Crise des soignants suspendus et solutions

[Source : Fabien Moine – Exuvie TV]

Avec Louis Fouché, Laurent Gounelle, Fabien Moine…




Les enfants sont à haut risque des complications de l’inutile injection anticovid : il faut l’interdire !

Par Nicole Delépine

AFFICHONS-LE PARTOUT : 1 accident cardio-vasculaire (myocardite, péricardite) ou autre (angio œdème, accident vasculaire cérébral, paralysie faciale) pour 100 injections !

Crédit photo : DR

Personne ne peut plus affirmer que l’injection génique expérimentale serve à un quelconque effet médical bénéfique. Elle ne protège ni des contaminations, ni des formes graves, ni de la mort. Même le président de l’ex-conseil scientifique qui conseillait E. Macron l’a avoué dans son mea culpa de fin juillet 22.(([1] Delfraissy Jean-François Delfraissy, président du conseil scientifique d’E. Macron, serait-il devenu complotiste ? | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) Les complications des injections sont avouées par de nombreux médecins et officiels même si le plus souvent le nombre en est minimisé. Néanmoins is avouent. Même l’ANSM !

Parents, enseignants, philosophes, politiques, sapeurs-pompiers, et surtout professionnels de santé, infirmiers, aides-soignants, médecins de toute spécialité, kinésithérapeutes, pharmaciens, etc..

COMBIEN DE TEMPS ALLONS-NOUS SUPPORTER DE DÉCOUVRIR CHAQUE JOUR DE NOUVEAUX TÉMOIGNAGES DES ACCIDENTS DES PSEUDOVAX ?

Et en dépit de la censure extrême de Google… qui ne nous permet pas de retrouver un article connu, sauf si on connaît bien le nom du site ou de l’auteur et le titre exact de la publication. Il y a beaucoup de témoignages qu’ils arrivent à passer tout de même.

Ce jour, ce papier arrive sur mon ordinateur via un correspondant attentif : un résumé des effets secondaires de l’UE publié par l’EMA : 2956 avortements spontanés après injection :

EMA Pathologies 12 août 2022 Déclarant Nombre
Avortement spontané Professionnels de la santé 852
Avortement spontané Autres 2 104
Avortement spontané Total 2 956
Aménorrhée Professionnels de la santé 1 312
Aménorrhée Autres 15 726
Aménorrhée Total 17 038
Choc anaphylactique Professionnels de la santé 945
Choc anaphylactique Autres 886
Choc anaphylactique Total 1 831
Cécités Professionnels de la santé 1 061
Cécités Autres 2 065
Cécités Total 3 126
Cancer Professionnels de la santé 922
Cancer Autres 2 090
Cancer Total 3 012
Défaillance cardiaque Professionnels de la santé 2 397
Défaillance cardiaque Autres 1 871
Défaillance cardiaque Total 4 268
Creutzfeldt-Jakob Professionnels de la santé 25
Creutzfeldt-Jakob Autres 55
Creutzfeldt-Jakob Total 80
Surdité Professionnels de la santé 1 714
Surdité Autres 2 993
Surdité Total 4 707
Fatal – entraîne la mort Professionnels de la santé 17 516
Fatal – entraîne la mort Autres 10 140
Fatal – entraîne la mort Total 27 656
Mort fœtale Professionnels de la santé 146
Mort fœtale Autres 106
Mort fœtale Total 252
Guillain-Barré Professionnels de la santé 2 509
Guillain-Barré Autres 1 841
Guillain-Barré Total 4 350
HIV infection Professionnels de la santé 124
HIV infection Autres 148
HIV infection Total 272
Rechute de la sclérose en plaques Professionnels de la santé 242
Rechute de la sclérose en plaques Autres 523
Rechute de la sclérose en plaques Total 765
Myocardite Professionnels de la santé 7 788
Myocardite Autres 9 248
Myocardite Total 17 036
Péricardite Professionnels de la santé 6 765
Péricardite Autres 7 959
Péricardite Total 14 724
Embolie pulmonaire Professionnels de la santé 10 630
Embolie pulmonaire Autres 6 380
Embolie pulmonaire Total 17 010
Thrombose Professionnels de la santé 18 884
Thrombose Autres 17 686
Thrombose Total 36 570
Échec de la vaccination Professionnels de la santé 54 324
Échec de la vaccination Autres 73 833
Échec de la vaccination Total 128 157
(([2] EMA au 12 août.))(([3] Chiffres des Événements Indésirables post vaccination Covid de l’EMA — Covid faits et chiffres (covid-factuel. Fr) ))

Et pour les enfants cette nouvelle information 

Two and 3-year-old kids with seizures is « the new normal » [« la nouvelle normalité »]

« Je reçois plusieurs rapports de mes amies infirmières au sujet d’enfants de 2 et 3 ans qui ont des convulsions. Cela ne se produit que sur les enfants vaccinés, et les symptômes commencent 2 à 5 jours après le vaccin CONTRE LA COVID19 ».(([4] https://stevekirsch.substack.com/?url=https%3A%2F%2Fstevekirsch.substack.com))

L’auteur nous explique que les médecins ou infirmiers ne peuvent parler ni mettre en cause même potentielle le pseudovax, car sinon ils seraient virés de leur profession. Ils parlent donc de curieuses épidémies d’éruption de convulsions, d’éruptions cutanées, etc. survenant aux enfants de 2 et 3 ans. Mais le seul point commun de ces petits ait d’avoir reçu l’injection.

Parcourons l’article de P. Gibertie(([5] Prendre un enfant pour un rat Vendre un enfant à Bourla | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com) )) qui compare les enfants à des petits rats.

Et les derniers états des lieux dans les tableaux officiels du VAERS.(([6] • ARRÊTEZ LES INJECTIONS ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) juillet 2022
Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande — La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org)
Balance avantages/risques des injections anti-covid19, au 28 juin 2022 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([7] Il faut interdire les injections géniques dangereuses et inutiles : au 15 août 2022 | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))(([8] Chaque jour un nouvel article :
Une étude révèle un lien « stupéfiant » entre le vaccin de Pfizer et la myocardite chez les adolescents | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation
Le Dr Tracy Høeg, épidémiologiste, a déclaré dans un tweet que l’étude était « unique et impressionnante en raison de l’examen approfondi effectué avant et après la vaccination », car elle permettait de « détecter des anomalies cardiaques préexistantes ».))

Par exemple, selon les données les plus récentes du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), du 14 décembre 2020 au 29 juillet 2022, 1 292 cas de myocardite et de péricardite ont été signalés chez les 12-17 ans.

Sur les 1 292 rapports, 1 145 cas ont été attribués au vaccin contre la COVID-19 de Pfizer.(([9] Copyright © Children’s Health DefenseThe Defender, 2022))(([10] LES DOSES À RÉPÉTITION DÉMULTIPLIENT LES RISQUES DE MALADIES AUTO-IMMUNES : | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com) :
Publié le 17 août 2022 par pgibertie.
25 % des patients covid hospitalisés pour formes graves voient apparaître des anticorps annonciateurs de maladie auto-immune dans le futur, pour les vaccinés complets PFIZER c’est de 23 % (5 % pour les deux doses)… ÇA SE PRÉCISE…))

INFORMER LE PEUPLE PAR TOUS LES MOYENS dont l’affichage, les tracts, les réunions publiques

La désinformation qui a régné en maître par le gouvernement et ses médias aux ordres doit être combattue par tous les moyens. Des citoyens dont des soignants arpentent les rues du Luxembourg, Allemagne et France depuis le 13 août, et peuvent parler aux habitants qui souvent tombent des nues en découvrant les toxicités et l’inefficacité des pseudovax.

Et bravo au CSI de nos collègues de Reinfocovid pour leur initiative d’affiches à Toulouse qui met en rage au moins un médecin de plateau qui ose prétendre que les injections pour les enfants ne seraient ni toxiques ni inutiles… Comment en arriver là en écrivant sur twitter des propos relevant de la diffamation (il traite le CSI d’organisme complotiste aux dérives sectaires !).

S’il n’en reste qu’un, ce sera celui-là ; les patrons corrompus qui sévissent sur les grandes chaînes sont plus prudents). Est-il à ce point incapable de lire les sites officiels de la FDA, le VAERS, ou de l’EMA site de l’UE (EUDRAVIGILANCE) ou encore le MHRA pour la Grande — Bretagne qui informent depuis l’été dernier des catastrophes chez les jeunes vaccinés ?

Évidemment, que la vérité sorte enfin ne fait pas plaisir à tout le monde !(([11] Vaccin contre le Covid 19 : de nouvelles affiches antivax placardées dans Toulouse provoquent la polémique (francetvinfo.fr) ))

« Réinfo Covid continue de revêtir à Toulouse (Haute-Garonne) les panneaux publicitaires privés de messages antivaccin du Covid 19. Au moins, une nouvelle affiche sur la vaccination chez les enfants est visible dans la ville rose. L’ordre des médecins assure avoir alerté la préfecture du sujet ».

« 1 accident cardiovasculaire pour 100 injections et autres complications : la santé de nos enfants vaut mieux que des vaccins expérimentaux ».

Voilà ce que l’on peut lire sur une affiche, placardée sur un panneau publicitaire au 12 chemin d’Audibert dans une résidence privée, face à l’école élémentaire Ernest Renan, dans le quartier des Trois Cocus, à Toulouse.

Les panneaux appelant à la prudence se multiplient à Toulouse(([12] Mardi 16 août 2022 à 19:46 — Par Manon Klein, France Bleu Occitanie, France Bleu Toulouse Les panneaux appartiennent à une société privée © Radio France — Alexandre Vau)):

« De nouvelles affiches qui dénoncent les prétendus dangers du vaccin contre le Covid-19 viennent de faire leur apparition à Toulouse. On en compterait environ neuf selon la mairie de Toulouse. Certains professionnels de santé s’indignent que de tels panneaux puissent être visibles en pleine rue.(([13] Les panneaux antivax se multiplient à Toulouse (francebleu.fr) ))

Comment cette journaliste peut-elle parler de soi-disant « prétendus«  dangers du vax ? N’a-t-elle pas entendu parler de ces très célèbres artistes qui exigeaient des pass pour leurs concerts et se sont retrouvés victimes des complications du mirage qu’ils avaient monté en vedette ? Comme Céline Dion ou Justin Bieber… Prenez donc de leurs nouvelles.(([14] https://www.globalizacion.ca/los-tragicos-destinos-de-estrellas-mundiales-como-celine-dion-y-justin-bieber-abriran-los-ojos-de-sus-fans/
https://www.globalresearch.ca/will-the-tragic-fate-of-world-stars-like-celine-dion-and-justin-bieber-open-the-eyes-of-their-fans-impacts-of-covid-19-vaccine/5783700
Justin Bieber & Céline Dion victimes du « vaccin » Covid ? avec Michel Chossudovsky et Nicole Delépine | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

Ou pire pour elle, journaliste, les présentateurs télé qui vantaient le pseudovax et sont tombés pendant ou peu après leur journal… Mais attention Madame, cela n’arrive pas qu’aux autres …

Quant à tous les sportifs blessés ou morts dont la liste s’allonge tristement et tous ces cyclistes qui ont dû abandonner lors de leur épreuve fétiche, fait-elle une croix dessus ?(([15] Le vax tue de plus en plus de célébrités et combien d’anonymes et de vies brisées ? Stoppons le massacre | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

Et tout ça pour rien puisque les enfants ne font pas de formes graves et ne propagent pas le covid et que de toute manière, les pseudo vaccins sont incapables d’empêcher les transmissions

INFORMONS ENCORE ET ENCORE

ET VOUS SAUVEREZ DES VIES OU ÉVITEREZ DES VIES GÂCHÉES, DES ADULTES STÉRILES, DES BÉBÉS MALADES AUX YEUX MORTS…(([16] #COVID 1984 : Les Premiers « Bébé-Pandémie » Arrivent ! (odysee.com) ))

Eh bien oui, il est temps de trouver le moyen de toucher le plus grand nombre de personnes possible et surtout les victimes de la propagande d’état et les mensonges répétés depuis deux ans et huit mois des chaînes de dites informations continues…

« Des messages qui interpellent, qui choquent certains, mais qui sont pourtant légaux. »

Le premier message qui rappelle le principe de précaution nécessaire devant un médicament expérimental est apparu boulevard de l’Embouchure, près de cet immeuble © Radio France est qualifié d’antivax par Manon Klein

Les libertés de conscience, d’expression et d’affichage sont encore légales en France même si ça déplaît à Manon Klein et aux autres enragés du pseudo vaccin

« Le service juridique de la mairie de Toulouse s’est bien penché sur la question, pour trouver un moyen de faire retirer ces affiches, en vain. En effet, qu’elles se trouvent sur le domaine public ou non, elles ne peuvent être retirées que si elles provoquent un trouble à l’ordre public, ce qui pour le moment ne serait pas le cas selon la municipalité. »

« C’est une société privée, basée en Meurthe-et-Moselle, qui possède les panneaux où sont affichés ces messages. Le fait que ces panneaux soient de propriété privée laisse peu de marge de manœuvre à la mairie, selon cette dernière. »

Les panneaux appartiennent à une société privée
© Radio France — Alexandre Vau

France 3 Occitanie raconte :

« Installé au pied d’un immeuble d’une résidence privée, un panneau publicitaire semblable à tant d’autres. Sur un fond bleu et blanc, on distingue une seringue. De loin, on pourrait croire à une nouvelle affiche de sensibilisation pour la vaccination anti-Covid, mais lorsqu’on lit le message affiché sur le panneau en question, on découvre que c’est tout l’inverse. « Vaccins anti-Covid : 1 accident cardiovasculaire pour 100 injections (…) La santé de nos enfants vaut plus que des vaccins expérimentaux. » Le lieu où a été installé le panneau n’a pas été choisi au hasard, il se trouve en face d’une école élémentaire. […]

À Toulouse, plusieurs panneaux du même type ont été installés ces dernières semaines à différents endroits de la ville. […] »

Et le plus étonnant est que l’ordre des médecins qui a laissé depuis des années des médecins bourrés de conflits d’intérêts raconter les messages de Big Pharma sans déclarer leurs liens avec les labos malgré la loi de 2011 s’empare des revendications d’un médecin de plateau pour saisir le préfet !(([17] Les antivax se payent des pubs à Toulouse, l’Ordre des médecins saisit le préfet de Haute-Garonne.))

INFORMEZ,
PROTÉGEZ LES ENFANTS,
L’AVENIR DE L’HUMANITÉ





La fable criminelle de la « vaccination sans danger » des femmes enceintes

Par Dr Gérard Delépine

« Dis-moi qui te paie, je te dirai qui tu es »

Depuis deux ans et huit mois, le gouvernement et les médias aux ordres nous mentent pour nous inciter à accepter des injections expérimentales abusivement qualifiées de vaccin alors qu’il s’agit de médicaments à ARN dont les essais phase 3 ne seront terminés qu’en 2023.

L’un des derniers mensonges en vogue concerne les femmes enceintes qu’on trompe en prétendant(([1] D’après Franceinfo !)):

« Une vaste étude canadienne… confirme que les vaccins à ARN messager contre le Covid-19 sont “sans danger” pendant la grossesse… L’étude a été menée sur 200 000 femmes enceintes canadiennes vaccinées ».

Ce pur mensonge estampillé AFP a été répété partout avec la complicité de France info, Médisite(([2] https://www.medisite.fr/coronavirus-covid-19-les-vaccins-a-arn-messager-sans-danger-pour-les-femmes-enceintes.5648211.806703.html)), La dépêche(([3] https://www.ladepeche.fr/2022/08/12/vaccination-covid-19-les-vaccins-sont-sans-danger-pour-la-grossesse-dapres-une-etude-canadienne-10485217.php)), Elle(([4] https://www.ladepeche.fr/2022/08/12/vaccination-covid-19-les-vaccins-sont-sans-danger-pour-la-grossesse-dapres-une-etude-canadienne-10485217.php)), 20 minutes Santé(([5] https://www.20minutes.fr/sante/3336759-20220812-covid-19-vaccins-arn-messager-danger-pendant-grossesse-selon-etude-canadienne)) le quotidien du pharmacien(([6] https://www.lequotidiendupharmacien.fr/medicament-parapharmacie/recherche/grossesse-et-vaccins-arnm-une-nouvelle-etude-confirme-labsence-de-risques)) et bien d’autres médias.

Existe-t-il dans ces rédactions des journalistes qui vérifient leurs sources et les données ? Sont-ils paresseux ou volontairement menteurs ? S’ils avaient fait leur travail de journaliste, ils auraient remarqué les faits suivants déjà dénoncés brillamment par Gibertie(([7] https://www.profession-gendarme.com/dangerosite-de-la-vaccination-pour-les-femmes-enceintes-les-journalistes-sont-de-gros-menteurs/comment-page-1/)).

L’étude(([8] Manish Sadarangani, et al for the Canadian Immunization Research Network Safety of COVID-19 vaccines in pregnancy: a Canadian National Vaccine Safety (CANVAS) network cohort study
https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(22)00426-1/fulltext)) ne porte que sur 5 625 femmes enceintes vaccinées !

Car la lecture de l’article qu’ils citent montre que l’effectif réel des vaccinées est près de 40 fois inférieur à ce qu’ils annoncent !

L’étude se limite à de simples contacts par e-mails et/ou téléphoniques !

Il ne s’agit en aucun cas d’un article médical. Aucun examen clinique ni biologique n’a été réalisé. Il est heureusement douteux que les gynécologues canadiens suivent leurs patientes et l’évolution de leur grossesse par ces seuls moyens !

L’étude ne porte que sur les 7 jours post injection !

C’est quand même très court pour affirmer que les grossesses qui durent 9 mois n’ont pas été altérées par les injections et que les futurs nouveau-nés n’en ont pas souffert.

En 7 jours de suivi, ils ont quand même réussi à avoir chez les vaccinées : 4 qui ont perdu la vue, 7 incapables de marcher, 91 infections respiratoires, 1 paralysie soudaine du visage, et de nombreuses fausses couches.

Il ne s’agit pas d’un essai prospectif randomisé.

Mais d’une analyse rétrospective de cohorte dont la fiabilité scientifique est faible et la valeur probante très faible d’autant que l’effectif du groupe témoin (non vacciné) n’est que 339, chiffre totalement insuffisant pour estimer les risques et les comparer à des groupes numériquement 10 fois plus importants.

Les auteurs sont très liés à l’industrie des vaccins.

Il suffit de consulter les liens d’intérêt détaillés à la fin de l’article :

MS a été chercheur sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Moderna, Pfizer, Sanofi-Pasteur, Seqirus, Symvivo et VBI Vaccines. 

OGV a été chercheur, co-chercheur ou panéliste expert sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Pfizer et Seqirus, en dehors du travail soumis.

JDK a été enquêteur sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Moderna et Pfizer

KAT a été enquêteur sur des projets financés par GlaxoSmithKline. 

JEI a été chercheur sur des projets financés par GlaxoSmithKline et Sanofi-Pasteur. 

AJM a été chercheuse sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Pfizer, Sanofi-Pasteur et Seqirus, , et a reçu des honoraires pour sa participation à des conseils consultatifs d’Astra-Zeneca, GlaxoSmithKline, Medicago, Merck, Moderna, Pfizer, Sanofi-Pasteur, Seqirus, et pour les présentations d’Astra-Zeneca et Moderna.

 GDS a été enquêteur sur un projet financé par Pfizer. 

L’étude a été financée par les organismes d’État qui vivent des campagnes vaccinales et en font la promotion constante.

Ce travail a été soutenu par le financement COVID-19 Vaccine Readiness des Instituts en santé du Canada et de l’Agence de la santé publique du Canada CANVAS (numéro de subvention CVV-450980) et par le financement de l’Agence de la santé publique du Canada, par le biais du Document de référence sur la surveillance des vaccins Group et le groupe de travail sur l’immunité COVID-19.

La publication par le Lancet d’un tel torchon rappelle le précédent Lancetgate(([9] https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/the-lancet-gate-saga-dune-etude-corrompue-1216931))(([10] https://www.lefigaro.fr/demain/sante/hydroxychloroquine-3-des-auteurs-de-l-etude-du-lancet-se-retractent-20200604))(([11] https://tribune-diplomatique-internationale.com/la-corruption-de-la-science-le-scandale-de-letude-sur-lhydroxychloroquine-qui-etait-derriere-tout-cela-lintention-danthony-fauci-de-bloquer-lhcq-au-nom/))(([12] https://www.causeur.fr/the-lancet-revues-universitaires-177545/))

Jamais un tel article bidon n’aurait passé l’examen par un comité de lecture à l’époque où le Lancet était indépendant et que son impartialité faisait sa réputation. Le Docteur Richard Horton rédacteur en chef du Lancet a d’ailleurs prévenu ses lecteurs :

« Une grande partie de la littérature scientifique, sans doute la moitié, pourrait être tout simplement fausse. Affligée d’études avec des échantillons réduits, flagrants, avec l’obsession de suivre les tendances d’importance douteuse à la mode, la science a pris le mauvais tournant vers les ténèbres. les grandes compagnies pharmaceutiques falsifient ou truquent les tests sur la santé, la sécurité et l’efficacité de leurs divers médicaments, en prenant des échantillons trop petits pour être statistiquement significatifs, ou bien, pour les essais, embauchent des laboratoires ou des scientifiques ayant des conflits d’intérêts flagrants, ils doivent plaire à la compagnie pharmaceutique pour obtenir d’autres subventions ».

L’agence France presse, et les médias qui ont diffusé sans modération ce mensonge se sont comportés non pas comme des organes d’information, mais comme des propagandistes sans état d’âme d’un pseudovaccin expérimental dont les premiers résultats avérés en population réelle sont très inquiétants.





Les pompiers étrangers venus prêter main-forte en France ne sont pas soumis à la vaccination

[Source : lemediaen442.fr]

Que vaut un pompier non vacciné français par rapport à un pompier, allemand, grec ou roumain ? Eh bien, pas grand-chose, puisque le pompier étranger non vacciné peut venir sur le territoire français et éteindre un incendie, s’il a fait un test négatif. Avoir un test positif empêcherait d’éteindre un incendie ? Les 5 000 pompiers français volontaires non vaccinés suspendus n’ont pas les mêmes droits que les étrangers, car même un simple test leur est refusé.


Les lois, votées par des députés non vaccinés, interdisent à des pompiers non vaccinés d’éteindre les incendies ! Sur l’échelle de l’absurdité et de la discrimination, le gouvernement Macron vient d’atteindre un niveau exponentiel. Conclusion : les 5 000 pompiers français non vaccinés ont moins de droits que les étrangers non vaccinés pour éteindre un incendie sur le sol français.

Explication lors de l’Heure des Pros du 15 août 2022 avec l’avocat Pierre Gentillet face au commandant Alexandre Jouassard, porte-parole de la sécurité civile.






Il faut interdire les injections géniques dangereuses et inutiles : au 15 août 2022

Par Dr Nicole Delépine

Selon les CDC, organismes officiels du ministère de la santé américain (un fédéral, et un par état) « le VAERS est un système national d’alerte précoce permettant de détecter les éventuels problèmes de sécurité des vaccins homologués aux États-Unis. » Étant donné le volume des rapports, la sonnette d’alarme devrait être tirée partout. Pourtant, ce n’est pas le cas.(([1] CDC conscient du nombre de rapports d’événements indésirables déposés dans le VAERS sur ces injections de COVID-19, et la façon dont cela contraste fortement avec le nombre de rapports historiques le plan de dotation en personnel et d’opérations a été revu : axé uniquement sur les rapports d’événements indésirables liés aux vaccins après vaccins COVID-19 pour aider à traiter environ 770 000 rapports numériques par an.
Le CDC sait : ils recrutent de nouveaux employés pour faire face au grand nombre de personnes qui, selon eux, soumettront des rapports d’événements indésirables dans le cadre des injections de COVID-19, et ils compensent à cet égard, mais sans reconnaissance publique.
https://jessicar.substack.com/p/a-question-and-answer-document-on))

Les chiffres les plus récents du CDC publiés le 29 juillet 2022 font état de 1 622 882 événements indésirables au total, dont 56 021 rapports d’invalidité permanente après la vaccination, 33 247 événements mettant la vie en danger, 170 749 hospitalisations, 1134 anomalies congénitales et 29 981 décès signalés pour les USA.

600 % de décès supplémentaires signalés au cours des 19 derniers mois par rapport aux 32 années d’existence de la base de données VAERS (reseauinternational.net)

Ce qui frappe le plus tous les commentateurs objectifs est l’augmentation faramineuse de signalements depuis l’introduction des injections géniques, frauduleusement appelées vaccins, en comparaison avec les trente années précédentes. Or ce site fonctionnait de la même manière : signalements, puis vérifications avant publication, depuis ces trois décennies.

La comparaison publiée par le VAERS avec les autres vaccins ne souffre pas de doute : les décès liés aux vaccins sont indiscutablement plus élevés à la suite des injections à ARNm supposées anticovid :

Par million de doses administrées aux USA :

Vax anticovid : vingt décès par million depuis leur autorisation en 2020
H1N1 et tous vaccins entre 2006 et 2019 : 0,5 décès par million

Ces événements « indésirables » « accidents, blessures » selon les termes américains utilisés sont de fait des complications médicales de traitement supposé préventif injecté à des personnes en bonne santé. Est-ce acceptable ? De fait, ces maladies induites peuvent se décliner par catégorie comme ici les myocardites qui touchent particulièrement les jeunes pourtant à risque zéro de covid et ne justifiant donc sous aucun prétexte de recevoir ce poison.

Avant l’autorisation d’utilisation d’urgence des vaccins COVID en décembre 2020, dans toute l’histoire du VAERS, il n’y avait eu que 930 953 événements indésirables signalés sur une période de 32 ans.

En 19 mois seulement, cependant, il y a eu plus de 1,5 million de rapports — et tous concernent les vaccins COVID.

Il y a eu 150 % de plus d’événements indésirables signalés pour un seul vaccin au cours des 19 derniers mois que ce qui a jamais été signalé dans l’histoire du VAERS — pour TOUS les vaccins.

Depuis la création du VAERS en 1990, seuls 5 039 décès ont été signalés au système pour tous les vaccins avant l’approbation des pseudo vaccins COVID-19. Il y a eu près de 600 % de décès signalés en plus pour un seul vaccin au cours des 19 derniers mois que pour l’ensemble des vaccins dans toute l’histoire du système.

La base de données VAERS reçoit normalement entre 30 000 et 50 000 rapports par an, dont environ 8 à 13 % sont classés comme graves (c’est-à-dire associés à une invalidité, une hospitalisation, une maladie potentiellement mortelle ou un décès), selon l’outil de recherche principal VAERS des CDC.

En 2021, le nombre de rapports d’événements indésirables déclarés au VAERS a été multiplié par 30 tous liés à l’injection Pfizer. Selon des documents récemment publiés par la FDA en février 2021, elle a embauché plusieurs centaines d’employés supplémentaires pour traiter les événements indésirables (information pourtant niée par nos pseudo experts des médias).

MALHEUREUSEMENT LE MENSONGE A RÉGNÉ EN MAÎTRE PENDANT LA CRISE COVID.

EXCLUSIF : les CDC admettent avoir communiqué de fausses informations concernant leur surveillance sur la sécurité des vaccins Covid-19 | Epoch Times PAR Z STIEBER 12 août 2022

« les CDC n’ont pas analysé le VAERS pour y déceler des signaux d’alerte précoce en matière de sécurité pendant plus d’un an après le début de la campagne de vaccination, ce qui constitue un dysfonctionnement grave », Il n’y a pas non plus de raison crédible pour expliquer pourquoi ils ont attendu jusqu’au 31 mars 2022 pour calculer les PRR Proportionnas Reporting Ratio (PRR).

LES ENFANTS SACRIFIÉS DU COVID(([2] voir notre livre chez fauves editions par g et n delepine janvier 2022))

Le pire est que les enfants innocents du covid, à risque Zero de cette virose, sont de plus en plus menacés d’une large « vaccination » que les lobbys veulent rendre obligatoire aux USA et en UE obéissante et servile.

Selon R Kennedy, ce serait le moyen de poursuivre la campagne de dépopulation et en se protégeant juridiquement.

Aux USA : « Quand les “vaccins” sont autorisés pour les enfants, les produits pharmaceutiques sont exempts de toute responsabilité et les producteurs ne peuvent être poursuivis en justice, ils sont de fait protégés par le gouvernement fédéral par une loi. C’est ce qu’explique Robert Kennedy à Veronika Krylenko, écrivaine américaine et collaboratrice du média Thenewamerican.com :

« Bien sûr qu’il faut l’abroger (cette loi qui protège les laboratoires). Si vous voulez savoir pourquoi il y a une telle poussée pour vacciner les enfants, il faut comprendre comment la loi fonctionne. En vertu de la Loi CARES et de la loi PREP, l’autorisation d’utilisation des vaccins est protégée par rapport à la responsabilité des entreprises pharmaceutiques. Tant qu’il s’agit d’un vaccin, ils ne peuvent pas être poursuivis, même s’ils sont imprudents et quelle que soit la gravité des complications ou le degré de négligence. Normalement, une fois qu’un vaccin est approuvé, cette protection légale ou “immunité” disparaît et c’est là que nous pouvons les poursuivre, à moins qu’il s’agisse d’un vaccin recommandé pour les enfants, car selon la loi sur les lésions dues aux vaccins pour enfants, tout vaccin recommandé pour les enfants bénéficie automatiquement d’une immunité de responsabilité, même lorsqu’un tel vaccin est administré à un adulte. »

En France, nous assistons à un subterfuge similaire bien que nos lois soient différentes. Il s’agit de faire passer la vaccination Covid dans la liste des 11 vaccins infantiles obligatoires.

La loi sur la vaccination obligatoire a été mise en œuvre par la ministre de la Santé A. Buzyn en 2017.

La justification de santé publique était alors artificiellement construite comme le dénonce un article

des Échos et renvoie également aux conflits d’intérêts entretenus par A Buzyn avec l’industrie pharmaceutique.

Elle a été mise en examen en mars 2020 pour « mise en danger de la vie d’autrui » par la Cour de justice de la République. Au total, sur les 14 500 plaintes liées à la gestion de la crise sur Covid, la Cour de justice de la République en juge seize recevables. Autant dire qu’elle ne risque pas grand-chose… En 2021, elle a même été promue comme directrice générale des affaires multilatérales à l’OMS, organisation en charge de la mise en place d’un passe vaccinal mondial. »

The New American — That Freedom Shall Not Perish. Pourquoi s’acharner à vouloir vacciner les… | Flora Fournier (vk.com)

En France, si les pseudo vaccins étaient rendus obligatoires, les labos seraient protégés, car en cas de plaintes de victimes, ce serait l’État (donc nos impôts) qui paierait les indemnités aux plaignants via l’ONDIAM. Donc si Pfizer et Moderna obtiennent une AMM normale, après les AMM conditionnelles, elles veulent être couvertes en cas de plainte.

En UE, pour que les labos soient dispensés de compensations en cas de plaintes, il faut que cela soit stipulé dans les contrats (mention du contrat rendue illisible, car surchargé en noir même pour les députés européens).

Néanmoins si l’État comme la France rend la vax obligatoire, alors elle doit indemniser elle-même les victimes reconnues via nos impôts. Comme au temps pas très lointain, en Chine, ou la famille devait payer la balle utilisée pour tuer leur fils.

L’agence américaine des médicaments (FDA) et les Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC, USA) ont autorisé, mi-juin 2022, la vaccination pour les tout-petits, dès l’âge de six mois avec Moderna et Pfizer. Une aberration scandaleuse.

La FDA autorise en effet la vaccination des enfants de six mois à cinq ans. Elle publie un rapport Pfizer et Moderna que tout le monde peut lire où il est écrit que ces vaccins ne sont pas efficaces et qu’ils sont même toxiques ! Elle conclut en disant qu’elle a un doute sur le rapport bénéfice-risque, mais elle fait une exception pour les enfants, sans expliquer pourquoi, et elle autorise des vaccins qui sont efficaces à moins de 50 %.

Et Pfizer va déposer une demande d’autorisation pour cette tranche d’âge auprès de l’Agence européenne des médicaments (EMA)…

Le maire de New York a annoncé que la vaccination des enfants sera obligatoire à la rentrée. Il faut que les parents s’y opposent avec force et vigueur, la vie de leurs enfants est en jeu. À l’évidence, l’Europe va suivre, comme toujours. C’est une folie criminelle

CAR CETTE INJECTION INUTILE EST DANGEREUSE.

INCIDENTS GRAVES ET DÉCÈS CHEZ LES ENFANTS DE 6 MOIS À 5 ANS — DONNÉES RÉCENTES

USA — Depuis le 01/06/2022, 829 enfants âgés entre 6 mois et 5 ans ont subi des effets indésirables à la suite des injections ARN Lésions cérébrales/cardiaques, hallucinations, chocs anaphylactiques, convulsions, hémorragies…
https://medalerts.org/vaersdb/findfield.php

142 New Cases of COVID-19 Vaccine Injuries in Babies Added to VAERS as CDC Now States “Unvaccinated People Have Same Guidance as Vaccinated”—Vaccine Impact par Brian Shilhavy Rédacteur en chef, Health Impact News

142 autres nouveaux cas de complications liées au vaccin CONTRE LA COVID-19 chez les bébés et les tout-petits âgés de 6 mois à 4 ans ont été ajoutés à la base de données VAERS (Vaccine Adverse Events Reported System) gérée par le gouvernement américain aujourd’hui, portant le nombre total de cas déposés pour ce groupe d’âge à 829 depuis que les vaccins ont été autorisés par la FDA il y a quelques semaines en juin. (La source.)

Les lésions cérébrales et cardiaques, les hallucinations, le choc anaphylactique, les convulsions, les éruptions cutanées, les lésions gastro-intestinales, les hémorragies et d’autres affections graves continuent d’être répertoriés comme effets secondaires de ces injections toxiques injectées aux bébés et aux tout-petits.

Les rapports du VAERS suggèrent que l’expérimentation sur des enfants avec des « vaccins » Covid peut les tuer (expose—news-com.translate.goog) Par Joël Smalley

« Rien qu’aux États-Unis, 45 cas d’enfants sont décédés après avoir reçu le “vaccin” Covid. Vingt-sept de ces enfants (60 %) étaient auparavant en parfaite santé. Trois des enfants ont participé aux essais cliniques.

Dans le passé, tout vaccin aurait été retiré après 25 à 50 décès de personnes de tous âges !

Les agences de réglementation et les fabricants de “vaccins” ont toujours nié la causalité dans le cas des injections anticovid et pourtant……

Cependant, la proximité temporelle de l’apparition des symptômes avec la date de “vaccination” seule pour la majorité des rapports indique une causalité vraisemblable.

 Il est également possible que de nombreux autres décès n’aient pas été signalés s’ils ne sont pas survenus à proximité de la date de “vaccination”. De plus, la majorité des causes de décès sont d’origine cardiaque. La proximité temporelle et la cohérence sont deux des critères clés de Bradford Hill pour établir la causalité.

COVID Vaccine Deaths of Children Reported to VAERS. (substack.com) :

Les constatations sur les dégâts des injections, particulièrement inacceptables chez les jeunes à risque zero du covid sont décrites dans de nombreux pays du monde. Quelques exemples :

EN THAÏLANDE

Une augmentation de 18 % des anomalies de l’ECG est notée chez les enfants injectés de 13 à 18 ans. Quel sera leur avenir global et sportif ?

Dr. Kelly Victory : New Thailand study shows an 18% increase in EKG Abnormalities post-jab in 13 to 18 year old. Share.@DavidAvocadoWolfe https://t.me/covidvaxinjury/2169

Même le NewYork Post dénonce les mensonges des autorités sur ces injections expérimentales dangereuses et inutiles, en particulier chez les enfants Dans les médias mainstream et la presse française complice aux ordres : RIEN, silence complet !

https://nypost-com.translate.goog/2022/07/14/us-agencies-arent-following-the-science-on-covid/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=en

Des médecins du monde entier tentent d’informer les parents avant les drames

« Le vaccin favorise la Covid sévère et multiple«  chez les enfants Hélène Banoun(([3] Pharmacien biologiste, ancien chercheur INSERM, membre du Conseil scientifique indépendant.)) explique ici pourquoi les vaccins sont « inefficaces et toxiques » pour les enfants.

Sur le site des statistiques européennes, on voit aussi la surmortalité des jeunes de 0 à 14 ans qui a augmenté à partir de la semaine 21 de 2021 qui est précisément le moment où on a commencé à vacciner les moins de 18 ans.

Même LES BÉBÉS ALLAITÉS sont à risque

ET PENDANT CE TEMPS LA LES AUTORITÉS FRANÇAISES TENTENT D’ÉCOULER ENCORE LES VAX ACHETÉS ET OSENT DIRE :

« Les femmes enceintes et, implicitement, leurs bébés pourraient être injectés sans danger !« 

Ce matin en août 2022, c’est clairement ce message que veulent faire passer les médias mainstream français qui l’affirment sur la base d’une étude de CANVAS alors que les femmes enceintes sont invitées depuis trois semaines à réaliser leur 2e dose de rappel contre le Covid. »

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/les-vaccins-contre-le-covid-19-sont-sans-danger-pendant-la-grossesse-confirme-une-etude-canadienne_5304211.html.

Canvas est une institution très provax depuis sa création et au sein de laquelle on trouve CANImmunize, société bénéficiaire des dons de Bill Gates qui développe une application numérique destinée à permettre aux employeurs de savoir quels sont leurs salariés vaccinés ou non vaccinés et de les tracer. Voici la publication originale du Lancet qui confirme la participation de CanImmmunize dans cette étude « très indépendante »…

https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099 (22) 00426-1/fulltext

« Les vaccins contre le Covid-19 serait sans danger pendant la grossesse », prétend cette étude canadienne largement répétée en France. Il ne s’agit pas d’une étude randomisée, mais d’une simple comparaison de cohortes de femmes définies arbitrairement par les auteurs qui peuvent ainsi facilement biaiser la comparaison. Ces femmes n’ont fait l’objet d’aucun examen médical ni biologique, mais ont été seulement interrogées par téléphone ! Et la comparaison des deux groupes a été effectuée au 7jour de l’injection alors qu’on ne peut juger du bon déroulement d’une grossesse qu’après l’accouchement ! Le niveau de preuve de ce torchon est donc proche de zéro ! Sa publication scandaleuse par le Lancet s’explique uniquement par le contrôle de cette revue jadis prestigieuse par RELX de Blackrock, actionnaire numéro 2 de Pfizer, précédemment illustré par l’affaire du Lancet Gate.(([4] https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/video-coronavirus-le-lancetgate-ou-le-naufrage-de-la-science-business_4014381.html))(([5] https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/the-lancet-gate-saga-dune-etude-corrompue-1216931))

EN UE comme aux USA les complications explosent :

Au Canada

Pendant que Bill Gates reçu par Macron et passant au JT de France 2 raconte que seuls les non-vaccinés meurent sans que le journaliste ne l’arrête le Canada publie ses données du 21 mars au 10 avril 2022 : 17,12 hospitalisations pour 100 000 triple vax (en rouge) contre 9,41 pour 100 000 non-vaccinés (en vert) suivis de 2,13 décès pour100000 triple vax contre 1,6 pour 100 000 non-vaccinés. Comment gouvernements, institutions, médecins, médias peuvent-ils mentir à ce point ?

Néanmoins lueur d’espoir : Les CDC affirment que les personnes exposées au COVID n’ont plus besoin d’être mises en quarantaine — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ! est — ce que cela rendra plus raisonnable les dirigeants européens ? pas sûr, mais c’est au peuple de dire « ça suffit »

Aucun symptôme ? Pas de problème.
Vacciné ou non ? Même conseil.
Exposé ? Même pas besoin de quarantaine.
Les étudiants exposés ? Ils peuvent rester en classe, et puis zut, non ?

Et luttons contre la diabolisation des résistants !

Loin d’être marginale, l’opinion selon laquelle les enfants n’ont pas besoin du vaccin anti-covid19 représenterait une minorité significative (pour les cohortes plus âgées) ou une majorité écrasante (pour les plus jeunes) de parents aux États-Unis, au Royaume-Uni et ailleurs.

Les 95 % de parents américains qui ont refusé de faire vacciner leurs enfants de 0 à 5 ans contre le Covid-19 sont-ils « antivax » ? Qu’en est-il des 89 % de parents britanniques qui, à la fin du mois de juillet, avaient refusé de faire vacciner leurs enfants de 5 à 11 ans ?

Bien sûr qu’ils ne le sont pas. Ils reconnaissent simplement que l’extrême discrimination par âge du Covid rend la vaccination inutile pour la grande majorité des enfants par ailleurs en bonne santé, tout comme l’immunité acquise par l’infection. (Source — La diabolisation de la dissidence) »

UN FACTEUR D’ESPOIR EN UE : le Danemark interdit la vax des moins de 18 ans. Qu’il serve de modèle !

« No Longer Possible » : Denmark ENDS Covid Vaccinations For Children Under 18—News Punch August 10, 2022 Baxter Dmitry

LE GOUVERNEMENT MET FIN AUX VACCINATIONS COVID POUR LES ENFANTS DE MOINS DE 18 ANS !!

LE DANEMARK A INTERDIT LES VACCINATIONS COVID POUR LES ENFANTS DE MOINS DE 18 ANS EN RAISON DE L’ABSENCE DE RISQUES GRAVES POUR LA SANTÉ DES JEUNES POSÉS PAR LE « VIRUS ».

L’ANNONCE DE L’AUTORITÉ SANITAIRE DANOISE EST À LA FOIS UNE DÉCLARATION DE LA RÉALITÉ SELON LAQUELLE LES ENFANTS EN BONNE SANTÉ NE COURENT PRATIQUEMENT AUCUN RISQUE AVEC LE COVID-19 ET UN VOTE DE NON-CONFIANCE DANS LE PROFIL RISQUES-AVANTAGES À LONG TERME DES VACCINS À ARNM.

IL NE SERA PLUS POSSIBLE POUR LES JEUNES ET LES ENFANTS DE MOINS DE 18 ANS DE RECEVOIR LE PREMIER VACCIN ET, À PARTIR DU 1ER SEPTEMBRE 2022, IL NE SERA PLUS POSSIBLE DE RECEVOIR LE DEUXIÈME VACCIN.

LES RAPPELS NE SONT PAS RECOMMANDÉS PAR L’AUTORITÉ SANITAIRE DANOISE POUR LES PERSONNES DE MOINS DE 50 ANS.

L’AUTORITÉ SANITAIRE ÉVALUERA ULTÉRIEUREMENT SI TOUTES LES FEMMES ENCEINTES OU SEULEMENT CERTAINES D’ENTRE ELLES DOIVENT SE VOIR PROPOSER LE VACCIN.

AGISSONS POUR INTERDIRE CE POISON PARFOIS MORTEL ET SOUVENT TOXIQUE.





Aux Etats-Unis, le CDC a débuté la propagande pour la vaccination Covid des enfants de 0 à 5 ans

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Une campagne de communication a récemment débuté aux États-Unis pour faire vacciner les tout petits contre le Covid. Alors que les effets indésirables de la vaccination Covid pour les enfants et les jeunes sont particulièrement à risque, les autorités américaines poursuivent et accélèrent une politique sanitaire qui repose sur le déni de réalité. La vaccination des petits enfants est-elle justifiée ne matière de santé publique ? L’acceptation par l’opinion publique d’une telle politique n’est-elle pas le signe d’une orientation idéologique ?

Aux États-Unis, la communication sur les touts petits est prête, le CDC dispose de sa campagne d’affichage (cf. ci-dessous). La vaccination vient tout juste de commencer. Cette politique suivra inévitablement en France. Elle est en préparation pendant l’été 2022 alors que les familles sont en vacances.

Une campagne de communication associant l’émotionnel et le déni de réalité

La campagne du CDC cible large : les principales communautés américaines sont représentées (afro-américaines, hispanique, asiatique…), les 3 générations sont mises en scène : enfants, parents et grands-parents. Le message exploite encore la peur puisqu’il insiste sur le fait de ne pas s’inquiéter si l’on fait vacciner ses enfants (ou petits enfants). Il s’agit bien d’une mise en scène basée sur l’exploitation de la peur du Covid, qui rappelons-le, reste bénin pour la très grande majorité des tous petits (38 décès chez les moins de cinq ans sur les 2,5 ans d’épidémie de Covid, sachant que la part des comorbidités n’est pas indiquée dans ce résultat). En revanche, le risque d’effet indésirable grave des injections Covid n’est jamais évoqué. L’information est cachée au public et le consentement libre et éclairé bafoué comme depuis le début de la vaccination de masse, en occident et ailleurs. Le scandale reste larvé et l’information ne filtre pas grâce à un système public sous contrôle et des médias subventionnés qui ne sont pas libres d’exprimer une opinion indépendante.

La vaccination des tous petits, le dernier rempart de résistance ?

On observera naturellement beaucoup plus de réticences sur la vaccination des tout petits pour le Covid que pour toute autre tranche d’âge. C’est le dernier rempart. Si les autorités sanitaires et les gouvernements avaient demandé dès 2021 la vaccination des tous petits, ils auraient été confrontés à un échec. Mais depuis 2020, l’industrie pharmaceutique a préparé ses essais cliniques sur les moins de 5 ans, essais qui ont débuté début 2021 pour Pfizer alors qu’il n’y avait pas de justification médicale en raison du nombre de cas très rares (moins de décès que pour la grippe par exemple).

Si les familles acceptent la vaccination des tout petits, sans réticence et sans méfiance, alors c’est un signal très fort pour la caste qui s’autorisera alors à instaurer une vaccination obligatoire des populations à moyen terme. Virginie Joron, députée européenne, a raison de rappeler que « ni la Commission Européenne ni les États membres de l’Union ne peuvent aujourd’hui rendre le vaccin obligatoire parce qu’il est seulement sous autorisation conditionnelle de mise sur le marché ».

Il est également juste de rappeler qu’une autorisation conditionnelle peut être maintenue pendant 1 an et renouvelée jusqu’à ce que les données en la matière soient suffisantes pour permettre une AMM standard.

Néanmoins, le cabinet d’avocats Lapuelle, rappelle aussi à juste titre que, par ordonnances du 16 septembre 2021, le juge des référés a refusé de suspendre l’obligation vaccinale des personnels médicaux au motif que le vaccin contesté n’aurait reçu qu’une autorisation conditionnelle de mise sur le marché. Dans la mesure où l’AMM conditionnelle n’implique pas que le vaccin soit expérimental au sens du Code de la santé publique et de la directive 2001/20/CE du 4 avril 2001, l’obligation vaccinale contre le Covid-19 peut tout à fait être imposée malgré sa commercialisation conditionnelle.

Il est peu probable que la décision soit laissée à chaque pays européen, elle viendra de la Commission européenne après que la vaccination des tout petits ait été testée dans de nombreux pays. Non pas sur le plan de l’innocuité des vaccins — car les effets indésirables sont de plus en plus visibles avec le temps, les autorités veulent donc aller vite — mais sur le plan politique. L’obligation vaccinale pourrait arriver fin 2022 ou début 2023.

Le contrôle des jeunes générations pour asseoir l’ordre des nouveaux maîtres

Le Nouvel ordre des Barbares, ouvrage que nous avons évoqué à plusieurs reprises et qui reprend les propos du Dr Day, un insider du Planning familial International, une organisation « fer de lance » de la redéfinition de l’identité personnelle et de la civilisation moderne, bras armé des nouveaux maîtres du monde qui le finance (Rockfeller, Soros, Gates…). Voici donc ce que disait le Dr Day en 1969 : Rien ne sera changé quant aux gens âgés, ils sont déjà matures et engagés sur leurs voies, mais tous les changements seront dirigés pour les jeunes qui sont encore en train de se développer. Non seulement on ne peut changer les gens âgés, mais ils sont de toute façon peu importants dans l’équation.

Par « équation », il faut entendre « agenda » si l’on veut utiliser le vocable actuel. Plus loin, dans le livre on peut lire les propos suivants : Les gens d’un certain âge… ils seront alignés à leur façon et vous ne pourrez rien y changer. Ils ont des valeurs et ils s’y conformeront. Mais si vous allez au jeune lorsqu’il est (petit), il est flexible. Vous le moulez dans la direction que vous souhaitez. Ils (la caste) ciblent leurs efforts sur les enfants et ils se figurent : « vous les vieux qui ne voyez plus où vous allez, vous allez crever. Quand le temps viendra, on vous fera disparaître aussi. Mais ce sont les jeunes qui doivent être moulés avec l’impression que nous voulons ». La traduction n’est pas très bonne, mais c’est celle du texte publié en version française. Il est intéressant de noter qu’à propos « des vieux », il est dit que le temps viendra où ils vont « crever ». Outre la haine de tels propos, on comprend qu’il ne s’agit pas d’une mort naturelle, car il est évident que les personnes qui arrivent à la fin de leur vie vont mourir. Ici, la compréhension doit s’entendre sur une mort provoquée. C’est bien ce dont il s’agit avec la création du Sars-CoV-2 en laboratoire (cf. dossier Origines du Covid et armes biologiques) et l’apparition programmée du Covid au regard des informations publiées dans un dossier intitulé Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés.




Profitez du Moment clé : arrêtez MAINTENANT le carnet de vaccination numérique !

[Source : Kla.tv]

Le film « Le moment clé » commence par ces mots : « Nous savons tous que nous vivons une époque difficile et inquiétante. » L’introduction mondiale prévue des carnets de vaccination numériques n’a rien à voir avec notre santé. Les carnets de vaccination numériques sont un cheval de Troie qui sera utilisé pour créer un tout nouveau type de société contrôlée et surveillée, dans laquelle la liberté dont nous jouissons aujourd’hui ne sera plus qu’un lointain souvenir. Il est donc temps de mettre un terme à ce projet.

Le Moment clé
(This Pivotal Moment)

Nous savons tous que nous vivons des temps difficiles et inquiétants. Nous sommes toujours confrontés à une pandémie. Celle-ci est assombrie par la guerre en Ukraine. Ces deux événements entraînent des morts, le chaos économique, l’inflation, l’augmentation du prix des matières premières, la pénurie et la peur. Le tout est encadré par la crise climatique. La situation exceptionnelle devient permanente.

La censure et la polarisation semblent être la nouvelle norme. Les débats nuancés et le respect mutuel sont remplacés par une mentalité pro/anti, qui a un effet dissuasif et profondément clivant sur nos sociétés auparavant ouvertes et tolérantes. Mais ce qui est encore plus inquiétant, c’est que nous sommes à l’aube d’un changement de civilisation si vaste dans ses conséquences et si profond dans ses effets que peu de gens sont capables de percevoir l’imminence du danger et de comprendre pleinement l’irréversibilité du monde dystopique qui nous attend.

Vous vous demandez comment ce changement fondamental va être mis en place ? Par des tours de passe-passe, en induisant en erreur et en introduisant un carnet de vaccination apparemment inoffensif ! Une telle affirmation semble extraordinaire à première vue et je peux comprendre que vous soyez sceptique.

Mais permettez-moi de m’expliquer davantage : la plupart d’entre nous, qui vivons aujourd’hui dans des sociétés démocratiques, sont nés dans cette liberté. En d’autres termes, nous ne connaissons rien d’autre. Les sociétés libérales-démocratiques ne sont certainement pas parfaites ! Mais nous avons fondamentalement la liberté de mener la vie que nous voulons, d’aller où nous voulons et de nous comporter comme nous le voulons ! Sauf si ces actes sont expressément interdits par la loi, comme le vol, les actes de violence ou le meurtre d’un autre être humain. Cependant ces libertés dont nous avons bénéficié jusqu’à présent, nous ne les avons pas acquises nous-mêmes. Elles nous ont été transmises par des personnes des générations précédentes qui se sont engagées et ont lutté et qui les ont arrachées des mains de monarques et de tyrans ; des personnes qui sont mortes pour que nous puissions vivre de manière autonome.

Aujourd’hui, nous sommes sur le point de nous faire voler ces libertés inestimables, durement acquises, alors que nous regardons ailleurs, alors que nous les abandonnons sans résistance ni discussion. Tout cela parce qu’on nous dit que si nous voulons retrouver notre vie d’avant, nous n’avons pas d’autre choix que d’accepter les carnets de vaccination.

Au premier abord, l’introduction des carnets de vaccination peut sembler n’être qu’un changement mineur. Après tout, beaucoup d’entre nous ont déjà pris l’habitude de devoir scanner des codes QR pour entrer dans des restaurants et des magasins. Mais ne vous y trompez pas : la mise en place généralisée des carnets de vaccination n’est pas un petit changement anodin. Il ne s’agit de rien de moins que d’un renversement fondamental de ce qu’on entend par liberté dans les sociétés démocratiques et il permettra une restructuration radicale de notre civilisation. Votre liberté personnelle ne sera plus aussi étendue qu’auparavant.

Elle ne sera plus, comme aujourd’hui, limitée partiellement et uniquement par des lois éprouvées et convenues d’un commun accord. Au lieu de cela, ce qui restera de votre liberté sera limité aux choses pour lesquelles vous aurez reçu une autorisation explicite d’un pouvoir algorithmique invisible. Votre liberté sera alors une coche verte après l’autre sur votre smartphone.

Permettez-moi de le répéter, car il est essentiel de le comprendre. Actuellement, nous pouvons fondamentalement faire tout ce que nous voulons. Sauf si nos actions sont interdites par la loi. Mais avec l’introduction des carnets de vaccination, cette notion de liberté appartiendra au passé et sera remplacée par un tout nouveau système, dans lequel vous ne pourrez faire que les choses pour lesquelles vous aurez reçu une autorisation explicite. C’est ce que je veux dire par une inversion fondamentale de la liberté. Presque du jour au lendemain, nos libertés autrefois ancrées et protégées deviennent de simples privilèges qui nous sont accordés temporairement en échange d’un respect docile des règles et d’une bonne conduite. Puis-je aller à tel restaurant, à tel concert, à telle manifestation sportive ? Puis-je monter dans ce bus, cet avion ou ce taxi ? Ai-je le droit d’entrer dans ce magasin, dans ce cabinet médical ou même sur mon lieu de travail ? La participation à des activités quotidiennes aussi banales dépendra à l’avenir d’autorisations qui nous seront délivrées via notre smartphone et qui pourront d’ailleurs changer d’un jour à l’autre. Et n’allez pas croire maintenant que tout cela ne s’applique pas à vous parce que vous avez déjà eu vaccin et rappel !

L’Australie, un pays d’environ 26 millions d’habitants, a signé des contrats pour l’achat de 195 millions de doses de vaccin supplémentaires — en plus des millions de doses déjà achetées ! Cela correspond à une vaccination de rappel tous les six mois pour les quatre prochaines années.

La situation est similaire en Allemagne, en Autriche et en Suisse. Ainsi, si vous avez deux jours de retard pour vous faire vacciner contre le dernier variant du Covid, vous pouvez oublier l’idée de dîner avec des amis dans votre restaurant préféré ! Car ce genre de privilèges vous sera alors automatiquement retiré. Et ça ne s’arrêtera pas là, car les carnets de vaccination sont comme un cheval de Troie : derrière une façade fonctionnelle apparemment inoffensive se cache un système d’identité et de carte d’identité numérique basé sur une plateforme logicielle qui devrait s’étendre au fil du temps. Aujourd’hui, il ne s’agit peut-être que d’une petite coche verte ou d’une croix rouge numérique qui indique si vous pouvez entrer ou si vous devez rester dehors, mais demain, c’est toute votre vie qui sera évaluée. Des points vous seront attribués si votre comportement profite aux grandes entreprises et aux gouvernements, et des points vous seront retirés si vous vous écartez des normes exigées.

Combien de fois avez-vous enfreint par inadvertance la règle de distanciation de 1,5 mètre aujourd’hui ? Ou qu’en est-il de votre contribution légèrement critique sur les médias sociaux à propos d’une certaine politique gouvernementale ? Qu’en est-il de cette vidéo que vous avez partagée avec un ami et qui pose des questions légitimes sur le récit actuellement accepté ? Vous pouvez alors assister à la chute de la valeur de votre crédit social. Vous perdrez alors un privilège après l’autre et n’aurez plus accès aux services essentiels à votre vie quotidienne.

Cela peut paraître exagéré, mais en Chine, ce système de crédit social est déjà une réalité. Là-bas, les gens ne peuvent même plus monter dans un train si leur note de crédit social est trop basse. Et soyez sûr que tout cela va arriver, et bientôt dans le monde entier – introduit de manière cachée via un cheval de Troie, le carnet de vaccination. Un tel monde peut nous sembler inimaginable. Mais si nous nous arrêtons un petit moment pour y réfléchir, il devient évident que le Covid-19 nous a déjà donné un avant-goût d’un monde dans lequel ce qui est permis et donc les limites de notre liberté changent chaque jour. Notre sevrage de liberté a déjà commencé.

Qu’en est-il de cette vidéo que vous avez partagée avec un ami qui pose des questions légitimes sur le récit actuellement accepté

Bien que cette vision de l’avenir soit suffisamment choquante, la véritable force dystopique d’un tel plan ne devient évidente que lorsque nous considérons les deux nouvelles plateformes que sont le carnet de vaccination et l’identité numérique dans le contexte du monde hautement technologique et fortement surveillé dans lequel nous vivons déjà. Ce n’est un secret pour personne que les géants mondiaux de la technologie surveillent et enregistrent chacune de nos actions en ligne : chaque post que nous aimons, chaque article que nous partageons, chaque publicité sur laquelle nous cliquons et chaque vidéo que nous regardons sont utilisés pour créer des profils détaillés de nous-mêmes. Ces profils psychographiques créés à l’aide de Big Data ne sont pas seulement utilisés pour savoir quels produits nous pourrions vouloir acheter. Plus effrayant encore, ils s’intéressent à nos préférences politiques, à nos opinions, à nos attitudes et à nos croyances, et même à nos motivations et à nos peurs les plus intimes.

On peut vraiment le dire ainsi : avec leur intelligence artificielle, leur Big Data et leur puissance de calcul quasi illimitée, Google, Facebook et Amazon nous connaissent mieux que nous ne nous connaissons nous-mêmes. Depuis les révélations d’Edward Snowden sur les programmes de surveillance illégaux et omniprésents de la NSA aux États-Unis, qui travaille main dans la main avec ses partenaires Five Eyes en Grande-Bretagne, au Canada, en Australie et en Nouvelle-Zélande, la plupart des personnes raisonnablement informées savent que les gouvernements collectent et stockent également d’énormes quantités de données sur tous leurs citoyens – y compris presque toutes les conversations téléphoniques, les SMS et les e-mails. Les appareils de sécurité nationaux des États et les grandes entreprises internationales à but lucratif établissent des profils sur nous, surveillent et analysent chaque aspect de notre vie.

Jusqu’à présent, le pacte faustien que nous avons conclu avec Big Data ne semble pas avoir beaucoup plus d’effets qu’un léger coup de pouce ici ou là d’une publicité en ligne ou une recommandation d’Amazon étrangement précise qui nous incite à acheter une chose dont nous ne savions même pas nous-mêmes que nous la voulions.

Mais tout cela va changer — et pour toujours — si nous autorisons l’introduction des carnets de vaccination. Pourquoi ? Parce que le carnet de vaccination, et le système de crédit social qu’il deviendra rapidement, est la dernière pièce manquante d’une architecture automatisée de surveillance totale et de contrôle social. George Orwell nous a tous familiarisés avec de nombreux aspects de la surveillance et nous savons tous intuitivement que le fait d’être surveillé exerce une certaine pression sur nous – et que nous sommes alors plus enclins à respecter certaines règles et normes. Pensez aux radars sur les routes et aux caméras de surveillance dans les magasins et les centres-villes.

Mais il y a un autre aspect de la surveillance que peu d’entre nous connaissent, à l’exception des amendes occasionnelles pour excès de vitesse – et c’est l’aspect disciplinaire de la surveillance, qui se trouve à la fin de toute structure de surveillance : la punition après les infractions. Jusqu’à présent, cette pièce du puzzle manquait, mais avec le carnet de vaccination, chaque contrevenant portera désormais dans sa poche le mécanisme de sa sanction automatique.

Dans le débat académique sur la surveillance, on utilise le terme de « totalitarisme clé en main ». L’idée est que l’infrastructure de surveillance d’un système totalitaire a déjà été construite autour de nous – mais n’est pas encore en fonction. La machine est prête, mais la clé n’a pas encore été tournée. Les carnets de vaccination sont le dernier élément de cette infrastructure, le dernier rouage de l’engrenage. Ils sont le fer de lance disciplinaire du système totalitaire de surveillance et de contrôle.

Dès que nous permettrons la mise en œuvre de cette dernière partie critique de l’infrastructure, dès que nous l’accepterons comme une partie normale de notre vie quotidienne, la clé sera tournée, le Rubicon sera franchi – et il n’y aura plus de retour en arrière possible. Il n’y aura alors plus de place pour le désaccord, plus d’occasions de discuter et plus de place pour les écarts par rapport aux normes ou aux comportements prescrits. Et au fur et à mesure que disparaît l’espace si important de la confrontation, de la différence et de l’inadaptation, disparaît également pour les gens normaux la possibilité de déterminer ensemble la direction dans laquelle notre société doit évoluer. La machine sera en fonction, observera sans cesse et automatiquement, établira des profils et les évaluera, dirigera notre comportement et nous punira si nécessaire. Nous serons à jamais à la merci de nos dirigeants, des dirigeants qui détiennent la clé de la machine ; qui comptent nos points, qui établissent toutes les règles ; qui décident si nous recevons une coche verte ou une coche rouge. Ce sont eux qui décident si nous sommes intégrés dans la société ou si nous sommes repoussés dans les dangereuses marges de l’existence.

Si nous laissons faire ça, ça signifie – comme l’a dit Aldous Huxley – la dernière révolution. Il n’y aura plus de retour en arrière possible. La liberté telle que nous, et des générations avant nous, l’avons connue toute notre vie sera effacée à jamais, sauf pour les quelques privilégiés au sommet de la pyramide. Avec le temps, peut-être dans une ou deux générations, nous serons tellement conditionnés par la surveillance constante et les récompenses et punitions qui y sont automatiquement associées que nous nous contrôlerons tout simplement nous-mêmes, nous nous surveillerons nous-mêmes, nous nous autocensurerons et nous nous soumettrons. La liberté dont nous jouissons aujourd’hui, et même l’idée de liberté telle que nous la concevons aujourd’hui, deviendront presque impensables pour nos enfants et toutes les générations à venir. On dit que le totalitarisme est avant tout la focalisation extrême de la surveillance pour atteindre des objectifs politiques. En grande partie sans débat, discussion ou consentement éclairé, nous laissons se développer, sous le couvert de la pandémie Covid-19, un nouveau monde totalitaire de surveillance totale, de contrôle et de conformité, qui est même salué par beaucoup parce qu’ils veulent faire leur part dans la lutte contre le virus. Il est tentant de penser que nous, qui vivons aujourd’hui dans notre monde hautement technologique et saturé de médias, sommes bien trop informés et bien trop intelligents pour être dupés par un tel stratagème. Oui, les gens sont peut-être tombés sous le charme du fascisme et du totalitarisme par le passé, mais nous sommes tout simplement bien trop éduqués pour tomber dans un tel piège.

Mais est-ce vraiment le cas, en êtes-vous sûr ? Regardez autour de vous, regardez combien peu d’écarts par rapport au récit approuvé sont autorisés dans les médias grand public. Regardez comment la peur est utilisée pour nous intimider et nous contrôler. Regardez comment nous nous disputons à propos des masques, des confinements et des vaccins obligatoires. Regardez comment nous commençons à penser en deux groupes. Le groupe de ceux qui en font partie et le groupe de ceux qui en sont exclus. Pouvez-vous voir le chemin parcouru en si peu de temps ? Si chacun utilise son esprit critique, la propagande et l’influence ne deviennent que trop évidentes. Le véritable objectif est déjà visible pour tous ceux qui veulent le voir. Étant donné la gravité de la situation, je vous demande de vous arrêter un instant et de réfléchir à ce qui suit.

Pendant des siècles, peut-être des millénaires, le flambeau de la liberté a été transmis de génération en génération, souvent au prix du sang, et la flamme de ce flambeau a été maintenue en vie avec les mains par lesquelles il a été transmis. Ceux d’entre nous qui vivent aujourd’hui et qui ont la chance de vivre dans des sociétés démocratiques sont désormais porteurs de ces flambeaux. Imaginez maintenant que vous regardez dans les yeux de vos parents, de vos grands-parents et de toutes les générations qui vous ont précédés à travers le temps. Regardez tous ceux qui ont donné leur vie pour que nous puissions vivre libres, qui se sont battus, qui se sont engagés, qui ont protesté et qui ont affronté des despotes pour que la liberté individuelle puisse être garantie pour eux et leurs descendants. Êtes-vous prêt à regarder ces personnes dans les yeux et à leur dire que vous avez laissé cette torche s’éteindre pour toujours à cause d’un virus ? Que vous avez laissé la flamme s’éteindre parce que vous étiez trop peureux, trop apathique, trop confiant ou trop facilement manipulable ? Imaginez maintenant que vous vous projetez dans l’avenir et que vous pensez à tous vos descendants, à vos enfants et petits-enfants, qu’ils soient déjà en vie ou à naître, et à toutes les générations qui viendront après nous. Regardez ces personnes dans les yeux et dites-leur que la liberté nous a été donnée, mais que nous avons permis qu’elle nous soit retirée, et donc à eux aussi, parce que nous n’avons pas reconnu le tour de passe-passe ou – si nous l’avons reconnu – que nous n’avons rien fait pour l’empêcher. Ressentez-vous le poids de la responsabilité ?

Nous pouvons être en désaccord sur de nombreux points, mais nous sommes certainement d’accord sur ce point. Que la liberté dont nous jouissons aujourd’hui est le plus précieux de tous les cadeaux qui nous ont été légués et que la liberté doit être choyée, entretenue et défendue à tout prix pour les générations futures. Il devrait être clair maintenant que le certificat de vaccination, le passeport Covid, le passeport vert ou quel que soit le nom qu’ils veulent lui donner, n’a absolument rien à voir avec notre santé. Et malgré la manière dont il nous est présenté, son introduction mondiale ne nous permettra pas de retrouver notre vie d’avant.

En fait, c’est exactement le contraire qui se passe. Le certificat de vaccination est la porte parfaitement construite pour créer un tout nouveau type de société contrôlée et surveillée, comme nous n’en avons jamais vu auparavant. C’est pourquoi nous ne devons en aucun cas, quelles que soient les pressions exercées sur nous, permettre l’introduction de certificats de vaccination. Ne vous y trompez pas. Il s’agit d’un moment clé de notre histoire, comme l’ont vécu les Spartiates lors de la bataille des Thermopyles ou les jeunes hommes sur les plages de Normandie. L’ampleur réelle de ce qui est en jeu ne sera jamais surestimée. Nous sommes nés sur cette belle terre en tant qu’êtres libres et souverains.

Nous sommes tous frères et sœurs. Nous sommes une famille humaine, indépendamment de notre couleur de peau, de nos croyances ou de notre nationalité. Il n’est pas nécessaire de forger des armes, de prendre d’assaut des murs ou de raser des bâtiments. Nous devons simplement nous lever, nous unir et dire que trop c’est trop. Nous avons compris les manigances, nous voyons maintenant clairement le plan et nous ne laisserons pas notre liberté nous être volée. Le flambeau de la liberté ne s’éteindra pas. Ni maintenant, ni à l’avenir, et surtout pas sous notre contrôle. Notre moment est venu de défendre ce flambeau pour toutes les générations futures. De raviver sa flamme et de la transmettre intacte et renforcée à toutes les générations futures. D’une seule voix, nous devons promettre à nos descendants :

Nous ne vous laisserons pas tomber ! Si vous vous sentez concerné par ce message, je vous invite à le partager avec votre famille et vos amis. Car c’est maintenant qu’il faut agir !




C’est terminé : Les CDC affirment que les personnes exposées au COVID n’ont plus besoin d’être mises en quarantaine

[Source : Aube Digitale]

Par Chris Martenson

Et, juste comme ça, c’est fini.

C’est une énorme nouvelle, les amis. Dans la langue des bureaucrates, c’est un échec quasi-complet devant les faits réels :

  • Aucun symptôme ? Pas de problème.
  • Vacciné ou non ? Même conseil.
  • Exposé ? Même pas besoin de quarantaine.
  • Les étudiants exposés ? Ils peuvent rester en classe, et puis zut, non ?

[Voir aussi :
Une plongée plus profonde dans le retournement des CDC (Anguille sous roche)]

Si vous avez réussi à maintenir votre intégrité pendant cette terrible période, félicitations ! Vous êtes l’une des rock stars de cette aventure. Vous êtes un individu solide qui a du courage et qui s’est tenu ferme et droit quand cela comptait le plus.

Quant à ceux qui ne l’ont pas fait, certains peuvent être pardonnés. Mais beaucoup ne le peuvent pas.

Ceux qui auraient pu et « dû » être mieux informés ? Les médecins qui n’ont pas utilisé les traitements précoces connus et éprouvés pour sauver des vies ? Les autorités de santé publique qui ont enfermé les gens et imposé des masques sur le visage des enfants sans la moindre preuve scientifique à l’appui de ces décisions ? Les administrateurs médicaux des hôpitaux qui ont mordu à l’hameçon monétaire et ont imposé aux patients des régimes toxiques et mortels de Remdesivir et de ventilateurs (encore une fois, sans aucune preuve à l’appui !). Le groupe d’experts en traitement des NIH qui, à ce jour, ne recommande toujours pas la vitamine D, ni aucun autre traitement précoce sûr et efficace ?

Désolé, pas désolé, ces personnes doivent subir des conséquences publiques réelles et durables. Certains médecins devraient perdre leur licence. Certains bureaucrates doivent perdre leur emploi tandis que d’autres doivent être jugés.

J’éprouve des sentiments très forts pour ceux qui se sont fait prendre et qui en ont terriblement souffert. Je me sens vraiment mal pour toutes les personnes qui n’ont pas pu assister au décès d’un être cher ou qui, pour pouvoir continuer à travailler, ont été contraintes de recevoir des injections anti-covid dont elles ne voulaient pas et dont elles n’avaient pas besoin.

Il y a beaucoup trop de cas tragiques. Beaucoup trop de jeunes vies ont été perdues et continuent de l’être. Je suis en colère que cela se soit produit et contre les bureaucrates mesquins et ignorants qui l’ont imposé. Le « syndrome de la mort subite de l’adulte » est une chose maintenant, et les tentatives de normalisation par la presse m’ont fait penser que les entreprises et les journalistes qui se sont engagés dans cette voie devraient être interdits à vie d’exercer à nouveau ce métier.

En voici quelques-uns parmi les nombreux candidats :

L’un des cas les plus marquants de tragédie évitable est celui de Sean Hartman, 17 ans :

Dan Hartman est certain que son fils, passionné de hockey, est décédé à la suite d’une vaccination anti COVID, mais on lui dit très peu de choses sur ce qui s’est passé. Ce père ontarien dit vouloir des réponses sur la mort soudaine de Sean, 17 ans.

« Je ne peux pas le pleurer correctement sans connaître la vérité. C’est différent si quelqu’un meurt dans un accident de voiture, une maladie ou un suicide. Ce n’est ni l’un ni l’autre, c’est une inconnue », a déclaré M. Hartman lors d’une interview diffusée le 30 juillet dans l’émission « The Nation Speaks » de NTD.

Selon l’hommage rendu à Sean par la Beeton Athletic Association Cash Draw, il a commencé à jouer au hockey à l’âge de 5 ans et a ensuite joué pour les TNT Tornadoes à New Tecumseth, en Ontario, pendant trois ans avant de revenir dans sa ville natale de Beeton lors de son année majeure Bantam.

En raison de la pandémie de COVID-19, l’Association de hockey mineur de l’Ontario a mis en place une politique qui exigeait que les joueurs âgés de 12 ans et plus soient vaccinés sous peine de ne pas pouvoir jouer.

Hartman a déclaré que Sean a décidé de se faire vacciner en août dernier afin de pouvoir continuer à jouer, le hockey étant sa passion. En Ontario, la Loi sur le consentement aux soins de santé ne prévoit pas d’âge minimum de consentement, ce qui signifie que les jeunes de l’âge de Sean peuvent se faire vacciner sans le consentement de leurs parents.

« Donc, le 25 août, il a reçu le vaccin de Pfizer. Et le 29 août, il s’est rendu aux urgences – il avait des cercles bruns autour des yeux, une éruption cutanée et il vomissait », a déclaré Hartman.

« Ils l’ont renvoyé chez lui avec seulement de l’Advil. Le médecin n’a pas fait deux tests sanguins qu’il aurait dû faire. Un autre médecin m’a dit qu’il aurait dû les faire. Et le matin du 27 septembre, il a été retrouvé mort sur le sol à côté de son lit. »

(Source : Epoch Times)

Il y a des milliers et des milliers de cas similaires et tragiques. Trop nombreux.

Depuis le début, je dis la même chose que les docteurs McCullough, Malone, Urso, Kory, Marik, Rose et Steve Kirsch, parmi tant d’autres : les vaccins anti-covid n’auraient jamais dû être administrés à toutes les personnes possibles.

Il aurait fallu adopter une approche de stratification de l’âge et du risque. Seules certaines personnes auraient dû être vaccinées, mais jamais des enfants en bonne santé. Jamais.

La diabolisation de questions même simples et tout à fait appropriées était horrible et se poursuit encore aujourd’hui, comme je l’ai souligné dans une vidéo récente sur « Fact Checkers » dans laquelle j’ai couvert un article vraiment horrible du New York Times par Sheera Frenkel. Dans cet article, Mme Frenkel s’est laissée emporter par un verbiage hyperbolique, chargé d’émotion, dans une tentative effrontée de déformer toute question posée par les parents en disant qu’elle était entièrement due à la mésinformation, à des théories du complot et à une position en noir et blanc d’ »antivax ».

Eh bien, si les parents hésitants sont des antivax, alors nous devons dire que ces gens sont dans la grande majorité (et à juste titre) tandis que c’est Mme Frenkel et le New York Times qui sont terriblement hors de l’alignement avec les données.

Loin d’être marginale, l’opinion selon laquelle les enfants n’ont pas besoin du vaccin anti covid-19 représente une minorité significative (pour les cohortes plus âgées) ou une majorité écrasante (pour les plus jeunes) de parents aux États-Unis, au Royaume-Uni et ailleurs.

Les 95 % de parents américains qui ont refusé de faire vacciner leurs enfants de 0 à 5 ans contre le Covid-19 sont-ils « antivax » ? Qu’en est-il des 89 % de parents britanniques qui, à la fin du mois de juillet, avaient refusé de faire vacciner leurs enfants de 5 à 11 ans ?

Bien sûr qu’ils ne le sont pas. Ils reconnaissent simplement que l’extrême discrimination par âge du Covid rend la vaccination inutile pour la grande majorité des enfants par ailleurs en bonne santé, tout comme l’immunité acquise par l’infection.

(Source – La diabolisation de la dissidence)

C’est aux psychologues et aux spécialistes des sciences sociales qu’il appartient de comprendre comment la « gauche » a pu devenir les plus grands défenseurs des sociétés pharmaceutiques corrompues dont la corruption a été prouvée par les tribunaux. Peut-être pourrions-nous également inclure des éthiciens et des procureurs.

Traitements précoces

Plus important et plus révélateur dans cette triste saga, des traitements précoces auraient dû être découverts et utilisés à bon escient, comme ils l’ont été dans de nombreux autres pays.

Le simple fait que les deux graphiques ci-dessous n’aient jamais fait l’objet d’un débat sain et vigoureux en dit long sur l’ampleur réelle de la corruption.

Depuis plus d’un an, l’Uttar Pradesh botte le c*l de tous les pays occidentaux dans la lutte contre le covid, et ce, grâce à des programmes de traitement précoce simples et efficaces qui ressemblent à ceci :

Le kit comprenait :

  • Ivermectine
  • Azithromycine (Z-pac)
  • Doxycycline
  • Zinc
  • Vitamines D et C

Il est évident que cette approche a fonctionné et a très bien fonctionné, non seulement en réduisant le nombre de décès, mais aussi de cas. Avec moins de cas moins graves, il y a fort à parier qu’ils ont également réussi à réduire les longues périodes du covid.

Le Dr Pierre Kory a récemment écrit un article d’une qualité exceptionnelle sur la manière dont l’Uttar Pradesh a accompli son étonnant exploit. Tout a commencé avec un dirigeant qui n’a pas eu peur de commencer par éradiquer la corruption :

Le miracle méconnu dans le monde entier : Le succès de l’Uttar Pradesh

L’Uttar Pradesh (UP) est un État du nord de l’Inde qui compte 231 millions d’habitants. C’est là que se trouve le Taj Mahal. Si c’était un pays, il serait le sixième plus grand du monde.

À mon avis, la réussite historique de l’UP repose sur l’intégrité de son ministre en chef (CM) Yogi Adityanath. Il est un moine hindou et est connu pour sa politique de tolérance zéro contre la corruption. On ne saurait trop insister sur l’importance de cette qualité, surtout au vu des corruptions incessantes de la science médicale et de la politique de santé publique qui se manifestent chaque jour depuis deux ans.

Depuis sa prise de fonction en tant que CM il y a plus de trois ans et demi, il a pris des mesures contre 775 fonctionnaires corrompus de l’UP issus du service administratif et du service de police indiens. Son leadership pendant le COVID devrait servir d’exemple d’inspiration historique aux politiciens. Ils devraient prendre note de la façon dont des politiques honnêtes et directes conçues dans le but singulier de servir et de protéger le bien public peuvent réussir en politique.

En mars 2020, Yogi Adityanath a convoqué (et présidé) un comité composé de 11 hauts fonctionnaires chargés de gérer différents aspects tels que la surveillance et la recherche des contacts, les tests et les traitements, l’assainissement, le confinement, l’application de la loi, la livraison à domicile, les problèmes des migrants, la stratégie de communication, etc.

Il est à noter que l’UP a commencé par être forte dès le début. Dès le début de la pandémie, en mars 2020, s’inspirant du protocole national de l’Inde, l’UP a immédiatement adopté l’hydroxychloroquine pour la prévention du COVID pour tous ses travailleurs de la santé ainsi que pour les contacts familiaux de tous les cas confirmés en laboratoire.

Rappelons que la promesse de traitement de l’HCQ était connue depuis la première pandémie de SRAS, un fait souligné depuis longtemps par Anthony Fauci. Pourtant, dans le COVID, lorsque sa menace pour l’industrie pharmaceutique en tant que traitement efficace est devenue réalité, Fauci a essentiellement mené la première campagne de désinformation contre un médicament reconverti dans la pandémie. Sa campagne est décrite dans le livre de RFK Jr, The Real Anthony Fauci, dans la première section du chapitre 1, intitulée « Killing Hydroxychloroquine ».

Puis, en août 2020, UP a rompu avec les fédéraux et a changé son protocole pour l’ivermectine après une « expérience » à Agra, une ville de 1,6 million d’habitants. Le chef des unités de l’équipe d’intervention rapide de l’État, le Dr Anshul Pareek, avait décidé de mener une étude sur l’ivermectine en tant qu’agent préventif sur la base du rapport d’un vétérinaire (pour être juste, il s’appuyait également sur d’autres rapports cliniques prometteurs chez l’homme).

L’UP a immédiatement commencé à administrer de l’ivermectine aux contacts proches des cas positifs dans le district et a constaté des résultats profondément positifs. Sur la base de ces observations, les autorités sanitaires de l’État ont donné le feu vert à l’utilisation non autorisée de l’ivermectine non seulement en prévention… mais aussi en traitement. C’était leur protocole d’utilisation de l’ivermectine :

  1. Les contacts proches des patients atteints de COVID-19
  2. Personnel soignant
  3. Soins généraux des patients atteints du COVID-19

Remarquez que le gouvernement de l’UP a fait ce que mes collègues et moi-même avions imploré depuis le début de la pandémie. Faire une analyse décisionnelle des risques et des avantages en cas d’urgence. Comme on le fait en temps de guerre. Même si le point de vue était que les preuves des essais cliniques pour le HCQ ou l’IVM étaient  » insuffisantes « , les preuves des dommages étaient presque nulles, alors que les preuves des dommages d’un COVID généralisé non traité étaient évidemment catastrophiques.

Source – Pierre Kory Substack

Alors, pourquoi les pays occidentaux n’ont-ils pas réussi à remarquer l’incroyable succès de l’Uttar Pradesh ? Je dis que c’est parce qu’ils ne le voulaient pas. C’était volontaire, malin et mauvais. Fauci (en tant que substitut de tout professionnel de la santé corrompu et en conflit) préférait le pouvoir, l’argent et la célébrité qui découlaient d’une longue crise. Ces personnes en conflit n’ont pas pensé à tuer et à blesser davantage de personnes, préférant maintenir la crise en jeu aussi longtemps que possible.

Nous avons souffert aussi longtemps, et tant de gens sont morts, parce que nos gouvernements ne se soucient pas de leur propre peuple. Parce que les grands médias ne se soucient pas de leurs concitoyens. Parce que les entreprises, et surtout les entreprises pharmaceutiques, ne se soucient pas des gens. Elles se soucient plus de l’argent, du contrôle et du pouvoir que de toute autre chose.

C’est ce que je pense fermement et sans ménagement. Ces gens ne peuvent pas être réformés. Ce sont des marchandises endommagées. Les institutions ne peuvent pas être réformées, elles doivent être démantelées et recommencées. Les sociétés ne peuvent être sauvées, elles doivent être dissoutes et leurs actionnaires et détenteurs d’obligations doivent subir de lourdes pertes afin que la prochaine fois, le capital se pose un peu plus de questions.

Le grand retour en arrière

Alors pourquoi les CDC reviennent-ils sur leurs « conseils » à ce stade ? Je ne sais pas, mais il n’y a pas de nouvelles études à ma connaissance qui auraient fait pencher la balance d’un côté ou de l’autre.

Je pense plutôt que c’est le gouvernement danois qui a rendu illégale l’administration de vaccins aux mineurs (<18 ans) après avoir finalement constaté que le rapport risque-récompense n’était pas favorable.

Il va devenir très difficile pour les CDC de maintenir une quelconque intégrité si certaines agences sanitaires occidentales commencent à affirmer l’évidence alors que les CDC continuent à conseiller à leurs propres citoyens de sacrifier leurs enfants et eux-mêmes à la machine à vaccins anti-covid.

Si cela reste leur conseil – stupidement – cela ne durera pas longtemps, à mon avis. Les bureaucraties doivent faire marche arrière par étapes.

Et puis il y a un nombre croissant de pays qui remarquent ouvertement que leurs chiffres de mortalité toutes causes confondues sont beaucoup trop élevés et qui commencent à enquêter :

Quand environ 4 000 personnes de trop meurent en l’espace de trois semaines, c’est très inconfortable et les gens finissent par le remarquer. Et, quand ils le font, oh là là, attention !

Ou peut-être est-ce simplement que les CDC ont lu les derniers sondages, qu’ils ont compris que les démocrates allaient perdre leur majorité et qu’ils essaient d’anticiper les enquêtes que les républicains ne manqueront pas de lancer dès qu’ils le pourront ?

Quelle que soit la raison, c’est trop peu et trop tard. Les CDC ont perdu à jamais ma confiance et tous ceux qui y travaillent portent la responsabilité de ce qui s’est passé, certains plus que d’autres, bien sûr.

Conclusion

C’est fini, les amis. Rangez vos affaires ! La grande pandémie de Covid est terminée. Comme je l’avais prédit en décembre 2021, Omicron était la fin de Covid, mais il a fallu beaucoup trop de temps et beaucoup trop de vies supplémentaires pour que cette réalité se concrétise.

Je prédis qu’il faudra encore de nombreux mois avant que le Canada, la Nouvelle-Zélande et l’Australie ne se réveillent enfin de leurs cauchemars autoritaires, mais cela arrivera aussi. Avec, je l’espère, des conséquences extrêmes pour Trudeau, Morrison, Arden, Andrews, Mme Freeland et d’innombrables autres minarets bureaucratiques.

Pour aider à guérir de ce désastre, nous devons être aussi accueillants que possible pour ceux qui se réveillent enfin et veulent être réintégrés comme membres à part entière du Remnant. Bien sûr, ils seront en probation pour toujours, mais ils seront les bienvenus.

Dans l’immédiat, je demande des excuses globales aux personnes blessées par le vaccin et à leurs proches qui ont été horriblement étouffés par l’establishment médical. Ils méritent notre soutien, et ils l’auront.

Et pour tous ceux qui ont tenu bon, vous êtes mes amis pour la vie et je salue chacun d’entre vous !

Traduction de PeakProsperity par Aube Digitale


À propos de l’auteur

Chris Martenson, PhD (Duke), MBA (Cornell), est un chercheur économique et un prospectiviste spécialisé dans l’énergie et l’épuisement des ressources, et fondateur de PeakProsperity.com. L’un des premiers écoblogueurs à avoir prédit l’effondrement du marché immobilier et la correction du marché boursier des années à l’avance, Chris a acquis une certaine notoriété avec le lancement de son séminaire vidéo fondamental : The Crash Course, qui a également été publié sous forme de livre (Wiley, mars 2011). The Crash Course est une distillation populaire et extrêmement appréciée des forces interconnectées de l’économie, de l’énergie et de l’environnement (les « trois E », comme Chris les appelle) qui façonnent l’avenir – un avenir qui sera défini par des défis croissants à la croissance telle que nous l’avons connue.




Dr Alexandra Henrion Caude et Mélodie : « Où est mon cycle »

[Source : tvadp.fr]

Émission animée par le Docteur Eric Loridan.






600 % de décès supplémentaires signalés au cours des 19 derniers mois par rapport aux 32 années d’existence de la base de données VAERS

[Source : profession-gendarme.com]

Depuis le début de la pandémie de COVID-19 il y a deux ans, le gouvernement américain a injecté des milliards de dollars de vos impôts dans le programme de vaccination. Plus de 9 milliards de dollars de vos impôts ont été versés aux fabricants de vaccins pour la recherche et 22 milliards de dollars de vos impôts ont ensuite été utilisés pour soutenir la distribution des vaccins. Les autorités fédérales ont également déboursé 10 milliards de dollars supplémentaires pour élargir l’accès aux vaccins et ont annoncé qu’elles allaient consacrer 3 milliards de dollars de plus à une campagne publicitaire visant à combattre l’hésitation à se faire vacciner.

Le gouvernement américain a dépensé bien plus de 130 dollars pour chaque homme, femme et enfant en Amérique pour promouvoir les vaccins COVID-19 et pourtant, plus d’un tiers du pays refuse toujours de se faire vacciner et près de 70 % refusent de prendre le rappel. Comment cela se fait-il ?

Périodiquement, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) publient les nouvelles informations sur les rapports soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS). Le nombre de rapports atteint des niveaux historiques et le nombre de décès et d’événements indésirables signalés est plus élevé que jamais.

Avant d’aller plus loin, pour ne pas déclencher les « vérificateurs de faits », il est important de souligner que ce n’est pas parce que des données sont soumises au CDC par le biais du VAERS que ces réactions sont liées au vaccin COVID-19.

Selon le CDC :

L’une des principales limites des données VAERS est qu’elles ne permettent pas de déterminer si le vaccin a causé l’événement indésirable signalé. Cette limite a entraîné une confusion dans les données publiques du VAERS WONDER, notamment en ce qui concerne le nombre de décès signalés. Il est arrivé que des personnes interprètent à tort les rapports de décès consécutifs à une vaccination comme des décès causés par les vaccins, ce qui n’est pas exact. Le VAERS accepte tous les rapports d’événements sanitaires indésirables suite à des vaccinations sans juger si le vaccin a causé l’événement sanitaire indésirable. Certains rapports au VAERS représentent de véritables réactions aux vaccins et d’autres sont des événements sanitaires indésirables fortuits et non liés à la vaccination.

Cependant, toujours selon les CDC, « le VAERS est un système national d’alerte précoce permettant de détecter les éventuels problèmes de sécurité des vaccins homologués aux États-Unis. » Et, étant donné le volume des rapports, la sonnette d’alarme devrait être tirée partout. Pourtant, ce n’est pas le cas.

Bien que le CDC nous assure que sa base de données est inexacte, le volume des réclamations devrait suffire à déclencher de sérieux signaux d’alarme.

Les chiffres les plus récents du CDC sont sortis le 29 juillet 2022. Les chiffres les plus récents font état de 1 622 882 événements indésirables au total, dont 56 021 rapports d’invalidité permanente après la vaccination, 33 247 événements mettant la vie en danger, 170 749 hospitalisations, 1 134 anomalies congénitales et 29 981 décès signalés.

Bien que les responsables nous disent de ne pas nous préoccuper de ces données, si nous les comparons aux données précédentes, la recommandation de les ignorer devient tout à fait insensée. Avant l’autorisation d’utilisation d’urgence des vaccins COVID en décembre 2020, dans toute l’histoire du VAERS, il n’y avait eu que 930 953 événements indésirables signalés sur une période de 32 ans.

En 19 mois seulement, cependant, il y a eu plus de 1,5 million de rapports — un nombre qui éclipse tous les rapports précédents — et tous concernent les vaccins COVID.

Il y a eu 150 % de plus d’événements indésirables signalés pour un seul vaccin au cours des 19 derniers mois que ce qui n’a jamais été signalé dans l’histoire du VAERS — pour TOUS les vaccins.

C’est encore pire. Depuis la création du VAERS en 1990, seuls 5 039 décès ont été signalés au système pour tous les vaccins avant l’approbation des vaccins COVID-19. Il y a eu près de 600 % de décès signalés en plus pour un seul vaccin au cours des 19 derniers mois que pour l’ensemble des vaccins dans toute l’histoire du système.

La base de données VAERS reçoit normalement entre 30 000 et 50 000 rapports par an, dont environ 8 à 13 % sont classés comme graves (c’est-à-dire associés à une invalidité, une hospitalisation, une maladie potentiellement mortelle ou un décès), selon l’outil de recherche principal VAERS des CDC.

En 2021, le VAERS a reçu une augmentation de plus de 3 000 % des rapports d’événements indésirables, et pourtant on nous dit de ne pas nous inquiéter. C’est peut-être pour cette raison que Pfizer – selon des documents récemment publiés par la FDA en février 2021 – a embauché 600 employés pour traiter les événements indésirables.

Selon le document non expurgé publié le 1er avril :

Pfizer a également pris de nombreuses mesures pour atténuer la forte augmentation du nombre de rapports d’événements indésirables. Ces mesures comprennent d’importantes améliorations technologiques, des solutions en matière de processus et de flux de travail, ainsi que l’augmentation du nombre de collègues chargés de la saisie des données et du traitement des cas.

« À ce jour, Pfizer a embauché environ 600 employés à temps plein (ETP) supplémentaires. »

« D’autres s’ajoutent chaque mois, pour un total attendu de plus de 1 800 ressources supplémentaires d’ici la fin juin 2021. »

Heureusement, l’augmentation du nombre de décès et de blessures signalés s’estompe à mesure que davantage de personnes se réveillent à ces données. Comme Alex Berenson l’a récemment déclaré :

L’échec des tirs d’ARNm, après le battage médiatique qui les a entourés lors de leur introduction en 2020, est profondément décevant.

Le développement de nouveaux médicaments ne peut être précipité, même si nous pouvons espérer qu’il le soit. Les régulateurs et les scientifiques soucieux de l’éthique doivent insister sur des essais cliniques correctement conçus et menés avant d’approuver tout nouveau médicament ou vaccin.

Mais l’échec des vaccins est en fait moins corrosif à ce stade que le refus sinistre des autorités de santé publique, des politiciens et des médias d’admettre cet échec.

Pratiquement tout le monde connaît la vérité. Comment puis-je en être aussi sûr ? De la manière la plus élémentaire. Plus personne ne se fait vacciner contre l’ARNm, ni pour lui-même, ni pour ses enfants. Plus d’un mois après que les autorités de réglementation ont enfreint toutes les directives dont elles disposaient pour approuver les vaccins pour les enfants de moins de 5 ans, plus de 97 % des enfants de cet âge ne sont toujours pas vaccinés.

C’est une excellente nouvelle pour l’avenir.

Sources : https://thefreethoughtproject.com
prepareforchange.net




INCENDIES : réintégrons en urgence nos pompiers suspendus

Par Nicole et Gérard Delépine

Les incendies se multiplient. Les 5000 pompiers français suspendus manquent tellement que nous acceptons des pompiers étrangers non vaccinés !

Le président Macron a élevé les pompiers (comme les soignants) au rang de « héros ». Mais en France il ne fait pas bon d’être un héros en période de folie covid. Les héros sont fatigués et sont exclus de leur activité s’ils ne se plient pas aux ukases du président, telle l’injection anticovid expérimentale.

Environ 5000 pompiers professionnels ont ainsi été exclus ou ont fui la profession et de nombreux sapeurs-pompiers volontaires en formation se sont dirigés vers d’autres professions.

Et ces pompiers manquent cruellement sur le front des incendies, comme les soignants eux aussi soumis à l’obligation d’injection manquent aux urgences et dans les blocs opératoires.

Car si nos gouvernants ont été incapables de consolider les services publics de sécurité intérieure (pompiers, hôpitaux, police), ils ont été très performants pour les démotiver en refusant de les écouter et en leur imposant des obligations inutiles et dangereuses.

Pour combler le déficit d’effectifs, le gouvernement mendie des pompiers étrangers non vaccinés d’Allemagne, d’Espagne, d’Autriche, de Pologne et de Roumanie ! Et nos voisins européens, considérant l’inefficacité des injections à empêcher les contaminations et les transmissions, n’ont pas émis d’obligation inutile et ne souffrent pas de pénurie de personnel comparable à la nôtre !

Reprenons la proposition de loi des sénateurs éclairés enregistrée à la Présidence du Sénat le 16 juin 2022.

PROPOSITION DE LOI visant à abroger l’obligation vaccinale des personnels soignants et des pompiers

PRÉSENTÉE par :

Mmes Sylviane NOËL, Sabine DREXLER, Claudine THOMAS, M. Alain JOYANDET, Mmes Annick PETRUS, Laurence MULLER-BRONN, MM. Daniel LAURENT, Alain HOUPERT, Laurent DUPLOMB, Mme Kristina PLUCHET, M. Sébastien MEURANT, Mmes Sylvie GOY-CHAVENT, Christine BONFANTI-DOSSAT, MM. Jean-François LONGEOT, Cyril PELLEVAT et Mme Christine HERZOG, Sénatrices et Sénateurs

EXPOSÉ DES MOTIFS

Mesdames, Messieurs, il y a un peu plus de deux ans, l’épidémie de Covid-19 submergeait brutalement nos hôpitaux. Du jour au lendemain, les soignants ont dû faire preuve d’adaptabilité pour tenter de contrer cette vague épidémique sans précédent dans l’histoire de notre pays. Nos soignants, avec une grande conscience professionnelle, ont pendant cette période enchaîné les journées harassantes, renoncé à leurs congés et jours de repos, tout cela dans des conditions dignes du tiers-monde, sans sourciller. Parce que nous étions « en guerre » contre l’épidémie, ils ont dû faire face avec beaucoup d’ingéniosité et d’abnégation, au péril de leur propre santé. Sans gants, sans masques, ils ont été réduits à recourir au système D : en se fabriquant des blouses avec des sacs poubelles et en réutilisant, encore et encore, des masques usagés, faute de stocks suffisants. Un dévouement sans peu d’égal, qui avait ému les Français, qui chaque soir, étaient réunis à leurs fenêtres à 20 heures pour applaudir ces héros. Puis brutalement, le sort réservé aux soignants a changé : les héros d’hier sont devenus les parias d’aujourd’hui. Alors que l’obligation vaccinale a été rejetée par le Parlement français, laissant à chacun la liberté toute relative face à un pass sanitaire puis vaccinal très discriminant de recourir à la vaccination, les soignants et assimilés (pompiers par exemple) n’ont pas eu ce choix. Ordre leur a été donné d’obtenir un schéma vaccinal initial complet avant le 15 octobre 2021, faute de quoi ils seraient suspendus, sans revenu, sans statut. À compter du 30 janvier 2022, la dose de rappel a été intégrée dans l’obligation vaccinale pour tous les professionnels afin qu’ils puissent continuer à exercer leur activité. Alors que de multiples études montrent que la vaccination n’a que très peu d’incidence sur le portage et la transmission du virus, alors que l’immense majorité des pays ont abandonné cette obligation vaccinale, des milliers de soignants et de pompiers français ont été suspendus parce qu’ils ont choisi d’exercer, comme tous les autres français, leur libre choix à l’égard de ce vaccin. Des dizaines de milliers de héros du quotidien qui font cruellement défaut à notre hôpital déjà exsangue, ainsi qu’à notre chaîne de secours déjà éprouvée par deux années de crise sanitaire. Ainsi, le gouvernement s’est lui-même contraint à rappeler des soignants vaccinés, mais malades du Covid (positifs, donc) au lieu de faire appel à des personnels non vaccinés, mais négatifs et prêts à se faire tester chaque jour si nécessaire. Kafka en rêvait, le gouvernement l’a fait !

Alors que la saison estivale n’a même pas encore débuté et que la plupart des régions vont connaître un afflux de population touristique très important, l’ensemble de nos structures de santé, publiques comme privées, se trouvent aujourd’hui déjà dans une situation extrêmement critique en raison de cette pénurie de personnels soignants. Le maintien de cette mesure discriminatoire portera un coup fatal et irréversible à notre système de santé déjà terriblement éprouvé si nous ne réagissons pas très vite. Chaque jour, faute de personnel disponible, des établissements de santé déprogramment des interventions chirurgicales, des EHPAD gèlent des lits, des centres médico-psychologiques renvoient des patients lourdement handicapés dans leurs familles, des maires déplorent la multiplication des déserts médicaux, des services d’urgence ferment leur porte… Les situations de ce type se comptent par milliers, et plongent des malades et des familles entières dans la détresse. Bon nombre de ces soignants suspendus sans perspective ont d’ores et déjà opté pour une reconversion dans d’autres secteurs d’activité. Dans certaines régions frontalières comme la Haute-Savoie, ces personnels ont choisi d’aller exercer leur activité dans les pays voisins comme la Suisse, où cette obligation vaccinale n’est pas requise. En outre, les récentes mesures adoptées pour favoriser l’attractivité des métiers de la santé ne porteront leur fruit que dans plusieurs années. En attendant, il est absolument vital de ne pas fragiliser encore davantage les effectifs de notre personnel de santé. Cette crise a mis en lumière le malaise de nos soignants, les dysfonctionnements d’un hôpital sur-administré et sous-doté, les défaillances dans les chaînes de décisions.

Alors que nous avons désormais tous repris une vie quasiment normale face à ce virus, il est grand temps de tirer toutes les leçons de cette période moribonde et de remuscler sans tarder notre système de santé. Certains facteurs nécessiteront malheureusement du temps pour être corrigés : le déficit de personnel en fait partie. Il est donc absolument indispensable de supprimer le plus vite possible cette obligation vaccinale pour les soignants, de réhabiliter sans perdre une minute ces milliers d’hommes et de femmes indignement traités par l’État français et de leur accorder, enfin, respect et reconnaissance. Tel est l’objet de la présente proposition de loi qui propose dans son article 1er d’abroger les dispositions de l’article 12 de la loi du 5 août 2021 relative à l’obligation vaccinale des personnels soignants, en les réintégrant aux effectifs des établissements concernés, et dans son article 2 de permette aux agents du service public concernés de conserver l’état d’avancement d’échelon et de grade qu’ils possédaient avant leur suspension.

Proposition de loi visant à abroger l’obligation vaccinale des personnels soignants et des pompiers

Article 1er

La loi n° 2021-1040 du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire est ainsi modifiée : 1° Le I de l’article 12 est abrogé ; 2° Les articles 13 à 19 sont abrogés.

Article 2

Les agents du service public mentionnés au I de l’article 12 de la loi n° 2021-1040 du 5 août 2021 précitée conservent l’état d’avancement qu’ils possédaient avant leur suspension.

Article 3

Les éventuelles pertes de recettes résultant pour l’État de l’application de la présente loi sont compensées, à due concurrence, par une taxe additionnelle, l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Merci à ces sénateurs courageux dont la clairvoyance se reflète dans un exposé clair et concis. Et regrettons que ce projet de loi soit resté lettre morte pour l’instant.

Alain Houpert

En 2020 les sénateurs ont alerté le gouvernement sur l’état alarmant du matériel aérien de lutte contre les incendies. Deux ans plus tard, rien n’a été fait.

Harold Bernat @bernathoustra

Si je comprends bien, n’hésitez pas à éclairer ma lanterne, on devrait se taper le cul par terre parce que 300 pompiers hors France viennent en renfort quand 5000 pompiers français sont suspendus simplement pour mater sans aucune raison sanitaire à l’été 2022.

#Invendies #Gironde

@EnModeMacaron

Le vaccin ne protège pas de l’infection et de la contamination, mais Macron ne réintègre pas les pompiers suspendus ! 😡 La sénatrice Sylviane Noël veut la réintégration des pompiers suspendus alors que la France brûle ! RT si tu soutiens cette demande !

@DIVIZIO

La France fait venir des pompiers d’ailleurs ! Dont acte ! La presse a donné les pays d’où viennent ces soldats du feu. Du coup demain, méthodiquement, @AssoJNSPUD

va examiner le statut de l’obligation vaccinale dans ceux-ci et si un seul n’est pas soumis à vaccination obligatoire

je ferai immédiatement un recours pour enjoindre au ministre de justifier que seuls des sapeurs-pompiers étrangers vaccinés sont au feu ! Au besoin j’enverrai un huissier directement au lieu où sont les pompiers et leur commandement pour avoir l’info et en tirer les conséquences.

@AssoJNSPU

Vous pouvez commencer : les pompiers allemands NON INJECTÉS… de quoi bien humilier nos pompiers suspendus encore un peu. COMMENT LEURS COLLÈGUES PEUVENT-ILS ACCEPTER ÇA ! ET LEUR SYNDICAT, IL SERT À QUOI à part encaisser le chèque !

@NiusMarco

Les pompiers allemands non vaccinés vont pouvoir éteindre les feux en France. Pas les Français #reintegrezlesPompiersSuspendus

En Pologne, la vaccination covid a été recommandée, mais non obligatoire pour les pompiers.

organic_lover1976

En Espagne la vaccination n’est obligatoire pour personne

ET LES MOYENS ?

Titiart

lorsqu’un #Canadair coûte environ 60 millions d’€, la France en a commandé 2 supplémentaires On est donc incapable de payer 10 ou 15 avions de plus Pendant ce temps les actionnaires du CAC40 se sont partagé 70 milliards d’€ en 2021 ET, SI, ÇA A TOUT À VOIR !

Il faut supprimer l’obligation des pseudo vaccins expérimentaux qui ne sert à rien et réintégrer le plus vite possible pompiers et soignants vaccino-prudents.




L’exclusion des soignants et pompiers non vaccinés est aussi un acte de censure dissimulée

Par Nicole et Gérard Delépine

Les soignants vaccino prudents ainsi que les pompiers, premiers témoins des désastres vaccinaux, ont été exclus du milieu médical, puis ostracisés parce que le ministre ne voulait pas qu’ils parlent, racontent leurs constatations, ni qu’ils servent d’exemple !

Maintenant les hôpitaux, les cliniques obstétricales ferment tandis que les déserts médicaux se multiplient aux dépens des malades.

Il n’y avait aucune raison sanitaire d’exclure les soignants vaccino prudents

Avant la mise sur le marché des vaccins, lors de la première vague, aucune étude n’a prouvé que les soignants constituaient une source notable de dissémination de la maladie. Les 300 covids nosocomiaux répertoriés en France sont dus aux conditions d’attente aux urgences et à l’absence de ventilation efficace des services.

Au moment où le gouvernement a imposé cette obligation, il reconnaissait lui-même que les pseudo vaccins n’empêchaient ni d’attraper la maladie ni de la transmettre donc que les injections des soignants ne pouvaient pas protéger les malades au vu des courbes d’évolution de l’épidémie mondiale publiées par l’OMS.

On pouvait s’en douter depuis plus d’un an, au vu de la flambée épidémique dans les pays précocement et massivement vaccinés, Islande, Royaume-Uni, Gibraltar, Israël alors que l’Afrique et Madagascar peu vaccinés ont beaucoup moins souffert.

Les vaccinés sont aussi dangereux pour les personnes qu’ils approchent que les non-vaccinés. 

Les données sur le mois de juin 2022 de la Direction de la recherche, des études, évaluations et statistiques du ministère de la Santé laisseraient même envisager que la vaccination avec rappel augmente le risque d’infection. La proportion de tests positifs se révèle plus faible chez les non-vaccinés que chez les vaccinés avec rappel (788/100 000 vs 846) dans la catégorie des 40-59 ans, comme dans celle des 60-79 ans (584 vs 757).

Le gouvernement se réfugiait derrière la prétendue protection des formes graves qui s’est depuis elle aussi révélée fausse et qui ne pouvait en aucune manière constituer un argument d’obligation vaccinale.

Alors pourquoi le gouvernement a-t-il imposé cette obligation ?

Il n’y a aucune raison sanitaire de maintenir l’exclusion des soignants vaccino prudents

L’académie de médecine s’est opposée à une éventuelle réintégration des soignants non vaccinés sans aucun argument scientifique. Lorsqu’elle prétend qu’un « revirement mettrait en péril les malades fragiles », elle est incapable d’apporter la moindre étude clinique à l’appui de son affirmation infondée. Et son affirmation est d’autant moins crédible qu’elle a accepté que les soignants covid positifs continuent leur activité auprès de ces malades fragiles…

Elle se réfugie derrière des motifs psychologiques en prétendant croire que la réintégration nuirait au « climat de confiance qui doit exister entre soignants », alors que ceux qui travaillent encore n’attendent que d’être renforcés par leurs collègues et amis.

Elle fait aussi semblant de croire que la réintégration nuirait au « climat de confiance qui doit exister avec les patients » alors que ceux-ci préfèrent avoir des soignants expérimentés plutôt que des vigiles à l’entrée des hôpitaux et que la peur qui en paralyse encore beaucoup n’est pas la conséquence d’un danger réel, mais seulement de la propagande terrorisante qui se poursuit et qu’elle pourrait contribuer à calmer.

Lorsque les vieux retraités de la médecine qui constitue la majorité de l’académie prétendent que « la réintégration ne résoudrait pas les difficultés de l’hôpital », ils paraissent ignorer la réalité du terrain rappelée par les médecins en activité comme Gérald Kierzek(([1] émission Points de vue du 13 juillet 2022.
https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/il-faut-reintegrer-les-soignants-non-vaccines-gerald-kierzek-pousse-un-coup-de-gueule_498050)), Jean-François Cibien, (président de l’intersyndicale Action Praticien Hôpital)(([2]« Ils ne sont pas des parias », s’insurge-t-il.
https://www.midilibre.fr/2022/06/24/crise-a-lhopital-face-a-la-penurie-de-soignants-faut-il-reintegrer-le-personnel-non-vaccine-contre-le-covid-10394277.php)), Yannick Neuder, Patrick Pelloux(([3] https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/sante-publique/reintegrer-les-soignants-non-vaccines-5-medecins-repondent-sans-langue-de-bois)), Antoine Flahault(([4] https://twitter.com/FLAHAULT/status/1549756425928327168)) pourtant infatigable provax, le professeur Yonathan Freund, urgentiste à l’AP-HP…

« Outre la pénurie de soignants, il est dommage de se priver de compétences et de personnes qui ont donné parfois 20 ou 25 ans à leur métier. Aucune quantité n’est négligeable aujourd’hui. Dans une équipe à flux tendu, quand on enlève une ou deux personnes, c’est très compliqué… On a besoin de tout le monde pour assurer la qualité et la sécurité des soins. »

Quant à la HAS, on comprend mal la base scientifique de son avis, dont la conclusion est en contradiction avec l’exposé. Pour justifier le maintien de l’obligation vaccinale, les experts de la HAS prétendent en effet que « la protection vaccinale se situe entre 45 % et 55 % contre les infections symptomatiques dans les trois mois suivant l’injection » mais se contredisent plus loin en reconnaissant que « le niveau d’efficacité contre les infections après trois mois n’est pas précisément connu à ce jour ». L’absence d’indépendance de la HAS dont tous les membres sont nommés par les politiques a été démontrée ailleurs et fait peser bien des doutes sur la fiabilité de leurs avis.(([5] HONTE A LA HAS EMANATION DU POUVOIR DE REFUSER LA RÉINTÉGRATION DES SOIGNANTS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

En réalité l’exclusion visait à empêcher que ces soignants et pompiers n’informent les patients avec des informations directes du vécu du terrain (qualifiées de complotistes)

La censure des médecins vaccino prudents, et leur diabolisation, ont commencé très tôt dans les médias excluants systématiquement ceux qui contredisaient les mensonges officiels (tels que l’utilité du confinement et d’autres mesures prétendument sanitaires telles que le masque ou la distanciation des écoliers [!], la qualification « vaccin » attribuée à des médicaments sans antigène ni anatoxine, la nature expérimentale des injections jusqu’en 2023, leur efficacité proclamée de 95 %, leur intérêt chez les enfants…).(([6] AUTOPSIE D’UN CONFINEMENT AVEUGLE, G ET N DELEPINE, ÉDITIONS FAUVES SEPT 2020)) Très vite après les premières injections, les ambulanciers, urgentistes, pompiers ont été frappés par les « accidents » type AVC, crise cardiaque qu’ils étaient amenés à prendre en charge. Et très rapidement ils ont été soumis au SILENCE imposé par leur hiérarchie sous peine de sanctions, voire de licenciement.

Les témoignages personnels et par les réseaux sociaux sont légion de ces personnes soumises à des pressions fortes et déstabilisatrices et dont l’état psychologique est aujourd’hui gravement perturbé, ajoutant à la peur vécue, un sentiment de culpabilité. Ils ont su tôt et n’ont rien dit, en dehors des plus « forts » qui ont osé refuser l’injection et se laisser suspendre et vilipender.

Cette censure des professionnels a été avouée et officialisée par la modification du code de la santé publique obligeant les médecins qui s’expriment à se conformer dorénavant à la propagande gouvernementale.(([7] Le décret du 24 décembre 2020 modifiant l’Article R. 4127 — 19-1 du code de santé publique afin d’interdire aux médecins d’exprimer des opinions divergentes de la doxa officielle))

Elle a été renforcée par le conseil de l’ordre qui a rétabli le délit d’opinion(([8] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-conseil-de-lordre-retablit-le-delit-dopinion)), poursuivi les médecins, et en a condamné pour la simple expression de vérités dérangeantes. Récemment une nouvelle charrette de médecins poursuivis est dénoncée d’autant qu’il s’agit de médecins ayant eu l’extrême audace de soigner et guérir leurs malades au nom du serment d’Hippocrate et contre l’interdiction du ministre Véran d’utiliser l’hydroxychloroquine et les antibiotiques contre ce petit virus (qui a l’outrecuidance de passer à travers les pores des masques imposés).

L’exclusion des soignants vaccino prudents et des pompiers est en réalité essentiellement un acte de censure visant à empêcher les professionnels du soin et de leur accompagnement, conscients de l’inefficacité et surtout des complications des injections rapidement apparues et constatées dans leur pratique quotidienne, d’en informer les patients. Les autres, demeurés dans le système, ont été soumis à la règle du silence absolu et du pseudo devoir de réserve. Demandez-leur !

Cette exclusion fait partie du plan de propagande pro vaccin mis au point avec un cabinet de conseil (McKinsey ?) utilisant la vieille technique des sociétés communistes d’exclure les opposants politiques de leur profession. Ont-ils pris des leçons auprès du PCC(([9] Parti communiste chinois. N’oublions pas que notre gouvernement a suivi à la lettre les règles aberrantes de confinement appliquées en Chine, avant toute épidémie avérée et dangereuse démontrée en France. E. Macron nous expliquait, quelques jours avant d’imposer le confinement strict, qu’il fallait aller au théâtre, vivre normalement. Qui l’a fait changer d’avis en quelques jours ?)) ?

Cette haine contre les opposants à sa dictature sanitaire explique seule leur exclusion du chômage et de toute aide sociale visant à les transformer en SDF.

Seule cette haine contre les résistants peut justifier la persistance de l’obligation en France et en Italie alors que la quasi-totalité des pays européens voisins n’y a pas eu recours ou l’a supprimée

Traiter les soignants vaccino prudents d’antivax est une diffamation

Les soignants qui ont refusé les pseudo vaccins ne sont pas des anti vax : jusqu’à la mise sur le marché conditionnelle des injections expérimentales ils étaient à jour de leurs vaccinations et n’avaient jamais rechigné à administrer à leurs patients de vrais vaccins.

Les traiter d’antivax comme le font couramment ministère et médias constitue donc un mensonge et une injure destinés à les discréditer aux yeux de la population.

Les pouvoirs publics les ont désignés comme de dangereux irresponsables, des antisciences, un comble pour des médecins et infirmiers. L’équivalent, prétendaient-ils, « de matheux contestant les théorèmes les plus solides » alors qu’ils avaient scientifiquement raison.

Avec des vaccins qui empêchent mal la transmission contre Omicron, le refus de la réintégration des soignants vaccino prudents ne constitue donc pas une protection des patients contre le virus, mais une mesure de censure féroce contre la diffusion d’un prétendu « complotisme » dans les hôpitaux. Cette décision aggrave évidemment le vide hospitalier et l’incompréhension des équipes de plus en plus conscientes de la bêtise de cette exclusion sans argument scientifique, relevant d’un totalitarisme qu’ils devinent et ne voudraient pas voir.

Emmanuel Hirsch, professeur d’éthique médicale plaide pour l’apaisement :

« On est dans une société fragilisée, fracturée. On a besoin de retrouver de la cohésion, du lien social, du respect réciproque, de la responsabilisation, et je ne pense pas que cela se fasse en jetant le discrédit et l’anathème sur des personnes qui, au tout début de la crise, sont allées sur le terrain, dans les EHPAD, dans les services hospitaliers sans le moindre soutien, sans les moindres moyens. “Ces soignants ont été souvent considérés comme des héros. Et du jour au lendemain, les répudier d’une manière aussi rapide et brutale me pose problème”.

La réintégration des soignants non vaccinés, ainsi que d’ailleurs des pompiers réfractaires, qui seraient bien utiles sur le front des incendies de forêt, se révèle donc nécessaire. Le pragmatisme y rejoindrait la morale. Toutefois, pour calmer les craintes des patients ayant succombé à sa campagne de communication, il faudrait que les pouvoirs publics admettent avoir cloué au pilori pour rien de nombreux professionnels. Voire, via le pass sanitaire puis vaccinal, commis un chantage à l’emploi et à la vie sociale sur des millions de jeunes et piétiné allègrement leurs droits et libertés au prétexte de les empêcher de contaminer les personnes à risques… sans raison médicale valable ».

Il faut réintégrer immédiatement les soignants et les pompiers scandaleusement ostracisés et supprimer toutes les censures qui empêchent tout débat démocratique depuis plus de deux ans.

Heureusement des voix s’élèvent pour la réintégration des non-vaccinés y compris à l’Assemblée nationale !

La sénatrice Laurence Muller-Bronn prend la défense des soignants suspendus non vaccinés sur France Soir : « On les traite comme… — (les-republicains.net)


Quelques témoignages





Selon le Docteur Tess Lawrie, l’OMS n’est pas nécessaire, mais est une menace pour la souveraineté nationale

[Source : alcyonpleiades]






Des politiciens et des hauts fonctionnaires meurent après avoir été vaccinés

[Source : alcyonpleiades]






L’hystérie climatique remplacera-t-elle l’hystérie covid19 ?

Par Nicole Delépine

« Un pays n’est richesse que d’hommes ».

Jean Bodin, économiste du XVIe siècle.

REFUSONS LE PRINCIPE DU PASS ENVIRONNEMENTAL DÈS MAINTENANT

Il faut bien tenir le peuple en laisse, dans la grande peur, sinon il ne laisserait pas spolier les travailleurs, les vieux, les jeunes, par les milliardaires au pouvoir mondialiste comme durant ces deux dernières années. Mais leurs croquemitaines covid et variole du singe sont de moins en moins crédibles et ces puissants commencent à le comprendre.

Alors passons vite à autre chose en attendant le vaccin miracle antiCO2, antitabac ou ozone… Que sais-je encore ? Ils vont tenter d’instaurer une nouvelle panique qui terrorisera et anesthésiera les citoyens du monde pour leur permettre de poursuivre leurs forfaitures. Ils ont bien préparé le terrain… Le moneypox dit variole du singe aurait dû faire l’affaire, mais c’est mal parti tellement sont rares les patients atteints et tant la ressemblance avec les effets secondaires du covid est frappante. Ils essaient…

LA MISE EN CONDITION DE LA CLASSE BIBERON SUR LE CHANGEMENT CLIMATIQUE

Bien des auteurs attirent notre attention sur cette nouvelle rengaine tellement enseignée aux enfants depuis plus de dix ans. Beaucoup ne savent pas lire, à la sortie de l’école, ni écrire comme en témoignent leurs tristes tweets et même parfois des remarques d’instit dans les cahiers des élèves.

Mais ils savent tous que l’Homme serait responsable du « réchauffement climatique » (mais il paraît qu’on aura froid en 2030, qui sait ?…) et qu’il faut fermer les centrales nucléaires (pourtant innocentes dans l’émission de CO2). En pratique les sectaires écolo qui ont éduqué nos jeunes rouvrent les centrales à charbon. Peu importe, il faut tout mélanger et bloquer toute réflexion via l’intoxication, les jeux, les écrans, la TV.

POURSUIVONS L’INFORMATION SUR LE COVID19 et LE CLIMAT : REMARQUONS LES PARALLÈLES DANS LA PROPAGANDE

Alors, continuons à mettre en garde contre le masque qui rend psychotique à force de le porter(([1] L’affligeante dépendance de certains Humains au Masque, outil d’enfermement : urgent de DÉMASQUER et l’imposture et le peuple ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )), et contre le pseudo vaccin anticovid inefficace et dangereux, même si de bons signaux arrivent comme le renoncement apparent de A Fischer sur la vax des enfants et les aveux de Delfraissy.(([2] Le bal des « morts de trouille » ouvert par Delfraissy — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Mais ils ne lâcheront pas prise si facilement.

Restons très vigilants, car son successeur pourrait bien nous proposer, voire imposer, un vax miracle contre la variole du singe dont vous ne risquez rien sauf si vous êtes un mâle homo (votre droit le plus entier). Cependant, comme pour le vaccin Gardasil de plus en plus fortement conseillé à tous les garçons, avec tous ses risques sous prétexte de ne pas « discriminer » les garçons homo (à risque pourtant bien faible de cancer anal), généraliser le vax contre la variole du singe — maladie bénigne qui ne touche que quelques groupes à risque — serait médicalement et éthiquement insupportable. Libre à eux de se faire vacciner s’ils le désirent.

LES MISES EN GARDE DES SCIENTIFIQUES SUR LES QUESTIONS ENVIRONNEMENTALES

Tentons de transmettre les appels à la raison de spécialistes du domaine qui crient dans le désert depuis plusieurs années dans le silence assourdissant des médias, comme pour le covid19 depuis deux ans. Le « changement climatique » sera la prochaine « hystérie pandémique » !?… nous dit Robert Bibeau.

 29 juillet 2022 Robert Bibeau 

Un directeur de CNN a été filmé en caméra cachée en train de reconnaître que la chaîne a décidé que le « changement climatique » serait la prochaine « hystérie pandémique » parce que « la peur fait vendre ».

28.29.07.2022.ToddCalender-GBad-Hysteria-climatico-English-Italiano-Spanish

Selon Charlie Chester, directeur technique de CNN :

« le public n’a plus peur du Covid-19 et les élites ne peuvent plus l’utiliser pour contrôler les masses… Les médias ont besoin d’une “histoire” avec “longévité”. »

Project Veritas a publié une série en trois parties exposant Charlie Chester admettant que CNN « inventait des histoires » pour destituer Trump.

Selon Project Veritas, ces enregistrements secrets ont été réalisés alors que Chester avait des rendez-vous sur Tinder avec un journaliste infiltré de Veritas.

Dans la vidéo, on peut entendre Chester dire que « l’histoire de Covid-19 » touche à sa fin et que CNN est prête à commencer à vendre l’histoire du « changement climatique » et à recommencer d’instiller la « peur ».

CLIQUEZ POUR VISIONNER :

Manipulation : Après le covid, le réchauffement climatique ! (lemediaen442.fr)

mise à jour le 03/08/22 place à la dictature climatique !

Quelques lanceurs d’alerte informent sur la manipulation des masses via le climat

Le physicien François Gervais s’oppose à cette manipulation que les médias diffusent. À la base de ses arguments scientifiques : le cycle de Milankovic.(([3] https://www.nice-provence.info/2020/12/07/co2-produit-par-homme-n-influence-pas-climat/)) Ses détracteurs ne paraissent pas l’innocence même en termes de conflits d’intérêts.(([4] Dans le Monde « Les contre-vérités du dernier pamphlet climatosceptique », le climatologue F-M Bréon critique le livre de F Gervais : « L’innocence du carbone ». Innocent de conflits d’intérêts ce climatologue à l’IPSL ? Financé par EDF et EIT Climate-KIC. L’européen EIT financé par Air Liquide, CEA, Danone, Engie, KLM, The Carbon Trust, Veolia, WWF, entre autres… Depuis oct 2020, FM Bréon est président de l’Afis.  Glyphosate et pesticides en tous genres, cf Elise Lucet dans Envoyé spécial, ont trouvé leur défenseur : l’Afis. Comme pour le covid19 et les précédents scandales sanitaires, les conflits d’intérêts sont au cœur du drame.))

[Transféré de LANAGR – Lutte anti-NOM et Grande Réinitialisation] sur Telegram

Sur Twitter, Telegram, et Cnews via Ivan Rioufol, également des appels au bon sens

#Climatocircus (https://t.me/climatocircustchat) —

Il y a des mois et des mois, voire des années que certains alerteurs, nous prévenaient qu’après le pass sanitaire et le pass vaccinal, les gouvernements vont tenter de nous imposer un projet de pass climatique ou pass carbone pour restreindre et contrôler toujours plus les populations.

Les médias nous faisaient passer pour des complotistes ! Voilà maintenant que des médias mainstream évoquent ouvertement un « pass climatique ». Qu’ont à dire les moutons naïfs et les pro-système qui ont traité les anti-pass et les anti-Nouvel Ordre Mondial de complotistes ?

LANAGR — Lutte anti-NOM et Grande Réinitialisation : https://t.me/lutteantinometgrandresetTchat et partage d’infos Mensonges d’États : https://t.me/mensongesdetatstchat

LES DOUZE MENSONGES DU GIEC

Grâce à Y Rioufol et son émission sur Cnews, nous avons découvert l’ingénieur polytechnicien Christian Gerondeau et son livre « religion écologique 2 » qui nous a permis d’obtenir des réponses sur les interrogations qui nous travaillent depuis longtemps, ayant une conscience diffuse de la supercherie ambiante.

Le scénario Greta Thunberg(([5] « Greta Thunberg, icône d’un écologisme naïf » (lefigaro.fr) )) nous avait éveillés aux mensonges mondialistes sur le sujet tant la mise en scène de cette enfant manipulée était énorme. Depuis lors, notre vigilance était éveillée et cette émission de Cnews et surtout la lecture du livre de C. Gerondeau ont confirmé nos doutes.

Dans son dernier livre, il revient sur le déroulement de la COP 26 de Glasgow en Novembre 2021, puis dénonce les agissements du GIEC (organisme politique qui prétend parler « au nom de la science »), les « douze contre-vérités majeures qui constituent le socle de la religion écologiste qui règne aujourd’hui en Occident.(([6] Les 12 mensonges du GIEC sur le climat (polemia.com) ))

La dernière « Conference of Parties » (COP) n’a pas entériné la « fin du charbon », les représentants indien et chinois ont obtenu la rédaction d’un texte non contraignant.

En conséquence, ces deux pays les plus peuplés du monde (et les USA) continueront à émettre sans limites réelles du CO2, contredisant définitivement les résolutions solennelles des 25 COP précédentes. On peut constater que depuis cette réunion, l’Allemagne en a profité en remettant en marche ses mines de charbon (qui nous envoie ses nuages de pollution) et que la France s’apprête à en faire de même au prétexte mensonger de punir la Russie !(([7] Centrale à charbon de Saint-Avold : une réouverture déjà prévue après trois mois de fermeture (la-croix.com) )) C’est dire la fiabilité de ces grands rounds cinématographiques qui mobilisent les médias pendant des semaines et régalent les participants de petits fours et champagne au minimum.

Le Giec, que nos médias appartenant aux milliardaires nous présentent en permanence comme une instance scientifique, n’est en réalité qu’un comité politique.

1) «  Le GIEC agirait pour le bien de l’humanité »

Ce mantra est vite démonté par l’auteur lorsque l’on découvre sa composition. Le GIEC Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat a été créé en 1988, à la demande du G7 par le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) et l’Organisation météorologique mondiale (OMM). Il rassemble 195 États membres par l’Organisation Météorologique Mondiale et le Programme pour l’Environnement des Nations Unies.

Comme toutes les institutions onusiennes (l’OMS par exemple), le GIEC n’est pas une association de personnes physiques, mais une association de pays : ses membres sont des nations, non des personnes physiques. Aucun individu — et en particulier aucun chercheur — ne peut être membre du GIEC « en direct » : les personnes qui siègent aux assemblées du GIEC ne font que représenter des pays membres et sont bien souvent des politiques non scientifiques.

Tous les pays membres des Nations Unies sont membres du GIEC (deux exceptions, Taiwan et le Vatican –) Il ne s’agit donc pas d’un organisme de recherche, mais d’un groupe qui effectue une évaluation et une synthèse des travaux de recherche menés dans les laboratoires du monde entier. Le GIEC effectue une revue de presse : il examine et synthétise ce qui s’est publié dans la littérature scientifique sur la question de l’influence de l’homme sur le climat (et par voie de conséquence sur le fonctionnement du climat, avec ou sans hommes).(([8] Qu’est-ce que le GIEC ? — Jean-Marc Jancovici site intéressant à consulter pour connaître les méthodes de travail du Giec, mais qui est inquiétant quand il affirme que toutes les conclusions du Giec sont des certitudes : «  On peut donc considérer que tout ce qui fait l’objet d’un consensus dans les rapports du GIEC peut être tenu pour une certitude. Il en va ainsi, en particulier, des conclusions suivantes :
« la concentration de l’atmosphère en CO2 est plus élevée qu’elle ne l’a été sur les 800 000 dernières années, cette augmentation entraîne un changement climatique dont l’une des caractéristiques (mais pas la seule) est une augmentation de la température moyenne de la planète au niveau du sol. C’est l’ampleur de ce réchauffement qui demeure un objet de débat, mais pas le fait que globalement le climat va changer et en particulier la moyenne des températures va monter ».
Or en science qui peut oublier le « doute fertile » ?))

Seuls les revues scientifiques à comité de lecture ou les travaux en cours dans les laboratoires de recherche sont pris en compte). Mais chacun a pu constater pendant la crise du covid que les revues ne sont pas financièrement indépendantes et que, comme en médecine, elles publient ce qu’elles veulent ou plutôt ce que veulent leurs financeurs. Les opposants à la thèse du réchauffement climatique qui serait uniquement lié à l’activité humaine ont le plus grand mal à se faire publier et à obtenir, qui plus est, des crédits de recherche. Or l’argent est le nerf de la guerre…

En faisant croire qu’il serait possible de se passer des énergies fossiles, le GIEC entraîne tous les pays qui le suivent sur la voie de dépenses et de contraintes inutiles aux très lourdes conséquences. Les pauvres et les plus déshérités en sont les premières victimes.

Ainsi, l’électricité, indispensable pour de multiples usages clé de sortie de la pauvreté, mais cette énergie ne peut être produite en grande quantité que par le recours à des centrales hydroélectriques, nucléaires ou thermiques et non par des sources intermittentes peu efficaces et peu durables comme les éoliennes ou les panneaux photovoltaïques.

Dans les pays en développement, les centrales à gaz ou à charbon demeurent les seules solutions réalistes. En préconisant à un pays comme l’Inde de ne pas émettre de CO2, le GIEC condamne à la famine une grande partie de sa population.

2) deuxième mensonge : le Giec et ses affidés veulent faire croire que les énergies renouvelables peuvent remplacer le pétrole et les autres énergies fossiles

Or les énergies renouvelables ne peuvent répondre au maximum qu’à 10 % des besoins énergétiques de l’humanité et non à 80 % comme l’affirme le GIEC.

En Allemagne, où plus de 300 milliards d’euros ont été dépensés pour couvrir le pays de plus de 30 000 éoliennes et de millions de panneaux photovoltaïques, ceux-ci ne lui procurent qu’un peu plus d’un tiers de son électricité, c’est à dire moins de 8 % de son énergie finale, les 92 % restants étant principalement fourni par le pétrole, le gaz naturel et le charbon.

Le but de l’UE et pays aux ordres de supprimer entièrement le recours aux énergies fossiles pour en finir avec les émissions de CO2, en 2050 ou en 2100, relève donc de l’utopie ou plutôt d’un mensonge absolu pour faire accepter au peuple ces énormes dépenses pour les éoliennes, par exemple dont on ne sait que faire trente ans plus tard et dont le démantèlement obligatoire coûte énormément d’argent. Et nous avons tous rencontré des éoliennes à l’arrêt qui défigurent la France ! Quant à leurs dangers, ils ont été bien cachés, mais les chutes et les feux deviennent visibles.(([9] Il aura fallu 4 camions de pompiers et 15 hommes pour éteindre une éolienne toute neuve ayant pris feu en Côtes-d’Armor
https://www.epochtimes.fr/cotes-darmor-eolienne-toute-neuve-feu-demande-lintervention-de-4-camions-de-pompiers-15-sapeurs-pompiers-a-bourbiac-2085354.html
👉 t.me/Epochtimesfrance
➡️ La mise en service de ce parc éolien est toute récente))(([10] 13/10/2019 « Les éoliennes, tout sauf écologique »
Découvrez ce que le lobby du vent vous cache sur les éoliennes
https://www.lanceurdalerte.info/2019/10/13/les-eoliennes-tout-sauf-ecologique/))(([11] https://arr.bzh/img/appel%20%C3%A0%20projet.pdf
NB : Le lieu d’implantation de ce projet d’éoliennes n’est pas le lieu de l’incendie, mais relativement proche.
L’actualité montre qu’ailleurs en France, des éoliennes sont implantées dans des zones Natura 2000 ou en pleine forêt, malgré les avis défavorables des conseils municipaux, des enquêtes publiques et de diverses associations locales de protection de la nature ou du patrimoine.
En effet, les éoliennes industrielles bénéficient d’une procédure spécifique pour leur implantation — dans laquelle les industriels peuvent par exemple obtenir une dérogation pour « destruction d’espèces protégées ». Et malgré les possibles recours, c’est finalement le préfet qui a le dernier mot.
‼️‼️ Plus d’infos et pétition à signer ici : https://arr.bzh/eoliennes/))

« Après la chute d’une éolienne à Plémet, c’est une éolienne de Bourbriac qui prend feu. Personne ne pourra désormais nous dire que l’énergie éolienne est sans danger. Bretagne

https://actu.fr/bretagne/bourbriac_22013/une-eolienne-en-feu-a-bourbriac-pres-de-guingamp_52957609.html »

3) un mensonge de plus pour faire peur serait le manque imminent de pétrole

Malgré les prévisions pessimistes des années 1970, les réserves connues représentent actuellement cinquante ans de consommation, sachant que les réserves réelles sont très largement supérieures.

4) le cinéma de la mer qui va nous submerger ne correspond pas à la réalité

Il s’agit d’une des peurs ancestrales de l’humanité déjà présentée dans la bible comme le « châtiment de dieu », mais les satellites constatent seulement une montée des eaux de 2 à 3 millimètres par an depuis une quarantaine d’années ; au rythme actuel il faudrait dix mille ans pour que Paris devienne enfin Paris sur mer. On va devoir attendre…

5) La température devrait s’élever dramatiquement

Cette peur, fondement central de la communication du GIEC n’est pas démontrée.

Au cours des 40 dernières années, les satellites ont relevé une croissance de l’ordre de 0,013 à 0,020° par an, ce qui conduirait à une hausse de l’ordre de 0,4 à 0,6° en 2050, si elle se poursuivait inchangée.

« De 1910 à 1940, le globe avait déjà connu pendant trente ans un rythme analogue de croissance de la température avant d’entrer dans une phase de décroissance jusqu’en 1975, à tel point que les médias unanimes et de nombreux climatologues de l’époque pronostiquaient l’arrivée imminente d’un nouvel âge glaciaire ! »

6) Les réfugiés climatiques vont-ils déferler ?

Depuis 1950, la hausse des températures dans les zones équatoriales et subtropicales a été d’environ un demi-degré Celsius !

Les migrations proviennent plutôt du vol des richesses par l’Occident, de leurs matières premières, de leurs semences, et des interventions inopportunes dans les pays africains qu’on devrait laisser libres au lieu de continuer à les pousser à suivre nos modes de vie et de raisonnement économique.

L’immigration majeure organisée par Soros et ses amis mondialistes n’a rien à voir avec le climat, mais bien avec la volonté de détruire l’Occident dont les populations sont trop réfractaires à leurs projets.

7) Le changement climatique serait responsable de toutes les catastrophes

Il n’y a qu’à tenter de regarder les abominables journaux TV lors d’une catastrophe climatique.

“Lors des nombreuses catastrophes naturelles qu’a connues l’humanité, dont beaucoup sont sorties de la mémoire collective, personne n’aurait eu l’idée de rendre responsable le « changement climatique » d’origine humaine comme le fit sans scrupules Angela Merkel au sujet des inondations en Allemagne survenues en 2021”.

En revanche silence contre la bétonisation à outrance dans les villes et les campagnes et l’assèchement des marais, qui compromettent le stockage naturel des eaux de pluie et aggravent les périodes de sécheresse.

8) Les ours blancs seraient en danger

Ces plantigrades carnivores ont failli disparaître il y a une cinquantaine d’années à cause des chasses incontrôlées auxquelles les autorités canadiennes ont mis fin en 1975 et la situation s’est normalisée. Les ours blancs existent depuis des centaines de milliers d’années et leur espèce a traversé des successions de phases glaciaires et interglaciaires.

Et peut-être n’ont-ils pas une bande à Bill Gates et Soros pour vouloir les faire disparaître par tous les moyens, famine, vax toxiques, guerre, etc.. La terre est immense et très vide dans de nombreux endroits et le mythe de la surpopulation qu’on ne pourrait pas nourrir est organisé par les milliardaires fous et psychotiques qui cherchent à faire disparaître tous les hommes qui ne leur sont pas « utiles » à leurs menus plaisirs ni adeptes de leurs coutumes.(([12] Le mythe de la surpopulation — Les Observateurs occasion de montrer, à l’aide, entre autres, de l’article consacré au malthusianisme par le « Dictionnaire du libéralisme »[1], que la surpopulation est un dogme d’une religion sans fondements.))(([13] Elon Musk déclare que « la plus grande menace » à laquelle l’humanité est actuellement confrontée est « l’effondrement de la population » (anguillesousroche.com)
Elon Musk : « La civilisation va s’effondrer » si les gens n’ont pas plus d’enfants (anguillesousroche.com) ))

9) Le CO2 serait un polluant(([14] Le grand mensonge écolo que presque tout le monde prétend croire — Aube Digitale L’affirmation fantaisiste selon laquelle le CO2 est un polluant a été inventée de toutes pièces.))

Affirmation pour le moins audacieuse et que leurs médias aux ordres ont réussi à passer dans la jeune génération élevée par les enseignants pour un bon nombre au biberon de la pseudo écologie. En conséquence des adolescents croient que les centrales nucléaires font du CO2…

Il y a trente ans, personne n’aurait osé qualifier le CO2 de polluant. Car le gaz carbonique est indispensable à la vie en tant qu’élément central de la photosynthèse. Sans CO2 les plantes n’auraient pas de feuilles qui leur permettent de respirer et de nous fournir l’oxygène qui nous est indispensable. Nous en émettons nous-mêmes à chaque respiration de même que les vaches, notre amie nourricière qu’ils voudraient faire disparaître comme ils ont commencé aux Pays-Bas suscitant la révolte des agriculteurs.

L’accroissement de la présence de CO2 dans l’atmosphère depuis les débuts de l’ère industrielle a eu deux conséquences bénéfiques, à savoir que la planète reverdit (lorsqu’on ne coupe pas tous les arbres, comme trop de maires se le permettent, dont celle de Paris) et que la productivité des récoltes est meilleure.

« Vérité n° 1 avant le pass climatique, foutre l’économie française en l’air, imposer des restrictions dans notre malheureux pays surendetté, désindustrialisé, fera plaisir aux Khmers verts, mais ne contribuera pas à la réduction des émissions de CO2…

Le monde émet 35 milliards de t de CO2, dont 10,7 pour la seule Chine et 4,7 pour les États-Unis. La France avec 0,26, représente 0,7 du total mondial, moins que le Qatar et les Émirats (dix fois moins peuplés)

Il y a 40 ans les émissions mondiales ne s’élevaient qu’à 19 milliards de t, dont 1,5 pour la Chine, 4,7 pour les États-Unis et 0,51 pour la France qui représentait alors presque 3 % du total mondial

Il n’est pas évident que les pets de nos vaches expliquent l’augmentation du gaz carbonique qui par ailleurs n’explique peut-être pas un réchauffement climatique qui lui-même n’est pas évident…

Mais tout çà c’est trop compliqué pour un journaliste, la France n’est pas responsable du CO2 pas plus que nos vaches »(([15] EN 40 ANS LA FRANCE A RÉDUIT DE MOITIÉ SES ÉMISSIONS DE CO2, la sobriété française ne sauvera pas la planète et en plus rien ne prouve que le CO2 impacte les températures… | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com) ))

10) L’écologie favoriserait l’emploi et la croissance

Énorme duperie qui a fait plier trop de communes grâce aux subventions énormes pour leur laisser installer les éoliennes qui massacrent le paysage et finalement leurs finances. Car en fin d’exploitation c’est à la commune ou au propriétaire du champ loué qui deviennent propriétaires de l’éolienne en fin de contrat, et responsables de son démontage horriblement coûteux :

« Une association du Massif central a obtenu un devis d’une société de démolition industrielle et de récupération de matériaux pour évaluer le coût du démantèlement d’une centrale éolienne. Cette société est agréée pour réaliser ce type de travaux, elle possède le certificat ISO 14 001 correspondant. Cette estimation est donc entièrement crédible. Le devis se monte à 900 000 € pour une éolienne de 3 MW »(([16] https://environnementdurable.net/documents/pdf/demantelementtotal-sn.pdf))

Arnaque grand A !

En réalité, les dépenses consenties au nom de l’illusion vaine de « sauver la planète » détruisent massivement des emplois dans le secteur industriel et n’aident jamais nos agriculteurs, surchargés de normes souvent inutiles, à survivre dignement.

11) Le GIEC serait un groupe d’experts

Le mot « expert » ne figure pas dans la dénomination anglaise (« Intergovernmental Panel on Climate Change ») du GIEC, organisme non scientifique, mais politique regroupant 195 pays dont les représentants n’ont pour la plupart aucune expertise en matière de climat.

« Depuis sa création en 1988, cet organisme a compté quatre présidents dont aucun n’était climatologue. Les deux premiers étaient météorologistes (ce qui est entièrement différent), le troisième ingénieur des chemins de fer, et le dernier économiste.

En 2021, le rapport de 4 000 pages de la co-présidente, la Française Valérie Masson-Delmotte, indique qu’il a été élaboré par 751 auteurs issus de 66 pays (existe-t-il tant d’experts qualifiés du climat répartis dans autant de pays ?), tout en citant 14 000 références et en mentionnant avoir fait l’objet de 78 007 commentaires ! En fait, les conclusions rendues publiques émanent d’un petit groupe de rédacteurs finaux qui n’ont fait que reproduire en l’aggravant le contenu des cinq rapports précédents. »

12) Les scientifiques seraient unanimes

Vous assistez depuis deux ans et demi à la pseudo-unanimité des scientifiques dans le domaine du Covid et vous en voyez les monstrueuses conséquences d’appauvrissement, et de mortalité à la suite des confinements et autres mesures restrictives de liberté et des complications des injections géniques appelées abusivement vaccins.(([17] Balance avantages/risques des injections anti-covid19, au 28 juin 2022 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
ARRÊTEZ LES INJECTIONS ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Ce sont les mêmes mondialistes eugénistes qui possèdent les médias et censurent tous les avis contradictoires sur les réseaux sociaux.

Nous devons boycotter Facebook et autres Instagram qui intoxiquent la jeunesse entre autres et font le black-out sur de sérieux scientifiques qui dénoncent les mensonges.

« Depuis la création du GIEC, de nombreux scientifiques ont dénoncé et continuent à dénoncer ses affirmations. Ainsi, en 2019, 500 scientifiques, parmi lesquels des titulaires de Prix Nobel, ont adressé au Secrétaire Général des Nations-Unies une déclaration restée sans réponse, intitulée “Il n’y a pas d’urgence climatique”. »

Les six paragraphes sont les suivants :

  • 1/ Le climat terrestre a toujours varié 
  • 2/ Le réchauffement actuel est beaucoup plus lent qu’annoncé 
  • 3/ La politique climatique repose sur des modèles inadaptés 
  • 4/ Le CO2 est la nourriture des plantes, la base de toute vie sur terre
  • 5/ Le réchauffement climatique actuel n’a pas accru les désastres naturels
  • 6/ La politique doit respecter les réalités scientifiques et économiques

Le moment est venu de faire appel à la science, la vraie, celle qui repose sur des faits et non des hypothèses. D’après l’article de Johan Hardoy 07/06/2022(([18] Le bal des « morts de trouille » ouvert par Delfraissy — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

BATTONS NOUS CONTRE LE PASS CLIMATIQUE AUSSI FORTEMENT QUE CONTRE LE PASS SANITAIRE SON FRÈRE !

Nos libertés n’existent que tant que nous les défendons.
Si on accepte une restriction de celles-ci,
quel qu’en soit le prétexte,
nous ne savons pas si on les récupérera un jour.
Vive la liberté !

⁦@nstweetfr‬⁩

Aujourd’hui, on commence à parler de pass climatique, ce qui est complètement fou quand on sait que China Coal, une entreprise de charbon basée à Pékin, a émis à elle seule plus de 3,8 milliards de tonnes de CO2 en 2020, soit plus que l’ensemble des pays européens la même année. pic.twitter.com/74xZXP90ZL‬‬‬‬‬‬





Mr Delfraissy, nous nous reverrons bientôt !

[Source : DIVIZIONAIR]




« Il faut manipuler 2 émotions pour obtenir une soumission psychique » – Ariane Bilheran, Vincent. Pavan

[Source : epochtimes.fr]

Ariane Bilheran est docteur en psychopathologie, psychologue clinicienne et philosophe. Spécialiste de l’étude des manipulations, de la perversion, de la paranoïa et du harcèlement, elle a écrit de nombreux ouvrages et donné plusieurs conférences en lien avec ces sujets au cours de sa carrière.

 Vincent Pavan est maître de conférences et chercheur en mathématiques à l’université d’Aix-Marseille, département Polytech. Ses recherches portent notamment sur la théorie cinétique et l’équation de Boltzmann.

Il y a quelques mois, Ariane Bilheran et Vincent Pavan ont publié « Le Débat interdit – Langage, Covid et totalitarisme » aux éditions Guy Trédaniel.

Un ouvrage qui interroge la façon dont la langue, la logique et la science ont été dévoyées et perverties par le pouvoir politique, les médias ainsi que certains médecins et scientifiques pour exercer une contrainte psychique sur la population dans le cadre de la crise sanitaire.

 «  J’avais identifié que nous avions affaire à ce qu’on appelle un peu vulgairement une psychose de masse, c’est-à-dire un délire, une croyance totalement dénuée de rapport avec la réalité de l’expérience. Il fallait remonter aux premiers principes de ce délire paranoïaque, comprendre sur quoi il se fonde  », explique Ariane Bilheran.

 «  Il est très important de revenir aux racines du délire paranoïaque, que ce soit d’ailleurs pour l’individu ou pour le collectif, pour en saisir la nature et, surtout, le mensonge. C’est ce que nous avons fait en interrogeant les conditions d’exercice de la science. Nous avons fait un travail d’épistémologie et de condition philosophique, de philosophie des sciences. » Dès que l’on comprend qu’il y a eu une corruption de la science, et en particulier des mathématiques, une imposture frauduleuse dès le départ, on comprend aussi que toute la suite ne tient pas debout  », poursuit la philosophe.

Un constat que partage Vincent Pavan :

«  J’ai été bouleversé de me rendre compte que les mathématiques qui, normalement, sont une discipline très précise, très rigoureuse, ont été complètement dévoyées, qu’elles ne servaient pas à décrire le réel mais, au contraire, à créer l’illusion de façon totalement délirante.  »

 «  Ce discours mathématique dévoyé, ce discours scientiste, servait à la fois une idéologie politique et également un comportement psychique de nature sans doute paranoïaque ou pervers.  »

 «  Nous voulions comprendre l’articulation entre le discours scientiste et la façon dont il était récupéré par l’idéologie pour manipuler et faire en sorte que tout le monde avance dans le sens du délire  », observe le mathématicien.

 S’ils se sont attachés à mettre en lumière la façon dont les mathématiques et la science ont fait l’objet d’une instrumentalisation politique pendant la crise, Ariane Bilheran et Vincent Pavan ont également analysé la façon dont la langue et les discours ont été manipulés, corrompus et avilis afin de subjuguer la population et de justifier les mesures politiques prises dans le cadre de l’épidémie.

 «  Nous avons analysé la logique, la rationalité́ et, bien sûr, la question de l’utilisation de la langue pour créer le lavage de cerveau, ou, pour reprendre un terme de Mao, la rectification de la pensée  », souligne Ariane Bilheran.

 « Tous les phénomènes manipulateurs empruntent le chemin d’une imposture, d’une perversion au nom de la langue pour réussir à semer le doute, la confusion et entrainer l’autre dans sa propre histoire, c’est-à̀-dire dans une histoire où l’on voudrait qu’il soit prisonnier », ajoute-t-elle.

Dans le cadre de leur analyse de la corruption du langage, Ariane Bilheran et Vincent Pavan se sont notamment appuyés sur les travaux de Victor Klemperer, écrivain et philologue allemand victime des persécutions nazies qui a étudié les ressorts de la propagande du régime hitlérien et la façon dont la langue fut manipulée pour asseoir l’idéologie totalitaire du IIIe Reich.

 «  Dans le phénomène totalitaire, il y a la question de la censure de la liberté d’expression. Il y a des mots qui deviennent dangereux, que l’on n’a plus le droit de prononcer, et il y a des mots qui sont sanctifiés, que nous devons au contraire intégrer dans la nouvelle religion  », précise Ariane Bilheran

Pour les auteurs du « Débat interdit », les champs politique et médiatique n’ont d’ailleurs pas hésité à recourir à des mécanismes de manipulation bien connus en psychologie pendant l’épidémie liée au virus Sars-CoV-2, certaines méthodes employées s’apparentant, selon eux, à une forme de « torture psychologique ».

 «  Pour coloniser quelqu’un psychiquement, il faut rentrer chez lui. Pour rentrer chez lui, il faut créer un choc, il faut créer ce que l’on appelle une effraction psychique, une effraction traumatique, c’est-à̀-dire le sentiment d’une imminence de mort pour soi ou pour autrui. Cela a été́ largement agité dans les médias de masse  », explique Ariane Bilheran.

 «  Pour soumettre également quelqu’un, il faut réussir à créer ces chocs de façon répétée, sur la durée, en laissant des moments d’accalmie pour que la personne ait la sensation que c’est terminé. Ce sont des méthodes de torture psychologique  », ajoute-t-elle.

D’après Vincent Pavan, plusieurs médecins et scientifiques intervenus dans les médias ont joué un rôle néfaste en entretenant la peur à travers des prédictions alarmistes reposant sur des modèles et des données erronés :

 «  Il y a eu une manipulation de la parole scientifique, de la parole médicale qui s’apparente à une torture psychologique. En racontant des choses complétement fausses, en dehors de toutes les règles usuelles de prise de parole de la science ou de la médecine, on a plongé́ les gens dans une angoisse très importante.  »

 «  Tous les médecins de plateaux télé qui ont annoncé l’apocalypse ont participé à cette confusion mentale. Des personnes qui, normalement, doivent être dans la modération, dans la mesure, dans le soin, jamais dans le sensationnalisme, ont joué́ le rôle de prédicteurs d’apocalypse », poursuit le mathématicien.

Si les auteurs estiment que la gestion de la crise a mis en lumière la déconnexion entre la science et le réel, ils soulignent que les décisions prises et les discours tenus dans le cadre de l’épidémie révèlent aussi « un parti pris idéologique très puissant », la volonté de mettre en place une nouvelle organisation sociale dans laquelle l’homme serait privé de son humanité et de son identité propre afin d’être soumis à une logique techno-sanitaire.

 «  Ce qui est important, c’est de bien voir qu’il y a une véritable idéologie derrière. Elle s’impose de manière sournoise à travers la langue. L’étude de la langue dit souvent énormément de choses sur l’idéologie souterraine qui anime les décideurs, les idéologues, les propagandistes  », explique Vincent Pavan.

 «  On veut réduire l’individu à un QR code, le mettre dans des banques de données, le réduire à un flux d’informations. C’est comme cela que l’on voit l’individu de demain […]. Dans la société́ du futur, c’est l’algorithme optimal qui donnera le mode d’organisation de la société́, et si vous n’êtes pas d’accord, vous faites partie des gens qui n’auront vraisemblablement plus le droit de vivre en société.  »

Pour Vincent Pavan, cette idéologie sous-jacente est notamment caractérisée par l’hubris et le transhumanisme  :

 « Il y a cette idée que nous allons vers le futur homme-machine pour sauver l’individu, défini par son information et sa mémoire. L’augmentation de l’homme par la biotechnologie fait partie des moyens de le débarrasser des scories de son corps. »

 «  Le surhomme doit être créé pour aller vers une société́ optimale. Les mathématiques sont censées nous guider vers cette société optimale que seul l’ordinateur pourrait calculer en disposant de tous les paramètres. Dans les sociétés totalitaires, c’est toujours l’ensemble qui prime sur l’individu, et si la solution optimale pour l’ensemble nécessite que l’on se passe de certains, on le fera. Il y a cette idée des « inutiles », chère à Yuval Noah Harari(([1] « Le Covid est capital parce que c’est ce qui convainc les gens d’accepter, c’est ce qui légitime la surveillance biométrique totale », Yuval Noah Harari, conseiller principal de Klaus Schwab et leader du Forum économique mondial)), que l’on voit d’ailleurs à travers la suspension des personnels non vaccinés, qui sont considérés non essentiels alors que l’hôpital hurle du manque de moyens, que les pompiers se battent contre les incendies, etc… On les laisse en dehors car, refusant la biotechnologie que l’on veut leur imposer, ils ne peuvent prétendre au statut d’homme augmenté qui seul pourra, à l’avenir, permettre de constituer une société meilleure, optimale à tous les niveaux.  »

«  La division de la société́ entre des surhommes et des sous-hommes est aujourd’hui totalement assumée », ajoute Ariane Bilheran, « C’est quelque chose qui, à mon avis, doit poser question. La logique totalitaire est une logique de division, une logique de sacrifice de ceux qui, pour une raison ou pour une autre, ne peuvent pas accéder au nouveau stade du surhomme tel qu’il va être défini selon l’idéologie du moment.  »

 «  Dans la pensée paranoïaque, le corps humain est un objet inerte, une gestion statistique de corps infectés, non-infectés, l’individu est réduit à un cas. Il n’y a pas d’interactions complexes, les êtres humains sont réduits à des corps et à des chiffres, ce qui légitime l’utilisation de QR Codes et notre asservissement, voire une éventuelle éradication future, puisque s’il y a trop de chiffres dans l’équation, il faut bien les supprimer.  »

Pour Ariane Bilheran, la gestion de la crise sanitaire a ainsi consacré «  l’ambition de traiter les êtres humains comme des unités mathématiques  ».

 «  Cela traduit une société́ terrifiée par la vie, qui cherche à se maintenir dans la survie. La vie suppose des prises de risque et de l’aventure, c’est aussi de l’imprévu, de l’accident, du mouvement ; et c’est aussi la maladie et la mort.  »

Et la philosophe de conclure :

«  Je crois que la masse a rarement raison. Quand nous sommes témoins de phénomènes collectifs qui s’emballent, nous devons garder une certaine distance afin d’analyser ce qui se passe avant d’accepter d’y rentrer.  »

Epoch Times France


[Voir aussi :
Ariane Bilheran : « Seuls 3 types de profils résistent au déferlement totalitaire »
Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19]


À propos d’Ariane Bilheran :

Après avoir intégré l’Ecole Normale Supérieure (Ulm), Ariane Bilheran a choisi d’ajouter à sa formation initiale de lettres classiques un double cursus en troisième cycle de philosophie et de psychologie.

 Son doctorat de psychopathologie a porté sur la temporalité psychique dans la psychose.

 Ariane Bilheran exerce une activité de psychologue (consultations, formations, supervisions, diagnostics souffrance au travail) et enseigne la psychologie clinique à l’Université de Provence. Elle dirige également la société Sémiode, un cabinet de conseil et d’études de sémiologie et d’anthropologie culturelle.

 Depuis 2015, Ariane Bilheran réside en Amérique du Sud où elle poursuit son activité clinique ainsi que son travail de recherche et d’écriture, tout en consacrant une part de son temps à des actions agricoles et humanitaires.

Titre, Diplôme :
Normalienne (Ulm), Master Lettres Classiques, Philosophie et Psychologie.

Fonction actuelle :
Psychologue, Dirigeante de la société Sémiode.

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 Voir notamment les autres articles d’Ariane Bilheran [+ Vidéos] :

Référence :




Le grand mensonge écolo que presque tout le monde prétend croire

[Source : Aube digitale]

Presque tous les membres du Congrès, démocrates ou républicains, rendent hommage au Grand mensonge écolo. C’est également le cas de tous les candidats conservateurs passés et actuels en lice pour le poste de premier ministre du Royaume-Uni et de tous les candidats actuellement en lice pour la direction du Parti conservateur du Canada. Il en va de même pour la quasi-totalité de la presse grand public. Le Grand mensonge écolo – à savoir que le dioxyde de carbone est un polluant – est si répandu que même ceux qui sont considérés comme sceptiques – y compris les ONG et les experts de la droite – adhèrent généralement à l’orthodoxie, ne se distinguant pas par leur conviction déclarée que le CO2 est un polluant, mais seulement par la gravité de ce polluant.

Parce que tout le monde participe désormais au mensonge des émissions de CO2, le débat sur la politique climatique ne porte plus sur l’existence d’un problème de CO2, mais sur l’urgence et la manière de s’y attaquer. Nous reste-t-il huit ans ou des décennies avant que l’Armageddon ne devienne inévitable ? Devons-nous nous passer des combustibles fossiles en construisant des centrales nucléaires ou des éoliennes ? Devons-nous changer nos modes de vie pour avoir besoin de moins de tout ? Ou devrions-nous atténuer ce mal – le point de vue de ceux qui sont considérés comme minimalistes en matière de climat – en protégeant nos continents de la montée des océans en les enfermant derrière des digues ?

La quasi-totalité de l’échiquier politique s’accordant publiquement à dire que la réduction du CO2 est une bonne chose, le débat s’est déroulé entre ceux qui veulent faire le bien rapidement en atteignant le niveau zéro en 2040 et ceux qui veulent ralentir la réalisation d’une bonne chose. Avec un discours qui s’enfonce dans des trous de lapin, presque tout le monde se perd en cherchant des solutions à des illusions d’Alice au pays des merveilles – et en gaspillant des milliards de dollars dans le processus.

Jusqu’aux années 2000, lorsque le changement climatique était encore appelé réchauffement de la planète et que les médias grand public remarquaient encore qu’aucune des innombrables prédictions de catastrophe climatique ne se vérifiait – les calottes polaires ne fondaient pas, Manhattan n’était pas sur le point d’être submergée, la malaria n’infectait pas l’hémisphère nord – beaucoup ont dénoncé le changement climatique d’origine humaine comme un canular. La fuite des courriels du Climategate a révélé comment les scientifiques avaient conspiré pour « cacher la baisse » des températures qui n’était pas conforme à leurs modèles. L’affirmation selon laquelle 97 % des scientifiques soutenaient la théorie du réchauffement climatique a été démasquée comme une fraude, tout comme l’affirmation selon laquelle les 4 000 scientifiques associés au GIEC avaient approuvé son rapport – ces 4 000 scientifiques ne l’avaient pas approuvé, et la plupart ne l’avaient même pas lu, mais avaient simplement examiné certaines parties du rapport et étaient souvent en désaccord avec ce qu’ils avaient lu.

L’affirmation selon laquelle la « science était établie » sur le changement climatique n’a jamais résisté à tout examen. Des scientifiques du monde entier ont signé une série de pétitions pour contester cette affirmation. La pétition de l’Oregon de 2008, lancée par un ancien président de l’Académie nationale des sciences et défendue par Freeman Dyson, successeur d’Albert Einstein à Princeton et l’un des scientifiques les plus éminents au monde, a été signée par plus de 31 000 scientifiques et experts qui ont convenu que « les limites proposées pour les gaz à effet de serre nuiraient à l’environnement, entraveraient les progrès de la science et de la technologie et porteraient atteinte à la santé et au bien-être de l’humanité. … En outre, il existe des preuves scientifiques substantielles que l’augmentation du dioxyde de carbone atmosphérique produit de nombreux effets bénéfiques sur les environnements naturels végétaux et animaux de la Terre. »

[Voir aussi le dossier Climat]

Le président de la COP26, Alok Sharma (au centre), prend la parole lors de la Conférence des Nations Unies sur le changement climatique COP26 à Glasgow, en Écosse, le 13 novembre 2021.
(Jeff J Mitchell/Getty Images)

Ce qui est réglé, c’est l’échec lamentable de la tentative faite depuis trois décennies par les bureaucraties des 195 pays du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’ONU de convaincre qui que ce soit d’autre qu’eux-mêmes, des médias crédules et un nombre relativement restreint de personnes crédules que le changement climatique représente une menace existentielle. Les sondages qui se succèdent depuis des décennies montrent que le public n’accorde que peu d’importance au changement climatique lorsqu’on lui demande d’en évaluer l’importance.

Un sondage Gallup publié cette semaine, qui demandait aux Américains : « Quel est, selon vous, le problème le plus important auquel le pays est confronté aujourd’hui ? », a révélé que le changement climatique ne répondait pas à ses critères parmi les nombreux problèmes à énumérer. Comme l’a noté Gallup, « de nombreuses régions du pays ont subi des chaleurs record ces dernières semaines, et d’autres régions ont connu des inondations record. Mais à peine 3 % des Américains mentionnent la météo, l’environnement ou le changement climatique comme le principal problème du pays. » De même, le mois dernier, « seulement 1 % des électeurs interrogés dans le cadre d’un récent sondage New York Times/Siena College ont désigné le changement climatique comme le problème le plus important auquel le pays est confronté …. ». Même parmi les électeurs de moins de 30 ans, le groupe que l’on pense être le plus motivé par la question, ce chiffre était de 3 % ».

Bien que la plupart des élites continuent de reconnaître du bout des lèvres l’urgence de réduire le dioxyde de carbone, leurs actes démentent leurs paroles, que l’on en juge par leur penchant pour les voyages en jet privé ou leur engagement peu sincère en faveur des politiques liées au climat. Selon une annonce faite par l’Agence internationale de l’énergie (AIE) la semaine dernière, le charbon est à nouveau roi : La demande mondiale de charbon cette année « égalera le record annuel établi en 2013, et la demande de charbon devrait encore augmenter l’année prochaine pour atteindre un nouveau record historique. » L’évaluation de l’AIE va dans le sens d’une adhésion mondiale au charbon, y compris de la part de l’Union européenne, jusqu’à récemment la plus zélée des grondeuses du monde en matière de climat. L’Union européenne revient aujourd’hui sur ses engagements en faveur du « Net Zero ».

Dans certains pays, les gouvernements ne reviennent pas tant sur leurs politiques climatiques qu’ils ne les mettent carrément à la porte. Qualifiant les éoliennes de « ventilateurs » qui nuisent à l’environnement et provoquent une « pollution visuelle » sans fournir beaucoup d’énergie, le président mexicain Andrés Manuel Lopez Obrador a déclaré que le gouvernement allait mettre fin aux subventions et cesser de délivrer des permis pour les nouveaux projets éoliens. Israël s’apprête également à mettre fin à l’industrie éolienne du pays, son ministre de la protection de l’environnement affirmant que l’éolien apporte une « contribution négligeable » au système électrique du pays « par rapport au potentiel de nuisance pour la nature, qui est élevé ».

Reconnaître que les énergies renouvelables sont des gâchis économiques et environnementaux, comme l’ont fait le Mexique et Israël, est un pas vers la destruction du mensonge selon lequel un carburant qui émet du dioxyde de carbone peut être raisonnablement remplacé. L’autre chaussure à faire tomber est le mensonge selon lequel les carburants émettant du dioxyde de carbone doivent être remplacés.

L’affirmation fantaisiste selon laquelle le CO2 est un polluant a été inventée de toutes pièces. La déclaration faite en 2008 par les 31 000 experts, selon laquelle « il n’existe aucune preuve scientifique convaincante que les rejets de dioxyde de carbone, de méthane ou d’autres gaz à effet de serre par l’homme provoquent ou provoqueront, dans un avenir prévisible, un réchauffement catastrophique de l’atmosphère terrestre et une perturbation du climat de la Terre », est aussi vraie aujourd’hui qu’elle l’était alors, et qu’elle l’a toujours été. Aucun scientifique, où qu’il soit et à n’importe quel moment, n’a démontré que les émissions de CO2 produites par l’homme – c’est-à-dire les engrais de la nature – causent un quelconque dommage à quoi que ce soit.

Traduction de The Epoch Times par Aube Digitale


Coût de démantèlement des parcs éoliens

[Voir aussi :
« L’arnaque des éoliennes » : témoignage d’une agricultrice bio d’Auvergne
Éoliennes : du rêve aux réalités]




Variole du singe : état actuel des connaissances au 4 août 2022

Par le Dr Gérard Delépine

Contre la variole du singe, mieux que le vaccin : ne pas multiplier les partenaires sexuels

Depuis juillet 2022, l’OMS et les médias tentent d’affoler la population avec la variole du singe dont les cas européens avaient triplé en deux semaines. Le but vraisemblable de cette dramatisation serait de promouvoir une campagne de vaccination la plus large possible en utilisant des vaccins disponibles pourtant inadaptés et qui n’ont pas été correctement étudiés chez l’homme. D’ailleurs une semaine après l’alerte de l’OMS, la Haute Autorité de santé préconisait d’élargir la vaccination préventive aux groupes les plus exposés, un avis suivi par le gouvernement français. Ces tentatives de faire croire à une nouvelle peste justifient cette mise au point basée sur l’analyse des 1200 articles médicaux recensés par PubMed®(([1] Cette base de données américaine est la plus fournie du monde avec plus de 34 millions de citations de littérature biomédicale de MEDLINE, de revues de sciences de la vie et de livres en ligne incluant le plus souvent des liens vers le contenu en texte intégral de PubMed Central et les sites Web des éditeurs.)) le 6 août 2022.

Le virus de la variole du singe n’est pas une maladie nouvelle

La variole du singe est causé par un virus à ADN double brin, de la famille des Poxviridae et du genre orthopoxvirus qui comprend trois autres agents pathogènes humains : le virus de la variole, le virus de la cowpox et le virus de la vaccine. Les Poxviridae sont qualifiés de virus anciens, car ils ont été trouvés chez des insectes, des reptiles, des oiseaux et des mammifères datant de 500 millions d’années avant J-C. Actuellement, un certain nombre de réservoirs animaliers du virus sont connus comme les rongeurs et les primates. Aux US de très rares cas sporadiques de transmission à l’homme à partir de chiens de prairie captifs ont été observés. L’éradication de ce virus ne peut donc pas être espérée contrairement à la variole humaine.

La variole du singe a été décrite pour la première fois en 1959 chez des singes d’un institut de recherche à Copenhague, capitale du Danemark. Le premier cas humain a été identifié le 1er septembre 1970, à l’hôpital de Basankusu en République démocratique du Congo chez un enfant de neuf mois. Six autres cas ont été reconnus au Liberia, au Nigeria et en Sierra Leone entre octobre 1970 et mai 1971.

Dans le même temps, une série d’enquêtes sérologiques dans 3 pays d’Afrique de l’Ouest a déterminé que plus de 10 500 enfants de moins de 5 ans sans cicatrice de vaccination contre la variole n’avaient aucun signe d’infection par le monkeypox humain, comme le suggèrent l’absence de cicatrices faciales et l’absence d’orthopox-anticorps. Cela a permis de rassurer sur le fait que la transmissibilité du monkeypox humain n’augmentait pas et que la notification d’infections sporadiques se poursuivait la conclusion des études sérologiques des enfants en Afrique de l’Ouest a suggéré que la transmission au niveau communautaire chez les enfants même non vaccinés ne se produisait pas.

Au Nigeria, le premier cas a été recensé en 1971, suivis de10 autres entre 1971 et en 1978 puis par une épidémie de 112 cas en 2017. Le Nigéria constitue depuis lors le foyer endémique principal.

En mai 2022(([2] León-Figueroa DA, Bonilla-Aldana DK, Pachar M, Romaní L, Saldaña-Cumpa HM, Anchay-Zuloeta C, Diaz-Torres M, Franco-Paredes C, Suárez JA, Ramirez JD, Paniz-Mondolfi A, Rodriguez-Morales AJ. The never-ending global emergence of viral zoonoses after COVID-19? The rising concern of monkeypox in Europe, North America and beyond. Travel Med Infect Dis. 2022 May 26; 49:102362. doi: 10.1016/j.tmaid.2022.102362. Epub ahead of print. PMID: 35643256; PMCID: PMC9132678.)), plusieurs pays d’Europe, en plus du Royaume-Uni, de l’Espagne et du Portugal, ont signalé des cas de variole du singe. Le Canada et les États-Unis d’Amérique, le Mexique et l’Argentine, Israël et l’Australie ont également notifié des cas suspects et des cas confirmés et l’Équateur et la Bolivie des cas suspects, pour un total de 506 cas, dont 421 confirmés (83 %).

En date du 4 août 2022, plusieurs milliers de cas humains de variole du singe ont été confirmés dans 20 pays différents, principalement africains, mais plus récemment aux États-Unis, au Royaume-Uni, mais aussi en Israël, à Singapour, en France, en Belgique, Espagne, Portugal, Italie, Grèce, Allemagne, Suède, Finlande… Les États-Unis recensent plus de 6 600 cas de variole du singe, dont près d’un quart dans le seul État de New York suivi par San Francisco.

Cette apparition dans des pays jusque-là épargnés ne traduit pas une modification du virus (en Europe le génome reste le même que celui de l’Afrique de l’Ouest), mais plutôt à un changement du mode de transmission interhumaine très lié à l’activité sexuelle et au nombre de partenaires.

La variole du singe n’est pas une maladie grave

La phase d’incubation, pendant laquelle le malade est peu ou pas contagieux, dure de six à treize jours. Elle est suivie par une phase prodromique, d’environ deux jours, marquée par les signes avant-coureurs de la maladie : fatigue, fièvre, céphalées, myalgies…

Puis la maladie se manifeste par l’éruption sur le visage ou au niveau génital en fonction du mode de transmission. Les lésions cutanées sont habituellement associées à des douleurs intenses, et s’accompagnent souvent de ganglions. Les pustules évocatrices se dessèchent lentement puis forment des croûtes qui tombent spontanément après une quinzaine de jours, le plus souvent sans laisser de cicatrice.

C’est une maladie globalement bénigne. Les complications sévères sont exceptionnelles et ne surviennent que sur des malades fragiles. On estime qu’en Afrique de l’Ouest, malgré le sous-équipement et le manque chroniques de soignants, la mortalité ne dépasse pas 1 %. En France aucun des 2000 malades recensés n’est décédé.

La variole du singe n’est pas une maladie grave et constitue de fait une nouvelle « fièvre éruptive bénigne »comme la rougeole, la rubéole, et la varicelle. Une des raisons de cette bénignité est que les patients touchés, des hommes jeunes sans maladie préexistante ne sont pas à risque de forme grave et que les surinfections bactériennes, courantes en Afrique et souvent responsables de l’aggravation de l’état des malades, sont prises en charge sans difficulté en France.

La variole du singe n’est pas très contagieuse

Les deux voies possibles de transmission du MPXV sont la transmission animale-humaine (en Afrique) et la transmission interhumaine. Les gouttelettes respiratoires et le contact avec des fluides corporels, l’environnement ou des objets contaminés du patient, une lésion cutanée d’une personne infectée se sont avérés associés à la transmission interhumaine.

Le mode principal de contamination connu est le contact direct peau à peau en touchant les boutons (pustules) d’une personne infectée ou des objets qu’elle a contaminés (linge, couverts, etc.). Le virus peut en effet survivre plusieurs jours sur les surfaces inertes. Il pénètre dans l’organisme par des microlésions de la peau, même minuscules. Se gratter le nez avec des mains contaminées constitue une façon de s’infecter.

Ce mode de transmission actuel inédit gêne l’étude des chaînes de transmission. Il est compliqué, voire impossible, de retracer les contacts des personnes qui ont de multiples partenaires sexuels lors d’événement festif où l’alcool et les drogues circulent souvent abondamment.

En outre, même si les malades sont peu contagieux, ils le restent longtemps, ce qui justifie la durée de l’isolement de vingt et un jours préconisé en cas d’infection. Mais un isolement de trois semaines étant difficile à maintenir réellement, les recommandations ont évolué vers une réduction de sa durée afin d’augmenter le respect des contraintes concernant les situations les plus à risque.

En France d’après Santé Publique France fin juillet, un peu plus de 2000 cas ont été signalés essentiellement en région parisienne et dans les milieux festifs à activité sexuelle intense.

La situation épidémiologique actuelle rappelle celle du début du Sida,la gravité de la maladie en moins.

Pour l’instant, la variole du singe menace surtout les homosexuels mâles

Les 2000 cas recensés en France à ce jour sont constitués pour 99 % d’entre eux de mâles homosexuels d’âge médian 36 ans.

Ce constat de l’atteinte quasi exclusive des mâles homosexuels a été également fait aux USA comme l’a déclaré London Breed maire de San Francisco, un des épicentres de la maladie avec New York.

En France, la HAS estime que « les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes et les personnes trans qui sont multipartenaires, les personnes en situation de prostitution, les professionnels exerçant dans les lieux de consommation sexuelle» constituent les groupes à risque de la variole du singe.

Si vous n’appartenez pas à ces groupes et que vous n’avez pas de contact avec eux, votre risque de contamination est infime. Et en cas de contamination vous n’avez pas de risque d’en mourir Ne craignez pas la variole du singe.

Quand on appartient au groupe à risque, l’hygiène est plus efficace que le vaccin

Même si la variole du singe est une maladie relativement bénigne, mieux vaut éviter de l’attraper… Les malades souffrent parfois beaucoup, au point de devoir recourir à la morphine. Les lésions cutanées peuvent parfois laisser des cicatrices inesthétiques, situées sur le visage, ce qui peut s’avérer moralement difficile à supporter, car elles mettent en évidence des comportements sexuels qui ne sont pas forcément connus des proches ni assumés.

Comme d’habitude en matière d’épidémie le respect des mesures d’hygiène constitue le meilleur rempart contre la contagion.

Bien que la variole du singe ne soit pas classée parmi les maladies sexuellement transmissibles, elle se diffuse par les contacts cutanés et, pour cette raison, les autorités sanitaires de San Francisco recommandent « d’éviter les contacts cutanés ou de partager son lit avec un étranger tant que l’épidémie dure » et celles de New York de(([3] https://www.health.ny.gov/diseases/communicable/zoonoses/monkeypox/)):

« demandez à vos partenaires sexuels s’ils ont une éruption cutanée ou d’autres symptômes compatibles avec le monkeypox. Évitez tout contact peau à peau avec une personne qui présente une éruption cutanée ou d’autres symptômes liés à la variole du singe ».

Opinion partagée par Heymann, expert de l’OMS, qui accuse les rave parties belges et espagnoles d’être à l’origine de la récente diffusion de la maladie(([4] https://nypost.com/2022/05/23/who-expert-david-heymann-says-monkeypox-outbreak-came-from-sex-at-european-raves/)):

« les mesures individuelles pour atténuer les risques — en faisant attention si les partenaires sexuels ont des lésions génitales, par exemple — sont la meilleure approche ».

Certains traitements sont potentiellement capables de raccourcir la durée de l’évolution de la maladie. Il s’agit d’antiviraux : le tecovirimat, le brincidofovir et le cidofovir. Mais leur toxicité potentielle rend leur utilisation discutable pour une maladie bénigne.

Les vaccins n’ont pas fait la preuve de leur efficacité contre la variole du singe chez l’homme

Aux États-Unis, le vaccin antivariolique de deuxième génération ACAM2000 a été autorisé par la Food and Drug Administration (FDA) et acheté pour le Strategic National Stockpile (SNS) pour être utilisé lors d’une urgence impliquant la variole. La vaccination avec ACAM2000 est également recommandée pour certains personnels de laboratoire et de soins.

Mais ces vaccins de deuxième génération ne sont pas dénués de risque :

« risque documenté de myocardite après la réception des vaccins ACAM2000… et du risque inconnu de myocardite après JYNNEOS(([5] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/recs/grade/JYNNEOS-orthopoxvirus-primary-pq1-2.html))» ; « la prévalence incertaine de l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) ou d’autres formes d’immunosuppression dans les zones d’endémie du monkeypox présente un risque de complications vaccinales graves, notamment l’eczéma vaccinatum(([6] Reed JL, Scott DE, Bray M. Eczema vaccinatum. Clin Infect Dis. 2012 Mar; 54(6):832-40. doi: 10.1093/cid/cir952. Epub 2012 Jan 30. PMID : 22291103.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22291103/)) et la vaccine évolutive, cette dernière étant un effet indésirable événement au cours duquel la réplication incontrôlée du virus de la vaccine entraîne généralement la mort(([7] Bray M, Wright ME. Progressive vaccinia. Clin Infect Dis. 2003 Mar 15; 36(6):766-74. doi: 10.1086/374244. Epub 2003 Feb 20. PMID : 12627361.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12627361/)).

IMVAMUNE est un vaccin antivariolique de troisième génération qui a été testé chez des personnes infectées par le VIH et chez des personnes atteintes de dermatite atopique lors de six essais cliniques publiés qui ont démontré sa sécurité et l’immunogénicité dans ces maladies. Contre le monkeypox l’efficacité d’imvamune a été démontrée par plusieurs études sur des animaux, mais n’a jamais été l’objet d’essais randomisés chez l’homme. Il reste donc expérimental, même si les agences en ont autorisé sa mise sur le marché.

Le respect strict des mesures d’hygiène reste le rempart le moins risqué contre la contagion.





Révolution sanitaire au Costa Rica ?

[Source : arianebilheran.com]

Interview de Marco au Costa Rica

Par Ariane Bilheran

Témoignage de Marco Albertazzi

Le nouveau gouvernement du Costa Rica vient de supprimer le caractère obligatoire des injections expérimentales contre le COVID, et d’exiger des investigations juridiques sur les contrats passés par le gouvernement antérieur avec les multinationales des vaccins.

Dans ce contexte, j’ai souhaité recueillir le témoignage de Marco Albertazzi, qui est une figure clé de la résistance costaricaine, un homme pugnace et inspirant, qui par sa foi soulève des montagnes.

Marco est administrateur d’entreprise.

Il termine son master en Business et Administration.

Il fut le premier à s’exposer publiquement, allant marcher devant la Maison Présidentielle, pour informer la population sur les mensonges, la corruption et les manipulations de masse. Muni de sa pancarte, il interpellait les passants : « Quelle pandémie ? Quelle pandémie ? Où avez-vous vu une pandémie ? ».

Tout le monde le prenait alors pour un Diogène fou…

En ce jour historique du 3 août 2022, la résistance qu’il a levée à lui tout seul au Costa Rica a emporté sa première grande victoire.

Propos recueillis par Ariane Bilheran, normalienne, philosophe, docteur en psychopathologie
https://www.arianebilheran.com


Pouvez-vous me décrire comment s’est formée la résistance au Costa Rica, avec quelles ambitions ? Je suppose qu’au début vous n’étiez pas nombreux à avoir le courage d’affronter la politique sur la « pandémie » ? Quels obstacles avez-vous rencontrés ? Vous m’aviez parlé de répression, comment cela s’est-il passé ?

Après des abus, des restrictions et des impositions de la part du gouvernement, des décisions absolument incongrues par rapport à ce que nous vivions, et face à l’inaction des dirigeants politiques pour protéger les personnes bafouées, le 13 juillet 2020, je suis sorti seul dans la rue pour dénoncer cette pandémie devant la Maison Présidentielle, en me fondant sur des données biostatistiques et épidémiologiques qui n’étaient tout simplement pas en accord avec le message donné par le gouvernement de la République.

Ensuite, j’ai cherché des gens qui avaient des pages Facebook, Twitter, Instagram, et qui manifestaient leur désaccord avec la politique menée. J’ai contacté des médecins, des avocats, des psychologues, des infirmiers, des biologistes, et d’autres professions pour organiser le Mouvement pour la Santé et la Liberté. Je m’y consacre sans pause depuis 2020.

Nous nous sommes réunis et nous avons organisé des actions, des manifestations, différentes modalités de protestation. Nous avons subi des représailles inouïes. Dès le 13 juillet 2020, les attaques commencèrent contre moi, puis contre ceux qui me rejoignaient : selon la presse et les fonctionnaires du gouvernement, nous étions des négationnistes, les théoriciens du complot, etc. Quant à eux, ils continuaient d’exiger les fermetures et les confinements, des mesures restreignant la liberté, et de violer les droits de l’homme tels que la dignité et la liberté des êtres humains, la liberté de parole, le travail, la vie, la sécurité, le droit de ne pas être traités comme des esclaves, cruellement ou de manière dégradante, entre autres. Nous avons subi des répressions policières très violentes.

Lorsque les substances expérimentales sont sorties, nous avons été informés des risques qu’elles pouvaient produire. Nous avons alors commencé à alerter la population, ce qui nous a valu le titre « d’antivaccins » auprès des médias alignés sur la politique du gouvernement. Cependant, nous n’avons jamais cessé de parler des bons traitements qui pourraient aider les gens à surmonter le COVID, et de mettre en garde contre les risques des injections.

Pour avoir dénoncé ces abus, j’ai même été assigné à résidence (en arrestation à mon domicile) durant trois mois après que nous nous fûmes rendus dans un hôpital exiger des explications, puisqu’un enfant était retenu en otage pour être vacciné, ce que le personnel de l’hôpital a fait par la force, en frappant même sa mère enceinte lorsqu’elle essaya de le protéger des infirmières de l’hôpital. Le jour où nous sommes allés à l’hôpital pour défendre cet enfant et soutenir sa mère, la répression policière a été terrible : les policiers ont frappé des enfants, des personnes âgées, des femmes, à des médecins, dont la docteur Jimena Campos. Le but était d’intimider et d’attaquer le mouvement.

Qu’est-ce qui vous a donné le désir et la force de résister ?

Mon indignation devant la violation des droits humains, les gens écrasés, piétinés par le gouvernement, la police, l’abus de pouvoir, les gens arrêtés pour réclamer le droit d’aller travailler et alimenter leur famille. Je suis chrétien, et la Bible nous enseigne que, comme fils de Dieu, je dois défendre la vérité et la justice, et simplement je ne pouvais pas me taire. J’ai pensé que si David avait vaincu Goliath, et si Moïse avait vaincu Pharaon, je pouvais moi aussi, avec l’aide de Dieu, vaincre ces fous qui ont causé tant de torts à la population du Costa Rica. Il fallait de la vaillance et de la bravoure, lever la voix pour réveiller les consciences, et ne pas se taire. Face aux attaques, il ne fallait pas non plus se laisser faire.

Désormais au Costa Rica, vous avez remporté une victoire : la vaccination n’est plus obligatoire. Pouvez-vous me dire comment vous avez obtenu ce grand succès, qui l’est non seulement pour le Costa Rica, mais aussi pour le monde entier ? Vous donnez un sacré exemple.

Le Président actuel a tenté de supprimer l’inoculation obligatoire, mais les membres de la Commission nationale de vaccination et d’épidémiologie ont refusé. Après enquête, nous avons découvert que les nominations de cette Commission avaient expiré et que, par conséquent, tous les accords conclus par elle depuis 2020 étaient illégaux ! De même, conformément à la loi, nous avons demandé une copie certifiée des procès-verbaux de la Commission, et nous avons vu les insanités qui avaient été décidées alors que les membres savaient pleinement qu’ils faisaient le mauvais choix. Ils ont agi avec malice contre le peuple. Cela a conduit à une plainte pénale déposée hier (le 3 août) contre tous les membres de la Commission.

Quel est votre conseil pour les défenseurs des libertés dans les autres pays, qui essaient d’obtenir le même résultat que vous au Costa Rica ?

Battez-vous ! Exposez personnellement les décideurs et les promoteurs corrompus de ces politiques liberticides (photo, numéro d’identification, poste qu’ils occupent, etc.) afin que les gens puissent les identifier… qu’ils ressentent la pression (cela a fait démissionner un membre de la Commission). Déposez des plaintes pénales avec des preuves ! Examinez les procès-verbaux des Commissions qui ont pris les décisions des enfermements, des inoculations obligatoires, et de toutes les mesures contre les droits de l’homme et les libertés fondamentales, afin de pouvoir engager des actions en justice sur la base de ces preuves.

Frappez à toutes les portes.

N’abandonnez surtout pas.

Ne cédez pas à la fatigue.

Quel est votre prochain objectif ?

Continuer maintenant à exposer au public les effets néfastes de ces inoculations, poursuivre en justice les personnes qui ont obligé les citoyens à recevoir ces substances, mais aussi les employeurs (entreprises) qui ont harcelé, contraint, discriminé, suspendu et licencié leurs employés parce qu’ils ne voulaient pas subir ces injections, afin que cela ne se reproduise plus jamais, et m’attaquer aux mensonges de la variole du singe.

Pour contacter Marco :

Marco Albertazzi
Coordinateur général
Movimiento Por La Salud Y La Libertad (Mouvement pour la santé et la liberté)

direccion@movlibertadcr.com |+ (506) 6050-9992

Rencontre entre Marco Albertazzi et Ariane Bilheran le 30 juin 2022 :




Journal des bonnes nouvelles (au 4 août 2022) : le monde se réveille

Par Nicole et Gérard Delépine

Le combat paye, mais lentement. Contre la dictature des milliardaires, on ne livre pas une guerre éclair, mais une longue guerre d’usure pendant laquelle il ne faut pas se décourager. Ce petit journal rappelle les petits pas en avant que nous avons obtenus avec quelques références pour vous convaincre que la situation s’améliore doucement, mais sûrement. Pour remonter le moral de ceux qui commençaient à craquer.

Mais attention ce sont des signes du début de la fin, mais pas la fin. Il ne faut surtout pas baisser la garde ! Le Nouvel ordre mondial est richissime et a plus d’un tour dans son sac. Poursuivons à tous niveaux en particulier sur le plan juridique : plainte pour accidents de vax, plainte pour défendre les soignants suspendus, plainte contre abus de pouvoir des hôpitaux qui continuent à exiger le pass contre la loi, etc.. Nous commençons à marquer des points qui doivent nous encourager à poursuivre, mais ne surtout pas nous endormir. Comme l’a dit B. B. (Bertold Brecht) à propos du fascisme du dernier siècle : « Le ventre est encore fécond, d’où a surgi la bête immonde ».

Les oppositions ont réussi à s’unir contre le renouvellement éternel de la loi d’urgence

France — Demi-victoire de la nouvelle Loi de sécurité sanitaire — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
Avouez que l’on n’y croyait pas ou peu. Loi d’Urgence, encore un mot dévoyé pour nous voler nos libertés

Encourageons les citoyens à poursuivre le combat par l’information large de tous sur la mascarade covid19 que nous vivons encore. Un grand pas a été franchi par la fin de la loi d’exception grâce à la nouvelle assemblée dans laquelle E. M. n’a plus la majorité absolue. Les élections législatives, les multiples vidéos, les articles sur des centaines de supports variés et les manifestations ont réussi à éveiller un certain nombre de concitoyens et de parlementaires. Le combat paie. Il faut le poursuivre avec ténacité et assiduité.

En effet, la volonté des puissants de maintenir la population dans la peur du covid ou de son prochain variant ou autre cousin ou la variole du singe est manifeste, car les mondialistes veulent continuer à nous terroriser pour que nous ne défendions plus nos libertés et nous forcer à nous faire injecter. Les publicités mensongères à répétition du ministère de la Santé poussant à l’injection sur les écrans de télévision en témoignent. La prise de parole du directeur de l’OMS qui veut reproduire le scénario covid avec la variole du singe qui est une maladie généralement bénigne (même si son aspect cutané n’est pas ragoûtant) en témoigne. Nous ne laisserons pas faire ce terroriste des épidémies et y reviendrons.

Fauci et de hauts responsables de Biden sont cités à comparaître devant des juges

Fauci et de hauts responsables de Biden sont cités à comparaître dans le cadre d’une action en justice alléguant qu’ils ont collaboré avec les médias sociaux pour supprimer la liberté d’expression | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

Fauci et de hauts responsables de Biden sont cités à comparaître dans le cadre d’une action en justice les accusant d’avoir incité et collaboré avec les médias sociaux pour supprimer la liberté d’expression

Les hauts responsables de l’administration Biden — dont le Dr Anthony Fauci — et cinq géants des médias sociaux ont 30 jours pour répondre aux citations à comparaître et aux demandes de communication de pièces dans le cadre d’une plainte accusant le gouvernement Biden d’entente avec les sociétés de médias sociaux pour supprimer la liberté d’expression « sous couvert de lutte contre la désinformation. »

La présidente de la Children’s Health Defense (CHD), Mary Holland, qui est également l’avocate générale de la CHD, a salué la décision juridique d’instruire la plainte :

« La CHD salue l’annonce de cette décision révolutionnaire du juge Doughty du district occidental de la Louisiane, qui découvre si l’administration Biden a violé le premier amendement par la censure.

« Pendant deux ans, la CHD et de nombreux autres médias n’ont pas été en mesure de comprendre les mécanismes par lesquels nos principales plateformes médiatiques ont impitoyablement censuré, supprimé et déformé nos informations.

« Maintenant, grâce au processus de découverte que le juge a autorisé, nous allons découvrir comment Meta, Instagram, Twitter et YouTube ont été de connivence avec le gouvernement fédéral pour freiner la soi-disant “désinformation” et “mauvaise information”. C’est un nouveau jour. »

Fauci, les CDC, le secrétaire de presse de la Maison-Blanche et d’autres doivent remettre les documents demandés par les juges.

NorthShore University HealthSystem va indemniser les soignants vaccino prudents discriminés

Un règlement de 10,3 millions de dollars a été conclu dans le cadre du premier recours collectif contre le vaccin obligatoire COVID impliquant des travailleurs de la santé. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

Pour clore le premier procès collectif intenté par des travailleurs de la santé discriminés pour leur refus de l’obligation vaccinale COVID, Liberty Counsel a accepté de régler, pour plus de 10,3 millions de dollars d’indemnisation.

Le règlement de l’action collective contre NorthShore University HealthSystem est au nom de plus de 500 travailleurs de la santé actuels et anciens qui ont été illégalement discriminés et se sont vus refuser des exemptions religieuses du mandat de vaccination COVID.

Le règlement convenu a été déposé aujourd’hui devant le tribunal fédéral du district nord de l’Illinois.

À la suite du règlement, NorthShore paiera 10 337 500 $ pour indemniser les 500 soignants (en moyenne 20 000 dollars par soignant) qui ont été punis pour leurs croyances religieuses contre la prise d’une injection associée à des cellules de fœtus avortés.

Il s’agit d’un règlement de recours collectif historique, le premier du genre, contre un employeur privé qui a illégalement refusé des centaines de demandes d’exemption religieuse pour les vaccins COVID-19. Le règlement doit être approuvé par le tribunal fédéral du district.

Espérons qu’il fera jurisprudence et qu’il sera suivi de beaucoup d’autres contre les employeurs américains abusifs

En Espagne : la justice donne 10 jours à l’État pour dévoiler tous les contrats signés avec Pfizer

Par Cheikh Dieng – 2 août 2022

La justice baléare a accordé à l’État espagnol un délai de dix (10) jours pour lui fournir tous les contrats signés avec Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson et AstraZeneca dont les vaccins anti-Covid ont été déployés sur le territoire espagnol durant la pandémie à Coronavirus. Une nouvelle qui déclenche l’immense joie de l’Association espagnole Liberum, laquelle n’a cessé d’exiger que ces contrats soient rendus publics par respect aux citoyens

« Un malheur ne vient jamais seul », dit l’adage. Et Pfizer semble l’avoir bien compris.

En tout cas, moins d’un mois seulement après la décision de la justice uruguayenne du 8 juillet 2022 d’obtenir des informations sur le contenu chimique du vaccin du labo américain,

mais Pfizer préfère ne pas distribuer son injection plutôt que de faire ce que la justice lui demande.

VOUS N’AVEZ PAS À PRÉSENTER DE TEST À L’ENTRÉE D’UN HÔPITAL OU D’UNE CLINIQUE

Fabrice Di Vizio alerte : « Ne faites plus de tests Covid-19 ! Cette histoire aussi c’est terminé ! » (Vidéo complète) — Dissident Officiel tweet du 2 aout 2022 Les hôpitaux n’ont plus le droit de demander de test Négatif ! C’est au surplus confirmé par une circulaire DGS 2022-69 que je mets sur le nouveau site de l’association qui sort demain matin dit Fabrice di Vizio

Voici le lien vers la circulaire (à imprimer et à présenter le cas échéant) :
https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/dgs-urgent_n2022_69_evolution_esms_fin_eus.pdf

Si difficultés ET ABUS DE POUVOIR faire acter le refus et le communiquer à l’association de Fabrice Di Vizio

juriste@jenesuispasundanger.com adresse correcte vérifiée

Les victimes des complications des vaccin COVID sont progressivement indemnisées dans le monde entier

COVID Vaccine Injuries Quietly Being Compensated Around the World, Are You Eligible? + More • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org)

Les morts, myocardites, accidents vasculaires et les autres complications causées par le vaccin contre la COVID sont progressivement indemnisées dans le monde entier, y êtes-vous admissible ?

En Australie plus de 10 000 victimes des vaccins vont être indemnisées selon le « COVID-19 Vaccine Claims Scheme »(([1] https://www.health.gov.au/initiatives-and-programs/covid-19-vaccine-claims-scheme)) pour les effets secondaires, rapporte le Sydney Morning Herald. Si chacune de ces demandes est approuvée par les autorités, le gouvernement se retrouverait ainsi avec une facture à payer de 50 millions de dollars australiens, soit environ 32 millions d’euros.(([2] https://www.bloomberg.com/news/articles/2021-11-16/australia-faces-compensation-bill-for-vaccine-side-effects-smh))

La Nouvelle-Zélande vient de créer un schéma d’indemnisation semblable(([3] https://catalogue.data.govt.nz/dataset/vaccine-injury-compensation)) et un collectif de médecins — nommé New Zeland Doctors Speaking Out with Science (NZDSOS) — s’est constitué pour demander l’ouverture d’une enquête par la police.(([4] https://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccin-contre-la-covid-19-des-medecins-neozelandais-sonnent-alerte))

Mais aussi l’Argentine.(([5] https://www.francesoir.fr/politique-monde/vaccination-covid-largentine-indemnise-victimes-effets-indesirables))

Mais aussi le Canada.(([6] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1887847/vaccin-covid-19-astra-zeneca-compensation-indemnisation-syndrome-guillain-barre))(([7] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1813105/compensations-reaction-vaccination-coronavirus))

Et en France ? Lorsque les victimes du vaccin Covid réaliseront, malgré le déni de nombreux médecins, la responsabilité des injections dans la genèse de leurs troubles, la note risque d’être élevée. Après avoir payé les vaccins, nos impôts devront indemniser les victimes, car Pfizer a obtenu par la Commission européenne de ne pas payer d’indemnisation aux victimes !

Une vraie bonne nouvelle : le nouveau livre de Robert F. Kennedy traduit en français — « Une lettre aux libéraux » possible en téléchargement.

L’ordre se réveille enfin et condamne des médecins de plateau qui ne mentionnent pas leurs liens d’intérêts avec l’industrie

Par deux décisions rendues le 18 juillet 2022, la chambre disciplinaire nationale de l’Ordre des médecins rappelle que le Code de Santé Publique doit être respecté, et notamment ses articles L 4113-13 et R 4113-110, le premier disposant que « les membres des professions médicales qui ont des liens avec des entreprises et des établissements produisant ou exploitant des produits de santé (…) sont tenus de faire connaître ces liens au public lorsqu’ils s’expriment sur lesdits produits (…) dans la presse écrite ou audiovisuelle. »

Il sanctionne d’un avertissement le Professeur Robert COHEN et le Professeur Bruno LINA pour ne pas avoir fait état, lors d’interventions dans les médias sur les vaccins, de leurs liens d’intérêts avec certaines entreprises pharmaceutiques fabriquant ces produits.

L’association E3M a constaté 200 liens d’intérêts entre l’industrie et le Pr Cohen de 2012 à 2018 pour un montant total de 57 730 €, ainsi que 60 contrats sans montants déclarés. À cela, il convient d’ajouter l’existence de 58 déclarations de liens entre l’industrie et l’association ACTIV (association créée et dirigée par le Pr Cohen ayant pour objet la formation des professionnels de santé et la recherche, avec le soutien des laboratoires MSD, GSK, Pfizer, Sanofi, CGM) pour un montant total de 748 520 € (dont 601 920 € par Sanofi et 126 600 € par GSK) ainsi que 14 contrats sans montants déclarés.

Le Pr Lina, chef du laboratoire de virologie du CHU de Lyon, est quant à lui intervenu pour défendre le vaccin Gardasil, mis en cause dans la survenue de graves effets indésirables. Lui non plus n’a pas déclaré ses liens avec l’industrie pharmaceutique alors qu’il est depuis de nombreuses années Président du Conseil Scientifique du GEIG (Groupe d’Expertise et d’Information sur la Grippe), « financé par les 4 laboratoires qui distribuent des vaccins contre la grippe sur le territoire français (Abbott Products SAS, GSK, Novartis Vaccines et Sanofi Pasteur MSD) ».

Comme l’Ordre ne se saisit pas spontanément de ces faits délictueux (alors qu’il pourrait parfaitement le faire), il faut espérer que de nouvelles plaintes portées contre d’autres « experts » des médias vont obliger l’ordre à condamner ces leaders d’opinion qui agissent dans les médias comme avocat de l’industrie pharmaceutique sans mentionner leurs liens d’intérêts comme ceux qui nous ont abreuvés depuis plus de deux ans d’une propagande provax covid sans limites. Si l’ordre faisait enfin respecter la loi « transparence santé », le public saurait qui est réellement l’expert qui s’exprime et quels sont ses liens avec le monde économique et notamment les fabricants des produits dont il fait la promotion.

Le retournement de veste en série des « officiels pivots de la stratégie tout vaccin :

https://pgibertie.com/2022/07/30/delfraissy-veut-laver-son-honneur-et-annonce-lechec-des-futures-injections-qui-dereglent-le-systeme-immunitaire/

Le bal des “morts de trouille” ouvert par Delfraissy — Riposte Laique

IL FAUT ARRÊTER DE DIRE ET RACONTER TOUT ET N’IMPORTE QUOI” dit J F. Delfraissy résumant l’action du Conseil scientifique

UN ÉCHEC TOTAL, IL FAUT LE DIRE, en termes de mortalité, de morbidité et d’accès aux droits humains. Zéro covid n’était pas la solution. Ce sont les médias qui poussent à cela. Il faut à un moment donné redevenir raisonnable, les Français l’ont compris”.

@UPR_Asselineau

“LE DOUBLE AVEU DU Pr DELFRAISSY  : Soulageant sa conscience, il dénonce en fait la DOUBLE SOUMISSION révélée par la covid-19, celle des États occidentaux à Big Pharma, celle de la classe dirigeante à la toute-puissance des médias, qui imposent leurs vues par intimidation et censure.” et aussi sur la variole du singe, etc..

Fischer Alain s’y met aussi : “le vaccin à la rigueur pour les vieux”. Alors qu’en juin 2022 il voulait vacciner tous les enfants…

En retournant leur veste, ils espèrent probablement se faire pardonner de leurs méfaits ou alléger leur conscience pour ne pas finir par se suicider comme l’a fait le docteur autrichien Lisa-Maria Kellermayr, avocate zélée des pseudo vaccins contre le coronavirus, qui n’a pas assumé la responsabilité des dégâts et des morts que sa propagande mensongère a occasionnés.

Et les soignants suspendus : le gouvernement va devoir craquer

L’obligation vaccinale comme condition d’engagement des soignants aux Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG) a été supprimée depuis le début du mois de mai.

Pourquoi le gouvernement, l’académie de médecine et la HAS s’obstinent contre l’évidence scientifique que cette mesure ne sert à rien contre l’épidémie ?

Le 20 juillet 2022, Antoine Flahault, épidémiologiste très provax dans les médias depuis mars 2020, a appelé sur Twitter à la réintégration des soignants non vaccinés arguant que leur suspension n’est plus fondée scientifiquement,(([8] https://www.tf1info.fr/sante/coronavirus-7e-vague-de-covid-19-l-obligation-vaccinale-des-soignants-n-a-plus-grand-sens-estime-le-pr-antoine-flahault-2227)) car le vaccin ne réduit pas suffisamment les contaminations.

Le professeur Y. Freund, urgentiste à l’AP-HP s’est prononcé lui aussi pour la réintégration des soignants non vaccinés, car on ne peut pas poser de conditions éthiques à l’embauche d’un soignant.

À l’heure où les urgences ferment les unes après les autres par manque de soignants, où de nombreuses interventions chirurgicales sont reportées faute de chirurgiens, d’anesthésistes ou d’infirmières de bloc et où on ne parle même plus des autres services (comme le service de greffes à Caen) en voie de fermeture ou déjà fermés, la population et les décideurs politiques doivent bien se rappeler que 15 000 soignants au moins sont suspendus sans salaire, que 150 000 infirmiers formés ne travaillent plus comme soignant en raison de la maltraitance managériale depuis trente ans et que beaucoup de soignants en poste et injectés sont en burn-out, démissionnaires et/ou en arrêt de travail.

Il faut abolir cette obligation infondée d’injection expérimentale, réintégrer les soignants injustement suspendus, mais aussi modifier le management pour qu’il retrouve son but ultime le soin, payer correctement les professionnels du soin et cesser le cirque des missions flash ou autre grenelle de la santé. Quant aux contes de Ségur, on a déjà donné.(([9] Les Contes de Ségur, revus et corrigés par O. Véran. Communication ou véritable réforme ? | FranceSoir))

Il serait bien que l’ensemble des soignants, médecins, infirmiers aide-soignant, secrétaires, etc. décident enfin de sauver l’honneur de la profession soignante au sens large, en décrétant une grève illimitée de tous les acteurs des hôpitaux privés comme publics, maisons de soin, dispensaires, etc. tant que les suspendus ne seront pas réengagés.

Ce serait le minimum pour faire un peu oublier leur silence coupable depuis de longs mois. En septembre 2021, lors de leur suspension tout le monde savait déjà que le vaccin ne protégeait ni de la maladie ni de la transmission. Les médias mensongers surfaient encore sur les formes graves pour faire piquer la totalité de la population, mais cela ne justifiait en rien d’injecter de force les soignants ou les pompiers et d’interdire aux autres de soigner. Aucune excuse, même pas la peur ! Alors c’est le moment de se racheter.

NE FAIBLISSEZ PAS ! BATTONS-NOUS POUR QUE LA VÉRITÉ TRIOMPHE ENFIN ET POUR RÉTABLIR L’INTÉGRALITÉ DE NOS LIBERTÉS CONFISQUÉES POUR LE SEUL BIEN d’UNE POIGNÉE DE MILLIARDAIRES.

Et ajoutons progressivement d’autres bonnes nouvelles à cette liste non exhaustive.





Le bal des « morts de trouille » ouvert par Delfraissy. Mise à jour

[Voir aussi sur : RL]

Par Gérard Delépine

Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique(([1] Conseil qui disparaît ce 31 juillet 22 en même temps que la loi d’urgence.)) devenu complotiste, serait-il inquiet ?

@codePS17 

« Le bal des morts de trouille !! 
Ah ça voulait piquer tout le monde de gré ou de force et maintenant ils ont le trouillomètre à zéro de peur de se retrouver derrière les barreaux pour très longtemps »

«  IL FAUT ARRÊTER DE DIRE ET RACONTER TOUT ET N’IMPORTE QUOI », dit JF. Delfraissy résumant l’action du Conseil scientifique.

« UN ÉCHEC TOTAL, IL FAUT LE DIRE, en termes de mortalité, de morbidité et d’accès aux droits humains.  Zéro covid n’était pas la solution. Ce sont les médias qui poussent à cela. Il faut à un moment donné redevenir raisonnables, les Français l’ont compris ».

@UPR_Asselineau

« LE DOUBLE AVEU DU Pr DELFRAISSY  : Soulageant sa conscience, il dénonce en fait la DOUBLE SOUMISSION révélée par la covid-19, celle des États occidentaux à Big Pharma, celle de la classe dirigeante à la toute-puissance des médias, qui imposent leurs vues par intimidation et censure. »

ET sur la variole du singe

@MaxDelvallee

DELFRAISSY sur la variole du singe : 

« Elle est beaucoup mise en avant parce que les médias ne veulent pas rater le début d’une éventuelle nouvelle crise (…). Je ne crois pas à la gravité et à l’existence d’une pandémie de ce type. (…) C’est une maladie peu sévère dans 99 % des cas. »

LE PARCOURS DÉPLORABLE DE JF. DELFRAISSY ET DU CONSEIL DIT SCIENTIFIQUE

Dès mars 2020 nous avons dénoncé les mesures prétendument sanitaires (confinement et autres privations de liberté), comme inefficaces car contraires à la vérité scientifique(([2] Delépine « Confinement, mesure sanitaire ou politique ? » Agoravox samedi 21 mars 2020
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/confinement-mesure-sanitaire-ou-222478))(([3] Nicole Delépine, Gérard Delépine Autopsie d’un confinement aveugle Édition Fauves septembre 2020
https://docteur.nicoledelepine.fr/autopsie-dun-confinement-aveugle/))(([4]Delépine « Ce n’est pas de confinement généralisé que la France a besoin, mais de liberté, de masques et de chloroquine » Agoravox »
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712))(([5] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/confinement-cette-mesure-d-223105)), les tests PCR chez les asymptomatiques comme une arnaque sans intérêt médical uniquement destinée à faire croire à des poussées de l’épidémie(([6] Vers le faire-part de décès des tests PCR
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/vers-le-faire-part-de-deces-des-tests-pcr)) et l’objectif officiel du zéro covid comme un mirage de la propagande marchande provax.

Depuis la mise sur le marché des pseudo-vaccins et la propagande forcenée que martèlent les médias pour nous les imposer, nous répétons que les injections anti-covid ne sont pas des vaccins mais des médicaments, qu’elles sont totalement expérimentales et issues d’une technique jusqu’alors jamais utilisée en infectiologie, qu’elles ne protègent ni de la maladie, ni des transmissions, ni des formes graves, ni de la mort.

Ces constatations scientifiques des faits publiés par l’OMS ont été constamment traitées de fake news par de pseudo- journalistes peu scrupuleux qui nous qualifient de complotistes(([7] Le  Collectif citoyen Quand la démocratie devient un complot
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/quand-la-democratie-devient-un-complot)) en suggérant même que nous serions d’extrême droite, voire antisémites pour nous diffamer. Malheureusement pour ces mercenaires de la désinformation, la vérité est têtue et ce que nous proclamons depuis près de deux ans et demi est progressivement confirmé et reconnu même par les anciens avocats des mesures sanitaires dès qu’ils quittent le monde imaginaire des simulations biaisées pour examiner le monde réel…

Un très bel exemple d’un retour très tardif au monde réel est celui de JF Delfraissy.(([8] Jean-François Delfraissy, né le 19 mai 1948 à Paris, est un médecin et professeur de médecine français, spécialisé dans l’immunologie.
Il est nommé président du Comité consultatif national d’éthique en 2016. Il prend en 2020 la présidence du Conseil scientifique covid-19, institué par le ministre Olivier Véran pour conseiller le gouvernement dans la lutte contre la pandémie de covid-19.))

Confinement déclaré indispensable puis reconnu dévastateur

Début 2020 Jean-François Delfraissy avait prétendu que le confinement était indispensable malgré ses doutes qu’il a récemment confié au Parisien :

« Mais qu’est-ce qu’on a fait ?(([9] Capture BFM TV
« Mais qu’est-ce qu’on a fait ? » : Jean-François Delfraissy sans filtre sur la gestion de la covid-19))», avant de se rassurer rapidement : « Plusieurs autres membres du Conseil scientifique doutaient, eux aussi, et on s’est remonté le moral, se répétant qu’on n’avait pas d’autre choix. ». Attitude vraiment incroyable d’un prétendu scientifique censé analyser la balance avantage/risques d’une mesure avant de la conseiller.

Un an plus tard, malgré le bilan catastrophique avéré du premier confinement(([10] Le confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit : aberration humaine, sanitaire, économique
https://www.francesoir.fr/societe-sante/le-confinement-tout-ce-que-lon-ne-vous-pas-dit-aberration-humaine-sanitaire)), il récidivait avec Denis Malvy et Karine Lacombe, plaidant pour une nouvelle astreinte à résidence de la population « e confinement apparaît vraiment irrémédiable. » !

Mais l’inefficacité sanitaire et les conséquences dramatiques des confinements ont depuis été largement démontrées par tous les scientifiques indépendants des gouvernements et des organismes qui les ont imposés.(([11] https://ripostelaique.com/il-faut-mettre-fin-immediatement-a-ce-confinement-mortifere-pour-le-pays.html))(([12] Surjit S BhallaLockdowns and Closures vs COVID – 19: COVID WinsNov 1, 2020
https://www.semanticscholar.org/paper/Lockdowns-and-Closures-vs-COVID-%E2%80%93-19%3A-COVID-Wins-Bhalla/95aeeff82b572458ce69ca46b0b44118206a901b))(([13] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19 epidemic.
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf))(([14] Jonas Herby, Lars Jonung, and Steve H. Hanke A LITERATURE REVIEW AND META-ANALYSIS OF THE EFFECTS OF LOCKDOWNS ONCOVID-19 MORTALITY SAE./No.200/January 2022
https://sites.krieger.jhu.edu/iae/files/2022/01/A-Literature-Review-and-Meta-Analysis-of-the-Effects-of-Lockdowns-on-COVID-19-Mortality.pdf))(([15] Bendavid E, Oh C, Bhattacharya J, Ioannidis JPA. Assessing mandatory stay-at-home and business closure effects on the spread of COVID-19. Eur J Clin Invest. 2021 Apr;51(4):e13484. doi: 10.1111/eci.13484. Epub 2021 Feb 1. PMID: 33400268; PMCID: PMC7883103.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33400268/))

En février 2021 dans une lettre au Lancet(([16] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin Jean-François Delfraissy Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract The Lancet :2021 February 18,
https://www.thelancet.com/journals/lanpub/article/PIIS2468-2667(21)00036-0/fulltext)), J. Delfraissy reconnaissait enfin, avec 5 autres membres du Conseil scientifique, que le confinement avait été nocif et qu’il fallait changer de politique :

« il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire ».« L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale. » « Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2. »

Alors pourquoi a-t-il conseillé le premier confinement et persisté ensuite dans l’erreur plusieurs fois ?

Le scandale des passes inefficaces et discriminatoires

Le Conseil scientifique et son président ont présenté les passes comme des  mesures permettant de retrouver les libertés sans risque alors qu’ils ne constituaient que des chantages aux libertés pour forcer à l’injection les gens qui n’en avaient aucun besoin.

Lors de son audition au Sénat, à la question :

« Est-ce que le passe protège réellement ? »

La réponse de J. Delfraissy a été : 

« Non. »

Ce que confirme l’explosion des contaminations après leur instauration :

Alors pourquoi ont-ils menti aux Français en prétendant le contraire ? 

@dreslincourt   31 juil.

Dans le Parisien, le Pr Delfraissy reconnaît un traitement « inhumain » de nos anciens en Ehpad pendant le covid, et une mainmise des labos sur les stratégies vaccinales ! Quand nous informions les Français de ces choses, la presse nous qualifiait de « complotistes » ! Des excuses ? 

Le mirage du « Zéro Covid » reconnu un « échec total. »

Pendant près de deux ans le Conseil scientifique a fait croire que les mesures sanitaires et la vaccination allaient éradiquer le virus selon la stratégie du zéro covid inventée par les Chinois. Ils nous ont promis qu’on obtiendrait l’immunité collective après la vaccination de 60 % des Français, puis de 70 %, puis de 90 %. Mais tous les pays (sauf la Chine) qui nous avaient précédés dans cette stratégie ont reconnu qu’il s’agissait d’un mirage impossible à atteindre dans le monde réel.

Mais après deux ans d’atteintes majeures à nos libertés fondamentales cautionnées par son comité prétendument scientifique J. Delfraissy avoue :

« Le “Zéro Covid” est un échec total… Il faut vivre avec le virus ! »(([17] https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/mais-qu-est-ce-qu-on-a-fait-jean-fran%C3%A7ois-delfraissy-sans-filtre-sur-la-gestion-de-la-covid-19/ar-AA1086Uu))

Cette stratégie n’a jamais permis d’éradiquer une épidémie avec réservoir animalier connu comme l’est le covid. Alors pourquoi l’a-t-il conseillée sinon pour vendre des prétendus vaccins ?

Les  « vaccins sûrs et efficaces » devenus des « vax médicaments inefficaces »

Le Comité scientifique et son président ont validé tous les mensonges de Pfizer comme celui d’appeler vaccin un médicament expérimental ne contenant aucun antigène et celui « d’une efficacité de 95 % » pour inciter la population à se faire injecter. Plus tard, alors que l’échec contre la diffusion virale devenait évident, ils ont persisté :

 « Les vaccins sont efficaces contre le variant delta, si l’on a eu deux injections. Il faut se faire vacciner » 

Et quelques mois plus tard, ils ont persévéré en prétendant :

« le vaccin est toujours efficace contre le covid-19 (…) s’il a été administré trois fois ».

Encore plus choquantes ont été les déclarations de Delfraissy à Sciences-Po Lille conseillant la vaccination des plus jeunes qui ne risquent rien du covid et celle poussant à la vaccination des femmes enceintes, hérésie scientifique jusqu’ici toujours contre-indiquée.

Ce n’est qu’après la fin annoncée de son Comité anti-scientifique que J. Delfraissy avoue :

« Ce n’est pas le bon vaccin ! Il ne protège pas contre l’infection et la contagion ».

Alors pourquoi ne s’excuse-t-il pas d’avoir menti pendant au moins dix-huit mois et des complications et des morts que ces médicaments expérimentaux ont causé ?

Le Pr. Delfraissy a été en pointe dans la propagande alarmiste et les décisions portant atteinte à nos libertés fondamentales en leur donnant un alibi scientifique mensonger. Il a bafoué et décrédibilisé la science en trompant les Français pour qu’ils supportent l’inacceptable.

Espère-t-il par ces aveux se faire pardonner ?

Faute avouée est à demi pardonnée dit-on. Mais JF Delfraissy n’a avoué que la moitié de ses fautes. En particulier il n’a dénoncé ni l’inefficacité ni la toxicité des masques ni l’absence de toute justification scientifique des obligations vaccinales imposées aux soignants et pompiers ni l’ignominie des mesures sociales qui ont été imposées aux vaccino- prudents. Espérons qu’il complétera bientôt sa confession.

@Phil_7338

« Il sera jugé. Je ne lui pardonnerai jamais, port du #masque obligatoire pour nos enfants petits enfants quasiment H24. Ni les #Confinement #CouvreFeu 21h 19h 18h…ni les #Attestations débiles ni les 1km,10km…#dérogations #tests gratuits, payants, 72h…24h #coronacircus »

@PascalBurlot1

« Et à propos des mails échangés avec Fauci pour supprimer le traitement précoce HCQ, belle réussite pourtant Pr Delfraissy ! Ces aveux sont pitoyables après avoir conseillé les inconcevables lock-down, masques, couvre-feux, suspensions et injections. »

@verity_france     

Covid-19 : Jean-François Delfraissy a des « regrets » dans la gestion de la pandémie qui n’est « pas terminée »/ si c’est un honnête homme il dira tout devant un juge pour expliquer les pressions, et détailler l’instrumentalisation dont il a fait l’objet

« SCIENCE SANS CONSCIENCE N’EST QUE RUINE DE L’ÂME » (Pantagruel, RABELAIS)

Il reconnaît enfin que ce sont les compagnies pharmaceutiques qui ont tout pouvoir sur les décisions prétendument scientifiques en rapport à ces pseudo-vaccins. Mais pourquoi ne l’a-t-il pas dénoncé plus tôt et démissionné du Conseil scientifique comme l’a fait très rapidement le Pr D. Raoult ?

Le ministre proclame son désir de transparence. Pour nous en convaincre, il faudrait qu’il fasse lever  le secret défense ubuesque qui pèse sur les 300 réunions et les 80 avis ou notes rédigés en deux ans et quatre mois par ce Comité scientifique pour que chacun puisse en faire l’analyse.

À défaut, l’opposition parlementaire devrait l’exiger car qui peut croire que  la divulgation de ces  documents  jusqu’à présent classés secret défense(([18] Le secret défense a été créé pour protéger les informations militaires ou diplomatiques nécessaires à la sécurité militaire du pays. On ne comprend pas en quoi cela s’est appliqué à un virus, pas plus que le nouveau « commando » que veut mettre en place le ministre Braun.)) puisse  renforcer la virulence du Sars-CoV-2 ?

Les covidistes passent (tardivement) aux aveux !


Au passage, il pourrait rappeler qui nomme le collège des experts de la HAS soi-disant indépendante et qui maintient la suspension des soignants et pompiers non vaccinés ? les mêmes politiques trop proches de Big Pharma.

Quelques commentaires sur Twitter

Hélène Laporte 2 août

Après J-F #Delfraissy qui avoue que la stratégie « Zéro #COVID19 » est un échec total, c’est Alain #Fischer, « Monsieur Vaccin », qui ne recommande plus de rappel vaccinal… Visiblement les certitudes d’hier ne sont plus !

ladepeche.fr

EXCLUSIF. Covid-19 : le conseil d’orientation de la stratégie vaccinale « arrête son travail »,…

Fin du Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale, nouveaux vaccins en cours d’élaboration pour lutter contre les variants, pas de généralisation de deuxième dose de rappel à toute la populati…

@Olivierfente 2 août

ALERTE GÉNÉRALE C’est la débandade complète pour les nofakemerdes Je pense que dans les mois ou les semaines à venir nous allons apprendre des choses complètement hallucinantes Delfraissy et Fischer ont ouvert le bal

L£ G£N£RAL 0fficiel©
@Le_General_0ff_ · 2 août

ALERTE INFO #Delfraissy  » Le Conseil scientifique avait réclamé la constitution d’un comité citoyen national, le Gvernement l’a refusé 3fois, c’est une vraie connerie une bêtise politique [..] On l’aurait pu le faire sur le vaccin  » #senat #NiOubliNiPardon #PassDeLaHonte #Raoult

@EdBernardelli  

« Il est plus facile de tromper les gens que de leur faire admettre qu’ils ont été trompés » M. Twain En ce 1er août, le passe et l’état d’urgence sont arrêtés. Stop aux manipulations ! Le combat continue pour réintégrer les soignants suspendus et éveiller les consciences !

@UnionPierre 31 O7 22

Des soignants Covid peuvent travailler alors que des soignants en bonne santé ne le peuvent pas, c’est tellement absurde! Nous demandons la réintégration immédiate avec des excuses! Soutenez notre collectif, suivez-nous   #JusticePourLesSuspendus #SoignantsSuspendus

@Sarah41659531  30 juil.

Le 1er août tous les Français pourront reprendre une vie normale sans PASSE à l’intérieur des frontières SAUF les soignants suspendus qui resteront  » punis  » (expression de @PatrickPelloux) et sans revenus pour se nourrir et nourrir leurs familles.  » Pays des droits de l’homme  »

@LucileFievet

26 juil.  Important et assez urgent Très Sérieux Pour les soignants et agents toujours suspendus au 1er août 2022

Selon l’avis de juristes, il est possible de considérer que l’obligation vaccinale prend fin au 31 juillet 2022, avec la fin de l’état d’urgence.

Piste à explorer d’urgence !

La démocratie nécessite une information impartiale relayant les faits et des commentaires honnêtes. Durant ces deux ans et demi, elle ne l’a pas jamais été. Le rôle particulièrement nocif des propagandistes de la désinformation, proclamés « fact-checkers », doit être souligné et on espère que les violations permanentes de l’éthique journalistique dont ils ont fait preuve en ne donnant jamais la parole aux personnes qu’ils accusaient ternira à jamais leur CV.

Nous avons gagné une grosse bataille avec la suppression du passe par le vote de l’assemblée (E. Macron avait prévu la prolongation de la loi d’urgence jusqu’en 2023), mais le combat doit se poursuivre par la suppression de l’obligation vaccinale des soignants et pompiers dans les faits, la suppression des tentatives de détournement de la loi votée par des arrêtes autorisant que l’Assistance Publique de Paris, des cliniques, pharmacies ou autres imposent le port du masque ou un passe alors qu’il est maintenant non seulement démontré par les faits établis, mais aussi reconnu par la quasi-totalité de leurs anciens avocats que ces mesures n’ont eu aucun effet démontré contre l’infection…

RÉAGISSONS PAR DES PLAINTES SUCCESSIVES À CES DÉTOURNEMENTS

@Steiner61421320   

Il est temps de remplacer les vigiles à l’entrée des hôpitaux par des soignants et en priorité les soignants suspendus (en les dédommageant) ! #JusticePourLesSuspendus #PassSanitaire

@DIVIZIO1

Ça commence : ce matin déjà des vigiles ont réclamé le passe à l’entrée d’une clinique ! Ça c’est cependant très bien passé en ce qu’alertés, ils ont appelé la direction qui leur a confirmé ne pas avoir à contrôler. Mais du coup : ils servent à quoi ? Ils sont payés pour quoi ?

1 août

Tiens j’y pense : le 27 septembre je vais être jugé par des avocats qui, pour parler de la crise et des libertés publiques ont invité en son temps : Alain Fischer et jean Paul Hamon ! On va devoir tout reprendre depuis le début hein! J’ai demandé la journée et la nuit





Réaction19 déclenche une énorme plainte pour crime en bande organisée

[Source : RL]

Par Jacques CHASSAING

Ministres de la Santé, membres du gouvernement, président de la République… tous de concert, ont extorqué le consentement de la majorité de la population française conduisant à des atteintes à son intégrité physique.

D’emblée, le président fondateur de Réaction19, Me Brusa plante le décor : 

« chaque acte est un coup de poing dans la gueule de ces ordures », avant d’annoncer une plainte avec constitution de partie civile avec les chefs de :

  • – crime d’empoisonnement aggravé Article 221-5 du Code pénal
  • – homicide involontaire Article 221-6 du Code pénal
  • – violences involontaires 

Articles 222-19 et suivants du Code pénal

  • – mise en danger délibérée de la vie d’autrui Article 223-1 du Code pénal
  • – tromperie aggravée

Articles L213-1 et L213-2 du Code de la consommation

  • – abus de faiblesse

Article 223-15-2 du Code pénal

  • – extorsion aggravée Article 312-2 du Code pénal

à l’encontre de X, toute personne dénommée que l’enquête permettra de révéler.

Extraits des 63 pages de la procédure à télécharger sur
https://reaction19.fr/wp-content/uploads/2022/07/290722-PCPC-version-definitive-anonymisee-r19.pdf

« les laboratoires se sont engagés à fournir un « vaccin » contre la covid-19 dans les 12 à 18 mois à venir, et ce alors même que « l’élaboration d’un « vaccin » s’échelonne habituellement sur 10 à 15 ans »

« il est avéré que ces « vaccins » ne sont pas efficaces, voire nocifs pour les personnes saines et les personnes malades.

Bien au contraire, les spécialistes ne cessent de rappeler que l’efficacité et les effets indésirables de ces « vaccins » ne peuvent s’analyser que sur le long terme.

En outre, l’émergence des variants a probablement rendu encore plus inefficace lesdits « vaccins », l’apparition de ces nouvelles formes étant elle-même la conséquence de l’administration de ce produit »

« Le prétendu « vaccin » contre la covid-19 constitue une thérapie génique

Le terme de « vaccin » employé par les laboratoires pharmaceutiques ainsi que par les membres du Gouvernement constitue un abus de langage.

En effet, ce que les laboratoires proposent est en réalité une thérapie génique »

« La généticienne Alexandra Henrion-Caude appuie également cette analyse :

« [il existe] un risque de développer un emballement du système immunitaire au niveau de la production des anticorps » 14

Les thérapies géniques peuvent également être à l’origine du développement de cancers »

« l’infraction résulte du concours du ministère de Santé, des membres du gouvernement, du président de la République, qui de manière parfaitement organisée et concertée, ont extorqué le consentement de la majorité de la population française conduisant à des atteintes à leur intégrité physique.

Il est indéniable que l’opération de communication et de contrainte litigieuse a été réalisée de façon préméditée afin de garantir le plus haut taux de « vaccination ».

En conséquence, la circonstance aggravante de bande organisée sera retenue pour les infractions de tromperie et d’extorsion ».

Dans sa dernière vidéo, intitulée « Des questions et la liberté d’y répondre » en ligne sur https://reaction19.fr/ Carlo Alberto Brusa, explique:

« À partir du 1er août, vous n’avez plus à fournir un passe sanitaire pour entrer à l’hôpital » idem pour les Ehpad « à partir du 1er août, plus aucun passe ne peut être demandé ».

Delfraissy dans le collimateur de Brusa

C’est à partir de 25’. « Monsieur Delfraissy a peut-être maintenant peur des poursuites pénales, évidemment criminelles, parce que je demanderai qu’il soit auditionné. 

Moi je ne fais pas partie d’une opposition contrôlée, je veux que ceux qui ont commis des infractions soient punis par des juridictions de l’État. Je veux rappeler à tout le monde que le juge rend la justice au nom du peuple français. Au nom de la nation. Et je veux rappeler aux juges qu’ils ne sont pas là pour soutenir le gouvernement. Qu’ils ne sont pas là pour servir Dupond-Moretti ; ils sont là pour servir le peuple français ! ».

« Vous trouverez aujourd’hui même sur notre site, la plainte criminelle que nous avons déposée à Paris devant le doyen des juges d’instruction. Vous voulez des actions, nous les faisons et ensuite nous serons là et vous pourrez intervenir quand elle sera enrôlée. Ces affaires-là sont criminelles et demanderont des expertises pour être instruites (Brusa fait état d’une plainte rédigée conjointement pour l’Italie, avec un confrère italien). Des Allemands et des Américains vont emboîter le pas. »

« Vous imaginez que le « vaccin » contre la variole du singe est aussi couvert par le Secret Défense ! ». Comme pour la gestion du Covid, tout est fait pour étouffer toute la vérité pendant 75 ans.

Brusa donne aussi l’information que Agnès Buzyn ( la sinistre que l’on ne présente plus) est nommée juge à la Cour des comptes pour cinq ans (détails à partir de 20’ de la vidéo).

Des nouvelles de l’autre plainte : 

105 juridictions à ce jour sont saisies par 353 personnes de la plainte :
https://ripostelaique.com/100-tribunaux-saisis-au-penal-par-reaction19-contre-la-vaccination-covid.html 

Ces plaintes émanent désormais de la quasi-totalité des départements. Pour l’instant, il manque le 2, 3, 8, 10, 11, 16, 20, 23, 28, 41, 42, 43, 24, 52, 55, 60, 63, 80, 88 et 96. 




La censure à la rescousse des vaccins

[Source : infodujour.fr]

Par Emilien Lacombe

Pour avoir suggéré que l’épidémie de variole du singe était liée aux vaccins à ARNm le professeur Shmuel Shapira, ex-directeur de l’Institut israélien de recherche biologique entre 2013 et 2021, est censuré par Twitter.

Les médias sociaux sont devenus des machines de guerre au service de Big Pharma. Pas question, pour eux, de laisser s’exprimer librement les internautes qui dénigrent les vaccins. Même les plus grands médecins, même les meilleurs scientifiques de la planète n’ont pas le droit de remettre en cause l’efficacité vaccinale. Ils sont tout simplement censurés, bannis, excommuniés, comme au bon vieux temps de l’inquisition. Dernier exemple en date, celui du Pr Shmuel Shapira MD MPH (Colonel), qui a été directeur de l’Institut israélien de recherche biologique entre 2013 et 2021.

La variole du singe et les vaccins Covid

La revue Kanekoa reprise par Les DeQodeurs, rapporte que le célèbre professeur, auteur de plus d’une centaine d’articles scientifiques, s’est vu retirer l’un de ses posts sur Twitter pour avoir affirmé : « Les cas de variole du singe ont été rares pendant des années. Ces dernières années, un seul cas a été documenté en Israël. Il est bien établi que les vaccins à ARNm affectent le système immunitaire naturel. Une épidémie de variole du singe après une vaccination massive de covidés : n’est pas une coïncidence. »

https://twitter.com/DrEliDavid/status/1552658980085944321

Le professeur Shapira, a dénoncé à plusieurs reprises les effets néfastes des vaccins. Quelques jours après avoir ouvert un compte Twitter, en janvier 2022, il conteste la remise du prix Genesis au PDG de Pfizer, Albert Bourla.
En février, il s’interroge : « Quelle note donneriez-vous à un vaccin avec lequel les gens sont vaccinés trois fois et tombent malades deux fois (à ce jour) ? Sans parler des effets secondaires importants […] »
En avril, il s’insurge : « Le PDG de la société, dont des millions de vaccins ont été utilisés en Israël pour la vaccination, a déclaré dans une interview avec NBC qu’Israël sert de laboratoire mondial. À ma connaissance, c’est le premier cas dans l’histoire où des cobayes expérimentaux ont payé un tarif exorbitant pour leur participation. »
En mai : « J’ai reçu 3 vaccins, j’ai été ‘’blessé physiquement’’ de manière très significative comme beaucoup d’autres personnes ont été blessées […] Et en outre, ma confiance dans la nature des décisions et dans les processus de prise de décision a été gravement érodée. Personne n’a demandé et vérifié. Je me battrai de toutes mes forces pour que des réponses véridiques concernant toutes les décisions, et pas seulement le vaccin, soient données […] »
En juin : « Je vais continuer et demander pourquoi donner un cinquième vaccin périmé qui ne prévient pas la maladie et qui apparemment provoque de nombreux effets secondaires communs importants. »
En juillet : « Selon les données officielles de l’Australie, plus on vous injecte de doses, plus vous risquez d’être malade, la quatrième injection faisant bondir le risque de façon spectaculaire. D’après cette étude, il s’agit soi-disant d’un antivaccin, du moins d’après ce qu’on m’a enseigné. » Il ajoute, quelques jours plus tard : « Je ne suis pas antivaccins, je suis anti-stupidité, anti-fausse science et anti-management incompétent ».

Tout cet argumentaire, toutes ces constatations sur les effets secondaires des vaccins, Jean-Marc Sabatier les a exposés ici depuis deux ans ! Lui aussi et infodujour sont régulièrement censurés par les inquisiteurs des temps modernes et les Torquemada à la petite semaine.

Myocardite, arythmies fatales, augmentation de 20 % des accidents vasculaires cérébraux, faciès, herpès zoster, acouphènes (bourdonnements d’oreilles), saignements excessifs gynécologiques, variole du singe, effets secondaires obscurs à long terme.
Ne vous inquiétez pas. Soyez heureux.



L’affligeante dépendance de certains Humains au Masque, outil d’enfermement : urgent de DÉMASQUER et l’imposture et le peuple !

Par Nicole Delépine

Pourquoi ne se débarrassent-ils pas de la muselière ?

Alors que la loi santé précise qu’une obligation généralisée n’est plus envisageable sans discussion préalable par les députés, le ministre se débrouille pour continuer à nous l’imposer alors que l’épidémie est terminée, les traitements précoces reconnus et l’inefficacité du masque de la population évidente !(([1] L’APHP ose imposer le masque après le 1er août : est-ce légal ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([2] Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) SON RÔLE PROPRE EST DÉMASQUÉ.

Constamment réactivée, l’obligation du port du masque provoque un retour du traumatisme. Ce masque n’est pas seulement une fausse protection, mais bien une poursuite de la destruction de notre Humanité, vers le transhumanisme.

Plus grave encore qu’en première analyse :

« L’obligation du port généralisé du masque est emblématique de la gestion de la “pandémie”. Cette contrainte n’est pas de nature sanitaire et témoigne d’un hors sens. C’est un commandement se présentant, en même temps, comme une loi et la destruction de celle-ci. Elle est le passage à l’acte d’une sortie du Politique. 

Les raisons de l’obligation peuvent se résumer au fait que, sans elle, il n’y aurait aucun signe manifeste de “l’extrême gravité » supposée de la covid. La centralité du port du masque réside dans le fait, qu’en nous rappelant constamment la « pandémie », la contrainte nous place dans le regard du pouvoir nous confisquant notre intime ».(([3] Coronavirus. Ceci n’est pas un masque ! | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation Par Jean-Claude Paye et Tülay Umay, 13 avril 2021))

« L’obligation devient alors une loi suprême conditionnant notre “liberté” et instituant un rapport négatif avec soi et avec l’autre. Elle nous enjointde renoncer à notre vie d’humain. Le réel de la mort n’étant plus canalisé par la culture, il recouvre la totalité de l’existence.

Ainsi, le masque corona n’est pas l’articulation du symbolique et du réel. Il n’est donc pas un masque, car il n’est pas voilement. »(([4] « La pulsion de mort est la structure même de la pandémie. Générique et universelle, elle se « fonde sur une détresse physiologique et sur la rage impuissante » de l’infans, de celui qui ne peut parler. Elle empêche tout libre arbitre et induit une acceptation généralisée du port du masque. Cette pulsion devient la revendication d’un idéal qui est d’échapper à la condition humaine et ainsi l’acceptation d’un passage vers le transhumanisme. » CQFD))

« Quelque chose du Réel est capturé : le désir de relation. Dès lors, les gens qui mettent le masque ne portent pas la parole, mais le cri de celui qui est devenu personne. Ils exhibent à la fois le rejet de l’autre et ce qui en résulte, leur propre anéantissement ».

« Le port du masque corona produit une perte de “l’appétence symbolique”, de ce désir de relation se manifestant en dehors de la satisfaction des besoins élémentaires de la survie. La “rencontre primordiale avec l’autre” est une poussée pulsionnelle, celle de la pulsion de vie, essentielle dans la mise en place d’un lien avec l’extérieur. »

Ce désir naturel, cette pulsion de vie, est aujourd’hui attaqué par le port du masque et sa pérennisation après la suppression de la loi d’urgence et de tout danger de ce petit virus témoigne clairement de son instrumentalisation par le pouvoir mondialiste, eugéniste et transhumaniste. L’homme normal doit disparaître à leurs yeux et ils en utilisent leurs moyens.

« Le port du masque corona entraîne une indifférenciation du moi et du non-moi, du sujet et de l’objet. (…).  De cette indifférenciation, résulte une fusion avec les choses elles-mêmes. Le masque corona permet ainsi l’installation d’une structure schizophrénique, où l’individu s’identifie avec les objets du discours. Il devient son masque ». 

Ainsi le pouvoir médiatique des milliardaires prend prise sur l’Humain via l’outil MASQUE.

LE MASQUE, UN OUTIL DE POUVOIR SANITAIREMENT NUISIBLE(([5] Les masques sont inutiles et dangereux ! Stop aux mensonges médiatiques ! | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation mise à jour de la bibliographie internationale fin juin 2022))

La parution d’arrêtés (d’une légalité discutable, les juristes approfondissent) autorisant un pharmacien, médecin ou établissement de santé à l’imposer, dès le vote de la loi française supprimant l’état d’urgence le 26 juillet 22, le même jour, démontre la volonté certaine en tant qu’OUTIL du pouvoir pour poursuivre la mise en condition des populations.

Ne doutons pas que des prétextes tels que la pollution, l’ozone ou le monstre du Lockness serviront aux dirigeants pour ne pas lâcher son très efficace collaborateur, la muselière.

Ce ne serait que moyennement grave, si ce bout de tissu infecté et infectant de divers miasmes ne maintenait pas la population globale dans la peur et donc dans la soumission aux instances dirigeantes. Malgré les nombreuses preuves mondiales de l’inefficacité du masque contre les virus et son danger de diffusion des bactéries et champignons (en particulier chez les personnes fragiles, cancéreuses, immunodéprimées primaires ou secondaires aux injections géniques, etc.), l’attraction du chiffon perdure pour des raisons que les psychiatres éclaireront en nous aidant à comprendre le fonctionnement.

« Le monde à travers un masque n’est pas le même. Il est inconfortable, étrange et en décalage avec notre normalité. »(([6] Le monde à travers un masque : l’impact psychologique — Nos Pensées (nospensees.fr) ))

Il peut être amusant et terrible à la fois de lire des réflexions de psychanalyste pendant le covid19 à propos du masque :

« Il se joue ainsi un étrange jeu autour du masque dans les cabinets et nous le savons le langage est aussi non verbal. Ce corps nous parle beaucoup avec l’objet masque ! Il y a ceux qui le portent facilement, ceux qui l’oublient, ceux qui ne viendront pas aussi et qui peut être prendront l’option de la ligne comme espace de liberté crée, ceux qui en parlent avec de la colère de se sentir enfermé, étouffé et objectivé et ceux qui le tordent dans tous les sens comme s’il voulait se l’arracher du visage comme si cette double peau les dérangeait. D’autres qui ne le voient plus.

Il y a aussi ceux qui, “par hasard” au moment d’ouvrir la porte du cabinet, viennent juste de casser leur masque en le mettant. Bel acte manqué non ?

C’était le cas de cette patiente, qui dans la vie, ne supportait plus le masque du simulacre. Devant la porte, son masque avait craqué. C’était donc une bonne chose et nous en avons parlé.

Et de cette autre qui réalise devant ma porte qu’elle “est partie sans”, lâchant prise pour la première fois sur tant d’interdits surmoïques.

Bravo ! Devant la porte du cabinet oui, les masques tombent comme les actes manqués se multiplient depuis toujours. Masqué(e) et démasqué(e) à la fois. »(([7] Masque et acte manqué — Psychologue.net))

La peur est incrustée après ces mois de manipulation et il est difficile d’en sortir comme le navrant spectacle de conducteurs masqués seuls dans leur voiture, de jeunes gens qui courent sur une plage, masque collé par la sueur et la canicule, et pire encore : Pelosi qui affronte les avions chinois pour atterrir à Taiwan et sort masquée sur le tarmac de l’aéroport. De sa part peur ou manipulation ? Quelle tristesse !

ATTENTION ! MALGRÉ LA DISPARITION DE TOUT RISQUE COVID SÉRIEUX, LES MONDIALISTES VOUDRAIENT NOUS RÉIMPOSER LE MASQUE

« Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui, la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement liée à l’existence commune ».

Soyons vigilants et diffusons toutes les informations qui démontrent son inefficacité, sa nocivité et sa toxicité. Informons voisins et amis encore dans la peur du risque pour eux-mêmes de ce chiffon infectant et déshumanisant. Ne prenons pas à la légère sa prolongation au-delà des infections dont les antibiotiques viendront à bout, les troubles induits vers la schizophrénie et la psychose ne doivent pas être sous-estimés. Nous en voyons déjà les dégâts chez certaines personnes normales avant tout covid et devenues très « spéciales » et sourdes à tout raisonnement.

LE MASQUE FAVORISE LES INFECTIONS COVID(([8] France – L’AFNOR prouve que le masque « grand public » recommandé par le gouvernement est une véritable escroquerie. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))(([9] Fögen Z. The Foegen effect: A mechanism by which facemasks contribute to the COVID-19 case fatality rate. Medicine (Baltimore). 2022 Feb 18
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35363218/
L’obligation de porter un masque a causé plus de décès COVID, conclut une étude (anguillesousroche.com) ))

« Les inconvénients et risques comprennent qu’un masque en tissu devient un milieu de culture pour une grande variété d’agents pathogènes bactériens et un collecteur d’agents pathogènes viraux ; étant donné l’environnement chaud et humide et la source constante, où les tissus pour la maison sont hydrophiles alors que les masques médicaux sont hydrophobes ».(([10] Face Masks, Lies, Damn Lies, and Public Health Officinals: “A Growing Body of Evidence” | PDF | Randomized Controlled Trial | Infection (scribd.com) Masques faciaux, mensonges, foutus mensonges et responsables de la santé publique : « Un nombre croissant de preuves »
Un nouveau mantra vil est sur les lèvres de tous les responsables de la santé publique et de tous les politiciens de la campagne mondiale pour imposer un masquage universel au grand public :
« il y a un nombre croissant de preuves ».
Cette phrase propagandiste est un vecteur conçu pour atteindre cinq objectifs principaux :
• Donner la fausse impression qu’un bilan des preuves prouve désormais que les masques réduisent la transmission du COVID-19 ;
• Assimiler à tort les commentaires faits dans des lieux scientifiques avec des « preuves » ;
• Masquer le fait qu’une décennie de preuves de niveau politique prouve le contraire : que les masques sont inefficaces contre les maladies respiratoires virales ;
• Masquer le fait qu’il existe désormais une preuve d’observation directe que les masques en tissu n’empêchent pas l’exhalation de nuages ​​de particules d’aérosol en suspension (dessus, dessous et à travers les masques) ;
• Détourner l’attention des méfaits et risques connus considérables dus aux masques faciaux, appliqués à des populations entières.))

L’expérience mondiale a confirmé cette affirmation du Pr Rancourt de décembre 2020.

Jacinda Ardern « déconcertée » par la montée en flèche des infections COVID en Nouvelle-Zélande, pays où le masque est obligatoire (anguillesousroche.com)

Les pays non masqués sont moins infectés

La propre enquête du gouvernement britannique a révélé que les preuves de l’efficacité des masques faciaux pour arrêter la propagation du COVID-19 dans les écoles ne sont « pas concluantes ».(([11] https://www.bbc.com/news/health-59895934))

Le conseiller SAGE du gouvernement britannique, le Dr Colin Axon, a jugé les masques comme des « couvertures de confort » qui ne font pratiquement rien, rappelant que la particule du virus COVID-19 est jusqu’à 5 000 fois plus petite que les trous du masque.

« Les petites tailles ne sont pas faciles à comprendre, mais une analogie imparfaite serait d’imaginer des billes tirées sur des échafaudages de constructeurs, certaines pourraient toucher un poteau et rebondir, mais la plupart passeraient évidemment au travers », a déclaré M. Axon.

Une étude prospective randomisée menée au Danemark auprès de 6 000 participants(([12] Henning Bundgaard Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask WearersFREE A Randomized Controlled Trial Annals of Internal Medicine
https://www.acpjournals.org/doi/full/10.7326/M20-6817?s=09&journalCode=aim
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32829745/)) a également révélé que :

« il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre ceux qui portaient des masques et ceux qui n’en portaient pas lorsqu’il s’agissait d’être infecté par le Covid-19 », rapporte le Spectator.

L’OMS A TRAHI LA SCIENCE

Un « faire voir »

C’est bien dans le cadre d’un « faire voir » que l’OMS recommande de porter le masque, alors qu’en même temps, il reconnaît que ce dispositif ne permet pas d’arrêter le virus et de protéger celui qui le porte. L’avantage que l’organisation voit dans cette incitation réside dans la modification des comportements des populations, qui sont encouragées à fabriquer elles-mêmes leur propre masque et de prendre ainsi activement part à leur destruction ».(([1] L’APHP ose imposer le masque après le 1er août : est-ce légal ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

L’OMS,(([13] Attention l’OMS veut manipuler à nouveau le monde via le moneypox (monkeypox) | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) dont le rôle pervers et toxique dans cette crise Covid est bien démontré, a annulé le 5 juin 2020 plus d’une décennie de décisions d’organismes de santé publique à travers le monde qui ne recommandait pas de masques pour la population en général.

L’OMS a fait sa recommandation 2020 sur l’intervention médicale préventive des masques faciaux pour l’ensemble de la population mondiale en reconnaissant :

« À l’heure actuelle, l’utilisation généralisée de masques par des personnes en bonne santé dans le cadre de la communauté n’est pas encore étayée par des preuves scientifiques directes de haute qualité et il y a des avantages et des inconvénients potentiels à prendre en compte ».

L’OMS et les responsables locaux de la santé publique entravent le progrès scientifique, en promouvant des « études observationnelles » sans essais contrôlés, plutôt qu’en protégeant la santé publique. Il devrait être très préoccupant pour tous que le prétexte de l’OMS « d’un recueil croissant de données d’observation sur l’utilisation des masques par le grand public dans plusieurs pays » s’est transformé dans le mantra « un nombre croissant de preuves », qui se retrouve sur les lèvres de pratiquement tous les agents de santé publique et les maires des villes du pays. »

Ce mantra d’« un nombre croissant de preuves » est avancé comme la fausse justification miracle des lois de masquage draconiennes, dans des circonstances réelles dans lesquelles :

  • Il n’y a eu AUCUNE nouvelle étude randomisée soutenant le masquage
  • Toutes les nombreuses études randomisées passées ne soutiennent pas le masquage

Aucun des dommages connus du masquage n’a été étudié (application sur l’ensemble de la population générale).

C’est le contraire de la politique fondée sur la science.

Les politiciens et les responsables de la santé publique mettent en œuvre le pire modèle décision qui puisse être appliqué dans une société qui se prétend rationnelle et démocratique : des mesures préventives forcées sans fondement scientifique, tout en ignorant imprudemment les conséquences.

Denis Rancourt prouve dès 2020 qu’il n’y a aucune preuve scientifique pour soutenir le masquage forcé sur la population générale, et que toutes les études médicales de la dernière décennie indiquent le contraire : NE PAS recommander le masquage forcé de la population générale.

Rappelons en synthèse détaillée dans de nombreux articles que les obligations de masque facial pour toute la population provoquent :

  • – inconfort généralisé,
  • – troubles de la respiration,
  • – troubles de la vision (p. ex. buée sur les lunettes),
  • – communication altérée,
  • – distanciation sociale psychologique,
  • – irritation cutanée et infections,
  • – expression de soi altérée,
  • – exposition prolongée à des cultures bactériennes à proximité des yeux, du nez et de la bouche,
  • – la collecte et l’administration possibles d’agents pathogènes viraux qui, autrement, ne seraient pas inhalés, et
  • – amplification possible de la fraction granulométrique de l’aérosol expiré des particules infectieuses.

Le mantra « de plus en plus de preuves » est totalement mensonger(([14] revue de la littérature scientifique par Denis Rancourt concernant l’(in)efficacité mesurée des masques pour réduire le risque de transmission des maladies respiratoires virales, article publié le 11 avril 2020 chez ResearchGate, intitulé « Les masques ne fonctionnent pas : un examen de la science pertinente à la politique sociale de COVID-19 ». lu quelque 400 000 fois sur ResearchGate, publié dans plusieurs lieux et objet de nombreux articles de commentaires et d’interviews. Ils ne peuvent pas dire qu’ils ne savaient pas.))

Le port du masque est particulièrement nuisible chez l’enfant à risque de troubles d’apprentissage. Restons vigilants dans la crainte de mauvaises idées à la rentrée dans l’enseignement(([15] Cavadini, T., Fort, M., Pascalis, O., & Gentaz, É. (2022). Quels sont les effets du port du masque sur la reconnaissance des visages et des émotions chez les enfants et les adultes ? Apports des recherches. A.N.A.E., 176, 113-125.))(([16] Discussions autour des effets du port du masque — Psychologie du Développement Sensori-Moteur, Affectif et Social — UNIGE))(([17] Impact of lip-reading on speech perception in French-speaking children at risk for reading failure assessed from age 5 to 7 | Cairn.info)). Protégeons-les de l’injection génique inutile et toxique, mais aussi du port du masque que voudraient possiblement nous imposer les enfermistes à la rentrée de septembre 2022.

Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance ! | FranceSoir rappel d’un article d’août 2020. Ils savaient ! Il est très illogique et extrêmement grave de réclamer des masques pour les enfants, car ils ne contaminent pas les autres. C’est totalement aberrant de réclamer des masques pour les enfants en classe alors que, contrairement aux épidémies de grippe, l’école ne constitue aucunement un lieu de propagation du Covid19 (9) et qu’en cas de grippe qui se transmet fréquemment par les enfants à l’école jamais ceux-ci n’ont été soumis à pareille obligation ni d’ailleurs aux vaccins antigrippal.

Sur les plus de 3700 articles ayant pour sujet l’enfant et le Covid répertoriés par PubMed le 17/8/2020 et les 70 spécifiquement dédiés à la transmission éventuelle par les enfants, aucun n’apporte la preuve d’une transmission d’un enfant à un autre enfant ou à un adulte dans le monde réel.(([18] • Weiyong Liu .et al: Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371
• Liu Y, Yan L-M, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473 -3099(20)30232 -2
• Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001.
• Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China: summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. • JAMA 2020; published online Feb 24. DOI:10.1001/jama.2020.2648
• Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 23 mars.
• Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020
• Ji Young Park First Pediatric Case of Coronavirus Disease 2019 in Korea J Korean Med Sci. 2020 Mar 23;35(11)
• LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China – the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL. 9
• Qinxue Shen Novel Coronavirus Infection in Children Outside of Wuhan, China Pediatr Pulmonol. 2020 Apr 7. doi: 10.1002/ppul.24762. Online ahead of print
• Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020
• Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China: an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars; S1473-3099 (20) 30198-5.
• Zhonghua Er Ke Za Zhi pour la Société de pédiatrie et Association médicale chinoise : Recommandations pour le diagnostic, la prévention et le contrôle de la nouvelle infection à coronavirus 2019 chez les enfants (première édition intermédiaire). 2020 ; 58 : 169–74.]., Chinese Journal of Pediatrics
• Wen Yan Jiao et al Behavioral and Emotional Disorders in Children during the COVID-19 Epidemic THE JOURNAL OF PEDIATRICS 2020 www.jpeds.com))

Ces articles confirment tous, sans exception, que le Covid 19 est rare et presque toujours bénin chez l’enfant, que les enfants de moins de 19 ans ne sont pas contaminés par les camarades d’école, mais habituellement par les parents à domicile, qu’ils ne contaminent pas les adultes et que le confinement des enfants et l’arrêt des activités scolaires sont responsables de troubles psychologiques comportementaux et sociaux fréquents, en plus d’une incidence évidente sur leur scolarité. TOUS CES ARTICLES ONT ÉTÉ CONFIRMÉS PAR L’EXPÉRIENCE MONDIALE.

N’oublions jamais : le masque est une technique d’enfermement

« Le traitement réservé actuellement à notre corps fait immédiatement penser à la technique d’enfermement utilisée au bagne de Guantanamo. Ce camp inaugure une nouvelle exhibition, non du corps, comme dans l’ancien régime ou dans la mise au travail du début du capitalisme, mais de son image, plus précisément une négation de l’image du corps.

Non seulement les yeux des prisonniers étaient masqués par des lunettes opaques, mais leur nez et leur bouche étaient recouverts par un masque chirurgical. Le corps du prisonnier est confisqué, non pas pour le soumettre, mais pour qu’il reste enfermé en lui-même. Rien ne doit détourner l’esprit du prisonnier d’un enfermement, devant être perçu comme n’ayant ni début et surtout ni fin ».

Par rapport à la réception, sans condamnation explicite, des images de Guantanamo, l’embrigadement dans la « guerre contre le coronavirus » est une étape supplémentaire dans le renoncement de notre humanité. (…)

Dans la « guerre contre le coronavirus » bien nommée par le président macron en mars 2020 et entérinée par le terme « commando » que devrait créer le nouveau ministre de la Santé, le langage militaire est omniprésent, et il n’y a plus de distinction intérieur/extérieur. Cette fusion d’ordre psychotique existe, non seulement au niveau individuel, mais aussi sociétal.

La fabrication de la psychose est depuis longtemps une préoccupation de nos dirigeants. Les techniques de privation sensorielles appliquées à Guantanamo permettaient de fabriquer des individus psychotiques en deux jours. Ces techniques étaient une application directe des recherches de psychologues comportementalistes, dont Donald O. Hebb de l’université McGill au Québec.(([19] in « Un taxi pour l’enfer », fim documentaire américain réalisé par Alex Gibney, 2007))

Démasquer la pulsion de mort

Le principe d’identité se loge essentiellement sur le visage, le port du masque se présente comme une donnée originaire, porteur d’un trouble obsessionnel compulsif empêchant toute inscription de l’autre.

Si le visage rend possible le lien social, le masque corona est un dévoilement qui dérobe les traits de son porteur. Il « lève le verrou du moi et laisse libre cours au jaillissement de la pulsion ».

Le port du masque corona, comme support de l’appareillage pulsionnel, est au cœur du dispositif « sanitaire ». Il a pour fonction la décomposition du corps symbolique, l’annihilation de ce qui fait de nous des êtres humains.

Le port du masque empêche toute rupture avec le discours du pouvoir et permet l’éternel retour du traumatisme. Il est un fétiche se substituant à toute symbolisation.

Or symboliser, c’est déjà établir une distance avec l’injonction surmoïque et exister comme un « nous », c’est refuser d’être « pris un par un » dans cette guerre contre le genre humain et ainsi contrer une « attaque du collectif à travers les individus » par Jean-Claude PayeTülay Umay dont il faut lire l’article in extenso.

En conclusion, l’usage du masque, au-delà des multiples inconvénients physiques, sociétaux, éducatifs, etc., que nous avons rapidement perçus comme maltraitance tant chez les enfants que chez les adultes est bien plus que cela.

Il est l’outil de la perversité consciente des dirigeants qui nous persécutent, veulent nous déshumaniser et le font en pleine conscience.

L’arrêté autorisant sa poursuite dans les hôpitaux, publié le même jour que la suppression de la loi d’urgence covid le 26 juillet 2022 en est une tragique démonstration. Ils savaient, ils savent et devraient rapidement comprendre que nous savons aussi, et que leurs regrets, voire remords, récents tels ceux de JF Delfraissy et d’A Fischer ne suffiront pas à les absoudre de leurs gravissimes décisions qui ont ruiné de trop nombreuses vies et en gâcheront encore tant les effets délétères de toutes leurs décisions liberticides vont s’étaler sur des décennies, tant par leurs conséquences psychologiques que par les complications à long terme des injections géniques.





En Espagne, la justice donne 10 jours à l’État pour dévoiler tous les contrats signés avec Pfizer

[Source : lecourrier-du-soir.com]

La justice baléare a accordé à l’Etat espagnol un délai de dix (10) jours pour lui fournir tous les contrats signés avec Pfizer et trois autres laboratoires pharmaceutiques dont les vaccins anti-Covid ont été déployés sur le territoire espagnol durant la pandémie à Coronavirus. Une nouvelle qui déclenche l’immense joie de l’Association espagnole Liberum, laquelle n’a cessé d’exiger que ces contrats soient rendus publics par respect aux citoyens.

« Un malheur ne vient jamais seul », dit l’adage. Et Pfizer semble l’avoir bien compris. En tout cas, moins d’un mois seulement après la décision de la justice uruguayenne d’obtenir des informations sur le contenu chimique du vaccin du labo américain, c’est au tour de la justice baléare en Espagne d’exiger de l’Etat espagnol qu’il lui fournisse tous les contrats qui ont été signés avec Pfizer, Moderna, Johnson&Johnson et AstraZeneca.

C’est en tout cas l’information que Lecourrier-du-soir.com a obtenue, ces dernières heures, du média espagnol UltimaHora.es. En effet, d’après cette source, la justice baléare a agi à la demande d’une association connue sous le nom de Asociacion Liberum qui ne cesse de dénoncer vigoureusement le fait que les contrats signés avec les labos soient tenus secrets. A en croire le média UltimaHora.es, l’association a obtenu le soutien de 549 habitants de l’île dans le bras de fer juridique qui l’oppose à l’Etat central. L’information a été confirmée par le média espagnol DiariodeMallorca.es.

En attendant la suite de cette affaire, l’association Liberum se réjouit déjà dans un communiqué publié ce 29 juillet sur son site internet et intégralement lu par Lecourrier-du-soir.com. Dans celui-ci, l’association nous apprend que le tribunal a fixé un délai de 10 jours au ministère espagnol de la Santé pour qu’il lui fournisse toutes les informations concernant les contrats signés entre l’Etat espagnol et les fabricants de vaccin.

L’association ne cache pas sa joie. “Depuis l’équipe juridique de Liberum, nous évaluons de manière positive l’avancée juridique sans précédent. Enfin, les citoyens pourront avoir accès à toutes ces clauses illégalement volées (cachées) à toute la société. Nous l’avons dit plus d’une fois. La Covid ne dicte pas tout”, réagit l’association. Liberum conclut son communiqué par ces trois devises : “nous vaincrons, nous sommes la résistance, vive la liberté”.

Il convient de rappeler que ce n’est pas la première fois qu’une justice exige de l’Etat qu’il lui fournisse toutes les informations sur les vaccins. Début juillet dernier, ce fut la justice uruguayenne de faire pression sur l’Etat pour que les composantes chimiques du vaccin de Pfizer soient rendues publiques.

Et ce 30 juillet, il a été révélé dans la presse qu’un tribunal italien, saisi par un enseignant anti-vax, a également demandé à ce que l’Etat italien publie les données concernant le contenu chimique du vaccin de Pfizer. L’enseignant en question a saisi la justice après avoir été sanctionné (par sa hiérarchie) pour refus de se faire vacciner.

Le gouvernement espagnol finira-t-il par céder? Le temps nous le dira. Notre média suit cette affaire de près et ne manquera pas de vous tenir informé de l’évolution de ce bras de fer judiciaire qui oppose désormais l’Etat espagnol à ses propres citoyens dans la lutte contre un virus invisible.

https://twitter.com/Aso_Liberum/status/1554088788376395777



Les décès d’athlètes sont 1 700 % plus élevés que prévu depuis le lancement du vaccin COVID

[Source : anguillesousroche.com]

Une enquête sur les statistiques officielles a révélé que le nombre d’athlètes décédés depuis le début de 2021 a augmenté de façon exponentielle par rapport au nombre annuel de décès d’athlètes officiellement enregistrés entre 1966 et 2004.

À tel point que le nombre moyen mensuel de décès entre janvier 2021 et avril 2022 est supérieur de 1 700 % à la moyenne mensuelle entre 1966 et 2004, et la tendance actuelle pour 2022 montre jusqu’à présent que ce chiffre pourrait atteindre 4 120 % si l’augmentation du nombre de décès se poursuit, le nombre de décès pour le seul mois de mars 2022 étant 3 fois supérieur à la moyenne annuelle précédente.

Selon une étude scientifique menée par la « Division de cardiologie pédiatrique de l’hôpital universitaire de Lausanne, Lausanne, Suisse », publiée en 2006, entre 1966 et 2004, 1 101 décès soudains ont été enregistrés chez des athlètes âgés de moins de 35 ans.

Aujourd’hui, grâce à l’équipe de GoodSciencing.com, nous disposons d’une liste complète des athlètes qui se sont effondrés et/ou sont morts depuis janvier 2021, un mois après que la première injection de Covid-19 ait été administrée au grand public.

Comme il s’agit d’une liste tellement longue, nous ne l’incluons pas dans cet article, de sorte que cette liste complète peut être consultée dans son intégralité ici.

Le tableau suivant montre le nombre d’effondrements et de décès d’athlètes enregistrés entre janvier 2021 et avril 2022, grâce à la liste ci-dessus.

Comme vous pouvez le constater, il y a sans aucun doute eu une augmentation à partir de janvier 2021, la question est de savoir si cette augmentation était ordinaire et prévisible.

Au total, entre le 21 janvier et le 22 avril, 673 athlètes sont décédés. Ce nombre pourrait toutefois être beaucoup plus élevé. C’est donc 428 de moins que le nombre de décès survenus entre 1966 et 2004. La différence ici cependant est que les 1 101 décès se sont produits sur 39 ans, alors que les 673 décès récents se sont produits sur 16 mois.

Le graphique suivant montre le nombre de décès d’athlètes enregistrés au cours de différentes périodes.

La moyenne annuelle du nombre de décès entre 1966 et 2004 est de 28. En janvier 2022, il y a eu trois fois plus de décès d’athlètes que cette moyenne annuelle précédente, tout comme en mars 2022. C’est donc évidemment très révélateur d’un problème.

Le total de 2021 équivaut à 394 décès, soit 14 fois plus que la moyenne annuelle de 1966 à 2004. Le total de janvier à avril 2022, soit une période de 4 mois, équivaut à 279 décès, soit 9,96 fois plus que la moyenne annuelle entre 1966 et 2004.

Toutefois, si l’on divise la moyenne annuelle de 1966 à 2004 par 3 pour la rendre équivalente aux 4 mois de décès enregistrés jusqu’à présent en 2022, on obtient 9,3 décès. Donc, en fait, l’année 2022 a connu jusqu’à présent un nombre de décès 10 fois supérieur au taux prévu.

Le graphique suivant montre le nombre moyen mensuel de décès d’athlètes enregistrés –

Ainsi, entre 1966 et 2004, le nombre moyen mensuel de décès est de 2,35. Mais entre janvier 2021 et avril 2022, la moyenne mensuelle est de 42. C’est une augmentation de 1,696%.

Alors pourquoi une telle augmentation ?

La réponse réside très probablement dans l’introduction d’une injection expérimentale qui était censée protéger contre la maladie de Covid-19 mais qui, au contraire, a causé des dommages indicibles au système immunitaire et des problèmes cardiovasculaires.

Une étude portant sur 566 patients ayant reçu les vaccins Pfizer ou Moderna montre que les signes d’atteinte cardiovasculaire sont montés en flèche après la deuxième injection. Le risque de crise cardiaque ou d’autres problèmes coronariens graves a plus que doublé plusieurs mois après l’administration des vaccins, d’après l’évolution des marqueurs d’inflammation et de dommages cellulaires.

Les patients avaient un risque sur quatre d’avoir des problèmes graves après les vaccins, contre un sur neuf avant. Leur risque de crise cardiaque à 5 ans est passé de 11 à 25 % grâce aux vaccins (soit une augmentation de 227 %).

Le Dr Steven Gundry, médecin du Nebraska et chirurgien cardiaque à la retraite, a présenté ces résultats lors des sessions scientifiques de la conférence annuelle de l’American Heart Association, qui s’est tenue à Boston du 12 au 14 novembre. Un résumé de son article a été publié le 8 novembre dans Circulation, la revue scientifique de l’AHA.

https://www.opindia.com/2021/11/mrna-covid-19-vaccines-increase-possibility-of-coronary-diseases-study/amp/
https://www.ahajournals.org/doi/abs/10.1161/circ.144.suppl_1.10712?s=09

Mais il ne faut vraiment pas chercher plus loin que le nombre de cas de myocardite causés par la vaccination Covid-19. La myocardite est une affection qui provoque une inflammation du muscle cardiaque et réduit la capacité du cœur à pomper le sang, et peut provoquer des rythmes cardiaques rapides ou anormaux.

La myocardite finit par affaiblir le cœur, de sorte que le reste de l’organisme ne reçoit pas suffisamment de sang. Des caillots peuvent alors se former dans le cœur, entraînant un accident vasculaire cérébral ou une crise cardiaque. Parmi les autres complications de cette maladie, citons la mort cardiaque subite. Il n’existe pas de version bénigne de la myocardite, elle est extrêmement grave en raison du fait que le muscle cardiaque est incapable de se régénérer. Par conséquent, une fois que le mal est fait, il est impossible de revenir en arrière.

Le tableau suivant présente les rapports de myocardite transmis au Vaccine Adverse Event Reporting System des Centers for Disease Control des États-Unis, par année.

Les lésions cardiaques sont omniprésentes dans la population vaccinée, et les dommages sont diagnostiqués de multiples façons. Les taux d’insuffisance cardiaque aiguë sont maintenant 475 fois supérieurs au taux normal de base dans le VAERS. Les taux de tachycardie sont 7 973 fois supérieurs au taux de base. Le taux d’infarctus aigu du myocarde est 412 fois supérieur au taux de base. Les taux d’hémorragie interne, de thrombose des artères périphériques et d’occlusion des artères coronaires sont tous plus de 300 fois supérieurs au taux de base.

Les personnes entièrement vaccinées souffrent comme jamais auparavant.

Il n’est pas nécessaire d’être un génie pour comprendre que la vaccination Covid-19 est la raison pour laquelle le nombre moyen mensuel de décès d’athlètes est désormais supérieur de 1 700 % au taux prévu.

Lire aussi : Explication possible des décès par myocardite chez les athlètes vaccinés

Source : The Expose – Traduit par Anguille sous roche




L’APHP ose imposer le masque après le 1er août : est-ce légal ?

[Voir aussi sur RL]

Par Nicole Delépine

Le vote du 26 juillet à l’Assemblée nationale nous a relativement rassurés. Le fameux état d’urgence est supprimé et par conséquent les décisions liberticides ne devraient plus pouvoir être imposées sans nouvelle discussion au Parlement.(([1] https://nouveau-monde.ca/france-demi-victoire-de-la-nouvelle-loi-de-securite-sanitaire/))

Évidemment on voit fleurir les tentatives de détournement de cette loi, et très vite à l’APHP que vient de quitter Martin Hirsch redevenu conseiller d’État, établissement public parisien en déroute dont les résultats sur le traitement du covid furent les plus mauvais (refusant tout traitement type Raoult sauf pour ses médecins discrètement) et en manque majeur de personnel vu le management entrepreneurial conduisant au burn out généralisé.

Et déjà un arrêté pour introduire la peur avec la variole du singe qui ne touche que les homosexuels et est bénigne dans la grande majorité des cas(([2] les mesures Monkeypox qu’il faudra analyser aussi.
Nous avions déjà alerté sur le fait que certaines mesures de « gestion de crise sanitaire » concernant le covid-19 étaient entrées dans le droit commun, puisqu’elles figuraient maintenant au Code de la Santé publique (message de la Ligue pour la liberté des vax sur Whatsapps).
Aujourd’hui est paru un arrêté s’appuyant notamment sur l’article L.3131-1 du Code la Santé publique, modifié par la loi n° 2021-689 du 31 mai 2021 (relative à la gestion de la sortie de crise sanitaire).
Arrêté du 26 juillet 2022 modifiant l’arrêté du 9 juillet 2022 relatif à la vaccination contre le virus Monkeypox et l’arrêté du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000046096130.
Cet arrêté remet en place pour le Monkeypox la liste des personnes pouvant effectuer la vaccination (médecins retraités, étudiants), et bien sûr avec une rémunération spécifique à cette vaccination.
Noter, concernant cet arrêté et la référence à l’article L.3131-1 du Code de la Santé publique, que la vaccination rentre dans le cadre de « toute mesure réglementaire ou individuelle relative à l’organisation et au fonctionnement du système de santé » spécifiée par cet article du CSP.
MAIS cet article L.3131-1 du CSP mentionne également que le ministre de la Santé peut prescrire par arrêté :  « Des mesures de mise en quarantaine ou de placement et de maintien en isolement, dans les conditions prévues au II des articles L. 3131-15 et L. 3131-17. »
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000043589799/)): Arrêté du 26 juillet 2022 modifiant l’arrêté du 9 juillet 2022 relatif à la vaccination contre le virus Monkeypox et l’arrêté du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire.

https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000046096130

QUESTION DU JOUR : un directeur d’établissement peut-il décider de m’imposer une muselière pour recevoir mes soins et ne pas voir le visage de mes soignants, alors que l’inefficacité du masque et sa nocivité sont démontrées par de nombreuses études internationales ?(([3] Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande – La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))(([4] France – L’AFNOR prouve que le masque « grand public » recommandé par le gouvernement est une véritable escroquerie. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

La question que je me pose est la suivante : quelle est la base légale ?  Un hôpital, une clinique ou un médecin libéral peuvent-ils me demander de venir en rouge, en bleu, en short ou en burkini selon leur « bon plaisir » ?

« Ici, Madame, tous les patients doivent se vêtir de blanc, car il attire moins la chaleur ». Etc.

IL Y A-T-IL UN MOYEN LÉGAL DE S’OPPOSER À CET ABUS DE POUVOIR ?

J’ai posé la question à mes profs de droit préférés. Voici une réponse qui, je l’espère, en appellera d’autres. Ces atteintes aux libertés publiques pour attiser la peur doivent cesser.

Le 28 juillet 2022. Un des profs a écrit ces quelques lignes :

Le problème se pose dans les termes suivants (il est à peu de choses près le même pour les établissements publics et pour les établissements privés) :

— Le Premier ministre, le ministre de la Santé et les préfets ne pourront plus imposer le port du masque à partir du 1er juillet, ni en extérieur, ni en intérieur.

– Mais, à l’intérieur des établissements hospitaliers publics ou privés (et de toute entreprise ou établissement public d’ailleurs), la question peut se reposer au niveau du règlement intérieur.

Le règlement intérieur (donc la consigne doit y figurer) peut prévoir des prescriptions particulières qui s’imposent aux salariés, mais pas dans n’importe quelles conditions.

Je n’ai pas trouvé de jurisprudence sur le cas particulier du masque, mais la règle générale est la suivante :

Le Conseil d’État (établissement public) a considéré que l’obligation de porter telle tenue (ici, une tenue de chantier) pouvait être, selon les circonstances de l’espèce, justifiée par la nature de la tâche à accomplir et proportionnée par rapport à l’objectif de protection recherché (CE 16 déc. 1994, min. Travail, emploi et formation professionnelle c/ Sté Ascinter Otis, RJS 2/1995, no 128). 

La Cour de cassation (établissements privés) a, quant à elle, jugé qu’un salarié ne peut être légitimement sanctionné pour avoir refusé d’appliquer une consigne générale de port d’une blouse blanche que pour autant que cette obligation est justifiée par la nature de la tâche à accomplir et proportionnée au but recherché (Soc. 18 févr. 1998, no 95-43.49).

Pour ce qui concerne les usagers, patients ou visiteurs, la direction peut prendre des mesures d’organisation du service (mesure d’ordre intérieur), mais elles ne doivent pas porter atteinte au droit des libertés des personnes.

Une mesure d’ordre intérieur peut être contestée devant le juge, dès lors  qu’elle aggrave la situation des intéressés (CE, ass., 14 déc. 2007, req. no 290730). 

Moralité : il faut saisir le juge pour qu’il apprécie le bien-fondé de ces nouvelles obligations de port du masque et qu’il décide si elles sont proportionnées au but recherché ou non.(([5] Et là on lui fournira les nombreux articles prouvant la mascarade du masque.  Au travail !))

Une remarque de ma part : si le règlement intérieur doit stipuler cette possibilité, il faut que celui-ci soit rédigé en ce sens et voté en conseil ad hoc, les CMC(([6] Commission médicale d’établissement  diaporamacme5juillet2022.pdf (aphp.fr) prochaine réunion en septembre 2022…)) médicales et administratives par exemple à l’APHP, ce qui nécessiterait de les réunir et en plein mois d’août, ce ne semble pas simple. Sauf si comme d’habitude on marche sur le droit et qu’on nous parle de droit COUTUMIER… On a déjà vécu cela à l’APHP…





Marseille 30 juillet 2022 : manifestation pour dénoncer les effets indésirables et hommage aux victimes

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org]

Vidéo (durée 1:20 min) : Marseille, manifestation pour dénoncer les effets indésirables du vaccin :

Vidéo (durée : 11 min) manifestation à Marseille en hommage aux victimes des effets indésirables. Prise de parole de Salim Laïbi, dentiste suspendu :



Source vidéo Odyssée : https://odysee.com/@LeLibrePenseur.org:2/2132453545423545311:6




Coup de théâtre : 100 médecins anglais se révoltent et appellent à suspendre immédiatement la vaccination des enfants

[Source : lecourrier-du-soir.com]

Dans une lettre adressée au prochain Premier ministre et lue par Lecourrier-du-soir.com, cent (100) médecins et scientifiques britanniques demandent au prochain gouvernement de mettre une pause à la vaccination des enfants le temps qu’une étude approfondie et indépendante soit entreprise sur la sécurité des vaccins. Dans la lettre, les 100 médecins et scientifiques émettent de sérieux doutes quant à la sécurité et la nécessite de vacciner les enfants.

La vaccination des enfants est-elle devenue le nouveau front dans la guerre qui oppose les Etats aux médecins? En tout cas, si dans beaucoup de pays au monde, notamment aux Etats-Unis, les autorités sanitaires appellent à vacciner les enfants contre le Covid, dans d’autres parties du monde, cette mesure est vue d’un mauvais œil.

C’est notamment le cas de la Grande-Bretagne où 100 influents médecins et scientifiques ont co-signé une lettre exigeant du prochain Premier ministre qu’il ou qu’elle mette une pause urgente au déploiement du vaccin Covid-19 pour les enfants en bonne santé le temps qu’une étude approfondie et indépendante de la sécurité de ce vaccin soit entreprise.

Dans la tribune lue par Lecourrier-du-soir.com, les 100 médecins affichent leur doute quant à la fiabilité de ce vaccin administré aux enfants. “Nous, agents sanitaires et scientifiques, nous faisons d’énormes soucis concernant la sécurité et la nécessité de ce vaccin administré aux enfants (…). Nous vous demandons de mettre en pause le déploiement de ce vaccin pour les enfants en bonne santé le temps qu’une étude approfondie et indépendante de la sécurité soit entreprise”, peut-on lire.

Dans la lettre, les médecins enfoncent le gouvernement. “Nous vous demandons fermement de renoncer au déploiement de ce vaccin (chez les enfants, ndlr) pour les raisons suivantes. Le Covid a toujours été une maladie très bénigne chez les enfants, provoquant 1 risque de décès sur 2 000 000”, notent-ils.

Pour étayer leurs arguments, les 100 médecins et scientifiques britanniques soulignent la disparition rapide de l’immunité conférée par le vaccin ainsi que l’absence de données fiables autour du vaccin Covid. Plus loin, les médecins crachent le morceau : “en gros, la balance Bénéfice/Risque, utilisée pour déployer le vaccin mRNA chez les plus âgés et les plus vulnérables, est totalement inappropriée et inapplicable chez les enfants en 2022.”

Pour lire la lettre dans sa version originale, cliquez ici : ChildrensUnion.org




Vaccins anti-Covid : alerte rouge !

[Source : infodujour.fr]

Par Marcel Gay

De nouvelles études mettent gravement en cause les vaccins anti-Covid, comme l’a révélé ici même Jean-Marc Sabatier, redoutant une « catastrophe sanitaire sans précédent ». La police néozélandaise envisage d’ouvrir une enquête sur les dégâts des vaccins.

Les dangers des injections répétées (UnLimPhotos)
Les dangers des injections répétées (UnLimPhotos)

Les études se suivent et se ressemblent. Dans un article publié par The Epoch Times, le Dr Paul Alexander, épidémiologiste et chercheur, affirme que les injections anti-Covid peuvent endommager le système immunitaire inné des jeunes enfants. Il explique que « les gens naissent avec un système immunitaire inné, qui constitue la première ligne de défense de l’organisme contre les nombreux agents pathogènes qu’il rencontre. Et c’est l’exposition aux germes et aux substances étrangères qui permet d’entraîner le système immunitaire inné à fonctionner. »
Les cellules du système immunitaire inné sont en quelque sorte « entraînées » par l’exposition à un agent pathogène. Mais « cette formation peut être perturbée lorsque les enfants reçoivent des injections d’ARN messager basées sur la souche virale initiale. Cela s’explique par le fait que les anticorps vaccinaux ciblent de manière très spécifique la protéine Spike et empêchent les anticorps innés de faire leur travail. » Cela peut se traduire par une maladie auto-immune, « le système immunitaire attaque le corps ».

Les enfants vaccinés plus exposés à la Covid

Ainsi, sans être vaccinés, les enfants en bonne santé sont capables de neutraliser et d’éliminer le virus pour empêcher l’infection, la réplication et la transmission, ajoute le Dr Alexander. C’est pourquoi les enfants, pour la plupart, ne présentent aucun symptôme ou des symptômes légers, en particulier contre le variant Omicron dominant aux États-Unis et dans d’autres pays.
Or, note encore le Dr Alexander, « les autorités sanitaires américaines recommandent fortement la vaccination des enfants dès l’âge de 6 mois, bien que la Food and Drug Administration (FDA) et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) reconnaissent, selon leurs propres données, que les enfants vaccinés sont susceptibles d’être infectés par la Covid-19.

« Un bénéfice négatif »

Le Pr Harvey Risch, professeur émérite d’épidémiologie à l’école de santé publique de Yale, à New York, confirme que « les anticorps déclenchés par les vaccins anti-Covid 19 interfèrent avec le système immunitaire à mesure que se succèdent les variants du SARS-CoV-2 » Les vaccins sont conçus à partir de la protéine Spike du virus initial, qui a muté dès le début de la pandémie. « Les vaccins ne produisent qu’une gamme très étroite d’anticorps contre la protéine Spike », dit-il. « Lorsque la protéine Spike change avec les nouvelles souches du virus, la capacité du système immunitaire à produire des anticorps correspondant aux nouvelles souches est réduite à tel point que l’efficacité du système peut s’avérer quasi nulle sur de longues périodes (…) Cela signifie qu’ils deviennent des anticorps interférentsau lieu d’anticorps neutralisants », poursuit le Pr Risch. « Selon moi, c’est la raison pour laquelle nous avons constaté ce que l’on appelle un bénéfice négatif – une efficacité vaccinale négative sur une plus longue période – de quatre, six à huit mois après la dernière dose du vaccin, on peut voir le bénéfice apporté par les vaccins virer au négatif. »

Le courage des médecins en Nouvelle-Zélande

La convergence et la multiplication de ces études sur le rôle délétère des vaccins interrogent de nombreux professionnels de santé. C’est le cas en Nouvelle-Zélande où de nombreux médecins ont adressé une lettre officielle à la police pour demander l’ouverture d’une enquête sur les décès liés au vaccin.
« Le nombre de décès et de blessures consécutifs aux vaccins Covid-19 est scandaleusement élevé, en soi et par rapport à tout autre traitement ou vaccin des temps modernes », soulignent les médecins néo-zélandais (NZDSOS) dans un communiqué.
« Nous signalons de nombreux cas qui EXIGENT une enquête appropriée, comme il convient à tout médicament dépourvu d’études de sécurité. Nos systèmes de surveillance ont été désactivés afin de cacher l’étendue des dommages. La déclaration des événements indésirables n’est PAS OBLIGATOIRE, et ce seul fait sape toute tentative de présenter les injections comme sûres. »
Les médecins rebelles ajoutent : « Des enfants et des jeunes meurent et souffrent de lésions particulièrement cardiaques (bien que de nombreuses personnes âgées en bonne santé soient également décédées), alors que le risque qu’ils courent avec la covid-19 est particulièrement faible. Nous pensons que l’on nous ment. »
La lettre s’accompagne d’une liste de nombreux cas.
En conclusion, les médecins font « à nouveau appel à la police, dirigée par Andrew Coster, et à nos députés, pour qu’ils interviennent afin de protéger le peuple ».
À quand une telle initiative des médecins français et européens ?

Jean-Marc Sabatier* : « Un dérèglement durable du système immunitaire »

Jean-Marc Sabatier (DR)
Jean-Marc Sabatier (DR)

Jean-Marc Sabatier n’est pas surpris par ces études, lui qui, le premier, dans infodujour.fr a alerté sur le dérèglement durable du système immunitaire lié aux vaccins. Résumons.
« Je voulais revenir sur le fait que tous ces rappels conduisent au dysfonctionnement de l’immunité innée et, par voie de conséquence, de l’immunité adaptative/acquise, c’est-à-dire au dérèglement généralisé du système immunitaire. Des travaux scientifiques montrent que la protéine Spike, ou l’injection répétée et massive d’un antigène vaccinal, peut conduire à un dérèglement durable du système immunitaire. Ceci suggère que les cellules de l’immunité innée ne vont plus être capables d’effectuer correctement leur travail. Et cela peut avoir pour conséquence d’initier des maladies auto-immunes. Si l’on procède à des injections multiples et massives du même vaccin, il y aura un dysfonctionnement inévitable de l’immunité innée, avec l’apparition potentielle de maladies auto-immunes ou une aggravation de celles-ci, voire de cancers, de troubles neurologiques et autres pathologies. »

La protéine Spike dérègle le SRA

« Déjà, un article publié en 2009 suggérait que, quel que soit l’antigène, si trop de rappels étaient effectués (c’est-à-dire si on sature/déborde le système immunitaire), l’immunité innée sera immanquablement déréglée, conduisant à l’apparition de maladies auto-immunes.
En plus, dans le cas du SARS-CoV-2, pour vacciner, on va utiliser un système biologique qui va produire la protéine Spike (ARNm, vecteur viral), ou injecter directement la protéine Spike (virus inactivé, protéine Spike recombinante). Cette protéine Spike dérègle le système rénine-angiotensine (SRA) qui contrôle l’immunité innée. Il y a donc un double effet. D’une part, le système immunitaire sera saturé parce que le seuil de tolérance/criticité auto-organisée du système est dépassé, ce qui peut déclencher des maladies auto-immunes. De plus, la protéine Spike va dérégler cette immunité innée puisqu’elle agit directement sur le SRA qui contrôle l’immunité innée.

Une catastrophe sanitaire à venir

Personnellement, je crains que l’on se dirige vers une catastrophe sanitaire sans précédent si la politique de rappels multiples avec des vaccins quasiment obsolètes et dangereux (compte tenu de la toxicité démontrée de la protéine Spike vaccinale) se poursuit. Comme les autorités semblent s’orienter vers des rappels réguliers, nous allons être prochainement dans une situation critique. Par conséquent, le problème ne sera même plus les phénomènes de facilitation de l’infection virale (ADE/ ERD), mais pourrait bien être le déclenchement des maladies auto-immunes, des cancers, et autres pathologies. Il faut vraiment retenir que la protéine Spike suractive le système rénine-angiotensine qui va altérer l’immunité innée et que le SRA, impliqué dans de nombreuses voies métaboliques majeures, est directement à l’origine (lorsqu’il est suractivé) des thromboses, coagulopathies, myocardites, péricardites, troubles menstruels, etc. Ces dernières sont en fait des maladies Covid-19 qui vont être induites soit par une infection naturelle au virus SARS-CoV-2, soit qui seront directement déclenchées par la protéine Spike vaccinale. »

*Jean-Marc Sabatier est directeur de recherches au CNRS et docteur en Biologie Cellulaire et Microbiologie. Éditeur-en-Chef des revues scientifiques internationales : « Coronaviruses » et « Infectious Disorders – Drug Targets ». Il s’exprime ici en son nom propre.

Autres études :

LE SYSTÈME RÉNINE-ANGIOTENSINE

SARS-COV-2 ET COVID-19




ATTENTION L’OMS VEUT MANIPULER À NOUVEAU LE MONDE VIA LE MONEYPOX (monkeypox)

Par Nicole Delépine

Une nouvelle fois le directeur général de l’OMS aux antécédents lourds(([1] En réponse à @jgalt485
«  Tedros, ancien Ministre de la Santé dans l’ancien Empire totalitaire de Libye, promu à l’OMS en passant devant 2 autres candidats Européens sur les injonctions de la Chine qui entretenait d’excellentes relations avec l’Empire Libyen en son temps ».))(([2] Senta Depuydt : quand le directeur de l’OMS appelait à « embrasser des Chinois dans la rue » – Profession Gendarme (profession-gendarme.com) la journaliste est allée enquêter sur Tedros Ghebreyesus. Le personnage est particulièrement sulfureux. « Il a commencé sa carrière politique dans un groupe terroriste marxiste, le Front de libération du peuple du Tigray dans les années 1970 », découvre-t-elle. « Un groupe qui a fait des attaques à main armée, des enlèvements… », rapporte-t-elle. Un groupe qui aura pris le pouvoir en 1991 et « qui domine toujours depuis ». De plus, le directeur de l’OMS est « le premier à ne pas être médecin ». Il était surtout « le ministre de la Santé de 2005 à 2012 en Éthiopie ».))(([3] Tedros Adhanom Ghebreyesus : l’OMS est-elle dirigée par un terroriste ? — Childrens’ Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu) «  En quelques semaines, le sort de la planète entière semble avoir été placé sous le commandement de l’Organisation mondiale de la santé et de son leader, Tedros Gherbreyesus. Mais au cours des derniers jours, sa gestion de la crise des coronavirus et ses relations avec la Chine ont mis le président de l’organisation sous le feu des projecteurs, beaucoup appelant à sa démission. Alors, qui est cet homme qui a soi-disant notre destin entre ses mains ? »)) veut imposer sa décision en accord avec Bill Gates et contre le vote de ses propres collègues sur le risque de la variole du singe et censure les voix contraires. Il veut rejouer le covid19. Serons-nous encore complices ?

@jgalt485 27 juil.

Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom, a demandé aux entreprises de médias sociaux du monde entier de lutter contre toute « désinformation » concernant le monkeypox.

En d’autres termes il veut censurer quiconque n’est pas d’accord avec sa folie du monkeypox.

« Comme nous l’avons vu avec le COVID-19, la mésinformation et la désinformation peuvent se propager rapidement en ligne. Nous appelons donc toutes les plateformes de médias sociaux, les entreprises technologiques et les organes de presse à travailler avec nous pour prévenir et contrer les informations nuisibles »,
a déclaré Adhanom le 26 juillet 2022.

Il y a quatre jours le chef de l’OMS a déclaré la variole du singe « urgence sanitaire internationale », annulant une décision de la majorité de membres du panel qui avaient voté contre une telle déclaration. Ces méthodes sont habituelles pour le directeur général de l’OMS vendu à Bill Gates et sa volonté de vacciner le monde entier.

Terrible aveu (non exprimé au début des essais covid) :

Les labos qui ont produit le vaccin anti monkeypox considèrent que la vaccination des populations constituera un test clinique en grandeur réelle.

@jgalt485 27 juil. L’INFODÉMIE !

C’est la même étape que l’OMS a franchie en 2020 et 2021 lorsque l’OMS a affirmé que toutes les informations allant à l’encontre du récit faisaient partie d’une « infodémie » plus large.

« Peu de temps après que le monde a commencé à s’habituer aux termes coronavirus et COVID-19, l’OMS a inventé un autre mot : » infodémie « — une surabondance d’informations et la propagation rapide de nouvelles, d’images et de vidéos trompeuses ou fabriquées. Comme le virus est très contagieux et se développe de façon exponentielle. Cela complique également les efforts de réponse à la pandémie de COVID-19 », lit-on dans un article de 2020 intitulé « Immuniser le public contre la désinformation ».

Au cours de la pandémie, l’OMS a commencé à s’associer à des pays pour lutter contre « l’infodémie », ce qui, le plus souvent, signifiait censurer les personnes en ligne qui avaient de véritables inquiétudes ou essayaient de faire proliférer la vérité sur les effets indésirables à la suite de piqûres d’ARNm.

De telles réactions indésirables sont maintenant connues pour être un fait, et les responsables de la santé du monde entier ont commencé à avertir les gens de risques comme la myocardite post-vaccinale, que l’OMS a toujours écartée comme une théorie du complot ».

Et dans la ligne française d’obéissance aveugle aux diktats du couple OMS-Gates le nouveau ministre de la Santé se précipite pour ouvrir environ 100 centres de vax anti monkeypox et déjà plus de 6000 personnes ont reçu cette nouvelle drogue expérimentale !(([4] IMVAMUNE® Smallpox Vaccine in Adult Healthcare Personnel at Risk for Monkeypox in the Democratic Republic of the Congo—Full Text View—ClinicalTrials.gov))(([5] Official Title: An Open-Label Prospective Cohort Study of IMVAMUNE® Smallpox Vaccine in Adult Healthcare Personnel at Risk for Monkeypox in the Democratic Republic of the Congo
Actual Study Start Date : February 23, 2017
Estimated Primary Completion Date : August 2022
Estimated Study Completion Date : August 2022
IMVAMUNE
Two doses of attenuated live virus smallpox vaccine (IMVAMUNE liquid formulation or lyophilized formulation) administered on days 0 and 28 via subcutaneous injection (deltoid) (1 x 108 Tissue Culture Infectious Dose 50 [TCID50] per 0.5 ml) Other Names: Modified Vaccinia Ankara (MVA) MVA-BN
JYNNEOS
IMVANEX))(([6] Petersen BW, Kabamba J, McCollum AM, Lushima RS, Wemakoy EO, Muyembe Tamfum JJ, Nguete B, Hughes CM, Monroe BP, Reynolds MG. Vaccinating against monkeypox in the Democratic Republic of the Congo. Antiviral Res. 2019 Feb;162:171-177. doi: 10.1016/j.antiviral.2018.11.004. Epub 2018 Nov 14. Review.))

@MouldeuxJean 25 juil.

« Je me demandais d’où sortent les 85 % d’efficacité selon DE “NOMBREUSE ÉTUDES” par l’OMS, Vidal, etc. Eh bien j’ai trouvé. D’une étude observationnelle menée en RD Congo en… 1988 avec un autre vax !
https://medium.com/microbial-instincts/effectiveness-of-monkeypox-vaccine-is-questionable-especially-when-the-virus-has-mutated-de6c9ad1c843 »

Les exploits de l’OMS en Afrique sont célèbres(([7] @RomanAude l’épidémie de polio survenue en Inde en 2007 2008 révèle selon les propres données de l’OMS que 77 % des gens touchés avaient reçu + de 7 doses de vaccin oral soi-disant le +efficace et 18 % avaient reçu 4 doses ou + ce qui porte le nbre de gens touchés pourtant archi vax à 95 %.)) mais ont rendu les africains méfiant alors l (OMS et Bil Gates ça continue tentent de poursuivre leurs expériences sur les Européens..

NOUVELLE TENTATIVE DE L’OMS EN JUILLET 2022 DE FAIRE ACCEPTER UN AGENDA MONDIAL QUI FERAIT DU DIRECTEUR DE L’OMS LE ROI DU MONDE

Au service des mondialistes de Davos

Présentation de l’avant-projet de l’OMS présenté actuellement à Genève
(du 18 au 22 juillet) destiné à renforcer l’influence de l’OMS.
Tout le monde est concerné !



PDF de la transcription de la vidéo mise en page et 2 extraits de l’avant-projet de l’OMS, avec tous les liens !

Sous-titrage en français de la vidéo originale qui se trouve ici : https://jamesroguski.substack.com/p/ten-things-everyone-needs-to-know

Un twittos fait remarquer justement :

« Leur stratégie est forte, ils attaquent au même moment sur plusieurs points éloignés de nos modèles de société, que si nous ne faisons pas les liens, on pourrait penser qu’il n’y a pas de relation dans la finalité de leurs monde, ils brisent mentalement plusieurs piliers… » 

Et curieusement le patron du conseil secret d’EM tente de reculer en douceur.

#Delfraissy « Le pouvoir sur le vaccin a été pris par les industriels » pour le prochain vaccin. Les #Big Pharma ont décidé une combinaison virus initial + Omicron « Je pense que sur le plan scientifique ce n’est pas une bonne chose »

« Delfraissy le prochain vaccin en octobre 2022 ne sera pas suffisant ! »

« Jean-François Delfraissy, se laisse aller à quelques confidences. Les “Big Pharma ont pris le pouvoir » . On sent que le médecin veut se refaire une virginité, il tourne doucement sa veste… »

MÊME SI LE COUP D’ÉTAT MONDIAL DE L’OMS NE SEMBLE PAS TRÈS BIEN PARTI, RESTONS EN ALERTE ROUGE

Les mondialistes internationaux ont décidé de rédiger un traité leur donnant essentiellement un pouvoir de loi martiale discrétionnaire partout.

https://apps.who.int/gb/ebwha/pdf_files/WHA75/A75_18-fr.pdf

Mais la résistance se développe. L’Équateur avait le premier refusé. L’archevêque Vigano, donneur d’alerte récurrent contre la maffia tentaculaire du « Nouvel Ordre Mondial », a dénoncé ce traité, haute trahison de la part des politiciens qui l’entérineraient.(([8] https://guyboulianne.com/2022/05/30/larcheveque-vigano-met-en-garde-les-nations-contre-la-prise-de-pouvoir-du-traite-pandemique-de-loms-ceder-a-la-souverainete-est-considere-comme-un-crime-de-haute-trahison/))(([9] https://www.thegatewaypundit.com/2022/05/exclusive-yielding-sovereignty-considered-crime-high-treason-archbishop-vigano-nation-states-handing-sovereignty/))(([10] D’autres aussi :
https://www.francesoir.fr/societe-sante/traite-international-oms-prevention-pandemies-des-chercheurs-sonnent-lalerte
https://www.onenation.org.au/australias-secretive-and-unaccountable)) De nombreux sites ont alerté sur cette tentative de prise de pouvoir mondiale par l’OMS. Nous avions relayé l’appel de R Kennedy et « stop the treaty »(([11] Stop au coup d’État de l’OMS contre la démocratie ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
#StopTheTreaty. World Freedom Declaration—Health Freedom Defense Fund
Déclaration d’opposition aux modifications apportées par l’OMS au Règlement sanitaire international — Health Freedom Defense Fund)). Sans surprise, le président français soutenait l’OMS et Gates.(([12] https://www.profession-gendarme.com/emmanuel-macron-donne-les-pleins-pouvoirs-a-loms-pour-la-sante-des-francais-lors-des-pandemies/comment-page-2/))

Dans un premier temps, nombre de pays avaient fait refuser le texte d’origine en l’état (notamment avec les amendements présentés par le résident américain).(([13] https://qactus.fr/2022/05/29/oms-120-pays-sur-179-auraient-refuse-le-texte-loms-a-retire-12-des-13-articles-mais-saccroche-au-dernier-qui-modifie-leur-constitution/
https://leve-toi.com/oms-120-pays-sur-179-auraient-refuse-le-texte-loms-a-retire-12-des-13-articles-mais-saccroche-au-dernier-qui-modifie-leur-constitution/
https://www.thegatewaypundit.com/2022/05/world-health-organization-temporarily-withdraws-bidens-public-health-emegency-amendments/)) Nombre de pays (47) manifestement refusent catégoriquement cette proposition maffieuse(([14] https://www.onenation.org.au/who-forced-into-humiliating-backdown)): Brésil, plusieurs nations africaines, la Russie, la Chine, l’Afrique du Sud, l’Iran, la Malaisie…

Le futur empereur mondial n’a pas apprécié.(([15] https://www.naturalnews.com/2022-05-27-schwab-threatens-bolsonaro-refusing-sign-pandemic-treaty.html)) Mais manifestement le gotha des milliardaires et des vedettes d’Hollywood semblent prendre de la distance.(([16] https://www.business-standard.com/article/international/davos-forum-is-back-after-2-yrs-with-less-billionaire-starpower-and-no-snow-122052300374_1.html))

FINANCEMENT DE L’OMS

Ceci explique cela. Les fondations donatrices (comme celle de Bill Gates) flèchent leurs dons qui doivent être utilisés selon leur volonté.

Dans la foulée de sa volonté de dominer le monde, Tedros a essayé de modifier le financement de l’OMS. Un peu plus d’indépendance vis-à-vis de Gates ou Schwab lui conviendrait probablement. Très près des Chinois, on sait ou on subodore que ces mondialistes eugénistes sont d’accord pour dominer la plèbe, mais se mangeraient bien entre eux…

L’OMS adopte une réforme historique de son financement(([17] Par Delphine Roucaute Publié le 24 mai 2022.))

L’Assemblée mondiale de la santé a adopté un texte prévoyant de faire passer la partie du budget financée par les États membres de 16 % à 50 % d’ici à 2028, afin de renforcer le leadership de l’organisation onusienne. 

« Il s’agit d’un tournant historique », a déclaré Tedros Ghebreyesus, directeur général de l’OMS. Le 24 mai 22, lors de l’Assemblée mondiale de la santé, les États membres de l’agence onusienne basée à Genève ont adopté une réforme du financement de l’organisation très attendue.

La partie du budget financée par les États membres devrait passer de 16 % à 50 % d’ici à 2028, ce qui devrait permettre à l’OMS de regagner une partie de son indépendance.

Cette réforme faisait partie des cinq priorités esquissées par Tedros « pour le monde et pour l’OMS » le 24 janvier : renforcer le rôle de l’OMS« au cœur de l’architecture de la santé mondiale », afin qu’elle devienne « plus efficace et efficiente ».

Depuis le mandat, entre 1998 et 2003, de Gro Harlem Brundtland à la tête de l’OMS, les fonds privés ont pris une place de plus en plus importante et déterminante dans le financement de l’agence.

Contributions volontaires

Résultat, seulement 16 % de l’exercice biennal 2022-2023 sont abondés par les contributions obligatoires des États membres, fixées d’année en année en fonction des ressources de chacun.

La réforme va permettre d’élever le niveau de ces contributions de 956,9 millions à 2,2 milliards de dollars d’ici à 2028. Le budget total actuel est de 6,1 milliards de dollars.

L’essentiel du budget (84 %) provient des contributions dites « volontaires ».Ces dernières peuvent venir d’États décidant de fournir plus d’argent que leurs contributions obligatoires ne les y obligent.

Le Royaume-Uni, notamment, fournissait 135 millions de contributions volontaires lors de l’exercice 2020-2021, en plus de sa contribution obligatoire de 49 millions, dépassant ainsi la participation chinoise. Ce supplément de cotisations permet de renforcer le jeu des influences au sein de l’organisation.

Parmi ces contributions volontaires, l’écrasante majorité (88 %) est issue de fonds privés strictement affectés à des programmes ou lieux géographiques spécifiques ; ils doivent également être dépensés dans un délai précis.

En 2020-2021, les programmes spéciaux, dont celui d’éradication de la poliomyélite financé par la Fondation Gates, totalisaient 757,6 millions de dollars, soit 13 % du budget total.

« Le recours excessif aux contributions volontaires (privées ou publiques) se traduit paruneincapacité à fixer des priorités en fonction des priorités mondialesdesanté publique, notait en janvier 2021 un article du South Centre,uneorganisation intergouvernementaledepays en développement basée à Genève.

Les États membres tententde fixer des priorités, mais les fonds sont destinés à des questions spécifiques, sélectionnées par un petit nombrede donateurs qui jouent un rôle décisif dans la décisiondel’organisation. »

Il s’agit donc bien de reconquérir un leadership affaibli par le poids des États à forte capacité d’investissement et par les intérêts privés des fondations qui abondent les comptes de l’OMS.

75 ONG, organisations philanthropiques et experts dans le domaine de la santé mondiale, dont Gavi, le Global Health Council ou encore Save the Children, ont publié une lettre appelant les États membres à saisir cette « occasion historique de renforcer et d’investir dans le rôle de l’OMS en tant que principale organisation intergouvernementale de la santé qui se consacre à la promotion de la santé et du bien-être de tous dans le monde ». 

Augmenter les contributions obligatoires marque donc un grand pas dans l’histoire de l’OMS, mais encore faut-il les payer. Au 31 décembre 2020, près de 300 millions de dollars n’avaient pas été versés au compte de l’OMS, selon un rapport publié le 5 janvier. Les résolutions de l’OMS n’étant pas contraignantes, des experts se demandent comment l’organisation pourra obliger les États membres à augmenter leurs cotisations d’année en année.

ATTENTION RESTONS EN ALERTE !

Lettre ouverte concernant le nouveau traité pandémique international de l’OMS

Lettre ouverte sur le nouveau traité pandémique international de l’OMS

À la population;
Aux gouvernements, Présidents et Ministres de la santé, Parlements, Conseil de l’Europe, Commission Européenne;
Aux médias;
Aux organisations de la santé, telles que Swissmedic, OFSP, Fédération Suisse des Patients;
À l’OMS, par l’Assemblée mondiale de la santé, Dr Tedros Adhanom Ghebreysus, Dr Soumya Swaminathan;
Aux Nations Unies, par Antonio Guterres, Liu Zhenmin, Elliott Harris, Maria-Francesca Spatolisano.

Nous, médecins, soignants, professionnels de la santé, citoyens, déclarons notre désaccord face au nouveau traité pandémique international proposé par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), qui n’est autre qu’une mainmise sur les gouvernements et la population.

Cet accord mondial sur les futures pandémies octroierait à l’OMS des pouvoirs lui permettant de se substituer aux pouvoirs exécutifs des états membres, ceux-ci devenant de simples organes d’exécution.

Ce traité inutile constitue une menace pour la souveraineté des pays et les droits humains fondamentaux.

Il convient de relever que le Règlement Sanitaire International (RSI) fortement imprégné du respect des droits humains, adopté en 2005 par 196 pays, dont la Suisse, et entré en force en 2007 a justement pour objectif de répondre aux urgences pandémiques. Cependant ce dernier n’a pas été appliqué durant la crise covid, tout comme le plan pandémique établi par la Confédération Helvétique.

La définition d’une pandémie, selon l’OMS, a évolué ces dernières années, ainsi, jusqu’en 2009, elle était définie comme un événement caractérisé par une évolution grave de la maladie et une mortalité extrême. C’était donc la morbidité et la létalité qui conditionnaient une pandémie.

« Une pandémie survient lorsqu’un nouveau virus apparait pour lequel la population humaine n’a aucune immunité, résultant aussi en de nombreuses épidémies simultanées dans le monde, avec d’énormes nombres de décès et de malades. »

En mai 2009, la définition a été révisée de manière à ne plus dépendre de la gravité de la maladie ni de la mortalité, mais uniquement d’une propagation mondiale de « cas de la maladie ». La dernière définition suppose des vagues récurrentes et différentes phases. Ainsi, chaque vague annuelle de grippe peut être déclarée « pandémique ».

Avec ce traité l’OMS pourrait alors déclarer opportunément des pandémies, (déclaration qui active de surcroît, les contrats avec les fabricants de vaccins), imposer des mesures déshumanisantes telles que des confinements, des traitements coûteux, dangereux et/ou inefficaces, des programmes de vaccination obligatoire, des régimes de test, imposer des interventions médicales, dicter toutes les pratiques de santé publique contre la volonté de la population et ce, même contre l’avis des gouvernements, qui par la validation du traité en ont accepté la valeur contraignante.

Force est de constater que l’OMS ne doit pas être autorisée à contrôler l’agenda mondial de la santé, ni à imposer des mesures allant à l’encontre des droits fondamentaux, tels que les confinements qu’elle a recommandés durant le chapitre Covid-19, la suppression des traitements préventifs/précoces et l’encouragement à l’utilisation de produits expérimentaux en population large, ainsi que toutes les autres mesures qui ne se sont avérées ni sûres ni efficaces.

Les activités de l’OMS ne sont malheureusement pas effectuées en toute transparence et ceci est aggravé par l’existence des « comités d’urgence » secrets d’experts.

Pour rappel, l’OMS présente des conflits d’intérêts importants. Bien que bénéficiant de financements publics des états membres (impôts de la population…), elle reçoit également des fonds substantiels d’intérêts privés qui utilisent leurs contributions pour influencer et tirer profit des décisions et des mandats de l’OMS.

Ce nouveau traité pandémique menace gravement la souveraineté des Etats membres et les droits humains fondamentaux, c’est pourquoi nous, médecins, soignants, professionnels de la santé, citoyens, nous opposons avec force à la mise en œuvre d’un tel accord mondial.

Références:

EN CONCLUSION, NE LAISSONS PAS L’OMS NI DAVOS DIRIGER NOTRE MONDE

L’OMS et son directeur général voudraient être le bras armé des mondialistes de Davos, Schwab, Fauci, Gates et leurs affidés dont notre président, pour imposer sous des allures humanistes et désintéressées les terribles choix des eugénistes qui ont mis en musique le scénario covid. Ce dernier n’a pas réussi à 100 % et les dirigeants du monde voudraient compléter la mise au pas des peuples par de nouveaux films de peur, d’horreur et de moyens pervers comme des injections imposées via le crédit social.

Parallèlement Tedros tente-t-il comme Delfraissy de prendre ses distances avec Davos et cie, devant l’échec manifeste des injections géniques expérimentales anticovid et la rumeur de colère qui monte de partout dans le monde devant tant de drames et de morts liés à l’injection. Mais pourquoi vouloir recommencer avec le vaccin antivariole du singe, le nouveau Money pox ? Pris entre deux feux ? C’est la saison !

Ils ont oublié que nous sommes des Milliards, mais même s’ils sont très riches, ils ne sont seulement que quelques milliers.

Soit l’ONU redevient une instance internationale indépendante et refuse l’entrisme de quelques pays occidentaux, soit il faut supprimer cette organisation et surtout ne pas être dupe de ses décisions exceptionnellement médicales et allant quasiment toujours dans le sens d’une dictature supra nationale niant les peuples. Ce que de nombreux pays africains, asiatiques et américains du sud ont largement compris.

Informons, résistons pour sauver l’avenir de nos enfants.





Expérimentation en Sarthe : les élèves de 6e bagués comme des poulets !

[Source : resistancerepublicaine.com]

Par Christine Tasin

[Photo : Les Fertois parmi les Sarthois en première ligne ; ils font partie des élèves des sept premiers établissements à être dotés du bracelet connecté. | LE MAINE LIBRE]

J’ai emprunté le titre à un commentaire de NDA, comparant les enfants sous bracelet à des poulets bagués et rappelant que le but avoué des bracelets connectés imposés aux gosses c’est pou « tester non seulement la forme physique des enfants, mais aussi la forme morale et sociale. Forme morale et sociale ». Oui vous avez bien lu, SOCIALE !

L’illustration est empruntée à un article de Ouest-France.

https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/la-ferte-bernard-72400/la-sante-des-collegiens-evaluee-30-000-ados-de-sarthe-porteront-un-bracelet-connecte-bb876350-f2f0-11ec-aa92-a0c5552bd42a

Des élèves de 6e participant à une « expérience » à grande échelle, munis d’un bracelet connecté qu’ils vont porter pendant 4 ans… Ledit bracelet va leur dire combien de pas ils ont faits chaque jour, et le dire à ceux qui les surveillent à distance via la technique.

Et tout cela afin de les pousser à faire du sport, à marcher… sous prétexte, évidemment, de santé ! Vous trouvez ça bien ??? Réfléchissez, bordel ! Les mêmes qui abolissent les barrières douanières pour nous noyer sous le bœuf aux hormones canadien, les MacDo bien gras américains et les ONG interdites de culture chez nous, mais qui nous arrivent de l’étranger se soucieraient de la santé de nos enfants ?

De nos enfants que les mêmes, toujours, ont fait des pieds et des mains pour les vacciner ?

Faut-il rappeler que ce sont les mêmes qui ont confiné nos enfants, qui nous ont confinés, qui leur ont interdit de marcher, de courir, de faire du sport, qui leur ont interdit de faire des balades en montagne de peur qu’ils contaminent les marmottes, qui leur ont interdit de courir en forêt ou sur la plage afin qu’ils ne contaminent ni les mouettes ni les écureuils ?!!!  Et il faudrait les croire animés d’un amour fou du sport et de l’exercice physique, d’un amour fou de l’humanité et surtout de nos enfants ?

Réfléchissez, bordel !!!

Il faut de la mesure en toutes choses

Horace, 65 av J.-C.
8 ap J.-C.

Je dois avoir des antennes, ou des dons de voyance.

Il y a quelques jours, je poussais un coup de gueule à propos d’une phrase tirée d’une émission de Arte qui, pour encourager les gens à marcher, comparait les non-marcheurs à des adeptes du tabagisme, faisant des non-marcheurs et des fumeurs de quasi-délinquants.

https://resistancerepublicaine.com/2022/07/24/selon-arte-la-science-percoit-limmobilite-comme-une-nouvelle-forme-de-tabagisme/

Je crains depuis quelques années le nouvel eugénisme qu’écolos-dingos et autres apprentis staliniens imposent subrepticement. Et qui me fait inexorablement penser à Hitler… et tout, depuis quelques années, le confirme. Il est évident que le Covid a aussi servi à cela. Ce qui montre que, comme le pensait le professeur Montagnier, le virus a bien été créé de toutes pièces à Wuhan et pas par accident.

Encore une fois, je le répète, mon problème ici n’est pas de dénoncer la pratique individuelle du sport, de la marche et tutti quanti, mais de dénoncer le système totalitaire terrible qui va avec l’imposition du sport comme modèle, comme objectif, à présent comme marchandage et demain comme obligation. Cela me donne la nausée et me met dans une colère noire. Cela suscite surtout en moi une peur atroce pour nos enfants, nos petits-enfants. Va-t-on vraiment leur laisser ce monde-là, ce monde totalitaire ?

Les Grecs et les Romains qui savaient, EUX, le bien et le raisonnable, et l’avaient appris à Montaigne comme à Rabelais avaient un adage tiré d’un vers du poète latin Juvénal : mens sana in corpore sanoun esprit sain dans un corps sain. Rien de moins, rien de plus. Et tout cela loin de l’Ubris (la démesure).

Oui l’homme est fait d’esprit et de matière, mais, parce qu’il est homme, il se doit de développer/préserver l’un et l’autre, dans la mesure. Il faut de la mesure en toutes choses. Le corps au service de l’intelligence, du cœur, des relations sociales, doit forcément être en bonne santé, d’où l’importance de bien se nourrir, de prendre garde à son état de santé.

Mais de là à ce que tout un peuple ne pense plus que nombre de pas, et obsession sportive. SURVEILLÉS À DISTANCE GRÂCE À LA TECHNIQUE !!!! C’EST UN AUTRE ASPECT DU CRÉDIT SOCIAL À LA CHINOISE !

IL FAUT ÉCRIRE ET TÉLÉPHONER EN MASSE AUX ÉTABLISSEMENTS QUI ACCEPTENT CELA ET AU CONSEIL DÉPARTEMENTAL DE LA SARTHE


Ci-dessous 2 articles pour vous présenter la chose. J’ai vraiment mal à l’estomac, mal à la France, mal à la vie en lisant cela.

Sarthe : le Département offre des bracelets connectés aux collégiens pour les pousser à faire du sport

Ils étaient une centaine de collégiens rassemblée dans le gymnase Olympe pour faire du sport. Le Département lance une phase de test sur le sport-santé dans le milieu scolaire.

« Le but est de promouvoir l’activité physique en tenant compte des contextes particuliers du moment », lance Véronique Rivron, la présidente de la commission sport.

Elle est complétée par Cédric Hayère, directeur de l’UNSS : « Il y a eu un avant et un après-Covid. Nous avons vu une explosion de la sédentarité au collège. Cela s’accompagnait de vraies transformations physiques. »

Des bracelets offerts

Celui-ci en profite pour faire une présentation des neuf ateliers parcourus par les collégiens : un step test « pour mesurer l’endurance des élèves, à la fin de l’exercice, ils mesurent leurs battements cardiaques » ; le test de la chaise pour travailler la résistance ; mais aussi des exercices d’abdos, de gainage, d’équilibre avec la position du flamant rose à tenir. (Ben voyons ! Voici que nos petits, insouciants, pensant à rire vont devenir des apprentis athlètes apprenant dès l’enfance les obsessions, les privations… sans avoir l’objectif de gagner les JO !)

Dernier atelier, le flexomètre pour mesurer la souplesse des élèves. Hervé Lemesle, proviseur du collège Georges-Desnos, se prête même au jeu. Toutes les données récupérées par les professeurs sur les exercices sont anonymes. (Ben voyons ! Mesurer la souplesse de chacun ??? Etiqueté, obligé d’être dans des normes dès l’enfance ? Ils sont en train d’imposer une forme de normalité abominable, scandaleuse. Et ceux qui, par nature, par dysfonctionnement hormonal ne seront pas dans les normes officielles, ils devront se suicider ?)

En fin de matinée, tous les élèves de 6e ont reçu un bracelet connecté. « Attention, ce n’est pas une montre », précisent les conseillers départementaux.

Dessus, ils retrouveront des données telles que leur nombre de pas, leur battement cardiaque… Cet équipement les accompagnera pendant quatre ans tout au long du collège.

Les enfants paraissaient surpris, et heureux en même temps. « Les jeunes attendent ça aujourd’hui, qu’on les surprenne », continue Véronique Rivron, fière de son coup. (connasse en plus !)Avec le sport-santé, elle est persuadée que « le jeu permet de dépasser la contrainte du sport, et de faire ça avec joie ».

Bientôt dans les lycées ?

De son côté, Anthony Trifaut, président de la commission jeunesse, annonce « faire des envieux chez les départements voisins avec ce dispositif. Et même du côté de la Région qui se voit bien dupliquer le modèle dans les lycées ». (Plus on est de cons, plus on rit. Plus on est de briseurs de jeunesse plus on est contents, par chez vous.)

Dans les collèges, on attend que ça pour que la continuité soit totale pour les élèves.

Selon lui, « encourager à bouger les élèves, ce n’est pas forcément vers la performance, mais simplement dans le but d’améliorer leur état de forme. Les sensibiliser à ce qu’ils se prennent en main. »

Mathias Bouvier, directeur académique, se satisfait lui que « ce projet soit initié par les forces vives du terrain ».

Véronique Rivron conclut cette matinée en sourires avec ce message : « En plus, j’ai besoin de sportifs pour mes clubs sarthois ». (Tiens donc ! Quel hasard !)

https://actu.fr/pays-de-la-loire/la-ferte-bernard_72132/sarthe-le-departement-offre-des-bracelets-connectes-aux-collegiens-pour-les-pousser-a-faire-du-sport_52177646.html


Le quotidien sarthois « Le Maine-Libre » titrait à la Une du 28 juin 2022 :

« Un bracelet suivra 30 000 collégiens »

Le département de la Sarthe va financer et fournir des bracelets connectés pour les élèves de 6e, avec comme objectif de « tester leur forme physique, morale et sociale ».
Dès la rentrée un bracelet électronique suivra chacun de nos enfants en Sarthe : c’est une première !

Ce nouveau projet est applaudi, car, comme toute nouvelle action, il part d’une bonne intention, celle du constat des problèmes de santé chez les enfants et adolescents dus notamment à la sédentarité.

Nous devons néanmoins être vigilants.
Le port de ces bracelets est-il obligatoire ?
Dans quelle mesure ces tests sont anonymes ?
N’y a-t-il pas un risque de stigmatisation ? Puis de harcèlement ?

Mais surtout nous sommes particulièrement inquiets sur l’objectif du port de ces bracelets car il est bien précisé qu’il s’agit de tester non seulement la forme physique des enfants, mais aussi la forme morale et sociale. Forme morale et sociale impliquent en conséquence un regard sur la sphère familiale et donc privée de l’enfant.

On peut donc se poser la question de la légitimité de cette action « programme sport-santé » initiée par le département de la Sarthe.

Notre Liberté, sous des prétextes sanitaires, a déjà été mise à mal lors de ces deux dernières années.
Prenons conscience que nous devons rester maîtres de la vie que nous voulons pour nous et notre famille.
N’oublions pas que nos parents se sont battus pour la devise de la République Française :

« Liberté, égalité, fraternité »

Le 17 juillet 2022
Cécile Bayle de Jessé
Vice-Présidente de Debout la France
Déléguée nationale à l’épanouissement familial

https://www.debout-la-france.fr/actualite/nos-enfants-sont-ils-des-cobayes-en-vue-dune-atteinte-notre-liberte




France — Demi-victoire de la nouvelle Loi de sécurité sanitaire

Par Nicole et Gérard Delépine

La demi-victoire de la nouvelle Loi de sécurité sanitaire votée le 26 juillet 2022(([1] « Le projet de loi de sécurité sanitaire prolonge les outils de surveillance concernant la circulation du virus et permet de mettre en place, si nécessaire, un test aux frontières. Le 26 juillet 2022, le Sénat a adopté définitivement le projet de loi mettant fin aux régimes d’exception créés pour lutter contre l’épidémie de Covid-19 ».)). Restons en alerte
L’information et le combat sont efficaces. Poursuivons

Encourageons les citoyens à poursuivre le combat par l’information large de tous sur la mascarade covid19 que nous vivons encore. Un grand pas a été franchi par la fin de la loi d’exception grâce à la nouvelle assemblée dans laquelle E. M. n’a plus la majorité absolue. Les élections législatives, les multiples vidéos, les articles sur des centaines de supports variés et les manifestations ont réussi à éveiller un certain nombre de concitoyens et de parlementaires. Le combat paie. Il faut poursuivre avec ténacité et assiduité.

En effet, la volonté des puissants de maintenir la population dans la peur du covid ou de son prochain variant ou autre cousin ou la variole du singe est manifeste, car les mondialistes veulent continuer à nous terroriser pour que nous ne défendions plus nos libertés et nous forcer à nous faire injecter. Les publicités mensongères à répétition du ministère de la Santé poussant à l’injection sur les écrans de télévision en témoignent. La prise de parole du directeur de l’OMS qui veut reproduire le scénario covid avec la variole du singe en témoigne. Nous ne le laisserons pas faire et y reviendrons.

PREMIÈRE GRANDE VICTOIRE DEPUIS LE DÉBUT DU SCÉNARIO COVID

La loi sanitaire(([2] Projet de loi 2022 pass sanitaire aux frontières covid 19 | vie-publique.fr )) qui vient d’être votée le 26 juillet est une victoire importante, car elle officialise la fin de la loi d’urgence sanitaire qui instaurait la dictature sanitaire d’E. Macron de ces deux dernières années.

Le Parlement a définitivement adopté le 26 juillet le projet de loi mettant fin aux régimes d’exception créés pour lutter contre l’épidémie de Covid-19.

Ainsi, à compter du 1er août 2022, le pass sanitaire prend fin en France. Il ne pourra plus être exigé dans les lieux où il était encore en vigueur (les services et établissements de santé et médico-sociaux).(([3] Le pass sanitaire sera bien supprimé à l’entrée des hôpitaux et des EHPAD le 1er août 2022, la sénatrice Sylviane Noël demande la clarification et l’obtient ! – La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))

Mais comme tous les compromis, c’est une demi-victoire, car elle autorise le gouvernement à décider par décret l’exigence d’un certificat aux frontières. En lieu et place de l’article 2 rejeté par les députés, les sénateurs ont voté « la possibilité de demander, en cas de nouveau variant, un test négatif aux personnes d’au moins 12 ans se déplaçant à destination du territoire national depuis l’étranger, mais aussi en provenance ou à destination des territoires ultramarins en cas de risque de saturation du système de santé de ces territoires ». Cette modification a été acceptée par les députés en deuxième lecture.(([4] Ce test aux frontières pourra être exigé jusqu’au 31 mars 2023 aux personnes de plus de 12 ans avant l’embarquement à destination du territoire français :
– Pour les voyageurs en provenance d’un pays étranger où circule un nouveau variant du Covid,
– Pour les voyages vers les collectivités ultramarines « en cas de risque de saturation » de leur système de santé (hôpitaux…). sur décret du premier ministre.)) Le projet de loi distingue deux cas de figure, pour lesquels le gouvernement pourra, jusqu’au 31 mars 2023, exiger des personnes de plus de 12 ans la présentation d’un test Covid négatif. Ce sera le seul justificatif accepté: ni certificat de vaccination ni justificatif de rétablissement ne seront valables.

Le texte maintient les systèmes d’information de crise (SI-DEP et Contact Covid) jusqu’au 30 juin 2023.(([5] Les fichiers SI-DEP et Contact Covid maintenus jusqu’au printemps 2023.
Les traitements informatiques SI-DEP et Contact Covid, autorisés par la loi du 11 mai 2020 et plusieurs fois prolongés, sont maintenus jusqu’au 31 mars 2023. Le fichier SI-DEP centralise les résultats des examens de dépistage du Covid-19, permet leur transmission ainsi que les certificats de rétablissement. Le fichier Contact Covid identifie, oriente et accompagne les malades et les cas contacts.
Le gouvernement devra adresser tous les trois mois au Parlement un rapport détaillé de l’utilisation de ces fichiers.))

Malheureusement le parlement n’a pas voulu trancher sur l’avenir des soignants suspendus et a botté en touche.

Ce sera à !a Haute Autorité de santé de décider de l’avenir des soignants vaccino prudents dont on a tellement besoin en ce moment.

Saluons l’abrogation des régimes d’exception qui ont permis l’instauration de restrictions des libertés (confinement, couvre-feu, pass sanitaire et vaccinal…)

Presque toutes ces prétendues mesures sanitaires inutiles qui nous ont été imposées ne pourront plus l’être sans l’accord du parlement ! Il est temps puisque même le Pr Delfraissy, président du conseil scientifique ( ad hoc et secret ), a avoué que confinement et « vaccin » (ce n’est pas un vaccin mais un vacmédicament a-t-il avoué, puis tout récemment « Ce n’est pas le bon vaccin ! Il ne protège pas contre l’infection et la contagion) n’avaient pas été efficaces.

« En cas de réapparition de crise sanitaire, le gouvernement devra négocier une par une avec le Parlement les mesures sanitaires qu’il voudrait imposer », a affirmé le rapporteur LR Philippe Bas.

Maintenant que le bilan catastrophique de toutes ces mesures liberticides ubuesques commence à être connu, il est improbable que le parlement se laisse tromper à nouveau par les enfermistes et leurs prophéties catastrophes destinées à entretenir la peur. Espérons-le et faisons connaître à nos représentants nos choix par mail, rendez-vous, téléphone, etc. en restant en contact proche et répété avec eux pour ne pas compromettre l’avenir.

Les confinements qui nous ont été imposés pendant 128 jours (du 17 mars au 11 mai 2020, du 30 octobre au 15 décembre 2020, puis du 3 avril au 3 mai 2021) n’ont jamais ralenti l’épidémie contrairement aux nombreuses publications de propagande diffusées par les gouvernements et les organismes responsables de leur instauration. Ils n’ont sauvé aucune vie.(([6] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19: COVID Wins
https://www.semanticscholar.org/paper/Lockdowns-and-Closures-vs-COVID-%E2%80%93-19%3A-COVID-Wins-Bhalla/95aeeff82b572458ce69ca46b0b44118206a901b))(([7] Joffe AR. COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink. Front Public Health. 2021 Feb 26;9:625778. doi: 10.3389/fpubh.2021.625778. PMID: 33718322; PMCID: PMC7952324.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33718322/))(([8] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evidentimpacts on the COVID-19 epidemic.
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf))

Les confinements ont été responsables d’innombrables victimes collatérales par défaut de soins, d’un tsunami psychiatrique(([9] Suicide Rise from Lockdowns to Kill More than Coronavirus
https://www.dailymail.co.uk/news/article-8293233/Far-people-Australia-predicted-die-suicide-coronavirus-lockdown.htm)), d’un désastre des apprentissages et de l’enseignement, d’un appauvrissement dramatique des plus précaires, d’une perte de près de 10% de notre PIB, et le « quoi qu’il en coûte » a augmenté de 500 milliards notre dette nationale.

Pass sanitaire et vaccinal ont été instaurés pour forcer la population à se « vacciner » en créant une discrimination inadmissible entre Français dans la vie courante : « On va mettre en place un confinement de fait pour les personnes qui ne se sont pas fait vacciner en limitant l’accès à tout un tas d’endroits… Ça va être primauté aux vaccinés et vie de merde pour les non-vaccinés »(([10] « Un conseiller ministériel promet une “vie de merde pour les non-vaccinés” » [archive], sur valeursactuelles.com, 23 juillet 2021)) rappelant la pensée de Macron : « les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Et donc on va continuer de le faire, jusqu’au bout(([11] https://www.lemonde.fr/politique/article/2022/01/04/les-non-vaccines-j-ai-tres-envie-de-les-emmerder-declare-emmanuel-macron_6108205_823448.html)). C’est ça, la stratégie. ». La CNIL a souligné le manque de données communiquées par le gouvernement pour en évaluer l’efficacité. Mais les données de l’OMS concernant l’évolution des contaminations montrent qu’ils n’ont jamais été efficaces contre la diffusion de la maladie, car partout où ils ont été imposés, ils ont été suivis d’une recrudescence forte des cas.

Cet échec sanitaire massif des pass, dû à l’incapacité des pseudo vaccins(([12] https://reaction19.fr/wp-content/uploads/2021/07/100721-L-injection-genique-anti-Covid-n-est-pas-un-vaccin-Dr-Nicole-Delepine.pdf)) à prévenir les contaminations, a motivé leur abandon dans tous les pays qui les ont imposés.

Le débat parlementaire a exposé l’ignorance des certains élus sur la réalité covid19

En particulier sur l’inefficacité réelle des pseudo vaccins pour protéger les populations : le centriste Philippe Bonnecarrère qui a déploré que le texte ne comporte « plus aucune référence à la vaccination, ce qui est une manière d’adresser une forme de contre-message à nos concitoyens ».

Ou pire encore Véronique Guillotin (RDSE). « Le débat laisse le champ libre aux antivax » qui, comme un ayatollah paraît ignorer que les injections anticovid sont des médicaments expérimentaux et non pas des vaccins, traite les vaccino prudents d’antivax et estime qu’il faut interdire tout débat sur la pseudo vaccination.

Nous lui adresserons les données de l’OMS montrant que les campagnes d’injection ont été suivies d’une forte augmentation des contagions partout dans le monde et sommes à sa disposition comme à celles de tous les élus pour compléter son information.

Et de la mortalité :

Espérons que la connaissance de ces faits avérés dans le monde réel les rende moins dogmatiques à l’avenir !

Mais le désir de compromis avec le pouvoir a fait accepter de fait la prolongation de la suspension des soignants vaccino prudents

Selon les termes de son rapporteur, le Sénat a voulu« créer un chemin vers la réintégration des personnels suspendus ».

Mais certains pro macron, comme la socialiste Marie-Pierre de La Gontrie, ont osé prétendre que « cette réintégration serait totalement choquante ».

Pour montrer son esprit de compromis, le Sénat a accepté de soumettre la décision à l’avis de la HAS en oubliant que cette dernière n’est que la marionnette du gouvernement Macron(([13] https://docteur.nicoledelepine.fr/honte-a-la-has-emanation-du-pouvoir-de-refuser-la-reintegration-des-soignants/))(([14] https://nouveau-monde.ca/les-pleins-pouvoirs-donnes-a-la-has-par-le-nouveau-parlement-temoin-de-son-incroyable-inconscience/)) qui en a nommé la directrice et lui a attribué un salaire exorbitant (>200 000 euros annuels !). Les autres membres du collège de la HAS sont également nommés par le pouvoir. Il n’y a donc aucune indépendance de cette agence. Ses antécédents ne plaident pas en son intégrité comme les affaires vioxx, médiator, dépakine l’ont malheureusement démontré.(([15] Dépakine: l’Etat jugé responsable et condamné à indemniser des fami… | Mediapart par exemple))

On se rappelle que la HAS a justifié toutes les décisions du gouvernement même les plus contraires à la science comme l’utilisation du Remdesevir contre le covid en prétendant « le service médical rendu par VEKLURY (remdesivir) est faible alors qu’elle aurait dû le qualifier de « dangereux » comme l’OMS en déconseillait l’usage(([16] https://www.who.int/news-room/feature-stories/detail/who-recommends-against-the-use-of-remdesivir-in-covid-19-patients)) pour son inefficacité et sa toxicité.

C’est aussi l’HAS qui continue à prétendre contre l’évidence des chiffres de l’OMS que des pseudo vaccins covid seraient « sûrs et efficaces » et permettraient « la limitation de la diffusion de l’épidémie » confirmant qu’il n’y a pas pire aveugle que celui qui refuse de voir(([17] Comment nier en juillet 2022 l’inefficacité des injections géniques et leurs dangers ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([18] https://nouveau-monde.ca/100-tribunaux-saisis-au-penal-par-reaction19-contre-la-vaccination-covid/)). Les plaintes contre les injections en pénal leur feront-elles se poser des questions sur les faits avérés et leur propre responsabilité ?

Sans aucune justification scientifique, les soignants vaccino prudents restent donc ostracisés dans des conditions inhumaines au moment où leur absence entraîne la fermeture de nombreuses urgences (plus de 120)(([19] https://nouveau-monde.ca/pour-resoudre-le-probleme-des-urgences-francois-braun-veut-les-supprimer-la-nuit/)), et de maternité, la diminution d’au moins 20% des interventions chirurgicales programmées et aggrave le nombre de déserts médicaux.

Pendant le même temps, des soignants malades covid19 sont autorisés et même incités à poursuivre les soins auprès des patients. Cette décision est politique pour « punir » (selon l’aveu de Patrick Pelloux l’urgentiste ami du président Hollande) les résistants à l’ukase, et probablement aussi éviter qu’ils soient en contact avec les collègues dans le doute et les patients infantilisés. Bref qu’ils ne puissent pas parler.

Il faut espérer qu’un prochain débat parlementaire mette fin à cette discrimination scandaleuse qui n’existe que dans une infime minorité de pays comme la France et l’Italie. Cette mesure a été récemment condamnée en justice en France(([20] https://www.francesoir.fr/societe-sante/soignante-reintegree-sans-motif-de-conges-me-tarek-koraitem))(([21] https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/soignante-reintegree-il-faut-attaquer-cette-loi-article-par-article-me-ludot)) et en Italie (par le tribunal de Milan le 16 septembre 2021 et plus récemment en Sicile).

Réintégrer les soignants vaccino prudents est urgent, car la persistance de leur discrimination risque de les convaincre de renoncer définitivement à toute activité de soins, éloigne d’autres soignants encore en poste et les incite à démissionner, ou à se mettre en disponibilité, voire abandonne les métiers du soin, et dissuade de nombreux étudiants à se diriger vers cette carrière jadis enthousiasmante.

Battons-nous par tous les moyens légaux pour qu’il leur soit enfin rendu justice.

« Les non-vaccinés sont les héros des deux dernières années, car ils nous ont tous permis d’avoir un groupe témoin dans la grande expérience et de mettre en évidence la carence des vaccins covid. Les non-vaccinés portent de nombreuses cicatrices et blessures de combat, car ce sont les personnes que l’on a essayé de briser mentalement. La guerre contre les non-vaccinés a été perdue et nous devrions tous leur en être très reconnaissants. »(([22] Le producteur de cinéma Del Bigtree : « Les non-vaccinés sont les héros de ces deux dernières années » – La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))

Et informons nos élus de la réalité du terrain, de l’inefficacité démontrée des injections expérimentales, des effets secondaires lourds qui s’accumulent dans le monde injecté, contrastant avec le bon état des populations africaines ayant échappé à la folie de la piqûre et adopté les traitements précoces pour les vrais malades (et non les « cas »).(([23] Balance avantages/risques des injections anti-covid19, au 28 juin 2022 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

ATTENTION À LA PROPAGANDE EN FAVEUR DES INJECTIONS SUR LES ONDES.

SENSIBILISONS AU RISQUE D’INJECTER LES ENFANTS À LA RENTRÉE

Il importe que les parlementaires soient véritablement informés pour éviter que nous retombions dans une folie vaccinale pour un pseudo covid, une bienvenue variole du singe, monkeypox ou plutôt moneypox,, ou tout autre virus utilisable pour faire grossir encore les bénéfices de Big Pharma et les possibilités de contrôle des populations par le pouvoir.

Le certificat européen(([24] Le Certificat COVID numérique de l’UE, outil de fichage à la chinoise des citoyens européens – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) voté au parlement de l’UE et qui pourrait être adopté dans nos assemblées à la rentrée doit nous rendre vigilants. Nous devons rester en alerte.

Il faut absolument épargner nos enfants de ces injections expérimentales à ARNm qui mettent en jeu leur fertilité, leur immunité naturelle et les menacent de nombreuses maladies, cancers, maladies dégénératives, neurologiques, etc.(([25] Les vaccins contre Covid détériorent le système immunitaire et provoquent un syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA) – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

L’absence totale de recul sur ces injections expérimentales -dont les essais ne finiront qu’en 2023 y compris les nouveaux « vaxxins » qu’on fait miroiter pas encore sur le marché – doit faire interdire TOUTE INJECTION CHEZ LES JEUNES 

RAPPELONS QUE LES ENFANTS NE RISQUENT RIEN DU COVID, ET NE LE TRANSMETTENT PAS. AUCUNE RAISON OBJECTIVE DE LES INJECTER

Informons, l’avenir de nos enfants et petits-enfants dépend de nous tous.