La propagande de mort des pro-avortement aux États-Unis

[Source : RL]

Par Thierry Michaud-Nérard

La Cour suprême confirme que l’avortement n’est pas un droit constitutionnel ! (dreuz.info). L’héritage qu’a laissé le président Donald Trump durant ses quatre ans de mandat malgré la fraude électorale pro-Biden met les gauchistes sens dessus dessous. La Cour suprême annule la décision Roe v Wade de 1973 et Casey de 1992 qui étaient profondément déviantes. La décision de la Cour suprême a confirmé que les lois relatives à l’avortement seront désormais renvoyées aux États – donc au peuple américain – pour qu’ils en décident.

Il n’y a rien dans la Constitution sur l’avortement et la Constitution ne protège pas l’avortement comme étant un droit. Ni explicitement, ni même implicitement. Il est temps de tenir compte de la Constitution et de renvoyer la question de l’avortement aux représentants élus du peuple, ce que la Constitution prévoit.

Le juge Thomas a laissé entendre que la Cour pourrait revenir sur l’autorisation du mariage gay. La Cour est plus à droite. Le 2 mai 2022, un projet d’avis rédigé par le juge Samuel Alito a été divulgué à Politico.

Dans cet avis, il écrivait qu’il est temps de tenir compte de la Constitution et de renvoyer la question de l’avortement aux représentants élus du peuple. Les médias ont immédiatement menti au public et affirmé que l’avortement devenait interdit ! Il n’en était rien. Ces cinq juges, dont trois ont été nommés par le président Donald Trump, ont clairement dit le droit, clairement rappelé la Constitution, et indiqué que la Constitution ne traitait pas de l’avortement et le renvoyaient aux États. (Source : Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.)

Moralité : La Cour suprême confirme que l’avortement n’est pas un droit constitutionnel !

L’arrêt Dobbs (2022) de la Cour suprême des États-Unis réforme « Roe vs Wade » (1973) sur la question de l’avortement. 213 pages, aisément lisibles, composent l’arrêt, puis l’opinion de celui qui l’a rédigé (le juge Samuel Alito), puis les opinions concurrentes, enfin les opinions dissidentes.

Cet arrêt est magistral du point de vue du droit en actes, simple sur la forme, large et pénétrant dans son brassage des précédents, résonnant des valeurs puissantes qui tissent la constitution américaine.

L’arrêt rappelle qu’il existe deux catégories de droits constitutionnels : ceux qui sont exprimés par la Constitution et ceux qui sont enracinés dans l’histoire des États-Unis : Selon les décisions de la Cour, le 14ème amendement protège deux catégories de droits – les droits garantis par les huit premiers amendements à la Constitution et les droits jugés fondamentaux qui ne sont mentionnés nulle part dans la Constitution.

Pour décider si un droit appartient à l’une ou l’autre de ces catégories, la question est de savoir si le droit est profondément enraciné dans [notre] histoire et [notre] tradition et s’il est essentiel au schéma de liberté ordonnée de cette nation. (…) Le terme liberté seul ne fournit guère d’indications.

Les enquêtes historiques sont essentielles chaque fois qu’il est demandé à la Cour de reconnaître une nouvelle composante de l’intérêt de liberté protégé par la clause de procédure régulière. En interprétant ce que l’on entend par liberté, la Cour doit se garder de la tendance humaine naturelle à confondre ce que le 14ème Amendement protège avec les vues ardentes de la Cour sur la liberté dont les Américains devraient jouir. Or, poursuit la Cour, l’avortement comme droit est étranger à l’histoire américaine pré-Roe !

« Jusqu’à la fin du 20ème siècle, le droit américain ne soutenait pas le droit constitutionnel d’obtenir un avortement. Aucune disposition constitutionnelle d’un État n’avait reconnu un tel droit. Jusqu’à quelques années avant Roe, aucun tribunal fédéral ou d’État n’avait reconnu un tel droit. Aucun traité scientifique non plus. En fait, l’avortement était depuis longtemps un crime dans tous les États. En common law, l’avortement était criminel au moins à certains stades de la grossesse et était considéré comme illégal et pouvant avoir des conséquences très graves à tous les stades. Le droit américain a suivi la common law jusqu’à ce qu’une vague de restrictions légales dans les années 1800 étende la responsabilité pénale pour les avortements.

Au moment de l’adoption du 14ème amendement, les trois quarts des États avaient fait de l’avortement un crime à tous les stades de la grossesse. Ce consensus a perduré jusqu’au jour de l’arrêt Roe. »

Rappelons quelques éléments de contexte. Roe n’était pas un arrêt qui a légalisé l’avortement en l’assortissant de conditions strictes et contraignantes, notamment de durée, comme l’ont fait la plupart des pays européens. Procédant d’une vision particulièrement radicale de l’avortement, Roe légalisait l’avortement sans limitation de durée, renvoyant aux États le choix de la durée légalisée et des critères limitatifs.

Citons Roe : « Un État peut à juste titre faire valoir des intérêts importants dans la sauvegarde de la santé, le maintien des normes médicales et la protection de la vie potentielle. À un moment donné de la grossesse, ces intérêts respectifs deviennent suffisamment impérieux pour justifier une réglementation des facteurs qui régissent la décision d’avorter. Nous concluons donc que le droit à la vie privée inclut la décision d’avorter, mais que ce droit n’est pas absolu et doit être considéré par rapport aux intérêts importants de l’État dans la réglementation. » Roe, 410 U.S., p. 154. Afin d’équilibrer les droits des femmes à la vie privée et les intérêts des gouvernements des États à protéger la santé des mères et la vie prénatale, Roe créait le cadre des trimestres. Au cours du premier trimestre, la Cour statuait que le gouvernement d’un État ne pouvait imposer aucune restriction à la capacité des femmes de choisir d’avorter, si ce n’est des garanties médicales minimales, comme l’exigence que les avortements soient pratiqués par des médecins autorisés.

À partir du 2ème trimestre, Roe jugeait que la preuve de l’augmentation des risques pour la santé de la mère donnait aux États un intérêt impérieux qui leur permettait d’adopter des réglementations médicales sur les procédures d’avortement, à condition qu’elles soient raisonnables et strictement adaptées à la protection de la santé des mères. À partir du début du 3ème trimestre, quand le fœtus devient viable selon la technologie médicale disponible au début des années 1970, Roe jugeait que l’intérêt d’un État à protéger la vie prénatale devenait si impérieux qu’il pouvait légalement interdire tous les avortements sauf lorsqu’ils étaient nécessaires pour protéger la vie ou la santé de la mère.

Le point important est que Roe légalisait l’avortement sans limitation de durée permettant aux (mais n’obligeant en rien les) États de l’interdire après six mois. Ce qui est réformé par Dobbs n’est pas un arrêt modeste, modéré et équilibré : c’est la vision la plus extrême de l’avortement qui se pouvait concevoir. La civilisation américaine n’a pas à rougir d’elle-même, ni prendre des leçons de morale des Européens.

Le contexte est important. Il est celui d’une gauche américaine qui s’est radicalisée jusqu’à proposer des textes de lois dans plusieurs États pour légaliser l’avortement jusqu’à la veille de la naissance ce qui est la définition de l’infanticide. Il n’est pas rare, lors de manifestations pro-avortement aux États-Unis, de lire des pancartes par lesquelles des activistes exigent de pouvoir « tuer mon bébé si c’est mon choix« .

Ce qui est la définition du meurtre. Cet important débat n’est peuplé de truismes que dans les âmes simples car la réalité est complexe. Par la désignation à la Cour suprême de trois juges soucieux de la Constitution, Donald Trump est l’auteur et le moteur de l’abolition de « Roe vs Wade » (1973).

« Roe » entre dans l’histoire comme une décision prise en fraude du prescrit constitutionnel, archétype de ce que les Français nomment « gouvernement des juges. » Comme le rappelle le juge Clarence Thomas, soixante-trois millions d’avortements ont été pratiqués aux États-Unis depuis « Roe vs Wade » (sic). Il reviendra aux États de décider de l’avortement, en fonction des vues et considérations de leurs populations respectives, « comme ce fut le cas durant les 185 premières années de l’histoire des États-Unis » (juge Kavanaugh) :

« La Constitution ne prend pas parti sur la question de l’avortement. Le texte de la Constitution ne fait pas référence à l’avortement et ne l’englobe pas. Cette Cour a jugé que la Constitution protège des droits qui sont profondément enracinés dans l’histoire et la tradition de cette nation, implicites dans le concept de liberté ordonnée. Le droit à l’avortement n’est pas profondément enraciné dans l’histoire et la tradition américaines, comme la Cour l’explique en détail aujourd’hui. Sur la question de l’avortement, la Constitution n’est donc ni pro-vie ni pro-choix. La Constitution est neutre et laisse au peuple et à ses représentants élus le soin de résoudre cette question par le biais du processus démocratique. »

Le juge Clarence Thomas souligne que la façon dont la Cour a utilisé le 14ème amendement pour inventer des droits qui n’existent pas dans la Constitution doit être révisée plus globalement. Ce qui est souhaité n’est pas la disparition des droits correspondants. Seulement le retour à la distinction entre les droits constitutionnels, dont la protection relève de la Cour suprême, et ce qui relève de la politique fédérale et des États, c’est-à-dire de la démocratie américaine.

En conclusion, Dobbs est une décision modérée qui révoque le dispositif radical mis en place par Roe en fraude du droit. C’est le caractère authentiquement mesuré de l’arrêt Dobbs. Plusieurs juges insistent dans leurs opinions concurrentes sur le fait que Dobbs ne remet en cause aucun droit et qu’il restera loisible aux États de légaliser l’avortement s’ils le souhaitent, que rien n’empêchera une citoyenne américaine de demander un avortement dans l’un de ces États et que Dobbs ne comporte aucun effet civil ni pénal rétroactif.

Tenant compte l’importance symbolique et réelle des États-Unis, il est peu douteux que Dobbs aura des influences profondes. Dobbs ne marque aucune révolution juridique et il peut être vu comme l’aube d’une évolution culturelle vers une conception de l’avortement plus respectueuse de la vie humaine.

Thierry Michaud-Nérard

(Source : Drieu Godefridi pour Dreuz.info.)




La baisse de la fertilité chez les vaccinés est de plus en plus probable

L’excellente Interview d’Alexandra Henrion Caude, généticienne spécialisée dans la recherche sur l’ARNm, sur sud radio par André Bercoff précise les avancées sur les études en cours sur le risque sur la fertilité des injections anticovid. Elle évoque les risques pour les enfants vaccinés à long terme, impossibles à évaluer sans recul suffisant.

https://m.youtube.com/watch?v=dhXQQqUdqMM

Interview d’Alexandra Henrion Caude — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) avec tweets sur le sujet

On avait fini par admettre que la dépopulation était au programme des mondialistes sous influence de Bill Gates et de transhumanistes comme Laurent Alexandre. Mais au-delà des suspicions légitimes vu le mécanisme de l’injection ARNm qui a prédilection pour les organes reproducteurs, les preuves scientifiques commencent à tomber via Israël, précurseur des injections et donc des effets secondaires.

Déjà depuis plusieurs mois des articles scientifiques apparaissaient dans la base de données PUBMED sur le sujet, les premiers portant sur de très faibles nombres d’injectés et voulant innocenter l’injection, contrairement aux alertes déjà anciennes des banques de données officielles.

D’autres traduisent mieux notre inquiétude comme Les risques de la Covid-19 (et des vaccins) sur les organes sexuels et la fertilité (infodujour.fr) dans un entretien avec le Dr Jean-Marc Sabatier.(([1] Jean-Marc Sabatier est directeur de recherches au CNRS et docteur en Biologie Cellulaire et Microbiologie, affilié à l’Institut de Neuro Physiopathologie (INP) à l’université d’Aix-Marseille.))

« Chez l’homme, le SARS-CoV-2 peut s’attaquer aux testicules, au pénis et à la prostate. Chez la femme, le virus peut s’attaquer à l’utérus (endomètre) et aux ovaires. Pourquoi ces attaques sont-elles possibles ? Parce que le SARS-CoV-2 reconnaît le récepteur cellulaire ECA2 (enzyme de conversion de l’angiotensine-2) qui lui sert de site de fixation lui permettant d’infecter les cellules ; le récepteur ECA2 est très présent au niveau des cellules des organes reproducteurs masculin et féminin, ce qui les rendent très vulnérables au virus. Il est notable que le récepteur ECA2 — en parallèle des organes reproducteurs, dont les gonades (testicules et ovaire) — se retrouve également dans de nombreux autres organes et tissus de l’organisme (ceux-ci sont en conséquence ciblés par le virus), tels que le cœur, les poumons, les reins, le foie, le pancréas, la rate, le système vasculaire (vaisseaux sanguins), la peau, le cerveau, les intestins, les glandes surrénales, et autres. »

Un papier récent de juin 2022 démontre l’altération au moins temporaire de l’état du sperme et des spermatozoïdes.(([2] La vaccination Covid-19 BNT162b2 altère temporairement la concentration de sperme et le nombre total de motifs chez les donneurs de sperme (nih.gov) Andrology. 2022 Jun 17. doi : 10.1111/andr.13209. étude israélienne par Itai Gat et al))

Extraits :

«  Ils ont étudié chez des donneurs de sperme l’effet du vaccin covid-19 BNT162b2 (Pfizer) sur les paramètres du sperme. 37 donneurs de trois banques de sperme ont fourni 220 échantillons, et ont été inclus dans cette étude de cohorte longitudinale multicentrique rétrospective. La vaccination BNT162b2 comprenait deux doses, et la vaccination était prévue 7 jours après la deuxième dose. L’étude comprenait : contrôle de base pré-vaccination, et évaluations à court, intermédiaire et long terme.

Chacun comprenait 1 à 3 échantillons de sperme par donneur fournis 15 à 45, 75 à 120 et plus de 150 jours après la fin de la vaccination, respectivement. Les critères d’évaluation principaux étaient les paramètres du sperme.

Résultats : Des mesures répétitives ont révélé une diminution de la concentration de spermatozoïdes de -15,4 % sur le deuxième échantillon entraînant une réduction du nombre total de mobilité des spermatozoïdes de 22,1 % par rapport au prélèvement initial.

De même, l’analyse du premier échantillon de sperme uniquement et de la moyenne des échantillons par donneur a montré des réductions de la concentration — baisse médiane de 12 millions/ml et 31 millions de spermatozoïdes mobiles, respectivement lors de la première évaluation de l’échantillon et déclin médian de 9,5×106 et 27,3 millions de spermatozoïdes mobiles (p = 0,004 et 0,003, respectivement) sur l’examen moyen des échantillons.

L’évaluation à trois mois a démontré un rétablissement global. Le volume de sperme et la motilité des spermatozoïdes n’ont pas été altérés. Cette étude longitudinale axée sur les donneurs démontre une concentration sélective temporaire de spermatozoïdes et une détérioration trois mois après la vaccination, suivie d’un rétablissement ultérieur vérifié par diverses analyses statistiques ».

L’étude est limitée en nombre de donneurs et de paramètres du sperme, ce qui ne résume pas les conditions de la fertilité efficace, mais a le mérite de prouver déjà une action directe sur le sperme. D’autres études toujours basées également sur un faible nombre de donneurs se veulent rassurantes. Néanmoins le recul est toujours faible de deux à trois mois, après l’injection ne permettant en aucun cas de prévisions raisonnables pour l’avenir d’autant que la durée de fabrication de la protéine spike par l’organisme injecté reste inconnue et s’allonge au fur et à mesure des études (au moins trois mois actuellement).

Les alertes officielles cachées par les médias

Par ailleurs vu le nombre de fausses couches déclarées sur le VAERS ou sur EudraVigilance on peut s’étonner de l’absence d’articles référencés sur ce sujet sur PubMed. On peut supposer le refus des éditeurs soumis à Big Pharma.. Rappelons ces chiffres(([3] Voir la totalité du diaporama sur nicole.delepine.fr
Complications des pseudovaccins anticovid au 31 mai 22 selon base de données officielles — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )):

Trop de médias qui dépendent en partie de l’état pour équilibrer leur budget se sont transformés en organe de propagande du gouvernement et ont abandonné leur mission d’information objective de la population. Leur refus de publier les données rapportant les complications post injections en témoigne une fois de plus.

DÉPOPULATION VIA LES VACCINS STÉRILISANTS CONCEPTUALISÉE DEPUIS 1930

Depuis des décennies, les puissants ont décidé de réduire la population mondiale au lieu de regarder comment les nourrir. Par exemple cesser de leur interdire d’utiliser leurs semences paysannes et de favoriser les échanges locaux.

Ici, rappelons l’article de Jurriaan Maessen dans ExplosiveReports.Com qui démontre l’obsession des riches milliardaires de contrôler les naissances sans l’accord des personnes concernées.

La Fondation Rockefeller a admis un financement pour le développement de vaccins antifertilité destinés à une « distribution à grande échelle ». — Vigilance Pandémie (vigilance-pandemie.info)

Déjà dans les années 1930 une obsession des milliardaires était de stopper la natalité.

La Fondation Rockefeller a conceptualisé le vaccin « antihormonal » dans les années 1920 et 1930.

Le serviteur de la Fondation Rockefeller, Max Mason, agissant en tant que président au milieu des années 1930, a exprimé à plusieurs reprises le désir de son maître d’avoir une « antihormone » qui réduirait la fertilité dans le monde entier. La Fondation n’a néanmoins mentionné le financement de « vaccins antifertilité » dans les rapports annuels qu’à partir de 1969.

Extrait :

« Dans son examen de 1997 des vaccins antifertilité, le Centre international de génie génétique et de biotechnologie basé en Inde n’a pas oublié de reconnaître son principal bienfaiteur :

« Les travaux sur les vaccins LHRH et HCG ont été soutenus par des subventions de recherche de la Fondation Rockefeller (…) »

Dans les années 1990, les travaux sur les vaccins antifertilité ont pris de l’ampleur, en particulier dans les pays du tiers-monde, tout comme le financement octroyé par la Fondation Rockefeller. Dans le même temps, la population cible des mondialistes — les femmes — commençait à se sentir mal à l’aise avec tout ce discours ouvert sur la réduction de la population et des vaccins comme moyen d’y parvenir.

Betsy Hartman, directrice du programme Population et développement au Hampshire College, Massachusetts est « quelqu’un qui croit fermement au droit des femmes à une contraception et à un avortement volontaires et sûrs », n’est pas partisane du vaccin antifertilité, tel que créé par le Fondation Rockefeller. Elle explique dans son essai Population control in the new world order (le contrôle de la population dans le nouvel ordre mondial) :

« Bien qu’un vaccin n’ait été testé que sur 180 femmes en Inde, il y est présenté comme “sûr”, dépourvu d’effets secondaires et complètement réversible »

La communauté scientifique sait très bien que de telles affirmations sont fausses — par exemple, de nombreuses questions subsistent quant à l’impact à long terme du vaccin sur le système immunitaire et le cycle menstruel. Il existe également des preuves filmées de femmes se voyant refuser des informations sur le vaccin lors d’essais cliniques. Néanmoins, le vaccin est en cours de préparation pour une utilisation à grande échelle. »

Le Réseau mondial des femmes pour les droits reproductifs basé à Amsterdam, aux Pays-Bas, a cité un chercheur de premier plan en matière de contraception qui disait :

« Les méthodes de contrôle des naissances immunologiques seront une “arme antigénique” contre le processus de reproduction, qui, laissé sans contrôle, menace d’inonder le monde. »

Militante des droits des animaux Mademoiselle Sonya Ghosh a également fait part de ses préoccupations concernant le vaccin antifertilité financé par Rockefeller et sa mise en œuvre :

« Au lieu de donner aux femmes plus d’options pour prévenir la grossesse et se protéger contre le SIDA et les maladies sexuellement transmissibles, le vaccin antifertilité est conçu pour être facilement administré à un grand nombre de femmes en utilisant le moins de ressources. S’il est administré à des populations analphabètes, les problèmes de contrôle de l’utilisateur et de consentement éclairé sont une autre source de préoccupation. »

Pour éviter de tels débats, la Fondation a eu recours, au cours des deux dernières décennies, à ses méthodes appliquées depuis longtemps et très efficaces consistant soit à mentir effrontément, soit à utiliser un langage trompeur pour cacher le fait qu’elle continue à œuvrer sans relâche pour atteindre sa mission de longue date ».

Doit-on rappeler des tentatives de vaccin anti-conception au Kenya ?(([4] https://www.famillechretienne.fr/politique-societe/sante/vaccins-contraceptifs-le-boycott-de-l-eglise-d-afrique-181815))

En 2014 le vaccin contre le tétanos, suspecté de contenir une hormone empêchant les femmes d’avoir des enfants a suscité une polémique entre les évêques et le gouvernement Kenyan.

En 2015 c’est au tour du vaccin contre la malaria de se trouver sous le feu de la critique des évêques kenyans obligés devant le refus du gouvernement de demander à l’ensemble des structures de santé qui relèvent de l’Église catholique — et elles sont nombreuses — de s’abstenir d’employer le vaccin incriminé.

LE PSEUDOVACCIN ANTI COVID19 S’INSCRIT DANS LA CONTINUITÉ DE CES RECHERCHES CONTRE LA FERTILITÉ

Malheureusement remis dans le contexte de la volonté à tous crins de vax encore et encore contre le covid19, y compris les enfants, malgré l’indéniable accumulation des effets secondaires graves, cette Histoire des volontés eugénistes et transhumanistes, en marche depuis le début du XXe siècle et fin du XIXe) permet de comprendre le but ultime des vaccins : diminuer le nombre d’humains sur terre et de réserver à l’élite et ses élus la jouissance exclusive de la planète bleue.

Ces hommes imbus d’eux-mêmes semblent bien naïfs, car même s’ils se sont dispensés des injections morbides, il est infiniment peu probable qu’ils échappent aux conséquences toxiques des injections si les milliards de terriens sont vaccinés.

Un « rapport d’avancement » de février 1934 rédigé par Warren Weaver (directeur de la division des sciences naturelles de la Fondation Rockefeller) avait souligné le but ultime.

« L’homme peut-il acquérir un contrôle intelligent de son propre pouvoir ? Pouvons-nous développer une génétique si solide et étendue que nous pouvons espérer élever, à l’avenir, des hommes supérieurs ? Pouvons-nous obtenir une connaissance suffisante de la physiologie et de la psychobiologie du sexe pour que l’homme puisse contrôler rationnellement cet aspect omniprésent, très important et dangereux de la vie ? »

Écrit en 1934 !

On croirait entendre le Dr Laurent Alexandre dont beaucoup ont été étonnés de le voir parler à x reprises sur les chaînes officielles et à l’école Polytechnique, en toute liberté. Oui il ne fait que poursuivre cette politique eugéniste que l’application rigoureuse de l’injection met en musique.

Il est temps de dire les mots de la vérité : les injections anticovid sont une tentative de plus de réduire la population mondiale.

C’est d’ailleurs la seule explication crédible sur le fait que les morts accumulés ainsi que les accidents graves n’aient pas fait stopper cet essai thérapeutique de ce médicament sans AMM définitif et que, bien pire encore, la FDA vient d’autoriser l’injection des tout petits en ce 14 juin 2022.

Ainsi le modèle de stérilisation des vaccins a été conceptualisé pour la première fois dans les années 1920 et 1930 par des spécialistes des sciences sociales de la Fondation Rockefeller.

Plus tard le langage eugénique (« vaccin anti-fertilité ») a été peaufiné à l’aide d’une « chirurgie plastique linguistique » inventant le terme « contraceptif immunologique », le but ultime reste le même. Entre-temps, Orwell et les mensonges du langage ont été améliorés. « La paix, c’est la guerre », etc.

Une offensive sur les fœtus proches de la naissance

Il paraît difficile de conclure sans dénoncer la mystification qui envahit nos antennes sur la décision de la Cour suprême des USA qui remet à chaque État américain le droit de statuer sur l’avortement.

On se doit tout de même de rappeler que le droit à l’avortement institué en France par la loi Veil s’est progressivement élargi dans le délai d’application et même la suppression du délai de réflexion et l’attaque du droit des médecins à ne pas pratiquer cet acte. La décision la plus choquante est celle de la loi dite de bioéthique votée en août 2021 à l’Assemblée nationale qui autorise un soi-disant « avortement » jusqu’à la naissance en cas de souffrance maternelle…

ATTENTION ! À CETTE DATE DE LA GROSSESSE, CE N’EST PLUS UN AVORTEMENT, C’EST UN INFANTICIDE.

Au nom de « mon corps est mon choix », on peut tuer un bébé à terme, déjà une autre personne dont le choix importe peu. Un humain oublié qui sent, qui réagit, qui interfère, qui vit, qui bouge et réagit aux stimulations extérieures (musique, voix du papa, etc.) qui peut souffrir. C’est un infanticide.

Il me semble devoir exhorter nos concitoyens à ne pas tout mélanger, à ne pas tout confondre. Non l’avortement avant trois mois de grossesse ne doit pas être confondu avec l’infanticide à neuf mois.

Le droit à l’avortement n’a pas été interdit aux USA par la décision de la Cour suprême, ce droit à l’avortement relève maintenant de chaque État et de son gouverneur démocratiquement élu.

Et pourtant l’OMS insiste pour ce droit élargi. « L’Organisation mondiale de la santé (OMS) appelle les gouvernements à supprimer la limite de temps légale pour l’avortement, même après 24 semaines », comme le rapporte le Daily Mail. Elle déclare que les lois qui visent à empêcher l’interruption de grossesse à tout moment risquent de violer les droits des « femmes, des jeunes filles ou des autres personnes enceintes ».

L’OMS propose donc l’avortement sans limitation de temps et sans obligation de justification médicale.

C’est un document de 210 pages que l’OMS publie. Il détaille de nouvelles consignes sur la prise en charge de l’avortement. Parmi la multitude de recommandations faites aux gouvernements, on peut notamment lire qu’elle préconise :

  • — d’autoriser l’avortement en toutes circonstances — en excluant les lois interdisant les interruptions de grossesse parce que le fœtus est du « mauvais » sexe.
  • — de cesser d’exiger que les femmes aient besoin de l’approbation d’un médecin ou d’une infirmière pour avoir une interruption de grossesse.
  • — d’établir des systèmes de « pilules par la poste » afin que les femmes puissent recevoir des médicaments abortifs après un appel téléphonique.
  • — de limiter le droit des professionnels de santé à refuser de participer à des avortements pour des raisons de conscience.

Les Nations unies, qui supervisent l’OMS, se sont félicitées de la suppression suggérée de ce qu’elles ont appelé « des obstacles politiques inutiles à l’avortement sans risque », notamment « des limites quant au moment où un avortement peut avoir lieu ».(([5] L’avortement sans condition jusqu’à neuf mois préconisé par l’OMS | FranceSoir))

ON EST LOIN DE LA LOI VEIL CITÉE COMME MANTRA

« Je le dis avectoute ma conviction : l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. »,

 déclarait Simone Veil en présentant la loi relative à l’interruption volontaire de grossesse. 

Poursuivant son discours, elle ajoutait :

« Mais comment le tolérer sans qu’il perde ce caractère d’exception, sans que la société paraisse l’encourager ? Je voudrais tout d’abord vous faire partager une conviction de femme — je m’excuse de le faire partager une conviction de femme — je m’excuse de la faire devant cette assemblée presque exclusivement d’hommes : aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement. Il suffit d’écouter les femmes ».

https://youtu.be/45MOc6PYoY8  

L’avortement reste un drame pour le plus grand nombre de celles qui l’ont subi. L’avortement n’est pas une méthode de contraception « normale » il n’est d’ailleurs pas sans danger pour la femme elle-même pour son risque éventuel de cancer hormonal, etc.. Le nier est malhonnête. Pour limiter le plus possible le recours à cet acte de désespoir, il faut davantage promouvoir l’information honnête et la contraception qui respecte davantage le corps des femmes.

Il ne faut pas s’étonner qu’à force de pousser l’avortement trop loin surtout dans l’avancement de la grossesse, il y ait des réactions boomerangs en retour.

NON À LA TRANSFORMATION DES HUMAINS EN OGM !

Nous serons heureux d’entendre toutes les bonnes âmes qui hurlent que « leur corps est leur choix », de le défendre aussi, et aussi fort pour toutes les femmes qui souhaitent refuser une injection génique sans aucun bénéfice possible pour elle et pour leurs proches et qui risque de les transformer en humain OGM. Comment oser accepter la mise au rancart des soignants libres pour refus de transformation de leur patrimoine génétique et « en même temps » demander l’inscription dans la Constitution de l’avortement (en général.) et bientôt de l’euthanasie.

Sommes-nous entrés dans une culture de la mort ? Est-ce bien ce que nous voulons ou est-ce une nouvelle soumission aux puissants qui nous manipulent ?

NON À LA CULTURE DE LA MORT !





Cristian Terhes interpelle la commissaire Vera Jourova sur le certificat vert numérique

[Source : stop-mascarade.com]

[Ndlr : les sous-titres défilent vite et leur écriture laisse à désirer. Faire au besoin des pauses.]






Derrière l’idéologie de la vaccination intégrale, trafics d’influence et phénomènes de cour

[Source : qg.media]

Par Laurent Mucchielli

En France comme dans beaucoup d’autres pays, des médecins interviennent quotidiennement dans les médias pour soutenir la politique gouvernementale du tout-vaccin. Leurs discours, toujours présentés « au nom de la science », sont en réalité souvent viciés par des conflits d’intérêts, ainsi que par des phénomènes de cour. Derrière la « Science », se cachent aussi l’argent des industries pharmaceutiques et la zone grise qui entoure la proximité d’avec le pouvoir politique. De fait, nombre de ces discours manquent totalement d’impartialité, certains étant même purement et simplement mensongers.

Par Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS, auteur de La Doxa du Covid. Peur, santé, corruption et démocratie (éditions Eoliennes, 2022)

Une tribune pro-vax publiée par le journal Le Parisien le 9 janvier 2022 explique que la vaccination ARN/ADN est une solution miraculeuse. Elle permettrait en effet « la diminution massive des risques de transmission d’un sujet vacciné à un autre individu », « la diminution drastique des formes graves de la Covid-19 », le tout avec de « rarissimes effets secondaires indésirables » qui seraient « largement dépassés par les effets bénéfiques et positifs des vaccins ». Les auteurs en concluent qu’il faudrait voter une loi permettant d’entamer des poursuites pénales « à l’encontre de ceux qui transmettraient le virus alors même qu’ils pourraient l’éviter via une vaccination ». Et ils comparent les non-vaccinés à des personnes porteuses du virus du Sida qui « en pleine conscience auraient eu des rapports sexuels non protégés et ayant contaminé leur partenaire ». En un mot, des criminels. Force est cependant de constater que cette tribune :

  • 1) exprime parfaitement le point de vue du gouvernement,
  • 2) énonce tranquillement plusieurs énormes mensonges,
  • 3) a fait immédiatement l’objet d’une dépêche de l’AFP relayée dans les médias mainstream (par exemple ici Libération) sans aucune réflexion critique, ni sur son contenu, ni sur ses auteurs.

Cette tribune aurait d’abord pu être écrite par le service de presse du ministère de la Santé, du Premier ministre ou du Président de la République. Le mot d’ordre lancé par ce dernier étant d’« emmerder les non vaccinés », cette tribune peut être considérée comme une contribution à la propagande politique du moment. Ensuite, elle énonce tranquillement deux énormes mensonges. Le premier : s’il y a bien un « consensus scientifique » actuellement, c’est celui qui tourne autour du constat que les vaccins génétiques de Pfizer, Moderna, Janssen et AstraZeneca ne protègent nullement de la contamination et de la transmission. Comment un médecin honnête peut-il ne pas le savoir ? Le second: s’il y a bien une chose évidente statistiquement, c’est que les enfants, les adolescents et les jeunes adultes ne sont nullement menacés par le virus. La balance bénéfice/risque est défavorable au vaccin génétique dans leur cas. Enfin, le traitement médiatique de ce genre d’« informations » est emblématique de l’absence de toute objectivité et d’un « deux poids/deux mesures » généralisé. En effet, dès qu’il s’agit de personnes s’opposant à la propagande politique, la presse se déchaîne pour savoir qui sont ces dangereux hurluberlus (voir notre analyse du fonctionnement des médias durant cette crise), allant jusqu’à se passionner pour leur vie privée si cela peut permettre de les déconsidérer au maximum (voir le dernier article du Monde consacré à la « fille cachée » de Didier Raoult et nous expliquant que « sa famille se fracture », comme si cela présentait le moindre intérêt pour penser la crise sanitaire). Inversement, dès qu’il s’agit de personnes soutenant la propagande politique du gouvernement, alors les journalistes agissent comme s’il fallait nécessairement valoriser et discuter leurs opinions et surtout ne poser aucune question dérangeante. Nous sommes donc obligés de faire ce travail à leur place.

Lors d’une conférence de presse sur l’Union européenne le 7 janvier 2022, Emmanuel Macron déclare assumer entièrement sa volonté d’ «emmerder les non-vaccinés » exprimée lors d’un entretien du journal Le Parisien, 2 jours plus tôt.

Arroseurs arrosés

Qui sont donc nos deux valeureux pourfendeurs de non-vaccinés ? Le journal Le Parisien nous indique simplement que David Smadja est « professeur en hématologie » et Benjamin Fellous « avocat au barreau de Paris ». C’est certainement exact. Le problème est dans le mensonge par omission. Car, comme Éric Verhaeghe l’a déjà remarqué, il suffit de consulter sa page professionnelle sur Linkedin pour découvrir que monsieur Fellous n’est pas seulement avocat, il est aussi un ancien candidat aux élections sénatoriales sur la liste LREM. Nous sommes donc en présence d’un militant politique macroniste. Quant à monsieur Smadja, qui dépend de l’AP-HP et a travaillé pour le Haut Conseil de Santé Publique, il a sans doute oublié que la loi du 26 janvier 2016 l’oblige à déclarer tous ses liens d’intérêts avec les industries pharmaceutiques. L’article L4113-13 du Code de Santé Publique (article 115 de la loi susmentionnée) dispose en effet :

« Les membres des professions médicales qui ont des liens avec des entreprises et des établissements produisant ou exploitant des produits de santé ou avec des organismes de conseil intervenant sur ces produits sont tenus de faire connaître ces liens au public lorsqu’ils s’expriment sur lesdits produits lors d’une manifestation publique, d’un enseignement universitaire ou d’une action de formation continue ou d’éducation thérapeutique, dans la presse écrite ou audiovisuelle ou par toute publication écrite ou en ligne. Les conditions d’application du présent article sont fixées par décret en Conseil d’Etat. Les manquements aux règles mentionnées à l’alinéa ci-dessus sont punis de sanctions prononcées par l’ordre professionnel compétent. »

(nous soulignons).

Chacun peut vérifier sur les sites officiels Transparence Santé et Déclaration des liens d’intérêts que monsieur Smadja a signé sa Déclaration Publique d’Intérêts (DPI) le 7 mai 2021, y déclarant un total d’avantages perçus de 8 800 euros, par Bristo-Myers Squibb (1 000 euros), Bayer Health Care (1 800 euros), Leo Pharma (5 000 euros) et Boerhinger Eigelherim (1 000 euros). Cela fait déjà une petite somme (7 mois de salaire d’un(e) smicard(e)). Dans cette DPI, des montants versés par plusieurs industriels dont Pfizer ne sont toutefois bizarrement pas précisés. Le lien avec Pfizer est un « contrat d’expert scientifique » (référence CO-2020-1635_PS-0742029, datée du 23 juin 2020). Pour aller plus loin, il faut faire un petit détour par l’autre site recensant les liens d’intérêts, Euro for Docs, ce qui permet d’arriver au montant total bien différent de 109.619 euros perçus ces cinq dernières années des industries pharmaceutiques, soit désormais plus de sept années de salaire d’un smicard.

Si les journalistes faisaient leur travail, voilà le genre de vérification qu’ils devraient faire (et cela ne prend que quelques minutes) avant de publier une tribune ou d’inviter à parler un médecin sur un plateau de télévision ou de radio. Or ils ne le font jamais, ce qui s’apparente à de la complicité d’infraction.

Le trafic d’influence des industries pharmaceutiques :
des espèces sonnantes et trébuchantes

Mais, nous direz-vous, il s’agit peut-être d’un cas isolé, d’un oubli malencontreux. Que nenni ! Il s’agit d’un système généralisé. Intéressons-nous à présent à une autre ode à la vaccination intégrale parue dans le journal La Tribune le 12 décembre dernier sous la signature de 66 médecins. Ces derniers viennent ici assurer la population française de « la très bonne efficacité des vaccins contre ce virus », lui indiquer que « la vaccination est aussi un acte que l’on réalise pour protéger les autres », estimant que les effets secondaires sont « très rares (un cas seulement de choc anaphylactique sur 2,5 millions de personnes vaccinées) ». Exit les thromboses, les myocardites, les perturbations menstruelles, les syndromes de Guillain-Barré, etc., tout cela n’existerait tout simplement pas. On reste pantois devant à nouveau de tels mensonges et une telle désinformation. Sauf à convier dans la discussion la question taboue des liens d’intérêts avec les industries pharmaceutiques. Et alors là, c’est un véritable choc qui attend notre smicard. S’il passe cette liste de 66 médecins au crible du détecteur de liens d’intérêts, il tombera en effet sur quelques noms très connus de médecins dont les poches sont copieusement remplies depuis des années par les industriels. En tête du palmarès, monsieur Jean-François Bergmann, professeur d’université, chef de service à l’hôpital Lariboisière (Paris), ancien vice-président de la commission des autorisations de mise sur le marché de l’ancienne agence nationale du médicament (refondée en 2011 après le scandale du Mediator parce qu’il y avait trop de conflits d’intérêts, vous vous souvenez ?), avec un total de plus de 1,3 millions d’euros. Ici, notre smicard comprend donc qu’une vie entière de travail ne suffirait pas à amasser cette petite fortune. Il ou elle repérera aussi le professeur d’ophtalmologie José-Alain Sahel, membre de l’Académie des sciences, qui dépasse le demi-million d’euros. Et puis le docteur Véronique Leblond de la Pitié-Salpétrière, pour la coquette somme d’environ 325.000 euros. Le docteur Gérard Reach, professeur d’endocrinologie à l’Université Paris 13, qui a travaillé dans une commission du LEEM (le « syndicat » des industries pharmaceutiques, qui emploie 6 personnes et dépense chaque année environ 1 million d’euros rien qu’en France pour ses activités de lobbying), pour près de 245.000 euros. Le docteur Didier Debieuvre pour près de 200.000 euros. Le docteur Xavier Mariette pour cette fois-ci plus de 200.000 euros. Le docteur André Grimaldi pour quelques 190.000 euros. Et puis aussi le pédiatre Robert Cohen (deuxième signataire de la tribune, plus de 150.000 euros perçus) et le docteur Jean Carlet (premier signataire de la tribune), environ 40.000 euros, soit moitié moins que le docteur Alain Lepage. Au total, près de la moitié des 66 signataires de cette tribune sont dans cette situation de conflit d’intérêt potentiel, beaucoup d’entre eux ayant notamment reçu de l’argent de Pfizer ces dernières années. Or aucun ne l’a déclaré dans cette intervention médiatique lors même, répétons-le, que c’est une obligation légale.

De gauche à droite : Jean-François Bergmann, chef de service à l’hôpital Lariboisière, Véronique Leblond, docteur à la Pitié-Salpêtrière, André Grimaldi, docteur, et Robert Cohen, pédiatre. Tous ont reçu des versements financiers d’industries pharmaceutiques

Discréditer les traitements précoces génériques pour mieux faire place aux très chers médicaments industriels brevetés

Allons encore plus loin. Faisons en effet le même petit exercice de transparence avec les principaux médecins qui sont omniprésents dans les médias depuis le début de la crise. Impossible de passer à côté des très médiatiques Karine Lacombe (plus de 250.000 euros perçus des industriels) et Gilbert Deray (plus de 170.000 euros). Difficile de ne pas remarquer aussi le nom de madame Odile Launay, membre du Haut Conseil de la Santé Publique et du Comité scientifique sur les vaccins Covid-19, elle aussi habituée des médias (quelques 155.000 euros), tout comme celui de monsieur Mathieu Molimard (plus de 55.000 euros). A côté d’eux, le docteur Bruno Mégarbane fait figure de parent pauvre des labos avec « seulement » quelques 35.000 euros perçus.(([1] Tous les montants indiqués sont à considérer comme des minima dans la mesure où certains contrats déclarés n’indiquent toutefois pas les sommes perçus.))

Le point commun de tout ce petit monde médico-médiatique est double : 1) ces personnes se sont directement impliquées dans la campagne politique de vaccination intégrale de la population avec les nouveaux vaccins génétiques type Pfizer et Moderna, 2) ces personnes ont symétriquement cherché à discréditer l’idée de traitements précoces de la Covid pour mieux laisser le champ libre, d’abord en 2020 à l’antiviral de Gilead (le Remdesivir), ensuite en 2021 au tout-vaccin. Raison pour laquelle ils ont également tiré à boulets rouges sur l’IHU de Marseille et sur tous les médecins qui soignent précocement (Christian Perronne, association « Laissons les médecins prescrire », collectif « AZIthro-d’hospitalisations », etc.). Au-delà des haines personnelles liées à l’histoire et à la personnalité des uns et des autres, nous voyons ainsi surgir une variable cachée contribuant pourtant à expliquer les prises de position des uns et des autres dans le débat public. Toujours en épluchant la base de données Euro For Docs, apparaissent en effet le docteur François Raffi (celui qui a été condamné par la justice pour avoir menacé de mort Raoult par téléphone, et qui est directement impliqué dans la production du Xenothera, un autre médicament anti-Covid auquel le protocole marseillais faisait concurrence) avec plus de 700.000 euros ; le docteur Jacques Reynes (qui a piloté l’essai COVIDOC au CHU de Montpellier à la demande du ministère de la Santé, essai étrangement arrêté avant son terme, officiellement faute de patients) avec près de 350.000 euros ; le docteur Jean-Michel Molina (auteur d’un article disant que l’hydroxychloroquine ne marche pas dans le journal officiel de la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPILF) qui a elle-même reçu plus de 1,7 millions d’euros des industries pharmaceutiques ces dernières années), avec près de 330.000 euros ; Jean-Paul Stahl (ancien président de la SPILF et rédacteur en chef de sa revue, celui qui a comparé l’hydroxychloroquine à du papier toilette), avec près de 145.000 euros ; Pierre Tattevin (président de la SPILF) avec près de 100.000 euros (avec notamment des contrats avec Gilead, Pfizer, Janssen, AstraZeneca) ; le docteur Stéphane Paul (membre du Conseil scientifique vaccin Covid-19, qui a travaillé pendant plus de dix ans dans l’industrie privée du vaccin avant de prendre un poste en CHU), avec plus de 43.000 euros ; le docteur Bruno Lina (membre du Haut Conseil de Santé Publique et du Conseil scientifique Covid-19) avec 34 000 euros ; ou encore le docteur François-Xavier Lescure (adjoint de Yazdan Yazdanpanah du Conseil scientifique Covid-19 et conseiller d’un certain Olivier Véran, ministre de la Santé) avec « seulement » un peu plus de 36.000 euros.

Prix et médailles pour les médecins de cour

Enfin, non seulement tout ceci ne semble déranger personne, mais le fait que se cumulent des gratifications symboliques distribuées par le pouvoir politique à celles et ceux qui l’ont bien servi ne fait également l’objet d’aucun commentaire dans la presse. Et pourtant. Il est difficile de ne pas remarquer que Jean-François Delfraissy, président du « conseil scientifique Covid-19 » a été fait Commandeur de la Légion d’honneur au 1er janvier 2022, l’ensemble des membres du conseil scientifique étant également distingués dans cette promotion. L’ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn a également été faite Chevalier de la Légion d’Honneur malgré sa mise en examen en septembre 2021 par la Cour de justice de la République (CJR) pour « mise en danger de la vie d’autrui » dans sa gestion de l’épidémie de Covid-19. Intéressons-nous également à Christian Chidiac, président de la Commission Maladies transmissibles du Haut Conseil de la Santé Publique qui a rendu le très important avis du 5 mars 2020 excluant l’hydroxychloroquine et valorisant le Remdesivir, lors même que 97 des 114 membres de cette commission ont perçu de l’argent de Gilead. A titre personnel, il déclare plus de 96.000 euros perçus des industries pharmaceutiques ces dernières années, dont Pfizer, Gilead, Janssen et AstraZeneca. Sont également décorés Jacques Reynes (déjà cité), Karine Lacombe (déjà citée), Nicolas de Lamballerie (membre du conseil scientifique du réseau REACTing qui a fourni l’essentiel des membres du Conseil scientifique Covid-19), Éric d’Ortenzio (coordonnateur scientifique du réseau REACTing), Florence Ader (pilotant l’essai DISCOVERY au CHU de Lyon à la demande du ministère de la Santé, essai lui aussi étrangement arrêté avant son terme) ou encore François Crémieux (envoyé en juin 2021 diriger les hôpitaux marseillais et mettre au pas l’IHU).

L’ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn a été faite Chevalier de la Légion d’Honneur malgré sa mise en examen en septembre 2021 par la Cour de justice de la République (CJR) pour « mise en danger de la vie d’autrui » dans sa gestion de l’épidémie de Covid-19

Ajoutons enfin à cela l’auto-promotion, au sein de l’INSERM (Prix 2020), de celles et ceux qui ont également le mieux servi le pouvoir politique durant cette crise. C’est ainsi que le « Grand prix Inserm » a été décerné à Dominique Costagliola, le « Prix recherche » à Florence Ader (déjà citée) ainsi qu’à France Mentré (responsable méthodologique de l’essai DISCOVERY), le « Prix Opecst-Inserm » à Yazdan Yazdanpanah (REACTing, Conseil scientifique Covid-19) et même le « Prix International » au célèbre leader de la politique sanitaire anti-covid états-unienne Anthony Fauci, dont l’intégrité est cependant de plus en plus contestée, notamment dans la question de la probable origine accidentelle du surgissement du Sars-Cov-2.

Une omerta au cœur de la République

Si la peur bloque la réflexion, le copinage, l’entre-soi, la corruption et la volonté de plaire au politique (et plus généralement à sa hiérarchie) l’orientent dans un certain sens. Ces mécanismes, connus de longue date, ont joué massivement depuis deux ans sur la question des réponses thérapeutiques à l’épidémie de Sars-Cov-2. Ils font pourtant l’objet d’un déni et même d’un tabou, particulièrement en France(([2] Il n’existe malheureusement pas dans l’hexagone l’équivalent du British Medical Journal qui, le 24 juin 2020, publiait un éditorial spécial alertant sur les dangers que représentent les « influences commerciales » pour la recherche médicale sur la Covid-19, prenant l’exemple des études concernant le Remdesivir du laboratoire Gilead (R. Moynihan, H. Macdonald, L. Bero, F. Godlee, « Commercial influence and covid-19 », British Medical Journal, 2020, 369, m2456, accessible en ligne). C’est dans la même prestigieuse revue qu’a été publiée le 2 novembre 2021 une enquête révélant les tricheries de Pfizer dans les essais cliniques de son « vaccin » anti-covid (P. Thacker, « Covid-19: Researcher blows the whistle on data integrity issues in Pfizer’s vaccine trial », British Medical Journal, 2021, 375, n2635, accessible en ligne). )). Telle est la force des industriels et ce à quoi ils consacrent une partie de leurs revenus : parvenir à orienter les débats publics et les politiques publiques dans le sens qui leur sera commercialement bénéfique. Les industries pharmaceutiques déploient en ce sens des stratégies de trafic d’influence en multipliant les liens d’intérêts chez toutes celles et ceux qu’elles espèrent ainsi transformer en affidés(([3] Par exemple, dans un article récent, le professeur Ray Moynihan (Université de Bond, Australie) et son équipe ont étudié les liens d’intérêts de 328 dirigeants d’associations professionnelles et de sociétés savantes américaines. Ils ont ainsi pu montrer que 72% d’entre eux avaient des liens avec l’industrie pharmaceutique (et même 80% pour les 293 d’entre eux étant médecins). Le total des sommes distribuées pour la période 2017-2019 se monte à près de 130 millions de dollars (R. Moynihan et al., « Financial ties between leaders of influential US professional medical associations and industry: cross sectional study », British Medical Journal, 2020, 369, m1505, accessible en ligne). )), allant jusqu’à susciter des fraudes scientifiques comme l’a révélé au grand jour le Lancet Gate. Et l’évidence est que cela fonctionne plutôt très bien, la nouvelle industrie du vaccin ayant rendu ses leaders milliardaires en un temps record. Ceux-là mêmes (parlementaires, journalistes, universitaires) qui avaient mis en évidence ces mécanismes ces dernières années dans d’autres secteurs industriels (le tabac, les hydrocarbures, l’automobile, l’agro-alimentaire…) se sont révélés incapables d’appliquer ici les mêmes principes et les mêmes raisonnements. La peur explique une partie des choses. La naïveté, la bêtise ou l’aveuglement une autre (voir notre tribune publiée sur QG analysant la nouvelle religion vaccinale). Les idiots utiles sont légion, quel que soit leur niveau de diplôme. Mais le trafic d’influence est assurément un mécanisme tout aussi puissant et important pour expliquer le comportement de nombre d’acteurs du débat public. C’est pour cette raison que, à la suite notamment du scandale du Mediator, la législation a été révisée à plusieurs reprises (à partir de la loi du 29 décembre 2011 « relative au renforcement de la sécurité sanitaire du médicament et des produits de santé ») pour tenter d’instaurer de la transparence dans le monde de la recherche médicale, au même titre que dans le monde politique après l’affaire Cahuzac (loi du 11 octobre 2013 « relative à la transparence de la vie publique »(([4] L’article 2 de la loi du 11 octobre 2013 relative à la transparence de la vie publique définit la notion de conflit d’intérêts comme « toute situation d’interférence entre un intérêt public et des intérêts publics ou privés qui est de nature à influencer ou paraître influencer l’exercice indépendant, impartial et objectif d’une fonction ».)) ). Las, l’expérience que nous vivons depuis deux ans montre que, dans le feu de l’action, tous ces beaux principes ont volé en éclat. L’on peut ainsi raisonnablement pronostiquer que de nombreux procès auront lieu dans les années à venir, qui mettront une fois de plus en évidence les connivences entre d’une part les industries pharmaceutiques et d’autre part certains médecins, hauts fonctionnaires, élus et probablement aussi journalistes. Mais pour l’heure, c’est encore l’omerta qui règne. Et nous en sommes tous victimes.

Laurent Mucchielli

L’auteur déclare n’avoir aucun lien d’intérêt d’aucune sorte




L’avis d’Hélène Carrère d’Encausse sur l’écriture inclusive

[Source : soseducation.org]

Par Sophie Audugé

NOTRE MISSION :
Défendre la langue française, et l’école qui instruit.

SOS Éducation a besoin de vous pour continuer à agir !
Si vous le pouvez, faites un don.

Chère amie, Cher ami,

Quand l’académicienne Hélène Carrère d’Encausse donne son avis sur l’écriture inclusive, elle n’y va pas par quatre chemins !

Je vous laisse découvrir son analyse dans cette courte vidéo, qui va droit au but :

En version texte, voici ce qu’il faut retenir de son intervention :

« Vous pouvez lire à voix haute, vous, avec l’écriture inclusive ? Je vous mets au défi de le faire ! 20 % des enfants sortent de l’école en sachant mal lire. Nous avons perdu des places dans tous les classements internationaux. »

Vous le savez, SOS Éducation défend la langue française depuis très longtemps.

L’Association s’est positionnée de manière très ferme contre l’écriture « inclusive », dès 2017.

En 2020, SOS Éducation a produit une analyse inédite démontrant que cette graphie s’avère en réalité excluante et discriminante.

Votre association a lancé une pétition pour demander son interdiction, qui a déjà rassemblé plus de 54 000 personnes et a été relayée par plusieurs médias, notamment Marianne et Le Figaro.

Nous avons produit un dossier très complet pour alerter sur les risques de l’écriture « inclusive » : note d’analyse, entretiens avec des experts, tribune, liste de 50 arguments imparables… À retrouver en accès libre et gratuit sur notre site Internet, et à diffuser largement autour de vous !

Et ensemble, nous avons obtenu la circulaire Blanquer pour interdire l’écriture inclusive à l’École !

Ça y est : l'écriture inclusive est proscrite à l'école !

Ensemble, nous avons refusé que les apprentissages de nos enfants soient massacrés par des idéologues qui instrumentalisent la langue française à des fins politiques, sans se soucier de l’intérêt supérieur de l’enfant et de son instruction.

Une belle victoire pour l’École et pour l’avenir de nos enfants, mais le combat n’est pas terminé ! Notre langue, cœur de notre nation, est encore régulièrement attaquée. Nous devons la défendre sans relâche, car elle est bien plus qu’une langue. Elle est le socle de la pensée universaliste qui a fait le rayonnement de la France. Elle est le patrimoine culturel que nous avons le devoir de transmettre à nos enfants de génération en génération. Plus que jamais, vous pouvez compter sur SOS Éducation pour continuer à veiller sur la langue française.

2022 – 2027 – Priorité à l’Éducation !

Signature Sophie Audugé

Sophie Audugé,
Déléguée Générale de SOS Éducation 

P.S. : Vous souhaitez nous permettre de continuer à agir pour protéger la langue française ?

Rendez-vous sur notre page de dons sécurisée dès maintenant pour soutenir l’Association……
Et participer vous aussi à la défense de notre langue et de notre culture !




Interview d’Alexandra Henrion Caude

[Source : Alexandra Henrion Caude]





Justin Bieber & Céline Dion victimes du « vaccin » Covid? avec Michel Chossudovsky et Nicole Delépine

[Source : mondialisation.ca]

Par Dre Nicole Delépine et Prof Michel Chossudovsky

« Céline Dion et Justin Bieber, mêmes destins tragiques après injections anti-covid. Quelle tristesse, quelle erreur, quelle aberration ! Comment des artistes loin de la vraie médecine et probablement trop proche des délires journalistiques imposés par les labos avides de vendre, peuvent-ils entrer dans cette manipulation au point finalement d’y laisser sa vie, en tous cas dors et déjà leur vie d’artiste.

Le jeune Justin Bieber avait, comme Céline, demandé à ses spectateurs en concert une triple vaccination anticovid. Rappelons qu’il s’agit d’une pop star de 28 ans – qui compte 539,2 millions de followers sur les réseaux sociaux . On imagine la capacité d’influence de ces stars elles-mêmes manipulées par big pharma et/ou affidés.

Il avait déjà vécu une alerte concernant les injections, après les complications de sa femme Hailey qui malgré son jeune âge avait souffert d’un accident vasculaire cérébral possiblement post vaccinal. « (…)

Dre Nicole Delépine
Extrait de l’article : Les destins tragiques de stars mondiales comme Céline Dion et Justin Bieber vont-ils ouvrir les yeux de leurs fans?Mondialisation.ca, le 12 juin 2022.

Michel Chossudodovsky s’entretient avec Dre Nicole Delépine, pédiatre, cancérologue, ancienne chef de service de cancérologie pédiatrique à l’hôpital R Poincaré Garches APHP France.



Voir également la vidéo sur le site de LUX MÉDIA




Stop aux pass, chantages inefficaces sur la maladie et sources de méfiance contre la vaccination

Par Gérard Delépine

Le gouvernement s’est félicité de l’efficacité des pass et rêve de les prolonger. Pourtant dans le monde réel, les pass sanitaires se sont révélés sanitairement contre-productifs et économiquement et sociologiquement désastreux. Les chiffres publiés par l’OMS montrent en effet que les pass favorisent les contaminations. Une quinzaine de pays ont instauré des pass. Partout leur installation a été suivie d’une augmentation des cas et d’une épidémie échappant à tout contrôle.

Israël a été le pionnier du pass et y a renoncé

Lors de la première vague, le pic de nouveaux cas journaliers atteignait 6000. Depuis la campagne massive d’injection et l’instauration du pass sanitaire, puis vaccinal, les contaminations ont été de plus en plus nombreuses. Fin janvier 2022 le nombre de contaminations quotidiennes a dépassé les 100000 et en juin 2022 le total des contaminations cumulées dépassait 4,2 millions six fois plus qu’avant l’instauration des pass.

La comparaison des nombres de cas cumulés par million en Israël et en Palestine suggère que la stratégie du tout vaccinal et des pass pourrait peut-être même favoriser les contaminations.

Nadav Davidovitch, expert conseillant le gouvernement israélien constate « maintenir le pass vert sous sa forme actuelle peut créer de fausses assurances ».. Constatant cet échec, le gouvernement israélien a mis fin au pass.(([1] https://www.rtbf.be/article/coronavirus-pionnier-du-pass-sanitaire-israel-annonce-son-abandon-10937556))

Le sévère échec du pass en Grande-Bretagne a justifié sa suppression

La Grande-Bretagne a suivi la même politique vaccinale et restrictive des libertés qu’Israël. Depuis Omicron, l’échec est patent.

Constatant l’échec sanitaire et les lourdes conséquences économiques et sociales des pass, le gouvernement britannique en a lui aussi décidé la suppression dès le 28 janvier 2022.

Partout en Europe le même constat d’inefficacité des pass s’est imposé. Le Danemark, l’Irlande, l’Islande, Malte, la Tchéquie, la Roumanie, la Hongrie, le Portugal, la Belgique, l’Autriche, l’Espagne, la Grèce, la Suisse, la Suède, la Finlande, L’Estonie, la Lettonie, la Lituanie et l’Italie ont observé l’échec total du pass contre l’épidémie avec l’arrivée d’Omicron.

Et la quasi-totalité de ces pays (Suisse, Suède, Slovénie, Slovaquie, Royaume-Uni, Roumanie, République tchèque, Pologne, Pays-Bas, Norvège, Autriche) a abandonné cette mesure inefficace.

En France aussi les pass ont démontré leur totale inefficacité contre Omicron. Nous n’avons jamais été aussi « vaccinés », aussi soumis à autant de mesures sans justifications scientifiques (pass vaccinal dans les hôpitaux et obligation vaccinale pour les soignants et pompiers) et compté autant de contaminations !

Avant l’instauration des pass, en dix-sept mois d’épidémie, nous avions recensé un peu moins de 6 millions de contaminés. Depuis les pass en 12 mois ce chiffre est passé à plus de trente millions. Il faut être vraiment négationniste des faits établis pour croire encore que cette mesure puisse être bénéfique contre l’épidémie.

Tout dirigeant objectif reconnaîtrait l’échec de cette stratégie et abandonnerait toutes ses mesures inefficaces et mortifères qui démolissent notre jeunesse et notre économie. Mais comme toujours depuis le début de la crise nos dirigeants refusent de considérer les faits avérés et persistent dans leur autoritarisme religieux médicalement stupide et socialement tragique tant pour les professionnels concernés(([2] Rappelons le sort inhumain imposé aux pompiers et soignants vaccino prudents qui ont eu l’honnêteté (le tort ?) de ne pas se faire de faux certificat de vaccination alors qu’ils pouvaient probablement facilement les obtenir aussi facilement que les politiques, et qui se retrouvent sans travail, sans chômage, obligés de changer de profession pour ne pas devenir SDF. Une pareille brutalité n’avait jusqu’ici réservée qu’aux citoyens juifs par Hitler.)) que pour la population privée de leurs compétences avec plus de 20 % des lits fermés faute de soignants, des urgences incapables d’assurer leurs missions et des déserts médicaux qui se multiplient partout.

Même l’INSERM reconnaît la nocivité du pass qui aggrave la méfiance contre la vaccination

Le 25 janvier 2022 sur LCI après avoir réduit unilatéralement la validité de l’immunité « naturelle » de 6 à 4 mois, Olivier Véran annonçait avec gourmandise que des millions de Français allaient bientôt « perdre le bénéfice du pass vaccinal » confirmant ainsi qu’il ne s’agissait pour lui que d’un chantage brutal pour imposer la pseudo vaccination pourtant sans intérêt médical.

Mais même dans ce but les pass sont contre-productifs ainsi que vient de l’affirmer l’étude récente de l’INSERM parue dans Nature(([3] Jeremy K. Ward, Fatima Gauna, Amandine Gagneux-Brunon, Elisabeth Botelho-Nevers, Jean-Luc Cracowski, Charles Khouri, Odile Launay, Pierre Verger and Patrick Peretti-Wate The French health pass holds lessons for mandatory COVID-19 vaccination.)) :

« Le laissez-passer sanitaire a encouragé la vaccination de nombreuses personnes hésitantes ou réticentes, mais il n’a pas réduit l’hésitation elle-même. Une enquête de septembre 2021 a révélé que 42 % des personnes vaccinées étaient encore réticentes ou avaient des doutes sur le vaccin au moment de leur première dose(([4] Ward, J. K. et al. http://www.orspaca.org/sites/default/files/Note-SLAVACO-Vague2.pdf (2021) )). Plus important encore, la part des personnes vaccinées ayant des doutes sur le vaccin est passée de 44 % à 61 % après la mise en place du pass santé. Les leçons tirées du laissez-passer sanitaire COVID-19 en France suggèrent que des mesures coercitives telles que la vaccination obligatoire peuvent être efficaces pour augmenter les taux de vaccination, mais ne résolvent pas tous les problèmes qui affectent l’adoption. La vaccination obligatoire contre le COVID-19 risque de politiser davantage la vaccination et de renforcer la méfiance à l’égard des vaccins ».

« Rien ne laisse penser que le laissez-passer sanitaire a convaincu de nombreux sceptiques quant aux avantages de cette vaccination, et il reste une proportion faible, mais considérable (environ 5 à 10 % de la population) qui a décidé de ne pas se faire vacciner contre le COVID-19. La vaccination des personnes hésitantes ou réticentes a des conséquences potentiellement négatives, qui peuvent renforcer la méfiance à l’égard des institutions et du système de santé ».

Ces constatations publiées dans Nature par l’INSERM sont d’autant plus remarquables que l’institut national de la santé et de la recherche en médecine, est un fervent partisan des vaccinations tous azimuts.

Pour sortir de cette situation ubuesque et retrouver la confiance de la population, il est nécessaire que l’état cesse de suivre les recommandations sanitaires de cabinets de conseils trop liés aux industriels du vaccin, qu’il supprime les censures, qu’il reconnaisse ses erreurs, qu’il pratique la transparence totale sur les données sanitaires réelles au lieu de publier des analyses de pure propagande et qu’il base enfin ses décisions sur l’examen des faits réels au lieu de croire en des simulations biaisées.

Dans l’immédiat, il faut supprimer toutes les mesures restrictives des libertés et en premier lieu le pass sanitaire dans les hôpitaux et réintégrer les pompiers et soignants injustement exclus. Mesures qui ne coûteraient pas grand-chose et qui permettraient au système de santé de souffler un peu.






Le test COVID est une immense arnaque !

[Source : #LigneDroite]






Les masques sont inutiles et dangereux ! Stop aux mensonges médiatiques !

Par le Dr Gérard Delépine

Mise à jour de la bibliographie internationale sur les masques

Le spectacle affligeant du port de masques par des personnes seules en voiture, ou à vélo ou faisant seules leur jogging désole et témoigne de la persistance de la peur créée et entretenue par le gouvernement et les médias depuis deux ans, et de l’ignorance sur l’inefficacité anti-covid et sur les dangers propres du masque.

Mais le plus affligeant et éthiquement scandaleux est de constater que certains professionnels de santé refusent d’examiner des malades et de les traiter s’ils ne portent pas de masque et que certains n’hésitent pas à leur mentir en prétendant que c’est le gouvernement qui l’impose.

Rappelons les consignes officielles actuelles (18/6/2022) du gouvernement

consultable à Obligation de port du masque : quelles sont les règles ?

https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F35351 :

« Depuis le 14 mars 2022, il n’y a plus d’obligation de port du masque en intérieur.

Néanmoins, il y a une exception pour les établissements de santé et établissement médico-sociaux.

En effet, le port du masque peut être imposé pour les personnes de plus 6 ans par les responsables des structures ou locaux professionnels lieux suivants :

  • Hôpitaux, cliniques, centres de santé
  • Cabinets des professionnels médicaux et des psychologues, ostéopathes, chiropraticiens et psychothérapeutes
  • Officines de pharmacie
  • Laboratoires d’analyses médicales
  • EHPAD
  • Domiciles des personnes âgées ou handicapées qui reçoivent des soins »

[Capture PDF de la page :]

Ce texte précise donc qu’il n’y a pas d’obligation réglementaire actuelle de port de masque même dans les structures ou locaux professionnels sanitaires, mais seulement la possibilité pour les responsables de ces établissements de l’imposer dans leurs locaux s’ils le désirent.

Le port généralisé du masque ne protège pas de la contamination

L’analyse exhaustive de la littérature internationale des articles publiés sur PubMed le 18/6/2022 est claire : aucune étude clinique ne prouve que le port généralisé du masque protégerait son porteur de la maladie ou diminuerait la transmission du covid19 autour de lui.

Les recommandations sur le masquage de masse ont été faites sur la base d’études sur les épidémies de grippe, alors même que l’efficacité du masque contre le virus grippal est incertaine(([1] Xiao J, Shiu E, Gao H, Wong JY, Fong MW, Ryu S, et al. Nonpharmaceutical Measures for Pandemic Influenza in Nonhealthcare Settings—Personal Protective and Environmental Measures. Emerg Infect Dis. 2020;26(5):967-975. https://doi.org/10.3201/eid2605.190994)) et que ces études n’étaient pas nécessairement applicables au covid 19.

D’ailleurs initialement l’OMS avait recommandé de ne pas porter de masques dans la vie courante en raison d’un manque de preuves sur son efficacité(([2] Organisation Mondiale de la Santé. Conseils sur l’utilisation des masques dans le contexte de la COVID-19 : Orientations provisoires 6 avril 2020. :
https://apps.who.int/iris/handle/10665/331693)), attitude tirée de 10 études randomisées sur la transmission de la grippe et d’autres coronavirus humains dans la communauté.

La révision de ses recommandations(([3] https://www.un.org/fr/coronavirus/articles/recommandations-port-du-masque)) s’est appuyée sur une métanalyse de simples études observationnelles qui conclue au conditionnel : « l’utilisation d’un masque facial pourrait entraîner une réduction importante du risque d’infection (faible certitude) ». Les nouvelles directives OMS précisent comment laver et entretenir un masque en tissu et énumèrent les précautions d’usage à prendre pour porter en toute sécurité une protection faciale.

Une personne peut en effet s’infecter en ajustant son masque, en l’enlevant ou en le mettant à plusieurs reprises, sans se laver les mains entre chacun de ces gestes. De plus, l’OMS prévient :

« le masque peut créer « un faux sentiment de sécurité amenant à négliger des mesures telles que l’hygiène des mains et la distanciation physique ».

Le port du masque se justifie lorsqu’on est malade (qu’on tousse ou qu’on crache) et pour les personnes au contact de personnes malades, c’est pour le moins plus agréable. Mais même dans ces conditions, il n’existe aucune étude clinique publiée qui démontre qu’il diminue réellement le risque de contamination.

Ceux qui prônent l’obligation généralisée du port du masque sont habituellement les mêmes qui réfutent l’utilisation de la chloroquine sous prétexte (faux) qu’il n’existerait pas d’études randomisées montrant qu’elle est efficace. Or la seule étude prospective randomisée pourtant réalisée par des partisans du port du masque et publiée, Danmasq19(([4] Henning Bundgaard et al Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers: A Randomized Controlled Trial Ann Intern Med. 2021 Mar;174(3):335-343. doi: 10.7326/M20-6817. Epub 2020 Nov
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33205991/)) ne retrouve aucune différence significative de risque de contamination entre les porteurs de masque et ceux qui n’en portent pas démontrant que le masque ne protège pas celui qui le porte.

Les articles qui défendent l’obligation généralisée du port de masque se basent sur non pas sur des études cliniques en population réelle, mais sur des simulations discutables (hypothèses très incertaines), des expériences sur des hamsters, sur l’extrapolation d’études de concentration virale réalisées en réanimation ou en laboratoire, sur l’avis « d’experts qui croient » en l’efficacité sans en apporter aucune preuve scientifique réelle.

Un des arguments classiques des partisans du masque est que les populations asiatiques habituées au masque seraient moins menacées de poussées de contaminations virales que les Européens. Pourtant la comparaison des nombres quotidiens de nouvelles contaminations covid19 en Suède (non masquée) et à Hong Kong (championne du port du masque) montre que le masquage généralisé de la population n’est pas efficace, voire contre-productif, car le taux journalier de nouvelles contaminations par million d’habitants est deux fois plus élevé à Hong Kong qu’en Suède !

Même constatation lorsqu’on compare la Biélorussie et la Corée du Sud :

comment des professionnels de santé peuvent-ils encore croire en l’efficacité de l’obligation généralisée du port du masque alors qu’il n’en existe aucune preuve et, que de nombreux indices militent pour son inefficacité ? Que ceux qui ont peur et croient qu’un masque peut les protéger veuillent en porter est compréhensible et tolérable, mais il n’existe aucune raison scientifique d’imposer aux autres un grigri inefficace dont les effets secondaires sont nombreux.

Le port du masque est source de nombreuses complications

Au 22 juin 2022, la base de données PubMed recense 1165 articles internationaux décrivant des complications du port de masques faciaux.

Même les défenseurs du port du masque reconnaissent certains de ses inconvénients(([5] hu DK, Akl EA, Duda S, Solo K, Yaacoub S, Schünemann HJ; COVID-19 Systematic Urgent Review Group Effort (SURGE)s. Physical distancing, face masks, and eye protection to prevent person-to-person transmission of SARS-CoV-2 and COVID-19: a systematic review and meta-analysis. Lancet. 2020 Jun 27;395(10242):1973-1987. doi: 10.1016/S0140-6736(20)31142-9. Epub 2020 Jun 1. PMID : 32497510 ; PMCID : PMC7263814.)) : inconfort fréquent, dégradation de la peau du visage, difficulté accrue à communiquer clairement, et une empathie perçue réduite des prestataires de soins par ceux dont ils s’occupent.

L’étude clinique de Zhang, pourtant avocat du masque,(([6] Zhang R, Li Y, Zhang AL, Wang Y, Molina MJ. Identification de la transmission aérienne comme principale voie de propagation de la COVID-19. Proc Natl Acad Sci USA. (2020) 117 : 14857–63. 10.1073/pnas.2009637117)) a signalé un taux plus élevé de maladies respiratoires parmi le personnel hospitalier portant un masque en tissu par rapport à l’absence de masque de protection au travail.

Complications cutanées

La macroanalyse des membres de l’American Contact Dermatitis Society(([7] Yu J, Chen JK, Mowad CM, Reeder M, Hylwa S, Chisolm S, Dunnick CA, Goldminz AM, Jacob SE, Wu PA, Zippin J, Atwater AR. Occupational dermatitis to facial personal protective equipment in health care workers: A systematic review. J Am Acad Dermatol. 2021 Feb;84(2):486-494. doi: 10.1016/j.jaad.2020.09.074. Epub 2020 Oct 1. PMID : 33011325 ; PMCID : PMC7528888.)) met en évidence des cas de dermatite professionnelle secondaire aux équipements de protection faciale. La dermatite de contact irritante (DCI) est la dermatose liée au masque la plus fréquente(([8] Rudd E, Walsh S. Mask related acne (“maskne”) and other facial dermatoses. BMJ. 2021 Jun 7;373:n1304. doi : 10.1136/bmj.n1304. PMID: 34099456.)). Elle atteint principalement les joues et l’arête nasale et s’observe surtout après port prolongé du masque (>6 heures). Sa sévérité dépend de la chronicité de l’exposition. Les personnes atteintes de dermatite atopique, qui ont déjà une barrière cutanée défectueuse, sont particulièrement à risque de développer une DCI.

L’étude coréenne de Choi SY(([9] Choi SY, Hong JY, Kim HJ, Lee GY, Cheong SH, Jung HJ, Bang CH, Lee DH, Jue MS, Kim HO, Park EJ, Ko JY, Son SW. Mask-induced dermatoses during the COVID-19 pandemic: a questionnaire-based study in 12 Korean hospitals. Clin Exp Dermatol. 2021 Dec;46(8):1504-1510. doi: 10.1111/ced.14776. Epub 2021 Aug 4. PMID: 34081799; PMCID: PMC8239570.)) précise la symptomatologie qui varie d’une plaque discrète, sèche et squameuse à un œdème et des vésicules, des érosions et une ulcération. Les démangeaisons étaient le symptôme le plus fréquent, affectant principalement les joues. La dermatose la plus fréquente était la dermatite de contact d’apparition récente (33,94 %), suivie de l’acné d’apparition récente (16,97 %) et de l’aggravation d’une acné préexistante (16,97 %). Le port quotidien de masques était significativement associé à une dermatite de contact d’apparition récente. Plus de la moitié des patients ayant des problèmes de peau préexistants ont vu leur maladie s’aggraver lorsqu’ils portaient des masques.

Une plus longue durée de port et l’utilisation de masques en coton ont augmenté les poussées d’acné. Les travailleurs de la santé avaient une incidence plus élevée de maladies de la peau.(([10] Echasatian L, Lebsing S, Uppala R, Thaowandee W, Chaiyarit J, Supakunpinyo C, Panombualert S, Mairiang D, Saengnipanthkul S, Wichajarn K, Kiatchoosakun P, Kosalaraksa P. The Effects of the Face Mask on the Skin Underneath: A Prospective Survey During the COVID-19 Pandemic. J Prim Care Community Health. 2020 Jan-Dec;11:2150132720966167. doi: 10.1177/2150132720966167. PMID: 33084483; PMCID: PMC7786409.))

Hypoxie et troubles respiratoires

En dépit de certains articles mensongers qui prétendent que le port du masque ne diminuerait pas la saturation en oxygène la littérature internationale des grandes revues médicales établit formellement que le port prolongé du masque entraîne une augmentation de la résistance nasale et une hypoxie chez les personnels soignants, souvent associée à des maux de tête.

Beder et all(([11] Beder A, Büyükkoçak U, Sabuncuoğlu H, Keskil ZA, Keskil S. Preliminary report on surgical mask induced deoxygenation during major surgery. Neurocirugia (Astur). 2008 Apr;19(2):121-6. doi: 10.1016/s1130-1473(08)70235-5. PMID: 18500410.)) ont observé chez les chirurgiens masqués pratiquant de longues interventions une diminution de la saturation en oxygène et une légère augmentation de la fréquence du pouls par rapport aux valeurs préopératoires chez les chirurgiens, la diminution étant plus importante chez les chirurgiens de plus de 35 ans.

Kisielinski K et ses coauteurs(([12] Kisielinski K, Giboni P, Prescher A, Klosterhalfen B, Graessel D, Funken S, Kempski O, Hirsch O. Is a Mask That Covers the Mouth and Nose Free from Undesirable Side Effects in Everyday Use and Free of Potential Hazards? Int J Environ Res Public Health. 2021 Apr 20;18(8):4344. doi : 10.3390/ijerph18084344.)) montrent que les masques N95 sont plus mal tolérés que les masques chirurgicaux et évaluent la fréquence des symptômes : syndrome d’épuisement, chute et fatigue, cooccurrence groupée d’insuffisance respiratoire et de diminution de la saturation en oxygène (67 %), augmentation de celle en gaz carbonique (82 %), maux de tête (60 %), troubles respiratoires et échauffement (88 %), mais aussi chaleur et humidité (100 %) sous les masques.

L’utilisation du masque N95 pendant plus de 4 heures par les soignants aggrave des maux de tête antérieurs. Une durée plus courte du port du masque facial peut en réduire la fréquence et la gravité. Ils concluent que le port prolongé du masque par la population générale peut entraîner des effets et des conséquences pertinents dans de nombreux domaines médicaux en particulier chez les personnes fragiles (asthmatiques, insuffisants respiratoires chroniques…).

Problèmes de communication

Il existe de nombreuses complications logistiques, physiologiques, psychologiques, sociales et économiques associées au port du masque.

Tsantanie et ses coauteurs(([13] Tsantani M, Podgajecka V, Gray KLH, Cook R. Comment la présence d’un masque facial chirurgical altère-t-elle l’intensité perçue des émotions faciales ?. PLoS One. 2022;17(1):e0262344. Publié le 13 janvier 2022. doi : 10.1371/journal.pone.0262344)) montrent que la perception des émotions intentionnelles (celles que l’acteur désire transmettre) est réduite par la présence d’un masque pour toutes les expressions à l’exception de la colère.

La capacité du personnel de santé à communiquer avec succès avec les patients et avec les collègues est compromise(([14] Marler H, Ditton A. « I’m smiling back at you » : Exploring the impact of mask wearing on communication in healthcare. Int J Lang Commun Disord. 2021 Jan;56(1):205-214. doi: 10.1111/1460-6984.12578. Epub 2020 Oct 10. PMID : 33038046 ; PMCID : PMC7675237.)), ce qui peut nuire à l’efficience, à l’efficacité, à l’équité et, plus particulièrement, à la sécurité de l’intervention thérapeutique. L’orthophoniste a un rôle distinct dans la facilitation de la communication afin de garantir la fourniture, l’accessibilité et l’efficacité des services.

Les enfants sont particulièrement victimes du port de masques(([15] Et les complications psychologiques, sociales, scolaires, physiques sont légion. Voir « les enfants sacrifiés du covid » par G et N Delépine, éditions Fauves, janvier 2022.))

Chez les plus petits, le contact avec la mère et tous les intervenants (crèche, etc.), l’apprentissage des émotions et de la parole est particulièrement menacé.

Dans les classes primaires, les professeurs ont plus de mal à se faire comprendre de leurs élèves qui ne peuvent plus se référer aux mimiques de l’enseignant.

En secondaire, l’apprentissage oral des langues étrangères est saboté : comment expliquer la position de la langue et de la bouche pour reproduire l’accent juste ? Les enseignants doivent parler plus fort, ce qui les fatigue inutilement, et ils peuvent difficilement évaluer ce que les élèves comprennent.

Les adolescents souffrent des mêmes difficultés en cours, mais la gêne à l’expression des sentiments est encore plus pénible à l’âge ou ils nouent leurs amitiés et leurs relations amoureuses.(([16] https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/confinement/il-ne-me-reconnaissait-plus-avec-le-masque-la-crise-du-covid-19-bouleverse-le-quotidien-des-services-pedopsychiatriques_4276445.html))(([17] Masques obligatoires, jeunesse et enseignement, des dangers sous-estimés — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Les troubles psychologiques et psychiatriques(([18] Le masque, baillon qui interdit la parole, base de la relation à l’autre — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Le port du masque est un facteur favorisant la survenue de stress et de morosité. Il provoque également une prosopagnosie (la non-reconnaissance des visages) et une difficulté à reconnaître les émotions d’autrui19.

Depuis l’instauration des prétendues mesures sanitaires, les psychiatres avaient précocement mis en garde sur les effets pervers de l’enfermement et du port de masque chez les personnes fragiles et même chez de nombreuses autres personnes a priori équilibrées qui décompenseront. Ces inquiétudes étaient d’autant plus pertinentes que la diminution générale des lits hospitaliers en 20 ans a particulièrement touché la psychiatrie : fermeture de nombreux de lits de psychiatrie générale à l’hôpital, atteignant 60 % entre 1976 et 2016 selon l’IGAS. De plus l’augmentation des moyens en ville, où les centres médico-psychologiques sont saturés n’ont pas suivi. Les psychiatres ont fui l’hôpital public, où 30 % des postes de titulaires sont vacants.

Le recul montre qu’effectivement les dépressions et les urgences psychiatriques ont explosé.

L’augmentation de l’anxiété, de la dépression et du stress d’abord constaté en Chine(([20] Cao W., Fang Z., Hou G., Han M., Xu X., Dong J. L’impact psychologique de l’épidémie de COVID-19 sur les étudiants en Chine. Psychiatrie Res. 2020 [112934))(([21] Wang C., Pan R., Wan X., Tan Y., Xu L., Ho C. Réponses psychologiques immédiates et facteurs associés au stade initial de l’épidémie de maladie à coronavirus de 2019 (COVID-19) dans la population générale en Chine. Int J Environ Res Public Health. 2020))(([22] Zhang S., Wang Y., Rauch A., Wei F. Perturbation sans précédent de la vie et du travail : santé, détresse et satisfaction de vivre des adultes qui travaillent en Chine un mois après le début de l’épidémie de COVID-19. Psychiatrie Res. 2020 [112958)) s’est diffusée partout où les dirigeants ont créé la panique et imposé des mesures contraignantes.

Les enfants ont été particulièrement touchés(([23] Port du masque et troubles chez les enfants : le constat édifiant de Marie-Estelle Dupont
https://www.lactucitoyenne.fr/actualites/sante/port-du-masque-et-troubles-chez-les-enfants-le-constat-edifiant-de-marie-estelle-dupont)) et les urgences pédopsychiatriques ont été dépassées à Paris tant à l’hôpital Robert Debré (demandes d’admission accrues de 20 %.) qu’à la Pitié-Salpêtrière et dans bien d’autres structures en Province.

D’après santé publique France, 3 millions de nos compatriotes souffrent de troubles psychiques sévères.(([24] Santepubliquefrance.fr/dossiers/coronavirus-covid-19/enjeux-de-sante-dans-le-contexte-de-la-covid-19/articles/sante-mentale-et-covid-19))

Il n’est pas éthique de refuser d’examiner un malade

Le serment d’Hippocrate considéré comme l’un des textes fondateurs de la déontologie médicale rappelle qu’un médecin ne peut refuser d’examiner un malade.

Dans sa version française(([25] https://www.conseil-national.medecin.fr/medecin/devoirs-droits/serment-dhippocrate)):

Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité.

Ou dans sa version internationale du serment de Genève :

JE NE PERMETTRAI PAS que des considérations d’âge, de maladie ou d’infirmité, de croyance, d’origine ethnique, de genre, denationalité, d’affiliation politique, de race, d’orientation sexuelle, de statut social ou tout autre facteur s’interposent entre mon devoir et mon patient

D’ailleurs même au temps de la peste (qui tuait près de 40 % des malades) les médecins accomplissaient leur devoir sans exiger des malades qu’ils portent un masque.

Il est donc particulièrement choquant d’apprendre que certains confrères violent leur serment d’Hippocrate en refusant d’examiner des malades au prétexte qu’ils ne portent pas de masque.

L’ordre a rappelé que la non-vaccination ne fait pas partie des raisons justifiant un refus de soins. Un docteur ne peut donc pas déontologiquement refuser de soigner un patient parce qu’il n’est pas vacciné contre le Covid. On peut espérer que le non-port du masque sera prochainement le sujet d’un même rappel à la déontologie.

Il faut espérer que sans attendre ce rappel éthique, de nombreux médecins supprimeront ces exigences infondées du port de masque pour les consulter.

Et s’ils ont encore peur qu’ils se rappellent que lors de la première vague (avant tout vaccin) les Indiens ont utilisé avec succès la chloroquine pour prévenir les contaminations du personnel soignant et des proches des malades et que l’Inde compte 15 fois moins de cas par millions que la France adepte des masques.

L’Algérie qui a largement utilisé le protocole Raoult compte 75 fois moins de cas par millions que la France

Pour se protéger, les médecins inquiets devraient plutôt se prescrire chloroquine ou Ivermectine !





Le Covid, une crise spirituelle ?

[Source : jdmichel.com]

Par Jean-Dominique Michel

La dérive en cours continue de révéler peu à peu son vrai visage, lequel n’a rien à voir en réalité avec la santé publique.

Comment et pourquoi notre société devient-elle ainsi folle et malfaisante ? Et en quoi cela implique-t-il notre relation au sacré ? Voilà les thèmes que j’ai été invité à développer par le collectif Réinfocovid-Genevois (74) le 13 juin 2022.

J’y visite également les fascinants territoires du rétablissement en santé mentale, des pratiques de soins traditionnelles et des processus de guérison inexpliquée.

Avant de revenir au transhumaniste qui est, littéralement, un nouveau fascisme à caractère démoniaque, au sens où l’entend la tradition judéo-chrétienne : menteur, haineux et ennemi du genre humain…




L’inculture organisée dès les années 60 et la tragédie de l’ignorance généralisée

Par Nicole Delépine

 Illustration extraite de « Super pédago, la ruine de l’école a son héros. » (éditions : SOS éducation)

« Je suis un cancre des années 80. Un génie aujourd’hui »

un internaute

L’entretien de JP Brighelli avec Sud Radio, phrases clefs et commentaires

L’école est morte. Cela a été décidé dans les années soixante.

LA FABRIQUE DU CRÉTIN A ÉTÉ ORGANISÉE DEPUIS LES ANNÉES SOIXANTE

Contrairement aux apparences et intentions affichées, ce système ne favorise pas les classes défavorisées. Elles sont acculturées volontairement, formées pour seulement consommer et en particulier Netflix, les jeux, la télévision, le canapé. Comme les médecins le sont également, le plan cancer prônant officiellement une « acculturation ».(([1] « Le cancer un fléau qui rapporte » N Delépine éditions Michalon : moralité les anciens traitements qui marchaient et guérissaient bon nombre de patients ont été abandonnés au bénéfice des nouvelles drogues à 3000 € par mois toxiques et inefficaces. C’est ce qu’on appelle le progrès dans la logique inversion des sens des mots et des valeurs. Relire Orwell.))

Perte de la culture organisée par René Haby, directeur de l’enseignement scolaire sous De Gaulle, dès les années soixante. Il deviendra ministre de Giscard. La mise en place du collège unique coïncide avec la décision de regroupement familial (voir le chapitre qui y est consacré dans le livre de Brighelli).(([2] « La fabrique du crétin : vers l’apocalypse scolaire » (Editions L’Archipel) ))

MASSIFICATION VOULUE DE L’ÉCOLE

Il faut tenter que « tous » soient à égalité, donc il est décidé en conscience de niveler par le bas. Notons que tous les ministres qui ont suivi ont poursuivi la descente en flèche des élèves à commencer par Jospin et Chevènement et la religion d’un bac pour 80 % de la tranche d’âge. Ils n’avaient pas expliqué qu’il s’agirait d’un « bac de papier »… Or plus on est défavorisé par son milieu, plus on aurait besoin d’une école qui instruit et de diplômes dont la valeur est indiscutée.

Les « élites » enfants de l’oligarchie au pouvoir se reproduiront en fréquentant les écoles privées, type école alsacienne ou les grands lycées parisiens comme Henri IV ou Louis le Grand(([3] Informez-vous sur les écoles fréquentées par les enfants de nos ministres, de Marlène Schiappa l’écrivain à notre ministre de l’Éducation nationale d’aujourd’hui. La réponse est toujours la même.)). Même eux, malheureusement, ces enfants d’élite théoriquement protégés seront « abimés » par la culture woke qui envahit les universités (privant certains de conférences, car pas assez de « gauche ») et qui tente d’effacer l’Histoire et le français, dénaturant de fait notre patrimoine et compromettant notre avenir.

Sans passé, il n’y a pas de futur. Il faut lire sans aucun doute le livre de Michel de Jaeghere(([4] « Notre monde connecté nous livre sans défense à la tyrannie de l’instant. L’histoire pourrait en être l’antidote, dans la mesure où elle rassemble l’expérience des peuples. Elle fait lever des ombres venues de la profondeur des âges pour nous faire partager les leçons tirées de la pratique de notre condition.
Nous avons entamé un dialogue sans limite avec les vivants. Ce livre se propose de restaurer le dialogue avec les morts en revisitant dans une succession de textes brefs, en forme de courts essais, de nouvelles, un certain nombre d’épisodes de l’histoire universelle pour tenter d’en tirer des leçons. A l’heure où les progrès de l’histoire ont débouché sur une spécialisation à outrance qui a conduit nombre d’universitaires à se retirer dans leur tour d’ivoire pour y jouir entre experts des fruits de leur science, il se propose de renouer avec la méditation des exemples qui a nourri, depuis l’Antiquité, la réflexion. » La compagnie des ombres — Michel de Jaeghere — Babelio quatrième de couverture)), la « compagnie des ombres, à quoi sert l’Histoire ? » qui « remet les pendules à l’heure » si je peux me permettre cette expression populaire au temps des montres électroniques.(([5] Dans les années 2000 il existait de jolis jeux en bois pour apprendre à lire l’heure aux tout petits. Espérons qu’ils existent encore, mais ces magasins ont laissé la place à des banques ou agences immobilières.))

LES DISCOURS MENSONGERS SUR LE CLIMAT, MANTRA SCOLAIRE

L’inculture des plus hauts dirigeants nous frappe de plein fouet parfois, dans des discours pourtant bien préparés. Les déclarations délirantes sur le « réchauffement climatique » répétant à loisir les arguments fabriqués du GIEC, organisme officiel qui ment effrontément sur le climat, comme l’OMS et les agences sanitaires internationales l’ont majoritairement fait sur le covid19.

Le mantra du jour après la courte vague de chaleur et la tempête de Deauville est « allez voter pour la planète » comme si Mélenchon ou Macron pouvaient résoudre le problème du climat. Alors que la France ne rejette que 1 % du CO2 mondial, se place en 78e position de rejet de CO, avec 4,1 tonnes émises par habitant en 2020, trois fois moins que les Américains, presque deux fois moins qu’en Allemagne et 50 % de moins que les Chinois.

L’ÉCOLE N’INSTRUIT PLUS (l’élève doit s’instruire seul), MAIS TENTE D’INCULQUER LA NOUVELLE RELIGION ÉCOLOGISTE : ON FORMATE

Nos jeunes ont été formatés depuis au moins trois décennies à l’école dès la primaire pour « défendre la planète » par des enseignants de bonne foi le plus souvent, mais obéissants au rectorat, et via des « visuels » imposés, des livres partisans.

Sauver la planète qui nous survivra largement, paranoïaques que nous sommes. Comment aider ? Ramasser les déchets sur les plages est une belle initiative, mais pourquoi leur raconter tant de mensonges élaborés par les lobbies, ce lobby politico industriel dont nous prévenait le président des US au sortir de la guerre en 1946 ? Mais nous avons été mangés tout cru par l’idéologie au service des milliardaires et affidés.(([6] Il faut lire et faire lire « la religion écologique » et les douze mensonges du GIEC de Christian Gerondeau Editions l’artilleur pour répondre à nos adolescents plein de bonne foi et de bonnes intentions, mais manipulés par l’école et France Info ou France culture qui récitent la bonne parole à longueur d’émissions.))

Comme pour Big Pharma, les commentateurs autorisés et décideurs officiels de mesures écologiques sont souvent rémunérés pour mentir. Les représentants du GIEC,(([7] GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) Selon le site du ministère il évaluerait « l’état des connaissances sur l’évolution du climat, ses causes, ses impacts. Il identifie également les possibilités de limiter l’ampleur du réchauffement et la gravité de ses impacts et de s’adapter aux changements attendus. Les rapports du GIEC fournissent un état des lieux régulier des connaissances les plus avancées » de fait il est le porte-parole de la nouvelle religion écologique.)) pourtant censés défendre l’avenir de l’humanité, sont devenus les porte-paroles des lobbies comme celui de l’industrie photovoltaïque ou des éoliennes. Il est tellement triste de voir défiler la jeunesse pour « la planète » manipulée par des grandes ONG écologistes et en particulier les Verts allemands (et les Français au pied), et presque jamais demander la suppression des grands pollueurs comme les transferts intercontinentaux. Comme ceux de containers de la France à la Chine pour emporter le bois de France et le faire travailler en Chine et revenir ensuite. Comme les énormes paquebots de croisière qui polluent tellement même lorsqu’ils sont à l’arrêt(([8] https://marsactu.fr/la-pollution-des-paquebots-explose-a-marseille-malgre-larret-des-croisieres/)) bien plus que votre voiture ancienne, qui n’a plus le droit d’entrer dans Paris où l’on arrache les arbres pour bétonner et mettre un gros pot de fleurs au milieu de la rue, « pour l’écologie ».

Que dire du bilan écologique global des éoliennes si l’on tient compte de leur fabrication, leur transport, de leur construction gloutonne en béton, de leur faible rendement, de leur recyclage et de la remise en état du site ?

Globalement la motorisation électrique des voitures n’est guère plus écologique si l’on additionne l’extraction du lithium, de la fabrication des batteries, de leur durée moyenne de vie de 8 ans(([9] https://www.courroie-distribution.fr/blog/tout-savoir-sur-la-duree-de-vie-dune-batterie-de-voiture/))(([10] Les constructeurs affichent des durées bien supérieures, mais en même temps mettent en garde les acheteurs de véhicules électriques d’occasion de plus de 5 ans.)) et des problèmes de recyclage. La réglementation actuelle n’impose de recycler que 50 % du poids de la batterie. Le reste est détruit, brûlé, voire enfoui ! Et comment disposer d’électricité en quantité suffisante sans centrales nucléaires ? Nos amis allemands qui ont fait ce pari doivent remettre en route leurs centrales à charbon et plus encore depuis qu’ils reçoivent moins de gaz russe. Par quel miracle sont-elles devenues écologiques ?

Quant aux jets privés de ces messieurs qui se réunissent pour les grandes réunions-spectacles contre le réchauffement climatique, combien d’allers et retours en vieille voiture de la campagne à la petite ville locale consomment-ils ?

Et les tomates italiennes qui font des aller-retour en Hollande ou en Chine avant de revenir en boîte en Italie ?

Dans le genre formatage, on pourra développer ailleurs le conditionnement aux nouvelles « normes » des minorités agissantes avec l’enseignement des pratiques sexuelles à un âge où on fera mieux de jouer à la poupée ou au train électrique.

LA DÉVALORISATION QUASIMENT ACHEVÉE DU BACCALAURÉAT

JP Brighelli explique. Les copies ne parviennent plus aux correcteurs qui ne les voient que sur écran via le logiciel Santorin. Et ce logiciel a le pouvoir de corriger les notes automatiquement si la moyenne décidée par les dirigeants et entrée dans le logiciel n’est pas atteinte. Comme professeur, vous avez la consigne de ne pas mettre de notes inférieures à huit. La moyenne des épreuves tourne autour de 14 et les notes sont remontées à dessein. Il faut cacher la baisse généralisée du niveau (et le bac coûte neuf millions d’euros pour rien).

J’ai déjà raconté que dès les années 80, correctrice de copies médicales pour le passage dans l’année supérieure(([11] Comme chargée d’enseignement à la fac Lariboisière st louis.)), nous avions pour consignes de ne donner que des notes « correctes » aux étudiants carabins et de supprimer le zéro antérieurement utilisé pour éliminer un étudiant ayant « tué » un patient dans sa copie avec absence d’un diagnostic vital ou prescription d’une dose mortelle ou d’un traitement inapproprié (notre grande crainte du temps de nos propres épreuves deux décennies plus tôt).

Mort virtuelle dans la copie, bien sûr, mais on a vu que tuer un malade n’est plus toujours virtuel, décret Rivotril du bien-aimé Édouard Philippe oblige. Tout est devenu dérisoire. Et ôter cette crainte majeure et fondamentale d’un futur médecin n’est pas forcément la meilleure idée pour ses futurs patients. On lit qu’il ne faut pas « vexer » l’élève, en médecine comme ailleurs…

Un commentaire à la vidéo de sud radio de JP Brighelli sur YouTube :

« en 1968, dans l’Aude, je corrigeais les épreuves écrites du BEPC. Un pingouin de l’académie est venu nous prévenir qu’il fallait 70 % de reçus et que l’on “relèverait” aussi bas que nécessaire pour arriver à ce pourcentage. Il a ajouté que si l’on mettait un zéro il faudrait aller justifier cette note devant un “jury”. Quelques mois plus tard, je démissionnais de l’éducation nationale. » par JC Olive.

Et Renaud Deene :

« Un inspecteur en histoire géo m’a reproché de transmettre trop de connaissances : “vous êtes là pour transmettre des compétences. Pour les connaissances, ils ont internet”. Les bras m’en sont tombés, mais je continue à faire comme bon me semble. Ils ne peuvent rien contre la résistance passive »

Enitram Lelou :

« C’est pareil pour l’oral d’anglais au bac, on donne minimum 10, car l’élève n’est pas vexé, mais n’a pas les points supplémentaires qui commencent à 11/20, +1, 12/20 +2, etc ».

Le bac est devenu une extension du domaine du bisounours. « La câlinothérapie est la mode ». Les jeunes vont malheureusement se heurter au mur de la réalité au bout de trois ans (bac + 3). Temps perdu, mais aussi fabrique de frustrés qui ne comprendront pas pourquoi ils ne trouveront pas de travail sauf au supermarché avec une licence de psychologie. Ce n’est pas une honte d’être caissier, mais ces jeunes qui ont tenté d’obtenir une licence à la fac attendaient d’autres débouchés. On les a trompés délibérément.

Comme info, ils nous disent aussi que les élèves candidats au bac ne savent pas lire l’heure sur une horloge. Quelle misère !

JP Brighelli nous parle de « ludique ». Il pense que le mot gamers a remplacé le mot « joueurs » chez les jeunes comme beaucoup de vocabulaire français enterré. Donc rien de surprenant au fait qu’ils ne connaissent pas le français.

Les élites elles-mêmes ont beaucoup baissé. Les pédagogues, pédagogistes, ont interdit depuis longtemps la récitation « par cœur ». « La Fontaine » n’est pas connu même en classe préparatoire. Le fond n’est pas connu ou compris, car la présentation a été sortie de l’histoire. L’élève doit » inventer la culture ». Moralité : il ne sait rien. On ne peut pas tout inventer. Jadis l’écriture avait été inventée pour transmettre les savoirs…

Ce qu’on leur a dit sur une fable est tellement déshistoricisé que les sens profonds sont perdus même dans les classes de prépa littéraires.

En ce qui concerne l’orthographe, trop souvent les jeunes ne font plus confiance aux adultes. Les inspecteurs déjà depuis plusieurs décennies ne voulaient pas qu’on l’enseigne :

« d’ici 20 ans il y aura des correcteurs orthographiques, cela ne servira à rien de leur apprendre l’orthographe », nous disait-on.

Malheureusement quand on lit les bandeaux informatifs des chaînes télévisées chaque jour, on constate d’énormes fautes. On parle du stagiaire de BFM… mais que vaut le DRH ?

Le plus triste de cet entretien avec le professeur Brighelli est le pessimisme de notre enseignant qui ne voit pas un politique prendre de front cette situation évoluant depuis des décennies. « Processus lent, inexorable. » que confirme le classement pisa qui estime qu’en France, le climat scolaire est l’un des plus dégradés au monde.

L’ENSEIGNEMENT DE L’IGNORANCE

Il faut lire  : « l’enseignement de l’ignorance » selon Jean-Claude Michéa (que cite JP Brighelli également) et publié en 2006. On savait déjà…

En résumé : En dépit des efforts de la propagande officielle, il est devenu difficile, aujourd’hui, de continuer à dissimuler le déclin continu de l’intelligence critique et du sens de la langue auquel ont conduit les réformes scolaires imposées, depuis trente ans, par la classe dominante et ses experts en « sciences de l’éducation ». Le grand public est cependant tenté de voir dans ce déclin un simple échec des réformes mises en œuvre. L’idée lui vient encore assez peu que la production de ces effets est devenue progressivement la fonction première des réformes et que celles-ci sont donc en passe d’atteindre leur objectif véritable : la formation des individus qui, à un titre ou à un autre, devront être engagés dans la grande guerre économique mondiale du XXIe siècle.(([12] https://www.amazon.fr/Lenseignement-lignorance-ses-conditions-modernes/dp/2082131238/))

« L’enseignement de l’ignorance est la finalité véritable de la scolarité dans les pays développés », selon Jean-Claude Michéa. Il affirme dans « l’enseignement de l’ignorance » que l’école républicaine française a été transformée parce qu’elle était un des derniers lieux de résistance à l’esprit capitaliste, dans la mesure où elle transmettait le savoir et les vertus d’une société non soumise à la logique de l’intérêt. Il invite à se demander « Quels enfants allons-nous laisser à notre monde ? » plutôt que « Quel monde allons-nous laisser à nos enfants ? ».

« L’enseignement de l’ignorance est nécessaire à l’épanouissement du capitalisme. Jean-Claude Michéa voit “la crise de l’’École républicaine » comme un symptôme de la crise de la société moderne caractérisée par la destruction des familles, la décomposition des villages, des quartiers, et la disparition de la civilité. Cette crise est la conséquence de l’avènement de l’économie libérale par la suppression des obstacles au marché (religion, droit, coutume) et par la promotion de la mentalité de l’individu entièrement rationnel, égoïste et calculateur. Or, le capitalisme n’aurait pas pu se développer sans le socle moral préexistant, de telle sorte que la dissolution de ce socle risque de rendre la société invivable ».(([13] https://1000idcg.com/enseignement-ignorance-jean-claude-michea))

« On pourrait dire, écrit le philosophe, que la réforme scolaire idéale, du point de vue capitaliste, est donc celle qui réussirait le plus vite possible à transformer chaque lycéen et chaque étudiant en un crétin militant »

(L’enseignement de l’ignorance).

D’après Jean-Claude Michéa, toutes les réformes intervenues depuis les années 1970 ont transformé les enseignants en animateurs et l’école en un lieu de vie ouvert à tous les représentants et à toutes les marchandises ».

LA PHILOSOPHIE ABANDONNÉE

Nous avons parlé ici lettres françaises, orthographe. Bien sûr la philosophie n’a pas été épargnée et les efforts de René Chiche ont été vains.

Amazon. Fr —La désinstruction nationale —Chiche, René —Livres

Citons le commentaire de son livre sur Amazon :

« Professeur, j’hérite en Terminale d’élèves qui ne maîtrisent pas l’accord du participe passé, peinent à déchiffrer une phrase complexe et manient leur propre langue comme s’il s’agissait d’une langue étrangère, usant du “donc” et du “parce que” à la façon d’un joueur cherchant à deviner les numéros gagnants d’une loterie. En lisant leurs copies, j’ai trop souvent l’impression de me trouver devant des enfants malnutris, voire dénutris, à qui il faut d’abord donner une bouillie protéinée par — ce qu’ils ne sont pas en état d’avaler une nourriture plus consistante. Combien sont-ils en ce cas ? Beaucoup trop. Une grande partie de mes élèves obtiennent leur baccalauréat alors qu’ils sont dans un état de quasi-illettrisme. Si l’on quittait jadis l’école primaire en sachant lire et écrire, on entre aujourd’hui à l’Université en éprouvant les plus grandes difficultés pour lire et en ne sachant plus du tout écrire.

De cette catastrophe, tous sont complices : ministres de passage qui ne rendent jamais compte de leurs méfaits, chroniqueurs hors-sol qui les encensent du haut de leur ignorance, intellectuels qui ont abandonné la cause de l’école pour de vains, mais plus juteux bavardages, professeurs, aussi, qui distribuent sans conviction, uniquement pour qu’on leur “fiche la paix”, des notes auxquelles nul ne croit. La société tout entière semble indifférente au préjudice subi par d’innombrables jeunes gens qu’elle consent à voir priver de lettres et d’instruction pourvu qu’on les gratifie de diplômes en chocolat après leur avoir promis la “réussite” depuis le berceau. Le mensonge sur cette situation ne peut plus durer. J’ai donc décidé de révéler au public l’ampleur alarmante de la désinstruction nationale, d’en fournir des preuves et en indiquer les causes, dans la conviction qu’il nous est encore possible de nous relever collectivement de ce désastre ».

LES MATHÉMATIQUES OUBLIÉES

Malheureusement l’enseignement des mathématiques en est au même point de dégradation, voire de disparition. Notre amie K. Brandin tente régulièrement d’alerter, comme ses collègues en français ou en philosophie. Le dernier en date :
Mathématiques au lycée  : un sauvetage en trompe-l’œil — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

« L’objectif de cette tribune est triple. Il s’agit tout d’abord d’une bouteille à la mer comme un encouragement solidaire à l’attention, puisqu’ils existent même s’ils semblent en voie d’extinction, de la poignée d’enseignants de l’éducation nationale que l’on pourrait qualifier de “résistants”. Ces profs exigeants, rigoureux et sincères qui aspirent simplement à pouvoir dispenser un enseignement digne, de qualité, celui dont ils ont parfois eu la chance de bénéficier ou tout simplement, celui dont ils rêvaient. Que mon statut d’indépendante, sa précarité sans doute, mais aussi la liberté de parole qu’il autorise comme celle de transmettre suivant mes convictions, permette de traduire tout haut ces souffrances qui s’expriment tout bas, trop bas.

Je veux parler “de” et “à” ces profs ordinaires, jeunes ou vieux, mais devenus extraordinaires par la force des choses, car ils ont su conserver chevillés au corps, le devoir, la passion et le désir de transmettre “à leur tour” ou » en retour ».

Ces mêmes profs qui, ces dernières années (décennies), ont été consciencieusement empêchés dans leur mission, voire dissuadés tant ils ont été stigmatisés, parfois même accusés d’être élitistes ou bien encore réactionnaires.

Des profs bien conscients que leur métier ne consiste pas à élever des enfants entre les murs d’une école, mais seulement à les instruire, c.-à-d. à leur donner le goût de l’étude, du doute. Le goût des mots aussi et avec lui, la possibilité de la contradiction, de l’argumentation en même temps qu’une forme d’audace, une indépendance, une impertinence conjuguées à une autonomie de réflexion salvatrice. Autant de garanties pour l’avenir de décisions libres et éclairées. Sans compter, bien sûr, une certaine culture de la résistance à l’effort, fût-il ingrat.

Bref, affûter les curiosités, armer les esprits pour mieux, à terme, désarmer les corps.

À ce personnel dévoué, on a envie de dire : « peu importe l’effet moisson du pédagogisme, gardez la tête haute, au risque qu’elle dépasse et continuez de porter haut vos valeurs. »

(…) Comme on a conduit, poussé à l’agonie le corps médical, comme on s’est accoutumé à son râle sans être capable de faire « société » en bloquant le pays (était-ce si difficile ?) pour exiger sans délai la réintégration des soignants suspendus (suspendus ou plutôt « désintégrés »), on semble avoir convaincu d’immobilisme le corps enseignant qui tarde décidément à se révolter. Dans le même temps et suivant la même implacable logique puisque l’on ne change pas une équipe qui perd, on vient de faire exploser le corps diplomatique.

« Au suivant », comme disait Jacques Brel dans cette prostitution organisée de toutes nos valeurs. Mais il faut être honnêtes, ils nous avaient prévenus : « on va vous emmerder jusqu’au bout ; c’est ça la stratégie, parce que c’est notre projet. » Ils nous avaient prévenus et nous les avons reconduits.

Peut-être les pays francophones et/ou des lycées français à l’étranger ont-ils continué à enseigner la langue, l’histoire, la littérature, la philosophie, les mathématiques ? Nous sauveront-ils de l’inculture ?

DEUX REMARQUES SYMBOLIQUES

ON OSE NOUS PARLER DE RÉCHAUFFEMENT ET D’ÉCOLOGIE

« Quand l’homme arrêtera de bétonner de couper des millions d’arbres sans les remplacer. On a besoin des arbres pour respirer, pour obtenir de l’oxygène et de faire baisser la chaleur #canicule : “EN VILLE, PLANTER DES ARBRES EST LA SOLUTION LA PLUS INTÉRESSANTE POUR ÉVITER LA MONTÉE DES TEMPÉRATURES”, dit un tweetos.

Pendant que les “élites ‘parisiennes continuent à couper… tout en se prétendant écolos.

Et quand on lit sur les panneaux officiels payés par nos impôts, comment réagir ?

Et si vous voulez sourire, la vidéo humoristique proposée par Karen Brandin après sa tribune sur les maths :





Appel aux familles, enseignants, éducateurs, professionnels de santé, etc. : protégeons nos enfants !

Par Nicole Delépine

INFORMONS AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD :
DEUX PIZZAS TUENT, ON LES RETIRE DU MARCHÉ ;
LES PSEUDOVAX TUENT, ON CONTINUE

« Myocardites, péricardites, etc.

La résistance à l’obligation vaccinale Covid relève désormais de la légitime défense ».

@TvlCampagnol

On nous demande constamment de protéger la planète. Quelle planète laisserons-nous à nos enfants ? La question actuelle serait plutôt : quels enfants laisserons-nous à la planète bleue ?

Chacun d’entre nous (— en dehors des quelques milliers de milliardaires et affidés anaffectifs qui nous dirigent) — est concerné par le sort des enfants, des siens, mais aussi de ceux que nous côtoyons et/ou qui nous sont confiés comme enseignants, éducateurs, infirmiers, médecins, kiné, entraîneurs, coachs, etc.

Nous avons donc une responsabilité directe, morale, voire juridique dans certains cas si nous leur imposons, par notre position d’autorité et notre influence, une injection morbide.

Nous ne pouvons plus faire confiance à nos gouvernants qui nous ont constamment menti (sur les masques, sur l’interdiction de la chloroquine et des antibiotiques, sur l’efficacité des confinements, sur l’utilité des pass sanitaires, puis vaccinaux, sur l’efficacité des vaccins…) et faire comme si nous ne savions pas.

Aujourd’hui, s’il accepte d’ouvrir les yeux CHACUN SAIT, à moins de nier les signaux quotidiens comme les décès brutaux de trop de grands sportifs, sains et en bonne santé avant l’injection, mais tombés sur le sol en plein match ou les accidents post vaccinaux d’artistes célèbres comme Céline Dion ou Bieber incapables de poursuivre leurs activités.

Nous aimons les enfants et voulons leur bien. Ils sont notre avenir et celui de la planète.

Trop d’entre nous ont été instrumentalisés par la manipulation médiatique et gouvernementale durant ces deux années, et appliqué des mesures coercitives nocives, mais nous n’avons pas à les juger. Nous sommes tous dans le même bateau, vaccinés ou non, masqués encore ou non. Selon les circonstances, ses expériences antérieures, le temps libre pour s’informer, la propagande gouvernementale au service de Big Pharma et de Davos a été plus ou moins efficace. Gardons-nous de sermons, de leçons de morale, de jugements de valeur. Mais informons-les et agissons.

L’important est d’en sortir, ENSEMBLE. MAINTENANT.

Ensemble, nous devons protéger nos enfants de l’injection dont on connaît maintenant l’absence d’efficacité contre les contaminations, mais aussi contre les formes graves et la mort,

et la toxicité révélée à court terme pour certains effets déjà, et largement inconnue à moyen et long terme.

Les nombreux effets toxiques sur les organes reproducteurs bien explicités par le site « où est mon cycle » font craindre des troubles de la fertilité des bébés contaminés in utero chez les mamans injectées et les plus grands, vaccinés à tout âge.

Les myocardites dont la fréquence a été rapidement dépistée par les Israéliens ont de quoi nous choquer.

L’inutilité de l’injection chez les enfants avait été soulignée d’emblée par toutes les sociétés de pédiatrie, rappelant que les enfants ne risquent rien du covid et que cela avait été démontré dans de nombreuses études internationales résumées dans « les enfants sacrifiés du covid ».(([1] N et D Delépine éditions Fauves, janvier 2022))

L’inefficacité globale couplée à ses dangers a également été démontrée chez l’adulte.(([2] Delepine, G. Les vaccins Covid-19 conduisent à de nouvelles infections et à la mortalité : les preuves sont accablantes.
https://www.globalresearch.ca/covid-19-vaccines-lead-to-new-infections-and-mortality-the-evidence/5746393))

Les effets secondaires déclarés se sont multipliés, colligés par les banques de données internationales(([3] Vogel, G. (2021). Israël signale un lien entre de rares cas d’inflammation cardiaque et la vaccination contre la COVID-19 chez les jeunes hommes. Science.
https://www.sciencemag.org/news/2021/06/israel-reports-link-between-rare-cases-heart-inflammation-and-covid-19-vaccination)). Même si les déclarations sont sous-estimées, le nombre effrayant de toxicités doit imposer le retrait de cette injection et l’interdire tout particulièrement chez les enfants.(([4] Le ridicule ne tue pas, mais le vax anticovid le fait : myocardites, mort subite — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([5] Classen, JB. Il a été prouvé que les vaccins américains contre la COVID-19 causent plus de mal que de bien sur la base des données d’essais cliniques pivots analysées à l’aide du critère d’évaluation scientifique approprié, « Tous causent une morbidité grave ». Trends Int Med. 2021 ; 1 (1) : 1-6))(([6] Rapport de pharmacovigilance du Conseil Mondial de la Santé sur la sécurité des injections anticovid : ce signal d’alerte fort doit faire stopper les injections .
Covid-19 Vaccine Pharmacovigilance Report (worldcouncilforhealth.org))

Ces myocardites, même apparemment guéries après quelques semaines ou mois, ne sont pas anodines et sont à risque de séquelles tardives. Les cicatrices dans le cœur provoquent au fil des ans un « remodelage » pouvant entraîner une insuffisance cardiaque, des arythmies et une mort subite.

Déjà en septembre 2021, le Pr Claverie criait au secours dans le désert…

Ainsi :

« Les enfants font face à un risque substantiel de myocardite à partir d’une injection anticovid19. VAERS = 48 500 rapports d’événements indésirables chez les enfants, dont 112 décès (au 20 mai 2022) et # de rapports d’encéphalopathies, de problèmes de coagulation, de diabète et de problèmes neurologiques chez les enfants après des injections de C19. Arrêtez la pression de la FDA »

14 juin 2022 @jammingem

Et quelques jours plus tard, à la date du 17 juin 2022 on note

« Il y a maintenant 49 283 rapports VAERS d’événements indésirables chez les enfants par suite d’injections Anti-Covid, dont 114 décès, 457 rapports d’invalidité permanente et 1 326 rapports de myocardite. Ces rapports sous-estiment probablement les méfaits par un facteur de 41 à 100. »

6 h 19 · 17 juin 2022· @mhstangarone

« Allez regarder sur Eudravigilance, rien que pour l’Europe ! Pour 2 décès d’enfants par suite d’une contamination de pizza Buitoni, on arrête tout, on enquête et on retire du marché le produit ! Là on continue à injecter les gens ! Dans des essais normaux cliniques, tout serait arrêté ! »

@Arletty32083869

Le bon sens évidemment, mais quelles sont les raisons profondes de la poursuite de ce massacre que personne ne peut plus ignorer, rien qu’en regardant autour de soi, fatigues, troubles menstruels, AVC jeune (faute à pas de chance, mais à force…). Cette fameuse dépopulation programmée à laquelle nous refusions de croire ? En tous cas, le massacre continue.

ET GLOBALEMENT POUR L’UE 27 pays

RISQUE D’UNE CAMPAGNE DE VACCINATION À LA RENTRÉE.
NOUS DEVONS NOUS PRÉPARER, NOUS UNIR ET REFUSER TOUS ENSEMBLE

Devant la pression gouvernementale et des instances européennes et internationales, on peut craindre une grande campagne pour la vax des enfants dès la rentrée. Trois événements couplés — projet de loi du 22 juin au conseil des ministres en France pour prolongation de l’état d’urgence, réunion de l’OMS(([7] L’Organisation mondiale de la santé (#OMS) a annoncé qu’elle convoquait une réunion de son comité d’urgence le 23 juin pour évaluer si la #VarioleDuSinge représente une « urgence de santé publique de portée internationale » #AFP ! Quelle coïncidence ! ATTENTION à l’élargissement de la vax anticovid couplée à un vax antivariole du singe. Soyons vigilants.)) et prolongation du certificat européen(([8] Europe — Certificat COVID de l’UE : accord entre les députés et le Conseil pour prolonger les règles une année supplémentaire Par Parlement Européen, le 15 juin 2022.
Le dispositif actuel expire le 30 juin 2022.
Les négociateurs du PE et des États membres ont trouvé un accord pour conserver le dispositif du certificat COVID numérique de l’UE durant une année supplémentaire, jusqu’en juin 2023.))— prouvent bien la volonté de l’oligarchie mondialiste au pouvoir de poursuivre le narratif de la peur alternant virus, guerre, famine ou autre chose.(([9] Une majorité Macron serait la pérennisation de l’état d’urgence ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Il est temps que la volonté des peuples s’oppose à ce mauvais théâtre mondial, et refuse en particulier l’injection prévue des enfants par ces produits toxiques.

Pourtant malgré les mises en garde d’instances médicales et scientifiques internationales telles le conseil mondial de la santé(([10] Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )), l’appel de scientifiques japonais, canadiens ou américains, etc., la FDA vient d’autoriser le pseudovax chez les enfants. On peut craindre que l’EMA suive et donc la France.

18/06/2022 16 h 52(([11] La FDA américaine autorise les vaccins anti-COVID-19 Moderna et Pfizer pour les enfants dès 6 mois — Le Courrier du VietNam))

L’Administration américaine des aliments et des médicaments (FDA) a autorisé vendredi 17 juin l’utilisation d’urgence des vaccins anti-COVID-19 Moderna et Pfizer-BioNTech pour les enfants dès 6 mois.

Pour le vaccin Moderna, la FDA a modifié l’autorisation d’utilisation d’urgence pour inclure son utilisation chez les individus âgés de 6 mois à 17 ans. Le vaccin avait déjà été autorisé pour une utilisation chez les adultes de 18 ans et plus.
Pour le vaccin Pfizer-BioNTech, la FDA a modifié l’autorisation d’utilisation d’urgence pour inclure l’utilisation du vaccin chez les individus âgés de 6 mois à 4 ans. Il avait déjà été autorisé pour une utilisation chez les personnes de 5 ans et plus.

« Et pourtant Moderna a été retiré du marché dans les pays scandinaves il y a déjà plusieurs mois à cause des nombreuses myocardites chez les moins de 30 ans, ce sont carrément des rituels de sacrifices d’enfants, ils ne peuvent pas faire ça, c’est criminel. »(([12] Belzil Sylvio sur twitter))

Un élément positif, le peuple français n’est pas prêt à l’injection des enfants selon le Pr Delfraissy.

Il s’était exprimé ainsi en mars 2022 lors d’une conférence à Science Po Lille(([13] Ibid ref 3)) en réponse à un étudiant.

« Bonsoir Mr Delfraissy. 3,3 millions d’effets secondaires déclarés sur la base de données OMS

23 000 morts aux USA ; 36 000 morts dans l’UE,

Imputables au vaccin. Et je dis le mot imputable

Parce que ces vaccins consistent à injecter le code génétique de la protéine spike. Et cette protéine a une toxicité

Elle se colle sur les récepteurs ACE2 sur les cellules endothéliales à l’intérieur des vaisseaux sanguins

Et on a observé des thromboses, des myocardites, des AVC… tout un tas de choses qui sont reliés à ces toxicités on a également observé des rechutes de cancers il y a de nombreuses études des autopsies des choses comme ça… in vitro également…

Et des maladies neurodégénératives ainsi que des réveils de maladies auto-immunes.

Ma question

Mr Delfraissy : pourquoi malgré une toxicité » qui est quand même importante pour un médicament, pourquoi ces vaccins continuent-ils de bénéficier de leur autorisation de mise sur le marché conditionnelle (AMM conditionnelle) et étant donné finalement leur moindre efficacité… parce que finalement après quelques mois l’efficacité même sur les formes graves, baisse.

Je voulais savoir si selon vous la balance bénéfices/risques est toujours suffisante pour permettre à ces vaccins de rester sur le marché ??? »

Pr Delfraissy :

« (…) là où vous pouvez m’argumenter, c’est en population plus générale, c’est une vraie question que je n’ai pas totalement résolue dans ma tête qu’on vaccine, pourquoi vacciner une population jeune qui a nettement moins de chances enfin moins de risques plutôt de développer une forme sévère et une forme grave »

Vidéo 2/2 :

https://twitter.com/i/status/1534957878884323334

Pr Delfraissy :

« On l’a fait parce qu’il y a un risque qui existe quand même qui n’est pas nul.

Deuxièmement parce qu’il y avait une vision de protection également contre l’infection.

Mais en effet — et je suis le premier à vous l’avoir dit que ces vaccins protègent modérément contre l’infection —, on ne peut pas dire qu’ils ne protègent pas. Ils protègent modérément, donc du coup plus on va vers la tranche d’âge des plus jeunes, plus en effet le bénéfice individuel est difficile à mettre en évidence.

D’où d’ailleurs les citoyens ont tranché et en France c’est très clair.

On est chez les enfants de 5 à 11 ans avec actuellement en gros 5 à 6 % d’enfants vaccinés. Et je ne pense pas qu’on fera beaucoup bouger les lignes. »

(…)

Vous n’avez plus d’obligations. Là maintenant vous avez plus de pass vaccinal. Vous n’avez plus… Bon, mais vous ne convaincrez pas de l’inverse. Voilà je suis très ferme sur mes positions. Et vous faites ce que vous voulez et à vrai dire je m’en fous ! »

EN RÉSUMÉ :
DEUX PIZZAS TUENT, ON LES RETIRE DU MARCHÉ ;
LES PSEUDOVAX TUENT, ON CONTINUE !

Il est capital que chacun se sente responsable y compris juridiquement des enfants qu’il pourrait influencer.

Les directeurs d’école, les journalistes, les chroniqueurs, etc. ne peuvent pas impunément répandre de fausses informations comme une soi-disant efficacité sur les formes graves et la rareté et bénignité des effets secondaires.

Les parents doivent imposer la neutralité aux enseignants et dénoncer les brochures de propagande destinées à conditionner les élèves à la vaccination.

L’injection n’est pas un vaccin (ils ne contiennent pas d’antigène), ce sont des médicaments expérimentaux. Il faut via les associations, les avocats, etc. faire supprimer cette propagande mensongère prévue y compris dans les petites classes. Les enseignants ne sont pas là pour désinformer et conditionner les élèves.

COURAGE À TOUS !
SAUVONS LES ENFANTS !




Le ridicule ne tue pas mais le vax anticovid le fait : myocardites, mort subite

Par Nicole Delépine

[Photo : © iStock]

Le ridicule ne tue pas mais le vax anticovid le fait : myocardites, mort subite

Ne l’oubliez pas, le vax tue. Il faut obtenir son interdiction mondiale comme le réclament les membres du conseil mondial de la santé après leur analyse rigoureuse de toutes les banques de données internationales officielles :

Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Le dernier tableau de l’article ci-dessus montre que jusqu’au temps délirant (depuis 2020) on retirait du marché un médicament ou vaccin qui tuait quelques personnes

« Principaux rappels de médicaments et de vaccins dans l’histoire

Lorsqu’un nombre préoccupant d’événements indésirables ou de décès est constaté dans les rapports de pharmacovigilance, les organes directeurs peuvent rappeler un produit précédemment autorisé ou approuvé. Le graphique suivant montre le nombre de décès signalés au VAERS ou au FAERS avant le rappel d’un produit. »

LA FOLIE PROGRESSE : PLUTÔT QUE D’ADMETTRE QUE L’INJECTION GÉNIQUE TUE, ILS INVENTENT UN » NOUVEAU SYNDROME D’ORIGINE INCONNUE ».

ON EN EST À INVENTER UN « NOUVEAU SYNDROME : LE SYNDROME DE LA MORT SOUDAINE DE L’ADULTE ».

Bravo ! On n’arrête pas le progrès ou bien sa nouvelle définition wok, la bêtise sans limite, la déconstruction de ce qui est beau, instructif, apaisant, pour aller vers quoi ? Le néant ?

Les candidats au bac ne sauraient pas ce que veut dire « ludique », mais on leur donnera le bac quand même. Il ne faut s’étonner de rien et surtout comme l’avait souhaité le patron de télé Patrick le Lay dans les années 2000, la capture du cerveau humain via les temps d’antenne a révélé sa grande efficacité.

Et comme dit l’auteur de la fabrique des crétins, Brighelli, « on les a voulus, on les a créés, maintenant il va falloir les supporter et leur payer un salaire. » Le but ultime atteint, le crédit social.

LA RÉALITÉ : L’EXPLOSION DE MORTS SUBITES EST LIÉE AUX INJECTIONS ARNM

Très tôt dans l’histoire des pseudovaccins ARNm, les médecins israéliens témoins les premiers de l’injection en masse de la population ont signalé ces morts subites, brutales qui les ont particulièrement choqués lorsqu’ils les observaient chez les jeunes qui ne risquaient rien du covid.(([1] MYOCARDITES POST VACCIN COVID : RISQUE INACCEPTABLE CHEZ L’ENFANT QUI NE RISQUE RIEN DU VIRUS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))(([2] Myocarditis after Covid-19 Vaccination in a Large Health Care Organization
Guy Witberg, M.D., Noam Barda, M.D., Ph.D., Sara Hoss, et all
Myocarditis after Covid-19 Vaccination in a Large Health Care Organization | NEJM. Oct 21))

Alors aujourd’hui devant ce déni de réalité, n’hésitant pas à inventer une « maladie inconnue » pour innocenter les pseudo vaccins, on croit à un cauchemar.

Avant le Covid étaient décrites d’exceptionnelles « morts subites » (et encore plus rarissimes chez les jeunes) correspondant le plus souvent après les explorations post mortem biologiques et autopsiques à des troubles cardiaques congénitaux et/ou infarctus, AVC, ruptures d’anévrisme, sur des terrains à risque familiaux ou personnels, etc.. L’autopsie et les examens ne revenaient pas négatifs comme ce pseudo nouveau syndrome australien les décrit. On ne trouve rien !(([3] https://www.health.com/condition/genetic-disorders/sudden-death-syndrome)) On ne trouve aucune allusion au statut vaccinal des sujets concernés dans l’article.

Une augmentation forte d’incidence depuis la vaccination devrait leur mettre la puce à l’oreille si le déni et l’omerta sur les inconvénients de cette injection génique ne les empêchaient pas d’ouvrir les yeux.

Le Dr Cole (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/5822) affirme que les décès « soudains » chez les jeunes sont causés par les injections covid(([4] [Transféré de ChrisInfos:Traductions,Trump & co] [Vidéo] 07/06/22)).

Extrait de sa vidéo :

Dr Ryan Cole :

« Ces “morts soudaines” ? Quelle blague.

Il y a des gens qui sont venus avec un nouvel article l’autre jour et un nouveau syndrome : le syndrome de la mort soudaine de l’adulte (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/6742).(([5] 08/06/22
Australie (https://www.msn.com/en-au/news/australia/doctors-trying-to-determine-why-many-young-people-are-suddenly-dying/ar-AAYchZp)
Des médecins tentent de déterminer pourquoi de nombreux jeunes meurent soudainement :
« Les personnes âgées de moins de 40 ans sont invitées à faire vérifier leur cœur car elles peuvent potentiellement être à risque de syndrome de mort subite de l’adulte. »
(https://en.m.wikipedia.org/wiki/Sudden_arrhythmic_death_syndrome) (Syndrome de mort subite par arythmie) a été mortel pour toutes sortes de personnes, qu’elles maintiennent ou non un mode de vie sain et en forme.
Le SADS “terme générique pour décrire les décès inattendus chez les jeunes”, a déclaré le Royal Australian College of General Practitioners, survenant le plus souvent chez les personnes de moins de 40 ans.
La Fondation SADS basée aux États-Unis a déclaré que plus de la moitié des 4 000 décès annuels SADS d’enfants, d’adolescents ou de jeunes adultes présentent l’un des deux principaux signes avant-coureurs.
Ces signes incluent des antécédents familiaux de diagnostic de SADS ou de mort subite inexpliquée d’un membre de la famille, et des évanouissements ou des convulsions pendant l’exercice, ou lorsqu’ils sont excités ou surpris, a rapporté news.com.au. (…)
Il y a environ 750 cas par an de personnes âgées de moins de 50 ans à Victoria dont le cœur s’arrête soudainement (arrêt cardiaque) “, a déclaré un porte-parole.
Parmi ceux-ci, environ 100 jeunes par an n’auront aucune cause trouvée même après des investigations approfondies telles qu’une autopsie complète (phénomène SADS).”
La cardiologue E. Paratz, a déclaré : “le registre de Baker était le premier du pays et l’un des rares au monde à combiner des informations sur les ambulances, les hôpitaux et la médecine légale.”
“Cela vous permet de voir) que des personnes ont eu un arrêt cardiaque et qu’aucune cause n’a été trouvée à l’arrière”, a déclaré le Dr Paratz. Elle pense que le manque potentiel de sensibilisation peut être dû au fait que “beaucoup se déroulent en dehors des contextes médicaux traditionnels”
(N.B: Sinon hormis le “SADS” il y a les injections Covid qui ont fait près de 30 000 morts officiels, plus d’un million d’effets secondaires et entraîné les décès de plus de 700 athlètes en 16 mois : source (https://openvaers.com/covid-data) et Source2 (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/6700)
www.msn.com/en-au/news/australia/doctors-trying-to-determine-why-many-young-people-are-suddenly-dying/ar-AAYchZp))

Ce syndrome SADS arrive parce que des personnes reçoivent une injection d’une toxine qui enflamme leur cœur.

Il y a eu des études précoces avec ces injections d’ARNm qui montrent qu’elles font gonfler le cœur, entraînant un manque de circulation, il n’y a plus assez d’oxygène dans le sang et donc cela entraîne une insuffisance cardiaque et la mort. (…)

Et maintenant on voit des centaines d’athlètes mourir alors qu’ils sont à leur top physique.

Nous mettons une nanoparticule lipidique toxique et un ARN modifié dans le corps qui ne s’éteint pas.

(…)C’EST DE LA FOLIE DE CONTINUER À POUSSER LE PRODUIT MÉDICAL LE PLUS DANGEREUX ET MORTEL JAMAIS AUTORISÉ À PERSISTER DANS L’HUMANITÉ. » (([6] Source (https://www.bitchute.com/video/3tMs1qBTBvRi/) ))

« Nous devons nous lever contre cette injection avant que notre nouveau gouvernement n’impose la vax obligatoire y compris aux jeunes enfants ! »

Même le Lancet reconnaît le risque de cette injection pour les cœurs des jeunes personnes : — 11 juin Lancet : « le risque de myocardite/péricardite lié au vaccin est plus élevé chez les moins de 25 ans »

Rappelons que ces jeunes sont à risque ZÉRO DU COVID !

COMMENT ADMETTRE LA COÏNCIDENCE —15 juin TIMES : « la FDA recommande l’autorisation d’urgence du vaccin #COVID19 de #Moderna pour les enfants âgés de 6 à 17 ans » si ce n’est une volonté claire de dépopulation ?

LE LANCET A ENFIN AVOUÉ LA DANGEROSITÉ DU PSEUDO VAX(([7] La revue scientifique The Lancet confirme le risque élevé de myocardite du vaccin Pfizer et Moderna — La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))(([8] https://lecourrier-du-soir.com/coup-de-theatre-la-revue-scientifique-the-lancet-confirme-le-risque-eleve-de-myocardite-du-vaccin-pfizer-et-moderna/))

La revue scientifique The Lancet confirme le risque élevé de myocardite du vaccin Pfizer et Moderna juin 2015, 2022 :

une étude a conclu que le vaccin ARN anti-Covid de Pfizer et de Moderna présente un risque élevé de myocardite et de péricardite. On peut lire :

« un risque accru de myocardite et de péricardite a été noté après la vaccination contre la Covid et a été plus fort chez les hommes âgés de 18 à 25 ans après la prise de la seconde dose. Cependant, l’incident était rare ».

D’après The Lancet, sur 15 148 369 de personnes ayant reçu le vaccin, 411 cas de myocardite et de péricardite ont été notés.

Une étude similaire, menée en France a abouti aux mêmes conclusions. En effet, dans son travail d’investigation, Lecourrier-du-soir.com a pu consulter l’étude menée par l’institut EPI-PHARE (épidémie des produits de santé) dans sa version originale. Elle confirme que les vaccins Pfizer et Moderna présentent des risques de myocardite et de péricardite tout en précisant toutefois que le risque est peu fréquent.

« un total de 919 cas de myocardites (âge médian de 26 ans, 21 % de femmes) et 917 cas de péricardites (âge médian de 34 ans, 38 % de femmes) sont survenus parmi des personnes âgées de 12 à 50 ans en France pendant la période d’étude. Ces cas ont été appariés respectivement à 9190 témoins (pour la myocardite) et 9170 témoins (pour la péricardite). »

L’étude souligne que les jeunes hommes âgés de moins de 30 ans ont été les plus exposés :

« Globalement, la vaccination par les vaccins Pfizer BioNTech et Moderna était associée à une augmentation des risques d’hospitalisation pour myocardite et péricardite dans les 7 jours suivant la vaccination.

L’association avec le risque de myocardite apparaît particulièrement marquée chez les jeunes hommes de moins de 30 ans, en particulier au décours de la deuxième dose du vaccin Moderna conduisant à un excès de cas atteignant de l’ordre de 132 par un million de doses dans cette tranche de la population », révèle EPI-PHARE.

Un chirurgien cardiovasculaire japonais : Arrêtez dès maintenant les rappels de vaccins en raison des risques graves qu’ils présentent (anguillesousroche.com)

« Tout d’abord, le chirurgien cardiovasculaire rappelle à tous la nature décroissante de l’efficacité des vaccins. Au huitième mois, après l’administration de deux doses du vaccin COVID-19, l’immunité “était inférieure à celle des personnes non vaccinées”. L’Agence européenne des médicaments (EMA) suggère d’éviter les rappels fréquents, car ils pourraient “avoir un effet négatif sur la réponse immunitaire et ne sont pas forcément réalisables.” Kenji Yamamoto a écrit un article de commentaire dans le Virology Journal, une revue en libre accès et évaluée par des pairs. Il est chirurgien au département de chirurgie cardiovasculaire de l’Okamura Memorial Hospital, au centre des varices de Shizouka, sur la côte centrale du Pacifique de Honshu et près du mont Fuji. Dans une lettre à la rédaction, le Dr Yamamoto déclare : “Par mesure de sécurité, il convient d’interrompre les vaccinations de rappel et de prendre plusieurs autres mesures pour les patients vulnérables.” Ce chirurgien cardiovasculaire respecté reconnaît que les médias censurent les blessures liées au vaccin COVID-19, y compris les décès. »

ET le débat s’invite ENFIN sur cnews 17/06/22 A QUAND BFM TV ?

Marie-Estelle Dupont psychologue (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/4510) lit une déclaration de pédiatres sur les effets secondaires des injections Covid sur les enfants

« Étant donné ce qu’on a rencontré comme effets secondaires rapportés par les centres de contrôle des maladies, il n’y aurait pas de bénéfice à vacciner les enfants.

Nous sommes d’accord avec la vaccination en principe, et nous avons confiance aux garanties réglementaires. Toutefois nous comprenons que les injections Covid-19 ne sont pas des vaccins traditionnels… Pas assez de recul.

Nous pensons que la confiance des fournisseurs de soins médicaux et du public a été violée.

Il y a clairement un débat à poser. »

(…)

Le CDC révèle qu’au moins 49 878 enfants de 0-17 ans ont subi un effet indésirable dû à la vaccination contre la Covid. »(([9] https://mobile.twitter.com/MyriamHebuterne/status/1537513159665278979))

MÊME LE PR. DELFRAISSY, GRAND CHEF DES MANŒUVRES ANTICOVID ET DE LA GUERRE AU VIRUS, A RECONNU LE LIEN :

ET ON SAIT POURQUOI La protéine Spike provoque une réponse de l’interleukine 1B chez les enfants (pas autant chez les adultes), comme le prouvent des études chinoises.

L’IL-1B est associée à l’amyloïde A sérique entraînant une myocardite pouvant entraîner une mort subite.(([10] ncbi.nlm.nih.gov Myocarditis: An Interleukin-1-Mediated Disease?))

On peut être étonné par le surprenant dialogue du Pr Delfraissy et un étudiant de science à Sciences Po Lille, le 15 03 2022

Vidéo 1/2 : https://twitter.com/i/status/1534955758382718976 (reproduction de l’échange de la vidéo par un aimable correspondant vigilant

L’étudiant :

« Bonsoir Mr Delfraissy

3.3 millions d’effets secondaires déclarés sur la base de données OMS

23 000 morts aux USA

36 000 morts dans l’UE

Imputables au vaccin

Et je dis le mot imputable

Parce que ces vaccins consistent à injecter le code génétique de la protéine spike

Et cette protéine a une toxicité

Elle se colle sur les récepteurs ACE2 sur les cellules endothéliales à l’intérieur des vaisseaux sanguins

Et on a observé des thromboses, des myocardites, des AVC… tout un tas de choses qui sont qui sont reliés à ces toxicités on a également observé des rechutes de cancers il y a de nombreuses études des autopsies des choses comme ça… in vitro également…

Et des maladies neurodégénératives ainsi que des réveils de maladies auto-immunes

Ma question

Mr Delfraissy c’est : pourquoi malgré une toxicité » qui est quand même importante pour un médicament pourquoi ces vaccins continuent de bénéficier de leur autorisation de mise sur le marché conditionnelle (AMM conditionnelle) et étant donné finalement leur moindre efficacité… parce que finalement après quelques mois l’efficacité même sur les formes graves, baisse

Je voulais savoir si selon vous la balance bénéfices/risques est toujours suffisante pour permettre à ces vaccins de rester sur le marché ??? »

Pr Delfraissy :

« Euh… … je crois qu’honnêtement vous n’êtes pas très chaud pour les vaccins ! Si je vous entends.

Bien sûr qu’il y a des effets secondaires… mais dans la balance bénéfices/risques au niveau individuel chez en particulier les patients les plus âgés les plus fragiles ayant un déficit immunitaire oui je vous dis ce soir je suis très à l’aise pour vous dire que le rapport bénéfices/risques il reste en faveur d’un vaccin

Ça, c’est un premier point

Cependant, là où vous pouvez m’argumenter c’est en population plus générale c’est une vraie question que je n’ai pas totalement résolu dans ma tête qu’on vaccine pourquoi vacciner une population jeune qui a nettement moins de chances enfin moins de risques plutôt de développer une forme sévère et une forme grave »

…………………

Vidéo 2/2 : https://twitter.com/i/status/1534957878884323334

Pr Delfraissy :

« On l’a fait parce qu’il y a un risque qui existe quand même qui n’est pas nul.

Deuxièmement parce qu’il y avait une vision de protection également contre l’infection.

Mais en effet — et je suis le premier à vous l’avoir dit que ces vaccins protègent modérément contre l’infection —, on ne peut pas dire qu’ils ne protègent pas. Ils protègent modérément, donc du coup plus on va vers la tranche d’âge des plus jeunes, plus en effet le bénéfice individuel est difficile à mettre en évidence.

D’où d’ailleurs les citoyens ont tranché et en France c’est très clair.

On est chez les enfants de 5 à 11 ans avec actuellement avec en gros 5 à 6 % d’enfants vaccinés. Et je ne pense pas qu’on fera beaucoup bouger les lignes.

La Guadeloupe est finalement le seul vrai moment en France avec un tout petit peu au début sur l’est de la France lors de la première vague où on a vraiment trié du malade en réanimation. Le reste on est à peu près passé sur du vrai triage.

Bien sûr, les personnes âgées, les plus âgées ont été moins prises en charge.

Mais il n’y a pas eu de vrai triage.

Sauf dans 2 zones — l’Alsace et la partie est de la France — lors de la première vague et la Guadeloupe au mois d’août 2021.

Donc ça montre bien vaccination plus, vaccination moins…

Bon après si vous ne voulezpas y croire…

Vous n’avez plus d’obligations. Là maintenant vous avez plus de pass vaccinal. Vous n’avez plus… Bon mais vous ne convaincrez pas de l’inverse. Voilà je suis très ferme sur mes positions.

Et vous faites ce que vous voulez et à vrai dire je m’en fous ! »

J’imagine que l’on va garder cette vidéo au cas où il prendrait à nos dirigeants la triste idée d’imposer l’injection et singulièrement aux enfants.

Alors pour conclure ces drames des dirigeants qui osent conclure qu’ils s’en foutent après avoir interdit d’exercice les soignants non vaccinés, ruinés, suicidaires pour un bon nombre, je vous propose un autre témoignage.(([11] Father of son killed by Covid vaccine reports enticement to fraud by FEMA–World Tribune: U.S. Politics and Culture, Geopolitics, East Asia Intelligence, China, Geostrategy, Military, National security, Corporate Watch, Media Watch, North Korea, Iran, Columnists: Dennis Prager, Michelle Malkin, John Metzler, Jeffrey Kuhner, John McNabb, Joe Schaeffer, Bill Juneau, Alexander Maistrovoy, Donald Kirk (www-worldtribune-com.translate.goog) ))

Le père d’un fils tué par le vaccin Covid signale une incitation à la fraude par la FEMA(([12] FEMA for Disasters assistance An official website of the United States Government. Agence fédérale de gestion des urgences))

par WorldTribune Staff, 9 juin 2022

« Non seulement Ernest Ramirez a perdu son fils de 16 ans à la suite d’une crise cardiaque quelques jours après avoir reçu le vaccin Pfizer Covid, mais lorsqu’il a commencé à en parler publiquement, la FEMA lui a offert des dizaines de milliers de dollars en prestations de décès s’il falsifiait le certificat de décès du gouvernement, a-t-il dit dans une interview.

Cinq jours après avoir reçu le vaccin Pfizer, Ernest Ramirez, Jr., un athlète du secondaire et membre du ROTC, s’est effondré en courant sur le terrain lors d’un match de basket-ball dans un parc. Il a été déclaré mort à l’hôpital. »

Ernest Ramirez et son fils Ernest Ramirez Jr.

L’hôpital ne voulait pas lui dire la cause du décès. « Il m’a fallu trois mois pour obtenir son autopsie », a déclaré Ramirez dans une interview avec John Davidson de Broken Truth. « Ils ne voulaient pas me le donner. »

Ce n’est qu’après avoir engagé un avocat que les autorités médicales ont rendu les résultats de l’autopsie : Ernest Ramirez, Jr., est décédé d’une crise cardiaque due à une myocardite attribuable au vaccin.

Connexe : Ernest Ramirez, Jr. : L’histoire d’un père au cœur brisé, 3 juin 2022

« L’autopsie a été envoyée au cardiologue Dr Peter McCullough, MD, qui a vérifié que la cause du décès était due au vaccin, rapporte Ramirez. “Son cœur faisait plus du double de la taille normale, qu’il aurait dû être”, a déclaré Ramirez, “et il était recouvert de certains produits chimiques du vaccin. Dr John Witcher, MD,. . . l’a également vérifié”, tout comme le Dr Paul Marik, MD.

« Je veux dire que nous avons tous ces médecins qui le vérifient. Pourtant, ce n’est pas comme si cela faisait vraiment du bien », a déclaré Ramirez. « Maintenant, il y a tellement de centaines d’enfants qui souffrent de la même chose. S’ils ne meurent pas de myocardite ou de problèmes cardiaques, ils souffrent maintenant. Ils sont sous médication. Ils ne vont pas pouvoir trop s’exercer. Cela signifie : pas de baseball, pas de football, rien, parce qu’ils pourraient avoir une crise cardiaque. Où est-ce réellement sûr ? »

Ramirez avait élevé son fils, un joueur de baseball qui avait hâte de rejoindre l’armée de l’air, en tant que père célibataire. N’ayant pas d’assurance obsèques pour un enfant de cet âge, il a contacté le programme de prestations de la FEMA pour les décès de Covid-19. La FEMA a rejeté la demande. Un décès lié au vaccin Covid n’a pas été considéré comme un décès Covid. La FEMA n’a pas répondu à un WorldTribune. com demande de commentaire.

À cette époque, Ramirez a commencé à s’exprimer publiquement, gagnant une audience nationale en avertissant les parents des dangers du vaccin.

Dans une tournure inhabituelle des événements, rapporte Ramirez, la FEMA l’a ensuite recontacté avec une offre qui semble viser à la fois le piège criminel et un effort pour discréditer son message.

« En décembre, la FEMA m’appelle, me demandant plus de paperasse », a raconté Ramirez. » J’ai dit : « Regarde, tu as tous ses papiers. Tu m’as refusé. Alors, détruisez simplement cette application. Elle m’a mis en attente pendant 45 minutes et m’a demandé de changer le certificat de décès de mon fils pour qu’il indique Covid, et cela m’aiderait financièrement.

« J’ai dit : Non, je ne manquerai pas de respect à mon fils de cette façon. Et comme je l’ai dit, elle a juste fait des allers-retours. Je ne sais pas si elle parlait à quelqu’un d’autre, et elle n’arrêtait pas de me demander de changer le certificat de décès de mon fils », a déclaré Ramirez.

« J’ai dit, Madame, je vous l’ai déjà dit, je ne manquerai pas de respect à mon fils de cette façon. J’ai dit : Je ne falsifierai pas les documents du gouvernement à des fins financières », a-t-il raconté. Après une discussion plus approfondie, « elle a en fait baissé la voix jusqu’à un murmure et m’a dit : » Je suis vraiment désolée, Ramirez « et elle a raccroché. »

En janvier 2022, Ramirez rapporte qu’il a ensuite reçu un e-mail de la FEMA avec des documents similaires, qu’il a transmis publiquement à Steve Kirsch et à d’autres, « pour s’assurer qu’ils voient ce qui se passe ».

Puis, dans la troisième semaine de mai 2022, plus d’un an après la mort d’Ernest Jr., « Je reçois un appel téléphonique et c’est la FEMA », a poursuivi Ramirez. « Ils m’appelaient pour me faire changer à nouveau le certificat de décès. La première fois qu’ils m’ont appelé, ils m’offraient 10 000 $ à 35 000 $ si je le changeais.

Ernest Ramirez Jr., Father of son killed by Covid vaccine reports enticement to fraud by FEMA, WorldTribune.com

COMBIEN DE TEMPS LA POPULATION VA-T-ELLE ACCEPTER DE JOUER À L’APPRENTI SORCIER OU À LA ROULETTE RUSSE ?

EST-CE LUDIQUE ????





Le Canada suspend la vaccination obligatoire de ses fonctionnaires

[Source : ledroit.com]

Par ANTOINE TRÉPANIER

Tous les fonctionnaires du gouvernement du Canada qui ne sont pas vaccinés contre la COVID-19 pourront reprendre leurs fonctions au bureau ou en télétravail.

À compter du 20 juin, tous ceux qui monteront à bord d’un avion ou d’un train au Canada, qui travaillent dans le secteur des transports sous réglementation fédérale et qui sont des employés de l’État n’auront plus à être vaccinés. Ils devront toutefois porter le masque lors de leurs déplacements en avion ou en train.

Le gouvernement fédéral assouplit donc certaines de ses mesures sanitaires adoptées durant la pandémie. Parmi lesquelles, il n’y aura plus aucune condition liée à la vaccination des fonctionnaires de l’État, un changement majeur à la politique adoptée en octobre 2021. 

Le Secrétariat du Conseil du trésor affirme qu’en mai, 2108 employés fédéraux, soit moins de 2% des employés fédéraux, étaient en congé administratif sans solde pour avoir refusé de divulguer leur statut vaccinal ou pour avoir refusé de recevoir deux doses de vaccin.

Tous ces employés pourront reprendre leurs fonctions puisqu’il ne s’agira plus d’une condition d’emploi. 




Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé

Par Nicole Delépine

Rapport de pharmacovigilance du Conseil Mondial de la Santé sur la sécurité des injections anticovid : ce signal d’alerte fort doit faire stopper les injections

Covid-19 Vaccine Pharmacovigilance Report (worldcouncilforhealth.org)(([1] Ce rapport a été rédigé par Adele Paul et finalisé et approuvé par le Comité de la santé et de l’humanité du WCH.))

Nous rapportons ici le travail du Conseil Mondial de la Santé qui s’est constitué en 2021 pour combattre la censure et le manque d’informations des citoyens concernant les injections géniques.

QUE REPRÉSENTE LE CONSEIL MONDIAL DE LA SANTÉ ?

C’est une organisation à but non lucratif pour le peuple, informée et financée par le peuple, coalition mondiale d’organisations axées sur la santé et de groupes de la société civile, plus de 130 organisations dans 40 pays, qui cherche à élargir les connaissances en santé publique et la création de sens grâce à la science et à la sagesse partagée.

Ils s’engagent à protéger les droits de l’homme et le libre arbitre tout en donnant aux gens les moyens de prendre le contrôle de leur santé et de leur bien-être. Fondé en 2021, le Conseil mondial de la santé est une initiative à but non lucratif soutenue par EbMCsquared CiC, organisation d’intérêt communautaire.(([2] « Nous croyons en un monde sain, où chacun bénéficie de la transparence de l’information, de l’accès à des médicaments éprouvés et d’une action réelle face à la maladie — tout en respectant les décisions personnelles de chaque individu en matière de santé, sans crainte de discrimination ou de persécution. Nous croyons en un monde où nous gardons notre eau et notre air propres, la nourriture non contaminée et les familles ensemble ».))

« La liberté est le droit de dire, de penser et de faire ce que vous voulez faire sans être limité. Tout le monde a ce droit humain inné. Il est de notre responsabilité de l’utiliser à bon escient ».(([3] La force du Conseil mondial de la santé réside dans son approche de la collaboration. Nous sommes presque entièrement alimentés par des bénévoles dans notre nombre croissant de comités composés de scientifiques, de médecins, d’avocats, d’activistes et de patients. Nous travaillons au-delà des frontières à éliminer les obstacles grâce à des partenariats de coalition internationale unis pour la protection de l’humanité.))

RECHERCHE DE PREUVES SUR LA SÉCURITÉ OU NON DES VAX ANTICOVID

Ce rapport a été conçu pour voir s’il existe ou non suffisamment de preuves sur les bases de données de l’OMS VigiAccess, CDC VAERS, EudraVigilance et UK Yellowcard pour établir un signal de sécurité sur les vaccins Covid-19.

« Dans des circonstances ordinaires, les essais de phase 3 et 4 établiraient l’innocuité et l’efficacité d’un produit pharmaceutique. Cependant, ces essais ne sont pas terminés pour les produits Covid-19. Les produits ont été administrés à une large population qui n’est pas surveillée par les essais cliniques. Il est donc nécessaire d’examiner toutes les preuves disponibles pour établir l’innocuité de ces produits et leur impact sur ceux qui ont pris le produit, mais qui ne sont pas surveillés par les essais cliniques. »

Le développement d’un vaccin contre le Covid-19 dans le cadre de l’opération Warp Speed a été précipité. Traditionnellement, la mise au point d’un vaccin prend 10 ans ou plus avant la production et la distribution à grande échelle à une large population. Avec les vaccins contre le Covid-19, le produit est passé d’essais précliniques exploratoires à une fabrication à grande échelle en seulement 10 mois. Les données sur leur sécurité sont incomplètes. Ce rapport tend à combler le vide sur les informations post injection.

Il s’agit d’un rapport d’information créé par le Conseil mondial de la santé pour aider les professionnels de la santé, les scientifiques et les citoyens à prendre des décisions éclairées sur les vaccins contre le Covid-19. La sécurité des produits Covid-19 n’a pas été établie à l’issue des essais cliniques de phase 3 et de phase 4. Les produits Covid-19 n’ont pas l’efficacité des vaccins utilisés jusqu’ici. (ils n’empêchent pas une personne de contracter le virus, ni de tomber malade, ni de propager la maladie)

Les produits Covid-19 sont utilisés sur des milliards de personnes, y compris des enfants, alors que la phase d’essai clinique n’est pas terminée. La grande majorité de ces personnes injectées ne sont pas surveillées.

« Les données d’essai de 6 mois de Pfizer (qui faisaient suite aux données préliminaires d’essai originales sur lesquelles les produits ont été autorisés) n’ont pas montré de réduction de la mortalité toutes causes confondues dans le groupe vacciné. Cela pourrait indiquer que tout bénéfice obtenu grâce à la vaccination peut être annulé par des événements indésirables, y compris le décès ».

Les vaccins contre le Covid-19 font l’objet d’essais de phase 3 et leur innocuité et leur efficacité n’ont pas encore été établies.

ABSENCE DE SUIVI DES INJECTÉS, AU MOINS OFFICIELLEMENT

La majorité de ceux qui ont reçu l’injection (plusieurs milliards de personnes) ne sont pas surveillés par les vaccinateurs, (du moins à leur connaissance). Quid du suivi via les codes-barres injectés ? Mystère.

Dans ce rapport, le WCH vise à utiliser les bases de données de pharmacovigilance établies pour détecter s’il existe un signal de sécurité préoccupant chez les « vaccinés ». Ce rapport rassemble les données sur les événements indésirables sur les vaccins contre la COVID-19 à partir des bases de données de pharmacovigilance internationales.

Les données sur les effets indésirables du vaccin Covid-19 recueillies dans chaque base de données de pharmacovigilance sont comparées aux données sur les événements indésirables de produits pharmacologiques similaires (autres vaccins courants) dans les mêmes bases de données, dans la mesure du possible. Ce rapport examine les paramètres par lesquels d’autres vaccins et médicaments ont été rappelés dans le passé.

Méthode

Les auteurs ont examiné chaque base de données — OMS VigiAccess, CDC VAERS, EudraVigilance et UK Yellow Card Scheme — et documenté combien d’événements indésirables étaient liés aux vaccins Covid-19.

Rapports d’événements indésirables

Les données de pharmacovigilance sont généralement recueillies par le biais de la déclaration des événements indésirables. En règle générale, les rapports d’événements indésirables sont établis par :

  • Une personne qui a subi un événement indésirable
  • Un professionnel de la santé qui soupçonne un événement indésirable chez un patient
  • Organisations qui créent des rapports à partir de programmes de soutien aux patients
  • Sociétés pharmaceutiques sous forme d’études cliniques ou post-commercialisation
  • Revues de littérature
  • Reportages dans les médias
  • Études
  • Les données de pharmacovigilance peuvent également être recueillies dans le cadre d’autres études, notamment :
    • Études rétrospectives
    • Études de cohorte
    • Études cliniques
    • Études post-commercialisation
    • Revues de littérature

Les données de pharmacovigilance établissent des signaux

Les rapports établis sur les bases de données de pharmacovigilance n’établissent pas le lien de causalité. Une relation causale possible établie par ce processus est connue sous le nom de « signal ». Si un signal est détecté, une enquête plus approfondie est nécessaire.

Bases de données sur la déclaration des effets indésirables ou des réactions vaccinales

Les vaccins contre le Covid-19 sont un nouveau type de thérapie. Il est particulièrement important de signaler les effets secondaires graves. Selon l’endroit où vous vous trouvez dans le monde, il existe différentes bases de données mises en place pour enregistrer les réactions indésirables aux médicaments.(([4] Royaume-Uni le Medicines and Healthcare products Regulatory Advisory (MHRA) utilise le système de carton jaune pour surveiller les rapports, et toute personne qui soupçonne un effet indésirable peut le signaler directement sur son site Web : https://coronavirus-yellowcard.mhra.gov.uk

ÉTATS-UNIS Système de déclaration des effets indésirables des vaccins (VAERS) Aux États-Unis, les Centres for Disease Control (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) gèrent la base de données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), qui permet aux individus d’envoyer des rapports via le site Web :
https://vaers.hhs.gov/reportevent.html

Canada vous pouvez signaler un événement indésirable sur le site Web du gouvernement du Canada :
https://www.canada.ca/en/health-canada/services/drugs-health-products/medeffect-canada/adverse-reaction-reporting.html. Il existe également la Base de données en ligne sur les effets indésirables de Vigilance Canada :
https://cvp-pcv.hc-sc.gc.ca/arq-rei/index-eng.jsp

Australie la Therapeutic Goods Administration (TGA) surveille les événements indésirables et un rapport peut être déposé ici :
https://aems.tga.gov.au

France Signalement-sante.gouv.fr
https://solidarites-sante.gouv.fr/soins-et-maladies/signalement-sante-gouv-fr/

Afrique du Sud https://thj-africa.org.za/ a un lien avec le VAERS sud-africain.
Nouvelle-Zélande les professionnels de la santé, le public et les « autres » peuvent signaler les effets indésirables ici —
https://report.vaccine.covid19.govt.nz/s/

Amérique centrale Système de reporting Noti-FACEDRA
http://www.notificacentroamerica.net/n/Pages/mapa.aspx#no-back-button

Les Philippines VARR-PH
https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSezImFX8-euM35Oc_UsSuhv6nql0J0iWRT0NM9Syyf4FAZrlA/viewform?fbclid=IwAR2zQ-CPYb4bnnvd713w1ICwECHm_UA8cRB8z8rmFApkpHmtqIPSzcWGKEQ))

OMS VigiAccess

Lancé en 2015 par l’OMS, VigiAccess base de données internationales des événements indésirables potentiels signalés liés aux médicaments, pour « analyser les rapports de dommages présumés causés par les médicaments, trouver des “signaux” de réactions indésirables potentielles aux médicaments ». Créés en 1968, 170 pays collaborent pour surveiller et identifier les dommages causés par les médicaments. Cette collaboration couvre environ 99 % de la population mondiale.

Les rapports sur les effets indésirables du vaccin Covid-19 sur VigiAccess englobent tous les vaccins Covid-19

Vaccin Nombre d’effets indésirables Pourcentage d’enfants de 1 an qui ont été vaccinés dans le monde depuis
Vaccin contre la tuberculose 37 335 88 % 1968
Vaccin contre la poliomyélite 123 732 86 % 1968
Vaccin contre la diphtérie 1914 85 % 1979
Vaccin contre le tétanos 15 381 85 % 1968
Vaccin contre la coqueluche 2259 85 % 1972
Vaccin contre l’hépatite B 106 761 85 % 1984
H. Vaccin contre la grippe B 90 044 72 % 1986
Vaccin contre la rougeole 6231 71 % 1968
Vaccin contre la rubéole 2640 71 % 1971
Vaccin Contre le Covid-19 3 777 652 65,7 %*** 2020

Pour les vaccins courants qui ont été distribués à la grande majorité de la population mondiale, gamme de rapports d’événements indésirables au nombre de 2000 à 100 000 sur VigiAccess.

Pour les vaccins Covid-19, qui ont actuellement été administrés à environ 65 % de la population mondiale, il y a plus de 3,7 millions de rapports d’événements indésirables sur VigiAccess.

VigiAccess montre un nombre d’événements indésirables sans précédent dans la base de données de tout autre produit pharmaceutique ou vaccin.

Dans le tableau suivant, 37 335 événements indésirables sont rapportés après environ 4 milliards de vaccins contre la tuberculose (moins de 1/100000) et plus de 3,7 millions de rapports provenant d’environ 5,1 milliards de personnes ayant reçu le vaccin contre le Covid-19 (environ 72/100000).

En corrigeant la différence dans le nombre de personnes qui ont reçu les deux vaccins, on constate une augmentation de 77 fois du nombre d’événements indésirables signalés à VigiAccess pour le vaccin Covid-19 par rapport à celui contre la tuberculose

Compte tenu de l’objectif déclaré de VigiAccess — analyser les rapports de dommages présumés causés par des médicaments, trouver des « signaux » d’effets indésirables potentiels des médicaments — une enquête immédiate et une action urgente sont nécessaires de la part de l’Organisation mondiale de la santé.

CDC VAERS

Le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) a été créé en 1990 et cogéré par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des USA et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis : système conçu pour être un système d’alerte précoce pour les problèmes de sécurité liés aux vaccins homologués aux États-Unis. VAERS saisit et analyse les rapports d’événements indésirables qui se produisent après une vaccination.

Toute personne qui a subi un événement indésirable à la suite d’un vaccin peut le signaler au VAERS. En outre, les professionnels de la santé sont tenus de signaler les événements prescrits qui se produisent chez leurs patients après la vaccination, et les fabricants de vaccins sont tenus de signaler tous les événements indésirables qui sont portés à leur attention. Il s’agit d’un système de déclaration qui repose sur les individus pour s’auto-déclarer ou sur les fournisseurs de soins de santé pour faire rapport en leur nom. C’est une infraction fédérale aux États-Unis de soumettre un faux rapport VAERS

Les rapports VAERS recensent les événements indésirables de 1990 à nos jours. Les données sur les vaccins Covid-19 sur VAERS englobent les vaccins Moderna, Pfizer et Jansen depuis leur autorisation de mise sur le marché.

Données VAERS : Pourcentage du nombre total de déclarations d’événements indésirables par type de vaccin(([5] https://wonder.cdc.gov/controller/datarequest/D8;jsessionid=CB19840534D33730BADDAAEB1AE0)).Plus de 50 % du total des rapports d’événements indésirables faits sur VAERS, c’est-à-dire les rapports faits pour TOUS les vaccins depuis 1990, sont attribués aux vaccins COVID-19.

À partir de 2020 et jusqu’en 2022, nous assistons à une augmentation spectaculaire et sans précédent des décès signalés au VAERS. Actuellement, sur les plus de 37 000 décès signalés au VAERS depuis 1990, 27 968 sont liés aux produits Covid-19. Un décès à proximité d’un vaccin indique une relation causale plus probable. Or la grande majorité des rapports sont faits dans les 3 jours suivant l’administration du vaccin.

Rapports VAERS Covid-19 par âge

https://worldcouncilforhealth.org/wp-content/uploads/2022/06/2022-05-25-3.png

https://wonder.cdc.gov/controller/datarequest/D8;jsessionid=F9E61FE2A2B457AD46D5FC21F667

ALERTE CONCERNANT LES ENFANTS

Il y a 209 rapports d’événements indésirables sur VAERS pour les enfants de moins de 2 ans.

Ces vaccins n’ont pas été autorisés pour ces groupes d’âge. Il y a 1499 rapports supplémentaires dans le groupe des 2 à 5 ans, dont beaucoup concernent probablement des enfants pour lesquels le vaccin n’a pas été autorisé. Celles-ci peuvent être liées à une exposition au produit in utero, par l’allaitement ou à l’administration à des enfants pour lesquels le produit n’est pas autorisé.

Les données du VAERS montrent une proportion écrasante d’événements indésirables liés au vaccin Covid-19, plus de 50 % du total des rapports depuis 1990 étant attribués au vaccin.

Nous constatons une différence de 10 fois dans le nombre de rapports d’événements indésirables pour le vaccin ROR et le vaccin Covid-19. En outre, il y a une augmentation de 169 fois des décès signalés au VAERS après la vaccination contre le Covid-19 par rapport au vaccin contre la grippe et une augmentation de 56 fois des rapports d’événements indésirables sur le VAERS après la vaccination covid-19 par rapport au vaccin contre la grippe.

La plupart des décès et des événements indésirables sont survenus quelques jours après la vaccination, ce qui rend une relation de cause à effet plus probable. Étant donné que les vaccins contre le Covid-19 sont nouveaux et sont encore en cours d’essais cliniques, les données VAERS sont suffisantes pour établir un signal de sécurité préoccupant.

Les rapports sur les VAERS qui se sont produits chez les enfants de groupes d’âge qui n’ont pas été autorisés à recevoir le vaccin sont extrêmement préoccupants. Cela indique la possibilité d’événements indésirables obtenus in utero, de l’allaitement ou de l’administration du vaccin à des groupes d’âge pour lesquels il n’a pas été autorisé.

Compte tenu des objectifs énoncés par le VAERS — détecter les événements indésirables nouveaux, inhabituels ou rares, évaluer l’innocuité des vaccins nouvellement homologués et fournir un système national de surveillance de l’innocuité qui s’étend à l’ensemble de la population pour répondre aux urgences de santé publique, telles que les programmes de vaccination contre la grippe pandémique à grande échelle une enquête immédiate et une action urgente sont nécessaires de la part du CDC et de la FDA.

EudraVigilance

Le nombre total de cas d’événements indésirables individuels identifiés dans EudraVigilance est le suivant :

  • Vaccin Moderna – 294 772 ;
  • Vaccin Pfizer-BioNTech (Tozinameran) – 956 913 ;
  • Vaccin Astrazeneca – 488 769 ;
  • Vaccin Janssen – 59 751 ;
  • Vaccin Novavax — 756.

Le nombre total de cas d’événements indésirables individuels identifiés pour tous les vaccins Covid-19 sur EudraVigilance est supérieur à 1,8 million.

Comme dans le VAERS, plus d’un millier de cas ont été signalés dans la catégorie des 0 à 2 ans, un groupe d’âge pour lequel les vaccins ne sont pas autorisés. Cela indique potentiellement que les nourrissons et les enfants subissent des événements indésirables liés à l’exposition in utero, à l’allaitement maternel et/ou administrés à des personnes pour lesquelles les produits ne sont pas autorisés.

Le nombre total de personnes vaccinées dans les pays de l’UE/EEE est de 341 628 772, soit environ 75,4 % de la population.

En 2018, environ 90 % des enfants européens ont été vaccinés contre la rougeole dans le cadre du vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. Environ 90 % des Européens ont été vaccinés contre la rougeole. Sur les quelque 673,2 millions de personnes qui ont reçu le vaccin contre la rougeole en Europe, EudraVigilance a reçu un total de 48 913 rapports d’événements indésirables sur EudraVigilance.

Environ 341 millions d’Européens ont été vaccinés contre le Covid-19. Parmi ceux-ci, 1,8 million de rapports d’événements indésirables ont été effectués sur EudraVigilance.

Il y a une augmentation de plus de 70 fois du nombre d’événements indésirables individuels signalés à EudraVigilance pour le vaccin Covid-19.

Étant donné que les vaccins Covid-19 sont en cours d’essais cliniques, les données d’EudraVigilance sont suffisantes pour établir un signal de sécurité alarmant pour ces produits.

Les plus de 1000 rapports d’événements indésirables survenus chez des enfants pour lesquels le vaccin n’a pas été autorisé indiquent la nécessité d’une action immédiate et urgente.

SYSTÈME DE CARTON JAUNE DU ROYAUME-UNI

Les rapports sont faits au programme de carton jaune volontairement par les patients, les parents ou les soignants et par les professionnels de la santé. Les fabricants sont légalement tenus de signaler les problèmes liés aux produits de santé à la MHRA.

Au Royaume-Uni, plus de 53 millions de personnes ont reçu au moins une dose du vaccin contre le Covid-19. Le système britannique de carton jaune documente actuellement plus de 450 000 rapports d’effets indésirables.

Les données sur les cartes jaunes pour d’autres vaccins ne sont actuellement pas disponibles sur le site Web de la carte jaune. Cependant, le paracétamol est l’un des médicaments les plus couramment utilisés au Royaume-Uni. Des millions de personnes au Royaume-Uni ont pris ce médicament pendant plusieurs décennies. Le rapport ci-dessus montre 25 158 réactions et 585 décès associés à son utilisation depuis 1964. Le programme de carton jaune affiche plus de 450 000 rapports de carton jaune liés aux vaccins Covid-19 — une action immédiate et urgente est nécessaire.

SYNTHÈSE

Nombre et types d’événements indésirables signalés sur l’ensemble des bases de données(([6] Source : wonder.cdc.gov/))

Leur gravité varie de mineure telle que la douleur au site d’injection à des événements majeurs comme l’arrêt cardiaque, les accidents vasculaires cérébraux, la myocardite et la mort.

Dans VigiAccess, les cinq rapports les plus courants par groupe de réaction du plus au moins sont les suivants :

  • Troubles du système nerveux — ~ 1 500 000
  • Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif — ~ 1 000 000
  • Troubles gastro-intestinaux — ~ 691 000
  • Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés — ~ 477 000
  • Troubles vasculaires — ~193 000

Dans EudraVigilance

  • Troubles du système nerveux — ~ 746 000
  • Trouble musculo-squelettique et du tissu conjonctif — ~ 543 000
  • Troubles gastro-intestinaux — ~ 344 000
  • Infections et infestations — ~ 220 000
  • Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés — ~ 213 000

Dans le système de carton jaune du Royaume-Uni, les cinq rapports les plus courants par groupe de réaction du plus au moins sont les suivants :

  • Troubles du système nerveux — ~ 285 000
  • Trouble musculo-squelettique et du tissu conjonctif — ~ 175 000
  • Troubles gastro-intestinaux — ~ 135 000
  • Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés — ~ 101 000
  • Troubles du système reproducteur et du sein — ~ 57 000

Résultats courants des effets indésirables du vaccin contre le Covid-19 : VAERS

Source : wonder.cdc.gov/

Nombre de rapports sur les VAERS(([7] Source : vaersanalysis.info/2022/05/14/vaers-summary-for-covid-19-vaccines-through-5-6-2022/))

  • Myocardite/péricardite 22 000
  • Crises cardiaques 6 400
  • Guillain-Barre 2 600
  • Thrombocytopénie 6 000
  • Convulsions/Convulsions 16 000
  • Anaphylaxie 49 000
  • Paralysie de Bell 15 000
  • Thromboembolie veineuse 25 000
  • Arthrite et arthralgie/lésion articulaire 78 000
  • Mort 28 000

Plus de 54 % des événements indésirables signalés au VAERS sont attribués au vaccin Covid-19, y compris le décès, les blessures potentiellement mortelles, l’invalidité permanente, les anomalies congénitales/malformations congénitales, les hospitalisations, les visites aux urgences, les visites chez le médecin et autres.

Il y a plus de 28 000 décès, soit plus de 75 % de tous les décès signalés au VAERS depuis 1990, associés au vaccin Covid-19.

Les événements indésirables dans les bases de données de pharmacovigilance sont sous-déclarés.

Dans une étude comparant la surveillance active et passive des événements indésirables, 8,8 % des personnes sous surveillance active ont signalé un événement indésirable, tandis que seulement 0,1 % de ceux sous surveillance passive.

C’est une différence de 88 fois dans le nombre de rapports pour cette étude particulière. L’OMS note également que la surveillance passive « rend difficile l’exhaustivité et l’actualité de la collecte des données ». Le nombre réel d’événements indésirables survenus dans le temps en relation avec les vaccins Covid-19 serait beaucoup plus élevé que ce qui est révélé par les données de ces bases de données de pharmacovigilance.

Un rapport d’événement indésirable n’indique pas que le vaccin a causé un événement, mais simplement qu’il était lié. Les données VAERS révèlent une relation temporelle étroite entre l’administration du vaccin Covid-19 et l’événement indésirable ultérieur, la majorité des événements indésirables se produisant dans les 2 jours suivant la réception du vaccin. Cela indique une relation causale plus probable.

Le cas unique des vaccins contre le Covid-19 Opération Warp Speed

Lorsque le Covid-19 est apparu comme un nouveau virus en 2019, on savait peu de choses sur sa virulence et sur ses impacts sur la population en général. Les premiers modèles ont surestimé la morbidité et la mortalité de la maladie et, par conséquent, l’opération Warp Speed a été introduite pour accélérer le développement d’un vaccin et d’autres traitements contre le nouveau virus.

TOUS les vaccins contre le Covid-19 sont en phase 3 d’essai. Aucun n’a terminé ses essais phase 3.

L’efficacité et l’innocuité des vaccins contre le Covid-19 n’ont donc pas été établies. Les taux d’efficacité (95-97 % !) et de tolérance allégués par les gouvernements et les agences sanitaires diffusent sans aucune vérification les chiffres fournis par les services de communication des laboratoires pharmaceutiques.

La grippe porcine de 1967 : un cas de campagne de vaccination de masse précipitée

En février 1967, une enquête a été lancée sur la mort mystérieuse d’un soldat américain décédé lors d’un exercice d’entraînement de base. Les tests du CDC ont révélé que le soldat David Lewis avait contracté une souche de grippe porcine. Par la suite, 11 autres soldats ont été testés positifs pour le virus tandis que des centaines d’autres ont été testés positifs pour les anticorps.

Le CDC et le président de l’époque, Gerald Ford, ont adopté une approche « mieux vaut prévenir que guérir » et ont lancé une campagne de vaccination de masse contre la grippe porcine. Des rapports ont fait état d’effets indésirables présumés, notamment de crises cardiaques, du syndrome de Guillain-Barré et de 53 décès signalés. La pandémie ne s’est pas matérialisée, le gouvernement a interrompu le programme de vaccination de masse le 16 décembre.

Une approche « mieux vaut prévenir que guérir » est injustifiée et dangereuse car les preuves n’existent pas pour affirmer qu’une vaccination précipitée est plus sûre que l’exposition à un virus dont on sait peu de choses.

Les rapports faisant état de seulement 50 décès liés à la vaccination contre la grippe porcine ont suffi à mettre définitivement fin au programme.

Les réponses à toute pandémie présumée doivent s’aligner sur les meilleures preuves disponibles sur la nature de la menace et ne pas être guidées par la politique, les médias, leurs liens d’intérêts avec l’industrie ou les émotions du grand public soumis à une intense propagande de terreur.

Principaux rappels de médicaments et de vaccins dans l’histoire

Lorsqu’un nombre préoccupant d’événements indésirables ou de décès est constaté dans les rapports de pharmacovigilance, les organes directeurs peuvent rappeler un produit précédemment autorisé ou approuvé. Le graphique suivant montre le nombre de décès signalés au VAERS ou au FAERS avant le rappel d’un produit.

Source : vaersanalysis.info/2022/05/14/vaers-summary-for-covid-19-vaccines-through-5-6-2022/

Le vaccin contre la poliomyélite a été rappelé en moins d’un an après 10 décès signalés, le vaccin contre la grippe porcine a été rappelé en moins de 1 an après 53 décès signalés. Le vaccin contre le Covid-19, avec plus de 28 000 rapports de décès associés, n’a pas été rappelé.

Il existe un signal de sécurité préoccupant concernant les vaccins Covid-19 détectés dans toutes les bases de données examinées dans ce rapport.

Conclusion

Ce rapport visait à examiner les données de pharmacovigilance de VigiAcess, VAERS, EudraVigilance et UK Yellow Card pour les vaccins Covid-19. L’objectif était de déterminer si les données de ces bases de données étaient suffisantes pour établir un signal de sécurité sur ces produits.

Toutes les bases de données de pharmacovigilance examinées dans ce rapport révèlent un nombre de rapports d’événements indésirables liés aux vaccins Covid-19 qui sont entre 10 et 169 fois plus que ce qui est observé dans d’autres produits couramment administrés

Il y a plusieurs milliers de rapports d’événements indésirables chez les enfants pour lesquels le produit Covid-19 n’a pas été approuvé

Il existe suffisamment de preuves sur toutes les bases de données de pharmacovigilance examinées dans ce rapport pour établir un signal de sécurité préoccupant concernant les vaccins Covid-19.

Les bases de données sur la pharmacovigilance, telles que celles examinées dans le présent rapport, reposent sur la surveillance passive. Les événements indésirables sont sous-déclarés.

Les produits Covid-19 sont uniques en ce sens qu’ils ont été développés rapidement et administrés à de grandes populations alors qu’ils étaient encore en phase 3 d’essais cliniques.

Il existe suffisamment de preuves d’événements indésirables liés aux vaccins Covid-19 pour indiquer qu’un rappel de produit est immédiatement nécessaire.

Références

AstraZeneca. (May 2022). Case Series Drug Analysis Print: Covid-19 AstraZeneca Vaccine
Analysis Print. Gov.uk.
https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1080309/COVID-19_AstraZeneca_Vaccine_Analysis_Print_DLP_25.05.2022.pdf

Connor Stewart. (May 2022). COVID-19 vaccination rate in European countries. Statista.
https://www.statista.com/statistics/1196071/covid-19-vaccination-rate-in-europe-by-country/

Elflein, John. (May 2022). Vaccinations in the U.S.—Statistics & Facts. Statista.
https://www.statista.com/topics/3283/vaccinations-in-the-us/#topicHeader__wrapper

EudraVigilance. (May 2022). European database of suspected adverse drug reaction reports.

European Medicines Agency.
https://www.adrreports.eu/en/eudravigilance.html#

European Centre for Disease Prevention and Control. (May 2022). COVID-19 Vaccine Tracker.

European Centre for Disease Prevention and Control.
https://vaccinetracker.ecdc.europa.eu/public/extensions/covid-19/vaccine-tracker.html#uptake-tab

European Medicines Agency. (May 2022). Human regulatory: EudraVigilance. European Medicines Agency.




Une majorité Macron serait la pérennisation de l’état d’urgence !

Par Nicole Delépine

EXIGEONS DE CONNAÎTRE LE CONTENU COMPLET DE CE PROJET DE LOI ET INFORMONS LES ÉLECTEURS LE PLUS LARGEMENT POSSIBLE.

Pétition flash pour connaître le contenu du projet de loi covid du 22/06 avant les législatives – Les Patriotes (les-patriotes.fr)

Olivia Grégoire, la porte-parole du gouvernement, a annoncé le 8 juin un nouveau projet de loi portant sur la gestion de l’épidémie de Covid-19. Celui-ci sera présenté en Conseil des ministres le 22 juin, avant une première lecture au Sénat annoncée dans la semaine du 11 juillet. Avec ce texte présenté en Conseil des ministres le 22 juin, le gouvernement veut « être en mesure d’intervenir si nécessaire, avec la mise en place de mesures de freinage si la situation ».

Pourquoi passer une loi qui prévoit d’autoriser de nouveaux confinements ou d’autres mesures liberticides et inefficaces alors que rien ne le justifie, car depuis qu’Omicron a immunisé une grande partie de la population le nombre de malades est infinitésimal ?

Qu’y a-t-il dans ce projet de loi Covid 6/22 qui nous attend trois jours après le deuxième tour ?

Relayez, partagez la pétition, car Florian Philippot a raison, moins les députés Macron seront nombreux, plus le gouvernement aura du mal à imposer la poursuite et le renouvellement des mesures liberticides de l’état d’urgence.

Voici ce que dit le site des Patriotes à ce propos :

« À la surprise générale, le 8 juin dernier, la porte-parole du gouvernement Olivia Grégoire a annoncé l’arrivée en Conseil des ministres le 22 juin prochain d’un nouveau projet de loi Covid.
Ce projet de loi, dont le contenu reste largement mystérieux, vise dans sa philosophie à pérenniser l’état d’urgence sanitaire qui doit s’arrêter le 31 juillet prochain.

Il est inadmissible que les électeurs français ne connaissent pas précisément le contenu de ce projet de loi qui va toucher leur vie quotidienne et leurs libertés avant le 19 juin, c’est-à-dire avant la date du second tour des élections législatives, qui vont être déterminantes ! »

Ce projet sera sur la table des conseils des ministres, annoncé par la porte-parole le 8 juin 2022, le but du projet de loi est clairement la pérennisation par la loi des mesures de l’état d’urgence.

Dans ce but Olivia Grégoire fait croire à un léger retour du virus :

« nous en profitons et nous profiterons pour rappeler la quatrième dose et les mesures coercitives, et éventuellement légiférer à nouveau. »

Alors que tout cela est mensonger. Il n’y a pas de quatrième, septième ou vingt-cinquième vague ! Et de toute façon nous savons que les injections de rappel sont inefficaces (on ne compte plus les quadri-injectés malades comme tout récemment la reine Elizabeth) et dangereux (voyez l’état de Céline Dion ou Bieber)(([1] Le destin post-injection de stars mondiales comme Céline Dion et Justin Bieber va-t-il ouvrir les yeux de leurs fans ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) les traitements précoces multiples pour traiter les patients éventuels.

La propagande de la presse aux ordres :

« un léger retournement de tendance »

« hausse de l’incidence »

« nous en profiterons pour rappeler la 4e dose (sic !), les gestes barrière que nous ne devons pas oublier… »

Contenu : « portant l’ensemble des mesures qui ont vocation à tomber naturellement au 31 juillet (loi du 11/11/2021) » C’est donc bien la pérennisation de l’état d’urgence que Macron veut nous imposer !

Les médias aux ordres ont traduit :

« retour en force possible des restrictions covid » « le covid 19 refait surface en France »(([2] Covid-19 : comment expliquer le rebond épidémique en France ? (europe1.fr) ))

« Après deux mois de baisse, le nombre de cas positifs au Covid-19 semble bien repartir en France. Selon Santé publique France, l’épidémie a commencé ces derniers jours à rebondir avec une reprise des contaminations. En moyenne 23 000 personnes ont été testées positives au Covid par jour cette semaine. La moyenne était de 18 000 il y a tout juste 10 jours. Certaines régions sont plus touchées. Par exemple la Corrèze où l’on recense 283 cas pour 100 000 personnes ». 1.850 cas pour 100 000 habitants en Martinique.

Cela reste bien loin du taux d’incidence dans les outre-mer. En Martinique il y a 1 850 cas pour 100 000 habitants. Pour l’instant, on ne ressent pas d’impact dans les hôpitaux, puisqu’il y a toujours un décalage de deux à trois semaines entre la hausse des contaminations et les entrées à l’hôpital ». Via Europe n° 1.

Donc, ils font tout pour relancer l’inquiétude ; c’est la phase de terreur décrite par Laurent Toubiana et qui doit succéder à la phase de sidération normale devant une épidémie qui a eu lieu et qui est maintenant terminée.

Ils recommencent à mentir, car il n’y a aucun rebond de l’incidence !

Laurent Toubiana donne chaque semaine les vrais chiffres de la maladie cette semaine sur https://covid.irsan.eu

Cette semaine : 10 « malades »/100 000 habitants !

Les chiffres de « contamination » brandis par la propagande médiatique sont totalement trompeurs, car ils sont fabriqués à partir du test PCR qui, lorsqu’il est positif chez un asymptomatique, ne prouve ni qu’il est porteur du virus, ni qu’il est, ni qu’il sera malade, ni qu’il peut contaminer quiconque.

Ce fait scientifique a été formellement reconnu par le tribunal de la chambre d’appel de Lisbonne qui a exigé la libération immédiate de touristes mis en quarantaine sur la foi en ce seul test. (PROCESSO N.º 1783/20.7T8PDL.L1-3 covid Tribunal da Relação de Lisboa Data11 de novembro de 2020)(([3] https://crlisboa.org/wp/juris/processo-n-o1783-20-7t8pdl-l1-3/))

La fréquence des faux positifs lors du dépistage d’asymptomatique atteint en effet 97 %.(([4] Jaafar R, Aherfi S, Wurtz N, Grimaldier C, Van Hoang T, Colson P, Raoult D, La Scola B. Correlation Between 3790 Quantitative Polymerase Chain Reaction-Positives Samples and Positive Cell Cultures, Including 1941 Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 Isolates. Clin Infect Dis. 2021 Jun 1;72(11):e921. doi : 10.1093/cid/ciaa1491. Erratum in : Clin Infect Dis. 2021 Nov 2;73(9):1745. PMID : 32 986 798 ; PMCID : PMC7543373.))

La FDA elle-même a demandé qu’un test plus spécifique le remplace et le 20 janvier 2021, l’OMS l’a reconnu(([5] https://www.who.int/news/item/14-12-2020-who-information-notice-for-ivd-users)) en pesant soigneusement les termes de ses recommandations.

Seul compte le nombre de « malades » effectifs, ceux qui souffrent de symptômes (fièvre, toux, difficultés respiratoires…) Cette semaine : 10 « malades »/100 000 habitants !

DANS LE MÊME TEMPS, L’OMS CONVOQUE UNE RÉUNION POUR STATUER SUR L’« ÉPIDÉMIE VARIOLE DU SINGE »

L’Organisation mondiale de la santé (#OMS) a annoncé qu’elle convoquait une réunion de son comité d’urgence le 23 juin pour évaluer si la #VarioleDuSinge représente une « urgence de santé publique de portée internationale » #AFP ! quelle coïncidence !

Et même temps, l’UE a prévu une pérennisation du certificat européen(([6] Europe — Certificat COVID de l’UE : accord entre les députés et le Conseil pour prolonger les règles une année supplémentaire (occitanie-tribune.com) ))

Europe — Certificat COVID de l’UE : accord entre les députés et le Conseil pour prolonger les règles une année supplémentaire

Par Parlement Européen, le 15 juin 2022

Le dispositif actuel expire le 30 juin 2022

Les négociateurs du PE et des États membres ont trouvé un accord pour conserver le dispositif du certificat COVID numérique de l’UE durant une année supplémentaire, jusqu’en juin 2023.

Lundi soir, les équipes de négociation du Parlement et du Conseil ont conclu un accord visant à prolonger le dispositif du certificat COVID numérique de l’UE — dont la validité arrive à expiration le 30 juin — d’une année supplémentaire.

Avec cette prolongation, les législateurs de l’UE souhaitent garantir la liberté de circulation(([7] Humour de rigueur ? et non malheureusement.)) des citoyens de l’UE en cas d’apparition d’un nouveau variant inquiétant.

Les négociateurs ont convenu que les États membres devraient s’abstenir d’imposer des restrictions supplémentaires à la libre circulation des titulaires du certificat. Les États membres ne seront autorisés à le faire que si ces restrictions sont nécessaires, proportionnées et non discriminatoires, dans le but de préserver la santé publique.

Les députés ont tenu à ce qu’une clause soit ajoutée, demandant à la Commission d’évaluer si le dispositif est toujours nécessaire au bout de six mois (fin 2022), en se fondant sur l’avis scientifique du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) et du comité de sécurité sanitaire (CSS). La Commission devra alors également publier un bilan décrivant toutes les évolutions du certificat au niveau national et international. Le dispositif devrait ensuite être abrogé dès que la situation épidémiologique le permettra.

Prochaines étapes

L’accord informel devra désormais être officiellement approuvé par le Parlement et le Conseil afin d’entrer en vigueur le 30 juin, date à laquelle le dispositif actuel prend fin. Le vote en plénière est prévu lors de la session des 22 et 23 juin à Bruxelles. »

Parlement Européen (15-06-22)

#actualites #Europe

Là encore les députés européens mentent ce n’est pas pour« garantir la liberté de circulation des citoyens de l’UE en cas d’apparition d’un nouveau variant inquiétant » qu’ils veulent prolonger leur Certificat COVID, mais au contraire pour interdire aux non injectés de circuler !

Alors qu’en aucun pays du monde les pass n’ont montré qu’ils pouvaient limiter les contaminations

Ces trois évènements couplés, projet de loi du 22 juin au conseil des ministres en France, réunion de l’OMS et prolongation du certificat européen prouvent bien la volonté de l’oligarchie mondialiste au pouvoir de poursuivre le narratif de la peur, alternant virus, guerre, famine ou autre chose.

Il est temps que la volonté des peuples s’oppose à ce théâtre mondial, refusent en particulier l’injection prévue des enfants par ces produits toxiques.

Dans l’immédiat, pour sauver nos libertés faisons tout pour que Macron n’ait pas de majorité.




Restrictions Covid-19 : nouveau projet de loi le 22 juin 2022, juste après les législatives !

[Source : lemediaen442.fr]

À quelle sauce allons-nous être dévorés ? Olivia Grégoire, porte-parole d’Emmanuel Macron, a annoncé au conseil des ministres du 8 juin qu’un projet de loi lui sera présenté le 22 juin. Et d’ici là, nous dit-elle, le gouvernement est vigilant, surveille, observe et rappelle [NDLR : comme Big Brother] à nos compatriotes que les gestes barrières et la quatrième dose demeurent, à cette heure, les axes les plus solides pour se protéger du Covid.

La pause des élections est éphémère. Le fameux taux d’incidence revient sur le devant de la scène, particulièrement en Guyane et en Martinique, tel que nous le décrit, le 8 juin, la porte-parole du président au dernier conseil des ministres. Le deuxième tour des élections législatives est le 19 juin. Le gouvernement a-t-il quoi que ce soit à craindre pour le vote du pass sanitaire à l’Assemblée, s’il écope d’un mauvais résultat ? Rien du tout car, à part les Patriotes de Florian Philippot, les professions de foi des divers partis observent un silence assourdissant sur le pass sanitaire.

« D’ici quelques semaines, nous allons présenter un nouveau projet de loi. Ce sera au Conseil des ministres du 22 juin prochain. Le gouvernement est vigilant, surveille, observe et rappelle à nos compatriotes que les gestes barrières et la quatrième dose demeurent à cette heure, les axes les plus solides pour se protéger du Covid. »

(Voir la vidéo dans sa totalité)

Parallèlement, la commission européenne, le 3 février 2022, a prorogé le pass sanitaire du 23 juin 2022 au 30 juin 2023, et cela sans débat parlementaire. Ce pass aurait dû être mis au vote le 7 juin, mais les parlementaires avaient eu l’outrecuidance de demander des études d’impact, des justifications médicales… Qu’importent d’éventuelles raisons médicales : la Commission a très simplement avoué que le pass sanitaire a pour objectif d’inciter à la vaccination et non de freiner la contamination. L’objectif commercial prime donc tout objectif médical. La vaccination — obligatoire dans les faits — transforme les Européens en clientèle captive des laboratoires. C’est pour cela qu’en toute confiance, les commandes de vaccins sont poursuivies jusqu’à la fin de l’année. Le dossier sur le pass sanitaire va être proposé et voté par les 705 députés sans débat ni prise en compte de la consultation publique.

Mme Stella Kyriakides, commissaire à la santé et à la sécurité alimentaire, en rajoute :

« Le certificat covid numérique de l’UE a facilité la libre circulation et les déplacements en toute sécurité en période de grande incertitude. Nos citoyens l’ont adopté et il leur a rendu la vie plus facile. »

Traduction : Vous ne pourrez plus vous déplacer sans avoir été injecté par un produit expérimental, vous ne pourrez plus vous déplacer sans que Big Brother sache où vous allez, vous ne serez nulle part libre et en sécurité car la police vous contrôlera où que vous soyez. Et, comme dit la vieille publicité, transposée au certificat covid numérique, l’essayer c’est l’adopter (« nos citoyens l’ont adopté ») et ce qui complique votre vie, vous « a rendu la vie plus facile ».

Le but est mondial. M. Thierry Breton, commissaire au marché intérieur, a quant à lui déclaré :

« Avec plus de 1,2 milliard de codes QR générés et 60 pays connectés au système, le certificat COVID numérique de l’UE est devenu une norme mondiale. »

Le certificat covid numérique : l’essayer, c’est l’adopter !



Ecologie et moteur thermique : comment Hayek avait prédit le totalitarisme bruxellois

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Nicolas Bonnal

La commission de Bruxelles veut donc priver le bas peuple (99 ou 99.9% de la population) de tout véhicule à moteur thermique. Même Gérard Carreyrou a râlé. Pas folle, l’élite sait que bien que le moteur ou le véhicule électrique sont des leurres (cf. les bus en panne de Wiesbaden) ; seuls donc les yachts, les jets et les bagnoles de luxe (vendues dit-on à moins de mille exemplaires) auront le droit de faire le plein de carburant polluant. Le reste pourra crever ou aller tranquille à bicyclette en s’éclairant à l’éolienne. Etre milliardaire ne leur suffit pas : il faut que la masse n’ait rien ou qu’elle ne soit plus. Là ils pourront rejouer au berger et à la bergère dans leur toile de Jouy robotique.

Il faut dire que la masse suicidaire s’en tape de sa disparition, ils auraient donc tort de se gêner. La démassification prophétisée par le gourou techno-fasciste Alvin Toffler (sa secte fait la chasse aux fake news maintenant…) il y a cinquante ans a produit ses effets : grâce aux réseaux sociaux et à la technologie la masse ne se mobilise plus physiquement (trois lycéennes pour interpeller Macron ? Mais où va-t-on ? Lui sait mobiliser ses gendarmes en tout cas). De toute manière même sur les réseaux la quantité de gens qui réagissent bien sur les sujets importants est infime. Estulin le remarquait en comptant les milliards de connexions pour visionner une vidéo de Lady Gaga ou de Beyonce. Je vous rassure, cela fait plus que Xavier Moreau ou Charles Gave. Pulchrum est paucorum hominum, rappelle Nietzsche.

Mais j’en reviens à la commission de Bruxelles, à la « caste », comme dit Eric Verhaeghe. Et comme nos abrutis au pouvoir et à la télé aiment dénoncer le nazisme (fondateur de l’écologie et de l’interventionnisme humanitaire, de la lutte contre le tabac, le harcèlement sexuel ou les excès de vitesse, lisez mes textes), je vais parler de la race des seigneurs. Le nazisme teuton a subsisté sous la forme Schwab ou Leyen, il fait aussi sa guerre d’extermination contre la Russie (elle est trop bien armée, ces russes trichent toujours) avec ses néonazis et il est écolo, censeur  et vitaliste comme jamais. Quant à sa fascination pour la technoscience, il n’a pas attendu Harari…

Celui qui parle de race des seigneurs dans le cadre de l’unification européenne qui se profile dès la fin de la guerre de 40, c’est Friedrich Von Hayek. Il a été souvent récupéré par les néolibéraux mais sa Route de la servitude reste un modèle. Hayek que le modèle nazi allemand sera plus ou moins suivi après pour la construction européenne, construction que les anglo-saxons vainqueurs de cette guerre veulent implémenter (Hayek donne des dizaines titres depuis oubliés).

Route de la servitude, p. 159 :

« Imaginer que la direction planifiée de la vie économique à une vaste région habitée par des peuples différents pourrait s’effectuer par des procédés démocratiques, c’est ignorer complètement les problèmes que pareil plan soulève. Le planisme, à l’échelle internationale plus encore qu’à l’échelle nationale, n’est que l’application de la force brute: un petit groupe impose à tous les autres un standard de vie et un plan de travail qu’il estime juste. »

Hayek visualise le grand espace économique et le bon vieux Herrenvolk, notion qui annonce la grosse commission bureaucratique germano-cosmopolite chargée d’établir tout cela en ruinant France, Italie, Espagne et autres PIGS :

« Il est exact que cette sorte de Grossraumwirtschaft, d’économie des grands espaces, conçue par les Allemands ne peut être réalisée que par une race de seigneurs, un Herrenvolk, imposant impitoyablement ses buts et ses idées à tous les autres, La brutalité et le manque de scrupules à l’égard des désirs et des idéaux des petits peuples ne sont pas simplement une manifestation de leur méchanceté spécifique, mais découlent logiquement de la tâche qu’ils ont entreprise. »

J’ai déjà parlé du démon occidental des organisations : on a les ONG, on a Soros, on a l’ONU, on a aussi l’Europe. Ces organisations sont soumises à des élites richissimes, woke et implacables ; élites qui reprennent le schéma malthusien britannique  décrit par Marx dans l’incomparable livre VI du Capital : on vide l’Ecosse et les Highlands de leur population (idem pour le pays de Galles ou l’Irlande génocidée et affamée, territoires depuis notoirement sous-peuplés) et on en fait une réserve de chasse pour les aristos. Les survivants iront en Amérique et en Australie préalablement dépeuplées. On ne change pas une méthode qui gagne, surtout quand on est le maître du récit. Ce n’est pas pour rien que Walter Darré, légendaire ministre nazi, dans son livre sur l’agriculture, ne tarit pas d’éloges sur cette aristocratie britannique au front étroit, adoratrice de vide et de gibier sauvage.

La commission de Bruxelles a jeté le masque. Au bon peuple de relever le défi ou d’accepter tranquille sa prolétarisation et son extermination. Rappelons qu’en occident le sort des masses ne s’est élevé au vingtième que par peur du communisme russe (cf. Zinoviev). Raison pourquoi l’élite génocidaire veut en finir avec la Russie pour en finir avec nous.

Bonnes vacances aux distraits !

Sources principales :

http://pombo.free.fr/hayek1944.pdf

https://reseauinternational.net/elites-genocidaires-et-masse-suicidaire-a-deux-doigts-du-neant/

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/06/09/pourquoi-peut-on-desormais-parler-de-democratie-totalitaire/

https://nicolasbonnal.wordpress.com/2022/05/25/bill-bonner-et-le-grand-effondrement-qui-accompagna-la-chute-de-lempire-romain-lisez-bien-cest-ce-qui-va-nous-arriver-la-theologie-woke-actuelle-accompagne-la-rage-destructr/

https://cudeg.com.uy/wp-content/uploads/2017/10/La-tercera-ola.pdf

https://reseauinternational.net/hitler-et-les-origines-du-neo-totalitarisme/




Les Français sont atteints du syndrome de Stockholm. Informons-les !

Par Dr Nicole Delépine

La France n’est pas sortie de la sidération de la peur (du virus, de la guerre, puis d’un autre virus). Elle est donc toujours sous emprise et dénigre ceux qui tentent de la sortir du gouffre comme Mme la Dr Wonner, une des seules députées à avoir défendu le peuple à l’assemblée et qui en est exclue.

Le premier tour des législatives a cruellement démontré que la France est encore hors sol, loin des problèmes concrets qui perturbent son quotidien. Elle est toujours dans sa bulle organisée par la clique de Davos et les médias aux ordres des milliardaires comme Bill Gates.

Les pseudo campagnes électorales pré-présidentielle et pré-législatives avaient déjà démontré la capacité du pouvoir en place de jouer le scénario « gare aux extrêmes ». Ce serait drôle si ce n’était pas si tragique. Transformer Marine maintenant normalisée(([1] Elle ne parle plus de Frexit, de sortie de l’euro ni de sortie du commandement intégré de l’Otan.)), et devenue opposante ( ?) contrôlée comme son débat avec E. M l’a démontré (pas une question qui pourrait fâcher) en épouvantail fasciste, ça relève de l’exploit.

Et cette semaine, diaboliser à son tour la NUPES qui a fait élire E.M. (en le préférant à Marine) relève du cynisme politique bien compris. Chapeau l’artiste.

Bref nous sommes loin d’une vraie campagne, de choix politiques, de débat d’idées, de projets pour la France. Marie-Estelle Dupont commentant cet épouvantable crime commis par un enfant de 14 ans explique que la raréfaction du langage (via les écrans depuis au moins deux décennies et aggravée par le confinement de fait depuis deux ans), ne permet plus aux émotions de s’exprimer et d’évacuer les sentiments ni en particulier la violence. Et cette violence peut alors s’exprimer de la façon la plus épouvantable.

Les Français sont inquiets et frustrés comme rarement auparavant. En l’absence de toute expression dans les urnes dont témoigne l’abstention toujours plus importante, on peut craindre aussi des explosions de violence.

En matière de campagne électorale, le langage paraît perdu aussi, et les débatteurs ne discutent que d’un même problème de soir en soir, avec les mêmes mots et très peu de réflexions (par exemple Damien Abad, en passe d’ailleurs d’être réélu, puis les mensonges de Darmanin, etc.).

Nous avons arrêté de penser, sur ordre – via la pensée unique, la censure, puis l’autocensure, par crainte d’être sanctionné si on se permet une phrase hérétique y compris dans les familles. Pour éviter les ruptures, pour éviter d’être exclu du groupe. Mais existe-t-il encore des relations humaines authentiques dans le non-dit permanent ?

ET L’OBLIGATION VACCINALE ?

En dehors du pouvoir d’achat que les politiques et journalistes voudraient imposer comme seul sujet, ceux de l’obligation vaccinale, de la suspension des soignants et des pompiers vaccino prudents , de la persistance du pass qui empêche les familles d’accompagner leurs malades, du vide hospitalier et des déserts médicaux, de la solitude et de l’abandon des résidents d’EHPAD en sont d’autres qui impactent lourdement la vie quotidienne, mais qui ont été complètement abandonnés, censurés, oubliés, cachés.

Combien de Français craignent une obligation de l’injection expérimentale chez les enfants y compris les plus petits à la rentrée ? Même s’ils tentent de faire l’autruche, de penser aux vacances, d’oublier « tout ça », ils savent et connaissent déjà un minimum de risques, les problèmes menstruels étant les plus évidents, ainsi que la perte de mémoire du grand-père (… mais il est vieux …). Les crises cardiaques des sportifs et des pilotes, les accidents post injections de Céline Dion et de Bieber en ont bien inquiété quelques-uns, mais on passe vite à autre chose. Quant aux AVC ou infarctus chez des amis, ce n’est vraiment pas de chance.

LA SANTÉ OUBLIÉE

On s’était désolé que ce sujet ne soit pas apparu au premier plan des programmes des candidats à l’heure où la crainte de fermeture des urgences en été se renforce. Mais il faut avouer qu’aucun parti (de l’extrême droite à l’extrême gauche comme dirait E.M, pourtant tous jumeaux ) n’en a fait un sujet prioritaire, et c’est désolant.

Moralité, nous sommes dévastés, choqués de découvrir l’élimination au premier tour des seuls défenseurs de votre santé, de votre patrimoine génétique, de la fertilité de la jeunesse, etc. et de leurs scores très faibles (Martine Wonner, Nicolas Dupont Aignan, Florian Philippot par exemple).

Et pendant ce temps-là, O. Véran – celui qui a interdit de soigner par les traitements précoces, celui qui a en permanence dédaigné les avis des médecins et chercheurs compétents, celui qui a en mars 2020 signé avec Édouard Philippe alors Premier ministre le décret favorisant l’élimination des anciens par injection létale de Rivotril, etc. – est en position favorable, de même que Mme Borne qui a signé le décret de suspension sans rémunération ni RSA des soignants et pompiers soucieux de leur intégrité de leur corps, de même que Mme Bourguignon son obéissante adjointe qui se contentait de fermer le micro lors d’auditions au Sénat.

Les Français sont-ils devenus masochistes et aimeraient-ils ceux qui leur font mal ? Ils étaient prêts pour ce totalitarisme qui avance à grands pas, nous explique Ariane Bilheran.

Car sinon pourquoi voter pour tous ceux qui ont imposé un enfermement si toxique pendant des semaines, ceux qui nous ont demandé de nous autoriser nous-mêmes à sortir une heure, ceux qui ont, pendant des mois, asséné des ordres contradictoires et obligatoires, ceux qui ont gâché une génération de bébés qui ne savent pas ce qu’est un visage, ceux qui ont abîmé une génération d’adolescents en imposant encore plus d’écrans et en les privant de relations humaines si capitales à cet âge… ? Et maintenant ils tuent … Et on nous prédit qu’ils tueront de plus en plus jeunes.

Le syndrome de Stockholm se développe de manière inconsciente et involontaire. Il s’agit de l’instinct de survie. En sommes-nous globalement atteints ?

Le concept de « syndrome de Stockholm »(([2] Syndrome de Stockholm : définition, symptômes, causes et traitement (sante-sur-le-net.com) )) est apparu il y a une quarantaine d’années à l’occasion d’une prise d’otages à Stockholm en Suède. Fin août 1973, 6 malfaiteurs braquent une banque suédoise et prennent en otage ses quatre employés pendant 6 jours. Après une longue attente très médiatisée, et à l’issue des négociations, tous les otages sont libérés sains et saufs. Mais les otages ont refusé de témoigner contre leurs agresseurs. Certains sont allés les voir en prison, et l’une d’entre elles a entretenu une relation amoureuse avec l’un des malfaiteurs.

Le syndrome de Stockholm survient en cas de situation de stress psychologique extrême.

Selon la description individuelle :

« la victime se retrouve d’abord dans un état de sidération rendant impossible toute prise de décision. Après le choc, une réorganisation psychologique s’opère. En effet, la victime s’adapte à la situation et trouve de nouveaux repères. La victime n’a plus aucune autonomie et dépend totalement de son bourreau pour satisfaire ses besoins. Finalement, c’est « grâce » à lui s’il peut manger, dormir, bouger, aller aux toilettes, etc. Lorsque l’agresseur n’abuse pas de la situation, sa victime le voit comme quelqu’un de bien. Certaines victimes peuvent ressentir un sentiment de gratitude envers leur agresseur, et adopter petit à petit la pensée et le code moral du bourreau ».

Ainsi on peut complètement transposer ce vécu à celui des populations confinées (qui supportent x fois dans la journée les informations et les ordres de nos « bourreaux » et même les messages subliminaux permanents sur les écrans de TV).

« Plus la situation s’éternise, plus cette nouvelle personnalité a de risques de s’implanter profondément dans l’individu, à tel point que certaines victimes se rangent parfois du côté de l’agresseur et s’opposent aux forces de l’ordre. »

Le fait de vivre sans contact avec le monde extérieur peut également induire le syndrome de Stockholm, mécanisme d’adaptation permettant aux victimes de survivre. En effet, cet ajustement permettrait de diminuer l’anxiété engendrée par une menace de mort imminente.

Parallèle entre les otages d’un braquage et une population confinée et menacée

Ainsi si on examine les caractéristiques du syndrome de Stockholm, on peut faire quelques analogies instructives avec la situation qu’on subit des milliards d’individus.

Un syndrome de Stockholm est caractérisé par la présence d’un lien d’attachement et d’empathie entre la victime et « l’agresseur », lien conscient ou inconscient. L’agresseur – ici le pouvoir politique – peut être vu par sa victime comme en souffrance, sincère et bienveillant.

Et c’est bien ce qui s’est passé avec nos gouvernements qui affirmaient « protéger les vieillards » (soumis au Rivotril par ailleurs) par les mesures de confinement contre le « virus ». Il a été bien démontré depuis lors la totale inefficacité sanitaire(([3] Simon N. Wood Did COVID-19 infections decline before UK lockdown?
https://arxiv.org/abs/2005.02090v2))(([4] John Gibson AIER Staff Lockdowns Do Not Control the Coronavirus: The Evidence December 19, 2020))(([5] Ari R Joffe COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink Front Public Health 2021 Feb 26;9:625778.
doi: 10.3389/fpubh.2021.625778. eCollection 2021.))(([6] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19: COVID Wins Nov 1, 2020))(([7] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no évident impacts on the COVID-19 epidemic.
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf))(([8] https://sites.krieger.jhu.edu/iae/files/2022/01/A-Literature-Review-and-Meta-Analysis-of-the-Effects-of-Lockdowns-on-COVID-19-Mortality.pdf)) et les graves conséquences sociales, éducatives, économiques, etc. de telles mesures. Le pouvoir se présentait aussi comme en souffrance lui-même vis-à-vis de la situation qu’il présentait (de façon mensongère). Syndrome du pompier pyromane.

Un sentiment d’impuissance exacerbé engendre une mise de côté de soi afin de survivre et ce fut bien le vécu des Français en proie à la peur du virus, de la mort rapide, et de plus dans la crainte de souffrances de détresse respiratoire mises en exergue dans les journaux TV. La PEUR que MACHIAVEL a bien décrite comme levier de gouvernement a été bien utilisée jusqu’à ce jour.(([9] Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Deux autres caractéristiques complètent ce parallèle :

  • dépendance totale qui engendre la perte d’autonomie de la victime (l’agresseur – ici le pouvoir – s’arrange pour être le seul à pouvoir répondre au besoin de sa victime pour obtenir sa soumission);
  • et une diminution, voire suppression des contacts avec l’extérieur  (critère réalisé par la pression pour les mesures coercitives pour absence de contact physique avec les autres, distanciation sociale épouvantable, etc..)

Rappelez-vous les cours d’école avec les carrés absurdes par enfant. Comment avons-nous pu accepter tout cela alors qu’on savait depuis le début que les enfants ne risquent rien du covid et qu’ils ne sont pas facteurs de transmission?

Effectivement, nous sommes atteints en partie ou complètement de ce syndrome qui explique pourquoi les électeurs ont chassé Martine Wonner du parlement et vont peut-être y réélire O Véran !

COMMENT EN SORTIR ?

Habituellement, la prise en chargeest un suivi psychologique ou psychiatrique très régulier. Mais alors que la TV continue de faire passer ses spots angoissants, que le pouvoir tente de remplacer la peur du covid par celle de la guerre en Ukraine, puis celle du virus du singe, comment diminuer la pression ?

« Le travail de reconstruction psychologique des victimes est très long et éprouvant. Parfois, le traumatisme est si important que la personnalité de la victime est profondément affectée. Le temps nécessaire à la reconstruction et au déconditionnement est variable selon la durée la période de violence et son contexte ». On peut imaginer que cela sera très difficile et que de longues années de souffrances diverses nous attendent.

L’ÉCRITURE THÉRAPEUTIQUE

Est, semble-t-il, un excellent moyen d’extérioriser les souffrances et de prendre de la distance vis-à-vis du traumatisme. Alors poussons tous nos concitoyens à écrire encore et encore, à titre de témoignages pour l’Histoire et d’évacuation de la douleur pour le présent, comme… les poilus de la guerre de 14 enfermés dans leurs tranchées qui nous ont légué de si poignantes lettres.

COMMENT SOMMES-NOUS ENCORE DANS CETTE PHASE DE SIDÉRATION ?(([10] https://nouveau-monde.ca/ariane-bilheran-lideologie-sanitaire-est-un-pretexte-a-une-gouvernance-totalitaire))

Selon A Bilheran, en 2020, « on n’a pas du tout pris les mesures nécessaires pour soigner. Au contraire, il y a eu une grande exposition des gens sur le plan de la santé, une politique de précarisation dans de nombreux pays du monde.

Quand on interdit à des médecins de prescrire ou de soigner, on crée des maladies. Quand on renvoie les gens chez eux avec du Doliprane, on crée les conditions pour que la réalité finisse par correspondre à l’idéologie ».(([11] Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) Mise en avant d’une idéologie, d’une croyance fausse, d’un récit… qui se substitue à la réalité.
Dans le cas de la plandémie Covid, on observe donc :
• La prétention à sacrifier l’individu pour sauver le groupe ;
• La mise en place de l’agenda transhumaniste ;
• La tricherie permanente sur les morts, les cas, le prétendu bienfait des vaccins ; les incohérences temporelles et spatiales des mesures sanitaires ; la ségrégation des non-vaccinés ; etc. ;
• Le recours aux masques muselières, à la distanciation sociale, au confinement, au discours de peur… ;
• La mise en avant de l’ennemi viral et de théories délirantes jamais scientifiquement démontrées, telles que l’immunité de groupe, la contagion virale, le bienfait de poisons injectés sous forme de « vaccins », etc.))

Comment peut-on expliquer que la majorité des gens ne se rendent pas compte de tout cela ? (…)

«  C’est lié à la violence. Il y a eu des chocs traumatiques répétés envoyés aux populations. De diverses manières, avec différents décors. Et ces chocs traumatiques ont été créés par les discours politiques, par les décisions prises, dont l’absurdité et l’arbitraire ont cassé tous les repères des gens.

Cette violence entraîne, pour le psychisme, la mise en place de mécanismes de défense. Quand vous subissez un traumatisme grave, cela peut déclencher une amnésie. Ou bien on se réfugie dans le déni : le réel est tellement insupportable que je refuse de me le représenter.

Moins on s’attend à la violence, plus on est vulnérable. Nier la réalité de la violence, ou la justifier, dans la mesure où il y a en face un discours très séducteur du type «on fait ça pour votre bien» et bien c’est très tentant d’y entrer ».

« La majorité des gens ne parvenant pas à comprendre ni accepter l’existence de la violence que ça véhicule, régressent sur le plan psychologique et se laissent prendre en charge par le discours dominant.

Il y a également une bonne partie de gens qui préfère tout simplement ne pas s’interroger et suivre le mouvement, sans chercher à savoir si ce qu’il se passe est normal ou non. S’il devait penser vraiment ce qu’il se passe, probablement qu’il pourrait en devenir fou. »

Le psychisme protège, jusqu’à un certain point de ce basculement et de cette désintégration psychique.

Et ce n’est pas une question d’intellect, de connaissances, ni de niveau d’éducation .

« D’abord, c’est lié à une solidité psychologique et non pas à une intelligence. C’est lié à la capacité d’être ancré dans plusieurs choses et dans la capacité d’affronter la solitude, même si la majorité du groupe se désaxe. Ancré dans quoi? Dans le rapport à la réalité. Dans le désir de vérité. Dans la valeur morale de se rendre compte, dans le réel, qu’on fait du mal aux gens ».

Certains scientifiques, universitaires, chercheurs, médecins ont payé fort cher de livrer leur vérité. Si l’on n’est pas prêt à payer ce prix-là et si son groupe d’appartenance exige de manière implicite ou explicite une adhésion au dogme, pour accéder aux privilèges du sérail, on est réduit à une forme de soumission, consciente ou non. On devient un Kapo.

LA COLLABORATION DES INTELLECTUELS AVEC LES RÉGIMES TOTALITAIRES N’EST PAS NOUVELLE :

«  Hannah Arendt avait exprimé son dégoût des intellectuels dès le début des années 1930; Klemperer avait été sidéré par l’opportunisme de certains universitaires; Günther Anders avait dit son aversion pour la complaisance active d’Heidegger, en particulier car ce dernier avait tous les outils de philosophie politique pour penser ce qu’il se passait ».

LA CRISE SANITAIRE, ABOUTISSEMENT D’UN LONG PROCESSUS DE DESTRUCTION SOCIALE

« Le totalitarisme, c’est considérer que les individus sont des cellules interchangeables d’un même corps au sens propre, avec la suppression totale et l’éradication totale de toute singularité. La singularité c’est le fait qu’aucun individu n’est comparable à un autre sur Terre. Que tout le monde est unique, différent, avec l’humanité en partage, où «rien d’humain ne m’est étranger ».

Le totalitarisme est la proposition inverse.

Il est clair que la qualité de la médecine a effroyablement chuté depuis la fin du XXe siècle, lorsque sous prétexte de rationalisation « scientifique », mais en réalité financière, et idéologique, on nous a imposé des « protocoles uniformes pour tous » ( même si trompeusement appelés « personnalisés »). Les bureaucrates ont alors pu faire leurs ravages en contrôlant si les docteurs appliquaient bien les consignes des recommandations devenues rapidement obligatoires. La médecine agonisa… Homogénéiser les traitements a toujours été le contraire de la médecine d’Hippocrate, mais à grands coups de pub étatiques, de « plan cancer » de beaux bâtiments, de cellules d’organisation… on a acheté tout ce beau monde souvent inconscient du mal qu’ils allaient faire, et les citoyens manipulés comme à l’habitude ont applaudi.

Au sein du totalitarisme, l’individu n’est plus sacré en soi, mais plutôt quelque chose qui peut être éliminé si on en a besoin. Cette mutation est en cours depuis très longtemps : perte de la transcendance, de la transmission, de valeurs morales et spirituelles. C’est la profanation de tous les individus.

« Vous ne pourrez plus rien cacher», c’est la proposition totalitaire : l’exact inverse de la pudeur, socle de la civilisation selon Hegel. On doit cacher notre intimité, c’est un devoir, elle ne peut pas être profanée sous peine de sombrer dans la barbarie. »

A. Bilheran pense que cette évolution est détectable depuis longtemps dans l’évolution du management au travail, la prolifération des écrans pour les enfants, le succès de Facebook et autres réseaux sociaux.
L’enfant n’est plus qu’ un objet destiné à devenir pour un bon consommateur, un instrument de production, qu’on jette lorsqu’il ne sert plus à rien. Et la clique de Davos a l’impression qu’ils n’ont plus besoin que de quelques esclaves. Ils se trompent…

A. Bilheran explique qu’il y a conjonction de plusieurs facteurs dont :

« le transhumanisme est la référence nazie par excellence, celle du surhomme. Cela veut dire que le nazisme, dans sa valeur première de recherche d’immortalité matérielle et de surhomme humain, qui en même temps est un humain modifié, n’est pas mort.

L’idéologie de fond n’est pas morte. Le nazisme n’a pas été totalement pourchassé, il a fait des petits dans les sectes idéologiques de pouvoir qui ont pour vocation à s’étendre et visent l’expansion. Je pense que la question de la conquête idéologique d’un pouvoir mondial par des sectes occultes est rarement abordée, mais devrait être étudiée de très près. »

Par ailleurs le développement technologique a été trop rapide par rapport à nos facultés affectives d’en dominer les effets. Comme un enfant précoce a parfois beaucoup de difficultés à assumer ses trois ans d’avance. Il est encore petit…

« L’humanité engendre des monstruosités qu’elle n’a pas forcément les moyens de freiner, comme l’illustrent la création des chimères, le clonage, les trafics génétiques… Je pense que cela est aussi à œuvre ». Repensons à Einstein et son désespoir d’avoir engendré la bombe atomique, un tel outil de mort. Il y a aussi une volonté délibérée de supprimer l’apprentissage auprès des enfants.

La seule question qu’on aurait dû se poser près la Deuxième Guerre mondiale, c’est : comment en est-on arrivé à un tel degré d’autodestruction ?

Du point de vue du développement des technologies de masse, de la publicité, du marketing, etc., un encouragement à la dérégulation a fait que les individus n’ont plus été protégés, en particulier de l’émergence de ces nouvelles technologies, des écrans.

Et à partir du moment où l’on contrôle un cerveau et le temps de cerveau disponible, on contrôle toute possible révolte de la part des citoyens. Le monde de Huxley. C’est bien aussi ce qu’expliquait Patrick Le Lay parlant de la télévision au début des années 2000.

Écoutez :

« Cette crise est essentiellement psychologique, morale et spirituelle » – Ariane Bilheran | crise sanitaire | totalitarisme | Epoch Times.

Poursuivons l’analyse de la crise du Covid étape du totalitarisme montant, par notre philosophe.(([12] Psychopathologie du totalitarisme 3/3, par Ariane Bilheran))

Qui sont les résistants et que doivent-ils faire pour aider à en sortir ?

« Les rares qui ont compris dès les premiers signaux d’alerte, et n’ont pas besoin de l’expérience de la désolation pour mesurer le danger de la construction mentale délirante, incarnent le chemin étroit de la vérité et les résistants de la première heure ».

« Il faudra néanmoins attendre le réveil des masses, pour que le totalitarisme s’effondre, ces masses qui réagissent favorablement à la suggestion hypnotique, et se laissent facilement séduire, par le cadeau empoisonné de l’idéologie et son apparente cohérence ».

Les masses doivent cesser de collaborer et, partant, de croire. Et c’est inéluctable : l’expérience de la réalité totalitaire se chargera elle-même de la désillusion. Tous les totalitarismes de l’Histoire se sont effondrés, plus ou moins rapidement… C’est la question qui nous taraude évidemment.

« Les masses, en éprouvant le fait totalitaire dans leur chair, dans leurs familles, dans leurs individualités, confrontées à l’action mortifère de la secte, finiront par ouvrir les yeux ».

La diffusion de l’information, ainsi que le bouche-à-oreille de ceux qui témoignent à ceux qui les relaient, est également un facteur essentiel dans la désillusion des masses. DONC NE NOUS DÉCOURAGEONS PAS, poursuivons notre labeur, notre mission…Chacun à sa façon, selon ses compétences, ses affinités…

« Désobéir est vital. Faire partie des hérétiques au sens propre, de ceux qui font le choix de ne pas se plier à la croyance religieuse de l’idéologie totalitaire. Il y a autant de désobéissances que de spontanéités individuelles. L’artiste qui ne suit pas l’art totalitaire désobéit, et fait de la liberté sa foi. L’initiative intellectuelle, spirituelle et artistique est aussi dangereuse pour le totalitarisme que l’initiative criminelle de la populace, et l’une et l’autre sont plus dangereuses que la simple opposition politique ».

« Ne pas se soumettre au dogme, l’interroger et conserver son esprit critique, créer en-dehors de ce qui est permis, emprunter les sentiers de traverse, mais aussi archiver, conserver cet ancien que le pouvoir totalitaire désire détruire, informer, tout ceci fait partie de la résistance.

Le totalitarisme craint le primat de la subjectivité, la texture unique du témoin qui transcrit ses émotions, sa sensibilité, sa vie psychique et son humanité ; il redoute cette liberté de l’esprit contre la rigueur de la lettre, l’ironie ou « le trait d’esprit », le rire contagieux qui le détrône de sa toute-puissance ».

Penser est dangereux, mais « ne pas penser est encore plus dangereux. »

Une fois qu’on a pris le temps de se plonger dans tous ces écrits de Hannah Arendt, Ariane Bilheran et tous ceux à travers lesquels elles ont compris les mécanismes, il ne nous reste plus humblement qu’à poursuivre ce qui est dans nos cordes, informer encore et encore et par tous les canaux possibles, directement bien sûr via des rapports humains, des rencontres autour d’un goûter, un apéro, un repas citoyen, une manifestation, mais aussi la diffusion des vidéos, articles, témoignages, etc. sans sous-estimer chaque petite tâche. Une conversation avec la voisine ou avec la boulangère. Tout ce qui fait sens de l’Humain oublié pendant deux ans et demi.

Une plage de sable n’est jamais qu’une accumulation de grains de sable. Soyons ces grains..
Alors oui finalement il faut aller voter pour mettre les futurs élus au pied du mur.

INFORMONS ET DEMANDONS AUX FUTURS CANDIDATS UN ENGAGEMENT FORMEL CONTRE L’OBLIGATION VACCINALE ET POUR LA RÉINTÉGRATION DES SOIGNANTS ET POMPIERS

UTILISONS NOTRE BULLETIN DE VOTE POUR SAUVER LA SANTÉ DES ENFANTS

En conclusion, continuons notre travail d’information sans désespoir, sans dépression, ni découragement. En ce qui concerne les élections, et en tant que médecin très attaché à la liberté de penser, de prescrire, en tant que citoyen attaché à la liberté d’être soigné, il me semble que chaque citoyen dans sa circonscription doit interroger les candidats députés, quelle que soit l’étiquette de la personne et obtenir un engagement formel à voter contre la vaccination des enfants, et le pass vaccinal.

Chacun doit rappeler les engagements pris par la France en signant la convention d’Oviedo et notre fidélité au code de Nuremberg.(([13] Vaccins obligatoires et éthique médicale ? Qu’est devenue la référence au code de Nuremberg ? – AgoraVox le média citoyen))

Il est capital qu’un maximum de députés élus s’engage contre l’obligation vaccinale que l’UE veut imposer en prolongeant le pass vaccinal qui doit être voté courant juin 2022 pour un an. Les candidats et même les ex-députés n’ont souvent pas bénéficié de toutes les informations sur le caractère expérimental des pseudovaccins, sur l’importance des effets secondaires dont beaucoup sont létaux dans le monde, sur la tromperie de Pfizer sur les essais (maintenant publiée grâce aux juges américains).

Ne sous-estimez pas votre poids auprès de ces personnes. Nous en avons rencontré plusieurs qui nous ont avoué ne pas avoir été informés. INFORMEZ-LES !(([14] REFUSONS TOUTE OBLIGATION VACCINALE ANTICOVID le point le 8 mai 2022 – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))(([15] L’échec du zéro covid en Australie – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([16] Seule la liberté des médecins et soignants peut sauver la médecine pour les malades – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))





Le destin post-injection de stars mondiales comme Céline Dion et Justin Bieber va-t-il ouvrir les yeux de leurs fans ?

[Voir aussi sur mondialisation.ca]

Par Nicole Delépine

CÉLINE DION

Vu le nombre d’abonnés de Céline Dion (924 200 abonnés sur Twitter, plus d’un million sur FB, etc.), on peut espérer que les malheurs de cette fabuleuse chanteuse toucheront plus de monde que les sites officiels d’EudraVigilance ou du Vaers (plus difficiles à consulter) et en alerteront quelques-uns. Ne serait-ce que pour instiller le doute fertile…

Que lui est-il arrivé ? Pour l’instant, sa famille et/ou ses agents alimentent son compte par des rappels de ses disques ou concerts, etc.. Mais pourquoi ce silence, ces éternelles annulations de concerts pour l’instant reportés à sept 2023. Qui y croit encore ? 

 @jjdenoual 2 nov. 2021

« À la suite de sa seconde injection du vaccin contre le coronavirus, Céline DION serait paralysée et aurait annulé tous ses concerts ! Mais silence radio dans les médias, car ce serait la panique chez tous les vaccinés ! »

@Rideaubleu 31 oct. 2021

« Donc on récapitule le délire : un pompier vaccine une fillette de 12 ans, pour fêter la 100000e dose. Ils offrent à l’enfant des places pour le concert de Céline Dion, concert qui a été annulé, car la chanteuse qui appelait à la vaccination est paralysée. Non, ce n’est pas une blague ».

Céline Dion, sa mystérieuse maladie liée au vaccin contre le Covid, révélation CHOC de Bob Kennedy Jr (ilestencoretemps.fr)  

Nos confrères du magazine Public ont récemment publié que la chanteuse de 53 ans serait frappée par une maladie singulière appelée neuropathie à petites fibres, une pathologie que Céline Dion aurait contractée il y a un an, « peu après s’être fait vacciner contre le Covid sans que le lien soit fait » ouvertement. Pourtant elle n’est pas connue pour présenter les facteurs favorisants décrits pour cette maladie (mutations dans les gènes SCN9A et SCN10A, syndrome métabolique, VIH, maladie cœliaque, syndrome de Sjögren, amyloïdose, maladies inflammatoires chroniques de l’intestin, maladies infectieuses, hépatite C, maladie de Lyme, hypothyroïdie, troubles du système immunitaire).

Une coïncidence de plus ?

Si cette piste vaccin devait se confirmer, Céline serait, à l’instar des millions de personnes, victime d’un « complot » mondial, comme le soutient Bob Kennedy Jr qui a dédié un ouvrage à ce sujet.

En mai 2021, Céline déclarait :

« J’encourage tout le monde à se faire vacciner parce que je pense qu’en ce moment, c’est la seule façon de rebâtir une immunité à travers le monde. ».

Qu’en savait-elle ? Comment oser affirmer une telle aberration ? Aurait-elle aimé que je la remplace pour chanter sur scène ? Chacun son travail, ses compétences.

 Ce mélange des genres via manipulation des lobbies et des médias doit cesser. 

Le 19 mai 2022, Céline Dion confirme ce que tout le monde redoutait sur son état de santé : « Je suis tellement désolée d’avoir à changer les dates de la tournée en Europe une nouvelle fois ; la première fois, ce fut à cause de la pandémie, maintenant, c’est en raison de ma santé », précisait la chanteuse, âgée aujourd’hui de 54 ans.

« Pour être honnête, j’ai hâte, mais je ne suis pas encore tout à fait prête… ». « Il y a quelque chose de majeur. Ces fameux spasmes commencent à devenir extrêmement inquiétants ».

« On se demande si elle ne lit pas un message, on la sent extrêmement triste, comme robotique » commentait la chroniqueuse canadienne Sophie Durocher après avoir visionné le court extrait.

« Si une artiste de la trempe de Céline Dion reporte, ce n’est pas parce qu’elle a un petit mal de tête, il y a quelque chose de majeur. Ces fameux spasmes commencent à devenir extrêmement inquiétants » poursuivait-elle au micro d’une radio locale.

« Des millions de dollars sont en jeu ! Il va falloir se poser la question. Est-ce que Céline Dion va remonter sur scène ? » se demande-t-elle.

D’après le tabloïd britannique « The Express », Céline Dion souffrirait de dystonie. Une pathologie qui se caractériserait par des contractions musculaires, survenues de façon involontaire et prolongée.

Bref, tous ces commentaires confirment la grande probabilité d’une maladie neurologique post vaccinale, évoquant le cas de Mauricette atteinte de Creutzfeld Jacob ou d’une maladie apparentée. Ce qui a d’autant plus choqué et nié un temps, c’est que Céline Dion s’était faite l’avocate tenace de l’injection expérimentale jusqu’à imposer le vax à ses spectateurs en concert. Elle y croyait vraiment et a été victime de sa croyance ! Vaccination » devenue religion.
 
Quelle tristesse, quelle erreur, quelle aberration ! Comment des artistes qui sont loin de la vraie médecine et probablement trop proches des délires journalistiques imposés par les labos avides de vendre peuvent-ils entrer dans cette manipulation au point finalement d’y laisser leur vie, en tous cas d’ores et déjà leur vie d’artiste ?

La corruption ne se limite pas à la corruption financière, mais touche toutes les facettes de l’âme humaine, désir de plaire, de conseiller, de jouer les sauveurs, etc.. Tragique histoire qui se répète à l’envi au fur et à mesure que les jours passent et que l’effet toxique de ces produits expérimentaux s’incruste dans le corps. 

Après Céline, Justin Bieber

Un deuxième exemple est venu cette nuit du 10 Juin 2022

Agence France-Presse :

« Justin Bieber avait animé un concert en faveur des pseudo vaccins covid le 27 juin 2020 organisé par Global Citizen Ursula avec l’appui de von der Leyen, présidente de la Commission européenne, Melinda Gates, présidente de l’Alliance mondiale pour les vaccins et vaccinations (Gavi), Ngozi Okonjo-Iweala, ou Derrick Johnson (président de la NAACP). »

Le jeune Justin Bieber avait, comme Céline, demandé à ses spectateurs en concert une triple vaccination anticovid. Rappelons qu’il s’agit d’une pop star de 28 ans — qui compte 539,2 millions de followers sur les réseaux sociaux. On imagine la capacité d’influence de ces stars elles-mêmes manipulées par Big Pharma et/ou affidés.

Il avait déjà vécu une alerte concernant les injections, après les complications de sa femme Hailey qui malgré son jeune âge avait souffert d’un accident vasculaire cérébral possiblement post vaccinal.

Espérons que ses jeunes fans se poseront quelques questions à cette occasion et hésiteront à aller se faire injecter une nouvelle fois. 

Par quel mécanisme de pensée tortueuse s’était-il transformé en marchand d’injection, dont il ne connaissait rien, d’autant que tous les éléments étaient cachés ? La seule certitude vérifiable était que ces substances étaient expérimentales comme le démontrait d’emblée le site clinicaltrials.gov. 

Elles le sont toujours et il faudra attendre 2023 pour obtenir les données officielles des essais. Mais actuellement nous disposons grâce à la justice américaine d’une partie des documents cachés de Pfizer qui dévoilent la tricherie qui devrait faire interdire toute poursuite des injections. Et les données anglaises données par l’ONS anglais démontrent aussi le danger létal pour la population des injections.

Ainsi le 10 juin 2022 on apprend via Twitter :

« Après sa compagne, Justin Bieber est à son tour gravement malade et contraint d’interrompre sa tournée. Triplement vacciné, il avait demandé à ses fans des schémas de vaccinations complètes pour assister à ses concerts. »

Ou via @vl_plus :

Après sa femme Hailey hospitalisée pour un caillot sanguin dans le cerveau marieclaire.fr/hailey-bieber — …

c’est Justin Bieber lui-même qui souffre d’une maladie mystérieuse « qui s’aggrave » et le force même à suspendre ses concerts…. mirror.co.uk/3am/celebrity -— …

@AldoSterone111     

Justin Bieber annule ses concerts. Il est très malade. Son visage est paralysé… On dirait un vaccident. dailymail.co.uk/tvshowbiz/arti…11/06/2022 0 h 48

@NaraShi138767941/3) 08/06/22

Justin Bieber 28 ans reporte ses spectacles

Il a écrit sur Instagram : « Je n’arrive pas à croire que je dis ça. J’ai tout fait pour aller mieux, mais ma maladie s’aggrave ».   La star de 28 ans n’a donné aucun détail sur sa mystérieuse maladie.

www-uol-com-br.translate.goog/splash/noticia… pic.twitter.com/w3YBHqOeyg 09/06/2022 

Bref notre célèbre et beau chanteur est défiguré par une paralysie faciale bien décrite dans les complications de la vaccination anticovid sous le nom de paralysie de Bell. Le présenter sous le nom de syndrome de Ramsay fait peut-être savant, mais ne change rien au fait.

Quel malheur d’avoir rendu malades ces beaux jeunes gens qui avaient l’avenir devant eux et qui de plus ont cru utile de conseiller aux autres ce délire absolu.

© Instagram/Justin

Selon un infectiologue, le zona de Justin Bieber est apparu le long des deux nerfs du visage, le facial et l’auditif, voilà pourquoi le chanteur a du mal à parler et sûrement à entendre. Instagram/Justin Bieber

Il faut exiger des instances mondiales un arrêt complet de ces injections dangereuses dont on commence à connaître les drames à court et moyen terme (myocardites, mort subite de sportifs en course, etc., maladie proche de la vache folle) et inconnus à long terme.

L’évolution rapidement fatale de cancers guéris depuis de nombreuses années ou de cancers récents se constate de plus en plus après les injections, particulièrement la troisième.Rappelons que dans la première phase de la vaccination, seulement 5 % des lots ont été concernés par les accidents vaccinaux. Placebos, dosages et ingrédients différents. On ne le sait pas. Ce qui est certain est que depuis la troisième dose dite « booster », les accidents paraissent plus fréquents, et plus rapides même si on peut aussi distinguer des variétés géographiques, ce qui laisse supposer des différences dans les lots.   Roulette russe… Ça vous dit vraiment ? 



« Mon cœur se brise de devoir reporter ces prochains spectacles (ordres des médecins). À tout mon peuple, je vous aime tellement et je vais me reposer et aller mieux ». 

Dans le clip publié vendredi, Justin a montré les effets dévastateurs de son diagnostic en montrant que son œil ne clignait pas, ne pouvait pas sourire et que la narine ne bougeait pas du côté droit de son visage.

Il a expliqué :

« Il y a donc une paralysie complète de ce côté de mon visage. Alors pour ceux qui sont frustrés par mes annulations des prochains shows, je suis juste physiquement évidemment pas capable de les faire. C’est assez grave comme vous pouvez le voir. »

Conclusion

En conclusion, souhaitons à ces artistes et aux nombreuses autres victimes des injections la meilleure récupération possible. Néanmoins, espérons qu’à l’avenir, les artistes, les sportifs, les politiques, des associations, etc. éviteront de se lancer dans des campagnes de pub pour des vaccins et/ou des médicaments (supposés miracles), et/ou de dépistages, etc. dont ils ne disposent pas du fond des données (bien souvent cachées). À chacun son métier.




J’ai découvert les magouilles du vote dans les prisons

[Source : RL]

Par Patrick Jardin

Quelques nouvelles de ma campagne. Évidemment je n’ai pas choisi le parti le plus facile, car Reconquête est sûrement un des partis les plus ostracisés de France, et le plus boycotté par les médias. Et en plus, lorsqu’on s’appelle Patrick Jardin… Au moins j’ai un avantage, j’ai l’habitude, vu que je sais très bien que la France est tout sauf une véritable démocratie !

Hier avec mon collègue de la 5e circonscription, nous nous sommes rendus ensemble à la prison d’Annoeullin ; cette prison est située sur le territoire de la 5e mais les votes sont attribués à la 4e. Pour faire notre travail de démarchage auprès des détenus vu qu’une nouvelle loi, de janvier 2022, autorise les candidats aux législatives à aller faire campagne dans les prisons, ce qui paraît-il n’a jamais été fait en France. Nous avions rendez-vous pour cela devant la prison avec la directrice de cet établissement pénitentiaire, et là, double surprise. Non seulement la directrice brillait par son absence, mais nous avons été reçus par le directeur des établissements pénitentiaires, qui nous signala bizarrement, puisque à aucun moment il ne nous en a été fait état, que nous ne pouvions pas entrer, car les votes étaient en train de se dérouler. Bien joué !

Bien entendu nous n’avons pas cru du tout ce brave rond-de-cuir, mais puisque le vote était en cours et que ma qualité de candidat fait de moi un délégué, j’ai immédiatement exigé de faire mon boulot de délégué pour vérifier que les opérations de vote se déroulaient dans de bonnes conditions. Surprise et embarras du rond-de-cuir qui nous a dit qu’il fallait qu’on attende la réponse de ses supérieurs. Appel à la préfecture qui se décharge sur le ministère. Bref, une demi-heure après, il revient avec la réponse : les bureaux de vote dans les prisons sont des bureaux de vote aléatoires et ne donnent pas accès aux délégués. Ce qui fait que c’est ouvert à toutes les magouilles.

Je ne suis pas juriste mais je sais lire et j’ai vérifié. Je n’ai rien vu dans les textes qui confirme cela, bien au contraire, il est bien spécifié que les bureaux de vote doivent être similaires aux bureaux de vote ordinaires. Donc les opérations de vote doivent se dérouler dans les mêmes conditions ! Je demande qu’il me donne la nature des textes auxquels ils se réfèrent pour affirmer cela. Il est bien incapable de me répondre, mais me laisse sa carte et me promet de m’envoyer lesdits textes. Comme je pense que ce type est franc comme un âne qui recule, je prends la précaution de lui confirmer tout cela par mail qui restera bien évidemment sans aucune réponse. Donc, dès lundi, je prends rendez-vous chez un avocat  spécialisé, afin de faire invalider les élections sur la 4e circonscription du Nord, ce qui sans aucun doute me permettra de récupérer tous les adhérents Reconquête de la métropole lilloise, pour recommencer la campagne, et pour le coup, peut-être entendrons-nous parler de Patrick Jardin et de la 4e circonscription du Nord !

Toujours hier, j’apprends qu’un débat aura lieu sur BFM LILLE TV avec les candidats de la 4e. Immédiatement je prends attache avec le directeur de la chaîne, qui me signifie qu’effectivement n’ont été invités que la députée sortante LREM, (qui cela dit en passant, n’a participé qu’à 5 votes sur 19 à l’Assemblée, puisqu’elle ne s’y rendait pratiquement jamais) ; 2 LR dont un seul a reçu l’investiture, l’autre ayant quitté le FN pour les LR, et la candidate RN, qui  a refusé l’invitation, et le candidat NUPES. Je demandais à cet homme quels étaient les critères de sélection : « ce n’est pas nous, c’est le CSA qui détermine cela en fonction des résultats des dernières élections ». Je lui répondis « qu’aux dernières élections les LR avaient fait 4 % et Reconquête 7,8 % ». Silence, puis : Ah oui ! mais ce ne sont pas celles-là, ce sont les anciennes législatives et là, il était sûr de gagner puisque Reconquête, premier parti de France, avec 126 500 adhérents, n’existait pas. Cela ne les empêche pas de leur refuser la parole ; encore un déni de démocratie ! J’ai quand même réussi à obtenir une interview, mais à ce jour je ne sais pas si elle sera diffusée, ni quand. Et bien qu’on ait promis de me faire parvenir l’enregistrement, je n’ai toujours rien reçu !

Enfin, comme beaucoup de candidats, j’ai eu un article sur moi dans la Voix du Nord, journal gaucho comme la plupart. Et là, ils ont fait fi de mon état de victime du Bataclan, mais ont insisté sur le fait que j’habitais en Belgique pour des raisons fiscales, ce qui est complètement faux, puisque j’ai acheté ma maison il y a 15 ans pour de simples raisons de coût, que j’étais fiché S et que j’avais déclaré suite à l’attentat de Brenton Tarrant que je n’étais qu’à moitié satisfait puisqu’il avait tué 49 musulmans alors qu’eux en avaient tués rien qu’au Bataclan 98 ! Merci donc à ce journal gaucho que tout le monde surnomme « la voix des ploucs ».

Mais vous me connaissez, il m’en faut d’autres pour me décourager. Ce ne sont pas les djihadistes en tout genre qui me font reculer. Ce ne sera pas non plus ces merdias qui me feront baisser les bras ! On n’a pas la presse avec nous ? Pas grave, on se démerde autrement. En tous cas j’estime que j’avais une équipe – que je remercie sincèrement – au top. On a bossé comme des fous, on a fait plein de vidéos pour les réseaux sociaux, les cadres de Reconquête ont été formidables et ont réalisé des vidéos de soutien. On a boîté tous les jours et même sous des trombes d’eau. On s’est rendu dans toutes les manifestations et dans tous les marchés de la circonscription. Encore ce soir on sera là jusque 24 h, et dimanche dans les bureaux de vote. Et on verra bien. Quoi qu’il arrive, on ne sera pas déçu puisque nous avons fait notre maximum dans un temps relativement court.

Donc si je suis au second tour, on rebossera encore une semaine, dans le cas contraire on n’aura aucun regret !




MISE À JOUR COVID : Quelle est la vérité ?

[Source : surgicalneurologyint.com]

Par Russel L. Blaylock
Neurochirurgien retraité, Theoretical Neuroscience Research, LLC, Ridgeland, Mississippi, États-Unis.

Adresse de correspondance :
Russell L. Blaylock, Theoretical Neuroscience Research, LLC, Ridgeland, Mississippi, États-Unis.

DOI : 10.25259/SNI_150_2022Copyright : © 2022 Surgical Neurology International Cet article en libre accès est distribué sous les termes de la licence Creative Commons Attribution-Non Commercial-Share Alike 4.0, qui permet à d’autres de remixer, transformer et s’appuyer sur le travail à des fins non commerciales, comme tant que l’auteur est crédité et que les nouvelles créations sont sous licence aux mêmes conditions.

Comment citer cet article : Blaylock RL. MISE À JOUR COVID : Quelle est la vérité ?. Surg Neurol Int 22-Apr-2022;13:167

Comment citer cette URL : Blaylock RL. MISE À JOUR COVID : Quelle est la vérité ?. Surg Neurol Int 22 avril 2022;13:167. Disponible sur :
https://surgicalneurologyint.com/surgicalint-articles/covid-update-what-is-the-truth/

La pandémie de COVID-19 est l’un des événements de maladies infectieuses les plus manipulés de l’histoire, caractérisé par des mensonges officiels dans un flux sans fin dirigé par les bureaucraties gouvernementales, les associations médicales, les commissions médicales, les médias et les agences internationales. 3 , 6 , 57 ] Nous avons été témoins d’une longue liste d’intrusions sans précédent dans la pratique médicale, y compris des attaques contre des experts médicaux, la destruction de carrières médicales parmi les médecins refusant de participer au meurtre de leurs patients et une réglementation massive des soins de santé, dirigée par des personnes non qualifiées disposant d’une richesse énorme , pouvoir et influence.

Pour la première fois dans l’histoire américaine, un président, des gouverneurs, des maires, des administrateurs d’hôpitaux et des bureaucrates fédéraux déterminent les traitements médicaux non pas sur la base d’informations scientifiques précises ou même sur l’expérience, mais plutôt pour forcer l’acceptation de formes spéciales de soins et de « prévention » – y compris le remdesivir, l’utilisation de respirateurs et finalement une série de vaccins à ARN messager essentiellement non testés. Pour la première fois dans l’histoire du traitement médical, les protocoles ne sont pas formulés sur la base de l’expérience des médecins traitant avec succès le plus grand nombre de patients, mais plutôt d’individus et de bureaucraties qui n’ont jamais traité un seul patient, notamment Anthony Fauci, Bill Gates, EcoHealth Alliance, le CDC, l’OMS, les agents de santé publique des États et les administrateurs d’hôpitaux. 23 , 38 ]

Les médias (télévision, journaux, magazines, etc.), les sociétés médicales, les conseils médicaux des États et les propriétaires des médias sociaux se sont désignés comme la seule source d’information concernant cette soi-disant « pandémie ». Des sites Web ont été supprimés, des médecins cliniciens hautement qualifiés et expérimentés et des experts scientifiques dans le domaine des maladies infectieuses ont été diabolisés, des carrières ont été détruites et toutes les informations dissidentes ont été qualifiées de « désinformation » et de « mensonges dangereux », même lorsqu’elles proviennent des meilleurs experts. dans les domaines de la virologie, des maladies infectieuses, des soins intensifs pulmonaires et de l’épidémiologie. Ces obscurcissements de la vérité se produisent même lorsque ces informations sont étayées par de nombreuses citations scientifiques de certains des spécialistes médicaux les plus qualifiés au monde.23 ] Incroyablement, même des individus, comme le Dr Michael Yeadon, un ancien scientifique en chef à la retraite et vice-président de la division scientifique de la société pharmaceutique Pfizer au Royaume-Uni, qui a accusé la société de fabriquer un vaccin extrêmement dangereux, sont ignorés et diabolisé. De plus, lui, ainsi que d’autres scientifiques hautement qualifiés, ont déclaré que personne ne devrait prendre ce vaccin.

Le Dr Peter McCullough, l’un des experts les plus cités dans son domaine, qui a traité avec succès plus de 2000 patients COVID en utilisant un protocole de traitement précoce (que les soi-disant experts ont complètement ignoré), a été victime d’un assaut particulièrement vicieux par ceux qui bénéficient financièrement des vaccins. Il a publié ses résultats dans des revues à comité de lecture, signalant une réduction de 80 % des hospitalisations et une réduction de 75 % des décès grâce à un traitement précoce. 44 ] Malgré cela, il subit une série d’attaques incessantes de la part des contrôleurs de l’information, dont aucun n’a traité un seul patient.

Ni Anthony Fauci, le CDC, l’OMS ni aucun établissement médical gouvernemental n’ont jamais proposé de traitement précoce autre que le Tylenol, l’hydratation et appeler une ambulance une fois que vous avez des difficultés à respirer. C’est sans précédent dans toute l’histoire des soins médicaux, car le traitement précoce des infections est essentiel pour sauver des vies et prévenir les complications graves. Non seulement ces organisations médicales et ces chiens de garde fédéraux n’ont même pas suggéré un traitement précoce, mais ils ont attaqué quiconque tentait d’initier un tel traitement avec toutes les armes à leur disposition – perte de licence, retrait des privilèges hospitaliers, honte, destruction de réputation et même arrestation. 2 ]

Un bon exemple de cet outrage à la liberté d’expression et à la fourniture d’informations sur le consentement éclairé est la récente suspension par le conseil médical du Maine de la licence médicale du Dr Meryl Nass et l’ordre de se soumettre à une évaluation psychiatrique pour avoir prescrit de l’ivermectine et partagé son expertise. dans ce champ.9 , 65 ] Je connais personnellement le Dr Nass et je peux témoigner de son intégrité, de son intelligence et de son dévouement à la vérité. Ses références scientifiques sont impeccables. Ce comportement d’une commission des licences médicales rappelle la méthodologie du KGB soviétique à l’époque où les dissidents étaient incarcérés dans des goulags psychiatriques pour faire taire leur dissidence.

D’AUTRES ATTAQUES SANS PRÉCÉDENT

Une autre tactique sans précédent consiste à retirer les médecins dissidents de leurs postes de rédacteurs en chef, de réviseurs et à retirer leurs articles scientifiques des revues, même après la publication de ces articles. Jusqu’à cet événement pandémique, je n’ai jamais vu autant d’articles de revues retirés – la grande majorité faisant la promotion d’alternatives au dogme officiel, surtout si les articles remettent en question la sécurité des vaccins. Normalement, un article ou une étude soumis est examiné par des experts dans le domaine, appelé examen par les pairs. Ces critiques peuvent être assez intenses et minutieuses, insistant pour que toutes les erreurs dans le document soient corrigées avant la publication. Ainsi, à moins qu’une fraude ou un autre problème caché majeur ne soit découvert après la publication de l’article, l’article reste dans la littérature scientifique.

Nous assistons maintenant à un nombre croissant d’excellents articles scientifiques, rédigés par les meilleurs experts dans le domaine, qui sont retirés des principales revues médicales et scientifiques des semaines, des mois, voire des années après leur publication. Un examen attentif indique que dans de trop nombreux cas, les auteurs ont osé remettre en question les dogmes acceptés par les contrôleurs des publications scientifiques, notamment en ce qui concerne la sécurité, les traitements alternatifs ou l’efficacité des vaccins. 12 , 63 ] Ces revues s’appuient sur la publicité abondante des sociétés pharmaceutiques pour leurs revenus. Plusieurs cas se sont produits où de puissantes sociétés pharmaceutiques ont exercé leur influence sur les propriétaires de ces revues pour supprimer des articles qui remettaient en question les produits de ces sociétés. 13 , 34 , 35 ]

Pire encore est la conception réelle d’articles médicaux pour la promotion de médicaments et de produits pharmaceutiques qui impliquent de fausses études, des soi-disant articles écrits par des fantômes. 49 , 64 ] Richard Horton est cité par le Guardian comme ayant déclaré que « les journaux se sont transformés en opérations de blanchiment d’informations pour l’industrie pharmaceutique. »13 , 63 ] Des articles frauduleux avérés « écrits par des fantômes » parrainés par des géants pharmaceutiques sont régulièrement publiés dans des revues cliniques de premier plan, telles que JAMA et New England Journal of Medicine, qui ne seront jamais supprimés malgré des abus scientifiques et une manipulation des données prouvés.49 , 63 ]

Les articles écrits par des fantômes impliquent l’utilisation de sociétés de planification dont le travail consiste à concevoir des articles contenant des données manipulées pour soutenir un produit pharmaceutique, puis à faire accepter ces articles par des revues cliniques à fort impact, c’est-à-dire les revues les plus susceptibles d’affecter la prise de décision clinique des médecins. De plus, ils fournissent aux médecins en pratique clinique des réimpressions gratuites de ces articles manipulés. The Guardian a trouvé 250 entreprises engagées dans cette activité d’écriture fantôme. L’étape finale dans la conception de ces articles pour publication dans les revues les plus prestigieuses est de recruter des experts médicaux reconnus dans des institutions prestigieuses, pour ajouter leur nom à ces articles. 11 ]

D’une importance vitale est l’observation par des experts dans le domaine de l’édition médicale que rien n’a été fait pour arrêter ces abus. Les éthiciens médicaux ont déploré qu’en raison de cette pratique répandue, « on ne puisse faire confiance à rien ». Alors que certaines revues insistent sur la divulgation d’informations, la plupart des médecins qui lisent ces articles ignorent ces informations ou les excusent et plusieurs revues rendent la divulgation plus difficile en demandant au lecteur de trouver les déclarations de divulgation à un autre endroit. De nombreuses revues ne contrôlent pas ces déclarations et les omissions des auteurs sont courantes et sans sanction.

En ce qui concerne les informations mises à la disposition du public, la quasi-totalité des médias est sous le contrôle de ces géants pharmaceutiques ou autres qui profitent de cette « pandémie ». Leurs histoires sont toutes les mêmes, à la fois dans le contenu et même dans la formulation. Des dissimulations orchestrées se produisent quotidiennement et des données massives exposant les mensonges générés par ces contrôleurs de l’information sont cachées au public. Toutes les données provenant des médias nationaux (télévision, journaux et magazines), ainsi que les nouvelles locales que vous regardez tous les jours, proviennent uniquement de sources « officielles » – dont la plupart sont des mensonges, des distorsions ou complètement fabriquées à partir de tissu entier – toutes visant à tromper le public.

Les médias télévisés reçoivent la majorité de leur budget publicitaire des sociétés pharmaceutiques internationales, ce qui crée une influence irrésistible pour rapporter toutes les études concoctées soutenant leurs vaccins et autres soi-disant traitements. 14 ] Rien qu’en 2020, les industries pharmaceutiques ont dépensé 6,56 milliards de dollars pour ce type de publicité.13 , 14 ] La publicité Pharma TV s’élevait à 4,58 milliards, un incroyable 75% de leur budget. Cela achète beaucoup d’influence et de contrôle sur les médias. Des experts de renommée mondiale dans tous les domaines des maladies infectieuses sont exclus de l’exposition médiatique et des médias sociaux s’ils s’écartent de quelque manière que ce soit des mensonges et des distorsions concoctés par les fabricants de ces vaccins. De plus, ces sociétés pharmaceutiques dépensent des dizaines de millions en publicité sur les réseaux sociaux, Pfizer étant en tête du peloton avec 55 millions de dollars en 2020.14 ]

Bien que ces attaques contre la liberté d’expression soient suffisamment terrifiantes, pire encore est le contrôle quasi universel que les administrateurs d’hôpitaux ont exercé sur les détails des soins médicaux dans les hôpitaux. Ces mercenaires indiquent maintenant aux médecins les protocoles de traitement auxquels ils adhéreront et les traitements qu’ils n’utiliseront pas, peu importe à quel point les traitements « approuvés » sont nocifs ou à quel point les traitements « non approuvés » sont bénéfiques. 33 , 57 ]

Jamais dans l’histoire de la médecine américaine les administrateurs d’hôpitaux n’ont dicté à leurs médecins comment ils pratiqueront la médecine et quels médicaments ils peuvent utiliser. Le CDC n’a pas le pouvoir de dicter aux hôpitaux ou aux médecins concernant les traitements médicaux. Pourtant, la plupart des médecins s’exécutèrent sans la moindre résistance.

La loi fédérale sur les soins a encouragé cette catastrophe humaine en offrant à tous les hôpitaux américains jusqu’à 39 000 dollars pour chaque patient des soins intensifs qu’ils mettent sous respirateur, malgré le fait qu’au début, il était évident que les respirateurs étaient une cause majeure de décès parmi ces patients confiants et sans méfiance. . De plus, les hôpitaux ont reçu 12 000 dollars pour chaque patient admis aux soins intensifs, ce qui explique, à mon avis et à d’autres, pourquoi toutes les bureaucraties médicales fédérales (CDC, FDA, NIAID, NIH, etc.) ont fait tout ce qui était en leur pouvoir pour empêcher la vie. – économiser les traitements précoces.46 ] Laisser les patients se détériorer au point d’avoir besoin d’être hospitalisés signifiait beaucoup d’argent pour tous les hôpitaux. Un nombre croissant d’hôpitaux sont menacés de faillite, et beaucoup ont fermé leurs portes, avant même cette « pandémie ».50 ] La plupart de ces hôpitaux appartiennent désormais à des sociétés nationales ou internationales, y compris des hôpitaux universitaires.dix ]

Il est également intéressant de noter qu’avec l’arrivée de cette « pandémie », nous avons assisté à une augmentation du nombre de chaînes d’entreprises hospitalières rachetant un certain nombre de ces hôpitaux financièrement à risque.1 , 54 ] Il a été noté que des milliards d’aide fédérale Covid sont utilisés par ces géants hospitaliers pour acquérir ces hôpitaux financièrement menacés, augmentant encore le pouvoir de la médecine d’entreprise sur l’indépendance des médecins. Les médecins expulsés de leurs hôpitaux ont du mal à trouver d’autres membres du personnel hospitalier à rejoindre, car eux aussi peuvent appartenir au même géant. En conséquence, les politiques de mandat de vaccination incluent un nombre beaucoup plus important d’employés hospitaliers. Par exemple, la Mayo Clinic a licencié 700 employés pour avoir exercé leur droit de refuser un vaccin expérimental dangereux, essentiellement non testé. 51 , 57 ] La Mayo Clinic l’a fait malgré le fait que bon nombre de ces employés ont travaillé pendant le pire de l’épidémie et sont licenciés lorsque la variante Omicron est la souche dominante du virus, a la pathogénicité d’un rhume pour la plupart et les vaccins sont inefficaces dans la prévention de l’infection.

De plus, il a été prouvé que la personne vaccinée asymptomatique a un titre nasopharyngé du virus aussi élevé qu’une personne infectée non vaccinée. Si le mandat du vaccin vise à prévenir la propagation du virus parmi le personnel hospitalier et les patients, ce sont les vaccinés qui présentent le plus grand risque de transmission, et non les non vaccinés. La différence est qu’une personne malade non vaccinée n’irait pas travailler, l’épandeur vacciné asymptomatique le fera.

Ce que nous savons, c’est que les principaux centres médicaux, tels que la Mayo Clinic, reçoivent chaque année des dizaines de millions de dollars en subventions des NIH ainsi que des fonds des fabricants pharmaceutiques de ces «vaccins» expérimentaux. À mon avis, c’est la véritable considération qui motive ces politiques. Si cela pouvait être prouvé devant un tribunal, les administrateurs faisant ces mandats devraient être poursuivis dans toute la mesure de la loi et poursuivis par toutes les parties lésées.

Le problème de la faillite des hôpitaux est devenu de plus en plus aigu en raison des mandats de vaccination des hôpitaux et du grand nombre de membres du personnel hospitalier, en particulier des infirmières, qui refusent d’être vaccinés de force. 17 , 51 ] Tout cela est sans précédent dans l’histoire des soins médicaux. Les médecins des hôpitaux sont responsables du traitement de leurs patients individuels et travaillent directement avec ces patients et leurs familles pour initier ces traitements. Des organisations extérieures, telles que le CDC, n’ont aucune autorité pour intervenir dans ces traitements et le faire expose les patients à de graves erreurs de la part d’une organisation qui n’a jamais traité un seul patient COVID-19.

Lorsque cette pandémie a commencé, les hôpitaux ont reçu l’ordre du CDC de suivre un protocole de traitement qui a entraîné la mort de centaines de milliers de patients, dont la plupart se seraient rétablis si des traitements appropriés avaient été autorisés. 43 , 44 ] La majorité de ces décès auraient pu être évités si les médecins avaient été autorisés à utiliser un traitement précoce avec des produits tels que l’ivermectine, l’hydroxy-chloroquine et un certain nombre d’autres médicaments sûrs et composés naturels. Il a été estimé, sur la base des résultats de médecins traitant avec succès les patients les plus covid, que sur les 800 000 personnes dont on nous dit qu’elles sont mortes de Covid, 640 000 auraient non seulement pu être sauvées, mais auraient pu, dans de nombreux cas, retourner à leur pré -l’état de santé de l’infection avait exigé un traitement précoce avec ces méthodes éprouvées. Cette négligence du traitement précoce constitue un meurtre de masse. Cela signifie que 160 000 seraient en fait décédés, bien moins que le nombre de morts aux mains des bureaucraties, des associations médicales et des conseils médicaux qui ont refusé de défendre leurs patients. 43 , 44 ]

Incroyablement, ces médecins compétents ont été empêchés de sauver ces personnes infectées par le Covid-19. Ce devrait être un embarras pour la profession médicale que tant de médecins suivent sans réfléchir les protocoles mortels établis par les contrôleurs de la médecine.

Il faut aussi garder à l’esprit que cet événement n’a jamais rempli les critères d’une pandémie. L’Organisation mondiale de la santé a modifié les critères pour en faire une pandémie. Pour se qualifier pour un statut pandémique, le virus doit avoir un taux de mortalité élevé pour la grande majorité des gens, ce qu’il n’a pas fait (avec un taux de survie de 99,98 %), et il ne doit avoir aucun traitement existant connu – que ce virus avait – dans fait, un nombre croissant de traitements très efficaces.

Les mesures draconiennes mises en place pour contenir cette « pandémie » artificielle ne se sont jamais avérées efficaces, comme le masquage du public, les confinements et la distanciation sociale. Un certain nombre d’études soigneusement menées au cours des saisons grippales précédentes ont démontré que les masques, quels qu’ils soient, n’avaient jamais empêché la propagation du virus parmi le public. 60 ]

En fait, de très bonnes études ont suggéré que les masques propageaient en fait le virus en donnant aux gens un faux sentiment de sécurité et d’autres facteurs, tels que l’observation que les gens brisaient constamment la technique stérile en touchant leur masque, en l’enlevant de manière inappropriée et en laissant échapper des agents infectieux. aérosols autour des bords du masque. De plus, des masques étaient jetés dans les parkings, les sentiers pédestres, posés sur les tables des restaurants et placés dans les poches et les sacs à main.

Quelques minutes après la mise en place du masque, un certain nombre de bactéries pathogènes peuvent être cultivées à partir des masques, ce qui expose la personne immunodéprimée à un risque élevé de pneumonie bactérienne et les enfants à un risque plus élevé de méningite. 16 ] Une étude menée par des chercheurs de l’Université de Floride a mis en culture plus de 11 bactéries pathogènes de l’intérieur du masque porté par les enfants dans les écoles.[ 40 ]

On savait également que les enfants ne couraient pratiquement aucun risque de tomber malades du virus ou de le transmettre.

De plus, il était également connu que le port du masque pendant plus de 4 heures (comme cela se produit dans toutes les écoles) entraînait une hypoxie (faible taux d’oxygène dans le sang) et une hypercapnie (taux de CO2 élevés) importantes, qui ont de nombreux effets délétères sur la santé, y compris entraver le développement du cerveau de l’enfant.4 , 72 , 52 ]

Nous savons que le développement du cerveau se poursuit longtemps après les années d’école primaire. Une étude récente a révélé que les enfants nés pendant la « pandémie » ont un QI nettement inférieur, mais les conseils scolaires, les directeurs d’école et les autres bureaucrates de l’éducation ne sont évidemment pas concernés.18 ]

LES OUTILS DU MÉTIER D’ENDOCTRINATION

Les concepteurs de cette pandémie anticipaient un refoulement du public et que de grandes questions embarrassantes seraient posées. Pour éviter cela, les contrôleurs ont nourri les médias d’un certain nombre de tactiques, l’une des plus couramment utilisées était et reste l’escroquerie de «vérification des faits». À chaque confrontation avec des preuves soigneusement documentées, les «vérificateurs des faits» des médias ont répliqué avec l’accusation de «désinformation» et une accusation infondée de «théorie du complot» qui a été, dans leur lexique, «démystifiée». On ne nous a jamais dit qui étaient les vérificateurs de faits ou la source de leurs informations de «démystification» – nous devions simplement croire les «vérificateurs de faits». Une récente affaire judiciaire a établi sous serment que les « vérificateurs de faits » de Facebook ont ​​utilisé l’opinion de leur propre personnel et non de vrais experts pour vérifier les « faits ».59 ] Lorsque des sources sont en fait révélées, il s’agit invariablement du CDC corrompu, de l’OMS ou d’Anthony Fauci ou simplement de leur opinion. Voici une liste de choses qui ont été qualifiées de « mythes » et de « désinformation » qui se sont avérées plus tard vraies.

  • Les vaccinés asymptomatiques propagent le virus de la même manière que les infectés symptomatiques non vaccinés.
  • Les vaccins ne peuvent pas protéger adéquatement contre les nouvelles variantes, telles que Delta et Omicron.
  • L’immunité naturelle est de loin supérieure à l’immunité vaccinale et dure très probablement toute la vie.
  • Non seulement l’immunité vaccinale diminue après plusieurs mois, mais toutes les cellules immunitaires sont altérées pendant de longues périodes, ce qui expose les vaccinés à un risque élevé d’infections et de cancer.
  • Les vaccins COVID peuvent provoquer une incidence significative de caillots sanguins et d’autres effets secondaires graves
  • Les partisans du vaccin exigeront de nombreux rappels à mesure que chaque variante apparaîtra sur la scène.
  • Fauci insistera sur le vaccin covid pour les petits enfants et même les bébés.
  • Des passeports de vaccination seront nécessaires pour entrer dans une entreprise, voler dans un avion et utiliser les transports en commun
  • Il y aura des camps d’internement pour les non vaccinés (comme en Australie, en Autriche et au Canada)
  • Les non-vaccinés se verront refuser un emploi.
  • Il existe des accords secrets entre le gouvernement, les institutions élitistes et les fabricants de vaccins
  • De nombreux hôpitaux étaient soit vides, soit peu occupés pendant la pandémie.
  • La protéine de pointe du vaccin pénètre dans le noyau de la cellule, altérant la fonction de réparation de l’ADN cellulaire.
  • Des centaines de milliers de personnes ont été tuées par les vaccins et beaucoup plus ont été endommagées de façon permanente.
  • Un traitement précoce aurait pu sauver la vie de la plupart des 700 000 personnes décédées.
  • La myocardite induite par le vaccin (qui a été niée initialement) est un problème important et disparaît en peu de temps.
  • Des lots mortels spéciaux (lots) de ces vaccins sont mélangés à la masse d’autres vaccins Covid-19

Plusieurs de ces affirmations de ceux qui s’opposent à ces vaccins apparaissent maintenant sur le site Web du CDC, la plupart encore identifiées comme des «mythes». Aujourd’hui, de nombreuses preuves ont confirmé que chacun de ces soi-disant «mythes» était en fait vrai. Beaucoup sont même admis par le « saint des vaccins », Anthony Fauci. Par exemple, on nous a dit, même par notre président déficient cognitif, qu’une fois le vaccin sorti, toutes les personnes vaccinées pourraient enlever leur masque. Oops! On nous a dit peu de temps après que les vaccinés ont des concentrations élevées (titres) du virus dans le nez et la bouche (nasopharynx) et peuvent transmettre le virus à d’autres personnes avec lesquelles ils entrent en contact, en particulier les membres de leur propre famille. Reprenez les masques – en fait, le double masquage est recommandé. 27 , 42 , 45 ]

Une autre tactique des partisans du vaccin consiste à diaboliser ceux qui refusent de se faire vacciner pour diverses raisons. Les médias qualifient ces personnes à l’esprit critique d' »anti-vaccins », de « négationnistes des vaccins », de « résistants aux vaccins », de « meurtres », d' »ennemis du plus grand bien » et de ceux qui prolongent la pandémie. J’ai été consterné par les attaques vicieuses, souvent sans cœur, de certaines personnes sur les réseaux sociaux lorsqu’un parent ou un être cher raconte l’histoire de la terrible souffrance et de la mort éventuelle qu’eux-mêmes ou leur proche ont subies à cause des vaccins. Certains psychopathes tweetent qu’ils sont heureux que l’être cher soit décédé ou que la personne vaccinée décédée soit un ennemi du bien pour avoir raconté l’événement et devrait être interdite. C’est difficile à conceptualiser. Ce niveau de cruauté est terrifiant et signifie l’effondrement d’une morale, décente,

C’est déjà assez grave pour le public de tomber aussi bas, mais les médias, les dirigeants politiques, les administrateurs d’hôpitaux, les associations médicales et les conseils d’administration des licences médicales agissent de la même manière moralement dysfonctionnelle et cruelle.

LA LOGIQUE, LE RAISONNEMENT ET LES PREUVES SCIENTIFIQUES ONT DISPARU DANS CET ÉVÉNEMENT

Les preuves scientifiques, les études soigneusement menées, l’expérience clinique et la logique médicale ont-elles eu un effet sur l’arrêt de ces vaccins inefficaces et dangereux ? Absolument pas! Les efforts draconiens pour vacciner tout le monde sur la planète se poursuivent (sauf l’élite, les postiers, les membres du Congrès et autres initiés).31 , 62 ]

Dans le cas de tous les autres médicaments et vaccins conventionnels antérieurs examinés par la FDA, les décès autrement inexpliqués de 50 personnes ou moins entraîneraient un arrêt de la distribution du produit, comme cela s’est produit en 1976 avec le vaccin contre la grippe porcine. Avec plus de 18 000 décès signalés par le système VAERS pour la période du 14 décembre 2020 au 31 décembre 2021 ainsi que 139 126 blessures graves (y compris les décès) pour la même période, il n’y a toujours aucun intérêt à arrêter ce programme de vaccination mortelle. 61 ] Pire encore, aucune agence gouvernementale n’a mené d’enquête sérieuse pour déterminer pourquoi ces personnes meurent et sont gravement et définitivement blessées par ces vaccins.15 , 67 ] Ce que nous voyons est une série continue de dissimulations et d’évasions par les fabricants de vaccins et leurs promoteurs.

La guerre contre les médicaments et les composés naturels efficaces, bon marché et très sûrs, qui ont prouvé sans aucun doute qu’ils ont sauvé des millions de vies partout dans le monde, s’est non seulement poursuivie, mais s’est intensifiée. 32 , 34 , 43 ]

Les médecins sont informés qu’ils ne peuvent pas fournir ces composés vitaux à leurs patients et s’ils le font, ils seront retirés de l’hôpital, verront leur licence médicale retirée ou seront punis de nombreuses autres manières. Un grand nombre de pharmacies ont refusé de remplir les ordonnances d’lvermectine ou d’hydroxychloroquine, alors que des millions de personnes ont pris ces médicaments en toute sécurité pendant plus de 60 ans dans le cas de l’hydroxychloroquine et des décennies pour l’ivermectine.33 , 36 ] Ce refus de remplir les ordonnances est sans précédent et a été conçu par ceux qui veulent empêcher les méthodes alternatives de traitement, toutes basées sur la protection de l’expansion du vaccin pour tous. Plusieurs entreprises qui fabriquent de l’hydroxychloroquine ont accepté de vider leurs stocks de médicament en les faisant don au Stock national stratégique, ce qui rend ce médicament beaucoup plus difficile à obtenir. 33 ] Pourquoi le gouvernement ferait-il cela alors que plus de 30 études bien faites ont montré que ce médicament réduisait les décès de 66% à 92% dans d’autres pays, comme l’Inde, l’Égypte, l’Argentine, la France, le Nigeria, l’Espagne, le Pérou, le Mexique, et d’autres?23 ]

Les détracteurs de ces deux médicaments qui sauvent des vies sont le plus souvent financés par Bill Gates et Anthony Fauci, qui gagnent tous deux des millions grâce à ces vaccins.48 , 15 ]

Pour arrêter davantage l’utilisation de ces médicaments, l’industrie pharmaceutique et Bill Gates/Anthony Fauci ont financé de fausses recherches pour prouver que l’hydroxychloroquine était un médicament dangereux et pouvait endommager le cœur. 34 ] Pour rendre ce cas frauduleux, les chercheurs ont administré au plus malade des patients covid une dose presque mortelle du médicament, à une dose bien supérieure à celle utilisée sur n’importe quel patient covid par le Dr Kory, McCullough et d’autres médecins, médecins « réels » et compatissants qui traitaient réellement des patients covid.23 ]

Bien sûr, les médias contrôlés et tout-petits ont martelé le public avec des histoires sur l’effet mortel de l’hydroxychloroquine, le tout avec un air terrifié de fausse panique. Toutes ces histoires de dangers de l’ivermectine se sont avérées fausses et certaines d’entre elles étaient incroyablement absurdes. 37 , 43 ]

L’attaque contre l’ivermectine a été encore plus vicieuse que contre l’hydroxy-chloroquine. Tout cela, et bien plus encore, est méticuleusement relaté dans l’excellent nouveau livre de Robert Kennedy, Jr. Le vrai Anthony Fauci. Bill Gates, Big Pharma et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique .32 ] Si vous êtes vraiment concerné par la vérité et par tout ce qui s’est passé depuis que cette atrocité a commencé, vous devez non seulement lire, mais étudier attentivement ce livre. Il est entièrement référencé et couvre tous les sujets de manière très détaillée. Il s’agit d’une tragédie humaine aux proportions bibliques conçue par certains des psychopathes les plus vils et sans cœur de l’histoire.

Des millions de personnes ont été délibérément tuées et paralysées, non seulement par ce virus artificiel, mais par le vaccin lui-même et par les mesures draconiennes utilisées par ces gouvernements pour « contrôler la propagation de la pandémie ». Il ne faut pas ignorer les « morts par désespoir » causées par ces mesures draconiennes, qui peuvent dépasser des centaines de milliers. En conséquence, des millions de personnes sont mortes de faim dans les pays du tiers monde. Rien qu’aux États-Unis, sur les 800 000 morts, revendiqués par les bureaucraties médicales, bien plus de 600 000 de ces décès étaient le résultat de la négligence délibérée d’un traitement précoce, bloquant l’utilisation de médicaments réutilisés hautement efficaces et sûrs, tels que l’hydroxy- la chloroquine et l’ivermectine, et l’utilisation forcée de traitements mortels tels que le remdesivir et l’utilisation de ventilateurs.

Pour aggraver tout cela, en raison des mandats de vaccination parmi tout le personnel hospitalier, des milliers d’infirmières et d’autres travailleurs hospitaliers ont démissionné ou ont été licenciés. 17 , 30 , 51 ] Cela a entraîné des pénuries critiques de ces travailleurs de la santé vitaux et des réductions dangereuses de lits de soins intensifs dans de nombreux hôpitaux. En outre, comme cela s’est produit dans le système de santé du comté de Lewis, un système hospitalier spécialisé à Lowville, NY, a fermé son unité de maternité à la suite de la démission de 30 membres du personnel hospitalier suite aux commandes de vaccins désastreuses de l’État. L’ironie dans tous ces cas de démissions est que les administrateurs ont accepté sans hésiter ces pertes massives d’effectifs malgré les élucubrations sur le manque d’effectifs en période de « crise ». Cela est particulièrement déroutant lorsque nous avons appris que les vaccins n’empêchaient pas la transmission virale et que la variante prédominante actuelle est d’une pathogénicité extrêmement faible.

LES DANGERS DES VACCINS SONT DE PLUS EN PLUS RÉVÉLÉS PAR LA SCIENCE

Alors que la plupart des chercheurs, virologues, chercheurs en maladies infectieuses et épidémiologistes ont été intimidés au silence, un nombre croissant de personnes hautement intègres et dotées d’une expertise considérable se sont manifestées pour dire la vérité, c’est-à-dire queces vaccins sont mortels.

La plupart des nouveaux vaccins doivent subir des tests de sécurité approfondis pendant des années avant d’être approuvés. Les nouvelles technologies, telles que les vaccins à ARNm et à ADN, nécessitent un minimum de 10 ans de tests minutieux et un suivi approfondi. Ces nouveaux soi-disant vaccins ont été « testés » pendant seulement 2 mois, puis les résultats de ces tests de sécurité ont été et continuent d’être tenus secrets. Le témoignage devant le sénateur Ron Johnson de plusieurs personnes qui ont participé à l’étude de 2 mois indique que pratiquement aucun suivi des participants à l’étude préalable à la libération n’a jamais été effectué.67 ] Les plaintes de complications ont été ignorées et malgré les promesses de Pfizer que toutes les dépenses médicales causées par les « vaccins » seraient payées par Pfizer, ces personnes ont déclaré qu’aucune n’avait été payée.66 ] Certaines dépenses médicales dépassent 100 000 dollars.

À titre d’exemple de la tromperie de Pfizer et des autres fabricants de vaccins à ARNm, citons le cas de Maddie de Garay, 12 ans, qui a participé à l’étude de sécurité préalable à la commercialisation du vaccin Pfizer. Lors de la présentation de la sénatrice Johnson aux familles des victimes du vaccin, sa mère a raconté les crises récurrentes de son enfant, qu’elle est maintenant confinée dans un fauteuil roulant, qu’elle doit être alimentée par sonde et qu’elle souffre de lésions cérébrales permanentes. Sur l’évaluation de la sécurité de Pfizer soumise à la FDA, son seul effet secondaire est répertorié comme ayant un « mal de ventre ». Chaque personne a soumis des histoires horribles similaires.

Les Japonais ont eu recours à un procès FOIA (Freedom of Information Act) pour forcer Pfizer à publier son étude secrète sur la biodistribution. La raison pour laquelle Pfizer voulait que cela reste secret est qu’il a démontré que Pfizer avait menti au public et aux organismes de réglementation sur le sort du contenu du vaccin injecté (le support nano-lipidique enfermé dans l’ARNm). Ils ont affirmé qu’il restait au site de l’injection (l’épaule), alors qu’en fait leur propre étude a révélé qu’il se propageait rapidement dans tout le corps par la circulation sanguine dans les 48 heures.

L’étude a également révélé que ces transporteurs de nano-lipides mortels s’accumulaient à des concentrations très élevées dans plusieurs organes, notamment les organes reproducteurs des hommes et des femmes, le cœur, le foie, la moelle osseuse et la rate (un organe immunitaire majeur). La concentration la plus élevée se trouvait dans les ovaires et la moelle osseuse. Ces transporteurs de nano-lipides ont également été déposés dans le cerveau.

Le Dr Ryan Cole, un pathologiste de l’Idaho, a signalé un pic spectaculaire de cancers très agressifs chez les personnes vaccinées (non rapporté dans les médias). Il a découvert une incidence effroyablement élevée de cancers très agressifs chez les personnes vaccinées, en particulier de mélanomes très invasifs chez les jeunes et de cancers de l’utérus chez les femmes.26 ] D’autres rapports d’activation de cancers précédemment contrôlés apparaissent également chez les patients cancéreux vaccinés. 47 ] Jusqu’à présent, aucune étude n’a été réalisée pour confirmer ces rapports, mais il est peu probable que de telles études soient réalisées, du moins des études financées par des subventions du NIH.

La forte concentration de protéines de pointe trouvée dans les ovaires dans l’étude de biodistribution pourrait très bien altérer la fertilité chez les jeunes femmes, modifier les menstruations et les exposer à un risque accru de cancer de l’ovaire. La concentration élevée dans la moelle osseuse pourrait également exposer les vaccinés à un risque élevé de leucémie et de lymphome. Le risque de leucémie est très inquiétant maintenant qu’ils ont commencé à vacciner les enfants dès l’âge de 5 ans. Aucune étude à long terme n’a été menée par aucun de ces fabricants de vaccins Covid-19, notamment en ce qui concerne le risque d’induction de cancers. L’inflammation chronique est intimement liée à l’induction, à la croissance et à l’invasion du cancer et les vaccins stimulent l’inflammation.

On dit aux patients cancéreux qu’ils devraient se faire vacciner avec ces vaccins mortels. Ceci, à mon avis, est fou. Des études plus récentes ont montré que ce type de vaccin insère la protéine de pointe dans le noyau des cellules immunitaires (et très probablement de nombreux types de cellules) et une fois là, inhibe deux enzymes de réparation de l’ADN très importantes, BRCA1 et 53BP1, dont le devoir est de réparer dommages à l’ADN de la cellule.29 ] Les dommages à l’ADN non réparés jouent un rôle majeur dans le cancer.

Il existe une maladie héréditaire appelée xeroderma pigmentosum dans laquelle les enzymes de réparation de l’ADN sont défectueuses. Ces personnes malheureuses développent de multiples cancers de la peau et une incidence très élevée de cancers d’organes en conséquence. Ici, nous avons un vaccin qui fait la même chose, mais à un degré moins étendu.

L’une des enzymes de réparation défectueuses causées par ces vaccins est appelée BRCA1, qui est associée à une incidence significativement plus élevée de cancer du sein chez les femmes et de cancer de la prostate chez les hommes.

  • Il convient de noter qu’aucune étude n’a jamais été réalisée sur plusieurs aspects critiques de ce type de vaccin.
  • Ils n’ont jamais été testés pour les effets à long terme
  • Ils n’ont jamais été testés pour l’induction de l’auto-immunité
  • Ils n’ont jamais été correctement testés pour leur sécurité à n’importe quel stade de la grossesse
  • Aucune étude de suivi n’a été réalisée sur les bébés de femmes vaccinées
  • Il n’y a pas d’études à long terme sur les enfants de femmes enceintes vaccinées après leur naissance (surtout lorsque des étapes neurodéveloppementales se produisent).
  • Il n’a jamais été testé pour ses effets sur une longue liste de conditions médicales :
  • Diabète
  • Cardiopathie
  • Athérosclérose
  • Maladies neurodégénératives
  • Effets neuropsychiatriques
  • Induction des troubles du spectre autistique et de la schizophrénie
  • Fonction immunitaire à long terme
  • Transmission verticale des défauts et désordres
  • Cancer
  • Maladies auto-immunes

L’expérience antérieure avec les vaccins contre la grippe démontre clairement que les études de sécurité réalisées par les chercheurs et les médecins cliniciens liés aux sociétés pharmaceutiques étaient essentiellement toutes soit mal faites, soit délibérément conçues pour montrer à tort la sécurité et dissimuler les effets secondaires et les complications. Cela a été démontré de façon spectaculaire avec les fausses études mentionnées précédemment, conçues pour indiquer que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine étaient inefficaces et trop dangereuses à utiliser. 34 , 36 , 37 ] Ces fausses études ont entraîné des millions de décès et de graves catastrophes sanitaires dans le monde. Comme indiqué, 80 % de tous les décès n’étaient pas nécessaires et auraient pu être évités avec des médicaments réutilisés, sûrs et peu coûteux, avec un très long historique de sécurité parmi des millions de personnes qui les ont pris pendant des décennies, voire toute leur vie. 43 , 44 ]

Il est au-delà de l’ironie que ceux qui prétendent être responsables de la protection de notre santé aient approuvé un ensemble de vaccins mal testés qui a entraîné plus de décès en moins d’un an d’utilisation que tous les autres vaccins combinés administrés au cours des 30 dernières années. Leur excuse lorsqu’ils ont été confrontés était – « nous avons dû négliger certaines mesures de sécurité parce que c’était une pandémie mortelle ».28 , 46 ]

En 1986, le président Reagan a signé la National Childhood Vaccine Injury Act, qui accordait une protection générale aux fabricants pharmaceutiques de vaccins contre les litiges pour blessures intentés par les familles des personnes blessées par le vaccin. La Cour suprême, dans un avis de 57 pages, s’est prononcée en faveur des sociétés de vaccins, permettant effectivement aux fabricants de vaccins de fabriquer et de distribuer des vaccins dangereux, souvent inefficaces à la population sans crainte de conséquences juridiques. Le tribunal a insisté sur un système d’indemnisation des blessures causées par les vaccins qui n’a versé qu’un très petit nombre de récompenses à un grand nombre de personnes gravement blessées. On sait qu’il est très difficile de recevoir ces récompenses. Selon la Health Resources and Services Administration, depuis 1988, le Vaccine Injury Compensation Program (VICP) a accepté de payer 3 597 indemnités parmi 19, 098 personnes blessées par le vaccin ont fait une demande pour un montant total de 3,8 milliards de dollars. C’était avant l’introduction des vaccins Covid-19, dont les décès à eux seuls dépassent tous les décès liés à tous les vaccins confondus sur une période de trente ans.

En 2018, le président Trump a promulgué la loi sur le «droit d’essayer» qui autorisait l’utilisation de médicaments expérimentaux et de tous les traitements non conventionnels en cas de conditions médicales extrêmes. Comme nous l’avons vu avec le refus de nombreux hôpitaux et même le refus général des États d’autoriser l’ivermectine, l’hydroxy-chloroquine ou toute autre méthode «officielle» non approuvée pour traiter même les cas terminaux de Covid-19, ces individus infâmes ont ignoré cette loi.

Étrangement, ils n’ont pas utilisé cette même logique ou la même loi en ce qui concerne l’ivermectine et l’hydroxychloroquine, qui ont toutes deux subi des tests de sécurité approfondis par plus de 30 études cliniques de haute qualité et ont donné des rapports élogieux sur l’efficacité et la sécurité dans de nombreux pays. . De plus, nous avions un dossier d’utilisation allant jusqu’à 60 ans par des millions de personnes, utilisant ces médicaments dans le monde entier, avec un excellent bilan de sécurité. Il était évident qu’un groupe de personnes très puissantes en collaboration avec des conglomérats pharmaceutiques ne voulait pas que la pandémie se termine et voulait que les vaccins soient la seule option de traitement. Le livre de Kennedy présente ce cas en utilisant de nombreuses preuves et citations. 14 , 32 ]

Le Dr James Thorpe, expert en médecine materno-fœtale, démontre que ces vaccins covoid-19 administrés pendant la grossesse ont entraîné une incidence de fausse couche 50 fois plus élevée que celle rapportée avec tous les autres vaccins combinés. 28 ] Lorsque nous examinons son graphique sur les malformations fœtales, il y avait une incidence 144 fois plus élevée de malformations fœtales avec les vaccins Covid-19 administrés pendant la grossesse par rapport à tous les autres vaccins combinés. Pourtant, l’American Academy of Obstetrics and Gynecology et l’American College of Obstetrics and Gynecology approuvent l’innocuité de ces vaccins à tous les stades de la grossesse et chez les femmes qui allaitent leur bébé.

Il convient de noter que ces groupes de spécialités médicales ont reçu un financement important de la société pharmaceutique Pfizer. L’American College of Obstetrics and Gynecology, juste au 4ème trimestre de 2010, a reçu un total de 11 000 $ de la seule société pharmaceutique Pfizer.70 ] Le financement des subventions du NIH est beaucoup plus élevé.20 ] La meilleure façon de perdre ces subventions est de critiquer la source des fonds, leurs produits ou programmes pour animaux de compagnie. Peter Duesberg, en raison de son audace à remettre en question la théorie favorite de Fauci sur le sida causé par le virus du VIH, n’a plus reçu aucune des 30 demandes de subvention qu’il a soumises après avoir été rendues publiques. Avant cet épisode, en tant que principale autorité sur les rétrovirus dans le monde, il n’avait jamais été refusé pour une subvention du NIH. 39 ] C’est ainsi que fonctionne le système « corrompu », même si une grande partie de l’argent des subventions provient de nos impôts.

LOTS CHAUDS — LOTS MORTELS DE VACCINS

Une nouvelle étude a maintenant fait surface, dont les résultats sont terrifiants.25 ] Un chercheur de l’Université de Kingston à Londres, a réalisé une analyse approfondie des données des VAER (un sous-département du CDC qui recueille des données volontaires sur les complications des vaccins), dans laquelle il a regroupé les décès signalés à la suite des vaccins en fonction des numéros de lot du fabricant des vaccins. . Les vaccins sont fabriqués en grandes quantités appelées lots. Ce qu’il a découvert, c’est que les vaccins sont divisés en plus de 20 000 lots et qu’un sur 200 de ces lots (lots) est manifestement mortel pour quiconque reçoit un vaccin de ce lot, qui comprend des milliers de doses de vaccin.

Il a examiné tous les vaccins fabriqués – Pfizer, Moderna, Johnson et Johnson (Janssen), etc. Il a découvert que sur 200 lots de vaccins de Pfizer et d’autres fabricants, un lot sur 200 s’est avéré plus de 50 fois plus mortel que les vaccins. lots provenant d’autres lots. Les autres lots de vaccins (lots) provoquaient également des décès et des incapacités, mais loin d’être à ce point. Ces lots mortels auraient dû apparaître au hasard parmi tous les « vaccins » s’il s’agissait d’un événement non intentionnel. Cependant, il a constaté que 5% des vaccins étaient responsables de 90% des événements indésirables graves, y compris des décès. L’incidence des décès et des complications graves parmi ces « lots chauds » variait de plus de 1 000 % à plusieurs milliers de pour cent de plus que les lots comparables plus sûrs. Si vous pensez que c’était par accident, détrompez-vous. Ce n’est pas la première fois que des « lots chauds » étaient, à mon avis, fabriqués et envoyés à dessein à travers le pays, généralement des vaccins conçus pour les enfants. Dans l’un de ces scandales, des «lots chauds» d’un vaccin se sont tous retrouvés dans le même état et les dégâts sont immédiatement devenus évidents. Quelle a été la réponse du fabricant ? Ce n’était pas pour retirer les lots mortels du vaccin. Il a ordonné à son entreprise de disperser les lots chauds à travers le pays afin que les autorités ne voient pas l’effet mortel évident.

Tous les lots d’un vaccin sont numérotés, par exemple Modera les étiquette avec des codes tels que 013M20A. Il a été noté que les numéros de lot se terminaient par 20A ou 21A. Les lots se terminant par 20A étaient beaucoup plus toxiques que ceux se terminant par 21A. Les lots se terminant par 20A ont eu environ 1700 événements indésirables, contre quelques centaines à vingt ou trente événements pour les lots 21A. Cet exemple explique pourquoi certaines personnes ont eu peu ou pas d’effets indésirables après avoir pris le vaccin tandis que d’autres sont soit tuées, soit gravement et définitivement blessées. Pour voir l’explication du chercheur, rendez-vous surhttps://www.bitchute.com/video/6xIYPZBkydsu/À mon avis, ces exemples suggèrent fortement une altération intentionnelle de la production du « vaccin » pour inclure des lots mortels.

J’ai rencontré et travaillé avec un certain nombre de personnes concernées par la sécurité des vaccins et je peux vous dire qu’elles ne sont pas les méchants anti-vaccins qu’on vous dit qu’elles sont. Ce sont des personnes morales, pleines de principes et compatissantes, dont beaucoup sont des chercheurs de haut niveau et des personnes qui ont étudié la question de manière approfondie. Robert Kennedy, Jr, Barbara Lou Fisher, Dr Meryl Nass, Professeur Christopher Shaw, Megan Redshaw, Dr Sherri Tenpenny, Dr Joseph Mercola, Neil Z. Miller, Dr Lucija Tomjinovic, Dr Stephanie Seneff, Dr Steve Kirsch et le Dr Peter McCullough pour n’en nommer que quelques-uns. Ces gens n’ont rien à gagner et beaucoup à perdre. Ils sont violemment attaqués par les médias, les agences gouvernementales et les milliardaires d’élite qui pensent qu’ils devraient contrôler le monde et tous ses habitants.

POURQUOI FAUCI NE VOULAIT-IL AUCUNE AUTOPSIE DE CEUX QUI SONT DÉCÉDÉS APRÈS LA VACCINATION ?

Il y a beaucoup de choses à propos de cette « pandémie » qui sont sans précédent dans l’histoire médicale. L’un des plus surprenants est qu’au plus fort de la pandémie, si peu d’autopsies, en particulier d’autopsies totales, étaient pratiquées. Un virus mystérieux se propageait rapidement dans le monde, un groupe sélectionné de personnes dont le système immunitaire était affaibli tombaient gravement malades et beaucoup mouraient et la seule façon dont nous pouvions rapidement acquérir le plus de connaissances sur ce virus – une autopsie, était découragée.

Guerriero a noté qu’à la fin avril 2020, environ 150 000 personnes étaient décédées, mais il n’y avait que 16 autopsies réalisées et rapportées dans la littérature médicale. 24 ] Parmi celles-ci, seules sept étaient des autopsies complètes, les 9 restantes étant partielles ou par biopsie à l’aiguille ou biopsie incisionnelle. Ce n’est qu’après 170 000 décès par Covid-19 et quatre mois après le début de la pandémie que la première série d’autopsies a été effectivement réalisée, soit plus de dix. Et ce n’est qu’après 280 000 décès et un mois de plus que la première grande série d’autopsies a été réalisée, au nombre d’environ 80.22 ] Sperhake, dans un appel pour que les autopsies soient faites sans poser de questions, a noté que la première autopsie complète rapportée dans la littérature avec des photomicrographies est apparue dans une revue médico-légale de Chine en février 2020.41 , 68 ] Sperhake a exprimé sa confusion quant à la raison pour laquelle il y avait une réticence à effectuer des autopsies pendant la crise, mais il savait que cela ne venait pas des pathologistes. La littérature médicale était jonchée d’appels de pathologistes pour que davantage d’autopsies soient effectuées. 58 ] Sperhake a en outre noté que l’Institut Robert Koch (le système allemand de surveillance de la santé) a au moins initialement déconseillé de faire des autopsies. Il savait également qu’à l’époque, 200 institutions d’autopsie participantes aux États-Unis avaient pratiqué au moins 225 autopsies dans 14 États.

Certains ont affirmé que cette pénurie d’autopsies était basée sur la peur d’infection du gouvernement parmi les pathologistes, mais une étude de 225 autopsies sur des cas de Covid-19 a démontré un seul cas d’infection parmi le pathologiste et il a été conclu qu’il s’agissait d’une infection contractée. autre part.19 ] Guerriero termine son article appelant à davantage d’autopsies par cette observation : « Au coude à coude, les médecins légistes et cliniciens ont surmonté les obstacles des études d’autopsie chez les victimes de Covid-19 et ont ainsi généré des connaissances précieuses sur la physiopathologie de l’interaction entre le SARS-CoV- 2 et le corps humain, contribuant ainsi à notre compréhension de la maladie. »24 ]

Les soupçons concernant la réticence mondiale des nations à autoriser des études post mortem complètes des victimes de Covid-19 peuvent être basés sur l’idée que c’était plus que par hasard. Il y a au moins deux possibilités qui se démarquent. Premièrement, ceux qui ont mené la progression de cet événement « non pandémique » vers une « pandémie mortelle » mondiale perçue, cachaient un secret important que les autopsies pourraient documenter. À savoir, combien de décès ont été réellement causés par le virus ? Pour mettre en œuvre des mesures draconiennes, telles que le port obligatoire de masques, les fermetures, la destruction d’entreprises et finalement la vaccination forcée obligatoire, ils avaient besoin d’un très grand nombre de morts infectés par le covid-19. La peur serait le moteur de tous ces programmes destructeurs de lutte contre la pandémie.

  • Elder et al dans son étude ont classé les résultats de l’autopsie en quatre groupes. 22 ]
  • Mort certaine du Covid-19
  • Probablement la mort du Covid-19
  • Mort probable du Covid-19
  • Non associé au Covid-19, malgré le test positif.

Ce qui a peut-être inquiété ou même terrifié les ingénieurs de cette pandémie, c’est que les autopsies pourraient bien montrer, et ont montré, qu’un certain nombre de ces soi-disant décès de Covid-19 sont en réalité morts de leurs maladies comorbides. Dans la grande majorité des études d’autopsie rapportées, les pathologistes ont noté de multiples conditions comorbides, dont la plupart aux extrêmes de la vie pourraient à elles seules être mortelles. Auparavant, on savait que les virus du rhume avaient une mortalité de 8 % dans les maisons de retraite.

En outre, des preuves précieuses pourraient être obtenues à partir des autopsies qui amélioreraient les traitements cliniques et pourraient éventuellement démontrer l’effet mortel des protocoles mandatés par le CDC que tous les hôpitaux étaient tenus de suivre, tels que l’utilisation de respirateurs et le remdesivir, un médicament mortel qui détruit les reins. . Les autopsies ont également démontré une accumulation d’erreurs médicales et de soins de mauvaise qualité, car le fait de protéger les médecins des unités de soins intensifs des yeux des membres de la famille conduit inévitablement à des soins de moindre qualité, comme l’ont rapporté plusieurs infirmières travaillant dans ces domaines. 53 – 55 ]

Aussi mauvais que tout cela ait été, la même chose est faite dans le cas des décès dus au vaccin Covid – très peu d’autopsies complètes ont été effectuées pour comprendre pourquoi ces personnes sont mortes, c’est-à-dire jusqu’à récemment. Deux chercheurs hautement qualifiés, le Dr Sucharit Bhakdi, microbiologiste et expert hautement qualifié en maladies infectieuses, et le Dr Arne Burkhardt, pathologiste faisant autorité et ayant été professeur de pathologie dans plusieurs institutions prestigieuses, ont récemment pratiqué des autopsies sur 15 personnes ayant mort après vaccination. Ce qu’ils ont trouvé explique pourquoi tant de personnes meurent et subissent des dommages aux organes et des caillots sanguins mortels. 5 ]

Ils ont déterminé que 14 des quinze personnes sont décédées des suites des vaccins et non d’autres causes. Le Dr Burkhardt, le pathologiste, a observé de nombreuses preuves d’une attaque immunitaire sur les organes et les tissus des individus autopsiés, en particulier leur cœur. Cette preuve comprenait une invasion étendue de petits vaisseaux sanguins avec un nombre massif de lymphocytes, qui provoquent une destruction cellulaire importante lorsqu’ils sont libérés. D’autres organes, tels que les poumons et le foie, ont également été gravement endommagés. Ces découvertes indiquent que les vaccins amenaient le corps à s’attaquer avec des conséquences mortelles. On peut facilement voir pourquoi Anthony Fauci, ainsi que les agents de santé publique et tous ceux qui font la promotion de ces vaccins, ont publiquement découragé les autopsies sur les vaccinés décédés par la suite. On peut aussi voir que dans le cas des vaccins, qui étaient essentiellement non testés avant d’être approuvés pour le grand public, au moins les organismes de réglementation auraient dû être tenus de surveiller et d’analyser attentivement toutes les complications graves, et certainement les décès, liés à ces vaccins. La meilleure façon de le faire est d’effectuer des autopsies complètes.

Bien que nous ayons appris des informations importantes de ces autopsies, ce qui est vraiment nécessaire, ce sont des études spéciales des tissus de ceux qui sont décédés après la vaccination pour la présence d’infiltration de protéines de pointe dans les organes et les tissus. Ce serait une information critique, car une telle infiltration entraînerait de graves dommages à tous les tissus et organes impliqués, en particulier le cœur, le cerveau et le système immunitaire. Des études animales l’ont démontré. Chez ces individus vaccinés, la source de ces protéines de pointe serait les porteurs nanolipidiques injectés de l’ARNm produisant la protéine de pointe.

CONCLUSION

Nous vivons tous l’un des changements les plus drastiques de notre culture, de notre système économique et de notre système politique de l’histoire de notre nation ainsi que du reste du monde. On nous a dit que nous ne reviendrions jamais à la « normale » et qu’une grande réinitialisation a été conçue pour créer un « nouvel ordre mondial ». Tout cela a été décrit par Klaus Schwab, chef du Forum économique mondial, dans son livre sur la « grande réinitialisation ».66 ] Ce livre donne beaucoup d’informations sur la pensée des utopistes qui sont fiers de revendiquer cette «crise» pandémique comme leur moyen d’inaugurer un nouveau monde. Ce nouvel ordre mondial est sur les planches à dessin des manipulateurs d’élite depuis plus d’un siècle.73 , 74 ] Dans cet article, je me suis concentré sur les effets dévastateurs que cela a eu sur le système de soins médicaux aux États-Unis, mais aussi sur une grande partie du monde occidental. Dans des articles antérieurs, j’ai discuté de la lente érosion des soins médicaux traditionnels aux États-Unis et de la façon dont ce système est devenu de plus en plus bureaucratisé et enrégimenté. sept , 8 ] Ce processus s’accélérait rapidement, mais l’apparition de cette « pandémie » fabriquée, à mon avis, a transformé notre système de santé du jour au lendemain.

Comme vous l’avez vu, une série d’événements sans précédent s’est produite au sein de ce système. Les administrateurs d’hôpitaux, par exemple, ont assumé la position de dictateurs médicaux, ordonnant aux médecins de suivre des protocoles dérivés non pas de ceux qui ont une vaste expérience dans le traitement de ce virus, mais plutôt d’une bureaucratie médicale qui n’a jamais traité un seul patient COVID-19. L’utilisation obligatoire de respirateurs sur les patients des soins intensifs Covid-19, par exemple, a été imposée dans tous les systèmes médicaux et les médecins dissidents ont été rapidement démis de leurs fonctions de soignants, malgré leur démonstration de méthodes de traitement nettement améliorées. De plus, les médecins ont été invités à utiliser le médicament remdesivir malgré sa toxicité avérée, son manque d’efficacité et son taux de complications élevé. On leur a dit d’utiliser des médicaments qui nuisent à la respiration et de masquer chaque patient, malgré les difficultés respiratoires du patient. Dans chaque cas, ceux qui ont refusé d’abuser de leurs patients ont été renvoyés de l’hôpital et ont même fait face à une perte de licence ou pire.

Pour la première fois dans l’histoire de la médecine moderne, le traitement médical précoce de ces patients infectés a été ignoré à l’échelle nationale. Des études ont montré qu’un traitement médical précoce permettait d’économiser 80 % du nombre plus élevé de ces personnes infectées lorsqu’il était initié par des médecins indépendants.43 , 44 ] Un traitement précoce aurait pu sauver plus de 640 000 vies au cours de cette « pandémie ». Malgré la démonstration de la puissance de ces premiers traitements, les forces de contrôle des soins médicaux ont poursuivi cette politique destructrice.

Les familles n’étaient pas autorisées à voir leurs proches, obligeant ces personnes très malades hospitalisées à affronter seules leur mort. Pour ajouter l’insulte à l’injure, les funérailles étaient limitées à quelques membres de la famille en deuil, qui n’étaient même pas autorisés à s’asseoir ensemble. Pendant tout ce temps, les grands magasins, tels que Walmart et Cosco, étaient autorisés à fonctionner avec des restrictions minimales. Les patients des maisons de soins infirmiers n’étaient pas non plus autorisés à recevoir des visites familiales, étant à nouveau forcés de mourir seuls. Pendant tout ce temps, dans un certain nombre d’États, le plus transparent étant celui de New York, des personnes âgées infectées ont été délibérément transférées des hôpitaux vers des maisons de retraite, ce qui a entraîné un taux de mortalité très élevé chez ces résidents de maisons de retraite. Au début de cette « pandémie », plus de 50 % de tous les décès survenaient dans des maisons de retraite.

Tout au long de cette « pandémie », nous avons été nourris d’une série interminable de mensonges, de distorsions et de désinformation de la part des médias, des responsables de la santé publique, des bureaucraties médicales (CDC, FDA et OMS) et des associations médicales. Des médecins, des scientifiques et des experts en traitements infectieux qui ont formé des associations visant à développer des traitements plus efficaces et plus sûrs, ont été régulièrement diabolisés, harcelés, honteux, humiliés et subissent une perte de licence, une perte de privilèges hospitaliers et, dans au moins un cas, ordonné de subir un examen psychiatrique.2 , 65 , 71 ]

Anthony Fauci a reçu le contrôle essentiellement absolu de toutes les formes de soins médicaux lors de cet événement, notamment en insistant pour que les médicaments dont il a bénéficié soient utilisés par tous les médecins traitants. Il a ordonné l’utilisation de masques, bien qu’il se soit d’abord moqué de l’utilisation de masques pour filtrer un virus. Les gouverneurs, les maires et de nombreuses entreprises ont suivi ses ordres sans poser de questions.

Les mesures draconiennes utilisées, le masquage, les verrouillages, les tests des personnes non infectées, l’utilisation du test PCR inexact, la distanciation sociale et la recherche des contacts s’étaient auparavant avérées peu ou pas utiles lors des pandémies précédentes, mais toutes les tentatives de rejeter ces méthodes n’ont servi à rien. Certains États ont ignoré ces ordonnances draconiennes et ont enregistré le même nombre de cas ou moins, ainsi que des décès, que les États avec les mesures les plus strictement appliquées. Encore une fois, aucune preuve ou démonstration évidente dans ce sens n’a eu d’effet sur la fin de ces mesures socialement destructrices. Même lorsque des pays entiers, comme la Suède, qui ont évité toutes ces mesures, ont démontré des taux d’infections et d’hospitalisation égaux à ceux des nations avec les mesures les plus strictes et les plus draconiennes, aucun changement de politique de la part des institutions de contrôle n’a eu lieu.

Les experts en psychologie des événements destructeurs, tels que les effondrements économiques, les catastrophes majeures et les pandémies précédentes, ont démontré que les mesures draconiennes s’accompagnent d’un coût énorme sous la forme de « morts de désespoir » et d’une augmentation spectaculaire des troubles psychologiques graves. Les effets de ces mesures pandémiques sur le développement neurologique des enfants sont catastrophiques et en grande partie irréversibles.

Au fil du temps, des dizaines de milliers de personnes pourraient mourir à la suite de ces dommages. Même lorsque ces prédictions ont commencé à apparaître, les contrôleurs de cette « pandémie » ont continué à toute vapeur. Augmentation drastique des suicides, augmentation de l’obésité, augmentation de la consommation de drogue et d’alcool, aggravation de nombreuses mesures sanitaires et augmentation terrifiante des troubles psychiatriques, notamment la dépression et l’anxiété, ont été ignorés par les responsables contrôlant cet événement.

Nous avons finalement appris que de nombreux décès étaient le résultat de négligence médicale. Les personnes atteintes de maladies chroniques, de diabète, de cancer, de maladies cardiovasculaires et de maladies neurologiques n’étaient plus suivies correctement dans leurs cliniques et cabinets médicaux. Les opérations non urgentes ont été suspendues. Beaucoup de ces patients ont choisi de mourir chez eux plutôt que de risquer d’aller à l’hôpital et beaucoup ont considéré les hôpitaux comme des « maisons de la mort ».

Les registres des décès ont montré qu’il y avait une augmentation des décès chez les personnes âgées de 75 ans et plus, principalement expliquée par les infections à Covid-19, mais pour les personnes âgées de 65 à 74 ans, les décès avaient augmenté bien avant le début de la pandémie. 69 ] Entre 18 ans et 65 ans, les dossiers démontrent une hausse choquante des décès non-Covid-19. Certains de ces décès s’expliquent par une augmentation spectaculaire des décès liés à la drogue, quelque 20 000 de plus qu’en 2019. Les décès liés à l’alcool ont également augmenté de manière substantielle et les homicides ont augmenté de près de 30 % dans le groupe des 18 à 65 ans.

Le chef de la compagnie d’assurance OneAmerica a déclaré que leurs données indiquaient que le taux de mortalité des personnes âgées de 18 à 64 ans avait augmenté de 40 % au cours de la période pré-pandémique.21 ] Scott Davidson, PDG de la société, a déclaré que cela représentait le taux de mortalité le plus élevé de l’histoire des dossiers d’assurance, qui collecte chaque année de nombreuses données sur les taux de mortalité. Davidson a également noté que cette augmentation du taux de mortalité n’avait jamais été observée dans l’histoire de la collecte de données sur les décès. Les catastrophes précédentes d’une ampleur monumentale n’ont augmenté les taux de mortalité que de 10%, 40% est sans précédent.

Le Dr Lindsay Weaver, médecin-chef de l’Indiana, a déclaré que les hospitalisations dans l’Indiana sont plus élevées qu’à tout moment au cours des cinq dernières années. Ceci est d’une importance cruciale puisque les vaccins étaient censés réduire considérablement les décès, mais c’est l’inverse qui s’est produit. Les hôpitaux sont inondés de complications liées aux vaccins et de personnes dans un état critique à cause de la négligence médicale causée par les fermetures et d’autres mesures pandémiques. 46 , 56 ]

Un nombre dramatique de ces personnes meurent maintenant, le pic se produisant après l’introduction des vaccins. Les mensonges de ceux qui se sont nommés dictateurs médicaux sont sans fin. D’abord, on nous a dit que le confinement ne durerait que deux semaines, ils ont duré plus d’un an. Ensuite, on nous a dit que les masques étaient inefficaces et n’avaient pas besoin d’être portés. Cela s’est vite inversé. Ensuite, on nous a dit que le masque en tissu était très efficace, maintenant ce n’est plus le cas et tout le monde devrait porter un masque N95 et avant cela, ils devraient porter un double masque. On nous a dit qu’il y avait une grave pénurie de respirateurs, puis nous découvrons qu’ils sont inutilisés dans les entrepôts et dans les dépotoirs de la ville, toujours dans leurs caisses d’emballage. Nous avons été informés que les hôpitaux étaient principalement remplis de personnes non vaccinées et nous avons découvert plus tard que c’était exactement le contraire dans le monde entier.

Lors de la sortie des vaccins, les femmes ont été informées que les vaccins étaient sûrs pendant tous les stades de la grossesse, seulement pour découvrir qu’aucune étude n’avait été réalisée sur la sécurité pendant la grossesse lors des «tests de sécurité» avant la sortie du vaccin. On nous a dit que des tests minutieux sur des volontaires avant l’approbation de l’EUA pour un usage public ont démontré l’extrême sécurité des vaccins, seulement pour apprendre que ces malheureux sujets n’étaient pas suivis, que les complications médicales causées par les vaccins n’étaient pas payées et que les médias couvraient tout cela .67 ] Nous avons également appris que les fabricants pharmaceutiques des vaccins avaient été informés par la FDA que d’autres tests sur les animaux n’étaient pas nécessaires (le grand public serait les cobayes.) Incroyablement, on nous a dit que les nouveaux vaccins à ARNm de Pfizer avaient été approuvés par la FDA. , qui était une tromperie de couperet, en ce qu’un autre vaccin avait l’approbation (comirnaty) et non celui utilisé, le vaccin BioNTech. Le vaccin communautaire approuvé n’était pas disponible aux États-Unis. Les médias nationaux ont déclaré au public que le vaccin Pfizer avait été approuvé et n’était plus classé comme expérimental, un mensonge flagrant. Ces mensonges mortels continuent. Il est temps d’arrêter cette folie et de traduire ces personnes en justice.

Clause de non-responsabilité

Les points de vue et opinions exprimés dans cet article sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de la Revue ou de sa direction.

Références

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Enjeux sanitaires : le rôle de l’OMS et de l’UE

[Source : EFVV]

Discussions sur le rôle de l’OMS et de l’UE, crise sanitaire, enjeux et objectifs.

Sommaire de la vidéo :
00:09 – Introduction
18:36 – L’évolution de la mission de l’OMS
37:29 – OMS : nouveau traité ou amendement ?
57:28 – Conclusion et ouverture


Ouvrages et enquêtes sur le système onusien, de Jean-Loup IZAMBERT :
– ONU violations humaines ( éd. Carnot, 2003)
– Faut-il brûler l’ONU? ( éd. du Rocher, 2004)
– Trump face à l’Europe – Peut-on éviter une nouvelle guerre mondiale? ( éd. IS Edition, 2017)

Enquêtes parues en deux tomes sur les protections et le soutien de l’Etat français à des groupes terroristes :
56 tome 1, l’Etat français complice de groupes criminels (IS Edition, 2015)
56, tome 2, Mensonges et crimes d’ Etat ( IS Edition, 2017)


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Législatives : des candidats ont répondu FORMELLEMENT OUI à la réintégration des soignants

Trop peu de candidats dénoncent le martyre des soignants suspendus. Il nous semble possible, si chaque citoyen envoie ce questionnaire aux candidats de sa circonscription, de préciser quels sont les candidats susceptibles d’améliorer la situation de l’hôpital et d’embarrasser la majorité présidentielle et ses alliés félons responsables de son état catastrophique ! 

Ce questionnaire est tiré de l’article de Nicole Delépine :

https://reaction19.fr/droit-de-pensee/art-dinformer/nicole-et-gerard-delepine/delepine-2022/delepine-juin-2022/020622-programme-sante-et-reintegration-des-soignants-au-coeur-des-preoccupations-des-francais-dr-nicole-delepine/

https://nouveau-monde.ca/appel-aux-candidats-deputes-sur-les-mesures-urgentes-a-prendre-en-matiere-de-sante/

Quelques candidats ont répondu positivement et méritent d’être soutenus :


Comme Karine DUBARRY Circonscription : 3E DE L’AIN

Karine Dubarry <karine.dubarry.01@orange.fr>

« Candidate sur la 3e circonscription de l’Ain je réponds à votre questionnaire ci-dessous : mes réponses les plus sincères (oui à chaque question).

J’ai rencontré des collectifs anti pass, anti vacc, solidarité et vendredi les infirmières en colères à bourg

Je suis très préoccupée par tous ces sujets, je suis contre l’obligation vaccinale, contre le pass sanitaire et vaccinal, je ne suis pas vaccinée moi-même et trouve intolérable la façon dont a été traité le personnel hospitalier. Des sacs poubelles quand ça arrange et dehors quand ça répond plus à leurs demandes

J’ai vu avec beaucoup d’inquiétudes passer la porte de mon agence de travail temporaire, des infirmières qui ne pouvaient plus exercer et qui me demandaient de travailler à l’usine. Une catastrophe la gestion de notre gouvernement et l’obligation de vacciner nos enfants.

Bref, mes réponses ci-dessous. Merci pour ce contact. Bien à vous

Karine DUBARRY Circonscription : 3E DE L’AIN

Question n° 1

Rendrez-vous aux médecins leur liberté de soigner conforme au serment d’Hippocrate ? OUI

Question n° 2

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre la vaccination obligatoire ? OUI

Question n° 3

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre les tests obligatoires ? OUI

Question n° 4

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de remettre en place un confinement ? OUI

Question n° 5

Exigerez-vous le retrait immédiat de l’arrêté du 25 mai 2022 qui interdit le traitement de la variole du singe ? OUI

Question n° 6

Supprimerez-vous immédiatement le passe sanitaire et l’obligation du test PCR à l’entrée des hôpitaux ? OUI INADMISSIBLE

Question n° 7

Abolirez-vous l’obligation du masque à l’hôpital pour les soignants et les soignés ? OUI

Question n° 8

Réintégrerez-vous les soignants suspendus immédiatement et en leur versant tous les salaires en retard qui leur sont dus ? OUI et avec une augmentation d’ailleurs

Question n° 9

Libérerez-vous les soignants en général et les infirmières en particulier de la « persécution » des cadres qui les empêche de se consacrer pleinement aux malades ? OUI

Question n° 10

Paierez-vous à la hauteur de leur investissement les médecins et les soignants en général ? OUI

Question n° 11

Redirigerez-vous vers les soins plutôt que vers la bureaucratie les 11,2 % du PIB actuellement utilisés pour la santé ? OUI

Question n° 12

Mettrez-vous un terme à la gestion « entrepreneuriale » et à l’obsession des « économies » dans les hôpitaux publics et privés ? OUI plus de moyens !!! plutôt que des économies


Naoual Hamzaoui

Envoyé le : mercredi 8 juin 2022 20:58
Objet : réponses Questions

« Reconquête vient de me faire parvenir votre mail. Je suis à 200 % pour le soutien du personnel soignant.

Malheureusement Madame Borne qui se présente dans ma circonscription 6, dans le Calvados va gagner pour laisser sa place à son suppléant. Bien évidemment je ferai tout pour l’hôpital. Cordialement » V Dupont 0683875815

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“Madame,

Je suis Naoual Hamzaoui, candidate pour le Mouvement de la Ruralité. LMR

Sur la 3ème circonscription du Val-de-Marne (94), nous avons le grand hôpital de Villeneuve-Saint-Georges. J’ai pu visiter les urgences de l’hôpital et en effet le constat est lourd de sens. L’hôpital est malade ! Nous manquons cruellement de soignants. Les services d’urgence sont saturés. Le personnel hospitalier est fatigué. Tout ça, au détriment des patients. 

Le Mouvement de la Ruralité vous soutient et sachez que nous sommes proches de vous et de la réalité du terrain. Je souhaite un aboutissement positif dans vos requêtes ! Le 12 juin prochain, je compte sur vous pour faire entendre nos voix”

Bien cordialement Naoual Hamzaoui

La réintégration des soignants au cœur des préoccupations des Français

2 juin 2022 Nicole Delépine DICTATURE SANITAIRE 4

02/06/2022 (2022-06-02)

Par Nicole Delépine

Qu’en est-il des candidats aux législatives ?

La non-réintégration des #SoignantsSuspendus dans un système hospitalier à l’agonie est au-delà de la faute politique. En l’état de la science sur les vaccins Covid et de leur incapacité à protéger de la maladie, il s’agit d’un crime organisé !

11:57 PM · 31 mai 2022·Twitter @medicalfollower

Questionnaire aux candidats. Les mettre au pied du mur pour savoir de quel côté ils seront : soignants-soignés ou gouvernement ?

La santé dont on nous rebat les oreilles pour dire que l’été sera chaud dans les hôpitaux publics en l’absence d’un nombre suffisant de soignants et de médecins est cruellement absente des législatives. L’exigence de réintégration des soignants abusivement suspendus sans justification scientifique devrait être au premier plan de tous les programmes.

Notons que la Martinique a voté à l’unanimité la réintégration des soignants.

Un candidat en Essonne aux législatives nous informe que sur douze candidats il serait le seul à mettre la santé au cœur de son programme dans sa circonscription.

www.listecitoyenne-essonne.fr

Malheureusement nous craignons que ce soit le cas général

Nous vous proposons donc sur suggestion d’un correspondant motivé J H. des questions à poser à vos candidats dont certaines sont capitales comme la réintégration des soignants. Une réponse à chaque question par oui ou non est intéressante, mais libre à vous de demander en direct à l’occasion d’une rencontre un développement justifiant leurs réponses.

Voici les questions proposées :

12 questions aux candidats aux élections législatives sur les mesures urgentes à prendre en matière de santé.
Merci d’y répondre et de renvoyer les réponses à 
nicole.delepine1@gmail.com OU AU SITE DE PUBLICATION DE L’ARTICLE à votre choix ou de publier un article vous-même sur ce sujet

Si les réponses sont suffisamment nombreuses, nous vous en ferons un compte-rendu.

Question n° 1

Rendrez-vous aux médecins leur liberté de soigner conforme au serment d’Hippocrate ?

OUI — NON

Question n° 2

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre la vaccination obligatoire ? 

OUI — NON

Question n° 3

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre les tests obligatoires ? 

OUI — NON

Question n° 4

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de remettre en place un confinement ? 

OUI — NON

Question n° 5

Exigerez-vous le retrait immédiat de l’arrêté du 25 mai 2022 qui interdit le traitement de la variole du singe ?

OUI — NON

Question n° 6

Supprimerez-vous immédiatement le passe sanitaire à l’entrée des hôpitaux ? 

OUI — NON

Question n° 7

Abolirez-vous l’obligation du masque à l’hôpital pour les soignants et les soignés ? 

OUI — NON

Question n° 8

Réintégrerez-vous les soignants suspendus immédiatement et en leur versant tous les salaires en retard qui leur sont dus ? 

OUI — NON

Question n° 9

Libérerez-vous les soignants en général et les infirmières en particulier de la « persécution » des cadres qui les empêche de se consacrer pleinement aux malades ? 

OUI — NON

Question n° 10

Paierez-vous décemment les médecins et les soignants en général ? 

OUI — NON

Question n° 11

Redirigerez-vous vers les soins plutôt que vers la bureaucratie les 11,2 % du PIB actuellement utilisés pour la Santé ? 

OUI — NON

Question n° 12

Mettrez-vous un terme à la gestion « entrepreneuriale » et à l’obsession des « économies » dans les hôpitaux publics et privés ? 

OUI — NON

IL EST URGENT D’INFORMER NOTRE NOUVELLE MINISTRE DE LA SANTÉ SUR LES VRAIES RAISONS DE LA CHUTE DU SYSTÈME DE SANTÉ


Mickael Guettier, candidat dans le calvados et ses réponses


Nicolas Dupont-Aignan

Objet : Questionnaire législatives politique sanitaire — NDA

Chère Madame,  Veuillez trouver ci-joint les réponses de M. DUPONT-AIGNAN à votre questionnaire. Bien cordialement.

Questionnaire 

 Nom et prénom du candidat : DUPONT-AIGNAN Nicolas

Circonscription : 8ème de l’Essonne

 Question n° 1 Rendrez-vous aux médecins leur liberté de soigner conforme au serment d’Hippocrate ? OUI

 Question n° 2 Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre la vaccination obligatoire ? OUI

 Question n° 3 Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre les tests obligatoires ? OUI

 Question n° 4 Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de remettre en place un confinement ? OUI

 Question n° 5 Exigerez-vous le retrait immédiat de l’arrêté du 25 mai 2022 qui interdit le traitement de la variole du singe ? OUI

 Question n° 6 Supprimerez-vous immédiatement le passe sanitaire et l’obligation du test PCR à l’entrée des hôpitaux ? OUI

 Question n° 7 Abolirez-vous l’obligation du masque à l’hôpital pour les soignants et les soignés ? OUI

 Question n° 8 Réintégrerez-vous les soignants suspendus immédiatement et en leur versant tous les salaires en retard qui leur sont dus ? OUI 

Question n° 9 Libérerez-vous les soignants en général et les infirmières en particulier de la « persécution » des cadres qui les empêche de se consacrer pleinement aux malades ? OUI

 Question n° 10 Paierez-vous décemment les médecins et les soignants en général ? OUI

 Question n° 11 Redirigerez-vous vers les soins plutôt que vers la bureaucratie les 11,2 % du PIB actuellement utilisés pour la santé ? OUI

 Question n° 12 Mettrez-vous un terme à la gestion « entrepreneuriale » et à l’obsession des « économies » dans les hôpitaux publics et privés ? OUI


Je vous relaie l’initiative de Caroline Fiat de FI. C’est une option possible.

Quoi qu’il en soit, votez pour ceux-là ou d’autres pour empêcher la marche forcée qui nous attend si on les laisse rassembler une majorité. Force et courage. E.R.


Bonjour, 

ci-joint le questionnaire aux candidats 

Je suis directement concernée en tant que médecin « suspendue » ..cordialement  Dr Véronique Rogez  06 87 24 47 65 


Christine PASTOR

Bonjour Madame,

Je suis candidate pour Le Mouvement de la Ruralité dans la 3ème circonscription du Doubs et on m’a fait suivre votre article. Je réponds à la suite à vos questions et vous assure de tout mon soutien aux soignants suspendus (cf la première mesure de mon projet : https://www.christinepastor.fr/

Je suis par ailleurs signataire de la Charte de l’Élu ReCiProC (https://reciproc.org/).1

Je vous souhaite une excellente fin de journée. Bien à vous,

Christine PASTOR

Question n° 1 Rendrez-vous aux médecins leur liberté de soigner conforme au serment d’Hippocrate ?OUI

Question n° 2 Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre la vaccination obligatoire ?OUI

Question n° 3 Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre les tests obligatoires ?OUI

Question n° 4  Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de remettre en place un confinement ?OUI

Question n° 5  Exigerez-vous le retrait immédiat de l’arrêté du 25 mai 2022 qui interdit le traitement de la variole du singe ?OUI

Question n° 6 Supprimerez-vous immédiatement le passe sanitaire à l’entrée des hôpitaux ?OUI

Question n° 7 Abolirez-vous l’obligation du masque à l’hôpital pour les soignants et les soignés ?OUI

Question n° 8 Réintégrerez-vous les soignants suspendus immédiatement et en leur versant tous les salaires en retard qui leur sont dus ?OUI

Question n° 9  Libérerez-vous les soignants en général et les infirmières en particulier de la « persécution » des cadres qui les empêche de se consacrer pleinement aux malades ?OUI

Question n° 10  Paierez-vous décemment les médecins et les soignants en général ?OUI

Question n° 11 Redirigerez-vous vers les soins plutôt que vers la bureaucratie les 11,2 % du PIB actuellement utilisés pour la Santé ?OUI

Question n° 12  Mettrez-vous un terme à la gestion « entrepreneuriale » et à l’obsession des « économies » dans les hôpitaux publics et privés ?OUI

CONCLUSION PROVISOIRE

Voici les réponses reçues à ce jour (omettant peut-être quelques spams ou blocages)

Ces réponses sont encourageantes, mais il faut en susciter davantage en informant directement les candidats et en leur faisant comprendre que les électeurs veulent des réponses claires et positives pour retrouver confiance dans les politiques.

Mais le mieux, le plus humain est de contacter vous-même vos candidats pour leur demander leur position, et le cas échéant les informer directement de la situation tragique dans laquelle nous sommes et tenter de faire sortir les citoyens et leurs futurs représentants de l’indifférence.

Sortons de la résignation, de l’impression que nous ne pouvons rien faire. LES SOLUTIONS SONT DANS NOS MAINS. Nous sommes des millions, les tyrans ne sont que quelques milliers.

Le grand écart du pouvoir et l’indifférence citoyenne — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traîtres n’est pas victime ! Il est complice.

Georges Orwell

Seule la liberté des médecins et soignants peut sauver la médecine pour les malades — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

1 Charte de l’élu — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Par ReCiProC

« Nous faisons aujourd’hui face à une profonde crise de la représentativité qui génère une défiance et met dangereusement en cause aussi bien notre démocratie que la cohésion de notre pays.

Afin d’éviter que cette crise de confiance ne s’aggrave, il est urgent de redonner confiance aux Français en leurs institutions et particulièrement en leurs députés. Pour y parvenir, les députés doivent impérativement retrouver leur indépendance et remplir trois rôles majeurs qui relèvent leur fonction, soit :

Contrôler l’action du gouvernement et non lui obéir de façon intolérable, comme nous l’avons vécu ces 5 dernières années,

S’assurer que les lois votées sont conformes à notre Constitution et aux engagements internationaux de la France en matière de droits de l’Homme et de protection de la personne et, notamment, la Convention d’Oviedo,

Voter des lois visant à améliorer la vie des Français et non à obéir aux ordres d’E. Macron et de cabinets de conseil mondialistes.

À cette fin, ReCiProC propose pour les élections législatives à venir une solution simple et pragmatique, sous la forme d’une démarche citoyenne et apartisane traduite dans une Charte intitulée “Charte pour la protection des citoyens et pour le respect de la Constitution” ou, plus simplement, “Charte de l’élu”.




Seule la liberté des médecins et soignants peut sauver la médecine pour les malades

[Voir aussi sur la-verite-vous-rendra-libres.org]

Par le Dr Gérard Delépine, le 8 juin 2022  

L’échec des politiques sanitaires des 20 dernières années

D’après l’OCDE la France est l’un des pays qui consacre le plus de richesse aux dépenses de santé en pourcentage du PIB avec 12,4 %(([1] https://www.vie-publique.fr/fiches/37910-depenses-de-sante-par-rapport-au-pib)) derrière les USA (17 %), avec la Suisse et l’Allemagne. Mais alors qu’en 2000 nous figurions à la première place du classement OMS(([2] https://www.universalis.fr/encyclopedie/sante-le-systeme-de-sante-francais/2-le-parcours-de-soins/)), celui de 2021 nous a rétrogradé en 16e position, juste avant l’Italie.(([3] https://international-leader.com/classement-2021-des-6-pays-ayant-le-meilleur-systeme-de-sante-au-monde/)) Ce déclassement hospitalier de la France a été abondamment illustré par des attentes devenues interminables aux urgences se terminant parfois par la mort. Les très nombreuses grèves et manifestations d’appel au secours de soignants pendant plusieurs mois ont a été méprisées par le gouvernement Macron et n’ont reçu comme réponse que gaz lacrymogène et flash balls.  

Le Ségur de la santé de juillet 2020 n’a été qu’une parodie de discussion sans aucune décision permettant de remotiver les personnels et deux organisations syndicales ont signalé :

« l’absence de mesures efficaces pour les médecins en début de carrière et plus largement pour tous ceux qui assurent des gardes. »  

La dictature sanitaire de ces deux dernières années

Lors de cette crise Covid, le gouvernement craignait que l’incapacité de l’hôpital de répondre aux besoins prévus de la population ne démontre à celle-ci la gravité des dégâts occasionnés par sa politique sanitaire passée.  

Au lieu de remettre en question celle-ci, le ministère en a profité pour imposer des mesures de coercition inefficaces et au total infiniment plus coûteuses qu’une remise en état du système sanitaire.  

La maltraitance accrue des médecins a atteint des sommets incroyables avec la négation gouvernementale du rôle de l’examen clinique par les médecins de ville (n’allez pas voir votre docteur !), l’interdiction de prescrire les médicaments qu’ils estimeraient utiles (tels que la chloroquine, les antibiotiques, l’Ivermectine, la vitamine D etc..), la recommandation du Doliprane, l’incitation au meurtre par le décret Rivotril, la propagande officielle pour le Remdesevir et ses invraisemblables achats par la Commission européenne et dans une moindre proportion par l’État français (achats liés apparemment aux conflits d’intérêts de certains membres du comité scientifique, et alors que ce remdesevir a été déclaré médicament inefficace et dangereux par l’OMS), l’établissement d’une censure généralisée dans les médias et Internet et le rétablissement du délit d’opinion pour les médecins(([4] Avec poursuites intentées par l’ordre des médecins contre les docteurs dont les propos s’opposent à la propagande officielle comme Raoult, Perrone et les autres lanceurs d ‘alerte.)), la propagande sans limite et les chantages permanents aux libertés élémentaires pour forcer la population à se faire injecter des médicaments expérimentaux mensongèrement qualifiés de vaccin, culminant avec l’obligation pour les soignants et de nombreux autres professionnels de se faire injecter ces produits incapables de protéger de la maladie ni de la transmission et potentiellement dangereux.  

Comme le souligne le rapport du Sénat(([5] http://www.senat.fr/seances/s202102/s20210210/s20210210005.html#Niv1_SOM4)):

« Doit être aussi questionné l’hyper-présidentialisme, qui voit se concentrer autour d’un seul un conseil de défense, un conseil scientifique, un comité d’analyse et de recherche, puis un autre conseil scientifique sur les vaccins épaulé par trois cabinets de conseil privés, …et dont le fonctionnement reste opaque, sans contrôle public du Parlement et des acteurs du territoire ».  

En période de pénurie avérée, exclure des soignants sous un prétexte fallacieux est criminel !  

Désormais incapables d’exercer leur métier en respectant le serment d’Hippocrate auquel ils sont viscéralement attachés, beaucoup de confrères ont préféré démissionner, se faire exclure de la profession ou prendre une retraite anticipée. Ils sont en réalité beaucoup plus nombreux que les 15000 exclus que reconnaît le ministre de la Santé qui fait semblant d’ignorer les démissions, les retraites anticipées et les changements de carrière vers les métiers non soignants (de la recherche, de la fonction publique ou des laboratoires pharmaceutiques) ou même étrangers au secteur médical.  

Ces soignants ne sont pas des antivax comme le gouvernement le répète en permanence car la plupart ont, au cours de leur carrière, largement conseillé et vacciné leurs patients et se sont fait injecter de vrais vaccins : ce sont des vaccino prudents. La prudence s’impose en effet devant une mise sur le marché totalement précipitée de ces substances en essai thérapeutique, en moins d’un an, avant la fin des essais phase 3 alors qu’il faut en moyenne 10 à 15 ans pour de vrais vaccins.  

Le bienfondé de cette prudence a été malheureusement rapidement confirmé par les complications (officiellement imprévues)(([6] Mais dont les documents Pfizer cachés ont démontré que les premières semaines d’essai avaient révélé toutes ces complications rapides et parfois mortelles. Le mur de mensonges se lézarde depuis que la justice américaine a rendu obligatoire la diffusion des documents secrets des essais.
Les DOCUMENTS SECRETS DES ESSAIS PFIZER révèlent DEUX FOIS PLUS DE DECES PARMI LES VACCINES que les non injectés | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com)  ))(([7] Pfizer’s Documents – Public Health and Medical Professionals for Transparency (phmpt.org)  )) qu’ont subies les premiers soignants à se faire injecter, au point que la HAS pourtant très favorable à la pseudo-vaccination a dû recommander de « NE PAS « VACCINER » EN MEME TEMPS TOUS LES SOIGNANTS D’UN SERVICE » pour éviter les fermetures provisoires des dits services.  

La liste colossale des complications recensées en Europe par Eudravigilance, aux USA par le VAERS mais aussi en Grande-Bretagne, en Israël, et la divulgation grâce à la justice américaine du dossier Pfizer de la FDA montrent que ces injections ont été suivies en 16 mois de plus de morts et de séquelles graves que toutes les vaccinations depuis 30 ans.

De plus ces complications ont été imposées sans aucun bénéfice autre que celui des laboratoires pharmaceutiques qui avaient prétendu que leurs vaccins étaient efficaces à 97 %, alors que les données publiées par l’OMS montrent que depuis les grandes campagnes de « vaccination » le nombre des contaminations mondiales a été multiplié par 6,5 (de 83 millions le 31/12/2020 à 532 millions le 6/6/22) et celui des morts attribuées au Covid19 par 3,5 (de 1,8 million au 31/12/2020 à 6,28 au 6/6/2022).  

Eliminer des soignants pour des injections qu’ils refusent car elles ne les protègeraient pas plus que leurs contacts de la maladie tout en leur faisant courir des risques, est éthiquement et médicalement incompréhensible.  

Ces soignants exclus sont aussi victimes de leur honnêteté : du fait de leur profession il leur était particulièrement facile de faire semblant de se faire vacciner comme beaucoup de politiques et de journalistes, mais leur éthique leur a interdit de faire ou d’utiliser de faux certificats.(([8] Espagne : Vaccinés pour de faux : la liste de tous les chanteurs, sportifs et hommes d’affaires ayant fait l’objet d’une enquête dans le cadre de l’ »opération Jenner ». – Résistance (resistance-mondiale.com)  )) Mais ces mêmes politiques osent prétendre qu’ils manqueraient d’éthique !  

Pour l’urgentiste Christophe Prudhomme suspendre les soignants, « c’est catastrophique au niveau sanitaire ». Le Dr Patrick Pelloux, président de l’Association des Médecins Urgentistes de France (AMUF a lui, plaidé pour un retour des non-vaccinés dans les hôpitaux jugeant que la situation est « catastrophique ». « Il y a le feu au lac ! La crise que vit l’hôpital est historique. Dans ce contexte, on ne peut pas se passer des 15 000 personnes suspendues » mais manifestement le ministère de la santé les considère comme de simples médecins ignorants des réalités virtuelles dans lesquelles vit le gouvernement.  

Début juin 2022, au moins 120 services d’urgence sont incapables d’assurer une continuité de service avec des difficulté majeures à boucler les listes de garde, une pénurie permanente d’effectifs médicaux et paramédicaux, un absentéisme fortement augmenté…  

Même choses pour les services de psychiatrie et d’obstétrique et de nombreux autres services.  

Les blocs opératoires ont dû réduire leurs activités retardant d’autant des interventions urgentes et encore davantage les opérations courantes.  

En même temps, en médecine de ville, les déserts médicaux se multiplient et les revendications ont pris de l’ampleur.

Et l’été approche avec les absences dues aux vacances qui aggraveront la situation.  

La qualité de la médecine et son attractivité nécessitent la liberté.  

Ayant exercé la médecine puis la chirurgie pendant près de cinquante ans j’ai vécu une période heureuse où je pouvais prescrire et opérer librement sous ma responsabilité directe. Je pouvais respecter le serment d’Hippocrate et assurer les meilleurs soins aux malades selon l’état de la science, mon expérience et mon imagination.  

Certes je m’exposais aux foudres d’un Conseil de l’Ordre peu ouvert aux progrès(([9] Ainsi en 1986 on me reprocha de ne pas amputer les malades atteints de cancer des membres car il s’agissait «d’une  méthode non validée par la science » alors qu’elle s’est depuis imposée dans tous les pays riches. ))(([10] Plainte contre le Pr Raoult : moi aussi j’ai eu affaire au Conseil de l’Ordre…
https://ripostelaique.com/plainte-contre-le-pr-raoult-moi-aussi-jai-eu-affaire-au-conseil-de-lordre.html )), mais jamais l’administration ne s’immisçait dans mes indications. Et les malades témoignaient leur reconnaissance avec des sourires, des remerciements, des petits cadeaux souvenirs ; comme fromage ou vin de leur production familial. C’était le bonheur d’être utile, passionné et libre.  

Mais dans les années 1990 l’exercice médical est devenu plus difficile, car le coût à court terme est devenu la priorité absolue des gestionnaires hospitaliers.

Un jour, je n’ai obtenu la prise en charge d’une prothèse nécessaire pour éviter l’amputation d’un malade qu’en menaçant le directeur de l’hôpital (qui la refusait) d’organiser une quête nationale avec exposé des motifs dans les journaux !

Le malade a pu conserver sa jambe, mais mon dossier administratif en a fortement souffert.  

Quelques années plus tard, lors de la retraite de mon épouse, son service de Garches a été fermé alors qu’il pouvait parfaitement(([11] Durant son fonctionnement ce service n’a jamais été l’objet d’une plainte de malades ou de leur famille mais la bureaucratie et ceux que nous dérangions nous ont gratifié d’une dizaine d’audits. Les familles enchainaient manifestations devant le siège de l’aphp ou du ministère et ont même fait une grève de la faim en juin2014 ; la direction fit évacuer ces parents par des CRS…lire « neuf petits lits sur le trottoir » N Delepine ed fauves 2014. )) continuer à traiter les petits malades cancéreux grâce aux compétences reconnues de ses membres plus jeunes. Le directeur de l’APHP avait décidé de dédier ses établissements à la « Recherche », (celle des subsides de l’industrie pharmaceutique qui rémunère les établissements et les médecins) au lieu de se consacrer à remplir en premier lieu la mission de l’hôpital, les soins.  

Les dangers immédiats exigent un changement de méthode  !  

Deux ans après la pseudo concertation du Ségur de la santé(([12] Les Contes de Ségur, revus et corrigés par O. Véran. Communication ou véritable réforme ? | FranceSoir  )), c’est la totalité des soignants – des étudiants aux médecins et autres soignants en exercice, des prestataires de santé à domicile aux EHPAD – qui se demandent s’ils pourront enfin traiter leurs malades dans des conditions décentes de liberté et de qualité.  

La « perte de repères » qu’ils vivent vient d’être illustrée par l’enquête Odoxa pour la MNH(([13] Perception des Français et des professionnels de santé sur l’hôpital, le système de santé et l’attractivité des métiers de la santé
http://www.odoxa.fr/wp-content/uploads/2022/05/CP-MNH.pdf  )), montrant aussi qu’une forte majorité d’hospitaliers subissent un niveau de stress « inacceptable »..  

Mais au lieu de traiter les vraies causes de cette désaffection croissance des médecins, les solutions autoritaires faciles que proposent les élus mal informés (telles que forcer les praticiens de ville qui restent et qui travaillent souvent 60 heures par semaine à prendre des gardes de nuit, ou obliger les nouveaux praticiens à s’installer dans les déserts médicaux) vont l’aggraver. En voulant rajouter des mesures contraignantes, ils risquent de faire fuir encore davantage les soignants. On n’attire pas les mouches avec du vinaigre !  

Emmanuel Macron a promis 50 000 nouveaux postes d’infirmières et d’aides-soignants sur cinq ans, une promesse qu’il sera bien en peine de réaliser même en titularisant les soignants et tous les médecins étrangers vivants en France alors que les candidats font défaut, à moins de supprimer l’inutile obligation d’injection des soignants et de supprimer le poids administratif qui pèse sur leur exercice quotidien via les cadres de santé, le temps passé sur l’écran pour rien d’efficace et les plannings délirants.  

D’autant que la préparation du projet de loi de financement de la Sécu (PLFSS 2023) se profile avec un parcours d’équilibriste très incertain : le redressement de la Sécu, exsangue (24,6 milliards d’euros de déficit l’an passé) alors que les revendications du secteur n’ont jamais été aussi fortes avec l’inflation approchant les 5 %.  

Dans ce contexte la réintégration immédiate des soignants ignominieusement démis et la suppression de toutes les mesures coercitives inutiles (masques, pass) qui persistent toujours à l’hôpital y compris pour les visiteurs (ce qui rend la vie des soignants encore plus difficile, par honte de cette maltraitance) et les EHPADs sont des mesures peu coûteuses qui pourraient faire immédiatement réapparaitre au moins 20000-30000 soignants et éviter de nombreuses démissions ou arrêts maladies supplémentaires.  

Élisabeth Borne affirme vouloir « des mesures efficaces pour l’été ».  

Mais ces mesures supposent que la ministre rompe définitivement avec son autoritarisme passé qui lui a fait supprimer le contrat de travail des salariés des entreprises recevant du public pour cause de non-vaccination, le tout sans droit au chômage ni au RSA, les transformant de fait en sdf en l’absence de gros soutiens des familles.  

Tout laisse craindre que le dogmatisme, l’autoritarisme et la corruption l’emporteront sur le pragmatisme et que l’été sanitaire sera chaud.  

Et la nouvelle ministre Mme Bourguignon a été formée par O. Véran, ce qui laisse craindre la suite.  

Espérons que nous nous trompons.  


Une injection acceptée, deux, des ennuis, combien en faudra-t-il ? d’autant qu’ils ne tiennent pas compte des « ennuis ». Une collègue injectée pour poursuivre son job a fait une myocardite sévère. On la force à se réinjecter. Comment survivre à une telle violence physique et morale ?

https://twitter.com/Le_General_off_/status/1532730031708983298?s=20

Et si le peuple ne se réveille pas pour soutenir les soignants … :  


Notes et références :  




Le grand écart du pouvoir et l’indifférence citoyenne

Par Nicole Delépine

Pourtant c’est leur peau, votre peau qui sera en jeu, en cas d’occlusion, de fracture, d’avc, d’infarctus… Et là, brutalement, après des heures aux urgences vous comprendrez la gravité de l’arnaque. Ce ne sont pas simplement des chiffres ces lits fermés, ces accidents post vaccinaux, ces suicides de désespoir de soignants, pompiers ou jeunes perdus après le confinement, etc.. Ce sont des gens, votre voisin, votre papa, votre enfant demain… Mais les soignants ne sont qu’une centaine devant le ministère de la Santé pour alerter. Comment est-ce possible ?

Où sont passés les citoyens ? Manifs vides, mais aussi marchés vides et commerçants désespérés, rues désertes… Où sont passés les gens ?

Améliorer les conditions d’exercice pour les soignants ? 45 000 démissions après le 1er confinement 15 000 suspensions par E. Borne en septembre 2021. Exils des soignants en Suisse, en Belgique où les salaires sont nettement supérieurs.

Pénurie de soignants à l’approche de l’été

Alors que la pénurie de soignants oblige les établissements à fermer des lits — à l’hôpital gériatrique La Collégiale à Paris, aux CHU de Rennes et Bordeaux ou encore au sein des services des urgences de quatre centres hospitaliers en Sarthe, les syndicats tirent la sonnette d’alarme.

INDIFFÉRENCE, MAIS AUSSI IRRESPONSABILITÉ GÉNÉRALE

Et pourtant si on réagissait, les soignants, les citoyens et pas seulement quelques-uns… Ils sont quelques milliers ; nous sommes des millions, mais si nous nous soumettons, quel avenir pour nos petits ?

@agnesunivers

voilà ce qui se passe en Belgique : « Sinon, je ne suis pas suspendue, ils ont fait pression, mais comme très peu de soignants ont suivi par peur, ils ont laissé tomber, le nombre de soignants non vax est trop élevé. Ils menacent toujours, mais rien ne bouge 8 h 42 · 7 juin 2022·Twitter

Être informé du risque de manque cruel de personnel soignant dans les hôpitaux, avouer à la population qu’on le sait en inventant une nième MISSION et EN MÊME TEMPS suspendre encore et encore des soignants pourtant injectés, mais non à jour… en d’autres termes pour x raisons ils ont dû refuser la troisième injection.

Si le gouvernement impose la quatrième dose (si E.Macron obtient sa chambre obéissante) combien de personnel restera-t-il dans les hôpitaux et in fine quel est le but de ce délire vaccinatoire ?

Si on peut admettre (et encore) qu’en juillet 2021 quelques-uns pouvaient encore avoir des illusions sur l’efficacité du pseudovaccin, le mythe de l’efficacité et de la protection des contaminations ne tient plus et la liste des effets secondaires graves s’allonge chaque jour. Qui peut l’ignorer ?

Mais la réponse d’E.M. est sidérante : 31 mai “Depuis 5 ans, nous agissons pour améliorer l’accès aux soins et les conditions d’exercice de nos soignants à qui nous devons tant. Il faut aller plus loin, notre système de santé a aujourd’hui besoin d’une révolution. Elle sera collective”.

Et ce soir la ministre annonce qu’elle pourrait donner autorisation de soigner plus vite à des élèves infirmières…. Ça vous inspire et pour les malades et pour elles ! quelles responsabilités !

COMBIEN DE LITS FERMES EN CINQ ANS ? 17 000 Lits

Et ça continue

Une manifestation contre la suspension de 60 agents “pour schéma vaccinal incomplet” prévue mardi à l’hôpital de Montauban | FranceSoir

Mais le plus étonnant n’est pas l’attitude claire des dirigeants aux ordres de Bruxelles et de Big Pharma, mais bien la passivité des citoyens qui permet toutes ces horreurs.

Les soignants de Montauban protestent contre la suspension de collègues injectés mais pas à jour… Peu importe les effets secondaires qu’ils ont subis, peu importe l’inefficacité démontrée et les dangers majeurs de ces pseudovaccins, il faut foncer dans le mur. Les directions qui appliquent sans état d’âme (avoué en tous cas) l’obligation vaccinale imaginent-elles la responsabilité pénale qu’ils prennent aujourd’hui ? Se cacher sous les “ordres d’en haut” ne les protégera pas toujours…

Mais combien de citoyens dans la rue pour soutenir ces nouvelles victimes de l’arbitraire au service de Big Pharma ? Combien de candidats députés hurlent-ils au scandale ?

Regardez la manifestation parisienne : quelques personnes, mais il devrait être des milliers…

De même les collègues qui interdisent d’autres médecins pour avoir soigné, guéri, informé supporteront-ils le poids de leur trahison d’Hippocrate quand un jour ou l’autre ils ouvriront les yeux ?

Luxembourg

https://twitter.com/Le_General_2/status/1504212586656677894?s=20

Aujourd’hui à la sortie du du conseil supérieur de discipline du collège médical au Luxembourg Dr Benoit Ochs condamné à 1 AN d’interdiction d’exercice de la médecine on lui reproche d’avoir soigné des patients pendant la crise de covid et avoir dénoncé les effets sec. du vax ⬇️

Belgique

La gynécologue Docteur Laurence Kayser dénonce les effets secondaires du vaccin Covid haut et fort devant l’Ordre des médecins à Mons ! (Belgique) — PLANETES360

France




ENFANTS EN DANGER ! STOP À L’INDIFFÉRENCE !

Par Nicole Delépine

Les regards se détournent, « Parlez-moi d’autre chose », « Encore un article sur les complications des vax », etc.. « Oui on a compris » et ils sont de moins en moins lus  ! Eh bien non ! Le danger encore plus important guette à court terme si nous laissons faire la Commission européenne et nos dirigeants aux ordres qui veulent injecter dès la rentrée scolaire tous les enfants qui y ont échappé pour l’instant.

Et la phrase terrifiante du chef de l’état en ce début juin : « Il faut vacciner tout ce qui peut être vacciné, parce qu’on évite les virus, on va continuer d’agir sur ce volet ».

Au-delà du mensonge arrogant de ce président qui paraît ignorer que les pseudo vaccins sont incapables de nous faire éviter le virus et du mépris intrinsèque à la formulation « ce qui peut être vacciné », les humains, les poulets, les vaches, ou les hamsters (posons-lui la question), l’intention est clairement avouée = on ne réintégrera pas les soignants, car on veut vacciner tout ce qui traîne…

Il fallait oser quelques jours avant des élections.

Et pourtant l’absence d’obligation pour les députés et sénateurs et plus encore la révélation de ce qu’on soupçonnait depuis longtemps : « Les faux certificats de vaccination pour l’Élite, à eux seuls sont un aveu que ce vaccin est un poison » et qu’ils le savent.
https://www.elmundo.es/madrid/2022/05/25/628df993e4d4d8b1038b456e.html

L’AVENIR INCONNU DES ENFANTS VACCINÉS

Nombre d’enfants de moins de 12 ans vaccinés contre le Covid-19 en France, par classe d’âge, au 18 novembre 2021 :

Et en plus des effets secondaires graves, mais encore rares à court terme, leurs complications d’ici quelques années et le suspense de leur fertilité est évidemment mis en cause. La clique de Davos ne s’en cache pas, elle veut diminuer la population mondiale et se débarrasser des riens, des inutiles, des râleurs, grévistes et autres « déchets » de l’humanité selon eux. Et nous rêvons à un monde nouveau pendant qu’ils injectent… comme nous avons détourné les yeux des scandales de la pédophilie dénoncés par Serge Garde et Laurence Beneux(([1] Au printemps 2000, Serge Garde dans L’Humanité, puis Laurence Beneux dans Le Figaro, révèlent l’existence du CD-Rom de Zandvoort contenant 8 500 documents pédosexuels, et d’un fichier établi par la police hollandaise à partir du CD-Rom, avec 472 photos de mineurs. Qui sont ces enfants en danger ? Des journalistes, des parents, des associations et des professionnels de l’enfance, faute d’obtenir des enquêtes adaptées, vont rechercher et identifier une vingtaine des enfants du fichier. Du côté des institutions, police et justice, c’est la gêne, le dénigrement et parfois la désinformation pour masquer une dépénalisation de fait de la pédosexualité dans de nombreux dossiers. Le Livre de la honte : Les réseaux pédophiles — 12 octobre 2001)), et Carl Zéro(([2] Karl Zéro balance tout 12 décembre 2019 de Karl ZÉRO, Éditions Télémaque/Plon)). Que sont devenus des enfants dont nous n’avons pas voulu connaître le martyr ? Plus de 20 ans déjà.

La majorité de la population y compris les « militants pour un monde meilleur » et de « il faut sauver la planète » se taisent, ignorent ou veulent ignorer le danger majeur des injections à répétition, qui guette nos enfants et petits-enfants. En même temps pourrait-on dire, qu’elle ignore l’euthanasie des vieux, et des malades déclarés incurables (pour leur bien évidemment). Et en même temps la population ignore le sacrifice des nouveau-nés, des fœtus, largement facilité par les modifications de la loi bioéthique.(([3] L’infanticide au cœur de l’eugénisme de la Nouvelle Société. — Pro Fide Catholica
(https://profidecatholica.com/2022/06/06/linfanticide-au-coeur-de-leugenisme-de-la-nouvelle-societe/?amp=1)
On impose masques et vaccins de la manière la plus intrusive possible et simultanément, on défend le droit d’euthanasier des bébés dans la période périnatale au nom des droits de disposer de son c…))

Avant même d’imposer à tous cette piqûre toxique(([4] http://videos.senat.fr/video.2908931_628cbfd4c67cf.declaration-analyse-et-communication-autour-des-effets-indesirables-des-vaccins-contre-la-covid-19)) (et comment l’ignorer après les enquêtes au Sénat, etc.),(([5] REFUSONS TOUTE OBLIGATION VACCINALE ANTICOVID le point le 8 mai 2022 — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) ils ont osé piquer des enfants depuis des mois avant toute autorisation.(([6] Les enfants vaccinés ont-ils été recrutés à travers cette plateforme dès juillet 2021 ?
https://www.covireivac.fr/actualites/actualites-de-la-plateforme-covireivac/lancement-de-la-plateforme-covireivac-enfant-et-adolescent/))

ENFANTS COBAYES ILLÉGAUX EN TOUTE IMPUNITÉ ?

Le courrier des stratèges détaille ici le scandale de 22 500 enfants « vaccinés » en France avant toute autorisation des autorités.(([7] Véran a-t-il couvert des milliers de vaccinations illégales de jeunes enfants ? Par Isabelle Hock — Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) O. Véran et A. Fischer ont-ils couvert la vaccination illégale de plusieurs milliers de jeunes enfants, l’an dernier, en dehors de tout protocole médical et toute autorisation scientifique en bonne et due forme ? Ces vaccinations illégales et sans aucun encadrement posologique sont-elles à l’origine des hépatites aiguës qui frappent mystérieusement des enfants ? Ce sont les questions qu’Isabelle Hock pose au vu des informations récentes qui ont commencé à percer… dans le silence des autorités sanitaires françaises.))

En décembre 2021, alors que PFIZER BIONTECH ne disposait encore d’aucun vaccin pour les enfants de moins de 5 ans, 4 512 enfants de cette tranche d’âge avaient déjà reçu une première dose de vaccin à ARNm !

Et selon le journal « le Monde » dans un article publié le 23 novembre 2021, au moins de 22 490 enfants français âgés de 0 à 11 ans avaient déjà été injectés avec l’ARNm.(([8] « Au 18 novembre, ils sont 17 199 à être complètement vaccinés et 110 à avoir bénéficié d’un rappel. Le fichier “Vaccin Covid”, qui permet de suivre la progression de la vaccination, recense deux premières injections sur des tout-petits dès le 27 décembre 2020. »))

Or la vaccination pour ces enfants n’a été proposée par la Haute Autorité de Santé (HAS), et ce sans aucune obligation, qu’à partir… du 20 décembre 2021.

Autrement dit, ces enfants ont été vaccinés en dehors de toute proposition de la HAS et sans aucune procédure d’essai scientifique déclarée. Et bien entendu ni les ARS ni l’état ne se sont saisis de cette violation des lois alors que des professeurs célèbres et compétents, mais mal vus du pouvoir (dont D Raoult et H Joyeux) sont arbitrairement accusés sous ce motif. Au royaume républicain de France, peu a changé depuis La Fontaine « Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir ».

DES ENFANTS FRANÇAIS ONT DONC BEL ET BIEN SERVI DE COBAYE À UNE EXPÉRIMENTATION DU VACCIN ARNM À GRANDE ÉCHELLE.

Le chiffre de 17 199 enfants complètement vaccinés et de 22 490 enfants ayant reçu une première dose doit être comparé aux 1 250 enfants de 5 à 11 ans ayant participé aux essais cliniques de PFIZER dans le courant de la même année 2021, selon les données statistiques officielles de Santé Publique France, et ce depuis le mois d’avril 2021, reprises dans l’article du « Monde ».(([9] Vaccination contre le Covid-19 : qui sont les 17 000 enfants de moins de 12 ans déjà vaccinés en France ? (lemonde.fr) ))

Le journal avance même la date du 27 décembre 2020 pour les deux premières injections sur des tout-petits.

D’où sont sortis ces petits, avec quel accord de familles nécessairement non informées en l’absence de tout dossier d’essai autorisé ?

Une internaute commente :

« Ces vaccinations d’enfants avant autorisation du vaccin en pédiatrie n’ont pourtant jamais été cachées, les médias classiques en ont parlé ouvertement : il s’agit pour un petit nombre des enfants ayant une pathologie, et pour le plus grand nombre il s’agit d’enfants dont les parents ont une pathologie les rendant “à risque” de formes graves du covid. Il me semble que la HAS ou une autre instance avait validé ces vaccinations pour protéger les adultes, ce qui avait fait hurler dans le désert un certain nombre de personnes encore attachées aux valeurs morales. une civilisation qui sacrifie ses enfants pour éviter un risque à des vieillards et des malades ne mérite plus le nom de civilisation ».

Il me semble que cela était même présenté à l’époque comme une faveur faite à ces enfants handicapés ou immunodéprimés… !(([10] « Les sociétés savantes de pédiatrie se sont concertées pour identifier les patients à protéger en priorité. Parmi eux, des enfants souffrant de pathologies sous-jacentes très sévères, des déficits immunitaires primitifs, mais aussi des transplantés comme les greffés cardiaques, ou encore des patients en dialyse » écrit le Monde. concertation sans aucune preuve scientifique évidemment.)) Comme le Rivotril injecté aux vieillards simplement suspects de Covid comme « une faveur pour leur éviter de souffrir » sans même les informer ni leur famille.

Cependant en mai 2021, A Fischer avait déclaré que vacciner des enfants de moins de 12 ans n’était pas envisageable avant le début de 2022.

Le 21 juin 2021, le Comité Consultatif National d’Éthique (CCNE), présidé par le Professeur DELFRAISSY déclarait « inacceptable de vacciner des enfants de moins de 12 ans avec ces produits. »

Le courrier des stratèges fait remarquer l’absence de suivi de ces enfants, ce que finalement on ne sait pas (numéros de lots décelables par Pfizer BioNTech ?)(([11] http://echelledejacob.blogspot.com/2021/11/vaccination-et-affichage-sur-les.html?m=1)). En tous cas, tous les vaccinés en France n’ont été l’objet d’aucun suivi particulier connu, cela évitant d’enregistrer les effets indésirables officiellement.

Les effets toxiques ont commencé à apparaître doucement sur Eudravigilance avant le début officiel des injections et se multiplient depuis l’été. Jusqu’à quand les familles laisseront-elles faire ?

AU 29 MAI 22 :

ET AVANT DE LAISSER INJECTER VOTRE ENFANT, PARCOUREZ LES DOCUMENTS SECRETS PFIZER

Les DOCUMENTS SECRETS DES ESSAIS PFIZER révèlent DEUX FOIS PLUS DE DÉCÈS PARMI LES VACCINÉS que les non injectés | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE

https://pgibertie.com/2022/06/03/les-documents-secrets-des-essais-pfizer-revelent-deux-fois-plus-de-deces-parmi-les-vaccines-que-les-non-injectes/

COMMENT AGITER LA PEUR POUR DUPER LES PARENTS

Enfin, rappelons les craintes pour la future campagne de vaccination. Depuis quelques mois déjà les Anglais d’abord ont publié des observations d’hépatite grave d’enfants très jeunes dont environ 10 % des patients ont dû être transplantés. Des observations similaires ont aussi été notifiées dans plusieurs pays européens, aux États-Unis, en Israël et au Japon(([12] https://www.vidal.fr/actualites/29175-augmentation-des-hepatites-graves-de-l-enfant-d-origine-indeterminee-enquete-en-cours.html)). En France, plusieurs cas ont été signalés. La polémique a vite surgi, car ces cas sont survenus uniquement dans les pays vaccinés et après que les injections aient commencé chez les enfants. Le statut vaccinal des enfants touchés était peu ou pas précisé, car il ne fallait surtout pas accuser le vax. De toute façon rien n’empêcherait de penser qu’ils auraient récupéré la protéine spike des bisous de leur maman vaccinée.
Mais l’occasion était trop belle. Bien qu’il n’y ait pas eu de covid infantiles et encore moins mortels, on les voit venir avec des séquelles à long terme de covid passé inaperçu…

Leurs décisions : « plus de 12 millions de doses pédiatriques du PFIZER-BIONTECH ont été livrées à la France, pays qui compte moins de 6 millions d’enfants âgés de 5 à 11 ans. »

Par ailleurs, dans un document officiel de la Commission UE, on peut lire qu’« avant le début de l’année scolaire 2022-2023, il y a lieu de “considérer des stratégies pour accroître le taux de couverture vaccinale chez les jeunes enfants, par exemple en se coordonnant avec les pédiatres et d’autres professionnels de santé qui sont des sources d’information fiables pour les parents”.

La protéine spike est toxique pour le foie

Pour le “Journal of Hepatology”, la protéine spike est susceptible d’engendrer de graves lésions au foie.(([13] « Our case demonstrates conclusive evidence of vaccine-induced immune-mediated hepatitis with a rapid onset of liver injury after the first Moderna dose, which on re-exposure led to acute severe autoimmune hepatitis »
[« Notre cas démontre de manière concluante l’existence d’une hépatite à médiation immunitaire induite par un vaccin, avec une apparition rapide de lésions hépatiques après la première dose de Moderna, qui, lors d’une nouvelle exposition, a entraîné une hépatite auto-immune aiguë sévère. »]))

Jean-Marc Sabatier, Directeur de Recherches au CNRS, a expliqué que la protéine Spike du coronavirus peut engendrer ces effets toxiques hépatiques : « ces hépatites aiguës correspondent à une maladie de la Covid-19 et sont induites par un variant ou sous-variant émergent du SARS-CoV-2 (Omicron, XD, XE ou autres) ».

Ceci suggère ‘qu’il existe un risque qu’avec les nouveaux vaccins basés sur la protéine Spike d’Omicron, le même phénomène inflammatoire du foie puisse survenir chez les jeunes enfants vaccinés avec les nouveaux vaccins’.

Depuis plusieurs semaines, le narratif selon lequel la vaccination des enfants les protégerait contre l’Hépatite infantile se répand dans la presse aux ordres (subventionnée par nos impôts et Bill Gates).

On ne cherche pas du côté du vaccin vu que les enfants ne sont pas censés être vaccinés. C’est sans compter les 22 490 enfants vaccinés, certains selon un schéma complet, depuis 2021…

En mars 2021, la Société française de Pédiatrie affirmait que le COVID n’était pas une maladie pédiatrique, tout en autorisant l’injection d’un vaccin ARNm sur des enfants de 6 à 11 ans…’

Il est reconnu dans toute la littérature internationale que le COVID n’affecte les enfants que de manière très mineure. En deux ans d’épidémie Santé Publique France n’a recensé que 13 enfants de moins de 15 ans morts avec un test Covid positif, dont un seul d’entre eux ne souffrait pas d’autre maladie mortelle tandis que la grippe saisonnière tue en moyenne chaque année entre 7 et 10 enfants de cet âge. Le COVID perd en virulence au fil de ses mutations. Omicron s’est révélé plus contagieux, mais beaucoup moins virulent que les souches précédentes. Le prochain variant, s’il en émerge un, sera certainement encore moins toxique.

Il faut refuser ces vax qui n’ont aucune justification médicale chez l’enfant, car ils sont dangereux à court terme (myocardite, hépatite, etc.) et parce qu’on en ignore l’ensemble des effets à moyen et long terme.





Les DOCUMENTS SECRETS DES ESSAIS PFIZER révèlent DEUX FOIS PLUS DE DÉCÈS PARMI LES VACCINÉS que les non-injectés

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Officiellement il y aurait eu 2 décès toutes causes parmi les vaccinés et 4 dans le groupe placebo lors des fameux effets Pfizer qui ont permis l’autorisation des injections.

Nous en sommes maintenant à 27 pour les vaccinés contre 15 parmi les non-vaccinés. 6 décès cachés se rajoutent en effet à la longue liste. Tous avaient eu au moins une injection.

Le mur de mensonges se lézarde depuis que la justice américaine a rendu obligatoire la diffusion des documents secrets des essais. Nous avons ainsi appris successivement que les essais portant sur 42 000 personnes :

  • n’avaient pas été mené sur six mois (7 % des cas), mais sur des périodes deux à trois fois plus courtes.
  • n’avaient pas testé la dangerosité pour les femmes enceintes et les plus âgés
  • n’avaient pas testé les risques de cancers
  • avaient testé (PCR) les non vaccinés bien plus souvent que les vaccinés
  • Nous avons trois étapes qui rendent confuses les données

1)- de la première injection à un mois après la deuxième dose donc au moins 7 semaines avec 8 décès toutes causes confondues (3 vaccinés 5 placebos)

2)- d’un mois après la deuxième dose à la fin de la période en double aveugle : on aurait 13décès de vaccinés et 10 non vaccinés

Les derniers documents révèlent 6 décès parmi les vaccinés soit 22 vaccinés au total de ces deux phases

3)- la période en double aveugle se termine l’observation se poursuit et on compte 5 décès de plus, tous vaccinés pour 41 000 participants

TOTAL : 27 VACCINÉS ET 15 NON-VACCINÉS

Les résultats des essais de vaccins randomisés publiés jusqu’à présent suggèrent que les vaccins sont efficaces pour réduire les infections symptomatiques pendant quelques semaines. La durée moyenne de suivi pour les personnes dans le premier rapport de l’essai Pfizer, sur lequel l’autorisation était basée, n’était que de 46 jours, par exemple. Le récent rapport sur les données de personnes ayant participé à l’essai pendant jusqu’à 6 mois a révélé que la durée totale moyenne de suivi pour le critère de jugement principal de l’essai en double aveugle était de 3,6 mois pour celles qui ont reçu le vaccin et 3,5 mois pour ceux affectés au placebo. De plus, seulement 7 % des participants sont restés dans l’essai en double aveugle pendant 6 mois. Les données du monde réel ne sont pas cohérentes avec les résultats de l’essai, avec un nombre élevé de cas chez des individus doublement vaccinés signalés au Royaume-Uni et en Israël, par exemple. Cela suggère soit que les effets des vaccins s’estompent rapidement, et/ou que certains biais se sont glissés dans les procédures d’essai originales, probablement en raison de la levée de l’aveugle causée par les réactions au vaccin ou d’autres irrégularités de procédure. Les mêmes données d’observation suggèrent que les vaccins peuvent réduire les hospitalisations et les décès dus à une infection par le covid, mais en l’absence de données provenant d’essais randomisés, il est difficile d’en être certain, car des facteurs inconnus peuvent biaiser les données dans les deux sens.

Plus alarmants encore, les troisième et quatrième injections de « rappel » n’ont été testées dans aucun essai randomisé, et les autres données sur l’efficacité et la sécurité de l’administration de doses supplémentaires sont rares.

https://www.bmj.com/content/375/bmj.n2957lt).

Une étude canadienne sur les tristes enseignements des essais (sans les décès découverts récemment)

MAMMIE Bocock

@Medic4allHuman

Les données de Pfizer sur 6 mois montrent que les injections COVID-19 de Pfizer causent plus de maladies qu’elles n’en préviennent. Vous aurez aussi un aperçu des nombreux défauts de l’essai Pfizer dans la conception et l’exécution dans ce document

The-COVID-19-Inoculations-More-Harm-Than-Good-REV-Dec-16-2021
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Sans soignants ni médecins, pas de soins

Par Nicole Delépine

Exigeons la réintégration IMMÉDIATE ET DÉFINITIVE des soignants et l’arrêt de l’injection dangereuse

En déplacement le 29 avril dernier dans les Hautes-Pyrénées, Emmanuel Macron avait été interpellé. « Si ça continue de baisser dans les prochaines semaines, on ira dans cette direction ». Ce mardi : « J’attendrai que le Conseil scientifique dise que l’on est rentré dans une phase qui permet sans difficulté ce retour. Mais plus largement, moi je veux que dans notre pays, on aille au bout de cette logique par la pédagogie et la conviction du rapport à la vaccination chez les soignants ».

Ça deviendrait drôle si ce n’était pas si tragique !! Comment pourrait-on convaincre qui que ce soit de l’intérêt d’une injection qui ne protège pas des contaminations ni des formes graves.

Les données officielles de l’OMS montrent en effet que la généralisation des injections n’a pas du tout ralenti l’épidémie, bien au contraire :

De plus l’aggravation du nombre des contaminations a touché surtout les pays les plus vaccinés :

Cette augmentation des contaminations dans les pays les plus vaccinés a entraîné une surmortalité Covid dans les pays adeptes des injections, montrant qu’elles ne protègent pas des formes graves :

De plus, contrairement à ce qu’affirment en chœur médias et gouvernements, les complications post vaccinales sont nombreuses et graves. Elles ont déjà entraîné plus de 70 000 morts directs dans le monde et des centaines de milliers d’accidents dont certains graves et avec handicaps définitifs ? Certain qu’avec la matraque et la privation de tous revenus (même du RSA !) dans une société qui prône quotidiennement la non-discrimination et l’égalité il est plus facile d’accepter l’injection même quand on est vaccino prudent.

“Alors que, depuis la suspension des soignants non vaccinés, l’hôpital public implose, Macron vient de proférer une nouvelle cascade de mensonges sur la question des soignants non vaccinés, affirmant péremptoirement que 95 % des soignants sont vaccinés et qu’une « infime minorité » a un problème de déontologie. C’est une façon bien curieuse de passer sous silence les méthodes comminatoires utilisées par le pouvoir pour convaincre les 40 % de réticents, à l’été 2021, de subir une injection dangereuse [et inefficace].”

Pourquoi Macron ne peut pas réintégrer les soignants non vaccinés suspendus (Par Éric Verhaeghe 1er juin 2022)

Il est bien évident que la majorité des soignants, des pompiers et bien d’autres a cédé à la pression pour la vaccination pour différentes raisons, mais certainement pas pour des raisons déontologiques. Ce sont des « malgré nous » comme les Français nés en Alsace-Lorraine avant 1939 et qui étaient enrôlés de force dans la Wehrmacht s’ils ne parvenaient pas à rejoindre le maquis.

Tous connaissent le serment d’Hippocrate, la déclaration d’Helsinki à la suite du code de Nuremberg et la convention d’Oviedo que la France a signés et qui stipulent  : un médicament, un essai ne peuvent être imposés et nécessitent le CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ DU PATIENT. C’EST UN IMPÉRATIF CATÉGORIQUE DE NOTRE EXERCICE.

Les soignants ont rapidement découvert les effets secondaires des injections chez leurs patients même si la censure a été imposée à tous pour éviter les ennuis professionnels. Et comme progressivement la découverte de l’inefficacité sur les contaminations et maintenant sur les formes graves en décourage beaucoup à accepter la troisième ou quatrième dose.

Il est probable que le président va tout faire pour imposer une vaccination obligatoire y compris aux enfants en septembre, mais il est douteux qu’il y parvienne. En attendant il est évident que réintégrer les soignants suspendus ne lui faciliterait pas la tâche assignée par l’ordre mondial et l’UE, vacciner, vacciner encore et encore, tenter d’injecter les doses avant leur péremption et surtout de rendre encore plus soumis le peuple déjà injecté.

Déclarations de la commissaire européenne :

Une fiche d’information intitulée « COVID-19 — Sustaining EU Preparedness and Response: Looking ahead », qui a été publiée par la Commission européenne le même jour, le 27 avril, réitère le point de vue de Mme von der Leyen. La première section s’intitule “Accroître le recours à la vaccination contre le COVID-19” et le premier point se lit comme suit :

Les États membres doivent augmenter le taux de vaccination et l’administration des rappels et des quatrièmes doses pour ceux qui sont éligibles. Ils devraient également augmenter la vaccination des enfants.

L’accent est mis ici sur l’original. Le deuxième point continue :

Les États membres devraient préparer des stratégies de vaccination contre le COVID-19 pour les mois à venir en tenant compte de la circulation simultanée de la grippe saisonnière et intégrer la vaccination contre le COVID-19 dans les programmes de vaccination nationaux.

Le 12 mai, la commission spéciale du Parlement européen sur la pandémie de COVID-19 (COVI), récemment créée, a organisé une séance de questions-réponses avec la commissaire européenne à la santé, Stella Kyriakides.”

Il est difficile envers soi-même de s’avouer une erreur potentielle sans se mettre en dissonance cognitive et aussi de s’opposer à la logique de groupe. Dans les deux cas, il est plus facile de suivre le courant apparemment majoritaire.

SAUVER L’HÔPITAL N’EST PAS L’OBJECTIF DU GOUVERNEMENT

Personne ne peut penser que ce gouvernement voudrait régler la crise des urgences et de l’Hôpital public, alors qu’il a continué à fermer des lits depuis cinq ans et qu’il ne desserre pas le carcan bureaucratique qui l’étouffe ? Durant son premier mandat il n’a pas réévalué les salaires des soignants, il n’a pas supprimé pas le harcèlement administratif qu’ils subissent des cadres de soins et des directions.

La crise des urgences n’est que la partie émergée de l’iceberg même si elle touche plus de 120 services et que la catastrophe s’approche avec les vacances. C’est l’ensemble du système de santé qui est en passe de disparaître, public comme privé, car globalement sous le joug de l’État via les agences régionales de santé et les nombreux observatoires, et chacun impose ses directives souvent contradictoires et toujours autoritaires. La partie privée du système n’est pas épargnée : les normes, les structures imposées, comme comité du médicament, de la douleur, des maladies nosocomiales, etc. relèvent de l’administration imposée, et consomment temps et argent inutilement.

LE VRAI PRIVÉ INDÉPENDANT N’EXISTE PLUS

L’exemple qui sera démonstratif pour tous est l’interdiction faite aux cliniques privées de recevoir les patients covid dans les lits libérés pour les malades covid (à l’exception de quelques cliniques de la région parisienne), alors que les hôpitaux publics étaient soi-disant débordés et que le pouvoir mettait en scène des transferts lourds et coûteux à des centaines de Kms du lieu de résidence du patient, et ce malgré des lits vides à proximité.

Les lits privés avaient été fermés par les ARS par un décret signé par le Premier ministre Édouard Philippe dans le cadre du Plan Blanc en mars 2020. Les chirurgiens ne pouvaient opérer que les urgences considérées comme telles par l’ARS locale, le patient comme le chirurgien ne pouvant décider du degré d’urgence. Nous avons atteint des sommets de délire pendant cette période qui démontre bien l’absence de liberté de soigner et d’être soigné en France en public comme en pseudo privé.

Les services privés comme publics doivent remplir les critères décidés par la haute autorité de santé et les ars pour obtenir leur accréditation : en cancérologie par exemple, il faut entrer un grand nombre de patients dans les essais thérapeutiques pour continuer à avoir l’autorisation de soigner les patients relevant de la spécialité. En chirurgie, il existe des quotas : un nombre d’opérés dans l’année pour cancer de la prostate par exemple, etc.. En hématologie, il faut démontrer que l’on reçoit un nombre suffisant de patients pour rester ouverts.

Il ne faut pas entrer dans le combat privé-public, tel que présenté. Le pouvoir veut effectivement fermer toutes les petites structures privées, au bénéfice des grands groupes dans lesquels comme dans les hôpitaux publics, les médecins n’ont plus rien à voir dans l’organisation des soins, ni des choix thérapeutiques. L’évolution des EHPAD offerts à Orpea ou Korian a démontré et présagé l’avenir des établissements hospitaliers si on laisse faire le mondialisme.

Les défenseurs de l’hôpital public devraient envisager la globalité du problème pour reconstruire sans se faire manipuler par des mesurettes censées nous calmer.

DIVISER POUR RÉGNER ?

DES MILLIERS D’EUROS DE TROP-PERÇUS ET LAISSÉS EN CADEAU PAR LA CPAM AUX CHANCEUX « Vous l’avez bien mérité ». Le scandale des soignants surpayés pendant la campagne de vaccination relève-t-il de la mauvaise gestion ou bien de la manipulation. Rappelons les faits.(([1] https://actu.fr/societe/vaccin-contre-le-covid-19-ces-soignants-revelent-avoir-ete-surpayes-par-l-assurance-maladie_50509574.html ))

Ces soignants révèlent avoir été surpayés par l’Assurance Maladie.

Des soignants libéraux auraient touché des milliers d’eurosde trop-perçu durant la crise du Covid-19 pour leur participation aux campagnes de vaccination. « J’ai reçu plus de 6 500 euros de la CPAM(([2] Caisse primaire d’assurance maladie)) en un an, et rien de tout cela ne m’est dû », révèle à actu.fr Éric*, infirmier libéral.

Il dénonce un vide administratif sur lequel la CPAM aurait fermé les yeux. Un vide qui participerait à la dette de l’Assurance Maladie. Éric ne souhaite pas conserver cet argent, mais il indique se heurter à l’inaction de l’administration. La faille : l’enregistrement des patients dans les centres de vaccination contre le Covid-19”.

En août 2021, Éric voit apparaître sur son compte la somme de 3 000 euros, versée par la CPAM. « Je les ai appelés, et on m’a dit que c’était lié aux actes d’enregistrement dans les centres », raconte l’infirmier. Pendant un an, Éric a prêté sa carte professionnelle de santé (CPS) à des bénévoles, qui s’occupaient d’enregistrer les patients sur l’ordinateur.

L’acte d’enregistrement d’un patient est rémunéré automatiquement, à raison de 5,40 euros. Les infirmiers libéraux sont généralement payés à l’acte. Or, en centre de vaccination, ils étaient salariés. Les deux modes de rémunération n’auraient pas dû se cumuler. 

La Caisse Nationale d’Assurance Maladie affirme que cette rémunération était voulue !

« Cette rémunération forfaitaire de 5,40 euros, pour chaque patient renseigné, a été établie dans le souci de valoriser ce travail essentiel tant sur le plan administratif que médical. »

« 6 500 euros, ce n’est rien comparé à d’autres », indique cette source de la CPAM. D’après elle, certains libéraux dans la même situation qu’Éric auraient reçu plus de 10 000 euros par mois.

« Cette rémunération forfaitaire était toutefois plafonnée, qu’il s’agisse des sommes perçues par mois (3 000 euros) ou par jour (270 euros) ». Il ne précise toutefois pas à partir de quand ces plafonds ont été mis en place. »

Des trop-perçus difficiles à évaluer

Avec le défenseur des droits de son département, Éric a calculé les trop-perçus versés par l’Assurance Maladie. Dans son centre de vaccination, jusqu’à 1000 injections par jour étaient réalisées. Multiplié par le nombre de centres en France, le montant pourrait atteindre des millions d’euros. Mais ce calcul n’est qu’une ébauche, car tous les centres de vaccination n’avaient pas le même fonctionnement.

Dans celui où travaillait Valérie*, une infirmière retraitée, des jeunes en recherche d’emploi s’occupaient des tâches administratives — et non des bénévoles. L’argent touché pour les actes d’enregistrement par les détenteurs de carte CPS était reversé directement à ces jeunes, à raison de 40 euros par jour. “Les infirmières libérales laissaient un chèque chaque jour aux jeunes, pour leur reverser cet argent”, précise-t-elle.

« Dans mon centre, c’était considéré comme une prime, comme un gain supplémentaire. Le poste d’enregistrement était très prisé ! Je n’ai d’ailleurs réussi à passer ma carte CPS qu’une seule fois. Les gens venaient tôt le matin pour être sûrs d’être au poste d’administrateur.

Quand il a vu les premières sommes versées sur son compte, Éric a appelé la CPAM.

Quand j’ai dit que cette somme ne m’était pas due, mon interlocuteur m’a répondu qu’ils me la devaient bien, que c’était le robot qui faisait ça. On m’a dit que si c’était lié à ma carte, c’était ma responsabilité ».

Par la suite, voyant les versements se poursuivre, Éric a envoyé deux mails à l’Assurance Maladie et rappelé leur standard. Il a alors parlé à une cheffe comptable qui lui a conseillé « de le signaler autrement, par d’autres moyens ».

Éric ne sait que faire de l’argent qu’il a reçu. Il n’ose pas y toucher, de peur que la CPAM le lui réclame un jour (…).

L’infirmier s’apprête à travailler dans un centre de vaccination ponctuel, en Occitanie. Sa responsable lui a confirmé qu’il continuerait à être rémunéré à la fois à l’heure et à l’acte.

Actu.fr a tenté de contacter les autres acteurs concernés. Jusqu’ici, l’ARS, l’Ordre National des médecins et des infirmiers n’ont pas donné suite à nos sollicitations ».

Santé | Marseille : suspendus, car non vaccinés, ils vont manifester devant les locaux de l’ARS | La Provence

https://twitter.com/i/status/1532730031708983298
https://twitter.com/i/status/1532438760624902157

@CTM_Martinique

#PlénièreCTM La Plénière s’est terminée par le vote à l’unanimité d’une motion demandant la réintégration des personnels soignants & médico-sociaux non vaccinés suspendus. L’Assemblée de Martinique appelle à la mise en œuvre immédiate d’une procédure de leur réintégration.

Pour sauver l’hôpital et réduire le nombre des déserts médicaux, il faut libérer la médecine

Il faut redonner aux médecins le plaisir d’exercer la médecine, la liberté de prescriptions qui a été détruite à l’occasion du Covid. Ce n’est pas au gouvernement d’écrire les ordonnances de nos malades. Il faut supprimer toutes les tâches administratives qui consomment souvent la moitié du temps de travail des soignants et qui ne servent à rien pour nos malades.

La tentation est grande pour des politiques qui ignorent souvent ce qu’est un acte médical d’imposer des fausses solutions. Certains veulent imposer des gardes à des confrères qui travaillent déjà trop. D’autres veulent les obliger à s’installer dans un village que la poste, les impôts, le tribunal et l’école ont déserté sur ordre de ces mêmes politiques !

L’obligation vaccinale des soignants est la goutte d’eau qui a fait déborder le ras-le-bol. Les soignants non vaccinés ne sont pas des antivax comme le répètent en permanence le gouvernement et les médias. Avant le covid, ils étaient tous vaccinés et conseillaient et administraient les vaccins à leurs patients. Ce sont des vaccino prudents qui attendent les vrais résultats des essais en cours avant de se décider et qui ont été échaudés par les nombreuses complications qu’ils ont observées après les pseudo-vaccinations de leurs collègues et de leurs patients et de l’inefficacité maintenant évidente des injections. Ce sont des personnes respectables et honnêtes, car comme soignant il leur était particulièrement facile d’imiter de nombreux politiques et journalistes, stars et de vacciner le mur pour avoir leur pass vaccinal.(([3] Scandale espagnol récent))

La poursuite de la tyrannie vaccinale empêchera de résoudre le manque de personnel soignant et le problème des hôpitaux comme des déserts médicaux. Sans réintégration des soignants vaccino prudents, il n’y a aucune chance de sauver notre système de soins jadis l’un des meilleurs du monde. Les démissions des soignants encore en poste se multiplieront comme c’est le cas actuel à l’APHP de Paris.

E. Macron et son gouvernement devraient méditer la sage remarque de Charles Maurice de Talleyrand « On peut tout faire avec les baïonnettes sauf s’asseoir dessus » explicitée quelques années plus tard par le futur Napoléon III : « on peut tout faire avec le despotisme, excepter le faire durer. »

Sauvons nos enfants, sauvons nos soignants vaccino prudents




Halte aux mensonges de l’AFP et des médias subventionnés à propos des vaccins expérimentaux Covid19

Par le DR G Delépine

Comme encore aux USA, les médias français continuent de désinformer. Mais les Américains commencent à faire leur mea culpa.

9 exemples de désinformation des autorités de la santé sur la COVID | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

« Le chef de la santé publique aux États-Unis, Dr Vivek Murthy, a lancé une campagne au mois de mars pour récolter des exemples de désinformation sur la santé et de leur impact sur le système de santé étasunien : #HealthMisinformation.

L’initiative un eu un effet boomerang.

Le ministre de la Justice de l’Indiana, Todd Rokita, et le Dr Jay Bhattacharya, co-auteur de la déclaration de Great Barrington et témoin expert dans la demande de jugement déclaratoire d’Entrepreneurs en action du Québec, lui ont transmis une liste de 9 exemples de désinformation du Centres for Disease Control (CDC) tout en exprimant leur accord sur les dommages causés par la désinformation :

Nous sommes d’accord sur le fait que la désinformation a été un problème majeur pendant la pandémie. La propagation d’information scientifique inexacte a compliqué les prises de décision du public [et] entraîné des conséquences graves sur la vie et les moyens de subsistance des Américains. Nous vous soumettons les exemples suivants de désinformation de la part du CDC et d’autres organismes de santé qui ont ébranlé la confiance du public dans la science et la santé publique, et prendront des décennies à réparer.”

Dr Jay Bhattacharya

Les 9 exemples de désinformation sont :

  1. Sur dénombrement de la COVID-19
  2. Remise en question de l’immunité naturelle
  3. Les vaccins contre la COVID-19 préviennent la transmission
  4. Les fermetures d’école ont été efficaces et n’ont rien coûté
  5. Tout le monde court le même risque d’être hospitalisé et de mourir d’une infection à la COVID-19
  6. Il n’y avait pas d’alternative raisonnable au confinement
  7. Les politiques de masque obligatoire sont efficaces pour réduire la propagation des maladies infectieuses virales
  8. Le dépistage de masse des personnes asymptomatiques et la recherche des contacts des cas positifs sont efficaces pour réduire la propagation de la maladie
  9. L’éradication de la COVID-19 est un objectif réalisable

Nos autorités ont elles aussi véhiculé une grande partie de cette désinformation. Voilà pourquoi l’auteure considère utile de partager ces informations qui seront probablement utiles à la défense des nombreux contrevenants pro-science qui ont osé défier les mesures antiscientifiques de la CAQ ».

Des médias allemands et anglais ont également fait mea culpa sur la désinformation des deux dernières années, et ce depuis plusieurs mois déjà.

« MEA CULPA – du journal Bild à la population allemande(([1] https://lesbelgessereveillent.be » mea-culpa-du-journal-bild-a-la
MEA CULPA – du journal Bild à la population allemande | Les Belges se réveillent (lesbelgessereveillent.be) ))

28/05/2021 — “Bild” affirme avoir indirectement collaboré au terrorisme sanitaire

Julian Reichelt, rédacteur en chef de la presse numéro 1 en Allemagne, le journal BILD, a présenté officiellement ses excuses à la population allemande et ses enfants, pour avoir infligé des violences, des négligences, de la solitude, de l’isolement et qu’à travers les médias, on leur a inculqué le sentiment qu’ils représentaient un danger pour la société.

Je voudrais dire à des millions d’enfants de ce pays, dont nous sommes tous responsables en tant que société, ce que notre gouvernement fédéral et notre chancelier n’ont pas encore osé dire : nous vous demandons de nous pardonner. Nous vous demandons pardon pour un an et demi de politiques qui ont fait de vous des victimes.–Victimes de violence, de négligence, d’isolement, de solitude émotionnelle. Pour une politique et une couverture médiatique qui, aujourd’hui encore, comme un poison, vous donnent le sentiment d’être un danger mortel pour notre société.”–Version originale : Corona — BILD entschuldigt sich bei Kindern

À quel moment nos journaux et médias vont-ils enfin cesser ce jeu morbide qui de plus les dévalorise ?

À quand une AFP objective ?

En France, ceux qui prétendent corriger les fausses nouvelles propagées sur les réseaux sociaux en sont très souvent les pires propagateurs. L’AFP et Juliette Mansour sont particulièrement actives dans la diffusion de fausses nouvelles pour la propagande vaccinale en dépit des multiples informations qui circulent sur les effets secondaires des injections basées sur les agences officielles de santé (VAERS, EMA Eudravigilance MHRA, etc.).(([2] Le « vaccin » anti-covid doit être immédiatement retiré du marché dans le monde entier | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

En voici malheureusement un nouvel exemple.

Dans un “désinfox” du 27 avril 2022 l’AFP et Juliette Mansour prétendent ainsi : “les vaccins ne sont plus en phase expérimentale”, “les vaccins mis sur le marché ont été testés correctement” et citent à l’appui de leurs dires l’Agence nationale du médicament prétendant que “l’AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients”.

Leurs affirmations, comme celles de l’ANSM sont tout simplement mensongères.

N’ont-ils pas comme nombre de leurs confrères étrangers consulter les documents Pfizer finalement publiés sur injonction d’un tribunal américain(([3] Welcome to Daily Clout! What’s our story?)). Lourd, mais très instructif travail :

Les WarRoom/DailyClout Pfizer Documents Research Volunteers, un groupe de 3 000 médecins, infirmières, biostatisticiens, enquêteurs sur la fraude médicale, cliniciens de laboratoire et chercheurs scientifiques hautement qualifiés, ont produit rapport après rapport, comme vous le savez peut-être, pour dire au monde ce que contiennent les 55 000 documents internes de Pfizer que la FDA avait demandé à un tribunal de garder secrets pendant 75 ans.

Par décision de justice, ces documents ont été divulgués de force. Et nos experts rendent service à l’humanité en lisant ces documents et en les expliquant en termes simples. Vous pouvez trouver tous les rapports des volontaires sur DailyClout.io.

Les mensonges révélés sont stupéfiants.

Les Volontaires du WarRoom/DailyClout ont confirmé :

que Pfizer (et donc la FDA) savait dès décembre 2020 que les vaccins ARNm ne fonctionnaient pas — qu’ils” perdaient de leur efficacité » et présentaient un » échec vaccinal « . L’un des effets secondaires de la vaccination, comme ils le savaient un mois après le lancement massif de 2020, était la « COVID ».

Pfizer savait en mai 2021 que le cœur de 35 jeunes avait été endommagé une semaine après l’injection d’ARNm — mais la FDA a quand même lancé la vaccination pour les adolescents un mois plus tard, et les parents n’ont pas reçu de communiqué de presse du gouvernement américain sur les dommages cardiaques avant août 2021, après que des milliers d’adolescents aient été vaccinés. [[Voir ceci]

Pfizer (et donc la FDA ; de nombreux documents portent la mention « FDA: CONFIDENTIEL » à la limite inférieure) savait que, contrairement à ce que les porte-parole grassement payés et les médecins achetés assuraient aux gens, les nanoparticules d’ARNm, de protéine de pointe et de lipide ne restaient pas dans le site d’injection dans le deltoïde, mais passaient, dans les 48 heures, dans la circulation sanguine, pour se loger dans le foie, la rate, les surrénales, les ganglions lymphatiques et, si vous êtes une femme, dans les ovaires.»

(([4] Chers amis, désolée d’annoncer un génocide. Naomi Wolf sur le « rapport confidentiel » de Pfizer | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation ou Chers amis, désolée d’annoncer un génocide))

Mais aussi entre autres découvertes :

“Les bénévoles ont examiné en profondeur les rapports des documents de Pfizer concernant la grossesse et ont découvert que l’assurance que le vaccin est « sûr et efficace » pour les femmes enceintes était basée sur une étude portant sur 44 rats français, suivis pendant 42 jours (les scientifiques qui ont mené l’étude sont des actionnaires ou des employés de BioNTech).

Les volontaires ont découvert que, bien que les femmes enceintes avaient été exclues des études internes, et donc de l’EUA [Emergency Use Authorization: Autorisation d’utilisation en cas d’urgence] sur la base de laquelle toutes les femmes enceintes ont été assurées que le vaccin était “sûr et efficace”, environ 270 femmes sont néanmoins tombées enceintes pendant l’étude. Plus de 230 d’entre elles ont été oubliées dans cette étude. Mais sur les 36 femmes enceintes dont l’évolution a été suivie, 28 ont perdu leur bébé.

Les volontaires ont découvert qu’un bébé est mort après avoir été allaité par une mère vaccinée, et qu’il souffrait d’une inflammation du foie.” “etc.

Prenez le temps de lire, pour vous-même, pour les autres, pour vos lecteurs.

Madame Mansour, les pseudo vaccins sont toujours expérimentaux !

Un médicament ou un vaccin n’est plus expérimental lorsque son essai phase 3 est terminé et a été examiné par les agences du médicament. Or actuellement aucun essai de ces pseudo vaccins n’a atteint ce stade. La preuve indiscutable est apportée par le site gouvernemental américain « clinicaltrials.gov » qui recense tous les essais en cours et précise leur niveau d’avancement. Si Juliette Mansour avait pris le temps de le consulter, elle aurait pu vérifier qu’aucune étude phase 3 n’a été terminée au 1/6/2022. Chacun peut vérifier facilement.

Ce qui confirme d’ailleurs ce que nous avions observé pour l’essai Pfizer.

Il est vraiment triste de constater que l’AFP et une de ses journalistes ne respectent pas l’éthique de leurs métiers et ne prennent pas le temps, ni de consulter le site officiel des essais, ni d’interroger les médecins qu’elles critiquent, pour se comporter comme des propagandistes niant les faits établis même lorsqu’ils sont facilement vérifiables.

Non, MadameMansour, les pseudo vaccins actuels n’ont pas été testés correctement !

Avant le Covid, la mise au point et les essais des vaccins utilisant des techniques pourtant parfaitement rodées de stérilisation ou d’atténuation de virus pathogène nécessitait en moyenne 10 à 15 ans dont la majeure partie consistait dans les essais destinés à vérifier leur efficacité et leur tolérance. Il a fallu 16 ans pour les vaccins contre les HPV ou les rotavirus(([5] https://www.ledevoir.com/societe/science/579612/combien-de-temps-faudra-t-il-pour-elaborer-un-vaccin-contre-la-covid-19)), 20 ans de recherche pour le Dengvaxia, plus de 30 ans pour le vaccin Mosquirix contre le paludisme, peut-être 50 ans pour le vaccin contre le sida. Le vaccin développé le plus rapidement dans l’histoire des vaccinations, celui contre l’Ebola, a exigé cinq ans d’efforts et paraît moins efficace que les vaccins antivarioliques ou anti-fièvre jaune aux dires des praticiens africains qui insistent sur la nécessité de poursuivre les mesures d’hygiène qui avaient été utilisées avec succès lors des épidémies précédentes.

Entre chacune des phases des essais nécessaires pour obtenir l’autorisation de mise sur le marché (animaux, phase 1, phase 2, phase 3), on marquait habituellement une pause pour permettre aux scientifiques d’analyser leurs résultats avant de passer à la phase suivante.

Comment peut-on croire qu’un vaccin autorisé seulement 10 mois après l’apparition d’une maladie nouvelle au lieu des 10 à 20 ans habituels ait suivi le protocole normal et complet de mise au point et de vérification ? Ce médicament qui n’est pas un vaccin selon la définition de Pasteur (car il ne contient aucun antigène) n’a absolument pas suivi le processus normal de validation.

Lorsqu’on analyse le calendrier du développement, on remarque les considérables manquements au processus habituel des essais. Il n’y a pas eu d’extraction d’antigène à partir du virus, ni de tentative d’atténuation de celui-ci. Les essais de toxicité sur les animaux(([6] Particulièrement important ici, car les précédents vaccins contre les autres coronavirus ont été abandonnés après des essais sur l’animal montrant qu’ils aggravaient la maladie avec de nombreux décès.)) ont été abandonnés ou tronqués sous prétexte qu’on ne disposait pas assez d’animaux adaptés à l’étude, alors que c’est à ce stade que les candidats vaccins anti-coronavirus précédents ont été abandonnés, car ils augmentaient la gravité de la maladie !

Les phases 1, 2, 3 des essais ont été entremêlées au lieu de se succéder, empêchant toute analyse détaillée qui aurait permis d’utiliser les données de la phase 1 pour concevoir la phase 2, et celle de la phase 2, pour planifier la phase 3.

Les sujets sélectionnés pour l’essai phase 3 ne représentaient pas ceux auxquels les produits ont ensuite été administrés avec, en particulier, très peu de personnes très âgées, ou souffrant de comorbidité, elles qui ont ensuite été vaccinées en priorité. L’essai ne comportait ni femmes enceintes, ni enfants. Ces biais visaient à minimiser au maximum la toxicité apparente des injections.

Les critères de jugement de l’essai ne sont pas pertinents. Ce qui importe pour juger de l’efficacité d’un vaccin est de mesurer la protection qu’il apporte au vacciné contre le risque de contracter la maladie, d’en mourir et sa capacité d’empêcher définitivement la transmission de la maladie aux autres. Or ces critères ont été totalement abandonnés au profit de la mesure du taux des anticorps et du pourcentage de “cas” définis par un test diagnostique non spécifique.

Ces essais trop brefs ont été conçus uniquement pour dissimuler les effets secondaires possibles et surestimer l’efficacité des injections et les agences chargées de notre sécurité sanitaire ont été complices de cette manipulation qui a exposé la population à des complications multiples et continue de l’exposer.

Il est étonnant que les médias ne se soient toujours pas intéressés à la somme faramineuse de documents sur les essais que la justice américaine a forcé Pfizer à publier

Les agences, l’AFP, les médias et le gouvernement ont menti sur l’efficacité des vaccins.

Ils ont prétendu que le vaccin était efficace à 97 %(([7] https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-le-vaccin-pfizer-efficace-a-97-contre-les-cas-symptomatiques-20210311))(([8] https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/03/11/covid-19-dans-le-monde-le-vaccin-de-pfizer-biontech-efficace-a-97-contre-les-cas-symptomatiques_6072790_3244.html))(([9] https://www.lepoint.fr/sante/covid-19-le-vaccin-pfizer-biontech-serait-efficace-a-97-pour-les-cas-symptomatiques-11-03-2021-2417384_40.php)) sur la foi d’essais biaisés et répétés en boucle “tous vaccinés tous protégés”, alors que dès le mois de mai 2021 de nombreuses observations prouvaient que c’était faux comme l’épidémie apparue sur le porte-avions Queen Elizabeth dont tous les marins avaient été complètement vaccinés. L’examen des chiffres officiels de l’OMS retraçant évolution de la maladie montre qu’il n’y a pas eu de ralentissement de l’épidémie après les injections, mais au contraire un accroissement comme en Grande-Bretagne champion européen des injections.

Ou plus globalement dans le monde où les pays peu vaccinés ont été presque épargnés par la vague Omicron alors que cette vague a été particulièrement virulente dans les pays adeptes du tout vaccin.

La comparaison de l’évolution épidémique des deux pays frères ennemis, Israël champion de Pfizer et Palestine peu injectée montre que les injections ne diminuent pas le nombre de contaminations et paraissent même susceptibles de favoriser Omicron

Une constatation semblable peut être tirée de la comparaison entre les 2 îles africaines de l’océan Indien (Seychelles vaccinées à plus de 90 % et Madagascar et ses 2 % de vaccinés) pourtant semblables par les facteurs de risques de leurs populations et leur mode de vie.

Dans le monde réel, les injections anti-covid ne protègent donc pas des contaminations et paraissent même parfois les favoriser ! Le slogan gouvernemental “tous vaccinés tous protégés” est une contrevérité flagrante !

Les agences, l’AFP, les médias et le gouvernement ont également menti en prétendant que les pseudo vaccins protégeaient des formes graves

Ne pouvant plus dire que les injections protégeaient de l’infection, leurs propagandistes ont enclenché une propagande massive pour faire croire qu’elles pourraient diminuer le risque de faire des formes graves. Tous les médias ont été mobilisés pour diffuser les communiqués fallacieux de la Drees(([10] https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/)) qui a toujours refusé de fournir des chiffres bruts vérifiables par des statisticiens indépendants.

Mais les chiffres de l’OMS et les exemples de pays étrangers plus transparents démontrent que les pseudo vaccins ne protègent pas plus des formes graves que des Covids ordinaires.

Les formes graves sont susceptibles d’entraîner la mort. Pour évaluer la fréquence des formes graves, il suffit de mesurer la mortalité. Pour apprécier l’effet des injections sur la fréquence des formes graves, on compare la mortalité avant et après les campagnes massives de vaccination.

Les courbes de l’OMS sont très démonstratives : au niveau mondial les campagnes de vaccination ont été suivies d’une augmentation franche de la mortalité qui a globalement plus que triplé !

L’incapacité des injections Pfizer à protéger des formes graves est évidente en Israël qui comptait 3000 décès covid avant les campagnes d’injections et qui, après l’injection de 15 018 677 doses de vaccin, en recense trois fois plus (10 860 au 2 juin 2022). De plus, la comparaison des mortalités en Israël championne des injections Pfizer et en Palestine très peu vaccinée confirme que les pseudo vaccins ne diminuent pas la fréquence des formes graves.

Même constatation dans les îles africaines de l’océan Indien :

Plus globalement, dans le monde, les pays champions des vaccins sont ceux qui présentent les plus hauts taux de mortalité :

Comment pourrait-on croire à un miracle français qui permettrait aux vaccins de nous protéger des formes graves et de la mort alors qu’ils en sont incapables partout ailleurs dans le monde ?

Les agences, l’AFP, les médias et le gouvernement ont menti en prétendant que les pseudo vaccins protégeaient des formes graves. Cette désinformation systématique par l’appareil d’état est responsable de la crise de confiance croissante de la population.

Il est grand temps que ceux qui se présentent comme journalistes retrouvent leur éthique (enquête à charge et à décharge) ; analysent les faits avérés publiés par des sources fiables (OMS, université John Hopkins) et cessent de se comporter en propagandistes permanents des mensonges d’état.




Ces « élites » qui veulent réduire la population en euthanasiant les vieux et les « inutiles »

[Source : aulnaycap.com]

Par Catherine Medioni

Que tous ceux qui ont dépassé les 60 ans se portent volontaires pour se faire euthanasier, conformément aux souhaits de mort de ces fausses élites dévouées au diable et non à Dieu ! Les gros, les débiles mentaux, les individus au faible QI, les chômeurs, les handicapés, les » inutiles » devront-ils eux aussi accepter d’être euthanasiés pour laisser prospérer une société eugéniste qui n’a plus rien d’humaine ? Les propagateurs de cette doctrine immonde et véritablement diabolique sont les Bill Gates, les Klaus Schwab, les Jacques Attali, les Rothschild, les Rockefeller, les Warren Buffett, les Kissinger, les Yuval Noah Harari, les Christine Lagarde, etc. qui font passer les profits et l’économie avant les humains !

Les interviews et les écrits de Jacques Attali, entre autres, ne trompent pas sur les objectifs poursuivis de dépopulation mondiale. Il est clair que la pandémie de Covid (crée en laboratoire) vient accélérer l’agenda morbide destiné aux populations et que son faux remède achèvera le travail que le Covid n’a pas fait ! Allez-vous enfin regarder en face le sort qui nous est déjà réservé ou bien continuerez-vous à croire que tous ceux qui possèdent des pouvoirs sont bienveillants envers l’humanité ?

[NDLR : l’extrait présenté ci-dessus ne semble pas se trouver dans au moins une édition du livre en question. Par contre, les extraits dans le PDF suivant sont édifiants. Voir notamment à la page 24 du document.

]

Il est plus que temps que les millions d’humains qui ont confié des pouvoirs à de grands malades mentaux malveillants et diaboliques les leur retirent en urgence, et qu’ils s’opposent fermement à cet agenda mortifère et criminel qui va les assassiner !




Le projet de biopouvoir de l’OMS, une vieille lune scientiste. Mise à jour

[Source : RĿ]

Par Pierre-Antoine Pontoizeau

Les deux dernières années ont montré que la communauté médicale pesait d’un poids considérable sur la destinée des peuples et les décisions politiques des États. Les confinements ont été onéreux et à l’évidence préjudiciables. Or, les nouvelles thérapies sont à évaluer avec prudence après un enthousiasme et une pression exercés en faveur d’un tout vaccinal très discutable. Pourtant, des médecins ont commandé, dirigé jusqu’à faire taire leurs opposants sur les plateaux de télévision. Et la prudence n’est toujours pas de mise.

En ce moment même, l’OMS organise un coup d’État mondial pour concentrer tous les pouvoirs en ses mains. À l’instar de la déclaration récente du docteur Fauci réclamant tous les pouvoirs, sans avoir à se justifier devant aucune assemblée, l’OMS poursuit sa conquête du pouvoir en toute impunité. Ces dernières propositions concernant son pouvoir de prescription aux États des conduites à suivre est clair, à tel point que la Pologne conteste cette atteinte à la souveraineté des États : « Traité de l’OMS sur la prévention des pandémies : des chercheurs polonais sonnent l’alerte » (francesoir.fr) L’institution déciderait et les États s’exécuteraient. Le biopouvoir mondial s’installe donc au nom de la prévention sanitaire des pandémies. Isoler, vacciner, imposer une thérapie préventive, dicter les conduites, organiser des camps d’isolement, etc.

Seulement, tout cela n’est pas le fruit d’une opportunité. C’est le résultat d’une réflexion ancienne. Le projet du biopouvoir est connu depuis 1935. Nous avons trop oublié cette prévision et ses motivations. Alexis Carrel (1873-1944), prix Nobel de médecine en 1912 pour ses travaux sur la suture vasculaire et la transplantation de cellules sanguines et d’organes, publie : L’homme, cet inconnu, qui remporta un succès considérable dès sa parution en 1935, publié en de nombreuses langues jusque dans les années cinquante. C’est dans le dernier chapitre de cet ouvrage qu’on trouve déjà toute la description du projet de biopouvoir.

Alexis Carrel affirme que la médecine a besoin des institutions qui lui permettront de mener à bien ses projets. Ce n’est pas anecdotique de signaler que la recherche médicale vise autre chose que de simples progrès scientifiques, mais bien la maîtrise d’un ensemble de savoirs à des fins politiques. Il écrit :

« L’Institut Rockefeller a entrepris l’exploration d’un champ plus vaste. En même temps que les agents producteurs des maladies et leurs effets sur les animaux et les hommes, on y analyse les activités physiques, chimiques, physico-chimiques et physiologiques manifestées par le corps. Dans les laboratoires de l’avenir, ces recherches s’avanceront beaucoup plus loin. L’homme tout entier appartient au domaine de la recherche biologique. Certes, chaque spécialiste doit continuer librement l’exploration de son district propre. Mais il importe qu’aucun aspect important de l’être humain ne soit ignoré. La méthode employée par Simon Flexner dans la direction de l’Institut Rockefeller pourrait être étendue avec profit aux instituts biologiques et médicaux de demain. À l’Institut Rockefeller, la matière vivante est étudiée de façon très compréhensive depuis la structure de ses molécules jusqu’à celle du corps humain. Cependant, dans l’organisation de ces vastes recherches, Flexner n’imposa aucun programme aux membres de son Institut. Il se contenta de choisir des savants qui avaient un goût naturel pour l’exploration de ces différents territoires. On pourrait par un procédé analogue organiser des laboratoires destinés à l’étude de toutes les activités psychologiques et sociales de l’homme, aussi bien que de ses fonctions chimiques et organiques. » 

(230, IV)

Au-delà de cette institution, il appelle de ses vœux le haut conseil, qui trônerait au-dessus de toutes les autres institutions pour les inspirer, les commander. En légitimant la puissance potentielle de la médecine et des progrès qu’elle peut accomplir :

« La création d’une telle institution constituerait un événement de grande importance sociale. Ce foyer de pensée serait composé, comme la Cour Suprême des États-Unis, d’un très petit nombre d’hommes. Il se perpétuerait lui-même indéfiniment, et ses idées resteraient toujours jeunes. Les chefs démocratiques, aussi bien que les dictateurs, pourraient puiser à cette source de vérité scientifique les informations dont ils ont besoin pour développer une civilisation réellement humaine. » 

(231, IV)

Il explicite que la vie humaine est à diriger au nom du gouvernement des corps et des esprits. Le politique n’en a pas la compétence, le médecin oui. Il va plus loin dans l’expression de l’ambition d’un pouvoir exercé par ces savants qui dirigeraient le monde. Il imagine l’institution d’un pouvoir médical légitime à commander l’avenir de l’humanité :

« À ces savants il faudrait donner une position aussi élevée, aussi libre des intrigues politiques et de la publicité que celle des membres de la Cour Suprême. À la vérité, leur importance serait beaucoup plus grande encore que celle des juristes chargés de veiller sur la Constitution. Car ils auraient la garde du corps et de l’âme d’une grande race dans sa lutte tragique contre les sciences aveugles de la matière. » 

(232, IV)

Le biopouvoir se fait potentiellement dictature légitime aux yeux de son inspirateur. Cette légitimité tient à une conception du politique où il s’agit de régner avant tout sur les humains, bien plus que sur des territoires. Là, le messianisme du docteur Carrel est manifeste. Il écrit :

« Une minorité ascétique et mystique acquerrait rapidement un pouvoir irrésistible sur la majorité jouisseuse et aveulie. Elle serait capable, par la persuasion ou peut-être par la force, de lui imposer d’autres formes de vie. » 

(234, V)

Il revendique déjà l’impunité de l’exercice de ce pouvoir s’exerçant sans limite au nom de son savoir détenteur de la vérité sur la vie, la bonne vie et la mort. À cet égard, le docteur Fauci est l’héritier direct de cette revendication de toute-puissance, n’ayant de compte à rendre à personne :

« À ces savants il faudrait donner une position aussi élevée, aussi libre des intrigues politiques et de la publicité que celle des membres de la Cour Suprême. À la vérité, leur importance serait beaucoup plus grande encore que celle des juristes chargés de veiller sur la Constitution. Car ils auraient la garde du corps et de l’âme d’une grande race dans sa lutte tragique contre les sciences aveugles de la matière. » 

(232, IV)

Ces médecins-tyrans n’écouteraient donc plus le patient, n’entendraient rien à ce qui contredirait leur décision. Un monde sans plainte, sans remise en cause. Comment peut-on au troisième millénaire fantasmer un tel pouvoir alors que la connaissance scientifique n’a rien à voir avec la vérité ou la liberté. La science ne sait pas ce qui est bon ou mauvais, là est sa limite. Elle est temporaire, falsifiable. Qui a oublié que la gravité de Newton, efficace dans les sciences de l’ingénieur, est bien fausse au regard de la relativité qui sera elle aussi contestée, falsifiée, même si elle permet d’interagir avec les phénomènes. Entre ce que nous savons des limites de la science depuis la crise des mathématiques et de la physique contemporaine, comment peut-on soutenir raisonnablement ce délire scientiste ? De plus, la médecine est encore moins une science, mais un art au carrefour de plusieurs sciences. Ces médecins spéculent donc sur les angoisses, la peur de la mort et de la souffrance jusqu’à vouloir gouverner les corps, décider de qui doit naître et mourir, voire comment produire des hommes nouveaux, greffés, pucés, etc. Il est temps de mettre l’esprit scientifique à sa place sauf à verser dans l’idéologie scientiste. Ce fut le trait de caractère du communisme et du nazisme que de prétendre dire la vérité au nom d’une théorie de l’histoire ou d’une théorie des races réputées indéfectiblement vraies.

Il est simplement urgent d’enseigner la philosophie des sciences, l’esprit critique et de développer le sens de la liberté par l’ouverture à d’autres dimensions que le seul savoir scientifique et technicien.


[Source : guyboulianne.com]

L’archevêque Viganò met en garde les nations contre la prise de pouvoir du traité pandémique de l’OMS : « La cession de souveraineté est considérée comme un crime de haute trahison »

L’Assemblée mondiale de la santé s’est réunie à Genève, en Suisse, du 22 au 28 mai 2022 pour discuter de la mise en œuvre du traité de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur la pandémie par 194 nations. L’archevêque Carlo Maria Viganò a publié le 22 mai dernier une note avertissant les nations qui envisagent d’adhérer au Traité sur la pandémie de l’OMS que la remise de la souveraineté à l’organisme mondial constitue un “crime de haute trahison” : « Dans les prochains jours, les nations qui adhèrent à l’Organisation mondiale de la santé voteront des résolutions concernant la gestion des pandémies par l’OMS », a écrit Viganò. « Ces résolutions transféreront la souveraineté concernant la santé des citoyens à un organisme supranational largement financé par l’industrie pharmaceutique et la Fondation Bill & Melinda Gates. »

Le Canada ne doit pas renoncer à sa souveraineté en matière de soins de santé, mais c’est exactement ce que certains dirigeants canadiens essaient de faire. Et il y a une pression énorme de partout dans le monde pour que nous le fassions. Le Traité international sur la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies (Traité de l’OMS en cas de pandémie) doit être signé en mai 2024. Une réunion des membres de l’OMC s’est tenue en décembre 2021 et une deuxième réunion est prévue au plus tard le 1er août 2022, lorsque le libellé du traité sera rédigé.

Le traité comprend 190 pays et serait juridiquement contraignant. Le traité définit et classe ce qui est considéré comme une pandémie et cela pourrait consister en de larges classifications comprenant une augmentation des cancers, des maladies cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, etc. Si une pandémie est déclarée, l’OMS prend en charge la gestion sanitaire mondiale de la pandémie.

Ce traité a des implications très graves pour notre souveraineté nationale en matière de santé. En vertu de ce traité, le Canada céderait essentiellement sa souveraineté nationale en matière de santé à l’OMS lorsqu’il s’agit de répondre aux pandémies. Plus préoccupant encore, si ce traité est inscrit, l’OMS aurait le plein contrôle sur ce qu’on appelle une pandémie. Ils pourraient dicter comment nos médecins peuvent réagir, quels médicaments peuvent et ne peuvent pas être utilisés, ou quels vaccins sont approuvés. Nous aboutirions à une approche unique pour le monde entier. Le Canada est un pays vaste et diversifié avec des différences régionales. Une réponse unique à une crise sanitaire ne fonctionne même pas partout au Canada, et encore moins dans le monde entier.

Nous devons également émettre de sérieuses réserves quant à l’évolution du rôle de l’OMS. L’objectif initial était que les nations souveraines mettent en commun leurs ressources pour aider à lutter contre le paludisme, Ebola et d’autres problèmes de santé qui nuisent en grande partie aux pays en développement. Au lieu de cela, l’accent a non seulement changé pour inclure les réponses à la pandémie dans des pays souverains comme le nôtre, mais une grande partie de leurs fonds proviennent désormais de donateurs privés, comme la Fondation Gates. Il n’est pas controversé de dire que les donateurs privés viennent avec des intérêts privés.

Nous devons être vigilants pour protéger notre système de santé des intérêts privés potentiels, et nous devons maintenir notre souveraineté sur notre réponse à la pandémie.


DÉCLARATION relative à la cession de souveraineté
à l’OMS pour la gestion des urgences sanitaires

Dans les prochains jours, les nations qui adhèrent à l’Organisation mondiale de la santé voteront des résolutions concernant la gestion des pandémies par l’OMS. Ces résolutions transféreront la souveraineté en matière de santé des citoyens à un organisme supranational largement financé par l’industrie pharmaceutique et la Fondation Bill & Melinda Gates. Si ces résolutions sont approuvées à la majorité, l’OMS aura l’autorité internationale exclusive en cas de pandémie pour imposer toutes les règles, y compris les quarantaines, les confinements, les vaccinations obligatoires et les passeports vaccinaux. Il convient également de garder à l’esprit que cette organisation jouit de l’immunité et que ses membres ne peuvent donc être ni jugés ni condamnés s’ils commettent des crimes.

Etant donné que la cession de souveraineté est considérée comme un crime de haute trahison par les lois de chaque nation, et que les Parlements ne peuvent légiférer contre les intérêts de la Nation, encore moins violer les libertés naturelles et les droits fondamentaux des citoyens qu’ils représentent, je crois qu’il n’échappera à personne que cette tentative de l’OMS de s’approprier un pouvoir qui appartient en propre aux nations individuelles vise à empêcher toute forme d’opposition à l’Agenda 2030, qui dans le domaine de la santé vise également à accomplir la réduction drastique des services médicaux et hospitaliers, la privatisation de l’industrie de la santé et la prévention des maladies grâce aux vaccins.

La psycho-pandémie a démontré l’asservissement des dirigeants, du système politique, des médias, de la justice, de toute l’industrie médicale et même du Saint-Siège lui-même aux diktats d’un groupe de fonctionnaires d’une entité supranationale qui a un conflit d’intérêts flagrant. Les effets néfastes désastreux du sérum d’ARNm expérimental ne sont reconnus que maintenant, alors que nombreux sont ceux qui s’attendent à juste titre à ce que les responsables de ces décisions soient tenus responsables devant un tribunal indépendant.

Il semble donc pour le moins absurde que l’on veuille désormais donner un pouvoir de décision contraignant à l’OMS, alors que dans sa gestion de la récente urgence pandémique et de la campagne de vaccination, le plus grand mal a été fait en termes de nombre de décès et de patients dont la santé a subi des dommages permanents. Outre l’impunité dont elle jouit pour les crimes qu’elle a commis grâce au silence des grands médias, l’OMS a également une discrétion totale sur la manière de répondre aux urgences à venir qui sont manifestement planifiées par le lobby pharmaceutique. La marginalisation des personnels de santé qui font appel au serment d’Hippocrate risque de devenir la norme par laquelle éliminer toute voix dissidente.

À cet égard, il est significatif que les Nations qui s’opposent au Nouvel Ordre Mondial – comme la Russie et le Brésil – soient conscientes des conséquences très graves que la ratification de ces résolutions entraînerait, et pour cette raison, elles s’opposent à leur approbation. Au cours de son mandat, le président Trump a également envoyé un signal sans équivoque en arrêtant le financement du Trésor américain à l’OMS. C’est l’une des raisons pour lesquelles l’État profond a bloqué sa réélection en 2020, soutenant un individu compromis et corrompu dont le fils Hunter est impliqué dans le financement de biolabs américains en Ukraine.

J’exprime donc tout mon soutien aux citoyens — en particulier scientifiques, médecins et juristes — qui dénoncent cette menace à la souveraineté nationale des Nations adhérentes, et qui demandent que la lumière soit faite sur les événements passés et sur les conséquences que les décisions de l’OMS ont causé pour la santé de la population mondiale. J’exhorte les chefs d’État et de gouvernement qui seront appelés à s’exprimer sur la ratification de ces résolutions à les rejeter, car elles sont contraires au bien commun et destinées à réaliser le coup d’État mondial que l’OMS et le FEM ont planifié depuis des années sous les noms de l’Agenda 2030 et de la Grande Réinitialisation. La gouvernance mondiale de la santé est l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial, comme l’ont clairement indiqué des experts faisant autorité qui ne sont pas compromis avec le système, et en tant que telle, elle doit être rejetée et combattue. La logique de contrôle, de profit et de pathologisation de masse doit être remplacée par une politique de santé publique qui a pour objectif premier la santé des citoyens et la protection de leurs droits inaliénables.

Le Saint-Siège — qui est Observateur permanent auprès des Nations Unies et également de l’OMS depuis un an maintenant — a le devoir de réaffirmer le droit des individus d’accepter ou de refuser des traitements de santé, en particulier face au danger concret d’effets indésirables, encore en partie inconnues, de ce traitement génétique expérimental. Et si jusqu’à présent Bergoglio et sa cabale se sont livrés aux délires de Gates, Schwab et Soros, le moment est venu pour l’Église catholique de défendre les plus faibles, les enfants à naître, les enfants et les personnes âgées sans défense, ainsi que ceux qui ont ont été victimes de chantage par le cynisme d’hommes d’affaires et de conspirateurs afin de les forcer à être inoculés avec un sérum contaminé par des lignées cellulaires de fœtus avortés. Le silence conspirateur actuel du Vatican, après les déclarations hâtives qu’il a faites au début de la pandémie et ses approbations honteuses de BigPharma, sera imputé à la condamnation du Sanhédrin romain, qui s’est rendu complice d’un crime contre Dieu et homme. Jamais dans toute l’histoire la Hiérarchie ne s’est prostituée au pouvoir temporel d’une manière aussi servile et abjecte. Prions pour que certains évêques trouvent le courage de se distancer de la ligne collaborationniste de Bergoglio et trouvent les mots pour ouvrir les yeux de ces braves gens qui ont jusqu’à présent été trompés par la propagande mondialiste.

Mgr Carlo Maria Viganò (signature)

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

21 mai 2022




Les accusations de viol contre les troupes russes en Ukraine étaient fausses

[Source : lesakerfrancophone.fr via arretsurinfo.ch]

[Illustration : Lyudmyla Denisova, prise en flagrant délit de mensonge]

Par Moon of Alabama – Le 31 mai 2022

Un premier signal, encore très faible, indique que le régime de Zelenski à Kiev est en train de s’effondrer.

Il y a six semaines, de nombreuses accusations de viols commis par des soldats russes en Ukraine ont soudainement vu le jour.

Le Time titrait :

Les Ukrainiennes qui ont été violées par les troupes russes refusent de garder le silence.

La médiatrice ukrainienne pour les droits de l’homme, Lyudmyla Denisova, a déclaré que 25 adolescentes avaient été enfermées dans une cave à Bucha et violées collectivement ; neuf d’entre elles sont maintenant enceintes. Des femmes âgées ont raconté devant les caméras avoir été violées par des soldats russes. Des corps d’enfants ont été retrouvés nus, les mains attachées dans le dos, les organes génitaux mutilés. Ces victimes étaient aussi bien des filles que des garçons, et des hommes et des garçons ukrainiens ont été agressés sexuellement lors d’autres incidents. Un groupe de prisonnières de guerre ukrainiennes ont eu la tête rasée en captivité en Russie, où elles ont également été déshabillées et forcées de s’accroupir.

Des militants anti-russes enthousiastes ont répandu ces douteuses accusations :

Julia Ioffe @juliaioffe – 23:21 UTC – 20 Avr. 2022

« 25 adolescentes ont été violées collectivement ; 9 sont maintenant enceintes. Des femmes âgées ont parlé d’avoir été violées par des soldats russes. Les corps d’enfants ont été retrouvés nus, les mains attachées derrière le dos, les organes génitaux mutilés. » Une lecture déchirante, par @Amie_FR. Lien vers l’article du Time

En citant le tweet de Julia Joffe, j’ai immédiatement rejeté ces affirmations :

Moon of Alabama @MoonofA – 8:44 UTC – Apr 21, 2022

De telles accusations de viols massifs par l’ennemi du jour sont faites dans chaque guerre (Libye, Syrie). Elles se révèlent rarement vraies.

https://en.wikipedia.org/wiki/2011_Libyan_rape_allegations

Il s’avère que mon intuition était juste :

Christopher Miller @ChristopherJM – 15:17 UTC – 31 mai 2022

Le parlement ukrainien vient de renvoyer la médiatrice des droits de l’homme Lyudmila Denisova. Les députés ont affirmé que son travail axé sur le viol d’Ukrainiens par les troupes russes, qui « n’a pas pu être confirmé par des preuves […], n’a fait que nuire à l’Ukraine et détourner l’attention des médias mondiaux des besoins réels de l’Ukraine. »

238 députés ont voté en sa défaveur. D’autres plaintes portaient sur le fait que Mme Denisova n’avait pas réussi à organiser des couloirs humanitaires et des échanges de prisonniers de guerre, et qu’elle avait passé du temps dans la « chaude Europe occidentale » pendant l’invasion « mais pas en Russie ou au Belarus, où son statut et ses pouvoirs pourraient aider les prisonniers. »

Des ukrainiens dénoncent les viols comme crimes de guerre pour s’assurer que le monde en tienne la Russie responsable

Lyudmila Denisova avait fait de nombreuses déclarations sensationnelles contre les soldats russes :

La commissaire ukrainienne aux droits de l’homme a déclaré mardi que les enquêteurs avaient entendu plus de 400 allégations de violences sexuelles, y compris des viols, sur des Ukrainiens par des soldats russes en l’espace de deux semaines. …

« Il y a deux caractéristiques », a déclaré Mme Denisova.

Premièrement, a-t-elle dit, les allégations concernent généralement de jeunes soldats âgés de 20 à 25 ans. « C’est-à-dire ceux qui viennent de grandir sous le règne de Poutine, sous sa propagande », a-t-elle ajouté.

Deuxièmement, les soldats sont généralement accusés de commettre des viols en public ou sous le regard d’autres personnes, a-t-elle ajouté. Elle a donné l’exemple d’une femme de 25 ans qui a déclaré avoir été obligée d’assister au viol de sa sœur de 16 ans et les a suppliés de la violer à sa place.

« Nous avons besoin d’aide pour les deux », a déclaré Mme Denisova. Elle a poursuivi en décrivant les viols présumés de deux enfants de 11 ans, une fille et un garçon, et d’un adolescent de 14 ans.

Elle a indiqué qu’elle avait reçu un rapport selon lequel la fillette de 11 ans avait été violée après être sortie en cachette pour cueillir des fleurs à Gostomel, une ville située au nord-ouest de Kiev qui a fait l’objet de nombreuses attaques. Elle a déclaré que la jeune fille « ne se souvient que du début, puis ne se souvient plus de rien, seulement du moment où elle a été renversée au sol. »

À l’époque, les accusations de viol faisaient partie de la campagne de propagande ukrainienne :

Le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Dmytro Kuleba, a déclaré vendredi que des soldats russes avaient commis des viols dans des villes ukrainiennes.

Kuleba n’a fourni aucune preuve de ses dires. Reuters n’a pas été en mesure de vérifier cette affirmation de manière indépendante.

« Quand les bombes tombent sur vos villes, quand les soldats violent les femmes dans les villes occupées, et nous avons de nombreux cas, malheureusement, de soldats russes violant les femmes dans les villes ukrainiennes, il est difficile, bien sûr, de parler de l’efficacité du droit international », a déclaré Kuleba lors d’un événement à Chatham House à Londres.

Cependant, un groupe d’ONG enthousiastes en Ukraine, espérant de l’argent frais « occidental » pour de nouveaux projets de « consultation sur les viols et de récupération », a essayé de trouver de vrais cas de viols. Ces ONG ont été déçues de constater qu’il n’y avait aucune preuve qu’un quelconque viol ait eu lieu (traduction automatique) :

Le 25 mai, un certain nombre de médias et d’ONG ont publié un appel ouvert à Lyudmila Denisova demandant une meilleure communication sur les crimes sexuels pendant la guerre.

Les signataires insistent pour que Lyudmila Denisova ne divulgue que les informations pour lesquelles il existe des preuves suffisantes, évite le sensationnalisme et les détails excessifs dans ses reportages, utilise une terminologie correcte et veille à la confidentialité et à la sécurité des victimes.

« Les crimes sexuels pendant la guerre sont des tragédies familiales, un sujet traumatique difficile, pas un sujet de publication dans l’esprit de la ‘chronique scandaleuse’. Nous devons garder à l’esprit le but recherché : attirer l’attention sur les faits de crimes », peut-on lire dans l’appel.

Les autres raisons invoquées pour le renvoi de Mme Denisova sont ses longs séjours en Europe occidentale pendant la guerre et le fait qu’elle ait négligé les négociations avec la Russie concernant les échanges de prisonniers et d’autres questions humanitaires :

[Le vice-président du comité permanent de la Verkhovna Rada, Pavlo] Frolov, a également noté que depuis le début de la guerre et les grandes souffrances des Ukrainiens, Mme Denisova n’a pratiquement pas exercé son autorité pour organiser des couloirs humanitaires, protéger et échanger des prisonniers, s’opposer à la déportation de personnes et d’enfants des territoires occupés, ainsi que d’autres activités liées aux droits de l’homme.

La concentration incompréhensible du travail médiatique de la médiatrice sur de nombreux détails de « crimes sexuels contre nature » et de « viols d’enfants » dans les territoires occupés, qui n’ont pas pu être confirmés par des preuves, n’a fait que nuire à l’Ukraine et détourner les médias mondiaux des besoins réels de l’Ukraine.

Après le 24 février, l’actuelle commissaire aux droits de l’homme de la Verkhovna Rada a séjourné à l’étranger, mais pas en Russie ou en Biélorussie, où son statut et ses pouvoirs pouvaient aider les prisonniers, les déportés et les victimes de l’occupation de Kherson, et à Davos, Vienne, Varsovie et d’autres endroits chaleureux d’Europe occidentale.

Denisova était devenue trop gênante. Son licenciement semble faire partie d’un remake de la campagne de propagande de l’Ukraine. Voici une autre donnée du London Times qui va dans ce sens :

Le bataillon Azov abandonne le symbole néo-nazi exploité par les propagandistes russes (ce n’est pas une satire)

Le bataillon Azov a supprimé de son insigne un symbole néo-nazi qui contribuait à perpétuer la propagande russe disant que l’Ukraine serait en proie au nationalisme d’extrême droite.

Lors de l’inauguration d’une nouvelle unité de forces spéciales à Kharkiv, les patches remis aux soldats ne comportaient pas le wolfsangel, un symbole allemand médiéval adopté par les nazis et utilisé par le bataillon depuis 2014.

Cela rappelle Al-Qaïda en Syrie, qui a été rebaptisé Jabhat al-Nusra avant de s’appeler Jabhat Fatah al-Cham et de finir par s’appeler Hayat Tahrir al-Cham. Les noms et les symboles ont changé. Mais la direction, l’idéologie et le comportement du groupe sont toujours restés les mêmes.

Le changement d’image des groupes radicaux pour les rendre plus acceptables dans les médias « occidentaux » se produit constamment. Voici deux autres titres de Moon of Alabama sur des changements de nom de produits similaires :

Pour résumer :

  • Les accusations de viols contre les soldats russes en Ukraine ont été inventées et fausses.
  • La propagandiste ukrainienne qui en est responsable vient d’être licenciée.
  • L’Ukraine et ses troupes de choc nazis du bataillon Azov corrigent leur apparence pour devenir plus acceptables pour le public « occidental ».

Rien de ce qui précède ne changera le fait que l’Ukraine et l’« Occident » sont en train de perdre leur guerre contre la Russie.

Moon of Alabama

Note du Saker Francophone

Comme le fait judicieusement remarquer Cailtlin Johnstone dans son dernier article portant sur le même sujet : 

« Cette info montre que même le gouvernement ukrainien est plus sceptique à l’égard des affirmations du gouvernement ukrainien que la presse occidentale grand public. »

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone.