Analyse des assertions scientifiques d’Emmanuel Macron par le Pr Peter McCullough

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Lors de son allocution en date du 12 juillet 2021, le président Macron a fait état d’un certain nombre d’assertions scientifiques : « le variant Delta est trois fois plus contagieux que la première souche » ; « les vaccins divisent par 12 le pouvoir de contamination et évitent 95 % des formes graves » ; pourtant il faut « vivre avec le virus »… Toutes avaient pour objectif d’établir sa décision de rendre la vaccination obligatoire pour les soignants, ainsi que la mise en place d’un passe sanitaire, qui correspond peu ou prou à une obligation vaccinale. En effet, les Francais non vaccinés ont de grandes chances – sous réserve de votes – de se voir interdire l’accès aux restaurants, bars, commerces, voyages, etc. Une des mesures les plus coercitives d’Europe.

Voir aussi : « Propagande est le mot qui me vient pour qualifier la politique de vaccination » Dr McCullough

Pour autant, la charge de la preuve incombe à celui qui énonce un fait scientifique, mais Emmanuel Macron n’a pas eu le temps d’étayer son propos dans le cadre de son discours.

Nous avons donc demandé à un spécialiste, le Dr McCullough, qui a témoigné sous serment devant le Sénat américain de revoir chacune de ces assertions et de les commenter.

C’est ce qu’il fait au cours de ce debriefing :



Conclusion : aucune assertion n’est fondée.

Le professeur McCullough va plus loin et déclare que l’obligation vaccinale et le passe vaccinal ne sont pas nécessaires étant donné l’état de l’épidémie, y compris pour le variant Delta. Par ailleurs, il se tient à disposition des parlementaires français pour venir témoigner de son expertise de manière factuelle et rigoureuse.

Auteur(s): FranceSoir




Résistance face à la tyrannie vaccinale de Macron : il faut mettre une pression monumentale sur les députés

[Source : reinformation.tv]

Par Jeanne Smits

On ne le leur pardonnera pas. Si les parlementaires – et en particulier les élus à l’Assemblée nationale qui auront la haute main – adoptent le texte d’instauration de la tyrannie voulue par Emmanuel Macron, il faut qu’ils sachent qu’ils seront politiquement morts. Tout député qui votera la soumission des Français à un régime de facto de « vaccination » obligatoire pour pouvoir vivre normalement, travailler, recevoir un salaire, se déplacer, aller au café ou au restaurant visiter ses anciens, aller faire ses courses (dans une « grand » centre commercial, en attendant l’interdiction pure et simple de commercer), doit savoir que son acte proprement terroriste sera répertorié et retenu contre lui. Face à la tyrannie vaccinale, un seul mot d’ordre : aujourd’hui, il fait mettre une pression monumentale sur les députés et les sénateurs. C’est l’heure de la résistance.
 
Ils auront des comptes à rendre et demain, lorsque cette folie sera derrière nous, ce n’est pas un « pass sanitaire » qui leur permettra de poursuivre leur carrière politique, car de carrière politique, ils n’en auront plus.

Résistance à la tyrannie : un droit et encore plus, un devoir !

On ne se contentera pas de leur abstention, et encore moins de leur absence, si jamais ils n’ont pas envie de perturber leurs vacances par une session extraordinaire du Parlement, annoncée à compter du 21 juillet. Ils ont un rôle, pour lequel ils ont été élus. Sans doute le cynisme politicien pourra-t-il les pousser à se désintéresser de la cause ou, pire, les inciter à approuver les visées tyranniques d’Emmanuel Macron et de ceux qui l’entourent – et pire, de ceux qui le pilotent, comme on mène un bateau… et en bateau.
 
Mais ce qui leur est demandé, ce n’est même pas du courage. C’est la simple défense de leurs propres intérêts, de leur propre carrière. On ne leur demande même pas de résister à la vaccination obligatoire par amour de leurs compatriotes ou pour être fidèles à leur éventuel sens de l’honneur. S’ils choisissent de soumettre hommes, femmes et adolescents à cette gigantesque et maléfique expérience de suivi et de traçage de toute la population – car c’est aussi de cela qu’il s’agit – ils seront « morts ». Politiquement morts, socialement morts (et non, ces mots ne doivent pas nous faire peur, car c’est précisément ce qui est en cours de mise en place : la mort sociale de ceux qui ne se vaccineront pas).
 
Insistons là-dessus. Il n’y a pas – pas encore comme l’a laissé entendre Macron – d’obligation vaccinale générale. Mais il y a bien un « QR code pour tous », et, déjà, un système de crédit social tel qu’il existe, et nous répugne, en Chine, avec le pass sanitaire. Et les conditions du pass sanitaire sont telles qu’elles reviennent à une vaccination obligatoire pour tous, avec un QR code toujours, permettant de suivre à la trace et dans tous les actes de la vie chaque citoyen, dès 12 ans. 

Macron veut le vaccin obligatoire pour tous, Laurent Alexandre l’a compris

Laurent Alexandre l’a bien compris, ce médecin-urologue « penseur » de la quatrième révolution industrielle et du dépassement de l’homme par l’intelligence artificielle. Avec gourmandise, il a salué les annonces d’Emmanuel Macron, lundi :
 
« Franchement je ne pensais pas que @EmmanuelMacron rendrait de fait le vaccin obligatoire. Sans pass la vie est TOTALEMENT IMPOSSIBLE : on ne peut même plus prendre le train nous (sic) aller au café. Et il est inhumain de faire 15 PCR par mois ! »
 
Et un peu plus tard : « Je n’imaginais pas une seconde que la vaccination obligatoire serait AUSSI HARD ! C’est justifié mais très violent ! Les soignants ne seront plus payés à partir du 15 septembre. »
 
Tout aussi goulûment, il saluait ce jeudi la tournure que prend le projet de loi visant à rendre obligatoire le pass sanitaire (avec vaccination ou test COVID négatif de moins de 48 heures), avec sa pression inouïe sur les professionnels : » Un cafetier ou un restaurateur qui ne contrôlerait pas le pass sanitaire sera puni de 45.000 euros d’amende et un an de prison en cas de récidive. »
 
Quiconque votera une telle disposition prendra une responsabilité dont il devra être conscient.

Les députés doivent subir une pression monumentale comme ils n’en ont jamais vue

C’est maintenant, aujourd’hui, qu’il faut écrire et faire écrire à son député et lui envoyer des courriers électroniques, téléphoner à sa permanence, lui rappeler que son vote sera public, que nul ne l’oubliera et que nous nous chargerons de le rappeler. Peu importe sa couleur politique. Peu importe la nôtre. Extrême droite, extrême gauche et même extrême centre n’ont plus de sens face à ce qui se prépare. Nous ne sommes pas dans un combat partisan. Les options politiques sont sans objet, c’est une bataille de simple survie qui aujourd’hui, peut et donc doit se mener sur le front parlementaire. Chaque circonscription devra avoir son association locale pour suivre « son » député, le pister plus sûrement, plus justement et plus intelligemment qu’une surveillance numérique ; pour le faire battre s’il a voté pour le QR code et la tyrannie vaccinale ou s’est abstenu, et pour le faire réélire s’il s’y est opposé – quelle que soit sa couleur politique.
 
Car si les élus des Français doivent aujourd’hui être mis devant leur responsabilité historique, la responsabilité de le faire, avec ténacité et sans peur, est celle de chacun. Nous sommes nombreux. Nous sommes des millions. Il suffit de descendre dans la rue et d’écouter les conversations de trottoir et de café pour le constater : ils sont nombreux, les Français qui ne veulent pas céder à l’odieux chantage.
 
Il faut le redire : nous vivons des heures totalement inédites. La France a connu des guerres, des autocrates, des occupations, des persécutions religieuses, la Terreur. Mais jamais aucun gouvernement n’a prétendu, n’a osé soumettre les plus élémentaires libertés d’aller et de venir, de vendre et d’acheter, de soigner et de nourrir, d’assister au concert ou au théâtre, à l’injection dans le corps d’une substance expérimentale aux effets inconnus à long terme, et aux effets secondaires graves dont le nombre se révèle déjà exceptionnel. Personne n’a jamais osé (ni pu, mais des capacités techniques sans précédent) est aujourd’hui entre les mains du pouvoir « marquer » chacun. Apocalyptique ?

Marquer chaque Français : Emmanuel Macron instaure le crédit social à la chinoise

La liste des mensonges et des contradictions qui accompagnent cette mise en place d’une tyrannie effroyable dans son totalitarisme signe le crime. Macron avait déclaré d’emblée que nous étions « en guerre » contre un ennemi invisible. 18 mois plus tard, on s’aperçoit que l’espérance de vie pour 2020 est exactement la même… qu’en 2015. Ce sont toujours les personnes très âgées et très fragiles qui meurent « du COVID » – vaccinées ou non d’ailleurs – comme de n’importe quelle grippe ou pneumopathie.
 
Macron brandit l’épouvantail du variant « Delta », ou indien du SARS-CoV-2, qui mériterait un article à lui tout seul. Il est sans doute plus contagieux que les autres, mais certainement moins meurtrier. On prétend « vacciner » pour « protéger » les populations, mais il est quasiment interdit de soigner les malades au moyen de remèdes dont l’efficacité se constate dans des pays moins avancés que le nôtre, et qui par bonheur pour eux, « manquent » de vaccins. En France, le nombre d’hospitalisations comme le taux d’occupation des réanimations et soins intensifs ne cessent de décroître, et l’on comptait en ce 14 juillet 2021 exactement six (6) décès officiellement attribués au COVID.
 
La majorité des Français n’a plus peur : il suffit de voir comment ils se promènent, s’embrassent, retrouvent sans masques un peu de la douceur de vivre de ce beau pays, et la vie sociale, et l’amitié, si tant est qu’ils les aient abandonnées. Macron les dresse maintenant les uns contre les autres au nom de nouvelles peurs créées de toutes pièces.
 
Ne laissons pas le Parlement entériner cela !

Jeanne Smits




Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?

[Source : Russie politics: Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?]

Par Karine Bechet-Golovko

Alors que la grande fête du vaccin bat son plein en Russie, que la mortalité attribuée au Covid semble suivre la courbe ascendante de la furie vaccinale, une vidéo surprenante du forum de la santé 2020 à Saint-Pétersbourg, qui s’est déroulé lors du Forum économique, vient de me tomber entre les mains. Sur quelles bases sont développés les vaccins ? Je ne suis pas médecin, je ne propose qu’une traduction et quelques questions, surtout lorsqu’il est question de nanotechnologies.



Dans le cadre du Forum économique de Saint-Pétersbourg, n’oublions pas que le Covid est toute une économie, s’est ouvert le 3 juin 2020 le Healthy Life Forum. Comme présenté sur le site : « The Forum is one of the leading discussion platforms concerning the development of healthcare, creating a healthy lifestyle, and boosting Russians’ healthy life expectancy. » [« Le Forum est l’une des principales plateformes de discussion concernant le développement des soins de santé, la création d’un mode de vie sain et l’augmentation de l’espérance de vie en bonne santé des Russes. »]

Et puisque le vaccin est le must du healthy lifestyle, n’ayons pas peur des mots…, la discussion a porté sur les plateformes de création des vaccins en Russie. La question de la plateforme de fabrication des vaccins en Russie est posée par Anna Popova, à la tête de l’Agence fédérale de la consommation, en charge de la lutte contre le Covid (logique). La réponse apportée, claire et nette, par Natalia Bieloziorova, directrice du Centre de recherche et de développement de l’Institut des vaccins de Saint-Pétersbourg, est pour le moins surprenante :

Les vaccins, dans le Centre de l’Institut de recherche de Saint-Pétersbourg, sont développés sur la base de trois plateformes : d’ADN modifié, de protéines recombinées et de nanotechnologies.

Je ne suis pas médecin, je ne suis pas virologue, mais lorsqu’un centre de recherche développe des vaccins sur la base de nanotechnologies, est-ce à dire que l’on injecte des nanotechnologies dans les gens lors de la vaccination ? Et en quoi consistent ces nanotechnologies concrètement ?

À l’heure de ce fanatisme vaccinal, il serait bon d’avoir un peu plus de recul et sur les modalités de fabrication des vaccins, et sur les effets secondaires de ce qui est injecté dans le corps des gens. 


[Voir aussi :
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Fraude ou médecine ? Ces concoctions bizarres et profondément dangereuses que l’on appelle encore « vaccins »
Ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd nous met en garde contre les vaccins à ARNm anti-ADN Covid-19 qui nous rendront transhumains
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
Dr Joseph Mercola : Une biopuce injectable pour la détection du SARS-CoV-2 sera prochainement approuvée par la Food and Drug Administration
Bill Gates explique que le vaccin covid utilisera une technologie expérimentale et modifiera de façon permanente votre ADN…
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]




Épidémie de Covid-19 sur le porte-avions britannique HMS Queen Elizabeth alors que tout l’équipage a été vacciné 2 fois !!

[Source : businessbourse.com]

Épidémie de Covid-19 sur le porte-avions britannique HMS Queen Elizabeth alors que tout l’équipage a été vacciné 2 fois !!… Une envolée des cas… Près de 100 actuellement !




Vu de Suisse, l’autoritarisme de Macron est surréaliste

[Source : Heidi.news]

par Annick Chevillot Yvan Pandelé

Les annonces d’Emmanuel Macron le 12 juillet à la télévision française ont instauré un nouveau ton: obligation vaccinale pour les soignants, pass sanitaire partout dès 13 ans, spectre de la vaccination obligatoire pour tous à la rentrée. Une reprise en main qui a provoqué un certain effarement à la rédaction de Heidi.news, tant les méthodes et la culture suisses sont différentes. Annick Chevillot, responsable du flux santé, et Yvan Pandelé, journaliste scientifique au flux santé, en discutent.

Yvan Pandelé. Je ne suis pas du genre éruptif, mais le ton de l’intervention d’hier nous a plongés en pleine dystopie. «Macron a sorti son gros bâton», voilà la première chose qui m’est venue en tête. Les Français sont habitués à avoir un Etat fort, mais un tel autoritarisme sur des questions sanitaires a quelque chose d’inédit. Je crois que l’exécutif assume de placer l’Hexagone à la pointe des pays intransigeants sur la vaccination, c’est le genre d’initiative «disruptive» que notre président affectionne. Mais de tête de gondole à repoussoir il n’y a qu’un pas, surtout vu de Suisse. Qu’en penses-tu?

Annick Chevillot. Sincèrement, je suis choquée! Ce ton paternaliste m’horripile. Le chantage induit par l’annonce d’Emmanuel Macron risque fort d’être contre-productif. Le débat va vite se déplacer du champ sanitaire au champ politique en passant par les chants haineux. La France en est coutumière, mais s’était lassée des échanges entre pavés et matraques. T’imagines: les gosses dès 13 ans devront avoir un pass sanitaire pour aller acheter des mangas et des bonbons, mais les policiers et gendarmes ne sont pas soumis à l’obligation vaccinale, ni au pass sanitaire. C’est quoi ce monde qui se dessine en France? La discrimination qui éclot paraît surréaliste vu de Suisse.

Pas le choix pour les soignants

YP. La vaccination obligatoire des soignants était attendue, toute la presse française bruissait de rumeurs depuis plusieurs jours. Et puis bon, c’est une tradition hexagonale, la vaccination contre la grippe a été obligatoire jusqu’en 2006 chez les professionnels, et celles du nourrisson l’est depuis 2018. Pas de surprise de ce côté-là, si ce n’est le ton. Mais il est fascinant de voir à quel point le débat est différent de l’autre côté du Jura. Les hôpitaux suisses n’ont que le mot «liberté vaccinale» à la bouche, et le simple fait de comptabiliser les vaccinés est débattu. Tout le monde pense à la vaccination obligatoire, des directions d’établissement à l’OFSP, mais personne n’ose piper mot de peur de braquer.

AC. Le sujet est très sensible en Suisse, c’est sûr. L’obligation vaccinale n’est pas la norme et ne sera pas acceptée. Le pouvoir des Suisses s’évalue dans les urnes, pas aux muscles du bras de l’exécutif. Si tu rends la vaccination contre Covid obligatoire en Suisse, tu auras un référendum dans l’heure et les citoyens devront voter. Et il y a de fortes chances qu’un tel projet ne passe pas. En Suisse, convaincre passe avant contraindre. Du coup, la couverture vaccinale n’est pas très élevée dans le pays. Et le risque de nouvelle vague est réel, surtout avec le variant Delta. Mais je crois que les politiques sont prêts à assumer ce risque, plutôt que d’engendrer une fracture démocratique profonde.

Lire aussi: «L’obligation vaccinale des soignants nous met face à un conflit de valeurs»

C’est toute la pesée des bénéfices-risques d’une telle obligation, bien résumée par l’OMS dans un document paru le 13 avril 2021, où il est notamment dit: «Comme pour les autres politiques de santé publique, les décisions relatives à la vaccination obligatoire doivent s’appuyer sur les meilleures preuves disponibles et être prises par des autorités de santé publique légitimes, de manière transparente, équitable, non discriminatoire et avec la participation des parties concernées.» La notion de non discriminatoire est capitale, et elle est bafouée par Emmanuel Macron lorsqu’il dit qu’il va faire porter les restrictions aux non-vaccinés! Parce qu’au final, ce ne sont pas les non-vaccinés qui vont devoir porter cette responsabilité, mais la société civile (magasins, restaurateurs, hôpitaux, EMS, etc.) qui devra assurer le contrôle avec des contraintes supplémentaires.

Le pass partout

Yvan Pandelé. En effet. Le point inquiétant, c’est que le pass sanitaire aura vocation à s’appliquer partout, à compter du mois d’août. Dans les cafés et les cinémas, mais aussi dans les transports, au supermarché et même — ce qui est assez incroyable — à l’hôpital. («Sauf en cas d’urgence», précise le gouvernement, grand seigneur…) Comme d’habitude, l’Etat central fait des rodomontades, et il faudra voir comment c’est appliqué. Je n’ai aucun doute pour les arrondissements parisiens à un chiffre, mais il fera beau temps avant que le kebabier de Saint-Ouen ou le restaurateur du Gers n’exigent un pass sanitaire.

Le message politique en tout cas est très clair: tant que vous ne serez pas vaccinés, on vous rendra la vie invivable. On est plus proche de la coercition que de l’incitation. Et contrairement à la Suisse, la question de la durée de ce dispositif d’exception n’a jamais vraiment émergé dans le débat public. Les contre-pouvoirs à l’exécutif étant très faibles en France, on peut craindre qu’il soit prolongé ad vitam aeternam. Une vie invivable pour une durée indéterminée: pas étonnant que les plateformes de vaccination aient été prises d’assaut hier soir!

AC. Logique en effet: le père de la patrie exempte les non vaccinés de cette décision. Obligés, ils s’y résolvent. Cela dit, je peux comprendre l’obligation vaccinale pour le personnel soignant. L’Italie et la Grèce ont aussi passé ce cap. Mais lier vaccination à la présentation d’un document prouvant son statut immunitaire, ce n’est pas proportionnel. Surtout pour la vie quotidienne. C’est complètement fou et dystopique, comme tu le dis très justement, de devoir présenter un pass sanitaire pour avoir le «droit» d’aller faire ses courses, accéder à un hôpital et prendre le train pour aller voir sa famille. Plus que discriminatoire, c’est suicidaire politiquement.

Le jeu politique

YP. C’est un calcul politique assumé. Le «chef qui sait cheffer» est une figure qui plaît à droite. N’oublions pas que tout ceci s’inscrit dans la perspective des élections présidentielles de mai 2022: la gauche française est en plein marasme et le danger, pour le camp Macron, vient de droite – de Xavier Bertrand à Marine Le Pen. Je m’interroge plus sur les répercussions politiques en Suisse. D’un côté, cela pourrait donner du grain à moudre aux anti-tout, comme l’UDC et les Amis de la Constitution. De l’autre, c’est aussi un épouvantail bien pratique pour le Conseil fédéral quand il devra réagir pour éviter une troisième vague: si vous cherchez une dictature sanitaire, regardez en France, ici nous restons dans la mesure et le consensus.

AC. Notre ministre de la santé Alain Berset avait d’ailleurs relevé au printemps 2020 que la Suisse n’était pas en guerre, contrairement à son grand voisin. Les citoyens suisses ne sont pas concernés par l’élection de 2022. En revanche, ils voient l’émergence d’un Etat dont ils ne veulent pas. En ce sens, c’est vrai, l’exécutif suisse pourra jouer par contraste en tenant un discours du type «regardez, c’est pire ailleurs». Cela a été fait lors du premier (semi-)confinement.

Vaccin obligatoire pour tous?

YP. Un point qui n’a pas été assez relevé, à mon sens, c’est le spectre de la vaccination obligatoire pour tous agité par Emmanuel Macron, «en fonction de l’évolution de la situation». Pour l’heure, seuls le Tadjikistan, le Turkménistan et le Vatican en sont là. Deux pays autoritaires et une théocratie… Cela me paraît difficilement tenable.

Lire aussi: Tout ce qu’il faut savoir sur la vaccination Covid-19 en Suisse

Les vaccins Covid-19 sont porteurs de risques, si infinitésimaux soient-ils. Sur des millions d’injections, il y aura toujours quelques personnes pour développer un syndrome exotique ou faire une réaction sévère. C’est acceptable dans le cadre d’une décision personnelle, ça ne l’est plus si le choix est contraint. Le consentement volontaire est à la base de l’éthique médicale depuis Nuremberg. Il faut de très, très, bonnes raisons pour y renoncer. Sans quoi la pandémie aura achevé ce que le 11 septembre et l’essor des technologies de l’information ont initié: une perte massive, peut-être irréversible, de liberté individuelle.

AC. Oui, et c’est bien un argumentaire qui pourrait être utilisé dans le cadre de la votation du 28 novembre en Suisse sur le certificat Covid. Etendre l’usage de ce sésame à la vie quotidienne et le rendre obligatoire, c’est généraliser l’abus de pouvoir. Comme c’est également le cas du moment où l’on passe outre le consentement éclairé du patient. Ça fait mal, mais de telles décisions aux enjeux éthiques complexes font émerger des dérives qui peuvent mener à une forme de «dictature sanitaire». Du moins en France.




La dictature Macron

[Sources : nicolasbonnal.com et reseauinternational.net]

[Sur l’illustration : « Aucune autre espèce sur la Terre ne s’alignerait volontairement pour sa propre exécution »]

Par Nicolas Bonnal

La dictature de Macron comme à la parade

Voici où nous en sommes : vaccination avant incarcération et extermination (mais avec assentiment populaire). Et cela gagnera toute l’Europe. Voyez la Grèce, l’Allemagne ou la Belgique…

Macron établit sa dictature avec l’assentiment de la ploutocratie totalitaire : voyez mon livre de 2017, quand j’ai évoqué la fin des libertés. J’annonçais aussi de nouvelles résistances, mais de ce côté, au pays de Louis XIV, de Napoléon, de Napoléon III, de la Vendée, des Massacres de septembre, des guerres mondiales et coloniales, des droits du citoyen et du politiquement correct remixé Mai 68, on a été moins entreprenant que prévu – à part la protestation pétrolière et vite calmée (et encadrée) des Gilets dits Jaunes.

Tout cela je l’avais exposé dans mon universitaire pamphlet intitulé le Coq hérétique : la France n’était pas la terre de la liberté. Point. Les plus grands écrivains du dix-neuvième siècle l’avaient dit, et ils avaient fini par inspirer le dernier grand esprit français François Furet (Penser la révolution française). Jouvenel dans son Du pouvoir eut le courage de mettre les pendules à l’heure après 1945 quand il inventa la fastueuse expression « démocratie totalitaire » depuis rebaptisée « société ouverte ».

De la même manière on assiste depuis quelques semaines à une disparition des antisystèmes ; le front se fracture et je l’avais dit aussi en me basant sur le film de Don Siegel L’invasion des profanateurs de sépulture. À la fin le héros (excellent Kevin McCarthy – sic) se retrouve seul face aux extraterrestres ou comme dirait Philippot aux rhinocéros. La fin-vaseline a été rajoutée sur ordre des studios, alors que Siegel (l’évadé d’Alcatraz…) voulait montrer une seule chose : nous devenions des légumes face à l’État et à la télé ; rappel, le héros résistant est médecin aussi, et c’est un beau clin d’œil. À la même époque on réalise aussi à Hollywood l’Homme qui rétrécit, qui rétrécit face à la science, face au médecin, face au chat, face à la femme libérée. Rien de neuf là aussi : lisez le livre VIII de Platon et le compte-rendu que j’en ai fait.

Les antisystèmes et les rebelles se volatilisent donc comme l’Église. Des gusses comme le Saker insultent, le vieux catho Castelnau ronchonne, Raoult rétropédale, le Tandonnet évoque une panique, les pépères comme Sannat résistent passivement, les Ménard et les Marianne veulent vacciner à tour de bras. En réalité ce n’est pas qu’il y avait fausse opposition ou opposition contrôlée, c’est qu’il n’y avait pas d’opposition du tout. Les types aboient, prennent leur coup de pied et partent la queue entre les pattes. C’est très bien expliqué dans Point Break.

Tandonnet, ex-conseiller de Sarkozy et biographe de Tardieu (il faut le faire), ose écrire que le pouvoir panique. C’est comme si on disait que Louis-Napoléon Bonaparte paniquait le 2 décembre 1851 ou que Hitler tremblait de peur avant l’incendie du Reichstag. Il devrait lire Jouvenel ou Tocqueville au lieu de les citer ; le pouvoir ne fait que se renforcer. Il le fait car il a affaire à un peuple de semi-esclaves qui a cru se libérer en 1789 ou en 1870. On en revient à l’hallucination collective dont j’ai parlé maintes fois et qui dure en occident depuis la Renaissance et la machine à imprimer (Gutenberg, Faust, la planche à billets…).

La liberté occidentale est un mythe absolu : les gouvernements occidentaux sont toujours enragés, bolchéviques, oligarchiques, fascistes, ce qu’on voudra. Le populo continuera de se coucher, comme le remarquaient en leur temps Céline, Drumont et Bernanos.

Les bourreaux volontaires vont charger, et le troupeau s’incliner.

On conseillera aux résistants de se faire une raison avec leurs paquets. Ce n’est pas la Résistance qui a libéré la France, contrairement à l’énième mythe reçu.


La dictature Macron entre bourreaux volontaires et moutons de Panurge

Macron joue sur du velours – avec un beau boulevard devant lui. Alors que les antisystèmes invoquent comme toujours la Résistance, le gaullisme, 89, les droits de l’homme, Dieu sait quoi encore, 1,3 million de Français se sont vaccinés après la sévère allocution du martial président. On a senti encore la puissance des médias, ces instruments d’hallucination collective. Et on a compris qu’internet n’aura servi à rien comme outil de développement intellectuel personnel. Je dirais même qu’on a reculé sur ce point depuis 2001. Il y a de moins en moins de justes – comme sous toute occupation qui dure.

On va citer Rabelais alors : « Soudain, je ne sais comment la chose arriva si vite, je n’eus le loisir de le considérer, Panurge, sans dire autre chose, jette en pleine mer son mouton criant et bêlant. Tous les autres moutons, criant et bêlant avec la même intonation, commencèrent à se jeter et sauter en mer à sa suite, à la file. C’était à qui sauterait le premier après leur compagnon. Il n’était pas possible de les en empêcher, comme vous connaissez le naturel du mouton, qui est de toujours suivre le premier, en quelque endroit qu’il aille. Aristote le dit aussi au livre 9 de « L’Histoire des animaux », c’est l’animal le plus sot et inepte du monde ».

Notre peuple d’imbéciles s’est tellement fait bourrer le mout à l’école avec des histoires de révolution, de droits de l’homme et de résistance qu’il accepte sans broncher la pire des tyrannies. Anesthésié par la technologie et le renforcement pervers de l’État-providence, le peuple est devenu depuis la disparition du parti communiste et du catholicisme un vrai ochlos au sens grec, une masse imbécile, soumise, adoratrice du fric et de la merde culturelle. Ochlocratie rime avec ploutocratie, et on a vu cette France arriver avec le mitterrandisme au cours des années 80, quand les « jumeaux du populisme » Le Pen et Tapie consacraient cette alliance non pas contre nature mais contre culture ; ce fut à cette époque que tout jeune je pus vivre l’effondrement de ce pays du point de vue de la civilisation. La marginalisation du peuple date de cette époque-là. Et il fut pris en charge par une américanisation culturelle proprement insensée. Plus récemment l’écrasement des benêts gilets jaunes a servi d’accélérateur à l’entropie politique de la nation. Je rappelle toujours l’interview de Stanley Payne sur les Espagnols : ils sont anesthésiés, crétinisés par la matrice, et ils demandent quelque chose, même si ce n’est pas beaucoup (« pide algo, no mucho »).

Il y a une petite minorité dont nous sommes, dont le nombre va diminuer (« l’homme qui rétrécit ») et qui va être persécutée et transformée en bouc émissaire : voyez mes textes sur Stefan Zweig et Bernanos. Désolés, mais nous allons passer de sales moments. La masse des bœufs ne se révoltera pas plus que contre Hitler, Pétain ou Franco. Elle fermera les yeux ou hurlera avec les loups.

Il faut voir maintenant le problème des bourreaux volontaires, flics, gendarmes, militaires (beaucoup de traitements très réévalués par le régime), médecins, fonctionnaires divers et avariés, enseignants, et bien sûr journalistes, sans compter les politiciens ; combien y en a-t-il et jusqu’où iront-ils ? Tout nous a montrés jusque-là que personne ne recule, et ce d’autant que la résistance n’oppose aucune résistance quantitative (je veux dire par là que nous n’attirons pas les masses). Je répète aussi qu’il faut un certain temps pour en former ; mais le virage traîtreux du chiraquisme au milieu des années 2000, renforcé par les démentielles présidences suivantes, a préparé selon moi une belle avant-garde de tortionnaires. Le reste est chez Stefan Zweig.





Pas de panique ! La victoire est proche !

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Par Pierre-Émile Blairon

J’entends de jeunes intellos parisiens (mais pas seulement, il y a aussi des Bretons, ou des Basques, etc.) qui se croient de « droite » et qui sont persuadés de donner le ton de ce qu’il convient de penser à leurs petits copains tout aussi incultes qu’eux, découvrir que la société française risque de se voir limiter dans ses libertés essentielles par une dictature qui n’a pas cessé de proclamer ses projets depuis des années sans que ces benêts aient eu le courage, ou l’intelligence, de réagir avant les autres. Et ils y vont de leurs analyses d’autant plus subtiles qu’elles proviennent de ceux qui les ont élaborées 18 mois avant eux, seuls contre tous, dans l’opprobre et le dénigrement des Bien-Pensants.

Je lis sur Facebook les messages de vieux briscards de « l’extrême-droite » habituellement occupés à raconter leurs souvenirs d’anciens combattants qui n’ont jamais combattu, messages inquiets de la tournure que prennent les événements qu’ils n’ont pas su prévoir, sans que rien de nouveau susceptible de les faire évoluer ne soit intervenu dans leur façon de voir le monde.

Je déplore enfin la dérive conformiste d’un parti en lequel les Français avaient mis tant d’espoirs ne se préoccuper que de problèmes secondaires (histoire de ressembler aux autres partis « respectables ») pendant qu’une dictature comme la France et le monde n’ont en jamais connue se met en place.

Tous ces gens-là : jeunes cons vaniteux, boomers confits dans leurs certitudes, militants d’un jour devenus carriéristes pour toujours, n’ont eu de cesse de traiter d’hurluberlus, d’irresponsables, de rêveurs, de rigolos, de complotistes, de tarés, d’obsédés de l’anticovidisme, etc. ceux qui prenaient la peine et le risque de dénoncer en temps voulu, c’est-à-dire depuis le début de l’année 2020, la gigantesque manipulation(([1] Lire par exemple : Objectif Covid : soumission et robotisation de la population planétaire du 1er août 2020,
ou encore : Mais quelle est cette secte qui dirige le monde ? du 6 février 2021.)) qui avait pris le monde dans ses filets. On le sait : on a toujours tort d’avoir raison trop tôt.

Ce que les courageux lanceurs d’alerte ont fait, et font encore, pour le Bien Commun, est admirable ; ils ne constituent, hélas, sur le plan numérique, qu’une infime partie de la population, celle qui est restée lucide et sur laquelle la propagande mise en place avec des moyens colossaux, n’a pas pu agir.

Mais il y a un espoir : quand les résistants de la dernière heure, ceux qui sortent des maquis confortables dans lesquels ils se vautraient, attendant le moment de se poser en libérateurs, lorsque ces opportunistes commencent à se manifester, c’est que la roue est en train de tourner ; ces gens-là ne se sont jamais trompés quand il était question d’être du côté du vainqueur.

Pierre-Émile Blairon





Le masque, arme de soumission massive, préalable indispensable aux injections expérimentales

[Source : profession-gendarme.com]

À ce stade de cette monstrueuse arnaque mondiale, j’ai jugé intéressant après une année de faire un rappel à ceux qui ont rejoint profession gendarme récemment et contribuent à son succès grandissant.

Il y a quelques longues années, j’étais responsable de la sécurité sanitaire dans une grande entreprise agroalimentaire particulièrement exposée aux risques sanitaires médiatiques. Un Directeur Industriel de l’époque me disait : « si tu veux faire avoir la paix avec les employés et leurs syndicats, impose leur de porter un masque en prétextant un risque sanitaire, tu verras, ça marche à tous les coups ».

Quelques semaines plus tard, l’un de mes employés et représentant syndical vient me trouver pour m’alerter : « le DI (directeur industriel) veut nous imposer le masque dans certains ateliers sous prétexte de la protection des produits, qu’en penses-tu ? peux-tu vérifier si les masques sont indispensables pour les produits ? Je crains une aggravation des conditions de travail à cause des problèmes respiratoires » .

Nous avons alors convenu de vérifier scientifiquement l’effet des masques sur l’ambiance de travail, le personnel, les produits, en comparant deux ateliers identiques, l’un avec et l’autre sans masques.

Deux mois plus tard, des centaines d’analyses ont été réalisées sur le personnel, l’ambiance de travail, les produits finis, l’air expiré. Le résultat est sans appel : les problèmes respiratoires sont multipliés sur les employés portant le masque (et l’absentéisme avec), les produits finis, l’air ambiant et les surfaces sont plus contaminés dans l’atelier avec masques. Enfin, les résultats microbiologiques sur la contamination des masques après 3 heures d’utilisation sont catastrophiques : bactéries potentiellement pathogènes dans la majorité des masques mais aucune trace de virus (pourtant présents en permanence dans l’air expiré par un être humain). Sans parler des taux d’oxygène réduits incompatibles avec les normes en vigueur sur les lieux de travail.

Résultats non surprenants, mes nombreuses expertises sur les systèmes de filtration m’ont appris que les masques ne retiennent qu’à peine 10% des bactéries, ne retiennent quasiment pas les virus, et permettent le développement des bactéries dans l’ambiance chaude et humide du masque. Les asiatiques vous le diront, le port du masque dans les villes n’a qu’un seul objectif : limiter l’inspiration des grosses particules irritantes issues de la pollution. Bien entendu, les masques furent supprimés des ateliers, l’absentéisme ayant certainement plus contribué à la décision du DI que les résultats sur les produits ou le personnel !!!!.

Ce qui relève du bon sens a nécessité des centaines d’analyses pour éviter la catastrophe. Si les fabricants de masques prennent le soin d’avertir les usagers que les masques ne protègent pas contre les infections virales (ni la plupart des infections bactériennes) , c’est tout simplement qu’ils l’ont mesuré.

L’ironie de l’histoire, c’est que les syndicats qui venaient pleurer pour faire supprimer le port du masque dans les ateliers furent les premiers à supplier le gouvernement d’imposer le port du masque aux entreprises. Comment leur faire confiance désormais ? Comment faire confiance à ceux qui s’attribuent le qualificatif « d’insoumis » et qui sont les premiers à pleurer pour se faire infliger les mesures de soumission que sont les masques et les vaccins ?

Plus tard, l’un de mes patrons qui avait fait ses classes à Science Po, me confirmait que le masque faisait partie de l’arsenal des outils de soumission à l’école de la dictature.

Il est évident que le port du masque constitue l’étape test indispensable pour tester la soumission d’un peuple avant le déploiement de l’injection expérimentale forcée que certains osent encore appeler « vaccin » et vous l’avez accepté.

Si tu acceptes le masque sans broncher et que tu acceptes même de sacrifier la santé de tes enfants en leur faisant porter un masque inutile, tu acceptes le sacrifice de ton intégrité physique et de ton humanité.

Si tu refuses le port du masque, tu refuses d’adhérer au narratif de la fausse pandémie et l’état ne peut t’imposer une quelconque injection expérimentale de surcroit. Aux États-Unis, des parents d’élèves ont fait réaliser des analyses microbiologiques sur les masques. Sur la base des résultats, ils ont porté plainte à l’encontre du directeur d’établissement scolaire pour mise en danger de la vie d’autrui.

Il est encore temps de réagir. Parents, vous avez le devoir de protéger vos enfants mineurs et de vous regrouper si ce n’est déjà fait pour porter plainte contre les chefs d’établissement pour leur complicité. Les preuves analytiques et les nombreux articles scientifiques sur le sujet sont faciles à collecter. Rappelez-vous que vos enfants s’en souviendront.

Gendarmes et autres représentant des « forces de l’ordre », faites mesurer ce à quoi vous êtes exposés tous les jours avec vos masques, c’est votre santé à long terme qui est en jeu. Le nombre d’infections respiratoires et de problèmes psychologiques liés au port du masque prolongé explose dans la majorité des pays. Pourquoi l’inspection du travail, si prompte à dégainer habituellement, se fait complice de vos bourreaux ?

Un prédécesseur de Monsieur Jérôme Salomon m’a dit lors d’une réunion de crise sanitaire : « votre responsabilité, c’est de protéger la santé des consommateurs, ma priorité à moi est de protéger la réputation de mon ministre et de protéger l’industrie pharmaceutique » Sans commentaires..

À bon entendeur,

Dr Sylvain B…


[Voir aussi :
Covid : la validité de l’imposition du port du masque s’effondre à son tour !
Effets nocifs des masques
Le masque : un lent assassinat collectif monté sur des mensonges, une muselière anti-sociale pour esclaves consentants
Le masque, premier pas vers le transhumanisme
Courte note sur la dimension occulte des masques
Pourquoi l’obligation de la ceinture de sécurité et celle du masque ne sont pas comparables ?
Comment leurs masques rendent bêtes et méchants
Où conduisent le confinement, le port du masque et la distanciation ?
COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires]




Épidémies et contagions

[Source : cv19.fr]

[Photo : AFP]

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique [de virus ou de bactéries]. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Nous sommes 7,7 milliards d’êtres humains sur Terre (beaucoup trop), il n’est absolument pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques (Voire fiche : Les 9 paramètres de la santé ou de la maladie 1). La moyenne pour une grippe est 1 personne sur 1000 qui a des symptômes grippaux. Pour l’obésité aux USA c’est 350 personnes sur 1000.

    Il y a les épidémies d’obésité (2,8 millions de décès / an), de diabète (1 décès toutes les 6 secondes sur la planète) ou de cancer (9,6 millions de décès / an), etc. Ceci n’a pourtant rien à voir avec des micro-organismes. Pensez-vous que les gouvernements vont interdire les publicités pour les fast-foods, les produits industriels, raffinés, dénaturés, transformés et faire des campagnes pour une vie saine qui ne rapporte rien ? Je ne le pense pas. Les puissants lobbies agroalimentaires et pharmaceutiques tirent les ficelles de nos chères marionnettes politiques et médiatiques.

    Non, le Créateur n’a pas inventé les microbes pour nous faire du mal ou nous tuer. Contrairement à ce que pensait Louis Pasteur, les méchants virus et autres germes ne sont que des contes de fée pour effrayer des enfants de 6 ans. La Nature est bien plus subtile que ça…

    La présence de micro-organismes fabriqués par nos propres microzymas, signifie que le terrain est encrassé et qu’il a besoin d’être déblayé. En hygiénisme et en naturopathie, la grippe (par exemple) signifie le grand nettoyage salvateur de printemps après l’engorgement émonctoriel et la saturation humorale causée par les fêtes de fin d’année. C’est la goutte qui fait déborder le vase ! Nous n’avons pas jeûné pour nous épurer et diminuer notre seuil de tolérance toxémique, alors la Nature nous oblige à le faire grâce à l’action d’une bonne grippe. Repos forcé, diète, jeûnefièvre, diarrhée, toux, inflammation, voilà ce qu’il faut pour rétablir l’homéostasie à travers ces processus régulateurs.

    Les états sanitaires de l’enfant au vieillard déclenchés par la force vitale et la réaction somatique.

    Les causes des « épidémies » sont souvent multifactorielles :
    ►environnement pollué (air, eau, aliments, électromagnétisme, etc.) ;
    ►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
    ►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
    ►modification des paramètres bioélectroniques ;
    ►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
    ►causes iatrogènes, vaccins,
    ►etc.
    => dégradation du terrain => toxémie => « maladie » (symptôme).

    Par exemple, lors de la grippe « espagnole » on sait maintenant (1 siècle plus tard) que la cause était multifactorielle :

    • Iatrogène

      • (vaccins : oxydation, molécules toxiques ;
      • aspirine : hépatotoxique & hémorragies digestives).

    • Carences, famine, peur, stress oxydatif (<- guerre).
    • Hygiène déficiente (-> encrassement).
    • Premières communications radio par ondes hertziennes (nouvelles ondes électromagnétiques).

    La seule cortisone a pour effet d’effondrer l’immunité et de favoriser le développement viral.

    Arrêtons de masquer nos symptômes avec des médications chimiques qui entravent les processus homéostasiques de détoxification (car ils entraînent une modification morbide de notre terrain et finissent par aggraver les choses). Les médicaments aboutissent à la destruction de la capacité du corps de se défendre. Quand on détruit les capacités du corps de déclencher et de conduire des maladies spécifiques, on hâte les maladies de dégénérescence et la mort !

    Nous avons des milliards de microbes en bouche, dans notre tube digestif, dans nos intestins et sur notre peau (chez tout le monde et en permanence) : des streptocoques, des Candidas Albicans, etc. Ils vivent en symbiose avec nous (voire : le microbiote). Pourquoi prolifèrent-ils chez certains individus et pas d’autres ? Et bien, ceci n’est qu’une question de terrain. Chez un individu sain avec une bonne énergie vitale, un faible niveau toxémique et de bonnes coordonnées bioélectroniques, l’organisme n’aura pas à se mettre en branle et à faire appel aux germes pour se nettoyer.

    La contagion est une transmission d’une maladie sans contamination. La contamination donne une modification des caractéristiques humorales d’un être vivant. Lors d’une épidémie (de peste par exemple) un individu isolé de tout contact humain, aura ou n’aura pas la maladie suivant les modifications bioélectroniques de son sang.

    Suivant les 9 paramètres de la santé ou de la maladie (donc des conditions auxquelles nous sommes soumis), les 3 coordonnées bioélectroniques de nos humeurs se déplacent sur le bioélectronigramme. Notre état de santé peut donc être reporté sur ce dernier.

    Sur ce bioélectronigramme, on peut noter la place des virus en zone 3 (terrain oxydé). C’est aussi la zone des vaccins. SP = Santé Parfaite.

    Les vaccins, super-oxydants, sont remplis d’adjuvants et de substances toxiques qui créent du stress oxydatif, de la toxémie et qui modifient les paramètres bioélectroniques du terrain. Il y a également modification des facteurs bioélectroniques des humeurs et du sang en particulier, par les actions électromagnétiques et environnementales.

    Il en résulte que le microbe est de formation endogène : il ne vient pas de l’extérieur, il est le résultat de transformations biologiques de cellules normales vivantes dans une solution (sang) n’ayant plus les caractéristiques idéales pour la vie, c’est à dire que les conditions électroniques se sont modifiées.

    Si l’individu sait se maintenir en bonne santé (sang : pH : 7,3 – rH2 : 22 – rô : 210), il ne peut en aucun cas fabriquer des microbes, des virus ou des champignons ; il ne craint ni la contagion ni les épidémies.

    Généralement, on prétend que les maladies à microbes ou à champignons sont contagieuses, ceci est FORMELLEMENT contredit par la bioélectronique, l’hygiénisme et la vraie naturopathie.

    Les analyses bioélectroniques montrent clairement que nos conditions de vie actuelles induisent une alcalinisation et une oxydation progressive du sang. Toutes les maladies de dégénérescence s’accompagnent de cet effet. Le fait de trouver des virus sur ce type de terrain indique qu’ils sont la conséquence et non la cause de cette déviation.

    Que se passe-t-il lorsqu’une eau dégénère ?

    Les paramètres bioélectroniques se modifient : Le pH augmente, le rH2 augmente, rô diminue jusqu’à un certain stade. Au-delà, le pH continue à augmenter, rô continue à diminuer, le rH2 fléchi brusquement, à ce moment-là, apparaît dans l’eau des formes microbiennes (endogenèse microbienne), autrement dit, il y a une latence de vie qui est incluse dans la structure de l’eau (microzymas). Cette latence de vie se manifeste ou ne se manifeste pas, cela dépend tout simplement des circonstances extérieures. N’oublions pas que nous sommes composés à 70% d’eau…

    Les microzymas peuvent transmettre des informations qui permettront aux receveurs de mettre en route des processus de guérison qui étaient en instance et d’éliminer la toxémieLes humeurs dans lesquelles ils baignent sont le support de ces informations. L’eau informée, vivante, véhicule des hormones, divers médiateurs chimiques, des informations bioélectroniquesélectromagnétiques et émotionnelles…

    Il n’existe donc pas de “guerre” bactérienne et le système immunitaire n’est qu’un banal service d’éboueurs pour l’évacuation des corps étrangers et des toxines. Tout est équilibre, préservons cet équilibre.

    En résumé, respectons les 9 points essentiels de la santé intégrale. Réduisons notre toxémie, augmentons notre énergie vitale et équilibrons notre terrain en respectant les lois naturelles pour éviter les sanctions…

    « L’ignorance est mère de tous les maux. »

    Rabelais

    « Pour rappel, les infections ne sont pas dues à des microbes comme on le croit naïvement, mais à la morbidité du terrain psycho-organique dans lequel ils évoluent. Un mental infectieux infecte le soma, le soma infectieux donne naissance à des microbes spécifiques, c’est-à-dire propres à la nature et à l’importance de ces états infectieux. C’est ce qu’on appelle le polymorphisme, la mutation du microbe en fonction du milieu dans lequel il se développe. C’est le marécage qui fait le moustique et non l’inverse. C’est le terrain malsain qui fait le microbe. Le microbe est un ami, un éboueur qui se nourrit de nos déchets. Il nous aide donc à nous épurer. Avec des antibiotiques on ne corrige pas la morbidité du terrain qui est la vraie cause des infections, au contraire on l’aggrave ! Ce n’est pas l’allopathie qui a permis d’éliminer les grandes épidémies dites infectieuses mais l’hygiène et les conditions améliorées de vie, de travail, de salaire, de transport, d’habitat, etc. Les épidémies ne frappent que des individus de groupes ayant les mêmes comportements mentaux, alimentaires et existentiels. »

    Pr. Grégoire Jauvais

    « La potentialité contagieuse ne se passe pas au niveau de la matière, mais au niveau de la vibration. L’élément qui a le plus d’impact sur notre organisme ce sont nos pensées, notre psychisme, notre conditionnement, nos croyances, notre état émotionnel, nos peurs, cela nous apporte les mauvaises ondes vibratoires ou niveau du génome et modifie un certain nombre d’informations. La peur contribue à effondrer notre immunité. Notre immunité est un facteur d’informations. Il faut augmenter positivement nos champs vibratoires. » (Voire : Les 9 paramètres de la santé intégrale.)

    Dr. Holleville

    « Un être organisé est un être vivant végétal, animal ou humain, doué d’une organisation qui dépasse tout entendement humain… Il n’y a pas de contagion sur un être organisé. Le vaccin désorganise l’individu vacciné, en particulier par le fait de l’empoisonnement provoqué par le prétendu « adjuvant de l’immunité ». Mais il peut y avoir transmission d’information ou mimétisme. Antoine Béchamp est le premier à parler de la possibilité d’une contagion par les germes et corpuscules (molécules) vibrants de l’air… mais seulement pour les matériaux non « organisés. » … Les microzymas qui constituent les microbes peuvent transmettre, dans certains cas, des informations. Elles permettront aux receveurs de mettre en route des processus de guérison qui étaient en instance. Ensuite, ces microzymas repartiront… Il n’y a jamais de multiplication de germes, de bactéries ou de prétendus virus à l’intérieur de notre corps qui viendraient de l’extérieur, cela Béchamp a démontré que c’est strictement impossible ! »

    Dr. Alain Scohy

    « Les pollutions (atmosphérique, électromagnétique, vaccinale et chimique) conduisent aux pandémies virales, aux cancers, puis à la mort. Le contraire, c’est la vie. »

    Jean-Yves Rousseaux, bioélectronique

    « Les épidémies peuvent revenir avec les pollutions. »

    Pr. Louis-Claude Vincent, 1976

    « C’est Pasteur qui a lancé la théorie microbienne telle qu’elle est connue de nos jours. Mais c’est aussi Pasteur, le même Pasteur, qui avait dit sur son lit de mort : “C’est Claude (Bernard) qui a raison : le microbe n’est rien le terrain est tout.” C’est ainsi que Pasteur avait, à la dernière minute de sa vie et d’un seul coup, reconnu la nullité de tous ses travaux sur les microbes. “Ses expériences dans ce domaine avaient toutes échoué,” écrit le Dr. H. M. Shelton, mais les fabricants de vaccins, qui sont tous des hommes d’affaires avisés, ont présenté ces expériences comme des succès. Nous ne nions pas l’existence des microbes et des virus. Mais si un microbe particulier est censé être la cause spécifique de la maladie, il devrait toujours la causer. Or on rencontre le microbe dans la santé comme dans la maladie. On ne peut donc pas le considérer comme la cause. »

    Albert Mosséri

    « La vie sobre met à l’abri des épidémies ou tout du moins atténue l’imminence du danger, les intempérants étant en cas d’épidémie atteints les premiers. »

    Dr. Paul Carton

    « Lorsqu’on parle de maladies épidémiques et contagieuses, il faut tenir compte de toutes les circonstances qui affectent, simultanément, l’ensemble des populations touchées par ces troubles de santé. Les épidémies sont dues à une altération généralisée du terrain, des résistances individuelles et collectives à cause de conditions biologiquement défavorables : habitat malsain, alimentation incorrecte (carencée ou surabondante ou déséquilibrée), empoisonnement par des agents divers, soins inadéquats, conditions de travail inhumaines, dérèglements psychologiques, conditions météorologiques encore mal déterminées. Les effets de la peur sont souvent déterminants. Le seul vrai remède consiste à rechercher et corriger les causes. La plupart des maladies dont souffre l’humanité sont dues aux traitements médicaux qu’elle subit. Beaucoup de nos maux sont iatrogènes et les microbes et virus sont, bien à tort, mis en cause. »

    Dr. André Passebecq, extrait du livre : Cours de Psychosomatique Naturelle.

    « En réalité, dans le cas des maladies, ni dans l’organisme malade ni dans les fluides corporels n’a jamais été vue ou isolée une quelconque structure que vous pourriez caractériser comme un virus. La proposition qu’il y a un quelconque virus fabriquant une maladie quelconque est clairement une escroquerie, un mensonge mortel avec des conséquences dramatiques. »

    Dr. Stefan Lanka, virologue et docteur en biologie moléculaire

    « Les prétendus virus contagieux peuvent, en fait, être également considérés comme des particules produites par les cellules elles-mêmes (exosomes) en conséquence de certains facteurs de stress tels que les médicaments, le style de vie, les pesticides, les métaux lourds, la pollution, le stress et les aliments transformés. Pour étayer ces affirmations, nous citons des dizaines de scientifiques de renom, parmi lesquels les lauréats du prix Nobel Kary Mullis, Barbara McClintock, Walter Gilbert, Sir Frank Macfarlane Burnet et le microbiologiste et lauréat du prix Pulitzer René Dubos. Nous présentons dans notre ouvrage environ 1.100 références scientifiques pertinentes, dont la plupart ont été publiés récemment. »

    Torsten Engelbrecht, journaliste et Claus Köhnlein docteur en médecine interne, auteurs du livre : Virus Mania : Comment l’industrie médicale invente continuellement les épidémies.

    Deux cellules se transmettant de l’information à l’aide d’exosomes.
    Exosomes = virus = microzymas ?

    « Quant à la contagion, que nous pouvons considérer comme un processus infantile « d’imitation » (Rudolph Steiner), elle ne concerne que les êtres ayant une vulnérabilité, comme les mêmes carences, les mêmes conflits, les mêmes peurs, sinon personne n’aurait jamais survécu à une épidémie. »

    Dr. Éric Ancelet

    « On sait aujourd’hui que la vaccination antivariolique a causé plus de cas de variole que les épidémies elles-mêmes et qu’elle a favorisé la tuberculose. Autrement dit, la pratique de cette vaccination a permis de créer des foyers d’épidémie, alors même que la maladie était en constante régression par un ordre naturel des choses. »

    Dr. Louis De Brouwer

    « Personne dans l’histoire n’a jamais provoqué de maladie chez une personne ou un animal en y introduisant une bactérie pure et isolée ou un soi-disant virus. »

    Dr. Thomas Cowan

    Anecdotes :

    De nombreuses expériences médicales sur la contagion microbiologique ont été menées au 19e et au 20e siècles par des chercheurs et médecins spécialisés en bactériologie comme les docteurs Pettenkofer de l’Université de Vienne, Thomas Powell, John B. Fraser de Toronto, Beddow Bailly, etc.

    On contamina toutes sortes d’aliments avec des cultures de microbes comme ceux de la diphtérie, de la pneumonie et de la typhoïde. On badigeonna la bouche, la gorge, les amygdales et les narines de volontaires. Plus de 150 expériences scientifiques sans aucun signe de maladie s’ensuivirent. Des expériences similaires ont été faites dans les camps de la marine américaine U.S. Naval Detention Training Camp on Deer Island sur 30 sujets et aussi à San Francisco sur 10 autres sujets avec des cultures pures du bacille de Pfeiffer (grippe espagnole). Il n’existait pas un seul cas où n’importe quel microbe ait pu être la cause spécifique d’une maladie quelconque.

    Le Dr. Fraser du Canada et le Dr. Powell de Californie ont expérimenté des milliards de germes de toutes les variétés, mais ils ont été incapables de produire une seule maladie en introduisant des germes dans des sujets humains.

    Le Dr. Waite a essayé pendant des années de prouver la théorie des germes, mais il n’a pas pu le faire. Pendant la guerre mondiale, une expérience a été menée à Gallop’s Island dans le Massachusetts, au cours de laquelle des millions de germes de la grippe ont été injectés à plus d’une centaine d’hommes à l’hôpital public, et personne n’a contracté la grippe.

    Pettenkofer (épidémiologiste) n’hésita pas à boire en public le 7 octobre 1892 une culture de bacilles du choléra, et ne développa pas d’infection. Ses étudiants, qui l’imitèrent ensuite, ne contractèrent pas la maladie. (Choléra : zone 4 du bioélectronigramme Vincent).

    A moins que le microbe ou le virus ne causent une maladie chaque fois qu’ils infectent le corps, ils ne peuvent être une cause valable. Une cause doit être constante et spécifique dans son action, sinon ce n’est plus une cause. Les microbes et virus sont omniprésents, voici une des vérités fondamentales que Pasteur ou Béchamp ont découvertes. Mais Pasteur et ses disciples semblent ignorer le fait que les microbes et les virus n’ont jamais eu d’influence spécifique. (Source : Le Goulag du SIDA – Albert Mosséri, Editions Aquarius).

    Le Dr. Ryke Hamer (1935-2017) n’a pas été le seul à démontrer que les maladies ne pouvaient pas être transmises d’un individu à un autre. Le physicien et médecin pathologiste allemand, Rudolf Virchow (1821-1902), a démontré lors d’une expérience, que si des bactéries vivantes sont transmises à une autre personne, cette personne ne développe pas la même maladie. Il y a eu des recherches audacieuses où Rudolf Virchow lui-même a ingéré des cultures de germes entières, sans développer de maladie. Il nous dit que l’hypothèse selon laquelle les maladies sont contagieuses n’est pas reproductible, et donc non scientifiquement prouvée. En bref, il nous dit que nous n’aurons pas la grippe, même si quelqu’un nous envoie un éternuement bien morveux. Contrairement à Pasteur, il rejette énergiquement l’hypothèse de l’intervention de germes infectieux dans les maladies contagieuses. (Source : conférence de Caroline Markolin, Ph. D. et Universalis.fr).

    Le Dr. René-Nicolas Desgenettes, médecin chef, s’inocula publiquement du pus de bubon pesteux pour prouver que la peste n’était pas contagieuse ! Il ne mourut pas. Ce ne fut pas de la chance. Le docteur “ignorant” n’avait pas peur, car il ne croyait pas que ce pus puisse lui faire le moindre mal !

    En 2001, l’astronome canadien Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies grippales étaient corrélés à des pics d’activité solaire magnétique, sur un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus ou autres procédés se révélèrent infructueuses.

    Depuis 1933 à nos jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude expérimentale démontrant que la grippe se propage par contact normal entre personnes.

    Toutes les tentatives ont échoué. (Source : The Invisible Rainbow – Arthur Firstenberg).

    Articles complémentaires :

    Notion de terrain
    La Bioélectronique Vincent
    Nos amis les microbes
    Les microzymas et le polymorphisme microbien
    La toxémie
    Les 9 points de la santé ou de la maladie
    La loi de l’homéostasie
    Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins
    Pasteur l’imposteur
    Les ondes électromagnétiques
    L’équilibre acido-basique

    En cas d’urgence ou lorsque le pronostic vital est engagé, consultez un médecin.

    Source : https://maloxxx8.wixsite.com/malonaturo/post/%C3%A9pid%C3%A9mies-et-contagions


    [Voir aussi :
    La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
    Déclaration sur l’isolement des virus
    Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
    Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
    Le culte de la virologie – Documentaire
    Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
    Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
    Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
    La théorie des germes : Une erreur fatale
    Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
    Citations médicales sur les vaccinations
    Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
    La théorie des exosomes contre celle des virus]


    Note




    La bien-pensance, une idée abjecte

    [Source : francesoir.fr]

    Auteur(s): Dimitri D. pour FranceSoir

    TRIBUNE – Il y aura toujours des personnes pour dire qu’une simple gifle (ratée), c’est abject. Un sac de farine lancé sur un groupe de personnes en signe de protestation, c’est abject, ou encore un bouquet de fleurs offert à une féministe, c’est abject. Comment peut-on être à ce point déconnecté de la réalité et de la société ?

    Ce qui est abject, c’est d’envoyer des forces de l’ordre mutiler, éborgner, gazer et insulter des citoyens – souvent jeunes – parce qu’ils s’opposent à la pensée unique gouvernementale. Ce qui est abject, c’est de forcer des gens à rester chez eux en interdisant la promenade, le sport, la vie en extérieur. Ce qui est abject, c’est de mettre en place un apartheid social en interdisant les pauvres dans les centres-villes, un apartheid sanitaire en interdisant l’accès aux lieux publics pour les non vaccinés, et de se revendiquer dans la lutte contre les discriminations. Ce qui est abject, c’est de voir le Premier ministre lors d’une courte conversation sur le passe sanitaire dire « ils avaient qu’à se faire vacciner ». Ce qui est abject, c’est de voir des étudiants faire la queue sur des kilomètres pour un plat à 1€ et de ne rien faire pour limiter la précarité qui grandit de jour en jour dans ce pays. Ce qui est abject, c’est d’entendre à longueur de journées des journalistes nous imposer des règles, qu’ils ne respectent pas eux-mêmes, nous culpabilisant chaque fois qu’il y a un nouveau décès.

    Ce qui est abject, c’est de lancer une chasse aux sorcières contre des personnes qui ont fait le choix de ne pas se faire vacciner en disant qu’elles sont dangereuses, tout en assurant que les vaccinés ne risquent rien (dangereux pour qui, alors ?). Ce qui est abject, c’est de continuer à détruire la société fondée par nos anciens. Ce qui est abject, c’est de voir un chauffeur de bus se faire tabasser à mort par une dizaine de criminels, et de se contenter de dire que cela n’est qu’un « sentiment d’insécurité ». Ce qui est abject, c’est de garder sous silence le suicide des policiers, des agriculteurs, des instituteurs, des étudiants et j’en passe, et de se contenter d’un numéro vert pour pallier cela. Ce qui est abject, c’est de dire aux Français qu’ils ne sont rien, qu’ils sont fainéants, qu’ils sont non-essentiels, et de leur demander de faire des efforts. Ce qui est abject, c’est d’avoir laissé l’hôpital public en décrépitude pendant des années, pour des questions d’argent, et d’envoyer la « cavalerie » réprimer les blouses blanches parce qu’elles tirent la sonnette d’alarme. Ce qui est abject, c’est de détruire l’économie d’un pays qui jadis était grand, victorieux et respecté, en délocalisant toute son industrie à l’étranger parce que cela coûte moins cher.

    Ce qui est abject, c’est de punir fermement un Français parce qu’il n’a pas les moyens de payer ses factures mais de laisser en liberté des corrompus qui contribuent au naufrage du pays. Ce qui est abject, c’est de refaire une élection sous prétexte que le résultat ne plaît pas à la majorité parlementaire et d’oser dire que l’on est dans une « belle » démocratie. Ce qui abject, c’est d’avoir des hommes et femmes politiques qu’ils soient à droite, à gauche ou au centre, mentir à longueur de journée, humiliant, méprisant et insultant le peuple qui a commis l’erreur de les élire.

    Aujourd’hui, la bien-pensance fait bien plus de dégâts que toute autre chose. Nous vivons dans une société où certains veulent diviser les peuples, se servant d’élus et d’activistes pour arriver à leur fin. J’ai toujours regardé avec admiration les poilus de la Grande Guerre, ou bien les résistants de 40-44.

    Si les bien-pensants veulent supprimer l’Histoire, alors c’est à nous de la préserver et de l’écrire, d’agir comme l’auraient fait les héros du passé.

    Auteur(s): Dimitri D. pour FranceSoir




    Quand un rappeur en remontre haut la main aux « scientifiques », « journalistes » et politiciens…

    [Source : reseauinternational.net]

    Par Jean-Dominique Michel.

    De belles découvertes sont à faire ces derniers temps. Après le texte inspiré d’hier, j’ai découvert les vingt aphorismes suivants (plus un en bonus…) du rappeur britannique Zuby.

    Lequel démontre une sagacité et une perspicacité stratosphériques en comparaison de la soupe décérébrée et mensongère servie par nos « élites ».

    À déguster sans modération, comme un véritable antidote à la stupidité et à la corruption ambiante…


    1/ La plupart des gens préfèrent être dans la majorité plutôt que d’avoir raison.

    2/ Au moins 20% de la population a de fortes tendances autoritaires, qui émergeront dans les bonnes conditions.

    3/ La peur de la mort n’est concurrencée que par la peur de la désapprobation sociale. Cette dernière pourrait être plus forte.

    4/ La propagande est tout aussi efficace aujourd’hui qu’il y a 100 ans. L’accès à une information illimitée n’a pas rendu l’individu moyen plus sage.

    5/ Tout et n’importe quoi peut être et sera politisé par les médias, le gouvernement et ceux qui leur font confiance.

    6/ De nombreux politiciens et grandes entreprises sacrifieront volontiers des vies humaines si cela sert leurs aspirations politiques et financières.

    7/ La plupart des gens croient que le gouvernement agit dans le meilleur intérêt de la population. Même ceux qui critiquent ouvertement le gouvernement.

    8/ Une fois qu’ils ont pris une décision, la plupart des gens préfèrent s’engager à avoir tort plutôt que d’admettre qu’ils ont eu tort.

    9/ Les êtres humains peuvent être formés et conditionnés rapidement et relativement facilement pour modifier de manière significative leurs comportements – pour le meilleur ou pour le pire.

    10/ Lorsqu’ils sont suffisamment effrayés, la plupart des gens non seulement acceptent l’autoritarisme, mais l’exigent.

    11/ Les personnes que l’on qualifie de « théoriciens de la conspiration » sont souvent bien documentées et ont tout simplement une longueur d’avance sur le discours dominant.

    12/ La plupart des gens accordent plus d’importance à la sécurité qu’à la liberté, même si cette sécurité n’est qu’une illusion.

    13/ L’adaptation hédonique se produit dans les deux sens, et une fois que l’inertie s’installe, il est difficile de faire revenir les gens à la « normale ».

    14/ Un pourcentage significatif de personnes aime profondément être subjugué.

    15/ « La science » s’est transformée en une pseudo-religion séculaire pour des millions de personnes en Occident. Cette religion a peu à voir avec la science elle-même.

    16/ La plupart des gens se soucient davantage d’avoir l’air de faire ce qu’il faut que de faire ce qu’il faut.

    17/ La politique, les médias, la science et les industries de la santé sont tous corrompus, à des degrés divers. Les scientifiques et les médecins peuvent être achetés aussi facilement que les politiciens.

    18/ Si vous mettez les gens suffisamment à l’aise, ils ne se révolteront pas. Vous pouvez garder des millions de personnes dociles tout en les privant de leurs droits, en leur donnant de l’argent, de la nourriture et des divertissements.

    19/ Les gens modernes sont trop complaisants et manquent de vigilance lorsqu’il s’agit de défendre leurs propres libertés contre les excès du gouvernement.

    20/ Il est plus facile de tromper une personne que de la convaincre qu’elle a été trompée.

    21/ La plupart des gens sont assez compatissants et ont de bonnes intentions (c’est bien). Par conséquent, la plupart des gens ont beaucoup de mal à comprendre que certaines personnes, y compris nos « dirigeants », PEUVENT avoir des intentions malveillantes ou perverses (c’est mal).




    Obligation vaccinale : policiers et gendarmes n’y seront pas soumis, les commentateurs s’interrogent

    [Source : RT en français]

    [Photo : © Guillaume Horcajuelo Source: Reuters]

    Contrairement aux soignants et pompiers, les membres des forces de l’ordre ne seront pas inclus dans les professions soumises à l’obligation vaccinale à partir du 15 septembre. D’aucuns y voient une dérogation suspecte.

    Le gouvernement a confirmé ce 13 juillet que les membres des forces de l’ordre, policiers et gendarmes, ne seraient pas soumis à l’obligation vaccinale à partir du 15 septembre. C’est ce que rapportent BFMTV et Le Parisien, citant le ministère de l’Intérieur.

    Lors de son allocution télévisée le 12 juillet dans la soirée, le président Emmanuel Macron avait annoncé que « les personnels soignants et non-soignants des hôpitaux, des cliniques, des maisons de retraite, des établissements pour personnes en situation handicap, pour tous les professionnels ou bénévoles qui travaillent au contact des personnes fragiles, y compris à domicile » seraient obligés d’être vaccinés à partir du 15 septembre. Parmi les personne contraintes, sous peines de lourdes sanctions, à se faire vacciner, on trouve les pompiers et les ambulanciers comme l’a confirmé le porte-parole du gouvernement sur le plateau de la chaîne d’information en continu, mais pas les policiers et les gendarmes.

    Gabriel Attal a néanmoins précisé que cette dérogation pour les forces de l’ordre concernait exclusivement leurs heures de travail. « Sur le temps de repos, les membres des forces de l’ordre sont soumis aux mêmes restrictions que le reste de la population, avec notamment le pass sanitaire », précise BFM. En effet, parmi les annonces des autorités, le pass sanitaire va devenir la norme pour se rendre dans les lieux recevant du public. Il sera étendu début août aux cafés, restaurants, centres commerciaux, hôpitaux ainsi qu’aux avions et aux trains inter-régionaux.

    Cette dérogation a suscité de nombreux commentaires.

    Pour Jean-Luc Mélenchon, l’exclusion des forces de l’ordre des professionnels obligés de se faire vacciner est une contradiction, une aberration. « Les décisions de Macron sentent l’abus de pouvoir et la discrimination sociale. Exemple : le pass sanitaire obligatoire sera vérifié par des policiers non vaccinés. Bienvenue en absurdie. Le pays n’est ni protégé ni organisé pour la 4ème vague », écrit le leader de La France insoumise sur son compte Twitter.

    « Les policiers et les gendarmes sont exclus de l’obligation vaccinale en septembre […] C’est plus clair comme ça ? » interroge l’éditorialiste Alexis Poulin, un tantinet suspicieux. 

    « Pourquoi exempter policiers et gendarmes de l’obligation vaccinale alors qu’ils sont autant en contact avec le public que les soignants ? » interroge le patron de l’UPR François Asselineau. « Cette décision prouve que Macron et son gouvernement ont peur de la colère populaire contre la dictature et veulent pouvoir avoir recours à la force », estime-t-il.

    Même analyse pour l’éditorialiste de Sud Radio André Bercoff, ironisant sur le fait que les forces de l’ordre devront « protéger nos citoyens contre les innombrables variants de ces trois virus mortels : liberté, égalité, fraternité ».

    L’ex-policier Sébastien Jalamion se veut plus solennel et interpelle ses anciens collègues.

    « À tous les policiers, gendarmes, militaires, douaniers, tous ceux qui sont dotés d’une parcelle d’autorité publique : n’appliquez pas des instructions distinguant les citoyens en fonction leur sérologie ! Protégez nos libertés et faites barrage à cet Exécutif ! Résistance », a-t-il plaidé.

    Sur Europe 1 ce 13 juillet, Gabriel Attal a eu quelques difficultés à justifier l’exclusion des policiers et gendarmes de l’obligation vaccinale.

    Quand le journaliste lui rappelle qu’il y a du public dans un commissariat, le porte-parole du gouvernement botte en touche en rappelant que l’obligation vaccinale a été mise en place pour les personnes travaillant auprès de personnes vulnérables.

    En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/88688-obligation-vaccinale-policiers-gendarmes-pas-soumis-commentateurs-interrogent




    Une vaccination obligatoire déguisée ? Les annonces de Macron décriées par l’opposition

    [Source : RT en français]

    [Photo : © Christophe ARCHAMBAULT Source: AFP]

    Après les déclarations du chef de l’État sur l’extension du pass sanitaire ou encore de l’obligation vaccinale, les critiques se sont multipliées au sein de l’opposition. Nombre de responsables politiques dénoncent notamment un recul des libertés.

    Lors d’une allocution présidentielle ce 12 juillet, le président français Emmanuel Macron a annoncé une série de mesures pour faire face à un rebond des contaminations au Covid-19. A ce titre, il a notamment annoncé l’extension du pass sanitaire aux lieux recevant du public ou encore la mise en place de l’obligation vaccinale pour ceux qui sont « au contact de personnes fragiles », malgré l’opposition d’une partie de la classe politique. 

    A droite de l’échiquier politique, les réactions ne se sont pas fait attendre, ses membres dénonçant de manière quasi-unanime un recul des libertés individuelles.

    « L’extension du pass sanitaire revient à instaurer une vaccination obligatoire qui ne dit pas son nom, et à créer deux catégories de citoyens. Autant je suis favorable à la vaccination des soignants, autant je crois que cette mesure est brutale et inadaptée », s’est inquiété le député Les Républicains Julien Aubert.

    Le chef de file des Patriotes Florian Philippot a fustigé pour sa part le piétinement des « droits fondamentaux » en évoquant l’extension du pass sanitaire et l’obligation vaccinale pour certaines professions dont les aides-soignants. « Je n’ai pas vu ce soir un président de la République mais un dictateur », a-t-il renchéri. 

    Pour Nicolas Dupont-Aignan, le président de la République est « devenu fou ». Le chef de file de Debout la France a fustigé un homme « dangereux » qui met en branle des mesures contraires à toutes les libertés fondamentales. « Trains, restaurants, cafés, cinémas… Macron met au ban des millions de Français, au mépris de nos droits fondamentaux et de l’égalité républicaine », s’est indigné le président de Debout La France. 

    Même réaction d’indignation du côté de Marine Le Pen. La présidente du Rassemblement national (RN) a évoqué sur Twitter un « recul grave des libertés individuelles » et une « liquidation de notre système de protection sociale », ajoutant, en faisant référence à la réforme des retraites, que les Français « paieront l’imprévoyance et l’incompétence de nos dirigeants ».

    Son collègue, le député européen du RN Gilbert Collard, a de son côté accusé sur RT France le président de la République d’instaurer « une dictature vaccinale », estimant que la contrepartie serait au minimum d’exiger que « l’Union européenne rende public les contrats qui [la] lie aux laboratoires ».

    A gauche de l’échiquier politique, les critiques ont également fusé. Pour la députée de La France insoumise (LFI) Danièle Obono, le chef de l’État « contraint la population à la vaccination obligatoire mais pas Big Pharma ». Elle a regretté dans la foulée qu’Emmanuel Macron fasse « la chasse aux chômeurs mais pas aux profiteurs de crise » tout en « préparant la destruction du système des retraites ».

    De son côté, le député LFI Adrien Quatennens a déploré une politique sanitaire répressive ne suivant pas les recommandations de l’Organisation mondiale de la Santé : « Pour la vaccination, l’OMS préconise de convaincre plutôt que de contraindre. Mais comme l’équipe qui a raconté mille foutaises sur les masques, les tests et tout le reste n’a plus grand chose de convaincant, ce sera pour le vaccin comme pour le reste : à la matraque. »

    Le lendemain matin, le chef des insoumis Jean-Luc Mélenchon a également tonné contre les annonces du président de la République, qu’il a qualifiées de « contradictions » et d’« aberrations ». « Les décisions de Macron sentent l’abus de pouvoir et la discrimination sociale. Exemple : le pass sanitaire obligatoire sera vérifié par des policiers non vaccinés. Bienvenue en absurdie. Le pays n’est ni protégé ni organisé pour la 4ème vague », a-t-il écrit sur les réseaux sociaux.

    En outre, le discours d’Emmanuel Macron a été jugé « inquiétant » par l’éditorialiste Alexis Poulin, qui regrette la mise en place d’une « politique de contrôle » et non la réalisation d’une « politique sanitaire ».

    La vaccination obligatoire pour les soignants constitue au contraire une « bonne nouvelle » pour Eric Bouchard, médecin généraliste dans les Alpes-Maritimes. « Encore 40% des soignants dans les Ehpad ne sont pas vaccinés » a-t-il déploré.

    En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/88682-vaccination-obligatoire-deguisee-annonces-macron-decriees-opposition




    Allocution de Macron : entre autosatisfaction et obligations, l’adieu à la raison

    [Source : francesoir.fr]

    Auteur(s): FranceSoir

    20h27. Fin de l’allocution de notre actuel huitième président de la Vème République Française.

    Cette allocution aura donc duré un peu moins de 30 minutes. 30 minutes que certains de nos concitoyens ont dû trouver bien longues…

    Car, ne nous mentons pas ; depuis quelques jours maintenant, elle était redoutée par bon nombre de Français. L’atmosphère se faisant de plus en plus lourde ces derniers temps ; que ce soit dans la vie au quotidien (professionnelle comme sociale) ou sur les réseaux sociaux. Climat d’instabilité manifeste exacerbé qui plus est par une campagne incessante et pesante sur les plateaux des diverses chaînes d’information. Ces plateaux de télévision où sans cesse, les non-vaccinés sont pointés du doigt pour leur manque de civisme, d’altruisme et de solidarité. Les mots employés dépassant souvent l’entendement, symbole d’une atmosphère nauséabonde et d’une tension palpable. Les exemples les plus frappants étant les interventions de M. Lechypre ou de Mme de Malherbe pour qui les non-vaccinés doivent être traqués ou considérés comme des brebis galeuses.

    Voir aussi : Le non-vacciné, cette espèce à abattre

    A cela s’ajoute, bien évidemment, car sans cet ajout il eut été difficile d’imposer de nouvelles mesures, une communication terriblement anxiogène par ces mêmes médias mainstream rappelant toutes les heures l’implantation continue sur notre territoire du terrible variant indien, renommé Delta, pour des soucis de progressisme bien évidents. La « fracture vaccinale », comme aime le dire un célèbre néphrologue devient de plus en plus visible. Fracture illustrée ces dernières heures par la conversation filmée entre notre Premier ministre et le président du parti Les Patriotes. Cette conversation laissant sous-entendre un été plus que compliqué pour la partie de la population française non vaccinée.

    https://www.youtube.com/embed/yKVMKXGHFes

    Sans bien sûr oublier la bombe de la semaine dernière lorsque le directeur de l’IHU Marseille, via son compte Twitter, s’est positionné en faveur de la vaccination « systématique »des soignants. C’est donc dans ce contexte particulier, une véritable poudrière sociale, que le président intervenait ce soir afin de donner ses nouvelles directives pour cet été déjà commencé.

    Et si la population réticente au vaccin et au pass sanitaire redoutait donc cette allocution et les décisions qui allaient en découler, force est de constater que personne (y compris dans le camp des « pro ») ne s’attendait à des décisions aussi radicales.

    Le président a commencé son allocution, qu’il tenait étonnamment au Grand Palais Ephémère, par des félicitations à tous comme il en a l’habitude, des soignants jusqu’à notre jeunesse, n’oubliant pas de rendre hommage aux victimes, tout en saluant notre civisme et également la pertinence des mesures prises par son gouvernement.

    Oui car il estime, « après avoir beaucoup consulté », que si l’épidémie est maitrisée c’est avant tout grâce aux mesures prises par l’exécutif, pointant surtout le plan de vaccination massif qui est une réussite. A aucun moment Emmanuel Macron ne parle de l’arrivée du printemps puis de l’été qui entraînent une chute naturelle de l’épidémie dans notre climat tempéré… Premier écart avec la science.

    Après s’être dit très fier du maintien de l’école et de l’instruction (il est à noter que l’on a fermé moins longtemps que certains pays comme les Etats-Unis ou l’Allemagne), il saluera également aussi le plan de réouverture. Ce plan de réouverture étant une réussite notamment grâce à son « quoiqu’il en coûte » qui aurait permis de préserver les emplois, les entreprises et le pouvoir d’achat. Tous ces bons résultats vont nous permettre de maintenir un 6% de croissance faisant de nous le pays le plus attractif d’Europe… Rendez-vous en fin d’année pour confirmation.

    Arrive alors le début des annonces fâcheuses : Emmanuel Macron nous lâche que malheureusement la reprise épidémique due au variant delta est maintenant forte sur tout le territoire, y compris les Dom-Tom. Mais également dans le monde entier, et qu’il est impératif de reprendre des mesures pour lutter contre celui-ci ; il cite notamment les Jeux olympiques de Tokyo à huis clos pour se justifier.

    Bien sûr, il appuie son propos en nous expliquant que ce Delta est trois fois plus contagieux, (ce chiffre est pour le moins farfelu : on a entendu 8, 12 et maintenant 3…), mais il ne dira mot concernant le taux d’hospitalisations et le taux de létalité de ce variant comparé aux précédents. Pour quelle raison ? Parce que ce variant est très peu létal selon les derniers résultats observés en  Grande-Bretagne, et, comme chacun sait qu’il a des compétences en épidémiologie, on ne peut imaginer qu’il ne soit pas au courant. De fait, cela rendrait la suite de la prise de ces décisions insensées. Deuxième écart avec la science.

    Mais « heureusement », dit-il, nous avons l’arme vaccinale pour lutter contre ce virus et ses variants. Et d’ailleurs il est impensable qu’au pays de Pasteur et des Lumières, une telle proportion de la population y soit réticente. Cette affirmation paraît terriblement cocasse quand on sait qu’aucun de nos vaccins n’est actuellement sur le marché…

    Se vacciner, affirme-t-il encore, réduit les formes graves de 95%, divise la contamination par 12 et réduit les mutations. Si la première affirmation est vrai, il ferait bien d’aller jeter un œil sur les dernières études qui parlent d’un taux d’efficacité aux alentours de 60% sur les contaminations, et même encore moins si on s’en réfère aux toutes dernières données. Quant aux mutations évitées, c’est tout simplement non prouvé pour l’instant. Troisième et quatrième écart avec la science.

    Voir aussi : Le meilleur épidémiologiste du monde est français, et il s’appelle Macron !

    Mais, c’est en utilisant ces arguments scientifiques teintés de doigt mouillé, qu’il va annoncer ses décisions :

    – l’obligation vaccinale, « dans un premier temps » pour tous les soignants et assimilés, jusqu’aux aides à domicile. Ils auront jusqu’au 15 septembre pour le faire, ensuite viendront des contrôles, et des sanctions.

    On rappellera que ces vaccins sont toujours en AMM (autorisation de mise sur le marché) conditionnelle et que prendre une telle décision est totalement contraire au principe de prudence. Que cherche-t-il à provoquer par cette décision ? Croit il vraiment que la totalité du personnel va s’exécuter ? Ne sait il pas que certains vont démissionner (c’est déjà le cas pour certains) pour le libéral ou une reconversion ? Ne se rend il pas compte qu’il risque de rendre l’Assistance Publique complètement démunie ?

    On pourrait vraiment le penser… mais c’était sans compter sur la suite de son programme vaccinal. Ils ont certainement prévu cette possibilité et c’est sans doute la raison des décisions suivantes.

    Pour le reste de la population, pas d’obligation. Mais déjà des couvres-feux seront remis en place en Martinique et à la Réunion et, pour les départements dont le taux d’incidence dépassera 200 (soit à nouveau des cas, et non des malades), les sanctions seront ciblées sur les non-vaccinés.

    En prononçant ces mots, il rend officielle et légitime la fracture vaccinale dans notre pays. Il vient de donner blanc-seing à tous les intégristes du « zerocovid » et « no fale med ». Ils auront dorénavant l’aval du président quant à leurs actions de discrimination envers leurs compatriotes non vaccinés.

    – La suite logique de son intervention (car une fois mis en condition on y trouve une certaine logique) est donc l’extension du passe sanitaire, et ce dès le 21 juillet dans les lieux de loisirs et culture à partir de 12 ans. Puis ce passe sera élargi début août à tous les cafés, restaurants, moyens de transport publics, ainsi qu’aux centres commerciaux. Il ajoute que seuls les vaccinés et les testés négatifs (sans préciser le type de test d’ailleurs) pourront y accéder. Plus de différenciation dehors/dedans, on oublie donc encore une fois la science qui nous a prouvé qu’il était rarissime de se contaminer en extérieur. Cinquième écart.

    De plus, en disant que la preuve vaccinale est suffisante, il agit comme si ce vaccin cassait la contamination et la transmission, et on a bien vu que c’était loin d’être évident. Nous nageons dans l’absurde le plus total, où une personne vaccinée mais possiblement positive aura accès à un lieu public, quand une personne non vaccinée mais négative y sera interdite. Sixième écart.

    On rappellera aussi que le passe était censé être utilisé pour les rassemblements de plus de 1000 personnes seulement. Certains avaient vite vu la mascarade de cette loi. Les rédacteurs de cette dernière avaient bien fait attention de ne mentionner aucun seuil pour pouvoir l’adapter.

    Voir aussi : Loïc Hervé, sénateur : « le pass sanitaire, ce n’est pas possible, c’est une question de principe »

    Enfin, il finit par nous annoncer qu’à partir de septembre, les tests deviendront payants. Ceci est une manière de faire qui n’a rien à envier à nos plus sombres moments d’histoire. En effet, comment une famille nombreuse au revenu minimum pourrait-elle se permettre de payer des tests PCR à chaque fois qu’elle veut aller au cinéma ou faire ses courses ? Par cette décision, il contraint de fait une grande partie des réticents à la vaccination, sans autre forme de procès.

    Comme si cela ne suffisait pas : après avoir annoncé des projets de vaccination à l’échelle mondiale via le « Projet Act » pour les pays les plus pauvres qui auront un accès facilité aux doses de vaccins – pays qui pour la plupart, rappelons-le aussi, ne nous ont pas attendu pour soigner et prendre en charge leurs populations avec des traitements connus et reconnus mais dont il est interdit d’écrire le nom sous peine de censure, le président termine son allocution en annonçant la réforme des retraites qui sera mise en place dès la sortie de la pandémie. On notera avec malice que cette date imprécise lui donne une certaine latitude, puisqu’il pense qu’on en a au moins jusque 2022 avec ce virus. Avec en perspective, jusqu’à preuve du contraire, des élections présidentielles en mai 2022. Pense-t-il vraiment être en situation de mettre en place cette réforme ?

    Se justifiant donc avec cette réforme et le maintien du plan de relance post covid, il nous annonce que nous serons contraints de travailler plus et plus longtemps. Car notre président est un homme de parole : ainsi, il continuera la baisse des impôts comme prévu. Il faudra donc financer ce plan de relance et la réforme des retraites par d’autres moyens : le travail ! 

    Il conclut alors par son grand projet qu’il nomma « le pacte français » – mais sans jamais omettre d’y inclure l’Europe. Il aura pour but de faire de la France un pays conquérant à la pointe dans la recherche, l’innovation, l’industrialisation, l’agriculture à horizon 2030. On croirait presque à un discours souverainiste mais y inclure l’Europe et parler également de projet européen d’industrialisation montre bien que tout ceci est peu tangible et viable économiquement.

    Les annonces dites sanitaires auront donc été prises en sandwich entre un numéro d’autocongratulation et un discours programmatique, pour ne pas dire de campagne. Était ce pour noyer le poisson en bombardant le citoyen d’informations importantes ?

    Il n’empêche que nous basculons dans une autre ère ce 12 juillet 2021, 23 ans jour pour jour après que le pays a vécu sa plus belle soirée de communion nationale d’après-guerre. L’obligation vaccinale est appliquée dans peu de pays encore, les seuls étant l’Arabie Saoudite et le Tadjikistan. Sous couvert de protection de la population contre un variant qui à l’heure actuelle n’est pas spécialement alarmant, cette obligation vaccinale et ce passe étendu questionnent fortement.

    Quel est le projet ? A-t-il conscience que si on découvre des maladies auto-immunes, le pays le rendra responsable ? Il est assez jeune pour devoir répondre de ses décisions de son vivant dans plusieurs décennies et ca n’a pas dû lui échapper.

    Quel est l’intérêt de vacciner un enfant de 12 ans ? Combien de morts de 12 ans du covid ? À quel moment notre président et son conseil scientifique ont-ils oublié la définition de la balance bénéfice-risque ?

    De plus, on commence à s’apercevoir de manière assez probante maintenant que de « l’échappement vaccinal » peut se produire, qu’un vacciné peut toujours être positif et que de fait le vaccin n’est pas l’arme ultime de santé publique.

    Voir aussi : « Ne faisons pas un remède pire que le mal » : l’entretien essentiel, avec Christian Vélot

    Que signifie cette dégringolade liberticide ? Nous sommes passés d’un confinement en mars-avril 2020 pour désengorger nos hôpitaux et nos réas, à l’obligation vaccinale en septembre 2021 pour un enfant de 12 ans pour aller manger un snack dans un centre commercial…

    Les historiens et philosophes du XXIIème siècle auront là un sujet passionnant pour leurs thèses.

    Auteur(s): FranceSoir




    Macron prend le risque de fracturer le pays

    [Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

    Par Éric Verhaeghe

    Dans son allocution de 27 minutes prononcée hier à la télévision, Emmanuel Macron a annoncé des mesures très autoritaires pour l’été : obligation vaccinale pour les soignants et d’autres professions « au contact du public » (on attend de voir si les enseignants seront concernés) et utilisation du pass sanitaire dans les restaurants, les cafés, les théâtres, les cinémas. Il a également annoncé une réforme des retraites après l’épidémie. Cette stratégie d’exclusion a suscité de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux. Reste à savoir si elle conduira à une fracture ouverte du pays.

    Les annonces d’Emmanuel Macron hier soir ont surpris par leur autoritarisme et leur détermination. Elles constituent un véritable test sur l’intensité de l’opposition populaire au président de la République. 

    Macron annonce l’exclusion des non-vaccinés

    Les annonces d’hier sont sans ambiguïté. Pour l’instant, l’obligation vaccinale est limitée aux personnels soignants et à quelques professions en contact avec le public (le sort des enseignants ne manquera pas d’intéresser…). Mais le Président a évoqué une possible généralisation à toute la population. Surtout, les non-vaccinés seront exclus de fait de la vie sociale : leur accès aux cafés, aux restaurants, aux théâtres, au cinéma, aux avions, aux trains, sera supprimé.

    Cette mesure autoritaire, largement approuvée dans la caste, devrait marquer les partenaires de la France par sa rigueur et son « innovation ». Elle constitue un précédent majeur dans le concert des nations démocratiques, aux antipodes du Freedom Day décidé par Boris Johnson. 

    Un effet immédiat sur les prises de rendez-vous

    Dès la fin de l’allocution présidentielle, le site de prise de rendez-vous pour la vaccination Doctolib a « explosé ». Près d’un million de Français auraient pris rendez-vous dans la soirée pour recevoir une dose de vaccin. 

    Il ne reste plus qu’à en convaincre 32 millions supplémentaires. Mais l’objectif de pousser le « ventre mou » des non-vaccinés à recevoir leur dose pourrait avoir avancé.

    La contestation bondit

    Dans le même temps, les réseaux sociaux se sont embrasés, notamment sous l’effet des non-vaccinés qui ont annoncé leur intention de résister à la mesure présidentielle. Différentes manifestations pourraient avoir lieu dès le 14 juillet. Le défilé militaire sera d’ailleurs réservé aux détenteurs d’un pass sanitaire. 

    La question est de savoir si l’exclusion des vaccinés suscitera une crise politique ou pas. Les semaines qui viennent, et même les jours qui arrivent, avec le dépôt imminent d’un projet de loi, donneront une bonne représentation de l’état des forces en France. 




    France : Plainte contre Emmanuel Lechypre et avertissement aux grands médias. Mise à jour

    [Source : Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations (infovaccin.fr)]

    [Mise à jour : fichier de la plainte officielle.]

    Communiqué de presse 12 juillet 2021

    La Ligue nationale pour la Liberté des Vaccinations (LNPLV) porte plainte auprès du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), contre Emmanuel LECHYPRE, journaliste, éditorialiste économique français officiant sur BFM TV, BFM Business, RMC et RMC Story.

    Ce journaliste a tenu sur RMC Story des propos menaçants susceptibles de poursuites pénales :

    « On vous vaccinera de force, moi je vous ferai emmener par deux policiers au centre de vaccination. Faut aller les chercher avec les dents et avec les menottes s’il le faut […] Les non-vaccinés, ce sont des dangers publics, j’ai une démarche très claire : je fais tout pour en faire des parias de la société ! »

    Ce journaliste porte atteinte à la dignité de la personne humaine à la liberté d’autrui, à l’ordre public en incitant publiquement à la haine, à la violence et à la discrimination d’un nouveau genre à l’égard des Français refusant de se voir injecter un médicament expérimental.

    De tels propos doivent être sanctionnés rapidement. Ils sont le reflet d’un mode de pensée totalitaire et d’une régression de l’expression démocratique sans précédent depuis la Libération.

    Nous rappelons le premier alinéa du préambule de la Constitution de 1946 :

    « Au lendemain de la victoire remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté d’asservir et de dégrader la personne humaine, le peuple français proclame à nouveau que tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliénables et sacrés. »

    Ainsi, nul ne peut être discriminé, maltraité ou exclu en fonction d’un quelconque statut sanitaire qui doit par ailleurs rester protégé par le secret médical.

    Nous demandons à M. Lechypre et à tous les journalistes des grands médias :

    1. de respecter le Code de déontologie des Journalistes (Charte de Munich) : « Ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste ; n’accepter aucune consigne, directe ou indirecte, des annonceurs » (point 9).

    2. de mener des investigations indispensables pour délivrer des informations objectives et claires. Nous avons besoin de débats véritablement contradictoires et non d’une diversité d’intervenants peu qualifiés qui ne font que masquer une consanguinité de la pensée, mortifère pour la santé des Français et la démocratie. Les Français sont las du matraquage et des discours culpabilisants. Beaucoup ont coupé le poste pour préserver leur santé mentale. Nous invitons les journalistes à sortir de la communication institutionnelle, du sensationnalisme et de l’alarmisme pour chercher à connaître la vérité des faits et informer de manière objective.

    La Ligue nationale pour la Liberté des Vaccinations www.infovaccin.fr/
    Contact : lnplv.adm@orange.fr

    [Mise à jour :]

    Plainte officielle :




    Les aveugles guident les ignorants

    [Source : Aube Digitale]

    La plupart d’entre nous regardent la télévision. En partie, nous cherchons à nous divertir, mais, en plus, nous cherchons souvent à être éclairés sur « ce qui se passe ». Dans une époque difficile comme celle que nous vivons actuellement, où certains des pays les plus en vue connaissent un début de crise économique, où des personnages de dessins animés virtuels s’affrontent dans des concours politiques, où les gouvernements deviennent de plus en plus rapaces et où un État policier se développe rapidement, il n’est pas surprenant que la personne moyenne se demande « Mais à quoi pensent-ils ? ».

    Eh bien, ce n’est pas l’exposition médiatique qui manque pour répondre à cette question. Aujourd’hui, il existe une multitude de chaînes proposant des « informations » 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, à partir desquelles nous pouvons espérer glaner quelques informations sur ce que pensent les dirigeants du monde. Pourtant, malgré l’interminable dépliant offert, la vision des dirigeants reste aussi claire que la boue.

    Ils ne veulent pas de guerre, mais envahissent plus de pays que jamais dans l’histoire. Les candidats politiques sont pour le moins vagues quant à leurs propositions de programmes d’action, mais ils s’attaquent les uns aux autres comme s’ils étaient des journalistes de la presse à scandale. Les gouvernements parlent continuellement de leur souhait d’alléger la charge de l’homme ordinaire, tout en l’accablant de lois, de réglementations, d’amendes et de taxes comme jamais auparavant, et tout en versant des milliards de dollars d’impôts à leurs copains de l’industrie financière. Ils prétendent rechercher une plus grande sécurité pour tous, mais au lieu de cela, ils créent un flux sans fin d’agences qui ont le pouvoir d’ignorer les droits fondamentaux et se comportent davantage comme des opérateurs de racket de la mafia que comme des agents chargés de faire respecter la loi. Les gouvernements prétendent poursuivre une économie plus saine, mais ont créé un niveau d’endettement sans précédent, qui promet d’écraser les économies de plusieurs des pays les plus importants du monde dans un avenir très proche.

    Ainsi, de nombreuses personnes se tournent vers les médias pour trouver des réponses. En général, un programme d’information présente un « panel d’experts » qui débat des dernières questions. Ils parviennent rarement à une conclusion, mais réussissent à créer l’impression générale qu’un parti politique est en train de détruire le pays et que l’autre (qu’ils représentent) est en train de le sauver.

    (Gregory Mankiw, professeur d’économie à Harvard, interviewe Janet Yellen).

    Outre les panels, les médias vont souvent directement à la source, en interviewant des dirigeants politiques et financiers. La liste des questions est invariablement préparée longtemps à l’avance et la personne interrogée n’est jamais prise au dépourvu. Ses manipulateurs ont préparé ses réponses pour lui et, à chaque fois, un plat complet de rhétorique prévisible et réchauffée est servi au téléspectateur pour sa consommation.

    Dans ces réparties, l’intervieweur est censé paraître sympathique tout en étant indiscret, mais les questions posées sont invariablement assez fades pour que l’interviewé puisse les écarter ou fournir une réponse facile. L’interviewé doit donner l’impression d’informer le public de politiques et de procédures qui, bien que trop compliquées pour que le téléspectateur les saisisse pleinement, sont bien en place et apporteront des solutions dans un avenir proche. Soyez patient.

    Le fait que ces solutions ne semblent jamais arriver semble être moins important que le fait qu’une nouvelle solution est en cours. De cette manière, le téléspectateur, quel que soit l’impact de sa vie, continue à rester assis et à garder espoir, car des jours meilleurs sont sûrement à portée de main.

    Incroyablement, le téléspectateur moyen semble être capable de consommer des quantités infinies de cette propagande, année après année, sans jamais se dire : « Quelque chose ne tourne pas rond ici ».

    S’il éteignait réellement la télévision pendant une semaine ou deux, prenait du recul et évaluait la propagande dans son ensemble, il pourrait conclure qu’en fait, les médias agissent sur ordre des dirigeants économiques et politiques, pour propager leur message. Les « débats » et les « questions urgentes » sont au mieux mous et ne conduisent jamais à un changement ou à une amélioration significative. Et ce n’est pas leur but. Ils ne sont que des sucettes.

    Pire encore, les dirigeants eux-mêmes continuent non seulement à décevoir le public, mais aussi à faire évoluer les systèmes gouvernementaux, économiques et sociaux dans une direction qui mènera inévitablement à une mauvaise fin.

    Il est vrai, bien sûr, que les citoyens de ces grandes nations deviennent de plus en plus cyniques à l’égard de leurs dirigeants et de leur propre avenir, mais leur réaction à ce pablum, après avoir bien râlé, tend à être « d’espérer que la prochaine administration sera meilleure ». C’est vraiment très imprudent. (Une fois que la pomme est complètement pourrie, attendez-vous à ne voir que des vers l’habiter).

    Mais ceux qui ont le sentiment d’être lésés doivent se défouler d’une manière ou d’une autre. Et, pour cela, nous avons les partis politiques. Que notre pays ait des démocrates et des républicains, des conservateurs et des travaillistes, ou tout autre groupement de ce type, ceux qui sont élus n’ont pas l’illusion qu’ils existent pour servir ceux qui les ont élus ; ils existent pour servir les grands donateurs qui paient les élections. Et les grands donateurs contribuent aux deux partis, afin de s’assurer que leurs objectifs sont réalisés par les candidats qui réussissent, quel que soit leur parti. Le plan d’ensemble se poursuivra, à toute vapeur, peu importe qui est au pouvoir.

    Mais les partis fournissent à l’électorat des cibles sur lesquelles il peut diriger ses flèches à pointe en caoutchouc. Quel que soit le parti au pouvoir, les électeurs libéraux se plaindront que l’on ne fait pas assez pour leurs causes et les électeurs conservateurs feront de même.

    L’un d’eux finira-t-il par l’emporter sur l’autre ? Incontestablement non. Le système est conçu pour rester tel quel – avec des chamailleries sans fin encouragées, mais aucun progrès réel prévu.

    Les pays les plus importants du monde sont à l’aube d’une crise économique majeure. Elle s’accompagnera de crises politiques et sociales et, très certainement, d’une guerre. Le téléspectateur, s’il l’accepte, dira : « Cela leur apprendra. Ils devront alors admettre que notre camp avait raison. »

    Malheureusement, non. Après les inévitables krachs économiques, après des années de guerre inutile, après la montée du totalitarisme chez nous, il y aura une fin éventuelle à la lutte. Lorsque la poussière commencera à retomber, le citoyen moyen allumera sa télévision, espérant voir que des réponses ont été apportées.

    Au lieu de cela, ce qu’il verra, s’il allume une chaîne libérale, ce seront des experts déclarant que, si seulement il y avait eu plus d’assouplissement quantitatif et plus de droits, tout aurait pu s’arranger, mais qu’au lieu de cela, il y a eu un désastre, à cause des conservateurs.

    De même, les experts de la station conservatrice expliqueront que toutes les souffrances auraient pu être évitées si les droits avaient été contrôlés et si les bombes avaient pu être lâchées sur l’ennemi plus tôt. Les libéraux et les conservateurs retourneront dans leur coin pour panser leurs plaies et se préparer au prochain cycle de polarisation les uns contre les autres.

    Alors, qui devons-nous blâmer pour les débâcles de l’humanité ? Nous avons certainement été trompés par les dirigeants – les politiciens, les banquiers centraux, les dirigeants des grandes industries, etc. Ou est-ce les médias qui ont fait un tel travail de propagande que nous n’avons pas su voir la forêt pour les arbres ?

    Peu importe, car rien ne sera appris et nous recommencerons le jeu. Mais si c’est une véritable solution que nous recherchons, oui, c’est possible. Mais cette solution dépend de notre volonté de ne plus permettre aux médias de raisonner à notre place.

    Nous devons être prêts à étudier les actions de nos dirigeants, à être prêts à être contrariants et, surtout, à tout remettre en question. Sinon, nous faisons partie des aveugles et des désemparés et nous pouvons nous attendre à un cycle sans fin du même spectacle de chiens et de poneys.

    Traduction de International Man par Aube Digitale




    LE RÉSUMÉ DES ANNONCES D’EMMANUEL MACRON CE 12 JUILLET

    [Source : numerama.com]

    • Les soignants et soignantes auront l’obligation de se faire vacciner  (ils auront jusqu’au 15 septembre) ;
    • Le pass sanitaire devient obligatoire dès août dans de nombreux lieux culturels et sociaux (restaurants, cafés, trains, hôpitaux) ;
    • État d’urgence et couvre-feu ont été instaurés pour la Martinique et la Réunion ;
    • Les tests PCR vont devenir payants à partir de l’automne 2021 ;
    • Des campagnes de vaccinations spécifiques pour les collégiens et lycéens seront organisées à la rentrée



    Pierre Jovanovic | Futur terrifiant ?

    [Source : NTD Français]

    « Donc nous sommes dans le même état que la Grèce en 2009. Donc on sait qu’à partir des élections présidentielles, c’est-à-dire après 2022, après le mois de mai 2022, il y aura une politique d’austérité qui va s’abattre sur la France qui va être terrifiante, mais littéralement terrifiante. On rentre dans une nouvelle ère, qui sans doute va être …. tout le monde va être mis en esclavage, voilà ! »

    Pierre Jovanovic, journaliste & écrivain




    Pénuries alimentaires en vue ?

    [Source : urantia-gaia.info]




    

    [Voir : Pénuries massives et généralisées à tous les secteurs : pourquoi ?]

    [Source : Quantum Leap]





    [Voir aussi : L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]




    La chute du Dr Peter Daszak, évincé de l’enquête sur la pandémie diligentée par l’ONU

    [Source : francesoir.fr]

    [Photo : Peter Daszak
    EcoHealthAlliance]

    Auteur(s): FranceSoir

    Depuis le début de la pandémie de Sars-CoV2, le revue médicale The Lancet, jadis réputée comme sérieuse, s’illustre dans des publications très douteuses. 

    En mai 2020, le monde entier découvrait avec stupéfaction l’étude sur l’hydroxychloroquine. Et suite à l’énorme scandale de cette affaire désormais appelée « Lancet Gate » et aux critiques des scientifiques du monde entier, la revue avait été forcée de retirer son étude qualifiée de frauduleuse.

    Cependant, quelques mois plus tôt, en février 2020, la revue médicale britannique s’était déjà tristement illustrée en publiant une lettre cosignée par 27 scientifiques réunis par le médecin britannique Peter Daszak dans laquelle la théorie de la fuite du laboratoire de Wuhan était réfutée.

    Dans la lettre, on pouvait lire ces mots :

    « Nous sommes solidaires pour condamner fermement les théories du complot suggérant que le Covid-19 n’a pas d’origine naturelle » ou encore « les théories du complot ne font que créer de la peur, des rumeurs et des préjugés qui mettent en péril notre collaboration mondiale dans la lutte contre ce virus ». Quiconque doutait de la version officielle était traité de complotiste, nouvelle insulte à la mode qui a permis pendant des mois de ne pas ouvrir officiellement le débat, disqualifiant au passage les plus grands scientifiques comme le Professeur Luc Montagner, qui avait osé affirmer le contraire en analysant le génome du virus qui ne pouvait pas selon lui être d’origine naturelle.

    Mais les faits sont têtus, et 18 mois après que le virus a été détecté à Wuhan et depuis la publication des emails d’Antony Fauci, la thèse de l’origine du laboratoire désormais dominante n’est plus considérée comme une théorie conspirationniste.

    En revenant sur le profil du Dr Daszak, on apprend qu’il est le président de l’EcoHealth Alliance, une organisation basée aux Etats-Unis et financée par l’Institut Antony Fauci. On découvre également qu’il entretient des relations étroites avec le chef du laboratoire de Virologie de Wuhan (WIV), le Dr Shi Zhengli dont il a financé des recherches sur le gain de fonction des coronavirus venant des chauves-souris.

    Depuis quelques jours, le docteur Daszak qui faisait partie des 28 experts du monde entier pour analyser les origines du virus est accusé de conflits d’intérêts avec l’Institut de virologie de Wuhan. Devant les soupçons qui pèsent sur lui, il a été évincé de l’enquête du journal The Lancet, soutenue par l’ONU, enquêtant sur les origines du virus.

    Quand le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend l’escalier mais finit toujours par triompher.

    Auteur(s): FranceSoir




    Pourquoi un tel silence sur la Plitidepsine ?

    [Source : UPR TV via Les 7 du quebec]




    La Covid et la mort de la pensée indépendante

    [Source : Le-Blog-Sam-La-Touch via reseauinternational.net]

    Article originel : Covid and the death of independent thought
    Conservative Woman, 10.07.21

    La chose la plus déprimante au sujet des 17 derniers mois n’est pas ce que nos gouvernements ont fait. J’ai toujours attendu que les gouvernements soient corrompus et incompétents. Ils agissent simplement en personnages. Non, ce qui est vraiment déprimant au sujet des 17 derniers mois, c’est la façon dont les gens ont agi, en particulier ma famille et mes amis.

    Mes parents pratiquant avec une foi chrétienne qui ont marché contre la guerre du Vietnam et ont été arrêtés pour avoir protesté sur des bases de sous-marins nucléaires. Ils m’ont fait croire que les élites contrôlaient le monde et agissaient par l’intermédiaire d’agences de renseignement comme la CIA. Ils considèrent qu’il va de soi que des acteurs d’un « état profond » ont tué John F Kennedy, Robert Kennedy et Martin Luther King. Mes frères et sœurs et moi avons tous absorbé l’idée que la plus haute vocation dans la vie était de combattre la tyrannie des riches sur les gens ordinaires.

    J’ai pris cette vision du monde avec moi. J’ai cherché des amis qui semblaient partager ces valeurs et dont j’ai respecté l’intellect. Nous avons passé d’innombrables nuits, alimentées de grandes quantités de bière, essayant de regarder derrière le rideau pour comprendre exactement qui a mené le spectacle. Nous sommes allés à New York pour participer à une manifestation No Nukes (« Pas d’armes nucléaires »). Je me souviens d’avoir regardé mes amis dans le train sur le chemin de la maison. Je m’étais dit : « Nous sommes le peuple. » Je me suis senti chanceux d’avoir de si bons alliés dans ce monde. J’étais sûr qu’ils seraient à mes côtés dans les tranchées si jamais notre pays était menacé par la tyrannie.

    Cela dit, je n’étais ni naïf ni trop idéaliste. Au contraire, en tant qu’adulte, j’étais profondément cynique, du moins au sujet des institutions mondiales. Mais j’avais foi en la bonté inhérente des gens, la durabilité du bon sens, et la sagesse de mes amis et de ma famille, et de mon peuple en général.

    Au cours de la dernière année et demie, cette foi en l’humanité a été complètement brisée, et cela m’a profondément ébranlé.

    Mes parents ont bu profondément au puits de la propagande gouvernementale. Malgré le fait que l’entreprise de leur fils (la mienne) a été détruite et que l’éducation et la vie sociale de leurs petits-enfants ont été ruinées, ils ne peuvent pas se résoudre à proférer un cri de protestation. Ils ont accepté la fermeture des églises avec une parfaite équanimité, apparemment ignorant que si les premiers chrétiens avaient été si lâches dans leur foi, le christianisme n’aurait jamais survécu assez longtemps pour qu’ils deviennent chrétiens. Ils ont consenti au sacrifice (« vaccination ») des enfants pour « protéger » les personnes âgées.

    Lorsqu’on leur présente des faits et des données qui contredisent le discours traditionnel, mes parents et mes frères et sœurs réagissent avec une colère réelle. Ils refusent d’en discuter. Il y a des années, même si nous étions en désaccord sur un sujet, nous pourrions en discuter sans que cela menace notre relation. Plus maintenant. Ils ne veulent rien entendre qui aille à l’encontre du discours des médias.

    Pour ce qui est de mon groupe d’une vingtaine d’amis proches, la plupart d’entre eux appuient ardemment le discours dominant ou ne se donnent tout simplement pas la peine de s’y opposer. Ils n’ont pas seulement accepté le vol de leurs libertés les plus fondamentales, ils défendent ce vol.

    Ces mêmes gens qui avaient l’habitude de traiter les médias traditionnels avec des soupçons sains maintenant reprennent tel des perroquets leurs points de discussion sans un soupçon d’ironie. Ils semblent complètement inconscients que les médias grand public ont subi une transformation radicale au cours des cinq dernières années, le passage des sources d’information aux organes de propagande stridents diffusant un récit régulier de points de discussion clivants conçus pour diviser les masses en groupes belliqueux, tandis qu’une infime élite solidifie leur contrôle des richesses du monde. Ils sont passés de la dérision des médias traditionnels en tant qu’organes de fabrication de consentement de la Machine à avoir une foi enfantine dans les dernières déclarations de Big Brother.

    Les gens que j’ai connus pour être remplis de curiosité et avides de connaissances affichent maintenant une sorte de réaction allergique à toute nouvelle information. Face à quelque chose de l’extérieur du récit principal, leur réaction va de l’ennui à l’indignation.

    Seulement trois de mes amis proches ont résisté au récit de la COVID-19. Nous nous sommes engagés dans une bataille avec notre groupe au sujet de la dernière abomination commise au nom de la lutte contre la COVID-19, mais nous n’avons fait aucun progrès. Nous en sommes finalement arrivés à la conclusion qu’aucun argument, aussi intelligent soit-il, et aucun ensemble de données, aussi révélateur soit-il, ne les ferait changer d’avis. Ils sont hors de portée.

    On revient sans cesse sur la métaphore de l’Invasion des profanateurs, un film de science-fiction de 1956 refait en 1978 dans lequel la race humaine est envahie par un virus interstellaire : les gens autour de nous se ressemblent, mais quelque chose est différent. Ils ne sont plus là; les lumières se sont éteintes. Là où le bon sens et la raison prévalaient autrefois, il n’y a plus que des répétitions stupides de points de discussion des médias grand public. Qu’est-il arrivé à ces gens ?

    La chose la plus déprimante est la saleté totale du mensonge qui a trompé mes amis, ma famille et mes compatriotes. Satan est souvent dépeint comme attrayant, urbain et intelligent. Il serait naturel que les gens soient menées par une telle personnalité séduisante. Nous pourrions pardonner aux gens de tomber pour ses insinuations, mais de les voir bernés par une bande de charlatans de si bas niveau est vraiment ahurissant. Je veux dire, regardez-les : cet effrayant cadavre cireux, Joe Biden ; le méchant homunculus, Anthony Fauci ; ce garçon d’école tordu, Matt Hancock ; et cet acte soigneusement calculé de Boris Johnson. Le plus joyeux aperçu de n’importe lequel d’entre eux fait déclencher mes alarmes contre la « connerie ».

    Et l’histoire qu’ils ont avalée ! Quelques vidéos à petit budget en provenance de Chine de gens qui s’effondrent dans les rues et recyclent sans cesse des images d’ambulances et d’Unités de soins intensifs bondés. Les gens ont complètement ignoré leur propre expérience. Est-ce que cela ressemble à une pandémie? Où sont les hôpitaux de campagne bondés de morts et de mourants? Où sont les fosses communes? Où sont les camions qui nous demandent de « sortir les morts » ? Sans Internet et les médias de masse, il n’y aurait pas une âme sur terre qui penserait que quelque chose d’inhabituel se passe.

    J’ai toujours attribué à l’humanité une certaine intelligence animale et une certaine force de caractère. Mais face à une production de propagande de troisième ordre livrée par une troupe de charlatans bâclée, notre peuple le plus « éduqué » a fait preuve de tout le discernement et de toute l’acuité mentale des voyous sordides lors d’un match de lutte professionnel. Ils ont renoncé à leurs libertés les plus importantes et ont permis à leurs propres enfants d’être torturés, blessés et tués sans lever le petit doigt pour se défendre.

    La réalisation la plus révélatrice des 17 derniers mois est la suivante : il est incroyablement facile de laver le cerveau et d’influencer au travers de la propagande la population. En effet, ils semblent en avoir faim, même au détriment de leur propre vie et de celle de leurs enfants.

    Je pensais honnêtement que nous étions de meilleures personnes. Je pensais que le bon sens, le fair-play et l’humanité étaient nos paramètres par défaut. Je ne pensais pas que l’obéissance et la lâcheté comme des moutons étaient nos traits les plus profonds. Mais, les 17 derniers mois m’ont désabusé de cette croyance. Et je ne me remettrai jamais de cette perte.

    Maintenant, face à des médias toujours plus immersifs et à des technologies plus addictives et manipulatrices, toutes contrôlées et possédées par des milliardaires sociopathes, je désespère vraiment pour notre avenir. Je n’arrête pas de penser au refrain de Neil Young de l’Ohio : « Nous nous retrouvons finalement seuls. »

    Traduction SLT




    La farce de la Nasa et la vraie mission des cosmonautes

    [Source : nicolasbonnal.com]

    Par Nicolas Bonnal

    [© Photo / Capture d’écran: Youtube]

    Beaucoup de gens doutent de l’alunissage de 1969, autre opération de l’État US.

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    [Voir aussi : L’alunissage : Un canular géant pour l’humanité ?]
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    Star Wars Episode IV (1977)
    © PHOTO / CAPTURE D’ÉCRAN: YOUTUBEStar Wars Episode IV (1977)

    En réalité il n’y a jamais eu de conquête spatiale, ni même de volonté de conquête spatiale. Et la soi-disant conquête spatiale n’avait que deux missions : contrôler l’espace proche de la terre transformé aujourd’hui en poubelle bourrée de satellites de surveillance et d’armes de destruction démocratique ; préparer notre vie à tous dans le monde simulateur du XXIe siècle. Mais si la conquête spatiale initiée par les nazis et poursuivie du fait de la guerre froide, cette guerre froide avec le monde qui n’en finit pas, et qui risque de nous coûter finalement cher, n’a pas servi à conquérir les galaxies et à exploiter les pétroles vénusiens en guerroyant avec les Aliens et les hommes verts, à quoi aura-t-elle donc servi ?

    À nous conditionner et à nous préparer à des temps moins marrants, digne de la dystopie présente.

    Oubliez les résultats inexistants de la pseudo-conquête et revoyez 2001 l’odyssée de l’espace, ou bien l’Étoffe des héros, ou bien même Solaris, et comparez votre vie urbaine et celle à venir de vos enfants avec celle d’un cosmonaute. Revoyez tous ces films de science-fiction et vous verrez que tout cela n’avait que ce seul but : nous préparer à vivre comme des cosmonautes, mais sans jamais aller dans l’espace. La simulation de vol spatial et de conquête des étoiles est allée de pair avec un contrôle mental et surtout, finalement, physique sans précédent dans l’histoire de notre occident vieillissant.

    2001, l'Odyssée de l'espace
    © PHOTO / CAPTURE D’ÉCRAN: YOUTUBE 2001, l’Odyssée de l’espace

    Car, et réfléchissez bien, en quoi consiste la vie d’un cosmonaute ? Revoyez 2001, pas la Guerre des étoiles, qui sert à vendre des jeux vidéo. J’ai évoqué ce thème dans mon long livre sur Kubrick.

    • Un cosmonaute passe sa vie devant des écrans, comme nos contemporains. Il a toujours un problème technique. Il est toujours dans un moyen de transport quelconque.

    • Un cosmonaute a peu d’espace pour vivre. Pensez au parisien ou au newyorkais pauvre.

    • Un cosmonaute se tient toujours dans la dépendance d’un moyen technologique. Il passe son temps à envoyer des messages codés et à se plaindre d’avoir un problème (Houston…). Il passe son temps à pousser des boutons et, s’il n’est pas très calé en réparations (et qui va réparer un gadget Apple ?), il se tient bien tranquille.

    • Il est gros consommateur d’énergie et il ne se sert plus de son corps. Il en grignote, des friandises, comme dans un conte de fées ! Combien vous dites, un milliard trois d’obèses dans le monde ? Wall-E représente d’ailleurs un vaisseau d’obèses en lévitation permanente. Seuls les pouces travaillent sur le smartphone.

    • Un cosmonaute est tenu de lire tout le temps des modes d’emploi et des règlements. Revoyez la pause-pipi, un des moments marrants de 2001 l’odyssée de l’espace. Et pensez au tableau de bord de votre BMW ou à votre vie quotidienne contrôlée par les ordinateurs et les clones d’Hal 9000.

    Gravity (2013)
    © PHOTO / CAPTURE D’ÉCRAN: YOUTUBE Gravity (2013)

    Mais surtout, le cosmonaute annonce le troupeau mondialisé du citoyen anonyme et sans honneur.

    • Le cosmonaute est sans racines. Il n’y a pas plus de terre, il n’y a plus de nation dans l’espace. Il n’y a que des vaisseaux et que des bases US, des stations, stations qui n’ont rien de christique. Dans l’espace, personne ne vous entendra prier ! Et pensez au temps que nous devons passer dans des endroits aseptisés (aéroports, hubs, échangeurs, supermarchés, stations-services, centres commerciaux, etc.). Le film Gravity avec Bullock et Clooney le montre bien d’ailleurs.

    • Un cosmonaute plane, il est cool, il fait des voyages dans l’astral. Suspendu les quatre fers en l’air, il a perdu la notion du temps et de… l’espace. On avait comparé la vision ultime de 2001 à l’absorption de LSD. Le cosmonaute annonce l’individu blasé et déphasé, nourri aux benzodiazépines…

    Solaris (2002)
    © PHOTO / CAPTURE D’ÉCRAN: YOUTUBE Solaris (2002)

    • Il perd aussi la notion de nourriture, en suçant à petites gorgées tout un tas de cochonneries baptisées « Science Food » par la fondation Rockefeller. On voit les enfants du monde se précipiter dessus, sur ces poisons chimiques et ces venins en plastique. Pensez aussi à la corvée du repas dans 2001 et à la méditation de Bruce Dern dans le très beau Silent running (Nietzsche pronostiquait un retour à l’enfance, il a été servi).

    • En parlant de ce film, je dois rajouter qu’il est écologiste et que l’écologie est apparue avec la conquête spatiale, comme forme silencieuse et sophistiquée de notre eschatologique dictature humanitaire. Il faut défendre la « planète bleue » en contrôlant les populations et leur consommation. Qui devra-t-on sacrifier ? Un ou deux membres de l’équipage ! Voyez l’album d’Hergé : lui avait résolu le problème !

    Alien (1979)
    © PHOTO / CAPTURE D’ÉCRAN: YOUTUBE Alien (1979)

    • Le cosmonaute est évidemment unisexe. Habillé en uniforme, éternel enfant en état d’apesanteur, il perdu toute virilité, toute féminité, ne rêvant comme dans Alien ou Species que de s’accoupler avec des incubes ou des succubes (les ET sont les simples démons de notre tradition chrétienne). Sa vie sexuelle est virtuelle et pornographique, ne dépendant que des fantasmes. Et cette révolution sexuelle est en cours : voyez les émissions du câble la nuit, vous comprendrez où l’avant-garde culturelle américaine veut nous mener. Les sorcières de Shakespeare et le bon Dracula n’ont qu’à bien se tenir.

    • Condamné à une fausse vie, une existence minimale et formelle (le mètre carré est bien trop cher, comme à Paris, Séoul ou Manhattan), le cosmonaute compétent doit passer sa vie à se former, se recycler, et s’entraîner. Mais dans Wall-E, ce sont les robots qui ont ce beau rôle, comme dans Terminator et finalement dans 2001 ou I robot: à la fin de l’Histoire, l’ordinateur est le seul être libre.

    I robot (2004)
    © PHOTO / CAPTURE D’ÉCRAN: YOUTUBE I robot (2004)

    • Le cosmonaute est aussi condamné à s’ennuyer, faire des jeux vidéo, à contrôler son mental et son diabète sous le regard sévère du complexe militaro-médical et psychiatrique qui a pris le contrôle de nos identités bien menacées. Dans cette vie vidée d’essence, on le remplit de faux souvenirs comme dans une mauvaise nouvelle de Philip K. Dick (voyez Total recall, le meilleur Schwarzenegger). Vis-je, ou rêvé-je ma vie si vide ?

    • La cybernétique a pris le contrôle de nos sociétés avec la guerre, la recherche nazie, soviétique, américaine. Lisez Chris Gray (le Cyborg Handbook) ou le chercheur soviétique, moins connu bien sûr, Slava Gerovitch (New soviet man) qui explique comment le programme d’entraînement des cosmonautes était sous le contrôle des centres de recherche cybernétique.

    Pas très capable de nous envoyer dans l’espace, pas très capable de nous promettre la lune, la farce médiatique de la conquête spatiale et du cosmonaute US a permis la transformation des humains en transhumains. Presque tous les grands écrivains de SF américains, y compris le fondateur de la scientologie venaient de l’intelligence navale et militaire. Je vous laisserai vérifier.


    Livres




    Êtes-vous sûr de vouloir vous faire vacciner ?

    [Source : VK (9 ce cœur)]

    [Source image : midilibre.fr. Exemples de paralysie faciale suite à la « vaccination » anti-covid]






    L’avocat Me Etienne Boittin a plus de 20 dossiers de décès après la vaccination anti-Covid

    [Source : lemediaen442.fr]

    La question que nous nous posons à la rédaction, c’est : comment un avocat, Me Etienne Boittin, peut-il avoir plus de vingt dossiers sur les bras à lui tout seul, concernant le décès d’hommes et de femmes après la vaccination anti-Covid, sans que les journalistes de plateau n’en fassent guère mention ?

    C’est une situation surréaliste à laquelle nous assistons. Var-Matin nous apprend, en déambulant sur les réseaux-sociaux par le plus grand des hasards, que l’avocat Etienne Boittin est saisi d’une vingtaine de dossiers dans toute la France, dont quatre dans la région Sud, pour des décès qui ont suivi de quelques jours , ou quelques semaines, une vaccination anti-covid.

    « Trois hommes sont morts, de 54, 56 et 70 ans, après une vaccination anti-Covid. Un quatrième à Aix. Les familles veulent comprendre ce qui s’est passé. L’avocat a plus vingt dossiers sur les bras concernant [notamment] deux autres hommes, de 24, 39 ans, et une femme de 38 ans. »

    Que veut dire ce silence assourdissant des médias mainstream ? Les décès par le vaccin doivent absolument être cachés ? Une chose est certaine, le jeune âge des victimes devrait nous interpeller.




    Une mise au point sur les masques & lettre adressée au président du Sénat

    [Source : profession-gendarme.com]

    Le Docteur Sylvain. ….., fidèle lecteur de Profession-Gendarme nous adresse la photographie ci-dessous ainsi que copie d’une lettre adressée le 04 novembre 2020 au président du Sénat, mais restée sans réponse….

    Dr Sylvain …………… le 04/11/2020

    à l’attention de monsieur le président LARCHER

    Copie : Vincent Delahaye, Mathieu Darnaud

    Objet : le Sénat, dernier bastion contre une dérive totalitaire ????

    Cher confrère et président, c’est le désespoir des PME et des jeunes entrepreneurs qui sont au cœur de la dynamique économique et des innovations de notre pays, qui me poussent à vous adresser ce cri d’alarme.

    Vous me connaissez sans me connaitre, ayant eu le plaisir de fréquenter le cabinet de dentiste d’une certaine Madame Larcher Vaysse, à l’époque où je résidais à Igny, jeune chercheur en écologie et génétique microbienne à Jouy.

    Pour compléter ma présentation, formé sur les bancs de l’école de Marcy, après 4 années de clientèle dans le charolais, je me suis tourné vers les filières agroalimentaires après avoir effectué une thèse de doctorat en Ecologie Microbienne et Génétique Microbienne dans l’équipe de Raibaud et Ducluzeau. Mon parcours dans les multinationales de l’agroalimentaire (Perrier sous les ordres de Jacques Bombal, Carrefour et Danone) m’a placé très tôt en première ligne dans les grandes crises sanitaires de la filière en tant que gestionnaire de crise et porte-parole (Listeria, Vache Folle, Salmonelle, Grippe Aviaire, Grippe porcine, Botulisme, Sakazaki et j’en passe). J’ai eu l’honneur et la chance de participer aux travaux de différentes instances consultatives (Conseil Supérieur d’Hygiène à l’invitation de mon ami Jean Louis Jouve et de Michel Catteau de Pasteur Lille, Conseil National de l’Alimentation, Conseil National de la Consommation). J’ai pu aussi siéger dans plusieurs Fédérations Professionnelles françaises et européennes pour participer activement aux tasks forces sécurité-environnement comme simple membre au début, puis président. Mon respect pour l’intérêt collectif doublé d’une crédibilité scientifique et d’une approche bénéfice-risque m’ont permis de contribuer efficacement à l’établissement de normes sanitaires « raisonnables » permettant de protéger les intérêts de nos filières françaises (produits au lait cru) et de l’ensemble des opérateurs du babyfood, malgré les pressions de quelques opérateurs internationaux souhaitant profiter de la peur sanitaire pour imposer des normes inacceptables pour la majorité des intervenants. Fatigué des pressions et de l’exposition personnelle liées à cette position de gestionnaire de crise, j’ai quitté il y a quelques années les multinationales pour me consacrer à un projet écologique porteur de sens dans mon domaine ardéchois, soutenir des jeunes porteurs de projet tout en continuant à apporter mon soutien d’expert auprès des PME dans les domaines de la gestion de crise et de la RSE. Pardonnez-moi la longueur de cette présentation qui a pour but de justifier ma prise de recul indépendante et mon expertise face à la situation que nous vivons.

    Le traitement opportuniste évident de la crise COVID me laisse pantois autant sur les mensonges scientifiques que sur la manipulation extrême des citoyens par la peur, la privation progressive de nos droits fondamentaux et, insulte suprême aux praticiens, la violation du serment d’Hippocrate en interdisant aux médecins l’utilisation de traitements.

    Je ne suis pas dupe d’une volonté de quelques acteurs internationaux de profiter d’une crise sanitaire (certains diront provoquée, mais ça ne change rien à la situation), ayant suffisamment fréquenté les couloirs de Bruxelles et du Ministère de la Santé. J’ai été moi-même en position de jouer à ce jeu, pour asseoir des stratégies de développement dans certaines filières, mais j’en connais les limites et les dangers.

    A titre d’illustration, je ne citerai que quelques exemples majeurs de dysfonctionnement en terme de gestion de crise sanitaire

    • Confinement : la pratique courante de la prévention et de la gestion des épidémies animales (beaucoup plus nombreuses vous le savez que les épidémies humaines) nous apprend « qu’il ne faut pas laisser rentrer le loup dans la bergerie » (souvenir de nos cours de MRLC). Quelque soit la taille de la bergerie, confiner revient à faire tourner en boucle la contamination virale et favoriser son développement, particulièrement quand la contamination est présente en France depuis le mois de novembre (des amis japonais en voyage en France au mois de janvier étaient sidérés de la désinformation des français sur le début de l’épidémie chinoise, dont ils situaient le démarrage en août) ce qui situe probablement le pic de propagation en France fin février début mars.
    • Distanciation sociale : quelle plaisanterie quand certains cours nous apprenaient que la distance de diffusion des maladies virales animales se comptait en centaines de mètres !
    • Le port du masque grand public : je conviens que cette mesure moyenâgeuse soit la seule mesure socialement acceptable (inconscient collectif) qui permette de maintenir la peur et la soumission. N’importe quel hygiéniste honnête ayant pratiqué l’analyse microbiologique en routine montrera l’inefficacité et les dangers d’un port de masque chirurgical prolongé. Je compte par centaines de milliers les analyses microbiologiques que j’ai fait réaliser au cours de ma carrière dans différents environnements pour valider les mesures de prévention et de contrôle des contaminations. Assurément, le port du masque chirurgical ne fait pas partie de ces mesures, s’agissant de contamination virale, ni même pour la plupart des contaminations bactériennes aéroportées dans des environnements de vie conventionnels. J’ai même été amené à faire supprimer le port du masque dans certains ateliers sensibles compte tenu de l’incidence néfaste sur la santé des opérateurs et le risque de contamination de l’ambiance de travail… Pour avoir interrogé récemment quelques médecins, les conséquences du port du masque permanent sur la santé physique et psychologique représentent jusqu’à 20% des consultations.. Sans parler des troubles cognitifs chez les enfants qui en subiront plus tard les conséquences
    • Tests PCR : il m’a été donné de participer aux balbutiements de la technologie PCR (INRA) puis à son développement pour permettre d’identifier des contaminations dans les filière agroalimentaires et tracer leur origine. Utiliser un test PCR pour pratiquer un dépistage de masse est considéré comme une faute professionnelle par les analystes sérieux. Sa seule utilité est de confirmer rapidement un diagnostic et d’établir éventuellement un lien avec des sources de contamination……dans la limite de la spécificité du test. J’ai eu l’occasion d’interdire l’utilisation de test PCR dans des campagnes de surveillance de contaminations en usine et dans les aliments…

    Il apparait évident que le nombre de « cas » communiqués par les voies officielles n’a rien à voir avec le nombre de malades potentiellement infectants, et traduit tout au plus la présence de traces d’un coronavirus (lequel ????) au fond des fosses nasales là où il est plus que probable d’en trouver. Les données d’écologie microbienne nous apprennent qu’un mètre cube d’air inspiré (20 minutes de respiration au repos) contient entre 1,7 et 40 millions de virus en suspension et que nous hébergeons en permanence entre 20 et 90 espèces de virus différentes….Une autre raison scientifique de sourire face aux mesures de port de masque et de distanciation

    • Communication : mensonge sur les chiffres

    La consultation du processus de transmission des informations au ministère de la santé, l’analyse des courbes épidémiques des différentes années, les témoignages de plus en plus nombreux des soignants obligés d’inscrire COVID sur le bulletin des patients, indépendamment de la cause de la maladie ….ou du décès, doit nous alerter sur les pratiques de notre gouvernement pour manipuler l’opinion. J’ai toujours pratiqué la transparence des chiffres dans les différentes crises dont je fus le gestionnaire et le porte parole. Il y a manifestement un besoin de clarification officielle entre le nombre de décès « dus au COVID », le nombre de décès « avec présence avérée d’ARN de COVID » et le nombre de décès « déclarés COVID ». Il me semble même qu’une enquête judiciaire soit nécessaire s’il n’est pas trop tard pour se prémunir contre les fausses déclarations que ce soit au niveau de l’état ou de la presse.

    • La gestion des crises par la peur a toujours provoqué des catastrophes économiques. Sans parler des dégâts psychologiques auxquels je suis confronté régulièrement dans une activité de soutien que je mène en parallèle en équicoaching avec des praticiens.

    Je vois que le Sénat commence à réagir et j’espère ardemment que cette institution proche au quotidien de nos concitoyens puisse survivre et faire entendre sa voix dans la tourmente, par quelque moyen que ce soit, mue par le souci et le devoir de préserver les droits constitutionnels et la survie des citoyens… Je vous fais parvenir ce courrier soit par un ami d’enfance, Vincent Delahaye, soit par notre sénateur Mathieu Darnaud que je mets en copie

    Restant à votre disposition pour toute contribution ou autre témoignage nécessaire au maintien de notre économie et de la démocratie, veuillez agréer l’expression de mes salutations très confraternelles

    Dr Sylvain




    Le monde de Xi Jinping | ARTE

    [Source : ARTE]

    Derrière son apparente bonhomie se cache un chef redoutable, prêt à tout pour faire de la Chine la première puissance mondiale, d’ici au centenaire de la République populaire, en 2049. Ce portrait très documenté du leader chinois donne un aperçu inédit de sa politique et montre comment l’itinéraire de Xi Jinping a façonné ses choix.

    En mars 2018, à l’issue de vastes purges, Xi Jinping modifie la Constitution et s’intronise « président à vie ». Une concentration des pouvoirs sans précédent depuis la fin de l’ère maoïste. Né en 1953, ce fils d’un proche de Mao Zedong révoqué pour « complot antiparti » choisit à l’adolescence, en pleine tourmente de la révolution culturelle, un exil volontaire à la campagne, comme pour racheter la déchéance paternelle. Revendiquant une fidélité aveugle au Parti, il gravira en apparatchik « plus rouge que rouge » tous les degrés du pouvoir. Depuis son accession au secrétariat général du Parti en 2012, puis à la présidence l’année suivante, les autocritiques d’opposants ont réapparu, par le biais de confessions télévisées. Et on met à l’essai un système de surveillance généralisée censé faire le tri entre les bons et les mauvais citoyens. Inflexible sur le plan intérieur, Xi Jinping s’est donné comme objectif de supplanter l’Occident à la tête d’un nouvel ordre mondial. Son projet des « routes de la soie » a ainsi considérablement étendu le réseau des infrastructures chinoises à l’échelle planétaire. Cet expansionnisme stratégique, jusque-là développé en silence, inquiète de plus en plus l’Europe et les États-Unis. Son pouvoir et ses ambitions sont d’autant plus renforcés qu’il apparaît comme le grand gagnant de la crise du coronavirus. Entre contre-feux et dissimulation, il poursuit à vitesse grand V son agenda politique et diplomatique afin d’intégrer les minorités au géant chinois, quitte à recourir à la violence. Génocide des Ouïghours, Hongkong, Taïwan : par sa politique, Xi Jinping revendique, plus que jamais, la force de l’hégémonie du régime chinois aussi bien dans les domaines économique et militaire que diplomatique. Avec un seul but : faire de la Chine la première puissance mondiale.

    Impériale revanche. Dans ce portrait très documenté du leader chinois, Sophie Lepault et Romain Franklin donnent un aperçu inédit de sa politique et montrent comment l’itinéraire de Xi Jinping a façonné ses choix. De Pékin à Djibouti — l’ancienne colonie française est depuis 2017 la première base militaire chinoise à l’étranger — en passant par la mer de Chine méridionale et l’Australie, les réalisateurs passent au crible les projets et les stratégies d’influence du nouvel homme fort de la planète. Nourrie d’images d’archives et de témoignages (de nombreux experts et de dissidents, mais aussi d’un haut gradé proche du pouvoir), leur enquête montre comment Xi Jinping a donné à la reconquête nationaliste de la grandeur impériale chinoise, projet nourri dès l’origine par la République populaire, une spectaculaire ampleur. Elle jette aussi une lumière éloquente sur le système de fichage numérique de la population mis en place sous l’égide du « président à vie », qui a montré, avec la crise du coronavirus, sa redoutable efficacité.

    Documentaire de Sophie Lepault (France, 2021, 1 h 30 min)

    Disponible jusqu’au 12/08/2021

    https://youtu.be/Jm-RKyY6UY0



    Le camp Républicain passe de la défensive à l’offensive à propos du scandale du COVID

    [Source : Les 7 du quebec]






    Dr Geert Vanden Bossche : « La vaccination va rendre le virus si infectieux que nous ne pourrons plus le contrôler »

    [Source : Guy Fawkes News (fawkes-news.com)]

    .
    [Ndlr : dans le cadre de la version courante ou qui semble la plus consensuelle de la théorie virale, un virus est cependant d’autant moins virulent et mortel qu’il est plus infectieux.
    En d’autres termes et schématiquement :
    Infectieux = Se propage facilement = Peu dangereux.]

    « Chaque personne qui se vaccine est en train de détruire son système immunitaire inné ».

    Dr Geert Vanden Bossche






    François Asselineau : Pass sanitaire, Obligation vaccinale – l’irresponsabilité du gouvernement

    [Source : Upr via Sott.net]

    [Voir aussi : La CNIL valide la transmission de la liste des non-vaccinés aux médecins traitants – Nexus]




    Santé. Métaux lourds : tous les Français contaminés, enfants y compris

    [Source : breizh-info.com]

    Selon Santé publique France, l’ensemble de la population serait concerné par la présence de métaux lourds dans l’organisme. Des métaux qui ont des effets néfastes sur la santé et qui n’épargnent pas les enfants.

    Métaux lourds : les Français les plus exposés en Europe

    La santé des Français est-elle menacée par les métaux lourds ? Une nouvelle étude ESTEBAN (Étude de santé sur l’environnement, la biosurveillance, l’activité physique et la nutrition) menée par Santé publique France a consisté à analyser la présence de 27 métaux lourds dans l’organisme de Français adultes mais aussi chez les enfants à travers un échantillon représentatif de la population générale, composé de 1 104 enfants et de 2 503 adultes âgées de 6 à 74 ans. Ce qui constitue une première.

    Les résultats de ces travaux, publiés le 1er juillet dernier, se résument par le fait que, selon le document en question, « cette nouvelle photographie des imprégnations souligne que l’ensemble de la population est concerné » avec « plus de 97 % à 100 % de détection » chez les participants adultes et enfants. Des valeurs de référence d’exposition ont été établies pour le plomb, l’arsenic, le cadmium, le chrome, le cuivre, le nickel, le mercure urinaire et le mercure dans les cheveux.

    Par ailleurs, il s’avère que les niveaux mesurés tant chez les adultes que chez les enfants français se sont avérés être « plus élevés que ceux retrouvés dans la plupart des pays étrangers » en Europe et en Amérique du Nord. À l’exception du nickel et du cuivre.

    Par rapport à l’étude ENNS (Etude Nationale Nutrition Santé) réalisée en 2006-2007, les niveaux mesurés chez les adultes étaient similaires en mercure dans les cheveux et nickel urinaire tandis qu’ils étaient plus élevés en arsenic, cadmium et chrome. Seuls les niveaux mesurés pour le plomb avaient diminué.

    Des effets néfastes sur la santé ?

    De plus, il est à noter que des dépassements de valeurs‑guide sanitaires ont été observés au sein de la population d’après l’étude Esteban pour l’arsenic, le mercure, le plomb et plus particulièrement le cadmium avec un peu moins de la moitié de la population adulte française qui présentait une cadmiurie supérieure à la valeur recommandée par l’Anses.

    Pour ce qui est des autres métaux, le document de Santé publique France préconise également de mettre en place des valeurs‑guide sanitaires puisque les métaux présentent des effets néfastes sur la santé tels que la cancérogénicité, des effets osseux, rénaux, cardiovasculaires, neurotoxiques… Une nécessité confortée par l’augmentation des niveaux d’imprégnation par l’arsenic, le cadmium et le chrome entre ENNS et ESTEBAN.

    Aussi, les auteurs souhaitent la poursuite des mesures visant à diminuer les expositions de la population générale à ces substances, en agissant en particulier sur les sources d’exposition. Ils soulignent aussi que « ces résultats montrent la nécessité de poursuivre le programme national de la biosurveillance et de réa‑iser des études en population à intervalle régulier afin de continuer à suivre l’évolution des expositions de la population française aux métaux ».

    Ces facteurs facilitant la concentration de métaux lourds

    Quant à la provenance de ces métaux lourds, naturellement présents dans l’environnement, l’étude précise que l’alimentation reste l’une des principales sources d’exposition pour l’organisme. Plus particulièrement, la consommation poisson de produits de la mer contribuerait à augmenter les concentrations en arsenic, chrome, cadmium et mercure.

    Ainsi, Santé publique France recommande notamment de diversifier les sources d’aliments et de consommer « deux fois par semaine du poisson dont un poisson gras en variant les espèces et les lieux de pêche ».

    D’autre part, la consommation de céréales serait pour sa part à l’origine d’une augmentation de la concentration en cadmium. Le tabac ferait croître quant à lui les concentrations en cadmium et en cuivre. Un phénomène constaté également lors du tabagisme passif. Le rapport indique ainsi que, « chez les adultes, le tabac entraînerait une augmentation de plus de 50 % d’imprégnation chez les fumeurs ».

    Enfin, les implants médicaux auraient aussi un impact sur la présence de chrome tandis que la concentration en mercure urinaire serait augmentée par les plombages chez certaines personnes.

    Crédit photo : Pixabay (Pixabay License/gburrull) (photo d’illustration)
    [cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




    France : Le Dr Amine Umlil demande la démission du ministre de la Santé

    [Source : francesoir.fr]

    Par le Dr Amine Umlil pour FranceSoir

    Vaccins contre la Covid-19 : je demande, j’exige la démission immédiate du Ministre la Santé Véran

    TRIBUNE : Dans une lettre adressée à Monsieur le Président de la République, Emmanuel MACRON, le Dr Umlil n’ayant pas eu de réponse à sa demande de débat avec le ministre de la Santé Olivier Véran demande et exige la démission de ce denier suite aux diverses communications erronées de ce dernier.  Rappelons que même les décodeurs du Monde ont pris le ministre Véran en flagrant délit de mensonges au sujet de la phase de test des vaccins : Mr Véran ayant annoncé que les thérapies géniques utilisées actuellement n’étaient plus en phase 3 (phase de test) alors que ces derniers les sont pour la plupart jusqu’en 2022 [au moins].

    Une tribune du Collectif Citoyen avait identifié les nombreuses erreurs de Mr Véran pendant la gestion de la crise, le Dr Umlil dans une tribune complète va plus loin par respect de son serment professionnel. Cette lettre est reproduite intégralement ci-dessous :

    « LETTRE OUVERTE. Vaccins contre la Covid-19. Monsieur le Président de la République : je demande, j’exige la démission immédiate du Ministre des solidarités et de la santé, Monsieur Olivier VÉRAN »

    Copie de la lettre est adressée au Premier ministre, Jean CASTEX, Ministre des solidarités et de la santé, Olivier VÉRAN, à l’Assemblée nationale, au Sénat, à la la haute autorité de santé (HAS) et à l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).  

    « Patere legem quam fecisti » (respecte la règle que tu as faite).

    « Vaccination. COVID19. Si vous avez des courbatures après le vaccin, pas d’inquiétude… c’est que vous avez trop pédalé ! Prenez rdv dès maintenant (…) » (Olivier Véran, 9 juillet 2021, 21h08, sur le réseau social Tweeter).

    À nouveau, Monsieur Olivier VÉRAN, Ministre des solidarités et de la santé, vient donc de récidiver. Sa communication sur le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19, à destination du public, heurte plusieurs dispositions de la loi (au sens large) ; dont le Code de la santé publique. Il est, pour le moins, insupportable de voir un Ministre de la santé continuer de tenir des affirmations inexactes auprès d’un public vulnérable.

    C’est donc avec urgence et gravité que j’ai l’honneur de saisir votre bienveillance en vous adressant la présente lettre ouverte en ma qualité de pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier et juriste (droit de la santé) ; responsable de la pharmacovigilance, de la coordination des vigilances sanitaires et du CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) au centre hospitalier de Cholet dans lequel j’exerce depuis 2002.

    Et avant tout, cette nouvelle alerte vous est également transmise en ma qualité de citoyen français.

    Depuis plusieurs mois, le CTIAP vous a proposé ses analyses, documentées et vérifiables sur pièces, concernant notamment les vaccins contre la Covid-19. Ces preuves émanent des écritures des autorités ad hoc elles-mêmes telles que l’agence européenne du médicament (EMA), l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), la haute autorité de santé (HAS), le ministère des solidarités et de la santé, le Conseil d’État, etc. Ces preuves sont disponibles sur le présent site internet.

    Récemment, dans une revue juridique, un professeur de droit public à l’Université de Perpignan est venu, lui aussi, confirmer le bien-fondé de ces analyses proposées au public.

    Mais, depuis l’attribution des autorisations de mise sur le marché (AMM) « conditionnelles », temporaires et dont la durée n’excède pas un an, aux quatre vaccins commercialisés en France, Monsieur le ministre des solidarités et de la santé a, publiquement et à plusieurs reprises, tenu des affirmations, pour le moins, inexactes.

    Par exemple, récemment et selon des médias, Monsieur le ministre des solidarités et de la santé aurait affirmé ceci : « Parmi les fake news qu’on entend, il y aurait celle qui consiste à dire que le vaccin sera encore en cours d’expérimentation. C’est absolument faux, la phase 3 est terminée depuis des mois. Elle est validée. Trois milliards d’injection ont été validées sur la planète Terre. Les choses se déroulent au mieux. Vous pouvez y aller, il n’y aucune inquiétude à avoir ».

    Avec certitude, le Ministre des solidarités et de la santé aurait donc affirmé que ledit vaccin n’est plus « en cours d’expérimentation » puisque, selon lui, la « phase 3 » des essais cliniques (menés chez l’Homme) « est terminée depuis des mois ». Selon lui, cette phase 3 expérimentale « est validée ».

    Il aurait ajouté qu’« il n’y a aucune inquiétude à avoir » et inviterait les gens à « y aller ». Autrement dit, ce vaccin ne présente, selon le Ministre des solidarités et de la santé, aucun risque d’effets indésirables, notamment graves.

    Or, en réalité, même le journal Le Monde constate ceci : « Il est vrai que les essais de phase 3 sont toujours en cours… En affirmant de manière catégorique que la phase 3 des essais des vaccins déployés en France est « terminée », Olivier Véran se méprend. Contacté par Le Monde, le laboratoire Pfizer assure bien que son « essai de phase 3 se poursuit ».

    Le fabricant, lui-même, met donc en évidence les affirmations inexactes que le Ministre des solidarités et de la santé aurait tenues.

    Ledit Professeur de droit public, lui aussi, relève que « la formule « essai clinique » utilisée par l’Agence européenne est sans équivoque ». Il soutient : « Le fait qu’il s’agisse d’une vaccination en phase expérimentale ne saurait donc faire de doute ». Il affirme qu’il s’agit d’« une expérimentation vaccinale à grande échelle inédite dans l’histoire de la médecine ».

    Mais, Monsieur le ministre des solidarités et de la santé aurait récidivé en tenant de nouvelles affirmations inexactes et en usant d’un vocabulaire qui interroge. En s’adressant à des jeunes dont il aurait tenté d’extirper le consentement, il semble persister dans cette voie :

    « Il ne faut pas avoir peur de ça, je vous assure. Lisez les revues scientifiques, les choses comme ça. N’allez pas sur les blogs ou les trucs des rageux qui vous racontent n’importe quoi. Moi j’entends tout le temps le vaccin : il est encore en développement, il n’a pas fini sa phase expérimentale. Pardon, c’est des… c’est vraiment n’importe quoi. On n’a jamais eu quasiment autant de recul pour un vaccin que celui-ci vu le nombre de vaccinations qu’on a faites. »

    Inacceptable. Condamnable. Fautif. Voire répréhensible.

    Ces nombreuses « vaccinations faites » pourraient s’avérer être la conséquence d’un consentement vicié des personnes.

    Si ces affirmations relatées par ces médias sont exactes, alors l’attitude du Ministre des solidarités et de la santé ne peut que heurter plusieurs dispositions de la loi (au sens large) qui encadrent notamment la communication sur le rapport bénéfice/risque d’un médicament tel que le vaccin.

    Or, toute personne a le droit à une information claire, loyale et appropriée. Cette information conditionne la validité du consentement libre et éclairé. Ce consentement est une liberté fondamentale. Heurter l’autonomie de la personne revient à porter atteinte à la dignité de la personne humaine.

    Ne pas pouvoir accéder à cette information indépendante est la première des pauvretés, des inégalités et des vulnérabilités.

    Les maladies inscrites sur la liste des maladies à déclaration obligatoire, elles, ne sont soumises à aucun « passe sanitaire ».

    Mais, ce « passe sanitaire » est imposé à la Covid-19 ; alors que cette maladie, elle, n’est pas inscrite sur ladite liste des maladies à déclaration obligatoire.

    Le droit a conduit à la suspension de l’obligation de la vaccination (contre la grippe) ; alors que ce vaccin bénéficie, lui, d’une AMM standard.

    Mais, Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé menace de rendre la vaccination (contre la Covid-19) obligatoire pour notamment les « soignants » ; alors que ces vaccins, eux, ne bénéficient que d’une AMM « conditionnelle », temporaire (dont la durée n’excède pas un an) ; et dont le rapport bénéfice/risque est peu connu.

    De nombreuses personnes, dont des « soignants », ont fait le choix de ne pas se vacciner contre la Covid-19. Publiquement, elles sont devenues, sous vos yeux, la cible de comportements inqualifiables, potentiellement fautifs et répréhensibles.

    Ces personnes ont choisi la prudence eu égard aux incertitudes et des questions en suspens. Ces personnes ont peur de voir venir notamment des hospitalisations, des séquelles, des malformations congénitales. Elles semblent percevoir la mort au bout de la seringue remplie de ce vaccin (contre la Covid-19). C’est si difficile à comprendre ?

    Le ressenti d’un patient, de toute personne, compte. La prise de décision dépend du rapport aux risques de cette personne. Cette décision est le fruit d’une expérience de vie ; peut-être d’un parcours accidenté.

    Nous savons qu’il est difficile d’établir la certitude du lien de causalité entre les effets indésirables et tel ou tel médicament présumé à l’origine de ces dommages corporels. Mais, ne pas pouvoir établir cette preuve de façon certaine ne signifie pas, nécessairement et systématiquement, que ce lien de causalité n’existe pas. Le juge civil a d’ailleurs assoupli sa position sur ce point depuis plusieurs années.

    Les décideurs ne devraient pas profiter de cette incertitude qui jaillit du régime probatoire pour « inciter »« encourager »« contraindre » les personnes à se vacciner ; pour extirper leur consentement par notamment le dol ou la violence.

    En général, qu’il s’agisse du bénéfice ou du risque, le doute semble toujours profiter aux produits pharmaceutiques et à leurs fabricants. Et après, certains semblent étonnés lorsque, quelques années plus tard, des drames sont constatés.

    Mais là, nous sommes face à une situation inédite dans l’histoire de la médecine, celle d’une expérimentation vaccinale à grande échelle. Il serait vain et illusoire de vouloir occulter une telle évidence.

    Dans le cadre de la gestion de cette Covid-19, ce n’est pas la première fois que Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé tient des affirmations inexactes. Il y a lieu de rappeler, en effet et par exemple, une décision qu’il aurait prise en se fondant sur un article publié dans une revue ; article qui a été ensuite retiré suite aux critiques formulées par des personnes qualifiées et indépendantes.

    Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé est également Docteur en médecine. À ce titre, il a aussi des devoirs à respecter ; comme tout médecin ou autre professionnel de santé.

    L’attitude de Monsieur le ministre des solidarités et de la santé est, pour le moins, incompréhensible. Le CTIAP lui a soumis de nombreux éléments utiles qui auraient pu l’aider dans ses décisions. Je lui ai adressé des alertes. Je lui ai proposé un face-à-face télévisé, en direct, afin d’offrir à nos concitoyens un débat public, contradictoire, utile et de qualité. En vain.

    À ce jour, je n’ai reçu aucune réponse à mes propositions.

    Comme le disent souvent les juges, la contradiction des motifs équivaut à leur absence. Et l’appréciation des faits relève toujours de la décision souveraine des juges.

    Les multiples contradictions de Monsieur le ministre des solidarités et de la santé, ses nombreuses affirmations inexactes seraient-elles la matérialisation d’une incompétence, ou l’expression d’une mauvaise foi, ou le reflet d’un sentiment d’impunité notamment ? Ou tout à la fois ? Ce comportement, constaté par tout le monde, ne semble pas respectueux des prérogatives de sa charge et de son honorable fonction. Ce hiatus ne peut que porter atteinte à la crédibilité des institutions et à la politique de santé publique. Ces distorsions ne peuvent aboutir qu’au délabrement de la confiance accordée au système de soins ; elles ne peuvent conduire qu’à l’exacerbation de la défiance envers les (autres) vaccins qui, eux, ont apporté la preuve d’un rapport bénéfice/risque favorable.

    La communication de Monsieur le ministre des solidarités et de la santé semble devenir dangereuse. Face à cette situation, et à leurs tours, nombreux professionnels de santé – lesdits « soignants » – menacent de démissionner. Et je tiens à vous rassurer, je n’en fais pas partie ; tout comme je souhaite rappeler que mes réflexions ne présument pas de ma décision personnelle de se vacciner ou non.

    Les établissements de santé ont davantage besoin de « soignants » que d’un Ministre

    Par ces motifs non exhaustifs, que je pourrais parfaire, et sous toutes réserves, je ne peux donc que me résoudre à suggérer à Monsieur le ministre des solidarités et de la santé de tirer toutes les conséquences utiles de ce constat ; en envisageant, notamment et a minima, de présenter sa démission du gouvernement ; dans les plus brefs délais eu égard à l’urgence et à la gravité de la situation.

    Je demande sa démission immédiate. Je l’exige.

    De même, je suggère à notamment tous les détenteurs de l’autorité et tous les soi-disant « représentants » des soignants, qui ont soutenu Monsieur le ministre des solidarités et de la santé sur ce point, de suivre la même voie.

    Le 8 juillet 2021, à travers un retour d’expériences (des exemples du terrain), le CTIAP vous a également alerté sur le risque de « violence sur les soignants » et de « violation du secret professionnel médical ». Cet article a été relayé par le journal FranceSoir. Dès le lendemain, et publiquement, j’ai fait l’objet d’« attaques » et de « menaces », écrites, de la part de quatre personnes exerçant au centre hospitalier de Cholet. À mon égard, l’un de ces agresseurs recommande même ceci à l’ensemble des médecins et au directeur de l’hôpital : « Si quelqu’un a un traitement de choc, c’est le moment ou jamais ». Cet agresseur serait l’une des personnes impliquées dans le « traitement de choc » qui aurait été réservé à la présidente de la commission médicale d’établissement (CME) de l’hôpital. Cette présidente aurait porté plainte pour « faux, usage de faux et séquestration ». Cette « affaire » a été révélée, en décembre 2020, par le journal le Courrier de l’Ouest. Cette « affaire » était l’un des arguments, utilisés par le maire de Cholet, pour annoncer son retrait du conseil de surveillance du centre hospitalier (CH).

    Simultanément, parallèlement et publiquement, ce 9 juillet 2021, je reçois aussi ce nouvel appel à l’aide émanant d’une femme qui serait une aide-soignante :

    « Dr, le couperet arrive pour les soignants help ! »

    Par ailleurs, je suis informé de ceci : 

    « le syndicat (…) du CH de Cholet a déposé un recours à la CNIL [commission nationale de l’informatique et des libertés] concernant la vaccination du personnel. En effet, pourquoi est-ce un directeur administratif qui est en possession de toutes les identités des vaccinés COVID de l’hôpital ? ».

    La protection du secret professionnel médical semble s’effriter. D’un signalement et/ou d’une notification d’une maladie, un nouveau régime d’exception semble s’orienter vers une surveillance des personnes (cf. l’article du CTIAP en date du 6 mai 2021).

    Il est, pour le moins, insupportable de continuer de voir nos vies, nos droits et libertés fondamentaux, piétinés à ce point. Et en toute impunité.

    Dans un pays civilisé, les rapports entre les individus sont régulés par le Droit. Or, et selon le même Professeur de droit public : 

    « Que le Premier ministre puisse envisager une obligation vaccinale étendue à partir de techniques médicales aussi incertaines traduit un effondrement des principes éthiques et politiques qui fondent notre système juridique depuis 1789 ».

    La paix sociale serait menacée. Les valeurs, inscrites sur les frontons des institutions de la République, seraient en danger.

    En pareilles circonstances, une hypothétique loi consacrant une « obligation » vaccinale pourrait se révéler être de nature fautive, délictuelle, voire criminelle.

    C’est au pouvoir de continuer d’arrêter le pouvoir.

    Enfin, concernant la sortie de cette situation inéditedes idées sont disponibles et des solutions sont possibles. Elles sont, naturellement, à la disposition des gouvernants qui le souhaitent.

    Et pour ma part et à titre subsidiaire, je vous rappelle que je ne suis pas prêt de revenir dans un bureau de vote ; jusqu’à nouvel ordre. Les pratiques politiques me contraignent à m’éloigner le plus loin possible de ce monde, pour le moins, obscure.

    De même, une question fondamentale mérite d’être soulevée : quelle serait la nature de la relation des Hommes (femmes et hommes) au pouvoir ? Pourquoi des Hommes oublient leurs valeurs une fois investis de ce pouvoir ? Que reste-t-il à un Homme une fois son honneur perdu : une fois sa parole et son engagement trahi ?

    Au peuple français, et solennellement, vous avez donné votre parole. Vous avez pris l’engagement de ne jamais rendre cette vaccinale (contre la Covid-19) obligatoire.

    « Patere legem quam fecisti » (respecte la règle que tu as faite).

    En vous remerciant de l’intérêt que vous pourriez porter à ces quelques lignes, en restant à votre disposition pour toute information complémentaire ou pièce utile, et sous réserve de pouvoir parfaire mes écritures,

    Je vous prie de bien vouloir recevoir, Monsieur le Président de la République, Monsieur Emmanuel MACRON, l’expression de mon profond respect.

    Docteur Amine UMLIL, Citoyen français, Pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier, Juriste (droit de la santé), Extrait du Curriculum vitae (C.V.)

    Auteur(s): Dr Amine Umlil pour FranceSoir




    Étude sur la vaccination des enfants : les effets secondaires graves sont dissimulés

    [Source : Medien-Klagemauer.TV]

    08.07.2021 | www.kla.tv/19196

    Pas moins de 93 médecins israéliens ont signé une lettre demandant que les vaccins Covid ne soient pas administrés aux enfants. Les médecins soulignent que l’opinion scientifique dominante est que le vaccin ne peut pas conduire à une immunité collective. Selon eux, on ne sait toujours pas si le vaccin empêchera la propagation du virus et pendant combien de temps il assurera une protection. Des nouveaux variants du virus pourraient être résistants au vaccin, et nous ne connaissons pas encore les effets sur la croissance, le système reproductif ou la fertilité.

    « Nous ne devrions pas mettre les enfants en danger par une vaccination de masse contre une maladie qui n’est pas dangereuse pour eux », écrivent les 93 médecins. Selon eux, les enfants devraient pouvoir retrouver rapidement une vie normale et les tests et l’isolement fréquents devraient cesser. Les médecins déclarent qu’il ne faut pas se précipiter pour les vacciner tant qu’on n’a pas toutes les assurances/, car le Covid ne présente aucun danger pour les enfants.

    Malgré les avertissements de différents experts du monde entier, les politiciens et les médias en Allemagne font une grosse publicité pour que les enfants soient vaccinés aussi vite que possible, bien que les chiffres officiels de l’étude actuelle sur la vaccination des enfants de 12 à 17 ans parlent un langage clair. La fiche actuelle de données des sociétés pharmaceutiques Pfizer et BioNTech montre qu’environ 80 % des 1 097 enfants qui ont participé au test vaccinal se sont plaints d’effets secondaires. Chez 393 participants, soit plus d’un tiers, ces effets secondaires étaient « moyennement graves ». Et chez sept enfants, les groupes pharmaceutiques eux-mêmes ont qualifié les effets secondaires de graves. Cela représente environ 0,6 %. Dans le document, Pfizer et BioNTech ont donné le terme « grave » à des réactions qui provoquent « une incapacité prolongée ou substantielle » ou « entraînent la mort ».

    Or, compte tenu de ces résultats, si on vaccinait effectivement un million d’enfants, au moins 6 000 d’entre eux subiraient un dommage grave. Et très probablement, certains de ces enfants mourraient. Selon les informations publiées par l’Institut Paul Ehrlich, il y a jusqu’à présent dans le cadre de la campagne de vaccination, un décès pour 56 400 personnes vaccinées. Cela signifie que, même selon les chiffres officiels, les enfants et les jeunes gens ont trois fois plus de risques de mourir de la vaccination que de la maladie. Face à ces faits révélateurs, les médias et les politiciens non critiques qui font la promotion du vaccin Covid depuis des mois, semblent ignorer toute éthique et toute responsabilité. Acceptent-ils sciemment de faire du mal à de nombreux enfants en bonne santé ? Et est-ce possible qu’un cartel politico-pharmaceutique soit littéralement prêt à marcher sur des cadavres ?

    Tant que ces crimes ne cesseront pas, il est de la responsabilité de chaque individu de devenir lui-même actif, d’éclairer et de dénoncer cette prétendue attention portée à nos enfants pour ce qu’elle est : un crime !



    de ah./rw.

    Sources / Liens :

    Brief israelische Ärzte:
    https://uncutnews.ch/93-israelische-aerzte-appellieren-eindringlich-geben-sie-kindern-keinen-corona-impfstoff/
    Lettre de médecins israèliens :
    https://de.rt.com/meinung/118163-ignorant-und-gefahrlich-politiker-trommeln/
    https://de.rt.com/meinung/118201-ein-haesslicher-herbst-kinderimpfung-und-die-moeglichen-folgen/