Une journaliste vedette de Fox News dévoile ce que des sites « complotistes » avaient révélé depuis des mois : le document Rockefeller sur un scénario pandémie publié en 2010

[Source : Pro Fide Catholica]

[Vidéo orignelle en anglais : ‘Ingraham Angle’ on Democrat leaders, COVID origins | Fox News]

Par brianajane

LAURA INGRAHAM DE FOX NEWS DÉVOILE À LA TÉLÉ AMÉRICAINE LES DOCUMENTS MONTRANT QUE LES ROCKEFELLER AVAIENT PRÉVU LE SCÉNARIO DE LA PANDÉMIE EN 2010

Fox News aux Etats-Unis, c’est TF1, France 2, France 3, BFM TV, CNEWS, LCI… en France. C’est une Chaîne de Grande écoute et surtout une chaîne qui a moulte fois crié « Au Complotisme » !

[Ndlr : cette chaîne est néanmoins dénigrée par la plupart des autres médias dominants américains en raison de son orientation plutôt pro républicaine.]

Donc, Laura Ingraham, la présentatrice Vedette de la Chaîne annonce très clairement qu’il existe bien un rapport ROCKEFELLER de 2010 annonçant la Pandémie et la manière dont le pouvoir en place ne laissera JAMAIS cette crise imaginaire prendre fin avec un contrôle total et absolu des Peuples qui ont auront été ainsi privés de Libertés.

Nous vous avions fait part de ce rapport Rockefeller le 1er Mai 2020 :

https://profidecatholica.com/2020/05/01/le-rapport-de-la-fondation-rockefeller-de-2010-qui-annoncait-la-pandemie-et-le-confinement/
[Voir aussi : La crise de la covid-19 prévue en 2010 par la fondation Rockefeller ?]



Les « Choses » bougent énormément aux Etats-Unis et nous espérons un changement radical de Cap pour bientôt.

Vous avez LA PREUVE, avec cette vidéo de FOX-NEWS, que le COVID-19 est bel et bien UN COMPLOT CONTRE L’HUMANITE car quand une pandémie sugit, elle ne se signale pas 21 ans en avance.

De Plus c’est ROCKEFELLER qui signe, c’est pour ainsi dire DOUBLEMENT SIGNE.


[Voir aussi :
Des passeports pour les vaccins ont été planifiés avant même le début de la pandémie
Preuves que la pandémie a été planifiée ?
La vaccination mondiale : le véritable objectif de l’opération COVID-19
Le bon virus au bon moment
Ce que nous vivons était décrit par le journaliste Serge Monast en 1994]




Après le covid, une cyberattaque mondiale ? — Pierre Hillard

[Source : Chaîne officielle TVLibertés]

Quel avenir nous réservent nos « élites » mondialisées ? Depuis l’arrivée du covid et les troubles qui en ont découlé, les oligarchies du monde entier semblent vouloir accélérer leur politique sur les peuples. Dans ce numéro de « Politique &Eco », Pierre Hillard, docteur en sciences politiques, dresse le panorama, véritable continuum, de l’idéologie mondialiste des origines à nos jours : de l’ouvrage « Utopia » de Thomas Moore en 1516, en passant par l’esprit des Lumières, l’Union paneuropéenne internationale, jusqu’aux dessins des différentes organisations comme le FMI ou le Forum économique international de Davos de Klaus Schwab, qui redoute une cyberattaque mondiale susceptible de provoquer l’effondrement du système financier international. Un entretien de salubrité publique… à diffuser en masse !

[Voir aussi :
La quatrième phase de Schwab
Le prétendu “plan Kalergi” de destruction de l’Europe
Comprendre l’Adversaire – Pierre Hillard
Des origines du mondialisme à la Société ouverte de Soros
Le Nouvel Ordre Mondial va-t-il gagner ?
Les valeurs familiales de Schwab
La vérité contre la peur
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”
Le Grand Reset pour les nuls
La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme]




« Le complotiste est celui qui veut penser par lui-même !!! » L’édito de Charles SANNAT

[Source : Insolentiae]

par Charles Sannat

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

La situation intellectuelle dans la partie occidentale du monde est absolument affligeante de bêtise.

Pas la bêtise du petit peuple. Non, je parle de la bêtise de nos « élites »  qui nous expliquent doctement « qu’il ne faut pas penser par soi-même », qu’il ne faut « surtout pas chercher à comprendre par soi-même », oui, voici la nouvelle définition du complotisme.

Nous vivons des heures surréalistes et je vous l’annonce, les heures du surréalisme précèdent toujours les heures sombres de l’histoire.

Voilà ce que vient de déclarer le plus sérieusement du monde Monsieur Sébastien Dieguez, neuroscientifique, et chercheur tout de même à l’Université de Fribourg. Après une carrière de clinicien, il se tourne vers la recherche en sciences cognitives et travaille actuellement sur la formation des croyances, en particulier l’adhésion aux théories du complot. C’est du lourd et du sérieux dans le monde académique, le vrai, celui qui est payé par les gouvernements forcément gentils qui ne vous veulent que du bien, et que même ils ne vous mentent jamais… les États !

Ils n’ont pas menti en URSS.

Ils n’ont jamais menti dans l’ex-RDA.

Ils n’ont jamais menti en France, avec le médiator, le sang contaminé, ou encore le nuage de Tchernobyl qui s’arrête à la frontière. Jamais un État ne ment.

Ils n’ont jamais menti pour aller faire quelques guerres, tenez, souvenez-vous de Colin Powell le ministre américain à la Tribune du Conseil de sécurité de l’ONU brandissant fièrement la petite fiole d’armes de destruction massives de Saddam Hussein. Non, jamais les États ne mentent. Ils sont purs. C’est le camp du bien. Les méchants, ce sont les « zôtres ».

Bref, selon le sieur en question voici une description d’anthologie et orwellienne des « complotistes ».

La perle de l’année nominée aux oscars du meilleur propagandiste officiel !

« Ce que fait le complotiste il va faire des recherches par lui-même, il veut penser par lui-même, il veut voir par lui-même »…

Et oui, un vilain complotiste a l’audace de faire tout cela.

Il veut tout faire par lui-même. Incroyable.

Il veut travailler et faire ses recherches, il veut voir par lui-même, et enfin, il a l’outrecuidance de vouloir, et c’est, je crois, la pire des fautes, « penser par lui-même ».

Insupportable.

Trop dangereux.

D’ailleurs j’ai quitté la BNP peu avant que son nouveau DG ne déclare en plénière devant les cadres du groupe, que « commencer à réfléchir, c’était commencer à désobéir ». Hahahahahahahahahahaha.

Ce grand spécialiste, va-même rajouter qu’il est « impossible de penser par soi-même », ce qui peut effectivement se discuter en termes philosophiques au café de Flore entre spécialistes de la philo, mais qui est complètement con quand on veut parler de complotisme et étudier « la formation des croyances ». Effectivement, on pense avec l’ensemble des éléments que l’on soumet à notre réflexion, et plus nous avons d’éléments qui viennent enrichir notre réflexion, plus nos capacités de compréhension sont bonnes, et meilleures sont nos pensées. Mais notre philosophe de comptoir fait ici œuvre de propagande. Il connait très bien la différence, il sait également très bien, que toutes les grandes avancées, les grandes innovations sont l’œuvre de « transgresseurs » de l’ordre établi. Le progrès ne vient jamais du respect des règles.

Qu’il s’agisse de social, du politique, ou du scientifique et du technique, ce sont les transgresseurs de l’ordre établi qui font toujours, je dis bien toujours avancer les choses.

Nous continuerions la traite négrière si nous n’avions pas eu des transgresseurs pour expliquer que l’esclavage c’était peut-être pas bien. Vous seriez toujours dans une caverne à manger un morceau de mammouth en croyant que la terre est plate si les croyances de ces époques n’avaient pas été transgressées.

Allons plus loin.

Complotisme : comment le démasquer et quelle riposte adopter  ? Se demande l’Humanité…

Oui, l’Humanité, enfin ce qui reste de ce quotidien pose dans cet article du 21 mai de cette année 2021 quelques pensées fulgurantes sur le complotisme, et j’en rigole encore dans ma barbe blanche.

Comme vous le savez, dénoncer le complotisme c’est bien vu.

Vous pouvez avoir des points bonus de bien-pensance crétine si par exemple vous dites que l’égalité homme-femme c’est important, si vous parlez des minorités cela rapporte encore plus de points, mais le mieux, c’est d’associer complotisme et antisémitisme. Là, vous faites carton plein. C’est le summum.

Pour Iris Boyer « le complotisme est intimement corrélé à un sentiment de défiance : un désenchantement par rapport à une vérité jugée inadaptée à une situation inédite et incertaine ou un refus d’adhérer à l’information portée par un messager jugé non crédible ». Et oui, ma chère Iris, le problème ce n’est pas la « défiance » venue de nulle part, c’est l’accumulation des mensonges des autorités qui carrabistouillent les peuples d’une manière jamais vue dans le monde depuis la propagande de la Pravda soviétique.

Mais la palme dans cet article de l’Huma revient à Pierre Khalfa qui nous explique dès les premières lignes que « les réseaux sociaux ne font qu’accélérer considérablement le phénomène, ils ne le créent pas. Au début du XXe siècle, les Protocoles des sages de Sion, un faux rédigé par la police secrète tsariste, n’ont pas eu besoin des réseaux sociaux pour devenir un best-seller antisémite mondial »

Il ne s’est sans doute même pas rendu compte qu’en déclarant cela, il venait de confirmer la nécessité absolue que nous soyons tous complotistes, à savoir, depuis que nous avons une définition claire selon le spécialiste ci-dessus en vidéo, qu’il faut penser par nous-mêmes et vérifier par nous-mêmes, parce que le protocole des Sages de Sions, texte totalement antisémite n’a pas été écrit par des antisémites complotistes dans une cave ou un sous-sol caché, mais par les services secrets d’un état souverain.

Pierre Khalfa prend exactement l’exemple qu’il ne faut pas prendre, car cet exemple montre que ce sont bien des États qu’il faut douter.

Il n’y a pas à dire, quand on ne pense plus, on ne risque pas de bien penser, et quand on pense faux cela se voit également.

Avec ce genre d’arguments, il est évident que tous ceux qui veulent encore penser en dehors d’une pensée imposée voudront le faire encore plus.

Cela montre aussi à quel point ces mots et ces termes sont utilisés pour faire taire, pour faire peur, pour ostraciser, pour pointer du doigt, et pour discriminer celui qui pense.

N’ayez pas peur, et n’ayez pas peur de penser.

Penser ne veut pas dire avoir raison.

Mais penser c’est le début de la liberté.

Pour le reste lorsque l’on veut combattre le complotisme en demandant aux gens de cesser de penser, nous sommes en plein naufrage intellectuel.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »


[Voir aussi :
Les « Expliqueurs » : Mais qui est donc ce « Galilée », nouvelle star autoproclamée des complotistes sur les réseaux sociaux
Ayez le courage d‘être un complotiste !
De l’art de la manipulation, de la pensée unique… et de l’usage du mot « complotiste »
De l’urgence d’être complotiste
À propos du complotisme et des complotistes
Comment répondre à quelqu’un qui vous traite de complotiste ?]




Petite histoire de la surveillance

[Source : blast-info.fr]

Une BD américaine : “La Machine ne ferme jamais les yeux”, entreprend de raconter l’histoire de la surveillance des citoyens par les Etats et des consommateurs par les entreprises, depuis le mythe antique du Cheval de Troie jusqu’à l’espionnage de masse opéré aujourd’hui par les GAFAM. Cet essai stimulant invite à prendre de la hauteur sur le sujet et réfléchir aux solutions pour remettre les libertés publiques au premier plan.

Benjamin Franklin affirmait qu’« un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre et finit par perdre les deux ». La citation est devenue un adage repris un peu partout, presque un poncif. Son avertissement ne semble pourtant pas avoir été entendu : notre société a basculé avec l’avènement d’internet et de la « big data » dans une ère de surveillance généralisée où les libertés publiques ont été restreintes, de même que notre droit à la tranquillité. Tel la grenouille qui meurt s’en sans rendre compte dans une eau mise à l’ébullition, le citoyen subit jour après jour l’érosion de ses libertés fondamentales et constitutionnelles, sans être capable de définir précisément à quel moment il a renoncé à se battre.

Il est ainsi curieux de se remémorer l’énorme scandale qu’ont pu constituer les écoutes téléphoniques dans les années 1980 sous François Mitterrand, en comparaison du désintérêt presque total des citoyens d’aujourd’hui sur le fait que l’ensemble de leurs communications téléphoniques, de leurs courriers électroniques, de leur navigation internet et de leurs déplacements quotidiens sont enregistrés par des entreprises sans leur consentement, et sans le moindre contrôle. Qui hésite aujourd’hui à accepter sans les lire les conditions générales de services comme Facebook ou Amazon qui leur permettent d’enregistrer notre intimité du matin jusqu’au soir ?

Nos vies quotidiennes – personnelles et professionnelles – tournent aujourd’hui autour de nos ordinateurs, de nos téléphones mobiles et de nos tablettes, qui sont devenus des outils de surveillance permanents. Nous y stockons nos photos, nos contacts, nos agendas, nous les utilisons pour notre correspondance, pour nous repérer dans les villes ou à la campagne. Edward Snowden nous a appris que toutes ces informations étaient instantanément mises à disposition d’Etats qui ne rendent pas de compte sur leur utilisation. Ceux-ci tentent parfois d’y intégrer un soupçon de légalité, dans une escalade qui ne cesse jamais. Le gouvernement français a par exemple légiféré il y a peu pour autoriser la surveillance par drones de la population, ce que le Conseil Constitutionnel a immédiatement interdit. Mais le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin a déjà promis un nouveau texte sur le sujet.

Editions Delcourt / Encrages

Avant la télésurveillance, la surveillance

Paradoxalement, alors que la technologie permet aujourd’hui le pire – ce que même George Orwell ne pouvait imaginer en écrivant “1984”, qui reste pourtant la dystopie la plus inquiétante jamais écrite sur le sujet – les consciences sont moins éveillées sur les risques qu’à l’époque de la sortie de son livre. Car il faut rappeler qu’avant la télésurveillance massive que permet Internet, la surveillance était opérée par de nombreux autres moyens, et que cela faisait déjà débat. C’est ce que rappelle une bande dessinée de Greenberg, Patterson & Canlas, traduite de l’américain chez Delcourt (“La Machine ne ferme jamais les yeux, Une histoire de la télésurveillance de “1984” à Facebook”).

Editions Delcourt / Encrages

L’ouvrage déroule l’histoire, les causes et les conséquences de la surveillance dans nos sociétés en remontant jusqu’à l’Antiquité. Si la démonstration est brillante, elle pêche un peu par son ethnocentrisme : le sujet est analysé dans le monde moderne à l’aune des seuls Etats-Unis et de leur législation. Mais comme chacun sait, toutes les démocraties occidentales finissent par suivre ce modèle avec quelques années de décalage, et ce léger défaut n’invalide en rien l’analyse.

Tout le monde a quelque chose à cacher, rappellent les auteurs en ouverture. C’est le principe même du droit au respect de la vie privée, garanti par toutes les Constitutions, sauf dans les dictatures. C’est même ce qui les distinguent des démocraties ! Pourtant, les grandes entreprises “gouvernementales, commerciales et criminelles” cherchent sans cesse (et parviennent aujourd’hui sans difficulté) à comprendre et enregistrer chacune de nos petites habitudes.

De Jeremy Bentham à Michel Foucault

Les premiers chapitres s’attachent à élucider les raisons de la soumission des populations à une surveillance contraire à leurs intérêts, que les auteurs expliquent d’abord par les croyances religieuses et la conviction ancrée dans les Ecritures que Dieu surveille les actions de chacun en vue du jugement dernier. Avec la sécularisation, le concept opère un glissement : la morale publique se substitue à la morale religieuse et justifie la mise en place d’une surveillance sociale, au départ pour des raisons plutôt nobles (la nécessité d’un ordre public, le besoin d’avoir une police et une justice efficace).

Editions Delcourt / Encrages

Au XVIIIe siècle, le philosophe Jeremy Bentham propose une réflexion nouvelle autour de la société de surveillance, en imaginant une structure architecturale circulaire (le panoptique) propre à permettre à un observateur de surveiller tous les sujets vivant à l’intérieur sans qu’eux-mêmes ne puissent savoir quand ils sont observés. Son objectif : installer dans une population donnée le concept d’autosurveillance. Sans parvenir à mettre en place son projet de bâtiment, Bentham pense alors œuvrer pour le progrès ! On retrouvera jusqu’à aujourd’hui des échos de son argumentation, par exemple dans les discours des politiques visant à truffer nos rues, nos métros et nos magasins de caméras de vidéosurveillance.

Un autre philosophe, au XXe siècle, s’est interrogé à la suite de Bentham sur la surveillance : le Français Michel Foucault. Il conclut que les autorités contemporaines contrôlent les populations à leur insu pour asseoir un pouvoir et une relation verticale de domination. Les auteurs de la bande dessinée démontrent la justesse de son argumentation dans de nombreux épisodes de l’histoire, depuis le système de surveillance mis en place par les esclavagistes américains (pensé comme un système de défense de la propriété !) jusqu’au McCarthysme.

La surveillance au service de la domination des États et des entreprises

Il existe différents systèmes de surveillance de la population, que l’on peut répartir en quatre catégories principales :

● La surveillance policière : elle s’accélère au XXe siècle dans les démocraties qui considèrent qu’il faut se prémunir de la délinquance par le contrôle de leurs populations.

● La surveillance par les patrons : le fordisme – qui révolutionne le monde du travail au début du XXe siècle – implique de mesurer chaque geste de l’ouvrier pour mettre en place la division du travail. En 1920, ce sont 200 000 “espions” qui sont employés par l’industrie américaine pour surveiller les faits et gestes des salariés !

● La surveillance politique : le XXe siècle est une période de grandes batailles idéologiques. La Seconde guerre mondiale puis la Guerre froide amènent les États à se méfier de la « Cinquième colonne » et à espionner ses ennemis intérieurs.

● La surveillance des mouvements sociaux : plus grave, les gouvernements modernes ont appris à utiliser la surveillance intérieure pour mettre au pas l’opposition, de façon très extensive : des mouvements pacifistes ou des défenseurs de l’environnement ont pu être considérés comme provocateurs de trouble. De nombreuses formes de militantisme se retrouvent aujourd’hui assimilées à du terrorisme pour justifier l’espionnage de leurs activités.

C’est avec J. Edgar Hoover, le premier directeur du FBI, que les Etats-Unis généralisent l’espionnage abusif de leurs citoyens au prétexte de la lutte contre le communisme. Le fichier secret mis en place par Hoover (qu’il fera détruire après sa mort pour éviter d’être jugé par l’Histoire) liste à la fin de sa vie plusieurs millions d’Américains dont en réalité très peu sont communistes. Martin Luther King, futur Prix Nobel de la Paix, fait partie des personnalités mises sous surveillance.

Editions Delcourt / Encrages

Dans le sillage de Hoover, la CIA et la NSA développent des outils électroniques pour surveiller le monde entier. George W. Bush autorise après les attentats du 11 septembre 2001 ces deux agences à surveiller les communications de l’ensemble des Américains. Le paradigme s’inverse : auparavant, on surveillait les suspects. Après lui, tout le monde se trouve considéré comme suspect par défaut. Un nouveau paradigme démontré par Snowden amène à la surveillance de masse de centaines de millions de citoyens innocents, et même de milliards d’étrangers. Selon le lanceur d’alerte, la devise interne de la NSA devient : “Collectez-les tous”.

Que faire ? Réglementer !

Au début du XXIe siècle, des programmes sont mis en place pour espionner les téléphones et les navigations sur Internet, d’autres permettent de prendre le contrôle de n’importe quelle webcam ou d’analyser les documents enregistrés sur nos disques durs (plus de 850 milliards auraient déjà été scannés). Enfin, une base de données de reconnaissance faciale mondiale est construite. Ceci en dehors de toute légalité, même si le « Patriot Act » (2001) rend largement possible ce qui était auparavant considéré comme criminel. Pendant la longue mise en place de cette société de surveillance par plusieurs gouvernements successifs, les élus américains ne cessent de mentir à ce sujet, parfois sous serment au Congrès, sans que jamais personne n’en paye les conséquences. Le “progressiste” Barack Obama, une fois au pouvoir, ne voit rien à redire ou à corriger dans ces dispositifs, et il est probable qu’il en sera de même pour Joe Biden.

Que faire ? Peut-être reprendre la main sur un plan politique. A titre personnel, militer auprès d’organisations engagées sur le sujet comme la Quadrature du Net. Et obliger nos politiques à prendre position sur le sujet. Des propositions pourtant très simples ne sont aujourd’hui appropriées par personne, ni à gauche ni à droite (tandis que les responsables politiques de tous bords ne cessent de citer, à tort et à travers, George Orwell pour faire semblant de se plaindre de l’évolution de la société).

Il faudrait commencer par légiférer pour interdire à toute société privée de conserver des données personnelles plus de six mois, sous peine d’interdiction totale. Netflix ou Google ont-ils vraiment besoin de se remémorer de nos recherches sur internet il y a 10 ans pour nous vendre leurs services ? Et si toutes les entreprises étaient soumises à cette règle de bons sens, cela ferait-il ralentir l’économie ? Évidemment pas. Voici donc un bon début, facile à mettre en œuvre.

Editions Delcourt / Encrages

Une réglementation plus sévère pour interdire le forçage de l’acceptation des conditions générales des biens et services de consommation courante est également nécessaire. Personne ne s’interroge par exemple sur le fait qu’il est obligatoire de lire et d’accepter les conditions générales d’Apple après avoir acheté un téléphone, sans pouvoir le ramener en magasin une fois déballé, faute de quoi il reste inutilisable. Un peu difficile à avaler pour un appareil qui peut coûter jusqu’à 1 300 euros. Chacun sait que l’acceptation de conditions totalement abusives n’est en réalité jamais optionnelle, mais personne ne s’intéresse à résoudre cette absurdité.

Enfin, l’Union Européenne devrait – plutôt qu’une réglementation RGPD nourrie de bonnes intentions mais complexe et trop peu efficace – s’attacher à réglementer la surveillance des citoyens par ses Etats-membres en rappelant qu’en démocratie on ne peut surveiller que des suspects sous le contrôle d’un juge, et poser des limites à ses partenaires. Il faudrait de toute urgence cesser de se plier systématiquement aux demandes des services américains et leur interdire de stocker toute donnée sur des citoyens européens qui ne seraient pas suspectés d’activités criminelles, en utilisant l’arme diplomatique. On devine hélas, que sur ce point, il est permis de rêver.

Sur ces sujets plus que n’importe quel autre, la créativité politique sera essentielle. Faute d’une rapide prise de conscience générale, le monde basculera dans une ère véritablement orwellienne.

La Machine ne ferme jamais les yeux,
Une histoire de la télésurveillance de “1984” à Facebook,
Greenberg, Patterson & Canlas
(Delcourt / Encrages), 144 pages, 15,95 €

Crédits photo/illustration en haut de page :
Editions Delcourt / Encrages




Comment votre cerveau est contrôlé !

[Source : La Minute de Ricardo]

[Illustration : ©shutterstock.com/13Smile]



[Voir aussi :
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm]




Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !

[Source : kla.tv]

La belle chanson populaire allemande « Les pensées sont libres – qui peut les deviner ? » est malheureusement devenue une illusion à l’ère de la digitalisation. C’est ce qu’affirme et ce que prouve le Dr. Karl Hecht., médecin et professeur de neurophysiologie renommé, chercheur en neuroscience et médecin de l’environnement.
Le spécialiste, âgé de 96 ans, décrit de façon très claire le fonctionnement technique de la manipulation et du contrôle de l’esprit, notamment par le biais des ondes électromagnétiques. Il nous fait ainsi découvrir les débuts des expériences technologiques sur le contrôle des esprits dans les années 1950 et 1960, qu’il qualifie de « vieux jeu » dans la perspective d’aujourd’hui. Car jamais auparavant les conditions technologiques d’une dictature totale n’ont été aussi mûres qu’aujourd’hui.
Le professeur Hecht demande instamment que ce processus inhumain soit arrêté, afin que l’humanité ne se supprime pas elle-même par la digitalisation. Il est grand temps de revenir à la nature divine si nous ne voulons pas être dépouillés de toute humanité par l’idéologie de la digitalisation et être dégradés en robots humains totalement contrôlés.
Regardez maintenant l’interview du professeur Dr. Karl Hecht, que Kla.TV a réalisée pour vous en décembre 2020.

Interview:

Modérateur : Professeur Hecht, merci de nous permettre d’être avec vous aujourd’hui, de nous inviter et de nous permettre de parler du thème de la « digitalisation de l’humanité ». Professeur, en cette année marquée presque exclusivement par la crise de la Covid-19, vous avez écrit un article académique en août qui semble être un réveil urgent. Son titre : « Les pensées sont libres, mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini. » Qu’est-ce qui vous a poussé à écrire un article aussi complet et percutant à l’âge de 96 ans ?

Professeur Hecht : C’est mon habitude, je veux transmettre à l’humanité la vérité fondée sur la science. L’idéologie de la digitalisation crée une euphorie, c’est-à-dire un enthousiasme pour cette technologie, et il y a beaucoup de promesse. Prospérité, confort, voire santé et même immortalité grâce à l’intelligence artificielle. Mais la vérité est ailleurs. La digitalisation apporte une surveillance totale. La digitalisation entraîne une diminution des emplois et rend les humains superflus. La digitalisation entraîne ou provoque la manipulation de l’opinion publique, et finalement nous vivons une situation où l’homme perd lentement le contrôle sur la technologie. Ces derniers temps, les médias ont diffusé l’information selon laquelle Elon Musk a inventé ou est même en train d’expérimenter un implant Neuralink, qui est une interface entre l’ordinateur et le cerveau. Il décrit que c’est assez simple. Cet implant Neuralink n’est pas plus grand qu’une pièce d’euro et vous pouvez le mettre sur le crâne en incisant le cuir chevelu, puis il y a une connexion, une interface entre le cerveau et ce Neuralink, puis l’ordinateur ou le téléphone portable, etc. Il disait encore que la connexion entre le cerveau et l’ordinateur est nécessaire pour que les humains, ou l’humanité dans son ensemble, puissent bénéficier du développement de l’intelligence artificielle. Et c’est bien sûr un message choquant et c’est aussi l’une des raisons pour lesquelles j’ai écrit cet article.

Modérateur : Professeur, l’implant cérébral Neuralink d’Elon Musk a fait l’objet d’une large publicité dans les médias. Comment le Neuralink d’Elon Musk est-il censé fonctionner ? Et quels dangers y voyez-vous ?

Prof. Hecht : Oui, je voudrais tout d’abord vous expliquer comment cela va fonctionner, et pour que vous puissiez comprendre tout cela je dois vous donner une petite leçon de neurophysiologie. Voici le cerveau humain – ici une coupe transversale. Je tiens à dire à ce propos que notre cerveau compte 100 milliards de cellules nerveuses, et que chaque cellule nerveuse peut se connecter à toutes les autres, c’est-à-dire à 10 000 autres, c’est alors comme un organe à part entière ; c’est la caractéristique de l’être humain.
Vous voyez ici le cerveau antérieur, et Mme Teuchert-Noodt pense que le plus important c’est qu’il arrive à maturité, et cela ne se produit que jusqu’à l’âge de 18 ans, et il ne doit pas être irradié par des ondes ou par des facteurs externes ou être endommagé. Vous voyez ici au milieu ce qu’on appelle l’hippocampe, ce qu’on appelle le système limbique, et ici l’amygdale, qui est le centre émotionnel. Et dans les années 1940, le neurophysiologiste suisse Walter Rudolf Hess a découvert que s’il insère une électrode très fine et la stimule électriquement, des émotions sont générées dans cette zone. Par exemple, le rire, les pleurs, la colère, l’agacement. Donc on a constaté que dans cette région se reflètent nos émotions. C’était une grande découverte pour l’époque, il a reçu le prix Nobel pour cela. Et on a également partiellement appliqué ça en médecine, de telle sorte que des électrodes ont été insérées dans certaines zones du cerveau chez des patients souffrant d’épilepsie et de la maladie de Parkinson. J’ai moi-même vu la professeure Bechtereva travailler avec des épileptiques dans la clinique de Saint-Pétersbourg. Mme Olga Bechtereva est la fille du Bechterev dont une maladie porte le nom. Et il s’agissait surtout de blessés de guerre qui avaient des balles dans le cerveau ou des éclats d’obus. Et ils avaient jusqu’à 20 crises d’épilepsie et quand ils ont mis l’appareil dans une certaine région, l’appareil a produit une courte et légère stimulation électrique, et la crise n’a pas eu lieu. Cela n’a pas été fait en masse, mais ça a été répété souvent. Et chez les patients atteints de la maladie de Parkinson, les tremblements se sont arrêtés. Voilà comment ça a commencé.
Ensuite, deuxième chose : Tout ce traitement de l’information entre les centaines de milliards de cellules nerveuses se fait par des moyens électriques et nous pouvons mesurer l’électricité. C’est ce qu’on appelle l’EEG, l’électroencéphalogramme, et vous pouvez voir ici que nous avons des ondes différentes et aussi des fréquences différentes. Par exemple, le rythme alpha de 7-12 Hz, ou le rythme bêta de 13 Hz et plus. Ou ici le rythme thêta de 4-7 Hz, qu’on voit par exemple dans la méditation. Et puis le rythme delta qui est, par exemple, le rythme du sommeil profond, mais aussi d’autres fonctions, il est inférieur à 4 Hz. Et sur la base de cette configuration, de cette amplitude et aussi de la fréquence, on peut déterminer certaines fonctions. C’est là le point de départ pour les micro-ondes, les ondes radio qui sont introduites dans le cerveau
Cela se produit donc lorsque, à partir d’un émetteur ou d’un téléphone portable, on intervient dans les ondes cérébrales et ainsi on peut influencer le cerveau, selon les fréquences utilisées et selon comment vous l’appliquez.
Et aujourd’hui, comme [Armin] Grunwald l’a également dit, tout est possible avec la modulation de fréquence. Ça déjà été fait dans les années 70 aux États-Unis, des expériences ont été faites pour influencer l’électroencéphalogramme avec des micro-ondes, et donc aussi manipuler le cerveau.
Il y a aussi d’autres études, nous avons le champ magnétique de la terre, appelé onde de Schumann qui nous protège. Et cela passe également par le cerveau et constitue en fait une fonction vitale et les ondes radio peuvent également perturber cette fonction vitale. Et maintenant Musk a fait la chose suivante : il apporte cette interface et grâce à cela, si j’ai maintenant un téléphone portable, par exemple, ou un ordinateur, cela va à l’interface et l’interface se transforme alors en cerveau. Il s’agit donc en fait d’une sorte de petit ordinateur qui peut également stocker des données. Et à partir du cerveau, l’information peut alors revenir à l’interface et retourne au téléphone portable ou à l’ordinateur.
Et bien sûr, vous pouvez également l’influencer en conséquence et ainsi, un cerveau de robot est créé, qui peut alors influencer le vrai cerveau.

Modérateur : Est-ce que j’ai bien compris ? On a comme une application pour téléphone portable, et ensuite on peut en pratique influencer la conscience, etc., c’est très dangereux !

Prof. Hecht : Oui. Et vous pouvez même, si quelqu’un téléphone, influencer la conscience par le biais du téléphone portable. Vous pouvez donc manipuler comme vous le souhaitez et guider réellement la personne ou même lui donner des instructions, pour qu’elle tire sur quelqu’un par exemple, ou qu’elle fasse ceci ou cela. Il est alors en fait un « tenu en laisse par la digitalisation », si je peux le présenter ainsi.

Modérateur : On a à peine perçu une réaction publique critique à l’implant cérébral Neuralink d’Elon Musk. Le fait que ce soit sous-estimé pourrait-il avoir un rapport avec le fait que le contrôle des esprits, c’est-à-dire le contrôle mental ou le contrôle des pensées, est connu dans les romans ou les films de science-fiction, mais qu’on dit généralement qu’il s’agit d’une théorie de conspiration ?

Prof. Hecht : C’est possible. Mais un scientifique américain, dont je viens d’oublier le nom, a dit un jour qu’on ne peut garder que les petits secrets. Les grands secrets sont gardés secrets par l’incrédulité du peuple. Et c’est précisément cela : le peuple croit plus au mensonge qu’à la vérité et à la science. Il existe des enquêtes à ce sujet. Mais beaucoup de choses se passent dans le plus grand secret ou à l’arrière-plan. Je voudrais rappeler dans ce contexte comment j’ai découvert ce contrôle des esprits et ces influences.

Modérateur : Oui, avec plaisir.

Prof. Hecht : En 1968, il y a eu le Congrès mondial de physiologie à Washington, et à ce congrès, il y a eu une nouveauté. Un professeur, le Dr José Delgado, un Espagnol, qui a travaillé en Amérique à l’Université de Yales, a mené une expérience sensationnelle. Il avait un groupe de singes, dans ce groupe, le singe dominant était un colérique, c’est-à-dire qu’il se mettait très vite en colère. Et quand il se mettait en colère, il mettait sa patte dans sa bouche, rugissait, puis s’en prenait aux singes, les mordant et les frappant.

Ensuite M. Delgado a fait ce qui suit : il lui a mis sur la tête une interface, similaire à la courbe du cerveau antérieur, attachée avec un récepteur.

Et dans la salle se trouvait un émetteur qui s’activait lorsqu’on appuyait sur un levier. Et quand ce singe dominant mettait la main dans sa bouche, un singe du troupeau courait vers le levier pour le descendre et ce singe dominant devenait tout de suite doux comme un agneau. M. Delgado a ensuite effectué ces recherches dans des arènes de tauromachie en Espagne. Il a également mis cette interface sur les taureaux qu’on avait rendus colériques, et lorsqu’il appuyait sur le bouton, le taureau était complètement calme et n’était plus agressif. C’est-à-dire qu’à l’aide de cette technique il était possible, par exemple, de rendre les personnes agressives complètement paisibles.
Mais bien sûr, les services secrets ont immédiatement pris conscience de ce phénomène et ont travaillé avec cela. Et M. Delgado a ensuite approfondi le tout, puis a découvert, comme je l’ai déjà dit, à l’aide des micro-ondes, des ondes radio, qu’il pouvait entrer directement dans l’électroencéphalogramme. Et il a ensuite écrit un livre : « Le contrôle physique de l’esprit », en fait des pensées… Mais nous voyons que le contrôle de l’esprit est en partie fait sous le couvert d’agir pour la médecine… peut-être est-ce le cas. Il est toujours difficile dans ce domaine de séparer le bon et le mauvais. Et puis je voudrais parler d’un événement qui m’a également étonné : À l’Université de Tübingen, une étude est en cours intitulée « L’interface pour améliorer l’enseignement ». Là, les enfants reçoivent une sorte de bandeau, avec lequel l’électroencéphalogramme est enregistré. Et l’électroencéphalogramme reflète alors trois états, trois « émotions », c’est-à-dire : « attentif », « indifférent» et « inattentif », ce qui est déjà critique. Donc, trois lampes s’allument : le bleu « inattentif », le jaune « attentif » et le rouge « très concentré ».

Modérateur : Comme un feu tricolore sur le front, que l’enseignant est…

Prof. Hecht : Oui, et pas seulement cela. L’institutrice a comme un ordinateur ou un téléphone portable où elle voit chaque élève par ondes radio : « Aha, là ça s’allume en rouge, là ça s’allume en bleu » etc. et elle peut ainsi contrôler. Ça va même plus loin : une moyenne est calculée et elle voit quels élèves sont inattentifs et quels élèves sont attentifs et concentrés. Et je trouve que c’est une intrusion terrible dans le cerveau de l’enfant. Mais cette étude est soutenue par la ministre de l’éducation du Bade-Wurtemberg et présentée comme un progrès dans l’enseignement.

Modérateur: Mais prenons un peu de temps pour approfondir ce sujet, car il est aussi question de la 5G : son extension progresse de plus en plus. Et Elon Musk a également prévu de mettre en orbite autour du globe des satellites qui sont aussi équipés de rayonnement 5G. Cela signifierait donc qu’il peut pratiquement contrôler le monde entier si les gens sont prêts à faire installer l’un de ces dispositifs. Mais c’est… et surtout avec la 5G…

Prof. Hecht : Exactement. Que ce soit avec la 5G ou avec le WiFi, cela peut être fait avec n’importe quel… Mais la 5G c’est surtout la mise en réseau du monde entier. Et avec ça, on peut influencer tout le monde. Et je reviens encore une fois sur le Neuralink de Musk : c’est exactement avec ça qu’on peut contrôler chaque personne à tout moment, on peut la tuer et on peut faire toutes sortes de choses.

Modérateur : Dans votre article, vous mentionnez également une série de brevets pour le contrôle de l’esprit et de la pensée, qui peuvent être utilisés ou ont été utilisés depuis longtemps à des fins militaires et aussi pour les services secrets. Pouvez-vous nous expliquer le fonctionnement de cette technique à l’aide d’un exemple ?

Prof. Hecht : Oui. Ici, j’ai un brevet, un brevet allemand de 2002. C’est de la « transmission de pensée ». Et les domaines d’application sont, par exemple, les suivants : pouvoir communiquer avec les pensées, mais aussi pouvoir transmettre des informations discrètement. En outre, on dit qu’on peut écouter les criminels avec cette application, ce qui permet de savoir quelles sont leurs pensées. Ou à l’aide de ces micro-ondes, on peut stabiliser les pensées – si quelqu’un est en négociation et a besoin de soutien, on peut le soutenir. Et puis vous avez la possibilité d’influencer le métabolisme du cerveau et tout le reste à l’aide de ces pensées. Et ça fonctionne dans la gamme des gigahertz – on ne précise pas ici d’intensité de champ. Mais je sais que la fonction cérébrale réagit à un champ, le champ magnétique, de 0,3 picowatt (pW) par centimètre carré. Donc à des stimuli très faibles. Et c’est ce que la plupart des gens ne savent pas ou ne reconnaissent pas, le fait que notre cerveau réagit particulièrement à des champs électromagnétiques très faibles, et que ces stimuli peuvent soit causer des maladies, soit être utilisés pour manipuler. Et j’ai ici quelques vues de ce brevet, que je voudrais vous montrer brièvement. Ainsi, à l’aide d’un système de radar, on peut irradier chaque être humain de manière appropriée. Il est montré ici qu’on peut également le faire à travers des murs, des murs en béton, à partir de n’importe où. Ici, prochain exemple, à l’intérieur d’une maison ; ainsi par exemple je peux, du premier au dernier étage, influencer les pensées d’une personne ou les lire, etc.

Modérateur: Au moyen d’un canon à ondes ou d’une antenne ou… ?

Prof. Hecht : Et c’est possible, même s’il y a une quelconque protection, les ondes peuvent passer à travers. Et enfin, encore une très mauvaise chose : depuis un avion ou un drone, je peux aussi influencer avec cette technique et ensuite causer des dégâts ou donner des ordres, etc. Ça fonctionne à nouveau selon le principe suivant, je le répète : si les micro-ondes sont émises depuis ces endroits, ça va dans le cerveau et le cerveau traite cela de manière appropriée. Il existe des preuves à cela. Et il s’agit d’un brevet allemand, c’est pourquoi je tiens à le dire. En Amérique, il y en a encore beaucoup plus. J’ai trouvé dans un livre 27 sources de brevets, qui vont dans le même sens d’une influence sur les émotions. Ainsi, par exemple, vous pouvez influencer l’être humain comme José Delgado a influencé les singes, comme il a influencé le singe dominant. Par ces méthodes on peut aussi provoquer l’agressivité. Tout est donc possible.

Modérateur: Cela signifie donc que nous avons affaire ici à une technologie qui déshumanise l’homme concrètement. L’homme est transformé en machine contrôlable, en robot.

Prof. Hecht : C’est exactement ce qu’ [Armin] Grunwald a dit : Nous sommes en train de nous digitaliser et la société technologique qui se développe ne fera aucun bien à l’humanité. C’est aussi la raison pour laquelle j’ai écrit cet article. Nous devons faire bouger les choses. Nous devons réduire l’enthousiasme pour la digitalisation et revenir à la nature.

Modérateur : Pensez-vous donc qu’il soit possible, à notre époque, que les micro-ondes générées techniquement puissent fonctionner non seulement pour contrôler les esprits, mais aussi comme une arme, pour chasser ou éliminer pratiquement les masses indésirables ? Et puis, comment peut-on, tout d’abord, se défendre contre ces armes ou contre tout cela, en tant que citoyen ordinaire ?

Prof. Hecht : Se protéger…

Modérateur : Oui, se protéger.

Prof. Hecht : Oui, eh bien, je dirai presque que l’arme à micro-ondes est « vieux jeu ». Paul Brodeur, un Américain, a écrit un livre. Il est sorti en 1980, « Le danger dissimulé » et avec ce livre il a tout décrit, les effets néfastes des micro-ondes – en 1980 ! – et il a également fait état des armes qui sont développées aux Etats-Unis, par exemple. À l’époque, c’était encore les micro-ondes qui étaient liées à la chaleur… je dois dire qu’on fait une distinction entre les rayonnements ionisants et les rayonnements non ionisants. Et avec les rayonnements non ionisants, on a des effets thermiques et athermiques. En Allemagne, par exemple, la valeur limite est fixée en fonction de la notion thermique, c’est-à-dire qu’elle nous protège juste de ne pas nous faire griller. Et aux États-Unis, selon M. Brodeur, des armes développées à cette époque pouvaient tuer les gens en les chauffant. Mais il ne s’agit là que d’une seule sorte. M. Brodeur décrit également un événement que je voudrais raconter. Il écrit que, par exemple, des équipages de sous-marins américains et soviétiques se sont rencontrés en mer, et ils sont tous immédiatement rentrés à l’intérieur parce qu’ils s’irradiaient les uns les autres. Mais il existe des armes psychotropes. Et par exemple, pour que je puisse présenter beaucoup de rapports, voici un rapport du conseil scientifique consultatif de l’armée de l’air américaine. Il y est dit qu’à l’aide des champs électromagnétiques, on peut influencer les gens à la manière d’un psychotrope. On peut ainsi les faire dormir, par exemple, on peut provoquer des hallucinations, ils peuvent provoquer de la peur, de l’agressivité, ou même des troubles de la mémoire. Tout cela est possible, c’est en train de se passer.

Modérateur : Ce qui est possible dans le cadre militaire est également possible pour nous citoyens.

Prof. Hecht : Oui. Ou bien ici, le major soviétique Tchernishev, il a écrit un article en 1997 dans une revue militaire en Russie, où il parle des armes psychotropes et il dit que c’est commun et il dit qu’il y a des générateurs assez puissants pour influencer le cerveau et le psychisme des êtres humains de manière appropriée. Et il énumère toute une série de générateurs de ce type qui rendent cela possible. C’était en 1997. Ça fait maintenant plus de 20 ans. Il y en a donc certainement d’autres aujourd’hui. Mais je voudrais parler d’une autre chose, ce n’est peut-être pas une arme, mais indirectement, c’est une arme. C’est ce qu’on appelle le « signal de Moscou ». Il y avait notamment dans l’ambassade américaine de la rue Tchaïkovski à Moscou, un émetteur de 1 000 watts installé pour espionner. C’était courant à l’époque, c’est probablement le cas encore aujourd’hui. Et les Soviétiques avaient installé un émetteur de l’autre côté de la route, à 70 m de distance, mais avec une intensité de champ magnétique de 0,001 mW par cm2.

Modérateur : C’est moins que la limite actuelle.

Prof. Hecht : Oui, à l’époque la limite en Amérique et en Europe était de 10 mW par cm² et en Russie, en Union soviétique, mais aussi dans d’autres pays à l’époque du bloc socialiste, elle était de 0,01 mW par cm2. C’était donc 10 000 fois inférieur à la limite applicable en Europe, aux États-Unis, je dois dire. Et puis, il y a eu une discussion ou une rencontre entre le président Johnson et Kossyguine de l’Union soviétique, et ils en ont parlé. Mais Kossyguine a dit, nous sommes dix fois en dessous de la valeur limite, de votre valeur limite, alors est-ce qu’il peut arriver quelque chose ? Oui, quelque chose est arrivé. En 17 ans, sur les 4 ambassadeurs, les ambassadeurs américains qui étaient à Moscou, deux sont morts d’un cancer –Thompson et Pullan, et Stoessel d’une leucémie. C’est-à-dire que, par cette irradiation faible et constante, ces hommes ont eu le cancer et leur organisme tout entier a été détruit. Maintenant, je fais le lien avec la 5G d’aujourd’hui. La 5G est conçue en basse fréquence, pour qu’elle puisse rayonner partout dans les maisons. Et si maintenant on a ces ondes 5G, ça peut durer des années avant que le cancer se développe. Mais c’est possible même avec des valeurs aussi faibles. Il faut sans cesse se rappeler cela : ça produit des effets et la valeur limite en Allemagne et en Europe ne vaut rien du tout. Ça produit des effets.

Modérateur : Hmm, donc beaucoup trop haut.

Prof. Hecht : Mais je voudrais dire autre chose, une dernière chose, qui est aussi très grave. Il y a eu une conférence à Genève en 2018, à laquelle plus de 70 pays ont participé, et là ils ont parlé et ils se sont disputés à propos de l’interdiction des robots-tueurs ! Ça signifie donc qu’aujourd’hui, vous pouvez constituer une armée de robots-tueurs qui va ensuite contre les humains ou qui est dirigée d’une manière ou d’une autre. Une telle chose est planifiée et, bien sûr, je dis que ce n’est pas croyable de faire de telles choses. L’astronaute Gerst, l’astronaute allemand Gerst, qui était dans la Station Spatiale Internationale [ISS – Station Spatiale Internationale], il voulait diriger le robot Justin, parce qu’ils veulent éventuellement coloniser Mars avec des robots ; et tout le temps qu’il était là-haut, pendant trois mois, Justin a réagi complètement d’une autre manière que ce que l’astronaute voulait. Cela signifie donc que les robots ont aussi leur propre intelligence artificielle et qu’ils ne peuvent pas être contrôlés du tout. L’idée même de créer une telle armée ou même de produire une telle chose est, à mon avis, un crime de guerre, et ça doit donc être interdit. Je n’ai pas eu plus d’informations sur le déroulement de la réunion. Mais le fait que cela ait eu lieu m’a choqué. Ainsi, il y a un très vaste travail en cours qui consiste à fabriquer des armes à micro-ondes et des armes digitalisées ou à travailler sur ce projet. Bien sûr, d’une certaine façon c’est gardé secret, et c’est qualifié de théorie de conspiration. Mais le fait est qu’une telle chose existe, et je voudrais protester contre ça en tant que médecin et appeler le gouvernement à interdire de tels projets de recherche et à ne pas dépenser d’argent pour cela. Donc, et pour conclure, je voudrais dire que j’ai donné comme titre « Les pensées sont libres », et j’aimerais qu’en stoppant cette folie de digitalisation, nous ayons à nouveau les pensées libres. Que nous puissions chanter la chanson « Les pensées sont libres, qui peut les deviner, elles passent comme des ombres dans la nuit. Aucun chasseur ne peut les abattre, personne ne peut les connaître. Je m’y tiens, les pensées sont libres. » C’est ce que nous devons réaliser ! Et je voudrais citer Bertolt Brecht, qui est bien connu ici au théâtre de Berlin. Il a dit : « Penser est le plus grand plaisir de la race humaine. » Et c’est exactement ce que nous devons poursuivre. Nous ne pouvons pas faire cela avec la digitalisation, nous ne pouvons le faire qu’avec la libre pensée. Et nous devons maintenant nous battre pour ces pensées libres, nous devons les diffuser à travers la science, à travers le savoir, à travers la vérité scientifique, et c’est pourquoi j’ai écrit cet article.

Modérateur : Très bien. On peut sentir votre cœur. Il est évident que vous êtes très engagé dans ce domaine. Oui, merci beaucoup de nous avoir donné l’occasion de vous interviewer. Malgré votre âge, vous êtes encore si éveillé et si déterminé pour un monde meilleur, pour un monde plus pacifique. Et je souhaite aussi que nous puissions continuer à penser librement à l’avenir. Merci beaucoup.

[Voir aussi :
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?]




Algérie — N. Boukrouh : un éclairé avili après la déroute de son clan !

Par Djerrad Amar

L’autre avantage du hirak est qu’il a mis à nu bien des choses cachées jusque dans la face cachée de la conscience.

Rappeler la maladie de quelqu’un (ici Le Président), en guise d’argument pour taper sur un processus politique en marche vers une nécessaire démocratisation, est un acte fourbe et méprisable. Traiter en plus le Président de la République de son pays de « fou » d’être atteint de « delirium tremens » c’est du délire ! Cela relève aussi de la psychiatrie et non de la politique !

M. Boukrouh reprend les mêmes pensées, voire les mêmes mots, que ceux de Nicolas Beau, cette canaille qui aime voir l’Algérie à feu et à sang et ceux de El Kadi Ihsane de Radio M que finance le Quai d’Orsay ! Même équipe ? N’est-ce pas une attitude démoniaque ?

Les chiffres de participation qu’il cite sont donc « illégitimes » ! Uniquement pour l’Algérie ? (40 % pour les présidentielles, 25 % pour la Constitution qui est pourtant meilleure et plus démocratique que la/les précédentes, 30/25 % pour les législatives.) Parce qu’habitué aux 99 %, puis 80 %, puis 70 % et un peu moins par le « traficotage » depuis des décennies ? Le monde sait qu’ils ne dépassaient pas les 20/25 %, par bouderie, jusqu’au départ du dernier Président où la fraude était « institutionnalisée » !

Voilà que les chiffres commencent à refléter la réalité, malgré la persistance du scepticisme de beaucoup de citoyens, que des voix par opportunisme et hypocrisie crient déjà « au rejet par le peuple d’une politique » (menée par un nouveau Président depuis 1 an et demi seulement prônant le renouveau) oubliant les décennies de mensonges et d’instrumentalisation, marquées par des gouvernances funestes que ces mêmes voix avaient approuvées et accompagnées !

Qu’il compare plutôt aux chiffres des pays « démocratiques » comme ceux de « fafa » puisque nos démocrates la prennent comme référence ! Chez elle, même bas ou élevés, c’est toujours « légitime et démocratique », par contre les mêmes chiffres, ou un peu bas ou un peu haut, en Algérie de Tebboune c’est toujours « illégitime et non démocratique » !

C’est Fafa qui doit peut-être les valider en les comparant aux siens pour voir si c’est « démocratique » ? Ce serait du suivisme, de la francophilie aveugle ou de l’assujettissement !

Selon la « logique » de son clan anti Tebboune, si les taux sont élevés il y a fraude. S’ils sont bas entre 25 et 40, c’est « illégitime » ! Quelle est donc leur norme même en s’aidant de leurs référents français ! Celle de la « phase de transition » sans vote du peuple pour réinstaurer le régime et système putréfié honni par le peuple ; aidé par la presse mainstream française surtout depuis la fin du hirak véritable ? Oui, une « phase » incongrue que dirigeraient des personnes désignées (par qui ?) en lieu et place d’un Président élu ? Étrange conception de la démocratie ! Rappelons que l’Armée, contrairement aux « démocrates », s’en tenait au respect de la Constitution par l’élection du Président au suffrage universel !

M Broukrouh était bien un des dirigeants du système déchu et partisan des « quotas d’élus », car le vote réel n’arrangeait pas la plupart des partis politiques. Ils s’accommodaient bien avec ces « quotas de sièges » que les membres de leur direction se partageaient ! Le peuple était alors une « foule » bigarrée ?

Il avait, comme ses semblables, « tété la vache à traire » ! Maintenant que cette vache est désormais du côté du Peuple et que des « compères » se retrouvent en prison, en voie ou recherchés, la situation est devenue problématique surtout avec ce « pouvoir » que dirige un « fou » qui risque de chercher encore ce qui est « illégitime » partout, même du côté de l’ex PRA !

Le voilà aujourd’hui, après échec de la « phase de transition », devenu lanceur d’alerte et donneur de leçons à ceux qui ont anéanti le « régime » déchu par la grâce du hirak avec l’aide de l’Armée ! Quel culot ! C’est plutôt son clan qui a fait « courir un grave danger à l’Algérie » par sa gouvernance chaotique depuis des années et non Tebboune qui dirige depuis un an et demi seulement ! Il aurait peut-être mieux fait que Tebboune élu s’il était lui Président non élu de cette « phase de transition » ? On peut rêver !

C’est le hirak qui a éliminé son clan initiateur des pseudo-hirak déviant pour réhabiliter un système corrompu via cette « phase de transition » grossière ! On l’a compris : une transition « démocratique » sans vote ! Toutes leurs manœuvres ont échoué ! Le peuple dans son écrasante majorité n’a pas suivi ! Seule leur propagande oppressante et confuse, que mène une poignée d’activistes, fouette encore quelques esprits fragiles ou têtus !

Le nouveau Parlement est composé de jeunes, instruits, hautement diplômés, patriotes qui n’avaient aucune chance d’évoluer dans un système de copains, de coquins et « familial » ! C’est ce « système » qui a fait fuir des milliers de compétences vers d’autres pays ! C’est fini, ils sont désormais au pouvoir pour 5 ans grâce à la volonté politique et le patriotisme de ceux qui sont leur antithèse ! C’est le 1er Parlement algérien légal, légitime, élu démocratiquement !

Les abstentions appartiennent à ceux qui n’ont pas voté pour de multiples raisons, moins souvent liées à la politique ou aux consignes des partis ! Se les approprier est malsain, indigne et hypocrite en plus d’être indéchiffrables et majoritairement sans sens politique !

Que pense M. Boukrouh des groupes de voyous qui empêchent par les menaces et la violence les citoyens de Kabylie de voter en emmurant les entrées des mairies et qui envahissent les bureaux de vote pour détruire les urnes en éparpillant dans les rues les bulletins de vote ? Est-ce légitime et démocratique ? S’est-il prononcé sur ces faits graves ? Quel est dans leur cas le diagnostic psychiatrique ? Les classera-t-il comme « détenus d’opinion » en cas d’arrestation et de condamnation comme les journalistes qui ont comploté et incité au désordre via les pseudo-hirak impurs ?

M Boukrouh surgit comme un félin ces derniers temps, surtout à l’occasion des législatives, pour nous débiter ses canailleries dont celles faussement anti Macron parce que ce dernier soutien « vaguement » un processus certainement démocratique tout en s’abstenant des propos pouvant être interprétés « d’ingérence » dans les affaires algériennes ! Il aurait sûrement souhaité qu’il s’ingère puisqu’il semble approuver l’ingérence de quelques fripouilles du Parlement européen sur demande d’Algériens de son bord ! S’est-il prononcé sur les multiples ingérences dont d’officines françaises ?

Mieux vaut pour lui profiter de sa retraite très confortable et d’éviter les commentaires séditieux, trompeurs visant le peuple et irrévérencieux envers une haute autorité en l’occurrence la personne du Président de la République ! Qu’il exprime son point de vue ou celui du clan déchu c’est son droit, mais porter atteinte à l’intégrité et l’honneur d’un Chef d’État représentant un peuple et une nation ce n’est pas un avis ou une opinion, mais une sentence crasse condamnable par la loi !

Le Président Tebboune « fou » atteint du « delirium tremens » n’est-ce pas des propos dégoûtants, méprisants et absurdes pour un ex-ministre ?

A.D




Piqûre de rappel : UNCED, sommet pour la terre et Nouvel Ordre Mondial — George Hunt

[Source : Jeanne Traduction]






Victor : « Nous, les jeunes, avons été endormis par une société de service, de divertissement »

[Source : lemediaen442.fr]

Quand Marcel avait lancé sa sainte-colère sur le suicide des enfants, Victor nous avait envoyé sa vidéo « Leurs projets ». Bluffés par le talent de ce jeune homme de 18 ans [à l’époque], nous vous avions fait partager sa réalisation. Devant les très belles réactions qu’elle a suscitées, nous avons décidé de reprendre contact avec Victor pour vous le faire découvrir parce que, vous allez voir, ça vaut vraiment le coup d’en savoir plus sur lui !

Le Média en 4-4-2 : Bonjour Victor et bienvenue sur Le Média en 4-4-2 ! Nous vous avons découvert tout début mai grâce à votre vidéo « Leurs projets ». Pouvez-vous brièvement vous présenter à nos lecteurs ?

Victor : Bonjour, et encore merci de me permettre cette prise de parole. Je m’appelle Victor et viens fraîchement d’acquérir mes 19 ans. Anciennement en série Littéraire au lycée, je me décide à m’orienter vers une faculté d’arts du spectacle afin d’approfondir mes connaissances, mon rapport au monde. Très vite, les cours en distanciel s’imposent et redessinent totalement mon rapport au savoir théorique de la fac. Alors qu’on nous apprenait les fondements des arts du spectacle, du cinéma, qu’on nous expliquait à quel point L’Homme est un être sociable, qui ne peut se passer de son voisin, alors qu’on passait des heures entières à analyser les œuvres de Fritz Lang, on nous apprend finalement que toute cette chaleur, toute cette théorie devait se soustraire aux cours en distanciel. Ma première incompréhension, ma première colère s’est tournée vers le système scolaire. Je prends donc la décision de ne plus rester quatre heures par cours devant mon écran d’ordinateur. La situation paradoxale que je vivais, les professeurs muets face à de telles decisions sanitaires, c’était glaçant. Je décide donc de me déscolariser. La première peur, de passer pour un branleur, de ne plus savoir où me placer, mais de savoir intimement que mon humanité, ainsi que ma curiosité, pouvait me permettre de comprendre, de dire ce que je ressens. Après tout ça, découlera quatre mois de solitude, de réflexion liées à la situation que nous traversons, consacrés à la création de mon nouveau projet : « Leurs projets ».

Le Média en 4-4-2 : On a constaté que la « crise du Covid » a accentué le phénomène de déscolarisation et vous êtes loin d’être le seul à regretter le manque de soutien des professeurs envers les élèves en difficulté dans ce contexte sanitaire. Selon vous, quel est l’impact de ces mesures prises par le système scolaire sur les jeunes de votre âge ?

Victor : Encore une fois, je voudrais préciser qu’à travers mes réponses, je n’engage que mon ressenti et ma vision personnelle de ce que je vois et entends. Lorsque j’aborde la question avec d’autres jeunes de mon âge, je suis confronté à deux types de réponses. D’une part, je retrouve des jeunes qui, comme moi, voient leur année compromise par les décisions, les restrictions sanitaires. Il est difficile de se plier aux restrictions, de supporter l’enseignement 2.0 (complètement numérique) que nous n’avons pas le choix de supporter. D’autre part, j’entends des jeunes qui ne sont pas trop dérangés par les cours en ligne, ils trouvent ça confortable. Je n’aimerais pas les caricaturer ou les blâmer, je ne sais ce qui les fait tenir. Par ignorance, par peur, par docilité ou par détermination, ces jeunes ne se questionnent même plus sur la situation, ils subissent sans réaction. Ils s’éloignent de nous, parce qu’on leur a demandé. Actuellement j’ai comme l’impression qu’une grande sélection s’est faite : les élèves un peu trop faibles pour ce nouveau système se sont fait éliminer. Personnellement je ne sais même pas quoi faire l’année prochaine. Je vais sûrement travailler en tant que caissier, à défaut de pouvoir supporter les nouvelles règles. On assiste à une véritable épuration dans le monde de l’enseignement. Ils tuent toute forme de résistance, de différence. Les élèves qui supportent tout ça, les bons petits soldats (en qui j’ai énormément de respect, ou de mépris) conservent leur place dans le grand voyage des études. En espérant qu’ils ne deviendront pas les nouveaux hommes robots de demain. J’ai toujours été dans ma scolarité ce jeune qui écoute attentivement et vient assaillir le professeur de tout un tas de questions. A défaut d’être un élève exemplaire dans mon travail personnel, je l’étais dans la vie de la classe. L’énergie de l’échange, la chaleur des idées du professeur… Je n’ai plus rien à faire à l’école, car il n’y a plus d’école. J’ai peur pour mes amis qui s’accrochent, pour moi qui me détache. Je donne toute ma force à ces jeunes qui supportent encore la grosse sélection que nous subissons actuellement. Accrochez-vous, vous aurez réussi et je ne serai rien lorsqu’on se croisera dans la gare du coin !

Le Média en 4-4-2 : Vos paroles sont bouleversantes contre ce système qui opère, selon vos mots, à une sélection, à une épuration. Cela nous fait penser à ce passage de votre vidéo : « Enfermés dans nos chambres, on éteint les lumières, contraints à s’épanouir dans le noir. »  Comment en est-on arrivé à un point où la jeunesse ne se rend même pas compte de cette situation et/ou l’accepte sans rechigner ? Une certaine forme de conditionnement n’en serait-elle pas en partie responsable ?

Victor : A mon avis nous avons, en particulier les jeunes, été endormis par une société de service, de divertissement. Tout est à portée de clic. Le confort matériel tout autour de nous formerait une sorte de carapace à l’épreuve des chocs émotionnels, des lacunes sentimentales. Ce que je raconte a déjà été prédit par tant de bouches. Je vous conseille notamment de vous plonger dans les films de Guy Debord qui m’ont aidé à comprendre en quoi le divertissement deviendrait un gouffre pour quiconque s’y aventurerait. Au fil du temps qui passe, je comprends que nous grandissons dans une violence, dans une négligence sans nom. Habitués au spectacle, à la démesure, ou à l’extrême, le rapport de forces, la méfiance et l’hostilité deviennent réflexes. Le cœur et l’esprit complètement anesthésiés cèdent la place à la compulsivité. Des esprits en perdition (je m’inclus dedans) qui ne sont parfois même plus en quête de sagesse. Bloqués à jamais sur la bande d’arrêt d’urgence. L’égo sous toutes ses facettes qu’il peut avoir de négatives vient bousiller nos relations. La sensibilité, la curiosité, la subtilité de certains finalement écrasées par le paraître ou le pouvoir d’autres. Il est donc plus évident de ranger sa personne tout au fond de soi, afin de ne pas se faire piétiner par l’époque. De nos jours tout se sait, pourquoi chercher à se battre, pourquoi chercher à chercher ? Pour une âme fatiguée, étouffée par son milieu, son époque, il devient évident de se soustraire et de suivre en silence.

Le Média en 4-4-2 : En parlant de société de divertissement qui « vous a éduqué » pour reprendre vos mots dans votre vidéo, quel est votre point de vue sur la vidéo de Mcfly et Carlito à l’Elysée avec Emmanuel Macron ? Vous serez sans doute d’accord avec nous sur le fait qu’ils participent (consciemment ?) à la campagne présidentielle du président sortant, la cible étant les jeunes. Pensez-vous que cela puissent redorer son image auprès de votre génération ?

Victor : Je suis sidéré de constater qu’il n’y ait plus de frontière entre nos divertissements et notre politique. Tout végète dans un jeu décadent mettant en scène des apparences, mais ne venant à aucun moment confronter les idées des participants, ni même insuffler quelconque forme de subtilité, profondeur. On stagne au stade de la grimace, de l’anecdotique. Sidéré de le voir se pavaner autour de ses deux bouffons. Ils n’ont rien en commun, si ce n’est cette forme de corruption à laquelle ils s’adonnent pour marquer, infantiliser, l’histoire. Pour rafler l’audience, l’égocentrisme atteint son paroxysme. Le sensationnel, dans cette époque, pour stimuler des jeunes consciences amorphes, avides d’expérience. Si le public demande du spectacle, ils vont nous en donner. Le président s’importe sur nos écrans. Il est évident que les plus influençables l’apprécieront, car sympathique. Deux bouffons au service du roi. Je ne peux prédire, ou parler au nom de ma jeunesse, mais j’espère qu’elle n’est pas aussi facile à piéger. J’espère qu’elle sait faire la distinction entre la réalité et le divertissement qui lui est adressé. Triste spectacle devant lequel je ne comprends plus la démesure de son absurdité. Macron devient son propre outil de propagande, il s’adapte à la jeunesse, à ses codes. Il tente de nous chercher dans les zones où se regroupe la masse. Il cible, il s’adapte et il tire. Méfions-nous de nos programmes !

Le Média en 4-4-2 : Vous évoquez ce « sentiment d’esclave, prisonnier dans la peur qu’on nous inculque, le temps qui passe, on coupe les ailes de la jeunesse ». Les jeunes ont-ils vraiment peur du Covid et de la société qu’on leur présente à travers leurs écrans, ou sont-ils simplement « endormis par une société de service, de divertissement » comme vous nous le disiez précédemment ?

Victor : Personnellement, je me sens prisonnier dans cette peur. Je pense que cette jeunesse malléable à souhait a accepté les restrictions de vie. Pour ressentir cette peur, dans laquelle je me trouve, encore faut-il réussir à ouvrir les yeux sur ce qui nous entoure. Les jeunes sont bien rangés, les jeunes sont bien rongés : tout dépend de leurs source d’inspiration, d’information. Les jeunes qui vivent dans la peur sont ces jeunes qui sont en quête de liberté, de vie. Lorsqu’à 23 heures je me promène en ville, j’ai la rage et la peur au ventre. Peur de faire face aux gardiens de la paix. Nous ne sortons plus, nous ne crions plus, nous ne dansons plus, par peur de se faire réprimander. Énormément de jeunes sont ignorants. Et acceptent comme s’il fallait rester sage. Ils s’en remettent à la sagesse des informations qu’il ne cherchent même plus à comprendre, ils se contentent d’appliquer. Il existe cependant une jeunesse qui se bat et respire fort. Elle court et laisse ses plumes au contact des forces de l’ordre. Elle est nourrie par la peur.

Le Média en 4-4-2 : La fin de votre vidéo offre un magnifique appel au réveil, à la mobilisation : « Va falloir frapper fort, retrouver la vérité, forger les plus éveillés, soyons des soldats de l’ombre, nous sommes en guerre, parce que c’est leurs projets ». Comment et de quelle manière voyez-vous cette prise de conscience de la jeunesse, mais pas que ?

Victor : J’appelle au réveil, au retour de la force, à bousculer les choses intelligemment, implicitement. Il faudrait réussir à parler aux gens. Je suis agacé de constater les barrières qui ne se franchiront peut-être jamais dans les discussions des passants dans la rue. Il est important de toucher les gens par notre authenticité, notre droiture d’esprit, notre charisme, notre bienveillance. J’aimerais retrouver la vitalité dont on nous éloigne. Leurs projets nous divisent. Ils nous infantilisent et nous privent de sortie. Même mes parents ne m’ont jamais puni aussi longtemps. J’espère retrouver la jeunesse cet été, dans l’amour et dans la fête. Je garde espoir en la tempête, mais j’en ai peur également. La violence, la bêtise, la haine qui nous rongent sans arrêt depuis un moment vont sûrement s’échapper de nos corps par inadvertance pour finalement se bousculer dans les rues. Nos énergies vont nous guider. Il reste à savoir comment cela se déroulera. Je ne sais prédire ou anticiper cette libération, bien que je m’inquiète de cette explosion.

Le Média en 4-4-2 : Et d’un point de vue strictement personnel, comment voyez-vous votre avenir proche dans ce monde en plein chamboulement ?

Victor : De mon côté, je garde confiance en moi, en la lumière que je garde tout au fond de moi. J’essaie de l’entretenir, de la nourrir d’expériences, qu’elles soient intérieures ou au contact du monde. Je trace mon petit chemin en espérant que le grand chamboulement ne vienne mettre sur mon sentier tout un tas d’obstacles. J’ai peur de l’inconnu qui guide mes journées. Je tente une école de cinéma pour la rentrée prochaine, mais pas de plan B en cas d’échec. J’irai sûrement travailler là où on voudra bien de moi. Je suis prêt à bouger, à rencontrer n’importe qui, n’importe où. J’ai peur que mon destin se trace trop vite, dans une boulangerie à la caisse du magasin ou à la caisse du Super U. J’ai besoin de trouver de nouvelles personnes, de nouvelles idées, de nouvelles destinations. Je dois l’avouer, si j’ai fait cette vidéo, c’était pour témoigner du flou qui vient perturber ma vision du chemin. Cependant, même si je n’ai encore rien d’acquis, de façon concrète, je suis vraiment fier, à vrai dire déboussolé, de constater la force que ma vidéo a reçue de la part de tout ce monde. Cela me donne confiance, en ma perception du jeu. J’espère que mon avenir se tracera grâce à ce que je développe lors de mes projets vidéo, grâce à ce qui se dessine aux côtés de ceux qui m’écoutent, grâce à ceux que j’écoute. J’aimerais prendre mon indépendance surtout financièrement, afin de pouvoir soulager le porte-monnaie de mes parents. Je tiens au passage à les remercier de tout mon cœur pour la liberté qu’ils m’accordent, pour leur confiance en mes projets. N’hésitez pas, vous qui me lisez à me soumettre propositions, projets, collaborations, emplois ! Je reste ouvert. Je garde confiance en mon authenticité, ma curiosité, et mon amour pour les autres.

Le Média en 4-4-2 : Merci Victor pour cet entretien très instructif ! Nous vous souhaitons bonne chance pour votre école de cinéma et espérons que votre vidéo sera la première d’une belle série. Nous vous laissons le mot de la fin !

Victor : Merci à vous ! Vous m’avez offert cette chance, de pouvoir parler. L’intérêt que vous avez porté à ma vision m’a profondément touché. Il m’a également permis de prendre confiance en moi, en cette marginalité qui habite mes idées ainsi que les vôtres. J’ai toujours composé l’ensemble de mes vidéos dans l’intimité. Grâce à vous, je me suis ouvert. J’espère très vite reprendre la parole, j’attends le bon moment. J’attends, comme à chaque fois, l’inspiration foudroyante. J’incite n’importe qui à prendre la parole, avec panache, style et passion. Ne cédons pas à la panique générale et restons confiants. Nos états d’âmes, nos sentiments nous aident à comprendre les embûches, les douleurs. Tentons de les déchiffrer pour y trouver la nature de nos névroses. A bientôt !

Propos recueillis par Yoann pour Le Média en 4-4-2




Tucker Carlson (de Fox News) suggère que le FBI a aidé à planifier et à participer à l’émeute du Capitole

[Source : News 24 (news-24.fr)]

Tucker Carlson a suggéré ce soir [16 juin] que le FBI avait peut-être aidé à planifier et à participer à l’émeute du Capitole le 6 janvier de cette année via leur infiltration dans certains groupes. C’était son segment d’ouverture ce soir.

Regarder:



Je vais dire deux ou trois choses à ce sujet. Premièrement, ce que suggère Tucker est une possibilité distincte qui ne devrait pas être ignorée. Comme il l’a démontré, cela s’est déjà produit. Mais je noterai également qu’il ne s’agit que de spéculations. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles le nom de quelqu’un a été légitimement omis dans les documents judiciaires et aucune accusation n’a été déposée. Il se pourrait simplement que le FBI soit encore en train de monter son dossier contre ces personnes. Ce n’est pas parce que quelqu’un n’a pas été inculpé et que son nom est omis qu’il s’agissait d’agents infiltrés.

Deuxièmement, j’ai trouvé étrange que Fox News ait choisi de ne pas publier son segment d’ouverture sur la page vidéo de Tucker ou sur Youtube. C’est pourquoi il m’a fallu si longtemps pour obtenir la vidéo et la publier. Je me demande si les patrons de Fox News de Tucker adhèrent à la caractérisation par la gauche du segment de Tucker et ont donc peur de la publier :

Soit dit en passant, Tucker n’a jamais utilisé les mots « faux drapeau » ou suggéré qu’il s’agissait d’une opération « faux drapeau ».

Quel que soit leur raisonnement pour ne pas le publier, nous l’avons pour vous ci-dessus. Et ci-dessous se trouve la suite de son segment avec son interview du chef de Revolver News Darren Beattie sur le sujet :



[Voir aussi : https://lesakerfrancophone.fr/des-documents-de-justice-implique-que-le-fbi-a-aide-a-organiser-lattaque-du-capitole]




Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?

[source : https://lilianeheldkhawam.com]

par Liliane Held-Khawam.

Expérience et fourniture de Spike couplée à des perles magnétiques

Une entreprise qui vend des Spike couplées à des nanoperles magnétiques:
MBS-K001
SARS-CoV-2 Spike S1-coupled Magnetic Beads
S1 protein antibody screening
 (cf détails tout en bas)
Order
MBS-K002
SARS-CoV-2 Spike RBD-coupled Magnetic Beads
Spike protein RBD antibody screening
Order
MBS-K013
Human ACE2-coupled Magnetic Beads
Virus capture
Order
MBS-K014
Human Anti-SARS-CoV-2 Spike RBD Antibody-coupled Magnetic Beads
Virus capture
Order
MBS-K015
SARS-CoV-2 Spike Trimer-coupled Magnetic Beads
Spike protein trimer antibody screening
Order
MBS-K016
SARS-CoV-2 Spike Trimer (D614G)-coupled Magnetic Beads
Spike protein trimer(D614G) antibody screening
Order
MBS-K017
SARS-CoV-2 Nucleocapsid Protein-coupled Magnetic Beads
Nucleocapsid protein antibody screening
Order
MBS-K018
SARS-CoV-2 Spike S2-coupled Magnetic Beads
Spike S2 antibody screening
Order
MBS-K019
SARS-CoV-2 Spike NTD-coupled Magnetic Beads
Spike NTD antibody screening
Order
MBS-K029
SARS-CoV-2 (B.1.1.7) Spike Trimer-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K030
SARS-CoV-2 (B.1.351) Spike Trimer-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K031
SARS-CoV-2 (P.1) Spike Trimer-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K032
SARS-CoV-2 (B.1.351) Spike RBD-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K033
SARS-CoV-2 (P.1) Spike RBD-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K034
SARS-CoV-2 (B.1.1.7) Spike RBD-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder (cf ci-dessous)

Je vous invite à prendre très au sérieux l’histoire des vaccinés magnétisés. Ce n’est pas une blague, ni du conspirationnisme. C’est simplement tragique.

https://lilianeheldkhawam.com/2021/05/25/sante-des-nanoparticules-magnetiques-dans-les-cellules-que-lon-peut-commander-a-distance/
[ou : Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!]

Vous trouverez ci-dessous une étude qui a été menée sur des personnes qui venaient de se faire vacciner. Comme vous le verrez, cette micro-étude va confirmer la présence de champ magnétique. Les enquêteurs ont arrêté l’expérience compte tenu de la frayeur éprouvée par les « cobayes » lors de la découverte de la magnétisation de leur bras . Cette expérience a été menée par l’Association European Forum for Vaccine Vigilance (SITE ICI) qui a la gentillesse de nous mettre à disposition cette étude.

Avant de vous laisser lire le rapport de l’enquête, je vous présente quelques captures d’écran d’une entreprise qui a tout à fait les compétences pour fabriquer et délivrer du nanomatériel magnétisé.

Le site de Acro Biosystems est fabricant et fournisseur de ce qui semble fort bien être des nanoperles magnétiques qui se couplent à la protéine Spike du Sars Cov2. Vous voyez ci-dessus qu’il y a différents modèles de ce qu’ils appellent Magnetic Beads! (cf détails d’un des modèles tout en bas de la page).

S’ils les fabriquent, c’est qu’ils ont des clients qui en demandent. Cette entreprise vend des trésors à des fabricants de vaccins. Ainsi, vous trouvez entre autres:

https://www.acrobiosystems.com/A1111-SARS-CoV-2-Related-Products.html

Vous serez ravis de savoir que ces industriels des protéines emploient 100 000 scientifiques dans 60 pays! Et ils ont 5000 clients.

LHK


ÉTUDE SUR L’ELECTROMAGNÉTISME DES PERSONNES VACCINÉES AU LUXEMBOURG

Synthèse et conclusion du travail d’enquête effectué par l’association European Forum for Vaccine Vigilance

Mamer, le 06 juin 2021.

Image tirée du site http://www.siencedirect.com

Depuis quelques mois, ce sont des centaines de vidéos amateurs qui fleurissent un peu partout sur les réseaux sociaux mettant en scène des personnes visiblement devenues électromagnétiques suite à la vaccination. C’est en tout cas ce que l’on peut observer.

Après que de nombreuses questions nous ont été posées par un certain nombre de nos membres sur cet effet d’électromagnétisme « supposé » apparaissant chez les sujets vaccinés, notre association a pris la décision de s’intéresser concrètement à ce sujet pour le moins intriguant.

Est-ce que cet effet est donc réel ou n’est-ce juste qu’une élucubration ?

Cette enquête, à caractère statistique et sociologique portant sur cet effet d’électromagnétisme « supposé » et dont il est question ici, soulève à minima et au préalable trois questions importantes :

  1. Est-il vrai que les gens présentent un effet d’électromagnétisme après acte de vaccination ?
  2. Si tel est le cas, est-il vrai que seuls les individus vaccinés présentent cet effet ?
  3. Qu’est-ce qui est réellement injecté aux individus sous la qualification de vaccin et qui pourrait provoquer cet effet ?

Pour tenter de répondre à ces questions, l’enquête a été confiée à l’un des membres de l’association. Il s’agit de la personne chargée de traiter des questions démographiques et sociologiques.

Présentation des paramètres de l’enquête :

À des fins d’une réalisation accélérée, il a été décidé :

  • D’interroger un panel de 200 individus domiciliés ou travaillant au Luxembourg.
  • Que ce panel serait divisé en 2 groupes : le premier serait composé de 100 individus vaccinés au Luxembourg et le second de 100 individus non vaccinés à des fins de comparaison.
  • Que chacun de ces groupes devrait compter 50 femmes et 50 hommes.
  • Que seuls les individus actifs seraient retenus pour participer à l’étude en raison du fait qu’ils sont beaucoup plus contraints à la vaccination que les individus inactifs.
  • Que le lieu de l’étude serait le centre commercial Belle-Étoile et la route d’Arlon à Strassen.
  • Que les variables retenues seraient donc le sexe, l’âge, la profession, le nombre d’injections, l’origine pharmaceutique des injections, la date des injections, l’attraction magnétique, l’émission-réception d’un champ électrique et la ville du lieu de résidence de la personne interrogée.

NB : Il convient par ailleurs de préciser que pour des raisons de praticité, seuls les personnes portant des vêtements à manches courtes ou des vêtements sans manches seraient interrogées.

Présentation de la méthode d’approche et de réalisation de l’enquête :

  • L’interrogateur se présente aux individus, présente l’association, puis présente l’enquête :

« Bonjour Madame ou monsieur, je vous prie de bien vouloir m’excuser de vous déranger mais je m’appelle Amar, je travaille pour l’association European Forum for Vaccine Vigilance (EFVV) et je réalise actuellement une enquête statistique et anonyme sur les personnes vaccinées et les personnes non vaccinées vivant au Luxembourg » … « Il s’agit d’une enquête qui porte sur des informations stipulant que les gens vaccinés pourraient présenter des effets électromagnétiques et nous, à EFVV, nous cherchons à savoir si c’est bien la réalité observée ».

  • L’interrogateur demande ensuite aux interrogés s’ils veulent bien, en connaissance de cause, participer de leur gré à l’enquête.

« Est-ce que vous auriez quelques minutes à m’accorder s’il vous plaît et est-ce que cela vous intéresserait de participer à notre enquête ? ».

  • L’enquêteur explique ensuite aux individus interrogés les intérêts de l’enquête et introduit les individus dans le vif du sujet en leur présentant un aimant qu’il accroche, par effet magnétique, à un objet métallique (poteau, voiture, etc). Il explique ensuite aux personnes interrogées que les aimants n’adhèrent pas à l’homme et qu’ils n’adhèrent qu’aux objets métalliques mais que des informations nous sont parvenus prétendant que les gens vaccinés généraient une attraction à l’aimant en raison justement du fait qu’ils ont été vaccinés.
  • L’enquêteur demande ensuite à l’interrogé(e) si, il ou elle, veut bien se prêter au jeu et appliquer l’aimant sur son épaule, à l’endroit où, il ou elle, a été injectée.
  • Lorsque l’aimant colle à la peau au niveau de l’épaule, l’enquêteur demande alors à la personne de coller l’aimant sur l’autre épaule pour savoir si l’adhésion ne trouve pas son explication dans une concentration ferrique locale (implant, effet de l’injection, etc).
  • L’enquêteur demande ensuite à l’interrogé(e) si, il ou elle, veut bien se laisser passer un testeur de champs électriques et de champs magnétiques (marque Meterk, modèle MK54) au niveau des épaules en expliquant que des informations avaient également été rapportées à notre association et qui disaient que les gens vaccinés étaient également générateurs de champs électriques.
  • L’enquêteur continue la discussion et continue de répondre, dans la mesure du possible, aux personnes interrogées qui s’intéressent à l’expérience menée et aux résultats de l’enquête.

Présentation synthétique des résultats pour la semaine d’étude du 1er juin au 5 juin 2021 :

  • Seules 30 personnes vaccinées et 30 personnes non vaccinées ont finalement été interrogées alors que l’objectif était d’en interroger 100 pour le premier groupe et 100 pour le second.
  • La condition de la répartition par genre a été respectée. Dans chaque groupe, il a été interrogé 15 femmes et 15 hommes.
  • Dans le groupe des non-vaccinés, sur les 30 individus interrogés, le nombre de personnes présentant une attraction à l’aimant est de 0 (zéro). L’expérience s’arrête donc là pour ce groupe.
  • Dans le groupe des vaccinés en revanche, sur les 30 individus interrogés, 29 présentent une attraction à l’aimant. C’est-à-dire que l’aimant adhère à leur peau sans difficulté. Toutes, ce sont fait vacciner en vaccinodrome.

NB : La 30ème personne, qui ne présente pas d’accroche à l’aimant, ne s’est pas faite vacciner en vaccinodrome comme toutes les autres. Elle s’est faite vacciner par une infirmière avec qui elle travaille depuis de nombreuses années.

  • Sur ces 29 individus, 22 ont l’aimant qui adhèrent sur une seule épaule et uniquement sur la zone de l’injection. Ces 22 personnes sont celles qui n’ont reçu qu’une seule injection.

Les 7 autres personnes de ce même groupe ont l’aimant qui adhèrent sur les deux épaules.

  • Dans ce groupe dit des vaccinés, domiciliés ou travaillant au Luxembourg, il ressort que :
  • 17 ont reçu au moins une injection du laboratoire Pfizer
  • 7 ont reçu au moins une injection du laboratoire Astra Zeneca
  • 3 ont reçu au moins une injection du laboratoire Moderna
  • 3 ont reçu l’injection unique de Johnson & Johnson
  • 6 ont reçu les 2 injections du laboratoire Pfizer
  • 1 a reçu les 2 injections du laboratoire Astra Zeneca
  • 1 a reçu les 2 injections du laboratoire Moderna
  • 2 des individus de ce groupe, un infirmier travaillant au CHL et ayant été un des premiers à se faire vacciner, et un analyste financier, ont présenté des émissions de champs électrique totalement anormales. Pour l’infirmier, il a même été réalisé une vidéo qui montre les valeurs émises par le testeur aux environs de son épaule gauche. Pour l’analyste, les valeurs émises par le testeur étaient approximativement les mêmes mais l’individu a brusquement mis fin à sa participation sous l’effet de la panique.
  • Sur les 30 personnes interrogées faisant partie du groupe des vaccinés, 29 résident ou travaillent à Strassen. 1 seule habite à Metz mais travaille à Strassen.
  • Il semblerait que les personnes qui ont été vaccinées plus tôt dans le programme de vaccination gouvernemental sont beaucoup plus électromagnétiques que les personnes qui l’ont été de façon plus récente. L’aimant adhère plus vite et tient beaucoup mieux que chez les personnes fraîchement vaccinées.
  • Il conviendrait de prendre des mesures plus précises en relation avec ce dernier constat.

Remarque : L’exercice étant totalement déstabilisant pour les gens interrogés, à aucun moment il ne leur est demandé d’appliquer l’aimant sur une autre zone que les épaules. Il aurait été très intéressant de savoir si l’aimant adhère également sur les zones du cou, de la poitrine, du front ou des jambes ainsi que de savoir si d’autres objets tels que des cuillères, ciseaux et smartphones adhèrent également. Ce n’est pas faisable en espace public.

Conclusion :

  • Il ressort que les personnes vaccinées dégagent bien un champ électromagnétique et que, plus les individus ont été vaccinés tôt, plus ils dégagent un champ fort. Cette sensation et cette appréciation, qui ne relève uniquement que de l’expérience tactile à l’application et au retrait de l’aimant à l’épaule, devrait faire l’objet d’une vérification beaucoup plus précise, sur un plus grand nombre de personnes et avec des appareils beaucoup plus précis.
  • Il a été extrêmement difficile de trouver des individus acceptant de se prêter au jeu de cette expérience assez déstabilisante.
  • Les individus s’intéressent à l’expérience par curiosité et puis, quand ils voient que l’aimant s’accroche à leur peau, ils deviennent dubitatifs dans un premier temps, puis d’un coup ils deviennent froids. Certains d’entre eux deviennent même extrêmement nerveux pour ne pas dire qu’ils semblent être complètement sous le choc.
  • Les personnes s’interrogent sincèrement sur le fait de voir comment il est possible qu’un aimant puisse adhérer à leur peau aussi facilement que celui-ci adhère à un poteau métallique.
  • Ils demandent des explications et l’enquêteur les rassure en leur disant qu’il doit bien y avoir une explication physique ou biologique. Ils sont renvoyés vers le médecin qui leur a conseillé de se faire injecter à des fins de compréhension.
  • Une dame a même pleuré en disant qu’elle ne voulait pas se faire vacciner mais qu’elle a été contrainte par son employeur qui l’y a obligé au prétexte qu’elle travaille au contact de la clientèle.
  • Dans les discussions, il ressort que les gens ne se vaccinent même pas pour des raisons médicales ou des raisons de santé, ni par conviction ou par peur de la maladie mais plus souvent dans l’espoir de revenir à une vie normale et de pouvoir à nouveau voyager librement.
  • Lors des échanges, les gens expriment clairement leur désarroi en disant après coup qu’ils sont pris en otages dans un engrenage politico-psychosocial. Beaucoup reconnaissent que cette injection est non consentie et qu’à aucun moment on leur a donné des explications rationnelles (selon la convention d’Oviedo), c’est-à-dire un éclairage du point de vue de la balance bénéfices-risques et de l’information explicite quant à la composition même des fioles servant aux injections. Ils qualifient ensuite, après réflexion et discussion, cet acte de : « erreur, folie, échappatoire, solution, ou encore même de chantage ».

Ce sont exactement ces termes qui revenaient très souvent dans les témoignages et les notes.

Il conviendrait là encore de mener une enquête psychosociale beaucoup plus approfondie sur les motivations réelles qui ont menées ces individus vaccinés à accepter de se faire injecter. L’idéal serait de pouvoir enregistrer et filmer toutes les conversations, les interviews et les échanges spontanés avec les vaccinés pour ensuite les analyser.

  • L’enquête est arrêtée pour des raisons de conscience et de morale car l’enquêteur n’arrive plus à faire face au désarroi et à l’impuissance des gens dont les visages se pétrifient lorsqu’ils réalisent qu’ils ont été injectés d’une substance dont ils ne savent finalement rien.
  • L’enquêteur, qui a étudié les techniques de management et la psychosociologie par le passé, est très mal à l’aise face à ces personnes qui s’interrogent sur ce qui leur arrive.

Les personnes deviennent pâles, blanches, nerveuses. Elles se mettent une main vers le front ou alors croisent les bras en se pinçant la lèvre du bas. Certaines transpirent des mains car on les voit qui se les essuient sur les hanches ou sur les cuisses.

Ces effets et ces expressions surviennent généralement dans des états d’angoisse, de stress extrême ou de tension réellement palpable et mesurable.

Chez les interrogés, ces manifestations physiques incontrôlées sont révélatrices d’un profond mal-être quand ils réalisent après coup qu’ils ont sans doute commis l’irréparable.

L’acte de vaccination étant, cela va de soi, un acte irréversible.

En résumé :

À la question, est-il vrai que les gens présentent un effet d’électromagnétisme après avoir subi au moins un acte de vaccination ? La réponse est affirmative. Effectivement, les individus deviennent bien électromagnétiques sur zone d’injection à minima.

À la question, qu’est-ce qui est injecté aux individus et qui provoque cet effet ?

Nous répondons que c’est aux gouvernements et aux autorités garantes de la santé publique et de la santé des luxembourgeois de répondre à cette question car ce sont eux qui, en amont, ont pris la décision lourde de « vacciner » des populations en bonne santé à l’aide de « vaccins » encore au stade expérimental et dont, lors des essais cliniques, tous les hamsters sont morts.

Nous ne répondrons pas ici de la responsabilité des uns et des autres mais il est certain que si des nanoparticules superparamagnétiques (magnetic beads) sont entrées dans la composition de ces dits vaccins, à titre expérimental ou pour quelque raison que ce soit, alors que jusque-là celles-ci n’étaient réservées qu’aux thérapies anticancéreuses, alors il est urgent de demander une mise au point, dans les plus brefs délais, aux laboratoires pharmaceutiques et aux autorités de santé qui elles, ont donné leur autorisation pour la mise sur le marché de ces injections.

C’est aux toxicologues et aux pharmacologues à qui il revient maintenant la responsabilité de découvrir les origines et les causes de ces effets d’attraction observés sur les sujets vaccinés et c’est aux hommes politiques, garants de la santé des citoyens de ce pays, de demander très rapidement l’ouverture d’une enquête approfondie et publique sur la composition exacte et réelle de ces dits vaccins.

PS : 2 sites et 1 document de travail intéressants à consulter qui traitent des solutions nanos et des ferrofluides :


Exemple de nanoprotéines Spike couplée à des perles magnétiques

lilianeheldkhawam.files.wordpress.com/2021/06/sars-cov-2-antibodies-sars-cov-2-recombinant-proteins-kits-beads-magnetisme


[Voir aussi :
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm]




Poutine donne une leçon à un journaliste et autres infos sur le vol Ryanair 4978

[Source : Le Saker Francophone]

[Illustration : Wikimedia Commons]

Par Moon of Alabama

Il y a quelques nouveaux éléments concernant le vol Ryanair 4978 qui, le 23 mai, a atterri en Biélorussie après avoir reçu une alerte à la bombe. Récapitulons :

Le 23 mai, une alerte à la bombe contre un vol Ryanair reliant la Grèce à la Lituanie a été envoyée par courriel aux aéroports et aux autorités de Lituanie, de Biélorussie et de Grèce. On ne sait pas qui a envoyé le courriel. ...

Le contrôle du trafic aérien du Belarus, dans l'espace aérien duquel l'avion volait à ce moment-là, a contacté le pilote, l'a informé de la menace et lui a recommandé d'atterrir à Minsk. Le pilote a contacté la direction de Ryanair et a ensuite décidé de suivre le conseil. L'avion a atterri à 10:15 utc (13:15 heure biélorusse), les passagers ont débarqué et une longue fouille a été effectuée. Aucune bombe n'a été trouvée. ...

Les passagers ont dû passer par le contrôle des passeports. Deux passagers faisant l'objet de mandats d'arrêt non exécutés ont été placés en détention. Les autres passagers ont repris l'avion vers leur destination initiale. ...

Une heure après l'atterrissage de l'avion, [l'activiste cherchant à changer le régime] Frank Viacorka, qui est suivi par de nombreux "blueticks" sur Twitter, a présenté un récit de l'incident qui s'éloignait fortement de la réalité, mais qui a permis de relancer le programme de changement de régime qui était au point mort. ...

Le tweet largement partagé et ceux qui l'ont suivi impliquaient que le gouvernement bélarusse avait détourné l'avion pour arrêter un autre activiste cherchant à changer le régime, Protasevich.

Lorsque l'on examine les détails de l'affaire, il devient vite évident que ce récit est faux.

Les médias « occidentaux » continuent de raconter ce faux récit. Il a conduit, comme l’espéraient ses initiateurs, à l’introduction de nouvelles sanctions contre le Bélarus.

L’affaire est revenue sur le tapis lors d’une récente interview du président russe par la NBC. La transcription et la vidéo sont disponibles ici :

Keir Simmons : Passons à la Biélorussie et à l'Ukraine, deux questions qui seront certainement abordées lors de votre sommet avec le président Biden. Saviez-vous à l'avance qu'un avion de ligne serait contraint d'atterrir en Biélorussie et qu'un journaliste serait arrêté ?

Vladimir Poutine : Non, je n'étais pas au courant. Je ne savais rien d'aucun avion de ligne. Je n'étais pas au courant des personnes qui ont été détenues là-bas par la suite. Je l'ai appris par les médias. Je ne savais pas, je n'avais pas la moindre idée des personnes détenues. Je n'en sais rien. Cela ne nous intéresse pas.

Keir Simmons : Vous semblez l'avoir approuvé à en juger par votre rencontre avec le président Lukashenko peu après.

Vladimir Poutine : Non pas que je l'approuve. Non pas que je la condamne. Mais, bon, c'est arrivé. Je l'ai dit récemment lors d'une conversation avec un collègue européen, la version de M. Loukachenko est que des informations leur avaient été données selon lesquelles il y avait un engin explosif à bord de l'avion. Ils ont informé...

Keir Simmons : Et vous croyez ça ?

Vladimir Poutine : ...le pilote sans le forcer à atterrir. Et le pilote a pris la décision d'atterrir à Minsk. C'est tout. Pourquoi ne devrais-je pas le croire ? Demandez au pilote. C'est la chose la plus simple. Demandez au capitaine de bord. Demandez au commandant de l'avion. Lui avez-vous demandé s'il a été forcé d'atterrir ? Parce que je n'ai pas entendu ni vu d'interview avec le commandant de l'avion qui a atterri à Minsk. Pourquoi ne pas lui demander ? Pourquoi ne pas lui demander s'il a été forcé d'atterrir ? Pourquoi ne pas lui demander ? En fait, c'est même étrange. Tout le monde accuse Lukashenko, mais le pilote n'a pas été interrogé. ...

Vladimir Poutine : Oui. Ecoutez, je vais vous le répéter. Ce que le président Loukachenko m'a dit, je n'ai aucune raison de ne pas le croire. Pour la troisième fois, je vous le dis : Demandez au pilote. Pourquoi ne pas demander au pilote. Était-il...

Keir Simmons : Mais vous...

Vladimir Poutine : ...avait-il peur ? Était-il menacé ? A-t-il été contraint ? Le fait que des informations soient apparues selon lesquelles il y avait une bombe dans l'avion, que des individus, des personnes qui n'avaient rien à voir, qui étaient des passagers, qui n'avaient rien à voir avec la politique ou tout type de conflits intérieurs, qu'ils puissent le percevoir négativement, s'en inquiéter, bien sûr que c'est une mauvaise chose. Il n'y a rien de bon dans tout cela. Et évidemment, nous condamnons tout ce qui a trait à cela, et au terrorisme international, et à l'utilisation d'avions. Bien sûr, nous sommes contre cela. ...

Poutine a raison de souligner que les médias « occidentaux » n’ont fait aucun effort pour examiner réellement l’affaire. Ils pourraient s’adresser au pilote et au copilote ainsi qu’à Ryanair et leur demander ce qui s’est réellement passé.

Mais Poutine se trompe en suggérant que les pilotes n’ont pas été interrogés du tout. Après l’atterrissage de l’avion à Vilnius, le pilote a été interrogé par la police lituanienne :

Parmi les personnes interrogées figure le commandant de bord de l'avion qui "a pris la décision [de changer de cap vers Minsk] après avoir consulté la direction de Ryanair", selon [Rolandas Kiškis, chef du bureau de la police criminelle].

La transcription incontestée du trafic radio entre le pilote et le contrôle du trafic aérien bélarusse prouve qu’il n’y a eu aucune menace ou ordre des autorités de faire atterrir l’avion. La tour de contrôle a recommandé de se dérouter vers Minsk en raison de l’alerte à la bombe. Le pilote a communiqué avec sa compagnie aérienne et a ensuite suivi les conseils de la tour.

Le fait que celui qui interroge Poutine sur NBC ne soit pas au courant de ces faits le disqualifie en tant que journaliste.

Deux activistes « occidentaux » rémunérés qui avaient œuvré pour un changement de régime au Bélarus se trouvaient sur le vol Ryanair. Roman Protasevich et sa petite amie Sofia Sapega étaient sous le coup de mandats d’arrêt. Ils ont été arrêtés après l’atterrissage de l’avion à Minsk. Une chaîne de télévision bélarusse a réalisé un documentaire (vidéo) sur l’affaire des alertes à la bombe. On y voit que ces deux personnes ont quitté l’avion comme tous les autres passagers et n’ont été arrêtés qu’au moment de passer le contrôle douanier. On y voit également le premier entretien de Protasevich avec la police. Dans une autre interview de 90 minutes (vidéo) de Protasevich avec un journaliste de la télévision bélarusse, il crache le morceau sur l’opposition financée par l’« Occident ».

Hier, le ministère des affaires étrangères du Bélarus a donné une conférence de presse sur le sujet. Protasevich était également présent pour répondre aux questions. Sa partie est à la 45eme minutes dans la vidéo de la conférence de presse.

Les journalistes de la BBC présents à la conférence de presse ont quitté la salle car ils ont supposé que la présence de Protasevich n’était pas volontaire. Protasevich lui-même conteste fortement cette affirmation. Comme dans les précédentes vidéos de lui, il n’y a aucun signe dans son attitude ou son engagement qui me ferait croire qu’il a été contraint.

La conférence de presse avait pour but de clarifier plusieurs affirmations erronées trouvées dans les médias « occidentaux ». L’une d’entre elles était la suivante :

Asta Skaisgirytė, principal conseiller en politique étrangère du président lituanien Gitanas Nauseda, a déclaré dimanche que la Biélorussie avait fait décoller deux avions militaires - un avion de chasse MiG-29 et un hélicoptère Mi-24 - pour détourner l'avion civil de passagers vers Minsk.

Lors de la conférence de presse, le porte-parole militaire explique que l’hélicoptère n’avait rien à voir avec le vol Ryanair, car il volait beaucoup plus bas et plus lentement et n’avait aucune chance de s’en approcher. Le MIG-29 n’a décollé qu’après que le vol Ryanair a lancé un MAYDAY et décidé d’atterrir à Minsk. Le MIG se trouvait à ce moment-là à des centaines de kilomètres de l’avion de Ryanair et la distance la plus proche qu’il ait pu franchir était de 55 kilomètres lorsque l’avion de Ryanair a atterri à Minsk.

Suit une partie sur un conflit frontalier autour de l’immigration illégale entre le Belarus et la Lituanie. Après cela, l’enquêteur principal de l’affaire discute des crimes dont Protasevich et Sapega sont accusés. Il indique également que Protonmail, la société suisse par laquelle le courriel d’alerte à la bombe a été envoyé, n’a pas coopéré avec les autorités biélorusses dans cette affaire et dans les affaires précédentes.

Suivent ensuite des questions adressées à Protasevich lui-même. La première question porte sur l’affirmation d’une chaîne d’opposition sur Telegram selon laquelle le président Loukachenko serait apparu dans sa prison et aurait personnellement battu Protasevitch.

Protasevich répond que ce n’est pas sérieux. Il explique les marques sur ses poignets que l’on pouvait voir lors de sa dernière interview. Il explique que lorsqu’il a été arrêté, la police de l’aéroport n’avait pas de menottes et a utilisé des serre-câbles en plastique à la place. Celles-ci lui ont entaillé la peau.

Il affirme qu’il n’a pas été blessé du tout et qu’il est en pleine santé. Il demande à ses anciens camarades de l’opposition biélorusse de ne pas répandre de rumeurs à son sujet. Il craint que ses parents, qui se trouvent en Pologne, ne soient induits en erreur sur sa situation. Lorsqu’on l’interroge sur l’oligarque russe qui, selon lui, a financé une partie de l’opposition, il répond qu’il ne se souvient pas du nom de cet homme.

Merci à Elena Evdokimova d’avoir traduit les détails ci-dessus.

Dans son article sur l’apparition de Protasevich à la conférence de presse, le New York Times fait plusieurs affirmations erronées. Il affirme que Protasevich « a été traîné hors d’un vol Ryanair avec sa petite amie, Sofia Sapega, il y a trois semaines par des agents de sécurité biélorusses ».

Le documentaire sur le vol montre, à 20:20 min et à 25:45 min, que ce ne fut pas le cas. Aucune police n’est montée à bord. Les passagers, dont Protasevich et Sapega, quittent l’avion un par un avec leurs bagages à main. Des chiens renifleurs de bombes contrôlent ensuite les bagages et les passagers montent dans un bus pour être conduits au terminal.

26:53 min le documentaire montre Protasevich avec un masque noir et un sac à dos militaire dans le terminal en train d’attendre pour passer le contrôle des passeports.

Le New York Times affirme également :

Les autorités biélorusses avaient promis de fournir de nouveaux détails dans leur histoire sur comment et pourquoi le vol Ryanair a été forcé à atterrir après avoir pénétré dans l'espace aérien du pays lors d'un vol vers la Lituanie depuis la Grèce.

Le vol Ryanair n’a pas été « forcé à atterrir » et à aucun moment les autorités biélorusses n’ont proposé de fournir des détails sur un tel événement. Elles ont fourni des détails sur un avion qui a fait l’objet d’une alerte à la bombe et qui s’est dérouté vers Minsk après que le pilote a volontairement décidé de le faire.

L’émission de la BBC sur la conférence de presse est également rempli de contre-vérités et de propagande :

Contredisant carrément les comptes-rendus indépendants de ce qui s'est passé, le chef de l'armée de l'air biélorusse, Igor Golub, a déclaré lors de la conférence de presse : "Il n'y a pas eu d'interception, pas de détournement forcé vers la frontière de l'État ni d'atterrissage forcé de l'avion de Ryanair."

Que sont, s’il vous plaît, ces « récits indépendants de ce qui s’est passé » à part quelques tweets sans fondements publiés par des activistes qui veulent changer le régime, comme Frank Viacorka ; tweets complètement contredits par les preuves et les faits bien documentés ?

Moon of Alabama

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone




Les dessous nauséabonds de la République — L’indécente arrogance des riches et des puissants…

[Source : zonefr.com]

Par Christine Deviers-Joncour

« J’entendais leurs délires, loin d’imaginer qu’ils iraient jusqu’au bout de leur folie. La fête a assez duré ! Je les ai vus, à l’époque, se goberger, s’empiffrer sur le dos de la bête. Je les ai vus, les yeux plus gros que le ventre, piller et se goinfrer. Se donner des lettres de noblesse factices que leur position et leur pouvoir leur conféraient.

Je les ai vus bomber le torse et de leur petite hauteur, mépriser le peuple en donnant au château de Versailles des fêtes royales pour célébrer dignement l’arrivée au pouvoir du nouveau « monarque. » Les cortèges de voitures officielles comme autant de carrosses et les garden-parties de ces nouveaux parvenus bientôt emperruqués.

J’ai vu les épouses et leur marmaille jouant à Marie-Antoinette sans vergogne sous les lambris, dont le passe-temps se limitait à organiser des dîners fins entre amis et visiter le Mobilier national comme on va chez Ikea. Gratuit ici. Surtout quand on omettait de restituer pièces d’art et meubles d’époque.

Je les ai vus et payé très cher pour avoir été témoin, n’étant pas du sérail…

J’ai vu les caisses noires des ministères exonérées d’impôts, les frais d’intendance éhontés enfler toute honte bue, chauffeurs et gardes du corps à vie et retraites cumulées replètes, retro-commissions sur des marchés d’état, des avions équipés comme des palaces volants, des jets sur le tarmac prêts à décoller au moindre caprice ou quand tsunamis, tremblements de terre et autres catastrophes permettaient d’appeler les hordes de photographes, après être passé en vitesse chez le coiffeur et le couturier branché, pour se faire immortaliser au pied d’un jet avec un sac de riz sur le dos.

J’ai vu des soutes en provenance d’Afrique garnies de billets de banque et des coffres de voitures transformés en caverne d’Ali Baba pour distribution d’argent à grande échelle, des contrats d’État passés aux mains des filous, des comptes bien cachés dans des pays aux lagons bleus, des guerres fomentées pour piller les richesses de ceux qui n’en verront jamais la couleur et verseront leur sang sans même savoir pourquoi.

Des enfants éventrés, des femmes violées, lapidées, torturées. J’ai vu un avion avec une croix rouge sur son flanc porter secours à des populations africaines affamées en leur tirant dessus, et j’ai même vu certains crocodiles bouffer de malheureux témoins encombrants et d’autres tomber des fenêtres, arrêts cardiaques et cancers fulgurants. Toute cette honte, tous ces crimes pour encore plus de Pouvoir et Richesses.

Un monde aux mains de la Finance Internationale vorace, Bilderberg, Nouvel Ordre Mondial criminel, FMI, GAFAM, etc., pour maintenir, verrouiller le système, protéger une élite et asservir les peuples en les abrutissant devant les écrans et en les dépravant en inversant les vraies valeurs ! Nous leur donnons une once de pouvoir et ils perdent tout sens commun.

Et plus on monte dans la hiérarchie, plus ils s’en donnent à cœur joie, perdent le sens des réalités et franchissent allègrement et sans états d’âme l’inacceptable. Et au plus haut niveau de la pyramide ils n’ont plus rien d’humain. Ce sont des monstres.

C’est à croire que les deux grandes guerres, ne furent pour eux qu’un coup d’essai, Les millions de morts n’étaient qu’un premier test préparant l’extermination de toute l’humanité.! Le pouvoir, aphrodisiaque suprême, les déshumaniserait-il à ce point ? Et le fric, moteur essentiel à toutes ces dérives…

Comment osent-ils se poser en donneurs de leçons, parler de probité, d’intégrité, de franchise, quand se multiplient leurs égarements et que les affaires de corruption et autres méfaits les éclaboussent?

Comment peuvent-ils contraindre le peuple à se serrer la ceinture en période de crise quand eux-mêmes s’allouent des gratifications et salaires insolents sous les lambris confortables de la République ?

Alors que des milliards d’êtres humains souffrent de la faim, des épidémies, et qu’un enfant meurt toutes les minutes sur notre planète, il suffit que la Bourse s’enrhume pour qu’il soit possible de trouver en quelques heures les milliards de dollars et d’euros, jusqu’ici impossibles à débloquer pour soulager la souffrance de ceux qui meurent de faim !

Quand l’homme cesse d’être déterminé par son propre esprit qui est l’esprit de la vie, il se transforme en robot. Cet insupportable mépris pousse à la violence ceux qui n’ont pas ou plus d’espoir.

Dans notre pays des « Droits de l’Homme » il est devenu ordinaire de bafouer le principe d’égalité. La richesse, le luxe et l’apparence étalés sans vergogne sont devenus signes de réussite tandis que les plus faibles vivent leurs souffrances sans trop faire de bruit.

Pour payer cette dette, ce monstre de papier, illégitime et abracadabrantesque, numérique et ubuesque, il nous faudra tout vendre. Jusqu’à nos dents on or et notre peau pour faire des abat-jour dans le bureau d’un maître du monde avec vue sur le Rockefeller Center.

C’est pour quand la découpe façon abattoir? Le couteau du boucher, c’est la dette, un bout pour Bibi, un bout pour la Finance, un bout pour la mafia, un bout pour les bling-bling accros aux putes de luxe et pour les pédophiles. Un bout pour les ventrus de l’industrie militaire, les labos pharmaceutiques et les Gafam, Pillage à grande échelle !

Et pourtant il suffirait d’un trait de plume, d’un clic sur le clavier pour l’effacer cette dette, sans que personne ne souffre. Mais cette société serait-elle encore humaine ?

Depuis très et trop longtemps on a laissé les loups entrer dans la bergerie. Ils accroissent le chômage, vendent le pays en pièces détachées et initient des dettes impossibles à rembourser. Ils nous mentent, nous volent, nous musellent et maintenant tentent de nous supprimer à travers une fausse pandémie et des vaccins meurtriers !

Nous sommes devenus un immense peuple de moutons à tondre, tandis qu’un fameux agent d’influence suggère que les peuples doivent se contenter de regarder passer les milliards sans broncher, comme on voit passer les cigognes sans s’interroger sur leurs nids bâtis avec nos plumes.

Nos dirigeants et les médias complices seraient-ils réduits qu’à n’être que d’infâmes valets du capitalisme mondialisé et le laboratoire de l’asservissement du monde par la dictature financière conçue par des milliardaires fous, des illuminés ?

La démocratie n’existe plus depuis longtemps, et tout dépend maintenant du pouvoir de résistance et de révolte des peuples.

La mise en esclavage des populations est passée à la vitesse supérieure avec cette « plandémie Covid » en créant la PEUR ! Et les grands argentiers de la planète et leurs marionnettes nous font clairement comprendre que seuls comptent leurs profits, que le bien-être des citoyens n’a aucune espèce d’importance.

Leurs « plandémies » et leurs vaccins mortifères finiront le sale boulot pour une dépopulation mondiale annoncée : Le projet ne date pas d’hier… croyez-moi !

Nous sommes tous sacrifiés sur l’autel des profits. Depuis ces dernières décennies tout fut mis en œuvre fissa pour nous anéantir. Et la télévision et les médias aux ordres ont participé à cet abrutissement de masse qui nous a conduits à l’impuissance en nous lavant le cerveau.

Je veux pourtant rester optimiste. Nous sommes à un tournant majeur, un changement de civilisation.

Il est urgent que tous les citoyens se réveillent et reprennent en main leurs pays, leur souveraineté et éliminent cette vermine financière afin de réinjecter dans les caisses des états pour le bien collectif, les incroyables fortunes détournées par une poignée de mafiosi sans foi ni loi et dangereux.

Il faut bien prendre conscience que, quels que soient votre bord politique ou votre conception de la vie, si vous ne faites pas partie de leur élite, vous serez broyés. Aussi, il faut s’unir en laissant de côté nos différences que les dirigeants actuels n’ont cessé d’amplifier afin de nous diviser pour mieux régner.

Il y a urgence car nous marchons vers l’abime ! Et si le monde devient chaotique, cela signifie aussi que ce qui a manqué, c’est la spiritualité individuelle. Il n’y a pas de compromis avec les éléments extérieurs du monde en action et la conscience se révèle encore inactive face à ce monde chaotique.

Au contraire, la conscience peut se reconnecter en tout temps et en toute situation avec la spiritualité comme une ascension.

Restons positifs car le chant général des poitrines opprimées commence à se faire entendre. Il est mondial ce chant ! Il est encore cacophonie, il va devenir symphonie. De tous ces pays qu’Ils enchaînent il y a ces voix partout qui se lèvent…

Là, il me revient en mémoire cette phrase de Brecht : « Lorsqu’un homme assiste sans broncher à une injustice, les étoiles déraillent »… Alors, vite, protégeons les étoiles et tournons la page sur ces temps décomposés.

Levons-nous !

Christine Deviers-Joncour
http://christinedeviersjoncour.com




Ottawa enfin «plus sensible» à la survie du français au Canada?

[Source : Sputnik France (sputniknews.com)]

[Photo : © AFP 2021 GEOFF ROBINS]

Au Canada a lieu actuellement le Sommet sur le rapprochement des francophonies canadiennes, dont le but est de trouver de nouveaux moyens pour préserver le français. Plusieurs observateurs prédisent un rapide déclin des communautés francophones hors du Québec, mais le sociologue Joseph Yvon Thériault, lui, est plus optimiste. Entrevue.

Quel sera l’avenir des francophones du Canada, alors que l’anglais est depuis longtemps largement majoritaire en Amérique du Nord? Cette question est au cœur de la vie politique du Canada depuis la fondation de la fédération, en 1867.

Pour poursuivre la réflexion se tient actuellement, en mode virtuel, le Sommet sur le rapprochement des francophonies canadiennes, dont l’un des premiers objectifs est de «trouver les meilleures solutions pour faire progresser la francophonie et la langue française au Canada». Le sommet vise aussi, voire surtout, à renforcer les liens entre les communautés francophones du Canada anglais et le Québec, seule province où le français est majoritaire. Le Premier ministre québécois, François Legault, assistera à la conférence de clôture, le 17 juin.

La langue de Molière : un déclin inéluctable?

«Faire progresser la francophonie»: l’intention est louable, mais ne s’agirait-il pas plutôt d’en freiner le déclin? Depuis plusieurs années, de nombreux observateurs et organismes s’inquiètent de la perte de vitesse du français, qui est pourtant l’une des deux langues officielles du pays de l’Érable. Selon l’agence publique Statistique Canada, en 2011, la proportion de francophones au Canada était de 3,8% sans le Québec, et cette proportion est appelée à passer à 2,8% en 2036.

Sociologue invité comme panéliste au sommet, Joseph Yvon Thériault se veut beaucoup moins alarmiste que certains chroniqueurs nationalistes québécois, pour qui l’avenir du français se joue uniquement au Québec. En 2019, la journaliste Denise Bombardier avait soulevé un tollé partout au pays en affirmant: «À travers le Canada, toutes les communautés francophones ont à peu près disparu.» Des propos tenus lors d’une émission de grande écoute sur les ondes de Radio-Canada. Lui-même issu d’une communauté francophone hors Québec –le peuple acadien–, Joseph Yvon Thériault déplore une certaine méconnaissance des francophones minoritaires:

«La survie de la francophonie hors Québec aura un avenir parce qu’il y a un afflux d’immigration en provenance du Québec dans les communautés concernées. En 1930, on prédisait déjà la fin des francophones de l’Ouest. On oublie souvent qu’il y a toujours une immigration d’Est en Ouest au Canada. Les francophones hors Québec réussissent donc à se maintenir», analyse l’auteur de ‘‘Sept leçons sur le cosmopolitisme’’ (éd. Québec Amérique, 2019).

Le 14 juin dernier, la ministre fédérale du Développement économique et des Langues officielles, Mélanie Joly, a fait savoir qu’Ottawa s’apprêtait à reconnaître le français comme langue officielle du Québec. Ce changement législatif coïncidera avec la réforme de la loi sur les langues officielles qu’elle pilote. Il s’agit d’un geste sans précédent de la part du gouvernement fédéral.

Meilleure protection du français : Ottawa ne dit pas non

Selon Joseph Yvon Thériault, les Libéraux du Premier ministre fédéral, Justin Trudeau, se montrent «plus sensibles à cette question» depuis quelques mois. Le geste surprend, compte tenu du rapport souvent jugé conflictuel au français et au Québec qu’a longtemps entretenu ce parti. Une ouverture annonçant des temps nouveaux?

«Il se passe quelque chose à Ottawa. Pour la première fois, le fédéral semble accepter une logique d’asymétrie, alors qu’il avait toujours insisté sur le bilinguisme officiel. Cette dernière approche ne considérait pas la francophonie comme une communauté minoritaire ayant besoin de protection. […] C’est une nette évolution par rapport à l’ancienne manière de concevoir les deux langues au Canada», constate le sociologue.

Concernant la relation du Québec aux autres francophones du Canada, Joseph Yvon Thériault rappelle que «de nombreuses tentatives de rapprochement ont eu lieu dans l’histoire, et qu’elles n’ont pas toutes été très concluantes». Positif, il estime que la tentative actuelle est probablement celle «qui a le plus de chances de réussir» en raison de la conjoncture politique. À la mi-mai 2021, le gouvernement Legault a dévoilé un important projet de loi visant à renforcer le texte majeur protégeant le français au Québec, c’est-à-dire la Charte de la langue française. Un projet qui s’inscrit dans une démarche apparentée à celle d’Ottawa, observe le sociologue, pour qui le Québec entend maintenant remplir le rôle qui lui a toujours incombé:

«Le gouvernement de François Legault paraît plus prédisposé que les précédents à assumer que le Québec doit rester en quelque sorte le phare de la francophonie canadienne. Le fait que ce gouvernement ne cherche pas à réaliser l’indépendance du Québec contribue au retour de l’idée d’un destin partagé entre tous les francophones du pays […]. Il y a un retour de l’idée du Québec comme foyer et défenseur principal du français dans l’ensemble canadien», se réjouit Joseph Yvon Thériault.




Résultat des législatives en Algérie

[Source : Sputnik France (sputniknews.com)]

Les élections législatives ont abouti à une assemblée quasi identique à celle dissoute par le Président Abdelmadjid Tebboune au mois de février dernier. Des résultats donnent, dans le peloton de tête, les trois partis qui formaient l’Alliance présidentielle d’Abdelaziz Bouteflika. Une situation qui pourrait compliquer la formation du gouvernement.

On prend (toujours) les mêmes et on recommence. Les élections législatives du 12 juin ont livré une configuration de l’Assemblée populaire nationale (APN) semblable à la précédente. Mardi 15 juin, les résultats annoncés par Mohamed Charfi, le président de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), donnent le Front de libération nationale (FLN) en tête avec 105 sièges, 57 pour le Rassemblement national démocratique (RND) et 64 pour le Mouvement de la société pour la paix (MSP). Soit un total de 226 sièges sur les 407 que compte l’Assemblée. Il se trouve que le trio gagnant formait l’Alliance présidentielle, consortium politique qui s’était mis à la disposition du Président Abdelaziz Bouteflika.

Voir la suite sur Sputnik France




Tirs groupés contre l’Algérie, à la veille des élections législatives

Par Ahmed Bensaada

C’est devenu une tradition. Depuis le début du Hirak, tout rendez-vous électoral est systématiquement précédé par des salves médiatiques étrangères, agressives contre l’Algérie. En fait, c’est le choix de la voie constitutionnelle de sortie de crise qui est attaquée, car elle ne représente pas ce qui a été concocté par les « druides » occidentaux et leurs serviteurs locaux. Ces « grands » démocrates, spécialistes des potions magiques qui détruisent des pays entiers en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, penchent plutôt pour une « phase de transition » avec comme leitmotiv « Yetnahaw Gaa! » (Ils doivent tous partir!). Une idée géniale pour mettre en selle des « ténors autoproclamés du Hirak » adoubés par leurs soins et choisis non seulement pour leur allégeance, mais aussi pour leur connivence avec des groupes douteux avec lesquels ils ont autant d’affinités que les pôles identiques de deux aimants. La « phase de transition » à la sauce algérienne mijotée dans le « chaudron » démocratique avec ketchup et mayonnaise? Le moyen le plus efficace pour que l’Algérie rejoigne la Libye, la Syrie et autres pays jouissant actuellement d’une démocratie exemplaire!

Au sujet de ces attaques, rappelons tout de même qu’un média américain majeur avait appelé au boycott de l’élection présidentielle du 12 décembre 2019, à peine deux semaines avant l’échéance électorale (lire mon article à ce sujet). En effet, le professeur Robert Zaretsky écrivait, le 26 novembre 2019, dans la célèbre revue Foreign Affairs un article sur l’Algérie au titre éloquent: « An Election’s Failure Will Be a Democratic Success » (L’échec de l’élection sera un succès démocratique). De la part d’un professeur versé dans la chose politique, il y a de quoi se poser de sérieuses questions concernant le concept même de démocratie. On attend d’ailleurs toujours un article de M. Zaretsky pour nous expliquer ce concept à travers la mascarade électorale qui a eu lieu lors des dernières présidentielles américaines, un scrutin digne d’une vulgaire république bananière et dont le résultat restera à jamais entaché de doutes.

Le nombre d’articles occidentaux à charge contre l’Algérie étant énorme, nous allons nous focaliser sur deux d’entre eux qui ont été publiés le 11 juin 2021, c’est-à-dire la veille des élections législatives.

Le premier a été publié par le célébrissime Washington Post, excusez du peu. En pleine période très riche en évènements politiques majeurs (sommets du G7 et de l’Otan, rencontre Biden-Poutine) le WaPo reprend un article de l’Associated Press intitulé « Two Algerian opposition figures arrested ahead of elections » (Deux personnalités de l’opposition algérienne arrêtées avant les élections). Ces deux personnes sont bien évidemment Karim Tabbou (ténor autoproclamé du Hirak et accessoirement des cimetières) et Ihsane El Kadi (plus connu sous le sobriquet de « barbouze »).

Ce qui surprend dans cet article c’est, bien sûr, la célébrité du média qui publie une information, somme toute, d’importance relativement faible comparativement à l’actualité et aux sujets traditionnellement traités par ce journal. Mais, ce qui est encore plus étonnant c’est la célérité avec laquelle la nouvelle a été publiée : moins de 24h après les faits!

La renommée du média, la rapidité de la publication et le timing choisi indiquent un évident intérêt de l’administration américaine, mais surtout, une intervention de haut niveau pour publiciser cet évènement. La proximité entre aussi bien Ihsane El Kadi que Karim Tabbou avec l’ambassade des États-Unis à Alger ne doit pas être étrangère à cette publication.

Le second article est signé Michaël Béchir Ayari, analyste senior à l’International Crisis Group (ICG). Lui aussi publié le 11 juin 2021, il porte le titre : « L’Algérie de retour aux urnes ».

Intéressons-nous tout d’abord à l’ICG. Ce dernier est un think tank américain basé à Washington dans lequel sont impliqués de nombreux politiciens de premier plan. L’ICG dispose annuellement d’un budget de plusieurs millions de dollars, dont presque la moitié provient de subventions octroyées par des gouvernements exclusivement occidentaux (exception faite du…Qatar!). En 2020, l’Open Society de George Soros a financé l’ICG avec une contribution de plus de 4 millions de $.

Dans le conseil d’administration de l’ICG, on retrouve évidemment George Soros, mais aussi son fils, Alexander. La liste contient également le nom de Tzipi Livni, ancienne ministre des Affaires étrangères et vice-premier ministre de l’État hébreu. On se souvient que c’est elle qui était en poste lors du massacre des Palestiniens sous les bombardements israéliens sur Gaza, fin 2008 – début 2009.

Parmi les personnalités américaines les plus en vue du Conseil d’administration de l’ICG figure le nom de Morton Isaac Abramowitz, ancien Secrétaire d’État adjoint chargé du renseignement et de la recherche dans l’administration Reagan. Il est aussi intéressant de mentionner qu’Abramowitz a été un membre influent du Conseil d’administration de la National Endowment for Democracy (NED) et ce, pendant neuf ans. En 2007, la NED l’a honoré en lui décernant la « Democracy Service Medal », en reconnaissance de « sa contribution exceptionnelle à l’avancement des droits de l’homme et de la démocratie dans le monde ».

Après cette succincte présentation de l’ICG, voyons ce que Michaël Béchir Ayari a pondu dans son article sur la situation algérienne.

Dans l’ensemble, on croirait entendre MM. Tabbou ou Al Kadi pour ne citer que ces deux vedettes du WaPo. En guise d’analyse, il s’agit d’un point de vue complètement biaisé où le mot « système » se dispute la place au mot « pouvoir ». D’après lui, « selon un scénario probable, les forces politiques issues de ce scrutin pourraient se regrouper et former une coalition dont l’objectif serait de perpétuer le système ». Et, au sujet d’une éventuelle phase d’instabilité post-électorale, il y alla d’une prédiction digne d’un réel augure : « A la suite de ce regain de tensions sociales, les conflits portant sur la gestion de ces tensions pourraient s’accroitre au sein de la hiérarchie militaire et des services de renseignements ».

En définitive, il ne lui manquait que le slogan « Madaniya, Machi Askaria » (« Civil et non militaire », slogan des partisans de la phase de transition), pour boucler la boucle.

Je me souviens d’un ouvrage de Michaël Béchir Ayari (co-écrit avec Vincent Geisser), édité en octobre 2011 dans lequel cet « expert » subjugué par le « printemps » arabe avait attaqué en règle mon livre « Arabesque américaine». En effet, en page 55, on peut lire : « Au Canada, l’ouvrage d’un chercheur algérien renommé, Ahmed Bensaada, a lui aussi contribué à populariser les thèses conspirationnistes auprès du grand public ».
Cette sentence de ce « savant » du dimanche a été prononcée sans citer une seule phrase de mon livre et sans en démentir une seule information. Et dire que ce monsieur est « docteur » en sciences politiques!

Le temps étant impartial, c’est plutôt lui qui porte maintenant l’habit de l’expert conspirationniste. Il fait partie de cette « école » qui a vendu à l’opinion publique arabe et internationale que ces « regime change » accompagnés de mort, de destruction, de désolation et de chaos étaient un « printemps » radieux durant lequel fleuriront la démocratie et les libertés individuelles.

Où est passée cette démocratie, M. Ayari? Moi, je ne vois que de la fumée émanant des ruines et je ne sens qu’une odeur fétide de cadavres!

Où est-elle passée, M. Ayari? Moi je ne vois que les larmes de ces réfugiés fuyant leurs maisons et je n’entends que le bruit des bombes qui broient les corps et déchiquètent les esprits!

Alors, de grâce M. Ayari, laissez l’Algérie tranquille et changez de métier. L’analyse politique nécessite une pincée de modestie, une dose d’honnêteté, un zeste de probité ainsi qu’une rasade d’humanisme qui manquent cruellement à votre éducation et à celle de ceux qui vous emploient.

https://www.ahmedbensaada.com/index.php?option=com_content&view=article&id=562:2021-06-15-00-54-54&catid=46:qprintemps-arabeq&Itemid=119




Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses

[Source : Neuf de cœur]



[Voir aussi :
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
Ce que cache le test PCR ?
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?]




AstraZeneca annonce que son traitement anti-Covid est inefficace

[Source : LCI via qactus.fr]

[Illustration : Vue générale des bureaux du laboratoire anglo-suédois AstraZeneca à Macclesfield, au nord-ouest de l’Angleterre. − Andrew YATES / AFP]

Par La rédaction de LCI

Nouveau revers pour AstraZeneca. Après que de nombreux pays se sont partiellement ou totalement détournés de son vaccin anti-covid, le groupe pharmaceutique anglo-suédois a annoncé ce mardi que le traitement contre le coronavirus qu’il développe actuellement n’a pas prouvé son efficacité sur les personnes exposées au virus.

« L’essai n’a pas atteint le but principal de prévenir les cas de Covid-19 symptomatique après exposition » au virus, explique AstraZeneca dans un communiqué.

Une réduction des symptômes de seulement 33%

Le traitement par anticorps, dont le nom de code est AZD7442, devait permettre à la fois de prévenir et de traiter la maladie. Il était en phase 3 de développement, c’est-à-dire en essais cliniques de grande ampleur afin de mesurer sa sûreté et son efficacité.

Les 1121 participants étaient des adultes de plus de 18 ans qui n’étaient pas vaccinés et qui ont été exposés à une personne contaminée au cours des huit jours précédents. Le traitement n’a permis de réduire le risque de développer un Covid-19 avec symptômes que de 33%. Des essais se poursuivent pour évaluer le remède sur des patients avant exposition au virus, et pour ceux qui ont développé des formes sévères.

L’important investissement des États-Unis

Le développement de ce traitement est financé par le gouvernement américain, qui en retour avait conclu des accords avec AstraZeneca pour recevoir jusqu’à 700.000 doses cette année. Au total, la valeur des accords avec les États-Unis pour le développement du traitement et les doses en 2021 atteint 726 millions de dollars.

Dans son communiqué, AstraZeneca indique que des discussions sont en cours « concernant les prochaines étapes avec le gouvernement américain ».

Si les espoirs vis-à-vis du traitement développé par AstraZeneca sont douchés, les regards se tournent désormais vers l’Institut Pasteur de Lille. Il vient d’obtenir le feu vert de l’Agence nationale de sécurité du médicament pour tester sur des patients un traitement par suppositoires contre le Covid-19. En octobre, l’Institut avait annoncé avoir reçu un don de cinq millions d’euros du géant du luxe LVMH pour financer l’essai clinique d’une molécule qui, testée in vitro, s’avérait « particulièrement efficace face au virus SARS-Cov-2 ».




Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm

[Source anglophone : redvoicemedia.com via https://qactus.fr/]

Le magnétisme ajouté intentionnellement au  » vaccin  » lui permet de forcer sa diffusion dans l’ensemble du corps (et donc dans tous les organes).

Partout, dans le monde, sont évoqués ces champs magnétiques « SPION » liés aux vaccins anticovid (au moins à certains d’entre eux, dont Moderna et Pfizer, semble-t-il).

Dans la vidéo suivante, en anglais, la Dre Jane Ruby révèle que les vidéos montrant des personnes se collant des objets métalliques (dont des cuillères) à l’emplacement de l’injection vaccinale correspondent à des faits réels.

La Dre Ruby affirme que le CDC ment lorsqu’il prétend le contraire, et elle fournit des preuves de ses dires.



ACTUALITÉ ! Le Dr Jane Ruby a rejoint Stew Peters avec une révélation concernant les vidéos de « magnétisme » qui circulent dans le monde des médias sociaux dans des vidéos auto-enregistrées de personnes se collant des objets métalliques.




La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE

Source : NaturalNews.com

[Traduction : numidia-liberum.blogspot.com]

Par : Mike Adams

Le culte mondial du suicide par vaccin est bien réel, et c’est un produit de l’hypnose de masse combinée à un désir généralisé d’auto-annihilation. Poussés jusqu’à la folie par la culture folle et le terrorisme psychologique des médias grand public, de nombreuses personnes cherchent maintenant, consciemment ou inconsciemment, à mettre fin à leurs propres vies — les suicides dans le monde ont monté en flèche depuis le début des blocages de covid — et maintenant ils sont tombés sur leur solution finale : Le vaccin covid.

Heaven’s Gate était une secte californienne qui a pris fin dans les années 1990 lorsque presque tous ses membres se sont suicidés après avoir cru que leur chef — un homme nommé Applewhite — les amènerait au salut.

De la même manière que les membres de la secte de Heaven’s Gate pensaient qu’ils pourraient atteindre l’ascension et s’élever au-dessus de l’humanité en consommant du poison qui, selon eux, les téléporterait vers un « vaisseau mère extraterrestre » qui les attendait de l’autre côté de la comète de Haley, les sectateurs du vaccin-suicide d’aujourd’hui croient qu’ils peuvent atteindre l’ascension en s’injectant une arme biologique mortelle qui les transformera en un être humain « libre » et leur donnera un statut VIP dans la société (grâce à leurs passeports vaccinaux).

De la même manière que les cultistes de Heaven’s Gate se sont suicidés à la recherche d’une ascension vers un faux dieu, les adorateurs des vaccins d’aujourd’hui se tuent en rendant hommage au faux dieu de la « science ». Et le résultat sera le même : mort de masse et illusions brisées.

Je crois que la plupart des gens qui prennent le vaccin, à un certain niveau, savent qu’il est potentiellement mortel, mais ils accueillent favorablement la possibilité d’auto-annihilation parce que c’est bien mieux que l’alternative, qui est d’être ostracisé par la société et rejeté par leurs pairs. La plupart des gens préfèrent mourir que d’être rejetés, et les propagandistes du vaccin paient donc les « influenceurs » des médias sociaux, les célébrités et les fausses figures d’autorité pour tenter d’assimiler l’obéissance au vaccin à l’acceptation sociale.

Cela s’attaque aux faibles qui définissent leur propre valeur par la façon dont les autres les voient (ou les acceptent). Rejeter le vaccin aujourd’hui, au milieu de toute la propagande et de la coercition, demande un acte de réelle réalisation de soi, de courage.

Ainsi, ceux qui prennent le vaccin participent littéralement à un grand culte mondial du suicide qui se déroule avec l’hypnose de masse, le lavage de cerveau et l’ingénierie sociale. Tout comme les cultistes de Heaven’s Gate, ces personnes sont plus qu’heureuses de prendre le poison et de mettre fin à leurs propres vies tant que cela signifie qu’elles ont été « acceptées » par la société dans le processus.

La raison pour laquelle je mentionne tout cela est que nous devons comprendre la psychologie tordue de ces sectateurs afin de survivre à leur suicide de masse, ce qui aura un impact même sur ceux d’entre nous qui évitent les injections d’armes biologiques. Alors que la mort massive balaie les économies et les nations, elle aura des conséquences horribles sur le fonctionnement de la société, notamment l’effondrement des lignes d’approvisionnement et des perturbations extrêmes du personnel dans des secteurs comme la finance, l’énergie, les télécommunications et l’agriculture.

Regardez cette courte vidéo [en anglais] choquante d’un professionnel des ressources humaines du secteur de l’énergie, mettant en garde contre la façon dont les grandes entreprises pétrolières envisagent déjà des stratégies de « remplacement » pour remplacer leurs propres cadres qui ont été vaccinés. « Planification de la relève » est ce qu’on appelle, et selon cette femme, les dirigeants du secteur pétrolier s’attendent à ce qu’environ la moitié de ceux qui ont pris le vaccin meurent dans les années à venir.




[Voir aussi :
Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose
Le contrôle mental au temps du Covid
Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
Dernier appel avant embarquement pour suicide collectif
Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain
Covid et destruction psychique: SOS psychiatres !
Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie]




Le fichage annoncé : ce sera pour une autre fois

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Depuis plusieurs années, les comploteurs de Bruxelles et de New-York fomentent un plan secret de fichage de toute la population (lire par exemple Mais comment faites vous pour NE PAS être complotistes ? du 20 avril 2021).
L’un des piliers de cette machination est le contrôle des médias. C’est vieux comme le monde.
Croyant maîtriser parfaitement ceux-ci, nos comploteurs se sont lancés dans un plan audacieux d’asservissement global :
• apeurer les peuples par une pandémie plus médiatique que réelle,
• les conduire à se faire vacciner, tous, petits et grands,
• mettre en place un passeport dit « sanitaire », dénommé « pass vert » pour mieux faire passer la pilule,
• transformer ce « pass vert » en outil de traçage et de contrôle des déplacements de populations entières.

Ce plan que nous dénonçons depuis son origine (lire Coronavirus : on ne nous dit pas tout du 8 février 2020) requiert des complicités parmi tous les acteurs sociaux : élus, médias, syndicats, partis politiques, etc. L’anathème est lancé sur tous ceux qui s’aventurent à dénoncer ce plan : ce sont des complotistes, comprendre « imbéciles, gogos, arriérés, amisch (selon l’expression même d’Emmanuel Macron), etc. » Bref des Gilets Jaunes de droite comme cet adepte de la violence qui a brutalement frappé le Président de la République au visage.

Et puis patatras ! Ce plan capote.

Le Sénat américain vient de dénoncer cette manipulation. Et ce n’est pas rien, le Sénat américain. Ça pèse un peu plus lourd que le Palais Bourbon.

La sénatrice Marsha Blackburn, entourée des sénateurs Mike Braun, Roger Marshall, Ron Johnson et Roger Wicker.
Texte traduit de cette intervention ici.

Extrait de l’intervention du sénateur Roger Marshall :

Mais le résultat de ce quart de siècle, a été qu’il a permis à une poignée, de grandes plateformes technologiques d’Internet, de devenir extrêmement grandes, extrêmement riches et extrêmement puissantes, au point, qu’ils décident quelles sont les nouvelles, ils décident de quelles informations le public va obtenir et quelles informations vont être bloquées. […]
Google a menacé de couper plusieurs sites Web conservateurs, y compris les fédéralistes, comment ont-ils le pouvoir de le faire ? Comment peuvent-ils justifier de faire cela ? Les entreprises restreignent ou résilient les utilisateurs, les comptes et les contenus conservateurs sur les réseaux sociaux.
Facebook a annoncé la suspension, du compte d’un ancien président des États-Unis, c’est trop de pouvoir, ils peuvent décider qui peut et qui ne peut pas faire l’actualité et être cité.
Twitter a censuré toute information sur le coronavirus, qu’ils pensaient, à leur avis pouvoir provoquer une panique généralisée.

GAFWAM ↔ Fauci ↔ Jean-François Delfraissy ↔ Conseil scientifique ↔ Gouvernement

Le patron de Facebook à sa sortie de l’Élysée, le 10 mai 2019

L’enquête en cours aux États-Unis montre qu’Anthony Fauci, le grand gourou des mesures sanitaires prises par la Maison Blanche, était en contact direct avec Jean-François Delfraissy, membre du conseil scientifique, qui à son tour donnait ses consignes au gouvernement français. Des échanges de messages avec le Dr Fauci montrent que c’est à lui que l’on doit, par exemple, l’interdiction de l’hydroxychloroquine, les mesures de confinement et le port du masque partout et pour tous. Or le Dr Fauci était en étroite relation et au plus haut niveau avec les dirigeants des GAFAM : Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft, auxquels il convient d’ajouter à présent Wikipedia.

Le site Wikipedia prend toute sa place dans le formatage des esprits…

Alexandra Henrion-Caudee
Alexandra Henrion-Caude - Censure Wikipedia

puisque ce site « de référence » participe à la censure des déviants du Système. Exemple avec le Dr Alexandra Henrion-Caude :

Ainsi donc Alexandra Henrion-Caude, généticienne et spécialiste des microARN, lauréate du très prestigieux titre de Eisenhower Fellow, n’est plus une chercheuse de renommée internationale dès qu’elle a critiqué le narratif imposé par les GAFWAM (nous y avons ajouté le W pour Wikipedia). C’est inouï et cela nous rappelle, hélas, les heures les plus sombres de l’Histoire.

Pourtant cette période sombre semble s’éclaircir avec cette intervention des sénateurs américains et les procès en vue à l’encontre du Dr Anthony Fauci. L’enquête en cours ne s’arrêtera plus. Bien sûr, nous y reviendrons.

Massimo Luce

« L’espoir changea de camp, le combat changea d’âme. »

(Victor Hugo)


Bonus :

Pendant que le Sénat américain affronte la manipulation des GAFWAM, nos députés portent la muselière :

Illustration extraite du site de Marianne Dubois, députée LR

Traduction de l’intervention des sénateurs :

( traduction assurée par @JeanneTraduction )

Merci à tous d’être parmi nous aujourd’hui, vous savez qu’il y a eu beaucoup de vagues à propos de la censure des géants de la technologie, de ce qui s’est passé autour des origines du virus du covid 19, et d’où cela vient, comment il s’est transformé en pandémie, et il y a aussi des questions sur la nature des informations qui ont été révélés ou non aux américains et sur comment elles ont évolué en fonction de l’avancée de la pandémie.
Nous savons que facebook a récemment inversé ses décisions, de retirer tout type d’information disant que le virus vient du laboratoire de Wuhan, que Pékin devrait rendre des comptes, youtube avait précédemment annoncé qu’il allait censurer tout contenu qui contredirait l’organisation mondiale de la santé dirigée par Pékin et financée par la Chine, youtube a même retiré une vidéo de certains médecins qui remettaient en cause la valeur de ces confinements, et remettaient en question ce qu’il fait à la population et surtout ce que cela fait à nos enfants.
Twitter, ils ont fermé le compte d’un virologue, un virologue chinois, qui disait « c’est ce qu’ils font, de la recherche sur le gain de fonction, c’est ce qu’ils font à l’institut de virologie de Wuhan », il demandait des comptes au parti communiste chinois.
Je vais vous dire que ces géants de la technologie ont vraiment franchi le pas, ils ont franchi la ligne rouge sur cette affaire.
Nous avons tous des suggestions sur la façon dont nous, en tant que Sénat, devrions gérer cela, et les choses que nous devrions faire pour nous assurer cela n’arrive jamais plus au peuple américain. Sénateur Braun.

Merci.
Je vais vous dire par où nous devons commencer. Une chose unique est arrivée, je pense la semaine dernière, où par consentement unanime, qui n’arrive presque jamais sur une question critique à moins que vous soyez peut-être en train de renommer un bureau de poste ou quelque chose du genre, nous avons obtenu par le sénat de demander à nos propres agences de renseignement, de divulguer les informations que nous hébergeons, car cela a occasionné bien des ravages, non seulement pour notre propre pays, mais à travers le monde.
Pourquoi nous ne commencerions pas par là avec le président Biden, qui a parlé au secrétaire Blinken, demandez-lui, il a dit « Aviez-vous une bonne raison pour laquelle vous ne divulguez pas les informations ?« 
Nous devons commencer par là pour aller au fond des choses, et quand vous parlez des géants de la technologie, qui ont contrôlé le sujet, en gros, quand tous les sénateurs américains veulent au moins commencer par là, nous avons des responsabilités.
Et je pense que c’est à eux de progresser, et de mener la charge.
Ils représentent l’endroit que les gens regardent, écoutent, et nous devons commencer par là, tenons nos propres agences de renseignement responsables afin qu’elles déclassifient cette information.

Sénateur Marshall.

Sénatrice Blackburn merci beaucoup de nous avoir donné une chance de nous tenir ici et de parler de la fuite du laboratoire de Wuhan, ainsi que sa dissimulation.
Nous nous y référons par le terme de « cas chauve-souris ».
Vous savez, cela m’est venu à l’esprit alors que j’étais en train de lire les e‑mails du Dr. Fauci récemment, disant tout ce que j’ai appris en sciences de 10e année, tout ce que j’ai appris en tant que médecin sur la méthode scientifique, sur les hypothèses et les théories en développement, nous venons de tout jeter par la fenêtre.
Vous savez, j’ai été choqué en passant en revue certaines des lettres qui ont été écrites, mais vraiment ce qui a suscité mes soupçons, est un événement de janvier 2020.
Et les chinois disaient qu’il n’y avait pas de transmission de personne à personne, l’OMC a acquiescé, et le CDC ne s’est pas opposé à elle.
Et cela m’a amené à avoir un appel téléphonique avec le CDC, et tous les journalistes nationaux ont rapportés que les scientifiques des États-Unis enquêtaient sur ce nouveau virus. Et quand j’ai parlé au CDC, ils ont dit « Eh bien, nous avons des scientifiques à Pékin, mais ils sont à des milliers de miles de Wuhan donc nous n’avons vraiment rien à vous dire« 
La prochaine chose que j’ai remarqué était une lettre, signée par un groupe de scientifiques qui ont ignoré la possibilité même que ce virus ait pu provenir du laboratoire, ils l’ont totalement ignoré, ils ont rejeté cette hypothèse scientifique disant que cela était même réalisable.
Et nous en sommes par la suite venus à découvrir que la plupart de ces scientifiques, sinon tous, recevaient un certain type de financement dans la passé comme dans le présent du NIH, et notre CDC n’a fait que hocher la tête pour approuver.
Et puis, les journalistes nationaux, les grandes entreprises technologiques, ils ont travaillé ensemble pour supprimer cette histoire, ils ont travaillé ensemble pour censurer ceux d’entre nous qui pensaient que ce virus peut être originaire de là.
Et non seulement ils ont réprimé, ils ont fait honte aux gens qui pensaient que cela pourrait provenir d’un laboratoire.
Finalement, nous voyons dans les e‑mails du Dr Fauci, une collusion entre le Dr. Fauci et les géants de la techonologie travaillant ensemble, pour supprimer cette histoire. Vous savez, nous voilà ici, 17 mois plus tard, nous ne savons toujours rien de plus sur ce virus, je pense que nous devons tenir le parti communiste chinois responsable, et si les États-Unis sont en aucune façon responsables, s’ils ont aidé à financer le laboratoire qui a conduit au développement de ce virus, alors nous devons également être tenus pour responsables, et nous devons approfondir le sujet des règles de recherche sur le gain de fonction également.
Nous n’arriverons jamais au fond de cette affaire, à moins que nous arrêtions cette dissimulation de la fuite du laboratoire de Wuhan, jusqu’à ce que nous arrêtions le « cas chauve-souris ».
Merci Marsha.

Sénateur Johnson.

Je tiens à souligner que les preuves d’un potentielle théorie de fuite du laboratoire se cache à la vue de tous depuis des mois.
Le fait que nos agences fédérales, sous la direction d’Anthony Fauci, ont financé ce type de recherche pendant des années, était à la fois exposé et caché pendant des mois.
Honte aux médias, honte aux médias sociaux, de ne pas y avoir prêté attention, de l’avoir ignoré complètement.
Le résultat de ce décalage de 18 mois, d’exploration de la véritable origine du virus du covid, signifie probablement que nous n’aurons jamais le fin mot de cette histoire. La Chine a eu 18 mois, pour détruire ces preuves.
Mais n’en doutez pas, la Chine est responsable, ils sont coupables.
Ils savaient qu’ils avaient un coronavirus, ils savaient qu’ils avaient un virus mortel qui pouvait provoquer une pandémie à Wuhan.
Ils n’ont pas autorisé les vols au départ de Wuhan dans le reste de la Chine, mais ils ont laissé ce virus infecter le monde entier.
Donc nous savons déjà que la Chine est coupable, nous savons déjà qu’ils devaient être tenus reponsables.
Je pense que nous devons également tenir pour réponsables les médias et les médias sociaux, ce n’est pas le seul sujet censuré. Je pourrais dresser une longue liste, de faux récits, de fausses histoires, que les médias et les médias sociaux promeuvent, et ne corrigent jamais vraiment.
Mais quand il s’agit du covid, j’ai l’expérience personnelle, de la censure et de la suppression et cela a coûté la vie à des dizaines de milliers d’Américains.
Les directives du NIH, en ce qui concerne le traitement du covid restent, restent des directives impitoyables, qui disent en gros de ne rien faire, de rentrer à la maison s’isoler, d’avoir peur, et s’il vous arrive de tomber assez malade vous devez vous faire tester à l’hôpital, testez-vous à l’hôpital et peut-être que nous allons pouvoir sauver votre vie !
J’ai tenu deux audiences sur le traitement précoce, le Dr. Peter McCulloch a exposé les quatre piliers de la réponse à la pandémie.
Le premier est d’essayer d’arrêter la propagation et la Chine ne l’a pas fait. Le deuxième pilier est le traitement précoce, en gros la façon dont nous appliquons la médecine à toutes les autres maladie, détection précoce, traitement précoce, puis hospitalisation et enfin vaccin.
Pourquoi nos agences de santé, pourquoi Anthony Fauci, pourquoi les médias grands publics répriment et censurent, les médecins qui ont eu le courage et la compassion de traiter les patients tôt avec des génériques bon marché, des médicaments repositionnés, pourquoi cela s’est-il produit ?
Il y a de plus en plus de preuves, qui se sont pas rapportées par les médias. Le Méxique connaît un grand succès avec l’ivermectine, certaines provinces de l’Inde connaissent un grand succès avec l’ivermectine, où sont les rapports à ce sujet ?
Nous avons vu des études où 50 à 85% des vies pourraient avoir été sauvées, cela pouvait empêcher tellement de morts. Appliquez ce pourcentage aux 600 000 américains qui ont perdu la vie. C’est pourquoi je pense que les médias n’admettront jamais leur complicité, et pourquoi ils n’admettront jamais qu’ils ont eu tort.
Mais il n’est pas trop tard, des vies peuvent être sauvées, nous aurons encore besoin des traitements précoces, quelle que soit l’efficacité du vaccin, quelle que soit l’immunité après avoir été infecté est, d’autres personnes seront infectées, d’autres personnes vont avoir besoin d’un traitement précoce.
Alors je supplie les médias, prêtez attention au Dr. Korry, au Dr. Peter McCullough, les autres médecins qui ont le courage et la compassion de traiter les patients, il n’est pas trop tard, nous devons commencer et explorer les traitements précoces dès maintenant.

Et enfin le sénateur Wicker qui se joint à moi pour tenir les géants de la technologie responsables, et afin de traiter avec la censure.

Merci à la sénatrice Blackburn et aux autres.
Le dernier quart de siècle a vu une croissance énorme dans le domaine d’internet. Cela a en grande partie été positif, comme nous le savons tous.
Mais le résultat de ce quart de siècle, a été qu’il a permis à une poignée, de grandes plateformes technologiques d’Internet, de devenir extrêmement grandes, extrêmement riches et extrêmement puissantes, au point, qu’ils décident quelles sont les nouvelles, ils décident de quelles informations le public va obtenir et quelles informations vont être bloquées.
Il n’y a pas que le virus Wuhan, qui est un scandale, comme mes collègues viennent de décrire, nous pourrions citer des chapitres et des chapitres, maintes et maintes fois, sur ces grandes plates-formes décidant de ce que nous pouvons entendre et ce que nous ne pouvons pas entendre.
Alors laissez-moi juste… laissez-moi juste contribuer en disant que le sénateur Johnson a raison, et je vais citer quelques exemples :
Google a menacé de couper plusieurs sites Web conservateurs, y compris les fédéralistes, comment ont-ils le pouvoir de le faire ? Comment peuvent-ils justifier de faire cela ? Les entreprises restreignent ou résilient les utilisateurs, les comptes et les contenus conservateurs sur les réseaux sociaux.
Facebook a annoncé la suspension, du compte d’un ancien président des États-Unis, c’est trop de pouvoir, ils peuvent décider qui peut et qui ne peut pas faire l’actualité et être cité.
Twitter a censuré toute information sur le coronavirus, qu’ils pensaient, à leur avis pouvoir provoquer une panique généralisée.
Comment se fait-il qu’une plate-forme Internet richissime et puissante prenne cette décision ?
Et je pourrais continuer encore et encore, c’est pourquoi je me suis joins avec des sénateurs comme la sénatrice Blackburn, en essayant de corriger les deux tiers des lacunes de la section 230. Mais je suis également là pour faire l’introduction, d’un projet de loi pour préciser, que ces grandes plates-formes technologiques Internet ne peuvent pas discriminer sur la base de leurs propres opinions et sur la base de ce qu’ils pensent que le public devrait et ne devrait pas être autorisé à entendre.
Il s’agit d’une menace sérieuse et grave, pour la liberté, et l’échange ouvert d’idées en vertu de notre constitution, et je suis heureux d’oeuvrer pour ça avec d’autres membres du Sénat.

Merci à tous. Comme vous pouvez le voir, c’est quelque chose qui va s’étendre sur plusieurs comités ici au sénat américain. C’est notre travail d’aller au fond de ce qu’il s’est passé, puis d’apporter des solutions, comme le sénateur Wicker vient d’exposer.
Vous avez une question ?

Merci, donc l’UE et le G7 ont appelé à une enquête visant à déterminer s’il s’agissait ou non d’une fuite de laboratoire. Je me demande si vous pensez qu’une approche internationale est la meilleure façon d’enquêter sur cette question à l’avenir ?

Je pense que les comités permanents du Sénat devraient prendre l’initiative, nous sommes heureux que nos alliés se joignent également à nous, en disant que cela doit être étudié, il est évident que quelque chose n’était pas juste. Nous sommes préocupés par la décision de l’OMS de laisser la parti communiste chinois, leur dire quand et comment ils pourraient approcher de ce laboratoire, et que nous avons dû attendre des mois.

Egalement, j’ai vu votre discours hier à propos de virer le Dr. Fauci, pouvez-vous juste parler un peu de ce sujet ?

Bien sûr, je pense qu’il est approprié que les responsabilités du Dr. Fauci à la NIAID lui soit retirées, et qu’il se rende disponible au congrès, pour savoir exactement comment était-il de mèche avec Mark Zuckerberg et les géants de la technologie, ce qui s’est réellement passé.
Le peuple américain a‑t-il entendu une partie de la vérité ? Mais pas toute la vérité ou rien que la vérité ? Pourquoi n’y a‑t-il pas eu un respect des délais dans la reconnaissance des inquiétudes autour du laboratoire ? Pourquoi n’y a‑t-il pas eu plus d’inquiétude autour de Wuhan disant « vous ne pouvez aller nulle part ailleurs en Chine » ou le parti communiste chinois disant « vous ne pouvez aller nulle part ailleurs en Chine, si vous venez de la province d’Hubei, ou si vous venez de Wuhan, mais vous pouvez parcourir le globe, partout sauf en Chine« 
Ce sont des choses qui semblent… Ecoutez, nous avons 3 millions et demi de personnes qui ont perdu la vie, 3 millions et demi de personnes.
Nous avons des centaines de milliers de familles américaines, qui ont ont eu des pertes dans leur famille, leurs proches, leurs amis.
Nous avons subi la perte des moyens de subsistance pour des centaines de millions de gens. Nous avons des enfants, précieux enfants qui viennent de vivre une perte d’apprentissage pendant un an, une perte de socialisation, qui témoignent de problèmes émotionnels.
Et le Dr. Fauci, est financé par le contribuable américain, et le contribuable dit « qu’avez-vous fait de nos dollars ? » Merci beaucoup à tous.




Premier cas d’étude post-mortem d’un patient vacciné contre le SRAS-CoV-2 : « ARN viral trouvé dans chaque organe du corps »

[Source anglophone : Hal Turner Radio Show]

La toute première autopsie d’une personne vaccinée contre le COVID-19, qui a été testée négative 18 jours plus tard lors de son admission à l’hôpital, mais 24 jours après le vaccin, a révélé que l’ARN viral était présent dans presque tous les organes du corps. Le vaccin, tout en déclenchant une réponse immunitaire, n’a PAS empêché le virus de pénétrer dans tous les organes du corps.

L’ARN viral a été trouvé dans presque tous les organes du corps, ce qui signifie que les protéines Spike aussi.

Il existe des anticorps (comme ceux que le « vaccin » est censé créer), mais ils ne sont pas pertinents car, d’après une étude japonaise, nous savons maintenant que c’est la protéine spike S1 qui cause les dommages.

Nous avons parlé à un spécialiste des maladies infectieuses d’un hôpital du New Jersey ce matin. Nous lui avons envoyé les résultats de l’autopsie et lui avons demandé son avis.

Lorsqu’il nous a rappelés un peu plus tard, il était clairement secoué. Il nous a dit : « Vous ne pouvez pas me citer par mon nom, je serai renvoyé par l’hôpital si vous le faites ». Nous avons accepté de dissimuler son identité.

Il nous a ensuite dit :

« Les gens pensent que seule une minorité de personnes subissent des effets indésirables du vaccin.

D’après ces nouvelles recherches, cela signifie que tout le monde – finalement – aura des effets indésirables, car ces protéines Spike se lieront aux récepteurs ACE2 partout dans le corps.

Cet ARNm était censé rester sur le site d’injection, mais ce n’est pas le cas. Cela signifie que les protéines Spike créées par l’ARNm se retrouveront également dans tous les organes, et nous savons maintenant que ce sont les protéines Spike qui causent les dommages.

Pire encore, la présence de l’ARN viral dans tous les organes, malgré un vaccin, indique :
1) Soit que le vaccin ne fonctionne pas du tout ;
2) Soit que le virus bénéficie d’un renforcement dépendant des anticorps (ADE), ce qui signifie qu’il se propage plus rapidement chez les personnes vaccinées.

Il s’agit d’une bombe à retardement mondiale ».

Selon le rapport d’autopsie publié, l’homme vacciné était âgé de 86 ans et a été testé NÉGATIF pour le COVID-19 lorsqu’il a été admis à l’hôpital pour de graves troubles gastro-intestinaux et des difficultés respiratoires. Voici ce que décrit le rapport :

Nous rapportons le cas d’un homme de 86 ans résidant dans une maison de retraite qui a reçu le vaccin contre le SRAS-CoV-2. Ses antécédents médicaux comprenaient une hypertension artérielle systémique, une insuffisance veineuse chronique, une démence et un carcinome de la prostate. Le 9 janvier 2021, l’homme a reçu le vaccin BNT162b2 à ARN modifié par des nucléosides, sous forme de nanoparticules lipidiques, en une dose de 30 μg. Ce jour-là et au cours des 2 semaines suivantes, il n’a présenté aucun symptôme clinique (tableau 1). Le jour 18, il a été admis à l’hôpital pour une diarrhée qui s’est aggravée. Comme il ne présentait aucun signe clinique de COVID-19, l’isolement dans un cadre spécifique n’a pas eu lieu. Les tests de laboratoire ont révélé une anémie hypochrome et une augmentation des taux sériques de créatinine. Le test d’antigène et la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour le SRAS-CoV-2 se sont révélés négatifs.

Le rapport de l’autopsie précise que les tests n’ont montré « aucun changement morphologique associé au COVID » dans ses organes.

« Morphologique » signifie structurel. On sait maintenant que l’infection par le COVID provoque des changements structurels très spécifiques aux endroits qu’elle infecte. CES CHANGEMENTS N’ÉTAIENT PAS apparus chez l’homme vacciné avant sa mort.

L’homme vacciné maintenant décédé se trouvait dans une chambre où un autre patient a finalement été testé POSITIF pour le COVID, et le rapport indique qu’ils pensent que l’homme vacciné décédé a attrapé le COVID après avoir été admis, par l’autre patient dans la même chambre.

Les dommages causés aux organes de l’homme vacciné aujourd’hui décédé ont donc eu lieu AVANT qu’il ne soit infecté par le COVID par l’autre patient de la chambre d’hôpital.

Pire, une fois que l’homme vacciné a effectivement été infecté par le COVID, celui-ci s’est propagé si rapidement dans son corps qu’il n’a apparemment eu aucune chance. Voici des images de tissus :

Le rapport post-mortem complet est publié sur ScienceDirect.com (ICI)




France : pour ou contre un général comme prochain Président ?

Par Joseph Stroberg

Le journaliste Richard Boutry vient de lancer un sondage sur cette question, via Twitter :

Cependant :

Un général remplit essentiellement un rôle militaire, offensif et/ou défensif et s’il intervient dans le gouvernement d’une nation, deux directions principales s’offrent à lui :

  • Comme dans le cas du Général de Gaulle, il peut intervenir pour redresser le pays ou en défendre la souveraineté (par exemple face à l’OTAN) ;
  • Comme dans le cas de Napoléon Bonaparte, il peut se lancer dans des actions de conquête et d’offensives contre d’autres nations, au risque d’entraîner finalement la nation à sa perte.

Jeanne d’Arc n’était pas un général, mais elle a joué un rôle déterminant dans la restauration de la France en mettant en branle le processus qui a permis ensuite de bouter les Anglais hors du royaume de France.

Charles Martel n’était au départ qu’un maire de palais, et donc remplissait un rôle essentiellement administratif. Il a cependant contribué à chasser presque totalement les musulmans hors de la Gaule.

Si une nation (([1] Habituellement : groupe humain partageant une même culture, une même histoire et une même langue. Cependant, par nation nous entendons plutôt ici un ensemble d’individus qui partagent une même vibration fondamentale sur le plan de la conscience (ou des âmes), de l’approche mentale et des égrégores affectifs et émotionnels le plus souvent liés à un territoire particulier aux frontières floues. La nation française, selon cette nouvelle notion, n’est alors pas spécifiquement liée à la langue française, mais est héritée de la Gaule et des Celtes qui étaient présents sur le territoire approximatif de la France actuelle et d’une partie de la Belgique, au moins.)) ne doit pas mourir ou doit ressusciter (comme la Pologne à la suite de ses partitions), elle trouvera toujours une femme ou un homme providentiel pour l’incarner et lui redonner sa grandeur ou la ramener à la vie. Ce peut aussi bien être un soldat, qu’une pucelle ou même qu’un poète ou qu’un homme de religion. D’une certaine manière, la nation (ou, derrière elle, la nature) trouve toujours une voie et celle-ci semble finalement suivre la loi d’Économie (([2] Celle qui permet la plus petite dépense d’énergie pour le résultat optimal ou maximal, du moins lorsque l’ambition personnelle (comme dans le cas d’un Napoléon) ne vient pas interférer)).

Les plus grands restaurateurs de nations ont généralement été aussi les plus humbles serviteurs de ces dernières, car lorsque l’ambition ou la mégalomanie interviennent au contraire, la nation voit son parcours de redressement infléchi plus ou moins fortement vers la route du chaos et de la destruction partielle ou complète. Pour l’avenir de la France, ce qu’il convient de rechercher n’est pas une fonction spécifique qu’elle soit militaire ou d’une autre nature, mais des capacités particulières qui soient utilisées avec réelle humilité (et donc notamment non accompagnée de déclarations telles que « En toute humilité, je… »). Ces capacités gagnent bien entendu à être celles nécessaires pour faire face à la situation vécue par la nation.

La France est actuellement plongée dans une situation chaotique du fait d’élites corrompues et de sa participation à l’entreprise totalitaire qu’est l’Union Européenne (un genre d’avatar de l’URSS, à la différence que les goulags s’y trouvent sur le plan mental et dans l’univers émotionnel, par le biais de la pensée unique et de la bien-pensance). Elle est profondément divisée en communautés actuellement peu compatibles et par de multiples courants idéologiques plus ou moins fanatiques et extrémistes. Elle a perdu pratiquement toutes ses racines profondes (religieuses, politiques, économiques, sociales, culturelles, artisanales, agricoles et artistiques…) au mauvais profit du matérialisme, d’une prétendue démocratie, du « woke », d’industries étrangères, d’agriculture industrielle, et de décadence… La pierre angulaire qui a été supprimée est celle représentée par la religion traditionnelle du pays depuis la gaule jusqu’à la période révolutionnaire : le christianisme. De la destruction de cette pierre, de cette « Église » (([3] non pas « Catholique Romaine » faussement universelle, mais simplement humaine. Simon Pierre n’était pas fait de roches, mais de chair et de sang. « Église » signifie originellement l’ensemble des fidèles du Christ)), découlent toutes les autres destructions, décadences et dégradations qui sont intervenues dans les différents secteurs de la vie de la nation.

Pour restaurer la France, mais pas du tout nécessairement dans le maintien d’une Cinquième République ni dans la création d’une Sixième, les capacités qui semblent indispensables sont probablement au moins les suivantes :

  • capacité à stimuler l’âme française, franque, gauloise ou celte en chacun des habitants du pays, à part éventuellement ceux qui se sentent trop étrangers à cet esprit et préféreront revenir à leurs propres racines, distinctes;
  • capacité à unir les partisans de la restauration malgré leurs divergences d’opinions et de goûts;
  • capacité à s’effacer devant les souhaits exprimés du plus grand nombre;
  • capacité à révéler ce qui était caché et à fonctionner lui-même en transparence, avec honnêteté et franchise;
  • capacité à se satisfaire de peu dans la vie concrète (afin de ne pas chercher à amasser des fortunes personnelles sur les dos des membres de la nation);
  • capacité à arbitrer les conflits pour amener des solutions qui puissent satisfaire toutes les parties impliquées;
  • capacité à reconnaître et à stimuler les aptitudes des partisans de la restauration, autant dans son entourage proche que plus lointain;
  • capacité à percevoir et à accueillir différents points de vue (et différentes croyances) et à en tirer la synthèse ou la substance essentielle;
  • capacité à s’entourer de conseillers désintéressés, efficaces, intelligents et sages dans les domaines qu’il ne maîtrise pas ou connaît peu;

Est-ce qu’un général français possède actuellement de telles capacités ?


Voir aussi : La France revivra-t-elle?





La 1ère preuve que les segments d’ARN peuvent être réécrits dans l’ADN. Et ça change tout !

[Source : lilianeheldkhawam.com]

Par LHK

[Rappel]

14 mars 2021 :

« Je vous présente ce soir quelque chose d’absolument extraordinaire! Voici 3 données qui confirment ce que nous disons ici depuis un an, à savoir que même le vaccin dit vaccin à ARN messager induit effectivement une réécriture du code génétique dans le but de transformer la cellule en machine à fabriquer des protéines. Démontrer ceci revient à démontrer que le vaccin à ARN messager modifie le patrimoine génétique humain et en fait un Humain Génétiquement Modifié. Et cela sort de la bouche du scientifique en chef de Moderna Therapeutics, un des fournisseurs officiels de vaccins contre le SARS CoV 2. On ne peut faire mieux. » 

https://lilianeheldkhawam.com/2021/03/14/bricolage-de-lhumain-le-vaccin-a-arn-messager-est-une-reecriture-du-code-genetique-selon-le-chef-de-moderna-therapeutics-ted-x/.

Ce soir, je vous présente l’étude qui confirme qu’il peut y avoir transcription inverse sans rétrovirus. La chose que l’on injecte va donc très probablement modifier le génome des receveurs.

Une nouvelle découverte montre que les cellules humaines peuvent écrire des séquences d’ARN dans l’ADN.
Phys-org

Les cellules contiennent des machines qui dupliquent l’ADN dans un nouvel ensemble qui entre dans une cellule nouvellement formée. Cette même classe de machines, appelées polymérases, crée également des messages d’ARN, qui sont comme des notes copiées à partir du référentiel central de recettes d’ADN, afin qu’elles puissent être lues plus efficacement en protéines. Mais on pensait que les polymérases ne fonctionnaient que dans un seul sens de l’ADN en ADN ou ARN. Cela empêche les messages d’ARN d’être réécrits dans le livre de recettes principal de l’ADN génomique.

Maintenant, les chercheurs de l’Université Thomas Jefferson fournissent la première preuve que les segments d’ARN peuvent être réécrits dans l’ADN, ce qui remet potentiellement en question le dogme central de la biologie et pourrait avoir de vastes implications affectant de nombreux domaines de la biologie.

« Ce travail ouvre la porte à de nombreuses autres études qui nous aideront à comprendre l’importance d’avoir un mécanisme pour convertir les messages d’ARN en ADN dans nos propres cellules », déclare Richard Pomerantz, Ph.D., professeur agrégé de biochimie et de biologie moléculaire à Université Thomas Jefferson. « La réalité selon laquelle une polymérase humaine peut le faire avec une grande efficacité soulève de nombreuses questions. » Par exemple, cette découverte suggère que les messages d’ARN peuvent être utilisés comme modèles pour réparer ou réécrire l’ADN génomique.

Les travaux ont été publiés le 11 juin dans la revue Science Advances.

En collaboration avec le premier auteur Gurushankar Chandramouly et d’autres collaborateurs, l’équipe du Dr Pomerantz a commencé par étudier une polymérase très inhabituelle, appelée polymérase thêta. Sur les 14 ADN polymérases dans les cellules de mammifères, seuls trois d’entre eux font l’essentiel du travail de duplication de l’ensemble du génome pour préparer la division cellulaire. Les 11 autres sont principalement impliqués dans la détection et la réparation en cas de rupture ou d’erreur dans les brins d’ADN. La polymérase thêta répare l’ADN, mais est très sujette aux erreurs et provoque de nombreuses erreurs ou mutations. Les chercheurs ont donc remarqué que certaines des « mauvaises » qualités de la polymérase thêta étaient celles qu’elle partageait avec une autre machine cellulaire, bien qu’une plus courante dans les virus – la transcriptase inverse. Comme Pol theta, la transcriptase inverse du VIH agit comme une ADN polymérase, mais peut également se lier à l’ARN et relire l’ARN dans un brin d’ADN.

Dans une série d’expériences ingénieuses, les chercheurs ont testé la polymérase thêta contre la transcriptase inverse du VIH, qui est l’une des mieux étudiées en son genre. Ils ont montré que la polymérase thêta était capable de convertir les messages d’ARN en ADN, ce qu’elle faisait aussi bien que la transcriptase inverse du VIH, et qu’elle faisait en fait un meilleur travail que lors de la duplication d’ADN en ADN. La polymérase thêta était plus efficace et introduisait moins d’erreurs lors de l’utilisation d’une matrice d’ARN pour écrire de nouveaux messages d’ADN que lors de la duplication d’ADN en ADN, ce qui suggère que cette fonction pourrait être son objectif principal dans la cellule.

Le groupe a collaboré avec le laboratoire du Dr Xiaojiang S. Chen à l’USC et a utilisé la cristallographie aux rayons X pour définir la structure et a découvert que cette molécule était capable de changer de forme afin de s’adapter à la molécule d’ARN plus volumineuse – un exploit unique parmi les polymérases.

« Notre recherche suggère que la fonction principale de la polymérase thêta est d’agir comme une transcriptase inverse », explique le Dr Pomerantz. « Dans les cellules saines, le but de cette molécule peut être la réparation de l’ADN par l’ARN. Dans les cellules malsaines, telles que les cellules cancéreuses, la polymérase thêta est fortement exprimée et favorise la croissance des cellules cancéreuses et la résistance aux médicaments. Il sera passionnant de mieux comprendre comment L’activité de la polymérase thêta sur l’ARN contribue à la réparation de l’ADN et à la prolifération des cellules cancéreuses. »

https://phys.org/news/2021-06-discovery-human-cells-rna-sequences.html

L’étude

Polθ reverse transcribes RNA and promotes RNA-templated DNA repair

larn-peut-retranscrire-dans-ladn.-et-ca-change-tout.-science-advances

https://advances.sciencemag.org/content/7/24/eabf1771




Rémy Daillet et sa famille expulsés de Malaisie

[Source : francesoir.fr]

Par M. Jegathesan – Kuala Lumpur (AFP)

Le Français Rémy Daillet et sa famille ont été expulsés dimanche de Malaisie en direction de la France où le complotiste, soupçonné d’avoir contribué à l’enlèvement de la petite Mia, fait l’objet d’un mandat d’arrêt.

Rémy Daillet, sa compagne Léonie Bardet et ses trois enfants de 17, 9 et 2 ans, ont été arrêtés fin mai sur l’île touristique malaisienne de Langkawi où ils résidaient parce que leurs visas avaient expiré. Une procédure d’extradition dans le cadre de l’affaire de l’enlèvement aurait été beaucoup plus longue qu’une expulsion pour séjour irrégulier.

Rémy Daillet et sa famille se trouvent actuellement en escale à Singapour « où sa compagne, enceinte, a été prise en charge pour un problème de santé », selon une source française proche du dossier.

Ils devaient ensuite prendre un vol pour Paris où ils sont attendus lundi matin.

Mais les autorités attendent maintenant de savoir « s’il pourront poursuivre le voyage jusqu’à Paris ou non ».

Selon une source proche du dossier française, ils n’avaient pas encore été remis aux autorités françaises et n’étaient pas sous escorte policière pendant le vol, contrairement a ce qui avait été indiqué initialement côté malaisien.

Rémy Daillet, 54 ans, a entamé une grève de la faim pour protester contre son arrestation tandis que sa compagne enceinte craignait des complications, voire de perdre son enfant si elle prenait l’avion, selon des proches.

Mme Bardet présente « un état de grossesse à risque incompatible avec un transfert en avion », attesté par des experts médicaux, selon son avocat Jean-Christophe Basson-Larbi, qui a fait appel de la décision d’expulsion.

« Cette expulsion forcée est illégale puisque mise en oeuvre au mépris de l’immigration act » de la loi malaisienne, « au mépris des conventions internationales, au mépris des règles de procédure et surtout au mépris de l’appel », a-t-il déclaré dans un communiqué.

Si l’expulsion se déroule comme prévu, à l’arrivée de Rémy Daillet sur le sol français, le juge d’instruction de la juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Nancy, dans l’est de la France, qui a émis le mandat d’arrêt aura « deux possibilités », a indiqué à l’AFP le procureur de la République de Nancy, François Pérain.

Il pourra soit « le faire présenter immédiatement à Nancy en vue de sa mise en examen », soit décider de « le faire présenter devant le juge des libertés et de la détention » de Bobigny « pour une incarcération provisoire ». Dans ce cas, M. Daillet devra ensuite être présenté au juge d’instruction « dans un délai de quatre jours », a précisé le procureur.

– Vidéo pour se défendre –
[Ndlr : ses vidéos sont accessibles sur sa chaîne Odysee]

Rémy Daillet, exclu du parti centriste Modem en 2010, est devenu une figure du mouvement complotiste.

Il est soupçonné d’avoir joué un rôle important dans l’organisation de l’enlèvement de Mia.

La petite fille de 8 ans avait été enlevée mi-avril à la demande de sa mère par plusieurs hommes alors qu’elle était hébergée chez sa grand-mère dans un village des Vosges.

Sa mère n’avait alors plus le droit de la voir seule, ni de lui parler au téléphone.

Dans une vidéo mise en ligne après l’enlèvement de la fillette, Rémy Daillet avait tenté de se défendre. Sans évoquer nommément Mia, il réfutait le terme d’enlèvement.

Dans d’autres vidéos plus anciennes, il défendait l’idée d’un coup d’État populaire et se disait opposé aux impôts, aux vaccins, aux masques ou à la 5G. Il prônait par ailleurs l’éducation des enfants par leurs parents à la maison.

Dans le cadre de l’affaire Mia, neuf personnes au total, dont la mère de la fillette, proches de la mouvance anti-système et complotiste, ont déjà été mises en examen, et huit d’entre elles ont été placées en détention provisoire.

La justice française s’interroge aussi sur le rôle de Rémy Daillet dans une autre affaire dans le Doubs, celle d’un couple qui vivait en vase clos et s’était retranché à son domicile en novembre, refusant de confier ses quatre enfants aux assistantes sociales comme le demandait un juge.

C’est à son contact qu’ils auraient décidé de déscolariser leurs enfants puis de se couper du monde.




Comment les fanatiques du confinement ont conquis le monde

[Source : Aube Digitale]

par Jeffrey Tucker

Au début de la « pandémie », j’écrivais furieusement des articles sur les confinements. Mon téléphone a sonné avec un appel d’un homme nommé Dr Rajeev Venkayya. Il est à la tête d’une entreprise de vaccins mais s’est présenté comme l’ancien responsable de la politique de lutte contre la « pandémie » pour la Fondation Gates.

Je l’ai écouté.

Je ne le savais pas à l’époque, mais j’ai appris depuis, grâce au livre (pour la plupart terrible) de Michael Lewis, The Premonition, que Venkayya était en fait le père fondateur des confinements. Alors qu’il travaillait pour la Maison-Blanche de George W. Bush en 2005, il a dirigé un groupe d’étude sur le bioterrorisme. Du haut de son influence — au service d’un président apocalyptique — il a été le moteur d’un changement radical de la politique américaine en cas de pandémie.

Il a littéralement ouvert les portes de l’enfer.

C’était il y a 15 ans. À l’époque, j’ai écrit sur les changements dont j’étais témoin, m’inquiétant du fait que les nouvelles directives de la Maison Blanche (jamais votées par le Congrès) permettaient au gouvernement de mettre les Américains en quarantaine tout en fermant leurs écoles, leurs entreprises et leurs églises, le tout au nom de l’endiguement de la maladie.

Je n’ai jamais cru que cela se produirait dans la vraie vie ; il y aurait sûrement une révolte de la population. J’étais loin de me douter que nous allions vivre une folle aventure…

L’homme qui a allumé l’allumette

L’année dernière, Venkayya et moi avons eu une conversation de 30 minutes ; en fait, c’était surtout une dispute. Il était convaincu que le confinement était la seule façon de faire face à un virus. J’ai rétorqué que cela bousculait les droits, détruisait les entreprises et perturbait la santé publique. Il a dit que c’était notre seul choix parce que nous devions attendre un vaccin. J’ai parlé de l’immunité naturelle, qu’il a qualifiée de brutale. Et ainsi de suite.

La question la plus intéressante que je me posais à l’époque était de savoir pourquoi ce gros Bill certifié perdait son temps à essayer de convaincre un pauvre gribouilleur comme moi. Quelle raison pouvait-il y avoir ?

La réponse, je le réalise maintenant, est que de février à avril 2020, j’étais l’une des rares personnes (avec une équipe de chercheurs) qui s’opposait ouvertement et agressivement à ce qui se passait.

Il y avait un soupçon d’insécurité et même de peur dans la voix de Venkayya. Il voyait la chose impressionnante qu’il avait déclenchée dans le monde entier et était impatient d’étouffer toute velléité d’opposition. Il essayait de me faire taire. Lui et d’autres étaient déterminés à écraser toute dissidence.

C’est ainsi que les choses se sont passées pendant la plus grande partie des 15 derniers mois, avec les médias sociaux et YouTube supprimant les vidéos qui contestent le verrouillage. C’est de la censure depuis le début.

Malgré tous les problèmes que pose le livre de Lewis, et il y en a beaucoup, il a bien compris toute cette histoire. Bush est venu voir ses spécialistes du bioterrorisme et a exigé un énorme plan pour faire face à une calamité imaginée. Lorsque Bush a vu le plan conventionnel — faire une évaluation de la menace, distribuer des produits thérapeutiques, travailler à la mise au point d’un vaccin — il était furieux.

« C’est des conneries », a crié le président.

« Nous avons besoin d’un plan pour l’ensemble de la société. Qu’allez-vous faire au sujet des frontières étrangères ? Et des voyages ? Et le commerce ? »

Hé, si le président veut un plan, il aura un plan.

« Nous voulons utiliser tous les instruments de la puissance nationale pour faire face à cette menace », rapporte Venkayya, qui a dit à ses collègues.

« Nous allions inventer la planification en cas de pandémie ».

C’était en octobre 2005, la naissance de l’idée du confinement.

Le Dr Venkayya a commencé à chercher des personnes capables de mettre au point l’équivalent national de l’opération Tempête du désert pour faire face à un nouveau virus. Il n’a trouvé aucun épidémiologiste sérieux pour l’aider. Ils étaient trop intelligents pour y croire. Il finit par tomber sur le véritable innovateur en matière de verrouillage, qui travaille aux laboratoires nationaux Sandia, au Nouveau-Mexique.

Manivelles, ordinateurs et poux

Il s’agit de Robert Glass, un informaticien sans formation médicale et encore moins de connaissances sur les virus. Glass a été inspiré par un projet de foire scientifique sur lequel travaillait sa fille de 14 ans.

Elle avait théorisé (comme le jeu des poux de l’école primaire) que si les écoliers pouvaient s’espacer davantage ou même ne pas être à l’école du tout, ils arrêteraient de se rendre malades. Glass a repris l’idée et a élaboré un modèle de contrôle des maladies basé sur des ordres de rester à la maison, des restrictions de voyage, des fermetures d’entreprises et une séparation humaine forcée.

C’est fou, non ? Personne dans le domaine de la santé publique n’était d’accord avec lui, mais comme tout excentrique classique, cela a convaincu Glass encore plus. Je me suis demandé, « Pourquoi ces épidémiologistes ne l’ont-ils pas compris ? » Ils ne l’ont pas compris parce qu’ils n’avaient pas d’outils axés sur le problème. Ils avaient des outils pour comprendre le mouvement des maladies infectieuses sans chercher à les arrêter.

Génial, non ? Glass s’imaginait être plus intelligent que 100 ans d’expérience en santé publique. Un gars avec un ordinateur sophistiqué allait tout résoudre ! Eh bien, il a réussi à convaincre certaines personnes, y compris une autre personne qui traînait à la Maison Blanche, Carter Mecher, qui est devenu l’apôtre de Glass.

Veuillez considérer la citation suivante du Dr Mecher dans le livre de Lewis : « Si vous preniez tout le monde, que vous les enfermiez chacun dans leur chambre et que vous ne les laissiez parler à personne, vous n’auriez aucune maladie ».

Enfin, un intellectuel a un plan pour abolir la maladie – et la vie humaine telle que nous la connaissons aussi ! Aussi grotesque et terrifiant que cela puisse être — une société entière non seulement en prison mais en isolement — cela résume toute la vision de Mecher sur la maladie. C’est aussi complètement faux.

Les agents pathogènes font partie de notre monde ; ils sont générés par le contact humain. Nous nous les transmettons les uns aux autres au prix de la civilisation, mais nous avons également développé des systèmes immunitaires pour y faire face. C’est de la biologie de troisième, mais Mecher n’en avait aucune idée.
[Ndlr : de plus, ceci vaut surtout dans le cadre de la théorie des germes qui est remise en question par quelques pionniers.
Voir Le culte de la virologie – Documentaire et ses liens annexes.]

Les fanatiques gagnent la journée

Avancez jusqu’au 12 mars 2020. Qui a exercé une influence majeure sur la décision de fermer les écoles, même si l’on savait à l’époque que le SARS-CoV-2 présentait un risque quasi nul pour les personnes de moins de 20 ans ? Il y avait même des preuves que le COVID-19 ne se propageait pas sérieusement aux adultes.

Cela n’avait pas d’importance. Les modèles de Mecher — développés avec Glass et d’autres — n’ont cessé de débiter une conclusion selon laquelle la fermeture des écoles réduirait la transmission du virus de 80 %. J’ai lu ses mémos de cette période — dont certains ne sont toujours pas publics — et ce que vous observez n’est pas de la science mais du fanatisme idéologique en jeu.

D’après l’horodatage et la longueur des courriels, il est clair qu’il ne dormait pas beaucoup. En fait, il était Lénine à la veille de la révolution bolchevique. Comment est-il parvenu à ses fins ?

Il y avait trois éléments clés : la peur du public, l’assentiment des médias et des experts, et la réalité bien ancrée que la fermeture des écoles faisait partie de la « planification de la pandémie » depuis près de 15 ans. Essentiellement, les pro-confinement, au cours de ces 15 années, ont épuisé l’opposition. Le financement généreux, l’attrition de la sagesse au sein de la santé publique et le fanatisme idéologique ont prévalu.

Comprendre comment nos attentes d’une vie normale ont été si violemment contrecarrées, comment nos vies heureuses ont été brutalement écrasées, occupera les intellectuels sérieux pendant de nombreuses années. Mais au moins, nous avons maintenant une première ébauche de scénario historique.

Comme pour presque toutes les révolutions de l’histoire, une petite minorité de fous animés par une cause l’a emporté sur la rationalité humaine des multitudes. Quand les gens comprendront, les feux de la vengeance brûleront très fort.

Il s’agit maintenant de reconstruire une vie civilisée qui ne soit plus fragile au point de permettre à des fous de détruire tout ce que l’humanité a eu tant de mal à construire.

Traduction du Daily Reckoning par Aube Digitale




Les cloches du Covid

[Source et auteur : Gérard Maudrux]

Les épidémies virales sont en général caractérisées par des courbes d’évolution en cloche, avec le développement, le pic, puis la décroissance. Est-ce que la forme de la cloche permet de juger de l’efficacité d’un traitement ? La réponse est non, par contre le contenu : oui.

Voici 4 cloches épidémiques :

Si je vous dis que la première concerne un pays où rien n’a été fait, la seconde un pays qui a confiné sans traitement, la troisième un pays qui a traité précocement, la quatrième un pays qui a vacciné, vous vous dites que ce n’est pas possible, qu’il y a anguille sous cloche. Et pourtant ce sont bien des courbes réelles, qui permettent au premier de dire que quoi qu’on fasse, le résultat est le même, au second que le confinement marche, au troisième que le traitement précoce marche, au quatrième que c’est le vaccin qui a marché. Comment se faire une opinion avec ces différents sons de cloches ? Il faut savoir que deux cloches identiques n’ont jamais le même son.

Alors qui a tort, qui a raison ? Pour le savoir, il faut regarder ce qu’il y a dedans, car ce n’est pas la forme, mais ce qu’il y a sous la cloche qui est important. Petite démonstration avec deux gros Etats indiens, l’Uttar Pradesh et le Tamil Nadu.

Il y a 3 semaines, on vous montrait les courbes de ces deux Etats, le premier traitant à l’Ivermectine, le second ne traitant pas. Voici ces courbes, éloquentes. Le premier en avait terminé avec l’épidémie, alors que le second était en pleine crise, n’en voyant pas le bout. CQFD, l’ivermectine est le produit miracle qui a mis fin à cette vague, là où on traitait.

Maintenant, le 10 juin, on va vous dire que c’est faux. “Regardez, le Tamil Nadu est en train de régler le problème, sans un gramme d‘ivermectine, ce n’est donc pas l’ivermectine qui a réglé le problème dans l’Uttar Pradesh, car il s’est passé la même chose dans le Tamil Nadu. Vous n’auriez pas donné d’ivermectine au premier, l’évolution aurait été la même”. La preuve ? Voici les courbes mises à jour :

On a bientôt la même courbe pour les deux. Alors ? Déception pour l’ivermectine ? Non, le résultat reste indiscutable, car il ne faut pas regarder la forme de la courbe, qui effectivement avec le temps sera très souvent plus ou moins la même, mais il faut regarder ce qu’il y a dedans, c’est à dire les chiffres. La courbe peut faire illusion, pas les chiffres. Ces courbes doivent s’interpréter en regardant l’intensité, la durée, et rapporter à la population, et quand on compare les décès, tenir compte de l’âge médian et des conditions sanitaires.

Ces deux Etats sont parfaits pour comparer les résultats de politiques différentes. La population est identique, les conditions sanitaires peu éloignées, les populations sont importantes et significatives, 204,2 M pour l’Uttar Pradesh et 67,8 M pour le Tamil Nadu, et l’un a massivement traité, l’autre pas (sinon confinement). Conditions parfaites pour voir ce qui marche.

Superposons les 2 courbes, à échelle temps identique, et regardons les chiffres en les rapportant à population identique (Il s’agit ici du nombre de cas par jour, moyenne sur 7 jours) :

On constate que l’épidémie a commencé exactement en même temps, autour du premier avril. L’épidémie semble s’être développé plus vite dans l’Uttar Pradesh, mais ce n’est pas le cas : elle ne s’est pas développé plus vite (ascension de la courbe), car 3 fois plus peuplé, il est normal que le nombre de cas grimpe 3 fois plus vite. 

Par contre en traitant, le premier a stoppé deux fois plus vite la croissance, les pics étant atteints le 24 avril pour l’Uttar Pradesh, le 21 mai pour le Tamil Nadu. Le premier a également eu 3 fois moins de cas. En effet, les pics sont identiques, autour de 37 000 cas, mais la population du premier étant trois fois plus importante, il aurait dû avoir trois fois plus de cas.

Enfin en ayant démarré tous deux le même jour, l’Uttar Pradesh avait réduit de 95% ses cas journaliers le 30 mai (1 850 cas/jour au lieu de 37 000), alors qu’à la même date, le Tamil Nadu en était à 29 000 cas/ 36 000, soit 12% de réduction. Au 10 juin le premier en est à 98% depuis quelques jours, le second en est à 50%. Au rythme actuel, cela devrait se terminer dernière semaine de juin, soit une évolution naturelle de 3 mois, contre 2 mois, et 3 fois moins de cas avec traitement.

Et si on prend comme échelle nombre de cas/million d’habitants, voici ce que cela donne : même ascension, pic 3 fois inférieur, vague terminée contre 50% encore à parcourir pour le dernier.

Et ce n’est pas tout, après la durée et le nombre de cas, regardons la gravité de l’épidémie, avec les décès : 

Moyenne de 330 décès/jour au pic pour l’Uttar Pradesh, contre 480 décès/jour, soit 4,4 fois plus de décès à population égale au Tamil Nadu. Ce chiffre n’est pas anodin, et il était prévisible. Il est en effet très logique et cohérent puisque toutes les méta analyses depuis des mois montrent que l’ivermectine divise par 4 à 5 la mortalité. Ce qui est montré dans les études portant sur près de 20 000 cas, se vérifie sur une population de 272 millions d’habitants, 4 fois la France. Rappelez-vous la conclusion d’Andrew Hill dans son rapport pour l’OMS : mortalité réduite de 83%.

Petit exercice comparatif pour terminer, entre l’Inde, qui a traité (pas partout toutefois), et la France, qui a choisi l’option tout vaccins et confinement. Prenons comme un point de départ identique au 1er janvier, date des premiers vaccins. A cette date il y avait en France 195 nouveaux cas/jour par million d’habitants. A cette date l’Inde n’avait pas d’épidémie, 12 cas/jour par million. Faisons démarrer la comparaison avec une vague au même stade, j’ai positionné l’Inde avec 195 cas/jour avec la France à 195 cas/jour. C’est le point de départ des courbes, épidémie d’importance identique, l’un traite, l’autre pas. Au 20-25 février, l’Inde avait fini, nous nous montions encore (comme le Tamil Nadu).

Vous me direz, oui, mais l’Inde ne déclare pas tout. Je répondrai, d’une part qu’en comparant deux Etats indiens, le problème ne se pose pas, et d’autre part que c’est sans importance pour suivre l’évolution et comparer, si les conditions de recueil des données ne changent pas. Si c’est sous-estimé dans les mêmes proportions au départ, au pic, et à la fin, la courbe est la même. Démonstration : doublons les cas en Inde. On arrive à un pic égal en nombre de cas à la France, mais le résultat du traitement reste le même. En effet, si vous réduisez de 95% les cas avec le traitement, que ce soit sur 1 000, 10 000 ou 100 000 cas, 95% resteront toujours 95%, et la proportion de 4 fois moins de morts restera toujours la même, même s’il y a deux fois plus de morts.

Conclusion : que l’on compare l’Uttar Pradesh (ou un autre Etat qui a traité comme Goa ou Dehli) avec un autre Etat indien qui n’a pas traité, ou avec un autre pays, sous ivermectine + macrolide, l’épidémie cède le pas deux fois plus vite, avec quatre fois moins de morts. Ces chiffres, constatés grandeur nature, sont identiques à ceux des études publiées, les faits démontrant que les critiques de ces études sont mal fondées.

P.S : pour répondre à une demande fréquente, où trouve t-on ces courbes :

Voici mes sources pour les obtenir rapidement et simplement, sans avoir à retenir l’adresse d’un site. Allez sur Google et tapez « chiffres Covid ». Vous avez un onglet pour choisir « cas » ou « décès », et un autre pour faire défiler les pays, même des très petits. En faisant aller le curseur latéralement, vous avez tous les chiffres, jour par jour, avec la moyenne sur 7 jours, ce qui évite les creux de WE. Si vous sélectionnez un grand pays comme l’Inde ou le Brésil, vous avez un onglet pour faire défiler les Etats ou régions.

Pour avoir la superposition de pays, je vais sur ourworldindata : 
https://ourworldindata.org/explorers/coronavirus-data-explorer?zoomToSelection=true&time=2021-01-01 
(si vous avez des barres au lieu de courbes, cliquez sur la date du jour en bas à droite).
À gauche sélectionnez ou supprimez des pays, en haut choisissez cas, décès, vaccins, etc.
Les sources sont Johns Hopkins University, référence depuis le début de l’épidémie.




Pierre Jovanovic : Mes nouvelles accusations contre Bill Gates

[Source : Chaîne officielle TVLibertés]

Après un retentissent entretien « J’accuse Bill Gates », vu par plus de 700 000 téléspectateurs, le journaliste et lanceur d’alerte, Pierre Jovanovic, avance de nouvelles accusations contre William Henry Gates III, dit Bill Gates. Et derrière le portrait idyllique construit par la presse progressiste se profile les visages de Melinda Gates, Leon Black et Epstein. Embourbé dans les révélations scabreuses et les attitudes inappropriées, lâché par une partie des médias américains, le milliardaire informaticien va-t-il tomber de son piédestal ? Si tel est le cas, Pierre Jovanovic aura réussi, par son obstination et son travail, à établir la vérité sur celui que Le Monde présentait comme un « philanthrope » désintéressé, à la tête d’une fondation sans histoire.

[À partir de la 4e minute :]




Entre Macron et sa baffe, où est la vraie violence ?

[Source : Le Media Pour Tous]

MACRON : L’ULTRA BAFFE ?

Vincent Lapierre réagit à la tarte à Tain qu’a dégustée Macron.




L’environnement urbain moderne cache un lourd secret qui explique sa laideur

[Source : entelekheia.fr]

[Photo : Une école à Washington conçue par l’architecte post-moderne Michael Graves]

Traduction : Corinne Autey-Roussel


Par James Howard Kunstler
Paru sur The American Conservative sous le titre The Heart Of The Matter


Il y a quelques années, j’ai lancé mes explorations du paysage américain dans le supplément dominical du New York Times, qui était à l’époque un organe sain et digne du discours public, avec un article dont le titre provisoire était « Pourquoi l’Amérique est-elle si moche, [bip] ? » C’était sur la banlieue, et tous ses accessoires et meubles nauséeux. En fin de compte, c’était trop pour eux, c’est-à-dire pour leur comité éditorial poussiéreux, et ils ont rejeté le projet, que j’ai rapidement transformé en proposition de livre et vendu à Simon & Schuster pour une somme bien plus importante que les taux minables payés à contrecœur (et toujours avec des mois de retard, après beaucoup de relances) par le NYT. C’est devenu un livre à succès intitulé The Geography of Nowhere (La Géographie de nulle part). Ok, bien pour moi.

McDonalds par Robert Venturi et Denise Scott Brown, Lake Buena Vista, Floride.

Mais cette question fondamentale — pourquoi l’Amérique est-elle si laide, [bip] — s’est avérée très difficile à comprendre. Il fallait dépasser la laideur superficielle du derby de démolition national pour atteindre le cœur de la question. Mes premières recherches m’ont amené dans l’orbite de postmodernistes célèbres tels que Robert Venturi et sa femme/partenaire en architecture, Denise Scott-Brown, qui avaient eux-mêmes publié dans les années 1970 un livre universitaire-pop intitulé Learning From Las Vegas (Apprenons de Las Vegas), un endroit qu’ils trouvaient charmant, principalement pour des raisons ironiques. Grosse erreur d’aller les voir. En fait, l’interview dans leur salle de conférence de Philadelphie a été un désastre, qui a culminé avec Mme Scott-Brown me criant : « Si l’Amérique est trop désordonnée pour vous, déménagez en Suisse ! » (Bruit de porte qui claque…)

Siège de Robert Venturi pour Knoll, 1984

J’ai pris d’autres mauvais virages dans mes recherches (Michael Graves, Peter Eisenman) mais je suis finalement tombé sur de l’or pur avec les New Urbanists, qui, par un coup de chance, venaient juste de se regrouper cette année-là (1993) dans une confrérie officielle appelée « Congress for the New Urbanism » (« Congrès pour le nouvel urbanisme ») dotée d’un grand élan réformiste. Ils avaient analysé la crise du développement des banlieues en long, en large, en travers et sur la tranche. Ils savaient exactement ce qui n’allait pas dans l’habitat humain de m…  que nous avons réussi à répandre dans le paysage, d’une côte à l’autre, jusqu’aux ratios des bordures des carrefours à six voies et aux fenêtres ridicules du ranch surélevé archétypal, avec ses volets en plastique.

Un « ranch surélevé » typique. S’il présente cette configuration incongrue, c’est sans aucune nécessité, uniquement pour avoir l’air imposant.

Ma rencontre avec ces personnes des N.U. — Andres Duany, Lizz Plater-Zyberk, Peter Calthorpe, Stefanos Polyzoides, Peter Katz, Dan Solomon, Vincent Scully, et bien d’autres — m’a poussé à terminer le livre que je devais à Simon & Schuster. Mais leurs connaissances techniques étaient loin d’expliquer la profonde déchéance spirituelle induite par notre mode de vie. Ces lieux donnaient aux gens un sentiment de malaise, de désespoir, de perte de liens, d’anomie paralysante. Finalement, ai-je découvert, il fallait trouver l’explication à tout cela dans la physique.

Ce n’est pas seulement que notre monde quotidien est mal conçu. Il possède une qualité démoniaque qui ne peut être expliquée que par les principes fondamentaux de l’univers : sa laideur immersive, jusqu’aux éléments vivants, respirants, gazeux, délaminants et oxydants de sa composition, équivaut à une expression visible de l’entropie.

[Voir : La loi de dégradation ou d’augmentation du désordre et du chaos]

C’est une violation flagrante de l’ordre fondamental de l’univers. C’est pour ça que les gens la trouvent repoussante. Si l’art humain consiste à imprégner le monde matériel d’un sens palpable de vitalité, de vie, alors la dernière chose à faire est de le saturer avec la force de la nature qui conduit à l’anéantissement, ce qui est exactement la définition de l’entropie — ce n’est pas quelque chose avec quoi il faille s’amuser. Le fiasco des banlieues ne se caractérise pas seulement par l’absence d’art, et de la grâce que son application apporte à la sensibilité humaine, mais plutôt par un anti-art satanique, une inversion qui cherche agressivement à vaincre tout ce qui, dans l’esprit humain, nous rapproche de la résonance avec notre nature, en particulier le lien avec nos semblables. D’où le cri de deuil commun sur la perte du sens de la communauté, ce qui était à peu près la seule façon pour les citoyens ordinaires d’exprimer leur détresse, en plus de reconnaître la laideur évidente des autoroutes et la monotonie étouffante des lotissements urbains.

[Voir : Effets de l’art moderne]

Les Nouveaux urbanistes ont fait un effort pour changer ce voyage dans les ténèbres, mais le modèle de construction de tout ce qui est nouveau en Amérique est tellement verrouillé [tout comme en France, NdT] par des réglementations et des habitudes mentales tragiquement mauvaises que leur lutte a été sisyphéenne. Même aujourd’hui, le besoin démoniaque de parachever l’œuvre de destruction persiste. Il est également tragiquement ironique que la fin de tout cela semble s’accompagner de la fin de la nation elle-même telle que nous l’avons connue, avec la bataille colossale actuelle entre les partisans de la liberté et les commissaires de la coercition.

Dans l’ombre du COVID-19, une nouvelle disposition des choses lutte pour naître. Comme toute chose dans cet univers de déséquilibre dynamique, le système passe d’un état à l’autre, cherchant toujours à retrouver l’équilibre. Pour l’instant, il semble n’y avoir que le flux du désordre autour de nous, la confusion partout : dans le travail, la politique, le business, le sexe, l’art. Nous dépasserons cette période d’assujettissement aux forces démoniaques, parce qu’il y a une force bénéfique égale qui nous tire vers le haut. À mesure du déploiement de son action, nous nous entourerons de plus en plus de bâtiments et de meubles qui exprimeront notre gratitude d’être de ce monde. N’abandonnez pas. Ne désespérez pas.





Audit électoral aux États-Unis : dénouement en vue ?

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Sidney Powell interviewée au rassemblement des patriotes à Dallas, Texas pour le Memorial Day WEGateway pundit]

Auteur(s) : Elisabeth Dancet, pour FranceSoir

Une majorité d’Américains commence à s’impatienter : si, comme un faisceau de preuves le démontre, Biden est un président qui n’a pas été élu par le peuple, il est donc illégitime et doit être destitué. La procédure est sans précédent, mais comme l’a affirmé publiquement l’avocate fédérale Sidney Powell au cours du rassemblement organisé fin mai par les patriotes à Dallas, Texas, « c’est la première fois qu’une fraude aussi abjecte a été perpétrée dans notre pays. Trump devrait simplement être réinstallé en fixant une nouvelle journée d’inauguration. » 

L’audit électoral du comté de Maricopa complété à 80%

Dans notre dernier article, nous avons montré le tableau récapitulatif des fraudes potentielles établi par l’ex-conseiller au commerce Peter Navarro pour les six États clés qui devrait consacrer la victoire de Trump dans chacun de ces États, du moment que des audits judiciaires complètes sont conduites. Trump a de fait été élu démocratiquement, avec une large majorité des grands électeurs, et pratiquement 80 millions d’électeurs. La vérité se rapproche, puisque les résultats de la première phase de l’audit en Arizona, à savoir la vérification et le recomptage des bulletins de vote du comté de Maricopa devraient être annoncés le 14 juin. L’acharnement médiatique et légale, doublé de menaces et tentatives de coercition de tous ordres n’ont pas réussi à faire stopper les actions en cours. Beaucoup de volontaires, habitants du comté, patriotes et citoyens – parmi eux des démocrates – contribuent à l’opération, aujourd’hui complétée à 80% : soit en venant physiquement à Phoenix – rappelons qu’il y a plus de deux millions de bulletins à contrôler – pour aider à scanner les bulletins de votes ou à titre de simples observateurs, soit en participant au financement de l’audit.  

La sécurité des élections en question

Aux États-Unis, les élections rythment la vie politique tous les deux ans, que ce soit pour élire les sénateurs, les représentants au Congrès, les gouverneurs des États et bien sûr le Président. Cet audit a le mérite de rappeler à des millions d’Américains qu’élus démocrates comme républicains ont alerté publiquement et à plusieurs reprises ces dernières années sur le manque de sécurité des machines de vote, les risques avérés de piratage localement et via Internet et l’impact sur les résultats. Ron Widen, sénateur démocrate de l’Oregon, a déclaré devant la commission du Sénat sur la sécurité des élections : « ces machines de vote ont des accès illicites permettant de les pirater facilement », Amy Klobuchar, sénatrice démocrate du Minnesota : « il n’y a que trois entreprises qui contrôlent ces machines, et elles sont faciles à pirater », la plus révélatrice étant l’intervention de Kamala Harris devant le Sénat le 12 juin 2018 alors qu’elle était sénatrice de Californie : « nous avons organisé une démonstration ici au Capitole pour nos collègues, avec des gens qui ont piraté devant nos yeux les machines de vote ». Certains élus ont aussi dénoncé les contrats non conformes passés par les États avec ces fabricants privés (Dominion, Smartmatic) qui interdisent aux fonctionnaires responsables de l’organisation des élections l’accès au code informatique et donc le contrôle factuel des résultats. En montrant aux citoyens que ces critiques répétées n’ont pas été adressées, les audits en cours et à venir poussent à une remise à plat complète du système électoral prenant en compte les risques associées à la cyber -écurité, et aboutiront peut-être au retour du bulletin papier et à la présentation d’une pièce d’identité pour restaurer la confiance. 

Les preuves absolues des cyber-attaques

Après les révélations exposées dans ses documentaires « Absolute Interference » et « Absolute Proof » visionnés à ce jour par plus de 150 millions de personnes dans le monde, Mike Lindell a fait réaliser une analyse systématique de 20 cyberattaques conduites dans cinq États-clés – sur un total de près de 3000 attaques commises durant l’élection. Cet entrepreneur passionné et son équipe d’avocats ont atteint un tel point de certitude quant aux preuves et évidences de ces cyber-attaques perpétrées par des hackers en provenance de Chine, qu’ils poursuivent Dominion et Smartmatic en justice pour un montant de plus de 2 milliards de dollards, pour conspiration contre lui, son entreprise et avoir rendu possible ces fraudes. Son dernier documentaire montre l’analyse détaillée des manipulations de données par des experts travaillant pour les agences de renseignement gouvernementales de ces 20 attaques en provenance de Chine et qui retournent les résultats dans cinq États clés au profit de Trump. Il a fait réaliser cette validation par une équipe de cyber-experts : ceux-ci ont analysé les pcaps ou packet capture ayant transité sur les réseaux informatiques le jour de l’élection et durant les deux jours qui ont suivi. Ces interfaces de programmation, inviolables et codées en dur au fur et à mesure des mouvements, enregistrées en temps réel, permettent de capturer les données brutes du trafic réseau. Ce qui fait dire à l’un des experts : « ces preuves sont irréfutables et au-delà de toute considération partisane, comparables à un enregistrement vidéo en temps réel de malfaiteurs en train de braquer une banque. » Curieusement, Mike Lindell qui pendant des semaines, a été moqué et attaqué avec violence par les médias mainstream, reçoit à nouveau des appels de journalistes de CNN et MSNBC : à temps pour pouvoir retourner leur veste le moment venu ? 

L’effet domino se poursuit

Seth Keshel, analyste du renseignement militaire, attend avec impatience les résultats de l’audit en Arizona. Pour effectuer ses calculs, cet expert examine l’historique des résultats des élections présidentielles en fonction de l’évolution du nombre d’électeurs des deux principaux partis dans les différents comtés. Le comté de Maricopa inclut pratiquement les deux tiers des votes de l’État, a toujours voté pour le candidat républicain, et ce depuis 1948. L’audit devrait expliquer d’où viennent ces voix attribuées à Joe Biden dans un des États les plus républicains du pays. Un audit qui, selon S. Keshel, devrait entrainer la dé-certification des votes de l’Arizona – un précédent, et booster les mêmes démarches dans ces États où les résultats sont inexplicables face aux tendances de l’électorat et aux courbes d’évolution statistiques, comme la Pennsylvanie, la Géorgie, le Michigan. Comme annoncé, l’audit en Arizona attire d’autres élus ou candidats d’États dans lesquels les élections sont remises en question depuis l’annonce des résultats début novembre. Une délégation de législateurs républicains de Pennsylvanie s’est rendue à Phoenix le 2 juin pour faire le tour du site de l’audit et ont été favorablement impressionnés par les actions menées sur place, notamment l’analyse des ruptures dans les chaines de contrôle durant les élections. Plusieurs d’entre eux, les sénateurs Cris Dush et Doug Mastriano, le membre du Congrès Rob Kauffman vont dans le sens des électeurs et se sont officiellement déclarés favorables à la conduite d’un audit similaire dans leur État.

 Vernon Jones, lors de l’annonce de sa candidature pour le poste de gouverneur de Géorgie, a demandé formellement un audit judiciaire des élections. Il vient de se rendre lui aussi en Arizona cette semaine : il déclare être inspiré par la transparence, la qualité de l’audit et des procédures et déclaré qu’il faut faire la même chose en Géorgie. L’ancien commissaire de police Bernie Kerik est formel : dans le comté de Fulton qui inclut la capitale Atlanta, les élections ont été volées, le secrétaire d’État Brad Raffensperger a annoncé la certification des votes alors qu’il manquait 17 400 bulletins. Des assignations à comparaître ont été délivrées par le juge et des dépositions de témoins sont en cours… la pression monte pour démarrer cet audit. L’avocate Sidney Powell ainsi qu’une poignée de patriotes ont décidé de poursuivre la vérité quoiqu’il en coute. Elle a compris dès le mois de novembre la faillite des institutions censées faire appliquer la loi. Constatant que ces fonctionnaires du FBI, du DHS, du DOJ supposés assurer la transparence des élections, responsables de l’État de droit et de protéger la Constitution américaine ont failli à leurs devoirs, elle confirme la montagne d’évidences qui prouvent le vol des élections. Il ne s’agit pas de Donald Trump, il s’agit de la République américaine et de restaurer son fonctionnement démocratique. Si comme les signes le montrent et malgré les obstacles, la vérité éclate enfin, l’Amérique et We The People auront donné une leçon de démocratie au reste du monde libre.

Auteur(s) : Elisabeth Dancet, pour FranceSoir




Un tout petit peu d’ADN suffit pour faire des cristaux liquides (2007)

[Source : Sciences et Avenir]

Par Cécile Dumas (23/11/2007)

Tous ceux qui cherchent à comprendre comment la vie a commencé sur Terre, comment elle a émergé de la soupe primitive de molécules organiques, seront sûrement captivés par ces magnifiques clichés, publiés cette semaine dans la revue Science. Pas (seulement) pour leur esthétique mais parce qu’ils signifient que de tous petits fragments d’ADN sont capables de s’assembler pour former des cristaux liquides dans une solution.

Jusqu’à présent, on savait que de larges fragments d’ADN pouvaient s’assembler pour former ces cristaux liquides, plus connus pour équipés nos écrans de montres ou de télévisions. Pour la première fois, une équipe de chercheurs américains et italiens a montré que l’état liquide-cristallin, où se conjugue à la fois des propriétés des solides et des liquides, pouvait être atteint avec de très courts fragments d’ADN.

Dans les écrans, les cristaux liquides sont généralement des molécules allongées, en forme de bâtonnets par exemple, qui sont en mouvement mais peuvent s’aligner dans une même direction en fonction de différents paramètres (température, voltage…). De même, les longues chaînes de molécules d’ADN s’alignent facilement, un peu comme des spaghettis jetés dans une boîte qui vont se ranger parallèlement si on les secoue un peu, explique l’un des auteurs, Noel Clark (University of Colorado at Boulder, USA).

Qu’en est-il des touts petits bouts d’ADN ? Les chercheurs de l’université de Boulder et de l’université de Milan ont découvert que lorsqu’un fragment d’ADN de seulement six bases (ou nucléotides) se liait à un segment complémentaire afin de former petit élément de deux nanomètres de long et de large, il pouvait entrer dans un état liquide-cristallin et se comporter comme un plus long segment.

Ces toutes petites molécules sont donc capables de trouver le bon partenaire puis de s’organiser toutes seules au sein de gouttes. Ces gouttes facilitent ensuite la formation de plus larges molécules, expliquent les chercheurs.

Pour expliquer l’émergence de la vie à partir de la soupe prébiotique, l’ADN et l’ARN sont à l’heure actuelle les deux meilleurs candidats, chacun ayant ses avantages et ses inconvénients. Les résultats publiés aujourd’hui dans Science apportent un argument de plus en faveur de l’ADN. A suivre.

Cécile Dumas
Sciences et Avenir.com
(23/11/07)




Êtes-vous des cobayes ou des robots ?

Source : Magazine N°35 « VOTRE SANTÉ » Août 2002

Par Sylvie SIMON

« Les Français sont des bœufs »

Charles De Gaulle

Surtout n’oubliez-pas de faire vacciner vos nounours ! Et si l’injection vaccinale n’était que le moyen technique d’implanter dans le corps des cristaux liquides(([1] Voir : Un tout petit peu d’ADN suffit pour faire des cristaux liquides (2007) )) qui, comme la puce, permettent le contrôle permanent de chaque individu ?

La pression vaccinale des autorités est devenue telle qu’on est obligé de s’interroger sur les buts réels de la vaccination.

II y a quelques années, certains scientifiques avaient suggéré qu’on pourrait, un jour, mettre au point plusieurs vaccins combinés qu’on injecterait au nouveau-né. En même temps, on introduirait dans son corps une puce électronique qui permettrait un suivi très précis de sa santé. Lorsqu’ils ont fait cette proposition, avec le plus grand sérieux, on peut se demander si ces scientifiques étaient conscients que leur suggestion dépassait de très loin tout ce qu’avaient imaginé Aldous Huxley dans le Meilleur des mondes, ou George Orwell dans 1984, ou d’autres écrivains de science-fiction.

Une invasion de puces

Or, depuis quelque temps, la réalité dépasse la fiction. Nous avons ainsi appris par la télévision que l’on commence a injecter des puces à des enfants ou à des vieillards atteints de la maladie d’Alzheimer afin de pouvoir mieux les surveiller lorsqu’ils risquent de s’éloigner de la vue de leurs proches. Cette technique est également utilisée par la médecine vétérinaire pour identifier les animaux. Une multinationale, Texas Instruments, a mis au point des transpondeurs, c ‘est -à-dire des micro-ordinateurs qu’on a injectés à des milliers d’animaux à travers la planète. Jusqu’à présent, ces puces étaient utilisées pour retracer, contrôler et identifier toutes sortes d’animaux comme tous produits manufacturés. Le Dr de Brouwer (Vaccinations : erreur médicale du siècle, Louise Courteau, 1997) explique :

« Ces transpondeurs, à partir d ‘une influence magnétique extérieure, permettent d’agir à l’échelle cellulaire, c’est-à-dire inconsciente, soit avec des émetteurs, soit des antennes télé, soit des satellites. Si de tels transpondeurs étaient injectés à des humains, il serait possible d’agir sur les gens avec une antenne cellulaire qui court-circuite la conscience individuelle. »

Nous n’en sommes plus a l’heure de faire des suppositions mais à celle de nous inquiéter vivement pour une situation déjà établie et qui ne peut que s’aggraver dans le futur . De son côté, le Dr Jose Delgado, pionnier de la stimulation électronique du cerveau et auteur du Contrôle physique de la pensée, paru en 1969, déclarait dans son ouvrage :

« Les transmetteurs cérébraux peuvent demeurer dans le cerveau d’un sujet à vie. L’énergie qui actionne le transmetteur est transmise par des fréquences radio. […] L’une des possibilités des transmetteurs cérébraux est d’influencer les gens afin qu’ils se conforment aux systèmes politiques. Les comportements individuels et sociaux, les réactions émotionnelles et mentales peuvent être provoquées, maintenues, modifiées ou inhibées, chez les animaux comme chez l’homme, par la stimulation des structures cérébrales spécifiques. Le contrôle physique de plusieurs fonctions cérébrales est un fait établi. Il est même possible de suivre les intentions, le développement des pensées et les expériences visuelles.« 

La réalité dépasse la fiction :

Les premiers implants étaient petits, mais encore visibles, tandis que les nouvelles versions à cristaux liquides peuvent être directement injectées dans le sang pour se loger dans certaines régions du cerveau et influencer le comportement d’un individu. Si l’ on se réfère à Tim Willard, éditeur du magazine américain Future Society, la technologie cachée derrière le nouveau Micro-Chip humain n ‘est pas très compliquée, et pourrait être appliquée dans une large variété d’activités humaines.

Dans le Belleville News Democrat du 28 décembre 1997, Rod Hafemeister signalait que des puces allaient être utilisées sur des soldats. En effet, pour les immuniser contre l’ anthrax avec les rappels nécessaires, il faut un suivi de plusieurs années.

« Le Pentagone estime qu’il faudra près de six ans pour immuniser tous ceux qui portent l’uniforme.[…]

Ce programme n’aurait pas été possible il y a quelques années, mais la mise sur ordinateur du suivi médical et la puce qui peut le contenir, portée par le soldat, devrait tout changer.  »

Dans le même article, le journaliste signale que Paul Sullivan, directeur exécutif du National Gulf War Resource Center, accuse le Pentagone d’utiliser les troupes sans leur consentement pour tester des médicaments qui n’avaient pas l’approbation définitive de la FDA :

« Le Pentagone a été sévèrement critiqué pour avoir commis la même faute en Bosnie« , ajoute-t-il. Ces tests ne comportent pas l’injection de puces, mais se réfèrent à la même volonté de pouvoir sur les citoyens, otages d’un système corrompu qui relève plus du nazisme que de la démocratie.

Big Brother est là!

Récemment, le Pr Kevin Warwick, de l’université de Reading, en Grande-Bretagne, s’est fait insérer sous l’épiderme un microprocesseur afin de démontrer les nombreux abus qui pourraient découler de l’utilisation de ce genre d’appareil capable d’allumer les lumières et de souhaiter la bienvenue d’une voix caverneuse. Introduit sous anesthésie locale, l’appareil contenait soixante-quatre informations sur le professeur de cybernétique que sa secrétaire pouvait ainsi suivre en permanence. « C’est vraiment Big Brother, ce n’est plus de la science-fiction…« , a-t-il déclaré (Libération du 29 août 1998). Ce genre de puce peut contenir toutes sortes d’informations des plus variées : numéro de sécurité sociale, groupe sanguin, carnet de santé, convictions religieuses, qualifications professionnelles. En effet, Big Brother évoqué par George Orwell est à notre porte. Kevin Warwick dénonce :

« L’être humain est menacé par l’ordinateur sapiens dont l’ intelligence ne tardera pas a dépasser celle de son créateur. »

(Le Monde, 25 septembre 1998.)

Carl W. Sanders est un ingénieur électronicien qui a passé plus de trente ans a mettre au point des puces électroniques pour IBM, General Electic, Honeywell et Teledyne, mais aussi pour diverses organisations gouvernementales. L’un des projets sur lequel il a travaillé s’appelait Phoenix et concernait les vétérans du Vietnam. Une puce électronique, appelée Rambo, permettait de faire monter leur taux d’adrénaline. Carl W. Sanders a déclaré au journal Nexus de juin-juillet 1994 que, lors des discussions sur le contrôle électronique avec la CIA auxquelles il a assisté, on parlait des citoyens comme d’un troupeau.

« Lorsque la discussion parvint au stade de l’identification par puce, ils précisèrent leurs objectifs : le nom et la photo, le numéro de sécurité sociale, l’empreinte digitale, la description physique, le contexte familial, le métier, les informations administratives, les impôts et le casier judiciaire. »

À cette époque, il avait alors assisté à dix-sept réunions de ce genre.

« Récemment, ils ont abordé le Health Care Program, un suivi du ventre maternel à la tombe« .

Des projets ont été soumis au Congrès afin de permettre d’injecter une puce à votre enfant dès la naissance.

Et, évidemment, les vaccins !!

En 1995, aux Etats-Unis,

Donna Shalala, responsable du DHHS (Départment of Health and Human Services) a suggéré de donner un numéro de sécurité sociale dès la naissance, afin d’y inscrire l’état vaccinal de chacun. En 1996, le HIP AA (Health Insurance Portability and Accountability) émit le projet d’un numéro d’identification de soins de santé qui pourrait remplacer le numéro de sécurité sociale et qui serait attribué dès la naissance à chaque citoyen, relié à un moniteur électronique qui enregistrerait au fur et à mesure les soins médicaux et les vaccinations. En 1998, le CDC a commencé a mettre en oeuvre un registre d’État des vaccinations qui serait un premier pas vers le développement d’enregistrements électroniques sous le prétexte de suivre la santé des individus. Ces enregistrements comprendraient le nom, l’adresse, le numéro de téléphone, le numéro de sécurité sociale, la date de naissance, le sexe, la race, la langue principale, le nom de la mère et son nom de jeune fille, le nom du père, et les numéros de sécurité sociale des deux parents (The Vaccine Reaction, publie par le NVIC, National Vaccine Information Center, numéro spécial de septembre 1998).

Dans l’État du Texas, Prove, une association de parents, conduite par Dawn Richardson, milite contre le fait que des enfants sont inscrits sur des registres de vaccination sans le consentement écrit de leurs parents. Sans doute font-ils partie d’une secte !

À la lecture de ces procédés dignes de l’Inquisition, il est permis de se demander s’il s’agit, dans ce pays, seulement de la santé publique ou d’une forme de mise en carte de tous les citoyens. Un journaliste canadien, Serge Monast, a mené une enquête sur les cristaux liquides, les vaccins et la médecine militaire expérimentale. En 1992, fut pratiquée au Québec une vaccination de masse contre la méningite, à la grande surprise des médecins qui savaient qu’aucune épidémie n’était en vue. Cette décision avait été prise par des fonctionnaires du gouvernement à l’encontre de l’avis de la plupart des membres du corps médical. Le Dr Christiane Laberge déclara alors aux médias que sa fille de cinq ans courait autant de risques d’attraper la méningite que de se faire heurter par un train. Le Dr Gilles Delage évoqua, lui aussi officiellement, les risques encourus par les nourrissons vaccinés à cause de la réduction appréciable de tolérance immunitaire chez ces enfants. Des spécialistes du monde médical firent connaitre leurs préoccupations à ce sujet dans un article paru dans le Journal de la presse du mardi 4 février 1992, mais le gouvernement passa outre. Serge Monast fit alors ressortir que, dans certaines régions, les vaccins étaient différents de celui que recevaient les enfants d’autres régions à la même époque.

Cristaux liquides :

Contrôle des individus

Dans une conférence débat du 10 février 1996, près de périgueux, qui réunissait des médecins et des biologistes remettant en question notre médecine de troupeau, le Dr Guy Londechamp, auteur de l’Homme vibratoire, paru en 1993 et réédité en 1998, attira l’attention, lui aussi, sur les cristaux liquides et posa la question :

« N’est-ce pas l’installation d’une antenne à l’intérieur de notre organisme, programmable de l’extérieur, malléable ? […] Ce peut-être de la science-fiction, à moins que la science-fiction ne soit déjà très en dessous de la réalité !« 

Et, commentant la campagne de vaccination canadienne avec protocole particulier, il poursuivit :

« S’il s’agit d’une vaccination si anodine, pourquoi a-t-on demandé à ces centres d’avoir des conditions si rigoureuses, ces mesures de sécurité et d’observation exceptionnelles? Il faut signaler, par ailleurs, que l’on a vacciné de force contre l’hépatite B des populations entières au Nord Canada, sans explication, sans même l’autorisation des parents. Il y a eu un certain nombre de morts parmi les enfants, mais on n’ a fourni aucune explication… Viols délibérés de la liberté individuelle, atteintes corporelles avec des décès, mais aucune justification des besoins ni explications. […] Alors, n est-on pas en train d’injecter aux gens – avec le vaccin contre l’hépatite B – non seulement les protéines de la capsule du virus, mais aussi d’autres informations, probablement des cristaux liquides (boucles d’ADN de synthèse), permettant de programmer toutes les personnes de l’extérieur, à un moment donné, pas forcément tout de suite ? Mais le dispositif serait en place… Le problème est de savoir si les avancées technologiques sont suffisantes pour avoir une connaissance précise du modèle ADN à injecter, afin de contrôler les consciences. Il est bien difficile de savoir exactement ce qu’il y a dans ces vaccins. »

Pure science-fiction ?

Certains, plus avertis des manipulations pseudo scientifiques dont nous sommes victimes et de tout ce que l’on nous cache, ne s’en étonnent pas. Les pressions vaccinales sur les populations sont devenues telles que nous sommes obligés de nous interroger sur les buts réels de la vaccination. S’il ne s’agissait que de santé, la contrainte n’aurait pas lieu d’être, la persécution des non-vaccinés serait dénoncée comme toute violation des droits fondamentaux, enfin les campagnes vaccinales systématiques apparaitraient comme une aberration. Plutôt que de santé, ne pourrait -il être question de contrôle mondial de la population ? L’identification des chiens et des chats grâce à ce procédé a été mise en place en France par un arrêté du 1er octobre 1997. Il semblerait qu’il soit désormais possible d’injecter, par le biais d’un vaccin, un implant électronique servant à l’ identification personnelle. Ce serait la normalisation à outrance des conduites par le truchement des vaccinations.

Sylvie SIMON




Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés

[Source : Eveilhomme.com]

https://youtu.be/bSZxQ34FbrA

[Voir aussi : La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ?]