100 tribunaux saisis au pénal par Réaction19 contre la vaccination Covid 

[Source : RL]

Par Jacques CHASSAING

Formidable ! 283 personnes ont déposé plainte à ce jour devant divers tribunaux. 

Voici les premières villes concernées :  Montauban, Tulle, Coutances, Foix, Cergy, Bourges, Béziers, Lille, Bourg-en-Bresse, Vesoul, Bourgoin, Bayonne, Auxerre, Laval, Rodez, Bresse, Caen, Nantes, Auch, Niort, Aurillac, Châteauroux, Bobigny, Nevers, Saintes, Dax, Strasbourg, Privas, Perpignan, Angoulême, Créteil, Dijon, Mulhouse, Versailles, Tarbes, Chambéry, Reims, Nanterre, Nîmes, Lyon, Quimper, Toulouse, Bordeaux, Mont-de-Marsan, Evreux, Paris, Mandé, Montpellier, Valenciennes, Tarascon, Bergerac, Vannes, Toul, Alès, Marseille, Cherbourg, La Roche-sur-Yon, Thonon, Angers, Cahors, Aix-en-Provence, Chalon-sur-Saône, Avignon, Lons-le-Saunier, Grenoble, Annecy, Alberville…

Il y a une quinzaine de jours, le président de l’association Réaction19, l’avocat Carlo Alberto Brusa a proposé à toute personne victime des effets de la propagande vaccinale, de l’obligation vaccinale ou de la vaccination volontaire de télécharger et de s’emparer de la plainte pénale mise en ligne.

Mise en danger de la vie d’autrui et tromperie sur les « vaccins » Covid 

À L’ENCONTRE DE :

  • – L’AGENCE NATIONALE DE SÉCURITÉ DU MÉDICAMENT ET DES PRODUITS DE SANTÉ
  • – L’AGENCE NATIONALE DE SANTÉ PUBLIQUE
  • – LE CONSEIL NATIONAL DE L’ORDRE DES MÉDECINS
  • – LE CONSEIL NATIONAL DE L’ORDRE DES PHARMACIENS…

Cette plainte a été vue 100 000 fois à la date d’hier et 283 personnes ont déposé plainte à ce jour devant divers tribunaux.

260722 – Plainte simple « Ce ne sont pas des vaccins » 

Ce ne sont pas des vaccins

Si vous déposez cette plainte merci de tenir informé Reaction19 en joignant aussi des copies :
https://reaction19.fr/contacts/contacts/

Même si vous n’êtes pas adhérent de Reaction19, vous êtes aussi invité à déposer cette plainte.

Regardez cette vidéo R19 ou vous trouverez beaucoup de Questions/Réponses au sujet de cette plainte : https://videos.reaction19.fr/items/3f3f3106-a572-42b7-8ec7-d83287d094cf

210722 – Signature Carlo – Plainte « Ce ne sont pas des vaccins »

Précisions importantes 

La plainte est gratuite et les volumineux paquets de pièces l’étayant seront déposés directement au greffe de chaque tribunal départemental, dès lors qu’ils auront été saisis (pour l’instant, 100 ont déjà reçu les plaintes en quelques jours).

Réaction19 intervient en soutien dans tous ces tribunaux.

Pour faire partie de l’association, la cotisation est de 10 € par an.

Delfraissy et les membres du Conseil scientifique commencent à avoir la trouille 

À savoir aussi que Me Brusa a délivré d’autres informations sur les procédures engagées contre Macron, sans immunité présidentielle pour avoir déclaré vouloir emmerder les non-vaccinés. Une plainte criminelle contre Delfraissy et ceux qui savaient l’inefficacité et la dangerosité des pseudo-vaccins expérimentaux est dans les tuyaux (brillante démonstration des responsabilités et de l’augmentation des vaccinés en difficultés respiratoires, à partir de 30’ de la vidéo « Pas de sucrettes, pas de blé »).

Pas de sucrettes, pas de blé 

Victime à répétition de la censure de YouTube et Facebook, Me Brusa a mis au point un lexique pour déjouer provisoirement les algorithmes qui repèrent les mots vaccins, vaccination, effets secondaires et le corpus de termes anti-propagande gouvernementale.

Les directs vidéos de Carlo

 À cause de la censure de la part de YouTube, tous les directs créés sur YT sont transférés sur la page d’accueil du site de Reaction19.fr et supprimés de YouTube environ 2 heures après la fin de leurs créations.

Depuis le mois de mai 2020, plus de 500 vidéos ont été enregistrées, elles sont stockées sur la chaîne de Reaction19, dans le menu Vidéos WebTV

Pour recevoir les notifications des prochains directs YouTube de Carlo, abonnez-vous.

Dernière minute 

Sollicité pour un être candidat aux prochaines élections en Italie, Carlo Alberto Brusa vient de faire connaître sa réponse négative. Il s’en explique dans la vidéo d’hier (à partir de  15’).

Lire aussi :
https://ripostelaique.com/soignants-et-pompiers-non-vaccines-suspendus-un-precedent-terrible-pour-les-salaries.html




Les pleins pouvoirs donnés à la HAS par le nouveau parlement témoin de son incroyable inconscience

Par Nicole et Gérard Delépine

Faites-vous nommer présidente de la HAS vous serez payé 210 197 euros par an à condition de ne pas déplaire au président qui vous nomme.

Volet 2 suite de :
HONTE À LA HAS, ÉMANATION DU POUVOIR, DE REFUSER LA RÉINTÉGRATION DES SOIGNANTS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) volet 1 par Gérard Delépine


À l’ouest, rien de nouveau. La libération totale viendra probablement de l’Italie ou de la Grande-Bretagne pendant que les Français continuent de se faire berner par les puissants et leurs experts pourris de conflits d’intérêts. Les concitoyens (occupés par les TV sur port de la cravate ou non) restent aveugles et sourds à la réalité du terrain, aux multiples raisons scientifiques réelles de refuser le pseudo vaccin et aux énormes raisons pragmatiques de laisser revenir sur le terrain sanitaire les soignants fidèles à Hippocrate, pour ceux qui voudront bien qui nous pardonner et ne sont pas encore partis à l’étranger ou dans des métiers extra sanitaires ou leurs qualités sont mieux reconnues.

Les RAISONS OBJECTIVES POUR LA RÉINTÉGRATION

L’Académie de médecine et la Haute Autorité de Santé ne se déshonorent-elles pas en mettent la santé des Français encore plus en danger en refusant la réintégration des soignants vaccino prudents ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Le pseudovax n’a pas ralenti l’épidémie

L’aggravation paradoxale du risque d’attraper le covid quand on est vacciné depuis plus de cinq mois a été initialement observée au Royaume-Uni :

Mais elle a aussi été constatée en France :

Et pendant ce temps-là, ceux qui en ont besoin se plaignent de ne pas être reçus à l’hôpital ou en ville dans des délais qui les mettent en danger, et de la dégradation vertigineuse du système de soins et se voient encore obligés d’exhiber un pass et/ou un test (bidon)(([1] La mystification des tests PCR continue en France via le Sénat et ruine la sécurité sociale — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) et même un masque.(([2] Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande —La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))

Personne ne manifeste devant les hôpitaux ou les cliniques ni les EHPAD refusant les malades ou les visiteurs sans pass jusqu’à aujourd’hui alors que chacun devrait savoir s’il regarde les faits avérés, que ce vax ne protège de rien et que des soignants positifs, même symptomatiques sont autorisés à travailler dans ces mêmes établissements de soins. Mais un polémiste(([3] Patrick Pelloux qui commence à mesurer les désastres de la politique qu’il soutient depuis de longues années.)) a avoué qu’il s’agissait de les « punir » !

Enfin, grâce à la nouvelle loi sanitaire nous sortirons Le 1er août prochain de l’état d’urgence sanitaire et le gouvernement devra prendre en compte l’avis du Parlement pour toute nouvelle mesure restrictive de nos libertés qu’il souhaiterait prétextant l’apparition de nouveaux variants viraux ou toute autre excuse (moneypox et non monkeypox, etc..).

Malheureusement, la propagande de la peur, voire de la panique, se poursuit, et le gouvernement — via les mensonges répétés du Premier ministre, Mme Borne, celle qui vapote à l’assemblée, ou du nouveau ministre urgentiste et d’autres — continue à répéter comme un mantra que « les vaccins mêmes peu efficaces sont ce qu’il y a de mieux. » Oubliant une nouvelle fois les traitements précoces efficaces.

Les mondialistes voudraient tous nous injecter pour réussir leur dépopulation. « Les enfants sacrifiés du covid »(([4] Titre de notre livre paru en janvier 2022 chez Fauves éditions.)) sont dans le collimateur des puissants. C’est à nous tous de répéter les évidences démontrées maintes fois, les enfants ne risquent rien du covid et ne transmettent pas le virus. En revanche ils sont exposés aux effets secondaires des injections géniques, quelles qu’elles soient, y compris les nouveaux pseudovax dont on vous fera croire qu’ils sont sans danger. Comme les Pfizer ou Moderna, ils sont en expérimentation et sans recul. Vigilance !

COMME TROP D’ALLEMANDS DURANT LE RÉGIME NAZI et TROP DE FRANÇAIS PENDANT L’OCCUPATION, TROP DE NOS CONCITOYENS SONT À LA FOIS VICTIMES ET BOURREAUX (PAR LEUR TOLÉRANCE À L’INTOLÉRABLE).

Le gouvernement et les agences mentent quand ils prétendent que les pseudo vaccins protègent des formes graves alors que les chiffres officiels et l’OMS prouvent qu’ils sont suivis d’une surmortalité importante.

Mais ne comprennent-ils pas que derrière les soignants vaccino prudents suspendus de l’ordre de 15 000 (transformés en dix fois moins par nos menteurs permanents) se greffent ceux qui n’en pouvant plus de cette gouvernance dictatoriale qui nie leur vocation sont partis à la retraite plus tôt que prévu, souffrent d’arrêts maladie à rallonge, se sont mis en disponibilité ou ont démissionné. Le monde dit médical est devenu invivable et plutôt qu’applaudir les soignants sur injonction du gouvernement au printemps 2020 il vaudrait mieux les défendre aujourd’hui vraiment par tous moyens, manifestations, lettres aux élus, et rendez-vous, pétitions monstres, etc.. Et si nos concitoyens ne font rien, qu’ils ne viennent pas se plaindre de l’absence de soins par absence de soignants. Ces courageux qui ont mis leur carrière, leur maison et parfois leur famille en jeu pour vous avertir par un signal fort du danger des injections expérimentales deviennent des Héros.(([5] Ils auraient pu tricher comme cela a été démontré pour des puissants espagnols, stars, politiques, etc. Ils ont choisi d’informer et c’est probablement la principale crainte du pouvoir s’il les réintégrait… Qu’ils parlent du vrai monde.))(([6] https://odysee.com/@FabienMoineExuvieTV:9/soignants-suspendus-alexandra-henrion:9))

On laisse brûler nos forêts et des pompiers sont interdits de travail, pour ne pas contaminer les arbres ? La canicule bloque-t-elle le bon sens ou son expression ?

La France, pays des scandales passés inaperçus ou tolérés… depuis tant d’années : Alstom, EDF, Uberfiles, McKinsey, Cap Gemini, etc. Peu importe, on continue… Bah, voyons…

Le Sénat pour ne pas déplaire à la Macronie donne les pleins pouvoirs à la HAS, oubliant les avis désastreux de la HAS dans tous les scandales sanitaires récents : Médiator, Dépakine, Vioxx, Levothyrox…

Publié le 24 juillet 2022 par pgibertie

La HAS a été créée par la loi du 13 août 2004 relative à l’Assurance maladie. Le premier président de la HAS a été le PR Laurent Degos, grand dirigeant tout puissant de l’hématologie de Saint Louis dans une APHP encore florissante, entre 2005 et 2010, puis son alter ego nantais Jean-Luc Harousseau.

Depuis plus de deux décennies, les liens sont forts entre ces professeurs de faculté à la tête de gros laboratoires pratiquant les PPP (partenariat public privé en toute légalité) et l’industrie du médicament. Mme la Professeur Le Guludec connaît bien le monde de la recherche, puisqu’elle est la sponsor principale via l’INSERM (dont on a démontré l’absence d’indépendance), d’essais thérapeutiques en collaboration avec Oncology Clinical Trials | AAA (adacap.com).(([7] As part of the development process, our investigational radioligand products are evaluated in clinical trials to find new and better ways to image and treat disease. These studies are sponsored by Advanced Accelerator Applications (AAA).))(([8] Assessment of Radiolabeled rhAnnexin V-128 in Infective Endocarditis—Full Text View—ClinicalTrials.gov par exemple.)) Ses conventions affichées sur transparence santé, le site du gouvernement, sont aussi légales sans qu’on en connaisse les détails, mais montrent ses liens avec Pfizer ce qui aurait dû la disqualifier comme juge arbitre des problèmes covid19.

Tout ceci est légal, mais témoigne pour le moins de l’absence d’indépendance et ce type de profil à la tête des agences médicales devraient être interdit pour qu’elles soient dirigées par de véritables indépendants, perle rare tant l’organisation actuelle de la médecine mise en place à la fin du siècle dernier a rendu très difficile l’indépendance des chercheurs et médecins.

Le président de la République avait nommé le Pr Agnès Buzyn(([9] Recasée à l’OMS en Suisse et protégée des plaintes contre elle par son statut diplomatique.)), membre et présidente du collège, pour remplacer le Professeur nantais, par décret du 5 mars 2016. Elle avait été renouvelée dans ses fonctions pour un mandat de six ans par le décret du 7 avril 2017. À la suite de sa nomination comme ministre des Solidarités et de la Santé, elle a été remplacée par Dominique Le Guludec à compter du 4 décembre 2017, proposé par E. Macron. Mme Buzyn avait clairement suggéré à sa prise de fonction à l’institut du cancer quelques années plutôt que « les médecins qui n’ont pas de liens directs et forts avec l’industrie sont probablement incompétents ». En tous cas, ils sont peu nombreux, ignorés des médias et de nos politiques et jamais appelés aux responsabilités de l’état.

TOUS NOMMÉS PAR LE POUVOIR : ET PRÉTENDUS INDÉPENDANTS !

LA HAS, APPENDICE DU POUVOIR POLITIQUE, A FAIT PREUVE DE SES DANGEREUX LIENS AVEC L’INDUSTRIE DU MÉDICAMENT

« Avec du recul, nous nous apercevons que les leçons du passé concernant les scandales sanitaires n’ont pas servi et que la société répète les mêmes situations sans que la population en prenne conscience pour provoquer une réaction beaucoup plus rapide.

Normalement, les instituts de veille sanitaire, les comités de pharmacovigilance et d’autres structures de surveillance de santé devraient permettre de réagir rapidement.

Or, en réalité et en étudiant depuis un peu plus d’un siècle la longue histoire des scandales sanitaires, on s’aperçoit que les structures prévues pour réagir ne font rien pour anticiper et réagir rapidement à des situations préoccupantes ».(([10] Nous avons traité dans la face cachée du médicament (ND Éditions Michalon 2011) à la suite du procès mediator la longue suite de drames liés à l’aveuglement du pouvoir face aux intérêts des labos. À commencer par la thalidomide et les enfants sans membres ou le Distilbène dont les victimes se comptent encore à la quatrième génération, etc..
La face cachée des médicaments — L’influx (linflux.com) ))

https://blogs.mediapart.fr/bernard-sudan/blog/220717/la-longue-histoire-des-scandales-sanitaires-en-france »

QUELQUES EXEMPLES :

HAS ET MÉDIATOR

La HAS a refusé de voir les dangers du Médiator : pas de dénonciation des effets secondaires mortels, simple refus de mieux le faire prendre en charge par la sécu, mais pas de déremboursement

HAS ET DEPAKINE et de nombreux handicapés à vie en laissant sur le marché le médicament pour les femmes enceintes alors qu’on savait depuis de nombreuses années sans que la HAS s’en préoccupe

HAS ET VIOXX

SCANDALE VIOXX CELEBREX/service médical rendu… Même aveuglement pour le Vioxx, une molécule anti-inflammatoire sur le marché entre 1999 et 2004 provoquant aux USA 27 785 décès impliquant le laboratoire Merck sans compter le monde entier ! Retiré du marché par le labo et jamais par nos instances chargées de notre sécurité sanitaire. D’ailleurs le Celebrex est toujours là en 2022 en France…

HAS ET CHANGEMENT DE LEVOTHYROX/AVIS FAVORABLE

Plusieurs milliers de patients traités avec la nouvelle formule du Levothyrox, indiqué pour troubles de la thyroïde, se sont plaints de lourds effets secondaires (maux de tête, vertiges, insomnies…) Ils ont porté plainte contre Merck en première instance, en mars 2019. Ils ont d’abord été diabolisés par les médecins incompétents ou complices, les habituels anticomplotistes qui les ont traités de tous les noms d’oiseaux… L’histoire se répète.

Nous avions cité dans le livre « La face cachée des médicaments »(([11] N Delepine 2011, Éd. Michalon.)) la thèse de doctorat de Louis-Adrien Delarue démontrant qu’au moins quatre recommandations de la HAS émises entre 2006 et 2008 sont erronées.

Il a étudié trois classes de médicaments utilisées pour soigner le diabète de type 2, la maladie d’Alzheimer et certains troubles articulaires. Ces pathologies fréquentes font l’objet de préconisations dans quatre guides de la HAS. « Les biais sont multiples », selon la thèse :

« Études scientifiques omises, présentations de données mal étayées ou connues pour être falsifiées, conclusions hâtives et mal argumentées. In fine, la HAS promeut des médicaments dont la balance bénéfice-risque est clairement défavorable et qui impactent les dépenses publiques à hauteur de centaines de millions d’euros par an. »

Et cerise sur le gâteau, c’est celui qui dénonce les conflits d’intérêt qui se fait rabrouer

« Symbole du tabou qui entoure ces conflits d’intérêts, le jury de thèse de Louis-Adrien Delarue lui a imposé d’occulter les noms des experts incriminés en les noircissant dans son texte ».

Quelques jours après la soutenance, la pharmacologue s’est inquiétée de voir la version originale de la thèse sur Internet. Dans un e-mail adressé à Louis-Adrien Delarue et copié à tous les centres de pharmacovigilance de France, elle a tenu à ne pas s’associer aux conclusions de la thèse devant ses confrères. Et a décrédibilisé la thèse sans préciser qu’elle avait obtenu la meilleure note et la mention « très honorable ».(([12] https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-nos-vies-connectees/20110923.RUE4315/les-revelations-qui-ebranlent-la-haute-autorite-de-sante.html))

Dans ce milieu la corruption est institutionnalisée et beaucoup d’experts sont pourris jusqu’à l’os,(([13] De nombreux livres dont ceux du PR Even et Debré ou sites comme celui du Formindep le démontrent.)) mais les Français ne veulent rien voir, avalent de « nouveaux » médicaments à 3000 euros le mois, inefficaces et toxiques, et ne bénéficient plus des traitements avérés qui guérissaient de nombreux cancéreux, entre autres. Ils se taisent, anesthésiés par la propagande. Le travail de sape de la cancérologie moderne par les ukases des plans cancer et des agences INCa, HAS et ARS qui imposent les traitements qui rapportent, est dénié par les patients qui ne font que regretter quelques années plus tard.(([14] Le cancer un fléau qui rapporte N Delépine Éditions Michalon 2013.))

Et les députés votent aveuglément la confiance à cette institution qui ne remplit pas sa mission envers la population, n’a donc aucune raison d’exister et coûte un « pognon de dingue ».

POUR FAIRE RÊVER LES SMICARDS ET LES AUTRES QUI DOIVENT CHOISIR ENTRE L’ESSENCE POUR ALLER AU TRAVAIL ET LEUR NOURRITURE, RAPPELONS LES SALAIRES À LA HAS :

Ces multiples agences, simples alibis scientifiques du pouvoir ruinent le budget santé pendant que beaucoup d’hôpitaux tombent en ruine.

Et consultez les salaires publiés par certains employés qui donnent de plus une idée du nombre de postes… alors qu’on manque de médecins, de secrétaires, de soignants dans les hôpitaux, les lieux qui soignent !

21 salaires chez Haute Autorité de Santé publiés par des employés | Glassdoor

HAS, ministère, CNOM… ce que gagnent les dirigeants des autorités de santé | Le Quotidien du Médecin (lequotidiendumedecin.fr)

210 197 euros pour le directeur de la HAS, 119 280 euros pour la ministre

À la tête de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), qui a laissé dire que le nuage de Tchernobyl s’arrêtait aux frontières, Bernard Doroszczuk touche 223 419 euros brut.

Dominique Le Guludec(([15] Dominique Le Guludec, 64 ans, est cardiologue et professeure de biophysique et médecine nucléaire, spécialiste en imagerie cardiovasculaire à l’APHP.
Elle était présidente du conseil d’administration de l’IRSN depuis 2013. IRSN institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) Créé par la loi du 9 mai 2001, il s’agit d’une agence française de sécurité sanitaire environnementale. Elle avait montré ses limites lors de la catastrophe de Tchernobyl en proclamant que la contamination avait épargné la France. …)), patronne de la HAS (Haute autorité de santé) 210 197 euros bruts.
Un beau chiffre qui justifie d’obéir aux injonctions du chef qui vous a mis en place !

Svoboda Vernut @SvobodaVernut 15 mai 2022 Entre l’has, l’ars et les salaires de l’assurance maladie, le peuple pourrait récupérer un pognon de dingue 👍

D’ITALIE VIENDRA LA RAISON


Comment les parlementaires ont-ils pu confier le sort des soignants vaccino prudents et des malades qui ont besoin de tous leurs docteurs à un organisme aussi peu indépendant du pouvoir, et autant lié aux scandales sanitaires récents et aux décisions covid, même les plus stupides du gouvernement ?





Marie-Estelle Dupont : « Je pense que les pompiers non vaccinés sont peu susceptibles de contaminer un arbre »

[Source : lesmoutonsrebelles.com]

Marie-Estelle Dupont a relevé le niveau du journaliste stagiaire de CNews qui aime rire aux éclats des insultes proférées par Céline Pina (PS) qui voit chez les soignants suspendus un « fond de cuve ». Heureusement que la psychologue vient apporter du bon sens et un peu d’humanité.

Notre psychologue est revenue sur l’interdiction des soignants suspendus :

« Les soignants non vaccinés sont devenus des parias du jour au lendemain alors que l’on sait que le vaccin n’arrête pas la transmission et que des soignants vaccinés sont positifs au covid, alors même qu’on laisse travailler des soignants positifs vaccinés. C’est indigne de tous nos principes républicains. »

Marie-Estelle poursuit :

« C’est comme les incendies. Je pense que les pompiers sont peu susceptibles de contaminer un arbre et qu’il serait souhaitable de les réintégrer. »

Que dire des soignants vaccinés et positifs au covid qui continuent de travailler ? Faut-il randomiser une étude en double aveugle pour se rendre compte que la logique gouvernementale est absurde ? On vous laisse juge :




SOIGNANTS SUSPENDUS : Alexandra Henrion-Caude et Fabien Moine en conférence de presse

[Source : Fabien Moine – Exuvie TV]

Les collectifs unis et Nexus magazine ont organisé une conférence de presse exceptionnelle pour faire le point sur la situation des soignants suspendus.

Le film « Suspendus… des soignants entre deux mondes » a été projeté, s’en est suivi deux interventions du réalisateur Fabien Moine et de Alexandra Henrion-Caude. Des témoignages de membres de collectifs de toute la France se sont succédés.

Toutes les informations sur cette journée et la conférence de presse en entier :
https://www.nexus.fr/actualite/news/soignants-conf-11-juillet/






Soignants et pompiers non vaccinés suspendus : un précédent terrible pour les salariés

[Source : RL]

Par Jacques CHASSAING



Pour Me Fabrice Di Vizio, les soignants suspendus pour cause de refus d’injection  de vaccins expérimentaux contre le covid n’ont plus que le choix de se reconvertir professionnellement ou de s’exiler. Ce qui s’entend : avec licenciement, paiement des salaires, des indemnités légales et indemnisation des préjudices subis ; dixit le professionnel du droit, fondateur de l’association « Je ne suis pas un danger » créée en décembre 2021, qui a pour objet la défense des droits des personnes non vaccinées et vaccinées sous la contrainte.

À ce titre, il préconise aux personnes suspendues de s’inscrire pour un gigantesque recours collectif dont il trace les grands axes et les modalités. Il anticipe même le cas où, in fine, la Cour européenne des Droits de l’Homme (dont les critères actuels estiment illégales les suspensions de salaire) condamnerait la France. D’ores et déjà, il dit aux soignants : « vous serez alors à la ramasse et devrez faire vos propres actions individuelles pour réclamer réparation de vos préjudices, dans deux ans ou dans trois ans, alors que vous serez passés à autre chose. Alors, je vous propose premièrement de lancer un recours indemnitaire préalable au Premier ministre. Celle-ci refusera et nous saisirons alors le juge administratif d’un vaste recours…». Précision : « Je ne suis pas un danger » prendra en charge les frais de ses adhérents.

L’ombrageux avocat prévient aussi les personnels suspendus qu’ils n’ont rien à attendre de « l’opposition » RN et NUPES (bien qu’il ait voté pour ce dernier attelage !), mais Di Vizio n’en est pas à une loufoquerie près en politique.

« Le droit du Travail s’est écrit dans les larmes et le sang »

Dans une vidéo, intitulée « Personnel suspendu, mobilisons nous ! », le Divizionaire détaille le plan qu’il a mis au point pour « engager le plus grand combat terminal qui n’ait jamais été engagé dans cette crise ». 

Mais surtout, il alerte sur la dérive du droit du Travail qui permettra bientôt de suspendre sans indemnités telle ou telle catégorie de salariés jugés travailleurs non essentiels, sauf à s’astreindre à telles ou telles obligations. Il apporte la preuve de la réalité d’aujourd’hui sur ce que les soi-disant complotistes avaient prévu et dénoncé hier. 

Di Vizio : « le but n’est pas de licencier en appliquant le droit, mais de montrer qu’il y a des comportements qui sont inacceptables et qui peuvent vous conduire à la mort sociale. Il y a lieu de tuer socialement tous ceux qui auraient une doctrine dissidente. Et moi je dis aux syndicats qui ne s’en mêlent pas : vous êtes suicidaires et vous le paierez très cher parce que vous disparaîtrez ».

Passe sanitaire : grand procès contre l’État !

Info utile

De son côté et dans le même combat contre la dictature sanitaire, le non moins susceptible Me Carlo Alberto Brusa (président de Réaction19), a rédigé une plainte de 32 pages au pénal à télécharger, contre les agences du médicament et des produits de santé, de santé publique, les ordres des médecins et pharmaciens, pour mise en danger de la vie d’autrui et pratiques commerciales trompeuses.




COVID, VIH, VARIOLE, Monkeypox… Ces virus adorent qu’on les aide à muter

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Le scénario de la Covid recommence avec le Monkeypox et des vaccins dix fois plus dangereux que le Pfizer, autorisés sans essais…

Face à l’augmentation des cas de variole du singe en France, la vaccination préventive contre maladie a été élargie le 8 juillet, les télétoubibs annoncent la cata… Attendons la présentation des gestes barrières ??

Le MPX n’est pas un agent pathogène susceptible de devenir une MST dans la population hétérosexuelle. La raison en est que les personnes infectées peuvent la transmettre efficacement à d’autres pendant environ 4 semaines au maximum, puis l’éliminer et devenir essentiellement immunisées à vie.

~ 50 % symptomatiques et ne se livrant pas à des relations sexuelles ~50 % de taux d’attaque (transmission lors de l’exposition) — > MPX ne se propage que dans les réseaux où les gens ont > 1 partenaire sexuel/semaine.

Dans sa forme actuelle, il est très peu probable que MPX devienne une MST en dehors de certains cercles HSH. Les MST sont définies par leur principale voie de transmission (le sexe), mais plus encore, par leur capacité à provoquer des infections à long terme, l’hôte restant infectieux pour les autres pendant des décennies.

Vont-ils tous nous piquer contre la variole du singe ? Mêmes les anciens vaccinés avant82 ?

@NiusMarco

·Je rappelle qu’en raison des risques de myocardites des vaxcons covid et monkeypox il faut attendre 4 semaines entre les 2. ACAM 2000 c’est 5,7 myocardites pour 1000. C’est 10x plus de « chance » que d’avoir 2 bons numéros au loto 🤦(0,5 %) Des tarés

https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/71/wr/mm7122e1.htm

On autorise d’abord et on fait ensuite une étude observationnelle en population générale sans passer par des essais cliniques :

https://www.ema.europa.eu/en/news/ema-recommends-approval-imvanex-prevention-monkeypox-disease

Le bénéfice/risque ne résiste pas à l’analyse. Même le vieux vaccin antivariolique n’est pas miraculeux et les effets secondaires sont connus et nombreux. La piste des antiviraux est ancienne et si les molécules nouvelles sont coûteuses et inefficaces. D’autres pistes sont bien connues

Le monkeypox ne demande qu’à muter et les manipulations inquiètent…

https://www.science-et-vie.com/les-chroniques-de-science-et-vie-tv/on-a-recree-le-virus-de-la-variole-60600.html

Il aura fallu attendre des mois pour que la Haute Autorité de Santé (HAS) se décide enfin le 8 juillet à définir noir sur blanc les « groupes les plus exposés au virus » de la variole du singe. Soit « les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes et les personnes trans qui sont multipartenaires, les personnes en situation de prostitution, les professionnels exerçant dans les lieux de consommation sexuelle ».

Au total, quatre poxvirus peuvent infecter l’homme : le monkeypox virus (MXV), le virus de la variole (VARV), le cowpoxvirus (CXV) ou variole de la vache et le virus de la vaccine (VACV) longtemps assimilé au précédent.

La première épidémie non africaine de variole du singe est survenue en 2003 aux USA où elle a été importée depuis le Ghana par plusieurs espèces de rongeurs sauvages, dont le rat de Gambie

Une transmission interhumaine est également possible. En Europe et Amérique du Nord, la maladie atteint surtout de jeunes adultes de sexe masculin et plus fréquemment les homosexuels et bisexuels. Ainsi, le cas d’un sauna du centre de Madrid (aujourd’hui fermé) où les utilisateurs avaient des relations sexuelles.

Ceux qui ont jadis été vaccinés contre la variole présentent pour certains encore des anticorps (immunité humorale) croisés efficaces contre la variole du singe de l’ordre de 10 ans plus tard.

La contagion peut se produire par contact étroit avec la peau ou les muqueuses (yeux, nez, bouche, organes génitaux…), rapports sexuels, face à face avec un positif et contact avec des sécrétions, du sang, des objets (p. ex. vêtements, literie, articles d’hygiène) contaminés par un patient.

Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, s’est dit « inquiet », jeudi 21 juillet, de l’augmentation du nombre de cas de variole du singe lors de l’ouverture de la réunion du Comité d’urgence, demandant conseil aux experts avant de trancher sur l’accession au plus haut niveau d’alerte de l’organisation.

https://twitter.com/Carterj37919661/status/1551521950014529537

1) LES MANIPULATEURS SE PRÉPARENT À RENDRE LA MONKEYPOX PLUS LÉTALE

Les médecins savent bien qu’on ne vaccine pas quelqu’un susceptible d’avoir déjà le virus en lui… Vont-ils à un moment se réveiller et réviser leurs classiques ? Faire autant d’études pour en arriver là ça devient grotesque ! Vacciner les cas contact (qui incubent la maladie) rend la maladie mortelle.

Hélène Banoun le rappelle avec justesse

@BanounHelene

La monkeypox, peu létale, va devenir sans doute + sévère si on vaccine les contacts comme le recommande la HAS https://has-sante.fr/jcms/p_3340378/fr/avis-n2022-0034/sespev-du-20-mai-2022-du-college-de-la-haute-autorite-de-sante-relatif-a-la-vaccination-contre-la-variole-du-singe-monkeypox-virus… Incubation 5 à 21 j Vacc entre 4 et 14 j après contact La vaccination des contacts pour la variole rendait la variole encore + mortelle

https://www.aimsib.org/2020/09/06/vaccinez-les-tous-confinez-les-ensemble-le-triste-exemple-de-1974/

idem avec la rougeole https://xiahepublishing.com/2472-0712/ERHM-2022-00018… Banoun H. Measles and Antibody-Dependent Enhancement (ADE): History and Mechanisms. Explor Res Hypothesis Med. Rougeole et facilitation dépendante des anticorps (ADE) : historique et mécanismes7

Bernard Guennebaud rappelle les heurts et malheurs du confinement et de la vaccination systématique des sujets contacts s’agissant non pas de l’entourage des malades atteints de la variole dans les années 1970. Cet article représente la suite logique des deux premiers de la série (*) (**) et vise à faire comprendre qu’en matière sanitaire les solutions à l’emporte-pièce brutales, généralisées et intuitives sont rarement génératrices des succès espérés. Nos formidables élites vont-elles se souvenir des erreurs passées ou replongeront-elles dans les mêmes ornières ?

Éradication de la variole, la désastreuse vaccination des sujets contacts :

[

]

Deux nouveaux concepts, les « effets Buchwald »

Dr. Gerhardt Buchwald, 1920-2009

Une hypothèse va permettre d’en proposer une explication : le vaccin antivariolique utilisé au cours de la campagne d’éradication et avant posséderait ce que j’appelle « les effets Buchwald » du nom du médecin allemand Gerhard Buchwald qui l’affirma courageusement et sans ambages à la télévision allemande le 2 février 1970, en pleine épidémie d’importation dans l’hôpital de Meschede où il y eu 20 cas et alors que le gouvernement s’apprêtait à vacciner au moins 200 000 personnes ([6] p. 44) :

« Sur la première chaîne de télévision publique allemande, (ARD) à l’émission Report, j’ai lancé un avertissement contre ces vaccinations. À la fin du reportage, j’ai dit que l’élève infirmière Barbara Berndt, 17 ans, n’était pas décédée suite à la variole, mais suite à la vaccination antivariolique administrée peu de temps avant. »

Cette élève infirmière avait été vaccinée de façon obligatoire deux fois auparavant puis elle avait reçu une nouvelle vaccination le 16 ou 17 janvier après la déclaration d’un foyer de variole dans l’hôpital de Meschede. Elle décédera le 29 janvier 1970, d’une variole hémorragique 12 jours après cette vaccination. G. Buchwald décrit dans son livre les cas de quatre femmes qui moururent en Allemagne de variole hémorragique peu de temps après avoir reçu une vaccination à l’occasion d’une importation de variole.

Toutes avaient reçu deux vaccinations antivarioliques auparavant et les délais écoulés entre la dernière vaccination et les décès sont entre 10 et 14 jours. La détermination et la lucidité de ce médecin m’ont conduit à proposer de nommer « effets Buchwald » le phénomène qu’il avait bien identifié même si cela était déjà connu un siècle auparavant comme on le verra.

Premier effet Buchwald : chez une personne non immunisée, la vaccination pendant la période d’incubation ou quelques jours auparavant aggravera la maladie. Collectivement, cet effet se manifestera par un accroissement des formes graves et de la mortalité chez les malades (létalité).

Second effet Buchwald : chez une personne immunisée (par une ancienne vaccination ou une ancienne variole) la même vaccination déclenchera la maladie qu’elle aurait sinon évitée. Collectivement cet effet se manifestera par une amplification des épidémies.

Il devient alors possible d’énoncer le théorème de Buchwald :

Après l’importation d’un cas, la vaccination des vrais contacts avec un vaccin doté du second effet Buchwald déclenchera des épidémies dans des populations même immunisées à 100 %.

2) Depuis des milliers d’années, le virus de la variole n’a cessé de muter et de devenir plus méchant avant son éradication (?)

Il faut remonter loin dans le temps: tout commence par une étude sur le mouvement des populations vikings à la fin du premier millénaire. Un projet connexe voit alors le jour, dont l’objectif est d’évaluer la présence d’ADN de la variole sur les restes de 1867 individus. Les scientifiques identifient ainsi 11 personnes du nord de l’Europe, de l’ouest de la Russie et du Royaume-Uni, qui seraient mortes de la maladie entre l’an 603 et l’an 1050.

Avant cette étude, les traces génétiques les plus anciennes de la variole provenaient du corps partiellement momifié d’un jeune enfant lituanien décédé au 17siècle. La découverte de cet ADN sur des individus de l’époque viking prouve donc que la maladie faisait déjà des ravages 1000 ans plus tôt.

Par ailleurs, les résultats indiquent que le virus qui circulait chez les Vikings ne serait pas un ancêtre de la variole moderne, mais plutôt son petit frère. Ils partageraient en effet un parent commun, qui aurait circulé il y a au moins 1700 ans, c’est-à-dire avant la chute de l’Empire romain. Ce qui confirme d’ailleurs ce que nous savons de l’histoire de la variole: des sources en décrivaient des cas en Inde au 7e siècle et en Asie Mineure au 10e siècle.

Mais depuis quand la variole s’attaque-t-elle à l’humain ? Un des auteurs de l’étude, interrogé par la revue Nature, a analysé les restes de plusieurs individus ayant vécu à l’âge de Bronze, c’est-à-dire il y a entre 10 000 et 13 000 ans. Il n’a trouvé aucune trace de variole.

Le chercheur estime que la maladie aurait commencé à circuler pour de bon il y a 3000 à 4000 ans. Des lésions semblables à celles occasionnées par la variole seraient d’ailleurs visibles sur des momies égyptiennes vieilles de 3000 ans, dont celles du pharaon Ramsès V.

La variole fait partie d’une grande famille, les poxvirus, qui ont pour origine un ancêtre commun qui pouvait apparemment infecter plusieurs hôtes différents. Avec le temps, ce virus se serait spécialisé pour s’attaquer seulement à certaines espèces. C’est ainsi que le virus de la variole en serait venu à préférer l’humain.

Étrangement, la variole ancienne et la variole moderne auraient inactivé des gènes différents. Les deux « frères » auraient donc trouvé chacun leur façon de se reproduire chez l’humain. Certains experts soulignent que ces variations entre les deux génomes signifient que la maladie était probablement différente à ses débuts: elle était peut-être plus répandue, mais moins sévère.

https://www.sciencepresse.qc.ca/actualite/2020/08/20/retour-aux-origines-variole

La variole, responsable de 300 millions de morts au XXe siècle, a été déclarée éradiquée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) le 8 mai 1980, au terme d’une campagne de vaccination massive.

3) UNE HISTOIRE COMPARABLE POUR LE VIH QUI A PU PROFITER DE LA VACCINATION DE MASSE CONTRE LA VARIOLE POUR MUTER ET DE L’ARRÊT DE CETTE VACCINATION POUR EXPLOSER

En 1987, on a envisagé la possibilité que « l’épidémie de SIDA ait été déclenchée par la campagne de vaccination de masse qui a éradiqué la variole ». Un article du Times l’a suggéré, citant un « conseiller de L’OMS » anonyme avec « je crois que la théorie du vaccin contre la variole est l’explication de l’explosion du SIDA ».,

On pense maintenant que le vaccin contre la variole provoque de graves complications chez les personnes qui ont déjà un système immunitaire altéré, et L’article du Times a décrit le cas d’une recrue militaire atteinte du « VIH dormant » qui est décédée dans les mois qui ont suivi sa réception. Mais aucune citation n’a été fournie concernant les personnes qui n’avaient pas auparavant le VIH.

Actuellement, le VIH est considéré comme une contre-indication au vaccin contre la variole à la fois pour une personne infectée et pour ses partenaires sexuels et les membres du ménage.

En revanche, un article de recherche a été publié en 2010 suggérant que c’était peut-être l’éradication réelle de la variole et la fin ultérieure de la campagne de vaccination de masse qui ont contribué à l’émergence soudaine du VIH. La théorie était la possibilité que la vaccination contre la variole « pourrait jouer un rôle en fournissant à une personne un certain degré de protection contre l’infection à VIH et/ou la progression de la maladie., »

En se basant sur l’histoire naturelle du VIH et son extension en Afrique, Raymond Weinstein et ses collègues ont proposé l’hypothèse que le déclin des réponses immunologiques à la variole, lié à une éradication de la maladie et à l’arrêt des vaccinations, pourrait être associé à l’explosion du VIH.

La phase épidémique commença à la fin des années 1970-début des années 1980. C’est en Afrique noire que l’on a relevé le plus grand nombre de sous-types du virus VIH-1, phénomène marquant l’ancienneté de la circulation des virus.

Pour vérifier cette hypothèse, les chercheurs ont pratiqué des analyses sanguines auprès de 10 participants vaccinés contre la variole et 10 non vaccinés, et ont exposé leurs cellules au VIH in vitro.

Malgré le petit nombre de participants, les auteurs ont décelé des différences entre les deux groupes quant à la résistance à l’infection au VIH. Les patients vaccinés seraient quatre fois plus résistants au VIH que les non-vaccinés.

Il semble que le VIH ne soit pas parvenu à se multiplier ou à un niveau très faible dans les cellules des patients vaccinés contre la variole. Ces résultats suggèrent que la vaccination antivariolique pourrait être adaptée pour conférer une protection significative contre l’infection au VIH.

Indépendamment des effets du vaccin contre la variole lui-même, son utilisation en pratique en Afrique fait partie des catégories d’injections non stériles qui ont pu contribuer à la propagation et à la mutation des virus de l’immunodéficience.

Et oui le VIH mute et deviendrait plus méchant comme en témoigne un variant détecté au Bénélux.

Le virus du VIH est en constante évolution, de telle sorte que chaque personne infectée en présente une version légèrement différente, ce qui n’a la plupart du temps pas d’importance. Mais le variant découvert comporte lui plus de 500 mutations. 

Ce variant répond en effet aux traitements existants, et est en déclin depuis 2010. « Il n’y a pas de raison de s’alarmer », a assuré à l’AFP Chris Wymant, chercheur en épidémiologie à l’Université d’Oxford et auteur principal de cette étude, publiée ce jeudi 3 février dans la revue Science.

Mais cette découverte pourrait aider à mieux comprendre comment le virus du VIH, à l’origine de la maladie du sida, attaque les cellules.

Ces travaux démontrent également qu’un virus peut bien évoluer pour devenir plus virulent :

Un article scientifique synthétise les mécanismes spécifiques qui conduisent à des maladies graves après des injections (cancer, thromboses, Guillain Barré, Alzheimer), mécanismes qui n’existent pas après une infection par le virus :
https://pgibertie.com/2022/07/25/un-article-scientifique-synthetise-les-mecanismes-specifiques-qui-conduisent-a-des-maladies-graves-apres-des-injections-cancer-thromboses-guillain-barre-alzheimer-mecanismes-qui-n/… 
via @giberpa




Comment nier en juillet 2022 l’inefficacité des injections géniques et leurs dangers ?

Par Dr Nicole Delépine

Comment le mensonge mondial a-t-il perverti les plus vigilants et leur a-t-il fait accepter ces injections toxiques aux effets divers et variés, en particulier cognitifs ?

Même Philippe Bas, sénateur dévoué à la cause vaccinale depuis longtemps (et qui a d’ailleurs participé à imposer le pass en août 2021), avoue lors de la commission paritaire préalable au second vote de la loi au Parlement, un effet vaccinal plutôt désagréable. Cela devrait en surprendre quelques-uns, lui qu’il est difficile de traiter de complotiste !

Changements de mentalité, quand le réel revient au galop

Les propos stupéfiants de Philippe Bas sur les vaccinés : à contre-courant de la doxa covid imposée par le pouvoir depuis plus de deux ans :

« Tous les jours, des personnes meurent encore en France de cette maladie, dont une grande partie est d’ailleurs vaccinée, mais vulnérable au virus ».(([1] Le sénateur Bas reconnaît que les vaccinés meurent massivement du virus… par Eric Verhaeghe – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

Cette phrase inattendue de Philippe Bas en dit long sur le retournement de situation depuis l’introduction du vaccin :

« Mais à y regarder de plus près, j’ai constaté que le vaccin était de moins en moins efficace non pas pour prévenir les formes graves de la maladie, mais pour faire barrière aux contaminations. En France, ce sont aujourd’hui très majoritairement des personnes vaccinées qui contractent la maladie et la transmettent. Le vaccin fait barrage dans un tiers des cas. Le test présente donc actuellement une efficacité supérieure. C’est la raison — et la seule raison ! — pour laquelle la commission des lois du Sénat, puis le Sénat dans son ensemble ont décidé que, dans cette circonstance exceptionnelle, seul un test négatif soit exigé, plutôt qu’une preuve de vaccination à jour. La durée du test dépendra du nouveau variant — soixante‑douze heures, trente-six heures, vingt-quatre heures…

À y regarder de plus près”… Philippe Bas semble donc avoir découvert que la très abondante littérature jugée jusqu’ici complotiste sur l’inefficacité du vaccin n’était pas dénuée de fondement. Le vaccin ne ferait “barrage” que dans un tiers des cas à la contamination. Voilà pourquoi, officiellement, le Sénat s’oppose au rétablissement du certificat de vaccination (alors même que la Commission Européenne l’a institué et se bat pour l’imposer aux états)… »

TOUTES CES PERSONNES QUI AFFIRMENT EFFICACITÉ ET INNOCUITÉ DES INJECTIONS PEUVENT-ELLES S’AVOUER LEURS PROPRES ERREURS ?

Peut-être ne pouvons-nous rien pour elles, victimes du psychotraumatisme de la peur panique induite par l’intoxication quotidienne, comme les psychologues, telles Ariane Bilheran ou d’autres, nous l’ont démontré. L’expérience de l’attente des extraterrestres dans les années 1950 nous l’avait déjà fait découvrir.

Sauf le jour où…. Parfois semble — t-il un nouveau choc traumatisant qui inverse, annule ou atténue le précédent.. Laissons-les à leurs fausses certitudes, sans jugement, mais avec tristesse à leur choix erroné que nous respectons, même si nous les regrettons.

En tous cas, occupons-nous avec bonne conscience de ceux que l’on peut encore aider : les double vaccinés pour leur éviter la maléfique troisième dose (qui semble plus toxique par accumulation des doses probablement et peut-être modification du produit) ; ou sauver : leurs enfants non injectés, l’avenir de l’Humanité dont il faut sauvegarder la fertilité et le bon état général en ne leur infligeant pas une baisse de leur immunité, ou des atteintes cardiaques, cérébrales, hématologiques ou autres.

Que ceux qui traitent les vaccino prudents d’antivax alors qu’ils ne sont qu’anti-injection EXPÉRIMENTALE nous disent s’ils traitent aussi les agences internationales comme le VAERS pour les USA, EUDRAVIGILANCE pour l’agence européenne de l’UE, ou le MHRA pour les Anglo-saxons, de complotistes fous qui nieraient l’efficacité de l’injection et inventeraient les effets secondaires parfois dramatiques dont des décès.

Si les chiffres sont contestés (en plus comme en moins) rappelons que jusqu’au scénario covid, aucun nouveau médicament ni vaccin n’étaient laissés sur le marché après quelques dizaines de décès. Le nieront-ils aussi ? Jusqu’où l’aveuglement de la secte covid les a-t-il menés ?

Le Pr Montagnier lui aussi vilipendé avait prédit que les non-vaccinés sauveraient l’Humanité. Vu les propos délirants de personnes antérieurement intelligentes et clairvoyantes, la régression intellectuelle de proches après deux injections (avec perte de mémoire, d’orientation, voire de raisonnement), on peut malheureusement penser qu’il avait raison.

Pour ceux qui veulent encore savoir, faisons une nouvelle fois le point des effets secondaires de cette injection que même les sénateurs reconnaissent enfin comme inefficace(([1] Le sénateur Bas reconnaît que les vaccinés meurent massivement du virus… par Eric Verhaeghe – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) )) et au besoin envoyons ces dernières nouvelles aux sénateurs, députés, conseillers généraux, à tous les élus et à tous ceux que cela pourrait intéresser.(([2] Base de données européenne des rapports sur les effets indésirables suspectés des médicaments — EudraVigilance
https://adrreports.eu/fr/eudravigilance.html))

Même sur le Site de L’ANSM ET EUDRAVIGILANCE

Les effets indésirables sont 20 fois plus importants en moins de deux ans qu’en 50 ans de statistiques sur tous les autres vaccins réunis. Pourquoi autant de soignants ont refusé celui-là, alors qu’ils ont accepté les autres ?

Jamais un vrai vaccin n’a entraîné un nombre comparable d’effets secondaires à l’injection expérimentale covid-19. Regardez les chiffres officiels fournis par le VAERS.

@YannBertin6 19 juil.

Plus de 1000 études et/ou rapports scientifiques sur les dangers associés aux injections Covid, liés à la coagulation du sang, la myocardite, la thrombose, l’anaphylaxie, la paralysie de Bell, les décès, etc. On peut débattre de tout sauf des chiffres

19 juil.

Des dizaines de milliers de victimes des « vaccins » COVID19 aux États-Unis appellent à l’aide alors que la communauté médicale leur tourne le dos !

rumble.com

Tens of Thousands of COVID-19 « Vaccine » Injured in the U.S. Begging for Help

From: https://www.vaxlonghaulers.com/
Testimonies from victims who need help because the medical community has turned their back on them.
https://healthimpactnews.com/2021/tens-of-thousands-of-covid-1

Yann Bertin — Anti-Fachos — Pro-humains

Les données du Vaers et d’Eudravigilance concordent parfaitement, un paquet de personnalités connues ont eu des problèmes, il paraît qu’on peut débattre de tout sauf des chiffres. Plus de 1000 études sur le danger des injections

https://resistance-mondiale.com/plus-de-1000-etudes-et-ou-rapports-scientifiques-sur-les-dangers-associes-aux-injections-covid

ici vous avez aussi les morts et blessés australiens que leur gouvernement a décidé d’indemniser au 6 juillet 2022

Et aussi l’évolutivité des myocardites

enfin une bonne conclusion d’un twittos :

Mercier @Art50Mercier20 juil.

Croire c’est pour les croyants
Devenez plutôt sachant
Allez creuser vérifier demander
Revérifier comparer…
Bref instruisez-vous 🧐
auprès des données officielles
VAERS CDC FDA Eudravigilance etc…
vous en êtes capable
La question étant 🤔
En avez-vous envie ?





L’Académie de médecine et la Haute Autorité de Santé ne se déshonorent-elles pas en mettent la santé des Français encore plus en danger en refusant la réintégration des soignants vaccino prudents ?

Par le Dr Gérard Delépine

Jadis ces deux institutions analysaient les faits avérés et se comportaient souvent en scientifiques. Mais depuis le covid, leurs avis(([1] https://www.academie-medecine.fr/reintegrer-les-soignants-non-vaccines-contre-la-covid-19-serait-une-faute/)) sont manifestement dictés par le souci de ne pas déplaire et de justifier le crédo politique gouvernemental. Elles se comportent en grands inquisiteurs du dogme officiel. La dernière manifestation de cette dérive antiscientifique est leur refus de réintégrer les soignants vaccino prudents.

Si les membres de ces deux institutions avaient voulu répondre objectivement à la pertinence de la réintégration des soignants, ils auraient dû évaluer :

  • 1°) Le risque de contamination que représentent les soignants non vaccinés
  • 2°) L’efficacité des vaccins à prévenir la transmission et à diminuer le risque de formes graves et de morts
  • 3°) Les conséquences de l’exclusion des soignants sur leur déficit dramatique

Or curieusement leurs communiqués ne présentent aucune analyse argumentée des faits établis sur ces trois points cruciaux. Nous le ferons donc à leur place.

Les soignants sont-ils des vecteurs notables de contamination covid ? Non !

Les soignants seraient plus fréquemment atteints par la maladie que le reste de la population, mais comme ils se surveillent plus efficacement que les autres, qu’ils prennent davantage de précautions et qu’ils s’arrêtent précocement de travailler lorsqu’ils se sentent en phase d’incubation, ils ne représentent pas forcément un vecteur significatif de transmission de la maladie.

Le 23 juillet 2022, la base de documentation PubMed recensait 1242 articles répondant à « nosocomial covid ». L’analyse des articles recherchant l’origine de ces infections survenues à l’hôpital(([2] Grimalt JO, Vílchez H, Fraile-Ribot PA, Marco E, Campins A, Orfila J, van Drooge BL, Fanjul F. Spread of SARS-CoV-2 in hospital areas. Environ Res. 2022 Mar;204(Pt B):112074. doi: 10.1016/j.envres.2021.112074. Epub 2021 Sep 20. PMID : 34 547 251 ; PMCID : PMC8450143.)) montre que les causes les plus souvent retrouvées sont le non-respect des règles d’hygiène (lavage des mains) et le mauvais environnement des services (tout particulièrement le système de ventilation). Aucune de ces études n’incrimine les soignants comme source d’infection notable dans le monde réel.

Le cas d’un chirurgien infecté(([3] Gallo O, Peris A, Trotta M, Orlando P, Maggiore G, Cilona M, Trovati M, Locatello LG. Epidemiological analysis of a COVID-19 outbreak associated with an infected surgeon. Epidemiol Infect. 2021 Mar 25;149:e77. doi : 10.1017/S0950268821000650. PMID: 33762038; PMCID: PMC804238)) qui n’a infecté aucun de ses contacts alors qu’il était porteur du virus comme d’ailleurs celui d’un ophtalmologiste(([4] Saban O, Levy J, Chowers I. Risk of SARS-CoV-2 transmission to medical staff and patients from an exposure to a COVID-19-positive ophthalmologist. Graefes Arch Clin Exp Ophthalmol. 2020 Oct;258(10):2271-2274. doi: 10.1007/s00417-020-04790-w. Epub 2020 Jun 21. PMID : 32 567 041 ; PMCID : PMC7306185)) est assez démonstratif.

L’examen des infections nosocomiales d’un hôpital indien conclut ainsi :

« Malgré l’admission d’un grand nombre de patients COVID-19 et une proportion relativement importante de membres du personnel hospitalier testés positifs pour la maladie, la proportion de COVID-19 nosocomiale dans notre centre est restée faible. »

D’ailleurs avant l’apparition des pseudo vaccins, la prévention des infections covid par ces moyens traditionnels d’hygiène s’est révélée efficace que ce soit en Espagne(([5] Caro-Martínez E, Abad-Collado S, Escrivá-Cerrudo B, García-Almarza S, García-Ródenas MDM, Gómez-Merino E, Serrano-Mateo MI, Ramos-Rincón JM. Nosocomial COVID-19 Infection in a Long-Term Hospital in Spain: Retrospective Observational Study. Medicina (Kaunas). 2022 Apr 21;58(5):566. doi: 10.3390/medicina58050566. PMID : 35 629 983 ; PMCID : PMC9143631.)) ou à Hong Kong(([6] KL, Yuen KY. Multipronged infection control strategy to achieve zero nosocomial coronavirus disease 2019 (COVID-19) cases among Hong Kong healthcare workers in the first 300 days of the pandemic. Infect Control Hosp Epidemiol. 2022 Mar;43(3):334-343. doi: 10.1017/ice.2021.119. Epub 2021 Mar 19. PMID: 33736729; PMCID: PMC8060541.ôle des infections Hosp Epidemiol)). Mais la croyance que les pseudo vaccins pourraient prévenir les transmissions risque d’inciter au relâchement de l’hygiène et d’augmenter les contaminations.

Accuser les soignants non vaccinés de constituer un vecteur de transmission significatif du covid ne repose sur aucun fait réel rapporté dans la littérature et repose sur un simple a priori quasi religieux.

Les députés pouvaient espérer mieux de ces institutions entretenues à grands frais par nos impôts !

Les pseudo vaccins sont-ils capables d’empêcher les transmissions ? Non !

Pour répondre à cette question, il suffit de consulter les données de l’OMS qui montrent que les grandes campagnes d’injection n’ont pas ralenti l’épidémie, mais au contraire l’ont plutôt stimulée. Au 19 juillet 2022 après un total de 12 219 375 500 doses administrées à près de 60 % de la population mondiale le rythme des contaminations a été multiplié par 3 passant de 8 millions par mois pendant les 10 premiers mois de l’épidémie (avant les vaccins) à 26,7 millions de nouveaux cas mensuels pendant les 18 mois de l’ère vaccinale.

L’aggravation paradoxale du risque d’attraper le covid quand on est vacciné a été initialement observée au Royaume-Uni. En 2021, entre les semaines 39 et 42, un total de 100 160 cas de COVID-19 ont été signalés parmi les citoyens de 60 ans ou plus. 89,7 % des contaminations sont survenues parmi les 89 821 Anglais complètement vaccinés contre seulement 3,4 % parmi les 3 395 non vaccinés.(([7] Agence britannique de sécurité sanitaire. Rapport de surveillance du vaccin COVID-19. Semaine 4328. Octobre 2021.
https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1029606/Vaccine-surveillance-report-week-43.))

Cette augmentation des contaminations après vaccination s’observe dans l’ensemble des 185 pays qui ont publié leurs taux de vaccination et de contamination et confirme que « plus on est vacciné moins on est protégé » !

En Israël, une épidémie nosocomiale a été signalée impliquant 16 travailleurs de la santé, 23 patients exposés et deux membres de la famille. La source était un patient COVID-19 entièrement vacciné. Le taux de vaccination était de 96,2 % chez l’ensemble des personnes exposées (151 soignants et 97 patients). Quatorze patients entièrement vaccinés sont tombés gravement malades ou sont décédés, les deux patients non vaccinés ont développé une maladie bénigne.(([8] Shitrit P, Zuckerman NS, Mor O, Gottesman BS, Chowers M. Épidémie nosocomiale causée par la variante SARS-CoV-2 Delta dans une population hautement vaccinée, Israël, juillet 2021. Euro Surveill. 2021 ; 26 (39) doi : 10.2807/1560-7917.ES.2021.26.39.2100822.))

Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis ont identifié comme des « comtés à transmission élevée » quatre des cinq comtés présentant les pourcentages les plus élevés de population entièrement vaccinée (99,9–84,3 %)(([9] Subramanian SV, Kumar A. Increases in COVID-19 are unrelated to levels of vaccination across 68 countries and 2947 counties in the United States. Eur J Epidemiol. 2021 Dec;36(12):1237-1240. doi: 10.1007/s10654-021-00808-7. Epub 2021 Sep 30. PMID: 34591202; PMCID: PMC8481107))

Cette aggravation paradoxale du risque de contamination après vaccination a été soulignée par d’autres auteurs dans des revues médicales à comité de lecture(([10] Kampf G. The epidemiological relevance of the COVID-19-vaccinated population is decreasing after booster vaccination, as shown by incidence rate ratios-author’s reply. Lancet Reg Health Eur. 2022 Apr 4;16:100376. doi: 10.1016/j.lanepe.2022.100376. PMID: 35392451; PMCID: PMC8978700.
https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2666-7762%2821%2900258-1))(([11] Bohnert JA, Ulm L, Hübner NO, Seifert U, Becker K, Kramer A. The epidemiological relevance of the COVID-19-vaccinated population is decreasing after booster vaccination, as shown by incidence rate ratios. Lancet Reg Health Eur. 2022 May;16:100372. doi: 10.1016/j.lanepe.2022.100372. Epub 2022 Apr 11. PMID: 35434686; PMCID: PMC8995670.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35434686/))

En France on a observé aussi cette évolution paradoxale avec un nombre mensuel de contaminations multiplié par 6 depuis les injections :

L’obligation vaccinale des soignants est incapable de protéger les patients. Au lieu de diminuer le risque de contaminations des malades, l’obligation vaccinale des soignants paraît donc même susceptible de l’augmenter !

Les injections diminuent-elles le risque de forme grave et de mourir ? Non !

La consultation des données de l’OMS dément là encore totalement la propagande gouvernementale reprise par l’Académie de médecine et de la HAS qui prétendent, sans rapporter de faits avérés autres que les communiqués biaisés d’Epiphare que les injections protégeraient des formes graves.

Les formes graves sont celles susceptibles d’entraîner la mort et la mortalité observée en représente un témoin fiable. Or depuis les injections la mortalité globale n’a pas diminué dans les pays les plus vaccinés bien au contraire.

Cette courbe des mortalités au 23 juillet 2022 issue des données publiées par l’OMS les situe entre 2000 et 3000/million dans les pays champions des injections contre 183/million en Afrique très peu vaccinée, mais apôtre des traitements préventifs ou précoces par antipaludéens ou artémisine.

Cette aggravation de la mortalité Covid devient plus évidente quelques mois après l’injection. Initialement remarquée en Grande-Bretagne où, depuis avril 2022, d’après l’Office National des Statistiques plus de 90 % des morts covid touchent les multi vaccinés.

Elle s’observe maintenant aussi en France. Depuis juin 2022 la mortalité attribuée au Covid atteint 3/10 000 000 chez les non-vaccinés contre 4/10 000 000 chez les vaccinés.(([12] https://covidtracker.fr/vaximpact/))

Les soignants qui ont refusé les injections ne sont pas des antivax comme les qualifient mensongèrement le gouvernement et les médias. Avant la crise covid ils avaient tous accepté les vaccins prévus par leur fonction, les avaient conseillés et souvent injectés à leurs patients.

Mais mieux informés que la population, ils n’ont pas voulu se faire injecter un médicament expérimental de plus issu d’une technique jamais utilisée en pathologie infectieuse avant la publication complète des résultats des essais phase 3 (prévue pour février 2023). Leurs inquiétudes avaient d’ailleurs été ravivées par les complications post injections qu’ont subies leurs collègues vaccinés avant eux.

Ces soignants ont appliqué le principe de précaution : ce sont des vaccino prudents et les très mauvais résultats actuels des pseudo vaccins montrent qu’ils avaient malheureusement raison.

Sandra, infirmière anesthésiste suspendue(([13] https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/gard/nimes/violent-et-malveillant-des-soignants-non-vaccines-denoncent-la-maltraitance-institutionnelle-2475517.html)):

« Depuis le mois de septembre, nous sommes mis en marge de la société et précarisés pour avoir simplement fait un choix légitime qui est celui de préserver notre intégrité physique en refusant ces injections »

Les appels de certains à « punir les non injectés » sont donc médicalement stupides et éthiquement nauséabonds. Comme ils concernent des médicaments expérimentaux, il s’agit d’un essai non déclaré réalisé sans consentement libre et éclairé, ce qui réitère les pratiques des expériences vaccinales nazies qui ont justifié plusieurs condamnations à mort des médecins qui les ont pratiquées.(([14] https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/afe85002278/proces-des-medecins-nazis))

Dans cette propagande pseudo vaccinale scientifiquement infondée se disputent l’ignorance et la corruption qui mettent la vie de la population crédule en danger comme le rappelait récemment le Lancet

Les avis infondés de l’Académie de médecine
et de la HAS aggravent le manque dramatique de soignants
et mettent en danger la vie des Français.

Actuellement plus de 120 services d’urgence ne peuvent plus fonctionner normalement(([15] https://rmc.bfmtv.com/actualites/societe/sante/manque-de-personnel-16-des-services-d-urgence-en-grande-difficulte_AV-202205270139.html)) et de nombreuses interventions chirurgicales nécessaires sont retardées faute de personnel et les déserts médicaux se multiplient partout en France. Et la seule solution proposée par le ministre Braun est la fermeture des urgences la nuit !

Le manque chronique de soignants dû aux salaires insuffisants et à la gestion bureaucratique purement financière de plus en plus tatillonne n’est pas nouveau. Il a été dramatiquement aggravé par la gestion autoritaire de la crise Covid dévalorisant les médecins généralistes, leur interdisant de prescrire selon leur conscience, instaurant une censure sévère avec création d’un délit d’opinion.

La goutte d’eau responsable de la catastrophe actuelle est l’obligation « vaccinale » d’un médicament totalement expérimental issu d’une technique expérimentale en infectiologie. En plus des 15 000 soignants officiellement interdis d’exercer, de nombreux médecins ont préféré prendre une retraite anticipée, et certains soignants en formation ont interrompu leurs études aboutissant à un déficit réel proche de 50 000.

Il existe actuellement en France largement suffisamment de soignants diplômés (312 172 médecins), mais la densité des médecins en activité baisse et certains modes d’exercice sont boudés (urgentistes, anesthésistes, chirurgiens). La suppression de l’obligation « vaccinale » ne déciderait pas tous les soignants qui l’ont refusée à reprendre leur activité, car la discrimination ignoble dont ils sont encore victimes les a profondément marqués, mais le retour de même de seulement la moitié d’entre eux soulagerait le système sanitaire en rupture.

Le refus de l’Académie de médecine et de la HAS de réintégrer les soignants vaccino prudents pérennise le manque de soignants et mettent en danger la santé des Français. Cet été et à l’automne prochain, si vous trouvez les urgences de votre hôpital fermées et s’il n’y a plus de médecin dans votre région transformée en désert médical, vous pourrez en remercierles ayatollahs de l’Académie de médecine et de la Haute Autorité de Santé





Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande

[Voir aussi sur : la-verite-vous-rendra-libres.org]

Par Dr Nicole Delépine

ATTENTION ! MALGRÉ LA DISPARITION DE TOUT RISQUE COVID, LES MONDIALISTES VOUDRAIENT NOUS RÉIMPOSER LE MASQUE

« Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui, la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement liée à l’existence commune ». 

Soyons vigilants et diffusons toutes les informations qui démontrent son inefficacité, sa nocivité et sa toxicité.

LE MASQUE FAVORISE LES INFECTIONS COVID

Jacinda Ardern « déconcertée » par la montée en flèche des infections COVID en Nouvelle-Zélande, pays où le masque est obligatoire (anguillesousroche.com)

Il est bien triste que la Première ministre néo-zélandaise(([1] femme d’État néo-zélandaisePremière ministre depuis le 26 octobre 2017. Membre de la Chambre des représentants depuis 2008, elle devient chef du Parti travailliste de Nouvelle-Zélande le 1er août 2017 et à ce titre, se trouve dès lors à la tête de l’opposition. Après les élections législatives du 23 septembre 2017 où son parti obtient 35,7 % des suffrages, elle parvient en octobre à un accord avec le parti Nouvelle-Zélande d’abord et avec le Parti vert pour former un gouvernement de coalition. Serait une des personnes les plus influentes au monde…)) ne soit pas informée de la littérature internationale sur le masque ou ne veuille pas en tenir compte.

Être plus royaliste que le roi ne mène qu’à des désastres, que Mr Ciotti se le dise ! Le populisme qui consiste à imposer ce qu’on croit être le vœu du peuple est toxique.

« Jacinda Ardern se dit “déconcertée” par le fait que la Nouvelle-Zélande enregistre le plus grand nombre de décès et d’infections par le virus Covid que tous les pays voisins sans masque, et ce malgré le fait que la Nouvelle-Zélande maintienne des obligations strictes de port de masque.. »

« Selon les rapports, les pays voisins sans masque, comme l’Australie, ne comptent qu’une infime partie des infections par rapport à la Nouvelle-Zélande.

Par coïncidence, Singapour est le seul autre pays où le port du masque est obligatoire et ce pays connaît également des niveaux records d’infections et de décès ».

UNE MUSELIÈRE NÉGATION DU RAPPORT A L’AUTRE, NÉGATION DE L’ÊTRE

Qui peut s’en étonner. Des dizaines d’articles ont déjà démontré depuis le début de la folie covid que le masque n’est qu’une muselière fort symbolique des pouvoirs désireux de mater leur population et qu’il est parfaitement incapable de limiter les contaminations covid..

Nous avions écrit à ce sujet en octobre 21 une petite tribune inspirée de Jean-Claude Paye et Tülay Umay (Mondialisation.ca, 01 octobre 2021) (([2] Le masque, bâillon qui interdit la parole, base de la relation à l’autre – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) Coronavirus.
https://reseauinternational.net/le-port-du-masque-un-mimetisme-sacrificiel/)):

« Le port du masque supprime toute différence et exhibe la position “d’être un” avec l’intentionnalité du pouvoir. Il représente une technique d’introjection du discours sanitaire. Ses injonctions opèrent une suspension du visible, celui des objets de perception. Il s’agit d’être, sans médiation, avec la Chose même, avec l’invisible. 

Grâce à des contraintes paradoxales, il n’y a plus, dans le discours, d’objet pensable. La conscience est mise en parenthèse. Les actes, dont le port du masque, ne seront pas jugés selon leurs conséquences, mais selon l’intentionnalité exhibée : la réalisation du Bien. Le masque est alors un nouage entre la jouissance et le non-sens. Il est le lieu où s’abolit le désir de l’Autre.

Le « covidisme » procède d’une jouissance placée au-delà de la loi et du principe de plaisir. C’est une loi inconditionnelle, un véritable impératif catégorique de se purifier de tout désir.

Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui,(7) la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement liée à l’existence commune. 

Le covidisme impose l’obligation de se taire. Le langage doit être vidé de sa fonction. Ce qui doit gouverner relève d’une mécanique mimétique. Le port du masque est alors un refus de ce qui fait de nous des êtres humains, c’est une négation du rapport à l’Autre. »

Malgré la disparition du virus de la covid remplacé par des variants de moins en moins contagieux, les gouvernements mondialistes imaginent de réimposer le masque obligatoire dès que possible. Objet de contraintes psychologiques qui isolent les personnes, bloquent de fait les conversations et enferment la population dans la peur, l’angoisse l’isolement.

Il FAUT REFUSER LE PORT DU MASQUE INUTILE (les virus passent allègrement les pores (c’est écrit sur la boîte) et toxique sur différents plans comme cela a été démontré à de nombreuses reprises par des auteurs de tous pays. Il favorise les surinfections bactériennes, les mycoses et diminue l’apport correct d’oxygène tout en favorisant sa propre intoxication par son CO2 mal expulsé.

Summit.news rapporte : Le taux de mortalité par habitant du COVID en Nouvelle-Zélande a également dépassé celui de l’Australie en mars, en dépit de ses obligations strictes en matière de masques, et est resté plus élevé depuis.

« À Singapour, les taux de mortalité sont passés sous la barre de l’Australie en avril après avoir fait la course en tête entre octobre et Noël, mais ils font maintenant une folle remontée et sont prêts à dépasser à nouveau l’Australie », rapporte le Daily Mail.

« Bien sûr, ce n’est que le dernier exemple en date qui montre que les masques ne font rien ou presque pour empêcher la propagation des virus en suspension dans l’air, et peuvent même aggraver les choses », écrit Will Jones.

La propre enquête du gouvernement britannique a révélé que les preuves de l’efficacité des masques faciaux pour arrêter la propagation du COVID-19 dans les écoles ne sont « pas concluantes » .(([3] https://www.bbc.com/news/health-59895934))

Le conseiller SAGE du gouvernement britannique, le Dr Colin Axon, a jugé les masques comme des « couvertures de confort » qui ne font pratiquement rien, rappelant que la particule du virus COVID-19 est jusqu’à 5 000 fois plus petite que les trous du masque.

« Les petites tailles ne sont pas faciles à comprendre, mais une analogie imparfaite serait d’imaginer des billes tirées sur des échafaudages de constructeurs, certaines pourraient toucher un poteau et rebondir, mais la plupart passeraient évidemment au travers », a déclaré M. Axon.

Une étude menée au Danemark auprès de 6 000 participants(([4] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32829745/)) a également révélé que :

« il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre ceux qui portaient des masques et ceux qui n’en portaient pas lorsqu’il s’agissait d’être infecté par le Covid-19 », rapporte le Spectator.

Malgré les données accablantes selon lesquelles les masques sont inutiles ou peuvent même exacerber le problème, certains pays se préparent déjà à les réintroduire. L’Allemagne est prête à réimposer son obligation de porter un masque en septembre, bien que la vague estivale de COVID ait déjà « perdu de son élan ». Ces règles seraient en passe de devenir permanentes si les citoyens ne s’y opposent pas de toutes leurs forces.

Rappelons notre revue récente de la littérature internationale(([5] Masques inutiles et dangereux : refusons cette nouvelle mascarade – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) (toutes les références des articles ci-dessous insérées). Ce texte précise donc qu’il n’y a pas d’obligation réglementaire actuelle de port de masque même dans les structures ou locaux professionnels sanitaires, mais seulement la possibilité pour les responsables de ces établissements de l’imposer dans leurs locaux s’ils le désirent.

Le port généralisé du masque ne protège pas de la contamination

L’analyse exhaustive de la littérature internationale des articles publiés sur PubMed le 18/6/2022 est claire : aucune étude clinique ne prouve que le port généralisé du masque protégerait son porteur de la maladie ou diminuerait la transmission du covid19 autour de lui.

Les recommandations sur le masquage de masse ont été faites sur la base d’études sur les épidémies de grippe, alors même que l’efficacité du masque contre le virus grippal est incertaine et que ces études n’étaient pas nécessairement applicables au covid 19.

D’ailleurs initialement l’OMS avait recommandé de ne pas porter de masques dans la vie courante en raison d’un manque de preuves sur son efficacité, attitude tirée de 10 études randomisées sur la transmission de la grippe et d’autres coronavirus humains dans la communauté.

La révision de ses recommandations s’est appuyée sur une métanalyse de simples études observationnelles qui conclue au conditionnel: « l’utilisation d’un masque facial pourrait entraîner une réduction importante du risque d’infection (faible certitude) ». Les nouvelles directives OMS précisent comment laver et entretenir un masque en tissu et énumèrent les précautions d’usage à prendre pour porter en toute sécurité une protection faciale.

Une personne peut en effet s’infecter en ajustant son masque, en l’enlevant ou en le mettant à plusieurs reprises, sans se laver les mains entre chacun de ces gestes. De plus, l’OMS prévient :

« le masque peut créer « un faux sentiment de sécurité amenant à négliger des mesures telles que l’hygiène des mains et la distanciation physique ».

Le port du masque se justifie lorsqu’on est malade (qu’on tousse ou qu’on crache) et pour les personnes au contact de personnes malades, c’est pour le moins plus agréable. Mais même dans ces conditions, il n’existe aucune étude clinique publiée qui démontre qu’il diminue réellement le risque de contamination.

Ceux qui prônent l’obligation généralisée du port du masque sont habituellement les mêmes qui réfutent l’utilisation de la chloroquine sous le (faux) prétexte qu’il n’existerait pas d’études randomisées montrant qu’elle est efficace. Or la seule étude prospective randomisée pourtant réalisée par des partisans du port du masque et publiée, Danmasq19(([6] Henning Bundgaard Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask WearersFREE A Randomized Controlled Trial Annals of Internal Medicine
https://www.acpjournals.org/doi/full/10.7326/M20-6817?s=09&journalCode=aim)) ne retrouve aucune différence significative de risque de contamination entre les porteurs de masque et ceux qui n’en portent pas démontrant que le masque ne protège pas celui qui le porte.

Les articles qui défendent l’obligation généralisée du port de masque se basent sur non pas sur des études cliniques en population réelle, mais sur des simulations discutables (hypothèses très incertaines), des expériences sur des hamsters, sur l’extrapolation d’études de concentration virale réalisées en réanimation ou en laboratoire, sur l’avis « d’experts qui croient » en l’efficacité sans en apporter aucune preuve scientifique réelle.

Un des arguments classiques des partisans du masque est que les populations asiatiques habituées au masque seraient moins menacées de poussées de contaminations virales que les Européens. Pourtant la comparaison des nombres quotidiens de nouvelles contaminations covid19 en Suède (non masquée) et à Hong Kong (championne du port du masque) montre que le masquage généralisé de la population n’est pas efficace, voire contre-productif, car le taux journalier de nouvelles contaminations par million d’habitants est près de deux fois plus élevé à Hong Kong qu’en Suède !

Même constatation lorsqu’on compare la Biélorussie et la Corée du Sud :

Comment des professionnels de santé peuvent-ils encore croire en l’efficacité de l’obligation généralisée du port du masque alors qu’il n’en existe aucune preuve et, que de nombreux indices militent pour son inefficacité ? Que ceux qui ont peur et croient qu’un masque peut les protéger veuillent en porter est compréhensible et tolérable, mais il n’existe aucune raison scientifique d’imposer aux autres un grigri inefficace dont les effets secondaires sont nombreux.

Et pourquoi ce masque est-il dangereux : l’effet FOEGEN

L’étude observationnelle — « The Foegen Effect: A Mechanism by Which Facemasks Contribute to the COVID-19 Case Fatality Rate » (([7] Fögen Z. The Foegen effect: A mechanism by which facemasks contribute to the COVID-19 case fatality rate. Medicine (Baltimore). 2022 Feb 18
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35363218/ ))
(L’effet Foegen : Un mécanisme par lequel les masques faciaux contribuent au taux de mortalité des cas COVID-19) — a été publiée dans la revue Medicine en février 2022, sous la direction du médecin allemand Zacharias Fögen.(([8] L’obligation de porter un masque a causé plus de décès COVID, conclut une étude (anguillesousroche.com) ))

Thenationalpulse.com rapporte : L’article a analysé « si le port obligatoire du masque a influencé le taux de mortalité par cas au Kansas » pendant la période allant du 1er août 2020 au 15 octobre. Le Kansas a été utilisé à des fins de comparaison parce que l’État a permis à chacun de ses 105 comtés de décider de mettre en œuvre ou non le port obligatoire du masque, 81 comtés ayant décidé de s’opposer à cette mesure.

« La conclusion la plus importante de cette étude est que, contrairement à la pensée admise selon laquelle moins de personnes meurent parce que les taux d’infection sont réduits par les masques, ce n’était pas le cas », résume l’article.

« Les résultats de cette étude suggèrent fortement que les obligations de masques ont en fait causé environ 1,5 fois le nombre de décès ou ∼50 % de décès supplémentaires par rapport aux mandats sans masque. »

“Une justification de l’augmentation du RR en rendant le masque obligatoire est probablement que les virions qui pénètrent ou ceux qui sont crachés dans les gouttelettes sont retenus dans le tissu du masque facial, et après une évaporation rapide des gouttelettes, les gouttelettes hypercondensées ou les virions purs (virions qui ne sont pas à l’intérieur d’une gouttelette) sont réinspirés à une très courte distance pendant l’inspiration.”

Baptisée « effet Foegen », cette théorie suggère que les virions du COVID-19 :

“se propagent (en raison de leur plus petite taille) plus profondément dans les voies respiratoires”. « Ils contournent les bronches et sont inhalés profondément dans les alvéoles, où ils peuvent provoquer une pneumonie au lieu d’une bronchite, ce qui serait typique d’une infection virale. »

Un autre article publié dans la revue Cureus(([9] Cureus | Correlation Between Mask Compliance and COVID-19 Outcomes in Europe avril 2022)) et intitulé « Correlation Between Mask Compliance and COVID-19 Outcomes in Europe » (Corrélation entre le respect du port du masque et les résultats du COVID-19 en Europe) est arrivé à la conclusion étonnante que plus le taux de respect du masque est élevé, plus le taux de cas de COVID-19 est élevé.

Pour ceux qui ne sont pas très au fait des statistiques, c’est exactement le contraire de ce que les chercheurs devraient trouver si les masques étaient effectivement « efficaces ».

“Le masquage a été l’intervention non pharmaceutique la plus courante au cours de la pandémie de coronavirus 2019 (COVID-19)”, indique l’article.

« La plupart des pays ont mis en œuvre des recommandations ou des obligations concernant l’utilisation de masques dans les espaces publics. L’objectif de cette courte étude était d’analyser la corrélation entre le port du masque et les taux de morbidité et de mortalité au cours de l’hiver 2020-2021 en Europe. Les données de 35 pays européens sur la morbidité, la mortalité et l’utilisation de masques pendant une période de six mois ont été analysées et croisées. »

« Ces résultats indiquent que les pays ayant des niveaux élevés de respect des masques n’ont pas obtenu de meilleurs résultats que ceux ayant une faible utilisation des masques », écrit l’auteur Beny Spira, professeur à Sao Paolo.

« Pour cette analyse, tous les pays européens, y compris l’Europe de l’Ouest et de l’Est, comptant plus d’un million d’habitants ont été sélectionnés, ce qui représente un total de 602 millions de personnes. Tous les pays analysés ont connu un pic d’infection au COVID-19 pendant ces six mois », écrit le professeur avant de fournir l’ensemble des données.

« De manière surprenante, de faibles corrélations positives ont été observées lorsque le respect du masque a été rapporté à la morbidité (cas/million) ou à la mortalité (décès/million) dans chaque pays », note l’étude.

Le professeur montre un diagramme de dispersion de la conformité des masques par rapport aux cas et aux décès par million, ainsi qu’une ligne de régression ajustée. Comme on peut le voir, la relation est positive (pas bonne).

« Bien qu’aucune conclusion de cause à effet n’ait pu être déduite de cette analyse observationnelle, l’absence de corrélations négatives entre l’utilisation de masques et les cas et décès de COVID-19 suggère que l’utilisation généralisée de masques à un moment où une intervention efficace était la plus nécessaire, c’est-à-dire pendant le fort pic automne-hiver 2020-2021, n’a pas permis de réduire la transmission de COVID-19 », conclut l’étude. « En outre, la corrélation positive modérée entre l’utilisation des masques et les décès en Europe occidentale suggère également que l’utilisation universelle des masques peut avoir eu des conséquences néfastes involontaires. »

Les résultats de l’étude sur les masques sont similaires à ceux des chercheurs dirigés par Harvard lorsqu’ils ont constaté que plus les taux de vaccination d’une nation étaient élevés, plus les taux de cas étaient élevés. L’étude de Harvard, portant sur 68 nations et 2 947 comtés des États-Unis, a été publiée dans le European Journal of Epidemiology à la fin de 2021.

AUCUN GOUVERNEMENT JOURNALISTES ACADÉMIES OU AUTRES NE PEUVENT AFFIRMER UN EFFET BÉNÉFIQUE DU MASQUE

BIEN AU CONTRAIRE IL FAUT LES JETER (de surcroît ils polluent la planète qu’on oublie bizarrement !)(([10] Jetez ces masques que je ne saurais voir ! Jetez les muselières qui ne protègent personne ! – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Le port du masque est source de nombreuses complications(([11] Ibid réf 5 avec l’ensemble des références.))

Au 22 juin 2022, la base de données PubMed recense 1165 articles internationaux décrivant des complications du port de masques faciaux.

Même les défenseurs du port du masque reconnaissent certains de ses inconvénients : inconfort fréquent, dégradation de la peau du visage, difficulté accrue à communiquer clairement, et une empathie perçue réduite des prestataires de soins par ceux dont ils s’occupent.

L’étude clinique de Zhang, pourtant avocat du masque a signalé un taux plus élevé de maladies respiratoires parmi le personnel hospitalier portant un masque en tissu par rapport à l’absence de masque de protection au travail.

Complications cutanées

La macroanalyse des membres de l’American Contact Dermatitis Society met en évidence des cas de dermatite professionnelle secondaire aux équipements de protection faciale. La dermatite de contact irritante (DCI) est la dermatose liée au masque la plus fréquente. Elle atteint principalement les joues et l’arête nasale et s’observe surtout après port prolongé du masque (>6 heures). Sa sévérité dépend de la chronicité de l’exposition. Les personnes atteintes de dermatite atopique, qui ont déjà une barrière cutanée défectueuse, sont particulièrement à risque de développer une DCI. (([12] L’étude coréenne de Choi SY précise la symptomatologie qui varie d’une plaque discrète, sèche et squameuse à un œdème et des vésicules, des érosions et une ulcération. Les démangeaisons étaient le symptôme le plus fréquent, affectant principalement les joues. La dermatose la plus fréquente était la dermatite de contact d’apparition récente (33,94 %), suivie de l’acné d’apparition récente (16,97 %) et de l’aggravation d’une acné préexistante (16,97 %). Le port quotidien de masques était significativement associé à une dermatite de contact d’apparition récente. Plus de la moitié des patients ayant des problèmes de peau préexistants ont vu leur maladie s’aggraver lorsqu’ils portaient des masques.
Une plus longue durée de port et l’utilisation de masques en coton ont augmenté les poussées d’acné. Les travailleurs de la santé avaient une incidence plus élevée de maladies de la peau.))

Hypoxie et troubles respiratoires

En dépit de certains articles mensongers qui prétendent que le port du masque ne diminuerait pas la saturation en oxygène la littérature internationale des grandes revues médicales établit formellement que le port prolongé du masque entraîne une augmentation de la résistance nasale et une hypoxie chez les personnels soignants, souvent associée à des maux de tête.

Beder et all ont observé chez les chirurgiens masqués pratiquant de longues interventions une diminution de la saturation en oxygène et une légère augmentation de la fréquence du pouls par rapport aux valeurs préopératoires chez les chirurgiens, la diminution étant plus importante chez les chirurgiens de plus de 35 ans.

Kisielinski K et ses coauteurs montrent que les masques N95 sont plus mal tolérés que les masques chirurgicaux et évaluent la fréquence des symptômes : syndrome d’épuisement, chute et fatigue, cooccurrence groupée d’insuffisance respiratoire et de diminution de la saturation en oxygène (67 %), augmentation de celle en gaz carbonique (82 %), maux de tête (60 %), troubles respiratoires et échauffement (88 %), mais aussi chaleur et humidité (100 %) sous les masques.

L’utilisation du masque N95 pendant plus de 4 heures par les soignants aggrave des maux de tête antérieurs. Une durée plus courte du port du masque facial peut en réduire la fréquence et la gravité. Ils concluent que le port prolongé du masque par la population générale peut entraîner des effets et des conséquences pertinents dans de nombreux domaines médicaux en particulier chez les personnes fragiles (asthmatiques, insuffisants respiratoires chroniques…).

Problèmes de communication

Il existe de nombreuses complications logistiques, physiologiques, psychologiques, sociales et économiques associées au port du masque.

Tsantanie et ses coauteurs montrent que la perception des émotions intentionnelles (celles que l’acteur désire transmettre) est réduite par la présence d’un masque pour toutes les expressions à l’exception de la colère.

La capacité du personnel de santé à communiquer avec succès avec les patients et avec les collègues est compromise, ce qui peut nuire à l’efficience, à l’efficacité, à l’équité et, plus particulièrement, à la sécurité de l’intervention thérapeutique. L’orthophoniste joue un rôle distinct dans la facilitation de la communication afin de garantir la fourniture, l’accessibilité et l’efficacité des services.

Les enfants sont particulièrement victimes du port de masques

Chez les plus petits, le contact avec la mère et tous les intervenants (crèche, etc.), l’apprentissage des émotions et de la parole est particulièrement menacé.

Dans les classes primaires, les professeurs ont plus de mal à se faire comprendre de leurs élèves qui ne peuvent plus se référer aux mimiques de l’enseignant.

En secondaire, l’apprentissage oral des langues étrangères est saboté : comment expliquer la position de la langue et de la bouche pour reproduire l’accent juste ? Les enseignants doivent parler plus fort, ce qui les fatigue inutilement, et ils peuvent difficilement évaluer ce que les élèves comprennent.

Les adolescents souffrent des mêmes difficultés en cours, mais la gêne à l’expression des sentiments est encore plus pénible à l’âge ou ils nouent leurs amitiés et leurs relations amoureuses.

Les troubles psychologiques et psychiatriques

Le port du masque est un facteur favorisant la survenue de stress et de morosité. Il provoque également une prosopagnosie (la non-reconnaissance des visages) et une difficulté à reconnaître les émotions d’autrui.

Depuis l’instauration des prétendues mesures sanitaires, les psychiatres avaient précocement mis en garde sur les effets pervers de l’enfermement et du port de masque chez les personnes fragiles et même chez de nombreuses autres personnes a priori équilibrées qui décompenseront. Ces inquiétudes étaient d’autant plus pertinentes que la diminution générale des lits hospitaliers en 20 ans a particulièrement touché la psychiatrie : fermeture de nombreux de lits de psychiatrie générale à l’hôpital, atteignant 60 % entre 1976 et 2016 selon l’IGAS. De plus l’augmentation des moyens en ville, où les centres médico-psychologiques sont saturés n’ont pas suivi. Les psychiatres ont fui l’hôpital public, où 30 % des postes de titulaires sont vacants.

Le recul montre qu’effectivement les dépressions et les urgences psychiatriques ont explosé.

L’augmentation de l’anxiété, de la dépression et du stress, d’abord constatée en Chine s’est diffusée partout où les dirigeants ont créé la panique et imposé des mesures contraignantes.

Les enfants ont été particulièrement touchés et les urgences pédopsychiatriques ont été dépassées à Paris tant à l’hôpital Robert Debré (demandes d’admission accrues de 20 %.) qu’à la Pitié-Salpêtrière et dans bien d’autres structures en Province.

D’après santé publique France, 3 millions de nos compatriotes souffrent de troubles psychiques sévères.]

Il n’est pas éthique de refuser d’examiner un malade

Le serment d’Hippocrate considéré comme l’un des textes fondateurs de la déontologie médicale rappelle qu’un médecin ne peut refuser d’examiner un malade.

Dans sa version française:

Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité.

Ou dans sa version internationale du serment de Genève :

JE NE PERMETTRAI PAS que des considérations d’âge, de maladie ou d’infirmité, de croyance, d’origine ethnique, de genre, de nationalité, d’affiliation politique, de race, d’orientation sexuelle, de statut social ou tout autre facteur s’interposent entre mon devoir et mon patient

D’ailleurs même au temps de la peste (qui tuait près de 40 % des malades) les médecins accomplissaient leur devoir sans exiger des malades qu’ils portent un masque.

Il est donc particulièrement choquant d’apprendre que certains confrères violent leur serment d’Hippocrate en refusant d’examiner des malades au prétexte qu’ils ne portent pas de masque.

L’ordre a rappelé que la non-vaccination ne fait pas partie des raisons justifiant un refus de soins. Un docteur ne peut donc pas déontologiquement refuser de soigner un patient parce qu’il n’est pas vacciné contre le Covid. On peut espérer que le non-port du masque sera prochainement le sujet d’un même rappel à la déontologie.

Il faut espérer que sans attendre ce rappel éthique, de nombreux médecins supprimeront ces exigences infondées du port de masque pour les consulter.

Et s’ils craignent encore qu’ils se rappellent que lors de la première vague (avant tout vaccin) les Indiens ont utilisé avec succès la chloroquine pour prévenir les contaminations du personnel soignant et des proches des malades et que l’Inde compte 15 fois moins de cas par millions que la France adepte des masques.

L’Algérie qui a largement utilisé le protocole Raoult compte 75 fois moins de cas par millions que la France

Pour se protéger, les médecins inquiets devraient plutôt se prescrire chloroquine ou Ivermectine que de porter un masque! Il faut rester méfiant, car le pouvoir veut nous faire prescrire du Paxlovid à la rentrée inefficace toxique et cher.

Et AVEU DE FAUCI(([13] Vidéo : Fauci admet ouvertement que le mandat de Biden sur les masques vise à préserver son « autorité » (anguillesousroche.com) ))

« C’est plus une question de principe de savoir où se trouve l’autorité. »

Lors de son passage récent sur Fox News, Anthony Fauci a semblé admettre que les efforts de l’administration Biden pour rétablir l’obligation de porter un masque dans les avions et les trains visaient à préserver l’« autorité » sur les décisions de santé publique, et non à assurer la sécurité des personnes.

Notes et références :




Extrême dangerosité des tests PCR

[Source : LMDR]



[Voir aussi :
Le Dr Hodkinson est horrifié par ce spectacle des tests PCR bidon… le pire de l’histoire médicale!
Une véritable bombe : Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés de Covid-19 »
La mystification par le test PCR pour créer le mythe de la pandémie et entretenir la peur
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR]




LE MONDE SE RÉVOLTE : nous sommes des milliards contre quelques milliers ! courage !

Par Nicole Delépine

Manifestations dans le monde entier contre les mesures vaccinales et la fausse pandémie

Les chefs d’État partisans des sanctions contre la Russie tombent les uns après les autres, dont le symbolique et important banquier italien Mario Draghi.

  • ➡️27,06 Kiril Petkov Bulgarie
  • ➡️ 01.07 Naftali Bennett Israël
  • ➡️ 07.07 Boris Johnson Royaume-Uni
  • ➡️ 08.07 Kaya Kallas Estonie
  • ➡️ 09.07 R Wikremesinge SriLanka
  • ➡️ 14.07 Mario Draghi Italie

Dans la semaine du 11 au 17 juillet : Manifestations au Portugal, Chili, Canada, Australie, Autriche, France, Hollande, Allemagne, etc., sans compter les énormes manifestations italiennes qui ont abouti au départ du banquier non élu Mario Draghi ce 21 juillet à l’occasion du scandale Uberfiles après tant d’autres.

Informez vos amis, vos voisins, car ces très nombreuses manifestations pacifistes pour la levée de toutes les mesures sanitaires et des obligations vaccinales est occultée par les médias mainstream au service des milliardaires qui les possèdent.

Une énorme clameur monte du monde entier et singulièrement d’Allemagne dont les enfants et petits-enfants n’ont pas oublié le drame du nazisme et ne veulent absolument pas le revivre. Ils ont culpabilisé pendant des décennies alors qu’ils n’y étaient pour rien et les mondialistes voudraient les replonger dans l’horreur… Non merci.

« Remarquez surtout les raz de marée allemands ! »

Un ami belge médecin et historien de cette période m’envoie cette vidéo et ses réflexions réconfortantes à méditer.

« Dès le début de cette Troisième Guerre mondiale qui ne dit pas son nom, j’ai toujours eu l’intime conviction que l’Allemagne avait rendez-vous avec “son” Histoire !

Notez les slogans : la vérité, la liberté, mais aussi et surtout “Aus auf dem NATO” ! SORTIR DE L’OTAN.

C’est une vérité empirique depuis la (ré-) apparition dans le monde de “Pfizer”, petite-fille (…) de IG-Farben des Von der Leyen, Klaus Schwab et autres monstres apparentés : l’Allemagne nazie n’a jamais été totalement épurée en 1945. Il n’y a pas que l’élite militaro-industrielle (et pharmaceutique) nazie, sauvée par les Américains et les Russes qui a continué à prospérer : souvenez-vous des certificats dits “Persil” (qui lave plus blanc que blanc) de l’époque qui ont permis à des millions d’Allemands d’être absous de toute complicité avec le régime hitlérien à partir d’une déclaration sur l’honneur ».

Le plus rassurant et intéressant de son commentaire est la démonstration qu’à travers ces manifestations dans de très nombreuses villes et avec beaucoup de participants, les Allemands refusent de rentrer une nouvelle fois dans cette horreur du nazisme. Le réarmement prévu de l’Allemagne, qui d’après ses dirigeants actuels serait la plus importante de l’UE ne convient pas à la population qui changera bientôt ses puissants qui la trahissent. Comme les Italiens ont viré Draghi le banquier de la BCE et de Goldman Sachs.

« Les Allemands que nous voyons manifester passivement dans les rues aujourd’hui sont porteurs d’un message véritablement rédempteur. Un quitus à une période terrible de leur histoire en quelque sorte. Que leurs aïeux reposent en paix. C’est également rassurant de voir une telle masse humaine s’ériger en rempart contre les velléités belliqueuses de leurs dirigeants (?) souhaitant, par le biais de l’OTAN, remettre le couvert gravé aux initiales néonazies ».

B.

De nombreux articles témoignent de l’influence des anciens nazis dans l’Allemagne moderne et surtout dans la création de l’UE.(([1] Les racines de l’Union Européenne – AgoraVox le média citoyen))

« Des faits historiques vont également dans le sens du rapport. John J. McCloy : président de la Banque mondiale, de la Chase Manhattan Bank, président de la fondation Ford, administrateur de la fondation Rockfeller, président du Council on Foreign Relations, conseiller sous Kennedy, Johnson, Nixon, Carter, Reagan, et surtout Haut-commissaire de la zone occupée américaine de 1949 à 1952. En occupant cette fonction, il mena une campagne de pardon incluant quasiment tous les noms des industriels cités dans le rapport : Friedrich Flick, Alfried Krupp, IG Farben, … Juste avant la création de la CECA. »

Quand les nazis construisirent l’Union Européenne

« Dès 1944 des industriels nazis qui préparent l’après-guerre, qui évoquent le retour du Reich, et qui passent par des sociétés-écrans, et des banques suisses pour fuiter des capitaux, et qui blanchiront leur image après-guerre. Le futur empire allemand ne sera plus militaire, mais économique aux mains des industriels. »

« Il n’y eut pas seulement des ingénieurs, et des techniciens nazis qui continuèrent à sévir. Des politiciens, des industriels, et des économistes en firent tout autant. Et qu’il faut rester critique vis-à-vis de politiciens qui aujourd’hui veulent nous imposer un fédéralisme européen en nous menaçant avec la dette qu’ils ont créée. Je terminerai cet article par la citation du Dr Michael Pinto-Duschinsky, un conseiller de l’ancien parti ouvrier juif :

« Pour de nombreuses personnalités du monde industriel proche du régime nazi, l’Europe est devenue une sorte de couverture pour la poursuite des intérêts nationaux allemands après la défaite d’Hitler… La continuité entre l’économie de l’Allemagne et les économies européennes de l’après-guerre est frappante. Certaines des grandes figures de l’économie nazie sont devenues les principales bâtisseuses de l’Union européenne. »

Souvenons-nous de qui est Schwab le fondateur du forum économique et mondial.(([2] Né à Ravensburg en 1938, Klaus Schwab est un enfant de l’Allemagne d’Adolf Hitler, un régime d’État policier fondé sur la peur et la violence, sur le lavage de cerveau et le contrôle, sur la propagande et le mensonge, sur l’industrialisme et l’eugénisme, sur la déshumanisation et la « désinfection », sur une vision effrayante et grandiose d’un « nouvel ordre » qui durerait mille ans.

Schwab semble avoir consacré sa vie à réinventer ce cauchemar et à essayer de le transformer en réalité non seulement pour l’Allemagne, mais pour le monde entier.

Pire encore, comme ses propres mots le confirment à maintes reprises, sa vision technocratique fasciste est aussi une vision transhumaniste tordue, qui fusionnerait les humains et les machines dans « de curieux mélanges de vie numérique et analogique », qui espère infecter nos corps avec de la « Smart Dust » et dans laquelle la police serait apparemment capable de lire nos cerveaux. Et lui et ses complices instrumentalisent la crise Covid-19 pour contourner la démocratie, pour passer outre l’opposition, pour accélérer leur programme et l’imposer au reste de l’humanité contre notre volonté dans ce qu’il appelle la « Grande Réinitialisation » ou le « Great Reset ».
D’origine khazarienne, Klaus Schwab est le fils d’un collaborateur nazi qui a utilisé le travail d’esclaves et aidé les efforts nazis pour obtenir la première bombe atomique — LES FAITS — Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant.))

On comprend pourquoi les jeunes et moins jeunes Allemands nés largement après la fin de la Deuxième Guerre mondiale veulent absolument sortir de ce système et de cet héritage morbide. La remilitarisation de l’Allemagne prévue par l’UE doit leur sembler dangereuse et nauséabonde.

MERCI À EUX DE LEURS MANIFESTATIONS NOMBREUSES ET RÉPÉTÉES

Puissent leurs échos arriver aux oreilles de nos journalistes.



Prenez le temps de visualiser ces manifestations d’une seule semaine dans le monde contre la folie, le cinéma et le film d’Horreur Covid.(([3] STOPPEZ LES INJECTIONS INUTILES ET DANGEREUSES – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Et aussi les manifestations géantes des dockers à Hambourg dont nos médias ne nous parlent pas non plus

ProRital
@Vatixan14
17 juil.

« Stopper le monstre de l’inflation » : manifestation géante des dockers à Hambourg en Allemagne. Depuis hier, des milliers de dockers sont en grève pour réclamer de meilleurs salaires et une compensation de l’inflation. De graves affrontements ont eu lieu avec la police..

Libertatem
@pasdhypocrisie
14 juil.

Impressionnant convoi d’agriculteurs allemands vers la frontière entre l’Allemagne et les Pays-Bas pour soutenir la manifestation des agriculteurs néerlandais.

Frex
15 juil.

#BREAKING: Appel video à une manifestation pour les agriculteurs néerlandais. Prévue le 23 juillet, elle demande le soutien des agriculteurs, des pêcheurs, des camionneurs en Angleterre, aux US, en France, en Italie, en Allemagne, en Australie, au Canada et partout ailleurs.

À SUIVRE …





Dr RICHARD URSO — Explosion des Cancers et des maladies latentes

Retranscription de la traduction française de l’interview

Quelle est la biodistribution de ce produit, cette nanoparticule lipidique ? Eh bien, devinez quoi : elle se distribue partout ! C’est quelque chose que j’ai su tout de suite parce que je travaille avec des nanoparticules lipidiques. J’aurais pu vous dire que les nanoparticules lipidiques, j’ai l’habitude de dire : elles ont besoin d’une (petite) fente, alors que le virus a besoin d’une porte ouverte, et un vaccin normal a besoin d’une porte ouverte. Un vaccin normal reste dans le bras à peu près à 99,9 %. (????) Une nanoparticule lipidique a (juste) besoin d’une fente pour sortir. Une grande majorité de la nanoparticule lipidique ne reste pas dans le bras. En fait nous savons maintenant qu’une grande partie d’entre elles va dans le ganglion lymphatique juste en dessous d’ici et qu’elles continuent à produire des protéines de pointe (spike) jusqu’à 60 jours plus tard. 

C’est une merveilleuse étude de Cell. C’est ce qu’on appelle la pharmacocinétique qui aurait dû être examinée bien avant la sortie de ce produit. Ils n’ont jamais dit aux gens :

« nous allons le coller dans votre bras et il va apparaître dans votre ganglion lymphatique, il va apparaître dans votre cerveau, il va apparaître dans vos ovaires, dans votre moelle osseuse, vos glandes surrénales, votre foie et votre rate, qui va ensuite remonter par le nerf vague et aller jusqu’à vos ganglions de la base ».

Toutes ces choses se produisent. Pourquoi est-ce que je le sais ? Parce que les études ont été faites maintenant. Si elles n’ont pas été faites par Pfizer ou si Pfizer les a faites, ils n’en ont parlé à personne. Donc il ne reste pas dans le bras, il produit la protéine de pointe jusqu’à 60 jours. 

La Spike, comme nous le savons, est en fait retrouvée jusqu’à 15 mois plus tard dans les monocytes et d’autres cellules. Elle n’est pas dégradée. C’est un gros problème, les gens devraient avoir ces choses. Elle bloque le gène P53, le gardien du génome. Elle bloque le microRNA-27a qui est aussi présent dans le cancer du côlon. Elle affecte beaucoup de choses qui vont augmenter les cancers, le BCRA (le gène du cancer du sein) qui interfère avec ça. Ce sont des choses qui auraient dû être faites à l’avance. Ce que je vous dis… ces études sont faites, ce ne sont pas des opinions. Je ne donne pas d’opinions, je vous donne des données. Ça va partout. Elle bloque d’importants gènes de réparation des tumeurs appelés P53. Elle bloque le BCRA. Elle perturbe aussi le microRNA-27a (ce ?) qui provoque des poussées dans les cellules cancéreuses du colon.

Ça provoque une production pouvant aller jusqu’à 60 jours. Ça perturbe les récepteurs 7 et 8 que vous et moi avons de manière assez similaire. Ils font partie du génome de tous ceux qui sont dans cette pièce. Ils sont importants pour la surveillance immunitaire des virus. On va donc assister à une forte augmentation de tous les virus qui restent en sommeil dans notre corps, comme la famille des virus de l’herpès. Dans ma clinique, je vois en ce moment 3 à 5 personnes chaque semaine — car elles savent que je consacre beaucoup de temps au covid — elles viennent me voir avec un long covid et elles viennent me voir avec des problèmes post-vaccinaux. Ces gens viennent me voir, ils sont épuisés, ils ne se sentent pas bien et je constate qu’un très grand nombre d’entre eux ont réactivé l’Epstein-Barr, l’herpès simplex, l’herpès zooster, le CMV. Je n’ai jamais eu d’interview où j’ai révélé cela au grand public. C’est très important.

Beaucoup de gens se posent des questions sur ce long covid, si tout est lié à des problèmes viraux, en particulier la protéine spike ou à d’autres problèmes. Ils ne savent pas que nous assistons à une énorme réactivation des virus de la famille de l’herpès. Et nous avons un traitement pour que cela fonctionne vraiment bien. Ce sont des choses que nous devons faire connaître. Et nous voyons aussi une augmentation de 40 % des décès. Comme vous le savez, de 18 à 64 ans, ce sont les données funéraires. Personne ne les a renseignés pour leur dire de ne pas laisser passer cette information. Et de 25 à 44 ans, nous avons vu le dernier trimestre de l’année dernière une augmentation de 82 % des décès. Il y a beaucoup de données qui sont très troublantes et la plupart des gens ne sont pas au courant.

C’est notre travail de faire savoir aux gens que cette plate-forme de nanoparticules lipidiques de l’ARN messager — peu importe ce que vous y attachez — elle va toujours voyager partout. Ce sera toujours un problème. Et c’est pourquoi vous voyez que la distribution des troubles qui en découlent après le vaccin affecte tant les différents organes parce qu’elles se propagent partout. J’ai entendu quelqu’un dire : « Nous ne savons pas pourquoi il fait toutes ces choses ». Et bien, nous savons pourquoi, c’est parce que c’est une nanoparticule lipidique, elle va partout. Je dis aux gens : « C’est comme de l’ail ». Ce n’est pas quelque chose qui est contrôlable et peu importe si vous le faites pour le VRS, peu importe si vous le faites pour la grippe, si vous faites une plate-forme de nanoparticules lipidiques, vous cherchez des ennuis. Vous demandez un modèle de distribution incontrôlé. 

https://rumble.com/v12y1pz-dr-richard-urso-explosion-des-cancers-et-des-maladies-late.html

http://echelledejacob.blogspot.com/2022/07/dr-richard-urso-explosion-des-cancers.html




France — Projet de loi sanitaire : les sénateurs et les députés tombent d’accord sur la version du Sénat

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org]

Source : Public Sénat, le 21 juillet 2022

La version définitive du 13ème projet de loi de lutte contre le covid a été définie par les parlementaires en commission mixte paritaire. Elle reprend globalement la version adoptée ce mercredi au Sénat.

Après l’examen du projet de loi « veille et sécurité sanitaire » ce mercredi soir au Sénatles députés et les sénateurs sont tombés d’accord en commission mixte paritaire ce jeudi [21 juillet 2022]Les grandes orientations proposées par la commission des Lois et le rapporteur LR du texte, Philippe Bas, ont finalement été retenues : l’état d’urgence sanitaire a explicitement été abrogé, le passe sanitaire aux frontières réintroduit si de nouveaux variants « menaçants » venaient à apparaître et la réintégration des soignants non-vaccinés suspendus prévue quand la Haute Autorité de Santé estimera que l’obligation vaccinale n’est plus justifiée au niveau épidémiologique.

… Plus d’informations à venir


Mise à jour

[Source : https://www.dissidentofficiel.com]

Cette sénatrice LR enterre une fois pour toutes le pass sanitaire avec un argument formidable : «Soumettre la population à un pass pour la protéger, c’est lui mentir» (Vidéo complète)

Lire l’article

Loïc Hervé corrige un sénateur Renaissance sur le nombre réel de pompiers suspendus non-vaccinés : «Vous rigolez avec vos 140? Ils sont au moins 5000!» (Vidéo complète)

Lire l’article

Stéphane Ravier pourfend le projet de loi sanitaire du gouvernement et défend avec vigueur les soignants non-vaccinés au Sénat! (Vidéo complète)

Lire l’article




Protégeons les médecins poursuivis pour avoir soigné : Touche pas à mon doc

Nous relayons cet appel au bon sens et au partage de la pétition « Ne touche pas à mon doc »

Nicole Delépine

Citoyens comprenez bien que sans liberté de soigner, il n’y a pas de médecine. Vous le vivez au quotidien depuis deux ans et demi pour l’ensemble de la population.  Les petits et grands cancéreux ont été victimes depuis les années 2000 avec l’avènement des plans cancer des conséquences parfois dramatiques de la disparition du choix du traitement par le patient et par son médecin.  CETTE DICTATURE SANITAIRE DOIT CESSER. Nous cotisons tous à la sécurité sociale. Ce n’est pas pour enrichir big Pharma qui impose ses molécules chères et inefficaces à tous via les agences et les réunions multidisciplinaires. Si vous n’obéissez pas, votre structure n’aura plus le droit de soigner. Les « protocoles » sont le choix de la technostructure et non le meilleur traitement adapté à vous-même.

le même principe s’applique aux médecins de ville qui vous ont soigné et préféré les traitements précoces efficaces au non traitement via le 15, le doliprane toxique et le rivotril pour euthanasier les personnes âgées en EHPAD ou en hospitalisation à domicile.  Les vrais médecins fidèles à leur serment et à leurs patients sont poursuivis. Ils sont l’honneur de la médecine. Faites le savoir et sauvons-les ainsi que  les futurs patients.

Bon Sens, [21/07/2022 16:04]

Dernièrement, les Directions régionales du Service médical (DRSM, service de la « sécu ») ont transmis au Conseil de l’Ordre des médecins la liste des médecins ayant prescrit des traitements ambulatoires dans le cadre de la Covid. Suite à ce signalement, l’Ordre convoque de nombreux médecins sur l’ensemble du territoire. Pour soutenir les « Docs » qui ont tenu bon au long de cette crise, qui ont gardé la tête sur les épaules, qui ont continué à nous informer, à nous soigner. Pour protéger une médecine individualisée, adaptée à chaque patient, adaptée à chaque histoire, où chaque médecin peut agir en conscience au service du patient qui le lui demande.

Si les médecins qui ont soignés sont attaqués, qui sera là pour nous à la prochaine épidémie ?

Bienvenue sur l’espace « Touche pas à mon Doc ». Sur cet espace, vous pourrez déposer, lire et partager des témoignages de patients ou de professionnels face à la crise.

Le site : https://tpmd.fr/

Canal Télégram : https://t.me/TpmdFr

Bon Sens, [21/07/2022 16:04]

Leur Manifeste,

« Les Conseils Départementaux de l’Ordre des Médecins multiplient, sur l’ensemble du territoire, les convocations de médecins suite à « des signalements des Directions Régionales du Service Médical » (DRSM). En pratique ces services de l’assurance maladie ont répertorié les prescriptions réalisées dans le cadre de la prise en charge en ville (hors hôpital) de la Covid.

À l’heure actuelle, l’épidémie reste un sujet de préoccupation, malgré les mesures déjà proposées par les Pouvoirs publiques (distanciation physique, masques, vaccins, traitements ciblés…). Il semble impensable au vu de l’évolution des connaissances sur le sujet qu’on puisse remettre en question une proposition thérapeutique supplémentaire : les traitements précoces associés au suivi rapproché et à la prévention des complications, la prise en charge des patients en ambulatoire, pour éviter au maximum les complications et les hospitalisations.

Nous sommes médecins, nous avons refusé de céder à la fatalité du « on ne peut rien faire ». Nous avons cherché, nous nous sommes questionnés et avons beaucoup échangé. Nous avons appris à connaitre cette maladie. Nous avons continué à prendre soin de nos patients comme nous l’avions toujours fait dans les contextes d’épidémies virales. Nous avons continué à accueillir tous les patients. Nous les avons examinés, nous les avons rassurés, leur avons enseigné les signes d’alerte, nous les avons accompagnés tout au long de la maladie. Nous avons fait de notre mieux, en conscience. Nous avons pris la responsabilité de leur proposer les traitements les plus adaptés en accord avec les données actualisées des recherches scientifiques.

Nous sommes de simples citoyens, nous ou nos proches avons été malades. Face à la maladie, nous nous sommes sentis seuls et démunis. Nous avons parfois entendu cette phrase « on ne peut rien faire, attendez, et si vraiment cela ne va pas, faites le 15 ». Puis nous avons trouvé un médecin qui a accepté de nous soigner. Parfois lorsque nous étions déjà dans un état préoccupant. Un médecin qui nous a accueilli, rassuré, accompagné. Un médecin qui nous a permis de faire face à la maladie, qui nous a redonné de l’espoir, nous a progressivement accompagné vers la guérison. Un médecin qui nous a permis de retrouver confiance dans la médecine. Nous refusons que les médecins puissent se sentir intimidés.

Si les médecins sont privés de leur indépendance professionnelle, de leur liberté de prescription, quelle sera la médecine de demain ? Une médecine de protocole, dictée par qui ? Nous serons présents aux côtés de ceux qui ont pris soin de nous, pour prendre soin d’une médecine individualisée. »

Disons aujourd’hui fermement, TOUCHE PAS À MON DOC ! Pour signer le manifeste :

https://tpmd.fr/manifeste/

Manifeste

Les Conseils Départementaux de l’Ordre des Médecins multiplient, sur l’ensemble du territoire, les convocations de médecins suite à « des signalements des Directions Régionales du Service Médical » (DRSM).

En pratique ces services de l’assurance maladie ont répertorié les prescriptions réalisées dans le cadre de la prise en charge en ville (hors hôpital) de la Covid.

À l’heure actuelle, l’épidémie reste un sujet de préoccupation, malgré les mesures déjà proposées par les Pouvoirs publiques (distanciation physique, masques, vaccins, traitements ciblés…). Il semble impensable au vu de l’évolution des connaissances sur le sujet qu’on puisse remettre en question une proposition thérapeutique supplémentaire : les traitements précoces associés au suivi rapproché et à la prévention des complications, la prise en charge des patients en ambulatoire, pour éviter au maximum les complications et les hospitalisations.

Nous sommes médecins, nous avons refusé de céder à la fatalité du « on ne peut rien faire ».

Nous avons cherché, nous nous sommes questionnés et avons beaucoup échangé.

Nous avons appris à connaitre cette maladie.

Nous avons continué à prendre soin de nos patients comme nous l’avions toujours fait dans les contextes d’épidémies virales.

Nous avons continué à accueillir tous les patients. Nous les avons examinés, nous les avons rassurés, leur avons enseigné les signes d’alerte, nous les avons accompagnés tout au long de la maladie.

Nous avons fait de notre mieux, en conscience.

Nous avons pris la responsabilité de leur proposer les traitements les plus adaptés en accord avec les données actualisées des recherches scientifiques.

Nous sommes de simples citoyens, nous ou nos proches avons été malades.

Face à la maladie, nous nous sommes sentis seuls et démunis.

Nous avons parfois entendu cette phrase « on ne peut rien faire, attendez, et si vraiment cela ne va pas, faites le 15 ».

Puis nous avons trouvé un médecin qui a accepté de nous soigner. Parfois lorsque nous étions déjà dans un état préoccupant.

Un médecin qui nous a accueilli, rassuré, accompagné.

Un médecin qui nous a permis de faire face à la maladie, qui nous a redonné de l’espoir, nous a progressivement accompagné vers la guérison.

Un médecin qui nous a permis de retrouver confiance dans la médecine.

Nous refusons que les médecins puissent se sentir intimidés.

Si les médecins sont privés de leur indépendance professionnelle, de leur liberté de prescription, quelle sera la médecine de demain ? Une médecine de protocole, dictée par qui ?

Nous serons présents aux côtés de ceux qui ont pris soin de nous, pour prendre soin d’une médecine individualisée.

Nous disons aujourd’hui fermement :

TOUCHE PAS À MON DOC !




Le Certificat COVID numérique de l’UE, outil de fichage à la chinoise des citoyens européens

Par Gérard Delépine

Le certificat COVID numérique de l’UE est entré en vigueur le 1er juillet 2021. Son règlement a été officiellement modifié le 14 juin 2022 prolongeant sa durée jusqu’en 2023. Le but officiel de ce passe sanitaire européen serait de « faciliter la libre circulation entre les pays membres » alors qu’en réalité il empêche la circulation des non-vaccinés et viole ainsi les principes fondateurs de l’Union européenne : libre circulation et non-discrimination des citoyens.

Ce certificat COVID numérique exprime en réalité la volonté de la Commission européenne de ficher tous les citoyens pour possiblement instaurer un contrôle de la population à la chinoise. Nous rappellerons ici que ce certificat comme tous les passes :

  • 1°) n’a aucune efficacité contre la propagation de l’épidémie ;
  • 2°) parce que les vaccins sont inefficaces ;
  • 3°) il constitue un pur chantage pour forcer le consentement à des médicaments expérimentaux ;
  • 4°) il crée une discrimination intolérable entre les citoyens ;
  • 5°) il organise la conservation illimitée des données personnelles particulièrement sensibles.

Les passes sanitaires ont tous été totalement incapables de ralentir la diffusion de l’épidémie

Nous l’avons observé en France (données de l’OMS) avec l’explosion des cas début 2022 :

Même constatation en Roumanie en février 2022 :

Mais aussi en Suède :

Cette incapacité des passes à enrayer l’épidémie a été constatée dans tous les pays qui les ont instaurés comme le montre le graphique ci-après des évolutions de l’épidémie en Europe.

Les passes donnent un faux sentiment de sécurité favorisant l’abandon des précautions d’hygiène propice à la reprise des contaminations.

L’échec total des passes a motivé leur abandon dans la quasi-totalité des pays qui les ont utilisés. Cet échec résulte de l’inefficacité des pseudo vaccins à empêcher les transmissions.

La pseudo vaccination est inefficace contre les transmissions et paraît même les augmenter !

Soulignons que les pseudo vaccins qu’on tente de nous imposer ne sont pas des vaccins (ils ne contiennent aucun antigène ni aucune anatoxine), mais des médicaments. Ils sont de plus expérimentaux, puisque leurs essais phase 3 ne seront terminés qu’en 2023. Leur utilisation généralisée en population mal informée constitue un essai qui ne respecte pas les conditions de surveillance traditionnelles, ni le code de Nuremberg, ni la convention d’Oviedo (cf infra) que la France a signée et nous est opposable.

Fin octobre 2021, trois adultes sur quatre dans l’UE étaient complètement vaccinés. Or, dans le même temps, on observait une recrudescence de la pandémie de Covid-19 dans de nombreux États membres. La comparaison avec l’Afrique et les USA suggère même qu’un taux élevé de vaccinations dans une population serait susceptible d’augmenter le risque de contaminations ainsi que le montre le graphique suivant :

L’Afrique, très peu vaccinée (10 %), mais qui utilise des traitements antipaludéens, comptabilise 60 fois moins de cas par million d’habitants (8000 cas/M) que la France (477 000 cas/M). Et on ne peut pas prétendre que c’est l’âge plus jeune des Africains qui explique telle différence, car si la gravité de la maladie est très dépendante de l’âge la contamination l’est beaucoup moins.

Un des buts du certificat covid européen est de contraindre les Européens à accepter les injections

En réalité le certificat Covid numérique de l’Union européenne ne veut qu’institutionnaliser le chantage « vacciné continuellement ou astreint à résidence dans son pays ». Pour ce faire elle recommande aux États membres de se mettent d’accord sur une durée de validité de neuf mois pour les certificats, pour forcer l’acceptation de doses de rappel itérative six mois après le schéma complet de vaccination.

Si son but était de faciliter la circulation, comme elle le prétend, elle exigerait la suppression de toutes les mesures de restrictions des libertés comme le font d’ailleurs progressivement presque tous les États européens (sauf la France, Malte et l’Italie)

Mais la commission a commandé 1,3 milliard de doses qu’elle veut nous injecter de force alors que pourtant elle ne peut plus ignorer que les pseudo vaccins sont inefficaces et dangereux. !

Ce contournement du consentement libre et éclairé pour tout acte médical sur l’être humain, contraire au serment d’Hippocrate de l’association médicale internationale.(([1] https://www.wma.net/fr/news-post/lassociation-medicale-mondiale-approuve-un-nouveau-serment-pour-les-medecins/))(([2] https://www.atousante.com/sante-travail/medecin-sante-travail/serment-du-medecin-association-medicale-mondiale/))

De plus comme les injections sont expérimentales, leur utilisation constitue un essai qui viole la convention d’Oviedo(([3] https://www.coe.int/en/web/conventions/full-list?module=treaty-detail&treatynum=195))(([4] https://rm.coe.int/168008372e)) signée par les pays européens et qui stipule entre autres :

« L’intérêt et le bien de l’être humain qui participe à une recherche doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science. »

Article 12 — Absence de pression :

« Aucune pression y compris d’ordre financier, ne sera exercée sur des personnes pour obtenir leur participation à une recherche »

Article 13 — Information à fournir aux personnes participant à une recherche :

« Les personnes sollicitées pour participer à un projet de recherche reçoivent une information adéquate, sous une forme compréhensible ».

Lors du procès des médecins à Nuremberg, huit des médecins accusés ont été condamnés à mort précisément parce qu’ils avaient imposé des traitements expérimentaux (dont plus de la moitié étaient des vaccins) sans demander le consentement libre et éclairé des participants.

Ce certificat européen crée une discrimination majeure, inefficace et nocive entre citoyens

Entre les vaccinés autorisés à voyager d’un pays à l’autre et les autres, devenus citoyens de seconde zone parce qu’ils n’acceptent pas l’injection expérimentale parfaitement inefficace contre la transmission virale. Une telle discrimination entre citoyens privant de travail de nombreux pompiers et soignants parce qu’ils sont vaccino prudents n’avait plus été instituée en Europe depuis celle des juifs par les nazis. Outre qu’elle est contraire à l’éthique, elle est totalement disproportionnée puisque totalement inefficace contre la propagation de la maladie.

Les conséquences délétères de cette discrimination sont considérables puisqu’elle prive les vieux des Ehpads et les hospitalisés de visites, les malades non vaccinés de consultations programmées et les hôpitaux d’un personnel devenu si rare que les urgences ferment et que les blocs opératoires rationnent les interventions pendant que le nombre de déserts médicaux augmente rapidement.

La commission européenne montre qu’elle est douée d’humour puisqu’elle proclame dans les attendus de son certificat covid : « toute mesure restreignant la libre circulation doit être non discriminatoire et proportionnée. »

Mais le but réel est peut-être le stockage informatique des données les plus personnelles des citoyens afin de les préparer à un « crédit social » à la chinoise ?

En France, nous avons l’expérience du provisoire qui dure longtemps. Le certificat sanitaire européen organise le stockage électronique de données médicales personnelles particulièrement sensibles qui avait d’ailleurs été refusé lors de la progression du Sida pourtant autrement plus mortifère.

La commission prétend que ces informations sont protégées et seulement détenues par chaque gouvernement, mais l’expérience du piratage de sites extrêmement protégés (pentagone, CIA…) et l’hébergement de nos données par des organismes américains rendent cette prétendue sécurisation très douteuse.

Alors pourquoi la commission s’obstine-t-elle à pérenniser sans date limite définitive un fichage inefficace contre une épidémie avec laquelle on nous dit « qu’il faut vivre avec ? »

On peut craindre que ce passe rebaptisé constitue l’amorce du fichage global de la population auquel la commission demandera d’ajouter bientôt le profil énergétique de chacun (pour sauver la planète !) puis ses informations financières (pour lutter contre les trafics de drogues !), et bancaires (pour imposer la suppression de l’argent liquide) puis fiscales… le but de ce fichage global de la population étant le contrôle total de la population à la chinoise.

Les vrais démocrates ne peuvent que refuser ce certificat qui n’a aucun intérêt sanitaire, qui instaure une discrimination majeure sous un prétexte sanitaire. Depuis 2 siècles nous avons toujours vaincu les pires épidémies modernes (peste, choléra, typhus, typhoïde, Hépatite A, poliomyélite, dysenterie…) par l’hygiène sans aucune restriction de nos libertés. Nous n’avons aucune raison scientifique d’en accepter pour cette mauvaise grippe appelée Covid, car lorsqu’on accepte une perte de liberté transitoire, on ne sait jamais si on pourra un jour la récupérer.

La liberté est le plus précieux des droits fondamentaux conquis par nos ancêtres. Ne laissons plus des gouvernants totalitaires nous en priver sous de vains prétextes !





Ralph Baric et Anthony Fauci, sur le point d’être poursuivis pour activité criminelle

[Source : Brunolelosq]






ARRÊTEZ LES INJECTIONS !

« Un film d’horreur » selon les démissionnaires des agences de santé américaines(([1] U.S. Public Health Agencies Aren’t “Following the Science,” Officials Say (commonsense.news)
Marty Makary M.D., M.P.H. and Tracy Beth Høeg M.D., Ph.D.
Jul 14 22
Dr. Marty Makary is a Johns Hopkins professor and public policy researcher. He is a member of the National Academy of Medicine, writes for the WSJ and the Washington Post, and is author of the NYT bestselling book, The Price We Pay.
Tracy Beth Høeg M.D., Ph.D.
Consultant epidemiologist with Florida Department of Health, PM&R physician in Northern California, mom of four and Danish-American dual citizen.))

Par Nicole Delépine

« Vous pouvez leur en injecter ou le leur gicler au visage, et vous obtiendrez le même avantage. »

Les agences de santé publique des États-Unis ne « suivent pas la science », disent des responsables démissionnaires. « Les gens reçoivent de mauvais conseils et nous ne pouvons rien dire. »

Voici en résumé ce que racontent les fonctionnaires des agences de santé des USA qui n’en peuvent plus de tant de mensonges depuis deux ans mettant en péril la vie de leurs concitoyens.

« Les appels et les SMS sont implacables. À l’autre extrémité se trouvent des médecins et des scientifiques aux plus hauts niveaux des NIH(([2] https://www.nih.gov

Official website of the National Institutes of Health (NIH). NIH is one of the world’s foremost medical research centers. An agency of the U.S. Department of Health and Human Services, …)), de la FDA et du CDC. Ils sont diversement frustrés, exaspérés et alarmés par l’orientation des agences auxquelles ils ont consacré leur carrière ».

Les hauts responsables conscients n’en peuvent plus ! « C’est comme un film d’horreur que je suis obligé de regarder et je ne peux pas fermer les yeux », a déploré un haut responsable de la FDA. »

Ils ont toléré longtemps, très longtemps, peut-être naïfs au début, mais vite conscients du rôle pervers qu’on leur faisait jouer. Mais pour comme nos pompiers suspendus sans salaire (alors que la France brûle, nos médecins et personnel soignant également écartés de leur fonction avec mépris, diffamation et sans salaire, ni RSA), démissionner est un acte difficile parfois quasiment impossible. Nos « malgré nous » injectés parce que devant continuer à payer la maison, nourrir les enfants et… de plus, faire cesser les drames avec le conjoint, la famille, d’un autre avis, pour ne pas divorcer, ne pas couper tout lien, comprennent bien ce qu’ont ressenti les fonctionnaires des agences américaines qui parlent aujourd’hui comme probablement voudraient le faire ceux des agences européennes qui se taisent encore par peur…

Ils ont tout toléré, mais l’attaque frontale des nourrissons en a fait exploser un certain nombre. Ces enfants et a fortiori nourrissons qui ne risquent RIEN du covid et qu’on voudrait nous forcer à injecter.

La goutte d’eau a fait craquer ce médecin de la FDA qui fait référence à deux développements récents au sein de l’agence :

— comment, en l’absence de données cliniques solides, l’agence a-t-elle autorisé les vaccins Covid pour les nourrissons et les tout-petits, y compris ceux qui avaient déjà le Covid ?

— deuxièmement, le fait que quelques mois auparavant, la FDA a contourné ses experts externes pour autoriser les injections de rappel pour les jeunes enfants.

« Ce médecin n’est pas seul. Au NIH, les médecins et les scientifiques se plaignent auprès de nous d’un moral bas et d’un manque de personnel : le Centre de recherche sur les vaccins des NIH a vu beaucoup de ses scientifiques principaux partir au cours de la dernière année, y compris le directeur, le directeur adjoint et le médecin en chef ».

Il semble bien que le bateau NIH n’ait plus de capitaine et que de très nombreux postes soient à pourvoir, y compris des emplois de haut niveau. Le CDC(([3] Center for disease control and prevention: officiel dans chaque état et un fédéral
Centers for Disease Control and Prevention (cdc.gov) )) a connu un exode similaire.

Bien que les bénéfices aient été élevés, « le moral est bas », selon un haut responsable du CDC. « Les choses sont devenues si politiques, pourquoi sommes-nous là ? » Un autre scientifique du CDC dit : « J’étais fier de dire aux gens que je travaille au CDC. Maintenant, je suis gêné. »

Pourquoi gênés ? Leur travail n’a plus rien à voir avec la science, la vraie, celle du doute légitime, celle des données non truquées au gré des ordres du ministère, etc.

Une réponse détaillée a été reçue par les auteurs. Les fonctionnaires ne supportent plus « que les dirigeants de leurs agences utilisent des données faibles ou erronées pour prendre des décisions de santé publique d’une importance cruciale ».

« Que de telles décisions sont motivées par ce qui est politiquement acceptable pour les gens à Washington ou pour l’administration Biden. Et qu’ils se concentrent comme des myopes sur un virus plutôt que sur la santé globale ».

LA LIMITE ENFIN DÉPASSÉE ?

Mais trop c’est trop et toucher aux enfants est peut-être enfin la limite qu’on ne peut franchir.

On l’a longtemps espéré en France comme aux USA devant le confinement invraisemblable d’enfants innocents du covid, devant le port du masque devant des nourrissons qui ne savent plus ce qu’est un nez une bouche après 18 mois d’adultes muselés devant eux, des petits en maternelle qui n’apprennent plus à parler, des enfants en élémentaire qui n’apprennent plus à lire, etc. On espérait que la population réagirait, enfin…

La politique officielle de santé publique concernant les enfants et le Covid a fait craquer les employés des agences. Voici ce qu’ils résument :

« Premièrement, ils ont exigé que les jeunes enfants soient masqués dans les écoles. Sur ce point, les agences se sont trompées. Des études convaincantes ont révélé plus tard que les écoles qui masquaient les enfants n’avaient pas de taux de transmission différents. Et pour le développement social et linguistique, les enfants ont besoin de voir les visages des autres.

Viennent ensuite les fermetures d’écoles. Les agences avaient tort — et de manière catastrophique. Les enfants pauvres et minoritaires ont subi une perte d’apprentissage avec une baisse de 11 points des scores en mathématiques et une baisse de 20 % des taux de réussite en mathématiques. Il existe des dizaines de statistiques de ce genre. »

« Ensuite, ils ont ignoré l’immunité naturelle. Encore une fois, c’est faux. La grande majorité des enfants ont déjà eu le Covid, mais cela n’a fait aucune différence dans les obligations globales pour les injections infantiles.

« Et maintenant, en rendant obligatoires les vaccins et les rappels pour les jeunes en bonne santé, sans données solides à l’appui, ces agences ne font qu’éroder davantage la confiance du public ».

ET LA HONTE MONTA ENCORE ET ENCORE ET LE POUVOIR SE RETROUVA DE PLUS EN PLUS SEUL

Une scientifique du CDC :

« Le CDC n’a pas réussi à équilibrer les risques de Covid avec d’autres risques liés à la fermeture des écoles ». Les pertes d’apprentissage, les exacerbations de la santé mentale étaient évidentes dès le début et celles-ci se sont aggravées à mesure que les directives insistaient pour garder les écoles virtuelles. Les directives du CDC ont aggravé l’équité raciale pour les générations à venir. Il a SACRIFIE cette génération d’enfants. »

confirmant les données de notre livre « Les enfants sacrifiés du covid »(([4] Fauves éditions))

Un responsable de la FDA :

« Je ne peux pas vous dire combien de personnes à la FDA m’ont dit : “Je n’aime rien de tout cela, mais j’ai juste besoin de prendre ma retraite. »

LA POURSUITE DES MENSONGES POUR IMPOSER LE VAX AUX PETITS

Fin juin, le CDC a vigoureusement recommandé les vaccins Covid à ARNm pour 20 millions d’enfants de moins de cinq ans. Le Dr Rochelle Walensky, directrice du CDC, a déclaré que les vaccins Covid à ARNm devraient être administrés à tous les patients de six mois ou plus « parce qu’ils sont sûrs et efficaces. »

TERRIBLES MENSONGES DONT ELLE POURRAIT ÊTRE UN JOUR OBLIGÉE DE RÉPONDRE DEVANT LES TRIBUNAUX.

Cette recommandation radicale était basée sur des données « extrêmement faibles et peu concluantes » fournies par Pfizer et Moderna.

LES NOUVEAUX MENSONGES DE PFIZER ET MODERNA ET LA SOUMISSION COUPABLE DES AGENCES

« Commencez par Pfizer. En utilisant un vaccin à trois doses chez 992 enfants âgés de six mois à cinq ans, Pfizer n’a trouvé aucune preuve statistiquement significative de l’efficacité du vaccin. Dans le sous-groupe d’enfants âgés de six mois à deux ans, l’essai a révélé que le vaccin pourrait entraîner une réduction de 99 % du risque d’infection, mais qu’ils pourraient également avoir un risque accru de 370 % d’être infectés. En d’autres termes, Pfizer a rapporté une gamme d’efficacité vaccinale si large qu’aucune conclusion n’a pu être déduite. Aucune revue médicale réputée n’accepterait des résultats aussi bâclés et incomplets avec un échantillon aussi petit. Plus précisément, ces résultats auraient dû faire réfléchir ceux qui sont en charge de la santé publique. »

Avis d’un haut responsable du CDC — expert dans l’évaluation des données cliniques — il a plaisanté : « Vous pouvez leur en injecter ou le leur gicler au visage, et vous obtiendrez le même avantage. » parlant du vax Pfizer chez les jeunes enfants en bonne santé et de son efficacité supposée.

Pour Moderna — l’étude sur 6 388 enfants avec deux doses — n’étaient pas plus convaincante. Contre les infections asymptomatiques, ils ont revendiqué une très faible efficacité vaccinale de seulement 4 % chez les enfants âgés de six mois à deux ans. Ils ont également affirmé une efficacité de 23 % chez les enfants âgés de deux à six ans, mais aucun des deux résultats n’était statistiquement significatif et aucun n’avait le moindre intérêt pour les enfants puisqu’ils ne souffraient de rien. Contre les infections symptomatiques, le vaccin de Moderna a montré une efficacité statistiquement significative, mais l’efficacité était faible : 50 % chez les enfants âgés de six mois à deux ans et 42 % chez les enfants âgés de deux à six ans.

UNE GIFLE À LA SCIENCE

Durée de la protection ? Inconnue « Il semble criminel que nous ayons émis la recommandation de donner des vaccins Covid à ARNm aux bébés sans bonnes données. Nous ne savons vraiment pas encore quels sont les risques. Alors, pourquoi le pousser si fort ? » selon un médecin du CDC.

Un haut responsable de la FDA a ressenti la même chose : « Le public n’a aucune idée de la gravité de ces données. Il ne passerait pas la barre pour toute autre autorisation ».

Et pourtant, la FDA et le CDC l’ont fait passer.

Le bon sens existe encore, ce qui explique pourquoi seulement 2 % des parents américains d’enfants de moins de cinq ans ont choisi de se faire vacciner contre le Covid, et 40 % des parents des zones rurales disent que leurs pédiatres n’ont pas recommandé le vaccin Covid pour leur enfant.

ESPÉRONS QUE LES EUROPÉENS ET EN PARTICULIER LES FRANÇAIS NE SACRIFIERONT PAS LEURS ENFANTS AUX SIRÈNES DU PRÉSIDENT ET DE LEURS AFFIDÉS MÉDIATIQUES MERCENAIRES DE PFIZER

La propagande terrorisante des médias reprend avec vigueur appliquant l’injonction présidentielle(([5] https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/il-faut-quon-dramatise-un-peu-emmanuel-macron-et-ses-ministres-jouent-le-tout-pour-le-tout_474389)) répétitive « Il faut qu’on dramatise un peu pour que tout le monde se vaccine ». Et pourtant l’épidémie est de fait terminée. Il faut absolument joindre nos députés, sénateurs pour leur dire qu’on ne veut pas de mauvaise surprise à la rentrée comme une injonction de vacciner les enfants innocents du covid et à risque de l’injection expérimentale.(([6] Appel aux Sénateurs — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Et sans hésiter informer aussi les médias dont le rôle est capital dans la manipulation des citoyens.(([7] https://reaction19.fr/droit-de-pensee/art-dinformer/nicole-et-gerard-delepine/delepine-2022/delepine-juillet-2022/160722-lettre-ouverte-a-julien-dray-ex-elephant-socialiste-sur-les-dangers-et-linefficacite-des-injections-anticovid-dr-nicole-delepine/))

Les français commencent à comprendre, devant le nombre d’accidents vaccinaux graves, ou moins dramatiques, mais gênant la vie de tant de voisins, parents, amis ou collègues toujours absents, car fatigués infectés, sans endurance comme en témoignent les coureurs du Tour de France 22.

Les recommandations de vaccins Covid basées sur le peu de preuves transmises par ces agences.

En mai 2022, le manque de preuves cliniques pour les injections de rappel chez les jeunes a créé une tension à la FDA.

La Maison-Blanche l’a promu durement avant même que les régulateurs de la FDA n’aient vu des données. Une fois qu’ils ont vu les données, ils ont découvert qu’aucun bénéfice clair contre les maladies graves chez les personnes de moins de 40 ans n’a été démontré.

DES DÉMISSIONS OCCULTÉES EN FRANCE

Les deux principaux régulateurs des vaccins de la FDA — le Dr Marion Gruber, directrice du bureau des vaccins de la FDA, et son directeur adjoint, le Dr Philip Krause — avaient quitté l’agence l’année dernière en raison de pressions politiques pour autoriser les rappels de vaccins chez les jeunes.

Après leur départ, ils ont expliqué pourquoi les données ne justifiaient pas une large autorisation de rappel, arguant dans le Washington Post que « la pression pour des boosters pour tout le monde pourrait en fait prolonger la pandémie », citant des préoccupations selon lesquelles le renforcement basé sur une variante obsolète pourrait être contre-productif.

Quel dommage que ces informations n’aient pas réussi à atteindre nos journaux télévisés !

« C’était comme si nous étions un outil politique » selon un scientifique du CDC. « Il y a un silence, une réticence pour les scientifiques de l’agence à dire quoi que ce soit. Même s’ils savent qu’une partie de ce qui est dit de l’agence est absurde. »

ON SE CROIRAIT EN URSS AU BON VIEUX TEMPS OU EN RDA SOUS LA STASI

Les gens avaient l’impression de ne pas pouvoir parler librement, même à l’interne au sein de leurs agences.

« Vous êtes étiqueté en fonction de ce que vous dites. Si vous en parlez, vous en souffrirez, j’en suis convaincu », selon un membre du personnel de la FDA. Une autre personne a ajouté : « Si vous parlez honnêtement, vous êtes traité différemment. »

Et ainsi ils restent silencieux, se parlant en privé ou en groupes de texte sur Signal.

Nos lecteurs français nous diront-ils combien d’entre eux dans leurs entreprises ne se parlent plus que par « signal » dont on voit chaque jour les correspondants augmenter….

L’IMMUNITÉ NATURELLE, GRAND SUJET TABOU AUX USA COMME EN EUROPE

Pourquoi vacciner les enfants déjà une certaine immunité contre la maladie en l’ayant rencontrée, et qui de toute façon sont innocents du covid, ne font pas de maladie grave et ne transmettent pas ?

En février 2022, 75 % des enfants aux États-Unis avaient déjà une immunité naturelle contre une infection antérieure. Cela pourrait représenter plus de 90 % des enfants aujourd’hui étant donné l’omniprésence d’Omicron depuis lors.

Les propres recherches du CDC montrent que l’immunité naturelle est meilleure que l’immunité vaccinée et une étude récente du New England Journal of Medicine en Israël a remis en question les avantages de la vaccination des personnes précédemment infectées.

La Suède n’a jamais offert la vaccination aux enfants de moins de 12 ans. La Finlande limite les vaccins Covid aux enfants de moins de 12 ans à haut risque. L’Institut norvégien de santé publique a déclaré « l’infection antérieure offre une protection aussi bonne que le vaccin contre la réinfection ». Le Danemark a annoncé le 22 juin que sa recommandation de vacciner tous les enfants de moins de 16 ans était une erreur. « Les vaccinations n’étaient pas principalement recommandées pour le bien de l’enfant, mais pour assurer le contrôle de la pandémie », a déclaré Søren Brostrøm, chef du ministère danois de la Santé.

La réponse officielle de la santé publique au Covid a sapé la croyance du public dans la parole publique elle-même aux USA, mais aussi dans les pays européens dont la France.

Les dirigeants du CDC, de la FDA et des NIH et des agences européennes et mondiales devraient accueillir favorablement les discussions internes — voire les dissensions — basées sur les preuves. La science naît de la confrontation entre ce que l’on croit (les hypothèses) et les faits avérés. Nier les faits au profit d’une croyance érigée en dogme relève d’une attitude religieuse anti-scientifique.

Faire taire les médecins, ce n’est pas « suivre la science ».





Lettre ouverte à Julien Dray le « baron noir », éditorialiste à Cnews, ex-éléphant socialiste, sur les dangers et l’inefficacité des injections antiCovid

Par Nicole et Gérard Delépine

Julien Dray(([1] Toujours dans le combat il vient de créer un nouveau mouvement « réinventez » :
Julien Dray lance le mouvement « Réinventez ! » (20minutes.fr)
INFLUENCEUR
L’ancien député socialiste souhaite « réécrire un projet de société » dont les idées pourront être utilisées par les autres partis.)) à Paris en 2016.
— JULIEN DE FONTENAY/JDD

Cher Julien Dray(([2] Selon WIKIPEDIA Julien Dray — Wikipédia (wikipedia.org) Julien Dray, né le 5 mars 1955 à Oran (Algérie française), est un homme politique français. D’abord militant trotskiste, à la Ligue communiste révolutionnaire, il rejoint en 1981 le Parti socialiste. Il est l’un des fondateurs de SOS Racisme. Député de la dixième circonscription de l’Essonne de 1988 à 2012, il a été conseiller régional d’Île-de-France de 1998 à 2021.)), homme politique, éditorialiste omniprésent sur Cnews, es-tu conscient de l’inefficacité et des risques du vaccin et du pass ? Le 14 juillet 2022, tu morigénais les quelques députés socialistes qui ont refusé prolonger la tyrannie sanitaire et les pass, car « tout de même le vaccin a été efficace contre les formes graves ».

Or tu aurais dû te féliciter qu’enfin des députés élus par le peuple aient le courage de les représenter et de faire jaillir dans l’hémicycle la réalité du terrain : l’inutilité du vax et des mesures liberticides qu’il a justifiées et surtout ses innombrables toxicités que les politiques de terrain constatent de plus en plus. Bravo à leur union bigarrée comme les Français ! Et que celle-ci résiste aux pressions sans nom qu’ils subissent sûrement (([3] Les libertés d’opinion et d’expression limitées drastiquement par les censures internationales et nationales | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) depuis quelques jours !(([4] Bravo aux députés qui ont refusé la prolongation du pass vaccinal ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Aide-les au lieu de les accabler !

L’importance des médias pour façonner l’opinion et singulièrement les personnes âgées privées des informations d’internet et scotchées à BFM ou CNews (qui comme par hasard auraient fait réélire E. Macron)nous conduit à revenir sur tes propos réitérés pour favoriser le pass et les vax, et à tenter d’attirer ton attention sur les faits réels : les dangers des passes couplés à l’inefficacité et à la toxicité du vaccin antiCovid.(([5] La catastrophe vaccinale du Pérou démontre encore qu’il faut stopper ces injections expérimentales. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

Si tu veux reconstruire une nouvelle génération, il ne faut pas l’emmener dans le mur via la perte d’esprit critique et des libertés et plus encore de la santé, vu les conséquences dramatiques des injections.

« J’ai assez fait pour les autres en croyant à chaque fois que j’allais les influencer. Je n’y crois plus et personne ne me donne plus envie de l’influencer », explique l’ex-député socialiste qui a inspiré la série Baron noir. « J’ai décidé de ne plus perdre mon temps dans les batailles internes du Parti socialiste, dans les refondations, dans les combinaisons », précise-t-il.

« J’ai passé l’âge de jouer aux Lego »(([6] Gauche : Julien Dray lance le mouvement « Réinventez ! » (20minutes.fr) ))

Alors cher Julien, si tu ne joues plus aux Lego, résiste aux manipulations du pouvoir et des affidés de Big Pharma. Aide la population à sortir ceux qui le peuvent encore des mesures liberticides inutiles et des effets toxiques des injections qui ne protègent de rien et même pas des formes graves ni de la mort.

NON LE VAX NE PROTÈGE PAS DES FORMES GRAVES

Mantra des éditorialistes depuis plusieurs mois sur toutes les chaînes progouvernementales et même les autres qui font semblant d’être indépendantes (…), la fausse idée de la prévention des formes graves par l’injection génique a pourtant été démentie régulièrement par les FAITS AVÉRÉS. Mais il est vrai que les OPINIONS PERSONNELLES ont depuis bien longtemps remplacé la réalité qui déplairait au pouvoir.

Non, les vaccins ne protègent ni des formes graves ni de la mort et fragilisent les triple injectés

Covid-19 : les injections vaccinales multiples favoriseraient les infections. Un bilan. — Strategika

« Pénuries de main-d’œuvre

Par ailleurs, si, ces dernières semaines, les hôpitaux et les compagnies aériennes manquent cruellement de personnels, cela n’est pas dû à une pénurie salariale, mais à l’absentéisme massif occasionné par les arrêts maladie des salariés affectés par le Covid-19. Pourtant, dans ces deux secteurs sensibles, l’ensemble des salariés est multi-injecté, c’est-à-dire triplement vacciné.

Ce phénomène de l’arrêt de travail massif pour cause de maladie n’a jamais été observé auparavant. Tout se passe comme si la vaccination à base ARN-m était devenue un vecteur de pathologies, un agent pathogène. En particulier avec les injections vaccinales répétées, responsables de l’amenuisement du système immunitaire. »

Alors que Le tiers monde est protégé — par sa pauvreté et sa résistance du dogme vaccinal immunisé par ses expériences passées. Ils ont déjà beaucoup donné !

Que penses-tu, Julien Dray des appels répétés du conseil mondial de la santé ?(([7] Vaccins antiCovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé))

Une injection génique qui ne protège de rien et entraîne beaucoup de désastres : un nouveau témoignage, au hasard des milliers qui s’accumulent sur internet de tous pays :

Un guitariste a perdu huit de ses doigts(([8] https://childrenshealthdefense.org/defender/guitarist-jeff-diamond-jj-vaccine-rfk-jr-podcast/)) Il veut le faire savoir pour que cela cesse, enfin !

Un guitariste qui a perdu 8 doigts après le vaccin de J & J dit à RFK, Jr. : Les gens doivent être tenus responsables. Sur un épisode récent de « RFK Jr. The Defender Podcast », a décrit le guitariste Jeff Diamond qui a été amputé de huit doigts et qui a perdu sa voix chantante après avoir développé des caillots sanguins environ une semaine après avoir reçu le vaccin Johnson & Johnson contre la Covid-19.

Julien Dray, tu rappelais que le parti socialiste aurait décidé que « la seule solution au Covid était le vaccin ». Mais sur quelle planète vit-il et à qui se fit-il quand tant de grands professeurs dont D Raoult, C Perronne qui n’étaient pas des antivax ont donné tant d’informations sur les faits réels comme aussi les Prs Laurent Toubiana, Laurent Muchielli et tant d’autres ? Ton cher PS que tu as pourtant quitté regarde-t-il parfois les données de l’OMS ? INFORME-LES au lieu de leur faire confiance !

Nous rappelons ci-après les faits établis et publiés sur ce qui s’est vraiment passé dans le monde réel et sommes à ton entière disposition pour en discuter, camarade de longues décennies au cours desquels nos chemins ont dû se rencontrer, ne serait-ce qu’à l’UNEF(([9] Nos coordonnées sur notre site www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer.
https://t.me/DrDelepine sur Telegram.)). Nous parions sur ton honnêteté.

Les chiffres de l’OMS montrent que les pass n’ont nulle part permis de ralentir l’épidémie

Que ce soit en France :

Ou en Roumanie :

Ou en Israël :

Ou dans l’ensemble des pays d’Europe dont la plupart (25/27) constatant cette inefficacité ont supprimé les pass nationaux :

Il n’y a guère que Malte et la France qui font encore semblant d’y croire et demandent encore le certificat numérique européen. Et bien sûr E. Macron pour « emmerder les Français », Braun, Olivier Veran et malheureusement toi-même, Julien Dray.

Les chiffres de l’OMS montrent aussi que les vaccins n’ont pas permis de ralentir l’épidémie

Cela a d’abord été constaté en Israël champion des injections Pfizer :

Puis en Grande-Bretagne, championne des injections AstraZeneca :

Mais aussi en France :

Et dans le reste du monde :

Car ce sont les pays les plus vaccinés qui souffrent des recrudescences les plus vives de l’épidémie et des chiffres les plus élevés de contaminations cumulés :

Comment Julien, peux-tu encore publiquement prétendre que les pseudo vaccins seraient la solution au Covid ? Informe-toi aux sources indiscutables et ne répète pas la propagande du gouvernement dont les objectifs, contrairement à toi ne sont pas l’Homme, mais bien les bénéfices de Big Pharma et les ukases de Davos et Cie ?

Les chiffres de l’OMS montrent aussi que les vaccins n’ont pas permis de diminuer la mortalité

Ce sont les pays les plus vaccinés qui totalisent les plus fortes mortalités par million :

Les chiffres montrent aussi que l’interdiction des traitements précoces a été catastrophique

En 2020 d’après l’OCDE (https://data.oecd.org/fr/pop/population-agee.htm), les pourcentages de population à risque (plus de 65 ans) du Japon, de l’Italie, du Portugal et de la France s’élevaient respectivement à 29 %, 23 % 22 % et 20 % et celle des Algériens de plus de 60 ans à 26 %

(https://www.algerie-eco.com/2020/03/12/pres-de-11-millions-dalgeriens-sont-ages-de-60-ans-et-plus/). L’âge ne représente donc pas un facteur de pronostic plus favorable du Japon ou de l’Algérie.

L’Italie, le Portugal et la France ont interdit les traitements précoces et imposé les vaccins ; le Japon a autorisé les traitements précoces et l’Algérie a utilisé le protocole Raoult. L’interdiction des traitements précoces a abouti à une mortalité 10 à 15 fois plus élevée soit en France à un excès de mortalité d’environ 120 000.

L’interdiction des traitements précoces pour imposer les pseudo vaccins et les prescriptions de Rivotril nous ont coûté 120 000 morts de trop !

Julien Dray, tu es un homme intelligent et cultivé, expérimenté. Alors pourquoi nies-tu les faits avérés que chacun peut vérifier par internet sur le site de l’OMS à https://Covid19.who.int/ ou celui de l’université John Hopkins https://OurWorldinData. Org/coronavirus ?

Quelles qu’en soient les raisons, tes « certitudes » et déclarations actuelles sont dignes d’un inquisiteur du moyen âge défendant la religion des pseudo vaccins et ressemblent trop à celles des services de communication de Pfizer. Comme tu n’es pas médecin, je n’ose pas croire que tu puisses avoir des liens avec l’industrie pharmaceutique contrairement à notre nouveau ministre de la Santé, F. Braun.(([10] François Braun, un parfait Playmobil sous contrôle au ministère de la Santé, par Éric Verhaeghe – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))(([11] Pour résoudre le problème des urgences, François Braun veut les supprimer la nuit ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

S’il te plaît, Julien Dray, réveille-toi, ouvre les yeux et considère les faits, rien que les faits. Rester négationniste, c’est faire injure à ton intelligence et à tes combats passés et tenaces, même si parfois erronés, mais toujours pour ce que tu pensais être le mieux pour l’avenir de l’Humanité.





Y a-t-il un pilote non injecté pour sauver l’avion et les passagers ? Avec Christine Anderson et Virginie Joron

[Source : planetes360.fr]

Êtes-vous en sûreté à bord d’un avion ? Et si le prix des vacances était votre vie ?
Retour à la vie d’avant ou la quête illusoire !?
Conférence de la députée allemande Christine Anderson !






Vaccinées, elles témoignent des effets secondaires du vaccin Covid-19

[Source : The Link Fwi]

Rappel : Les personnes qui témoignent dans cette vidéo ne sont pas des antivaccins ou des complotistes. Elles se sont vaccinées, car elles souhaitaient se protéger contre le virus du Covid-19. The Link Fwi est un média qui donne la parole à ceux et celles qui veulent parler.

Lili, Séverine et Coralie sont trois femmes que tout opposait. Retraitée pour l’une, infirmières pour les deux autres, jusqu’à très récemment, elles ne se connaissaient pas. Pourtant, un point commun les unit : la vaccination contre la covid-19, mais plus particulièrement les effets secondaires qui se sont déclarés après. Loin d’être des antivaccins ou des complotistes, comme ont été dépeints, celles et ceux qui se sont opposés à la politique vaccinale. Lili, Séverine et Coralie se sont vaccinées par choix soit pour assouvir leur envie de voyager ou par simple nécessité : la peur de perdre leurs emplois. Depuis, ces trois femmes, jadis en très bonne santé doivent vivre avec les effets secondaires dus à la vaccination : rougeurs, malaises, œdèmes, jambes enflées, fatigue extrême, migraines, cycle menstruel perturbé, douleurs articulaires, myocardites sont le lot de souffrances qui les affectent. Voici leurs témoignages.




Bravo aux députés qui ont refusé la prolongation du pass vaccinal !

[Source : docteur.nicoledelepine.fr]

Par Nicole Delépine

Bravo aux députés qui ont empêché Macron de continuer à « emmerder les Français » !

Le bien-fondé d’une mesure sanitaire se mesure à son efficacité ; le pass sanitaire s’est révélé partout inefficace contre la maladie(([1] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/l-absurdite-du-passe-vaccinal-242118)) et ne constituait qu’un moyen de chantage et de division. Il a d’ailleurs été presque partout abandonné par ceux qui l’ont essayé. Grâce aux oppositions, la France reprend un peu le chemin de la raison.

Le 12 juillet 2022, le projet de loi a entériné l’expiration au 1er août 2022 de l’état d’urgence sanitaire et du régime de gestion de la crise mis en place fin mai 2021, et a rejeté une disposition permettant d’exiger ce pass pour les voyageurs mineurs. Puis, grâce à une alliance de votes du RN, de LR et d’une majorité de Nupes, l’article 2 du projet de loi a été rejeté en fin de soirée par 219 voix contre 195.

Le gouvernement a ainsi perdu en première lecture la possibilité de continuer « à emmerder les Français », en rétablissant le pass sanitaire pour les voyages « extra-hexagonaux », depuis ou vers l’étranger, la Corse et les départements d’outre-mer. Pan sur le bec du gouvernement Macron ! Et encore bravo aux députés de l’opposition qui ont enfin reconnu qu’en pratique, pour les Français, leur opposition à Macron dépassait leurs divergences.

Le ministre de la Santé, François Braun, compte désormais sur le Sénat pour rétablir ce texte dans son intégralité. Le calcul est très optimiste, car les membres de la chambre haute jadis partiellement paralysés par la peur de la maladie ont réalisé pour la plupart l’arnaque de la crise Covid et l’absence de toute justification scientifique aux mesures. Ils devraient eux aussi faire entendre leur bon sens et leur « indépendance » proclamée à plusieurs reprises par son président Gérard Larcher. On pourrait même rêver que les sénateurs empêchent le gouvernement de continuer à collecter des données de santé sur les tests de dépistage et qu’ils exigent la destruction de ces fichiers qui n’ont pas non plus montré leur efficacité à contrer l épidémie, mais seulement à préparer une surveillance globale de la population à la chinoise.

Encore bravo aux députés de l’opposition et non seulement pour leur clairvoyance, mais aussi pour le climat fraternel qui a hier prévalu entre eux et qui s’est exprimé par leurs applaudissements respectifs.




Les libertés d’opinion et d’expression limitées drastiquement par les censures internationales et nationales

[Source : mondialisation.ca]

Par Dr Gérard Delépine

Depuis le début de la crise covid, les gouvernements n’ont cessé de restreindre, par tous les moyens, la liberté de parole et de diffusion susceptible de démentir leurs propagandes omniprésentes.

La liberté d’expression

Fait partie des droits fondamentaux conquis par la révolution et consacrés depuis par toutes les déclarations des droits fondamentaux. Elle est inscrite dans l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789. « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ». Droit fondamental repris par la déclaration de l’ONU de décembre 1948 :

« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

Pour le constitutionnaliste, Jean-Philippe Derosier :

« c’est la liberté la plus fondamentale car elle conditionne l’exercice d’autres droits démocratiques. ».

Or depuis deux ans on assiste à une offensive gouvernementale, des médias et des géants d’internet sans précédent contre ce droit fondamental de l’homme qui constitue de plus un moteur fondamental de la connaissance scientifique.

Éloge du doute et des débats

Ce qui sépare la science de la religion est le doute. Les croyants en une religion révélée ignorent le doute, passent leur temps à fourbir le dogme qui est immuable et déclarent hérétique toute interrogation sur celui-ci. Les scientifiques tentent d’organiser de manière logique les faits avérés; ils doutent en permanence de leurs « consensus scientifiques » qu’ils savent éphémères et reconnaissent que les progrès naissent des contradictions entre les théories et les faits avérés. 

Niels Bohr se réjouissait de l’apparition de tout nouveau paradoxe qui constituait pour lui les prémices de nouvelle découverte scientifique. Pour ces raisons, la censure qui vise à supprimer le doute est profondément antidémocratique et aussi fondamentalement anti-scientifique.

Les médias et leurs prétendus « anti-fake news » 

Depuis le début de la crise covid, les médias subventionnés par le gouvernement se sont transformés en agences de diffusion de la vérité gouvernementale en répétant sans cesse les mensonges d’état, en donnant sans limites la parole aux médecins les plus liés aux laboratoires pharmaceutiques,  en n’invitant jamais les spécialistes d’opinion divergente qu’ils discréditent systématiquement. Ils ont en permanence adopté une attitude sectaire anti-scientifique tout en prétendant se référer à la science !

Elles ont créé des cellules pompeusement intitulées de « vérification de l’information » dans lesquelles des non-médecins, et non-chercheurs, visiblement incapables de comprendre les articles scientifiques en anglais se sont arrogé le droit de décider si une information médicale était juste (= confortant le discours officiel) ou fausse (= complotiste). 

Dans cette activité de propagande mensongère l’agence France presse (le blog Making Of), France info (L’instant Détox), le Monde, Libération (Desintox) et le Parisien se sont particulièrement illustrés. La technique de base est presque toujours la même : après avoir qualifié une information de fausse ou trompeuse, l’auteur discrédite l’auteur de l’information en le qualifiant de « controversé, complotiste, antisémite », n’examine pas les faits avérés concernés, mais cite les opinions de prétendus experts qui confortent le message officiel. Les mercenaires qui se livrent à cette activité recevraient entre 800 et 1000 euros pour chaque pige (passe ?) et le média qui le publie un financement annuel de nos impôts(aide gouvernementale directe au Monde en 2016 : plus de 5M€) et de fonds privés dont ceux de Bill Gates. La confusion entre opinions et faits avérés se répand comme une traînée de poudre, y compris à l’Éducation nationale. 

La censure des Gafas, Tweeter, Facebook, Linkedin, Instagram,  Google

Tweeter a été l’un des premiers à limiter la liberté de parole en supprimant les comptes de ceux qui ne confortaient pas la doxa officielle. Nous en avons été victimes alors que nous ne faisions que diffuser des faits que nous avions nous-même soigneusement vérifiés. 

Facebook limite la diffusion des contenus prétendument « haineux ou contenant des fausses informations » sur le réseau en supprimant les ressources financières des sites qui les diffusent, en incitant les marques à retirer leurs publicités. Des organisations tierces autoproclamées détentrices de « La Vérité » vérifient les informations de nombreux sites et indiquent si celles-ci sont crédibles ou douteuses. Les prétendues « fake news » sont signalées à Facebook, qui bloque alors les publicités réalisées et les posts supposés déviants.

Facebook n’hésite pas à agir comme un intégriste religieux en proclamant fièrement ses injonctions :

et prétendent que l’hydroxy chloroquine ou l’Ivermectine sont inefficaces sans même prendre en compte les excellents résultats avérés des pays qui les utilisent (en Afrique, en Algérie ou en Inde) :

Ou en Inde :

Google a structuré un partenariat avec de nombreux médias dans le monde afin de promouvoir un outil collaboratif de “fact-cheking”: “CrossCheck” et a étendu son dispositif aux recherches réalisées sur son propre moteur de recherche. Lors de l’affichage des résultats d’une requête, le moteur de recherche indiquera si les articles ont été vérifiés et à quel point ils « sont fiables ». Pour le moment, le système de fact-checking de Google repose sur l’opinion de sites américains spécialisés comme Politifact, Snopes, ou sur les équipes de fact-checking opérant dans des médias comme le Washington Post qui représentent un des pires créateurs de fausses nouvelles. 

Une des techniques utilisées pour empêcher les internautes de consulter les sites hétérodoxes consiste à leur faire peur en déclarant ces sites dangereux ou « peu surs ». Google a aussi désindexé plus de 55 000 articles, donc pratiquement en a interdit l’accès Internet, ce qui montre incontestablement cette volonté de détruire tout ce qui pourrait s’apparenter à une contestation des pouvoirs en place et de leurs décisions.

Les procès du Conseil de l’Ordre contre la liberté de parole des médecins

Les plaintes contre les professeurs Raoult et Perronne(([1] Covid-19 : le conseil de l’Ordre des médecins porte plainte contre les professeurs Perronne et Raoult (lefigaro.fr)  le CNOM a décidé le 10 décembre de porter plainte contre six médecins, dont plusieurs ont été très présents dans les médias depuis le début de l’épidémie de Covid-19. Il s’agit des professeurs Raoult, Perronne et Joyeux, ainsi que des docteurs Delépine, Zeller et Rezeau-Frantz. )), les docteurs Nicole Delepine, Denis Agret(([2] INFO MIDI LIBRE Montpellier : trois ans d’interdiction d’exercer pour le médecin antivax Denis Agret – Profession Gendarme (profession-gendarme.com) )) et de nombreux autres, ont été portées, non pas par des malades qui se seraient plaints de leurs traitements, bien au contraire, mais par les conseils régionaux ou le Conseil National de l’Ordre pour l’expression de vérités médicales démontrées par les faits avérés qui lui déplaisaient, telles que l’efficacité des traitements précoces ou l’inefficacité du port généralisé du masque, la nocivité des confinements…

Il est invraisemblable que ce Conseil s’arroge le droit de poursuivre des médecins pour des opinions de plus scientifiquement étayées par des faits avérés, alors qu’il ne poursuit presque jamais les médecins de plateau télé qui ne mentionnent pas leurs liens d’intérêts violant ainsi totalement ainsi la loi transparence santé que ce même conseil est chargé d’appliquer.

Le Conseil de l’Ordre a ainsi rétabli le délit d’opinion(([3] https://nouveau-monde.ca/le-conseil-de-lordre-retablit-le-delit-dopinion/ )) qui lui paraît constitué dès qu’un médecin dément un élément de propagande gouvernementale, et se comporte donc en grand inquisiteur de la Pensée Unique.

La guerre du gouvernement Macron contre la liberté d’expression des médecins

Une modification de l’Article R. 4127-19-1 du code de la santé publique décrétée par Jean Castex le 24 décembre 2020 (soit quelques jours après la plainte contre Raoult et Cie) interdit aux médecins d’exprimer des opinions divergentes de la doxa officielle(([4] https://www.francesoir.fr/amp/article/opinions-tribunes/delit-de-blaspheme-medical-sous-controle-inquisiteur-du-conseil-de-lordre-des?__twitter_impression=true )) rappelée par le conseil de l’ordre . Il stipule que le médecin qui s’exprime :

« formule ces informations avec prudence et mesure, en respectant les obligations déontologiques, et se garde de présenter comme des données acquises des hypothèses non encore confirmées. III. – Les communications mentionnées au présent article tiennent compte des recommandations émises par le Conseil national de l’ordre. »

Depuis lors, le médecin, ne devrait s’exprimer que s’il conforte les affirmations, même mensongères de l’Etat !

La création d’une commission de certification en juillet 2021

Apparemment inquiet des scrupules que pourraient avoir certains membres du Conseil de l’Ordre de sanctionner des praticiens pour s’être simplement exprimés, le gouvernement a créé par l’ordonnance n° 2021-961 du 19 juillet 2021 un nouvel organisme, « la commission de certification » ayant le pouvoir d’évaluer chaque médecin à tout moment de sa carrière, et de l’empêcher d’exercer s’il n’aligne pas ses propos et ses actes avec ceux que décidera le pouvoir politique. Cette mainmise de l’État sur une corporation qui jusque-là jouissait d’une indépendance du pouvoir politique dans l’exercice de son art témoigne une fois de plus de la tyrannie qui s’installe. Ces décisions ne devraient pas faciliter l’attrait pour la profession de médecin ni résoudre le casse-tête des déserts médicaux,  car conduisant à de nombreuses démissions hospitalières et dépôt de plaques des libéraux.

La censure ultime : l’exclusion du travail des soignants vaccino prudents

L’exclusion des soignants non vaccinés n’a jamais eu pour but de protéger les malades ni l’hôpital puisqu’elle a été imposée alors qu’il était déjà parfaitement établi que les pseudo vaccins n’empêchent ni d’attraper la maladie ni de la transmettre. Actuellement des soignants testés positifs et même avec de légers symptômes sont autorisés à travailler dans certains services particulièrement déficitaires. Mais les non injectés restent conduits à la misère et pour certains au suicide.

Cette insupportable atteinte à la liberté de travailler traduit en réalité la volonté d’empêcher les soignants vaccino prudents d’exprimer leurs doutes et leurs craintes auprès de leurs patients. Initialement très favorables au vaccin dans l’ensemble contre ce « fléau » qu’on leur avait vendu, ils ont été les premiers injectés et victimes rapidement des effets secondaires. Cela en a évidemment refroidi beaucoup et l’interdiction d’en parler les a achevés dans la démoralisation. La plupart des soignants vaccinés (comme les pompiers ou militaires) sont des « malgré nous » contraints d’accepter l’ukase pour continuer à payer leur maison et nourrir leurs enfants. Les suspendus vivent des restaurants du cœur et des aides de l’entourage depuis dix mois.

Le manque de soignants ainsi créé a aggravé considérablement le naufrage de l’hôpital, en particulier celui des urgences et a augmenté le nombre des déserts médicaux. La surcharge de l’hôpital et le dégoût du management ont conduit à de nombreuses démissions et multiples arrêts de travail prolongés par burn-out, aggravant l’effet des suspensions imposées. De nombreux médecins de ville ont cessé leurs activités.

Mais pour les gouvernants, le contrôle de l’opinion vaut bien ces sacrifices.

Il n’y a plus que les médecins retraités qui peuvent dire des vérités et ne pas se soumettre. Dans un monde tyrannique où la corruption fait loi, l’argent et le pouvoir sont les deux mamelles de ceux qui se considèrent comme des élites.

La guerre du gouvernement Macron contre la liberté d’expression de ses citoyens

La création d’un ministère de la vérité (la commission Gérald Bronner).

En 2015, Gérald Bronner dans le numéro 449 de la revue Pour la science précisait sa définition du complotisme: «Par théorie du complot, il faut entendre simplement une interprétation des faits qui conteste la version officielle. » En nommant l’auteur d’une telle phrase à la tête d’une commission chargée de «formuler des propositions dans les champs de la prévention et de la judiciarisation des entrepreneurs de haine», l’Élysée a fait un choix révélateur. 

Comme l’est aussi la participation à cette commission du chirurgien Guy Valencien dont la probité est mise en doute par sa condamnation le 11 juin 2021 par l’Ordre des médecins pour usage de faux certificats médicaux(([5] https://www.marianne.net/societe/sante/le-pr-guy-vallancien-lurologue-des-stars-sanctionne-par-lordre-des-medecins )), l’accusation par Irène Frachon d’avoir été l’un des « fers de lance d’une nébuleuse composée de médecins, de professeurs et d’académiciens, qui, depuis des années tentent de minimiser, voire de nier la gravité du drame humain causé par le Mediator » et son rôle de directeur du Centre du don des corps de l’université Descartes, de 2004 à 2014, structure devenue un véritable charnier qui défraye actuellement la chronique(([6] Charnier de Descartes, révélations sur le business de l’innommable 7 juillet 2022
https://fr.news.yahoo.com/charnier-descartes-r%C3%A9v%C3%A9lations-business-linnommable-155237167.html ))».

La commission propose d’engager la responsabilité civile des internautes qui rediffuseraient de mauvaise foi une nouvelle déclarée fausse selon son avis.

Censure des citoyens européens à la demande de la commission

Suivant à la lettre la proposition d’Ursula Van der Leyen, la Présidente de la Commission européenne (contestée -entre autres- pour son rôle dans la commande de 1,3 milliard de doses de Pfizer et dans le scandale du Remdesivir de Gilead), le gouvernement français a décidé le 27 février 2022 de fermer les télévisions et radios russes RT France et Sputnik sans plus d’explication, ni de procès. Les médias qui ne s’autocensurent pas sont fermés par le gouvernement.

Mais Ursula Van der Leyen vient d’annoncer une nouvelle loi imposant des conditions plus dures aux plateformes numériques, sommées de priver les prétendues sources d» infox » de revenus publicitaires.

Le code précédent (de 2007) reposant sur l’autorégulation aurait donné des résultats insuffisants selon la Commission. L’adhésion au code reste volontaire, mais pour les « très grandes plateformes » (atteignant 45 millions d’utilisateurs dans l’UE), il permet de répondre aux obligations fixées par le règlement sur les services numériques (Digital Services Act, DSA).

La directive européenne, en voie d’adoption, contraint ces plateformes à déployer des efforts pour « réduire les risques » de désinformation et prévoit des amendes pouvant aller jusqu’à 6% de leur chiffre d’affaires mondial.

Plutôt que d’ouvrir un débat démocratique avec les opposants, la Commission européenne préfère leur interdire de s’exprimer « pour le bien de la démocratie ». Quand vont-ils brûler les livres déclarés conspirationnistes ?

Les menaces contre la démocratie

C’est la marque des régimes autoritaires d’imposer une pensée unique qu’il est interdit de commenter et encore plus de critiquer. Et les réactions comme celles de Twitter ou Facebook, qui ont osé suspendre le président des États-Unis et lui interdire toute expression sur leurs réseaux, montrent l’orientation que nos sociétés sont dangereusement en train de prendre, bien que tous nos gouvernants et les médias aux ordres nous répètent tous les jours que nous sommes encore en démocratie.

En instaurant la panique, la peur de la maladie, la peur de sortir, la peur de la guerre, la peur du réchauffement climatique, en favorisant la suppression des liens sociaux, en interdisant les échanges de point de vue, les critiques, les discussions, tout débat scientifique et en décrédibilisant ceux qui osent tenter de faire baisser cette peur, le gouvernement a mis quasiment les Français en état d’hypnose permettant leur soumission aux injonctions gouvernementales même manifestement ridicules (ne pas sortir seul en forêt ou sur la plage, ne pas faire du bateau en solitaire). Ils ont permis des violations injustifiées des droits des citoyens en limitant leurs libertés fondamentales, dont celles de circuler, de se réunir, de travailler, de s’exprimer, d’exercer son culte, de manifester, de voir sa famille, d’enterrer dignement ses morts.

Les libertés, la démocratie ne persistent que tant que nous les défendons. La crise du Covid révèle la fragilité de notre démocratie mise à bas sous le prétexte d’une menace sanitaire supposée sans qu’une opposition politique se soit clairement exprimée en France à l’exception de Florian Philippot et plus récemment de Nicolas Dupont Aignan et Francois Asselineau.

Pourtant dès le 21 avril 2020 l’éditorial du Dagens Nyheter mettait les Suédois en garde: « si on abandonne une partie de la démocratie maintenant, on ne sait jamais vraiment quand on la récupérera » faisant preuve d’un courage qu’aucun journal français n’a montré à l’exception de France Soir.

Rajat Khosla, d’Amnesty International a déclaré :

« Au fil de la pandémie, les gouvernements ont lancé une offensive sans précédent contre la liberté d’expression, restreignant fortement les droits des populations. Les moyens de communication sont pris pour cibles, les réseaux sociaux censurés et des médias fermés, ce qui a de graves répercussions sur la capacité des citoyens à accéder à des informations vitales sur la manière de réagir face au COVID-19. »

« Il est clair que les restrictions liées à la liberté d’expression ne sont pas seulement des mesures extraordinaires circonscrites dans le temps pour faire face à une crise ponctuelle. Elles s’inscrivent dans le cadre de l’offensive contre les droits humains que l’on voit à l’œuvre dans le monde depuis quelques années – les gouvernements ayant trouvé une nouvelle excuse pour intensifier leur attaque contre la société civile ».

Le 16 mars 2020 même l’ONU s’est inquiétée des menaces contre la démocratie dans un communiqué commun des experts indépendants des droits de l’homme exhortant les États à éviter d’outrepasser les mesures sécuritaires dans leur réponse à l’épidémie de coronavirus et leur a rappelé que le recours aux pouvoirs d’exception ne doit pas être utilisé pour étouffer la dissidence.  

« Les États ne doivent pas abuser des mesures d’urgence pour supprimer les droits humains ».

Des évêques nous donnent de l’espoir :

Nous sommes tous appelés à évaluer les faits actuels conformément à l’enseignement de l’Évangile. Cela implique de choisir son camp : avec le Christ, ou contre le Christ. Ne soyons pas intimidés ou effrayés par ceux qui nous font croire que nous sommes une minorité : le Bien est beaucoup plus répandu et puissant que ce que le monde veut nous faire croire. Nous nous trouvons en train de lutter contre un ennemi invisible, qui sépare les citoyens entre eux, les enfants des parents, les petits-enfants des grands-parents, les fidèles de leurs pasteurs, les étudiants des enseignants, les clients des vendeurs. Ne permettons pas que des siècles de civilisation chrétienne soient anéantis sous le prétexte d’un virus, en laissant s’établir une tyrannie technologique haineuse dans laquelle des personnes anonymes et sans visage peuvent décider du sort du monde en nous confinant dans une réalité virtuelle. « Les portes des Enfers ne prévaudront pas »

(Mt 16, 18)

« Le ventre est encore fécond d’où naît la bête immonde » (Bertolt Brecht)

Cette idéologie totalitaire, qui limite drastiquement le droit d’expression et sépare les citoyens selon leur volonté de faire respecter l’intégrité de leur corps, fait résurgence d’une époque que l’on croyait révolue, mais qui renaît dans les esprits allumés de l’État-Macron et de l’UE avec les pass et les obligations vaccinales.

À la mi-juin 2022, alors que l’épidémie ne pose plus de problème sanitaire réel avec seulement 72 malades Covid pour 100000 habitants. 

7 944 patients hospitalisés avec Covid-19, 1027 personnes sont en réanimation ( le pic du 8 avril 2020 atteignait 7.019 )et un nombre de décès au plus bas.  Mais les médias recommencent  après les élections, avec le gouvernement et le nouveau ministre de la Santé à affoler la population sans diffuser l’information majeure : les traitements précoces sont efficaces et vos médecins habilités à les prescrire. 

Le nouveau projet de loi qui sera examiné à l’Assemblée nationale, puis au Sénat vise pourtant à prolonger la suppression de droits élémentaires des citoyens. « Réglementer ou interdire la circulation des personnes et des véhicules », ainsi que « l’accès aux moyens de transport et les conditions de leur usage » avec le port du masque conseillé alors qu’aucune preuve scientifique de son utilité n’existe.

Et le fichage de la population qui n’a jamais permis de limiter l’épidémie risque de continuer si la loi est adoptée, avec le maintien des fichiers informatiques Si-DEP (les résultats des tests de dépistage) et Si-VAC (le schéma vaccinal) jusqu’au 31 mars 2023.

Un deuxième article donne la possibilité au gouvernement sans consulter le parlement (via un décret du Premier ministre Mme Borne ) de rétablir un pass sanitaire aux frontières, pour les déplacements entre l’hexagone, la Corse et les territoires d’outre-mer. Ce pass sanitaire concernerait tous les voyageurs de 12 ans et plus, ainsi que les personnels des services de transport concernés.

Or en France comme ailleurs les pass ont partout échoué à limiter l’infection

Les oppositions doivent jouer leur rôle de contrôle permanent de l’action gouvernementale en refusant cette loi qui les dépossède de leur rôle constitutionnel. Ne pas le faire serait trahir leurs électeurs.

Dr Gérard Delépine

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Gérard Delépine, Mondialisation.ca, 2022

Notes :




Lettre d’une étudiante en médecine au Conseil de l’Ordre

Par Zoé B.

Zoé B.

Au Président et aux membres du
Conseil de l’Ordre des Médecins de l’Isère
Bât A, 1 BD de la Chantourne
38700 La Tronche

Objet

Demande d’un RDV pour échanger sur les raisons qui me font arrêter mes études de médecine.

Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les conseillers ordinaux,
Chers Professeurs, Chers Docteurs, Chers Maîtres,

Étudiante en 4e année de médecine à la rentrée 2021/2022, j’ai reçu récemment un courrier de la scolarité de la Faculté de Médecine de Grenoble relatif à la fin de ma période de césure (sollicitée suite à la promulgation de la Loi du 5 août 2021).

J’ai répondu au Doyen de la Faculté en le remerciant très sincèrement de m’avoir accordé ce temps de réflexion et pour la bienveillance dont il avait fait preuve à mon égard ; puis en lui annonçant, avec un profond regret, ma décision de ne pas poursuivre mes études de médecine, après ces 3 années et quelques mois, passés au sein de sa Faculté. Voici l’essentiel de mes propos.

C’est vraiment à contrecœur que je prends cette décision, mais en pleine conscience, et je l’espère avec bon sens, sagesse et rationalité :

Je m’étais en effet engagée en médecine avec pour ambition de soigner mon prochain, d’agir toujours en conscience, avec probité et honnêteté vis-à-vis de lui, sans jamais déroger au code d’honneur du serment d’Hippocrate, un serment sur lequel tout le monde jure sans toutefois, j’en ai le sentiment, en mesurer l’importance, les conséquences, et sans être prêt à en respecter tous les engagements, en toutes circonstances, et quoi qu’il en coûte.

J’aime profondément étudier, j’aime apprendre comment fonctionnent le corps et l’esprit humain, comprendre les pathologies, et aller chercher quelles sont les récentes avancées médicales, scientifiques et technologiques pour trouver celles qui vont pouvoir profiter à mon patient. J’aime me réjouir avec les patients qui guérissent, et écouter, accompagner tous ceux qui en ont besoin. J’étais prête à faire face aux difficultés qui jalonnent le parcours d’un médecin.

Malheureusement, aujourd’hui je ressens que soigner comme on me demandera de le faire ne sera pas en accord avec mes convictions, et que je ne serai pas en mesure de respecter le serment d’Hippocrate qu’on me demandera de prêter à l’issue de mes études.

Je croyais que la médecine avait avant tout pour ambition suprême de soigner toutes les personnes, coûte que coûte, et qu’en tant que médecin je serais libre d’agir dans le seul intérêt de mon patient, dans le respect du recueil de son consentement libre et éclairé, et guidée par mes connaissances, la sagesse acquise lors de mes formations et de mes expériences, et ma capacité de discernement.

Les deux ans qui viennent de s’écouler m’ont montré que la médecine telle qu’elle est pratiquée aujourd’hui (et le sera de plus en plus) n’est pas en phase avec l’idée que je m’en faisais.

J’ai toujours pensé pouvoir exercer ma vocation, sans pression d’aucune sorte et surtout en toute indépendance des lobbies financiers, croyant naïvement que la mission de soigner résistait à l’appât de l’argent, à l’appel du pouvoir et à la satisfaction de l’ego tel que le souligne notre serment : « Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire. »

Nous devons également jurer : « Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera. » Comment comprendre alors le refus de soin imposé pendant ces deuxannées ? En effet, comment a-t-on pu déconseiller voire interdire à des gens qui avaient besoin de soins de se rendre chez leur médecin ? Comment a-t-on pu leur dire, sans prendre le temps de les ausculter, de rester ou de retourner chez eux juste avec du Doliprane ? Comment accepter tout cela lorsque l’on sait que le simple fait d’accueillir, écouter et accompagner avec compassion le patient participe significativement à sa guérison et à son mieux-être ?

Nous devons aussi prononcer « Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. » Mais commentconcilier cette promesse avec l’obligation faite aux patients de disposer d’un Pass sanitaire ou de s’être administré au préalable une molécule sur laquelle il y a peu de recul pour avoir le droit de se faire soigner ?

Dans l’état actuel des données scientifiques, est-il raisonnable d’exiger ce geste des patients, des professionnels de santé, a fortiori des étudiants des filières santé, dont le jeune âge aurait mérité que s’applique un élémentaire principe de précaution ?

J’ai aussi très mal vécu de voir en septembre 2021 des collègues soignants suspendus, sans aucune considération ni égard pour leurs états de service antérieurs, leur dévouement aux patients et leur loyauté à leur institution. Pouvons-nous supporter de les voir toujours sans aucun revenu pour avoir refusé d’aller à l’encontre de leurs convictions ou de leurs arguments médicaux ? Ces soignants étaient pourtant prêts à d’autres mesures de protection au contact des malades. De voir tous ces professionnels, qui se sont dévouées pendant tant d’années pour le bien de leurs prochains, perdre leur travail, leur statut social, parfois ne plus pouvoir subvenir aux besoins de leur famille voire manger à leur faim a été pour moi d’une grande violence. (J’ai personnellement vu des soignants se servir de la nourriture issue des poubelles.)

Comment proclamer encore « J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences. Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences. » et, dans le mêmetemps, précipiter de force, sous l’influence de la peur, vers une thérapie expérimentale des millions de personnes, en abusant de la confiance aveugle qu’ils ont dans la médecine et la science représentée par certains experts. Quelle folie s’est emparée de la communauté médicale pour accepter tout ça sans sourciller, au mépris de tous les principes qui faisaient consensus avant 2020 ?

Comment prononcer les mots suivants « Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. » ou encore « Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire. », alors que nous avons tous pu constater durant ces deux années à quel point le milieu politique et médical est parfois corrompu, et ce au plus haut niveau, par les laboratoires pharmaceutiques et les cabinets de conseil privés ?

Qu’il n’y ait pas de méprise : je ne doute pas de la probité et de l’honnêteté de la majorité des médecins et des soignants en France. En revanche, je doute désormais de la capacité du plus grand nombre à prendre du recul et à assumer avec courage le serment qu’ils ont prononcé dès lors que la situation devient un peu compliquée et que leurs intérêts personnels soient en jeu. Je crains, malheureusement, qu’une petite poignée de gens bien placés suffise à corrompre l’ensemble d’un système.

Comment a-t-il été rendu possible d’en venir à expliquer à nos patients que nous pouvions leur imposer des soins inutiles pour eux-mêmes (comme l’est le vaccin contre la covid pour les personnes non à risque de formes graves, notamment les enfants, les adolescents et les jeunes adultes) et inutiles pour protéger les autres (puisqu’avec ou sans vaccins il n’y a pas de différence dans la transmission), tout en laissant l’industrie qui les produit engranger 36,8 milliards d’euros sur ce seul et unique produit ?

Enfin comment pourrai-je oser jurer « Je ne provoquerai jamais la mort délibérément » et accepter de laisser des gens sans soins, des personnes âgées mourir loin de leurs proches et dans la solitude la plus abjecte ?

Non, décidément, cette médecine qu’on nous propose d’exercer n’est vraiment pas celle que j’avais envisagée.

Des lits ferment, des services d’urgence ferment, des collègues souffrent, des patients meurent, de maladie ou d’abandon…
Ce n’est pas ma définition de la médecine.
Je n’ai pas signé pour cela.
Pas pour abandonner, tromper ou laisser mourir.
Pas pour être le bouc émissaire de décisions qui ne sont plus motivées par notre mission de soins et le respect de notre serment, mais on dirait bien par la seule ambition dévorante ou la folie de certains individus.

Alors ma décision je la prends avec regret, car j’aime profondément la médecine, c’est ma vocation, mais je la prends avec la sagesse que m’inspire l’Ecclésiaste :

« Mieux vaut pour toi ne point faire de vœu, que d’en faire un et de ne pas l’accomplir ».

Je reste reconnaissante pour tous les enseignements reçus pendant ces trois belles années. Ils ont été intellectuellement riches et demeureront un bagage de connaissances et de principes utiles qui continueront de m’accompagner.

En vous remerciant de votre attention, et en espérant que ma lettre saura susciter en vous des interrogations ou des éclairages à m’apporter, je suis pour ma part à votre entière disposition pour un échange constructif et vous prie d’agréer, Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les conseillers ordinaux, mes sincères et respectueuses salutations.

Zoé Bruder
Étudiante en 4e année à la Faculté de Médecine de Grenoble

Le 6 juin 2022




Voyage au cœur des injections Covid — Jacques Bauer, pharmacien-clinicien

[Source : Réinfo Santé Suisse International
@reinfosante.ch]

Disposant d’un microscope extrêmement performant (VFF), Jacques Bauer, pharmacien-clinicien, et son équipe ont cherché à analyser le contenu des fioles de Pfizer, Moderna et Astra Zeneca entre autres.

Ce qu’il a découvert est stupéfiant !



[Voir aussi :
« Des organismes vivants qui s’assemblent de façon intelligente » : Jacques Bauer, pharmacien clinicien, examine au microscope une fiole du « vaccin » Covid
et les liens inclus.]




Entretien avec le Professeur Christian Perronne

[Source : https://lecourrierdesstrateges.fr]

Le Professeur Christian Perronne a été chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches. Pendant quinze ans il a été l’un des principaux conseillers en matière de santé publique de plusieurs gouvernements. Bien que faisant l’objet de plusieurs procédures administratives et judiciaires, il est toujours médecin et reste l’un des spécialistes reconnu des virus.

La plupart de nos libertés fondamentales sont bafouées, on cherche à injecter de force à toute la population, enfants compris, un pseudo vaccin inefficace contre une maladie relativement bénigne dont on interdit les traitements. D’après vous que se passe-t-il vraiment avec cette crise sanitaire ?

[Voir aussi :
https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/ils-m-attaquent-car-ils-ont-peur-pr-christian-perronne
et : https://planetes360.fr/exclu-360-le-professeur-perronne-balance-tout-c0vid-masque-vaxxin-bill-gates-la-verite-va-eclater/]

Il se passe quelque chose que je n’aurais pas deviné il y a deux ans, même si dès mars 2020 j’ai compris que quelque chose ne tournait pas rond. J’ai géré pendant une quinzaine d’années des épidémies et des crises sanitaires avec différents gouvernements, j’ai été à la tête de la politique vaccinale en France pendant plusieurs années, vice-président à l’OMS pour le groupe d’experts des vaccins pour l’Europe (ETAGE), j’ai baigné donc dans ce monde des vaccins, des infections, des épidémies, et j’ai tout de suite réalisé qu’on faisait n’importe quoi et qu’on affolait la population pour une maladie dont la mortalité était finalement très faible. Attention, je ne nie pas l’épidémie qui a malheureusement entraîné de trop nombreux morts. La première vague, la plus forte, a été suivie par des vaguelettes de moins en moins fortes, même si artificiellement gonflées.

Dans les premiers temps, je refusais d’admettre que tout cela puisse être prémédité, mais petit à petit, j’ai découvert, tout d’abord sans y croire, que le scénario était écrit depuis des années, qu’il s’applique jour après jour à la lettre et se déroule comme prévu ou presque. Je n’invente rien.

Attali l’a dit, Klaus Schwab l’a écrit, l’institut Rockefeller a rédigé un rapport que j’ai pu consulter. Bill Gates, lui, a carrément orchestré une répétition générale à New York juste avant que le virus ne sorte à Wuhan avec tous les acteurs américains et internationaux concernés pour montrer comment s’organiser face à la prochaine épidémie d’un nouveau coronavirus. Le contrôle de l’épidémie passait essentiellement par la suppression des libertés de la population, les traitements n’étaient pas évoqués. Je restais encore dubitatif. Au bout de quelques mois, une polémique s’est déclenchée sur le fait que le virus était fabriqué en laboratoire. Je pensais alors qu’il s’agissait de bêtises, je n’y croyais pas du tout. Mais aujourd’hui, plus un seul virologue digne de ce nom, y compris des prix Nobel et d’éminents scientifiques ne soutiennent une thèse contraire. Les journalistes eux-mêmes n’osent plus dire que le virus est naturel. Mais aucun n’évoque le but de toute cette mise en scène qui est de prendre le contrôle mondial de la population.

Mais aucun n’évoque le but de toute cette mise en scène qui est de prendre le contrôle mondial de la population.

Pr Christian Perronne

Pourquoi les médias ne réagissent-ils pas ?

Ce qui est dramatique, c’est que les auteurs de ce coup d’état sanitaire ont acheté tous les grands médias détenus tous ou presque par une poignée de milliardaires. Déjà en temps normal, le gouvernement leur distribue chaque année des dizaines de millions d’euros. Ils touchent en plus, pour certains dont Le Monde, des aides très conséquentes des fondations comme celle de Bill et Melinda Gates. L’industrie pharmaceutique est un sponsor  majeur de beaucoup de médias mainstream. Entre l’automne 2021 et janvier 2022,  Macron a annoncé trois subventions supplémentaires s’élevant au total à 3 milliards d’Euros pour gaver ces médias déjà très riches et garantir leur soutien indéfectible. Et ce, alors que les caisses de l’état sont vides, et qu’avec cette somme, on pourrait construire 6 hôpitaux et payer de nombreuses infirmières.

Qu’est-ce qui vous a alerté au début de la crise ?

Le B.A.BA de la gestion d’une épidémie consiste d’abord à isoler les malades. Au lieu de ça, on nous a dit « Restez chez vous, contaminez toute votre famille, contaminez vos voisins et comme les masques ne servent à rien, vous allez contaminer tout le quartier ». J’ai tout de suite dit « non, ce n’est pas ce qu’il faut faire. Lors d’une épidémie, on isole et s’il y a un traitement disponible, on traite. » Or, avant même que Raoult en parle, je m’étais intéressé à ce qui se passait en Chine et j’avais vu qu’il existait des essais y compris randomisés hydroxychloroquine contre placebo, montrant que l’hydroxychloroquine marchait. Et bien entendu, les médias français n’en ont jamais parlé.

Et ces essais étaient très probants ?

Leurs effectifs n’étaient pas très importants, mais ils existaient ainsi que  beaucoup d’autres études, pas forcément randomisées, qui allaient dans le même sens. Les Chinois ont très vite contrôlé l’épidémie en donnant de l’hydroxychloroquine à tout le monde. De plus, en Chine, les médecines traditionnelles à base de plantes sont très répandues et certaines ont donné de bons résultats. De ce fait, la première vague épidémique s’est éteinte assez vite. Les études lancées par le gouvernement chinois pour tester des médicaments, n’ayant pu être menées à terme faute de malades, n’ont pas été publiées, ce qui m’avait beaucoup intrigué. Des études avaient été publiées en chinois, langue que je ne parle pas. Les résultats de la première étude de Didier Raoult sur un nombre réduit de personnes, montraient très clairement que la prise simultanée d’hydroxychloroquine et d’azithromycine faisait chuter la charge virale. Ce fut le tollé de toute la communauté scientifique notamment française dénonçant le charlatanisme d’une étude avec aussi peu de malades. Ces gens n’ont aucune connaissance de la science car un résultat très significatif sur un petit effectif, a beaucoup plus de puissance statistique que sur un gros effectif. Après Didier Raoult a confirmé l’efficacité de l’association chloroquine/azithromycine sur des milliers de patients, mais on a continué à traiter de charlatan ce très grand chercheur que je connais et apprécie depuis longtemps. On lui reprochait de n’avoir pas fait d’étude randomisée sur des milliers de gens. C’est oublier un peu vite que l’OMS elle-même avait écrit qu’en phase épidémique on ne fait pas d’études contre placebo.  Mais les pouvoirs publics ont tout bloqué. Ils ont interdit la chloroquine et les antibiotiques. Macron avait proclamé avec Véran « il faut revenir à la science, nous allons faire l’étude Discovery, dans quelques semaines on aura les résultats et on pourra agir ». Mais l’étude n’a pas abouti. Ils ont utilisé des molécules qu’ils savaient totalement inefficaces. Des données scientifiques avec l’hydroxychloroquine avaient montré in vitro son efficacité  sur les coronavirus. Ces données publiées après l’épidémie de SRAS ont été occultées. Occulté aussi le fait que Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID) et conseiller santé des présidents américains, avait déclaré dans un grand journal que le traitement d’avenir des coronavirus serait l’hydroxychloroquine. Qu’importe ! ce médicament a été diabolisé. Il était en vente libre depuis toujours, mais Agnès Buzyn a décidé que sa prescription se ferait sur ordonnance juste avant que le virus n’arrive en France. Un indice supplémentaire que la crise était programmée.

Quid des études gouvernementales sur l’hydroxychloroquine ?

Il y en a eu plusieurs : Discovery en France et Recovery en Grande Bretagne, ainsi qu’ Hycovid au CHU d’Angers sur l’instigation d’Olivier Véran. Quand ils se sont aperçus que dans tous ces essais, les groupes hydroxychloroquine ou hydroxychloroquine/azithromycine s’en sortaient beaucoup mieux que les autres, ils ont paniqué. Banco pour Olivier Véran, sortaient les études frauduleuses du New England Journal of Medicine et du Lancet montrant que l’hydroxychloroquine était soit-disant inefficace et dangereuse. Le ministre de la Santé a profité de l’aubaine en faisant interdire les groupes hydroxychloroquine et azithromycine dans tous les essais. Les médecins en charge des différents travaux ont, tous d’une même voix affirmé que, l’hydroxychloroquine ne marchant pas, ils avaient été contraints d’arrêter. Mais les diapositives des résultats intermédiaires montraient clairement qu’à l’arrêt de Discovery et Hycovid, les seuls patients sous hydroxychloroquine étaient nettement améliorés. Il est vrai que l’étude ayant été arrêté trop tôt, les différences n’étaient pas encore significatives. Donc l’hydroxychloroquine était en passe de démontrer son efficacité et prétendre le contraire était encore un mensonge. Le pire concerne l’étude anglaise Recovery soutenue par l’OMS. Quelques centres en France ont accepté de participer. Les investigateurs ont administré des surdosages énormes d’hydroxychloroquine,  proches de la dose mortelle. Malheureusement, beaucoup de personnes sont mortes. Mais les critères d’évaluation n’ont pas permis d’obtenir les dates de décès par rapport à la prise du médicament. Comment le comité d’éthique a-t-il pu laisser passer ces doses hyper-toxiques bien supérieures à la dose maximale autorisée ? Cette étude a montré une surmortalité mise sur le dos du Covid, alors qu’elle était provoquée probablement par  le traitement trop dosé. Vraiment tout a été fait pour casser la chloroquine et la détruire. Le virus de la première vague, plus virulent que tous les variants ultérieurs (en particulier Omicron, particulièrement bénin), avait provoqué beaucoup d’atteintes cardiaques chez des personnes fragiles telles que myocardites, troubles du rythme, infarctus du myocarde ou péricardite. C’était la conséquence de l’infection virale et ça n’avait rien à voir avec la prise de chloroquine, car ils étaient aussi fréquents chez les malades n’ayant reçu aucun traitement. Mais s’ils avaient pris un comprimé de chloroquine, c’était bien sûr à cause de ce médicament. Les atteintes cardiaques liées au seul virus n’étaient pas évoquées dans les médias et bien entendu, elles n’arrivaient pas à l’agence du médicament puisqu’elles n’étaient pas associées à une prise médicamenteuse.

Après l’hydroxychloroquine est arrivée l’ivermectine. Certains médecins dans le monde, notamment au Pakistan ont, un peu par hasard, découvert son efficacité.  Entre l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, nous disposons aujourd’hui de très nombreuses études publiées, dont un certain nombre sont randomisées. Et toutes vont dans le même sens, sauf celles menées avec une méthodologie franchement mauvaise, puisque les malades recevaient le traitement trop tard et souvent à la dernière minute avant de passer en réanimation, alors que l’hydroxychloroquine, l’azithomycine et l’ivermectine marchent beaucoup mieux lorsqu’on les prend très tôt, en médecine de ville.

Certains ont annoncé la semaine dernière que la vitamine D est dangereuse.  Qu’en pensez-vous ?

C’est le comble du comble ! Certaines autorités cherchent à diaboliser la vitamine D qui serait un perturbateur endocrinien. Cela ne m’étonne qu’à moitié puisque la vitamine D est dans le collimateur de Big Pharma depuis une dizaine d’années. Des études ont montré qu’elle augmente l’efficacité des traitements anti-tuberculeux ainsi que la destruction des bactéries dans les cellules. Ses propriétés anti-infectieuses sont connues depuis longtemps. Dans les maladies chroniques elle est reconnue pour être bénéfique dans certaines maladies auto-immunes. Autant de pertes de marché potentiel pour Big Pharma qui a besoin de malades pour vendre ses produits. Mais diaboliser la vitamine D en la présentant comme un perturbateur endocrinien ! Je pensais avoir tout vu. Il s’agit là d’une grande escroquerie . Les attaques contre la vitamine D ne datent pas d’hier. Ils ont déjà essayé de faire croire qu’elle ne sert à rien pour les jeunes et les adultes en bonne santé. Faux ! exceptés ceux qui vivent au soleil toute la journée, tous sont carencés comme les nourrissons et les personnes âgées. Certains experts prétendent que même pour les personnes âgées, elle est inutile. Si certains cherchent à l’interdire maintenant, c’est sans doute parce que des équipes dont celle de Didier Raoult ont montré que les patients carencés en vitamine D et en zinc faisaient des formes de Covid plus graves que les autres.

Les médicaments ont été diabolisés et les médecins mis hors-jeu ?

Il  aurait fallu dire aux médecins généralistes : « vous êtes en première ligne, vous devez traiter tout de suite dès les premiers symptômes même sans avoir la preuve  d’un test PCR qu’il s’agit bien d’un Covid  ». Mais on a complètement court-circuité le médecin généraliste en répétant, « n’appelez pas votre médecin, restez chez vous, prenez du Doliprane (alors qu’il peut être toxique ; à petites doses, ce n’est pas bien méchant mais à hautes doses sur un état inflammatoire c’est plutôt déconseillé) et si vous étouffez, que vous êtes en train de claquer, appelez le 15. »

A cause de ces consignes absurdes, on a vu des patients arriver à l’hôpital dans un état catastrophique. Les autorités ont pu dire, regardez, c’est terrible, tout le monde va mourir.

C’est vrai, il y a eu des morts dont beaucoup sont la conséquence de cette interdiction de soigner.

Aujourd’hui, nous avons la preuve que dans tous les pays qui ont traité, d’abord à l’hydroxychloroquine puis à l’ivermectine, associées à un antibiotique comme l’azithromycine, l’épidémie est parfaitement contrôlée et même quasiment terminée dans certains pays. Elle n’a pas totalement disparu, mais il y a peu de malades et presque plus de morts parce qu’on isole les malades et qu’on les traite. C’est la base du contrôle d’une épidémie.

Vous avez déclaré « si on me confiait la gestion de cette crise, elle serait terminée en 2 ou 3 mois ». Qu’auriez-vous fait ?

Il suffit d’isoler les malades, de les soigner et d’arrêter les tests PCR sauf pour les personnes qui ont des symptômes, que l’on testera avec des PCR à 25 cycles. Il faut interdire de tester les asymptomatiques, rétablir la liberté de circuler, la liberté de vie normale des bien portants. Il faut demander aux malades de rester chez eux, expliquer à leur famille de les laisser dans une pièce à part, de porter un masque en allant les voir et leur demander d’en porter lorsqu’ils ont des symptômes. L’isolement doit durer une ou deux semaines maximum. S’ils ont besoin d’être hospitalisés, il faudra bien les isoler à l’hôpital et surtout, les traiter tout de suite, sans attendre un résultat de test. Si vous isolez et que vous traitez précocement, l’épidémie s’arrête. Les masques sont réservés aux malades avec symptômes pendant quelques jours. Il faut aussi rappeler l’importance du lavage des mains, la désinfection avec le gel hydro-alcoolique dans les transports. Dans ces conditions l’épidémie se termine rapidement. Dans cette crise, tout a été fait pour qu’elle s’aggrave : interdiction des traitements qui marchent, attendre que les gens s’asphyxient pour les envoyer en réanimation. Pas de masque au début lorsqu’ils auraient été utiles. Mais maintenant ils sont imposés à tous alors qu’ils affaiblissent les muqueuses respiratoires et font baisser l’oxygène dans le sang.

Vous parlez d’arrêter les tests PCR systématiques. Pourquoi ?

Les PCR ont été inventés par le Dr Kary Mullis un Californien, lauréat du prix Nobel en 1993. Il avait alerté sur la multiplication des faux positifs en cas de dépistage systématique de personnes asymptomatiques, une pratique à laquelle il s’opposait. Lorsque j’étais directeur adjoint du Centre de Référence de la  tuberculose à Pasteur au début des années 90, les consignes étaient de ne jamais utiliser la PCR pour dépister le portage des microbes chez des personnes sans symptômes. Il y avait encore des épidémies de tuberculose dans les hôpitaux, et pour éviter l’apparition de cette maladie nosocomiale chez les immunodéprimés et les personnes atteintes de sida, des collègues avaient proposé de pratiquer des PCR à chaque patient afin de repérer d’emblée les tuberculeux. On aurait ainsi généré quotidiennement des centaines de faux positifs à la tuberculose. Faire des PCR chez des asymptomatiques est une aberration scientifique, de même qu’une amplification exagérée comme celle communément admise aujourd’hui.

Pourquoi ?

Le principe de la PCR repose sur une enzyme qui amplifie des millions de fois des petits fragments. Une pratique bien faite est généralement assez fiable, même si elle ne met pas à l’abri de quelques faux positifs et faux négatifs. Mais là, au lieu de faire 25 à 30 cycles maximum, on monte jusqu’à 45 voire plus c’est à dire qu’on amplifie des bribes de virus pas du tout contagieuses ce qui crée de fausses vagues épidémiques. C’est comme ça qu’ont été largement exagérées la 2ème, la 3ème, la 4ème et la 5ème vagues. Je ne dis pas qu’à chaque vaguelette réelle, il n’y a eu ni malades ni morts car l’épidémie n’était pas terminée, mais en gonflant artificiellement les chiffres, on a semé la panique. Beaucoup de personnes ne sont pas décédées du Covid, mais d’une autre maladie, avec un test Covid faussement positif. Le comble, c’est quand Véran a décrété que la PCR n’était valable que 24h, il y a chaque jour des queues interminables devant les pharmacies et les labos pour obtenir un test PCR et plus on fait de PCR, plus il y a des positifs du fait de leur amplification à 45 cycles.  Des milliers de cas quotidiens de cette énorme vague Omicron ne sont pas des cas, juste des tests faussement positifs.

J’ai cru aux chiffres de déclaration de maladie jusqu’en juin 2020 parce qu’il n’y avait pas encore de PCR systématique chez les cas contact bien portants. A l’hôpital elles servaient à conforter un diagnostic après un examen clinique, et radiologique.

Pour vous, la PCR n’a de sens que sur une personne symptomatique ?

Oui, c’est un argument biologique de plus dans le diagnostic du clinicien.

Mais tester des gens en bonne santé n’a pas de sens sauf pour créer des cas contact à la pelle. Imaginez un adolescent  qui joue  au foot. S’il est positif alors qu’il est en pleine forme, tous ses copains de classe vont être cas contact, les enseignants aussi et plusieurs d’entre eux seront positifs. C’est un moyen formidable pour créer de façon industrielle des épidémies gigantesques de façon à faire peur à tout le monde. Tout est fait pour créer la panique dans la population.

Les milliards dépensés dans ces tests ne servent donc à rien ?

Entre les tests, les aides à la presse et le coût des vaccins, le gouvernement jette l’argent par les fenêtres plutôt que de construire des hôpitaux et de recruter des soignants. Bien avant le Covid,  la loi HPST de Roselyne Bachelot pour l’hôpital a permis de supprimer des postes de médecins, d’infirmiers, de soignants pour embaucher des milliers de fonctionnaires qui ne servent à rien, qui sont des contrôleurs de gestion, des contrôleurs des contrôleurs et maintenant des agents de sécurité. L’hôpital n’est plus fait pour soigner, on ferme des lits sans arrêt, on supprime du personnel, les hôpitaux sont dans un état de délabrement insensé, rien n’est entretenu. Certains lobbys veulent la disparition de l’hôpital public. Ils sont en train de l’obtenir.

Que faut-il penser des masques que tout le monde, enfants compris, doit porter dans les endroits clos et en extérieur ?

Lorsqu’ils ont commencé à dire que les masques ne servaient à rien, j’ai halluciné, ce n’était pas possible ! Quand j’étais président de la commission des maladies transmissibles au Haut Conseil de la santé publique en juillet 2010, j’avais fourni au gouvernement un rapport sur comment gérer les stocks de masques. Tout y était : comment bien les gérer, comment les faire tourner. J’ai appris quelques mois plus tard, que le secrétariat général à la Défense Nationale avait conseillé que les stocks de masques étaient inutiles. Les stocks n’ont pas été entretenus, ils se sont périmés, une partie a été brûlée. Et l’épidémie est arrivée. S’ils étaient capables de savoir qu’il fallait restreindre la prescription de chloroquine, savaient-ils aussi qu’il fallait fragiliser les soignants et les populations concernées en les privant de masque ? Autant les masques sont parfaitement inutiles dans la rue, autant ils sont indispensables dans un espace clos en présence d’un malade symptomatique. Lorsqu’un malade tousse et crache il doit mettre un masque pour éviter de contaminer toute la pièce avec des particules virales. Et la personne qui rentre dans la pièce, famille, ami, soignant, doit également se protéger avec un masque pour éviter de prendre trop de virus. Un masque ne procure jamais 100 pour 100 de protection. Mais lorsqu’on limite le nombre de particules virales qui pénètrent dans l’organisme, on limite le risque de développer une infection.

Le masque est-il utile dans les grandes et moyennes surfaces et les transports en commun ?

En pleine période pandémique, il faut dire aux gens de ne pas prendre les transports s’ils ont de la fièvre ou des symptômes respiratoires. Il faut recommander aux personnes asymptomatiques fragiles de porter un masque sur la base du volontariat. Des obligations et des mesures excessives n’ont aucun sens pour une maladie qui a une mortalité extrêmement faible de l’ordre de  0,05 %. Par ailleurs, les gens contaminent et se contaminent beaucoup par les mains sales. Avoir un petit flacon de gel hydroalcoolique  dans le métro, c’est du bon sens, je le recommande et il faut le faire toute l’année pour se protéger des rhumes et des virus respiratoires. Mais imposer le masque, avec des amendes de 135 euros et 1500 euros en cas de récidive, cela n’a aucun sens. Une étude danoise randomisée de 2020 a montré qu’il n’y avait presque pas de différence entre le groupe qui portait un masque et celui qui n’en portait pas.

Alors quand le premier ministre et le ministre de la santé déclarent que l’épidémie repart et que nous devons tous remettre le masque, ce n’est certainement pas pour nous protéger.  Par contre c’est très utile pour nous opprimer, casser les rapports humains et déshumaniser la population. Ce que je trouve criminel, c’est d’imposer le masque à nos enfants dans les écoles. Les enfants dépriment, les pédopsychiatres signalent des suicides d’enfants autrefois inexistants. Les suicides d’adolescents se multiplient. De plus, le masque entraîne une perte d’acquisition et d’apprentissage de la parole. Il impose une distanciation sociale jusque dans les cours d’école. Ils ont osé redemander aux enfants de porter des masques pendant les récréations. C’est honteux, c’est de la barbarie ! Ces gens méritent d’être jugés pour imposer ces pratiques ignobles à nos enfants. Surtout que cela n’a aucun sens sur le plan de l’épidémie. En effet les enfants font très peu la maladie, s’ils la font, ils n’ont quasiment pas de symptômes et transmettent très peu mais c’est eux qu’on accuse aujourd’hui d’être responsables de la transmission. Si on veut protéger les personnes plus âgées qui sont plus à risque, il suffit qu’elles fassent attention, qu’elles s’isolent si quelqu’un tousse à côté d’elles. Si l’une d’elle tombe malade, qu’elle prenne tout de suite de l’ivermectine et de l’azithromycine et se supplémente en vitamine D, en vitamine C, en zinc, en sélénium.

Laissez les enfants tranquilles. On les martyrise pour rien.

Et pour conclure sur le masque, il donc est très utile pour les soignants ?

Oui pour les soignants en présence d’un malade symptomatique dans sa chambre. Cela n’a aucun intérêt dans le couloir ou à la cafétéria. Je me suis récemment fait traiter d’anti-masque ce qui est totalement faux. Lorsque j’étais jeune assistant dans les années 80, il y avait une épidémie de tuberculose à l’hôpital. A l’époque, les tuberculeux n’étaient pas isolés, ils se promenaient dans l’hôpital, ils toussaient, ils crachaient. Avec un petit groupe de travail au ministère, nous avions imposé des masques à l’hôpital pour les patients symptomatiques, les soignants et les visiteurs en disant aux malades de rester dans leur chambre plutôt que d’aller à la cafétéria. On les envoyait en radiologie, en fin de journée avec le masque, de façon à ce que les tuberculeux ne fassent plus la queue avec les autres sur leur brancard pour éviter de les contaminer.

Je me suis battu pour les masques qui doivent faire l’objet d’une prescription médicale. Les personnes qui ont un malade à domicile dans une chambre, doivent mettre un masque pour lui apporter à manger et lui faire sa toilette. Le masque et la désinfection des mains sont la base des précautions indispensables à prendre pour éviter la contamination. Mais ce qui est terrible c’est qu’on a soumis des milliards de gens dans le monde à un port de masque totalement inutile pour  briser leur moral, les détruire psychologiquement, casser les relations sociales et leur imposer l’acceptation de ces produits qu’on appelle à tort des vaccins.

Que sont exactement ces pseudos-vaccins ?

Ce sont des produits de thérapie génique qui peuvent modifier nos cellules. L’ARN messager fait fabriquer la protéine de pointe du coronavirus par nos cellules. Cette protéine du virus est censée stimuler une immunité. Malheureusement cette protéine, la protéine spike est produite en trop grande quantité. Une fois ces pseudos-vaccins injectés on ne sait pas comment arrêter la production. Chez certains, l’arrêt pourrait être effectif en quelques jours, d’autres vont peut-être continuer à la fabriquer pendant des mois et des années. La spike est la partie la plus toxique du virus. Produite en grandes quantités, elle déclenche les caillots, les thromboses, donne de la fièvre, de l’inflammation. Ce qui explique que souvent les inoculés souffrent de symptômes qui ressemblent beaucoup à la maladie Covid. C’est ce qu’on appelle le syndrome spike. Des personnes non inoculées qui restent aux côtés d’inoculés, peuvent ressentir de façon transitoire et brève, les mêmes symptômes spike.  Elles souffrent de maux de tête, de fièvre, de fatigue. Pour autant cette protéine n’est pas vraiment contagieuse. Elle peut être transmise à quelqu’un de l’entourage, mais, fort heureusement elle ne va pas disséminer.

Il est beaucoup question de passer de l’ARN à l’ADN avec ces produits. Qu’en pensez-vous ?

Oui, ce risque existe. J’avais été fusillé sur place l’an dernier pour avoir osé prononcer cette vérité peu rassurante.  Mais depuis, de grands journaux scientifiques l’ont publié, de grands chercheurs l’ont reconnu, des virologues et autres biologistes l’ont confirmé. Les enzymes (transcriptases inverses) capables de passer de l’ARN à l’ADN sont normalement inactivées, mais nous les possédons. Il faut savoir que nos chromosomes sont fait d’ADN mais que 10 à 20 % du matériel génétique est composé de rétro-virus, c’est à dire des virus qui comme celui du sida, marchent à l’envers et vont de l’ARN vers l’ADN. Lorsque le virus du sida se présente, il s’intègre tout de suite dans nos chromosomes. C’est pour cela qu’on ne peut pas guérir de la maladie, on peut juste la contrôler avec des médicaments. Il est impossible de se débarrasser du virus qui s’est intégré dans nos chromosomes. Nous hébergeons tous dans nos chromosomes des rétro-virus, d’origine animale, intégrés par les cellules humaines depuis des millénaires. Ils nous ont apporté des gènes qui nous ont probablement aidés à survivre car tous les virus ne sont pas méchants. Nous savons donc que l’homme possède le potentiel génétique pour transformer l’ARN en ADN dans ses cellules. Une étude in vitro, menée au printemps 2021, l’a confirmé en montrant qu’on pouvait retrouver dans les cellules humaines la copie ADN du SARS COV2.

Vous êtes très maltraité par les pouvoirs publics…

C’est normal. J’étais un homme du système et que je connais tout de l’intérieur. J’ai dénoncé dans les médias toutes les irrégularités, notamment du Haut Conseil de la Santé Publique. Les recommandations ont le plus souvent été effectuées dans des conditions anormales et même illégales. Je les dérange d’autant plus que j’avais des relations amicales  avec une partie de ceux qui sont au Conseil Scientifique et des experts présents dans les hautes instances. Avant la crise, ils m’aimaient bien, ils m’élisaient comme président de nombreuses commissions et quand j’étais professeur, j’ai piloté  des groupes de travail à l’agence du médicament. C’est ce qui m’a permis de voir tout de suite que ça n’allait pas. Je sais comment on gère une crise de cet ordre, et ce n’est certainement pas comme ça.

Encore une fois, ils n’ont pas réussi à vous prendre en défaut ?

Quand le gouvernement, les experts qui ont beaucoup de conflits d’intérêt avec l’industrie et les journalistes aux ordres m’accusent de raconter n’importe quoi, j’aimerais qu’ils se renseignent d’abord sur le plan scientifique. Je n’ai jamais changé de discours et personne n’a jamais pu me mettre en défaut sur quelque chose que j’avais affirmé. Et d’ailleurs personne n’a osé m’attaquer sur le plan scientifique. Mes demandes au Conseil Scientifique d’un débat contradictoire où chacun apporterait ses billes et ses publications sont restées sans réponse. Leurs décisions sont prises sans aucun support. On l’a vu récemment quand Delfraissy a affirmé que 2 doses ne suffisaient pas, il faut booster avec 3 doses, voir 4 doses. Ca sort d’où ? Du chapeau ? Il n’y a aucune étude ! Et après ils osent dénigrer la chloroquine, malgré les centaines d’études même si elles ne sont pas parfaites. Il faut arrêter de se moquer du monde. Leur pseudo vaccin, lui, n’a fait l’objet d’aucune étude sérieuse contre placebo. Et les études préliminaires ont été anormalement courtes. Il faut 10 ans pour développer un vaccin. Là, il a été développé en quelques mois avant d’obtenir une AMM conditionnelle et non pas définitive. Or, il est parfaitement illégal de donner une AMM conditionnelle à un vaccin s’il existe un traitement efficace. C’est pour cette seule raison qu’ils ont diabolisé l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et l’ivermectine. Veran est revenu à la charge pour presque  interdire l’azithromycine au mois de décembre 2021. Encore une attaque contre les produits qui marchent ! Donc la commercialisation de ces pseudos vaccins est parfaitement illégale.  Ces produits sont toujours en phase expérimentale, celle qu’on appelle la phase 3 qui sera terminée dans un an ou deux. Or, il est interdit d’imposer une quelconque obligation avec un produit en phase de test. Avant de l’injecter, il faut le consentement éclairé du patient. C’est ce que font les Japonais, qui n’ont aucune obligation vaccinale. Le gouvernement japonais a d’ailleurs mis en garde sur les nombreux effets secondaires, notamment des myocardites et autres accidents cardiaques en particulier chez les jeunes. Je tire mon chapeau à ces dirigeants, qui n’imposent aucune obligation et exigent un consentement éclairé.  Un sans faute. D’ailleurs, au Japon qui utilise largement l’ivermectine, comme l’Inde, l’épidémie est pratiquement terminée, il n’y a quasiment plus de morts.

Le Conseil de l’Ordre vous en veut également ?

Oui, j’ai été convoqué par le Conseil de l’Ordre qui m’a demandé de parler en mon nom et non pas comme praticien hospitalier et m’a aussi demandé de ne pas dire du mal des vaccins. Pourtant ma fonction de professeur des universités me confère normalement une totale liberté de parole.Je me sens parfaitement autorisé à dire du mal de ces produits car ce ne sont pas des vaccins. J’ai passé toute une partie de ma carrière à défendre les vaccins, je suis en faveur de la vaccination, je ne suis pas un anti-vaccin mais ce ne sont pas des vaccins ou alors qu’on me le démontre.

Mais est-ce que ces produits protègent au moins contre la maladie ?

Non, absolument pas. Les études affirmaient qu’ils protégeaient à 95 % mais leur méthodologie est déplorable. A pleurer. Sans rentrer dans les détails, sachez que les effectifs pour les comparaisons sont très très faibles et que les statistiques ne semblent pas très fiables. Fin novembre ou début décembre, une experte américaine qui travaillait chez un sous-traitant de Pfizer chargé de faire la méthodologie et l’analyse des données a fait une publication dans le British Medical Journal. Elle a tout balancé. Une partie de l’étude est frauduleuse et a été truquée. Aucun média français n’a relayé cette information d’un journal médical international sérieux, hormis un petit encart dans le Figaro. J’aurais été ministre de la santé, j’aurais tout arrêté et demandé un audit indépendant. Mais Véran s’en est bien gardé. Alors qu’il a été super réactif pour retirer l’hydroxychloroquine, là rien ne se passe. Ce qui veut dire que les décisions du ministre, du conseil scientifique, du conseil de défense ne sont basées sur aucune donnée scientifique. C’est très grave. Je n’ai aucune confiance dans les données des laboratoires fabricants. Cette lanceuse d’alerte parlait avec courage à visage découvert et pour moi, cela jette un doute sur toutes les études de ce fabricant. Qu’est-ce qui nous prouve qu’il n’y a pas eu de fraudes dans les autres vaccins ? Parce que lorsqu’on voit que Pfizer, un des principaux fabricants, s’est permis de manipuler les résultats en sa faveur, on peut imaginer que d’autres l’ont fait également. Et comme on ne pourra jamais vérifier les données, le doute persiste.

D’ailleurs, si c’était un vrai vaccin, surtout dans une situation épidémique dangereuse, il empêcherait de tomber malade ou du moins réduirait beaucoup les risques, il empêcherait de faire des formes graves et empêcherait la transmission. Mais ce produit n’empêche rien du tout. On s’aperçoit aujourd’hui que dans tous les pays qui ont vacciné massivement, la majorité des patients en réa sont des doubles et triples vaccinés. Bien sûr tous les vaccins ne sont pas efficaces à 100 %. Celui de la coqueluche n’empêche pas complètement la transmission et quelques vaccinés tombent malades, mais quand on vaccine tout le monde, l’épidémie s’arrête très vite. Je m’étonne que peu de gens réagissent quand les gouvernants, les politiques, les journalistes, accusent en France les non-vaccinés d’être des pestiférés alors que ce sont surtout les vaccinés qui tombent malades, qui transmettent et qu’il faut isoler. C’est très choquant. Au mois d’août dernier, j’avais prévenu : l’hiver prochain, il faudra isoler les vaccinés qui seront dangereux pour les autres. C’est ce qui s’est produit. Pendant les fêtes de Noël, pendant les réunions de famille, ce sont le plus souvent les vaccinés qui ont ramené le virus à la maison et les vaccinés encore qui ont fait les formes les plus sévères.

Pourtant, tous les intervenants des plateaux télé continuent de seriner que le vaccin protège des formes graves et beaucoup de gens les croient…

C’est faux. Il suffit de regarder les cartes du monde et les études pour s’en convaincre. Il y a peu, et cela m’a fait plaisir, Pujadas sur LCI a montré la carte du monde. Tout était noir dans les pays qui vaccinent comme l’Amérique du Nord, l’Europe Occidentale, l’Afrique du Sud, l’Australie et Israël.  C’était la cata, l’épidémie flambait, il continuait à y avoir des morts alors que dans le reste du monde qui n’a que très peu vacciné, tout était calme et l’épidémie s’était éteinte ou en voie d’extinction. A ce propos, ce qui m’a beaucoup perturbé lors de la première vague, c’est que la France comptait autant de morts que tout le continent africain où la moitié des morts étaient en Afrique du Sud, le pays africain le plus soumis à l’influence de l’industrie pharmaceutique. Les autres pays traitent avec l’hydrochloroquine, les plantes et les médecines traditionnelles. Dans ces pays, l’épidémie n’a pas flambé. Médias et dirigeants ont tenté de nous expliquer que c’était normal puisqu’en Afrique il fait chaud et que la population est jeune. Mais les comparaisons effectuées entre les pays africains et certains pays sud-américains bénéficiant du même climat et qui ont beaucoup vacciné, infirment cette hypothèse puisque les morts ont été nettement plus nombreux dans les pays qui ont vacciné en masse. Donc exit cette histoire de climat. D’autres éléments viennent conforter les méfaits vaccinaux. Dans de vastes pays très hétérogènes comme le Brésil ou les Etats-Unis, des régions ont beaucoup vacciné, d’autres non, des régions ont beaucoup prescrit la chloroquine, d’autres non. Que ce soit en Afrique, en Amérique du Sud, ou en Asie, les pays qui n’ont pas ou très peu vacciné ont eu d’excellents résultats et une mortalité très faible, mais ceux où Big Pharma a réussi à imposer ses vaccins, l’épidémie a flambé tout de suite. Les pro-vaxx me rétorqueront, comme la ministre de la Santé du Luxembourg la semaine dernière que ces pays d’Afrique et d’Asie n’ont pas un bon reporting des cas et des morts. Aussi lui ai-je répondu que lorsque l’épidémie flambe, personne ne conteste le reporting mais que dès qu’elle s’éteint, le reporting est la seule cause possible. A méthode de comptage identique, il y a quand même eu des pics dans les pays qui ont vacciné et ça s’est arrêté après. Ils continuent de nier l’évidence parce qu’ils ne veulent pas admettre la réalité.

Comment comprenez-vous la réaction des médecins, généralistes ou spécialistes, qui refusent de soigner les non vaccinés ?

Je crois que pour la plupart, ces médecins ne sont pas au courant. Ils regardent la télé le soir, écoutent les directives du gouvernement. Ils n’ont pas le loisir d’aller sur internet vérifier les bases de données et les publications. On leur dit que c’est un vaccin, que ça marche, que ça protège les plus fragiles, donc ils adhèrent au discours mainstream. Ils ne sont pas forcément de mauvaise foi, mais la non assistance à personne en danger et le refus de soin sont graves. J’avais dit dans les médias que le gouvernement va avoir sur la conscience des milliers et des milliers de morts dus à l’absence de traitements. Un patient en rétention d’urine, quelque chose de très douloureux, m’a raconté  avoir fait 120 km en VSL pour voir le chirurgien qui le suivait habituellement le virer comme un mal-propre faute de vaccin.  Rappelons aussi les  pertes de chances  des cancéreux lorsqu’on refuse leur chimio, les chirurgies qui sont repoussées, les atteintes cardiaques qui ne sont pas soignées, les coloscopies et tests de dépistages qui ne sont pas faits, les transplantations qui sont ajournées. Ils ont été jusqu’à virer des listes de transplantation des non-vaccinés qui attendaient leurs greffons depuis des années. Ce qui se passe est absolument horrible surtout pour une maladie qui ne tue pas beaucoup.

Et les vaccins tuent plus ?

Oui maintenant c’est clair. Récemment  Eudravigilance en Europe et le VAERS aux Etats-Unis rapportent des décès par dizaines de milliers. La liste des sportifs décédés s’allonge tous les jours et sans compter tous ceux qui ne peuvent plus participer aux compétitions car leur état physique est très dégradé. On nous dit qu’il n’existe pas de preuve que ces problèmes soient liés au vaccin. C’est une thèse que j’ai longtemps défendu lorsque je pilotais la vaccination en France et en Europe pour l’OMS. Quand des maladies étaient attribuées au vaccin comme la sclérose en plaque après la vaccination de l’hépatite B, nous avancions qu’il s’agissait peut-être d’une coïncidence. Effectivement, l’incidence annuelle de la sclérose plaque n’a pas augmenté avec la vaccination massive contre l’hépatite B. Lorsque les injections Covid provoquent des infarctus chez les personnes âgées, on incrimine l’âge, mais des enfants d’une vingtaine d’années ont souffert d’infarctus, embolie pulmonaire, AVC, rupture d’anévrisme, des maladies très rares chez les jeunes et qui explosent en ce moment. Les cas de thromboses se multiplient, mais les médias incriminent maintenant le réchauffement climatique. Idem pour les fausses couches, les malformations cardiaques des enfants de mère vaccinée pendant la grossesse. Ce qui se passe est d’autant plus ignoble que nous sommes toujours phase expérimentale. J’avais appris qu’une personne souffrant d’effets indésirables avec un traitement expérimental, devait profiter du bénéfice du doute, même en l’absence de preuve formelle de la responsabilité des produits. Mais là, il n’y a pas de preuve, donc circulez. Le comble du comble, c’est qu’apparemment, que des compagnies d’assurance ne versent plus les primes d’assurance vie, et ne prennent plus en charge les remboursements des crédits des personnes mortes à cause du vaccin. Et tous les fabricants ont obtenu la garantie de tous les gouvernements qu’ils ne seraient jamais poursuivis ! C’est à vomir. Les politiques de santé, en France sont maintenant entre les mains de Big Pharma qui ne cherche qu’à accroître ses profits

Et le vaccin chez les enfants ?

Le Covid ne tue pratiquement jamais les enfants. Les quelques enfants qui sont morts lors de la première vague souffraient de comorbidités. En France, les enfants ne meurent pas du Covid, mais de la bronchiolite et de virus respiratoires. Mais leurs PCR sont positives et ils sont étiquetés Covid.  A l’inverse, un certain nombre d’enfants sont déjà morts de la vaccination. Les fabricants eux-mêmes affirment que le taux d’effets secondaires sera probablement identique chez les enfants que chez les jeunes adultes. La vaccination de tous les enfants va entraîner des morts du vaccin. C’est scandaleux,  criminel. La maladie tuerait à 30 %, oui, on pourrait prendre le risque, mais avec une maladie dont la mortalité est extrêmement faible, qui ne tue ni les enfants, ni les grands-parents s’ils sont traités tôts, il n’y a d’autre justification que commerciale, ou de mise sous tutelle des populations. Ce mensonge sanitaire n’est en rien une politique de santé publique. Les résultats sur le terrain sont catastrophiques dans les pays qui vaccinent à tour de bras. En Israël, les retours sont mauvais alors qu’on avait montré le pays comme exemple mondial à suivre. Si c’était des vrais vaccins qui marchaient et qui étaient bien tolérés, évidemment que j’aurais envie d’en dire du bien, mais ce n’est pas le cas. Comment peut-on me reprocher d’essayer de sauver les enfants en disant qu’il ne faut surtout pas y toucher mais les laisser vivre normalement et ne pas les masquer pour qu’ils retrouvent la joie de vivre et d’apprendre.

On parle beaucoup de nouveaux traitements. Qu’en pensez-vous ?

Effectivement les labos vont peut-être arrêter le vaccin parce qu’ils commencent à déposer des études sur des médicaments extrêmement chers dont on n’a pas besoin parce que l’ivermectine marche très bien et ne coûte presque rien, comme la vitamine D qu’ils veulent diaboliser. Ils cherchent à nous fourguer des médicaments dont on ne connaît pas la toxicité. Avec une étude sur 1000 malades, seuls les effets secondaires les plus courants apparaissent. Mais lorsque le médicament est administré à des millions de patients, les effets indésirables plus rares commencent à émerger. Nous ne sommes pas à l’abri d’une nouvelle catastrophe avec ces produits dont on ne connaît pas encore la toxicité. C’est ce qui s’est passé avec le remdésivir qui avait obtenu une autorisation d’urgence en réanimation sans aucune étude, alors que la choloroquine était interdite. Lors de la première vague, une proportion importante des premiers patients de réanimation traités par le remdésivir ont développé une insuffisance rénale grave nécessitant l’hémodialyse. J’avais naïvement pensé que l’agence du médicament allait faire un warning sur la nocivité potentielle du remdésivir. Elle n’a pas bougé. Par contre, elle a signalé un mort américain qui avait avalé le liquide de lavage de son aquarium dans lequel il y avait un peu de choloroquine en avertissant : « la chloroquine tue ».

Au printemps 2020, le Haut Conseil de la santé publique n’a pas recommandé l’utilisation du remdésivir par manque de données convaincantes. Il avait rendu un avis public comme il est obligé de le faire. Mais beaucoup de phrases de la recommandation étaient illisibles, masquées en noir, car il s’agissait de données confidentielles Gilead. Par la Cada, un avocat a obtenu le texte dans son intégralité. On a alors découvert que la Direction Générale de la Santé  savait  déjà que le remdévisir pouvait provoquer non seulement des insuffisances rénales graves, mais aussi des atteintes hépatiques graves. J’étais au courant  pour les reins, pas pour le foie. C’était écrit en toutes lettres sur les données transmises au ministère qui s’est bien gardé de communiquer sur les dangers de ce médicament. Si j’avais été aux manettes, j’aurais interdit ce produit qui ne serait jamais sorti. Mais alors que le ministère connaissait ces dangers, il a laissé des médecins continuer à le prescrire ! Seule une longue procédure a permis d’accéder à ces données. Dans cette crise, vraiment, ce sont des experts bourrés de conflits d’intérêts qui ont conseillé les gouvernements. La corruption a pris le pas sur la santé des populations, rien n’est raisonnable.




Vaccins Covid : la désillusion au grand jour

[Source : ]

D’après les derniers chiffres officiels, au 5 juin 2022[1] :

  • Les vaccinés (deux doses) avaient 50 % de plus de risques d’être positifs au Covid, par rapport aux non-vaccinés ;
  • Les vaccinés (trois doses) avaient 120 % de plus de risques d’être infectés par le Covid, par rapport aux non-vaccinés.

C’est écrit noir sur blanc sur le site covidtracker, qui s’appuie sur les chiffres officiels de la DREES (direction des statistiques) :

On nous avait pourtant promis une baguette magique !

Souvenez-vous ce qu’on nous a « vendu », au départ. En janvier 2021, au début de la vaccination de masse, le vaccin était considéré comme la seule solution pour nous sortir de l’épidémie !

Faites vos deux petites doses, et ce sera le retour à la vie normale[2] ! Il n’y avait même pas besoin que tout le monde se vaccine, vous disait-on. Avec 60 % de la population vaccinée, on devrait atteindre l’immunité collective[3].

En février-mars 2021, la grande illusion continue : on nous dit alors que le recul épidémique en Israël est la preuve que la «magie vaccinale» a commencé à opérer. «Coronavirus : en Israël, un ‘retour à la vie’ grâce à la vaccination» (Europe 1) – alors qu’il s’agissait simplement de la fin de la 3ème vague, et que le vaccin n’empêchera ni la 4ème, ni la 5ème vague[4].

«Une seule solution, la vaccination!»

Puis, en avril 2021, une première inflexion a lieu. « Il faudrait vacciner 90 % de la population pour espérer retrouver une vie normale en septembre en France », et non plus seulement 60 % à 70 %[5] ! La faute, officiellement au « variant britannique », plus contagieux.

Cela n’empêche pas le discours de la « baguette magique » de continuer à prospérer.

Fin avril 2021, l’Élysée publie un communiqué, au titre sans ambiguïté : « La vaccination : seule solution face à la Covid-19[6]. »

Et fin juin, le site officiel du gouvernement publie une interview de la Pr Brigitte Autran, qui explique que « le virus va moins circuler » grâce à la vaccination de masse. Elle ajoute que la vaccination va aussi « diminuer le risque de voir émerger des variants ». Quelle erreur !

Douche froide à l’été 2021

Dès l’été 2021, le variant Delta ruine ces pieux espoirs. Le 10 août, Andrew Pollard, directeur de l’Oxford Vaccine Group, est le premier spécialiste « officiel » à reconnaître le problème : 

« Avec ce variant [Delta], nous sommes dans une situation où l’immunité collective n’est pas possible à atteindre, car il infecte les individus vaccinés »[7].

C’est la douche froide : après nous avoir promis l’immunité collective avec 60 % de la population vaccinée, puis avec 90 %, on reconnaît à l’été que le vaccin ne pourra jamais empêcher le virus de circuler, car il infecte aussi les vaccinés !

Mais en France, le ministre Olivier Véran est encore dans le déni :

« comment une vague est-elle possible alors que 90 % d’entre nous âgés de 12 ans et plus sommes vaccinés ? Est-ce que cela signifierait que le vaccin serait finalement moins efficace que prévu ? Non »[8].

Omicron: la désillusion monte d’un cran

Puis, l’hiver arrive, avec la vague Omicron. On franchit un nouveau cran dans la désillusion. Tout le monde peut constater que le virus infecte au moins autant les vaccinés (2 ou 3 doses) que les non-vaccinés. Et surtout, il n’y a jamais eu autant d’infections au total dans la population ! Alors qu’on confine les non-vaccinés, et que la population adulte est presque intégralement vaccinée, c’est le moment où l’on enregistre des records de contaminations !

Fin janvier 2022, le Pr Delfraissy, président du Conseil scientifique, commence à dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas : ce « vaccin » serait plutôt un « médicament »[9] ! Il réduirait les formes graves de la maladie, mais son action sur la transmission serait « limitée dans le temps ».

Printemps 2022 : la catastrophe

Au printemps 2022, les chiffres des contaminations deviennent franchement catastrophiques pour les défenseurs de ces vaccins : les vaccinés ont désormais plus de risques d’être infectés que les non-vaccinés[10] !

Résultat : les Britanniques cessent brutalement de publier le taux d’infection selon le statut vaccinal. En France, on ne communique plus sur les chiffres officiels de la DREES.

En mai 2022, un Bill Gates abattu reconnaît, sur la scène du Forum économique mondial, que « ces vaccins ne sont pas bons pour bloquer l’infection »[11]. Il en tire même la conclusion que les passeports vaccinaux n’ont aucun sens, dès lors qu’on peut être vacciné et infecté[12] !

Israël: les formes graves et les décès explosent

Sur les formes graves, la désillusion commence aussi à apparaître dans les chiffres. Début 2022, Israël connaît sa vague épidémique la plus meurtrière depuis l’apparition du Covid… alors que la grande majorité de sa population est désormais vaccinée par 2 ou 3 doses !

Des épidémiologistes comme Michel de Lorgeril en tirent les conclusions qui s’imposent :

« Les données israéliennes montrent que les campagnes de vaccination successives n’ont pas diminué la fréquence des décès, c’est-à-dire les plus sévères des formes sévères »[13].

Et on observe le même échec aux États-Unis : la 5ème vague, de février à avril 2022, est l’une des plus meurtrières ! « Conclusion évidente, pour Michel de Lorgeril, la vaccination massive n’a eu aucun effet bénéfique sur la mortalité Covid-19 aux USA ; et de façon plus générale sur la pandémie »[14].

Tout cela apparaît clairement quand on regarde les courbes de mortalité liées au Covid. Force est de constater qu’on n’observe pas une différence spectaculaire avant et après la vaccination de masse, dans aucun pays.

Autrement dit, la protection tant vantée du vaccin contre les formes graves ne se voit pas dans les chiffres globaux de l’épidémie[15]. Bref, au début de l’été 2022, il est clair que la baguette magique vaccinale a fait pschitt.

Cette évolution fascinante, en moins de 18 mois, fait penser à cette affiche humoristique qui a circulé sur Internet :

«Le vaccin : – immunise à 95 %, – immunise à 75 %, – immunise à 50 %, – il n’immunise pas, mais réduit la transmission, – il ne réduit pas la transmission, mais empêche les formes graves, – vous finissez aux soins intensifs, mais vous ne mourrez pas, – vous mourrez, mais vous allez au paradis

Tout ceci pose une question capitale : que s’est-il passé ?

Et pourtant, certains vous l’avaient bien dit !

Cet échec était-il imprévisible ? Est-il lié à des évènements que les autorités sanitaires ne pouvaient pas anticiper ? Les fameux variants, qui contaminent les vaccinés, étaient-ils inattendus ? La réponse est trois fois NON.

Au contraire, cette grande désillusion était non seulement prévisible… mais parfaitement prévue par ceux qui avaient les yeux ouverts ! «Honnêtement, la chance qu’un vaccin pour une maladie émergente devienne un outil de santé publique est proche de zéro», avait prévenu le Pr Raoult, dès le début de la pandémie[16].

En janvier 2021, au moment où tout le monde chantait la gloire des nouveaux vaccins, je vous avais écrit ceci : « Il est certain que le vaccin n’est pas la solution miracle pour mettre fin à l’épidémie et retrouver une vie normale ». La suite m’a donné raison : la vie est devenue totalement « anormale » (passes sanitaires, vaccinaux, etc.), et le nombre de contaminations et de décès Covid n’a pas été stoppé.

Un échec 100% prévisible

C’était parfaitement prévisible : « Le problème est que dans quelques mois, il n’est pas du tout acquis que ce vaccin sera encore intéressant », écrivais-je. Pour une raison simple : les coronavirus mutent beaucoup… et tendent ainsi naturellement à échapper à l’immunité vaccinale recherchée.

L’échec du vaccin était donc 100 % prévisible !

[Note de Joseph : cette explication de l’échec est donnée dans le cadre de la théorie virale dont certains pionniers se sont écartés en raison de ses lacunes scientifiques en termes de rigueur et de démonstration. La théorie alternative propose un tout nouveau paradigme et une approche scientifique cette fois valide qui tend à démontrer que les virus ne sont en réalité que des « exosomes » produits naturellement par nos cellules, avec un matériel spécifique à notre génétique, selon les diverses agressions subies (dont les divers poisons présents dans les vaccins). En conséquence et en cherchant bien, nous pourrons donc trouver finalement des milliards de prétendus « variants » et « sous-variants » étant donné les différences subtiles entre les codes génétiques individuels qui se traduiront en différences du code génétique des exosomes produits par nos cellules lorsqu’elles sont agressées d’une manière ou d’une autre (par le froid, par des toxines chimiques, par la malnutrition, par des champs électriques artificiels, par des ondes électromagnétiques pulsées, par des chocs physiques violents, etc.). Pour en savoir plus, voir le dossier Vaccins et virus ou pour résumer, l’article L’enterrement de la théorie virale.]

Je suis conscient que c’est difficile à croire, car cela voudrait dire qu’il y a eu une sorte d’hypnose de masse chez les experts, les médias et les politiques. Qu’il était malhonnête, scientifiquement, de nous présenter la vaccination comme la « seule solution » pour sortir de l’épidémie.

Mais les faits sont là – et ils valent la peine d’être exposés en détail, car ils montrent à quel point le prestige du «Saint vaccin» peut anéantir la science, le bon sens et la prudence élémentaire.

Sources

[1] https://covidtracker.fr/vaximpact/ Selon ces données de la DREES, il y avait : 1001 cas positifs non vaccinés pour 10 millions de non vaccinés, 1489 cas positifs vaccinés pour 10 millions de vaccinés, et 2211 cas positifs vaccinés(rappel) pour 10 millions de vaccinés (rappel)

[2] https://www.letelegramme.fr/dossiers/coronavirus-campagne-de-vaccination/pr-karine-lacombe-avec-la-vaccination-un-retour-a-la-vie-normale-est-possible-a-la-rentree-23-01-2021-12692338.php

[3] https://www.bfmtv.com/sante/50-a-60-des-francais-vaccines-un-chiffre-suffisant-pour-atteindre-l-immunite-collective_AN-202012230260.html

[4] https://www.europe1.fr/international/coronavirus-en-israel-un-retour-a-la-vie-grace-a-la-vaccination-4026830

[5] https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/coronavirus-il-faudrait-vacciner-90-des-adultes-pour-esperer-retrouver-une-vie-normale-en-france-1617790272

[6] https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2021/04/24/la-vaccination-seule-solution-face-a-la-covid-19

[7] https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/08/21/sur-le-chemin-de-l-immunite-collective-l-obstacle-du-variant-delta_6091970_3244.html

[8] https://www.youtube.com/watch?v=Pg4fH1HRRrk

[9] https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-vaccin-est-un-peu-un-medicament-avec-une-action-formidable-pour-jean-francois-delfraissy_4929057.html

[10] C’est ce qu’on peut voir par exemple sur le site officiel « Vax Impact », pour les 60 à 79 ans : la proportion d’infection parmi les vaccinés (2 ou 3 doses) est systématiquement supérieure à celle observée chez les non-vaccinés, à partir du mois de mars 2022
 https://covidtracker.fr/vaximpact/

[11] https://www.youtube.com/watch?v=jEmy9PeuRLU

[12] https://www.clarkcountytoday.com/news/bill-gates-whats-the-point-of-mandates-if-the-vaccines-dont-work/

[13] https://michel.delorgeril.info/politique-de-sante/epidemiologie-de-la-covid-19-en-mars-2022-lexemple-disrael/

[14] https://michel.delorgeril.info/vaccins/covid-donnees-epidemiologiques-le-10-mai-2022/

[15] Cette déconnection entre les études statistiques sophistiquées et ce qu’on pouvait observer à l’œil nu existe depuis le début de la vaccination de masse :
 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/vaccin-en-israel-des-chiffres-troublants

[16] https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Professeur-Didier-Raoult-Je-suis-un-renegat-1683722




La vaccination anticovid tue de plus en plus de célébrités. Et combien d’anonymes ? Exigeons son arrêt immédiat et définitif pour tous !

Et si l’abandon du concert de Mike Jaggers réveillait les plus âgés, et celui de la nageuse artistique coulant au fond de sa piscine en compétition mondiale et sauvée in extremis réveillait les plus jeunes ?

Les puissants ne pourraient pas poursuivre ce massacre et en particulier ne pas sacrifier nos enfants dès la rentrée (qui ne risquent RIEN du covid et ne transmettent pas le virus)Les puissants ne pourraient pas poursuivre ce massacre et en particulier ne pas sacrifier nos enfants dès la rentrée (qui ne risquent RIEN du covid et ne transmettent pas le virus)(([1] Les enfants sacrifiés du covid : génération meurtrie à travers isolement, masque et vax extorqué | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) en imposant de fait l’injection. en imposant de fait l’injection.

Une seule solution, informer encore et encore et tenter de faire prendre conscience à nos proches et amis que les symptômes qu’ils présentent ne sont pas des « coïncidences » (troubles menstruels, AVC, sensations neurologiques bizarres, fatigue extrême, flambée du cancer du papa, Alzheimer précoce, etc.) mais bien des effets secondaires de l’injection.

Et surtout qu’ils regardent à deux fois avant la troisième ou quatrième dose dont la toxicité globale est supérieure. L’accumulation des doses aggrave les effets du poison. Et il y a certainement beaucoup moins de placebos que dans la première ou deuxième dose…

Une vidéo récente récapitule des décès ou souffrances majeures de célébrités. Plus efficace que de longs discours ? Diffusons-la !

Il faut la voir avec courage, car cette énumération est terrible et la diffuser largement en tentant de joindre des naïfs, vaccinés ou non. Nous sommes tous dans le même bateau. Plusieurs illustrations en sont extraites. Plus que de longs articles savants sur les raisons de cette hécatombe liée aux injections expérimentales à ARN messager qui ne touchent que certains d’entre nous, la diffusion de ces FAITS AVÉRÉS ouvrira peut-être d’autres yeux et ainsi de suite…



Autre source pour la vidéo ci-dessus :



Des concerts annulés

Après s’être fait vacciner, Jane Birkin, (AVC), Mick Jagger (covid post vaccinal), Céline Dion (graves troubles neurologiques), Justin Bieber (paralysie faciale)(([2] https://www.globalizacion.ca/los-tragicos-destinos-de-estrellas-mundiales-como-celine-dion-y-justin-bieber-abriran-los-ojos-de-sus-fans/
https://www.globalresearch.ca/will-the-tragic-fate-of-world-stars-like-celine-dion-and-justin-bieber-open-the-eyes-of-their-fans-impacts-of-covid-19-vaccine/5783700
Justin Bieber & Céline Dion victimes du « vaccin » Covid ? avec Michel Chossudovsky et Nicole Delépine | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) reportent leurs concerts, ainsi que de nombreux autres artistes.

D’autres meurent…

Des compétitions interrompues

Emma Raducanu avait dû abandonner Wimbledon en 21. Comment n’avaient-ils pas tous compris ce à quoi ils s’exposaient et que Djokovic mettait en lumière par son refus inébranlable de s’injecter le poison.

En 2022 des tennismen forcés d’abandonner en pleine compétition découvrent l’ampleur de la toxicité des injections. Raphael Nadal arrive à Wimbledon avec des sensations nerveuses étranges en juillet 2022.

Footballers, basketteurs, nageurs, hockeyeurs, entraîneurs, meurent brutalement sur le terrain ou sont obligés d’abandonner leur carrière et passion.

La nageuse artistique Anita Alvarez, double championne olympique a perdu connaissance après avoir senti des engourdissements dans les doigts, puis tout est devenu noir. Elle est restée sous l’eau deux minutes et a pu être réanimée, car sa coach a réussi à la remonter à temps.

D’autres voient leurs pathologies comme des cancers, s’aggraver et flamber

Certains meurent de cancers aggravés par la vaccination ou développés rapidement à sa suite, comme cette belle gymnaste de 16 ans.

Des journalistes n’échappent pas aux complications, voire au décès en direct

Énormément de sites ou de pages Telegram, etc. recensent ces FAITS AVÉRÉS

Et si vous voulez d’autres témoignages, ils s’accumulent entre autres sur COVID VACCINE INJURIES

Ou sur Telegram : https://t.me/covidvaccineinjuriesdotcom

Et en français :

  • 💉 #29ans #ErranceMedicale #EffetsSecondaires #VaccinsCovid19 #Covid19 #Temoignage #VVC19 #Victime
  • 🗣 #Victime11 — Témoignage vidéo d’effets secondaires des vaccins Covid-19
  • « 📣 Pour que les victimes soient reconnues, pour que les enfants ne se fassent pas vacciner, pour ne pas être contraint à recevoir une dose de plus, toi aussi témoignes des effets secondaires dont tu es victime en nous envoyant un mail à :
  • 📧 victimes-vaccins-covid19@proton.me
  • Tu peux témoigner anonymement ou à visage découvert 👍 Nous avons besoin de toi 🙂
  • Pour contourner la censure, rejoins-nous sur nos Chaînes Odyssée et Telegram 🚀
  • 🔗 Odysée : https://odysee.com/@VVC-19
  • 🔗 Télégram : https://t.me/VVC_19
  • Pour protéger tes proches qui pensent que ces vaccins sont sûrs, partage-leur ce témoignage 🔥 »
  • Ensemble nous sommes plus fort 💪

Ne regardez pas ailleurs : la vie de vos proches, amis, relations en dépend, même s’ils ont déjà reçu l’injection. Chaque dose aggrave le risque actuel et à long terme. Le sort de l’Humanité dépend de nous tous. INFORMONS.




Covid-19 : les injections vaccinales multiples favoriseraient les infections

[Source : les7duquebec.net]

Par Khider Mesloub. 

De vague en vague – de dose en dose

Curieusement, depuis la réapparition de la pandémie de Covid-19, au lendemain de chaque levée des restrictions, de chaque déconfinement, après quelques semaines de « Liberté » recouvrée, certains scientifiques, des charlatans et/ou des experts, médecins stipendiés par la grande pharmacopée interviennent dans les médias pour préparer psychologiquement la populace à une énième vague de contamination provoquée par le surgissement d’un nouveau variant (sic) contre lequel les vaccins de Big Pharma ne peuvent rien… et allons-y d’une nouvelle dose coûteuse et inutile selon Michèle Rivasi :

Vaccins Covid-19 | Ce matin, en commission COVI (de l’Union européenne) j’ai interpellé la commissaire européenne à la transparence sur la demande d’un groupe de pays.

Depuis quelques semaines, selon les médias, les pays occidentaux, en particulier européens, dont 80 % de la population adulte sont pourtant vaccinés, enregistreraient une augmentation des « cas » de contamination, preuve irréfutable que les vaccins ARN ne marchent pas.

Selon ces organes de presse «gouvernementalement» informés et généreusement subventionnés, donc contaminés par l’idéologie sécuritaire et belliciste dominante, on assisterait à une nouvelle flambée de contaminations, observée notamment au Portugal. En Allemagne. Et depuis peu, en France. La majorité des personnes contaminées est pourtant totalement vaccinée (!!!)

Certains de ces pays européens, outre l’injection d’une quatrième dose de l’inopérant vaccin ARN-messager, envisageraient de rétablir les mesures restrictives de «distanciation sociale» (sic) pour soi-disant «juguler la propagation du virus»… mesures qui depuis deux ans n’ont pourtant pas fonctionné. D’aucuns, comme au temps du début de la pandémie bidon ou comme en Chine actuellement, préconisent l’instauration d’un nouveau confinement (dément), mesure moyenâgeuse par excellence, comme la définit le professeur Didier Raoult.

Par suite, devant le rebond des contaminations, statistiquement fabriqué, les gouvernants s’apprêteraient, suivant les conseils pécuniairement avisés de Pfizer et Astra à ordonner, dans une fuite en avant vaccinale, la généralisation de la quatrième injection (dose). Et, rebelote, ces gouvernants lancent, en l’espace de 18 mois, la quatrième campagne de vaccination… coûteuse et inutile.

Visiblement dans ces pays atlantistes, malgré une couverture «vaccinale» de plus de 80% de la population adulte, sévirait toujours une flambée de «cas» que Big Pharma prendrait pour prétexte pour fourguer sa drogue vaccinale sans se préoccuper le moins du monde des effets secondaires de ces concoctions meurtrières comme le souligne la docteure Nicole Delépine :
Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé (Nicole Delépine) — les 7 du Québec.

Pourtant, on se souvient qu’au début de la pandémie on nous affirmait que, pour être immunisé contre la Covid-19 et « reprendre une vie normale », il suffirait que la majorité de la population ait obtenu ses deux doses. Puis ce fut trois doses… et aujourd’hui ce sont les quatre doses… ce qu’Israël et l’Islande ont pourtant expérimenté sans succès(([1] Islande, l’effondrement du narratif du Covid :
Des nouvelles révolutionnaires venant d’Islande : L’effondrement du narratif du Covid ? | #Politique | Kla.TV 
En Islande on en revient aux principes de l’immunisation naturelle.))

La « protection » fugace

On se rappelle également que les marchands pharmaceutiques affirmaient qu’avec l’administration de ces deux doses de vaccin la protection serait assurée à plus de 90 % pour une très longue durée. Après seulement quelques mois, on découvrait que leur efficacité était d’à peine 39 %. Pire : les deux doses ne protégeraient de la maladie qu’une petite fraction des vaccinés, et pour seulement quatre mois au plus. Malgré cet échec vaccinal, sans s’appuyer sur aucune étude clinique réévaluée, les marchands des laboratoires pharmaceutiques avaient recommandé l’injection d’une troisième dose… sans se préoccuper des effets secondaires mortels.(([2] voir : 
Risques spécifiques à l’âge et au sexe de myocardite et de péricardite à la suite de vaccins à ARN messager Covid-19 | Nature Communications 
et Canada : Surmortalité observée au New Brunswick (Canada) en fin 2021 : la ministre de la Santé s’inquiète | FranceSoir))

Actuellement, avec la nouvelle vague épidémique médiatiquement prophétisée, les autorités sanitaires préconisent, pour garantir une meilleure protection selon la terminologie propagandiste usitée, l’injection d’une quatrième dose… avant la cinquième…

Comment croire que cette quatrième injection serait plus efficace que les trois premières ? Pour quel motif les gouvernants des pays atlantistes, notamment la France et le Canada, incitent-ils à ce rappel vaccinal sans aucun argument scientifique ni aucun essai clinique à l’appui?

Une chose est sûre, exhibée comme le remède miracle contre la Covid-19, aujourd’hui la vaccination à base ARN-m peut être considérée comme un échec médical cuisant. En effet, la vaccination contre le coronavirus était présentée comme le «nouveau Graal» de la médecine moderne, en lieu et place de la thérapeutique médicale curative et des traitements médicamenteux prophylactiques, décriés, considérés désormais comme des méthodes moyenâgeuses en matière de soins.

Des « fatwas gouvernementales » avaient même été édictées contre des médecins désireux, dans le respect de leur serment d’Hippocrate, de soigner scientifiquement leurs patients ou prescrire quelque traitement médicamenteux antiviral. Seule la « potion magique vaccinale » ARNm était censée guérir le malade atteint du Covid-19. Voire redonner des forces à l’économie malmenée par le virus, selon les imposteurs gouvernementaux, et non pas par les mesures politiques destructrices décrétées par les gouvernements. L’injection de deux doses d’ARN-messenger allait permettre aux « citoyens » de recouvrer leur liberté longtemps confinée, mise sous cloche despotique, et à la société de renouer avec son fonctionnement normalisé.

Aujourd’hui, après deux années d’expérimentation, malgré l’injection de trois doses, la vaccination n’a pas tenu ses promesses. Ni concrétisé ses prometteuses prouesses. Elle a laissé place à la méfiance, la défiance. À la controverse. À la répugnance.

« Ce que l’on observe, c’est que les cas qui sont hospitalisés sont plutôt les plus de 60 ans, notamment avec des facteurs de comorbidité, et surtout les plus de 80 ans », a déclaré à BFMTV Bruno Lina, virologue et membre du Conseil scientifique. Autrement dit, c’est au sein de la population la plus vaccinée que l’on enregistre le grand nombre d’hospitalisations. En dépit de cette flambée d’hospitalisation des vaccinés, les tenants des injections vaccinales à répétition recommandent l’administration de la quatrième dose. Selon plusieurs sources, les publics les plus âgés, pourtant multi-injectés, ont actuellement un taux d’incidence deux fois plus élevé que les mineurs, absolument pas vaccinés. Ainsi, la vaccination n’évite aucunement la contamination. Ni la transmission. Ni l’hospitalisation. Ni la mort.

Les cobayes humains

Quand les dissidents pointent du doigt l’inefficacité des vaccins ARN-m, les partisans de la vaccination rétorquent qu’ils protègent de la forme grave. Cet argument est discutable, pour ne pas dire fallacieux. Si la mortalité a certes baissé, elle est imputable à l’amenuisement de la virulence des virus et non à la vaccination (comme il survient chaque fois en pandémie virale). Comme chacun le sait, tous les virus (bactéries et autres parasites), dans tous les contextes épidémiques, au fil du temps, par suite de leurs multiples mutations, perdent de leur virulence en s’adaptant à leurs hôtes, tout comme ils finissent par aboutir à une atténuation de leur contagiosité et, par conséquent, de leur létalité. Aussi, les nouveaux variants sont, automatiquement, moins dangereux et moins infectieux que le virus d’origine.

Donc, dans le cas du Covid-19, la diminution de la mortalité ne peut être imputée à la vaccination. D’autant plus que les nouveaux vaccins mis sur le marché, élaborés à la hâte, sont toujours au stade de l’essai clinique, c’est-à-dire en phase expérimentale. En médecine, un essai clinique est une recherche biomédicale menée chez l’humain, avec pour objectif d’améliorer les connaissances et le traitement des maladies. En d’autres termes, avec les vaccins ARN-m, nous en sommes encore à la phase d’évaluation de l’efficacité et de la tolérance du produit sauf que cette fois… les cobayes expérimentaux sont quelques milliards d’humains sacrifiés par les gouvernements stipendiés.

Ainsi, la vaccination de la majorité de ces populations occidentales n’a permis ni de diminuer le rythme de la propagation du virus ni de réduire les formes graves nécessitant la réanimation. Sans aucun doute, les vaccins ARN-m ne protègent ni de la contamination, ni de l’hospitalisation, ni du décès. Ni de la transmission du virus.

Les dangereux vaccins

Assurément, les vaccins ARN-m semblent avoir une médiocre efficacité contre la Covid-19. Pire : ces produits commerciaux accéléreraient, selon certains experts, les mutations du virus. Et pour cause. Les vaccins ARN-m semblent avoir la particularité de sélectionner des mutations résistantes du fait qu’ils ne décodent que la seule protéine Spike (donc un unique site de reconnaissance), contrairement à un vaccin de type inactivé entier (élaboré notamment par le laboratoire Sinovac) capable de coder une multitude. Autrement dit, les vaccins à ARN-m favoriseraient, selon les spécialistes, l’apparition de mutations résistantes, c’est-à-dire la multiplication de variants. Comme le reconnaissait, dès l’année dernière, le chercheur de l’Institut Pasteur, Frédéric Tangy, spécialiste des vaccins : « Vacciner plus en plus de monde, dans le contexte présent, va faire naître d’autres variants résistant aux réponses immunitaires naturelles ».

À cet égard, le choix des gouvernements occidentaux, à l’instigation des laboratoires pharmaceutiques, d’acquérir exclusivement les nouveaux vaccins ARN-m, réputés pour leur spécificité de favoriser la création de mutants, interpelle. Par ce choix stratégique vaccinal ARN-m à l’efficacité médiocre, les gouvernements occidentaux entretiendraient-ils délibérément la pandémie par sa pérennisation opérée par la réapparition de nouveaux variants, nécessitant ainsi, au grand bénéfice des laboratoires pharmaceutiques, des campagnes de rappel de vaccination quasi semestrielles pour une longue période, afin d’enrichir les Big Pharma, mais également pour justifier l’instauration de la dictature sanitaire-sécuritaire, bouclier du programme du Grand Reset actuellement mis en œuvre ?(([3] Voir L’impérialisme, la phase finale du capitalisme mondialisé — les 7 du Québec.))

À la vérité, selon les médecins, l’actuel variant Omicron (et ses dérivés, déclinés sous les noms successifs BA.1, BA.2, BA.3, BA.4, BA.5) ne provoquerait qu’un gros rhume. Une chose est sûre, depuis l’année dernière la diminution du nombre de décès a été relevée dans tous les pays. Tout comme le nombre de contaminations virulentes.(([4] Voir à cet effet le dernier rapport statistique que nous avons publié : 
Rapport mensuel de situation Covid planétaire/ 2 juillet 2022 (Dominique Delawarde) — les 7 du Québec.))

Pour preuve de l’inefficacité des vaccins contre le coronavirus, la publication d’une étude israélienne dans Science et Magazine. Selon Science Magazine parue le 26 août 2021, relayant une étude effectuée en Israël, être contaminé par le Covid-19 confère une immunité plus grande qu’un vaccin. En effet, la protection immunitaire naturelle développée après l’infection par le Covid est 13 fois plus efficace contre le virus que l’administration du vaccin Pfizer. Autrement dit, le système immunitaire humain est plus puissant pour résister au virus, selon cette étude israélienne. « Les données récemment publiées montrent que les personnes qui ont déjà eu une infection par le SRAS-CoV-2 étaient beaucoup moins susceptibles que les personnes vaccinées et jamais infectées d’attraper Delta, d’en développer des symptômes ou d’être hospitalisées avec un Covid-19 grave», rapportait Science Magazine.

Selon le magazine, « Il s’agit de la plus grande étude d’observation dans le monde réel à ce jour pour comparer l’immunité naturelle et induite par le vaccin au SRAS-CoV-2». « Cette analyse a démontré que l’immunité naturelle offre une protection plus durable et plus forte contre les infections, les maladies symptomatiques et les hospitalisations dues à la variante Delta », avaient déclaré les chercheurs israéliens.

Néanmoins, il convient de souligner que l’étude avait également montré que toute protection est limitée dans le temps. La protection offerte par l’infection naturelle diminue au fil du temps, tout comme la protection induite par les vaccins. Tout comme les virus, au fil du temps, perdent leur virulence, c’est-à-dire leur contagiosité et leur létalité diminuent considérablement. Comme chacun le sait, un virus est toujours en mutation. C’est sa nature. C’est une loi de l’évolution. Qui plus est, le virus n’a pas intérêt à tuer son hôte, car en le tuant il disparaît également. En tout état de cause, l’homme est porteur d’anticorps, qui sont la réponse immunitaire aux antigènes des différentes souches d’un virus.

[Note de Joseph :
Cependant la théorie virale n’a jamais été démontrée selon une démarche véritablement scientifique et lorsqu’on l’aborde sous un tel angle, elle apparaît en fait fallacieuse.
Voir en particulier les articles suivants extraits du dossier Vaccins et virus :
Le mythe de la contamination épidémique
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Démontage de la théorie virale
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
L’invention du SARS-CoV-2 (article très technique)
L’enterrement de la théorie virale
La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple
L’interprétation erronée du virus — 2e partie
La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2
Ebola : briser les mensonges et la supercherie.
Ces articles concourent à largement démontrer la fausseté de la théorie virale.
Si un nombre plus important de médecins se penchaient sérieusement sur de tels articles et acceptaient de remettre en question ce qu’on leur a enseigné à l’université sous la large influence de Big Pharma, après l’enterrement de la théorie virale, viendrait celui de la vaccination et d’une bonne partie de la médecine allopathique actuelle, puis l’effondrement des mesures sanitaires partout dans le monde, pierre angulaire de l’édification du Nouvel Ordre Mondial. Et sans cette pierre angulaire, celui-ci s’effondrerait à son tour.]

Les vaccins — les variants — la contamination

Selon les spécialistes honnêtes, ce sont bien les vaccins ARN-m qui favoriseraient ces mutations, contrairement au discours gouvernemental accusant, hier, les non-vaccinés d’être responsables de la propagation de la pandémie dans les pays pourtant massivement vaccinés, et, aujourd’hui, les vaccinés eux-mêmes du fait de leur supposé relâchement en matière de protection. Paradoxalement, à chaque échec des campagnes de vaccination, illustrée par la résurgence des cas, les autorités incriminent systématiquement les « citoyens », accusés de faire preuve de négligence en matière de protection sanitaire, mais ne remettent jamais en cause les vaccins. Elles n’appellent ni à reconsidérer la politique vaccinale ni à réexaminer la gestion sécuritaire de la crise sanitaire. Et pour cause. La première permet un enrichissement faramineux des Big Pharma, la seconde offre une opportunité d’infléchissement autoritaire des pouvoirs publics.

Pour autant, d’après une étude japonaise, les injections répétées de vaccins à ARN-m multiplieraient les anticorps facilitants, conduisant inéluctablement à des infections de formes sévères. En effet, avec chaque nouvelle injection, en raison de la multiplication des anticorps facilitants, les copies du virus augmenteraient la charge virale des vaccinés, contrairement aux non-vaccinés.

De fait, la vaccination à rappels multiples favoriserait, elle-même, l’émergence de l’infection. En effet, comme ne cessent de le soutenir, depuis le début de la pandémie, les docteurs Nicole et Gérard Delépine, la généticienne Alexandra Henrion-Claude, le professeur Christian Perronne et le professeur Didier Raoult (tous anathématisés, calomniés), pour ne citer que les scientifiques célèbres, les injections multiples des vaccins anti-Covid-19 ne favorisent pas que la production d’anticorps neutralisants contre la protéine spike du virus SARS-CoV-2. Certains anticorps dirigés contre cette protéine spike peuvent être facilitants, c’est-à-dire qu’ils peuvent au contraire faciliter l’infection des personnes injectées/vaccinées, selon un phénomène appelé ADE (« antibody-dependent enhancement » ou facilitation de l’infection dépendante des anticorps).(([5] Voir : Résultats de recherche pour « delepine » — les 7 du Québec 
et Résultats de recherche pour « perronne » — les 7 du Québec 
et Résultats de recherche pour « raoult » — les 7 du Québec.))

Par ailleurs, ces injections vaccinales multiples peuvent également provoquer une infection aggravée des personnes injectées/vaccinées (en cas d’infection ultérieure par un variant du SARS-CoV-2) via un phénomène plus large appelé ERD («enhanced respiratory diseases» ou facilitation des maladies respiratoires) qui ne dépend pas nécessairement de la production des anticorps facilitants.

Les récentes études montrent des signes cliniques plus marqués après infection que chez les personnes non vaccinées. La preuve par l’Allemagne. La revue « eugyppius » a publié une carte établie le 28 juin 2022 par l’Institut Robert-Koch (équivalent allemand de l’Institut Pasteur) intitulée : «Omicron BA.5 préfère les Allemands de l’Ouest hyper vaccinés et masqués et évite l’ancienne RDA.» Dans cette carte, la revue dévoile l’existence, en matière de conduite politique et réceptivité psychologique, d’une démarcation prononcée entre l’ex-Allemagne de l’Est et l’ex-Allemagne de l’Ouest, héritage de la division territoriale, étatique et idéologique du pays entre 1945 et 1989 au cours de la guerre froide:  «Les Allemands de l’Est ont une expérience directe de la propagande gouvernementale et se sont montrés plus résistants à la campagne de vaccination que les Occidentaux. Leur récompense, après avoir été beaucoup dénigrés par les médias d’État, est maintenant un niveau plus élevé d’immunité naturelle et un taux plus faible d’infection par le BA.5, qui semble préférer les populations vaccinées.».

Pénuries de main-d’œuvre

Par ailleurs, si, ces dernières semaines, les hôpitaux et les compagnies aériennes manquent cruellement de personnels, cela n’est pas dû à une pénurie salariale, mais à l’absentéisme massif occasionné par les arrêts maladie des salariés affectés par le Covid-19. Pourtant, dans ces deux secteurs sensibles, l’ensemble des salariés est multi-injecté, c’est-à-dire triplement vacciné. Ce phénomène de l’arrêt de travail massif pour cause de maladie n’a jamais été observé auparavant. Tout se passe comme si la vaccination à base ARN-m serait devenue un vecteur de pathologies, un agent pathogène. En particulier avec les injections vaccinales répétées, responsables de l’amenuisement du système immunitaire.

Au reste, du fait de la résistance des derniers variants (BA.4 et BA.5) aux anticorps neutralisants, et de l’émergence continue de nouveaux variants, la vaccination à rappels multiples engendrerait un risque sérieux d’atteinte à l’immunité naturelle des patients.

En effet, une vaccination contre la Covid-19 avec de nombreux rappels induirait, selon les scientifiques, notamment le défunt Luc Montagnier, un syndrome d’immunodéficience acquise ou SIDA (celui-ci est un syndrome immunitaire indépendant du VIH) chez les multi-injectés/ vaccinés. Par ailleurs, le dérèglement de l’immunité innée se traduirait également par un dérèglement de l’immunité adaptative/acquise, c’est-à-dire à un dérèglement généralisé du système immunitaire.(([6] Voir : Résultats de recherche pour « montagnier » — les 7 du Québec.))

En d’autres termes, les injections vaccinales répétées, dépassant le seuil critique, conduisent inévitablement à un dérèglement de l’immunité innée, et à l’apparition de potentiels troubles auto-immuns. Cette diminution des défenses immunitaires se traduit par une dangerosité accrue pour les vaccinés et un portage viral toujours plus fort.

De toute évidence, combattre la pandémie de Covid-19 à coups de doses de rappel des vaccins actuels n’est pas une stratégie fiable ni viable. Aussi, comme le recommandent les experts honnêtes soucieux réellement de la santé publique, notamment japonais, dans l’attente de l’adaptation du vaccin au nouveau variant, autrement dit en attendant que la composition du vaccin soit mise à jour, pour éviter les mutations générées par les vaccinations à répétition, il serait plus prudent de favoriser une autre médication. Effectivement, comme le prouve l’expérience actuelle, la multiplication des injections avec des vaccins fondés sur la souche originelle du virus n’a aucune utilité médicale, sinon d’enrichir les laboratoires pharmaceutiques.(([7] Voir : Résultats de recherche pour « Izambert » — les 7 du Québec.))

Or, en dépit de l’échec de la vaccination et, surtout, des risques du dérèglement de l’immunité naturelle, les laboratoires pharmaceutiques, au lieu d’adapter leur vaccin au variant Omicron (ou ses sous-variants), incitent les populations à l’injection d’une quatrième dose avec les mêmes vaccins élaborés pour la primitive souche du coronavirus apparue fin 2019. Car il faut écouler les stocks.

Le contexte pandémique sous le capitalisme

Quand la santé du capital prime celle de l’être humain, l’injection de manipulation scientifique, administrée à haute dose dans le corps social, devient la norme. Tel est le contexte pandémique actuel financièrement instrumentalisé par les multinationales du médicament. Alors que les vaccins ARN-m sont toujours en phase d’essai clinique, malgré leur l’échec patent à enrayer le virus, notamment contre le variant Omicron et ses dérivés, et les risques de dérèglement l’immunité naturelle, les laboratoires pharmaceutiques persévèrent dans leur politique de préconisation de l’injection d’une quatrième (cinquième dans certains pays abonnés aux vaccins ARN-m de Pfizer) dose.

Les profits sont au rendez-vous

Une chose est sûre, à ce stade expérimental, avec ces vaccins ARN-m, le seul effet bénéfique concrètement observé est d’ordre financier. Le chiffre d’affaires de l’entreprise américaine Pfizer a bondi de 95 % en 2021, atteignant 81,3 milliards de dollars, et dégageant 22 milliards de bénéfices. BioNTech : 19 milliards de chiffres d’affaires et 10 milliards de bénéfices. Moderna : 20 milliards de chiffres d’affaires et 12 milliards de bénéfices. À eux trois, ces trois groupes pharmaceutiques ont réalisé 65 000 dollars de bénéfices par minute. Avec l’augmentation du prix de vente décidée, la quatrième injection est assurée de croître de 50% les bénéfices des laboratoires pharmaceutiques.

Le tiers monde est protégé-immunisé par sa pauvreté

Pour conclure. Comment expliquer qu’en Asie et en Afrique, sans mesures de restrictions, ni de protection sanitaire (masques, solutions et gels hydroalcooliques pour se désinfecter les mains, gestes barrières, etc.), ni aucune injection vaccinale, pour l’Afrique, la faiblesse du nombre de contaminations et de décès dans ces deux continents (qui représentent les 2/3 de l’Humanité) ? Par l’innocuité du coronavirus ? Comment interpréter la surmortalité liée au Covid-19 officiellement enregistrée par les États occidentaux et leurs pays satellites (qui totalisent 70% des 6 millions de décès dans monde) ? Par la surestimation du nombre de décès attribués au Covid-19, surtout quand on apprend que plus de 99% des morts liés au virus étaient atteints d’une autre maladie grave, de comorbidité ? Comment analyser cette disparité de la mortalité devant ce virus à géographie variable ? À croire que ce virus mute en fonction des États, flambe au gré des orientations politiques et économiques des dirigeants, tue statistiquement selon la volonté des gouvernements, ressuscite invariablement au rythme de la multiplication des vaccinations imposées dans les pays atlantistes ! En complémentaire : les Big Pharma fourguent leurs vaccins aux pays africains : Michèle Rivasi – Vaccins Covid-19 | Quelle est la vision… | Facebook 

Khider MESLOUB




Lettre ouverte à Mr Le Député Fabien Roussel et à ses collègues : le pseudovaccin antiCovid est dangereux et inutile, il faut l’interdire

Par Dr Gérard Delépine

Non, Monsieur le Député, le pseudo vaccin ne réduit ni le risque de porter le virus (ce qui n’a aucune incidence), ni les contaminations, ni les formes graves. Il faut écouter les vrais scientifiques, ceux qui ne sont pas liés aux laboratoires pharmaceutiques et qui basent leurs conclusions sur les seuls faits établis au lieu de croire en des simulations biaisées.

Ce graphique publié par l’OMS sur https://Covid19.who.int/ montre que les vaccinations n’ont pas réduit les contaminations, mais ont au contraire été suivies par une accélération de l’épidémie :

D’ailleurs, comme nous, vous devez connaître parmi vos proches de nombreuses personnes totalement vaccinées et qui ont été malades du Covid parfois même à plusieurs reprises.

De plus, cette injection expérimentale est à l’origine de nombreux effets secondaires, dont des décès rapides, des maladies neurologiques comme certaines maladies de la vache folle, de perturbations hormonales majeures et de risque d’atteinte de la fertilité à plus ou moins long terme. La diminution de l’immunité personnelle qui s’aggrave avec les doses successives entraîne une fragilité des personnes sources d’infections répétées et d’augmentation du nombre de cancers.

Les collègues médecins du monde entier, dont de grands scientifiques et chercheurs, multiplient les appels pour un moratoire mondial auxquels vous ne pourrez rester indifférent, si comme nous le pensons, vous ne voulez que le bien de l’Humanité et singulièrement des électeurs qui vous ont fait confiance.

Votre tweet(([1] « @AvecRoussel
Le vaccin fonctionne. Le vaccin réduit le risque de porter le virus. Le vaccin permet de réduire la contagiosité. Il faut écouter les scientifiques ». sous réserve que ce tweet soit authentique.)) témoigne d’une désinformation dont vous avez été victime comme tant d’autres et que nous tentons de combattre comme beaucoup en publiant les FAITS AVÉRÉS, malgré la censure qui rend leur accès difficile et malgré la propagande permanente répétant les opinions de médecins trop liés aux laboratoires pharmaceutiques.

La réponse d’Antoine Léaument à votre tweet est justifiée. Espérons qu’il sera entendu :

« J’ai interpellé aujourd’hui le ministre de la Santé. Je lui ai dit qu’il FAUT réintégrer les soignants suspendus. Puisqu’être vacciné n’empêche ni la contamination ni la transmission du virus, à quoi bon continuer avec cette absurdité ? »

@ALeaument · 5 juil.

Quelques rappels parmi les démonstrations quotidiennes de l’inefficacité des pseudo vaccins :

La vaccination n’a pas évité aux Péruviens de mourir de Covid

La propagande vaccinale prétend que la vaccination protégerait des formes graves et de la mort. Mais à la lumière des chiffres de l’OMS, l’exemple du Pérou montre qu’une telle affirmation est mensongère. La mortalité Covid cumulée a doublé au Pérou depuis la vaccination qui a pourtant concerné plus de 85 % des habitants, dont plus de 95 % des personnes à risques. Au 15 juin 2022, le nombre de morts attribuées au Covid dépasse les 200 000, infligeant à ce pays le plus vacciné d’Amérique du Sud le taux de mortalité le plus élevé de tous les pays du monde (6700 par million).

À l’opposé, les pays africains qui ont traité précocement par antipaludéens et très peu vacciné ont quasi complètement évité les formes graves et les morts Covid. Leurs mortalités cumulées ne dépassent pas les 200 par million !

Mais le vax inutile est aussi dangereux

Il augmente les fausses couches de façon drastique tant en UE comme la dia en témoigne qu’aux USA :

Les cancers augmentent de façon spectaculaire, comme les médecins militaires américains l’ont signalé depuis des mois demandant eux aussi un arrêt de ces injections expérimentales :

Mr Le Député, ne prenez pas le risque d’envoyer vos concitoyens à l’injection de trop, car vous en supporteriez au moins la responsabilité morale. L’histoire tragique de Céline Dion et de Justin Bieber, entre autres vedettes qui avaient exigé la preuve des injections pour assister à leur concert, est terrible.(([2] Entretien avec le Pr Chossudovsky : les stars qui ont promu le vax et qui en sont victimes devraient aider à la campagne pour stopper cette injection dangereuse — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

« Céline Dion et Justin Bieber, mêmes destins tragiques après injections anti-Covid. Quelle tristesse, quelle erreur, quelle aberration ! Comment des artistes, loin de la vraie médecine et probablement trop proches des délires journalistiques imposés par les labos avides de vendre, peuvent-ils entrer dans cette manipulation au point finalement d’y laisser leur vie, en tous cas d’ores et déjà leur vie d’artiste ?

Le jeune Justin Bieber avait, comme Céline, demandé à ses spectateurs en concert une triple vaccination antiCovid. Rappelons qu’il s’agit d’une pop star de 28 ans — qui compte 539,2 millions de followers sur les réseaux sociaux. On imagine la capacité d’influence de ces stars elles-mêmes manipulées par Big Pharma et/ou affidés.

Il avait déjà vécu une alerte concernant les injections, après les complications de sa femme Hailey qui malgré son jeune âge avait souffert d’un accident vasculaire cérébral possiblement post vaccinal. » (…)

Dre Nicole Delépine
Extrait de l’article : Les destins tragiques de stars mondiales comme Céline Dion et Justin Bieber vont-ils ouvrir les yeux de leurs fans ? Mondialisation.ca, le 12 juin 2022.

Et que direz-vous de la hausse de la mortalité globale constatée et publiée par l’Office National des Statistiques anglais beaucoup plus transparent que nous ?

Cette augmentation de la mortalité hors Covid des vaccinés n’a pas de cause établie avec certitude pour l’instant, mais reflète certainement, au moins en partie, les conséquences des complications vaccinales connues (myocardite, accidents vasculaires, thromboses…) et de la baisse globale d’immunité qui augmente le risque d’infections et de reprise évolutive de cancer.

Cette augmentation de la mortalité des vaccinés est d’autant plus inquiétante qu’elle a aussi été constatée dans de nombreux autres pays : en France (+38 %)(([3] https://www.zinfos974.com/Mortalite-38-par-rapport-a-2019-la-plus-forte-augmentation-de-France_a184422.html)), aux USA(([4] https://resistance-mondiale.com/un-rapport-de-la-fda-revele-que-la-mortalite-toutes-causes-confondues-est-plus-elevee-chez-les-vaccines
https://www.epochtimes.fr/pourquoi-le-nombre-de-deces-a-t-il-augmente-de-40-aux-etats-unis-par-rapport-a-lannee-derniere-1932664.html
Il y a eu une augmentation inattendue de 40 % des « décès toutes causes » en 2021 :
https://www.kusi.com/there-was-an-unexpected-40-increase-in-all-cause-deaths-in-2021/)) en Allemagne(([5] https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/11/22/des-medecins-allemands-confirment-a-nouveau-la-correlation-entre-vaccin-et-surmortalite/))(([6] L’expérience anglaise démontre l’augmentation de la mortalité globale chez les vaccinés antiCovid — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) et plus globalement en Europe(([7] https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/11/19/explosion-de-la-surmortalite-hors-Covid-19-en-europe/)).

Cette surmortalité des vaccinés, tant Covid que non Covid, apparaissant quelques mois après les injections nécessite en urgence des analyses approfondies et, en attendant un moratoire sur la pseudo vaccination Covid.

La négation de ce paradoxe prépare un scandale bien plus grave que celui du médiator, du Vioxx, ou du sang contaminé…

Lisez l’appel du conseil mondial de la santé :

Vaccins antiCovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)





Énorme coup de gueule de Christophe Prudhomme sur l’agonie de l’hôpital public et des urgences

[Source : Sud Radio]

Avec Christophe Prudhomme, médecin urgentiste au SAMU-93, porte-parole de l’AMUF (Association des médecins urgentistes de France).




Mise en garde sur l’augmentation des cancers post-vaccinaux suite à l’analyse récente de 845 cas de leucémie liés aux vaccins Covid

[Source : epochtimes.fr]

Par Dr YUHONG DONG & HEALTH 1+1

Le Dr Ryan Cole, pathologiste américain et fondateur de Cole Diagnostics, a constaté une augmentation anormale de certains cancers suite à la campagne de vaccination contre le Covid. Parmi les tendances inquiétantes, on note une augmentation inhabituelle de certains cancers rares. Selon lui, les injections contre le Covid ont peut‑être nui au système immunitaire des vaccinés.

Le Dr Cole est pathologiste, son travail consiste à examiner un grand nombre de coupes histologiques et à fournir ses conclusions pathologiques aux cliniciens. Récemment, il a constaté une augmentation du nombre d’adultes avec des maladies infantiles ou des cancers rares. Ces pathologies rares se développent à un rythme anormal, dans des groupes d’âge atypiques. Il a également constaté une augmentation des décès, toutes causes confondues, chez les personnes vaccinées.

En tant que professionnel explorant ces phénomènes au niveau microscopique, le Dr Cole est très troublé.

Ce ne sont absolument pas des cas isolés.

Récemment, un grand nombre de leucémies ont été signalées en Chine de manière spontanée. Tous les patients avaient été vaccinés contre le Covid.

Il semble donc que nous ayons en Chine un phénomène similaire à celui signalé par le Dr Cole.

Nous souhaitons publier ici nos résultats et susciter une attention mondiale urgente sur les hémopathies malignes comme effets indésirables des vaccins Covid.

Dernière analyse portant sur 845 cas post‑vaccinaux de leucémie

En date du 4 juin 2022, nous avons reçu deux listes avec près de 1000 cas de leucémie rapportés comme événements indésirables post‑vaccinaux. Dans notre article précédent, faute de temps, nous n’avons analysé que 235 cas certifiés. Nous fournissons désormais une analyse de tous les cas.

Après vérification, nous avons supprimé les doublons (certains cas ont été signalés dans deux groupes différents afin d’augmenter les chances d’être remontés) et les cas dont les informations étaient incomplètes. Il restait 845 cas recevables.

Pour classer les informations, nous avons adopté une méthode rigoureuse et prudente, telle que pratiquée dans le milieu. Par exemple, si le moment de l’apparition de la maladie ne comportait pas de date précise, mais seulement le mois, nous avons remonté cette ambiguïté et le caractère approximatif du cas, moins propice à établir la causalité.

Voici notre analyse complète des 845 cas admis.

Analyse du genre

La moitié des patients étaient des hommes. La prédominance masculine est conforme à l’incidence généralement observée de la leucémie selon le genre.

Analyse de l’âge

Les patients étaient âgés de 1 à 80 ans, l’âge médian étant de 29 ans, et la moitié d’entre eux avaient entre 12 et 45 ans.

En examinant les cas, on constate que l’âge d’apparition de la leucémie myéloïde aiguë (LMA) et de la leucémie lymphoblastique aiguë (LLA) ne semble pas correspondre à celui généralement observés pour ces maladies. Par exemple, l’âge médian d’apparition de la LMA pour les cas observés est de 37,5 ans et de 32 ans pour la LLA. On constate que cet âge est très inférieur aux âges d’apparition historique de ces maladies chez les adultes, qui sont de 68 ans pour la LMA et de 70 ans pour la LLA.

La distribution géographique

L’incidence de la leucémie est généralement associée à une source de pollution environnementale ou des radiations. Cependant, les cas rapportés en Chine touchaient 29 provinces et municipalités et ne présentaient pas de caractéristiques géographiques particulières. Le seul point commun était que les patients avaient reçu le vaccin Covid. Nous nous sommes donc focalisés sur ce facteur.

Les vaccins

Parmi les patients qui ont reçu les vaccins d’un seul laboratoire, 39 % ont reçu le vaccin de Sinovac Life Sciences Co. C’est la proportion la plus élevée. Ensuite, 12 % ont reçu le vaccin de Beijing Institute of Biological Products Co. Certains patients ont également reçu des vaccins d’autres laboratoires moins importants.

Types de leucémie

Parmi les cas de leucémie, 49% étaient des leucémies myéloïdes aiguës, et 32% étaient des leucémies lymphoblastiques aiguës.

Les patients atteints de leucémie aiguë totalisaient 81%.

Les autres types de tumeurs malignes du sang représentent 11% des cas : syndrome myélodysplasique (n=23) ; myélome multiple (n=7) ; leucémie myéloïde chronique (n=9) ; lymphome (n=24), y compris lymphome non hodgkinien ou lymphome hodgkinien ; lymphohistiocytose hémophagocytaire (n=2) ; myélofibrose secondaire (n=1) ; sarcome myéloïde (n=1).

Exemples de cas

Cas 1061 : Homme, 30 ans. Le 29 juin 2021, il a reçu une première dose de vaccin de Sinovac Biotech. Le 21 juillet 2021, il a reçu une deuxième dose de vaccin de Chengdu Biology. Le 6 septembre 2021, il a passé un examen physique destiné aux étudiants de première année d’université et des globules blancs anormaux ont été décelés. Une leucémie myéloïde aiguë M3 a ensuite été diagnostiquée. Cependant, lors de l’examen d’entrée à l’université, avant qu’il ne soit vacciné, tout était normal. Globalement, c’était une personne en bonne santé, il était rarement malade. Il n’était pratiquement jamais enrhumé et ne prenait pas de médicaments. Il avait une alimentation équilibrée. Les facteurs génétiques et environnementaux sont exclus dans son cas.

Cas 717 : Femme, 38 ans. Le 3 août 2021, elle a reçu une deuxième dose du vaccin Sinovac Biotech. Le jour suivant, des rougeurs sont apparues sur sa jambe droite. Le médecin de l’hôpital lui a prescrit un médicament. Après quelques jours, la situation s’est améliorée. Au début du mois de septembre 2021, elle a commencé à avoir la diarrhée. Le 10 septembre, elle s’est rendue dans un hôpital local. Le médecin a transféré la patiente dans un hôpital provincial. Le 15 septembre, elle a subi une ponction de la moelle osseuse. Le 18 septembre, on lui a diagnostiqué une leucémie myéloïde aiguë M2. Le soir du 21 septembre, elle a fait une hémorragie cérébrale et est décédée.

Cas 747 : Homme de 26 ans. Le 22 juillet 2021, il a reçu la première dose du vaccin de Sinovac Biotech. Le 18 août 2021, il a pris la deuxième dose du vaccin de Lanzhou Biotechnology. Le 9 novembre 2021, il était fiévreux et s’est rendu à l’hôpital. Le 13 novembre 2021, un taux élevé de globules blancs a été découvert. Le 16 novembre, il a été transféré au deuxième hôpital de Lanzhou. Le lendemain, on lui a diagnostiqué une leucémie myéloïde aiguë M5. Aucune amélioration n’a été observée en suivant une chimiothérapie pendant cinq mois. Il est décédé le 2 avril 2022.

Concordance chronologique entre vaccinations et leucémies

Combien de temps après la vaccination la leucémie a‑t‑elle été diagnostiquée chez ces patients ? Il s’agit d’une information primordiale.

Selon notre analyse détaillée, 51% des patients ont présenté des symptômes ou ont été diagnostiqués 102 jours (médiane) après avoir reçu leur deuxième dose, avec une fourchette globale de 2 à 5 mois. Cela correspond au temps d’apparition de la leucémie. La leucémie implique une mutation génétique assez longue, généralement calculée sur une base mensuelle.

Certaines personnes ont également développé des symptômes ou ont été diagnostiquées environ deux mois après avoir reçu leur troisième dose.

Conditions des patients

Au 4 juin 2022, date à laquelle nous avons reçu les rapports, 77% des patients atteints de leucémie étaient toujours traités, 7% étaient en attente d’une transplantation et 5% étaient décédés. Un petit nombre de patients avaient abandonné le traitement, généralement pour des raisons financières ou parce que la maladie était trop avancée.

Trois types de preuves pour expliquer la leucémie post-vaccinale

Comme nous le savons, la leucémie est généralement causée par une mutation de l’ADN dans les cellules hématopoïétiques.

Trois types de données scientifiques pourraient expliquer pourquoi la leucémie se développe après avoir été vacciné.

Tout d’abord, la protéine spike entrave le mécanisme d’autoréparation de l’ADN. Des scientifiques suédois ont découvert que les protéines spike du virus SRAS‑CoV‑2 entravent deux mécanismes majeurs d’autoréparation de l’ADN cellulaire humain : la jonction des extrémités non homologues (Non‑Homologous End Joining ou NHEJ) et la recombinaison homologue (Homologous Recombination ou HR).

Lorsque ces deux mécanismes sont entravés, la capacité de l’ADN à s’autoréparer est considérablement réduite, ce qui entraîne des mutations génétiques.

Deuxièmement, le SRAS‑CoV‑2 peut altérer l’ADN humain. Selon une étude publiée par le Massachusetts Institute of Technology, bien que le SRAS‑CoV‑2 ne soit pas un rétrovirus, il est en mesure de modifier l’ADN humain.

Un rapport de cas clinique a révélé une manifestation clinique de leucémie myéloïde aiguë après une ponction de la moelle osseuse suite à une infection par le Covid ‑19. Selon les auteurs, il s’agirait d’un cas inquiétant.

Troisièmement, en six heures seulement après la pénétration du vaccin Pfizer Covid ‑19 à ARNm dans des cellules hépatiques humaines cultivées in vitro, l’ARNm du vaccin peut achever sa « transcriptase inverse » dans les cellules et affecter les gènes humains. Cela constitue une preuve irréfutable que les vaccins à ARNm peuvent affecter le génome humain.

Si le virus d’un vaccin inactivé n’est pas complètement inactivé, son ARNm est toujours présent et peut s’insérer dans le génome humain et ainsi modifier les gènes.

« Cas de leucémie liés aux vaccins », un argument sans poids ?

Après la diffusion en ligne de notre analyse préliminaire, les lecteurs ont publié leurs commentaires.

Certains avaient eux aussi entendu parler de personnes atteintes de leucémie après avoir été vaccinées. D’autres en étaient eux‑mêmes atteints. D’autres encore avaient des proches qui l’étaient. Pour la plupart d’entre eux, ils avaient demandé de l’aide à leurs médecins, ils avaient demandé si cela pouvait être lié aux vaccins, mais n’avaient reçu aucune attention.

D’autres internautes ont déclaré qu’il n’était pas nécessaire d’accorder autant d’attention à ces cas, certains ont affirmé qu’il s’agissait d’une campagne visant à diffamer la Chine.

Un lecteur a écrit : « Avec un taux d’incidence normal de 30 sur un million par an, étant donné que 1,2 milliard de personnes ont été vaccinées en Chine, il n’y a rien d’anormal dans le fait que 36 000 personnes développent une leucémie. Nous ne pouvons pas exclure cette réalité, donc ce n’est pas convaincant. »

À l’époque où je travaillais dans une grande entreprise pharmaceutique internationale, si des événements indésirables graves apparaissaient après la mise sur le marché d’un nouveau médicament, nous devions envoyer notre personnel dans les hôpitaux et auprès des patients. La maladie n’était peut-être pas liée au médicament, mais il fallait faire acte de présence à partir du moment où un événement indésirable avait été signalé. Nous devions également soumettre un rapport d’enquête à l’autorité de réglementation pharmaceutique. Dans un cas, il m’est arrivé de me rendre auprès du patient en train et de veiller à son chevet pendant deux nuits pour en savoir plus sur sa situation.

Dans le milieu, on appelle cela la « diligence raisonnable ».

Il s’agit d’une question de conduite professionnelle, de minimum déontologique, peu importe les résultats de l’analyse finale. Il est avant tout question d’assumer ses responsabilités et de traiter les patients.

Si, au lieu d’augmenter, l’incidence de la leucémie avait diminué, cela n’aurait rien changé. Ces 800 patients sont toujours en vie et leur vie est en danger.

Peu importe que j’aie été médecin dans le passé ou plus tard spécialiste de la pharmacovigilance, dans une entreprise pharmaceutique, ce qui me préoccupe actuellement, c’est de déterminer s’il existe une relation de cause à effet entre ces plus de 800 cas de leucémie et leur vaccination. Et nous devrions tous nous en inquiéter par respect pour ces personnes et pour la vie.

Parmi ces patients atteints de leucémie, et c’est là que se trouve la solution, il y a un schéma cohérent. Aucun n’a d’antécédents d’exposition aux radiations, pas d’antécédents familiaux de maladies héréditaires et il n’y a aucune spécificité géographique. La seule chose qu’ils ont en commun, c’est d’avoir reçu des vaccins Covid‑19, et dans la plupart des cas, leurs symptômes sont apparus en moyenne trois mois après leur deuxième dose. Il s’agit d’un schéma très troublant, aussi déconcertant que celui observé par le Dr Cole.

Malheureusement, le problème est loin d’être résolu, car la vaccination obligatoire à grande échelle est toujours en cours. Si les vaccins sont effectivement liés à ces événements indésirables, des mesures doivent être prises, au minimum, la vaccination doit être suspendue pour certaines personnes. Il s’agit d’une démarche tout à fait sensée, acceptable. Il y a tout juste un an, au moins deux situations de ce type se sont produites.

En mars 2021, des caillots sanguins et des décès suite au vaccin AstraZeneca ont été signalés dans plusieurs pays européens. En une semaine, le Danemark, la Norvège, l’Islande et la Bulgarie ont suspendu la vaccination avec ce vaccin spécifique.

En octobre 2021, la vaccination des jeunes avec le vaccin Moderna en Europe du Nord a été suspendue en raison d’un risque accru de cardiopathie.

Il ne s’agit donc en aucun cas d’une préoccupation « politique » ni d’une « méfiance exagérée ». Il s’agit d’un acte approprié de réglementation et de surveillance de la santé et des soins médicaux. De plus, ce vaccin est le premier à avoir été administré obligatoirement à grande échelle dans le monde entier. Or, il a été mis sur le marché seulement un an après avoir été mis au point. L’industrie pharmaceutique et les laboratoires en charge de développer des vaccins n’avaient jamais pris un tel risque auparavant. Alors comment peut-on se permettre d’ignorer ses probables effets secondaires ?

Trois aliments naturels pour prévenir et traiter la leucémie

Si quelqu’un souffre malheureusement de leucémie, peut‑on la traiter ? Quels aliments naturels peuvent aider à prévenir la leucémie ?

La leucémie est généralement traitée par chimiothérapie ou transplantation. Comme nous le savons, les globules blancs du patient leucémique sont affectés par des facteurs externes nuisibles au cours de leur développement et subissent des mutations génétiques. En conséquence, ils échappent au cycle de vie cellulaire normal et se multiplient indéfiniment. Les gènes sont le code de la vie, et leur mutation est une attaque profonde pour l’organisme.

Afin de remédier à un état anormal des cellules, outre les médicaments, on peut mettre à profit des méthodes plus naturelles.

La médecine traditionnelle chinoise met l’accent sur le lien entre traitement et alimentation. Nous allons maintenant présenter quelques aliments efficaces face à la leucémie.

Mangoustan (xanthone)

Le mangoustan contient un principe actif appelé xanthone. Lors d’une étude publiée dans le Journal of Natural Products, l’Institut international de biotechnologie Gifu, au Japon, montre que les xanthones peuvent induire l’apoptose (mort cellulaire) dans les lignées cellulaires leucémiques.

Les chercheurs ont étudié six xanthones. Ils ont découvert qu’elles pouvaient toutes inhiber la croissance des cellules cancéreuses. Parmi celles-ci, l’α‑mangostine a montré une inhibition complète des cellules leucémiques à une concentration de 10 μM. De plus, elle n’est pas toxique pour les cellules saines.

La leucémie est une prolifération anormale de cellules du sang qui ne passent pas par une apoptose (mort cellulaire) normale et qui prolifèrent donc sans fin. D’autres études ont révélé que l’α‑mangostine peut induire l’apoptose des cellules leucémiques en trois heures seulement. Toutefois, il convient de noter que le mangoustan est de nature froide et qu’il ne doit pas être consommé par les personnes ayant une constitution « carence‑froid », [selon la typologie de la médecine traditionnelle chinoise, ndlr]. Il est également riche en sucre, les diabétiques doivent donc en tenir compte.

Champignon amande

Le champignon amande est également connu sous le nom d’Agaricus blazei Murill (AbM). Les Japonais ont découvert ses effets anticancéreux ainsi que sa capacité à renforcer l’immunité. Ils ont donc développé de nombreux aliments bons pour la santé à base de ce champignon.

En 2017, une étude publiée dans BioMed Research International a révélé que l’extrait d’Agaricus blazei (Andosan) a pour effet d’inhiber les cellules leucémiques humaines.

Il a été découvert que l’ajout de 5% et 10% d’Andosan inhibait la croissance des cellules cancéreuses de 17% et 23%, respectivement.

Dans une étude du cycle cellulaire, les chercheurs ont cultivé des cellules de différentes phases cellulaires (phases sub G1, G1, S et G2) dans un groupe expérimental ayant 10% d’Andosan et dans un groupe témoin, et ils ont observé les changements.

Comme nous le savons, la réplication cellulaire comporte des cycles de naissance, de vieillissement, de maladie et de mort. Il en va de même pour les cellules cancéreuses. On a découvert que le pourcentage de cellules en phase apoptotique (phase sub G1) [ou de mort cellulaire, ndlr] était plus élevé dans les cellules cultivées ayant l’ajout de 10 % d’Andosan, alors que le pourcentage de cellules en phase de croissance 1 (phase G1) était plus faible. Cela suggère que l’andosan peut induire l’apoptose des cellules cancéreuses.

Les composés contenus dans le champignon amande peuvent également renforcer l’effet thérapeutique de la chimiothérapie. Il sera donc plus efficace d’associer la chimiothérapie à une thérapie diététique.

Le thé vert

Le thé est une des boissons les plus populaires et c’est une boisson saine. Une étude publiée dans Nature Reviews Cancer, portant sur des recherches faites sur des animaux, montre que certains extraits de thé vert inhibent la formation et le développement de tumeurs dans différents organes.

Le thé vert contient une grande quantité de catéchines (dont l’EGCG), qui inhibent de nombreux cancers hématologiques. Les catéchines peuvent agir de plusieurs façons sur les cellules cancéreuses, inhiber la prolifération des cellules cancéreuses, renforcer l’apoptose des cellules cancéreuses et inhiber l’invasion cellulaire, l’angiogenèse et les métastases.

Une caractéristique de nombreux médicaments naturels est leur capacité à agir sur des « cibles multiples ». Les médicaments occidentaux n’agissent généralement que sur une « cible unique ». Cela fait une grande différence dans leur efficacité.

Une étude de cohorte prospective de 9 ans portant sur environ 42.000 participants a évalué l’association entre le thé vert et le risque de tumeurs hématologiques. Cette étude ne manque pas d’être très convaincante.

Elle a révélé que les personnes buvant une à cinq tasses de thé par jour présentaient des degrés variables de réduction du risque de leucémie, par rapport à celles qui ne buvaient pas de thé. Le risque de leucémie était significativement plus faible chez les personnes qui buvaient cinq tasses par jour.

Il faut faire attention à la température de l’eau lors de la préparation du thé vert. Elle ne doit pas dépasser 80℃, car une température trop élevée peut endommager les catéchines et autres substances contenues dans le thé.

Nous espérons que ces données de recherche sur les plantes naturelles pourront vous aider à prévenir et à traiter la leucémie. Par ailleurs, il faut éviter tout contact avec les substances cancérigènes et les radiations, et limiter son exposition aux appareils électroniques.

Références :




Si un seul pilote a un effet secondaire en vol, c’est un risque intolérable ! Mise à jour

Mise à jour :


[Voir aussi :
Les pilotes vaccinés COVID font des arrêts cardiaques en plein vol, mais les médias restent silencieux pour ne pas créer une « hésitation vaccinale »
et
USA — Déjà 111 pilotes d’avion morts après le Vax !]




La compassion à géométrie variable de l’UE dont la France : le Pakistan étouffe par manque de gaz

Par Dr Nicole Delépine

STOP À VOS LEÇONS DE MORALE
L’ÉGALITÉ N’EST PAS DE CE MONDE ET NOTRE COMPASSION ÉMINEMMENT VARIABLE

Nous avions déjà constaté depuis longtemps que les enfants décharnés du Yémen(([1] Menace de famine et malnutrition — Yémen | CICR (icrc.org) ))(([2] https://www.unicef.fr/dossier/comprendre-la-guerre-au-yemen)) ne faisaient pas la une de nos médias, que les chrétiens assassinés par le monde(([3] Pentecôte : Au moins 50 chrétiens tués dans l’attaque de leur église au Nigeria (infochretienne.com). Dimanche de Pentecôte, l’église Saint-François d’Owo, dans l’État d’Ondo, au Nigeria, a été la cible d’une attaque sanglante. Au moins 50 fidèles rassemblés pour le culte ont été tués par les assaillants qui ont ouvert le feu et lancé des explosifs.)) ne méritaient sans doute pas la une de nos journaux télévisés, ni même un petit encart rapide. Et même que nos petits cancéreux de l’hôpital Robert Debré devaient être chassés de ce bel hôpital pour faire la place aux petits atteints de bronchiolites selon la direction. La vie des cancéreux ne valait sûrement rien. Nous répondions « nous n’allons pas nous jeter nos morts à la figure. »

Nous avions compris que les morts et blessés des régions séparatistes du Donbass depuis 2014 n’étaient pas dignes de pitié, d’aide comme d’ailleurs le respect des traités signés avec Gorbatchev comme celui de Minsk de 2015. Un Ukrainien ne vaut pas un autre Ukrainien. Ça dépend…, nous dira-t-on.

Nous avons compris que pour les bobos parisiens ou new-yorkais qui ne parlent que d’équité, d’égalité, de droits des victimes, etc., tous les morts ou blessés ne se valent pas et que l’école alsacienne n’est pas la même que l’école de la république des cités marseillaises dont les photos font honte à cette même république.

Nous avons compris que les droits de la femme qui revendique « mon corps est mon choix » n’est pas le même que celui du bébé éventuellement fille qu’elle porte et que sa mère a le droit monstrueux d’avorter à neuf mois selon sa détresse psychologique revendiquée, donc en autres termes de pratiquer légalement en toute impunité un INFANTICIDE.(([4] Après l’élimination des vieux dans les EHPAD, le massacre des innocents et la fabrication de « Frankenstein » | FranceSoir))

Nous avons compris… Que nous pourrions écrire un gros livre consacré à ces différences de traitement en fonction de l’humeur, parfois de la religion, des modes du moment, des appartenances à des sociétés plus ou moins fermées, et surtout probablement le plus souvent des intérêts financiers, etc. On nous parle de cliniques d’avortements qui vont fermer dans les états américains qui refuseront l’avortement au-delà de trois mois… Cherchez l’argent plus que la couleur de peau ou la religion…

LA POLITIQUE ÉCOLOGIQUE

Dans ce domaine, il y aurait beaucoup à dire alors que des politiques, dont notre président renouvelé, déclarent défendre la Terre contre le soi-disant réchauffement climatique(([5] Les douze mensonges du GIEC La religion écologiste 2 Tome 2 — broché — Christian Gerondeau — ebook | fnac « La COP 26 ne s’est pas achevée à Glasgow comme prévu. Son Président le Britannique Alok Sharma avait martelé qu’il fallait « ranger le charbon dans les livres d’histoire  », précisant : «  il faut cesser d’avoir recours au charbon, et par ailleurs cesser toute subvention aux énergies fossiles… ».  Tout paraissait réglé pour un vote sans histoire, lorsque le samedi 13 novembre, une heure avant la clôture de la conférence se produisit un évènement sans précédent. Le représentant de l’Inde, son ministre de l’environnement Bhupender Yadav, déclara que son pays n’acceptait pas la rédaction prévue et en proposait une autre ainsi énoncée  : « Il faut aller vers les technologies propres, y compris en intensifiant les efforts pour réduire progressivement l’énergie au charbon et éliminer progressivement les subventions inefficaces aux combustibles fossiles… ». Le Ministre Indien fit valoir dans la foulée que la Chine appuyait la suggestion de l’Inde. »)) utilisé depuis des décennies pour promouvoir éoliennes, voitures électriques, photovoltaïque et réanimer le seul ascenseur social qui compte, celui des futurs nouveaux milliardaires.

Mais aujourd’hui « en même temps », les mines de charbon rouvrent en France, en Allemagne et d’autres pays européens qui ont voulu « punir » la Russie, et ont surtout puni les Européens qui les laissent agir en toute impunité et contre toute logique. Personne ne nie le dérèglement climatique (plutôt que le réchauffement), mais seulement les décisions politicofinancières qui en découlent dans l’indifférence totale des petits Africains qui déterrent le lithium et autres fournitures rares.(([6] https://www.sikafinance.com/marches/le-mali-en-passe-de-devenir-un-important-producteur-de-lithium-en-afrique_32179a))

Et aujourd’hui le délire pseudo écologique qui a poussé à réduire la filière des centrales nucléaires, conjugué aux sanctions contre la Russie qui va priver de fait les Européens de moyens de chauffage au gaz naturel, conduit à des conséquences imprévues qui nous indifféreront probablement comme les misères du monde non choisies par les gouvernants de l’UE.

Attardons-nous quelques minutes sur l’excellent article du jour : Énergie : la politique de l’UE plonge le Pakistan dans l’obscurité(([7] Énergie : la politique de l’UE plonge le Pakistan dans l’obscurité (latribune.fr) )) Marine Godelier La tribune 27 juin 2022(([8] https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/energie-la-politique-de-l-ue-plonge-le-pakistan-dans-l-obscurite-923367.html))

« La ruée du Vieux continent sur le gaz naturel liquéfié, affrété par des navires des quatre coins du monde afin de se détacher des hydrocarbures russes, bouleverse le marché international et fait bondir le prix des cargaisons.

Plusieurs pays dépendants du GNL pour produire leur électricité, parmi lesquels le Pakistan, n’arrivent plus à suivre, et enchaînent les coupures de courant. »

L’Union européenne se tourne vers le GNL des États-Unis et du Qatar pour remplacer le gaz russe, mais les capacités mondiales de production ne seront pas suffisantes pour répondre à une demande croissante avant plusieurs années. (Crédits : Stringer Egypt)

« Dans les rues d’Islamabad, la chaleur étouffante n’offre aucun répit aux habitants. Comme le reste du Pakistan, la capitale suffoque, depuis plusieurs semaines, sous des températures extrêmes. Et pourtant, ici et là, ni les ventilateurs ni la climatisation ne tournent dans les habitations.

Bien plus au sud, à Karachi — la plus grande ville du pays —, des manifestants s’attroupent. Quelques jours plus tôt, dans le nord de cette province aride du Sindh, un écolier de 12 ans, Saeed Ali, est mort. L’enfant s’est effondré en rentrant de sa journée de cours, passée dans une salle de classe sans ventilateur et baignant à plus de 40 °C. »

Les coupures de courant s’enchaînent, et durent parfois jusqu’à plus de 12 heures, rendant le quotidien impossible aux Pakistanais, qui vivent au rythme des délestages, mais subissent de plus une hausse des factures d’électricité.

Ce choc va en entraîner d’autres : la pénurie paralyse les usines, notamment dans le textile (60 % des exportations nationales) et la fabrication des engrais, nécessaires à l’agriculture. (…)

« Le Pakistan perd la guerre des enchères du gaz naturel liquéfié face à l’Europe », titrait l’un des journaux les plus lus du pays, Dawn.

« , il y a deux ans, le GNL était disponible sur le marché à un inférieur à 4 dollars, mais le gouvernement précédent a raté l’occasion et n’a pas conclu d’accord à long terme et maintenant il n’est même plus disponible à 40 dollars. Ainsi, la guerre de la Russie [avec l’Ukraine] a créé une véritable crise », a réagi le ministre d’État au Pétrole, Musadik Malik.(([9] https://www.geo.tv/latest/424148-musadik-malik-warns-of-impending-power-gas-crisis-in-country))

Et le déconfinement progressif en Chine devrait encore accroître la pression sur les réserves mondiales.

Le charbon revient en force

Les pluies torrentielles à venir avec la mousson ne suffiront pas : pour tenter d’endiguer la crise du gaz naturel, l’exécutif pakistanais n’a d’autre choix que d’« organiser des suppléants ». Autrement dit, augmenter la production des importations de charbon et de fioul pour alimenter les centrales électriques, malgré leur impact délétère sur le climat.

 « Alors qu’on leur a beaucoup vanté le gaz comme une énergie de transition, ils se retrouvent avec très peu d’alternatives [lorsque l’on se rue sur ce gaz]. Et finissent par se tourner à nouveau vers les combustibles les plus polluants de tous. […] C’est un paradoxe dans lequel s’enferment les Européens », regrette Phuc-Vinh Nguyen, chercheur au sein du Centre Énergie de l’Institut Jacques Delors.

Espérons que les discours emphatiques des COP 21 et 22 à 26 seront remis en ligne et en exergue, en espérant que les citoyens prendront enfin conscience des mensonges permanents.

La pénurie pourrait toucher l’Europe

L’Europe se tourne de nouveau vers le charbon, Allemagne, Autriche, France, où la centrale mosellane de Saint-Avold va devoir redémarrer pour passer l’hiver. Les dirigeants d’EDF, d’Engie et de TotalEnergies ont lancé dans une tribune publiée dans le JDD, un appel à un « effort collectif » de réduction des consommations. Tel ministre allemand dit prendre moins de douches.

Début juin, Emmanuel Macron a affirmé que la France ne faisait face à « aucun risque de coupure » d’électricité cet hiver, malgré le manque criant prévisible. Un discours « rassuriste », législatives oblige.

L’Allemagne se prépare à une pénurie de gaz et relève ses niveaux d’alerte

Les sanctions contre la Russie paradoxalement l’enrichissent tandis qu’elles frappent de plein fouet les pays pauvres d’Asie et constituent une menace majeure contre les efforts de diminution de CO2.





L’Autriche a mis fin à la vaccination obligatoire : « Il faut désormais vivre avec le Covid »

Par Nicole Delépine

[Photo : Le ministre de la Santé autrichien Johannes Rauch, lors d’une conférence de presse à Vienne ce jeudi 23 juin.
AFP – Joe Klamar]

Le gouvernement autrichien a annoncé jeudi l’abandon total de sa politique de vaccination obligatoire contre le Covid-19, après l’avoir déjà suspendu en mars un mois à peine après son entrée en vigueur.(([1] https://www.lalibre.be/international/europe/2022/06/23/lautriche-va-mettre-fin-a-la-vaccination-obligatoire-il-faut-desormais-vivre-avec-le-covid
Coronavirus : l’Autriche abolit la vaccination obligatoire — Politique — SZ.de (sueddeutsche.de) ))

En Autriche, l’obligation corona a été annoncée fin 2021. Elle a été soutenue par tous les partis parlementaires, à l’exception du FPÖ de droite et est en vigueur depuis février, mais la loi a récemment été suspendue. Le débat sur la mesure controversée a ouvert de profondes divisions dans la société. Mais surtout en période d’instabilité, la société a besoin de plus de solidarité, a déclaré le ministre de la Santé Rauch (Verts). Qui a déclaré de toute façon. « La vaccination obligatoire n’incite personne à se faire vacciner », a déclaré Rauch.

L’Autriche avait donc été pionnière des restrictions et des obligations dans l’UE. Dans d’autres pays, il n’y avait que des règlements spécifiques à l’âge. Mais finalement les Autrichiens ont été capables de constater leur erreur stratégique avant même de l’appliquer et de l’avouer. Contraindre ne sert à rien.

À l’origine, il était prévu en Autriche de punir à partir du 15 mars tous ceux qui refusent la vaccination par une amende pouvant aller jusqu’à 3600 euros. Mais au début du mois de mars, des divergences sur l’obligation de vaccination étaient apparues. À l’époque, le gouvernement de l’ÖVP conservateur et les Verts avaient déclaré que les vaccins n’étaient pas adaptés à la variante dominante d’Omicron.

Coronavirus — Une loi qui a peu de conséquences médicales, mais de nombreuses conséquences sociales(([2] Par Michaela Schwinn et Patrick Wehner.))

Dans la pratique, les soignants non vaccinés sont toujours autorisés à travailler.

Le débat sur la vaccination obligatoire a ouvert de profondes fractures entre les familles, les associations et les entreprises, a déclaré Rauch.

Surtout à une époque marquée par de nombreuses inquiétudes, une inflation massive et la guerre en Ukraine, la société a besoin de solidarité. Dans la perspective d’éventuelles nouvelles vagues corona, la population doit être convaincue de l’utilité d’une vaccination de rappel. « Nous ne pouvons le faire que si la volonté de se faire vacciner est basée sur le volontariat », a déclaré Rauch.

Malgré la menace de la vaccination obligatoire, l’intérêt pour une injection avait considérablement diminué depuis le début de l’année et il y avait eu une forte accalmie observée dans les centres de vaccination.(([3] https://www.foxnews.com/world/austria-scraps-covid-19-vaccination-measure-suspended-march))

« Il faut vivre avec le Covid »

C’est ce que beaucoup ont préconisé DÈS LE DÉBUT…

On les a traités de criminels, parce qu’ils exposaient les humains au « virus » et faisaient confiance au système immunitaire inné et acquis de l’humanité, et à l’immunisation collective naturelle, au lieu de faire aveuglément confiance en des pseudo vaccins et la médecine occidentale corrompue par les conflits d’intérêts..

Communiqué AFP DU 23 06 2022

« le ministre de la Santé Johannes Rauch lors d’une conférence de presse à Vienne a déclaré :

La stratégie “avait été mise en place dans un contexte différent”, avec des unités hospitalières surchargées. Cette loi n’est pas jugée “nécessaire que ce soit d’un point de vue médical ou constitutionnel” par la commission d’experts, et a créé “une profonde division au sein de la société autrichienne” .»

L’obligation vaccinale entrée en vigueur le 5 février 2022 constituait une mesure rare dans l’Union européenne et avait suscité une forte opposition d’une partie de la population de 9 millions d’habitants.

L’ensemble des résidents de plus de 18 ans étaient concernés, à l’exception des femmes enceintes, de ceux qui ont contracté le virus il y a moins de 180 jours et enfin de ceux qui peuvent se faire exempter pour raisons médicales.

Les contrôles devaient débuter mi-mars, avec des sanctions variant de 600 à 3 600 euros. Mais la loi a échoué à convaincre les réticents. Actuellement, quelque 62 % de la population dispose d’un certificat de vaccination valide, un taux qui place l’Autriche en retrait de nombreux pays d’Europe de l’Ouest.

« Il y a actuellement beaucoup d’arguments pour dire que cette atteinte aux droits fondamentaux n’est pas justifiée », avait alors déclaré Karoline Edtstadler, chargée de la Constitution.

EN FRANCE, SERONS-NOUS LES DERNIERS À JOUER SUR LA PEUR DU COVID ?

Via des valets médiatiques du pouvoir qui veulent relancer la peur et imposer les masques complètement inutiles et toxiques, et — pourquoi pas ? — bientôt le pass, comme prévient notre président réélu…(([4] 230622 – Masques inutiles et dangereux – Mensonges médiatiques – Gérard Delépine
https://reaction19.fr/droit-de-pensee/art-dinformer/nicole-et-gerard-delepine/delepine-2022/delepine-juin-2022/230622-masques-inutiles-et-dangereux-mensonges-mediatiques-gerard-delepine/
240622 — Stop aux pass chantages inefficaces sur la maladie — Gerard Delépine
https://reaction19.fr/droit-de-pensee/art-dinformer/nicole-et-gerard-delepine/delepine-2022/delepine-juin-2022/240622-stop-aux-pass-chantages-inefficaces-sur-la-maladie-gerard-delepine/))

Les Pelloux et Cie veulent faire peur. Pour exister ? Pour de l’argent ? Pour continuer à être invités avec les puissants ? Peu importe, ils mentent

@AlexCine5 @CNEWS Pelloux :

« le Nostradamus de pacotille qui prédisait que tous les non-vaccinés mourraient cet hiver 🤡
CNews, arrêtez de ressortir de la naphtaline tous les charlatans que vous avez en stock, plus personne ne les croit. »

Et contrairement à ce que nos médecins de plateau incultes et/ou corrompus tentent de faire croire, les non-vaccinés sont moins à risque de formes graves (devenues exceptionnelles) que les vaccinés. Les multivaccinés étant les plus à risque au fur et à mesure des boosters. Le poison est la dose… c’est vrai aussi pour l’injection anticovid.

Selon le Pr Chabrière @EChabrière :

«  Les non-vaccinés sont moins contaminés et font moins de formes graves que les vaccinés. On peut discuter de tout sauf des chiffres.

Donnée https://covidtracker.fr/vaximpact/ à partir des données de la DREES (ministère de la Santé) »

Courbes issues des données officielles reprises dans Covidtracker, rubrique Vaximpact depuis un an il n’y a presque plus de malades covid en réanimation :

Et ne pas oublier la triche organisée pour affoler une nouvelle fois les populations et leur faire accepter une nouvelle injection.

@ErikLoridan 24 juin

Témoignage d’un ancien patient : ⬇️

— Ma fille, grippée, fait un auto-test : négatif.

Son médecin dit « on va faire un antigénique ». Négatif.

« pour être sûr, un PCR ». Négatif.

« On va quand même déclarer covid parce que ça y ressemble »

Tu m’étonnes, que ça remonte !

Le plus étonnant est que le peuple accepte de se faire piquer tous les trois ou quatre mois. Dans l’histoire des vaccinations s’il n’y a jamais eu de vaccin nécessitant une injection tous les 3-mois. Mais il est vrai que les injections covid, qui ne contiennent aucun antigène ni aucune anatoxine ne sont pas des vaccins au sens de Pasteur, mais des médicaments ainsi que l’a récemment reconnu le Pr Delfraissy.(([5] Covid-19 : le vaccin est « un peu un médicament »
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-vaccin-est-un-peu-un-medicament-avec-une-action-formidable-pour-jean-francois-delfraissy_4929057.html))