Dans la série « une image vaut mille mots »




Ariane Bilheran : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire »

[Source : limpertinentmedia.com]

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Ariane Bilheran est normalienne, psychologue clinicienne, docteure en psychopathologie et auteure de plus de vingt-cinq ouvrages. Ses domaines d’expertise sont le harcèlement, la paranoïa, les déviances du pouvoir et la reprise de son pouvoir personnel. Depuis le début de la crise Covid, elle fait partie de ceux qui ont tôt fait de déceler les incohérences et les abus des politiques mises en place. Depuis la Colombie, où elle réside, cette observatrice du psychisme humain a accepté de nous livrer son regard sur la situation actuelle.

Amèle Debey, pour L’Impertinent : En tant que docteure en psychopathologie, qu’est-ce qui vous frappe le plus dans la situation que nous vivons depuis 18 mois?

Ariane Bilheran : La violence des décideurs sur les populations, le harcèlement exercé sur les populations, à tous les niveaux. Idéologie, manipulation de masse, violence économique, violence sur les corps, censure, atteintes à la liberté d’expression.

Un de vos domaines d’expertise est les déviances du pouvoir. Ce qui se passe en ce moment à de quoi nourrir votre réflexion?

Oui. Dès avril 2020, j’ai écrit un article appelé Totalitarisme sanitaire: «c’est pour ton bien»… Le mal radical. C’était encore un gros mot, on n’avait pas le droit d’en parler. Mais depuis, cela a fait son chemin. Après, j’ai éprouvé le besoin d’écrire un autre article en août que j’ai appelé Le moment paranoïaque, où j’ai trouvé l’expression de «déferlement totalitaire» qui, depuis, a bien circulé. Et puis, en décembre, je me suis exprimée sur Radio Canada à propos du totalitarisme actuel dont on voit la manifestation.

Grâce à mon expertise, j’en ai repéré les symptômes très tôt: dans le caractère idéologique, c’est-à-dire le fait de présenter comme une vérité une fiction mensongère tout en demandant l’adhésion de la population à cette fiction. Le passage à l’acte: les obligations de confinement, la suppression des droits les plus élémentaires; les paradoxes permanents.

«La souffrance engendrée sur les populations m’a frappée très tôt»

En Amérique du Sud par exemple, empêcher les gens d’aller travailler ne peut pas être dans l’intérêt de leur santé, parce que lorsqu’on n’a pas de source de revenus fruits de notre travail pendant plusieurs mois, et qu’on n’a pas d’aide, ce n’est à priori pas ce qui va nous mettre en bonne santé!

La souffrance engendrée sur les populations m’a frappée très tôt. De la même façon, il y a une notion qu’on appelle le clivage, en psychologie, qui consiste à diviser un collectif en deux populations irréductibles qui ne peuvent plus s’entendre entre elles. Car l’une étant sous perfusion idéologique. Elles ne peuvent plus communiquer.

J’ai travaillé pendant longtemps dans des organisations du travail. Quand elles devenaient pathogènes, créatrices de troubles psychosociaux au travail, j’en repérerais les mécanismes à différentes échelles. Que ce soient les manipulations émotionnelles, les contradictions, les mensonges, les paradoxes sur les discours, le fait de réduire la complexité du réel à un seul paradigme, à un seul paramètre, tout cela m’a paru quand même assez fou.

On voit que ce sont les pays les plus riches qui ont réagi de la façon la plus disproportionnée. N’étions-nous pas installés dans une sorte de confort?

Je ne sais pas si la première phrase est juste. Parce que la Colombie n’est pas un pays riche et nous avons eu six mois de confinement extrêmement sévère. Il y a eu beaucoup de pays pauvres où cela s’est également joué comme ça.

Par contre, dans les pays occidentaux, il y a eu beaucoup d’aides distribuées aux gens. Ils ont donc davantage eu l’impression que c’était pour leur bien cette affaire, puisqu’on les prenait en charge. Il y a donc eu moins de dissonances au départ sur ce point. La différence est sans doute là.

Certains pensent tout de même que ces mesures étaient tout à fait justifiées.

J’ai une seule question pour eux: on sait qu’en 2020, ne serait-ce que pour l’Amérique du Sud, les décisions politiques ont plongé dans la misère plus de 20 millions de gens. Près de 30 millions en 2021. Est-ce qu’on peut prendre soin de sa santé lorsqu’on est dans la pauvreté extrême? Est-ce vraiment justifié? Est-ce vraiment une politique tout à fait mesurée, équilibrée, qui prend en compte différents paramètres?

Est-ce que la docilité des gens vous a surprise?

Oui et non. D’abord, je pense que tous les peuples ne réagissent pas de la même façon par rapport à leur passé. Au niveau européen, il y a souvent une croyance naïve que les gouvernants sont là pour notre bien. Ce qui fait qu’il est très compliqué de remettre en question deux choses: les gouvernements ne nous veulent pas du bien, mais en plus ils nous veulent sciemment du mal.

Vous pensez vraiment que les gouvernements nous veulent sciemment du mal?

Peut-être pas tous. Mais je pense en effet que les décideurs à haut niveau et en particulier les soi-disant philanthropes qui, avec leurs milliards, auraient de quoi faire de la planète un paradis, nous veulent sciemment du mal.

Dans quel but?

A partir du moment où vous avez confisqué la majorité des richesses au détriment d’une plus grande population, cette population représente une menace pour vous.

C’est pourtant celle qui fait fonctionner le système, non? Ils ont forcément besoin de nous.

Dans quelle mesure ont-ils besoin de nous, je n’en sais rien. Ça ne me paraît pas évident. Nous sommes vus comme des pollueurs, des parasites. Je crois qu’à un moment donné, la question d’accumulation de richesses à un stade qu’on ne peut pas se représenter, ni vous, ni moi, fait tourner la tête si elle n’était déjà pas solide avant. Ça crée un gouffre incommensurable entre les pauvres et une toute petite minorité d’une classe extrêmement riche qui prétend dicter à la planète toutes sortes de choses. Et qui fait des gouvernants de simples exécutants.

On voit bien que si les gouvernements étaient autonomes, ce ne se serait pas passé comme ça. Or, la marche de manœuvre pendant la crise était assez réduite, puisque tout le monde a appliqué à peu près la même politique. Et pas dans l’intérêt des peuples.

Vous disiez récemment qu’il s’agissait d’une guerre des riches contre les pauvres?

Oui. Encore une fois je pense que l’on observe l’arbre à ses fruits. On a un appauvrissement toujours croissant de la pauvreté et un enrichissement toujours plus grand de l’autre côté. Il y a des gens qui s’enrichissent considérablement sur la crise. On a basculé l’immense majorité de la population mondiale dans une extrême pauvreté, sans se préoccuper des impacts sur la santé.

Il y a une intention de nuire, totalement assumée dans les discours d’ailleurs, dans les projets. Il y a un très fort déficit d’empathie de la part de cette micro-caste de très, très riches par rapport au reste de l’humanité. C’est à cela qu’on caractérise le harcèlement, d’ailleurs. Une partie des citoyens doit se sacrifier pour le bien commun. C’est une logique totalitaire. On se rend compte que ceux dont on exige le sacrifice sont à peu près toujours les mêmes.

Il semblerait qu’on ait amené les gens à confondre les conséquences des mesures prises avec les conséquences du Covid. On a donc créé le contexte pour qu’ils aient envie de cette servitude volontaire dont parlais La Boétie. Comment peut-on expliquer cette situation?

Sur le plan de la philosophie politique, on peut l’expliquer par le fait qu’a été mis en place de façon assez clair et un peu partout un régime totalitaire. Il rencontre de la résistance ça et là, mais c’est le projet.

Pourquoi totalitaire, parce qu’il vise la domination totale des individus, la rupture des classes, de l’appartenance sociale, des familles, jusqu’à l’intrusion dans l’intimité de la personne. Pour que le projet totalitaire fonctionne, il doit se maintenir au pouvoir grâce à la terreur, donc il faut un ennemi. Visible ou invisible. Auquel on va faire la guerre, pour justifier le terrorisme de l’État. Pour justifier aussi la suppression des libertés et des droits. Il faut une idéologie. Un discours qui mette en scène un ennemi contre lequel on va partir en guerre et qui, supposément, nous met en danger de mort. Il va falloir construire pour cela un discours mensonger, complètement déconnecté de la réalité de l’expérience. Mais afin qu’il puisse avoir une certaine légitimité, il faut qu’il évolue en permanence, pour empêcher qu’il soit figé et donc soumis à la critique.

Il faut que l’idéologie réussisse à modifier la réalité. Ce n’est donc plus la réalité de l’expérience qui fait foi. Avec l’idéologie, on va modifier l’expérience pour qu’elle corresponde à ce qu’on est en train de raconter.

Par exemple, si on désigne telle population comme paria, comme danger pour la nation, on va faire en sorte qu’elle devienne dangereuse. On va l’exclure économiquement, lui supprimer ses droits. Si on veut démontrer qu’elle met en danger la santé des individus, on va la mettre elle-même dans des conditions d’hygiène précaire, etc., etc. De telle sorte que le retour de la réalité finisse par correspondre à l’idéologie.

«On crée les conditions pour que la réalité finisse par correspondre à l’idéologie»

En 2020, on n’a pas du tout pris les mesures nécessaires pour soigner. Au contraire, il y a eu une grande exposition des gens sur le plan de la santé. J’ai pris l’exemple économique tout à l’heure: quand vous n’avez plus à manger, que vous ne pouvez plus payer vos factures, comment faites-vous pour vous alimenter correctement, ne pas être dans l’angoisse et la précarité, vous protéger au niveau de votre santé et de votre immunité ainsi que vos enfants? Ce n’est donc pas du tout une politique en faveur de la santé, mais une politique de précarisation qui a eu lieu dans de nombreux pays du monde et qui a entraîné davantage de troubles de santé.

Quand on interdit à des médecins de prescrire ou de soigner, on crée des maladies. Quand on renvoie les gens chez eux avec du doliprane, on crée les conditions pour que la réalité finisse par correspondre à l’idéologie.

Comment peut-on expliquer que la majorité des gens ne se rendent pas compte de tout cela? N’y a-t-il pas un fonctionnement, au niveau du cerveau, qui fait que nous ne sommes pas capables d’envisager certaines réalités trop éloignées de notre ligne de pensées, au risque de devenir complètement fous?

Tout à fait. C’est lié à la violence. Il y a eu des chocs traumatiques répétés envoyés aux populations. De diverses manières, avec différents décors. Et ces chocs traumatiques ont été créés par les discours politiques, par les décisions prises, dont l’absurdité et l’arbitraire ont cassé tous les repères des gens. Il faut savoir que cette violence entraîne, pour le psychisme, la mise en place de mécanismes de défense. Le meilleur exemple: quand vous subissez un traumatisme grave, cela peut déclencher une amnésie. C’est un mécanisme de défense. Ou, encore une fois, on peut être dans le déni: le réel est tellement insupportable que je ne peux pas me le représenter.

Donc je pense que moins on s’attend à la violence, plus on est vulnérable, comme c’est le cas des pays occidentaux qui ont l’habitude de fonctionnement plus équilibrés. Nier la réalité de la violence, ou la justifier, dans la mesure où il y a en face un discours très séducteur du type «on fait ça pour votre bien»: c’est très tentant d’y entrer. Je pense que la majorité des gens, et c’est bien normal, ne parvenant pas à comprendre ni accepter l’existence de la violence que ça véhicule, régressent sur le plan psychologique et se laissent prendre en charge par le discours dominant.

Il y a également une bonne partie de gens qui préfère tout simplement ne pas s’interroger et suivre le mouvement, sans chercher à savoir si ce qu’il se passe est normal ou non.

Oui, alors là c’est le syndrome du fonctionnaire qui fonctionne. C’est-à-dire qui préfère restreindre son champ de pensée et le réduire à la tâche qu’il a à exécuter. Car s’il devait penser vraiment ce qu’il se passe, probablement qu’il pourrait en devenir fou.

Je pense que le psychisme protège, jusqu’à un certain point, les gens de ce basculement. De cette désintégration psychique.

On constate aussi que ce n’est pas une question d’intellect, de connaissances, ni de niveau d’éducation. L’autrefois philosophe Raphaël Enthoven en est le parfait exemple.

D’abord, c’est lié à une solidité psychologique et non pas à une intelligence. C’est lié à la capacité d’être ancré dans plusieurs choses et dans la capacité d’affronter la solitude, même si la majorité du groupe se désaxe. Ancré dans quoi? Dans le rapport à la réalité. Dans le désir de vérité. Dans la valeur morale de se rendre compte, dans le réel, qu’on fait du mal aux gens.

Il y a des profils très hétérogènes qui peuvent se retrouver dans une prise de conscience, mais tous sont caractérisés par plusieurs choses: d’abord, ils ont un fort ancrage dans la réalité, des gens qui ont plein de bon sens, des gens qui ont d’autres références, y compris chez leurs ancêtres, qui leur permettent d’apprécier d’une autre façon ce qu’il se passe, de sortir du discours dominant. Ensuite, ce sont des gens qui questionnent la légitimité de l’autorité; ils n’obéissent pas pour obéir, mais parce que le discours de l’autorité a du sens. Et enfin, la caractéristique commune à chaque fois, c’est de ne pas se satisfaire d’un à peu près au niveau de la vérité. Il y a une recherche de vérité, de compréhension. Et le quatrième point: ce sont des gens qui sont capables de faire face à l’isolement. Parce qu’en ce moment, penser au vent contraire, c’est être exposé au harcèlement, à l’isolement, à l’insulte, à la censure et pour cela, il faut avoir une sacrée solidité psychologique.

Il faut bien se dire que le système devient fou, mais que quand on fait partie du système parce qu’on y a des avantages, des privilèges et que remettre en question la doxa dominante impliquerait de perdre ces privilèges et sa place dans ces groupes d’appartenance (groupes de pairs notamment), tout le monde n’est pas prêt à le faire. Je connais des gens qui ont des doubles discours. Des discours publics et des discours privés. Donc ils ne sont pas si naïfs que ça.

Pourtant, j’avais tendance à penser que Raphaël Enthoven pouvait réunir ces caractéristiques.

Il fait sans doute partie de groupes d’appartenance (par exemple, l’intelligentsia parisienne) qu’il n’est pas prêt à quitter. Et ces groupes d’appartenance ont fait cette allégeance-là. Cela met tout le monde face à des conflits de loyauté.

C’est à dire?

On voit le prix qu’ont payé certains scientifiques, certains universitaires et certains chercheurs à dire leur vérité. Si l’on n’est pas prêt à payer ce prix-là et si son groupe d’appartenance exige de manière implicite ou explicite une adhésion au dogme, pour accéder aux privilèges du sérail, on est réduit à une forme de soumission, consciente ou non.

Quand Laurent Mucchielli se fait dédire par le CNRS, la question est de qui dépend le CNRS? Qui a peur de perdre sa place? Je ne suis pas sûre qu’il n’y ait que des endoctrinés là-dedans, si vous voulez. Je suis même sûre du contraire. Il y a des sommes d’intérêts, de corruptions, de peurs. Certains s’empêchent eux-mêmes de critiquer, de penser, pour ne pas perdre ces privilèges. Le plus ironique est que, souvent, ce sont les mêmes qui ont hurlé à la défense de la liberté d’expression en France.

De manière plus générale, la collaboration des intellectuels avec les régimes totalitaires n’est pas nouvelle. Hannah Arendt avait exprimé son dégoût des intellectuels dès le début des années 1930; Klemperer avait été sidéré par l’opportunisme de certains universitaires; Günther Anders avait dit son aversion pour la complaisance active d’Heidegger, en particulier car ce dernier avait tous les outils de philosophie politique pour penser ce qu’li se passait.

Vous disiez aussi que la crise sanitaire était un peu l’aboutissement d’une déliquescence qui a débuté il y a longtemps. Que vouliez-vous dire?

Le totalitarisme, c’est considérer que les individus sont des cellules interchangeables d’un même corps au sens propre, avec la suppression totale et l’éradication totale de toute singularité. La singularité c’est le fait qu’aucun individu n’est comparable à un autre sur Terre. Que tout le monde est unique, différent, avec l’humanité en partage, où «rien d’humain ne m’est étranger». Le totalitarisme est la proposition inverse.

Dans l’idée que nous sommes tous des cellules d’un même corps, il y a l’idée qu’il faut sacrifier les cellules cancéreuses, celles qui s’autonomisent du corps. Donc l’individu n’est pas sacré en soi, mais plutôt quelque chose qui peut être éliminé si on en a besoin. Et je pense que cela est en cours depuis très longtemps. C’est une perte à la fois de la transcendance, de la transmission, de valeurs morales et spirituelles. Et en même temps, c’est la profanation de tous les individus. «Vous ne pourrez plus rien cacher», c’est la proposition totalitaire: l’exact inverse de la pudeur, socle de la civilisation selon Hegel. On doit cacher notre intimité, c’est un devoir, elle ne peut pas être profanée sous peine de sombrer dans la barbarie.

C’est en cours depuis longtemps, on le voit dans l’évolution du management au travail, dans la prolifération des écrans pour les enfants: ce sont des façons d’abraser complètement le sujet et de le nier dans ses besoins propres pour en faire un bon consommateur. On va mettre les gens dans des cases, où ils vont devenir a minima des instruments de production, et quand ils ne servent plus, qu’ils sont inutiles du point de vue de la production capitalistique, on les jette.

Tout cela est le total inverse des valeurs qui ont été le socle de notre civilisation, mais ça fait longtemps que c’est à l’œuvre.

Mais qu’est-ce qui a déclenché tout ça? C’est à l’œuvre depuis combien de temps, selon vous?

C’est difficile à dire. Je pense qu’il y a une conjonction de plusieurs facteurs et ce n’est pas exhaustif: premièrement, le transhumanisme est la référence nazie par excellence, celle du surhomme. Cela veut dire que le nazisme, dans sa valeur première de recherche d’immortalité matérielle et de surhomme humain, qui en même temps est un humain modifié, n’est pas mort. L’idéologie de fond n’est pas morte. Le nazisme n’a pas été totalement pourchassé, il a fait des petits dans les sectes idéologiques de pouvoir qui ont pour vocation à s’étendre et visent l’expansion. Je pense que la question de la conquête idéologique d’un pouvoir mondial par des sectes occultes est rarement abordée, mais devrait être étudiée de très près. Mais ce n’est pas suffisant.

Le deuxième point, c’est le développement technologique. On arrive à une époque – on y est sans doute depuis Hiroshima – où on n’arrive pas à se représenter, ni imaginer ce que les outils que nous créons sont capables d’engendrer. L’humanité engendre des monstruosités qu’elle n’a pas forcément les moyens de freiner, comme l’illustrent la création des chimères, le clonage, les trafics génétiques… Je pense que cela est aussi à œuvre.

«Nous nous sommes laissé destituer des contre-pouvoirs»

Si on regarde du point de vue de l’instruction publique, il y a eu une volonté délibérée de supprimer l’apprentissage auprès des enfants. Ces sonnettes d’alarme ont été tirées par les enseignants. Il y a quand même un pouvoir qui orchestre le fait de rendre les citoyens dociles. Mais ça n’est pas nouveau. C’est la nature du pouvoir de comploter pour se maintenir. La question nouvelle, c’est que nous nous sommes laissé destituer des contre-pouvoirs.

Peut-être, mais ça n’est qu’une hypothèse, que l’ère de la jouissance et de la consommation à tout va a fait s’effondrer les individus moralement. Mais c’est compliqué de répondre à cette question et je pense que la nature est polyfactorielle. En même temps, c’est presque inéluctable.

La seule question qui aurait dû occuper l’humanité après la deuxième guerre mondiale, c’est: comment en est-on arrivé à un tel degré d’autodestruction? Les gens ne se sont pas tellement préoccupés de cette question. Ils ont voulu récupérer la vie; ils ont été incités à jouir de tout, mais cela aurait dû les préoccuper. Tout comme le fait que des chefs d’État aient aujourd’hui la possibilité de balancer des Hiroshima bis devrait nous préoccuper. Günther Anders n’a cessé de tirer la sonnette d’alarme. Pourquoi avons-nous la capacité de nous autodétruire? Pourquoi la majorité des gens préfère être dans la jouissance plutôt que dans cette conscience, qui est certes très austère? Parce que ce n’est pas très marrant de se poser la question de notre responsabilité. C’est plus confortable de se laisser régresser dans un statut de consommateur.

Vous avez des réponses à cette question ? Pourquoi en est-on arrivés là?

Il y a eu, en tout cas du point de vue du développement des technologies de masse, de la publicité, du marketing etc. un encouragement, une dérégulation qui ont fait que les individus n’ont plus été protégés, en particulier de l’émergence de ces nouvelles technologies, des écrans. Et à partir du moment où l’on contrôle un cerveau et le temps de cerveau disponible, on contrôle toute possible révolte de la part des citoyens. C’est un peu le monde de Huxley.

Ne pensez-vous pas que cette crise peut être une opportunité? Tout ce qui se passe est tellement gros que ça ne peut que déclencher une révolte et aboutir sur quelque chose de positif, non?

Je ne sais pas, peut-être. Il me semble que c’est un peu David contre Goliath pour l’instant. On peut toujours espérer un miracle.

Comment expliquer l’apathie totale de la gauche? Et qu’il faille finalement compter sur la droite, voire l’extrême-droite, pour s’opposer aux mesures?

Ma réponse est peut-être un peu trash, mais je pense que la politique n’est plus du tout représentative des aspirations des peuples. C’est une caste qui se reproduit entre elle, selon des codes d’initiation conférés, et qui a trahi les peuples depuis longtemps. Quelle qu’elle soit. Ils roulent pour leur pomme. Les États sont managés comme de grandes entreprises, avec des actionnaires de l’ombre et des gens qu’on va placer aux commandes. On les remplace lorsqu’ils ne conviennent plus. On va orienter des sondages, des votes, jusqu’à les trafiquer dans certains pays.

L’Impertinent a publié plusieurs articles sur la maltraitance des enfants, car l’état dans lequel se retrouve la génération de demain m’inquiète beaucoup. Quel est votre avis là-dessus ? A quoi vont ressembler les adultes dans 10 ans?

Ce qu’il faut bien comprendre c’est que, du point de vue psychologique, la psychose paranoïaque produit des traumatismes en chaîne, des dissociations traumatiques et donc de la schizophrénie. On risque donc d’avoir, sur des esprits fragiles, une augmentation exponentielle des taux de suicides et une augmentation des pathologies de type schizophrène chez les enfants. C’est gravissime. Tous les totalitarismes s’en prennent systématiquement aux enfants, les endoctrinent, poussent à la délation, divisent les familles, tournent les enfants en opposition contre leurs parents, etc. On est dans cette politique-là.

J’observe que certains de mes collègues passent beaucoup plus de temps à dénoncer les complotistes qu’à enquêter sur les véritables sujets et je me demande s’ils n’ont pas une part de responsabilité dans la radicalisation de certaines minorités?

Pour la radicalisation des minorités, il faut comprendre que le régime totalitaire fonctionne sur un mode paranoïaque. Mais la paranoïa est partout. C’est une structure collective, non un psychisme seul. C’est la notion de la méfiance tous contre tous. Il va donc y avoir, dans l’opposition, des phénomènes en miroir de ceux qui sont dénoncés dans cette fameuse opposition. Finalement, pour certains, il peut y avoir aussi une vraie folie en miroir. C’est pourquoi il faut toujours faire attention aux assimilations qui sont faites.

Dans l’idéologie sur la santé qui nous occupe, il y a la création d’une nouvelle langue. Celle-ci inclut a minima plus de 60 nouveau mots et d’expressions détournées de leur sens. A partir du moment où cette nouvelle langue est acceptée (comme le terme «complotiste» d’ailleurs, avec lequel on croit faire allusion à une certaine réalité mais sans savoir exactement bien laquelle, chacun y met de sa subjectivité interprétative), cela crée une adhésion au système. Si les opposants à cette politique générale acceptent cette nouvelle langue, ils en deviennent les promoteurs. C’est donc très compliqué. On le voit déjà à un tout petit niveau avec les anglicismes. Le terme «narratif» n’existe en français que comme un adjectif. Le terme exact est «narration». Pourtant, moi comprise, nous avons souvent utilisé «narratif» au lieu de «narration». C’est de la colonisation linguistique.

Tout cela fait qu’on n’a plus la capacité de se représenter la réalité au travers de notre patrimoine, qui est une langue commune que nous partageons. Et, en prime, on n’a plus la capacité de communiquer avec les autres. Pour ce faire, il faudrait rentrer dans la nouvelle langue, mais elle n’a plus la capacité de désigner la réalité de l’expérience. Donc les dés sont pipés.

On entend régulièrement, depuis près de deux ans, les gens nous dire que cette crise est bientôt finie. Comment est-ce que vous voyez les choses se terminer?

Mal. Le problème c’est qu’une fois qu’on est entrés dans l’idéologie, elle ne va pas lâcher le morceau. Cette histoire, je la vois se terminer de deux façons possibles: soit en guerre, soit en autodestruction qu’il ne va pas être possible de cacher. Ou les deux. Pour sortir de l’idéologie, il faut que la réalité soit suffisamment difficile pour que les gens se réveillent. Un peu comme dans les sectes desquelles les endoctrinés parviennent à se sortir lorsqu’un événement suffisamment grave est survenu.

Tout ceci va mal se terminer. Par une recrudescence de violence. Y compris dans l’opposition qui fera qu’elle pourra même ressembler à ce qu’elle dénonce. Ceux qui n’ont pas compris en théorie devront comprendre en pratique. À partir du moment où vous niez qu’il y a une porte devant vous, vous allez devoir vous la prendre en pleine figure pour accepter son existence. Hannah Arendt disait que le totalitarisme s’effondre quand les masses cessent de croire. Le problème c’est qu’on n’y est pas.

Et si cela s’arrêtait simplement, dans quelques mois, avec la levée totale de toutes les mesures et qu’on décidait enfin de vivre avec ce virus?

Non, parce que le sanitaire est un prétexte à une gouvernance mondiale de type totalitaire. À une mise sous contrôle totale de l’individu, dans ses mouvements, dans ses réflexions, dans ses faits et gestes. Ça ne marchera pas parce que ce n’est pas compatible avec la nature humaine. Mais ça ne veut pas dire que ça ne va pas créer des dégâts immenses. C’est déjà le cas.

Le site d’Ariane Bilheran, c’est par ICI!

[Voir aussi :
Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave (arianebilheran.com)
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
Les mécanismes des régimes totalitaires
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Le contrôle mental au temps du Covid]




Le Royaume-Uni installe la reconnaissance faciale dans les cantines

[Source : francesoir.fr]

Au Royaume-Uni, neuf écoles ont mis en place le paiement biométrique pour accéder aux services de la cantine. Un dispositif associé à un logiciel scanne le visage des enfants pour vérifier que le paiement de la cantine est en règle. L’enfant est ensuite admis ou rejeté de la salle de la cantine ! Cette procédure, de plus en plus répandue dans le monde pour payer des services publics, a attiré l’attention de plusieurs associations défenseurs des droits et libertés qui jugent ce système superflu, et dangereux pour la protection des données personnelles.

Une volonté des cantines de rendre l’entrée plus hygiénique et plus rapide

Selon les écoles concernées, situées dans la région du North Ayrshire en Écosse, l’utilisation de cette technologie est plus rapide et plus hygiénique que d’accepter des paiements à l’aide de cartes ou de scanners d’empreintes digitales. Cela “permet un service de déjeuner plus rapide tout en supprimant tout contact au point de vente », explique un dépliant distribué aux parents par les écoles. Selon David Swanston, directeur général de la société responsable de l’installation de la technologie, la reconnaissance faciale réduirait le temps de paiement par élève à cinq secondes en moyenne. Les parents doivent autoriser les enfants à utiliser la technologie de reconnaissance faciale et peuvent s’y opposer s’ils ne sont pas intéressés. Selon le conseil du North Ayrshire, cité par le média britannique Financial Times, 97 % des enfants ou des parents ont consenti à être inscrits. Mais, certains parents pensent que la décision de leurs enfants a été influencée par la pression de leurs camarades.closevolume_off

Une technologie superflue dans les écoles

Pour Ella Jakubowska, conseillère politique à European Digital Rights, l’utilisation de la reconnaissance faciale dans les écoles est « manifestement inutile ». Sa position est partagée par Silkie Carlo du groupe de campagne britannique Big Brother Watch. Selon elle, « cela normalise les contrôles d’identité biométriques pour quelque chose de banal ». Pour les militants, cette décision montre comment le Brexit est une occasion pour le Royaume de s’écarter des normes strictes de la protection des données de l’UE. « Les autorités françaises et suédoises ont interdit l’utilisation de la reconnaissance faciale dans les écoles pour protéger les enfants de technologies plus invasives que nécessaires. Notre régulateur, l’ICO, doit faire de même », a déclaré Jen Persson, directrice de Defend Digital Me, une organisation à but non lucratif.

Devons-nous laisser les machines prendre la responsabilité de décider de l’entrée à la cantine d’un enfant ?

Les enfants ne sont pas responsables de la gestion économique de leurs parents, et les priver des repas est une question trop sensible pour laisser les machines décider. Cependant, les décisions humaines ne sont pas toujours plus judicieuses que celles des machines. Le 9 septembre dernier, un enfant de sept ans était raccompagné chez lui par la police en Gironde, car sa famille était débitrice de 800 euros. La faute à l’implémentation de systèmes numériques de gestion de la cantine, qui a obligé à des parents à faire face à des retards de trois mois après la prise des repas, faisant monter les factures à des sommes plus difficiles à régler.

Auteur(s): FranceSoir




Le premier ministre de l’Ontario annonce la fin du passeport vaccinal en janvier 2022 ? Voici pourquoi !

[Source : ontario.ca via Conscience du peuple]

ID numérique en Ontario [Extraits]

Découvrez l’identité numérique, une nouvelle façon de vous identifier qui rendra l’accès aux services en ligne et en personne plus simple, plus sécuritaire et plus sécurisé.

Nous présenterons l’ID numérique de l’Ontario à la fin de 2021.

Qu’est-ce que c’est l’ID numérique?

L’ID (identification) numérique est une version électronique d’une pièce d’identité gouvernementale fiable assurant une meilleure sécurité et une meilleure protection de la vie privée que les cartes d’identité ou les documents physiques.

Elle peut être sauvegardée en toute sécurité dans la future application Portefeuille de l’Ontario conçue pour les téléphones intelligents et autres appareils numériques (comme les tablettes et les ordinateurs) et permettra aux particuliers et aux entreprises de prouver leur identité en ligne et en personne.

L’identification numérique est le fondement qui facilitera l’accès aux services en ligne et fera de l’Ontario l’un des territoires les plus avancés au monde en matière de numérisation, dont la valeur pour les Ontariens, les entreprises et le gouvernement est estimée à 20 milliards de dollars footnote 1[1] .

Comment pouvez-vous utiliser l’ID numérique?

Services financiers

Services bancaires

  • Ouvrir un compte bancaire ou un compte d’investissement
  • Demander un prêt personnel ou hypothécaire
  • Demander un compte d’entreprise ou un prêt commercial

Assurances

  • Demander des services liés aux assurances
  • Soumettre une demande de règlement auprès d’un assureur

Autres

  • Acheter ou vendre des biens immobiliers
  • Acheter, louer ou vendre un véhicule

Soins de santé

Traditionnels

  • Fixer un rendez-vous médical
  • Consulter un médecin ou un autre professionnel de la santé en personne
  • Obtenir une ordonnance
  • Accéder aux carnets de vaccination et les utiliser

Numériques

  • Accéder aux dossiers médicaux en ligne
  • Participer à un rendez-vous médical en ligne

Services publics pour particuliers

  • Obtenir, renouveler ou remplacer un permis de conduire
  • Demander, renouveler ou remplacer une carte de santé
  • Renouveler ou remplacer un autocollant de plaque d’immatriculation
  • Obtenir ou renouveler une carte pour activités récréatives de plein air
  • Obtenir un permis de chasse ou de pêche
  • Faire une demande de RAFEO
  • Demander des prestations ou des crédits d’impôt provinciaux
  • Demander une pension alimentaire pour enfant ou pour conjoint ou le partage des biens
  • Déposer une demande auprès de la Commission de la location immobilière

Accueillir un nouveau client ou une nouvelle entreprise

  • Vérifier les références et l’historique d’une autre entreprise
  • Vérifier d’autres entreprises qui offrent des produits et services en ligne
  • Vérifier l’identité d’un client sans mot de passe ou sans sa présence physique

Gestion d’une entreprise

Opérations

  • Louer des propriétés ou des véhicules pour une entreprise
  • Vérifier les antécédents des employés
  • Demander la preuve de l’âge des clients
  • Obtenir des licences ou des documents d’importation ou d’exportation
  • Vérifier les références et l’historique d’une autre entreprise

Propriété

  • Prouver la propriété d’une autre entreprise

Numérique

  • Souscrire des contrats numériques
  • Demander et envoyer des signatures numériques
  • Recevoir des paiements en ligne

Services publics pour les entreprises

Licences

  • Obtenir l’enregistrement d’une entreprise, des permis ou des licences
  • Obtenir des licences ou des documents d’importation ou d’exportation

Prestations

  • Demander des subventions ou des avantages gouvernementaux
  • Obtenir un financement pour le commerce international

Rapports

  • Produire une déclaration de revenus ou d’autres rapports légaux ou réglementaires



Italie — Un urgentiste déclare que le vaccin anti-Covid est une arme fatale sur les plus fragiles

[Source : Silvano Trotta | VK]

Un médecin du Samu italien témoigne :

« Dans mon expérience de médecin urgentiste j’ai constaté avec certitude que les sujets « fragiles » , qui ont un organisme déjà intoxiqué, lorsqu’ils reçoivent des vaccins Covid vont immédiatement dans l’autre monde. Ou du moins, il leur est difficile de ne pas y aller.

Les données officielles qui sortent sont qu’il n’y a pas d’effets secondaires, il y en a un sur huit millions. Je peux dire sans hésiter que ce n’est pas vrai, car à chaque quart de travail que je fais dans l’ambulance, j’en reçois au moins un dans ces conditions.

Le lien de cause à effet est difficile à établir. Chacun d’eux meurt de la flambée des choses qu’il avait déjà. Par conséquent, ces médicaments tuent de manière subtile, c’est la pointe de l’iceberg, celle que vous voyez au-dessus de la mer, sont les pathologies précédentes; la plus grande partie, celle qu’on ne voit pas, consiste en l’administration de ces médicaments expérimentaux, ce qui a provoqué la revitalisation et la résurgence de ces pathologies.

Comment soigner les patients Covid lors de la première vague ?

J’en ai traité un peu plus d’une centaine. Ils sont tous guéris. On les traitait avec de l’Azithromycine et de l’Ivermectine, et si on les traitait au début de la maladie, ils se levaient en trois jours, alors que quand on les prenait déjà à un stade avancé, cela prenait plus de temps. J’en ai également traité beaucoup avec l’homéopathie, accompagnée de vitamines C et D à forte dose. Une chose est sûre : je n’ai hospitalisé personne, les patients Covid peuvent être très bien soignés à domicile ».




Témoignage d’un Belge refoulé de son propre pays !

[Source : lesmoutonsenrages.fr]

Bonjour,

Mon nom est Raphaël Van Renterghem, bien Belge d’origine, possédant une carte d’identité belge et un passeport belge, résidant toutefois en Angleterre depuis mai 2004.

Je souhaite vous faire part de mon expérience de retour en Belgique pour uniquement rendre visite à ma famille à Dinant (oncles et cousines) et ma mère (Anseremme). Donc, pas de tourisme ! Famille que je n’ai plus vue depuis plus de treize mois en raison, paraît-il selon les médias traditionnels, d’un « contexte sanitaire » particulier.

J’ai eu l’honneur d’être refoulé aux contrôles de sécurité à l’aéroport de Courtrai après mon arrivée par vol privé et direct le lundi 11 octobre 2021 aux alentours de 14h30, m’empêchant ainsi de rendre visite à ma famille. Avec une conscience professionnelle exemplaire, les deux agents de police m’ont demandé, dans un premier temps, de remplir un formulaire de localisation (depuis le sas de sécurité de l’aéroport, bien sûr) avant qu’il me soit finalement demandé de quitter le territoire belge par le même avion. Ce qui fut fait 1 heure après. Mon séjour en Belgique ne s’est donc limité, en tout, qu’à une durée de 1h30 sur le bord du tarmac de l’aéroport de Courtrai.

La raison de mon refoulement par les deux agents de police résulte de mon refus parfaitement légitime de me soumettre à un acte médical sur ma propre personne—i.e. test PCR—avant de pouvoir éventuellement bénéficier du droit de rendre visite à ma famille.

Je précise que les deux agents de police se sont admirablement bien comportés. Ils ont été compréhensifs au sujet de ma situation et n’ont absolument exercé aucune contrainte physique sur ma personne. Tout s’est passé dans une ambiance parfaitement cordiale. J’ai pu faire preuve de sang-froid, j’ai joué carte sur table et collaboré pour leur faciliter la tâche.

Mon témoignage va dans ce sens : aussi surprenant que cela puisse paraître, la Belgique n’hésite pas à refouler ses propres citoyens belges hors de ses frontières. Alors que je ne demandais qu’à visiter ma famille (uniquement) que je n’ai plus vue depuis plus de treize mois.

Je suis, ce qu’on appelle, un « récalcitrant » selon les médias traditionnelles du Royaume ! Ma dignité et mes valeurs avant tout le reste. Si je dois sacrifier mes relations familiales, je le ferai. Je ne me ferai ni testé ni vacciné, ni QR-codé, ni tracé. Je ne veux pas participer à cette mise en scène ou mascarade. Comme s’il fallait encore se justifier : je ne suis pas anti-vax, mais seulement bien informé sur ce qu’il se passe en-dehors des plateaux télés.

Je vous joins ma correspondance avec l’AVIQ pour leur avoir signifié que je ne suis pas en Belgique vu que j’ai été refoulé. En effet, avant d’être refoulé, j’ai dû remplir le PLF sur place (puisque je ne l’avais pas rempli avant de venir en Belgique)

Je vous donne le droit d’en parler autour de vous, sur votre site, lettres, etc. et même de rendre public mon témoignage. J’accepte que mon nom soit rendu public.

Je souhaite également vous signaler que je suis une personne de 45 ans, en parfaite santé, pratique beaucoup le sport (VTT, course à pied, banc rameur + un peu de muscu pour entretenir les muscles), mène une vie saine, vis en partie sur mon potager, prends des douches froides (seulement après le sport, pas au réveil le matin, LOL), pratique le jeûne intermittent de manière quotidienne, un jeûne mensuel de 3½ jours, et prend aussi des compléments alimentaires (C, D, magnésium, Zinc (bientôt, donc), protéine de lait, etc.). Je dois mon hygiène de vie au Docteur Mercola maintenant censuré de partout !

Aussi bizarre que cela puisse paraître (lol), je n’ai eu, jusqu’à présent, aucune infection respiratoire ni pulmonaire depuis décembre 2018. Serais-je donc passé entre les gouttes en 2019 et une bonne partie de 2020 malgré l’affreuse pandémie qui a éradiqué la moitié de la planète ? Ah, mais non, j’avais oublié, la définition de la pandémie a été changée…

Je vous notifie également que je contacterai d’autres relais indépendants d’informations.

Mes coordonnées : +44 xxxx xxxxxx

Sincères salutations,

Raphael Van Renterghem




Lettre de Marc Wathelet, PhD, au Ministre belge de la santé

[Source : covexit.com]

Cette lettre de Marc Wathelet, PhD, Expert en Biologie Moléculaire et Immunologie, adressée au ministre belge de la santé, analyse non seulement les mandats imposés au personnel soignant, mais aussi la vaccination des enfants et le pass sanitaire “Safe Ticket” destiné à la population générale. Le contenu de la lettre est pertinent non seulement à la situation belge mais aussi à celle des autres pays adoptant ce genre de mesures coercitives et particulièrement discutables sur le plan de la santé publique.


Cher Monsieur Vandenbroucke, Vice-Premier ministre et ministre des Affaires sociales et de la Santé publique

Merci pour votre réponse à notre courrier concernant la vaccination obligatoire des soignants, que vous justifiez en vous basant sur un certain nombre d’affirmations qui ne sont pas étayées par une documentation de faits avérés scientifiquement. 

Au contraire, les données scientifiques disponibles à ce jour contredisent l’ensemble de votre argumentation et, comme détaillé ci-après, nous ne pouvons que conclure que la vaccination obligatoire des soignants est non seulement inutile, mais aussi contre-productive d’un point de vue de santé publique, au-delà du fait qu’elle viole les principes de bioéthique et de déontologie médicale, ainsi que les droits de l’homme. 

1) La vaccination obligatoire des soignants est inutile

La vaccination obligatoire des soignants est inutile car les études démontrent au-delà d’un doute raisonnable qu’elle ne permet ni de prévenir la contamination d’un individu, ni de réduire la charge virale des personnes infectées, et donc leur capacité à transmettre le virus à autrui.

Vous trouverez dans l’annexe A la longue liste de faits, de publications scientifiques et de déclarations officielles d’agences et d’individus qualifiés, comme par exemple le Dr. Fauci, qui confirme notre assertion que la vaccination ne permet pas de prévenir la contamination d’un individu et sa capacité à transmettre à autrui le variant delta circulant aujourd’hui.

Nous ne reprendrons ici que le dernier exemple en date : le 23 septembre, l’Irish Examiner annonçait que dans la ville de Waterford, 99,7 % des plus de 18 ans étaient complètement vaccinés, le plus haut total dans toute l’Union Européenne(([1] https://www.irishexaminer.com/news/arid-40704104.html)). Le 11 octobre, Waterford News & Star annonce que la ville a le plus haut taux d’incidence d’Irlande(([2] https://waterford-news.ie/2021/10/11/waterford-now-has-highest-incidence-of-covid-in-ireland/)). 

Une seule conclusion s’impose, qui ne peut pas être contestée de bonne foi : au-delà des études, dans le monde réel, en pratique, la vaccination ne permet pas d’empêcher la transmission de SARS-CoV-2 au sein d’une communauté.

2) La vaccination obligatoire des soignants est contre-productive d’un point de vue de santé publique

Le message que les vaccins contre la COVID seraient « sûrs et efficaces », une affirmation non étayée si ce n’est que par l’absence du recul nécessaire, a été martelé constamment pendant de longs mois dans tous les médias. Un des effets néfastes de cette campagne est l’acceptation de cette affirmation comme un fait établi, non seulement par la population mais aussi par ses dirigeants.

En conséquence, les personnes vaccinées respectent moins les gestes barrières tels la distanciation ou le port du masque et, comme elles ont plus de chances d’être asymptomatiques lorsqu’elles sont infectées, ce qui les rend moins conscientes du risque qu’elles font courir à autrui, elles sont en fait plus susceptibles de propager le virus que les personnes non vaccinées.

En pratique, cela veut dire que le COVID Safe Ticket est non seulement inutile mais contre-productif : une licence pour les personnes vaccinées de contaminer autrui, qu’ils soient vaccinés ou non.

Le même raisonnement s’applique aux soignants, même s’ils observaient plus scrupuleusement les gestes barrières, car l’efficacité de ceux-ci n’est que partielle : vacciner tous les soignants n’empêchera pas la contamination « des personnes malades ou vulnérables en raison de leur grand âge » dont vous vous inquiétez à juste titre.

Nous sommes d’accord avec vous que « les personnes soignées ont droit à une sécurité maximale ». Nous vous proposons deux alternatives non exclusives à la vaccination obligatoire des soignants qui seront beaucoup plus efficaces pour prévenir les infections nosocomiales :

1. Faire tester tout le personnel soignant, vacciné ou non, à une fréquence élevée. À cet égard, notons que les tests naso-pharyngés ne sont pas sans risque, comme le rapporte l’Académie de médecine en France(([3] https://tinyurl.com/7fnj6nu8)). Deux autres méthodes plus sûres peuvent être considérées : un test antigénique oro-pharyngé ou un test PCR buccal.

2. Instaurer un programme de prophylaxie volontaire à base d’ivermectine : il y a 14 études qui soutiennent l’efficacité de cette approche(([4] https://ivmmeta.com.))

Enfin, la vaccination obligatoire des soignants est contre-productive d’un point de vue de santé publique car ceux qui refusent encore de se faire vacciner ne pourront plus travailler, et dès lors le nombre de soignants, déjà limitant, sera encore plus réduit, avec un impact néfaste sur la santé publique. En France, il y a ~300.000 soignants non vaccinés (~10 %)(([5] https://tinyurl.com/47j2pd5v)), et 15.000 d’entre eux sont déjà suspendus(([6] https://tinyurl.com/5ejfxewf)). Dans les hôpitaux belges, 9,4 % des soignants ne sont pas vaccinés et dans les MR/MRS, 13,1 % ne le sont pas(([7] https://tinyurl.com/4fzvma6m)).

3) L’illusion de l’immunité collective

Vous affirmez : « Selon les scientifiques, il faudrait que 70 % de la population totale (enfants compris) soit entièrement vaccinée pour que tout le monde soit protégé. Avec le variant Delta, qui est plus contagieux que les premiers variants, nous continuons à viser ces 70 %, mais nous nous efforçons d’atteindre le plus haut pourcentage possible. »

Cette opinion semble partagée surtout par les experts mandatés par le gouvernement. Au contraire, de nombreux scientifiques avaient anticipé le fait que vacciner pendant une pandémie ne soit pas une approche suffisante pour contrôler le virus, et les événements leur ont donné raison (voir annexe A pour une liste de citations).

Vous dites que « La vaccination réduit la circulation du virus ». Ceci est contredit par les articles cités plus haut à propos du variant delta (annexe A), l’exemple de la ville de Waterford, et maintenant une étude de grande envergure démontre que les augmentations de COVID-19 ne sont effectivement pas liées aux niveaux de vaccination à travers le monde (une étude portant sur 68 pays, ainsi que 2947 comtés aux États-Unis)(([8] https://link.springer.com/article/10.1007/s10654-021-00808-7)).

4) Les dangers de la COVID vs. les dangers de la vaccination

Vous dites « Si nous avons peur des variants, nous devons certainement vacciner davantage aujourd’hui. » Puisque les données objectives indiquent que la vaccination ne fonctionne pas en pratique, même quand tout le monde est vacciné, la solution ne peut pas être de vacciner plus !(([9] >>  Effets adverses : que nous disent les données du système américain VAERS – un entretien avec Jessica Rose, PhD))

Il n’y a pas de raison d’avoir peur des variants : d’une part la létalité du variant delta est un dixième de l’alpha d’après Public Health England, et d’autre part la létalité de la COVID est intrinsèquement faible. Elle est surtout liée à la présence de comorbidités (99% des décès surviennent chez des personnes avec une comorbidité, 96% chez des personnes avec de multiples comorbidités, Annexe B).

Surtout, cette létalité est comparable à celle causée par d’autres infections respiratoires. Dès lors, ni le COVID Safe Ticket ni la vaccination obligatoire ne sont justifiables d’un point de vue santé publique !

Les personnes à risque ont eu le loisir de se faire vacciner ou peuvent prendre un traitement prophylactique si elles choisissent de ne pas se faire vacciner. La situation de ces individus ne peut donc justifier de faire courir un risque inutile à d’autres individus en bonne santé.

Le risque inhérent à la vaccination contre la COVID à moyen et long terme reste tout simplement inconnu, faute du recul nécessaire (on note cependant le syndrome post-vaccinal prolongé, semblable au COVID long). Le risque à court terme est manifeste malgré les efforts intenses des autorités sanitaires, des médias traditionnels et des GAFAM pour supprimer toute information à ce sujet.

Par exemple, le Ministère israélien de la Santé a publié sur sa page Facebook un article sur les effets indésirables sévères qu’il qualifiait de très rares seulement pour se retrouver inondé par un déluge d’avis contraires de ses citoyens (14.000 en quelques heures), avis qui ont tout simplement été supprimés. Simplement nier cette réalité n’est pas une solution au problème qu’elle pose.

Facebook supprime systématiquement tout groupe qui recensent les effets indésirables des vaccins, groupes comptant des dizaines de milliers d’utilisateurs aux États-Unis et ailleurs. De quel droit ? Rien qu’en francophonie, la collection (non exhaustive) de captures d’écran de ces rapports individuels témoigne de l’ampleur catastrophique du phénomène(([10] https://tinyurl.com/337947zx)).

Les banques de données de pharmacovigilance à travers le monde rapportent toutes un surcroit d’effets indésirables sévères et de décès pour les vaccins contre la COVID :
(http://www.vigiaccess.org/ [OMS] ; 
https://vaers.hhs.gov/ [États-Unis] ;
https://yellowcard.mhra.gov.uk/the-yellow-card-scheme/ [Royaume-Uni] ;
https://www.adrreports.eu/en/search.html [Eudravigilance, Union Européenne]).

L’analyse des données de VAERS, par exemple, montre une incidence beaucoup plus élevée pour les vaccins contre la COVID que contre la grippe d’effets indésirables sévères (28X plus) et de décès (57X plus, voir Annexe B). À quoi servent ces sites de pharmacovigilance si de tels chiffres sont balayés du revers de la main comme inconséquents, quand au contraire ils appellent à la suspension de la campagne de vaccination jusqu’à ce que leur signification soit établie ?

Les sites de « fact-checking », financés par l’industrie pharmaceutique, viennent à la rescousse de la doxa en affirmant qu’il n’y a pas de preuve que ces décès soient imputables aux vaccins. C’est inverser la charge de la preuve !

Selon un rapport de l’ANSM en France (28.01.2021), la règle officielle en pharmacovigilance, est celle-là : « L’analyse des cas déclarés prend en compte les données cliniques, chronologiques, sémiologiques, et pharmacologiques. Elle peut conduire à écarter la responsabilité du vaccin dans la survenue d’un évènement indésirable observé dès lors qu’une autre cause, certaine, est mise en évidence. »

De fait, un audit des données de VAERS montre que seulement 14 % des décès consécutifs à la vaccination peuvent être attribués à une autre cause ; et ce n’est pas n’importe qui faisant ces déclarations, 67 % des rapports ayant été introduits par un médecin. De même dans Eudravigilance, 79 % des rapports concernant un décès ont été introduits par un professionnel de la santé.

Tous les critères de Bradford Hill sont observés, impliquant ces vaccins comme la cause de la plupart des effets indésirables reportés. Quand les autopsies, qui ne sont que trop rarement faites, sont réalisées, entre 30 et 100 % des décès sont imputables à la vaccination (voir annexe B).

Ces banques de données sont mal conçues, conduisant à des rapports erronés de part et d’autre du débat. On voit par exemple circuler pour Eudravigilance un chiffre supérieur à 25.000 décès suite à la vaccination contre la COVID. Une analyse plus rigoureuse indique 7.174 décès au 9 octobre 2021. L’analyse de VAERS donne un nombre de décès du même ordre de grandeur (7.680, au 8 octobre 2021).

Ces systèmes de pharmacovigilance sont passifs, conduisant à une sous-déclaration très importante du nombre réel de cas. Un facteur de 5 semble conservateur, mais peu importe le nombre exact, ce qui est incontestable c’est que des gens en bonne santé, sans comorbidité, jeunes, décèdent suite à la vaccination ou sont gravement blessés.

Le vaccin contre le rotavirus a été retiré du marché en 1999 à cause de seulement 15 cas d’intussusception. La campagne de vaccination contre la grippe porcine en 1976 a été interrompue après 25 décès. Nous en sommes à environ 3.000 fois plus au minimum (annexe B). Combien de morts de plus faudra-t-il avant que l’on ne se rende à l’évidence ?

Les données montrent que ceux qui font preuve de prudence vis-à-vis des vaccins sont plus éduqués en moyenne que ceux qui favorisent la vaccination, contrairement à la manière dont ils sont dépeints dans les médias.

Et la réalité des effets indésirables graves dus à la vaccination est confirmée par le fait que ce sont justement des soignants qui ne veulent pas être vaccinés, malgré leur éducation et le fait qu’ils sont généralement favorables à la vaccination (il ne s’agit pas d’antivax !), car ils sont en première ligne et peuvent constater les dégâts que ces vaccins-ci causent.

Il est dès lors profondément immoral de rendre la vaccination obligatoire, qu’il s’agisse de soignants ou de n’importe quelle catégorie de citoyens. De même, il est contraire à la bioéthique d’encourager à se vacciner des classes d’individus qui étaient exclues de la phase 3 des essais cliniques, notamment les femmes enceintes et les moins de 18 ans.

Les décès d’enfants dû à la COVID sont extrêmement rares et observés exclusivement chez des individus souffrant de sévères comorbidités, et donc les décès d’enfants sains déjà enregistrés suite à la vaccination doivent conduire à un moratoire immédiat sur la vaccination des enfants et des femmes enceintes, outre l’absence de recul des effets à long terme de cette procédure sur ces populations.

La vaccination obligatoire viole non seulement l’éthique, mais également des concepts fondamentaux de droits, comme démontré par Alessandro Negroni, professeur de philosophie du droit à l’Université de Gênes :

« Au regard du droit européen et du droit international, les vaccins génétiques anti-covid constituent une expérimentation médicale sur les êtres humains. Or, d’un point de vue tant éthique que juridique, nul ne peut être obligé de se soumettre à une forme d’expérimentation médicale en l’absence d’un consentement libre et éclairé. » 

http://www.mediaplus.site/2021/10/09/les-vaccins-genetiques-anti-covid-sont-une-forme-dexperimentation-medicale/>>  Comment atteindre l’immunité collective – L’expert en virologie et vaccins Geert Vanden Bossche explique

Nous espérons que vous tiendrez compte de cette analyse sourcée, et que vous vous rendrez à l’évidence qu’il faut abandonner l’idée de la vaccination obligatoire avec des produits expérimentaux pour qui que ce soit, ainsi que l’implémentation d’un COVID Safe Ticket basé sur autre chose qu’un test récent.

Abandonnons aussi le nihilisme thérapeutique, et traitons les individus contaminés précocement, comme la médecine l’avait toujours fait avant le début de cette crise.

Avec notre profond respect, 

Par Reinfocovid Belgique et l’ASBL « Notre Bon Droit »

Analyse par Marc G. Wathelet, Ph.D. (Biologie Moléculaire)

ANNEXE A Les données concernant l’effet de la vaccination sur la contamination et la transmission de SARS-CoV-2

L’effet de la vaccination sur le risque de contamination par SARS-CoV-2 et sa transmission à autrui était modeste dans les études initiales, mais le déclin rapide de l’immunité chez l’individu vacciné et l’apparition de variants plus contagieux rend cet effet négligeable aujourd’hui, comme discuté en détails dans ce document(([11] https://www.linkedin.com/pulse/questions-sur-limmunisation-et-la-transmission-de-marc-wathelet/?published=t)), rédigé dans le cadre d’une action en justice de l’ASBL « Notre Bon Droit » en opposition au « COVID Safe Ticket » proposé par le Gouvernement belge.

Ce document date du 28 juillet 2021, contient 50 références et les études apparues depuis cette date ne font que confirmer cette analyse :

Données de Public Health England jusqu’à la 40ème semaine de 2021

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Les données les plus récentes de Public Health England indiquent que dans toutes les cohortes le taux d’infection est plus élevé chez les vaccinés que chez les non-vaccinés à partir de 30 ans. Dans ces conditions, l’obligation de la vaccination est simplement absurde. 

Les CDC et le Dr. Fauci reconnaissent l’impact de la plus grande contagiosité du variant delta et réinstaure le port du masque pour les vaccinés(([12] https://www.cnbc.com/2021/07/28/dr-fauci-on-why-cdc-changed-guidelines-delta-is-a-different-virus.html)).

Par ailleurs, le document cité ci-dessus(([13] https://www.linkedin.com/pulse/questions-sur-limmunisation-et-la-transmission-de-marc-wathelet/?published=t)) compare aussi l’immunité contre SARS-CoV-2 acquise à la suite de la vaccination et celle consécutive à une infection naturelle et montre que cette dernière est plus robuste, plus large, plus équilibrée entre la production d’anticorps et de cellules T, et dure plus longtemps que l’immunité vaccinale, ce qui se traduit par une meilleure et plus durable protection contre l’infection pour les individus convalescents comparativement aux vaccinés.

Les soignants font partie de ceux qui ont été les plus exposés au virus jusqu’à présent, et il serait donc absurde de leur imposer une vaccination quand leur immunité naturelle est plus efficace. Ici aussi, les études apparues depuis cette date ne font que confirmer cette analyse :

Le collectif #Covidrationnel en Belgique, qui comprend une trentaine de professeurs d’universités, chercheurs et médecins a réalisé une analyse semblable et arrive aux mêmes conclusions :
https://covidrationnel.be/2021/10/06/de-source-sure/

Ces études sont confirmées par les observations dans le monde réel, dans les territoires avec le plus haut taux de vaccination comme par exemple les Seychelles, Gibraltar, l’Islande, ce haut taux n’empêche pas d’importantes vagues de contamination qui suivent de près la campagne de vaccination.

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Plus récemment, dans la ville de Waterford en Irlande où 99,7 % des plus de 18 ans sont complètement vaccinés(([14] https://www.irishexaminer.com/news/arid-40704104.html)), cette ville connait malgré ça le plus haut taux d’incidence d’Irlande (618,9 contaminés par 100.000 sur les 2 dernières semaines)(([15] https://waterford-news.ie/2021/10/11/waterford-now-has-highest-incidence-of-covid-in-ireland/)).

Une étude globale récente démontre que les augmentations de COVID-19 ne sont effectivement pas liées aux niveaux de vaccination à travers le monde (68 pays et 2947 comtés aux États-Unis)(([16] https://link.springer.com/article/10.1007/s10654-021-00808-7)).

ANNEXE B  Les dangers de la COVID vs. les dangers de la vaccination contre la COVID 

Il n’est pas utile d’un point de vue de santé publique de considérer le taux de létalité général, il s’agit d’identifier les populations à risque. 

Les dangers de la COVID

Les dangers de la COVID sont liés à l’âge et à la présence de comorbidités, 99 % des décès surviennent chez des personnes avec une comorbidité, 96 % chez des personnes avec de multiples comorbidités d’après les CDC américains :

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Les taux de survie au COVID par tranche d’âge selon l’équipe du Dr. Ioannidis:

Âge Taux de survie
0-19 99.9973%
20-29 99.986%
30-39 99.969%
40-49 99.918%
50-59 99.73%
60-69 99.41%
70+ 94.5%

Ces chiffres ne distinguent pas la COVID d’autres infections respiratoires en termes de létalité, et donc ne justifient pas une approche différente pour gérer cette maladie d’un point de vue de santé publique. Dès lors ni le COVID Safe Ticket, ni la vaccination obligatoire ne sont justifiés d’un point de vue de santé publique !

Les dangers de la vaccination contre la COVID

Il y a d’excellents vaccins, avec un rapport risque bénéfice très favorable, contre des maladies sévères, comme par exemple le tétanos ou la fièvre jaune. Cependant, le rapport bénéfice risque s’avère parfois défavorable, et le vaccin en question est alors retiré du marché.

Par exemple, un vaccin contre le rotavirus a été retiré du marché en 1999 à cause de seulement 15 cas d’intussusception(([17] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC2094741/)).

La campagne de vaccination contre la grippe porcine en 1976 a été interrompue après 25 décès(([18] https://www.lemonde.fr/planete/article/2009/09/15/le-precedent-vaccinal-de-1976_1240713_3244.html)). Elle a causé également 532 cas de syndrome de Guillain-Barré.

Qu’en est-il pour les vaccins contre la COVID ?

Une simple corrélation n’est pas synonyme de causalité. On utilise les critères de Bradford Hill, qui s’avèrent largement vérifiés pour ces vaccins comme montré ci-après, la liste est :

  • 1.    Force de l’association (plus l’ampleur des effets liés à l’association sont larges, plus un lien causal est probable, même si un faible effet n’implique pas une absence de lien de causalité) ;
  • 2.    Stabilité de l’association (sa répétition dans le temps et l’espace)
  • 3.    Cohérence (les mêmes observations sont réalisées dans différentes populations) ;
  • 4.    Spécificité (une cause produit un effet particulier dans une population particulière en l’absence d’autres explications);
  • 5.    Relation temporelle (temporalité). Les causes doivent précéder les conséquences ;
  • 6.    Relation dose-effet (une plus large dose mène à un plus large effet);
  • 7.    Plausibilité (plausibilité biologique, possibilité d’expliquer les mécanismes impliqués) ;
  • 8.    Preuve expérimentale (chez l’animal ou chez l’homme) ;
  • 9.    Analogie (possibilité d’explications alternatives). 

Par exemple, la temporalité (#5) montre une incidence très élevée de décès dans les jours qui suivent la vaccination, avant de redescendre au niveau normal.

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Le même profil des effets indésirables est observé en Europe et aux États-Unis (#3), dont voici la liste, en ordre décroissant de fréquence par rapport à leur norme respective :
>>  Effets adverses : que nous disent les données du système américain VAERS – un entretien avec Jessica Rose, PhD

embolie pulmonaire, accident vasculaire cérébral, thrombose veineuse profonde, thrombose, augmentation des dimères de fibrine D, appendicite, acouphènes, arrêt cardiaque, décès, maladie de Parkinson, parole lente, aphasie (incapacité de parler), fatigue, épanchement péricardique, maux de tête, frissons, péricardite, surdité , myocardite, hémorragie intracrânienne, avortement spontané, toux, paralysie de Bell , paresthésie, cécité, dyspnée (difficulté à respirer), myalgie, dysstasie (difficulté à se tenir debout), convulsions, réaction anaphylactique, suicide, trouble de la parole, purpura thrombotique thrombopénique, paralysie, gonflement, diarrhée, neuropathie, syndrome de dysfonction multiviscérale, dépression.

Leur nombre augmentent avec le niveau de vaccination, et il y a spécificité (#4), le profil d’effets indésirables repris ci-dessus est différent de celui observé pour les vaccins contre la grippe mais est semblable aux effets de la COVID ; aussi, certaines populations sont affectées différemment, par exemple les myocardites et péricardites touchent plus les jeunes hommes.

Plausibilité biologique (#7) : les vaccins contre la COVID produisent dans nos cellules la protéine Spike de SARS-CoV-2 comme le fait l’infection avec le virus, et les effets indésirables ressemblent à ceux observés dans la maladie ; la protéine Spike fait preuve in vitro d’une toxicité intrinsèque vis-à-vis des cellules endothéliales et des péricytes cardiaques :

Preuve expérimentale (chez l’animal ou chez l’homme, #8), expériences sur les souris reproduisent la myopéricardite(([19] https://academic.oup.com/cid/advance-article/doi/10.1093/cid/ciab707/6353927)).

Force de l’association (#1) et stabilité (#2) :

Rapport des effets indésirables graves et des décès pour tous les vaccins contre la COVID par million de doses comparé aux vaccins annuels contre la grippe de 2016 à 2021, au vaccin contre la souche H1N1 de la grippe en 2009-2010, et à tous les vaccins excepté ceux contre la COVID de 2006 à 2021 dans le système VAERS américain.

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L’analyse des données de VAERS montre une incidence beaucoup plus élevée pour les vaccins contre la COVID que contre la grippe d’effets indésirables sévères (28X plus) et de décès (57X plus).

Chiffres absolus des effets indésirables graves et décès dans VAERS pour les 3 vaccins aux États-Unis contre la COVID, et leur rapport par nombre d’injections.

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Un audit des données de VAERS montre que seulement 14 % des décès consécutifs à la vaccination peuvent être attribués à une autre cause ; au moins 67 % des rapports ont été introduits par un médecin.(([20] https://www.researchgate.net/publication/352837543_Analysis_of_COVID-19_vaccine_death_reports_from_the_Vaccine_Adverse_Events_Reporting_System_VAERS_Database_Interim_Results_and_Analysis?channel=doi&linkId=60dc44c9a6fdccb745f48fc7&showFulltext=true))

Le système VAERS étant passif, seule une faible proportion des cas réels y sont recensés. On peut estimer cette proportion sur base d’une étude portant sur 64.900 employés d’un hôpital du Massachusetts mesurant les réactions graves compatibles avec l’anaphylaxie qui peuvent survenir immédiatement après la vaccination : elles se sont produites à un taux de 2,47 pour 10.000 vaccinations. Le taux d’incidence de l’anaphylaxie confirmée dans cette étude est plus élevé que celui rapporté par les CDC sur la base des méthodes passives (VAERS) de notification spontanée (0,025-0,11 pour 10.000 vaccinations).(([21] https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2777417))

Ces données suggèrent que le sous-reportage dans VAERS est d’un facteur compris entre 22.5 et 98.8 !

Ce qui indique que le nombre de décès dépasse 150.000 et le nombre d’effets indésirables sévères dépasse le million aux États-Unis. 

Chiffres absolus des effets indésirables graves et décès dans l’Espace Économique Européen pour les 4 vaccins contre la COVID, et leur rapport par nombre d’injections.

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79% des rapports de décès ont été introduits par un personnel soignant.

La règle officielle en pharmacovigilance : « L’analyse des cas déclarés prend en compte les données cliniques, chronologiques, sémiologiques, et pharmacologiques. Elle peut conduire à écarter la responsabilité du vaccin dans la survenue d’un évènement indésirable observé dès lors qu’une autre cause, certaine, est mise en évidence.(([22] https://www.lelibrepenseur.org/temoignage-explosif-demission-dun-membre-du-comite-scientifique-permanent-pharmacovigilance-de-lansm/embed/#?secret=ddpd8Qzwpd))

Quand les autopsies, qui ne sont que trop rarement faites, sont réalisées, entre 30 et 100 % des décès sont imputables à la vaccination. Peter Schirmacher, pathologiste en chef à l’Université de Heidelberg, a déterminé que les rapports d’autopsies indiquent qu’au minimum 30 à 40 % d’un échantillon de 40 personnes décédées dans les deux semaines suivant la vaccination sont effectivement décédées du vaccin, en étant conservatif(([23] https://www.aerzteblatt.de/nachrichten/126061/Heidelberger-Pathologe-pocht-auf-mehr-Obduktionen-von-Geimpften)). 

Les professeurs Arne Burkhardt et Walter Lang, médecins légistes, ont présenté lundi 20 septembre à Reutlingen le résultat de dix autopsies. Sur les dix décès, sept sont “probablement” liés aux injections, dont cinq le sont « très probablement ». Pour les trois derniers cas, l’un d’entre eux reste à évaluer, un autre semble être « une coïncidence », et pour le dernier, le lien « est possible mais pas certain ».(([24] https://tinyurl.com/3b779fer)).

En Norvège, quand 23 décès consécutifs à la vaccination sont survenu dans un EHPAD, les autorités ont procédé à 13 autopsies et ces 13 décès se sont avérés liés à la vaccination(([25] https://norwaytoday.info/news/norwegian-medicines-agency-links-13-deaths-to-vaccine-side-effects-those-who-died-were-frail-and-old/)).  

Un centre français d’évaluation des médicaments conclu que vaccination contre la COVID doit être interrompue(([26] https://tinyurl.com/2s64aenn)), pour les 4 produits. Et le vaccin Moderna est abandonné par certains pays pour les plus jeunes (Norvège, Suède, Danemark ; la France pour la seconde dose).

Voir aussi :
https://www.researchgate.net/publication/354601308_Paradoxes_in_the_reporting_of_Covid19_vaccine_effectiveness_Why_current_studies_for_or_against_vaccination_cannot_be_trusted_and_what_we_can_do_about_it

Enfin, dans un article intitulé « Pourquoi vaccinons-nous les enfants contre la COVID ? », les auteurs concluent que non seulement leur vaccination est contrindiquée, mais que même pour les sujets les plus vulnérables de plus de 65 ans, l’analyse du rapport risque bénéfice montre qu’il y a 5 fois plus de décès attribuables à la vaccination qu’à la maladie(([27] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S221475002100161X)).

Il est contraire à la bioéthique et la loi de vacciner des classes d’individus qui étaient exclues de la phase 3 des essais cliniques, en particulier les moins de 18 ans.(([28] https://medcritic.fr/la-vaccination-des-enfants-contre-le-covid19-1/)): la société en vaccinant les enfants les soumet à un risque dans le but de protéger les adultes sans considérer leur bien-être, alors que c’est aux adultes qu’il incombe de se protéger.

Il est par ailleurs non seulement inexact que le variant delta serait plus dangereux pour les enfants(([29]
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.10.06.21264467v1)), mais les données de l’office national des statistique (ONS) britannique indique une augmentation de 46 % des décès dans la tranche d’âge 15-19 ans depuis que leur vaccination a été autorisée (+63 % chez les jeunes hommes, +16 % chez les jeunes femmes #4 ), comparé à la même période en 2020.(([30] https://theexpose.uk/2021/09/30/deaths-among-teenagers-have-increased-by-47-percent-since-covid-vaccination-began/)).

La présente lettre, datée du 17 Octobre, est reproduite avec permission d’un post sur LinkedIn. Une version anglaise sera disponible sous peu.





Lettre de la Nation au Président de la République, le mettant en demeure de faire toute la Vérité sur l’épidémie, de déclassifier les rapports du Conseil de Défense Sanitaire, de mettre fin sans délai à la vaccination de masse et au passeport anti-sanitaire, et de mettre un terme à l’état d’urgence sanitaire

Par Capitaine Alexandre JUVING-BRUNET

[Transmis par upinsky.work]

[Illustration : Comité de Salut du Peuple / National – Accueil | Facebook]

Monsieur le Président de la République,

Votre Liberté de chef de l’État ne vous dispense pas du devoir de respecter votre parole donnée de n’imposer ni le « pass sanitaire » ni l’obligation vaccinale. Votre liberté ne vous dispense ; ni du devoir de Vérité médicale ; ni, pour pouvoir établir la balance bénéfice/coût, du devoir de publier journellement l’évaluation du « quoi qu’il en coûte ! » de votre politique de guerre épidémique ; ni de votre devoir de ne pas cacher la Vérité médicale des faits et chiffres prouvant que le résultat de votre politique frappant d’interdit la Médecine d’Hippocrate est exactement inverse de celui que vous avez annoncé, comme l’atteste les huit éléments de preuve suivants.

Premier élément : la négation du traitement au profit du tout-vaccin

La « Réponse de la Nation au Président de la République, Pour en finir avec le coronavirus et la peur : Ordre de Mission, Exit le Vaccin ! », du 28 avril 2020, apportée àl’Élysée par les Gilets Jaunes constituants, a apporté la Preuve de l’intention criminelle ayant présidé à la politique anti-sanitaire de refus d’appliquer la véritable médecine avec un protocole basé sur le traitement qui s’imposait pour ramener cette épidémie à sa plus simple expression. Cette lettre vous alertait sur l’applicabilité et l’efficacité immédiate du traitement, en ces termes : « Le 15 avril le Dr. Gilles Besnainou a lancé un appel de salut public pathétique à tous les Français : “on a les antibiotiques, on a le traitement ; maintenant on sait soigner le coronavirus !” cette lettre évaluait la surmortalité de 82,5 % devant résulter dunégationnisme du traitement sur les malades du coronavirus. Mais insensible à toute humanité et aux intérêts fondamentaux de la France, vous n’avez ni répondu à cette lettre écrite au nom de la Nation, ni a fortiori agi pour sauver vos compatriotes d’une mort barbare ! Le serment d’Hippocrate est violé, la médecine immémoriale mise hors la loi.

Deuxième élément : la fraude sur les autorisations d’AMM conditionnelles

Compte tenu des délais et des conditions nécessaires pour obtenir d’authentiques AMM répondant à tous les critères de garantie, nulle AMM d’injection d’ARN-messager ou autre n’aurait pu être obtenue si l’existence de traitement n’avait tout de suite été niée par votre gouvernement. C’est donc par fraude, par négationnisme mortifère du traitement que les AMM conditionnelles des prétendus vaccins ont été obtenus. C’est ce qu’atteste le règlement européen n°2020/1043, adopté en urgence le 15 juillet 2020, qui a supprimé toutes les procédures de protection, d’analyse du risque, de contrôle, de suivi, d’étiquetage et d’information du public concernant l’utilisation, le transport, la dissémination dans l’environnement, l’injection aux Êtres humains d’organismes et de micro-organismes génétiquement modifiés, dès qu’il s’agit de recherches ou essais cliniques sur un vaccin ou un médicament contre la Covid-19.

Troisième élément : le vaccin ne protège ni de la contamination ni même des cas graves

C’est le constat officiel. Dans son ordonnance du 2 avril 2021, le Conseil d’État a bien estimé que les personnes vaccinées “peuvent demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à

  • la diffusion de l’épidémie”. Et à cette occasion, Olivier Véran, Ministre de la solidarité et de la santé a bien déclaré : “les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin [admirez la litote] ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant […] Le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. L’impact de la vaccination sur la propagation du virus n’est pas encore connu.” Soit l’inverse du Mensonge d’État diffusé partout : “Tous vaccinés, tous protégés”.

Quatrième élément : le passeport vaccinal est anti-sanitaire

Encore une inversion. Le passeport imposé même pour prendre un café sur une terrasse

n’est qu’une persécution pour rendre la vie insupportable à ceux qui ne sont pas vaccinés. Dispenser du test les vaccinés, potentiellement contaminants, qui vont dans un lieu confiné pour se mélanger avec des non-vaccinés à test négatif, au risque de les infecter est donc anti-sanitaire !

Cinquième élément : la preuve de l’inefficacité vaccinale par le Royaume-Uni et Israël

Exactement à l’inverse de ce que vous aviez annoncé à Tahiti, le 24 juillet 2021, à savoir

que partout où l’on vaccinait le virus reculait, les chiffres prouvent que dès son apparition la

vaccination fait flamber les poussées épidémiques, avec deux modèles :

  • Le Royaume-Uni constitue le champion européen de la vaccination utilisant l’Astra Zeneca avec plus de 70 % des habitants primo-vaccinés, et 59 % disposant d’un schéma vaccinal complet. Ce taux élevé de “vaccination” n’a pas évité une explosion des cas au début de l’été, avec, à la mi-juillet jusqu’à 60 000 nouveaux cas quotidiens. Devant cette reprise importante de l’épidémie malgré la vaccination, monsieur Andrew Pollard, représentant de l’Oxford Vaccine Group, a reconnu devant le parlement : “l’immunité collective par le vaccin est un mythe” ;
  • Israël est une catastrophe niée par les responsables politiques. Champion de l’injection Pfizer, jadis partout cité en exemple d’efficacité, Israël est actuellement durement rappelé à la réalité et représente maintenant le modèle de l’échec vaccinal. 70 % de la population est primo-vaccinée, et près de 90 % des personnes à risque ont un cycle vaccinal complet. Mais l’épidémie est repartie plus forte que jamais depuis fin juin et plus de 11 000 nouveaux cas ont été enregistrés en 1 jour (le 14 septembre 2021) dépassant de près de 50 % les pics observés en janvier 2021 lors de la poussée qui a suivi les premières injections Pfizer. Depuis les vaccinations, les poussées épidémiques sont de plus en plus fortes.

Sixième élément : la vaccination provoque l’irruption des variants

Exactement à l’inverse de votre campagne de propagande — “Tous vaccinés, tous protégés” — la vaccination ne combat pas l’épidémie, elle la multiplie, comme l’attestenotamment, sous sa haute autorité, notre prix Nobel de médecine le professeur Luc Montagner : “Les variants viennent des vaccinations”.

Septième élément : le tabou sur la vague de morts et d’effets graves de la vaccination

Tout est fait pour cacher le “quoi qu’il en coûte” de votre campagne de vaccination forcée. L’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé), chargée de recenser et d’évaluer les résultats d’enquête de pharmacovigilance devant surveiller “en temps réel” le profil de sécurité des vaccins, à partir des déclarations réalisées par les professionnels de santé, les personnes vaccinées ou leur entourage, est d’une opacité totale. Au 26 septembre 2021, 1205 morts, 90 236 effets indésirables — dont 22 559 graves — ont été déclarés en France, à la suite d’injections. Coût en vie et préjudices dramatiquement sous-évalué. C’est ce que montre une étude comparative avec l’Écosse où le département de Santé Publique a recensé 5 522 personnes décédées dans les 28 jours suivant un vaccin contre le covid-19, alors que la population écossaise n’a que de 5,454 millions d’habitants, avec un recensement de 7 820 décès covid-19 depuis le début de la pandémie. En France le sujet est tabou, l’omerta règne, alors que le nombre de morts et d’effets indésirables devrait être donné dans les média quotidiennement au même titre que les autres chiffres de l’épidémie.

Huitième élément : l’obligation vaccinale, une condamnation à mort potentielle

Portant atteinte à nos droits élémentaires en créant des discriminations parmi les Citoyens d’un même Peuple, le passeport imposé même pour prendre un café sur une terrasse n’est qu’une persécution pour rendre la vie insupportable à ceux qui ne sont pas vaccinés. Mais elle équivaut à une condamnation à mort potentielle comme la vaccination obligatoire. C’est donc en toute logique médicale et orale que le Pr Montagnier, prix Nobel de médecine, a dit qu’il “était temps de stopper cette campagne”.

En conclusion, vous avez dit aux Français que leur droit à la liberté ne les dispensait pas de leur devoir de se faire vacciner. Au contraire, c’est votre devoir de chef d’État de faire toute la vérité sur le “quoi qu’il en coûte” de votre politique de vaccination forcée plus mortifère et dévastatrice que le virus et d’en tirer les conséquences qui s’imposent.

En plein accord avec le professeur Montagnier et au nom de la Vérité, de la science médicale, du Conseil d’État et de la Nation, de sa lettre du 28 avril 2020, nous vous mettons donc en demeure :

  1. De faire toute la vérité médicale sur l’épidémie, en publiant quotidiennement les chiffres des morts et des effets indésirables de votre vaccination de masse forcée ;
  1. D’en tirer une base de données, facilement utilisable par tous les Français par synthèse et périmètres (âges, vaccin, catégories d’effet, etc.) avec un historique cumulable depuis 2020 ;
  1. D’en tirer toutes les conséquences, en mettant fin sans délai à votre campagne de vaccination forcée et au passeport anti-sanitaire, liberticides et plus mortifères que le virus lui-même avec les variants qu’il multiplie.

Monsieur le Président de la République, nous sommes prêts à débattre publiquement, scientifiquement et démocratiquement, de ces huit éléments de preuve — prouvant que votre politique est exactement l’inverse de la science médicale, de la protection de la santé des Français et de leurs intérêts fondamentaux —, avec vous ou avec vos représentants, en vue d’un retour sans délai à la vie normale des Français.

Sans réponse de votre part, prenant acte du fait que vous ne seriez plus alors l’émanation ni de la Nation, ni de ses droits naturels et imprescriptibles, ni de ses intérêts fondamentaux, ni de sa volonté générale et par conséquent du Peuple français dans son ensemble, nous nous verrions dans l’obligation d’en tirer toutes les conséquences, de fait et de droit, pour restaurer au plus vite le Peuple souverain dans sa pleine souveraineté et la Démocratie dans son juste fonctionnement, comme expression de la volonté générale et non d’intérêts particuliers contraires aux intérêts vitaux de la France.

Dans cette attente, veuillez agréer, Monsieur le Président, l’assurance de notre haute considération.

Au nom de la Nation,

Capitaine Alexandre JUVING-BRUNET

Initiateur des Comités de Salut du Peuple




Italie. Selon l’Institut national italien de la santé, la plupart des décès recensés en 2020 n’ont pas été causés par le Covid-19

[Source : breizh-info.com)

Selon le rapport de juillet 2021 de l’Istituto Superiore di Sanità (Institut national italien de la santé, équivalent de notre ARS) sur la mortalité due au Covid, cité par le journal Mainstream Il Tempo, il semblerait que la plupart des décès recensés en 2020 n’aient pas été causés par le Covid-19 mais par des comorbidités et des pathologies lourdes.

Ainsi, sur les 130.000 décès répertoriés Covid depuis février 2020, seuls 3.700 seraient réellement liés au virus en lui-même, et uniquement à lui.

[Ndlr : cela signifie que seulement 1 décès sur 35 est réellement attribuable à ce qui a été nommé Covid-19 (et qui est à la base un ensemble de symptômes). La proportion est probablement voisine dans la plupart des autres pays qui trichent sur les chiffres, comme la France, les USA et le Canada.]

Tous les autres décès sont en réalité liés aux autres maladies des patients (hypertension, cancer, diabète, pathologie pulmonaire, cardiopathie).

Ceux qui ont perdu la vie et qui ont été classés comme « décédés du Covid » avaient entre une et cinq maladies qui, selon l’Institut national italien de la santé, leur laissaient déjà peu d’espoir. Pas moins de 67,7% auraient eu plus de trois maladies cumulées, et 18% au moins deux cumulées.

Selon l’Institut national italien de la santé, 65,8 % des Italiens qui ne sont plus de ce monde après avoir été infectés par Covid souffraient d’hypertension. 23,5% étaient également atteints de démence, 29,3% de diabète et 24,8% de fibrillation auriculaire. Et ce n’est pas tout : 17,4 % avaient déjà des poumons malades, 16,3 % avaient eu un cancer au cours des cinq dernières années ; 15,7 % souffraient d’une insuffisance cardiaque, 28 % d’une cardiopathie ischémique, 24,8 % d’une fibrillation auriculaire, plus d’un sur dix était également obèse, plus d’un sur dix avait eu un accident vasculaire cérébral, et d’autres encore, bien que dans un plus faible pourcentage, avaient de graves problèmes de foie, de dialyse et de maladies auto-immunes.

Traduction ; des personnes faibles et gravement malades, dont les décès n’étaient que question de jours, de semaines ou de mois, ont été probablement achevées par le Covid-19.

Rien qui ne justifiait, ni qui ne justifie toujours, d’enfermer pendant des mois et de mois une population, et de mettre en place une politique sanitaire tyrannique de contrôle des masses….Qui devra rendre des comptes ?

[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Obsession vaccinale et transhumanisme

[Source : AgoraVox]

Par Opposition Contrôlée

Le 12 août 2021, un article nommé « Opération Dent Bleue » a été publié sur Agoravox. L’auteur y décrit un dispositif expérimental et sa mise en œuvre, visant à valider une hypothèse : les personnes vaccinées émettent-elles un signal Bluetooth ? Ce n’est pas l’expérience ni ses résultats qui m’intéressent ici, mais les commentaires que l’article a suscités.

transhumain

Il va sans dire qu’une telle hypothèse a un degré suffisant d’hétérodoxie pour que « l’honnête homme » la juge absurde et se retranche dans l’indignation, la dérision, et la condescendance, devant ce véritable cas d’école de complotisme. Les commentaires de l’article, nombreux, ont majoritairement été d’aimables conversations ironiques. À vrai dire, on ne compte que trois tentatives de réfutation. Je laisserai de côté la dernière, évoquant une probable confusion des signaux captés avec des anti-vols électroniques, suggestion tout à fait pertinente au demeurant.

Voici les réfutations que je vais commenter, qui ont inspiré le présent article :

commentaire 1

Réfutations immédiatement saluées (sanctifiées ?) par un représentant du bon sens et de la raison :

commentaire 2

Pas sérieux tout ça, hein ? Puisque chacun devrait savoir qu’etc.. Mais le problème ici, ce n’est pas ce que certains croient savoir, mais bien plutôt ce qu’ils ignorent.

Car malheureusement pour nos braves défenseurs de la science et du sérieux, voilà plus de 10 ans que la prestigieuse revue « American Chemical Society » a publié un papier intitulé : « Le premier dispositif auto-alimenté avec transmission de données sans fil ».(([1] https://www.sciencedaily.com/releases/2011/06/110615103042.htm))

Zhong Lin Wang et ses collègues expliquent que les progrès de l’électronique ont ouvert la voie à la mise au point de minuscules dispositifs fonctionnant sans batterie grâce à d’infimes quantités d’électricité pouvant être récoltées à partir du pouls d’un vaisseau sanguin, d’une brise légère ou des mouvements d’une personne qui marche. « Il est tout à fait possible de faire fonctionner ces dispositifs en récupérant l’énergie de sources présentes dans l’environnement, telles qu’un léger courant d’air, des vibrations, des ondes sonores, l’énergie solaire, chimique et/ou thermique », expliquent les scientifiques.

Le dispositif se compose d’un nanogénérateur qui produit de l’électricité à partir d’une vibration ou d’un déclenchement mécanique, d’un condensateur pour stocké l’énergie et d’un système électronique comprenant un capteur et un émetteur radio similaire à ceux des casques de téléphone mobile Bluetooth. Leur dispositif a transmis des signaux sans fil qui pouvaient être détectés par une radio commerciale ordinaire à des distances de plus de 30 pieds. [10 m]

Les auteurs remercient la DARPA et le ministère américain de l’énergie pour le financement de leurs travaux.

D’ailleurs, ces nanogénérateurs sont déjà anciens, on trouve des publications remontant à 2008(([2] https://pubs.acs.org/doi/10.1021/nl8027813)) détaillant leur fonctionnement et leur fabrication. Et leur dimension ne dépassait pas quelques µm. Le trou d’une petite aiguille pour injection sous-cutanée(([3] https://en.wikipedia.org/wiki/Birmingham_gauge)) (G 26) est de 0.26 mm, soit 260µm. Il y a très largement la place… Et tout ça, c’était plus d’une décennie en arrière…

Depuis, les publications se sont multipliées, annonçant de nouveaux champs d’application, de meilleurs performances, de nouveaux procédés de fabrication, etc. Une recherche au mot clef « nanogenerator » retourne 400 000 résultats, en grande partie issus de revues scientifiques. Même chose pour les dispositifs de transmission sans-fil.

On peut se poser la question : certes, ces dispositifs sont nanoscopiques, mais peut-on pour autant les injecter directement dans l’organisme, par seringue épidermique ? Là encore, un petit effort de recherche permet de se faire une idée. Parmi les publications les plus récentes, on peut consulter l’étude d’une équipe de l’« University of California, Santa Cruz » (UCSC),(([4] https://ieeexplore.ieee.org/document/9466139)) publiée par le très prestigieux « Institute of Electrical and Electronics Engineers » (IEEE), bien connu des électroniciens. Les chercheurs y décrivent un nouveau procédé d’implémentation d’une interface cerveau-machine (Brain to computer interface, BCI), qui ne nécessite pas de chirurgie.

Ces interfaces sont destinées à lire l’activité neuronale complète du cerveau, c’est-à-dire de déterminer avec une très grande résolution l’emplacement des circulations électriques qui s’y produisent. Vous pourrez consulter, sur le site de la DARPA(([5] https://www.darpa.mil/program/our-research/darpa-and-the-brain-initiative)) (Defense Advanced Research Projects Agency soit « Agence pour les projets de recherche avancée de défense »), l’étendue des applications de tels systèmes. Il s’agit littéralement de lire les pensées directement dans le cerveau, mais aussi d’y écrire des informationsÉgalement, d’être capable de lire et écrire dans la mémoire de l’individu. Outre des applications « médicales », largement mises en avant par l’agence, tel que simuler la sensibilité d’un membre pour un amputé, ou redonner la mémoire à un amnésique, les applications militaires ou policières sont bien sûr légion : contrôle de drone par la pensée, avec transmission des images directement dans le cerveau de l’opérateur,(([6] https://www.technologyreview.com/2019/10/16/132269/us-military-super-soldiers-control-drones-brain-computer-interfaces/)) suppression des sentiments de peur, suppression de la douleur ressentie, etc, etc.

Nos chercheurs de l’UCSC ont mis au point un procédé à base de nano-dispositifs, de moins de 200 nm (pour comparaison, un virus de la grippe fait entre 80 et 120 nm), capable de circuler dans les vaisseaux sanguins pour aller se fixer dans le cerveau (tout comme les nano-particules de graphène, au passage), par simple injection.

Une limitation fondamentale des interfaces cerveau-machine (ICM) implantables est le câblage nécessaire au transfert d’énergie et à la transmission des signaux. Les technologies de microélectrodes existantes ne peuvent enregistrer que des sections localisées du cerveau et nécessitent l’implantation d’électrodes invasives par le biais de chirurgies crâniennes. Nous présentons ici un système sur une sonde nanoparticulaire, le Neuro-SWARM 3 (Neurophotonic Solution-dispersible Wireless Activity Reporter for Massively Multiplexed Measurements), permettant la détection à distance de signaux bioélectriques in vivo.

Les dispositifs fixés émettront alors un signal lisible de l’extérieur, permettant de reconstituer par calcul l’activité neuronale du sujet. L’originalité de cette méthode est d’employer les propriétés photoélectriques d’une substance, qui lorsqu’elle est excitée électriquement, émet une lumière en proche-infrarouge ( λ 1000-1700 nm) qui est « biologiquement transparente », c’est-à-dire qu’elle traverse les matières biologiques, y compris la boite crânienne. C’est ce signal qui est récupéré depuis une ou plusieurs caméras, littéralement comme une simple photo de l’activité cérébrale. L’interprétation est alors réalisée par un ordinateur, qui explorera les gigantesques progrès de l’analyse d’image pour reconstituer l’activité en trois dimensions. Celle-ci peut être alors comparée à une base de données, et dévoiler ce qui se passe dans la tête du sujet.

activité cérébrale

De nombreuses autres techniques, à base d’excitation électromagnétique, permettent d’atteindre un même résultat. Le lecteur sceptique pourra se demander « où on en est-on vraiment de ces technologies ? ». S’agit-il d’effet d’annonce, de science « anticipatoire » ? La réponse est non. La lecture des pensées et des sentiments est un domaine déjà largement exploré : dans un article de CBSnews(([7] https://www.cbsnews.com/news/functional-magnetic-resonance-imaging-computer-analysis-read-thoughts-60-minutes-2019-11-24/)) de 2019, on peut lire :

Les scientifiques utilisent l’IRM pour révéler la composition physique de nos pensées et de nos sentiments.

Il y a dix ans, 60 Minutes a rencontré une équipe de scientifiques de l’université Carnegie Mellon qui avait commencé à décoder les pensées simples à l’intérieur du cerveau. Aujourd’hui, ils sont passés à l’identification de pensées complexes, de la spiritualité au suicide.

Concernant la capacité à lire ce que voit un sujet directement dans son cerveau, la seule limitation majeure est de constituer une base de données des réponses neuronales aux images, comme nous l’apprend un article de l’université de Berkeley(([8] https://news.berkeley.edu/2011/09/22/brain-movies/)):

Grâce à l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) et à des modèles de calcul, des chercheurs de l’université de Berkeley ont réussi à décoder et à reconstituer les expériences visuelles dynamiques des gens, en l’occurrence les bandes-annonces de films hollywoodiens.

Pour l’instant, la technologie permet de ne reconstituer que les séquences de films que les gens ont déjà regardées. Toutefois, selon les chercheurs, cette avancée ouvre la voie à la reproduction des films que nous avons dans la tête et que personne d’autre ne voit, comme les rêves et les souvenirs.

A gauche, l’image vue par le spectateur, à droite, l’image reconstituée par lecture de son cerveau.

J’ai entendu un certain nombre de commentateurs, dans des médias « respectables », évoquer un lien entre la « crise covid » et sa « gestion » pour le moins déconcertante, et le but à terme du transhumanisme. Mais ceux-ci n’ont jamais développé le lien de cause à effet. N’étant pas moi-même intime des cercles dirigeants, et n’ayant pas de boule de cristal, je ne permettrais pas de tirer des conclusions définitives sur ce qui nous attend. Cet article n’a pour vocation que de donner une « piqûre de rappel » sur les avancées des neurosciences, des nano-technologies et des capacités de traitement du signal à destination des profanes.


[Voir aussi :
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Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
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Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!]


Notes :




La presse est morte, vive la presse

[Source : legrandsoir.info]

Par Jacques-Marie BOURGET

En un demi-siècle, le journalisme est passé d’une réalité de liberté, voire « libertaire », à celle de l’obéissance où sa fonction essentielle est de propager la parole des maîtres. Un récent communiqué de la première organisation professionnelle, le Syndicat National des Journalistes, confirme cette réalité française devenue universelle. Le SNJ évoque la « confiscation de la ligne éditoriale par les éditeurs, porte-voix de leurs actionnaires ». Les donneurs d’ordre, comme on le dit en bourse, sont des financiers propriétaires de médias ou des dirigeants d’États, leurs fondés de pouvoir.

Ainsi, pendant vingt ans Rupert Murdoch, milliardaire australien ultra réactionnaire, s’est comporté en propriétaire du « 10 Downing street », le siège du Premier ministre britannique et organisé la rupture du Brexit. Blair, Brown et Cameron ont été les obligés d’un implacable ami : « Rupert ». Aux États-Unis le même monstre de presse a facilité l’arrivée de Trump à la Maison-Blanche. L’impressionnant documentaire du réalisateur anglais Jamie Roberts, The Rise of the Murdoch Dynasty, suffit à dépeindre le Tchernobyl de presse qu’a provoqué ce tueur de journaux venu des antipodes.

Au XXIe siècle, la fiction Citizen Kane se joue en vrai sur une scène vaste comme la planète. La preuve par l’histoire nous démontre – trop tard – que le propriétaire d’un trust de presse peut diriger le monde. C’est même l’unique raison qu’il a pour posséder, en masse, journaux et télévisions. La masse qui assomme les masses.

Prononcer sur la presse les paroles d’un requiem, vous attire en général une réponse haineuse. Le mépris ou l’injure est comme un antidote pour un monde peu porté à l’autocritique. Sur notre Titanic mourrons donc en musique. Pourtant des milliers de jours étant passés, tout journaliste éveillé finit dans le métier comme un homme souffrant. Veuf d’un monde perdu. Faut-il rendre les journalistes coupables d’avoir enfilé les œillères et les chaînes tendues par le système ? Évidemment non.

Il existe encore des îlots où quelques Shadocks continuent de faire tourner le phare, des poches de résistance. La presse « mainstream » ne mérite plus son nom (les chiffres de lecteurs sont affligeants), mais, portée sur les ondes d’Internet, une nouvelle presse arrive pour chasser celle d’aujourd’hui. Ce mouvement de bascule a été bien compris par les milliardaires de presse. Voyant fondre leur public, ils tentent de le récupérer en amplifiant leurs éditions sur Internet.

« Toile » pourtant honnie dès sa création par les actionnaires et leurs profits : un possible espace de liberté s’ouvrait et il leur échappait. Leur première stratégie fut d’utiliser en masse l’arme de la diffamation. Tous les sites d’information, ou de réflexion, tous les journalistes publiant hors troupeau, sont épinglés, black-listés, marqués du sceau de « pas crédible ». Ces damnés étaient soit des « complotistes » producteurs de « fake news », soit « fascistes, rouges-bruns, gauchistes, islamo-gauchistes » ou pire.

Des brigades, formées de gardiens de la pensée juste, furent sponsorisées. Eux seuls avaient sur Internet le monopole du vrai. Ces manœuvres ont échoué ou sont en train de mourir : si les Gafa ne parviennent à maîtriser tous les contenus circulants sur la Toile, les Murdoch mondialisés, en France les Arnaud, Pinault, Bolloré et Bouygues, peuvent être battus. Pire, des Google et Facebook, sans censeurs, peuvent naître. Bientôt l’Internet en direct par satellite rendra difficile le jeu des ciseaux d’Anastasie.

Le spectacle de l’information télévisée est tout aussi désolant. Pas inquiétant : en France la moyenne d’âge des téléspectateurs assidus est, au premier mars 2021, de 56,1. Cela signifie que l’avenir a déserté le vieux tube pour regarder ailleurs, sur le Net. Ici les puissants ont donc perdu des plumes. Contrairement à un axiome astiqué dans les réservoirs à penser de Washington, la seule fonction d’Internet n’est pas de faciliter le mensonge. Le Net peut être son pire ennemi, l’outil démocratique qui permet de dénoncer.

Dans vingt ans restera-t-il des journalistes de presse écrite ? Par la fausse magie de « l’intelligence artificielle », alimentée par des milliers d’esclaves chargés de gaver la machine, les articles seront alors écrits par des robots. En cinq ans le Washington Post a publié plusieurs milliers de ces papiers désincarnés. En salle de rédaction, le journaliste qui surveille la machine emprunte le rôle du vigile de supermarché.

Les éditoriaux, chacun l’a constaté, exigeant une énorme mémoire vive, échappent encore à cette écriture automatique dont les surréalistes n’ont osé rêver. Un avantage, au regard du style : les robots ne peuvent écrire d’une façon plus médiocre que ce que la production actuelle nous propose. Au musée de la presse, les journalistes « écrits » vont rejoindre les linotypistes des anciennes imprimeries.

Votons donc pour une renaissance sur Internet. Cette presse numérique finira par sortir de son modèle où le travail est peu ou pas rémunéré. Qui exige de ses journalistes et contributeurs la passion de l’amateur. Pourtant, en s’installant sur la Toile, le journalisme ne peut s’exonérer de ses principes fondateurs : enquêter, donc voyager, tenir le terrain ; des impératifs coûteux.

Paradoxe : en exigeant la gratuité des sites auxquels ils sont désormais fidèles, les lecteurs sur Internet, surtout en France, ont tué un peu de leur liberté de savoir en refusant leur écot aux éditeurs pionniers. L’information gratuite ne peut exister.

Jacques Renard qui était plus grand encore que « grand reporter », un immense journaliste français, m’a dit une nuit, assis près du bar au « Village », club de Saint-Germain-des-Prés : « Tu sais, si je ne vais jamais au cinéma c’est que j’ai trop peur qu’il se passe quelque chose pendant ce temps-là ». Voilà. Pompiers d’un monde plus ou moins vaste – toute la planète ou l’accident du coin de rue – nous attendions « qu’il se passe quelque chose ».

L’information se périmait plus vite qu’une tranche de saumon, il fallait du nouveau, des nouvelles. Et les diffuser en premier. Chaque jour les quotidiens publiaient trois ou quatre éditions différentes, et une « spéciale » en cas d’évènement majeur. Les journalistes étaient peu souvent à la rédaction, plutôt sur le terrain, même si celui-ci était un bistro. Chacun savait que l’information venait du dehors, où il fallait être.

Les journalistes étaient alors des « confrères » – ils sont devenus des « collègues » –, comme dans les compagnies d’assurances. Entre nous le « tu » était obligatoire. Un exercice difficile pour qui avait vingt ans et devait tutoyer un rédacteur en chef âgé de soixante-cinq, chenu et sortant de Normale Sup. À l’intérieur d’une rédaction, même salarié, le journaliste conservait un statut d’indépendant, et il n’était pas concevable de le faire plier, les rédacteurs et reporters n’étant pas encore considérés comme des techniciens de presse.

Le métier ne s’enseignait pas dans des écoles, le recrutement se faisait à l’usage, avec jugement sur le tas. On entrait dans une rédaction, on écoutait, pour être vite expédié dans un commissariat comme pêcheur d’informations. Dix-huit mois plus tard, les tenaces devenaient journaliste, les autres filaient à la fac ou dans le commerce. Nous nous retrouvions entre gens étranges, plutôt hors société, pour certains hors de temps. Je me souviens d’un confrère auquel on avait confié un reportage à huit heures du matin, amateur de grasses matinées l’insomniaque ne s’était jamais levé si tôt.

« Le terrain, le terrain » … Celui-ci avait toujours raison et organisait les existences. Partis au Vietnam, au Liban, au Cambodge, en Afrique ou à Bruay-en-Artois, les journalistes pouvaient disparaître plusieurs mois. Partout où il se trouvait, « l’envoyé spécial », celui qui voyait les faits de ses yeux, avait toujours raison. Raison à l’heure du « bouclage » contre les avis des confrères ou rédacteurs en chef restés au bureau. La copie d’un envoyé spécial était intouchable.

Le monde de presse formait une tribu nationale ou internationale, parfois une fraternité acquise lors des coups durs partagés, moments où la vie ne valait pas cher. Ces acteurs de l’information avaient le goût de la littérature. Il fut un temps où quelques membres de cette communauté se nommaient Hemingway, Dos Passos, Steinbeck, Nizan, Camus, Malraux, Kessel, Bernanos, Gatti… Puis la littérature a divorcé d’un journalisme de moins en moins soucieux de la valeur des mots. Les nouveaux maîtres, ceux qui ont concentré la presse, ne lisaient plus des romans, mais des bilans. Le temps de cerveau disponible est devenu une unité de mesure.

Issus d’écoles spécialisées, les CV des jeunes journalistes d’aujourd’hui interpellent. Le métier n’est plus ouvert, mais fermé sur une caste totalement « bourgeoise », comme pourrait l’observer Pierre Bourdieu. Les professions des parents de ces nouveaux confrères oscillent entre industriels, avocats, médecins, architectes. Allez chercher ici un fils d’ouvrier… Mieux, puisque nous sommes entre gens de bonne naissance, le népotisme permet de caser aisément un rejeton dans la presse.

Jetez un œil sur l’audiovisuel français, et vous trouverez des homonymies qui vous démontrent que bien des étudiants en journalisme ont eu, eux aussi, « de la chance » pour reprendre Jacques Brel. Si j’insiste sur cet aspect sociologique, ce n’est pas pour rejoindre un bataillon de la lutte des classes, mais pour observer que ces « écoles de journalisme », désormais inévitables et coûteuses, ne sont pas des instituts où l’on forme des rebelles. Par deux fois, à Paris au Centre de Formation des Journalistes, j’ai été invité à évoquer le « doute ». M’inquiétant du peu d’appétit des étudiants pour Descartes, le responsable des études m’a répondu : « Tu sais, ici nous n’enseignons que des certitudes ».

En 1999 au Kosovo, placé du mauvais côté des bombes de l’OTAN, c’est-à-dire en dessous, j’ai eu à Pristina la surprise de tomber un soir, sous la lueur d’une lampe tempête, sur Régis Debray. Il avait eu le courage de venir ici. Afin de vérifier si les affirmations de presse étaient des vérités : un stade transformé en « camp de prisonniers », les Serbes « jouant au foot avec des têtes humaines », « 700 000 morts » annoncés. Tout était faux. Pour avoir écrit cela à son retour dans le Monde Diplomatique, Debray fut proscrit par l’escadron du bien. Edwy Plenel, gardien du sanctuaire, a même titré : « Adieu Régis ».

Pour avoir vérifié une information qui venait contredire la doxa, le médiologue était mis au cachot. Quittait le monde de la connaissance pour celui du complotisme moisi. Interrogé par Debray, dans sa Revue de Médiologie, je me souviens du titre donné à notre entretien : « La mort du regard ». Lui et moi en avions la preuve : envoyer un journaliste couvrir un évènement était prendre le risque de faire écrouler ce mensonge.

En 2021, quand il monte dans un avion, un envoyé spécial sait que, le temps d’un aller et retour, il ne voyage qu’afin de confirmer le contenu des éditoriaux de son patron. À quoi bon savoir ? Un ami cher vient de me souffler l’analyse ultime, celle qui résume notre moment de presse : « la vérité n’est plus qu’une opinion parmi d’autres ».

La nostalgie qui gagne, en décrivant cette vieille presse, ne doit pas masquer ses monstruosités. Le mensonge n’est pas un outil récent et les rédactions de jadis n’étaient pas le congrès des anges. Châteaubriant nous a prévenus très tôt : « Faites attention à l’histoire que l’imposture se charge d’écrire ». En 1914 L’Intransigeant nous rapportait que les balles « boches » ne tuaient pas. En 1927 La Presse affirme que Nungesser et Coli avaient « traversé l’Atlantique », alors qu’ils gisaient au fond de l’océan (rendus furieux les lecteurs auront très rapidement la peau du quotidien trompeur).

Propagande et bidonnages ne sont pas nés avec les start-ups. Mais scientifiquement mise au point dans des fabriques du mensonge, matière incubée dans des « think tanks », ou agences de « com », Pinocchio a pris de jolies formes et du poids. Avec le sérieux qui convient, la presse d’aujourd’hui ne propage plus, pour l’essentiel, que des vérités inventées. Colin Powell secouant son tube d’anthrax au Conseil de l’ONU afin de persuader l’univers que l’Irak possédait des Armes de Destruction Massive, était un créateur. Sa construction fut reprise et fortifiée par tous les médias des pays de l’OTAN, en tête les plus grands journaux des EU.

Idéale la vieille presse ? Non bien sûr. Il suffit, pour décrire le pire, de reprendre, sous forme d’ordures, les publications qui, dès 1933, ont rêvé de l’arrivée de Hitler à la Tour Eiffel. Brasillach a été le plus connu des confrères fusillés à la Libération, mais la purge a épargné (je ne réclame pas la potence, juste l’indignité à vie) trop de patrons et presse et de collaborateurs.

Citons le criminel de guerre Bousquet que l’on retrouvera dans les années cinquante dans l’équipe de direction de La Dépêche du Midi . Pour la mise à mort de la vieille presse vinrent des satrapes comme Robert Hersant, un antisémite ancien responsable d’un groupuscule pronazi. Sous Giscard, soutenu par les banques, il va racheter de grands journaux comme Le Figaro et L’Aurore. Le rideau se tire sur la liberté.

De ces lignes vous pouvez déduire que l’ancien modèle a échoué. Celui des journalistes indépendants vivant sur le terrain ? Mais non, il a été étranglé par la société du spectacle, pour citer Guy Debord. Monde où le préjugé, l’inventé, le faux doit circuler comme un virus. La communication a pris le pouvoir. Des journaux rentables, vendant à plusieurs centaines de milliers d’exemplaires (ce qui fait rêver aujourd’hui), ont été achetés pour être transformés en tracts, ancêtres du « storytelling ».

Au bout du fusil, la prise du pouvoir. En France l’objectif est double, la démolition du programme du Conseil National de la Résistance – celui qui, outre la création d’une presse qui devait être éthique, a promulgué un nouveau contrat social –, il s’agit aussi, sous la dictée de Washington et autres relais, de promouvoir une Europe épousant la forme d’une colonie des EU. Les « pères » de ce continent, supposé unifié, n’étaient-ils pas un ami de la CIA pour Jean Monnet et un ancien ministre de Pétain, pour Robert Schuman ?

Dans le passé, la devise des journalistes étasuniens était la suivante, « Affliger les puissants et réconforter les faibles ». C’est fini, au broyeur la maxime. Après avoir gobé tous les mensonges des locataires successifs de la Maison-Blanche, et à la fin cette sornette sur la Russie qui aurait truqué l’élection favorable à Trump, la presse des EU ne vit plus ses beaux jours. La pensée occidentale est au garde à vous et Savonarole peut jeter au feu celui qui dérive. Le journalisme n’est plus là pour réconforter, ou affliger, mais pour valider le choix des maîtres ; il a perdu son statut de « quatrième pouvoir ».

En 1968, après que les États-Unis ont subi la désastreuse « Offensive du Têt » au Vietnam, Walter Cronkite, présentateur du grand journal de CBS, se rend sur place. De retour au pays, il lance un édito : « quittons ce bourbier, la guerre n’est pas gagnable ». En regardant l’écran de son téléviseur le président Johnson aurait déclaré « Si j’ai perdu Cronkite, j’ai perdu l’Amérique ».

Un an plus tard, l’immense Seymour Hersh, l’icône de notre métier, révèle qu’à My Lai, au Vietnam, l’armée des EU a commis un crime de guerre en tuant plus de 400 civils. Hersh devient un héros récompensé du Prix Pulitzer. En ce printemps 2021, Hersh toujours actif après avoir multiplié les révélations depuis cinquante ans, ne trouve plus un seul journal acceptant de publier ses enquêtes.

Impossible d’écrire une ligne à propos de l’Ukraine, de la Syrie, de la Palestine par exemple, qui vienne écornifler le joli chromo accroché dans les rédactions : celui de la vérité révélée. Au travail d’un Hersh, les journaux du monde préfèrent le mensonge. Comme celui de Timisoara, une ville de Roumanie où en 1989, pour mieux abattre le tyran Ceausescu, la presse mondiale a soutenu la réalité d’un faux charnier. C’est de ce poison que la presse du monde nouveau peut mourir.

Jacques-Marie Bourget

Depuis le site ELUCID»»https://elucid.media/democratie/bourget-presse-journalisme-histoire-catastrophe/
URL de cet article 37472
https://www.legrandsoir.info/la-presse-est-morte-vive-la-presse.html




Les Canadiens non vaccinés sont en train de devenir la nouvelle minorité discriminée et persécutée

[Source : legrandsoir.info]

Par Eva BARTLETT

Au Canada, un pays soi-disant bienveillant qui se targue d’être inclusif, le totalitarisme du Covid est devenu manifeste avec la décision que bientôt seules les personnes entièrement vaccinées pourront voyager.

L’obligation de se faire vacciner a également été imposée aux travailleurs de la santé, aux employés municipaux et aux fonctionnaires fédéraux. En fait, dans le cadre de ce que le premier ministre Justin Trudeau a appelé l’une des politiques les plus strictes au monde en matière d’obligation vaccinale, les Canadiens non vaccinés sont de plus en plus restreints/exclus non seulement du travail, mais aussi de la vie sociale. On prétend que cela est fait pour leur bien-être et leur santé. Je soutiens cependant que ce n’est rien d’autre que du « fascisme médical ».

Il y a quelques mois, les médias du monde entier ont fait beaucoup de bruit lorsque le gouvernement du Canada a versé des larmes de crocodile sur l’emprisonnement, la torture, la privation de nourriture et le meurtre d’enfants autochtones dans le cadre de l’horrible système des « pensionnats ». Nous étions censés croire que le gouvernement se souciait soudainement d’une population qu’il avait toujours cherché à éliminer.

Mais, en plus des nombreux exemples qui prouvent que ce ne sont que des discours de façade, il est devenu clair, depuis plus d’un an et demi, que le gouvernement se moque bien des Canadiens, un point c’est tout.

Dans le cadre d’un des plus longs confinements au monde, les Canadiens ont vu leurs entreprises fermées, ont été privés de contact avec leurs aînés, ont été empêchés de pratiquer leur culte, d’organiser des réunion ou des fêtes pendant les vacances (alors que les dirigeants canadiens, eux, s’exemptaient des règles) et, plus grave encore, ont été privés de soins médicaux essentiels – tout cela au nom de la santé publique.

Les Canadiens, qui ont une immunité naturelle affirment qu’on leur a dit que ce n’était pas suffisant pour entrer dans le pays.

À partir du 30 octobre, seules les personnes vaccinées pourront prendre l’avion ou le train au Canada. Si un grand nombre de Canadiens se sont fait vacciner, beaucoup d’autres ont des inquiétudes légitimes quant à la sécurité des vaccins.

Lorsque le Dr Byram Bridle, professeur agrégé d’immunologie virale – un expert reconnu en vaccinologie – a refusé la vaccination parce qu’il avait une immunité naturelle, il a été tourné en dérision par les médias et renvoyé de l’Université de Guelph. Il a précisé qu’il était « un amoureux des vaccins et un innovateur dans ce domaine », mais qu’il s’inquiétait du « lien possible entre l’inflammation cardiaque qui voit apparaître et ces vaccins COVID-19 ».

Je savais déjà qu’il était peu probable, étant donné les circonstances, que je puisse rendre visite à ma famille au Canada, et les nouvelles règles du  » pas de piqûre, pas de voyage  » règlent la question en ce qui me concerne.

Mais, pour les personnes qui vivent au Canada, il ne s’agit pas seulement de la possibilité de voir des êtres chers. Pour certaines personnes, ces nouvelles règles sont une question de vie ou de mort : elles peuvent les empêcher de recevoir des soins médicaux vitaux et/ou de gagner leur vie.

C’est le cas d’une chercheuse italienne vivant au Canada depuis 2001, à qui on a diagnostiqué cette année-là une sclérose en plaques. J’ai récemment échangé avec Valentina Capurri sur la façon dont l’obligation vaccinale va l’affecter.

Elle m’a expliqué qu’à la suite de son diagnostic de sclérose en plaques, on lui avait proposé de participer au programme d’essai d’un nouveau médicament. Bien que cela soit risqué, elle avait accepté pour différentes raisons, notamment parce que cela lui assurerait les soins de santé et les médicaments qu’elle ne pouvait pas s’offrir en tant qu’étudiante internationale alors seule.

Elle m’a décrit l’importance de cet essai, qui a duré douze ans.

« De nombreuses personnes souffrant d’effets graves de la sclérose en plaque auraient pu bénéficier de ces médicaments. Malheureusement ça n’a pas été le cas parce qu’on ne peut pas administrer largement un médicament dont les effets peuvent se révéler néfastes. »

Tous les nouveaux médicaments, ou vaccins doivent habituellement passer par des essais comme celui-ci, a-t-elle souligné.

« Mais rien de tout cela n’a été fait dans ce cas précis. C’est donc ce qui m’a rendue un peu méfiante à l’égard des vaccins Covid. »

Depuis un an et demi, dit-elle, elle n’a pas été autorisée à voir son neurologue, tous les rendez-vous médicaux à son hôpital de Toronto ont été annulés et remplacés par des consultations téléphoniques. Pas de visites physiques, pas d’IRM, seulement des appels téléphoniques.

« En 2003, quand il y a eu le SRAS, j’avais l’habitude d’aller une fois par mois à l’hôpital. Malgré le fait que le SRAS avait alors un taux de mortalité beaucoup plus élevé que le Covid, nous étions quand même autorisés à entrer régulièrement à l’hôpital. Aucune de nos visites n’a été annulée à l’époque, comme c’est le cas aujourd’hui. »

Comme ni elle ni son mari canadien ne se feront vacciner, ils vont perdre leur emploi et ne pourront plus payer les médicaments onéreux dont elle a besoin.

« On me prive de mon emploi et de ma capacité à subvenir à mes besoins, simplement parce que j’exerce mon droit à ne pas subir une procédure médicale expérimentale. C’est pire que le fascisme, c’est absolument épouvantable ».

De plus, les personnes ayant besoin d’une greffe d’organe risquent maintenant de se la voir refusée s’ils ne consentent pas aux piqures obligatoires.

Parmi les autres Canadiens suspendus sans salaire pour leur refus de se faire vacciner figurent des centaines de travailleurs hospitaliers, dont des infirmières. Le genre de personnes qui ont normalement quelques connaissances dans le domaine de la santé…

Et, en août, le Dr Rochagné Kilian, médecin urgentiste et médecin de famille, a démissionné pour protester contre les pressions violentes et immorales exercées sur les Canadiens pour qu’ils se fassent piquer.

Alors que les travailleurs médicaux et les Canadiens moyens sont obligés de renoncer à leur emploi, se voient refuser des soins médicaux et sont mis au ban de la société, le gouvernement a clairement montré que l’adage : « Fais ce que je dis mais pas ce que je fais », s’applique toujours.

Le premier ministre Trudeau a déclaré que tous les travailleurs fédéraux seraient obligés de se faire vacciner, mais il s’avère que ce n’est pas le cas. Selon un article du Toronto Sun, environ 70 % de la main-d’œuvre fédérale sera exemptée de la vaccination, notamment les juges fédéraux, les inspecteurs des abattoirs, les gardiens de parc, les postiers, les contrôleurs fiscaux, le personnel de la Chambre des communes et du Sénat, les soldats, les marins et le personnel des forces aériennes, ainsi que les employés de Postes.

Le Canada ne se préoccupe même plus de logique. C’est le fascisme médical pur et simple pour la majorité des Canadiens.

Avec l’introduction de la vaccination obligatoire, ce n’est qu’une question de temps avant que le Canada n’atteigne le totalitarisme de la Lituanie, où les personnes non vaccinées sont presque totalement exclues de tous les domaines de la société.

S’il vous plaît, prenez une seconde pour vous demander s’il s’agit vraiment encore de santé publique !

Eva Bartlett est une journaliste indépendante et une militante canadienne. Elle a passé des années sur le terrain à couvrir les zones de conflit au Moyen-Orient, notamment en Syrie et en Palestine (où elle a vécu près de quatre ans). Suivez-la sur Twitter @EvaKBartlett.

Traduction : Dominique Muselet»»https://www.rt.com/op-ed/538035-unvaccinated-canadians-become-outcasts/URL de cet article 37476
https://www.legrandsoir.info/c-est-absolument-epouvantable-les-canadiens-non-vaccines-sont-en-train-de-devenir-la-nouvelle-minorite-discriminee-et.html




Des médecins demandent l’arrêt de la 5G

Par Joseph Stroberg

Traduction approximative :

La technologie 5G promet des téléchargements plus rapides et des avantages que la plupart d’entre nous n’avaient pas imaginés, mais ceci est terni par un nouveau type de rayonnements appelé « ondes millimétriques » [Ndlr : nouveau pour ce qui est du caractère artificiel et de l’exposition.]. Des experts de la santé avertissent d’un risque croissant lié au déploiement de la 5G.

« Il n’est pas encore rendu clair pour le public que la 5G ne sera pas juste un nouveau nombre et une nouvelle lettre sur le téléphone cellulaire. Cela nécessite une entièrement nouvelle infrastructure de milliers de petites antennes cellulaires qui doivent être installées dans les villes. »

Franck Clegg

À quoi ressemblerait l’infrastructure 5G : les petites antennes pourraient être placées tous les trois poteaux. Des scientifiques de 42 pays avertissent maintenant nos gouvernements à propos des problèmes émergents associés aux rayonnements du sans-fil et des scientifiques et docteurs canadiens ont ajouté leurs voix.

« Les symptômes les plus courants incluent les mots de tête, la fatigue [chronique], la difficulté de concentration (…?…), irritabilité et insomnie. L’impact sur le coeur et le système nerveux est également très préoccupant. »

Dr. Riina Bray

Docteure Riina Bray a travailler à la clinique pour la prévention des maladies chroniques environnementales pendant 15 ans et a vu croître le nombre de gens souffrant des effets des ondes électromagnétiques sur la santé.

« Nous sommes préoccupés par la prochaine introduction de la 5G qui va significativement accroître de manière significative la proximité et l’étendue de l’exposition aux micro-ondes (…?…). Nous prévoyons que le nombre de symptômes que je viens de mentionner va croître dans les endroits où la 5G a été installée en premier.

Dr. Riina Bray

La docteure Magda Havas est internationalement reconnue pour ses recherches sur les effets biologiques de la pollution électromagnétique. Elle dit qu’à de hautes intensités ces ondes causent (…?…) et souffrance, parce que les glandes sudoripares à la surface de la peau se comportent comme de mini antennes.

« À des fréquences plus basses, les scientifiques prévoient des dommages aux yeux, la diminution de populations déjà déclinantes, des effets antibiotiques sur les bactéries et des effets biologiques sur le système immunitaire et le système nerveux »

Dr. Magda Havas

Les rayonnements des ondes radio sont classés dans la même catégorie de cancérigènes que le plomb. L’un des conseillers de l’Organisation Mondiale de la Santé a dit qu’il y avait suffisamment de preuves pour réévaluer les rayonnements radiofréquence.

« Elles devraient être mises dans la classe 1, c’est-à-dire cancérigènes pour l’Homme. Et les gouvernements ne pourraient pas l’ignorer. »

Dr. Anthony Miller

Certaines personnes disent que le débat sur les effets des micro-ondes est clos, mais il reste la question de savoir si nous pouvons nous permettre de prendre ce risque. Des docteurs en médecine réclament un moratoire, le temps d’effectuer des tests sur les effets biologiques à long terme de la technologie 5G.




Arrêtez d’obéir ! Sinon cela ne s’arrêtera jamais ! Devant des Mensonges d’État, désobéir est un devoir.

[Source : businessbourse.com]

BRAVO :

« Arrêtez d’obéir…Désobéir devient un devoir…ça suffit ! Il serait temps que le peuple se réveille…Je vous dis MERDE à vous tous. Enlevez vos masques, vous nous avez bien eu avec les médias !!! »

[Voir aussi : La clef de la libération]




Tout s’explique quand on réalise qu’ils veulent nous tuer

[Source : reseauinternational.net]

par Mike Whitney.

« Il est maintenant évident que ces produits dans la circulation sanguine sont toxiques pour les humains. Un arrêt immédiat du programme de vaccination est nécessaire pendant qu’une analyse de sécurité indépendante est entreprise pour étudier toute l’étendue des dommages, qui, selon les données de la carte jaune britannique, comprennent la thromboembolie, la maladie inflammatoire multisystème, la suppression immunitaire, l’auto-immunité et l’anaphylaxie, ainsi que l’augmentation dépendante des anticorps (ADE) »

 Tess Lawrie, cabinet de conseil en médecine fondée sur les preuves.

« Car nous ne luttons pas contre la chair et le sang, mais contre les dominateurs des ténèbres de ce monde, contre la méchanceté spirituelle dans les lieux élevés ».

Éphésiens 6:12

Question : Les vaccins à ARNm ont-ils été testés sur des animaux ?

Réponse : Oui, ils l’ont été.

Q : Les essais sur les animaux ont-ils été couronnés de succès ?

R : Oui et non.

Oui, les expériences sur les souris ont montré qu’une faible dose du vaccin induit une réponse anticorps robuste à l’infection.

Mais, non, les anticorps n’ont pas été capables d’attaquer la protéine spike d’une souche différente du virus.

Q : Je ne suis pas sûr de ce que cela signifie ? Voulez-vous dire que le vaccin fournit une protection limitée contre le virus original (Wuhan), mais ne fournit pas nécessairement une protection contre les variants ?

R : C’est exact, mais c’est un peu plus compliqué que cela car, lorsque le virus change, les anticorps qui ont aidé à combattre le virus original peuvent en fait renforcer « l’infectivité » du variant. En d’autres termes, les anticorps générés par le vaccin peuvent changer de camp et accroître la gravité de la maladie. En d’autres termes, ils peuvent vous rendre plus malade ou vous tuer. Les scientifiques le savent depuis longtemps. Regardez cet extrait d’un document de recherche de 2005 :

« Un vaccin contre une souche pourrait aggraver l’infection par d’autres…

Dans cette étude, Gary Nabel, de l’Institut national des Allergies et des Maladies infectieuses, a injecté à des souris la protéine spike d’un virus SRAS prélevé sur un patient humain infecté au début de 2003. Ils ont ensuite recueilli les anticorps produits par les animaux.

Lors d’expériences en laboratoire, ils ont montré que ces anticorps étaient incapables d’attaquer la protéine spike d’une autre souche de SRAS, isolée chez un patient infecté fin 2003… L’équipe a ensuite vérifié si les anticorps pouvaient attaquer les protéines spike de deux souches de SRAS isolées chez les civettes, à partir desquelles le virus aurait été transmis à l’homme. Dans ce cas, ils ont trouvé des indices montrant que les anticorps renforçaient en fait la capacité du virus à infecter les cellules…

Les résultats montrent que le virus évolue dans le temps, de sorte qu’une souche apparaissant dans une épidémie peut être très différente de celle d’une épidémie ultérieure. « Ce virus n’est pas immobile et nous devons en tenir compte », déclare Nabel.

Il est donc possible qu’un vaccin contre une souche du virus du SRAS se révèle inefficace contre d’autres. Pire encore, un vaccin contre une souche pourrait même aggraver une infection par le virus du SRAS provenant de civettes ou d’une autre espèce. « C’est évidemment une préoccupation », déclare Nabel.

Ce ne serait pas le premier cas où l’exposition à une souche d’un virus peut aggraver une infection par une autre ».(([1] « Caution raised over SARS vaccine », Nature))

Q : Je suis toujours confus. Pouvez-vous résumer ce qu’ils disent ?

R : Bien sûr. Ils disent que les scientifiques savent depuis près de deux décennies que les vaccins qui ne visent qu’une seule protéine sont voués à l’échec. Ils disent que la protéine spike est hautement adaptable et capable de changer de forme pour survivre. Ils affirment que les vaccins visant la protéine spike produiront inévitablement des variants qui échapperont aux anticorps générés par le vaccin. Ils affirment qu’en limitant le vaccin à la seule protéine spike, les entreprises pharmaceutiques ont fait en sorte que des anticorps auparavant utiles fassent volte-face, permettent au virus de pénétrer dans les cellules saines, de se répliquer à volonté et de provoquer la maladie ou la mort. Ils affirment que la gamme actuelle de vaccins perpétue en fait la pandémie. Et puisque la science est claire depuis 16 ans, nous pouvons ajouter une autre observation à la liste, à savoir que l’approche actuelle de la vaccination de masse n’est ni hasardeuse, ni bâclée, ni aléatoire. Elle est intentionnelle. Les responsables de la campagne de vaccination ignorent délibérément les données scientifiques afin de maintenir un état de crise permanent. La science est manipulée pour atteindre un objectif politique.

Q : Je pense que vous exagérez, mais j’aimerais revenir aux essais sur les animaux au lieu de discuter de politique. Comme vous le savez probablement, les rapports des médias ne correspondent pas à votre analyse. En fait, tous les articles des médias mainstream disent que les essais sur les animaux ont été un succès retentissant. Voici un court texte que j’ai trouvé aujourd’hui et qui confirme ce que je dis :

« … la vaccination de primates non humains avec le vaccin à ARNm a induit une activité neutralisante robuste du SRAS-CoV-2 et notamment une protection rapide dans les voies aériennes supérieures et inférieures… »

(Covid-19, NIH.gov)

Q : Suggérez-vous que les auteurs mentent ?

R : Non, ils ne mentent pas. Ils ne vous disent simplement pas toute la vérité, et vous devez connaître toute la vérité pour pouvoir prendre une décision éclairée. Les vaccins offrent une certaine protection (temporaire). Nous ne le contestons pas. Ils déclenchent également une forte réponse immunitaire. Nous ne le contestons pas non plus. Mais quelle différence cela fait-il ? Laissez-moi vous expliquer : Disons que vous avez un gros rhume et que vous prenez un nouveau médicament qui, selon vous, soulagera la douleur. Et, bien sûr, une heure après avoir pris les pilules, votre congestion et votre mal de tête ont complètement disparu. C’est fantastique, non ? Non, car vous ne vous rendez pas compte que le médicament contient de la strychnine à action lente qui vous tuera trois jours plus tard. Vous pensez toujours que c’était une bonne idée de prendre ce médicament ?

Bien sûr que non. Et la même règle s’applique à ces vaccins qui, en fait, renforcent vos anticorps et vous procurent une « immunité » éphémère. Mais ils peuvent aussi vous tuer. Ne pensez-vous pas que cela devrait être pris en compte dans votre décision ? N’oubliez pas que des personnes sont mortes 3, 4, 5 semaines après l’inoculation sans aucun avertissement préalable. Beaucoup d’entre eux auraient même pu être gorgés d’anticorps, mais ils sont quand même morts. Vous voyez le problème ?

Q : D’accord, mais il y a toujours cette question des essais sur les animaux. Les médias disent que les compagnies pharmaceutiques ont effectué les essais sur les animaux et qu’ils ont été couronnés de succès. Êtes-vous en désaccord avec cela ?

R : Ils n’ont pas été couronnés de succès et les « vérificateurs de faits » qui ont été engagés pour discréditer les critiques des vaccins comme moi, ont délibérément déformé ce qui s’est passé dans les essais. Par exemple, voici un article typique des « vérificateurs de faits » intitulé « Les vaccins COVID-19 n’ont pas sauté les essais sur les animaux à cause des décès d’animaux » par Reuters. En voici un extrait :

« Les articles affirmant que les producteurs de vaccins COVID-19 ont abandonné les essais sur les animaux en raison de la mort de ces derniers sont faux. Pfizer-BioNTech, Moderna et Johnson & Johnson, qui ont reçu une autorisation d’utilisation d’urgence de la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis, ont tous mené des essais sur des animaux et n’avaient aucun problème de sécurité important à signaler ».

Cela semble rassurant, non ? Mais ensuite, ils disent :

« En raison des contraintes de temps et de l’urgence de trouver un vaccin contre le COVID-19, Moderna et Pfizer ont reçu l’autorisation de mener simultanément les essais sur les animaux et les premiers essais sur les humains, au lieu de terminer complètement les essais sur les animaux avant de passer aux essais sur les humains. Cela ne signifie toutefois pas que les essais sur les animaux aient été ignorés ou que la sécurité des vaccins ait été compromise ».

Laissez-moi voir si j’ai bien compris : Les entreprises pharmaceutiques étaient tellement pressées qu’elles ont mené leurs essais minimaux sur les animaux en même temps que leurs essais sur les humains (ce qui est sans précédent), puis elles ont envoyé les résultats à la FDA pour qu’elle les approuve et les fasse passer en vertu de l’autorisation d’utilisation d’urgence ?

Est-ce ainsi que les choses se sont passées ?

Oui.

Mais si les résultats ont été transmis à la hâte en quelques mois, alors les « vérificateurs de faits » admettent tacitement qu’il n’y a pas de données de sécurité à long terme. Il n’y a pas de données de sécurité à long terme, et il n’y a pas non plus de tentative de réfuter les recherches des essais précédents où les furets, les souris et d’autres animaux sont morts après l’injection de vaccins à ARNm. Ils ne le nient pas, ils l’ignorent simplement comme si le fait de le balayer sous le tapis allait tout faire disparaître. Voici un extrait du document de recherche auquel Reuters fait référence dans son article :

« Nous démontrons que les vaccins candidats… induisent respectivement de fortes réponses immunitaires spécifiques de l’antigène chez les souris et les macaques… Les deux (vaccins) ont protégé des macaques âgés de 2 à 4 ans contre une infection par le SRAS-CoV-2, et la détection de l’ARN viral a été réduite chez les macaques immunisés par rapport à ceux qui ont reçu une solution saline ». (Note – Nous avons déjà reconnu que les vaccins produisent une forte réponse immunitaire)

« Les TGM neutralisants ont diminué au jour 56 (35 jours après la dose 2), ce qui correspond à la phase de contraction ; cependant, ils sont restés bien au-dessus des TGM du panel de sérums humains. La durée de l’étude n’était pas assez longue pour évaluer le taux de déclin pendant la phase de plateau de la réponse anticorps ».(([2] « Les vaccins BNT162b protègent les macaques rhésus contre le SRAS-CoV-2 », Nature))

Vous voyez ce qui se passe ? L’essai n’a duré que 56 jours, en fait, aucun des essais sur les animaux n’a dépassé 56 jours. Réfléchissez-y une minute. La raison pour laquelle les animaux sont morts lors des essais précédents est qu’ils ont été exposés à une version mutée du virus (sauvage) qui a fini par les tuer. C’est ainsi que fonctionne l’ADE (amélioration dépendante des anticorps). Cela ne se produit pas du jour au lendemain, ni en 56 jours. Il faut beaucoup plus de temps que cela pour qu’une version mutée du virus émerge et réinfecte l’hôte. Les compagnies pharmaceutiques le savent. Elles ne sont pas stupides. Donc le fait que les animaux aient eu une forte réponse immunitaire n’est absolument pas pertinent. Nous SAVONS qu’ils ont eu une forte réponse immunitaire. Nous savons également qu’ils sont morts quelques mois plus tard lorsqu’une souche différente du virus a émergé. Conclusion : La production d’anticorps ne signifie pas qu’un médicament est sûr.

Le but évident de ces essais était de faire passer les vaccins avant que quiconque ne comprenne ce qui se passait. C’est pour la même raison que les sociétés pharmaceutiques ont « levé l’insu » sur leurs essais sur l’homme après que les vaccins aient reçu le feu vert de la FDA. Peu après la fin des essais, les personnes du groupe placebo ont été autorisées à se faire vacciner.

Pourquoi ont-ils fait cela ? Pourquoi vacciner les personnes qui ont accepté d’être des cobayes pour le bien de la santé publique, pour ensuite les vacciner peu de temps après, éliminant ainsi toute chance de découvrir les problèmes de sécurité à long terme ? Cela n’a aucun sens, n’est-ce pas ?

Jetez un coup d’œil à ce court extrait du British Medical Journal, les scientifiques sont tout aussi déconcertés :

« Bien que la FDA ait accordé aux vaccins une autorisation d’utilisation d’urgence, deux années de données de suivi sont nécessaires pour obtenir une autorisation complète. Or, ces données risquent d’être peu nombreuses et moins fiables, étant donné que les essais sont effectivement réalisés en aveugle.

Le représentant des consommateurs, Sheldon Toubman, avocat et membre du comité consultatif de la FDA, a déclaré que Pfizer et BioNTech n’avaient pas prouvé que leur vaccin prévenait les cas graves de Covid-19. « La FDA dit que tout ce que nous pouvons faire, c’est suggérer une protection contre le Covid sévère ; nous devons savoir si c’est le cas », a-t-il déclaré.

Il a répondu aux affirmations selon lesquelles, d’après l’expérience acquise avec d’autres vaccins, un suivi de six semaines était suffisant pour détecter des signaux de sécurité. Six semaines ne sont peut-être pas suffisantes pour ce type entièrement nouveau de vaccin [ARNm] « non testé », a déclaré Toubman.

Goodman souhaite que toutes les entreprises soient tenues de respecter les mêmes normes et affirme qu’elles ne devraient pas être autorisées à inventer leurs propres règles. Il a déclaré au BMJ que, même s’il était « très optimiste » à propos des vaccins, « faire sauter les essais » en autorisant la levée de l’insu « établira une norme de facto pour tous les essais de vaccins à venir ». Et cela, a-t-il dit, « est dangereux ».(([3] « Covid-19 : Should vaccine trials be unblinded ? » The British Medical Journal))

Aimez-vous son choix de mots : « faire sauter les essais » ? Pensez-vous que c’est une description juste de ce que les compagnies pharmaceutiques ont fait ?

Oui, c’est exactement ce qu’elles ont fait.

Et quel motif possible aurait les compagnies pharmaceutiques pour faire sauter les essais ? Je ne vois que deux possibilités :

  • Ils pensent que leur vaccin est tellement génial qu’il sauvera la vie de nombreuses personnes du groupe placebo.
  • Ils s’attendent à ce qu’un pourcentage élevé des personnes du groupe vacciné tombent gravement malades ou meurent, et ils veulent donc cacher les preuves de dommages liés au vaccin.

Qu’est-ce que c’est ?

Vous connaissez la réponse. Tous ceux qui regardent cette farce connaissent la réponse.

Q : Ok, alors allons droit au but : Les vaccins sont-ils sûrs ou non ?

R : Non, ils ne sont pas sûrs. Pour décider si un médicament est sûr ou non, nous le soumettons à un processus rigoureux de tests et d’essais cliniques. Après les tests, les données sont transmises à des médecins, des statisticiens, des chimistes, des pharmacologues et d’autres scientifiques qui les examinent et formulent leurs recommandations ou leurs critiques. Cela ne s’est pas produit avec les vaccins Covid, en fait, toutes les normes et tous les protocoles normaux ont été suspendus au nom de « l’urgence ». Mais beaucoup pensent que « l’urgence » a été fabriquée pour faire passer des vaccins qui n’auraient jamais été approuvés sur leurs propres mérites. Il suffit de consulter les données sur les blessures causées par les vaccins (VAERS) pour se rendre compte qu’il s’agit de l’intervention médicale la plus meurtrière de tous les temps et, pourtant, les experts en santé publique, les médias et le gouvernement ne cessent de clamer qu’ils sont « sûrs et efficaces ». C’est absurde et les compagnies pharmaceutiques le savent, c’est pourquoi elles rejettent toute responsabilité pour les personnes qui vont être tuées par ces « injections mortelles ».

Savez-vous ce qui se passe dans votre corps après l’injection d’un de ces vaccins « à base de gènes » ?

Une fois que le vaccin pénètre dans la circulation sanguine, il pénètre dans les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins, les obligeant à produire des protéines spike qui font saillie dans la circulation sanguine comme des millions d’épines microscopiques. Ces épines activent les plaquettes sanguines qui déclenchent la coagulation du sang, suivie peu après d’une réponse immunitaire qui détruit les cellules infectées, affaiblissant ainsi le système vasculaire tout en drainant la réserve de lymphocytes tueurs. De cette façon, le vaccin lance une double attaque contre l’infrastructure critique de l’organisme, causant des dommages tissulaires étendus dans tout le système circulatoire tout en laissant le système immunitaire moins apte à repousser une future infection.

Si vous pensez que vous pouvez avoir une vie longue et heureuse sans un système circulatoire fonctionnel, alors rien de tout cela n’a d’importance. Mais si vous êtes assez intelligent pour comprendre que faire des ravages sur votre système vasculaire est la voie rapide vers le cimetière, alors vous comprendrez probablement que l’administration de ces « injections de poison mortel » est une très mauvaise idée.

D’ailleurs, il est exagéré d’appeler ces injections hybrides des « vaccins ». Elles ont autant de points communs avec un vaccin traditionnel qu’un python avec une table basse. Rien. Le surnom de « vaccin » a été choisi pour renforcer la confiance du public, c’est tout. Cela fait partie d’une stratégie marketing. Il n’y a pas de réelle similitude. La majorité des gens font confiance aux vaccins et les considèrent comme un exemple brillant de réussite médicale. Les compagnies pharmaceutiques voulaient profiter de cette confiance et l’utiliser à leurs propres fins. C’est pourquoi ils l’ont appelé « vaccin » au lieu de « thérapie génique », qui décrit plus précisément ce qu’il fait. Mais comme nous l’avons dit, c’est juste une stratégie de marketing.

Vous êtes-vous déjà demandé comment les compagnies pharmaceutiques ont pu lancer leurs propres vaccins à quelques semaines d’intervalle ? C’est un sacré tour de passe-passe, ne pensez-vous pas, d’autant que le développement d’un vaccin prend généralement de 10 à 15 ans. Comment pensez-vous qu’ils y soient parvenus ? Voici un extrait d’un article qui fournit un peu d’information sur le sujet :

« Le virus à l’origine de l’épidémie qui a débuté à Wuhan, en Chine, a été identifié le 7 janvier. Moins d’une semaine plus tard – le 13 janvier – les chercheurs de Moderna et du NIH avaient une proposition de séquence pour un vaccin ARNm contre ce virus et, comme l’a écrit la société dans des documents gouvernementaux, « nous nous sommes mobilisés pour la fabrication clinique ». Le 24 février, l’équipe expédiait des flacons d’une usine de Norwood, dans le Massachusetts, au National Institute of Allergy and Infectious Diseases, à Bethesda, dans le Maryland, en vue d’un essai clinique destiné à tester l’innocuité du vaccin ».(([4] « Des chercheurs s’empressent de tester le vaccin contre le coronavirus chez l’homme sans savoir s’il fonctionne bien chez l’animal », Stat))

C’est noté ? « Le virus s’est déclaré à Wuhan… le 7 janvier, et moins d’une semaine plus tard, Moderna a proposé une séquence pour un vaccin à ARNm contre ce virus.

Vraiment ? S’agit-il de la même société Moderna qui s’est amusée avec l’ARNm pendant plus d’une décennie, mais qui n’a jamais réussi à mettre un vaccin sur le marché ?

Oui, la même société. Voici la suite :

« Et le 24 février, l’équipe expédiait des flacons depuis une usine à Norwood, Massachusetts… »

Wow ! Un autre miracle du Covid ! On a presque le tournis en voyant ces entreprises produire leurs « médicaments miracles » à une vitesse record.

N’oubliez pas qu’il y a une très forte probabilité que le virus ait été créé par l’homme (en d’autres termes, il s’agit d’une arme biologique) et que les personnes qui ont été impliquées dans le financement et la création de cette arme biologique sont également étroitement liées aux grandes entreprises pharmaceutiques qui ont produit l’antidote en un temps record, ce qui a déjà rapporté des dizaines de milliards de dollars de bénéfices pour un médicament pour lequel il n’y a eu aucun test fiable sur les animaux, aucune donnée de sécurité à long terme et aucune approbation réglementaire officielle.

Donc je vous le redemande : Est-ce que tout cela ne semble pas un peu suspect ?

Est-il vraiment si difficile de voir l’ébauche d’un programme politique ici ? Après tout, les entreprises pharmaceutiques ne travaillent-elles pas avec les agences de réglementation, qui travaillent avec les responsables de la santé publique, qui travaillent avec les médias, qui travaillent avec les politiciens corrompus, qui travaillent avec les agences de renseignement, qui travaillent avec les milliardaires mondialistes qui se mêlent de tout, qui travaillent avec les sociétés de capital-investissement géantes qui supervisent l’ensemble de l’opération et tirent les ficelles appropriées chaque fois que cela est nécessaire ?

On dirait bien que oui.

Et les changements sociaux tectoniques auxquels nous avons assisté l’année dernière n’ont-ils pas plus à voir avec une vaste campagne de terre brûlée lancée par la « classe parasite » contre le reste de l’humanité qu’avec un virus relativement bénin qui tue principalement des personnes âgées et fragiles souffrant de multiples problèmes de santé ?

Oui, encore une fois. En fait, beaucoup ont remarqué les fissures dans l’artifice de la pandémie depuis le tout début, tout comme beaucoup ont souligné que le thème du virus n’est que le masque derrière lequel les parasites continuent de mener leur projet de restructuration mondiale. En bref, il s’agit de politique, de politique du Nouvel Ordre Mondial qui ne fait pas de quartier.

Vous avez posé un certain nombre de questions sur les essais sur les animaux, mais aucune sur les études de biodistribution et de pharmacocinétique qui ont été réalisées en même temps. Comment cela se fait-il ? (Note : la pharmacocinétique est la branche de la pharmacologie qui s’intéresse au mouvement des médicaments dans l’organisme).

Q : Je ne savais pas qu’il y en avait. Les médias en ont-ils parlé ?

R : Non, ils n’en ont pas parlé. Ils les ont complètement ignorés, bien qu’ils aient été réalisés par Pfizer et qu’ils fournissent des informations essentielles sur l’endroit où la substance contenue dans le vaccin se déplace dans le corps, en quelles quantités et pendant combien de temps. En sachant comment le médicament est distribué, il est possible de faire des hypothèses éclairées sur son effet sur les organes et autres tissus. En d’autres termes, ces études sont inestimables. Les Doctors for Covid Ethics ont effectué des recherches approfondies sur ces études et ont rédigé un rapport intitulé « Le vaccin ARNm de Pfizer : pharmacocinétique et toxicité ». Voici quelques extraits qui permettent d’illustrer les dangers des vaccins :

« Comme pour tout médicament, un élément clé de la toxicité des vaccins à ARNm anti-covid est de savoir où ils se retrouvent exactement dans l’organisme et pendant combien de temps ils y restent. Ces questions, qui relèvent de la pharmacocinétique, font généralement l’objet d’une étude approfondie au cours du développement du médicament. Les études initiales sur la pharmacocinétique et aussi sur la toxicité sont effectuées sur des animaux… ce document a des implications assez importantes : il montre que Pfizer – ainsi que les autorités qui ont eu connaissance de ces données – devait avoir reconnu les risques graves d’effets indésirables après la vaccination avant même le début des essais cliniques. Néanmoins, les propres essais cliniques de Pfizer n’ont pas permis de contrôler les risques cliniques qui ressortaient clairement de ces données, et les autorités réglementaires n’ont pas appliqué les normes de surveillance appropriées. Ce double échec a causé le préjudice le plus grave au public…

Que présagent les données animales de Pfizer quant aux effets biologiques chez l’homme ?

  • Apparition rapide de la protéine spike dans la circulation.
  • Toxicité pour les organes dont on s’attend à ce que le taux de pénétration soit élevé, en particulier le placenta et les glandes mammaires en lactation.
  • La pénétration de certains organes pourrait être plus élevée avec le vrai vaccin qu’avec ce modèle à base de luciférase… L’entrée rapide du vaccin modèle dans la circulation signifie que nous devons nous attendre à ce que la protéine spike soit exprimée dans la circulation, en particulier par les cellules endothéliales (endothéliales – la fine couche de cellules qui tapisse les vaisseaux sanguins). Nous avons vu auparavant que cela conduira à l’activation de la coagulation du sang par l’activation directe des plaquettes et aussi, ce qui est probablement plus important, par l’attaque immunitaire des cellules endothéliales…

Résumé

Les données animales de Pfizer laissaient clairement présager les risques et dangers suivants :

  • coagulation du sang peu après la vaccination, pouvant entraîner des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et des thromboses veineuses
  • atteinte grave à la fertilité féminine
  • grave préjudice pour les nourrissons allaités
  • toxicité cumulative après de multiples injections

À l’exception de la fertilité féminine, qui ne peut tout simplement pas être évaluée dans le court laps de temps pendant lequel les vaccins ont été utilisés, tous les risques susmentionnés ont été corroborés depuis que les vaccins ont été déployés – tous sont manifestes dans les rapports des différents registres d’événements indésirables. Ces registres contiennent également un nombre très important de rapports d’avortements et de mortinaissances peu après la vaccination, qui auraient dû susciter une enquête urgente…

L’élimination très lente des lipides cationiques toxiques est particulièrement préoccupante. Chez les personnes auxquelles on injecte de façon répétée des vaccins à ARNm contenant ces lipides… il en résulterait une toxicité cumulative. Il existe une réelle possibilité que les lipides cationiques s’accumulent dans les ovaires. Le risque grave pour la fertilité féminine qui en découle exige l’attention la plus urgente du public et des autorités sanitaires.

Les soi-disant essais cliniques ayant été menés avec une telle négligence, les véritables essais n’ont lieu que maintenant – à grande échelle et avec des résultats dévastateurs. … Il est grand temps de mettre fin à cette expérience ratée. La poursuite, voire l’obligation, de l’utilisation de ce vaccin toxique, ainsi que la délivrance apparemment imminente d’une autorisation totale pour celui-ci, sont des crimes contre l’humanité ».(([5] « Le vaccin à ARNm de Pfizer : pharmacocinétique et toxicité », The Doctors for Covid Ethics))

Ne pensez-vous pas que les gens ont le droit de savoir ce que le gouvernement veut injecter dans leur corps ? Ne pensez-vous pas qu’ils ont le droit de savoir comment cela affectera leur système immunitaire, leurs organes vitaux et leur santé en général ? Ne pensez-vous pas qu’ils ont le droit de décider eux-mêmes des médicaments qu’ils prendront et de ceux qu’ils refuseront de prendre ?

Forcer quelqu’un à prendre un médicament qu’il ne veut pas, ce n’est pas seulement mal. C’est anti-américain. C’est pourquoi les gens devraient rejeter les mandats de vaccination par principe. Ils sont une attaque contre la liberté individuelle, le fondement de notre système constitutionnel. C’est un principe qui vaut la peine que l’on meure pour lui.

Quant à la campagne de vaccination de masse, c’est le projet le plus maniaquement génocidaire jamais concocté par l’homme. Il n’y a tout simplement aucun moyen de calculer la quantité de souffrance et de mort à laquelle nous sommes sur le point d’être confrontés pour avoir fait confiance à des personnes dont les politiques ont manifestement été façonnées par leur haine pure de l’humanité. Comme l’a dit le microbiologiste allemand Dr. Sucharit Bhakdi :

« Au final, nous allons assister à des maladies et des décès en masse parmi des personnes qui, normalement, auraient eu de merveilleuses vies devant elles ».

C’est une grande tragédie.

source : https://www.unz.com

traduit par Réseau International





La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 1)

Par Arthur Firstenberg,

auteur de The Invisible Rainbow: A History of Electricity and Life
[L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie]

[Voir :
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 2)
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 3)]


En 1995, l’industrie des télécommunications se préparait à introduire un nouveau produit dangereux aux États-Unis : le téléphone cellulaire numérique. Les téléphones cellulaires existants étaient analogiques et coûteux. Ils appartenaient surtout à des personnes fortunées et n’étaient utilisés que quelques minutes à la fois. Nombre d’entre eux étaient des téléphones de voiture dont les antennes se trouvaient à l’extérieur de la voiture, pas dans la main ni à côté du cerveau. Les téléphones cellulaires ne fonctionnaient que dans les grandes villes ou à proximité. Les quelques tours cellulaires qui existaient se trouvaient pour la plupart au sommet de collines, de montagnes ou de gratte-ciel, et non à proximité des habitations.

Le problème pour l’industrie des télécommunications en 1995 était la responsabilité. Les rayonnements micro-ondes sont nocifs. Les téléphones cellulaires allaient endommager le cerveau de tout le monde, rendre les gens obèses et donner à des millions de personnes le cancer, des maladies cardiaques et le diabète. Et les tours de téléphonie cellulaire allaient endommager les forêts, anéantir les insectes, torturer et tuer les oiseaux et la faune.

Tout cela était connu. Des recherches approfondies avaient déjà été menées aux États-Unis, au Canada, en Union soviétique, en Europe de l’Est et ailleurs. Le biologiste Allan Frey, sous contrat avec la marine américaine, était tellement alarmé par les résultats de ses études sur les animaux qu’il refusait de faire des expériences sur les humains. « J’en ai trop vu », a-t-il déclaré à ses collègues lors d’un symposium en 1969. « J’évite très soigneusement de m’exposer moi-même, et ce depuis un certain temps déjà. Je n’ai pas l’impression de pouvoir emmener des gens dans ces champs et les exposer et, en toute honnêteté, leur indiquer qu’ils entrent dans quelque chose de sûr. »

M. Frey a découvert que les micro-ondes endommagent la barrière hématoencéphalique — la barrière protectrice qui empêche les bactéries, les virus et les produits chimiques toxiques d’entrer dans le cerveau et maintient l’intérieur de la tête à une pression constante, empêchant ainsi les accidents vasculaires cérébraux. Il a découvert que les personnes et les animaux peuvent entendre les micro-ondes. Il a découvert qu’il pouvait arrêter le cœur d’une grenouille en synchronisant les impulsions de micro-ondes à un moment précis du rythme cardiaque. Le niveau de puissance qu’il a utilisé pour cette expérience n’était que de 0,6 microwatt par centimètre carré, soit des milliers de fois moins que le rayonnement des téléphones portables actuels.

L’ophtalmologiste Milton Zaret, qui avait des contrats avec l’armée, la marine et l’armée de l’air américaines, ainsi qu’avec la Central Intelligence Agency, a découvert dans les années 1960 que les micro-ondes de faible niveau provoquent des cataractes. En 1973, il a témoigné devant le Comité du commerce du Sénat des États-Unis. « Il existe un danger clair, présent et toujours croissant », a-t-il déclaré aux sénateurs, « pour l’ensemble de la population de notre pays en raison de l’exposition à toute la partie non ionisante du spectre électromagnétique. Les dangers ne peuvent être surestimés… » Zaret a parlé au comité de patients qui avaient non seulement des cataractes causées par l’exposition aux micro-ondes, mais aussi des tumeurs malignes, des maladies cardiovasculaires, des déséquilibres hormonaux, de l’arthrite et des maladies mentales, ainsi que des problèmes neurologiques chez leurs enfants. Ces patients allaient du personnel militaire exposé au radar aux ménagères exposées à leur four à micro-ondes.

« La norme de fuite des fours à micro-ondes fixée par le Bureau de la santé radiologique », a-t-il déclaré au comité, « est environ 1 milliard de fois supérieure à la totalité du spectre des micro-ondes émis par le Soleil. Il est consternant que ces fours soient autorisés à fuir, et encore plus que les publicités pour les fours encouragent nos enfants à s’amuser en apprenant à cuisiner avec eux ! » La norme de fuite des fours à micro-ondes, aujourd’hui en 2021, est la même qu’en 1973 : 5 milliwatts par centimètre carré à une distance de 5 centimètres. Et les niveaux d’exposition du cerveau aux micro-ondes de tous les téléphones portables utilisés aujourd’hui sont plus élevés que cela.

À l’époque, la marine exposait les soldats à des micro-ondes de faible intensité dans le cadre de recherches menées à Pensacola, en Floride. Faisant écho à Frey, Zaret a déclaré que ces expériences étaient contraires à l’éthique. « Je ne crois pas qu’il soit possible », a-t-il déclaré à la commission sénatoriale, « d’obtenir le consentement éclairé et sans réserve d’un jeune adulte qui accepte d’être exposé à une irradiation dont on ne sait pas exactement quel sera le résultat final… De plus, les enfants qu’il aura un jour pourront souffrir de cette irradiation ». Il a souligné à nouveau les problèmes éthiques que pose cette recherche : « Je pense que si on leur expliquait tout cela et qu’ils se portaient quand même volontaires pour ce projet, on s’interrogerait d’emblée sur leur capacité mentale. »

Les scientifiques qui faisaient des expériences sur les oiseaux étaient tout aussi alarmés par leurs résultats et ont émis des avertissements sur les effets environnementaux des radiations que notre société déversait sur le monde, qui étaient tout aussi terribles que les avertissements lancés au Congrès par Milton Zaret et les avertissements lancés à la marine par Allan Frey.

À la fin des années 1960 et tout au long des années 1970, John Tanner et ses collègues du Conseil national de la recherche du Canada ont exposé des poulets, des pigeons et des mouettes aux micro-ondes et ont constaté des effets effrayants à tous les niveaux d’exposition. Les poulets exposés à des doses comprises entre 0,19 et 360 microwatts par centimètre carré pendant neuf mois ont développé des tumeurs du système nerveux central et une leucose aviaire — également un type de tumeur — des ovaires, des intestins et d’autres organes qui, chez certains oiseaux, ont atteint des « proportions massives », à une « échelle jamais vue auparavant par les vétérinaires expérimentés dans les maladies aviaires ». La mortalité était élevée chez les oiseaux irradiés. Tous les oiseaux exposés, à tous les niveaux de puissance, avaient un plumage détérioré, avec des plumes perdues, cassées ou avec des tiges tordues et cassantes.

Dans d’autres expériences, au cours desquelles ces chercheurs ont irradié des oiseaux à une puissance plus élevée, les oiseaux se sont effondrés de douleur en quelques secondes. Cela se produisait non seulement lorsque l’oiseau entier était irradié, mais aussi lorsque seules les plumes de la queue étaient irradiées et que le reste de l’oiseau était soigneusement protégé. Au cours d’autres expériences, ils ont prouvé que les plumes des oiseaux constituaient d’excellentes antennes de réception pour les micro-ondes et ont émis l’hypothèse que les oiseaux migrateurs pouvaient utiliser leurs plumes pour obtenir des informations directionnelles. Ces scientifiques ont averti que l’augmentation des niveaux de micro-ondes ambiantes causerait de la détresse aux oiseaux sauvages et pourrait interférer avec leur navigation.

Maria Sadchikova, qui travaillait à Moscou, Václav Bartoniček et Eliska Klimková-Deutshová, qui travaillaient en Tchécoslovaquie, et Valentina Nikitina, qui a examiné des officiers de la marine russe, ont constaté, dès 1960, que la majorité des personnes exposées aux micro-ondes dans le cadre de leur travail — même celles qui avaient cessé de le faire cinq à dix ans auparavant — avaient un taux de sucre élevé dans le sang ou dans l’urine.

Les expériences sur les animaux ont montré que les rayonnements interfèrent directement avec le métabolisme et qu’ils le font rapidement. En 1962, V.A. Syngayevskaya, à Leningrad, a exposé des lapins à des ondes radio de faible intensité et a constaté que la glycémie des animaux avait augmenté d’un tiers en moins d’une heure. En 1982, Vasily Belokrinitskiy, à Kiev, a signalé que la quantité de sucre dans l’urine était directement proportionnelle à la dose de rayonnement et au nombre de fois où l’animal était exposé. Mikhail Navakitikian et Lyudmila Tomashevskaya ont rapporté en 1994 que le taux d’insuline diminuait de 15 % chez les rats exposés pendant une demi-heure seulement, et de 50 % chez les rats exposés pendant douze heures à un rayonnement pulsé d’une puissance de 100 microwatts par centimètre carré. Ce niveau est comparable au rayonnement qu’une personne reçoit aujourd’hui en s’asseyant directement devant un ordinateur sans fil, et nettement inférieur à ce que le cerveau d’une personne reçoit d’un téléphone portable.

Ce ne sont là que quelques-unes des milliers d’études menées dans le monde entier à l’époque, qui ont révélé les effets profonds des micro-ondes sur tous les organes humains, ainsi que sur le fonctionnement et la reproduction de toutes les plantes et de tous les animaux. Le lieutenant Zory Glaser, chargé par la marine américaine en 1971 de répertorier la littérature mondiale sur les effets des micro-ondes et des radiofréquences sur la santé, a rassemblé 5 083 études, manuels et actes de conférence en 1981. Il a réussi à trouver environ la moitié de la littérature existant à cette époque. Ainsi, environ 10 000 études avaient prouvé que les micro-ondes et les radiofréquences étaient dangereuses pour toute forme de vie, et ce dès avant 1981.

Cuire votre ADN et griller vos nerfs

Au début des années 1980, Mays Swicord, qui travaillait au National Center for Devices and Radiological Health de la Food and Drug Administration, a décidé de vérifier son hypothèse selon laquelle l’ADN absorbe de manière résonante les micro-ondes et que même un très faible niveau de rayonnement, bien que ne produisant aucune chaleur mesurable dans le corps humain dans son ensemble, peut néanmoins chauffer votre ADN. Il a exposé une solution contenant une petite quantité d’ADN à un rayonnement micro-ondes et a constaté que l’ADN lui-même absorbait 400 fois plus de rayonnement que la solution dans laquelle il se trouvait, et que les différentes longueurs de brins d’ADN absorbent par résonance différentes fréquences de rayonnement micro-ondes. Ainsi, même si la température globale de vos cellules n’est pas augmentée à un degré détectable par le rayonnement, l’ADN à l’intérieur de vos cellules peut être énormément chauffé. Les recherches ultérieures de Swicord ont confirmé que cela endommageait l’ADN, provoquant des cassures d’ADN à simple et double brin.

Le professeur Charles Polk, de l’université de Rhode Island, a fait un rapport similaire lors de la vingt-deuxième réunion annuelle de la Bioelectromagnetics Society en juin 2000 à Munich, en Allemagne. Des mesures directes ont récemment montré que l’ADN est beaucoup plus conducteur d’électricité qu’on ne le soupçonnait : il a une conductivité d’au moins 105 siemens par mètre, soit environ 1/10 de la conductivité du mercure ! Un téléphone portable tenu à la tête peut irradier le cerveau à un débit d’absorption spécifique (DAS) d’environ 1 watt par kilogramme, ce qui produit un faible réchauffement global. Polk a cependant calculé que ce niveau de rayonnement augmenterait la température à l’intérieur de votre ADN de 60 degrés Celsius par seconde ! Il a déclaré que les tissus ne peuvent pas dissiper la chaleur aussi rapidement et qu’un tel échauffement romprait les liens entre les brins complémentaires d’ADN, ce qui expliquerait les ruptures d’ADN signalées dans diverses études.

En 2006, Markus Antonietti, de l’Institut Max Planck en Allemagne, s’est demandé si un type similaire d’absorption résonante se produisait dans les synapses de nos nerfs. Les téléphones portables sont conçus de manière à ce que les rayonnements qu’ils émettent ne chauffent pas votre cerveau de plus d’un degré Celsius. Mais que se passe-t-il dans le minuscule environnement d’une synapse, où des ions chargés électriquement participent à la transmission de l’influx nerveux d’un neurone à l’autre ? Antonietti et ses collègues ont simulé les conditions régnant dans les synapses nerveuses avec de minuscules gouttelettes de graisse dans de l’eau salée et ont exposé les émulsions à un rayonnement micro-ondes à des fréquences comprises entre 10 MHz et 4 GHz. Comme prévu, les fréquences d’absorption résonantes dépendaient de la taille des gouttelettes et d’autres propriétés de la solution. Mais c’est la taille des pics d’absorption qui a choqué Antonietti.

« Et maintenant vient la tragédie », a déclaré Antonietti. « Exactement là où nous sommes les plus proches des conditions du cerveau, nous voyons le plus fort réchauffement. Il y a cent fois plus d’énergie absorbée que ce que l’on pensait auparavant. C’est une horreur. »

Les efforts de l’EPA pour protéger les Américains

Face à un barrage de résultats scientifiques alarmants, l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA) a créé son propre laboratoire de recherche sur les rayonnements micro-ondes qui a fonctionné de 1971 à 1985 avec jusqu’à 30 employés à temps plein exposant des chiens, des singes, des rats et d’autres animaux aux micro-ondes. L’EPA a été tellement troublée par les résultats de ses expériences qu’elle a proposé, dès 1978, d’élaborer des lignes directrices sur l’exposition humaine aux micro-ondes afin qu’elles soient adoptées et appliquées par d’autres agences fédérales dont les activités contribuaient à l’épaississement rapide du brouillard de pollution électromagnétique dans notre pays. Mais ces agences se sont montrées réticentes.

La Food and Drug Administration ne voulait pas que les limites d’exposition proposées s’appliquent aux fours à micro-ondes ou aux écrans d’ordinateur. La Federal Aviation Administration ne voulait pas avoir à protéger le public des radars de contrôle du trafic aérien et des radars météorologiques. Le ministère de la Défense ne voulait pas que les limites s’appliquent aux radars militaires. La CIA, la NASA, le ministère de l’Énergie, les garde-côtes et Voice of America ne voulaient pas avoir à limiter l’exposition du public à leurs propres sources de rayonnement.

Enfin, en juin 1995, alors que l’industrie des télécommunications prévoyait de mettre des appareils à rayonnement micro-ondes dans les mains et à côté du cerveau de chaque homme, femme et enfant, et d’ériger des millions de tours et d’antennes cellulaires dans les villes, villages, forêts, réserves naturelles et parcs nationaux de tout le pays afin de faire fonctionner ces appareils, l’EPA a annoncé qu’elle allait publier la phase I de ses directives d’exposition au début de 1996. La Commission fédérale des communications aurait été tenue d’appliquer ces directives, les téléphones cellulaires et les tours cellulaires auraient été illégaux, et même s’ils n’avaient pas été illégaux, les entreprises de télécommunications auraient été exposées à une responsabilité illimitée pour toutes les souffrances, les maladies et la mortalité qu’elles étaient sur le point de causer.

Mais il n’en a rien été. L’Electromagnetic Energy Association, un groupe de pression de l’industrie, a réussi à empêcher la publication des directives d’exposition de l’EPA. Le 13 septembre 1995, le Comité sénatorial des crédits a supprimé les 350 000 $ qui avaient été budgétés pour le travail de l’EPA sur ses directives d’exposition et a écrit dans son rapport : « Le Comité estime que l’EPA ne devrait pas s’engager dans des activités liées aux CEM. »

La Personal Communications Industry Association (CTIA), un autre groupe industriel, a également fait pression sur le Congrès, qui était en train de rédiger un projet de loi appelé Telecommunications Act, et une disposition a été ajoutée à la loi interdisant aux États et aux gouvernements locaux de réglementer les « installations de services sans fil personnels » sur la base de leurs « effets environnementaux ». Cette disposition a protégé l’industrie des télécommunications de toute responsabilité pour les blessures causées par les tours et les téléphones cellulaires et a permis à cette industrie de vendre au public américain la technologie la plus dangereuse jamais inventée. Les gens n’étaient plus autorisés à parler de leurs blessures à leurs élus lors d’audiences publiques. Les scientifiques n’étaient plus autorisés à témoigner devant les tribunaux sur les dangers de cette technologie. Tous les moyens permettant au public de découvrir que la technologie sans fil les tuait ont été soudainement interdits.

L’industrie des télécommunications a tellement bien réussi à vendre cette technologie qu’aujourd’hui, le foyer américain moyen contient 25 appareils différents qui émettent des micro-ondes et l’Américain moyen passe cinq heures par jour sur son téléphone portable, l’a dans sa poche à côté de son corps le reste de la journée et dort avec toute la nuit dans ou à côté de son lit. Aujourd’hui, presque tous les hommes, femmes et enfants tiennent un appareil à micro-ondes dans leur main ou contre leur cerveau ou leur corps toute la journée, sans se rendre compte de ce qu’ils font à eux-mêmes, à leur famille, à leurs animaux domestiques, à leurs amis, à leurs voisins, aux oiseaux dans leur cour, à leur écosystème et à leur planète. Ceux qui sont même conscients qu’il y a un problème ne voient que les tours comme une menace, et leur téléphone comme un ami.

(à suivre) 


[Voir aussi : dossier
5G et ondes pulsées]




Explosion de la science et de la morale

Par Patriarcat Catholique Byzantin (PCB)

Les médias produisent chaque jour des nouvelles de plus en plus choquantes : il doit y avoir un passeport de vaccination et cela à cette date ; le Ministre de la Santé rapporte « la population, y compris les nouveau-nés, doit aussi avoir un passeport génétique… », etc., etc.

Personne ne demande quelle est la menace, qui la fait progresser et quel est son objectif. On sait seulement que quiconque désobéira sera expulsé de la société. Les mesures insensées et pénales prises par le gouvernement sont acceptées sans examen de leurs conséquences.

Les armes nucléaires constituent la plus grande menace de destruction massive. Ce qui se passe aujourd’hui, cependant, est un moyen encore plus efficace d’autodestruction massive et totale de l’humanité.

À quoi bon la science et la technologie lorsqu’elles sont entre les mains de criminels intelligents et cyniques qui cherchent non seulement à exterminer l’humanité, mais aussi à perturber la nature humaine en tant que telle ? Sans conscience et sans principes moraux, la science et la technologie conduisent à l’autodestruction de l’humanité. Le puçage est introduit afin de contrôler les gens de façon totale, et pas seulement pour contrôler, mais aussi pour dégrader les gens dans les médias du système, ou en robots biologiques. Il s’agit vraiment de diaboliser l’humanité et de créer un enfer sur Terre, qui culminera dans un enfer après la mort.

La question de la moralité interpersonnelle dépend de la pureté morale. La promotion de l’immoralité ne conduit pas à la liberté, mais à l’esclavage des passions et, finalement, au crime. Le paradoxe est que c’est le Concile de Vatican II qui a ouvert la porte à ce processus de démoralisation en établissant le respect du paganisme. Les hérésies du modernisme ont perturbé une relation vivante avec Dieu. Sans cette relation, la moralité décline. La moralité est la base d’une famille saine, et donc de la société saine. Elle conduit à la vraie liberté.

Dans les années 1960, le boom du yoga et des arts martiaux entraîna l’expansion du paganisme. Leurs méditations sont intrinsèquement liées à l’hindouisme et au bouddhisme païens. Ces méditations incluent la conscience et nient Dieu le Créateur et Son salut, qui est en Christ. Dans les cultes païens, il n’y a ni amour pour Dieu, ni amour pour le prochain. Le paganisme est fondamentalement basé sur l’occultisme, c’est-à-dire diverses formes de divination, de magie et de spiritualisme, qui ouvrent les âmes aux démons et conduisent au satanisme. Cela entraîne un déclin complet de la conscience et de toute morale.

Dans les années 1970, Kinsey commença à promouvoir la pédophilie et l’homosexualité. Pendant cette période d’invasion de l’immoralité, l’institution de la famille fut bouleversée. Les divorces se produisaient en masse parce que les principes moraux et les racines à partir desquelles la moralité se développait avaient été sapés. Un boom de la télévision commença dans les années 1960, et bientôt, il n’y eut presque plus de film sans contenu immoral.

Le tournant du millénaire a été marqué par une propagande gay extrême, et ces dernières années, nous avons été témoins d’une idéologie du genre qui entraîne la légalisation de toutes sortes de perversions, et en même temps d’un changement massif dans l’esprit humain. L’irréalité est considérée comme une réalité, le bon sens est punissable et la conscience est complètement éliminée. La distinction entre le bien et le mal, la vérité et le mensonge est floue, et l’existence de normes morales objectivement valides est niée, même par le soi-disant pape François.

Les paradigmes ont été changés. Le but caché est l’autodestruction de l’humanité et, après la mort, la damnation de chaque individu en enfer. Dans cette situation, chacun doit résister au système d’autodestruction, même au prix du martyre.

Cette idéologie de la bête apocalyptique, qui a le pouvoir entre ses mains, abuse de toutes les réalisations de la science et de la technologie pour la programmation globale du mal. L’application de cette voie de mort est basée sur des mensonges et des manipulations professionnels. La guerre autodestructrice actuelle est guidée par le principe : croyez en vous, mentez et détruisez ! Nous devons savoir que ce programme compte sur la racine génétique du mal – si — qui est en chaque être humain. Par conséquent, Dieu s’est fait homme afin d’obtenir pour nous le pardon des péchés et de nous délivrer de cette source du mal, le péché originel — l’ancien moi (Rm 6, 6). Il est nécessaire que nous recevions le Sauveur et sa voie de vérité et d’amour désintéressé pour Dieu et le prochain.

Connaître la vérité est profondément lié aux principes moraux. Une personne qui mène une vie immorale devient spirituellement aveugle et cynique. Elle commettra elle-même des crimes et les légalisera, se faisant ainsi du mal à elle-même et aux autres. Ce n’est pas une chose innocente. La morale est la base de la véritable autocritique, qui rend une personne capable d’admettre la racine du mal en elle-même, ainsi que son système d’auto-tromperie, et de s’y opposer. Ce n’est qu’alors qu’elle pourra accepter le plan de Dieu pour sa vie et son accomplissement dans le bonheur éternel après la mort.

Aucune responsabilité, aucune justice, aucun comportement honnête ne peut être attendu d’une personne immorale. L’immoralité va de pair avec le déclin des vertus. Le canal vers la plus grande immoralité est le retour au paganisme — c’est-à-dire le retour au culte des démons et du diable, et en même temps à la perversion morale, et même au sacrifice humain. C’est ce à quoi nous sommes parvenus aujourd’hui. C’est de la cruauté envers les enfants à grande échelle. Tout est-il en train d’être adopté ? Ces crimes sont appelés « droits de l’enfant ». Pour être moral et consciencieux, il faut acquérir l’abnégation : le sacrifice. Le sens et le but de la vie humaine ne sont pas authentiques : cela ne se termine pas avec la mort.

Quel changement de mentalité a eu lieu au cours du dernier demi-siècle ? Cela a commencé avec la popularisation de l’immoralité, qui a progressivement conduit à la promotion de la perversion (Kinsey : pédophilie et homosexualité), et cela a finalement été suivi d’un passage de la réalité à l’irréalité (idéologie transgenre). La distinction entre le bien et le mal a cessé d’exister. La société post-chrétienne a alors pu accepter le système colossal du mensonge, tel que nous le voyons aujourd’hui. Un autogénocide de masse est en cours sous couvert de la « santé ».

Quelle est la solution ? Pas la foi dans les mensonges ou les menteurs, mais la Metanoe : un changement d’avis et une croyance en l’Évangile ! (Matthieu, 1:15).

Patriarcat Catholique Byzantin (PCB)

Le 9 juillet 2021

Explosion de la science et de la morale

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Coronacircus — Plus on est intelligent, moins on se vaccine

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

Par Thomas T. Siler, M.D. American Thinker

Il y a une campagne de propagande massive contre ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner contre Covid-19 avec les vaccins expérimentaux à ARNm. Les médias grand public, les grandes entreprises technologiques et nos gouvernements ont combiné leurs efforts pour récompenser la conformité et pour humilier et marginaliser la non-conformité. Leur mantra dit qu’il s’agit d’une pandémie causée par les non-vaccinés. Ces derniers sont décrits comme des personnes inintelligentes, égoïstes et paranoïaques qui ne lisent pas beaucoup et vivent isolées dans un parc à roulottes dans des banlieues paumées. Jamais, de mémoire d’Homme, il n’y a eu un tel effort pour les manipuler par la peur et les pénaliser afin de les obliger à suivre un traitement médical expérimental.

Cependant, au fur et à mesure que le temps passe avec cette pseudo pandémie et que de plus en plus de données s’accumulent sur le virus et le vaccin, les non-vaccinés semblent de plus en plus intelligents chaque semaine qui vient. Il a été démontré maintenant que les vaccinés attrapent et propagent le virus encore plus que les non-vaccinés.[1] Les données sur les effets secondaires des vaccins continuent de s’accumuler, ce qui rend le risque de prendre le vaccin prohibitif à mesure que la pandémie diminue.[2] Les médicaments oraux et intraveineux qui fonctionnent tôt dans le traitement du Covid-19 sont beaucoup plus attrayants à prendre maintenant, car les risques du vaccin sont de plus en plus connus, en particulier parce que les vaccinés auront besoin de rappels sans fin tous les six mois.

Tout d’abord, abordons l’intelligence des non-vaccinés. L’hésitation à la vaccination est multifactorielle et varie avec le niveau d’éducation ou d’intelligence. L’Université Carnegie Mellon a réalisé une étude évaluant l’hésitation à la vaccination à tous les niveaux d’éducation. Selon l’étude, quel est le niveau d’éducation avec le plus d’hésitation à la vaccination ?doctorat niveau Ph. D.! De toute évidence, les scientifiques capables de lire les données et d’évaluer les risques sont parmi les moins susceptibles de prendre les vaccins à ARNm.

L’affirmation selon laquelle il y a une pandémie chez les non-vaccinés est donc manifestement fausse. Comme l’a récemment demandé une infirmière à la retraite de Californie : « Pourquoi les protégés doivent-ils être protégés des non-protégés en forçant les non-protégés à utiliser la protection qui ne protége pas les protégés en premier lieu ? ». Si le vaccin agit pour prévenir l’infection, alors les vaccinés n’ont rien à craindre. Si le vaccin ne prévient pas l’infection, les vaccinés restent exposés à un certain risque et les non-vaccinés seraient moins susceptibles de choisir un vaccin qui ne fonctionne pas bien.

L’efficacité du vaccin à ARNm est très étroite et se concentre sur la souche alpha originale de Covid-19. En ciblant un groupe d’antigènes sur la protéine de pointe, cela aide la souche alpha d’origine, mais il est clair maintenant qu’elle ne protège pas contre la souche Delta et ne protège probablement pas contre les futures souches qui pourraient circuler. Il semble également que l’efficacité diminue en 4 à 6 mois, ce qui conduit à des discussions sur les boosters (rappels).

Plusieurs auteurs ont souligné que la vaccination avec un vaccin « qui fuit » lors d’une pandémie pousse le virus à s’échapper et à créer des variantes. Si le rappel n’est qu’une autre itération du même vaccin, il n’aidera probablement pas contre la nouvelle souche, mais produira plutôt une pression évolutive sur le virus pour produire encore plus de variantes et nous exposer à plus d’effets secondaires. Pourquoi, alors, cette stratégie de rappel pour tout le monde est-elle poursuivie ?

Ce vaste essai clinique de phase 3 de vaccins à ARNm auquel les Américains participent principalement par peur ne se passe pas bien. Il est tout à fait clair pour quiconque défend la santé publique que le programme de vaccination doit être arrêté. L’Islande vient de cesser de donner le vaccin Moderna, ce qui est un bon pas dans la bonne direction. La Suède, le Danemark et la Finlande ont interdit le vaccin Moderna à toute personne de moins de 30 ans.
VAERS, notre système de déclaration des effets indésirables des vaccins, a révélé au début de cette semaine 16 000 décès, 23 000 invalidités, 10.000 IM/myocardite, 87 000 visites de soins d’urgence, 75 000 séjours à l’hôpital et 775 000 événements indésirables au total. Le système VAERS est bien connu pour sous-déclarer les événements, avec environ 90 à 99 % des événements qui n’y sont pas signalés.[3]

Eudravigilance, le système de déclaration européen associe désormais 26 000 décès (chiffre réel entre 2,3 et 2,6 millions) à proximité immédiate de l’administration du vaccin. Les données des lanceurs d’alerte du système CMS (graphiques Medicare) ont montré près de 50 000 décès dans le groupe Medicare peu de temps après le vaccin (chiffre réel entre 4,5 et 5 millions).

Un programme de suivi basé sur l’IA appelé Project Salus suit également la population de Medicare et montre que les bénéficiaires de Medicare vaccinés ont de moins bons résultats semaine après semaine, dans le type d’amélioration de la dépendance aux anticorps (ADE Antibody Dependent Enhancement). Cela se produit lorsque les anticorps du vaccin accélèrent réellement l’infection, entraînant une aggravation des résultats de l’infection au Covid-19. L’amélioration dépendante des anticorps a déjà eu lieu avec des essais d’autres vaccins contre le coronavirus chez les animaux. Le CDC et la FDA suppriment ces données ; et les personnes qui reçoivent le vaccin n’ont pas un véritable consentement éclairé.

La déclaration de Rome compte 6700 signataires médicaux attestant que la gestion de la pandémie constitue des crimes contre l’humanité pour avoir refusé le meilleur traitement médical et pour avoir continué à plaider en faveur de vaccins nocifs. Les preuves sont juste devant les Américains pour mettre fin à la propagande et à la psychose des masques de masse.

Le récit médiatique de la peur perpétuelle s’effondre. La Norvège, la Suède et le Danemark ont mis fin à toutes les restrictions liées au Covid et se portent bien mieux que les États-Unis, le Royaume-Uni et Israël, trois pays qui continuent de vacciner pendant la pandémie. Le Mexique, le Guatemala, l’Indonésie, la quasi-totalité de l’Afrique et certaines parties de l’Inde ont de faibles taux de vaccination et se portent bien mieux que les États-Unis, ce qui est attribué à leur gestion de la pandémie en utilisant l’ivermectine.

Plus de 500 000 personnes ont assisté au rallye de motos Sturgis en août et il n’y a pas eu de super propagation de Covid-19. La saison de football a commencé en août et les stades à travers le pays sont remplis de 80 000 fans hurlant sans masques. Il n’y a pas eu d’événements de super contamination, mais les étudiants sont obligés de retourner au masquage en classe. Cela n’a aucun sens.

Si le vaccin est si important, pourquoi nos chefs de gouvernement n’ont-ils pas à le prendre ? Actuellement, 13 États démocrates avec des taux de vaccination élevés ont les taux de «cas» les plus élevés (en utilisant un test PCR défectueux), tandis que les États républicains s’en sortent tous mieux. Comment cela peut-il arriver ?

Il devrait être clair que le gouvernement a manipulé Covid pour créer une peur perpétuelle, afin que nous lui laissions donc notre liberté. Dans cette bataille géante entre notre gouvernement et les non-vaccinés, j’espère que suffisamment de gens refuseront de se conformer comme des moutons pour que nous puissions nous unir pour arrêter cette folie.

Source : The Unvaccinated Are Looking Smarter Every Week

by Thomas T. Siler, M.D. American Thinker


NOTES de H. Genséric

[1] L’Afrique, test géant pour la chloroquine. Comparaisons des mortalités Covid entre l’Afrique et l’Europe
Témoignage d’un directeur de Pompes funèbres. Covid est un vaste programme d’euthanasie des vieux et de mutilation des jeunes
Bulletin mensuel de la terreur Covid planétaire et de la vaccination au 25 Septembre 2021
La « chasse aux sorcières » contre les médecins honnêtes s’intensifie

[2] Le vaccin Covid. Sourds, aveugles, morts cérébrales : 5 640 décès et 780 000 effets secondaires
Plus d’un million d’effets secondaires du vaccin en Europe reconnus par l’OMS
Les vaccins ARNm Covid-19 sont les produits médicaux les plus mortels jamais fabriqués par l’Homme
USA. Selon les statistiques officielles, les vaccins Covid-19 tuent 78 fois plus que les vaccins standards
La dangerosité des nouveaux vaccins anti-Covid est un fait historique

[3] Si VAERS ne déclare que de 1 % à 10 % des cas réels, nous pouvons conclure que les chiffres réels sont les suivants :

ChiffresOfficiels VAERS Chiffres réels (en millions)
minimum Maximum
Décès 16 000 1,44 1,6
Invalidités 23 000 2,07 2,3
IM/Myocardites 10 000 0,9 1,0
Urgences 87 000 7,83 8,7
Hospitalisations 75 000 6,75 7,5
Évènements indésirables 775 000 69,75 77,5

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Hannibal Genséric




L’église évangélique sous les restrictions ?

Par Paul Gosselin

Depuis le début de la crise du covid, les restrictions cognent fort au niveau de la vie des individus, de la vie sociale, mais aussi dans le vécu des églises. Eh oui, ces circonstances nous forcent à réfléchir sérieusement au rapport entre l’Église et l’État. Examinez un moment la citation de Patrick Poole, décrivant les circonstances de la montée du nazisme en Allemagne et réfléchissons aux parallèles avec notre époque, autant pour la société en générale que pour l’Église.

Alors que le parti nazi allemand gagnait en puissance au cours des années 1930, il s’est nourri de l’idéologie anti-chrétienne qui avait fleuri en Europe au cours du XIXe siècle. La domination politique des nazis en Allemagne et le règne personnel d’Adolf Hitler étaient le résultat direct des idées qui n’avaient cessé de croître dans le sol de la pensée allemande moderne. Les philosophies d’Emmanuel Kant, George Hegel, Ludwig Feuerbach, Karl Marx et Frédéric Nietzsche ont ouvert la voie au régime nazi en érodant la vision chrétienne du monde qui avait soutenu la culture allemande pendant des siècles. Mais cette révolution ne s’arrêta pas à la philosophie ; elle se refléta dans la musique, le cinéma et les arts ; elle s’exprima dans le système éducatif qui produisait désormais des légions de jeunes Allemands acquis aux principes du nazisme ; elle supprima l’Église chrétienne, la contraignant à la clandestinité ou la corrompant et la mettant au service du Troisième Reich ; et elle opprima tous les groupes ethniques et sociaux qui ne satisfaisaient aient pas aux critères de la race maîtresse aryenne de Hitler. Cette hégémonie culturelle était appliquée par les troupes de choc idéologiques du nazisme, les chemises brunes SA, qui exerçaient une violence sur tous ceux qui n’acceptaient pas le joug de l’idéologie nazie.

Traduction de
POOLE, Patrick (2006) Christian Worldview and Changing Culture. pp. 4-13 Christianity & Society – Vol. xvi, no. 1 (page 5)
https://static1.squarespace.com/static/54257f24e4b070e908068067/t/58383dd9d1758eee1e732aa3/1480080863631/Volume+16+No+1.pdf

En effet on voit dans notre époque la même intolérance qui s’installe en Occident (ce qu’on appelait « le monde civilisé »), le même refus de dialogue, refus qui conduit aux menaces et diverses formes d’intimidation (sans exclure la violence) à l’égard de ceux qui ne partagent pas l’idéologie officielle… particulièrement à l’égard de ceux qui oserait la critiquer.

Et après avoir digéré ces parallèles entre 2021 et les années 1930 en Allemagne, prenez le temps de digérer ce sondage (proposé par Caldron Pool, un site évangélique néo-zélandais) qui examine la réaction des églises en Australie (et ailleurs…) aux restrictions liées au Covid :

Report and Commentary: Church and COVID Vaccination Survey: « Our survey shows that many people will subject themselves to a medical treatment that they consider potentially unsafe, in order to win back political freedom. This ought to send chills down the spine of anybody who cherishes the ideals of liberal democracy. » (Caldron Pool – 19/10/2021)
https://caldronpool.com/report-and-commentary-church-and-covid-vaccination-survey/

Et pour une traduction sommaire Ggl :

https://caldronpool-com.translate.goog/report-and-commentary-church-and-covid-vaccination-survey/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=nui


Mon nom est Paul Gosselin. Je vis au Québec. Puisque je refuse de me convertir à la religion Covidiste, on m’interdit de manger dans les restaurants, de voyager en avion et en train, d’assister aux événements culturels et généralement de participer à la vie sociale. Je ne peux même pas sortir du pays ou visiter mes vieux parents dans un foyer. Bientôt on va m’interdire d’assister aux cérémonies religieuses et me coller une étoile jaune ?? Mais, même si on me réduit au statut de citoyen de seconde classe, sans doute on ne va pas hésiter à continuer de me taxer à 100 %…

Site :
https://www.samizdat.qc.ca




Le Frexit : une nécessité aussi stratégique que tactique

[Source : AgoraVox]

Par Laurent Herblay

Fin août, Henri Temple a publié un papier intéressant sur le site de Front Populaire se demandant si, finalement, nous ne pouvions pas retrouver notre souveraineté sans passer par le Frexit. Si le mécanisme qu’il propose est précis et élégant, je pense malheureusement qu’il serait insuffisant pour reprendre le plein contrôle de notre destin. En outre, je crois que seul un discours clair et ferme de Frexit unilatéral et immédiat pourra un jour rassembler une majorité des Français.

Retourner l’arme du droit contre l’Union Européenne

Après avoir rappelé les étapes clés de la déconstruction de notre souveraineté, il souligne que la Cour de Karlsruhe mène déjà une forme de guérilla juridique avec l’ordre de l’UE, contestant le bien-fondé des programmes de création monétaire de la BCE, ce que la cour constitutionnelle polonaise fait également. Comme un certain nombre de candidats à la présidentielle, Zemmour, LR, Le Pen, ou Mélenchon, Il propose de pousser le combat sur le terrain juridique en « tranchant la question de la hiérarchie des normes  », en remettant notre Consitution au-dessus des traités, lois et jurisprudences de l’UE à travers une réforme constitutionnelle qui serait soumise à référendum, et qui contiendrait des verrous pour protéger la souveraineté de notre pays. L’objectif est de « libérer la France du carcan bruxellois (…) sans pour autant tenter l’aventure du Frexit qui serait fatale à la belle idée européenne  ».

Non seulement il propose de rendre « coupable de crime contre la Nation ou trahison quiconque porterait atteinte aux principes du préambule de la Constitution  » mais il propose d’imposer un référendum sur tout « traité qui ne serait pas applicable sans une modification ou une atteinte à la Constitution  », tout en abaissant le seuil de saisie du Conseil constitutionnel. Il propose d’ajouter que « la constitution est la loi suprême du peuple français. Aucune règle, même internationale ou européenne ne peut s’imposer à la constitution du peuple français. Tout manquement à cette règle entraîne la nullité ou l’inexistence de plein droit de tout acte contraire, la mise en cause pénale du chef de l’état, des membres du gouvernement, ainsi que toute autorité institutionnelle, y compris judiciaire, ou étrangère ».

Dans l’absolu, cette démarche peut sembler séduisante. Après tout, cela revient à répondre au droit par le droit, les modifications proposées, même si elles parlent de forfaiture, semblent pouvoir recueillir un large assentiment des Français. De manière étonnante, cette démarche rappelle le « bouclier constitutionnel » que propose Michel Barnier sur les questions migratoires pour mettre en place son moratoire sur l’immigration. Un souverainiste et un ancien commissaire européen proposent aujourd’hui des démarches similaires pour desserrer la camisole juridique européenne. Mais même en supposant que ces dispositifs juridiques puissent être mis en place, et soient acceptés par nos partenaires européens, je persiste à penser que cela est encore largement insuffisant sur le fond, et aussi sur la forme.

Le besoin d’une rupture complète avec l’UE

Car même s’il est sans doute possible de défaire par le droit une partie de ce que l’UE a fait, je crains que le parapluie constitutionnel proposé par Henri ne nous protège que d’une petite partie du déluge réglementaire, législatif et jurisprudentiel de l’UE. La Constitution ne pourrait sans doute pas nous protéger de l’ensemble des mauvaises idées poussées par l’UE, comme la privatisation du transport ferroviaire, ou les innombrables alinéas nocifs d’un traité commercial comme le CETA. Les mailles du filet constitutionnel ne sont, logiquement, pas très serrées, puisqu’elles ont permis des politiques radicalement différentes, du programme commun de la gauche en 1981, aux privatisations qui ont suivi. Or, tout le problème de l’UE est justement d’avoir construit un ordre juridique aux mailles beaucoup plus fines.

Je crains qu’un tel dispositif laisse une trop grande partie des politiques néfastes menées depuis plus de 30 ans en place, à moins de sombrer dans les mêmes travers que l’UE, et graver dans notre Constitution de nombreuses politiques contradictoires avec l’UE mais qui pourraient alors être protégées. Et de même que je dénonce la quasi-constitutionnalisation d’une ligne politique que je refuse dans les traités européens, je refuse de constitutionnaliser les politiques que je souhaite. C’est une démarche antidémocratique, et je refuse d’avoir recours à ces mêmes instruments. En outre, il serait probablement très long et difficile de créer assez de boucliers constitutionnels contre les politiques de l’UE…

Car en s’en tenant à notre Constitution actuelle, on pourrait craindre que si quelques politiques néfastes de l’UE pouvaient être refusées, on risquerait d’en conserver la grande majorité ? La remise en cause d’un accord commercial par ce biais ne serait-elle pas aussi lente que hasardeuse, d’autant plus que cela donnerait un immense pouvoir d’interprétation à des juges qui pourraient décider de trancher dans le sens de l’UE. En outre, en répondant au droit par une couche supplémentaire de droit, cela revient à légitimer la prise de pouvoir de la légalité juridique sur la légitimité politique. Bref, sur le principe, comme pratiquement, une telle voie me semble dangereuse. En outre, qu’y a-t-il à perdre à couper totalement et rapidement avec l’UE ? Pour un pays comme la France, avec un lourd déficit commercial avec ses partenaires, une monnaie trop chère pour notre économie, et une forte contribution financière à l’ensemble, il n’y a aujourd’hui strictement rien à perdre à emprunter le chemin d’un Frexit unilatéral et immédiat.

L’UE ne nous a jamais apporté le moindre poids sur la scène internationale, du fait de ses contradictions profondes, et de sa soumission à l’agenda étatsunien. Aucune des politiques mises en place ne profite à notre pays, le dernier plan de relance trouvant le moyen de nous coûter près de deux fois plus qu’il nous rapporte tout en nous infligeant de nouvelles contraintes. Avec l’UE, la France est toujours perdante et nous avons besoin de revenir à une monnaie nationale sous l’autorité démocratique du politique pour retrouver des marges de manœuvre. Il serait également illusoire de vouloir lutter contre la désertion fiscale au sein d’une UE qui compte 3 des 5 premiers parasites de la planète selon Gabriel Zucman. Seul le Frexit permet de rayer aisément toutes les règles ou normes qui nous déplaisent.

Le besoin d’un discours et d’un mandat clair

Plus globalement, comme le montre la surprenante proximité de proposition entre Henri Temple et Michel Barnier, se pose également la question de la clarté du mandat obtenu. Si les souverainistes optent pour un discours moins clivant en rejetant le Frexit, et en tentant d’utiliser d’autres outils pour retrouver des marges de manœuvre, il y a le risque de finir par tenir le même discours que celui des partisans de l’UE, dont le bilan calamiteux les contraint toujours à prendre des distances en campagne, même s’ils rentrent dans le rang après les élections. Ce faisant, entre des euro-béats s’affichant un peu sceptiques et des sceptiques ne se voulant pas trop clivants, la différence devient ténue, ce qui pose un double problème, stratégique, sur la réalité du changement possible, et tactique, sur lequel je reviendrai après.

Stratégiquement, le problème de la démarche moins clivante, c’est qu’elle revient aussi à obtenir un mandat moins fort de rupture avec l’UE, à peine différent des mandats un peu critiques que sollicitent les partis traditionnels. Dès lors, surtout dans une démarche reposant sur le droit, cela risque de ne pas permettre de rassembler une majorité de vrai changement, en permettant d’inclure des critiques trop légers de l’UE, tout en laissant aux juges la capacité de ne remettre en cause qu’à la marge la direction de l’UE, puisque le droit repose sur des interprétations qui n’iraient pas forcément dans le sens d’une profonde remise en question de la direction prise par l’UE. Cela ressemble beaucoup à la voie prise par Alexis Tsipras, qui, sans mandat de rupture clair, a fini par mener les politiques qu’il dénonçait avant

Bien sûr, dans un raisonnement classique, on peut classer les citoyens d’un soutien sans faille à l’UE jusqu’à une volonté de rupture immédiate. Et dans cette vision, adopter un discours plus modéré semble le seul moyen pour réunir une majorité, en réunissant partisans du Frexit et critiques de l’UE qui ne souhaitent pas en partir. Mais un tel raisonnement me semble avoir deux limites. Je ne suis pas du tout convaincu par le caractère plus rassembleur d’une ligne plus modérée. L’expérience Trump, ou le Brexit, montrent aussi que la radicalité d’une idée peut être le moyen de mobiliser des personnes particulièrement critiques des politiques menées depuis des années. Une position plus modérée, c’est aussi un discours proche de ceux qui ont été au pouvoir, ce qui pourrait aboutir à perdre les citoyens les plus radicaux, tout en ayant du mal à convaincre les modérés tant le discours finit par se rapprocher de celui des partisans de l’UE.

Aujourd’hui, je pense que stratégie et tactique se rejoignent. Il y a un besoin stratégique d’obtenir un mandat clair de rupture, pour le Frexit, afin ne pas être englué pendant des mois ou des années dans des négociations sans pouvoir véritablement changer les choses. Mais je pense également qu’une ligne forte et dure, un Frexit unilatéral et rapide, est aussi la meilleure chance pour les souverainistes de parvenir à émerger en 2022, surtout alors que Mélenchon, Le Pen et Zemmour ont enterré l’idée. Car comment espérer exister face à ces poids lourds sans l’axe fort et différenciant que peut être le Frexit. Entre des alternatifs critiques de l’UE et des partis traditionnels eux aussi critiques, la modération est un piège qui revient à renoncer à émerger pendant la campagne, à moins d’avoir une autre grande idée.

En outre, pour que 40 % des Français aient dit vouloir voter « oui » à un Frexit à froid en 2019 dans un sondage, et près de 50 % aient voté au premier tour de la présidentielle 2017 en faveur d’un candidat proche de l’idée, il faut croire que cette idée n’est pas si marginale, et peut au contraire rassembler très largement, pour peu qu’elle soit portée par la bonne personne, dans les bonnes conditions, sans doute un rassemblement souverainiste. Il y a largement assez de Français très favorables au Frexit pour émerger dans la campagne de 2022. Et il ne faut pas croire que les 60 % qui disaient qu’ils voteraient « non » sont perdus à jamais. Il y a probablement chez une part significative une forme de résignation à l’UE, perçue comme à peine moins pire que le Frexit. Mais ceux qui sont insatisfaits des politiques menées depuis longtemps pourraient sauter le pas en 2022, surtout dans un combat face à Emmanuel Macron.

Bien sûr, aujourd’hui, la perspective d’un partisan du Frexit qui bouleverse l’élection de 2022 peut sembler très peu probable. Le temps qui passe n’aide pas et il faut reconnaître que ce n’est pas le scénario le plus probable. Mais c’est probablement parce que cette idée semble hors du jeu qu’elle est forte, car l’attachement à l’UE est aujourd’hui très faible. Et derrière la petite minorité de fanatiques, il y a une grande majorité de déçus, dont une frange qui ne souhaite pas encore sortir pourrait être convaincue. Le chemin de l’autre Europe ne mènera pas loin : il a trop été pris dans le passé et a trop déçu. Si le chemin du Frexit dur semble plus difficile, c’est parce que le sujet semble très impopulaire, ce qu’il n’est pas en réalité. Et c’est le seul chemin qui nous permettrait un changement fort et rapide, en s’appuyant sur un mandat clair des Français.




« Primum non nocere » : la suite de « Hold-up » va faire du bruit

[Source : francesoir.fr]

[illustration : La citation de Soljenitsyne est le fil rouge de la bande-annonce.
Z_caricature, à retrouver sur instagram.com/z_caricature]

Auteur(s): FranceSoir

Un collectif d’anciens journalistes de grands médias se rassemble pour donner un second souffle au documentaire « Hold-up ». « Primum non nocere » sortira officiellement le 11 novembre prochain, un an jour pour jour après le film dénonçant la gestion de la crise sanitaire. Dans la continuité de « Hold-up », la bande-annonce de onze minutes frappe déjà fort.



Selon les réalisateurs, « tout ce que « Hold-up » avait initié et suspecté sous forme de questionnement est maintenant révélé et prouvé ». Il n’y a qu’à voir le titre du documentaire (premier principe du Serment d’Hippocrate, « d’abord, ne pas nuire ») pour comprendre que ce ne sont pas des bonnes nouvelles. Effets secondaires des vaccins, cris d’alarme des médecins, mensonges d’État, chiffres falsifiés, tout va y passer. En somme, une crise dite sanitaire passée au peigne fin par « d’anciens journalistes de TF1, France Télévisions, Canal +, et de l’AFP ».

Comme pour « Hold-up », il ne s’agit pas de passer par quatre chemins. Dès les premières secondes de la bande-annonce, on nous donne à voir des chiffres alarmants quant à la vaccination :

– Avant vaccination (jusqu’à décembre 2020) : 1,57 million de morts par covid-19 selon l’OMS (sur douze mois)
– Après vaccination (après décembre 2020) : 3,23 millions de morts par covid-19 selon l’OMS (sur neuf mois)

Ensuite, on devine que le documentaire suivra le même modèle que son prédécesseur : de nombreux invités qui feront part de leur expérience avec leur expérience professionnelle ou leur engagement citoyen. Ainsi, on retrouve, entre autres, Amine Umlil, docteur en pharmacologie et juriste, Pierre Jovanovic, journaliste et écrivain, John O’Looney, thanatopracteur, Rui Fonseca e Castro, juge au Portugal… mais également de nombreux Français venus témoigner des effets secondaires qu’ils ont subis. Un casting qui doit à n’en pas douter déjà faire saliver certains médias qui s’étaient échinés à discréditer « Hold-up », dont le succès retentissant avait été alimenté par les censures et dénigrements multiples subis.

Voir aussi : Le « Hold up » de l’AFP : « debunk » de leur « debunk »

Le message est évidemment de souligner les incohérences des politiques sanitaires, les mensonges médiatiques ou étatiques, et les conséquences que tout cela a, ou aura, sur la société. D’aucuns pourront certainement leur reprocher le parti pris franchement assumé du documentaire. Toujours est-il que « Primum non nocere » aura sans nul doute le mérite de souligner ce que d’autres essaient de cacher.

La propagande gouvernementale, y compris télévisée, a fait bondir certains – on se rappelle les clips incitant à la vaccination, que de nombreux Français ont jugé révoltants… Ici, les témoignages poignants, le montage léché et la musique élégiaque élaborent un « contre-poison » du discours mais à trop jouer sur ce registre émotionnel, le film prend peut-être le risque de « nuire d’abord » à son propos en se coupant de ceux qui jugeront l’enrobage un peu racoleur.

Reste que cette bande-annonce intrigue et suscite l’attente : que ce soit par les conquis d’avance, les détracteurs attendus, les réservés qui attendent de voir, cette « suite » sera très attendue et risque de faire du bruit.




Passe sanitaire : quand les députés macroniens mangent des champignons hallucinogènes

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

La prorogation du passe sanitaire est d’ores et déjà discutée (dans une précipitation inouïe) à l’Assemblée Nationale. Le débat donne lieu à des renoncements et une démonstration de soumission qui illustre le rôle désormais accessoire que joue la représentation nationale dans le débat démocratique. On notera les propos hallucinés du rapporteur Jean-Pierre Pont… et l’amendement courageux porté par le macroniste parisien Pacôme Rupin.

Il faut absolument lire l’extravagant rapport sur le passe sanitaire rendu par le député LREM du Pas-de-Calais Jean-Pierre Pont, rapporteur de la loi scélérate qui proroge le passe sanitaire sans raison… sanitaire ! Ce texte digne de la propagande stalinienne à ses meilleures heures comporte de nombreuses perles dont nous citerons quelques-unes ici :

Le bilan qui peut être dressé de la gestion de la quatrième vague montre que la mise en œuvre du passe sanitaire, combinée au déploiement de la campagne de vaccination, a fonctionné et qu’elle a rempli les objectifs qui lui ont été assignés : il a permis de préserver la reprise des activités à laquelle les Français aspiraient cet été, tout en limitant les risques de propagation du virus dans un contexte épidémique défavorable.

Le déploiement du passe, qui s’est fait sans heurts et ni difficultés, ainsi que la formidable accélération de la vaccination au cours de l’été — 85 % de la population française éligible est désormais vaccinée — ont permis de dissiper les craintes, parfois légitimes, et les vives critiques, souvent infondées, qui avaient été émises à l’encontre du passe lors de la discussion de la loi du 5 août 2021. Les Français se sont incontestablement appropriés cet outil précieux, sésame de leur liberté retrouvée.  

Donc, on récapitule : le passe sanitaire est une grande réussite, qui a permis d’endiguer la quatrième vague, et de rendre aux Français la liberté que le virus leur avait volée. Ceux-ci disposent désormais d’un « sésame » qui est un « outil précieux ». Pas un mot sur la société de surveillance, pas un mot sur le crédit social, pas un mot des manifestations qui se déroulent chaque samedi en France, pas un mot sur les milliers de suspensions prononcées dans les hôpitaux. On est frappé par la cécité, réelle ou d’emprunt, qui peut s’emparer d’un député de la majorité vis-à-vis de la réalité du pays qu’il est supposé représenter. 

Une chose est sûre avec le passe sanitaire : c’est qu’il a segmenté les perceptions. Il y a ceux qui se convainquent que tout va bien, quoiqu’il arrive, et il y a ceux, plus rares, qui s’interrogent sur une gouvernance qui procède par des coercitions plus ou moins ouvertes où ne pas être vacciné condamne à une dégradation sociale ou au chômage.

Mais il est vrai que si l’on oublie ce point de détail, où 30 % des soignants n’ont accepté le vaccin que sous la menace de perdre leur emploi, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. 

La propagande de Véran a fait son effet

Lors de l’audition du ministre de la Santé, qui a suivi la présentation du rapport, Olivier Véran n’a pas mâché ses mots pour répéter la propagande dont Jean-Pierre Pont s’est inspiré (ça simplifie le travail). On précisera que Jean-Pierre Pont est médecin, de formation… Normal qu’il ait besoin de nègres pour écrire des discours politiques. 

Voici donc le code source, en quelque sorte, du rapport parlementaire. Ce sont les propos du ministre Véran :

« Parce que nous avons mené une campagne massive de vaccination, puisqu’en métropole près de 90 % des adultes sont désormais vaccinés, mais aussi grâce aux outils de gestion de la crise sanitaire, notamment le passe sanitaire et le respect des gestes barrières, nous avons réussi à écrêter cette quatrième vague épidémique en métropole et donc à éviter de trop fortes conséquences sanitaires.

Les courbes comparatives des quatre vagues montrent bien la corrélation entre la mortalité, les hospitalisations, les cas graves et le nombre de cas : elle a totalement explosé au cours de la quatrième, dans le bon sens du terme, c’est-à-dire qu’il y a eu beaucoup moins de cas graves proportionnellement au nombre de contaminations une fois la population vaccinée.

D’ailleurs la plus grande étude mondiale sur l’efficacité des vaccins, qui est française, publiée la semaine dernière, qui a comparé onze millions de Français vaccinés avec onze millions de Français non vaccinés confirme une réduction de 92 % du risque d’hospitalisation chez les personnes âgées de 50 ans et plus lorsqu’elles ont été vaccinées.»

On est forcément frappé par la proximité des « éléments de langage » entre le rapport parlementaire et le discours du ministre. On remarque aussi que la grande étude sur « onze millions de Français vaccinés » est sortie au bon moment. Juste quand il fallait justifier le maintien du passe sanitaire ! Comme c’est bizarre…

Nos lecteurs se souviendront des chiffres de mortalité pour 2021 qui nous avons donnés, qui relativisent très très fortement les déclarations triomphalistes du gouvernement. Rappelons que, en 2021, l’été a été plus meurtrier en France qu’en 2020. Et pourtant le vaccin n’existait pas il y a un an !

Mais plus personne n’en est à ces approximations près… L’essentiel est que les pions majeurs de l’Assemblée Nationale répètent ad libitum la propagande officielle. 

La députée MODEM Sophie Mette se ridiculise

Au rang des meilleures perles, on citera les propos bouffons de la députée MODEM Sophie Mette (Gironde), qui a osé déclarer :

« Pourtant, en dépit des critiques souvent stériles et excessives, jamais nous n’avons dévié de cette ligne — exigeante — qui porte pleinement ses fruits : la campagne de vaccination et le passe sanitaire sont une réussite. Les chiffres sont plus qu’éloquents : il y a environ un an, seuls 44 % des Français avaient confiance dans le vaccin ; ils sont désormais presque 70 % à avoir achevé leur schéma vaccinal. On compte 5 000 nouvelles contaminations par jour, en baisse régulière, et la décrue des hospitalisations, ainsi que des décès, est considérable. »

Ou comment confondre la confiance dans le vaccin et l’obligation d’être vacciné pour garder son emploi. Là encore, les députés qui prennent leur désir pour des réalités, et qui imaginent que la coercition ne se paiera pas cash tôt ou tard. Mais au fond, devons-nous apitoyer sur le sort d’une caste politique aussi médiocre, qui baigne dans une propagande stérile et coupée des réalités ?

Nouvelle trahison du parisien Bournazel

Habitué aux circonvolutions politiques, le député de Paris Pierre-Yves Bournazel a pour sa part commis cette phrase historique :

 « Quelle est la raison d’être du passe sanitaire ? Il ne vise pas à restreindre nos libertés. Au contraire, c’est le seul moyen de retrouver notre liberté de déplacement en toute sécurité et de préparer sereinement l’avenir. »

Bien évidemment, montrer ses papiers pour prendre un café ou assister à un concert, ça s’appelle retrouver sa liberté de déplacement !

L’amendement salvateur de Pacôme Rupin

Seul motif de satisfaction : l’amendement porté par le député LREM Pacôme Rupin, encadrant de façon plus stricte la mise en œuvre du passe sanitaire. On notera les considérants de l’amendement :

Cet outil, s’il a favorisé le déploiement de la vaccination au sein de la population depuis l’été, reste un outil très problématique en ce qu’il va à l’encontre de la liberté́ de conscience et de choix de chacun (en instaurant une forme d’obligation vaccinale déguisée), surtout dès lors que les tests de dépistage sont rendus payants. Cette mesure porte en elle-même une forme de discrimination pour l’accès à des lieux essentiels à la vie quotidienne. C’est un risque supplémentaire de division de la société et d’opposition des citoyens entre vaccinés et non-vaccinés.

Pacôme Rupin sauve l’honneur de l’Assemblée Nationale en étant le seul à dire les choses : le passe sanitaire est un outil de discrimination qui porte atteinte aux libertés et qui fracture la société française. 

Cet amendement prévoit ceci :

Le présent amendement propose donc que le recours au passe sanitaire soit territorialisé et qu’il ne puisse être mis en œuvre qu’en cas de taux d’incidence supérieur ou égal à 50, sur une semaine continue, dans le département concerné.

Triste consolation pour un Parlement godillot.




Scandinavian Airlines déclare que les gens n’ont pas à porter de masque sur les vols de Scandinavian Airlines

[Source : https://www.aubedigitale.com]

Par Jade.

Les gens disent que le mot « fou » est surutilisé de nos jours. J’aurais tendance à être d’accord. Je l’utilise trop moi-même.

Mais quel est le mot que vous êtes censé utiliser lorsque vous regardez l’Australie, puis la Scandinavie ?

Via Yahoo News :

« Scandinavian Airlines n’exigera plus de masques sur les vols en Scandinavie.
Les masques seront toujours exigés sur les vols en dehors de la Suède, du Danemark et de la Norvège.
La Suède, où se trouve le siège de Scandinavian Airlines, a adopté une approche de pandémie sans confinement ».

Pour être clair, les Australiens sont toujours brutalement enfermés dans leurs maisons, et ils sont poursuivis par des hommes à cheval et battus à coups de matraque télescopique s’ils essaient de sortir.

Voici un clip récent montrant des personnes arrêtées dans un cimetière (en plein air) pour avoir rendu hommage à un défunt.

https://twitter.com/JoostBroekers/status/1448932142415745025
L’Australie est passée d’une démocratie à un état policier complet en un an.
Si cela peut arriver là-bas, cela peut arriver partout.
Soyez attentifs les gens…
(La police australienne a arrêté quelques personnes qui se rendaient au
cimetière pour rendre hommage à des proches décédés)

Des femmes sont carrément étranglées parce qu’elles ne portent pas de masque dehors.

C’est l’Australie.
Une femme a été étranglée par un officier de police parce qu’elle ne portait pas de
masque (elle avait une exemption).
L’officier de police a été innocenté de tout acte répréhensible.
La femme a été accusée de résistance à l’arrestation et d’agression contre la police.
QU’EST-CE QUI SE PASSE ?!?!

« Qu’est-ce qui se passe ? » est une très bonne question.

Ce sont des images plus récentes – on vérifie les tasses à café des gens.

https://twitter.com/EliseiNicole/status/1449298169884549121
Brisbane « Le peuple uni ne sera jamais divisé ! Mon corps, mon choix !
L’Australie a une voix ! » 16/10/2021

Un commentateur de SKY a eu une réaction très vive récemment – c’est comme les nazis.

SKY News Australia, une fois de plus, le seul média qui n’a pas peur
de défier l’agenda mondialiste.

Clairement, ce n’est pas à propos d’un virus. Ça ne peut pas être à propos d’un virus. S’il s’agissait d’un virus, alors il serait impossible pour la Scandinavie de dire simplement « ouais, ok, bien, nous ne le ferons plus ».

Mais un avion est l’endroit numéro un où vous porteriez un masque, si vous deviez en porter un quelque part, car vous êtes entassés comme des sardines et vous respirez tous le même air.

Et pourtant, une partie entière du monde refuse de porter des masques dans les avions, et rien ne se passe.

Il ne s’agit pas d’un virus. Il ne peut pas s’agir d’un virus.

Bravo à la Scandinavie.

Il sera intéressant de voir comment les mondialistes vont réagir cet hiver, alors qu’ils essaient de mettre tout le monde en cage au niveau mondial. Ils veulent amener l’Occident au même que l’Australie.

La solution de base en ce moment est que les médias ne parlent pas de ce qui se passe dans les autres pays.




France — La loi bioéthique montrée en 12 secondes

[Source : France Fidèle Reconquista]




France — Contre la prorogation du passe sanitaire et de l’état d’urgence : lettre ouverte d’universitaires aux députés

[Source : enseignementrecherchelibertes.fr]

Lettre ouverte aux députés contre la prorogation du passe sanitaire et de l’état d’urgence

Syndicat « Enseignement, Recherche, Libertés ! »

https://enseignementrecherchelibertes.fr/

enseignementrecherchelibertes@protonmail.com


Objet : Lettre ouverte aux députées et aux députés de la République Française

Mesdames les Députées, Messieurs les Députés,

Le syndicat d’enseignants, de chercheurs et de personnels d’éducation « Enseignement, Recherche et Libertés ! » a examiné le Projet de loi portant diverses dispositions de vigilance sanitaire, présenté par M. Jean Castex, Premier ministre, enregistré le 13 octobre et qui doit être discuté prochainement par l’Assemblée Nationale. En ce qui suit, notre syndicat propose une analyse des implications de l’« Exposé des motifs » censé justifier ce projet de loi. Nous comptons ainsi enrichir le débat autour de ce projet qui devrait s’ouvrir publiquement le 19 octobre 2021. Un tel sujet, qui affecte l’ensemble de la communauté nationale ne saurait se dérouler dans un cercle étroit : en citoyennes et citoyens, nous entendons faire valoir notre opinion et notre expertise dans ce domaine. Étant donné que nous avons traité plus en détail la dimension médicale et sanitaire de la crise épidémique que nous traversons dans la lettre ouverte adressée au Sénat le 7 octobre 2021, nous la mettons ici en annexe afin de nous concentrer à présent surtout sur les implications juridiques et politiques du présent Projet de loi.

1. Un passe socio-économique sans aucune pertinence sanitaire  

Le premier ministre M. Jean Castex, à peine quelques mois après la mise en place du système du passe, dit « sanitaire », se présente devant les élus de la Nation pour demander – ou plutôt exiger – la prolongation de l’état d’urgence et la poursuite de l’implémentation de ce système. Revenir sur ces questions en « procédure accélérée » n’est pas sans évoquer une sensation de déjà vu des scènes déroulées en juillet 2021. Après le débat orageux à l’Assemblée et au Sénat, le ministre de la Santé, M. Olivier Véran n’avait pas hésité à déclarer alors que : «À l’heure où certains taxent le gouvernement de faire preuve d’autoritarisme, parlent de dérive autocratique voire pourquoi pas de dictature, la meilleure réponse que vous pouvez apporter, c’est celle (…) qui consiste à avoir recueilli la majorité tant à l’Assemblée nationale qu’au Sénat». Il n’a pas hésité à se féliciter de « l’union nationale retrouvée ». Maniant ainsi à son habitude la désinformation, il oubliait de mentionner que la loi avait été votée avec 156 voix pour, 60 voix contre et 14 abstentions, avec non moins de 60 % d’absentéisme sur un total de 557 députés. Dans le rythme effréné imposé alors par l’agenda du gouvernement, le texte a été arraché, selon l’expression des sénateurs, « avec un pistolet sur la tempe »[1]. Faisant usage de fausses informations scientifiques, entretenant un climat de peur par les médias autour de l’explosion de cas du variant Delta (alors que l’on faisait à l’époque entre 4 et 5 millions de tests par semaine), et mettant une incroyable pression sur les parlementaires, l’exécutif avait précisément éveillé les spectres de « l’autoritarisme », de la « dérive autocratique » voire « pourquoi pas la dictature » que le ministre de la Santé voulait conjurer par sa rhétorique.

Malgré ce passage en force et les problèmes posés par rapport aux valeurs de la République, le Conseil Constitutionnel avait néanmoins validé le projet de loi, avec à peine quelques modifications à la marge, le 5 août 2021[2]. Selon la décision de la haute juridiction, cela était justifié par « l’existence d’une catastrophe sanitaire et du risque qu’elle persiste dans les deux prochains mois », prémisse que le Conseil, loin de vérifier par ses propres spécialistes, acceptait sur la foi de l’exécutif. Le dispositif du passe dit « sanitaire » s’était donc mis en place dans un contexte d’urgence habilement entretenu par la propagande de l’exécutif. De sorte que les mises en garde de l’opposition et de la Défenseure des Droits, Madame Claire Hédon, quant aux risques démocratiques que comportait ce dispositif sans précédent dans l’histoire de notre République, n’ont pas été véritablement prises en compte. (Nous y reviendrons dans la partie finale de notre analyse).   

Le jour suivant, le 6 août 2021, le Conseil Constitutionnel a néanmoins acté sur une « Proposition de loi de programmation pour garantir un accès universel à un service public hospitalier de qualité ». Cette proposition de loi était portée par l’association « Notre hôpital, c’est vous », composée de collectifs de soignants et ONG caritatives, et soutenue par plus de 200 députés et sénateurs issus de 11 groupes politiques d’opposition, tant de gauche que de droite. Son objectif était de mettre « la question de l’hôpital au centre de la grande explication démocratique qui vient », à savoir les élections de 2022 et, concrètement, d’augmenter les moyens des hôpitaux, en particulier « en termes de lits et de soignants »[3]. En pleine pandémie, on aurait pu croire qu’un tel objectif était pourtant essentiel. Mais malgré toutes les attentes, butant sur un petit détail technique, le Conseil Constitutionnel, qui n’avait trouvé que peu à redire sur le passe dit « sanitaire », a considéré une si opportune proposition de loi comme étant tout simplement « contraire à la Constitution »[4].

Nous rappelons cette succession des faits qui soulève trois questions de fond. Pourquoi ce n’est pas le gouvernement Jean Castex qui a élaboré une loi en faveur d’un hôpital public de qualité ? Pourquoi, si l’opposition l’a initiée en fin de compte, le gouvernement n’a pas appuyé une si généreuse initiative ? Et quelles ont été les véritables priorités du Conseil Constitutionnel s’il a pu signer l’échec d’une initiative sincèrement dédiée à la santé publique et à l’urgence de la crise sanitaire, tout en donnant feu vert aux mesures liberticides et sans pertinence sanitaire dudit passe ?

Les deux décisions du Conseil Constitutionnel du 5 et du 6 août 2021 doivent donc se lire comme la face et le revers d’une seule et même médaille. Promouvant l’un et interdisant l’autre, le Conseil Constitutionnel a fait malgré tout le choix conscient de favoriser une certaine ligne politique fidèle à l’agenda de l’exécutif, dont la dimension sanitaire et le sort de l’hôpital n’étaient que le cadet de ses soucis.

Le principe du passe dit « sanitaire » s’appuyait toutefois sur deux prémisses de base concernant les vaccins : une efficacité réputée exceptionnelle d’environ 95 %, avec pour résultat l’empêchement de la transmission de la maladie une fois le schéma vaccinal de deux doses accompli par le patient. Selon les déclarations publiques répétées du ministre de la Santé, les personnes doublement vaccinées seraient devenues « complètement immunisées ». Qui pourrait en effet s’opposer à une perspective aussi prometteuse ?

Pourtant, ce fut précisément durant la discussion du passe dit « sanitaire » que des nouvelles préoccupantes parvinrent en France depuis Israël et d’autres pays connaissant une forte vaccination et qui subissaient en juillet-août 2021 une forte hausse des contaminations due à la progression du variant Delta[5].

En effet, on l’a appris alors que : 

  • 1)    Les vaccins n’empêchent les personnes vaccinées ni de se contaminer ni d’être contagieuses.
  • 2)    L’immunité qu’ils confèrent se réduit comme peau de chagrin en six mois : baissée devant le variant Delta à seulement 39 %, elle arrive après six mois à environ 16 %. C’est précisément de ce constat qu’il apparut très vite la nécessité d’introduire une troisième et une quatrième dose[6]

Ainsi, en vertu du point 2), il apparut de manière claire que les assertions du ministre Olivier Véran, qui se référait aux personnes doublement vaccinées comme étant « complètement immunisées » étaient au mieux une forte exagération et au pire une fausse publicité. Mais, ce qui était encore plus inquiétant, le point 1) révélait que le dispositif du passe dit « sanitaire » était en fait dépourvu de toute véritable efficacité sanitaire. Questionné à ce sujet, le professeur Éric Caumes a reconnu le 6 septembre que les vaccins n’empêchaient pas les infections, voire des formes graves de la maladie. De ce fait, il concédait que le passe dit « sanitaire » était en réalité plutôt un « passe socio-économique »[7].

2. Le passe socio-économique : un dispositif éphémère et limité juridiquement

Malgré son penchant certain en faveur du gouvernement, le Conseil d’État n’a validé le dispositif du passe « sanitaire » que d’une manière extrêmement circonscrite. Il faut relire attentivement son Avis du 19 juillet 2021 relatif à l’adaptation des outils de gestion de la crise sanitaire, qui est loin du résumé que l’on veut en donner[8].

D’abord le Conseil d’État reconnaît que ce dispositif porte une grave atteinte aux libertés fondamentales :

« cependant une telle mesure, en particulier lorsqu’elle porte sur des activités de la vie quotidienne, est susceptible de porter une atteinte particulièrement forte aux libertés des personnes concernées ainsi qu’à leur droit au respect de la vie privée et familiale ».

Ensuite, il reconnaît qu’une telle mesure pourrait avoir pour conséquence d’entraîner une « obligation de soins » :

« le fait de subordonner certaines de ces activités à l’obligation de détenir un certificat de vaccination ou de rétablissement ou un justificatif de dépistage récent peut, dans certaines hypothèses, avoir des effets équivalents à une obligation de soin ».

De surcroît, le Conseil rappelle que le passe « sanitaire » ne doit pas être un outil de contrainte à la vaccination. La formule est incisive :

« l’application du passe sanitaire à chacune des activités pour lesquelles il est envisagé de l’appliquer doit être justifiée par l’intérêt spécifique de la mesure pour limiter la propagation de l’épidémie, au vu des critères mentionnés précédemment et non par un objectif qui consisterait à inciter les personnes concernées à se faire vacciner ».

Enfin, pour justifier la légalité de la mesure, le Conseil d’État analyse minutieusement les indicateurs de l’épidémie à la date de sa saisine et rappelle les modélisations de l’Institut Pasteur : diffusion du variant Delta (80,2% de tests révélant sa présence), transmissibilité du virus accru de 60%, taux d’incidence de 96% pour 100.000 habitants, admission à l’hôpital (+ 57%) et en soins critiques (+67%), couverture vaccinale de 46,4%…

Pourtant, il est apparu très vite que les modélisations de l’Institut Pasteur, qui ont servi comme base du discours du 12 juillet 2021 et de l’action du gouvernement étaient tirées d’une étude non publiée et non revue par les pairs produite à l’occasion. Ces informations ont été soumises à une critique par le professeur Peter McCullough, de l’université Baylor du Texas, une des autorités mondiales en matière de Covid-19[9] et par le mathématicien Vincent Pavan[10]. Non seulement les données se révèlent fausses, mais il apparaît même qu’elles auraient été consciemment manipulées. Il est digne de noter que, après ces critiques, l’équipe de l’Institut Pasteur a rétracté l’étude concernée… mais les décisions politiques extrêmes prises sous son influence, elles, sont restées en place, affectant la vie de 67 millions de Français. Cela évoque un parfum de scandale politico-scientifique, comme la célèbre étude frauduleuse du Lancet, qui avait permis au même ministre Olivier Véran d’interdire en été 2020 les traitements de la Covid-19 en France. La fraude a été alors vite démontrée par les scientifiques, l’étude publiée retirée avec un grand retentissement (Lancetgate) ; nonobstant la décision d’Olivier Véran est restée en vigueur, avec des conséquences catastrophiques sur le nombre de morts en France durant la pandémie (118 000, comparé au Japon, qui n’a eu que 18.000 morts de Covid-19 pour une population deux fois plus nombreuse, plus dense et plus âgée)[11].

En matière de libertés fondamentales, les plus hautes juridictions de la République Française ne contestent donc pas que le passe socio-économique dit « sanitaire » constitue une atteinte grave aux droits des citoyens. Le Conseil constitutionnel et le Conseil d’État n’ont pas manqué de le souligner, tout en précisant que ce système était acceptable, soit du fait de sa limitation dans le temps, soit du fait de sa proportionnalité avec la situation sanitaire au moment de son adoption. L’instauration, le maintien et surtout la prolongation de ce dispositif soulèvent toutefois de nombreuses interrogations juridiques.

3.  Obligation vaccinale détournée et discriminations scandaleuses

 Aucune étude ne permet de démontrer l’efficacité de ce dispositif. Il est en effet impossible de mesurer spécifiquement l’efficacité d’une mesure sanitaire donnée, notamment parce qu’elle n’est pas appliquée de manière exclusive mais associée à un panel de mesures incluant notamment la vaccination massive et les mesures barrières. Au surplus,

« la circulation virale est également influencée par des paramètres sociologiques tels que la mobilité, la fréquentation des transports, commerces, entreprises, et leur densité de population, les brassages associés aux vacances, la rentrée scolaire » [12].

Nos représentants politiques l’avouent d’ailleurs : il s’agissait en fait d’un moyen pour « inciter fortement » les Français récalcitrants à se faire vacciner, comme le rappelait même le ministre des Transports, M. Jean-Baptiste Djebbari[13]. Les conséquences du refus de cette vaccination, accentuées par le non-remboursement des tests et la fin des autotests constituent les prémisses d’une véritable mort sociale. Les personnes non vaccinées sont exclues directement ou indirectement d’une partie des transports publics, des cafés, des restaurants, des bibliothèques et autres lieux culturels, des associations sportives…  Aussi surprenant que cela puisse être, nous avons affaire à des instances gouvernementales qui assument de travailler activement pour la persécution des citoyennes et des citoyens de France, qui entre autres bénéfices considérables, leur paient le salaire.  Au-delà de cette aberration démocratique de fait, les actions du gouvernement contreviennent frontalement à la législation nationale et européenne. 

Le Conseil d’État a souligné, à deux reprises, l’obligation vaccinale que pouvait entraîner l’instauration du passe dit « sanitaire » :

« Il rappelle, ainsi qu’il l’avait relevé dans son avis n° 401741 du 17 décembre 2020 sur le projet de loi relatif au régime pérenne de gestion des crises sanitaires, que le fait de subordonner certaines de ces activités à l’obligation de détenir un certificat de vaccination ou de rétablissement ou un justificatif de dépistage récent peut, dans certaines hypothèses, avoir des effets équivalents à une obligation de soins[14] ».

En ce sens, le passe dit « sanitaire » est un outil de contrainte plus qu’un outil sanitaire et, incontestablement il est vecteur de discriminations. Or, ces deux aspects ont été fermement condamnés par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe dans ses Considérations éthiques, juridiques et pratiques sur la vaccination contre la Covid 19. Ainsi au point 7.3 du texte :

« 7.3 pour ce qui est de garantir un niveau élevé d’acceptation des vaccins :

7.3.1 de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ;

7.3.2 de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner » [15].

Force est donc de constater que le système mis en place par le gouvernement Jean Castex est l’exact contraire de ce texte.

4. Un régime de privation de libertés hors cadre et déconnecté de la réalité de l’épidémie

Ce système entraîne au surplus une privation de liberté doublement incompréhensible. Ainsi qu’a pu le souligner Guillaume Zambrano, maître de conférences à la faculté de droit de Nîmes, cette restriction de liberté est décidée de manière arbitraire, par simple effet mécanique d’un texte et sans aucun débat contradictoire alors que « toute personne privée de liberté a le droit de passer devant un juge. De fait, quand une personne est assignée à résidence ou condamnée à porter un bracelet électronique, la mesure doit être approuvée par le juge des libertés et de la détention. Quand on condamne des personnes pour des dommages sociaux comme le vol, la fraude fiscale, les coups et blessures, elles ont eu droit à un procès ». Qui plus est, cette restriction ne repose que sur une simple présomption de contagion. Autrement dit, on applique une sanction très lourde et significative sur de simples suppositions. Il s’agit d’une forme d’application d’un principe de précaution dont on laisse le soin aux citoyens de contrôler l’application[16].

Le Conseil d’État, saisi en référé de plusieurs requêtes visant à suspendre le passe dit « sanitaire », n’a pas estimé qu’il existait un doute suffisamment sérieux sur sa légalité l’autorisant à faire droit aux demandes. Il a cependant expressément lié ces décisions aux données scientifiques existantes permettant d’établir un tableau de l’épidémie en temps réel. Dans une série d’ordonnances en date du 26 juillet 2021, le juge des référés du Conseil d’État a ainsi insisté sur la dégradation de la situation sanitaire en France,

« avec une diffusion croissante du variant Delta, particulièrement transmissible. À la date du 19 juillet, le nombre de personnes infectées par la covid-19 a augmenté de 111 % par rapport à la semaine précédente et de 244 % par rapport à la semaine du 3 juin. Le nombre d’hospitalisations a quant à lui augmenté de 57 % voire 67 % pour les admissions en service de soins critiques. Par ailleurs, les modélisations de l’Institut Pasteur font craindre une aggravation encore plus importante en août, avec une couverture vaccinale encore insuffisante pour permettre un recul durable de l’épidémie[17] ».

Même dans la décision du Conseil Constitutionnel du 5 août on trouve également cette délimitation par le principe de proportionnalité :

« 23. Les mesures prévues dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire ne peuvent en tout état de cause être prises qu’aux seules fins de garantir la santé publique. Selon le paragraphe III du même article, elles doivent être strictement proportionnées aux risques sanitaires encourus et appropriées aux circonstances de temps et de lieu. Il y est mis fin sans délai lorsqu’elles ne sont plus nécessaires. Le juge est chargé de s’assurer que de telles mesures sont adaptées, nécessaires et proportionnées à la finalité qu’elles poursuivent.

24. En dernier lieu, quand la situation sanitaire le permet, il doit être mis fin à l’état d’urgence sanitaire par décret en conseil des ministres avant l’expiration du délai fixé par la loi le prorogeant »  [18].

Par rapport à ce cadre législatif contraignant, il faut remarquer que l’ « Exposé des motifs » du projet de Loi par lequel le gouvernement entend justifier une décision de prorogation du passe « sanitaire » et de l’état d’urgence, n’avance au total que deux arguments, qui sont tous les deux d’une pauvreté surprenante.

Premièrement, il est affirmé que les mesures prises (état d’urgence sanitaire, vaccination, passe sanitaire) auraient « contenu » l’épidémie. La vérité est qu’il n’en existe aucune preuve scientifique. Bien au contraire, une étude toute récente publiée par S.V. Subramanian et A. Kumar, comparant les États-Unis avec d’autres pays hautement vaccinés souligne que « les pays dont le pourcentage de la population entièrement vaccinée est plus élevé présentent un plus grand nombre de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants. Notamment, Israël, dont plus de 60 % de la population est totalement vaccinée, a enregistré le plus grand nombre de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants au cours des 7 derniers jours. L’absence d’association significative entre le pourcentage de la population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19 est également illustrée, par exemple, par la comparaison entre l’Islande et le Portugal. Ces deux pays, dont plus de 75 % de la population est entièrement vaccinée, comptent plus de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants que des pays comme le Vietnam et l’Afrique du Sud, dont environ 10 % de la population est entièrement vaccinée ». Croire ainsi qu’une vaccination massive de la population aurait conféré une protection générale s’avère être une chimère, contraire aux études les plus récentes, car les personnes vaccinées continuent d’être porteuses, malades et vectrices du virus[19].

Deuxièmement, dans le même « Exposé des motifs », le gouvernement affirme qu’il y aurait malgré tout un « risque » de rebond épidémique. Ainsi, c’est le gouvernement qui, après avoir « fortement incité » – pour utiliser une litote – à la vaccination de plus de 70% de la population, doute lui-même des résultats de sa propre politique sanitaire ? Néanmoins, il est impossible de fonder des décisions politiques aussi liberticides sur des divinations de cette nature. Il y aura toujours à l’avenir un risque quelconque : à ce compte-là, le passe et l’état d’urgence devraient être éternels.

En revanche, l’ « Exposé des motifs » est complètement muet sur le seul élément qui serait déterminant pour asseoir une telle décision : l’état actuel de l’épidémie. Or selon le bulletin du Réseau sentinelles INSERM du 13/10/2021, le taux d’incidence de la Covid-19 est de 3 cas pour 100 000 habitants : « Surveillance de la COVID-19 : La semaine dernière (2021 s40), le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 3 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [2 ; 5]), ce qui représente 2 181 [1 187 ; 3 175] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste[20]. L’ « Exposé des motifs » du premier ministre Jean Castex n’apporte à cette réalité aucun démenti.

Or, dans la mesure où tant le Conseil d’État que le Conseil Constitutionnel lient l’existence et non simplement l’application du passe dit « sanitaire » à la réalité de l’épidémie, et non aux divinations doctes qui se sont tant de fois trompées jusqu’à présent, au regard des mêmes indicateurs, il résulte que le maintien du passe socio-économique ne devrait même pas être débattu… Et cela d’autant moins que le Conseil scientifique, dans son avis du 5 octobre, reconnaît que l’on ne peut lier passe « sanitaire » et amélioration de la situation épidémique[21].

5. Un projet de loi d’inspiration totalitaire chinoise

Il y a ainsi un très grand écart entre les objectifs sanitaires affichés par l’exécutif, validés sur la foi du gouvernement par les hautes juridictions de la République, et le « passe socio-économique » qui a finalement été mis en œuvre. Ce qui devient encore plus inquiétant désormais est l’utilisation politique du passe dit « sanitaire » pour exercer un contrôle généralisé de la population et la priver, comme c’est déjà le cas, de vie sociale (voire, comme en Italie ou en Israël, de vie professionnelle). Cela constitue une atteinte insupportable aux droits fondamentaux que rien, et surtout pas une maladie au taux de mortalité comparable à celui de la grippe dont le taux d’incidence est négligeable depuis plusieurs mois, ne saurait justifier[22].

Le grand philosophe italien Giorgio Agamben, un disciple de Michel Foucault et spécialiste de la question du biopolitique, a admirablement expliqué récemment devant le Sénat italien, le 7 octobre 2021, le problème politique (non médical) posé par une vaccination assortie à un « Green Pass » :

« nos sociétés sont passées du modèle qu’on appelait autrefois de la « société disciplinaire » à celui d’une « société de contrôle » ; de société fondées sur un contrôle numérique quasi illimité des comportements individuels qui deviennent ainsi quantifiables dans un algorithme. Nous nous habituons maintenant à ces dispositifs de contrôle, mais je vous demande : jusqu’où sommes-nous prêts à accepter que ce contrôle aille ? Est-il possible que les citoyens d’une société prétendument démocratique soient dans une situation pire que les citoyens de l’Union soviétique sous Staline ? Vous savez peut-être que les citoyens soviétiques étaient obligés de présenter une propiska, un laissez-passer pour tout déplacement d’un endroit à un autre. Mais on est aussi obligé de montrer un passe sanitaire pour aller au restaurant, voire même pour aller au musée ou au cinéma. Et maintenant —ce qui est encore plus grave avec le décret que vous devez transformer en loi— même à chaque fois que vous allez travailler »[23].

Si l’on essaie de faire la généalogie intellectuelle des mesures du gouvernement Castex, on peut noter que leur inspiration remonte directement au rapport du Sénat du 3 juin 2021, intitulé Crises sanitaires et outils numériques : répondre avec efficacité pour retrouver nos libertés[24]. Défendant le principe selon lequel « si une dictature sauve des vies pendant qu’une démocratie pleure ses morts », les auteurs du rapport invitaient à adopter « la bonne attitude [qui] n’est pas de se réfugier dans des positions de principe, mais de s’interroger sur les moyens concrets, à la fois techniques et juridiques, de concilier efficacité et respect de nos valeurs » (sic !)[25]. À cet effet, ils saluaient le principe de passe(port) sanitaire comme une « bonne nouvelle », et ceci même au prix de prendre le contre-pied de la critique sévère de la Défenseure des droits[26] qui, déjà dans son avis du 17 mai adressé au Parlement, avait sévèrement jugé le dispositif présenté par le Gouvernement[27]. On réalise ainsi que ce rapport opposait sans sourciller les valeurs de la République, incarnées par la Défenseure des droits, à un dispositif directement inspiré – comme le reconnaissent les auteurs eux-mêmes – du modèle chinois, pays qui a vu, selon leur analyse, la mise en place des premiers passes sanitaire et vaccinal[28].

Reconstituer la généalogie de l’idée et du système de passe « sanitaire », fait ainsi remonter les origines intellectuelles du présent projet de loi jusqu’au modèle totalitaire chinois, que le gouvernement Jean Castex a adopté, une rhétorique habile à l’appui, presque intégralement, sans faire beaucoup de cas des mises en garde de la Défenseure des Droits en faveur de la défense des valeurs de la République Française. Mais le premier ministre n’est pas le seul à pouvoir s’attribuer ce mérite. Il faut également reconnaître que, dans la mise en place de ce système inspiré de la Chine communiste, le ministre de la Santé M. Olivier Véran a joué aussi un rôle capital. Comme le révèle l’enquête du Monde publiée en mai 2020 par les journalistes Solenn de Royer et Harold Thibault sur le réseau tentaculaire de la Fondation France – Chine, l’actuel ministre de la Santé en était une des plus brillantes recrues, bien que loin d’être le seul.  

« Le monde est tout petit », reconnaît l’ambassadeur de France en Afrique du Sud Aurélien Lechevallier, ex-conseiller diplomatique d’Emmanuel Macron, qui a, pour sa part, rencontré M. Macquin à HEC et M. Lenain à Washington, où ils ont été tous deux en poste. Intégré à la promotion 2017-2018, M. Lechevallier a aidé le trio à repérer les valeurs montantes de la Macronie, comme les ministres Brune Poirson et Agnès Pannier-Runacher ou la députée (La République en marche, LRM) Coralie Dubost, qui a coopté l’année suivante Olivier Véran, son compagnon et futur ministre de la Santé »[29].

Les assertions des journalistes du Monde sont d’ailleurs confirmées par les données publiques de la Fondation France – Chine, qui a en effet l’honneur de compter M. Olivier Véran parmi les membres de la promotion 2019[30]. Selon l’analyse du Monde, ce « réseau puissant » où « se fabrique l’influence » est un réseau « sous le contrôle total du Parti Communiste Chinois ». Selon l’ambassadeur Aurélien Lechevallier, ce réseau de soft power « offre aux Chinois un accès privilégié à des responsables politiques de haut niveau et à des PDG dans des secteurs stratégiques. Certes pas à des secrets d’État, mais à un niveau d’interlocuteurs inégalé ». Or, force est de constater que, à force de côtoyer les Young Leaders chinois et les hauts responsables de la République Populaire de Chine, le gouvernement Jean Castex, où les ministres Olivier Véran, Brune Poirson et Agnès Pannier-Runacher jouent un rôle déterminant dans la construction du programme sanitaire, est en train de mettre en place précisément un système de contrôle socio-économique inspiré du modèle totalitaire chinois.

À la lumière de ce constat, les dix points d’alerte de la Défenseure des Droits ne font que gagner encore plus une brûlante actualité[31]. Sous le rouleau compresseur de ce modèle d’inspiration totalitaire, on constate plus que jamais « la nécessité d’un débat démocratique » qui fait défaut en raison de la sourde oreille que le gouvernement prête à l’opposition et à la population qui, depuis plus de 14 semaines, manifeste dans la rue contre la mise en œuvre de ce système. Avançant masqué, ce projet totalitaire se décline dans une avalanche de documents normatifs, rédigés dans une novlangue qui pose des problèmes d’« intelligibilité du texte », laissant de « nombreuses zones d’ombre » qui confèrent une énorme marge d’action au gouvernement. Nous avons tous pu constater à quel point les mesures élaborées depuis début août 2021 par le gouvernement ont provoqué des « restrictions d’accès aux transports publics et aux biens et services ». La « mise en œuvre des restrictions d’accès » a incité « le contrôle d’une partie de la population par une autre », situation typique d’un régime totalitaire qui rompt décisivement avec l’idée même de fraternité de la République française.

Cette société de surveillance est en même temps également une société de discriminations, qui n’en sont que la conséquence naturelle. Ainsi La Défenseure des droits avait souligné « les risques de discriminations dans l’emploi », rappelant « qu’aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié, ou faire l’objet d’une mesure discriminatoire, directe ou indirecte, telle que définie à l’article 1er de la loi du 27 mai 2008 ». Toutefois les « mesures d’isolement étendues » et la « vaccination obligatoire pour certaines professions » ont conduit au licenciement de dizaines de milliers de médecins et de soignants, ordonné de manière autoritaire par le ministre Olivier Véran, ce qui n’a fait que donner justice à cet avertissement formulé par Madame Claire Hédon. Cela marque une rupture radicale avec le système de protection du travail mis en place par le Préambule de la Constitution de 1946, qui fait partie de notre socle constitutionnel.

Mais ce qui est encore plus grave c’est que le passe socio-économique, prétendument « sanitaire » a entraîné « des risques considérables d’atteinte aux droits de l’enfant ». Se fondant sur les données scientifiques, la Défenseure des droits était « favorable à ce que, pour les mineurs de 12 à 18 ans, la vaccination reste uniquement encouragée et ne tombe pas sous le coup d’une obligation déguisée. Elle considère en outre que, pour les mineurs de moins de 12 ans, le projet de loi devrait indiquer de manière expresse qu’ils sont exemptés de la vaccination ». Allant à l’encontre de ces recommandations, le gouvernement a incité fortement la vaccination massive des jeunes, en conditionnant leur vie sociale à la possession d’un passe « sanitaire ». Dans le pays des Droits de l’Homme, non seulement les vies des adultes mais aussi celles des enfants et des adolescents sont désormais conditionnées par la possession de cet artefact d’inspiration chinoise.

Ensuite, le passe socio-économique contribue à exclure « Les personnes en situation de pauvreté », qui « pourraient (en) être doublement victimes ». Comme par la politique catastrophique des trois confinements ordonnés de manière autoritaire par le président Emmanuel Macron un million de personnes ont basculé dans la catégorie des pauvres, ces mesures doublement discriminatoires affectent plus de 10 millions de personnes. Enfin, « les risques liés au traitement des données » ont été prouvés par les fuites de données de santé de millions de citoyens : si même les passes « sanitaires » du premier ministre Jean Castex et du président Emmanuel Macron se sont retrouvés en accès libre sur les réseaux sociaux, quelle protection du secret de la santé peut dès lors espérer le citoyen commun ? Jamais en reste de décliner sa responsabilité, l’Elysée a fustigé « une faille déontologique » et « la négligence ou la malveillance de professionnels de santé ». Alors qu’en réalité, c’était au responsable de la mise en place de ce système de surveillance généralisée que le président de la République aurait dû s’en prendre… en se regardant dans le miroir.

Désormais cependant, c’est un 11e point d’alerte que la Défenseure des droits devrait ajouter dans sa liste. Il s’agit d’une alerte suprêmement politique. Car le gouvernement Jean Castex, en tentant de nouveau d’imposer en force la prorogation du passe « sanitaire » jusqu’en été 2022, ne cache même plus ses velléités de biaiser fortement le déroulement des élections présidentielles et législatives de l’année prochaine en faveur du président Emmanuel Macron et de sa future majorité. Parmi les nombreuses déclarations en ce sens, celle du ministre de l’Intérieur, M. Gérald Darmanin, sont peut-être les plus inquiétantes. Dans son entretien dans le JDD, il n’a pas caché son plan de « vouloir peser sur le scrutin » présidentiel de 2022.

« Ce qu’ambitionne le ministre de l’Intérieur c’est avant tout d’être le ministre de l’Intérieur de la réélection d’Emmanuel Macron. « Je suis candidat à ça : montrer la force du Président sur le régalien », confie Darmanin, qui y voit sa « responsabilité dans la campagne » et se dépeint en « garant, en partie » de ce front » [32].

Ces déclarations sont d’une gravité sans précédent et nous tenons à avertir les députés de leur signification : dans tous les régimes autoritaires ou dictatoriaux, les ministres de l’intérieur contribuent à faire élire le président sortant, tout en sauvant les apparences du contraire. Alors que, en France, le ministre de l’Intérieur proclame haut et fort son projet dans ce sens ! C’est donc une alerte démocratique d’une extrême urgence que pose, en fin de compte, le projet de loi présenté par le gouvernement.

En conclusion de cette analyse, le syndicat « ERL ! » attire l’attention sur le manque d’arguments scientifiques et juridiques du projet du passe socio-économique, faussement nommé « sanitaire ». De surcroît, ce projet dont nous épinglons l’inspiration totalitaire, pose un grave problème démocratique durant une année électorale qui a déjà commencé. À ce titre, le livre récent d’enquête publié par les journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme, a révélé une série de détails sur l’origine du mouvement. En particulier, nous retenons la signification du nom « En Marche ! », que d’ailleurs le parti LREM a conservé jusqu’à présent :

« C’est Brigitte Macron qui choisit finalement En Marche ! En effet, l’unanimité n’est pas immédiate ; l’avocat François Sureau, membre de la bande quoique proche de François Fillon (en macronie, tout devient possible), n’est franchement pas fan. Au cours d’un déjeuner, il s’emporte : « C’est pas possible que ça s’appelle En Marche ! Ça rappelle la Grande Marche sur Rome de Mussolini ! La définition du fascisme, c’est le mouvement, sans direction… » L’avocat, homme de culture, jette un froid, ses objections portent. « À ce moment-là, pour nous, le nom est flingué, opine [Stanislas] Guerini. Et là, Brigitte dit : “Moi, j’aime bien.” L’argument historico-intellectuel est balayé. »[33].

En tant que scientifiques, nous mettrons au contraire devant les députés de la Nation précisément cet argument historico-intellectuel. Nous nous permettons de vous rappeler que vous n’êtes pas les élus d’un président, ni d’un parti, mais d’abord et avant tout celles et ceux de la Nation française. Nous vous appelons, toutes et tous, membres de l’opposition tout comme de la majorité, à un véritable sursaut démocratique. Vous ne voudrez pas rester dans l’histoire comme les garants de la mise en place définitive d’un programme de contrôle de la population française et, partant, de la démocratie de notre République, inspiré du modèle totalitaire du Parti Communiste Chinois ou d’autres régimes du passé. Pour toutes ces raisons, le syndicat « Enseignement, Recherche, Libertés ! » s’adresse à tous les parlementaires pour les persuader de rejeter cette proposition de loi au nom des valeurs suprêmes de la République Française : Liberté, Égalité et Fraternité que le système du passe socio-économique bafoue au point qu’il finit par menacer désormais l’existence même de notre République.

Recevez, Mesdames les Députées, Messieurs les Députés, y compris de la majorité présidentielle, les meilleures salutations des membres du syndicat « Enseignement, Recherche et Libertés ! » et de ses sympathisants.

Paris – Aix-en-Provence – Poitiers

17 octobre 2021





Encore un mort du cancer étiqueté Covid-19 par les autorités

[Source : @trottasilvano]



[Ndlr : au Québec, les médias relayent des cas de prétendus morts de la Covid qui s’avèrent avoir été vaccinés quelques jours avant un test PCR positif.]




Le Québec sur les traces du Rwanda : la propagande gouvernementale haineuse

[Source : Les 7 du quebec]

Par Serge Charbonneau

Il y a quelques années, l’un des sujets politico-médiatiques était « le discours haineux »[1].   Combien de fois n’avons-nous pas été mis en garde et même sermonnés concernant les fameux discours « haineux » ? [2]    Puis, peu à peu, on a utilisé cette notion du discours haineux pour limiter la liberté d’expression et même, par la bande, la liberté d’opinion.  Sous le prétexte de la lutte contre les « discours haineux » : les géants du Web concluent un accord avec les annonceurs ! [3] Les grandes plateformes Internet, dont Facebook, ont conclu un accord avec les annonceurs pour mieux lutter contre les contenus incitant à la haine !

Comment peut-on s’opposer au bien !

Les Facebook, YouTube, Google surveillent maintenant les discours haineux !  Puis ce fut les gouvernements qui emboitèrent le pas pour eux aussi assainir la société.  

« Le gouvernement du Canada prend des mesures pour protéger les Canadiens contre les discours et les crimes haineux ! »[4]

En fait, le gouvernement tout comme les grands de l’Internet se sont donné des outils de censure.   Et la censure prévaut de façon incroyable.

La liberté d’opinion est devenue illusoire.  Dès qu’une opinion interdite est émise (sécurité des vaccins, mesures sanitaires, points positifs pour l’administration Trump, fraude électorale américaine) c’est la censure partout tout le temps.  Quant au discours haineux, il a été « oublié ».  La haine est permise et même requise pour lutter contre cette résistance à la dictature sanitaire.

Le discours haineux est devenu monnaie courante et semble même être considéré comme étant nécessaire.

Prenons quelques exemples :

Un chroniqueur au service de la propagande de la secte de Davos compare les travailleurs de la santé qui refusent d’être injectés à des terroristes.

« J’ai un arrière-goût terrible en disant cela : les antivax ont gagné. Le même arrière-goût que je ressens quand des terroristes libèrent des otages… on encourage les bourreaux à recommencer. » [5]

Selon le chroniqueur Patrick Lagacé, ces gens formés en santé seraient des terroristes parce qu’ils refusent de se faire injecter ce produit expérimental que l’on présente comme étant « le vaccin de la liberté » !  Il dit : « Ces gens-là, les conspi-négationnistes… Ces gens-là n’ont qu’un pouvoir de nuisance. Et pour nuire, ils nuisent. »

Monsieur Lagacé attise la haine, tout comme les commentateurs de la Radio des Milles Collines au Rwanda attisaient la haine des Tutsies avant de lancer le massacre.   M. Lagacé n’est pas le seul à attiser la haine de ceux qui refusent l’injection expérimentale, ils sont légion sur tous nos grands médias.

Chez-nous au Québec outre Lagacé, nous avons les Martineau, Bombardier, Dumont, Lamarche, Dussault, Roy, Chouinard, Haché, bref tout le gratin des grands médias qui chaque jour vomissent sur les gens qui mettent en doute la sécurité et l’utilité de cette injection.  On traite ces derniers de tous les noms : Covidiots, coucous [6], sous-éduqués, bande de crétins, d’illuminés [7], d’édentés [8], de conspirationnistes, de complotistes, d’analphabètes fonctionnels et j’en passe et j’en oublie. Le discours haineux est partout. Il est soutenu et constant.

Chaque jour les médias font monter la haine envers les gens non vaccinés. Nous vivons définitivement une situation semblable à celle qu’ont vécu les Rwandais.

Il y a vingt-sept ans, la Radio-Télévision des Mille Collines (RTLM) encouragea le génocide au Rwanda. Sur ses ondes, le média a diffusé la haine, timidement d’abord, puis de façon totalement assumée : « Vous allez mettre le feu aux Tutsis et ils vont regretter d’être nés… Faites du bon travail ! », « Les fosses sont encore à moitié vides, vous devez les remplir ! » La RTLM a joué un rôle capital dans le génocide de 1994, où 800 000 Tutsi et Hutu modérés ont perdu la vie. [9]

« Réjouissons-nous, amis! Les inkotanyi [Tutsis] ont été exterminés! Réjouissons-nous, amis! Dieu ne peut jamais être injuste ! », entonne Habimana Kantano sur les ondes de la Radio télévision libre des Mille collines (RTLM), le 2 juillet 1994. »   Cet extrait est tiré de l’article de Manon Cornellier intitulé  « Un outil d’endoctrinement – Les médias assassins » [10].

Au Rwanda, la Radio mille collines, l’organe du gouvernement hutu, prônait quotidiennement l’éradication des Tutsis. [11]  RTLM, Radio Mille Collines était définitivement la radio de la haine [12].

Au Québec, va-t-on se rendre jusque là ?  Espérons que non.  Cependant, force est de constater que la haine contre les gens non vaccinés est en croissance constante dans notre société.  Il suffirait que les Lagacé, Martineau, Dussault, Roy, Dumont, Lamarche et Cie sonnent la charge pour « purifier » (sic) la société que probablement les endoctrinés emboiteraient le pas et iraient éliminer la menace que représente les non vaccinés pour eux.   Bien sûr, cette avenue semble exagérée, mais demandons-nous sérieusement si les Rwandais pouvaient s’imaginer que leurs voisins avec lesquels ils ont été sur les bancs d’école puissent un jour les pourchasser avec des machettes ?   Je pense que non. Le peuple juif pouvait-il s’imaginer que les nazis les exterminaient systématiquement ?  Lorsque ces pauvres gens  montaient dans les trains, qui donc montait en se disant qu’il se dirigeait vers la mort et non vers un camp de travail ?

On ne peut imaginer jusqu’où peut se rendre la folie.  Et force est de constater que, présentement, la folie est bien réelle.   Chaque jour nos « journalistes » (sic) émettent des propos haineux envers ceux qui remettent en question la doctrine covid.   

Avec le recul on constate que le Rwanda a servi de laboratoire humain.  Tout indique qu’on cherchait à savoir jusqu’où on pouvait pousser une population en utilisant, entre autres, les médias.   Le général Dallaire a bien vu cet endoctrinement de la population et cette montée de la haine.  Il a tenté de contrer cette folie qu’il voyait s’installer, mais l’ONU l’en a empêché.   Comment peut-on expliquer autrement que par une volonté de tester une manipulation de masse qu’on lui refusa les outils (armes et soldats) pour empêcher le massacre ?

La réalité crève de plus en plus les yeux. Il y a définitivement des puissants qui possèdent les moyens pour manipuler les masses.   Pensons à la folie Pokémon !  Une autre expérience mondiale pour connaître à quel point et avec quelle efficacité on pouvait contrôler les populations occidentalisées.

Le Pokémon Go chargé 150 millions de fois dans le monde en l’espace de quelques jours.   La folie est implantée avec une facilité incroyable ! [13]

Ludique, sympathique, un retour irrésistible à l’enfance. Un marketing courriel agressif et avec l’aide précieuse des médias [14], même les adultes les plus sérieux se laisse séduire.   Tous sont dans la rue, l’œil rivé sur leur écran de cellulaire ou leur tablette pour chasser le Pokémon.

L’agence France-Presse répand la nouvelle :

La folie Pokémon Go gagne la planète 

Des joueurs chassant des Pikachu et autres Bulbizarre dans un hôpital d’Amsterdam, des «battues» organisées à Sydney, des jeunes Américains se hasardant en terrains interdits : la folie Pokémon Go, ce jeu de réalité augmentée qui permet d’attraper ces créatures virtuelles, envahit le monde. [15]

Depuis des lustres on étudie et on développe des stratégies de manipulation de l’opinion publique et la manipulation mentale des masses.   En 2014 Facebook avouait avoir testé sa capacité de manipulation mentale des foules [16].

Combien d’ouvrages traitent du sujet !  Nous savons tous que la propagande ou la publicité cherchent à mobiliser le comportement des masses en utilisant des moyens généralement malhonnêtes. Militairement, la désinformation est considérée comme une arme de guerre.  La désinformation est utilisée, tout comme la propagande, pour manipuler l’opinion publique.  La désinformation est vicieuse et probablement l’une des manipulations les plus difficiles à déceler. Nos médias désinforment massivement et utilisent aussi l’inversion des valeurs.   Ceux qui à l’aide des faits exposent la réalité indéniable sont considérés comme étant les menteurs et les porteurs de désinformation alors que c’est tout l’inverse.   Les propagandistes crachent allègrement sur la réalité et ignorent totalement les faits véritables et vérifiables.

À l’aide de la propagande, on endoctrine les gens.   C’est ce qui a été fait pendant des mois au Rwanda.  Puis en utilisant des méthodes démagogiques, on cultive la haine et on la fait croître.  Il faut être conscient des méthodes qui ont cours et des conséquences qui peuvent en découler.

Soyons conscients de cette haine véhiculée par ces faux porteurs de « vérité » (sic) qui nous endoctrinent.

Il faut éveiller ceux qui se laissent entrainer vers la haine avant qu’il ne soit trop tard.

Merci de rester alerte et de réfléchir sérieusement à ce que nous vivons.

Réfléchir n’est pas un luxe.   C’est de plus en plus une nécessité.

Salutations,

Serge Charbonneau.  Québec


Liste des liens

[1] Qu’est-ce qui constitue un discours haineux ?

https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/le-15-18/segments/chronique/93062/justice-droit-incitation-haine-crime

[2] Le discours haineux, un phénomène tentaculaire

https://www.concordia.ca/ucactualites/central/nouvelles/2018/03/12/institut-interdisciplinaire-estival-discours-haineux.html

[3] Discours haineux : les géants du Web concluent un accord avec les annonceurs

https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/discours-haineux-les-geants-du-web-concluent-un-accord-avec-les-annonceurs-20200923

[4] Le gouvernement du Canada prend des mesures pour protéger les Canadiens contre les discours et les crimes haineux

https://www.canada.ca/fr/ministere-justice/nouvelles/2021/06/le-gouvernement-du-canada-prend-des-mesures-pour-proteger-les-canadiens-contre-les-discours-et-les-crimes-haineux.html

[5] Les antivax ont gagné  – Patrick Lagacé

https://www.lapresse.ca/actualites/chroniques/2021-10-13/les-antivax-ont-gagne.php

[6]  La victoire des coucous  – Richard Martineau

https://www.journaldequebec.com/2021/10/14/la-victoire-des-coucous

[7]  Les illuminés  – Marie-Andrée Chouinard

https://www.ledevoir.com/opinion/editoriaux/632673/-les-illumines

[8]  Les édentés  – Patrick Lagacé

https://www.lapresse.ca/actualites/2021-03-19/les-edentes.php#

[9] Au Rwanda, les funestes échos de Radio-Mille Collines

https://www.lemonde.fr/afrique/article/2019/04/08/au-rwanda-les-funestes-echos-de-la-radio-des-mille-collines_5447242_3212.html

[10] Un outil d’endoctrinement – Les médias assassins

https://www.ledevoir.com/societe/51434/un-outil-d-endoctrinement-les-medias-assassins

[11]  Rwanda : «Tuez-les tous», «éradication totale», «nettoyage»… les voix funestes du génocide

https://www.leparisien.fr/international/rwanda-tuez-les-tous-eradication-totale-nettoyage-les-voix-funestes-du-genocide-21-04-2019-8057496.php

[12] Mille Collines, la radio de la haine

https://www.la-croix.com/Culture/Theatre/Mille-Collines-la-radio-de-la-haine-_NG_-2012-12-13-887560

[13] La folie Pokemon Go contamine tout le monde

[14] La folie Pokémon Go arrive chez nous! 

https://www.lecourrierdusud.ca/la-folie-pokemon-go-arrive-chez-nous/

[15] La folie Pokémon Go gagne la planète

https://www.lesoleil.com/affaires/techno/la-folie-pokemon-go-gagne-la-planete-876b2b8f8ea6ff258425fc4f03d2a07c

[16]  Facebook a testé sa capacité de manipulation mentale des foules

https://www.numerama.com/magazine/29852-facebook-a-teste-sa-capacite-de-manipulation-mentale-des-foules.html




Les données : l’« or noir » du XXIe siècle

[Source : Kla.TV]

Au printemps 2020, Bill Gates a annoncé son soutien financier à un projet d’un milliard de dollars visant à quadriller la Terre de satellites de vidéosurveillance. Le projet, appelé EarthNow, vise à surveiller en direct chaque « recoin » de la terre. Selon Wikipedia, les gouvernements et les grandes entreprises sont le public ciblé de ce projet. Bill Gates avait déjà acquis des actions auprès de l’entreprise Crown Castle par l’intermédiaire de sa Fondation Bill & Melinda Gates. Cette entreprise possède l’infrastructure 5G nécessaire pour pouvoir réaliser ce projet de surveillance.

Si les Américains sont amenés à croire, à coup de millions de publicités télévisées, que la 5G est installée pour des vitesses de téléchargement plus rapides, la réalité est qu’elle sera principalement utilisée pour collecter des données.

Le véritable « or noir » du XXIe siècle, ce sont les données recueillies par des dizaines de milliards d’appareils „intelligents », tels que les téléphones portables, les ordinateurs, les voitures, etc., et transmises sans fil via la 5G au Big Data pour être collectées et ensuite vendues.

Dans le monde de demain, les humains seront non seulement totalement surveillés, mais aussi totalement conditionnés. Cela signifie que toute personne qui sort du rang se verra privée de services, d’offres d’achat, de liberté de mouvement et de droits.

Par pg

Sources / Liens :

https://childrenshealthdefense.org/News/the-brave-new-world-of-bill-gates-and-big-telecom/




L’homme politique britannique George Galloway a averti que Facebook est secrètement de connivence avec le « Nouvel ordre mondial » pour éradiquer la liberté d’expression et tuer à jamais les éditeurs indépendants

[Source : anguillesousroche.com]

Dans une tribune pour RT, M. Galloway a souligné que la récente vague de « dénonciations » de Facebook, qui survient au moment même où Big Tech a promis de « réduire la présence de la politique » sur le site, fait partie d’un plan coordonné visant à contrôler davantage la liberté d’expression en ligne.

Galloway écrit :

« Si vous m’aviez dit, pendant les années où j’ai siégé avec Nick Clegg au Parlement britannique, que le député douloureusement libéral de Sheffield Hallam – qui deviendra plus tard vice-premier ministre du Royaume-Uni et Sir Nick – deviendrait le censeur en chef de la plus grande place publique de la planète, Facebook, je ne l’aurais jamais cru.

Lors des élections générales de 2010, lorsque Clegg a fait décoller les libéraux-démocrates lors des débats télévisés, « Je suis d’accord avec Nick » est devenu le slogan de ses adversaires. Ce qui n’était au départ qu’un expédient est aujourd’hui devenu obligatoire.

Car si vous êtes sur Facebook et que Sir Nick Clegg n’apprécie pas ce que vous avez à dire, vous ne serez pas entendu longtemps.

Je déclare un intérêt. Je suis très investi dans la liberté d’expression sur Facebook. J’y ai 600 000 abonnés – plus que la quasi-totalité des personnalités politiques britanniques – et un public de plusieurs millions de personnes pour mes discours, mes clips, etc.

Lorsque j’ai lu récemment le pronunciamento de Clegg selon lequel il allait réduire le contenu politique sur la plateforme, je l’ai perçu comme une menace. Les photos de mon petit-déjeuner ne sont qu’une petite partie de mon œuvre sur Facebook ».

Rt.com rapporte : Selon Clegg

« L’une des choses que nous avons entendues de la part des utilisateurs américains et du monde entier depuis l’élection est que les gens veulent voir plus d’amis, moins de politique. Nous avons donc testé des moyens de réduire la présence de la politique dans les expériences des gens sur Facebook. »

Puis j’ai observé avec fascination les manœuvres orchestrales dans l’obscurité d’une enquête du Congrès sur Facebook où une lanceuse d’alerte, Frances Haugen, sifflait un air très commode pour les puissants – dans l’entreprise et dans les centrales de l’establishment – et j’ai réalisé que nous étions tous joués. Et que Nick Clegg n’est plus un libéral.

Facebook se battra jusqu’à la mort pour empêcher ceux qui ont de « mauvaises » opinions d’être entendus. Signal : il faut faire quelque chose !

Le lanceur d’alerte A de Facebook a été entendu dans le monde entier. Un autre lanceur d’alerte, Julian Assange, n’a pas été entendu depuis plusieurs années en raison de son incarcération dans la prison de haute sécurité de Belmarsh à Londres, et il risque de passer le reste de sa vie sous terre dans un Guantanamo américain.

Le lanceur d’alerte A était préoccupé par le body-shaming sur Instagram et d’autres éphémères de ce genre. Le lanceur d’alerte Assange s’inquiétait des corps, bien morts, aux mains de ceux qui, comme le public du Congrès, fredonnaient avec une horreur feinte les récits du lanceur d’alerte A.

Et voilà qu’arrive de l’Ouest la nouvelle d’un lanceur d’alerte B. Une autre ex-employée de Facebook, Sophie Zhang, a fait part de ses histoires d’horreur sur les fausses nouvelles de Facebook qui influencent les élections dans le monde entier.

Mme B, une tribune de San Francisco, n’a pas encore été nommée, mais il est peu probable que les élections en question soient celles – en Russie par exemple – où une presse d’ONG à fond de train a été filmée pour tenter de réduire la victoire du parti parlementaire du président Vladimir Poutine, quitte à favoriser les communistes !

Il est plus probable qu’elle ait en tête des personnes comme Donald Trump, alors que les dirigeants américains commencent à montrer des signes d’effondrement face à l’éventualité de la résurrection de l’homme orange.

Il ne fait aucun doute que Mme Chang parviendra à citer les mystérieux Ivans et Lis qui continuent de travailler sans relâche pour installer des candidats favorables au pouvoir d’une manière dont l’ENSEMBLE des médias de masse et de la classe politique occidentaux ne pourrait jamais rêver.

La musique d’ambiance est claire. Les mauvaises personnes ont réussi à persuader le public que nos dirigeants et leurs principaux récits sont tout à fait nus. Ils n’ont pas de vêtements.

Il faut les arrêter. Et comme le fameux village du Vietnam qu’il a fallu détruire pour le sauver, la liberté d’expression doit être éteinte pour la préserver. C’est la voie libérale…




« Neo Kosmo » vous explique la mafia des laboratoires pharmaceutiques

[Source : lemediaen442.fr]

Neo Kosmo :

« Le fonctionnement du système de santé français peut être un peu flou pour beaucoup de gens. Alors, on va prendre le temps d’éclaircir tout ça. Dans un premier temps, je vais faire un schéma pour expliquer comment ça fonctionne. Ensuite je vous dirai pourquoi c’est un système super malsain et pour finir, j’exposerai une solution pour éradiquer définitivement le problème. »

Mediator, Levothyrox, Dépakine ont obtenu une autorisation de mise sur le marché. Un autre exemple des dérives causées par le lobbying des laboratoires (il se compte en milliards, comme leurs profits). En 2013, le CEPS (Comité économique des produits de santé) a accordé une AMM au Sovaldi, un médicament de Gilead contre l’hépatite C. Si on tient compte d’un prix de vente au plus haut, le traitement complet devrait coûter 600 €, mais… la sécu accepte de le rembourser à 100 % au tarif de 56 000 € ! Un peu cher ? Pas de problème, l’État n’en achète que pour la moitié des malades. Devant les protestations des associations, les négociations reprennent et finalement, en 2014, le prix du traitement est baissé à 41 000 € ! On voit comment est creusé le trou de la sécu.

SOMMAIRE :

  • 0:00 Introduction
  • 0:41 Comment marche le système de santé ?
  • 4:04 Les dérives du système
  • 10:15 La solution
Neo Kosmo



Martinique : des gendarmes patrouillent à l’intérieur de l’hôpital pour arrêter les soignants non-vaccinés

[Source : lemediaen442.fr]

Par Marcel D. 

Nous sommes en Martinique, à l’hôpital Pierre Zobda-Quitman (Fort-de-France), la vidéo (voir ci-dessous) , a été filmée à l’intérieur de l’hôpital. Des gendarmes parcourent les couloirs, afin de débusquer des soignants —  médecins, infirmières, brancardiers — sans le passeport sanitaire. La scène est surréaliste et digne d’un film de science-fiction ou d’horreur.

Rappelons que deux brancardiers avaient été arrêtés et menottés au sol par la police. Suite à cela, des heurts avaient eu lieu à l’extérieur de l’établissement, et se sont soldés par l’arrestation de trois soignants.

https://twitter.com/LE_GENERAL___/status/1449491742793797635?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1449491742793797635%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Flemediaen442.fr%2Fmartinique-des-gendarmes-patrouillent-a-linterieur-de-lhopital-pour-arreter-les-soignants-non-vaccines%2F

L’entrée de l’hôpital Pierre Zobda-Quitman ressemble à un checkpoint en zone de guerre, l’accès est réservé aux vaccinés. Benjamin Garel, directeur du CHU de Martinique, nous fait une confidence pour le moins intrigante. Selon lui « Les chiffres sont évidents, il y a un vaccin qui tue ! » On n’en demandait pas tant, mais on salue la franchise.

Marcel D. pour Le Média en 4-4-2




Comment on manipule pour avoir le consentement

[Source : Contrepoints]

[Transmis par Françoise Joët]

[Ndlr : emphases visuelles dans le texte (caractères gras et couleurs), par Christine Côte…]

Par Yannick Harrel.

L’époque des années 1950 et 1960 en sciences comportementales est fascinante puisque leurs résultats continuent d’irriguer nos sociétés : ainsi tant les expériences de Asch que celles de Bateson ou de Milgram sont essentielles pour comprendre comment les sociétés actuelles peuvent réagir ou sont forcées de réagir suite à des stimuli spécifiques. Un apport scientifique que de nombreux dirigeants se sont empressés d’expérimenter à grande échelle au sein des démocraties libérales jusqu’à les pervertir de l’intérieur, a fortiori en temps de crise.

Il y a eu bien entendu des recherches, des analyses et des pratiques sur la manipulation des foules antérieurement à ces études.

Rappelons par exemple La psychologie des foules de Gustave Le Bon (1841-1931), Le viol des foules par la propagande politique de Serge Tchakhotine (1883-1973) ou la Commission Creel avec son plus éminent spécialiste, Edward Bernays (1891-1995), par ailleurs neveu et lecteur assidu des travaux de Sigmund Freud (revoir à bon escient le document Propaganda : la fabrique du consentement diffusé sur Arte).

Toutefois, les trois chercheurs précités ont œuvré dans un cadre spécifique : celui de la démocratie libérale. Le principal obstacle dans une démocratie libérale c’est précisément l’obtention d’un consentement, pas obligatoirement exprès, mais tout aussi bien tacite. Et c’est précisément sur ce point central que les trois maîtres du consentement moderne vont œuvrer.

LES TROIS MAÎTRES DU CONSENTEMENT MODERNE

Il convient de rappeler, même brièvement à quoi correspondent les travaux de cette trinité dans l’étude sociocomportementale.

Solomon Asch (1907-1996) a travaillé sur le conformisme des individus en manipulant plusieurs paramètres psychologiques afin que le réfractaire de départ se convertisse peu à peu à la directive initiale.

Gregory Bateson (1904-1980) a analysé le phénomène des injonctions paradoxales, appelées aussi contradictoires ou double contrainte, plongeant le sujet dans un état d’incapacité à atteindre les objectifs fixés, le rendant ainsi plus malléable et corvéable.

Stanley Milgram (1933-1984) est le plus connu du public puisque son expérience a eu un large retentissement en établissant un lien entre la désinhibition d’individus obéissant à des ordres pourtant contraires à la morale et à leurs valeurs, mais couverts par l’autorité officielle.

Or dans une démocratie libérale, animée théoriquement par le respect des libertés fondamentales, le respect d’autrui, la transition apaisée et loyale du pouvoir, ces travaux prennent une valeur inestimable. Comme il n’est pas possible de procéder de la même manière qu’un régime totalitaire qui réclame prioritairement l’obéissance, le consentement, théoriquement libre et éclairé, doit être obtenu par un procédé détourné.

L’INFORMATIQUE CONNECTÉE COMME ADJUVANT

La grande nouveauté dans l’application de ces études à notre époque contemporaine se situe dans l’utilisation massive des métadonnées couplées à des traitements automatisés à grande échelle pour obtenir des baromètres de l’état de l’opinion et des prédictions quant à l’évolution probable de celle-ci (ainsi qu’une surveillance de masse, mais ce sujet, doit être traité à part). Dans les années 1950 et 1960, les ordinateurs étaient uniquement des super-calculateurs occupant une immense pièce entière sécurisée, il était alors hors de question de les employer pour des problématiques autres que la sphère militaire ou la recherche stratégique comme le nucléaire.

Du reste, la simple puissance de calcul n’aurait pas été suffisante. Deux éléments complémentaires ont contribué à l’amplification des techniques de fabrication du consentement :

  • la démocratisation d’Internet dans les années 1990,
  • l’émergence des réseaux sociaux dans les années 2000.

Ainsi, l’accumulation des métadonnées devenait possible pour établir rapidement une cartographie de la population selon son âge, son statut professionnel, son statut marital, ses loisirs, ses relations amicales, ses partenaires d’affaires et même des données autrefois taboues comme sa religion, son appartenance politique, sa localisation géographique, son origine ethnique et même son état médical. Nanti de ces données formant à leur tour un ensemble informatif, le bénéficiaire était en mesure de moduler un discours afin de plaire à différentes communautés et viser a minima la majorité relative, désormais suffisante pour gouverner dans les régimes démocratiques.

Loin de rendre obsolète lesdites études, l’informatique connectée leur fournit une capacité démultipliée de contrôle encore plus fine que dans un régime usant de méthodes autoritaires et grossières, facilitée en outre par l’abandon volontaire par les intéressés de toute donnée de nature privée en contrepartie d’une mise en réseau : la crainte d’une déconnexion sociale par toute une partie de la population raffermit cet afflux de données.

CRISE SYSTÉMIQUE ET CONSENTEMENT

La survenance d’une crise d’importance peut dans un premier temps bouleverser les plans originaux d’un dirigeant, mais les accélérer dans un second pour peu qu’il sache l’exploiter à escient en travaillant sur son magistère (l’autorité), sur la confusion mentale (la peur) et sur le fait majoritaire (le consentement progressif).

Dans le cas d’une pandémie par exemple, la population peut être abreuvée d’informations tantôt alarmantes tantôt rassurantes, de statistiques pléthoriques et invérifiables, de semonces gouvernementales, le tout par des relais médiatiques complaisants ou forcés par lesquels défilent des experts certifiés conformes. L’objectif est de maintenir la population sous contrôle, avec un impératif d’efficacité maximum (l’optimum est la norme hors contexte de crise), lequel peut être obtenu avec le renfort volontaire de la population acquise aux mesures décidées. Telle est l’acmé de tout système de conditionnement social : lorsque la majorité de la population enjoint les réfractaires à se conformer à la norme présentée comme celle qui ramènera la sécurité (sanitaire dans le cas présent, mais qui peut tout aussi bien être environnementale, économique, financière, routière, etc.). Le pouvoir en place doit à terme pouvoir se décharger partiellement de son contrôle sur les esprits en le déléguant à la partie de la population la plus zélée avec l’approbation silencieuse de la majorité.

La terminologie est de ce point de vue essentielle : le terme de menace est préféré à celui de danger, car il justifie par ses vagues temporalité et matérialité la perpétuation de mesures dans le temps et l’espace, jusqu’à l’intégration desdites mesures dans le droit commun.

Si le conditionnement est habilement mené, vous obtenez un peuple zombie et des libertés du même acabit. Rappelons que le cheminement en est d’autant plus facilité dans les esprits que dans une démocratie, la majorité de la population est acquise au principe de bénéficier du meilleur des régimes et de la bienveillance naturelle du dirigeant. Ces présomptions facilitent l’avènement de ce qu’Alexis de Tocqueville craignait le plus, le despotisme démocratique assuré par ce fameux pouvoir immense et tutélaire.

Nombre de lecteurs et commentateurs ne manqueront pas d’y ajouter leurs propres références. Cependant les invariants de l’exposé demeurent : le contrôle des foules nécessite de procéder obligatoirement par le canal émotionnel, et non le canal rationnel. Ce dernier est entièrement inefficace pour disposer à sa guise d’une population, et encore moins pour les opposants de la modifier.

FAIBLESSES DU CONTRÔLE ET CONTRE-MESURES

Le contrôle des populations nécessite un certain doigté, un équilibre permanent entre carotte et bâton pour simplifier. Or, plus le temps passe, plus l’équilibre devient complexe et coûteux, surtout avec le changement générationnel. L’inflation du contrôle produit un effet pervers qui accroît les risques de dysfonctionnement et les moyens alloués.

D’autres éléments internes peuvent rendre l’équation plus précaire : le comportement du dirigeant ou du cercle dirigeant (exemple : une tentation vers l’hybris, la tentation de la démesure) ou le remplacement imprévu du dirigeant (exemple : dans le cas d’une maladie foudroyante).

Des éléments externes peuvent aussi y contribuer : une pression étatique étrangère (exemple : par la création d’un mouvement d’opinion concurrent ou la subversion d’une fraction de la population) ou une catastrophe remettant radicalement en cause le narratif du pouvoir (exemple : la catastrophe de Tchernobyl en Union soviétique).

L’autre limite est celle de l’emploi des algorithmes. Si ceux-ci peuvent fournir une bien utile cartographie de l’état de l’opinion, les prédictions issues de ceux-ci sont sujettes à des variations de plus en plus conséquentes au fur et à mesure qu’elles visent une ligne temporelle plus tendue. Pour simplifier : il y a érosion de la fiabilité de toute prédiction algorithmique sur le temps long. Or, les dirigeants ont rapidement tendance à se soumettre eux-mêmes à une addiction aux algorithmes. D’utilisateurs, ils en deviennent esclaves, les employant de plus en plus régulièrement et intensivement pour envisager les effets des mesures et les décisions à imposer afin d’obtenir la soumission de la population. Cette addiction est une faiblesse inhérente à la technophilie des dirigeants actuels.

Les contre-mesures sont existantes, elles réclament de la constance et de l’aplomb pour leur mise en place.

La première d’entre elles, et la plus économique, est le Non. L’adverbe signifiant la négation est en effet particulièrement efficace dès lors que le ton est posé de façon adéquate. L’homo democraticus next gen est en effet conditionné pour dire Oui à tout. Or, lui signifier frontalement et fermement son opposition, c’est un choc émotionnel (rappelons-nous que le rationnel n’est pas efficace sur les personnes déjà conditionnées, il le reste toutefois sur les personnes hésitantes ou curieuses). Dire Non, c’est effriter sa confiance d’être dans le sens de l’autorité juste et bienveillante.

La seconde est plus pernicieuse, elle consiste à réfléchir en oblique. L’idée est d’être moins frontal et de faire dysfonctionner le consentement. Cela passe généralement par une méthodologie que l’on peut retrouver dans les techniques managériales et qui puise ses origines dans la pensée aristotélicienne, que l’on peut déterminer comme Q3OPC2 (Qui, Quand, Quoi, Où, Pourquoi, Comment, Combien). Nous la retrouvons aussi sous la dénomination d’analyse de cause racine (ACR en français, RCA en anglais). Approuvez les dires de la personne, mais répliquez-y par une question. Le but est de pousser jusqu’aux retranchements et faire disjoncter la programmation mentale.

La troisième, et non exhaustive, contre-mesure implique de manier l’ironie socratique. Bien employée, celle-ci agit comme un dissolvant puisqu’elle raille les mesures et les arguments adverses tout en permettant à l’auditoire de s’en amuser. Nul pouvoir n’apprécie la raillerie qui est un signe de défiance, et dans le cas du conditionnement social, un risque de perdre le contrôle. Se différenciant du procédé scolastique, le principe est de tourner en dérision les mesures prises. Le laconisme se mariant à merveille à cette méthode afin de porter un coup bref, mais tranchant dans la certitude d’autrui.

L’AVANT-GARDE ÉCLAIRÉE

Il n’en reste pas moins que le meilleur rempart contre les tentatives de manipulation psychosociale est la culture : se cultiver demeure le meilleur antidote face à ce type de contrôle (à ce titre, ne jamais confondre le diplôme et la culture, comme le diplôme et l’intelligence). Reste qu’au-delà de cette thématique, il est impératif de déterminer quelle société désirent les citoyens/les sujets eux-mêmes. Le savent-ils eux-mêmes et pis, sont-ils encore capables de l’exprimer distinctement ? Comme le problème récurrent des régimes politiques tient plus aux hommes qu’aux structures (la meilleure des organisations finira toujours pas être corrompue par des hommes animés de mauvaises intentions tandis que les hommes bienveillants finiront toujours par bonifier une organisation même dépravée).

Il est assez judicieux à ce titre de relire La fin de l’Histoire et le dernier homme de Francis Fukuyama (1952), et de le parcourir jusqu’à la dernière ligne (et je souligne cette phrase), pour constater que ce sont en réalité les forces illibérales qui ont pris possession des centres de pouvoir : n’est-il pas temps que l’avant-garde éclairée se mette en ordre de bataille ?


[À propos de l’auteur]

Yannick HARREL : De formation supérieure en sociologie, droit et ingénierie minière, il est expert-chercheur sur les problématiques liées aux stratégies de la donnée et sur l’écosystème des mobilités 3.0. Outre de nombreux articles et interventions pour journaux et radios, il tient des conférences thématiques en France et à l’étranger, il a publié trois ouvrages devenus des références sur la cyberstratégie russe, les cyberstratégies économiques et financières et les automobiles 3.0 aux éditions Nuvis. Il intervient pour le compte d’administrations, d’entreprises et d’instituts d’enseignement supérieur.


[Ajouté par Christine Côte :]

L’expérience de Milgram :

La Fin du Covid -- Expérience de Milgram : Comment transformer sa  population en bourreaux sans scrupules (tunnel)

Expérience de Milgram : définition, utilité, conséquences – Ooreka

Vidéo: (1’50’’)

Livre : La fin de l’Histoire et le dernier homme de Francis Fukuyama (1952)

LA FIN DE L’HISTOIRE ET LE DERNIER HOMME : FUKUYAMA,FRANCIS: Amazon.ca: Livres




Zemmour : « Je suis vacciné, j’ai le pass et ça ne me dérange pas »

[Source : E&R vie Sott.net]

Un extrait du passage d’Éric Zemmour au micro complice d’André Bercoff :



La réaction de Youssef Hindi :

Écouter également la rhétorique embrouillée d’Éric Zemmour sur le pass de la 40e minute à 42’30 :

« Le pass ne me gène pas, je peux comprendre le danger que vous y voyez, euh… oui il faudra bien l’arrêter, euh… que vous dire d’autre, euh… je vois bien les dangers qu’il y a derrière, mais ça ne me dérange pas, surtout le sujet essentiel n’est pas là. »

https://www.youtube.com/embed/c6QfgPBcF_E

Un gloubi-boulga qui s’explique par :

- la fausse opposition du « journaliste » au pouvoir réel qui considère donc que la lutte contre la tyrannie capitaliste parasite le Grand Remplacement ; fausse opposition qu’il a bien résumé en s’adressant à plusieurs grands patrons (dont Henri de Castries, président-directeur général d’AXA de 2000 à 2016, administrateur de Nestlé et de HSBC, ancien président de l’Institut Montaigne, et président du comité de direction du groupe Bilderberg depuis 2012) lors d’un dîner : « Si j’arrive au pouvoir, c’est pour traiter un sujet : le choc des civilisations. Sur l’économie, ce ne sera pas la révolution. » Quand on comprend les véritables enjeux de l’opération Covid-19, à savoir la survie du capitalisme et sa mutation du capitalisme néolibéral au capitalisme davossien de la surveillance, on se dit que tout est dit !

- l’entourage (ou l’équipe de campagne) d’Éric Zemmour, à commencer par Frank Tapiro, publicitaire zélé qui a officié pour Nicolas Sarkozy et a soutenu Emmanuel Macron en 2017. Ce Jacques Séguéla du pauvre est notamment l’organisateur mi-septembre au Trocadéro (Paris) d’un « Festival citoyen » en faveur du pass sanitaire… Événement qui a évidemment et magistralement fait un bide ! Un triste sire qui s’est également prononcé pour la reconnaissance faciale et la détection par intelligence artificielle des porteurs de masques…

Pour le reste, relire cet extrait de l’entretien de Youssef Hindi pour Rivarol :

Vous suivez de près la pré-campagne d’Éric Zemmour. Quelle est, selon vous, sa « vraie » position sur la question ?

Je vais le laisser répondre. Reprenons ses déclarations et prises de position chronologiquement depuis le début de la pandémie.

Le 27 mai 2020, sur Paris Première, Fabrice Di Vizio, avocat du collectif de médecins C 19, qui a également déposé une plainte contre des ministres, a été l’invité de l’émission Zemmour & Naulleau. À cette occasion, Éric Zemmour a défendu l’action gouvernementale, en rejetant la faute sur ceux qui ont porté plainte contre les membres de l’Exécutif. Zemmour a directement accusé l’avocat Fabrice Di Vizio d’être responsable de la politique de confinement menée par le gouvernement :

« C’est à cause de vous qu’on ne déconfine pas assez vite. C’est-à-dire que vous terrorisez Édouard Philippe. C’est sûr. À cause de vous, il est obsédé par Laurent Fabius (NDA : il fait référence à l’affaire du sang contaminé) et donc il n’ose rien faire. »

Lorsque le scandale des dîners clandestins a éclaté alors que les Français étaient confinés et semi-confinés depuis un an, Éric Zemmour a évidemment pris parti pour la caste dirigeante contre le peuple lors de son émission Face à l’info le 7 avril 2021 :

« Je vous avoue que je suis sidéré par l’importance accordée à cette histoire, par la violence (!) des réactions. Soyons sérieux, c’est une histoire de cornecul, c’est vraiment trois fois rien. Le Français avait la réputation d’être léger, là je lui trouve une rigueur toute germanique, c’est ‘‘dura lex, sed lex’’ (NDA : la loi est dure, mais c’est la loi). Vraiment ça me sidère l’importance accordée à cela. Et vraiment je vous dis, la méchanceté, la fureur ! »(([1] https://www.dailymotion.com/video/x…))

Selon Zemmour, les Français sont de méchants germaniques – sous-entendu presque des nazis – quand ils s’agacent de voir leurs bourreaux prendre du bon temps tandis qu’ils sont appauvris, enfermés chez eux et fliqués.

Quant à la vaccination obligatoire, Zemmour s’y est dit opposé, mais, car il y a toujours un « mais » :

« On peut favoriser la vaccination. On peut rendre, par exemple, le passe obligatoire dans différents endroits. On peut inciter à la vaccination, moi je veux bien, on a le droit quand on est au gouvernement de choisir ce qu’on veut favoriser. On pourrait supprimer la gratuité pour les tests. »(([2] https://twitter.com/avec_marine/sta…))

Zemmour soutient dans les faits la tyrannie sanitaire, l’écrasement des Français. Il est et a toujours été complice des traîtres et autres sociopathes au pouvoir, c’est pourquoi il est si médiatisé et promu par tous les moyens, n’en déplaise à ceux qui placent en lui leurs espoirs. Il n’a nulle intention de remettre en cause le capitalisme mondialisé et financiarisé, la tyrannie de l’argent-roi, le pouvoir des Rothschild. Il n’agit nullement en faveur des classes populaires et des classes moyennes dont il se moque éperdument, puisqu’il ne remet en cause ni l’euro ni l’Union européenne qui empêchent la France de pratiquer une politique protectionniste.

Il s’agit pour lui et ses soutiens oligarchiques de déplacer la colère du peuple vers un seul ennemi facile, un bouc émissaire, le musulman, jugé seul coupable d’absolument tous les maux, pour permettre le maintien de la même domination communautaire, judéo-sioniste, sur les mœurs, les institutions, les consciences et même sur l’extrême droite, grand-remplacée par les Zemmour, Lévy, Goldnadel et consort. D’ailleurs, ses principaux soutiens, Julien Madar et Jonathan Nadler, sont des banquiers d’affaires venus de chez Rothschild et de JP Morgan. On fait mieux comme position anti-Système !

Notes




Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Christine Massey et Jon Rappoport

Avec une formation en biostatistique, Christine Massey a utilisé les demandes de liberté d’information (FOIA) comme un outil de recherche, comme une fraise à diamant, pour découvrir la vérité sur le SARS-CoV-2. C’est-à-dire : Le virus existe-t-il ?

Son approche a donné des résultats choquants.

Dans un monde à moitié sain d’esprit, le travail de Christine remporterait de nombreux prix et bénéficierait d’une large couverture médiatique. Dans le monde actuel, de plus en plus de personnes, de leur propre chef, s’éveillent à ses découvertes et révisent complètement leur perception de la “pandémie”.

Voici mon récent entretien avec la brillante et implacable Christine Massey :

Q : Vous et vos collègues avez adressé de nombreuses demandes de communication d’informations aux agences de santé publique du monde entier. Vous avez demandé des documents qui montrent que le virus SARS-CoV-2 existe. Comment avez-vous développé cette approche ?

R : En 2014, une dame d’Edmonton a soumis une demande de liberté d’information à Santé Canada, demandant des études relatives à l’ajout d’acide hydrofluorosilisique (acide fluorure résiduel industriel) à l’eau potable publique (fluoration de l’eau). La réponse de Santé Canada indiquait qu’elle ne disposait d’aucune étude pour étayer ses affirmations selon lesquelles cette pratique est sûre ou efficace.

Quelques années plus tard, des études de grande qualité financées par le gouvernement ont montré que les niveaux courants d’exposition au fluorure pendant la grossesse sont associés à un QI inférieur et à des symptômes accrus de trouble du déficit de l’attention chez les enfants. Néanmoins, les dentistes et la communauté de la santé publique ont continué à promouvoir et à défendre la soi-disant “grande réussite de santé publique” consistant à imposer ce traitement dentaire préventif controversé à des communautés entières, et ont fait fi de ces études. J’ai donc eu recours à des demandes de liberté d’information pour montrer que diverses institutions promouvant et défendant la fluoration de l’eau en Ontario, en Alberta et dans l’État de Washington n’ont pas pu fournir ou citer ne serait-ce qu’une seule étude primaire indiquant l’innocuité de ces résultats.

Ainsi, lorsque j’ai appris de la part de personnes comme David Crowe, le Dr Andrew Kaufman, le Dr Stefan Lanka et le Dr Thomas Cowan que le prétendu virus [Coronavirus] n’avait jamais été isolé (purifié) à partir d’un échantillon de patient, puis caractérisé, séquencé et étudié au moyen d’expériences comparatives, et que son existence n’avait donc jamais été démontrée, j’ai réalisé que les demandes de liberté d’information pouvaient être utilisées pour vérifier leurs affirmations.

La plupart des gens ne vont pas prendre le temps de vérifier toutes les études sur la soi-disant “isolation du virus” par eux-mêmes, donc les demandes de liberté d’information étaient un moyen de 1) s’assurer que rien n’avait été oublié, et 2) d’aller droit au but et de confirmer ce que ces messieurs [Kaufman, Cowan, Crowe, Lanka] disaient, s’ils étaient effectivement corrects.

Ainsi, en mai 2020, j’ai commencé à soumettre des demandes d’accès à l’information pour tout document détenu par l’institution concernée décrivant l’isolement/la purification du prétendu “virus du COVID-19” à partir d’un échantillon non altéré prélevé sur un patient malade, par quiconque, n’importe où sur la planète.

Q : Combien d’agences de santé publique et d’agences gouvernementales avez-vous interrogées dans le cadre de demandes FOIA ?

R : J’ai personnellement posé des questions et reçu des réponses de 22 institutions canadiennes. Il s’agit d’institutions de santé publique, d’universités qui prétendent avoir “isolé le virus”, et de 3 services de police – en raison de leur application des restrictions liées au “COVID-19”. J’ai également reçu personnellement des réponses de plusieurs institutions à l’extérieur du Canada, y compris les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies et le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) d’Anthony Fauci. J’attends les réponses d’un certain nombre d’autres institutions.

De nombreuses personnes à travers le monde ont obtenu des réponses à des demandes identiques, similaires ou connexes de la part d’institutions de leur propre pays. Une personne qui a beaucoup travaillé sur ce sujet en Nouvelle-Zélande et dans d’autres pays est mon collègue Michael S. Un collègue nommé Marc Horn a également obtenu de nombreuses réponses au Royaume-Uni. Une poignée d’autres personnes ont obtenu plusieurs réponses, et beaucoup de gens en ont obtenu une ou deux.

J’ai compilé toutes les réponses qui m’ont été envoyées sur ma page FOI[archive cv19], et au moment où je tape ces lignes (4 octobre 2021), nous avons des réponses FOI de 104 institutions dans plus de 20 pays, toutes relatives à la purification/existence du prétendu virus. En outre, il y a des documents judiciaires d’Afrique du Sud et du Portugal. Au total, 110 instructions sont représentées en ce moment sur mon site web. Il y a des réponses FOI d’autres institutions que je n’ai pas encore eu l’occasion de mettre en ligne.

Q : Comment qualifieriez-vous les réponses que vous avez reçues de ces agences ?

R : Toutes les institutions sans exception ont omis de fournir ou de citer ne serait-ce qu’un seul document décrivant la purification du prétendu virus à partir d’un seul échantillon de patient.

Vingt et un des 22 établissements canadiens ont admis sans détour qu’ils ne possédaient pas de tels documents (comme l’exige la législation canadienne). De nombreuses institutions à l’extérieur du Canada ont admis la même chose, y compris le CDC (2 novembre 2020), le ministère de la Santé de l’Australie, le ministère de la Santé de la Nouvelle-Zélande, le ministère de la Santé et des Soins sociaux du Royaume-Uni…

Et dans certains cas, des excuses stupides ont été fournies. Par exemple, la réponse de la Direction norvégienne de la santé a été qu’elle ne possède pas, ne stocke pas et ne contrôle pas les documents contenant des informations sur les patients. La Direction de la santé publique du Pays de Galles a répondu au Dr Janet Menage qu’elle n’avait pas produit de tels documents et que, même si elle était normalement disposée à l’orienter vers des documents relevant du domaine public, ce serait trop difficile dans ce cas.

L’agence brésilienne de réglementation de la santé (Anvisa), qui approuve les injections à la manière de la FDA, a déclaré à Marcella Picone qu’elle ne disposait d’aucun dossier sur la purification du virus et qu’elle n’y était pas tenue par la loi, de sorte qu’il n’est pas de son ressort de s’assurer que le virus existe réellement.

Q : Quel est le texte exact de vos demandes FOIA ?

Le texte a quelque peu varié au fil du temps. Par exemple, au début, j’utilisais le mot “isolation”. Mais comme ce terme est tellement galvaudé par les virologues, je m’en tiens maintenant à “purification”.

Dans toutes mes demandes, j’ai spécifié exactement ce que j’entendais par “isolement/purification” (séparation du prétendu virus de tout le reste), et que les particules purifiées devaient provenir directement d’un échantillon prélevé sur un être humain malade, l’échantillon du patient n’ayant pas été préalablement altéré par une autre source de matériel génétique (c’est-à-dire les cellules rénales de singe, alias cellules Vero, et le sérum bovin fœtal qui sont généralement utilisés dans les études bidon d’”isolement de virus”).

J’ai toujours précisé que je ne demandais pas de dossiers où les chercheurs n’ont pas purifié le prétendu virus et ont plutôt cultivé quelque chose et/ou effectué un test PCR et/ou séquencé quelque chose. J’ai également précisé que je demandais des documents rédigés par n’importe qui, n’importe où – et pas seulement des documents créés par l’institution en question. Et j’ai demandé des citations pour tout document de purification détenu par l’institution mais déjà disponible au public ailleurs.

La dernière itération [de la demande FOIA] est publiée sur une page de mon site Web où j’encourage les autres à soumettre des demandes aux institutions de leur propre pays : Template for “SARS-COV-2 isolation” FOI requests.

Q : Ces agences disent toutes qu’elles n’ont pas de dossiers prouvant l’existence du SARS-CoV-2, mais en même temps, certaines de ces agences parrainent et financent des études qui affirment que le virus existe. Comment expliquez-vous cette contradiction ?

Je vais aborder cette question à l’aide d’un exemple.

L’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) est la seule institution canadienne qui n’a pas fourni de réponse directe ” aucun dossier ” jusqu’à présent. Au lieu de cela, elle m’a fourni ce qu’elle prétendait être des documents recevables.

Il s’agit de quelques courriels et d’une étude de Bullard et al. qui a été soutenue par l’ASPC et son Laboratoire national de microbiologie, ainsi que par Santé Manitoba et le Laboratoire provincial Cadham du Manitoba.

Ni l’étude ni les courriels ne décrivent la purification du prétendu virus à partir d’un échantillon de patient ou de quoi que ce soit d’autre. Le mot “isoler” (ou “isolation” / “purifier” / “purification”) n’apparaît même pas, sauf dans le manuscrit de l’étude dans le contexte de l’isolement de personnes, pas d’un virus.

…dans la section Matériaux et méthodes, nous constatons que ces chercheurs ont effectué des “tests” PCR pour une partie de la séquence du gène E (pas un virus), et qu’ils ont incubé des échantillons de patients (pas un virus) sur des cellules Vero (cellules rénales de singe) supplémentées avec du sérum bovin fœtal, de la pénicilline/streptomycine et de l’amphotéricine B, et qu’ils ont surveillé les dommages causés aux cellules de singe.

Aucun virus n’a été recherché ou purifié dans les échantillons des patients. Aucun groupe de comparaison, de quelque nature que ce soit, n’a été mis en place dans les procédures relatives aux cellules de singe. Aucun virus n’a été requis ou démontré comme étant impliqué dans l’étude, mais “il” a été accusé de tout dommage aux cellules de singe et “il” a été mentionné à plusieurs reprises tout au long de l’étude (j’ai compté 26 occurrences).

Néanmoins, il s’agissait du seul document fourni par l’Agence de santé publique du Canada.

Et bien que les chercheurs n’aient pas prétendu avoir “isolé” le prétendu virus dans cet article, ils ont effectué le même genre de procédure de culture cellulaire et de travaux sur les singes que les virologues de tous les pays font passer pour un “isolement du virus”. (Parce que la virologie n’est pas une science).

…Notez l’admission dans le résumé [de l’étude] : “La RT-PCR détecte l’ARN, pas le virus infectieux”.

…J’ai donc écrit à l’Agence de la santé publique du Canada pour l’informer qu’aucun des documents qu’elle m’a fournis ne décrit réellement la séparation du prétendu virus de tout le reste dans un échantillon de patient, et que j’exige une réponse précise indiquant qu’elle n’a aucun document à ce sujet.

Dans sa réponse révisée, l’Agence a insisté sur le fait que l’essai de référence utilisé pour déterminer la présence d’un virus intact dans les échantillons de patients est l’effet cytopathique visible [destruction des cellules] sur les cellules dans une culture cellulaire, et que “la PCR confirme en outre la présence d’un virus intact”.

…Comme vous l’avez souligné à vos lecteurs à maintes reprises : Personne n’a isolé/purifié “le virus”. Ils supposent simplement que les échantillons de patients le contiennent (sur la base de tests PCR sans signification). Ils falsifient les échantillons de patients avec du matériel génétique et des médicaments toxiques, affament les cellules, puis accusent de manière irrationnelle le “virus” de nuire aux cellules. Ils montrent du doigt quelque chose qui n’a jamais été purifié, caractérisé, séquencé ou étudié scientifiquement, dans une culture cellulaire et insistent sur le fait que “c’est le virus”. Ils fabriquent les “génomes” à partir de zillions de séquences détectées dans une soupe. Ce ne sont que des spéculations et des hypothèses sauvages, aucune science.

Les personnes responsables des affirmations manifestement frauduleuses faites par ces institutions sont donc soit extrêmement incompétentes, soit intentionnellement menteuses.

-fin de l’interview-


Pour soutenir les derniers commentaires de Christine, ces agences répondront aux demandes de FOIA par : “nous n’avons pas de dossiers sur la purification du virus” – et parraineront ensuite des études qui prétendent que le virus A ÉTÉ purifié et découvert, parce que…

Les normes de purification du virus dans les études ne sont pas des normes du tout. Elles sont totalement irrationnelles.

Cependant, parce que Christine est très précise et exacte dans ses demandes FOIA, quand il s’agit de ce que signifie la purification, les agences sont obligées de répondre …

“Eh bien, dans ce cas, nous n’avons aucune trace de purification du virus…”

Ce qui veut dire : Il n’y a pas de documents montrant que le virus a été isolé ; il n’y a pas de documents montrant que le virus existe.

Article original (anglais) : https://blog.nomorefakenews.com/2021/10/07/the-non-existent-virus-explosive-interview-with-christine-massey/
La source originale de cet article est nomorefakenews.com
Copyright © Christine Massey et Jon Rappoportnomorefakenews.com, 2021


[Voir aussi :
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]