Sous nos yeux, le suicide de l’Union Européenne, des institutions, et de tous les politiques qui prônent la vaccination anti-covid

Par Alain Nicolaï

« Celui qui ne fait pas la différence entre le bien et le mal
n’est pas un homme »
*

Combien de temps faut-il pour élaborer un vaccin?

Photo: Données: Potkins’s Vaccines et FDA

Dans le contexte actuel, le développement suit un paradigme complètement différent. D’abord, les phases d’essais cliniques s’enchaînent à une vitesse inédite. Ensuite, les compagnies pharmaceutiques consacrent tous leurs efforts pour trouver un vaccin contre la COVID-19, tandis qu’elles se penchent habituellement sur plusieurs maladies en parallèle. Des usines sont préparées pour la production industrielle des milliards de doses nécessaires, même si on ne sait pas encore quel type de vaccin va fonctionner. Du côté de la recherche universitaire, les cordons de la bourse des subventions se sont déliés et permettent aux scientifiques d’engager plus d’assistants et d’acheter du meilleur matériel. Pour sa part, Santé Canada a déjà indiqué qu’il s’efforçait d’accélérer les demandes d’essais cliniques pour les vaccins candidats contre la COVID-19. On peut également parier que les organismes régulateurs vont tout faire pour rapidement boucler l’homologation finale. En temps normal, cette étape peut parfois être très longue: il a fallu 11 ans pour que la FDA approuve le vaccin contre la varicelle, aux États-Unis.

Vaccin contre le coronavirus : sprinter un marathon

PAR ALEXIS RIOPEL ET ANTOINE BÉLAND

Le coup de départ a été donné le 10 janvier, quand des chercheurs chinois et australiens ont publié en ligne le génome du mystérieux virus surgissant à Wuhan. Le fil d’arrivée, c’est le début de la distribution à grande échelle d’un vaccin contre le SRAS-CoV-2. D’ici là, tous espèrent voir une équipe courir ce marathon à la vitesse d’un sprinteur. Le Devoir vous propose un aperçu visuel de cette course historique.

L’élaboration d’un vaccin s’échelonne habituellement sur 10 à 15 ans. Le vaccin développé le plus rapidement, celui contre Ebola, a exigé cinq ans d’efforts. Pour mettre un terme à la pandémie de COVID-19, un échéancier encore plus rapide, de l’ordre de 18 mois, est envisagé.

Voyons d’abord quelles sont les étapes du développement traditionnel d’un vaccin. Les durées indiquées le sont à titre indicatif seulement.

Recherche universitaire et études précliniques

D’abord, les scientifiques déterminent la séquence génétique du virus. Ils tentent de comprendre quels anticorps sont efficaces pour s’en prémunir. Ils conçoivent une ébauche de vaccin, qu’ils testent sur des animaux.

Études cliniques

Ensuite, les chercheurs passent aux essais cliniques sur des humains.

Phase I / On administre le vaccin candidat à quelques dizaines de volontaires en bonne santé afin de s’assurer qu’il n’est pas dangereux. On détermine la dose idéale, qui déclenche une bonne réaction immunitaire sans produire d’effets secondaires.

Phase II / On tente de confirmer la sécurité du vaccin en le donnant à quelques centaines de volontaires représentatifs de la population qu’on veut protéger. Les volontaires appartiennent à différents groupes d’âge et leur état de santé varie.

Phase III / On évalue finalement l’efficacité du vaccin pour protéger de la maladie infectieuse en l’administrant à des milliers de personnes. Cette phase se déroule dans le contexte « naturel » de la maladie.

Fabrication

En parallèle au développement, la compagnie doit préparer une usine pour le vaccin. Puisque ces installations coûtent des centaines de millions de dollars, les investisseurs attendent habituellement que les essais cliniques soient bien avancés avant d’accorder leur financement.

Homologation

Finalement, les organismes régulateurs, comme Santé Canada ou la FDA aux États-Unis, révisent les études avant d’homologuer le vaccin. Ils peuvent demander des travaux supplémentaires en cas de doutes. Le processus peut être long : il a fallu 11 ans pour que la FDA approuve le vaccin contre la varicelle.

Réaliste ?

Ainsi, la durée de 18 mois souvent évoquée par les gouvernements apparaît assez audacieuse.

« Quand on parle d’un à deux ans, il faut savoir que c’est extrêmement rapide pour le développement d’un vaccin », souligne le virologue Alain Lamarre, de l’Institut national de la recherche scientifique.

Durée variable

Plusieurs facteurs entrent en ligne de compte lorsqu’il s’agit de développer un vaccin : le financement, bien sûr, ainsi que l’évolution des connaissances scientifiques, mais aussi le type de maladie et ses répercussions à court et long terme sur la santé publique.

Certains virus sont toujours orphelins de vaccins, même des décennies après qu’ils aient été identifiés. L’absence d’un vaccin contre le VIH est un des exemples les plus utilisés pour illustrer les difficulté de la démarche.Recherche universitaire2 ansÉtudes précliniques2,5 ansÉtudes cliniques de phase I6 moisÉtudes cliniques de phase II2 ansÉtudes cliniques de phase III1 anFabrication6 ansHomologation1 an015 ans18 moisObjectif de la créationd’un vaccin contre la COVID-1915 ansVaricelle30 ansInfluenza30 ansVirus du papillome humain16 ansRotavirus16 ansVaccins pédiatriques combinés12 ansEbola5 ansVaccin contre la COVID-1918 mois

Textes par Alexis Riopel. Visualisations de données et développement par Antoine Béland. Design par Cédric Gagnon.

Commentaire : à la lecture de ce qui précède il est très facile de constater que l’élaboration des vaccins anti covid19, faite ici en 18 mois, a battu tous les records de vitesse de l’histoire. Très étrange, non ?!


Les vaccins sont expérimentaux

Par Dr Gérard Delépine

Dans une « fast check » [Note : non pas “fact check” qui signifierait “vérification de faits”, mais “fast check” pour “vérification rapide” ou hâtive.] du 11 mars 2021, Juliette Mansour et l’AFP nous accusent de diffuser de fausses informations. Cet article trompeur se contente d’affirmer les croyances de la pensée unique du politiquement correct, sans rapporter les faits établis, car ils confirmeraient nos dires. Nous fournissons ici les preuves de leurs erreurs.

Non, les essais phase trois des vaccins ne sont pas terminés ! Il suffit de consulter le site « clinical trials.gov » pour le vérifier

Juliette Mansour et l’AFP prétendent que « cette dernière phase [phase 3] avant la mise sur le marché, qui se déroule sur des milliers de volontaires, est bien terminée pour les quatre vaccins homologués. » Cette affirmation est totalement fausse !

Pour connaître l’état d’avancement d’un essai, il suffit de se référer au site américain officiel « clinical trials.gov[1] » chargé de les lister. En l’interrogeant par Internet (vous pouvez le faire en français) vous obtiendrez les mentions : aucune étude phase 3 terminée.

En poursuivant la lecture de ce site, vous pourrez lire que la phase 3 du vaccin Pfizer, essai plus avancé que ceux de ses concurrents, se poursuit selon le schéma prévu avec une première analyse provisoire prévue en août 2021, et la fin de l’essai espérée en janvier 2023, soit dans à peu près deux ans.

L’essai phase 3 de Pfizer est donc loin d’être terminé ! Et il en est de même avec tous autres vaccins covid actuels.

Pour le vaccin Astra Zeneca, second dans l’avancement des essais phase 3, la fin de l’essai phase 3 est prévue en février 2023 :

Pour le Janssen, l’essai ne se terminera pas avant 2024 :

Malheureusement la journaliste de l’Agence France presse n’a pas pris le temps de vérifier ces faits indiscutables, avant de prétendre que les essais phase 3 étaient terminés ! Les écoles actuelles de journalistes ne leur apprendraient-elles plus à enquêter ?

Les publications des résultats cliniques définitifs des phase 3 n’existent pas

Juliette Mansour aurait pu aussi s’étonner de l’absence de publications détaillant les résultats cliniques définitifs des essais phase 3 chez l‘homme en les recherchant dans cette même base bibliographique « clinical trials.gov » dans chaque essai, ou dans « PubMed »[2] qui recensent les articles médicaux publiés dans la littérature internationale.

Interrogée le 14/3/2021 avec les mots clefs « Covid vaccine trials Results ». PubMed listait 26 articles dont aucun ne rapporte de résultats définitifs d’un quelconque essai phase 3 de vaccin Covid. La vérification est facile pour tous, l’accès PubMed étant libre et possible en français. Alors pourquoi Juliette Mansour n’en a pas pris le temps ?

Avant de publier sa tribune mensongère, nocive pour les citoyens crédules, elle aurait aussi pu nous interroger sur nos sources et nous demander ces preuves que nous lui aurions volontiers fournies. Mais au lieu de confronter les opinions dans un débat contradictoire honnête, elle a choisi le camp des corona terroristes trahissant ainsi l’éthique des journalistes qui doivent se comporter en observateurs impartiaux.

Mais où sont passés les journalismes d’investigation d’antan ?

Nous réaffirmons que les essais n’ont pas été conduits correctement et surtout ne sont pas terminés

Jusqu’à la crise COVID-19, un essai vaccinal suivait un parcours long nécessitant de nombreuses années, avant d’arriver à la commercialisation. Il comprenait de multiples phases aux objectifs précis avant de passer à la suivante, chaque étape apportant des informations nécessaires à la conception de la suivante.

Beaucoup de candidats-vaccins étaient abandonnés (comme pour le Sida où deux candidats ont été éliminés, car ils augmentaient paradoxalement le risque d’attraper la maladie). Rappelons-en schématiquement le parcours habituel qui nécessitait de 9 à 12 ans (en moyenne 10) cette lenteur étant indispensable à la sécurité.

Essais précliniques

Depuis le code de Nuremberg (1947), les essais sur l’homme doivent être précédés d’expériences sur les animaux. Cette étape indispensable ne préjuge pas des résultats chez l’homme, mais permet d’éliminer des médicaments très toxiques et de préciser les organes susceptibles d’en souffrir. Prétextant l’urgence de la crise actuelle ou le manque d’animaux adéquats[3], le développement très rapide de plusieurs vaccins anticovid n’a été possible que parce que de nombreuses expériences animales ont été ignorées.

La presse anglo-saxonne l’a souvent dénoncé en titrant que les protocoles de certains essais “sautaient” cette phase, sans que l’AFP ni les médias hexagonaux les relaient. D’autres tests animaliers ont été abrégés ou effectués simultanément, voire après les essais sur l’humain. Ainsi les vaccins de la société pharmaceutique allemande BioNTech et de la société américaine Moderna ont été testés sur des singes seulement après avoir été injectés à des sujets humains.

Cette étape préclinique animalière est pourtant importante pour la sécurité : ce sont les essais sur des animaux qui ont mis en évidence le risque d’anticorps facilitants des candidats vaccins contre les précédents coronavirus SARS et MERS.

 Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline a été abandonné à cause de cette complication. Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV spike protéine, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essais de vaccins contre le coronavirus du Mers, les lapins développent des anticorps, mais leur pathologie pulmonaire est aggravée. Ces complications inattendues ont conduit au rejet des candidats vaccins contre les précédents coronavirus et sont peut-être aussi responsables de l’accroissement de mortalité constatée juste après le début des campagnes de vaccination dans les pays qui se sont érigés en champions de celle-ci.

Les essais cliniques humains bien faits sont indispensables à la sécurité

Les essais thérapeutiques nécessaires à l’obtention de l’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) chez l’homme comprennent schématiquement trois phases successives, les conclusions de chaque phase permettant d’optimiser la suivante.

La phase I porte sur quelques dizaines de volontaires a pour objectif de déterminer la toxicité du candidat-vaccin chez l’homme à court terme et la réponse immunitaire en mesurant les anticorps générés par le vaccin. 

La phase II nécessite quelques centaines de malades et dure en moyenne un à quatre ans. Elle doit confirmer les résultats précédents (tolérance et innocuité du candidat-vaccin, réponse immunitaire), mais son but principal est de déterminer la dose optimale et le schéma d’administration le plus efficace, de vérifier si le vaccin procure bien une protection durable contre l’infection et s’il empêche la transmission du virus.

La phase III visant à préciser l’efficacité et les risques sur un groupe représentatif de la population cible dure de trois à cinq ans. Les essais portent sur des milliers, de personnes pour évaluer le rapport bénéfices/risques du vaccin à court et moyen terme. Ces études permettent de préciser les conditions et les précautions d’emploi du vaccin et constituent le document (sous le terme d’étude pivot) le plus attendu du dossier de la demande d’Autorisation de Mise sur le Marché soumis à l’agence du médicament.

La phase IV appelée aussi pharmacovigilance commence avec la commercialisation du vaccin ou du médicament (ici avancée). 

Laboratoires fabricants, patients et médecins sont invités à déclarer à l’ANSM, agence française du médicament, des effets secondaires non signalés. Mais l’expérience des scandales sanitaires récents montre que la pharmacovigilance française est tout à fait insuffisante et les sous-déclarations considérables.

Les insuffisances majeures des essais des vaccins anticovid menacent la sécurité sanitaire

Absence ou diminution considérable des essais sur les animaux

Regroupement des phases, I et II ou II et III, ne permettant pas d’utiliser les résultats de la phase précédente pour concevoir convenablement la phase suivante.

Durée de suivi des sujets des essais totalement insuffisante (en moyenne 2-3 mois lors des évaluations intermédiaires présentées aux agences), ne permettant d’avoir aucune estimation sérieuse, ni sur la durée de l’immunité éventuelle, ni sur les éventuelles complications (les narcolepsies causées par les vaccins antigrippe H1N1 ne sont apparues qu’après plusieurs mois).

Autorisation de mise sur le marché transitoire « conditionnelle accordée alors que les résultats définitifs des essais phase III ne sont ni obtenus, ni publiés, et que la durée insuffisante de leur suivi ne permet pas d’estimer leurs complications à moyen terme.

Personnes âgées à forte comorbidité trop peu représentées dans les essais alors qu’elles constitueraient l’indication préférentielle d’un vaccin qui serait efficace et sûr.

Critères de jugement non pertinents

 Le but d’un vaccin est de diminuer la mortalité et de supprimer la transmission de la maladie dans la population. Or le critère de mortalité a été négligé par les firmes et le critère de contamination souvent réduit à la positivité de tests PCR seuls dont la non-fiabilité est maintenant reconnue unanimement (être positif au test PCR ne signifie pas être porteur du virus entier, ni malade, ni contagieux)

Aussi, lorsque l’Agence nationale du médicament prétend que : “l’AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients“, elle nous rappelle tristement les affirmations de l’agence de sécurité nucléaire sur le nuage de Tchernobyl ou ses dénégations répétées dans l’affaire du médiator (entre autres …).

Présentation biaisée des résultats provisoires

Un avis du BMJ[4] souligne que Pfizer / BioNTech et Moderna ont signalé la réduction du risque relatif de leurs vaccins en donnant des chiffres supérieurs à 90%, mais les fabricants n’ont pas signalé de réduction du risque absolu correspondante, qui « semble être inférieure à 1% ».

L’insuffisance des essais est d’autant plus critiquable que certains vaccins utilisent des techniques totalement nouvelles

Les vaccins conçus par Pasteur injectent des antigènes spécifiques de la maladie pour susciter la création d’anticorps neutralisants spécifiques qui protègent de l’affection. Pour abaisser les coûts de production en diminuant les quantités d’antigènes spécifiques, les firmes ont rajouté des adjuvants (tels que l’aluminium) stimulant la réponse immunitaire non spécifique dont le rôle dans l’augmentation des maladies allergiques et auto-immunes est fortement suspecté, mais ils restent des vaccins au sens pasteurien.

Les produits Pfizer, Moderna et Astra Zeneca et Janssen qui sont des médicaments nouveaux, ne contiennent pas d’antigènes, mais des produits génétiques (ARN messager, virus vecteurs pour Astra Zeneca) destinés à en faire fabriquer par notre propre corps en donnant des ordres à nos cellules.

OUI, les vaccins ARN messagers exposent au risque de modifier notre ADN

On sait depuis une cinquantaine d’années, que jusqu’à 10% de notre patrimoine génétique est d’origine virale.  Une partie de ces 10% provient de rétrovirus, mais pas la totalité évoquant la possibilité d’une inclusion dans l’ADN de mécanismes différents pour l’instant inconnus.

Introduire un ARNm ou un virus dans nos cellules, comme dans les autres thérapies géniques expose donc à un risque potentiel de modifier à terme notre ADN et constitue une technique dont la sécurité génétique n’a pas été évaluée, car plusieurs décennies seraient nécessaires pour en avoir le cœur net. Ces pseudo vaccins-thérapies géniques, dont la technique n’a jamais été utilisée auparavant pour un vaccin exposent donc à des risques non maîtrisés, en opposition totale avec le principe de précaution.

Nos contradicteurscités par l’AFP ont oublié de citer leurs liens d’intérêts avec les firmes vaccinales. Certaines de leurs affirmations telles que « le vaccin à ARN reste localement, il ne va pas se promener partout dans vos testicules, qui sont un sanctuaire immunologique et on n’a jamais vacciné quelqu’un dans les testicules » frisent le ridicule, car personne ne peut un instant croire qu’un médicament à ARN injecté dans l’organisme ne va pas circuler dans l’ensemble du corps qu’il est censé protéger. Par la circulation sanguine, il se répand partout comme les antibiotiques, les hormones, l’oxygène, le glucose…et ce médicament ne serait pas véhiculé par le sang jusqu’aux testicules ?

Oui : les vaccins mis actuellement sur le marché sont expérimentaux

Tant que les résultats définitifs et complets des essais phase III n’ont pas été analysés et publiés, l’utilisation d’un vaccin ou d’un médicament est expérimentale.

Les campagnes de vaccination en cours dans le monde constituent des essais phase III, simultanés de la phase IV qui a été instaurée par l’attribution d’AMM conditionnelle, en totale contradiction avec le schéma traditionnel des essais qui doivent respecter la hiérarchie des phases.

Le caractère expérimental de la vaccination actuelle se reflète d’ailleurs dans la fréquence très inhabituelle des complications observées après vaccination entraînant des alertes des agences sanitaires et la suspension de la vaccination dans de très nombreux pays.

Alerte de l’agence norvégienne après 28 morts post vaccinales chez des vieillards, abandon du vaccin Astra Zeneca par l’Afrique du Sud pour inefficacité, arrêt de l’utilisation de ce même vaccin par l’Autriche, abandon de ce même vaccin pour les plus de 65 ans en France et en Allemagne, puis suspension de l’utilisation de ce même vaccin dans la majorité pays européens après plusieurs décès post vaccinaux par phlébites et embolie.

Même chez les jeunes adultes qui ne risquent guère du Covid19, les vaccins sont suivis de complications comme le confirme l’alerte de l’agence française du médicament demandant ne pas vacciner en même temps les soignants d’une même équipe hospitalière pour éviter que de trop nombreux arrêts de travail empêchent la poursuite des activités[5] [6] [7], la suspension de la vaccination des pompiers dans les bouches du Rhône[8] après un arrêt cardiaque survenu 48 heures après vaccination…

OUI la vaccination est suivie de nombreux morts et incidents majeurs

Ne pouvant pas contester les chiffres d’Eudravigilance de 2500 morts survenues après vaccination, l’AFP avance l’absence de preuve de liens de causalité.

Pourtant lorsqu’une personne entre à l’hôpital pour une maladie cardiaque ou un cancer en phase critique et qu’elle meurt après un test PCR de dépistage positif, la cause de la mort est systématiquement étiquetée Cocid19 même si aucun signe clinque ou autopsique ne le suggère. Présomption de culpabilité en cas de test Covid19 positif.

Mais si un décès succède à une vaccination, il est systématiquement attribué à autre chose par les Agences. Présomption d’innocence en cas de vaccination anti covid.

Dans un jugement du 26 juin 2017, le tribunal européen de Luxembourg[9] a statué :

en cas de complication post vaccinale grave

« même en l’absence de consensus scientifique, les juges nationaux peuvent s’appuyer sur certains éléments de fait invoqués par le demandeur »

et ces éléments, s’ils constituent des « indices graves, précis et concordants » peuvent permettre « de conclure à l’existence d’un défaut du vaccin et à celle d’un lien de causalité entre ce défaut et ladite maladie ».

Les attendus de ce jugement paraissent ignorer des membres des agences. Ce refus systématique de la responsabilité de la vaccination représente un frein considérable à l’analyse objective des liens éventuels de causalité et à la recherche de cofacteurs qui pourraient éventuellement constituer des contre-indications et constitue la cause principale de la perte de confiance envers la parole publique et de la méfiance croissante envers les vaccinations.

Si les essais avaient été convenablement conçus en incluant un grand nombre de personnes âgées à forte comorbidité et si les témoins avaient reçu de vrais placebos totalement inactifs, les complications des vaccins auraient pu être reconnues et le lien de causalité analysé.

Mais les agences ont accepté des essais biaisés et bâclés, et autorisé l’injection de vaccin à des groupes de personnes pour lesquelles elles ne disposent d’aucune donnée de tolérance. Nous en payons actuellement le prix.

OUI la vaccination a partout été suivie d’une augmentation de la mortalité

Qu’il s’agisse des Émirats Arabes Unis :

D’Israël :

Ou en Grande-Bretagne :

La vaccination, comme tout traitement actif expose à des complications. Celles -ci sont d’autant plus graves qu’elles des touchent des personnes saines et non pas des malades et que pour elle le bénéfice éventuel n’est qu’incertain.

Seule une totale transparence peut rétablir la confiance. Les mensonges et les volte-face répétés du gouvernement et des médias, les mesures inutiles et parfois ridicules, voire grotesques, qu’on nous impose et la censure des opposants ne font qu’aggraver la méfiance.

Si on veut rassembler le pays, il faut changer de politique et arrêter de mentir et cesser la propagande mensongère qu’illustre la tribune de Juliette Mansour et de l’AFP.

Le ministre des Affaires étrangères de Taiwan, Wu avait proclamé fin février[10] :

« la véracité totale des informations sur la maladie et la transparence des motivations des décisions sanitaires sont les meilleures armes dans la lutte contre le Covid19 ».

Pourquoi nos gouvernants et nos médias ne l’ont-ils pas écouté au lieu de suivre l’exemple totalitaire chinois ?


[1] La base de données sur les résultats du ClinicalTrials.gov a été créée en septembre 2008 pour mettre en œuvre l’article 801 de la Food and Drug Administration Amendments Act of 2007 (FDAAA) (PDF), qui exige la présentation de « résultats de base » pour certains essais cliniques, généralement au plus tard un an après leur date d’achèvement (voir date d’achèvement primaire le ClinicalTrials.gov).

[2] Principal moteur de recherche de données bibliographiques de la biologie et de la médecine. PubMed est gratuit et donne accès à la base de données bibliographique MEDLINE.

[3] « Nous ne trouvons plus de macaques rhésus. Ils ont complètement disparu », témoigne ainsi Mark Lewis, PDG de Bioqual, sur le site américain the Atlantic.

[4] Ronald B. Brown Biais de déclaration des résultats dans les essais cliniques sur le vaccin à ARNm COVID-19 – Medicina 2021, 57 (3), 199 ;
https://doi.org/10.3390/medicina57030199

[5] France Info Vaccins Astra Zeneca : 149 soignants vaccinés ont présenté des “syndromes grippaux de forte intensité” après leur injection d’après l’ANSM 5/2/2021
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/vaccins-astrazeneca-149-soignants-vaccines-ont-presente-des-syndromes-grippaux-de-forte-intensite-apres-leur-injection-ansm_4293231.html[]

[6] FR3 Normandie Pourquoi l’hôpital de Saint-Lô a-t-il suspendu la vaccination des soignants par le vaccin Astra Zeneca ? 12/2/2021

[7] FR3 Normandie Vaccin Astra Zeneca : près de Rouen, des soignants inquiets après leur première injection Sur les 20 soignants de l’établissement hospitalier vaccinés durant la semaine, sept ont présenté d’importants effets secondaires qui ont mené à des arrêts maladie. Cela représente 30% du nombre de personnes ayant reçu une dose du sérum Astra Zeneca.

[8] par le Colonel Grégory Allione, Président de la Fédération Nationale des Sapeurs-Pompiers de France[]

[9] https://www.village-justice.com/articles/cjue-tranche-question-admission-preuve-par-presomption-defaut-vaccin-son-lien,26650.html

[10] Victor (Lin) Pu L’épidémie de coronavirus : comment Taiwan démocratique a surpassé la Chine autoritaire
le Diplomat 27 février 2020


Texte Dr Gérard Delepine.

Commentaire : à la lecture de ce qui précède, il est très facile de constater que les vaccins actuellement disponibles en Europe sont incontestablement en phase III, la phase d’expérimentation sur des cobayes.


Question

À la suite, nous pourrions continuer en présentant de très nombreuses études faites récemment par des scientifiques reconnus, démontrant la nocivité de ces soi-disant vaccins, mais nous préférons dans cet article nous arrêter sur un point précis en posant une question très simple.

Avant la « vaccination » anticovid, il avait fallu cinq ans pour élaborer et tester le vaccin contre le virus Ebola dont la mise sur le marché a été la plus rapide. Cinq ans, notamment pour avoir le temps d’effectuer les essais sur les animaux et les tests cliniques qui sont indispensables.

Comment peut-on donc définir, en étant sûr de ne pas se tromper, les personnes qui ne savent pas qu’un vaccin ne s’élabore pas en moins d’un an, mais en plusieurs années ?

Ce sont des ignorants.


Conclusion

Il n’est pas nécessaire d’être un grand clerc pour comprendre que cette crise a fait ressortir au grand jour – au minimum – la nullité crasse de ceux qui poussent aujourd’hui à la vaccination, qu’ils soient des politiques ou non.

Il en résulte que, issues du monde politique, des médias, ou de la santé, tous ceux qui incitent les gens à se faire vacciner sont désormais complètement discrédités. Ils ne méritent plus du tout notre confiance, définitivement plus !!!!

C’est la première fois dans l’histoire, que d’une manière aussi flagrante et massive, se dévoile aux yeux des gens sensés un tel degré d’ineptie.

En conséquence, déjà en ce qui concerne plus particulièrement les politiques, il est grand temps de se débarrasser rapidement de tous ces individus qui ont montré leurs limites, atteint et révélé – pour le moins – leur niveau d’incompétence à l’occasion de la crise sanitaire.

C’est à tout cela que nous songerons, quand nous mettrons notre bulletin de vote en papier dans une urne classique lors des prochaines élections.

Il est en effet hors de question, après ce qui s’est passé aux USA, de nous faire voter par l’intermédiaire de machines électroniques. Pour défendre les valeurs démocratiques, s’ils osent cependant nous les proposer, nous préférons les brûler.

Il est maintenant grand temps, pour les êtres éclairés, de passer à l’action et d’envisager sérieusement à reprendre légitimement les pouvoirs que des individus dominateurs et sans conscience ne méritent pas de détenir.

Un magnifique exemple à suivre étant celui de la doctoresse et députée Martine Wonner, puisse-t-elle faire de très nombreux enfants…


La convergence des vices cachés de l’Union Européenne va la couler définitivement

Pour ne pas lasser le lecteur nous nous limiterons à six.


L’Union Européenne coulée par l’objectivité




L’effondrement politique qui vient

[Source : Le Média]

Reprendre le pouvoir. Le titre du dernier essai de François Boulo a le mérite d’être compréhensible par tout citoyen qui a un jour goûté à la sensation étrange de n’avoir, en réalité, aucun moyen de peser réellement dans le cours de l’histoire de son pays. Une sensation d’autant plus étrange qu’à première vue, nous sommes en démocratie. Nous pouvons élire notre président de la République, notre député, notre maire, nos conseillers régionaux.

Et pourtant. Il y a un malaise démocratique en France et plus largement dans le monde. Il se double aussi d’une sorte de lent déclassement des classes populaires en Occident, où un néolibéralisme conquérant impose désormais sa règle d’airain. Ce mouvement préoccupant s’est accéléré avec la crise financière de 2008 et s’accentue avec la crise sanitaire que nous vivons.

Que deviennent les Gilets jaunes, courant né du refus de l’ordre qui se consolidait avant même le COVID 19 et ses confinements ? Le mouvement est-il mort ? Peut-il se réinventer ? Ne vaut-il que parce qu’il a été le signe du retour de la lutte des classes qui s’exprimera dès que la vie sociale reprendra ?

C’est autour de ces questionnements que se structure cet entretien avec François Boulo, avocat au barreau de Rouen, très vite devenu une figure de proue des Gilets jaunes. Une figure de proue qui a aujourd’hui pris du recul sans cesser de combattre, et qui s’exprime désormais sur sa chaîne Youtube, dénommée Praxis.




Crise sanitaire : « On va demander à la population de choisir entre 2 camps », estime Vincent Pavan

[Source : Epoch Times France]

Vincent Pavan est mathématicien, enseignant-chercheur à l’université d’Aix-Marseille. Sollicité par la défense dans le cadre d’une procédure judiciaire engagée à l’encontre de deux restaurateurs biterrois par le procureur de la République de Bayonne, il a revu le premier volet de l’étude ComCor, qui porte sur les lieux et les circonstances de contamination au virus Sars-COV-2.

Une étude épidémiologique coordonnée par le professeur Arnaud Fontanet, membre de l’Institut Pasteur et du Conseil scientifique, et menée en partenariat avec la Caisse nationale d’assurance Maladie (Cnam), Santé Publique France et l’institut de sondage Ipsos.

Cette étude a notamment été citée par Jean Castex au mois de décembre 2020 pour justifier le maintien de la fermeture des cafés et des restaurants décidée à la fin du mois d’octobre, dans le cadre du deuxième confinement.

La méthodologie retenue pour réaliser l’étude ComCor est-elle fiable ? Comment fonctionne le Conseil scientifique ? Quel regard peut-on porter sur la somme de chiffres et de statistiques produits depuis le début de l’épidémie ?

Esprits de Liberté a rencontré Vincent Pavan pour répondre à ces questions.




Antidote au délire sanitaire et vaccinal des gouvernements et des médias dominants

[Source : Pierre Chaillot. Transmis par Ben Lyo]

[Pierre Chaillot rejoint les conclusions de Marc Girard concernant l’absence de significativité sanitaire de la présence d’un virus covid19 (voir https://www.rolandsimion.org/coronavirus-mortalite-epidemiologie-fake-intimidation/#Un_quizz_conclusif_et_concluant). Il le montre avec des éléments imparables reprenant simplement les statistiques de décès officielle.]

1 – 100 000 morts, vraiment ? (28 avril 2021 – vidéo 20 minutes)

2 – La dictature des tests (22 février 2021 – vidéo 19 minutes)

3 – Nouveau confinement : l’excuse des jeunes (2 avril 2021 – vidéo 8 minutes)

4 – Augmentation des décès de 9 % : c’est grave docteur ? (18 janvier 2021 – vidéo 10 minutes – c’est cette vidéo qui est reprise par Les Décodeurs du journal Le Monde et rediffusée dans la vidéo en 7)

5 – Les mauvais calculs d’une vidéo qui prétend que le Covid-19 serait « moins mortel que la grippe en 2017 » (Article des Décodeurs critiquant la vidéo en 4 – 22 janvier 2021) :
https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/01/22/les-mauvais-calculs-d-une-video-qui-pretend-que-le-covid-19-serait-moins-mortel-que-la-grippe-en-2017_6067272_4355770.html

6 – Covid VS Grippe : les mauvais calculs des décodeurs (27 janvier 2021 – vidéo 9 minutes répondant à l’article des Décodeurs en 5)

7 – L’arnaque de la chute de l’espérance de vie (11 avril 2021 – 16 min)

8 – COVID-19 : « LE PAPY-BOOM FAIT DE LA RESISTANCE ! » (Interview vidéo de Pierre Chaillot 1h35, par un média indépendant avec également la participation d’un Gilet Jaune) :
Sauter la partie entre 6 min 45 et 16 min 30 qui n’est que la rediffusion de la vidéo Augmentation des décès de 9 % : c’est grave docteur ?

9 – Les déconneurs du journal Le Monde au service de la propagande vaccinale (Marc Girard – 23 juillet 2017)
L’article de Marc qui mettait déjà en lumière les imbécillités de Adrien Sénécat des Décodeurs du journal Le Monde, rédigé au moment de la promotion du futur élargissement des obligations vaccinales.

Les déconneurs du journal Le Monde au service de la propagande vaccinale

23 juillet 2017

RÉSUMÉ – L’indigence des contributions signées par « les Décodeurs » du journal Le Monde me paraissait tellement évidente que je n’avais pas spontanément éprouvé le besoin d’en parler; néanmoins, il m’a été fait demande de les réfuter. Exécution…

Table des matières

  • Introduction
  • Critères intrinsèques de crédibilité
    • La vérité comme monopole durable
    • Formation intellectuelle
  • “Antivaccins : des mensonges dans un débat légitime” (11/07/17)
  • “Vaccin contre l’hépatite B et sclérose en plaques : non, la justice européenne n’a pas reconnu le lien”(12/07/17)
  • Conclusion

Introduction

Sous la rubrique « Venons-en aux faits », dont les rédacteurs ont été vaccinés d’office contre le doute cartésien et dont le titre suinte déjà l’humilité scientifique, le journal Le Monde éjacule sans désemparer des articles sur les vaccinations, qui s’ajoutent à d’autres contributions non moins rigoureuses[1] complétées par celles de blogueurs invités tels que celui qui introduit sa chronique de la façon suivante, laquelle suinte, elle, le souci de vérification : « Les vaccins constituent la plus belle victoire de la médecine »…

Réclamé par certains lecteurs, le présent article vise un décodage du décodage, mais sans souci d’exhaustivité : comme je dis souvent, « on n’a pas besoin de manger un œuf jusqu’au bout pour voir qu’il est pourri ».

Critères intrinsèques de crédibilité

La vérité comme monopole durable

Que les employés de Pierre Bergé (qui ne voit aucune différence entre salarier sa force de travail et louer son ventre à fin de gestation pour autrui) ou Xavier Niels (qui a gagné ses premiers sous grâce au Minitel rose) s’imaginent que la vérité scientifique, c’est juste un truc parmi d’autres qu’il suffit d’acheter comme le reste, cela n’est guère étonnant. Personnellement, je ne connais qu’une seule instance (elle aussi pourvue de moyens financiers conséquents) qui ait revendiqué un monopole durable de la Vérité : c’est le Saint-Office.[2] Autant dire que les « décodeurs » du Monde s’inscrivent dans une tradition notoirement prisée pour son ouverture d’esprit et son souci de la vérification expérimentale – demandez à Galilée.

Foin du passé, de toute façon : la rhétorique d’intimidation scientifique derrière le procédé qui consiste à se poser en croisé de la science (et donc à ravaler tout contradicteur au rang de mécréant) se déchiffre aisément sur la base de quelques précédents (parmi bien d’autres…).

  • Au moment de l’escroquerie H1N1, le site « Hoaxbuster » (supposé, comme « Venons-en aux faits », ne connaître que l’irréfutable Loi de la Science) avait mandaté un de ses preux pour se faire mon scalp « d’imposteur ». Dans l’affrontement-minute qui a suivi, les heaumes sont vite tombés : tandis que, conformément à mes prévisions depuis le tout début, la pandémie faisait lamentablement pschitt, il est vite apparu qu’au terme d’un cursus regrettablement erratique et lamentablement stérile, le croisé en question n’avait trouvé d’autre issue dans sa vie qu’acheter un ersatz de « diplôme » (n’ayons pas peur des mots…) moyennant deux mois de formation aux « éléments du langage médical » dispensée dans une école payante vouée au recrutement de sous-sous-larbins au service de l’industrie pharmaceutique…
  • S’attaquant à moi quelques années plus tard avec le courage de l’anonymat, mais assez bêtes pour laisser transparaître l’identité de leur sponsor, les collaborateurs du site PSIRAM – également autoproclamés défenseurs intransigeants de la Science – n’ont même pas été capables de trouver mon CV pourtant parfaitement disponible dès la page d’accueil de mon site, ce qui les a ridiculement conduits à m’attribuer – entre autres – des écrits d’exégèse biblique (dont le véritable auteur est un éminent homonyme, étranger de surcroît) : pour diverses raisons d’ordre biographique (dont je ne suis pas fier), j’ai déjà eu beaucoup de mal à apprendre – tardivement – un peu d’anglais, et j’avoue ne pas me sentir très à l’aise avec l’hébreu et l’araméen dans le texte… Mais il faut croire que pour mes sourcilleux critiques-au-service-de-la-Science, le travail de recherche documentaire, c’est du chinois…
  • Je suis tombé l’autre jour par hasard sur un autre site du même genre, dont je n’ai même pas retenu l’adresse, qui pourfendait sélectivement quelques anti-vaccinalistes parmi les plus nuls, tout en me citant subrepticement dans la « bibliographie » qui suivait mais évidemment sans prendre le risque de formuler précisément la moindre critique me concernant. Cette stratégie d’amalgame m’a rappelé ce passage d’un très officiel bouquin catho publié sous Vichy, qui se lançait dans une dénonciation collective en commençant de la façon suivante (je cite de mémoire, mais c’était le ton) : « Les communistes, les socialistes, les libertins, les francs-maçons (…) ». On a l’esprit Saint-Office ou on ne l’a pas…

À côté de ce procédé faux-cul qui consiste à décrédibiliser par allusion globalisante un intervenant significatif (qui peut inscrire à son tableau de chasse, entre autres, un rôle à tout le moins significatif dans le lamentable échec de la campagne de vaccination contre le H1N1) mais en esquivant la tâche de le réfuter sur ce qu’il a vraiment dit,[3] il y a aussi la méthode-Tartarin consistant à réfuter pied à pied un contradicteur qui n’en n’est pas un : dans le premier des deux articles qu’on va examiner plus bas, le décodeur de service va citer pas moins de sept fois Michèle Rivasi, dont on ne sache pas qu’elle ait la moindre compétence en matière de pharmacie industrielle ou de médecine, et dont l’un des titres de gloire les plus récents consiste à s’être posée en vaillant défenseur du vaccin contre la rougeole : c’est un retour « aux faits » finalement assez confortable que de fonder une propagande sur une pseudo-réfutation des propagandistes du même camp…[4] Mais le chevalier servant de « la » Science chérie par Le Monde ne se contente pas de réfuter une ancienne prof. de SVT : avec une audace qui frise la témérité, il va jusqu’à affronter le site breizh-info.com, tristement connu pour avoir fait courber l’échine des Riches et des Puissants, représentant parmi les plus redoutés de ce que d’autres croisés impayables dénoncent sans rire comme « lobbys (sic) antivaccinaux ».

Sans entrer dans une réflexion épistémologique tant soit peu élaborée, disons simplement que cette illusion que quiconque pourrait durablement s’installer dans le bunker de la Vérité pour y canarder les « imposteurs » ou dissiper « la rumeur » signe assez une remarquable inculture – pas seulement scientifique, d’ailleurs. C’est sur la base de cette évidence qu’avant qu’on ne m’en fît explicitement la demande, je n’avais jamais pris la peine de réfuter les bouffons qui se présentent comme missionnés (mais sans jamais nous dire par qui) pour « décoder » une réalité scientifique dont ils sont si manifestement éloignés.

Formation intellectuelle

La moindre des choses, quand on prétend prendre une position publique sur un problème technico-scientifique, c’est de justifier sur la base de quelle formation et de quelles réalisations antérieures. Les contributions de propagande vaccinale que je me propose d’analyser aujourd’hui ayant été rédigées par un certain Adrien Sénécat, il suffit de cliquer sur son nom pour constater, à partir de sa photo, qu’il n’a les cheveux blancs ni de l’érudition ni de l’expérience[5], et apprendre qu’il est simplement « journaliste », on ne sait même pas d’où : sans ironiser une fois encore sur le niveau des « journalistes » français tel qu’il saute aux yeux de n’importe quelle personne ayant un minimum de familiarité avec ce milieu, on émettra quelques doutes quant à la compétence que peut conférer une école de journalisme relativement à une problématique technico-réglementaire intriquée et complexe qui échappe déjà à la plupart des professionnels de santé[6] (pour ne rien dire des juges « spécialisés »)…

On se le permettra d’autant plus que ce même lien conduit à d’autres contributions dont notre jeune « décodeur » est apparemment très satisfait, et qui concernent, pêle-mêle, la circulation des informations, le problème du cumul chez les parlementaires, l’affaire des « pièces jaunes », les armes chimiques, les tensions religieuses, le terrorisme, le végétarisme, le chômage, la répression policière – j’en passe beaucoup, et des meilleures. Ce n’est certes pas sous ma plume que l’on trouvera une condamnation de principe de l’interdisciplinarité, mais outre qu’il s’agit alors plus d’une ascèse que d’une distraction, outre qu’entre apprendre pour soi et exposer pour les autres, il y a quand même un sacré saut, le dilettantisme de notre pigiste grimé en journaliste est encore confirmé par le temps record (moins d’un an et demi) qu’il lui a fallu pour rédiger (évidemment chaque fois après « enquête » – hi !hi !) pas moins de 34 « articles ».[7] C’est bien facile de « décoder » le Réel quand on n’a fait aucun effort pour en mesurer la complexité…

De nouveau, si je n’avais pas été expressément sollicité pour réfuter ces torche-culs, le constat qui précède aurait largement suffi pour que je passe mon chemin sans m’y attarder davantage : ne pas perdre son temps, ni son énergie, sur ce qui n’en vaut manifestement pas la peine est justement la fonction principale de mes « critères intrinsèques de crédibilité ».

Ces quelques préliminaires méthodologiques étant posés, examinons d’un peu plus près deux des récentes contributions de notre journaleux polygraphe – en pastichant, pour détendre l’atmosphère, la rhétorique faraude du site « Les Décodeurs » (« Pourquoi c’est faux/ Pourquoi c’est exagéré […] »).

“Antivaccins : des mensonges dans un débat légitime” (11/07/17)

Onze vaccins, mais pas onze piqûres à la fois

Pourquoi c’est exagéré

Il s’agit, pour notre sémillant décodeur, de décrédibiliser les abrutis qui voient un risque dans l’augmentation du nombre d’immunisations. Cependant :

  • si le nombre d’injections est un paramètre insignifiant, pourquoi ce dernier a-t-il été outrageusement exploité par le marketing pharmaceutique pour justifier l’introduction de vaccins multivalents (supposés permettre une réduction du nombre d’injections) ?
  • à limiter le nombre d’injections au seul problème de ce qu’un professionnel de recherche clinique appellerait « la qualité de vie » (à savoir, en l’espèce, les conséquences immédiatement douloureuses), notre oblat de la Science emboîte le pas aux commerciaux des fabricants qui s’obstinent à ignorer que le risque de réaction auto-immune est forcément augmenté par le nombre des immunisations (la fameuse « mosaïque de l’auto-immunité »).

Les nouveaux vaccins ont beaucoup moins de molécules antigéniques que les vieux

Pourquoi c’est inepte

On aimerait bien savoir comment le porte-plume de Bergé-Niels déguisé en porte-oriflamme de la Vérité fait en pratique pour dénombrer, quasiment à l’unité près, le nombre d’antigènes administrés par vaccin ! Sait-il qu’avec le moindre médicament, si anodin soit-il, on est dans une totale ignorance du nombre total de métabolites (molécules dérivées de la molécule-mère après « digestion » par l’organisme), dont certains peuvent néanmoins déclencher des réactions graves même s’ils n’existent qu’à l’état de trace indétectable par les moyens analytiques disponibles ? A-t-il entendu parler des normes de tolérance en matière d’impuretés, qui attestent qu’en pratique personne ne prétend maîtriser l’intégralité des substances contenues dans un produit manufacturé (qu’il s’agisse de médicament, de cosmétique, de produit alimentaire…) ?

Un bébé n’est pas « trop fragile » pour supporter des vaccins

Pourquoi c’est aussi idiot que monstrueux

  • C’est idiot : apparemment chapitré sur la portée de cet indice minimum de crédibilité, notre journaliste spécialisé en tout ne peut néanmoins s’empêcher de retomber dans une globalisation de propagande : si « LES » vaccins sont une entité dont on peut parler globalement, aurait-il l’obligeance de revenir sur le retrait d’Hexavac et sur ses raisons ? Sur celui du DTP ? Sur celui de Pandemrix ? Personne ne serait assez idiot pour clamer qu’un bébé n’est pas trop fragile pour supporter DES médicaments : ça dépend lesquels. Eh bien ! n’est-ce pas la même chose avec LES vaccins?…
  • C’est monstrueux : quand la tendance actuelle consiste à contourner le préalable naguère inévitable des essais cliniques, on aimerait bien que notre porte-voix de la pègre médico-pharmaceutique fasse une revue sérieuse des études attestant la bonne tolérance DES vaccins chez LE bébé (lequel, déjà ? Rappelez-moi son nom…). Dans l’entretemps, ce n’est pas sa référence ridicule à « une étude allemande de 2000 » qui sera de nature à rassurer quiconque dispose de la moindre compétence en recherche clinique :
    • aucune information sur le financement, aucune procédure d’aveugle, procédure de randomisation même pas apte à garantir un sex ratio équilibré entre les groupes et, de toute façon, ridiculisée par un taux d’exclusion de 39% dans le groupe vacciné contre 11% dans le groupe non vacciné ;
    • encore plus fort : l’évaluation des défenses immunitaires des enfants s’est faite – en ouvert, donc – sur la seule base d’un suivi assuré par les mères
    • dans un article correspondant à un volume total d’environ 350 lignes, la section Résultats, en principe centrale, se limite à… 15 lignes.

Au total et pour résumer, l’étude – « allemande », nous dit Adrien Sénécat avec des étoiles dans les yeux –, financée par on ne sait qui, et auditée on sait encore moins par qui, s’est contentée, après consultation sommaire des mamans, de poser la question de savoir si des gamins vaccinés au su et au vu de tout le monde allaient mieux que des gamins non vaccinés, également au su et au vu de tout le monde. Inattendue mais imparable, imparable parce qu’inattendue, la réponse été « Jawohl, natürlich ! » – et elle a retenti comme un cinglant démenti à « la rumeur » qui véhiculait que les choses pourraient être un peu plus complexes…

Même Goebbels faisait plus subtil…

L’organisation mondiale de la santé estime que (…) on pourrait sauver 1,5 millions de vies supplémentaires en améliorant la couverture mondiale de LA vaccination

Pourquoi il y a des limites dans le foutage de gueule, même quand il est financé par Bergé, Niels & Co

Curieusement, notre journaleux oublie d’en « revenir au faits » pour décoder tout un tas de « rumeurs ».

  • Pourquoi faudrait-il croire sur parole l’OMS qui, parmi tant d’autres escroqueries, nous avait prédit une catastrophe sans précédent si on omettait de se vacciner contre le H1N1 ?
  • À quelle vaccination précise pense l’OMS sous couvert de LA vaccination (cf. ci-dessus) ? À Pandemrix, retiré dans les conditions de clandestinité que l’on sait, à cause de complications pour lesquelles la solidarité nationale continue de casquer ? Au DTP introuvable en France – bien qu’apparemment, il « pourrait » contribuer à un sauvetage de vies par centaines de milliers au moins ? À la forme d’Hexavac retirée précipitamment en 2005 ? Au vaccin contre la rage ? À celui contre la maladie de Lyme retiré non moins précipitamment par GSK voici quelques années, sans un mot d’explication crédible ? À celui contre le terrible fléau des érections matinales ?
  • En quoi les « Français de souche » (pour parler comme la chère Nadine), surtout s’ils n’ont pas de quoi partir en vacances (il y en a de plus en plus), seraient-ils concernés par le poids sanitaire de toutes les maladies infectieuses du monde entier ? La fièvre jaune ? La maladie du sommeil ? La bilharziose ? Les filarioses ? En quoi seraient-ils concernés par une morbi-mortalité certes infectieuse, mais notoirement corrélée à des facteurs tels que la malnutrition ou l’absence d’eau potable ? Si tout le monde est indistinctement concerné par tous les problèmes sanitaires dont l’OMS est supposée s’occuper, faut-il obliger – puisque ça devient la mode ici – tous les adolescents obèses de cheunoux à manger encore plus pour épargner « les millions de vies » menacées ici et là par la malnutrition ?

Le ministère de la santé estime que l’élargissement de la couverture vaccinale coûtera [seulement] entre 10 et 20 millions à l’Assurance maladie

Pourquoi l’esprit est prompt alors que la chair est faible

Quand on brandit les menaces de l’OMS (cf. ci-dessus) concernant les risques encourus si l’on ose résister aux injonctions de Big Pharma relayées par l’OMS, on peut brandir les estimations financières du gouvernement français quant au coût des cadeaux offerts à Big Pharma par le gouvernement français : c’est un peu comme si on s’était fié à Bokassa pour estimer la valeur des diamants qu’il avait offerts à Giscard. Du grand journalisme…

Les parents qui refusent la prison iront-ils en prison ? (…) Dans les faits, [l’article L3116-4 du Code de la santé publique qui prévoit un tel emprisonnement] est très rarement appliqué

Pourquoi la France va connaître une grave pénurie de moquettes si les amoureux des « faits » continuent d’en fumer autant

Il a dû échapper à notre champion du retour aux faits que tout l’objet du débat était précisément de changer la loi : que l’actuelle soit ou non régulièrement « appliquée » n’est guère informatif quant à la façon dont la nouvelle loi le sera…

Dans 30% des cas [d’hépatite B] en France, le mode de contamination est inconnu

Pourquoi l’homme qui a vu l’homme (…)

Sans me vanter, je pense avoir été le premier à documenter, textes en main, que les autorités françaises – notamment par la voix de leurs experts les plus éminents, tels que le président du CTV – s’étaient continûment fichues du monde avec leurs estimations alarmistes tant de la fréquence de la maladie que des modes de contamination. Avide, à la différence du jeune Sénécat, de « revenir aux faits » s’il peut s’avérer que je me suis trompé d’une façon ou d’une autre, je me suis donc précipité sur le lien fourni par ce dernier supposé documenter (« Venons-en aux faits ») son estimation quantitative des modes de contaminations inconnus.

Cependant, « la preuve » en question est un banal texte du site officiel Santé Publique France qui soutient textuellement (mais sans la moindre référence) : « Dans 30 % des cas, le mode de contamination reste inconnu »… Ainsi :

  • comme démontré plus haut avec l’estimation par les autorités sanitaires du cadeau offert aux fabricants par les autorités sanitaires, le décodeur du Monde n’a pas meilleure source que les autorités sanitaires pour vérifier la propagande mensongère des autorités sanitaires ;[8]
  • lorsqu’il veut prouver que dans 30% des cas, le mode de contamination reste inconnu, le jeune Sénécat fournit un lien Internet renvoyant à une assertion exactement identique quoique pas mieux référencée. Nous sommes typiquement dans la pathologie Internet que j’ai décrite dans une contribution récente :
    “Parler sans savoir et, par conséquent, sans avoir l’obligation morale de vérifier : il suffit qu’en cliquant, je puisse me convaincre que je ne suis pas seul à parler et m’entretenir dans l’illusion que je suis écouté. (…) Par rapport à une pensée aussi plate, en contenu, qu’une feuille de papier à cigarette, l’interconnectivité produit une illusion de profondeur : par contraste, quand on s’est effectivement approprié un savoir ou une pensée, on n’a pas constamment besoin de se rassurer en multipliant les connexions qui en imposent pour des références.”

À lui seul, ce dernier exemple devrait suffire à caractériser la véritable nature du site « Les Décodeurs » du Monde :[9] une bête instance de propagande, et particulièrement balourde de surcroît.

“Vaccin contre l’hépatite B et sclérose en plaques : non, la justice européenne n’a pas reconnu le lien”(12/07/17)

À l’heure où l’on bat les blés au soleil en cumulant le plaisir de bronzer et celui de se refaire les biscoteaux, j’ai déjà été bien assez bon de commencer à évacuer – et gracieusement (sans même prendre le temps d’aller déposer une main courante, par exemple au Pôle santé…) – le fumier intellectuel sauvagement abandonné, en date du 11/07/17, par les décodeurs du Monde au beau milieu de la salle à manger. Comme annoncé en Introduction, ne comptez pas sur moi pour balayer toutes les déjections qui restent : mettez-vous au boulot ou évitez l’endroit.

Mais avant d’aller me tremper dans l’eau de Javel pour me désinfecter, j’aperçois encore une fosse à purin que je me propose de curer ; à cause de l’odeur – pour parler comme Chirac –, on va essayer de faire vite. Il s’agit du docte commentaire de notre décodeur sur une récente décision de la Cour de justice de l’Union Européenne (juin 2017) concernant la judiciarisation des complications survenues après vaccination contre l’hépatite B.

L’OMS a émis de sérieuses réserves

Pourquoi l’amour a ses raisons…

Ce n’est pas en lisant le journal de Pierre Bergé qu’on va s’émouvoir de l’intriguant amour qui unit si compulsivement l’OMS et les décodeurs du Monde (cf. plus haut), même si d’aucuns peuvent le juger contre-nature (l’intriguant amour – pas Pierre Bergé, cela va de soi)…

En tout cas, il faut vraiment les yeux de l’amour pour imaginer comme simplement possible une position critique de l’OMS à l’endroit des vaccins contre l’hépatite B, alors que, exactement comme avec le H1N1, cette instance a été l’ardent promoteur – forcément désintéressé – du génial projet de vaccination « universelle » tout au long des années 1990 : rappelez-vous le Viral Hepatitis Prevention Board

Rien ne permet donc aujourd’hui d’établir un lien de cause à effet entre [vaccination et SEP]

Pourquoi il vaut mieux entendre ça qu’être sourd

« Aujourd’hui », certes, vu ce que ça coûterait aux concepteurs et promoteurs du génial projet évoqué ci-dessus. Mais en 1991 – quand Adrien Sénécat n’était pas encore né – c’est bien le fabricant d’Engerix qui a pris l’initiative de demander aux autorités de mentionner le risque de SEP dans la notice du produit.

Et si, dans l’entre temps, le même Adrien Sénécat a eu l’occasion d’apprendre à lire, il pourra vérifier tout seul (un petit effort, allons !) que ce risque est toujours mentionné dans la plupart des notices de ce vaccin dans le monde entier.

Il pourra toujours soutenir – à l’instar de ses donneurs d’ordres – que ça ne veut rien dire, mais il aurait été plus crédible dans ses dénégations s’il avait été mieux informé de l’histoire : mieux informé des « faits », quoi… Et plus crédible, aussi, s’il avait connaissance des procédures réglementaires qui conditionnent la mention d’un tel risque dans le Résumé des Caractéristiques du Produit (c’est-à-dire, en l’espèce, dans la notice Vidal).

Accessoirement, s’avisant enfin du devoir de « vérification » pourtant posé en exergue du site où il sévit, Adrien Sénécat pourrait s’interroger sur la crédibilité de l’étude de Zipp et coll.[10] qui a tant contribué à réorienter la jurisprudence française dans une direction tellement plus favorable aux intérêts des fabricants. S’il ne sait pas faire, on pourra toujours l’aider…

Des débats juridiques qui dépassent le cadre scientifique

Pourquoi Macron va finir par rappeler son chef d’état-major en se disant que tout le monde peut péter une durite

Si le décodeur du Monde avait une meilleure connaissance des « faits » auxquels il prétend faire revenir ses lecteurs, il saurait que ce sont les promoteurs de cette vaccination[11], ainsi que les avocats des fabricants, qui ont constamment détourné la question scientifique cruciale (y a-t-il un lien de causalité ?) vers une problématique judiciaire, sinon juridique, en soutenant effrontément que si les fabricants étaient condamnés, cela engendrerait une intolérable crise de confiance du public à l’endroit de LA vaccination.

La justice européenne ne s’est pas prononcée sur le fond du dossier

Pourquoi « oculos habent et non videbunt »[12]

Tout dépend de ce qu’on appelle le « fond » : personne – à l’exception des fabricants et de leurs avocats (cf. plus haut) – n’aurait eu l’idée incongrue de demander à la justice de se prononcer sur la question scientifique du lien de causalité.

Mais si le « fond » du dossier tient aux conditions d’exonération de la responsabilité des fabricants dans l’apparition de complications vaccinales, notre polygraphe trop pressé n’a manifestement pas pris le temps d’enquêter sérieusement ni sur l’historique, ni sur la dynamique de la jurisprudence française à ce sujet. De la sorte, il n’a pas pu comprendre que la décision européenne était une gifle pour la Cour de cassation qui s’est crispée depuis quinze ans sur des motivations indigentes,[13] dans le but manifeste de ne pas créer un mouvement d’indemnisation qui n’aurait pas manqué de conduire à la ruine de la société Aventis, vitrine industrielle dont les autorités – toutes tendances politiques confondues – sont tellement fières et qu’elles se sont donné tant de mal à établir.

Ce pourrait être un vrai décodage, digne d’un journal naguère prestigieux, de se lancer dans une véritable investigation concernant un tel scandale, en essayant de comprendre le processus qui a permis :

  • au civil, de garantir une aussi confortable immunité aux responsables d’un drame de santé publique sans précédent à ma connaissance ;
  • au pénal, de cantonner le Pôle santé dans une inertie tellement inconcevable (compte tenu du nombre de preuves disponibles) qu’elle en serait comique si elle n’était tragique.

Conclusion

Tout ça pue : comme annoncé, je vais me doucher.

À l’eau de Javel…


  1. Dans celle qui vient d’être citée, la question des vaccinations est posée comme allant de soi (ça gagne déjà une étape dans la démonstration), avec pour seul problème : « comment restaurer la confiance », c’est-à-dire quasiment mot pour mot, la mission naguère confiée à Madame Hurel, dont les compétences médico-scientifiques sont internationalement reconnues. La brillante anthropologue interviewée par Le Monde poursuit en recommandant que l’école soit associée aux parents pour la promotion des vaccins, soit deux ressources dûment répertoriées comme stratégiques par le marketing pharmaceutique dans la promotion des traitements les plus fous (P. Conrad & MR Bergey. Social Science & Medicine 122 [2014] : 31-43) : c’est quand même ballot de se retrouver, au nom flamboyant de la Science, sur des recommandations édictées à son profit par la pègre médico-pharmaceutique…
  2. À y réfléchir de façon tant soit peu philosophique, on se rend compte que dans l’histoire des tyrannies idéologiques ou religieuses, il y a toujours une caste de gens (monarques, chefs religieux, réformateurs, chefs du Parti, Grands Timoniers…) qui s’attribuent le pouvoir de discriminer entre le Bien et le Mal, entre la Liberté et la Servitude, entre la Vérité ou le Mensonge – même si leurs justifications sont radicalement antagonistes selon le camp qu’ils ont choisi : ainsi et pour les chrétiens du Moyen Age, “la vraie liberté était de servir le Christ” – et, par conséquent, de se soumettre corps et âme à ceux qui s’arrogeaient le droit de parler en son nom (Ph. Buc. Guerre sainte, martyre et terreur, Gallimard, 2017: p. 330.). Ce raisonnement primaire est exactement celui des Décodeurs du Monde qui, nonobstant des CV pas toujours convaincants, s’arrogent le droit de discerner entre la Science et l’Erreur (“Pourquoi c’est faux”) : ainsi et malgré une série de scandales que ces derniers ignorent ou occultent, l’Organisation Mondiale de la Santé, c’est le “retour aux faits”, tandis que moi, c’est “la rumeur”. Il y a juste qu’à la fin, les “experts” de l’OMS gagnent beaucoup plus d’argent que moi… C’est une des escroqueries de l’époque (d’ailleurs hautement défendue par Madame Buzyn): que le meilleur moyen pour gagner de l’argent (beaucoup d’argent), ce serait de prendre le parti de la Science, de la Vérité (et de la rigueur opposée à la rumeur)…
  3. Objectif qui devrait être d’autant plus à la portée des intrépides pêcheurs de « faits » que l’intégralité de mes analyses est disponible sous forme écrite.
  4. Dans une interview parue sur Franceinfo le lendemain (24/07/17) de la présente mise en ligne, Madame Rivasi pose d’emblée et sans la moindre précaution oratoire: “je suis pour LES vaccins”. On ne saurait choisir son camp de façon plus caractérisée, quoique fondamentalement débile (LES vaccins…). Poursuivant sur la même ligne, elle affirme que ce n’est pas aux labos de “décider”, mais au médecin: nous qu’on croyait comme des cons au préalable du consentement informé des candidats à la vaccination (ou de leurs représentants légaux)… De toute façon, il a dû lui échapper que ce ne sont jamais les labos qui vaccinent, mais les médecins – même (et surtout) en cas de réquisition, d’où la question que ne pose pas notre “lanceuse d’alertes”: pourquoi les médecins mettent-ils en oeuvre aussi docilement les “décisions” des labos? C’est à des détails comme ça qu’on mesure la profondeur de réflexion qui prévaut chez nos parlementaires – notamment ceux qui se présentent médiatiquement comme les plus conscientisés. Dans la famille des parlementaires qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez, on avait déjà eu Gérard Bapt – grand pourfendeur des lobbies et des conflits d’intérêts – qui avait accepté de présider le Club Hippocrate apparemment sans s’être posé la moindre question sur ce qui pouvait conduire des firmes pharmaceutiques à financer une instance de “réflexion” regroupant des sénateurs et des députés…
  5. En cherchant un peu sur la Toile, on finit par reconstituer, à la louche, qu’il a aux alentours de 25 ans : « à la louche », car – indicateur intéressant de l’organisation cognitive propre à la génération Internet – le gars-là n’a apparemment pas réalisé que l’âge qu’il avait le jour où il a rédigé son CV a forcément évolué à mesure que le temps a passé depuis… Vingt-cinq ou 27 ans, de toute façon, ça fait un peu jeune pour pontifier, avec une telle fréquence et sur une telle variété de thèmes, dans un des principaux quotidiens de notre pays : en son temps, JY Nau devait y passer pour un vieux Sage à côté…
  6. Il suffit de se reporter au désopilant « rapport » sur le médicament signé en 2011 par B. Debré et Ph. Even pour apprécier l’ignorance abyssale de ces deux « prestigieux » auteurs sur le sujet…
  7. Pour la seule rubrique « Décodeurs du Monde »…
  8. Ça rappelle un peu le mode de raisonnement de la Cour de cassation…
  9. Une fois encore, ce procédé de “décodage” est parfaitement répertorié parmi les plus grosses ruses de la rhétorique pseudo-scientifique qu’affectionnent aujourd’hui les commerciaux de l’industrie pharmaceutique: on avance une énormité opportuniste que l’on référence par un petit chiffre, alors que la référence à laquelle renvoie ce petit chiffre n’a rien à voir avec l’assertion qu’elle est supposée documenter.
  10. Nature Medicine. 1999 ; 5(9):964-5.
  11. Calès P, Gastroenterol Clin Biol 2003 ; 27 : 865-867.
  12. “Elles [les idoles] ont des yeux et ne voient pas” (Psaume 115)
  13. Girard M. La défectuosité: vers une réappropriation juridique du fait. Petites Affiches 2006 ; n° 132 : 8-14. Girard M. L’intégrisme causal, avatar de l’inégalité des armes? Recueil Dalloz 2005 ; n° 38/7223 : 2620-1.




Michel Onfray : « Les militaires ont raison de sonner le tocsin »

[Source : Front Populaire]

Alors que la tribune des militaires à la retraite appelant le monde politique à renouer avec l’honneur et le patriotisme agite les débats au point d’ébranler la macronie, Michel Onfray livre son analyse.




Bill et Melinda divorcent, on ne nous dit pas tout !

[Source : lemediaen442.fr]

Par Jacqueline

Que Bill et Melinda divorcent, on s’en fout, me direz-vous. C’est d’ailleurs ce que j’ai répondu à Marcel quand il a proposé de faire un papier là-dessus. Sournoisement, il n’a pas manqué de me rappeler ce que je lui avais dit des « faits divers à la con » qui, mine de rien, offrent un tas informations sur la société.

Les médias ont annoncé l’« événement ». Vous avez remarqué leur unanimité ? Je ne vous donne que les titres — question de place —, mais vous pouvez vérifier, les articles sont tout aussi insipides.  « Bill et Melinda Gates annoncent leur divorce après 27 ans de mariage » titrent mot pour mot Le PointVoici20minutesFranceInfo et Ouest-France.  Une autre tournure : « Bill Gates et sa femme Melinda annoncent leur divorce », titre dont la sobriété reflète le sérieux du Monde, mais aussi des Échos, du Courrier International et même de La Provence. Certains audacieux osent tourner la phraseras légèrement différemment. « Bill et Melinda Gates mettent fin à 27 ans de mariage » annonce Le Dauphiné et Le Parisien : « Le milliardaire Bill Gates et son épouse Melinda divorcent après 27 ans de vie commune ». On sent qu’ils marchent sur des œufs. Faut faire attention à ce qu’on écrit, surtout ne pas contrarier Bill. Il peut être très généreux quand c’est son intérêt (Le Monde a reçu 4 millions).
Pourtant « la liberté d’expression n’a été aussi totale qu’aujourd’hui »,  nous dit François Busnel en présentant La Grande Librairie sur France5, ajoutant « c’est au nom de la liberté d’expression précisément que certains jouent les apprentis censeurs, se défoulent, et que des extrémismes se font entendre ».

Bill subventionne sa liberté d’expression

La liberté d’expression totale dont parle Busnel s’est pleinement manifestée à l’occasion du divorce de Bill et Melinda. « On » ne parle pas de Bill, ou seulement pour dire ce qu’il nous demande de dire. Et avec les mêmes phrases, sans déborder. Le « on », ce sont les milliardaires (Niel, Pinault, Arnaud, Dassault , Drahi, Bouygues…) propriétaires de médias. Ces milliardaires qui obéissent à Google, Facebook et… Bill Gates.

Les dessous d’une success story

Il faut chercher sur BBC News pour apprendre que lorsqu’ils se sont mariés en 1994 sur l’île hawaïenne de Lanai, ils auraient loué tous les hélicoptères locaux pour empêcher les invités indésirables de passer. Une ébauche, très ténue, de critique, car dans nos médias français, la vie de ce couple heureux — on se demande pourquoi ils divorcent — qui se consacre à la philanthropie et qui a des enfants magnifiques, ne souffre que d’une ombre : « Comment vont-ils se partager leur fortune ? » On cherche en vain comment ce couple le plus riche du monde, qui a distribué son argent aux pauvres via sa Fondation, a pu augmenter sa fortune. Elle est passée de 90 milliards de dollars en 2016 à 146 milliards de dollars en 2021. On peut se poser des questions. Les médias non. Tout est lisse dans la présentation de ce couple sympathique.
Allez ! on va fouiner dans cette  success story en commençant par le début. Par Microsoft.

Bill vole son associé 

Bill débute sa carrière en volant son associé, Paul Allen, un génie de l’informatique à l’origine de Microsoft, mais qui, malade, n’est pas en état de se défendre.

Des procès à la pelle

En 1998 Microsoft est attaqué par le gouvernement américain pour abus de position dominante.
Les motifs : 1. absence d’informations aux concurrents pour que leurs logiciels serveurs puissent s’intégrer aux systèmes Windows ; 2. vente incluant le logiciel Windows Media Player, intégré d’office dans Windows.

En 2000 le démantèlement de Microsoft est le « remède » proposé par le juge Jackson pour sanctionner cet abus. En 2004 : Verdict 497,2 millions d’euros d’amende. Bill, coriace, fait appel à la Cour de justice européenne. 2006 : 280 M€ d’amende. 2008 : 860 M€ d’amende. 2013 : 560 M€. On se cite pas tous les procès que ce procédurier de Bill Gates fait traîner d’appel en appel (violation de brevet, contrefaçon…). Un honnête homme.

Le loup se déguise, mais c’est pour mieux nous manger

Bill a senti le danger de la mauvaise publicité autour de son procès. Il va donc se construire une image de philanthrope, grâce à sa fondation  Bill et Melinda Gates au budget communication colossal et grâce à l’autocensure des médias (il leur distribue beaucoup d’argent). Cette image dure encore, on l’a vu à l’occasion de son divorce.

Bill Gates devient un pur philanthrope

Après avoir démissionné de son poste de PDG de Microsoft (en 2008), renoncé à son poste de président du conseil d’administration (en 2014), Bill Gates démissionne du conseil d’administration de Microsoft. Il veut se consacrer entièrement à la philanthropie, expliquent les médias qu’il paie. Le divorce arrive quand Bill Gates s’est complètement dépouillé, comme un moine cistercien, en tong et robe de bure. Il ne détient plus que 1,37 % des actions de Microsoft, ce qui représente… 26 milliards de dollars. 

Une fondation caritative, pour investir

Les actions Microsoft que Bill Gates a vendues ont été investies dans la société Cascade qu’il a créée en 1995. Cascade rapporte du 11 %. Les dividendes alimentent la Fondation ou plutôt son fonds d’investissement, Berkshire Hathaway, dirigé par Warren Buffett. Bill Gates détient 45,4 % du capital (9,76 milliards de dollars). Les investissements préférés de Berkshire Hathaway sont l’industrie de l’armement (BAE Systems au Royaume-Uni), les industries d’extraction minière, les OGM (Monsanto/Bayer), la malbouffe (McDonald’s, Coca-Cola),  les énergies fossiles (Total, BP…). Comptez sur eux pour protéger la santé des populations et l’environnement — c’est pourtant ce que veut officiellement la fondation.

Une fondation, pour l’« optimisation fiscale »

Faire partie d’une fondation, c’est payer moins d’impôts. Le site de la Fondation Bill et Melinda Gates l’explique très bien. Le montant de l’évitement fiscal est souvent supérieur à ce qui est donné par la fondation. 

Une fondation peut ouvrir des marchés

Les entreprises dont la fondation a des actions reçoivent des dons. CocaCola a reçu 538 millions d’euros de placement du trust de la Fondation Bill & Melinda Gates, en 2014. Il profite de programmes destinés à former 50 000 agriculteurs à la culture de fruits de la passion au Kenya.

Monsanto a au Kenya un centre de recherche sur les OGM, financé par la fondation dont fait partie un des ex-dirigeants de Monsanto. 

Bill Gates aide seulement les ONG dont le siège est aux États-Unis. Seuls 5 % de l’argent arrivent en Afrique. Les Africains sont obligés d’accepter les missions de l’ONU et ne peuvent développer leurs recherches sur place.

Une fondation, oui mais pour des médicaments rentables

La fondation choisit les maladies qui peuvent faire appel à des vaccins et non à des remèdes naturels locaux. La revue scientifique britannique The Lancet relève par exemple que la fondation lutte prioritairement contre les maladies qui appellent la diffusion de vaccins et néglige les autres maladies. Ainsi, l’organisation finance relativement peu la recherche sur la pneumonie, la diarrhée et la sous-nutrition maternelle et infantile, responsables de 75 % des morts d’enfants. Ces maladies ne nécessitent pas la création de nouveaux vaccins mais la mise en place de mesures de préventions efficaces déjà connues… 

Les vaccins sont la bonne affaire

La fondation a beaucoup œuvré pour le développement des vaccins. Financée principalement par des subventions publiques, Covax est menée par deux ONG internationales, Cepiet Gavi, que M. Gates finance, ainsi que par l’OMS. Il est le plus gros donateur de l’OMS (250 millions de dollars versés  en 2005) et prend la main sur l’environnement, la santé. Sa fondation a investi plus de $16 milliards dans différents programmes de vaccins, dont un quart est allé à Gavi.

Des liens entre Jeffrey Epstein et la Fondation de Bill et Melinda

Melanie Walker a travaillé pour Jeffrey Epstein en 1998, avant de rejoindre la fondation en 2006. Elle aurait joué un rôle important dans la relation Gates-Epstein. Melanie Walker a ensuite rencontré le conseiller scientifique de la fondation, Boris Nikolic, à qui elle a présenté Jeffrey Epstein. Boris Nikolic est ensuite devenu l’exécuteur testamentaire de ce dernier, rôle qu’il a ensuite refusé.

Bill Gates fait un faux pas : Jeffrey Epstein le fait chanter

Gates a rencontré Epstein à six occasions, selon une enquête du New York TimesBill Gates figure sur le carnet de vol d’un des avions d’Epstein le 1er mars 2013.

En tant que personne qui investit de manière maniaque dans la sécurité opérationnelle, n’épargnant aucune dépense au point d’avoir des gardes armés, quatre jets, un hélicoptère, un hydravion, des yachts, et du sang de son type l’attendant à beaucoup de ses destinations, vous pouvez être sûr que Bill Gates ne saute pas dans l’avion de n’importe qui. Il doit donc être désespéré pour abandonner un élément majeur de sa sécurité et risquer sa réputation en prenant l’avion d’Epstein avec lui. En tout cas cela explique son don au MIT.

Le MIT reçoit de l’argent de Bill Gates via Jeffrey Epstein

En 2014 le MIT reçoit 2 millions de dollars de Gates par l’intermédiaire de Jeffrey Epstein. Un agent de Gates a écrit à la direction du Media Lab, indiquant que Gates souhaitait que son nom ne soit pas mentionné dans toute discussion publique sur ce don.

Melanie investit dans une société à elle

En 2015 Melanie a fondé la société Pivotal Ventures à but lucratif pour promouvoir les femmes de couleur, dans le secteur informatique. Toujours la charité qui rapporte. Peut-être une façon prudente d’acquérir une certaine autonomie…

En 2015, Bill prédit une pandémie

Lors d’une conférence en 2015, Bill Gates a prédit que des millions de personnes seraient tuées par des « microbes, pas des missiles » lors d’une future pandémie.

En 2020, Bill prédit le passeport vaccinal 

8 mai 2020 : « Il y aura donc un jour cette preuve d’immunité numérique qui facilitera la réouverture mondiale. »https://www.facebook.com/plugins/video.php?height=314&href=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Flec.deb1%2Fvideos%2F2592371447748720%2F&show_text=false&width=560

Bill veut des vaccins pour toute la planète

14 décembre 2020 : la fondation investit des millions de dollars pour financer la recherche d’un vaccin Covid-19 ainsi que pour les tests et la logistique. La fondation promet 70 millions de dollars pour que le vaccin atteigne tout le monde, y compris les nations pauvres. 

Bill prédit le réchauffement climatique et ses remèdes

Les biocarburants

Bill Gates est le premier propriétaire de terres agricoles des États-Unis. C’est toujours pour notre bien : « On ne sait pas à quel point les biocarburants peuvent être bon marché, mais s’ils sont peu coûteux, ils peuvent résoudre les émissions des avions et des camions. » Les achats de terres agricoles ont été réalisés par sa société d’investissements Cascade Investments. 

Les OGM (nourrir la planète grâce à Monsanto)

« J’ai également bon espoir que le travail de notre fondation sur l’agriculture jouera un rôle clé pour aider les agriculteurs à résister au changement climatique. Il y a plus de dix ans, nous avons commencé à financer la recherche de variétés de cultures de base, comme le maïs et le riz, tolérant la sécheresse et les inondations. Ces nouvelles variétés aident déjà les agriculteurs à produire davantage de nourriture dans certaines régions d’Afrique et d’Inde, et d’autres options de cultures intelligentes du point de vue climatique seront disponibles dans davantage d’endroits dans les années à venir. » En bon partenaire de Davos, Bill Gates mise sur des terres résistantes aux effets du réchauffement climatique et même des cultures de substituts de viande à base de végétaux.

Pendant le réchauffement, le business des vaccins continue

Toujours dans la lettre de la Fondation : « Des organisations comme Gavi et le Fonds mondial vont jouer un rôle important dans ce domaine en améliorant la santé dans les endroits les plus vulnérables. Si nous voulons prévenir une catastrophe climatique, les interventions et solutions spécifiques au climat ne suffisent pas. Nous devons également penser aux effets indirects, comme la façon dont une planète plus chaude affectera la santé mondiale. »

Le nucléaire, énergie sûre

Bill Gates estimé que malgré les catastrophes de Tchernobyl (1986) et de Fukushima (2011), le nucléaire restait plus sûr que n’importe quelle autre source d’énergie. Déclaration faite en mars 2021. On peut compter sur le dynamisme de Bill pour sauver la planète !

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.




Covid-19: Consentement éclairé préparé par une femme médecin de Suisse romande

[Source : Egalité des citoyens face aux lois. (tdg.ch)]

Bonjour,

Voilà le texte reçu ce matin d’un internaute que je remercie vivement. Il s’agit d’un texte préparé par une femme médecin travaillant en Suisse romande afin d’alerter ses patients avant qu’ils acceptent de se faire vacciner contre le Covid-19.

Votre consentement éclairé avant de recevoir le vaccin à ARN COVID-19

Quelques vérités à accepter avant que je vous injecte le vaccin :

1. Je comprends que je reçois un vaccin expérimental, entièrement nouveau, avec des ingrédients inédits qui n’ont jamais été administrés en masse avant l’été 2020.

2. Je consens à participer à une expérience internationale menée par des entreprises pharmaceutiques et des politiciens qui n’assument aucune responsabilité pour tout dommage causé.

3. Je suis d’accord de fournir mes données médicales personnelles pendant l durée de deux ans, au cours de cette étude post-autorisation de phase 3 puis 4.

4. Je comprends que les vaccins sont encore en phase expérimentale et que les essais cliniques de phase 3 sont en cours – leurs achèvements prévus en octobre 2022 pour Moderna et en janvier 2023 pour Pfizer-BioNTech Comirnaty.

5. Je suis au courant que les résultats définitifs de la sécurité et de l’efficacité de ces vaccins expérimentaux sont inconnus à ce jour.

6. Je prends conscience que ce vaccin expérimental est un produit de génie génétique 100% synthétique – c’est un OGM, un organisme génétiquement modifié, qui sera injecté dans mon corps.

7. Je comprends que ce vaccin expérimental peut :

  • ne pas me protéger de la maladie Covid-19 (ne protégerait potentiellement que des formes graves) ;
  • ni prévenir la transmission du virus SRAS-CoV-2.

8. Je reconnais que l’analyse du ratio bénéfice-risque de ce vaccin expérimental est fondée sur des risques inconnus et minimisés, et des avantages surestimés et présumés. Les risques potentiels incluent l’atteinte à la fertilité, troubles de la coagulation et troubles neurologiques.

9. J’accepte l’idée fausse selon laquelle être humain signifie être toujours un contaminant potentiel et un vecteur de maladie, idée faite pour susciter la peur.

10. Je comprends qu’avec le vaccin, je dois garder les mesures barrières : règles de distanciation sociale, du port du masque, PCR et quarantaine si je suis testé(e) positif(ve) à l’avenir.

11. Je reconnais qu’à ce jour, des milliers de décès ont été signalés à la suite de cette campagne de vaccination expérimentale, ainsi que des centaines de milliers de blessés souffrant de troubles neurologiques, d’inflammations sévères et d’effets indésirables cardiovasculaires (thromboses, AVC, infarctus)

12. Je comprends que la maladie de Covid n’est à haut risque que pour les personnes âgées et les immunodéprimés, et que pour que plus de 99.7% de la population le décès n’est pas un risque : 99.7% de survie ! 

13. J’ai pris connaissance des politiques et accords en Suisse concernant l’indemnisation et les compensations (maximum payé= 70 000 Francs suisses) : 

je comprends qu’il pourrait s’avérer impossible de poursuivre le fabriquant de cette injection contre le Covid-19 au cas où elle serait responsable d’un dommage sur ma santé, ou d’un décès.

14. Je comprends et j’ai lu la liste des effets indésirables significatifs signalés en lien avec les injections contre le Covid-19. 

Les effets indésirables connus comprennent :
►l’infection au Covid-19,
►l’anaphylaxie,
►des problèmes neurologiques,
►troubles cardio-vasculaires graves,
►maladies auto-immunes,
►affections chroniques,
►la cécité et la surdité,
►problèmes de fertilité,
►dommages sur les fœtus,
►fausse-couches,
►mort-nés
►et décès.

15. Je suis informé(e) que la probabilité statistique de décès par Covid-19 est de
►0,003% pour les jeunes (entre 0 et 19 ans),
►0,02% entre 20 et 49 ans,
►0,5% pour des individus âgés de 50 à 69 ans,
►5,4% pour les seniors âgés de 70 ans et plus quand non soignés (tel qu’il a été fortement recommandé de le faire : « restez chez vous ! »)

16. J’ai pris connaissance que bien que vendues sous le nom de « vaccins », ces injections Covid-19 ARNm sont des thérapies géniques expérimentales. 

Les fabricants de vaccin décrivent officiellement l’approche ARNm, jamais autorisée auparavant, comme un moyen de « programmer les cellules d’un individu » ou, en usant de la terminologie de la société Moderna, comme le déploiement d’un nouveau « logiciel ». 

Dans la recherche passée, les injections de ARNm ont montré qu’elles avaient un élément inflammatoire intrinsèque, ce qui rend difficile la détermination d’une balance bénéfice/risque « acceptable ».

17. En tant que cobaye, je suis bien conscient(e) que, contrairement à tout autre essai thérapeutique de médicament, je ne serai pas payé(e)/défrayé(e) par le laboratoire pour cet essai de phase 3 dans la population générale.

J’ai bien lu et compris, je donne mon consentement éclairé et j’accepte de me faire vacciner en toute liberté avec le vaccin expérimental Moderna/Pfizer et décharge entièrement mon médecin de toute responsabilité civile et pénale concernant cette injection et ses possibles conséquences.

Fait à 

Le                                                             signature du patient/de la patiente




Covid : la validité de l’imposition du port du masque s’effondre à son tour !

[Source : Anthropo-logiques (tdg.ch)]

Par Jean-Dominique Michel

Après donc les mesures de confinement (dont tout confirme la nocivité et l’inutilité) voilà que s’effondre à son tour l’autre grande mesure soi-disant sanitaire qui nous est imposée : le port du masque. Comme pour le confinement, ce ne sera une surprise que pour les naïfs ou les fanatiques : nous savions depuis des décennies que le port du masque n’est d’aucune utilité face aux viroses respiratoires, et qu’il est de toute manière inefficace (sauf contre certaines formes de pollution aérienne comme les particules fines) en population générale.

Il s’agissait donc d’une telle évidence que la seule surprise est que des personnes a priori éduquées et capables de réfléchir aient adhéré à une telle absurdité. Ceci, nous sommes nombreux (à nouveau) à l’avoir dit depuis des mois. Que l’on ait pu imposer une telle mesure, évidemment nocive, à la population et même des groupes vulnérables comme les enfants ou les jeunes restera comme une ignominie de plus dans cette lamentable crise sanitaire.

Je repose la question aux sceptiques et à mes détracteurs : trouvez-moi un seul plan de lutte contre les pandémies respiratoires virales qui ait prévu d’imposer le port du masque à la population en bonne santé et je vous offre le champagne !

Nous savions, comme pour le confinement, que cela ne servait à rien en plus d’infliger des dommages graves, avec un élément qu’il faut être inconscient pour ne pas remarquer : ces mesures, sans utilité sanitaire avérée, sont des mesures puissantes de contrôle social et d’humiliation.

Elles polarisent de surcroît la population entre ceux qui ont cru de bonne foi aux bêtises avancées par nos autorités et ceux qui ont gardé un esprit critique. Avec, le cas échéant, un objectif à ce sujet : les dociles et les soumis devenant des multiplicateurs de la contrainte absurde et les petits soldats de la dérive totalitaire.

Ce trait, comme de nombreux autres, est caractéristique. Je sais que les mots relatifs à la dérive en cours (comme totalitaire ou dictature) font ricaner nombre de bien-pensants qui n’ont toujours pas compris que nous avions déjà basculé hors de l’état de droit.

Lors de la conférence de presse du 15 avril organisée par les Amis de la Constitution, M. Nicolas Rimoldi, co-président de l’association Mass-voll, a rappelé qu’à l’heure actuelle, 23 articles de notre Constitution sont suspendus ou violés par les diktats pseudo-sanitaires sans justification solide. On peut en effet ricaner mais il ferait plutôt sens d’y réfléchir.

Or donc, si l’absence de pertinence du port du masque aurait dû être une évidence, il s’est trouvé (comme toujours) des ayatollahs en blouse blanche pour affirmer l’inverse en se réclamant de l’autorité de la « science » et pour aller terroriser et culpabiliser la population sur les plateaux télé… à partir de données mensongères.

Le dogme du masque est en effet une pièce importante de la manipulation en cours. Quand les populations se rendront compte qu’on leur a imposé des mesures sans justification et lourdement dommageables en leur racontant des salades, il est possible qu’elle réagissent autrement qu’en poussant des cris de joie.

Les lecteurs de ce blog se souviendront des différents articles que j’ai rédigés ou re-publiés sur cette question au long des derniers mois. Ils se souviendront également de la réponse quelque peu hystérique d’un gratte-papier de l’AFP à une revue de la littérature scientifique publiée au mois de janvier par un médecin travaillant dans un des hôpitaux de la faculté de médecine de Stanford, que j’avais portée à la connaissance de mes lecteurs.

Faisant feu de toutes les moches ficelles du journalisme de propagande, il avait tout à la fois dénigré l’auteur et convoqué à mon encontre des collègues aussi pleins de parti-pris que lui, comme Mme Johanne Montay, journaliste belge qui après s’être fait connaître pour harceler ses collaborateurs, maltraite depuis une année la population belge tout entière. Non encline à en rester là, elle s’en était pris à moi après une conférence à Liège, déformant scandaleusement mon propos et cherchant à piéger certaines personnalités de manière malhonnête et déloyale en les faisant réagir à des propos que je n’avais jamais tenus (je dispose évidemment des preuves écrites de ce que j’indique là) !

Les gredins s’entre-cautionnent, ce qui n’est non plus guère surprenant. Là où je commence à me réjouir par avance, c’est de voir comment lesdits « journalisss » vont faire pour contenir la masse de données probantes confirmant la fausseté de leur propagande. Ça ressemble à l’histoire du jeune hollandais qui avait mis son doigt pour boucher la faille d’une digue. Je souhaite à ces tristes sires bien du plaisir…

Voici donc quelques épouvantails supplémentaires dont ils vont devoir trouver comment les diffamer ou les dénigrer (je ne fais pas de souci, à défaut de savoir faire du journalisme ils sont doués en la matière) pour continuer à désinformer la population.

C’est ennuyeux pour eux, mais on commence ainsi à voir apparaître des études confirmant que non seulement le port du masque n’empêche en rien la transmission du Covid mais encore fait courir un risque à ceux qui le portent. Les courbes des maladies infantiles en France montrent par exemple que les taux de prévalence de l’asthme, des gastro-entérites ou du Covid ne connaissent pas de différence entre les mois précédant ou suivant l’imposition du port du masque dans les écoles.

Par contre, les pneumopathies bactériennes, elles, flambent à partir de cette date comme nous étions nombreux à l’avoir annoncé comme étant prévisible.

Malgré les dénégations imbéciles des autorités médicales et politiques, bien sûr qu’infliger cette contrainte absurde a des effets problématiques majeurs ! Comme vient de le confirmer une étude publiée dans l’ International Journal of Environmental Research amd Public Health par une équipe de chercheurs et médecins allemands :

De nombreux pays ont introduit l’obligation de porter des masques dans les espaces publics pour contenir le SRAS-CoV-2, ce qui en fera une pratique courante en 2020.  Jusqu’à présent, il n’y a pas eu d’enquête complète sur les effets néfastes que les masques peuvent avoir sur la santé. L’objectif était de trouver, de tester, d’évaluer et de compiler les effets secondaires liés au port de masques qui ont été scientifiquement prouvés (…)

Dans cet article, nous faisons référence à la détérioration psychologique et physique ainsi qu’aux multiples symptômes décrits en raison de leur présentation cohérente, récurrente et uniforme dans différentes disciplines comme un syndrome d’épuisement induit par le masque (MIES). Nous avons objectivé l’évaluation des changements dans la physiologie respiratoire des porteurs de masque avec une corrélation significative de la chute d’O2 et de la fatigue (p< 0,05), une cooccurrence groupée de la déficience respiratoire et de la chute d’O2 (67%), du masque N95 et de la montée de CO2 (82%), du masque N95 et de la chute d’O2 (72%), du masque N95 et des maux de tête (60%), de la déficience respiratoire et de l’élévation de température (88%), mais aussi de l’élévation de température et de l’humidité (100%) sous les masques. Le port prolongé de masques par la population générale pourrait entraîner des effets et conséquences pertinents dans de nombreux domaines médicaux.

Dans le même temps, une étude réalisée par une équipe du MIT (Massachusetts Institue of Technology » dément la protection contre les gouttelettes, principal « argument » en faveur du port du masque :

Les chercheurs vont plus loin, affirmant même que dans un espace mal ventilé, ces gouttelettes peuvent se propager lorsque les personnes respirent à travers un masque. Pire, dans un espace mal ventilé, lorsque les personnes respirent à travers un masque, les gouttelettes ont tendance à remonter et à se propager dans l’espace confiné. Le risque de contamination est alors plus élevé, augmentant ainsi le risque de contamination.

A nouveau, cela ne surprendra que les fanatiques ! Au demeurant, la question ne se pose même pas dans les termes d’une éventuelle utilité : le droit constitutionnel exige comme condition impérative d’une mesure portant atteinte aux droits fondamentaux qu’elle soit absolument nécessaire et indiscutablement efficace.

Nous aurons à la place, vu à nouveau des médicocrates venir perpétrer des abus de pouvoir, complaisamment accueillis par une presse de connivence, en prétendant fallacieusement que « la science » imposait ces mesures.

Tout en brodant des explications foireuses selon lesquelles « même si on n’avait pas de certitude absolue, on pensait quand même que ça avait forcément une certaine d’efficacité, petite ou grande, et que combiné à d’autres absurdités, ça générait forcément in fine quelque chose dont il serait « contraire à l’éthique » de se priver. » Bref, de la bullshit [littéralement : « de la merde de taureau » = des conneries] en barre pour dire les choses sans détour.

Ce que ces Diafoirus ont oublié au passage c’est que même s’ils portent des titres prestigieux tout en étant payés 500’000.- par an ou plus aux frais du contribuables et des assurés, le droit prohibe strictement de tels agissements.

Tout en reconnaissant aussi que ce sont les autorités politiques et les juristes qui ont failli : la tentation de la toute-puissance est une scorie de l’univers médical et s’il n’y a pas les patients, les élus, les avocats et les journalistes pour la contenir, il tend à dériver naturellement dans ce type d’abus, l’histoire de la médecine comme son quotidien en donnent d’innombrables exemples.

Allons-nous enfin et une bonne fois pour toutes pouvoir mettre cela derrière nous ?

Eh bien probablement pas ! Ceci pour trois raisons :

  1. Reconnaître ses erreurs est un signe de grandeur d’âme et d’honnêteté ; or il faut se lever de bonne heure pour repérer grand-chose qui relève de ces valeurs au sein de la nomenklatura politico-sanitaire !
  2. Comme indiqué précédemment, l’imposition du masque permet de marteler obsessionnellement l’existence d’un danger (là où le risque de mortalité n’a simplement pas été modifié en-dessous de 75 ans l’an dernier !) De surcroît, elle déshumanise, humilie et force à la soumission, ce qui est du pain béni pour tous les apprentis-dictateurs ! Maintenir la population dans cet état de panique et de soumission est un objectif évident des « autorités » : sinon, pourquoi avoir entretenu la panique de manière aussi obsessionnelle depuis des mois là où un appel raisonné à la prudence quand c’était requis aurait suffi sans traumatiser la population ?
  3. Elle remplit à ce titre un rôle central dans le dispositif d’aliénation et d’asservissement, nécessaire notamment à faire avancer le troupeau affolé vers l’expérimentation génique (contraire à l’éthique et au droit) qu’on nous fait passer comme étant la seule porte de sortie de cette cacade alors qu’il s’agit au mieux d’un pari à haut risque

Un fait devrait nous alerter : j’ai déjà mentionné le verdict rendu par un juge de Weimar, saisi par des parents d’élèves. Après avoir entendu des experts, fouillé les articles scientifiques et respecté le droit, il avait conclu à la levée immédiate de ces mesures, ce qui évidemment avait fait un certain foin (sauf en Suisse, où la presse anesthésie la population en s’assurant que les informations importantes ne parviennent jamais à ses oreilles).

Or voilà qu’on apprend que ledit juge a été l’objet de différentes plaintes pénales et qu’une perquisition vient d’être menée chez lui au petit matin. Certes, peut-être s’avérera-t-il qu’il allait braquer des banques, planqué derrière son masque, pendant ses heures perdues…

Ce qui vient plus naturellement à l’esprit comme hypothèse est que nous pourrions être face à une tentative d’intimidation, réalité elle aussi courante dans les temps de dérive totalitaire.

Celles et ceux qui ne comprennent pas que nous ne sommes pas dans l’illusion de réalité que les gouvernements et les médias peignent à notre intention depuis une année auront des réveils douloureux. Pour nous c’est le combat qui l’est, particulièrement du fait de l’endoctrinement massif de la population à coup de procédés de propagande parfaitement connus et de l’efficacité dramatique de ce lavage de cerveau.

Comme par exemple le fait de présenter l’expérimentation génique en cours comme un vaccin, une innovation quasimiraculeuse montrant notre agilité et la grandeur de notre science.

Ceci alors qu’en réalité l’injection hasardeuse d’ARN messager n’a rien à voir avec les vaccins classiques, et que l’incertitude sur les effets indésirables à moyen et long terme devrait conduire chaque citoyen à refuser d’être pris comme cobaye à ses risques et périls. Sans oublier que le taux anormalement élevé d’effets indésirables (graves dans 30% des cas) devrait conduire à suspendre instantanément cette opération aussi risquée pour les gens qu’elle est lucrative pour les intéressés, c’est dire.

Inoculer des personnes en bonne santé et sans facteurs de risque, a fortiori des enfants ou des jeunes, est juste une abomination en termes de santé publique et d’éthique. Qu’autant de corps constitués (les médecins en première ligne) adhèrent à cela restera un grand moment d’égarement collectif. Même si en jouant à la roulette russe il reste des chances de ne pas mourir…

Je re-publie pour terminer infra la traduction de l’article paru dans Nordkurier relatant les tracasseries infligées à ce juge suivie de la relation du jugement de Weimar.


Opération de police au domicile d’un juge de Weimar

Appartement et bureau fouillés, téléphone portable confisqué : après qu’un juge ait fait sensation dans tout le pays en statuant contre les mesures prises contre le coronavirus dans deux écoles, il a maintenant reçu une « visite » de la police.

On ne sait pas encore ce dont Christian Dettmar est accusé. Le fait est que le juge du tribunal de grande instance de Weimar s’est prononcé le 8 avril dans une décision spectaculaire contre les masques obligatoires, les tests obligatoires, les règles de distance et l’enseignement à domicile et a ainsi remis en question, pour la première fois, le sens et la nécessité des mesures « sanitaires » prescrites dans les écoles. Selon les médias, le parquet d’Erfurt a entre-temps confirmé la perquisition des locaux d’habitation et de travail du magistrat et la confiscation de son téléphone portable ainsi que de son ordinateur portable. Une procédure préliminaire a été ouverte pour suspicion initiale d’obstruction à la justice, a déclaré un porte-parole du parquet.

Les observateurs parlent de « tentative d’intimidation

La nouvelle que des perquisitions avaient eu lieu au domicile du juge de district s’est répandue sur les médias sociaux lundi soir et a été confirmée au Nordkurier par une source sûre. Selon les informations, l’opération de police dans les locaux du juge concerne certainement le verdict controversé. Les observateurs de l’entourage du magistrat auraient eu l’impression d’une « tentative d’intimidation ».

La décision avait provoqué des rumeurs

Après que la décision a été connue, des allégations ont circulé selon lesquelles le juge était connu pour sa position critique sur les mesures et avait été délibérément choisi pour la procédure. Jusqu’à présent, cependant, aucune preuve concrète n’a été apportée à ces accusations. Selon BILD, une douzaine de plaintes pénales contre le juge ont été déposées au parquet d’Erfurt.

Le juge des affaires familiales, âgé de 58 ans, avait interdit, après la plainte d’une mère de deux enfants (8 et 14 ans), à deux écoles de Weimar, par décision judiciaire, de contraindre les élèves au devoir de masque, à la distance, au devoir d’examen et à l’enseignement à domicile.

« Défiant les faits historiques »

Le raisonnement approfondi soutenu par trois experts disait, entre autres choses :

« 100 000 élèves d’écoles primaires devraient supporter tous les effets secondaires du port d’un masque pendant une semaine pour prévenir une seule infection par semaine. Qualifier ce résultat de simplement disproportionné serait une description tout à fait inadéquate. Elle montre plutôt que le législateur de l’État qui réglemente ce domaine est tombé dans une déconnexion factuelle qui a atteint des proportions historiques. « 


Verdict sensationnel à Weimar : plus de masques, de distanciation ni de tests pour les élèves

Source : site Enfance & Libertés

Le 8 avril 2021, le tribunal de la famille de Weimar a décidé, dans le cadre d’une procédure en référé (réf. : 9 F 148/21), qu’il est interdit à deux écoles de Weimar, avec effet immédiat, d’exiger des élèves le port de couvre-bouche ou de nez de quelque nature que ce soit (en particulier les masques qualifiés tels que les masques FFP2), de respecter les distances minimales de l’AHA et/ou de participer aux tests rapides SARS-CoV-2. En même temps, la Cour a déterminé que l’enseignement en classe doit être maintenu (texte intégral de l’arrêt comprenant trois avis d’experts).

Pour la première fois, des preuves ont été présentées devant un tribunal allemand concernant le caractère scientifiquement raisonnable et la nécessité des mesures anti-Corona prescrites. Les témoins experts qui ont éré entendus étaient les professeurs Ines Kappstein, médecin, Christof Kuhbandner, psychologue et Ulrike Kämmerer, biologiste.

La procédure judiciaire en question est une procédure dite de protection de l’enfance en vertu de l’article 1666, paragraphes 1 et 4, du code civil allemand (BGB), qu’une mère avait engagée pour ses deux fils, âgés respectivement de 14 et 8 ans, auprès du tribunal local (tribunal de la famille). Elle a fait valoir que ses enfants subissaient un préjudice physique, psychologique et éducatif, sans que cela soit contrebalancé par un quelconque avantage pour les enfants ou les tiers. Cela violerait en même temps de nombreux droits des enfants et de leurs parents en vertu de la loi, de la constitution et des conventions internationales.

La procédure prévue par le § 1666 du code civil peut être engagée d’office, sur proposition de toute personne ou sans proposition, si le tribunal estime que l’intervention est nécessaire pour des raisons de bien-être de l’enfant, § 1697a du code civil.

Après avoir examiné la situation de fait et de droit et évalué les expertises, le tribunal des affaires familiales de Weimar est arrivé à la conclusion que les mesures désormais interdites représentent un danger actuel pour le bien-être mental, physique ou psychique de l’enfant, à tel point que, si elles sont maintenues, un préjudice considérable est presque certainement à prévoir.

Le juge déclare : « Un tel risque est présent ici. En effet, les enfants ne sont pas seulement mis en danger dans leur bien-être mental, physique et psychique, notamment par l’obligation de porter des masques pendant les heures de classe et de se tenir à distance les uns des autres et d’autres personnes, mais ils sont en outre déjà actuellement lésés. Dans le même temps, cela viole de nombreux droits des enfants et de leurs parents en vertu de la loi, de la constitution et des conventions internationales. Cela s’applique en particulier au droit au libre développement de la personnalité et à l’intégrité physique de l’article 2 de la Loi fondamentale ainsi qu’au droit de l’article 6 de la Loi fondamentale à l’éducation et aux soins par les parents (également en ce qui concerne les mesures de soins de santé et les « objets » à porter par les enfants.) »

Par son jugement, le juge confirme l’appréciation de la mère : « Les enfants subissent un préjudice physique, psychologique et pédagogique et leurs droits sont violés, sans que cela soit contrebalancé par un quelconque bénéfice pour les enfants eux-mêmes ou les tiers. »

Selon la condamnation du tribunal, les administrateurs scolaires, les enseignants et d’autres personnes ne pouvaient pas invoquer les dispositions légales de l’État sur lesquelles les mesures étaient fondées, car elles étaient inconstitutionnelles et donc nulles. Motif : ils violent le principe de proportionnalité ancré dans l’état de droit (articles 20, 28 de la Loi fondamentale).

« Selon ce principe, également appelé interdiction du caractère excessif, les mesures destinées à atteindre un but légitime doivent être appropriées, nécessaires et proportionnées au sens étroit, c’est-à-dire lorsqu’on met en balance les avantages et les inconvénients qu’elles procurent. Les mesures qui ne sont pas fondées sur des preuves, contrairement à l’article 1(2) IfSG, sont déjà inadaptées pour atteindre le but fondamentalement légitime qu’elles poursuivent, à savoir éviter la surcharge du système de santé ou réduire l’incidence de l’infection par le virus SRAS-CoV- 2. Mais en tout état de cause, elles sont disproportionnées au sens strict du terme, car les inconvénients considérables/dommages collatéraux qu’elles entraînent ne sont pas compensés par un avantage perceptible pour les enfants eux-mêmes ou les tiers« , a déclaré le juge.

Il précise : « Il convient toutefois de souligner que ce ne sont pas les intéressés qui devraient justifier l’inconstitutionnalité des atteintes à leurs droits, mais, à l’inverse, l’État libre de Thuringe, qui porte atteinte aux droits des intéressés par ses dispositions de droit public, devrait prouver, à l’aide des preuves scientifiques requises, que les mesures qu’il prescrit sont aptes à atteindre les objectifs visés et qu’elles sont, le cas échéant, proportionnées. Jusqu’à présent, cela n’a pas été fait à un degré quelconque. »

  1. l’absence de bénéfice du port de masques et du respect des règles de distance pour les enfants eux-mêmes et les tiers

Pour convaincre le tribunal, l’expert Prof. Kappstein, après avoir évalué l’ensemble de la base de données internationale sur le sujet des masques, a déclaré que l’efficacité des masques pour les personnes en bonne santé en public n’est pas soutenue par des preuves scientifiques.

Dans le verdict, il est dit : « De même, la ‘protection étrangère’ et la ‘transmission inaperçue’, avec lesquelles le RKI a justifié sa ‘réévaluation’, ne sont pas soutenues par des faits scientifiques. La plausibilité, les estimations mathématiques et les évaluations subjectives dans les articles d’opinion ne peuvent remplacer les enquêtes clinico-épidémiologiques basées sur la population. Les études expérimentales sur les performances de filtrage des masques et les estimations mathématiques ne permettent pas de prouver leur efficacité dans la vie réelle. Si les autorités sanitaires internationales préconisent le port de masques dans les espaces publics, elles affirment également que les études scientifiques ne fournissent aucune preuve à cet égard. Au contraire, toutes les preuves scientifiques actuellement disponibles suggèrent que les masques n’ont aucun effet sur l’incidence des infections. Toutes les publications qui sont citées comme preuve de l’efficacité des masques dans les espaces publics ne permettent pas cette conclusion. Cela s’applique également à l’étude dite de Jena, comme l’expert l’explique en détail dans son avis. En effet, l’étude d’Iéna – comme la grande majorité des autres études une estimation purement mathématique ou une étude de modélisation basée sur des hypothèses théoriques sans recherche réelle des contacts avec des auteurs du domaine de la macroéconomie sans connaissances épidémiologiques – ne tient pas compte, comme l’explique en détail l’expert, de la circonstance épidémiologique décisive que les niveaux d’infection ont déjà diminué de manière significative avant l’introduction des masques obligatoires à Iéna le 6 avril 2020 (environ trois semaines plus tard dans toute l’Allemagne) et qu’il n’y avait déjà plus d’incidence pertinente d’infection à Iéna à la fin du mois de mars 2020. »

Les masques ne sont pas seulement inutiles, ils sont aussi dangereux, juge le tribunal : « Tout masque, comme le précise encore l’expert, doit être porté correctement pour être en principe efficace. Les masques peuvent devenir un risque de contamination s’ils sont touchés. Cependant, d’une part, ils ne sont pas portés correctement par la population et d’autre part, ils sont très souvent touchés avec les mains. C’est également le cas des hommes politiques que l’on voit à la télévision. La population n’a pas appris à utiliser correctement les masques, on ne lui a pas expliqué comment se laver les mains en chemin ou comment procéder à une désinfection efficace des mains. Il n’a pas non plus été expliqué pourquoi l’hygiène des mains est importante et qu’il faut veiller à ne pas toucher les yeux, le nez et la bouche avec les mains. La population a été pratiquement laissée seule avec les masques. Non seulement le risque d’infection n’est pas réduit par le port des masques, mais il est augmenté par une manipulation incorrecte du masque. Dans son expertise, l’experte expose ce point en détail, ainsi que le fait et les raisons pour lesquelles il est « irréaliste » de parvenir à une manipulation appropriée des masques par la population. »

L’arrêt poursuit en disant que « la transmission du SRAS-CoV-2 par les « aérosols », c’est-à-dire par l’air, est médicalement invraisemblable et scientifiquement non prouvée. Il s’agit d’une hypothèse basée principalement sur les physiciens des aérosols, qui, selon l’expert, sont incapables d’évaluer les corrélations médicales à partir de leur domaine d’expertise. La théorie des « aérosols » est extrêmement préjudiciable à la coexistence humaine et fait que les gens ne peuvent plus se sentir en sécurité dans les espaces intérieurs, et certains craignent même d’être infectés par des « aérosols » à l’extérieur des bâtiments. Avec la transmission « inaperçue », la théorie de l’aérosol conduit à voir un risque d’infection dans chaque être humain.

Les déclarations modifiées de la politique sur les masques, d’abord les masques en tissu en 2020, puis depuis le début de 2021 les masques OP ou les masques FFP2, manquent de clarté. Même si les masques OP et les masques FFP sont tous deux des masques médicaux, ils ont des fonctions différentes et ne sont donc pas interchangeables. Soit les politiciens qui ont pris ces décisions eux-mêmes n’ont pas compris à quel type de masque convient en principe, soit ils ne sont pas intéressés par cela, mais seulement par la valeur symbolique du masque. Du point de vue de l’expert, les décisions des politiciens en matière de masques ne sont pas compréhensibles et, pour le moins, peuvent être qualifiées d’invraisemblables.

L’expert souligne en outre qu’il n’existe aucune étude scientifique sur l’espacement en dehors des soins médicaux aux patients. En résumé, selon elle, à la conviction de la cour, seules les règles suivantes peuvent être établies à cet égard :

  1. le maintien d’une distance d’environ 1,5 m (1 – 2 m) en cas de contacts vis-à-vis, si l’une des deux personnes présente des symptômes de rhume, peut être décrit comme une mesure raisonnable. Cependant, elle n’est pas prouvée au sens scientifique du terme ; il existe seulement des preuves ou on peut la qualifier de plausible qu’il s’agit d’une mesure efficace de protection contre le contact avec des agents pathogènes par le biais de gouttelettes de sécrétion respiratoire si la personne en contact présente des signes de rhume. En revanche, une distance tout azimut n’est pas utile pour se protéger lorsque l’interlocuteur est enrhumé.
  2. garder une distance totale ou même seulement une distance d’environ 1,5 m (1 – 2 m) si aucune des personnes présentes ne présente de signes de rhume n’est pas étayé par des données scientifiques. Cependant, cela nuit gravement à la coexistence des personnes et en particulier aux contacts insouciants entre enfants, sans aucun avantage apparent en termes de protection contre l’infection.
  3. les contacts étroits, c’est-à-dire à moins de 1,5 m (1 – 2 m), entre élèves ou entre enseignants et élèves ou entre collègues de travail, etc. ne présentent pas de risque même si l’une des deux personnes de contact présente des signes de rhume, car la durée de ces contacts à l’école ou même entre adultes dans un lieu public est beaucoup trop courte pour que la transmission de gouttelettes se produise. C’est également ce que montrent des études portant sur des ménages où, malgré la promiscuité et les nombreux contacts avec la peau et les muqueuses, peu de membres du ménage tombent malades lorsque l’un d’eux souffre d’une infection respiratoire. »

Le tribunal suit également l’évaluation du Pr Kappstein concernant les taux de transmission des personnes symptomatiques, pré-symptomatiques et asymptomatiques. Il écrit :

 » Les transmissions pré-symptomatiques sont possibles, selon elle, mais pas inévitables. Quoi qu’il en soit, selon elle, ils sont nettement plus faibles lorsque des scénarios de contact réels sont évalués que lorsqu’une modélisation mathématique est utilisée.

A partir d’une revue systématique avec méta-analyse sur la transmission du Corona dans les foyers publiée en décembre 2020, elle oppose un taux de transmission plus élevé mais non excessif chez les cas index symptomatiques de 18% à une transmission extrêmement faible chez les cas asymptomatiques de seulement 0,7%. La possibilité que des personnes asymptomatiques, autrefois appelées personnes saines, transmettent le virus n’a donc aucun sens. »

En résumé, le tribunal déclare :  » Il n’existe aucune preuve que les masques faciaux de différents types puissent réduire le risque d’infection par le SRAS-CoV-2, ni même de façon appréciable. Cette affirmation est vraie pour les personnes de tous âges, y compris les enfants et les adolescents, ainsi que pour les personnes asymptomatiques, présymptomatiques et symptomatiques.

Au contraire, il est plus probable que le contact encore plus fréquent entre les mains et le visage lors du port du masque augmente le risque d’entrer soi-même en contact avec l’agent pathogène ou d’amener d’autres personnes à entrer en contact avec lui. Il n’existe aucun risque d’infection pour la population normale, que ce soit en public ou en privé, qui pourrait être réduit par le port de masques (ou d’autres mesures). Il n’y a aucune preuve que le respect des exigences de distance puisse réduire le risque d’infection. Cela est vrai pour les personnes de tous âges, y compris les enfants et les adolescents. »

Même après les conclusions approfondies de l’expert, le professeur Kuhbandner, selon les motifs du jugement, « il n’existe à ce jour aucune preuve scientifique de haute qualité que le port de masques faciaux puisse réduire de manière significative le risque d’infection. Selon les conclusions de l’expert, les recommandations du RKI et la ligne directrice S3 des sociétés professionnelles sont basées sur des études d’observation, des études de laboratoire sur l’effet de filtre et des études de modélisation, qui ne fournissent que des preuves faibles et très faibles, car aucune conclusion réellement valable sur l’effet des masques dans la vie quotidienne et dans les écoles ne peut être tirée de telles études en raison de la méthodologie sous-jacente. En outre, les résultats des différentes études sont hétérogènes et les études observationnelles plus récentes fournissent également des résultats contradictoires. »

Le juge déclare :

 » En outre, l’ampleur réalisable de la réduction du risque d’infection par le port du masque dans les écoles est en soi très faible, car les infections se produisent très rarement dans les écoles, même sans masque. En conséquence, la réduction du risque absolu est si faible qu’une pandémie ne peut être combattue de manière pertinente… Selon les explications de l’expert, les chiffres d’infection actuellement prétendument en hausse chez les enfants sont très probablement dus au fait que le nombre de tests chez les enfants a considérablement augmenté au cours des semaines précédentes. Le risque d’infection dans les écoles étant très faible en soi, même une éventuelle augmentation du taux d’infection par la nouvelle variante du virus B.1.1.7 de l’ordre de grandeur retenu dans les études ne devrait pas entraîner une augmentation significative de la propagation du virus dans les écoles. Ce faible avantage est contrebalancé par de nombreux effets secondaires possibles en termes de bien-être physique, psychologique et social des enfants, dont de nombreux enfants devraient souffrir pour prévenir une seule infection. Ceux-ci sont exposés en détail par l’expert sur la base, notamment, du registre des effets secondaires publié dans la revue scientifique Monatsschrift Kinderheilkunde. »

  1. l’inadéquation des tests PCR et des tests rapides pour mesurer l’incidence de l’infection

En ce qui concerne le test PCR, le tribunal écrit :  » Le témoin expert Prof. Kappstein souligne déjà dans son expertise que le test PCR utilisé ne peut détecter que le matériel génétique, mais pas si l’ARN provient de virus capables d’infection et donc capables de se répliquer (= capables de se reproduire).

L’expert Prof. Kämmerer confirme également dans son avis d’expert en biologie moléculaire qu’un test PCR – même s’il est effectué correctement – ne peut fournir aucune information sur le fait qu’une personne est infectée ou non par un agent pathogène actif.

En effet, le test ne peut pas faire la distinction entre la matière « morte », par exemple un fragment de génome totalement inoffensif, vestige de la lutte du système immunitaire de l’organisme contre un rhume ou une grippe (de tels fragments de génome peuvent encore être trouvés plusieurs mois après que le système immunitaire a « traité » le problème) et la matière « vivante », c’est-à-dire un virus « frais » capable de se reproduire.

Par exemple, la PCR est également utilisée en médecine légale pour amplifier l’ADN résiduel présent à partir de résidus de cheveux ou d’autres traces au moyen de la PCR de manière à pouvoir identifier l’origine génétique du ou des auteurs (« empreinte génétique »).

Même si tout est fait « correctement » lors de la réalisation de la PCR, y compris toutes les étapes préparatoires (conception et établissement de la PCR, prélèvement et préparation de l’échantillon et réalisation de la PCR), et que le test est positif, c’est-à-dire qu’il détecte une séquence génomique qui peut également exister dans un ou même le virus spécifique « Corona » (SARS-CoV-2), cela ne signifie en aucun cas que la personne qui a été testée positive est infectée par un SARS-CoV-2 en réplication et est donc infectieuse = dangereuse pour d’autres personnes.

Pour déterminer l’existence d’une infection active par le SRAS-CoV-2, il faut plutôt recourir à d’autres méthodes de diagnostic spécifiques, comme l’isolement des virus réplicables.

Indépendamment de l’impossibilité principale de déterminer une infection par le virus SARS-CoV-2 au moyen du test PCR, les résultats d’un test PCR, selon les explications de l’expert Prof. Dr. Kämmerer, dépendent d’une série de paramètres qui, d’une part, entraînent des incertitudes considérables et, d’autre part, peuvent être délibérément manipulés de manière à obtenir beaucoup ou peu de résultats (apparemment) positifs.

Parmi ces sources d’erreur, il convient d’en distinguer deux frappantes.

L’un d’eux est le nombre de gènes cibles à tester. Ce nombre a été successivement réduit de trois à un, conformément aux spécifications de l’OMS.

L’expert calcule que l’utilisation d’un seul gène cible à tester dans une population mixte de 100 000 tests dont aucune personne n’est réellement infectée donne un résultat de 2 690 faux positifs sur la base d’un taux d’erreur moyen déterminé dans une comparaison interlaboratoire. L’utilisation de 3 gènes cibles ne donnerait que 10 faux positifs.

Si les 100 000 tests effectués étaient représentatifs de 100 000 citoyens d’une ville ou d’un comté dans un délai de 7 jours, cette réduction du nombre de gènes cibles utilisés entraînerait à elle seule une différence de 10 faux positifs par rapport à 2690 faux positifs en termes d' »incidence quotidienne » et, en fonction de celle-ci, de gravité des restrictions à la liberté des citoyens prises.

Si le « nombre cible » correct de trois ou même mieux (comme par exemple en Thaïlande) jusqu’à 6 gènes avait été systématiquement utilisé pour l’analyse PCR, le taux de tests positifs et donc « l’incidence sur 7 jours » aurait été réduit presque complètement à zéro.

D’autre part, ce que l’on appelle la valeur ct, c’est-à-dire le nombre d’étapes d’amplification/doublement jusqu’auquel le test est encore considéré comme « positif », est l’une des sources d’erreur.

L’expert souligne que, selon l’opinion scientifique unanime, tous les résultats « positifs » qui ne sont détectés qu’après un cycle de 35 n’ont aucune base scientifique (c’est-à-dire : aucune preuve). Dans la fourchette des valeurs ct 26-35, le test ne peut être considéré comme positif que s’il correspond à une culture virale. En revanche, le test RT-qPCR pour la détection du SRAS-CoV-2, qui a été propagé dans le monde entier avec l’aide de l’OMS, a été (et à sa suite tous les autres tests qui s’en inspirent) fixé à 45 cycles sans définir une valeur ct pour « positif ».

En outre, la notice d’information de l’OMS à l’intention des utilisateurs de DIV 2020/05 doit être respectée lors de l’utilisation du test RT-q-PCR (n° 12 de la notice légale du tribunal). Ainsi, si le résultat du test ne correspond pas aux constatations cliniques d’une personne examinée, un nouvel échantillon doit être prélevé et un nouvel examen doit être effectué ainsi qu’un diagnostic différentiel ; ce n’est qu’alors qu’un test positif peut être comptabilisé selon ces directives.

Selon l’avis de l’expert, les tests antigéniques rapides utilisés pour les tests de masse ne sont pas non plus en mesure de fournir des informations sur l’infectivité, car ils ne peuvent détecter que des composants protéiques sans aucun lien avec un virus intact et reproductible.

Afin de permettre une estimation de la contagiosité des personnes testées, le test positif respectif (similaire à la RT-qPCR) devrait être comparé individuellement avec la cultivabilité des virus de l’échantillon testé, ce qui est impossible dans les conditions de test extrêmement variables et invérifiables.

Enfin, l’examinateur souligne que la faible spécificité des tests entraîne un taux élevé de faux positifs, qui ont des conséquences inutiles sur le personnel (quarantaine) et la société (par exemple, fermeture des écoles, « notifications d’épidémie ») jusqu’à ce qu’ils s’avèrent être de fausses alertes. L’effet d’erreur, c’est-à-dire un nombre élevé de faux positifs, est particulièrement fort dans les tests effectués sur des individus sans symptômes.

Il reste à préciser que le test PCR utilisé, ainsi que les tests rapides antigènes, comme le prouve l’expertise, ne sont en principe pas adaptés à la détection d’une infection par le virus SARS-CoV-2. En outre, les sources d’erreur décrites et d’autres sources d’erreur avec des effets graves énumérées dans l’avis d’expert, de sorte qu’il n’existe pas de détermination adéquate de l’infection par le SRAS-CoV-2 en Thuringe (et à l’échelle nationale).

En tout état de cause, le terme « incidence » est mal utilisé par le législateur de l’État. Par « incidence », on entend en fait l’apparition de nouveaux cas dans un groupe de personnes défini (testé à plusieurs reprises et, si nécessaire, examiné médicalement) au cours d’une période définie, cf. le point 11 des notes juridiques de la Cour. En réalité, cependant, des groupes de personnes non définis sont testés au cours de périodes non définies, de sorte que ce que l’on fait passer pour une « incidence » ne sont que de simples taux de déclaration.

En tout cas, selon une méta-étude du médecin et statisticien John Ioannidis, l’un des scientifiques les plus cités au monde, publiée dans un bulletin de l’OMS en octobre 2020, le taux de létalité de l’infection est de 0,23 %, ce qui n’est pas plus élevé que pour les épidémies de grippe modérément sévères.

Ioannidis a également conclu, dans une étude publiée en janvier 2021, que les confinements ne présentent aucun avantage significatif.

  1. la violation du droit à l’autodétermination informationnelle par les tests rapides dans les écoles

Le droit à l’autodétermination informationnelle, qui fait partie du droit général de la personnalité énoncé à l’article 2, paragraphe 1, de la Loi fondamentale allemande, est le droit des individus de déterminer eux-mêmes, en principe, la divulgation et l’utilisation de leurs données personnelles. Ces données personnelles comprennent également le résultat d’un test. En outre, le résultat d’un tel test est une « donnée » de santé personnelle au sens du règlement sur la protection des données (DSGVO), qui ne regarde en principe personne.

Cet empiètement sur les droits fondamentaux est également inconstitutionnel. En effet, étant donné les procédures concrètes du processus de test dans les écoles, il semble inévitable que de nombreuses autres personnes (camarades de classe, enseignants, autres parents) aient connaissance d’un résultat de test « positif », par exemple.

Cela s’appliquerait mutatis mutandis si des barrières de test similaires étaient érigées dans le cas de l’accès aux magasins ou aux événements culturels.

En outre, tout test obligatoire des écoliers en vertu de la loi du Land n’est déjà pas couvert par la loi sur la protection contre les infections – indépendamment du fait que cette dernière fait elle-même l’objet de préoccupations constitutionnelles considérables.

Conformément à l’article 28 de l’IfSG, les autorités compétentes peuvent prendre les mesures de protection nécessaires de la manière qui y est spécifiée si des  » personnes malades, des personnes suspectées d’être malades, des personnes suspectées d’être infectées ou des excréteurs  » sont identifiés. Selon le § 29 IfSG, ces personnes peuvent être soumises à une observation et doivent alors également tolérer les examens nécessaires.

Dans sa décision du 02.03.2021, Réf. : 20 NE 21.353, la Cour administrative d’appel de Bavière a refusé de considérer les employés des maisons de retraite comme malades, soupçonnés d’être malades ou excréteurs dès le départ. Cela devrait également s’appliquer aux élèves. Cependant, une classification comme suspect d’être infecté est également hors de question.

Selon la jurisprudence du Tribunal administratif fédéral, est considéré comme suspecté d’être infecté au sens de l’article 2 n° 7 IfSG quiconque a eu un contact avec une personne infectée avec une probabilité suffisante ; une simple probabilité lointaine ne suffit pas. Il est nécessaire que l’hypothèse selon laquelle la personne concernée a ingéré des agents pathogènes soit plus probable que l’inverse. L’élément déterminant pour une suspicion d’infection est exclusivement la probabilité d’un processus d’infection passé, cf. arrêt du 22.03.2012 – 3 C 16/11 – juris marginal n° 31 et seq. Le BayVGH, loc. cit. l’a rejeté pour les employés des professions infirmières. Rien d’autre ne s’applique aux écoliers. »

4 Le droit des enfants à l’éducation et à la scolarisation

En ce qui concerne le droit à l’éducation des enfants, le juge déclare : « Les écoliers ne sont pas seulement soumis à l’obligation scolaire en vertu du droit du Land, mais ont également un droit légal à l’éducation et à la scolarisation.

Cela découle également des articles 28 et 29 de la Convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant, qui est le droit applicable en Allemagne.

Selon ce texte, tous les États contractants doivent non seulement rendre la fréquentation de l’école primaire obligatoire et gratuite pour tous, mais aussi promouvoir le développement de diverses formes d’enseignement secondaire à caractère général et professionnel, les rendre disponibles et accessibles ( !) à tous les enfants et prendre des mesures appropriées telles que l’instauration de la gratuité de l’enseignement et l’octroi d’un soutien financier en cas de besoin. Les objectifs éducatifs de l’article 29 de la Convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant doivent être respectés. »

  1. Résultat

Le juge a résumé sa décision comme suit :

« La contrainte imposée aux écoliers de porter des masques et de se tenir à distance les uns des autres et des tiers porte atteinte aux enfants sur le plan physique, psychologique, éducatif et dans leur développement psychosocial, sans être contrebalancée par autre chose que, au mieux, un bénéfice marginal pour les enfants eux-mêmes ou pour les tiers. Les écoles ne jouent pas un rôle important en cas de « pandémie ».

Les tests PCR et les tests rapides utilisés ne sont pas adaptés en soi, en principe et dans un premier temps, pour détecter une « infection » par le virus SRAS-CoV-2. Ceci résulte déjà des propres calculs de l’Institut Robert-Koch selon les explications des avis d’experts. Selon les calculs de RKI, comme l’indique le professeur Kuhbandner, témoin expert, la probabilité d’être réellement infecté lors d’un résultat positif lors d’un test de masse avec des tests rapides, indépendamment des symptômes, n’est que de 2 % pour une incidence de 50 (spécificité du test 80 %, sensibilité du test 98 %). Cela signifie que pour deux résultats de test rapide vrais positifs, il y aurait 98 résultats de test rapide faux positifs, qui devraient tous être retestés avec un test PCR.

Une contrainte (régulière) de tester en masse des personnes asymptomatiques, c’est-à-dire des personnes en bonne santé, pour lesquelles il n’existe aucune indication médicale, ne peut être imposée car elle est disproportionnée par rapport à l’effet qui peut être obtenu. En même temps, l’obligation régulière de passer le test soumet les enfants à une pression psychologique, car leur capacité à fréquenter l’école est ainsi constamment mise à l’épreuve. »

Enfin, le juge note : « Sur la base d’enquêtes menées en Autriche, où aucun masque n’est porté dans les écoles primaires, mais où des tests rapides sont effectués trois fois par semaine dans tout le pays, les résultats suivants selon les explications de l’expert Prof :

100 000 élèves d’écoles primaires devraient supporter tous les effets secondaires du port de masques pendant une semaine afin d’éviter une seule infection par semaine.

Qualifier ce résultat de simplement disproportionné serait une description tout à fait inadéquate. Elle montre plutôt que le législateur de l’État qui réglemente ce domaine est tombé dans une déconnexion factuelle qui a atteint des proportions historiques. « 




France : manifestation sans masque et sans distanciation avec le Dr Louis Fouché à Nîmes. MàJ

[Source : Master Music]

[Mise à jour : La précédente vidéo issue d’une autre source a déjà été censurée par YouTube]

https://youtu.be/HixORaY_Tsc



La funeste illusion de Klaus Schwab pour sa Grande Réinitialisation

[Source : cultureetracines.com]

Modeste Schwartz : la funeste illusion de Klaus Schwab

En dépit d’une existence assez cosmopolite, Modeste Schwartz est citoyen français mononational, normalien et agrégé. Traducteur, linguiste, polyglotte, il a publié un premier essai politico-philosophique, intitulé YINl’Occident comme cunnicratie en 2020 aux éditions Culture & Racines. Il publie aujourd’hui chez le même éditeur Le magicien de Davos. Vérité(s) et mensonge(s) de la Grande Réinitialisation.



Cette thématique proche des préoccupations de l’Antipresse, il l’éclaire d’un point de vue et avec un style très différents. On est loin, ici, du ton diplomatique des analyses socio-économiques courantes. Schwartz est de toute évidence un essayiste d’assaut. Sa démarche nous a interpellés. Nous l’avons donc interpellé à notre tour.

Trois questions à Modeste Schwartz…

Pourquoi Klaus Schwab vous fascine-t-il tant?

A vrai dire, contrairement à mon « collègue d’écurie » chez Culture & Racines Éric Verhaeghe (qui lui travaille dans la veille stratégique et dans la prospective), avant 2020, j’avais à peine conscience de son existence (même si j’étais déjà bien conscient de l’existence et du rôle de Davos). C’est Schwab qui, comme le dit si bien son ami Gates, « a su capter notre attention » par l’instauration d’une dictature qui se voudrait planétaire, et à laquelle il fournit sans s’en cacher le moins du monde son programme officiel. J’imagine que les Russes de 1918, même peu politisés, s’intéressaient facilement au personnage de Lénine…

Pourquoi ce livre?

Aussi bien en français qu’en anglais, les premières réactions à la Grande Réinitialisation (celles de 2020) m’ont convaincu que j’avais une pierre à ajouter à l’édifice – notamment en répondant (avec, j’espère, plus de lucidité que d’autres) aux questions « à qui s’adresse Schwab? » et « Schwab est-il communiste et, si oui, de quel type? ». Or, pour vaincre le schwabisme, il faudra d’abord le comprendre.

Justement: pensez-vous que le schwabisme a une chance de s’imposer, et dans quelles conditions?

Si l’on entend par là l’utopie/dystopie décrite par son livre: en aucun cas (et surtout pas mondialement). Sans dérive du modèle, tout cela devrait capoter en un ou deux ans tout au plus. En revanche, à l’intérieur de cette tyrannie déjà constituée qu’est l’UE, le schwabisme pourrait (si nous manquons de chance et laissons faire) fournir son prétexte doctrinal à une «Union covidienne» bien moins futuriste. Un peu comme, sous Staline, le bolchevisme a mué en soviétisme – auquel cas cette monstruosité pourrait éventuellement tenir encore une décennie, plus ou moins.


EXTRAIT. Chapitre III — Hilferding, Huxley, Schwab VS Lénine, Orwell, Macron : essai de zoologie taxinomique du progressisme

Est-il normal de mentir au public pour le plus grand bien? » (K. Schwab, La Grande Réinitialisation, p. 179)

« Une seule voie nous mènera vers un monde meilleur » (K. Schwab, La Grande Réinitialisation, p. 204)

« The beatings will continue until morale improves. » (Sagesse populaire)

Entre le judéo-viennois Hilferding (1877–1941), médecin et fils d’un riche marchand de cette capitale de l’Europe qu’est alors Vienne, et le russo-tatare provincial Lénine (1870–1924), il y a presque la même distance sociale qu’entre le *dandy upper class *Huxley (1894–1963) et le upwards mobility working class boy Orwell (1903–1950) – ou encore entre le Professeur Klaus Schwab (né en 1938), fondateur du Forum économique mondial, et le petit parvenu Macron.

Ce triple parallèle n’a rien d’accidentel.

Lénine, homme intelligent, mais provincial dans l’âme, s’est condamné à l’illogisme du jour où il a décidé de concilier le marxisme (et sa doctrine essentiellement centrifuge de propagation du progrès social depuis les centres industriels) avec le projet d’une révolution bourgeoise d’émancipation nationale (seule catégorie qu’un marxisme rigoureux soit en mesure d’attribuer aux événements russes de 1917). L’extermination des koulaks, les famines provoquées etc., tout ce lourd cahier des charges qu’il léguera, en crevant à l’anglaise, à son rude majordome caucasien, sont déjà présentes, en germe, dans cette contradiction originelle.

Macron, bourgeois de province, Rastignac dégénéré, produit typique de l’Éducation nationale française sous sa forme spécifiquement post-bonapartiste des khâgnes, rêve à 20 ans de souveraineté, vibre avec Chevènement (on vibre avec ce qu’on peut). Et puis finalement, il se rend compte que le dispositif xénocrate de la Ve République finissante ne peut porter au pouvoir que des serviteurs de Davos. Suivant les conseils du bon docteur Attali, il signe chez Rothschild. On ne connaît que trop la suite de cette triste histoire.

Orwell, un homo novus de la toute petite bourgeoisie britannique, qui n’a commencé à réellement réfléchir qu’en assistant à l’inévitable écrasement de sa chère révolution anarcho-gauchiste catalane par les staliniens, nous a laissé une vision dystopique inspirée de la société réellement créée par Lénine (et son successeur Staline), c’est-à-dire des conséquences d’une interprétation autoritaire/révolutionnaire du marxisme – passée à la postérité sous le nom de léninisme(1). On remarque que, comme Huxley comparé à Hilferding et Schwab(2), Orwell ne diffère des deux autres (Lénine et Macron) que par ce scrupule de dernier instant(3) qui le saisit au vu des cadavres de ses amis anars et trotskos allongés par le NKVD.

Pour les austromarxistes (courant dont Hilferding est issu, et dont il crée la synthèse théorique la plus achevée), en revanche, il était clair dès avant 1917 que la révolution russe ne pouvait qu’ouvrir une parenthèse historique locale(4) : ils savaient d’avance que ce à quoi le naïf Orwell assistait horrifié en Catalogne ne serait que le mopping-up(5) d’un échec consommé dès le moment où Lénine et sa poignée de fanatiques ont tenté d’appliquer les idées de Marx à une société périphérique et arriérée.

Huxley, fils gâté de l’aristocratie intellectuelle, à qui sa femme bisexuelle fournissait des maîtresses à tirer en triplette le soir venu(6), partageait très probablement l’intuition des austromarxistes concernant l’impasse soviétique; frère et cousin des Klaus Schwab de l’entre-deux-guerres, il savait bien mieux qu’Orwell ou que le jeune Macron ce que l’Occident (qui ne pouvait que gagner) nous préparait: un totalitarisme technologique, fondé non sur la crainte et la douleur, mais sur la manipulation et les menus plaisirs du lapin de laboratoire. Orwell ne voyait que tortures et prisons, qui n’ont d’utilité que pour mater des hommes libres. Huxley savait que les zombies que l’Occident aspire à produire n’auraient nul besoin de ce genre de traitement. Il avait, simplement, quelques scrupules (probablement issus d’un vieux fond chrétien) concernant la moralité de ces brillantes perspectives. C’est à ces scrupules – et à son ambition littéraire – que nous devons Le Meilleur des mondes. Dans lequel il décrit ce monde que les descendants (au moins intellectuels) de ses frères et cousins, réunis autour des grands-messes annuelles de Davos, s’emploient actuellement à créer, sous prétexte sanitaire – programme que résume (tout en l’embellissant un peu) Klaus Schwab, secrétaire du parti, dans sa Grande Réinitialisation de juillet 2020.

Or, le mécanisme d’apparition de ce meilleur des mondes, c’est la fusion de l’État et du grand capital financier, que Hilferding prédisait dès 1910, et que Schwab, 110 ans plus tard, nous «annonce» (comprendre: ordonne) pour un avenir, ce coup-ci, imminent. Schwab, comme Hilferding avant lui, présente cette fusion comme une appropriation démocratique: l’État devenu socialiste confisquant la superstructure finances/industrie (et désormais: finance/High Tech). En réalité, Hilferding (futur élu du SPD allemand au moment où il écrit…) se doutait bien de ce que Schwab ne peut que pertinemment savoir (mais s’abstient naturellement soigneusement d’écrire) : c’est, bien entendu, l’inverse qui se produit, l’oligarchie bancaire (et son avant-garde pseudo-technologique de la Silicon Valley) cooptant les élites démocratiques d’États transformés en shows par le Gestell médiatico-électoral. Huxley, écrivant sous le manteau de la fiction, n’avait pas ce genre de précautions oratoires à respecter – par ailleurs, les trois visions concordent parfaitement.

La version fictionnelle (celle de Huxley) est d’ailleurs aussi la seule dans laquelle ce projet – si profondément contraire aux instincts les plus enracinés de Sapiens Sapiens – réussit. Car régulièrement(7), cette belle locomotive transhumaine déraille. La République de Weimar (dont Hilferding a été ministre des Finances) débouche sur la misère, l’anarchie et, finalement, l’arrivée au pouvoir d’Adolf Hitler. Hilferding, après avoir passé le plus clair des années 1920 à louvoyer entre l’aile centriste non-marxiste du SPD et les communistes (s’attirant pour cela les foudres du Lénine des dernières années), rejoint finalement le «socialisme révolutionnaire» dans les années 1930, «devant le péril fasciste». C’est-à-dire qu’il rejoint de facto le parti de Lénine (post mortem), et les assassins des amis anarchistes d’Orwell. Gageons (car on en voit déjà des signes très clairs) que l’utopie grand-réinitialisée du Hilferding de la carte à puces (j’ai nommé le camarade Schwab) tournera au moins aussi bien que celle de Weimar. Puisque, finalement, l’Occident où réussit ce brillant putsch covidien est, dans le monde de 2020, presqu’aussi périphérique déjà (du point de vue économique) que la Russie de Nicolas II en 1914; et l’exploit pseudo-sanitaire de 2020–21 le fera, soyons-en sûr, reculer suffisamment pour qu’on puisse, à terme, le comparer directement à la Russie de 1917 (une économie balbutiante, et qui déraille après trois ans de débâcle militaire), ou au moins à l’Allemagne de Weimar. Or c’est au début de ce genre d’époques – où le vert inclusif se tache soudain de rouge sang – que les Hilferding et les Schwab de ce monde tendent à se souvenir brusquement de leur affection (pourtant teintée de dégoût) pour des coreligionnaires plus frustes, moins frottés de Thèses sur Feuerbach, mais dotés d’un sens plus vif du flashball et du camp de concentration. Ce qui, par la suite, fournit des sujets littéraires aux Orwell de ce monde, et autres petits greffiers de l’horreur consommée.

Cette mise en perspective a pour but de faire comprendre au lecteur néophyte que Klaus Schwab – même s’il se doute bien que l’OMS nous ment, même s’il croit moins qu’il ne le prétend à la spontanéité des évolutions qu’il ordonne en faisant mine de les prédire – est sincère. Dans sa vision du monde(8), ces mensonges sont un moindre mal au service d’un plus grand bien. Il n’a pas de haine à l’encontre des anarchistes, des libertariens, des chrétiens et autres églises prêchant la méfiance face à l’État omniprésent: il les plaint. Et si les appels à frapper et emprisonner les «négationnistes» (qui doutent de la transsubstantiation de la grippe en peste) ne viennent jamais de lui, c’est bien sûr aussi le résultat d’un casting qui lui assigne un rôle de «bon flic»(9) – mais pas uniquement: s’il fait ce qu’il fait à cet âge vénérable, c’est parce que, comme son camarade Piketty, comme feu le camarade Hilferding, il pense sincèrement que sa Grande Réinitialisation correspond aux aspirations les plus profondes et les plus sain(t)es du genre humain, tel que sa secte le redéfinit. Il aura donc un pincement au cœur absolument sincère quand ses gouvernements covidiens commenceront à tirer dans la foule, et qu’il faudra, une fois de plus, laisser la place au léninisme. Nous l’aurons déçu.

NOTES
  1. A propos de cette habitude terminologique, voir la conclusion du présent texte.
  2. Ou encore comparé à ses propres frères et cousins de l’aristocratie britannique: ancêtres (au moins intellectuellement – parfois aussi biologiquement) des confrères de Schwab.
  3. Peut-être un peu favorisé par certaines largesses du MI6 dans le contexte du début de la Guerre froide – mais passons.
  4. Même s’il n’en prévoyaient pas forcément la longueur surprenante, due à des facteurs parasitaires – de même que Hilferding lui-même a visiblement «mal calculé» Hitler. C’est d’ailleurs un trait structural des hilferdingiens: trop habitués à raisonner en millénaires, ils ont du mal avec les décennies…
  5. Pour employer les mots d’un autre fils spirituel de l’(austro)marxisme: Alexandre Kojève.
  6. Comme la Beauvoir à Sartre, et presque à la même époque.
  7. Et de façon, soyons en sûrs, mystérieuse pour ces croyants plus ou moins enthousiastes de l’évangile occidental.
  8. Vision du monde qui est en réalité une religion – d’autant plus dangereuse qu’elle se conçoit elle-même comme pure immanence – cf. infra Chap. 8.
  9. Dans le dispositif davosien, même quand elle est la conséquence inévitable des instructions de la Centrale, la violence directement ressentie par les citoyens doit toujours venir d’autorités nationales. D’où la grande naïveté des rêveries conspirationnistes sur la proclamation imminente de je ne sais quel «Etat mondial» (naïveté encouragée par le vocable de «mondialisme»). Nous y reviendrons.

Antipresse
Samedi 10 avril 2021.




« Nous sommes en guerre » ou L’inversion de toutes les valeurs

Par Alain Nicolaï, auteur du  Livre des Sept Sceaux (Le Retour à l’Évidence)

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« Nous sommes en guerre. »

Macron le 16 mars 2020

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Aux naïfs qui ne se sont pas encore rendu compte que la politique de Macron et de son gouvernement(([1] Gouvernement dont il faut se demander si une partie n’est pas manipulée par Macron, de même que la plupart des députés LREM. Remarque : ce qui ne les excuse en aucun cas, puisque, en théorie, ils devraient avoir un cerveau.)), loin d’être incohérente, est en fait simplement l’exécution d’un plan machiavélique préparé de longue date par la finance (le banco-centralisme), certains milliardaires et les partisans du nouvel ordre mondial, il va être présenté dans cet article une suite d’informations cachées au grand public qui le prouvent abondamment. Il est très facile de le démontrer, puisqu’une grande partie des textes et des vidéos ci-dessous proviennent de leurs propres sources. 

Au cours de l’histoire de France on n’a jamais vu un gouvernement provoquer une dépression économique. Cette pandémie de Corona a commencé en janvier 2020, pourquoi ?  

Extrait de la conférence faite le 20/11/2020 à Berlin par Paul Schreyer, journaliste d’investigations :

On peut bien sûr se dire : il y a un virus qui apparaît, et voilà. Si nous restons dans l’explication officielle, et après, ça a suivi son cours. C’est arrivé comme le destin l’a voulu. Si nous supposons maintenant que cela ne s’est pas produit de manière aussi fatale, mais que cela a été dirigé par certains cercles, une sorte de gymnastique mentale, alors il n’est peut-être pas inintéressant d’éclaircir ce qui s’est passé en septembre 2019.

Parce que c’est à ce moment-là qu’un très gros tremblement de terre s’est produit sur les marchés boursiers. Je n’avais presque rien remarqué. A l’époque, j’y ai vaguement fait attention, c’était juste un petit événement, mais je n’avais pas suivi et ce n’est que maintenant, lors de la préparation de ma conférence, que je l’ai examiné de plus près.

Comme je l’ai déjà dit au début, je n’ai pas encore abordé ce sujet dans mon livre. Pour vous donner une idée de ce qui s’est réellement passé, je vais simplement vous montrer un court article de presse qui résume assez bien la situation. C’est un article de la « Zeit » (un journal allemand). Il a été publié en octobre 2019, et on y lit:

« Court-circuit dans le système financier. La Réserve fédérale américaine veut empêcher une défaillance totale du marché monétaire en injectant des milliards de dollars. À quel point la situation est-elle critique? »

Je vais vous lire les informations clés de l’article pour que vous compreniez ce qui se passait : « La crise est survenue du jour au lendemain. Les banques étaient à court d’argent. Les banques centrales ont injecté des centaines de milliards de dollars sur le marché monétaire, juste pour éviter le pire. Tout cela ressemble à l’apogée de la crise financière mondiale il y a onze ans — mais en fait, il s’agit de l’avant-dernier lundi. » Donc septembre 2019. « C’est à ce moment-là qu’une partie essentielle du système financier mondial était au bord de l’effondrement, et le public n’a quasiment rien remarqué. »

« Dans la nuit du 17 septembre, un certain taux d’intérêt (…) a grimpé sans prévenir : le taux qui s’applique aux banques qui veulent emprunter à court terme. Normalement, les banques sont approvisionnées en argent liquide pour un intérêt d’environ deux pour cent (…) Mais soudain, l’argent liquide y coûtait dix pour cent. (…) La dernière fois que les banquiers centraux ont dû intervenir sur marché Repo (le marché des pension) — c’est le nom de cette place financière —, c’était après la disparition de la banque d’investissement Lehman Brothers en 2008. À l’époque, la détresse de cette banque d’investissement avait déclenché un état d’urgence dans cette partie du système financier, ce qui avait presque conduit à l’effondrement de l’économie mondiale. »

J’ai trouvé cela très intéressant et je le trouve toujours très intéressant. J’ai donc essayé de vérifier ça, de jeter un coup d’œil sur les chiffres. Je suis allé sur le site de la Réserve fédérale, la Réserve fédérale américaine. Et là, j’ai trouvé le graphique suivant. (Min. 53.32 * graphique)

Pour ceux d’entre vous qui ne sont pas familiers avec la finance et les chiffres, ne vous inquiétez pas, ce graphique n’est pas magique. Pas aussi compliqué qu’il n’y paraît à première vue. Je vais essayer de l’expliquer brièvement : Le graphique montre le « bilan », c’est-à-dire le total des actifs de la banque centrale.

On pourrait le traduire ainsi : Le graphique montre la quantité d’argent que la Réserve fédérale apporte à l’économie américaine. Alors, combien d’obligations d’État achète-t-elle, et combien d’obligations de sociétés achète-t-elle.

Cela signifie que la Réserve fédérale crée de l’argent et le met sur le marché pour compenser le fait que les banques ne se prêtent plus d’argent parce qu’elles ont perdu confiance. C’est ce qui se passe. On pourrait nommer cela également, de manière un peu simplifiée, la courbe de température de l’économie américaine. En fait, c’est excatement ça. (*Min. 54.21).

Commençons par la gauche. En 2008, avant la crise financière, la Réserve fédérale avait des actifs totaux d’environ un trillion, 1’000 milliards de dollars. Ça a doublé en quelques semaines, à l’automne 2008. Oui, pourquoi ça a doublé ? Parce que les banques ont arrêté de se prêter de l’argent entre elles. La confiance a disparu. Et c’est à ce moment-là que la banque centrale doit intervenir, sinon le système s’effondre. C’est ce qui s’est passé.

Ce qui est intéressant, c’est qu’il n’a pas été réduit, le niveau est resté le même au cours des années suivantes. En 2010, 2011, il a été augmenté. 12,13,14, il a encore été augmenté. Ensuite, il y a eu une phase de plateau de 2015 à fin 2017. Avec une phase de plateau très élevée, quatre mille milliards, donc quatre fois le niveau d’avant la crise. Si vous regardez cela avec le recul d’aujourd’hui, vous pouvez voir que cette bulle était gigantesque. Il est clair pour nous qu’une bulle aussi importante ne peut être maintenue éternellement. À un moment donné, il faut la dégonfler ou elle va éclater. Et c’est exactement ce que la Réserve fédérale a essayé de faire à la fin de 2017. Elle a décidé de dégonfler lentement et délibérément cette bulle de manière continue. Vendre des actifs et ainsi dégonfler l’argent du système à nouveau. Et ça a bien marché pendant deux ans. De fin 2017 à fin 2019 — et là, nous allons zoomer — vous pouvez le voir à nouveau. Comment, continuellement, donc mois après mois, la banque centrale essaie de dégonfler la bulle. Et les marchés ont joué le jeu. Les investisseurs l’ont accepté.

Et en septembre 2019, quelque chose s’est produit. Je ne sais pas quoi, je ne peux pas vous le dire. Mais le fait est que la confiance dans ce marché financier, dans ce « marché repo » s’est effondrée en septembre 2019. Et cela a conduit la banque centrale à devoir changer totalement de cap. Ce qu’elle avait fait pendant deux ans, elle a dû l’inverser complètement. Il fallait recommencer à acheter. Cela a donc été un choc pour cette banque. Et vous pouvez voir, ce pic ici, n’a rien à voir du tout avec la Corona. Nous sommes en janvier 2020, et puis en mars, c’est la montée dans l’ombre de la Corona. Mais ce qui se passe ici, en octobre, novembre et décembre 2019, n’a rien à voir avec la crise de la Corona. Mais c’est le même mouvement qui s’est intensifié par la suite.

Si vous regardez ça maintenant… Oh non … D’abord, je voudrais vous montrer un rapport de janvier 2020, un rapport du 16 janvier, c’est-à-dire avant même que la Corona ne devienne le grand sujet médiatique. Le journaliste du Handelsblatt Norbert Häring a écrit un article sur cette augmentation. Et il y écrit :

« La FED a justifié son intervention — de manière peu convaincante — par une erreur de calcul temporaire de sa part (…). Il ne faut en aucun cas en conclure que les banques ne se font plus confiance. La prétendue erreur de calcul est apparemment assez persistante. Quatre mois plus tard, les prêts d’urgence (…) sont toujours disponibles en quantités illimitées, et il n’y a pas de fin en vue. 

La FED garde secrets les noms des bénéficiaires des prêts afin de ne pas les marquer d’une réputation d’indigence. (…) 

Peut-être que le boom des marchés financiers alimenté par les banques centrales est dans sa phase finale avant l’effondrement. »

Norbert Häring

Permettez-moi de replacer cela dans un contexte temporel plus large. J’ai choisi un graphique des actifs totaux de la Réserve fédérale remontant non pas à 10 ans, mais à 100 ans. C’est le nombre d’années d’existence de cette banque. (Min. 57.45 graphique) Voilà, c’est cette courbe.

C’est fait là où vous voyez dans quelle mesure la Réserve fédérale est impliquée dans l’économie américaine. Et nous voyons — nous sommes ici en 2008 — la crise financière. La dernière fois qu’une crise de cette ampleur s’est produite, c’était lors de la Grande Dépression de 1930. Les valeurs jusqu’à la Deuxième Guerre mondiale ont été lentement réduites après la guerre mondiale. C’est le niveau, c’est la gravité que nous avons atteinte avec la crise financière de 2008 et aussi avec la crise qui a éclaté à nouveau en septembre 2019. C’est la dimension dans laquelle nous nous trouvons, sur le plan fiscal.

L’Event 201, l’ultime simulation basée sur les Relations Publiques

En octobre 2019, l’exercice suivant était  » l’événement 201 « . Voici l’endroit, l’hôtel où cet exercice a eu lieu. Nous voyons un hôtel chic de Manhattan, sur la 5e avenue. Et là-bas, c’est Central Park. Oui, et si vous descendez un peu la rue, à quelques rues d’ici, vous trouverez la tour Trump. C’est donc la rue la plus chère de Manhattan ici. Et cet hôtel a ouvert en 1930, en pleine crise économique, avec l’argent des grandes banques de Wall Street.

Et l’architecture de cet attique s’est inspirée de la chapelle de Versailles, la splendeur baroque de Louis XIV. C’est dans cette splendeur que les banquiers de Wall Street qui l’ont financé voulaient vivre. Ils se voyaient un peu à ce même niveau. Oui, l’hôtel est toujours là aujourd’hui. Et c’est là, à New York, qu’a eu lieu l’exercice « Event 201 », au cours duquel une pandémie de coronavirus a été répétée.

Laissez-moi vous dire qui est assis à cette table, afin que vous puissiez vous faire une idée des personnes qui répétaient : voici le modérateur du Center for Health Security (min 59:32), à côté de lui se trouve Christopher Elias. Nous l’avons vu tout à l’heure, il fait partie de la Fondation Bill Gates et a été conseiller du gouvernement fédéral, comme nous l’avons appris tout à l’heure. À sa droite, le directeur du Centre de contrôle des maladies. Ici, c’est le chef de l’agence chinoise de contrôle des maladies. Ils ont également participé à cet exercice. Et puis le vice-président de Johnson & Johnson, la plus grande société pharmaceutique du monde en termes de valeur marchande. Et elle, c’est l’ancienne vice-présidente de la CIA, elle était aussi dans ce panel. Et le monsieur en face est le président de l’agence de relations publiques Edelmann, la plus grande agence des relations publiques au monde.

Lors de cette conférence, lors de cet exercice, comme je l’ai dit, une pandémie de coronavirus a été jouée, également en termes de relations publiques.

Il est dit dans les documents relatifs à cet exercice que « les gouvernements devront travailler avec les sociétés des médias pour rechercher et développer des approches plus sophistiquées pour contrer la désinformation. Il va donc falloir développer la capacité d’inonder les médias d’informations rapides, précises et cohérentes. (…) Pour leur part, la presse devrait s’engager à faire en sorte que les messages officiels soient prioritaires et que les faux messages soient supprimés, y compris par le biais de la technologie. » Et c’est exactement ce qui se passe en ce moment même.

Voici une autre photo de cette conférence ; nous voyons l’organisatrice ici, il s’agit de la directrice du Centre pour la sécurité sanitaire, Anita Cicero. Elle est avocate. Elle a œuvré, avant de travailler pour cet institut, pour un grand cabinet d’avocats en tant que lobbyiste pharmaceutique. Elle avait trois cents avocats sous ses ordres et ses interlocuteurs comprenaient des membres de la Commission européenne, des hommes politiques du Sénat américain, auxquels elle a fait valoir les intérêts de l’industrie pharmaceutique avant de devenir ensuite vice-directrice de ce centre et d’aider à organiser des exercices comme celui-ci.

Ce que je trouve très intéressant, c’est la présentation en haut à gauche de l’image, où l’on voit comment cette crise, qui a été fictivement mise en scène, est illustrée. Vous pouvez donc voir ici un graphique, les numéros de cas, comment ils se développent. Vous pouvez voir quels pays sont touchés dans quelle mesure, vous pouvez voir comment les cours boursiers évoluent au même moment, combien de décès il y a, projeté sur les mois suivants.

M Schreyer montre l’infographie présentée lors de l’Event 201 et sa ressemblance avec celles qui nous accompagnent depuis plus d’une année.

Voir la transcription intégrale de la conférence sur le site de Liliane Held Khawam.(([2] https://lilianeheldkhawam.com/2021/04/18/une-serie-de-simulations-de-pandemie-a-precede-la-crise-du-covid-19-partie-1-paul-schreyer/)) (([3] https://lilianeheldkhawam.com/2021/04/21/une-pandemie-qui-survient-au-lendemain-du-crash-du-marche-des-repo-suite-et-fin-de-la-traduction-de-la-conference-de-paul-schreyer/))

À notre connaissance le premier à avoir dénoncé la crise sanitaire comme étant une manœuvre de la haute finance est un trader italien Andreas Cecchi.(([4] Version italienne et française de l’article original en partie flouté par la censure, repris par Nouveau Monde https://nouveau-monde.ca/le-bon-virus-au-bon-moment/))

Voici un court extrait de son article publié dès le 12 mai 2020 qui résume bien la situation :

« Le virus est vraiment arrivé au bon moment. S’il n’était pas arrivé, les taux d’intérêt auraient grimpé en flèche et le marché de la dette et le marché des produits dérivés (2,5 milliards de milliards — estimation BRI) auraient explosé en une supernova aux proportions bien pires que ce qui s’est passé (en 2008). Une crise pour laquelle il n’y a pas d’outil pour la gérer.

Arrêter l’économie et donc la demande de prêts et inonder les banques de liquidités nouvelles semblait être la solution la moins dommageable. Au moins pour eux. Le slogan “tout ira bien” qu’ils ont mis dans la bouche des zombies sans tête, a servi à réitérer que tout ira bien pour eux, pas pour nous, et que pour l’instant, l’effondrement monétaire n’aura pas lieu, car ils ont arrêté l’économie en jetant tout le monde. Nous restons immobiles, immobiles dans un coin, comme dans une prison planétaire. En sauvant les REPO, les Hedge Funds et donc les fonds de pension ont également été sauvés. Pour l’instant, les retraités peuvent se reposer tranquillement. Leur pension est assurée. »


À ces manœuvres, s’ajoutent de multiples projets préparés de longue date, comme on le comprend facilement en lisant :
l’Agenda 2030 de l’ONU,(([5] Voir sur https://www.lilianeheldkhawam.com))
la déclaration de la Banque Européenne(([6] https://finance.orange.fr/actualite-eco/article/covid-19-une-annulation-de-la-dette-est-inenvisageable-affirme-christine-lagarde-CNT000001wZxp0.html))
ou celle de Klaus Schwab, Président fondateur du Forum Économique Mondial(([7] https://nouveau-monde.ca/dici-2030-nous-naurons-rien-et-nous-en-serons-heureux/ Ce qui se résume ainsi : pour le remboursement des dettes créer par votre gouvernement nous saisirons tous vos biens.)) 
qui convergent tous vers la prise de pouvoir qu’ils voudraient planétaire par la caste des fascistes.

La France est bloquée et privée de liberté depuis plus d’un an alors que Plus de 90 % des décès du Covid-19 surviennent chez les plus de 65 ans (lefigaro.fr)Il n’y a vraiment que les naïfs pour croire que derrière tout ceci il n’y a pas d’intentions cachées.

L’instrumentalisation de l’épidémie de Covid 19 rappelle les heures les plus sombres de l’histoire, avec la propagande nazie qui a fait d’une nation cultivée la victime d’un des plus grands criminels de l’histoire. Mais avec ce qui se passe actuellement en France et dans de nombreux pays, à l’exception notoire de la Fédération de Russie et de la République Populaire de Chine,(([8] La Chine et la Russie lancent une « économie mondiale de la résistance ». — Nouveau Monde  États qui ne sont plus confinés et qui ont repris leur marche en avant.)) nous avons franchi un pas de plus dans l’abjection :
l’Union Européenne, les gouvernements et les chefs d’État qui trahissent leur propre population.

Pour couronner  le tout, la dernière de Macron, l’entrepreneur de démolition :

« Nous devons déconstruire notre propre histoire. »

(([9] https://www.nice-provence.info/2021/04/22/chronique-decomposition-francaise-le-retour-des-barbares/))


La devise de la République française est Liberté — Égalité  Fraternité,
pour être parfaite elle devrait être, Équité Liberté Objectivité,
car cela donne :

Équité + Liberté + Objectivité = Fraternité.

Le peuple souverain transmet son pouvoir à son Président pour le guider.

Certes Nicolas Sarkozy et François Hollande étaient des partisans du nouvel ordre mondial comme l’indiquent certaines de leurs déclarations… , mais dans les faits, le seul président qui a osé — dans le pays qui a proclamé le premier les Droits de l’homme — ouvertement briser le Pacte Républicain, est le dénommé Macron. Aussi il ne faudra pas qu’il s’étonne le jour où il en paiera le prix cash !!!!!


Notes




Vaccins contre la Covid-19 : des incertitudes même sur la qualité intrinsèque des produits, sur leurs procédés de fabrication, sur les lots commercialisés… selon les documents officiels publiés par l’Agence européenne du médicament

[Source : CTIAP ctiapchcholet.blogspot.com]

Inédit. Exclusif. Vaccins contre la Covid-19 : des incertitudes même sur la qualité intrinsèque des produits, sur leurs procédés de fabrication, sur les lots commercialisés… selon les documents officiels publiés par l’Agence européenne du médicament (EMA)

Avec l’éclairage de Madame Catherine FRADE, Docteur en pharmacie, et ancienne directrice des affaires réglementaires internationales dans l’industrie pharmaceutique.

Peut-on imaginer le lancement d’une chaîne de fabrication de voitures, et la mise en circulation de ces véhicules, malgré les incertitudes relevées dans les documents officiels publiés ? Ces incertitudes concernent la qualité des pièces composant le moteur et les différentes autres pièces détachées dont celles relatives à la sécurité, le procédé de fabrication, la reproductibilité des lots commercialisés, etc.

Dans le domaine du médicament (dont les vaccins), l’acte pharmaceutique de « libération » du produit fini (produit autorisé destiné à la vente) constitue l’ultime étape de contrôle qui précède la mise à disposition de ces produits auprès de la population. Cette étape clef de « libération » relève de la responsabilité pharmaceutique des fabricants, notamment.

Dans la continuité de ses précédentes analyses proposées, le CTIAP du centre hospitalier de Cholet vient donc, à nouveau, révéler à la population, et sans doute de façon inédite et exclusive, de nouvelles informations capitales, vitales, concernant les 4 vaccins contre la Covid-19 suivants : celui du laboratoire BioNTech/Pfizer ; celui du laboratoire Moderna ; celui du laboratoire Astra Zeneca ; celui du laboratoire Janssen.

Ce travail a été possible grâce à la précieuse contribution de Madame le Docteur Catherine FRADE, pharmacienne, et ancienne directrice des affaires réglementaires internationales dans l’industrie pharmaceutique. De façon grâcieuse, elle nous a transmis une alerte écrite documentée. Dans ce document, elle apporte un « éclairage » sur des données qui sont extraites, le 22 mars 2021, de l’AMM (autorisation de mise sur le marché) elle-même ; une AMM qualifiée de « conditionnelle ». Elle a extrait des « données sources qui sont difficilement identifiables par quelqu’un qui ne travaille pas dans le domaine ». Ces données sont donc publiques et vérifiables. Au préalable, il y a lieu de préciser que l’auteure de ce document n’exerce plus au sein de l’industrie pharmaceutique ; elle déclare : « Tout d’abord, je tiens à préciser que je n’ai aucun conflit d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique ». C’est donc avec son accord, que le CTIAP entend mettre à la disposition du public, des professionnels de santé, des décideurs… une analyse de quelques-unes de ces données que toute personne devrait lire de façon attentive.

La présente réflexion présente d’abord ce qu’est une AMM « conditionnelle » (I). Puis, elle rappelle que les études concernant ces vaccins ne sont pas terminées puisqu’elles s’étalent de « 2021 à au moins 2024 » (II). Ensuite, elle révèle, de façon sans doute inédite et exclusive, que les documents officiels, publiés par l’Agence européenne du médicament (EMA), soulignent l’insuffisance des preuves concernant également la « qualité » de la « substance active » et des « excipients », du « procédé de fabrication », de la « reproductibilité des lots » commercialisés, etc. (III). Enfin, cette analyse propose une conclusion.

I- En premier lieu, il est important de comprendre ce qu’est une AMM « conditionnelle »

L’AMM est pour un médicament ce qu’une carte grise représente pour une voiture. L’AMM est octroyée quand un médicament a prouvé sa qualité, son efficacité et sa sécurité ; avec un rapport bénéfice/risque positif : c’est-à-dire qu’il présente plus de bénéfices que de risques. L’obtention de cette AMM est la condition indispensable pour qu’un laboratoire pharmaceutique puisse vendre un médicament, dont les vaccins.

En l’espèce, dans le cas de ces vaccins contre la Covid-19, les 4 AMM délivrées sont des AMM dites « conditionnelles ». Elles sont temporaires. Leur durée de validité n’excède pas 1 an ; car elles sont obtenues sur la base de « données allégées incomplètes ». Pour obtenir une AMM standard de 5 ans, les laboratoires concernés doivent fournir des dossiers complétés « d’études en cours et d’études planifiées dans les années à venir ». Tout au long de « ce développement », une surveillance étroite et coordonnée entre les laboratoires fabricants et les autorités de santé est organisée au travers de discussions régulières. L’AMM « conditionnelle » est « réévaluée chaque année » en fonction de l’apport et de l’analyse critique des données supplémentaires fournies et recueillies durant une année complète.

Cette AMM « conditionnelle » est une AMM européenne. Elle a été obtenue par la procédure centralisée accélérée. Elle permet une mise sur le marché simultanée dans les 30 pays suivants (Union européenne et Association européenne de libre-échange) : Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Chypre, Croatie, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Islande, Italie, Lettonie, Liechtenstein, Lituanie, Luxembourg, Malte, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Suède, Tchéquie.

Les études, concernant ces 4 vaccins, sont donc toujours en cours.

II- En deuxième lieu, les études planifiées sont toujours en cours et s’étalent sur une période allant de « 2021 à au moins 2024 »

L’ensemble des études déposées lors de la demande d’AMM est résumé dans l’EPAR (European Public Assessment Report : Rapport Public d’Évaluation Européen). Ce dernier est publié sur le site de l’Agence Européenne du Médicament (EMA). Les études planifiées, non encore réalisées, y figurent également.

Ce planning, qui « s’étale de 2021 à au moins 2024 » selon les vaccins contre la Covid-19, est défini dans les « annexes » de l’AMM conditionnelle et dans les EPAR publiés.

À titre d’exemple, le vaccin BioNTech/Pfizer a obtenu cette AMM conditionnelle européenne le 21 décembre 2020. Et, le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance de ce vaccin est fixé au mois de « décembre 2023 ».

Le vaccin Moderna a obtenu cette AMM le 6 janvier 2021. Le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance du vaccin est fixé au mois de « décembre 2022 », au moins.

Le vaccin Astra Zeneca a obtenu cette AMM le 29 janvier 2021. Le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance du vaccin est fixé au mois de « mars 2024 ».

Le vaccin Janssen a obtenu cette AMM européenne conditionnelle le 11 mars 2021. Le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance du vaccin est fixé au mois de « décembre 2023 ».

Mais, à ce jour, et c’est là où se trouve sans doute la révélation inédite et exclusive, un autre délai a été fixé pour ces 4 vaccins. Ce délai ne concerne plus seulement les essais cliniques en cours, mais également les « preuves de qualité pour la substance active et le produit fini », lui-même : c’est-à-dire la qualité intrinsèque (le cœur) du produit vendu et administré à des millions de gens.

III- En troisième lieu, et cela semble sans doute inédit, les documents officiels publiés soulignent également le caractère incomplet des preuves relatives à la « qualité » de la « substance active » et des « excipients », du « procédé de fabrication », de la « reproductibilité des lots » commercialisés, etc.

C’est ainsi que le délai pour déposer les compléments de preuves concernant la « qualité » de la « substance active » et du « produit fini » (c’est-à-dire le vaccin autorisé et vendu) est fixé aux mois de :

« juillet 2021 » pour BioNTech/Pfizer ;

« juin 2021 » pour Moderna ;

« juin 2022 » pour Astra Zeneca ;

« août 2021 » pour Janssen.

En effet, pour ces 4 vaccins, le paragraphe « E. Obligation spécifique relative aux mesures post-autorisation concernant l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle », extrait de l’annexe II de l’AMM, mentionne clairement ce qui suit :

Pour le vaccin BioNTech/Pfizer (pages 18-19)

À échéance de « mars 2021 », le laboratoire doit fournir « des données de validation supplémentaires » en vue de « confirmer la reproductibilité du procédé de fabrication du produit fini ».

À échéance de « juillet 2021 », le laboratoire doit fournir les informations manquantes afin de :

« compléter la caractérisation de la substance active et du produit fini » ;

« renforcer la stratégie de contrôle, y compris les spécifications de la substance active et du produit fini » dans le but « d’assurer une qualité constante du produit » ;

« fournir des informations supplémentaires concernant son procédé de synthèse et sa stratégie de contrôle » afin de « confirmer le profil de pureté de l’excipient ALC-0315 » et « d’assurer un contrôle qualité et une reproductibilité entre les lots tout au long du cycle de vie du produit fini » ;

« fournir des informations supplémentaires concernant son procédé de synthèse et sa stratégie de contrôle » afin de « confirmer le profil de pureté de l’excipient ALC-0159 » et « d’assurer un contrôle qualité et une reproductibilité entre les lots tout au long du cycle de vie du produit fini » ;

Et à échéance de « décembre 2023 », et « en vue de confirmer l’efficacité et la sécurité » de ce vaccin, le laboratoire « devra soumettre le rapport final d’étude clinique pour l’étude randomisée, contrôlée contre placebo, avec observateur en aveugle (étude C4591001) ».

Pour le vaccin Moderna (page 15)

Le laboratoire doit fournir les informations manquantes afin de :

« compléter la caractérisation des procédés de fabrication de la substance active et du produit fini » (échéance « janvier 2021 ») ;

« confirmer la reproductibilité du procédé de fabrication de la substance active et du produit fini (tailles de lot initiale et finale) (échéance « avril 2021 ») ;

« fournir des informations supplémentaires sur la stabilité de la substance active et du produit fini et revoir les spécifications de la substance active et du produit fini après une plus longue pratique industrielle » dans le but « d’assurer une qualité constante du produit » (échéance « juin 2021 ») ;

« soumettre le rapport final de l’étude pour l’étude clinique randomisée, contrôlée par placebo et en aveugle pour l’observateur mRNA-1273-P301 » dans le but de « confirmer l’efficacité et la sécurité de COVID-19 Vaccine Moderna » (échéance « décembre 2022 »).

Pour le vaccin Astra Zeneca (pages 14-15)

Le laboratoire doit verser les informations manquantes afin de :

« fournir les données de validation et de comparabilité supplémentaires, et instaurer des tests plus approfondis » dans le but de « confirmer la reproductibilité des procédés de fabrication de la substance active et du produit fini » (échéance « décembre 2021 ») ;

« fournir l’analyse principale (basée sur le data cut-off du 7 décembre (post-verrouillage de la base de données) et l’analyse finale des études pivotales combinées » afin de « confirmer l’efficacité et la tolérance de COVID-19 Vaccine AstraZeneca » (échéance « 5 mars 2021 » (pour l’analyse principale) et « 31 mai 2022 » (pour l’analyse combinée)) ;

« soumettre les rapports finaux des études cliniques randomisées et contrôlées COV001, COV002, COV003 et COV005 » en vue de « confirmer l’efficacité et la tolérance de COVID-19 Vaccine AstraZeneca » (échéance « 31 mai 2022 ») ;

« fournir des données supplémentaires concernant la stabilité de la substance active et du produit fini et revoir les spécifications du produit fini après une longue pratique industrielle » en vue « d’assurer une qualité constante du produit » (échéance « juin 2022 ») ;

« soumettre la synthèse et les résumés de l’analyse principale et le rapport final d’étude clinique pour l’étude D8110C00001 » en vue de « confirmer l’efficacité et la tolérance de COVID-19 Vaccine AstraZeneca chez les personnes âgées et le sujets présentant une maladie sous-jacente » (échéance « 30 avril 2021 » (pour l’analyse principale) et « 31 mars 2024 » (pour le rapport d’étude final)).

Pour le vaccin Janssen (page 18)

Le laboratoire doit transmettre les informations manquantes afin de :

« fournir des données de comparabilité et de validation supplémentaires » en vue de « confirmer la reproductibilité du procédé de fabrication du produit fini » (échéance « 15 août 2021 ») ;

« déposer le rapport final de l’étude clinique randomisée, contrôlée contre placebo, en simple aveugle VAC31518COV3001 » en vue de « confirmer l’efficacité et la sécurité du vaccin COVID-19 Ad26.COV2.S » (échéance « 31 décembre 2023 »).

Ces faits nous permettent de proposer une conclusion.

Conclusion

Par ces motifs, non exhaustifs, il était donc utile de chercher et de lire également et notamment le contenu dudit paragraphe « E. Obligation spécifique relative aux mesures post-autorisation concernant l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle », extrait de l’annexe II de l’AMM, correspondant à chacun de ces 4 vaccins contre la Covid-19.

L’insuffisance d’évaluation ne concerne donc pas seulement les essais cliniques (études menées chez l’Homme (femme et homme)), mais également la qualité même de la substance active, des excipients dont certains sont nouveaux, du procédé de fabrication, des lots libérés et administrés à des personnes humaines dans plusieurs pays du monde.

D’ailleurs, ces excipients nouveaux doivent être considérés comme des principes actifs nouveaux ; et ainsi faire l’objet d’un dossier d’évaluation complet et similaire à celui qui est exigé pour un principe actif nouveau.

Le changement du nom commercial de l’un de ces vaccins, comme cela a été récemment annoncé pour notamment le vaccin du laboratoire Astra Zeneca, ne pourrait être considéré que comme un arrangement cosmétique de l’image du produit dans un but marketing (conquête d’une nouvelle confiance du public, relance des ventes). Il ne répondrait pas aux questions soulevées concernant la qualité, l’efficacité et la sécurité du produit. C’est l’une des techniques habituelles utilisée pour maquiller (dissimuler) certaines caractéristiques indésirables du produit concerné. Une technique qui a déjà été employée pour présenter d’autres médicaments sous leur meilleur jour.

Comme déjà mentionné précédemment, dans le domaine du médicament (dont les vaccins), la « libération » du produit fini (destiné à la vente) est l’ultime étape de contrôle (de la qualité et donc de la sécurité) avant de mettre à disposition de la population ces produits.

Cette étape clef de « libération » des lots relève de la responsabilité pharmaceutique des fabricants. Mais, la responsabilité des utilisateurs (établissements et professionnels de santé notamment) peut également être engagée.

À notre avis, ces études cliniques n’auraient jamais dû commencer avant, au moins, la totale maîtrise de la qualité intrinsèque du produit fini et de son procédé de fabrication ; avant la stabilisation des formules de ces vaccins.

Comment pourrait-on comparer les résultats de ces essais cliniques, menés à l’échelle mondiale, si le vaccin administré peut varier d’une fabrication à l’autre, d’un lot à l’autre, d’une région à l’autre… ?

Ces variabilités, qui impactent même le cœur du produit, pourrait même invalider tous les essais cliniques effectués.

Même en cas d’urgence sanitaire, il nous est donc difficile de comprendre les fondements de ces AMM (autorisation de mise sur le marché) qui ont été octroyées à ces vaccins contre la Covid-19.

Aux incertitudes liées à la Covid-19, se sont ajoutées les approximations liées à l’utilisation, et à la qualité intrinsèque même, de ces vaccins. Désormais, il faudrait gérer deux problèmes au lieu d’un.

La manœuvre semble subtile. Les informations utiles sont bien disponibles dans les documents officiels publiés dans le cadre de l’AMM ; mais, ces données ne sont pas rendues visibles par le discours officiel. Ce dernier n’aurait cherché qu’à présenter ces produits comme étant efficaces et sûrs, et sans réserves ; alors même que les formules et les procédés de fabrication de ces vaccins ne semblent même pas encore totalement stabilisés.

Ces nouvelles révélations, sans doute inédites et exclusives, sèment davantage le doute sur la validité du consentement (une liberté fondamentale) qui est censé être libre et éclairé ; et qui aurait été donné par les personnes aujourd’hui vaccinées.

Toute personne a le droit à une information claire, loyale et appropriée. Cette information est également pérenne : en cas de révélation de nouvelles données, les personnes déjà vaccinées doivent être informées a posteriori (après l’administration de tel ou tel vaccin).

L’« obligation » vaccinale ne peut donc prospérer ; même sous forme déguisée via notamment un « passeport vaccinal ».

Cette nouvelle analyse vient confirmer davantage nos précédentes réflexions comme celle intitulée « Le vaccin contre la Covid-19 (Tozinaméran ; COMIRNATY°) pourrait-il être qualifié de « défectueux » par le juge ? » ; ou celles exprimées dans les deux lettres ouvertes qui ont déjà été adressées notamment au Ministre des solidarités et de la santé et aux 7 Ordres professionnels de santé.

La vulnérabilité ne jaillit pas uniquement de l’âge et de l’état de santé des personnes notamment. Ne pas pouvoir accéder à une information indépendante sur les médicaments (dont les vaccins) est la première des pauvretés et des inégalités.

D’ailleurs, concernant les incertitudes sur l’efficacité de ces vaccins, le Conseil d’État relevait, le 3 mars 2021, notamment l’aveu du Ministère des solidarités et de la santé, lui-même, et les contradictions de l’« administration » française. Dans cette décision, et contre l’avis de ce Ministère, le Conseil d’État avait pris une décision qui semblait tendre vers la reconnaissance de cette efficacité. Mais, quelques jours plus tard, dans une nouvelle décision (n°450413) rendue le 11 mars 2021, le Conseil d’État change de position et admet « l’incertitude qui demeure sur l’efficacité réelle du vaccin quant à la propagation du virus ». Il y a lieu de rappeler aussi que, le 18 février 2021, Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé a reconnu également, et publiquement, qu’aucun pays européen n’a pu apporter, non plus, la preuve que ces vaccins permettent de prévenir les formes « graves » de la Covid-19 (cf. conférence de presse à partir de 34min 44s).

Dans son dernier « Point de situation sur la surveillance des vaccins contre la COVID-19 – Période du 12/03/2021 au 18/03/2021 » publié le 26 mars 2021 – mis à jour le 29 mars 2021 -, l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) fait état de notamment le nombre de décès survenus en France après l’administration de ces vaccins. Des décès qui sont notifiés (signalés) en pharmacovigilance (indépendamment de la certitude du « lien de causalité » entre ces vaccins et ces décès) : « 311 décès » après l’administration du vaccin BioNTech/Pfizer ; « 4 décès » après l’administration du vaccin Moderna ; « 20 décès » après l’administration du vaccin Astra Zeneca ; (pas de données pour l’instant concernant le dernier vaccin (Janssen) autorisé). En sachant, qu’en général pour tous les médicaments, il existe une forte sous-notification en pharmacovigilance malgré le caractère obligatoire de ces déclarations.

Par conséquent, la prudence notamment voudrait même que, dans tous les pays où ces vaccins contre la Covid-19 ont été commercialisés, tous les lots ainsi « libérés » soient retirés immédiatement ; et que ces AMM qui ont été octroyées soient suspendues, voire annulées, en urgence jusqu’à nouvel ordre. C’est en tout cas le sens des recommandations que nous pourrions suggérer aux autorités ad hoc, et notamment françaises. Et, a minima, ces informations doivent être portées à la connaissance de toute personne de façon claire, loyale et appropriée.

D’autant plus qu’en cas d’effets indésirables graves, dont des décès, et pour établir ledit « lien de causalité » avec certitude, les victimes et leurs familles se trouvent souvent démunies face à l’exigence de la « preuve diabolique ».




Le Texas a mis fin au confinement et au masque obligatoire : maintenant, les États confinés sont ceux où le COVID se développe le plus

[Source : Le Texas a mis fin au confinement et au masque obligatoire : maintenant, les États confinés sont ceux où le COVID se développe le plus. – Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

Le Texas a mis fin au confinement et au masque obligatoire : maintenant, les États confinés sont ceux où le COVID se développe le plus.

https://mises.org/wire/texas-ended-lockdowns-and-mask-mandates-now-locked-down-states-are-where-covid-growing-most

Rédigé par Ryan McMaken – l’Institut Mises – 21 avril 2021

Au début du mois dernier, le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a annoncé qu’il mettrait fin à l’obligation de port du masque dans l’État et permettrait à la plupart des entreprises de fonctionner à 100 % de leur capacité.

La réaction des médias aux ordres et de la gauche était prévisible. Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, a déclaré que cette décision était « absolument irresponsable ». Beto O’Rourke a qualifié le parti républicain de « culte de la mort ». Joe Biden a qualifié la décision de « pensée néandertalienne ». Keith Olbermann a insisté sur le fait que « le Texas a décidé de rejoindre le camp du virus » et a suggéré que les Texans ne devraient pas être autorisés à prendre le vaccin contre le covidium. Vanity Fair a publié un article intitulé « Les gouverneurs républicains célèbrent l’anniversaire du COVID avec un plan audacieux pour tuer 500 000 autres Américains ».

D’autres États ont suivi le sillage du Texas, et le Mississippi, l’Alabama, la Floride et la Géorgie sont maintenant tous des États où les restrictions concernant le covid sont faibles ou inexistantes.

La Géorgie et la Floride, bien sûr, se distinguent toutes deux par le fait qu’elles mettent fin au confinement et aux restrictions beaucoup plus tôt que de nombreux autres États. Dans ces cas également, les gouvernements des États ont été critiqués pour leur politique, jugée imprudente et susceptible de provoquer des décès sans précédent. La politique de la Géorgie a été dénoncée comme une expérience de « sacrifice humain ».

Pourtant, au cours des dernières semaines, ces prédictions sur le sort du Texas se sont révélées spectaculairement fausses. De plus, bon nombre des États où la croissance des cas de covid est la plus forte – et où le nombre total de décès est le plus élevé – sont des États où les mesures de confinement sont parmi les plus sévères.

L’échec de la narration du confinement dans cette affaire a été si écrasant que la semaine dernière, lorsqu’on l’a interrogé sur la situation au Texas, Anthony Fauci n’a pu que suggérer quelques lignes peu convaincantes sur le fait que les Texans portent peut-être volontairement des masques et se conforment plus rigoureusement que les habitants des autres États. Dans l’explication de Fauci, nous voyons un récit qui n’explique tout simplement pas les faits réels de la question. 

Texas vs Michigan

La situation au Texas n’est qu’un exemple parmi d’autres d’une situation qui, État par État, est dévastatrice pour le récit du confinement qui sauverait des vies.

Par exemple, examinons le nombre de cas de covid au 20 avril.

Le nombre de cas est la mesure préférée des partisans de l’ordre de rester à la maison, de la fermeture des entreprises, du port du masque et des mesures répressives au nom du contrôle de la maladie.

Au Texas, le nombre total de nouveaux cas (moyenne mobile sur sept jours) au 20 avril était de 3 004. Cela correspond à environ 103 par million.

Maintenant, regardons le Michigan, où une variété d’obligation stricte de port du masque et de confinement partiel se poursuivent. La capacité des restaurants est maintenue à 50 % et l’État continue d’édicter des règles sur le nombre de personnes que l’on peut inviter à dîner.

Dans le Michigan, la moyenne mobile sur sept jours des nouvelles infections au 20 avril était de 790 par million, soit près de huit fois plus que le Texas.

Selon la logique des défenseurs du confinement, les États où les confinements sont sévères devraient avoir beaucoup moins de cas et moins de croissance dans les cas.

Cependant, ce n’est certainement pas le cas. Dans le New Jersey, par exemple, où les confinements ont été longs et durs, la croissance des cas est près de quatre fois supérieure à celle du Texas. Et puis il y a la Pennsylvanie, le Minnesota, Rhode Island, le Maine et New York, qui ont tous des taux de croissance des nouveaux cas plus de deux fois supérieurs à ceux du Texas.

En fait, le seul État dont les politiques de covid sont particulièrement laxistes et qui figure dans le top 10 de la croissance des cas est la Floride, qui connaît néanmoins des taux de croissance plus faibles que ceux des États dirigés par des fétichistes du confinement comme Andrew Cuomo et Phil Murphy.

De plus, l’épidémie globale de covid-19 en Floride a été beaucoup moins meurtrière que celle des États qui ont adopté le confinement depuis longtemps. Le New Jersey, par exemple, a le pire taux de décès dus au covid-19 du pays, soit 2 838 par million au 20 avril. Juste derrière, on trouve New York et le Massachusetts avec un total de 2 672 et 2 537 décès par million, respectivement.

La Floride, quant à elle, se situe au vingt-huitième rang national en termes de décès du covid, avec 1 608 décès. Le Texas a un total de 1 721 décès par million.

En d’autres termes, la Floride n’est pas près de rattraper New York ou le New Jersey, et elle n’est certainement pas près de rattraper le Michigan, qui laisse les autres États dans la poussière en termes de croissance des cas. Pour ceux qui ont une peur bleue du covid, ils seraient mieux en Floride, au Texas ou en Géorgie que dans les États qui ont depuis longtemps adopté le confinement et prétendent « suivre la science ».

Alors comment expliquer cela ?

Les partisans du confinement ne semblent pas avoir d’explication du tout.

La semaine dernière, Anthony Fauci, directeur de l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), a eu du mal à trouver une explication lors de son témoignage devant le Congrès.

Au cours des semaines précédentes, M. Fauci a eu tendance à s’appuyer sur le vieil argument éprouvé selon lequel il suffit d’attendre deux à quatre semaines de plus pour que les cas explosent partout où les restrictions covid sont allégées ou éliminées. Les défenseurs du confinement ont essayé cela pendant des mois après que la Géorgie ait mis fin à son ordre de rester à la maison, bien que la Géorgie ait constamment obtenu de meilleurs résultats que de nombreux États qui ont poursuivi leur confinement.

Mais maintenant que nous sommes à six semaines de la fin de l’obligation de port du masque et des confinements partiels du Texas, Fauci n’a pu offrir aucune explication plausible. Plutôt, lorsque le représentant Jim Jordan l’a pressé sur le sujet, Fauci a insisté sur le fait que ce qui compte vraiment, c’est la conformité plutôt que l’existence de l’obligation du port du masque et le confinement :

Il y a une différence entre le confinement et les personnes qui obéissent au confinement… Vous savez, vous pouvez avoir une situation où l’on dit : « Nous allons confiner », et pourtant les gens font exactement ce qu’ils veulent- Jordan a demandé si cela expliquait la situation dans le Michigan et le New Jersey (et d’autres États où le nombre de cas de covid augmente rapidement). Fauci a alors prétendu qu’il ne pouvait pas entendre la question, et Jordan a été interrompu par le président de la commission.

Aucune personne connaissant la situation dans des États comme le Texas, la Floride et la Géorgie, ne trouverait plausible que la propagation du covid ait été réduite dans ces régions par une utilisation plus militante des masques et une distanciation sociale. Le témoignage de Fauci n’était clairement qu’un cas d’expert du gouvernement cherchant une explication.

Mais ne vous attendez pas à ce que Fauci et ses partisans renoncent à insister sur le fait que New York et le Michigan font « ce qu’il faut » tandis que le Texas et la Floride adoptent le « sacrifice humain » dans le cadre d’un « culte de la mort ».

Les chiffres réels donnent une image très différente, et même les observateurs occasionnels peuvent maintenant voir que l’ancienne narration était vraiment fausse.




Chronique d’une décomposition française : le retour des barbares

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Par Alexandra SCHREYER

Emmanuel Macron, Président de la République française, déclarait le 18 avril 2021 « Il faut déconstruire l’histoire de France ! » Certains n’ont pas attendu l’espoir exprimé par le président Macron. Ils ont déjà commencé !

« Là où on brûle des livres, on finit aussi par brûler des hommes »

(Heinrich Heine dans Almansor)

Dans la nuit du 26 au 27 juin 2018, une voiture a été projetée dans la devanture de la Médiathèque des 4 000 à la Courneuve. Un incendie s’est ensuite déclaré, brûlant les livres, les documents, etc… Mais, depuis une vingtaine d’années, au moins 70 bibliothèques et sans doute bien plus, sont parties en fumée dans les banlieues de toute la France, dans les cités HLM et grands ensembles prioritairement. Il est notoire que les attaques de bibliothèques sont souvent passées sous silence, par une sorte de déni des maires qui ont un peu honte de l’ambiance de leur ville ou qui ne veulent pas, tout simplement, subir de représailles.

Livres brûlés - Chroniques Nuremberg - 1440-1514

Pour les sociologues, un tantinet gauchistes, qui s’intéressent à l’affaire, il s’agit bien sûr d’une population de jeunes désœuvrés, mal aimés, qui rejettent le symbole du Pouvoir dans une légitime révolte, car ces livres ne parlent pas de leur sort douloureux de pauvres victimes. D’autres seront plutôt tentés d’y voir l’action délibérée de bandes organisées et politisées, voire mues par des sentiments religieux, qui veulent détruire tout ce qui représente à leurs yeux l’Occident, sa culture et ses valeurs. Il est en effet tentant de traduire ces destructions comme une attaque contre un savoir et une connaissance rejetée afin de prôner, éventuellement, un certain obscurantisme.

Pour mémoire, les nazis détruisirent par le feu les ouvrages dissidents (notre illustration à la une) et les phalanges franquistes firent de même.

Roland Barraux - Savonarole bûcher vanités

Diego de Landa ordonna la destruction des manuscrits racontant l’histoire de la civilisation maya et Savonarole, au nom de la Sainte Inquisition, alluma le « Bûcher des Vanités » à Florence.Quant aux Talibans, ils ont détruit d’anciens livres rares, et la révolution française ne fut pas en reste, etc… la liste est loin d’être exhaustive.

Alors pourquoi tant d’acharnement à détruire et même brûler des livres afin qu’il ne reste absolument rien de leur contenu ?

Dans le livre des dieux égyptiens, il est dit que les hiéroglyphes ont le pouvoir de s’animer, il en est de même d’ailleurs pour les mots hébreux. Parfois, le scribe de l’ancienne Égypte détériorait ou mutilait ces signes afin de leur ôter ce pouvoir de création. C’est ce qu’ont sans doute pressenti toutes les grandes dictatures, celles qui ne supportent pas la contradiction, la différence, la liberté : brûler un livre revient à brûler l’esprit et la pensée. On peut donc s’inquiéter, à juste raison, quand on observe ce qui se produit avec l’incendie des bibliothèques en France. Cherche-t-on à mutiler et brûler des livres afin de leur enlever ce pouvoir de transmission d’une certaine pensée et culture ? Dans le film « Farenheit 451 » (le nombre de degrés auquel le papier se consume), l’action se situe dans une société totalitaire où le livre est interdit car il stimule la réflexion.

Fahrenheit 451

Alors, des « hommes-livres » ont choisi d’apprendre chacun un livre par cœur afin de sauvegarder la connaissance. Une vieille femme préfère s’immoler sur l’autodafé purificateur organisé par le dictateur.

José Luis Borges - Bibliothèque Babel

Mais il est difficile de pulvériser complètement le contenu d’un livre. Ces œuvres détruites recèlent encore l’âme des lettres comme les cimetières contiennent le livre de la vie des défunts et leur mémoire (un tel cimetière de livres existe réellement en Israël, à Safed). L’écrivain argentin José Luis Borges est à la recherche du livre ultime qui contient à la fois tous les mots de l’alphabet, tous les ferments de la création et toute la mémoire du monde, dans la gigantesque « Bibliothèque de Babel ». Il rêve de trouver un livre sans commencement ni fin, dont les pages s’ouvrent sur un autre monde invisible à nos yeux et au potentiel illimité.

Mais il est vrai qu’il y a plusieurs manières de brûler ou d’enterrer un livre.
Il suffit d’user d’inculture, c’est ce qui menace nos sociétés comme un péril supplémentaire. Nous sommes en passe de perdre tout simplement le chemin du savoir et si nous n’y prenons pas garde, bientôt « le temps approche où l’on ne saura plus lire ni écrire, où quelques mandarins chuchoteront des secrets à l’oreille… » (Jean Cocteau).
Ou d’user de malveillance

Vieux livres poussiéreux

Alors, il faut être vigilants, si nous ne voulons pas un jour prochain errer dans la fictive et profonde vallée de Kloriole(1) où s’étend un cimetière d’ossements de papiers, où gisent des livres fragiles comme des feuilles mortes et froissées dont nous ne recueillerons plus que la poussière, cimetières qui seront parcourus par des lettrés à la recherche des reliques de leur connaissance du passé, tant il est vrai qu’un peuple qui oublie son Histoire est un peuple perdu.

Alexandra SCHREYER

(1) NDLR : en références aux lieux imaginaires en littérature.




Le GOUVERNEMENT SOMMÉ de s’EXPLIQUER sur ses ERREURS

[Source : MINURNE-RÉSISTANCE]

SYNDICATS ET PROFESSIONNELS ATTAQUENT LE GOUVERNEMENT

Récemment, les professionnels se sont manifestés à travers le Collectif de Syndicats et Associations de Professionnels Européens (CSAPE).
Le CSAPE a construit un dossier juridiquement et scientifiquement très argumenté. Il démontre que la population est mise en danger par des mesures manifestement disproportionnées imposées sans aucune base factuelle. Est également souligné le fait que les populations du monde ont servi de cobayes aux expérimentations des laboratoires. Les gouvernements ont voulu les presser à n’importe quel prix dans l’espoir d’arrêter la pandémie très vite, ce qui, dans le cas de plusieurs pays – la France en tête – est un fiasco monumental puisqu’au bout de plus d’un an, on en est toujours au même point. De plus, le choix s’est porté de préférence sur des modificateurs de génome nouveaux et sans recul expérimental, technique dont les effets secondaires mal anticipés et méconnus commencent seulement à apparaître.

LA GRAVE ACCUSATION  DES PROFESSIONNELS

« La population est à l’évidence confrontée à une expérimentation généralisée, sur son intégrité physique et mentale, sans son consentement avisé en violation du droit international avec participation complaisante et active du gouvernement qui de surcroît abuse de mesures liberticides sur fond de situations anxiogènes répétitives, de manipulations par la peur en travestissant les faits, et de maltraitance par l’empêchement de la médecine d’Hippocrate.

Les dernières déclarations gouvernementales relatives à de prétendus « variants », (principe mutagène de tout type de corona), relèvent de la même stratégie de tromperie envers la population pour maintenir à des fins inavouables une urgence sanitaire dont la nécessité n’est délibérément pas démontrée.

Cette expérimentation généralisée sur une population maintenue dans l’ignorance par tromperie constitue un crime contre la dignité humaine et un crime contre l’humanité.

Elle vous (les membres du gouvernement) expose personnellement à des poursuites gravissimes, dont il ne saurait être fait état d’une quelconque immunité aussi bien pour le chef de l’Etat que pour son administration« .

C’est en résumé l’accusation portée par le CSAPE.

Le 3 mars, il a donné quinze jours au gouvernement pour se justifier par des documents, et non par des déclarations lénifiantes et larmoyantes, faute de quoi des plaintes seront déposées auprès d’organismes internationaux (ONU et Cour Pénale Internationale), européens (Cour Européenne des Droits de l’Homme et Cour Européenne de Justice), ainsi qu’en France, auprès de la Cour de Justice de la République (qui pourra mettre le président en accusation s’il n’est pas réélu en 2022).

La mise en demeure faite au gouvernement lui permettra de se justifier s’il peut prouver sa bonne foi et sa compétence dans le traitement de la pandémie, mais cela peut aussi se retourner contre lui car CSAPE a des arguments  bien documentés par des preuves écrites et des faits incontestables comme le bilan de la France en morts par million d’habitants, l’un des plus élevés au monde.

LE GOUVERNEMENT DOIT RÉPONDRE À DES QUESTIONS PRÉCISES :

  • A-t-il recherché les responsables français et leur niveau de responsabilité dans l’invention du virus ?
    L’étude des brevets pris par l’Institut Pasteur dès les années 2000 montre que l’on y travaillait sur le coronavirus qui a donné SARS puis Covid. Avaient-il à cette période en stage des chercheurs chinois qui auraient pu voler des souches, comme ils l’ont fait à l’Institut de Recherche de Winnipeg au Canada, pour créer le coronavirus MERS, cause de 800 morts en Arabie saoudite puis, véhiculé par des chameaux en Syrie ?
  • Seront-ils poursuivis en justice pour négligence ou corruption ?
  • Va-t-il poursuivre le Conseil scientifique où siègent une majorité de gens ayant des liens financiers avec les laboratoires industriels et qui ont donné de fausses informations ayant déclenché des mesures disproportionnées impactant les libertés fondamentales ?
  • Va-t-il poursuivre l’OMS et l’Institut Pasteur pour fausses informations ayant déclenché des mesures disproportionnées impactant les droits inaliénables et fondamentaux de la population ?
  • Va-t-il poursuivre tous les responsables à l’origine de ce crime en tant qu’expérimentation générale sur la population ?
    Le gouvernement est soupçonné d’avoir voulu expérimenter le degré de résistance de la population à des ordres stupides comme le port du masque en plein air, le confinement –inefficace comme l’a dit Macron au JDD-, ou la vaccination des bébés, et son acceptation pour mettre en circulation de pseudos vaccins contenant des nanoparticules métalliques  comme en ont Pfizer, Moderna et AstraZeneca. Pour le moment, le résultat montre que les Français anesthésiés sont prêts à accepter n’importe quelle mesure totalitaire.
  • Va-t-il procéder à l’abrogation immédiate des contraintes liées au test RT-PCR ?
    Contraintes sociales et médicales alors que tous les pays asiatiques ont informé qu’ils étaient mal dosés en France (40% au lieu de 15%) et donc très imprécis. Exception faite de la Chine, qui fournit à la France les produits nécessaires à leur fabrication.
  • Va-t-il cesser d’imposer l’obligation du port du masque ?
    De nombreuses études ont démontré qu’il est totalement inutile en bord de mer, en montagne, en zones rurales excepté conversation rapprochée ; inutile en famille où les rapprochements sont inévitables et de toute façon, s’il y a des virus, tout le monde les porte déjà ; peu utile en général car aucun masque à l’exception des masques professionnels FFP3 n’est vraiment étanche (étude du M.I.T), les masques chirurgicaux n’étant faits que pour protéger le patient opéré des postillons du personnel médical.
  • La dernière question n’en est pas une. Nous demandons l’abrogation immédiate du couvre-feu et tout autre type de mesure de confinement qui ne sont en réalité qu’une mise en résidence surveillée spécifiquement restrictive des libertés.

Pour importer le document complet du CSAPE => CLIQUEZ ICI

Le CSAPE a envoyé cette mise en demeure le 2 mars par L.R.A.R. à Jean Castex, premier ministre. Il lui donnait quinze jours pour répondre et, à ma connaissance, il n’y a pas eu de réponse. Le gouvernement a donc choisi de faire la sourde oreille. Il fallait s’y attendre, il ne veut surtout pas que sa politique sanitaire absurde soit remise en cause et s’il tient bon un an, la présidentielle de 2022 réglera le problème.

LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES ET EUROPÉENNES NE BOUGERONT PAS

Mais le CSAPE pourrait bien mettre sa menace à exécution : alerter l’ONU, la CPI, l’Europe etc.

Hélas, l’ONU est solidement verrouillée par Bill Gates. Il la finance, et la Chine la contrôle grâce aux pays qu’elle tient à la gorge par les prêts remboursables qu’elle leur a consenti et font qu’elle détient la majorité à l’ONU.

L’Europe ne réagira pas non plus, l’Europe et sa Commission de fonctionnaires est dominée par l’Allemagne d’Angela Merkel.  Sa consigne est « Suivons la Chine« .

Tous les pays qui ont suivi la Chine sont dans une situation aussi mauvaise que la France : la Belgique, l’Espagne, l’Italie, l’Angleterre, les USA…
Tous ces pays ont eu un taux de mortalité par million d’habitants supérieur à ceux qui ont en quelque sorte « laissé faire », comme les pays d’Afrique, l’Inde… Mais aussi la Suède et la Biélorussie où le confinement a été refusé et qui n’ont pas plus de morts que la moyenne de l’U.E. Il y a eu chez les Occidentaux un très net manque de réflexion intelligente et d’organisation à tous les niveaux, France, U.E, ONU.

D’autres pays s’y sont pris d’une façon beaucoup réfléchie que les Occidentaux : les pays d’Asie du Sud-Est comme le Vietnam, Singapour, Taïwan et plusieurs autres, qui ont un nombre de morts inférieur à mille quand nous dépassons les cent mille, et ce sans arrêter leur économie.

Finalement  la plainte du CSAPE, si elle n’aboutit pas, aura servi à alerter avec des arguments solides les Français sur la corruption de plus en plus voyante de leur administration et du gouvernement.

LA PRESSE EST DIVISÉE

Sur le reste, la presse est divisée. Yuval Noah Harari, historien israélien constate dans Le Courrier de l’UNESCO, que Covid est une épidémie des plus bénignes avec un taux de mortalité inférieur à 1 % (0,2 % en France) quand la grippe de 1918 a tué 10% de la population et la peste noire de 1347-1351 au minimum 25%.

CSAPE a raison de reprocher au gouvernement d’avoir surdramatisé Covid pour apeurer la population et en tirer profit en édictant des mesures liberticides qui renforcent son pouvoir d’oppression et de contrôle.

Mais aussi d’avoir donné à l’administration l’autorité sur des domaines où elle est totalement incompétente, voire nuisible quand elle n’est pas de surcroit vendue au secteur privé international (en Europe elle est classée au 15ème rang pour la corruption, pas rouge mais orangée). Elle a interdit des médicaments antiviraux efficaces pour privilégier les tests géniques expérimentaux baptisé à tort « vaccins », beaucoup plus chers et non validés par les essais de niveau 3 sur l’homme en principe obligatoires, les « vaccins » de Pfizer, Moderna et d’AstraZeneca. Leurs méfaits secondaires commencent seulement à se manifester et leur degré de nocivité réel ne pourra être connu que dans quelques années.

Un article de Valeurs Actuelles (le seul hebdomadaire libre parce que non subventionné) souligne qu’en interdisant aux médecins de prescrire des médicaments connus pour être efficaces contre les virus, et en obligeant à une vaccination aléatoire, l’administration et le gouvernement ont pris la responsabilité de dizaines de milliers de morts qui n’auraient pas dû être.

Et personne ne se soucie de ce que ces pseudos vaccins  contiennent des nanoparticules métalliques dont Bill Gates a dit qu’il suffira de les programmer pour prendre le contrôle des individus « vaccinés ». Comme voulait le faire la Chine pour compléter son arsenal de surveillance permanente de ses citoyens. Elle a, dans ce sens heureusement pour les Chinois, raté sa campagne de vaccination avec Sinovac. Non que Sinovac soit un mauvais vaccin, au contraire. Mais à vouloir donner ou vendre en priorité des vaccins à deux milliards Africains et à l’Inde (qui a les siens), plus 1,3 milliard de Chinois, le Parti communiste a vu trop grand et les usines n’arrivent pas à fournir.

(…)

L’Imprécateur
19 avril 2021




Tucker Carlson, de Fox News, réagit aux OVNIS officialisés par le Pentagone

[Source : Quadrillage traduction]

https://youtu.be/b3558uMZRDQ



France : Michel Onfray prône la souveraineté

[Source : Front Populaire]

Après son texte critique à l’endroit de Marine Le Pen, Michel Onfray revient sur certaines de vos interrogations, dont celle-ci : en critiquant Marine Le Pen, vous avez les mains propres, mais avez-vous encore des mains ? Une nouvelle occasion de clarifier sa position.

[Ndlr : Intervention magistrale de Michel Onfray, le « déconstructeur » favori du système et des médias dominants, qui nous offre dans cette courte vidéo la seule solution qui nous permettra le retour de la véritable démocratie et le court-circuitage définitif du complot contre les peuples.
Cependant, contrairement à ce qu’il avance ici, il existait en fait quelque chose de similaire au moyen-âge (vers les XIIe et XIVe siècles) du temps des cités médiévales chrétiennes avec leurs guildes et leurs corporations, et donc bien avant Proudhon.]




Quatre gros mensonges sur l’épidémie et le confinement

[Source : Santé Corps Esprit (sante-corps-esprit.com)]

Cher(e) ami(e) de la Santé,

La désinformation fait rage, depuis le premier jour de l’épidémie.
Dans mes lettres, je vous ai beaucoup parlé : 

  • Des traitements oubliés ou diabolisés, malgré leur efficacité (vitamine D, ivermectine, protocole Raoult, etc.)
  • Des vaccins, de leurs effets indésirables et de l’efficacité (peu convaincante) de l’expérimentation israélienne.

Aujourd’hui, je voudrais encore vous parler d’autres mensonges.
En commençant par l’expérience suédoise :

Mensonge 1 : l’expérience suédoise serait une “catastrophe” 

Ce qui s’est passé en Suède est un énorme caillou dans la chaussure des idéologues de la Covid-19.
Car la Suède a pris le contre-pied de la plupart des autres pays occidentaux : 

  • La Suède n’a jamais confiné sa population ;
  • La Suède n’a jamais fermé ses écoles (ni imposé de masque aux enfants) ;
  • La Suède n’a jamais fermé ses restaurants ;
  • La Suède n’a jamais imposé le masque dans les magasins, et encore moins à l’extérieur.

Résultat ? 

  • Un peu moins de morts de la Covid-19 par habitant qu’en France et beaucoup de pays européens ; 
  • Moins de morts, toutes causes confondues, que la moyenne européenne (7,7 % de surmortalité contre 16 % en Belgique)
  • Et une économie deux fois moins dévastée : – 3 % du PIB en 2020, contre -7 % dans la zone euro [1] ;

Bien sûr, les Suédois ont respecté les consignes générales de distanciation sociale. Ils se sont moins déplacés et ont beaucoup télé-travaillé.
Certes, il y avait aussi quelques restrictions obligatoires. En décembre dernier, les rassemblements de plus de 8 personnes ont été interdits et les masques introduits dans les transports en commun. Récemment, certains restaurants ont dû fermer un peu plus tôt que d’habitude, à 20h30.

Mais globalement, les Suédois ont continué à vivre une « vie normale », tout au long de l’épidémie.

Ils n’ont pas eu à subir d’absurdes consignes totalitaires, comme les masques à l’extérieur, le confinement obligatoire à domicile, ou la fermeture des écoles primaires.
Et le résultat est là. Sur l’épidémie, la Suède est dans la moyenne de la plupart des pays européens.

Regardez, par exemple, l’évolution du nombre de morts par habitant en Suède (en rouge) et en Allemagne (en bleu) depuis octobre dernier – l’Allemagne ayant confiné cet hiver, contrairement à la Suède :

Vous voyez que l’évolution est très similaire, alors que les restrictions étaient très différentes, notamment en termes de masques et de fermeture des restaurants et des commerces.
Au total, le bilan sanitaire de la Suède est « moyen », comme les autres, faute d’avoir fait de la prévention et du traitement précoce.
Mais socialement, économiquement et mentalement, la Suède a fait beaucoup mieux.
Certains objecteront que la Suède a eu beaucoup plus de morts que ses voisins norvégiens et finlandais, qui ont imposé de lourdes restrictions. C’est vrai, mais la Suède est culturellement plus proche de nombreux pays européens que de ses voisins – et en termes d’urbanisation, Stockholm est comparable à Marseille. 
La Suède est aussi beaucoup plus ouverte aux vents internationaux : au moment de la première épidémie, lorsque la Norvège et la Finlande ont confiné, le nombre d’infections était déjà environ 10 fois supérieur en Suède ! [2]
Bref, à tous points de vue, la Suède s’en est globalement mieux sortie que les pays européens qui ont imposé des mesures restrictives ou qui ont confiné. 
Et pourtant, la situation suédoise a été systématiquement caricaturée.
Prenez le « soit-disant » journal de référence, Le Monde, le 1er janvier dernier : « Les choix faits par la Suède et leur bilan humain catastrophique suscitent l’incompréhension des voisins du pays et la stigmatisation des Suédois. » [3]

Autre exemple similaire, dans le très populaire journal 20 minutes : « Chiffres catastrophiques, comparaison douloureuse avec les voisins nordiques, aveu d’échec royal… Le modèle suédois résonne aujourd’hui comme une défaite pour le pays. » [4]
C’est le refrain mensonger qu’on a entendu à la télé et à la radio, 24h sur 24.
J’ai même entendu plusieurs fois Cyril Hanouna dire dans son émission de grande écoute que « la Suède a essayé l’immunité collective et cela a été une catastrophe ».
C’est de la désinformation pure et simple.
Et cela rejoint celle d’Emmanuel Macron, à l’automne dernier.

Mensonge 2 : « 400 000 morts si on ne fait rien » (Emmanuel Macron)

Souvenez-vous de son allocution du 3 novembre 2020. Pour justifier le reconfinement, Emmanuel Macron avait sorti un argument hallucinant :

« Nous pourrions – certains le préconisent – ne rien faire, assumer de laisser le virus circuler. C’est ce qu’on appelle la recherche de « l’immunité collective » c’est-à-dire lorsque 50, 60% de la population a été contaminée.

Le Conseil Scientifique a évalué les conséquences d’une telle option. Elles sont implacables : d’ici quelques mois c’est au moins 400 000 morts supplémentaires à déplorer. »

Ce chiffre farfelu venait de modélisations mathématiques totalement déconnectées de la réalité [1], et qui se sont révélées fausses systématiquement.
On l’a d’ailleurs vu en février dernier, quand le président Macron a refusé de reconfiner, à juste titre.
Contrairement aux prédictions apocalyptiques, il n’y a pas eu d’explosion du nombre de cas et de décès dans la France entière.
Certes, il y a en ce moment une circulation soutenue du virus dans quelques départements précis, mais pas d’augmentation exponentielle ou d’explosion insoutenable pour l’hôpital.
Et surtout, répétons-le : il n’y a pas en ce moment plus de morts que d’habitude en France !

Je sais que cela paraît difficile à croire, vu le discours catastrophiste ambiant.
Mais en janvier, il y a eu moins de morts qu’en janvier 2017 (mois de grosse grippe).
En février, il y a eu moins de morts qu’en février 2019 (pic de grippe cette année-là).
Bref, les premiers mois de cette année sont totalement comparables à des mois de grosse grippe. 
Il n’y a donc aucune surmortalité démesurée, en ce moment, qui justifierait le catastrophisme politique et médiatique.

Il faut dire qu’environ 30 % de la population française a déjà été infectée, ce qui empêche toute forme d’explosion exponentielle des contaminations.
C’est un fait : quand une personne sur trois ne peut plus être infectée, cela freine énormément les contaminations.
Quand beaucoup de personnes vulnérables ont déjà été hospitalisées, cela diminue fortement la charge sur l’hôpital.
C’est ce qu’on appelle « l’immunité collective » ou « l’immunité de troupeau ».

Quand beaucoup de personnes ont été infectées, l’épidémie risque peu de s’emballer.
C’est comme cela qu’a disparu la grippe espagnole, sans vaccin, ni masque : après une grande vague à l’automne-hiver 1918-1919, la saison suivante a été beaucoup plus épargnée :

[Ndlr : ceci dans le cadre de la théorie virale. Mais l’on peut opposer à celle-ci la théorie du « terrain » pour laquelle il est naturel qu’une « épidémie » disparaisse d’elle-même lorsque le corps des êtres humains affectés par des éléments toxiques (y compris éventuellement des ondes électromagnétiques, surtout pulsées, ou des déficiences nutritionnelles qui en sont les causes réelles) n’y est plus confronté ou parce qu’il parvient à s’y adapter au moins partiellement. Dans le cadre de cette autre théorie que la virale, il n’y a donc pas du tout d’immunité de groupe, mais seulement une disparition des causes de la maladie ou une relative adaptation au moins temporaire à ces causes. Et la « grippe » refaisait régulièrement son apparition chaque hiver, jusqu’à ce qu’on la rebaptise « covid-19 », parce que le froid fait partie des causes agressives contre le corps et ses cellules. Le seul fait indubitable dans les « épidémies » est l’existence d’une relative simultanéité dans le temps (mais pas nécessairement proximité dans l’espace géographique) de symptômes similaires (ou parfois même pas similaires ou très nombreux et variables d’un individu à l’autre, comme dans le cas de la « Covid-19) que l’on regroupe sous le terme d’une maladie particulière. Le reste relève essentiellement de l’interprétation de ce fait. La théorie virale l’explique par une prétendue contagion de virus, mais celle-ci n’a jamais été réellement démontrée, puisque notamment l’on n’a jamais eu le moyen d’isoler le moindre virus, sachant que lorsque les virologues disent « isoler » un virus, ils ne font que réaliser une opération de séquençage informatique à partir d’une soupe génétique de tissus prétendument infectés. Voir :
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La théorie des germes : Une erreur fatale
La théorie des exosomes contre celle des virus
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Dr Thomas S Coman (anglais)
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Covid-19 et Sras-Cov-2 — Les preuves d’une fraude globale ?
5G, virus et covid-19.]

Et en 1920, le virus de la grippe espagnole n’a plus fait de dégât particulier : il n’a pas disparu, mais il a rejoint les virus hivernaux habituels, parce que les populations avaient largement acquis une immunité.
De même, après deux grosses vagues de la Covid-19, il est évident que nous sommes largement immunisés, et que les pics exponentiels sont derrière nous.
Mais presque personne ne vous le dit. On dirait qu’il faut absolument continuer à vous angoisser.
Serait-ce parce qu’il y a des vaccins à vous vendre ?

À propos de vaccins, voici l’un de mensonges les plus extravagants qu’on ait entendu :

Mensonge 3 : les vaccins produiraient une immunité supérieure à l’infection

D’abord, on a essayé de vous faire croire que l’infection n’était pas forcément immunisante.
Il serait donc possible d’avoir des ré-infections, notamment à cause des variants.
C’est faux.
Les ré-infections sont extrêmement rares, même avec les variants britanniques ou sud-africains.
Et même en cas de réinfection, il y a toutes les raisons de penser que la deuxième infection est moins sévère que la première.
Bref, une infection crée une immunité solide et durable.

Grâce à de nombreuses publications scientifiques parues en janvier 2021, cela a fini par être reconnu largement.
Mais étrangement, on a continué à vacciner ceux qui ont déjà été infectés.
Alors que cela ne sert à rien.
Alors qu’on nous répète matin et soir qu’on manque de doses de vaccin.
Alors que cela pourrait même causer de gros risques pour la personne vaccinée (j’y reviendrai dans une prochaine lettre).

Donc, vacciner les personnes déjà infectées n’a strictement aucun sens… à part remplir les poches des laboratoires pharmaceutiques.
Mais cela permet de maintenir une illusion : celle que les vaccins seraient plus efficaces que l’infection elle-même.
Cette idée a été largement propagée, alors qu’elle est absurde. 

Je rappelle que les vaccins ne portent que sur une seule protéine du virus, alors que l’infection permet de créer une mémoire immunitaire sur tous ses éléments (épitopes, en termes virologiques).
L’infection crée aussi une immunité mucosale (dans le nez) alors que le vaccin injecté ne peut créer qu’une immunité humorale (dans le plasma et la lymphe). 
Il est donc évident que, sauf exception, l’infection produit une immunité plus importante et plus durable que la vaccination.
C’est encore plus évident face aux variants : avec les vaccins actuels, il suffit que la protéine visée par le vaccin mute, pour qu’ils deviennent inefficaces.

C’est ainsi qu’on sait désormais avec certitude que le vaccin AstraZeneca est totalement inefficace contre le variant sud-africain.
Alors que l’infection naturelle, elle, reste très efficace contre tous les variants connus.
Il est donc ahurissant qu’on vaccine les personnes déjà infectées, et qu’on ait pu mentir sur l’efficacité de l’infection naturelle.

Avec les vaccins, on est même arrivé à un mensonge encore plus énorme :

Mensonge 4 : les vaccins permettront le « zéro covid », via une « immunité collective »

C’est la cerise sur le gâteau de la désinformation.
D’abord, on a diabolisé l’idée « d’immunité collective », acquise naturellement.
Puis, avec l’arrivée des vaccins, on vous a promis une « immunité collective » vaccinale
Et on vous a promis la « sortie du cauchemar » et le « retour à la vie normale » grâce à la vaccination. 
Mais c’est totalement faux.

Même si les vaccins étaient aussi efficaces qu’on le dit (ce qui est loin d’être avéré), ils ne peuvent pas produire d’immunité collective solide.
Ce n’est pas (seulement) moi qui le dit, mais la prestigieuse revue scientifique Nature, qui vient de publier un éditorial cinglant à ce sujet. [6]

Selon Nature, l’immunité collective vaccinale est impossible pour 5 raisons : 

  • « Il n’est pas avéré que les vaccins empêchent la transmission » : je vous le dis depuis le début, et le « Monsieur vaccin » du gouvernement (Pr Fischer) l’a reconnu, il n’y a aucune preuve que les vaccins empêchent les contaminations – il y a même plutôt des preuves que les vaccins accroissent les transmissions, dans les 2-3 premières semaines après la première dose ;
  • « La distribution des vaccins est inégale dans le monde » : comme il n’y a pas assez de doses pour tout le monde, beaucoup de pays en développement ne sont pas près d’être vaccinés. Donc même si les vaccins étaient efficaces, ils ne pourraient stopper la transmission mondiale du virus ;
  • « Les nouveaux variants changent l’équation de l’immunité collective » : oui, les variants mettent à mal l’immunité collective vaccinale, mais beaucoup moins l’immunité collective naturelle, pour les raisons déjà évoquées ;
  •  « L’immunité ne durera pas éternellement » : c’est vrai pour l’immunité naturelle, qui a probablement une efficacité de plusieurs années (comme pour les autres coronavirus), mais c’est encore plus vrai pour l’immunité acquise par la vaccination, qui pourrait ne durer que quelques mois ;
  • « Les vaccins pourraient changer les comportements » : selon Nature, il sera difficile d’expliquer aux vaccinés qu’ils doivent continuer à porter le masque et à se distancier socialement – et pourtant, d’après les auteurs de l’article, ce serait nécessaire, pour atteindre le zéro Covid puisque les vaccins ne sont pas efficaces à 100 %.

Conclusion de l’épidémiologue Stefan Flasche, cité par Nature : « il est très peu probable d’atteindre l’immunité collective avec les vaccins seuls ».

Et il ajoute : « Il faut donc apprendre à vivre avec le virus », qui n’est pas près de disparaître.

C’est évident – et c’est ce que je vous dis depuis le début. 
La Covid-19 n’est pas la peste. Il faut vivre avec. 
Il faut la prévenir avec la vitamine D, et la soigner avec l’ivermectine.
Il faut rouvrir le pays, et arrêter de vivre cloîtré.

Souvenez-vous de cette intervention magistrale du Pr Raoult, à l’automne dernier : 

« Je pense que ce pays vit une erreur dramatique, qui est la dramatisation perpétuelle. 
Qu’est-ce qu’on va suggérer ? Que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu’il y a un virus ?
Mais vous êtes tous fous, vous êtes devenus tous cinglés ». [7]

Oui, les autorités sont devenues folles. Les médias ont suivi, comme un troupeau bêlant. Et leur irrationalité a contaminé la moitié de la population, placée dans un état de psychose.
Mais cette « folie » fait les affaires des fabricants de vaccin, qui se préparent à nous vacciner et revacciner, de la naissance à la mort, tous les 6 mois. 
Sous la contrainte du fameux « passeport vert » à venir.

Bonne santé,

Xavier Bazin

PS : Il est de plus en plus clair que les mensonges de l’épidémie de grippe A H1N1 de 2009 étaient une sorte de « répétition générale » de la folie actuelle.

Je vous en avais déjà parlé au printemps dernier, au moment où le scandale du remdésivir de Gilead commençait à rappeler celui du Tamiflu : https://www.sante-corps-esprit.com/roselyne-bachelot-se-moque-de-nous/

Mais la preuve la plus manifeste porte sur les vaccins, avec cette vidéo incroyable de Roselyne Bachelot en 2009, face au Dr Marc Girard.

Regardez-là vite avant qu’elle ne soit censurée, c’est édifiant : https://www.dailymotion.com/video/xb5jdz

J’en profite, bien entendu, pour souhaiter de tout cœur à Mme Bachelot une très rapide convalescence. 
Mais on ne m’empêchera pas de dire que son cas est révélateur du drame de la vaccination à outrance et irréfléchie !

Figurez-vous que Mme Bachelot a été vaccinée le 17 mars, trois jours avant d’annoncer qu’elle était positive à la Covid-19.[8]

Cela veut dire qu’elle était en train d’incuber le virus au moment de la vaccination, ce qui est la pire des configurations possibles !
Car on sait bien qu’il ne faut surtout pas donner de vaccin pendant une infection !
Cela s’applique aux humains… et même aux chevaux, comme le montre ce communiqué récent de spécialistes, à propos d’un autre vaccin :

« Pour les chevaux exposés qui peuvent être en phase d’incubation, la vaccination est déconseillée et n’aurait que peu d’effet ; sur un cheval malade, la première injection risque de n’entrainer aucune réponse immunitaire, voire de déclencher plus rapidement la maladie. » [9]

Dans le cas des nouveaux vaccins contre le coronavirus, on a même la preuve incontestable que la vaccination en cours d’infection est dangereuse.
Car la première dose des vaccins ARN supprime temporairement une partie du système immunitaire (les lymphocytes T), celle qui nous protège contre l’aggravation de la maladie ! 
Si vous ne me croyez pas, regardez ce graphique tiré des phases 1 et 2 de test du vaccin de Pfizer – la suppression des lymphocytes T est évidente aux jours 1 à 3, par rapport au placebo en bleu [10] :

Bref, je suis vraiment désolé pour Madame Bachelot, mais son cas est malheureusement représentatif de ce qu’il ne faut surtout pas faire : se vacciner sans faire de test PCR préalable ! 

Au passage, c’est une des explications de l’explosion de décès dans les pays qui ont vacciné très rapidement [11] : ceux qui étaient en « incubation » au moment du vaccin ont eu des formes plus graves que s’ils n’avaient pas été vaccinés.
Il est fou qu’une ancienne ministre de la Santé ait été aussi mal informée.
Mais c’est aussi le signe qu’il n’y a peut-être pas de « malice » au sommet de l’Etat : les ministres comme Olivier Véran pourraient être eux aussi victimes de l’énorme désinformation orchestrée par Big Pharma !

Sources

[1] https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-europe-mortality-idUSKBN2BG1R9

[2] necpluribusimpar.net/why-did-more-people-die-of-covid-19-in-sweden-than-in-other-nordic-countries-it-probably-had-little-to-do-with-policy/

[3] https://www.lemonde.fr/international/article/2020/12/31/en-suede-les-habitants-ont-la-coronaskam-la-honte-de-la-strategie-du-pays-face-au-covid-19_6064872_3210.html?utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1609489405

[4] https://www.20minutes.fr/monde/2948915-20210109-coronavirus-fin-definitif-modele-suedois

[5] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32908300/

[6] https://www.nature.com/articles/d41586-021-00728-2

[7] https://www.lalibre.be/international/europe/echange-tendu-entre-didier-raoult-plus-que-jamais-sur-de-lui-et-david-pujadas-mais-vous-etes-devenus-tous-cingles-5f996efd7b50a6525b9bc594

[8] https://www.24heures.ch/hospitalisee-roselyne-bachelot-est-sous-oxygenotherapie-renforcee-964349822758

[9] https://respe.net/foyers-dherpesviroses-type-1-hve1-communique-de-presse-03-03-2021/

[10] https://www.nature.com/articles/s41586-020-2639-4

[11] www.sante-corps-esprit.com/loccident-est-il-en-train-de-se-tirer-une-balle-dans-le-pied-avec-les-vaccins-anti-covid/




Une étude d’Oxford montre que les vaccins de Pfizer et Moderna sont encore plus nocifs que le vaccin d’AstraZeneca

[Source : Aube Digitale]

Par Jade

Je ne cesse de le dire : les études ne comptent pas. Ils peuvent produire n’importe quelle étude pour dire n’importe quoi, et celles qui produisent des résultats qu’ils n’aiment pas, ils n’en parlent tout simplement pas dans les médias.

Jade

Vraisemblablement, personne d’autre que les Russes ne va attirer l’attention sur cette étude particulière – malgré le fait qu’elle provienne d’Oxford, qui est l’une des principales bases de la “SCIENCE”.

Via RT :

Des chercheurs ont découvert qu’une maladie potentiellement mortelle de la coagulation sanguine est 30 fois plus fréquente chez les personnes qui ont reçu les vaccins Covid-19 produits par Moderna et Pfizer que chez celles qui ont reçu le vaccin trouble d’AstraZeneca.

Une équipe de scientifiques de l’Université d’Oxford a constaté qu’après la vaccination, les personnes ayant reçu Vaxzevria (anciennement le vaccin contre le Covid-19 d’AstraZeneca) étaient moins susceptibles de souffrir de thrombose de la veine porte (TVP), c’est-à-dire de caillots sanguins dans l’artère reliant les intestins au foie.

Pour les personnes ayant reçu le vaccin à vecteur viral Vaxzevria, le taux d’incidence de la thrombose splanchnique – formation de caillots dans la veine porte et les autres veines abdominales – est de 1,6 par million de personnes, selon les données de l’Agence européenne des médicaments (EMA), l’organisme de réglementation des médicaments de l’UE. En revanche, quelque 44,9 cas de TVP par million de personnes ont été observés chez les personnes à qui l’on avait injecté les vaccins à ARNm fabriqués par Moderna et Pfizer, selon la recherche d’Oxford, publiée jeudi.

Nous avons entendu pendant des semaines qu’AstraZeneca était le plus mortel du groupe de vaccins mortels. Mais cette étude indique qu’il est moins mortel.

Encore une fois les médias attaquent le vaccin de la Grande-Bretagne en raison du Brexit, ce qui est une forme basse de profiter de la pandémie à des fins politiques.




La Chine et la Russie lancent une « économie mondiale de la résistance ».

[Source : Le Saker Francophone]

Par Alastair Crooke – Source [anglaise] Strategic Culture

L’Art de la guerre de Sun Tzu (vers 500 avant J.-C.) conseille : « Se prémunir contre la défaite est entre nos mains ; mais l’occasion de vaincre l’ennemi est fournie par l’ennemi lui-même… C’est pourquoi le combattant intelligent impose sa volonté et ne permet pas que la volonté de l’ennemi lui soit imposée ».

Telle est l’essence de la résistance chinoise – une stratégie qui a été pleinement dévoilée à la suite des pourparlers d’Anchorage ; des pourparlers qui ont fait taire toute personne qui, à Pékin, pensait encore que les États Unis trouverait un modus vivendi avec Pékin dans sa quête effrénée de primauté sur la Chine.

Même si c’était déjà visible auparavant, ce n’est qu’aujourd’hui, après Anchorage, que l’on voit la Chine se permettre de répondre durement et que les États-Unis ont la ferme intention de bloquer l’ascension de la Chine.

Si l’on suppose que cette initiative de « résistance » se résume à une sorte de « coup de poing » contre Washington – en sapant les ambitions iraniennes de Biden, pour se venger de l’Amérique qui crie haut et fort aux « crimes de guerre » (« génocide » au Xinjiang) -, on passe totalement à côté de son importance. La portée du pacte avec l’Iran dépasse de loin le commerce et l’investissement, comme l’a souligné un commentateur des médias d’État chinois : « En l’état actuel des choses, cet accord (le pacte avec l’Iran) va totalement bouleverser le paysage géopolitique dominant dans la région ouest-asiatique, soumise depuis si longtemps à l’hégémonie des États-Unis ».

Voici donc l’essence de la formule « un combattant intelligent cherche à imposer sa volonté » : la Chine, la Russie ou l’Iran n’ont pas besoin d’entrer en guerre pour y parvenir ; ils se contentent « d’appliquer cela ». Ils vont le faire – tout simplement. Ils n’ont pas besoin d’une révolution pour le faire, et ils n’ont aucun intérêt à combattre l’Amérique.

Qu’est-ce donc que ce « cela » ? Il ne s’agit pas seulement d’un pacte de commerce et d’investissement avec Téhéran, ni d’une simple entraide entre alliés. La « résistance » réside précisément dans la manière dont ils essaient de s’entraider. Il s’agit d’un mode de développement économique. Il représente la notion selon laquelle toute ressource génératrice de rente – monopoles bancaires, fonciers, ressources naturelles et infrastructures naturelles – devrait appartenir au domaine public afin de répondre aux besoins fondamentaux de tous – gratuitement.

L’alternative consiste simplement à privatiser ces « biens publics » (comme en Occident), où ils sont fournis à un coût maximal financiarisé – y compris des taux d’intérêt, des dividendes, des frais de gestion et des manipulations pour optimiser le gain financier.

« Cela » veut alors dire une approche économique véritablement différente. Pour donner un exemple : L’extension du métro de la Deuxième Avenue à New York a coûté 6 milliards de dollars, soit 2 milliards de dollars par mile – le transport urbain de masse le plus cher jamais construit. Le coût moyen des lignes de métro souterraines en dehors des États-Unis est de 350 millions de dollars par mile, soit un sixième du coût de celui de New York.

En quoi ce « cela » change-t-il tout ? L’élément le plus important du budget d’une personne est aujourd’hui le logement, à hauteur de 40 % du budget, ce qui reflète simplement le prix élevé des maisons, basé sur un marché alimenté par la dette. Imaginez que cette proportion soit plutôt de 10 % (comme en Chine). Supposons également que l’enseignement public soit peu coûteux. Dans ce cas, vous êtes débarrassé de la dette liée à l’éducation et de ses intérêts. Supposons que vous ayez des soins de santé publics et des infrastructures de transport à bas prix. Vous aurez alors la capacité de dépenser. Vous deviendrez une économie à faible coût et, par conséquent, vous connaîtrez la croissance.

Un autre exemple : Le coût de l’embauche de personnel de R&D en Chine représente un tiers ou la moitié du coût comparable aux États-Unis, de sorte que les dépenses technologiques de la Chine sont plus proches de 1 000 milliards de dollars par an (en termes de parité de pouvoir d’achat), alors que les États-Unis ne consacrent que 0,6 % de leur PIB, soit environ 130 milliards de dollars, à la R&D fédérale.

À un certain niveau, « cela » est donc un défi stratégique pour l’écosystème occidental. Dans un coin du ring, les économies stagnantes de l’Europe et de l’UE, hyper-financiarisées et axées sur la dette, dans lesquelles l’orientation stratégique et les « gagnants et perdants » économiques sont déterminés par les grands oligarques, et dans lesquelles les 60% luttent et les 0,1% prospèrent. Dans l’autre coin du ring, une économie très mixte dans laquelle le Parti fixe un cap stratégique pour les entreprises d’État, tandis que d’autres sont encouragés à innover et à faire preuve d’esprit d’entreprise dans le moule d’une économie dirigée par l’État (quoique avec des caractéristiques taoïstes et confucéennes).

Socialisme contre capitalisme ? Non, il y a longtemps que les États-Unis ne sont plus une économie capitaliste ; c’est à peine encore une économie de marché aujourd’hui. C’est devenu, de plus en plus, une économie rentière, depuis qu’elle a quitté l’étalon-or (en 1971). Cette sortie forcée des États-Unis de la « fenêtre de l’or » leur a permis, grâce à la demande mondiale de titres de créance américains (obligations du Trésor), de se financer gratuitement (à partir de l’excédent économique mondial). Le Consensus de Washington garantissait en outre que les afflux de dollars à Wall Street, en provenance du monde entier, ne seraient jamais soumis à des contrôles de capitaux, et que les États ne pourraient pas utiliser leur propre monnaie, mais devraient emprunter en dollars à la Banque mondiale et au FMI.

Et cela signifiait essentiellement emprunter au Pentagone et au Département d’État en dollars américains, qui étaient en fin de compte les « exécutants » du système, comme le note le professeur Hudson. L’évolution du système financier américain vers une entité qui privilégie les actifs « réels », tels que les hypothèques et les biens immobiliers qui offrent un certain « loyer », plutôt que d’investir directement dans des entreprises spéculatives, signifie également que les jubilés de la dette sont interdits. (Les Grecs peuvent raconter l’expérience de ce que cela implique, dans les moindres détails).

Le fait est que, sur le plan économique, la sphère hyper-financiarisée des États-Unis se rétrécit rapidement, car la Chine, la Russie et une grande partie de l’« île mondiale » se tournent vers les échanges dans leur propre monnaie (et n’achètent plus de bons du Trésor américain). Dans une « guerre » entre systèmes économiques, l’Amérique commence donc du mauvais pied.

Il y a un siècle, Halford Mackinder affirmait que le contrôle du « Heartland », zone qui s’étend de la Volga au Yangtze, permettrait de contrôler « l’île du monde », terme qu’il utilisait pour désigner l’Europe, l’Asie et l’Afrique. Plus d’un siècle plus tard, la théorie de Mackinder résonne alors que les deux principales nations à l’origine de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS) la transforment en un système d’interrelations reliant un bout de l’Eurasie à l’autre. Ce n’est pas si nouveau, bien sûr. Il s’agit simplement de la renaissance de l’ancienne économie basée sur le commerce du cœur de l’Eurasie, qui s’était finalement effondrée au 17e siècle.

Alastair Macleod note que les commentateurs ne parviennent généralement pas à comprendre « pourquoi » cet essor en Asie occidentale : « Ce n’est pas dû à la supériorité militaire, mais à la simple économie. Alors que l’économie américaine souffre d’un résultat inflationniste post-blocage et d’une crise existentielle pour le dollar – l’économie chinoise va connaître un boom grâce à l’augmentation de la consommation intérieure … et à l’augmentation des exportations, conséquence de la stimulation de la demande des consommateurs par l’Amérique [grâce au plan de relance économique de Biden, d’une valeur de 1900 milliards, NdT] et de l’explosion du déficit budgétaire ».

Voilà, explicitement dit, l’argument de Sun Tzu ! « L’opportunité de vaincre l’ennemi est fournie par l’ennemi lui-même ». Il y a à Washington (et dans une certaine mesure en Europe aussi), une faction qui entretient un désir émotionnel pathologique de guerre contre la Russie, provenant en grande partie de la conviction que les Tsars (et plus tard Staline), étaient antisémites. Leur émotion est celle de la haine et de la colère, et pourtant ce sont eux qui sont en grande partie responsables du rapprochement entre la Russie et la Chine. Cette situation, ainsi que la propension de l’Amérique à sanctionner le monde, a donné leur chance à la Chine et à la Russie.

L’idée sous-jacente est toutefois que, même pour l’UE, la périphérie du Rimland est moins importante que l’île-monde de Mackinder. Il fut un temps où la primauté britannique, puis américaine, l’emportait sur son importance, mais ce n’est peut-être plus le cas. Ce qui se passe ici est le plus grand défi jamais lancé à la puissance économique et à la suprématie technologique américaines.
Pourtant, cette Realpolitik économique n’est que la moitié de l’histoire du lancement par la Chine et la Russie d’une « économie mondiale de résistance ». Elle a également un cadre géopolitique parallèle.

C’est à ce dernier aspect, très probablement, que le responsable chinois faisait référence lorsqu’il a déclaré que l’accord avec l’Iran « bouleverserait totalement le paysage géopolitique dominant dans la région de l’Asie occidentale qui a si longtemps été soumise à l’hégémonie des États-Unis ». Notez qu’il n’a pas dit que l’accord bouleverserait les relations de l’Iran avec les États-Unis ou l’Europe, mais l’ensemble de la région. Il a également laissé entendre que les initiatives de la Chine libéreraient l’Asie occidentale de l’hégémonie américaine. Comment cela ?

Dans une interview accordée la semaine dernière, le ministre des affaires étrangères Wang Yi a exposé l’approche de Pékin vis-à-vis de la région de l’Asie occidentale :

Le Moyen-Orient a été un haut lieu de brillantes civilisations dans l’histoire de l’humanité. Pourtant, en raison de conflits et de troubles prolongés dans l’histoire plus récente, la région a sombré dans une dépression sécuritaire… Pour que la région sorte du chaos et jouisse de la stabilité, elle doit s’affranchir de l’ombre de la rivalité géopolitique des grandes puissances et explorer indépendamment des voies de développement adaptées à ses réalités régionales. Elle doit rester imperméable aux pressions et aux ingérences extérieures et suivre une approche inclusive et réconciliatrice pour construire une architecture de sécurité qui tienne compte des préoccupations légitimes de toutes les parties … Dans ce contexte, la Chine souhaite proposer une initiative en cinq points pour assurer la sécurité et la stabilité au Moyen-Orient :

Premièrement, prôner le respect mutuel … Les deux parties doivent respecter la norme internationale de non-ingérence dans les affaires intérieures des autres … il est particulièrement important que la Chine et les États arabes fassent front commun contre la calomnie, la diffamation, l’ingérence et la pression au nom des droits de l’homme … [l’UE devrait prendre note].

Deuxièmement, défendre l’équité et la justice, s’opposer à l’unilatéralisme et défendre la justice internationale… La Chine encouragera le Conseil de sécurité à délibérer pleinement sur la question de la Palestine afin de réaffirmer la solution à deux États… Nous devons défendre le système international centré sur les Nations unies, ainsi que l’ordre international fondé sur le droit international, et promouvoir conjointement un nouveau type de relations internationales. Nous devrions partager notre expérience en matière de gouvernance … et nous opposer à l’arrogance et aux préjugés.

Troisièmement, la non-prolifération … Les parties doivent … discuter et formuler une feuille de route et un calendrier pour que les États-Unis et l’Iran recommencent à respecter le JCPOA. Il est urgent que les États-Unis prennent des mesures substantielles pour lever leurs sanctions unilatérales à l’encontre de l’Iran, ainsi que leur juridiction de longue durée sur des tiers, et que l’Iran reprenne le respect réciproque de ses engagements nucléaires. Dans le même temps, la communauté internationale devrait soutenir les efforts des pays de la région en vue d’établir au Moyen-Orient une zone exempte d’armes nucléaires et d’autres armes de destruction massive. [Y compris et surtout Israël, NdT]

Quatrièmement, favoriser conjointement la sécurité collective… Nous proposons d’organiser en Chine une conférence de dialogue multilatéral pour la sécurité régionale dans le Golfe (Persique)….

Et cinquièmement, accélérer la coopération pour le développement… ».

Eh bien, la Chine fait une entrée spectaculaire au Moyen-Orient, et défie les États-Unis avec un programme de résistance. Le ministre des affaires étrangères, Wang, lorsqu’il a rencontré Ali Larijani, conseiller spécial du guide suprême Khamenei, a tout formulé en une seule phrase : « L’Iran décide en toute indépendance de ses relations avec les autres pays, et n’est pas comme certains pays qui changent de position en un coup de fil ». Ce commentaire résume à lui seul la nouvelle éthique du « guerrier loup » : les États doivent conserver leur autonomie et leur souveraineté. La Chine prône un multilatéralisme souverainiste pour secouer « le joug occidental ».

Wang n’a pas limité ce message politique à l’Iran. Il venait de tenir les mêmes propos en Arabie saoudite, avant d’arriver à Téhéran. Il a été bien accueilli à Riyadh. En termes de développement économique, la Chine avait auparavant associé la Turquie et le Pakistan au plan du « corridor » – et maintenant l’Iran.

Comment les États-Unis vont-ils réagir ? Ils vont ignorer le message d’Anchorage. Ils vont probablement poursuivre leurs efforts. Ils testent déjà la Chine à propos de Taïwan et préparent une escalade en Ukraine, pour provoquer la Russie.

Pour l’UE, l’entrée de la Chine dans la politique mondiale est plus problématique. Elle tentait de tirer parti de sa propre « autonomie stratégique » en érigeant les valeurs européennes en porte d’entrée de son marché et de son partenariat commercial. En réalité, la Chine dit au monde de rejeter toute imposition hégémonique de valeurs et de droits étrangers.

L’UE est coincée au milieu. Contrairement aux États-Unis, elle n’est pas en mesure d’imprimer l’argent qui lui permettrait de relancer son économie contaminée par le virus. Elle a désespérément besoin de commerce et d’investissement. Or, son principal partenaire commercial, et sa source de technologie, vient de lui dire (comme elle l’a dit aux États-Unis) d’abandonner son discours moralisateur. Dans le même temps, le « partenaire sécuritaire » de l’Europe vient d’exiger le contraire : que l’UE le renforce. Que peut-elle faire ? sinon s’asseoir et observer… (en croisant les doigts pour que personne ne fasse quelque chose d’extrêmement stupide).

Alastair Crooke

Traduit par Wayan, relu par Hervé pour le Saker Francophone




Jordan Peterson prédit la mort des médias grand public

[Source : Quantum Leap]

Jordan B. Peterson explique pourquoi les médias traditionnels sont en train de perdre leur crédibilité. Pourquoi CNN, le New York Times, ABC, la BBC et d’autres sont tellement morts, que même leur mort n’a même pas été remarquée. Les plateformes de podcasts vont-elles continuer à se développer et prendre le relais ? Quelle est la prédiction de Jordan Peterson concernant l’avenir des politiciens qui se lancent dans les podcasts ?






Le gouverneur de Floride DeSantis dit que les verrouillages ont été « une énorme, énorme erreur »

[Source anglaise : Lifesitenews]

[Photo : Le gouverneur républicain de Floride Ron DeSantis
OUI Market Media / Shutterstock]

Par Emily Mangiaracina

Le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, dit qu’il regrette d’avoir fermé son État, qualifiant les verrouillages d’une « énorme erreur ».

« Nous voulions atténuer les dégâts. Maintenant, avec le recul, les 15 jours pour ralentir la propagation et les 30 suivants — cela n’a pas fonctionné », a déclaré DeSantis à Epoch Times. « Nous n’aurions pas dû emprunter cette voie. »

Le gouverneur avait émis une ordonnance de séjour à la maison de 30 jours plus clémente que la plupart des autres États, avec des exceptions pour les services religieux et les activités récréatives, ainsi que pour les entreprises essentielles « au sens large ».

« Notre économie a continué », a déclaré DeSantis. « C’était très différent de ce que vous avez vu dans certains des États en confinement. »

Après la décision de confinement à la maison, DeSantis a procédé à la réouverture de l’État, alors même qu’il avait été réprimandé par les partisans du verrouillage pour ses politiques. La Floride a été entièrement rouverte le 25 septembre 2020 et DeSantis est resté ferme même si les cas de COVID-19 ont augmenté pendant l’hiver.

DeSantis a fait valoir non seulement que les verrouillages sont inefficaces, mais qu’ils infligent des dommages dévastateurs à l’économie et au bien-être, à la fois mental et physique, des personnes.

Le gouverneur a déclaré lors d’une conférence de presse de février que le « résultat » des verrouillages a été « la destruction de millions de vies à travers l’Amérique, ainsi qu’une augmentation des décès dus au suicide, à la toxicomanie ou au désespoir, sans aucun avantage correspondant dans la mortalité par COVID. »

« Cela a été une énorme, énorme erreur en termes de politique », a déclaré DeSantis à Epoch Times. « Tout ce que j’avais à faire était de suivre les données et d’être simplement prêt à aller de l’avant dans le récit et à lutter contre les médias. »

« Alors que les gens me combattaient, j’ai dit que je préférais qu’ils s’en prennent à moi plutôt que de voir quelqu’un perdre son emploi. Je préfère qu’ils m’attaquent plutôt que de voir des enfants empêchés d’aller à l’école. Je suis tout à fait prêt à accepter n’importe quelle pression parce que nous faisons ce qui est juste. »

Les politiques de DeSantis ont depuis été confirmées par les statistiques de santé pour la Floride, par l’état de son économie et par la profonde gratitude des Floridiens dont les entreprises et les moyens de subsistance ont été sauvés grâce à DeSantis.

Malgré le fait que la population de la Floride est la sixième plus âgée des États-Unis par moyenne d’âge et que les personnes de plus de 55 ans représentent 93 % des décès dus au COVID-19 dans tout le pays, la Floride se classe [seulement] au 27e rang du pays [États-Unis] pour les décès par habitant attribués à la COVID-19.

Le taux de chômage de l’État, début avril 2021, était de 4,7 %, contre 6,2 % au niveau national.

L’importance complète de ces chiffres est révélée par les paroles sincères des Floridiens, y compris des propriétaires d’entreprise, qui, selon DeSantis, sont parfois émus lorsqu’ils le rencontrent.

Selon Epoch Times, « plusieurs des interactions avec le gouverneur de la foire du comté de Clay ressemblaient à cette description. [Un] vétéran âgé visiblement ému a exhorté le gouverneur à ne pas “les laisser nous rouler dessus” ».

« J’ai du mal à payer pour un repas en Floride simplement parce que j’ai sauvé beaucoup de ces restaurants de l’oubli », a déclaré DeSantis. The Epoch Times a rapporté que « quelques heures après cette affirmation, un stand de frites ondulées à la foire a refusé de charger le gouverneur. »

« Si nous ne nous étions pas levés, ces gens n’auraient peut-être plus d’emploi, les entreprises auraient fait faillite, les enfants ne seraient pas à l’école, il y aurait toutes ces choses », a déclaré DeSantis. « Cela a vraiment un impact très personnel sur les gens. »

La politique de liberté de DeSantis et son État prospère offrent un contraste frappant avec l’Ontario, au Canada, qui a été particulièrement sévère dans son utilisation des verrouillages depuis le début de l’épidémie de COVID-19.

La plus récente ordonnance de confinement à la maison de l’Ontario a fermé des magasins de détail non essentiels et continue de restreindre la fréquentation des églises et de priver les Canadiens des droits et libertés garantis par la Charte.

L’ordre intervient alors que les décès excessifs dus aux conséquences indirectes de la pandémie, tels que les surdoses de médicaments et les traitements médicaux manqués, continuent de monter en flèche. Celles-ci ont incité un groupe de médecins d’urgence et de soins intensifs à écrire au Premier ministre Doug Ford « appelant à une action immédiate et décisive pour alléger le fardeau des hôpitaux ».

Les conséquences physiques et mentales que les verrouillages ont imposées aux Canadiens ont conduit à la formation du caucus national non partisan « Mettre fin aux verrouillages ».

« Après un examen attentif et minutieux des mesures d’atténuation prises par tous les niveaux de gouvernement, il est maintenant évident que les verrouillages causent plus de tort que le virus et doivent prendre fin », indique un énoncé de position du groupe.

Le Centre hospitalier pour enfants de l’est de l’Ontario (CHEO) a rapporté en janvier qu’il voyait une « tendance inquiétante » de bébés amenés à l’hôpital avec « des fractures et des traumatismes crâniens » à la suite des verrouillages liés au COVID en Ontario et au Québec. « Au cours de mes 16 années au CHEO, je n’ai jamais vu autant de nourrissons souffrant de graves blessures causées par des mauvais traitements », a déclaré la Dre Michelle Ward, pédiatre et directrice médicale de la protection de l’enfance et de la jeunesse au CHEO, dans un communiqué de presse du 29 janvier.

« C’est une guerre contre les libertés », a déclaré Randy Hillier, un député indépendant au Parlement provincial (MPP), à LifeSiteNews lors d’un entretien téléphonique.

« Ils veulent que les gens abandonnent leurs libertés, qu’ils se débarrassent des choses qui sont importantes pour eux, qu’ils laissent tomber leur famille, qu’ils abandonnent leur foi, qu’ils se débarrassent de toutes les composantes essentielles de la dignité humaine, et ils veulent isoler et confiner les gens »

Randy Hillier




Jugement imminent contre la surveillance de masse

[Source : La Quadrature du Net]

D’ici deux ou trois semaines, le Conseil d’État rendra sa décision finale dans l’affaire la plus importante que La Quadrature ait jamais porté en justice : celle contre les services de renseignement français. Ce sera le terme de six années de procédure, de dizaines de mémoires et d’innombrables rebondissements qui auront contribué à faire de notre association une grande partie de ce qu’elle est aujourd’hui.

Cette aventure se clôt dans un fracas prodigieux. Coincé au pied du mur, le gouvernement français joue ses dernières cartes dans une stratégie aussi désespérée que destructrice : nier la légitimité des institutions européennes et, ainsi, placer la France dans une quasi-indépendance de fait vis-à-vis de l’Union européenne

Peu importe le droit, [pour l’État] tout doit être sacrifié pour sauver la surveillance de masse.

Les juges contre la surveillance

L’aventure commence il y a sept ans. Le 8 avril 2014, nous nous réjouissions d’une « décision historique » : « la Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE) venait de s’opposer au fichage systématique de nos communications en ligne ». De façon inédite, la Cour estime que le droit européen interdit qu’un État puisse obliger les opérateurs de télécommunications à conserver des données de connexion sur toute la population : liste des appels et messages émis et reçus par chaque personne, listes des antennes téléphoniques croisées par tous les téléphones portables, adresses IP permettant de lever l’anonymat sur Internet, etc. C’est notamment ce qu’impose la France, où chaque personne est considérée par l’administration comme un potentiel suspect à surveiller.

Alors que le gouvernement français aurait du abroger ce régime, un an après la décision de la Cour de justice, il n’en avait toujours rien fait : le 27 avril 2015, nous nous associons à FFDN et FDN pour lui demander officiellement d’abroger les décrets organisant la conservation généralisée des données de connexion. Par son silence, le gouvernement a refusé notre demande. Le 1er septembre 2015, nous avons saisi le Conseil d’État pour contester ce refus et, ainsi, faire tomber le système français de conservation généralisée des données (nous avons développé nos arguments pendant un an encore dans diverses écritures iciici ou encore ).

Le 21 décembre 2016, tandis que notre affaire avançait doucement, intervenait ailleurs une deuxième décision historique de la Cour de justice : dans son célèbre arrêt Tele2, elle dénonçait la conservation généralisée des données de connexion imposée par les droits suédois et anglais. Il ne restait plus au Conseil d’État qu’à appliquer directement cette décision dans notre affaire française pour nous donner victoire. Mais la procédure n’allait pas suivre un déroulement classique.

Dialogue des juges

Par une décision du 26 juillet 2018, plutôt que de se soumettre directement à la Cour de justice de l’UE, dont l’autorité lui est supérieure, le Conseil d’État a préféré lui demander de confirmer une troisième fois sa position. Même si ce nouvel échange allongeait notre procédure de plusieurs années (trois ans, au final), nous l’appelions aussi de nos vœux : si la Cour européenne condamnait spécifiquement le droit français (de même qu’elle avait déjà condamné le droit suédois et anglais dans Tele2), nous espérions que le gouvernement n’aurait absolument plus aucune excuse pour ne pas renoncer à son système illicite de surveillance.

Les 9 et 10 septembre 2019, nous plaidions devant la Cour européenne contre la moitié des gouvernements européens venus en soutien de la France, de la Belgique et du Royaume-Uni, qui mettaient en œuvre le même régime illicite de conservation de données et se voyaient ainsi visés par des requêtes semblables à la nôtre (lire le texte de notre plaidoirie).

Fin d’une trilogie

Le 6 octobre 2020, la Cour de justice de l’UE rendait sa décision La Quadrature du Net, dernier chapitre de cette trilogie européenne. Hélas, comme l’espéraient le Conseil d’État et le gouvernement, la Cour est largement revenue sur son intransigeance des premiers épisodes et cherche désormais un « juste milieu » entre protection des libertés et surveillance de masse (juste milieu amer dans lequel nous avions vu une « défaite victorieuse »).

Si la Cour continue d’interdire par principe la conservation généralisée, elle ajoute une nouvelle exception en période d’état d’urgence sécuritaire, où cette surveillance de masse redevient licite. De plus, elle autorise aussi, même hors état d’urgence, que les fournisseurs d’accès à Internet soient contraints de conserver les adresses IP de l’ensemble de la population (mais uniquement des IP et non d’autres types de données). 

Concrètement, cela signifie que la police pourra demander à votre fournisseur d’accès à Internet quelle adresse IP vous était attribuée, par exemple, le 25 octobre 2020.

Si cette possibilité est un frein important à notre espoir de rétablir un équilibre plus favorable au droit à l’anonymat sur Internet, ce frein est en revanche compensé par une nouvelle protection posée par la Cour de justice : l’État ne peut pas imposer aux hébergeurs (forum, réseaux sociaux, plateforme de vidéo) de conserver l’adresse IP des personnes qui y publient des informations. Dans notre exemple, cela signifie que, même si la police connaît votre adresse IP, elle ne pourra pas savoir si c’est à partir de cette adresse que @jeancastou a publié telle caricature de Macron ou tel appel à l’insurrection le 25 octobre sur un service d’hébergement qui ne sera pas tenu de conserver les informations relatives aux contenus publiés. Par exemple, sur le service Mamot.fr que nous hébergeons, nous ne conservons ces données que 14 jours, et ce pour des raisons purement techniques.

On imagine donc que la levée de l’anonymat ne concernera principalement que des événements déterminés, « en cours », et sur des personnes précises. En effet, les enquêtes rétrospectives pouvant porter sur l’ensemble des activités en ligne de la population ont été rendues plus difficiles par les interdictions posées par la Cour de justice de l’UE.

Ce « juste milieu » est loin de nous protéger de la surveillance de masse tant le gouvernement sait déjà abuser des exceptions en matière d’état d’urgence. Et pourtant, même si les exigences posées par la Cour on été revues à la baisse, le droit français est encore très loin de les respecter : actuellement, en France, la conservation généralisée des données de connexion n’est limitée ni aux périodes d’état d’urgence ni aux seules adresses IP (pour rappel, sont aussi conservées en permanence et pendant un an les listes d’appels, messages et positions des antennes téléphoniques rencontrées par toute la population). La Cour de justice a été explicite dans sa décision : le droit français viole les libertés fondamentales protégées par le droit de l’Union.

Affront désespéré

Cette situation ressemble à celle à laquelle nous espérions parvenir en 2018 : le gouvernement français est au pied du mur, sans aucune porte pour se dérober. La Cour de justice de l’UE a été claire : il doit réformer le droit en profondeur afin de limiter la conservation généralisée aux périodes d’état d’urgence et aux adresses IP. 

Et pourtant, le gouvernement tente encore de fuir par un affront désespéré : dans son récent mémoire en défense, il prétend que la Cour de justice aurait usurpé ses pouvoirs car, contrairement à ce qu’elle prétend, les traités européens lui interdiraient de limiter les capacités des États membres en matière de lutte contre le terrorisme et de surveillance sécuritaire.

Si cet affront est désespéré, c’est d’abord car il est absurde en droit : l’article 19 du Traité sur l’UE (TUE) prévoit bien que c’est à la Cour de justice que revient « l’interprétation et l’application des traités », et l’article 344 du Traité sur le fonctionnement de l’UE (TFUE) souligne que ces questions ne peuvent être tranchées autrement. Dans sa jurisprudence bien établie, le Conseil d’État admet d’ailleurs déjà clairement qu’il doit se soumettre aux interprétations que la Cour de justice donne des traités.

Le gouvernement ne donne au Conseil d’État aucun argument juridique pour justifier qu’il renonce à une jurisprudence aussi fondamentale. En vérité, le gouvernement ne se donne même pas la peine d’aller sur le terrain juridique afin de débattre de la légalité d’un tel régime de conservation. Il se contente d’utiliser de mauvais arguments de philosophie politique, tout en mobilisant quelques jugements isolés rendus dans d’autres pays et qui n’ont pas vraiment de lien avec notre affaire (lire notre mémoire pour le détail de notre réponse).

Frexit sécuritaire

Au delà de la discussion juridique, le plus surprenant dans la position du gouvernement est qu’elle contredit la posture européenne de LREM.

En souhaitant retirer à la Cour de justice sa légitimité pour interpréter les traités européens en dernier ressort, le gouvernement français remet en cause l’existence même d’un ordre juridique européen : si chaque État pouvait décider seul du sens des traités européens, l’Union européenne ne serait plus qu’une juxtaposition d’ordres nationaux indépendants les uns des autres, libérés de toute institution capable de les soumettre à un ensemble commun de normes. Ainsi, afin de maintenir son système de surveillance de masse contraire aux droits humains, la France souhaite devenir indépendante de l’Union européenne sans avoir à la quitter formellement.

Plus étrange encore : la stratégie anti-européenne du gouvernement conduit à saper sa position en matière de lutte anti-terroriste. À suivre sa nouvelle position, le règlement de censure anti-terroriste, initialement demandé par la France et bientôt adopté par le Parlement européen, pourrait ne pas être applicable en France puisque l’Union européenne ne serait pas compétente en matière de lutte contre le terrorisme… 

Cette contradiction invraisemblable montre que la défense du gouvernement tient davantage à un sursaut désespéré que d’une stratégie d’ensemble bien mûrie. Mais cette contradiction nous montre autre chose : la lutte anti-terroriste n’est pas sa véritable préoccupation dans notre affaire.

Surveillance politique

Le 22 mars 2021, nous participions à une séance orale d’instruction devant le Conseil d’État. Le directeur général de la sécurité intérieur (DGSI) expliquait alors que la décision de la Cour de justice ne remettait pas vraiment en cause l’efficacité de la lutte contre le terrorisme. En effet, cette lutte pourra continuer à être mise en œuvre puisqu’elle est directement concernée par les nouvelles exceptions prévues par la Cour de justice et bénéficie déjà aujourd’hui d’un arsenal législatif très large (beaucoup trop large). La principale crainte de la DGSI était ailleurs : que les services de renseignement ne puissent plus efficacement surveiller les personnes susceptibles de participer à des « groupements violents », mentionnant explicitement le cas des gilets jaunes, ou les personnes représentant un danger pour les « intérêts économiques et industriels majeurs de la France ».

Si la franchise est surprenante, elle recentre le débat : la lutte contre le terrorisme n’est pas vraiment la raison qui pousse le gouvernement à vouloir s’affranchir de la protection des libertés ; l’enjeu est le maintien de la répression politique, dans le contexte actuel où la moindre manifestation est considérée comme un groupement potentiellement violent et où les militants soucieux de justice sociale et écologique sont considérés comme nuisant à la sécurité et aux intérêts des grandes industries du pays.

C’est ce qu’annonçait déjà l’Élysée en 2019, dans sa feuille de route à cinq ans sur le renseignement : « l’analyse et le suivi des mouvements sociaux et crises de société par les services de Renseignement constituent une priorité ». L’Élysée dénonce notamment des « affirmations de vie en société qui peuvent exacerber les tensions au sein du corps social », telles que des « revendications d’ordre […] éthique ».

À la suite de la DGSI, divers procureurs et hauts gradés de la police ont tenté de corriger cette position embarrassante par une posture sécuritaire beaucoup plus convenue. Sans preuve ni chiffre, ces hommes ont juré que la police ne pourrait plus jamais travailler sans pouvoir consulter la liste complète des antennes téléphoniques croisées par chaque personne depuis un an. Nous n’avons pas manqué de rappeler que la police s’en était très bien passée au cours des siècles précédents et que, même aujourd’hui, elle ne manque pas d’outils nouveaux, nombreux et perfectionnés pour mener à bien ses enquêtes (lire notre dernier mémoire à ce sujet).

Bref, pas grand chose n’a pu effacer cette impression amère : le gouvernement est prêt à payer le prix fort (remettre en cause la construction européenne) pour continuer à nous surveiller massivement pour des finalités politiques et de contrôle social.

Finalités illicites

C’est à ce sujet qu’intervient le second apport majeur de la trilogie européenne contre la surveillance de masse : la Cour de justice interdit aux États membres d’exploiter des données de connexion pour des finalités politiques. Elle n’autorise que la lutte contre la « criminalité grave » ou pour défendre la sécurité nationale

Comme on l’a vu, la France souhaite aller et va déjà bien au-delà. La loi française prévoit un très large éventail de finalités qui vont de la lutte contre les manifestations illicites à la défense des traités européens, en passant par la lutte contre le petit trafic de drogue ou la défense des « intérêts économiques, industriels et scientifiques majeurs de la France ».

Cette longue liste vient de la loi de renseignement de 2015. Ici aussi, nous avons saisi le Conseil d’État pour demander l’annulation des cinq décrets d’application de cette loi. Ici aussi, ces cinq affaires ont conduit le Conseil d’État à interroger la Cour de justice, qui nous a largement donné raison en rappelant sans nuance que la surveillance doit se limiter à la lutte contre la criminalité grave et à la protection de la sécurité nationale.

Au passage, la Cour a rappelé que, contrairement à ce que prévoit la loi renseignement en France, les mesures de surveillance doivent être soumises au contrôle préalable d’une autorité indépendante disposant d’un véritable pouvoir de contrainte. Elle a aussi souligné que les « boites noires », ces algorithmes supposés détecter automatiquement des comportements suspects en analysant l’ensemble du réseau, relevaient de la surveillance de masse illicite.

Comme pour le reste, nous vous invitons à lire notre récent mémoire pour le détail de notre argumentation. 

Cette question de « finalités politiques » des mesures de surveillance a été la toute première affaire que La Quadrature a porté devant des juges en 2015, juste avant d’attaquer les décrets instaurant la conservation généralisée des données de connexion puis de s’en prendre à la loi renseignement. C’est par cette lutte initiale que nous avons appris à agir en justice. Cette lutte est à la fois la plus ancienne et probablement la plus importante que nous avons portée en justice. Les effets de la future décision du Conseil d’État risque d’être considérables : si nous nous gagnons, ce sera la fin de la conservation généralisée des données de connexion, la limitation des finalités, l’apparition d’un contrôle indépendant effectif. Si nous perdons, la France se placera en indépendance de fait vis à vis de l’Union européenne afin de poursuivre sa surveillance de masse.


Jugement contre le renseignement : indices d’une demi-victoire ?

14 avril 2021

Deux jours avant l’audience du 16 avril au Conseil d’État, le rapporteur public vient de nous informer du sens des conclusions qu’il soutiendra dans notre grande affaire contre la surveillance de masse des télécommunications.

Si le Conseil d’État ne sera pas obligé de suivre les conclusions du rapporteur public, elles offrent de premiers indices sur ce que nous pouvons espérer gagner et perdre au terme de ces 6 ans de procédure.

Demi-victoire

Du côté de la victoire, le rapporteur public s’oppose au souhait du gouvernement de placer la France en dehors du champ d’application du droit de l’Union européenne. Ainsi, pour l’essentiel, le rapporteur public demande à ce que soient abrogés les décrets qui imposent aux opérateurs de télécommunications de conserver pendant un an les données de connexion de l’ensemble de la population (liste des correspondants téléphoniques, des antennes relais croisées, etc.). Telle qu’exigée par la Cour de justice de l’Union européenne, cette conservation généralisée doit être limitée aux seules périodes d’état d’urgence sécuritaire — ce qui n’est pas le cas en France.

Autre bonne nouvelle : le rapporteur public exige que les services de renseignement ne puissent plus exploiter nos données de connexion ou de localisation qu’en situation d’urgence sécuritaire et après s’être soumis au contrôle d’une autorité indépendante disposant de pouvoirs de contrainte. Actuellement, c’est la CNCTR (commission nationale de contrôle des techniques de renseignement) qui est chargée de surveiller les services de renseignement, mais son rôle se limite à donner des avis dépourvus de tout effet contraignant. Ici encore, la Cour de justice de l’UE a demandé à la France de corriger ce manquement, le rapporteur public demande au Conseil d’État de s’exécuter.

Demi-défaite

Hélas, à côté de ces deux espoirs importants, les conclusions du rapporteur public sont négatives sur trois points.

Premièrement, et contrairement à ce que demande la Cour de justice de l’UE, le rapporteur public n’appelle pas à la suppression des décrets qui obligent aux hébergeurs Internet de conserver pendant un an l’adresse IP de l’ensemble des personnes qui publient des informations sur leur service. Si le Conseil d’État suivait cette position, il placerait la France en manquement vis-à-vis des exigences européennes en matière de protection de l’anonymat sur Internet.

Deuxièmement, le rapporteur public ne demande pas à ce que les services de renseignement mettent fin aux algorithmes qu’ils déploient sur les réseaux de télécommunications afin de détecter automatiquement de nouvelles cibles. Pourtant, ici encore, la Cour de justice a exigé que cette technique de surveillance de masse soit limitée aux périodes d’état d’urgence sécuritaire — limite que la loi française refuse de prévoir.

Troisièmement, le rapporteur public suggère de laisser au gouvernement un délai de six mois afin de mettre le droit français en conformité avec le droit de l’UE. Pourtant, la Cour de justice de l’UE s’était expressément opposée à l’hypothèse d’un tel délai : le gouvernement français sait depuis plusieurs années que la France viole le droit européen et il n’y a donc aucune raison pragmatique de retarder le respect de nos libertés fondamentales.

Futur incertain

Si les conclusions du rapporteur public semblent dessiner une demi-victoire (rappelant pour beaucoup la défaite victorieuse que nous avions obtenue devant la Cour de justice de l’UE en octobre 2020), le futur reste en vérité largement incertain. Notre affaire est d’un poids politique rare, qu’il s’agisse de l’avenir des services de renseignement ou du sort de la France au sein de l’Union européenne. Ce poids est tel que le Conseil d’État a choisi de rendre sa décision dans sa formation exceptionnelle la plus solennelle, l’Assemblée du contentieux.

Ainsi, nous restons préparées à n’importe quel coup de théâtre et, notamment, à celui que le respect de nos libertés fondamentales impose : que le Conseil d’État ne s’arrête pas au demi-compromis proposé par le rapporteur public mais applique entièrement la décision de la Cour de justice en garantissant l’anonymat sur Internet et en s’opposant sans délai à toute mesure de surveillance de masse.




Un célèbre psychiatre formé à Harvard appelle à un « moratoire » sur les vaccins COVID

Dr. Peter Breggin

[Source anglaise : LifeSiteNews ]

[Photo : Dr Peter Breggin]

Par Pete Baklinski

« Le vaccin est beaucoup plus dangereux que la maladie. »

Dr Peter Breggin

Un psychiatre de renommée mondiale formé à Harvard et auteur de dizaines d’articles scientifiques appelle à un « moratoire » sur les vaccins COVID-19 en raison de l’explosion des réactions indésirables et des milliers de décès chez ceux qui ont reçu la piqûre.

« Le vaccin est beaucoup plus dangereux que la maladie COVID-19 », a déclaré le Dr Peter Breggin, ancien consultant à l’Institut national de la santé mentale, à John-Henry Westen de LifeSiteNews cette semaine.

« Il est très clair maintenant que nous avons absolument besoin d’un moratoire à ce sujet. Ne le prenez pas [le vaccin]. Nous avons besoin d’un moratoire », a-t-il déclaré.

Les commentaires de Breggin interviennent alors que les autorités américaines et européennes révèlent que, depuis décembre, plus de 10 000 personnes sont décédées après avoir reçu un vaccin COVID-19 et des dizaines de milliers ont subi des «événements indésirables». Ses commentaires interviennent également dans le sillage des agences fédérales américaines arrêtant l’utilisation du vaccin COVID à injection unique Johnson & Johnson alors qu’elles enquêtent sur le lien possible du vaccin avec des caillots sanguins potentiellement dangereux. Le vaccin AstraZeneca a également été interrompu dans divers pays tels que le Danemark, la Norvège et l’Islande, tandis que l’Allemagne a limité son utilisation aux personnes de plus de 60 ans. Les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis ont confirmé à Epoch Times aujourd’hui que 5800 Américains ont contracté le COVID-19 alors qu’ils étaient complètement vaccinés contre le virus, dont près de 400 qui ont nécessité une hospitalisation et 74 qui en sont décédés.

Breggin est un médecin spécialisé en santé mentale. Il s’est fait un nom dans ses efforts fructueux pour réformer le domaine de la santé mentale avec ses critiques des diagnostics psychiatriques et des drogues. Il est l’auteur de livres tels que Toxic Psychiatry, Talking Back to Prozac et Talking Back to Ritalin. Il a été salué comme la « conscience de la psychiatrie ». Son dernier livre s’intitule « Covid-19 et les prédateurs mondiaux : nous sommes la proie ».

Dans son entretien avec LifeSiteNews, Breggin affirme que le COVID-19 a été utilisé par les élites mondiales comme « couverture » pour instaurer un nouvel ordre mondial – appelé par Klaus Shawb The Great Reset [La Grande Réinitialisation] – où les vaccins jouent un rôle essentiel dans le contrôle la population.

« Le problème scientifique est que quiconque prend le vaccin est le cobaye d’une expérience. Vous êtes un sujet expérimental et vous étiez prévu depuis des décennies pour être un sujet expérimental avec les vaccins », a-t-il déclaré.

Breggin a qualifié les vaccins de « hautement expérimentaux » et de « très dangereux », soulignant qu’ils n’ont même pas été testés sur les animaux. Les vaccins interfèrent « avec l’ARN de vos cellules », a-t-il déclaré. « Ils transforment l’ARN, qui est très étroitement lié à l’ADN, pour fabriquer des protéines que vos propres cellules peuvent ensuite attaquer – votre propre corps peut alors attaquer vos cellules T, vos anticorps. Je pourrais peut-être vous en parler plus en détail, mais je veux juste faire comprendre que c’est une chose très étrange.

Il a déclaré que le nombre croissant de décès qui ont suivi la réception du vaccin tel que rapporté par le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) [Système de notification des événements indésirables liés aux vaccins] du CDC ne représente probablement qu’une petite fraction du nombre réel de décès étant donné que la notification est volontaire et que de nombreux médecins choisissez de ne pas signaler car ils ne veulent pas être impliqués dans une poursuite pour faute professionnelle médicale.

« C’est une fraction des décès », a déclaré Breggin.

« Il est possible qu’au lieu de 2 000 décès actuellement aux États-Unis étroitement associés au vaccin, ce soit 20 000. Nous n’avons aucune idée. Cela pourrait être encore plus élevé. »

Le médecin a exposé ce qu’il a appelé « l’objectif politique » que servent les vaccins : obliger les gens à prendre les vaccins expérimentaux pour un virus dont la majorité des personnes infectées se rétablissent, c’est finalement «écraser l’esprit humain » et rendre les gens plus docile au « totalitarisme » et à un « autoritarisme lourd ».

« Tout l’objectif est d’accroître la docilité de la population. Et le totalitarisme, un autoritarisme lourd, écrase l’esprit humain », a-t-il dit.

Breggin a déclaré que derrière les mesures coercitives infligées aux populations au nom de leur protection contre le virus se cache le désir des mondialistes d’élite de « dominer les autres êtres humains ».

« Vous êtes l’objectif d’un réseau totalitaire de prédateurs mondiaux qui sont tous impies. Aucun d’eux ne croit en Dieu. Aucun d’eux ne croit au patriotisme. Aucun d’eux ne croit en l’Amérique. Aucun d’entre eux ne croit en la liberté », a-t-il déclaré.

Le médecin a déclaré que les élites mondiales veilleront à ce que les citoyens restent suffisamment écrasés pour qu’ils puissent atteindre leurs objectifs.

« C’est pourquoi lorsque vous prenez le vaccin, on vous dit que vous devez quand même continuer à vous isoler ou que vous devez porter un masque. Non, non! C’est parce que c’est sans fin. Et quand vous lirez mon livre, vous verrez que tout a été calculé pour produire la « grande réinitialisation », et ce qui au cœur de celle-ci est la destruction de la démocratie patriotique américaine. »




Lutte contre la Covid et lutte des classes

[Source : Vu du Droit]

Par Régis de Castelnau

Pendant ce premier week-end de reconfinement général, la polémique a fait rage. Le sujet diffusé par M6 à propos des présumés « restaurants clandestins » devenus secret de polichinelle, a provoqué de très vives réactions sur les réseaux derrière un mot dièse devenu viral : #OnVeutLesNoms. En réponse, la France d’en haut a fait bloc dans les médias en criant au « populisme », à la « délation », voire en justifiant les transgressions et le refus d’appliquer les règles communes. Dans le même temps circulaient sur les réseaux témoignages et photos de la répression bornée infligée aux couches populaires.

Depuis deux jours, polémique sur l’existence de restaurants de luxe clandestins aux menus à 500 balles fréquentés par des gens de « la haute » y compris par des ministres. Sur la participation ministérielle, nous ne savons pas encore si c’est vrai, mais l’existence de ces agapes réservées aux « élites », est notoire, avérée et jusqu’à présent ceux qui transgressent allègrement les règles communes d’enfermement imposées à tous les citoyens sont tranquillement passés entre les gouttes.

En revanche, pour les couches populaires c’est le grand jeu.

Il faut bien regarder cette photo qui circule abondamment sur les réseaux. On n’y voit sur une plage près de la ville de Montpellier un déploiement obscène, de10 gendarmes (ils n’ont pas honte décidément) armés jusqu’aux dents (jusqu’au fusil d’assaut !) avec en face d’eux un couple avec leur petit garçon qui ont eu envie d’un peu de détente, d’un peu de plage et d’un peu du soleil du printemps après bientôt un an d’enfermement. Il faut voir comme ils sont mal habillés, ces « prolos », avec leurs survêtements au rabais, leurs bermudas moches, leurs vilains T-shirts, rien que du pas cher. Les provisions pour le pique-nique ont été achetées chez LIDL en low cost. Même leurs claquettes sont siglées LIDL !

Alors les gendarmes se mettent à 10 pour leur rappeler quelle est leur place dans la société, les humilier et les renvoyer à leur condition. Il va leur en coûter 450 € pour leur horrible crime, le prix d’un menu pour une personne dans le restaurant clandestin !

Cette image ne peut que nouer la gorge.

Tout le week-end sur les chaînes d’info, il fallait entendre les commentateurs à ronds de serviettes défendre « ces transgressions » des riches en condamnant les critiques contre les passe-droits qualifiées de « délations populistes ».

Alors, il est nécessaire de préciser encore un peu le propos : ce déploiement policier obscène et cette répression humiliante sont INSÉPARABLES des restaurants clandestins pour « la haute ». Deux faces d’un même système de domination.

Être « indulgent » avec celui-ci, c’est choisir son camp.




La mort étrange du Président qui avait défié l’OMS

[Source : Jeanne traduction]



Transcription

Triste nouvelle à annoncer, vous avez peut-être déjà entendu que le président tanzanien John Magufuli est décédé.
C’est triste car Magufuli était un champion pour son peuple. Il les défendait. Il a réduit la corruption. Il a construit de nouvelles infrastructures. Il a réduit son propre salaire et celui de nombreuses personnes au sein du gouvernement pour que cet argent soit utilisé dans des programmes qui amélioraient son pays. Magufuli est bien connu pour le… le tour qu’il a joué au laboratoire de dépistage covid dans son pays. Il a secrètement envoyé des échantillons de papaye, d’huile de moteur, de chèvres et d’autres choses, d’autres choses non humaines. Il leur a donné des noms humains et les a envoyés au laboratoire. Et bien sûr, certains de ces résultats sont revenus positifs pour le covid.
Et clairement, comme vous pouvez le voir sur les visages dans cette vidéo, -c’est la foule qui s’est rassemblée dans les rues au passage de son cercueil l’autre jour- vous pouvez voir qu’ils ne portent pas de masques. Le taux de mortalité dans son pays est resté très bas depuis le début de cette affaire. Et il n’a mis en œuvre aucune des politiques de distanciation sociale, aucune des politiques de confinement et aucune des politiques de masquage. Il a évité la campagne de peur.
Et rien que pour cela, je respecte cet homme.

Dans la vidéo d’aujourd’hui, je vais parler de certaines choses autour de Magufuli, des gens qui ont pu vouloir le voir mort, comment est la situation actuellement.
Et je ne veux pas donner l’impression à quiconque que j’ai une image complète de ce qui s’est passé là-bas, parce que ce n’est pas le cas ; il s’agit simplement de certaines choses qui m’ont frappé lorsque j’ai examiné la situation. Il est important de noter que Magufuli n’est pas simplement mort. Il avait disparu, pendant des semaines avant que sa mort ne soit finalement annoncée, personne ne savait ce qui lui arrivait. Quant à son franc-parler au sujet des tests PCR et d’autres choses liées aux vaccins et au coronavirus, entre autres, il parlait en connaissance de cause.
Magufuli était titulaire d’un doctorat en chimie de l’université de Darussalam. Il a également travaillé dans l’industrie, donc il savait de quoi il parlait. Et il a utilisé ses connaissances pour faire passer l’OMS, l’Organisation mondiale de la santé, pour une idiote.
Vous pouvez donc voir où cela nous mène. Il se dresse contre les puissances mondiales que nous connaissons, et puis tout d’un coup, il disparaît et meurt à l’âge de 61 ans. Je ne sais pas, c’est un peu suspect pour moi, et même ici, je veux juste vous montrer une chose de plus. En 2017, dans un article de Reuters, il est dit : « Le Tanzanien Magufuli rejette les appels à prolonger son règne au-delà de la limite de deux mandats ». Vous voyez ce qui se passe ? Il y avait des gens dans son pays qui voulaient qu’il reste leur leader pour toujours. Et il a dit non.
Il a dit, « j’ai juré de défendre la Constitution. Je vais jouer mon rôle et passer les rênes au prochain président le moment venu. »
Il était bien aimé, et il était loyal à la constitution. Il est resté fidèle à la Constitution, ce qui, en fait, si vous examinez la situation en profondeur, fait partie du problème. Les personnes qui parlent sans cesse dans la presse de Magufuli en mal, l’une de leurs critiques est qu’il n’a jamais changé la Constitution. Voilà leur critique. Ils voulaient qu’il affaiblisse la Constitution, et il ne l’a pas fait.

L’une des personnes, d’ailleurs, qui parle en mal de Magufuli est ce type Tundu Lissu. Il était le leader de l’opposition en Tanzanie. Mais ce type n’a pas le droit de parler. Il a lui-même violé la Constitution. En fait, écoutez ça. Il était le leader de l’opposition, mais en septembre 2017, il s’est fait tirer dessus, et il a fui le pays. Et depuis janvier 2018, il est en Belgique. Enfin, en juin 2019, ils ont viré ce type du gouvernement. Il est en fait hors du pays, depuis des années, et ne divulgue pas ses dépenses, ses actifs et ses dettes, comme l’exige leur constitution.
Imaginez que vous vous enfuyez de votre pays, que vous restez en Belgique pendant deux ans, et que vous dites ensuite que Magufuli est un criminel et un corrompu. Imaginez faire cela.
Il est évident qu’il s’agit d’un de ces accords de type révolution de couleur qu’ils veulent mener. Eh bien, maintenant ils n’ont pas à le faire. Maintenant ils n’ont pas à le faire, parce que maintenant Magufuli est mort aussi. Par quoi ? Nous ne savons pas comment, mais la version officielle de la femme qui est maintenant présidente, dit qu’il est mort d’un problème cardiaque qu’il avait depuis 10 ans.
Le type de l’opposition ici présent est en train d’annoncer que Magufuli est mort du covid.

« Je m’y attendais depuis le premier jour, où j’ai tweeté, lundi de la semaine dernière, lorsque j’ai posé la question suivante : où est le président Magufuli et quel est son état de santé ? Magufuli est mort du corona, c’est la première chose. Deuxièmement, Magufuli n’est pas mort ce soir, j’ai des informations provenant essentiellement des mêmes sources qui m’ont dit qu’il était gravement malade. J’ai l’information qu’il est mort depuis mercredi de la semaine dernière. »

Il savait depuis des semaines que Magufuli était en train de mourir du covid quelque part. Selon ses sources anonymes, il n’est pas surpris de la nouvelle de la mort, selon ses sources anonymes, qui lui ont fait savoir tout ce qui se passait. Vous voyez un schéma ici ? Cela vous rappelle-t-il quelque chose ? Lissu a dit que Magufuli mourant du covid-19 était une justice poétique. Il l’a dit à voix haute en public.
Et ils adorent ça, n’est-ce pas ? Le truc du, « oh, c’était un covido-septique, et maintenant il est mort du covid. »
Pour moi, ça montre leur inhumanité. C’est honteux. D’ailleurs, il n’est pas le seul à être mort en février, un homme appelé Maalim Seif Sharif, de Zanzibar, qui fait partie de la Tanzanie, il est aussi mort soi-disant du covid, le 18 février 2021. Je ne sais pas de quel côté du débat sur le covid, il se situait, mais il est aussi mort subitement.
Ce qui est effrayant dans cette affaire, c’est que beaucoup de gens auraient pu annoncer la possibilité d’un attentat contre Magufuli et une organisation l’a fait. Le Off Guardian a publié cette information le 12 mars. Quelques jours avant que Magufuli ne soit déclaré mort, ils ont dit « Tanzanie, le second coup d’état covid ».
Le Off Guardian spécule, que nous pourrions être sur le point de voir la mort soudaine et ou le remplacement du président de la Tanzanie, tout comme ils ont fait à Pierre Nkurunziza, du Burundi. Il a refusé de jouer le jeu du covid, et a demandé à la délégation de la Chambre de quitter son pays avant de mourir subitement d’une crise cardiaque, ou d’une suspicion de covid-19. Puis son successeur a immédiatement inversé chacune de ses politiques de covid, y compris en invitant l’OMS à revenir dans le pays du Burundi, comme le souligne le Off Guardian.
Le Guardian avait publié cet article, dans la première semaine de février disant « Il est temps pour l’Afrique d’arrêter le président anti-vax de Tanzanie »
Et ils disent : « Qu’est-ce qui ne va pas avec le président John Magufuli ? De nombreuses personnes en Tanzanie et hors de Tanzanie se posent cette question. » À peu près au même moment, le Council on Foreign Relations a publié un article dans lequel ils disent : « Une figure audacieuse au sein du parti au pouvoir pourrait tirer profit de l’épisode actuel pour commencer à inverser le cours des choses. » Ils parlaient du fait que Magufuli pourrait avoir covid-19 parce qu’il avait disparu et que personne ne savait où il était.
Dans l’article du Guardian, ils disent que Magufuli doit être défié ouvertement et directement, la position inadmissible de Magufuli devrait nous obliger tous à agir, et ils vont plus loin que cela.

Regardez ce que dit le Guardian. Cela ressemble à une menace voilée pour moi, ils disent « Magufuli sait que l’ancien président du Ganna, Jerry John Rawlings, est mort du virus, ainsi que l’ancien président du Congo Brazzaville. Le mois dernier quatre ministres du Zimbabwe dont Sibusiso Moyo, sont morts du covid.
Au Malawi, quatre responsables gouvernementaux, dont deux ministres, ont succombé. En Eswatini, anciennement le Swaziland, le premier ministre Ambros Lomani, a succombé au virus. Le dernier premier ministre démocratiquement élu du Soudan, Sadiq al-Mahdi, vient de mourir, tout comme l’ancien premier ministre de la Libye et l’ancien premier ministre de la Somalie. Au Burundi, le voisin de la Tanzanie, deux anciens présidents Pierre Nkurunziza et Pierre Buyoya sont morts du covid-19. »
Donc ils listent 16 personnes qui sont mortes, du covid-19. Qu’essayent-ils de dire ? La question de savoir si c’est oui ou non une menace envers Magufuli, n’en devient que plus primordiale à résoudre, quand vous considérez que la section entière « développement global » du Guardian, est financée par la Fondation Bill et Melinda Gates, et l’est depuis des années. Je me demande donc quel contrôle éditorial il y a derrière cette section et, quel était leur but ici.
Le menaçaient-ils ? C’est difficile à dire. Il est tellement probable qu’il y ait du déni dans cet article

Qui va donc le remplacer ? De ce que nous savons, c’est Samia Suluhu Hassan, elle est maintenant la présidente de la Tanzanie, et quand vous lisez vous voyez « qu’après ses études en 1992, elle a été employée dans un projet subventionné par le programme alimentaire mondial, qui est bien-sûr les Nations Unies, elle est ensuite partie en Angleterre compléter ses études, et elle est allée à l’Open University de Tanzanie.
Plus loin dans l’article, on lit qu’elle est mariée à un homme appelé Hafidh Ameir, et sa fille Mwanu Hafidh Ameir est membre du parlement de Zanzibar, donc elle est aussi au gouvernement. Mere et fille au gouvernement. Et sa fille, est aussi allée à l’Open University de Tanzanie, a étudie au Center for Foreign Relations, et quelque part appelé « Info-Serve USA », que je n’ai pas encore creusé. Mais elles semblent à mon sens être dans les petits papiers du gouvernements… Je vais me pencher sur son mari dans une seconde, mais d’abord je veux aller dans les détails de l’Open University de Tanzanie.
Voici leur rapport annuel de 2014/2015, et ils ont mentionné, qu’ils ont eu une croissance exceptionnelle concernant leurs finances, et cela vient en grande partie de la World Bank, et d’une organisation appelée SIDA, qui est l’Agence Suédoise de développement international. Ils se hissent au sommet des fondateurs, d’après leurs dires.
Et les autres partenaires dans le top 5 sont, l’Open University de Grande-Bretagne, Association of Commonwealth Universities, la fondation Rockefeller, et l’UNESCO. Donc maintenant nous parlons du marais profond, les Rockefeller, et le programme de prise de contrôle des nations unies, c’est de ça qu’il s’agit, ils ne se nourrissent que de l’argent des impôts, pour la donner à des projets qu’ils utilisent pour reformer la monde.
Et vous pouvez voir ici que l’université de Tanzanie, a vu une réelle explosion de ses fonds depuis environ… 2008. Les chiffres vont de centaines de milliers, à des millions, et tout cela est largement dépassé au fur et à mesure que les années passent. Donc de 2014 à 2015, regardez l’explosion de la richesse.
Deux autres sources de subvention qu’ils mentionnent, qui ont donné beaucoup, à l’Open University de Tanzanie, sont COSTECH et AGRA Project.
COSTECH a l’air bien en apparence quand vous regardez, parce qu’il est dit qu’elle a été créée par une loi de l’assemblée nationale de tanzanie en 1986, et on dirait que c’est une organisation gouvernementale, mais si vous regardez leurs affiliations non-gouvernementales et internationales, vous trouvez KPMG, Palladium International, Foreign Affairs of Finland, et d’autres choses que je n’ai pas creusé.
Si vous regardez le AGRA Project, et voilà, vous les retrouvez encore une fois, c’est Bill Gates et la fondation Rockefeller. AGRA a été fondée en 2006 par la fondation Bill et Melinda Gates, et la fondation Rockefeller. Un des principaux clients, des agriculteurs de AGRA, est le programme alimentaire mondial des Nations Unies, et n’est-ce pas exactement où la nouvelle présidente de la Tanzanie a débuté dans le monde du travail ? Le programme alimentaire mondial.
Il s’avère que l’Open University de Tanzanie, est purement basé sur l’enseignement à distance et par correspondance. L’organe de surveillance, pour avoir une vue d’ensemble, est l’université sainte Marie d’Addis-Abeba en Ethiopie, et également l’université de Corée.
Vous souvenez-vous que Tedros Adhanom Ghebreyesus, le dirigeant actuel de l’OMS vient d’Addis-Abeba en Ethiopie, et quand il était ministre de la santé en Ethiopie, il a noué d’étroites relations avec Bill Clinton et la fondation Clinton, et la fondation Bill et Melinda Gates.
En 2010, le département d’État américain a nommé l’Ethiopie à l’initiative américaine en matière de santé mondiale. Je me demande ce que ça implique. Et je me demande si cela à quelque chose à voir, avec le fait que vers 2009, l’Open University de Tanzanie a reçu des tonnes et des tonnes d’argent, beaucoup plus, de manière exponentielle. Et ce sont des sommes d’argent qu’ils ont obtenu de fondation comme celle de Rockefeller, et l’UNESCO, et toutes celles qu’on connaît… Je ne sais pas, je ne prétends rien, mais ça pourrait être possible.

Maintenant, nous savons que la nouvelle président de la Tanzanie, est mariée à un gars appelé Hafidh Ameir, et je ne peux pas trouver une photo d’eux ensemble, donc je ne peux rien vérifier, mais il y a un gars appelé Hafidh Ameir qui travaille à TACAIDS, il y est depuis 10 ans et 11 mois, et il est le coordinateur régional du VIH et du SIDA. Cela correspond plutôt bien à toutes les autres choses que nous venons d’apprendre. Parce que le truc du VIH et du SIDA, c’est le même groupe encore une fois. Qui se superpose avec le mega, super prédateur sur la scène de la santé, qui est la fondation Bill et Melinda Gates, l’OMS, les Nations Unies et bien sûr la fondation Rockefeller. Et j’ai déjà exposé comment Bill Gates est lié à tout ça, avec son Global Fund, et comment il détient pratiquement l’Organisation Mondiale de la Santé en tant que principal donateur, juste à côté des Etats-Unis. Et si vous n’êtes pas au courant de ça, vous n’allez pas en revenir, vous voyez ici vous avez PEPFAR d’Anthony Fauci, c’est parce qu’il a convaincu le gouvernement d’introduire cette branche du département d’état, nommée « plan d’urgence du président pour l’aide aux malades du sida », et ce type reçoit des milliards de dollars qu’il envoie dans des pays étrangers à travers les ambassades, d’après ce que j’ai compris, à d’innombrables ONG. Et je dis innombrables, parce que la seule entité, qui contrôle cet argent, est l’ONU, et ils ne laisseront personne voir l’entièreté de ces documents. L’argent de PEPFAR va directement, à travers le département d’état en majorité à l’ONU qui le donne ensuite à qui elle souhaite.
Et il s’avère que la personne qui dirige PEPFAR au département d’état américain est Debra Burkes. Anthony Fauci et Debra Burkes ont tout deux fini par atterrir au coronavirus task force, ce qui est merveilleux, après avoir été ensemble dans cette organisation PEPFAR. Donc ils ne font que fabriquer une autre arnaque, avec la même empreinte sur la carte. Remplacez juste les logo de PEPFAR par le symbole du coronavirus.
Les millards de Bill Gates vont dans des organisations, et il créé en majeure partie des vaccins, et depuis son organisation à but lucratif appelée la fondation Bill et Melinda Gates, son argent lui revient en personne. C’est une arnaque massive.

Ok mais on est supposé parler de la Tanzanie ici. Donc le mari de la nouvelle dirigeante de la Tanzanie, Hafidh Ameir, je pense, travaille pour cette organisation TACAIDS, et je pense qu’il est également le contact tanzanien pour des organisation appelées Genesis Analytics. Si vous regardez ici, il est écrit « rencontrez les équipes de nos pays », vous allez dans la Tanzanie, et vous trouvez Dr. Hafidh Ameir, la comission tanzanienne du SIDA, TACAIDS, le même homme. Les partenaires de Genesis Analytics sont Global HIV Prevention Coalition, Genesis Unlocking Value, l’université de Manitoba, qui est aussi la maison de notre seul laboratoire P4 de virologie au Canada. Et, la fondation Bill et Melinda Gates.
Mais ça ne s’arrête pas là.
Je voulais voir ce qu’est cette organisation, Genesis Unlocking Value, parce qu’ils sont tous partenaires. Et regardez ça.
Genesis est à propos de l’économie comportementale, l’économie comportementale est un domaine puissant qui combine l’économie et la psychologie, et utilise la compréhension de ces sciences pour influencer les comportements et améliorer les prises de décision pour le mieux, à travers des interventions à bas coût et faciles à mettre en oeuvre.
En 2014, Genesis Analytics a crée la première équipe de consultants en Afrique afin d’user de la compréhension scientifique du comportement humain pour résoudre des problèmes économiques concrets dans le monde.
Notre experience montre que changer les comporter et améliorer les prises de décision ajoute de la valeur dans une série d’industries et de filières. Nous intégrons les connaissances comportementales dans les campagnes de marketing et de communication dans de grandes banques, nous augmentons les cotisations mensuelles aux fonds de retraite des grands assureurs, nous adaptons les sites Web des multinationales de l’automobile de luxe, nous remanions les programmes de fidélisation des grandes plateformes de commerce électronique de détail, et nous formons les organisations à tirer parti des capacités de l’économie comportementale.
Cela ressemble-t-il à une organisation qui devrait être impliquée dans le SIDA ? Ou la santé ? Mais c’est là qu’ils sont impliqués. En partenariat avec Bill et Melinda Gates. Et c’est possiblement là, que la marie de la nouvelle présidente de la Tanzanie travaille. Je suppose que c’est pratique pour les globalistes. Vous ne trouvez pas ?

Comme le dit cet analyste politique kényan : « Magufuli est arrivé sur une plateforme de lutte contre la corruption et d’autonomisation des masses. Ce sont les gens qui ont bénéficié de la corruption et de toutes ces drôles de choses, qui ne sont pas satisfaits de lui. »

À mesure que la Tanzanie avance avec son nouveau gouvernement, il sera intéressant de voir ce qui change, cela sera-t-il comme au Burundi, l’administration entrante inversera-t-elle tout le travail de Magufuli ? Les habitants de la Tanzanie commenceront-ils à avoir peur, les verrons-nous porter des masques et appliquer la distanciation sociale, ou leurs entreprises couler à cause du confinement ?
Parce que nous pouvons voir qu’à la masse de gens qui est venue honorer Magufuli l’autre jour, que ce n’est pas le cas pour l’instant. À quel vitesse, transformeront-ils les tanzaniens en des petits moutons effrayés ? Peut être qu’ils ne le feront pas, nous pouvons garder nos doigts croisés pour ça.




Les déclarations d’un éminent professeur de médecine devant la Commission d’enquête Covid19 du Sénat américain

[Source : TANRESI]

https://youtu.be/zjn__NjFY7c



Reiner Fuellmich : « Je vois une lumière à la fin de ce tunnel ! »

[Source : Neuf de Coeur]

Il y a quelques mois, Reiner Fuellmich a fait part de son intention de traduire en justice l’OMS (et d’autres acteurs) pour «crimes contre l’humanité».
C’est un avocat allemand qui a une expertise dans le domaine médical et qui a monté un groupe d’experts afin de se préparer à réaliser l’un des plus grand recours collectif de l’histoire, autrement connu sous le nom de «Nuremberg 2.0».
Voici un court extrait de son interview du 2 avril 2021 réalisée par Jerm Warfare.

Voux pouvez découvrir toutes les interviews de Jerm Warfare sur le site suivant : https://jermwarfare.com/

[Voir État actuel de la procédure judiciaire menée par le Dr Fuellmich et Reiner Fuellmich : avocats et médecins contre l’arnaque du COVID-19!)






« VACCINS » : et le principe de précaution ???

[Source : MINURNE-RÉSISTANCE]

Par MARC LE STAHLER

AVERTISSEMENT

Je n’ai pas écrit cet article pour terroriser les vaccinés et les candidats à la vaccination, mais pour combler un grave déficit d’information que la loi exige pourtant « claire et complète » et que le gouvernement interdit aux médias de donner. Ainsi d’ailleurs qu’à ses propres organismes, comme l’Agence Nationale pour la Sécurité du Médicament, censurée « pour ne pas dissuader les gens de se faire vacciner ».

Globalement le ratio profit/risque des vaccins reste très positif… En théorie, car sur le futur à plus de six mois il reste encore très aléatoire comme le Ministre de la santé lui-même en est convenu. 

Mais les premiers constats officiels sur les effets secondaires montrent qu’il peut être négatif sur certaines catégories précises de la population et notamment les bébés, les femmes « enceintes ou allaitantes », les personnes à comorbidités et les plus de 65 ans. Elles, leurs parents ou leur famille ont le droit de savoir quel risque ils prennent.

Certes, le risque de mourir du vaccin reste faible dans l’absolu, les premières évaluations du VAERS américain l’ont chiffré en décembre dernier à moins de 2,6% des cas d’effets secondaires, la ANSM française en février à moins de 1%, mais porte à 90% sur les plus de 75 ans ! 

Les effets des vaccins sur l’épidémie restent totalement imprévisibles et les vaccins ARNm sont peut-être inutiles, confesse Véran devant le Conseil d’État, pendant que Macron reconnait dans le JDD que le confinement total est plus nocif qu’utile. Mais la presse ne répète pas ces confidences. Comme elle ne parle pas de l’échec de la vaccination en Afrique du Sud, ni du jugement de « projet grotesque » formulé par Tedros Adanom Gebreyesus le D.G. de l’OMS, sur le projet Covax que Macron a fait adopter par l’Union Européenne et qui a sombré corps et biens parce que personne à la Commission européenne et à l’Élysée n’a pensé que la fabrication de milliards de doses provoque des goulets d’étranglement en capacité de production et en matières premières. Une seule entreprise allemande fabrique les petits flacons à doses qui doivent résister à -100°C pour Pfizer, Moderna et Jenssenn. Pour AstraZeneca il faut de l’adénome de chimpanzé et on ne peut pas saigner à blanc tous les chimpanzés du monde après que l’adénome de porc envisagé un moment ait montré ses limites.

L’Imprécateur

ALERTE SANTÉ ! DISPARITION DU « PRINCIPE DE PRÉCAUTION » ! 

Curieux pays que celui où le Conseil d’État ayant pour mission de conseiller le gouvernement et les Assemblées ainsi que de rendre la justice administrative, soit présidé par le Premier ministre et composé à 99 % par des hauts fonctionnaires ! Il dépend donc totalement de l’autorité de l’État et n’est en rien indépendant comme l’avait souhaité son créateur Napoléon Bonaparte, et comme il devrait l’être.

Il n’est pas surprenant que le 10 avril 2019, il ait rejeté sans les étudier deux requêtes présentées par 3047 citoyens français représentés par la Ligue nationale pour la liberté des vaccinations et par l’Institut pour la protection de la santé naturelle (IPSN).

L’une demandait à ce que la vaccination ne soit pas étendue aux nourrissons, l’autre que les adjuvants sous forme de nanoparticules métalliques, notamment de l’aluminium, ne soit pas autorisés dans les vaccins. « Ces dossiers ne nous semblent pas poser de difficultés juridiques en l’état actuel des connaissances scientifiques », a déclaré le rapporteur du C.E. Rémi Decout-Paolini. Pas de débat donc sur le très légitime doute scientifique ou le principe de précaution. « Les vaccins – dont aucune institution scientifique en France et à l’étranger ne considère la dangerosité –sont efficaces »avait précisé le rapporteur, ignorant visiblement les oppositions aux nouveaux vaccins atypiques déjà nombreuses.

Vaccin AstraZeneca-Oxford,  ChAdOx1 est un adenovirus de chimpanzé

TOUT BAPTISER « VACCIN » EST UNE FAÇON DE TROMPER LES GENS

« La substance active d’un vaccin est un agent antigénique à pathogénicité atténuée par une forme tuée ou affaiblie du micro-organisme pathogène, ou par une de ses toxines » (Wikipedia).

Ce qui est présenté comme des « vaccins » par les laboratoires Pfizer-NBiotech, Moderna et AstraZeneca ne correspond pas à cette définition. Il s’agit en réalité de modificateurs géniques expérimentaux ; ils contiennent des nanoparticules métalliques décrites dans le brevet Microsoft PCT/US2019/038084 pris par Bill Gates, et un désinfectant, qui peut être comme ici du formol ou comme dans les poches de sang désinfecté des hôpitaux de l’eau de Javel.
Les nanoparticules doivent seulement, en principe, permettre d’identifier si la personne examinée a été vaccinée ou non.

En réalité elles peuvent être programmées pour bien d’autres choses, comme l’identification ou la localisation de la personne, c’est un sujet d’étude où les chercheurs chinois sont très avancés.

C’est pourquoi ceux qui refusent d’être traités comme du bétail par les Bill Gates, Klaus Schwabb et autres partisans d’un gouvernement mondial voulant gérer les peuples du Monde par l’électronique et l’Intelligence Artificielle comme le fait Xi Jinping en Chine, demandent que les vaccins n’en contiennent pas.

LA CONNAISSANCE DES EFFETS SECONDAIRES PROGRESSE

Depuis la décision manquant d’intelligence, d’attitude scientifique et de prudence du Conseil d’État du 10 avril 2019, la connaissance des effets immédiats et secondaires des vaccins a progressé. Des études ouvertement négligées par la presse et autres médias trop souvent soumis aux gouvernements ont été menées, en Israël par le Service national de Santé, en Norvège et en Allemagne par leurs équivalents, au USA par le VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) et en France par l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament).

Si l’on scinde les effets en effets attendus et effets constatés, ces études montrent :

=> Effets attendus : la protection des individus vaccinés contre la contamination est incertaine ; celle des non-vaccinés n’est pas non plus certaine, il y a dans tous les pays de nombreux cas de contamination après vaccination. L’efficacité de la vaccination est maintenant supposée ne venir que plusieurs semaines après les injections.

Source US VAERS (au 18 décembre)

– 112 807 vaccinés 1ère dose
– 3 150 effets secondaires enregistrés soit 2,8% dont 514 femmes enceintes

La protection globale de la société espérée par les gouvernants viendra peut-être si 80% des personnes sont vaccinées, mais pour le moment ce n’est qu’une hypothèse fondée sur la connaissance historique de vaccins qui n’avaient rien à voir avec ceux à ARNm et adenovirus.

L’arrêt total de l’épidémie viendra certainement un jour parce que c’est la loi de toutes les épidémies : elles finissent toujours par s’arrêter, mais peuvent aussi revenir naturellement des mois, des années voire des siècles plus tard.

=> Effets nocifs constatés : Certains sont immédiats, c’est-à-dire apparaissent dans les jours qui suivent l’injection et, dans la quasi totalité des cas, sont de courte durée : poussée de fièvre, crampes, douleurs musculaires… Rares sont ceux qui provoquent une mort presque immédiate dans le temps, de 24 heures à une semaine, par une coagulation brutale du sang qui provoque une thrombose, un AVC, ou une hémorragie cérébrale.

Mais ils touchent souvent des personnes jeunes réputées en bonne santé, comme cela a été constaté sur quatre infirmières, une portugaise de 23 ans, une anglaise de 42 ans et deux jeunes américaines.

Et il y a les effets nocifs. Ils provoquent des effets sanitaires graves, souvent guérissables mais parfois durables. Soit ils entrainent la mort, soit ils provoquent un handicap grave et définitif : troubles cardiaques, AVC non guéris, paralysie faciale ne touchant que la moitié du visage, grande fatigue permanente empêchant toute activité, troubles psychiatriques… Dans les effets secondaires enregistrés par l’ANSM, 24 % sont graves, un taux environ dix fois supérieur à celui des vaccins « classiques » à base de micro organismes pathogènes morts ou atténués.

LES NOUVEAUX « VACCINS » FONT L’OBJET D’UN TEST À L’ÉCHELLE MONDIALE

Il y a des différences importantes entre les vaccins comme ceux contre la rage, la varicelle, la fièvre jaune, bien connus et réputés à juste titre efficaces, et les produits à base d’ARNm ou d’adenovirus présentés comme des vaccins alors qu’il s’agit dans le premier cas de modificateurs génétiques et dans le second plutôt de sérums comme les nomme la revue « Challenges ».

L’américain Pfizer associé à l’allemand BioNTech et l’autre américain Moderna misent sur l’ARNm, technique connue depuis 2011 (premiers brevets) dont ils ont accéléré le développement avec des moyens financiers considérables ; ainsi Moderna a réussi  à mettre au point son vaccin à ARNm en 42 jours !

Il est exact qu’une fois le processus d’utilisation de l’ARNm mis au point, la mise en fabrication du vaccin est beaucoup plus rapide que celle des vaccins classiques.

Par contre, sur cette première fabrication, une grande partie du temps gagné tient à ce que les tests auxquels sont astreints les vaccins (les tests de niveau 3) n’ont pas été effectués à la demande des gouvernements pressés d’avoir les « vaccins » imprudemment annoncés comme fiables à 90% et régulièrement annoncés sur le point d’arriver en grandes quantités, ce qui n’a pas été le cas.

Et quand ils ont été testés, comme Pfizer-BioNTech et AstraZeneca-Oxford l’ont fait en Afrique du Sud avec l’accord du gouvernement, sur des Africains ignorant de quoi il s’agissait, la publication des résultats, si elle a eu lieu, est restée très confidentielle. C’est maintenant, après quelques mois, que la presse sud-africaine signale des effets secondaires arrivés tardivement, des morts, des femmes devenues stériles ou ayant avorté, des paralysies partielles.
En Afrique du Sud AstraZeneca a été déclaré fiable à 22% seulement par l’Université Witwatersrand de Johannesburg. Le gouvernement sud-africain après avoir arrêté le 7 février le programme de vaccination de sa population a aimablement proposé le 22 mars à l’Union européenne de lui revendre le stock de vaccins dont il dispose encore, un million de doses. C’est sympa, de la part d’un gouvernement qui pense que ces vaccins sont plus dangereux qu’utiles !

À l’exception du Point, de Sciences avenir et de Capital dans de courts articles, la presse française n’a pas parlé de cet échec lamentable de la vaccination de masse dans un grand pays. Au contraire, la Haute autorité de santé et la Commission européenne ont validé la continuation de la vaccination avec AstraZeneca-Oxford et les autres vaccins en prétextant que l’Afrique du Sud a un variant particulier, comme si le variant anglais ou le variant breton (que, disent les médecins, les tests n’arrivent pas à reconnaître), n’étaient pas eux aussi des variants particuliers différents de la première souche de Covid.

Le gouvernement veut au contraire accélérer la vaccination de tous dans une obsession vaccinale absurde dans la mesure où, faute du recul de plus d’un an nécessaire, personne ne peut garantir que les effets secondaires graves le seront moins à l’avenir qu’ils le sont après la première série d’injections du 15 janvier au 15 février.
Elle a causé en France (source ANSM, recensement au 19 février) 217 morts rapides et 6960 cas secondaires ayant entrainé des séquelles, AVC, thromboses, hémorragies cérébrales, paralysies partielles, covid dans sa forme dure, etc.

PERSONNE NE SAIT ENCORE SI LES VACCINS PROTÈGERONT

Personne ne peut garantir non plus, sinon en s’appuyant sur des projections informatiques ne reflétant que la conviction des informaticiens qui les ont conçues, que les vaccins protègeront durablement la population.

Ils ne protègent pas totalement les vaccinés comme le montre le nombre de cas de covid après vaccination, ils ne protègent pas non plus « les autres » comme l’a reconnu Olivier Véran en expliquant que les vaccinés doivent continuer à respecter le confinement et les gestes barrières, qu’il est important qu’ils reçoivent deux doses parce que c’est peut-être deux ou trois semaines après la seconde injection que l’immunité arriverait et qu’à long terme rien n’est  certain.

Le faible nombre de vaccinés ayant reçu la seconde dose ne permet pas d’affirmer quoi que ce soit mais cela ne gêne aucunement Olivier Véran.

D’ailleurs, après la déclaration d’Emmanuel Macron au Journal Du Dimanche, « L’Allemagne a montré que le confinement ne sert à rien » ce qui explique ses décisions actuelles pour en limiter les conséquences, non seulement économiques mais aussi psychologiques, sur une population exaspérée mais qui reste encore soumise. Les doutes qu’aurait exprimé Véran sur l’utilité des vaccins paraissent de plus en plus crédibles.

J’ai d’abord cru à une fausse annonce (fake news).
Puis je l’ai retrouvée sur le blog d’Ema Krusi https://emakrusi.com/videos/30-04 et la vidéo que vous trouverez sous la référence #30-(04.04.2021)-Le dîner de cons des vaccinés.
Elle donne comme lien-source Le Figaro. Si l’on admet que Le Figaro est sérieux, l’info est crédible.
Ainsi, Olivier Véran aurait déclaré au Conseil constitutionnel :

« Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de ré-infection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. Le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. L’impact de la vaccination sur la progression du virus n’est pas encore connu« .

Une aussi incroyable franchise, si elle est authentique, peut s’expliquer par ce fait peu connu : le Conseil d’État est totalement soumis au gouvernement, son président étant le premier ministre. De plus la majorité de ses membres est socialiste, comme le camarade syndiqué Véran. Il a pu penser que ses confidences sur l’inutilité de la vaccination resteraient un secret de famille.

Une déclaration du directoire d’AstraZeneca/Oxford pour défendre son vaccin n’est pas non plus très rassurante :
« Les premiers résultats semblent confirmer que la mutation du virus détectée en Afrique du Sud peut se transmettre à la population déjà vaccinée ».  https://www.sciencesetavenir.fr/sante/pourquoi-l-afrique-du-sud-met-elle-de-cote-le-vaccin-astrazeneca_151596

En effet, il est prouvé que, dans une population virale de la même famille, le virus mutant le plus résistant finit toujours par remplacer les précédents, comme le virus anglais vient de le montrer en éliminant Cov-2 qui avait éliminé Cov-1 etc.
On saura bientôt si le virus sud-africain remplace l’anglais et dans ce cas, les vaccinés donneraient raison à Ema Krusi ! Joyeuse perspective !

LE PRINCIPE DE PRÉCAUTION EST DE L’HISTOIRE ANCIENNE

Source ANSM : 37 680 effets secondaires constatés au 19 février, dont 34 968 plus de 65 ans soit 93 %

Le plus surprenant est que la France, adepte du principe de précaution inscrit dans la Constitution, ne l’applique pas dans le domaine de la santé. Les Agences nationales de santé d’Israël et de la Norvège ont alerté sur le danger que la vaccination représente pour les femmes enceintes et allaitantes.
Ce risque a été confirmé par l’expérience du professeur Alain Fischer : sur dix bébés vaccinés il y a eu deux cas de leucémie dont l’un est décédé rapidement.

Et aussi pour les plus de 75 ans pour lesquels, dit la Norvège, le risque de mourir de Covid après la vaccination est quatre fois plus élevé que sans vaccination ce qu’Israël confirme sans préciser de pourcentage
.

L’Agence Nationale française pour la Sécurité du Médicament (ANSM) a publié le 5 mars un rapport dans lequel elle signale que les effets secondaires sont loin d’être négligeables et que ceux qui en sont atteints et parfois en meurent sont à plus de 90% des 65 à 100 ans.
Le gouvernement retire le rapport de l’ANSM de la circulation et en interdit la diffusion « pour ne pas dissuader les Français de se faire vacciner« .

Effectivement, si le gouvernement, les nombreux membres du corps médical achetés par les laboratoires et les médias subventionnés commencent à dire la vérité aux Français, où va-t-on ?




Allemagne : l’institut Robert Koch, la Fondation Gates et l’OMS

[Source : Kla.tv]

L’émission qui suit apporte des révélations sur le Professeur Lothar Wieler, président de l’Institut allemand Robert Koch. Elles portent principalement sur la tromperie gigantesque des tests PCR. Étant donné les interrelations du Prof. Wieler avec plusieurs organismes dont l’OMS, il est fort probable que cette fraude n’est pas seulement un cas isolé en Allemagne, mais qu’elle concerne la plupart des pays, en particulier la France.

Ce documentaire met à la lumière une grosse fraude statistique dont Lothar Wieler, en tant que directeur de l’institut Robert Koch, porte la responsabilité.



Le dossier Wieler : interrelations et révélations

Depuis 2015, le Pr. Lothar Wieler est président de l’Institut allemand Robert Koch, ou RKI en abrégé. Cet institut est l’institution centrale du gouvernement fédéral allemand pour la surveillance et la prévention des maladies. Ses tâches principales sont la détection, la prévention et le combat contre les maladies, en particulier les maladies infectieuses, ainsi que l’élaboration de résultats scientifiques servant de base aux décisions de politique de santé. En sa qualité de président du RKI, le Dr Wieler rend compte directement au ministère fédéral de la santé et influence considérablement de nombreuses décisions politiques par ses évaluations. Ses déclarations ont donc du poids !

Wieler est également responsable de tous les chiffres clés relatifs au Covid, tels que les chiffres dits d’infection et le taux d’incidence. Ces chiffres, qui sont rapportés quotidiennement, fournissent aux politiciens la justification pour des restrictions de grande envergure des droits fondamentaux, jamais vues auparavant dans toute l’histoire de la République fédérale d’Allemagne.
Etant donné l’énorme responsabilité que cela représente, Lothar Wieler doit également affronter l’examen critique.
C’est pourquoi dans cette émission nous allons d’abord nous intéresser de plus près à ses interrelations étendues. Ensuite, des déclarations centrales de Wieler – qui constituent des révélations incroyables – seront examinées :

I. Les interrelations étendues de Lothar Wieler

Le Pr.Wieler est membre de comités nationaux et internationaux très influents :

  • 1. L’Académie nationale allemande des sciences Leopoldina
    Dans un rapport dont Wieler est le coauteur, il a demandé un confinement dur au début du mois de décembre 2020, ce que la chancelière et les chefs de gouvernement des lands ont ensuite également décidé le 13 décembre 2020. Le Pr. Michael Esfeld, lui-même membre de la Leopoldina, a protesté publiquement et de manière très véhémente contre ce détournement politique de la science. Il reprochait à ses collègues : « Ces scientifiques se sont laissé prendre par le gouvernement pour faire de la propagande. »
    Le Pr. Thomas Aigner de Tübinger a quitté l’Académie des Sciences de Mayence à cause de l’expertise de la Léopoldina, « parce qu’il ne pouvait plus le concilier avec sa conscience », car « l’expertise ad hoc n’était pas digne d’une science honnête. »
  • 2. Le Conseil consultatif scientifique du GloPID-R (Collaboration mondiale en matière de recherche pour la préparation aux maladies infectieuses)
    Les organisations membres de GloPID-R sont souvent concernées par la distribution des vaccins. Les principaux donateurs sont la Fondation Bill et Melinda Gates et l’OMS, qui est également cofinancée par Gates.
  • 3. L’IANPHI (Bureau exécutif de l’Association internationale des instituts nationaux de santé publique)
    L’IANPHI a été fondé et est financé par la Fondation Rockefeller et la Fondation Bill et Melinda Gates.
  • 4. L’EACHR (Comité consultatif européen pour la recherche en santé (Le CCERS)
    Cet organe de 24 membres conseille le directeur régional de l’OMS pour l’Europe.
  • 5. Le STAG-IH (Groupe consultatif stratégique et technique sur les risques infectieux) de l’Organisation mondiale de la santé, OMS)
    Le STAG-IH évalue le contexte mondial des maladies infectieuses et conseille l’OMS dans la définition de ses priorités. Le principal donateur de l’OMS est la Fondation Bill et Melinda Gates, qui a également transféré 253 000 dollars à l’Institut Robert Koch, que dirige Wieler.

Ces interrelations soulèvent trois questions importantes :

  1. En tant que membre de la Leopoldina, Wieler, qui est subordonné au ministre fédéral de la Santé, prépare-t-il des expertises de complaisance pour le gouvernement fédéral ?
  2. Wieler, en tant que chef du RKI, s’appuie-t-il sur ses propres recommandations alors que, dans le même temps, il agit en tant que conseiller de l’OMS sur les questions de pandémie et applique ensuite lui-même ces directives de l’OMS ?
  3. Dans quelle mesure M. Wieler peut-il être indépendant et objectif alors que presque toutes ses interrelations sont directement ou indirectement cofinancées par la Fondation Bill et Melinda Gates ?

II. Les incroyables révélations sur Lothar Wieler

Révélation 1 – Les vaccinations :

Le 15 octobre 2020, interviewé par Phoenix, Wieler fait une déclaration sur l’honneur :

« Nous supposons tous que les vaccins seront approuvés l’année prochaine. Nous ne savons pas exactement comment ils fonctionnent, à quel point ils sont efficaces, ce qu’ils font, mais je suis très optimiste quant aux vaccins. »

Wieler révèle ainsi que le RKI n’a pas du tout compris comment fonctionnent les nouveaux vaccins à ARN. Ces vaccins ont été introduits après une procédure d’approbation accélérée, ils sont recommandés sans aucune indication de risque ni étude à long terme et de manière irresponsable, ils sont même décrits comme sûrs !

Révélation 2 : Le test PCR :

« L’essentiel est que nous identifiions le plus grand nombre de personnes possible avec le PCR ! Et puis le séquençage est une technologie séquentielle en aval qui nous donne encore plus d’informations. Mais tout d’abord, toute l’essence du contrôle de la pandémie repose sur l’identification des personnes… »

Wieler révèle ainsi que le test PCR n’est qu’une question d’identification. Là où la déclaration de M. Wieler est particulièrement inquiétante, c’est que cette « pandémie de tests » semble maintenant être utilisée pour pousser à l’identification et la numérisation. Même en 2019, avant la première épidémie de Covid, il avait demandé une meilleure identification et un stockage numérique des données pour pouvoir augmenter les taux de vaccination.

Révélation 3 – les chiffres quotidiens du RKI :

1.) Le nombre de personnes qui sont mortes à cause du Covid.

« Dans notre pays, on considère qu’une personne est morte du Covid si l’infection par le Covid a été détectée. »

Wieler révèle ainsi que le RKI ne permet pas de distinguer si le coronavirus est la cause du décès d’une personne. Une personne souffrant d’un cancer en phase terminale qui a été testée positive peu de temps avant sa mort est comptée comme une mort Covid, tout comme un accidenté de la route, testé positif avant l’accident. La clinique universitaire de Hambourg-Eppendorf a effectué les autopsies de plus de 600 personnes qui, selon les statistiques officielles, sont mortes du Covid ; ces examens ont montré que 99 % d’entre elles souffraient déjà d’une grave maladie antérieure. Cela montre que les chiffres de mortalité du Covid publiés par Wieler ne reflètent en rien la mortalité réelle causée par le Covid 19.

2.) Le nombre de personnes prétendument infectées par le Covid

« La référence absolue du diagnostic primaire reste le PCR ! »

Wieler révèle ici, contrairement à tous les faits, que pour lui le test PCR est la référence absolue du diagnostic. La notice de ce test PCR indique que le test n’est pas du tout adapté au diagnostic :

« A des fins de recherche uniquement. Ne convient pas aux procédures de diagnostic. »

L’inventeur de la méthode PCR, Kary Mullis, décédé en 2019, s’opposerait également avec véhémence à cette déclaration de Lothar Wieler. Mullis a déclaré à ce sujet :

« Avec le PCR, vous pouvez trouver – si vous le faites bien – presque n’importe quoi chez n’importe qui […] Le test ne vous dit PAS si vous êtes malade ; ou si ce qui a été trouvé vous cause vraiment du tort. »

Le Sénat de Berlin a également dû confirmer en octobre 2020, suite à une demande d’information du député Luthe, que le test PCR ne permet pas de distinguer un virus capable de se reproduire d’un virus incapable de se reproduire ! Il s’agit toutefois d’une condition préalable à la détection d’une maladie.
Pourquoi Wieler parle-t-il néanmoins « d’infections avérées » et non de « tests PCR positifs » (comme il serait correct de le dire) ? Wieler est conscient de cette différence. Néanmoins, lui et les médias répandent la peur dans la population en répétant sans cesse le terme terrifiant de « nouvelles infections ».

3.) Le taux d’incidence [nombre de personnes prétendument infectées pour 100 000 habitants].

« …une incidence de dix, ce serait un bon chiffre, (…) et j’avais déjà dit au printemps qu’avec ce chiffre nous pouvons vraiment bien réguler et contrôler ce qui se passe, et là mon estimation n’a pas changé. »

Wieler révèle là un « but recherché » inatteignable. Le taux d’incidence requis de 10 de Wieler signifie que sur 100 000 personnes, seuls 10 peuvent être testées positifs sur une période de 7 jours !
Même si le test PCR ne présentait que 2 % de résultats faussement positifs, le taux d’incidence de 10 serait déjà atteint à partir de 500 tests effectués pour 100 000 habitants. Si on les testait tous, on obtiendrait un taux d’incidence « catastrophique » de 2 000, rien que par le taux d’erreur du test !
En ne tenant pas compte du « taux de faux positifs » du test PCR lors de la détermination du taux d’incidence, Wieler est capable de tromper la population en lui faisant croire à une « situation d’infection » complètement fausse !

La stratégie actuelle du gouvernement fédéral, avec un taux d’incidence requis de 50, voire de 35, et l’augmentation simultanée du nombre de tests PCR, permet de maintenir aussi longtemps que ce sera souhaité le confinement par cette « pandémie de test » auto-créée. Et cela, bien que la majorité de ces résultats montrent des personnes simplement testées positives, mais en aucun cas des personnes qui sont tombées malades !
Et c’est là que le RKI viole sa propre recommandation du 3 novembre 2020 :

« En règle générale, les diagnostics de laboratoire ne doivent être effectués que s’il existe des signes de maladie et que les critères du test sont remplis. »

L’OMS souligne également que la valeur informative des tests est largement inutile si les personnes testées ne présentent aucun symptôme.
Étant donné que cela s’applique à la grande majorité des personnes testées, il faut cesser immédiatement les tests PCR sur les personnes ne présentant pas de symptômes ! Sinon, le taux d’incidence actuellement requis de 50 ou moins, ne permettra aucunement de sortir du confinement !

Révélation 4 : Les consignes Covid

« Nous devrons nous conformer à ces consignes pendant des mois encore. Celles-ci doivent être la norme. Elles ne doivent jamais être remises en question. Garder la distance, l’hygiène des mains et, lorsqu’il n’est pas possible de garder la distance, porter en plus des masques tous les jours ou des protections bucco-nasales, et ce, à l’intérieur comme à l’extérieur. Donc c’est la règle de base, personne ne devrait et ne doit plus remettre en question cela, nous devrions simplement le faire. »

Wieler révèle-t-il ici le commandement numéro un de la pandémie : interdiction de remettre en questions !? Pourquoi essaie-t-il d’empêcher toute remise en question ?

CONCLUSION :

Sous la direction de Wieler, le RKI utilise toutes les astuces possibles pour gonfler les données statistiques sur le nombre de décès dus au covid, le nombre de personnes prétendument infectées et le taux d’incidence actuel.
Une discussion critique basée sur les faits est empêchée.

Chers téléspectateurs, ce documentaire a mis en lumière une fraude statistique indéniable, dont le Dr. Lothar Wieler est responsable en tant que directeur du RKI. Cette fraude pèse lourd car elle fournit aux politiciens une justification pour un confinement continu avec des restrictions sévères de la liberté des citoyens. Il n’y aura pas de levée fondamentale des lourdes restrictions actuelles concernant les droits fondamentaux des citoyens tant qu’une grande partie de la population ne sera pas informée de cette fraude.

Comme depuis des mois, les principaux médias n’ont pas rempli leur devoir de reportage critique et d’information complète de la population, il faut maintenant un « tsunami d’informations » de la part du peuple !
Faites partie d’un grand mouvement populaire où chacun informe dès maintenant son entourage sur ces liens de cause à effet !
Faites donc suivre cette vidéo explicative à autant d’amis, de collègues de travail et de parents que possible ! Pensez en particulier aux personnes qui s’informent principalement par le biais des médias principaux ! Utilisez tous les moyens disponibles, par exemple les mails, WhatsApp, Twitter, Vimeo ou publiez la vidéo sur Facebook. Le lien de cette émission s’affiche à l’écran.

Sources / Liens :

Allgemeine Infos zu Dr. Lothar Wieler https://www.rki.de/DE/Content/Service/Presse/Pressemitteilungen/2015/01_2015.html
https://de.wikipedia.org/wiki/Lothar_H._Wieler
https://www.rki.de/DE/Content/Institut/institut_node.html;jsessionid=47280A3647889057D2968D7DC0361C80.internet121
https://de.wikipedia.org/wiki/Robert_Koch-Institut
Wielers Verflechtungen
https://www.leopoldina.org/mitgliederverzeichnis/mitglieder/member/Member/show/lothar-heinz-wieler/
https://de.wikipedia.org/wiki/Lothar_H._Wieler#Mitgliedschaften
https://www.rki.de/SharedDocs/Personen/Mitarbeiter/W/Wieler/Wieler_Lothar_H.html
https://www.gatesfoundation.org/How-We-Work/Quick-Links/Grants-Database/Grants/2019/11/OPP1216026
Leopoldina-Gutachten
https://www.leopoldina.org/uploads/tx_leopublication/2020_12_08_Stellungnahme_Corona_Feiertage_final.pdf
Beschluss zum Lockdown im Dezember
https://www.bundesregierung.de/resource/blob/997532/1827366/69441fb68435a7199b3d3a89bff2c0e6/2020-12-13-beschluss-mpk-data.pdf
Protest von Prof. Michael Elsfeld
https://www.merkur.de/politik/corona-angela-merkel-soeder-deutschland-wissenschaft-leopoldina-lockdown-kuba-syndrom-aktuell-90204364.html
Prof. Thomas Aigner
https://www.kla.tv/17942
https://www.akanthos-akademie.de/2020/12/28/protest-gegen-leopoldina-ad-hoc-gutachten-t%C3%BCbinger-professor-verl%C3%A4sst-akademie-der-wissenschaften/
https://www.rundschau.info/prof-dr-thomas-aigner-ich-kann-es-mit-meinem-gewissen-nicht-vereinbaren-ein-teil-dieser-art-von-wissenschaft-zu-sein/
Mitgliedschaften GloPID-R:
https://www.glopid-r.org/about-us/members/
IANPHI:
https://en.wikipedia.org/wiki/International_Association_of_National_Public_Health_Institutes
EACHR:
https://www.rki.de/SharedDocs/Lebenslauf/EN/Wieler_Lothar_H_EACHR_en.html
STAG-IH:
https://www.who.int/emergencies/diseases/strategic-and-technical-advisory-group-for-infectious-hazards/en/
https://www.rki.de/DE/Content/Institut/Leitung/Wieler_STAG-IH.html
Wielers unglaubliche Enthüllungen
1. Enthüllung
https://www.youtube.com/watch?v=_CpcIUov-1Q
2. Enthüllung
https://dein.tube/watch/rWi7Yzyo6kPYuSk
https://www.pharma-fakten.de/news/details/782-digitalisierung-der-schluessel-zu-besseren-impfquoten/
3. Enthüllung
1.https://www.facebook.com/tagesschau/videos/243812243453095/?v=243812243453095¬if_id=1584694894382298¬if_t=live_video
ab Min. 17:47
https://www.t-online.de/nachrichten/deutschland/id_87636856/coronavirus-hamburg-will-nur-echte-covid-19-tote-zaehlen.html
https://www.n-tv.de/wissen/Fast-alle-Corona-Toten-waren-vorerkrankt-article22371530.html
2. https://www.youtube.com/watch?v=wO_F0UrHKxY
(ab min.13.00)
https://www.kla.tv/17530
https://www.youtube.com/watch?v=Xc0Kysti6Kc
ExpressZeitung Ausgabe 38/2021
https://www.epochtimes.de/assets/uploads/2020/11/Antwort-des-Berliner-Senats.pdf
https://www.creative-diagnostics.com/pdf/CD019RT.pdf
3. https://www.youtube.com/watch?v=iN5BIcgZQqU&t=2506s
(ab Min 41:46)
https://reitschuster.de/post/rki-chef-wieler-entlarvt-corona-versagen-der-regierung-und-keiner-merkt-es/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32133832/
https://impf-info.de/82-coronoia/314-coronoia.html#falsch_positiv
(update 12.6.20)
https://www.nordbayern.de/politik/streit-um-den-inzidenzwert-ist-nun-die-35-die-neue-50-1.10832878
https://www.rki.de/SharedDocs/FAQ/NCOV2019/FAQ_Liste_Diagnostik.html
https://reitschuster.de/post/unglaublich-who-warnt-vor-unzuverlaessigkeit-von-pcr-test/
https://www.who.int/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05
4. Enthüllung
https://www.youtube.com/watch?v=HGZpv9iB-Qg




Israël comme laboratoire et fer de lance du Nouvel Ordre Mondial

[Source : Rabbi Nahman de Breslev]

Analyse de la situation économique et sociale en Israël et dans le monde à l’heure de la Covid, dans une perspective qui évoque le plan des élites satanistes.




La lumière solaire inactive le coronavirus 8 fois plus vite que prévu

[Source : dailygeekshow.com]

90 % de ses particules infectieuses sont inactivées après seulement une demi-heure d’exposition à la lumière estivale.

Des chercheurs américains plaident pour des recherches plus approfondies sur la façon dont la lumière solaire inactive le SARS-CoV-2, après avoir mis en évidence un important écart entre la théorie la plus récente en la matière et les résultats expérimentaux.

UN ÉCART CONSÉQUENT

Dans le cadre d’une étude publiée dans The Journal of Infectious DiseasesPaolo Luzzatto-Fegiz et ses collègues de l’UC Santa Barbara ont constaté que le coronavirus était inactivé jusqu’à huit fois plus rapidement que ne le prévoyait le modèle théorique le plus récent, supposant que l’inactivation se produit lorsque les UVB frappent l’ARN du virus et l’endommagent. Selon l’équipe, un tel écart suggère que d’autres processus, dont la compréhension pourrait s’avérer utile pour maîtriser le virus, sont impliqués.

Le rayonnement ultraviolet est facilement absorbé par certaines bases d’acide nucléique de l’ADN et de l’ARN, ce qui peut entraîner leur liaison d’une manière difficile à rétablir. Mais tous les rayons UV ne sont pas identiques. Alors que les ondes UV plus longues, appelées UVA, se révèlent trop peu énergétiques pour causer des problèmes, les ondes moyennes UVB de la lumière solaire sont principalement responsables de la destruction des microbes et de l’endommagement de nos propres cellules lorsque nous y sommes exposés.

Si les rayons UVC à ondes courtes s’avèrent efficaces contre des virus tels que le SARS-CoV-2, même lorsqu’il se trouve à l’intérieur de fluides humains, ceux-ci sont bloqués par la couche d’ozone. « Les UVC sont excellents pour les hôpitaux », souligne Julie McMurry, toxicologue à l’université d’État de l’Oregon et co-auteure de l’étude. « Mais dans d’autres environnements – par exemple, les cuisines ou les métros – les UVC interagiraient avec les particules pour produire de l’ozone nocif. »

— Ed Connor / Shutterstock.com

En juillet 2020, une étude expérimentale avait testé les effets de la lumière UV sur le SARS-CoV-2 dans une salive simulée et montré que le virus était inactivé lorsqu’il était exposé à la lumière solaire simulée pendant 10 à 20 minutes. À l’époque, ses auteurs avaient conclu que « la lumière naturelle du Soleil pouvait s’avérer efficace pour désinfecter les matériaux non poreux contaminés ».

90 % DES PARTICULES INFECTIEUSES INACTIVÉES EN 30 MINUTES

Pour ces nouveaux travaux, Luzzatto-Feigiz et son équipe ont comparé ces résultats avec une théorie concernant le rôle de la lumière solaire dans ce processus, publiée un mois plus tard, et constaté que les calculs ne correspondaient pas. Leur analyse a révélé que le SARS-CoV-2 était trois fois plus sensible aux UV de la lumière solaire que la grippe A, avec 90 % de ses particules infectieuses inactivées après seulement une demi-heure d’exposition à la lumière solaire de midi en été, tandis que celles-ci pouvaient rester intactes pendant des jours lorsqu’elles étaient exposées à la lumière hivernale.

Les calculs environnementaux effectués par une autre équipe de chercheurs ont conclu que les molécules d’ARN du virus étaient endommagées par voie photochimique directement par les rayons lumineux. Ce phénomène s’avérant plus puissant avec des longueurs d’onde de la lumière plus courtes (UVC et UVB), et les UVC n’atteignant pas la surface terrestre, l’équipe de Luzzatto-Feigiz a basé ses calculs sur les UVB, de longueur d’onde moyenne. Ce qui lui a permis de déterminer que « l’inactivation observée expérimentalement dans la salive simulée était plus de huit fois plus rapide que ce que prévoyait le modèle théorique ».

― Gorodenkoff / Shutterstock.com

Selon les chercheurs, il est possible que les UVA n’affectent pas directement l’ARN, mais interagissent avec les molécules du milieu d’essai (salive simulée) d’une manière accélérant l’inactivation du virus. Un phénomène notamment observé dans le domaine du traitement des eaux usées, où les UVA réagissent avec d’autres substances pour créer des molécules qui endommagent les virus.

« NOTRE ANALYSE SOULIGNE LA NÉCESSITÉ DE MENER DES EXPÉRIENCES SUPPLÉMENTAIRES POUR TESTER SÉPARÉMENT LES EFFETS DE LONGUEURS D’ONDE LUMINEUSES SPÉCIFIQUES »

Si les UVA peuvent être exploités pour lutter contre le SARS-CoV-2, des sources lumineuses bon marché et économes en énergie, à longueur d’onde spécifique, pourraient s’avérer utiles pour renforcer les systèmes de filtration de l’air avec un risque relativement faible pour la santé humaine.

« Notre analyse souligne la nécessité de mener des expériences supplémentaires pour tester séparément les effets de longueurs d’onde lumineuses spécifiques et de la composition du milieu de culture », conclut Luzzatto-Feigiz.

Bien que la distanciation sociale et le port du masque restent les moyens les plus sûrs d’éviter le virus, étant donné sa capacité à rester en suspension dans l’air pendant de longues périodes, de telles recherches mettent une nouvelle fois en évidence le rôle de la lumière solaire dans l’atténuation de sa propagation durant les mois les plus chauds.




Toute l’équipe de Reinfocovid adresse un grand merci à tous ses contradicteurs et au Coronavirus

[Source : REINFOCOVID]

Tout d’abord chapeau bas à tous ceux qui ont réussi à transformer le Coronavirus en « crise sanitaire mondiale », en « pandémie globale. Merci aux médias alarmistes, merci aux politiques dictatoriaux, merci aux scientifiques corrompus ou dogmatiques.

Nous tenons par cet article à leur exprimer toute notre gratitude. Gratitude qui vient du mot « grâce ». Oui nous avons été touchés par la grâce, grâce à vous.

Cette crise est une révélation, un dévoilement, une apocalypse. Et après l’apocalypse vient un autre monde. Nous ne reviendrons jamais au monde d’avant, n’en déplaise à ceux qui s’y accrochent encore.

Depuis plusieurs années, nous sentions bien que plusieurs choses « clochaient » dans ce monde. Pris par la vie de tous les jours avec ce sentiment confus d’un « quelque chose » qui n’allait pas, nous errions sans vraiment comprendre, nous raccrochant à ce monde vicié pour éviter la douleur de s’en détacher. Heureusement, le virus et son narratif burlesque envahissant la surface du globe est arrivé, nous arrachant nos œillères, nous laissant contempler le désastre.

[Ndlr: Cela fait au moins quelques décennies que des lanceurs d’alerte et autres « complotistes » ont averti le monde de ce qui se tramait. Cependant, ils criaient dans le désert jusqu’à l’émergence de cette crise artificielle. Maintenant, grâce aux médias dominants qui tentent de les discréditer et en font ainsi involontairement la publicité, leur message est de mieux en mieux reçu par une portion croissante de la population.]

D’abord, nous avons essayé de comprendre. Je peux vous le dire, nous n’avons jamais autant travaillé. Et je vais vous faire mal : nous sommes tous bénévoles ! Nous avons épluché tous les articles de sciences, toutes les informations, lois, décrets, ordonnances. Nous avons lu toutes les informations, celles des médias mainstream comme celles des « complotistes ». Nous avons appris à maîtriser internet, les réseaux sociaux, la communication, le graphisme, la communication non violente… Nous avons écrit, filmé, publié, coordonné, dessiné, chanté, dansé créé des œuvres d’art. Nous nous levons aux aurores et nous couchons lorsque nos yeux se ferment.

Vous vouliez nous appauvrir, vous nous avez tant enrichis : nos connaissances sont plus grandes, nous nous sommes découverts de nouveaux talents. Nous avons repoussé nos limites : plus que jamais nous sommes emplis d’espoir, de courage et d’allégresse.

Vous vouliez notre mort mais nous nous sentons plus vivants et rayonnants que jamais.

Vous vouliez nous désespérer, nous n’avons plus besoin d’espoir pour entreprendre.

Grâce à vous, nous avons pu cerner ce que nous ne voulions pas.

Nous ne voulons pas vivre masqués.

Nous ne voulons pas vivre en nous méfiant les uns des autres.

Nous ne voulons pas vivre dans la culpabilité hypothétique de « donner la mort » à nos proches en transmettant un virus.

Nous ne voulons pas vivre vaccinés de force tous les mois pour tous les virus qui sont ou viendront.

Nous ne voulons pas de passeport sanitaire, de reconnaissance faciale, nous ne voulons pas vivre fichés.

Nous ne voulons pas être incarcérés dans nos domiciles.

Vous vouliez nous séparer. «Attention, distanciation sociale: 1m, puis 1m50, puis 2m avec les nouveaux variants ».

Vous nous avez rassemblés.

Vous vouliez nous faire peur, nous sommes sortis de la caverne. Jouez tous seuls avec vos ombres.

Vous vouliez nous abrutir devant la télévision, nous l’avons éteinte et demain nous jetterons devant nos seuils tous vos biens de consommation à l’obsolescence programmée.

Vous vouliez nous imposer le passeport sanitaire, nous surveiller, nous reconnaître facialement, nous pucer peut-être ? Nous avons faim de liberté.

Vous vouliez nous vendre des médicaments couteux à l’efficacité et à la sécurité douteuse ? Nous arpentons d’autres chemins de santé.

Vous vouliez nous imposer votre vision du monde, marchande et basée sur la dette éternelle, la dépossession intégrale, jusqu’à celle de nos propres vies ? Nous posons les premières pierres d’un autre monde enthousiasmant basé sur la gratitude, la joie et la présence à l’autre.

Alors un immense merci à vous pour tous ces bienfaits.




La principale finalité de la vaccination n’est pas sanitaire

[Source : Nexus]

« Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire », selon Philippe Guillemant, Docteur et ingénieur physicien, spécialiste d’Intelligence Artificielle exerçant au CNRS. « Ce problème-là est peanuts à coté du choix de société qui se trouve devant nous, qu’une politique de gouvernance mondiale semble avoir déjà fait à notre place. Le principal but de la vaccination est de parvenir à une normalisation du port d’identité numérique par chaque citoyen. Aucune loi ne pourrait empêcher l’implémentation des algorithmes correspondants, mais seulement en interdire l’usage. La question de savoir si nous allons effectivement rentrer dans ce nouveau monde, ou pas, va donc dépendre du niveau d’acceptation du vaccin. Mais je le répète une fois de plus, mon avis est qu’on n’entrera pas dans ce nouveau monde. »

Le principal but de la vaccination est de parvenir à une normalisation du port d’identité numérique par chaque citoyen.

Philippe Guillemant, Docteur et ingénieur physicien, spécialiste d’Intelligence Artificielle exerçant au CNRS

Le principal but de la vaccination est de parvenir à une normalisation du port d’identité numérique par chaque citoyen. Il sera en effet permis que le contrôle de ses droits d’accès à différents lieux (restaurants, boutiques, gares etc.) se fasse de manière automatique, ce qui ouvrira un immense marché, celui des objets connectés, tellement savoureux qu’il est capable de transformer des informaticiens en virologues.
Cela permettra également l’introduction d’une monnaie numérique déjà préparée par la suppression progressive de l’argent liquide.

Il y a deux cas à considérer :

– Port d’identité numérique non intimement liée au corps : mobile, bracelet, montre, sac à main…
– Port d’identité numérique intimement liée au corps : bague, puce sous la peau, identification génique…

Dans le second cas il sera impossible, sauf opération chirurgicale, de se débarrasser de son identité.

Dans un premier temps, seul le premier cas est à considérer sérieusement. Ce n’est que lorsque l’usage d’une identité numérique sera normalisé par l’habitude (de vivre autrement) que le second cas s’imposera naturellement pour renforcer la sécurité de l’usage.

Aujourd’hui, ce port d’identité numérique est déjà réalisé via nos mobiles, mais aucun usage n’en est fait, sauf marginal comme dans le cas de l’application TousAntiCovid. Tout le monde a le droit d’entrer dans n’importe quelle boutique et de voyager sans être obligé d’avoir un portable. D’autre part, le traçage des déplacements permis par un mobile est très grossier, sa précision étant comprise entre 1 et 10 mètres. On peut considérer que pour l’instant, avoir un portable est inoffensif.

Tout cela pourrait changer avec le contrôle vaccinal automatisé et la généralisation des objets connectés via la 5G et même dès la 4G. En particulier le traçage ne serait plus réalisé par GPS, mais par analyse et triangulation de signaux via les objets alentours et sera à terme 100 à 1000 fois plus précis, à mesure que la technologie évoluera.

Le port non lié au corps d’identité numérique, dans un environnement peuplé d’objets connectés (maisons, voitures, routes, villes…) permettrait les recueils de données suivants par une I.A. :

  • Vérification d’autorisation d’accès pour les vaccinés
  • Contrôle de vitesse et stationnement (voiture connectée)
  • Identification de toutes sortes d’infractions à la conduite
  • Identification des personnes avec qui l’on déjeune
  • Mémorisation de tous les déplacements
  • Calcul de temps de travail ou temps de présence…
  • Détection de déplacement inhabituel…
  • Etc.

Il convient de préciser qu’aucune loi ne pourrait empêcher l’implémentation des algorithmes correspondants, mais seulement en interdire l’usage.Toutefois, il serait extrêmement difficile de détecter qu’un tel usage n’est pas effectué. Seule son exploitation pourrait être rendue visible, mais cela laisse une grande place à une exploitation inavouée, par exemple par une société d’assurance où le calcul des droits est déjà réalisé de façon informatique.

Considérons maintenant le deuxième cas, et allongeons la liste précédente :

  • Maison intelligente (interactions, commandes, dialogues…)
  • Analyse d’activités privées (dormir, lire, faire l’amour…)
  • Surveillance de l’activité des enfants
  • Analyse des interactions familiales
  • Analyse de situation (repos, activité, chute…)
  • Analyse de comportement (geste brusque, activité sportive…)
  • Détection et mémorisation des habitudes
  • Etc.

J’en oublie certainement, sachant qu’il est difficile d’imaginer d’avance tout ce que la quatrième révolution industrielle pourrait nous inventer. Je ne parle ici que d’un transhumanisme très doux, presque acceptable, sans faire référence à quoi que ce soit d’intrusif comme une puce dans le cerveau, des nanorobots dans nos veines ou une vision artificielle et connectée. Mais il va de soi que l’acceptation de ces technologies intrusives est conditionnée à l’acceptation de l’usage d’identité numérique.

La question de savoir si nous allons effectivement rentrer dans ce nouveau monde, ou pas, va donc dépendre du niveau d’acceptation du vaccin. Il est en effet peu probable que l’on oblige chaque citoyen à porter une identité numérique lors de ses déplacements si 50% de la population n’est pas vaccinée, car on ne va pas limiter à ce point la liberté de circulation. Par contre, si seulement 5% de la population n’est pas vaccinée, il est fort probable qu’on entrera dans ce nouveau monde.
La réalité sera évidemment bien plus complexe que cette simplification binaire, qui n’a d’autre but que d’éveiller aux véritables enjeux.

La question de savoir si nous allons effectivement rentrer dans ce nouveau monde, ou pas, va donc dépendre du niveau d’acceptation du vaccin

Philippe Guillemant, Docteur et ingénieur physicien, spécialiste d’Intelligence Artificielle exerçant au CNRS

Donc, je le répète, nous ne sommes pas confrontés à un problème sanitaire avec le virus. Ce problème-là est peanuts à coté du choix de société qui se trouve devant nous, qu’une politique de gouvernance mondiale semble avoir déjà fait à notre place.

Mais je le répète une fois de plus, mon avis est qu’on n’entrera pas dans ce nouveau monde.

Philippe Guillemant, le 24 novembre 2020 
Son site http://guillemant.net/