« C’est une atteinte majeure à la liberté d’aller et venir, à la liberté de conscience » : Le député LREM Pacôme Rupin s’oppose au “pass sanitaire”

[Source : Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie]

Par Olivier Demeulenaere

« Je crois que le pass sanitaire va fracturer notre pays. C’est un changement majeur de société. Des millions de citoyens vont devoir surveiller le statut sanitaire de millions de citoyens. Les convictions différentes sur le vaccin vont partager les Français en deux, entre ceux qui auront des autorisations et ceux qui auront des interdictions pour aller et venir dans un certain nombre d’établissements recevant du public. Des milliers de citoyens vont potentiellement perdre leur emploi s’ils ne veulent pas se faire vacciner et je ne peux donc me résoudre à cet extrême qui créera un précédent qui est pour moi une atteinte majeure à la liberté d’aller et venir, à la liberté de conscience, au droit de refus de se soumettre à un traitement, à la vie privée et aux données personnelles de santé ».



pacome rupin



Une note du Renseignement : forte exaspération et risque de radicalisation

[Source : yetiblog.org]

Une note de service datée du 19 juillet émise par le Renseignement territorial (RT) tranche singulièrement avec les fabulations des médias tentant de relativiser la mobilisation et l’exaspération populaire contre le pass sanitaire ou l’obligation vaccinale. On y lit ce constat :

« Une exaspération de plus en plus généralisée face à des mesures considérées comme liberticides. »

Loin de relativiser quoi que ce soit, la note du RT souligne au contraire une « mobilisation exceptionnelle », tant par le volume de manifestants que par le nombre de villes concernées. « Une telle mobilisation, surtout hors cadre d’un mouvement structuré, est très inhabituelle durant une période estivale », explique le RT en alertant sur un potentiel risque de « radicalisation ».

Les renseignements font également valoir le profil hétéroclite des manifestants, leur « physionomie très hétérogène » dans des cortèges rassemblant de « simples citoyens » de tous âges, venant de tous bords politiques et de tous milieux sociaux, sans leader attitré, pour beaucoup en première ligne de l’obligation vaccinale (soignants…).

Syndrome Gilets jaunes : LFI et le RN aux abonnés absents

La note du RT pointe aussi l’absence dans ce mouvement de protestation populaire de « l’ultra-gauche » (entendez LFI), mais aussi – là, c’est moi qui note – de l’extrême-droite institutionnelle (i.e. le RN). Dès lors, le parallèle avec ce qui se passa au début du mouvement des Gilets jaunes est vite établi :

« À l’instar de ce qui s’est produit pour les Gilets jaunes, plus le conflit durera, plus le risque est grand que les plus déterminés, puis les plus radicaux, parviennent à en prendre le contrôle. »

Pour le RT, une 

« pérennisation de la crise n’est pas à exclure, surtout que les appels à manifester sont lancés exclusivement par le biais d’Internet et des réseaux sociaux et ne font pas à de rares exceptions près, l’objet de déclaration en préfecture ».

Prochain test grandeur nature : samedi 24 juillet (sans compter les actions sporadiques qui n’attendent même pas le week-end pour éclater).




Graphène et 5G

[Source : Michel Dogna]

Par Michel Dogna

Savez-vous pourquoi on continue à vous obliger à porter le masque même si vous êtes vaXXiné, en plus qu’il ait été démontré cent fois que sa protection est illusoire contre les virus ?

[Voir : Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins.
Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]

  • La réponse est que tous les masques contiennent des nanoparticules d’oxyde de graphène que l’on veut vous faire inhaler.

Savez-vous pourquoi on continue à nous dépister avec le test PCR bien qu’il ait été dit cent fois que ce test est non fiable à 95 % ?

  • La réponse est que le bout de l’écouvillon est chargé d’oxyde de graphène nano qui va aller directement au cerveau.

Savez-vous réellement pourquoi ils veulent absolument vaXXiner tout le monde ?

  • Parce que les vaccins ARNm, sont bourrés d’oxyde de graphène nano qui va vous transformer en antenne ambulante et renforcer le travail et la dissémination du dangereux couple protéine SPIKE/HYDROGEL DARPA.

Savez-vous réellement pourquoi ils veulent nous revaXXiner tous les 6 mois contre des hypothétiques nouveaux variants (grippaux) ?

  • Pour refaire le plein de graphène, qu’à l’encontre de ce qu’affirment certains, le corps élimine petit à petit. Savez-vous enfin que les athlètes de haut niveau perdent 10 à 20 % de leurs performances après une vaccination ARNm ?

[Voir :
En Belgique aussi, les athlètes se préparant aux Jeux olympiques constatent que leurs performances sont en baisse depuis leur vaccination
Sportifs de haut niveau, les vaccins covid diminuent vos performances !]

Découverte du pot aux roses

J’avais déjà signalé les centaines de témoignages curieux sur Internet de gens vaccinés qui collent magnétiquement des petits objets en fer ou inox sur la zone d’injection — ce n’est ni un trucage ni un gag de magie burlesque.

Le site Orwell City a été le premier à dénoncer la présence d’oxyde de graphène dans les injections, masques et tests, grâce à ses traductions en anglais du site La Quinta Columna, qui a publié une vidéo synthèse titrée « l’arme du crime parfait » sur Rumble.

La Quinta Columna

résume le résultat des recherches

Dr José Luis Sevillano

depuis un an et demi, mais surtout depuis les derniers mois, car celui-ci a pu mesurer à l’aide de teslamètres, magnétomètres, etc., les phénomènes magnétiques ou pseudo-magnétiques qu’acquièrent les gens après inoculation, et des stockages d’énergie à certains endroits, comme le front qu’on peut mesurer avec un multimètre.

Il est apparu que les vaXXinés en plus d’être très magnétiques deviennent aussi super conducteurs électriques. C’est ce dernier aspect qui a orienté la recherche du Dr Luis Sévillano dans l’analyse des échantillons d’ampoules vaXXinales, vers le graphène qui est au départ un super conducteur industriel servant à stocker et condenser l’énergie électrique. Cette preuve a été ensuite confirmée par la spectroscopie aux UV, la microscopie électronique, et les fréquences électromagnétiques.

La société NANOGRAFI a avoué que l’oxyde de graphène est présent dans les masques, dans les tests PCR, les tests antigéniques, dans l’hydrogel, et aussi dans les vaccins antigrippe ainsi qu’en aérosol dans le vaccin intranasal de la Turquie.

  • Coïncidence : le marché de l’oxyde de graphène nano a explosé lors du départ de l’alerte Covid en décembre 2019 et janvier 2020, mais aussi durant la campagne de vaccination antigrippe qui avait précédé, spécialement à Wuhan et en Italie du Nord.

Dégâts possibles dans l’organisme des vaxxinés ARNm

L’équipe a alors étudié la toxicité spécifique de l’oxyde de graphène nano ce qui nous fait rejoindre le bilan des effets indésirables connus associés à la vaXXination en vogue — pour rappel :

  • Double pneumonie surtout par inhalation.
  • Écroulement du système immunitaire.
  • Goût métallique dans la bouche.
  • Inflammations multiples.
  • Inflammations des muqueuses.
  • Milliers de mini caillots circulant dans le sang.
  • Mouvements incontrôlables.
  • Myocardites et péricardites possiblement irréversibles.
  • Perte de l’odorat et du goût.
    Et surtout Thromboses soudaines et imprévisibles pouvant entraîner :

    • Aphasie,
    • AVC fatal,
    • Cécité d’un œil ou des deux,
    • Embolie cardiaque fatale,
    • Embolie pulmonaire fatale,
    • Paralysies,
    • Surdité d’une oreille ou des deux.

L-Glutathion : parade à l’oxyde de Graphène ?

Le L-GLUTATHION est un puissant antioxydant synthétisé par le sang qui contrecarre les radicaux libres, les peroxydants, et toutes les toxines qui entrent dans le corps. Or il s’avère qu’il détruit aussi l’oxyde de graphène nano, mais à condition d’être présent en quantité suffisante, sinon le graphème, va le manger — c’est donc une véritable partie de bras de fer qui a lieu !

Et c’est là que l’on peut aider le corps en apportant du L-glutathion extérieur, ou mieux encore, de la N-acétylcystéine qui est son précurseur.

  • De fait les chercheurs espagnols ont découvert qu’il existait environ 300 études cliniques sur l’usage par certains hôpitaux et universités, de la N-acétylcystéine avec d’incroyables résultats. Par exemple, 100 patients mourants avec des doubles pneumonies ont été sauvés en une heure après l’administration intraveineuse de glutathion ou de N-acétylcystéine.

Hélas, le problème de l’apport extérieur du L glutathion est que sa synthèse nécessite de grandes quantités de lait — qui est, nous le savons, du sang transformé. On parle de 600 litres de lait pour obtenir 1 litre de glutathion, ceci lui occasionnant un coût élevé — et par ailleurs, que sa conservation est éphémère.

Il est donc préférable de s’orienter vers la N-acétylcystéine (NAC à 200 mg) un acide aminé soufré hautement bio disponible, que l’on trouve facilement sur Internet ou dans les parapharmacies — sans ordonnance puisqu’elle n’est pas considérée médicament, mais complément alimentaire : 1 sachet 3 fois par jour chez l’adulte — traitement 8 à 10 jours maxi.

À noter par ailleurs qu’à partir de 60 ans le sang fabrique de moins en moins de glutathion. C’est pour cela que le 3e âge est le plus touché par la vaXXination. Mais cela est vrai aussi pour les obèses de tous les âges ! Par contre, normalement, les enfants qui en fabriquent abondamment sont peu touchés… quand la rafale de vaccinations du calendrier vaccinal n’a pas trop endommagé leurs défenses immunitaires à large spectre.

Le roman des « Variants »

[Voir aussi :
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !]

On nous parle maintenant de 3e puis de 4ème vague, etc., bref une histoire sans fin, qui justifie des nouvelles privations de libertés et des nouvelles vaXXinations soi-disant adaptées. Aussi, il est couramment entendu de la part des sommités médicales sincères que les dits variants sont générés par les vaXXins. Ils sont sur la bonne voie, mais il leur manque une pièce du puzzle. Il faut considérer que les gens en bonne forme qui ont passé avec succès l’épreuve de la première vague, vaccinés, demi vaccinés, ou pas, sont ceux dont le glutathion était suffisamment abondant pour éliminer progressivement le graphène — le seul but du nouveau vaxxin n’est pas de protéger d’un variant qui n’est en fait qu’un rhume ou une grippette banale, mais d’effectuer une recharge importante d’oxyde de graphène, donc une nouvelle estocade contre les individus « durs à cuire », dont les dégâts seront mis à la charge d’un virus fantôme de plus en plus méchant.

Pourquoi la 5G ?

[Voir :
Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry, Ancien Présentateur TV (Censuré)
Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !
Covid-19 et contrôle des masses — Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire
5G : installation à marche forcée malgré les risques
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Science-fiction ou réalité ? Contrôler le cerveau via des vaccins ARNm ?
Localisation des antennes 5G en France
La principale finalité de la vaccination n’est pas sanitaire
Un cimetière d’abeilles sous les antennes 5G à Toulouse]

Ce n’est pas tout. L’establishment criminel a voulu avoir toutes les chances de réussite dans son œuvre sinistre en faisant jouer la fréquence de résonance de l’oxyde de graphène que l’on nomme techniquement « bande d’absorption électronique » dans le but d’une émulation le rendant encore plus méchant face au glutathion. Cette émulation va être initialisée par la 5G — et c’est pour cela que contre toutes les mises en garde et réticences de toutes parts, la prolifération des antennes continue à battre son plein comme si rien n’était.

Janvier 2020 fut une grande répétition à Wuhan, alors que :

  1. Une campagne de vaccination antigrippe avait précédé (pour charger les gens en graphène).
  2. Plus de 10 000 antennes relais 5G avaient été installées.
  3. Au jour J de la déclaration de la catastrophe pandémique covid, due prétendument à une fuite accidentelle du laboratoire P4 et une histoire à dormir debout de pangolins et de chauves-souris, l’enclenchement du réseau 5G a été effectué en même temps.
  4. Rappelez-vous des gens apparemment pas malades qui tombaient de mort subite dans la rue (ce n’était pas un montage [Ndlr : ceci reste à démontrer]).

À l’époque j’avais parlé de la fréquence de résonance 60 gigahertz de la 5G qui rendait l’oxygène ambiant partiellement inexploitable par l’hémoglobine du sang — ceci devait être vrai, mais ni moi ni personne ne connaissions à l’époque l’existence surajoutée du graphène (la ceinture et les bretelles…).

  • Le but de tout ce montage fut donc de faire croire au monde entier que l’ennemi fatal était un nouveau virus afin de détourner l’attention de la vraie corrélation : « oxyde de graphène/5G » — cela a parfaitement marché, même chez les scientifiques… du grand art dans le crime parfait !

Toutes les inepties apparentes depuis 18 mois s’expliquent maintenant d’une façon claire.

Ceux qui ne croiront pas encore, après cette lecture, que nous sommes sous l’emprise du plus grand mensonge de tous les temps pour assurer le plan de dépopulation de l’humanité prévu par le plan Blue Beam des Illuminatis (voir sur Internet), en ont parfaitement le droit en leur âme et conscience.

Jésus avait raison lorsqu’il a dit :

« Bienheureux les simples en esprit, car le royaume des cieux leur appartient. »

C’était vrai à son époque pour les fins de vie.

Et c’est toujours vrai maintenant, mais cette fois sans délai !

PARADES DES VIOLS VAXXINAUX

EN CLAIR
Les (faux) vaxxins c’est :

  • (1) Protéine Spike + hydrogel Darpa
  • (2) Oxyde de graphène (et aucune souche contre le corona !)

[Voir : La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ?]

  • Parade pour le (1) Suramine dans tisane de pin TM d’aiguilles de pin sylvestre (dispo vers le 15 août, sera précisé par une News).
  • Parade pour le (2) L-Glutathion N-Acétylcystéine (NAC 200 mg) (pharmacie ou Internet).

Et enfin, pour SORTIR DU JEU PERVERS

Écoutez, ré-écoutez, faites écouter EMA KRUSI et ses précieux conseils
Sa beauté extérieure est le reflet de sa beauté intérieure,

Elle vous tirera peut-être les larmes…




Simplissime : les contrats d’assurance-vie et de prêts interdisent la vaccination anti-covid

Par Alain Nicolaï

Quand les tricheurs et les mécréants trichent trop, cela se retourne contre eux.

Explication d’Éric Perroud sur une clause essentielle des contrats d’assurance-vie et de prêts :



Pour ceux qui ont souscrit une Assurance Vie, ces contrats stipulent que le signataire ne peut pas participer à des expérimentations médicales, cela est logique, et se comprend très facilement. Comme les assureurs savent pertinemment que les vaccins anti-covid sont encore en phase expérimentale, ils ne verseront rien à vos bénéficiaires. Les contrats de prêts comportent parfois cette clause de non-paiement. Vérifiez.

Deux liens pour expliquer la complexité de la mise en place de ce que l’on nomme Essais cliniques :

De plus, en France les participants à des essais cliniques doivent souscrire une assurance :


Les financiers ont souvent des intérêts dans les assurances et les assureurs dans les banques. Ils sortent du même moule. Ils font partie du même monde.

Les financiers veulent faire des bénéfices en investissant dans les vaccins, et les assureurs profitent de la crise sanitaire, pour ne pas payer les primes de ceux qui sont tombés dans le piège de la vaccination et qui décéderont. L’affaire est apparemment belle, mais seulement en apparence. Sont-ils conscients qu’ils sont en pleine contradiction, en effet, d’un côté ils poussent à la vaccination et de l’autre il est écrit sur les contrats que les bénéficiaires de ceux qui participent à des essais cliniques ne toucheront rien !!!  D’un côté, ils vous vaccinent, et de l’autre par cette clause, ils vous interdisent de vous faire vacciner. Peut-on être plus bête ?!

Actuellement, ils essayent de gérer un tel bazar, qu’ils ne se rendent plus compte des conséquences de leurs décisions et de leurs actes, ils ne se rendent même pas compte qu’ils sont en train de se tuer.

À vouloir gagner sur tous les tableaux, ils vont tout perdre


Maintenant, passons aux politiques, nous avons vu, en étant gentils, que depuis le début de la crise beaucoup n’étaient pas à la hauteur comme le démontre les deux liens suivants :

Avec les votes prochains qui vont avoir lieu dans les hémicycles vont-ils encore se déconsidérer un peu plus ?
Vont-ils se ridiculiser encore une fois ?
Prouvant leur incapacité, pour le moins, à comprendre ce qui se passe.
Si c’est le cas, ils montreront définitivement aux yeux des gens censés et raisonnables qu’en groupe ce sont, pour le moins, des imbéciles, et que donc nous n’avons plus besoin de leurs services

Conclusion

Source Nice Provence info :




Sras-CoV-2 — Le racket et la corruption sont à l’origine du déploiement du virus du Covid dont l’origine est humaine

[Source : Sott.net]

[Sur la photo : Bill Gates (à gauche) et Anthony Fauci (à droite)]

Par Neville Hodgkinson

Nous avons hier présenté les preuves présentées par le Dr David Martin, dirigeant d’une société étatsunienne de surveillance des innovations en lien avec des intérêts financiers, preuves fournies le vendredi 9 juillet au Comité d’enquête international sur le coronavirus dirigé par l’Allemagne. Il a déclaré qu’un examen de plus de 4 000 brevets délivrés autour du coronavirus du Sras (syndrome respiratoire aigu sévère) avait conduit à la conclusion dramatique suivante : « Nous avons créé le Sras ». Nous poursuivons aujourd’hui le compte-rendu de son témoignage, dont la vidéo diffusée en direct se trouve ici.

[Note de Joseph : en tentant compte de l’article Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial (qui présente notamment ce qu’est la démarche scientifique et de forts indices que la théorie virale n’a pas suivi cette dernière) et particulièrement de son extrait suivant,

Conséquence logique de l’inexistence de virus en tant que méchantes nano bibittes

S’il existe bien des structures biologiques ayant la forme de virus et de ce qui a été plus récemment appelé « exosomes », ce qui précède [dans cet article] a apporté des arguments scientifiquement recevables en défaveur de la théorie virale. Pas plus que pour les bactéries ces structures virales n’ont pu être réellement démontrées comme étant la cause de maladies. Et aucune contagion n’a pu être reproduite expérimentalement à partir de tels germes à l’exclusion d’autres causes potentielles (telles que des empoisonnements par des substances chimiques ou par des ondes électromagnétiques) et selon un processus scientifique suffisamment rigoureux et impartial. Seule une telle démarche est à même de vérifier l’absence de biais, de syllogismes, de sophismes et d’erreurs diverses au sein d’une théorie.

Sous la pression de l’industrie pharmaceutique, la théorie virale n’a jamais passé une telle épreuve. Cependant, si suffisamment de virologues, d’infectiologues, d’épidémiologistes, de microbiologiques et de médecins en général s’ouvrent à cette réalité et prennent conscience de ses implications, alors, s’ils fonctionnent dans le cadre d’une démarche réellement scientifique (et non pas pour simplement préserver leurs croyances, leur réputation ou leurs copains de Big Pharma, selon le cas), ils ne pourront qu’aboutir à la conclusion suivante :

Les vaccins classiques et les pseudo vaccins actuels représentent un énorme mensonge, un scandale planétaire, un crime contre l’Humanité, des poisons qui n’ont jamais réellement pu guérir qui que ce soit ni préserver de la moindre maladie en dehors de leur possible effet placebo.

une arme bactériologique bactérienne ou virale aura peu de chances de réellement se répliquer à l’intérieur d’un organisme vivant et c’est probablement la raison de l’échec d’une telle arme qui selon les prévisions de l’Event 201 aurait dû faire 65 millions de morts. Une arme bactériologique ne peut tuer que par contact direct, en tant que poison auquel on est directement exposé. Si les virus et les bactéries ne sont pas les causes réelles des maladies prétendument virales ou bactériennes, dites « infectieuses », mais en sont plutôt des conséquences ou des mécanismes de réparation, comme exposé dans l’article évoqué ci-dessus, alors un « virus » aura beau être modifié chimiquement ou génétiquement, il ne se répliquera pas davantage dans les cellules humaines que ne le font les virus naturels. Ceux-ci ne sont pas formés à cause d’une invasion de virus depuis l’extérieur, mais par les cellules corporelles ou comme résultat de dégradation de ces dernières (suite à un empoisonnement ou à une déficience en nutriments), selon les types de ces composants qui ont été appelés Il est plus que temps pour l’Humanité d’abandonner la théorie virale fallacieuse et jamais réellement démontrée dans le cadre d’une démarche scientifique rigoureuse, mais qui est devenue une religion à laquelle presque tous les êtres humains croient aveuglément sans jamais la remettre en question. Il est temps darrêter davoir peur des bactéries et des virus et de comprendre que ceux-ci sont naturellement présents dans le corps, respectivement par dizaines de milliers de milliards et centaines de milliers de milliards, car ils y fonctionnent en symbiose et y remplissent diverses fonctions précises.

Autre extrait de cet article :

Conséquences subsidiaires

Comme la vaccination représente un dogme central de la religion médicale actuelle propulsée par Big Pharma, si les vaccins sont enfin reconnus comme une calamité pour les êtres humains et non comme des agents de bonne santé, alors c’est Big Pharma lui-même qui risque de s’effondrer et, dans la foulée, étant donné l’importance de cette Église dans le monde, c’est le Nouvel Ordre Mondial qui verra ses jours comptés.(…)

]

Les États-Unis ont une loi fédérale connue sous le nom de loi RICO. Elle a l’air sympathique, mais sa cible est très précise : les organisations influencées par le racket et la corruption. Cette loi a été introduite en raison de la complexité de la procédure d’inculpation des structures du crime organisé.

Le Dr David Martin a déclaré au Comité d’enquête international sur le coronavirus qu’en avril 2003,une société pharmaceutique étatsunienne a déposé un brevet sur les agents antiviraux, le traitement et le contrôle des infections par le coronavirus, trois jours seulement après que — dans une demande supposée secrète — les Centres de contrôle des maladies aient cherché à breveter le coronavirus du Sras lui-même. La première épidémie de Sras s’est déclarée en Chine en février de la même année.

Sa description a amené le président de la commission d’enquête, l’avocat allemand Reiner Fuellmich, spécialisé dans la dénonciation des escroqueries d’entreprise, à commenter :

« Tout cela pourrait bien finir par éclater et devenir une affaire RICO. »

Le Dr David Martin a répondu :

« Pas pouvoir éclater et devenir une affaire RICO — C‘est une affaire RICO. Et le schéma RICO qui a été établi en avril 2003 pour le premier coronavirus s’est déroulé exactement selon le même calendrier lorsque nous avons vu apparaître le Sras-CoV-2. »

Il a affirmé que Moderna (à l’origine baptisée ModeRNA) avait reçu par transmission téléphonique — du centre de recherche sur les vaccins de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses — la séquence génétique de la protéine Spike qui constitue la base de son « vaccin » anti-Covid, avant même que la nouvelle sous-classe du virus ne soit définie. Le Dr David Martin s’interroge :

« Comment est-il possible de résoudre un problème avant même qu’il ne se pose ? »

Moderna (dans son nom complet d’origine ModeRNA Therapeutics) est une entreprise du Massachusetts fondée en 2010 par une équipe d’investisseurs pour développer la technologie de l’ARN (acide ribonucléique), considérée comme extrêmement prometteuse pour exploiter la puissance du code de l’ARN afin que de nouveaux médicaments soient conçus par notre organisme lui-même.

Selon le Dr David Martin, une autre date importante est celle du 5 juin 2008. C’est à peu près à ce moment-là que le programme de recherche avancée de la défense des États-Unis (le DARPA) s’est intéressé au coronavirus en tant qu’arme biologique. C’est également à cette date qu’une société pharmaceutique — qui fait aujourd’hui partie du géant Sanofi basé à Paris — a déposé une série de brevets visant des gènes qui, douze ans plus tard, seraient les [soi-disant – NdT] « nouvelles » caractéristiques du Sras-CoV-2 qui en font un risque pour la santé humaine.

À partir de 2008, les dépôts de brevets de nombreuses organisations ont identifié « chaque attribut » du virus, tel qu’il a finalement été décrit par la suite.L’article de référence publié en mars 2020 et couramment utilisé pour l’identifier prétendait démontrer que les nouvelles caractéristiques étaient apparues de manière naturelle et que le virus « provenait de multiples événements recombinants naturels survenant parmi les virus présents chez les chauves-souris et d’autres espèces sauvages. »

Ce à quoi le Dr David Martin répond :

« Malheureusement, quand on considère réellement ce qu’ils déclarent être « nouveau », on constate que 73 brevets, délivrés entre 2008 et 2019, comportent les éléments prétendument nouveaux qui composent le Sras-CoV-2. Donc, il n’y a pas eu d’épidémie de Sras, parce que tous les éléments de ce virus ont été fabriqués par des êtres humains. »

Depuis 2016, il a été affirmé que ce virus supposé nouveau était prêt à émerger dans la population humaine. Mais, et comme le déclare le Dr David Martin :

« il n’était pas seulement prêt à émerger chez les humains, il a été breveté pour une exploitation commerciale — 73 fois. Sur la base des séquences génétiques réelles, qui sont publiées dans le dossier de brevet, toute affirmation selon laquelle cet agent pathogène est en quelque sorte unique ou nouveau s’écroule. »

Les chercheurs de l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill (qui ont collaboré avec le laboratoire de Wuhan, en Chine, dans le cadre des travaux sur le « gain de fonction » du coronavirus), ainsi que l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses et Moderna, ont commencé le séquençage d’un vaccin à base de protéine spike en novembre 2019, soit un mois avant que l’épidémie de Wuhan apparaisse.

Le Dr David Martin a également contesté l’idée selon laquelle injecter la séquence d’ARN de la protéine Spike constitue un véritable « vaccin ». La théorie sous-jacente est qu’en apprenant au système immunitaire à reconnaître la protéine Spike, qui en soi présente des effets toxiques, l’organisme sera mieux équipé pour faire face à la toxine lorsqu’il sera exposé au virus.

« Le fait de débattre pour savoir si nous disposons d’un « vaccin » contre un virus est une illusion dans laquelle nous continuons malheureusement à voir des personnes très bien intentionnées se laisser piéger. Le fait est que nous ne disposons pas d’un tel « vaccin ». Ce qui est injecté, c’est une séquence ARN de la protéine Spike, qui est elle-même une simulation informatique d’une séquence connue et brevetée depuis des années. Elle n’est pas d’origine naturelle.

La nature ridicule de l’histoire selon laquelle « vacciner » pour lutter contre le Covid serait une sorte de prophylaxie ou de prévention va à l’encontre de cent pour cent des preuves, car ces preuves montrent clairement qu’aucun effort pour combattre le virus n’a été fait par aucune des sociétés pharmaceutiques. Il s’agit d’injecter aux gens la protéine Spike, tout en sachant qu’elle est nocive. »

La raison de cette démarche, toujours selon le Dr David Martin, est de rendre les gens « accros » à un « vaccin » universel contre le coronavirus.

« Les gouvernements du monde entier ont pendant une décennie désespérément, désespérément, désespérément encouragé l’obligation de recourir à un vaccin antigrippal universel. Ils ont échoué. Et ils ont décidé que si la grippe ne remplissait pas la promesse publique d’inciter tout le monde à se faire vacciner, il fallait changer d’agent pathogène.

Il faut créer l’illusion d’une demande, et rien aujourd’hui ne saurait mieux créer l’illusion de cette demande que l’urgence d’un événement qui a été fabriqué.

Voici la triste et sobre ironie : j’ai soulevé ces questions en 2002, après l’alerte à l’anthrax, et ce qui est tragique, c’est que nous vivons désormais dans un monde où des centaines de millions de personnes se font injecter une séquence informatique stimulant les agents pathogènes, vendue sous le nom de ce que l’Office des brevets, la profession médicale et la FDA (Food and Drug Administration) ne considéreraient même pas comme un vaccin selon ses propres normes cliniques. Mais en utilisant ce terme, des centaines de millions de personnes sont aujourd’hui soumises à ce que l’on savait déjà en 2005 être une arme biologique. »

La vidéo diffusée en direct par le Dr David Martin qui apporte ces éléments de preuve reçoit déjà des dizaines de milliers de vues. Les données qu’il présente devraient à tout le moins mettre un terme à l’idée que le virus est d’origine naturelle et qu’il a développé par hasard la capacité de passer des animaux aux humains.

Rien que ce qui précède comporte d’énormes implications en soi. D’une part, pourquoi devrions-nous croire les affirmations de la Coalition pour la préparation aux épidémies (CEPI) — lancée en 2017 avec une énorme injection de fonds en provenance de la Fondation Gates — selon lesquelles la quête proposée de 3,5 milliards de dollars pour obtenir un vaccin universel contre le coronavirus dans le but de « contenir le Sras-CoV-2 et ses variants » est un objectif souhaitable ou réalisable ?

Pour soutenir le projet, le cofondateur Bill Gates a déclaré :

« La CEPI a aidé la communauté scientifique mondiale à faire quelque chose d’incroyable : développer des vaccins anti-Covid-19 en moins d’un an. »

Cette affirmation sonne plus que creux à la lumière des brevets déposés depuis vingt ans tels que le Dr David Martin l’a révélé.

De plus, ce dernier a démontré que même les prétendus « variants » du Sras-CoV-2 sont artificiels, puisqu’ils correspondraient à l’identification de différents fragments de gènes plutôt que de véritables variations en tant que telles. Le Dr David Martin poursuit :

« Il s’agit simplement d’ajuster le moment auquel vous démarrez et arrêtez ce que l’on appelle le cadre de lecture. Si ce que nous cherchons est une chose que nous avons décidé digne d’être recherchée, alors nous la trouverons […] à l’endroit précis où sera choisi le démarrage ou l’arrêt, je serai en mesure de dire que je l’ai trouvée. Ou que je ne l’ai pas trouvée ! Je n’ai pas trouvé la correspondance que j’avais projetée sur les données, parce que j’ai choisi de regarder les données d’une manière qui ne me permettait pas de trouver la correspondance. »

Alors que les conseillers du gouvernement semblent sortir des « nouveaux variants » de leurs chapeaux chaque fois qu’ils ont l’impression que l’emprise de la terreur s’atténue, nous touchons là à un autre domaine qui appelle une réévaluation sobre de ce qui se trame réellement.

Note de la rédaction

Si vous avez apprécié cet article, vous pourriez peut-être envisager de faire un don à The Conservative Woman. Contrairement à la plupart des autres sites Web, nous ne recevons aucun financement indépendant. Nos rédacteurs ne sont pas rémunérés et travaillent entièrement de manière bénévole, tout comme la majorité de nos contributeurs, mais il existe des coûts inévitables associés à la gestion d’un site Web. Nous dépendons de nos lecteurs pour nous aider, que ce soit par des paiements réguliers ou ponctuels. Vous pouvez faire un don ici. Nous vous remercions.

À propos de l’auteur

Neville Hodgkinson est un ancien correspondant médical et scientifique du Sunday Times et l’auteur de AIDS : The Failure of Contemporary Science, publié en 1996 aux éditions Fourth Estate.

Note du traducteur : Voici un téléchargement en miroir de la présentation du Dr David Martin au Comité d’enquête international sur le coronavirus dirigé par l’Allemagne [en anglais] :



Cette vidéo vaut la peine d’être visionnée dans son intégralité, mais pour ceux qui n’ont pas le temps, ce blogueur a fourni un résumé point par point de la présentation [en anglais aussi], y compris le profil du Dr David Martin et ses conclusions.

Le Dr David Martin observe depuis plus de vingt ans maintenant la concoction de cette cuisine de sorcières. Voici un PDF téléchargeable de son « Dossier Fauci/Covid-19 ».

Le Sras-CoV-2 est donc bien une création humaine, tout comme l’ensemble de l’infrastructure des « tests de dépistage » et des « vaccins visant à résoudre le problème », concoctée par des prédateurs sans scrupules qui n’ont pas hésité à terroriser le monde entier afin de tirer profit de la crise qu’ils ont créée, et de contrôler la vie des gens jusque dans leurs pensées et leurs comportements quotidiens.

Voir aussi notre article sur l’intervention du Dr David Martin, lors d’une conférence tenue en Californie en mai 2021 : La guerre bactériologique est en marche — « Nous sommes en guerre ! », l’article développant les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2, ainsi que celui traitant de l’ineptie des « vaccins » à ARN pour « traiter » le Covid-19

Source de l’article initialement publié en anglais le 14 juillet 2021 : The Conservative Woman
Traduction : Sott.net




La guerre bactériologique est en marche — « Nous sommes en guerre ! »

[Source : Sott.net]

Par Dr David Martin — Bitchute/Odysee
mar., 13 juil. 2021 14:59 UTC
Le Dr David Martin lors d’une conférence tenue en Californie en mai 2021.

Commentaire : Le Dr David Martin faisait partie des intervenants dans le documentaire Plandemic: Indoctornation.

Quant au contenu de cette vidéo doublée, voir aussi notre récent Focus Seconde Guerre froide — Le Covid/Sras-CoV-2 est une arme biologique fabriquée à Fort-Detrick aux États-Unis et envoyée en Chine pour la cibler et l’incriminer

Il aborde l’histoire du développement de l’arme biologique du SRAS, qui a été initialement financée pour la recherche sur le SIDA/VIH en 1999, et il a lâché cette bombe sur le public :

Anthony Fauci a dépensé, écoutez bien ce chiffre, 191 MILLIARDS de dollars, pas 3,7 millions, pas 30 millions, 191 MILLIARDS de dollars de fonds contrôlés pour la bio-armement de virus contre l’humanité.

[Note de Joseph : en fonction des arguments scientifiques présentés dans l’article Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial, une arme bactériologique bactérienne ou virale aura peu de chances de réellement se répliquer à l’intérieur d’un organisme vivant et c’est probablement la raison de l’échec d’une telle arme qui selon les prévisions de l’Event 201 aurait dû faire 65 millions de morts. Une arme bactériologique ne peut tuer que par contact direct, en tant que poison auquel on est directement exposé. Si les virus et les bactéries ne sont pas les causes réelles des maladies prétendument virales ou bactériennes, dites « infectieuses », mais en sont plutôt des conséquences ou des mécanismes de réparation, comme exposé dans l’article évoqué ci-dessus, alors un « virus » aura beau être modifié chimiquement, il ne se répliquera pas davantage dans les cellules humaines que ne le font les virus naturels. Ceux-ci ne sont pas formés à cause d’une invasion de virus depuis l’extérieur, mais par les cellules corporelles ou comme résultat de dégradation de ces dernières (suite à un empoisonnement ou à une déficience en nutriments), selon les types de ces composants qui ont été appelés « virus ». Il est plus que temps pour l’Humanité d’abandonner la théorie virale fallacieuse et jamais réellement démontrée dans le cadre d’une démarche scientifique rigoureuse, mais qui est devenue une religion à laquelle presque tous les êtres humains croient aveuglément sans jamais la remettre en question. Il est temps d’arrêter d’avoir peur des bactéries et des virus et de comprendre que ceux-ci sont naturellement présents dans le corps, respectivement par dizaines de milliers de milliards et centaines de milliers de milliards, car ils y fonctionnent en symbiose et y remplissent diverses fonctions précises.]

Et c’est l’argent du contribuable américain qui a été dépensé.

Merci beaucoup pour votre aide afin que je puisse améliorer ma chaîne.



Dr Fauci a dépensé, écoutez bien, 191 milliard de dollars. Pas 3,7 millions, pas 30 millions, 191 milliards de dollars de fonds alloués pour l’armement biologique contre l’Humanité. Ceci est un programme d’arme biologique pour nous tuer. Voila ce que c’est. Et ce n’est pas que pour nous tuer, c’est pour procéder à une dépopulation massive. Vous avez un virus, vous avez une arme biologique.

En 1999, cet armement a été évoqué explicitement dans le premier rapport NIAID. Et DURC était impliqué, tout comme un tas d’agences de La Défense. Ce qui a été fait spécifiquement en 1999, l’épithélium du poumon humain était visé pour la première fois car le Coronavirus était plutôt inoffensif pour la plupart des humains. Mais l’epithelium du poumon humain est explicitement visé afin que cela devienne pathogène pour le poumon humain.

Nous avons construit le Sras. Les humains ont construit le Sras et ce sont les contribuables américains qui ont payé cela. En 1999, nous avons construit une arme biologique. J’ai écrit mon premier briefing en 2001, et j’ai mentionné les armes biologiques et la sécurité globale. En 2003, en Slovénie. En 2004, en République Islamique d’Iran à la Conférence sur les armes biologiques en Iran. Ce sont des faits historiques qui ne sont pas nouveaux. C’était connu, et en 2005, ils ont fondé l’initiative DARPA.

Source de la vidéo doublée : Liberty Voice sur Odysee
Source de la vidéo en version originale (anglais) : Bitchute




Le plan de « force de frappe » de Biden sur les vaccins pue le désespoir

Par Brandon Smith

S’il y a une règle dont les esprits libres doivent se souvenir, c’est que l’establishment n’aime pas perdre le contrôle de la version officielle. Et quand il le fait, des choses bizarres commencent à se produire. Par exemple, il devient douloureusement évident que le récit sur les « vaccins » expérimentaux à ARNm a glissé entre les doigts de l’administration Biden et, par conséquent, ils sont maintenant dans une course effrénée pour injecter des millions de vaccins dans autant de bras sceptiques que possible avant que le public ne s’organise pour repousser l’ordre du jour. Il me semble qu’ils sont un peu en train de paniquer.

Le problème est devenu plus évident depuis janvier, lorsque diverses entités gouvernementales et les médias ont commencé à se plaindre ouvertement du nombre de doses de vaccins jetées à la poubelle en raison de leur péremption. Pourquoi les vaccins arrivaient-ils à expiration avant d’être utilisés ? Les médias suggèrent que c’est dû à la « mauvaise gestion du gouvernement », alors que les responsables au niveau de l’État ont admis que c’était dû à une baisse significative de la demande.

Entre-temps, Biden a expédié plus de 500 millions de doses de vaccin contre la coqueluche à l’étranger en juin, tout en affirmant que les États-Unis étaient en bonne voie pour atteindre son objectif de 70 % de vaccination pour le 4 juillet. Inutile de préciser que cela ne s’est jamais produit. L’administration Biden affirme maintenant que la population américaine est vaccinée à 67%, et si cela était vrai, elle serait très proche des directives originales d’Anthony Fauci en matière d’immunité collective. Alors pourquoi tout ce battage autour des personnes non vaccinées ?

Tout d’abord, Fauci n’a cessé de déplacer les objectifs de l’immunité de groupe au point de dire au public d’ignorer complètement l’immunité de groupe et que la seule option est de faire vacciner TOUT LE MONDE. Beaucoup d’entre nous, dans les médias libres, ont dit que c’était exactement ce qu’il ferait, et il s’est avéré être incroyablement prévisible. Deuxièmement, les chiffres de vaccination des CDC semblent être gonflés afin de créer un consensus artificiel.

Tout en revendiquant un taux de vaccination global de 67 %, les statistiques des CDC indiquent un maximum d’environ 184 millions d’Américains ayant reçu au moins une dose, puis indiquent 160 millions de personnes ayant reçu une double dose. Pourtant, selon la carte de données de la Mayo Clinic, seuls quatre États ont un taux de vaccination de 67 % ou plus, tous situés dans le Nord-Est. Même la Californie et New York sont bien en dessous de 67 %, et la grande majorité des États se situent autour de 50 % ou moins.

Franchement, je ne crois pas du tout aux chiffres de vaccination des CDC. Les chiffres des nouveaux dosages sont en chute libre à travers les États-Unis, selon les responsables des États ; tous ceux qui n’ont pas été vaccinés à ce jour ne le seront pas à moins d’y être contraints. Il n’y a pas de longues files d’attente pour les vaccins. Pas de temps d’attente. Les CDC ont même supprimé le temps d’attente entre les doses. Et pourtant, CVS et Walgreens ont jeté des doses périmées par centaines de milliers.

Si nous regardons les statistiques des CDC concernant la vaccination complète, nous sommes plus proches de 51 % de la population américaine totale, ce qui correspond plus précisément aux statistiques de la Mayo Clinic. Rien n’indique que ce pourcentage dépassera bientôt la barre des 51 %, si tant est que les statistiques soient exactes.

Cela signifie qu’au moins la moitié de la population américaine est en désaccord avec le programme. C’est probablement la raison pour laquelle Fauci et Biden sont devenus plus agressifs dans leur programme de vaccination le mois dernier. S’ils obtenaient les taux de vaccination de près de 70 % qu’ils revendiquent, ils ne se plaindraient pas avec indignation des personnes non vaccinées. Les statistiques montrent qu’un nombre ÉNORME d’Américains refusent de se faire vacciner – Nous sommes une vaste armée, et c’est une bonne chose.

Pourquoi ? Parce qu’il n’y a tout simplement aucune raison de prendre le vaccin expérimental à ARNm.

FAIT : Covid-19 a un IFR (taux de mortalité par infection) médian de 0,26% ou moins.

Pourquoi prendre un vaccin expérimental plutôt qu’un virus auquel 99,7% de la population, en dehors des maisons de retraite, survivra facilement ? Dans mon comté, seules 17 personnes sont mortes du covid en 16 mois, dont beaucoup dans des maisons de retraite. La majorité de la population a également cessé de porter des masques et mis fin aux confinements environ trois mois après l’épidémie initiale, lorsqu’il est apparu clairement que le covid n’était rien. Le variant dit « Delta » est également très présent ici, et ni les décès ni les infections n’ont augmenté de manière notable.

La plupart des gens ici ont déjà eu le virus, et c’était essentiellement comme une mauvaise grippe avec un coup de fouet supplémentaire ou un brouillard cérébral supplémentaire. Après environ une semaine, les gens se sont rétablis. C’est facile. Je comprends parfaitement les inquiétudes des gens lorsque la pandémie a commencé ; nous n’avions aucune idée de ce à quoi nous avions affaire. Cependant, après quelques mois, la réalité s’est imposée. La peur et la terreur délirantes que suscite le Covid ne sont plus qu’une paranoïa complaisante.

FAIT : Les infections et les décès dus au Covid ont commencé à s’effondrer bien avant que les vaccins ne soient répandus.

Les médias grand public suggèrent continuellement que les vaccins sont la raison de la chute des infections, mais c’est un mensonge. Les cas de covid ont atteint un pic en janvier 2021, puis ont chuté de façon vertigineuse. En février 2021, seuls 5,9 % de la population américaine avaient reçu au moins une dose du cocktail à ARNm. Dans les États conservateurs où les mandats ont été levés bien avant les États bleus et où les vaccinations sont moins nombreuses, les infections et les décès ont chuté encore plus rapidement. Les vaccins n’ont RIEN à voir avec la baisse des infections. Rien du tout.

FAIT : Au moins 81% des personnes qui ont eu le covid sont peu susceptibles d’être réinfectées.

[Note de Joseph. Du point de vue d’une démarche scientifique rigoureuse (voir Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial), il ne s’agit pas d’un fait, mais d’une statistique interprétée en provenance d’un fait. Le fait est que les personnes qui ont eu une maladie représentée par des symptômes particuliers ont peu tendance à retomber malades de la même maladie, sauf lorsque celle-ci est chronique (ce qui signifie alors qu’ils n’ont jamais trouvé le moyen d’en éliminer les causes). Ce fait peut s’interpréter tout à fait différemment et de manière bien plus logique que celle de l’hypothèse, jamais vraiment démontrée, d’une prétendue « immunité collective ». Tout simplement, le corps humain peut s’habituer ou s’adapter dans une certaine mesure et à la longue à certaines sources d’empoisonnement qui le rendent malade.]

Fauci continue d’ignorer la science de l’immunité de groupe et rejette complètement les personnes qui ont contracté le covid comme étant immunisées. Pourtant, c’est la réalité. Si nous comptons le grand nombre de personnes qui ont contracté le covid, alors les Etats-Unis ont atteint l’immunité collective il y a plusieurs mois. C’est pourquoi les infections et les décès ont chuté d’une falaise, pas à cause des vaccinations.

FAIT : Les vaccins à ARNm n’ont AUCUNE donnée de test à long terme les soutenant ou prouvant leur sécurité.

Les tests initiaux pour un vaccin expérimental moyen durent de 2 à 4 ans, puis plusieurs années d’observation et de tests supplémentaires sont nécessaires avant l’approbation. Globalement, les vaccins sont censés être testés et re-testés pendant 10 à 15 ans avant d’être mis à la disposition du public. Les vaccins à ARNm anti-covid ont été mis à la disposition du public en quelques mois, sans approbation officielle de la FDA et sans données à long terme, du moins aucune qui ait été révélée ouvertement. Le résultat final est que nous n’avons aucune idée des effets secondaires à long terme de ces vaccins. Cependant, certains experts tirent la sonnette d’alarme…

FAIT : De nombreux experts en vaccins mettent en garde contre les troubles auto-immuns et l’infertilité potentiellement dangereux causés par les vaccins expérimentaux à ARNm, y compris le médecin qui a inventé la technologie à ARNm.

Nous avons reçu de nombreux avertissements d’experts en virologie et en vaccins appelant à la prudence en ce qui concerne les vaccins anti-covid. L’ancien vice-président de Pfizer Michael Yeadon et plusieurs de ses associés médicaux ont publié un appel à l’arrêt des vaccinations jusqu’à ce que des tests supplémentaires puissent être effectués. Yeadon a spécifiquement mis en garde contre d’éventuels troubles auto-immuns et des effets secondaires sur l’infertilité. Il a depuis été attaqué sans relâche par les médias.

L’inventeur du vaccin à ARNm, le Dr Robert Malone, s’est exprimé sur les dangers de la thérapie génique à ARNm, soulignant spécifiquement que la protéine spike que le vaccin anti-covid indique à vos cellules de fabriquer pourrait présenter des risques pour la santé à long terme, notamment des caillots sanguins et l’infertilité chez les femmes. L’interview de Malone a depuis été effacée de YouTube et ses réalisations ont été discrètement retirées de sites web comme Wikipedia. Il est lentement dépersonnalisé.

Enfin, dans les hôpitaux du pays, 30 % des professionnels de santé ont refusé de se faire vacciner. Certains n’ont pris le vaccin que parce que leur emploi était menacé.

L’argument des médias sous contrôle contre des avertissements comme ceux-ci de la part d’experts en la matière est qu’ils sont « fous » et doivent être rejetés. Donc, seuls les professionnels de la santé qui reçoivent un salaire du gouvernement et qui sont d’accord avec les mandats du gouvernement sont en quelque sorte « sains d’esprit » ? Intéressant…

Lorsque l’éclairage gazeux ne fonctionne pas, les doreurs d’image (sans mauvais jeu de mots) sortent une logique floue classique, affirmant qu’il n’y a « aucune preuve que les vaccins causent des dommages ». C’est manifestement faux, car toute personne effectuant une recherche rudimentaire constatera que de nombreuses personnes dans le monde sont mortes ou ont souffert d’effets secondaires après avoir été vaccinées. Mais, bien sûr, les défenseurs des vaccins affirment que ce n’est pas une « preuve » à 100 % que les vaccins sont globalement dangereux.

Eh bien, il n’y a également AUCUNE PREUVE que les vaccins sont sans danger. Il n’y a pas de données de sécurité à long terme. Et dans la science médicale, la règle est de pécher par excès de prudence, de ne pas prendre de risques inconsidérés pour un virus qui ne représente aucune menace pour 99,7 % de la population.

Permettez-moi donc d’être parfaitement clair avec la secte du covid qui ne comprend pas la science médicale de base – La charge de la preuve VOUS incombe, ainsi qu’au gouvernement et aux sociétés pharmaceutiques, et non à nous. VOUS devez prouver que les vaccins sont sûrs, par des tests à long terme. Ce n’est pas à nous d’accepter le vaccin et de devenir les cobayes de la plus grande expérience médicale du monde, fondée sur une foi aveugle et des opinions vides étayées par aucune donnée.

Les « forces de frappe de la vaccination » de Biden

Ces faits, et bien d’autres encore, sont en train d’être digérés par le public américain et les résultats sont clairs : des millions et des millions d’entre nous ne prendront pas le vaccin. Cela ne se fera pas. Nous allons nous battre plutôt que de nous conformer, et nous finirons par gagner. Le programme mondialiste du Grand Reset exige une vaccination totale, des passeports vaccinaux et une conformité totale. Ils ne l’obtiennent pas, donc le résultat naturel sera une tentative de forcer les personnes non vaccinées à accepter le vaccin.

Récemment, Biden a annoncé un plan visant à déployer des « équipes d’enquête » dans toute l’Amérique, qui feraient du porte-à-porte, comme des agents de recensement, afin de déterminer qui a pris les vaccins et qui ne les a pas pris. Ces équipes « encourageraient » également les personnes qui ne sont pas vaccinées à se faire vacciner dans un endroit proche.

Ces enquêtes sont, à mon avis, plus une ruse qu’autre chose. Elles ne peuvent pas recueillir des chiffres exacts car elles n’ont aucun moyen de savoir si les gens disent la vérité ou non. Le but probable de ces enquêtes est de localiser les foyers qui refusent par principe de parler aux équipes et de les marquer comme « problématiques ».

L’attachée de presse de Biden a laissé échapper un langage intéressant sur ces équipes, révélant peut-être leur véritable intention lorsqu’elle les a appelées « forces de frappe ». Est-ce à dire que l’objectif initial sera de forcer les gens à prendre le direct sur le pas de leur porte ? Non, pas dans l’immédiat. Cependant, je pense que les équipes d’enquête sont la prochaine étape vers cette politique à l’avenir.

Pour l’instant, la secte du covid utilise les entreprises pour imposer des mandats médicaux en exigeant que les employés et même les clients se fassent vacciner avant de pouvoir accéder à un emploi ou à des services. C’est inacceptable, car bon nombre de ces entreprises ont bénéficié d’injections de relance sans fin de la part du gouvernement et sont donc redevables aux contribuables. Leurs droits de propriété privée ne s’étendent pas au contrôle de nos décisions ou de nos antécédents médicaux personnels.

Toute société ou entreprise qui exige une preuve de vaccination au nom du gouvernement ou des mondialistes devrait être mise au piquet et mise au pas. Toute entreprise concurrente qui refuse de demander des passeports vaccinaux devrait être soutenue par le public et protégée des représailles du gouvernement. Mon État natal, le Montana, a rendu illégal le fait que des entreprises demandent des passeports vaccinaux, mais de nombreux États ne l’ont pas fait. C’est aux Américains ordinaires, au niveau local, de faire savoir aux entreprises qu’ils ne toléreront pas la tyrannie médicale.

Par extension, les équipes de sondage de Biden sont à proscrire. Elles sont le précurseur des vaccinations forcées au porte-à-porte et de la pression invasive du gouvernement fédéral sur un certain nombre d’autres questions. Cela s’appelle « l’incrémentalisme », et ils pensent que nous sommes trop distraits pour le remarquer. Au fur et à mesure que l’ordre du jour continue de s’effondrer aux États-Unis, l’establishment va se désespérer. Lorsque les mandats de passeport vaccinal des entreprises échoueront (et ils échoueront), ils devront prendre des mesures violentes à court terme pour obtenir ce qu’ils veulent.

Ces équipes devraient être expulsées de toutes les communautés dans lesquelles elles se présentent. Elles ne devraient pas être autorisées à faire du porte-à-porte. Le mouvement pour la liberté gagne un terrain incroyable dans ce combat, mais cela signifie que les élites deviendront plus déséquilibrées et plus dangereuses dans leur rhétorique et leurs actions. Lorsque les obsédés du contrôle et les psychopathes n’obtiennent pas ce qu’ils veulent, ils ont tendance à piquer des crises de colère épiques.

Traduction de Alt Market par Aube Digitale




La Cour suprême d’Espagne juge que le confinement était anticonstitutionnel

[Source : Aube Digitale]

La plus haute juridiction espagnole a jugé que le verrouillage national COVID-19 du pays était inconstitutionnel à la suite d’un procès intenté par le parti populiste Vox.

« Tout en laissant intactes la plupart des dispositions de l’état d’urgence, le tribunal a déclaré que les articles clés ordonnant à la population de ne pas circuler dans les rues, à l’exception des déplacements courts pour faire des achats et des déplacements inévitables pour le travail et d’autres activités officielles, étaient inconstitutionnels », rapporte l’Associated Press.

« Selon TVE, le jugement a déclaré que les limitations de mouvement violaient les droits fondamentaux des citoyens et que, par conséquent, l’état d’urgence était insuffisant pour leur conférer une caution constitutionnelle. Les six magistrats ont déclaré qu’un état d’exception, qui permet au gouvernement de suspendre les droits fondamentaux, aurait été nécessaire. »

Pendant les six premières semaines du confinement, les mesures de confinement étaient si strictes que les Espagnols n’étaient même pas autorisés à sortir pour faire de l’exercice ou promener leur chien.

Dans un cas, la police a été appelée après qu’un voisin ait vu deux frères jouer au football dans leur propre jardin.

Comme nous l’avons déjà souligné, les lois espagnoles sur le confinement étaient si draconiennes qu’à un moment donné, les autorités ont brièvement déclaré aux citoyens que le port du masque était obligatoire pour se baigner dans la mer.

Pendant de nombreux mois, en période de canicule, le port du masque était obligatoire dans tous les lieux extérieurs, même sur les plages.

Des personnes se sont également vu infliger des amendes de 2 000 euros pour avoir « manqué de respect » à un agent de police pendant le confinement.

De nombreux cas de policiers frappant des personnes qui ne portaient pas de masque sont également apparus, tandis que des manifestants ont libéré une femme d’une arrestation policière alors que les policiers essayaient de la menotter pour ne pas porter de masque.

Au début de la première période de confinement, des hélicoptères de la police équipés de haut-parleurs ont également été utilisés pour ordonner de manière agressive aux baigneurs de rentrer chez eux.

Le gouvernement espagnol doit maintenant faire face à de multiples poursuites judiciaires, le confinement ayant été déclaré illégal.




Alain Nicolaï

.

Ancien vice-président de l’Institut de Préhistoire et d’Archéologie Alpes Méditerranée, auteur de plusieurs études publiées dans des revues scientifiques : Mémoires de l’IPAAM, dont deux articles sur la Vallée des Merveilles (Sud de la France), Le Mont Bégo, un sanctuaire grandeur nature, 1994 et Du Mont Bégo au mont Olympe, 1996, et en collaboration avec Lucy Vallauri (Ingénieur CNRS), des articles dans Archéologia, Atti dei Convegni Internazionali della Ceramica, Archéologie du Midi Médiéval.




Résistance face à la tyrannie vaccinale de Macron : il faut mettre une pression monumentale sur les députés

[Source : reinformation.tv]

Par Jeanne Smits

On ne le leur pardonnera pas. Si les parlementaires – et en particulier les élus à l’Assemblée nationale qui auront la haute main – adoptent le texte d’instauration de la tyrannie voulue par Emmanuel Macron, il faut qu’ils sachent qu’ils seront politiquement morts. Tout député qui votera la soumission des Français à un régime de facto de « vaccination » obligatoire pour pouvoir vivre normalement, travailler, recevoir un salaire, se déplacer, aller au café ou au restaurant visiter ses anciens, aller faire ses courses (dans une « grand » centre commercial, en attendant l’interdiction pure et simple de commercer), doit savoir que son acte proprement terroriste sera répertorié et retenu contre lui. Face à la tyrannie vaccinale, un seul mot d’ordre : aujourd’hui, il fait mettre une pression monumentale sur les députés et les sénateurs. C’est l’heure de la résistance.
 
Ils auront des comptes à rendre et demain, lorsque cette folie sera derrière nous, ce n’est pas un « pass sanitaire » qui leur permettra de poursuivre leur carrière politique, car de carrière politique, ils n’en auront plus.

Résistance à la tyrannie : un droit et encore plus, un devoir !

On ne se contentera pas de leur abstention, et encore moins de leur absence, si jamais ils n’ont pas envie de perturber leurs vacances par une session extraordinaire du Parlement, annoncée à compter du 21 juillet. Ils ont un rôle, pour lequel ils ont été élus. Sans doute le cynisme politicien pourra-t-il les pousser à se désintéresser de la cause ou, pire, les inciter à approuver les visées tyranniques d’Emmanuel Macron et de ceux qui l’entourent – et pire, de ceux qui le pilotent, comme on mène un bateau… et en bateau.
 
Mais ce qui leur est demandé, ce n’est même pas du courage. C’est la simple défense de leurs propres intérêts, de leur propre carrière. On ne leur demande même pas de résister à la vaccination obligatoire par amour de leurs compatriotes ou pour être fidèles à leur éventuel sens de l’honneur. S’ils choisissent de soumettre hommes, femmes et adolescents à cette gigantesque et maléfique expérience de suivi et de traçage de toute la population – car c’est aussi de cela qu’il s’agit – ils seront « morts ». Politiquement morts, socialement morts (et non, ces mots ne doivent pas nous faire peur, car c’est précisément ce qui est en cours de mise en place : la mort sociale de ceux qui ne se vaccineront pas).
 
Insistons là-dessus. Il n’y a pas – pas encore comme l’a laissé entendre Macron – d’obligation vaccinale générale. Mais il y a bien un « QR code pour tous », et, déjà, un système de crédit social tel qu’il existe, et nous répugne, en Chine, avec le pass sanitaire. Et les conditions du pass sanitaire sont telles qu’elles reviennent à une vaccination obligatoire pour tous, avec un QR code toujours, permettant de suivre à la trace et dans tous les actes de la vie chaque citoyen, dès 12 ans. 

Macron veut le vaccin obligatoire pour tous, Laurent Alexandre l’a compris

Laurent Alexandre l’a bien compris, ce médecin-urologue « penseur » de la quatrième révolution industrielle et du dépassement de l’homme par l’intelligence artificielle. Avec gourmandise, il a salué les annonces d’Emmanuel Macron, lundi :
 
« Franchement je ne pensais pas que @EmmanuelMacron rendrait de fait le vaccin obligatoire. Sans pass la vie est TOTALEMENT IMPOSSIBLE : on ne peut même plus prendre le train nous (sic) aller au café. Et il est inhumain de faire 15 PCR par mois ! »
 
Et un peu plus tard : « Je n’imaginais pas une seconde que la vaccination obligatoire serait AUSSI HARD ! C’est justifié mais très violent ! Les soignants ne seront plus payés à partir du 15 septembre. »
 
Tout aussi goulûment, il saluait ce jeudi la tournure que prend le projet de loi visant à rendre obligatoire le pass sanitaire (avec vaccination ou test COVID négatif de moins de 48 heures), avec sa pression inouïe sur les professionnels : » Un cafetier ou un restaurateur qui ne contrôlerait pas le pass sanitaire sera puni de 45.000 euros d’amende et un an de prison en cas de récidive. »
 
Quiconque votera une telle disposition prendra une responsabilité dont il devra être conscient.

Les députés doivent subir une pression monumentale comme ils n’en ont jamais vue

C’est maintenant, aujourd’hui, qu’il faut écrire et faire écrire à son député et lui envoyer des courriers électroniques, téléphoner à sa permanence, lui rappeler que son vote sera public, que nul ne l’oubliera et que nous nous chargerons de le rappeler. Peu importe sa couleur politique. Peu importe la nôtre. Extrême droite, extrême gauche et même extrême centre n’ont plus de sens face à ce qui se prépare. Nous ne sommes pas dans un combat partisan. Les options politiques sont sans objet, c’est une bataille de simple survie qui aujourd’hui, peut et donc doit se mener sur le front parlementaire. Chaque circonscription devra avoir son association locale pour suivre « son » député, le pister plus sûrement, plus justement et plus intelligemment qu’une surveillance numérique ; pour le faire battre s’il a voté pour le QR code et la tyrannie vaccinale ou s’est abstenu, et pour le faire réélire s’il s’y est opposé – quelle que soit sa couleur politique.
 
Car si les élus des Français doivent aujourd’hui être mis devant leur responsabilité historique, la responsabilité de le faire, avec ténacité et sans peur, est celle de chacun. Nous sommes nombreux. Nous sommes des millions. Il suffit de descendre dans la rue et d’écouter les conversations de trottoir et de café pour le constater : ils sont nombreux, les Français qui ne veulent pas céder à l’odieux chantage.
 
Il faut le redire : nous vivons des heures totalement inédites. La France a connu des guerres, des autocrates, des occupations, des persécutions religieuses, la Terreur. Mais jamais aucun gouvernement n’a prétendu, n’a osé soumettre les plus élémentaires libertés d’aller et de venir, de vendre et d’acheter, de soigner et de nourrir, d’assister au concert ou au théâtre, à l’injection dans le corps d’une substance expérimentale aux effets inconnus à long terme, et aux effets secondaires graves dont le nombre se révèle déjà exceptionnel. Personne n’a jamais osé (ni pu, mais des capacités techniques sans précédent) est aujourd’hui entre les mains du pouvoir « marquer » chacun. Apocalyptique ?

Marquer chaque Français : Emmanuel Macron instaure le crédit social à la chinoise

La liste des mensonges et des contradictions qui accompagnent cette mise en place d’une tyrannie effroyable dans son totalitarisme signe le crime. Macron avait déclaré d’emblée que nous étions « en guerre » contre un ennemi invisible. 18 mois plus tard, on s’aperçoit que l’espérance de vie pour 2020 est exactement la même… qu’en 2015. Ce sont toujours les personnes très âgées et très fragiles qui meurent « du COVID » – vaccinées ou non d’ailleurs – comme de n’importe quelle grippe ou pneumopathie.
 
Macron brandit l’épouvantail du variant « Delta », ou indien du SARS-CoV-2, qui mériterait un article à lui tout seul. Il est sans doute plus contagieux que les autres, mais certainement moins meurtrier. On prétend « vacciner » pour « protéger » les populations, mais il est quasiment interdit de soigner les malades au moyen de remèdes dont l’efficacité se constate dans des pays moins avancés que le nôtre, et qui par bonheur pour eux, « manquent » de vaccins. En France, le nombre d’hospitalisations comme le taux d’occupation des réanimations et soins intensifs ne cessent de décroître, et l’on comptait en ce 14 juillet 2021 exactement six (6) décès officiellement attribués au COVID.
 
La majorité des Français n’a plus peur : il suffit de voir comment ils se promènent, s’embrassent, retrouvent sans masques un peu de la douceur de vivre de ce beau pays, et la vie sociale, et l’amitié, si tant est qu’ils les aient abandonnées. Macron les dresse maintenant les uns contre les autres au nom de nouvelles peurs créées de toutes pièces.
 
Ne laissons pas le Parlement entériner cela !

Jeanne Smits




Emmanuel Macron sans masque ou Le Président qui fait tirer sur son peuple

Par Alain Nicolaï

Macron par Macron, son vrais visage, dans le  Wall Street Journal, le journal des « élites financières » qui n’est pas lu par les manants.

Pour Macron être banquier c’est être… une « prostituée »

1 MILLION €
Emmanuel Macron touchait jusqu’à un million d’euros par an
lorsqu’il était banquier chez Rothschild

Article de Paolo Garoscio du 10/03/2015 publié dans Economie Matin au sujet d’une interview de Macron dans le Wall Street Journal.
http://www.economiematin.fr/news-macron-banquier-pute-metier-ministre-interview

Comment a-t-il osé ? le ministre de l’Économie, qui a été également un banquier au salaire de millionnaire chez Rothschild a-t-il vraiment dit, que les banquiers sont des putes ? Non, en fait il n’a pas dit ça. Comme il donnait une interview au Wall Street Journal il ne pouvait certainement pas utiliser des mots insultants. Il a donc préféré le terme « prostituée »… Oui, c’est pareil.

Emmanuel Macron : le banquier qui attaque… le métier de banquier ?

Ce n’est qu’une anecdote que celle relatée par le Wall Street Journal : au cours d’une interview donnée lors de son séjour à Las Vegas le ministre de l’Économie français s’est un peu lâché. Un peu beaucoup même.

Pas étonnant alors qu’aux États-Unis le politiquement correct est loin de faire partie du quotidien des personnalités publiques… mais la comparaison qu’il a faite ne devrait guère être appréciée par les banquiers de France qui ne sont autres que ses anciens collègues.

 » D’une certaine manière, [quand on est banquier] on est comme une prostituée. Le boulot, c’est de séduire » a déclaré Emmanuel Macron. On est déçus, on aurait aimé un peu plus de détails. Après le « séduire » il y a quoi ?

Sans compter qu’Emmanuel Macron ne considère sans doute pas que les banquiers sont comme une « prostituée » de rue, pas chère, issue des réseaux clandestins d’Europe de l’Est ou de Chine. Rappelez-vous : il aurait gagné plus de 2,5 millions d’euros entre 2008 et 2012.


Il faut croire qu’Emmanuel Macron a pris de bien mauvaises habitudes avant son mandat quand il a travaillé dans le privé, notamment à la Banque Rothschild, un des fiefs de la finance internationale, puisqu’on a pu le constater, notamment depuis le début de la crise sanitaire, il ne respecte pas les lois, et sa grande spécialité est la manipulation des gens et des masses. Il a foulé aux pieds maintes fois les lois républicaines sans sourciller et maintenant, avec son discours du 12 juillet 2021, la Convention internationale d’Oviedo (([1] https://rm.coe.int/090000168007cf99)). Depuis le premier trimestre 2020, il a profité, pour le moins, de l’apathie des membres du Parlement et du Sénat. Il a bénéficié de la complicité de la quasi-totalité de nos institutions et des médias, dont on peut se demander si tous ces gens sont anesthésiés ou corrompus. Les parlementaires et les sénateurs se sont particulièrement distingués en se discréditant, démontrant aux yeux des personnes conscientes l’absence d’entendement de l’écrasante majorité du personnel politique que nous entretenons à nos frais. Très rares en effet sont ceux qui ont compris les colossaux enjeux politiques et surtout sociétaux de cette crise. Car il ne faut pas se voiler la face, le véritable but des manœuvres sournoises de Macron et de l’Union Européenne n’est pas de soigner la population, mais d’établir, à l’aide d’une menace invisible, réelle, mais amplifiée par des ignorants ou des complices, le règne centralisé d’une élite autoproclamée que certains nomment Nouvel Ordre Mondial, et qui exercera son pouvoir sur l’ensemble de la planète sous prétexte de mieux gérer les crises qui d’après eux vont se répéter.

Nous sommes en face d’une révolution planétaire qui se passe sous nos yeux et qui remet en cause totalement, et totalitairement, les principes républicains ; notamment la souveraineté du Peuple sur ce que l’on dénomme l’État ou la Nation. Leur but est de les dissoudre dans une entité supranationale mondiale où ils seront les seuls aux commandes, et dont nous ne serons plus que les manants soumis à leur bon vouloir, bref, ils nous proposent de ne plus qu’être que des pions, des numéros… Tel est l’avenir qu’ils proposent à vos enfants.


Par son discours du 12 juillet 2021, Emanuel Macron  vient de rendre obligatoire la vaccination anti-covid pour les soignants qui doivent tous se faire vacciner avant le 15 septembre 2021.

Un des problèmes est que ces soi-disant vaccin anti-covid ne sont pas des vaccins comme le démontrent les Drs Nicole et Gérard Delépine :
https://nouveau-monde.ca/linjection-genique-anti-covid-nest-pas-un-vaccin/
et de plus ces injections sont dangereuses :
https://nouveau-monde.ca/effets-secondaires-et-deces-lies-aux-injections-experimentales-anticovid/

Une multitude de professionnels de la santé ont déjà alerté sur le caractère frauduleux et dangereux de ces injections et comble du foutage de gueule  le directeur de l’ARS de Nouvelle-Aquitaine, un proche d’Olivier Véran, a osé faire ces aveux sur BFMTV, informations reprises et commentées sur CNEWS :

Pascal Praud : « Ils veulent nous imposer une dictature sanitaire » – Jacques Séguéla : « C’est satanique, c’est un discours satanique » (lemediaen442.fr)

Face aux propos ahurissants du directeur de l’ARS Benoît Elleboode sur BFMTV,  assurant que tous les non-vaccinés seront contaminés par le variant Delta, Pascal Praud s’emporte. Il s’exclame : « J’ai envie de lui dire : à quoi servent les gestes barrières et le masque, si personne n’y échappera… Il faut immédiatement retirer le masque. » L’animateur de CNews a continué sur sa lancée en ciblant Olivier Véran, l’accusant de vouloir imposer une dictature sanitaire. Ce à quoi Jacques Séguéla lance : « C’est satanique, c’est un discours satanique ! »

Pascal Praud : « Ils sont de retour, ils sont là, ils veulent nous imposer — le ministère de la Santé — une dictature sanitaire. Tant que vous ne comprenez pas ça, vous ne comprenez rien. »

Il est bien évident que si la plupart des Français ne sont pas au courant de tous ces problèmes, tellement ils sont soumis à un bourrage de crâne permanent sur les « avantages » de la « vaccination », les soignants par contre sont plus informés, et savent par leurs études, qu’un vaccin ne s’élabore pas en quelques mois, mais en plusieurs années. En toute conscience, ils comprennent qu’avec ces injections pseudo vaccinales, ils risquent leur santé et même leur peau : ils ne veulent pas être de la chair à canon.

Conclusion

En République, le peuple souverain transmet son pouvoir à son Président pour le guider et le protéger.

Pour Macron ce n’est pas le cas.

En 2017, il déclarait que s’il était élu il ne serait pas un président « normal ». Ci-dessous, début de l’article de Jefferson Desport, publié par le journal Sud Ouest le 10/03/2017.

Face aux lecteurs de Sud Ouest, Emmanuel Macron a expliqué quel président de la République il sera s’il gagne l’élection.

S’il est élu en mai prochain à l’Élysée, quel président sera Emmanuel Macron ? C’est l’une des questions qui a été posée ce vendredi par une des lectrices de Sud Ouest invitée à rencontrer le leader d’En Marche ! au siège du journal à Bordeaux, en compagnie de sept autres lecteurs. Sur ce point l’ex-ministre de l’Économie a été clair : il ne sera pas un président normal.

« Les Françaises et les Français ne cherchent pas la normalité. D’abord, parce que ce n’est pas une fonction normale. Ensuite, parce que la normalité se déconstruit toujours. Je ne sais pas ce que c’est la normalité. C’est, à un moment, ce qui est dominant dans les représentations sociales. »

Et d’ajouter :

« La normalité se définit par le regard de l’autre. Un président de la République n’est pas défini par le regard de ses concitoyens. C’est lui qui explique et éclaire l’avenir par son regard. C’est une vraie différence ».

Les propos de Macron, que ce soit dans le Wall Street Journal où dans Sud Ouest, mettent bien en perspectives les actes de Macron Président, il n’a aucun respect pour le peuple, il se fout complètement de ce que pensent les citoyens, il exerce le pouvoir comme un despote qui n’a de compte à rendre qu’à ses maîtres financiers.

C’est incontestablement un individu machiavélique qui abuse de la confiance des citoyens pour les trahir. Il ne faut pas qu’il s’étonne quand il en payera le prix.


Bonus :

1– Voici un communiqué récent  du Collectif des Syndicats et  Associations Professionnels Européens :
Covid : plainte déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité

2– Piège pour ceux qui ont des prêts en cours, et autres informations :

3– Pour ceux qui n’ont pas encore compris :
« Nous sommes en guerre » ou L’inversion de toutes les valeurs

4– La résistance se renforce jours après jour :






France : Plainte contre Emmanuel Lechypre et avertissement aux grands médias. Mise à jour

[Source : Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations (infovaccin.fr)]

[Mise à jour : fichier de la plainte officielle.]

Communiqué de presse 12 juillet 2021

La Ligue nationale pour la Liberté des Vaccinations (LNPLV) porte plainte auprès du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), contre Emmanuel LECHYPRE, journaliste, éditorialiste économique français officiant sur BFM TV, BFM Business, RMC et RMC Story.

Ce journaliste a tenu sur RMC Story des propos menaçants susceptibles de poursuites pénales :

« On vous vaccinera de force, moi je vous ferai emmener par deux policiers au centre de vaccination. Faut aller les chercher avec les dents et avec les menottes s’il le faut […] Les non-vaccinés, ce sont des dangers publics, j’ai une démarche très claire : je fais tout pour en faire des parias de la société ! »

Ce journaliste porte atteinte à la dignité de la personne humaine à la liberté d’autrui, à l’ordre public en incitant publiquement à la haine, à la violence et à la discrimination d’un nouveau genre à l’égard des Français refusant de se voir injecter un médicament expérimental.

De tels propos doivent être sanctionnés rapidement. Ils sont le reflet d’un mode de pensée totalitaire et d’une régression de l’expression démocratique sans précédent depuis la Libération.

Nous rappelons le premier alinéa du préambule de la Constitution de 1946 :

« Au lendemain de la victoire remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté d’asservir et de dégrader la personne humaine, le peuple français proclame à nouveau que tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliénables et sacrés. »

Ainsi, nul ne peut être discriminé, maltraité ou exclu en fonction d’un quelconque statut sanitaire qui doit par ailleurs rester protégé par le secret médical.

Nous demandons à M. Lechypre et à tous les journalistes des grands médias :

1. de respecter le Code de déontologie des Journalistes (Charte de Munich) : « Ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste ; n’accepter aucune consigne, directe ou indirecte, des annonceurs » (point 9).

2. de mener des investigations indispensables pour délivrer des informations objectives et claires. Nous avons besoin de débats véritablement contradictoires et non d’une diversité d’intervenants peu qualifiés qui ne font que masquer une consanguinité de la pensée, mortifère pour la santé des Français et la démocratie. Les Français sont las du matraquage et des discours culpabilisants. Beaucoup ont coupé le poste pour préserver leur santé mentale. Nous invitons les journalistes à sortir de la communication institutionnelle, du sensationnalisme et de l’alarmisme pour chercher à connaître la vérité des faits et informer de manière objective.

La Ligue nationale pour la Liberté des Vaccinations www.infovaccin.fr/
Contact : lnplv.adm@orange.fr

[Mise à jour :]

Plainte officielle :




La chute du Dr Peter Daszak, évincé de l’enquête sur la pandémie diligentée par l’ONU

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Peter Daszak
EcoHealthAlliance]

Auteur(s): FranceSoir

Depuis le début de la pandémie de Sars-CoV2, le revue médicale The Lancet, jadis réputée comme sérieuse, s’illustre dans des publications très douteuses. 

En mai 2020, le monde entier découvrait avec stupéfaction l’étude sur l’hydroxychloroquine. Et suite à l’énorme scandale de cette affaire désormais appelée « Lancet Gate » et aux critiques des scientifiques du monde entier, la revue avait été forcée de retirer son étude qualifiée de frauduleuse.

Cependant, quelques mois plus tôt, en février 2020, la revue médicale britannique s’était déjà tristement illustrée en publiant une lettre cosignée par 27 scientifiques réunis par le médecin britannique Peter Daszak dans laquelle la théorie de la fuite du laboratoire de Wuhan était réfutée.

Dans la lettre, on pouvait lire ces mots :

« Nous sommes solidaires pour condamner fermement les théories du complot suggérant que le Covid-19 n’a pas d’origine naturelle » ou encore « les théories du complot ne font que créer de la peur, des rumeurs et des préjugés qui mettent en péril notre collaboration mondiale dans la lutte contre ce virus ». Quiconque doutait de la version officielle était traité de complotiste, nouvelle insulte à la mode qui a permis pendant des mois de ne pas ouvrir officiellement le débat, disqualifiant au passage les plus grands scientifiques comme le Professeur Luc Montagner, qui avait osé affirmer le contraire en analysant le génome du virus qui ne pouvait pas selon lui être d’origine naturelle.

Mais les faits sont têtus, et 18 mois après que le virus a été détecté à Wuhan et depuis la publication des emails d’Antony Fauci, la thèse de l’origine du laboratoire désormais dominante n’est plus considérée comme une théorie conspirationniste.

En revenant sur le profil du Dr Daszak, on apprend qu’il est le président de l’EcoHealth Alliance, une organisation basée aux Etats-Unis et financée par l’Institut Antony Fauci. On découvre également qu’il entretient des relations étroites avec le chef du laboratoire de Virologie de Wuhan (WIV), le Dr Shi Zhengli dont il a financé des recherches sur le gain de fonction des coronavirus venant des chauves-souris.

Depuis quelques jours, le docteur Daszak qui faisait partie des 28 experts du monde entier pour analyser les origines du virus est accusé de conflits d’intérêts avec l’Institut de virologie de Wuhan. Devant les soupçons qui pèsent sur lui, il a été évincé de l’enquête du journal The Lancet, soutenue par l’ONU, enquêtant sur les origines du virus.

Quand le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend l’escalier mais finit toujours par triompher.

Auteur(s): FranceSoir




Pourquoi un tel silence sur la Plitidepsine ?

[Source : UPR TV via Les 7 du quebec]




L’avocat Me Etienne Boittin a plus de 20 dossiers de décès après la vaccination anti-Covid

[Source : lemediaen442.fr]

La question que nous nous posons à la rédaction, c’est : comment un avocat, Me Etienne Boittin, peut-il avoir plus de vingt dossiers sur les bras à lui tout seul, concernant le décès d’hommes et de femmes après la vaccination anti-Covid, sans que les journalistes de plateau n’en fassent guère mention ?

C’est une situation surréaliste à laquelle nous assistons. Var-Matin nous apprend, en déambulant sur les réseaux-sociaux par le plus grand des hasards, que l’avocat Etienne Boittin est saisi d’une vingtaine de dossiers dans toute la France, dont quatre dans la région Sud, pour des décès qui ont suivi de quelques jours , ou quelques semaines, une vaccination anti-covid.

« Trois hommes sont morts, de 54, 56 et 70 ans, après une vaccination anti-Covid. Un quatrième à Aix. Les familles veulent comprendre ce qui s’est passé. L’avocat a plus vingt dossiers sur les bras concernant [notamment] deux autres hommes, de 24, 39 ans, et une femme de 38 ans. »

Que veut dire ce silence assourdissant des médias mainstream ? Les décès par le vaccin doivent absolument être cachés ? Une chose est certaine, le jeune âge des victimes devrait nous interpeller.




Dr Geert Vanden Bossche : « La vaccination va rendre le virus si infectieux que nous ne pourrons plus le contrôler »

[Source : Guy Fawkes News (fawkes-news.com)]

.
[Ndlr : dans le cadre de la version courante ou qui semble la plus consensuelle de la théorie virale, un virus est cependant d’autant moins virulent et mortel qu’il est plus infectieux.
En d’autres termes et schématiquement :
Infectieux = Se propage facilement = Peu dangereux.]

« Chaque personne qui se vaccine est en train de détruire son système immunitaire inné ».

Dr Geert Vanden Bossche






Complot, conspiration, plan : dix faits troublants

[Source : ripostelaique.com]

Complot, conspiration, plan ?

[Preuves que la pandémie a été planifiée ?]

1) Bill Gates, aujourd’hui le principal acteur de l’OMS, préconisait déjà en 2010 la venue de « nouveaux vaccins » pour freiner la croissance démographique mondiale dans le cadre de la lutte contre les émissions de CO2. 
https://www.ted.com/talks/bill_gates_innovating_to_zero?language=fr#t-1374074

[►Qui finance l’OMS ? (siksik.org)
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé]

En 2015, l’organisation GAVI, subventionnée par Bill Gates, entre autres, et qui oriente la politique vaccinale mondiale, préconisait la vaccination pour atteindre 14 des 17 objectifs de développement durable (vaccins à gogo !).
https://www.gavi.org/fr/sante-mondiale-et-developpement/objectifs-de-developpement-durable

2) En octobre 2019 démarrent les jeux militaires de Wuhan pendant lesquels des athlètes connaîtront des problèmes respiratoires. En même temps, à New York, des dirigeants oligarques mondialistes simulent une pandémie dans le cadre d’un exercice baptisé « Event 201 ».

https://www.francetvinfo.fr/sports/des-sportifs-francais-contamines-par-le-covid-19-des-octobre-aux-jeux-militaires-de-wuhan_4515647.html

3) En novembre 2019 (avant la déclaration officielle de l’épidémie), PfizerBioNtech commande 2 lots de 800 millions de flacons à vaccins en verre spécial, jamais utilisés auparavant.

4) En janvier 2020, l’hydroxychloroquine est classée substance dangereuse par la ministre de la Santé, donc interdite de prescription, de même que (par la suite) tout médicament efficace pour soigner l’affection Covid (encore aujourd’hui), ce qui justifie une autorisation de mise sur le marché conditionnelle des injections géniques actuelles (seule solution envisagée depuis le début) sans recul de leurs effets à moyen et long terme.

[Covid-19 – Un virus monstrueux ou un alibi idéal pour tromper l’humanité ?]

5) Dès février/mars 2020, déclenchement et entretien de la peur dans la population : annonces morbides quotidiennes exagérées (on le sait maintenant, il n’y a pas eu de surmortalité en 2020), confinement général (d’abord en intérieur puis en extérieur), couvre-feu à horaires élastiques (deux mesures inutiles). Et tout au long de l’année 2020 et 2021, entretien volontaire de la confusion et de l’incertitude (masques d’abord inutiles puis obligatoires même pour les enfants dès 9 ans, sous peine de 135 € d’amende, annonces prédictives des vagues à venir, assimilation des personnes saines à des malades potentiels), annonce présidentielle d’une vaccination non obligatoire pour en arriver aujourd’hui à la volonté d’injecter toute la population dans une ambiance télévisuelle hystérique…

[►“Surmortalité Covid” en 2020 ? C’est la démographie, idiot !
Quatre gros mensonges sur l’épidémie et le confinement
Les mesures prises contre la propagation de l’épidémie ont-elles vraiment sauvé des vies ?
Covid : du mythe aux statistiques, les vérités cachées !
Le confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit : aberration humaine, sanitaire, économique
LES CONFINEMENTS SONT CATASTROPHIQUES PARTOUT DANS LE MONDE
Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Le Forum économique mondial publie un guide sur la façon de contraindre et de manipuler le public pour imposer le vaccin Covid-19
COVID-19 : LE GRAND CAUCHEMAR
Covid-Arnaque : il n’y a pas de pandémie — une vision britannique de l’imposture
Les esclaves ne sont pas libérés plus vite parce qu’ils obéissent mieux
Après les tests PCR, le principe du confinement condamné par la justice
Gestion des épidémies – Étude sur l’exploitation médiatique, commerciale ou politique de la peur, et sur l’avènement d’un totalitarisme “sanitaire”
COVID19: Débunkage du narratif officiel
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Mortalité toutes causes confondues pendant la COVID-19 : Pas de fléau et une signature probable d’homicide de masse par la réponse du gouvernement
Effets nocifs des masques
Réponse à l’OMS sur le conseil d’utilisation des masques contre la Covid-19
“STOP ! Manipulations, masques, mensonges, peur…” un collectif international de professionnels de santé dénonce des “mesures folles et disproportionnées”
Comment leurs masques rendent bêtes et méchants
Coronavirus : et si les masques faisaient plus de mal que de bien ?
COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires]

6) Les médecins sont, depuis le début de la crise, empêchés de soigner par les autorités de santé (chose impensable) et sont contraints de conseiller à leurs patients de rester au domicile et de prendre du Doliprane jusqu’à l’apparition de l’insuffisance respiratoire les conduisant directement à l’intubation et au décès.

[►« Laissons les médecins prescrire » : la résistance des médecins libéraux s’organise
Vaccins et traitements : les masques tombent et vont tomber]

Des médicaments inefficaces voire dangereux comme le remdévisir (excessivement cher) seront autorisés et préconisés par nos instances de santé.

[Voir : « Le remdesivir ne soigne pas le Covid-19. Pire… » : Didier Raoult met l’OMS face à ses responsabilités]

Attaques médiatiques violentes de toute personne contestant la version officielle concernant les protocoles de soins, la réelle mortalité de la maladie (professeurs Raoult, Perronne, Toubiana…) ou l’origine du « virus » (professeur Montagnier), que ces professeurs soient de renommée mondiale ou prix Nobel !

[►La thèse d’un virus manipulé échappé d’un laboratoire chinois : le pavé dans la mare du Pr Luc Montagnier
Message du Professeur Perronne sur les vaccins contre la Covid-19 !]

7) Dans les Ehpad, le Rivotril sera légalisé et utilisé sans compter avec la bénédiction du ministre de la Santé.

[Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus vite possible]

8) De manière concomitante l’hyperclasse mondiale de Davos nous annonce un nouveau modèle économique après « le Great Reset ». Nouveau modèle ou effondrement inéluctable d’un capitalisme financier à bout de souffle entraînant une paupérisation croissante des populations ??

[►Crise financière de 2008, covid-19, “great reset” et contrôle des populations : la grande manipulation
Les valeurs familiales de Schwab
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
STRATÉGIE FINANCIÈRE ET GREAT RESET
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme]

9) Alors que 72 % de la population était opposée à la mise en place du passeport vaccinal lors de la consultation du CESE, il nous est imposé via une instance supranationale non élue.

Ce passeport fait partie des projets de l’UE depuis 2018, bien avant la pseudo-pandémie !
https://participez.lecese.fr/pages/resultats-de-la-consultation-sur-le-passeport-vaccinal

10) Pour lancer la campagne « vaccinale », les dirigeants ont d’abord utilisé l’incitation puis l’injonction. Aujourd’hui, leur véritable objectif se précise puisqu’il est question d’imposer à toute la population l’obligation d’une expérimentation médicale aux effets inconnus voire dangereux. En effet, en Europe, on dénombre plus de 15 000 décès et plus de 1 500 000 effets secondaires dont la moitié sont graves ! Il est important de savoir que seuls 5 à 10 % des effets secondaires ou décès sont comptabilisés dans les centres de pharmaco-vigilance ! Rappelons aussi que les firmes pharmaceutiques sont exonérées de toute responsabilité en cas de problèmes suite à l’injection de leurs produits délétères !

[Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulés]

Il est clair que nos dirigeants actuels organisent la fin de la souveraineté de notre pays pour le soumettre à l’oligarchie mondialiste qui progressivement s’est emparée du pouvoir financier, économique, législatif et aujourd’hui… sanitaire.

Si cette marche forcée vers un nouvel ordre mondial ne relève pas d’un complot, d’une conspiration, il paraît évident qu’elle se déroule selon un plan satanique élaboré de longue date pour entraîner la destruction des nations au vu des réactions quasi similaires dans les pays occidentaux lors de cette crise organisée.

Quel futur pour nos enfants ? Une identité numérique injectable pour un contrôle permanent ? La pérennisation d’un nouveau marché « vaccinal » scandaleusement lucratif pour les placements en Bourse de quelques milliardaires ? Des êtres humains continuellement pharmaco-dépendants d’injections mortifères annuelles voire bi-annuelles et/ou de médicaments chimiques entraînant la destruction de l’immunité naturelle ? Un chantage permanent à la vaccination pour bénéficier de l’accès à une vie normale et/ou à une future éventuelle monnaie numérique ? La domination tyrannique d’une hyperclasse mondiale avide de pouvoir et détentrice insolente de plus en plus de richesses ? Une dépopulation progressive de la classe nombreuse des « inutiles » au profit des « dieux » ?

Seule une large coalition de personnalités politiques animées d’un souverainisme national puissant s’opposant à la caste oligarchique, prônant aussi et surtout l’inviolabilité de l’intégrité corporelle des êtres humains (menace qui se fait jour aujourd’hui), pourra éviter la disparition de notre nation (en cours aujourd’hui) dans l’abîme d’un mondialisme à forte tendance génocidaire.

Philippe Rossi




Kennedy s’en prend à Anthony Fauci, le tsar de la mafia médicale qui contrôle la réponse à la pandémie

[Source : childrenshealthdefense.eu]

Si Robert F. Kennedy, Jr. a décidé de consacrer un livre à Anthony Fauci, ‘expert Covid’ n°1 aux Etats-Unis, c’est parce que ce médecin est aujourd’hui l’homme plus influent sur des politiques de santé au service d’une prise de contrôle géopolitique de la planète. Directeur du NIAID l’institut de recherche sur les maladies infectieuses et membre conseil ou administrateur de nombreux autres instituts, Fauci a conseillé 6 présidents, gérant des budgets colossaux de plusieurs dizaines et même centaines de milliards de dollars. Partenaire de longue date de Bill Gates, le tsar de la mafia médicale est aujourd’hui accusé par le médecin et sénateur Rand Paul d’avoir soutenu et subventionné les recherches de ‘gain de fonction’ aux États-Unis, avant que celles-ci ne soient interdites. Son institut a pourtant continué à financer ces recherches à l’étranger, notamment sur les coronavirus au laboratoire de Wuhan – et ce jusqu’en avril 2020, via un organisme intermédiaire EcoHealth Alliance.

Depuis quelques semaines, suite à une demande officielle de mise à disposition publique de sa correspondance depuis le début de la pandémie,  certains échanges ont révélé l’obstination de Fauci à ignorer les pistes de traitements (l’hydroxychloroquine par exemple), à vanter les mérites du Remdesivir ou à ignorer les interpellations de scientifiques confirmant la piste d’un virus manipulé en laboratoire.

Kennedy explique dans cette interview comment Fauci a pris le contrôle de la santé publique aux Etats-Unis et ailleurs, en partant de sa tentative d’appropriation de la découverte du sida avec son comparse Robert Gallo, pour faire de la santé publique ‘une machine à fric’ au service de l’industrie du médicament. Pour Kennedy, Fauci est un criminel, responsable de la mort de milliers de personnes et sa place est derrière les barreaux.

Nous sommes aujourd’hui à un moment critique de notre histoire. Fauci et Gates ne sont pas les seuls acteurs à remettre en cause.  C’est tout un réseau d’influence qu’il faut aujourd’hui démanteler et juger, au sein des commissions nationales en Europe et ailleurs, et des agences de santé et organisations internationales dirigées par l’industrie et la finance.

Une interview à regarder, un livre à commander (en anglais pour l’instant) et surtout… un dossier à compléter et une affaire à suivre. Merci de partager!



Transcription :

Senta Depuydt : [00:00:00] Bonjour à tous, je suis Senta Depuydt et je représente Children’s Health Defense en Europe. Aujourd’hui, j’ai l’honneur et le privilège d’interviewer notre président, Robert F. Kennedy Jr. sur son nouveau livre, The Real Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma on the Global War on Democracy and Public Health. M. Kennedy, je regardais aujourd’hui votre livre sur Amazon, et je vois qu’il est parti pour être un best-seller. Alors qu’est-ce qui se passe ? Est-il déjà en rupture de stock ? Dites-nous.

Robert F. Kennedy, Jr. : [00:00:40] Eh bien, vous savez, j’ai commencé à écrire le livre au début de l’été dernier. Et j’essayais vraiment d’informer les Américains, parce que c’est très pénible pour moi. Tony Fauci est cette figure très polarisée. Il a été l’incarnation de la polarisation, le genre de tribalisme qui se passe aux États-Unis. Où tous les républicains ont… beaucoup d’entre eux se sont engagés dans le tribalisme en suivant le président Trump et les démocrates en suivant Anthony Fauci. Et ce qui est affligeant pour quelqu’un comme moi, c’est que le parti démocrate et le libéralisme dans lequel j’ai grandi… beaucoup de libéraux traditionnels ont abandonné leurs valeurs traditionnelles. Les valeurs avec lesquelles nous avons tous grandi, les valeurs libérales de la pensée critique, des droits constitutionnels, de la liberté d’expression, de l’application régulière de la loi par les procès avec jury, de la justice, de la tolérance, de la patience et de toutes ces choses, ainsi que de la curiosité intellectuelle et de l’intégrité intellectuelle. Toutes ces choses ont maintenant été abandonnées. Il n’y a plus de pensée critique. Nous sommes de nouveau immergés dans une sorte de tribalisme où si Tony Fauci dit quelque chose, cela doit être vrai. Si Donald Trump dit quelque chose, c’est forcément faux et vice versa. Et personne ne fait vraiment preuve d’esprit critique. Et aux États-Unis, vous savez, j’ai vu le parti libéral, qui a toujours été le champion des droits constitutionnels, s’éloigner de tous nos droits constitutionnels. Ils sont devenus les défenseurs de la censure. Et, vous savez, le premier amendement était sacré pour les libéraux et les démocrates. Quand j’ai grandi, nous nous sommes battus pour que les nazis qui défilaient à Skokie, dans l’Illinois, aient le droit de parler, même si c’était abominable, c’était répugnant, c’était repoussant. Mais tout le monde a le droit de s’exprimer et nous devons avoir confiance dans le processus d’échange d’idées et dans le fait que les politiques et les principes doivent s’épanouir au sein d’une culture du débat et sont les fruits de débats.

[00:03:30] Et ce qui se passe maintenant, c’est que cela devient une entreprise religieuse, et les gens qui soulèvent des questions sur l’orthodoxie sont des hérétiques. Ils doivent être détruits. Ils doivent être réduits au silence. Leurs paroles sont dangereuses. Et parce que nous nous sommes maintenant débarrassés du premier amendement, de la liberté d’expression aux États-Unis, où, vous savez, quiconque qui parle des mêmes choses que moi est censuré. Une fois que vous vous débarrassez de la liberté d’expression, tous les autres droits constitutionnels sont sur la sellette. Les libertés religieuses font partie de la déclaration des droits et des libertés; or nous avons reçu l’ordre du gouvernement de fermer les églises pendant un an, même si les magasins d’alcool étaient ouverts en tant qu’entreprises essentielles. Les magasins d’alcool ne sont pas cités dans la Constitution. En revanche, la liberté de religion est citée dans la Constitution, tout comme les exemptions religieuses et de vaccination qui ont été abolies. Le droit à un procès avec jury a disparu aux États-Unis. Toute entreprise qui peut dire qu’elle est engagée dans des contre-mesures, peu importe son imprudence, sa négligence, qu’elle crée un médicament, un vaccin, des masques ou peu importe la contre-mesure, vous ne pouvez pas la poursuivre, peu importe la gravité de votre blessure, peu importe la négligence de son comportement. Le droit à la propriété a été aboli. Vous savez, nous avons des fonctionnaires du gouvernement, des fonctionnaires médicaux. Et Bill Gates va fermer toutes les entreprises d’Amérique pendant un an, mettre 60 000 entreprises en faillite, dont 70 % d’entreprises appartenant à des Noirs qui ne rouvriront jamais.

SD : [00:05:28] Nous avons les mêmes catastrophes en Europe. Je suis désolée de vous interrompre. Beaucoup d’Européens ne savent pas qui est Anthony Fauci.

RFK, Jr. : [00:05:38] Anthony Fauci, c’est la personne la plus puissante en matière de santé publique dans le monde aujourd’hui. Et il a été à la tête de l’Institut national des maladies allergiques et infectieuses, que nous appelons NIAID, qui fait partie du NIH, qui est l’Institut national de la santé, qui fait partie du HHS, qui est le grand département de la santé, avec vingt-cinq agences de santé différentes sous un seul département fédéral. Et Anthony Fauci est là depuis 50 ans. Il est probablement celui qui a vécu le plus longtemps dans l’histoire de la santé publique; c’est un panjandrum et il est de loin le plus puissant. Son travail au sein de cette agence consiste à apprendre l’idéologie des maladies chroniques et des maladies infectieuses. En d’autres termes, il est chargé par le Congrès de répondre aux questions suivantes : pourquoi l’autisme est-il passé d’1 personne sur 10,000 à 1 garçon sur 22 aujourd’hui aux États-Unis ? Pourquoi l’allergie aux arachides est soudainement apparue en 1989 ? Les allergies alimentaires et l’eczéma. Pourquoi toutes ces maladies auto-immunes sont-elles soudainement devenues épidémiques ? La polyarthrite rhumatoïde, le diabète juvénile, le lupus, etc. Pourquoi avons-nous soudainement une épidémie d’obésité ? Son travail consiste à répondre à ces questions. Il doit nous parler des expositions environnementales. Nous savons que les gènes ne sont pas à l’origine des épidémies. Les gènes peuvent contribuer à des vulnérabilités. Il faut une toxine environnementale, et son travail consiste à déterminer quelle toxine environnementale est à l’origine de cette énorme épidémie. Quand il est arrivé en 1968, seulement 6 % des Américains avaient une maladie chronique. 54% aujourd’hui. Pourquoi cela se produit-il ? La même chose est vraie en Europe, pas de façon aussi grave qu’aux États-Unis, mais la même chose est vraie en Europe. Eh bien, aucun de nos responsables médicaux ne fait les études nécessaires pour trouver la réponse à ces questions.

RFK, Jr. : [00:07:58] Et bien sûr, la réponse à cela est que les produits chimiques qui causent ces blessures sont fabriqués par des entités très puissantes, par des compagnies pétrolières, des compagnies chimiques, par les grandes compagnies alimentaires, et surtout par les compagnies pharmaceutiques. Et les régulateurs ont été capturés par ces industries. Leur travail n’est pas de protéger la santé publique, mais de protéger l’industrie qu’ils sont censés réglementer. Tony Fauci a tenu 50 ans à ce poste parce qu’il a été un bon protecteur de l’industrie pharmaceutique et qu’il a pris l’agence de régulation, qui était la meilleure agence de régulation de santé au monde. Et il en a fait une filiale de l’industrie pharmaceutique. Et pour répondre à votre question, Tony Fauci a été nommé par deux présidents, Trump et Biden, pour diriger la réponse à cette pandémie de Coronavirus. Toutes les contre-mesures que nous avons eu aux États-Unis et qui se sont répandues dans le monde entier, elles proviennent toutes de Tony Fauci : le confinement, la distanciation sociale, les masques, la suppression des médicaments thérapeutiques, et des traitements précoces, de l’Ivermectine, de l’hydroxychloroquine, toute la promotion de médicaments thérapeutiques sans valeur comme le Remdesivir. Toutes ces choses viennent directement de Tony Fauci. Comment ? Quelle est la source de son pouvoir ? La voici. Tony Fauci a un budget de 6,1 milliards de dollars par an. En plus de cela, il reçoit 1,6 milliard de l’armée, car une grande partie de ses activités font appel à la technologie, en d’autres termes, il développe des armes biologiques. C’est ce qu’il faisait avec les études sur le gain de fonctions à Wuhan et dans beaucoup, beaucoup de laboratoires. Oui.

SD : [00:10:14] Pouvez-vous élaborer un peu plus sur ce sujet ? Parce que ce n’est pas vraiment une question que tout le monde veut savoir. Nous avons entendu dire qu’il y a des emails. Vous savez,

RFK, Jr. : [00:10:24] L’histoire est que les États-Unis ont commencé à développer des armes biologiques au début de 1943 pendant la Seconde Guerre mondiale et en 1969, nous avions développé des armes biologiques dans notre pays que le chef du programme d’armes biologiques, David France, qualifiait comme des équivalents nucléaires. En d’autres termes, nous avions des armes biologiques qui pouvaient avoir le même impact qu’une arme nucléaire, une bombe nucléaire. En 1969, Richard Nixon a fermé le programme. Il s’est rendu à Fort Detrick, qui est l’endroit où se trouve le principal centre de recherche sur les armes biologiques aux États-Unis. Il l’a fermé et nous avons signé en 1972 le traité sur les armes biologiques, qui était une extension du traité de Genève. Et nous avons accepté de ne pas stocker d’armes biologiques et de ne pas les développer. Les États-Unis ont donc fermé Fort Detrick. Nous avons fermé tous nos autres laboratoires d’armes biologiques cette année-là. Les militaires voulaient recommencer. Et la CIA, bien sûr, était très impliquée dans les armes biologiques et l’industrie pharmaceutique. Qui était à la tête du programme d’armement américain pendant la Seconde Guerre mondiale ? Et dans les années 50 ? C’était George W. Merck, qui était à l’époque également à la tête de Merck. Donc, l’industrie pharmaceutique était composée des mêmes entreprises qui développaient des armes biologiques. Et cela, bien sûr, est venu de la Seconde Guerre mondiale quand vous aviez les compagnies pharmaceutiques et l’Allemagne qui développaient des armes biologiques, […] développant les gaz qui étaient utilisés pour tuer les juifs à Auschwitz et autres camps de la mort. L’industrie pharmaceutique et l’armée et l’appareil de renseignement voulaient tous avoir une excuse pour relancer les armes biologiques. Et donc en 1988, le mur de Berlin tombe. On nous promet à tous : ok, maintenant nous allons avoir les dividendes de la paix. Nous allons prendre tout l’argent qui était destiné à l’armée et, à la place, nous allons le dépenser pour les écoles, les routes, les soins de santé et l’éducation. Et nous allons faire des États-Unis un endroit exemplaire et brillant avec des monuments d’albâtre, des gens éduqués, etc. Lorsque l’appareil militaire et de renseignement entendirent les mots dividendes de la paix, ils se sont dit que cet argent allait sortir de leurs poches. Ils se sont dit qu’ils devaient trouver un moyen de faire avancer les choses, de continuer à faire ce qu’ils faisaient. Quatre et demi ou cinq ans plus tard, nous avons eu la première attaque du World Trade Center, et c’était en 1993. Et tout l’argent qui était destiné à l’éducation et à l’usage civil a soudainement disparu. Et les intérêts acquis nous poussèrent à dépenser cet argent dans la lutte contre le terrorisme. En 2000, nous avons les attaques du 11 septembre. Et à ce moment-là, des milliards, des dizaines de milliards de dollars se sont déversés dans l’idée que nous devions combattre le terrorisme islamique.

[00:14:35] Les militaires à ce moment-là, ont compris que les terroristes islamiques étaient géniaux parce que c’est un ennemi beaucoup plus fiable que l’Union Soviétique. L’Union Soviétique a plié. Elle s’est retirée. Le terrorisme ne s’arrêtera jamais car ce n’est pas une nation. Ce n’est pas un peuple. C’est une tactique. Et il sera toujours là. C’est donc un ennemi parfait, un ennemi qui ne mourra jamais. Et Dick Cheney a promis une longue guerre qui durera des générations. Et ce serait dans 50 nations ou plus. Dans le même temps, de nombreux planificateurs du renseignement disaient que la sécurité biologique est en fait ce que nous devrions faire à cause du terrorisme. Le terrorisme islamique aux États-Unis tue moins de personnes que la foudre chaque année. Mais ce n’est pas un ennemi dont vous pouvez garder les gens terrifiés pendant longtemps. En revanche, le grand ennemi, ce sont les germes, parce que les germes peuvent entrer dans la maison de tout le monde et tuer votre famille. L’armée et les services de renseignements dont nous disposons, ont tous ces documents où ils parlent de ça de façon  bien plus fiables que moi. Et ils font des simulations et des jeux de guerre sur les pandémies et les attaques biologiques. Il y avait donc un ferment, un intérêt énorme. Et si vous vous souvenez, une semaine après le 11 septembre, très exactement le 4 octobre 2001, donc deux semaines et demie après le 11 septembre.

[00:16:06] Il y a eu une attaque à l’anthrax et l’anthrax a tué sept personnes. Il y avait 17 personnes, dont des sénateurs et des membres du Congrès des États-Unis. Et à ce moment-là, l’anthrax a été attribué à Saddam Hussein. Et c’est une des raisons qui a justifié l’invasion de l’Irak. Mais il s’est avéré, lorsque le FBI a commencé à enquêter, que l’empreinte digitale sur l’anthrax, cet anthrax particulier qui a été utilisé dans l’attaque, provenait de l’armée américaine. Il était donc clair que quelqu’un de l’armée américaine avait quelque chose à voir avec l’envoi de cet anthrax. Et que s’est-il passé ? Des milliards de dollars ont commencé à être dépensés pour la biosécurité. Et Tony Fauci… une partie de la biosécurité est utilisée pour développer les vaccins. Vous vous dites, « eh bien, nous faisons cela de manière défensive, nous développons juste la même technologie que vous utilisez pour développer des vaccins et qui peut être utilisée pour développer des armes biologiques », et cela s’appelle le Gain de Fonction. Et qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie que vous envoyez des zoologistes dans le monde entier pour trouver des microbes, des microbes mortels et différents animaux. Et ces microbes ne peuvent pas sauter sur les êtres humains. Ils vont tuer des pangolins. Ils tueront des chauves-souris. Ils tueront des civettes. Ils tueront des chameaux. Mais ils ne tueront pas des êtres humains.

Vous pouvez prendre un microbe dans un laboratoire, et il y a deux façons différentes d’infecter des êtres humains. L’une est d’utiliser la technologie CRISPR. Vous pouvez insérer [00:18:02] de nouvelles parties dans ce microbe qui lui donneront la capacité d’attaquer un poumon humain. Ou alors, vous pouvez le cultiver des milliers de fois, vous le prenez d’une chauve-souris, vous le cultivez sur une culture de pangolin, puis vous les prenez et vous les cultivez sur des cultures de cockers et finalement vous les cultivez sur les poumons d’un fœtus humain. Et vous avez appris à ce microbe à passer de la chauve-souris à la personne. Et cela fait partie de la technologie qui, selon certains, est utile pour les vaccins, bien que cela n’ait jamais été démontré.

Nous savons que cette technologie est utilisée pour les armes biologiques. Quoi qu’il en soit, afin de capter une grande partie de cet argent qui a soudainement commencé à affluer vers les armes biologiques vers 2001-2002, Tony Fauci a commencé à faire ces études de gain de fonction. Il a financé un scientifique appelé Ralph S. Baric, à l’Université de Caroline du Nord. Il a commencé à construire des laboratoires de biosécurité, ce qu’ils appellent des laboratoires BSL, quatre laboratoires, au plus haut niveau de biosécurité. Il a réouvert le laboratoire de Fort Detrick et en a construit un nouveau là-bas. Il en a construit un à Galveston, au Texas, et je crois qu’il en a construit six en tout. La Chine a un de ces laboratoires. Nous en avons une dizaine aux États-Unis. Et Tony Fauci a commencé à financer le travail dans ces laboratoires. Eh bien, vers 2014, un tas d’accidents se sont produits dans ces laboratoires, des microbes se sont échappés. Et ainsi, trois cents scientifiques ont envoyé une pétition au président Obama le suppliant d’arrêter Tony Fauci et ses expériences avant que l’une de ses créatures ne s’échappe et cause une pandémie mondiale. Le président Obama a réagi et a ordonné à Tony Fauci et au NIH d’arrêter les études sur le gain de fonction. Tony Fauci a mis fin à environ vingt et une de ses études, mais il a continué à mener secrètement certaines des pires avec Ralph Baric, un scientifique fou de l’Université de Caroline du Nord. Puis il a pris la plus grande partie de l’argent destiné à la recherche sur les gains de fonctions, environ sept millions de dollars en tout, et il a commencé à financer le même type d’expériences très, très dangereuses dans le laboratoire de Wuhan, avec Zhengli Shi, une chercheuse connue sous le nom de « Bat Lady ». Elle avait participé aux recherches sur le SRAS en 2002, et était en fait une psychiatre. Mais elle aimait manipuler les animaux et avait le courage d’aller dans les grottes où vivent les chauves-souris, dans la province du Yunnan, dans des grottes connues sous le nom de grottes de Mojiang. Elle a commencé à collecter des chauves-souris là-bas et ils ont collecté des centaines et des centaines de chauves-souris et créé la plus grande collection de coronavirus au monde dans ce laboratoire à Wuhan.

Je sais que vous êtes belge, mais vous serez peut-être intéressée d’apprendre, et je pense que vous le savez, que le laboratoire de Wuhan a été construit par une société française appelée BioMérieux, dont le PDG s’appelle Stéphane Bancel. La société a été engagée pour construire un système de flux d’air négatif qui, à Wuhan, est une pièce essentielle de l’infrastructure pour assurer la sécurité, ce qui signifie que l’air ne sort pas. C’est l’un des éléments les plus critiques de l’infrastructure du laboratoire. Les Chinois avaient demandé à BioMérieux de le construire, mais ils ne l’ont jamais fait. Et Stéphane Bancell, qui était le PDG de cette société, est aujourd’hui le PDG de Moderna, la société qui, plus que toute autre, a profité de la pandémie, dont nous savons maintenant qu’elle provient presque certainement du laboratoire. Laissez-moi ajouter autre chose, car je sais que vous le sujet vous intéresse.

En 2000, Bill Gates a contacté Tony Fauci et lui a demandé de venir dans sa demeure à Seattle, dans l’État de Washington, une demeure de cent quarante-sept millions de dollars. Il a fait entrer Tony Fauci dans sa bibliothèque et tous deux se sont assis sur des fauteuils club avec un verre. Et Bill Gates lui a proposé un partenariat. Ce partenariat consisterait à collaborer tous les deux à une entreprise visant à vacciner le monde entier et à abolir toutes les maladies infectieuses grâce aux vaccins. Ce partenariat était très important pour Gates, car il essayait à l’époque de prendre le contrôle de la politique mondiale en matière de santé. Et pour ce faire, il avait besoin de l’aval d’un puissant responsable de la santé aux États-Unis qui pouvait lui donner de la crédibilité à l’étranger. Et Tony Fauci a fait deux choses. Premièrement, il a donné de la crédibilité à Gates et à son programme, deuxièmement, il a développé le vaccin dans son atelier du NIH. Et ensuite, Gates garantirait un marché pour ces vaccins à l’étranger. Et la troisième chose que Tony Fauci a fait… Il est très, très influent auprès du président des États-Unis. Il a donc obtenu du président Bush, le premier président Bush, qu’il engage 15 milliards de dollars pour l’Afrique.

[00:24:59] Il a donc pris toute l’aide étrangère des États-Unis. Et au lieu de la consacrer à la réduction de la pauvreté, il a dédié ces 15 milliards aux médicaments et vaccins contre le SIDA en Afrique. Cela crée une infrastructure dans tous les ministères de la santé en Afrique qui deviennent dépendants de ce flux venant des USA. Il a ensuite obtenu du président Clinton qu’il prenne le même engagement et qu’il aille voir ces présidents pour leur dire que le SIDA se développe en Afrique. Si nous ne le résolvons pas là-bas, il va se propager aux États-Unis et donc, nous devons le résoudre en Afrique. Mais en réalité, ce qu’il fait, c’est qu’il a des relations avec toutes ces entreprises pharmaceutiques qui, en fin de compte, reçoivent tout cet argent. Et parce qu’il fait la pluie et le beau temps, que c’est un courtier qui a le pouvoir de régir toute cette aide des États-Unis à l’Afrique, il jouit d’une énorme crédibilité dans toute l’Afrique auprès des ministères de la santé et lorsqu’il se rend là-bas avec Gates et dit, OK, voici mon nouveau gars, Gates avait automatiquement du cachet et de la crédibilité. Et c’est l’une des façons dont Gates a pris le relais.

SD : [00:26:20] Je peux vous arrêter 30 secondes ? Parce que je pense que j’ai quelques commentaires. En France… je pense qu’il serait vraiment intéressant de regarder l’implication plus étroite de la France dans le laboratoire de Wuhan. Je peux vous dire que le directeur de l’INSERM y est allé, officiellement avec Bancel à l’inauguration du bâtiment, le laboratoire et l’installation, et ils avaient un programme. Ils étaient donc là pour couper le ruban. L’INSERM est le plus grand institut de recherche de France en matière de santé. Et la femme de ce directeur de l’INSERM était ministre de la santé au début de la pandémie. Elle s’appelle Agnès Buzyn. Donc il y avait vraiment comme je pense que vous êtes assez impliqué. Elle a maintenant été accusée de mauvaise gestion, disons qu’elle est mise en examen pour ne pas avoir donné les bonnes informations, puis les mesures, etc. Donc elle a quitté son poste. Elle est maintenant promue à l’OMS, où elle assiste Tedros, où elle  bénéficie de l’immunité de responsabilité – vous ne pouvez pas les poursuivre en justice une fois qu’ils sont à l’OMS. En France, nous avons quelques scientifiques que vous connaissez peut-être, certains d’entre eux qui se sont vraiment penchés sur la question du virus.

[00:27:50] Et c’est aussi une de mes questions. Je sais que vous avez soutenu la vidéo  » Plandemic  » avec David Martin avec la recherche sur les brevets. (…) Nous avons ici quelques scientifiques, l’un d’entre eux s’appelle Jean-Bernard Fourtillan, qui essaient également d’examiner les brevets. Ils disent que l’Institut Pasteur a également des brevets sur les coronavirus et sur leur utilisation en tant qu’armes. On peut donc suivre plusieurs brevets d’une sorte de SARS-COV-1 à SARS-COV-2. Donc ce scientifique est apparu il y a 6 mois. Il est maintenant dans un institut psychiatrique. Il y a une grande censure et un grand silence et nous avons aussi, plus ou moins, exactement le même genre de mesures, l’hydroxychloroquine qui a été bloquée, et bien sûr, l’agenda des vaccins, etc. […] Avez-vous suivi également cette piste des brevets ? Est-ce qu’elle mène aussi à d’autres pays étrangers ? Parce que je crois vraiment que plusieurs pays ont participé, je dirais en Europe, certainement la France, le Royaume-Uni et l’Allemagne.

RFK, Jr. : [00:29:13] Je sais, vous savez, les brevets sont un domaine intéressant et en ce moment, le NIH a un litige contre Moderna parce que Moderna a menti sur les brevets. Elle n’a pas divulgué quand elle a fait sa demande de brevet qu’elle avait reçu des fonds fédéraux et qu’à ce moment-là, Fauci avait investi 2,6 milliards de dollars de l’argent des contribuables dans les brevets et dans Moderna. Et Moderna n’a jamais révélé cela quand elle a déposé son brevet, ce qui est illégal aux États-Unis. Et il se peut que le contribuable américain soit en fait propriétaire des brevets. L’une des choses intéressantes à propos des brevets est que l’office des brevets a refusé à Moderna, à plusieurs reprises, un brevet, et lui a dit « Non, vous ne pouvez pas l’avoir ». Et puis Moderna est revenu à la charge le 29 mars 2019. Et a dit « il y a une urgence à ce que vous nous donniez immédiatement ce brevet ». C’est dans la demande de brevet, n’importe qui peut y accéder, et ça dit « vous devez nous donner le brevet en prévision d’une libération accidentelle ou délibérée d’un coronavirus amélioré ». Et quand est-ce que cela a eu lieu ? Quatre mois, cinq mois avant le coronavirus d’octobre. Le meilleur des meilleurs estime qu’il s’est échappé du laboratoire de Wuhan en octobre 2019.

[00:30:58] Donc… avril, mai, juin, juillet, août, septembre, octobre… c’est sept mois avant l’apparition réelle du coronavirus. Ils connaissaient l’urgence, Ils ont insisté sur l’imminence d’un virus.

SD : [00:31:14] Donc merci. Vous êtes un peu en train de cartographier, vous venez de revenir sur le virus du VIH et tout le programme. Et quand je le regarde, il était très intéressant de voir que certains scientifiques au début, vous je suis sûr que vous savez, que ce scientifique appelé Jonathan Mann, qui était vraiment celui qui est sorti pour faire les appels pour le VIH et en faire une cause mondiale. Mais il l’a lié aux droits de l’homme. Mais si j’ai bien compris, à un moment donné, l’autre partie de l’OMS et d’autres personnes ont préféré avoir une approche différente de son approche des droits de l’homme. Il a donc été en quelque sorte écarté de la cause du sida. Et malheureusement, il est mort dans un accident d’avion. Un avion Swissair s’est écrasé, ce qui est vraiment rare, vous savez, pour un avion suisse de s’écraser. Et après cela, je crois savoir que Fauci et d’autres scientifiques, et je pense en particulier à un certain Peter Piot. Je ne sais pas si vous l’avez rencontré, c’est un Belge, mais c’est le numéro un, disons, en charge de la réponse à la pandémie au sein de la Commission européenne. [00:32:58] Il a donc été nommé et il dirige également l’Institut d’hygiène tropicale de Londres.

Tous ces scientifiques sont donc très impliqués ensemble depuis des décennies déjà sur le VIH. Et donc après ça, ils ont vraiment adopté une approche différente par rapport aux droits de l’homme et le tout s’est déplacé vers le programme des Nations Unies et le programme d’aide des États-Unis. Et je pense que c’est à ce moment-là que la banque est intervenue et que les épidémies sont devenues, d’une certaine manière un instrument géopolitique possible, et une tentative de gouvernance mondiale par le biais des politiques de santé, du contrôle des politiques de santé. Et je pense qu’ils ont commencé à avoir plus que seule la santé à l’esprit. Vous savez, c’est là que la Banque mondiale est intervenue, ainsi que le FMI, puis les entreprises pharmaceutiques. Mais je pense que c’est tout ce réseau de scientifiques spécialisés dans le VIH, ou pas seulement des scientifiques, disons des experts du monde entier, qui est maintenant aux commandes. Je dirais donc que ce sont tous les amis de Fauci.

RFK, Jr. : Fauci étant celui qui a popularisé le VIH. Luc Montagnier, qui a été le premier à isoler ou à associer le VIH, à identifier le VIH comme une cause potentielle du SIDA. Il a insisté sur le mot « potentiel ». Sa découverte a été volée par un scientifique américain qui était un ami de Fauci, Robert Gallo. Et Gallo a prétendu avoir fait la découverte, puis il y a eu une dispute et des procès qui ont duré de nombreuses années, et finalement Gallo a admis qu’il avait volé le virus à Luc Montagnier et qu’il avait trompé Luc Montagnier pour qu’il lui donne le virus. Tony Fauci, vous savez qu’avant cela, le VIH ou le SIDA était considéré comme un cancer. Il était associé au sarcome de Kaposi et la plupart des gens pensaient probablement que cela avait quelque chose à voir avec les drogues qui étaient prises, qui étaient associées au mode de vie gay, et en particulier les poppers, et à d’autres lésions environnementales. […] Tony Fauci n’avait aucune compétence sur ce type de maladie. L’Institut national du cancer était compétent en matière de cancers et, à l’origine, il s’agissait du VIH, mais lorsque Bob Gallo a dit « non, c’est un virus », Tony a répondu « d’accord, c’est un virus, donc nous l’avons, car nous sommes l’Institut national des maladies infectieuses ». Et c’est ainsi qu’il s’est emparé du VIH. Et puis le VIH a bénéficié de tous ces financements parce que l’activisme au sein de la communauté gay. Tony Fauci, tout d’un coup, est devenu un courtier de pouvoir. Il avait le plus gros budget fixé par le NIH. Et tout cet argent était à disposition.

[00:36:28] Et ainsi, Tony Fauci a pris le NIAID, son agence, qui est censé chercher l’origine de toutes ces maladies infectieuses, allergiques, auto-immunes et chroniques, au lieu de cela il l’a transformé en incubateur de produits pharmaceutiques. Le premier produit développé a été l’AZT, en collaboration avec GlaxoSmithKline, qui s’appelait à l’époque Wellcome Trust. Et ils l’ont développé et en ont fait le médicament le plus cher de l’histoire. C’était dix mille dollars par dose par an. […] La valeur des actionnaires de GlaxoSmithKline a augmenté de quelque chose comme 2,10 milliards de dollars dès qu’il a fait approuver ce médicament, qui est devenu un modèle pour ce qu’il a fait par la suite. Il a donc arrêté la recherche sur les maladies infectieuses et a commencé à développer des médicaments pour l’industrie pharmaceutique. Aux États-Unis, le laboratoire de Tony Fauci recherche des molécules efficaces contre différents virus, comme le coronavirus dans une boîte de Pétri, puis il dépose des gouttes de différentes molécules sur différents types de médicaments toxiques de chimiothérapie et d’autres médicaments existants, ou tout autre produit qui tue le coronavirus. Et s’ils trouvent quelque chose qui fonctionne, ils font des tests sur les animaux pour voir si ça tue les animaux et si ça tue le coronavirus mais pas les animaux, ils disent que c’est un médicament potentiel et ils font ça pour tout le monde, pas seulement pour le coronavirus, mais pour des centaines et des centaines de virus.

[00:38:24] Et ensuite ils l’envoient aux universités, à ce qu’ils appellent les PIs, qui sont appelés les investigateurs principaux dans les universités. Et c’est ce dont vous parlez, c’est ainsi qu’il contrôle tous les scientifiques du monde, parce qu’il y a dix mille PI et la plupart d’entre eux sont des scientifiques très importants qui sont les chefs de départements à Harvard, à Columbia, à Berkeley, à Oxford. Et ce sont des scientifiques très puissants. Pourquoi ? Car ce sont eux qui reçoivent l’argent. Tony Fauci leur donne d’énormes quantités d’argent. Il peut vous donner environ 200 ou 300 millions de dollars pour faire une étude dans l’année. C’est ainsi que cet argent finance un médicament. Les labs de Fauci s’assurent que la molécule ne tue pas l’animal mais tue le coronavirus. Ensuite, il le confie, disons, à Columbia. Le chef du département de Columbia conduit les essais cliniques (phase 1, phase 2, phase 3). Pour la phase 1, c’est un petit groupe de personnes, peut-être deux cents. Et chaque personne que le scientifique recrute pour l’étude, Tony Fauci, leur donnera 15 ou 20 000 dollars. La moitié de cet argent va à l’université.

[00:39:46] Donc maintenant l’université dépend de Tony Fauci. Donc l’université développe le médicament jusqu’à la phase 2, et si le médicament semble toujours fonctionner, ils le vendent à une société pharmaceutique comme Glaxo, Gilead, Johnson et Johnson, Merck, Pfizer. Et Tony Fauci garde sa part du brevet pour son agence, plus ses adjoints préférés qui obtiennent chacun des intérêts de brevet. Ces gars peuvent se faire 150 000 dollars par an avec chaque brevet qu’ils possèdent. C’est ainsi qu’il s’assure de la loyauté de tous au sein de son agence. Il peut donner à ces gars des brevets et ils font des tonnes d’argent ainsi et son agence peut garder la moitié des brevets comme ils l’ont fait avec le vaccin Moderna. Son agence possède la moitié des brevets. Ils gagnent ainsi des milliards et milliards de dollars. Il y a donc un conflit d’intérêt direct. Ensuite, l’université obtient une partie du brevet et le chercheur universitaire, le PI, obtient une partie des brevets, donc ils sont tous solidaires. Et il a 10.000 de ces gars-là dans le monde entier. Et qui sont ces gens ? Paul Offit, Peter Hotez, Arthur Caplan, tous ces scientifiques célèbres que vous voyez sur CNN et qui font la une des journaux, Andrew Pollard d’Oxford.

[00:41:29] Ces gens sont tous des PI de Tony Fauci. On les voit à la télé et ils ont l’air de gens très crédibles et responsables. Tony Fauci les possède dans le monde entier. Et que se passe-t-il s’il y a un scientifique universitaire dissident ? Disons qu’un jeune scientifique de l’université de Harvard, naïf, se dit : « vous savez quoi, je vais faire une expérience. Je vais faire une étude. Je vais prendre les dossiers sur la vaccination. Je vais regarder les dossiers médicaux des HMOs. Et je vais déterminer s’il y a un lien entre le diabète et le vaccin Hib, le vaccin contre l’hépatite B, l’autisme ou les allergies alimentaires. Je pense que ce sera une étude fondamentale ». Dès que Tony Fauci apprend l’existence d’une étude, un de ses larbins appelle le doyen de l’école de médecine de Harvard et lui dit : « si vous laissez ce type faire cette étude, nous allons mettre votre université en faillite. Nous allons vous faire fermer parce que nous ne permettons pas que cette étude soit réalisée ». C’est ainsi que Tony Fauci contrôle la science dans le monde entier. Son budget annuel est 13 fois supérieur au budget annuel de Bill Gates. Il est donc beaucoup plus puissant que Bill Gates donne quelques milliards par an. Tony Fauci donne 7,6 milliards par an.

[00:43:12] Tony Fauci se coordonne avec Gates et ils se coordonnent avec Wellcome Trust, qui est juste un énorme portefeuille d’actions pharmaceutiques qui est dirigé par Jeremy Farrar. Et tout ce qu’il fait est de servir les intérêts du paradigme pharmaceutique. Vous avez donc les plus grands bailleurs de fonds du monde qui fournissent probablement 90 % du financement aux entreprises pharmaceutiques et ils ne font pas de recherche sur l’origine des maladies. Ils font des recherches sur la façon dont nous développons les médicaments. Je vais vous dire une autre chose. Entre 2009 et 2016, plus de 200 médicaments ont été approuvés par la FDA dans notre pays et sont devenus des blockbusters nationaux et internationaux pour beaucoup d’entre eux, et 100 % de ces 200 médicaments sont issus de l’atelier de Tony Fauci. Il est donc le principal incubateur, de toute l’industrie pharmaceutique. C’est le type, vous savez, il n’est pas un régulateur. Il ne s’occupe pas de santé publique. C’est de la fiction polie pour dire que Tony Fauci s’occupe de santé publique ou Bill Gates s’occupe de la santé publique. Ils font la promotion des vaccins et des médicaments. C’est tout. Et ce sont ces types qui dirigent aujourd’hui les gouvernements de toute la planète. Et c’est effrayant pour nous car ils ne se soucient pas de la démocratie. Ils ne se soucient pas de la santé publique. Ils se soucient des profits, de l’industrie pharmaceutique et du contrôle de la population.

SD : [00:44:48] Ok, j’ai deux autres questions, donc je…

RFK, Jr : [00:44:51] J’ai seulement deux minutes de plus.

SD : [00:44:52] Ok, c’est injuste ! L’une d’entre elles est que vous savez, nous avons entendu qu’il y avait certains sénateurs, Rand Paul et d’autres sénateurs qui voulaient avoir une enquête sur Tony Fauci en rapport avec les fuites d’emails et le fait qu’il aurait parrainé…

RFK, Jr : [00:45:14] Le Président Biden, le 25 mai, a ordonné aux agences de renseignement de faire une enquête. Et cela va être très intéressant. C’est une enquête de 90 jours qui sortira le 25 août. Et nous espérons qu’elle sera publiée à peu près au même moment que mon livre.

J’aimerais demander à vos auditeurs qui veulent savoir comment ils peuvent aider notre mouvement : « achetez mon livre ». Et je tiens à dire que 100% des bénéfices de mon livre, qui s’appelle The Real Tony Fauci, pour lequel vous pouvez aller sur Amazon aujourd’hui et l’obtenir. 100% des bénéfices sont reversés à Children’s Health Defense, CHD, le fonds pour lequel je travaille, Senta travaille et tous les autres avocats qui travaillent pour nous dans le monde entier. Je pense que nous avons déjà pré-vendu environ 5000 livres. Si nous pouvons pré-vendre 10000 livres avant sa sortie, il devient automatiquement numéro un sur la liste d’Amazon, du New York Times et de toutes ces autres listes. Et ce qui se passe ensuite, c’est que les libraires le déplacent à l’avant du magasin. Il y a tout un tas d’effets en cascade. Plus les gens connaissent Tony Fauci et savent pourquoi il est arrivé là où il est, plus notre mouvement est fort. Si vous voulez aider ce mouvement, faites vos achats de Noël maintenant, allez sur Amazon aujourd’hui, achetez un tas d’exemplaires du livre pour vos amis, pour votre famille. Et comme je l’ai dit, tous les bénéfices vont à CHD, à 100%. Vous aidez aussi beaucoup le mouvement parce que le livre va se retrouver au top de la liste des best-sellers et les distributeurs sont alors obligés de l’y mettre. Ils le mettent dans toutes les librairies des aéroports et dans les librairies du monde entier. Et de plus en plus de gens pourront le voir. et cela donne de la crédibilité et du sérieux à notre mouvement.

SD : [00:47:25] Est-ce qu’il y aura des traductions, Bobbie ? Est-ce que le livre existera dans d’autres langues ?

RFK, Jr : [00:47:32] Oui, nous allons traduire. Il sera traduit.

SD : [00:47:35] Ok, c’est intéressant pour nous en Europe.

RFK, Jr : [00:47:39] Vous savez, que CHD et The Defender sont en cinq langues. Nous sommes un mouvement global; nous devons parler aux gens dans beaucoup, beaucoup de langues.

SD : [00:47:54] Je demande donc que la prochaine fois nous parlions de Bill Gates, car il y a beaucoup à dire là aussi.

RFK, Jr. : [00:48:02] La moitié du livre est sur Bill Gates, l’autre moitié sur Tony Fauci. Donc si vous voulez connaître la vérité sur Bill Gates, achetez le livre !

SD : [00:48:14] Oui. A propos de son lien avec Epstein (…) Je vais en parler très rapidement et ce sera une piste pour une autre interview. […] En 1987, Bill Gates était déjà avec Jeffrey Epstein au conseil d’administration de l’organisation caritative gérée par Apollo management, vous savez, en lien avec la CIA et le Mossad. Ce qui est intéressant pour nous, Européens, c’est qu’en 2013, je viens d’en entendre parler par un autre journaliste, en 2013, donc après qu’Epstein ait été condamné, etc. […] et que tout le monde savait qui il était, ils [Gates et Epstein] ont visité ensemble le Parlement européen à Strasbourg pour se renseigner sur les politiques de santé en Europe. Et puis, vous savez. Il faut se poser des questions, pourquoi Jeffrey Epstein voyage-t-il avec Bill Gates, qui à l’époque n’était pas impliqué dans l’OMS….

RFK, Jr : [00:49:15] Envoyez-moi les preuves de cela ?

SD : [00:49:19] Oui, bien sûr. C’est pour la prochaine interview alors.

RFK, Jr : [00:49:23] Merci Senta: Merci de m’avoir reçu. Et merci pour tout le travail, l’incroyable travail que vous faites. Rendez-vous sur les barricades.

SD : [00:49:36] Merci beaucoup. Et je suis très fière de faire partie du CHD, merci.

RFK, Jr : [00:49:42] Nous sommes fiers de toi Senta. Merci.




Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

[Source : Le blog de Liliane Held-Khawam (lilianeheldkhawam.com)]

Par Liliane Held-Khawam

Comment transformer notre monde, la société, et donc l’humain ?

Révolutionner l’organisation sociétale est une obsession des dirigeants européens en vue de la réalisation des objectifs du Programme de développement durable 2030 des Nations Unies. Le nom complet de celui-ci est d’ailleurs: » « Transformer notre monde : le Programme de développement durable à l’horizon 2030 ». Les 3 premiers mots de ce titre sont indispensables à la compréhension de ce qui se passe. Ce site et les livres qui y sont présentés poursuivent tous le même objectif: comprendre et faire comprendre les stratégies et moyens utilisés pour réaliser cette révolution qui vise rien de moins que la restructuration de la vie la vie sur terre. Et cela passe par la révolution numérique et l’industrie qui la sous-tend.

Le graphène en fait partie, et occupe une bonne place dans le Digital Single Market de l’UE. Une thèse relevait en 2015 que le graphène est une nanoparticule bidimensionnelle d’épaisseur atomique présentant des propriétés uniques, qu’elles soient mécaniques, électriques ou thermiques. Ceci ajouté à une faible densité et une très grande surface spécifiquefait que l’ajout de graphène et de nanoparticules dérivées (oxyde de graphène, graphite exofilé) pour renforcer des matrices polymères est devenu un sujet d’études d’intérêt majeur dans le domaine des nanocomposites

https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01138100/
Les terrains d’application dans le but d’aller toujours plus vite, toujours plus haut, pour toujours moins cher.
fet_flagships_factsheet_20190905_final_d79bb51d-92f1-0390-5359064ac3e6f5b1_61526-graphene

L’oxyde de graphène, un outil de disruption technologique indispensable à la révolution digitale

L’oxyde de graphène est semble-t-il un composant majeur qui doit participer à cette révolution globale. Ce mot est évité au profit de la disruption technologique, histoire de ne pas trop expliquer en quoi cette chose consiste. Au final, il s’agit de la même chose. En fait, il s’agit ni plus ni moins de faire advenir la 4ème révolution dont parle Klaus Schwab qui devrait mener au transhumanisme, lui-même n’étant qu’un phase transitoire vers le posthumanisme.

Et les révolutionnaires ne lésinent pas sur les moyens. Et c’est à cela que l’on reconnait le degré d’importance accordé à un projet: le fric mis à disposition. Ainsi, la Commission européenne, les Etats membres et Etats associés financent un programme de 1 milliard d’euros afin de réaliser les objectifs de disruption basés sur le graphène.

Selon des membres du Laboratoire fédéral d’essai des matériaux et de recherche , « le programme phare sur le graphène est la plus grande initiative de recherche de l’UE à ce jour et, selon la Commission européenne, « la plus grande distinction de l’histoire pour l’excellence de la recherche ». Doté d’un budget d’un milliard d’euros, le programme Graphene Flagship a pour mission de faire passer le graphène du domaine des laboratoires universitaires à la société européenne dans dix ans – générant ainsi de la croissance économique, de nouveaux emplois et de nouvelles opportunités pour les Européens en tant qu’investisseurs et employés. Avec le programme Graphene Flagship, l’Europe a lancé une nouvelle forme d’initiative de recherche commune et coordonnée d’une ampleur sans précédent. Graphene Flagship réunit un consortium académico-industriel visant une percée en matière d’innovation technologique. L’effort de recherche couvrira l’ensemble de la chaîne de valeur, de la production des matériaux à l’intégration des composants et des systèmes, et visera un certain nombre d’objectifs spécifiques qui exploitent les propriétés uniques du graphène.« 

https://graphene-flagship.eu/

L’oxyde de graphène, le matériau qui permet la surveillance de la santé! Étude à lire. INDISPENSABLE

L’orientation des soins de santé humaine s’est progressivement déplacée des hôpitaux vers les communautés (familles, individus) nous dit une étude qui présente la médecine idéale où la santé humaine est sous surveillance permanente grâce à des capteurs composés de graphène. Les hôpitaux classiques et autres personnels soignants qui ne sont pas préparés à la télémédecine risquent de se retrouver hors du système dans peu de temps. Souvenez-vous d’ailleurs quand nous avions abordé les sujets qui semblaient lointains. Eh bien le lointain est devenu actuel. 

https://lilianeheldkhawam.com/2018/10/28/etes-vous-daccord-davoir-un-clone-numerique-vous-laurez-quand-meme-lhk/

Extraits de l’étude

Des efforts considérables ont donc été consacrés aux capteurs et aux dispositifs de surveillance de la santé. En raison de ses caractéristiques uniques, notamment ses propriétés chimiques et physiques, le graphène est extrêmement attrayant pour l’électronique flexible et les capteurs.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Dans cette revue, les réalisations récentes dans les capteurs à base de graphène pour la surveillance de la santé humaine, y compris les capteurs portables flexibles non invasifs et les dispositifs invasifs ont été examinées. Les capteurs à base de graphène ont été explorés pour mesurer un large éventail de signes vitaux et de biomarqueurs du corps humain, qui sont très prometteurs dans un avenir prévisible pour des applications dans les soins de santé, la médecine personnalisée/préventive, le traitement des maladies, l’interaction homme-machine, comme ainsi que les interfaces cerveau-ordinateur.De nouvelles structures ont été utilisées pour améliorer les performances, tandis que leurs mécanismes de détection et les innovations technologiques ont également été discutés en profondeur.

Les capteurs portables non invasifs sont plus acceptables et souhaitables dans les applications de soins de santé, car ils sont moins invasifs et réduisent les risques tout en maintenant leur fonction et leurs performances. L’attitude du public envers les appareils portables est passée de la curiosité aux soins de santé de qualité clinique (Rogers et al., 2019). Cependant, il reste encore un long chemin à parcourir avant de répondre aux exigences des dispositifs médicaux. Avec les progrès des matériaux et des techniques de fabrication, les dispositifs médicaux implantables deviennent de plus en plus attractifs, en raison de leur capacité à surveiller de manière précise et à long terme l’état des tissus, des organes, du système, tout en fournissant également des conseils/des assistants/des pronostics pour diagnostic et thérapeutique, qui remplacent progressivement les appareils portables et portables traditionnels. Cependant, pour les dispositifs implantables, plusieurs défis tels que la biocompatibilité, l’encrassement biologique ainsi que l’alimentation électrique doivent être résolus. L’électronique transitoire/biodégradable présente un immense potentiel dans les applications implantables, qui peuvent être dégradées de manière contrôlée et/ou auto-déclenchante sans chirurgies secondaires ni risques d’infection. Par ailleurs,la chose intéressante est que les feuilles de GO hautement dispersées peuvent être biodégradées par la myéloperoxydase qui est dérivée des neutrophiles humains, qui peut être utilisée dans l’électronique biodégradable pour les implants (Kurapati et al.,2015).

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

En général, les capteurs pour la surveillance de la santé humaine, qu’il s’agisse de capteurs invasifs ou non invasifs, peuvent être considérés comme un « sens augmenté », qui est une extension des sens humains.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Un fichier externe contenant une image, une illustration, etc. Le nom de l'objet est fchem-07-00399-g0001.jpg
Présentation de la plate-forme de capteurs à base de graphène (y compris oxyde de graphène)
pour la surveillance de la santé.
Une distinction majeure peut être faite entre les applications non invasives et invasives, y compris les capteurs portables pour surveiller les signaux biophysiques, biochimiques, environnementaux et les dispositifs implantables pour le système nerveux, cardiovasculaire, digestif et locomoteur. 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Des quantités considérables de données seront générées avec le développement des technologies de capteurs et de la science des matériaux en raison de la détection omniprésente allant de l’Internet des objets (IoT) aux soins de santé. Ainsi, des méthodes statistiques et informatiques, telles qu’une gamme de techniques d’apprentissage automatique, peuvent être utilisées dans le traitement des données et l’extraction efficace d’informations. Des capacités d’analyse de données en temps réel sont souhaitées pour une gestion robuste des données (Paulovich et al., 2018). Les problèmes éthiques et moraux dans la collecte, l’analyse et le stockage des données, en particulier les données concernant la santé personnelle, doivent être correctement résolus pour protéger la vie privée.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Bien que les capteurs à base de graphène aient reçu une attention considérable dans la surveillance de la santé et les applications biomédicales, il est crucial de considérer l’impact du graphène et de ses dérivés sur la santé humaine, tels que sa biocompatibilité, sa toxicité, ainsi que ses risques potentiels pour l’environnement avant que le graphène ne soit intégré à la peau humaine, en particulier lorsqu’il est implanté dans le corps humain. De nombreuses études ont été consacrées aux nanomatériaux à base de graphène (GBN). Cependant, il y a encore un manque de recherche systématique sur la santé humaine ou les effets environnementaux (Dasari Shareena et al., 2018).

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Cependant, il est encore trop tôt pour tirer des conclusions en raison de la rareté des données et du manque de compréhension des effets d’accumulation à long terme (Fadeel et al., 2018).

À lire : 
https://lilianeheldkhawam.com/2020/05/31/vos-donnees-biologiques-et-medicales-sont-lenjeu-et-ce-nest-pas-facultatif-vincent-held/

Méconnaissance de l’impact de l’oxyde de graphène sur la santé. Étude internationale

L’euphorie due à ce produit miracle peut se transformer un de ces jours en catastrophe aussi bien pour la santé humaine que pour celle de l’environnement. Une étude publiée à fin 2018 tirait la sonnette d’alarme:

« Le graphène et ses dérivés sont présentés comme des matériaux « miracles » avec de nombreuses applications dans différents secteurs de la société, de l’électronique au stockage d’énergie en passant par la médecine. L’exploitation croissante des matériaux à base de graphène (GBM) nécessite une évaluation complète de l’impact potentiel de ces matériaux sur la santé humaine et l’environnement. Ici, nous discutons de la synthèse et de la caractérisation des GBM ainsi que de l‘évaluation des risques humains et environnementaux des GBM à l’aide de systèmes modèles in vitro et in vivo dans le but de comprendre les propriétés qui sous-tendent les effets biologiques de ces matériaux ; tous les GBM ne se ressemblent pas et il est essentiel de démêler les relations structure-activité pour cette classe de matériaux. »

https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acsnano.8b04758

Laboratoire fédéral d’essai des matériaux et de recherche 
https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-73908.html

En novembre 2018, ces scientifiques écrivaient que « La caractérisation des matériaux, à son tour, est un élément clé de l’évaluation des dangers. L’évaluation toxicologique des nanotubes de carbone en est un exemple. Il y a dix ans, il a été suggéré que les nanotubes de carbone présentent une pathogénicité « de type amiante » dans un modèle animal en ce sens que les nanotubes de carbone longs et rigides, mais pas courts ou enchevêtrés, ont provoqué la formation de granulomes et une inflammation après injection intrapéritonéale chez la souris. Nous comprenons maintenant que les nanotubes de carbone adhèrent dans une certaine mesure au paradigme dit de la fibre pathogène, et que certains types de nanotubes de carbone multiparois peuvent être considérés comme potentiellement cancérigènes pour l’homme. Cependant, d’autres membres de la même famille de matériaux se sont révélés non toxiques et peuvent même subir une dégradation, suggérant que tous les nanotubes de carbone ne ressemblent pas à l’amiante (examiné dans la réf). En fait, les nanotubes de carbone, s’ils sont purifiés de manière appropriée et modifiés en surface, offrent des perspectives prometteuses en nanomédecine, par exemple pour l’administration et/ou l’imagerie de médicaments ou de gènes. » 

https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acsnano.8b04758

Quelques remarques finales de l’étude citée ci-dessus sont plus que fascinantes au vu des textes que nous aborderons plus bas dans cette publication. En voici quelques-unes:

  • Le présent aperçu de la littérature a montré que même si l’évaluation des dangers des GBM arrive à maturité, avec un nombre toujours croissant d’études portant sur l’impact potentiel des GBM sur les systèmes vivants, des lacunes dans les données subsistent, ce qui, par conséquent, empêche la prédiction de toxicité basée uniquement sur les propriétés matérielles des GBM.
  • Pour conclure, le battage médiatique qui suit inévitablement les progrès technologiques devrait être tempéré par une évaluation scientifique solide de l’impact potentiel sur la santé humaine et l’environnement afin d’assurer le développement sûr et durable de nouveaux produits et applications. La présente étude de la littérature peut peut-être servir de première étape vers une collecte systématique de données sur la sécurité ou la biocompatibilité des GBM.

L’oxyde de graphène dans le vaccin induit la mort cellulaire! Étude chinoise

Il y a un an, une étude chinoise portant le titre de « Progrès récents de l’oxyde de graphène en tant que vecteur potentiel de vaccin et adjuvant » a été publiée après avoir été transmise en février 2020. Un troublant just in time puisqu’elle arrive au moment du démarrage de la crise covidienne dont le vaccin pourra bénéficier de la technologie.

Encore plus intriguant, ils admettaient dans leur publication l’usage de l’oxyde de graphène en médecine. L’oxyde de graphène (GO), largement utilisé pour l’administration de biomolécules, excelle dans le chargement et l’administration d’antigènes et montre le potentiel d’activation du système immunitaire. Or dans la phrase suivante, on peut lire Cependant, GO s’agrège dans le liquide biologique et induit la mort cellulaire, et il présente également une faible biosolubilité et biocompatibilité. Plutôt effrayant non?

Des adjuvants et des transporteurs ont été ajoutés de manière appropriée à la formulation du vaccin pour améliorer l’immunogénicité de l’antigène et induire une immunité de longue durée. Cependant, il existe un besoin urgent de développer de nouveaux adjuvants tout usage car certains adjuvants approuvés pour un usage humain ont une fonctionnalité limitée. L’oxyde de graphène (GO), largement utilisé pour l’administration de biomolécules, excelle dans le chargement et l’administration d’antigènes et montre le potentiel d’activation du système immunitaire. Cependant, GO s’agrège dans le liquide biologique et induit la mort cellulaire, et il présente également une faible biosolubilité et biocompatibilité. Pour pallier ces limitations,divers protocoles de modification de surface ont été utilisés pour intégrer des substances compatibles aqueuses avec GO afin d’améliorer efficacement sa biocompatibilité.

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1742706120303305

Vous constaterez que hormis une personne pharmacienne, les auteurs chinois de ladite étude sont actifs à l’ École de médecine ou des matériaux de l’Université des sciences et technologies électroniques de Chine. Le profil de cette école de médecine est troublant et nous rappelle notre papier qui se demandait si la santé avait été transmise aux ingénieurs…
https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/02/notre-sante-livree-aux-ingenieurs/comment-page-1/
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1742706120303305

L’étude espagnole qui montre que malgré toutes les mises en garde, les industriels envoient de l’oxyde de graphène dans le corps humain!

Voici une étude qui témoigne que l’oxyde de graphène est envoyé dans le corps humain par plusieurs voies: les masques, les écouvillons des PCR, et les vaccins. Ce produit toxique que nous pourrions qualifier de poison est non seulement présent dans les masques, mais aussi dans les écouvillons et dans les vaccins. Des chercheurs espagnols ont jeté un gros pavé dans la mare en apportant la preuve de cette présence inquiétante. La chose est édifiante, scandaleuse et très probablement criminelle. Il faut le dire et le faire savoir. Bref, la vidéo est sous-titrée en anglais.



[Ndlr : version doublée en français :]



Le biostatisticien Ricardo Delgado, le Dr José Luis Sevillano et l’équipe de chercheurs et de professeurs avec lesquels le site LA QUINTA COLUMNA ont mené leurs recherches ont confirmé la présence de nanoparticules d’oxyde de graphène dans les flacons de vaccination. Traduit et sous-titré par Orwell City (www.orwell.city).

Merci au site « Ciel voilé » qui nous a remis le document en espagnol.

deteccion-de-oxido-de-grafeno-en-suspension-acuosa.-informe-preliminar-1-dr.-pablo-campra-madrid

Les médias mainstream admettent enfin la présence du graphène dans les masques… pas encore dans les vaccins.

Si votre enfant ne supporte pas le port du masque, c’est dû au fait que celui-ci héberge très probablement des intrus indésirables qui portent le nom de nanoparticules d’oxyde de graphène. (Voir la vidéo ci-dessus). Il y a quelques semaines, les médias mainstream ont dû rendre compte de la présence problématique de nanoparticules d’oxyde de graphène dans certains masques testés. Et ces particules qui sont inhalées ne sont pas neutres en matière de santé. De fait, elles sont hautement dangereuses.

« Tout a commencé cette année au Canada, au Québec précisément, où 30 millions de ces masques FFP2 ont été distribués notamment dans les écoles. Les autorités constatent alors une multiplication de remontées de symptômes qui vont de difficultés à respirer à des irritations de la peau.

BFMTV.com

Fin mars, le ministère de la Santé décide de rappeler tous les masques en circulation qui ont été distribués et émet un avis radical. « Santé Canada conseille aux Canadiens de ne pas utiliser de masques faciaux contenant du graphène, car ils pourraient inhaler des particules de graphène, ce qui pourrait poser des risques pour la santé ».

En avril, un particulier lance même une action collective contre un distributeur. « Les masques en graphène ont été faussement présentés comme sûrs pour les humains, malgré de nombreuses connaissances contraires », peut-on lire dans le libellé de la poursuite déposée par le Groupe de Droit des Consommateurs, cité par Le Journal de Montréal. » 

Dans le cas de l’équipe espagnole on n’a analysé que certains masques. Mais voilà, il y a tous ceux qui ne l’ont pas été et qui continuent d’inonder la place publique, dont les écoles! Et plutôt que de faire retirer ces masques et de laisser les enfants respirer librement, on préfère palabrer sur la question. « Y-a-t-il un vrai risque pour la santé? La question est loin d’être tranchée. Comme tout nanomatériau, le graphène peut présenter des risques, surtout s’il est ingéré ou respiré. Mais on ne sait pas s’il y a un vrai risque d’inhalation par les humains à travers un masque. Les études sont encore en cours. » 

https://www.bfmtv.com/sante/faut-il-interdire-les-masques-ffp2-contenant-du-graphene_AN-202106020283.html

Les « normes qui entourent le graphène ont été établies pour un contexte d’utilisation classique du nanomatériau, c’est-à-dire installé à l’intérieur d’appareils électroniques, pas dans un masque qui est à proximité de la bouche et du nez d’êtres humains. »

https://www.bfmtv.com/sante/faut-il-interdire-les-masques-ffp2-contenant-du-graphene_AN-202106020283.html

Que les études prennent du temps n’est pas un problème, mais que des autorités sanitaires totalement débordées depuis un an ne sonnent pas l’arrêt du port du masque au nom du principe de précaution est un immense scandale!

Et alors que certains produits empoisonnent littéralement les citoyens, on nous tient des discours abracadabrants sur des molécules qui ont soigné depuis des de nombreuses décennies… Nous pensons évidemment aux antibiotiques, à l’Hydroxychloroquine et l’Ivermectine.

HeiQ Materials AG dépose un brevet conjointement avec l’École polytechnique de Zurich (ETHZ). But fabriquer des membranes de graphène

HeiQ, une entreprise zurichoise spécialisée dans les technologies qui rendent les tissus « intelligents », avait développé un traitement antiviral appelé Viroblock, que l’on peut appliquer sur des masques chirurgicaux, des blouses médicales ou des gants. Voici donc le masque qui détruit les virus. Et ce miracle de la technologie est présenté par la société HeiQ en tant qu’outil antiviral pouvant combattre entre autres le Covid-19. Il est donc plus qu’un outil de protection.

Et cette entreprise est associée à l’EPFZ (ETH) dans le cadre d’un brevet qui concerne la fabrication de membranes de graphène:  » La présente invention concerne un procédé de production de membranes poreuses (« trouées ») de graphène qui sont imperméables tout en étant hautement respirantes en raison de la transmission améliorée de la vapeur à travers les pores perforés à l’intérieur des couches de graphène ». Vous pouvez lire le brevet (ou pas) et découvrir l’association qui est faite avec les matériaux (cuivre, argent, etc.)… Et tout ces trésors incluant l’oxyde de graphène sont travaillés à l’échelle nanométrique.

Annexes

Le marché des masques traités anti-virus en plein boom grâce au Covid-19. La société HeiQ Materials AG.

Le port du masque n’est pas près d’être suspendu. Il fait partie de la nouvelle société en cours de transhumanisation.

https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/23/vers-le-port-permanent-dun-masque-connecte-la-maltraitance-morale-de-nos-jeunes-en-question/
https://lilianeheldkhawam.com/2021/01/28/le-masque-premier-pas-vers-le-transhumanisme/comment-page-1/

Les investisseurs se régalent de cette innovation prometteuse de gros sous. De plus, les autorités sanitaires regardent ailleurs, et même vont jusqu’à financer… Un régal financier! 

https://resources.swissquote.com/sites/default/files/2021-02/swi_1_epaper_fr.pdf

Masques et tissus « intelligents » pour désactiver le Covid-19…

Le brevet n’étant pas disponible, il nous est impossible de dire si la société HEIQ, co-détentrice du brevet concernant le graphène (ci-dessus), fabrique ses masques en tissus intelligents avec ou sans graphène…

… et beaucoup d’autres virus

Vous trouverez dans cette vidéo la manière dont fonctionne l’une des inventions qui permet à ces tissus « intelligents » de combattre les virus. Des particules d’argent (nanoparticules ?) vont détruire les virus en les attirant d’abord (effet magnétique ?).




L’Inconstant Martin Blachier, voix de la « Macronie vaccinale »

[Source : iROCBlog]

Par Régis DESMARAIS

Martin Blachier est reparti en mission médiatique. Sa tâche redoutable : convaincre les récalcitrants au vaccin Covid de se faire vacciner. Si l’exercice est amusant par ses contradictions, omissions ou incohérences, il ne doit pas effrayer : on assiste au spectacle redoutable d’une déroute d’un pouvoir trahi par les faits.

La matinale de Radio Classique, haut lieu de la pensée officielle, accueillait, ce lundi 5 juillet 2021, Martin Blachier. Ce personnage, encore jeune, d’allure sportive et un brin Steve Mac Queen (l’acteur) est adulé des médias de masse. Il incarne à la perfection l’ère de la Macronie, c’est-à-dire une ère de décadence et de confusion des savoirs et des valeurs. Dans les propos de Martin Blachier, et dans la durée, tout est instable, contradictoire, péremptoire, changeant, incohérent et à terme nocif, si ce n’est comique quand on a compris la mission du personnage et la pièce dans laquelle il se perd.

Faire « le job »

Ce matin du 5 juillet 2021, Martin Blachier a fait le job, à savoir « vendre » la vaccination obligatoire, faire croire que c’est la seule alternative à cette pandémie aux très faibles taux de mortalité et de létalité. Cet homme qui, il y a peu, affirmait qu’il ne ferait jamais vacciner ses enfants, a déclaré sur les ondes que ceux qui refusaient la vaccination obligatoire étaient soumis à des théories complotistes ! Le journaliste qui interviewait Monsieur Blachier a réagi, fait rare en cette époque, pour dire qu’il ne fallait tout de même pas mettre tout le monde dans le même sac. Il est vrai, Martin Blachier est excessif car il se met lui aussi dans le même sac puisqu’il refuse la vaccination obligatoire pour ses enfants (et à juste titre). On devine qu’il doit être soumis à une théorie complotiste disant que les enfants ne sont pas à risque par rapport à la Covid.

Le Docteur Blachier, médecin en santé publique, qui intervient donc à un niveau macro (une population) et non micro (le malade), affirme donc qu’il n’y rien de nouveau à vouloir imposer une vaccination obligatoire contre la Covid dès lors qu’il y a déjà d’autres vaccins obligatoires et que 3 milliards de personnes se sont fait récemment vacciner et que tout va bien. Si tout va bien pour elles, pourquoi cela irait mal pour vous, remarque Martin Blachier avec une voix teintée d’assurance audacieuse. Dans son élan, M. Blachier va même jusqu’à critiquer les positons du professeur Raoult sur la vaccination car aujourd’hui les gens se laissent aller à exprimer des opinions et rien d’autre. Évidemment, Martin Blachier, dans son ignorance hédoniste, « oublie » que le docteur Raoult se positionne sur l’analyse des faits, des données, les observations des malades, et n’exprime pas des opinions ou des hypothèses basées sur des modèles prédictifs. Martin Blachier oublie l’explosion des déclarations des effets secondaires survenant après la vaccination et le fait qu’en quelques mois de vaccination, les États-Unis présentent plus d’effets secondaires mortels après vaccination qu’en plus de 15 ans, tous vaccins confondus. Les statisticiens, les chiffres et sans doute les morts semblent soumis à des théories complotistes, le complot étant de regarder et de décrire la réalité factuelle…. Étrange tournant de notre civilisation qui choisit de devenir sourde et aveugle.

Le « job » sur le terrain des amalgames et des confusions

Monsieur Blachier  est un avant-gardiste. Il aborde un sujet en mélangeant torchons et serviettes ou plutôt produits en phase d’essai et vaccins testés selon des normes rigoureuses. Faut-il rappeler à Monsieur Blachier que les vaccins actuellement obligatoires en France ont fait l’objet des différentes phases de tests nécessaires et normalisées avant d’être mis sur le marché avec une autorisation de mise sur le marché NON conditionnelle ? Faut-il lui rappeler que les vaccins « anti-covid » sont encore en phase expérimentale et que l’on ne connait pas leurs effets secondaires à moyen et long termes. En fait, on ne connait même pas leur exacte composition et les seules études qui vantent leur efficacité sont celles des fabricants :on n’est jamais aussi bien servi que par soi-même… même si autrefois ces fabricants ont été condamnés à plusieurs milliards de dollars d’amendes pour études frauduleuses sur leurs médicaments ! Martin Blachier connaît-il le Dr R. Malone ? Ce dernier,  inventeur de la technologie du vaccin à ARNm, ne cesse de mettre en garde contre les actuels vaccins mis trop rapidement sur le marché.

Martin Blachier a enfin l’audace de se targuer d’être indépendant. Une fois de plus, nous sommes bien dans l’ère de la Macronie décomplexée, c’est-à-dire une époque où la corruption morale est totale et où les mots, les faits et leur signification n’ont plus aucun sens. Il faut rafraichir la mémoire de Martin Blachier pour que ce dernier se souvienne des avantages financiers perçus de Johnson et Johnson, pour que M. Blachier redécouvre qu’il est consultant pour GileadJanssenIpsen et Lundbeck et que sa société a reçu presque un million d’euros de Big Pharma ! Martin Blachier est invité de toute urgence à consulter la définition du mot indépendance, le job en sera mieux fait car plus crédible …

Un matraquage obscène pour la vaccination

Il est important de rappeler aux lecteurs de couper la télé, la radio et de ne regarder que les pages sports et culture de la presse papier. Actuellement, une campagne obscène et vulgaire  de matraquage pour la vaccination obligatoire est en cours. Obscène car elle repose sur l’intimidation, la stigmatisation et la peur. Le message est simple, les éléments de langage sont connus : le variant Delta est hyper contagieux – on oublie de dire qu’il est hyper peu dangereux et que ses symptômes sont ceux du Rhume -, le confinement à la rentrée est plus que probable si on ne fait rien, ceux qui ne se vaccineront pas seront responsables de la contamination des autres et du déclin économique du pays. Le message est bien rôdé, relativement éculé et d’un cynisme féroce car bâti sur des opinions et des intentions malsaines.

Aujourd’hui beaucoup de gens ont compris que :

  • les problèmes économiques sont induits par des décisions politiques inappropriées et non par la pandémie : sur ce point M. Blachier alterne dans ses interventions entre la dénonciation des confinements et le soutien aux mesures de gestion de la crise sanitaire.
  • la vaccination n’empêche pas d’être contaminé et d’être contaminant et ne protège guère, voire pas du tout, contre les variants (Olivier Véran l’a même écrit dans un mémoire en défense présenté au Conseil d’État). Par ailleurs, la situation épidémique en Israël et au Royaume-Uni montre à quel point la vaccination n’est guère performante. Dans ces pays, une flambée épidémique a lieu au sein de la population vaccinée mais M. Blachier l’ignore.

L’arnaque du « zéro Covid »

La volonté d’imposer la vaccination obligatoire repose sur l’idée qu’il faut éradiquer le Sars-Cov-2 et aboutir au « zéro Covid ». Ainsi, avec 80%, voire 100% de la population vaccinée, il n’y aurait plus de pandémie et plus de contraintes sociales. Hélas, ce type de propos relève de la croyance, d’une religion bâtie autour du dieu vaccin et aussi des approximations de Monsieur Blachier et des autres  « experts » en plateaux télé. En effet, la Covid-19 est une zoonose, c’est-à-dire une maladie qui peut se transmettre des animaux à l’homme. Le variant anglais est sur ce point illustratif de la nature de cette maladie puisqu’il provient d’élevages de visons. De fait, pour atteindre le « zéro Covid », il faudrait vacciner tous les êtres humains mais aussi tous les animaux transmetteurs et poser la double hypothèse que le virus cesse de muter et que le vaccin serait efficace à 100% : folie irréalisable et inconcevable sauf dans les rêves délirants des patrons de Big Pharma qui verraient surgir des milliards de profits en diffusant des milliards de doses pour vacciner tout le règne animal de la planète. Nous sommes dans un « monde de dingues » pour détourner une expression symbolique de M. Macron.

Ayez conscience du spectacle

Pour terminer et donner un peu d’apaisement à ceux qui seraient stressés par les propos délirants de M. Blachier et les injonctions à se faire vacciner : voyez ce qui se passe en Inde (Uttar Pradesh) ou au Mexique : l’Ivermectine a fait quasiment disparaître la phase épidémique dans ces pays.

Blachier3

Le show de Martin Blachier, car c’est un spectacle médiatique, pour rôdé qu’il soit, est désormais éventé, bien connu et sans surprise. Écouter Martin Blachier c’est comme voir la énième suite d’un blockbuster dans lequel s’épuisent des acteurs vieillissants à la recherche d’un ultime cachet. Parfois pathétique mais souvent émouvant de naïveté. Le problème, c’est que le public se lasse et devient, avec le temps et la diffusion des informations, plus exigeant. Les éléments de langage utilisés par M. Blachier se confrontent aux faits, et c’est cruel pour le pouvoir. Désormais, nous assistons presque médusés à une agitation « d’experts » et de « politiques » qui se bousculent sur la scène médiatique comme des acteurs égarés sur une scène de théâtre mais des acteurs qui confondraient la réalité du monde avec ce qui se dit et se passe sur les planches.




Covid-19 : pourquoi les Russes boudent-ils le vaccin Spoutnik V ?

[Source : Le Cri des Peuples]

Il est salué dans le monde entier, efficace, sans effets secondaires et est homologué dans 65 pays, alors pourquoi n’y a-t-il pas davantage de Russes qui se font vacciner au Spoutnik V ?

Suivi de « Poutine : il est hors de question de rendre la vaccination obligatoire »

Par Jonny Tickle

Source : RT, 26 avril 2021

Traduction : lecridespeuples.fr

La défiance historique des Russes envers les vaccins, la propagande nationale et internationale contre les vaccins Covid-19 en général (cf. les effets secondaires graves voire mortels constatés avec AstraZeneca, Pfizer et Moderna) et le Spoutnik-V en particulier, et surtout une absence d’incitation (la Russie a déjà déconfiné, et aucun chantage au retour à la vie normale n’y a jamais été exercé, Poutine ne cessant d’assurer qu’il n’y aura aucune forme d’obligation directe ou indirecte telle que le Pass sanitaire) sont les causes principales de ce désamour pour la  vaccination.

Précision à destination des Européens qui voudraient se faire injecter le vaccin russe, de facto boycotté par l’UE sous la pression de Washington et Big Pharma : le micro-Etat de Saint-Marin, en Italie, propose un tourisme vaccinal assez abordable (il suffit de réserver 2 fois 3 nuits d’hôtel à 25 jours d’intervalle + 50 euros pour s’y faire administrer les deux doses de Spoutnik).

Image
Les 65 pays (3.2 milliards d’habitants au total) qui ont homologué le vaccin russe

En août 2020, la Russie est devenue le premier pays au monde à enregistrer un vaccin contre le Covid-19. Malgré une réputation mondiale favorable et bien méritée de Spoutnik V, l’adoption nationale a été d’une lenteur décevante, mais il y a de nombreuses raisons à cela.

Développé par le centre Gamaleya de Moscou et nommé d’après le tout premier satellite artificiel, Spoutnik V a suscité des applaudissements internationaux, des responsables de la santé et des experts de pays tels que les États-Unis et l’Allemagne saluant les réalisations impressionnantes des scientifiques russes.

Institut d’épidémiologie et de microbiologie, le Centre Gamaleya n’est certainement pas étranger aux avancées scientifiques significatives, avec des succès dans la lutte contre Ebola et le MERS.

Voir Polio, Ebola, Covid-19… : le secret du leadership russe en recherche vaccinale

Le vaccin lui-même a une base solide. En tant que vecteur viral, Spoutnik V est construit de la même manière que les vaccins Oxford-AstraZeneca et Johnson & Johnson, mais contrairement à ces vaccins, aucun effet secondaire significatif n’a été signalé par aucun des dizaines de pays utilisant le vaccin. Notamment, il existe d’importantes différences de composition. Par exemple, Spoutnik V utilise un adénovirus humain, tandis qu’Oxford-AstraZeneca utilise de l’adénovirus de chimpanzé modifié.

Et de plus, Spoutnik V fonctionne. En février, la prestigieuse revue médicale britannique The Lancet a publié des données des scientifiques de Gamaleya montrant que le vaccin est efficace à 91,6%.

De plus, il ne semble pas non plus y avoir de problème d’approvisionnement, en particulier à Moscou et à Saint-Pétersbourg, où les doses sont facilement disponibles. Dans la capitale, il est même possible de se faire vacciner dans le prestigieux centre commercial GUM, sur la Place Rouge, avec vue sur le Kremlin. Cette disponibilité ne se limite pas aux deux capitales. Dans les villes du sud, telles que Krasnodar et Sotchi, on peut facilement se faire administrer le vaccin dans les centres commerciaux.

Voir Covid-19 : derrière l’illusion du choix, le ‘passeport sanitaire’ peut rendre la vaccination obligatoire

Cependant, au lundi 26 avril, selon la Première ministre Tatyana Golikova, seulement 5% (7 500 000 personnes) de la population russe avaient été entièrement vaccinés, un chiffre nettement inférieur à celui observé aux États-Unis et au Royaume-Uni, qui ont mis plus de temps pour approuver un vaccin. La proportion de Russes vaccinés est encore plus faible que celle de la France et de l’Allemagne, deux parties de l’Union européenne qui ont connu d’énormes ratés au début de leur programme de vaccination.

Covid doses administered 29-5-21
Covid doses administered 29-5-21 2
Chiffres de la population totalement vaccinée au 29 mai 2021, selon les données de ourworldindata, pour les USA, le Royaume-Uni, la France et la Russie. On voit que si, en valeur absolue, la population russe totalement vaccinée est légèrement supérieure à celle de la France, en valeur relative, elle est moitié moindre.
1 Covid dose administered 29-5-21 2
1 Covid dose administered 29-5-21
Chiffres de la population ayant reçu au moins une dose de vaccin au 29 mai 2021.

Contrairement à l’UE, le manque de personnes vaccinées contre le Covid-19 ne semble pas être dû à une pénurie de doses – du moins tant que la demande de vaccin reste faible. Selon le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, le pays n’a eu aucun problème à vacciner les personnes qui le souhaitent, mais la demande « laisse beaucoup à désirer ».

Alors, pourquoi le succès très médiatisé du vaccin russe s’est-il terminé avec si peu de citoyens voulaient recevoir le vaccin ?

Voir Malgré le désastre sanitaire et la pénurie, l’UE continue de snober le vaccin russe

Scepticisme vis-à-vis des vaccins

Le facteur le plus important, du moins selon les données de sondages disponibles, semble être le manque de confiance dans les vaccins en général.

Dans un article publié en mars, une étude de la banque d’investissement suisse Crédit Suisse a révélé que la Russie se classait à la dernière place sur huit pays sélectionnés, avec environ 30% de ses habitants souhaitant se faire vacciner contre le Covid-19. Ce chiffre est bien en deçà des pays en développement tels que la Chine, l’Inde et la Thaïlande, où plus des quatre cinquièmes ont déclaré qu’ils étaient prêts à se faire vacciner.

Ces résultats sont globalement similaires au sondage de février d’une autre société, le Levada Center, qui a révélé que seulement 30% des Russes étaient intéressés par Spoutnik V, tandis que 62% étaient totalement contre l’idée de se faire vacciner, et que seuls 4% l’avaient déjà fait. Le Centre Levada est enregistré en tant qu’agent étranger par le ministère russe de la Justice.

Les conclusions du Crédit Suisse sont cohérentes avec ses précédentes enquêtes, qui ont également révélé que moins de la moitié des Russes font confiance aux vaccins nationaux (38% en janvier 2021).

Et ce ne sont pas seulement les vaccins auxquels les gens ne semblent pas croire. Selon Vadim Pokrovsky de l’Académie des sciences de Russie, les citoyens ont très peu confiance en tout ce qui est approuvé par le gouvernement.

« Il y a des gens qui s’opposent complètement à la vaccination, pas seulement au vaccin contre le Covid-19 », a déclaré Pokrovsky au quotidien moscovite Gazette. « D’autres personnes, en particulier celles qui ont été élevées pendant l’Union soviétique, sont instinctivement méfiantes si elles pensent que l’État fait activement la promotion de quelque chose. »

Cependant, comme le rapport du Crédit Suisse l’a également noté, certains ont fait valoir que le moment et les circonstances entourant l’approbation de Spoutnik V pourraient également avoir joué un rôle dans la réduction de la confiance de la population dans le vaccin russe.

L’enregistrement de Spoutnik V a été révélé par le président Vladimir Poutine le 11 août de l’année dernière. S’exprimant à la télévision, il l’a qualifié de « moment important pour le monde entier » et a rassuré les Russes sur le fait que cela fonctionne « plutôt efficacement » et qu’il « a passé toutes les inspections nécessaires ». Même sa fille a déjà été vaccinée, a-t-il révélé.

Cependant, à ce stade, la formule approuvée n’avait pas encore passé son essai de phase trois. Cela a conduit Moscou à être accusé de brûler les étapes pour déployer le vaccin plus rapidement que d’habitude, en sautant une partie vitale du processus.

Alors que les résultats des phases un et deux avaient été extrêmement positifs, l’absence d’une troisième série de tests était source de préoccupation et a été critiquée par certains scientifiques occidentaux comme une « décision imprudente et insensée » et un « coup politique ».

En particulier, aux États-Unis, le directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses du pays, Anthony Fauci, a exprimé « de sérieux doutes » qu’un vaccin « sûr et efficace » aurait pu être produit après avoir été testé sur moins de 100 personnes.

Voir Face à l’annonce par la Russie d’un vaccin contre le Covid-19, les médias basculent dans le camp des anti-vaccins

Cependant, une fois finalement réalisés, les résultats intermédiaires de la phase III ont montré une efficacité de 91,6%. Bien que cela ait convaincu de nombreux experts, y compris le Dr Fauci, les Russes n’étaient pas entièrement convaincus. Les données positives, publiées en février, n’ont toujours pas eu l’effet souhaité d’améliorer massivement la confiance dans le vaccin.

Poutine n’a pas été vacciné tôt, et certains doutent qu’il ait été vacciné du tout

Contrairement aux gouvernements de nombreux autres pays, le Kremlin a été beaucoup moins énergique dans ses efforts pour encourager les citoyens à se faire vacciner. L’exemple le plus frappant en est le refus du Président Poutine de se faire vacciner publiquement.

En décembre, le porte-parole de Poutine, Dmitri Peskov, a révélé que le retard était dû à « l’attente que toutes les formalités soient accomplies », comme l’essai de phase III, ayant précédemment noté qu’il « ne pouvait pas utiliser un vaccin non certifié ».

Lorsque Poutine a finalement décidé de recevoir le vaccin, le 23 mars, il a pris la décision inattendue de choisir de le faire en privé. D’autres dirigeants, tels que le britannique Boris Johnson, l’Ukraine Volodymyr Zelensky et l’américain Joe Biden, ont tous reçu leurs injections devant les caméras.

Voir En rejetant le vaccin russe, l’UE fait primer l’idéologie sur la santé publique

La décision du Président de ne pas faire de sa vaccination un événement public, et son refus de nommer le vaccin qu’il a reçu, ont conduit à toute une série de théories du complot, certains allant même jusqu’à suggérer qu’il aurait reçu un vaccin étranger au lieu d’un vaccin russe. D’autres disent qu’il n’a même jamais été immunisé du tout, tant de folles rumeurs constituant du carburant supplémentaire pour une population déjà sceptique à l’égard des vaccins. Cependant, le Kremlin a déclaré que sa réticence à préciser le vaccin utilisé était d’éviter de faire preuve de favoritisme à l’égard d’un des trois vaccins produits dans le pays.

Cela s’est encore compliqué lorsque Peskov a expliqué que Poutine n’aimait pas l’idée de « vaccination devant les caméras » pour ne pas « singer » les autres dirigeants, malgré le fait que son torse nu ait déjà été vu à la télévision à plusieurs reprises. La présidence russe a également souligné que ce genre de publicité n’était pas convaincant pour les sceptiques, soulignant qu’à un tel niveau, il serait facile de se faire injecter tout autre chose qu’un vaccin anti-Covid-19.

640x410_ministre-sante-sports-roselyne-bachelot-fait-vacciner-contre-grippe-lors-visite-centre-vaccination-14e-arrondissement-paris-12-novembre-2009
En 2009, Bachelot avait-elle vraiment reçu le vaccin contre la grippe A ou une simple solution saline inoffensive ? 94 millions de doses avaient été achetées face au prétendu fléau de la grippe H1N1, permettant surtout aux laboratoires de se gaver… Face à la commission d’enquête, Bachelot avait déclaré « Les liens d’intérêt ne sont pas forcément des conflits d’intérêt », nouveau « Responsable mais pas coupable ».

Un jour après que Poutine a reçu son injection de rappel, Peskov a affirmé que l’exemple personnel du Président serait « mobilisateur » et entraînerait « un effet très positif ». Selon le portail en ligne gogov, un agrégateur non officiel, le nombre quotidien de personnes recevant leur première injection a considérablement augmenté depuis que le Président a été vacciné, passant de 61 563 le 23 mars à 184 151 le 23 avril. On ne peut qu’imaginer à quel point cela aurait pu être amplifié si Poutine avait été vacciné plus tôt, et devant les caméras.

Désinformation et presse négative

À l’instar du déploiement du vaccin Covid-19 dans de nombreux autres pays, la campagne russe a été entachée d’énormes quantités de désinformation, à la fois en ligne et dans les médias grand public.

À la télévision, certains programmes se sont concentrés sur les inconvénients potentiels de la vaccination. Des histoires effrayantes, en particulier concernant les vaccins étrangers, ont souvent figuré en bonne place sur les chaînes d’information. En particulier, plus tôt dans l’année, les médias ont fréquemment rapporté le nombre de décès suite à la vaccination par le vaccin AstraZeneca, de fabrication occidentale, en particulier ceux liés aux caillots sanguins.

Avant son déploiement, le programme Vesti Nedeli sur Channel Russia 1 a surnommé l’AstraZeneca un « vaccin de singe » (référence à son adénovirus de chimpanzé), une description qui a certainement pu inquiéter un public déjà sceptique face aux vaccins. Ce propos a été condamné dans les médias étrangers, notamment dans le journal britannique The Times, qui affirmait que « les Russes » diffusaient de fausses informations sur le vaccin. En réponse, l’ambassade de Russie à Londres a qualifié le rapport du journal de « désinformation ».

Si les effets secondaires et décès de Pfizer / Moderna étaient rapportés aussi régulièrement que ceux (bien moindres) d’AstraZeneca, qui voudrait encore se faire vacciner ?

Il y a également eu beaucoup de désinformation sur le Spoutnik V de la Russie. En particulier, sur les réseaux sociaux tels que Vkontakte, WhatsApp et TikTok, les théories du complot sur les dommages potentiels causés par le vaccin se sont généralisées.

Sur Telegram, des chaînes comme « Sorok Sorokov » ont promu le contenu anti-vax, qualifiant Spoutnik V d’ « anti-humain » et « incluant une lignée cellulaire créée sur les cellules d’un enfant assassiné ». La chaîne partage régulièrement des vidéos et des citations de sceptiques sur les vaccins, dénichant et republiant des articles de quiconque note une légère inquiétude au sujet des vaccins.

Pour les jeunes, le site Web le plus dangereux pour les fausses informations est TikTok. Populaire auprès des jeunes Russes, le site Web est inondé de mensonges et de fausses déclarations. Cependant, s’adressant au média DW, financé par l’État allemand, la société a assuré qu’elle n’autorisait pas le contenu anti-vaccination.

Selon Alexandra Arkhipova, anthropologue et chercheuse principale à l’Université RANEPA, les Russes ont été inondés de désinformation sur des complots, tels que des rumeurs selon lesquelles « des personnes se font piquer ou se faire injecter quelque chose de dangereux sous le couvert de la vaccination ».

En fait, la situation avec les reportages des médias sur Spoutnik V a même atteint un point où le bureau du Procureur général a commencé à bloquer activement les sites « contenant de fausses informations sur le coronavirus et le puçage obligatoire des personnes. »

Voir Moscou : en boycottant le vaccin russe, Macron mène une « guerre contre son propre peuple »

Manque d’incitation

Un autre facteur affectant le déploiement du vaccin est un simple manque de motivation des Russes à prendre le temps de se rendre dans une clinique. Bien que le pays ait connu un confinement sévère au printemps 2020, les restrictions ont été assouplies depuis le déploiement massif du programme de vaccination en janvier de cette année. Étant donné que les restaurants, bars et boîtes de nuit sont ouverts, beaucoup de gens n’ont pas ressenti le besoin de recevoir le vaccin, n’ayant aucune incitation à obtenir une quelconque liberté supplémentaire en échange.

https://twitter.com/StephanMarie11/status/1398334003065798658

De plus, alors que certaines personnes dans d’autres pays se font vacciner avant de potentielles vacances d’été, la taille immense de la Russie signifie que les citoyens peuvent facilement se rendre à la plage ou dans une grande ville pour passer des vacances dépaysantes sans quitter le pays. Les vols à l’intérieur de la Russie fonctionnent comme d’habitude, certaines compagnies aériennes utilisant leurs avions excédentaires – généralement utilisés pour les liaisons internationales – pour emmener plus de personnes vers des stations balnéaires populaires telle que celle de Sotchi.

Pour ceux qui ont déjà eu le Covid-19, on pense également qu’il n’est pas nécessaire de se faire vacciner. Selon le maire de Moscou, Sergueï Sobianine, environ 50% des Moscovites avaient des anticorps contre le coronavirus il y a cinq mois, un chiffre qui devrait être beaucoup plus élevé en avril 2021.

Et après ?

À l’intérieur du Kremlin, les responsables commencent peut-être à s’inquiéter du manque de Russes qui choisissent de se faire vacciner. Outre l’admission de Peskov selon laquelle la demande « laisse beaucoup à désirer », Poutine semble également amplifier son message pro-vaccin. Mercredi, lors de son discours annuel à l’Assemblée fédérale, le Président a utilisé sa plate-forme nationale, en direct à la télévision, pour exhorter les Russes à se faire vacciner.

« La vaccination est d’une importance cruciale », a-t-il déclaré aux responsables réunis. « L’opportunité de prendre le vaccin doit être disponible partout, afin que nous obtenions la prétendue immunité collective d’ici l’automne. »

« La réalisation de cet objectif dépend de tout le monde, de tous nos citoyens. Je vous en prie, je demande une fois de plus à tous les citoyens russes de se faire vacciner. »

Voir Covid-19 : pourquoi le vaccin russe est plus fiable que ses concurrents occidentaux

À l’approche de l’été, le Kremlin voudra utiliser le temps chaud et la baisse des chiffres d’infection pour faire vacciner davantage de personnes afin d’éviter une nouvelle troisième vague dévastatrice à l’automne. Tant que le pays peut fournir les approvisionnements pour répondre à la demande, il peut empêcher toute nouvelle catastrophe. Cela dépend simplement du bon vouloir des gens.


Poutine : il est hors de question de rendre la vaccination obligatoire

Réunion sur les questions économiques

Le Président a tenu une réunion, par vidéoconférence, pour discuter de la situation économique actuelle en Russie, le 26 mai 2021.

Source : en.kremlin.ru

Traduction : lecridespeuples.fr

Vidéo

Transcription :

[…] L’épidémie de coronavirus a souligné l’importance et la signification absolues de notre travail principal (en tant que gouvernement) : protéger les gens, assurer la vie et la santé de nos citoyens.

Maintenant que les restrictions sont assouplies et que l’économie se redresse, les entreprises et les organisations rétablissent leurs modes de travail habituels. La saison des vacances d’été est proche. Tout cela signifie que les gens se connectent davantage les uns aux autres et visitent les lieux publics. Dans ces conditions, il est très important de réduire systématiquement les risques de propagation du virus. Et à cette fin, comme je l’ai dit plus d’une fois, il est nécessaire de parvenir à ce que l’on appelle l’immunité collective.

La vaccination complète est le moyen le meilleur et le plus civilisé de réaliser cette tâche, comme le disent les experts à la fois dans notre pays et dans le reste du monde.

Je sais que les gens expriment des opinions différentes sur cette question. Certains d’entre eux soutiennent le fait de rendre la vaccination anti-coronavirus obligatoire. Certains pensent que celle-ci devrait être imposée à l’ensemble de la population du pays, tandis que d’autres pensent en termes de certaines professions, celles qui entrent en contact avec de nombreuses personnes en raison de leur travail. Ce dernier groupe comprend les personnes travaillant dans la vente, la restauration publique, les institutions médicales, éducatives et sociales, etc.

Je voudrais à nouveau exprimer ma position à ce sujet. Je pense que la vaccination obligatoire est inopportune et ne devrait pas être introduite. Les gens doivent se rendre compte par eux-mêmes de la nécessité de se faire vacciner. Ils doivent comprendre que s’ils ne le font pas, ils pourraient faire face à un danger très grave et même mortel. Cela s’applique principalement aux personnes âgées.

Je voudrais insister à nouveau et faire appel à tous nos concitoyens : veuillez y réfléchir sérieusement. Rappelez-vous que le vaccin russe, comme le montre la pratique de son utilisation des millions de fois (dans le monde), est le plus fiable et le plus sûr aujourd’hui, et que les conditions de vaccination ont été créées dans ce pays. Permettez-moi de répéter que sur la base de l’utilisation de ce vaccin des millions de fois, les spécialistes constatent qu’il ne nuit pas à la santé des gens ni ne provoque de graves complications. Il protège vraiment les gens de la menace d’infection ou prévient une forme grave. Les spécialistes, les scientifiques disposent d’informations fiables et démontrées sur cette question. Nous devons faire confiance à leur opinion professionnelle et les écouter. Ceci est directement lié à la situation économique et sociale, comme nous pouvons le voir d’après l’expérience de l’année écoulée. Mais ce n’est pas le point principal ; c’est très important, mais pas l’aspect le plus important. La santé passe avant tout. Veuillez y réfléchir en ces termes. […]




La conspiration des imbéciles

Par Alain Nicolaï

[Illustration : De haut en bas et de gauche à droite quelques participants du complot avec le badge de l’Agenda 2030 de l’ONU :
►Enrico Giovannini, Ministre de l’Infrastructure, Italie.
►Boris Johnson, Premier ministre du Royaume-Uni.
►Tédros Addhamon Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS.
►Bill Gates, Fondation Bill et Mélinda Gates.
►Emmanuel Macron, Président de la République française.
Merci à Maurizio Blondet, https://www.maurizioblondet.it]

Le site Lifesite a publié le 1er juillet 2021 un article détaillant une publication tirée du site internet du Forum Économique Mondial (Forum de Davos) un des sites quasiment officiels de la finance et du nouvel ordre mondial qui a sorti l’an dernier son plan machiavélique pour l’avenir de la planète « The Great Reset » calqué en grande partie sur l’agenda 2030 de l’ONU.

Voici le lien de l’article original publié par le FEM qui vous permettra de vous rendre compte que les termes et les propos du FEM ont été parfaitement respectés par le journaliste de LifeSiteNews
(https://www.weforum.org/agenda/2021/06/3-tactics-to-overcome-covid-19-vaccine-hesitancy/).

Ci-dessous la première partie de l’article uniquement consacré à ce que propose le Forum Économique Mondial pour encourager la population à se faire vacciner.

Article de Michael Haynes publié sur LifeSiteNews le 1er juillet 2021

« Surmonter l’hésitation, la procrastination et le rejet du vaccin COVID-19 » est « le plus grand défi de communication marketing de notre vie », a déclaré récemment un article sur le site Web du Forum économique mondial (WEF).

L’article a été rédigé par trois professionnels du marketing : Rohit Deshpandé, professeur de marketing Sebastian S. Kresge à la Harvard’s Business School ; Ofer Mintz de l’Université de technologie de Sydney; et Imram Currim, professeur de marketing à la Paul Merage School of Business, Université de Californie, Irvine.

Les chercheurs veulent utiliser la psychologie pour promouvoir les vaccins, en notant comment les clients prennent des décisions dans un processus de réflexion, de ressenti et d’action. L’ensemble du processus est répliqué lorsqu’un individu doit décider de recevoir une injection de COVID-19, ont déclaré les auteurs.

Le groupe avait mené des recherches sur la façon de lutter contre ce qu’ils ont décrit comme un « problème de demande » pour les injections de COVID, l’offre dépassant la demande. Cela les a amenés à suggérer « de créer et de mettre en œuvre de telles solutions pour informer, persuader et convaincre les segments de clientèle d’agir, et nous pensons que ce type d’approche pourrait également stimuler les efforts de communication sur le vaccin COVID-19 »

Alors que l’accent a été mis sur la promotion de la troisième partie de ce processus – le « faire » ou l’événement de vaccination lui-même – le groupe a déploré le fait que beaucoup de travail était encore nécessaire pour convaincre réellement ceux décrits comme « le vaccinateur procrastinateur, hésitant et populations de rejet.

Afin de convaincre ce segment de la population, « nous devons nous concentrer sur les étapes de « penser » et de « ressentir » de la prise de «décision», ont déclaré les experts en marketing.

À ce titre, Deshpandé, Mintz et Currim ont élaboré trois recommandations « pour éradiquer les hésitations vaccinales ».

Connaissance et désinformation

Les trois auteurs ont appelé à une campagne contre la « désinformation » sur le vaccin, expliquant comment aborder la façon dont les gens pensent du vaccin. Notant que beaucoup de ceux qui hésitaient à propos de l’injection pensaient qu’elle était « précipitée, avec des effets secondaires sous-déclarés », le groupe a suggéré une politique de confrontation directe avec ces personnes.

« Cela peut être résolu par les dirigeants locaux qui contactent et éduquent de manière proactive les sceptiques via des médias tels que les appels téléphoniques, le publipostage, la télévision, les panneaux d’affichage et les canaux numériques. »

Cela seul n’a cependant pas été jugé suffisant : des « approches plus affirmées » ont été demandées dans la lutte contre la soi-disant « désinformation sur les vaccins, en particulier sur les réseaux sociaux ». Pour ce faire, une « formation et un financement » devraient être fournis pour aider les professionnels de la santé ou les groupes à but non lucratif.

La guerre des sentiments

Ceux qui se sont opposés à l’injection ont de forts sentiments contre elle, ont déclaré les trois auteurs, et en tant que tels, « l’utilisation de sources d’informations auxquelles ces personnes ont confiance pourrait améliorer leurs sentiments à propos du vaccin ».

Dans ce contexte, le WEF a énuméré les « prestataires médicaux, les dirigeants politiques et religieux », mais a également souligné l’importance des « communautés ».

Les trois auteurs ont suggéré une forme d’alarmisme émotionnel à utiliser contre les « sceptiques vis-à-vis des vaccins ». « Une autre façon d’améliorer les sentiments des sceptiques vis-à-vis des vaccins est de jouer sur la peur de manquer (FOMO), à la fois socialement et économiquement », a écrit le groupe.

Promotion incessante du vaccin

La dernière étape concerne la disponibilité pratique du vaccin, car les auteurs lui ont présenté une série de suggestions à la population.

« Les incitations peuvent fonctionner », ont-ils écrit. Les entreprises et les États pourraient lancer un programme d’incitation aux vaccins en « fournissant des congés payés, des produits gratuits et des cadeaux de loterie ».

Certaines des suggestions du WEF ont déjà été mises en œuvre dans un certain nombre d’États. Le gouverneur de New York Andrew Cuomo (D) a offert un billet de loterie « vax and scratch » gratuit avec un jackpot de 5 millions de dollars. Les billets coûtent généralement 20 $.

Le gouverneur républicain de l’Ohio, Mike DeWine, a offert aux résidents de son État la chance de gagner 1 million de dollars pour se présenter pour un vaccin COVID, tandis que les résidents de Virginie-Occidentale de moins de 35 ans recevront un bon d’épargne de 100 $ pour se faire vacciner.

« Nous pensons que l’application de l’approche centrée sur le patient « penser – ressentir – faire » au problème de communication du vaccin COVID-19 améliorera les efforts visant à accélérer l’immunité collective mondiale », ont écrit Deshpandé, Mintz et Currim. « Assurer une réouverture et une reprise économiques sûres et surmonter cet important défi sanitaire et économique pourraient dépendre de telles tactiques. »


Constat

Sans rentrer dans les détails techniques plus complexes, il s’avère que :

  1. tous ces produits n’ont obtenu qu’une mise sur le marché conditionnelle.
    https://professionnels.vaccination-info-service.fr/FAQ/Repondre-aux-questions-sur-la-vaccination-COVID/Qu-est-ce-qu-une-autorisation-de-mise-sur-le-marche-conditionnelle
  2. aux USA, aucun de ces produits n’a pas été approuvé par la Food Drug Administration. Celle-ci poursuit ses investigations et donnera son avis en 2021 ou en 2022.
  3. tous ces produits sont injectés chez les humains alors que la phase III, phase d’expérimentation chez les animaux, était en cours. Les phases IV et V (phase clinique) obligatoires pourtant pour tous les vaccins ont été supprimées, violant ainsi tous les principes légaux et de précautions.
  4. ceux qui se font injecter ces produits dans le corps signent avant une décharge exemptant le fabricant qui l’a conçu de toute poursuite. Ce qu’il faut savoir aussi, c’est que la composition de ces injections n’est pas portée à la connaissance des patients.

Conclusion

Ce qu’ils appellent désinformation est en fait de l’information que les médias à leurs ordres censurent.

Ce qu’ils appellent hypocritement marketing n’est en fait que de la propagande. Propagande encore plus pernicieuse que celle que notre pays a connue sous la botte allemande. Plus pernicieuse, puisque nos ennemies n’ont pas d’uniformes, mais se font passer pour d’authentiques républicains qui défendent nos intérêts. Sournoise, puisqu’une grande partie de la population fait confiance aux injonctions des autorités politiques relayées à longueur de journée par les médias, ne réfléchit plus, mais suit un mouvement qui vient d’en haut.

Vous ne remarquez pas ce bourrage de crâne incessant ? Vous ne trouvez pas suspects ces spots publicitaires de Santé France payés par vos impôts et qui vous poussent à vous faire injecter des solutions dont vous ne connaissez même pas la nature, mais qui vous rendront soi-disant libres ?

Braves gens, sachez que maintenant il est prouvé qu’il existe d’autres solutions très efficaces pour guérir du covid19, comme l’ivermectine ou le protocole Raoult bien appliqué. Ces traitements ont sauvé de nombreuses vies notamment en Afrique et aux Indes, mais actuellement ils n’en ont que pour la vaccination.

Vous devez comprendre que les variants dont le gouvernement et les médias vous serinent, tôt ou tard, entraîneront des rappels, « des mises à jour. »

Un point capital, qui devrait vous interpeller : avez-vous entendu depuis le début de l’épidémie en 2020 sur les chaînes publiques ou privées, au Parlement, au Sénat… d’honnêtes débats contradictoires comme l’exige impérativement la démocratie ? Cette absence de dialogue est extrêmement révélatrice de l’émergence d’un système dictatorial. (Voir le lien 3)

Réalisez une fois pour toutes que l’on vous trompe, que l’on vous prend pour des imbéciles. Ne restez pas là sans rien faire, mais ne cherchez pas à attaquer en justice Pfizer, Moderna… Ils sont couverts. Non. Mais attaquez en justice les membres du gouvernement qui vous ont sciemment amenés dans ce traquenard, et les hauts fonctionnaires qui ont suivi aveuglément les ordres, même s’ils étaient contraires à la déontologie. Leur pouvoir est temporel et ils en ont abusé sans vergogne. La roue tourne, ils ne pourront pas éternellement fuir leurs responsabilités. De nombreux collectifs d’avocats vous attendent. Certains ont près de 70000 membres. Comme beaucoup de choses censurées actuellement, vous n’en avez sans doute jamais entendu parler. Deux  adresses email de collectifs parmi ceux qui reçoivent encore des adhérents : reaction19fr@gmail.com et contact@mysmartcab.fr

Définitivement, il faut leur faire comprendre qu’en France il y a des lois et que l’on n’est pas au Far West.

Ils se croient intouchables, ils vont sentir leur douleur…

Compléments

  1. https://nouveau-monde.ca/nous-sommes-en-guerre-ou-linversion-de-toutes-les-valeurs/
  2. Vaccination Covid-19 – Dernier avertissement par le dr Vanden Bossche | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation
  3. https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-dr-amine-umlil-defie-olivier-veran-de-venir-debattre-contre-lui-sur-un-plateau



Inde : condamnation à mort possible pour la scientifique de l’OMS après avoir déconseillé l’Ivermectine

[Source : lemediaen442.fr]

L’Indian Bar Association (IBA) a poursuivi la scientifique en chef de l’OMS, Mme Soumya Swaminathan, le 25 mai, l’accusant dans un mémoire en 71 points d’avoir causé la mort de citoyens indiens en les induisant en erreur au sujet de l’ivermectine. Il y a également une notification juridique mise à jour le 13 juin 2021.

Le point 56 stipule : « Que votre avis trompeur sur l’application Twitter du 10 mai 2021 contre l’utilisation de l’ivermectine a eu pour effet que l’État du Tamil Nadu a retiré l’ivermectine du protocole le 11 mai 2021, juste un jour après que le gouvernement du Tamil Nadu a indiqué la même chose pour le traitement des patients atteints du Covid-19.»

Si un procès en Inde déclare la scientifique en chef de l’OMS, Dr Soumya Swaminathan, coupable, alors elle pourrait être soit condamnée à mort, soit à la prison à perpétuité.

Le gouvernement du Tamil Nadu a publié de nouveaux protocoles de traitement pour les patients atteints du Covid-19 qui excluent l’utilisation de l’ivermectine, laquelle avait été incluse dans une version précédente.

Les nouveaux protocoles décrivent trois catégories de patients atteints du Covid-19 en fonction du niveau de soins dont ils ont besoin : soins à domicile, soins primaires et soins pré-hospitaliers. Les tests permettant de déterminer la catégorie à laquelle appartient un patient sont la saturation en oxygène (SpO2) et la fréquence respiratoire.

L’avocate Dipali Ojha, avocate principale de l’Association du Barreau indien, a menacé de poursuites pénales Mme Swaminathan « pour chaque décès » causé par ses actes de commission et d’omission. L’acte d’accusation précise que Mme Swaminathan a usé de sa position d’autorité sanitaire pour modifier l’ordre du jour en faveur de l’industrie des vaccins.

L’ivermectine est un médicament bon marché qui est prescrit comme antiparasitaire et qui gagne en popularité pour prévenir le Covid-19. L’OMS et la FDA n’approuvent pas l’ivermectine, mais de nombreux médecins et scientifiques pensent que l’ivermectine est efficace. Les États indiens qui ont utilisé l’ivermectine ont obtenu de bien meilleurs résultats et beaucoup moins de décès liés au Covid que les États indiens qui ne l’ont pas utilisé.

Dr. Soumya Swaminathan de l'OMS

Parmi les exemples les plus importants figurent les régions de Delhi, Uttar Pradesh, Uttarakhand et Goa où les cas ont chuté de 98 %, 97 %, 94 %, et 86 %, respectivement.

En revanche, le Tamil Nadu n’a pas opté pour l’ivermectine. En conséquence, les cas ont monté en flèche et ont atteint le plus haut niveau en Inde. Les décès au Tamil Nadu ont décuplé.

Dans un test de plus de 4 000 personnes en Inde (plus de 3000 avec Ivermectine et plus de 1000 sans Ivermectine). Résultats : 2 % des personnes qui prenaient de l’ivermectine ont eu un test de PCR positif au Covid-19 et 11,7 % des personnes qui n’en prenaient pas ont eu un test PCR positif. Les gens ont reçu deux doses de 21 mg d’ivermectine pour moins d’un centime d’euro par personne.

Des accusations précises ont notamment été portées contre l’ivermectine dans le cadre d’une campagne de désinformation et de déclarations dans les réseaux sociaux visant à influencer à tort le public contre l’utilisation de l’ivermectine, et ce, malgré l’existence de grandes quantités de données cliniques démontrant son efficacité dans la prévention et le traitement du Covid-19.

Le mémoire du Barreau indien fait référence en particulier aux publications examinées par les pairs et aux données probantes compilées par le groupe Front Line Covid-19 Critical Care Alliance (FLCCC) de dix membres et le groupe British Ivermectin Recommendation Development (BIRD) de 65 membres.

Ce panel est dirigé par le Dr Tess Lawrie, consultant de l’OMS et expert en méta-analyse.

Indian Bar Association et l'OMS

Dans son mémoire, le procureur des États-Unis, Ralph C. Lorigo, a cité des cas à l’hôpital de New York où des ordonnances du tribunal étaient nécessaires pour que les patients mourants du Covid-19 reçoivent de l’ivermectine. Dans de nombreux cas, après avoir reçu l’ivermectine ordonnée par le tribunal, des patients comateux se sont rétablis.

L’avocat Ojha a accusé l’OMS et le Dr Swaminathan — dans les points 60 et 61 — d’avoir induit en erreur le peuple indien tout au long de la pandémie, du port de masques à la disculpation de la Chine quant aux origines du virus.

« L’Association du Barreau indien a prévenu d’une action intentée en vertu de l’article 302 du Code pénal indien contre le Dr Soumya Swaminathan et d’autres personnes, pour le meurtre de chaque personne décédée en raison de l’obstruction dans le traitement du Covid-19 par Ivermectin. La peine prévue à l’article 302 du Code pénal indien est la peine de mort ou l’emprisonnement à perpétuité. »

L’ivermectine, utilisée à Delhi à partir du 20 avril, a anéanti la crise du Covid-19. Les cas ont chuté de 97 % en six semaines. L’erreur fatale aurait été de ne pas utiliser l’ivermectine. Ils l’ont utilisé et cela a sauvé Delhi. Malheureusement, le Tamil Nadu ne l’a pas fait et l’État a été dévasté. Les nouveaux cas y sont passés de 10 986 à 36 184, soit trois fois plus. Le refus du Tamil Nadu d’utiliser l’ivermectine lui a nui. Non seulement les cas ont atteint un sommet en Inde, mais les décès ont grimpé en flèche, passant de 48 le 20 avril à 474 le 27 mai, soit dix fois plus.

-Source : India Could Sentence WHO Chief Scientist to Death for Misleading Over Ivermectin and Killing Indians (24 juin 2021)
– Traduit par Tanguy pour Le Média en 4-4-2




Maddie de Garay, 12 ans, en fauteuil roulant à cause du vaccin Pfizer

[Source : lemediaen442.fr]

On dit souvent que ça n’arrive qu’aux autres jusqu’au moment où cela nous arrive. C’est ce qui s’est passé pour Stéphanie de Garay, la mère de Maddie. Le sénateur Ron Johnson a recueilli le lundi 28 juin dans le Milwaukee, les témoignages de vaccinés qui subissent de graves effets secondaires. Celui de Maddie est particulièrement émouvant, à douze ans elle se retrouve dans un fauteuil roulant et sa maman est totalement désemparée « Pourquoi n’est-elle pas revenue à la normale ? Elle allait parfaitement bien avant cela… », a déclaré Stéphanie de Garay.

En larmes, la mère de Maddie a déclaré que sa fille était allée aux urgences neuf fois et qu’elle avait été hospitalisée trois fois. « Tout ce que nous voulons, c’est que Maddie soit vue, entendue et crue, parce qu’elle ne l’a pas été. Et nous voulons qu’elle reçoive les soins dont elle a désespérément besoin, afin qu’elle puisse revenir à la normale. »

Maddie de Garay était ravie de faire partie de l’essai du vaccin Covid. Ses parents sont en médecine et en ingénierie et voulaient que leurs enfants aident à mettre fin à la pandémie. Mais maintenant, Maddie est en fauteuil roulant et a besoin d’une sonde d’alimentation. Ils veulent qu’on la croie.

D’autres témoignages ont également été entendus par le sénateur Johnson — républicain — pour faire part de leurs histoires après avoir reçu un vaccin Covid-19. Comme Kristi Dobbs, une hygiéniste dentaire du Missouri : «C’est comme si vous aviez un petit choc électronique qui parcourait votre corps, comme si vous étiez coincé dans une chaise vibrante, comme collé dedans, et ça ne s’arrête jamais. J’ai des tremblements dans les mains qui m’ont fait douter de pouvoir à nouveau exercer mon métier d’hygiéniste. Et je crains tellement d’avoir un problème neurologique après cela, comme la maladie de Parkinson. »

Brianne Dressen,  une enseignante du préscolaire de l’Utah, qui s’est portée volontaire pour l’essai du vaccin AstraZeneca : « Nous sommes les dommages collatéraux de la pandémie. Comme vous pouvez le voir, je me rétablis. Je peux marcher, le contact de la main de mon petit fils ne me donne plus l’impression de brûlure. »

L’ancien joueur des Green Bay Packers, Ken Ruetggers, a déclaré que sa femme Sheryl Ruetggers souffrait toujours de réactions neurologiques graves, notamment des douleurs musculaires, des engourdissements, de la faiblesse et des paresthésies.

En tenant cette séance de témoignages, le sénateur Ron Johnson a été vivement critiqué par le commissaire à la santé de Milwaukee, Kirsten Johnson, qui l’a accusé d’utiliser sa plateforme pour soulever des inquiétudes trompeuses concernant le vaccin Covid-19. Ce à quoi le sénateur Johnson répond : 

« Je n’ai jamais peur de transmettre la vérité, de fournir des informations aux gens. Je pense que le public américain devrait pouvoir avoir un consentement éclairé lorsqu’il décide de prendre ou non un vaccin expérimental, d’une manière ou d’une autre. Je pense qu’il est important de reconnaître qu’il y a des personnes qui ont été atteintes par le vaccin. Et si nous ne reconnaissons pas ce fait, comment traitez-vous les gens dont vous ne reconnaissez pas la cause première de leur problème ? »

Vous pouvez voir les témoignages et activer la traduction automatique sur Youtube :

– Source : Senator Johnson, families speak: COVID vaccine adverse reactions (28 juin 2021)
– Traduction Le Média en 4-4-2




Comment les Britanniques ont vendu le mondialisme aux États-Unis

[Source : reseauinternational.net]

Par Richard Poe

Le 13 avril 1919, un détachement de cinquante soldats britanniques a ouvert le feu sur des manifestants à Amritsar, en Inde, tuant des centaines de personnes.

Les soldats étaient des Indiens, dans des uniformes britanniques.

Leur commandant était un Anglais.

Quand le colonel Reginald Dyer a donné l’ordre, cinquante Indiens ont tiré sur leurs propres compatriotes, sans hésitation, et ont continué à tirer pendant dix minutes.

C’est ce qu’on appelle le soft power.

L’Empire britannique s’est construit sur cette base.

Le soft power est la capacité de séduire et de coopter les autres pour qu’ils vous obéissent.

Certains l’appellent le contrôle de l’esprit.

Grâce à l’utilisation du soft power, un petit pays comme l’Angleterre peut dominer des pays plus grands et plus peuplés.

Même les puissants États-Unis cèdent encore à l’influence britannique d’une manière que la plupart des Américains ne comprennent pas.

Depuis plus de cent ans, les Américains sont poussés sans relâche sur la voie du mondialisme, à l’encontre de leurs propres intérêts et de leur penchant naturel.

La poussée vers le mondialisme provient principalement de groupes de pression britanniques qui se font passer pour des groupes de réflexion américains. Le plus important d’entre eux est le Council on Foreign Relations (CFR).

Origine du CFR

Le CFR est issu du Mouvement britannique de la Table ronde.

Dans mon dernier article, « Comment les Britanniques ont inventé le mondialisme », j’ai expliqué comment les dirigeants britanniques ont commencé à formuler des plans pour un gouvernement mondial au cours du XIXe siècle.

Avec le financement du Rhodes Trust, un groupe secret appelé la Table ronde a été formé en 1909. Il a implanté des agences dans les pays anglophones, notamment aux États-Unis, pour faire de la propagande en faveur d’une fédération mondiale de peuples anglophones unis dans un seul super-État.

L’objectif à long terme de la Table ronde – comme l’a clairement indiqué Cecil Rhodes dans son testament de 1877 – était de parvenir à la paix mondiale par l’hégémonie britannique.

Dans ce processus, Rhodes cherchait également (et je cite) le « rétablissement ultime des États-Unis d’Amérique en tant que partie intégrante de l’Empire britannique ».

Les Dominions

Il s’est avéré que les colonies anglophones de Grande-Bretagne ne voulaient pas faire partie de la fédération de Rhodes. Elles voulaient l’indépendance.

Les membres de la Table Ronde ont donc proposé un compromis. Ils ont offert le statut de « Dominion » ou une indépendance partielle à la place.

Le Canada devait servir de modèle. Il avait obtenu le statut de Dominion en 1867. Cela signifie que le Canada se gouvernait lui-même à l’intérieur, tandis que la Grande-Bretagne dirigeait sa politique étrangère. Les Canadiens restaient des sujets de la Couronne.

Les Britanniques proposent désormais le même accord aux autres colonies anglophones.

On s’attendait à une guerre avec l’Allemagne, aussi les membres de la Table ronde devaient-ils travailler rapidement.

La Grande-Bretagne devait amadouer les Dominions en leur offrant l’autonomie, afin qu’ils acceptent de fournir des troupes pour la guerre à venir.

L’Australie est devenue un Dominion en 1901, la Nouvelle-Zélande en 1907 et l’Afrique du Sud en 1910.

Courtiser les États-Unis

Les États-Unis représentaient un défi particulier. Ils avaient obtenu leur indépendance en 1776. De plus, ses relations avec la Grande-Bretagne étaient houleuses, marquées par une Révolution sanglante, la guerre de 1812, des conflits frontaliers avec le Canada et l’ingérence britannique dans la guerre de Sécession.

À partir des années 1890, les Britanniques ont mené un blitz de relations publiques appelé « le Grand Rapprochement », promouvant l’unité anglo-américaine.

Le magnat de l’acier d’origine écossaise Andrew Carnegie a appelé ouvertement à une « Union anglo-américaine » en 1893. Il prônait le retour des États-Unis dans l’Empire britannique.

Le journaliste britannique W.T. Stead a plaidé en 1901 pour des « États-Unis du monde anglophones ».

Une solution « canadienne » pour les États-Unis

Du point de vue britannique, le Grand Rapprochement était un échec.

Lorsque la Grande-Bretagne a déclaré la guerre à l’Allemagne en 1914, les troupes ont afflué de tous les coins de l’Empire. Mais pas des États-Unis. Les États-Unis n’ont envoyé des troupes qu’en avril 1917, après deux ans et demi d’intenses pressions de la part des Britanniques.

Pour les Britanniques, ce retard était intolérable. Il prouvait que l’on ne pouvait pas faire confiance aux Américains pour prendre des décisions importantes.

La Table ronde a cherché une solution « canadienne » : manipuler les États-Unis pour qu’ils deviennent un Dominion, la Grande-Bretagne contrôlant leur politique étrangère.

Cela devait se faire discrètement, par des voies détournées.

Pendant les pourparlers de paix de Paris en 1919, les agents de la Table ronde ont travaillé avec des anglophiles américains triés sur le volet (dont beaucoup étaient membres de la Table ronde), afin de concevoir des mécanismes formels pour coordonner la politique étrangère américaine et britannique.

Le mécanisme de contrôle

Le 30 mai 1919, l’Anglo-American Institute of International Affairs (AAIIA) a été créé, avec des branches à New York et à Londres.

Pour la première fois, une structure officielle avait été établie pour harmoniser la politique des États-Unis et du Royaume-Uni au plus haut niveau.

Cependant, le moment était mal choisi. Le sentiment anti-britannique montait aux États-Unis. Beaucoup reprochaient à l’Angleterre de les avoir entraînés dans la guerre. Au même moment, les mondialistes anglais dénonçaient les Américains comme des tire-au-flanc pour ne pas avoir soutenu la Société des Nations.

L’unité anglo-américaine étant temporairement discréditée, les membres de la Table ronde ont décidé de séparer les branches de New York et de Londres en 1920, pour sauver les apparences.

Lors de la séparation, la branche londonienne a été rebaptisée British Institute of International Affairs (BIIA). En 1926, le BIIA a reçu une charte royale, devenant le Royal Institute of International Affairs (RIIA), plus connu sous le nom de Chatham House.

Pendant ce temps, la branche new-yorkaise est devenue le Council on Foreign Relations en 1921.

Après s’être séparé de Chatham House, le CFR a continué à travailler en étroite collaboration avec son homologue britannique, dans le cadre d’un code de secret strict appelé « règles de Chatham House ».

L’agenda du CFR

Le CFR déclare sur son site Internet qu’il « ne prend aucune position institutionnelle sur les questions de politique ». Mais c’est faux.

« L’empreinte de l’internationalisme » est apparente dans toutes les publications du CFR, note le politologue britannique Inderjeet Parmar dans son ouvrage de 2004 intitulé « Les think tanks et le pouvoir en politique étrangère ». Les écrits du CFR témoignent également d’une hostilité marquée à l’égard de ce que le Conseil appelle « l’isolationnisme ».

Parmar conclut que le CFR poursuit deux objectifs :

  1. L’unité anglo-américaine
  2. Le mondialisme

Ce sont les mêmes objectifs que ceux énoncés dans le testament de Rhodes, qui appelait à une union globale anglo-américaine si puissante qu’elle « rendrait les guerres impossibles par la suite… »

« Le vaisseau mère »

Protégé par les « règles de Chatham House », le CFR a longtemps opéré dans l’ombre, son existence même étant inconnue de la plupart des Américains.

Néanmoins, des rumeurs sur son pouvoir ont filtré au fil des ans.

« Peu d’institutions importantes de la société américaine ont été aussi régulièrement mises au pilori que le Council on Foreign Relations », écrivait l’historien Robert J. McMahon en 1985. « Pour les théoriciens de la conspiration de droite comme pour les critiques radicaux de gauche, l’organisation basée à New York a souvent évoqué la crainte d’une minuscule élite tirant malencontreusement les ficelles de la politique étrangère américaine ».

En fait, le contrôle effectif du CFR sur la politique étrangère des États-Unis n’est pas une théorie du complot, mais plutôt un fait bien connu des initiés du Beltway, qui ont surnommé le CFR « le véritable Département d’État ».

En 2009, la secrétaire d’État Hillary Clinton a admis avoir reçu des instructions du CFR, qualifiant son siège new-yorkais de « vaisseau-mère ».

S’exprimant dans le bureau du Conseil nouvellement ouvert à Washington, Clinton a déclaré : « Je me suis souvent rendue, je suppose, au vaisseau-mère à New York, mais il est bon d’avoir un avant-poste du Conseil ici même, en bas de la rue du Département d’État. Nous recevons beaucoup de conseils du Conseil, donc cela signifie que je n’aurai pas à aller aussi loin pour me faire dire ce que nous devrions faire et comment nous devrions penser à l’avenir ».

Le CFR contre Trump

Le candidat Trump n’a pas partagé l’enthousiasme d’Hillary pour les « conseils » britanniques.

Au contraire, les politiques de Trump s’opposaient expressément aux positions britanniques sur le changement climatique, les frontières ouvertes, les accords commerciaux truqués et les guerres sans fin. La politique « America First » de Trump incarnait ce que le CFR appelle « l’isolationnisme ».

C’en était trop pour les Britanniques et leurs collaborateurs américains.

La « Résistance » anti-Trump était née.

Le 16 juin 2015, Trump a annoncé qu’il était candidat à la présidence.

Fin 2015, l’agence d’écoutes britannique GCHQ aurait découvert des « interactions » entre la campagne Trump et les services de renseignement russes.

Le GCHQ a transmis ce « matériel » à John Brennan, alors chef de la CIA, au cours de l’été 2016.

Un titre du 13 avril 2017 du journal britannique The Guardian annonçait fièrement : « Les espions britanniques ont été les premiers à repérer les liens de l’équipe Trump avec la Russie ».

L’article expliquait : « Des sources du renseignement américain et britannique reconnaissent que le GCHQ a joué un rôle précoce et prépondérant dans le coup d’envoi de l’enquête Trump-Russie du FBI… Une source a qualifié l’agence d’écoute britannique de ‘principal dénonciateur’ ».

Ainsi, les renseignements britanniques ont préparé le terrain pour l’enquête Mueller et la mise en accusation du « Russiagate » plus d’un an avant l’élection de Trump.

Appels à la mutinerie militaire

Dix jours seulement après l’entrée en fonction de Trump en 2017, le magazine Foreign Policy a appelé à un « coup d’État militaire » contre le nouveau président.

L’article du 20 janvier 2017 portait le titre « 3 façons de se débarrasser du président Trump avant 2020 ». Le professeur de droit Rosa Brooks y appelait à la mise en accusation de Trump ou à sa destitution en vertu du 25ème amendement.

En dernier recours, selon Brooks, on pourrait essayer une méthode « dont j’aurais dit jusqu’à récemment qu’elle était impensable aux États-Unis d’Amérique : un coup d’État militaire… »

Foreign Policy appartient à la famille Graham, dont la matriarche Katharine Graham a contribué à faire tomber Nixon lorsqu’elle était éditrice du Washington Post.

Les Graham sont des initiés consommés de Washington. Ils n’auraient pas appelé à un « coup d’État militaire » sans le feu vert du « vaisseau-mère ».

Déstabiliser les États-Unis

La preuve de la complicité du CFR est apparue en novembre 2017, lorsque le magazine Foreign Affairs s’est fait l’écho de Foreign Policy, en exhortant les « hauts responsables militaires » à « résister aux ordres » de Trump, et à envisager de le destituer en vertu du 25ème amendement.

Foreign Affairs est le journal officiel du Council on Foreign Relations.

Tout au long de la présidence de Trump, Foreign Affairs l’a accusé à plusieurs reprises d’instabilité mentale, exhortant les « chefs militaires » et les « officiers du cabinet » à se tenir prêts à l’évincer.

Venant du « vaisseau-mère », ces incitations avaient un poids d’autorité inhabituel. Elles ont attisé les flammes de la rhétorique de Washington, ébranlant la nation et faisant de l’insurrection et du coup d’État la « nouvelle normalité » de la politique américaine.

Étant donné l’indéniable pedigree britannique du CFR, la rhétorique surchauffée du magazine Foreign Affairs soulève des questions sur les motivations britanniques.

Il est clair que Whitehall a considéré Trump comme une menace existentielle. Mais pourquoi ? Pourquoi les quolibets de Trump sur la politique commerciale ont-ils été jugés si menaçants pour les intérêts britanniques qu’ils justifiaient une mutinerie militaire ?

Neutraliser la menace américaine

Je crois que la réponse peut être trouvée dans les écrits originaux du groupe Rhodes.

Dans son livre de 1901 intitulé « L’américanisation du monde », le journaliste britannique W.T. Stead – proche collaborateur de Rhodes – soutenait que l’Angleterre n’avait que deux choix. Elle doit fusionner avec les États-Unis ou être remplacée par eux.

Le choix était clair. Fusionner avec les États-Unis pourrait sauver la place de la Grande-Bretagne dans le monde. Mais toute tentative de rivaliser avec les États-Unis ne peut que se solder par une défaite.

Dans les années 1890, les dirigeants britanniques savent déjà que le maintien de l’ordre dans leur empire est devenu trop coûteux. L’octroi de l’autonomie aux Dominions permettait d’économiser un peu d’argent, en rendant les Dominions responsables de leur propre défense. Mais les dépenses militaires étaient encore trop élevées.

En 1906, le banquier britannique Lord Avebury s’est plaint que les États-Unis s’enrichissaient aux dépens de la Grande-Bretagne. Alors que les États-Unis profitaient de la Pax Britannica, la Grande-Bretagne dépensait 60% de plus que les États-Unis pour son armée, afin que le monde reste sûr pour les affaires.

Aujourd’hui – grâce au CFR – la situation est inversée en faveur de la Grande-Bretagne.

Maintenant, les États-Unis contrôlent le monde, tandis que les investisseurs britanniques s’enrichissent grâce à la Pax Americana. Les dépenses militaires britanniques ne représentent plus qu’une fraction des américaines.

Compte tenu de ces faits, il devient plus facile de comprendre pourquoi les Britanniques ne voulaient pas que Trump bouleverse le panier à salade.

Les nouveaux impérialistes

Les élites britanniques ne se contentaient pas de transférer le coût de l’empire aux États-Unis. Elles voulaient également garder le contrôle de la politique impériale, et ainsi avoir le beurre et l’argent du beurre. Avec l’aide du CFR, elles ont été très près d’atteindre cet objectif.

Le mouvement « New Imperialist » en Grande-Bretagne cherche à reconstruire l’influence mondiale du Royaume-Uni, sur le dos de l’armée américaine. L’historien britannique Andrew Roberts a annoncé ce nouveau mouvement dans un article paru le 8 janvier 2005 dans le Daily Mail.

Le titre résume bien leur philosophie : « Recoloniser l’Afrique ».

Soutenant que « l’Afrique n’a jamais connu de meilleurs moments que sous la domination britannique », Roberts appelle sans détour à la « recolonisation ». Il affirme que les principaux hommes d’État britanniques soutiennent « en privé » cette politique, mais « ne pourront jamais être vus comme l’approuvant publiquement… »

Roberts se vante que la plupart des dictatures africaines s’effondreraient à « la simple arrivée à l’horizon d’un porte-avions d’un pays anglophone… »

Il n’a pas précisé quel « pays anglophone » serait censé fournir des porte-avions pour de telles aventures, mais je vous donne trois chances de deviner.

La révolution inachevée des États-Unis

Plus de cent ans ont passé depuis que W.T. Stead a averti que la Grande-Bretagne devait fusionner avec les États-Unis ou être remplacée par elle. Peu de choses ont changé.

Les élites britanniques sont toujours confrontées au même choix. Elles ne peuvent pas accepter un monde dirigé par les Américains, elles doivent donc trouver des moyens de les contrôler.

Pour la part des Américains, ils ne doivent pas accepter leur contrôle.

Le défi de la génération américaine est de rompre le charme du soft power britannique.

Achever le travail de leur révolution inachevée.

Les Nouveaux Impérialistes Poussent CANZUK

Seize ans après l’annonce du « Nouvel Impérialisme », Andrew Roberts et ses collègues impérialistes continuent de faire pression pour réaliser le rêve de Cecil Rhodes d’une union anglophone.

Dans un éditorial du Wall Street Journal daté du 8 août 2020, Roberts fait la promotion du traité CANZUK, qui vise à unir le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et la Grande-Bretagne dans un super-État mondial, « capable de faire front avec les États-Unis » contre « une Chine de plus en plus revancharde ».

Comme toujours, Roberts fait des plans pour les États-Unis.

Comme d’habitude, ses plans impliquent de les faire entrer en guerre.

Les élites britanniques ne comprendront jamais les Américains

Dans son livre de 2006 intitulé « Histoire des peuples anglophones depuis 1900 », Roberts suggère avec désinvolture que l’Amérique serait mieux sous une monarchie.

Un gouvernement monarchique aurait épargné aux Américains le traumatisme du Watergate, affirme-t-il. Un monarque serait intervenu et aurait renvoyé Nixon, tout comme la reine Elizabeth II a renvoyé le premier ministre australien Gough Whitlam en 1975.

Pas besoin d’un quelconque processus démocratique.

Roberts ne se demande pas comment une telle intervention royale aurait été acceptée par la « majorité silencieuse » qui a voté pour Nixon et l’a soutenu.

MAGA contre MABA

En résumé, Trump cherchait à rendre l’Amérique grande à nouveau (MAGA) en restaurant son indépendance et son autosuffisance.

Le CFR cherche à rendre l’Amérique britannique à nouveau (MABA).

C’est aussi simple que cela.

Si les années Trump nous ont appris quelque chose, c’est que MAGA et MABA ne font pas bon ménage.

Dès l’instant où il y a un président qui défend la souveraineté américaine, les Britanniques deviennent fous, et poussent les États-Unis au bord de la guerre civile.

Il est clair que les États-Unis ne peuvent pas être « grands » et « britanniques » en même temps.

Ils doivent choisir l’un ou l’autre.


source : https://www.lewrockwell.com

traduit par Réseau International




Le gouvernement américain publie accidentellement des documents sur le contrôle mental électromagnétique dans une demande FOIA

[Source : Cogiito]

[Ndlr : à prendre avec un grain de sel. Ceci pourrait relever d’un habile canular.]

Par P.A. Jandrok

https://www.collective-evolution.com/2018/04/24/us-government-accidentally-releases-electromagnetic-mind-control-documents-in-foia-request/?fbclid=IwAR3ENWptenuNBKGLEO0T9il17yGtBD2LMhLY31jAttLZO-vejD7sJsLcndA

Lorsque le chercheur Curtis Waltman du site Web Muckrock a reçu des fichiers résultant de sa demande au Freedom of Information Act sur Antifa et des groupes suprémacistes blancs du Washington State Fusion Center, il a obtenu un peu plus que ce qu’il avait négocié :

un fichier compressé indépendant intitulé  » Effets des EM sur le corps humain. »

Le dossier contenait trois diagrammes présentant des informations sur les armes électromagnétiques ciblant le corps humain et le cerveau. 

Le premier diagramme, plus spécifiquement intitulé Effets d’armes psychoélectroniques, semble détailler l’utilisation potentielle de ces armes, en se concentrant à la fois sur le contrôle mental et l’inconfort physique.

Le diagramme suivant indique différents processus par lesquels le contrôle électromagnétique de l’esprit pourrait être utilisé via des réseaux de téléphonie mobile ou plus localement depuis le sol ou l’air en ciblant des individus spécifiques avec des armes psychotroniques. Différentes fréquences sont décrites pour pouvoir avoir un impact sur différentes zones du cerveau.

Ce troisième schéma parle davantage de la cartographie des fréquences des ondes cérébrales humaines et mentionne que chaque corps humain possède un champ bio-électomagnétique unique, qui, vraisemblablement, donnerait aux utilisateurs de technologies avancées la capacité de localiser n’importe quel individu dans le monde sur la base de ce signature, leur permettant de viser directement ces individus avec des armes psychotroniques.

Ces diagrammes semblent être des documents de présentation provenant de différentes sources, pouvant être utilisés comme points de données dans les discussions sur la recherche et le développement d’armes psychotroniques. Ces documents ne révèlent pas, à la manière de Wikileaks, ce que les agences gouvernementales fantômes comme la NSA ont fait ou sont capables de faire.

Curieusement, certaines de ces images apparaissent dans un article du magazine Nexus décrivant un procès de 1992 intenté par John St. Clair Akewi contre la NSA. Akewi a affirmé que la NSA avait «la capacité d’assassiner des citoyens américains secrètement ou de mener des opérations de contrôle psychologique secrètes pour faire diagnostiquer aux sujets une mauvaise santé mentale» et documentait leurs méthodes présumées.

Dans le terrier du lapin

Pour ceux qui peuvent le suivre à partir de là, la piste menant à cet article mène à un trou de lapin d’informations et de ressources qui décrivent divers aspects des efforts de contrôle mental sur les «  individus ciblés  » par les agences Deep State. Bien que les capacités secrètes de ces agences aient été parmi les informations les plus étroitement surveillées, Edward Snowdon nous a aidés à nous éveiller à leur existence.

Que pouvons-nous faire de cette «goutte» particulière d’informations concernant les capacités de contrôle mental? Comme le note Waltman,

ON NE SAIT PAS VRAIMENT COMMENT CELA S’EST TERMINÉ DANS CETTE VERSION. IL AURAIT PU ÊTRE DESTINÉ À UNE AUTRE VERSION, IL AURAIT PU ÊTRE RASSEMBLÉ POUR UN PROCHAIN RAPPORT DE LA WSFC, OU IL POURRAIT MÊME PROVENIR DES FICHIERS PERSONNELS D’UN OFFICIER DU RENSEIGNEMENT QUI SE SONT EN QUELQUE SORTE MÊLÉS À LA VERSION. UN APPEL À LA WSFC N’A PAS ÉTÉ RENVOYÉ AU MOMENT DE LA PRESSE, DONC JUSQU’À CE QUE NOUS ENTENDIONS PARLER, LEUR PRÉSENCE RESTE UN MYSTÈRE.

La seule possibilité que Waltman ne couvre pas, c’est que ce dossier lui ait été divulgué intentionnellement par un opérateur qui a voulu diffuser ces informations à un regard indépendant, et faire partie de la divulgation d’informations cachées que le public doit connaître. 

Peu probable ? Peut-être, mais des choses bien plus étranges se sont déjà produites.




Quand la classe politique française tourne un remake du Titanic

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Edouard Husson

La classe politique française est en train de tourner un remake de « Titanic ». Elle est dans un déni complet de la réalité. Durant la soirée électorale du second tour des élections régionales, on a eu droit à « On a gagné » (LR), « Ce n’était pas notre élection » (LREM) et « la démocratie est en crise » (RN). Mais jamais: nous devons écouter le terrible désaveu que nous infligent les Français. Une classe politique de plus en plus sourde aux messages des Français fait comme ce déni de réalité pouvait durer indéfiniment. Le réveil sera dur et il pourrait bien survenir dès l’élection présidentielle.

A quelques détails près, la soirée électorale des élections régionales aurait pu se tenir en 2015, 2010 ou 2004. Qui aurait pu deviner, arrivant de l’extérieur et entendant, par exemple, Brice Hortefeux, fidèle de Nicolas Sarkozy, faire la leçon à Philippe Ballard du Rassemblement National, que les présidents de conseils régionaux LR (ou apparentés) sortants et réélus ont atteint leur objectif avec à peine plus de 15% des électeurs inscrits et l’abstention de deux électeurs sur trois? Qui aurait pu se douter que nous avions affaire aux membres d’un gouvernement qui a porté la dette publique du pays à 120% du PIB lorsque nous entendions des ministres, sur les plateaux, deviser aimablement sur leur découverte de la vie politique de terrain et le fait que LREM soit un parti encore jeune, « pas encore enraciné »? Qui se douterait que le Rassemblement National est plongé dans une crise terrible lorsqu’on entendait ses représentants disserter sur la crise de la démocratie comme s’ils en étaient spectateurs?  

Deux Français sur trois, ça vous rappelle quelque chose?

Au commencement, il y avait le rêve giscardien de rassembler « deux Français sur trois » dans une « démocratie apaisée ».  Malgré sa défaite à l’élection présidentielle de 1981, l’ancien président en fit même la théorie dans un livre paru en 1984. Le monde était à cette époque en train de basculer dans la « révolution libérale » des années 1980. Ni Giscard, confronté aux chocs pétroliers, ni ses deux successeurs, François Mitterrand (1981-1995) et Jacques Chirac (1995-2007) ne comprirent dans quelle mutation le monde était plongé. Tous les trois prétendirent faire adhérer la France à une Europe plus intégrée et l’ouvrir au monde sans encourager une révolution entrepreneuriale à l’intérieur ni investir massivement dans l’éducation. Au contraire, ils cassèrent avec obstination, à partir de la réforme Haby, le système français d’enseignement secondaire. Ils choisirent, plutôt que l’investissement massif dans l’informatique et la robotique, la solution de facilité de l’immigration de masse ou les délocalisations d’usines. Et le pays commença à se défaire. 

Pendant longtemps la montée du Front (aujourd’hui Rassemblement) National fut le thermomètre de la crise toujours plus profonde du pays. En 2002 eut lieu un terrible choc pour la classe politique: Jean-Marie Le Pen était passé devant le candidat socialiste. Jacques Chirac en ayant profité pour être triomphalement réélu, le déni de réalité reprit; un temps troublé, il est vrai, par l’énergie de Nicolas Sarkozy, qui eut des velléités de changer les choses. Mais le successeur de Jacques Chirac n’eut pas le courage de braver l’impopularité médiatique et il abandonna ses objectifs ambitieux de contrôle de l’immigration. Ce qui suivit, nous le connaissons bien: nouvelle montée en puissance du Front/Rassemblement National sous l’impulsion de Marine Le Pen, l’héritière. Réédition burlesque et brève, avec François Hollande, du mitterrandisme;  puis chant du cygne du giscardisme réincarné en Emmanuel Macron, « libéral, centriste et européen ». 

Entretemps, le tissu social est de plus en plus déchiré. La part de l’industrie dans la population active française est tombée à 10% (la moitié de l’Allemagne). Emmanuel Macron a bien réalisé le rêve giscardien d’être « élu au centre » par « deux Français sur trois »; sauf qu’il y eut au second tour de l’élection présidentielle de 2017, un Français sur trois à ne pas voter. Et que l’actuel président a en fait été élu par un Français sur trois.   Son quinquennat a été si chaotique qu’à moins d’un an de son éventuelle campagne pour une réélection, le président Macron doit constater que c’est maintenant toute la classe politique qui se partage les suffrages d’un tiers des votants, son propre parti n’attirant, à ce scrutin régional, que 3% des inscrits. 

L’erreur capitale de Marine Le Pen a fait glisser du vote protestataire à l’abstention

Pendant longtemps, le Front/Rassemblement National était traité par le reste de la classe politique comme un bouc émissaire mais il assumait bien son rôle de rassembleur du vote protestataire. Marine Le Pen, constatant que son père n’avait jamais dépassé 20% des suffrages, a jugé utile de proposer au système politico-médiatique une « dédiabolisation » de son parti. C’est une erreur capitale: l’establishment continue à utiliser le Rassemblement National comme un repoussoir.  Toute l’énergie que la présidente du parti met à adopter les codes d’une tribu qui la déteste, elle ne la passe pas à travailler pour la France qui crée de la richesse et qui est accablée de règlements et d’impôts. Et elle  n’est plus le porte-voix des petits, des laissés-pour-compte,  de cette France populaire qui n’est plus protégée depuis quatre décennies. Elle perd donc sur tous les tableaux et confirme qu’il est improbable qu’elle puisse un jour gouverner. Ce faisant, Marine Le Pen a contribué, elle aussi, à l’abstention. On est même dans une situation absurde où des gens qui se disent de droite, comme Xavier Bertrand ou Renaud Muselier sont prêts à s’allier au pire gauchisme pourvu qu’ils puissent être reconduits dans leurs fonctions. Et pour autant, le Rassemblement National perd des électeurs ou ne les mobilise plus. 

La démocratie ne peut fonctionner qu’avec une « droite » et une « gauche » qui ne soient pas de simples étiquettes. Avec des hommes politiques qui fassent ce qu’ils disent et qui disent ce qu’ils font. Avec un pouvoir protecteur des petits et des humbles et  sans complaisance pour les puissants qui cherchent à le confisquer à leur profit. Mais il semble bien que la classe politique française de 2021 ait passé le stade de se réformer elle-même. 

Le Titanic continue sa course vers l’iceberg de la réalité. 




La France n’est plus une démocratie représentative

[Source : Vu du Droit]

FRANCE : FEUE LA DÉMOCRATIE REPRÉSENTATIVE

Par Régis de Castelnau

Le désastre démocratique des élections régionales et départementales succédant au désastre démocratique des élections municipales impose de regarder les choses en face. Sans trop s’attarder sur le comportement invraisemblable d’Emmanuel Macron dont le parti, malgré son investissement (illégal) dans la campagne avec sa fameuse « tournée des régions » complaisamment et largement médiatisée, a réuni moins de 3 % des électeurs inscrits. Il a fallu attendre trois jours pour obtenir un commentaire répété par Gabriel Attal, perroquet attitré. Et assister à une pantalonnade musicale obscène dans la cour de l’Élysée pendant que sa police coursait par les villes et par les champs une jeunesse qui avait l’outrecuidance, après un an d’enfermement de vouloir s’amuser un peu. Ou bien cet homme ne se rend compte de rien, ou bien il s’en moque ce qui en dirait long sur le mépris qu’il porte au peuple français.

Autre motif d’effarement, la façon dont le mainstream politico-médiatique donnait à voir un simulacre, en tirant doctement les enseignements politiques d’un scrutin qui n’en a produit qu’un seul : la France n’est plus une république de démocratie représentative. Lorsque les jeunes de 18 à 25 ans refusent catégoriquement de s’impliquer dans cette forme de vie de la cité, lorsque l’abstention monte dans les villes les plus pauvres jusqu’à 95 % (!), rétablissant une forme de suffrage censitaire, lorsque des exécutifs locaux vont se retrouver confiés à des gens représentant moins de 10 % de la population, qui peut parler sérieusement d’une démocratie représentative fonctionnelle ? Il y a déjà de nombreuses années et en particulier depuis la forfaiture liée au référendum trahi de mai 2005 que la désaffection démocratique prenait de l’ampleur. Le point où nous en sommes arrivés a un caractère insupportable, car il fausse tout et prive l’ensemble des institutions de leur légitimité et par conséquent de leur autorité. Et l’institution d’un quorum (c’est comme ça que cela s’appelle) pour valider une élection proposée par Jean-Luc Mélenchon, ou l’instauration du vote obligatoire, autant de pansements sur une jambe de bois, n’y changeront rien.

La légitimité démocratique disparue

Revenons-en une fois encore à Max Weber qui a défini la dimension politique de cette légitimité. Pour lui, le concept se rapporte à la notion de reconnaissance sociale. C’est socialement, et non juridiquement, que se définit la légitimité. Même si dans une démocratie, le pouvoir (Macht) réside dans la domination (Herrschaft) rationnelle et légale, la légitimité vient d’abord du respect de la loi, c’est une condition première, nécessaire, mais pas suffisante. Or, dans les faits, le régime Macron est terriblement éloigné de cette exigence. Inconstitutionnalité et illégalité à tous les étages, et les psalmodies régulières de ses soutiens passant leur temps à invoquer la soi-disant légalité formelle de son arrivée au pouvoir n’y changeront rien. D’abord parce que c’est faux, puisque cette élection a été manipulée et truffée d’atteintes au droit. Et en particulier, avec la touche finale apportée par la justice liquidant judiciairement le favori pour permettre l’accession de Macron à l’Élysée alors qu’il avait recueilli 16 % des inscrits au premier tour. Et les Français clairement ou confusément le savent, ce qui explique leur rejet largement majoritaire du locataire de l’Élysée, souvent assorti d’une haine sans précédent. Mais ensuite ce rejet provient aussi de ce qu’après l’élection, la légitimité démocratique doit se valider jour après jour par un exercice du pouvoir régulé et contrôlé, dans un dispositif institutionnel fonctionnant normalement. Or, ce n’est clairement pas le cas du système Macron. Ce qui empêche la reconnaissance sociale de ce pouvoir minoritaire, comme les élections régionales et départementales viennent encore de le démontrer.

Parce que régulation et contrôle sont un des piliers de la démocratie représentative, celle dont Churchill disait que c’était le pire des systèmes à l’exception de tous les autres. Il s’agit d’un dispositif institutionnel minutieux et pragmatique qui doit organiser une domination de la majorité, fût-elle étroite, qui doit être acceptée par la minorité. Quelles sont les conditions impératives de cette acceptation ? D’abord, nous l’avons vu, que les représentants de la majorité prennent le pouvoir après une élection régulière dont la sincérité ne peut être mise en doute. Ensuite que ce pouvoir ait une durée limitée, pour que ce qui a été fait durant le mandat puisse être remis en cause après l’élection suivante en cas de changement. Et enfin que le pouvoir s’exerce dans un cadre strict qui est celui d’une Constitution et d’une organisation des pouvoirs publics qui prévoient séparation, équilibres et contrôles. Évitant ainsi les excès et validant en continu l’acceptation de la minorité battue lors du scrutin. Élaborée par Locke et Montesquieu, la théorie de la séparation des pouvoirs vise donc à séparer les différentes fonctions de l’État, afin de limiter l’arbitraire et d’empêcher les abus liés à l’exercice de missions souveraines. C’est cette organisation des pouvoirs publics qui s’applique chez nous depuis l’avènement de la IIIe République.

Donc pour qu’elle puisse imposer son point de vue à la minorité, il est nécessaire que les représentants élus parviennent au pouvoir dans des conditions régulières et après un scrutin que l’on peut qualifier incontestablement de « sincère ». Et que cela soit reconnu comme tel par le corps social. C’est ce qui construit la première branche de la « légitimité » des gouvernants. Nous avons vu ce que l’on pouvait penser de l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron, mais les scrutins suivants (du fait d’une organisation chaotique comme l’ont été les municipales avec les deux tours éloignés de plusieurs mois, et maintenant régionales et départementales, et surtout d’une abstention qui les prive de sens) ne peuvent pas être considérés comme des scrutins sincères.

Donc pour gouverner après l’élection régulière, il existe une deuxième branche de la légitimité. Même si l’on est régulièrement parvenu au sommet de l’État, il doit exister pendant la durée du mandat un système de check and balance, c’est-à-dire de contrôle en continu pour la préserver avec celle de tout le dispositif dans lequel on exerce le pouvoir. Cette deuxième branche est désormais inexistante dans le système Macron.

Nous allons voir que de la même façon que son arrivée au pouvoir était illégale et par conséquent illégitime, Macron exerce celui-ci dans un cadre qui n’a plus grand-chose à voir avec la légalité institutionnelle d’une démocratie représentative.

Une Constitution en lambeaux

Ayant perdu toute sa cohérence, la pauvre Constitution du 4 octobre 1958 est dans un triste état. Amoindrissement drastique de la souveraineté du pays au profit de l’UE, révisions (près de 30 !) visant systématiquement à en trahir l’esprit, volonté permanente de modifier notre texte fondamental qui est pourtant l’outil fondamental du fonctionnement de nos institutions, c’est une surenchère permanente. Notre Constitution est devenue un vague torchon que la classe politique considère comme le réceptacle de toutes ses démagogies et les gouvernants comme un colifichet inutile. Des 92 articles initiaux, il n’en reste aujourd’hui que 30 dans une Constitution qui en compte désormais 108. L’abaissement drastique de la valeur normative de la Constitution a ainsi permis à Emmanuel Macron de mettre en place un système à valeur de nouveau régime qui entretient des rapports très lointains avec un système légitime de démocratie représentative.

Le « pouvoir législatif » incarné par un parlement croupion enrégimenté par le pouvoir exécutif

La catastrophe institutionnelle provoquée par l’adoption du quinquennat voulue par Jacques Chirac combinée avec l’inversion du calendrier décidée par Lionel Jospin a complètement transformé le pouvoir législatif en France. Les élections législatives de juin 2017 ont vu un taux d’abstention colossal de près de 60 % des inscrits. L’Assemblée nationale n’a donc plus aucune représentativité politique, sociologique, sociale et économique digne de ce nom. Deux exemples qui démontrent l’inanité du système : les ouvriers et les salariés d’exécution des services sont autour de 40 % de la population active de notre pays ils ont… zéro représentant à l’Assemblée.

Ce parlement croupion, humiliant pour la France, est fort utile à Emmanuel Macron qui l’a complètement enrégimenté. Il n’est que de voir comment sont fixés les ordres du jour, proposés des textes liberticides adoptés sans aucune discussion véritable pour mesurer l’ampleur du désastre. Législatif et exécutif ne sont plus séparés dans notre pays.

Le ralliement à l’exécutif du pouvoir judiciaire

La question du « troisième pouvoir » se complique un peu en France dans la mesure où le « pouvoir judiciaire » le troisième de la trilogie de la séparation, s’exerce chez nous au travers de quatre ordres de juridictions constitutionnel, judiciaire, administratif, et financier. Coiffés chacun par une forme de Cour suprême. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué…

C’est le seul « ordre judiciaire » celui coiffé par la Cour de cassation qui est qualifié dans la Constitution « d’Autorité judiciaire ». Mais ce sont les quatre qui exercent chacun pour sa part la mission de contrôle global que l’on peut qualifier de « pouvoir judiciaire ». Qui est là justement pour assurer les équilibres voulus par le principe de séparation des pouvoirs. Et c’est le ralliement de ces quatre ordres de juridiction, constitutionnel, judiciaire, administratif et financier au macronisme qui pose désormais un problème considérable.

La question du quatrième pouvoir, celui de la presse

La presse est considérée depuis fort longtemps comme un contre-pouvoir dans une démocratie représentative. C’est la raison pour laquelle sa liberté et ses privilèges sont protégés. Cela explique aussi le statut qui fut mis en place à la libération pour la faire échapper à l’emprise des grands pouvoirs économiques. Cette période est définitivement terminée. La grande presse française est entre les mains de neuf oligarques qui tiennent la presse écrite et audiovisuelle. Le rôle qu’ils ont joué à son avènement d’Emmanuel Macron est suffisamment clair pour que personne ne puisse avoir de doute concernant leur soutien à celui qui est directement leur représentant.

Toutes les études démontrent l’aversion et la défiance de l’opinion publique populaire pour cette presse, considérée comme aux ordres du pouvoir. Son attitude pendant la crise des Gilets jaunes et au moment des luttes contre la réforme de la retraite n’a pas été susceptible de les faire changer d’avis.

Et comme au ralliement de tous les organes juridictionnels de contrôle s’est ajouté celui des plus importantes Autorités administratives indépendantes et en particulier du CSA chargé du contrôle de l’audiovisuel. Qui ne voit aucun inconvénient par exemple à ce qu’en violation de la loi, le service public refuse le pluralisme pour relayer servilement la propagande de l’exécutif. Il n’y a plus en France de quatrième pouvoir digne de ce nom. Scrutins insincères sans valeur démocratique, pouvoirs séparés et institutions de contrôle ne fonctionnant plus (s’étant ralliées ou étant contrôlées par le pouvoir exécutif), on ne peut plus sérieusement prétendre que la République française est un système de démocratie représentative régulier.

Régis de Castelnau




Après une augmentation des cas, la FDA va ajouter une mise en garde contre les inflammations cardiaques suite aux vaccins COVID-19

[Source anglophone : Lifesitenews]

[Photo : Shutterstock]

24 juin 2021 (LifeSiteNews) – La Food and Drug Administration (FDA) placera une étiquette de mise en garde contre l’inflammation cardiaque sur les fiches d’information des vaccins COVID-19 fabriqués par Pfizer/BioNTech et Moderna, a annoncé l’agence mercredi.

Le Dr Doran Fink, directeur adjoint de la division des vaccins de la FDA, a déclaré à un groupe d’experts des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) que la FDA prévoyait d' »agir rapidement » pour ajouter les nouveaux avertissements à la lumière de l’augmentation des rapports de problèmes cardiaques post-vaccinaux.

Le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) des CDC s’est réuni mercredi pour examiner les données relatives à des cas plus élevés que prévu d’inflammation cardiaque chez les personnes ayant reçu des doses des vaccins Pfizer ou Moderna, qui reposent tous deux sur la technologie de l’ARN messager. Le CDC avait prévu une réunion d’urgence pour examiner ces rapports la semaine dernière, mais cette réunion a été annulée en raison du 19 juin.

« Nous sommes d’accord sur le fait que, sur la base des données disponibles, une mise en garde dans les fiches d’information, tant pour les prestataires de soins de santé que pour les personnes vaccinées et les soignants, serait justifiée dans cette situation », a déclaré M. Fink. « Nous prévoyons qu’après la réunion de l’ACIP d’aujourd’hui, nous agirons rapidement pour mettre à jour les fiches d’information avec cette information », a-t-il ajouté.

Les avertissements « incluraient probablement des informations indiquant que ces événements se sont produits chez certains vaccinés, en particulier après la deuxième dose de vaccins à ARNm, et que l’apparition des symptômes a généralement eu lieu de plusieurs jours à une semaine après la vaccination », a poursuivi M. Fink. Bien que « la plupart des cas semblent avoir été associés à une résolution des symptômes », « peu d’informations sont disponibles sur les complications potentielles à long terme », a-t-il noté.

Les CDC ont annoncé lors de la réunion de l’ACIP que plus de 1 200 cas d’inflammation cardiaque après la vaccination par le COVID-19 avaient été signalés aux autorités fédérales au 11 juin. Selon les CDC, les 1 226 rapports concernent des myocardites, un type d’inflammation du muscle cardiaque, et des péricardites, une inflammation de la membrane qui entoure le cœur. Les symptômes les plus courants sont les douleurs thoraciques, l’essoufflement et les palpitations cardiaques.

Plus de 800 cas d’inflammation cardiaque sont survenus chez des patients ayant reçu une deuxième dose du vaccin COVID-19 de Pfizer ou Moderna, tandis que 267 cas ont été signalés après une première dose. Les hommes représentaient la grande majorité des patients, dont 79 % après la deuxième dose, selon les données présentées par le Dr Tom Shimabukuro, directeur adjoint du bureau de la sécurité des vaccins du CDC.

La plupart des cas ont suivi l’utilisation du vaccin Pfizer, qui a reçu une autorisation d’urgence de la FDA pour les enfants de plus de 12 ans. Environ 39% de tous les cas concernent des personnes de moins de 30 ans, a relaté la présentation de Shimabukuro. Parmi les rapports concernant des jeunes, le CDC en a identifié 323 qui répondent à la définition de cas de l’agence. Presque tous ces cas ont nécessité une hospitalisation, et neuf patients sont toujours à l’hôpital.

Les rapports ont été soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System, un programme de suivi des blessures liées aux vaccins géré par la FDA et les CDC. Les experts ont signalé à plusieurs reprises que le VAERS, un système de surveillance passive, sous-estime considérablement le nombre de blessures, comme l’ont souligné les commentateurs publics lors de la réunion de l’ACIP.

Le Dr Grace Lee, qui copréside le groupe de travail technique sur la sécurité du vaccin COVID-19 des CDC, a évoqué une « association probable » entre la myocardite et les vaccins à ARNm COVID-19. « Les données disponibles à ce jour suggèrent une association probable de la myocardite avec la vaccination à ARNm chez les adolescents et les jeunes adultes », a-t-elle déclaré mercredi, faisant écho aux conclusions similaires des autorités israéliennes.

« La présentation clinique des cas de myocardite après la vaccination a été distincte, se produisant le plus souvent dans la semaine suivant l’administration de la deuxième dose, avec une douleur thoracique comme présentation la plus fréquente », a ajouté Lee.

Les nouvelles données dévoilées hier par les CDC représentent une forte augmentation des cas signalés d’inflammation cardiaque post-vaccination par rapport à il y a deux semaines seulement, lorsque les CDC ont annoncé que près de 800 cas de myocardite ou de péricardite avaient été soumis au VAERS jusqu’au 31 mai.

Malgré le lien « probable » entre l’inflammation cardiaque et les vaccins à ARNm, l’ACIP a déclaré que la politique vaccinale actuelle ne changerait pas, même pour les jeunes, affirmant qu’une analyse des risques et des avantages favorisait toujours les vaccins. Les enfants et les jeunes adultes ont un taux de mortalité lié au COVID-19 aussi bas que 0,1 %, voire moins, selon les estimations des CDC.

En avril, la FDA a recommandé une pause sur le vaccin COVID-19 fabriqué par Johnson & Johnson en réponse à six cas de coagulation du sang. Le CDC a déclaré que le vaccin de Johnson & Johnson, qui est particulièrement lié à l’avortement, ne présente pas un « schéma de déclaration similaire » concernant l’inflammation cardiaque.




Selon Martine Wonner, un Rapport américain révèle qu’en l’espace de 4 mois il y a eu autant de déclaration de décès post-vax que dans les 15 ans passés

[Source : businessbourse.com]

Martine Wonner :

Un rapport américain révèle qu’en l’espace de 4 mois (décembre 2020 à mars 2021) il y a eu autant de déclarations de décès post-vax que dans les 15 ans passés dans la pharmacovigilance du pays étudié.

https://twitter.com/Infirmier_Off/status/1407278980336607233



La guerre du Bien contre le Mal

[Source : zonefr.com]

par Christine Deviers-Joncour

Consciente depuis le début des années 90 de ce qui se préparait, rien de ce qui arrive aujourd’hui, hélas, ne me surprend. Dans un de mes articles précédents, j’ai mentionné des rencontres, des dîners à cette époque avec le sieur Attali, éminence grise toxique, sherpa de nos présidents.

J’entendais ce mot terrible : DÉPOPULATION.  

Je croyais innocemment à une galéjade. 

Ce texte, prétendument issu d’un entretien de Jacques Attali avec le journaliste et médecin Michel Salomon publié dans son ouvrage L’Avenir de la vie, paru en 1981 : 

« Nous trouverons quelque chose ou le provoquerons, une pandémie qui ciblera certaines personnes, une crise économique réelle ou pas, un virus qui touchera les vieux ou les gros, peu importe, les faibles y succomberont. »

Et de conclure par une allusion à la vaccination : 

« Nous aurons pris soin d’avoir prévu […] un traitement qui sera la solution. La sélection des idiots se fera ainsi toute seule : ils iront d’eux-mêmes à l’abattoir. »

Froid dans le dos !

J’ai récemment découvert cet article sur une prévision du développement démographique prévu jusqu’en 2025 de Deagel : Deagel, une véritable organisation de renseignement pour le gouvernement américain, prédit une dépopulation mondiale massive (50-80 %) d’ici 2025.

[Ndlr : cette partie a été supprimée du site http://www.deagel.com/ depuis au moins plusieurs mois.]

Parlons-en de ce vaccin mortifère : La majorité des personnes vaccinées pensent qu’elles ont été protégées contre le Covid, c’est une fraude.

L’automne prochain sera meurtrier : en raison de l’épidémie de maladies et de décès qui se produira, les gouvernements commenceront à promouvoir la prochaine série de vaccination, car ils ont toujours prévu de mettre ces décès sur le compte de « variants », nouvelles versions du Covid !

En vaccinant des millions de personnes, ils poussent le virus à muter et à devenir plus fort et plus mortel (surtout s’ils imposent des mesures de confinement !) Résultat désastreux est que le système immunitaire naturel de centaines de millions de vaccinés est effectivement détruit !

[Ndlr : dans le cadre de la théorie virale, un virus virulent se propage peu, car il tue trop rapidement son hôte, alors qu’un virus qui se propage efficacement n’est pas dangereux. Si les vaccins forcent les virus à muter, alors une mutation a autant de chances de l’affaiblir que de le rendre plus mortel. Cependant, cette théorie est remise en question par des pionniers qui reviennent aux sources à la lumière des moyens modernes d’observation et d’expérimentation (voir Le culte de la virologie – Documentaire et ses liens annexes.). Dans cette nouvelle approche, les vaccins ont pour seul rôle d’empoisonner l’organisme, d’intoxiquer diverses cellules et de leur faire produire en particulier ce qui a été appelé un jour « virus », ceci en tant que déchet et/ou de moyen de réparation, selon la nature du virus.]

La fausse pandémie de Covid-19 aurait-elle été créée, en partie, pour trouver un prétexte à la vaccination de masse, afin que le vaccin soit proposé comme solution à la prétendue menace posée par le Covid-19 ?                                                

Normalement, pour obtenir un vaccin efficace, non toxique et utilisable, cela prend entre 15 et 20 ans. Il faut d’abord mettre au point une formule possédant les prérequis chimiques et pharmaceutiques, mener des études d’immunogénicité chez l’animal, évaluer la toxicité du vaccin chez l’animal, puis chez l’Homme, et enfin, tester son efficacité à grande échelle. Mais il y avait urgence et Big Pharma a vu là la bonne aubaine pour s’enrichir un peu plus.

Je me souviens lorsque l’on m’avait donné comme mission de débloquer le véto mis par Mitterrand pour cette vente des Frégates à Taiwan, je m’étais rebellée. Vendre des armes sûrement pas !!! Alors je reçus cette réponse :

« Ce ne sont pas les marchands d’armes les plus dangereux, ce sont les laboratoires pharmaceutiques ! »

Un vaccin n’est pas anodin : il s’agit le plus souvent d’un virus désactivé ou affaibli, et peut dans certains cas aggraver la maladie qu’il est censé prévenir. Peter Hottez, doyen de l’École nationale de médecine tropicale du Baylor College of Medicine et qui a travaillé sur l’épidémie de SRAS en 2003, a ainsi constaté que certains animaux vaccinés développaient des symptômes encore plus graves lorsqu’ils étaient exposés au virus en raison d’un affaiblissement du système immunitaire. C’est ce que l’on appelle une « facilitation de l’infection par des anticorps » (Antibody-dependant enhancement ou ADE en anglais).

Les accidents se multiplient partout dans le monde et la plupart des personnes vaccinées pensent qu’elles ont été vaccinées contre l’infection : c’est une autre fraude !

Le nombre de décès aux États-Unis est 40 fois plus important depuis plus de vingt ans, suite à la campagne de vaccination ! Quand cette information sera connue par un grand nombre d’entre nous, des têtes vont commencer à tomber aux USA, mais aussi en Europe.

Et les morts s’accumulent un peu partout sur la planète. Les gens pleurent leurs proches disparus. Motus sur les médias mainstream.

Et puis ceci : Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?

Expérience et fourniture de Spike couplée à des perles magnétiques.

Les médias hurlent au fake sur tous les supports !

Mais de nombreux scientifiques tentent d’y répondre.

Dans mon entourage amical, combien de personnes avouent qu’ils ont jugé bon de se faire vacciner, alors que je n’ai cessé durant ces derniers mois de les mettre en garde et de les dissuader ? Non, rien n’y a fait. Penauds, ils se dédouanent : « Les vacances arrivent, nous voulons bouger et voyager ! »

Quelle inconscience !

Certains me traitent de complotiste. Mais qui sont les complotistes ???

Complot Qui fomente les complots ? Le peuple ? Non ! Ce sont eux les politiques et les médias aux ordres les vrais comploteurs… complotistes.

Tous, présidents, ministres, députés, sénateurs, conseillers d’État, les « sages » du Conseil Constitutionnel… Les entendez-vous dénoncer l’horreur que l’on fait subir au peuple et ce qu’on leur prépare comme avenir ? Seraient-ils tous corrompus pour se taire et laisser faire, en manque de probité, d’honneur, menacés ou complètement dépassés ?

Ne craignent-ils pas un jour la vindicte du peuple ?

La Guerre des mondes de HG Wells a bel et bien débuté. La plupart des gens ne sont pas conscients qu’ils sont sur le bord de l’extinction, sinon du contrôle total sur leur vie.

Malgré toutes les manifestations, malgré tous les discours, malgré toutes les pétitions, les politiciens et les médias continuent à se vautrer sans vergogne dans le mensonge, la perfidie et la trahison envers leur population. Leur lâcheté ou compromission sont inacceptables. Nous assistons à un génocide programmé sur tout la planète !

Les scientifiques honnêtes alertent, partagent leurs études scientifiques, quelques médecins intègres eux aussi montent au créneau et mettent en garde contre ces tests PCR et Vaccins, et les autorités les bâillonnent, les détractent, les insultent, censurent et les bannissent quand on ne les enferme pas dans des asiles psychiatriques.

Il ne s’agit pas ici de pessimisme, comme certaines personnes pourraient le croire, mais bien d’hyper réalisme. Les cabalistes et les comploteurs ont pour finalité de détruire la société actuelle, pour en rebâtir une nouvelle selon de nouvelles normes qui ne seront évidemment pas conçues pour le bien-être de l’humanité.    

Le Forum Économique Mondial et ses partenaires globalistes ont été les premiers bénéficiaires de la pandémie. Comme le chef du FEMKlaus Schwab, l’a fait remarquer avec enthousiasme à maintes reprises, la pandémie est une « occasion » parfaite pour les globalistes d’accélérer ce qu’ils appellent le programme du « Grand Reset » — un plan visant à démanteler complètement le cadre politique et économique actuel du monde et à le reconstruire en une civilisation socialiste hautement centralisée dans laquelle ils ont un contrôle total et où la liberté individuelle n’est plus qu’un vague souvenir.

Allez chercher des infos sur leur dernière trouvaille : « Cyberpolygon », dirigé par le FEM en juillet dernier. Ce jeu de guerre est censé « simuler » une cyberattaque contre des infrastructures vitales qui entraînerait l’arrêt de la chaîne d’approvisionnement globale, ou du moins des chaînes d’approvisionnement de certains pays : 

https://lesakerfrancophone.fr/cyber-polygon-le-prochain-jeu-de-guerre-globaliste-conduira-t-il-a-une-autre-catastrophe-bien-commode [ou ici : Cyber Polygon : Le prochain jeu de guerre globaliste conduira-t-il à une autre catastrophe bien commode ?]

Ils sont une poignée de malfaisants, de fous génocidaires qui ont organisé toute cette fraude et qui nous entraînent dans l’Armageddon ! Mais nous sommes huit milliards sur cette planète. Rien n’est perdu.

Rien n’est définitif. Apocalypse = Révélation.

Ils ont leur Grand Reset et nous le Grand Réveil.

Depuis tant d’années, je sais. Depuis tant d’années je fus témoin de leurs honteuses manipulations et mises en place de ce que nous vivons aujourd’hui ! Le premier choc fut le 11 septembre 2001. Ce fut leur coup d’envoi ! Par un des plus grands hasards, je fus un petit témoin de cette opération, deux mois auparavant, en juillet, à Washington.

Quand les tours du World Trade Center se sont effondrées, en recoupant tout ce que j’avais vu et entendu deux mois auparavant, cela fut une évidence… Dans les mois qui suivirent, je savais la vérité et ne pouvais rien dire sans passer pour une démente. Un jour je raconterai si Dieu me prête vie. Mais, depuis quelques années, peu à peu, le voile se lève ! Et ils sont à vue. D’ailleurs maintenant ils ne se cachent même plus, sûrs d’eux !

Leur « plan » semble fonctionner et ils se frottent les mains ! Mais trop vite, trop loin ils sont allés et de petits cailloux vont enrayer leur machination infernale et leur projet démoniaque et sataniste de contrôle planétaire. Et quelques voix se lèvent. Ainsi ce courageux député finlandais Ano Turtiainen [Voir : Finlande — Vaccination Covid : des parlementaires seront accusés de génocide] monte au créneau :

« Alors, je vous demande à tous : combien de personnes doivent encore mourir ou être blessées avant que nous n’arrêtions ce massacre ? Chers collègues, vous êtes désormais conscients de la menace extrême et grave qui pèse sur la sécurité de notre nation, et que les inconvénients des injections sont plus importants que les avantages. Vous n’avez plus de raison de ne pas agir pour sauver notre nation. Enfin si vous continuez à tromper nos citoyens, en leur racontant par exemple des contes de fées selon lesquels les vaccins sont sûrs et ont une licence de commercialisation. Vous êtes intentionnellement impliqués dans plusieurs crimes, le plus grave d’entre eux pouvant même être un génocide. Une fois de plus je vous rappelle à tous ici : un crime devient intentionnel lorsqu’il est commis en connaissance de cause. Maintenant vous êtes tous conscients, merci. »

J’ai tellement de rancune accumulée devant tant de cruauté, de mensonges, lâcheté, perversion et d’injustices… Mais l’instant n’a de place qu’étroite entre l’espoir et le regret et c’est la place de la vie. Il m’a fallu du temps pour tenter de transformer ces ressentiments, pour éprouver moins d’amertume, pour ne plus goûter ce fiel qui souvent m’envahissait jusqu’à l’écœurement et l’envie de vomir. Je tente d’éprouver de la compassion pour certains, infirmes du cœur et inachevés, mais je n’en aurai jamais pour cette poignée de salopards diaboliques qui nous entraînent en enfer.

Soudain je reprends espoir en venant librement ici balancer certaines vérités sans être bannie. Merci à MediaZone de m’avoir accueillie !

On va se battre encore et encore. C’est une « guerre contre les peuples », comme ils disent : c’est une sacrée guerre du Bien contre le Mal !  Mais les peuples s’éveillent et j’aperçois enfin une petite lumière au bout du tunnel. Serrons les coudes tous ensemble et résistons! Luttons fièrement, pour nos enfants, pour notre terre, pour l’amour, pour la vie ! Que Dieu nous vienne en aide !

Quand le pouvoir de l’amour l’emportera sur l’amour du pouvoir alors le monde connaîtra la paix.

(Jimi Hendrix)

Christine Deviers-Joncour
http://christinedeviersjoncour.com




Cyber Polygon : Le prochain jeu de guerre globaliste conduira-t-il à une autre catastrophe bien commode ?

[Source : Cyber Polygon : Le prochain jeu de guerre globaliste conduira-t-il à une autre catastrophe bien commode ? – Le Saker Francophone]

Par Brandon Smith − Le 3 juin 2021 − Source Alt-Market

En avril dernier, j’ai publié un article intitulé « Les globalistes auront besoin d’une autre crise en Amérique alors que leur programme de Grand Reset échoue ». J’y notais une tendance étrange dont beaucoup d’entre nous, dans les médias libertariens, ont pris conscience au fil des ans – Presque toutes les catastrophes majeures causées par l’homme aux États-Unis et dans de nombreuses autres parties du monde au cours des deux dernières décennies ont été précédées d’un  « exercice »  gouvernemental ou globaliste. Ces exercices et jeux de guerre ont tendance à imiter la catastrophe exacte qui frappera finalement le public quelques jours ou semaines plus tard. Parfois, les exercices de simulation de catastrophe et les événements réels se produisent en même temps.

La pandémie de Covid-19 n’a pas fait exception. C’est assez miraculeux…

J’ai spécifiquement souligné la « coïncidence » bizarre de l’exercice Event 201 du Forum économique global, un jeu de guerre cofinancé par Bill Gates et l’Université Johns Hopkins et lancé en octobre 2019. Event 201 simulait une nouvelle pandémie globale de coronavirus zoonotique (censée se propager des chauves-souris à l’homme) qui « nécessitait » une réponse globale de confinement. Seulement deux mois plus tard, la vraie chose s’est réellement produite. Presque tous les aspects de l’événement Covid se sont déroulés exactement comme cela avait été prévu lors du jeu de guerre du Forum économique mondial.

Un élément très inquiétant de la réponse à la Covid-19 a été la campagne de suppression coordonnée par les plateformes Big Tech, de YouTube à Facebook et Twitter. Cette campagne a cherché à saper ou à détruire tous les faits, données et opinions qui vont à l’encontre du discours gouvernemental sur la Covid-19, même si le discours officiel sur la Covid-19 finit par être complètement faux. La stratégie a été décrite en détail lors de l’« Event 201 » et elle a été exécutée avec une extrême efficacité parmi des entreprises et des gouvernements supposés déconnectés dans le monde entier. C’est presque comme s’ils SAVAIENT qu’une pandémie de coronavirus était sur le point de se produire et qu’ils avaient déjà mis en place une stratégie pour contrôler la réaction du public bien à l’avance.

Et soyons clairs, car je ne veux pas paraître ambigu : le Forum économique mondial et ses partenaires globalistes ont été les premiers bénéficiaires de la pandémie. Comme le chef du FEM, Klaus Schwab, l’a fait remarquer avec enthousiasme à maintes reprises, la pandémie est une « occasion » parfaite pour les globalistes d’accélérer ce qu’ils appellent le programme du « Grand Reset »  – un plan visant à démanteler complètement le cadre politique et économique actuel du monde et à le reconstruire en une civilisation socialiste hautement centralisée dans laquelle ils ont un contrôle total et où la liberté individuelle n’est plus qu’un vague souvenir.

C’est pourquoi les récentes révélations sur les origines probables de la Covid d’un laboratoire ne sont pas du tout surprenantes. Le simple fait de mentionner cette idée il y a un an dans les médias sociaux suffisait à vous faire bannir. Et, si vous voulez savoir où trouver la vérité, regardez toujours en premier lieu les sujets dont vous n’êtes pas autorisé à discuter. Comme je l’ai déclaré dans mon article « Comment la pandémie virale profite à l’agenda globaliste », publié en janvier 2020 au tout début de l’épidémie :

J’ai du mal à ignorer l’étrange  « coïncidence » des laboratoires de haut niveau en matière de risques biologiques à Wuhan en faveur de l’idée que le virus a été lancé par hasard en raison des régimes alimentaires bizarres des Chinois du centre. Au vu des preuves, il semble que le coronavirus ait été mis en gestation dans un laboratoire, et non dans la soupe de chauve-souris et de serpent de quelqu’un. En 2017, des scientifiques extérieurs à la Chine ont averti que ces laboratoires n’étaient pas sécurisés et qu’un virus pouvait s’échapper de l’une des installations… J’utiliserais le terme « échapper » de manière vague, car il est possible que cet événement ait été créé intentionnellement…

Des élites comme le Dr Anthony Fauci (un proche associé de Bill Gates et Bill Gates SR.) ont directement financé des études au laboratoire de Wuhan par le biais du NIAID depuis 2015, et ont spécifiquement financé l’étude du transfert infectieux des coronavirus des chauves-souris vers d’autres mammifères, y compris les humains. Et oui, le NIAID était en fait impliqué dans des expériences de « gain de fonction » utilisant des variantes du SRAS et du coronavirus à cette époque, malgré les affirmations contraires d’Anthony Fauci. Le site Web de l’Institut national de la santé le confirme.

Tous ces faits étayent l’argument selon lequel la Covid-19 est une arme biologique créée en laboratoire et, selon moi, d’après les preuves recueillies jusqu’à présent, il a été diffusé délibérément en étroite collaboration avec le gouvernement chinois. Fauci a même en quelque sorte « prédit » en 2017 que Donald Trump serait confronté à une « épidémie surprise de maladie infectieuse » pendant sa présidence, déclarant que « Nous serons certainement surpris dans les prochaines années… »

Le stratagème a certainement fonctionné dans une certaine mesure. Dans une grande partie de l’Europe, de l’Asie et de l’Australie, le FEM obtient ce qu’il a toujours voulu.

Cela dit, certaines choses ne se sont pas déroulées comme prévu. Par exemple, l’« Event 201 » prévoyait la mort de 65 millions de personnes au cours de la première année de la pandémie ; cela ne s’est pas produit, et ce n’est pas parce que les gouvernements ont sauvé des vies. En fait, les confinements et les restrictions gouvernementales n’ont rien fait pour empêcher la propagation de la Covid-19 et des études indépendantes ont prouvé que les mandats de masquage étaient totalement inefficaces pour arrêter le virus. Le nombre relativement faible de victimes s’explique par le fait que le taux de mortalité de la Covid-19 n’est que de 0,26 % chez les personnes en bonne santé. Le seul endroit où la Covid-19 représente une véritable menace est dans les maisons de retraite, chez les personnes âgées souffrant de maladies préexistantes.

En raison des erreurs de calcul des élites, le programme de Reset semble échouer dans certaines parties du monde. Aux États-Unis, la résistance aux mesures de confinement et aux vaccins expérimentaux s’est développée de manière exponentielle, au point que des dizaines d’États ont adopté des lois interdisant l’application des restrictions sur les malades de la Covid-19 et les « passeports médicaux ».

Les médias alternatifs ont également prouvé leur résistance à la censure et à la suppression de l’information, et il a été prouvé que nous avions raison à maintes reprises. Nous avons été les premiers à avertir que le taux de mortalité de la Covid-19 était exagéré (l’OMS et d’autres institutions de l’establishment avaient prédit un taux de mortalité d’au moins 3 %, bien au-dessus de la réalité). Nous avons été les premières personnes à avertir que les mesures de confinement et les règles relatives aux masques n’ont rien fait pour arrêter la propagation (les États qui ont supprimé les restrictions ont vu le nombre d’infections et de décès chuter). Nous avons été les premiers à signaler que le virus se comportait davantage comme une arme biologique et que son origine était plus vraisemblablement le laboratoire de niveau 4 de Wuhan, en Chine, situé juste à côté du marché aux animaux qui, selon le gouvernement chinois, était à l’origine de l’épidémie.

Nous avons également été les premiers à avertir que la pandémie serait utilisée pour justifier l’application des passeports vaccinaux, ce qui créerait une société à deux vitesses conçue pour forcer les personnes qui ne veulent pas prendre les vaccins à ARNm à se conformer. Nous avons eu raison une fois de plus puisque l’État de l’Oregon est devenu le premier aux États-Unis à exiger une preuve de vaccination (un passeport) avant que les résidents puissent entrer dans n’importe quel commerce ou établissement.

Tout au long de cet événement, nous avons été traités de « théoriciens de la conspiration » par les bureaucrates du gouvernement et les médias. Mais nous avions raison sur presque tout, et les grands médias ont eu tort sur presque tout. Soit cela, soit ils ont sciemment menti sur presque tout.

Il est important de comprendre cette dynamique car je pense que la situation est loin d’être terminée et que d’autres événements de crise sont sur le point de se produire (ou qu’ils se produiront comme par magie par coïncidence).

Ce qui me préoccupe le plus en ce moment, c’est le prochain exercice « Cyberpolygon » dirigé par le FEM en juillet. Ce jeu de guerre est censé « simuler » une cyberattaque contre des infrastructures vitales qui entraînerait l’arrêt de la chaîne d’approvisionnement globale, ou du moins des chaînes d’approvisionnement de certains pays. Comme je l’ai signalé en avril, le calendrier du Cyberpolygon est suspect. Comme le programme de confinement des malades de la Covid-19 est en train de s’effondrer aux États-Unis et que les passeports vaccinaux ne remportent pas la faveur d’un grand pourcentage d’Américains, les globalistes auront besoin d’une autre crise, s’ils espèrent atteindre leurs objectifs pour leur Grand Reset.

[Voir aussi : La quatrième phase de Schwab]

Quelques semaines seulement après que j’ai publié mes premières inquiétudes concernant le Cyberpolygon, une cyberattaque massive a été signalée, qui a frappé le Colonial Pipeline, long de 5 500 miles. Ce pipeline fournit de l’essence à la majeure partie de la côte est et, après une semaine de fermeture, de nombreux États ont signalé des pénuries d’essence. L’histoire s’est depuis tranquillement effacée des grands cycles d’information.

Ces derniers jours, une autre cyberattaque majeure a été signalée contre JBS, une entreprise de viande qui fournit environ 23 % de l’ensemble du bœuf et du porc américains. La production de JBS s’est arrêtée, et il y a maintenant une possibilité de pénurie de viande dans tout le pays si les problèmes ne sont pas résolus rapidement.

Encore une fois, est-ce une coïncidence que ces cyberattaques de grande envergure se produisent plus fréquemment à l’approche de la simulation Cyberpolygon du FEM ? Ou bien, Cyberpolygon est-il un autre Event 201 ? S’agit-il d’un test bêta pour une catastrophe prévue dans un avenir proche ? Le FEM compare ouvertement les futures cyberattaques à des épidémies de Covid-19, je suis donc enclin à soupçonner la seconde hypothèse :

La question de la chaîne d’approvisionnement est passée au premier plan dans le sillage de la pandémie, car les détaillants ont dû faire face à des pénuries intermittentes et les fabricants à un manque de composants. En outre, les problèmes d’inflation pèsent également sur les approvisionnements. Cela dit, une cyberattaque est une toute autre affaire ; que l’événement soit réel ou non, la chaîne d’approvisionnement est fragile en raison de l’interdépendance globale. Aux États-Unis, de nombreux produits de première nécessité dépendent de fabricants étrangers ou du système de fret « juste à temps ». La préparation et le stockage à long terme ne font pas partie du vocabulaire de l’entreprise américaine commune.

Je ne sais pas vraiment si la chaîne d’approvisionnement pourrait être complètement interrompue par une cyberattaque, mais en combinaison avec l’inflation et des restrictions draconiennes en cas de pandémie, il est possible de perturber le flux de marchandises pendant des semaines. Il est également impossible de prévoir combien de personnes sont préparées à une telle calamité. J’espère que plus de 30 % des Américains ont au moins commencé à se préparer, mais il ne fait aucun doute que la majorité du pays ne l’est pas. Il suffirait de quelques semaines de pénurie ou d’un scénario de panne de réseau pour que la plupart des gens soient confrontés à la famine, entre autres choses.

Si l’Event 201 est une indication, nous devons rester vigilants et surveiller attentivement une autre cyberattaque majeure affectant la chaîne d’approvisionnement dans les deux mois suivant l’exercice Cyberpolygon du FEM en juillet.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




ALERTE – Jean-Pierre Chevallier, Docteur en économie: « Les capitaux propres des banques sont négatifs, elles n’ont plus d’Argent !! »

[Source : businessbourse.com]

Pour cette 300ème émission de « Politique & Eco », Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Jean-Pierre Chevallier, analyste financier indépendant.

Depuis une dizaine d’années, les banksters jonglent pour éviter le pire par tous les moyens, et pour l’instant, ils ont réussi à survivre tant bien que mal. Mais, selon Jean-Pierre Chevallier, le jour fatal arrivera car les banques sont en grande difficulté, voire au bord de la faillite comme la Deutsche Bank ou la Société Générale, alors même qu’elles bénéficient de la manne de la BCE.

Tout cela parce que depuis le début du XXIème siècle elles ont abandonné les règles prudentielles, à savoir que leurs engagements sur fonds propres ne devraient pas dépasser un ratio de 1/10 alors qu’elles sont à 1/30, 1/40 et plus. Il est clair que l’excès de liquidité sur les marchés et cette période délirante de taux nuls ou négatifs alimentent les spéculations les plus folles et stimulent l’appât du gain.

Pragmatique, Jean-Pierre Chevallier part des bilans bancaires. Pour prendre le cas de la Société Générale, les pertes potentielles (non provisionnées) de 53 milliards d’euros sur les prêts irrecouvrables qu’elle a octroyés à ses clients sont supérieurs au montant de ses capitaux propres tangibles (réels) de… 47,6 milliards (documents publiés par la banque dans ses résultats financiers au 1er trimestre 2021).

En appliquant les règles comptables en vigueur (IFRS 9), la Société Générale a donc des capitaux propres… négatifs ce qui aurait dû conduire ses dirigeants à déclarer la banque en faillite. Enfin, la Société Générale oublie de compter les pertes potentielles hors bilan qui représentent un total de 74,002 milliards.

Donc en cas de faillite d’une ou plusieurs banques, que se passerait-il ? La référence en la matière est ce qui s’est passé en Grèce (2008) et à Chypre (2012) et aussi et surtout en Allemagne après la Première guerre mondiale. D’abord, le système bancaire français sera entièrement bloqué pendant quelques jours : aucun distributeur automatique de billets ne fonctionnera, les agences bancaires seront fermées, personne ne répondra au téléphone, ni aux emails, les comptes gérés par internet seront inaccessibles ou figés.

Il n’existe aucune garantie des dépôts bancaires en France dans la mesure où le Fonds de garantie des dépôts et de résolution ne dispose que de 4,7 milliards d’euros, soit moins de 100 euros pour chacun des 50 millions de clients ! Toutes ces analyses confirment l’aggravation de la crise qui couve toujours dans la zone euro…




Note sur les fake news relatives aux chiffres concernant les effets secondaires des thérapies géniques chez les enfants de 0 à 17 ans

[Source : Réaction19]

Dans le cadre de l’extension récente de l’indication du« vaccin» contre la COVID-19 aux jeunes de 12 à 18 ans, le présent guide a été mis en ligne pour que les élèves puissent se construire par eux-mêmes une opinion éclairée sur ses avantages et ses inconvénients.

Aux termes de ce guide :

  1. Les risques énoncés concernant le vaccin chez les 12-18 ans sont les suivants:
    • Les données concernant la tolérance du vaccin (obtenues chez les 2260 adolescents âgés de 12 à 15 ans) sont globalement satisfaisantes.
    • La plupart des effets indésirables rapportés chez les adolescents étaient les mêmes que chez les adultes et consistaient en des manifestations locales (douleur au point d’injection) ou des symptômes généraux (fatigue, céphalée, frissons, douleurs musculaires, fièvre, d’intensité légère à modérée.
    • Aucun effet indésirable considéré comme grave en rapport avec le vaccin n’a été rapporté.
  2. Les bénéfices directs énoncés concernant la vaccination contre la COVID-19 sur le plan individuel sont les suivants
    • Bien qu’elles soient rares, des formes sévères de COVID-19 peuvent survenir chez les enfants et adolescents, notamment en cas de comorbidité. La vaccination aurait donc un bénéfice individuel direct sur cette population. Le vaccin Comimaty [Ndlr : de Pfizer] a prouvé dans les essais cliniques qu’il était efficace sur les cas de COVID-19 symptomatiques et confirmés par PCR à 100 % à partir du 7e jour après la fin de la vaccination.
    • La vaccination des adolescents aurait un bénéfice individuel évident sur le plan psychologique et social.
  3. Les seules contre-indications énoncées concernant les vaccins sont les suivants :
    • L’utilisation de Comirnaty est contre-indiquée uniquement en cas d’antécédents d’allergie immédiate à l’un des composants du vaccin.
    • Il n’y a pas de données concernant l’exploration de l’efficacité du vaccin chez les 12-18 ans sur la transmission virale.
    • Il n’y a pas encore de données disponibles concernant l’efficacité sur les formes graves de COVID-19 chez les enfants, notamment le « syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique» (MIS-Cou PIMS).
    • L’efficacité du vaccin Comirnaty pour les 12-15 ans sur les différents variants circulants actuellement n’a pas encore pu être évaluée.

Et ce alors que le site eudravigilance fournit des données différentes

  • Sur Pfizer BioNtech :

569 rapports qui signalent les effets secondaires subis par les enfants entre 0 et 17 ans, dont 408 qui touchent aux enfants de 12 à 17 ans.

Parmi eux, on trouve 62 rapports qui dévoilent des effets indésirables associés au cœur, notamment : crise cardiaque, myocardite, péricardite, rnyopericardite et tachycardie.

On y trouve également des effets associés au système sanguin, notamment la thrombose (veineuse et artérielle) et la thrornbocytopénie.

Dans la majorité des cas, les résultats restent en attente puisque le site ne précise pas la suite (‘inconnu’) ou mentionne qu’ils sont en progrès (‘en voie de guérison’) .

  • Sur Moderna :

59 rapports qui signalent les effets secondaires subis par les enfants entre O et 17 ans, dont 29 qui touchent aux enfants de 12 à 17 ans.

Parmi eux, on trouve deux crises cardiaques, une défaillance cardiaque chronique, un cas de tachycardie.

On y trouve également un cas de thrombose.

Dans l’ensemble, on peut apprécier de nombreux effets indésirables associés à l’injection, tels que : cécité, surdité, saignements menstruels abondants, perte de conscience, mydriase, douleur au site d’injection, frissons, malaise, myalgie, fièvre, douleurs articulaires généralisées, nausées, maux de tête, fatigue, douleur thoracique, paresthésie.

Dans la plupart des cas, les résultats demeurent en attente puisque le site ne précise pas la suite (« inconnu ») ou indique qu’ils sont en progrès (« en voie de guérison »).

Rapport complet : ici