place selon les désirs d’un pouvoir pervers et totalitaire. Cette hypothèse est en lien très fort avec la 1ère hypothèse.

3°) Il s’agit de créer la panique au sein de la population et de la fracturer entre ceux qui acceptent le vaccin comme un acte obligé pour continuer sa vie sociale et ceux qui refusent l’arbitraire et la montée sur l’échafaud. Terroriser pour exacerber les détestations entre les camps et conduire à la panique et son cortège de dérapages violents et incontrôlés. Cette hypothèse trace les lignes floues d’une guerre civile tant redoutée, une guerre au sein du peuple.

Encore une fois, on ne peut que s’interroger sur les conditions qui peuvent conduire les membres de l’ANM à rédiger un communiqué d’une violence inouïe sur les personnes, et d’un dédain absolu vis-à-vis de ses conséquences sur le mental des gens. Comment ces gens ont-ils pu accepter de diffuser un communiqué si peu scientifique et reposant sur des approximations, des oublis et des mensonges éhontés ? C’est le grand mystère de ce drame qui frappe notre pays et presque toute l’Europe : comment une « élite » a-t-elle pu se révéler si faillible et si compromise dans une démarche que l’on pourrait qualifier de criminelle sur les populations ? Cette question hantera longtemps ceux qui survivront à cette folie. Ces derniers seront nombreux car une chose est sûre et certaine : tous les Français doivent lire ce communiqué comme s’ils lisaient le pitch d’un mauvais film dont le réalisateur aurait oublié que le festival d’Avoriaz, c’est fini, et depuis longtemps.

Objectif : se préserver et dire non au Pass sanitaire 

Nous devons rire de ce communiqué et de sa tentative de détourner l’attention. Il faut surtout ne pas en avoir peur et ne pas en tenir compte dans notre vie de tous les jours. Jamais l’expression « sortir du jeu » n’aura eu autant de pertinence face à cette production de l’ANM. Nous devons mener notre existence au regard et dans le respect des valeurs qui nous semblent essentielles et inviolables. Un conseil : laissons les fous entre eux, laissons les s’épuiser à nous effrayer et à détourner notre attention. Vivons notre vie sous l’ombre protectrice des droits de l’Homme. Pour ce faire, gardons à l’esprit que le poison de la démocratie est désormais ce Pass sanitaire adopté en parallèle du communiqué de l’ANM. Refusons ce Pass, contraire à nos valeurs et redoutable pour ses conséquences !




Le Dr Louis Fouché alerte sur l’agenda transhumaniste de la tyrannie sanitaire

[Source : Ethique TV via medias-presse.info]

Le Dr Louis Fouché explique comment ceux qui organisent la dictature sanitaire sont les mêmes que ceux qui ont à leur agenda de nous imposer le transhumanisme.




Des scientifiques norvégiens affirment que le climat de l’Antarctique est très stable et n’est pas détruit par les pets de vache

[Source : Aube Digitale]

PAR JADE

Greta Thunberg s’est ridiculisée récemment en interprétant un phénomène naturel à la lumière du réchauffement climatique.

Nous sommes à la fin d’une période glaciaire, il est donc possible que le globe se réchauffe de lui-même.

Cependant, les preuves de ce phénomène sont rares.

Via Sputnik News :

Mettant en garde contre les “prophéties d’apocalypse” non fondées et la “propagande alarmiste”, des chercheurs norvégiens ont déclaré que la limite de la glace dans les parties les plus importantes de l’Antarctique, surnommé “le congélateur du monde”, non seulement ne s’est pas amincie, mais a même augmenté, contrairement à certaines attentes.

Après avoir mesuré à la fois les températures, les courants océaniques et la salinité dans la mer et sous la glace en Antarctique depuis la fin des années 60, des chercheurs norvégiens sont arrivés à des résultats plutôt surprenants.

Contrairement aux prédictions alarmistes et aux tendances observées ailleurs, le climat au pôle Sud est stable depuis 40 ans, a déclaré à TV2 Svein Osterhus, océanographe et chercheur principal au Centre de recherche norvégien (NORCE).

“Jusqu’à présent, nous n’avons pas constaté de changements significatifs. La lisière de glace que nous étudions ne s’est pas amincie, au contraire”, a déclaré M. Osterhus après son 15e voyage en Antarctique.

Selon les mots du journaliste de TV2, Osterhus “s’est élevé contre les prophéties apocalyptiques” en affirmant que les zones les plus importantes du “congélateur du monde” sont actuellement “très stables”.

“Il est vrai que dans certaines zones, il y a une fonte de la glace. Dans le nord, la glace de mer est en train de fondre. Elle fond aussi au Groenland et dans certaines parties de l’Antarctique, mais ce qui compte vraiment en matière d’élévation du niveau des mers, oui, heureusement, il ne se passe pas grand-chose ici”, a souligné M. Osterhus.

Le chercheur a souligné l’importance de faire attention à la “propagande alarmiste” sur le climat.

“En tant que chercheur, je fais attention à ne pas faire d’affirmations sans avoir de réels arguments à l’appui. Je pense que cela peut nous toucher durement si nous présentons les choses comme s’il y avait des changements majeurs et dramatiques”, a souligné M. Osterhus.

Tout cela n’est que de la propagande alarmiste, et ce serait ridicule même si tout était vrai.

Greta Thunberg est littéralement à l’ouest, et elle est constamment en état de crise, pensant que le monde va brûler.




Le « Fact-Checking* » prend une nouvelle raclée

[Source : Aube Digitale]

[* Fact-Checking = Vérification des faits]

Le monde de l’actualité n’arrête pas de se ridiculiser. La dernière énormité en date est une débâcle internationale en matière de vérification des faits qui trouve son origine, entre autres, dans un “festival de vérification des faits”.

Le Poynter Institute est peut-être le groupe de réflexion le plus respecté dans notre secteur, une organisation qui cherche à “fortifier le rôle du journalisme dans une société libre”, notamment en parrainant le site de vérification des faits PolitiFact. Il y a quelques semaines, elle a organisé une convention virtuelle intitulée “United Facts of America : Un festival de vérification des faits”.

Cet événement de trois jours a accueilli des invités spéciaux tels que Christiane Amanpour, le Dr Anthony Fauci, Brian Stelter et le sénateur Mark Warner – une brochette de “stars” des faits dont l’énergie ironique rappelait l’exécution téléthon de Terrance et Phillip par l’USO avant l’invasion du Canada dans South Park : Bigger, Longer, and Uncut. Les billets coûtaient 50 dollars, mais si vous vouliez un “happy hour virtuel privé” avec Stelter, vous deviez payer 100 dollars pour l’”expérience VIP”.

Au cours de la conférence, Katie Sanders, de PolitiFact, a demandé à Fauci : “Êtes-vous toujours convaincu que le [Covid-19] s’est développé naturellement ?”. Ce à quoi le sympathique médecin a répondu : “Non, je n’en suis pas convaincu”, poursuivant en disant que “nous” devrions continuer à étudier toutes les hypothèses sur la façon dont la pandémie a commencé :

https://www.youtube.com/embed/sELaURSW_7o

Les conservateurs, en particulier, se sont empressés de rappeler que Fauci avait déclaré l’an dernier : “Tout ce qui concerne l’évolution par étapes au fil du temps indique fortement que [ce virus] a évolué dans la nature et a ensuite sauté d’une espèce à l’autre. “À cette époque, en mai dernier, bien sûr, la question de l’origine de la pandémie avait déjà été politisée depuis longtemps, l’administration de Donald Trump étant soucieuse de pointer du doigt la Chine comme responsable de la catastrophe. Mike Pompeo est allé jusqu’à dire qu’il y avait “d’énormes preuves” que la maladie avait été créée à l’Institut de virologie de Wuhan. Fauci a été présenté comme un héros pour s’être opposé à ce sujet et à bien d’autres.

La nouvelle déclaration de Fauci, qui affirme ne pas être “convaincu” que le Covid-19 a des origines naturelles, s’inscrit toutefois dans le cadre de ce qui devient un changement d’avis plutôt ostentatoire au sein des autorités sur la viabilité de l’hypothèse dite de “l’origine laboratoire”. Jusqu’en 2020, les officiels et la presse grand public ont fermé la plupart des discussions à ce sujet. Les journalistes ont été fortement influencés par une lettre collective signée par 27 éminents virologues, publiée dans le Lancet en février dernier, dans laquelle les auteurs déclaraient “condamner fermement les théories du complot suggérant que le COVID-19 n’a pas d’origine naturelle”, ainsi que par une lettre publiée dans Nature Medicine en mars dernier, dans laquelle on pouvait lire : “Nos analyses montrent clairement que le SARS-CoV-2 n’est pas une création en laboratoire”.

Le consensus était si fort que certaines voix connues ont vu leurs comptes de médias sociaux suspendus ou fermés pour avoir spéculé sur le fait que le Covid-19 avait une “origine en laboratoire”. L’une d’entre elles a été la Dre Li-Meng Yan, virologue à l’Université de Hong Kong, qui a participé à l’émission de Tucker Carlson le 15 septembre dernier pour affirmer que ” [le Covid-19] est un virus créé par l’homme en laboratoire “. Après cette apparition, PolitiFact – le PolitiFact de Poynter – a attribué à cette déclaration sa redoutable note “Pants on Fire”.

Environ six mois plus tard, en février 2021, l’OMS s’est rendue en Chine. Apparemment, certains membres de la délégation sont repartis avec quelques doutes sur l’origine naturelle du virus, même si le rapport de l’OMS déclarait “extrêmement improbable” la théorie de l’origine en laboratoire.” S’en est suivi un cortège de scientifiques exigeant que la possibilité d’une origine en laboratoire soit prise au sérieux, dont une lettre signée par 18 experts dans Science. Lorsque le Wall Street Journal a publié une histoire selon laquelle un rapport des services de renseignement américains, jusqu’alors non divulgué, détaillait comment trois chercheurs de Wuhan étaient devenus suffisamment malades pour être hospitalisés en novembre 2019, le dentifrice était complètement sorti du tube : il n’y avait plus aucun moyen de dire que l’hypothèse de “l’origine laboratoire” était trop idiote pour être rapportée.

Cela ne veut pas dire que la théorie de “l’origine en laboratoire” est correcte, du tout. Mais cela n’a rien à voir avec la question qui nous occupe. En dépit de ce que vous avez pu être amené à croire, les vérificateurs de faits n’existent pas pour que les choses soient correctes à 100%. Ils sont là en tant que mécanisme de sécurité de dernier recours, que les organismes d’information utilisent comme un moyen d’éviter les grimaces publiques.

Quoi qu’il en soit, le 17 mai, quelques jours seulement après son “Festival of Fact-Checking”, Poynter/PolitiFact a dû publier une correction à sa décision “Pants on Fire” de septembre 2020 sur l’histoire de “l’origine du laboratoire”, en écrivant :

Lorsque cette vérification des faits a été publiée pour la première fois en septembre 2020, les sources de PolitiFact comprenaient des chercheurs qui affirmaient que le virus SARS-CoV-2 ne pouvait pas avoir été manipulé. Cette affirmation est maintenant plus largement contestée. Pour cette raison, nous retirons cette vérification des faits de notre base de données en attendant un examen plus approfondi.

Les vérificateurs de faits ont probablement sauvé ma carrière à au moins une douzaine de reprises. Lorsque je commençais à faire des reportages sur Wall Street, Rolling Stone devait souvent demander à plusieurs personnes de relire chaque ligne de mes articles pour s’assurer que je ne me ridiculisais pas. J’ai plaisanté une fois en disant qu’un vérificateur de faits de RS avait failli rater la fameuse phrase selon laquelle Goldman, Sachs était “un grand calmar vampire enroulé autour du visage de l’humanité, enfonçant sans relâche son entonnoir plein de sang dans tout ce qui sent l’argent” en faisant remarquer à juste titre que les calamars n’ont pas d’entonnoir à sang. C’est arrivé, mais le gros du travail que ces pauvres vérificateurs ont fait pour moi était beaucoup moins humoristique et plus ingrat. La personne qui a dû réviser ma pathétique explication d’un véhicule d’investissement structuré (VIS) dans cet article méritait probablement une prime de pénibilité et un approvisionnement à vie en Thorazine. Comme tous les écrivains, je me plains des vérificateurs de faits, mais je serais le dernier à dire que leur travail n’est pas important.

Cependant, le public est régulièrement mal informé sur ce que font les vérificateurs de faits. Dans la plupart des cas, et notamment dans les quotidiens, la vérification des faits, si elle est utilisée, est l’équivalent de l’assurance collision minimale que souscrit le locataire de voiture le plus économe. Il y a généralement juste assez de temps pour signaler quelques dangers potentiels de litige et/ou des erreurs majeures et évidentes sur des choses comme les dates, l’orthographe des noms, la formulation des citations, si un certain événement décrit par un journaliste s’est produit, etc.

Pour tout ce qui est plus complexe que cela, c’est-à-dire la plupart des choses, les vérificateurs de faits doivent s’efforcer de prendre des décisions difficiles. Les meilleurs ont tendance à voter pour l’élimination de tout ce qui pourrait exploser au visage de l’organisation par la suite. Les bons vérificateurs sont là pour aider à perpétuer l’illusion de la compétence. Ce sont des découvreurs de fesses professionnels, dont le travail consiste à empêcher qu’il soit évident que Wolf Blitzer, Matt Taibbi ou quiconque vous suit sur l’histoire critique du jour vient juste d’apprendre le terme “Chad”, “protéine de spicule” ou “immunité collective”. D’après mon expérience, ils sont généralement très doués pour cela, mais leur travail consiste moins à déterminer les faits qu’à empêcher les vastes mers d’ignorance qui sous-tendent la plupart des opérations d’information professionnelles de s’infiltrer dans le public.

Malheureusement, au cours des cinq dernières années en particulier, alors que les médias commerciaux ont connu une chute vertigineuse du niveau de confiance du public, de nombreuses organisations ont choisi de vanter les mérites des programmes de vérification des faits comme un moyen d’afficher leur dévouement à la “vérité”. La vérification des faits est en outre devenue un élément de l’argument de la “clarté morale”, selon lequel une fausse norme d’objectivité obligeait autrefois les entreprises d’information à toujours inclure des gestes en faveur d’une autre partie qui a toujours tort, faisant de la “vérité” une victime de la fausse “équité”.

Voici comment Amanpour s’est exprimée au Poynter Festival :

[L’objectivité] ne consiste pas à prendre n’importe quelle question, qu’il s’agisse de génocide, de climat, d’élections américaines ou de n’importe quoi d’autre dans le monde – le Covid, par exemple – et à dire, ‘Eh bien, d’un côté, et de l’autre côté’, en prétendant qu’il y a une quantité égale de faits et de vérité dans chaque panier…

Amanpour a poursuivi en faisant remarquer que sa carrière a démarré en Bosnie, où une partie était “agressée” et l’autre non, et qu’il aurait été contraire à la décence de dire le contraire. Il s’agit là d’un clin d’œil à l’argument “l’objectivité ne signifie pas qu’il faille donner un temps égal aux Républicains” qui est devenu si populaire dans l’industrie ces derniers temps (Fox a institutionnalisé le même argument à l’envers il y a trois décennies).

Mais l’objectivité n’a jamais consisté à accorder un temps et un poids identiques aux “deux camps”. Il s’agit simplement d’admettre que l’industrie de l’information est une opération à grande vitesse dont les principaux décideurs travaillent à partir d’un niveau de connaissance proche de zéro sur la plupart des sujets, faisant au mieux un effort honnête pour atteindre la cible mobile de la vérité.

Comme la vérification des faits elle-même, le format “d’un côté et de l’autre” n’est qu’un mécanisme de défense. Ces gens disent X, ces [autres] gens disent Y, et parce que les mannequins jacassants qui lisent sur nos téléprompteurs ne savent rien, nous laisserons le temps faire le tri dans les passages difficiles.

Le public appréciait autrefois l’humilité de cette approche, mais ce qu’il obtient de nous plus souvent aujourd’hui, ce sont des discours moralisateurs sur la façon dont les journalistes sont d’intrépides chercheurs de vérité qui dorment à côté de Dieu et avalent des amphétamines afin de pouvoir rester éveillés toute la nuit pour défendre la démocratie contre la “désinformation”. Mais une fois que l’on a dépassé les noms, les dates et le fait de savoir si le ciel était bleu ou nuageux ce jour-là, la pire forme de désinformation en journalisme est d’être trop sûr de quelque chose. C’est particulièrement vrai lorsqu’il s’agit de questions techniques complexes, et encore plus lorsque les sources officielles semblent investies dans l’élimination de la discussion de scénarios alternatifs sur ces questions.

Dès le début, la presse a mal géré les reportages sur le Covid-19. Cela s’explique en partie par le fait que la quasi-totalité des questions essentielles – utilisation de masques, confinement, viabilité des programmes de vaccination, etc. – ont été vendus par les sociétés de presse comme des récits de guerre culturelle. Un problème connexe était lié au fait que les entreprises d’information utilisaient l’idée erronée que l’information est une science exacte pour promouvoir l’idée encore plus erronée que la science est une science exacte. Cela a donné lieu à des spectacles absurdes, tels que des agences de presse tentant de dissimuler ou de dénoncer comme fausse la réalité naturelle selon laquelle les responsables avaient des opinions changeantes sur des sujets tels que l’efficacité des ventilateurs ou l’utilisation des masques.

Lorsque CNN a vérifié les faits à la question “Fauci a-t-il changé d’avis sur l’efficacité des masques ?”, la chaîne a semblé s’inquiéter de la joie qu’éprouveraient les partisans de Trump s’ils écrivaient simplement “oui”, si bien que la réponse est devenue “oui, mais Trump est aussi un c*nnard” (parce qu’il a laissé entendre que la nécessité de porter des masques était toujours sujette à débat). En qualifiant de “fait” immuable le consensus scientifique actuel, les médias ont donné l’impression que l’évolution normale des débats scientifiques était malhonnête, et ont inutilement renforcé la méfiance à l’égard des scientifiques et des médias.

La vérification des faits était un atout considérable lorsqu’il s’agissait d’un processus invisible qui polissait discrètement l’étron du reportage industriel. Lorsque les entreprises l’ont fait sortir en public et en ont fait une bête de somme pour impressionner le public, elles ont diffamé la tradition.

Nous ne savons que peu de choses avec certitude, comme l’orthographe de “fémur” ou le nombre d’interceptions de Blaine Gabbert dans sa carrière. Le public sait que presque tout le reste est sujet à discussion, et nous avons donc l’air d’abrutis en prétendant pouvoir vérifier les faits dans l’univers. Nous ferions mieux d’admettre ce que nous ne savons pas.

Traduit par Aube Digitale
Source : TK News (Etats-Unis)




France : le journaliste Richard Boutry explosif à l’émission TPMP ouvre une brèche dans le mur oppressif des mesures sanitaires totalitaires

[Source : La Minute de Ricardo]






Témoignage d’un pompier sur les AVC suite aux vaccins covid

[Source : La minute de Ricardo]






Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!

[Source et auteur : Liliane Held-Khawam (lilianeheldkhawam.com)]

Nous volons de découverte en découverte, avec pour seul fil rouge la stupeur pour ne pas dire l’effroi.

Souvenez-vous du choc que certains ont pu ressentir lorsque nous avions découvert la fabrication des jumelles chinoises OGM.

Il y a quelques jours, la mise au grand jour des vaccins autodisséminés représenta une étape essentielle de nos recherches.

L’article de Science qui nous rapproche toujours plus de la confirmation de l’hypothèse d’un virus SARS-CoV-2 fabriqué en laboratoire aurait dû faire la une des médias officiels.

Aux quelques doléances qui précèdent doivent s’ajouter l’euthanasie bien entendue des personnes âgées, le refus de considérer un tant soit peu le traitement de l’infection par le coronavirus, l’acharnement à ne rien changer au protocole ou aux composants des « vaccins » malgré les chiffres accablants dont nous disposons, mais aussi des conséquences problématiques de ces produits sur des personnes jeunes et en bonne santé. 
https://childrenshealthdefense.org/defender/cdc-investigating-reports-heart-problems-teens-adolescents-covid-vaccine/?utm_source=salsa&eType=EmailBlastContent&eId=bcaaec43-2eda-4bae-b08c-4612a77b3b03

Nous avons tenté de traiter ces thèmes de la manière la plus neutre et la plus sourcée possible… En revanche, nous avons du mal à répondre à la question du pourquoi!

Pourquoi s’acharner pareillement sur l’humanité? Pourquoi s’en prendre aux personnes vulnérables et sans défenses ?

Il est très compliqué de répondre à cette question sans affoler et/ou sans être traités de complotiste. Pourtant, si les autorités sanitaires avaient été loyales envers les populations, elles auraient dû faire une pause dans ce que l’on appelle « vaccination », étudier les effets indésirables nombreux et handicapants, et refuser net de continuer d’administrer ces choses aux populations âgées. C’est une question de bon sens n’est-ce pas? Pourtant, rien n’a été fait. Et pire face aux résultats catastrophiques de AstrZeneca, on a poursuivi dans la stratégie destructrice de vies et de familles. Dans certains pays, on a poussé le cynisme encore plus loin en réservant ce qui devrait être apparenté à un produit dangereux pour la santé aux plus de 55 ans. Quelles conclusions en tirer?

À ce stade, nous sommes sûrs d’une chose:

Manifestement, ce que nous observons ne correspond pas aux résultats communiqués par les industriels qui nous parlaient de 95 % d’efficacité n’est-ce pas?

En même temps, les résultats des essais ont été présentés par les industriels eux-mêmes et les « scientifiques » et les gouvernants ont accepté leurs chiffres, et les critiques européennes vues précédemment dans les mails hackés ont été mises en sourdine.

Des vidéos de bras aimantés

Tous les jours apportent donc son lot de surprises dans un monde qui semble avoir basculé dans un chaos éthique. Ainsi un jour, je découvre des vaccinés qui arrivent à s’accrocher un aimant là où ils ont reçu l’injection.

Les vaccinés qui testent des aimants sur leur bras ridiculisés dans une émission grand public.

C’est en choeur que les animateurs de l’espace public ont crié à la fake info. A priori les images ne pouvaient convaincre un esprit rationnel. Impossible donc que le corps humain soit aimanté. Mon professeur de biologie du Lycée aurait dit la même chose. Sauf que la science des années 70-80 n’a plus rien à voir avec les défouloir débridés que sont devenus les labos du 21ème siècle. Forte de cette conviction j’ai mené ma petite enquête. J’ai commencé par tomber sur les liens mis en avant par Google tous dénonçant la fausse info. Voici un message pris au hasard:

« Pour cet épisode, Elsa de La Roche Saint André a contacté Julien Bobroff, physicien français spécialiste du magnétisme, qui enseigne à l’Université Paris-Saclay. “Un vaccin contre le Covid-19 qui puisse contenir des puces, et qui accrocherait des aimants quand on l’injecte, c’est absolument impossible du point de vue de la physique”, assure-t-il. 

Alors comment faire croire en vidéo qu’un magnet est attiré par une puce implantée dans le bras par le biais de la vaccination ? L’auteur scientifique anglo-américain Mick West, qui s’est spécialisé dans la vérification des théories du complot, détaille dans une vidéo quelques possibilités, comme le fait que la peau soit grasse ou l’utilisation d’une crème huileuse. 

Une dernière hypothèse repérée sur le site de fact-checking “Fact and Furious”, créé en réaction aux fausses informations circulant depuis le début de la crise sanitaire, serait que certaines des personnes qui tournent ces vidéos soient porteuses d’une prothèse d’épaule. En effet, les prothèses peuvent contenir du cobalt, un métal qui attire les aimants. »

https://observers.france24.com/fr/%C3%A9missions/info-ou-intox/20210521-info-ou-intox-episode-47-vaccin-covid-19-magnet-challenge-aimant-puce

Comment fonctionne un aimant?

Des nanoparticules magnétiques

Eh bien nous avons mené notre propre check. Et figurez-vous que j’ai découvert des paquets d’ »inventions » plus qu’édifiantes! Il existe même un projet tout ce qu’il y a de plus officiel puisque figurant sur le site de l’UE.

Sous le titre de « Comment faire croître les neurones avec des aimants et des nanoparticules », nous découvrons des trésors. La chose est présentée sous le prétexte acceptable de venir en aide aux malades de Parkinson, les réformes des lois sur la bioéthique feront le reste. On nous dit notamment que:

« Le projet MAGNEURON vise à développer une nouvelle technologie d’actionnement magnétique des fonctions cellulaires pour traiter la maladie de Parkinson. Le concept innovant de notre technologie est de contrôler à distance le comportement des cellules à l’aide de nanoparticules magnétiques bio-fonctionnalisées. Les nanoparticules sont de très petits objets, de l’ordre du nanomètre, généralement connus pour être nocifs, mais ils peuvent également être utilisés de manière positive. En attachant à leur surface des biomolécules spécifiques, il est possible d’interagir avec les molécules cellulaires pour donner des signaux spécifiques aux cellules. En utilisant des nanoparticules magnétiquesil est possible d’utiliser des dispositifs magnétiques pour agir sur elles à distance afin de déclencher des réponses cellulaires.

Pour relever le défi de la télécommande des neurones à distance, nous proposons l’utilisation de nanoparticules magnétiques bio-fonctionnalisées conçues pour fonctionner comme des «points chauds» intracellulaires qui indiqueront à la machinerie cellulaire ce qu’il faut faire. Une fois délivrées dans le cytoplasme des neurones, ces nanoparticules magnétiques activeront des réactions biochimiques spécifiques à l’intérieur des cellules en réponse à des champs magnétiques externes de sorte que les nanoparticules favoriseront et orienteront la croissance des bras des neurones. » 

http://magneuron.eu/

Le principe de cette technologie qui révolutionne la biologie et la médecine est expliquée ci-dessous par un schéma. Dans ce cas, il est question de reprogrammation cellulaire dans un but fort louable puisque le patient est atteint d’une maladie grave. Qu’est-ce qui empêcherait de l’utiliser dans d’autres circonstances? A relever que lesdites cellules augmentées sont contrôlables à distance (par remote coontrol).

Vous constaterez aussi qu’il est question d’un outil magnétique communiquant avec les nanoparticules aimantées. Est-ce que dans notre environnement cet outil peut être représenté par les antennes 5G, ce qui nous introduirait brusquement et brutalement dans le monde de l’Internet des Humains?

Les scientifiques de l’Université de Washington espèrent que l’avenir permettra d’améliorer considérablement cette technologie du Brain to brain communication pour envoyer des informations plus complexes d’une personne à une autre.  Andrea Stoco souligne “Internet est un moyen pour connecter les ordinateurs, et maintenant il peut être un moyen des connecter des cerveaux. »

Qu’est-ce que le sigle iPSCs qui figure sur le dessin de Magneuron?

N’étant pas biologiste, mais simplement capable de suivre les flèches de ce processus, j’ai été intriguée par le iPSCs qui semble tenir un rôle central. Et voici ce que j’ai trouvé. Une plateforme dédiée à la communauté des sciences de la vie à Zurich. On nous dit:

Depuis la découverte par Yamanaka et Takahashi des cellules souches pluripotentes induites (iPSC), cette technologie a ouvert des possibilités sans précédent pour étudier pratiquement tous les types de cellules d’intérêt in vitro et pour modéliser les maladies humaines «dans une boîte». La communauté des sciences de la vie de Zurich profite activement de ces nouvelles possibilités.

L’objectif de cette plateforme est de favoriser les interactions, les collaborations et l’éducation sur cette technologie parmi les chercheurs travaillant sur les iPSC dans la région de Zurich . Les groupes affiliés à toutes les institutions académiques sont invités à présenter leurs recherches liées à l’iPSC, y compris l’Université de Zurich, l’ETH Zurich et les hôpitaux universitaires (USZ, Kinderspital, PUK, Balgrist, Zentrum für Zahnmedizin). Tous les sujets de recherche peuvent être inclus, allant des questions de recherche fondamentale sur la pluripotence des cellules souches à la modélisation des maladies ou à la médecine régénérativeLes troubles affectant tout système organique peuvent être inclus (système nerveux central, cœur, rein, muscles, système immunitaire, yeux ou maladies métaboliques).

https://www.ipsc-research.uzh.ch/en.html

Et qui est M Yamanaka qui semble occuper une place centrale dans cette médecine d’un nouveau genre? Shinya Yamanaka (山中 伸弥 : Yamanaka Shinya) est né à Higashiosaka au Japon. Médecin japonais, il est chercheur sur l’induction des cellules souches pluripotentes et la reprogrammation des cellules somatiques. (Wikipédia)

Dans un article paru dans Science en février 2008, Yamanaka affirme que la méthode de transformation génétique des cellules à l’aide d’un virus n’entraîne pas de problème de tumeurs, ce qui pourrait ouvrir la voie vers un usage thérapeutique pour la régénération de tissu.

Wikipédia

Cette assertion est à la fois énorme pour le monde de la médecine, mais en même temps effrayante dans le contexte actuelle. Et comme Wikipédia n’a pas donné de références sur l’article de Science, il a bien fallu aller dénicher ce qui pourrait être une perle dans l’énigme vaccinale covidienne. Voici le résumé d’une publication mRNA-Based Genetic Reprogramming écrite cette fois en 2018:

La découverte que les cellules cutanées ordinaires peuvent être transformées en cellules souches pluripotentes par l’expression forcée de facteurs définis a fait naître l’espoir que des traitements régénératifs personnalisés basés sur du matériel immunologiquement compatible dérivé des propres cellules d’un patient pourraient être réalisés dans un avenir pas trop lointain. Un obstacle majeur à l’utilisation clinique des cellules souches pluripotentes induites (iPSC) a été initialement présenté par la nécessité d’utiliser des vecteurs viraux d‘intégration pour exprimer les facteurs qui induisent un profil d’expression génique embryonnaire, ce qui entraîne une altération potentiellement oncogène du génome normal. Plusieurs systèmes de reprogrammation «non intégrateurs» ont été développés au cours de la dernière décennie pour résoudre ce problème. Parmi ces techniques, la reprogrammation de l’ARNm est la plus sans ambiguïté «sans empreinte», la plus productive,et peut-être le mieux adapté à la production clinique de cellules souches. Ici, nous discutons des origines du système de reprogrammation à base d’ARNm, de ses avantages et inconvénients, des améliorations techniques récentes qui simplifient son application et de l’état des efforts actuels pour industrialiser cette approche pour produire en masse des cellules souches humaines pour la clinique.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6453511/

Magneuron, projet porté par les gouvernants!

Retour au projet Magneuron. Dans un silence consternant, on découvre que ce genre de projet est porté par les gouvernants qui ne jugent pas utiles d’informer les sans-dents de ce qu’ils leur ont réservé pour un avenir immédiat! Voici ce que présente le Portail français du programme européen pour la recherche et l’innovation. Dans la liste des témoignages des lauréats, nous trouvons une référence à Magneuron:

Détournement des voies de signalisation cellulaire avec des nanoactionneurs magnétiques pour les thérapies télécommandées par cellules souches des troubles neurodégénératifs.

magneuron : Télécharger

https://www.horizon2020.gouv.fr/cid130111/boite-outils-pour-les-projets-technologies-futures-emergentes-fet.html

Tout aussi intéressant que ce projet Magneuron est celui de Luminous

Ce projet est décrit en termes de vision de la manière suivante. plutôt très inquiétant…

Vision à long terme « Notre vision est que les informations théoriques joueront un rôle central dans la compréhension de la conscience, que la conscience sera un jour de plus en plus mesurée, quantifiée et modifiée en toute sécurité grâce à l’interaction électromagnétique » Percée scientifique et objectif technologique – « La première percée proposée est » la création d’une nouvelle classe motrice de la conscience sensorielle, qui minimise « la création d’une nouvelle classe de conscience motrice ou de dépassement de la conscience ». La deuxième percée ciblée ici est l’altération électrique de la conscience. « Nouveauté » travail pionnier en science fondamentale, y compris les concepts de théorie de l’information, et la physiologie expérimentale, les applications cliniques et la technologie »

Voilà donc que l’insertion de nanoparticules magnétiques n’est pas une vue de l’esprit de complotistes. Ces individus qui squattent les laboratoires d’un nouveau genre et qui bénéficient de l’argent pléthorique de Planète finance sont en train de reléguer Frankenstein dans un coin de l’histoire, avec bonnet d’âne en prime.

Nous avons affaire à de très grands chercheurs de diverses disciplines qui se sont retrouvés autour de projets communs. La synergie qui s’en dégage semble libérer une puissance dont le potentiel maléfique n’est pas difficile à imaginer.

Alors ami lecteur, je vous ai apporté ces quelques infos dans le but de nous aider à décoder l’image finale très probablement monstrueuse que des esprits malades ont dessinés pour l’humanité.

Tout silence de tout individu habitant cette terre face à ces données publiques financées avec nos impôts aura un coût humain inimaginable à ce stade.

LHK

Complément d’info

Le projet MAGNEURON Future and Emerging Technologies (FET) a pour objectif de déterminer comment contrôler les neurones nouvellement implantés dans le cerveau, afin qu’ils puissent se développer, se recâbler et fonctionner correctement. Ceci est particulièrement important pour les maladies neurodégénératives comme la maladie de Parkinson.

Image montrant le fonctionnement du projet MAGNEURON
Projet MAGNEURON – Schéma du fonctionnement du projet MAGNEURON

Le   projet FET-Open MAGNEURON vise à développer une nouvelle technologie d’actionnement magnétique des fonctions cellulaires pour traiter la maladie de Parkinson. Le concept innovant de leur technologie est de contrôler à distance le comportement des cellules à l’aide de nanoparticules magnétiques bio-fonctionnalisées. MAGNEURON est dirigé par le Dr Mathieu Coppey, de l’Institut Curie, France. Le projet comprend 6 partenaires de France, d’Allemagne et du Royaume-Uni, couvrant les domaines de la physique-chimie, de la biochimie, de la biophysique, des nanosciences, des neurosciences et de la médecine régénérative.




Rav Dynovisz : la délivrance finale viendra de France

[Source : TORAH STUDIO]




Le vaccin Moderna contient bel et bien un ingrédient douteux

[Source : reseauinternational.net]

par Philippe Huysmans.

Peut-être avez-vous déjà entendu parler de la polémique qui fait rage autour d’un des ingrédients listés par le fabricant Moderna pour l’élaboration de son vaccin à ARNm. Tout débute lorsque, sur les réseaux sociaux, un internaute curieux à cherché à savoir à quoi correspondait l’ingrédient listé sous sa dénomination commerciale, le SM-102.

Ceci faisait suite à la publication, sur le site officiel de l’État du Connecticut de la liste des substances intervenant dans la fabrication du vaccin de Pfizer et celui de Moderna.

Tout d’abord il faut savoir que le produit SM-102 est une dénomination commerciale, un peu comme les fraises Tagada sont un produit du catalogue de la société Haribo.

En l’occurence, le SM-102 est un produit de la société Cayman Chemical

Vous pouvez trouver sa fiche technique ici.  Il s’agit d’un amino lipide ionisable (corps gras, donc), dont la description stipule :

« Le SM-102 est un lipide aminé ionisable qui a été utilisé en combinaison avec d’autres lipides dans la formation de nanoparticules lipidiques. L’administration d’ARNm de luciférase dans des nanoparticules lipidiques contenant du SM-102 induit l’expression de la luciférase hépatique chez la souris. Des formulations contenant du SM-102 ont été utilisées dans le développement de nanoparticules lipidiques pour l’administration de vaccin à base d’ARNm ».

Le problème ? Sur la page de description du produit on trouve l’avertissement suivant :

AVERTISSEMENT : Ce produit n’est pas destiné à un usage humain ou vétérinaire.(([1] WARNING This product is not for human or veterinary use.))

Ce que les internautes pointaient du doigt c’est que le SM-102, le fameux lipide est stabilisé en le diluant dans du chloroforme qui s’avère pour l’homme un poison violent. Le produit final contient 90% de chloroforme pour 10% de lipide.

Sentant le désastre arriver, les représentants de la ligue du beau, du bon et de la vérité vraie (les débunkeurs à gages) se sont aussitôt attelés à la tâche qui consistait à désamorcer ce qui est dans le fond, une bombe.

C’est précisément quand j’ai lu ces débunkages d’une maladresse crasse que j’ai commencé à croire sérieusement qu’il y avait anguille sous roche, et nous le verrons, c’est une belle bête.

Petit florilège des arguments des débunkeurs
  1. Le vaccin Moderna ne contient pas de chloroforme mais utilise du SM-102, qui fait partie du lipide utilisé pour délivrer le code génétique, ou ARNm de la protéine de pointe qui recouvre le coronavirus, dans nos cellules. Source : AP
  2. Les messages ignorent les informations sur Cayman Chemical qui répertorie le chloroforme comme « composant dangereux » sur la fiche de données de sécurité du produit et répertorie le SM-102 séparément sous « autres ingrédients ». Source : AP
  3. Le chloroforme est utilisé comme milieu stabilisant pour transporter les lipides, a déclaré le Dr Nicholas Davidson, médecin et biologiste lipidique. « Ils ne sont certainement pas injectés avec du chloroforme », a déclaré Davidson à propos des vaccins. Source : AP
  4. Le vaccin Moderna contient des lipides comme le SM-102, et ils sont sans danger pour l’homme. Les lipides permettent à l’ARNm utilisé dans le vaccin de se glisser dans une cellule en recouvrant la molécule d’une enveloppe grasse. Les sociétés de biotechnologie vendent des versions du lipide en suspension dans une solution de chloroforme aux sociétés pharmaceutiques à des fins de recherche. Le chloroforme est toxique, mais pas le lipide lui-même. Cette version ne fait pas partie du vaccin COVID-19. Source : Politifact
  5. Le vaccin COVID-19 de Moderna est-il toxique ? S’adressant au Newsweek, Al Edwards, responsable de l’impact pour la division de recherche en pharmacie de l’Université de Reading, a déclaré que certains solvants sont souvent utilisés pour préparer des choses comme les lipides, mais sont éliminés après utilisation. « Je ne connais pas le processus exact utilisé pour fabriquer le vaccin Moderna, mais même s’il s’agissait de dissoudre le lipide dans un solvant tel que le chloroforme, toute quantité résiduelle de solvant laissée dans le vaccin – si elle n’est pas complètement éliminée – serait mesurée très précisément et répertorié comme un ingrédient. Il ne serait également autorisé que s’il était connu pour être sûr », a ajouté Edwards.
Quelques éléments de réflexions sur ces arguments
  1. Ne contient pas de chloroforme ? Ah, ils ont donc retiré totalement le chloroforme pour ne garder que le lipide SM-102 sans casser la fragile molécule. Ils ont utilisé quel solvant, du coup ? Se souvenir que ce produit a bel et bien été utilisé tel quel pour l’expérimentation de vaccins ARNm sur des primates.
  2. Eh bien c’est là qu’est l’os, en fait, nous y reviendrons.
  3. Idem que pour le point 1. Reste à nous expliquer par quel solvant ils ont remplacé le chloroforme sans détruire le lipide.
  4. Cette version ne fait pas partie du vaccin COVID-19 : est un complet mensonge c’est bien le produit qu’ils ont utilisé, indiqué par sa dénomination commerciale, et Cayman ne produit pas d’autre version (API) de ce lipide.
  5. Du grand n’importe quoi, il vaut mieux garder en tête que ces vaccins restent des produits expérimentaux et n’ont jamais fait l’objet d’une procédure d’agréation FDA autre qu’une Autorisation de Mises sur le Marché Conditionnelle (AMMC).

De fait, vous pouvez être bien sûr qu’il y a comme qui dirait un problème puisque presque immédiatement après le début de cette polémique, Cayman Chemical s’était fendu d’un communiqué précisant notamment :

SM-102 pour la recherche uniquement (RUO)

Les produits de qualité RUO, tels que le Cayman’s SM-102 (article n°33474), sont destinés uniquement à une utilisation in vitro ou animale (exploratoire ou préclinique).[…] Les API utilisées pour la fabrication pharmaceutique commerciale adhèrent à des directives strictes en vertu des protocoles de bonnes pratiques de fabrication (GMP) réglementés par la FDA afin de garantir leur sécurité pour un usage humain et vétérinaire.[..] Les FDS sont nécessaires pour présenter le contenu et les dangers de chaque ingrédient d’un produit chimique expédié. La FDS du Cayman’s SM-102 (article n°33474) indique avec précision que le mélange de produits chimiques dans le produit est composé de 90% de chloroforme (un solvant courant) et de 10% de SM-102. Bien qu’il s’agisse d’un solvant courant, le chloroforme présente plusieurs dangers graves connus, qui ont été inclus dans la FDS de Cayman.

Dans lequel on comprend que Cayman Chemical a décidé de sortir immédiatement le parapluie (format familial) pour ne pas risquer d’être éclaboussée par le scandale qu’ils ont bien vu venir.

Parce que le fondement du problème n’est pas de savoir si le vaccin contient ou pas du chloroforme,(([2] Ce qui reste quand même à établir, or pour l’instant, c’est le silence radio du côté de Moderna qui n’a pas souhaité répondre aux demande des débunkeurs à gage.)) mais que le produit n’est tout simplement pas destiné à l’usage pharmaceutique. Pour produire des substances destinées à l’usage médical, les fabricants doivent suivre des règles draconiennes, qu’on appelle les règles GMP (Good Manufacturing Practices). Ce sont les fameux API mentionnés par Cayman. Chaque ingrédient rentrant dans la composition du produit fait l’objet d’une évaluation permanente, il doit respecter des critères de pureté très stricts, chaque lot est libéré par le pharmacien, et s’accompagne du dossier complet de production, qui peut être audité ultérieurement par la FDA ou des mandataires du client. La moindre déviation fait l’objet d’un rapport et la traçabilité doit être totale.

Rien de tout ça ici, le SM-102 est fabriqué comme n’importe quel produit qui n’est pas destiné à l’usage humain ou même vétérinaire. Je vous laisse imaginer l’écart de prix entre une version RUO et une version API d’une même substance, on arrive aisément à un prix multiplié par mille.Ce SM-102 n’a pas sa place dans l’élaboration d’un vaccin, c’est un produit chimique lambda fabriqué sans aucun respect des procédures en vigueur dans l’industrie pharmaceutique. À cette aune, à quand les poils de chauve-souris dignes de figurer dans les potions concoctées dans le chaudron de Gargamel ? Une petite goutte de sang de pangolin tué à la pleine lune, peut-être ? Il est là le scandale, et les débunkages bidons ne changent rien à ce simple fait.





L’épée à l’ombre de l’équerre et du compas

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Par Walther.

Les trois lettres ouvertes de militaires :
• la première lancée par le site Place d’Armes,
• la deuxième, publiée sur le site de Valérie Bugault,
• la troisième, dite des militaires d’active,
ne cessent de provoquer des ondes de choc dans l’univers médiatique et politique.

L’ancien soldat et celui d’active viennent d’enfourcher un même cheval de bataille pour la sauvegarde d’une patrie millénaire désormais vouée au « chantier de déconstruction », selon l’annonce d’un haut responsable de l’état. Deux sur un même cheval, comme sur le sceau de l’Ordre du Temple :

Sceau Temple

Ce célèbre sceau comporte, on s’en doute, une signification ésotérique. Le double chevalier est en réalité l’image d’un preux de chair et d’os – donc mortel – et de son Double (son âme) immortel(le), version médiévale d’une évocation secrète de Castor (l’être périssable) et de Pollux (l’être immortel), les jumeaux du mythe grec devenus les Gémeaux du zodiaque(1).

Retenons l’évocation des Templiers qui trouvera sa raison d’être dans notre propos.

La troisième lettre comporte la formule « en leurs grades et qualités » qui est manifestement un clin d’œil maçonnique dès lors que prononcée lors des travaux de loge (lire La tribune des militaires laboure en profondeur du 11 mai 2021). Il a été également dit que la mention du septième couplet de La Marseillaise en serait un autre indice. Et pour cause, ledit couplet, qui ne fut pas rédigé par Rouget de Lisle mais par l’abbé Antoine Pessonneaux(3), semble bien comporter des allusions au symbolisme maçonnique :

« Nous entrerons dans la carrière
Quand nos aînés n’y seront plus.
Nous y trouverons leur poussière
Et la trace de leur vertu.
Bien moins jaloux de leur survivre
Que de partager leur cercueil
Nous aurons le sublime orgueil
De les venger ou de les suivre ».

Le premier vers évoque une « carrière » et ce terme fait, a priori, référence à une situation professionnelle (en l’occurrence le métier des armes). Mais il est aisé de prendre ce même mot au sens littéral : « un lieu d’où sont extraits des matériaux de construction » et, comme tel, indispensable aux maçons.

Maçons - bâtisseurs cathédrales

Tailleurs de pierres médiévaux. L’exactitude qu’exige leur travail nécessite l’équerre et le compas, instruments formant l’emblème du Compagnonnage et, plus tard, de la Franc-Maçonnerie

Le sixième vers parle de « partager un cercueil ». Il s’agit de celui de maître Hiram, le mythique architecte du temple de Salomon à Jérusalem. Ce symbolisme intervient lors de la réception du grade de maître maçon.

Cérémonie maçonnique - Cercueil Hiram

Réception à ce grade dans une loge maçonnique du XVIIIe siècle. L’impétrant est couché sur l’ombre du cercueil d’Hiram auquel on ajoute le crâne, les tibias et une équerre. Le tout au milieu des larmes évocatrices de tristesse

Le fait que ce couplet soit le septième n’est pas innocent non plus. En effet, ce chiffre 7 correspond à la lettre G, car elle est la septième de notre alphabet et l’initiale de Géométrie(2), discipline nécessitant l’usage de l’équerre et du compas. Et, précisément, le symbolisme maçonnique place le G entre une équerre, figurant la « terre » et le compas manifestant, par sa rotation, le « ciel ».

Maçonnerie équerre compas_G

Septième lettre de notre alphabet, le G figure le passage entre l’être terrestre (mortel) et l’être céleste (immortel). Ce qui explique l’omniprésence du chiffre sept dans de diverses traditions et notre semaine de sept jours s’y réfère

Ces précisions énoncées, si, comme le laissent supposer de telles références maçonniques dans cette troisième lettre, nombre de ces initiateurs sont membres de diverses obédiences, cela signifie que les connaissances ésotériques en usage dans les loges se conjoint à leur cri d’alarme concernant la situation dramatique vers laquelle se dirige la France.

Expliquons-nous : issue du travail de la pierre et du bois, la symbolique de base présente en Maçonnerie, sur ce que l’on nomme les « Tableaux de loges », n’est pas, insistons sur ce fait, une invention des maîtres maçons du XVIIIe siècle. Elle est directement issue des bâtisseurs de cathédrales et, avant eux, de ceux qui, à travers toute l’Antiquité, érigèrent les monuments que l’on connaît. Après les captivantes constructions romanes, il en a résulté cet opus francigenum (l’« œuvre francilienne ») qui allait émerveiller toute l’Europe.

Maçons - bâtisseurs cathédrales - équeerre

Miniature médiévale montrant un roi de France visitant un chantier où se construit une cathédrale. Au premier plan, à droite, un tailleur de pierres vérifie l’exactitude de son travail

Car l’élan vertical du gothique et sa floraison de rosaces focalise le génie de notre nation. Le peuple qui réalisa de tels prodiges doit-il, maintenant et au nom d’une hypothétique « diversité » et autre « mondialisation (décrétée) heureuse », s’effacer à jamais ? Car les « déconstructeurs » de l’Histoire décrétèrent un jour qu’ « il n’y avait pas de culture française mais de culture en France ». C’est l’identité même de ce pays qui était ainsi remise en cause. Et l’incendie de N‑D. de Paris a montré qu’un chef‑d’œuvre pouvait s’écrouler et partir en fumée. D’autant que cet édifice, au pied duquel se rejoignent toutes les routes de notre nation, est précisément emblématique d’un symbolisme prenant plastiquement racine dans l’âme française tout en exprimant des concepts hautement métaphysiques(4).

De fait, la Franc-Maçonnerie a souvent été considérée, par toute une droite identitaire ou souverainiste, comme un instrument de subversion. Le mondialisme et l’encouragement de certains de ses dirigeants ostensiblement francs-maçons à voir s’opérer un « Grand remplacement » de population au nom d’un pseudo humanisme déliquescent, ne pouvaient qu’aller dans ce sens.

Preuve patente de leur ignorance des authentiques significations du symbolisme dont ils se réclament

Il est fort possible que les actuels « hauts gradés » (militaires autant que maçons) aient pris conscience que l’héritage des constructeurs de cathédrales était menacé de mort à brève échéance. En regard de l’action subversive menée par des individus s’enrageant à faire de la France un openfield pour invasion migratoire, le souvenir d’une chevalerie templière, nimbée de légendes, et des « Logeurs du Bon Dieu »(5) (surnom de ceux qui édifiaient une spiritualité d’ogives et de vitrail) a sans doute provoqué un sursaut dans la conscience des officiers affiliés à diverses obédiences.

Bref rappel historique expliquant l’attirance de la « Grande Muette » pour la Franc-Maçonnerie :

En France cette organisation a vu le jour à la fin du XVIIe siècle à Saint-Germain-en-Laye, dans le milieu d’Écossais en exil, membres de la Garde Écossaise des rois de France fondée en 1422 sous Charles VII, et parmi les officiers du régiment Royal Irlandais. La Garde Écossaise est la première armée royale.

Garde Écossaise - Charles VII

On parlera de « Rite écossais ancien et accepté » puis, dans la dernière partie du siècle de « Rite écossais rectifié », fondé par le Lyonnais Jean-Baptiste Willermoz.

Donc, comme on le voit, ce sont des militaires qui s’imposent dans la fondation des loges françaises. Par la suite, il sera courant de voir des uniformes fréquenter les loges, particulièrement sous l’Empire et, puisque nous célébrons l’anniversaire de la mort de Napoléon, retenons cette image d’époque ne laissant aucun doute sur le rôle éminent joué par la Maçonnerie dans l’épopée impériale(6) :

Napoléon - Nid aigle - Franc-maçon

Cette allégorie d’un Napoléon survolant le monde porté par un aigle est aussi celle de la Maçonnerie triomphante car l’oiseau qui plane au zénith tient dans ses serres l’équerre, le compas et la clef du pouvoir. Sous la banderole déployant les signes du zodiaque, on voit l’étoile (dans laquelle s’inscrit la silhouette humaine) portant la lettre G.

La suite des événements se montrera des plus intéressantes car, comme on vient de le voir, nous assistons au retour de concepts qui, sous des auspices hautement spirituels, s’inscrivirent dans le Destin de notre nation. L’occasion pour une Maçonnerie authentique, se libérant enfin des entraves du mondialisme, d’apporter sa pierre de faîte – la « clef de voûte » – à la reconstruction de la France.

Aux dernières nouvelles, une autre lettre ouverte, émanant, cette fois, des forces de police, est adressée au gouvernement. En outre, aux États-Unis, plus d’une centaine d’anciens généraux viennent de publier un message avertissant Biden qu’ils ne toléreront pas de voir l’Amérique s’effondrer dans le chaos des casseurs de statues Black Lives Matter et autres adeptes déments de la woke attitude. De part et d’autre de l’Atlantique, même réaction enracinée contre l’anéantissement des peuples : « La Fayette nous voilà ! »(7).

Walther


Paul-Georges Sansonetti - Énigme Pôle

(1) Cf. P‑G. Sansonetti, Hergé et l’énigme du Pôle, Éditions Le Mercure Dauphinois
(2) Né en 1761, cette rédaction lui vaudra la vie sauve devant un tribunal révolutionnaire bien décidé à le passer au « rasoir républicain ».
(3) Mais aussi de « Gnose », autrement dit la Connaissance.
(4) Prenons pour exemple le fait singulier, signalé par des ésotéristes, que N‑D. a pris feu exactement 666 jours après l’élection d’une majorité présidentielle favorable à l’idée d’une déconstruction de l’Histoire de France. C’est comme si l’embrasement de ce chef‑d’œuvre répondait tragiquement à l’indifférence des Français quant à leur mémoire collective.
(5) On notera le jeu de mots entre logeurs et loge.
(6) Son frère Joseph Bonaparte (1768−1844) : Roi de Naples puis Roi d’Espagne avant de s’exiler plus tard aux États Unis. Initié Franc-Maçon à la loge « La Parfaite Sincérité » à Marseille, il devient, en 1804, Grand Maître du Grand Orient de France.
(7)

La-Fayette-nous-voila



La vertu ostentatoire des vaccins et le culte de l’Éveil

[Source : Le Saker Francophone]


Par Brandon Smith − Le 13 mai 2021 − Source Alt-Market

Tous les systèmes tyranniques ont besoin d’un important contingent de pom-pom girls pour survivre et prospérer ; un groupe d’acolytes exploitables et dévoués qui porteront le flambeau et évangéliseront les masses avec l’idéologie du contrôle. Sans ce pourcentage agressif de la population, les totalitaires ne peuvent rester au pouvoir. Aux États-Unis et dans la plupart des pays occidentaux, les idéologues gauchistes ont parfaitement rempli ce rôle. Ils prétendent se battre pour les droits des opprimés, mais leurs actions sont bien plus éloquentes que leurs paroles.

Ils ont soutenu et défendu vicieusement presque toutes les mesures draconiennes que les gouvernements et les élites des entreprises ont adoptées ces dernières années. Ils ont soutenu la censure massive des conservateurs et des modérés par les grandes entreprises technologiques. Ils ont soutenu les confinements nationaux qui ont détruit des centaines de milliers de petites entreprises et violé les droits constitutionnels de millions d’Américains. Ils continuent à soutenir des règles de masquage non scientifiques dont il a été prouvé qu’elles n’apportent rien de tangible en termes de prévention de la propagation virale. Ils soutiennent l’utilisation de « passeports vaccinaux » qui auraient pour effet d’exclure les personnes non vaccinées de l’économie et de la société normales et de les plonger dans la pauvreté. Et maintenant, ils sont partout sur le web à essayer de faire de la propagande pour le vaccin.

Nous connaissons ces créatures déséquilibrées sous de nombreux noms, notamment guerriers de la justice sociale, flocons de neige, puritains, gauchistes, marxistes, communistes, globalistes, collectivistes, narcissiques, etc. En gros, ce sont les pires personnes de la planète, et alors qu’elles parlent généralement de « racisme institutionnel » qui n’existe pas, de culture du viol qui n’existe pas, ou de patriarcat qui n’existe pas (bien que je commence à me demander si nous ne devrions pas en créer un), elles ont maintenant trouvé un nouvel amour dans la « crise » de la Covid-19.

Mais avant de parler de la secte des Éveillés et de sa relation perverse avec l’establishment, je dois poser une question fondamentale sur le « vaccin » que personne dans les médias dominants ne semble poser :

Pourquoi devrions-nous prendre un vaccin expérimental à ARNm pour un virus auquel 99,7 % des gens, en dehors des maisons de retraite, survivront facilement ?

Cette seule question fait généralement exploser la tête des adeptes du vaccin. La plupart d’entre eux, pour une raison quelconque, croient encore que le taux de mortalité de la Covid-19 est de « 3 % ou plus ». Pourquoi colportent-ils ces absurdités ? Eh bien, je tiens à souligner que les médias grand public ne parlent JAMAIS du taux de mortalité de la Covid-19 ; ils laissent plutôt les gens faire des hypothèses basées sur des choses qu’ils ont entendues dans le passé de la part d’entités comme l’Organisation mondiale de la santé ou le CDC.

Le chiffre de 3 % semble provenir de PRÉDICTIONS faites par l’OMS en janvier 2020, avant que le virus n’ait atteint les États-Unis, ainsi que d’une étude préliminaire du Lancet. Ces prédictions ont été avancées par l’Imperial College de Londres, une institution globaliste qui a créé les modèles complexes de mandat et de confinement que les nations du monde entier utilisent maintenant pour contrôler le public. Leurs modèles étaient si complètement faux qu’ils sont déconcertants pour quiconque connaît la théorie statistique ou la gestion médicale.

Il s’avère que le taux de mortalité lié à la Covid-19 est de seulement 0,26% des personnes infectées (il n’a jamais été de 3%) et nous le savons depuis longtemps. Les patients des maisons de retraite souffrant de maladies préexistantes représentent environ 40 % de tous les décès. Plus de 80 % des décès concernent des personnes âgées de plus de 65 ans. Et, selon le CDC, au moins 30 % de toutes les hospitalisations du à la Covid-19 étaient dues à des complications liées à une obésité sévère.

Donc, si vous n’avez pas plus de 65 ans et que vous n’êtes pas un gros tas de graisse dégoûtant, vous n’avez pas grand-chose à craindre des statistiques sur la Covid-19. Si vous avez plus de 65 ans et que vous êtes gros, vous avez environ 0,26 % de chances de mourir si vous êtes infecté. Si vous avez plus de 65 ans, que vous êtes gros et que vous vivez dans une maison de retraite, alors vous devriez peut-être vous inquiéter.

En résumé, le virus de la Covid-19 ne constitue pas une menace pour la grande majorité des gens, mais il existe un grand groupe d’obsessionnels qui semblent vouloir en avoir peur de toute façon, ou qui veulent simplement que nous ayons peur.

La vertu ostentatoire  autour des vaccins est de plus en plus bizarre. On trouve de nombreuses vidéos sur YouTube, des vidéos sur TikTok, des articles et des messages sur les médias sociaux de personnes qui proclament avec suffisance leur statut de « jab« , comme si elles venaient d’être touchées par la main de Dieu en tant qu’élues. En outre, l’idolâtrie de fraudeurs médicaux comme le Dr Anthony Fauci est digne d’intérêt. Si vous ne me croyez pas, vous pouvez voir quelques exemples ci-dessous :

https://www.youtube.com/embed/RAbPBW8vqN0?feature=oembed

Il semble que les SJWs essaient vraiment de normaliser les vaccins Covid en fabriquant un consensus. Si tout le monde le fait, vous risquez d’être exclu et isolé de la foule, et c’est une idée effrayante, non ?

Peut-être que je lis trop d’informations dans cette affaire, mais je détecte un sérieux désespoir derrière ce mouvement d’astro-turfing contre les « anti-vaccins ». Personne n’écoute le culte de l’Éveil, personne ne les aime et personne ne leur fait confiance pour être informés ou honnêtes dans leur agenda. Pourtant, ils exercent un pouvoir considérable dans notre société parce qu’ils sont soutenus par les gouvernements et les grandes entreprises. Leur relation avec l’establishment est symbiotique.

Cela ne veut pas dire qu’aucune de ces personnes n’est consciente de l’agenda sous-jacent. L’état d’esprit qui se cache derrière les signaux de vertu des vaccins peut être attribué à certaines fragilités de base dont souffre le gauchiste moyen :

Premièrement, ils ont l’habitude de compter sur le gouvernement et le système en général pour leur procurer un sentiment de normalité. En d’autres termes, ils vénèrent le vaccin Covid en partie parce qu’ils le considèrent comme leur ticket pour apaiser le gouvernement et avoir accès à certains conforts. Malheureusement, ils ne réalisent pas que ces conforts peuvent être conquis à tout moment s’ils n’étaient pas aussi lâches.

Dans mon comté, les résidents ont ignoré les mandats Covid pendant la majeure partie de l’année dernière. Personne ne porte de masque. Personne n’utilise la distanciation sociale. Et plus de 70 % de la population n’est pas vaccinée. La conséquence ? Seulement 17 décès l’année dernière, dont la plupart étaient des personnes avec des conditions préexistantes, et nous avons été libres tout ce temps parce que nous avons choisi de l’être.

Deuxièmement, les gauchistes argumentent toujours à partir de la position de « la majorité », même lorsqu’ils ne sont pas la majorité. La Covid-19 est un outil, comme un pied de biche psychologique utilisé pour faire levier sur la conformité, parce que la présomption est que c’est une menace pour tout le monde. Et, si tout le monde est menacé par le même croque-mitaine, alors tout le monde fait partie du même monolithe, du même collectif. Et si tout le monde fait partie du même collectif, alors tout le monde doit combattre ce croque-mitaine ensemble, dans l’unité. Si vous ne travaillez pas avec le collectif, cela signifie que vous travaillez contre le collectif.

« Nous vivons dans une société », crachent et ricanent les gauchistes avec arrogance, « ce qui signifie que vous devez faire ce que NOUS disons être le mieux pour tout le monde ».

Comme je l’ai déjà expliqué en détail ci-dessus, la Covid-19 n’est pas une menace pour tout le monde. Ce n’est même pas une menace pour plus de 0,26% des gens. Nous ne « vivons PAS dans une société », du moins, nous ne vivons pas dans leur société ou sous leurs règles. Ils ne se soucient pas de sauver des vies, c’est juste l’excuse dont ils ont besoin pour exercer un contrôle. Le contrôle est ce qu’ils désirent le plus.

Comment puis-je le savoir ? Regardez l’effervescence qui entoure l’existence même des militants anti-confinements et des « anti-vaccins ». Regardez combien ils parlent de nous. Ils ne peuvent pas s’en empêcher. Pourquoi ces gens se soucient-ils tant de savoir si nous prenons ou non le vaccin ? S’il fonctionne réellement, alors ils sont parfaitement à l’abri de nous, et lorsque nous mourrons tous d’une mort horrible à cause de la Covid-19, ils pourront dire « nous vous l’avions dit ».

Ce qu’ils craignent vraiment, c’est que nous ayons raison et qu’ils aient tort. La science est certainement de notre côté et l’a été pendant toute la durée de la pandémie. L’OMS avait tort, le CDC avait tort, l’Imperial College of London avait tort. Les militants anti-confinement étaient plus proches de la vérité que tous ces acteurs réunis. Il a été prouvé que les masques étaient inutiles. Il a été prouvé que les confinements étaient inutiles. Les prévisions du taux de mortalité se sont avérées très exagérées. Et, maintenant, la nécessité même des vaccins est remise en question.

En ce qui concerne le récent récit des médias grand public, nous pouvons tirer quelques conclusions : Tout d’abord, le déploiement des vaccins ne se déroule pas comme prévu. Chaque jour, les médias sont inondés d’articles sur « l’hésitation à se faire vacciner » et sur ce que le gouvernement doit faire pour y remédier. Cela me fait dire que beaucoup trop d’Américains refusent de se faire vacciner et que la propagande est donc poussée à son paroxysme.

Je soupçonne que la vertu ostentatoire du vaccin fait partie de cette campagne, ou du moins qu’il est encouragé par l’establishment. Ne voulez-vous pas être du bon côté de l’histoire ? Ne voulez-vous pas être du « côté qui se soucie des gens » ? Ou voulez-vous être du « côté égoïste », du côté qui veut tuer la grand-mère, du côté qui est raciste, sexiste, méchant et répugnant ?

Une autre conclusion facile que nous pouvons tirer des médias est que ce problème ne va pas disparaître et que l’establishment a l’intention d’insister si nous continuons à le défier. Par le passé, j’ai vu la suggestion de la « force » être abordée avec précaution, mais récemment, le discours est devenu plus agressif. Le mot « force » apparaît plus souvent. Les médias cherchent à nous rappeler qu’en vertu de cette loi, l’établissement pourrait nous obliger à nous faire vacciner. Le message ? Autant se faire vacciner maintenant pour éviter tout désagrément plus tard.

Nous savons tous que cela finira par une guerre, mais les élites ont besoin d’une proportion énorme de personnes favorables au mandat pour soumettre efficacement les individus épris de liberté. Ils ne l’ont pas et ça se voit.

Les adhérents à l’Éveil voient toute cette même propagande tous les jours ; ils entendent le message haut et fort : le système indique que les vaccins seront obligatoires, que ce soit par mandat gouvernemental ou par exigence des entreprises. Alors, les gauchistes se démènent pour montrer leur allégeance à leur dieu (l’État), et ils agissent comme de bons petits fantassins pour gagner des points de vertu supplémentaires.

Il existe de nombreuses raisons de ne pas accepter un vaccin expérimental, certaines d’entre elles étant scientifiques et d’autres fondées sur des principes. Je voudrais simplement souligner que de nombreux virologues se sont prononcés sur la sécurité de ces vaccins, y compris un ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, qui, avec ses pairs, a conclu que PERSONNE ne devrait accepter les vaccins à ARNm tant que des tests supplémentaires n’ont pas été effectués, faute de quoi il existe un risque considérable d’effets à long terme sur la santé, notamment des troubles auto-immunes et d’infertilité.

La promotion de la thérapie génique à ARNm est essentiellement un essai expérimental géant utilisant les masses comme sujets d’essai involontaires. Nous n’avons vraiment aucune idée de ce que seront les conséquences au bout du compte, mais j’ai le sentiment que d’ici quelques années, nous verrons les résultats et qu’ils ne seront pas beaux à voir. Ce n’est pas pour rien que les gouvernements font en sorte qu’il soit légalement impossible de poursuivre les fabricants de vaccins pour leurs effets secondaires.

Au-delà des nombreux problèmes de santé, il y a le problème de l’incrémentalisme. Une seule vaccination ne représente peut-être pas une grande menace. C’est peut-être un pari qui ne se termine pas si mal pour la plupart des gens. Mais qu’en est-il de la prochaine ? Et la suivante ? Qu’en est-il des 20 prochains vaccins ? Il y a maintenant une demi-douzaine de mutations différentes du virus de la Covid-19 qui sont mentionnées par le gouvernement et les médias comme étant potentiellement résistantes aux vaccins actuels et plus dangereuses que la première itération du virus.

Il s’agit sûrement d’un mensonge, mais cela montre bien que les mandats sont destinés à durer éternellement. Si nous les acceptons maintenant, ils ne prendront jamais fin. Ce n’est pas parce que vous êtes vacciné aujourd’hui que vous serez libre demain.

Et, avec chaque nouveau vaccin, surgit le spectre des passeports vaccinaux. Et avec les passeports vaccinaux surgit le spectre d’une micro-gestion gouvernementale complète de la vie des gens. Bien sûr, vous pouvez choisir de ne pas vous faire vacciner, mais le système va s’assurer que vous en souffriez jusqu’à ce que vous ne puissiez plus survivre sans le vaccin. Le vaccin est un tremplin vers la tyrannie déguisé en empathie et en devoir envers votre communauté.

Le culte de l’Éveil adore ce genre d’environnement, cependant. C’est le type de grotte sombre et gluante dans laquelle ils aiment se nicher. Le besoin de contrôler les autres est une aberration, une déficience mentale commune aux psychopathes, mais dans le nouveau monde, les maniaques du contrôle trouvent une justification et ont le champ libre. L’ironie frappante ici est que ces personnes aiment contrôler, mais elles aiment aussi ÊTRE contrôlées. Elles trouvent confort et sécurité dans leurs chaînes. Le monde est un endroit effrayant, et pour y être indépendant, il faut du courage, de la force mentale et la volonté d’apprendre de ses erreurs afin de gagner en sagesse et en expérience.

Les platitudes et les pontificats de la foule gauchiste sont une tentative d’éviter les tribulations de la vie réelle ; leur soumission à l’État, aussi douteux ou mauvais soit-il, est une tentative de se sentir à l’abri de leurs propres peurs irrationnelles, de leurs faiblesses et de leurs insuffisances. Comme l’a dit un jour l’auteur Robert Anton Wilson :

Les obéissants se considèrent toujours comme des vertueux plutôt que des lâches.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Cette psychologue détruit Karine Lacombe et les marchands de la peur chez Éric Brunet

[Source : Le Dissident]

https://youtu.be/IpY6udodX54

[Voir aussi :
[wpfa icon= »bomb » color= »red »]Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population
[wpfa icon= »bomb » color= »red »]En Suisse, le conseil scientifique est traîné devant les tribunaux pour avoir joué sur les peurs du COVID
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[wpfa icon= »bomb » color= »red »]Gestion des épidémies – Étude sur l’exploitation médiatique, commerciale ou politique de la peur, et sur l’avènement d’un totalitarisme “sanitaire”
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Pour un changement de paradigme du droit des affaires

[Source : Le Saker Francophone]

Par Valérie Bugault − Le 23 mai 2021 − Source valeriebugault.fr

La perte de cohésion du « droit » résulte de l’intrusion rapide et peu scrupuleuse de la conception anglo-saxonne de la loi dans notre univers juridique, notamment par le biais du lobbying. Jusqu’à cette intrusion, le système de droit français était conçu comme un ensemble cohérent et hiérarchisé de règles, dont la perfection historique date de 1804, avènement de notre fameux Code civil (ou Code Napoléon), souvent vanté et exporté.

Que le mélange des systèmes juridiques en vigueur ait précédé l’avènement du grand capital, en étant son instrument, ou qu’il n’ait fait que le faciliter, à son insu, importe finalement peu aujourd’hui. Le résultat, quoiqu’il en soit, est et reste la prise de pouvoir législative et politique par le grand capital. La suite est connue : de recherches de profits maximum en évasions fiscales bien organisées et réussies, le capitalisme a tôt fait de se transformer en « financiarisme » (néologisme évocateur), entraînant dans son sillage les dérives que l’on connaît et, pour finir, son autodestruction programmée.

Une succession d’événements, parmi lesquels l’instauration du régime juridique et fiscal dit des « stock options » et l’introduction de la fiducie (qui n’est autre que la transposition en droit interne du trust anglo-saxon, si utile aux paradis fiscaux), a finalement permis le triomphe de l’esprit « d’actionnariat » et la légitimation de la dominance du financier sur le politique. Le court-termisme inhérent à l’esprit d’actionnariat tient désormais lieu à la fois de politique et de stratégie. Heureusement secondé par l’instrumentalisation de l’éducation et des médias, cet esprit d’actionnariat a bientôt envahi tous les niveaux de la société, devenant le modèle à suivre, celui qui ouvre la voie de « l’ascenseur social ». Si quelqu’un avait eu l’idée de regarder cet ascenseur, il se serait pourtant vite aperçu de son immobilité et n’aurait pas tardé à conclure à une panne définitive. Seule la force de la croyance (en la toute-puissance du marché), qui balaye tout sur son passage, a rendu possible l’aveuglement collectif.

La complexité sans cesse croissante du droit en général et du droit de l’entreprise en particulier

S’agissant du droit de l’entreprise, le point essentiel à noter est que la multiplicité des structures juridiques et leurs différents régimes juridique, fiscal, social sans oublier comptable(([1] Le régime comptable est plus attaché à la nature des opérations qu’à la structure juridique mais la tendance est la même que pour le droit : multiplication à l’infini des cas particuliers et développement de la casuistique )) favorisent les très grosses structures au détriment des petits entrepreneurs et sont, par essence, des facteurs anticoncurrentiels.

Les entreprises multinationales, au premier rang desquelles figurent les banques, utilisent et initient les méandres législatifs dans l’objectif de faire échapper, le plus possible, leurs bénéfices sans cesse croissants aux impositions étatiques. D’une part, le siège social des groupes est judicieusement localisé, d’autre part, en effectuant des restructurations « prix de transfert », les multinationales répartissent les activités du groupe en fonction de leur nature dans les États assurant le régime juridique et fiscal le plus accueillant à telle ou telle activité. Le tout assurant le maximum de profits aux multinationales ; profits répartis entre actionnaires et évasion fiscale (avant et/ou après répartition). Entre évasion et optimisation, ces entreprises ont acquis un statut extraterritorial et ne rendent véritablement de comptes à personne. La notion d’entreprise multinationale est ainsi devenue l’ennemie des États et, par voie de conséquence, des peuples.

Le développement croissant, tatillon et déraisonnable des subtilités juridiques, fiscales, comptables et sociales sert en réalité de vitrine présentable à toutes sortes de pratiques, malversations légales ou non, tendant à faire échapper les bénéfices des plus grosses entreprises à l’impôt ou à rendre présentables des bilans qui ne le sont pas. En ce sens, le développement immodéré des règles a non seulement permis l’évasion fiscale des plus grosses entreprises (notamment les entreprises financières) mais a aussi eu, dans le même temps, pour effet de rendre a priori coupables les petites structures : coupables de ne pas respecter la loi, d’oublier des délais, de croire, de bonne foi, entrer dans telle catégorie alors que « les services » les font entrer dans une autre etc., le tout assorti de pénalités. Les casuistes, héros des temps modernes, s’en donnent à cœur joie : ce qui est particulièrement vrai en droit fiscal mais s’applique maintenant aussi à toutes les branches du droit.

Ce mouvement de « technicité » a finalement atteint son objectif qui était d’entourer les flux mondiaux de capitaux et de marchandises de l’opacité la plus parfaite, pendant que l’attention était détournée, en interne, sur les prétendues illégalités des petites entreprises et, plus généralement, des « petits citoyens »« petits contribuables », sans oublier les « petits non citoyens » et « petits non contribuables ». Le phénomène de complexification de la règle s’avère en définitive être le moyen indispensable de la concentration des capitaux dans quelques mains bien avisées.

Le caractère non immuable du droit de l’entreprise : « ce qui est » n’a pas toujours été et ne sera pas toujours…

Ce phénomène de complexification du droit n’a pu se développer qu’à la faveur de la perte d’intégrité du législateur, vendu au plus offrant. Le législateur en cause est d’ailleurs difficile à cerner : les textes votés par le pouvoir législatif sont en réalité en très grande partie issus des différents ministères (les projets de lois), quand ils ne sont pas directement initiés par l’Élysée, sièges du pouvoir exécutif, sans toutefois être à l’abri de l’intervention de l’un ou de plusieurs parlementaires zélés (pouvoir législatif), à l’occasion soit d’une rare initiative (proposition de loi) parlementaire, soit d’un ou de plusieurs amendements. Notons au passage la violation officielle du principe de séparation des pouvoirs sans laquelle, pourtant, aucune constitution ne vaut (article XVI de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 en préambule à la constitution de la Vème République).

Par ailleurs, les projets de lois sont aujourd’hui loin d’être tous contrôlés par le Conseil d’État avant leur passage devant les Assemblées. C’est ainsi que les lois fourre-tout qui se sont multipliées ces dernières années ont été des moyens très efficaces de réformes informes et anonymes, le parfait vecteur de l’instrumentalisation du droit au profit du grand capital.

Le contexte brouillon de la création des textes est favorisé et aggravé par les possibilités suivantes :

  • vote par un nombre de parlementaires réduit à sa plus simple expression, éventuellement à une période propice de l’année ;
  • vote très rapide, faisant éventuellement suite à de longs débats ayant porté sur un autre sujet, à l’occasion d’un amendement de dernière minute.

Dans ce contexte, il devient très difficile au citoyen contribuable de distinguer la personne ou le groupe de personnes à l’origine de telle ou telle règle ; seul l’intérêt à défendre finit par apparaître aux yeux de tous, longtemps après le vote de ladite loi et à l’occasion de sa mise en application. Et nous ne parlons ici que des textes internes, et non des textes européens qui s’appliquent chez nous, votés (issus, encore rarement, du parlement de Strasbourg) ou non (issus de la commission).

Il est toujours possible de revenir en arrière, mais il faudrait pour ce faire que les peuples se réapproprient les valeurs aujourd’hui perçues comme surannées d’intégrité et de courage.

Il est aujourd’hui devenu urgent de préparer l’après-capitalisme décliné en « financiarisme ». Cet après-capitalisme se décline en une refonte du système des valeurs et une refonte de l’ordre civil. Comme le disait Ripert en 1951(([2] Aspects juridiques du capitalisme moderne, n°151 p.346 et 347))  : 

« On ne supprimera pas (le capitalisme) si rien n’a été préparé de ce qui pourrait le remplacer. Ce n’est pas en substituant un capitalisme d’État au capitalisme privé que l’on détruira l’esprit qui anime notre société toute entière… c’est bien un problème politique qui se pose… Le régime capitaliste est lié à un ordre civil. Qui veut le détruire, doit imaginer un autre ordre, c’est-à-dire d’autres règles, d’autres institutions ».

Or, l’entreprise est aujourd’hui au premier plan de l’ordre civil, commençons donc par la réformer. S’agissant de la conception juridique actuelle de l’entreprise, rien de « ce qui est » n’est immuable, pas même la distinction, souvent détournée en pratique, entre société et association. En réalité, toutes ces structures ont des points communs, qui sont en même temps des besoins communs, essentiels. Besoins communs mis, par exemple, en exergue par la notion nouvelle d’EIRL (entreprise individuelle à responsabilité limitée).

Le détail des points communs à toute « entreprise » (au sens large) est simple : la réalisation d’une activité par des hommes qui travaillent, sous la direction éclairée d’autres hommes, le tout nécessitant des moyens matériels et financiers ; l’ensemble devant relever, comme toute construction humaine, d’un édifice équilibré assorti de contre-pouvoirs afin de parer aux éventuelles dérives d’un groupe par rapport à un autre. La question de la propriété de l’entreprise entre dans l’analyse des contre-pouvoirs à mettre en œuvre au regard de l’utilité sociale du rôle de chaque participant à l’entreprise.

L’entreprise est en effet une organisation sociale qui joue un rôle non seulement économique mais également sociétal : celui d’organiser, au niveau d’une société donnée, les modalités d’une activité afin de la rendre la plus sereine possible, ce qui passe par un nécessaire équilibrage des pouvoirs des participants à « l’activité » ; l’équité et l’équilibre sont en réalité les seuls barrages contre le chaos et la destruction.

On doit définitivement cesser de considérer l’entreprise comme le moyen d’amasser du capital : la chose doit être claire pour tous et entendue par tous.

Conclusion

Vous avez compris cher lecteur que ce texte n’est pas un plaidoyer pour « plus de droit » mais au contraire pour « mieux de droit ».

Il est plus que temps aujourd’hui d’observer, au regard du bien commun, une séparation claire des règles entre l’essentiel et l’accessoire, entre l’utile et le superflu, si propre à se transformer en matière polluante hautement inflammable.

Le peuple a ici une place à reprendre, place qu’il a depuis longtemps perdue et que les moyens modernes de communication lui permettraient aujourd’hui de réinvestir. Les grands choix de société doivent, sous peine de débordements violents, absolument être validés par ceux auxquels ils s’appliqueront.

Il importe par ailleurs de laisser à l’Homme, en particulier celui qui a des idées à mettre en œuvre, le maximum de liberté associé à un maximum de responsabilité. Cet objectif nécessite la refondation d’un cadre juridique, aussi bien au niveau du droit public qu’à celui du droit privé, de nature à garantir la sécurité juridique par l’organisation de contre-pouvoirs effectifs ; tout ne peut et ne doit s’acheter, au même titre que tout ne peut et ne doit être considéré comme une « exception ».

La liberté de l’Homme se décline en liberté de penser, de s’exprimer, de pratiquer (le plus sereinement possible) l’activité qui lui convient au moment qui lui convient, et de se déplacer.

La liberté ainsi conçue a été et doit redevenir intangible et imprescriptible, elle est et doit rester une valeur qui ne se marchande pas. Insistons également sur le fait qu’il ne peut être question de dissocier la liberté de la responsabilité ; point de liberté sans responsabilité. Voilà une autre vérité éternelle, à respecter en tous lieux et de tout temps.

Pour finir, abordons l’essentiel : il ne semble ni nécessaire ni pertinent de supprimer la notion de propriété privée. L’histoire de l’URSS a amplement démontré que sans propriété privée, point d’idée mise en œuvre ; l’absence de motivation personnelle engendre finalement la fin du développement de la « collectivité ». Il importe de tirer, collectivement, des leçons des expériences passées : c’est à ce prix que nous progresserons, que la société progressera.

Si la propriété privée doit être respectée, elle doit en revanche absolument être limitée et encadrée. L’accaparement, que ce soit de biens matériels, immatériels ou de monnaie, qui est l’excès de propriété privée, doit être définitivement érigé en crime.

Il vous est ainsi proposé, à tous, de réfléchir à la société de demain, qui devra, si l’on souhaite le rétablissement de la démocratie :

  • opérer un rééquilibrage des forces sociales à l’œuvre dans le concept d’entreprise ;
  • supprimer les excès du droit de propriété en gardant à l’esprit que nul droit ne vaut sans devoir.

Texte écrit en 2010





Tests PCR : la fraude méthodologique continue et s’aggrave

[Source : lilianeheldkhawam.com]

Les nouvelles politiques permettront de dégonfler artificiellement les « infections de rupture » chez les vaccinés, tandis que les anciennes règles continueront de gonfler le nombre de cas chez les non-vaccinés.

Le CDC modifie les cycles d’amplification des tests de détection du Covid selon que la personne est vaccinée ou pas! Les normes varient donc à la tête du client.

Le but de la manœuvre est triple :

  • réduire le nombre de personnes infectées au Covid chez les vaccinés ;
  • continuer de stigmatiser les non-vaccinés pour les pousser à courir se faire injecter ;
  • montrer une amélioration de la situation grâce aux mesures totalitaires que l’ensemble des États ont adoptées sous l’égide de l’OMS, elle-même financée par la haute finance dont le délégué connu est Bill Gates.

Nous étions depuis des paquets d’années les otages de ces individus par la création monétaire contre dettes. Le problème est que depuis, ils ont fait des progrès en mettant la main sur notre santé.

Je rappelle que ces gens de la Planète finance accueillent dans leur haut lieu la mafia globalisée. Je vous remets ce passage de Dépossession pour tenter de susciter quelque chose en vous :

« Le problème est que ceux qui parlent d’un monde meilleur, où tout individu recevrait un revenu de base universel, où la propriété privée serait abolie, où la vie intime de l’humanité serait aussi transparente que celle du poisson rouge dans son bocal, omettent d’analyser le contexte global.  Celui-ci est celui d’une planète qui aura été privatisée à un niveau global. Certes peu tangible au niveau local, mais cela ne change rien au fait qu’elle serait aux mains de propriétaires et de leurs gestionnaires totalement inconnus, car cachés derrière des sociétés-écrans. 

Personne ne sait quel rôle y joueraient les membres de la mafia, par exemple.

Dans pareil environnement, l’humain pourrait bien être exploité à l’envi et le mot « servir » pourrait parfaitement laisser la place à « asservir ». La chose serait facile à implémenter grâce à la connexion permanente aux systèmes informationnels. L’arrivée subite de la technologie blockchain au lendemain de la crise des subprimes, la surveillance permanente par les entreprises de la technologie de la Silicon Valley, et la promotion du post-humanisme, sont des concepts clés qui nous indiquent la vision des nouveaux maîtres des lieux.À un journaliste de Science & Vie qui lui demande : « Quelle sera l’utilité des humains dans un tel monde ? Que ferons-nous de milliards d’humains sans valeur économique ? », Harari, professeur tout de même à l’Université hébraïque de Jérusalem, répond : 

« Nous ne savons pas. Nous n’avons pas de modèle économique pour une telle situation. Ce pourrait bien être la plus grande question économique et politique du 21e siècle. »

Dépossession-2018

Ces gens ont actuellement tous les pouvoirs et ils se rient des miséreux, des sans dents et autres bénéficiaires de l’aide sociale. Ils usent et abusent de la propagande bien sûr, mais aussi d’une manipulation méthodologique et scientifique crasse indigne de l’Occident. Il est temps que les intellectuels et les scientifiques de bonne volonté se démarquent de cette mascarade qui est en train de faire chavirer l’humanité.

Quand la revue Science jette un pavé dans la mare en admettant la probabilité que le virus a été fabriqué en labo, avez-vous vu quelqu’un réclamer une enquête? Est-ce qu’un média grand public a relayé l’information de manière massive?

Pourtant nous sommes concernés par sa genèse et son devenir! Or, on nous dit qu’il va devenir endémique et on nous en promet d’autres à venir. Tant qu’à faire!

Nous voyons bien aujourd’hui que l’humanité n’est plus au bord de la rupture, mais elle est en rupture. Le harcèlement quotidien est autorisé par des autorités intégrées au consensus supranational, dont l’OMS est un des représentants. Ami lecteur, nos autorités sont d’accord pour que nous soyons harcelés en permanence par des tricheurs qui s’en prennent à notre santé et surtout à celle de nos enfants.

Pour le moment, je vous laisse avec le CDC et ses tours de passe-passe méthodologique qui varient en fonction du citoyen.

Bref, le mot science n’est plus de mise. Otage est plus adéquat.

LHK

Merci à gmtmistral pour ce texte de zerohedge.com

Le CDC modifie les seuils de test pour éliminer virtuellement les nouveaux cas de COVID chez les vaccinés (Trad automatique Google)

Rédigé par Kit Knightly via Off-Guardian.org,

Les nouvelles politiques permettront de dégonfler artificiellement les «infections de rupture» chez les vaccinés, tandis que les anciennes règles continueront de gonfler le nombre de cas chez les non-vaccinés.

Le Center for Disease Control (CDC) des États-Unis modifie ses pratiques d’enregistrement des données et de test du «Covid19» afin de donner l’impression que les «vaccins» expérimentaux de thérapie génique sont efficaces pour prévenir la maladie présumée.

Ils n’ont pas caché cela, annonçant les changements de politique sur leur site Web fin avril/début mai (bien que naturellement sans admettre la motivation assez évidente derrière le changement).

L’astuce consiste à signaler ce qu’ils appellent des «infections par rupture» — c’est-à-dire des personnes qui sont entièrement «vaccinées» contre l’infection Sars-Cov-2, mais qui sont quand même infectées.

Essentiellement, il a longtemps été démontré que Covid19 — à ceux qui sont prêts à y prêter attention — était un récit de pandémie entièrement créé, basé sur deux facteurs clés:

  1. Tests faussement positifs.  Le test PCR non fiable peut être manipulé pour signaler un nombre élevé de faux positifs en modifiant le seuil de cycle (valeur CT)
  2. Nombre de cas gonflé.  La définition incroyablement large de «cas Covid», utilisée partout dans le monde, répertorie toute personne qui reçoit un test positif comme «cas Covid19», même si elle n’a jamais éprouvé de symptômes.

Sans ces deux politiques, il n’y aurait jamais eu de pandémie appréciable du tout, et maintenant le CDC a adopté deux changements de politique qui signifient qu’ils ne s’appliquent plus aux personnes vaccinées.

Premièrement, ils abaissent leur valeur CT lorsqu’ils testent des échantillons provenant d’«infections par rupture» présumées.

Extrait des instructions du CDC destinées aux autorités sanitaires de l’État sur la gestion des «infections de percée possibles» (téléchargées sur leur site Web à la fin du mois d’avril):Pour les cas avec une valeur de seuil (Ct) de cycle de RT-PCR connue, 

ne soumettre

que des échantillons avec une valeur de Ct ≤ 28 au CDC pour séquençage. (Le séquençage n’est pas possible avec des valeurs Ct plus élevées.)

Tout au long de la pandémie, les valeurs CT supérieures à 35 ont été la norme, avec des laboratoires du monde entier allant jusqu’à 40.

[50 en Suisse, RT-PCR, le professeur Greub du CHUV de Lausanne répond à nos questions. Interview.]

Essentiellement, les laboratoires exécutaient autant de cycles que nécessaire pour obtenir un résultat positif, bien que les experts aient averti que cela était inutile (même Fauci lui-même a dit que tout ce qui dépassait 35 cycles n’avait aucun sens).Mais MAINTENANT, et uniquement pour les personnes entièrement vaccinées, le CDC n’acceptera que les échantillons obtenus à partir de 28 cycles ou moins. Cela ne peut être qu’une décision délibérée afin de réduire le nombre d’«infections par rupture» officiellement enregistrées.

Deuxièmement, les infections asymptomatiques ou légères ne seront plus enregistrées comme «cas de covid».

C’est exact. Même si un échantillon collecté à la faible valeur CT de 28 peut être séquencé dans le virus supposé être à l’origine de Covid19, le CDC ne conservera plus de registres des infections par rupture qui n’entraînent pas d’hospitalisation ou de décès.

Depuis leur site Web :À compter du 1er mai 2021, les CDC sont passés de la surveillance de tous les cas de percée vaccinale signalés à se concentrer sur l’identification et l’enquête uniquement sur les cas hospitalisés ou mortels, quelle qu’en soit la cause. Ce changement contribuera à maximiser la qualité des données recueillies sur les cas de la plus grande importance clinique et de santé publique. Les décomptes de cas précédents, qui ont été mis à jour pour la dernière fois le 26 avril 2021, sont disponibles à titre indicatif uniquement et ne seront pas mis à jour à l’avenir.

Juste comme ça, être asymptomatique — ou n’avoir que des symptômes mineurs — ne comptera plus comme un «cas de Covid»  mais seulement si vous avez été vacciné.

Le CDC a mis en place de nouvelles politiques qui ont effectivement créé un système de diagnostic à plusieurs niveaux. Cela signifie qu’à partir de maintenant, les personnes non vaccinées auront beaucoup plus de facilité à être diagnostiquées avec Covid19 que les personnes vaccinées.

Considérer…

La personne A n’a

pas été vaccinée. Ils sont testés positifs pour Covid en utilisant un test PCR à 40 cycles et, malgré l’absence de symptômes, ils sont officiellement un «cas de covid».

La personne B a été vaccinée. Ils sont testés positifs à 28 cycles et passent six semaines alités avec une forte fièvre. Parce qu’ils ne sont jamais allés à l’hôpital et ne sont pas morts, ils ne sont PAS un cas Covid.

La personne C, également vaccinée, est décédée. Après des semaines d’hospitalisation avec une forte fièvre et des problèmes respiratoires. Seul leur test PCR positif était de 29 cycles, il ne s’agit donc pas non plus officiellement d’un cas Covid.

Le CDC démontre la beauté d’avoir une «maladie» qui peut apparaître ou disparaître selon la façon dont vous la mesurez.

Pour être clair: si ces nouvelles politiques avaient été l’approche globale de «Covid» depuis décembre 2019, il n’y aurait jamais eu de pandémie du tout.

Si vous les appliquez uniquement aux vaccinés, mais que vous gardez les anciennes règles pour les non-vaccinés, le seul résultat possible peut être que les registres officiels montrent que «Covid» est beaucoup plus répandu chez ces derniers que chez les premiers.

Il s’agit d’une politique conçue pour gonfler continuellement   un chiffre et minimiser systématiquement   l’autre.

Qu’est-ce que c’est sinon un acte de tromperie évident et délibéré? (…)

Traduction automatique Google

Lire la suite ici : https://www.zerohedge.com/covid-19/caught-red-handed-cdc-changes-test-thresholds-virtually-eliminate-new-covid-cases-among

Rappel

RT-PCR, le professeur Greub du CHUV de Lausanne répond à nos questions. Interview.




Le compte est bon ?

[Source : AgoraVox le média citoyen]

Par Pierre Chazal

Depuis que la planète Terre s’est transformée, à la faveur d’une campagne de promotion vaccinale à faire rosir d’envie Apple©, Levi’s© et Coca-Cola©, en salle de shoot à ciel ouvert pour toxicos du monde entier, il se dit aux quatre coins de la galaxie chez nos amis extra-terrestres que le moment est peut-être venu d’aller nous rendre une petite visite. Eux aussi, si ça se trouve, ont quelques gadgets à nous refourguer dont ils n’ont plus l’utilité. Une crème magique contre les coups de lune ? Un aspirateur à poussière d’étoiles ? Si sept milliards d’êtres humains sont aussi pressés de s’injecter un produit expérimental pour un virus respiratoire dont personne ne sait ce qu’il deviendra d’ici six mois, c’est que la came doit être d’une qualité interstellaire.

La sensation d’euphorie, le rush et/ou les hallucinations n’apparaissent pourtant pas dans la liste des effets secondaires déclarés jusqu’à présent. Lou Reed nous a quittés trop tôt pour nous livrer son sentiment. Eric Clapton, lui, est déjà passé à confesse et s’est même fendu d’une chanson. Il a récemment écrit dans une lettre reprise dans tous les aucun média mainstream : « J’ai pris la première piqûre d’AZ et j’ai tout de suite eu de graves réactions qui ont duré dix jours. J’ai fini par me rétablir et on m’a dit qu’il faudrait attendre douze semaines avant la deuxième injection… Environ six semaines plus tard, on m’a proposé et j’ai pris la deuxième injection d’AZ, mais avec un peu plus de connaissance des dangers. Inutile de dire que les réactions ont été désastreuses, mes mains et mes pieds étaient gelés, engourdis, pratiquement inutiles pendant deux semaines, je craignais de ne plus jamais jouer. Je souffre de neuropathie périphérique et je n’aurais jamais dû m’approcher de l’aiguille. Mais la propagande disait que le vaccin était sûr pour tout le monde… »

La pureté et l’innocuité du produit étant encore à l’étude jusqu’à la fin des essais cliniques (21 février 2023 pour AstraZeneca, 27 janvier 2023 pour Pfizer BioNTech), on attendra la confirmation de Dave Gahan et Keith Richards pour se prononcer sur la question. Tout ce qu’on sait, pour l’instant, c’est qu’on ne sait rien, pour paraphraser l’ami Montaigne. « Le monde est une branloire pérenne », écrivait-il dans ses Essais. Au vu des évènements de l’année écoulée, on ne s’amusera pas à le contredire.

Guérir, c’est prédire

Qu’adviendra-t-il, première question, du virus de Wuhan et de ses multiples rejetons dans les années à venir ? Un, deux, trois petits tours et puis s’en vont ? Dans l’éventail de prophéties à qui l’on fait faire la danse du paon sur tous les plateaux télé, c’est de loin l’hypothèse la moins souvent envisagée. Ce fut pourtant le destin des H1N1, H2N2 (grippe asiatique) H3N2 (grippe de Hong Kong), MERS et autres SRAS qui, il est vrai, n’étaient pas suspectés d’avoir foutu le camp d’un laboratoire. Rien ne permet pour autant d’établir avec certitude que la petite bête sévira pour les siècles à venir ni qu’elle fauchera tout sur son passage sous forme de variant chilien ou javanais dopé aux amphétamines.

Autre question – et non des moindres, quelle sera l’efficacité réelle des vaccins quand, à l’automne et l’hiver prochains, le temps des promos, des spots de pub, des écrans géants, des vaccinodromes et des injections en musique aura cédé la place au temps de la vraie compète, celle qui envoie irrémédiablement au tapis les malfichus et les malchanceux de ce monde sans égards particuliers pour leur passeport sanitaire ou leur foi inébranlable en Notre-Dame-du-Vaccin ? Selon Santé Publique France, les épisodes de grippe saisonnière ont causé en 2015, 2017, 2018 et 2019 respectivement 18 300, 14 400, 13 000 et 8 100 décès, pour des taux de couverture vaccinale de 46,1%, 50%, 49,7% et 51%. Difficile donc, en vérité, d’établir le prélude d’un début d’amorce de lien de causalité entre létalité et vaccination dans le cas particulier de l’influenza.

Notre Sars-Cov-2 est très différent, nous dit-on, ce que même Saint-Thomas ne demanderait qu’à croire. Le problème, c’est qu’après nous avoir foutu sur la gueule à H24 des masques complètement inutiles, vendu des confinements et des couvre-feux contreproductifs sur bien des points, un simple d’esprit serait tenté de ne pas cosigner des deux pieds la fable journalistique selon laquelle la campagne de vaccination massive aurait brisé net la dernière vague épidémique. Les courbes de décès et de contaminations se cassent la gueule aux quatre coins de l’Europe et de l’Amérique du nord avec des taux de vaccination pour le moins très disparates d’un pays à l’autre (32% de primo-vaccinés en France, 56% au Royaume-Uni, 9% en Macédoine, 3% en Biélorussie, 48% aux USA, 22% en Lituanie…), et la situation épidémique ressemble, presque au jour près, à celle d’il y a un an quand tout avait rouvert sans restrictions et sans vaccin. Il est vrai qu’il est difficile de vendre ce qu’on n’a pas encore en stock, et que ce qui valait hier pour les masques et les tests vaut aussi bien, aujourd’hui, pour les vaccins. Dans ce monde étrange qu’est devenu le nôtre, la ligne de démarcation extrêmement ténue entre inutile et essentiel tient tout autant – si ce n’est davantage – à l’état de l’offre qu’à celui de la demande.

Jackpot et courts-circuits

Ce qu’on sait tout de même, d’ores et déjà, c’est que Pfizer, Moderna et AstraZeneca vont se faire des couilles en or massif. 900 millions de dollars pour Pfizer au premier trimestre 2021, c’est un bon début pour une entreprise dont la réputation n’est plus à faire en matière de scandales sanitaires. Moderna a vendu sur la même période pour 1,7 milliard de son élixir de jouvence, contre « seulement » 275 millions de dollars pour AstraZeneca. Dans le même temps, par un pur hasard du calendrier, le déficit du régime général de la sécurité sociale devrait atteindre en France en 2021 le record historique de 38,5 milliards d’euros. « Cette dégradation brutale et sans précédent, conséquence de la crise sanitaire et économique, conduit au déficit le plus élevé jamais enregistré dans l’histoire de la sécurité sociale », a fait savoir mi-mars le ministère de la Santé. Il est vrai qu’on ne remplit pas de verres sans vider la carafe et qu’il serait dommage de gaspiller du fric en impulsant une véritable politique de santé publique, pérenne et plurivertueuse, quand il suffit, à chaque épidémie, de sortir le stylo et le carnet de chèques pour faire mine d’affronter l’orage devant les caméras de France 2.

En 2009, déjà, notre Roselyne Bachelot nationale, dame patronnesse de la culture confinée, des sports interdits et de la santé chancelante, avait acheté pour deux milliards d’euros de vaccins H1N1 à… AstraZeneca, qui a dû trouver comique de la retrouver sur sa route puisqu’elle avait été, entre 1969 et 1976, déléguée médicale d’ICI Pharma dont la branche pharmaceutique deviendra autonome en 1993 sous le nom de… Zeneca avant de fusionner six ans plus tard avec le suédois Astra. La France recensera au final, officiellement, 349 décès attribués au virus A-H1N1 et quelque 200 cas de narcolepsie-cataplexie induits par la vaccination dont certaines victimes, onze ans après, attendent toujours l’indemnisation promise par les autorités sanitaires en cas d’effets secondaires. La même année (loi Bachelot de 2009), rappelons-le, la divine Roselyne érigeait en mode de gouvernance l’association du mercantilisme et du bureaucratisme qui consacrait la main mise des ARS sur le système de soins hospitaliers. André Grimaldi, chef de service à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, regrettait amèrement dans une tribune du 3 avril 2012 les conséquences déjà visibles de ce petit meurtre entre amis, lui pour qui les directeurs des agences régionales de santé avaient toute l’étoffe pour devenir « de véritables préfets sanitaires aux ordres du gouvernement. »

L’avantage de cette approche (on ferme des lits pour les malades, on centralise à mort et on vaccine tous les bien-portants) est qu’elle correspond exactement à l’idée de la médecine que se font Bill Gates et ses copains de l’Amicale de la Seringue. Dans un rapport fleuve datant de 2015 intitulé Philanthropic power and development. Who shapes the agenda ?, voilà-t-il pas que l’on apprend :

« Le fait que la fondation Gates priorise les solutions vaccinales pour les divers problèmes de santé publique reflète sa préférence pour les interventions courtes, mesurables et avec une forte visibilité. L’un des représentants de la GAVI a rapporté que Bill Gates lui confiait souvent dans des conversations privées qu’il était fermement opposé aux systèmes de santé. Il est même allé jusqu’à dire que c’était du complet gaspillage, qu’il n’y a aucune preuve que cela fonctionne, et que donc il ne dépenserait pas un centime pour le renforcement des systèmes de soins. »

En termes marketing, on appelle ça la top-down approach, et on ne trouvera pas étonnant de la voir relayée quasi telle quelle dans un article d’Hervé Morin paru dans le journal Le Monde (financé copieusement par Bill Gates) intitulé crânement : « Covid-19 : La France a-t-elle trop de lits de réanimation ? » Quand on en est à écrire ça, c’est vraiment qu’on est au-delà du foutage de gueule et qu’on considère la population si crétine et analphabète qu’on pourrait tout aussi bien lui intimer l’ordre d’acheter des tubas et des bouteilles à oxygène chez Decathlon pour s’intuber à la maison.

La théorie du hold-up

Ceci étant posé, pour réussir son coup et imposer son juteux modèle aux quatre coins de la planète, Big Pharma a dû composer avec un paramètre qui souvent cause la perte des brigands trop présomptueux : le temps. Dans tous les films de braqueurs (Heat, Point Break, Ocean 11…), les interventions sont minutées et calibrées au détail près pour que le butin soit sécurisé avant l’arrivée de la police. Quand ça tourne mal, que le temps vient à manquer, c’est le carnage assuré.

Dans son livre joliment nommé La société du Hold-up (2012), Paul Vacca décrit un monde financiarisé à outrance, basé sur la quête ultra-rapide du profit, où « l’homme est devenu un braqueur pour l’homme » et se révèle prêt à tout pour s’enrichir en un temps record. Le génie disruptif d’Apple, Google ou Facebook repose, écrit-il, sur une logique de coup qui bouleverse la donne et réinvente de nouveaux codes pour créer ex-nihilo un marché tout beau, tout neuf qu’ils n’ont plus qu’à inonder de leurs joujoux ultra-modernes. Les fabricants de vaccins du nouveau Big 4 de la médecine quantique (Pfizer, Moderna, AstraZena, Johnson & Johnson) sont en passe de réaliser le même tour de force, à l’aide de produits résolument innovants et d’une force de frappe médiatique sans équivalent dans l’histoire de la publicité et du merchandising. Encore faut-il que leur stratégie se montre à la hauteur des enjeux.

L’accélération fulgurante de la campagne d’injections de masse en Europe et en Amérique du Nord répond, à ce qu’on en observe pour le moment, à la logique des Blockbusters, qui visent à faire main basse sur l’audience avant même que la critique ou le bouche à oreille n’aient eu le temps de s’exercer. Une variante du Hit & Run qui fait sens dans un environnement hautement instable susceptible d’altérer du jour au lendemain la perception du produit, de son utilité comme de son efficacité. Face à une situation de fléchissement épidémique généralisé qui aurait pu se révéler fatale à Big Pharma, conditionner à la vaccination le fait que les gens puissent partir bouffer des tapas en Espagne constitue la stratégie gagnante pour une industrie qui sait qu’elle ne dispose que d’une fenêtre de tir réduite pour écouler sa marchandise. Créer l’urgence là où il n’y en a pas, c’est tout le génie marketing de ceux qui savent depuis que le dollar existe que tordre le réel et réinventer l’avenir conditionnent le besoin et commandent au désir. Laisser le train passer, en revanche, c’est prendre le risque de rester à quai avec ses bagages sans certitude d’en voir arriver un autre avant des lustres.

Sur la chaîne très covid-friendly CNN, une experte en vaccination lâchait ainsi en direct au mois d’avril : « Nous devons expliquer clairement aux gens que le vaccin est le ticket de retour à leur vie d’avant la pandémie. La fenêtre de vaccination est très étroite, avec tous ces états qui rouvrent tout à 100%, pour conditionner les réouvertures au statut vaccinal. Sinon, si tout rouvre librement, qu’est-ce qu’on va avoir comme carotte à offrir aux gens ? Comment allons-nous inciter les gens à se faire vacciner ? C’est pourquoi le CDC doit adopter une position plus ferme et dire : ‘Si vous êtes vacciné, vous pouvez faire ce que vous voulez. Toutes ces libertés que vous aviez, vous pourrez les retrouver.’ Sinon, les gens vont commencer à sortir et profiter de la vie sans être vaccinés. »

Un avenir incertain. Un produit en phase expérimentale. Une fenêtre de tir réduite. Un paquet de pognon à sa faire à condition de bien jouer le coup. On reconnaîtra peu ou prou le destin marketing du film Les Dents de la mer (sorti en1975) ainsi décrit dans le livre de Paul Vacca :

« Tout s’annonçait pour le mieux. Pourtant, les choses ne se sont pas passées comme prévu. Une grande malédiction s’abat sur le film : Bruce, le requin mécanique confectionné à grands frais pour le film, ne veut pas fonctionner, manquant même d’estropier un technicien ; la météo s’y met aussi ; le retard s’accumule, le tournage déborde sur la période estivale. Le budget explose : il est multiplié par trois. Et pour arranger le tout, les plans tournés avec le requin sont inexploitables. De plus, comme le film s’est fait au jour le jour, de nombreuses séquences sont quasiment impossibles à monter. Au visionnage des rushs, les patrons d’Universal Pictures s’arrachent les cheveux : ‘C’est ça le film qui est censé faire peur à tous ? !?’

Spielberg humilié tente ce qu’il peut pour sauver le film au montage. Mais la panique s’est définitivement emparée des dirigeants de la major. C’est alors qu’ils ont l’idée d’un stratagème pour limiter la casse : tâcher de faire au moins un premier week-end honorable. Ils décident alors – fait inédit pour un film – d’acheter de l’espace publicitaire dans les networks américains pour 700 000 dollars, ce qui à l’époque représente une somme hallucinante. Ils distribuent d’emblée le film sur une très large combinaison de salles alors que l’habitude voulait que l’on fasse monter le nombre de salles en puissance. Leur but : récolter le maximum d’entrées durant le premier week-end avant que le bouche-à-oreille, qu’ils présagent désastreux, ne décourage tout le monde. Ce sera toujours ça de gagné… »

L’avenir leur donnera en partie raison (énorme succès à sa sortie) et en partie tort : le savoir-faire de Spielberg assurera au film une solide postérité. Mais ils avaient compris qu’avec des cycles de plus en plus courts de présence des films à l’affiche, le gigantisme avait de l’avenir, ce que nos professionnels de la vaccination planétaire ont compris également. Avancer moins vite qu’ils ne le font sur le calendrier vaccinal, ce serait méconnaitre la durée de vie limitée de l’effet d’appétence, surtout pour les plus jeunes sans aucune comorbidité et qui ont dû sans le savoir rencontrer dix ou quinze fois le virus sans éprouver autre chose qu’un mal de tête ou une fatigue passagère. Sur son fil Twitter, l’avocat Fabrice Di Vizio s’extasiait le 19 mai de la clairvoyance de sa fille avec ce message admiratif : « Ma fille de 17 ans : la vaccination, c’est comme la mode, tu payes des influenceurs pour faire acheter des trucs que personne n’aurait jamais acheté ! Ça donne l’impression d’être cool. Quand t’es vacciné, on te fait croire que t’es cool, t’es pour la science. » De là à basculer dans le monde des produits dérivés, des pin’s et tee-shirts « je suis vacciné.e » au concours de selfies manches retroussées sur Instagram, il n’y a qu’un pas que Pfizer & co auraient tort de ne pas franchir, histoire de surfer tout l’été sur la vague de solidarité universelle née au printemps dernier.

Lequel d’entre nous, parmi les plus réfractaires au Smartphone, à Facebook ou Google, n’a pas fini par se mettre à la page et succomber parfois malgré lui, d’une façon ou d’une autre, aux sirènes de la modernité ? Qui n’avance pas recule, au 19ème siècle comme aujourd’hui, et la pression de l’environnement technologique et sociologique est souvent une force irrésistible qui broie les résistances des plus têtus objecteurs de progrès, pour reprendre le bon mot de Pierre-Yves Rougeyron.

Un pont trop loin ?

La question qui demeure, néanmoins, dans le cas de ces vaccins expérimentaux à l’efficacité et aux effets secondaires inconnus sur le long terme, c’est de savoir quand nos joueurs de poker bienfaiteurs de l’humanité vont considérer qu’il est temps de se lever de table et d’encaisser leurs jetons avant que le casino sonne l’alarme générale. Il commence à se dire, ici ou là, que des vaccinés se contamineraient aussi bien que les autres tandis que certains mourraient du vaccin comme d’autres étaient morts auparavant du virus – c’est-à-dire sans pouvoir en apporter formellement la preuve. Les certificats de décès, en ces temps de contrebande, font l’objet d’une attention inédite de la part des diverses parties en présence. Des plaintes commencent à remonter, des doutes germent ici ou là sur la véracité des chiffres avancés par les autorités pour justifier leur politique d’injections à la chaîne. Bref, si le temps se gâte au propre comme au figuré et que la météo sanitaire en vient à contredire les prédictions autoréalisatrices des caïds en blouse blanche envoyés par les cartels du médicament, il pourrait être plus prudent pour eux de remballer la marchandise avant que les vrais problèmes ne commencent.

La courbe de vaccination d’Israël, pays pilote de l’expérience vaccinale, tendrait ces dernières semaines à plafonner autour des 62% de primo-injectés. Il n’est pas impossible que l’asymptote soit proche d’avoir été atteinte, et menacer les récalcitrants de les attacher aux roues d’un char pour aller faire la guerre au Hamas dans la bande de Gaza risque d’être mal perçu même par Gérard Leclerc, Christophe Barbier ou Brigitte Milhau. Si le même phénomène s’observe au Royaume-Uni, aux USA ou en Allemagne, il serait risqué de tenter le passage en force par le biais, par exemple, de la vaccination des enfants. Des psychopathes comme Karine Latombe ou Arnaud Fontanet, en France, ont déjà franchi le Rubicon histoire de tâter le terrain, et d’autres voix se sont déjà fait entendre en Amérique et en Europe pour murmurer cette éventualité. C’est un terrain si glissant que même Angela Merkel – qui n’a jamais approché un enfant de sa vie – ferait mieux de s’en tenir, pour éviter le faux pas, à ce qui est actuellement écrit noir sur blanc sur le site du gouvernement fédéral allemand :

« Aucun vaccin n’est actuellement approuvé pour les enfants et adolescents jusqu’à l’âge de 16 ans. Le vaccin de Biontech / Pfizer peut généralement être utilisé chez les jeunes de 16 ans et plus. L’approbation des vaccins pour les enfants est extrêmement délicate. Par exemple, il faut d’abord clarifier suffisamment que les vaccins sont sans danger pour les adultes. Ce n’est qu’alors que des études pourront être menées sur l’applicabilité chez les enfants. »

Tout porte raisonnablement à croire que Big Pharma saura retenir ses chiens et les rappeler à la niche face une fronde généralisée des mères de famille du monde entier. L’instinct de survie de l’espèce et l’amour maternel restent encore aujourd’hui des forces trop prodigieuses pour succomber aux coups de boutoir de la corruption, de l’hystérie de contrôle et de l’ubris des Dr Frankenstein et Folamour qui ont ouvert la boîte de Pandore sans plus trop savoir comment la refermer. Il faut dire qu’avec une moyenne annuelle de quatre millions de morts par infections respiratoires, nos bons docteurs auront du mal à nous revendre chaque hiver la même dystopie prométhéenne. On ne se baigne jamais deux fois, disait Héraclite, dans les eaux du même fleuve. La meilleure chose à faire, pour recréer une panique à la hauteur de nos attentes, serait plutôt de sortir un deuxième remake de l’Invasion des Profanateurs (1956 puis 1979). Des plantes extra-terrestres venues nous cloner pendant notre sommeil et remplacer l’humanité entière par des créatures dépourvues d’émotion et changées en automates, voilà un script qu’une année de confinements, d’évitements, de défiance et de déshumanisation nous aura préparés à accueillir dans la joie de nos vies retrouvées. Et si la prochaine dystopie, d’ailleurs, pouvait venir des extra-terrestres, elle ne pourra jamais être plus hideuse que les rictus de Bill Gates ou les mimiques de Karine Latombe.


https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/vaccin-genique-essai-therapeutique-grande-echelle-vous-etes-le-cobaye

https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2021-05-19/covid-19-pourquoi-lhypothese-dune-fuite-du-virus-dun-laboratoire-nest-pas-ecartee-a3fc216b-1dbb-4731-891f-de9f5b501c55

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/a-colmar-la-vaccination-contre-le-covid-19-se-deroule-en-musique_4614615.html

https://fr.statista.com/infographie/11358/mortalite-de-la-grippe-en-france/

https://www.grandforksherald.com/newsmd/coronavirus/6824462-North-Dakota-got-a-mask-mandate-South-Dakota-didnt.-COVID-19-cases-have-plummeted-in-both

https://www.sortiraparis.com/news/coronavirus/articles/240384-vaccine-in-the-world-as-of-datadatestodayfrlatest-the-percentage-of-people-vacci/lang/en

https://www.courrierinternational.com/article/le-chiffre-du-jour-pfizer-gagne-900-millions-de-dollars-au-premier-trimestre-2021

https://www.msf.fr/actualites/les-fausses-accusations-de-pfizer

https://www.challenges.fr/entreprise/sante-et-pharmacie/le-cytotec-medicament-de-pfizer-retire-du-marche-et-nouveau-scandale-sanitaire_507478

https://investir.lesechos.fr/actions/actualites/coronavirus-moderna-releve-sa-prevision-annuelle-de-ventes-de-son-vaccin-1961771.php

https://www.challenges.fr/entreprise/sante-et-pharmacie/astrazeneca-les-ventes-du-vaccin-atteignent-275-millions-de-dollars-au-1er-trimestre_762794

https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/meurthe-et-moselle/nancy/covid-19-demissions-en-serie-des-infirmieres-a-l-hopital-apres-la-crise-sanitaire-on-va-affronter-une-crise-sociale-2034976.html

https://www.lemonde.fr/sante/article/2016/06/02/le-manque-de-medecins-generalistes-s-accentue_4930689_1651302.html

https://pharmacritique.com/2009/09/24/roselyne-bachelot-a-passe-au-moins-12-ans-au-service-de-lindustrie-pharmaceutique-source-de-conflits-dinterets-par-exemple-dans-la-vaccination-massive-contre-la-grippe-a-h1n1/

https://reporterre.net/Vaccins-et-aluminium-la-recherche-interdite

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https://www.liberation.fr/france/2020/11/24/effets-secondaires-du-vaccin-h1n1-les-indemnisations-trainent_1806453/

https://leplus.nouvelobs.com/contribution/517294-la-loi-bachelot-a-fait-de-l-hopital-une-entreprise.html

https://archive.globalpolicy.org/images/pdfs/GPFEurope/Philanthropic_Power_online.pdf

https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/05/11/covid-19-la-france-a-t-elle-trop-de-lits-de-reanimation_6079812_3232.html

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https://ourworldindata.org/covid-vaccinations

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https://www.lci.fr/societe/covid-19-la-vaccination-des-enfants-et-ados-devient-elle-incontournable-2185469.html

https://www.bundesregierung.de/breg-de/suche/corona-gefaehrlich-fuer-kinder-1882974

https://www.lexpress.fr/actualites/2/les-infections-respiratoires-font-4-25-millions-de-morts-par-an_934943.html

https://www.allmovie.com/movie/invasion-of-the-body-snatchers-v25289




Hold-Up (Mise à jour : lien vers le film en deux parties, après la censure par YouTube + vidéo de Pierre Barnérias)

[Source : FranceSoir]

Hold-Up, film en sortie nationale 11 novembre. Pourquoi j’ai produit ce film par Christophe Cossé?

Auteur(s): Christophe Cossé pour FranceSoir

TRIBUNE : Le film Hold-Up produit par Pierre Barnérias et Christophe Cossé, sort ce mercredi 11 novembre.  Christophe Cossé est producteur de documentaires et de films avec une formation en anthropologie sociale et psychologie clinique.  

Pourquoi j’ai produit ce film ?

Ce qui me vient en premier à l’esprit, c’est cette phrase de Kierkegaard :

« Il s’agit de comprendre ma destination, de voir ce que Dieu veut proprement que je fasse. Il s’agit de trouver une vérité qui soit vérité pour moi, de trouver l’idée pour laquelle je veux vivre et mourir».

Avec cette singulière crise politique qui remet en cause bien des principes de notre humanité, et que maquille la préoccupation sanitaire, nous sommes parvenus à l’heure des choix. Dès lors, avec nos connaissances et notre conscience, à quoi sommes-nous prêts à renoncer ? Devons-nous céder à la peur, au besoin de sécurité, ou préférer embrasser la vie et la liberté ? Ma démarche, notre démarche commune tant avec mes coproducteurs qu’avec toutes celles et ceux venus témoigner, c’est avant tout d’avertir sinon d’alerter, d’interpeller, d’informer le plus grand nombre.

L’épidémie et son traitement ont tout d’une intrigue dramatique. Cet évènement épidémique révèle en définitive une crise profonde, révélatrice de l’état actuel de notre société, de ses institutions et de sa culture. On y découvre non seulement le pouvoir de la presse, désormais inféodée au pouvoir par le jeu des actionnaires qui la détiennent, mais aussi la puissance des réseaux sociaux qui véhiculent tant le relais de cette dernière, qu’un contre-pouvoir raillé par la censure, mais ô combien salvateur pour la connaissance et la liberté d’expression ou d’information.

L’issue de cette épidémie, somme toute habituelle et saisonnière, présente donc en quelque sorte les deux genres aristotéliciens: la tragédie de l’humanisme ou l’épopée d’un renouveau. Gageons qu’elle débouche sur le renouveau. D’autres y voient une dimension biblique.

C’est donc une question de choix, d’élan instinctif, d’appel ce qui m’a poussé dans ce film. Et aussi parce que le scénario qui se déroule sous nos yeux mérite un témoignage. Sans prétention aucune, je me réfère à Alexis de Tocqueville : « ce qu’il y a souvent de plus difficile à apprécier et à comprendre, c’est ce qui se passe sous nos yeux.»

C’est la base du film, nous évertuer à comprendre : les mensonges, la manipulation, l’ingénierie sociale, la corruption. Il faut bien se figurer que la privation de nos droits, de nos libertés, de nos choix est un hold-up. Nous aurions pu l’intituler « Coup d’Etat ».

Nous sommes en fin de cycle, tout va très vite, et se radicalise. Il n’y a plus d’espace d’échange, de réflexion, de pensée. Pour Pierre et moi, comme pour Nicolas, il n’était pas envisageable de ne rien faire. Et nous prévoyons même de continuer à filmer et à suivre l’actualité, car nous pressentons un changement fondamental dans notre humanité. Notre actualité sociale et politique nous y ramène. Le président Macron a décidé de confiner derechef sa population pour six semaines.

Nouvelle étape du scénario.

La lecture des derniers relevés hebdomadaires de l’OMS et du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, permet clairement de constater que tous les pays ayant pratiqué le confinement ont eu les pires résultats dans le degré de résilience de leur population au COVID-19.

Le taux de mortalité est établi à 0,15%. Plus de 98% des individus ayant contracté le virus guérissent. Le nombre de morts associés abusivement au Covid reste encore deux fois inférieur à celui des erreurs médicales ou du tabac.

Outre que le fait de confiner toute une population saine et non malade a été et demeure une première dans l’histoire de l’humanité, toutes les études qui ont été produites depuis le premier confinement rejoignent les conclusions des précédentes, à savoir l’inefficacité de cette mesure. Serait-elle politique ?

L’OMS vient, il y a quelques semaines à peine, de convenir de son inefficacité et de son inutilité. On se souvient pourtant de cette étude de Neil Ferguson, de l’Imperial College, qui prévoyait plus de 500 000 morts en Grande-Bretagne, et 10 millions de victimes en Afrique, dont s’inspiraient l’OMS et les dirigeants occidentaux dans leur décision de confiner alors que l’épidémie était déclarée.

Ce même épidémiologiste, qui, dix ans auparavant, lors de l’épidémie de la grippe A (H1N1), avait également envisagé un désastre sanitaire de plus de 60 millions de victimes dans le monde. A l’époque, le rapport du Sénat (2010) avait clairement dénoncé l’irrationalité de ces analyses, la dérive de la politique sanitaire et avait surtout mis en lumière les conflits d’intérêts qui semblaient régir cette dernière.

Malgré cela, notre gouvernement, après s’être défendu à maintes reprises de l’envisager, l’a confirmé, ce nouvel emprisonnement. Il avance même de surcroît vouloir y associer quelques autres mesures coercitives, tout en dénonçant l’irresponsabilité, sinon l’incurie, de ceux qui s’y opposent.

Ce nouveau confinement  a été officiellement décrété en conséquence de l’importance du nombre de cas de contaminations et du nombre de malades admis en réanimation. Le seuil de 60% des lits occupés a ou aurait été franchi.

Or, il serait bon de remettre en perspective les données sanitaires des cinq années précédentes pour constater que nos services hospitaliers sont toujours saturés à cette période de l’année, tant pour d’autres coronavirus, que pour la grippe ou des problèmes respiratoires. Il est éloquent de rappeler que notre Ministre de la Santé a lui-même participé à la faillite de notre système de santé, en soutenant la politique de réduction des lits en milieu hospitalier, ce qui provoque depuis quelques années déjà, l’engorgement des services de réanimation.

Il serait également bienséant de préciser, dans un souci de transparence et d’honnêteté, que le nombre de patients en réanimation tient aussi compte du nombre de patients en soins intensifs dans le privé. Toutefois, dans le calcul de Monsieur Véran et de son Comité scientifique, on compte les malades du privé, mais pas le nombre de lits; simple tour de passe-passe pour permettre d’augmenter le taux d’occupation en réanimation et de justifier la peur, la panique ou la terreur. Etrange pour des médecins.

Que dire du bilan médical des malades admis en ce début du mois de novembre en réanimation ou en soins intensifs, si ce n’est un profil type d’individus de plus de 65 ans affectés par la comorbidité, victimes de saturation de leur système immunitaire ?

Que dire du nombre réel de victimes du Covid alors que l’on recense comme tels les décès dus aux maladies cardio-vasculaires, aux cancers, aux diabètes ?

Que dire du nombre réel des cas de contaminations, avec un moyen de dépistage peu fiable et trompeur et dont la sensibilité vient d’être augmentée aux dépens de sa déjà faible efficacité ?

Que dire du gouvernement, qui, après avoir constaté il y a six mois la saturation de nos services publics hospitaliers, n’a pas investi pour de nouveaux lits en réanimation ?

Serait-il utile d’expliquer enfin pourquoi aucune autopsie n’a été diligentée ?

Que dire de la médecine libérale, sans moyens d’agir sur la prophylaxie de la maladie, privée d’hydroxychloroquine, d’azithromycine, de macrolides ou de C3G ? En les coupant de leurs moyens, le gouvernement favorise l’orientation des soins vers l’hôpital.

De tout cela il n’est point question. Le gouvernement semble suivre sa propre feuille de route, sur cette deuxième vague et son confinement finalement induit, annoncés depuis le mois d’avril. Alors s’ils savaient, pourquoi ne pas avoir agi ? Une fois de plus ?

Ce choix d’un deuxième confinement n’est pas qu’un révélateur de l’échec de notre politique sanitaire. C’est la confirmation d’une grave et profonde crise institutionnelle et démocratique. L’état d’urgence sanitaire est anticonstitutionnel et illégal. Les élections municipales se sont déroulées hors du cadre constitutionnel. Le Conseil constitutionnel est en sommeil, prié par le gouvernement de se confiner également, les deux chambres sont au ralenti, les textes sont examinés par 10% des députés, l’exécutif détient les pleins pouvoirs, et nos libertés sont à nouveau restreintes comme jamais dans un cadre de paix.

L’état d’urgence sanitaire ne respecte nullement les applications de l’article 16 et de l’article 53 de la Constitution, le rendant anticonstitutionnel et illégal.

Au niveau des institutions, ce qui a aussi changé, dès le début de la crise, c’est que le gouvernement s’est doté d’un Conseil scientifique dont les membres sont majoritairement proches des laboratoires pharmaceutiques. Il existe pourtant des organismes réputés et sans doute plus indépendants comme l’INSERM, le CNRS, les académies de médecine, de pharmacie, ou de vétérinaires… ?

Avec ce nouveau confinement, le gouvernement restreint une nouvelle fois nos libertés. Une nouvelle fois, elles sont bafouées et notamment, la liberté d’aller et venir, la liberté d’entreprendre et la liberté de réunion. Mais d’autres plus individuelles.

La liberté d’aller et venir existe en pratique depuis la fin du servage en France. Elle apparaît dans les textes en 1315, sous Louis X. Le décret royal précisait :

“ Toute créature humaine doit généralement être franche par droit naturel. Le Roi condamne avec énergie le joug et la servitude, qui est tant haineuse et fait qu’en leur vivant, les hommes sont réputés comme morts et, à la fin de leur douloureuse et chétive vie, ils ne peuvent disposer ni ordonner des biens que Dieu leurs a prêtés en ce siècle.”

La liberté d’entreprendre est plus récente. Elle date de la Révolution française. Le décret d’Allarde de 1791 autorise tout citoyen à exercer le métier ou le négoce qu’il veut, pourvu qu’il paie ses impôts. Cela permettait d’échapper à la logique des corporations et de rang social où vous étiez plus ou moins lié par ce que faisaient vos parents avant vous. Il ne semble pas que cette liberté d’entreprendre ait connu jusqu’ici de restriction ou d’interdiction.

Puis la liberté de réunion, comme la liberté d’expression, sont des libertés fondatrices de la IIIème République. Elles marquent le droit d’exprimer son désaccord avec le pouvoir en place. Elles ont permis la création des syndicats par exemple. 

Les médecins sont désormais censurés lorsque leur parole publique ne fait pas écho à la politique dominante, et même sur les réseaux sociaux, la police de la pensée s’installe.

Toutes ces libertés ont été acquises de haute lutte dans les larmes et le sang, souvent par des personnes très jeunes qui ont généreusement donné leur vie pour leurs idéaux afin que d’autres puissent en bénéficier. Et pourtant, nous demeurons contraints dans nos libertés, sans réagir, affichant par là-même notre degré de consentement.

« Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes » écrivait Machiavel dans Le Prince.

Enfin, une liberté très singulière et fondamentale dans le droit naturel humain a été violée, celle de la tendresse, du toucher, de l’attention. Sous la menace de la force en plus d’un décret, il a été interdit aux proches de visiter leurs parents. On a laissé mourir nos anciens, ils ont été cloisonnés, enfermés dans leurs EHPAD, interdits de sortie, de visite, de tendresse, de soins. Un premier pas vers l’euthanasie.

Mais le pire à mes yeux est de ne pas avoir la liberté de mourir. Le deuxième pas vers l’euthanasie a été franchi ; sa légalisation a été effective par le décret du 28 mars, autorisant les médecins à utiliser le Rivotril pour « accompagner » les patients. Ce décret a été abrogé par un nouveau le 10 juillet. Le pays des droits de l’Homme ?

Le mépris du genre humain.

Sous le prétexte de cette épidémie dont seuls les messagers de l’idéologie sanitaire autoritaire martèlent son danger, il convient de nous surveiller, de nous diriger, de nous contraindre à une société de surveillance et de soumission. De là découlent ces délicieuses valeurs nouvelles que sont la délation, la dénonciation, le repli sur soi. Les valeurs humanistes sont menacées d’implosion, on ne parle plus d’éthique, de morale ou de respect, mais d’obéissance, de protocole, de menaces et de peurs. Un véritable cheval de Troie pour notre humanité que ce coronavirus.

Ainsi, se profile la vaccination massive, et son corollaire, le fichage de chaque individu. En France, en Europe, mais dans le monde entier, au prétexte d’un virus pas plus offensif qu’un autre COVID saisonnier. Quelle incroyable et phénoménale entreprise de manipulation globale, au service d’une sombre idéologie, qui avant d’accomplir son dessein, distille la peur, la menace et la confusion afin que chacun perde ses repères pour mieux embrasser le pouvoir et l’autorité dans une servitude volontaire et rassurante. Je cite à nouveau Alexis de Tocqueville,

« ce qu’il y a souvent de plus difficile à apprécier et à comprendre, c’est ce qui se passe sous nos yeux. »

Cet état d’urgence sanitaire est aussi une catastrophe économique et sociale qui peut déboucher sur une crise économique puis politique majeure.

Au moins 400 000 PME ont dû fermer, soit environ 4 millions de personnes au chômage, sur les 10 ou 12 millions d’indépendants, combien vont pouvoir reprendre une activité ? Combien d’entre nous vont gonfler le nombre déjà exorbitant des personnes vivant en deçà du seuil de pauvreté, qui a été réévalué à 10 millions de personnes en France ? Combien de milliers de personnes vont rejoindre les 5 millions de Français qui ont déjà recours à l’aide alimentaire ? Combien de nos compatriotes vont être délogés, rejoignant la triste cohorte des 900 000 SDF ?

La loi du travail, les acquis sociaux ont déjà été revisités, corrigés, étirés. Avec la crise « sanitaire », tout employé ou salarié, au lieu de réclamer une augmentation ou une amélioration de ses conditions de travail ou de ses droits, va désormais réclamer du travail ou se plier à l’effort national, quelles qu’en soient les conditions. En majorité, il est assigné à résidence en télétravail, dans des conditions pour la plupart, d’inconfort.  Dix points de PIB à rattraper…

Ces événements actuels révèlent que l’on a glissé peu à peu vers une technocratie sanitaire, relayée par une presse qui paraît encore plus docile et inféodée au pouvoir. Ce pouvoir est lui-même de plus en plus gangréné par les conflits d’intérêts, et en particulier par le pouvoir des grands laboratoires, réputés pour leur corruption.

Les scientifiques se font journalistes, sinon politiques, tout comme les journalistes se posent comme experts dans une émulation complice de coercition et de domination. Plus alarmant, les politiques deviennent quant à eux les communicants, souvent malgré eux, des puissances financières qui les soutiennent.

Nos sociétés s’orientent-elles vers ce « biopouvoir » imaginé par Foucault ?

Le philosophe voyait le pouvoir sur les hommes évoluer vers un autoritarisme de la santé. Il observait qu’après le pouvoir sur les âmes, par les ministres de l’Eglise illustré par le troupeau de brebis égarées, c’est sur l’humain que le pouvoir monarchique s’est exercé, avec le pouvoir de donner la mort. Après l’effondrement de la monarchie, il y eut toutes ces dérives autoritaires du 20ème siècle. Légitimées par le dogme visant à transformer l’humanité ou l’humain vers un monde meilleur, elles se sont illustrées dans la prise en charge de la vie, non plus des âmes, mais des hommes.

Avec le biopouvoir, le dogme, c’est la santé ; il s’agit de prendre en charge d’un côté le corps pour le discipliner, et de l’autre la population pour la contrôler. L’élément commun au corps et à la population, c’est la norme. La norme statistique. C’est elle qui fait en sorte que ce biopouvoir s’exerce, de manière rationnelle, à la fois sur un ensemble statistique, c’est-à-dire une collectivité, et sur un individu.

Et ce biopouvoir contrôle tous les mécanismes de la vie de l’individu dans la société : politiques, judiciaires, policiers, économiques, philosophiques.

La question mérite d’être posée. En effet, non seulement des hommes d’affaires, des politiques et des médecins veulent imposer un type de traitement unique, la vaccination, sans passer par les règles démocratiques habituelles grâce à l’état d’urgence, mais de plus, chaque citoyen va devoir s’y soustraire au risque d’une mise au ban social. L’individu risque de perdre non seulement sa liberté, mais surtout sa souveraineté.

Au-delà de cette sombre hypothèse, reprenons toute la terminologie, la sémantique pour ne pas dire la novlangue actuelle, en commençant par celui que nous entendons le plus : le confinement. Étymologiquement, on retrouve dans le confinement, le terme « finis » qui en latin signifie frontière, barrière, limite. Le confinement, outre sa définition médicale brandie par la gouvernance, signifie réclusion, internement.

Enfin, employé au participe, le confiné est dit d’un espace qui manque d’oxygène, d’espace ou de nourriture.

Il est aussi fait mention d’une « distanciation sociale » pour éviter la propagation du virus. Or il ne s’agit que de distanciation physique, mais on nous impose la notion de « social », car en effet, la barrière, la limite, la frontière imposée par ce confinement devient un mur entre nous. Tout contrevenant est sévèrement critiqué, dénoncé et voué aux sanctions administratives. La tendresse est déconseillée, sinon réprimée.

Le port d’un masque est devenu obligatoire bien qu’il ait au préalable été déclaré inutile, et cet artifice est une autre barrière, un autre symbole d’enfermement.

On évoque le traçage des individus, la recherche ou la poursuite des cas contacts, le passeport numérique de santé, les camps de quarantaine…

Dans le discours ambiant, non seulement les termes sont vidés de leur sens premier, mais il ne s’agit pas de se fier à la vérité, comme le disait si subtilement Sibeth Ndiaye, mais « d’orienter la réalité pour faire accepter notre projet politique aux Français; cela ne relève pas du mensonge, mais de la désinformation positive ». Evidemment !

Michel Onfray le rappelait dans son ouvrage « Théorie de la dictature », en rapprochant notre monde actuel de celui de 1984 :

« On peut citer aussi l’inversion systématique du sens des mots, par exemple, la guerre c’est la paixla haine c’est l’amour… qui reformate complètement les cerveaux ».

Car, conformément au concept de solipsisme, c’est dans le cerveau de chacun que le monde existe, “et que le réel est une construction mentale”.

Si la pensée est donc bien formatée, on ne voit plus que ce à quoi on croit.

Déjà dans « Surveiller et punir », en 1975, Michel Foucault expliquait comment la propagation de la peste avait permis aux Etats d’imposer au XVIIe siècle des mesures coercitives à travers leur pouvoir de normalisation :

« Espace découpé, immobile, figé. Chacun est arrimé à sa place. Et s’il bouge, il y va de sa vie, contagion ou punition […] Le rapport de chacun à sa maladie et à sa mort passe par les instances du pouvoir, l’enregistrement qu’elles en font, les décisions qu’elles prennent […] Derrière les dispositifs disciplinaires, se lit la hantise des contagions, de la peste, des révoltes, des crimes, du vagabondage, des désertions, des gens qui apparaissent et disparaissent, vivent et meurent dans le désordre. »

Et ce qui se passe sous nos yeux, c’est également un exemple parfait des expériences de Milgram. Chacun a tendance, pour se rassurer, à se dépersonnaliser pour embrasser la cause de l’autorité. Qui forcément détient la vérité, qui forcément peut rassurer, qui forcément peut conforter et protéger.

Il est plus rassurant de croire à une illusion qui rassure qu’à une vérité qui dérange. C’est entre autres une question de champs d’information. Pour celui ou celle qui n’a pas l’accès à un champ d’information différent de celui sur lequel il s’est construit, ou celui sur lequel on l’a construit, il y a distorsion, coupure, rejet. C’est en cela qu’il est difficile de faire comprendre à nos concitoyens les véritables contours de ce script.

C’était la triste situation de nombreux pays au XXème siècle, dont on espérait pourtant ne pas reproduire les erreurs à notre époque :

Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n’est pas que vous croyez ces mensonges mais que plus personne ne croit plus rien. Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut pas se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d’agir mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et, avec un tel peuple, vous pouvez faire ce que vous voulez”, disait Hannah Arendt.

Par des techniques de manipulation bien connues de la PNL (programmation neuro-linguistique) comme la double contrainte, l’injonction paradoxale, l’ingénierie sociale, le saupoudrage, le discours ambiant associe manipulation, désinformation, et hypnose conversationnelle. Le piège fonctionne.

La double injonction selon laquelle tout va bien mais en fait cela ne va pas est le pire qui soit pour tomber dans le piège de la peur et l’endoctrinement. C’était le premier stade de l’épidémie, on va quand même au théâtre ou au bureau de vote. A présent c’est l’inverse. Il ne se passe rien, mais on crie alerte. Le parfait système coercitif.

On assiste aussi au système peur/ soulagement, bien connu sous le thème « good cop / bad cop ». Provoquer une crainte, une peur, par une mise en scène avec des dangers existants ou virtuels. Puis « en même temps », le locuteur ou son complice change de ton avec une ouverture possible. Ce n’est pas la peur qui provoque la soumission mais le soulagement. Et le soulagement, c’est la perspective du dépistage, du vaccin. Et en attendant on reste bien chez soi. Confiné. Emprisonné chez soi, en soi. Docile ?

Car nul n’est obligé de s’y soumettre ! C’est l’heure des choix. Pour exister, un manipulateur a besoin d’un manipulé, tout comme un maître d’un esclave. Est esclave celui qui y consent. Allons nous consentir, allez vous consentir à vous soumettre ?

« La vie vaut ce que nous sommes capables de risquer pour elle ». Il n’y a de liberté que par l’acte même de libération : celui qui ne veut pas risquer sa vie risque fort la servitude. Cependant, une fois maître, l’individu devient passif, inactif. C’est son esclave qui travaille, qui s’accomplit. Ainsi le maître devient dépendant du travail de son esclave, il devient l’esclave de son esclave, car c’est en travaillant qu’on atteint la liberté.

Tous les pouvoirs, et de plus en plus ceux de la pensée, sont désormais attribués à la médecine et aux mains de celles et ceux qui la gouvernent, l’orientent. Faut il rappeler que c’est Rockefeller qui a racheté toutes les écoles de médecine aux Etats Unis dans les années 1920, afin d’y dispenser une médecine exclusivement allopathique afin d’écouler les produits chimiques provenant du pétrole, ce qui va constituer la base de la pétrochimie et de l’industrie pharmacologique.

Il ne s’agit pas d’une médecine basée sur l’alimentation, pourtant premier principe d’Hippocrate, ou sur l’herboristerie, la phytothérapie, l’homéopathie, ou sur l’hypnose, la méditation ou la psychologie, la médecine chinoise ou ayurvédique, médecines traditionnelles à l’efficacité démontrée, mais il s’agit bien d’une médecine exclusivement allopathique. Une nouvelle religion qui n’en tolère pas d’autres.

Désormais la santé n’est plus un bien, c’est devenu une valeur. Force est de constater que c’est aussi devenu un diktat.

L’humanité doit accepter d’être soignée malgré elle, selon des codes ou des normes qui lui sont imposés. Une humanité confinée, contrainte, aux droits violés, mais protégée ! Pour appliquer un soi-disant principe de précaution, en réponse à une menace fantôme dont la virtualité ne s’inspire que de prévisions statistiques, que de calculs établis selon des modèles aux principes tronqués ou faussés, des projections qui ont été mises à mal par la réalité sanitaire. Cela n’a pas de sens. Un profond changement est en cours.

Et pour mieux comprendre cette fin de cycle globale, qui appelle à ce bouleversement profond, quelle qu’en soit l’impulsion, faisons un retour en arrière.

2019 était l’année de tous les dangers : risques bancaires  avec de nombreux établissements en déroute, risques sur l’euro, économies au ralenti, manifestations sociales multiples fragilisant les pouvoirs en place. Et surtout, la fin annoncée du dollar, et l’avènement des cryptomonnaies.

La situation bancaire était critique, en particulier en Europe et aux États-Unis. Les milieux financiers craignaient pour la survie de la Deutsche Bank et la Commerzbank en Allemagne, de l’Intesa San Paolo en Italie, ou de la Société Générale en France. Toute faillite aurait déclenché en effet un « Bank run » partout en Europe que seule une fermeture coordonnée de toutes les banques de la zone et l’instauration d’un contrôle des capitaux aux frontières pourraient éviter.

Quand une banque importante fermera, on peut imaginer que toutes les banques de la zone euro fermeront. Que l’on se rassure, pour ces organismes qui constituent le fondement de notre « état », tout a déjà été mis en place légalement par la Directive BRRD européenne et Loi Sapin 2 pour pouvoir « chyprioter » nos comptes sous prétexte de nous protéger…. d’une catastrophe bancaire et économique.

À la situation bancaire critique s’ajoutait le risque de l’éclatement de la zone euro. Depuis les élections italiennes en mars 2019, la probabilité d’une sortie de l’euro de l’Italie s’était considérablement accentuée. En parade, il était prévu de faire tourner la machine à billets, ce qui aurait fait perdre toute valeur à l’euro, et la dépréciation des actifs. Aujourd’hui, certes, on risque d’en arriver au même point… avant le grand saut ?

A ce risque s’ajoutait également celui du système monétaire instauré depuis les accords de Bretton Woods, en 1944, visant à définir les grandes lignes du système économique et financier mondial, menacé par la nouvelle monnaie chinoise.

Un éclatement du système monétaire sous la pression d’une nouvelle monnaie chinoise. La Chine a créé une nouvelle monnaie basée et convertible en or. Or l’avantage des US de posséder la monnaie mondiale est que cela lui a permis de financer ses déficits. Le modèle économique américain repose en effet sur un abus chronique de dette qui est achetée par les pays qui cherchent à recycler leurs dollars. La Chine a lancé une alternative monétaire au dollar,  et de ce fait n’a plus besoin d’acheter des obligations américaines. Bras de fer pour le leadership !

La guerre commerciale entre la Chine et les Etats-Unis était aussi particulièrement lancée, à coup de taxes, de protectionnisme et d’intimidations diplomatiques.

Enfin, le risque de crise sociale inquiétante pour les pouvoirs, tant en France que dans le monde, représentée par des mouvements populaires spontanés (Gilets jaunes…) comme par des manifestations de corporations ou de métiers, tous debout contre des réformes jugées inadaptées, injustes ou forcées au nom du marché et de ses lois.

Ainsi, ce choc anthropologique dont parlent à l’unisson les hommes politiques du monde entier que représente le Covid est une véritable aubaine.

Ce virus de pangolin serait-il à ce point opportuniste ?

Afin d’entrevoir ce que nous réserve l’avenir proche, faut-il s’inspirer des travaux du Forum Economique de Davos qui prône, comme le FMI, « The Great Reset », faut-il se tourner vers les principes collectivistes et transhumanistes de Bacon ou de Moore martelés par Attali et Minc ? S’inspirer de la Chine capitaliste autoritaire ?

Nous sommes à l’heure des choix.

Avec ce film, c’est un engagement pour la vie, le respect du vivant, mes enfants, parents, amis. Hymne à la vie, à l’amour, à l’âme humaine.

Voir aussi le debriefing de Christophe Cossé

https://www.youtube.com/embed/-ZSJ27H1YoU

Auteur(s): Christophe Cossé pour FranceSoir


Les Sources du film

HOLD UP + (sources)

00 : 02 : 28

L’Homme sera bientôt un être modifié par la technologie

Vidéo de Laurent Alexandre : Conférence “La techno-médecine” à L’USI – 2013

La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI – YouTube

00 : 08 : 30

Les prophéties de Neil Ferguson pour confiner

https://www.liberation.fr/checknews/2020/06/03/les-previsions-de-ferguson-qui-ont-conduit-de-nombreux-pays-a-se-confiner-etaient-elles-fantaisistes_1790061/

Les recommandations de l’OMS quant à l’utilisation des masques

Conseils sur le port du masque dans le cadre de la COVID-19 : orientations provisoires, OMS.

Janvier 2020 : Microsoft Word – Advice on the use of masks 2020-01-29_fr_14FEB2020_marissa.docx (who.int)

Avril 2020 : WHO-2019-nCoV-IPC_Masks-2020.3-fre.pdf

Juin 2020 : WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4-fre.pdf

00 : 12 : 27

L’inexactitude des chiffres diffusés – Hypoxie heureuse :

Article Science et Avenir, Les “happy hypoxics”, ces patients du Covid-19 qui ne se rendent pas compte qu’ils manquent d’oxygène (07/05/20)

https://www.sciencesetavenir.fr/sante/les-happy-hypoxics-ces-patients-du-covid-19-qui-ne-se-rendent-pas-compte-qu-ils-manquent-d-oxygene_144159

00 : 13 : 13

Évolution du nombre de morts entre Mars et Septembre en 2018, 2019 et 2020.

Courbe INSEE :

Évolution du nombre de décès depuis le 1ᵉʳ septembre 2020 − Nombre de décès quotidiens | Insee

00 : 13 : 33

Nombre total de morts de la Covid-19 dans le monde

Covid-19 Dashboard by the Center for Systems Science and Engineering (CSSE)

COVID-19 Map – Johns Hopkins Coronavirus Resource Center (jhu.edu)

00 : 13 : 46

Nombre total de tests effectués dans différents pays entre mars et octobre 2020

Graphique Total Covid-19 tests: Total COVID-19 tests (ourworldindata.org)

00 : 13 : 58

Explication des cycles de dépistage

https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Covid-19-les-tests-PCR-contestes-1713289

https://www.industrie-techno.com/article/baisser-le-seuil-de-detection-des-tests-rt-pcr-du-covid-19-pour-mieux-depister-les-individus-contagieux.61734

00 : 15 : 57

Les faux positifs

Article de Paris Match : Covid-19 : les tests PCR contestés (24/11/20)

Covid-19 : les tests PCR contestés (parismatch.com)

00 : 16 : 35

Le gouvernement tente de justifier le confinement

Article du Parisien : Coronavirus : quand Olivier Véran dessine un schéma pour expliquer la stratégie de la France face à l’épidémie (10/03/20)

Coronavirus : quand Olivier Véran dessine un schéma pour expliquer la stratégie de la France face à l’épidémie – Le Parisien

00 : 16 : 54

Une plainte a été déposée à l’ordre des médecins contre Didier Raoult

Vidéo BFM – (10/09/20) https://www.dailymotion.com/video/x7vy2q8

Proposition de Randy Hillier de créer des camps d’internements pour les malades du Covid

Article The Epoch Times : Covid-19 : des camps d’internement au Canada au printemps 2021 ? (06/11/20, Mis à jour le 07/11/20)

[Vidéo] Covid-19 : des camps d’internement au Canada au printemps 2021 ? | Epoch Times (theepochtimes.com)

Proposition de Randy Hillier de créer des camps d’internements pour les malades du Covid

Les camps au Canada => Site de Randy Hillier:

https://www.randyhilliermpp.com/20201007_question

Dépistage massif à Wuhan

L’article du test sur les asymptomatiques à Wuhan ; https://www.nature.com/articles/s41467-020-19802-w

00 : 20 : 29

Les mesures sanitaires contraignantes dans les écoles

Une du Canard Enchainé n°5207, “Un masque, une frousse et des crayons !” du 26 août 2020

Acheter un numéro du Canard enchainé à l’unité (lecanardenchaine.fr)

00 : 30 : 19

Allocution du Président de la République, 16 mars 2020

Site de l’Elysée : Adresse aux Français, 16 mars 2020 | Élysée (elysee.fr)

00 : 35 : 43

L’épidémie va durer

Emission BFM TV – Bourdin en direct – Jean-François Delfraissy face à Jean-Jacques Bourdin du 09 octobre 2020

Jean-François Delfraissy face à Jean-Jacques Bourdin en direct – 09/10 (bfmtv.com)

00 : 36 : 44

Comparatifs des morts par épidémie

Graphique “Comparatifs des morts dans le monde chaque année”

https://www.worldometers.info/fr/population-mondiale/

00 : 37 : 04

Les résultats de l’étude des sénateurs sur la gestion de la crise sanitaire H1N1

Rapport du Sénat du 26 juillet 2017

r16-6851.pdf (senat.fr)

00 : 37 : 44

Allocution d’Olivier Véran

Point de situation coronavirus – (28/02/20)

Point de situation coronavirus – 28 février 2020 – Vidéo Dailymotion

00 : 37 : 50

Interview de Sibeth Ndiaye

Le Grand Entretien, France Inter (04/03/2020)

Sibeth Ndiaye : “Au stade 3 de l’épidémie de coronavirus, on ne va pas arrêter la vie de la France” – YouTube

00 : 38 : 08

Allocution de Jérôme Salomon

Point de situation coronavirus, (18/03/20)

Point de situation coronavirus | mercredi 18 mars 2020 – Vidéo Dailymotion

00 : 38 : 15

Allocution de Jérôme Salomon

Point de situation coronavirus, (03/04/20)

Point de situation du vendredi 3 avril – Vidéo Dailymotion

00 : 38 : 22

Déclaration d’Olivier Véran à l’Assemblée Nationale

Questions au gouvernement (07/04/20)

Olivier Véran: “Il n’y a aucune décision de recommandation du port du masque à l’heure actuelle” pour la population (bfmtv.com)

00 : 38 : 31

Déclaration de Jérôme Salomon

Point de situation coronavirus, (22/04/20)

Jérôme Salomon, point de situation coronavirus du mercredi 22 avril – YouTube

00 : 38 : 36

Déclaration de Edouard Philippe à l’Assemblée Nationale

Compte rendu intégral de la séance du 28 avril sur la stratégie nationale du plan de déconfinement (28/04/20)

Assemblée nationale ~ Séance du mardi 28 avril 2020 (assemblee-nationale.fr)

00 : 38 : 38

Allocution du Président de la République, (14/07/20)

Site de l’Elysée : 14 juillet : l’interview du Président Emmanuel Macron | Élysée (elysee.fr)

00 : 41 : 17

Audition d’Olivier Véran au Sénat

Covid-19 : l’audition d’Olivier Véran, ministre de la Santé, devant la commission d’enquête du Sénat – YouTube

00 : 42 : 00

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le figaro, Coronavirus : 7560 personnes sont mortes en France du virus depuis le 1er mars (04/04/20)

EN DIRECT – Coronavirus : 7560 personnes sont mortes en France du virus depuis le 1er mars (lefigaro.fr)

00 : 42 : 05

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le Figaro, Coronavirus : 574 décès de plus en 24 heures, près de 15.000 morts en France (13/04/20)

EN DIRECT – Coronavirus : 574 décès de plus en 24 heures, près de 15.000 morts en France (lefigaro.fr)

00 : 42 : 09

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Libération, Coronavirus : presque 10 000 morts aux Etats-Unis (01/04/20)

Direct – Coronavirus : presque 10 000 morts aux Etats-Unis – Libération (liberation.fr)

00 : 42 : 13

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Les Echos, Coronavirus : la France a connu un pic de mortalité en mars

(03/04/20)

Coronavirus : la France a connu un pic de mortalité en mars | Les Echos

00 : 42 : 17

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Libération, Plus de 23 000 morts en France, selon le dernier bilan de lundi

(25/04/20)

Plus de 23 000 morts en France, selon le dernier bilan de lundi – Libération (liberation.fr)

00 : 42 : 22

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Libération, Coronavirus : l’épidémie a fait plus de 50 000 morts aux Etats-Unis

(20/04/20)

Direct – Coronavirus : l’épidémie a fait plus de 50 000 morts aux Etats-Unis – Libération

(liberation.fr)

00 : 42 : 27

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le Monde, Coronavirus dans le monde : plus de 100 000 morts recensés en Europe (18/04/20)

Coronavirus dans le monde : plus de 100 000 morts recensés en Europe

00 : 42 : 32

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le Parisien, Coronavirus en France : 395 nouveaux décès, près de 20000 morts au total (19/04/20)

Coronavirus en France : 395 nouveaux décès, près de 20000 morts au total – Le Parisien

00 : 43 : 22

Les journalistes sont perdus sur les nombre de morts

Article de Libération, Coronavirus : au moins 800 000 morts dans le monde – Le Parisien (22/08/20)

Coronavirus : au moins 800 000 morts dans le monde – Le Parisien

00 : 43 : 26

Où sont les morts de la grippe ?

Article de Libération, La grippe a-t-elle fait 70 morts cet hiver comme l’a dit France 2, ou plusieurs milliers ? (12/03/20)

La grippe a-t-elle fait 70 morts cet hiver comme l’a dit France 2, ou plusieurs milliers? – Libération (liberation.fr)

00 : 44 : 11

La Covid fait flamber le prix des consultations

Site de l’Assurance maladie, 27 novembre 2020

Les médecins au cœur du circuit de « contact tracing » des patients Covid-19 | ameli.fr | Médecin

00 : 46 : 05

Le Pr Perronne alerte sur les chiffres apocalyptiques

Livre du Professeur Christian Perronne – Y’a t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? – Edition Albin Michel, 2020

00 : 47 : 56

Le masque de papier

Les guignols de l’info, Canal+, sketch “Le masque de papier”, (10/09/ 2009)

00 : 49 : 16

Site d’analyse de tous les articles sur tous les traitements

Site c19study.com

00 : 52 : 02

La chloroquine est réservée aux spécialistes

Décret n° 2020-314 du 25 mars 2020

Décret n° 2020-314 du 25 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire – Légifrance (legifrance.gouv.fr)

00 : 52 : 33

L’utilisation de la chloroquine est réservée pour les cas graves

Une du Canard enchaîné, N° 5187, Un nouveau slogan : “Pestez chez vous!” – (08/04/20)

00 : 54 : 59

Le fonctionnement de l’hydroxy chloroquine

Audition d’Agnès Buzyn à l’Assemblée Nationale

[INTEGRAL] Coronavirus : Agnès Buzyn devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale – YouTube

00 : 55 : 56

La sonnerie de clairon du gouvernement sur la dangerosité de l’hydroxy chloroquine

Covid-19: le point de situation du 28 mars

REPLAY – Covid-19: le point de situation du 28 mars – YouTube

00 : 56 : 06

La balance bénéfices/risques de la chloroquine

Emission BFM TV – Bourdin en direct – Karine Lacombe face à Jean-Jacques Bourdin en direct du 28 mai 2020

Karine Lacombe face à Jean-Jacques Bourdin en direct – 28/05 (bfmtv.com)

00 : 58 : 53

Karine Lacombe a été payée par des laboratoires

Base de données euros for docs

Vision par Professionnel bénéficiaire | Euros For Docs

01 : 14 : 32

Le remdesivir est réservé aux soins palliatifs

Covid-19: le point de situation du 28 mars

REPLAY – Covid-19: le point de situation du 28 mars – YouTube

01 : 21 : 24

La CIA avait prévue une future pandémie mondiale

Livre d’Alexandre Adler – Le rapport de la CIA, comment sera le monde en 2020 ? – Edition Robert Laffont – 2005

01 : 22 : 27

La fondation Rockefeller, spécialiste des scénarios apocalyptique

Scenarios for the Future of Technology and International Development

Rockefeller Foundation.pdf (nommeraadio.ee)

01 : 25 : 37

Attali affirme qu’Emmanuel Macron pourra être président un jour

Emmanuel Macron “présidentiable” pour Jacques Attali, BFM TV, (27/08/2014)

Emmanuel Macron “présidentiable” pour Jacques Attali – YouTube

01 : 25 : 55

Attali tire les leçons de la crise de H1N1

L’express – Conversation avec Jacques Attali

Changer, par précaution | Conversation avec Jacques Attali – Lexpress

01 : 30 : 16

Gilead rafle la mise sur le remdesivir

Journal Les Echos, Face à la pénurie, la Commission européenne commande plus de 500.000 doses de remdesivir à Gilead (07/10/20)

Face à la pénurie, la Commission européenne commande plus de 500.000 doses de remdesivir à Gilead | Les Echos

01 : 30 : 45

Gilead se voit valorisé après une fusion

Article de Stratégie Bourse du 09/06/20

AstraZeneca envisage de fusionner avec Gilead (strategie-bourse.com)

01 : 30 : 54

Le business plan des laboratoires

Les guignols de l’info, Canal+, sketch “Léger prix des vaccins pour la grippe aviaire”, 11 octobre 2005

Léger prix des vaccins pour la grippe aviaire – Les Guignols – CANAL+ – YouTube

01 : 33 : 12

L’étude Discovery annulée

Article Le Monde, Coronavirus : l’essai clinique Discovery englué faute de coopération européenne, (07/05/20)

Coronavirus : l’essai clinique Discovery englué faute de coopération européenne (lemonde.fr)

01 : 33 : 14

L’étude Discovery annulée

Article L’Humanité : Essais cliniques L’étude Discovery, ou le fiasco de la coopération européenne (04/05/20)

Essais cliniques L’étude Discovery, ou le fiasco de la coopération européenne | L’Humanité (humanite.fr)

01 : 33 : 20

Barrage à l’hydroxychloroquine

Gautret et al. (2020) Hydroxychloroquine and azithromycin as a treatment of COVID‐19: results of an open‐label non‐randomized clinical trial. International Journal of Antimicrobial Agents – In Press 17 March 2020 – DOI : 10.1016/j.ijantimicag.2020.105949

Hydroxychloroquine and azithromycin as a treatment of COVID-19 – IHU (mediterranee-infection.com)

01 : 34 : 11

Une plainte a été déposée à l’ordre des médecins contre Didier Raoult

Vidéo BFM – (10/09/20)

01 : 36 : 02

Gilead vend pour 220 millions d’euros de doses à l’Union Européenne

Article de Marianne : Remdésivir inefficace : comment la Commission européenne s’est laissée séduire par Gilead, (05/12/20)

Remdésivir inefficace : comment la Commission européenne s’est laissée séduire par Gilead (marianne.net)

01 : 36 : 06

Le remdésivir jugé inefficace et dangereux

Article de Industrie Pharma, Covid-19 : L’utilisation du remdesivir de Gilead remise en cause par l’OMS (20/11/20)

Covid-19 : L’utilisation du remdesivir de Gilead remise en cause par l’OMS (industriepharma.fr)

01 : 36 : 20

Gilead voit son chiffre d’affaire trimestriel augmenter de 17%

Article de The New England Journal of Medicine, Persistence and Evolution of SARS-CoV-2 in an Immunocompromised Host (03/12/20)

Persistence and Evolution of SARS-CoV-2 in an Immunocompromised Host | NEJM

01 : 37 : 21

Martin Blachier, homme d’affaire et épidémiologiste

Site Accueil | Monsite (ph-expertise.com)

01 : 39 : 52

Fauci, chercheur sur les transmission des virus inter-espèces

NIH Director’s Blog, President’s Visit to NIH Highlights Research on Ebola, (02/12/14)

President’s Visit to NIH Highlights Research on Ebola – NIH Director’s Blog

01 : 40 : 18

Les travaux de Fachi jugés dangereux

Newsweek : Dr. Fauci Backed Controversial Wuhan Lab with U.S. Dollars for Risky Coronavirus Research, (28/04/20)

Dr. Fauci Backed Controversial Wuhan Lab with U.S. Dollars for Risky Coronavirus Research (newsweek.com)

01 : 41 : 29

Un virus échappé d’un laboratoire américain

Article de Military.com, CDC Inspection Findings Reveal More about Fort Detrick Research Suspension (24/11/19)

CDC Inspection Findings Reveal More about Fort Detrick Research Suspension | Military.com

01 : 41 : 39

Un laboratoire fermé après qu’un virus se soit échappé

Article de Mediapart,Investigation COVID19 : la remarquable (et peut-être…) fortuite coïncidence! (05/05/20)

Investigation COVID19 : la remarquable (et peut-être…) fortuite coïncidence! | Le Club de Mediapart

01 : 45 : 21

Le nombre de morts par l’AFP

Article de Courrier Picard, Covid-19: plus de 26.000 nouveaux cas en 24H, 2.761 personnes en réanimation, (26/10/20)

Covid-19: plus de 26.000 nouveaux cas en 24H, 2.761 personnes en réanimation (courrier-picard.fr)

01 : 45 : 46

Fabrice Fries élu à la tête de l’AFP

Article de Libération, Fabrice Fries élu PDG de l’AFP à l’arraché, (12/04/18)

Fabrice Fries élu PDG de l’AFP à l’arraché – Libération (liberation.fr)

01 : 45 : 57

Montant total de la dotation de Le Monde en 2019 et 2020

Fondation Bill et Melinda Gates

Le Monde – Bill & Melinda Gates Foundation

01 : 46 : 14

L’Etat débloque une grosse enveloppe pour les médias

Article Les Echos, Coronavirus : le gouvernement a débloqué 2 milliards pour les médias, (05/07/20)

Coronavirus : le gouvernement a débloqué 2 milliards pour les médias | Les Echos

01 : 47 : 23

Qui dirige les médias ?

Schéma “Médias, Qui possède quoi ?”

Médias français, qui possède quoi ? (Le Monde diplomatique, décembre 2020) (monde-diplomatique.fr)

01 : 49 : 12

L’origine probable du virus

Document du CNRS : Le séquençage du nouveau coronavirus révèle une subtile différence avec le SRAS (11/02/2020)

Le séquençage du nouveau coronavirus révèle une subtile différence avec le SRAS | CNRS

01 : 49 : 16

L’origine probable du virus

Science Direct, The spike glycoprotein of the new coronavirus 2019-nCoV contains a furin-like cleavage site absent in CoV of the same clade, (Avril 2020)

The spike glycoprotein of the new coronavirus 2019-nCoV contains a furin-like cleavage site absent in CoV of the same clade – ScienceDirect

01 : 49 : 49

Le virus est d’origine naturelle selon Zheng Li Shi

Nature, A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin (17/09/20) A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin | Nature

01 : 50 : 38

Le virus aurait été fabriqué en laboratoire

Article MaxiSciences.com, Une virologue chinoise dit avoir des “preuves” que le Covid-19 a été fabriqué en laboratoire (18/09/20)

Coronavirus : la virologue chinoise Li-Meng Yan dit avoir des “preuves” que le Covid-19 a été fabriqué dans un laboratoire à Wuhan (maxisciences.com)

Le virus aurait été fabriqué en laboratoire

Science, Enhancing host cell infection by SARS-CoV-2, (13/11/20)

Enhancing host cell infection by SARS-CoV-2 | Science (sciencemag.org)

01 : 54 : 39

Disparition de tubes contenant le virus du SRAS

Article Le Monde, La mystérieuse disparition de 2349 tubes contenant du virus SRAS, (15/04/14)

La mystérieuse disparition de 2 349 tubes contenant du virus SRAS (lemonde.fr)

01 : 54 : 44

Virus transporté clandestinement

Article Le Parisien, Virus mortel transporté clandestinement : la chercheuse de Pasteur se défile, (23/03/17)

Virus mortel transporté clandestinement : la chercheuse de Pasteur se défile – Le Parisien

01 : 54 : 49

Intrusion dans un laboratoire P4

Article 20 Minutes, Lyon : un SDF s’introduit dans le laboratoire haute sécurité P4, (22/03/16)

Lyon : Un SDF s’introduit dans le laboratoire haute sécurité P4 (20minutes.fr)

01 : 54 : 58

La piste du labo reste l’origine la plus probable

Article du Daily Mail : China lab leak is the ‘most credible’ source of the coronavirus outbreak, says top US government official, amid bombshell claims Wuhan scientist has turned whistleblower (02/01/21)

Lab leak is the ‘most credible’ source of the coronavirus outbreak, says top US government official | Daily Mail Online

01 : 55 : 02

Une de Libération du 13 novembre 2020

Article de libération : Hold-Up, le virus du complot (13/11/20)

“Hold-up” : Le virus du complot. 13 novembre 2020 – Liberation

01 : 55 : 12

Une étude indienne suggère que le virus pourrait venir d’un labo

bioRxiv, Discovery of unique insertions in Covid-19 : structural and functionnal implications, Uncanny similarity of unique inserts in the 2019-nCoV spike protein to HIV-1 gp120 and Gag | bioRxiv

01 : 55 : 43

La théorie de la création du virus en laboratoire réfutée par des scientifiques

Article Le Monde, Non, le Covid-19 n’est pas une “combinaison du SRAS et du sida”. (09/03/20)

Non, le Covid-19 n’est pas une « combinaison du SRAS et du sida » (lemonde.fr)

01 : 55 : 53

La théorie de la création du virus en laboratoire réfutée par des scientifiques

Article Le Parisien, Coronavirus et VIH : pourquoi la théorie du Pr Luc Montagnier est invraisemblable (17/04/20)

Coronavirus et VIH : pourquoi la théorie du Pr Luc Montagnier est invraisemblable – Le Parisien

01 : 57 : 03

Une nouvelle méthode pour modifier l’ARN

Science et Avenir, Après l’ADN par CRISPR-Cas9, on sait modifier l’ARN grâce à CRISPR-Cas13, (25/10/17)

Après l’ADN par CRISPR-Cas9, on sait modifier l’ARN grâce à CRISPR-Cas13 – Sciences et Avenir

01 : 57 : 14

Les nanotechnologies vont permettre de “bricoler le vivant”

Conférence de Laurent Alexandre, La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI,

La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI – YouTube

02 : 05 : 16

Le Forum économique de Davos

World Economic forum

How US foreign policy will shape the ‘Great Reset’ | World Economic Forum (weforum.org)

02 : 06 : 26

Attali soutient que l’on se dirige vers un gouvernement mondial

Arrêt sur Images – 2010

“Il faudra un gouvernement mondial. Après, ou à la place de la guerre ?” [Avent2020] – Par La rédaction | Arrêt sur images (arretsurimages.net)

02 : 06 : 39

Le Brevet nanoparticules et cryptomonnaie

Brevet Microsoft (22/05/20)

Un message pour la Journée Internationale de la Diversité Biologique, le 22 mai 2020 – Navdanya international

02 : 08 : 22

La vérité sur la 5G

Publicité Free (2020)

Free Mobile – 5G : La Vérité – YouTube

02 : 11 : 18

Scenarios for the Future of Technology and International Development

Rockefeller Foundation.pdf (nommeraadio.ee)

02 : 11 : 29

Les maladies graves découlant du Covid 19 seraient causées par des cellules colonisatrices

ncbi, Predominant Role of Bacterial Pneumonia as a Cause of Death in Pandemic Influenza: Implications for Pandemic Influenza Preparedness (01/10/2008)

Predominant Role of Bacterial Pneumonia as a Cause of Death in Pandemic Influenza: Implications for Pandemic Influenza Preparedness (nih.gov)

02 : 17 : 37

Laurent Alexandre – Global Postiv Forum

Global Positive Forum – Laurent Alexandre – French – YouTube

02 : 19 : 05

Présentation du PDG de Twitter

Site de Berggruen

You searched for – Berggruen Institute

02 : 19 : 27

Envol du cours boursier de Square

Cours boursier de Square

Square, Inc. Class A Common Stock (SQ) Stock Quotes | Nasdaq

02 : 20 : 03

Les personnalités appartenant à l’Institut Berggruen

Site du Bergguren Institute

The Transformations of the Human – Our Work – Berggruen Institute

02 : 21 : 16

Les dieux et les inutiles

Conférence de Laurent Alexandre aux élèves de Polytechnique (12/02/19)

Table ronde de l’X sur le Transhumanisme – YouTube

02 : 27 :00

Recherche des déterminants génétiques de l’intelligence

Conférence de Laurent Alexandre : Conférence “La techno-médecine” à L’USI – 2013

La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI – YouTube

02 : 28 : 21

Ce dont j’ai le plus peur, c’est la peur”

André Comte-Sponville sur RTL (8/09/20)

Coronavirus : “Je n’ai pas peur de la Covid-19”, assure le philosophe André Comte-Sponville – YouTube

02 : 36 : 22

Le pire bilan en France en un jour ?

Article La dépêche – Coronavirus : 523 morts en 24 heures, pire bilan en France depuis avril, et un nombre de cas qui explose en Occitanie (27/10/20)

Coronavirus : 523 morts en 24 heures, pire bilan en France depuis avril, et un nombre de cas qui explose en Occitanie – ladepeche.fr

02 : 36 : 36

Rectificatif de l’information du 27/10/20

Article France Info – RECTIFICATIF. Covid-19 : 288 personnes sont mortes de l’épidémie en 24 heures dans les hôpitaux en France et 235 en quatre jours dans les établissements médico-sociaux (27/10/20)

RECTIFICATIF. Covid-19 : 288 personnes sont mortes de l’épidémie en 24 heures dans les hôpitaux en France et 235 en quatre jours dans les établissements médico-sociaux (francetvinfo.fr)

02 : 36 : 42

Spot de sensibilisation aux gestes barrières

Spot de sensibilisation du gouvernement

Le spot “choc” du gouvernement pour le respect des gestes barrières – Vidéo Dailymotion

02 : 38 : 24

L’exploit de Florian Gomet

Article L’Equipe – Aventure : 3 500 km et 80 jours à courir sans chaussures, Florian Gomet raconte (27/09/20)

Aventure : 3 500 km et 80 jours à courir sans chaussures, Florian Gomet raconte – L’Équipe (lequipe.fr)

02 : 45 : 42

Des vaccins prêts en 12 à 18 mois

Emission BFM TV – Good moring Business – Thierry Breton (Commissaire européen) : Brexit, vers un “no deal” ? – (21/12/20)

Thierry Breton (Commissaire européen) : Brexit, vers un “no deal” ? – 21/12 (bfmtv.com)

02 : 46 : 19

Les vaccins vont être testés sur toute la population européenne

Commission Européenne – Roadmap of vaccination (03/2019)

2019-2022_roadmap_en.pdf (europa.eu)

02 : 46 : 45

Investissement massif dans une entreprise de fabrication de bouteilles de vaccins

Les Echos – Schott, le passeur du vaccin anti-Covid (04/12/20)

Schott, le passeur du vaccin anti-Covid | Les Echos

02 : 47 : 11

Aucun traitement n’est utile contre le virus ?

Site de l’ANSM

L’ANSM mobilisée dans la mise à disposition des vaccins COVID-19 – ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (sante.fr)

02 : 47 : 33

Interdiction du Remdesivir

L’OMS ne recommande pas l’administration de remdesivir aux patients COVID-19

(20/11/20)

L’OMS ne recommande pas l’administration de remdesivir aux patients COVID-19 (who.int)




La ruée vers les vaccins, immense manipulation organisée ?

Par Nicole Delépine

Une armée de grandes entreprises biotechnologiques utilise des tactiques psychologiques pour « créer une demande de vaccins(([1] https://www.lifesitenews.com/news/an-army-of-big-biotech-companies-is-using-psych-tactics-to-create-vaccine-demand 7 MAI 2021)) », analyse Céleste McGovern dans son article du 7 mai 2021. Nous l’avons lu avec intérêt et reconnu ce que nous vivons en France quasiment à la lettre. Nous vous en livrons ici les principaux extraits pour nous aider à comprendre ce qui arrive à notre entourage privé et/ou professionnel.

Nous sommes nombreux à nous demander quelle folie furieuse pousse tant de gens apparemment censés à se ruer vers des pseudo vaccins expérimentaux, aux effets — à court et surtout à long terme — inconnus pour une maladie en voie de disparition et qui surtout tue peu(([2] En tous cas moins que la grippe asiatique qui n’a pas été utilisée pour créer la panique et imposer des mesures antidémocratiques)) en dehors des personnes très âgées ayant déjà dépassé l’espérance de vie moyenne.

Non, vos amis, vos relations, nous-mêmes… ne sommes pas fous, mais victimes d’une monstrueuse entreprise de manipulation bien rodée et efficace. Pour notre malheur à tous, si nous n’arrivons pas à nous réveiller et nous faire revenir à la réalité des faits avérés.

Pauvre Sidonie

Ainsi comment expliquer que notre amie Sidonie qui vient de perdre son père brutalement trois jours après sa première injection de Pfizer se fasse vacciner quand même, alors qu’elle n’a que trente ans et donc aucun risque de mourir du covid, en tous cas beaucoup moins que lorsqu’elle traverse la rue ?

Bien sûr, le médecin de Sidonie appliquant les recommandations du conseil de l’ordre fidèle à ses antécédents vichyssois lui a affirmé que rien ne prouvait que le vaccin soit responsable. Simple coïncidence temporelle ! Dormons tranquille, sans signalement d’effet secondaire par le médecin (dissuadé par les démarches administratives et sa peur de passer pour un antivax(([3] Car comme l’a rappelé une ministre de la santé aux députés « en France la vaccination ne se discute pas »))) ni par la famille (qui ignore qu’elle pouvait le faire directement à l’agence française, et/ou européenne). La fréquence importante des non-signalements fait supposer que les 10 000 décès recensés par l’EMA et publiés sur Eudravigilance sont très sous-estimés parce que beaucoup de Sidonie sont crédules et se taisent et ne croient pas à ces documents pourtant très officiels.

Bref, Sidonie est une fille intelligente, mais aveuglée par la propagande mondiale massive. Et puisqu’on le préconise partout, n’est-ce pas ? Que s’est-il passé ?

LE DÉBUT DE LA MANIPULATION AUX USA

Les USA sont inondés par un excédent de vaccins contre le coronavirus, car l’épidémie est en forte régression depuis janvier 2021, bien avant que la vaccination qui touchait à cette époque moins de 5 % de la population puisse infléchir l’évolution de la maladie. Le nombre hebdomadaire de contaminations est passé de 1 745 361 dans la semaine du 4 janvier à 235 638 dans la semaine du 11 mai entraînant la suppression des mesures sanitaires dans la majorité des États, le refus du pass vaccinal et une baisse soudaine de la demande vaccinale.

Pour éviter la perte brutale d’un marché si prometteur, une armée d’agences de communication a été mobilisée pour combattre « l’hésitation vaccinale ». Elle utilise un marketing de masse pour « créer de la demande » en utilisant la surveillance, l’analyse rapide des données, le contrôle des médias, et une foule de stratégies de contrôle du comportement décrites dans leurs livres de jeux comportementaux.

LES CENTRES DE VACCINATION LARGEMENT DÉLAISSÉS

Aux USA, la demande chute après une phase de vaccination importante : 40 % de la population adulte aurait été entièrement vaccinée, selon les données des Centers for Disease Control and Prevention (CDC). La demande a chuté de 25 % après un pic à la mi-avril, et que 56,4 % des adultes aient reçu au moins une dose. Mais cinq millions de personnes — environ huit pour cent de ceux qui ont pris une première dose — ont boudé leurs rendez-vous de deuxième dose, selon les CDC.

Le stock excédentaire de vaccins s’accumule partout au pays. Chaises vides dans un site de vaccination de masse de Philadelphie où 4 000 doses inutilisées de vaccins devaient expirer. Un million de doses, représentant le quart des doses envoyées en Louisiane par le gouvernement fédéral, étaient en attente de volontaires.

Un comté du Wyoming a demandé à l’État d’arrêter l’expédition des vaccins. La Caroline du Nord a fermé ses cliniques de vaccination faute de demande.

« Pour la première fois, nous avons eu des rendez-vous dans de nombreux sites de vaccination non remplis », a déclaré pour le comté de Los Angeles, le directeur de la santé publique Barbara Ferrer lors d’un point de presse début mai. « Il y a beaucoup de gens ici qui ne veulent plus recevoir le vaccin », a dit Ralph Merrill, un ingénieur qui siège à un conseil d’administration du comté de l’Alabama.

LA PEUR DU VACCIN DÉPASSE LA PEUR DU VIRUS

Beaucoup d’États américains républicains ont utilisé les traitements précoces efficaces(([4] Harvey Risch Early Outpatient Treatment of Symptomatic, High-Risk COVID-19 Patients That Should Be Ramped Up Immediately as Key to the Pandemic Crisis Am J Epidemiol. 2020 27 mai)) et cet élément, jamais évoqué, contribue sûrement au rejet du vaccin perçu comme inutile aux citoyens informés.

« De nombreux médias traditionnels s’inquiétaient de “l’hésitation vaccinale”, blâmant « le négationnisme covid-19« , les « théories du complot » et les partisans de QAnon, les partisans de Trump et la méfiance des minorités à l’égard du gouvernement avec son histoire brutale d’eugénisme raciste. » 

Bien d’autres explications pourraient être à l’origine de ce scepticisme par rapport au vaccin : beaucoup ne croient plus à l’efficacité du vaccin et surtout depuis que Harvey Risch, professeur d’épidémiologie à Yale a révélé que d’après de nombreux médecins la majorité des personnes atteintes récemment du covid-19 avaient déjà été vaccinées(([5] https://www.lifesitenews.com/news/yale-public-health-professor-suggests-60-of-new-covid-19-patients-have-received-vaccine))!

La connaissance progressive des effets secondaires dissuasifs

Oubliée aussi la principale raison du refus de vaccin citée par 45 % des sondés en mars par le Groupe Delphi pour les chercheurs de Facebook, la crainte d’effets secondaires.

Les effets indésirables signalés fin avril 2021, 118 746 au total rien que pour les États-Unis, dont 3 410 décès et 1 595 incapacités permanentes, sont un moyen de dissuasion légitime.

L’arrêt brutal en Afrique du Sud et dans plusieurs états européens du vaccin d’AstraZeneca pour son taux élevé de complications graves et la pause du Johnson and Johnson n’a rien fait pour rassurer.

« Beaucoup de gens craignent simplement le nouveau vaccin plus que le nouveau virus qui, selon les CDC, a un taux global de survie de 99,4 % pour les personnes âgées de 50-65 ans qui attrapent l’infection.

Les risques augmentent à mesure que les gens vieillissent, mais diminuent si les gens sont plus jeunes. Pour les moins de 18 ans, le taux de létalité du coronavirus estimé par les CDC est de 0,000 02, ce qui se traduit par un taux de survie covid de 99,98 %.

En fait, pour les moins de 18 ans, les chances à vie d’être frappés par la foudre sont plus élevées que les chances de mourir du virus. »

LE FORCING DE L’ADMINISTRATION BIDEN

Pourtant l’administration Biden comme l’UE fait le forcing pour vacciner. Biden  veut que 70 % de tous les Américains obtiennent leur première dose d’ici le 4 juillet. Il vise particulièrement les jeunes alors que ce vaccin n’a aucun intérêt pour eux.Il n’hésite pas à mentir en prétendant « se faire vacciner non seulement vous protège, mais réduit le risque de donner le virus à quelqu’un d’autre », ligne classique de « marketing social », script d’une industrie mondiale des experts du changement de comportement obligeant les gens à plier.

Observatoire de la demande de vaccination(([6] Vaccination Demand Observatory)) (([7] « Together with UNICEF, the Vaccination Demand Observatory unites experts from multiple sectors to support global communities with increased vaccine demand and reduce the impact of misinformation »))

« L’Observatoire a été créé avec un groupe appelé “projets de bien public” (PGP) qui “conçoit et met en œuvre des programmes de changement de comportement à grande échelle pour le bien public”, en association avec l’UNICEF — qui a reçu 86,6 millions de dollars de la Fondation Bill et Melinda Gates depuis 2020 — et l’Institut Yale pour la santé mondiale, subventionné aussi par Gates.

PGP (public good projects) a été fondée par Joe Smyser, universitaire en santé publique ayant suivi une formation au CDC et associé à Google et Facebook. Des membres du conseil d’administration comprennent des dirigeants de Merck Pharmaceuticals, Pepsi, Lévi-Strauss, le Advertising Council, Sesame Street, Campbell’s et TikTok. »

L’Observatoire gère un « tableau de bord bêta » de données et de ressources « destiné à certains professionnels de la santé publique mondiale ». Le site Web de PGP indique que grâce à « la surveillance des médias et les bots, l’organisation des médias sociaux de base ou le leadership de la pensée, nous déployons des ressources considérables et connexions à la communication pour le changement ».

Les bots — ou robots Internet, également connus sous le nom de robots d’exploration — peuvent numériser du contenu sur des pages Web partout sur Internet et créer des conversations et des commentaires automatisés.

« PGP surveille les conversations avec les médias liés au coronavirus 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, afin de fournir aux organisations une expertise en temps réel en matière de santé publique et des conseils en matière de messagerie. »

« Le danger supposé de la maladie doit être souligné, car « si les gens perçoivent qu’ils sont à faible risque de contracter covid-19, ou que les conséquences de l’infection ne seront pas graves, ils seront moins disposés à se faire vacciner. »

Ce groupe avait déjà fait la promotion de vaccins et avait développé la campagne #StopFlu, recrutant 120 influenceurs de médias sociaux dans les « communautés afro-américaines et latines à travers huit États », leur donnant des incitations à vendre à leur public les idées que la grippe est un problème grave et que les personnes en bonne santé ont besoin de vaccins contre la grippe.

L’Observatoire PGP vise à « atténuer la méfiance à l’égard de tous les vaccins ».

Vous reconnaissez à travers cette description les messages rabâchés 24 h/24 à la télé, sur les radios habituelles et même sur vos magazines y compris les messages subliminaux en haut d’écran sur n’importe quel programme. L’information équilibrée, factuelle, a disparu complètement au profit d’une propagande permanente, organisée et financée par les milliardaires au service de la Bourse et Big Pharma et de leurs intérêts.

Les « trois piliers » du programme de manipulation sont :

  • l’analyse de l’écoute sociale,
  • un programme de formation
  • un « laboratoire d’intervention d’acceptation des vaccins » (VAIL) pour « tirer parti de la recherche comportementale et sociale et des idées de l’écoute sociale » et développer des « messages d’incitation pour vacciner les gens contre ladite désinformation vaccinale ». Ceux-ci seraient « testés rapidement sur le terrain pour l’impact du ton, du format et du changement de comportement avant d’être mis en œuvre ».

L’INFODÉMIOLOGIE

En 2020, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a créé un nouveau domaine de santé publique appelé « infodémiologie » — la « science de la gestion de l’infodémocratie ».

Le PGP et l’UNICEF dirigent le « Programme de formation des infodémiologistes sur le terrain » basé dans les bureaux des pays de l’UNICEF, les bureaux gouvernementaux, et les bureaux d’autres « partenaires multilatéraux » afin de former des « gestionnaires infodémocratiques sur le terrain » afin de mener une « surveillance de la santé publique contre la désinformation » et de fournir ‘un soutien communautaire dans les « flambées de désinformation ».

LA PRÉTENDUE DÉSINFORMATION APPELÉE COMPLOTISME

Bien sûr, vous aurez compris qu’est qualifié de « désinformation » tout ce qui n’est pas le message décidé par les dealers de vaccins et leurs soutiens. Donc toutes les informations sur les faits avérés, les résultats réels concernant l’efficacité des vaccins et la réalité des effets secondaires sont considérées et nommées désinformation, complotisme, etc.

Vous avez tous su que Facebook a supprimé officiellement les posts et les comptes informant sur des effets secondaires des vaccins par exemple. Twitter a bloqué quelques jours des comptes ayant seulement rapporté l’information donnée par le ministre de la Santé français disant que le vaccin ne protège pas de nouvelles contaminations ni du Covid. Le ministre n’était pourtant pas devenu complotiste et il répondait à une demande du Conseil d’État fin mars.

Le réseau mondial de Big Biotech et la Normalisation de la Vérité tels qu’Orwell l’avait décrit

Parmi l’énorme réseau d’organisations et de programmes impliqués dans la commercialisation massive de la demande de vaccins — outre l’OMS, les CDC, l’UNICEF, le PGP et Yale — les principaux orchestrateurs reposent sur une nouvelle campagne internationale formée par un « nombre sans cesse croissant de partenaires des secteurs public et privé », y compris PGP, Google et BIO.

« Qu’il s’agisse de désinformation vaccinale ou de déni du changement climatique, nous assistons à une dangereuse souche de rhétorique anti-scientifique qui s’accroît en ligne », peut-on lire sur leur site Web. « Notre but est de couper les rumeurs et normaliser la vérité. »

Nous pouvons évidemment écrire rigoureusement le contraire, mais le monde d’Orwell est celui de l’inversion des valeurs (rappelez-vous la paix, c’est la guerre, etc..). Et la campagne provaccin covid n’y échappe pas. Examinons les acteurs de cette vaste manipulation mondiale en faveur de la vaccination anticovid par des médicaments en essai thérapeutique en cours (première évaluation 2023).

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Une énorme « association » de multinationales

  • BIO – Biotechnology Innovation Organisation (BIO), est la plus grande association de défense des biotechnologies au monde représentant des entreprises membres, y compris les fabricants de vaccins Pfizer Inc., Moderna Therapeutics Inc., Johnson & Johnson, Janssen Biotech et GlaxoSmithKline, ainsi que de grandes entreprises agricoles comme Monsanto et des institutions universitaires et des « organisations connexes ».
  • Le projet RCAID créé par PGP pour « Rapid Collection Analysis Interpretation and Dissemination » — fournit « un suivi médiatique en temps réel avec des analyses quotidiennes d’experts en santé publique ».
  • Zignal Labs une « plate-forme d’intelligence des médias » pour « concevoir des messages » et « prendre le contrôle de récits menaçants avant qu’ils n’émergent ».
  • Family Health International ou FHI 360(([8] FHI 360 is an international nonprofit working to improve the health and well-being of people in the United States and around the world.)) :

« organisation qui utilise la psychologie sociale, l’anthropologie, l’économie comportementale, le marketing social et d’autres sciences comportementales » pour effectuer des changements de comportement chez les populations.

Elle a reçu des dizaines de millions de dollars de la Fondation Bill et Melinda Gates pour « créer une demande de contraceptifs à action longue » dans les pays pauvres. Ses donateurs comprennent également les CDC, la Banque mondiale et le fabricant de vaccins Johnson & Johnson. Il est maintenant associé à créer une demande de vaccins covid-19. »

Nous constatons l’énorme réseau d’entreprises plus riches les unes que les autres, organisé pour manipuler nos cerveaux à travers une ingénierie sociale très élaborée.

LA GESTION INFODÉMOCRATIQUE

Jeff French, professeur à l’Université de Brighton et auteur de Strategic Social Marketing : For Behaviour and Social Change,(([9] Strategic Social Marketing: For Behaviour and Social Change Second Edition by Jeff French and Ross Gordon )) dont le texte est mentionné dans la plupart des guides de marketing de masse des vaccins, domine le sujet. Ses conseils ont inspiré une grande partie de la vente standard du vaccin pandémique :

« Une campagne efficace contre l’hésitation vaccinale devrait se concentrer sur les dangers de la maladie » et « s’appuyer sur le puissant facteur de motivation de la peur de la perte ainsi que sur la possibilité d’un gain de santé positif »

Faire appel aux émotions puisque les données seules ne suffiront pas.

Ne placez pas les événements indésirables au centre des « efforts de création de la demande », mais « assurez-vous de les contextualiser » et aidez le public à comprendre que « la plupart seront rares et de durée limitée ».

« Toute stratégie de gestion et d’engagement des médias qui est élaborée devra inclure des points de presse proactifs et roulants, la génération d’histoires, les flux éditoriaux… et devra également inclure des systèmes de surveillance des médias 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 et des systèmes de réfutation et de correction. »

PROPAGANDE MONDIALE COORDONNÉE : GOEBBELS EN SERAIT JALOUX

Ces messages américains correspondent complètement au schéma de propagande suivi par les médias français et rien ne doit vous surprendre dans cet exposé, en dehors du fait qu’ils sont tellement bien préparés et bien organisés, qu’ils démontrent, si besoin en était, qu’il n’y a aucun rapport dans ces arguments avec un quelconque problème sanitaire, mais bien uniquement un projet marketing.

Les citoyens qui travaillent dans le commerce auraient dû pouvoir s’en rendre compte plus rapidement que la personne lambda qui ne connaît rien à la stratégie de vente de Nutella ou d’aspirateurs.

Mais ici l’entreprise de conditionnement de la population mondiale est telle qu’ils n’en ont peut-être pas vu le lien… Probablement trop énorme, trop monstrueux, pour que nos cerveaux normaux, non pervers, puissent l’accepter. Vraiment incroyable.

Le programme d’intoxication mondiale se poursuit par les conseils suivants :

  • « Les autorités devraient avoir des « accords » sur “comment et quand les informations considérées comme trompeuses et les défenseurs de ces informations devraient être supprimés et signalés comme étant problématiques sur les médias sociaux” ».
  • « Répéter un message positif qui met l’accent sur les avantages protecteurs (individuels, familiaux et communautaires) du vaccin et sur la perte associée au fait de ne pas être vacciné (décès, mauvaise santé, perte de liberté et de solidarité sociale, incapacité de voyager », etc.)
  • « Être partenaire » avec l’industrie pharmaceutique, et d’autres organismes à but lucratif, et les ONG pour promouvoir les vaccins.
  • « Rechercher des interventions » auprès des principaux dirigeants de la communauté anti-vaccination et « chercher à transformer ces informateurs en défenseurs de la vaccination ».
  • « Continuez à promouvoir d’autres comportements protecteurs tels que le lavage des mains et la distanciation physique. »
  • « Intégrer les incitations financières et non financières… » ainsi que des sanctions en cas de non-conformité en imposant des restrictions aux voyages, à l’éducation ou à l’emploi.

Rien ne vous surprend

Nous avons déjà signalé comment les promoteurs des vaccins se comportent comme s’ils vendaient du coca cola ou du mac do. Les petits cadeaux, les chèques bons d’achat, ou les entrées gratuites pour visite de parc d’attractions. Ces méthodes de promotion typiquement américaines ont envahi nos tristes plaines avec la mise au point par certaines municipalités de « vacci drives » qui en sont fières…

AUTRE CONSEIL MALVEILLANT APPLIQUÉ DANS NOS CONTRÉES

« Les gouvernements devront fournir et communiquer la combinaison d’incitations et d’interventions de pénalité qui seront utilisées pour promouvoir la demande. »

TOUT CELA NE DATE PAS DE 2020

Un document publié en 2014 pour le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies sur l’adoption des vaccins disait que « les interventions comportementales devraient chercher à récompenser les comportements souhaités et, le cas échéant, à pénaliser les comportements inappropriés ».

L’Organisation mondiale de la Santé a publié en octobre un « avis technique » dans la foulée des lignes directrices de Jeff French  intitulées Behavioral Considerations for Acceptance and Uptake of COVID-19 Vaccines, deux mois avant même qu’un vaccin ne soit disponible.

Certains de ces conseils souvent mensongers nous semblent très familiers maintenant :

  • « Tirer parti des regrets anticipés dans les communications. » Par exemple, en « demandant aux gens ce qu’ils ressentiraient s’ils ne se font pas vacciner et finissent par contracter covid-19 ou le transmettre à leurs proches ».
  • « Mettre l’accent sur les prestations sociales. » Dites aux gens que « la vaccination profite non seulement à l’individu », mais qu’elle renforce « le nombre de personnes » ou « l’immunité de la population ».
  • « Mettre l’accent sur les avantages économiques, comme le fait de pouvoir rester sur le marché du travail et subvenir aux soins de sa famille, pourrait également encourager la vaccination. »
  • « Gérer les attentes. »
  • Mettre l’accent sur le danger de maladie. « Si les gens perçoivent qu’ils sont à faible risque de contracter le COVID-19, ou que les conséquences de l’infection ne seront pas graves, ils seront moins disposés à se faire vacciner. »
  • « Minimiser les dangers de la vaccination et des effets indésirables s. « Certaines personnes peuvent essayer de comparer le risque d’infection à celui de prendre un nouveau vaccin et de déterminer qu’entre les deux, le risque de COVID-19 est plus faible. »

« Guide de terrain »

Le Guide de terrain sur la gestion de l’information vaccinale de l’UNICEF et du PGP conseille aux promoteurs de vaccins d’envisager de mettre la vaccination dans une “image de gain” :

  • « Montrez des gens heureux, en bonne santé et productifs dans les graphiques, et si vous devez montrer l’acte de vaccination essayez d’éviter les aiguilles et les larmes. »
  • Une des tactiques de Jeff French est de harceler les gens pour accepter la vaccination comme une « norme sociale ».
  • Expliquez que « la majorité des gens adoptent certains comportements et c’est ce que d’autres s’attendent à ce que vous fassiez pour atteindre un bien commun ».

Nous reconnaissons à chaque ligne de ce guide pratique ce que nous subissons depuis plusieurs semaines en France à travers les SMS répétitifs, associés à des appels téléphoniques itératifs et à des lettres de l’assurance maladie proposant des rendez-vous. Les mensonges quotidiens télévisés concernant l’absence de mortalité en France des vaccins alors même que l’agence du médicament les publie sur son site. Les mensonges sur la protection de l’autre apportés par le vaccin sont les plus pervers, car les gens se croient protégés alors qu’ils deviennent dangereux pour les autres particulièrement dans les premières semaines suivant la vaccination. Retournement des choses improbables a priori, mais bien réelle dans les faits avérés.

FHI 360 a publié son propre « guide rapide » sur « la création de la demande et le plaidoyer pour l’acceptation et l’adoption des vaccins COVID-19 »

Il conseille aux gouvernements de « mettre sur pied un groupe de travail sur la création et le plaidoyer en matière de demande » — ce que Biden a fait en mars, par une campagne éclair publicitaire sur les vaccins.

FHI 360(([10] FHI 360 is an international nonprofit working to improve the health and well-being of people in the United States and around the world) )) conseille également :

  • de décomposer les gens en « segments d’audience » de « vente facile » qui ont « une grande confiance dans les fournisseurs de soins de santé, et ne questionnent pas les vaccins » et en « hésitants en matière de vaccins » qui ont « de grandes préoccupations au sujet de l’innocuité et une « faible confiance dans les institutions qui font la promotion du vaccin ».
  • Créez ensuite des « messages ciblés », en faisant des « fiches de référence pour les dirigeants culturels et religieux ».
  • « Carotte et bâton » méthodes de marketing de la psychologie opérante du Professeur Jeff French.

Un total de 26 % des Américains ont dit qu’ils ne se feraient pas vacciner, et 44 % des républicains résistent. « Sans une carotte plus grande ou un plus gros bâton », de nombreux Américains ne seront pas vaccinés et nous allons subir plus de décès et de dislocation, prétendent les communicants mensongers.

POURTANT UNE OPPOSITION À LA DÉSINFORMATION MONDIALE S’EST LEVÉE

Citons la Déclaration de Great Barrington, signée par plus de 43 000 médecins et 14 000 scientifiques et médecins de la santé publique. Elle propose de permettre la propagation de l’immunité naturelle, tout en protégeant les personnes les plus vulnérables à l’infection par le COVID qui serait moins nocive que les confinements.

« À mesure que l’immunité augmente dans la population, le risque d’infection pour tous, y compris les personnes vulnérables, diminue. Nous savons que toutes les populations finiront par atteindre l’immunité collective, c’est-à-dire le moment où le taux de nouvelles infections est stable — et que cela peut être aidé par (mais ne dépend pas) d’un vaccin. Notre objectif devrait donc être de minimiser la mortalité et les préjudices sociaux jusqu’à ce que nous atteignions l’immunité collective », peut-on lire dans la déclaration.

MAIS LES DIRIGEANTS CENSURENT AUTANT QUE POSSIBLE TOUTE INFORMATION OBJECTIVE BASÉE SUR LES FAITS

Suivant les directives infodémocratiques, la politique de désinformation médicale de YouTube interdit expressément toute discussion sur les risques des vaccins, leur efficacité réelle ou l’immunité naturelle, sur sa plate-forme.

ET LA PRATIQUE DE LA PEUR EST DÉVELOPPÉE PAR LES COLLABOS DE LA MYSTIFICATION COVID

Mettre l’accent sur la peur est une stratégie fréquemment utilisée par le personnel de santé publique.

L’ancien directeur des CDC Tom Frieden a employé une dérivée de la tactique de la « norme sociale » et conseille de « mettre l’accent sur le danger de la maladie » dans un tweet récent qui a peint les personnes non vaccinées comme des épars « infectés » de variantes supposées mortelles.

Des recherches comme une étude récente de la Cleveland Clinic et de la Case Western Reserve University qui ont révélé que les nouvelles variantes du coronavirus sont en fait plus faibles que la souche virale originale de Wuhan doivent être ignorées ou traitées comme de la « désinformation ».

RECRUTEMENT DE LEADERS RELIGIEUX

Les programmes de commercialisation pour recruter des leaders religieux ont également connu du succès, car les campagnes de vaccination se sont même déplacées à l’intérieur des mosquées pour convaincre les musulmans sceptiques de se retrousser les manches.

Et le pape François a adopté avec enthousiasme la mission infodémocratique de changement de comportement et organise cette semaine une conférence mondiale sur la promotion des vaccins de santé publique où il reçoit naturellement les grands de ce monde, de leur monde…

Un groupe de médecins écrivant dans “USA Today” a suggéré que le gouvernement impose des taxes spéciales (c’est-à-dire des amendes) aux personnes qui refusent la vaccination et que les entreprises refusent tout simplement de les servir.(([11] https://www.lifesitenews.com/news/doctors-lay-out-plan-to-punish-people-who-refuse-coronavirus-vaccine-there-is-no-alternative)) Un autre médecin a suggéré que les personnes qui refusent un vaccin devraient recevoir un médicament psychoactif pour induire la conformité.(([12] https://www.lifesitenews.com/news/us-professor-ensure-lockdown-compliance-by-drugging-dissenters-with-psychoactive-pill)) Tout est permis dans la manipulation.

L’auteur de l’article cité se révolte :

« Nous ne pouvons plus accepter sans broncher les diktats des pouvoirs exécutifs, d’autant plus que, statistiquement parlant, le poids initial de la crise du COVID est passé.

Nous ne pouvons pas non plus accepter les diktats de médecins qui semblent détachés de la réalité et de la science, et qui ne semblent être attachés qu’à l’idée de promouvoir des idées qui contribuent à l’augmentation du pouvoir et du contrôle des intérêts politiques, et à la richesse de ceux qui peuvent faire beaucoup d’argent de la vente d’un vaccin COVID. »


[Voir aussi :
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkred »]Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkred »]Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkred »]LA PROPAGANDE
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkred »]Une brève histoire de la propagande
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkred »]Un chercheur suggère qu’une campagne de propagande chinoise délibérée a forcé le monde à se confiner
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkred »]Le quatrième pouvoir ou propagande ?
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkred »]Québec : exemple de désinformation et de foi aveugle en la «vaccination» par un «journaliste» de média mainstream]


Notes




Les arbres ont une «conscience de soi» et une sensibilité

[Source : reporterre.net]

Autrefois ignorés, les arbres ont retrouvé leur place parmi les vivants grâce aux études scientifiques récentes. Ces êtres sont munis d’une «conscience de soi», d’une sensibilité et d’une forme d’intelligence, constatent les chercheurs.

Forêt d’Orlu (Ariège), reportage

Les travaux récents de la biologie végétale ont ouvert la voie à une révolution. C’est une lente montée de sève qui transforme notre regard, irrigue nos perceptions et notre rapport au vivant. Les scientifiques redécouvrent aujourd’hui notre voisin le plus commun, l’arbre, qui peuple la Terre depuis plus de 370 millions d’années et que l’on avait ignoré sans vergogne. On l’avait cru figé, immobile, réduit à un état végétatif. Il nous apparaît désormais dans toute sa complexité. On se penche sur ses incroyables facultés, son langage, sa «sensibilité». Ce champ de recherche n’en finit pas de révéler de nouvelles connaissances en même temps qu’il passionne le grand public. Les études scientifiques se multiplient et explorent de nouveaux horizons, poussées par l’engouement de la société.

«En quelques années, nous avons fait des progrès spectaculaires», se réjouit le biologiste Francis Hallé dans un entretien à Reporterre. Une dynamique irréversible est enclenchée : la suprême indifférence que l’on vouait à l’arbre s’effrite. Les mythes fondateurs qui nous le faisaient apparaître comme un être inférieur, voire méprisable, s’écroulent.

«Nos études ont fait tomber le mur que notre civilisation occidentale avait dressé depuis Aristote entre animaux, pensés comme sensibles et capables de mouvements, et les plantes jugées passives, confirme Bruno Moulia, directeur du laboratoire Physique et physiologie intégratives de l’arbre en environnement fluctuant (Piaf) à l’université de Clermont Auvergne. Les plantes sont des êtres pleins de tact, bougeant tout le temps, mais à leur rythme, plus calme que le nôtre.»

Troncs et houppiers d’érables matures très proches les uns des autres.

«Les arbres nous offrent un exemple d’altérité absolue»

On sait ainsi que les arbres communiquent entre eux par les airs et par le sol pour se nourrir ou se défendre, qu’ils envoient des signaux d’alerte à leurs congénères grâce à des courants électriques ou des substances chimiques, qu’ils s’échangent aussi des minéraux, de l’eau, de l’azote, du phosphore. Ils ressentent le monde extérieur, ils se situent dans l’espace, ils délimitent le soi et le non-soi. Les arbres font preuve de «mémoire», ou du moins de capacité d’apprentissage et de «calcul». Une forme d’ «intelligence» leur est désormais accordée. On peut la définir comme l’ensemble des processus qui permettent de s’adapter à des situations nouvelles et de résoudre des problèmes.

Attention à ne pas sombrer pour autant dans l’anthropomorphisme, préviennent les scientifiques. «L’intelligence des arbres n’a rien à voir avec celle des hommes, rappelle le chercheur en écologie forestière Jacques Tassin. Au cours de l’évolution, les arbres ont suivi leur propre histoire de manière parallèle à la nôtre. C’est un monde différent, tout aussi riche, mais incomparable. Les arbres nous offrent un exemple d’altérité absolue.»

Aujourd’hui, les technologies modernes nous permettent de mieux les appréhender. Les instruments de la biologie moléculaire et ceux de l’imagerie ont joué un rôle décisif. Depuis des siècles, les botanistes émettaient des hypothèses sur le fonctionnement des arbres sans pouvoir véritablement les démontrer. «Ils décrivaient des phénomènes qu’ils observaient dans le milieu naturel avec de simples croquis, dit Meriem Fournier, présidente du centre Inrae Grand Est—Nancy. Tout a changé ces trente dernières années. On travaille de manière interdisciplinaire en mêlant physiologie, écologie et génétique. Cela a permis de grandes avancées.»

Une cicatrice sur le tronc d’un hêtre.

«L’arbre est un être social»

Plusieurs éléments sont maintenant clairement établis. Il semble avéré que l’arbre est un «être social», comme l’écrit le forestier Peter Wohlleben dans son best-seller La vie secrète des arbres. Une étude pionnière en Afrique du Sud l’avait déjà prouvé dans les années 1980. Le professeur Van Hoven avait révélé que les acacias, une fois attaqués par les antilopes, libéraient des substances volatiles comme l’éthylène pour prévenir leurs voisins. En recevant le message grâce au vent dominant, les arbres situés à proximité enrichissaient immédiatement leurs feuilles en tanins afin de les rendre toxiques pour les prédateurs. Cette découverte avait ouvert la piste à une longue série d’études, comme celle de Jack C. Schultz et Ian T. Baldwin, qui avait reproduit l’expérience chez le peuplier et l’érable, dans leur célèbre article «La preuve d’une communication entre les plantes».

Plus récemment, les scientifiques se sont rendu compte que les informations entre les arbres pouvaient aussi circuler dans le sol grâce à une association symbiotique entre les racines et les mycorhizes, des champignons microscopiques. Sous terre, l’activité est intense. Dans une cuillère à café de sol forestier, des chercheurs ont trouvé plusieurs kilomètres d’hyphes, des filaments de champignons extrêmement longs qui tissent comme un réseau filaire et connectent les arbres entre eux. Certains ont d’ailleurs baptisé ce réseau souterrain le «wood wide web» — l’internet des arbres.

Troncs de peupliers blancs (poussant sur un ilôt de la Garonne à Toulouse), entourés de laine rouge symbolisant le «wood wide web».

Dans un article publié dans la revue Science, en 2016, des membres de l’université de Bâle (Suisse) ont ainsi montré que des épicéas, des hêtres, des pins et des mélèzes utilisaient ces «routes souterraines» pour envoyer à d’autres arbres du dioxyde de carbone (CO2) essentiel pour la photosynthèse.

Leur analyse faisait écho aux travaux de Suzanne Simard, chercheuse à l’université de Colombie-Britannique (Canada) qui avait observé des échanges de carbone interespèces. Cette fois-ci, entre de jeunes bouleaux et des douglas. En 2019, une équipe néo-zélandaise a également démontré que les arbres maintenaient collectivement en vie des souches pour s’en servir de réserve d’eau et de minéraux. Ils invitaient à considérer l’arbre comme «un élément d’un superorganisme plus large» et évoquait sa «physiologie communautaire».

Forêt d’Orlu, en Ariège.

Mais au-delà de ces expériences, beaucoup d’éléments restent en suspens : il est encore difficile de déterminer l’ampleur de ces interactions au sein d’une forêt, les distances qu’elles peuvent couvrir et les impacts sur le long terme. On ignore aussi les raisons de ces échanges. Suzanne Simard évoque «une amitié» entre les arbres, mais le terme fait polémique, car on prêterait à l’arbre des sentiments humains. Tout autant que les expressions du célèbre forestier Peter Wohlleben, qui y voit une forme de «justice distributive».

«Jusqu’à la fin des années 1970, on s’interdisait de parler de sensibilité»

Il n’en reste pas moins que l’arbre est indéniablement un organisme sensible, communiquant avec les autres et faisant preuve d’adaptabilité. Leur absence de mobilité les a obligés à recourir à des processus extrêmement complexes pour se défendre des prédateurs, lutter pour leur place au soleil ou contre la gravité. Des scientifiques ont compté sur les arbres plus de 700 sortes de capteurs sensoriels différents. Les arbres agissent en modifiant sans cesse leur forme et leur composition chimique.

Ils n’ont ni yeux, ni nez, ni oreilles et pourtant ils voient, sentent et réagissent aux ondes mécaniques. Ils ressentent le vent, la température, l’humidité. Ils possèdent un sens du toucher. Ils ont une forme de vision grâce à des capteurs qui mesurent la quantité, la qualité, la direction et la périodicité de la lumière.

«Jusqu’à la fin des années 1970, on s’interdisait de parler de sensibilité, raconte l’écologue Jacques Tassin. On pensait que l’arbre réagissait de manière mécanique à des stimuli externes. Notre regard a depuis complètement changé. On a vu que les arbres et les plantes se déployaient pour aller au-devant de ces stimuli, qu’ils les anticipaient et qu’ils les interprétaient.»

Une poignée d’humus en formation. Les filaments blancs sont des champignons.

Des études récentes ont dévoilé la richesse de cette «perception sensorielle». Lilach Hadany, chercheuse à l’université de Tel-Aviv, a découvert fin 2018 que certaines plantes pouvaient ressentir les vibrations des ailes des pollinisateurs et détecter leurs fréquences spécifiques. Dès lors, elles augmentent temporairement et dans les minutes qui suivent la concentration en sucre du nectar de leurs fleurs pour attirer les insectes. Il y a dix ans, l’équipe de la scientifique australienne Monica Gagliano a également montré que lorsqu’on diffusait un bruit d’eau courante à des plants de maïs, leurs racines courbaient à vue d’œil : elles se rapprochaient de la source sonore.

L’arbre possède une «conscience de soi»

En 2013, une nouvelle frontière a été franchie. Bruno Moulia et son équipe française ont fait la découverte d’un autre sens que l’on croyait réservé à l’humain et à l’animal : «la proprioception» — autrement dit le fait de percevoir son propre corps dans l’espace. Cette étude révèle la présence, chez l’arbre, d’une certaine «conscience de soi».

Le chercheur a analysé la manière dont les arbres réagissent au vent. Il a remarqué qu’ils ne pouvaient se tenir droit que par un contrôle actif et une adaptation permanente. Les arbres distinguent les vents forts des vents habituels, ils sentent les inclinaisons qui durent et les corrigent pour garder l’équilibre. Confrontés à des bourrasques violentes, les arbres vont réduire leur croissance en hauteur et développer plus de racines. Ils vont mémoriser les vents déjà connus pour s’y habituer. L’équipe de scientifiques s’est rendu compte que les arbres gardaient ces informations en mémoire pendant une durée variant d’une semaine à un an.

Chêne isolé dans les Hautes-Pyrénées.

L’enjeu soulevé est colossal, les questions induites vertigineuses. L’arbre n’ayant pas de cerveau, où stocke-t-il donc ces informations? Pour l’instant, il n’existe que des hypothèses. Des chercheurs ont même créé une nouvelle branche appelée la «neurobiologie végétale» autour du botaniste italien Stefano Mancuso, pour qui les racines des plantes joueraient un rôle équivalent à celui des neurones du cerveau animal. Mais cette approche ne fait pas l’unanimité.

Les recherches sont loin d’être achevées. Quoi qu’il en soit, elles ont déjà des conséquences très concrètes, en terme éthique et philosophique. Reconnaître l’arbre comme sensible, c’est le positionner comme sujet et lui redonner sa juste place dans le concert des vivants. À nous, comme l’écrit le philosophe-pisteur Baptiste Morizot, de trouver alors les bons «égards ajustés» dans notre relation à l’arbre, pour «mettre fin à la guerre contre une nature considérée comme déficiente ou hostile».

Notre reportage en images :

Forêt d’Orlu, en Ariège.
Houppier d’un hêtre dans la forêt d’Orlu.
Les racines d’un arbre dans un jardin.
La forêt mixte dans la vallée d’Orlu.
Une cicatrice sur le tronc d’un hêtre.
Une poignée d’humus en formation. Les filaments blancs sont des champignons.
Troncs et houppiers d’érables matures très proches les uns des autres.
Cette souche multicentenaire d’un hêtre a donné naissance à plusieurs rejetons, au moins ceux à droite et à gauche.
Cicatrice d’une blessure guérie sur le tronc d’un hêtre.
Chêne isolé dans les Hautes-Pyrénées.
Très jeune futaie de chênes dans le Lot-et-Garonne.
Un bûcheron « dévitalise » un platane avant son abattage, à cause des risques de chancre coloré.
Un orme toujours vivant dont la partie morte sert d’abri à une multitude d’animaux.
Troncs de peupliers blancs (poussant sur un ilôt de la Garonne à Toulouse), entourés de laine rouge symbolisant le « wood wide web ».

[Voir aussi :
« Les plantes sont extraordinaires : c’est un modèle décentralisé dont tous les membres participent à la décision »
La science relative à l’intelligence végétale prend racine]




LA HAINE VISCÉRALE DE MACRON SE REPAND… Les juges avouent : ils ont truqué l’élection de Macron.

[Source : FRANCE MEDIAS NUMERIQUE]

Par Mohamed Tahiri

Les révélations de l’ancienne présidente du parquet national financier (PNF), Éliane Houlette, sont explosives. Elle admet avoir subi d’énormes pressions de la part de sa hiérarchie pour instruire, dans l’urgence, le dossier du candidat LR à la présidentielle, François Fillon, qui était promis à l’Élysée. Et cela grâce aux « fuites » relayées par Le Canard Enchaîné. Elle avoue donc que la victoire de Macron en 2017 est la conséquence d’un véritable coup d’État médiatico-judiciaire.


La haine est un état psychologique qui se caractérise par une aversion profonde, et une colère pour une personne, un groupe, ou un fait. Lorsqu’elle s’installe, elle peut détruire tous les domaines de la vie quotidienne. Faire un travail sur soi pour comprendre et gérer sa haine permet de limiter les conséquences, et d’en tirer une énergie différente.

Tout commence avec François Fillon, l’homme à abattre par les élites mondialistes sataniques !

François Fillon donné favoris à l’élection présidentielle de 2017…. devant Marine Le Pen

François Fillon. , né le 4 mars 1954 au Mans, est un homme d’État français, Premier ministre de 2007 à 2012. Membre du Rassemblement pour la République, il entre en politique en tant qu’assistant parlementaire du député Joël Le Theule, dont il reprend le fief électoral dans la Sarthe

Biographie de François Fillon et actualités - Challenges

Philippe Fontana, avocat au barreau de Paris, commente les “pressions” qui auraient été exercées sur Éliane Houlette, alors patronne du parquet national financier, dans l’enquête sur l’affaire Fillon. Tribune.

On pressentait que la manœuvre judiciaire pour exclure François Fillon, favori des dernières présidentielles, avait été menée de main de maître, sans en distinguer alors avec certitude ses contours.

La décision de confier l’enquête au parquet national financier, créé par une loi du 6 décembre 2013, avait étonné, voire scandalisé ; elle fut en tout cas critiquée par certains des plus éminents spécialistes du droit pénal.

Le terme de « coup d’État » avait même été employé au grand dam des plus sceptiques, des plus cartésiens, des plus crédules ou des moins bien informés de nos concitoyens.

Cette incrédulité était renforcée par les déclarations du ministre de la Justice de l’époque : « Imaginer aujourd’hui que des instructions aient pu être ordonnées (…) est tout simplement absurde, parce qu’illégal ». Ces déclarations avaient été appuyées par le syndicat majoritaire des magistrats, l’USM.

Après les aveux devant la représentation nationale par Éliane Houlette, l’ancienne chef du PNF, des pressions subies par son supérieur hiérarchique, ce pressentiment s’est transformé en certitude.

Rétrospectivement, ses déclarations procurent du crédit à ses contempteurs, lors de l’affaire Fillon. Revenons sur le caractère illégal de ces pressions, leur portée et surtout sur la description du mécanisme dont l’assemblage des mouvements a été patiemment monté par la gauche judiciaire, à l’époque au pouvoir.

Les pressions dénoncées auraient été exercées par le supérieur hiérarchique du PNF, qu’est le procureur général de la Cour d’appel de Paris. En effet, aux termes des dispositions du code de l’organisation de la justice, le parquet financier est placé « aux côtés du procureur de la République du tribunal judiciaire de Paris ».

Elles auraient pris la forme de demandes d’informations incessantes, de rapports, de messages comminatoires, d’une convocation « a minima ». En outre, on apprend aujourd’hui l’existence d’instructions données dans le but d’orienter procéduralement l’enquête menée sur les faits imputés à François Fillon.

Tous ces moyens auraient donc été entrepris afin de changer la décision d’orientation du parquet et obliger le chef du PNF à requérir l’ouverture d’une information judiciaire et la désignation d’un juge d’instruction, avec, à terme, une mise en examen inéluctable de François Fillon.

La poursuite de l’enquête préliminaire, choix initial du chef du PNF, aurait fait obstacle procéduralement à cet acte d’un juge d’instruction, synonyme de mort politique pour l’ancien Premier ministre.

Il fallait que le remords d’Éliane Houlette la tiraille tellement pour qu’elle rapporte les pressions endurées. Sans son témoignage, cette pratique serait restée méconnue. En effet, dans un arrêt du Conseil d’État intervenu opportunément le 31 mars 2017, la Haute juridiction empêchait l’ancien Président Nicolas Sarkozy, victime des mêmes pratiques,  d’obtenir la communication des rapports transmis au procureur général d’Aix-en-Provence, par l’un de ses procureurs.

Dans leur forme, ces interventions sont abusives et illégales ; de surcroît elles interviennent postérieurement à la réforme engagée en 2013 par Christiane Taubira interdisant au ministre de la Justice de donner des instructions aux magistrats du ministère public, dans des affaires individuelles.

De tels procédés relèvent à l’évidence du dévoiement des dispositions du Code de procédure pénale ; ils ont été orchestrés par le procureur général de Paris, Catherine Champrenault, toujours en fonction. Sa nomination, choix personnel de François Hollande à ce poste stratégique, s’inscrit dans  un mécanisme qu’il importe de démonter.

La révélation des manœuvres du parquet précédait celles du siège, déjà relatées par deux journalistes du Monde, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, dans un livre très documenté, paru avant l’audience du procès de François Fillon. Y étaient contés, avec force détails, que l’ancien militant du SM, ancien du cabinet de Ségolène Royal et actuel président de la Cour d’appel de Paris avait alors, au titre de ses prérogatives de président du tribunal de Paris, nommé un juge d’instruction réputé pour sa hargne envers le Président Sarkozy et les rapports peu amènes entretenus avec le barreau parisien, pour instruire l’affaire Fillon.

Revenons à la manœuvre entreprise par Catherine Champrenault, qui s’articule en deux temps. D’abord, dans un choix procédural : le procureur général de Paris a orienté la désignation du PNF au détriment du parquet de Paris, choix critiquable. À l’évidence, l’utilisation de fonds parlementaires ne relevait pas de la  compétence du PNF, la très grande délinquance économique et financière.

Or, le choix du parquet territorialement ou spécialement compétent relève du domaine réservé de l’arbitrage du procureur général près la cour de Paris, auquel le PNF est subordonné.

L’avantage, pour le procureur général, de confier la direction de cette enquête au PNF reposait sur sa compétence nationale.

Ainsi, touts les actes d’enquête pouvaient être conduits sans passer par l’intermédiaire des parquets territorialement compétents, tel celui du tribunal judiciaire du Mans, dont le ressort s’étend sur la Sarthe, par exemple. Le cours de l’enquête en eût été considérablement ralenti. Elle n’aurait évidemment pas abouti avant le premier tour de la présidentielle.

La personnalité  du procureur général était donc essentielle pour se livrer à de telles manœuvres. Si la grande majorité des magistrats respecte l’obligation de la CEDH non seulement d’objectivité, mais encore d’apparence d’objectivité, il existe néanmoins des magistrats politiques.

L’action du syndicat de la magistrature, le SM, est connue. Ses militants actuels ou anciens n’ont pas perdu leurs rêves révolutionnaires et contribuent, dès qu’ils le peuvent, à dénaturer l’œuvre de justice.
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Dès la création du PNF, Christiane Taubira  avait donc décidé d’écarter le procureur général de Paris, alors en place. Celui-ci, François Falleti, était non seulement connu pour sa grande humanité, mais également considéré comme un magistrat à la sensibilité de droite, ayant été choisi par cette majorité pour des postes au caractère stratégique. Cette tendance se confirma postérieurement, lorsqu’il s’engagea dans la campagne de François Fillon, en charge de la thématique « justice ».

La tentative de limogeage de François Falleti échoua, dans le plus grand des fracas.

Fait rare, sinon exceptionnel, ce grand magistrat avait dénoncé publiquement sa convocation, le 27 janvier 2014, par la directrice du cabinet du garde des Sceaux. Cette dernière lui avait suggéré, avec insistance, de le promouvoir au parquet de la Cour de cassation.  Cette convocation intervenait quelques jours avant la nomination du chef du PNF, après avis conforme du CSM, le 28 janvier 2014 et son installation en mars 2014.

Au moins, concédons à madame Taubira que ce genre de manœuvre n’était pas nouveau ; à défaut de promesse de Chancellerie ou de suppression de sa charge d’intendant de Picardie, faite à son lointain prédécesseur lors du procès Fouquet, on proposa à François Falleti un poste de premier avocat général à la Cour de cassation, plus honorifique qu’opérationnel. Il reste néanmoins plaisant de constater que dès que l’enjeu politique se profile, la tentation d’absolutisme renaît, y compris chez Christiane Taubira, chantre de l’indépendance de la Justice.

Le couperet de la retraite se chargea de François Falleti, en juin 2015.

Dès lors, le poste de procureur général de Paris se libérait au profit de Catherine Champrenault.  Cette promotion à l’époque ne passa pas inaperçue : cette magistrate fut propulsée du poste de procureur général de Basse-Terre, d’un rang intermédiaire, à celui de Paris, le plus prestigieux, par le choix personnel de François Hollande, effectué lors de son voyage en Guadeloupe, en mai 2015.

Seuls les aigris auraient pu attribuer le caractère fulgurant de cette nomination à son passé d’ancien conseiller de Ségolène Royal, qui avait d’ailleurs accompagné François Hollande lors de ce voyage en Guadeloupe, et à ses amitiés connues avec la gauche judiciaire.

En tout cas, le nouveau procureur général près la cour d’appel de Paris fit ce que ses amis politiques attendaient d’elle dans la conduite de l’affaire Fillon :

Après d’abord avoir choisi le PNF comme parquet directeur de l’enquête, Catherine Champrenault abusa ensuite de ses prérogatives de procureur général.

Au-delà de ses missions définies à l’article 35 du Code de procédure pénale : veiller à l’application de la loi pénale et au bon fonctionnement des parquets de son ressort, animer et coordonner l’action des procureurs de la République, un procureur général a effectivement aussi pour attribution d’établir des rapports particuliers soit d’initiative, soit sur demande du ministre de la Justice qu’il lui adresse. Mais pas au sens de ceux réclamés à Éliane Houlette par son supérieur hiérarchique.

Mais le comportement prêté à Catherine Champrenault dans sa mission de procureur général de Paris va bien au-delà de celui défini dans les travaux parlementaires précédant l’adoption de cette loi du 25 juillet 2013. Les parlementaires reconnaissaient aux procureurs généraux : « un rôle d’animation de l’action des procureurs de la République et de coordination de la mise en œuvre par ceux-ci des instructions générales de politique pénale, adressées par le ministre de la Justice. Les procureurs généraux deviennent ainsi les garants de l’application effective, cohérente et homogène de la politique pénale dans leur ressort : à cet effet, ils se voient confié un pouvoir de déclinaison locale des instructions générales du garde des Sceaux et ce, afin de tenir compte du contexte propre au ressort de la cour d’appel ».

Catherine Champrenault se défend aujourd’hui en regrettant auprès de l’AFP ce 18 juin que : « ce qui est le fonctionnement régulier du parquet soit assimilé à des pressions ».

Or, il n’est pas exact que le caractère des demandes de cette dernière, relatées par Éliane Houlette soit assimilable au fonctionnement régulier du parquet. À moins que, pour le procureur général de Paris,  le caractère partisan de sa mission ne l’emporte sur tout, y compris sur les dispositions législatives organisant le ministère public. Bien au contraire  puisque, depuis la loi du 25 juillet 2013 votée à l’initiative de Christiane Taubira, les instructions du ministre de la Justice dans des affaires particulières sont proscrites.

Par ailleurs, les instructions du procureur général à ses procureurs doivent être écrites et versées au dossier, selon les dispositions de l’article 36 du code de procédure pénale.

Dans l’affaire Fillon, cette obligation, cruciale, n’a pas été respectée, au détriment de l’indépendance de la justice et surtout de l’égalité des armes entre les parties à la procédure, éléments inhérents au procès équitable.

Les instructions écrites et versées au dossier ont été remplacées par des pressions explicites, mais dont le caractère oral avait pour avantage de ne laisser aucune trace dans la procédure, au prix de leur illégalité manifeste.

Le zèle de Catherine Champrenault, malgré ses dénégations, est donc très éloigné de la définition du rôle d’un procureur général donnée par le législateur. Si les déclarations d’Éliane Houlette s’avéraient fondées, Catherine Champrenault devra rendre des comptes, soit à la représentation nationale, soit à l’autorité judiciaire du détournement de ses pouvoirs à des fins politiques, auquel elle se serait alors livrée. Dans cette affaire, François Fillon, quinaud, aura été empêché selon des méthodes partisanes, par un magistrat engagé.

Or, la gauche judiciaire les a toujours théoriquement dénoncées et condamnées. La duplicité de la gauche judiciaire et de son « parrain », Jean-Louis Nadal est marquée de l’évidence entre son discours et sa pratique. Alors procureur général près la Cour de cassation, celui-ci avait prêché,  en septembre 2007, dans une contribution officielle, l’obligation du principe de neutralité pour le ministère public, dont il donnait une définition qui prend toute sa saveur aujourd’hui : « s’interdire de prendre des décisions pour des motifs extérieurs à la mission de protection de l’ordre public incombant au ministère public ».

Les vers de Victor Hugo « … vous, premiers présidents et procureurs généraux, accourez en carrosse, à pied, à cheval en robe, la toque au front, le rabat au cou, la ceinture au ventre… Ôtez votre gant, levez la main et prêtez serment à son parjure, jurez fidélité à la trahison », seraient-ils éternels ?

Ils expliqueraient sans soute l’assourdissant silence de l’autorité judiciaire, si prompte à brandir l’étendard de son indépendance, aujourd’hui si galvaudée.

Le conseil supérieur de la magistrature, que le président de la République, gardien constitutionnel de l’indépendance de la justice, vient opportunément de saisir, saura-t-il condamner les errements dénoncés ? Ce serait une avancée dans la protection de l’état de droit ; cela ne rendra pas aux Français une élection dont le résultat apparaît aujourd’hui comme volé. Seule la démission du président de la République pourrait aujourd’hui la racheter.




Selon l’historien Patrick Buisson, il n’y a plus rien entre l’abîme et nous

[Source : Sputnik France]

Pour l’historien et politologue, la pandémie de Covid-19 est une nouvelle étape du processus de « décivilisation » français.

« Dans vingt ou trente ans, les historiens seront frappés par le sentiment de panique qui s’est emparé de la population. »

Pour l’auteur du livre La Fin d’un monde (éd. Albin Michel), le recul des grands messianismes (catholicisme, patriotisme, communisme) « qui donnaient un sens à l’existence » laisse l’homme seul face à une mort qui n’a plus aucun sens.

Le Covid-19, révélateur de maux sociaux devenus incurables?

Patrick Buisson décrit le processus d’autodestruction entrepris par la société française à partir des années 60. Relativisme moral et culturel, mort du patriarcat, avènement d’une société consumériste obsédée par le plaisir : l’historien n’augure rien de moins qu’un « changement de civilisation ».




L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves. MàJ : vidéo

[Source : via https://numidia-liberum.blogspot.com via reseauinternational.net]

[Mise à jour : vidéo en traduction française de Michael Yeadon sur le Pass sanitaire, ajoutée en fin d’article.]

Les médecins pour l’éthique du COVID-19 (Doctors for COVID-19 Ethics) un groupe de plus de 160 experts médicaux indépendants dans le monde – ont lancé un avertissement sévère aux agences de santé publique au sujet des vaccins expérimentaux contre le COVID-19, qualifiant ces vaccins de « inutiles, inefficaces et dangereux » et susceptibles de conduire à « décès en masse prévisibles », selon un rapport de Lifesitenews.

Le groupe Doctors for COVID-19 Ethics, cofondé par l’ancien vice-président de Pfizer, Michael Yeadon, compte plus de 160 experts médicaux du monde entier parmi ses signataires. Parmi les autres membres fondateurs figurent le professeur Sucharit Bhakdi MD, ancien président de l’Institut de microbiologie médicale et d’hygiène de l’Université Johannes Gutenberg de Mayence, en Allemagne, et le Dr Wolfgang Wodarg, ancien chef du comité de la santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

Les médecins ont écrit plusieurs lettres à l’Agence européenne des médicaments sur les problèmes du vaccin COVID-19 et sont confrontés à la censure… Le groupe peut également être trouvé sur Twitter

Dans leur lettre du début du mois, Doctors for COVID-19 Ethics a souligné les graves implications sanitaires des vaccins pour les personnes en bonne santé et pour les malades, affirmant que les vaccins « ne sont pas sûrs, ni pour les receveurs, ni pour ceux qui les utilisent ou autorisent leur utilisation ».

Ils ont souligné les risques de « perturbations létales et non létales de la coagulation sanguine, y compris les troubles hémorragiques, la thrombose cérébrale, les accidents vasculaires cérébraux et les crises cardiaques », « une aggravation des maladies dépendant des anticorps », des réactions auto-immunes et les effets potentiels des « impuretés vaccinales dues à des normes de fabrication précipitées et non réglementées ».

« Contrairement aux affirmations selon lesquelles les troubles sanguins post-vaccination sont « rares », de nombreux effets secondaires courants du vaccin (maux de tête, nausées, vomissements et « éruptions cutanées » de type hématome sur le corps) peuvent indiquer une thrombose et d’autres anomalies graves », ont déclaré les experts.

« Les événements de coagulation qui reçoivent actuellement l’attention des médias ne sont probablement que la « pointe d’un énorme iceberg ».

« En raison de l’amorçage immunologique, les risques de coagulation, de saignement et d’autres événements indésirables peuvent augmenter avec chaque revaccination et chaque exposition au coronavirus intermédiaire« , a ajouté Doctors for COVID-19 Ethics. « Au fil du temps, que ce soit des mois ou des années, cela rend à la fois la vaccination et les coronavirus dangereux pour les groupes d’âge jeunes et en bonne santé, pour lesquels la non vaccination COVID-19 ne pose aucun risque substantiel », ont-ils soutenu.

« Tout comme le tabagisme pourrait causer le cancer du poumon sur la base des premiers principes, tous les vaccins à base de gènes peuvent provoquer des troubles de la coagulation sanguine et de la coagulation, en fonction de leurs mécanismes moléculaires d’action », ont-ils déclaré. « Dans le même ordre d’idées, des maladies de ce type ont été observées dans tous les groupes d’âge, entraînant des suspensions temporaires de vaccins dans le monde ».

« Depuis le déploiement du vaccin, l’incidence du COVID-19 a augmenté dans de nombreuses régions où les taux de vaccination sont élevés. En outre, plusieurs séries de décès par COVID-19 se sont produites peu de temps après le début des vaccinations dans les résidences pour personnes âgées », ont déclaré les médecins. « Ces cas peuvent être dus non seulement à une amélioration dépendante des anticorps, mais aussi à un effet immunosuppresseur général des vaccins, ce qui est suggéré par la fréquence accrue de l’herpès zoster chez certains patients ».

« Quel que soit le mécanisme exact responsable de ces décès signalés, nous devons nous attendre à ce que les vaccins augmentent plutôt que de diminuer la létalité du COVID-19 », ont-ils poursuivi….

« Les vaccins sont expérimentaux par définition. Ils resteront dans les essais de phase 3 jusqu’en 2023. Les destinataires sont des sujets humains ayant droit au consentement éclairé libre en vertu de Nuremberg et d’autres protections, y compris la résolution 2361 de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe et les conditions d’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA ».

Les médecins pour l’éthique du COVID-19 (Doctors for COVID-19 Ethics ) ont particulièrement mis en garde contre les vaccins, comme ceux produits par Pfizer et Moderna, qui reposent sur la nouvelle méthode de vaccination à l’ARNm.

« L’expérience initiale pourrait suggérer que les vaccins dérivés d’adénovirus (AstraZeneca/Johnson & Johnson) provoquent des effets indésirables plus graves que les vaccins à ARNm (Pfizer/Moderna). Cependant, lors d’injections répétées, le premier induira bientôt des anticorps contre les protéines du vecteur adénovirus », selon les médecins. « Ces anticorps neutraliseront ensuite la plupart des particules virales du vaccin et provoqueront leur élimination avant qu’elles ne puissent infecter des cellules, limitant ainsi l’intensité des lésions tissulaires ».

« En revanche, dans les vaccins à ARNm, il n’y a pas d’antigène protéique à reconnaître par les anticorps. Ainsi, quel que soit le degré d’immunité existantl’ARNm du vaccin atteindra sa cible – les cellules du corps », ont-ils déclaré. « Ceux-ci exprimeront alors la protéine de pointe (spike) et subiront par la suite l’assaut complet du système immunitaire ».

« Avec les vaccins à ARNm, il est pratiquement garanti que le risque d’événements indésirables graves augmentera à chaque injection successive ».

« Leur préférence apparente par rapport aux premiers [les vaccins à dérivés d’adénovirus (AstraZeneca/Johnson & Johnson)] est préoccupante au plus haut degré ».

« Dans la plupart des pays, la plupart des gens seront désormais immunisés contre le SRAS-CoV-2 », ont également noté les experts, soulignant que les personnes atteintes de coronavirus ont un taux de survie estimé à 99,8% dans le monde. « Quelle que soit la gravité de la maladie, ils disposeront désormais d’une immunité suffisante pour être protégés d’une maladie grave en cas de nouvelle exposition. Cette majorité de la population ne tirera AUCUN bénéfice de la vaccination ».

Pour les personnes à risque d’infection sévère, le virus reste traitable, ont déclaré les Médecins pour l’éthique du COVID-19. « Une convergence de preuves indique qu’un traitement précoce avec des médicaments existants réduit l’hospitalisation et la mortalité d’environ 85% et 75%, respectivement », ont-ils expliqué, soulignant « de nombreux médicaments anti-inflammatoires, antiviraux et anticoagulants éprouvés, ainsi que des médicaments monoclonaux anticorps, zinc et vitamines C et D ».

« L’immunité naturelle des cellules T offre une protection plus forte et plus complète contre toutes les souches de SRAS-CoV-2 que les vaccins, car l’immunité naturellement amorcée reconnaît plusieurs épitopes viraux et signaux costimulateurs, et pas simplement une seule protéine (spike) », ont-ils poursuivi.

La lettre des médecins a également démenti les affirmations selon lesquelles la vaccination est nécessaire pour empêcher la propagation du virus par une infection asymptomatique.

« Les vaccins ont été présentés comme un moyen de prévenir une infection asymptomatique et, par extension, une “transmission asymptomatique” », ont déclaré les Médecins pour l’éthique du COVID-19.

« Cependant, la « transmission asymptomatique » est un artefact de procédures et d’interprétations de test PCR invalides et peu fiables, conduisant à des taux élevés de faux positifs. Les preuves indiquent que les personnes asymptomatiques positives à la PCR sont des faux positifs en bonne santé, et non des porteurs ».

Le groupe a cité une étude chinoise portant sur près de 10 millions de personnes, qui a révélé que les porteurs asymptomatiques de COVID ne transmettent pratiquement jamais le virus. « En revanche, les articles cités par le Center for Disease Control pour justifier les allégations de transmission asymptomatique sont basés sur des modèles hypothétiques et non sur des études empiriques », ont-ils déclaré. « En clair, les vaccins ne sont pas nécessaires pour prévenir une maladie grave ».

Les experts ont également exprimé des inquiétudes quant à l’efficacité des vaccins COVID-19, déclarant qu’« aucune donnée longitudinale à moyen ou long terme » ne prouve l’efficacité du vaccin. Ils ont critiqué les essais de vaccin contre le coronavirus, observant que l’Agence européenne des médicaments « a noté du vaccin Comirnaty (Pfizer mRNA) que les cas graves de COVID-19 « étaient rares dans l’étude et que des conclusions statistiquement certaines ne peuvent pas en être tirées ».

« Le calcul bénéfice-risque est donc clair, les vaccins expérimentaux sont inutiles, inefficaces et dangereux ». « Urger la vaccination pour « protéger les autres » n’a donc aucun fondement en fait », conclut leur lettre, offrant un avertissement qui donne à réfléchir à ceux qui poussent les vaccins.

« Les acteurs autorisant, contraignant ou administrant une vaccination expérimentale contre le COVID-19 exposent les populations et les patients à des risques médicaux graves, inutiles et injustifiés », ont-ils déclaré. « Les fabricants de vaccins se sont exonérés de toute responsabilité légale pour les événements indésirables pour une raison. En cas de décès et de dommages dus aux vaccins, la responsabilité incombera aux personnes responsables de l’autorisation, de l’administration et/ou de la coercition des vaccins via des passeports vaccinaux, dont aucun ne peut être justifié par une analyse risques-avantages sobre et fondée sur des preuves ».

Le Dr Michael Yeadon est devenu un problème pour la mafia médicale dominante qui continue d’insister sur le fait que la « pandémie » est réelle – et que les vaccins expérimentaux sont non seulement « nécessaires » mais aussi « sûrs et efficaces ».

Les références de Yeadon ne peuvent être remises en question – et son expérience interne avec Pfizer le place dans une position pratiquement inattaquable pour être une voix faisant autorité sur ce sujet.

Si les médias n’étaient pas complices de ce programme de dépeuplement de masse en cours, les terribles commentaires du Dr Yeadon feraient la une des journaux 24h/24 et 7j/7 – au lieu de cela, ses articles sont effacés même des archives Internet, ce démontre encore plus leur importance.

Le Dr Yeadon a précédemment souligné qu’il n’y a pas d’explication rationnelle quant à la raison pour laquelle les autorités « préféreraient » les vaccins à ARNm dangereux et problématiques aux vaccins à base d’andénovirus – à moins que l’intention de leurs promoteurs ne soit de tuer et de mutiler autant de personnes que possible, puis être en mesure de nier que le vaccin avait quelque chose à voir avec les décès.

Le fait que Yeadon pense que les vaccins contre l’adénovirus sont moins susceptibles de tuer autant de personnes que les vaccins à ARNm de Moderna et Pfizer explique en grande partie pourquoi les vaccins contre l’adénovirus AstraZeneca et Johnson & Johnson ont été retirés dans de nombreux pays en raison de « problèmes de sécurité ».

En retirant ces vaccins, le public aura bien sûr le sentiment qu’il peut « faire confiance » à son gouvernement et à sa responsabilité de le protéger – alors qu’en fait, ces vaccins sont retirés afin que le public soit obligé de prendre les vaccins ARNm bien plus dangereux, et dont les effets secondaires dévastateurs sont bien plus durables et n’apparaîtront pas avant la soi-disant troisième vague de la « pandémie ».

Il est également intéressant de noter que ce rapport confirme quelque chose d’autre que nous avons rapporté auparavant, à savoir que, grâce à notre réponse immunitaire naturelle au coronavirus, la plupart d’entre nous développons une immunité à long terme des cellules T sans le vaccin.

Malgré ce fait, personne ne prend la peine d’obtenir un simple test d’anticorps pour savoir s’il est déjà immunisé contre les lymphocytes T contre le coronavirus avant d’obtenir un vaccin dont il n’a même pas besoin – et pourrait le tuer.

Pour découvrir à quel point les intentions sont corrompues derrière les « recommandations » vaccinales et les passeports obligatoires, voyons s’ils sont prêts à accepter des tests positifs d’anticorps au lieu de la vaccination – étant donné que l’immunité naturelle est plus efficace que la vaccination.


source anglaise : https://christiansfortruth.com







Les milliards de la génétique humaine, aux États-Unis et ailleurs

[Source : Genethique]

Selon un rapport publié le 19 mai par l’American Society of Human Genetics (ASHG), « la génétique humaine et la génomique ont contribué à hauteur de 265 milliards de dollars à l’économie américaine en 2019 et ont le potentiel d’entraîner une croissance supplémentaire importante ». L’impact annuel de ce secteur sur l’économie américaine a été « multiplié par cinq » au cours des dix dernières années, selon les données du rapport.

Un financement important

Aux Etats-Unis, le financement fédéral s’est élevé à 3,3 milliards de dollars en 2019, « spécifiquement pour la recherche en génétique humaine et en génomique ». Mais « près de la moitié de l’ensemble du financement des NIH[1] » a une composante génétique/génomique, affirme le président du comité de défense des intérêts du gouvernement et du public de l’ASHG, Lynn B. Jorde. « Cela démontre à quel point la génétique est fondamentale pour la recherche biomédicale aujourd’hui », souligne-t-il

L’émergence de nouvelles applications

En effet, le rapport dénombre huit « nouveaux domaines d’application majeurs » : les big data, l’identification des prédispositions génétiques aux maladies, le diagnostic, le développement « logique » de médicaments en s’appuyant sur la génétique afin de cibler des molécules, la pharmacogénomique (ou médecine personnalisée), l’édition génétique et la thérapie génique, les interactions génétiques entre l’homme et les microbes, et les interactions entre l’homme et le « métagénome de l’environnement ».

D’autres applications ne relèvent pas du domaine médical, comme la médecine légale, l’anthropologie, ou encore les tests généalogiques et de paternité.

Le boom du Covid

« Le rapport s’appuyait sur les données de 2019, mais 2020 nous a montré l’énorme valeur du séquençage génomique pour les virus, avec la création de vaccins COVID-19 à base d’ARNm dans des délais jamais observés », pointe Simon Tripp, directeur chez TEConomy Partners et co-auteur du rapport publié par l’ASHG.

Une source de profit ici encore : un rapport de l’ONG Oxfam indique que « les vaccins contre le Covid ont permis à au moins neuf personnes de devenir milliardaires ». Parmi eux, « le PDG de Moderna Stéphane Bancel (4,3 milliards de dollars) et le PDG et cofondateur de BioNTech Ugur Sahin (4 milliards) ».


[1] National Institutes of Health

Sources : Medical Xpress, American Society of Human Genetics (19/05/2021) ; Ouest France avec AFP (20/05/2021) – Photo : Pixabay




Covid 19 : les technologies vaccinales à la loupe — par Christian Vélot, généticien moléculaire (mise à jour : vidéo, PDF et liens)

[Source : PAN PLI]

« Suite à sa note d’expertise grand public sur les vaccins faisant appel aux biotechnologies, le Dr Christian VÉLOT, généticien moléculaire à l’université Paris-Saclay et Président du Conseil Scientifique du CRIIGEN, propose une vidéo didactique sur les différents types de vaccins contre la COVID-19, et en particulier ceux de dernière génération avec les risques potentiels qu’ils peuvent engendrer.
Pensez à partager et à faire partager ! »

L’équipe du CRIIGEN.

IMPORTANT
Suite à un entretien avec un membre du CRIIGEN et grâce au fichier de sous-titres qu’ils m’ont envoyé, j’ai ajouté (ce 17/01/2021) une piste de sous-titres à la vidéo qui corrige une erreur qui s’est glissée dans le propos de Christian à la minute 32:58.
Merci de tenir compte de cette correction.

Source : Covid-19 : Les Technologies Vaccinales à la loupe (criigen.org)

Expertise sous forme écrite : document PDF




[Voir aussi :
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]Les Technologies Vaccinales à la loupe — Le Dr Christian Vélot nous propose une vidéo sur les différents types de vaccins contre la Covid-19 (article plus étoffé de Guy boulianne, avec une présentation du Dr Christian Vélot);
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]Les thérapies géniques à ARN messager ne sont pas des « vaccins » et peuvent modifier le génome humain ! MàJ3 (notamment l’article encadré de Myriam Marino)]

[Ndlr : le Dr Christian Vélot se montre un bon vulgarisateur de la théorie vaccinale dans le cadre de la théorie virale. Cependant, bien des aspects de ces théories sont de plus en plus remis en question de nos jours, même si la démarche reste pour l’instant très minoritaire. Voir notamment :
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]La théorie des germes : Une erreur fatale
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]La théorie des exosomes contre celle des virus
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]Vaccins: le système immunitaire ne fait plus la différence entre ce qu’il doit rejeter et lui-même
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]Covid-19 et Sras-Cov-2 — Les preuves d’une fraude globale ?
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]5G, virus et covid-19]




En Suisse, le conseil scientifique est traîné devant les tribunaux pour avoir joué sur les peurs du COVID

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Blanche Chevalier

L’Association des « Amis de la Constitution » porte plainte devant lel parquet de Zürich contre le groupe « Swiss National Covid-19 Science Task Force », en la personne de son président, Martin Ackermann. Le texte de la plainte est un vigoureux plaidoyer pour la démocratie et la préservation des libertés en Suisse. Il reproche à la Task Force d’avoir joué sur les peurs pour imposer des mesures d’autorité.

Les Amis de la Constitution sont une association engagée pour une Suisse libre et souveraine, conformément à la Constitution fédérale.

La plainte des Amis de la Constitution porte sur les déclarations faites tout au long de la crise du COVID 19, jugées mensongères et propres à avoir influencé volontairement les politiques dans le sens de la peur et du durcissement de la politique sanitaire. Dans le courrier de plainte, l’auteur dénonce la Task Force, accusée d’avoir : « délibérément et avec succès effrayé le public en prétendant être un danger pour la vie et l’intégrité physique conformément à Article 258 du Code pénal suisse (CP). »

L’accusation du mensonge et de la manipulation

En synthèse, la plainte liste les accusations comme suit :

  • Déclarations fausses et prévisions alarmistes, publiées de façon répétée, concernant l’utilisation de lits, le nombre d’hospitalisations et de décès notamment ;
  • Manipulation systématique des données « vraisemblablement dans le but de rendre la situation actuelle plus dramatique » et ainsi encourager à appliquer des mesures restrictives drastiques, inadaptées ;
  • Mise à l’écart de données qui contredisaient le « récit souhaité » ;
  • Créer de nouvelles raisons afin de prolonger les mesures restrictives.

L’accusation du lobbying pour maintenir la situation difficile de confinement

Les Amis de la Constitution expliquent aussi leur crainte concernant « le manque d’indépendance des membres du groupe de travail par rapport à l’industrie et/ou à la politique ».

La conclusion est sans appel : « La conduite de Martin Ackermann réunit tous les éléments d’un crime d’intimidation délibérée et réussie du public… »

Manipulation des chiffres, analyses tronquées et conclusions erronées. Les auteurs de la plainte portent de lourdes accusations mais il y va, selon eux, de la liberté et de la démocratie en Suisse.  Il est (toujours selon eux) inacceptable qu’un groupe – censé être scientifique – possède un pouvoir d’influence aussi démesuré sur l’opinion publique et les décisions politiques. Menés par la peur, les hommes politiques ont non seulement pratiqué un gel de la vie économique, culturelle, sociale et publique. Mais cela revient à un sabotage – conscient ou inconscient – de la vie civique, de la liberté que la Suisse a toujours voulu préserver !




Me Joseph explique sa plainte contre le président du Conseil de l’Ordre des Médecins

[Source : francesoir.fr]

ENTRETIEN – Avec Me Joseph, Doyen du Barreau de Grenoble, qui s’est dressé contre la « Scientocratie », et a été pressenti par des médecins et des particuliers pour déposer une plainte à l’encontre du Président du Conseil National de l’Ordre des Médecins pour :

  • Complicité d’assassinat
  • Complicité de mise en péril de mineur par personnes ayant autorité.

FranceSoir : Me Joseph, pourquoi parlez-vous de « Scientocratie » ?

JPJ : Depuis le début de l’épidémie de Covid 19, un quarteron de scientifiques, ayant pour la plupart, d’importants liens d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique, semble donner des directives aux politiques, contre l’avis de milliers de médecins de terrain, et de médecins hospitaliers, mais ont seuls, droit à la parole, ce qui fait que l’on voit toujours les mêmes sur les grands médias.

Cette Scientocratie a généré une peur totalement irrationnelle, faisant accepter l’inacceptable à une population totalement chloroformée, qui n’a pas réagi à toutes les contradictions, les incohérences, et l’inefficacité des mesures dites sanitaires, à tel point que si l’on avait dit aux gens que le virus flottait dans l’air à un mètre de hauteur, ils se seraient tous mis à marcher à 4 pattes.

Cette méthode n’est pas nouvelle, puisque, lors du procès de Nüremberg, le Gruppenführer S.S. KALTENBRUNNER a déclaré « …On peut faire accepter n’importe quoi à une population qui a peur… »

Pourtant, il y a des évidences :

  • On a fermé les bars et restaurants, et cela n’a rien changé.
  • On a instauré des couvre-feux, ce qui a amené des dizaines de milliers de personnes à s’entasser dans les grandes surfaces, juste avant la fermeture, dans la violation la plus totale de la distanciation soi-disant nécessaire, et cela n’a rien changé.
  • Aujourd’hui, une grande partie de la population est vaccinée, et la courbe redescend extrêmement lentement, alors qu’on aurait pu s’attendre à une baisse vertigineuse.
  • Les grands rassemblements de l’été 2020 (Fête de la musique, 14 juillet, etc…) puis plus tard des rave parties, des fêtes clandestines, n’ont pas donné de malades, ni même de « clusters ».
  • Le vocabulaire des médias est scandaleux, puisqu’on parle tous les jours de « nouveaux cas » qui sont en réalité des personnes testées positives et que l’on appelle « malades asymptomatiques », ce qui pour moi signifie des porteurs sains qui ne tomberont pas malades, et ceci d’autant plus que des scientifiques de plusieurs pays, ont démontré que les tests PCR identifiaient jusqu’à 90% de faux positifs.

Ces Scientocrates, ont perdu toute notion d’immunité, et d’humanité, à tel point qu’ils semblent avoir oublié que depuis des siècles un à 40 millions de virus flottent en permanence dans chaque mètre cube d’air que nous respirons. Si nous continuons d’être des moutons sans réagir, demain il nous faudra recevoir chacun des milliers de vaccins, et porter le masque en permanence, comme si l’être humain était tellement mal conçu, qu’il ne pourrait survivre sans une ribambelle de vaccins…

Si cette logique infernale continue, nous n’aurons plus le droit d’avoir une immunité naturelle, et notre intégrité corporelle sera violée en permanence, ce qui fait que, paradoxalement, nous serons tout le temps souffreteux, voire malades, ayant perdu toutes nos défenses naturelles.

D’ailleurs, notre Premier ministre a déclaré récemment qu’il faudrait peut être porter le masque à chaque nouvelle grippe, comme si notre immunité s’était totalement effondrée ! Certes, en ne sortant plus ou presque, en respirant mal derrière nos masques, véritables muselières, en ne pratiquant plus de sports, les gymnases étant fermés, en entendant tous les jours et partout des messages anxiogènes, on recueille tous les ingrédients d’une mauvaise immunité !

Pourtant, nombreux sont les médecins de terrain tout aussi diplômés que le quarteron de Scientocrates précité, et qui tentent en vain, de nous alerter sur l’incohérence des mesures dites sanitaires, et qui ont publié de nombreux articles ou vidéos, dans le silence scandaleux des grands médias. Je peux citer de mémoire: Les Pr Montagnier, Raoult, Perronne, le Dr Fouché, Dr Nicole et Gérard Delépine, Reliquet, de Lorgeril, Maudrux, Tal Schaller, Henrion-Caude, (que certains médias ont tenté en vain, de présenter comme illuminé),…Sans parler des nombreux médecins à l’étranger qui évoquent les mêmes sujets comme le Pr Harvey RischPeter McCulloughPierre Kory aux Etats-Unis, qui ont témoigné devant la commission du Sénat américain.

Les Scientocrates voudraient faire croire qu’ils détiennent l’intégralité du Savoir, car dès qu’il existe une méthode qu’ils ne connaissent pas, non seulement ils la nient, mais en plus ils la poursuivent, comme pour préserver leur savoir limité et dogmatique.

N’oublions pas que le célèbre épistémologue Bachelard, incitait à la critique de la Science. Et pourtant j’ai assisté à des guérisons « scientifiquement impossibles » … Et naturellement, ceux qui n’y croient pas n’auront jamais le temps de venir vérifier les méthodes qu’ils contestent.

FS : Pourquoi parlez-vous de crise « dite » sanitaire ?

JPJ : On a réussi à faire croire à la population que l’épidémie actuelle était plus grave que toutes les épidémies que l’on a connues dans le passé, ce qui a justifié des mesures liberticides que l’on n’avait jamais connues auparavant. Or ce postulat était faux.

L’on sait aujourd’hui que si on « attrape » ce virus, on a plus de 99% de chances de survie. Le risque est donc moins élevé que le cancer, les AVC, le tabagisme ou la malbouffe, ou même prendre la voiture un week-end de Pâques.

Pour moi la crise est politique, sinon l’on n’aurait pas assisté à toutes ces incohérences, et on a l’impression que les mesures liberticides se décident progressivement, comme pour nous habituer progressivement à l’inacceptable : le masque à l’intérieur, puis dans certaines rues, puis dans toute la ville, etc… Le couvre feu à 22h, puis 20h, puis 18h…

Les contradictions et les incohérences déstabilisent les plus fragiles. Sommes nous toujours en démocratie lorsque l’hygiénisme gouverne toute notre politique ? 

En février 2020 le confinement « allait faire flamber l’épidémie« , un mois plus tard, le confinement « allait ralentir l’épidémie ».

Quand les restaurants étaient ouverts, il fallait mettre le masque quand on était debout, et l’enlever une fois assis ; comme si le virus flottait à 1m 50 du sol !

À la Toussaint 2020, les restaurateurs ont espéré rouvrir en janvier, puis en février, puis en mars… On a joué avec les nerfs de tout le monde avec le système de la carotte et de l’âne. Si on leur avait dit dès la Toussaint qu’il y en aurait pour 7 mois, peut-être les rues auraient elles été envahies de manifestants craignant plus pour leur survie professionnelle que le risque de 0,05% « d’attraper » le virus.

Les remontées mécaniques dans les stations de ski, vont rouvrir quand il n’y aura plus de neige, et un député s’est étonné du fait qu’à la mi-mai, les discothèques resteront fermées, alors que les clubs échangistes pourront rouvrir…

Bref, on n’avait pas revu de telles incohérences et contradictions depuis le IIIème Reich.

Le pourquoi de tout cela est un autre débat sur lequel il faudra bien s’exprimer un jour.
 

FS : pouvez-vous nous expliquer la nature des plaintes que l’on vous demande de déposer ?

JPJ : Sur le site de l’Ordre des Médecins, il est indiqué, notamment :

« …Veiller à la qualité des soins… » 
« …Aux côtés des représentants des autres professionnels de santé, l’Ordre veille à la qualité des soins et au respect des droits des patients. Il s’assure de l’indépendance professionnelle de tous ses membres dans leurs relations avec l’industrie pharmaceutique et biomédicale…. »

Les plaintes portent sur deux points principaux

  • La complicité d’assassinat
  • Complicité de mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité.
     

FS : la complicité d’assassinat est une accusation forte, pouvez-vous expliciter les contours ?

JPJ : Dès le début de la pandémie, l’Ordre national des médecins a été informé en même temps que le ministère de la Santé du fait qu’il existait trois thérapeutiques mondialement utilisées et efficaces, ainsi que d’autres thérapeutiques moins connues, mais utilisées avec succès dans divers coins de France :

  • L’hydroxychloroquine,
  • La Vitamine C à haute dose et en perfusion (voir le protocole du Dr. MARICK aux U.S.A. : 100% de guérisons)
  • L’artemisia annua utilisée notamment à Madagascar (qui, fin mars 2021, indiquait avoir eu 355 décès depuis le début de l’épidémie pour une population d’environ 27 millions d’habitants).

Par la suite, l’on a appris que l’ivermectine, médicament utilisé depuis longtemps, et peu coûteux, donnait d’excellents résultats. En outre, dans de nombreux coins de France, des médecins avaient découvert des thérapeutiques qui fonctionnaient, puisque leurs patients guérissaient et ne n’avaient pas nécessité d’hospitalisation. Malgré de nombreux courriers, et même des recours au Conseil d’Etat, le ministère de la Santé a continué d’occulter toutes les thérapeutiques existantes.

Même si certains objectaient que ces thérapeutiques « n’étaient pas scientifiquement prouvées », pourquoi les interdire dans la mesure où elles n’avaient pas ou peu d’effets indésirables ? En attendant, ceux qui ont guéri, n’ont peut être pas guéri « scientifiquement », mais ils ont guéri…

En outre, M. le président de l’Ordre National des médecins, parallèlement, a interdit à tous les médecins de prescrire ces thérapeutiques, poursuivant même ceux qui contrevenaient à ces directives, se contentant de leur conseiller de dire à leurs patients :

  • soit, si leur état ne semblait pas trop grave, de rester chez eux et « prendre du Doliprane », (et d’attendre en fait que leur état ne s’aggrave)
  • soit de se rendre aux urgences à l’hôpital.

Or, la plupart des personnes décédées à l’hôpital, l’ont été entre le premier et le troisième jour de leur admission, ce qui montre qu’ils n’ont pas été traités, car ils ne pouvaient pas l’être pour les raisons précitées, alors que l’on a su très tôt que ces thérapeutiques devaient être utilisées dès les premiers symptômes.

Dès mars 2020, de nombreuses voix s’élevaient pour dénoncer le fait que la dissimulation et l’interdiction des traitements, masquaient une future « opération vaccinale ». Des milliers de médecins généralistes se plaignaient de ne pouvoir rien prescrire aux patients présentant les symptômes de cette maladie, et étaient contraints de leur dire de rester chez eux en attendant que leur état s’aggrave et qu’ils soient hospitalisés. C’est donc en connaissance de cause, en sachant que les personnes non soignées dès le début, seraient susceptibles d’avoir très vite un pronostic vital engagé, que le président du Conseil national de l’Ordre, a délibérément et volontairement, conduit des milliers de patients à la mort.

Il s’est donc rendu complice d’un assassinat collectif par fournitures d’instructions, de directives et de menaces. (art. 221-3 du Code Pénal). Lorsque l’on regarde quelqu’un se noyer sans rien faire, l’on est coupable d’omission de porter secours. Mais si l’on empêche les secours d’intervenir, l’on devient un meurtrier.

FS : pourquoi complice ?

JPJ : Les personnes qui, en connaissance de cause, ont donné des directives nationales aboutissant à interdire que l’on soigne les gens dès les premiers symptômes, se sont rendues coupables d’assassinat, puisque leur action était de toute évidence, préméditée. En relayant ces directives par des menaces de poursuites disciplinaires à l’encontre des médecins, le Président du Conseil national de l’Ordre, s’est rendu coupable de complicité d’assassinat.

FS : qui seront les plaignants ?

Il y aura trois séries de plaignants :

  • Les personnes dont un proche est décédé du Covid 19,
  • Les personnes qui ont survécu à une hospitalisation, consécutive à une absence de soins avant cette hospitalisation, et qui estiment avoir été victimes d’une tentative d’assassinat,
  • Les médecins dont plusieurs patients sont décédés, car ils n’ont pas eu le droit de les soigner à temps, et qui vont devoir affronter les reproches des familles, outre le fait qu’ils ont perdu des patients.

FS : sur la seconde cause, la complicité de mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité, quelles explications et éclairages pouvez-vous amener ?

JPJ : Il est vrai que c’est plus compliqué. Cependant des milliers de médecins et spécialistes dénoncent l’inefficacité du port du masque, tel qu’il est utilisé par la population, et dénoncent les effets psychologiques et physiologiques désastreux chez les enfants qui, de toutes manières, sont très peu, voire par du tout, vecteurs de la contagion, mais que l’on culpabilise, leur laissant déduire que c’est est à eux de protéger les adultes…

De nombreux scientifiques dénoncent également les effets désastreux qu’aura le port du masque à long terme sur le cerveau humain, lui causant des problèmes irréversibles.

Des centaines d’enfants se plaignent de maux de tête, difficultés respiratoires, angoisses, eczéma, crises d’asthme, etc…

De nombreux articles de presse dénoncent la maltraitance que subissent les enfants.

Alors que le Décret du 29 Octobre 2020 instituant l’obligation du port du masque, prévoit une contre-indication médicale si la personne se trouve en situation de handicap, et alors que le fait de respirer incomplètement et continuellement constitue par définition un handicap, M. le Président du Conseil National de l’Ordre des médecins, menace de poursuites disciplinaires les médecins qui délivreraient des certificats de contre-indication.

Or, les chefs d’établissement scolaires, en imposant le port d’un masque tant inefficace que toxique, se rendent coupables de mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité.

En menaçant tout médecin qui délivrerait un certificat de contre-indication, M. le président du Conseil National de l’ordre des médecins, empêche de nombreux enfants de rester en bonne santé, et se fait donc le complice de l’infraction de mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité. (art. 227-15 du Code Pénal)

Les parents seraient donc recevables et bien fondés à déposer plainte pour ces faits. On a vu cette situation jugée en Italie.

FS : Comment voyez-vous l’avenir ?

JPJ : La démocratie est une approche systémique, tenant compte de l’ensemble de la population, et non pas d’une minorité (personnes âgées ayant en plus d’autres pathologies). Or, une grande partie de la population correspond essentiellement à des porteurs sains (appelés curieusement « malades asymptomatiques ») ou des cas bénins.

Nous ne pouvons accepter qu’une minorité de Scientocrates dirigent, par la peur du virus, la majorité de la population, sous couvert d’être les soi-disant sauveurs de l’Humanité, alors qu’ils sont en échec face au cancer, au Sida, au paludisme, au diabète, etc… Tel ce « grand » diabétologue qui ne guérit pas le diabète, mais qui, sur une grande chaine de TV, face aux argument d’une généticienne expliquant pourquoi ces vaccins anti covid, ne sont pas des vaccins mais des injections d’OGM, et induiront des effets indésirables graves et très nombreux, se permet de vanter au contraire les bienfaits du vaccin en disant « Je m’en rapporte au ratio bénéfices/risques« , répétant ainsi une litanie livresque, puisque, par définition, on ne connait pas encore (et lui encore moins) les risques à long terme.

Le caractère dogmatique de ce genre de savants-ignorants expliquent la Thalidomide, le Distilbene, l’amiante, le sang contaminé, le Viox, le mediator, le Levothyrox, la Depakine, les statines, etc…

La science s’est aujourd’hui écartée du bon sens.

L’avenir dépend de nous tous : Si nous restons des moutons acceptant toutes ces incohérences et ces contradictions, nous n’avons pas remarqué que les premiers qui ont vacciné ont été les Anglais. Quelques jours plus tard est apparu le variant anglais…

Si nous restons des moutons dans la peur du virus, l’on peut imaginer le commentaire d’un journaliste de l’an 2035 :

« Nous craignons de plus en plus la 27ème vague… Il n’existe toujours pas de traitement. ..Un 43ème confinement est inévitable. Les Français se sont trop relâchés, nos trois hôpitaux sont à saturation : 2 des 3 lits de réanimation sont occupés. Surtout restez prudents et faites bien votre 56ème rappel de vaccin… » Extrait du livre de Jean-Pierre JOSEPH auteur de « Vaccins, on nous aurait menti ? » (Testez éd.)

FS : Comment font les victimes (médecin ou particulier) pour rejoindre la démarche de votre groupe d’avocats ?

JPJ : les plaintes et démarches ont été mise à disposition sur le site de l’association BonSens.org dont je salue l’approche. Il est important que les victimes puissent se fédérer et surtout parler entres-elles de la situation.

Les victimes peuvent donc retrouver les plaintes à l’adresse suivante : bonsens.info/plaintes-collectives .

Les victimes peuvent choisir la plainte qui leur convient, un petit formulaire à remplir est mis à disposition ainsi que la plainte. La simplicité et la clarté de la communication sont clés afin que le plus grand nombre puisse avoir accès.


[Voir aussi la section Avocats dans le menu du site :




« Il faudra bien discriminer »

[Source : Conscience du peuple]

[Sur la photo : « No Jab? No Job. » = Pas de piqûre ? Pas de travail !]

Par Isabelle

« Il faudra bien discriminer »

Cet écrit est détestable et son auteur est méprisant. Mon but en l’affichant ici n’est pas de faire réagir, mais de faire réfléchir. Nos réactions sont certainement normales, mais elles sont contre-productives. Elles nous figent en nous maintenant dans des attentes irréalistes qui nous empêchent d’appréhender le futur de façon lucide. 

Comme vous le savez, je ne crois absolument pas au pouvoir des pétitions, je pense plutôt que ce sont des outils qui servent à identifier et à quantifier la dissidence en vue de mieux manipuler l’opinion publique. De croire que les pétitions vont changer quelque chose est d’une grande naïveté considérant l’ampleur des objectifs visés par les plus hautes instances et puissances de la planète.

Au-delà de l’indignation que ce texte de Yves Boisvert inspire, il reflète un discours qui va s’intensifier de plus en plus d’ici la fin de l’été :
👉les non-vaccinés ne méritent pas d’avoir les mêmes droits et libertés que les citoyens qui ont choisi de se joindre à l’effort collectif… 
Blablabla.

Le discours moralisateur et discriminatoire qui s’installe concernant les vaccinés VS les non-vaccinés va devenir la rhétorique utilisée dans les médias, dans les milieux de travail, dans les écoles, partout. 

  • « Tu n’as pas de vaccin, tu ne manges plus avec nous ».
  • « Tu ne peux plus participer à nos 5 à 7 puisque tu risques de nous contaminer. »

Ce rejet, certains le vivent déjà. Et ça va s’intensifier aussitôt qu’il y aura une recrudescence des cas : les vaccinés vont accuser les non-vaccinés d’être responsables des nouveaux foyers d’éclosion et les autorités vont remettre des mesures de confinement « à cause de ceux et celles qui, par égoïsme, ont refusé le vaccin ». 

Imaginez un peu l’ambiance que ça va créer et la pression que ça va mettre sur les citoyens qui auront refusé la vaccination. Sans compter les chicanes entre amis et les disputes en famille.

Je m’attends à une puissante vague à l’automne, de cas, de morts et d’accidents post-vaccinaux, et je crois que plusieurs milieux de travail vont imposer la vaccination aux travailleurs. La vague de l’automne risque de légitimer l’obligation vaccinale (pression insoutenable) pour la plupart des emplois et le « passeport vaccinal » prendra effet dans cette période pour « contraindre les non-vaccinés ».

Je crois donc que « les fourmis » doivent aussi se préparer à ça : devoir quitter leur emploi et user de polyvalence et de créativité pour assurer leur survie. Est-ce un aveu de défaite que de se préparer à cette éventualité ? Non, c’est un constat certes très inconfortable, mais lucide et courageux. Ça nous oblige à repenser notre mode de vie : diminuer au maximum nos dépenses, notre crédit, revoir nos priorités. Ça nous oblige à prendre conscience que le choix d’être vacciné ou de ne pas être vacciné implique des conséquences. Ce n’est pas « bien », ce n’est pas « mal », c’est la suite programmée du choix que l’on fait.

Le déconfinement qui se déploie actuellement tel un tableau de renforcement positif pour conditionner un enfant à faire pipi dans le pot n’est qu’une « récréation » après laquelle la cloche va sonner pour nous rappeler que notre monde change.

Que Dieu nous garde. 🙏




Le troisième Temple de Jérusalem et l’embrasement de la Terre Sainte – Analyse de Pierre-Antoine Plaquevent

[Source : Strategika]

Par Pierre-Antoine Plaquevent – mai 2021

On ne peut comprendre l’actuelle montée aux extrêmes en Terre sainte sans interroger la nature profonde du projet théopolitique qui sous-tend la branche religieuse du sionisme. Dans ce projet (qui ne fait pas l’unanimité chez les Israéliens eux-mêmes), la reconstruction du Temple de Jérusalem et la reprise de sacrifices à Yahvé en son sein occupent une place centrale. Temple qui doit être reconstruit précisément là où se trouve la mosquée al Aqsa d’où est partie la tragédie actuelle.

Le premier dossier paru sur Strategika intitulé « Notre-Dame, Al Aqsa et le troisième Temple. La géopolitique des religions » exposait différentes manipulations politiques du sacré au cours de l’histoire récente. Parmi celles-ci , je développais la place qu’occupe le Temple dans l’imaginaire et l’agenda du sionisme religieux mais aussi le rôle que devra y jouer le Messie attendu par le judaïsme dans la reprise des sacrifices sanglants au sein du Temple, cela de l’avis même des dirigeants de l’Institut du Temple de Jérusalem.

Dans ce texte co-écrit avec l’historien des religions Youssef Hindi, nous abordions aussi le rôle joué par cette mystique de la reconstruction du Temple de Jérusalem au sein des courants de la droite évangéliste pro-israélienne. Un soutien toujours plus important pour Israël à mesure que la diaspora juive américaine prend elle ses distances avec le projet messianique du sionisme religieux [1].

La flambée de violence qui embrase actuellement la Terre sainte ne peut se comprendre sans appréhender l’explosive poussée messianique qui aiguillonne le sionisme religieux depuis son origine. Une fièvre millénariste qui peut conduire le monde contemporain vers une crise globale sous la pression d’un acteur géopolitique de plus en plus irrationnel et pressé d’accomplir son projet métapolitique et théopolitique.

Afin d’éclairer la séquence en cours, nous publions ici une partie de notre étude dont la totalité est disponible ici : https://strategika.fr/2020/02/10/notre-dame-al-aqsa-et-le-troisieme-temple-la-geopolitique-des-religions/

L’incendie de la mosquée al Aqsa et le troisième Temple de Jérusalem

(…) La mosquée al Aqsa se trouve précisément là où les sionistes religieux veulent « reconstruire » le Temple. Et ils ne cachent pas leur volonté de détruire la Mosquée[2]. L’Institut du Temple[3] a été créé en 1987 par le rabbin Yisrael Ariel, en vue de ce projet de construction du Troisième Temple.

Tous les objets liturgiques du futur temple sont prêts[4]. En novembre 2016, le rabbin Hillel Weiss, porte-parole du Sanhédrin, interpelant Vladimir Poutine et Donald Trump, déclarait :

« Nous sommes prêts à reconstruire le Temple. Les conditions politiques actuelles, dans lesquelles les deux dirigeants nationaux les plus importants dans le monde soutiennent le droit juif à Jérusalem comme leur héritage spirituel, sont historiquement sans précédent. »[5]

La pression exercée sur le site de la Mosquée d’al-Aqsa est constante. Ainsi le 09 mai 2019, des dizaines de colons, escortés par la police israélienne, faisaient irruption sur le site de la mosquée al-Aqsa : « Firas al-Dis, responsable de la communication au sein de l’autorité des Wakfs islamiques de Jérusalem, a déclaré que ‘‘137 extrémistes ont envahi la mosquée al-Aqsa aujourd’hui’’ ». [6]

Début juin 2019, environ 1200 militants sionistes religieux s’introduisaient sur l’esplanade des Mosquées durant la fin du ramadan, une période où il leur est théoriquement interdit de visiter l’esplanade. Une intrusion qui a eu lieu avec l’aval de la police israélienne à l’occasion des festivités du « Jour de Jérusalem », une journée qui commémore la prise de la vieille ville de Jérusalem, alors sous contrôle jordanien, lors de la guerre des Six Jours en 1967.[7]

S’en suivront des heurts violents entre les fidèles musulmans qui défendaient leurs lieux saints et les militants sionistes venus faire le coup de poing pour commémorer le jour où selon eux le destin messianique d’Israël a été freiné. Les sionistes religieux n’ont effectivement jamais admis le statu quo imposé en 1967 par Moshe Dayan lors de la guerre des Six Jours. À cette époque, le général puis ministre de la défense, Moshe Dayan se serait exclamé face à l’idée de s’emparer de force de l’esplanade des Mosquées : « Pourquoi aurions-nous besoin d’un tel Vatican ? ».[8]

Moshe Dayan se ravisera et enverra ses parachutistes s’emparer de l’esplanade des Mosquées mais il placera ensuite lui-même l’administration de ce site très sensible sous la responsabilité du Wakf, l’administration des biens musulmans, et évitera les provocations et vexations supplémentaires de son aile droite. Allant jusqu’à déclarer à la radio israélienne :

« Nous ne sommes pas venus conquérir les lieux saints des autres, ni pour restreindre leurs droits religieux, mais pour assurer l’intégrité de la ville et y vivre avec d’autres dans la fraternité. ».[9]

L’esplanade des Mosquées constitue le troisième lieu saint de l’islam, après La Mecque (où se trouve Masjid al-haram, la mosquée sacrée) et Médine (où est située Masjid al-Nabawi, la mosquée du Prophète). S’y trouvent le dôme du Rocher et la mosquée al Aqsa, la plus grande de Jérusalem. Pour les musulmans, le Prophète Muhammad, accompagné de l’Ange Gabriel, s’éleva sur le dos d’une monture appelée « Bouraq » depuis La Mecque jusqu’à la Mosquée al Aqsa, et de là il traversera les sept cieux avant de recevoir de Dieu l’ordre pour les musulmans de prier cinq fois par jour.

Les juifs quant à eux appellent l’esplanade des Mosquées le mont du Temple. Il constitue pour la religion juive le lieu le plus sacré du judaïsme. Sur le mont du Temple se trouvait durant l’Antiquité le Temple de Jérusalem qui fut détruit en 70 après Jésus-Christ par les légions romaines de Titus lors de la première guerre judéo-romaine où l’Empire écrasa la révolte des juifs de la province de Judée. Pour les sionistes religieux (toujours plus influents en Israël mais contestés par une partie de la population secularisée), la reconquête intégrale du mont du Temple et à terme la reconstruction du troisième Temple constituent des objectifs stratégiques centraux de leur vision du monde et de leur idéologie messianique. Pour eux, Israël ne sera réellement Israël que lorsque les juifs pourront à nouveau se rendre au Temple pour y exercer les sacrifices rituels décrit dans l’Ancien Testament.

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Sources : L’esplanade des Mosquées, poudrière du conflit israélo-palestinien – https://www.franceculture.fr/geopolitique/lesplanade-des-mosquees-poudriere-du-conflit-israelo-palestinien
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Source : Donald Trump reconnaît Jérusalem comme capitale d’Israël – https://www.midilibre.fr/2017/12/06/donald-trump-reconnait-jerusalem-comme-capitale-d-israel,1599150.php
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L’emplacement prévu du Temple reconstruit.
Source : A Jérusalem, le rêve explosif des activistes du troisième temple –  Pierre Haski – novembre 2016 https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-monde/20141030.RUE6416/a-jerusalem-le-reve-explosif-des-activistes-du-troisieme-temple.html
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Donald Trump devant le « mur des lamentations ». Mur considéré dans le judaïsme comme le vestige principal du second Temple de Jérusalem détruit en 70 après JC par les légions romaines de l’empereur romain Titus (Imperator Titus Caesar Vespasianus Augustus).
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Jair Messias Bolsonaro, président de la république fédérative du Brésil. Premier chef d’Etat étranger à se rendre au Mur des Lamentations à Jérusalem en compagnie d’un Premier ministre israélien : « pendant des décennies, les dirigeants étrangers se sont gardés d’apparaître au côté d’un dirigeant israélien devant le Mur des Lamentations pour ne pas sembler prendre position sur des questions hautement sensibles de souveraineté. Donald Trump avait été en mai 2017 le premier président américain en exercice à se recueillir devant le Mur. Mais il était accompagné par le rabbin du Mur, Shmuel Rabinovitz » Source : Bolsonaro crée un précédent diplomatique au Mur des Lamentations https://www.lepoint.fr/monde/bolsonaro-cree-un-precedent-diplomatique-au-mur-des-lamentations-01-04-2019-2305105_24.php
Le président brésilien entend des explications sur le Second Temple – Photo Amos Ben Gershom / GP : « Dans les tunnels du Kotel, le président Bolsonaro a pu voir une maquette du Second Temple ainsi qu’un film retraçant les liens millénaires du peuple juif avec Jérusalem et le Mont du Temple. Enfin, près de l’Arche de Wilson, le président brésilien a pu admirer une exposition de divers vestiges et objets du passé juif découverts sur ce site par les archéologues. Avant de quitter les lieux, il a signé le Livre des visiteurs. Visiblement impressionné et ému, le président brésilien a dit qu’il comprenait parfaitement le lien entre le peuple juif et Jérusalem. » https://lphinfo.com/jair-bolsonaro-a-visite-le-kotel/
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Il existe par ailleurs déjà une réplique inspirée du Temple de Jérusalem à Sao Paulo au Brésil : « Le Temple de Salomon est un édifice religieux à São Paulo, au Brésil. Il est le siège mondial de l’Église universelle du royaume de Dieu, une église chrétienne évangélique charismatique, dont le responsable est Edir Macedo Bezerra. Situé dans le quartier de Brás, il est le plus grand édifice religieux du pays. Le temple se veut une réplique du Temple de Jérusalem tel qu’il existait selon la bible, à l’époque du roi Salomon et qui est détruit selon celle-ci en 586 av. J.-C. par le roi de Babylone Nabuchodonosor II. » Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Temple_de_Salomon_(S%C3%A3o_Paulo) et https://www.otemplodesalomao.com/author/souldigital/
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L’ancien président du Brésil Michel Temer lors de l’inauguration du « Temple de Salomon » en 2014.
Source :  https://www.flickr.com/photos/vice-presidencia/albums/72157645664529467
Ci-dessus une maquette du second Temple de Jérusalem.
La même reconstitution du Second Temple de Jérusalem. (© Felix Bensman | Dreamstime.com
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Ici une maquette du Second Temple exposé dans l’Institut du Temple à Jérusalem. (crédit photo : Nati Shohat/Flash90) – Source : https://www.timesofisrael.com/laying-the-groundwork-for-a-third-temple-in-jerusalem/
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Là encore une réplique du Temple est descendue par une grue sur le toit de la Yeshiva Aish HaTorah dans le quartier juif en 2009 (crédit photo : GALI TIBBON) https://www.jpost.com/israel-news/temple-institute-encourages-jews-to-hope-for-third-temple-in-new-video-597873
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Illustration du futur Temple reconstruit.
Ci-dessus une reconstitution virtuelle de l’intérieur du Temple
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Source : une maquette représentant le premier temple juif, qui se trouvait autrefois sous le complexe abritant le Dôme du Rocher (vu au centre, en arrière-plan) et la mosquée Al-Aqsa, est vue dans la vieille ville de Jérusalem, le 2 juin 2015. – REUTERS/Ammar Awad – https://www.al-monitor.com/originals/2015/11/yishai-sarid-third-temple-war-muslims-arabs-jewish-state.html#ixzz6vENrDqRF

La montée du sionisme religieux de 1967 à nos jours

Le reporter franco-israélien Charles Enderlin a longuement étudié l’impact du sionisme religieux sur la société israélienne ; il explique de quelle manière la reconquête du mont du Temple obsède et galvanise l’aile la plus religieuse du sionisme politique et militaire. Il montre aussi comment le messianisme religieux a fini par prendre le pas sur le sionisme laïc (qu’il défend) et a fait pression dès 1967 pour reprendre le mont du Temple aux musulmans. Cela notamment au travers de rabbins ultras et militants tel Shlomo Goren, général et aumônier-rabbin militaire de Tsahal. Il décrit ainsi l’exaltation qui s’est emparée du rabbin suite à la prise du mont du Temple par les parachutistes de Tsahal en 1967 :

« Je n’ai pas dormi pendant trois nuits et le trajet du musée Rockfeller, je l’ai parcouru en courant avec mes dernières forces sous les tirs et les bombardements. Dès la porte des Lions, j’ai commencé à sonner le Shofar (la corne de Bélier) en priant à voix haute ainsi que la Halakha l’exige en temps de guerre. Arrivé au centre du mont du Temple, j’ai sonné à nouveau le shofar et lu la proclamation que j’avais préparée quelques jours plus tôt, déclarant tous les lieux saints en Israël ouvert à toutes les religions du monde. Je suis ensuite descendu devant le Mur occidental devant lequel se trouvaient de nombreux parachutistes … À midi vingt, j’ai dit la prière du Minkhah. J’ai envoyé une jeep chercher le rabbin Zvi Yehouda Kook. Ils sont arrivés au Mur occidental en passant par le montant. » [10]

Plus connu sous le nom de « Mur des lamentations », le « Mur occidental » désigne pour le judaïsme le mur occidental du Temple d’Hérode. Shlomo Goren qui affirme dans ses mémoires avoir déclaré que « tous les lieux saints d’Israël seraient ouverts à toutes les religions du monde », aurait dans le même temps fomenté la destruction pure et simple du troisième lieu saint de l’islam en 1967.

Charles Enderlin rapporte ce dialogue entre Goren et le général Uzi Narkiss :

« Goren n’évoque pas la discussion qu’il a eu avec Uzi Narkiss. Ce dernier en révélera le contenu, des années plus tard, à un journaliste du quotidien Haaretz. Goren voulait tout simplement faire place nette :

Goren : « Uzi ! C’est maintenant ! Fait mettre cent kilos d’explosif dans la mosquée d’Omar et on en sera débarrassé une fois pour toutes !

Narkiss: « Rabbin ! Suffit ! »

Goren: « Uzi ! Ton nom entrera dans l’histoire ! »

Narkiss : « Mon nom est déjà inscrit dans l’histoire de Jérusalem ! »

Goren : « Tu ne réalises pas quelle portée cela aurait ! C’est l’occasion qu’il faut saisir maintenant à cet instant ! Demain il sera trop tard ! »

Narkiss : « Rabbin ! Si tu n’arrêtes pas je te ferai mettre au cachot ! » [11]

Charles Enderlin cite dans son enquête les propos d’autres religieux juifs partisans de la destruction des mosquées comme par exemple le rabbin Gershon Salomon, le président des Fidèles du Temple, qui explique sans détours :

« La mission de cette génération est de libérer le Mont sacré, d’en finir avec la domination qui s’y trouve. Plus de dôme ! Plus de mosquée mais l’emblème d’Israël et le Temple ! Assez des rêves d’un Temple qui descendrait du ciel ! » [12]

Source : Moshe Dayan dans la vieille ville de Jérusalem après la victoire israélienne de juin 1967
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Source : « Le grand rabbin des forces de défense israéliennes, Shlomo Goren, arrive au Mur occidental libéré. À sa droite, le général Uzi Narkiss et le HaRav Menachem Cohen. À l’extrême gauche se trouve le compagnon parachutiste qui a planté le drapeau israélien sur le Mont du Temple, déclarant ainsi la souveraineté juive sur le Mont, mettant fin à 1897 ans d’exil. » https://templeinstitute.org/temple-mount-liberation-1967/
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Source : « Le rabbin Shlomo Goren, portant un Sefer Torah, dirige une célébration spontanée au Mur occidental, alors que des milliers de Jérusalemites, submergés par l’émotion, se dirigent vers le site où se trouvait le Saint Temple. » – https://templeinstitute.org/temple-mount-liberation-1967/
« Le Sefer Torah est déposé dans un endroit sûr : une niche dans le mur occidental du Mont du Temple. » – https://templeinstitute.org/temple-mount-liberation-1967/

Cette pression permanente qu’exerce le lobby messianique en Israël est certes dangereuse pour les populations de la région, mais elle concerne en fait le monde entier si l’on prend en compte l’implication américaine dans la région. Surtout, les proximités de vues qui existent entre certaines tendances extrêmes du protestantisme politique américain comme le courant des « sionistes chrétiens » sont de nature à inquiéter quant au maintien des équilibres géopolitiques instables du Proche-Orient. (…) Lire ici l’intégralité de l’E-book Strategika : Notre-Dame, Al Aqsa et le troisième Temple. La géopolitique des religions

L’Évangélisme sioniste et la fin de l’Histoire 

Comme nous l’avons écrit précédemment, l’origine du sionisme chrétien remonte au courant dit du « restaurationnisme », dans l’Angleterre du XVIIe siècle. À la même époque, en France, le huguenot Isaac de Lapeyrère écrivit son Du rappel des Juifs[21], ouvrage dans lequel il explique comment la conversion des juifs au christianisme se ferait concomitamment avec leur retour en Terre promise.

Aux États-Unis ce courant existe depuis le XIXe siècle et trouve un écho particulier du fait des idées d’élection et du concept de destinée manifeste[22] qui nourrissent chez certaines élites américaines le sentiment que les États-Unis auraient une mission spécifique dans l’histoire : le rôle messianique d’instaurer une paix universelle pour le monde entier. Ce courant chrétien-sioniste prendra réellement son essor après la Seconde Guerre mondiale avec l’instauration d’un proto-État israélien en Palestine, événement perçu comme un signe annonciateur du retour prochain du Christ par le courant évangéliste sioniste.

De fait, on retrouve une convergence frappante entre l’idéologie du sionisme religieux contemporain américain et les vues des chrétiens sionistes que l’on devrait appeler de manière plus exacte des « évangélistes sionistes ». Les évangélistes sionistes interprètent de manière littérale la Bible, ce sont en fait des millénaristes. Ils pensent que le Christ reviendra sur terre instaurer un royaume de justice universelle pour une période de mille ans une fois que les juifs seront tous rassemblés en Terre sainte et qu’une partie d’entre eux se sera convertie afin d’affronter l’Antéchrist.

Pour l’évangélisme sioniste l’histoire humaine est divisée en périodes qui correspondent aux différentes Alliances avec Dieu. Ces périodes appelées « dispensations » donnent son nom au courant du « dispensationnalisme » :

« Les dispensationnalistes[23] pensent qu’ils vivent la dernière dispensation, celle qui précédera le retour du Christ. Plus précisément, ils pensent que les vrais chrétiens doivent se préparer à l’Extase (Rapture en anglais), c’est-à-dire à être enlevés (de leur vivant ! NDA) de la sphère humaine pour rejoindre le royaume de Dieu. De là, ils seront en sécurité pendant les Tribulations, sept années de désastres et de guerres. Quant aux Juifs, ils retourneront en Israël avant l’Extase, où ils reconstruiront leur État ainsi que le Temple. Ayant refusé de reconnaître le Christ et d’être sauvés pendant l’Extase (à l’exception de 144 000 d’entre eux), ils se soumettront à l’Antéchrist, et seul un tiers d’entre eux survivra aux Tribulations, qui se termineront lors de la bataille de Megiddo (dans le nord d’Israël) ou Armageddon. Le Christ reviendra alors pour vaincre Satan, et instaurera un règne de mille ans. Les Juifs qui auront survécu reconnaîtront le Christ comme leur Sauveur, et répandront sa parole à travers le monde. À la fin des mille ans, Satan parviendra à se rebeller et sera cette fois vaincu définitivement. Des changements cosmiques auront alors lieu, les morts se lèveront et seront jugés, et le Royaume de Dieu sera établi pour l’éternité. »[24]

Cette interprétation littérale, naïve et finalement assez grossière des événements décrits dans l’Apocalypse de Jean a par ailleurs été condamné par des représentants du christianisme oriental qui ont publié en août 2006 un texte désignant le sionisme chrétien comme : « (…) une doctrine fausse, contraire à l’esprit du christianisme. La déclaration est signée par Mgr Michel Sabbah, patriarche latin de Jérusalem, Mgr Swerios Malki Mourad de l’Église syriaque orthodoxe, Mgr Riah Abu El-Assal, évêque anglican de Jérusalem, et Mgr Munib Younan, évêque luthérien de Jérusalem. » [25]

Cette lecture matérialiste et hétérodoxe de l’Évangile est désormais très répandue dans la culture populaire aux États-Unis :

« Surprenant ! Des millions d’Américains attendent aujourd’hui d’être « enlevés » (rapture) par Jésus-Christ lorsque celui-ci reviendra sur terre pour établir son Royaume terrestre. Cette croyance est propagée par de nombreux livres à succès, des romans mais aussi des ouvrages « hétéroclites » c’est-à-dire qui mêlent la fiction et l’exégèse. Citons Hal Lindsey et son best seller « The Late Planet Earth ». Avant d’être enlevés et d’échapper ainsi aux calamités qui vont s’abattre sur la terre (guerre atomique, règne de l’Antéchrist), ces chrétiens encouragent vivement le retour des juifs en Palestine, car c’est seulement par la restauration pleine et entière du Royaume d’Israël que les juifs pourront se convertir et reconnaître enfin Jésus comme messie. (…) À l’heure du Seigneur, les vivants sont « ravis » par Jésus qui les soustrait au monde et les transforme en leur octroyant un corps de lumière. Les élus, non seulement ne vont pas subir les épreuves de la tribulation, mais seront « changés » sans avoir à connaître la mort et la résurrection. À l’heure du Seigneur, il y aura des vivants qui ne mourront jamais.» [26]

L’actuel secrétaire d’État des États-Unis (NDA : fin 2019), Mike Pompeo, a lui-même déjà fait allusion à cette doctrine irrationnelle de l’enlèvement des justes durant l’Armageddon : « Alors simple membre du Congrès, il avait déclaré lors d’un sommet ecclésiastique à Wichita : « Nous continuerons à mener ces batailles. C’est une lutte sans fin… jusqu’au Ravissement. Faites partie de ce combat. Participez à la lutte. » [27]

De nombreux Américains pensent qu’encourager le retour des juifs en Palestine est en fait un acte de foi évangélique qui permet de hâter le retour du Christ et de son règne millénaire qui surviendra après une période de chaos. Dans une étude parue il y a une dizaine d’années, Guy Mosjoen a parfaitement résumé, les visées géopolitiques de l’évangélisme sioniste :

« C’est alors que le Seigneur se souvient de la promesse faite au peuple juif. Promesse de retour et de puissance retrouvée. Avec le système des dispensations, l’Église n’a jamais été qu’une parenthèse. Israël et l’Église sont restés distincts. La Nouvelle Alliance n’a pas annulé la Première, de sorte qu’une fois le temps de l’Église révolu, Jésus-Christ peut littéralement restaurer Israël. Le Royaume de Dieu n’est donc pas l’Église mais le Royaume de David. La grande tribulation n’a pas vu la disparition du genre humain. Il reste des juifs et des païens. Il reste aussi une capitale (Jérusalem), un temple reconstruit (car il a fallu le reconstruire pour que l’Antéchrist puisse le profaner), des lévites (des prêtres pour sacrifier de jeunes taureaux), et des nations à asservir puisque, dans les temps messianiques, le roi gouvernera avec une ʺmain de ferʺ.

Certains millénaristes, appelés théonomistes, sont même en faveur d’une civilisation chrétienne régie par l’application intégrale de la loi d’Israël.

Voici donc le millénium « chrétien » des fondamentalistes millénaristes, qu’ils soient postmillénaristes ou prémillénaristes, et s’ils sont prémillénaristes, qu’ils soient pré-tribulationnistes, mi-tribulationnistes, post-tribulationnistes ou encore pré-coléristes (…) On pourra s’étonner de lire encore le mot « chrétien » alors que c’est très explicitement d’un millénium juif qu’il s’agit. »[28]

Un catastrophisme théopolitique qui prend racine dans une lecture littéraliste de la Bible spécifique au monde protestant. Une interprétation des textes sacrés du christianisme qui met l’accent sur la loi vétérotestamentaire et le rôle providentiel des juifs dans l’histoire. Un rôle que n’annule pas la nouvelle alliance scellée par la première venue du Christ pour les évangélistes, d’où leur sentiment d’une proximité avec le judaïsme inconnue dans les mondes catholique et orthodoxe traditionnels. L’interprétation évangéliste des textes bibliques aura pour effet de ramener au sein du christianisme évangélique des éléments de millénarisme qui furent en leur temps rejetés par les premiers conciles chrétiens :

« Le millénarisme désigne la croyance en la venue d’un règne de Dieu sur terre qui instaurera son royaume de justice universelle pour toujours ou pour une période de mille ans. C’est le “millénium” chrétien dont certains courants paléochrétiens pensaient qu’il adviendrait après le retour du Christ pour une période déterminée de mille ans et dont les Églises catholique et orthodoxe ont défini qu’il est déjà advenu et que le retour et la victoire du Christ seront dès lors définitifs. (…) Les églises catholique et orthodoxe ont expliqué que le “millénium”, l’âge d’or qu’attendent les millénaristes, a déjà eu lieu dans le temps. Il s’agit en fait du millénaire chrétien qui commence aux débuts de la chrétienté en tant que religion protégée par l’État à partir de Constantin le Grand jusqu’à la chute de Constantinople. »[29]

Un millénarisme qui porte en lui un catastrophisme théopolitique intrinsèquement lié à la religion juive comme l’expose le professeur Michael Löwy, chercheur et enseignant à l’École des hautes études en sciences sociales :

« Selon G. Scholem, pour le messianisme juif la rédemption est un événement qui se produit nécessairement sur la scène de l’histoire, ʺpubliquementʺ pour ainsi dire, dans le monde visible ; elle n’est pas concevable comme processus purement spirituel situé dans l’âme de chaque individu et résultant dans une transformation essentiellement interne. De quel type d’événement visible s’agit-il ? Pour la tradition religieuse juive l’arrivée du Messie est une irruption catastrophique : ʺ Le messianisme juif est dans son origine et dans sa nature – on ne saurait jamais assez insister – une théorie de la catastrophe. Cette théorie insiste sur l’élément révolutionnaire cataclysmique, dans la transition du présent historique à l’avenir messianique. ʺ»[30]

Doctrine catastrophiste qui était aussi celle des néo-conservateurs réunis au sein du PNAC – Project for the New American Century –, néo-conservateurs pour la plupart anciens trotskystes d’origine juive.[31]

L’évangélisme sioniste place le troisième Temple au centre de son système religieux. Pour les évangélistes sionistes, la reconstruction du Temple est une condition au retour du Christ et à la conversion des justes parmi les juifs, ceux qui reconnaîtront le Christ comme leur messie lors de son second avènement. Les derniers rapprochements entre l’administration Trump et Israël (NDA : ce passage fut écrit fin 2019) ont été une illustration géopolitique éclatante de cette convergence de vue et d’intérêt entre la droite religieuse israélienne et l’évangélisme politique américain. Pour la première fois dans l’histoire, un secrétaire d’État américain visitait la Vieille Ville de Jérusalem en compagnie d’un haut responsable politique israélien. Une visite historique qui venait conforter les attentes israéliennes et une reconnaissance tacite de la souveraineté israélienne sur le site du mont du Temple et de l’esplanade des Mosquées :

« Ce geste apparaît surtout comme une nouvelle étape dans la révision de la position américaine à l’égard de Jérusalem engagée par Donald Trump, qui avait lui-même été en 2017 le premier président des États-Unis en exercice à se rendre au Mur des Lamentations. Ce site se trouve en effet à Jérusalem-Est, dont Israël s’est emparé en 1967 avant de l’annexer. La communauté internationale juge illégale cette annexion, et renvoie le statut final de la Ville sainte à des négociations de paix. »[32]

Durant cette visite, Mike Pompeo, accompagné du Premier ministre Benjamin Netanyahu et de l’ambassadeur américain en Israël David Friedman ont visité aussi le tunnel du Mur des lamentations ainsi que la synagogue située sous terre, à l’endroit supposé du sanctuaire du Temple. Là ils ont pu « observer une reconstitution en réalité virtuelle du temple juif qui surmontait autrefois le mont du Temple » ainsi qu’une maquette très détaillée du futur temple présentée par l’Institut du Temple (The Temple Institute). [33]

Suite à ce voyage, Mike Pompeo avait diffusé une vidéo officielle censée résumer son séjour peu avant le déclenchement de la crise iranienne actuelle. On peut y voir une maquette du Temple associé à des images du Mur des lamentations, là où les lieux saints islamiques sont quant à eux ignorés sciemment. Dans la même vidéo sont aussi montrés le Saint-Sépulcre comme pour signifier l’alliance naturelle qui unirait Israël et la chrétienté face aux mêmes menaces.[34]

Durant ce séjour en Israël, Pompeo a donné toutes les assurances possibles à l’exécutif israélien et à la droite religieuse quant au soutien américain face à l’Iran. Les références bibliques furent nombreuses et appuyées durant les allocutions ou interviews accordées par le secrétaire d’État américain pendant et autour de ce voyage :

« Le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a laissé entendre dans une interview que le président Donald Trump avait peut-être été envoyé par Dieu pour sauver le peuple juif et qu’il était ʺconfiant dans le fait que le Seigneur est au travail iciʺ ». [35]

Comme cette visite officielle avait lieu durant la fête juive de Pourim, Pompeo fit un parallèle historique puissamment ancré dans la mémoire juive : 

« Les Juifs du monde entier et ici à Jérusalem parlent du fait qu’Esther a sauvé le peuple juif il y a 2500 ans avec l’aide de Dieu de Haman » [36]

Haman, est une référence de la Bible qui apparaît dans le Livre d’Esther. Il évoque un archétype de l’ennemi du peuple juif dans la mémoire collective juive. Vizir de l’Empire perse sous le règne d’Assuérus (Xerxès Ier), Haman ourdit le projet de faire tuer tous les juifs installés dans l’Empire. Il fait alors passer un décret qui sera signé par le roi afin d’ordonner l’extermination de la population juive. Son plan sera déjoué par la reine Esther qui tenait sa judaïté secrète et qui la révèle à ce moment-là au roi Assuérus. Esther arrive alors à convaincre le roi perse d’épargner son peuple. Haman et ses dix fils seront pendus par les Juifs avec l’aval du roi Assuérus.

Des références vétérotestamentaires que Pompeo a réitéré devant l’un des médias évangélistes les plus influents :

« Pompeo répondait à des questions lors d’une interview à Jérusalem avec le Christian Broadcasting Network, fondé par le télévangéliste Pat Robertson, et dont l’auditoire est vaste. Quand on lui a demandé si Trump était une nouvelle Esther, il a déclaré : ʺEn tant que chrétien, je crois que c’est certainement possible. ʺ» [37]

Dans leur déclaration conjointe durant ce voyage officiel, Benjamin Netanyahu a lui aussi évoqué ces références en les citant dans une perspective anti-iranienne : 

« Le Président Trump vient d’entrer dans l’histoire. Je lui ai téléphoné. Je l’ai remercié au nom du peuple d’Israël. Tout d’abord, il a reconnu Jérusalem comme capitale d’Israël et y a installé l’ambassade américaine. Ensuite, il s’est retiré du désastreux traité avec l’Iran et a imposé de nouvelles sanctions. Mais aujourd’hui, le Président Trump a fait quelque chose d’une égale importance historique – il a reconnu la souveraineté d’Israël sur les hauteurs du Golan, et cela, à un moment où l’Iran tente d’utiliser la Syrie comme plate-forme pour attaquer et détruire Israël. Et le message que le président Trump a transmis au monde est que les États-Unis se tiennent aux côtés d’Israël. Nous célébrons Pourim, quand, il y a 2 500 ans, d’autres Perses, menés par Haman, ont tenté de détruire le peuple Juif. Ils ont échoué ; et aujourd’hui, 2 500 ans plus tard, une nouvelle fois, les Perses dirigés par Khamenei tentent de détruire le peuple Juif et l’État Juif. » [38]

Cette référence au Vizir Haman de l’ancienne Perse, n’est pas juste rhétorique dans la bouche du Premier Ministre israélien, elle renvoie en fait à cette « plus longue mémoire » juive, une mémoire collective qui vit comme une réalité présente les persécutions, les guerres et les avanies historiques survenues (ou fabulées, telle l’histoire du livre d’Esther, entièrement mythique)[39] même il y a très longtemps. Une perception hypermnésique de son propre passé historique et communautaire que le professeur de psychologie Kévin Mac Donald a étudié en profondeur :

« Dans son tréfonds, l’ethnocentrisme juif est intimement lié à un sentiment de persécution historique. La mémoire juive est une mémoire de la persécution et de la catastrophe imminente, une mémoire qui justifie n’importe quelle réponse, parce que, au bout du compte, c’est la survie du peuple juif qui est en jeu. (…) Les juifs ont une très longue mémoire historique, des événements qui se sont produits il y a des siècles influencent encore leurs perceptions actuelles. Ce sentiment profond de mise en danger du groupe et d’injustice historique est associée à ce style hyperbolique de la pensée juive qui transparaît à maintes reprises dans le discours juif. »[40]

Pour cette « longue mémoire » juive, la référence au Vizir Haman ne renvoie pas seulement à l’antique Perse et donc à l’Iran actuelle mais aussi à l’ennemi ontologique d’Israël, Amalek, roi des Amalécites, ce peuple ennemi juré d’Israël d’après la Bible. Pour les juifs religieux, Amalek serait en fait un ancêtre du Vizir Haman, comme le développe le Rav Ron Chaya :

« Le nom de Haman est Haman Haagagui, c’est-à-dire descendant de Agag, or Agag était le roi du peuple Amalek à l’époque du roi Chaoul. » [41]

La figure d’Amalek convoque dans la mémoire juive un archétype intemporel, celui d’un ennemi qui prend différentes formes dans l’histoire et qui se réactualise perpétuellement. Pour les sionistes religieux, l’une des formes les plus virulentes d’Amalek est actuellement constituée par l’Iran. La situation géopolitique qui se dessine est tout sauf rassurante, les représentations et croyances religieuses des membres influents de l’administration américaine convergent dangereusement avec la religiosité apocalyptique de l’exécutif israélien.

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Le Premier ministre Benjamin Netanyahu, l’ancien secrétaire d’État américain Mike Pompeo et l’ambassadeur américain en Israël David Friedman (R) visitent les tunnels du Mur occidental dans la vieille ville de Jérusalem, le 21 mars 2019. (Photo par JIM YOUNG / AFP) – Source : https://www.timesofisrael.com/in-significant-first-pompeo-joins-netanyahu-for-western-wall-visit/

Le Troisième Temple et la guerre mondiale des religions

Cette infatigable et intraitable mémoire explique aussi la volonté actuelle de reconstruction du Troisième Temple à l’identique. Ainsi l’Institut du Temple (The Temple Institute)[42]travaille-t-il à préparer et à reconstituer jusque dans ses moindres détails l’architecture et le culte qui seront exercés dans le Temple reconstruit. Que ce soit les objets qui serviront aux sacrifices, les vêtements des prêtres, les prêtres eux-mêmes ou encore la fameuse vache rousse[43] nécessaire à certains rituels de purification spécifique, tous les éléments du culte que les sionistes religieux cherchent à reconstituer sont étudiés scrupuleusement. Le directeur pour l’Europe de l’Institut du Temple est le Rabbin Jean-Marc Rosenfeld, un membre actif et important de sa communauté comme il le dit lui-même : « J’ai été directeur de différentes sociétés dans le textile. Sur le plan communautaire, j’ai été président de communauté et président d’associations, puisque j’ai fondé le B’naï Brith sur la Côte d’Azur, à Antibes où je résidais ; j’ai également fondé France-Israël dans la même ville et j’ai été président de la LICRA-Côte d’Azur pendant neuf ans. » [44]

Le Rav Jean Marc Haïm Rosenfeld – source : http://www.ichretien.com/reportages/le-consistoire-des-protestants-evangeliques-de-cote-d-ivoire-veut-donner-a-l-eglise-ivoirienne-de-parler-d-une-seule-voix-5349.html

Dans un long entretien accessible sur Internet, il livre des détails très instructifs sur les travaux de recherche et les préparatifs autour de la reconstruction du Temple de Jérusalem et de son culte. Surtout il expose très sereinement des conceptions qui peuvent sembler surréalistes et qui seraient sûrement  taxées de « complotistes » si elles étaient énoncées par un non-juif :

« Revue Kephas : Pour que le Temple puisse fonctionner, il faudra que des prêtres et des lévites reprennent du service, si j’ose dire. Comment pourra-t-on faire pour savoir qui est légitimement prêtre ou lévite dans le Peuple juif d’aujourd’hui ?

Jean-Marc Rosenfeld : Voilà une question sur laquelle nos maîtres se sont penchés plusieurs fois. Effectivement, un Cohen ou un Lévi d’aujourd’hui peut ne pas être un cohen ou un lévi : des mésalliances ont eu lieu, des tribus sont parties … De plus, ne peut l’être que quelqu’un qui connaît le fonctionnement, et qui applique la Loi que Dieu a donnée. Donc on ne peut pas se réveiller un jour en disant ʺTiens, maintenant je suis cohen, je suis lévi  !ʺ Selon nous, le Temple sera reconstruit et ensuite, le Messie arrivera pour nous donner toutes ses directives. Il nous dira alors qui est réellement cohen ou lévi. Aujourd’hui cela nous dépasse – même si on a des analyses de groupes sanguins qui commencent à se faire, et qui permettent de voir quelle est la descendance cohen et la descendance lévi dans ces groupes sanguins, c’est encore très, très aléatoire et ce n’est pas une science toraïque exacte. »[45]

Le Rabbin Jean-Marc Rosenfeld évoque aussi les sacrifices d’animaux qui auront lieu dans le Temple comme au temps du paganisme antique : 

« Revue Kephas : Envisagez-vous, dans ce Temple à venir, une reprise du régime des sacrifices ?

J.-M. R. Effectivement, nos maîtres nous enseignent que les sacrifices auront à nouveau lieu. C’est pourquoi l’Institut du Temple reconstitue aussi des objets, que vous voyez ici, qui pourront peut-être servir dans le prochain Temple. Les sacrifices doivent reprendre parce qu’ils nous ont été ordonnés par Dieu. L’homme doit exécuter ce que Dieu a dit – même s’il ne le fait pas toujours, malheureusement, car si les religions se sont multipliées c’est par le fait des hommes, et pas de Dieu, qui dit au contraire : « Réunissez-vous ensemble car Je suis Dieu Un ». Le moment venu, Dieu nous éclairera : le Messie nous donnera exactement les fonctions à faire. Les sacrifices se referont, pas tous comme à l’époque – c’est marqué, d’ailleurs, dans la Torah – certains sacrifices ne se feront plus. Par exemple, savez-vous qu’à l’époque de la Délivrance, tout le monde apportera un sacrifice expiatoire ? Imaginez : tous les gens apportant des sacrifices pour l’expiation de leurs fautes, c’est écrit ! Et il y aura également l’offrande des parfums, c’est évident.

Revue Kephas : Et des sacrifices sanglants d’animaux ?

J.-M. R. Oui, ces sacrifices vont revenir : si Dieu nous a indiqué que ce sont des odeurs qui Lui sont agréables, comment le défier en disant « je ne ferai pas de sacrifices, parce que moi, tuer une bête, je ne suis pas d’accord » ? Pourquoi Dieu nous les demande-t-il ? Parce qu’en nous il y a une sorte d’être bestial depuis toujours ; et si l’animal a été créé, c’est pour l’expiation de la faute de l’homme : c’est quelque chose que nous pouvons difficilement comprendre… C’est comme la vache rousse : pour purifier un cohen il faut les cendres d’une vache rousse, pourquoi une vache rousse ? Aucun maître n’a pu le savoir, mais nous croyons qu’un jour le Messie nous le dira. »[46]

Une reconstruction du troisième Temple qui va bouleverser les équilibres religieux précaires de la région et qui peut conduire à un embrasement généralisé :

« Revue Kephas : La première question qui vient à l’esprit, c’est celle du lieu du Troisième Temple : pensez-vous qu’il doive et qu’il puisse être construit à l’emplacement des deux Temples précédents, qui est actuellement occupé par des mosquées célèbres dans tout le monde musulman ?

J.-M. R. Si on a compris le message que je viens de vous donner et que nos maîtres nous enseignent, l’emplacement que Dieu a choisi est la pierre de fondement du monde, la pierre où eut lieu la ligature d’Isaac [ou sacrifice d’Abraham N.d.A.], le rêve de Jacob, la naissance d’Adam et d’Ève – nos père et mère à tous, de tous les peuples … on ne peut concevoir que le troisième Temple n’apparaisse pas au même endroit. Et ce n’est pas seulement une vue de l’esprit, c’est marqué dans les prophéties, qui disent que « le Premier Temple sera construit et sera démoli, le Deuxième Temple sera construit et sera redémoli, et le Troisième Temple sera reconstruit et ne sera plus jamais redémoli » … C’est quelque chose que nous attendons : si les deux autres prophéties se sont avérées exactes, nous sommes sûrs que la troisième prophétie se réalisera également …

Revue Kephas : Concrètement, avec les mosquées sur l’Esplanade, comment envisagez-vous les choses ?

J.-M. R. Moi je n’envisage rien, simplement je transmets ce que les prophètes ont écrit … C’est qu’il y aura un phénomène surnaturel à cet emplacement. Je ne sais s’il faut en parler ou non, car ce n’est pas l’objet de notre approche qui est une approche de paix, de shalom, mais… c’est quelque chose qui va se passer : les troubles actuels marquent le début de la guerre de Gog et Magog, qui va, malheureusement, faire de nombreuses victimes – c’est marqué dans cette prophétie, qui dit également que la pierre de fondement va jaillir de l’eau et va submerger l’Esplanade du Temple. À ce moment-là, le Temple va se reconstruire, purifié, pour la paix et le bien du monde entier ; alors, les Justes des nations se réveilleront en disant « mais c’est la seule solution », puisque nous n’avons pas trouvé jusqu’à présent de solution politique… Nous, nous ne sommes pas dans une impasse parce que nous savons qu’il n’y a qu’une solution, et je pense que les Justes des nations vont se réveiller, et à ce moment-là, le Messie nous indiquera le chemin à suivre … »[47]

Le message est à peine voilé : nous irons jusqu’au bout car telle est la volonté de Dieu et la prophétie qu’annonce nos écritures. Reste donc aux israéliens de détruire la mosquée al-Aqsa afin de reconstruire le Temple et de réaliser enfin la « prophétie » biblique que juifs et francs-maçons (cités dans les pages qui précèdent) attendent et appellent de leurs vœux :

« De nombreux peuples et de puissantes nations viendront rechercher Yahvé à Jérusalem et rendre hommage à Yahvé.” Ainsi parle Yahvé : “En ces jours-là, dix hommes de toute langue, de toute nation, saisiront le pan de l’habit d’un seul individu yehoudi (Juif) en disant : Nous voulons aller avec vous, car nous avons entendu dire que Dieu est avec vous !’’ » (Zacharie 8, 22-23)[48]

Si une part significative des évangélistes semblent prête à suivre les religieux israéliens jusqu’aux conséquences ultimes de leur hybris théologique et téléologique, qu’en sera-t-il des catholiques La tentative actuelle d’infliger une distorsion au catholicisme pour lui donner une inflexion judaïsante aura-t-elle l’agrément des autorités catholiques ? Une future reconstruction du Temple de Jérusalem et la reprise des sacrifices sanglants en son sein sont-ils acceptables ? Des sacrifices sanglants que l’Eucharistie vient remplacer selon la théologie chrétienne. Dans les dogmes catholique et orthodoxe le sacrifice du Christ sur la Croix vient clore l’ère des sacrifices de l’Ancien Testament.

Quand les sacrifices sanglants offerts à Yahvé reprendront dans la ville sainte de Jérusalem, que feront alors les autorités catholiques ?  Diront-elles aux chrétiens de tolérer ce que Saint Irénée, Évêque de Lyon et Martyr (120-202) condamnait par avance comme d’essence diabolique dans son « Contre les hérésies » (livre 5, troisième partie) :

 « C’est précisément dans ce Temple (de Jérusalem) que siégera l’Adversaire[49], lorsqu’il tentera de se faire passer pour le Christ, selon ce que dit aussi le Seigneur : ʺ Quand vous verrez l’abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, dressée dans le lieu saint — que celui qui lit comprenne ! ʺ » [50]

Et Saint Irénée d’expliciter plus encore :

« C’est ce que fera l’Antéchrist au temps de son règne : il transportera sa royauté dans Jérusalem et siégera dans le Temple de Dieu, persuadant insidieusement ses adorateurs qu’il est le Christ. (…) C’est cela même que dit l’Apôtre [Saint Paul vers 51, dans l’épître aux Thessaloniciens] :  ʺQuand ils diront : Paix et sécurité, c’est alors qu’une ruine soudaine fondra sur eux. ʺ » (1 Th 5,3) »[51]

Pierre-Antoine Plaquevent pour Strategika


« UN FILM SUR LA PRATIQUE DE L’OFFRANDE DE PESSAH
L’INSTITUT DU TEMPLE ORGANISE UN EXERCICE D’OFFRANDE DE PESSAH SANS PRÉCÉDENT
5 Nisan/25 mars 2015 – L’Académie de formation sacerdotale créée par le Temple Institute a organisé un exercice d’offrande de Pessah. C’est un film qui documente cet événement. Il s’agit de la reconstitution la plus précise et la plus authentique de ce service qui ait eu lieu depuis près de 2 000 ans. » Source : https://templeinstitute.org/
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Photo issue du même reportage sur le sacrifice (korban) de Pessah.
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Reconstitution d’une cérémonie de libation lors de la fête des Tabernacles (Soukkot), dans la vieille ville de Jérusalem. GALI TIBBON – Source : https://www.lefigaro.fr/international/jerusalem-les-prophetes-du-nouveau-temple-20191205
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« Un membre de l’Institut du Temple tient une chèvre sans défaut d’un an dans une mise en scène de la préparation du renouvellement du sacrifice de Pessah dans le troisième Temple juif, le 2 avril 2012, lors d’une exposition au public à Jérusalem. La police israélienne a arrêté plus d’une douzaine de personnes soupçonnées d’avoir tenté de sacrifier une chèvre dans la ville autour de la fête de Pessah. » GALI TIBBON/AFP/GETTY – Source : Pourquoi les activistes juifs continuent-ils à essayer de sacrifier des chèvres dans la vieille ville de Jérusalem ? JACK MOORE 4/13/17 – https://www.newsweek.com/why-do-jewish-activists-keep-trying-sacrifice-goats-jerusalems-old-city-583433
Le sacrifice sanglant de l’agneau : « Les sacrifices animaux ne pourront être offerts qu’une fois le Temple reconstruit. Mais, à l’enseigne du Temple Institute, des prêtres ont déjà tenté, dans cette vidéo de 2015, de reconstituer les sacrifices tels qu’ils devront être pratiqués le jour venu. » – Source : https://www.orbis.info/2018/05/roman-anticipation-le-troisieme-temple/
« Il ne s’agit pas d’un film, d’une reconstitution historique ou d’une pièce de théâtre, mais de membres de familles sacerdotales juives qui, sous l’égide du Temple Institute, s’exercent en 2015 à la pratique des rituels de la Pâque juive, tels qu’ils espèrent les voir bientôt à nouveau pratiqués dans le Troisième Temple. Cette scène est extraite d’une vidéo du Temple Institute. » Source : https://www.orbis.info/2018/05/roman-anticipation-le-troisieme-temple/
« Le Sanhédrin naissant a publié une déclaration aux 70 nations pour Hanoukka qui sera lue lors d’une cérémonie à Jérusalem le dernier jour de la fête. La cérémonie comprendra la consécration d’un autel en pierre préparé pour être utilisé dans le troisième temple. La déclaration se veut une invitation aux nations à participer au Temple et à recevoir ses bénédictions. » Source : https://www.israel365news.com/117830/70-nations-hanukkah-altar-third-temple/
Allumage du feu sur l’autel du troisième temple pour la première fois (Photo Adam Eliyahu Berkowitz/Breaking Israel News) source : LES NATIONS SONT INVITEES A UN SACRIFICE ANIMAL SUR LE MONT DES OLIVIERS RENOUVELANT L’ALLIANCE DE NOÉ – ADAM ELIYAHU BERKOWITZ | 2 SEP 2019 – https://www.israel365news.com/136435/nations-invited-animal-sacrifice-mount-of-olives-renewing-noahs-covenant/
Reconstitution virtuelle de l’autel du Temple.
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Les Kohanim soufflent dans des trompettes en argent lors de la dédicace de l’autel du Troisième Temple. (Crédit : Adam Eliyahu Berkowitz Breaking Israel News) Source : https://www.israel365news.com/118474/dedication-altar-third-temple/
« Deux types de shofars ont été soufflés : des cornes de bélier courbées et des cornes de bouquetin droites. (Elan Shecter) » Source : https://www.israel365news.com/133127/sanhedrin-calls-conference-70-nations-take-place-anniversary-creation-world-nations-answer-call/

[1] Dermer : Israël doit privilégier le soutien des évangéliques à celui des Juifs US : « L’ancien ambassadeur d’Israël aux États-Unis, Ron Dermer, a suggéré dimanche qu’Israël devrait donner la priorité au soutien « passionné et sans équivoque » des chrétiens évangéliques plutôt qu’à celui des juifs américains, qui, selon lui, font partie « de manière disproportionnée de nos détracteurs ». « Les gens doivent comprendre que l’épine dorsale du soutien d’Israël aux États-Unis est constituée par les chrétiens évangéliques. C’est vrai en raison de leur nombre et aussi de leur soutien passionné et sans équivoque à Israël », a déclaré Dermer lors d’une interview sur scène à une conférence organisée par Makor Rishon, un organe de presse affilié à la communauté sioniste religieuse. »
https://fr.timesofisrael.com/dermer-israel-doit-privilegier-le-soutien-des-evangeliques-a-celui-des-juifs-us/

[2] http://www.alterinfo.net/L-institution-d-Al-Aqsa-les-israeliens-se-preparent-pour-demolir-la-mosquee-d-Al-Aqsa_a7995.html

[3] http://www.templeinstitute.org/

[4] https://www.youtube.com/watch?v=F6prYdPPPaQ

[5] https://www.breakingisraelnews.com/78372/bin-exclusive-sanhedrin-asks-putin-trump-build-third-temple-jerusalem/#3vwbci6oekLjVXjL.97

[6] https://www.trt.net.tr/francais/moyen-orient/2019/05/09/des-dizaines-de-colons-envahissent-la-mosquee-al-aqsa-1198231

[7] ►http://www.lefigaro.fr/international/jerusalem-sous-tension-apres-des-heurts-sur-l-esplanade-des-mosquees-20190602
https://fr.timesofisrael.com/260-000-musulmans-prient-a-jerusalem-apres-une-attaque/

[8] https://www.letemps.ch/opinions/israel-victoire-messianisme-juif

[9] Charles Enderlin, Au nom du Temple. Israël et l’irrésistible ascension du messianisme juif (1967 – 2013), Seuil, avril 2013.

[10] Charles Enderlin, Au nom du Temple. Israël et l’irrésistible ascension du messianisme juif (1967 – 2013).

[11] Charles Enderlin, Au nom du Temple. Israël et l’irrésistible ascension du messianisme juif (1967 – 2013).

[12] Charles Enderlin, Au nom du Temple. Israël et l’irrésistible ascension du messianisme juif (1967 – 2013).

[13] Bernard Cottret, Histoire de la réforme protestante XVIe-XVIIIe siècle, Perrin, 2001, p. 209.

[14] Alexis de Tocqueville, De la démocratie en Amérique, Paris, Gallimard, 1986, I, p. 414.

[15] G. Esquier, L’anticolonialisme au XVIIIe siècle, Paris, PUF, 1951, p. 290.

[16] Sébastien Fath, Le poids géopolitique des évangéliques américains : le cas d’Israël : 
https://www.cairn.info/revue-herodote-2005-4-page-25.htm

[17] Cf. Brian Steensland, Philip Goff, The New Evangelical Social Engagement OUP USA, USA, 2014, p. 111.117

[18]cf. Sébastien Fath, op. cit.

[19] Sébastien Fath, op. cit.

[20] http://www.atlantico.fr/decryptage/normalisation-forcee-comment-donald-trump-est-en-train-revenir-bien-sagement-dans-rang-parti-republicain-jean-eric-branaa-3012759.html

[21] https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8608258x

[22] https://fr.wikipedia.org/wiki/Destinée_manifeste

[23] https://fr.wikipedia.org/wiki/Dispensationalisme

[24] Perani Prisca. « Les Chrétiens sionistes aux États-Unis. » In : Matériaux pour l’histoire de notre temps, n°75, 2004. Religion, société et politique aux États-Unis, pp. 76-85

[25] http://theologie-et-questions-disputeses.blogspot.com/2011/08/declaration-de-jerusalem-sur-le_22.html

[26] https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-sionisme-chretien-essai-d-interpretation-theologique-3.html

[27] http://www.afrique-asie.fr/lemprise-evangeliste-sur-ladministration-trump/

[28] https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-sionisme-chretien-essai-d-interpretation-theologique-3.html

[29] Pierre-Antoine Plaquevent, Soros et la société ouverte : Métapolitique du globalisme, Le Retour aux Sources 2018.

[30] Löwy Michael. Messianisme juif et utopies libertaires en Europe centrale / Jewish  Messianism and Libertarian Utopias in Central Europa. In : Archives de sciences sociales des religions, n° 51/1, 1981. pp. 5-47.
Pierre-Antoine Plaquevent, Soros et la société ouverte : Métapolitique du globalisme, Le retour aux sources 2018.

[31] Voir : Y. Hindi, Occident & Islam – Tome I : Sources et genèse messianiques du sionisme, Sigest, 2015. Et : Stephen Walt et John Mearsheimer, Le lobby pro-israélien et la politique étrangère américaine, La Découverte, 2009.

[32] https://www.lepoint.fr/monde/au-mur-des-lamentations-pompeo-offre-a-netanyahu-une-image-symbolique-21-03-2019-2303058_24.php

[33] ►https://fr.timesofisrael.com/pompeo-en-visite-historique-au-mur-occidental-aux-cotes-de-netanyahu-et-friedman/
https://www.timesofisrael.com/in-significant-first-pompeo-joins-netanyahu-for-western-wall-visit/

[34] https://sputniknews.com/world/201903231073479183-mike-pompeo-jerusalem-third-temple-model/

[35] https://www.timesofisrael.com/pompeo-says-trump-may-have-been-sent-by-god-to-save-jews-from-iran/

[36] https://www.timesofisrael.com/pompeo-says-trump-may-have-been-sent-by-god-to-save-jews-from-iran/

[37] https://www.washingtonpost.com/religion/2019/03/22/pompeo-perhaps-trump-is-like-bibles-esther-meant-save-jewish-people-iran/?utm_term=.65425dab232a

[38] https://embassies.gov.il/paris/NewsAndEvents/Pages/Declarations-communes-du-Premier-ministre-Netanyahu-et-du-secr%C3%A9taire-d’%C3%89tat-des-%C3%89tats-Unis-Mike-Pompeo-suite-%C3%A0-la-declarati.aspx

[39] https://books.google.co.ma › books
Figures mythiques: fabrique et métamorphoses, Véronique Léonard-Roques, ‎Université de Clermont-Ferrand II. Centre de recherches sur les littératures modernes et contemporaines – 2008 – ‎Jewish mythology
Qui veut se pencher sur l’histoire d’Esther se trouve donc en présence d’un scénario mythique assez clairement identifiable.

[40] Kevin MacDonald, “Background Traits for Jewish Activism”
https://nationalpolicy.institute/2004/10/08/background-traits-for-jewish-activism/

[41] « Quel est le lien entre Haman et Amalek? » 
http://www.leava.fr/questions-reponses/explications-sur-la-bible/12926_question-noa.php

[42] https://fr.wikipedia.org/wiki/Institut_du_Temple

[43] Lire à ce propos : Youssef Hindi, « Poussée de fièvre messianique en Israël », bvoltaire.fr, 05/08/2015 : 
https://www.bvoltaire.fr/poussee-de-fievre-messianique-israel/

[44] « Rebâtir le Temple ? Une rencontre au cœur du judaïsme contemporain »
http://www.revue-kephas.org/02/2/Rosenfeld73-85.html

[45] « Rebâtir le Temple ? Une rencontre au cœur du judaïsme contemporain »
http://www.revue-kephas.org/02/2/Rosenfeld73-85.html

[46] « Rebâtir le Temple ? Une rencontre au cœur du judaïsme contemporain »
http://www.revue-kephas.org/02/2/Rosenfeld73-85.html

[47] « Rebâtir le Temple ? Une rencontre au cœur du judaïsme contemporain »
http://www.revue-kephas.org/02/2/Rosenfeld73-85.html

[48] La Bible, traduction intégrale hébreu-français par les membres du Rabbinat Français, sous la direction du Grand-Rabbin Zadoc Kahn, Éditions Sinaï, Tel-Aviv/Israël, 1994.

[49] N.d.A. : « L’Adversaire » se traduit en hébreu par « Satan ». 
http://projetbabel.org/forum/viewtopic.php?t=19007

[50] ►https://catholicapedia.net/Documents/saint_irenee-de-lyon/St.Irenee-de-Lyon_Traite-Contre-les-Heresies_Livre-5.pdf
http://christroi.over-blog.com/2018/12/la-reconstruction-du-troisieme-temple-de-jerusalem-a-debute.html
https://catholicapedia.net/Documents/saint_irenee-de-lyon/St.Irenee-de-Lyon_Traite-Contre-les-Heresies_Livre-5.pdf

[51] ►http://christroi.over-blog.com/2018/12/la-reconstruction-du-troisieme-temple-de-jerusalem-a-debute.html
https://catholicapedia.net/Documents/saint_irenee-de-lyon/St.Irenee-de-Lyon_Traite-Contre-les-Heresies_Livre-5.pdf
http://thomiste12.over-blog.com/article-s-irenee-la-fin-des-temps-et-l-antechris-99407388.html




L’Albanie teste l’agromine, la dépollution des sols par les plantes

[Source : reporterre.net]

En Albanie, des paysans cultivent avec enthousiasme une plante jugée autrefois indésirable. Car en puisant des métaux lourds comme le nickel, l’Alysson des murs, «hyperaccumulatrice», dépollue les terres. L’expérimentation est portée par des scientifiques locaux et français.

Pogradec (Albanie), reportage

Les paysans de la région ont beau s’échiner depuis des générations, les champs ensoleillés qui bordent les eaux profondes du lac d’Ohrid donnent peu. Sur cette terre rouge et sèche, située à quelques kilomètres de la frontière macédonienne, il faut assurer la nourriture du bétail. «La terre est peu productive. C’est à cause du nickel qu’il y a dans le sol…, résume Dalip Gaxho, un paysan de 60 ans, casquette sur la tête. Il n’y a que la culture fourragère qui fonctionne. C’est une terre peu fertile qui n’est pas adaptée à d’autres cultures.» Ici ou là, sur les collines à la végétation rase, on aperçoit les vestiges des mines de la période communiste.

Pauvres en nutriments, les terres de l’Albanie orientale sont naturellement riches en métaux lourds. Zinc, cobalt, et surtout nickel sont présents en fortes quantités sur ces sols dits ultramafiques. Cette concentration élevée en métaux n’est pas sans danger pour la santé humaine, mais est fort appréciée par une plante qui fleurit en ce mois de mai : l’Alysson des murs. Alyssum murale, de son nom latin, la famille Alillari la connaît bien : cette plante vert clair aux multiples fleurs jaunes s’épanouit autour de son village, Pojska. «Cette plante nuit aux cultures qui me font vivre! Si je veux cultiver et vendre du maïs ou des haricots, je dois l’arracher de mes champs!» s’agite Dalip Alillari, un fermier de 58 ans. «Pour nous, c’était une plante inutile, reconnaît plus posément Vahit, le fils. Elle nous paraissait même dangereuse, car quand tu veux cultiver quelque chose, tu es obligé de l’enlever quand elle apparaît dans tes champs…»

Si Vahit parle au passé, c’est que la famille regarde aujourd’hui d’un tout autre œil cette voisine appréciée des abeilles mais naguère indésirable. Ces cinq dernières années, les Alillari ont même recouvert certaines de leurs parcelles avec cette plante touffue qui peut atteindre un mètre de hauteur. À l’origine de ce changement inédit de culture : Aida Bani. Voilà plus de quinze ans que les recherches en phytoextraction de cette scientifique albanaise se concentrent sur l’Alysson des murs. «Alyssum murale est une plante hyperaccumulatrice. Ses racines puisent le nickel contenu dans le sol et elle peut stocker jusqu’à 2% de ce métal dans ses tissus, s’enthousiasme cette agronome de l’Université de Tirana. Elle peut extraire les métaux de deux types de sols : des sols naturellement riches en métaux lourds, et des sols qui ont été contaminés par l’activité industrielle et minière.» Grâce au soutien financier du projet «Life agromine» puis du programme de microfinancements du Fonds pour l’environnement mondial (GEF SGP), la chercheuse cultive aujourd’hui près de huit hectares d’Alysson des murs dans l’est de l’Albanie.

La chercheuse Aida Bani étudie les plantes «hyperaccumulatrices» depuis plus de quinze ans.

C’est à Nancy que s’est joué une partie des expérimentations actuelles autour de l’Alyssum albanaise. Avec ses collègues et professeurs de l’Université de Lorraine, Jean-Louis Morel, Guillaume Echevarria et Marie-Odile Simonnot, Aida Bani s’est intéressée aux vertus dépolluantes de l’Alysson des murs, ainsi qu’à son potentiel économique. Une fois récoltées et séchées, les plantes cultivées en Albanie sont expédiées dans l’est de la France au laboratoire d’Econick, une entreprise fondée par sept chercheurs lorrains. Après l’incinération de la biomasse et divers procédés chimiques, les scientifiques récupèrent du sel et de l’oxyde de nickel. Ces biominéraux de haute qualité permettent des utilisations variées : pour la coloration de céramique ou des verres de lunettes, ou comme composants de batterie et autres catalyseurs. Si le coût de fabrication n’est pas encore en mesure de concurrencer l’extraction minière traditionnelle, la démarche résonne avec l’urgence écologique. L’entreprise espère séduire des industriels désireux de se fournir en matériaux issus de pratiques plus saines pour l’environnement.

L’agromine offre de nouvelles perspectives aux agriculteurs albanais.

La culture des amatrices de métal permettrait de dépolluer les sols en à peine cinq à dix ans.

Question rendements, les expériences menées jusque-là semblent prometteuses. En quelques années, le Centre de gestion économique et agro-environnemental d’Aida Bani a réussi à doubler la quantité de nickel récupérée grâce aux plantes. «De cent kilos par hectare en 2015, nous sommes arrivés à en récolter deux cents l’an dernier, se félicite la chercheuse, en inspectant une parcelle que vient d’irriguer Dalip Gaxho, le paysan. Nous avons doublé les rendements en jouant avec la distance, la densité des plantes, la fertilisation minérale et organique, le temps et la manière de récolter, mais aussi en l’associant avec d’autres plantes comme les légumineuses.» On recense de par le monde près de quatre cents plantes hyperaccumulatrices. Encore expérimentale, la culture des amatrices de métal permettrait de dépolluer les sols des métaux lourds en à peine cinq à dix ans.

Des champs de ces plantes hyperaccumulatrices ont ainsi fait leur apparition sur d’anciens sites industriels lorrains. Et en Albanie où les sols ultramafiques représentent près de 11% de la superficie du pays, «l’agromine» pourrait ouvrir de nouveaux horizons à un secteur agricole en souffrance et apporter des revenus bienvenus dans des campagnes qui souffrent de la pauvreté et du manque de perspectives. «Les opportunités qu’offre la phytoextraction intéressent beaucoup les paysans du coin, assure Aida Bani. En cultivant ces plantes hyperaccumulatrices, ils peuvent gagner bien plus d’argent qu’avec les plantes fourragères : deux, trois, voire même quatre fois plus.» La vente à Econick des plantes récoltées améliorent déjà un peu le quotidien des paysans qui participent aux expérimentations.

L’«Alyssum murale» pousse naturellement sur l’ancien site industriel de Prrenjas en Albanie.

L’opération sols propres que mène l’Alyssum murale autour du lac d’Ohrid semble ainsi satisfaire les Alillari, qui appliquent la rotation des cultures à leurs parcelles. Lentement vidés de leurs métaux par l’Alysson des murs, leurs champs gagnent en qualité et pourraient se montrer plus généreux dans le futur. «En retirant le nickel qui nuit à nos cultures, cette plante permet à nos terrains d’être plus productifs, se réjouit Vahit Alillari. Avec cette plante, tout le monde est gagnant : la professeure avec son expérimentation, et nous, les fermiers.» Pour l’instant, les métaux contenus dans la terre rouge de Pogradec paraissent inépuisables, et l’Alyssum murale a encore de beaux jours devant elle. Aida Bani compte en récolter plus de treize tonnes cette année. Afin d’améliorer le bilan carbone de l’expérience, et dans une perspective d’économie circulaire, la chercheuse discute avec ses collègues de Lorraine pour pouvoir un jour récupérer le métal stocké dans les plantes directement en Albanie.




La monarchie parlementaire : un régime défenseur des libertés

[Source : IREF Europe]

Par Alexandre Massaux

Les monarchies parlementaires, comme certains pays du Commonwealth et scandinaves, dominent les classements des libertés économiques et politiques. L’importance donnée au Parlement tout comme la non-politisation du chef de l’État offrent un cadre institutionnel propice à des décisions libérales.

La mort du prince consort Philip Mountbatten, mari de la reine Elizabeth II, a soulevé des questions quant au rôle de la monarchie dans nos sociétés modernes. Certains en France vont même jusqu’à considérer ce modèle dépassé et estiment qu’il devrait être aboli en faveur de la république. Pourtant, cette dernière est-elle nécessairement un meilleur régime ? Les indicateurs et classements évaluant le degré de liberté des pays démontrent le contraire : la monarchie parlementaire s’avère efficace en matière de protection des libertés. Sa structure institutionnelle peut l’expliquer : le pouvoir est paradoxalement moins concentré entre les mains d’une seule personne.

Les monarchies dominent en matière de libertés économiques et civiles

Le Royaume-Uni n’est pas la seule monarchie parlementaire en Occident et dans le monde industrialisé. En Europe continentale, la majorité des pays nordiques sont, encore de nos jours, des monarchies. En Scandinavie, la Norvège, la Suède et le Danemark sont dirigés par des dignitaires royaux. Tout comme au Benelux, la Belgique, les Pays-Bas et le Grand-Duché du Luxembourg. Même situation en Espagne. Plus loin, plusieurs pays du Commonwealth sont sous l’autorité de la couronne britannique : le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande ont comme chef d’Etat Elizabeth II, représentée par des gouverneurs généraux. Et le Japon a gardé son empereur.

Il paraît pertinent d’analyser la performance de ces pays en matière de libertés économiques et politiques. L’Index de l’Heritage Foundation de 2021 offre des informations sur les premières. Le classement du Cato Institute de 2020 et les données de la Freedom House donnent des éléments sur les libertés politiques et civiques. Le tableau ci-dessous met en évidence le rang des monarchies dans les deux premiers classements et leur score attribué par la Freedom House. La République française est utilisée comme pays de comparaison.

Plusieurs observations s’imposent. Les monarchies occupent plus de la moitié des « top 10 » des pays les plus libres et certaines se situent à la première place. En matière économique, à l’exception de l’Espagne, toutes sont classées « libres » ou « majoritairement libres ». Les pays du Commonwealth sont, en moyenne, légèrement plus performants que les monarchies continentales. Le score plus faible de l’Espagne peut en partie s’expliquer, la monarchie ayant été rétablie à l’initiative du général Franco à la fin de son règne. Elle est donc plus récente et c’est un choix politique. Enfin, La principauté du Liechtenstein est absente de ce tableau car elle ne figure pas dans les classements d’Heritage et du Cato.

Une politique menée par un Parlement plutôt que par un homme providentiel

Dans tous ces pays, le monarque a des pouvoirs très limités, voire symboliques, contrairement aux républiques présidentielles comme la France ou les Etats-Unis où le président détient pratiquement à lui seul le pouvoir décisionnel. Aux Etats-Unis, le Congrès joue un rôle de garde-fou mais en France, le Parlement apparaît de plus en plus comme une chambre d’enregistrement. La discipline de vote au sein de la majorité et en faveur de l’exécutif présidentiel ne favorise pas le débat politique au niveau législatif. Dans les monarchies, la vraie tête active de l’exécutif est le Premier ministre, qui tire sa légitimité du Parlement. Là où un président l’obtient de son élection, le premier ministre voit son sort dépendre du Parlement qui peut le révoquer. De même, il n’est pas lié à la volonté du chef de l’Etat. C’est l’une des raisons qui permet à ces régimes monarchiques de mieux fonctionner qu’une république.

Dès lors, quelle différence entre une république parlementaire comme l’Allemagne et une monarchie ? Le monarque possède, dans certains pays comme le Royaume-Uni, des pouvoirs utilisables en temps de crise. Ainsi la reine d’Angleterre a un droit de veto qu’elle a déjà fait valoir dans le passé. Certes, les présidents républicains ont également cette capacité. Mais le fait que le monarque ne soit pas désigné directement par une procédure électorale comme en France ou indirectement comme en Allemagne, empêche une décision purement politicienne. Si le rôle réel du monarque est limité, son rôle symbolique est puissant. Le roi réunit le pays sur sa personne et son pouvoir moral et exceptionnellement juridique offre une limite au pouvoir des autres institutions. Telle est la force de la monarchie constitutionnelle : décentraliser la prise de décision avec le Parlement tout en assurant une stabilité de la nation en temps de crise grâce à un dirigeant qui reste au-dessus de la mêlée.