Une nouvelle étude d’envergure montre que le COVID n’a causé aucun décès chez les enfants allemands en bonne santé

[Source : crashdebug.fr]

Les conclusions, en un mot : si vous laissez votre enfant ou votre adolescent en bonne santé recevoir le vaccin Covid à ARNm, vous êtes fou…

Rédigé par Alex Berenson via ‘Unreported Truths’ substack,

Des médecins-scientifiques allemands ont rapporté lundi que pas un seul enfant en bonne santé âgé de 5 à 18 ans n’est mort du Covid en Allemagne au cours des 15 premiers mois de l’épidémie.

Pas un seul.

Même en incluant les enfants et les adolescents présentant des conditions préexistantes, seuls six enfants de cette tranche d’âge sont morts, ont constaté les chercheurs.

L’Allemagne est le plus grand pays d’Europe, avec plus de 80 millions d’habitants, dont environ 10 millions d’enfants et d’adolescents en âge scolaire.

Les maladies graves étaient également extrêmement rares. Selon les chercheurs, la probabilité qu’un enfant en bonne santé âgé de 5 à 11 ans ait besoin de soins intensifs pour un Covid était d’environ 1 sur 50.000. Pour les enfants plus âgés et plus jeunes, les probabilités étaient un peu plus élevées, soit environ 1 sur 8000.

Huit autres nourrissons et jeunes enfants sont décédés, dont cinq présentaient des conditions préexistantes. Au total, 14 Allemands de moins de 18 ans sont morts du Covid, soit environ un par mois. Environ 1,5 million d’enfants ou d’adolescents allemands ont été infectés par le Sars-Cov-2 entre mars 2020 et mai 2021, ont constaté les chercheurs.

« Globalement, la charge associée au SRAS-CoV-2 d’une évolution grave de la maladie ou d’un décès chez les enfants et les adolescents est faible », ont rapporté les chercheurs.

« Cela semble particulièrement le cas pour les enfants de 5 à 11 ans sans comorbidités. »

Les chercheurs ont fait part de leurs conclusions dans un article de 18 pages publié sur le serveur de préimpression medrxiv lundi.

Les données proviennent d’un registre que l’Allemagne a mis en place en mars 2020 et qui visait à recenser toutes les hospitalisations de personnes de moins de 18 ans atteintes de Covid. Tous les hôpitaux pour enfants allemands, les spécialistes des maladies infectieuses pédiatriques et les sociétés de pédiatrie ont été invités à participer.

Death Rate Children Covid Germany

(SOURCE: https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.11.30.21267048v1.full.pdf)

Des chercheurs britanniques ont publié des résultats similaires, signalant que seuls six enfants en bonne santé (y compris les moins de 18 ans) sur 12 millions sont morts de Covid.

Compte tenu des risques connus de myocardite induite par les vaccins chez les jeunes hommes, du fait que Pfizer a testé ses vaccins à ARNm sur à peine 3000 enfants de 5 à 11 ans et n’a suivi la plupart d’entre eux que pendant quelques semaines après la deuxième dose, les données allemandes soulèvent à nouveau la question de savoir comment les autorités sanitaires peuvent justifier d’encourager les enfants ou les adolescents à se faire vacciner.

Mais elles l’ont fait.

Les parents devront donc décider de ce qui est le mieux pour leurs enfants (du moins dans les États qui interdisent aux fanatiques de la vaccination d’essayer de vacciner les adolescents sans le consentement des parents).




Covid : 2 heures de vérité après 2 ans de mensonges !

[Source : TVlibertés]

Élise Blaise reçoit quatre invités prestigieux, tous scientifiques : la généticienne Alexandra Henrion-Caude, spécialiste de l’ARN, le professeur Christian Perronne, infectiologue et ancien conseiller des gouvernements en matière de santé publique, Laurent Toubiana, épidémiologiste et directeur de l’IRSAN, et Laurent Montesino, médecin réanimateur, ainsi que la participation du généticien moléculaire, Christian Vélot et le témoignage de Marc Doyer, dont l’épouse, Mauricette, aurait contracté la maladie de Creutzfeld-Jakob après la deuxième injection du vaccin Pfizer.

Au fil de ces deux heures d’émission, la stratégie du gouvernement et ses effets sont passés au crible pour expliquer pourquoi un an après le lancement de la campagne de vaccination, les pouvoirs publics et médiatiques continuent de faire peur aux Français.

Manipulation des chiffres, prise en charge des patients malades du Covid, traitements interdits, vaccination massive et effets secondaires, conflits d’intérêts… tous les sujets que les médias refusent d’aborder avec honnêteté et sérieux sont traités ici, par des scientifiques et des praticiens de renom.






Ne sacrifiez pas vos enfants, ils sont l’avenir de l’Humanité

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Par Nicole Delépine

Nous ne pouvons dans un texte court relater tous les effets délétères de cette injection expérimentale et nous vous joignons ici le résumé qu’en fait le Dr Malone, inventeur infortuné de cette technique qu’il eut voulu utile à l’Homme et qui est en passe de détruire une part de l’Humanité.

Et voici la déclaration de l’inventeur de la technologie de thérapie génique que j’imagine dans l’état d’Einstein après les méfaits de sa création de fait de  la bombe atomique.

Texte intégral de la déclaration du Dr Malone(([1] « Avant que votre enfant ne soit injecté », déclaration du Dr Robert Malone sur les vaccins géniques Covid pour enfants – Anthropo-logiques))

[Vidéo : « Voulez-vous vraiment que votre enfant fasse partie de l’expérience la plus radicale de l’histoire de l’humanité? » Le plaidoyer du Dr Robert W. Malone, inventeur du vaccin ARNm (décembre 2021)]

« Je m’appelle Robert Malone, et je m’adresse à vous en tant que parent, grand-parent, médecin et scientifique. Je n’ai pas l’habitude de lire un discours préparé, mais ce sujet est si important que je voulais m’assurer que chaque mot et chaque fait scientifique étaient exacts.

Je m’appuie sur cette déclaration, ma carrière étant consacrée à la recherche et au développement de vaccins. Je suis vacciné contre le Covid et je suis généralement pro-vaccination. J’ai consacré toute ma carrière au développement de moyens sûrs et efficaces pour prévenir et traiter les maladies infectieuses.

Ensuite, je publierai le texte de cette déclaration afin que vous puissiez la partager avec vos amis et votre famille.

Avant que vous ne fassiez l’injection à votre enfant – une décision qui est irréversible – je voulais vous faire connaître les faits scientifiques concernant ce vaccin génétique, qui est basé sur la technologie du vaccin ARNm que j’ai créée.

Il y a trois points que les parents doivent comprendre :

La première est qu’un gène viral sera injecté dans les cellules de vos enfants. Ce gène oblige l’organisme de votre enfant à fabriquer des protéines Spike toxiques. Ces protéines provoquent souvent des dommages permanents dans les organes vitaux des enfants, notamment :

  •     ○ leur cerveau et leur système nerveux ;
  •     ○ leur cœur et leurs vaisseaux sanguins, y compris les caillots sanguins ;
  •     ○ leur système reproductif ;
  •     ○ ce vaccin peut en outre déclencher des modifications fondamentales dans leur système immunitaire.

Le point le plus alarmant à ce sujet est qu’une fois ces dommages survenus, ils sont irréparables.

  •     ○ Vous ne pouvez pas réparer les lésions dans leur cerveau.
  •     ○ Vous ne pouvez pas réparer les cicatrices du tissu cardiaque.
  •     ○ Vous ne pouvez pas réparer un système immunitaire génétiquement réinitialisé.
  •     ○ ce vaccin peut causer des dommages à la reproduction qui pourraient affecter les générations futures de votre famille.

La deuxième chose que vous devez savoir est le fait que cette nouvelle technologie n’a pas été testée de manière adéquate.

  •     ○ Nous avons besoin d’au moins 5 ans de tests/recherche avant de pouvoir vraiment comprendre les risques.
  •     ○ Les inconvénients et les risques des nouveaux médicaments ne sont souvent révélés que plusieurs années plus tard.

Demandez-vous si vous voulez que votre propre enfant fasse partie de l’expérience médicale la plus radicale de l’histoire de l’humanité.

Un dernier point : la raison qu’on vous donne pour faire vacciner votre enfant est un mensonge.

  •     ○ Vos enfants ne représentent aucun danger pour leurs parents ou grands-parents
  •     ○ C’est en fait le contraire. L’immunité qu’ils développent naturellement après avoir été infectés par le Covid est essentielle pour sauver votre famille, sinon le monde, de cette maladie…

En résumé, il n’y a aucun avantage pour vos enfants ou votre famille à les « vacciner » contre les faibles risques du virus, compte tenu des risques sanitaires connus du « vaccin » avec lesquels, en tant que parent, vous et vos enfants devrez peut-être vivre pour le reste de leur vie.

L’analyse des risques et des avantages est loin d’être aussi précise.

En tant que parent et grand-parent, je vous recommande de résister et de vous battre pour protéger vos enfants ».

En conclusion

1°) Très peu d’enfants sont malades  du Covid (moins de 5% des malades recensés), ils ne font que des formes légères (trois fois moins de risque de mourir que de la grippe saisonnière). ils ne peuvent pas espérer de bénéfice personnel de la vaccination.

2°) Les enfants ne constituent pas un vecteur de transmission. Les pseudo vaccins actuels ne protègent pas de la maladie et n’empêchent pas de la transmettre. On ne peut donc pas espérer que les vacciner puisse protéger les autres.

3°) les pseudo vaccins actuels, issus d’une technique jusqu’ici jamais utilisée en pathologie infectieuse humaine, sont totalement expérimentaux : les résultats des essais ne seront connus qu’en 2023. On ne connaît donc pas la totalité de leurs risques.

À court terme, ils exposent à des complications sévères, dont des myocardites. Aucun bénéfice, complications nombreuses et parfois mortelles la balance avantage risque est totalement défavorable chez l’enfant.

Cette injection diabolique l’est tellement que même un médecin de plateau comme Martin Blachier s’y oppose !

Le boom du jour : Ecoles = retour à la normale le 3 janvier 2022 – We Sign It

« Au vu des données scientifiques disponibles

– sur la circulation virale dans les différentes classes d’âge (taux de positivité supérieur chez les plus de 40 ans par rapport au moins de 12 ans),

– sur l’absence de risque de formes graves de la maladie covid19 chez les enfants de moins de 12 ans non à risque,

– de la vaccination des enseignants qui le souhaitent avec 3 doses de vaccins ARN qui protège à plus de 98%,

– de l’impact des mesures sanitaires en cours sur l’apprentissage et la qualité de développement de nos enfants (25% des hospitalisations des enfants sont en pédopsychiatrie, 22% de baisse de QI des enfants pendant la crise;

nous demandons à ce que les conditions de vie scolaire soient ramenées à la normale à partir du 3 janvier sans aucune condition vaccinale en dehors des 5% d’enfants à risque.

C’est à dire

– la fin du port du masque en classe et lors des activités extérieures,

– l’absence de toute pression vaccinale sur les enfants sans comorbidités majeures ainsi que

– la fin des évictions scolaires pour les enfants positifs au covid.

Cette pétition est lancée par Marie-Estelle Dupont psychologue clinicienne à Paris et le Dr Martin Blachier, médecin de santé publique. »

Mobilisation créée par Martin Blachier 15/12/2021 Contacter

Un gros progrès, même si on  pourrait discuter l’injection des enfants avec comorbidité etc.. mais chaque jour suffit sa peine.

Et même l’OMS : l’OMS exhorte l’Europe à ne pas vacciner les #enfants ! Si la vaccination des plus jeunes continue de faire débat à travers le continent, l’OMS a fermement tranché sur le sujet. Source : #AFP

Nicole Delépine





Quand l’ARN messager était interdit à cause de nombreux cancers chez les enfants

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Vacciner les enfants à l’ARN messager, quelle bonne idée lancée par Jean Castex ! Ce n’est pas comme si cette technique sentait le soufre, et avait déjà suscité des controverses scientifiques tragiques il y a une quinzaine d’années… En effet, c’est une technique proche, celle des thérapies géniques, qui fonctionne à partir de fragments d’ARN, qu’avait utilisée le professeur Alain Fischer, devenu le Mr Vaccin du gouvernement, pour soigner les « bébé-bulles ». Les expérimentations avaient été arrêtées à cause des cas de cancers que la technologie développait chez les enfants, plusieurs mois après le traitement.

Jean Castex vient d’expliquer que vacciner les enfants à l’ARN messager était une “nécessité”. Le Premier Ministre nous donne l’occasion de redire quelques mots sur le manque de recul que constituerait une pareille décision, qui se prendrait au mépris du principe de précaution.

Vacciner les enfants à l’ARN messager ? Mais pour protéger qui ?

Redisons-le, une fois de plus, l’analyse bénéfice-risque de la vaccination des enfants… n’est certainement pas à l’avantage des enfants, puisque ceux-ci ne meurent pas du coronavirus. En revanche, ils peuvent contracter de très lourds effets secondaires avec le vaccin. 

Vacciner les enfants se justifie donc pour protéger les adultes, mais certainement pas les enfants eux-mêmes. C’est une logique purement sacrificielle qui dicte cette orientation du Premier Ministre. 

L’intéressé ne s’en cache d’ailleurs pas :

“Ce sont des transmetteurs, j’en suis l’exemple vivant, a déclaré le Premier ministre. C’est ma fille de 11 ans qui m’a donné le virus il y a quelques semaines. J’étais vacciné, donc je n’ai eu qu’une forme extrêmement légère, mais voilà. Donc oui, la vaccination des enfants est une nécessité.”

On ne vaccine donc pas les enfants pour protéger les enfants, mais pour protéger les adultes. 

Le précédent des bébé-bulles

Or, l’utilisation de séquences d’ARN sur des enfants a déjà été testée dans le passé, avec des résultats tragiques, bien connus du Monsieur Vaccin du gouvernement, Alain Fischer. Nous avons déjà évoqué ce sujet dans nos colonnes

Comme le relatait de façon très synthétique mais très éclairante Sciences & Avenir en 2014, de nombreux enfants traités avec des séquences d’ADN et des vecteurs viraux sont morts plusieurs mois après leur traitement, sous la houlette du professeur Fischer. Dans notre précédent article sur le sujet, nous donnes une série de liens sur la question, et nous rappelons que le docteur Fauci, aux USA, a ensuite prétendu sécuriser la technique en ciblant mieux son action sur les lymphocytes B. 

Il n’en reste pas moins que l’injection d’ARN messager chez les enfants manque de recul aujourd’hui, et que les effets secondaires se mesurent sur plusieurs mois, voire plusieurs années, et non sur quelques semaines. 

Une violation caractérisée du principe de précaution

Le propos n’est donc pas d’expliquer que, par principe, un vaccin à ARN messager déclenche des cancers en masse chez les enfants. Il est de dire qu’aujourd’hui nous manquons de recul pour estimer la masse des effets secondaires graves, voire létaux, que cette technologie peut produire chez des enfants, qui ne tireront par ailleurs aucun bénéfice direct de ce vaccin. Autrement dit, il est urgent de mesurer dans la durée le bénéfice-risque de ce vaccin. 

Il s’agit d’une simple application du principe de précaution à la santé de nos enfants. 




Nous n’avons pas mis nos enfants au monde pour qu’ils servent de cobayes aux laboratoires pharmaceutiques !

Bonjour,

Comme vous le savez, en un an de campagne de « vaccination » anti-Covid-19, parmi les plus de 50 millions de citoyens français « vaccinés », plus de 1300 personnes ont été signalées aux services de pharmacovigilance comme ayant perdu la vie suite à ces injections.

À la veille du lancement d’une campagne équivalente ciblant des millions d’enfants (dans un premier temps, ceux âgés de 5 à 11 ans), de nombreux experts et personnalités, impliqués dans la résistance aux mesures dites sanitaires imposées par le gouvernement français, ont alerté sur le caractère scandaleux de ce projet « vaccinal » pédiatrique.

Ayant découvert que plus de 22 000 enfants de moins de 12 ans avaient déjà été piqués avec des doses non adaptées à ces enfants et non validées par les instances responsables des processus de validation d’autorisation de mise sur le marché, nous désirons relayer le plus massivement possible l’appel de plusieurs personnalités exigeant l’arrêt immédiat de ces expérimentations sur les enfants.

Dans ce contexte, ci-joint, nous vous transmettons la copie d’un courrier destiné aux autorités sanitaires nationales ; courrier que plusieurs de ces personnalités ont co-signé.

Nous vous serions extrêmement reconnaissants de bien vouloir diffuser cette lettre appelant les autorités sanitaires à faire connaître les rapports de suivi de la « vaccination » illégale de ces 22 490 enfants, avant qu’elle ne soit étendue à des millions d’autres enfants de moins de douze ans.

Un très grand merci, par avance, pour votre intérêt et pour ce que vous pourrez faire pour les enfants de notre pays !

Le collectif INSEME de Porto-Vecchio

COURRIER NATIONAL DES LEADERS RÉSISTANTS UNIS POUR LA VÉRITÉ

Mesdames et Messieurs de la Société Française de Pédiatrie, du Comité Consultatif National d’Éthique, de la Haute Autorité de Santé, de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé et du Ministère des Solidarités et de la Santé :

NOUS N’AVONS PAS MIS NOS ENFANTS AU MONDE
POUR QU’ILS SERVENT DE COBAYES AUX LABORATOIRES PHARMACEUTIQUES !!!

En France, selon Santé Publique France, en mai 2021, alors qu’aucune autorisation de mise sur le marché n’avait encore été octroyée pour les adolescents français, des médecins ont commencé à inoculer des doses de pseudo-vaccins à ARNm viral pour prévenir le Covid-19, à des enfants de moins de 12 ans !

Au cours de ce même mois de mai, Alain Fischer, le monsieur Vaccin du Gouvernement Macron, déclarait que ce n’était pas envisageable en 2021 !(([1] “…la vaccination des enfants de moins de 12 ans, celle-ci n’est “pas à l’ordre du jour” et ne devrait pas être envisageable “avant le début de 2022”, selon M. Fischer, qui a souligné que les essais cliniques relatifs à cette population commençaient à peine. »
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/05/21/covid-19-la-vaccination-des-adolescents-pourrait-commencer-courant-juin-selon-alain-fischer_6081022_3244.html))

Plus tard, alors que des médecins avaient déjà piqué plusieurs milliers d’enfants de moins de douze ans, le 21 juin, le Comité Consultatif National d’Éthique, présidé par le Président du Conseil Scientifique du gouvernement Macron, déclarait qu’il était inacceptable, éthiquement et scientifiquement, de « vacciner » des enfants de moins de douze ans avec ces mêmes produits !(([2] À ce jour, pour le CCNE, la vaccination des enfants de moins de 12 ans ne semble pas éthiquement et scientifiquement acceptable, en grande partie parce qu’il n’existe aucune étude évaluant la sécurité des vaccins contre la Covid-19 dans cette population. D’ailleurs, aucun pays n’a actuellement pris la décision de vacciner ses jeunes enfants.
https://www.ccne-ethique.fr/sites/default/files/enjeux_ethiques_relatifs_a_la_vaccination_covid_08.06.21_0.pdf))

Selon le quotidien Le Monde du 23 novembre dernier(([3] https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/11/23/covid-19-qui-sont-les-17-000-enfants-de-moins-de-12-ans-deja-vaccines_6103239_4355770.html?fbclid=IwAR14JGyvYxszOnLzKCZVzMlWio2u4woiWH5vlixs68pcnfdiT5tvfCkqsOE)), à la date du 18 novembre, selon les données statistiques officielles de Santé Publique France, 22 490 enfants français de moins de douze ans, dont plus de 4500 enfants de moins de 5 ans, ont été piqués avec de l’ARNm de protéine virale depuis le mois d’avril dernier (Le Monde avance même la date du 27 décembre 2020 pour les deux premières injections sur des touts-petits).

Ces injections ont été réalisées sans que personne, aucun parent, ni aucune autorité de tutelle, n’ait pu donner un consentement éclairé, vu qu’aucune étude clinique n’avait été réalisée, ni évaluée, et qu’aucune autorisation de mise sur le marché n’avait été approuvée par aucune agence publique, qu’elle soit française ou de l’Union Européenne.

Par ailleurs, informée par Santé Publique France de la réalisation de ces injections sur des bébés et sur d’autres enfants de moins de douze ans, qu’a fait l’ANSM concernant la pharmacovigilance correspondant à ces injections tellement délicates, vu leur caractère doublement expérimental, sur des enfants de cet âge-là ?

Le Ministre de la Santé considère-t-il tolérable que ces 22 490 bébés et enfants de moins de douze ans se soient vu injecter ces substances expérimentales appelées vaccins, alors que les premières doses adaptées aux enfants de 5 à 11 ans ne sont pas encore arrivées en France au moment où cette lettre est rédigée (11 décembre 2021) ?

Monsieur le Ministre est-il au courant que la cohorte d’enfants servant l’étude clinique de Pfizer est 10 fois plus petite que ce nombre de 22 490 enfants français ?

Nous exigeons que la lumière soit faite sur cette scandaleuse affaire et que les rapports de pharmacovigilance soient publiés AVANT que ne débute la campagne d’injections prévue pour le 15 décembre prochain.

Fait à Paris, le 11 décembre 2021

Signataires : Martine Wonner, Virginie de Araujo-Recchia, Nicole Delépine, Alexandra Henrion Caude, Yoanna Micoud, Laurent Mucchielli, Benoît Ochs, Jean-Marc Sabatier, Pierre Barnérias, Louis Fouché, Pascal Sacré, We for Humanity — une association humanitaire fondée par des survivants de l’Holocauste et leurs descendants, Collectif Soignants Militants Libres et Unis, Sébastien Recchia, Jean-Pierre Eudier, LNPLV, Le Collectif des Maires Résistants, Collectifs corses INSEME et INSEME SCOLA, Antennes de RéinfoCovid (Vaucluse, Var, 84, 13, 05 et Soignants) Jacqueline D’Antuoni, Sylvain d’Antuoni, Stefan Litty, Lionel Million, Lucette Istace, Marie Anne Andreani, Isabelle Bocognani, Jackie Giraud, Jean-Marc Sabatier, Fabrice Martineu, Nathalie Biancarelli, Michel Biancarelli, Laure Vignot, Alain Schollaert





Lettre ouverte à Cédric Villani (médaille Fields 2010, député de l’Essonne)

Par Karen Brandin

Cher Cédric Villani,

Lors de la sortie en Novembre 2013 du film d’Olivier Peyon au titre tristement prédestiné : « Comment j’ai détesté les maths », j’avais eu l’occasion comme tant d’autres passeurs anonymes de cette fascinante discipline, d’échanger avec vous par mails.

Vous étiez dans « votre première vie » si l’on peut dire ; celle que je comprenais mieux sans doute, celle loin de la politique en tous cas. Nous avons tous gardé en mémoire quel ambassadeur des mathématiques passionné et passionnant vous étiez alors. Sous votre impulsion, votre égide, les maths allait enfin avoir, en plein cœur de Paris, leur “maison” : la maison Poincaré (http://www.maison-poincare.fr/).

Nous avions naturellement un espoir ravivé, presque enfantin, que cette discipline trouverait grâce à vous notamment, toute sa place dans l’éducation ou plutôt, retrouverait un rayonnement terni, en particulier dans le cadre du lycée puisque tout commence là : la confiance, les vocations bien sûr, le goût du doute, celui de la découverte, des débats enflammés mais toujours constructifs et surtout l’émergence de la pensée critique. Celle qui rend libre et qui nous fait si cruellement défaut aujourd’hui.

Depuis lors, nous avons malheureusement essuyé de bien lourdes désillusions avec la réforme Blanquer, une réforme de déconstruction, de désinstruction massive aussi, qui a littéralement détruit la possibilité d’enseigner dignement cette discipline dans le cadre du secondaire. On pourra toujours nous rétorquer que cette réforme, c’est « pour le pays, c’est pour la magie, » ce sont bien des larmes que l’on a dans les yeux, pas des paillettes.

Ce faisant, parce que le savoir fonctionne par ricochet, c’est la qualité de l’enseignement supérieur que l’on a pris le risque d’hypothéquer et ce, à très court terme. Avec lui, par voie de conséquence, la réputation d’excellence des chercheurs français. Il y a à peine quelques mois, un dirigeant de Thalès impliqué dans des problèmes de cybersécurité, se félicitait sur les ondes de France-Info de la qualité des mathématiciens en cryptographie (une branche de la théorie algébrique des nombres) que lui fournissait l’université française. Il se pourrait que cette source de créativité se tarisse rapidement et que la compétitivité de la France ait à en pâtir. Certains grands groupes d’écoles d’ingénieurs, sans doute conscients que le lycée n’était plus en capacité de jouer son rôle de tremplin, ont décidé de renoncer à organiser des concours assez exigeants de recrutement en privilégiant désormais les “examens” oraux éventuellement en visio (on pense à Advance notamment), quand il ne s’agit pas de simple entretiens de motivation.

Est-il utile de rappeler que cette discipline est désormais optionnelle au sens où de jeunes gens de 16 ans à peine peuvent prendre la décision, certes libre mais probablement peu éclairée, d’interrompre leur formation à l’issue de la classe de seconde ?

Les maths, loin de renouer avec un quelconque rayonnement et auxquelles l’on reproche si injustement d’être élitistes en oubliant que tout ce qui vaut la peine est difficile (les maths sans aucun doute, mais comme le reste), connaissent au contraire et ce, dans un mutisme assourdissant, le destin tragique des langues mortes. Elles pourtant si vivantes, si foisonnantes.

« Théorème vivant »(7), c’est bien le titre de l’un de vos ouvrages ?

On nous a vanté les mérites d’une réforme qui devait permettre de sélectionner les vrais esprits scientifiques comme on dit, tout en mettant fin à l’hégémonie supposée de la section S et la rancœur que cette situation générait. Finalement, les élèves dont les aptitudes en maths sont les plus prometteuses, ceux qui ont besoin et envie de comprendre, se détournent de cet enseignement proche du “gavage” dont ils sortent écœurés et ce sont les élèves les plus dociles, souvent les plus indifférents aussi, ceux aussi qui vont accepter d’ingurgiter une masse de connaissances sans passion et sans haine, qui résistent le mieux à cette maltraitance.

A la question : « Vous m’apprendrez par cœur l’annuaire », on devait privilégier les élèves qui répondraient : « Pour quoi faire ? » ; on conserve au contraire les élèves qui nous disent : « C’est pour quand ? »

De manière plus triviale encore, le problème majeur facile anticipé pourtant, qu’a engendré la disparition des sections est que se retrouvent soumis à un même enseignement dont l’exigence et l’ambition sont réels, des profils très/trop hétérogènes. Il y a des élèves qui auraient été à l’aise dans un enseignement de première ES et se retrouvent noyés en spé maths dont la sensibilité est plus proche de l’ancienne section S. Cela conduit fatalement à un fort nivellement du niveau par le bas pour essayer tant bien que mal, de mener tout le monde au port. Alors bien sûr, à peine déposés sur le quai, un seul cri rassemble ces jeunes : « courage, fuyons ! ».

Il serait trop long de revenir sur l’imposture de l’option si improprement nommée : « maths complémentaires », plébiscitée au départ par les élèves comme un compromis acceptable avant, depuis, un rejet massif pour « tromperie. » Ces derniers imaginaient sans doute être confrontés à des notions très élémentaires de probabilités ou de statistiques quand il s’agit en réalité d’un programme ambitieux visant à donner des bases pour faire de la physique dans des conditions réalistes tout simplement. Car avec cette réforme absurde, il est désormais impossible de conserver le triptyque : maths, physique, SVT. Il faut désormais choisir deux spécialités seulement. Sauf que choisir, c’est renoncer … à 17 ans.

Quant aux maths dites expertes, ces dernières n’étant pas sanctionnées par un examen de fin d’année contrairement à l’ancienne spé maths dans la feue terminale S, on retrouve dans cet enseignement des élèves parfois très faibles, tellement dépassés qu’ils ne sont pas en mesure de tirer un quelconque bénéfice de ce qui devait être un complément de formation. Je ne reviens pas sur l’absurdité d’avoir extrait du tronc commun le chapitre sur les nombres complexes.

Si l’erreur est humaine, persévérer est diabolique dit-on. Les conséquences de cette désastreuse réforme n’ayant pas tardé à se faire sentir, il fallait l’abroger et revenir dans un premier temps, en arrière. Si l’on souhaitait rétablir des sections d’excellence avec un enseignement de qualité et des profils marqués mais équilibrés, peut-être fallait-il simplement renouer en terminale et donc à l’issue d’une première S, avec les sections C, D et E d’autrefois (une époque que je n’ai pas connue malheureusement, la qualité de l’enseignement ayant commencé à se dégrader il y a une trentaine d’année. On assiste là juste à l’estocade finale.).

« Comment je vais finir par détester les maths ? », ce n’est pas encore une question qui s’impose à nous, enseignants de toutes origines mais détester la manière dont on est contraints de les transmettre : assurément.

À savoir dans une urgence qui est incompatible avec la notion même d’éthique pourtant au cœur de ce métier, comme de tant d’autres. Les maths sont une discipline du temps long ; même si l’on est dans une période où l’on n’en finit pas de s’arranger avec les faits, il faudra faire avec celui-là. Les notions demandent une maturation pour être pleinement assimilées. Est-il utile de rappeler cette citation pleine de sagesse d’Einstein :

“Un étudiant n’est pas un conteneur que vous devez remplir mais une torche que vous devez allumer.”

Cette réforme nous prive de combustible.

Pour « être en marche » comme le souhaite décidément cette société frénétique, addict à l’agitation et allergique à la réflexion, au mûrissement des idées, il faut savoir se pauser parfois et se donner le temps d’oublier pour mieux apprendre.

Je vous demande donc de prendre en compte ce cri d’alarme et d’alerte ; c’est tout à la fois un appel confraternel au mathématicien doublé d’un appel politique au député.

Il y a quelques jours, un communiqué conjoint de la SMF et de l’APMEP(1) est revenu sur les dérives de l’enseignement des mathématiques en France ; ce dernier fait suite à quelques articles dans le Canard Enchaîné, la Croix(2) ou encore Libération(3) qui se sont faits l’écho de cette agonie programmée. C’était hier au tour d’Europe 1(4) de s’inquiéter de la chute vertigineuse du niveau dans cette discipline.

Je crois savoir que l’APMEP projette de saisir les parlementaires autour des difficultés que génère et amplifie cette réforme absurde, notamment cette échéance intenable de l’épreuve de spécialité prévue au mois de Mars. Je me permets donc de vous demander de considérer très sérieusement les requêtes qui seront exprimées à cette occasion.

Programmer une épreuve en mars sur moralement les 2/3 du programme à un effet doublement pervers : cela oblige les profs à parcourir au pas de course, sans aucun temps de respiration, des notions parfois délicates, privilégiant le conditionnement, le réflexe au raisonnement argumenté si bien ce sont ces élèves exaspérés, débarrassés de l’échéance fatidique -pour ne pas dire, du diktat – de Parcoursup, que comme l’an passé, on ne parviendra plus à motiver pour achever le programme estimant par là-même que le calcul intégral, pour ne citer que lui, constitue un pan des maths… secondaire. On appréciera.

Vous devez être pour le corps enseignant en mathématiques, et ce d’où qu’il vienne, un interlocuteur privilégié et fiable.

On ne demande rien de démesuré ou d’impossible ; nous souhaitons simplement pouvoir transmettre aux jeunes générations dans un temps et des conditions acceptables ce que l’on a reçu : une éducation digne et un cursus scientifique équilibré et stable. Bref, de quoi participer à la construction de citoyens autonomes et clairvoyants, capables de développer des outils d’auto-défense intellectuelle.

C’est un devoir. Vous avez je crois dans votre cursus, bénéficié d’interlocuteurs de qualité, de professeurs investis et curieux qui, avec la géométrie du triangle pour ne citer qu’elle, ont su vous émerveiller et aiguiser votre soif d’apprendre, de comprendre. Vous avez souvent évoqué cette influence. Ces conditions optimales d’apprentissage doivent être préservées, défendues.

Nous connaissons votre admiration pour les travaux et la personnalité engagée d’Henri Poincaré. On ne peut que le rejoindre lorsqu’il disait :

“On fait de la Science avec des faits comme une maison avec des pierres ; mais une accumulation de faits n’est pas plus une science qu’un tas de pierres n’est une maison.”

Nous sommes en train de trahir cette pensée tout simplement ; les programmes de première et de terminale ne sont plus qu’une accumulation de chapitres parcourus sans cohérence souvent, à grand renfort de séquences, de compétences à acquérir, avec une unique obsession : « être dans les temps, quoi qu’il en coûte » et ce n’est pas acceptable.

Nous, enseignants, avons prononcé, en silence seulement, notre « serment d’Hippocrate » et souhaitons le respecter.

C’est collectivement, c’est-à-dire toutes disciplines confondues car si « elles ne mourront pas toutes, toutes seront frappées, » que nous devons réagir. Il ne faut jamais perdre de vue que ces jeunes gens que l’on forme si vite, si mal, sont les profs, les chercheurs, les ingénieurs de demain.

Aux futurs ministres de l’Éducation ainsi que de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, nous disons : « A bon entendeur, salut » avec en prime le même avertissement que celui que l’on peut lire sur les voies ferrées à propos des trains : « une crise peut en cacher une autre… »

En vous remerciant de votre attention.

Bien Sincèrement

Karen Brandin
Enseignante en structure hors contrat
Docteur en Théorie Algébrique des Nombres

PS : On pourra lire en complément :




Tribune : « Une nouvelle religion vaccinale est née en Occident »

[Source : QG – Le média libre]

*
Vous souhaitez soutenir cette tribune ?
Vous êtes chercheur, universitaire ou professionnel de santé ?
Vous pouvez signer en envoyant un mail ici :
tribune.liberte.expression@gmail.com
*

L’idéologie de la vaccination intégrale et répétée des populations est une sorte de nouvelle religion, avec son dieu, ses grands maîtres argentiers, ses dévots, ses techniques de propagande de masse et ses mensonges éhontés. En ouvrant désormais la voie à la vaccination des enfants et en créant par ailleurs entre les citoyens des discriminations inédites pour des régimes réputés démocratiques, elle viole des droits humains que l’on croyait « inaliénables » et dresse les citoyens les uns contre les autres. Plus de 1.200 universitaires, médecins et soignants alertent dans une tribune sur QG, le média libre.

La séquence d’appel à la vaccination des enfants par le gouvernement français ce lundi 6 décembre était écrite d’avance. L’Agence européenne du médicament (EMA) avait autorisé le 25 novembre l’usage des vaccins expérimentaux contre le Covid-19 chez les enfants âgés de 5 à 11 ans, ne faisant que suivre une nouvelle fois la Food and Drug Administration (FDA) américaine (communiqué du 29 octobre). Ceci ne concerne plus désormais que le produit de Pfizer/BioNTech, même s’il faut bien par ailleurs continuer à écouler le stock de celui de Moderna dans les vaccinodromes. En France, la Haute Autorité de Santé (HAS) lui emboîtait le pas en proposant (le 30 novembre) de vacciner tous les « enfants fragiles », à savoir « tous ceux qui présentent un risque de faire une forme grave de la maladie et de décéder et pour ceux vivant dans l’entourage de personnes immunodéprimées ou vulnérables non protégées par la vaccination ». Elle appelle cela « la stratégie du cocooning », une appellation d’apparence bienfaisante, qui masque le fait que les enfants sont bien moins contaminants que leurs parents et leurs enseignants (comme le montre une étude de l’Institut Pasteur). Et la HAS annonce déjà qu’elle « se prononcera ultérieurement sur la pertinence d’élargir cette vaccination ». Le premier groupe (les enfants « à risque ») concernerait déjà au bas mot 360.000 personnes. Mais, bizarrement, la HAS ne chiffre pas le second groupe, celui des « enfants de 5 à 11 ans vivant dans l’entourage de personnes immunodéprimées ou celui de personnes vulnérables non protégées par la vaccination ». Il faut dire que, selon le gouvernement, le taux de vaccination des personnes de plus de 65 ans dépasse les 92% en France, de sorte que l’on ne voit pas très bien combien de « personnes immunodéprimées ou vulnérables » ne seraient pas encore vaccinées. Mais peu importe en réalité, l’essentiel est de continuer la grande marche en avant vers la vaccination intégrale (et répétée tous les six mois au minimum) de toute l’humanité. Telle est la nouvelle religion qui se répand dans le monde et permet aux grands maîtres argentiers Pfizer et Moderna d’engranger 1 000 dollars de bénéfice par seconde à chaque instant de nos vies, le tout orchestré par leurs vassaux régionaux que sont devenus la plupart des gouvernements occidentaux ainsi que les agences internationales – à commencer par une Commission Européenne emmenée par une Ursula von der Leyen orchestrant la grande opération vaccinale tout en ayant un fils travaillant pour le cabinet McKinsey et un mari directeur d’une entreprise de biotechnologies orientée vers les thérapies génétiques.

En France, la Haute Autorité de Santé (HAS) propose de vacciner tous les « enfants fragiles », à savoir « tous ceux qui présentent un risque de faire une forme grave de la maladie et de décéder »

Les ressorts éculés de la propagande de masse

Pour y parvenir, ces gouvernements (et les nombreux journalistes qui les suivent au garde-à-vous) utilisent toutes les vieilles ficelles de la propagande. La logique de base est celle qu’expliquait déjà Jacques Ellul il y a 60 ans (Propagandes, 1962) : « En face de la propagande d’agitation [des révolutionnaires, des putschistes, des terroristes], nous trouvons la propagande d’intégration, qui est la propagande des nations évoluées, et caractéristique de notre civilisation. C’est une propagande de conformisation ». En effet, « dans une démocratie, il faut associer les citoyens aux décisions de l’Etat. C’est là le grand rôle de la propagande. Il faut donner aux citoyens le sentiment d’avoir voulu les actes du gouvernement, d’en être responsables, d’être engagés à les défendre et à les faire réussir ». On reconnaît là le fondement de ce qui est appelé nudge de nos jours, un mot anglais à la mode pour désigner de vieilles techniques de marketing et de publicité. C’est en effet aux années d’entre-deux-guerres que remonte cette conception moderne de la propagande. L’un de ses maîtres à penser fut Edward Bernays, dont toute l’œuvre de propagandiste et de publicitaire reposait sur l’idée que « la masse est incapable de juger correctement des affaires publiques et que les individus qui la composent sont inaptes à exercer le rôle de citoyens en puissance qu’une démocratie exige de chacun d’eux : bref, que le public, au fond, constitue pour la gouvernance de la société un obstacle à contourner et une menace à écarter », comme le résume son préfacier français.

Le premier socle permanent de cette propagande est la peur, qui permet de placer les sujets en état de suggestibilité. Après avoir longtemps nié l’existence des variants (sans doute parce que c’est l’IHU de Marseille qui le montrait), le gouvernement s’en est emparé pour renouveler cette stratégie de la peur. Chaque nouveau variant permet ainsi de relancer l’idée simplette des « vagues » successives censées nous submerger, et vient justifier de nouvelles étapes dans l’objectif de vaccination intégrale, tout en détournant l’attention des véritables causes de la mortalité occasionnée par ces virus. Causes qui sont essentiellement d’une part la proportion croissante de personnes atteintes de maladies chroniques environnementales (obésité, diabète, insuffisances cardiaques ou respiratoires, etc.), d’autre part la tiers-mondisation de l’hôpital public.

Vient ensuite la technique de propagande « blouses blanches et galons » bien décrite par Etienne Augé (Petit traité de propagande. À l’usage de ceux qui la subissent, 2007). Elle consiste à « faire appel à des individus disposant de par leur titre, grade ou mandat, d’une autorité sociale susceptible de bénéficier d’une crédibilité sans rapport avec leurs propos et de provoquer chez leur audience une adhésion à leurs idées, arguments ou actions ». Ainsi peut-on constater dans les médias « l’apparition de spécialistes-professionnels, capables d’intervenir sur des sujets dont ils n’ont parfois pas une connaissance suffisante mais sur lesquels ils parviennent à s’exprimer avec un langage convaincant. Leur discours est perçu par la plupart des non-spécialistes comme un avis valant expertise car on a pris soin de les présenter, par exemple par le biais d’un bandeau à la télévision, en mettant en valeur leurs titres, tels que docteur, professeur, général, ainsi que leur domaine d’expertise ». Bien entendu, pour que cela fonctionne, il faut soigneusement dissimuler leurs fréquents liens avec les industries pharmaceutiques.

En outre, les gouvernements comme celui de la France utilisent massivement un autre classique de la propagande d’Etat qu’Etienne Augé appelle « le choix truqué ». Il consiste à « proposer à un public un choix, comme s’il lui revenait de trancher et de choisir la meilleure option, tout en sachant à l’avance quel sera le résultat de cette consultation. Ainsi, le propagandiste met l’auditoire devant l’alternative entre un choix inacceptable qui sera nécessairement rejeté, et une option qui apparaîtra comme peu désirée mais inéluctable devant l’ampleur du danger qui menace ». Vaccinés ou reconfinés ? Vaccinés ou remasqués ? Vaccinés, guéris ou morts ? L’histoire était écrite d’avance pour qui sait la reconnaître: « on utilise le choix truqué principalement pour expliquer des sacrifices ou pour annoncer des mesures drastiques. Il n’est pas rare, dans ces cas-là, que l’on utilise des expressions inquiétantes, car l’objectif est de montrer qu’il n’existe qu’une solution pour prévenir une catastrophe ». Et l’auteur de conclure que le chef politique doit alors« s’imposer dans un rôle de sauveur qui sait apprécier l’altruisme de ses ‘ouailles’. Il peut demander qu’on lui sacrifie certaines libertés primaires afin de mieux garantir la sécurité de chacun dans des temps troublés. Cette technique se retrouve à l’origine de la plupart des systèmes de domination massifs qui conduisent à des dictatures ».

Enfin, arrive la technique de la grenouille ébouillantée dans la célèbre fable : plongez une grenouille dans de l’eau bouillante et elle bondira pour s’échapper, mais plongez-la dans de l’eau froide et portez progressivement l’eau à ébullition, la grenouille s’engourdira et finira par mourir de cette cuisson sans s’en apercevoir. Les gouvernements usent et abusent de cette technique de contrainte en passant leur temps à jurer que telle obligation n’arrivera jamais ou que telle catégorie de la population ne sera jamais concernée, afin de ne pas alarmer la population. Tout en réalisant la chose petit à petit. Ainsi la vaccination fut-elle d’abord réservée aux personnes les plus âgées et aux professionnels de soins. Ensuite, elle a été élargie progressivement aux adultes des tranches d’âge inférieures, avant de passer aux adolescents, puis aux enfants. Aujourd’hui ce sont les enfants réputés « fragiles », pour continuer à jouer le noble rôle de protecteur. Demain, ce sera en réalité la totalité.

La réalité n’a pas grand-chose à voir avec cette propagande

La réalité, elle, se moque de ces manipulations des peuples. Elle se résume en cinq constats.

Figure 1 : Évolution par rapport à 2019 du nombre de décès cumulé selon l’âge

Source : INSEE, état civil. Nombre de décès quotidiens transmis jusqu’au 8 novembre 2021
Note de lecture : manque l’année sur la dernière couleur (1er mars-30 avril 2020)

Le premier [constat] est que la prétendue « pandémie du siècle » n’a jamais menacé les personnes âgées de moins de 60 ans. S’il y a bien une catégorie de personnes qui ne risquent rien statistiquement, ce sont les enfants. Les statistiques de mortalité établies par l’INSEE montrent même que les personnes âgées de moins de 25 ans ont connu une sous-mortalité en 2020 et 2021 par rapport à 2019 (Figure 1 ci-contre). Quant à celles âgées de 25 à 49 ans, elles n’ont globalement pas vu la différence. La figure montre aussi que, sur la période actuelle (1er juin – 8 novembre 2021), il n’y a pas non plus de surmortalité chez les 50-64 ans.

Le deuxième constat est qu’il n’est pas justifié d’annoncer systématiquement le pire, aujourd’hui l’imminence d’une « cinquième vague ». La réalité est d’abord qu’il est fallacieux de présenter une courbe des « cas positifs » (qui dépend de nombreux facteurs, à commencer par la fréquence des tests) comme une courbe du nombre de « malades ». L’immense majorité des personnes porteuses de ce virus ont toujours été peu ou pas symptomatiques. Ensuite, les hospitalisations et les décès augmentent certes lentement, mais c’est le cas chaque année à cette période d’entrée dans l’hiver. Les données du réseau Sentinelles (un réseau français qui existe depuis 1984 et qui constitue un échantillon de plusieurs centaines de médecins généralistes faisant remonter leur activité médicale sur les maladies infectieuses) montrent même que le nombre de malades se situe actuellement très en deçà non seulement des deux principales épidémies de Covid (mars-avril 2020 et octobre-novembre 2020), mais aussi des années de plus fortes grippes saisonnières (Figure 2 ci-contre). Ceci signifie que la spécificité de l’épidémie de Covid ne réside probablement pas dans sa dangerosité intrinsèque, mais bien plutôt dans la réponse thérapeutique, ou plutôt l’absence de réponse thérapeutique, qui lui a été opposée par les médecins du fait des consignes gouvernementales qui ont privilégié d’abord des mesures non-pharmaceutiques (confinements, couvre-feux, etc.), ensuite la « solution vaccinale ».

Figure 2 : comparaison du nombre de malades recensés lors des épidémies de Covid (2020-2021) et des épidémies de grippes saisonnières 2019 et 2020

Source : réseau Sentinelles, mise en forme IRSAN

Le troisième constat est que la vaccination se dirige vers 100% de couverture de la population générale sans que cela ne change rien à la dynamique des épidémies successives provoquées par les variants. C’était déjà le cas du variant Delta (Indien) lors de l’été dernier, et c’est à nouveau le cas du variant sud-africain dit Omicron (apparemment moins dangereux que les précédents). La conclusion est fatale : le sauvetage par la vaccination générale est un mythe. Comme toutes les religions, il ne repose que sur la foi des croyants. La réalité, visible depuis plusieurs mois, est que la vaccination n’enraye nullement la propagation de l’épidémie. Et pour cause, il est bien établi que la vaccination n’empêche ni la contamination ni la transmission du virus.

Le quatrième constat est que, comme toutes les idéologies religieuses ou laïques, la vaccination intégrale est une structure psychorigide aveugle à tout effet pervers et sourde à toute remise en cause. En l’occurrence, il est tabou de parler d’effets indésirables graves liés à la vaccination des jeunes. Or la réalité est là, qui ne pourra pas être indéfiniment cachée sous le tapis. Les adeptes de la nouvelle religion ont déployé de grands efforts pour dénier toute pertinence aux données de pharmacovigilance qui étaient disponibles déjà l’été dernier. Ils ne pourront rien contre l’accumulation des publications scientifiques qui documentent notamment les risques inédits de problèmes cardiaques (thromboses, péricardites, myocardites) chez les adolescents vaccinés (voir par exemple iciiciiciici et ). En d’autres termes, le rapport bénéfice/risque est clairement défavorable à la vaccination des jeunes. Pour cette raison, plusieurs pays scandinaves ont déjà renoncé à injecter aux jeunes les vaccins ARNm, rejoints il y a quelques jours par le Japon. Au demeurant, lorsque le gouvernement avait saisi le Comité Consultatif National d’Ethique le 27 avril 2021, ce dernier avait conclu que « la vaccination des enfants de moins de 12 ans ne semble pas éthiquement et scientifiquement acceptable ». Mais qui se soucie encore de l’éthique ?

Enfin, le cinquième et dernier constat est que cette idéologie industrielle et scientiste de la vaccination intégrale fonctionne comme les religions en temps de crise par le passé. Elle a ses grands prêtres et ses dévots, qui monopolisent plus que jamais la parole sur les plateaux de télévision. Elle a son inquisition médiatique qui excommunie les penseurs déviants et rêverait de pouvoir les brûler comme jadis les sorcières. Et elle produit massivement des boucs-émissaires (les non-vaccinés) qui sont traités comme autrefois les pestiférés ou les lépreux, plus récemment les victimes du Sida que J.-M. Le Pen voulait enfermer dans des « sanatoriums ». Situation d’autant plus absurde que tout vacciné est un futur non-vacciné qui s’ignore, puisque tout sera remis en cause pour celui ou celle qui ne fera pas sa troisième dose, avant sa quatrième (déjà actée par M. Delfraissy), sa cinquième, sa sixième, etcetera. Le principe même du « pass sanitaire » a beau reposer sur un mensonge éhonté (répétons que la vaccination ne bloque ni l’infection ni la transmission), sa logique discriminatoire se déploie dramatiquement depuis plusieurs mois. Et comme si la perte d’emploi, le non-accès aux restaurants, aux lieux culturels, etc., ne suffisait pas, les gouvernements européens rivalisent à présent d’imagination contre l’espèce de nouvel ennemi public n°1 qu’est devenu le non-vacciné. A l’image de l’Autriche, il ne suffit plus d’exclure, on voudrait maintenant mettre à l’amende, punir et enfermer. Cette logique discriminatoire morbide, qui viole des droits humains que l’on croyait « inaliénables », dresse les citoyens les uns contre les autres et sera certainement décrite un jour par les historiens comme une sorte de folie collective orchestrée par des personnes ayant perdu tout sens des valeurs démocratiques et des droits de l’homme. Nous ne devons pas nous y résigner et rester muets devant un tel désastre intellectuel et moral.

Vous souhaitez soutenir cette tribune? Vous êtes chercheur, universitaire ou professionnel de santé? Vous pouvez signer en envoyant un mail ici: tribune.liberte.expression@gmail.com

Les 1 200 premiers signataires

  • Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS (site)
  • Laurent Toubiana, chercheur à l’INSERM, directeur de l’IRSAN
  • Paul Touboul, professeur de médecine (cardiologie, rythmologie) à l’université de Lyon
  • Jean Roudier, professeur de médecine à l’Université d’Aix-Marseille, directeur de l’unité INSERM UMRs 1097
  • Christian Vélot, généticien moléculaire, enseignant-chercheur à l’Université Paris-Saclay
  • Jean-Paul Bourdineaud, professeur de toxicologie et biochimie à l’Université de Bordeaux
  • Claude Escarguel microbiologiste, ex président du syndicat national des praticiens des hôpitaux généraux, porte-parole du collectif de médecins « traitants » « AZI-THRO-d’hospitalisations, Co-président de l’association de malades Covid-longs UPGCS
  • Didier Lambert, président d’une association de patients, ancien membre du Comité Scientifique Permanent Pharmacovigilance de l’ANSM
  • Elise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille, directrice du GREDIAUC
  • Juliette Rouchier, économiste, directrice de recherche au CNRS
  • Marie-Thérèse Dimanche-Boitrel, biologiste, directrice de recherche à l’INSERM
  • Jean-Marc Sabatier, microbiologiste, directeur de recherche au CNRS
  • Alain Wurtz, MD, PhD, professeur émérite de chirurgie thoracique à l’Université de Lille
  • Jacques Tilouine, professeur de Mathématiques, Université de Paris XIII
  • Bernard Boitrel, biochimiste et chimiste, directeur de recherche au CNRS, Université de Rennes 1
  • Jean-Louis Rouvillain, professeur de médecine à l’Université des Antilles-Guyane
  • Youri Timsit, microbiologiste, directeur de recherche au CNRS
  • Boris Bardot, généticien, enseignant-chercheur à Sorbonne Université
  • Christian Meny, physicien, Directeur de recherche au CNRS
  • Denis Geraads, directeur de recherches émérite au CNRS
  • Danièle Dehouve, anthropologue, directrice de recherche émérite au CNRS
  • Philippe Cluzeau, Enseignant Chercheur en Chimie à l’Université de Bordeaux
  • Alessandro A. Negroni, professeur de philosophie du droit, chercheur à l’Université de Gênes (Italie)
  • David Lepoutre, Professeur de sociologie à l’Université de Paris Nanterre
  • Gaëtan Flocco, maître de conférences en sociologie, Université d’Evry Paris-Saclay
  • Fabrice Caudron, maître de conférences à l’Université de Lille
  • Jean Baratgin, professeur en psychologie cognitive à l’Université Paris 8
  • Thierry Huck, PhD, chercheur au CNRS
  • Thomas Fernique, chargé de recherche CNRS
  • Marielle Aguilar, biostatisticienne au CNRS
  • Christian Toinard, professeur des Universités
  • Matthieu Smyth, professeur à l’Institut des Sciences Religieuses de l’Université de Strasbourg
  • Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences en physiologie végétale, Sorbonne-Université
  • Rafaëlle Maison, professeur de droit public à l’Université Paris-Saclay
  • Christopher Pollmann, professeur des universités agrégé de droit public, Université de Lorraine–Metz
  • Nicolas Sembel, professeur de sociologie à Aix-Marseille Université
  • Boris Kolev, mathématicien, directeur de recherche au CNRS
  • Edith Galy, Professeure des universités en Ergonomie
  • Dominique Labbé, chercheur, retraité de l’Université de Grenoble-Alpes
  • Claude Roux, directeur de recherche honoraire au CNRS
  • Jean-Marie Seca, professeur de sociologie à l’Université de Lorraine
  • Alain Deville, Physicien, Professeur Emérite Université Aix-Marseille, membre de l’APS
    Maryse Esterle, sociologue, Université d’Artois
  • Hélène Banoun, pharmacien biologiste, PhD, ancienne chargée de recherches à l’INSERM
  • Emmanuelle Darles, maîtresse de conférences en informatique à l’Université de Poitiers
  • Vincent Pavan, maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université
  • Marie Cécile Guérin, maître de conférences HDR en droit à l’Université de Bordeaux
  • Stéphane Vautier, professeur des Universités (psychométrie et méthodologie)
  • Yves Martinez-Maure, professeur de mathématiques à Sorbonne Université
  • Carolyn Granier-Deferre, maître de conférences émérite à l’Université de Paris
  • Nicolas Bonnet, professeur à l’Université de Bourgogne-Franche-Comté
  • Jacques Maillard, physicien des particules et nucléaire, retraité du CNRS, docteur d’Etat
  • Michel Duyme, Directeur de recherches Honoraire du CNRS, Sciences de la Vie
  • Isabelle Bore, Maître de Conférences à l’Université de Picardie-Jules Verne
  • Yves André, docteur en astrophysique, prix Servant de l’Académie des Sciences de Paris
  • Daniel Muller, Chargé de recherche en chimie, Université de Rennes 1
  • Nathalie Prudhomme, maîtresse de conférences en psychologie à Aix-Marseille Université
  • Frédéric Grillot, professeur à l’Institut Polytechnique de Paris
  • Elsa Faugère, anthropologue, chargée de Recherches à l’INRAE
  • Claire Berton-Carabin, directrice de recherche
  • Alain Joets, physicien, chargé de recherche au CNRS
  • François Réveret, physicien, ingénieur de recherche au CNRS
  • Guy Chapouillié, professeur Émérite ENSAV, Université de Toulouse Jean Jaurès
  • Philippe Schepens, professeur en Sciences du langage (retraité) Université de Franche-Comté
  • Pierre Bouopda, maître de conférences en Sciences économiques, Université Polytechnique Hauts-De-France
  • Catherine Frier, maitre de conférences à l’Université de Grenoble
  • Jocelyne Porcher, directrice de recherche à l’INRAE
  • Daniel Krob, directeur de recherches au CNRS (en disponibilité), ancien professeur de l’Ecole Polytechnique
  • Béatrice Mabilon-Bonfils, professeur de sociologie à l’Université de Cergy-Pontoise
  • Serge Chaumier, professeur à l’Université d’Artois 
  • Dorothée Dussy, anthropologue, directrice de recherche au CNRS
  • Christophe Al-Saleh, philosophe, maître de conférences à l’Université de Picardie
  • Bernard Lamizet, ancien professeur des universités, Institut d’études politiques de Lyon
  • Jean Philippe Garnier, École Nationale Supérieure d’Ingénieurs de Poitiers, Université de Poitiers
  • Christine Zimmer, maître de conférences, Université de Bourgogne
  • Jean-Igor Ghidina, Maître de conférences HDR à l’Université de Clermont-Auvergne
  • Michael Esfeld, professeur de philosophie des sciences, Université de Lausanne (Suisse)
  • Frédéric Planchet, membre agrégé de l’Institut des Actuaires, Professeur des universités
  • Jean Chéry, CNRS & Université de Montpellier
  • Guillaume Zambrano, maître de conférences en Droit à l’Université de Nîmes
  • Evelyne Fargin, Professeur Emérite à l’Université de Bordeaux
  • Maryse Badel, Professeur à l’Université de Bordeaux
  • Cornelia Personne, PhD, Université technique de Darmstadt (Allemagne)
  • Jean Garagnon, maître de conférences honoraire à l’Université de Montpellier 3
  • Nathalie Leroux, maîtresse de conférences à l’Université Paris Nanterre
  • Henri Courivaud, docteur en droit, chargé de conférences à l’université de Grenoble-Alpes
  • Alain Léger, Professeur de sociologie, retraité de l’Université
  • Mélanie Guyonvarch, maîtresse de conférences à l’Université Evry
  • Lucien Samir Oulahbib, Ph. D., HDR, sociologie et sciences politiques, chercheur associé au CLESID
  • Danielle Deville, agrégée de sciences physiques, professeur en CPGE
  • Françoise Clerc, professeur émérite des universités, Sciences de l’Education
  • Pierre Chaillot, statisticien
  • Pierre Roche, docteur en sociologie HDR
  • Bruno Courcelle, Professeur émérite à l’Université de Bordeaux
  • Vincent Bertrand, maître de conférences à l’Université de Lorraine
  • Denis Lafarge, Chargé de Recherche au CNRS
  • Hélène San Clemente, ingénieur CNRS
  • Matthieu Jouvert, ingénieur d’études CNRS
  • Hervé Guyon, maître de conférences en Psychologie Statistique à l’Université de Bretagne Occidentale
  • Pascal Visine, Ingénieur d’études CNRS
  • Laurent Le Guillou, maître de conférences (Physique) à la Sorbonne Université
  • Christakis Georgiou, politiste à l’Université de Genève
  • Jérôme Vincent, ingénieur et professeur agrégé de physique
  • Florence Poirier, biochimiste, Ingénieure de Recherche à l’Université Paris 13
  • Fernand Bentolila, retraité, professeur des universités
  • Fabrice Megrot, médecin (PhD / HDR), chercheur associé au CNRS
  • Christian Germanaz, maitre de conférences à l’Université de La Réunion
  • Pierre-Jacques Hamard, Senior Research Scientist, Memorial Sloan Kettering Cancer Center (New York, USA)
  • Christophe Pouzat, neurophysiologiste et statisticien, chercheur au CNRS
  • Guillaume Lavoué, Professeur des Universités en Informatique, École Centrale de Lyon
  • Idriss Aberkane, Ph.D
  • Fabrice Colomb, sociologue, enseignant-chercheur à l’Université d’Evry Val d’Essonne
  • Olivier Dagnelie, maître de conférences en économie, Université de Pau et des pays de l’Adour
  • Nicolas Guérin, Maître de conférences (HDR) en Psychologie à Aix-Marseille Université
  • Marie-Ange Dat, enseignante-chercheuse en Sciences du langage Université de Nantes
  • André Bernold, retraité de la Michigan State University
  • Stéphanie Dupoiron, statisticienne et professeure de mathématiques à l’Université et en Grande École
  • Agathe Torti Alcayaga, maîtresse de conférences à l’Université Sorbonne Paris Nord
  • André Cayol, enseignant-chercheur retraité de l’Université de Compiègne-Sorbonne
  • Eric Teinturier, enseignant au Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM)
  • Pascal Bouchez, enseignant-chercheur à l’Université Polytechnique Hauts-de-France
  • Renaud Gabet, Institut Polytechnique de Paris
  • Jean Vallès, maître de conférences en mathématiques à l’Université de Pau
  • Anne-Marie Bonnand-Reilly, ex ingénieur d’études à l’INSERM (méthodologiste et biostatisticienne)
  • Michel Deshaies, est professeur de géographie à l’Université de Lorraine
  • Geneviève Lheureux, maîtresse de conférences à l’Université Lyon 3
  • Oscar Brousse, docteur en géographie, chargé de recherche au University College London (Royaume-Uni)
  • Martine Timsit-Berthier, docteur en médecine, docteur en sciences, retraitée de l’Université de Liège (Belgique)
  • Paule Seite, Professeur de biochimie à l’Université de Poitiers
  • Ollivier Charlade, enseignant-chercheur à l’Université Grenoble Alpes
  • Pascal Fugier, maître de conférences à l’Université de Cergy Paris
  • Luc Forest, professeur agrégé de Physique, Université de Bordeaux
  • Maxime Audebert, enseignant-chercheur à l’Université de Lyon
  • Damien Jeanne, chargé d’enseignement aux universités de Caen et du Havre, chercheur associé au CNRS
  • Jean-Louis Olive, anthropologue, professeur à l’université de Perpignan Via Domitia
  • Olivier Crevoisier, professeur d’économie à l’Université de Neuchâtel (Suisse)
  • Magali Soulatges, maîtresse de conférences à l’Université d’Avignon
  • François Hou, docteur en histoire, enseignant à l’Université
  • Marie Estripeaut-Bourjac, Professeur Émérite à l’Université de Bordeaux
  • Pierre Bitoun, sociologue, retraité de l’INRAE
  • Céline Schott, Ingénieure d’études INRAE
  • Dan Ioan Muresan, maître de conférences à l’Université de Rouen Normandie
  • Joël Colonna, Maître de conférences en droit privé à Aix-Marseille Université
  • Chantal Carpentier, docteur d’Etat, maîtresse de conférences des Universités retraitée
  • Philippe Huetz, Dr. en biophysique moléculaire, chercheur
  • Jean-Luc Périllié, Maître de conférences émérite en Philosophie, Université de Montpellier 3
  • Guillaume Saint-Pierre, Statisticien, chargé de recherche du développement durable
  • Amdé Burnol, ingénieur, docteur en géochimie environnementale
  • Vincent Lejour, Ingénieur en génétique moléculaire, Institut Curie Paris
  • Jacques H. Julliard, Docteur en chimie, Docteur d’Etat es sciences biologiques, retraité du CNRS
  • Fanny Kieffer, Maître de Conférences en histoire des sciences à l’Université de Strasbourg
  • Françoise Bloch, socio-anthropologue, retraitée du CNRS
  • Roland Assaraf, physicien, chargé de recherche au CNRS, Sorbonne Université
  • Sylvie Bordère, chimiste, chargée de recherche au CNRS
  • Nicolas Chevalier, physicien, chargé de recherche au CNRS
  • Clément Evain, Maître de conférences des universités en physique
  • Patrick Verovic Maître de conférences en mathématiques à l’Université Savoie Mont Blanc
  • Colette Anné, mathématicienne, retraitée du CNRS
  • Loïc Renoud, Ph.D, maître de conférences à Okayama University (Japon)
  • Sylvain Fève, ingénieur au CNRS
  • Sabine Scarzello, Ingénieur d’études au CNRS, Docteur en Sciences de la vie
  • Christiane Capron, professeur de psychologie honoraire des Universités
  • Yan Bour, docteur en anthropologie, chercheur associé à l’Université Côte d’Azur
  • Gwenola Graff, Chargée de recherche à l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD)
  • Pierre-Marie Gassin, enseignant chercheur à l’ENSCM
  • Denis Rotillon, maître de Conférences en Mathématiques, Université de Toulouse
  • Delphine Prou, Science Research Manager au Memorial Sloan Kettering Cancer Center a (New York, USA)
  • Pascal Ragouet Professeur de sociologie à l’Université de Bordeaux
  • Claude Dechesne, ancien chargé de Recherche à l’INSERM
  • Eugenia Lamas, chercheuse, ancienne de l’INSERM
  • Jacqueline Grima, directeur de recherches au CNRS
  • André PICOT (président de l’ATC), Directeur de recherche honoraire du CNRS
  • Alexandra Henrion Caude, généticienne, directrice de l’Institut de recherche Simplissima
  • Fabrice Wilhelm, professeur des université, PR 9E section, à l’Université de Franche-Comté
  • Olivier Ozenda, Dr en math appliquées de l’Université Grenoble alpes, post doc INRAE
  • Michèle Leclerc-Olive, Chercheure (HDR) au CNRS honoraire
  • Gaëlle Martin-Gassin, maître de conférences à l’Université Montpellier 
  • Maïté Lascaud, professeure agrégée, chercheure associée LVis Lyon
  • Massimo Nespolo, enseignant-chercheur à l’Université de Lorraine, Nancy
  • Sophie Le Gal, Maître de conférences à l’Université de Nantes
  • Rosolino Lionti, ingénieur de recherche
  • Michèle Ramond, Professeur honoraire de l’Université Paris 8
  • Alain Chatelet, enseignant-chercheur à l’École Nationale Supérieure d’architecture de Toulouse
  • Clara RomeroMaitre de conférences en Sciences du langage à l’Université de Paris
  • Sabine Fenner-Wegener, enseignante aux universités de Darmstadt et Marbourg (Allemagne)
  • Ariel Prunell, ex Directeur de Recherche CNRS, spécialité Biologie moléculaire
  • Shirin Jindani, PhD., enseignant à l’Université Rennes 2
  • Muriel Cassel-Piccot, maître de conférences à l’Université Lyon 3
  • Thierry Oblet, Maître de Conférences en Sociologie à l’Université de Bordeaux
  • Jean-Christophe Cousin, maître de conférences, Telecom Paris, Institut Polytechnique de Paris
  • Régis Chambert, enseignant-chercheur retraité de l’Institut Jacques Monod de l’Université Paris 7
  • Henri Persat, Dr ès Science, PhD en Biologie, médaillé du CNRS
  • Duval Marie-France, Professeur retraitée, Aix-Marseille Université
  • Sacha Singh, enseignant à l’Université de Lille
  • Xavier Moniot-Lundy, juriste et enseignant (droit, économie) à l’Université
  • Etienne Fieux, Maître de conférences, Institut de Mathématiques de Toulouse, Université Paul Sabatier
  • Isabelle Aubert, Maitre de conférences en sciences de l’ingénierie et du numérique à l’Université de Bordeaux
  • Michel Massol, Chimiste-Médecin, Professeur Honoraire à l’Université Toulouse III
  • Isabelle Salle, enseignante-chercheuse à l’Ecole d’Economie d’Amsterdam (Pays-Bas)
  • Anne Isla, Economiste, Université de Toulouse
  • Hélène Conjeaud, Retraitée, Chercheure au CNRS (Biophysique)
  • Eric Desmons, agrégé de droit public, professeur des universités
  • Alain Pénoël, professeur agrégé de mathématiques, docteur de l’Université Paris VI
  • Patrick Labarthe, Professeur émérite à l’Université de Zurich (Suisse)
  • Anselm Gerhard, professeur à l’Université de Berne (Suisse)
  • Joseph Romano, sociologue, maître de conférences HDR, retraité de l’Université de Lorraine
  • André Fougerousse, professeur de Chimie émérite à l’Université de Strasbourg
  • Alain Bernard, agrégé de droit privé, professeur émérite des universités
  • Roland Hinnion, professeur de mathématiques (retraité) à l’Université Libre de Bruxelles (Belgique)
  • Pierre Couturier, Maître de conférences à l’Université de Clermont-Auvergne
  • Denis Roux, docteur d’Etat, retraité de l’université
  • Marc Cizeron, maître de conférences HDR à l’Université de Clermont-Auvergne
  • Jeanne-Louise Deschamps, doctorante en droit public de l’Université de Limoges
  • Agnès Rouby, enseignante-chercheuse dans l’enseignement supérieur
  • Giordano Mastrocola, chercheur à l’Université Toulouse – Jean Jaurès
  • Dominique Harmand, professeur émérite de l’Université de Lorraine
  • Géraldine Victoir, maître de conférences, université Paul Valéry Montpellier 3
  • Shanti Rouvier, docteur en Psychologie Clinique et Psychopathologie, chargée de cours à Aix Marseille Université 
  • Thierry Ternisien d’Ouville, chercheur retraité au Centre National d’études des Télécommunication
  • Françoise Morato Lallemand, Maitre de conférences, Faculté des sciences, Université de Montpellier
  • Charles Bourdeau, ingénieur de recherche, retraité du CNRS
  • Rémi Mongruel, économiste, chercheur à l’IFREMER
  • Eric Perera, Sociologue, maître de conférences HDR à l’Université de Montpellier
  • Marie lecomte-Tilouine, anthropologue, chercheuse au CNRS
  • Daniel Richard, Professeur retraité des Universités en Neurosciences
  • Daniel Boichu, Enseignant-chercheur retraité de l’Université de Compiègne
  • Élisabeth Campagna-Paluch, docteure en Anthropologie Sociale, Université Paris VIII- Saint-Denis
  • Claude Depollier, professeur émérite à le Mans Université
  • Estelle Garbay-Velázquez, maître de conférences à l’Université de Bourgogne Franche-Comté
  • Nadine Piat, professeur à l’École Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques
  • Emmanuel Piat, Maître de Conférences HDR à l’École Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques
  • Bernard Valette, doctorat d’État, chercheur associé au Laboratoire ISTerre (Chambéry-Grenoble, UGA, USMB), retraité de l’IRD
  • Martine Timsit-Berthier, Docteur en Médecine, Docteur en Sciences. Retraitée de l’Université de Liège (Belgique)
  • Marie-Françoise Petit-Glatron, chercheuse retraitée du CNRS, Sciences de la Vie
  • Maxime Parisotto, Ph.D et chercheur en biochimie
  • Pauline Garnier-Géré, PhD, Chercheur en génétique évolutive à INRAE
  • Philippe Mengue, Agrégé et Docteur d’État en philosophie
  • Marc Richevaux, maître de conférences à l’Université du Littoral Côte d’Opale
  • Jérôme Couillerot, professeur à l’Université Lyon 3, détaché auprès de l’université St Joseph (Beyrouth, Liban)
  • Bruno Décoret, maitre de conférences agrégé de mathématiques HDR
  • Christophe Lemardelé, enseignant, historien des religions
  • Christophe Brochier, sociologue, maître de conférences à l’Université Paris 8
  • Maxime Prévost, Professeur titulaire à l’Université d’Ottawa (Canada)
  • Franck Galtier, chercheur en économie politique au CIRAD
  • Anne Mandeville, Maître de conférences HDR en science politique à l’Université Toulouse Capitole
  • Milagros Ezquerro, Professeure des Universités
  • Raphaël Gély, Professeur aux Université Saint-Louis (Bruxelles, Belgique)
  • Caroline De Mulder, professeur à l’Université de Namur (Belgique)
  • Michèle Crogiez Labarthe, professeur ordinaire à l’Université de Berne (Suisse)
  • Madalina Calamaz, maître de conférences des universités
  • Benoit Marpeau, Maître de conférences en Histoire à l’Université de Caen-Normandie
  • Jean-François Georgis, Physicien, Maître de Conférences à l’Université Toulouse III
  • Nadia Lamm professeure retraitée de l’Université de Rouen
  • François Rosset, professeur à la Faculté des Lettres de l’Université de Lausanne (Suisse)
  • Hélène Bregani, psychologue (retraitée) à l’Université de Genève (Suisse)
  • Anne Mantero, maître de conférences à l’Université de Franche-Comté
  • Christian Ferrié, Professeur de chaire supérieure (CPGE, Strasbourg)
  • Hélène Pelczar Maître de conférences
  • Georgie Durosoir, professeur émérite à la Sorbonne Université
  • Aurélien Dyjak, docteur en sociologie, enseignant-chercheur à l’Université d’Aix-Marseille
  • Valérie Lowit Ingénieure d’études à l’Université de Paris
  • Christophe Leroy, Docteur en Biologie Moléculaire et Cellulaire
  • Jean Jimenez, docteur en Génie Biologique et Médical
  • Alain Brunel, docteur en biologie
  • Maya Habegger, Docteur en psychologie cognitive, neurosciences et biologie neurale
  • Michel Herren, docteur en philosophie (Lausanne)
  • Jean-Marc Del Percio-Vergnaud, docteur en science politique
  • Simon Archipoff, docteur en informatique
  • Christophe Andréo, docteur en sociologie
  • Nicolas Murcier, docteur en sociologie
  • Eveline Jaumary-Lapeyre, Docteur en Science Politique et droit public
  • Damien Gauden, Docteur ès sciences physiques
  • Patrice Gibertie, PhD, géographe
  • Françoise Gil, sociologue
  • Véronique Verdier, Docteur en philosophie, Université Paris 1
  • Marc G. Wathelet, Ph.D., docteur en biologie moléculaire
  • Emmanuelle Reulier, Docteur ès sciences économiques
  • Patrick Frayssinet, docteur en médecine, docteurs es sciences
  • Martine Lacour Masvigner, docteur en psychologie
  • Agnès Segura, Docteur en psychologie
  • Géraldine Bérail, Docteur en chimie de l’environnement et santé
  • Maxime Izoulet, docteur en économie de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS, Paris)
  • Agnès Lainé, historienne, Institut des mondes africains
  • Georges Herault, Professeur des universités
  • Alain Delannoy, docteur de l’Université d’Orléans
  • Gérard Maudrux, médecin, ancien président de la Caisse maladie des professions libérales et de la Caisse de retraite des médecins
  • Michel Cucchi, Directeur d’hôpital
  • Jacques Bouaud, chargé de valorisation de la recherche à l’AP-HP
  • Vincent Béja, ancien statisticien et chargé d’études à l’Observatoire Régional de la Santé de Provence Alpes Côte d’Azur
  • Bruno van Peteghem, Association Toxicologie-Chimie (ATC), Président du fonds de dotation I For Lyme (iFL)
  • Benoît Bataille, médecin anesthésiste réanimateur
  • Anne-Marie Monjo, médecin anesthésiste-réanimateur
  • Olivier Lhoest, médecin anesthésiste-réanimateur
  • Pierre-Yves Garnier, médecin, expert scientifique à l’international
  • Laure Laffly, biochimiste/biologiste (ancienne cadre R&D chez Sanofi vaccin)
  • Anne Stein, praticien hospitalier et maitre de conférences en biochimie à Aix-Marseille-Université
  • Pascal Trotta, Ancien Interne des Hôpitaux de Paris, Lauréat de la Faculté de Médecine de Paris, médecin radiologue, fondateur de l’institut de médecine naturelle de Saint-Sébastien
  • Nancy Béchard Radiologue
  • Andrei Cividjian, Chargé de mission – recherche, Hospices Civils de Lyon
  • Michel Ternoy, psychologue retraité de la Fonction Publique Hospitalière, Docteur d’état
  • Louis-Claude Le Gueult, médecin biologiste, ancien Directeur du site transfusionnel du Havre
  • Paul Bousquet, médecin, santé publique (évaluateur de risques)
  • Judith Ribbe, médecin en santé du travail
  • Philippe Teyber, cadre supérieur de santé
  • Jacqueline Collard, chimiste, présidente associative, ancienne administratrice CHU de Grenoble, représentante ARS AURA
  • Marie-Estelle Dupont psychologue clinicienne
  • Carole Xavier, médecin spécialiste en Anatomie Pathologique
  • Beatrice Fort médecin anesthésiste réanimatrice
  • Louis Fouché, médecin anesthésiste-réanimateur
  • Nabil Bensalem, Médecin Généraliste et urgentiste
  • Michel Thomas, docteur en médecine
  • Isabelle Chivilo, médecin généraliste
  • Gérard Vigneron, médecin généraliste
  • Philip Siegenthaler, médecin généraliste (Suisse)
  • Yves Colliez, médecin généraliste
  • Alain Garenne, médecin généraliste
  • Isabelle Grégoire, Docteur en médecine, médecine générale
  • Franck Hugbéké, chirurgien-dentiste
  • Amandine Thomasset, psychiatre, praticien hospitalier 
  • Dominique Lesuisse, psychiatre (Bruxelles)
  • François Thioly, psychiatre
  • Laurent Jacquemin médecin psychiatre
  • William Suerinck, Dr en médecine, psychiatre, ex Praticien Hospitalier
  • Maria Ancona, psychothérapeute en Psychiatrie (Fonction Publique Hospitalière)
  • Michel Brack, médecin ex attaché INSERM
  • François-Xavier Roth, praticien hospitalier, pédiatre
  • Marie Grenet, médecin, pédiatre
  • Christine Coremans, Cardio-pédiatre
  • Gérard Machline, médecin généraliste
  • Helene Chollet médecin généraliste
  • Françoise Volot, médecin généraliste
  • Bernard Verdoux, médecin généraliste
  • Marie Pasquier, médecin coordonnateur en EHPAD (suspendue)
  • Marlène Mellinger Chirurgien-dentiste
  • Pierre-Laurent Vidal, médecin généraliste
  • Véronique Pécastaings, sage-femme
  • Sandrine Mathieu, sage-femme
  • Hélène Roux, médecin généraliste
  • Brigitte Bertoldo médecin régulateur libéral SAMU (suspendue)
  • Daniel Chollet pneumologue
  • Catherine Raulin, médecin ostépathe
  • Marc L’Hospitalier, ostéopathe
  • Philippe Ollivier, médecin, ophtalmologie
  • Idriss Abiola, infirmier anesthésiste 
  • Éric Reboli, médecin urgentiste
  • Arturo Perez, médecin urgentiste
  • Fabien Quédeville, médecin généraliste
  • Sandro Provenzano, médecin généraliste
  • Catherine Dubien, médecin généraliste
  • Marc Arer, médecin généraliste (suspendu)
  • Catherine Delmas, médecin dermatologue
  • Dominique Rivière, médecin, gériatre, praticien hospitalier
  • Diane Williot, médecin généraliste et médecin coordonnateur en Ehpad
  • Roseline Marie, médecin généraliste
  • Dominique Eraud médecin généraliste
  • Emmanuel Pichot, médecin radiologue
  • Catherine Solignac Fernstrom, immuno-allergologue
  • Delphine Rive médecin généraliste
  • Vincent Reliquet, médecin généraliste (AIMSIB)
  • Laurent Huillard, médecin généraliste
  • Emmanuelle Lemonnier, médecin généraliste
  • Robert Le Texier, médecin généraliste
  • Brigitte Weiss, médecin généraliste
  • Christian Marquis, médecin généraliste
  • Alain Berthier, médecin généraliste
  • Philippe Cliquet, médecin généraliste
  • Pascale Mourgues, médecin généraliste retraitée
  • Line Cabot, médecin généraliste
  • Christian Sarthe médecin généraliste
  • Patrick Viot, médecin généraliste
  • Anne-Laure Geslin, médecin généraliste
  • Bertrand Calichiama, médecin généraliste
  • Georges Oberzusser, médecin généraliste et médecin du travail
  • Hélène Oberzusser, radiologue
  • Ida Berar, radiologue
  • Marie Josephe Contrucci. Cadre de santé en Centre hospitalier
  • Denise Peyrat-Colonna, chirurgien dentiste
  • Christophe Grangeon, médecin urgentiste
  • Jean-Luc Lebrun, médecin, ex-praticien hospitalier (cessation d’activités)
  • Jacques Le Lann, médecin généraliste, gériatre et spécialiste de Santé Publique et Médecine Tropicale
  • Eric Beeth, Docteur en Médecine (Bruxelles)
  • Frédéric Schnee, Docteur en médecine générale
  • Anne Marie Begué-Simon, médecin homéopathe retraité, ancien maître de conférences et expert près des Tribunaux
  • Jean-Philippe Cros, médecin Honoraire des Hôpitaux, ancien chef de service
  • Françoise Caumont, chirurgien-dentiste
  • Corinne Masson, sage-femme (interdite d’exercer)
  • Bertrand Jop, Cardiologue 
  • Jacques Mabit, médecin généraliste
  • Catherine Maso, médecin généraliste
  • Joelle Locatelli, médecin généraliste
  • Véronique Ahari, médecin généraliste
  • Philippe Lemasson, médecin généraliste
  • Jean-Bernard Morez, médecin généraliste
  • Bernard Bozzi, médecin généraliste
  • Béatrice Georget-Tard, médecin généraliste
  • Jean-Marc Rehby, médecin généraliste
  • Floriane Lefèvre, médecin généraliste
  • Olivier Vercruysse, médecin généraliste
  • Alain Mazeyrat, médecin généraliste
  • Éric Portes, médecin généraliste
  • Bruno Geoffray, médecin généraliste
  • Franck Zeiger, médecin généraliste
  • Alain Carillon, médecin généraliste
  • Daniel Fagnano, médecin généraliste
  • Anne Nespolo, médecin généraliste
  • Claire Lenclud médecin généraliste
  • Christiane Vallin, médecin généraliste
  • Maryse Morin-Bateau, médecin généraliste
  • Michel Marcadé, médecin généraliste
  • Anne Catherine Martin, médecin généraliste
  • Catherine Gal Bozzi, médecin généraliste
  • Sylvie Leroux, médecin généraliste
  • Hubert Sroussi, médecin généraliste
  • Alain-Philippe Maniette, médecin généraliste
  • Dominique Prost médecin généraliste
  • Daniel Robinson, médecin généraliste, ancien médecin des hôpitaux de Lyon
  • Patrice Perrette, médecin généraliste, ancien président du Collège des Généralistes
  • Alain Batarec, médecin généraliste
  • Simone Casabon, médecin généraliste
  • Michel Boudet, médecin généraliste
  • Anne-Lise Vidal, docteur en médecine
  • Gaëlle Douhet, docteur en médecine générale 
  • René Messagier, docteur en médecine
  • Olivier Personne, médecin généraliste (Allemagne)
  • Daniel Dhaussy, médecin généraliste retraité
  • Jean Marie Pavard, médecin retraité
  • Isabelle Rossetti, médecin généraliste
  • Daniela Engel médecin généraliste
  • Philippe Imbert, médecin généraliste
  • Françoise Douady, médecin généraliste
  • Caroline Chalbos. Médecin généraliste
  • Philippe Bonnet, médecin généraliste
  • Jean-Luc Boesch, médecin généraliste
  • Catherine Artviga, médecin généraliste
  • Estelle Prevost, médecin psychiatre
  • Jérôme Jeudy médecin généraliste
  • Béatrice Mullie, médecin généraliste
  • Corinne Constantin, médecin généraliste
  • Pascal Henriot, médecin généraliste
  • Chrystelle Martin, médecin généraliste
  • Marie-Christine Rabut, médecin généraliste
  • Jean Grimberg, Chirurgien Orthopédiste
  • Frédéric Pic, médecin, rhumatologue
  • Martine Mérour pneumologue
  • Farida Ouadghiri chirurgien gynécologue à l’hôpital de Niort (suspendue)
  • Laurence Duboc-Lecocq, docteur en Médecine Vétérinaire 
  • Claire Martin, médecin vétérinaire
  • Nadine Prouilhac, sage-femme
  • Aurélie Colin, sage-femme 
  • Nathalie Ba, sage-femme
  • Fanny Semblat, sage-femme
  • Morgane Chazaud, sage-femme hospitalière
  • Nicolas Bojic, médecin gériatre
  • Marie Gaspard, médecin biologiste
  • Véronique Grasset médecin généraliste
  • Jacky Maillard, médecin généraliste
  • Eric Menat, médecin généraliste
  • Christine Le Pezron médecin généraliste
  • Michel Souid, médecin généraliste et gériatre
  • Jean Claude Bourrin, médecin généraliste retraité
  • Alix Moulanier, Médecin généraliste
  • Armelle Blanchard, médecin généraliste
  • Corinne Bernard, Docteur en médecine
  • Jacques Gardan, médecin généraliste
  • Murielle Oger Rucker, médecin généraliste
  • Agnès Koenig, médecin anesthésiste réanimateur
  • Philippe Bos, médecine anesthésiste réanimateur
  • Sylvie Cagnin, médecin anesthésiste-réanimateur
  • Isabelle Curtet, médecin anesthésiste réanimateur
  • Richard Faitg, médecin anesthésiste réanimateur
  • Laurent Durinck, Anesthésiste
  • Valérie Mach-Alingrin, médecin en soins intensifs, Centre hospitalier
  • Élisabeth Angoujard, docteur en médecine, radiologue 
  • Nelly Blanchet, médecin inspecteur de santé publique
  • Jean Gabriel Balique, chirurgien hospitalier
  • Eve Lefrancq, Médecin Cardiologue
  • Valérie Sierra, médecin cardiologue
  • Bernard Hardt, Chirurgien Urologue
  • Janine Nazaire docteur en chirurgie dentaire
  • Francis Fiocconi, radiologue
  • Béatrice Gay, oncologue médical et médecine interne générale
  • J. Oosterlinck, médecin généraliste
  • Pierre Jacq, chirurgien-dentiste
  • Isabelle Le Bras chirurgien-dentiste
  • Jacqueline Mariani, chirurgien-dentiste
  • Marie-Jacques Poncet, médecin gynécologue
  • Antoine Gastal, médecin MPR des Hôpitaux de Saint Maurice
  • Hélène De Cristoforo, médecin généraliste
  • Virginie Thomas-Haag, médecin urgentiste
  • Anne Crepy, médecin gériatre
  • Geneviève Pagnard, psychiatre
  • David Esfandi, Psychiatre 
  • Frédéric Badel, psychiatre
  • Marie Hélène Lottin, psychiatre
  • Jacques Vigne, psychiatre
  • Louise Riguet, Médecin psychiatre
  • Muriele Savigny, psychiatre
  • Jean-Michel Delaroche, psychiatre
  • Lise Gandolfi, psychologue
  • Fabienne Carver Psychologue clinicienne
  • Aline Gosset-Rage, psychologue clinicienne
  • Yamina Cherrou, psychologue clinicienne
  • Isaline Heulin, psychologue
  • Alexandra Meert, Psychologue
  • Laure Novarese psychologue clinicienne
  • Sylvie Blasquez, Psychologue clinicienne
  • Lise Nathanson, psychologue clinicienne
  • Claire Roy, pharmacienne
  • Jean-Jacques Devic, pharmacien 
  • François Carre, docteur en pharmacie
  • Coralie Amar, Dr vétérinaire
  • Laurent Aufrere, docteur en chirurgie dentaire
  • Jacqueline Warnet, Gastro-entérologue
  • Paul-André Bellot, chirurgiuen-dentiste
  • Jean-Pierre Letourneur, Gastroentérologue
  • Hélène Costamagna, Gynécologue
  • Tess Deffinis Ostéopathe 
  • Hélène Hamon pédiatre
  • Corinne Tilloy, médecin généraliste
  • Hilde De Smet médecin généraliste (Belgique)
  • François Le Corre, médecin généraliste retraité
  • Valérie Papapietro, médecin gastro-entérologue
  • Patrick Bruno, Ingénieur hospitalier
  • Arnaud Brun, Docteur en pharmacie
  • Aurore Rizzon, psychologue clinicienne (suspendue)
  • Jean-Luc Laurent, psychologue clinicien
  • Rose-Marie Rohé Psychologue clinicienne
  • Viviane Truel psychologue clinicienne
  • Laurence Maury, psychologue
  • Hervé Staub, médecin généraliste
  • Patrick Marcon, médecin généraliste
  • François Berenger, médecin, pédopsychiatre
  • Catherine Bonnet, médecin, pédopsychiatre
  • Frédéric Goaréguer, médecin, pédopsychiatre
  • Véronique Helmlinger, médecin psychiatre (suspendue)
  • Clélia Dubois, aide médico-psychologique en psychiatrie
  • Danielle Vautrin, médecin généraliste
  • Claude Murtaza médecin généraliste
  • Philip Keros, médecin généraliste
  • Gilles Cizeron, médecin généraliste
  • Annie Logli-Poumerol, médecin généraliste
  • Cecile Miraglia Romer, médecin généraliste
  • Bernadette Meignan médecin généraliste
  • Laurent Hervieux, médecin généraliste
  • Didier Tarte médecin généraliste
  • Catherine Noel, Docteur en médecine
  • Anne Marie Pillon, médecin généraliste retraité
  • Yannick Jouan, docteur en Médecine
  • Jean-Luc Stanek, Santé Navale et docteur en chirurgie dentaire
  • Xavier Le Gregam, médecin généraliste homéopathe
  • Philippe Vernet, docteur en médecine – chirurgien
  • Antoine Damotte, chirurgien orthopédiste
  • Marc Franchini, Chirurgien Ophtalmologiste 
  • Philippe Gombourg, chirurgien-dentiste
  • Gabin Lopez, médecin ophtalmologiste
  • Léna Le Flem, biologiste médical, PhD
  • Valérie Daubié sage-femme
  • Guylaine Lestienne Sage-femme
  • Françoise Casas, Psychomotricienne Psychothérapeute
  • Pascale Cloquell-Munos psychomotricienne
  • Anne-Sita Forest, Psychomotricienne
  • Marion James-Leduc, Psychomotricienne
  • Marianna Drinoczi, Psychologue clinicienne
  • Charline Chaveneau Orthophoniste
  • Laurent Redien, masseur-kinésithérapeute, ostéopathe
  • Sabine David, masseur-kinésithérapeute
  • Cyrille Ortman, kinésithérapeute
  • Sylvain Lafargue, masseur-kinésithérapeute
  • Matthias Giraudon, kinésithérapeute
  • Kim Gallois, kinésithérapeute
  • Clément Belmahdi, Masseur-kinésithérapeute
  • Françoise Cluzeau kinésithérapeute
  • Marie-Laure Pignier, masseur-kinésithérapeute
  • Caroline Grante, masseur-kinésithérapeute
  • Rose-Blanche Lehours Chaboud, infirmière en santé mentale
  • Laurence Jacquin Infirmière
  • Isabelle Rousset, Infirmière
  • Virginie Guillaume infirmière
  • Deniz Sevim, infirmière
  • Florence Marechaux, infirmière Education Nationale
  • Marie-Claude Durel, infirmière
  • Monique Lars, infirmière
  • Valérie Hutsebaut Infirmière
  • Nelly Cahuzac, Infirmière
  • Véronique Chevalier Infirmière 
  • Marielle Raggi, infirmière
  • Guillaume Renouf¸ infirmier
  • Nicolas Wodiczko, infirmier
  • Bénédicte Huguet infirmière
  • Cynthia Thezenas, infirmière Puéricultrice
  • Éric Comellini, Psychomotricien
  • Fabienne Garcia Kinésithérapeute
  • Ghislaine Le Corre, Kinésithérapeute
  • Thomas Brossier masseur kinésithérapeute
  • Laurence Meert, Kinésithérapeute
  • Bernard Chervet, psychiatre 
  • Pierre Babilliot, médecin psychiatre
  • Suzette Vieira Roth, pédiatre
  • Nicolas Ziolkowski Responsable Affaires Réglementaires et Évaluations cliniques – Dispositifs Médicaux
  • Isabelle Hoehne, docteur en médecine, médecin généraliste (cessation d’activité)
  • Rose-Marie Castello, médecin du Travail
  • Donia Hammami, vétérinaire
  • Ingrid Labbé, cadre de santé hospitalier, masseur kinésithérapeute
  • Julie Ceccone Radiophysicienne médicale en cancérologie, en CHRU
  • Francoise Poulain, praticien hospitalier urgentiste
  • Nathalie Caradot, docteur en médecine
  • Béatrice Petit, médecin généraliste retraitée
  • Philippe Martin, Ostéopathe
  • Emmanuelle Gaultron, ostéopathe
  • Marie Labat Médecin spécialiste
  • Philippe Saegesser médecin anesthésiste
  • Vincent Morault Docteur en Pharmacie
  • Isabelle Lagny, Médecin du travail
  • Marie Pascual, médecin du travail
  • Yves Richard, docteur en Chirurgie Dentaire
  • Catherine Lidon, sage-femme
  • Sébastien Moret, kinésithérapeute 
  • Virginie Pichault, infirmière en psychiatrie
  • Claude Deroussent, Médecin Généraliste
  • Dominique Ricci Cagnol, médecin ORL
  • Françoise Giorgetti-D’Esclercs, médecin ORL
  • Gérard Delépine chirurgien orthopédiste et cancérologue
  • Nicole Delépine pédiatre cancérologue
  • Marie Dominique Tronchon, Ostéopathe, psychothérapeute
  • Richard Defay neuropediatre
  • Annie Aubin, docteur en médecine
  • Geneviève Farrachi, médecin généraliste
  • Julien Petit, médecin généraliste
  • Isabelle Chivilo, médecin généraliste
  • Jean François Teyssier, médecin généraliste
  • Gilles Spagnolo, médecin Gynécologue Obstétricien
  • Jean-Luc Lauer, Kinésithérapeute-ostéopathe
  • Stéphan Lepetit-Teston, Ostéopathe, Kinésithérapeute
  • Laurent Redien, kinésithérapeute
  • Frédéric Texereau, chirurgien dentiste
  • Anne-Françoise Van den Bulke, infirmière anesthésiste
  • Jean-Marc Le Gall, kinésithérapeute
  • Danièle Augé psychanalyste
  • Sandrine Raison. Infirmière
  • Noelle Vial, infirmière
  • Lucie Campitelli infirmière
  • Flottes Noémie, orthophoniste
  • Christine Mathou Orthophoniste
  • Anne-Gabrielle Mottier, orthophoniste (radiée)
  • Corinne Martin Rondeau, Orthophoniste (suspendue)
  • Emmanuelle Colson, Orthophoniste
  • Françoise Font Orthophoniste
  • Thibaut Berry, électroradiologie médicale
  • Jolanta Amouyal, Psychologue Clinicienne et du Travail
  • Françoise Verriest, psychothérapeute
  • José Pedralva da Silva, Psychologue clinicien
  • Elsa Hybertie psychologue clinicienne
  • Sandra Pain psychologue
  • Agathe Vastel-Paris, docteur en pharmacie, diplômée en biologie médicale
  • Laura Minart, docteur en médecine, médecine du travail
  • Déborah Busidan, médecin du travail
  • Martine Breteau, médecin du travail
  • Zineb Deheb, médecin, dermatologue
  • Jean-Charles Luizard, psychiatre
  • Laura Giusti, médecin psychiatre 
  • Bernard Chervet, psychiatre
  • Sylvie Imbert psychiatre
  • Magali Delvaux, médecin psychiatre
  • Anne Meriglier, psychologue clinicienne (suspendue)
  • Françoise Ternoy, psychomotricienne
  • Delphine Bensaïd, psychologue clinicienne
  • Yvette Klein Wurtz psychologue clinicienne
  • Dominique Lismonde, psychologue clinicienne
  • Roselyne Charvet Dischly, psychologue clinicienne
  • Aleth Naquet, psychologue clinicienne
  • Catherine Vasseur psychothérapeute
  • Charles-Henri Crochet, psychologue clinicien
  • Michel Forné-Vivó, médecin, psychothérapeute
  • Marie-Bénédicte Hibon, médecin généraliste
  • Christian Latriche, médecin généraliste, homéopathe, acupuncteur
  • Jacqueline Guérin, docteur en médecine
  • Philippe Danjou Urologue, praticien hospitalier.
  • Benjamin Guy, médecin hospitalier
  • Dominique Jaulmes, médecin hospitalier
  • Véronique Aymes, docteur en chirurgie dentaire et professeur de mathématiques
  • Nadine Dumont, psychothérapeute
  • Elodie Petit-Aguilar, psychologue clinicienne
  • Fabrice Guilbaud, psychologue clinicien
  • Jean-Pierre Morinière docteur en pharmacie
  • Sophia Hamdi, psychologue
  • Karine Baillieu, psychologue
  • Florence Amat, psychologue
  • Florence Pichot, psychologue
  • Gilles Rochette, psychologue
  • Sophie Plantade, psychologue
  • Ève Cottignies, psychologue clinicienne 
  • Catherine Duchossoy, psychologue clinicienne
  • Christophe Charpiot, Psychologue de l’Education nationale
  • Eve Martin, psychologue de l’Éducation nationale
  • Françoise Zannier, Psychologue et docteur en Psychologie
  • Valérie A.G. Ventureyra, PhD, Docteur en Psychologie
  • Véronique Debeaumont, psychologue sociale 
  • Iréne Bouchaud psychothérapeute
  • Monique-Cécile Drouet, psychiatre
  • Clémence Garçon, soignante (suspendue)
  • Alain Freby, Médecin généraliste
  • Marceline Bogaert, kinésithérapeute
  • Johanna Radosevic, psychomotricienne (suspendue)
  • Marjorie Etienne, cadre de santé, infirmier fonction publique hospitalière (suspendue)
  • Sarah Kharmouche, kinésithérapeute
  • Mathieu Armessen Ostéopathe
  • Goulven Saliou, infirmier spécialisé en bloc opératoire
  • Anne-Françoise Hémion, pédicure-podologue
  • Jacques Guillet, masseur-kinésithérapeute
  • Michèle Serres médecin généraliste
  • Françoise Salkowsky médecin généraliste
  • Pierre Pennamen, Docteur en Médecine
  • Laurence Le Gall, médecin généraliste
  • Cécile Poiroux, médecin généraliste
  • Sophie Colmart, médecin généraliste
  • Sandra Jasmin médecin généraliste
  • Christophe Robin, médecin généraliste
  • Karine Delaumône, médecin généraliste
  • Michel Jreige, médecin généraliste, ancien urgentiste (suspendu)
  • Pierre Billon, docteur en médecine générale
  • Emmanuel Peyre médecin généraliste
  • Guaracy Gadegbeku, médecin générale
  • Valerie Vigne Chazaud sage-femme
  • Sternotte Isabelle, Ostéopathe, Sage-femme
  • Bénédicte Dassonville, médecin généraliste, ingénieur de l’ENSH
  • Marc Naudin, ostéopathe
  • Sophie Bezert, Orthophoniste
  • Charline Chaveneau, orthophoniste
  • Laurence Ducol, orthophoniste
  • Najia Majdi, sage-femme
  • Anne Veyrac, infirmière
  • Murielle Jouannet Infirmière 
  • Alain Giordanetto, infirmier
  • Martine Gaillard, infirmière
  • Sandy Bonne, infirmier
  • Benjamin Guglielmi, infirmier, cadre de Santé
  • Claude Robert, Orthodontiste
  • Zoé Debain, masseur kinésithérapeute
  • Laurent Lalliot Masseur kinésithérapeute
    Isabelle Lalliot Masseur kinésithérapeute
  • Béatrice Adam – Kinésithérapeute
  • Fabienne Carbonnel masseur-kinésithérapeute
  • Joëlle Thuet, infirmière
  • Magali Morroni, infirmière anesthésiste
  • Jean-Marc Casamatta, infirmier de bloc opératoire
  • Raphaëlle Montassut-Diarra, infirmière
  • Virginie Rossi, infirmière en psychiatrie à l’hôpital
  • Fabienne Ormillien, infirmière
  • Marc Heinrich, infirmier
  • Nathalie Vigat, infirmière
  • Jacqueline Segot, Infirmière
  • Stéphanie Montagut infirmière
  • Dominique Danjou Loire, infirmière de bloc opératoire
  • Marie-Line Ferreira, infirmière
  • Lyne Furco infirmière
  • Marie-Hélène Scheidel infirmière
  • Alexandra Wendel, infirmière
  • Patricia Bacquet, infirmière faisant fonction de cadre
  • Cécile Fernandez, infirmière en pédopsychiatrie
  • Vladimir Pavlovic, Educateur spécialisé en pédopsychiatrie
  • Sylvain POIREL, infirmier, CHU de Montréal (Canada)
  • Catherine Huerta, infirmière en EHPAD
  • Margot Schnell, infirmière
  • Emmanuelle Mesmacque, infirmière 
  • Aude Buche, infirmière
  • Jackie Trividic, infirmière
  • Christine Fernandez, infirmière
  • Cristine-Isabel Goncalves. Infirmière en CHRU
  • Marie-Anne Février, Infirmière Puéricultrice
  • Yvette Laugier, Infirmière
  • Isabelle Côte, Infirmière
  • Annie Dumas, infirmière
  • Nathalie Devaucoup Infirmière
  • Jean Michel Valentini, infirmier
  • Sophie Cauchois, infirmière
  • Marie-Odile Desvalois, Infirmière
  • Marion Philippon infirmière en hématologie à l’hôpital
  • Viviane Defrance, infirmière scolaire, retraité
  • Nathalie Blanchard, infirmière puéricultrice
  • Jean-Roch Aubertein, Infirmier
  • Zoé Moutel, Infirmière
  • Nadine Mulas, infirmière
  • Sylvie Bonnefoy Infirmiere
  • Florence Joyeux, Infirmière
  • Carole Auger, Infirmière
  • Laurence Villedieu infirmière, auxiliaire de vie
  • Françoise Astier, agents des services hospitaliers qualifiés en Ehpad
  • Fatima Jriri, aide-soignante
  • Marie-Pierre Barrier, aide-soignante
  • Cyril Sala, aide-soignant
  • Hasna Bouzid aide-soignante
  • Charlène Kluck, aide-soignante (suspendue)
  • Lise-Marie Chemineau Infirmière
  • Christine Keiser, sage-femme
  • Christophe Joie, ergothérapeute en Centre hospitalier Province de Liège (Belgique)
  • Emmanuelle Cart-Tanneur, pharmacienne biologiste
  • Frédérique Pegeot, pharmacien
  • Martine Dejean, pharmacienne
  • Stéphanie Cellier, pharmacienne
  • Cathy Nicoud, infirmière urgences pédiatriques
  • Julia Froment, aide-soignante
  • Margaux Chopin, aide-soignante gérontologie
  • Marie Weinrich, médecin généraliste
  • Laurent Hennequin, Docteur en Médecine, ancien chef de service de Radiologie en CHR
  • Luc Quintin, médecin anesthésiste réanimateur, charge de recherches au CNRS (physiologie cardiovasculaire)
  • Guy Van Hoonacker, médecin anesthésiste réanimateur 
  • Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur hospitalier
  • Denis Asselineau, médecin anesthésiste réanimateur
  • Koryna Socha, PhD, médecin et docteur en sciences médicales
  • Marie-Hélène Poirier Garcia, psychiatre, EPSM
  • Gaël Puget, orthophoniste
  • Renée Marx, orthophoniste
  • Anne Mouriès, orthophoniste
  • Marie France Coquillay, pharmacienne et enseignante chercheuse retraitée
  • Alain Le Hyaric, médecin en santé publique
  • Florence Parent, Médecin de santé publique
  • Pierre Buet, médecin généraliste
  • Chau Huu Tin, docteur en Médecine
  • Nathalie Souzan-Delagrave, docteur en Médecine
  • Cécile Morgan, médecin généraliste
  • Brigitte Chorliet, médecin généraliste
  • Claire Paris, médecin Généraliste
  • Julie Chataing, médecin généraliste
  • Virginie Airiau, médecin généraliste
  • Sylvie Descriaud, Chirurgien-dentiste
  • Anne Damais-Cepitelli, médecin biologiste
  • Jean Emsallem, Médecin Vasculaire
  • Marcel Hoehne, chirurgien vasculaire
  • Philippe Cepitelli, médecin
  • Perrine Millet, médecin, gynécologue obstétrique
  • Christian Quichaud médecin généraliste
  • Amel Abbad, attachée de Recherche Clinique
  • Benoit Artault, médecin, ancien directeur médical de centre de santé
  • Marie Claude Granget-Calliet, psychologue clinicienne
  • Julien Reboul Coordinateur Service éducatif de soins de santé à domicile (SESSAD)
  • Monique Marien Sroussi, gynécologue
  • Linh Hoang-thi médecin acupuncteur
  • Roman Florent, infirmier
  • Amandine Laurent infirmière
  • Anne Laissus, Infirmière
  • Marianne Passarrieu, pharmacienne
  • Anne Gardiesn pharmacienne
  • Marie Belliot, infirmière de réanimation à l’hôpital Jacques cœur de Bourges (suspendue)
  • Fatima Rezig, infirmière
  • Pascale Morbois, infirmière
  • Arlette Fétat, infirmière
  • Florence Verbaenen, infirmière en psychiatrie
  • Caroline Giron, psychologue
  • Denis Bellano, Docteur en psychologie, psychologue clinicien
  • Éric Lemlé, docteur en chirurgie dentaire
  • Laetitia Trossat, médecin en soins palliatifs
  • Jean-Jacques Picard, kinésithérapeute ostéopathe
  • Raphaël Sendrez masseur-kinésithérapeute
  • Marie-Christine Faure, infirmière puéricultrice
  • Jacques Pollini, anthropologue de la santé
  • Anne Camus-Bruneau, orthophoniste
  • Nicole Chaudière, pharmacienne
  • Laurent Tonnerre, infirmier
  • Nicolas Soloy, Art Thérapeute en Hôpital de jour
  • Florence Pierre, masseur kinésithérapeute
  • Denis Chefdor, Masseur-Kinésithérapeute ostéopathe
  • Marie-Laure Martin, kinésithérapeute
  • Caroline Lecouvette kinésithérapeute
  • Serge Houël, Masseur Kinésithérapeute (interdit d’exercer)
  • Frédéric Barbier Damiette, kinésithérapeute (suspendu)
  • Dimitri Jacques, psychothérapeute, biologiste en nutrition
  • Eberhardt Wittich, ex biologiste et chimiste
  • Théodore Rottier, psychologue
  • Emmanuelle Schulz psychologue clinicienne
  • Martine Durand Jullien, médecin généraliste
  • Patricia Melot médecin généraliste
  • Lagorce Sebastien, médecin généraliste
  • Sophie Dévé, médecin généraliste
  • Nicole Perrot médecin généraliste
  • Caroline Mouzet, Médecin généraliste
  • Martin Gauthier, médecin généraliste
  • Romain Dupont Docteur en médecine
  • Donald Archer, médecin généraliste retraité
  • Benoit Ochs, médecin généraliste (Luxembourg)
  • Jean Pascal Serbera médecin généraliste
  • Marie-Cécile Tellier, médecin généraliste
  • Ourdia Krim, médecin spécialiste
  • Marie-Line Eon, médecin et docteur en science de l’éducation
  • Philippe Yannic médecin biologiste
  • Cyril Loubradou, ostéopathe
  • Marie Fages, kinésithérapeute
  • Jean-Marie Kerlo, masseur kinésithérapeute
  • Jean-Pierre Gay-Montchamp, praticien hospitalier, pharmacologie-toxicologie
  • Daniele Guieu, Docteur Vétérinaire
  • Grégory Desfilles, Masseur Kinésithérapeute
  • Valérie Franco, infirmière
  • Laura Roux, infirmière
  • Christine Munier Infirmière libérale
  • Gabrielle Charvet, infirmière
  • Laurence Queffurus-Lepetit, infirmière dans un centre de cancérologie en CHRU
  • Pascale Grimm, infirmière
  • Lucie Massart-Chauvet, vétérinaire
  • Clotilde Maurin, masseur-kinésithérapeute
  • Antoine Rault, vétérinaire
  • Christine Goldie, Attachée de Recherche Clinique
  • Serge Perrin, sapeur-pompier professionnel
  • Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé
  • Murielle Bauchet, économiste et consultante en santé publique
  • Tetsuaki Shigemitsu, Médecin-épidémiologiste
  • Silvia Moreno, Microbiologiste PhD
  • Karen Brandin, docteur en théorie algébrique des nombres (mathématiques)
  • Virginie Charreau, ingénieur en nutrition, diététicienne nutritionniste
  • Thierry Raffin, PhD, sociologue
  • Emmanuelle Lepoutre, sophrologue
  • Claire Seigneur, Psychologue
  • Margot Szefer, ergothérapeute
  • Josiane Risacher, Ergothérapeute
  • Martine Crogiez, Ergotherapeute
  • Nathalie Pech, PhD, économiste
  • Gauthier Lasou, ingénieur chercheur
  • Catherine Vaillandet, orthophoniste
  • Karine Rabiet, orthophoniste
  • Xavier Gallet, psychopraticien
  • Lucia Martinez, Aide médico-psychologique en EHPAD
  • Céline Merigot, éducatrice spécialisée auprès d’adultes ayant des troubles psychologiques
  • Christine Quélier, Sociologue et psychologue
  • Pierre Concialdi, chercheur en sciences sociales
  • Monique Plaza, chercheur en neuropsychologie
  • Anna Marie Cournil, gérontologie sociale
  • Renaud de Bellefon, docteur en histoire
  • Gérald Pech, ingénieur, ancien chercheur dans le spatial
  • François Sanchez, doctorant à l’université de Mulhouse
  • Hervé Brochart, chercheur, docteur ès sciences pharmaceutiques
  • Olivier Rimbault, docteur en lettres classiques, chercheur indépendant
  • Jean-Claude Barescut, ingénieur (nucléaire, radioprotection)
  • Anne-Marie Ropert, ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts
  • Julie Lioré, anthropologue, rédactrice scientifique indépendante
  • Pierre Goletto, retraité, École Centrale de Marseille, IAE d’Aix en Provence
  • Victor Molinié, interne en médecine (spécialité gériatrie) en CHU
  • Martine Ladouce, Docteur en chirurgie dentaire
  • Philippe Ladouce, Docteur en chirurgie dentaire
  • Irina-Maria Stefanescu Chirurgienne
  • Anna Levy Bencheton Dermatologue
  • Romy Roudier, pharmacienne
  • Odile Huchet, pharmacienne
  • Yannick Marcadet, pharmacien
  • Marie-Claude Marcadet Fièvet, pharmacienne
  • Mireille Coulon, masseure-kinésithérapeute, cadre de santé
  • Séverine Guitton, Cadre de santé
  • Anne Vincent, Cadre de santé
  • Fabienne Consoli, médecin généraliste
  • Françoise Rometti Psychiatre
  • Sylvie Laval, psychiatre
  • Sophie Sabatier, médecin généraliste
  • Brigitte Faure médecin généraliste
  • Fabienne Emonnot psychiatre
  • Yvette Dorémieux, psychiatre
  • Hanna Kump pédiatre
  • Daniel Avisse médecin généraliste
  • Régis Pouthier, médecin généraliste
  • Corinne Navarro, médecin généraliste
  • Dominique Sabatier, médecin généraliste
  • Véronique Beranger, médecin généraliste
  • Gaëtan Cantineau, radiologue
  • Claudie Henru, pharmacienne
  • Katia Bustamante, chirurgien
  • Frédéric Teste, Ostéopathe
  • Mélanie Faucher, psychologue en centre hospitalier
  • Caroline Collin-Blondel, psychologue clinicienne et ancienne attachée de recherche clinique (suspendue)
  • Danièle Santini, psychologue
  • Erika Cadat, psychologue clinicienne
  • Patricia Bres, infirmière
  • Mireille Klenovski, infirmière
  • Frédérique Yampolsky, infirmière
  • Florie Gaeta, infirmière hospitalière
  • Philippe Chauveau, infirmier
  • Marie-Anne Morien, infirmière
  • Marie-Françoise Stigliani, pharmacienne
  • Jean-Pierre Moutel, médecin généraliste
  • Stéphane Cheslet, podologue posturologue
  • Solen Halloin, sage-femme (suspendue)
  • Laurence Borgogno, médecin vétérinaire
  • Amandine Eloy, opticienne
  • Marie Berthet, dermatologue
  • Thierry Coquet, aide-soignant
  • Nicolas Ecobichon infirmier
  • Fabienne Tremillon, Infirmière
  • Stéphanie Delaigue infirmière
  • Dominique Cadoret, psychologue
  • Marie Boutrolle psychologue
  • Muriel Chetcuti, ergothérapeute
  • Josiane Risacher, Ergothérapeute
  • Gérard Martinez psychologue Clinicien
  • Bernard Guibbaud, psychologue, sexologue
  • Elisabeth Griffon, assistante sociale hospitalière (suspendue)
  • Nicolas Erhardt, cadre socio-éducatif dans la fonction publique hospitalière (suspendu)
  • Eddy Prave, ingénieur et technicien de recherche, Université de Rennes 2
  • Raymond Barbry, chercheur au Centre international de recherche en étude transdisciplinaire (CIRET)
  • Jérémie Salvadero, docteur en psychopathologie clinique et psychanalyse
  • Marc Guibert, gynécologue obstétricien
  • Charles Bénard, électro-radiologie
  • Thuy Chi Nguyen, médecin généraliste
  • Suzanne Vanet, chirurgien
  • Nicole Sicard, docteur en médecine, ancien chef de service hospitalier, accompagnante en santé
  • Thierry Deliere, chirurgien vasculaire, ancien Chef de service à l’Hôpital
  • Gaëlle Saliou, docteur en pharmacie
  • Patrick Guérin, docteur vétérinaire
  • Jolivet Delphine, infirmière
  • Paul Polis, médecin vétérinaire
  • Florence Lair, médecin radiologue
  • Claire Pasquinelli Masseur-Kinésithérapeute
  • Anne Gauquelin, orthophoniste
  • Josselyne Abadie, consultante éthique
  • Aïd Zair, kinésithérapeute
  • Marie-Christine Hénaut, kinésithérapeute
  • Delphine Leterrier kinésithérapeute
  • Sylvain Deleplanque, psychologue clinicien
  • Marie-Claire Hemptinne, psychothérapeute
  • Gérard Ostermann, psychothérapeute
  • Marie-Gabrielle Vasseur, chirurgien-dentiste 
  • Christine Blanc, médecin Généraliste
  • Céline Arnaud, sage-femme
  • Claire Soulas, infirmière
  • Fabrice Davison, Infirmier
  • Andrée Martini, infirmière anesthésiste
  • Frederic Jolly, Podologue
  • Christine Oliveira, psychothérapeute
  • Vanessa Girard, ostéopathe
  • Jérôme Turostowski Osteopathe
  • Anne Bastin, orthophoniste
  • Antoine Fredot, pédicure Podologue 
  • Gwénaëlle Gombourg, chirurgien-dentiste
  • Denis Ribbe, Praticien Hospitalier Urgentiste et gériatre
  • Anna Rosset, biologiste, médecin spécialiste en radio-oncologie
  • Philippe de Joux, médecin généraliste
  • Yvonne Parquer, médecin généraliste
  • Valérie Mayaud, médecin généraliste
  • François Ribière, médecin généraliste
  • Hélène Skolka, médecin généraliste
  • Annie Bendayan, médecin généraliste
  • Marcel-Marie Gricourt, médecin généraliste
  • Anne Belin médecin généraliste
  • Olivier Boumendil, médecin radiologue
  • Samira El Ouali, médecin ostéopathe
  • Jean-Dominique Maupu, Médecin retraité
  • Christine Cieur, docteur en pharmacie
  • Odile Normant, directrice d’Établissements Médico-sociaux
  • Carole Pellissier, Masseur kinésithérapeute
  • Françoise Rouillé, infirmière cadre et psycho-clinicienne
  • Henri Duchemin, ambulancier (suspendu)
  • Pascale Le Marquand, Ambulancière hospitalière
  • Nathalie Ingenito, laboratoire bio-médical
  • Marie-Hélène Lacarra, kinésithérapeute
  • Solène Charon, kinésithérapeute et Ostéopathe
  • Julia Froment, aide-soignante
  • Esther Joly, sociologie et psychanalyste
  • Florence Belasco, psychologue clinicienne
  • Yoanna Micoud, psychologue
  • Lecomte Valérie, infirmière
  • Gérard Bunel, infirmier
  • Danièle Mullet, infirmière
  • Anne-Laure Durix, infirmière
  • Pascale Polly, infirmière
  • Philippe Baudier, infirmier de Secteur Psychiatrique 
  • Clothilde Mora, diététicienne-nutritionniste
  • Vanessa Szpatkowski, infirmière
  • Amélie Huberlant, infirmière anesthésiste
  • Aram Ndiaye, Infirmière en cancérologie
  • Viviane Dubost, psychologue
  • Lucile Brochot, vétérinaire
  • Charles-Antoine Winter, diététicien nutritionniste
  • Jean-Guillaume Bellier, professeur agrégé de géographie
  • Benoît Diné, ingénieur de recherche
  • Jean-Pierre Reyal, ingénieur à l’INSA
  • Nicolas Tetaz, Ingénieur spatial
  • Gabrielle Radault, PhD., Ingénieur Brevets
  • Patrick Meunier, enseignant agrégé de Biochimie-génie biologique
  • Xavier Audebert, audioprothésiste
  • Xavier Pascal, Ingénieur informaticien
  • Sabine Lasou, ingénieur chercheur
  • Patrick Lawson, ingénieur d’études
  • Bruno Vassoille, ingénieur d’études
  • Thomas Metge, ingénieur d’études
  • Maxime Goulon, Ingénieur d’études
  • Olivier Gosselet, Ingénieur d’études
  • Dorothée Dumay, Ingénieur d’études
  • Sandrine Marasco, technicienne de laboratoire d’analyses médicales
  • Jean-Jacques Navarro, ingénieur à Centrale Paris
  • Frédéric Goupil, Ingénieur aéronautique
  • Marc Savall, docteur en informatique de l’INSA
  • Helene Chambatte Abeille, ancien interne des hôpitaux de Lyon
  • Jean Soldini, Ph.D, philosophe et historien de l’art
  • Roland Dubourg, chercheur en sûreté nucléaire
  • René Chiche, professeur de philosophie, Vice-président du syndicat Action et Démocratie/CFE-CGC, membre du Conseil supérieur de l’éducation
  • Benoît Brandin, professeur agrégé de philosophie
  • Marc Thibault professeur agrégé de philosophie
  • Sophie Amant, professeur de sciences économiques et sociales, doctorante en sociologie
  • Marie-Virginie Cambriels, doctorante à l’Université Paul-Valéry Montpellier 3
  • Jörg-Andreas Bötticher, Professeur FHNW/ Musikhochschule, Basel (Suisse)
  • Jean Leplant, enseignant dans les Établissement et Services de Réadaptation Professionnelle
  • Laurent Gaillard, professeur de sciences physiques
  • Anne Girerd, professeur agrégé de Sciences de la vie et de la terre
  • Kévin Krantz, professeur agrégé de philosophie
  • Jacques Eutrope, Ph.D, retraité de l’industrie
  • Denis Guillec, professeur agrégé de philosophie
  • Marie-Suzanne Bourgeade, enseignante-chercheuse retraitée de l’université
  • Georges Sorais, Professeur de mathématique/Sciences physiques
  • Jean-Claude Villanueva, psychologue clinicien, chargé d’enseignement à l’Université de Montpellier
  • Christophe M. Dubois, ancien chercheur à l’Institut d’études européennes de l’Université Catholique de Louvain, ancien attaché de cabinet ministériel
  • Sylvie Lasserre, PhD, grand reporter
  • Renaud Vidal, chercheur en gestion de crise
  • Gérald Sawicki, professeur agrégé et docteur en histoire contemporaine
  • Sébastien Aubert, normalien, professeur agrégé de génie mécanique
  • Dominique Arnaud, ingénieur retraitée du corps de l’industrie et des mines, Autorité de sûreté nucléaire
  • Michel Doucet, ingénieur chercheur retraité du CEA
  • Alvaro Buero Buoro, géophysicien
  • Cathy Brunel, microbiologiste
  • Michèle Florquin, biologiste (Belgique)
  • Guylain Cabantous, vice-président de CPAM, membre de la commission exécutive CGT Santé Action Sociale



Bravo au Doctothon et à la Résistance ! Diffusez les replays pour informer un max de gens. Mise à jour

Par Nicole Delépine

RÉSISTONS !

NOUS NE SOMMES PAS SEULS

« Pour convaincre la masse qui croit la TV, il faudrait que le discours de la TV change ; ce n’est pas le cas pour le moment. Donc ce merveilleux #doctothon est une somme de déclarations qui vont rester en ligne, et seront donc consultables. Pas le choix… »

« « Journalistes », allez-vous ignorer ces 300 médecins qui s’expriment librement, dont certains sont parfois radiés pour avoir soigné et refusé une thérapie génique expérimentale ? Parlez de ce #Doctothon et honorez enfin la Charte de Munich qui vous oblige ! »

Présentation et premiers témoignages :



Partie 1 :



Partie 2 :



Partie 3 :



#Doctothon Dr Monique Marien gynécologue. Alerte sur les risques pour les femmes enceintes ! Il n’y a pas de surmortalité qui serait due à Covid-19 ! En revanche risques de thromboses accrus avec injection ! (alors que risque de thrombose du FAIT seulement de la grossesse existe)

« Entendu quelque chose de très pertinent : on ne donne même pas une aspirine en clinique à une femme enceinte, car ça peut être dangereux pour son bébé, mais par contre, on n’hésite pas à la piquer avec les risques que l’on SAIT ! »

« j’écoute depuis hier en live, c’est une super émission qui fait ressortir la vérité, l’empathie et la sincérité vis-à-vis de tout ce qui se passe depuis deux ans. Un grand merci à tous ces vrais médecins qui honorent le serment d’Hippocrate #NonALaVaccinationObligatoire »

« Les masques tombent et les serpents sortent la tête #PfizerGate #Doctothon une vraie mine d’or en matière d’arguments concrets, objectifs, scientifiques à propos de la pandémie et de la #vaccination »

@Marc_Doyer

« merci, Monsieur, de témoigner pour tous de la maladie à prion (c.-à-d. Maladie de la vache folle) qui atteint votre épouse ! « se vacciner c’est jouer à la seringue russe » ! »

« En ce moment ! Il témoigne de la maladie à prion de son épouse suite à l’injection ! »

@ArmyOfTrue1 :

« Anne, chirurgienne maxillo-facial avec une expertise en réparation de fentes palatines à la #Réunion

C’est une spécialité rare et hautement qualifiée. Elle a proposé de payer pour ses tests juste avant de rentrer au bloc pour ses patients. REFUS !!! »

DR Nicole Delepinne :

Il n’y aucun BÉNÉFICE à vacciner les enfants ! d’après les chiffres de la pharmacolovigilance USA, ce vaxx a tué en 1 an (effets secondaires) autant que tous les autres vaccins en 34 ans ! Refusez le chantage et sauvez les enfants !

https://twitter.com/faminifilm/status/1469732621311696898?s=20

@ClocloQuebec4

« J’ai dormi à peine 3 h, ce doctothon est intéressant et touchant. Ces docteurs qui se sentent seuls, car ils veulent respecter le serment d’Hippocrate malgré tout »

« Une pharmacienne dénonce ce qu’on dit depuis le début. L’escroquerie des tests #PCR. « Nous sommes dans une fausse pandémie de cas et cette injection n’est pas un vaccin, mais une injection expérimentale en phase de test. » »

Ce graphe montre la dévastation causée par les « vaccins » Covid :
ils ont tuée plus de gens que tous les autres vaccins combinés en 33 ans !
https://twitter.com/Carterj37919661/status/1469450870345682947?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1469450870345682947%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fplanetes360.fr%2Fa-ecouter-en-urgence-video-le-docteur-paul-bousquet-balance-une-bombe-sur-lindustrie-pharmaceutique-et-les-vaccins%2F

EN MÊME TEMPS QUE LE DOCTOTHON SE POURSUIT

Les citoyens poursuivent leurs manifestations

https://twitter.com/i/status/1469673629684224001
https://twitter.com/i/status/1469670899989295105
https://twitter.com/i/status/1469662558625964041

ET SIGNALONS LES LIENS AVEC LES MÉDECINS RÉSISTANTS

Site de Covisoins

Soignez Heureux – AH-SI

Visitez le site « Soignez heureux » interface de téléconsultation avec médecins payés par une ONG qui ont le droit de prescrire en acte gratuit. Le patient peut faire un don à l’ONG.

Si besoin à Coviadmin@protonmail.com




Doctothon : 300 médecins qui s’expriment sans censure pour une autre vérité sur la Covid

[Source : Vécu 2]

Pour voir la totalité des vidéos (malgré la censure YouTube) : Bravo au Doctothon et à la Résistance ! Diffusez les replays pour informer un max de gens. Mise à jour – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

https://youtu.be/8yORFmHA0AY

Direct :

[Source : KAIROS]

https://youtu.be/P5n2JwasiJs



Et si le variant Omicron était la porte de sortie de la Covid ?

[Source : Pour un esprit critique]

Par Pascal Dubellé – psychiatre

Un nouveau variant, appelé OMICRON, a fait son apparition il y a quelques semaines dans les pays d’Afrique du sud. On ne sait pas encore grand-chose sur ce variant si ce n’est qu’il se répand comme une traînée de poudre et que cela suffit à affoler les populations. En revanche nous ne savons rien ou presque de sa virulence et nous sommes incapables de dire s’il sera ou non sensible aux vaccins comme aux nouveaux traitements antiviraux que l’on s’apprête à mettre sur le marché.

Toutefois, pour l’heure, et cela semble se confirmer à mesure que le temps passe, on ne relève aucune forme grave de la maladie ni aucun décès liés à ce nouveau variant. Il faudra attendre encore quelques semaines pour avoir un début de confirmation quant au pouvoir pathogène d’OMICRON, mais il est probable que ce pouvoir soit sensiblement atténué par rapport aux précédents variants, dont le dernier qui occupe encore la scène, le variant DELTA.

Or, s’il se confirme que ce variant est anodin, ce qui va dans le sens de l’évolution naturelle de ce genre d’épidémie à coronavirus, il nous faudra alors adapter rapidement la stratégie sanitaire et vaccinale en vigueur afin de favoriser l’expansion d’OMICRON pour qu’il supplante et remplace au plus vite le variant DELTA encore présent.

Cela signifie qu’il faudra lever évidemment toutes les mesures barrières et supprimer le passe sanitaire et qu’il faudra aussi, et surtout, interrompre au plus vite la campagne de vaccination, sauf, peut-être, pour la population vulnérable jusqu’à disparition totale du variant DELTA. De même il faudra interdire tout traitement susceptible de favoriser de nouvelles mutations.

Le but sera alors de préserver OMICRON pour éviter qu’un autre variant, par malheur plus pathogène, ne s’installe. OMICRON aurait aussi l’avantage de procurer une forme d’immunité naturelle, certes incomplète, mais sans doute supérieure à celle apportée par les vaccins à ARNm.

Ce nouveau variant pourrait nous permettre de sortir de cette Covid. Ne gâchons pas bêtement cette chance par des mesures et des politiques devenues obsolètes.

S’il s’avère que ce variant est aussi contagieux qu’un rhume et à peine plus grave, il serait alors une véritable aubaine pour nous. Pas pour l’industrie pharmaceutique, assurément, qui verrait son business plan  mis à terre ; pas pour ceux qui, en Europe et en France ont passé commande de centaines de millions de doses de vaccins devenues inutiles et achetées alors en pure perte comme ce fut le cas pour la H1N1.

Cette fâcheuse perspective qui verrait s’évaporer des milliards de dollars de gains à venir et qui serait responsable d’une énorme gabegie poussera-t-elle ceux qui gèrent cette crise Covid à vouloir arranger la réalité afin  de poursuivre une politique sanitaire et vaccinale qui ne serait pas seulement  vaine, mais totalement néfaste ?

À suivre de très près.




Le massacre des innocents, jusqu’à quand ?

[Voir aussi sur : ripostelaique.com]

Par Nicole Delépine

Les séquelles psychiatriques des enfants sont fréquentes et tragiques. Stop au massacre.

Marie-Estelle Dupont : « Les Français sont fragilisés par cette pression, ce chantage, cette manipulation… » (lemediaen442.fr)

Il est très important de prendre le temps d’écouter cette interview du 442, car la psychologue revient sur différents aspects du coronacircus que nous vivons depuis bientôt deux ans et des séquelles dans le domaine de la santé mentale qui vont impacter les prochaines décennies. Nous ne pourrons ici qu’insister sur quelques points clefs exposés.

L’utilisation de la PÉDAGOGIE NOIRE(([1] La pédagogie noire (en allemand : Schwarze Pädagogik) est une forme d’éducation répressive visant à soumettre les enfants par diverses méthodes qui incluent aussi bien les châtiments corporels que la manipulation mentale. Des principes régis par le précepte « Qui aime bien châtie bien ».)) est à l’œuvre dans notre société manipulatrice et perverse. Fidèle à Rome en déclin, la technique « manger et divertir » pour tenir le peuple est utilisée comme le prouvent les larges compensations financières distribuées par le pouvoir pendant les confinements et couvre-feu. Un peuple qui a le ventre plein ne se révolte pas…. Du moins, un certain temps.

La psychologue évoque ses patients et leur psychisme. Des patients précipités dans l’angoisse et la sidération. Pour beaucoup, des jeunes, des militaires, cette pathologie ne les concernait pas dans les formes graves et se demandaient pourquoi ils devenaient les exclus de la société.

Les patients obligés de se vacciner vivent très mal les injonctions paradoxales. On se vaccine, mais on n’est pas protégé comme le montre l’obligation de porter le masque, etc.

Ceux qui ont perdu leur travail et leur logement de fonction sont dans un état à gros risque pour leur santé mentale et sociale. Elle a vu les patients tomber dans la panique, des mères horrifiées que leurs enfants privés de sport deviennent des obèses à risque.

La soi-disant solidarité avec les personnes âgées (que par ailleurs, on a isolé, soumis au Rivotril et interdits d’hôpital) atomise les liens sociaux, les liens familiaux et  on a joué avec l’autorité parentale, ce qui est gravissime.

Le cadre de valeurs, libertés , consentement éclairé a été effacé, la famille est atomisée, sans résoudre le problème posé que serait la plandémie.

FERMETURE DES CLASSES :
4000 classes fermées fin novembre 2021. Quel impact ?

La psychologue dénonce l’apprentissage à distance et sa grande inefficacité à terme. L’enseignement numérique ne permet pas que les informations passent dans la mémoire à long terme. Avec l’ordinateur, vous avez une déprivation sensorielle. Elle a vu des étudiants antérieurement brillants « en état quasi végétatif » en fin d’année scolaire, n’ayant peu ou pas de souvenirs des sujets étudiés. La mémoire immédiate a permis de passer les examens et basta. L’ordinateur désynchronise les cycles cérébraux et c’est la nuit qu’on mémorise. Et si on est tout le temps sur l’ordinateur, on dort mal et on ne mémorise plus.

Conclusion « L’APPRENTISSAGE A DISTANCE C’EST DES BOBARDS »

LA FERMETURE DES CLASSES

met le chaos dans la famille. Aucun parent non-rentier ne peut s’organiser rapidement. L’enfant est exposé à une solitude chez lui.  On tente de faire porter le poids de la famille sur les enfants. Elle voit défiler des enfants qui ont des tocs (ne pas toucher son cartable, ne pas diner avec les autres à la maison etc..) On crée des troubles psychiatriques effarants.

Dégâts de la crise

Ils sont majeurs et on le sait depuis au moins un an, avec de nombreux cris d’alarme des pédiatres, des pédopsychiatres, des orthophonistes etc.
Des tentatives de défenestration ont été constatées à un âge où la notion de suicide est habituellement  absente.  Il y a déjà un an, on a constaté une augmentation majeure des idées suicidaires, des tentatives de suicide et des suicides chez les jeunes, voire très jeunes.

La vague pédopsychiatrique est monstrueuse, un véritable tsunami

Chez les tout petits, on a noté des angoisses majeures d’enfants jetés dans le chaos psychique avec retard de langage des tout petits confrontés au masque de la nurse qu’ils ne comprennent pas, dont il ne voit pas le visage ni les lèvres en particulier. Une nouvelle fois, elle insiste sur l’indifférence des Français à l’égard des bébés.  Enfants qui n’accéderont pas normalement à une vie psychique normale.

Laisser les jeunes tranquilles

Les zéro-cinq ans seront dans une vingtaine d’années des dépressifs, inadaptés, handicapés mentaux. Quelle société préparons-nous ?

Question sur les « citoyens en perte de sens » selon le chef de l’état

Qui est en perte de sens, les citoyens ou la communication du gouvernement dont l’impact psychologique est très lourd et frappe par sa similitude avec la pédagogie noire via la manipulation, la culpabilisation, etc. et l’inversion du sens des mots.

La situation actuelle perd le sens des choses, ce ne sont pas les citoyens qui sont en perte de sens. La perte de sens est du côté de celui qui la désigne.  La perte de sens vient de ces mesures arbitraires incohérentes et non pas du citoyen.

Penser est être « has been »

La subjectivité est devenue un potentiel désordre, c’est l’image du totalitarisme.

Le Livre « asile » décrit une institution totalitaire dans laquelle on abolit la limite entre la vie privée et publique, tout est mélangé   et décidé par l’état qui devient votre médecin. La gestion de la totalité de la vie de l’individu est mise en place par la technique pour faire renoncer à la vie d’avant. Le pass est un tour de passe-passe, marqueur rituel même du fait qu’on a renoncé à notre vie d’avant.

Question : qu’est ce qui explique la soumission d’une partie du peuple ?

Deux moments de sidération et de choc traumatique :

1) apparition de la pandémie. Les gens vivaient dans une sorte de confort sans crainte, et brutalement tout s’écroule dans leur vie confortable. Une obsession : retrouver la vie d’avant.

2) apparition du confinement et l’autre est devenu un potentiel danger.

La peur entraine l’envie irrépressible d’en sortir et les cerveaux choqués sont prêts à accepter n’importe quoi pour le « plus jamais cela ». On a accepté les mesures par un marchandage successif, alternant peur et promesses.

[Voir aussi : La peur et l’espoir comme outils politiques]

Mais céder au chantage encourage le maître chanteur ; avoir subi deux injections vous conduit au chantage de la troisième et bientôt, de la quatrième comme vient de le demander Mr Delfraissy. La société ne fait plus corps ; l’état prend en charge mon intimité corporelle On crée des situations d’atomisation.

La psychologue est très inquiète sur l’avenir d’une société qui confond rêve et réalité, un état qui pousse vers la psychose.

Très inquiète car les gens acceptent ou renoncent à une cohésion sociale en échange d’un confort illusoire. Le confort est un élément d’ultra individualisme. Les droits fondamentaux des enfants sont bafoués ; on laisse s’instaurer une société totalitaire.

Pas de valeurs actuelles qui réunissent les Européens.  Les young leaders liés au PCC, assumés par le Sénat, conduisent à une société de surveillance accrue qui nous fait craindre la Société de la surveillance numérique déjà en place via la Culpabilisation de toute personne  inquiète de la transformation anthropologique de la société.

La présidente de la Commission de l’Europe vient même de demander l’abolition de la déclaration de Nuremberg !

Délire de toute puissance au nom de la liberté retrouvée (ou qu’on retrouvera peut-être si on est obéissant) le réel n’existe plus. On fabrique une société psychotique, car on ne fait plus de différence entre le réel et le virtuel. BASCULEMENT ANTHROPOLOGIQUE.

Effondrement de la société

Société sans repères, sans valeurs, sans passé. Déplacement de la morale. Les citoyens oublient de réfléchir aux valeurs et à l’éthique. On n’ a plus le droit de regarder les conséquences de mesures sanitaires sur la santé mentale.

Il est urgent de penser !   Renoncer à ses valeurs est un suicide psychique

Ce qui humanise est le lien.  Grandir dans le ventre d’une femme qui m’a parlé etc., puis avec des gens qui m’ont bercé etc. Un conseil : préserver le lien, faire front pour préserver tout ce qui nous fait du bien et agir sur ce que l’on peut contrôler, préserver son cercle, préserver vos liens psychiques, et physiques. Cela vous permettra de ne pas sortir fragmenté de cette épreuve.

https://videos.reaction19.fr/?mediaId=d92da11b-fb67-4a30-9ec9-0d4755923581





Aidez les soignantes bretonnes à se défendre contre leur hôpital qui s’acharne illégalement !

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Des soignantes bretonnes (en l’espèce de Lorient) ont obtenu du tribunal administratif de Rennes l’annulation, en référé, de la suspension de leurs indemnités journalières par leur employeur, le Groupe Hospitalier de Bretagne Sud, dont le directeur est Mr Gamond-Rius, qui est aussi 1er vice-président de la Fédération Hospitalière de France pour la Bretagne. Ce taliban de la vaccination obligatoire avait décidé de ne plus payer – illégalement ! – les non-vaccinés malades… Dans son obstination, il poursuit devant le Conseil d’État. Une affaire emblématique de l’intolérance religieuse de la Fédération Hospitalière de France, que nous avons déjà brocardée sur ce sujet. Rappelons que son président est un proche d’Edouard Philippe. Aidez ces victimes de la violences scientiste à défendre leurs droits en finançant leur cagnotte.



Des soignantes bretonnes ont démontré une fois de plus les vertus de la lutte collective. Toutes fonctionnaires à l’hôpital de Lorient, elles ont réclamé en groupe le versement de leurs indemnités maladie, illégalement interrompues par leur employeur sous le prétexte abusif qu’elles n’étaient pas vaccinées. C’est ainsi, le droit du monde d’après : tu es vacciné, tu es mieux indemnisé que si tu ne l’es pas !

Une défaite en rase campagne pour les talibans de la FHF

Nous avons déjà eu l’occasion de souligner combien la FHF (Fédération Hospitalière de France, qui regroupe les hôpitaux publics) était fondamentaliste dans la compréhension de l’obligation vaccinale. Nous avons, cet été, épinglé les illégalités de la circulaire d’application de la loi que cette organisation présidée par un proche d’Edouard Philippe a produite sur le sujet

L’un de ses représentants, en Bretagne, fait de l’excès de zèle. Après avoir illégalement suspendu les indemnités journalières des non-vaccinés malades, il a dû affronter une annulation (très légitime et attendue) de sa décision arbitraire et contraite à tous les usages parfaitement balisés du droit administratif. Mais cette défaite ne semble pas l’avoir ramené à la raison : il fait appel, obligeant 11 salariés suspendues à financer une procédure devant le Conseil d’Etat. 

Aidez les soignantes à faire front

Rappelons que ces soignants qui se battent contre l’arbitraire de la caste vaccinolâtre nous protègent collectivement en retardant l’arrivée de l’obligation vaccinale pour tous, qui nous menace tous. Aidons-les à gagner au Conseil d’Etat en participant à leurs frais d’avocats. 

Elles ont besoin de 12.000€ !

Participez sur cette adresse :

http://www.leetchi.com/c/soignants-solidaires-du-scorff

Nous sommes à leurs côtés. 




Protéger les enfants des injections expérimentales

[Source : LE MÉDIA RÉSISTANT]






Cachez ces effets secondaires que nous ne saurions voir

[Source : ripostelaique.com]

Par Patrick Verro

Après avoir pris connaissance, par la voix de M. Geoffroy Lejeune, de la position de M. Éric Zemmour sur le passe sanitaire et les injections anti-Covid qu’on nous impose à coup de propagande éhontée, il est clair M. Zemmour ne veut fâcher ni ses électeurs « mougeons », ni la presse « mainstream » aux ordres des mondialistes pour des motifs électoralistes. Certes, il entend supprimer le passe sanitaire pour des raisons d’atteinte aux libertés, mais revanche, il apparaît qu’il se moque complètement de ces injections géniques (lui-même ayant cédé à la pression « vaccinale anticovid » très peu efficace et même dangereuse), en cours de tests et aux effets indésirables nombreux et graves déjà constatés, se souciant comme de sa première chemise des conséquences, à moyen et long terme. Il aurait pu au moins exiger deux débats contradictoires : un premier sur le contenu exact de ces substances qu’on inocule aux Français, à grande échelle, et un deuxième sur la réalité prouvée de ces pseudo-vaccins et leurs rapports bénéfices/risques.

On nous présente M. Éric Zemmour comme un homme courageux qui veut sauver la France. En réalité, il se préoccupe très peu de sauver les Français, au moins sur ce plan-là !
Il ne nous convaincra que quand il soutiendra ces 522 recours qui ont été déposés devant le Conseil d’État à propos de la vaccination anti-Covid, obligatoire en France :

https://lecourrier-du-soir.com/vaccination-obligatoire-en-france-letat-est-averti-522-recours-ont-ete-deposes-devant-le-conseil-detat/

Je m’en prends à ce brillant candidat à la présidence de la République, justement parce qu’il est brillant, n’a rien perdre, tout à gagner et se veut courageux, pour mieux montrer comment il a su faire sa mutation en homme politique, habile dans le maniement de la langue de bois ou l’esquive sur les sujets graves que la doxa a décrété comme tabous pour sauvegarder ses intérêts.

Voilà, en attendant, la vérité sur ce que l’on nous fait subir, exprimée par ce grand professeur Prix Nobel de médecine qu’est le professeur Montagnier :

http://www.francesoir.fr/videos-le-defi-de-la-verite/pr-luc-montagnier-vaccination-prions

Voici comment nos dirigeants et leurs thuriféraires prévoient de tuer des MILLIARDS avec la grippe commune : les vaccins Covid induisent le « SIDA », ouvrant la porte à la mort via des souches de la grippe courante.

Et pourquoi n’entendait-on jamais parler de système immunitaire : parce que les chercheurs complices des entreprises criminelles étaient trop occupés à le détruire, pour le rendre incapable de lutter contre la moindre des pathologies à venir et masquer par l’étalement dans le temps leur crime de masse.
Les vaccins Covid sont de plus en plus reconnus comme des armes de dépopulation déployées contre l’humanité. Mais le mécanisme de leur fonctionnement ne devient clair que maintenant.
Les chercheurs de gain de fonction qui ont construit cette arme biologique – tous des criminels contre l’humanité – ne voulaient pas qu’elle tue des gens trop rapidement, car cela serait immédiatement remarqué. Ils avaient donc besoin d’un mécanisme qui permettrait aux injections de protéines de pointe de tuer les gens lentement, d’une manière qui pourrait être imputée à autre chose.

Le vaccinologue Geert Vanden Bossche affirme : « Seules les personnes qui auront encore une immunité innée intacte auront une chance de survivre ».

Voilà ce que les journalistes des principaux médias osent mettre sous le boisseau, des faits sur lesquels ils mériteraient de s’arrêter :
Le Pr Annane, chef du service réa de l’hôpital Raymond Poincaré : « il faut être transparent, dans mon service 2/3 des patients sont vaccinés 2 doses »

https://www.businessbourse.com/2021/12/06/le-pr-annane-chef-de-service-rea-hopital-raymond-poincare-il-faut-etre-transparent-dans-mon-service-2-3-des-patients-sont-vaccines-2-doses/

J’ai collationné depuis des mois et des mois des vidéos, des articles, des témoignages qui mettent en cause le bien-fondé de cette politique sanitaire inquiétante parce que contradictoire, erratique, compromettante et qui part à la dérive. Je croyais sincèrement pouvoir soulever quelques coins de cette stérilisation ambiante des esprits où chacun peut devenir le spectateur de la maladie des autres, de leur naufrage face à la maladie, de leur engoncement en des états de déréliction, de leur impuissance à inverser le cours des évènements. Mais c’était peine perdue car j’avais oublié qu’il était inutile de proposer à boire aux ânes s’ils n’ont pas soif !

Eh quoi, tous ces contestataires, ces alerteurs, ces opposants, ces contradicteurs méritent-ils d’être traités ainsi par le mépris ? Sont-ils des foldingues, des faiseurs de complots, des séniles, des tcharbés, au point que l’on n’organise jamais de vrais débats médiatiques contradictoires avec eux ?

Il est vrai qu’il vaut bien mieux rester fasciné, surtout pour éviter d’avoir à se poser de questions par le spectacle affligeant d’un sapeur Camembert, qui, s’adressant aux spectateurs qu’il ne voit pas, annonce que son Bibi Fricotin va leur révéler ce qu’ils ne savaient pas encore… à savoir le résultat de leur mauvaise gestion des hôpitaux, lesquels par un manque d’effectifs, qu’ils ont eux-mêmes pour partie congédiés, les obligent à donner le change en s’acheminant vers des saignées de plus en plus contraignantes, y compris pour les enfants, et la fermeture des bals-musette !

Mais, quoi qu’il arrive, « ils » n’auront jamais ma liberté de penser :



Patrick Verro




Sanitaire : réponse à un ami surdiplômé qui me traite de complotiste

[Source : ripostelaique.com]

Par Alain Rubin

Mon pauvre Maurice,

Bien sûr que tu es supérieur ! Supérieur à moi, c’est certain, mais aussi supérieur au professeur Zelenko, supérieur au docteur Ruby, supérieur au professeur Mc Cullough, supérieur au prix Nobel Montagnier, supérieur au professeur Perronne, supérieur aux docteurs Ochx et Théron (qui ont soigné et guéri leur patients Covid et ont été sanctionnés pour ça), supérieur au docteur Martine Wonner…

Laisse-moi aussi te dire, même si cela ne te fera peut-être pas plaisir :

Maurice, tu aurais fait un parfait Diafoirus, à l’époque de Molière, et un excellent Lyssenko, sous celle de Staline.

Les Diafoirus et les Lyssenko avaient les diplômes, ils avaient la « science ». Ils disposaient du pouvoir discrétionnaire et du droit régalien de décréter la vérité scientifique. Toute autre opinion était fausse, contre-révolutionnaire ; le mot « complotiste » n’était pas utilisé par Lyssenko et ses annexes (les référents du NKVD préparant procès et exécutions).

Je te le concède, je ne suis qu’un misérable membre de la plèbe. Je n’ai pour tout diplôme qu’un certificat d’études primaires. Misérable diplôme obtenu en 1958… comment, alors, puis-je me permettre de contredire un diplômé comme toi ?

Comment puis-je m’autoriser à écouter, noter, confronter les affirmations des uns et des autres, et les faits, comment puis-je me permettre d’avoir des principes et de les défendre ?

Tu as raison, face à ta science diplômée, je ne suis qu’un misérable vermisseau, qui n’a pas son mot à dire, qui n’a que le devoir de porter le tchador sanitaire quand on le lui ordonne, qui ne doit sortir et rencontrer des personnes que quand et comment on le lui permet, qui doit se laisser injecter le produit expérimental de Pfizer, sans protester ; qui doit subordonner toute son existence, et celle de ses enfants, à un nouvel ordre sanitaire perpétuel ; qui doit accepter de devenir un cobaye contraint, sans se soucier d’effets secondaires (décès, handicaps, maladies auto-immunes…) et, quand il y en a, accepter qu’ils ne soient plus prises en considération.

Je devrais, au nom de ton « savoir », au nom de tes diplômes, accepter que l’on tire sur des protestataires australiens, hollandais (ce sont des faits, pas des ragots « complotistes »), accepter que, comme dans un État de la fédération australienne, l’autorité (celle d’un gouverneur) se propose d’interdire l’accès, aux magasins alimentaires, des non vaccinés ; en d’autres termes, qu’au nom d’une exigence sanitaire qui refuse de voir se qui se passe en Union indienne (sauf deux États, tous les autres recourent à la médecine ambulatoire, à l’Ivermectine, à l’HCQ, à l’Azithromycine, et ont fait disparaître la prétendue pandémie), on recoure aux méthodes dont Staline usa contre les Ukrainiens « complotistes », les Ukrainiens contre-révolutionnaires, les méchants Ukrainiens, à savoir : l’organisation d’une famine artificielle qui tua entre trois et quatre millions de paysans et villageois d’Ukraine.

Maurice, en souhaitant que tu réfléchiras.

Actuellement, ta soumission aux mensonges de Pfizer – condamné pénalement pour 2,5 milliards de dollars, pour mensonges et trucages sur ses produits et tests de contrôle, corruption d’élus et de journalistes – ferait de toi un parfait dhimmi. Comme tu es diplômé, si le nouveau calife et ses sultans sont d’une tendance néo-omeyyade, tu pourras espérer une petite niche.

Alain Rubin




La vaccination obligatoire : l’ultime violence faite aux enfants

[Source : IRSAN Recherche]

Paris, le 2 décembre 2021

Par Laurent Toubiana

Le virus circule depuis mars 2020 et toutes les mesures prises n’y ont rien changé : le virus circule toujours.

Confinement généralisé de la population pendant de longues semaines : le virus circule. Port du masque obligatoire dans la rue : le virus circule. 157 millions de tests : le virus circule. Écoles et universités fermées : le virus circule.

Déplacements limités : le virus circule. Passe sanitaire : le virus circule . Jusqu’à 3 doses de « vaccin » : le virus circule . Le virus circule… Et alors ? Cela ne justifie pas les mesures extravagantes énumérées ci-dessus. Nous avons déjà montré dans nos analyses des 17(([1] http://recherche.irsan.fr/fr/documentation/index/voir/159-Analyse-17-novembre-2021)) et 28(([2] http://recherche.irsan.fr/fr/documentation/index/voir/164-Analyse-du-28-novembre-2021)) novembre 2021 que cette circulation du virus n’était pas alarmante car elle génère très peu de malades (4 fois moins que les épidémies saisonnières de grippe), très peu d’hospitalisations (2% de l’activité hospitalière en 2020(([3] https://www.atih.sante.fr/sites/default/files/public/content/4144/aah_2020_analyse_covid.pdf))) et très peu de morts (en 2020, aucune surmortalité pour 80 % de la population et une surmortalité très faible de 4% pour les plus de 65 ans(([4] http://recherche.irsan.fr/fr/documentation/index/voir/154))).

« faudrait-il vacciner les adultes en bloc et, en plus, ne pas épargner les petits ? »

La frénésie vaccinatoire n’a plus de limite. Rendre la « vaccination » obligatoire revient à s’en prendre aux enfants. En effet, les personnes non « vaccinées » sont essentiellement des enfants, en l’occurrence 7,7 millions d’enfants de moins de 10 ans et 2,8 millions d’adolescents de 10 à 17 ans.

Taux de vaccination de la population française selon les classes d’âge au 30 novembre 2021

Note de lecture : Ce graphe montre pour chaque classe d’âge, i) le pourcentage des individus non vaccinés (en vert), ii) une dose (en orange clair), iii) 2 doses (orange), iv) 3 doses (rouge). Toutes les classes d’âge supérieures ou égales à 18 ans montrent un taux de vaccination de l’ordre de 90%. (94 % pour la classe 70-79 ans). Une part marginale d’adultes (7% de la population) n’a pas encore été soumise à une injection. Globalement, seules les classes d’âge des enfants ne sont pas encore touchées par cette vague d’injections. Ils représentent 10,5 millions d’individus soit 16 % de la population. Source : DRESS, mise en forme IRSAN (https://covid.irsan.eu)

Sauf cas exceptionnels, les enfants ne tombent pas malades du Covid. En effet, les statistiques hospitalières ne témoignent d’aucune activité Covid pour les personnes de moins de 20 ans. Ces chiffres sont cohérents avec ceux de la médecine de ville. Ce virus ne les concerne pas mais les enfants subissent de plein fouet des mesures injustes comme la fermeture des classes et le port du masque obligatoire.

Sous le prétexte de « protéger » des adultes déjà vaccinés à 90 % (et donc déjà « protégés »), la vaccination obligatoire vise donc essentiellement à injecter à des enfants un « vaccin » dont les conséquences à long terme sont inconnues et qui, on le sait, n’empêche pas le virus de circuler. Ultime violence faite aux enfants.


IRSAN : Institut de Recherche pour la valorisation des données de SANté
37, rue des Mathurins 75008 Paris.


[Source : COVID-19 (irsan.eu)]

Situation Covid le 07 Dec 2021

32 malades du Covid-19 en une semaine pour 100 000 habitants en France ont été détectés par le Réseau Sentinelles. En intégrant les données d’autres médecins généralistes de premiers recours (SOS Médecins), il passe à 24. Ce chiffre est inférieur à la valeur moyenne de 25 [20 ; 30] malades du Covid-19 par semaine pour 100 000 habitants en France depuis le début de l’épidémie en mars 2020.

Selon des données de Santé Publique France, 0,7 individu(s) porteur(s) du virus sont décédées en une semaine pour 100 000 habitants en France . Ce chiffre est inférieur à la valeur moyenne de 2 [1,6 ; 2,4] décès du Covid-19 par semaine pour 100 000 habitants en France depuis le début de l’épidémie en mars 2020.

Indicateurs épidémiques hebdomadaires en France métropolitaine

Indicateurs hebdomadaires, pour 100 000 habitants

[Source : @LigneDroiteMatinale]







60.000 scientifiques demandent l’arrêt de la vaccination de masse

[Source : infodujour.fr]

[Photo : Martin Kulldorff, Sunetra Gupta et Jay Bhattacharya les trois rédacteurs de la déclaration de Great Barrington (Massachussetts)]

Alors que le président de la République française réunit ce lundi 6 décembre, un nouveau Conseil de Défense pour lutter contre la propagation de l’épidémie de Covid-19, de plus en plus de voix s’élèvent contre la politique sanitaire complètement folle des autorités qui vise à vacciner toujours plus la population. Après la troisième dose de vaccin imposée, sous peine de désactivation du pass sanitaire ! Voilà qu’il est question de vacciner les enfants de 5 à 11 ans. Une décision qui serait gravissime selon de nombreux médecins et chercheurs dont nous nous sommes faits l’écho ici même.

Des effets secondaires graves

La vaccination de masse avec un vaccin encore expérimental à ARN messager inquiète depuis longtemps la communauté scientifique. Dès le 4 octobre 2020, trois scientifiques de haut niveau, le Pr Martin Kulldorff, professeur de médecine à l’université de Harvard, biostatisticien et épidémiologiste, spécialisé dans la détection et le suivi des épidémies de maladies infectieuses et dans l’évaluation de la sécurité des vaccins. La Dr Sunetra Gupta, professeur à l’Université d’Oxford, épidémiologiste spécialisée dans l’immunologie, le développement de vaccins et la modélisation mathématique des maladies infectieuses. Et le Dr Jay Bhattacharya, professeur à la faculté de médecine de l’université de Stanford, médecin, épidémiologiste, économiste de la santé et expert en politique de santé publique, spécialisé dans les maladies infectieuses et les populations vulnérables recommandaient une approche alternative contre la Covid-19 dans ce que l’on a appelé la Déclaration de Great Barrington. Car ils sont très inquiets des effets secondaires de la vaccination de masse sur les populations.

Que préconisent-ils ? Une protection « focalisée ». C’est-à-dire de protéger autant que possible les personnes âgées, infirmes, fragiles et de laisser aux autres le soin de vivre normalement jusqu’à ce que la société atteigne l’immunité collective. Or, la vaccination massive par ARNm rend impossible cette immunité collective.

L’un des premiers cosignataires était le Dr Simon Thornley, épidémiologiste et biostatisticien à l’université d’Auckland. De plus en plus connue dans le monde, la Déclaration de Great Barrington a, depuis, été signée par 60.000 médecins et scientifiques. Une pétition a recueilli à ce jour 870.000 signatures de soutien.

La Déclaration de Great Barrington

[Voir : Comment parvenir à l’immunité collective : la déclaration de Barrington]

« En tant qu’épidémiologistes des maladies infectieuses et scientifiques spécialisés en santé publique, nous sommes inquiets des impacts physiques et mentaux causés par les politiques actuelles contre la COVID-19 et nous recommandons une approche alternative que nous appelons Protection focalisée (Focused Protection), écrivent les trois premiers signataires.

« Que nous soyons de gauche ou de droite et quel que soit notre pays d’origine, nous avons consacré nos carrières à la protection des populations. Les politiques actuelles de confinement produisent des effets désastreux sur la santé publique à court, moyen et long terme. Parmi les conséquences, on peut citer, entre autres, une baisse des taux de vaccination chez les enfants, une aggravation des cas de maladies cardio-vasculaires, une baisse des examens pour de possibles cancers ou encore une détérioration de la santé mentale en général. Cela va engendrer de grands excès de mortalité dans les années à venir, notamment dans la classe ouvrière et parmi les plus jeunes. Maintenir les écoliers en dehors de l’école est une grande injustice.

Conserver ces mesures en attendant qu’un vaccin soit disponible causera des dégâts irréparables. Les couches sociales les moins favorisées seront les plus touchées.

Une maladie peu dangereuse pour les enfants

Heureusement, notre compréhension du virus s’améliore. Nous savons que la vulnérabilité à la mort par la COVID-19 est plus de mille fois plus haute parmi les personnes âgées et infirmes que chez les jeunes. En effet, pour les enfants, la COVID-19 est moins dangereux que bien d’autres maux, y compris la grippe.

L’immunité grandissant dans la population, le risque d’infection baisse pour tout le monde, y compris les plus vulnérables. Nous savons que toutes les populations vont finir par atteindre l’immunité collective, c’est-à-dire le point où le nombre de nouvelles infections est stable, et que ce processus peut s’accompagner (sans pour autant dépendre) de l’existence d’un vaccin. Par conséquent, notre objectif devrait être de minimiser la mortalité et le mal fait à la société jusqu’à ce qu’on atteigne l’immunité collective.

Une approche à la fois compassionnelle et prenant en compte les risques et les bénéfices consiste à autoriser celles et ceux qui ont le moins de risques de mourir du virus de vivre leurs vies normalement afin qu’ils fabriquent de l’immunité au travers d’infections naturelles tout en protégeant celles et ceux qui ont le plus de risques de mourir. Nous appelons cela la Protection Focalisée (Focused Protection).

En plein air plutôt qu’à l’intérieur

Le fait d’adopter des mesures pour protéger les plus vulnérables devrait être le but central des réponses de santé publique à la COVID-19. À titre d’exemples, les résidences pour personnes âgées devraient être dotées de personnel qui a acquis l’immunité et qui réalise fréquemment des tests pour les autres membres du personnel et les visiteurs. Par ailleurs, la rotation du personnel devrait être la plus faible possible. Les personnes retraitées qui vivent chez elles devraient se voir livrer leurs courses à domicile. Quand c’est possible, elles devraient rencontrer les proches en plein air plutôt qu’à l’intérieur.

Une liste de mesure complète et détaillée, incluant des approches pour les foyers comprenant plusieurs générations, peut être mise en œuvre. C’est largement dans la capacité et les prérogatives des professionnels de la santé publique.
Ceux qui ne sont pas vulnérables devraient immédiatement être autorisés à reprendre une vie normale. Des mesures d’hygiène simples, comme se laver les mains et rester chez soi si l’on est malade, devraient être pratiquées par chacun pour réduire le seuil de l’immunité collective. Les écoles et les universités devraient rouvrir pour des enseignements en présentiel. Les activités extrascolaires comme le sport devraient reprendre. Les jeunes adultes qui présentent peu de risques devraient travailler normalement plutôt que depuis chez eux. Les restaurants et les commerces devraient ouvrir. Les arts, la musique, le sport et les autres activités culturelles devraient reprendre. Les personnes qui présentent plus de risque peuvent participer si elles le souhaitent à ce processus tandis que la société dans son ensemble bénéficie de la protection ainsi conférée aux plus vulnérables par ceux qui ont construit l’immunité collective. »




France — Sommation à un recteur contre la vaccination des enfants

[Source : Capsule Sommation interpellative]






Se « vacciner » et être testé négatif ne protège pas d’Omicron. Heureusement il est tout à fait bénin, un gentil chat

Par Gérard Delépine

Mauvaise nouvelle : les pseudo vaccins sont inefficaces contre Omicron

En Norvège, un repas d’entreprise avec des convives tous vaccinés devient un foyer super propagateur.

Le 26 novembre pour fêter Noël, un peu en avance le producteur d’énergie solaire Scatec a réuni 120 de ses employés tous vaccinés et testés négatifs avant la réunion. Le repas était bon, l’ambiance était chaleureuse et détendue, car tous les vaccinés se croyaient protégés.

Mais une semaine plus tard « Au moins la moitié des 120 participants ont été infectés par la variante Omicron pendant la fête », a déclaré à l’AFP(([1] https://www.euronews.com/2021/12/02/covid-19-norway-on-guard-over-omicron-as-dozens-test-positive-after-christmas-party)) Preben Aavitsland, médecin-chef à l’Institut norvégien de santé publique. » Cela en fait, pour l’instant, la plus grande épidémie d’Omicron en dehors de l’Afrique du Sud »

De fait, l’un des convives était revenu d’Afrique du Sud avec Omicron.

La survenue brutale d’un foyer épidémique dans un groupe totalement « vacciné » prouve que le vaccin ne protège pas contre Omicron !

Constatation reprise par patron de BioNTech dans Libération : « Un nouveau vaccin sera nécessaire contre omicron »(([2] https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/un-nouveau-vaccin-sera-n-c3-a9cessaire-contre-omicron-estime-le-patron-de-biontech/ar-AARwsk6))

Alors pourquoi nous gouvernants continuent — ils de prétendre que se vacciner protège les autres en agitant le spectre d’Omicron pour nous convaincre de nous faire injecter des produits expérimentaux ?

La bonne nouvelle est que ce variant est un matou de papier

Depuis l’apparition de ce variant l’OMS, nos gouvernants occidentaux et les médias covid terroristes essaient de raviver la peur avec ce variant, ignorant la règle générale de l’évolution des virus : les mutations virales font émerger des souches de plus en plus contagieuses et de moins en moins mortifères.

Le dernier-né Omicron est encore moins dangereux que son frère Delta que nous avions qualifié de tigre de papier(([3] https://tribune-diplomatique-internationale.com/variant_deltatigre_de_papier/)) quand tous les médias essayaient d’en faire une nouvelle terreur.

La scientifique sud-africaine Covid qui a découvert le variant Omicron accuse les médias :

« vous faites peur aux gens pour rien »(([4] https://lecourrier-du-soir.com/covid-le-medecin-qui-a-decouvert-le-variant-omicron-detruit-les-medias-vous-faites-peur-aux-gens-pourrien/?fbclid=IwAR2OC9CZ29DVoasx9jfbboylGaXjOMnjsDPTLQGLrynw0joNBZHPAbK7lJQ))

Les évolutions de cas et de mortalité publiées par de l’OMS confirment ses constatations. En Afrique du Sud, alors que le nombre de cas s’envole depuis un mois, la mortalité s’effondre.

On ne comptait hier que 22 décès là-bas contre près de 90 en France. Et ce n’est pas grâce aux pseudo vaccins puisque la « couverture vaccinale » ne dépasse pas 30 % !





Un Plan Pour Le Monde

[Source : Planète Homéopathie (planete-homeopathie.org)]

Par le Dr. Édouard Broussalian

À tous ceux qui sont tombés pour la manifestation de la Vérité, préférant suivre leur conscience plutôt que leur intérêt. Magna est veritas et praevalebit !

À toi, portier du consulat, qui fait attendre debout, dehors, au soleil, durant une heure une femme enceinte de 9 mois au prétexte qu’elle refuse de masquer son enfant de 5 ans pour entrer. Tu ne vois pas de rapport avec le nazisme et tu t’offusques qu’on ose te le dire.

À toi ma boulangère, qui du haut de ton Bac me donne des leçons sur la manière de porter un masque.

À toi mégère anonyme qui te saisis de ton téléphone pour dénoncer le vilain client qui foule le même sol que toi dans un magasin, mais qui refuse de porter un masque. Tu n’hésites pas à appeler les flics, demain ce sera pour « emmener » ces asociaux dans des camps de « regroupement ». Leur destination finale t’importera peu, tu auras la satisfaction du devoir accompli comme tous ceux qui avant toi ont réalisé les mêmes gestes.

À tous les médiocres qui de tout temps ont formé le lit du despotisme grâce à leur servilité aveugle, et qui réalisent à leur insu les paroles du Messie :

« Je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive »

Mt 10 :34

[Voir : L’épée, le bon grain et l’ivraie]

Un plan pour le monde

Par le Dr. Édouard Broussalian, 18 Novembre 2021

« Sous la roue qui sans fin poursuit sa ronde deux sortes de gens vivent sans tourments : ceux qui savent les secrets du monde, et ceux qui les ignorent totalement ».

Omar Kayyam.

« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au Time Magazine et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion pendant près de 40 ans. … Il nous aurait été impossible de développer notre plan pour le monde si nous avions été soumis aux lumières de la publicité pendant ces années. Mais, le monde est maintenant plus sophistiqué et prêt à marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est sûrement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. »

David Rockefeller.[1]

« Lorsque le consentement et l’intérêt individuel ne sont plus des priorités inaliénables, on se rapproche des théories eugénistes florissantes dès la fin du XIXe siècle et portées à la dimension industrielle par le nazisme »

Dr. Nicole Delépine.

Rien ne me prédisposait à jouer les Cassandre quand voici déjà plus d’un an je prédisais la situation dans laquelle nous sommes aujourd’hui plongés. Peut-être un lien immatériel peut-il réunir mes racines du Bosphore avec la fille de Priam, roi de Troie ? Défenseur de l’homéopathie depuis 40 ans face à la rhétorique pourrie du système et de ses séides, porteur épigénétique des effets du premier génocide[2] du XXème siècle et de 800 ans de dhimmitude[3], on se trouve mieux outillé intellectuellement pour envisager la notion terrifiante d’un gouvernement apparemment élu par le Peuple mais qui travaille désormais contre le Peuple.[4] Quand j’ai déclaré publiquement en Septembre 2020[5] que cette pandémie factice n’était qu’un hold-up mondial destiné à mettre en place une dictature, et que seule l’insurrection populaire sera notre salut, je n’ai pas été mieux cru que Cassandre lorsqu’elle annonçait que le cheval de Troie était une ruse qui allait aboutir à la ruine de la cité. Peu de gens ont compris dès le début :

  1. Que cette « pandémie » était grandement exagérée[6] puisqu’on s’est rapidement trouvés au point où il fallait se faire tester pour voir si l’on était malade —quant à lui, le rapport[7] de l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation révèle que le Covid n’a représenté que 2% des hospitalisation en 2020 :
    1. Seul le tripotage dès 2009 de la notion même de pandémie a permis d’en arriver où nous sommes. [8]
    2. Pour les cliniciens sur le terrain nous avons tous identifié une forme de coryza pouvant évoluer relativement rapidement vers une toux avec une dyspnée importante puis une détresse respiratoire.
    3. Confiants en l’expérience de succès magistraux ininterrompus enregistrés en deux siècles, nous savions que l’homéopathie se montrerait comme de coutume extrêmement efficace pour traiter n’importe quelle épidémie.[9] Ce n’est sans doute pas pour rien si la guerre totale a été déclarée contre l’homéopathie peu avant la survenue de toute cette affaire sous forme d’une attaque orchestrée mondialement peu avant la survenue des premiers cas COVID-19. Après l’attaque délirante des 124 parfaits inconnus[10] relayés dans tous les médias, sans que jamais on ne nous ait accordé le moindre droit de réponse, ce fut la fameuse étude australienne du NHMRC qui fit le tour du monde pour servir d’alibi gouvernemental en France et ailleurs pour justifier des mesures contre l’homéopathie, alors qu’une enquête sénatoriale[11] australienne a révélé la falsification[12] de l’étude. Aucun démenti n’a jamais été publié dans la presse mais la coordination de l’attaque témoignait bien de l’organisation pyramidale des médias compliants. La démarche est en tout point semblable à ce qui s’est passé avec l’étude bidonnée[13] publiée dans le Lancet et qui démolissait l’hydroxychloroquine.[14] L’étude a servi de prétexte à nos gouvernants pour retirer un produit devenu dangereux alors qu’il était prescrit à plus de 1 milliards de personnes durant 70 ans. Et comme de coutume, la rétractation de l’étude n’a jamais engendré celle des mesures prises en l’utilisant comme prétexte. Encore plus lamentable : l’institut Pasteur rétracte l’étude bidonnée qui a servi à justifier le passe sanitaire… mais le passe demeure.[15]
    4. Le totalitarisme s’empare de la science pour confirmer ce qui lui convient, l’idée est de créer une surréalité à laquelle les « croyants » vont adhérer — c’est le cas de la création de l’Islam par les Califes[16] et de la narration autour d’un prophète imaginaire, ou le bolchévisme avec la promotion de ses demi-dieux et du narratif autour du projet grandiose. Finalement tout cela correspond exactement à ce qu’a fait Auguste quand il a pris le pouvoir en s’assurant du contrôle religieux et des augures —d’où son nom. Au sujet des prédictions, quelqu’un a-t-il des nouvelles des 500.000 morts de 2020 et des 400.000 du premier trimestre 2021 que nous avait annoncé l’infâme Macron ? Pourtant tout ce que nous subissons, c’est au nom de ces morts imaginaires, de cette fausse pandémie et de ce pseudo-Covid-19.
  2. Que sans tests PCR il n’y avait point de pandémie[17] et que le test était parfaitement vérolé de manière à détecter un maximum de « cas ». Mais c’était tout ce qu’il fallait pour aller dans le sens de la nouvelle définition de « pandémie », juste des « cas », pas forcément des vrais malades et encore moins de mortalité. Un document[18] qui vient d’être publié par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis admet ouvertement que le fameux test PCR pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19) a été mis au point non pas à partir d’échantillons réels du virus chinois, mais plutôt à partir de ce qui semble être du matériel génétique d’un virus du rhume. Dans le document de la FDA, il est clairement indiqué que le matériel génétique ordinaire de la grippe saisonnière a été utilisé comme marqueur de test dans les kits de test PCR.[19]
    1. De manière parfaitement incroyable, l’article de Corman-Drosten[20] a été soumis à Eurosurveillance le 21 janvier 2020 et accepté pour publication le 22 janvier 2020. Le 23 janvier 2020, l’article était en ligne.
    2. Plus incroyable encore, le protocole de test Drosten, alors qu’il avait déjà envoyé son texte à l’OMS à Genève le 17 janvier 2020, a été officiellement recommandé par l’OMS comme test mondial pour déterminer la présence du coronavirus de Wuhan, avant même que l’article ne soit publié.
    3. Que dire du scandale des cycles d’amplification ? L’OMS et Drosten ont recommandé un Ct de 45 cycles. Il n’est pas étonnant que, alors que le nombre de tests augmente au début de la saison grippale hivernale, les « positifs » PCR en Allemagne et ailleurs explosent. Comme le soulignent les auteurs critiques, si les autorités sanitaires devaient spécifier 35 cycles maximum, selon l’article de Jaafar à l’IHU à 35 cycles, il ne resterait plus que 3% de vrais positifs ! Ils notent, « un résultat analytique avec une valeur Ct de 45 est scientifiquement absolument dénué de sens (une valeur Ct raisonnable ne doit pas dépasser 30).
    4. Le 27 novembre 2020, un groupe[21] très respecté de plus de 20 virologues, microbiologistes et scientifiques du monde entier a publié un appel à Eurosurveillance pour retirer l’article du 23 janvier 2020 du « Dr » Christian Drosten, l’inventeur du dit « test » PCR. Leur analyse minutieuse de la pièce originale est accablante. Le leur est un véritable « examen par les pairs ». Ils accusent Drosten d’incompétence scientifique « fatale » et de failles dans la promotion de leur test.
    5. Il est même possible que ce test fourré au fond du nez serve rapidement à ficher toute la population avec l’ADN des frottis. Une firme britannique entend gagner ainsi beaucoup d’argent.[22]
  3. Que seule la complicité servile des mé(r)dias —hormis en France l’exception notable de France Soir[23] et quelques rares autres— soutenue par une censure féroce dans tous les réseaux sociaux[24] a permis d’installer la doxa officielle[25] dans les cerveaux d’une population hypnotisée[26], abasourdie. Toute forme de pensée critique, quelle qu’elle soit, est immédiatement suspectée d’être complotiste,[27] la plupart des professionnels compétents sont muselés par la peur du dénigrement ![28] Le grand test que fut la grippe H1N1 a appris aux mondialistes que le contrôle absolu des médias conditionnait la réussite du projet. C’est aujourd’hui chose faite. Devant des médias complices de la conspiration, débitant ad nauseam la doxa du système, la censure systématique —notamment sur les réseaux sociaux— et la ridiculisation de toute voix discordante à l’aide d’étiquettes telles que « complotisme » ou « anti-vax ». La censure organisée sur tous les réseaux sociaux et dans la pressetituée[29],[30] nous a prouvé très tôt l’existence d’un projet, d’une volonté, d’une coordination du crime, avec les fameux « fact-checkers » —simples informaticiens ou joueurs de jeux vidéo autoproclamés défenseurs de la « science »[31]— formant les bataillons de la répression afin de maintenir à tout prix la vision et les ordres de l’OMS. Voyons ce narratif :
    1. Une épidémie terrifiante (par exemple les images d’horreur, à la sauce Timisoara[32] des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui sont en fait celles de chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale)
      1. L’épidémie de COVID-19 n’est pas un drame sanitaire mais un crime de masse.
      2. Pour les moins de 60 ans, l’année 2020 est la moins mortelle de toute l’histoire de France.[33]
    2. Pas de traitement (précoce) efficace existant, interdiction faite aux médecins de prescrire, prescription de médicaments qui tuent (Valium, Rivotril) :
      1. « Démontrer que le virus n’a pas de thérapie a été une lutte de tous les instants au risque d’étaler au grand jour les incompétences crasses des uns et des autres. » Ecrit le Dr. Michel de Lorgeril, qui ajoute « et tout scientifique qui osera dire le contraire sera lynché et traité de complotiste. »
      2. Les médecins généralistes qui doivent naturellement encaisser frontalement le choc de toute épidémie se sont vus dessaisis des cas et interdire de prescrire l’hydroxychloroquine / azithro qui fonctionne remarquablement bien[34], de sorte que de nombreux cas ont pu évoluer vers des formes graves et encombrer les hôpitaux. Partout dans le monde, des gouvernements criminels comme celui de la France ont interdit la prescription qui aurait sauvé de nombreuses vies, interdiction basée sur un article bidonné à souhait paru dans une revue « prestigieuse », et qui illustre bien jusqu’où est tombée la médecine classique. De nombreux protocoles avec l’Ivermectine[35] ont aussi largement prouvé leur efficacité.
      3. Le réseau sentinelle a été pareillement limogé car ses vrais chiffres contredisaient la propagande étatique.[36]
      4. Selon toutes les apparences, les autorités sanitaires et politiques françaises ont tout fait pour que les malades de la COVID-19 meurent en masse en suivant cinq stratégies simultanées :
  • Refuser l’accès aux hôpitaux à la majorité des malades, c’est-à-dire les personnes âgées ;
  • Refuser l’accès aux services de réanimation aux personnes âgées hospitalisées ;
  • Conseiller des traitements inutiles ;
  • Interdire les traitements efficaces ;
  • Tuer au lieu de soigner.

L’intention criminelle préméditée est prouvée par les documents officiels autorisant l’administration de poisons mortels aux patients tout en interdisant la prescription des thérapies les plus prometteuses. En France, les plus de 70 ans ont été refoulés des services de réanimation alors que plus de la moitié des lits étaient vides.[37] « Le confinement des mois de novembre-décembre n’a pas modifié la consommation des médicaments conseillés dans les cas de COVID-19. Si les confinements ne modifient pas les prescriptions hospitalières dans le cas général, on en vient à penser qu’il y a eu un défaut de prescriptions précisément envers les patients souffrant de la COVID-19 pendant la « première vague ». Considérant le nombre très important de cas répertoriés, une telle diminution est incongrue. Comment expliquer qu’en pleine épidémie on puisse atteindre un record historique de sous-prescriptions des médicaments indiqués pour soigner ladite épidémie ? »
Un décret du gouvernement en date du 28 mars 2020[38] a autorisé exceptionnellement l’usage du Rivotril dans les cas de COVID-19, sachant que seulement une à deux injections sont suffisantes pour tuer un malade. Il n’est donc pas étonnant de constater, à l’inverse des médicaments qui soignent, une sur-prescription massive des médicaments qui tuent. Les prescriptions de Valium injectable ont augmenté de 53 % à 63 % en avril-mai par rapport à la moyenne de 2017-2019. Quant au Rivotril injectable, sa consommation a explosé, multipliée par 3,9 en avril pendant le pic épidémique, et depuis reste 2,3 fois supérieure à la moyenne de 2017-2019.

  1. Les mesures de contrainte fondamentales tant qu’on n’a pas d’immunité collective vaccinale (la notion d’immunité naturelle étant désormais bannie de l’OMS[39],[40]
    1. Les mesures appliquées en guise de « prévention » chez les personnes âgées les ont sans doute fait mourir de chagrin, isolées dans une chambre.
    2. Lors des audiences du Congrès, le représentant James Jordan (R-OH) a demandé au Dr Fauci d’expliquer pourquoi la prévalence de la maladie dans le Michigan fermé est pire que dans le Wisconsin voisin qui est depuis longtemps entièrement ouvert. Fauci a prétendu qu’il n’avait pas entendu la question, qu’il n’avait pas vu le tableau et qu’il n’avait pas compris. Finalement, il est resté assis, silencieux, après avoir prononcé quelques banalités sur les différences de mise en application. Les « confineurs » sont maintenant confrontés à l’énorme problème du Texas. Cet état est totalement ouvert, sans aucune restriction. Les cas et les décès ont chuté de façon spectaculaire au cours de la même période. Fauci n’a pas de réponse. Ou alors, comparez la Californie fermée avec la Floride ouverte : taux de mortalité similaires. Nous disposons d’une gamme complète d’expériences aux États-Unis qui permettent de comparer l’ouverture et la fermeture et les résultats des maladies. Il n’y a pas de relation.
  2. Seule la vaccination nous sauverait, débloquerait la situation[41] et ferait cesser la maltraitance des Peuples.

« Et si vous croyez que l’engrenage s’arrêtera à un laissez-passer pour les plages, jetez un coup d’œil en arrière : quelle est la ligne rouge impensable qui n’a pas été finalement franchie par les gouvernements ces treize derniers mois ? Quel est le droit inaliénable de la personne qui n’a pas été violé ? Dès le moment où l’État s’arroge l’accès à votre corps, quel que soit le motif, il en devient propriétaire. Il en dispose. » Slobodan Despot.

    1. Pour un homéopathe habitué à critiquer la médecine officielle, il est évident dès le début que tout serait fait pour trafiquer la fameuse notion de bénéfices [pour les labos] / risques [pour les victimes] —surtout que les « études » n’incorporaient pratiquement pas de gens âgés alors que ce sont justement eux qu’on se proposait de protéger en priorité.
    2. La démarche habituelle consiste à maximiser la gravité de la maladie (par exemple, instructions données aux pompes funèbres[42] de déclarer en morts Covid toute personne ayant eu de la toux et de la fièvre et n’importe quel symptôme vague) tandis qu’on dissimule les effets secondaires.[43],[44],[45] Or ici c’est une explosion d’effets secondaires qu’on ne parvient plus à dissimuler. Dans chacun de ces pays qui ont vacciné massivement à partir de décembre ou début janvier, on a observé un pic de mortalité jamais atteint auparavant.[46] Omerta, silence des médias ne suffisant plus c’est maintenant le caviardage des bases de données qui est entrepris à grande échelle.[47] La député Mathilde Panot signe un discours remarquable qui dénonce la situation,[48] cela détonne dans le marais collaborationniste ambiant. Pour ceux qui n’ont pas encore compris, la seule immunité est celle des laboratoires qui ont réussi à imposer des contrats aux clauses léonines[49] à tous les états, contrats signés pour ce qui concerne l’Europe par une seule personne, Stella Kyriakides qui a touché plusieurs millions en pots de vins.[50]
    3. L’injection —que l’on ne peut pas appeler vaccin, même si Merriam-Webster a eu le culot de modifier la définition du terme pour devenir corona-compliant je suppose— se confirme mois après mois être un produit hautement toxique. Le viol génétique conduit nos cellules (la plupart du temps celles de l’endothélium vasculaire) à produire de la protéine Spike S1. Or la Spike est elle-même responsable de la maladie qui est essentiellement endo-vasculaire, sa présence à la surface des cellules conduit à des processus de coagulation.[51],[52],[53],[54] Au microscope se produit en peu de temps une coagulation quand le sang entre en contact avec le produit, il est raisonnable de supposer que le graphène arrache des molécules de fer aux globules rouges, ce qui entraîne une activation de l’injection et explique peut-être les effets magnétiques observés. [55]
      En outre ces produits contiennent probablement des substances qui ne sont pas supposées être présentes, comme l’oxyde de graphène.[56] De nombreuses personnes ont constaté que la région injectée puis d’autres zones du corps deviennent magnétiques.[57] Certaines sources mentionnent même la présence de parasites ou d’œufs de parasites.[58] L’empoisonnement volontaire —et forcé— représente certainement l’un des objectifs de la crise actuelle et rendra difficile à nos gouvernants de plaider non-coupable quand ils passeront en cour martiale. Le principe éthique classique des « essais cliniques » consiste à stopper les recherches expérimentales thérapeutiques dès lors que l’essai atteint la vie d’autrui et sa santé. Certaines études ont arrêté l’essai thérapeutique autorisé par la FDA déjà après un seul décès comme c’est le cas pour un laboratoire pharmaceutique français[59], alors que d’autres experts estiment à un maximum 20 à 50 décès sont amplement nécessaires pour établir une « dangerosité » du produit utilisé et stopper l’expérience.Avec plus de 13 000 rapports aux CDC concernant des décès dus aux vaccins COVID-19, les vaccins COVID-19 ont maintenant le taux de mortalité le plus élevé de tous les vaccins de l’histoire. En effet, la moyenne des décès dus aux vaccins signalés chaque année aux CDC, avant le COVID-19, était d’un peu plus de 100 par an. En d’autres termes, les vaccins COVID-19 ont environ 100 fois plus de rapports de décès par an que la moyenne des rapports pour tous les autres vaccins combinés. Dans le passé, des vaccins individuels ont été retirés du marché pour seulement 12 à 50 décès signalés. Les décès liés au vaccin COVID-19 sont catastrophiques et, pire encore, les décès signalés ne reflètent qu’une petite fraction des décès réels liés au vaccin dans la communauté.[60]
    4. Il suffit pourtant d’examiner l’histoire récente des maladies transmissibles – avec de nouveaux agents infectieux (HIV-sida, Ebola, Zika, Chikungunya, Dengue, Borrélioses…) – pour ajouter plusieurs bémols à la douce mélodie voulant faire croire que la technologie des vaccins va apporter des solutions miraculeuses à la crise du COVID-19.
    5. L’histoire nous rappelle que :
    6. 1- Toutes les épidémies finissent par s’éteindre spontanément
    7. 2- Jamais un vaccin n’a permis d’éteindre une épidémie.
    8. 3- La vaccination durant une épidémie entraîne toujours une surenchère de mortalité par effet Buchwald.[61]
    9. Et quand on nous sert l’exemple de l’éradication de la variole ce n’est que la référence à un mythe. Le rapport final[62] admet que la « vaccination de masse a échoué » et que c’est la surveillance et endiguement qui a porté ses fruits » Encore ici, « les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. » Nous lisons aussi « A Java, malgré des taux de vaccination dépassant 90%, la transmission se poursuivait dans des zones densément peuplées… jusqu’à ce que des structures efficaces de dépistage des cas et de surveillance soient entièrement mis en place. »
    10. Nous subissons le totalitarisme des concepts mentaux : Il est décidé dans les sphères dirigeantes que les obstacles à la vaccination doivent être éliminés, car le vaccin est « notre porte de sortie de la crise ». Nous développerons dans le second chapitre comment la médecine industrielle porte en elle le despotisme, en ne traitant plus que des masses amorphes non individualisées. Cela a commencé avec la préparation de la vaccine sur les orphelins pour maintenir la souche, Pasteur a continué sur la même lancée, en fraudant massivement ses résultats —les héritiers du Dr. Roux, illustre collaborateur de Pasteur, ont publié la correspondance entre Brouardel et Pasteur, nous faisant ainsi découvrir comment on a masqué la mort d’un enfant inoculé par de l’extrait de moelle desséchée d’animal rabique en la faisant passer pour une crise d’urémie, permettant ainsi de sauver la science française.[63] En ce qui concerne l’éthique, en 1884, Louis Pasteur lui-même écrit à l’empereur du Brésil pour lui demander l’autorisation de contaminer des condamnés à mort avec le choléra afin d’essayer sur eux des traitements.[64]
    11. Au nom maintenant d’une théorie délirante comme la heird immunity l’immunité du troupeau —enfin de groupe— le massacre va maintenant porter aussi sur les enfants[65], surtout que nous sommes sur le chemin de l’élimination du consentement parental.[66] et les femmes enceintes —une méta-analyse a recensé 192 études et trouvé un taux de létalité chez les femmes enceintes atteintes de Covid-19 de 0,02%, décès toutes causes.[67]
    12. Et nous devrions croire sur parole des laboratoires véreux[68] qu’une injection génique expérimentale, produirait —sans le moindre recul connu— le résultat que jamais la vaccination n’a atteinte depuis que la pratique existe ?
    13. Pour ma part j’ai vraiment éclaté de rire quand on nous a annoncé une efficacité de 95% avec des études qui ne sont même pas en double aveugle. En cette fin de 2021, les preuves ne cessent de s’accumuler concernant la supercherie de ces « zétudes ».[69],[70],[71],[72] Dès le début il était facile aussi de penser que la mutation incessante du Coronavirus servirait d’excuse facile aux inoculateurs pour justifier leurs lamentables échecs. Quant à la blague que constitue les autorisations de mise sur le marché, l’ANSM, gendarme Français du médicament, se désintéresse totalement du fait qu’à ce jour (29/10/21) la dispensation des quatre vaccins anti-Covid puisse être réalisée de manière parfaitement illégale sur son sol : En effet, celle-ci se trouvait incapable de documenter que les Autorisations de Mise sur le Marché Conditionnelles (AMMc) régissant l’écoulement de ces produits n’existent encore…[73]
    14. Un groupe de 57 scientifiques, médecins et experts politiques de premier plan a publié un rapport appelant à remettre en question la sécurité et l’efficacité des « vaccins » COVID-19 actuels, et réclame maintenant la fin immédiate de tous les programmes de vaccination. Parmi eux se trouve la généticienne Alexandra Henrion-Caude —qui mérite d’être élue femme de l’année.[74]
    15. Nous étudierons en détails dans le chapitre suivant « Et vous Peuples infortunés » les ravages de la vaccination forcée. 
    16. Le tout étant servi aux Peuples grâce à un appareil de propagande relayé par les innombrables collabos et autres idiots utiles[75],[76],[77] qui relègue au niveau de la maternelle les Goebbels et maîtres à penser de la manipulation des masses, mettant en jeu des mécanismes comme la réduction de dissonance cognitive ou le syndrome de Stockholm :
      1. Souvenons-nous comment Orson Wells[78] —l’ancêtre de nos manipulateurs actuels— avait réussi à faire croire à un débarquement des martiens seulement en se servant d’une chaîne de radio. Imaginez la puissance de feu de tous les médias confondus…

« L’affirmation pure et simple, dégagée de tout raisonnement et de toute preuve, est un des plus sûrs moyens de faire pénétrer une idée dans l’esprit des foules. Plus l’affirmation est concise, plus elle est dépourvue de toute apparence de preuves et de démonstration, plus elle a d’autorité. » Gustave Le Bon.

    1. La première des erreurs les plus communes[79] sur la façon dont fonctionne la propagande officielle consiste à penser que son but est de tromper le public en lui faisant croire des choses fausses (le masque nous protège, le vaccin nous protège, les mesures sanitaires nous protègent, etc)… Toutefois, même si les propagandistes sont bien contents quand quelqu’un croit à leurs mensonges, la tromperie n’est pas leur but premier.
    2. Le premier des buts de la propagande officielle est de générer une « narrative » qui peut être mécaniquement répétée par les classes supérieures et ceux qui les soutiennent et s’y identifient. Cette narrative officielle n’a pas à être cohérente ou crédible, ni à résister à l’examen critique. Sa plausibilité n’est pas l’important. L’important est de dessiner une ligne Maginot, une frontière idéologique défensive, entre le « Bien » tel que défini par les classes supérieures et les vérités qui contredisent la narrative officielle.
    3. Dans des sociétés ouvertement despotiques, les enjeux de ce type de choix (se conformer ou désobéir) sont souvent la vie ou la mort. Dans nos sociétés occidentales (pour ceux d’entre nous qui ne sommes pas des guérilleros militants), les conséquences du non-conformisme sont généralement plus subtiles, mais les pressions restent intenses. Se conformer à la « réalité » consensuelle produite par ces narratives est le prix de l’admission dans le saint des saints où les emplois, l’argent, le prestige professionnel et les autres récompenses du capitalisme se trouvent. Se conformer aux narratives n’implique pas d’y croire. Cela demande juste une allégeance et une obéissance inconditionnelle. Ce que l’on croit en réalité n’a aucune importance, du moment que l’on répète, comme un perroquet, la narrative officielle du moment.
    4. Pour résumer, la propagande officielle n’est pas destinée à duper le public (pas plus que les phrases d’un rôle d’acteur ne sont destinées à tromper l’acteur). Elle est destinée à être absorbée et répétée, quelle que soit son invraisemblance. De fait, elle est souvent plus efficace quand ceux qui sont forcés de la répéter comme des robots savent qu’elle est complètement stupide, parce que l’humiliation d’avoir à le faire cimente leur allégeance à la classe supérieure.[80]
  1. Que les mesures imposées liberticides, incohérentes, illogiques et arbitraires (port du masque, distanciation, assignation à domicile, fermeture de tous les magasins) étaient non seulement hors de proportion avec le fléau supposé mais contraires au bon sens, sans la moindre justification scientifique, ou ayant déjà fait preuve de leur inefficacité.[81], [82], [83], [84], [85], [86], [87]
    1. Combien de vies ont été sauvées grâce à la fermeture des rayons slips, chaussettes et tee-shirts ? Combien de transmissions n’ont pas eu lieu grâce à l’arrosage frénétique des mains avec des produits chimiques déversés par milliards de tonnes dans la nature, et remplis de perturbateurs endocriniens ?[88] Plus de 150 milliards de masques sont produits chaque mois, sans le moindre recyclage.[89] Il est à craindre qu’un nouveau continent de plastique ne flotte à la surface de ce qui reste de nos océans.
    2. Concernant les masques, personne ne s’est soucié de citer la grande étude chinoise[90] publiée dans Nature, aux chiffres astronomiques de 10 millions de patients (la dictature a parfois du bon) qui a clairement montré que les sujets asymptomatiques ne sont pas contagieux.
    3. Le port du masque est un marqueur de la soumission populaire aux mesures débiles gouvernementales —on imagine la jouissance perverse des Macron et consorts à l’idée d’avoir réussi à faire respirer tout le monde dans ses propres crachats… Au même titre que le voile islamique dans les pays soumis à l’oppression de la charia, le despotisme d’état se charge par la violence de vous rappeler à l’ordre établi.[91]
    4. L’assignation à résidence— justifiée par des modélisations douteuses, notamment celle du très influent Pr. Ferguson. Sans doute dans le besoin malgré les généreux financements de la Fondation Gates, ce dernier a utilisé un programme digne de Sim City, lui permettant de prévoir 500.000 morts en Grande Bretagne, puis finalement 20.000.[92] La plus grande panique de l’histoire et la paralysie inédite de l’économie reposent sur des spéculations délirantes. Le code concernait un modèle de grippe conçu en 2005 pour Taïwan.[93] Plutôt que de mettre le code à la disposition des autres acteurs du domaine pour qu’ils puissent l’examiner à ce moment-là et contribuer à influencer les mesures prises par les gouvernements, Ferguson a choisi de s’adresser à Microsoft. Pourquoi ? Pour réécrire le code et l’améliorer. Ainsi, personne n’a pu voir le vilain code original utilisé pour créer un mauvais modèle que les gouvernements ont utilisé pour enfermer tout le monde. Depuis quand Microsoft est-il devenu l’expert en modélisation des épidémies ? De toutes les mesures qu’il aurait pu prendre, il s’est adressé à Microsoft, et non à d’autres experts en la matière pour modéliser correctement la pandémie. C’est troublant. Pourquoi ? Serait-ce dû à une certaine loyauté ou influence liée à Microsoft ? Peut-être au fondateur de Microsoft, Bill Gates ? La Fondation Gates a financé l’Imperial College à différents moments. Observez l’écart des dates entre lesquelles le financement a été multiplié par … 29 ! (29x).
      En 2010, 2 millions de dollars ont été versés à l’Imperial College :
      https://media.evolveconsciousness.org/2020/05/imperial-collage-gates1.jpg
      En mars 2020, ce sont 79 millions de dollars qui ont été versés à l’Imperial College: ! https://media.evolveconsciousness.org/2020/05/imperial-collage-gates2.jpg

Partout où l’on se tourne, on retrouve l’empreinte de la main de Gates au travers de sa Fondation Bill et Melinda Gates.[94]

  1. Que tout serait fait pour pousser à la vaccination obligatoire —et même sous contrainte— de la population mondiale, si tant est qu’on appelle « vaccins » des injections géniques expérimentales effectuées en violation du droit international.[95]
  2. Que les voyages mais aussi tous nos gestes quotidiens seraient soumis à l’obligation vaccinale qui sera appelée à devenir perpétuelle,
  3. Que la restriction des libertés annonçait la mise en place d’une dictature à la chinoise[96], basée sur un techno-contrôle permanent d’abord au moyen de passeports sanitaires, puis à terme à base de puces RFID, reconnaissance faciale et autres 5G, le sujet du système devenant « connecté » au même titre que sa voiture ou son frigo.[97]

Le loup mondialiste est sorti du bois.

Cette guerre contre les Peuples ne nous laisse d’alternative que de vaincre ou mourir. Non, il n’y aura plus jamais ni repos ni retour en arrière tant que n’auront pas été châtiés les instigateurs et les complices de ce « coup » mondial avec son narratif délirant et burlesque d’une pandémie qui n’existe pas, imposé à l’unisson[98] par les gouvernants et relayé en boucle par les médias. John Ioannidis, probablement le plus grand épidémiologiste actuel, affirme dans une étude publiée par l’OMS[99], mais passée complètement à la trappe depuis octobre 2020 que

« The inferred infection fatality rates tended to be much lower than estimates made earlier in the pandemic. »

Notre savant aime les euphémismes : il y a en effet un facteur 14 entre les premiers chiffres — qui ont servis de référence pour déclarer la pandémie et imposer toutes les mesures folles— donnés par les autorités sanitaires chinoises et la valeur constatée par le Dr Ioannidis. Grâce au Covid, la corruption généralisée apparaît au grand jour et beaucoup de nos confrères qui vivaient dans le confort douillet du consensus découvrent en exerçant leur sens critique l’horreur de la guerre permanente de désinformation, le mensonge dans lequel notre profession baigne, la répression en cas de transgression de la doxa officielle, et la manipulation dont ils sont l’objet pour les inciter à croire qu’en étant au « top » des nouveautés, ils font de la bonne médecine.[100] Cette même guerre qui nous était livrée depuis des générations d’homéopathes est désormais devenue mondiale.

La science représente un puissant outil dans la recherche de la vérité, mais quand elle est dévoyée par l’argent, surgit la fallacieuse notion de « preuve scientifique », un oxymore destiné à vendre aussi bien une traversée en Titanic ou un vaccin.

Il est probable que jamais l’humanité n’a encore dans son histoire encouru une telle menace, non pas à cause d’un virus mortel, mais d’un simple rhume qui sert de prétexte à l’instauration d’une tyrannie oligarchique. Si l’on m’explique que vous avez bouté le feu à votre maison parce qu’il y avait un moustique dans le salon, c’est la preuve que soit vous êtes complètement fou, soit que le moustique ne fait que servir d’excuse au pyromane. De même les mesures apparemment démentes prises comme un seul homme par (presque) tous les gouvernements face à une menace nulle ne deviennent logiques que si l’on change de paradigme et qu’on réalise que les gouvernements n’œuvrent plus dans l’intérêt des peuples et des nations, mais selon l’agenda d’une structure supérieure qui les contrôle tous :

:.

Les tendances et les déclarations financières mondiales indiquent une refonte sismique de la gouvernance et des systèmes financiers qui se joue sous la surface de la pandémie de Covid-19 et qui va bien au-delà du domaine de la santé.

Le renforcement du contrôle centralisé peut créer un gouffre infranchissable entre une petite poignée de gagnants et une majorité de perdants. ….

Les preuves suggèrent que les vaccins coronavirus, véritables chevaux de Troie, pourraient remettre en cause l’intégrité corporelle et le consentement éclairé de manière totalement nouvelle, en transportant des technologies invasives dans le cerveau et le corps des gens.

Des technologies telles que les interfaces cerveau-machine, les dispositifs de suivi de l’identité numérique et les puces compatibles avec les crypto-monnaies contribueraient à l’objectif de la banque centrale de remplacer les monnaies par des systèmes de transaction et d’identification numériques et de créer une grille de contrôle mondiale qui relie la population mondiale au nuage de renseignements militaires-pharmaceutiques des technocrates mondiaux. En outre, l’utilisation des vaccins comme vecteur des technologies de surveillance annule toute responsabilité juridique.[101]

Tant pis — ou tant mieux ?— si je heurte ceux encore douillettement endormis dans le confort de la Doxa du système et qui se font une joie de partir à l’abattoir en chantant. Je n’ai jamais eu l’habitude de mâcher mes mots —pas plus que le Dr. Zelenko[102] ou Dr. Sucharit Bhakdi[103] ou encore le Dr. Michael Yeadon[104] dont je partage ici complètement les analyses : au-delà d’un simple crime crapuleux destiné à l’enrichissement sans limite de l’industrie, c’est probablement un génocide planétaire qui se prépare dans la joie et l’insouciance, avec le consentement —je devrais dire la soumission— d’une grande partie de la population.

Qu’on ne se méprenne pas : le sens du mot « génocide » est chevillé dans mes cellules, le néologisme a été forgé par Lemkin en prenant pour modèle le génocide arménien. Son professeur de droit lui ayant expliqué que les gouvernements pouvaient faire ce qu’ils voulaient des peuples administrés, comme on le fait d’un élevage de poulets, Lemkin s’est écrié « mais les gens ne sont pas des poulets ! » J’envie la France quand elle pleure un Oradour. Nous en avons connu des milliers dans le cours d’une extermination systématique, sans distinction d’âge ou de sexe.

C’est donc bien en pleine acceptation du terme que je déclare qu’à mesure que nous découvrons les effets et le contenu des « vaccins » imposés de vive force contre toute science ou raison par les gouvernements, nous avons la preuve d’une tentative de génocide. J’ignore quelle proportion de l’humanité survivra à ces poisons. Des plaintes devant la Cour Pénale Internationale[105],[106] ont été déposées, en Inde L’avocate Dipali Ojha,[107] principale avocate de l’Association du barreau indien, a intenté des poursuites pénales contre le Dr Swaminathan « pour chaque décès » causé par ses actes, mais on se doute vu la corruption et le crime organisé que les chances d’aboutir sont minimes.

Au vu de la perversité —ce terme reviendra souvent dans mes commentaires— que nous constatons partout où l’on se retourne, seul Tocqueville me semble avoir clairement décrit pareille situation :

« Les Espagnols, à l’aide de monstruosités sans exemples, en se couvrant d’une honte ineffaçable, n’ont pu parvenir à exterminer la race indienne, ni même à l’empêcher de partager leurs droits ; les Américains des États-Unis ont atteint ce double résultat avec une merveilleuse facilité, tranquillement, légalement, philanthropiquement, sans répandre de sang, sans violer un seul des grands principes de la morale aux yeux du monde. On ne saurait détruire les hommes en respectant mieux les lois de l’humanité.[108] »

J’accuse !

J’accuse les mondialistes — cette ultra-minorité constituée de quelques grandes familles (Rothschild, Rockefeller, Carnegie, DuPont, Bush, Morgan, etc. et leurs coryphées comme Bezos, Soros, et Gates)[109] :

  • D’être majoritairement de dangereux psychopathes[110] avides uniquement de jouissance perverse ou des pires transgressions pour se sentir exister.[111]
  • D’avoir peu à peu accaparé la création de la monnaie dans le monde entier[112] depuis au moins la chute du Premier Empire.[113]
  • De contrôler ainsi les destinées des nations depuis au moins la fin du XIXème siècle, organisant pour leur profit les guerres ou révolutions qu’ils jugent utiles[114] : Guerre des Boers, Première Guerre Mondiale, Révolution Russe et instauration du Communisme,[115] etc.
  • De fomenter un complot mondial depuis des générations, en vue d’instaurer une gouvernance mondiale[116] sous forme d’un collectivisme oligarchique[117] dont la Chine représente le modèle —dès le 30 Mars 2020 Gordon Brown appelait à un gouvernement mondial « intérimaire », Attali au gouvernement mondial installé à Jérusalem[118],
  • De poursuivre depuis des générations une guerre mondiale secrète contre les Peuples[119] et de vampiriser les nations en forçant les états à une dette fictive en échange de la création de monnaie ex-nihilo.
  • D’avoir fabriqué de toutes pièces la pandémie Covid.[120],[121],[122],[123],[124],[125]
  • D’avoir breveté —à travers une multitude de sociétés dont le CDC, Pfizer, Moderna, Merck, Johnson & Johnson— le génome sous tous ses aspects du SARS-Cov-2 depuis au moins 20 ans pour réaliser leurs objectifs,[126],[127]
  • D’annoncer la pandémie depuis des années avec beaucoup de perversion[128] via quelques porte-paroles dont Bill Gates[129] qui semble être le grand prêtre du système.[130],[131] Soudainement autoproclamé spécialiste de tous les problèmes planétaires et virologue, celui que l’histoire regardera sans doute comme l’un des plus grands criminels de tous les temps nous annonçait, dès le mois de Février 2020, qu’il n’y aurait pas de retour à la normale sans que la planète entière ne soit vaccinée.[132],[133]
  • De recourir sans scrupule à l’ingénierie sociale[134],[135] —notion purement communiste— au crime contre l’humanité et probablement au génocide mondial pour façonner « l’homme nouveau » — dont la tentation a toujours été la marque des régimes totalitaires —, issu de leur ancien délire eugéniste et transhumaniste.[136],[137],[138]
  • De ruiner l’économie mondiale afin d’imposer une future monnaie numérique[139] et un contrôle total technocratique[140] de la population [restante…] réduite en esclavage.[141] Tout sera fait pour nous présenter comme seule solution le gouvernement mondial pour « sauver les banques. »
  • D’organiser une destruction —une sape— des fondements de la société[142], notamment de par l’Open Society de Soros,[143] et une corruption systémique dont on ne peut se faire de représentation tant elle est omniprésente et disséminée.[144],[145] Il a suffi ainsi de faire déclarer la pandémie par le bon Tedros[146],[147] —l’homme de paille de Gates— pour que tout se mettre en branle comme une cascade de dominos, toutes les nations signataires du Règlement sanitaire international de l’OMS étant légalement tenues de suivre ce que le directeur général décide de faire en cas d’urgence.[148] L’affaire a été préparée d’avance selon un agenda qui force l’admiration : en faisant passer un rhume pour la peste noire, les corrompus savaient qu’ils pouvaient ensuite compter sur la lâcheté généralisée, la fuite de toute responsabilité pour entraîner le reste du monde avec eux.
  • D’avoir noyauté et infiltré à peu près tous les gouvernements, et toutes les instances internationales et nationales, officielles (comme l’OMS, la Banque Mondiale, le GAVI, etc.) ou officieuses (franc-maçonnerie dévoyée en parti politique comme le Grand Orient en France) [149],[150] et de posséder à peu près toutes les firmes industrielles, bancaires et technologiques.[151]
  • De ne même plus prendre la peine de dissimuler leurs objectifs mais de diffuser leur doctrine à travers des organisations comme le World Economic Forum[152] —son patron et maître à penser, Klaus Schwab étant aussi un Rothschild[153], la Fabian Society ou autres revues comme The Economist. La stratégie habituelle consistant à utiliser la fenêtre d’Overton pour habituer peu à peu la pensée du public à ce qui aurait été inimaginable auparavant.

J’accuse les trois secteurs criminels de plus en plus imbriqués —Big Finance, Big Tech et Big Pharma— de récolter les fruits de la « pandémie » Covid-19, tout en bénéficiant de relations étroites avec l’appareil de renseignement militaire[154],[155] . Ceci a permis de créer le plus grand transfert de richesses de l’histoire de l’humanité et une montée en puissance énorme de la technocratie mondiale, une forme de contrôle centralisé, dirigé par des experts, sur la production et la consommation des ressources, que le Wall Street Journal a qualifié de « règle antidémocratique par des élites qui pensent mieux savoir. »[156]

J’accuse les laboratoires pharmaceutiques —notamment Pfizer, Moderna, Merck, Johnson & Johnson, Astra Zeneca— de constituer depuis le début du XXème siècle les pires organisations criminelles que le monde ait connues :

  • D’avoir déposé des milliers de brevets concernant le Coronavirus depuis 2000, d’avoir préparé et planifié la crise actuelle de concert avec la troïka Gates, Fauci, Tedros. Le génome du SARS-Cov2 a été ainsi breveté depuis de longues années, avec toutes les variantes connues de la protéine Spike (malgré leurs moyens illimités, ces messieurs ont quand même réussi à faire la bourde de déposer le brevet du futur vaccin quelques heures avant le dépôt du brevet du Coronavirus).[157]
  • D’avoir provoqué la fermeture de tous les hôpitaux homéopathiques[158] aux USA dès les années 1910 et imposé la médecine chimique sous la forme que nous connaissons, détruisant la santé de l’humanité depuis des générations.
  • D’être obsédés par la destruction de l’homéopathie, le seul édifice médical logique et scientifique capable de leur faire de l’ombre et de guérir les gens
  • De mener depuis cent ans une guerre incessante contre l’homéopathie afin de la discréditer[159] et détenir le monopole d’une médecine non-scientifique basée sur l’administration arbitraire de drogues pétrochimiques au gré de statistiques toujours falsifiées.

J’accuse la troïka Gates — à travers de sa fondation « philanthropique » Bill et Melinda et autres affidés comme l’Open society de Soros et la Clinton fundationFauci[160] — avec sa mainmise sur les CDC, ce dernier se retrouve aujourd’hui accusé d’avoir pris des mesures contraires à l’éthique et aux connaissances,[161] Tedros —avec sa haute main sur l’OMS, d’être les exécutants d’une affaire patiemment préparée —un hold-up mondial— depuis au moins deux décennies, aboutissant à une ahurissante toile d’araignées impliquant à peu près tous les secteurs[162] — avec l’aide inestimable du Parti Communiste Chinois[163] dont notamment :

  • Tripotage de la définition de la pandémie dès 2009[164]
  • Assujettissement des gouvernements aux décisions de l’OMS en cas de pandémie
  • Infiltration de toutes les instances internationales comme l’ONU, la Banque Mondiale, etc.
  • Recyclage de l’argent sale grâce à une galaxie d’ONG et autres fondations —gravitant autour de l’ONU par exemple— n’ayant de comptes à rendre à personne.[165]
  • Contrôle total des médias (ANP, AFP, REUTERS, eux même affiliés à European journalism center et Project syndicate, lesquels appartiennent comme le reste du monde à des compagnies comme Black RockVanguardStreet State ou Berkshire Hataway) et des réseaux sociaux via leur complices. Citons en France par exemple les dix milliardaires qui contrôlent toute la presse.[166]

J’accuse nos gouvernants de complicité totale avec les mondialistes et de conspirer contre la paix en créant une fracture irréconciliable de la population au moyen de mesures discriminatoires qui violent toutes les constitutions démocratiques[167] —le citoyen qui cotise pourtant à ses assurances sociales se voit refuser l’entrée à l’hôpital (chose jamais vue de mémoire d’homme), les délations pleuvent contre les mauvais porteurs de masque qui ont l’outrecuidance d’entrer dans un magasin, on refuse d’évacuer des non-vaccinés[168], les brutalités policières innommables s’abattent sur les gens au prétexte de non-port de masque[169], etc.

J’accuse l’ensemble de la classe politique —à de rares exceptions près— de connivence avec les gouvernements en place. Leur silence assourdissant alors que tous les principes démocratiques sont violés quotidiennement démontre leur culpabilité, et signe le pourrissement déjà ancien de nos sociétés où la démocratie est réduite à un simple théâtre avec de l’opposition contrôlée.

J’accuse de collaboration et de trahison tous les minables appartenant à des rouages divers de la société et qui ont tout fait pour imposer le nouvel ordre établi : Ordre des Médecins, Juges autres magistrats, Policiers, Syndicats, etc.

  • Une mention particulière ici au sujet de la lâcheté de l’immense majorité des médecins qui ont servilement accepté les consignes gouvernementales tout en sachant pertinemment leur absurdité. Ils ont ainsi trahi la confiance de leurs patients, tout en se couvrant d’une honte qui sera difficile à effacer.

Tous ces gens, du haut en bas de l’échelle, devront répondre avec leurs maîtres mondialistes des accusations de :

  • Complot mondial et escroquerie en bande organisée
  • Crime contre l’humanité (refus de soins à la population, meurtre des personnes âgées, injection forcée de substances expérimentales en violation du droit international,[170] de la liberté du refus de soin, et de toute éthique[171])
  • Crime contre l’économie (destruction volontaire de pans entiers de l’économie, assujettissement des victimes aux « aides » fournies et chantage au vote —c’est la même relation entre un mari alcoolique violent et son épouse—, pénuries organisées, inflation massive notamment des denrées céréalières[172])
  • Crime contre la société :
    • Ingénierie sociale,
    • Discrimination,[173] qui constitue le premier pas vers l’exclusion puis l’extermination, car il est facile de prévoir que tout sera fait pour faire porter le chapeau aux non-vaccinés —la situation sera bientôt catastrophique selon soit les effets délétères des vaccins soit carrément de par l’émergence de nouveaux variants naturels ou pas. L’Autriche, partie natale d’un artiste peintre tristement célèbre, vient de décider de confiner les non-vaccinés ![174]« La figure du non-vacciné est devenue au fil des mois, à mesure que la politique vaccinale devenait de plus en plus autoritaire, une sorte de citoyen à part, réduit à son statut sérologique et diabolisés en permanence par un pouvoir qui en a fait le bouc émissaire de la crise. » Mathieu Slama
    • Agnotologie (production méthodique de la bêtise, de l’ign
    • orance, du doute et de la désinformation), l’affiche ci-contre illustre bien le propos[175]
    • Destruction systématique de tous les repères —ainsi que l’avait annoncé Soljenitsyne dans son fameux discours de Harvard[176],
    • « Cancel culture » et autres aberrations comme la théorie du genre.

L’issue de la crise passera par une révolution sociétale de fond en comble avec la révision du rôle de l’industrie, notamment dans la médecine, et la remise en cause de la notion d’enrichissement personnel illimité introduit par Voltaire.[177] Rousseau quant à lui avait bien réalisé que :

Jamais dans une monarchie l’opulence d’un particulier ne peut le mettre au-dessus de la volonté du prince. En revanche dans une république elle peut le mettre aisément au-dessus des lois.

Seule l’insurrection populaire permettra de mettre les mondialistes et leurs complices hors d’état de nuire. Ces hyènes agissant dans l’ombre depuis toujours ne sont que des tigres en papier, futurs gibiers de potence et les peuples forcés à l’inoculation de poisons se trouvent désormais en situation de légitime défense. Que la sainte colère des peuples abusés se lève !

« Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. » Ep 6.12

A titre de réflexion songeons que les Français ont décapité un roi innocent et qui ne voulait que le bonheur de son peuple. Que ferons-nous d’un Macron, séide des mondialistes, qui empoisonne délibérément les Français ?

Les derniers mots de Louis XVI sur l’échafaud « Et vous peuple infortuné » résonnent à nos oreilles comme une douloureuse prophétie. Ce sera le titre de notre prochain chapitre.

Il faut détruire le mondialisme ![178]


Notes

  1. David Rockefeller lors de la réunion des Bilderberger, à Baden en Allemagne, en juin 1991. Rockefeller a consacré sa vie au gouvernement mondial unique, c’est-à-dire au Nouvel Ordre Mondial (NWO). Il a fondé la Commission trilatérale et fait partie intégrante du Council on Foreign Relations. 
  2. Pour ceux qui désirent en savoir plus sur le génocide arménien, le site « Imprescriptible » est une référence. 
  3. Pour savoir ce qu’est le sort et la condition du dimmi en terre d’Islam. 
  4. Voir la Déclaration des Droits de l’homme de 1793-ch 35 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ». 
  5. Voir le documentaire Hold-Up de Pierre Barnerias et Philippe Cossé. Mon intervention complète en HD, ici
  6. Voir l’article de notre excellente Nicole Delepine : La peur basée sur une épidémie de rhume. Les colossales erreurs des simulations de N. Ferguson et de l’Institut Pasteur nous l’ont démontré, et il n’y a donc aucune raison objective de craindre l’avenir.Même si le Covid se comportait comme la grippe avec des récidives et un nouveau variant chaque année, il n’y aurait aucune raison d’en avoir peur. Les vaccins font chaque jour preuve de leur insuffisante efficacité, mais les traitements précoces sont efficaces en préventif et en curatif ainsi que l’a prouvé l’Inde.N’ayez plus peur. 
  7. Voir l’article sur le Courrier des Stratèges, et le pdf du rapport ici
  8. De 2003 à 2009, une pandémie a été définie par l’apparition de « plusieurs épidémies simultanées à travers le monde avec un grand nombre de décès et de maladies » ; un changement a été opéré entre le 1er et le 9 mai 2009, faisant disparaître le critère de gravité. Le contenu des pages Internet de l’OMS a été modifié, sans changer la date affichée.Pour sa part, l’OMS affirme que la définition de base de la pandémie n’a jamais changé. Citée par M. Tom Jefferson lors de son audition par la commission des questions sociales, de la santé et de la famille de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe le 29 mars 2010, Mme Nathalie Boudou, porte-parole de l’OMS, a justifié le changement de définition sur le site de l’OMS par la correction d’une « erreur », en affirmant que la définition correcte d’une pandémie devait faire référence à l’apparition de foyers dans au moins deux régions du monde, mais n’avait rien à voir avec la gravité de la maladie ou le nombre de décès. Voir le pdf
  9. La plupart des cas ont réagi favorablement pour amener à une guérison en quelques jours après la prise d’Ammonium Carbonicum, médicament dominant de l’épidémie, déterminé dès avril 2020. Nous comptabilisons avec nos étudiants plus de cent cas traités avec succès, dans n’importe quel stade de l’affection. 
  10. Voir le Figaro
  11. Voir le résultat de la commission sénatoriale. 
  12. Voir la falsification de l’étude, jamais publiée dans les médias standards et bien entendu aucune mesures prises à l’encontre de l’homéopathie n’ont été remises en cause… 
  13. À l’origine de cette étude bidon financée indirectement pas les sociétés-écrans de Bill Gates et un hôpital londonien, il y avait la société Quartz Clinical et sa directrice du marketing et des ventes, une certaine Ariane Anderson. Directrice marketing et des ventes d’une société qui produit une étude mondiale sur les dangers d’un médicament qui a été consommé par des milliards d’individus (il a en été vendu jusqu’à 1 milliard de cachets par an dans le monde), c’est quand même un sacré poste à responsabilité ! La société à l’origine de « l’article » du Lancet, la société de Big Data qui a fourni les « données » d’observation de l’étude… n’existe pas !C’est une société totalement bidon. Elle aurait été créée en 2007 par Sapan Desai, un des auteurs de l’article, et n’a jamais connu la moindre activité, n’a jamais payé d’impôts, aurait été dissoute ou suspendue à plusieurs reprises. Voir l’article de RR.On se dit que cette dame doit être bardée de diplômes et qu’elle doit avoir une expérience professionnelle à faire pâlir le docteur Raoult et les plus grands experts chinois qui ont osé vanter les effets thérapeutiques de ce médicament. On trouvera plein de photos de la dame à divers degrés d’habillement sur Internet. Cependant les « meilleures » ont déjà été retirées du Web… Voir ici
  14. Une étude italienne récemment publiée portant sur 3451 patients hospitalisés a révélé 30% de mortalité en moins, meilleure que celle rapportée pour le remdesivir très coûteux dans les hôpitaux, vanté par Fauci. Une étude italienne antérieure et plus petite a révélé une réduction de 66% des décès chez les patients hospitalisés. Une étude belge portant sur 8 075 patients hospitalisés a révélé une réduction de 65%. De même, une étude récente d’Arabie saoudite a révélé 43% d’hospitalisations en moins et 45% d’admissions en USI en moins. Pour les patients à haut risque des maisons de retraite en Espagne, le HCQ a réduit de moitié le risque d’un mauvais résultat.Une grande étude du système hospitalier Henry Ford a révélé un taux de mortalité pour 2 541 patients de 13,5% pour HCQ seul, 20,1% pour HCQ plus azithromycine et 26,4% pour aucun des deux. 
  15. Une honte de plus pour l’institut Pasteur, qui reste fidèle cependant au modèle de fausse science de son fondateur. L’étude truquée, prépubliée en juin, a été supprimée, d’un coup de baguette magique ! Tout simplement ! Plus besoin de revue par les pairs ! (L’investisseur sans costume l’a cependant soigneusement conservée  pour ceux que ne rebute pas un texte scientifique en anglais.) 
  16. Voir à cet égard le remarquable travail de vulgarisation et de synthèse accompli par Odon Lafontaine au travers du Grand Secret de l’Islam
  17. Voici le résumé par Fuellmich lui-même « Le fait est que les tests PCR comme méthode de mesure des infections ne sont pas seulement une absurdité scientifique, mais a apparemment été programmé intentionnellement de manière à créer le plus grand nombre possible de faux positifs, et donc à semer la panique dans le monde. Cela est prouvé par un article de rétractation rédigé par 22 scientifiques internationaux très respectés, qui demande à l’éditeur de la revue de rétracter immédiatement ces absurdités. Il a été consulté environ 18 millions de fois jusqu’à présent ».« En outre, l’affirmation de Drosten, selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, est également fausse. Parce qu’il n’y a rien de tel, comme l’a récemment prouvé une grande étude de Wuhan, concernant 10 millions de personnes ».« Une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé —n’en déplaise au bon Docteur Knock. Cela signifie qu’aucun de nous ne doit avoir peur des personnes qui ne présentent aucun symptôme et les forcer à porter des masques, ni avoir peur qu’un résultat positif signifie forcément qu’il est infecté. Les images d’horreur des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui réapparaissent maintenant, existent en fait chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale. Elles ne sont utilisées maintenant qu’à dessein, afin d’alimenter davantage la panique. Il n’y a toujours pas de surmortalité en Allemagne. Plus de gens meurent en hiver : c’est tragique, mais c’est malheureusement ‘normal’ ».« Alors, de quoi s’agit-il vraiment s’il n’y a pas de problème de santé qui diffère de la vague de la grippe habituelle ? À cet égard, nous avons pu nous forger une opinion sur la base des auditions qui ont eu lieu, ainsi que des informations complémentaires ». 
  18. Voir ici le pdf officiel de la FDA. On peut lire que « Étant donné qu’aucun isolat quantifié du virus 2019-nCoV n’était disponible pour une utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et où cette étude a été réalisée, les tests conçus pour la détection de l’ARN du 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro (gène N ; accession GenBank : MN908947.2) de titre connu (copies d’ARN/µL) introduit dans un diluant composé d’une suspension de cellules humaines A549 et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique. »Une autre révélation du document est l’admission par la FDA que les résultats des tests sont « regroupés » pour produire des chiffres inexacts. La FDA fabrique littéralement des données dans le cadre du récit de la pandémie, et tout cela est révélé dans le document.Voir aussi l’excellent article de FDA.News : “FDA document admits “covid” PCR test was developed without isolated covid samples for test calibration, effectively admitting it’s testing something else” 
  19. Nicole Delépine signe un nouvel excellent article sur la PCR ici. Elle déclare : « En conclusion, la confirmation que les tests PCR ne sont pas fiables et ne devraient en aucun cas être utilisés par les gouvernements comme preuve de la « pandémie » vient de la FDA elle-même. Il est grand temps que nos dirigeants reviennent aux moyens classiques d’évaluer les épidémies : le comptage des malades et celui des morts de la maladie. » 
  20. Voir l’article ici
  21. Voir l’article de France Soir (l’un des seuls journaux ayant gardé l’éthique du journalisme). Voir sur KLA.TV le dossier Drosten, proprement accablant, puisque ce malfaiteur a même usurpé son titre de médecin, ainsi que l’a révélé Fuellmich. 
  22. Voir dans Times: « Testing firm can profit from sale of Covid swabs”. Il est ainsi possible que l’un des objectifs du test antigéniques soit le fichage généralisé de la population. Les mondialistes ont des dizaines de coups d’avance sur nous. 
  23. France Soir, RT, et Sud Radio, méritent toute notre admiration. Ce sont probablement les seuls médias qui respectent la vocation du journalisme et la charte de Munich qui demande entre autres de recueillir, analyser, vérifier, les informations de toutes origines afin de fournir une information loyale au lecteur. 
  24. En Belgique par exemple, La Libre offrait à ses lecteurs son petit manuel de diagnostic et conduite à tenir devant les vilains complotistes. Tandis que sur Facebook il était impossible de mentionner ne serait-ce que l’adresse www.adrreports.eu, site officiel européen de statistique des décès/var/folders/mr/_9dvc9_x6xgfbhgg6j3hcwk80000gn/T/com.apple.Notes/HardLinkURLTemp/AF2BDCA7-B473-4738-B82D-00C9604CD739/La Libre.png ../../../Desktop/Capture%20d’écran%202021-05-31%20à%2008.23.17.png 
  25. Voir la « Stratégie du choc » de Naomi Klein. Ne pas manquer cette vidéo
  26. « Voix ou pas voix, le peuple peut toujours être amené à se plier aux exigences des dirigeants. C’est facile. Il suffit de leur dire qu’ils sont attaqués et de dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme et pour le risque qu’ils font courir au pays. Cela fonctionne de la même manière dans n’importe quel pays. » Hermann Goering. 
  27. Le 14 octobre dernier, une rencontre avec Barbara Stiegler a été organisée par la librairie Mollat de Bordeaux à l’occasion de la sortie de son livre « Nietzsche et la vie : une nouvelle histoire de la philosophie » paru aux éditions Gallimard. La philosophe a pu présenter son ouvrage, et a livré une analyse très intéressante sur la manière dont le mot « complotisme » est instrumentalisé pour museler les oppositions. 
  28. Les exemples surabondent. Je me contente de citer ici l’article de l’express qui dénigre Mme Wonner, photographiée sous l’angle le moins avantageux possible. C’est un modèle du genre. 
  29. Nous devons ce bon mot à Christian Greiling, le remarquable auteur entre autres du blog les Chroniques du grand jeu
  30. Le Monde se vante d’avoir publié en son temps le manifeste des 343 mais refuse de publier toute tribune de discussion sur la vaccination. Les exemples peuvent se multiplier à l’infini. 
  31. Citons rapidement ici les cuistres comme La tronche en biais, les cercles zététiques. M. Buisseret, mieux que quiconque incarne ce phénomène : aucune formation scientifique, ayant à son actif la réalisation d’un film pitoyable, il est persuadé de devenir l’arbitre des élégances en science. Quelle déchéance ! 
  32. Voir par exemple cet article, pour ceux qui n’ont pas eu la chance de connaître en « live » ces événements en Roumanie. 
  33. « COVID-19 – du mythe aux statistiques », auteur anonyme, 9 février 2021, lien direct, lien archivé. Observons combien de morts en plus nous aurions eu à déplorer de 2015 à 2019 si pendant ces années nous avions souffert de la mortalité de 2020 hors-COVID-19. Le tableau suivant tient compte des décès déclarés « COVID-19 » à l’hôpital et en EHPAD, mais pas à domicile [47–50, 54, 56] :
    annéesurmortalité2015-490362016-331592017-339472018-256932019-1762Les grippes saisonnières ? Disparues ! Des dizaines de milliers de personnes ne seraient pas mortes si de 2015 à 2019 nous avions refusé l’accès des hôpitaux aux personnes âgées, dissuadé les malades de consulter, diminuer significativement la consommation de médicaments et paralysé l’économie pendant des mois. C’est à se demander si les autorités sanitaires n’étaient pas complètement folles de ne pas mettre à la poubelle plus tôt toute l’organisation publique de la santé. Grâce à la COVID-19, la France a connu en 2020 un âge d’or médical parfaitement inconnu avant le 17 mars 2020. Faut-il considérer que la COVID-19, les confinements, les couvre-feu, les abandons de soins, les lits d’hôpitaux supprimés, les médecins maltraités, les populations martyrisées, les enfants traumatisés, les commerçants ruinés et les libertés individuelles annulées on réussi à vaincre le cancer, la grippe, le diabète, l’hypertension, la sclérose en plaques, bref, toutes les maladies à l’exception de la COVID-19 ? Voir l’article complet ici. 
  34. Une étude italienne récemment publiée portant sur 3451 patients hospitalisés a révélé 30% de mortalité en moins, meilleure que celle rapportée pour le remdesivir très coûteux dans les hôpitaux, vanté par Fauci. Une étude italienne antérieure et plus petite a révélé une réduction de 66% des décès chez les patients hospitalisés. Une étude belge portant sur 8 075 patients hospitalisés a révélé une réduction de 65%. De même, une étude récente d’Arabie saoudite a révélé 43% d’hospitalisations en moins et 45% d’admissions en USI en moins. Pour les patients à haut risque des maisons de retraite en Espagne, le HCQ a réduit de moitié le risque d’un mauvais résultat.Une grande étude du système hospitalier Henry Ford a révélé un taux de mortalité pour 2 541 patients de 13,5% pour HCQ seul, 20,1% pour HCQ plus azithromycine et 26,4% pour aucun des deux. 
  35. Voir l’article complet sur le site de l’AIMSIB. En Inde 97% de guérison rapide avec le variant Delta. Chez nous, la permanence Riviera-Chablais, qui traitait les patients Covid avec de l’ivermectine depuis janvier 2021 et jusqu’à la semaine dernière, les bons résultats du traitement vantés sur Facebook ont valu aux responsables de la Providence une convocation face au Comité Médical de l’HRC, composé de tous les médecins chef(fe)s de service, du directeur médical, et du doyen. Résultat : malgré un bilan de 350 à 400 patients guéris jusqu’ici, l’ivermectine est désormais interdite. 
  36. Par exemple les données Sentinelles (711 généralistes et 70 pédiatres libéraux) montrent un taux d’incidence de 24/100.000 en semaine 10 !Le taux d’incidence du SARS-CoV-2 de la 10ème semaine de 2021 est de 24 cas/100.000, et non de 700 (Alpes maritimes) ou 900 (Dunkerque) comme l’affirme le gouvernement pour terroriser tout le monde !La tendance est plutôt stable depuis mi-novembre dans toutes les tranches d’âge, selon ce rapport, ce que l’on appelle des données consolidées depuis 4 mois maintenant.Ce chiffre correspond à 16.177 nouveaux cas pour toute la semaine 10, ce qui représente 2311 par jour dans toute la France et non les 40.000 cas annoncés ! 
  37. Voir l’article remarquable sur le site Anthropologiques. 
  38. Philippe Édouard (Premier ministre), « Décret n° 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire », Journal Officiel de la République Française, lois et décrets, no. 77, texte 11, 33-34 (29 mars 2020), lien sur le site de Légifrance
  39. Jusqu’en novembre 2020, l’OMS admettait que l’immunité peut être procurée par l’infection ou par la vaccination, le 13 novembre 2020, l’OMS affirme que l’immunité collective d’une population ne peut être atteinte que par la vaccination et non par l’infection naturelle ! Ceci est réaffirmé le 31 décembre 2020 pour la Covid-19, tout en reconnaissant qu’on ne connaît pas le seuil de couverture vaccinale à obtenir pour atteindre cette immunité collective !A noter que seule la définition du 31 décembre 2020 est encore accessible, les précédentes sont visibles sur la capture d’écran ci-dessous)../../../Downloads/capture-decran-2021-10-02-a-103329.pngDans une récente publication, l’institut John Hopkins n’évoque que l’immunité vaccinale dans une discussion au sujet de l’hypothétique immunité de groupe à attendre contre la Covid (2).Même le Wall Street Journal, incroyablement pro-vaccins, a récemment publié un article sur ce sujet. Habituellement, le WSJ laisse ses articles sur la page des opinions pendant environ une semaine. Mais en moins de 24 heures, le WSJ a enterré cet article sur l’immunité naturelle. L’article du WSJ traite de l’immunité des muqueuses par rapport à l’immunité interne. L’auteur (un neurologue) affirme que si les vaccins stimulent l’immunité interne, ils ne font rien pour l’immunité des muqueuses. 
  40. L’immunité naturelle est au bas mot 13 fois supérieure à celle supposée du vaccin. « Une nouvelle étude israélienne suggère que l’infection naturelle offre une bien meilleure protection contre la variante delta que les vaccins, et ce après qu’on ait dit aux Américains que les vaccins offraient une meilleure protection que les infections naturelles. Le Dr Anthony Fauci et le reste des conseillers COVID du président Biden ont une fois de plus prouvé qu’ils avaient tort concernant la « science » des vaccins COVID. L’étude a été décrite par Bloomberg comme « la plus grande analyse réelle comparant l’immunité naturelle – acquise lors d’une infection antérieure – à la protection fournie par l’un des vaccins les plus puissants actuellement utilisés. » 
  41. Voir la propagande vomitive qui a été servie sans cesse à tous les peuples par les médias aux ordres. Par exemple en France : « Vers un retour à la normale à l’hiver 2021 ? C’est ce qu’affirme le fabricant de vaccins BioNTech » ; « Covid-19 : à quand, grâce au vaccin, un retour à la vie normale ? » ; « Pour une majorité de la population, le retour à la vie normale passe par la vaccination, dit une étude » ; « Covid-19 – Vers un retour à la normale à l’automne 2021 ‘si on arrive à vacciner 80-90% des Français’, selon le Pr Fontanet » ; « Covid-19 : un an après le confinement, quand espérer un retour à la ‘normale’ ? » ; « « Sans vaccin, pas de retour à la normale dans le sport », prévient Roxana Maracineanu » 
  42. Voir le terrible témoignage de ce directeur de pompes funèbres. 
  43. Ne manquez pas l’étude bidon commanditée par Veran pour confirmer son propre discours. L’étude porte sur 7,2 millions de Français de plus de 75 ans alors que le pays n’en compte que 6,200000. Les vrais journalistes d’investigation de France soir y sont allés de leur côté, ils trouvent une explications au million mystérieux; 1,1M de vaccines auraient été comptés et appariés deux fois. Toutes les hospitalisations Covid n’ont pas été prises en compte. Un total de 26000 hospitalisés depuis le 11 février jusqu’au 20 juillet pour cause de Covid selon l’étude, or au cours de cette même période selon Geodes nous en obtenons huit fois plus pour les catégories concernées : 80% des hospitalisations Covid ont disparu… 
  44. Ainsi Moderna a dissimulé 300.000 effets secondaires graves. Cette fuite provient d’un employé de la société de sous-traitance qui gère les déclarations. 
  45. Lorsqu’une personne décède dans les 60 ou 28 jours suivant un test positif au covid-19 – même si le résultat du test était faux – elle est automatiquement traitée comme un décès dû au covid-19 pour faire grimper les chiffres. Mais lorsque des jeunes gens en bonne santé meurent quelques heures après avoir été vaccinés, ces décès sont considérés comme de simples coïncidences. 
  46. Je renvoie le lecteur au site Sens et Symboles de l’excellent Dr. Olivier Soulier. Je le cite : « Dans chacun de ces pays qui ont vacciné massivement à partir de décembre ou début janvier, on a observé un pic de mortalité jamais atteint auparavant. Au départ, j’avais cru à une simple coïncidence. Mais depuis, cette observation s’est confirmée à peu près partout dans le monde ! On a même vu plusieurs États, comme le Cambodge, qui n’avaient quasiment pas un seul mort de la Covid… jusqu’à ce qu’ils commencent le programme de vaccination de leur population :Le déploiement de la vaccination au Cambodge en février-mars a été suivi d’un pic de mortalité, alors que le pays avait été épargné par la Covid. Le même phénomène a eu lieu à Gibraltar, petit territoire britannique qui a vacciné encore plus massivement qu’Israël : alors qu’il n’y avait eu que 10 décès Covid au total en 2020, Gibraltar a déploré 44 morts Covid en deux semaines, en pleine campagne vaccinale.(À propos de Gibraltar, cela fait plus d’un mois et demi que 100 % de la population est vaccinée avec deux doses, ce dont rêve Emmanuel Macron… et pourtant, il y a là-bas 23 cas en ce moment, soit l’équivalent de 45 000 cas par jour en France !).Au total, il ne fait aucun doute que le vaccin commence par aggraver la situation avant d’avoir [éventuellement—NDLR] un effet positif sur les formes graves. Dans une analyse bénéfice-risque du vaccin, il faut absolument prendre cela en compte !Les calculs d’efficacité du vaccin qu’on vous donne dans les médias sont totalement faussés, parce qu’on ne regarde le risque de contamination qu’après 2 doses ! Or, cela écarte du calcul tous ceux qui ont été contaminés entre la 1ère et la 2ème dose à cause du vaccin ! C’est une raison de plus pour laquelle les « 95 % de protection » qu’on vous rabâche sont purement fictifs, l’efficacité du vaccin est certainement beaucoup plus faible ! 
  47. Les données VAERS publiées aujourd’hui par les CDC font état d’un total de 545 338 signalements d’effets indésirables, tous groupes d’âge confondus, après la vaccination par COVID, dont 12 366 décès et 70 105 lésions graves entre le 14 décembre 2020 et le 30 juillet 2021. Voir ici
  48. Voir la vidéo de la députée. Mathilde Panot massacre la macronie avec élégance, et sans qu’on puisse vraiment lui opposer d’arguments tant la situation est folle. 
  49. Pfizer et BioNTech auraient donc obtenu un contrat commercial faramineusement avantageux pour eux. Le prétexte de la pandémie COVID 19 leur auraient permis d’être dégagé de toute responsabilité et de ne pas indemniser les victimes d’effets indésirables lors de cette phase 3 d’essai clinique en population générale. Les Etats supporteront le coût des indemnisations à moins de réussir à prouver que le laboratoire a commis une faute intentionnelle ou que les produits étaient défectueux. Sur ce dernier point cela sera proche de l’impossible tant les éléments de défense que pourraient évoquer le laboratoire pharmaceutique seront nombreux : rupture de la chaine du froid, erreur lors de la dilution, utilisation de 3 doses alors que le protocole n’en prévoit que 2, mélange entre les vaccins anti covid sur le marché, délai entre les deux doses non respecté… 
  50. La commissaire européenne a touché des millions en pots de vin pour signer les contrats Pfizer. Cela a été étouffé le plus vite possible et seul RT garde un page sur le sujet. Tout ceci est vraiment épouvantable. 
  51. Voir ici la remarquable étude du Stalk Institue. Scientists have known for a while that SARS-CoV-2’s distinctive “spike” proteins help the virus infect its host by latching on to healthy cells. Now, a major new study shows that the virus spike proteins (which behave very differently than those safely encoded by vaccines) also play a key role in the disease itself. The paper, published on April 30, 2021, in Circulation Research, also shows conclusively that COVID-19 is a vascular disease, demonstrating exactly how the SARS-CoV-2 virus damages and attacks the vascular system on a cellular level. The findings help explain COVID-19’s wide variety of seemingly unconnected complications, and could open the door for new research into more effective therapies. “A lot of people think of it as a respiratory disease, but it’s really a vascular disease,” says Assistant Research Professor Uri Manor, who is co-senior author of the study. 
  52. La Spike se retrouve à la surface des cellules endothéliales, ce qui explique sans doute que les effets massifs juste après les injections sont sans doute liés à une effraction vasculaire. De sorte que de très nombreux patients ont des d-dimères positifs : des milliards de capillaires sont affectés et cela génère des caillots. Les tissus cérébraux, spinaux, ou le muscle cardiaque sont directement attaqués. Au niveau pulmonaire on aura bientôt de nombreux cas d’hypertension pulmonaire avec au final défaillance du cœur droit. Voir ici le témoignage d’un médecin français. 
  53. On regardera avec profit le Dr. Hoffe détailler les effets du vaccin que les laboratoires et les gouvernants vont s’échiner à dissimuler. 
  54. Dans cette vidéo, le professeur Sucharit Bhakdi, M.D., et plusieurs de ses collègues ont averti l’Agence européenne dès le début 2021 du danger potentiel de caillots sanguins et de thrombose veineuse cérébrale chez des millions de personnes recevant des injections expérimentales géniques.Dans cet épisode de Perspectives, le professeur Bhakdi explique la science derrière le problème, pourquoi il ne se limite pas aux produits déjà suspendus et pourquoi, à long terme, nous pourrions créer des systèmes immunitaires dangereusement hyperactifs chez des milliards de sujets involontaires). 
  55. Voir le Dr. Fleming sur Rumble. «  » Ajoutez le vaccin Pfizer et les globules rouges perdent leur capacité de transport d’oxygène et les globules rouges commencent à coaguler…. C’est exactement ce que nous constatons dans les rapports du VAERS. C’est exactement ce que nous constatons avec les dommages neurologiques, cardiaques et les caillots sanguins qui se forment dans le corps. C’est la preuve que ces vaccins causent ce type de dommages au microscope, simplement en étant ajoutés au sang d’un être humain… Je pense qu’il est temps que la FDA et le CDC fassent leur travail au lieu de faire semblant. » 
  56. Voir les articles désormais nombreux à la suite de la Quinta Columna qui a découvert le pot aux roses. Voir Graphene-based “neuromodulation” technology is REAL: Press release from INBRAIN Neuroelectronics describes brain controlling biocircuits using AI-powered graphene. Ceux que le sujet du graphene intéresse découvriront que la question n’est pas nouvelle :https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/03602559.2018.1542714?journalCode=lpte21https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0379677914001441https://aip.scitation.org/doi/abs/10.1063/5.0009186https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0008622312000644https://pubs.rsc.org/en/content/articlelanding/2015/ra/c4ra12591f/unauth#!divAbstracthttps://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0272884216301584https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0169433215008193https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0167577X11007531https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0167577X13007933 
  57. Voir cette vidéo de la Quinta Columna par exemple. 
  58. Voir ici le papier du Dr. Zalewski qui ne semble pas être un fumiste. Certains flacons de vaccins ne contiendraient qu’une solution saline, d’autres seraient « chargés ». 
  59. Voir le sort de l’action Cellectis par exemple. 
  60. Voir ici l’intervention du Dr. Peter McCullough. 
  61. Voir sur AIMSIB, la vaccination des sujets contacts, et l’effet Buchwald. Voir aussi l’article suivant : « en matière sanitaire les solutions à l’emporte-pièce brutales, généralisées et intuitives sont rarement génératrices des succès espérés. Nos formidables élites vont-elles se souvenir des erreurs passées ou replongeront-elles dans les mêmes ornières ? » 
  62. Pour rappel ici : ce n’est pas la vaccination qui a permis d’éradiquer la variole mais bien le confinement. Voir le rapport de l’OMS dont je cite maintenant des extraits. La létalité de la terrible maladie ne se compare en rien avec celle du Covid-19 :../../../Desktop/Létalité%20de%20la%20variole,%20rapport%20final%20OMS%20p19.pngLe rapport admet que la « vaccination de masse a échoué » et que c’est la surveillance et endiguement qui a porté ses fruits :../../../Desktop/p32%20nécessité%20de%20l'endiguement.pngComme ici :../../../Desktop/p%2042%20soudan.pngEncore ici, « les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. » ../../../Desktop/p32%20changement%20de%20stratégie.pngNous lisons aussi « A Java, malgré des taux de vaccination dépassant 90%, la transmission se poursuivait dans des zones densément peuplées… jusqu’à ce que des structures efficaces de dépistage des cas et de surveillance soient entièrement mis en place. » 
  63. Voir l’excellent ouvrage du Dr. Eric Ancelet, « Pour en finir avec Pasteur : Un siècle de mystification scientifique. » 
  64. L. Pasteur, Lettre adressée à Pedro II, empereur du Brésil, 22 sept. 1884, Archives Nationales, AB/XIX/3332. 
  65. Le risque de mourir du Covid pour un enfant est proche de zéro. La corruption généralisée vient de donner le feu vert à Pfizer pour injecter les enfants de 5 à 11 ans. On frémit quant à la suite. Nous nageons en plein cauchemar. 
  66. Le parallèle devient de plus en plus frappant avec le recrutement des Jeunesses hitlériennes, ce qui à soi seul nous montre la progression de la dictature. Voici deux gamins montrant fièrement leur point d’injection, heureux de pouvoir protéger les autres !  
  67. Voir l’étude du BMJ ici. Voir aussi l’excellent article de l’AIMSIB sur la vaccination des femmes enceintes. La plupart des essais ont également exclu les volontaires enceintes et allaitantes, ainsi que celles souffrant d’affections chroniques et graves telles que la tuberculose, l’hépatite C, l’auto-immunité, les coagulopathies, le cancer et l’immunosuppression Il n’y a évidemment aucun intérêt à vacciner, mon avis personnel est que cette vaccination doit aussi générer de nombreuses fausses-couches. Notez que les autorités fédérales ont décrété que les femmes enceintes font partie des personnes vulnérable, comme toujours avec du cherry-picking des études. Nous ne sommes plus à une honte près. 
  68. Voir ici la liste des amendes infligées depuis l’an 2000 à ces organisations criminelles. 
  69. La firme pharmaceutique Pfizer a probablement lancé la production de son vaccin anti Covid-19 à ARNm bien avant d’avoir obtenu de la communauté européenne l’aménagement CE2020/1043 s’agissant de la levée de la protection de ses habitants vis à vis des OGM et avant même d’avoir lancé sa phase III d’essais cliniques, persuadée de pouvoir obtenir son autorisation de mise sur le marché partout dans le monde en faisant intervenir l’ancien Directeur Général de la FDA américaine, Scott Gottlieb, qu’elle a recruté depuis peu.La technologie vaccinale employée est embryonnaire sur le plan des connaissances scientifiques et contient de nombreuses incertitudes en termes d’effets secondaires au-delà de 6 mois, tous non étudiés. La mutation naturelle des coronavirus est importante et de nombreux co-variants du SARS-CoV-2 initial circulent déjà sur l’ensemble du globe rendant chimérique l’idée d’un vaccin unique, efficace sur toutes ses formes actuelles ou futures.La responsabilité financière des effets post-vaccinaux graves de ces vaccins a été transférée sans difficulté aux Etats acheteurs, ce qui doit faire craindre une absence totale de prudence comme de transparence de la part de l’ensemble des fabricants qui essayeront de placer leurs produits au plus vite dans cette course au rendement financier, le respect des règles déontologiques de ces firmes étant rappelé comme nul depuis de longue date.De nombreuses voix émanant de la société civile s’élèvent déjà pour inciter à une vaccination ou obligatoire, ou ségrégationniste, reléguant les non-vaccinés Covid au rang de citoyens de seconde zone, sans aucune conscience de la manipulation financière qu’ils installent, aux dépens évidents de la santé humaine et de la paix civile.Les études cliniques parues dans le New England devraient attirer l’attention du lecteur sur un détail très inhabituel : Pfizer aussi bien que Moderna parlent de « observer blind ». Habituellement, on mentionne « double blind », et une recherche sur Google vous convaincra que ce terme est pour ainsi dire absent de la littérature. Voilà qui est étrange.PfizerModernaIci je dois évoquer la réponse embrouillée du Dr. Siegrist à ma question, en tentant de me convaincre qu’il s’agit d’un double —mais dans ce cas pourquoi ne pas l’écrire comme telle ?— tout en me disant qu’on avait levé le secret pour les testeurs. Nous sommes donc priés de croire au double aveugle alors qu’il y a eu « unblinding » ? Pour le Dr. Michel de Lorgeril que je respecte comme l’un de nos plus grands spécialistes en matière de statistiques et d’études cliniques, la réponse est claire : ce n’est pas une étude en double aveugle et dès lors les effets placebo sont majeurs, les deux études, Pfizer et Moderna, profondément biaisées.Peter Doshi, dans un article remarquable et incontournable, évoque ce qui ressemble bien à un joli bidonnage de l’étude de Pfizer, grâce aux données supplémentaires fournies par la firme à la FDA. Bricolage de groupes, exclusions arbitraires, tout fleure bon la fraude.Doshi écrit par exemple :« Toute l’attention s’est concentrée sur les résultats d’efficacité spectaculaires: Pfizer a signalé 170 cas de covid-19 confirmés par PCR, répartis de 8 à 162 entre les groupes vaccin et placebo. Mais ces chiffres étaient éclipsés par une catégorie de maladie appelée «covid-19 suspectée» – ceux avec un covid-19 symptomatique qui n’ont pas été confirmés par PCR. Selon le rapport de la FDA sur le vaccin de Pfizer , il y a eu «3410 cas au total de covid-19 suspectés, mais non confirmés, dans la population globale de l’étude, 1594 dans le groupe vacciné contre 1816 dans le groupe placebo. »« Avec 20 fois plus de cas suspects que de cas confirmés, cette catégorie de maladie ne peut être ignorée simplement parce qu’il n’y avait pas de résultat positif au test PCR. »« Même après élimination des cas survenus dans les 7 jours suivant la vaccination (409 sous vaccin Pfizer vs 287 sous placebo), qui devraient inclure la majorité des symptômes dus à la réactogénicité du vaccin à court terme, l’efficacité du vaccin reste faible: 29% »Que dire de la déclaration de partage de données de Moderna qui indique que les données « peuvent être disponibles sur demande une fois l’essai terminé ». Cela se traduit entre le milieu et la fin de 2022, car un suivi est prévu sur 2 ans ! Les choses ne seront pas différentes pour le vaccin Oxford / AstraZeneca, qui a promis des données au niveau des patients « lorsque l’essai sera terminé ». Et l’entrée ClinicalTrials.gov pour le vaccin russe Spoutnik V indique qu’il n’est pas prévu de partager les données individuelles des participants.Bien d’autres points pourront être soulevés, parmi lesquels le traitement à part des patients HIV. Pour quelle raison ? S’il s’agit de l’immunodépression, je gage que bien d’autres cas existent parmi 40.000 personnes. En outre quelle surprise de ne constater aucun décès parmi tous ces gens exposés au virus… 
  70. Voir l’article de l’AIMSIB qui démonte cette pantalonnade. Cette étude ne montre donc absolument Aucun bénéfice pour empêcher la mort par Covid-19 et encore moins un effet sur la mortalité globale de la part du vaccin Pfizer-BioNTech. Au contraire, le risque d’hospitalisation pour effets secondaires grave est plus que doublé.Dans ces conditions et avec cette étude publiée voici à peine plus d’1 mois, comment peuvent-ils encore affirmer que ces vaccins empêchent de mourir de la maladie, qu’ils sont sûrs et efficaces et surtout qu’il n’y a pas d’effets secondaires graves ou de morts provoqués par ces vaccins ? L’étude de Pfizer dit exactement le contraire.Un produit pareil en temps normal n’aurait JAMAIS été approuvé et/ou aurait été retiré immédiatement avec de telles données à 6 mois. Le bénéfice de ces injections est tout simplement négatif !En langage comptable cela se nomme un DÉFICIT ou une PERTE dont l’ampleur ou l’accumulation peut conduire à un redressement ou à une liquidation…De surcroît, n’oublions pas que ces données sont basées sur la souche initiale de Wuhan plus mortelle que le variant Delta. La balance bénéfice risque est donc encore plus négative aujourd’hui
  71. Une fraude de grande ampleur déjà surnommée le PfizerGate, impliquant la société pharmaceutique Pfizer, son sous-traitant, la société Ventavia Research Group chargée des essais cliniques, et la Food and Drug Aministration (FDA), a été révélée hier par le British Medical Journal
  72. Le Dr. Peter Doshi, l’un des rares scientifiques à se battre pour la vérité déclare au Sénat américain : « Les essais cliniques n’ont pas prouvé que les vaccins géniques sauvent des vies. »Les études, réalisées par la société pharmaceutique elle-même, ont montré des incohérences et des dissimulations de données. Celles-ci laissent apparaître d’une part qu’elles ont été intentionnellement falsifiées pour pouvoir affirmer des résultats probants, d’autre part qu’en réalité, l’efficacité des injections géniques n’a jamais dépassé le seuil des 20 à 30%.Elles n’auraient donc jamais dû être approuvées pour leur mise sur le marché.Vaccin Pfizer : étude bidouillée et conclusions douteuses (article de Jean-Dominique Michel) : cliquer ici.Does the FDA think these data justify the first full approval of a Covid-19 vaccine? (article en anglais de P. Doshi dans le BMJ) : cliquer ici.Pfizer contre Pfizer : la dernière étude est frauduleuse, article sur Covidhub : cliquer ici
  73. Article AIMSIB
  74. Voir ici
  75. Comique, mais pas drôle, citons la mort d’un arrêt cardiaque juste après son injection, du grand acteur indien Vivekh engagé pour faire la promotion de l’inoculation. Il faut admettre aussi que le port du masque en solitaire dans sa voiture nous a révélé un nouvel étalon or de la connerie comme dirait Audiard
  76. La propagande totalitaire devrait tout de même essayer de se renouveler de temps en temps. Comparaison n’est par raison, mais les similitudes sont frappantes. Bon, évidemment notre médecin cantonal on ne l’imagine pas attaquer l’armée de César à lui tout seul et je ne suis pas certain de lire dans ses yeux l’éclat d’une intelligence surhumaine. Mais la même pose que les autres pour nous déclarer —aux antipodes de la science supposée— sa croyance dans la haute efficacité d’un vaccin aux statistiques bidonnées, c’est cocasse et navrant.
  77. Il est intéressant de noter l’évolution des concepts de la propagande sanitaire :je me vaccine pour être sauvé (marketing sanitaire), puisje me vaccine pour pouvoir voyager (marketing pour la liberté), puisje me vaccine pour ne pas tuer mes grand parents ouje me vaccine par solidarité (marketing de la culpabilisation)et maintenant la menace et l’intimidation. Si vous ne vous faites pas vacciner on va vous pourrir la vie.On va aussi faire croire aux vaccinés que tout est de la faute des non vaccinés (voir Veran). Tout est fait pour diviser le peuple en deux alors que toute la situation est due exclusivement à nos gouvernants. 
  78. Voir sur RTL le canular radiophonique qui faisait paniquer l’Amérique. 
  79. Lire absolument l’article complet en anglais sur Counterpunch qui pose dès 2017 la question : pourquoi la propagande officielle ridicule marche quand même ? 
  80. Voir le livre de Bruno Bettleheim, Le Coeur conscient, dans lequel une psychologue allemande décrit comment elle s’était rangée aux côtés des nazis pendant la Deuxième Guerre mondiale. L’obligation de saluer le drapeau nazi chaque matin sans y croire était rapidement devenu trop humiliante pour elle, de sorte qu’elle avait fini par lâcher prise et par le saluer avec le plus grand enthousiasme. Ainsi, pour échapper à la honte de s’abaisser à saluer des idées qu’elle méprisait, elle était devenue une nazie loyale. 
  81. Depuis la peste de Marseille en 1720, on sait parfaitement que le confinement des gens sains est parfaitement contre-indiqué. Par ailleurs, seul le confinement des personnes malades a permis d’éradiquer la variole, non pas la vaccination comme aiment encore à le dire de nombreux « spécialistes ». 
  82. Jingyi Xiao et autres (2020) « Mesures non pharmaceutiques en cas de pandémie de grippe dans des contextes autres que ceux des soins de santé – Mesures de protection personnelle et environnementale » : « Bien que des études mécanistes confirment l’effet potentiel de l’hygiène des mains ou des masques faciaux, les résultats de 14 essais contrôlés randomisés de ces mesures n’ont pas permis de conclure à un effet substantiel sur la transmission de la grippe confirmée en laboratoire. De même, nous avons trouvé des preuves limitées de l’efficacité d’une meilleure hygiène et d’un meilleur nettoyage de l’environnement ». 
  83. Denis G. Rancourt (2020) : « Les masques ne marchent pas : un examen de la science en rapport avec la politique sociale autour de la COVID-19 ». 
  84. Wittoria Offeddu et autres (2017) « Efficacité des masques et des respirateurs contre les infections respiratoires chez les travailleurs de la santé : Un examen systématique et méta-analyse « : « La preuve d’un effet protecteur des masques ou des respirateurs contre une infection respiratoire vérifiée (IRM) n’était pas statistiquement significative ». 
  85. Faisal Bin-Reza et autres (2011) « L’utilisation de masques et de respirateurs pour prévenir la transmission de la grippe : une revue systématique des preuves scientifiques – Grippe et autres virus respiratoires » : « Une revue systématique a été entreprise pour aider à éclairer les directives sur la grippe pandémique au Royaume-Uni. La revue initiale a été réalisée en novembre 2009 et mise à jour en juin 2010 et janvier 2011. Les critères d’inclusion comprenaient des essais contrôlés randomisés et des études quasi expérimentales et observationnelles sur des humains et publiées en anglais avec un résultat de grippe confirmée en laboratoire ou cliniquement diagnostiquée et d’autres études sur les infections respiratoires virales. Il y avait 17 études éligibles. Six des huit essais contrôlés randomisés n’ont trouvé aucune différence significative entre les groupes témoin et d’intervention (masques avec ou sans hygiène des mains ; respirateurs N95 / P2) (…) Aucune des études n’a établi de relation concluante entre l’utilisation d’un masque / respirateur et la protection contre l’infection grippale (…) ». 
  86. B. J. Cowling et autres (2010) « Masques faciaux pour prévenir la transmission du virus de la grippe : une étude systématique » : « Aucune des études examinées n’a démontré un bénéfice du port d’un masque, que ce soit dans le cadre du travail de santé ou dans la communauté membres des ménages (H). Voir les tableaux récapitulatifs 1 et 2 ». 
  87. Joshua L. Jacobs et autres (2009) « Utilisation de masques chirurgicaux pour réduire l’incidence du rhume chez les professionnels de la santé (HCW) au Japon : Un essai contrôlé randomisé » : « Les travailleurs de la santé masqués N95 étaient significativement plus susceptibles d’avoir des maux de tête. Il n’a pas été démontré que l’utilisation de masques faciaux chez les HCW présentait des avantages en termes de symptômes du rhume ou de prise de froid » 
  88. Les gels hydroalcooliques contiennent des perturbateurs endocriniens. Voir ici
  89. Voir le MIT mais aussi de nombreux articles dans Children Health Defense
  90. Voir Post-lockdown SARS-CoV-2 nucleic acid screening in nearly ten million residents of Wuhan, China. 
  91. Voir Le messie et son prophète, vol II, p70 par E. M. Gallez. « Pour les femmes, les conséquences sont en tout cas funestes ; en bien des lieux où la Charia {saritah) ou loi islamique est imposée, il devient dangereux d’avoir été violée, ou d’être enceinte sans être mariée, ou même simplement d’être non mariée. 
  92. Voir notamment – Aurélie Haroche. Quand les politiques confondent modélisations mathématiques et astrologie. JIM (Journal International de Médecine). 25 Avril 2020.- Jean-François Toussaint, Andy Marc. Sortir d’un confinement aveugle. La Recherche. 22 Avril 2020.- Tom Jefferson and Carl Heneghan. Modelling the models. CEBM (Centre for Evidence-Based Medicine). 3 Avril 2020. 
  93. Voir l’article complet en anglais
  94. Gates a patiemment infiltré la presse mondiale depuis des années. « Mais elle introduit un conflit d’intérêts flagrant, dans la mesure où les institutions mêmes sur lesquelles nous comptons pour demander des comptes à l’un des hommes les plus riches et les plus puissants de l’histoire de la planète sont discrètement financées par lui. Ce conflit d’intérêts est celui que les médias institutionnels ont largement tenté d’ignorer, tandis que le philanthrope prétendument altruiste qu’est Gates continue de s’enrichir, en riant aux éclats. »Voir la liste non exhaustive des médias arrosés par Gates ici, ainsi qu’un très intéressant développement sur le philathro-capitalisme. 
  95. Le vacciné participe sans son consentement à une gigantesque expérimentation médicale. Nous sommes donc pleinement en contradiction avec la loi. N’est-il pas fascinant que dans un bel unisson toute la classe politique confondue et toutes les rédactions de presse foulent au pied la Convention d’Oviedo que la Suisse a ratifié en 2008 et la France en 2012, dans le but d’encenser un produit qui n’a même pas encore reçu d’autorisation de mise sur le marché ? Pourquoi avoir pendu des nazis à Nuremberg pour en arriver là ? La situation s’est encore aggravée depuis que j’écris ces lignes car nous n’en sommes plus au consentement non éclairé mais à la coercition vaccinale, ce qui permettra d’ôter toute circonstance atténuante quand ces bureaucrates comparaîtront devant la cour martiale internationale. 
  96. Seul Bruno Riondel a dressé une analyse saisissante et percutante de la situation dans son intervention « D’octobre 17 au grand reset ». 
  97. Pour vous donner une idée du flicage déjà en place, regardez ce que votre IPhone enregistre à votre insu comme données sur vous. : 
  98. Sauf si l’on exclut la Suède, et quelques autres pays comme la Tanzanie —dont le président John Magufuli, n’a pas voulu reconnaître la pandémie, a demandé aux médias de ne pas parler de l’infection, mais qui est décédé dans des conditions étranges non sans avoir montré en Mai 2020 la fraude des tests PCR positifs de manière aussi drôle que concluante avec des échantillons de Durian et autres fruits ou animaux (chèvres et caille) ! 
  99. https://www.who.int/bulletin/online_first/BLT.20.265892.pdf. Lire aussi dans IL FOGLIO du 4 Mai 2020 au sujet de Ioannidis : « Ioannidis est bien connu pour avoir écrit peut-être l’article scientifique le plus lu de l’histoire de la biomédecine, qui s’intitule Pourquoi la plupart des résultats produits par la recherche sont faux. La thèse était que la plupart des études menées dans le domaine biomédical ne sont pas reproductibles. Non seulement ou pas tant en raison du fait que de nombreuses expériences sont mal conçues – Ionannidis le reconnaît et stigmatise la négligence et l’angoisse de publier des données – mais parce que la variabilité causale inhérente aux phénomènes étudiés rend certains résultats faux. Il s’agit d’un concept quelque peu sophistiqué pour une communauté scientifique cherchant à appliquer des modèles mécanistes aux phénomènes darwiniens » Ah ! qu’en termes galants ces choses-là sont mises (Le Misanthrope, I, 2, 314). 
  100. Le Dr. Richard Horton, éditeur en chef de la prestigieuse revue « The Lancet » déclare: « Les accusations contre la science sont simples : une grande partie de la littérature scientifique, peut-être la moitié, est tout simplement fausse … la science a pris un virage vers l’obscurité. »Le Dr. Marcia Angell enfonce le clou : « Il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie de la recherche clinique publiée … Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion, que j’ai atteinte lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies en tant que rédactrice en chef du New England Journal of Medicine ».Qu’en est-il d’une « vérité scientifique » réduite à la statistique dans un champ aussi complexe que la « Médecine » ? 
  101. Ce remarquable article de l’équipe Kennedy nous donne une idée précise du panier de crabes en action. Plus de 50 millions d’Américains ont perdu leur emploi à l’automne 20 tandis que la fortune des milliardaires a augmenté de mille milliards de dollars soit 40 milliards par semaine en moyenne. 
  102. Voir son intervention devant la haute autorité Rabbinique d’Israël, ainsi que sa récente interview de cet homme admirable qui n’a de compte à rendre qu’à Dieu. Il a probablement soigné à lui seul plus de cas de Covid que n’importe quel autre et dénonce le mise en route d’un génocide planétaire. 
  103. Voir l’interview du Dr . Bhakdi. 
  104. Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer dont il fut scientifique en chef pour les allergies et les voies respiratoires, a passé 32 ans dans l’industrie à diriger la recherche sur les nouveaux médicaments et a pris sa retraite du géant pharmaceutique avec «le poste de recherche le plus élevé» en son domaine. Il dénonce la propagande des gouvernements au sujet du COVID-19, y compris le «mensonge» de variants dangereux, l’aspect totalitaire des «passeports vaccinaux» et la forte possibilité que nous ayons affaire à une «conspiration» qui pourrait conduire à quelque chose de bien pire que les guerres et les massacres du 20e siècle. 
  105. Le CSAPE (Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens) a déposé en date du 28 juin dernier devant la CPI une plainte pénale avec demande d’ouverture d’enquête pour crime contre l’humanité, atteinte à la dignité humaine, servitude et génocide, sous le numéro OTP-CR-271/21visant le président Emmanuel Macron, le gouvernement et les haut-fonctionnaires impliqués dans la gestion criminelle de l’épidémie de Covid. 
  106. La plainte déposée début Mars 2021 devant le TPI a été reçue. L’organisation People of Truth a déposé une plainte contre le gouvernement israélien, qui mène des expériences illégales sur des citoyens israéliens au travers de la vaccination Pfizer. L’avocate Ruth Makhachovsky a déclaré à Israel News : « L’expérience que Pfizer mène dans l’Etat d’Israël a été menée en violation du Code de Nuremberg, qui appartient au droit pénal international et est sous la juridiction du tribunal de La Haye. Nous attendons maintenant une décision. » Lien vers les observations du Conseil européen. 
  107. Voir ici l’article de Nicole Delépine, « Un jour viendra où les négationnistes des traitements précoces devront rendre des comptes. En Inde, une représentante de l’OMS est mise en accusation. » 
  108. Alexis de Tocqueville (1835), De la démocratie en Amérique I (deuxième partie), chapitre X. 
  109. Les intrications sont probablement plus complexes encore que les liens féodaux du Moyen-Age, j’ai voulu simplifier ici en ne citant que les plus grands noms.La famille Wallenberg par exemple détient des parts de Astra-Zeneca par intermédiaire de sa très puissante société d’investissements Investor AB. Mais il y a aussi des miracles … il faut suivre le parcours exceptionnel d’un des membres de la famille, Raoul Wallemberg qui sauva la vie de plusieurs milliers de juifs pendant la guerre.Pour le lien entre l’agriculture et big-pharma, on peut simplement remonter à Elf-Aquitaine (qui sera absorbé par le groupe Total) et à la création de Sanofi … le lien est direct. Il est tout aussi direct avec le monde du luxe : famille Bettencourt (avec André Bettencourt en leader cagoulard et collaborateur) et la famille Arnault (avec là aussi le père et le beau-fils, Xavier Niel, qui s’occupe d’agriculture depuis peu de temps).Nous sommes ici très près des fabricants d’armes Lagardère et Dassault.On se souviendra alors de l’affaire Elf et de ce personnage extrêmement trouble qui a rôdé dans les souterrains du pouvoir à partir des années 30 : Etienne Léandri … collaborateur, agent de la mafia sicilienne en France, donc lié à la CIA, « parrain protecteur » de Charles Pasqua et grand stratège de la « France Afrique » …Quand on est sur les traces de Léandri, on remonte assez vite à Georges Alberini, collaborateur lui aussi et parrain du patronat français. Conseiller de l’ombre de Georges Pompidou … duquel sera proche Jacques Chirac.Pompidou, agent Rothschild (dont Vincent Bolloré, qui rachètera la banque Worms, protectrice d’Albertini après-guerre, est l’un des membres par sa grand-mère), qui organisera la réforme financière qui donnera naissance à la dette d’état.Dans cette réforme financière, seront sans doute associés Michel Cicurel (frère de Ilana Cicurel, cousine de Tristan Mendès-France qui ont tant critiqué le film Hold Up à sa sortie) et un certain Jean-René Bernard, banquier condamné, dont la fille est Présidente, nommée par Emmanuel Macron, de la CNIL et le beau-fils, le président très controversé de la 7ème banque française (qui détient la cagnotte Leetchi), sommé très récemment de démissionner sous la pression, mais remplacé par un certain Julien Carmona, copain de promotion d’Edouard Philippe. Julien Carmona dont le père n’était autre que l’un des derniers confidents de …. Etienne Léandri …Dont l’un des proches était Achille Peretti, beau-père de … Nicolas Sarkozy, bien entendu, dont le nom est apparu, rapidement, dans l’affaire de drogue « Air Cocaïne » … mais ceci est une autre histoire, même si le trafic de drogue est complètement lié à big-pharma et aux découvertes des chercheurs allemands de chez Bayer. La morphine sera diffusée en masse pendant la première guerre mondiale, au moment où on constatera l’efficacité des nitrates chimiques sur la pousse de l’herbe rendue plus haute et plus verte dans les champs de bataille de Verdun… 
  110. Macron ou Trudeau constituent à cet égard des exemples typiques de psychopathie avec leurs belles gueules. Ils sont si pervers que même les employer à jardiner ne serait pas sans danger… Voyez l’analyse remarquable de Macron par un grand professeur de psychiatrie italien. 
  111. Le divorce du couple Melinda et Bill repose non seulement sur son infidélité débridée mais probablement aussi dans la relation de Bill avec le sinistre Epstein « suicidé » dans sa cellule.Dans la biographie de 1997 Overdrive : Bill Gates et la course pour contrôler le cyberespace, le biographe James Wallace a déclaré que le style de vie extravagant de Bill Gates était connu de la plupart des gens, mais que la presse grand public avait décidé de ne pas y faire allusion. Le “mythe” Gates ne pouvait pas être touché. Le fondateur de Microsoft, en effet, aurait payé à l’époque des danseurs pour nager nus avec ses invités dans sa piscine couverte. Rien de nouveau, pour ceux qui le connaissaient vraiment : à Harvard, le magnat était « habitué à fréquenter la Combat Zone à Boston, avec ses shows pornos, ses prostituées et ses clubs avec des strip-teaseuses ». Un style de vie de rock star qu’il a ensuite maintenu, précise Wallace, même dans les premières années avec Melinda.En 2013 Epstein et Gates visitent Strasbourg pour avoir une vue complète de l’organisation de la santé en Europe. A cette époque ce dernier n’est que le PDG de Microsoft. Il en profite pour aller en Norvège afin de tenter de corrompre le jury prix Nobel pour se faire décerner le prix Nobel de la paix. Epstein était son pass car il a piégé de nombreuses têtes couronnées — il fournissait par exemple le Prince Andrew en filles. 
  112. Voir La Guerre des Monnaies classique devenu le livre de chevet des membres du Comité Central du Parti Communiste et des banquiers chinois. Le best-seller chinois de Hongbing Song, déroule l’histoire de la grande cabale monétaire qui a façonné le monde depuis plus de deux cents ans, de la constitution de la dynastie des Rothschild la fin du 18ème siècle jusqu’à la crise de 2008. 
  113. Le premier à se faire berner par les financiers Rothschild fut le roi d’Angleterre. Nathan est aussi à cet égard le pionnier de l’utilisation de la panique et de la fausse nouvelle : ayant appris la nouvelle de la défaite française de Waterloo 24 heures avant tout le monde, il s’installe à la Bourse, appuyé sur « son pilier » favori et commence à vendre. Tout le monde se dit que Rothschild « sait quelque chose », chacun se met à liquider ses positions. A la fin de la journée, Nathan rachète l’ensemble de la Bourse pour 5% de sa valeur. Bonaparte à peine élu Premier Consul crée la Banque dite de France, une institution privée, au même titre par exemple que la Fed américaine. Ce sont ces banquiers suisses dépendant aussi des Rothschild qui feront et déferont le Premier Empire dès que l’Empereur ne servira plus assez leurs intérêts. 
  114. L’ouvrage indispensable est Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine, de Quigley. L’auteur développe et explique à partir d’abondantes pièces d’archives que les élites anglo-saxonnes ont élaborées, dans la deuxième moitié du XIXe siècle, un véritable plan de bataille afin de permettre à l’Empire britannique associé aux États-Unis d’asseoir une hégémonie complète sur le monde. Cette volonté de puissance et de domination a été l’œuvre d’une poignée d’hommes liés intimement à la haute finance de la City et de Wall Street. Tout un groupe, issu de la haute aristocratie et bourgeoisie britannique en liaison avec une élite américaine, émerge. Fort d’un travail de bénédictin, Carroll Quigley recense les noms et expose les ambitions de cette « super classe « ou « famille technocratique » avant l’heure définie par des liens sociaux et familiaux étroits.Si vous n’avez jamais entendu parler du Groupe Milner (que se muera plus tard en d’autres associations comme Bilderberg), et si les noms de Sazonov, ou Izvolsky, vous sont étrangers alors vous devez lire aussi Docherty et McGregor, qui ont montré —à la suite de Quigley— les ressorts secrets de la Première Guerre mondiale dans Les origines secrètes de la première guerre mondiale. Leurs travaux sont largement confortés par McMeekin dans son fameux Russian Origins of the First World War
  115. Je renvoie le lecteur aux principaux ouvrages de Bruno Riondel touchant au communisme. Son classique L’effroyable vérité montre les horreurs de la mise en place du système et de l’ingénierie sociale, et démontre que le communisme n’est pas mort et qu’il présente des liens profonds avec le capitalisme. Une excellente conférence, censurée par YouTube se trouve ici
  116. Conclusions du Conseil européen sur la COVID-19, l’énergie, le commerce et les relations extérieures, 21 octobre 2021 :“accroître encore les taux de vaccination”“vaincre la méfiance en luttant contre la désinformation sur les réseaux sociaux”“coordination pour faciliter la libre circulation” (ce qui signifie passe sanitaire en langage diplomatique)“mesures législatives relatives à l’union de la sant锓accès aux médicaments dans tous les Etats membres”“accès aux vaccins pour tous”“rôle fort et central de l’OMS dans la future gouvernance mondiale de la sant锓traité international sur les pandémies”Dans son excellent article du Courrier des stratèges, Éric Verhaeghe de conclure : « Cette énumération permet de vérifier à quel point les gouvernements européens sont ligués autour d’un “mainstream” commun en matière de pandémie, avec des éléments de langage qui reviennent sans cesse à tous les étages de la fusée multilatérale.On retiendra du conseil européen qu’il vise aussi à préparer la réunion du G20 où la question de la pandémie sera évoquée. Nous baignons ici dans les eaux du multilatéralisme le plus pur. On découvre que les dirigeants européens parlent de préparer la “future gouvernance mondiale de la santé” avec l’OMS. On n’avait pas clairement entendu parler de ce projet entre nous, et on le découvre un peu sans qu’il n’ait été discuté par personne. Au fond, c’est en lisant les conclusions des Conseils européens qu’on comprend ce qui se trame en sous-main dans les arcanes du monde multilatéral. L’idée dominante est de transformer l’Organisation Mondiale de la Santé en structure de gouvernance mondiale pour les pandémies. C’est donc l’OMS qui déciderait de tout : des vaccins, des traitements, des mesures d’urgence.Pareil transfert de souveraineté n’est évidemment ni expliqué aux peuples de l’Union, ni discuté avec eux. La décision est prise et il n’y a plus qu’à l’appliquer. La pandémie aura donc aussi servi à déposséder les peuples de leurs droits et à favoriser l’avènement d’une caste multilatérale toute-puissante. » 
  117. Voir Théorie et pratique du collectivisme oligarchique de J.B.E. Goldstein. Quels que soient l’origine sulfureuse de l’ouvrage, supposément daté de 1948, ou ses liens avec le fameux 1984 d’Orwell (Eric Arthur Blair de son vrai nom), le texte nous éclaire sur la pensée mondialiste et ses ressorts : le rôle du secret, des alcôves de la République et des sociétés secrètes, sur cette aristocratie cachée qui a coupé la tête du roi pour recréer sa propre aristocratie obscure et avilie, et qui lutte contre le catholicisme pour recréer sa propre religion syncrétique et anti-catholique. On trouvera dans un site qui met Karl Polanyi à l’honneur —l’auteur de la Grande Transformation— un article intéressant sur le supposé Goldstein. 
  118. Nous reviendrons plus loin sur le sinistre personnage de Jacques Attali, grand-prêtre des mondialistes depuis toujours, et qui est aussi celui qui a fait la fabrication et la promotion de Macron. Citons ici son article de 2009 « Avancer par peur » : Une pandémie majeure ferait surgir la prise de conscience de la nécessité d’un altruisme, au moins intéressé. Admirons au passage le sublime oxymore de l’altruisme intéressé, et Jérusalem comme future capitale du nouvel ordre mondial. 
  119. Je fais allusion ici à l’ouvrage de Claire Séverac: La guerre secrète contre les peuples, un essai parfaitement documenté sur des faits sciemment négligés voire rejetés par nos médias tous dans la main de cette caste omnipotente. Le lecteur ne trouvera que des faits avérés, difficilement contestables et patiemment compilés par Claire Séverac qui, sans doute, paya de sa vie son honnêteté et son intégrité. Ce livre est une somme et même un ouvrage de référence sur ce sujet sensible. Et les derniers développements de cette course folle et mortifère vers ce « nouvel ordre mondial «, comme ils l’appellent pour ne pas dire « dictature globale «, ne font que confirmer ses dires. C’est un réquisitoire en règle. Tout y passe depuis le programme « HAARP « qui consiste à bombarder l’ionosphère d’ondes à très hautes fréquences pour déclencher artificiellement tempêtes, tremblements de terre, voire tsunamis, jusqu’aux OGM en passant par les nanotechnologies, la bio-ingénierie, le transhumanisme, sans oublier toutes les arnaques comme le prétexte climatique ou sanitaire avec les campagnes de vaccination de Bill Gates dans le Tiers-Monde cause de stérilité des femmes ou de maladies bien plus graves. 
  120. Voir l’article du Courrier des stratègesPremière certitude : l’épidémie de covid-19 a commencé à Wuhan bien avant décembre 2019. Des photos américaines prises par satellite ont repéré deux fois plus de voitures que d’ordinaire sur les parkings des principaux hôpitaux de Wuhan dès le mois d’août 2019.Deuxième certitude : le gouvernement chinois, avec les réflexes typiques d’un régime communiste, a dissimulé le plus longtemps possible l’existence de l’épidémie et n’en a parlé au monde que contraint et forcé, en janvier 2020 quand elle n’était plus possible à dissimuler.Troisième certitude : Le Dr. Anthony Fauci a tout fait pour empêcher Donald Trump de remonter la piste d’un accident de laboratoire au P4 de Wuhan car il avait, directement ou indirectement, autorisé des financements à destination du laboratoire de Wuhan.  Les révélations se sont multipliées à cet égard ces dernières semaines. En bref, les recherches dites de “gain de fonction”, consistant à transformer le génome de virus pour le rendre plus dangereux pour l’homme a été interdite aux Etats-Unis entre 2013 et 2017. Des chercheurs américains ont pu néanmoins continuer à faire de telles recherches au laboratoire de Wuhan avec, entre autres ressources, de l’argent du Pentagone transféré par une ONG appelée EcoHealth Alliance.  Le 20 juillet 2021, Anthony Fauci avait encore nié  l’existence de ce type de recherches mais un réseau de chercheurs appelé DRASTIC (Decentralized Radical Autonomous Search Team Investigating COVID-19) ne cesse d’amener des preuves du contraire.Quatrième certitude: la thèse de la transmission naturelle du virus à l’homme a de moins en moins de partisans. La thèse d’un accident de laboratoire devient majoritaire, d’autant plus que tout le monde s’accorde à dire que les Chinois ont mené avec un niveau de sécurité 2, à Wuhan, des recherches qui demandaient un niveau de sécurité 4.Cinquième certitude: l’Armée chinoise se serait bien passée de la publicité faite au laboratoire de Wuhan puisqu’elle y menait, en lien avec la recherche civile, une recherche sur les armes biologiques du futur. 
  121. L’article très raisonné et persuasif, du journaliste Nicholas Wade a marqué la prise de conscience de la manipulation virale. Bien que l’auteur ait passé plus de quatre décennies comme grand reporter scientifique au New York Times et dans d’autres grands médias, son travail a été discrètement publié le 2 mai sur le site de blogs Medium, sans aucun soutien ni imprimatur prestigieux, puis republié le 5 mai par le site à faible trafic du Bulletin of Atomic Scientists. On pourra aussi lire L’origine du Covid: retournement orwellien et pétard mouillé
  122. Des virologues affirment que des “empreintes” génétiques prouvent que le COVID-19 est d’origine humaine et qu’il n’a pas d’ancêtre naturel crédible. Bref résumé : l’étude suggère que des scientifiques chinois ont créé le virus alors qu’ils travaillaient sur un projet de gain de fonction dans un laboratoire de Wuhan.La recherche sur le gain de fonction, qui a été temporairement interdite aux États-Unis, consiste à modifier des virus naturels pour les rendre plus infectieux afin d’étudier leurs effets potentiels sur l’homme.Selon l’article, les scientifiques chinois ont pris la « colonne vertébrale » d’un coronavirus naturel trouvé chez les chauves-souris des grottes chinoises et y ont ajouté une nouvelle « pointe », le transformant en COVID-19, un virus mortel et hautement transmissible.Les chercheurs, qui ont conclu que le COVID-19 « n’a pas d’ancêtre naturel crédible », pensent également que les scientifiques ont procédé à une rétro-ingénierie des versions du virus pour brouiller les pistes.« Nous pensons que des virus de rétro-ingénierie ont été créés », a déclaré Dalgleish au DailyMail.com. Ils ont modifié le virus, puis ont essayé de faire croire qu’il était dans une séquence il y a des années ».L’étude fait également état de « destruction, dissimulation ou contamination délibérée de données » dans les laboratoires chinois et note que « les scientifiques qui souhaitaient partager leurs découvertes n’ont pas pu le faire ou ont disparu ».Jusqu’à récemment, la plupart des experts ont fermement nié que les origines du virus étaient autre chose qu’une infection naturelle passant des animaux aux humains.En début de semaine, le Dr Anthony Fauci a défendu le financement américain de l’Institut de virologie de Wuhan, affirmant que la subvention de 600 000 dollars n’avait pas été approuvée pour la recherche sur le Gain de Fonction. 
  123. Voir Covid-19 : l’origine du virus – L’analyse du Pr Tritto confirme celle du Pr Montagnier. Un livre polémique vient de sortir en Italie sur les origines de ce virus qui a bouleversé le monde au cours des six derniers mois. Le professeur Luc Montagnier, décrié dans les médias en avril dernier, voit son affirmation selon laquelle le virus était le résultat d’une manipulation humaine s’étant échappé (accidentellement) du laboratoire de Wuhan, aujourd’hui reprise dans ce livre.  Nous retraçons les évènements et les extraits d’une interview de l’auteur du livre, le Pr Tritto, dans le média italien Libero.Le 17 avril 2020, sur Cnews, le professeur Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine en 2008 pour sa participation à la découverte du virus responsable du sida, confirmait sa déclaration que le SARS-CoV-2 est une fabrication humaine. « Nous en sommes arrivés à la conclusion qu’il y a eu une manipulation sur ce virus. Une partie, je ne dis pas le total. Il y a un modèle qui est le virus classique, mais auquel on a ajouté par-dessus des séquences du VIH » « Ce n’est pas naturel, c’est un travail de professionnel, de biologiste moléculaire, d’horloger des séquences. Dans quel but ? Une de mes hypothèses est qu’ils ont voulu faire un vaccin contre le sida »Le Pr. Montagnier fait sa démonstration le 30 Juillet 2020 dans un article paru sous contrôle de pairs, et qui ne sera jamais cité dans les autres revues —autocensure et omerta— ni les merdias. En résumé : « L’analogie suivante permet d’illustrer cette conclusion : imaginons un puzzle principal « coronavirus » de 30 000 pièces et après plusieurs autres puzzles de 9000 pièces chacun que nous appellerons VIH 1, VIH 2 et SIV (rétrovirus proche du VIH-2 dont la cible est le singe). La preuve mathématique démontrée, peut être illustrée de la manière suivante : dans le puzzle de 30 000 pièces, à un endroit précis se trouvent trois pièces contiguës (côte à côte) issues chacune de l’un des trois autres puzzles. La probabilité que ce résultat soit naturel est nulle. » 
  124. Un ancien communiste chinois, Wei Jingsheng affirme que le SARS-Cov2 a été inoculé volontairement lors des Jeux Militaires Internationaux qui ont eu lieu à Wuhan en octobre 2019. Dans le documentaire de Sky News intitulé « What Really Happened in Wuhan », l’ancien communiste chinois a déclaré que le gouvernement de Pékin aurait profité des Jeux mondiaux militaires pour répandre le virus.Cet événement a réuni 9.000 athlètes en provenance de différents pays du monde en octobre 2019, soit deux mois avant la déclaration officielle de l’existence du virus. Par ailleurs, cette rencontre sportive s’est tenue dans la ville de Wuhan, le premier foyer de l’épidémie.A l’époque, toujours selon M Jingsheng, les participants à l’évènement, notamment les athlètes allemands, français et américains, ont été atteints d’une maladie mystérieuse. Ils présentaient les symptômes du Covid-19 mais n’ont jamais fait l’objet d’un test. Voir aussi l’article de Mail Online
  125. Voir l’incontournable article de Eric Verhaeghe. « Dans ce troisième volet de l’enquête, nous allons voir comment l’Occident, Etats-Unis et France en tête, portent une lourde responsabilité dans l’émergence du COVID-19. Cela ne dédouane en rien la Chine communiste de sa responsabilité première et principale dans les origines et la diffusion de la pandémie. Cependant, c’est bien la recherche occidentale qui a permis à la chercheuse Shi Zhengli, de Wuhan, de devenir le Frankenstein de cette histoire, à qui sa créature monstrueuse a échappé. » 
  126. Ces machinations furent dénoncées en France par le Pr. Fourtillan qui s’est retrouvé emprisonné arbitrairement, hospitalisé de force en hôpital psychiatrique —les vieilles recettes soviétiques fonctionnent toujours. Voir sur Qactus. Le Pr. Montagnier a aussi été l’un des premiers à monter l’origine artificielle du virus avant d’être enseveli sous des torrents de calomnies de la part des merdias officiels, ses vidéos effacées de tous les supports comme Facebook. 
  127. Voir https://denisbider.blogspot.com/2021/07/dr-david-martin-with-reiner-fuellmich.htmlLes découvertes fondamentales réalisées par le Dr. David Martin au sein de son entreprise M-CAM. L’interview par Robert Füllmich montre que plus de 4000 brevets ont été déposés sur le Coronavirus et le SARS. Martin a comparé les enregistrements de brevets disponibles au printemps 2020 avec la séquence de gènes isolée en tant que nouveau virus défini comme tel par le Comité international sur la taxonomie des virus de l’OMS. Son équipe a ainsi trouvé plus de 120 éléments de preuve brevetées qui suggèrent qu’il ne s’agit en rien d’un nouveau coronavirus mais au contraire d’innombrables modifications très subtiles des séquences de coronavirus. Il n’y a donc pas en tant que tel de nouveau coronavirus identifié.../../../Downloads/david%20martin.png Le premier vaccin jamais breveté contre le coronavirus a été déposé par Pfizer et comprenait spécifiquement la protéine Spike « S » – cette même protéine qui aurait été inventée à la hâte. La première demande a été soumise le 28 janvier 2000.L’idée que l’on soit mystérieusement tombés sur le moyen de trouver si rapidement des vaccins n’est pas seulement ridicule, elle est carrément inconcevable. Le 28 janvier 2000, Timothy Miller, Sharon Klepfer, Albert Paul Reed et Elaine Jones ont déposé ce qui a finalement été publié sous le nom de brevet américain 6372224, à savoir le vaccin à protéine Spike contre le coronavirus canin.Le SARS n’est en rien l’évolution naturelle d’une modification zoogène du coronavirus. En 1999, Anthony Fauci a financé des recherches à l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill. À partir d’une demande de brevet déposée le 19 avril 2002, le NIAID a construit un coronavirus infectieux à réplication défectueuse ciblant l’épithélium pulmonaire humain. En d’autres termes, nous avons créé le SARS et nous l’avons breveté avant même qu’il n’y ait une prétendue épidémie en Asie, qui a suivi plusieurs mois après. Ce brevet américain 7279327 expose clairement dans un séquençage génétique très spécifique que nous connaissions le récepteur ACE, le domaine de liaison ACE-2, la protéine Spike S1 et d’autres éléments du Covid-19. Il a été conçu et transformé de manière synthétique en laboratoire à l’aide des technologies de séquençage des gènes, en prenant un code informatique pour le transformer en un agent pathogène ou en un intermédiaire d’agent pathogène. Au début, cette technologie a été financée exclusivement comme un moyen d’exploiter le coronavirus comme vecteur pour distribuer le vaccin contre le VIH.À l’automne 2001, M-CAM a commencé à surveiller un nombre énorme d’agents pathogènes bactériens et viraux qui étaient brevetés par le NIH, le NIAID, l’USAMRIID et d’autres agences internationales. Ils étaient préoccupés par le fait que le coronavirus était considéré non seulement comme un agent manipulable potentiel pouvant être utilisé comme vecteur de vaccin, mais aussi comme un candidat à l’arme biologique.La prétendue épidémie de SARS qui a eu lieu en Chine en 2002-2003 a donné lieu à un dépôt de brevet problématique en avril 2003 par le CDC américain. Celui-ci a déposé une demande de brevet sur la séquence génétique complète de ce qui est devenu le coronavirus du SARS, ce qui constitue une violation de la section 101 de l’article 35 USC — on ne peut pas breveter une substance naturelle. Il s’agissait du brevet 7220852, avec des brevets dérivés, notamment les brevets 46592703p et 7776521. Ces brevets couvraient également les moyens de détection du coronavirus par RT-PCR.Cela pose problème car celui qui possède à la fois le brevet sur le gène lui-même et sur sa détection possède du même coup l’avantage de pouvoir contrôler à 100% la provenance non seulement du virus lui-même mais aussi sa détection. Vous avez un contrôle total de l’aspect scientifique et de la communication.Ce brevet demandé par le CDC a été prétendument justifié par son équipe de relations publiques dans le but de permettre à tout le monde de faire des recherches sur le coronavirus. C’est un mensonge car l’office des brevets a rejeté à deux reprises le brevet sur la séquence du gène comme étant non brevetable – l’office des brevets a trouvé une identité de 99,9% avec le coronavirus déjà existant dans le domaine public. Malgré le rejet de l’examinateur de brevets, et après avoir dû payer une amende en appel en 2006 et 2007, le CDC a passé outre le rejet de l’office des brevets et a finalement obtenu en 2007 le brevet sur le coronavirus du SARS.Toutes les déclarations du CDC selon lesquelles il s’agissait de l’intérêt public sont démenties par le pot-de-vin qu’il a lui-même versé à l’office des brevets. Le CDC a payé une taxe supplémentaire pour que leur demande reste privée. Les fact checkers ont déclaré à plusieurs reprises que le nouveau coronavirus SARS-CoV-2 est distinct du brevet des CDC. La séquence génétique déposée par les CDC en 2003, 2005 et 2006 présente une identité dans 89 à 99 % de la séquence qui recouvre le SARS-CoV-2. La désignation principale du coronavirus du SARS et le sous-clade SARS-CoV-2 doivent se chevaucher d’un point de vue taxonomique.Le 28 avril 2003, Sequoia Pharmaceuticals, situé dans le Maryland, a déposé le brevet américain 7151163 sur les agents antiviraux pour le traitement et le contrôle des infections par coronavirus. C’était 3 jours après que le CDC ait déposé le brevet sur le coronavirus du SARS. Sequoia Pharmaceuticals et, en fin de compte, Ablynx Pharmaceuticals, ont été intégrés dans les fonds propres de Pfizer, Crucell et Johnson & Johnson. Comment peut-on avoir un brevet sur un traitement pour une chose qui a été inventée 3 jours plus tôt ?Le brevet de Sequoia sur le traitement du coronavirus a été délivré et publié avant que le brevet du CDC sur le coronavirus ne soit autorisé. La seule façon pour Sequoia de connaître les informations contenues dans le brevet du CDC était par un moyen interne, car le CDC avait payé pour garder le secret. C’est la définition même de la conspiration criminelle, du racket et de la collusion. Ce n’est pas une théorie, c’est une preuve. C’est une affaire RICO.Le schéma RICO établi en avril 2003 pour le premier coronavirus s’est déroulé selon le même calendrier pour le SARS-CoV-2. Moderna a obtenu la séquence de la protéine spike par téléphone auprès du centre de recherche sur les vaccins du NIAID avant la définition de la nouvelle sous-classe. Comment traite-t-on une chose avant de la connaître ?Le 5 juin 2008, soit à peu près au moment où la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency (« Agence pour les projets de recherche avancée de défense) s’est intéressée activement au coronavirus en tant qu’arme biologique, Ablynx, qui fait maintenant partie de Sanofi, a déposé une série de brevets visant ce que l’on nous a dit être de nouvelles caractéristiques du SARS-CoV-2. Ils visaient le site de clivage polybasique du SARS-CoV, la nouvelle protéine de pointe et le domaine de liaison du récepteur ACE-2. Ces éléments sont prétendument nouveaux pour le SARS-CoV-2, et tous ont été brevetés le 5 juin 2008. Les brevets ont été délivrés entre le 24 novembre 2015 (brevet américain 9193780 ; celui-ci a été délivré après le moratoire sur la recherche sur le gain de fonction, après l’épidémie de MERS au Moyen-Orient), suivi en 2016, 2017, 2019 par une série de brevets couvrant non seulement les brins d’ARN mais aussi les sous-composants des brins de gènes, tous délivrés à Ablynx et Sanofi.Crucell, Rubius Therapeutics, Children’s Medical Corporation, et de nombreux autres, dont la Ludwig Maximilian’s Universität de Munich, Protein Science Corporation, le Dana Farber Cancer Institute, l’Université de l’Iowa, l’Université de Hong Kong, le Chinese National Human Genome Center de Shanghai, tous identifiés dans des dépôts de brevets allant de 2008 à 2017, chaque attribut étant prétendument publié de manière unique par la seule publication de référence «The Novel Bat Coronavirus», l’article qui a été systématiquement utilisé pour identifier le nouveau virus.Si vous regardez réellement ce qu’ils déclarent être nouveau, vous trouvez 73 brevets délivrés entre 2008 et 2019 qui ont les éléments qui étaient prétendument nouveaux dans le SARS-CoV-2. Plus précisément, le site de clivage polybasique, le domaine de liaison du récepteur ACE-2 et la protéine spike.Il n’y a pas eu d’épidémie de SARS parce que nous avions modifié tous les éléments de ce virus. En 2016, un article de Ralph Baric a été financé pendant le moratoire sur le gain de fonction, disant que le coronavirus du SARS était prêt pour l’émergence humaine. À ce moment-là, non seulement il était prêt pour l’émergence humaine, mais il avait été breveté 73 fois pour une exploitation commerciale !Les gens de Moderna savaient qu’ils allaient être placés en première ligne du développement d’un vaccin en mars 2019. À ce moment-là, pour des raisons qui ne sont pas transparentes, ils ont modifié une série de dépôts de brevets rejetés pour faire spécifiquement référence à une libération délibérée ou accidentelle de coronavirus. Ils ont modifié 4 demandes de brevet rejetées pour commencer le processus de développement d’un vaccin contre le coronavirus. Ensuite, ils ont commencé à s’attaquer à un problème de taille, à savoir qu’ils s’appuyaient sur une technologie qu’ils ne possédaient pas. Deux entreprises canadiennes, Arbutus et Acuitas, détiennent en fait le brevet sur l’enveloppe de nanoparticules lipidiques nécessaire à l’injection du fragment d’ARNm. Ces brevets ont été délivrés au Canada, aux États-Unis et dans le monde entier. Moderna ne possédait pas les droits et a commencé à négocier avec Arbutus et Acuitas pour obtenir une résolution de la technologie LNP disponible pour l’intégrer dans un vaccin. En novembre, la société a conclu un accord de coopération en matière de recherche et développement avec l’UNC Chapel Hill en vue d’obtenir la protéine Spike à placer à l’intérieur du LNP, de sorte qu’elle disposait d’un candidat-vaccin avant même qu’un agent pathogène ne soit prétendument en circulation.Leur procédure régulière est similaire à celle d’autres sociétés pharmaceutiques, où les demandes sont renouvelées et modifiées en permanence pour bénéficier des premières dates de priorité disponibles. De 2016 à 2019, à chacune des réunions du conseil consultatif du NIAID, Anthony Fauci se lamentait de ne pas avoir réussi à trouver un moyen de faire accepter le vaccin universel contre la grippe, qui était sa cible favorite pour amener la population à s’engager dans ce processus…En mars 2019, dans les dépôts de brevets modifiés de Moderna, nous voyons apparaître une pensée illluminante : «Et s’il y avait une libération accidentelle ou intentionnelle d’un pathogène respiratoire ?» La phrase est exactement récitée dans le livre A World at Risk, qui est le scénario mis en place par l’OMS en septembre 2019 – des mois avant qu’il y ait un pathogène présumé – qui dit : «Nous avons besoin d’une expérience mondiale coordonnée de la libération d’un pathogène respiratoire, qui, d’ici septembre 2020, doit mettre en place une capacité universelle de gestion des relations publiques, de contrôle des foules et d’acceptation d’un mandat universel de vaccination.» Le langage d’une libération intentionnelle d’un pathogène respiratoire a été écrit dans le scénario qui «doit être achevé d’ici septembre 2020» dans la déclaration unifiée du Global Preparedness Monitoring Board. Un certain nombre de personnes s’en sont attribuées le mérite, puis ont fait marche arrière.Toute affirmation selon laquelle cet agent pathogène est en quoi que ce soit unique ou nouveau s’effondre sur les séquences génétiques réelles qui sont publiées dans le dossier de brevet. Plus grave encore, Peter Daszak lui-même déclare que nous devons créer un battage médiatique pour que le public accepte la contre-mesure médicale que constitue un vaccin contre le pan-coronavirus. Ce qui est le plus ridicule, c’est que l’OMS a déclaré que le coronavirus n’avait plus d’intérêt – que nous avions éradiqué le coronavirus en tant que préoccupation. Alors pourquoi, après l’avoir éradiqué en 2007 et 2008, avons-nous commencé à dépenser des milliards de dollars dans le monde pour un vaccin contre une maladie qui avait été éradiquée par déclaration en 2008 ?Cette arme biologique était considérée comme très malléable. En 2005, c’était incontestablement une arme de choix. L’illusion dans laquelle nous continuons à voir des personnes bien intentionnées se faire piéger consiste à discuter de la question de savoir si nous disposons d’un vaccin contre un virus. Ce n’est pas le cas. Nous injectons une séquence ARNm de protéine de pointe qui est le résultat d’une simulation informatique, non dérivée de la nature, d’une séquence qui est connue et brevetée depuis des années.La nature ridicule de l’histoire selon laquelle il s’agirait d’un traitement prophylactique ou préventif va à l’encontre de toutes les preuves. Les preuves montrent clairement qu’aucune société pharmaceutique n’a fait d’efforts pour combattre le virus. Il s’agit d’injecter aux gens la protéine Spike S1, connue pour être nocive
  128. Un mot ici sur le concept de predictive programming qui consiste à faire passer les idées du développement mondialiste dans le monde courant. Il s’agit d’utiliser les émissions de télévision, les films, les bandes dessinées, les magazines, l’Internet bien sûr, les chansons, les animateurs, le ténors du genre Attali, etc. pour mettre dans la tête des masses l’idée d’un sujet spécifique. Puis, des années plus tard, le sujet devient réalité. C’est une méthode de lavage de cerveau, de sorte que lorsque les temps sont mûrs, il n’y a plus aucune difficulté à accepter l’idée comme normale. Bertrand Russell, HG Wells, et la famille Huxley sont de parfaits exemples —je passe ici tout ce qui concerne les Black Lives Matter ou même les Antifas — voir The Quad, S02.Les simulations diverses issues des grandes fondations jouent le même rôle. La « Rockefeller Foundation » nous prévient ainsi du maintien sous ferme contrôle de la population même après que l’épidémie soit terminée : “Even after the pandemic faded, this more authoritarian control and oversight of citizens and their activities stuck and even intensified. In order to protect themselves from the spread of increasingly global problems — from pandemics and transnational terrorism to environmental crises and rising poverty — leaders around the world took a firmer grip on power (p.19)”Les Protocoles des sages de Sion : quel qu’en soit l’auteur, les Protocoles ne font jamais qu’envisager la prise de pouvoir souterraine par une caste déterminée, tout en reprenant des idées qui étaient dans l’air du temps à la fin du 19ème siècle. Après tout, la démocratie ne serait-elle pas un masque et un moyen transitoire permettant d’instaurer une forme de despotisme d’origine orientale. C’était là, en tout cas, chose que pressentait le marquis de Custine, dans ses Lettres de Russie, dès la première moitié du 19ème siècle. La pertinence du texte écrit voici au moins cent ans laisse pantois : tout ce qui nous arrive aujourd’hui semble y être décrit. Je laisse au lecteur le soin de creuser cette piste qui sort de ma compétence.Dans La machine à explorer le temps (1895) HG Wells décrit le monde du futur où les habitants de la planète sont séparés en deux groupes, les Morlocks vivant sous terre et les Eloïs profitant du paradis qu’est devenu la Terre.Dans Le Meilleur des mondes (1932) Aldous Huxley a gratifié le monde d’une fiction visionnaire qui se rapproche de la réalité. L’esprit du livre a inspiré des générations entières de romanciers et de philosophes. Sexe, drogue, sécurité, loisirs, manipulation : Aldous Huxley avait tout compris. Serge Carfantan écrit un résumé de la pensée d’Aldous en 2007 —intitulé « Leçon 163 : Sagesse et révolte » :« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. […]Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste.Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée.Surtout pas de philosophie. Là encore il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des informations et des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif.On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique.Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser.On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains.Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté : de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. »Les films : Songbird qui évoque à peu près tout depuis la pandémie, au port obligatoire des masques et la passe sanitaire ; L’armée des 12 singes avec la dissémination volontaire d’un virus mortel ; The Crossing, on y parle d’un virus pandémique qui a été libéré dans le monde deux ans dans le futur et qui s’est répandu dans le présent. Bien sûr, on cite les vaccins toxiques et la mise en quarantaine également. Cette série est sortie en 2018, bien avant cette pandémie. 
  129. Voir ici, l’article de l’Obs glorifie Gates qui a prévu la pandémie alors qu’elle était planifiée depuis le début des années 2000. 
  130. Dès le mois d’Octobre 2019, la simulation Event 201 tenue à l’Université Johns Hopkins en présence du gratin mondialiste, étudiait l’impact d’une pandémie au coronavirus. Quand on possède tout, il n’est même plus besoin de se cacher pour comploter. Gates a par la suite osé prétendre qu’il n’était pas présent à la réunion. La lecture des recommandations ne manque pas de sel quand on connaît le niveau de corruption et d’interpénétration des toutes les instances citées. « Industry, national governments, and international organizations should work together » et « Governments and the private sector should assign a greater priority to developing methods to combat mis- and disinformation” pour ne citer que ces deux-là. 
  131. Voir le reportage ahurissant sur ce triste sire, qui a triplé sa fortune depuis qu’il est devenu « philanthrope. » Le bon Gates annonçait il y a 6 ans la survenue d’une épidémie mondiale avec un virus proche de la grippe. 
  132. Vous pouvez l’écouter ici dans une version plus « soft » que la vidéo d’origine où il s’exprime de manière très excitée avec de grands gestes simiesques. 
  133. Discours de Bill Gates, « Innover vers zéro » à la conférence annuelle TED2010 à Long Beach en Californie, le 18 février 2010. Ce dernier déclare vers la minute 4, Gates déclare : « Voyons d’abord la population. Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards de gens. Il se dirige vers environ 9 milliards. Or, si nous faisons un excellent travail sur de nouveaux vaccins, soins de santé, services de santé génitrice (reproductive), nous abaissons cela de 10 ou 15 pour cent. »../../../Desktop/Capture%20d’écran%202021-10-26%20à%2011.34.53.png 
  134. Aujourd’hui, nous remarquons que la crise sanitaire mobilise dans un accord presque parfait pouvoir politique, médias, administration, partis politiques, syndicats, institutions scolaires, institutions culturelles, religions… tous suivant comme un seul homme le pouvoir, sans esprit critique. Mais le plus important c’est la formidable manipulation des esprits dont nous sommes victimes. Les ingénieurs sociaux du communisme instrumentalisaient les crises et les fléaux, dramatisaient sciemment pour maintenir les individus dans l’anxiété permanente et obtenir une soumission accrue. L’instrumentalisation des pénuries, le soupçon permanent de complot qui était dénoncé, la dramatisation de l’épidémie… étaient des pratiques courantes pour tenir les masses par la peur, les rendant totalement dépendantes de l’Etat nourricier. 
  135. Voir l’interview de Marion Maréchal Le Pen : «Chaque Européen se verra attribuer une identité numérique qui contiendra toutes nos informations sociales, fiscales, bancaires et sanitaires pour mieux nous contrôler » 
  136. Citons ici l’essai de Sir Julian Huxley qui a inventé le terme de transhumanisme et fondé l’UNESCO : « La qualité des personnes et non la seule quantité est ce que nous devons viser : par conséquent, une politique concertée est nécessaire pour empêcher le flot croissant de population de submerger tous nos espoirs d’un monde meilleur ». 
  137. Le terme « transhumanisme » remonte aux années 1950, mais sa popularisation date des années 1990, lorsque les chercheurs commencent à cerner les promesses de la convergence NBIC : les nanotechnologies (N), la biologie (B), l’informatique (I) et les sciences cognitives (intelligence artificielle et sciences du cerveau -C) progressent et convergent de façon explosive. Le désir d’immortalité est au cœur de cette nouvelle religion qui prend la suite du scientisme et du positivisme. Seule la vision allopathique industrielle d’un homme composé d’organes permet d’asseoir ce nouveau délire, permettant déjà tous les trafics de fœtus via des constellations d’ONG.L’inventeur et propagandiste du transhumanisme est Sir Julian Huxley (1887-1975), biologiste de haut niveau, premier directeur de l’Unesco et cofondateur du WWF. Le mot « eugénisme » étant devenu sulfureux après les horreurs nazies, Julian Huxley inventa donc, en 1957, un néologisme synonyme d’eugénisme de gauche, le « transhumanisme ». Son frère Aldous Huxley (1894-1963) écrira « Le meilleur des mondes » décrivant la société eugéniste idéale en 1931. C’est l’un des nombreux exemples de predictive programming qui permet d’annoncer la direction que doit prendre le monde sous l’égide mondialiste. 
  138. Songeons que le Prince Philip demandait à se réincarner en virus particulièrement meurtrier. La surpopulation est l’un des thèmes récurrents des mondialistes. 
  139. Nous insérons ci-contre l’illustration de la page de couverture de « The Economist » de Mai 21 annonçant la future monnaie numérique qui nous sera servie après l’effondrement économique —il est probable que dès la rentrée les fonds de pension en faillite amèneront les gouvernants à annoncer la suite du programme. Ce qui est lassant avec les mondialistes, c’est leur côté « tradi » comme le dit si bien Pierre Hillard (voir une excellente conférence ici). Ils utilisent toujours les mêmes symboles : à gauche le temple, à droite l’œil qui sort des nuées au sommet de la pyramide (tout comme sur le billet de 1 dollar), la lettre G qui est celle des compagnons au second grade maçonnique. Comme rien n’est dû au hasard chez ces gens, il faut aussi remarquer la puce rectangulaire placée au milieu de la lettre G. Cela pourrait être une référence à peine voilée au contrôle des populations grâce à des implants, en coupe sagittale en effet le mésencéphale ressemble à la lettre G. Pour terminer, ce n’est même plus en Dieu que nous avons confiance mais dans la technologie.Nous nous souviendrons que les millionnaires veulent faire de l’argent, les milliardaires veulent faire l’histoire. Mais les multi-milliardaires vont plus loin dans leur délire de démiurges : ils veulent que l’humanité s’adapte à leurs besoins et à leurs souhaits. Quant aux personnes qui contrôlent des milliards et des milliards, eh bien, elles se soucient de nos souhaits autant que nous nous soucions des fourmis en balayant le jardin. 
  140. En tant qu’idéologie, la technocratie exalte la connaissance et l’expertise en tant que principales sources de pouvoir et d’autorité légitimes et pour affirmer qu’il existe « une meilleure façon de faire » que seuls les « experts » (par exemple, les ingénieurs, les scientifiques et les médecins) peuvent déterminer. 
  141. Voir la fameux brevet 060606 —troublante référence à l’Apocalypse de Jean— de Microsoft en vue de créer une monnaie numérique intégrée corporellement, sans doute testée au Rwanda. Un article intéressant ici
  142. Voir à cet égard le discours prophétique de Soljenitsyne à Harvard sur la perte du courage en Occident et la folie de détruire les murs porteurs de nos sociétés. Historiquement le meurtre de Louis XVI marque la première atteinte à l’image du père, qui incarne symboliquement la loi. Le mouvement s’est poursuivi jusqu’à nos jours où toutes les qualités viriles sont systématiquement niées au profit par exemple de notions délirantes comme la théorie du genre. 
  143. Comme le rappelle Eric Verhaeghe, immigration et libertés ne font qu’un seul et même sujet : « sont les deux faces d’un seul et même projet de dilution de l’Occident dans un grand tout mondialisé, servile et formaté pour les besoins d’un nouveau capitalisme de connivence ». « Le spéculateur américano-hongrois Soros, élève de Karl Popper, a créé une fondation qui prétend renverser, ou aider au renversement, des sociétés “traditionnelles”, c’est-à-dire des bons vieux Etats-nations occidentaux. Pour diluer leur identité, Soros n’a pas hésité à financer abondamment les ONG qui organisent la crise migratoire. Son projet est clair et assumé : il s’agit de diluer les vieilles résistances nationales en Europe, et de promouvoir un “activisme inclusif” grâce auquel nos sociétés ne feraient plus aucune distinction entre les individus, soit sur des critères culturels, ou ethniques, ou de genre. Dans cette vision de la société ouverte, l’obligation vaccinale, le passe sanitaire, le crédit social, la peur de la maladie, jouent des rôles essentiels. »Jeune Juif « adopté » par un SS, échappant ainsi au massacre généralisé, il est indéniable avec un tel bagage que Soros ne s’en est pas sorti indemne psychologiquement… 
  144. Notre amie, le Dr. Astrid Stuckelberger a réalisé un tour d’horizon de la corruption concernant l’OMS dans l’article ici. Elle souligne à juste titre le statut exceptionnel du GAVI, comparable à la BRI (Banque des Ressources Internationales, qui a servi à la City de New York à faire passer de nombreux brevets à l’Allemagne nazie jusque fin 1944). Ces deux institutions fonctionnent comme un état dans l’état : intouchables et inattaquables. 
  145. Gates a même envahi l’un des derniers bastions de résistance scientifique dans la médecine officielle en prenant le contrôle de Cochrane
  146. Le directeur général de l’OMS, Tedros Ghebreyesus. L’OMS —qui s’est illustrée pour sa gestion lamentable de l’épidémie si son but était l’intérêt des malades— n’est pas une organisation internationale œuvrant pour le bien de l’humanité, mais plutôt un organe accaparé par quelques groupes d’intérêt, où domine Bill Gates. Personne n’en parle mais la corruption systémique de l’OMS est telle que 200 millions de dollars sont dépensés chaque année en frais de voyage, ce qui représente plus que les crédits alloués à la lutte contre le sida. Tedros, constitue l’exemple type de ces hommes « moyens » comme on a décrit la plupart des nazis jugés à Nuremberg. Élu en 2017 à la tête de cette organisation désormais mafieuse, il a été membre du CA du Global Fund de 2009 à 2011, et président du conseil de la GAVI vaccine Alliance en 2008-2009 avant d’être élu à la direction de l’OMS. Signe que ces crapules n’ont plus la moindre limite : il avait nommé à son arrivée à l’OMS… Robert Mugabe comme ambassadeur de bonne volonté ! Le Guardian nous explique en 2015 que : A partir de janvier 1983, une campagne de terreur a été menée contre le peuple Ndebele au Matabeleland, dans l’ouest du Zimbabwe. Les soi-disant massacres de Gukurahundi appartiennent à la période la plus sombre de l’histoire post-indépendance du pays, lorsque plus de 20 000 civils ont été tués par la redoutable cinquième brigade de Robert Mugabe.Le bon Tedros, accusé de crime contre l’humanité, est le premier non-médecin à diriger l’OMS. Tedros est membre du « Front de libération du peuple tigré » (TPLF), une organisation terroriste, fondée en tant que parti révolutionnaire communiste, ceci explique sans doute l’extase qu’il manifeste pour le Parti communiste chinois au pouvoir. Au programme : traque des dissidents, camouflage d’épidémie de choléra, famine organisée, torture sur prisonniers politiques, vente de terrains éthiopiens à des firmes internationales prix bradés, répression brutale de manifestations (500 morts), j’en passe et des meilleures. Encensé par les médias complices, ce gibier de potence doit son élection à la Fondation Bill et Melinda Gates qui a su utiliser le processus labyrinthique de nomination dans l’Organisation. 
  147. Pour compléter le tour d’horizon au sujet de cette pourriture de Tedros, je recommande au lecteur la visite du blog de l’inestimable Liliane Held-Khawam
  148. Seule la Russie a inscrit l’an passé dans sa constitution que les lois nationales passent avant les lois internationales. Un véritable pied de nez aux institutions supra-nationales mondiales. Il semble que la liberté se trouve désormais de l’autre côté de l’ancien « Mur ». 
  149. Il est difficile de se représenter l’interpénétration de toutes ces instances. Il existe des liens étroits entre des organisations et des entreprises comme la Fondation Rockefeller, Microsoft, le lobby pharmaceutique et le groupe de la Banque mondiale, sans parler des prestataires de services secondaires. 
  150. La quasi-totalité de Big Pharma apparient à deux sociétés : Vanguard et BlackRock. Vanguard et BlackRock sont les deux principaux propriétaires de Time Warner, Comcast, Disney et News Corp, quatre des six sociétés de médias qui contrôlent plus de 90 % du paysage médiatique américain.BlackRock et Vanguard forment un monopole secret qui possède à peu près tout ce que vous pouvez penser. Au total, ils détiennent des participations dans 1 600 entreprises américaines, dont les revenus combinés s’élevaient à 9,1 milliards de milliards de dollars en 2015. Si l’on ajoute le troisième plus grand propriétaire mondial, State Street, leur propriété combinée englobe près de 90 % de toutes les entreprises du S&P 500.Vanguard est le principal actionnaire de BlackRock. Vanguard lui-même, d’autre part, possède une structure unique qui rend sa propriété plus difficile à discerner, mais beaucoup des familles les plus anciennes et les plus riches du monde peuvent être sourcées aux fonds Vanguard. 
  151. L’un des premiers objectifs des mondialistes fut d’abattre l’Ancien Régime. La ‘Révolution française’ a fait plus de morts en un mois au nom de l’athéisme que l’Inquisition au nom de Dieu pendant tout le Moyen-Âge et dans toute l’Europe. Ce fait a été démontré par un historien sérieux (et protestant), Pierre Chaunu. On en retrouve l’analyse dans le quatrième numéro hors-série de L’Homme Nouveau consacré à quelques mythes de l’histoire antichrétienne, dont l’Inquisition. Un ensemble d’extraits de cette analyse est ici.C’est Voltaire et le cher Jean-Jacques qui ont pour la première fois introduit la notion d’enrichissement illimité alors que le roi, tenu par la religion, n’aurait jamais osé rêver un tel scénario qui rendit possible l’émergence de la bourgeoisie puis des industriels. Voir absolument La Laïcité, mère porteuse de l’islam, par Odon Lafontaine, l’ouvrage de référence sur ces sujets. 
  152. Je suggère au lecteur d’entreprendre la lecture barbante mais éclairante du torchon fameux de Klaus Schwab intitulé Le Grand Reset. Pour gagner du temps, cet article pourra vous intéresser. Beaucoup des mondialistes sont d’obédience gnostique, en tant que tels ils adorent semer la confusion, notamment en tentant d’inverser les causes et les conséquences. On voit ici Schwab admettre en p222 que la pandémie est la moins mortelle que l’humanité n’ait jamais connue, ce qui ne l’empêche pas d’utiliser cette opportunité pour vouloir façonner le monde selon ses vues. 
  153. Voici l’arbre généalogique de Schwab, juste histoire de nous donner une vague idée de l’interpénétration de tous les acteurs de la crise actuelle. 
  154. Voir Glaser, A. (2020, July 8). Thousands of contracts highlight quiet ties between Big Tech and U.S. military. NBC News. https://www.nbcnews.com/tech/tech-news/thousands-contracts-highlight-quiet-ties-between-big-tech-u-s-n1233171Voir Usdin, S. (2020, March 19). DARPA’s gambles might have created the best hopes for stopping COVID-19. BioCentury. https://www.biocentury.com/article/304691/darpa-jump-started-technologies-behind-some-of-the-leading-covid-19-vaccine-and-antibody-hopes
  155. Ces organisations criminelles ont déjà été condamnées à de nombreuses reprises à payer des sommes énormes, qui ne sont qu’une goutte d’eau dans leur budget : 3,75 milliards pour GlaxoSmithKline ; 3,3 milliards pour Pfizer, etc. Voir la liste officielle de la FDAViolation Tracker Agency Summary Page, qui totalise 19, 5 milliards d’amendes au total. 
  156. Wood, P. M. (2018). Technocracy: The Hard Road to World Order. Mesa, AZ: Coherent Publishing, LLC.Fitts, C. A. (2019). Will ESG Turn the Red Button Green? The Solari Report.Fitts, C. A. (2020a). The State of Our Currencies: The End of Currencies. The Solari Report.Fitts, C. A. (2020b, May 27). The injection fraud – It’s not a vaccine. The Solari Report.Schinder, R. J. (2020, January 26). The Davos crowd embraces big global government. The Wall Street Journal.Schumacher, K. (2020, March 14). Technocracy and sustainable development. Redoubt News.White, J. (2020, April 27). Technocracy after COVID-19. Boston Review
  157. Voir les révélations de Martin Füllmich et du Dr. David Martin dans cette vidéo historique. David E. Martin est le fondateur et le président de M-CAM Inc, le leader international du financement de l’innovation, du commerce et des actifs incorporels. Il est le créateur du premier indice quantitatif d’actions publiques basé sur l’innovation et est l’associé directeur des Purple Bridge Funds. Il est le créateur du premier indice quantitatif d’actions publiques au monde – le CNBC IQ100 alimenté par M-CAM. Activement engagé dans le développement économique éthique mondial, le travail du Dr Martin comprend l’ingénierie financière et l’investissement, les conférences publiques, l’écriture et la fourniture de services de conseil financier à la majorité des pays du monde. Le Dr Martin est l’architecte et le fondateur du Global Innovation Commons et l’auteur du cadre juridique international des programmes Heritable Knowledge Trust et Heritable Innovation Trust. Il est à l’origine de programmes mondiaux visant à apporter la transparence des entreprises et des marchés boursiers aux industries extractives multinationales et a joué un rôle déterminant dans le rapatriement de la valeur dans les pays qui ont été victimes d’abus financiers et d’entreprises. 
  158. Voir dans « Grippes et Pneumonies » le chapitre consacré à la destruction de l’homéopathie sous l’égide de Rockefeller —injectant pour la manœuvre plus de 225 milliards de dollars actuels. Le second statut de l’AMA était « l’éradication de l’homéopathie du sol américain ». Voir enfin le travail documenté de Thierry Lestrade « Comment l’AMA a éradiqué ». 
  159. Selon M. Kory, l’OMS ne fait que participer aux tactiques d’un « manuel de désinformation » usé par le temps. Ce terme a été inventé par l’Union of Concerned Scientists il y a 50 ans afin de décrire les stratégies que les entreprises ont développées au fil des décennies pour « attaquer la science lorsqu’elle va à l’encontre de leurs intérêts financiers ».Il se compose de cinq parties :L’imposture – Mener des recherches contrefaites et tenter de les faire passer pour des recherches légitimes.
    Le blitz – Harceler les scientifiques qui s’expriment sur des résultats qui dérangent l’industrie.
    La diversion – Fabriquer de l’incertitude sur la science là où il n’y en a pas ou peu.
    L’écran – Acheter de la crédibilité par le biais d’alliances avec le monde universitaire ou des sociétés professionnelles.
    La solution – Manipuler les fonctionnaires ou les processus gouvernementaux pour influencer les politiques de manière inappropriée.Dans l’intégralité de l’appel Zoom, censuré depuis par YouTube mais disponible sur Bitchute, Pierre Kory décrit comment les cinq phases ont été déployées contre les résultats scientifiques de l’ivermectine. Un exemple concret serait celui de la corruption des principales revues médicales, dont les rédacteurs en chef refusent que les études sur l’ivermectine soient soumises à un examen par les pairs. 
  160. Les emails de Fauci sur une certaine période ont pu être rendus publics, révélant un véritable scandale, à savoir que l’intéressé y admet que :Le coronavirus a été crééL’HQ traite la maladie avec succèsLes sujets asymptomatiques ne transmettent pas la maladieLes masques ne servent à rienLes confinements sont inutilesFacebook a participé à la promotion d’une propagande autoritaire du Covid.Le comptage des décès était largement trafiquéEt qu’il a délibérément menti au Congrès sous sermentCes informations éclaboussent aussi le Pr. Delfraissy (encore un collabo comme tant d’autres) exprimant ses affres pour résister à la pression d’autoriser l’hydroxychloroquine. « J’ai une énorme pression politique pour libérer l’accès à l’hydroxychloroquine pour tout le monde, mais je résiste », écrit-il au bon docteur Fauci. Une semaine plus tard, le Conseil scientifique rendra un avis critique sur le protocole Raoult, ayant donc visiblement résisté à ces « pressions ». Voir article du Parisien.Que s’est-il passé avec quelque chose d’aussi énorme ? Rien.Télécharger les emails. Voir le New York Post, voir Fauci is a liar
  161. J’ai de la peine à prononcer le nom de Fauci sans avoir la nausée. Dans « Les erreurs du Monsieur Covid américain impactent le monde occidental, Suisse comprise » Jamais encore des idées comme le confinement d’une population en bonne santé, l’imposition généralisée du port du masque contre un virus ou la « vaccination » de catégories de la population courant plus de risques avec la vaccination qu’avec la maladie n’avaient été envisagées, tant elles sont contraires à l’éthique et aux connaissances scientifiques. Un défilé continu de médecins de plateaux télévisés pétris de conflits d’intérêts est venu brouiller cette évidence, sans que les défenseurs des bonnes pratiques aient voix au chapitre. Ne manquez pas cette tribune écrite par les deux plus grands experts au monde, les Pr Kulldorff et Bhattacharya. 
  162. Voir le premier document magistral des analystes allemands (leur interview ici) qui ont scanné avec l’aide de l’intelligence artificielle plusieurs millions de documents. Cela a permis de mettre à jour le modus operandi des pilotes de la manœuvre dite « anticovid », de démontrer qu’il s’agit d’un réseau tissé très étroit et chargé d’une mission précise : obliger par tous les moyens la population mondiale à se soumettre au dictat d’intérêts privés sous prétexte de “santé publique.L’analyse se divise ainsi :- Les 20 à 30 figures-clefs qui poursuivent tranquillement leur œuvre à l’ombre des figures notoires telles Gates ou Schwab ;- Les flux financiers internationaux et leur montant (colossal) ;- Les ONG (dont le rôle notamment dans le financement est fondamental), les universités et entreprises-clef par lesquelles transitent les fonds.Ces flux ont été chiffrés par Schneeten et Röper. L’attention des analystes a été attirée – pour ne donner qu’un exemple – par un petit pavillon insignifiant de banlieue aux États-Unis, utilisé comme “boîte postale” par plusieurs ONG disposant de dizaines de millions de dollars.- Le mode opératoire de prise de contrôle des gouvernements et institutions occidentaux.Voici par exemple les ramification de le fondation Bill et Melinda Gates, dont le véritable gestionnaire est probablement le sioniste et démocrate Warren Buffet, a plusieurs intérêts :1- c’est un outil d’optimisation fiscale qui permet à ses responsables d’échapper aux impôts et de décupler leur fortune ;2- la mécanique de ses « donations » reposent sur l’investissement dans les marchés financiers et les grosses sociétés (Total, Exxon, Shell, Monsanto, McDonald’s, The Coca-Cola Company) ;3- les « dons » sont alloués à un faisceau d’organisations allant toutes dans le sens du mondialisme et de la grande industrie pharmaceutique…Probablement recruté dans les années 70 à Harvard (Gates est le premier Zuckerberg), Bill Gates est à la fois un agent de croissance et un agent d’influence du Nouvel ordre mondial oligarchique, un épouvantail mis en avant pour prendre les coups, un rouage d’un réseau allant de Wall Street à Israël en passant par Bill Clinton et Jeffrey Epstein. Voir l’article da E&R ici.../../../Downloads/Corona%20links%20analyse/Netzwerkanalyse-Corona-Komplex_Page_049.jpg 
  163. ../../../Downloads/Xi-Jinping.jpgPour parler d’autre chose que du virus, il me semble opportun de dire un mot de la crise financière qui se profile, avec le brûlot Evergrande qui risque d’ébranler le marché immobilier chinois et le reste du monde par contagion —mot qui me paraît ici très approprié. Le Parti Communiste Chinois (PCC) ne semble guère décidé à agir dans la crise financière qui se profile, avec un éclatement de la bulle immobilière. Loin de vouloir éviter la crise, les autorités chinoises semblent plutôt décidées à la laisser éclater pour justifier une reprise en main de l’économie du pays. De là à penser que cette stratégie vise aussi à affaiblir l’Occident en le contaminant avec une crise financière, il n’y a qu’un pas. Une fois de plus, le Great Reset et sa théorie du Big Government modifient les analyses habituelles et pourraient mettre les épargnants du monde entier en situation difficile.Et l’excellent Verhaeghe de conclure : « Progressivement, on comprend que Xi Jinping, qui n’est pas un tendre, ni un libéral façon Deng Xiaoping, s’apprête à laisser éclater une crise financière qui devrait ruiner les exubérances “capitalistes” de l’économie chinoise, mais pourrait aussi contaminer le monde. Cette option déjà déployée dans l’affaire du COVID 19, où les communications internes à la Chine étaient suspendues quand les habitants de Wuhan pouvaient facilement circuler dans le reste du monde, ressemble beaucoup à une tentative de déstabilisation de l’économie mondiale. On ne peut ici s’empêcher de penser que la crise immobilière qui se fait jour n’est, pour le PCC, qu’une pièce dans le puzzle d’un Great Reset géostratégique permettant à la fois de liquider la libéralisation de l’économie intérieure et de saper la prospérité de l’Occident. Nous maintenons donc notre pronostic d’une instrumentalisation de la crise qui pourrait déboucher sur un désordre mondial. » 
  164. C’est en manipulant la définition de « pandémie » que toute l’affaire a été préparée de longue date par l’appareil mondialiste dont Gates est l’un des coryphées. Dès 2013 on pouvait comprendre que ce petit jeu était destiné à servir les intérêts de laboratoires afin de créer autant de pandémies que nécessaires à la promulgation de vaccins en nombre illimité. En 2009, l’OMS avait en fait supprimé la notion de mortalité (nécessité d’un grand nombre de morts) pour pouvoir enclencher l’alerte pandémique maximale, qui conditionne en fait le début de la production de vaccins. Cette modification des critères avait donc permis aux fabricants de vaccins de s’enrichir de façon scandaleuse avec la vente de vaccins expérimentaux contre une grippe H1N1 qui faisait pourtant très peu de morts et qui était même plus bénigne que la traditionnelle grippe saisonnière.Le Dr. Lydia Archilède écrivait dès 2013 : « le système va devenir moins précis, donc PLUS FLOU avec passage de 7 critères à 4, ce flou allant évidemment profiter aux fabricants de vaccins et d’antiviraux, bien davantage qu’à la sécurité réelle des citoyens. Au prétexte d’être basé sur « le risque », il sera en réalité plutôt basé sur « la possibilité d’un risque hypothétique » avec maintien quasi permanent des citoyens les plus crédules dans « la peur de la pandémie à venir » ! Finalement, la phase de transition se confondra tôt ou tard avec la phase d’« interpandémie » et nous serons donc maintenus dans une sorte d’état d’alerte permanent pour le plus grand bonheur de Big Pharma et de ses investissements ! »Et notre consœur de conclure que « le modus operandi opaque inchangé au niveau du fonctionnement de l’OMS. Celle-ci garde son influence dictatoriale puisque les Etats qui pourront soi-disant évaluer eux-mêmes le risque au niveau national, « devront tenir compte des estimations faites par l’OMS ». Et par ailleurs, la décision finale quant aux pandémies reste aux mains d’une seule personne, le directeur de l’OMS, qui continuera de se faire conseiller par le même genre de petit « comité d’experts», qui fut pourtant à la base de tout le fiasco et de tout le gaspillage inimaginables du H1N1 ! » 
  165. Le lecteur pourra au sujet de ce cloaque regarder avec intérêt quelques épisodes du « Fall of the cabal » de Janet Ossebaard et Cyntha Koeter. Même si les premiers épisodes nous semblent largement discutables —je n’adhère en rien à la narration— ceux de l’ère moderne sont assez bien documentés. Je recommande de commencer par le Numéro 6
  166. Bouygues, Xavier Niel, Dassault, Bernard Arnault, Bolloré, Pierre Bergé, Patrick Drahi, François Pinault, Matthieu Pigasse et Lagardère, voilà les dix milliardaires qui possèdent les médias français. Tous les quotidiens nationaux (Le Monde, Libération et Le Figaro), toutes les chaînes d’info (LCI, I-Télé, BFM-TV), l’essentiel des hebdomadaires de référence (Le NouvelObs, L’Express, Le Point) et des chaînes de TV privées (Canal+, TF1) appartiennent à de grands milliardaires. Une telle concentration a rendue aisée la tache de Gates pour faire marcher tout le monde à l’unisson. Voir ici
  167. Voir la remarquable contribution sur Rumble : « Coronavirus. Violation des droits fondamentaux des peuples du monde par des mesures anti-humaines : enfermement, mode masque, enseignement à distance. » 
  168. Nous en sommes déjà à refuser d’évacuer une île des caraïbes la partie de la population non-vaccinée ! 
  169. Mon disque dur se remplit d’images horrifiantes montrant avec quelle cruauté les flics se jettent sur les gens, les martyrisent, pour des prétextes délirants comme le non port du masque en plein air par exemple. La France, l’Allemagne, l’Australie sont les pays où ces exactions sont devenues monnaie courante. Voyez déjà l’article suivant
  170. Le propre du fascisme : faire passer un prétendu intérêt collectif avant l’intérêt individuel : lorsque le consentement et l’intérêt individuel ne sont plus des priorités inaliénables, on se rapproche des théories eugénistes florissantes dès la fin du XIXe siècle et portées à la dimension industrielle par le nazisme.Otto Dietrich explique en 1934 : « « La pensée individualiste repose sur le postulat que l’homme est un individu. Ce postulat est faux. L’homme n’apparaît dans le monde que comme membre d’une communauté. Dans tous ses actes, l’homme est un être collectif et ne peut être pensé que comme tel. Les seules données réelles du monde sont les races, les peuples, les nations et non les individus. Le national-socialisme considère le Volk comme la seule réalité organique. »Et Capitant, ministre de De Gaulle de commenter ce délire : « La doctrine nazie inverse toutes les valeurs. Non seulement l’individu est désormais privé d’existence et donc de droits, comme le note Capitant, mais encore, il perd toute autonomie dans la mesure où cette exaltation de la communauté débouche sur l’obéissance prétendument volontaire à un Chef. Le règne du nazisme, c’est celui de l’hétéronomie et de la servitude volontaire ».Lire l’article du Dr. Delépine 
  171. Voir l’article remarquable de Philippe Ségur, Professeur de droit public à l’Université de Perpignan Via Domitia. 
  172. En un an, les prix agricoles à la production ont littéralement explosé, avec une hausse de 13,6% qui annonce le retour à l’hyper-inflation. Cette hausse concerne tout particulièrement les céréales qui dépassent les 35% d’augmentation sur l’année. Durablement, le monde industrialisé est donc exposé à une crise agricole qui pourrait enrichir les spéculateurs, et fortement précariser les consommateurs. Il est donc temps de stocker gentiment les produits agricoles à base de céréales, voire de cultiver celles-ci soi-même.L’explosion des prix agricoles à la production en un an est parfaitement illustrée par le graphique ci-dessus. Pour les céréales, pour un indice 120 début 2021 (indice 100 début 2019), les prix ont désormais grimpé en octobre à un indice proche de 150. En deux ans, les prix ont donc augmenté de 50%. Rappelons que l’indice 120 n’a été atteint qu’une seule fois à l’automne 2018.Autrement dit, le prix des céréales à la production bat actuellement des records historiques, très au-delà des scénarios connus ces dernières années. On y verra le signe d’une crise profonde. Source : Le Courrier des stratèges. 
  173. Pas d’évacuation d’une île où sévit une éruption volcanique dans les Caraïbes si vous n’êtes pas vacciné. Le gauchiste Chomsky déclare déjà qu’il faut enfermer les dangereux non-vaccinés. Et le misérable Berset, n’hésite pas à déclarer que tout sera de la faute des non-vaccinés : 
  174. Voir le remarquable article de Mathieu Slama: « Le non-vacciné est le bouc émissaire de la crise sanitaire ». 
  175. Étant taxé d’anti-vax, anti-masque et anti-PCR dans un courrier officiel de l’assistante du médecin cantonal à mon attention, je mesure chaque jour le naufrage de notre société. L’un des exemples ultimes étant —selon moi— l’adoption de noms comme « Avenue du Mondial » un peu partout dans les villes de France. Un beau recoupement d’agnotologie et du vieux principe panem circenses
  176. Voir par exemple ici quelques commentaires pertinents sur le discours à Harvard. 
  177. Voir Laïcié mère porteuse de l’Islam, par Odon Lafontaine. Article ici
  178. A son époque Caton l’Ancien concluait tous ses brillants discours par Delenda est Carthago ! Il faut détruire Carthage. « Il faut détruire le mondialisme » doit devenir notre devise, notre seul but si nous voulons que nos enfants vivent dans un monde libre. 



Selon l’Association des médecins sud-africains, le variant Omicron cause une «maladie bénigne»

[Source : RT France]

Muscles endoloris, fatigue et légère toux : le variant Omicron détecté en Afrique du Sud n’est à ce stade qu’une «maladie bénigne», selon l’Association des médecins sud-africains, qui s’interroge sur le «battage médiatique» qui a suivi sa découverte.

Alors que de sévères mesures restrictives commencent à être mises en place dans certains pays – comme en France – à la suite de la découverte du variant Omicron en Afrique du Sud, Angelique Coetzee, présidente de l’Association médicale sud-africaine, a tenu à relativiser sa dangerosité à ce stade.

« Il s’agit d’une maladie bénigne dont les symptômes sont des muscles endoloris et de la fatigue pendant un jour ou deux, durant lesquels on ne sent pas bien. Jusqu’à présent, nous avons constaté que les personnes infectées ne souffrent pas de perte de goût ou d’odorat. Elles peuvent avoir une légère toux. Il n’y a pas de symptômes proéminents. Parmi les personnes infectées, certaines sont actuellement traitées à domicile », a ainsi déclaré Angelique Coetzee, interrogée par Sputnik News.

La responsable a également fait savoir que les hôpitaux sud-africains n’ont pas été surchargés par les patients atteints par le variant Omicron, soulignant par ailleurs qu’il était nécessaire d’attendre de voir l’évolution des patients pour déterminer son réel niveau de menace : «Oui, la maladie est transmissible, mais pour l’instant, en tant que médecins, nous ne savons pas pourquoi il y a un tel battage médiatique, car nous sommes toujours en train d’étudier la question. Nous ne le saurons qu’après deux ou trois semaines, car certains patients ont été admis et ce sont des jeunes âgés de 40 ans ou moins.»

Ce que craint en revanche Angélique Coetzee, c’est que le variant ne frappe plus durement des personnes âgées non-vaccinées, et/ou des personnes souffrant de diabète ou de maladies cardiaques. Malgré tout, Angelique Coetzee a dans la foulée critiqué la décision de certains pays d’interdire les vols en provenance d’Afrique du Sud, la jugeant donc prématurée, car il n’y a pas assez d’informations sur le degré de dangerosité du variant. Après l’annonce de la découverte de cette nouvelle souche de Covid-19, les Etats-Unis, l’Union européenne, le Canada, Israël, l’Australie ont restreint les voyages en provenance de plusieurs pays d’Afrique australe pour raisons sanitaires.

L’Organisation mondiale de la santé a qualifié le 26 novembre la nouvelle souche sud-africaine de préoccupante, car elle serait porteuse d’un nombre élevé de mutations qui la rendraient plus transmissible et plus dangereuse. Le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies a noté le même jour qu’il existait «une incertitude considérable» concernant la «contagiosité», «l’efficacité des vaccins» ou encore «le risque de réinfection» du nouveau variant du coronavirus «Omicron».

[Note de Joseph Stroberg : tout ce cirque Covid provient essentiellement d’une vision très probablement erronée de la maladie depuis Pasteur qui a voulu à tout prix, y compris en recourant à la fraude, démontrer que les maladies étaient causées par des germes, ceci pour mieux vendre ensuite ses vaccins. Cependant cette vision des choses est de plus en plus contestée par des médecins et des chercheurs qui on su sortir de la religion pasteurienne. Voir notamment :
L’outil statistique maîtrisé démontre que la Covid et les maladies hivernales telles que la grippe ne sont pas des phénomènes de contagion, mais sont fortement corrélées à la température
Fauci et la grande arnaque du sida
L’escroquerie du SIDA (sidasante.com)
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
et les commentaires suivants repris depuis d’autres articles du site :

La propagande virale commence dès la formation universitaire largement chapeautée par Big Pharma depuis que Rockefeller s’est acharné en début de siècle dernier à éliminer toute école de pensée et toute médecine qui n’allait pas dans le sens de sa médecine chimique dérivée du pétrole. Et notamment la preuve d’un isolement véritable de virus sur un plan réellement scientifique, ainsi que la preuve expérimentale indubitable de contagions virales ou bactériennes avec expériences de contrôle ou contre-expériences n’ont jamais été fournies.
Il est maintenant largement avéré que la théorie des germes et son corollaire viral relèvent de fraude scientifique et de comportement religieux depuis au moins l’époque de Pasteur. Le présent site propose un large éventail d’articles et de sources qui tendent à démontrer tout ceci.
Le propre de la véritable science est la remise en question permanente des théories et des hypothèses à la lumière des nouvelles observations ou données et de faits mis à jour qui avaient jusqu’à une époque récente été maintenus cachés ou étouffés.
La théorie alternative du terrain et des exosome se révèle bien plus efficace et cohérente, sans « rustines », pour expliquer les maladies prétendument contagieuses, bactériennes ou virales. Et si elle était davantage prise en compte, elle ferait s’effondrer toute cette mascarade plandémique Covid et les mesures sanitaires nocives.

L’Event 201 prévoyait la mort de 65 millions d’individus dans leur simulation préalable à la pandémie. Cela n’a pas fonctionné comme prévu, car les virus ne sont probablement pas du tout ce que la plupart des virologues et autres experts ont cru toute leur vie sur la base de leur formation universitaire. Si un virus à ARN est en fait créé par la cellule pour expulser sous forme de déchet un brin d’ARN qui a fini son travail, alors modifier génétiquement un tel virus revient à modifier un déchet pour le réintroduire dans l’organisme, un peu comme si nous modifions chimiquement notre urine avant de la reboire. Au mieux, ça n’aurait pas bon goût et pourrait être plus ou moins nocif pour notre santé. Au pire, ça deviendrait un poison non naturel même si on y ajoutait une saveur de fraise. L’élément particulièrement dommageable dans leur tentative de réinjection du déchet (qu’eux pensaient être un méchant virus capable de se répliquer à l’intérieur d’une cellule) est la protéine spike que la chaîne d’ARN encapsulée parvient apparemment à commander au corps de produire, au moins chez certaines personnes et qui tend en particulier à se relier aux récepteurs ACE2 et à provoquer ainsi de sales dommages aux tissus cellulaires. Lorsque les virologues croient isoler un virus, ils commencent en fait par chercher à en produire en quantité suffisante en les cultivant à partir d’un tissu biologique supposé infecté dans une soupe contenant des cellules de singe vero (ou quelque chose d’équivalent) et divers produits chimiques dont des antibiotiques pour tuer les bactéries. Ils observent alors la production par les cellules de ces supposés virus fils qui selon eux proviendrait de la multiplication du virus infectant initial. Pourtant, avant cette tentative de multiplication virale dans l’espoir de pouvoir observer ensuite en quantité suffisante celui qui est ciblé, ils n’en trouvaient généralement pas suffisamment d’exemplaires sur le matériel infecté, alors qu’un malade de maladie virale est supposé en être envahi.

Ensuite, les virologues prennent cette soupe résultante et la passent à la centrifugeuse dans le but de séparer les couches de déchets génétiques selon leur densité et donc selon leur taille supposée. Ils isolent celle correspondant supposément au virus infectant qui selon eux doit avoir une composition génétique spécifique, une chaîne de nucléotides particulière. Parmi les millions de déchets viraux, ils auront en général d’assez fortes chances d’en trouver de très proches du matériel génétique ciblé.

Enfin, ils effectuent le « séquençage » génétique du matériel biologique récupéré dans la couche isolée et qui contient un grand nombre de bouts d’ARN et d’ADN. Ceci est la reconstitution logicielle d’un puzzle pour tenter de reconstituer la chaîne génétique intégrale du virus recherché. Ce faisant, ils doivent se baser sur le modèle génétique (également supposé) de ce dernier. Mais dans la pratique, il manque toujours des zones non remplies et d’autres qui ne cadrent pas sont éliminées. Le virus n’est quasiment jamais reconstitué ainsi à 100 %.

(Voir notamment : Déclaration sur l’isolement des virus)

Pour finir, le virologue Stefan Lanka a gagné un procès en cours suprême d’Allemagne pour démontrer la non-existence du virus de la rougeole. Pour ce faire, il a réalisé une contre-expérience à celle supposée démontrer la présence de virus dans la préparation partant d’un tissu supposément infecté par la rougeole. Il a fait la même chose dans une préparation parallèle, mais avec un tissu sain supposément non infecté. Eh bien celui-ci a produit les mêmes virus (déchets) que l’autre, car les conditions de mort cellulaires sont les mêmes dans les deux préparations : empoisonnement chimique et absence de nutriment. Les « virus » se sont multipliés pareillement dans les deux alors que dans l’une il n’y avait pas de virus de rougeole présents.

(Voir notamment Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
et Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
avec les liens inclus)

Pour résumer : le virus trafiqué génétiquement a été mis au point pour tuer massivement, mais comme les virus ne sont pas ce que les virologues croient, ça n’a pas donné les résultats escomptés.

Qu’à cela ne tienne, les vaccins prennent le relais.
Les poisons sont cette fois directement injectés dans le corps.

En sciences pures telles que la Physique, les chercheurs qui ne sont pas soumis à des lobbies, à des pressions de leur hiérarchie, à ces idéologies ni à des conflits d’intérêts (s’il en existe encore) tendent à considérer qu’une bonne théorie est non seulement cohérente et applicable aux situations connues de son cadre d’études, mais qu’elle doit aussi être prédictive et donc notamment capable de prévoir des situations inconnues et de les expliquer efficacement. Et donc, si une théorie existante se révèle incapable d’expliquer si possible simplement une nouvelle situation, c’est qu’elle doit au minimum être révisée et subir de nouveau la démarche scientifique. Dans des cas flagrants d’incapacité descriptive ou prédictive, elle devrait même être carrément abandonnée.

Sous le regard d’un physicien, la théorie virale se révèle être à l’image d’une chambre à air percée de nombreux trous : ses incapacités à expliquer simplement certains phénomènes qui pourtant entrent dans le cadre de ses objets d’étude. Au lieu de cela, elle s’est empressée de coller des rustines, dans l’espoir de maintenir le pneu en état de marche.

Les scientifiques purs ont également souvent tendance à considérer que la meilleure théorie explicative d’un phénomène ou d’un ensemble de phénomènes est celle qui y parvient le plus simplement, en appliquant notamment le principe du Rasoir d’Ockham selon lequel il vaut mieux éliminer rapidement les explications les plus improbables ou les plus tirées par les cheveux. En appliquant ceci aux phénomènes apparemment épidémiques qui dans la pratique peuvent être fulgurants et toucher en un bref laps de temps un très grand nombre d’individus, il y a ainsi une explication plus simple que celle de « virus non vivants » censés pirater le matériel génétique de cellules vivantes pour s’y multiplier et ainsi amener la mort de ces dernières puis la maladie et/ou la mort de l’hôte. De plus, la théorie virale n’explique pas comment il peut y avoir des malades d’une maladie prétendument virale sans qu’on lui trouve les virus associés. Elle n’explique pas non plus pourquoi certaines personnes portent un grand nombre de certains virus sans pour autant avoir la maladie qu’ils sont censés donner. En d’autres termes, les virus ne respectent pas du tout les postulats de Koch et de Rivers qui sont pourtant les conditions indispensables à la démonstration scientifique objective d’une maladie contagieuse d’origine virale. Mais au lieu de chercher une meilleure théorie, les virologues et autres experts du domaine ont préféré abandonner ces postulats dérangeants sous un fallacieux prétexte et ajouter une nouvelle rustine, le concept de « malades asymptomatiques », sachant que celui-ci revenait logiquement à affirmer que des personnes en bonne santé étaient en fait des malades qui s’ignoraient !

L’explication la plus simple est la suivante : les malades ont été exposés à la même source d’intoxication et celle-ci peut être éventuellement multifactorielle. Ou dans d’autres cas, ces apparentes contagions proviennent d’une situation de malnutrition endémique commune à l’ensemble d’une population ou d’un groupe d’individus. Et bien sûr, il existe des situations qui combinent à la fois des déficiences alimentaires plus ou moins graves ou dramatiques et des sources d’empoisonnement.

Parmi les sources d’intoxication, on peut notamment trouver :
• les additifs alimentaires ;
• les toxines produites par des bactéries sous certaines conditions non souhaitables ;
• les toxines produites par des moisissures ;
• les toxines ou les venins produits par certains animaux (notamment des insectes tels que les punaises de lit) ;
• les adjuvants vaccinaux ;
• les produits ménagers ;
• les cosmétiques artificiels ;
• les polluants atmosphériques ;
• les matières plastiques ;
• les médicaments produits par l’industrie pharmaceutique ;
• les thérapies géniques ;
mais aussi :
• la peur, la haine, la colère et d’autres émotions négatives ;
• le stress ;
• les pensées négatives qui tendent à rendre dépressif ou déprimé ;
• les ondes électromagnétiques, spécialement lorsqu’elles sont pulsées (Bluetooth, Wi-Fi, 2G, 3G, 4G, 4G+, 5G…), à cause en particulier des phénomènes physiques tels que l’induction magnétique et la résonance qui peuvent amener des effets voisins de ceux des rayonnements ionisants (notamment des altérations du matériel génétique et des cancers). Il existe des milliers d’études, notamment indépendantes, qui tendent à démontrer l’impact de telles ondes sur la santé (humaine, animale et/ou végétale).

(On peut également ajouter le froid comme facteur d’affaiblissement du corps, au même titre que la malnutrition).

Les observations de différents chercheurs en médecine tendent à montrer que la protéine Spike artificielle contenue dans plusieurs sortes de « vaccins » anticovid représente en fait une toxine pour les cellules humaines. De plus celle-ci est amenée à être produites par les cellules du corps elles-mêmes, au risque de provoquer des maladies auto-immunes.

Pour en revenir aux virus, le fait que parfois (mais pas du tout systématiquement) on en trouve en grand nombre dans l’organisme d’un malade de la maladie associée ne signifie pas du tout nécessairement qu’ils soient la cause de cette dernière, pas davantage que les mouches sont la cause des bouses de vache ou des ordures alors qu’on en retrouve en été presque systématiquement à ces endroits. Corrélation ne signifie pas nécessairement causalité. Et il arrive que l’on prenne les effets pour les causes.

Parlant de la Covid-19 (qui objectivement n’est qu’un ensemble de symptômes supposés représenter une maladie virale), il a justement été observé une forte corrélation entre les lieux d’implantation de la technologie 5G et ceux d’explosion apparente de l’épidémie, spécialement Wuhan, la Corée du Sud et Saint-Marin au départ. Pour s’assurer que la 5G soit effectivement l’une des principales causes de cette « maladie », il faudra systématiquement comparer les lieux et dates d’implantation dans les différents pays qui l’utilisent et les lieux et dates des foyers « épidémiques » ou de « contagion » apparente.

Il existe une forte similitude de symptômes entre les effets de certaines ondes électromagnétiques et la Covid-19, y compris dans sa forme appelée « longue » qui correspond typiquement aux symptômes d’exposition aux micro-ondes.

Il existe également des similitudes de symptômes entre les effets attribués à la protéine Spike et ceux de la Covid-19.

Le corps humain n’avait jamais été exposé aux rayonnements 5G jusqu’à une période récente, et lorsque l’on connaît les effets biologiques possibles d’ondes électromagnétiques, il est compréhensible que l’apparition de cette nouvelle technologie se soit accompagnée dans les semaines ou les mois suivants d’une nouvelle forme de « maladie », baptisée Covid-19 et attribuée à tort à un virus qui par ailleurs n’a jamais été réellement isolé au sens pur et physique du terme et surtout jamais expérimentalement démontré comme pouvant être la cause d’une telle maladie.

Le corps humain est un organisme merveilleux et sophistiqué qui est capable de s’adapter à de nombreux défis environnementaux, mais les organismes plus faibles peuvent mourir et d’autres devenir malades, le temps que le mécanisme d’adaptation fasse son œuvre et se purifie des effets délétères de l’agression subie.

Lorsque l’on analyse les courbes épidémiques depuis maintenant plus d’un an et demi, on relève tout au plus deux pics « épidémiques » qui correspondent en réalité très probablement à l’impact initial de la mise en route de la technologie 5G, puis à l’effet des mesures sanitaires stressantes qui ont eu un impact négatif par différents facteurs (notamment émotionnels, mais aussi physiques comme le port d’un masque qui augmente le taux de CO2 dans le sang tout en réduisant celui d’oxygène), sans compter les aînés pratiquement euthanasiés dans certains pays comme la France et le Québec. Les autres prétendues vagues n’existent que dans l’imagination des propagandistes médiatiques et gouvernementaux.

Pour conclure cette longue note, le présent site contient un grand nombre d’articles à l’appui des idées présentées et toute personne curieuse pourra se faire sa propre opinion concernant les causes réelles de la maladie Covid et de l’explosion de morts suite aux vaccinations qui sont présentées ici comme sources multiples de toxines.]

Les prétendus « variants » ne représentent que des variations des exosomes produits par le corps selon les conditions d’intoxication de ce dernier par divers poisons (dont les ondes électromagnétiques pulsées telles que la 5G) et selon les différents individus et groupes ethniques affectés. Les chercheurs ne trouveront probablement jamais 2 variants ou virus absolument identiques, sachant que leur séquençage ne parvient pas à reconstituer 100 % du modèle viral utilisé comme référence.]




Chantage du pseudovaccin expérimental pour les enfants ! STOP au massacre des jeunes

Par Nicole Delépine

Nous avons vu à de nombreuses reprises que rien ne justifie une injection anticovid chez des jeunes qui risquent moins du covid que d’une grippe saisonnière.

Mais le pire est que ces injections sont dangereuses.

Après l’injection, ils ne seront plus à risque zéro, car personne ne connaît les effets à long terme des injections géniques et il existe beaucoup de craintes sur la deuxième génération, si la stérilité ne la réduit pas sensiblement.

Voici le résumé des effets secondaires du vaccin Pfizer via EudraVigilance chez l’enfant publié à ce jour 3 décembre.

Et en ce 3 décembre, le site de Robert Kennedy « the defender » publie :

« Un enfant de 5 ans est décédé 4 jours après le vaccin de Pfizer » et en profite pour revoir les accidents publiés par le VAERS

Effets secondaires de tous groupes d’âge depuis le début des injections géniques

Les données VAERS publiées par les Centers for Disease Control and Prevention comprenaient un total de 927 740 rapports d’événements indésirables de tous les groupes d’âge à la suite de vaccins contre la COVID, dont 19 532 décès et 146 720 accidents graves entre le 14 décembre 2020 et le 26 novembre 2021.

Par Megan Renshaw relatée par « the Defender »

En excluant les « rapports étrangers » au VAERS, 672 373 événements indésirables, dont 8 986 décès et 57 143 accidents graves, ont été signalés aux États-Unis entre le 14 décembre 2020 et le 26 novembre 2021.

Les rapports étrangers sont des rapports reçus par les fabricants américains de leurs filiales étrangères. En vertu de la réglementation de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, si un fabricant est informé d’un rapport de cas étranger décrivant un événement à la fois grave et n’apparaissant pas sur l’étiquetage du produit, le fabricant est tenu de soumettre le rapport au VAERS.

Sur les 8 986 décès aux États-Unis signalés au 26 novembre, 20 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 26 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 61 % chez les personnes qui ont présenté des symptômes dans les 48 heures suivant la vaccination.

Aux États-Unis, 454 millions de doses de vaccin contre la COVID avaient été administrées au 24 novembre. Cela comprend 264 millions de doses de Pfizer, 173 millions de doses de Moderna et 16 millions de doses de Johnson & Johnson (J & J). Chaque vendredi, le VAERS publie des rapports d’accidents par vaccin reçus à une date précise.

Les rapports soumis au VAERS nécessitent une enquête plus approfondie avant qu’un lien de causalité puisse être confirmé. Historiquement, il a été démontré que le VAERS ne signalait que 1 % des effets indésirables réels du vaccin.

Les données Vaers américaines du 14 décembre 2020 au 26 novembre 2021 pour les 5 à 11 ans montrent :

Le décès le plus récent concerne une jeune fille de 16 ans de Géorgie (VAERS I.D. 1865389) qui serait décédée d’une maladie cardiaque et d’une défaillance multiviscérale deux jours après avoir reçu le vaccin COVID de Pfizer.

2 586 événements indésirables, dont 34 jugés graves et 2 décès signalés. Un décès est survenu chez une fillette de 11 ans de Géorgie vaccinée le 14 septembre, avant l’autorisation du vaccin COVID de Pfizer dans le groupe d’âge de 5 à 11 ans.

Le deuxième décès (VAERS I.D. 1890705) est survenu chez une fillette de 5 ans décédée quatre jours après avoir reçu sa première dose de Pfizer.

Dans le groupe d’âge des 5 à 11 ans, 1 581 événements indésirables ont été signalés depuis le 1er novembre.

Pour les jeunes de 12 à 17 ans les données Vaers américaines du 14 décembre 2020 au 26 novembre 2021 rapportent :

23 871 événements indésirables, dont 1 453 jugés graves et 31 décès signalés. 60 rapports d’anaphylaxie chez les 12 à 17 ans où la réaction était mortelle, nécessitait un traitement ou entraînait la mort — avec 96 % des cas attribués au vaccin de Pfizer.

563 rapports de myocardite et de péricardite (inflammation cardiaque) avec 553 cas attribués au vaccin de Pfizer.

139 rapports de troubles de la coagulation sanguine, tous les cas faisant l’objet d’une imputation à Pfizer.

QUI OSE ENCORE PIQUER DES ENFANTS QUI SONT À RISQUE ZÉRO DU COVID ?

Comment vivrez-vous un « accident » ? Un pass pour voyager en famille, aller au restaurant ou pour le laisser au sport vaut-il le risque ?

Il ne faut jamais céder aux chantages, car en le faisant on montre qu’on est faible et on encourage ainsi les maîtres chanteurs à récidiver et à vous en demander toujours plus.

Ceux qui ont cru être tranquilles en acceptant deux injections le vérifient aujourd’hui avec la troisième (avant la quatrième).

Il faut savoir dire NON

Les petits n’ont pas mérité cela ! Qu’on se le dise, à temps…

Macron et ses conseillers ont lu Voltaire et en ont retenu une citation :

Les Français ne sont pas faits pour la liberté : ils en abuseraient.




Du Molnupiravir pour moins mourir?

[Source : AIMSIB]

La France vient de franchir un nouveau pas décisif dans la pratique de la junk-médecine en achetant des doses massives de Molnupiravir, molécule opportunément exhumée d’une poubelle de laboratoire où elle croupissait depuis 40 ans tellement elle présentait de risques mutagènes. Mais aujourd’hui où tout est autorisé dans l’intérêt des industriels alors ce produit ressort, accompagné d’études qui ne font qu’à peine masquer son caractère … mortel. Signe des temps, Merck ne s’encombre même plus de mensonges lénifiants, en cas de scandale médical il aura beau jeu d’expliquer avoir d’emblée joué cartes sur table. Pour l’imbécile d’acheteur ce n’est pas grave non plus, puisque l’acheteur, c’est personne. Merci à l’équipe des rédacteurs de ReinfoCovid pour avoir travaillé sur cette information incroyable. Quel consommateur va bien vouloir traiter son rhume à domicile avec un produit pareil(([1] Commercialisé sous le nom de Lagevrio© 200mg, posologie fixe de 4 gélules toutes les 12H pendant 5 jours. Aucune AMM valide au 05/12/2021. Provisoirement totalement interdit en cas de grossesse ou d’allaitement, comme les vaccins anti-covid au début et puis… Parmi les effets indésirables les plus courants  décrit par Merck : « (≥ 1 % des sujets) signalés pendant le traitement et pendant 14 jours après la dernière dose figuraient la diarrhée (3 %), les nausées (2 %), les étourdissements (1 %) et les maux de tête (1 %), tous de grade 1 (léger) ou de grade 2 (modéré) ». Indication thérapeutique : traitement des adultes infectés par le SARS-CoV-2 qui ne nécessitent pas de supplémentation en oxygène, et à risque de forme grave. Dernière infommerciale grand public afin de conserver les AMMc aux vaccins anti-covid: « Le Molnupiravir ne remplace pas la vaccination mais est complémentaire »
https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-maladies/2754447-molnupiravir-covid-lagevrio-merck-france-prix-composition-effet-secondaire-danger/)) à 700$ la passe, mais de toute façon c’est encore personne qui paye. Combien on peut acheter de boîtes d’IVM avec un seul traitement
?

Résumé :
• Merck a annoncé début octobre 2021 que son nouveau traitement diminuait de 50 % les hospitalisations ou décès dus à la COVID-19
• Le 26 novembre 2021, Merck communiquait les résultats finaux de ses tests, annonçant cette fois une diminution de 30 % des hospitalisations ou décès
• L’analyse des données communiquées indiquent que, sur la seconde partie de l’essai, l’effet du Molnupiravir est en fait inférieur au placebo, le risque de décès augmentant de 25 %

Analyse des données de Merck

Le travail présenté ici reprend les analyses de Leo Goldstein,(([2] https://defyccc.com/wp-content/uploads/Molnupiravir-Inferior-to-Placebo.pdf)) qui a étudié les données communiquées par voie de presse par Merck sur les résultats de son essai clinique sur le Molnupiravir, premier traitement précoce développé contre la COVID-19.

Merck a annoncé dans un premier temps (le premier octobre 2021)(([3] https://www.merck.com/news/merck-and-ridgebacks-investigational-oral-antiviral-molnupiravir-reduced-the-risk-of-hospitalization-or-death-by-approximately-50-percent-compared-to-placebo-for-patients-with-mild-or-moderat)) une diminution du risque d’hospitalisation ou de décès de 48 % suite au traitement de patients en début d’infection COVID-19 lors de leur essai clinique de phase III « MOVe-OUT » sur le Molnupiravir. Ce résultat, bien qu’intérmédiaire, est validé par la FDA (Food and Drug Administration) américaine, organisme fédéral qui autorise (ou non) la commercialisation des médicaments. ~50 % de diminution des risques n’est certes pas parfait mais reste cependant encourageant.

Dans un second temps (le 26 novembre 2021),(([4] https://www.businesswire.com/news/home/20211126005279/en/Merck-and-Ridgeback-Biotherapeutics-Provide-Update-on-Results-from-MOVe-OUT-Study-of-Molnupiravir-an-Investigational-Oral-Antiviral-Medicine-in-At-Risk-Adults-With-Mild-to-Moderate-COVID-19)) Merck complète les données de son essai clinique en y incluant les résultats obtenus après les données de la première communication. La période ajoutée correspond à l’arrivée du variant Delta, absente précédemment.

Ainsi, en compilant l’ensemble des données, la diminution du risque d’hospitalisation ou de décès a diminué à 30 %, ce qui limite d’autant l’espoir créé par ce traitement précoce, déjà terni par le risque d’effets indésirables probables, comme présenté par ailleurs.(([5] https://reinfocovid.fr/science/pfizer-et-merck-quen-est-il-de-leurs-nouveaux-traitements-precoces/))

Cette baisse est pour le moins surprenante, et sa cause n’est pas expliquée. Leo Goldstein (([2] https://defyccc.com/wp-content/uploads/Molnupiravir-Inferior-to-Placebo.pdf)) a épluché les chiffres communiqués, ce qui lui a permis de reconstruire les résultats de la seconde phase de l’essai. Ces données sont reprises ci-dessous :

On voit en rouge l’issue de la seconde partie de l’essai. Ces chiffres correspondent à la différence entre les chiffres Essai 1+2 et Essai 1. On calcule ainsi aisément que lors de la phase d’essai #2, 6,17 % des patients traités Molnupiravir ont connu une hospitalisation ou un décès, contre 4,66 % pour le groupe patients non traités (placebo).

Ceci représente une AUGMENTATION du risque d’hospitalisation ou de décès de 25 % pour les patients traités avec le Molnupiravir par rapport aux patients non traités (placebo).

Lagevrio©200mg, Laboratoire Merck

Conclusion

Nous avons ici la démonstration, à partir des données fournies par la société Merck elle-même, que ce traitement précoce déjà recommandé par l’Agence Européenne du Médicament en dépit de l’absence d’autorisation de mise sur le marché par l’Europe,(([6] https://www.ema.europa.eu/en/news/ema-issues-advice-use-lagevrio-molnupiravir-treatment-covid-19)) et précommandé par de nombreux pays, est, dans le meilleur des cas, peu efficace, et, dans le pire des cas, toxique !

Ceci est douloureusement réminiscent de la saga des 500.000 doses de Remdisivir commandées par l’Europe juste avant que l’OMS, le 20 novembre 2020, en déconseille son utilisation au vu de son absence d’efficacité et des risques d’effets indésirables(([7] https://www.who.int/fr/news-room/feature-stories/detail/who-recommends-against-the-use-of-remdesivir-in-covid-19-patients)). Ainsi, après Gilead, Merck nous démontre l’incroyable puissance de persuasion que peuvent avoir ces géants de l’industrie pharmaceutique sur la gestion de la santé publique au niveau planétaire.

On aimerait pouvoir espérer que ce type de « lobbying sanitaire » ne se reproduira plus. Ce qui est sûr, c’est que la marge de progrès dans ce sens est grande…

Collectif ReinfoCovid
Décembre 2021

Trafic opportun de description du Molnupiravir sur Wikipedia

Notes et sources




Espagne — Le colonel Martínez-Vara demande la suspension immédiate de la vaccination contre le COVID-19 dans les forces armées et dans la population civile en général

[Source : profession-gendarme.com]

La nouvelle rapportée par Ramblalibre peut revêtir une importance particulière dans le domaine militaire, mais aussi en raison des arguments que ce colonel présente pour demander la suspension immédiate de la vaccination contre le Covid dans les forces armées.
Carlos Martínez-Vara, chef de la section des hautes études de l’École supérieure des forces armées (ESFAS), du Centre supérieur d’études de la défense nationale (CESEDEN), et colonel EA (CGEO), a écrit un texte que nous avons sauvé pour nos lecteurs :


La population espagnole, tant dans la sphère civile que militaire, reçoit la recommandation des autorités sanitaires d’être vaccinée contre le Covid-19 avec des médicaments de différents fabricants, qui, bien qu’ils n’aient pas encore été formellement approuvés, sont administrés dans le cadre de la loi sur la protection de l’environnement.
L’Agence européenne des médicaments (AEMPS) a délivré une autorisation conditionnelle de mise sur le marché en urgence.

Il existe suffisamment de publications dans la littérature scientifique où sont présentées des analyses et des études réalisées sur ces médicaments, dont les conclusions mettent en garde contre le risque pour la santé des êtres humains à cause de la présence de matières toxiques dans les flacons utilisés. À cet égard, le 2 novembre, le Dr Pablo Campra Madrid, professeur à l’université d’Almeria, a publié une étude spectroscopique micro-Raman réalisée sur un échantillon aléatoire de flacons de vaccins Covid-19 commercialisés par diverses entreprises pharmaceutiques (Pfizer, Moderna, Janssen et Astra Zeneca), dans laquelle il a conclu qu’il avait détecté des objets qui “correspondent sans équivoque à de l’OXYDE DE GRAPHÈNE RÉDUIT”.

Bon nombre des effets indésirables graves, très graves et mortels qui ont été signalés en relation avec l’administration des vaccins susmentionnés au système européen de notification des effets indésirables associés aux médicaments, EudraVigilance, (infarctus, myo/péricardite, troubles de la coagulation/troubles vasculaires, troubles du système respiratoire, troubles du système reproducteur, troubles immunitaires, troubles rénaux, troubles hépatiques, cancer, etc.), sont compatibles avec les effets indésirables qui pourraient résulter de la présence d’oxyde de graphène réduit dans les vaccins.

Non moins inquiétante est l’étude réalisée par le Dr Sergio J. Pérez Olivero, dont le rapport du 3 octobre intitulé “ÉTUDE DE LA PANDÉMIE — ANALYSE SCIENTIFIQUE INDÉPENDANTE” conclut que ces vaccins affaiblissent le système immunitaire, car la protéine S, entre autres effets négatifs, “modifie la signalisation cellulaire en se liant au récepteur ACE2, ce qui signifie qu’elle ordonne à la cellule de modifier ses fonctions, ce qui est particulièrement grave dans les cellules immunitaires, car cela les rend inefficaces, facilitant les processus inflammatoires et la susceptibilité à la maladie par tout pathogène”. En d’autres termes, selon ce rapport, la population diminue progressivement ses défenses contre toute maladie en endommageant directement le système immunitaire avec cette protéine.

Ces rapports sont étayés par la plus grande rigueur scientifique, corroborés par les données de pharmacovigilance du système américain VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) et soutenus par des conclusions similaires rapportées par des lauréats du prix Nobel, les créateurs mêmes de la technologie des vaccins à ARNm et les plus grands professionnels biomédicaux du monde dans le domaine de l’immunogénétique dans des pays tels que les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Allemagne, la France, le Japon et la Chine, entre autres.
Cette immunité naturelle est sans aucun doute supérieure à l’immunité induite par les vaccins, car elle comprend les défenses immunitaires innées, et il n’y a aucun avantage prouvé à ce jour à administrer ces vaccins à des personnes qui ont naturellement développé des anticorps parce qu’elles ont vaincu la maladie. Au contraire, les autorités scientifiques en immuno-épidémiologie estiment que cette stratégie compromettrait le statut immunitaire de la population en rendant l’immunité de groupe de plus en plus inaccessible, ce qui conduirait non seulement à une situation de dépendance perpétuelle, mais aussi à un affaiblissement progressif de la réponse immunitaire de la population avec des conséquences hautement indésirables.

Cependant, et de manière incompréhensible, l’administration d’au moins une dose est imposée au sein des forces armées afin de pouvoir effectuer une commission de service, à bord ou à l’étranger, sans qu’une prescription médicale soit requise, qu’une information détaillée soit fournie ou qu’un consentement éclairé précède cette inoculation.
Cette circonstance très irrégulière n’est pas régie par des critères scientifiques et constitue une violation d’innombrables droits, favorisant même la discrimination et autres préjugés à l’encontre des militaires qui, faisant appel à leur éthique personnelle, ne se conforment pas à cet ordre. Cette situation produit un conflit d’obéissance évident chez les militaires qui, étant en bonne santé ou ayant même développé des anticorps contre le Covid-19, souhaitent remplir leurs obligations professionnelles dans le cadre constitutionnel.
Les lots de vaccins actuellement commercialisés en Espagne n’ont pas été analysés par les laboratoires de l’Agence espagnole des médicaments et des produits de santé, n’ayant été permis qu’à travers des procédures de révision documentaire, malgré le risque clinique potentiellement grave ou très grave pour la population que représenterait la présence de particules étrangères dans des préparations parentérales liquides telles que les vaccins précités.

Le Ministère de la Défense dispose, pour des raisons de sécurité nationale, d’une méthodologie supplémentaire et indépendante dans le domaine de la réception et du contrôle de qualité des matériaux qui exige un échantillonnage significatif selon un échantillonnage de référence établi, dans le respect des spécifications définies et l’approbation des lots avec la signature d’un responsable. Il est également entendu que cette procédure d’acceptation est répétitive chaque fois qu’un nouveau lot est généré, exigeant dans tous les cas la transparence du fournisseur pour un audit par les Responsables de la Qualité du Ministère de la Défense pour recueillir les données et les résultats des essais du fabricant et du fournisseur, et l’analyse des échantillons choisis dans chaque lot, sans procéder à l’utilisation de ces lots jusqu’à leur approbation par les Responsables de la Qualité du Ministère de la Défense.
Le Service de Pharmacologie du SAF a la capacité technique de réaliser les analyses pertinentes des flacons des vaccins susmentionnés ou de superviser la correction de ceux qu’il sous-traite afin de vérifier l’absence de toute toxicité qui pourrait affecter la qualité et la sécurité des vaccins.

La présence de ces éléments dans un vaccin constituerait une violation de l’obligation pour les laboratoires pharmaceutiques qui fabriquent et/ou importent les vaccins susmentionnés de respecter les exigences établies par le chapitre IV du décret royal 824/2010 du 25 juin (qui réglemente les laboratoires pharmaceutiques, les fabricants de principes pharmaceutiques actifs et le commerce extérieur des médicaments et des médicaments expérimentaux) consacré aux normes de bonnes pratiques de fabrication. Cela impliquerait également une non-conformité avec la Pharmacopée européenne concernant la présence de particules dans les préparations parentérales ».

Compte tenu de ce qui précède, le colonel demande :

  1. que les instructions pertinentes soient données, au sein du ministère de la Défense ou en coordination avec d’autres entités de l’administration de l’État, afin que des contre-analyses soient réalisées sur des lots aléatoires des inoculations actuellement administrées aux forces armées et à la population espagnole. Le Dr Campra lui-même propose dans le rapport précité d’effectuer « d’autres analyses en utilisant la technique décrite ou d’autres techniques complémentaires basées sur un échantillonnage significatif qui permettraient d’évaluer le niveau de présence de matériaux à base de graphène dans ces médicaments avec une signification statistique adéquate, ainsi que leur caractérisation chimique et structurelle détaillée ».
    Ce contrôle de qualité doit exiger, outre l’échantillonnage, la collecte de la documentation pertinente et des certificats d’analyse auprès du fabricant ou de l’importateur. Les membres de la FAS font preuve d’un degré de confidentialité qui ne met pas en danger les secrets que les entreprises de fabrication de produits pharmaceutiques veulent garder. Des échantillons de chaque lot doivent également être conservés pour analyse, même après acceptation et utilisation, pendant une période suffisante, afin de garantir les contre-preuves pertinentes en cas de procès ou de réclamations devant les tribunaux militaires ou civils visant à établir la responsabilité de ceux qui ont accepté les lots comme étant sans risque.
  2. La campagne actuelle de vaccination contre le Covid-19 dans les forces armées et dans la population doit être arrêtée par mesure de précaution, tant que les doutes sur la présence d’oxyde de graphène réduit et d’autres particules et éléments potentiellement toxiques pour la santé ne seront pas levés.
    Pour les références aux documents cités par le Colonel, cliquez ici.

Source : Diario16




Il faut cesser le massacre par l’injection, toutes affaires cessantes

Par Nicole Delépine

Résumé 

Les enfants ne meurent pas du Covid. Ils ne contaminent ni les autres enfants, ni les adultes et leur injection ne protègent pas les autres.

L’épidémie de Covid est terminée, entretenue seulement par la multiplication abusive des tests PCR fallacieux imposée par le pouvoir, aboutissant à une épidémie de tests, mais pas de malades, comme le démontre le site officiel Sentinelles et santé publique France.

L’injection est dangereuse et d’autant plus que la personne est plus jeune et ainsi particulièrement les petits enfants et les bébés. Elle ne protège pas des formes graves, notion inventée et entretenue par le comptage des vaccinés récents (ceux qui viennent de recevoir leur première dose, les plus à risque de complications précoces) dans le groupe des soi-disant « non-vax ».(([1] Compté comme vax seulement quinze jours après la deuxième dose.))

Les accidents et les décès se multiplient gravement car le nombre de doses est le poison.

Exigeons la fin des mesures liberticides injustifiées car épidémie terminée et l’arrêt complet des injections expérimentales.


Au-delà du fait que l’épidémie stricto sensu de covid 19 n’existe plus, que la première vague fut une grippe habituelle qui n’aurait pas donné tant de morts sans interdiction des médicaments habituels ( antibiotiques, hydroxychloroquine etc.), ni euthanasie cachée des plus âgés, l’injection ne sauve personne et tue trop souvent tout en laissant des handicapés à vie dont personne ne parle.

Lire le résumé d’Alain Tortosa :

Et chaque jour, ne regardez plus la télé, n’écoutez plus les radios main stream qui relaient la propagande terrorisante du gouvernement, examinez les données de l’OMS, du réseau sentinelle et de santé publique France qui montrent qu’en novembre 2021, nous restons à des valeurs basses de 12/100000 contre 600/100000  pour les vraies épidémies de grippe des années passées.  Il existe effectivement d’autres viroses dont des grippes en ce moment, mais le tout est étiqueté covid grâce aux prescriptions injustifiées des tests PCR chez des asymptomatiques (faussement positifs dans 97% des cas), montrant toutes sortes d’autres virus ou de résidus et d’amplification trop élevée, malgré les consignes de l’OMS et de la société française de microbiologie. « Stop PCR » «liberté » sont les slogans à adopter dans les manifestations.(([2] https://www.mondialisation.ca/definition-trompeuse-des-vaccines-pour-pretendre-que-linjection-genique-protegerait-des-formes-graves/5662732))(([3] Et la dictature créa le PCR pour nous soumettre… – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Épidémie terminée :

Écoutez Laurent Toubiana  sur la 5ème vague  https://youtu.be/diFch8bNCdQ dont l’article a été censuré par Mediapart  (pour ceux qui croiraient encore à l’indépendance de ce journal faux nez de « la bonne opposition ».

En ce qui concerne les enfants, l’extorsion de consentement s’intensifie.(([4] tortosa20211202-fausse-vague-enfant-extorsion-vaccination (7milliards.fr) ))

« Selon Sentinelles le taux d’incidence des IRA tous âges confondus est de 142 pour 100 000 habitants, 58% de vaccinés, 8,3% positifs au Sars-cov2 ; le taux d’incidence de sars-cov2 est de 22. »

« En semaine 2021-46 le taux de positivité au Sars-cov2 des patients consultant pour une IRA était de 6%… chez les 0-14 ans »

Taux d’incidence de 160 Infections Respiratoires Aiguës pour 100 000 chez les 5-14 ans.

En France les courbes de l’OMS montrent clairement que l’épidémie n’est plus menaçante.

Le taux d’incidence Sars-cov2 pour les enfants est quant à lui de 18 pour 100 000. Ce qui signifie que 94% des enfants qui sont allés consulter un médecin la semaine dernière pour des symptômes grippaux et autres infections respiratoires n’étaient PAS positifs au Covid !

Tandis qu’en semaine 46 les autorités sanitaires font exploser le nombre de tests chez les 0 à 9 ans à un niveau jamais atteint ! Soit 146 000 dans la journée du 26 novembre versus 9000 le 6 novembre16 fois plus. Le nombre de positifs croît en conséquence (plus on fait de tests, plus on trouve de personnes positives). De fait on fait exploser le taux d’incidence qui est le nombre de positifs pour 100 000 habitants. Les autorités parviennent à un taux d’incidence artificiel de 210 cas pour 100 000 chez les 0-9 ans ! Pendant ce temps le réseau Sentinelles nous rapporte un taux d’incidence d’enfants ayant des symptômes grippaux ET positifs au Pcr SARS-CoV-2 de 18 pour 100 000 habitants (12 fois moins). Pour ce réseau, nous sommes à des années-lumière d’une épidémie de Covid chez les enfant » et pour l’OMS aussi.

PSEUDOVAX inutile : lire les bilans sanitaires de  Gérard Delépine dans les pays vaccinés (avec haute mortalité dans les deux mois qui suivent les vagues vaccinales et oubli du covid dans les pays non vaccinés comme l’Afrique.(([5] https://reseauinternational.net/lafrique-test-geant-pour-la-chloroquine-comparaisons-des-mortalites-covid-entre-lafrique-et-leurope/
Pseudo-vaccins ou Artémisine ? Les Seychelles versus Madagascar – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Lire aussi que la dernière antienne de pascal Praud pour sauver ses convictions ébranlées est : le vaccin sauve des vies. Malheureusement l’analyse est fausse grâce à un nième mensonge des médias, le calcul fallacieux des « non vax ».

Pour faire croire que les hospitalisés, voire les morts ne sont pas vax, ils truquent les comptes : en ne comptant comme vaccinés que les personnes au-delà du quinzième jour après la deuxième dose. Comme la mortalité des vaccinés culmine dans les deux mois qui suivent la première injection, l’estimation de la mortalité des injections est gommée et on hospitalise les vaccinés une dose et les vaccinés deux doses de moins de quinze jours en les affublant du qualificatif « non vax » qui rassure Pascal Praud sur ses choix.  Très forts dans le mensonge, nos bourreaux.(([6] Définition trompeuse des « vaccinés » pour prétendre que l’injection génique protègerait des formes graves | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation ))

Bénéfices indécents des milliardaires du pseudovax : mille euros par vaxx et par seconde ! bénéfices indécents des défenseurs de la vax chez les enfants comme ce pédiatre canadien qui a touché deux millions de dollars ; Sa parole vaut de l’or. Celle de Karine Lacombe et Gilbert Deray dix fois moins chers (mais pas mal de smic tout de même).

Tragiques effets secondaires chez les vax, et de plus en plus nombreux chez les plus jeunes dont le système immunitaire

N’en avez-vous pas assez d’entendre ou lire chaque jour le décès d’une personnalité du monde médical ou politique (comme tout récemment cet assistant de Castex) comme ce pianiste anglais de 40 ans particulièrement doué, semble-t-il, ou le décès (un de plus) d’un jeune footballeur (la FIFA dit avoir comptabilisé une hausse de 440% de chute sur les stades en neuf mois) ?

Ou bien même n’avez-vous aucune compassion pour la chute brutale de Céline Dion qui ne peut plus faire de concert, et semble-t-il ne se lève plus de son lit et peut à peine avaler entre paralysies et spasmes insupportables. Même si elle était tombée dans le piège de la pub au vax offrant des places gratuites aux enfants qui se vaccineraient, cela est bien tragique et on ne peut lui en vouloir, car elle a été trompée par le slogan de certains cardiologues parisiens, « faites confiance à la science »

N’en avez -vous pas assez d’apprendre ce jour les drames d’enfants devenus aveugles alors qu’ils ne risquaient rien du covid, ne contaminaient personne et en protégeraient personne en étant vaccinés, peut-être même au contraire ?

N’en avez -vous pas assez d’entendre des témoignages de l’armée, de gendarmes qui tombent dans le silence comme les footballeurs ?

« Gendarme, ancien policier et militaire témoignent de la même réalité dans #HoldOn : « Il y a des jeunes gendarmes qui décèdent alors qu’ils sont dans la force de l’âge.

On a beaucoup d’AVC, de crises cardiaques et de morts et malgré ça le service de santé des armées ne dit rien fidèle à sa tradition de grande muette(([7] SOURCE COMPLÈTE (non éditée) https://holdup-lefilm.fr))

Ne pensez-vous pas qu’il est temps de s’intéresser au drame des vaccinés, anonymes qui, comme les célébrités, tombent encore plus silencieusement, un enterrement et basta.

Peut-etre à deux pas de chez vous et dénié ?

Combien de personnes, qui m’appellent pour toute autre chose, finissent par me raconter qu’elles ont été à l’enterrement de la voisine tombée dans la rue, alors qu’elle allait plutôt bien et du jeune papa de 40 ans décédé quelques jours après un malaise au stade. Pourtant il était grand sportif, cet homme avec une bonne hygiène de vie. Le hasard, bien sûr, le hasard, la coïncidence au pire, car pas question de poser la question tabou de l’injection.  TOUJOURS DES HISTOIRES COMPARABLES ; BASTA

Un chroniqueur parle, non plus de tabou, mais de blasphème si on ose poser la question de la responsabilité éventuelle du vax. Celine Dion, influenceuse du vax et vaccinée elle-même seraient devenue brutalement malade en raison de problèmes de ménopause… La ménopause paralysante du XXIème siècle !

On en est là, dans l’aveuglement induit par l’hypnose collective créée par le sujet télévisuel unique (et inique) pendant des mois et les mensonges éhontés sur « les vieux qu’on voudrait protéger » (alors qu’on les euthanasie encore aujourd’hui dans certains lieux et qu’on leur refuse les traitements interdits dans le silence complice de trop de médecins, les autres terrorisés par l’ordre et confortés par la soumission d’une partie du peuple.

Mensonge sur le vax qui sauverait des vies chez les plus âgés que peu veulent sauver et certainement pas le pouvoir (penser aux retraites,) alors que les vaxx, (ceux qui ont reçus au moins une dose) sont les plus hospitalisés  (les vrais vax, pas ceux comptés par le ministre)  et que des traitements simples comme l’ivermectine les auraient sauvé rapidement.

IL FAUT CESSER LE MASSACRE ACTUEL ET À VENIR

Tous ne mourront pas mais tous étaient touchés…  Ici avec les vax tous ne mourront pas, mais beaucoup sont déjà touchés.

Nous savons déjà est que les adultes vaccinés contaminent leurs enfants et que les femmes enceintes contaminent leurs bébés. Des décès précoces de nouveau-nés dans le premier mois sont signalés. L’allaitement est aussi suspect et à éviter si vous avez été récemment injectée.

Mais ce qui est aussi très angoissant est l’avenir des petites filles qui échapperont à tout effet secondaire visible dans les premières années (espérons-le encore une fois) mais qui auront pu être touchées dans les deux premiers mois de grossesse quand se forment les ovules pour leur vie entière.(([8] Et si on parlait des effets graves des vaccins COVID sur les femmes enceintes ? – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

Pour les plus jeunes qui ont oublié l’histoire du Distilbène donné largement à des femmes enceintes pour limiter les vomissements(([9] La-face-cachee-des-medicaments_Dr-Delepine.pdf (nicoledelepine.fr) )) ou limiter les fausses couches et qui donna chez leurs filles des anomalies des organes génitaux et des stérilités. Et comme si cela ne suffisait pas des troubles psychiatriques chez les garçons de la génération suivante qui ont pu naitre.(([10] Les filles du distilbène D.E.S. France – Réseau D.E.S. France (des-france.org) )) Jouer à l’apprenti sorcier en médecine ne date pas d’aujourd’hui mais l’injection génique expérimentale contre un virus quasiment disparu de France gagne le concours du plus machiavélique.

INFORMEZ VOS AMIS

VOS RELATIONS

NE LAISSEZ PAS INJECTER LES JEUNES, AVENIR DE L’HUMANITÉ





Effets pervers et dramatiques de la gestion psychopathologique de la crise Covid

[Source : NTD Français]

Mila Aleckovic Bataille, professeur de psychopathologie :

« Il y a un silence total sur les maladies mentales qui étaient causées non pas par la COVID-19, mais par la gestion catastrophique de la COVID-19. Dans le monde entier en particulier en France, il y a énormément de “Troubles dépressifs”, il y a des dépressions majeures, ce qu’on appelle des dépressions majeures ce- sont des dépressions graves, ce ne sont pas les troubles en tant que tels, mais ce sont les dépressions suicidaires. »


Voir aussi, concernant la gestion de la crise :




Un cardiologue de haut niveau prévient que l’étude liant les vaccins COVID à une augmentation massive des crises cardiaques est totalement ignorée

[Source : anguillesousroche.com]

« Ils ne vont pas publier leurs résultats parce qu’ils craignent de perdre les fonds de recherche de l’industrie pharmaceutique. »

Un cardiologue britannique de premier plan a prévenu qu’un de ses collègues se trouve dans l’impossibilité de faire publier ses travaux de recherche parce qu’ils établissent un lien définitif entre les vaccins COVID et une augmentation massive des crises cardiaques.

S’exprimant sur GB News, le Dr Aseem Malhotra a raconté qu’il avait été contacté par un chercheur d’une prestigieuse institution britannique qui affirmait avoir trouvé des liens concrets entre l’inflammation des artères coronaires et les vaccins expérimentaux à ARNm.

Le Dr Malhotra a ajouté que son collègue lui a dit que l’institution avait décidé qu’il valait mieux ne pas publier les résultats, de peur de perdre son financement de la recherche.

Se référant aux données de santé du gouvernement britannique qui montrent une augmentation substantielle du nombre de décès liés à la cardiologie, le Dr Malhotra a noté que :

« quelqu’un d’une institution britannique très prestigieuse – un chercheur du département de cardiologie [et] un lanceur d’alerte – m’a contacté pour dire que les chercheurs de [son] département avaient trouvé quelque chose de similaire dans les artères coronaires liées au vaccin ».

Il a poursuivi : 

« Ils ont eu une réunion et ces chercheurs ont pour l’instant décidé de ne pas publier leurs résultats parce qu’ils craignent de perdre les fonds de recherche de l’industrie pharmaceutique. »

Malhotra a également fait référence à un article récemment publié par le célèbre cardiologue Steven Gundry. La recherche a révélé que les vaccins COVID « augmentent considérablement l’inflammation sur l’endothélium et l’infiltration des cellules T dans le muscle cardiaque ».

« Connaître cette information est très inquiétant, [en plus de] l’article de Steven Gundry, et aussi des preuves anecdotiques… que des collègues nous disent que des personnes de plus en plus jeunes arrivent avec des crises cardiaques », a expliqué Malhotra.

Le médecin a ajouté : 

« Nous savons que depuis juillet, il y a eu près de 10 000 décès supplémentaires non liés à la maladie de Creutzfeldt-Jakob, et que la plupart d’entre eux, ou une partie importante d’entre eux, sont dus à des maladies du système circulatoire – en d’autres termes, à des crises cardiaques et à des accidents vasculaires cérébraux. »




Pfizer, une entreprise qui vous veut du bien

[Source : Idriss J. Aberkane]

« On va fact-checker tout ça !». Sérieusement ? Vous croyez encore que cette pratique de la vérification surfaite, sans nuance et biaisée a la moindre valeur ?

Dans un échange d’idées où la rationalité et la vérité sont censées être mises à l’honneur, que pourrait bien valoir un fait pris hors de son contexte ? Une tentative de manipulation sur fond de rigueur scientifique ? Une distraction de l’esprit pour les cerveaux si peu brillants qui nous inondent de leurs inepties ? Ou encore, un quelconque amusement pour une plèbe affamée d’annonces anxiogènes, si généreusement délivrées par notre vénérable gouvernement, pourtant malade et obsolète ?

Place au RE-CHECKING, à la contre-analyse, à la recherche profonde et à la mise en perspective des faits. Ne nous laissons plus tromper par des demi-vérités formidablement bien emballées. Osons douter pour mieux observer, acceptons de ne plus regarder pour mieux discerner.

Le re-cheking, c’est la liberté donnée à toutes et à tous de comprendre et de construire son point de vue. Le fact-cheking, c’est la tyrannie, même plus de la vraisemblance, mais de la vraisemblance, qui rime déjà bien trop souvent avec bien-pensance.

la liste des condamnations de Pfizer :
https://violationtracker.goodjobsfirst.org/parent/pfizer




Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Prof Michel Chossudovsky

Partie 2

(Partie 1 : La pandémie Covid-19 n’existe pas, le 16 novembre 2021.)

« Le PCR est un processus. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade ».

Dr Kary Mullis, lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, est décédé en août 2019

« … La totalité ou une partie substantielle de ces tests positifs pourrait être due à ce qu’on appelle des tests de faux positifs. »

Dr Michael Yeadon : ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer

Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est employée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements pour justifier des mesures excessives comme la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels…, sous prétexte d’une pandémie qui se base sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre de malades réels.

Dr Pascal Sacrémédecin belge spécialisé dans les soins intensifs et analyste de santé publique de renom

Introduction

Les mensonges médiatiques associés à une campagne de peur systémique et soigneusement conçue ont véhiculé l’image d’un virus mortel [killer virus] qui se propage sans relâche dans toutes les grandes régions du monde.

Plusieurs milliards de personnes dans plus de 190 pays ont été testées (et retestées) pour la Covid-19.

Au moment d’écrire ces lignes, environ 260 millions de personnes dans le monde ont été classées comme des « cas confirmés de Covid-19 ». La présumée pandémie aurait causé plus de 5 millions de décès liés à la Covid-19.

Les deux séries de données : la morbidité et la mortalité sont fabriquées. Un appareil de dépistage de la Covid très bien organisé (dont une partie est financée par les fondations milliardaires) a été mis en place en vue d’augmenter le nombre de « cas confirmés de Covid-19″, qui sont ensuite utilisés comme justification pour imposer le passeport « vaccinal »parallèlement à l’abrogation des droits fondamentaux de la personne.

Un soi-disant « Suivi de la propagation mondiale du Covid-19 » [“Global Tracker System”] a été établi avec une carte interactive indiquant les tendances mondiales et nationales et les tendances hebdomadaires.

Une quatrième vague [et cinquième vague] a été annoncée. Les chiffres invalides relatifs au Covid-19 sont régulièrement publiés dans les médias.

Pendant ce temps, les médias et les gouvernements ont fermé les yeux sur la tendance à la hausse des décès dus au vaccin contre la Covid-19 et des effets indésirables, qui sont confirmés par les organismes gouvernementaux « officiels ». (Voir ci-dessous)


TOTAL pour l’UE/Royaume-Uni/États-Unis

45 250 décès liés à l’injection de Covid-19, 7 418 980 blessures [injuries] 

publié le 19 octobre 2021

Base de données EudraVigilance, système de carton jaune MHRA. Base de données VAERS.


Le test de réaction en chaîne de la polymérase à transcription inverse (RT-PCR)

La méthodologie oblique appliquée sous les directives de l’OMS pour détecter la présumée propagation du virus est le test de réaction en chaîne de la polymérase (RT-PCR), qui est couramment appliqué dans le monde entier.

Le test RT-PCR a été utilisé dans le monde entier pour générer des millions de faux « cas confirmés de Covid-19 », qui sont ensuite utilisés pour créer l’illusion que la présumée pandémie est réelle.

Cette évaluation basée sur des chiffres erronés a été utilisée au cours des 20 derniers mois pour mener et soutenir la campagne de peur.

Et les gens sont maintenant amenés à croire que le « vaccin » Covid-19 est la « solution ». Et cette « normalité » sera rétablie une fois que toute la population du Monde entier aura été vaccinée.

« Confirmé » est un terme erroné : un « cas positif RT-PCR confirmé » n’implique pas un « cas confirmé de Covid-19 ».

La RT-PCR positive n’est pas synonyme de maladie Covid-19 ! Les spécialistes de la PCR indiquent clairement qu’un test doit toujours être comparé au dossier clinique du patient testé, à l’état de santé du patient pour confirmer sa valeur [fiabilité] (Dr Pascal Sacré)

La procédure utilisée par les autorités sanitaires nationales consiste à classer tous les cas positifs avec le test RT-PCR, comme « cas confirmés de Covid-19 » (avec ou sans diagnostic médical). Ironiquement, ce processus de routine d’identification des « cas confirmés » est en dérogation aux propres lignes directrices des CDC :

« La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que 2019-nCoV est l’agent pathogène des symptômes cliniques. La performance de ce test n’a pas été établie pour surveiller le traitement de l’infection par le nCoV en 2019. Ce test ne peut exclure les maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux. » (soulignement ajouté)

Dans cet article, nous présenterons des preuves détaillées démontrant que la méthodologie utilisée pour détecter et estimer la propagation du virus est imparfaite et invalide.

1. Faux positifs

Le débat précédent au début de la crise s’est concentré sur la question des « faux positifs ».

Reconnu par l’OMS et les CDC, le test RT-PCR était connu pour produire un pourcentage élevé de faux positifs. Selon le Dr Pascal Sacré :

« Aujourd’hui, à mesure que les autorités testent plus de personnes, il y aura forcément plus de tests RT-PCR positifs. Cela ne signifie pas que la Covid-19 revient ou que l’épidémie se déplace par vagues. Il y a plus de personnes testées, c’est tout. »

Le débat sur les faux positifs (reconnu par les autorités sanitaires) fait état de soi-disant erreurs sans nécessairement remettre en question la validité globale du test RT-PCR comme moyen de détecter la propagation présumée du virus CoV-SARS-2.

2. Le PCR-Test ne détecte pas l’identité du virus

Le test RT-PCR n’identifie pas/détecte le virus. Ce que le test PCR identifie, ce sont des fragments génétiques de nombreux virus (y compris les virus grippaux de type A et B, et les coronavirus qui déclenchent des rhumes).

Les résultats du test RT-PCR ne peuvent pas « confirmer » si une personne qui fait le test est infectée par le virus de la Covid-19.

Selon le Dr Kary Mullis, inventeur de la technique PCR : « La PCR détecte un très petit segment de l’acide nucléique qui fait partie d’un virus lui-même. » Selon le célèbre immunologue suisse Dr B. Stadler

Donc, si nous faisons un test Corona PCR sur une personne immunitaire, ce n’est pas un virus qui est détecté, mais un petit. segment fragmenté du génome viral.Le test est positif tant qu’il reste de petits fragments du virus. Même si les virus infectieux sont morts depuis longtemps, un test corona peut revenir positif, car la méthode PCR multiplie la moindre fraction du matériel génétique viral, suffisamment [pour être détectée].

Dr Pascal Sacré est du même avis : « Ces tests détectent les particules virales, les séquences génétiques, pas le virus entier. »

Afin de tenter de quantifier la charge virale, ces séquences sont ensuite amplifiées plusieurs fois par de nombreuses étapes complexes sujettes à des erreurs, à des erreurs de stérilité et à une contamination.

3. Le « test » RT-PCR Covid-19 « personnalisé » de l’OMS

Deux questions importantes et connexes.

Le test PCR n’identifie pas le virus comme indiqué ci-dessus. En outre, l’OMS en janvier 2020 ne possédait pas d’isolat et d’échantillon purifié du nouveau virus 2019-nCov.

Ce qui a été envisagé en janvier 2020 était une « adaptation » du test PCR par l’OMS, sous la direction scientifique de l’Institutde virologie de Berlin de l’Hôpital Charité.

Dr Christian Drosten et ses collègues de l’Institut de virologie de Berlin ont entrepris une étude intitulée « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel ».

Le titre de l’étude de l’Institut de virologie de Berlin est évidemment un terme erroné. Le test PCR ne peut pas « détecter » le nouveau coronavirus de 2019. (Voir Dr Kary Mullis, Dr B. Stadler, Dr Pascal Sacré cité dans la section 2).

En outre, l’étude, publiée par Eurosurveillance, reconnaît que l’OMS n’a pas possédé d’isolat et d’échantillon purifié du nouveau virus 2019-nCov :

[Bien que]… plusieurs séquences du génome viral avaient été publiées… les isolats de virus ou les échantillons [de 2019-nCoV] de patients infectés n’étaient pas disponibles… »

L’équipe de Drosten et coll. a ensuite recommandé à l’OMS qu’en l’absence d’un isolat du virus 2019-nCoV, un CoV-SRAS 2003 similaire soit utilisé comme « proxy » [indicateur] du nouveau virus :

« Les séquences génomiques suggèrent la présence d’un virus étroitement lié aux membres d’uneespèce virale appelée CoV lié au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), une espèce définie par l’agent de l’épidémie de SRAS de 2002/03 chez l’homme [3,4].

Nous présentons un rapport sur l’établissement et la validation d’un flux de travail diagnostique pour le dépistage et la confirmation spécifique du 2019-nCoV [à l’aide du test RT-PCR], conçu en l’absence d’isolats de virus disponibles ou d’échantillons originaux de patients. La conception et la validation ont été rendues possibles par l’étroite relation génétique avec le CoV-SRAS de 2003, et facilitées par l’utilisation de la technologie des acides nucléiques synthétiques. » (Eurosurveillance, 23 janvier 2020, soulignement ajouté).

Ce que cette déclaration ambiguë suggère, c’est que l’identité du 2019-nCoV n’était pas requise et que les « cas confirmés de Covid-19 » (alias infection résultant du nouveau coronavirus de 2019) seraient validés par « l’étroite relation génétique avec le CoV-SARS 2003 ».

Cela signifie qu’un coronavirus détecté il y a 19 ans (2003-SARS-CoV) est utilisé pour « valider » l’identité d’un soi-disant « nouveau coronavirus » détecté pour la première fois dans la province chinoise du Hubei à la fin décembre de 2019.

Les recommandations de l’étude Drosten (généreusement soutenue et financée par la Fondation Gates) ont ensuite été transmises à l’OMS. Ils ont ensuite été approuvés par le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom.

L’OMS n’avait pas en sa possession « l’isolatde virus » nécessaire pour identifier le virus. Il a été décidé qu’un isolat du nouveau coronavirus n’était pas nécessaire.

L’article de Drosten et coll. concernant l’utilisation du test RT-PCR dans le monde entier (sous la direction de l’OMS) a été contesté dans une étude du 27 novembre 2020 par un groupe de 23 virologues, microbiologistes et coll. internationaux.

Il va de soi que si le test PCR utilise le virus du CoV-SRAS de 2003 comme « point de référence », il ne peut y avoir de cas de Covid-19 « confirmés » résultant du nouveau virus 2019-nCoV, rebaptisé ultérieurement SARS-CoV-2.

4. L’identité du 2019-nCoV a-t-elle été confirmée ? Le virus existe-t-il ?

Bien que l’OMS ne possédait pas d’isolat du virus, existe-t-il des preuves valides et fiables que le nouveau coronavirus de 2019 avait été isolé d’un « échantillon altéré prélevé sur un patient malade » ?

Les autorités chinoises ont annoncé le 7 janvier 2020 qu’un « nouveau type de virus » avait été « identifié », « semblable à celui associé au SRAS et au SRMO » (rapport connexe, pas de source originale du gouvernement chinois). La méthode sous-jacente adoptée par l’équipe de recherche chinoise est décrite ci-dessous :

Nous avons recueilli et analysé prospectivement des données sur les patients atteints d’une infection au nCoV 2019 confirmée en laboratoire par RT-PCR en temps réel et séquençage de prochaine génération.

Les données ont été obtenues à l’aide de formulaires de collecte de données normalisées partagés par l’OMS et l’International Severe Acute Respiratory and Emerging Infection Consortium à partir de dossiers médicaux électroniques. (soulignement ajouté)

L’étude ci-dessus (citation ci-dessus ainsi que d’autres documents consultés) suggère que les autorités sanitaires chinoises n’ont pas entrepris d’isolement/purification de l’échantillon d’un patient.

L’utilisation de « l’infection au nCoV 2019 confirmée en laboratoire par RT-PCR en temps réel » est une erreur évidente, c’est-à-dire que le test RT-PCR ne peut en aucun cas être utilisé pour identifier le virus (voir section 2 ci-dessus). L’isolat du virus par les autorités chinoises n’est pas confirmé.

Liberté d’information concernant l’isolement du CoV-2 du SRAS

Un projet d’enquête détaillé de Christine Massey, intitulé : Demandes d’accès à l’information : Health/Science Institutions Worldwide « Have No Record » of SARS-COV-2 Isolation/Purification fournit de la documentation concernant l’identité du virus. [Voir en français : Le virus inexistant ; une interview explosive de Christine Massey]

Les demandes d’accès à l’information (FOI) ont été envoyées à quatre-vingt-dix institutions de santé/sciences dans un grand nombre de pays.

Les réponses à ces demandes confirment qu’iln’y a aucun dossier d’isolement/purification du CoV-2 du SRAS « ayant été effectué par qui que ce soit, n’importe où, jamais ».

« Les 90 établissements de santé et de sciences qui ont répondu jusqu’à présent ont fourni et/ou cité, au total, zéro de ces enregistrements :

Nos demandes [au titre de la « liberté d’information »] n’ont pas été limitées aux dossiers d’isolement réalisés par l’institution concernée, ni aux dossiers rédigés par l’institution concernée, mais elles étaient ouvertes à tout dossier décrivant l’isolement/la purification du « virus Covid-19 » (alias « SRAS-COV-2″) réalisé par quiconque, jamais, dans le monde entier. »

Voir aussi : 90 institutions de santé et de sciences dans le monde entier n’ont pas réussi à citer même 1 record de purification du « SARS-COV-2 », par n’importe qui, n’importe où, n’importe oùpar Peel sans fluorure, 04 août 2021

5. Les cycles d’amplification du seuil. L’OMS admet que les résultats du « test » RT-PCR sont totalement invalides

Le test RT-PCR a été adopté par l’OMS le 23 janvier 2020 comme moyen de détecter le virus SARS-COV-2, conformément aux recommandations du groupe de recherche en virologie de Berlin (citées ci-dessus).

Exactement un an plus tard, le 20 janvier 2021, l’OMS se rétracte. Ils ne disent pas « Nous avons commis une erreur ». La rétraction est soigneusement formulée. (Voir le document original de l’OMS ici)

Vous trouverez ci-dessous des extraits sélectionnés de mon article intitulé : L’OMS confirme que le test PCR du Covid-19 est invalide : les estimations des « cas positifs » n’ont pas de sens. Le confinement n’a aucune base scientifique.

La question litigieuse concerne le nombre de cycles seuils d’amplification (Ct). Selon Pieter Borger, et coll.

Le nombre de cycles d’amplification [devrait] être inférieur à 35 ; de préférence 25-30 cycles. En cas de détection de  virus, > 35 cycles ne détectent que les signaux qui ne sont pas corrélés avec le virus infectieux tel que déterminé par l’isolement en culture cellulaire…

(Critique de l’étude Drosten)

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) admet tacitement un an plus tard que TOUS les tests PCR effectués à un seuil d’amplification (Ct) de 35 cycles ou plus sont INVALIDES. Mais c’est ce qu’ils ont recommandé en janvier 2020, en consultation avec l’équipe de virologie de l’hôpital Charité de Berlin.

Si le test est effectué à un seuil de 35 Ct ou plus (recommandé par l’OMS), les segments génétiques du virus SARS-CoV-2 ne peuvent pas être détectés, ce qui signifie que TOUS les soi-disant « cas confirmés de Covid-19 » comptabilisés dans le monde entier au cours des 22 derniers mois sont invalides.

Selon Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon et coll., le Ct > 35 a été la norme « dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis ».

Mea Culpa de l’OMS

Vous trouverez ci-dessous la « Rétraction » soigneusement formulée de l’OMS.

« Les directives de l’OMS Les tests diagnostiques du CoV-2 du SRAS stipulent qu’uneinterprétation minutieuse des faibles résultats positifs est nécessaire (1).Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats des tests ne correspondent pas au tableau clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et testé à nouveau à l’aide de la même technologie NAT ou d’une technologie différente. (soulignement ajouté)

L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positifs augmente (2). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SRAS-CoV-2 détecté) soit vraiment infectée par le CoV-2 du SRAS diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée. »

« Positives invalides » est le concept sous-jacent

Il ne s’agit pas d’une question de « faible positif » et de « risque d’augmentations faussement positives ». Ce qui est en jeu, c’est une « méthodologie erronée » [non fiable] qui conduit à des estimations invalides des « cas confirmés de Covid-19 ».

Ce que cet aveu de l’OMS confirme, c’est que l’estimation du Covid positif à partir d’un test PCR (avec un seuil d’amplification de 35 cycles ou plus) est invalide. Dans ce cas, l’OMS recommande de retester : « un nouvel échantillon devrait être prélevé et testé à nouveau… ».

L’OMS appelle à un « retest », ce qui équivaut à dire « Nous nous sommes trompés ».

Cette recommandation est pro forma. Cela n’arrivera pas. Plusieurs milliards de personnes dans le monde ont déjà été testées, à partir du début du mois de février 2020. Néanmoins, nous devons conclure qu’à moins d’être testées à nouveau, ces estimations (selon l’OMS) ne sont pas valides.

Dès le début, le test PCR a été régulièrement appliqué à un seuil d’amplification Ct de 35 ou plus, conformément aux recommandations de janvier 2020 de l’OMS. Cela signifie que la méthodologie PCR telle qu’appliquée dans le monde entier a conduit au cours des 20 derniers mois à la compilation de statistiques erronées et trompeuses sur le Covid.

Et ce sont les statistiques qui sont utilisées pour mesurer la progression de la soi-disant « pandémie ». Au-delà d’un cycle d’amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas de fragments du virus. Par conséquent, les « numéros officiels de Covid » (cas confirmés de Covid-19) n’ont aucun sens.

Il s’ensuit qu’il n’y a aucune base scientifique pour confirmer l’existence d’une pandémie.

Ce qui signifie également que les mesures de confinement/économiques qui ont entraîné la panique sociale, la pauvreté et un chômage de grande ampleur (prétendument pour freiner la propagation du virus) n’ont aucune justification.

Selon l’avis scientifique :

« si quelqu’un est testé par PCR comme positif lorsqu’un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c’est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne soit réellement infectée est inférieure à 3 %la probabilité que ce résultat soit un faux positif est de 97 % 

Pieter Borger, Bobby Raj

Comme indiqué ci-dessus, « la probabilité que ledit résultat soit un faux positif est de 97 % » : Il s’ensuit que l’utilisation de la détection de plus de 35 cycles contribuera de manière indélébile à « rmarcher » le nombre de « faux positifs ».

Le Mea Culpa de l’OMS confirme que la procédure de test PCR Covid-19 telle qu’appliquée est invalide.

La pandémie de grippe H1N1 de 2009 était-elle une « répétition générale » ?

En 2009, une pandémie de grippe H1N1 qui aurait touché 2 milliards de personnes a été menée par l’OMS.

Corruption aux plus hauts niveaux de l’OMS : Plusieurs critiques, dont le Dr Wolfgang Wodarg a confirmé que la pandémie de grippe H1N1 était « faux »

L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE), organisme de surveillance des droits de l’homme, enquête publiquement sur les motifs de l’OMS pour déclarer une pandémie. En effet, le président de son influente commission de la santé, l’épidémiologiste Wolfgang Wodarg, a déclaré que la « fausse pandémie » est « l’un des plus grands scandales médicaux du siècle ». (Michael Fomento, 

Forbes10 février 2010

Rétrospectivement, la « pandémie » de Covid-19 est beaucoup plus grave et diabolique que la grippe H1N1 de 2009.

Voir l’analyse pertinente et rigoureusement documentée du Dr Wolfgang Wodarg sur le test RT-PCR tel qu’il a été appliqué par l’OMS en ce qui concerne la Covid-19.



Mot de la fin

Le test RT-PCR est le pistolet fumant. Cela invalide tout.

Il n’existe pas de « cas confirmé de Covid-19 ». Toute la banque de données est invalide.

Au moment d’écrire ces lignes, le nombre de « cas confirmés de Covid-19 » est de l’ordre de 260 millions dans le monde. Ces chiffres n’ont absolument aucun sens.

Aucune de ces données ne peut être classée comme « Confirmée ».

Le test PCR n’identifie pas le nouveau virus, et les fragments génétiques d’un coronavirus dit « similaire » de 2003 (SRAS-1) ne peuvent pas être utilisés comme moyen d’identifier le virus qui cause la Covid-19 ni pour identifier les variants mortels du nouveau coronavirus de 2019.

De plus, selon l’étude de la Freedom of Information (FOI) citée ci-dessus, l’isolat du nouveau coronavirus n’est pas confirmé.

Soutenu par une panoplie de mensonges, le récit Covid-19 est extrêmement fragile. Ce consensus repose sur une fausse science et une banque de données totalement invalide de prétendus « cas confirmés de Covid-19 ».

Il n’y a pas de pandémie.

Et en l’absence d’une pandémie de Covid-19, il n’y a aucune justification scientifique à la mise en œuvre du « vaccin » contre la Covid-19 qui a entraîné une tendance mondiale des décès et des blessures :

Comment Big Pharma a-t-il réussi à développer un vaccin (parrainé par l’OMS, GAVI, la Fondation Gates et coll.) ayant pour mandat de « protéger les personnes » contre un virus qui n’a pas été isolé/purifié à partir d’un « échantillon non altéré prélevé sur un patient malade » ?

Vaccin par rapport à quoi ? Le virus n’a pas été identifié.

De plus, le CoV-SRAS-2 2019 a été classé comme similaire au CoV-SRAS de 2003, ce qui signifie que le CoV-2 du SRAS de 2019, n’est pas un nouveau virus.

La légitimité du projet de vaccin Covid-19 dépend de la validité de centaines de milliers de faux cas positifs RT-PCR dans le monde entier combinés à de fausses données de mortalité liée au Covid. ( Voir Michel Chossudovsky, « Le virus existe-t-il ? »)

Que nous réserve l’avenir ?

Les gouvernements nationaux ont annoncé une cinquième vague, axée sur les prétendues « variants mortels » du SARS-CoV-2, y compris la variante Delta.

Ces soi-disant variants sont une véritable arnaque. Comment identifient-ils les « variants ». Le test PCR ne détecte ni le virus ni les variants du virus.

Il n’y a pas d’isolat du nouveau coronavirus enregistré. En outre, le test PCR « spécifique » [adapté] de l’OMS utilise comme substitut un virus similaire du CoV-SRAS de 2003 (qui a sans aucun doute beaucoup muté au cours des 19 dernières années).

« Les restrictions devraient être réintroduites ». … le variant Delta pose un « risque plus élevé d’hospitalisation. »

Ces annonces visent à justifier la poursuite des mesures politiques répressives, l’accélération du programme de vaccination, ainsi que la répression du mouvement de protestation.

Il n’y a pas de pandémie. La Finalité réside dans la Tyrannie.
La pandémie est utilisée pour imposer un nouvel ordre mondial.
Lorsque le mensonge devient la vérité, il n’y a plus de possibilité de revenir en arrière.
La première étape consiste à démanteler l’appareil de propagande.
Le consensus Covid de l’élite est extrêmement fragile.
Il n’y a pas de pandémie.Ils n’ont pas d’argument sur lequel s’appuyer.
Ce consensus doit être rompu.

Michel Chossudovsky


Voir le livre électronique de Michel Chossudovsky, 13 chapitres :



Voir aussi : Le virus existe-t-il ? Le CoV-2 du SRAS n’a toujours pas été isolé ? « La plus grande fraude de l’histoire de la médecine »


Lien vers l’article original :

Fake Science, Invalid Data: There is No Such Thing as a “Confirmed Covid-19 Case”. There is No Pandemic By Prof Michel Chossudovsky, November 26, 2021

Traduit par Maya pour Mondialisation.ca 

À propos de l’auteur

Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRM), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.

Il a entrepris des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a beaucoup écrit sur les économies des pays en développement en mettant l’accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également entrepris des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPA), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, John Hopkins International Journal of Health Services (19791983)

Il est l’auteur de douze livres dont The Globalization of Poverty et The New World Order (2003) – La mondialisation de la pauvreté,  America’s « War on Terrorism » (2005) — Guerre et Mondialisation, The Globalization of War, America’s Long War against Humanity (2015).

Il collabore à l’Encyclopédie Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues. En 2014, il a reçu la médaille d’or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d’agression de l’OTAN contre la Yougoslavie. On peut le joindre à crgeditor@yahoo.com

Voir en anglais : Michel Chossudovsky, Notice biographique

Articles de Michel Chossudovsky sur Global Research

Articles en français de Michel Chossudovsky sur Mondialisation.ca

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2021


[Voir aussi :
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]




PSEUDOVAX anti-SARS CoV-2 et vieillissement précoce : la dose fait le poison

Par nicole Delépine

On l’a longtemps murmuré devant des nouveau-nés précoces et rapidement vieillis, devant des flambées de cancer témoignant de défaut de réparation naturelle, devant des sujets vaxx transformés en « vieux » y compris des célébrités, mais on ne disposait pas d’étude scientifique confirmant ces constatations et les validant par la découverte de son mécanisme cellulaire.

L’article Revealed : Vaccine Induced Cellular Ageing — 21st Century Wire du 28 nov 2021 BY NEWS WIRE nous ouvre des horizons inquiétants auxquels il faut pour le moins réfléchir. L’injection génique, au-delà de son inefficacité et des effets secondaires reconnus de plus en plus nombreux, serait-elle à l’origine d’un vieillissement précoce et de troubles associés à l’âge ?

Le Dr Mike Williams étudie le Vieillissement cellulaire induit par le vaccin.

L’auteur a précédemment discuté du risque accru d’infection par le SARS-CoV-2 après la vaccination Covid et introduit des concepts de tolérance immunitaire et d’entraînement immunitaire.

Dans cet article, il précise le sujet de la sénescence cellulaire, en particulier en ce qui concerne la vaccination Covid.

De la sénescence cellulaire

« La sénescence cellulaire est un processus qui résulte d’une variété de stress et conduit à un état d’arrêt irréversible de la croissance. Les cellules sénescentes s’accumulent au cours du vieillissement et ont été impliquées dans la promotion d’une variété de maladies liées à l’âge.

La sénescence cellulaire peut jouer un rôle important dans la suppression des tumeurs, la cicatrisation des plaies et la protection contre la fibrose tissulaire.

Cependant, il existe également des preuves accumulées que les cellules sénescentes peuvent avoir des effets nocifs in vivo et peuvent contribuer au remodelage des tissus, au vieillissement de l’organisme et à de nombreuses maladies liées à l’âge. »

Le processus de sénescence est synonyme de vieillissement cellulaire et on peut supposer que l’induction de la sénescence cellulaire favorisera un vieillissement accéléré.

Comme le soulignent Gonzalez-Meljem et al. dans « Paracrine roles of cellular senescence in promoting tumorigenesis(([1] Gonzalez-Meljem JM, Apps JR, Fraser HC, Martinez-Barbera JP. Paracrine roles of cellular senescence in promoting tumourigenesis. Br J Cancer. 2018 May;118(10):1283-1288. doi: 10.1038/s41416-018-0066-1. Epub 2018 Apr 19. PMID : 29670296 ; PMCID : PMC5959857))» : c’est une épée à double tranchant :

« Bien que la sénescence ait été considérée comme un mécanisme de protection contre la tumorigenèse, les activités des cellules sénescentes sont de plus en plus associées à des maladies liées à l’âge, y compris le cancer. Une caractéristique importante des cellules sénescentes est la sécrétion d’une vaste gamme de cytokines pro-inflammatoires, de chimiokines et de facteurs de croissance collectivement connus sous le nom de phénotype sécrétoire associé à la sénescence (SASP). Des recherches récentes ont montré que la signalisation paracrine SASP peut médier plusieurs effets pro-tumorigènes, tels que l’amélioration des phénotypes malins et la promotion de l’initiation tumorale ».

Dans « Management of multicellular senescence and oxidative stress »,(([2] Haines DD, Juhasz B, Tosaki A. Management of multicellular senescence and oxidative stress. J Cell Mol Med. 2013 Aug;17(8):936-57. doi: 10.1111/jcmm.12074. Epub 2013 Jun 22. PMID : 23789967 ; PMCID : PMC3780549.)) Haines et ses coauteurs rappellent :

la première étape de la sénescence cellulaire est l’arrêt du cycle cellulaire induit par les dommages, également appelé sénescence réplicative (RS).

En règle générale, cet arrêt de croissance est déclenché par des réponses aux dommages à l’ADN induites par le stress et peut également être induit à la suite des effets de l’érosion des télomères — un phénomène qui produit des métabolites liés au stress.

Ainsi certains facteurs de stress peuvent causer des dommages à l’ADN qui induisent des réponses dans la cellule qui peuvent conduire à l’arrêt du cycle cellulaire.

Dans le SRAS-CoV-2la Spike Protein Induit la sénescence paracrine et l’adhésion leucocytaire dans les cellules endothéliales(([3] Meyer K, Patra T, Vijayamahantesh, Ray R. SARS-CoV-2 Spike Protein Induces Paracrine Senescence and Leukocyte Adhesion in Endothelial Cells. J Virol. 2021 Aug 10;95(17):e0079421. doi : 10.1128/JVI.00794-21. Epub 2021 Aug 10. PMID : 34160250 ; PMCID : PMC8354225.)) Meyer et ses collègues explorent une relation entre la sénescence cellulaire et les cellules infectées par le virus Sars Cov2.

Leurs conclusions sont préoccupantes.

Les cellules épithéliales humaines infectées par le virus ou transfectées par des pointes (protéine spike) ont présenté une augmentation de la sénescence, avec une libération de molécules inflammatoires liées au phénotype sécrétoire associé à la sénescence (SASP).
Le point clé est à la fois les cellules infectées par le virus Sars Cov2 et les cellules transfectées par les protéines de pointe induisent la sénescence cellulaire.

Que va provoquer la campagne mondiale visant à injecter jusqu’à trois doses ou plus pour tous les âges, même les très jeunes ? Ne serait-il pas temps d’imposer un moratoire avant de poursuivre cette expérimentation sur des milliards d’individus ?

Ces pseudo vaccins seront administrés à plusieurs reprises chaque année. Tous, à chaque injection dose, produisent de l’ordre de milliards de protéines de pointe.

Les études animales ont démontré une distribution efficace des porteurs de vaccins de l’ARNm pour produire ces protéines de pointe, en quantités variables dans tout le corps,

Grave préoccupation.

Yang et Mei(([4] Jiang H, Mei YF. SARS-CoV-2 Spike Impairs DNA Damage Repair and Inhibits V(D)J Recombination In Vitro. Viruses. 2021 Oct 13;13(10):2056. doi: 10.3390/v13102056. PMID : 34696485 ; PMCID : PMC8538446.)) ont démontré une autre partie du puzzle :

« Pour déterminer comment la protéine de pointe inhibe à la fois les voies de réparation NHEJ et HR, nous avons analysé le recrutement de BRCA1 et 53BP1, qui sont les protéines de point de contrôle clés pour la réparation HR et NHEJ, respectivement. Nous avons constaté que la protéine de pointe inhibait nettement la formation de foyers BRCA1 et 53BP »

Ces données montrent que la protéine de pointe pleine longueur du SRAS-CoV-2 inhibe la réparation des dommages à l’ADN en entravant le recrutement de la protéine de réparation de l’ADN.

« Il s’agissait d’une étude de laboratoire utilisant des modèles cellulaires qui ont démontré que la protéine de pointe pleine longueur était exprimée dans le noyau de la cellule. Il est important de noter que la protéine de pointe ne doit pas être trouvée dans le compartiment VIP de la cellule — le noyau.

Une fois sur site, la protéine de pointe a empêché d’autres protéines, par exemple BRCA1, d’être recrutées pour la réparation NHEJ — empêchant la réparation de l’ADN endommagé ».

L’organisme a des mécanismes de secours, mais nous savons via l’oncologie que les dommages causés aux protéines clés telles que BRCA1 entraînent une augmentation significative du risque de cancer et une durée de vie raccourcie.

Les dommages à l’ADN laissés non réparés ou non réparés correctement peuvent également conduire à la sénescence cellulaire.

Risques pour le fœtus

La mitose est une division cellulaire où la cellule se divise en deux moitiés identiques. Ce type de division est très important dans le développement du fœtus car il constitue la base de l’embryogenèse.

Gerasymchuk 2021 s’inquiète :

« Avec des nanoparticules jusqu’à 500 nm étant absorbées par le placenta ; et les nanoparticules lipidiques du vaccin Covid19 étant de l’ordre de 60-100 nm, qu’en est-il du risque pour le fœtus en développement ces particules traversent le placenta et accède au fœtus en développement ? »

CES ARTICLES ÉVOQUENT LES CONSÉQUENCES POSSIBLES DE DOMMAGES SUR L’ADN

« preuves naissantes de dommages à l’ADN induits par les protéines de pointe et de sénescence cellulaire, avec toutes leurs séquelles et conséquences connexes : réparation cellulaire dysfonctionnelle, cancer et vieillissement prématuré — mort »

« La dose fait le poison » est un principe de base en toxicologie

Cela ne devrait pas être différent avec les injections géniques anticovid.

En dehors de tous les autres effets graves déjà démontrés à la suite de la « vaccination » impliquant fortement la protéine de pointe, les injections répétées des êtres humains avec des produits inhibant potentiellement la réparation de l’ADN et provoquant une sénescence cellulaire, avec les risques de cancer assistés et la diminution de la durée de vie, méritent réflexion et justifient un moratoire.

Dans le cas du fœtus en développement, ce risque aurait dû susciter des recherches fondamentales avant la mise sur le marché des vaccins.

La sénescence cellulaire explique-t-elle l’augmentation de la mortalité toutes causes confondues observée depuis la généralisation des injections anti-covid ?

Le taux de mortalité globale (toutes causes confondues) est plus robuste que les données Covid en raison du manque de fiabilité (définitions imprécises et discutables) de celles-ci. La mortalité globale (toutes causes confondues) est beaucoup moins corruptible. L’expression en taux standardisé selon l’âge, supprime beaucoup de facteurs de confusion.

L’analyse de la mortalité toutes causes confondues révèle un taux de mortalité chez les vaccinés deux fois supérieur à celui des non-vaccinés.

Source : ONS — Décès par statut vaccinal, Angleterre — 2 janvier au 24 septembre 2021.

Cette augmentation de la mortalité globale chez les vaccinés constatée par l’Office National des Statistiques (ONS) britannique, très inquiétante, pourrait être en partie expliquée par les études scientifiques précédemment citées.

Consectetuer est venenum — la dose fait le poison.





Injection génique chez les enfants : aberration inutile et dangereuse. MàJ

Par Nicole Delépine

[Mise à jour : vidéo en fin d’article].

Mais payée jusqu’à deux millions de dollars pour ceux qui en font la propagande !

Jusqu’où iront-ils et jusqu’à quand les parents laisseront-ils faire cette folie criminelle ?

« Une éventuelle campagne de vaccination des plus jeunes en France ne débuterait pas avant la fin de l’année au plus tôt, a indiqué Olivier Véran »,

écrit Le Parisien, le 11 novembre 2021.

AU SECOURS HIPPOCRATE ! 

On a appris il y a quelques jours que l’EMA autorisait l’injection expérimentale du Pfizer aux enfants de 5 à 11 ans. Tristesse, désespoir, colère. Pourquoi attaquer ces petits déjà meurtris par les mesures restrictives de leur liberté depuis deux ans ou presque dont le port du masque, sans intérêt contre la transmission,(([1] Comme l’ont démontré entre autres l’essai randomisé danois Danmasq19 et la Suède qui a laissé ses enfants aller sans masque à l’école et n’a constaté aucune propagation du virus en milieu scolaire.)) mais toxique avec risques médicaux, psychologiques et surtout sociaux ? Des enfants de 6 ans dessinent des visages sans bouche ni nez. Imaginez-vous que ce sera sans séquelles à vie ?

« Le vaccin de Pfizer contre le Covid-19 a été approuvé pour les enfants de 5 à 11 ans par le régulateur européen du médicament », a annoncé le 25 novembre 2021 cette agence, ouvrant la voie à une vaccination au sein de ce groupe d’âge dans l’Union européenne.

Un groupe d’experts « a recommandé d’approuver une extension de l’application du vaccin contre le Covid-19 Comirnaty pour inclure son usage chez les enfants de 5 à 11 ans », a expliqué l’Agence européenne des médicaments (EMA). Ce vaccin à ARN messager est déjà autorisé pour les enfants de plus de 12 ans dans les 27 pays de l’UE.(([2] https://video.lefigaro.fr/figaro/video/Covid-19-lautriche-commence-a-vacciner-les-enfants-de-plus-de-cinq-ans))

Hors du continent européen, le vaccin de Pfizer a déjà été approuvé pour les enfants de 5 à 11 ans dans un petit nombre de pays, parmi lesquels les États-Unis, Israël(([3] https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/11/14/Covid-19-israel-autorise-la-vaccination-des-enfants-de-5-a-11-ans_6102053_3244.html/)) et le Canada. Les enfants de 5 à 11 ans recevront un tiers de la dose utilisée pour les personnes plus âgées, en deux injections espacées de trois semaines, a expliqué le régulateur européen.

Le vaccin a démontré une efficacité de 90,7 %,(([4] En réalité seulement 1517 enfants ont reçu l’injection, l’efficacité n’a pas été jugée sur des critères pertinents (nombre de maladies symptomatiques et d’évolutions sévères), mais seulement sur le taux des anticorps (dont on ne connaît mal le rôle précis dans cette maladie nouvelle) et le suivi médian ne dépasse pas 2,3 mois, totalement insuffisant pour évaluer les effets secondaires.)) lors d’un essai réalisé sur 2 000 jeunes enfants suivis de cette classe d’âge a-t-il ajouté. Les effets secondaires ont été jugés « légers ou modérés ».(([5] Le nombre des enfants injectés et leur suivi médian ne dépassant pas 2,3 mois sont totalement insuffisants pour évaluer les complications à moyen et plus long terme ; en particulier aucune péricardite n’a été signalée alors qu’il s’agit d’une complication reconnue de ce pseudo vaccin à cet âge.)) Ils peuvent durer quelques jours et peuvent se manifester sous la forme d’une douleur localisée à l’endroit de l’injection, d’une fatigue, de maux de tête, de douleurs musculaires ou d’un rhume.

Selon le communiqué, le régulateur « a donc conclu que les bénéfices du Comirnaty chez les enfants de 5 à 11 ans dépassent les risques, particulièrement chez ceux qui présentent des comorbidités augmentant le risque de contracter une forme grave du Covid-19 ».

La propagande récente de l’Institut Pasteur

Pour promouvoir la vaccination chez les enfants qui n’ont absolument aucun bénéfice à en espérer, tous les médias montent en épingle un détail d’une étude de l’institut pasteur selon laquelle les personnes de plus de 40 ans vivant avec des enfants seraient plus exposées à la contamination.(([6] BFM TV Covid-19 : les personnes vivant avec des enfants sont plus exposées à la contamination 26/11/2021))

Il faut préciser que les auteurs de cet article(([7] Rebecca Grant Impact of SARS-CoV-2 Delta variant on incubation, transmission settings and vaccine effectiveness: Results from a nationwide case-control study in France The Lancet Regional Health – Europe 2021;00:100278)) sont majoritairement salariés par les promoteurs et/ou responsables des vaccinations.(([8] Institut Pasteur, Research & Action Emerging Infectious Diseases (REACTing), ANRS | Maladies Infectieuses Emergentes, Fondation de France (Alliance « Tous unis contre le virus »), Caisse Nationale d’Assurance Maladie, Paris, France…)) Que le but déclaré du travail est de préciser l’impact du variant delta sur l’efficacité des pseudo vaccins actuels. Qu’il ne s’agit absolument pas d’une enquête épidémiologique, mais une simple étude « cas control » dont tous les scientifiques admettent la très faible valeur probante du fait de l’incertitude de la réelle représentativité du groupe dit «control » construit a posteriori. De plus, le nombre de sous-groupes testés n’est pas précisé et tout le monde sait qu’au risque 5 % un test sur vingt est positif, même en l’absence de tout lien causal.

De plus, cet article de circonstances contredirait les conclusions de l’enquête épidémiologique de ce même Institut Pasteur sur les écoles de Creil et de plus d’une vingtaine d’articles internationaux prouvant que « les enfants sont innocents du Covid ».(([9] https://docteur.nicoledelepine.fr/il-faut-stopper-la-pub-a-la-vaccination-chez-lenfant-innocent-du-sars-cov-2/))

Vacciner les enfants, une absurdité dramatique contre ce rhume des fous(([10] Vacciner les enfants, une absurdité dramatique contre le rhume des fous (20+) Facebook ReinfoCovid Quebec))

Des appels à la raison émanent de partout dans le silence et la soumission des peuples dont les 20 à 30 % réveillés n’arrivent pas à ouvrir les yeux de trop de concitoyens travaillés au corps par les politiques et la propagande écrasante des médias aux ordres.

De plus en plus de personnes même médiatiques prennent conscience de la vaste manipulation, mais encore insuffisamment nombreux. Poursuivons l’information, l’exposé des faits avérés et sauvons des vies, comme disait Pascal Praud quand il croyait aux prétendus vaxx…

Combien de victimes faudra-t-il avant ce réveil salutaire ?

Nous ne pouvons que confirmer ce que tous les articles les pédiatres honnêtes expliquent depuis avril mai 2020 :

Les enfants non malades (sans comorbidité = sans cancer ni immunodépression) ne risquent rien du SARS-CoV-2(([11] Il ne faut pas vacciner les enfants contre le Covid-19 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) même dans ses formes initiales plus virulentes, les mutants actuels dont l’Omicron étant de moins en moins dangereux, bien que plus contagieux : une tempête dans une tasse de thé selon les Sud-Africains.

Les enfants porteurs du rhume Covid ne contaminent ni les enfants ni les adultes et aucun bénéfice collectif n’est à attendre de cette injection chez les petits. DONC PAS DE BÉNÉFICE NI INDIVIDUEL NI COLLECTIF.

L’INJECTION, UN RISQUE NON NÉGLIGEABLE ET INUTILE

Comment convaincre les parents de refuser cette injection chez les petits ?

Une nouvelle fois, rappeler l’état des lieux des effets dits indésirables avec les données récentes et les diffuser au maximum. Lecteurs, aidez-nous, aidez les petits et informez vos proches.

Ce risque est bien réel, car plus les sujets sont jeunes, plus leur système immunitaire est réactif, donc plus les enfants sont à risque de complications liées à la déferlante immunitaire.

C’est ainsi que les immunologistes expliquent que les jeunes présentent beaucoup plus de complications en tous cas précoces, des injections que les sujets âgés dont l’immunité est peu réactive. Et plus on est jeune, plus on est à risque : ainsi les sujets de moins de trente ans font des myocardites post vax, mais les 15 -18 ans plus que les 20 –30 ans et moins que les 11 – 15. Tout est à craindre chez les plus petits.

Les graphiques suivants montrent la parfaite concordance entre le nombre d’injections et la fréquence des myocardites et démontrent ainsi l’effet dose.

Vaccinations des enfants de 10 à 14 ans et mortalité toutes causes confondues en Angleterre — données officielles

Comparée à la moyenne de la mortalité toutes causes confondues de ces enfants pour les 5 dernières années : augmentation de + 44 %

Pour le Virologue J-M Claverie : La « vaccination » des enfants est une erreur grave(([12] https://planetes360.fr/video-virologue-j-m-claverie-la-vaccination-des-enfants-est-une-erreur-grave/))

La maladie des enfants est complètement bénigne. Ce rhume n’est pas dangereux, on devrait laisser les enfants faire leur petite maladie dans leur coin et pour acquérir l’immunité naturelle contre tous les ingrédients du virus et pas seulement une seule protéine. De plus la durée des tests a été très insuffisante : suivi 57 jours !

LES FORMES GRAVES CHEZ LES ENFANTS SONT UN MYTHE

Même la société française de pédiatrie le reconnaît :

voici sa mise au point le 30 septembre 2021 : FORMES GRAVES DE Covid CHEZ L’ENFANT : QU’EN EST-IL VRAIMENT ?

En août 2021, des données venant des USA et concernant un nombre important de décès des enfants et adolescents ont inquiété quant à la possibilité d’une plus forte virulence chez l’enfant. Cependant, ces données sont à moduler par les données globales aux États-Unis (https://www.aap.org/en/pages/2019-novel-coronavirus-Covid-19-infections/children-and-Covid-19-state-level-data-report/) qui font état d’un taux de létalité de 0,00 %-0,03 % (pourcentage de décès parmi les enfants atteints de Covid).

Les données françaises sont également très rassurantes ET CONFIRMENT TOUTES LES ANALYSES PRÉCÉDENTES : LES ENFANTS BIEN PORTANTS NE RISQUENT RIEN DU Covid

(https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/donnees-hospitalieres-relatives-a-lepidemie-de-Covid-19/)

La mortalité hospitalière cumulée au 18 août 2021 depuis le début de l’épidémie est de 11 cas pour les 10-19ans et 6 pour les moins de 10ans soit 0,02 % de la mortalité hospitalière cumulée rapportée au 18 aout 2021 par Sante Publique France (17 / 86 451) alors que les enfants et jeunes de moins de 20 ans représentent plus de 23,9 % de la population.(([13] (source https://fr.statista.com/statistiques/472349/repartition-population-groupe-dage-france/))

Ces données sont illustrées par les graphiques visibles sur le PDF de santé France,(([14] Ce document PDF [téléchargé automatiquement] : Évolution des indicateurs épidémiques chez les 5-11 ans et comparaison avec les 12-17 ans. Au 31 octobre, semaine 43. Le point sur. 10 novembre 2021. Saint-Maurice : Santé publique France, 4 p. Directrice de publication : Pr Geneviève Chêne. Dépôt légal : 10 novembre 2021)) représentant le nombre d’enfants hospitalisés en soins critiques (moins de 10 ans et 10-19 ans), ainsi que la proportion de moins de 20 ans parmi les hospitalisations en soins critiques et le nombre d’hospitalisations en soins critiques tous âges confondus (données quotidiennes)

Chiffres officiels concernant les décès et hospitalisations des enfants de 5 à 11 ans dus au Covid-19 ?(([15] Analyse du Pr La Scola de l’IHU de Marseille Copyright © Prof. Bernard La Scola et Candice Vacle, Mondialisation.ca, 2021))

Point épidémique de Santé Publique France sur la « situation SARS-CoV-2 depuis le début de l’épidémie chez les 5-11 ans et les 12-17 ans » datant du 31 octobre 2021 :

« Très rares décès d’enfants pour lesquels le lien avec le SARS-COV-2 est possible ou établi (respectivement 3 et 12 chez les 5-11 ans et 12-17 ans). Très grande majorité de ces décès chez des enfants présentant des pathologies chroniques.(([16] https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/infection-a-coronavirus/documents/enquetes-etudes/evolution-des-indicateurs-epidemiques-chez-les-5-11-ans-et-comparaison-avec-les-12-17-ans.-point-au-31-octobre-2021))»

Selon cette source officielle, en 1 an et 8 mois de crise Covid-19, il y a eu 3 décès dus au Covid-19 chez les enfants de 5 à 11 ans ; et 12 chez les enfants de 12 à 17 ans et tous ces enfants avaient une fragilité puisqu’ils avaient des pathologies chroniques.

Santé Publique France écrit aussi pour toute la période de la crise du Covid-19 :

« Les hospitalisations chez les enfants âgés de 5-11 ans et de 12-17 ans représentent respectivement 0,3 % et 0,5 % de l’ensemble des hospitalisations, sans différence entre 2020 et 2021. »

Donc, sur 1000 personnes hospitalisées ayant le Covid-19, il y a en moyenne 3 enfants de 5 à 11 ans et 5 de 12 à 17 ans. Cette situation est stable.

Les enfants hospitalisés du Covid-19 ne sont pas des enfants en bonne santé

Professeur Bernard La Scola a précisé :

« Il en est des enfants comme des adultes de moins de 50 ans en moyenne. Ceux qui sont hospitalisés sont des personnes atteintes de pathologies chroniques — notamment immunosuppression — souvent liées à un cancer, ou une obésité morbide. »(([17] Mail du 16 novembre 2021 le pr la Scola))

Les chiffres ci-dessus de Santé Publique France peuvent-ils justifier une vaccination des 5-11 ans et des 12-17 ans ?

Réponses recueillies auprès du Pr La Scola(([18] Prof. Bernard La Scola et Candice Vacle, Mondialisation.ca, 2021))

Pr La Scola :

« Ça n’a jamais été ces chiffres qui ont justifié la vaccination des enfants, mais une éventuelle limitation de la transmission virale. »

Dans l’état actuel des connaissances est-il prouvé que la vaccination des enfants limite la transmission et la circulation du virus Sars-CoV-2 ?

Pr La Scola :

« Non, pas plus que celles des adultes d’ailleurs. Les pays les plus vaccinés et le plus tôt comme UK [Royaume-Uni] et Israël ont eu des taux d’incidence parmi les plus élevés au monde avec la propagation du variant delta. C’est bien l’évidence que la vaccination de masse ne protège pas la circulation du virus. »

La vaccination contre le Covid-19 représente-t-elle un/des risque(s) pour les enfants ? Si oui le ou lesquels ? Et avez-vous des preuves concernant ces risques ?

Le Pr explique qu’on n’a pas de démonstration des risques faute d’essai clinique sérieux et prolongé. En d’autres termes si nous les laissons faire vos enfants seront des cobayes purement et simplement.

« Les autorités se basent sur les résultats d’une étude faite sur un peu plus de 2000 enfants dont la moitié ont reçu le vaccin (10.1056/NEJMoa2116298) »(([19] https://www.nejm.org/doi/pdf/10.1056/NEJMoa2116298?articleTools=true))

« On n’a pas détecté d’effets secondaires graves. Mais en testant 1000 enfants, on ne détectera jamais que les effets secondaires fréquents à une fréquence inférieure à 1/1000. Orles effets qu’on a vus chez les adultes jeunes (thromboses, myocardites) ont une fréquence bien inférieure. En clair, on ne peut pas détecter ces effets secondaires rares. »

« On ne les détectera qu’en faisant les apprentis sorciers, en faisant une vaccination de masse des enfants et en reproduisant ce qui a été fait avec les adultes jeunes. Je trouve toujours aussi scandaleux qu’on puisse continuer à vacciner des jeunes sans aucun facteur de risque avec les risques de thrombose et de myocardite que ça représente »

« Ce qui me gêne le plus depuis le début c’est le risque à très long terme d’une technologie non éprouvée justement sur ce long terme (vaccination ARN). Il ne se passera peut-être rien et il faut l’espérer, mais si ces vaccins sont responsables de pathologies cancéreuses ou dégénératives d’ici 15-20 ans, comment justifiera-t-on auprès des jeunes de les avoir vaccinés alors que c’était inutile ? »

Pour les 0 à 19 ans, le risque de soins critiques est de 2 pour 4962 contaminés non vaccinés (soit 0,05 %) et de 2 pour 1279 contaminés vaccinés (soit 0,16 %). LE RISQUE EST DONC TROIS FOIS SUPÉRIEUR POUR UN JEUNE VACCINÉ. Compte tenu des effets secondaires, la balance bénéfice/risque est totalement défavorable à la vaccination, car la probabilité des seules myocardies est supérieure.(([20] Ils tentent de vous faire croire que leurs injections protègent des formes graves, c’est bidon ! Nous avons besoin de traitements précoces et des vrais scientifiques qu’ils censurent ! | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com) ))

Les jeunes 12-17 ans représentent 15 % des déclarations depuis le début dans les 8 derniers jours (120/780)

La proportion des déclarations des jeunes est de 22 % des déclarations de myocardites tous âges ces 8 derniers jours. Ce pour juste une tranche d’âge de 6 années.

Ajouter 269 péricardites, dont 29 ces 8 derniers jours.

Total 12-17 ans : myocardites + péricardites = 1049 dont 149 du 19 au 26 novembre.

Exemple de rapport(([21] marco nius @NiusMarco))

Aux USA les données du VAERS sont cruelles

VACCINATION DES 12-17 ans

L’effroyable remontée de pharmacovigilance du VAERS (ministère de la Santé US)

EN 4 MOIS :

  • 24 DÉCÈS
  • 86 CÉCITÉS
  • 444 MYOCARDITES
  • 1159 HOSPITALISATIONS

Toujours garder à l’esprit que seulement 10 % de la réalité est remontée

ET LES MODÉLISATIONS SUR LES VAX DES ENFANTS, INVRAISEMBLABLE PROPAGANDE

Données Pfizer/FDA, par million de 5-11 ans doubles doses. En résumé : Ils vont filer 106 myocardites à des enfants en bonne santé à risque zéro pour éviter 200 hospitalisations à des enfants malades. 22

LA CORRUPTION DES EXPERTS CACHÉE PAR LES MÉDIAS PERMET CETTE ABOMINATION

ENFIN SE DEMANDER CE QUI MOTIVE CERTAINS MÉDECINS À ENVOYER LES ENFANTS JOUER A LA ROULETTE RUSSE. Croyance ? Crédulité ? Liens d’intérêts ? Corruption ?

Déjà une interrogation : Le Pr Alain Fischer , Mr Vaccin est président de la fondation Rothschild(([23] http://www.fedr.ibpc.fr/fr/la-fondation-edmond-de-rothschild-85.htm. Leurs missions :
https://www.edmondderothschildfoundations.org/nos-missions/sante/default.aspx#SubSection)) promoteur des vaccinations. Est-ce que ce lien n’aurait pas dû l’exclure de cette fonction de conseiller ?

Pas facile de savoir exactement les motivations, mais pour certains elles sont claires. Les exploits de l’urologue Gilbert Deray (néphrologue cumulant 171 déclarations pour plus de 160 000 €)(([24] D’après Covidinfos.net)) deviennent bien connus comme ceux de Karine Lacombe (247 861€) qui prétendait que les vaccins étaient efficaces à 100 % et veut nous faire porter le masque ad vitam aeternam.

« Vacciner » des enfants à risque ZÉRO par une injection génique expérimentale dangereuse qui ne protège ni les vaccinés ni leurs contacts des contaminations n’a pas de sens médical, d’autant que leurs effets à long terme sont complètement inconnus.

Aucune justification en dehors de la corruption, de la propagande à la Goebbels et de la soumission des peuples à la pression quotidienne, répétée depuis 18 mois. La stratégie de la peur même avec un variant du nom omicron que l’on sait déjà n’être une tempête dans une tasse de thé.

Un expert canadien, Jim Kellner, qui fait la promotion de la vaccination des enfants vient d’être sacré champion mondial de la corruption Covid avec 2 millions de dollars reçus de Pfizer. Citons quelques articles canadiens(([25] Par Aguellid 3 novembre 2021 2 millions de dollars versés par Pfizer à un médecin qui fait la promotion de la vaccination des enfants — Bing News))(([26] Cosmin Dzsurdzsa Québec Nouvelles Info 1er novembre 2021))(([27] Tags : Alberta corruption Dr Jim Kellner pédiatre et professeur à l’Université de CalgaryPfizer PharmaceuticalsPromotion de la vaccination des enfants.)):

«Tout est logique, simple, limpide : c’est celui qui paie qui écrit la musique. Les médias sont conscients et complices de cette folie, ils devront le payer face à la justice. Comme par hasard, les chaînes d’info ont le numéro de téléphone de la crapule la plus corrompue de l’état ! »

Il est super content le monsieur… et souriant…

Plusieurs des plus grandes entreprises médiatiques du Canada n’ont pas révélé qu’un éminent professeur de pédiatrie de l’Alberta avait reçu près de 2 millions de dollars de Pfizer Pharmaceuticals pour promouvoir la vaccination des enfants de 5 à 11 ans.

Le Dr Jim Kellner, pédiatre et professeur à l’Université de Calgary, a été cité comme une autorité dans des dizaines d’articles publiés par CTV News, CBC, Global News, le Toronto Star et le Globe and Mail sur la vaccination des enfants et d’autres questions liées aux pandémies.

Depuis 2014, les recherches de Kellner ont reçu 1 940 443 $ de Pfizer Pharmaceuticals pour diverses études sur les vaccins, la subvention la plus récente de 787 004 $ étant allouée jusqu’à l’année 2022.

Le financement de la recherche de Kellner n’a pas été divulgué par les médias susmentionnés dans de nombreux articles remontant à 2020, bien qu’il soit indiqué publiquement dans son CV, qui est publié sur le site Web de l’université de Calgary.

(…) Dans les articles où M. Kellner est cité, il est tour à tour qualifié de « professeur et chercheur » , de « pédiatre », de « spécialiste des maladies infectieuses à l’Alberta Children’s Hospital », d’ »expert en maladies infectieuses », de « membre du groupe de travail fédéral sur l’immunité Covid-19 » et d’autres variantes. Kellner est également employé par les services de santé de l’Alberta.

Un article publié par CBC News ce 24 novembre, intitulé » Wondering about vaccinating younger kids against Covid-19? Alberta experts weigh in”, cite Kellner sur le sujet de l’administration du vaccin Pfizer aux enfants, sans faire référence à son financement.

« De mon point de vue, l’analyse des risques et des avantages montre qu’il y a un avantage certain à administrer le vaccin pour prévenir l’infection et les conséquences graves du Covid-19 », aurait déclaré M. Kellner.

Dans un autre article publié en avril par le radiodiffuseur public, M. Kellner encourage l’élargissement des groupes de personnes admissibles au vaccin Covid « en particulier en fonction de l’âge » et aurait déclaré que « la vaccination est la première chose qui peut faire la différence ».

Selon les résultats de recherche de la CBC, le nom de Kellner apparaît plus de 41 fois et apparaît dans de nombreuses vidéos et articles sur le thème de la vaccination, sans aucune indication sur les sommes qu’il a reçues du fabricant de vaccins Pfizer.

Les données du gouvernement du Canada montrent que le vaccin Pfizer-BioNTech (Cormirnaty) est le vaccin le plus utilisé au Canada, plus de 14 millions de Canadiens ayant reçu au moins une dose du produit.

Dans un article publié en juin par le Globe and Mail, Kellner remet en question la protection offerte par l’immunité naturelle.

« Nous encourageons les personnes qui ont eu le Covid à se faire vacciner, et il est recommandé de le faire. On pourrait même dire que les personnes qui ont eu le Covid sont plus susceptibles de se faire vacciner, ayant vécu cette expérience », a déclaré M. Kellner au Globe and Mail. Le journal a cité Kellner comme une autorité au moins sept fois.

Quant au Toronto Star, Kellner apparaît en tant qu’expert dans au moins 11 articles, dont beaucoup encouragent la vaccination des enfants, et ce sans divulguer son financement. Dans le dernier article publié le 18 octobre 2021, Kellner discute des essais de vaccins Pfizer sur des enfants et est cité aux côtés du PDG de Pfizer, Albert Bourla.

De même, Global News cite Kellner à de nombreuses reprises, y compris dans des interviews, à propos de ses recherches sur le Covid-19 et les enfants, sans révéler les près de 2 millions de dollars qu’il reçoit de Pfizer.

Quant à CTV News, Kellner fait plusieurs apparitions à la une en tant que pédiatre, notamment dans un article daté du 20 octobre 2020.

Comme l’a rapporté en exclusivité True North au début du mois, le Globe and Mail et le Toronto Star n’ont pas non plus divulgué le financement par AstraZeneca de l’éminent professeur et auteur d’articles d’opinion Mark Lautens.

En comparaison la cote des experts français paraît bien plus faible (8 fois moins pour la championne française d’Euros for docs).

Contrairement à ce qu’on croit généralement la cause principale de la chute de l’Empire romain n’est pas la puissance brute des barbares, mais la corruption généralisée du bas empire qui l’a vidé de ses moyens de défense.(([28] Max Gallo La Chute de l’Empire romain Paru le 15 septembre 2016.))

En France la corruption paraît déjà avoir décrédibilisé les experts scientifiques et la parole des représentants de l’état. Au-delà de la santé des enfants, elle menace les fondements de notre démocratie ; comme l’avaient déjà expérimenté les citoyens d’Athènes(([29] Paul Demont, « Le tirage au sort dans la démocratie de l’Athènes classique », Silomag, n° 10, déc. 2019. URL :
https://silogora.org/le-tirage-au-sort-dans-la-democratie-de-lathenes-classique/)) et de certaines cités italiennes du Moyen âge qui ont recouru au tirage au sort de leurs représentants pour la limiter.








« Avis de décès. Elle est morte, Lavie Davant !!! » L’édito de Charles SANNAT

[Source : Insolentiae]

Par Charles Sannat

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Ouin-ouin, snif-snif, ouin-ouin, je veux boire des coups en terrasse à 9,50 € les 25 centilitres de mauvaise bière et me sentir vivant en me serrant dans un RER à l’heure de pointe pour m’entasser dans un cinéma pour regarder un mauvais film à 12 euros le ticket.

Ouin-ouin, snif-snif, ouin-ouin, je veux retrouver ma copine Lavie Davant, qui n’a rien à voir avec l’élégante Sophie Davant, non, je vous parle bien de la vie d’avant. D’avant le Covid bien sûr.

Je veux protéger la planète et sauver l’environnement, mais s’il vous plait, laissez moi partir en avion à 40 euros pour un week-end à Rome, mieux, je veux aller à Bali en charter low-cost, je veux polluer, je veux voyager en all inclusive et me sentir un prince dans un pays où les gens sont payés au lance-pierres !

Ouin-ouin, snif-snif, ouin-ouin, je veux retrouver ma copine Lavie Davant.

Haaaaa, mes amis que ne serait-on pas prêt à faire pour passer encore une nuit de plus dans les bras de la belle Lavie Davant.

Tout.

J’accepterais tout pour une nuit de plus avec elle.

Toutes les compromissions.

Toutes les lâchetés.

Oui.

Oui aux restrictions, aux piqûres, oui au passe sanitaire même si, il n’a d’autre utilité que de forcer les méchants non-vaccinés à se faire piquer. Oui encore à la ségrégation, oui au fait de rester enfermé, oui aux confinements, mais promettez moi une nuit dans les bras de la belle Lavie Davant !

Lavie Davant ce n’était pas juste les coups en terrasse et les avions. Lavie Davant était beaucoup plus profonde que cela. Les coups en terrasse ce n’est que l’écume des choses. Ils s’y trompent tous. Ils confondent. Ils n’ont pas compris que dans la liberté de boire des coups ou de voyager l’important n’était pas la boisson mais le flacon, ni le voyage, mais la liberté. C’est parce qu’ils se sont totalement trompés et égarés qu’ils ne la retrouveront jamais. La liberté, donc, Lavie.

Vous ne retrouverez jamais Lavie Davant !

Lavie Davant a vieilli, le temps est passé, il a fait son œuvre.

Le monde d’avant n’existe plus.

Il a déjà laissé place au monde d’aujourd’hui.

Demain sera pire.

Ce sera le monde d’après.

Un monde bien loin de Lavie Davant.

Gardez son visage en tête, son sourire, sa joie de vivre.

Ainsi était Lavie Davant.

Elle croquait la vie à pleines dents.

Nous rigolions, c’était une époque où nous avions de l’humour. Nous pouvions rire de tout. Ou presque. On sortait. Nous étions libres. Pas de passe ni de laissez-passer. Pas de restriction. Pas de prison pour un verre entre amis sur une plage un soir avec un feu de camps. On roulait en GTI bien trop vite. Nous buvions sans doute trop. Nous mangions mal, loin des 5 fruits et légumes chiants que nous permet notre triste quotidien. Entre boulghour et quinoa. Bio. Sans gras. Vivre longtemps. Même si c’est très chiant. Ni homme ni femme. Pas d’excès. Contrôle social. Permis à point. De l’école à l’âge adulte. Qu’elle était belle Lavie Davant à la lumière du feu crépitant.

Puis le feu s’est éteint. Comme Lavie Davant.

Je la garde dans mon cœur.

Autant d’instants précieux.

Ceux partagés par des gens, si différents, mais humains, tout simplement. Nous vivions ensemble, nous nous embrassions, nous nous serrions dans les bras, nous nous aimions, il n’y avait pas de distanciation sociale ni de gestes barrières.

Lavie Davant savait que vivre était dangereux, elle savait même que l’issue, toujours fatale était connue à l’avance. Lavie Davant savait, qu’un jour, il lui faudra mourir.

Nous voulons tous que ce soit le plus tard possible.

Lavie Davant, elle, comme tous ceux qui nous sont précieux, nous a quittés bien trop tôt.

Repose en paix, Lavie.

Ils ont tous voulu te tuer.

Ils ont réussi.

Ils ont réussi, parce que nous les avons laissés faire.

C’est pour cela que nous visons dans un monde de dépressifs suicidaires et devenant tous fous, plus ou moins.

Gardez le souvenir de Lavie Davant dans vos cœurs et dans vos esprits.

Il n’y a rien de plus puissant qu’une idée. Une idée de liberté, une idée d’humanité, d’égalité et de fraternité.

Elle était comme cela Lavie Davant.

Repose en paix.

Partagez ce faire-part de décès avec vos députés, vos sénateurs, vos maires. Ils sont les premiers responsables du climat de tristesse qui étrangle ce pays. L’étouffe. C’est eux, les vrais assassins de Lavie Davant. Elle n’est pas morte de vieillesse, c’était bien un homicide, que dis-je un vrai féminicide comme on dit aujourd’hui.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
Pour m’écrire charles@insolentiae.com
Pour écrire à ma femme helene@insolentiae.com

Vous pouvez également vous abonner à ma lettre mensuelle « STRATÉGIES » qui vous permettra d’aller plus loin et dans laquelle je partage avec vous les solutions concrètes à mettre en œuvre pour vous préparer au monde d’après. Ces solutions sont articulées autour de l’approche PEL – patrimoine, emploi, localisation. L’idée c’est de partager avec vous les moyens et les méthodes pour mettre en place votre résilience personnelle et familiale.

« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »




Comment expliquer l’explosion des cas et des morts dans les 2 mois qui suivent les vaccinations ?

La surveillance de l’évolution immédiatement post vaccinale telle qu’elle apparaît d’après les données de l’OMS et de OurWorldinData montre une explosion de cas et de morts durant les deux mois qui suivent les campagnes de vaccination, sans aucune explication scientifique confirmée jusqu’à présent.

Le but de ce travail est d’exposer cette évolution paradoxale pour stimuler les recherches et évoquer les hypothèses qui permettraient peut-être de la comprendre.

Faits avérés tirés des courbes de l’OMS

Israël

Dans ce pays champion de l’injection Pfizer celle-ci a été suivie d’une explosion des cas et de morts pendant deux mois.

La campagne de « vaccination » a également été suivie d’une explosion de la mortalité attribuée au Covid.


La Grande-Bretagne

Est le champion européen de l’Astra Zeneca. La vaccination, commencée en décembre 2020, a été suivie d’une forte exacerbation du nombre de cas quotidiens puis de la mortalité qui a doublé en trois mois.


Îles Fidji

Les injections ont commencé début mai. L’épidémie a explosé en juin et la mortalité a suivi.

Et la mortalité a explosé


En Slovaquie la vaccination a commencé le 4 janvier 2021.

Elle a été rapidement été suivie d’une hécatombe post vaccinale


Avant la vaccination les Seychelles avaient été épargnées par le Covid. Mais la campagne de vaccination a été suivie par une forte poussée de contaminations, puis de morts.


Au Népal


Mais aussi en Thaïlande


Au Cambodge, la vaccination a pris de l’ampleur en mars 2021 et en novembre plus de 80 % de la population avait subi au moins une injection. Mais le résultat est décevant : la vaccination a été suivie par une explosion des cas.


Avant la vaccination la Mongolie avait été épargnée par le Covid.

Malheureusement la vaccination a été suivie par une explosion de cas et de morts.


Les non-vaccinés sont ceux qui n’ont reçu aucune injection !

Cette hécatombe post vaccinale des deux premiers mois impose de prendre en compte dans l’historique des vaccinés cette période entre la première injection et les deux semaines qui suivent la dernière injection.

La comparaison des mortalités des vaccinés et des non vaccinés, en considérant les vaccinés incomplets comme des non-vaccinés, augmente fortement la mortalité de ces derniers et diminue d’autant celle des vaccinés.

Elle représente une tricherie trop fréquemment utilisée par nos gouvernants et les médias complices. Les non-vaccinés sont ceux qui n’ont reçu aucune injection !

Dans les pays où la vaccination a été plus lente, cet effet d’explosion des cas et d’hécatombe post vaccinale est peu perceptible, mais des accélérations brutales du rythme des vaccinations peuvent aussi être marquées par une augmentation de la mortalité.

L’effet Macron

Ainsi en France les menaces proférées par Macron contre les non-vaccinés ont été suivies par une augmentation brutale du nombre d’injections quotidiennes suivi par une augmentation des cas constatés puis de la mortalité quotidienne

Commentaires

Dans 80 % des pays champions de la pseudo vaccination Covid, celle-ci a été suivie par une hausse importante des cas (tests PCR positifs) et des morts pendant en moyenne deux mois.

Ce phénomène paradoxal n’a pas été observé avec les vaccins classiques, même lorsqu’ils sont peu efficaces comme celui de la grippe. En l’absence d’études scientifiques publiées à notre connaissance sur le sujet, on ne peut qu’émettre des hypothèses quant aux raisons de cette hausse des contaminations et l’hécatombe post vaccinale précoce.

Le rôle connu des anticorps facilitants

Pour la surmortalité immédiate, on peut évoquer un phénomène d’anticorps facilitants (ADE)(([1] Antibody dependant enhancement)) bien étudié après la catastrophe de la vaccination contre la Dengue (Denvaxia) aux Philippines. Il consiste à ce que les anticorps, créés à l’occasion d’une précédente infection ou par un vaccin insuffisamment efficace, au lieu de combattre la maladie, l’aggravent en facilitant l’entrée du virus dans les cellules. Cette apparition d’anticorps facilitants est responsable de l’échec et l’abandon des candidats vaccins après les essais animaliers(([2] En particulier contre péritonite infectieuse du chat.)) contre les précédents coronavirus (SRAS(([3] Dans le contexte des essais vaccinaux contre le SRAS (SARS-CoV-2), une VAED a été observée dans 9 études animales, dont une in vivo chez des singes verts expérimentalement infectés par deux fois.)) et MERS(([4] Chez le lapin infecté par deux fois, ainsi que des phénomènes d’ADE in vitro.)) ).

Ces observations sont à l’origine des inquiétudes des immunologistes vis-à-vis de la sécurité des pseudovaccins contre la Covid-19. Ce risque avait d’ailleurs été décrit par de nombreux auteurs dès 2020(([5] Nouara Yahi Infection-enhancing anti-SARS-CoV-2 antibodies recognize both the original Wuhan/D614G strain and Delta variants. A potential risk for mass vaccination?))(([6] Iwasaki A. Yang Y. The potential danger of suboptimal antibody responses in COVID-19. Nat Rev Immunol. 2020; 20:339-341(([7] Li D. et al. In vitro and in vivo functions of SARS-CoV-2 infection-enhancing and neutralizing antibodies. Cell. 2021; 184:4203-4219))(([8] Lee WS et al. Antibody-dependent enhancement and SARS-CoV-2 vaccines and therapies. Nat Microbiol. 2020; 5(10): 1185-91))(([9] Nikolai Eroshenko, Taylor Gill, Marianna K. Keaveney, Implications of antibody-dependent enhancement of infection for SARS-CoV-2 countermeasures 5 June 2020
https://doi.org/10.1038/s41587-020-0577-1)) et rappelé par l’Académie de médecine en janvier 2021(([10] Communiqué de l’Académie de Médecine Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ?)):

« la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection doit être prise en considération.

Le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants.

Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination. »

Les mesures de surveillance de ce phénomène d’ADE se heurtent à la difficulté de caractériser l’aggravation de la maladie par la vaccination (VAED)(([11] VAED vaccine antibody-dependant enhancement)) de manière objective et le manque de marqueurs spécifiques.

La prévention de la VAED repose, non seulement sur un suivi attentif, mais également sur des mesures visant à s’assurer que les taux d’anticorps neutralisants obtenus restent suffisamment élevés chez toutes les personnes vaccinées, en particulier les sujets âgés, ce qui n’est pas suffisamment réalisé actuellement en France.

Si, comme cela est probable, l’infection à SARS-CoV-2 devient endémique, cette précaution sera essentielle à respecter, si on veut éviter de voir apparaître des bouffées épidémiques de formes sévères chez des personnes vaccinées, insuffisamment protégées par leur immunité humorale et cellulaire.

Les maladies liées à la protéine spike produites largement par les « vaccinés »

Aucune hypothèse publiée à ce jour n’explique l’explosion précoce des cas après vaccination et on peut s’interroger sur la signification des test positifs dans cette situation. Il est peu probable qu’il ne s’agisse que de faux positifs, car ils ont été suivis de signes cliniques et d’une élévation de la mortalité.

La possibilité d’une maladie causée par la protéine spike et transmise par autour d’eux par les vaccinés est donc possible et mérite d’être recherchée.





Comprendre qu’il n’y a jamais eu de « crise covid » autre qu’artificiellement créée

Par BS

Pierre de Décoder l’Eco a publié un document fondamental pour comprendre qu’il n’y a jamais eu de « crise covid », comme indiqué par Marc Girard dans plusieurs articles. Le délire se reprend avec intensité (variant OMICRON), avec la dévaccination des vaccinés 2 doses dans les prochaines semaines (désactivation du pass sanitaire selon 2 échéances), avec la menace de vaccination des 5 – 11 ans, avec les émeutes dans certains Dom-Tom, l’obligation de tests (avec autotests) pour les enfants de sixième (qui va évidemment se transformer en pass vaccinal pour aller à l’école dès que la vaccination des moins de 12 ans sera autorisée par l’UE)… etc..

La vidéo dure 8 minutes, elle fût publiée le 23 novembre et détaille les informations chiffrées les plus significatives du récent rapport de l’Agence Technique de l’Information sur l’Hospitalisation (ATIH) consacré à la Covid-19. Ce rapport officiel indique que le Covid n’a représenté que 2% de l’activité hospitalière sur l’année 2020 et que l’hôpital a fonctionné en sous-régime. Pierre utilise également les données fournies par un autre rapport de l’ATIH détaillant l’activité hospitalière totale pour montrer que l’hôpital n’a jamais été débordé à cause d’un petit coronavirus.

À la différence de Géodes de Santé Publique France sur lequel s’est basé le décompte des morts du covid du croque-mort Jérôme Salomon, l’ATIH ne reprend que les patients dont le motif d’hospitalisation est spécifique à la Covid-19. L’analyse de Pierre permet de chiffrer les conséquences des mesures prises par le gouvernement conseillé par le Conseil Scientifique (déprogrammation de soins, confinements, non-prise en charge des patients en urgence, etc.) : 

une activité hospitalière en baisse de 10% sur l’année 2020 incluant une baisse de 50% pour le mois d’avril 2020 (celui du 1er confinement, montrant un pic de mortalité) avec un taux de prise en charge Covid sur ce mois qui présente un maximum de 7,6% des admissions, taux inclus dans un taux de prise en charge total qui chute de moitié par rapport aux années précédentes. Que sont devenue les personnes qui auraient statistiquement dues être prises en charge pour les pathologies habituelles sur cette période ?

La vidéo a été publiée à la fois sur YouTube et Odysee (Odysee échappe à la censure).

L’activité hospitalière en 2020 : la vraie version (Pierre Chaillot de Décoder l’Eco – 23/11/21 – 8 minutes 25) :



Version texte (via France Soir) :

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/lactivite-hospitaliere-en-2020-la-vraie-version

L’agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH) a sorti un rapport d’analyse sur l’impact de la Covid-19 sur les hospitalisations durant l’année 2020. Ce rapport a notamment révélé que durant l’année 2020, les hospitalisations pour cause de Covid-19 n’ont finalement représenté que 2 % de l’activité hospitalière sur l’année. La lumière a été faite sur ce rapport lorsque Martin Blachier l’a évoqué sur LCP, émission Ça vous regarde du 09 novembre 2021. La presse s’est bien évidemment empressée d’enterrer les résultats de ce rapport pour éteindre cet incendie qui menaçait de brûler l’histoire officielle.

Ce rapport a été enterré un peu vite et, surtout, l’autre rapport concernant l’activité totale des hospitalisations en 2020 a été passé sous silence. Nous allons voir que, non seulement l’activité Covid-19 à l’hôpital est très loin d’avoir ressemblé à l’image que les médias ont voulu véhiculer, mais qu’en plus, l’hôpital français n’a jamais été autant sous-utilisé qu’en 2020.

L’activité Covid-19 de l’hôpital finalement faible sur l’année

La première révélation de l’étude de l’ATIH est le nombre d’hospitalisations pour cause Covid-19 en 2020. Sur l’ensemble de l’année, 217 974 patients ont été hospitalisés pour cette cause (Figure 1).

Ce nombre est étonnamment assez éloigné de ce que l’on peut trouver sur Géodes, le portail des statistiques du ministère de la Santé, sur lequel on trouve 277 821 en 2020 (Figure 2). Il semble manquer 60 000 hospitalisations dans le rapport de l’ATIH, soit 20 % du total. Cependant, à la page 20 du rapport, dans la partie Sources et Méthodes, on peut lire « La population d’étude est constituée des patients hospitalisés en 2020 pour une prise en charge de la COVID-19. […] Les hospitalisations de patients testés positifs à la COVID-19 mais asymptomatiques 16 ou dont le motif de recours à l’hospitalisation de court séjour n’était pas la COVID-19 ne sont pas intégrées au champ d’analyse. » Ainsi, l’ATIH, contrairement au ministère de la Santé, ne compte pas comme « Covid-19 » les patients hospitalisés pour une jambe cassée, mais déclarés malades a posteriori de la Covid-19. Il est intéressant de savoir que ces patients représentent 20 % des statistiques officielles, soit un patient sur cinq.

Au bilan, ces hospitalisations Covid-19 représentent 2 % de l’activité hospitalière sur l’année (Figure 3). Une activité assez insignifiante au regard de ce que gère l’hôpital avec ses 11 millions d’hospitalisations annuelles.

Les seules statistiques qui augmentent sont les durées d’hospitalisations et les nombres de décès des patients Covid par rapport aux autres patients.

Cependant, comme nous l’avons vu, les personnes hospitalisées pour Covid-19 sont les personnes âgées (Figure 4). Il paraît donc normal (voire rassurant) d’avoir plus de décès pour les hospitalisations Covid-19 de patients de plus de 80 ans, que pour les ruptures des ligaments croisés après un match de football de patients de moins de 40 ans.

À ce stade, il convient de rappeler que chaque année, plus de la moitié des décès français (donc plus de 300 000) ont lieu à l’hôpital (Figure 5). L’hôpital est le principal lieu de décès des Français, et c’est le signe qu’ils sont pris en charge, pas que l’hôpital est un lieu dangereux.

Concernant la durée des hospitalisations et la part des décès (Figure 6), nous avons montré à de nombreuses reprises que les patients Covid-19 n’ont pas eu de soins précoces de la part de leur médecin (puisque c’était déconseillé, voire interdit). Ils sont arrivés à l’hôpital dans un état fortement dégradé et il est normal qu’ils y soient restés plus longtemps et soient plus souvent décédés que pour une grippe prise en charge précocement. Cela ne prouve pas la dangerosité de la maladie, mais celle de l’interdiction de soin.

En plus de montrer que la Covid-19 a finalement peu pesé sur l’activité hospitalière sur l’année, il convient de rappeler que l’activité hospitalière n’a jamais été aussi faible que pendant cette année 2020. Toutes les déprogrammations ou les évictions de patients du fait de la politique de non prise en charge ont eu un effet déplorable sur l’organisation du soin. Cette non prise en charge est mesurée dans l’autre rapport de l’ATIH sur les hospitalisations totales.

Sur l’année, l’hôpital a accueilli 1,3 million de patients en moins, représentant 2,2 millions de séjours en moins. Cela représente un recul de plus de 10 % à chaque fois, et autant de personnes qui n’ont pas été prises en charge et soignées.

La presse s’est évidemment fait l’avocat du gouvernement en nous expliquant que ces chiffres annuels de faible activité totale ou Covid ne représentent pas les pics énormes qui ont eu lieu pendant les vagues. Heureusement, l’ATIH nous permet de vérifier tout cela.

L’activité Covid-19 de l’hôpital finalement faible pendant les vagues

Les fiches synthétiques de l’ATIH nous permettent de mesurer l’activité hospitalière mois par mois et de la comparer à l’activité liée à la Covid-19. Le nombre de séjours liés à la Covid-19 représente donc 1,3 % des séjours sur l’année, mais selon les mois cette part a pu varier entre 0 et 7,5 % (Figure 8).

Ainsi, au plus fort de l’activité Covid, cette dernière n’a représenté que 7,5 % de l’activité hospitalière en avril 2020. C’est déjà peu, mais encore à nuancer. En effet, les mesures de confinement et d’annulation de tout le reste de l’activité ont drastiquement diminué l’activité hospitalière à cette période.

L’activité hospitalière d’avril 2020 est 50 % inférieure à l’activité normale de cette période, comme en témoignent les courbes de 2018 et 2019 (Figure 9). Ainsi, 7,5 % de Covid dans un contexte où l’hôpital ne fonctionne qu’à mi-régime, signifie que l’activité Covid n’a représenté au maximum que 3,7 % d’une activité normale.

Il n’y a donc jamais eu d’impact de la Covid pour faire déborder l’hôpital. Non seulement à aucun moment l’hôpital n’a débordé, mais il a fonctionné en sous-régime toute l’année, et l’impact de la Covid est insignifiant quel que soit le moment.

L’activité Covid-19 de l’hôpital finalement faible partout

Les fiches synthétiques de l’ATIH nous permettent de mesurer l’activité région par région pour savoir si finalement la crise hospitalière a eu lieu quelque part, puisque au niveau de la France, elle n’a eu lieu à aucun moment.

On observe alors que la région ayant la part d’hospitalisations Covid la plus forte est l’Île-de-France, avec 2,2 % d’hospitalisations Covid (Figure 10). Ainsi, même au niveau régional, on est incapable de trouver un hôpital qui déborde à cause de la Covid-19.

En revanche, on note une correspondance quasi-parfaite entre la part de Covid-19 déclarée et la sous-activité de l’hôpital. Plus l’hôpital a déclaré une part importante de Covid-19 et plus son activité a en fait baissé en 2020.

On note également que cet ordre correspond parfaitement à l’affiliation au pouvoir des grands dirigeants des services de santé de ces territoires, avec en premier lieu les Parisiens bien évidemment.

En conclusion, nous pouvons dire que nous avons montré dans de nombreux articles et vidéos que la mortalité sur l’année 2020 ne peut en aucun cas être attribuable à la seule Covid et est bien trop faible pour justifier la moindre mesure coercitive. Grâce à l’ATIH, nous savons dorénavant qu’il en est de même pour les hospitalisations. Le catastrophisme médiatique est toujours une mise en scène justifiant la répression.

Toutes ces statistiques proposées par l’ATIH ne font que nous confirmer que nous faisons face depuis deux ans à des choix idéologiques, politiques ou financiers de la part des décideurs, qui n’ont rien à voir avec la santé des Français.

Auteur(s): Pierre Lecot, pour FranceSoir


Gabriel Attal, à propos de ce rapport

https://francais.rt.com/france/92634-attal-reconnait-que-chiffre-2-patients-admis-hopital-cause-covid-juste

Interrogé sur le plateau du talk-show On est en direct le 13 novembre, le porte-parole du gouvernement a reconnu que le chiffre portant à 2% le nombre de patients Covid admis à l’hôpital en 2020 était «juste» mais a voulu tempérer son interprétation.

Invité de l’émission On est en direct (France 2) le 13 novembre, Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, s’est exprimé au sujet d’un rapport de l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH) établissant à 2% le nombre de patients admis à l’hôpital pour cause de Covid-19.

«Tout ça pour ça ? Pour si peu de gens !», s’est alors étonné l’animateur de l’émission Laurent Ruquier en référence aux restrictions sanitaires inédites prises durant l’année 2020. Si Gabriel Attal a en conséquence reconnu que «ce chiffre est juste», il a cependant tenu à tempérer les interprétations à en tirer. Selon lui, le rapport expliquerait également «qu’il y a eu une tension très forte à l’hôpital du fait du Covid».

Gabriel Attal a estimé que les 2% des patients hospitalisés en 2020 pour prise en charge du Covid-19 représenteraient en réalité une moyenne de personnes «ayant franchi la porte de l’hôpital sur l’année». Il a souligné notamment l’apparition «de moments de saturation des hôpitaux sur trois mois, peut-être quatre mois sur les douze mois de l’année». «Ce chiffre ne donne pas le nombre de jours d’hospitalisation», a-t-il assuré, précisant que ces patients étaient selon lui «restés beaucoup plus longtemps».

Fondée en 2000, l’ATIH est un établissement public à caractère administratif placé sous la tutelle des ministres chargés de la santé, des affaires sociales et de la sécurité sociale. Publié le 28 octobre 2021, son rapport sur l’activité hospitalière 2020 liée au Covid-19 a été beaucoup commenté, notamment par les opposants aux mesures restrictives, jugées disproportionnées.

Mais du côté du gouvernement, la ligne directrice reste inchangée : répondant à la journaliste Léa Salamé, toujours sur le plateau d’On est en direct, sur la question d’un éventuel reconfinement, Gabriel Attal a ainsi fait savoir qu’il ne fallait «jamais rien exclure par principe». «Cette épidémie continue de surprendre le monde entier», a-t-il argumenté, assurant toutefois que pour le moment il n’était «absolument pas question d’un reconfinement dans notre pays, parce qu’on a ce taux de vaccination très élevé».

Articles de Marc Girard les plus importants consacrés à la crise covid

Été 2020 : https://www.rolandsimion.org/coronavirus-mortalite-epidemiologie-fake-intimidation/

Novembre 2020 : https://www.rolandsimion.org/un-commentaire-sur-le-re-confinement/

L’accélération du délire de ces derniers jours est une preuve supplémentaire que le but du gouvernement n’a AUCUN RAPPORT avec la santé publique.