« Plus jamais Ça ! » — épisodes 1 à 3

[Sources : Kairos Presse et sentadepuydt.substack.com]

« Plus jamais ça, c’est maintenant et mondial » réalisée par Vera Sharav, rescapée de l’Holocauste qui a vécu 3 ans dans les camps.
5 épisodes qui montrent les parallèles entre la montée du nazisme et le retour du totalitarisme lors de la « gestion » du Covid.
32 témoignages, des survivants ou leurs descendants nous expliquent à quel point les mécanismes de prise de pouvoir par la peur, la propagande et l’exclusion sont similaires.
Cette série est dédicacée au Dr Vladimir Zelenko dont Vera a recueilli les messages pour la postérité.


PLUS JAMAIS épisode 1. « Plus jamais ça » revient à toute vitesse. Des survivants dénoncent le retour de l’impensable…

Des rescapés de l’Holocauste alertent le monde sur les dérives totalitaires actuelles.

Vera Sharav, survivante née en Roumanie, a survécu a trois années dans les camps de concentration.

Mon nom de naissance est Vera Roll. Je suis née en Roumanie. En avril 1937. Et en 1941, nous avons été déportés et enfermés dans un camp de concentration en Ukraine. Mon père y est mort avant mon cinquième anniversaire. Ce n’était pas un camp de la mort, mais un camp de transit. On y mourait de faim. Et la peur d’être sur une liste pour être envoyé dans un camp d’extermination régnait sans cesse et terrorisait tout le monde…

À l’âge de 6 ans, en pleine opération d’évacuation, un acte de défiance fruit de son intuition, lui sauve la vie…

On ne peut pas nier sa propre expérience. J’aimerais que les gens aujourd’hui fassent confiance à leur expérience et à leur intuition, plutôt que d’écouter les autorités…

Sa vie durant, elle luttera contre l’aveuglement et l’indifférence face aux abus des puissants.

J’ai atterri ici en Amérique le 8 janvier 1948. J’ai eu du mal à m’adapter à l’Amérique. En regardant autour de moi ici à New York, tout était beau, tout était glamour. Les gens avaient une bonne vie. Et je me suis demandée : où étaient- ils tous [quand nous avions besoin d’eux] ? Qu’ont-ils fait [pour nous aider] ?

Avec le temps, j’ai appris qu’il y a souvent des événements terribles – y compris des génocides – qui se déroulent en divers endroits du monde, alors que le reste de la planète s’en désintéresse complètement.

Sarah Gross, survivante de l’Holocauste née en Hongrie, dont les deux parents sont morts dans les camps :

Je ne crois pas au Covid. Je n’y crois pas.

J’ai le droit de dire ce que je veux. Oui je perds des amis qui ne le supportent pas. Que puis-je y faire ? C’est comme ça que l’on découvre qui sont nos amis.

Je ne veux pas mourir avec les mêmes sentiments que ceux que j’ai éprouvés sous la botte des nazis. Comment en sommes-nous à nouveau arrivés là? Les gens n’ont-ils rien appris?

Je suis tellement en colère de cette situation !

Dr Vladimir Zelenko, petit-fils de survivants :

Même le concept de traitement précoce était vilipendé. Tout médecin qui s’élevait contre les diktats du gouvernement était immédiatement censuré. J’ai compris que le débat et la vérité n’avait plus d’importance. La seule chose qui comptait c’était le récit officiel que le gouvernement voulait imposer.

Ce qui était important c’était d’administer le bon traitement, au bon moment aux patients. Une méta-analyse a montré une réduction de 85% des hospitalisations et des décès en faisant cela. Pour vous donner une échelle de ce dont on parle: sur 900 000 américains décédés du Covid, on aurait pu éviter à 760 000 d’entre eux, d’aller à l’hôpital et de mourir….

Michael Green, rabbin, Chabad de Westoborough, petit-fils de survivants :

Lorsque la crise Corona, la prétendue pandémie, a commencé, j’ai estimé qu’il était de mon devoir de protester contre chaque aspect des mesures Corona et des politiques de santé publique qui n’étaient pas fondées sur la science, car c’était la justification de l’Holocauste. La science, c’était la justification de la persécution des Juifs par les staliniens, et cela a toujours été une justification du meurtre de masse et de l’exclusion des minorités. C’est pourquoi je voyais la politique du COVID comme une répétition, une sorte de répétition de l’histoire dont nous n’avons jamais tiré de leçon.

Hervé Seligmann, petit-fils de survivants :

Je suis un scientifique qui fait de la recherche biomédicale et qui s’est heurté par hasard à cette question des vaccins Covid…

Au niveau des parallèles, il y a d’abord cette lente succession de lois et d’obligations. C’est de cela que mes grands-parents m’ont parlé…

Cette progression lente à laquelle on assiste …Tout le monde se dit que cela ne peut pas être la même chose, parce qu’il n’y a pas de chambres à gaz. D’abord c’est faux, parce que les injections peuvent être comparables à une chambre à gaz, sous forme de bombe à retardement. Ensuite, il ne faut pas attendre d’en arriver là. Il faut avertir les gens, avant cela, quand les choses sont mises en marche. Quand on dit aux gens de ne pas sortir, de rester à la maison, de ne pas aller dans les bars, ni ici ou là…

Mon grand-père me disait toujours: “Tu verras, ça va revenir”. Il a vraiment vu que dans la société toutes les racines, tous les ingrédients étaient là pour que cela se reproduise.

Une des choses qu’ils avaient testées et pratiquées sur les gens c’est l’euthanasie. Et c’est un dénominateur commun, non seulement l’euthanasie, mais aussi l’eugénisme. On voit ça dans ces deux périodes de l’histoire.

Les gens disaient : “Il y a trop de monde sur la terre”. Cela signifie quoi qu’il y a trop de monde sur la planète? C’est ce qu’ils disent tous aujourd’hui, beaucoup de gens le répètent. Eh bien, c’est exactement l’idée du ‘Lebensraum’, de l’espace vital nécessaire qui était si chère aux nazis…Les Allemands justifiaient leurs conquêtes de nouveaux territoires et l’extermination de leurs habitants par cette idée qu’il leur fallait assurer leur ‘espace vital’.

Les gens me disent : “Tu supposes que les injections vont tuer autant de gens, mais pour l’instant, ce n’est pas ce que l’on voit”. Mais moi je connais des chercheurs qui disent qu’il y a différents lots de production dans les vaccins. Et même si je ne peux le confirmer par moi-même, j’observe par contre des changements périodiques dans le taux de mortalité des injections ou dans le nombre de gens qui meurent.

On en revient à la question des chambres à gaz…Non ce n’est pas la même chose, parce que les chambres à gaz, c’était la solution finale. Mais on peut extrapoler à partir de toutes les choses que l’on voit maintenant, tous les parallèles comme par exemple la surveillance et le contrôle que l’on voit aujourd’hui et qui d’une certaine manière est bien pire qu’à l’époque. Peut-être que ce n’est pas pire dans le niveau de cruauté avec lequel on a tué les gens, mais ce contrôle absolu dépasse l’entendement.

Henny Fischler, survivante née en Belgique, dont les parents sont morts à Auschwitz :

Mon nom est Henny Fischler, je vis en Israël. Je suis née en Belgique, en 1938. Quand j’avais 4 ans, les Allemands sont arrivés en Belgique. Mon père, ma mère, mon frère et moi avons tenté de fuir. Nous avons été attrapés à la frontière française et envoyés à Drancy….

Mes parents sont morts à Auschwitz. Je ne les ai pas connus. Tout ce que j’ai d’eux, c’est cette photo, prise en cellule à Drancy…

Je me suis battue avec mes enfants et mes petits-enfants pour les alerter. Ils ne veulent pas m’écouter. Ils ont peur de la vérité. Je n’arrive pas à expliquer pourquoi ils sont si obstinés à ne pas m’écouter. Ni même à poser des questions, à chercher à comprendre quand je leur envoie des informations de médecins, d’avocats, du Dr Zelenko par exemple. Que dois-je dire ? Vraiment, je ne comprends pas.

Martineke Grossman-Boermeester, petite fille de survivants :

Ces gens doivent être tenus responsables pour ce qu’ils ont fait aux autres. Cela été terrifiant pour beaucoup de monde. C’est très difficile de se dire ‘: “Je me suis trompé” ou “Pourquoi n’ai-je pas posé de questions ?”

Mon grand-père m’a raconté que de ‘bonnes personnes’ ont fait des choses terribles, des personnes dont il n’aurait jamais imaginé qu’elles puissent écouter les Allemands ou plutôt les nazis. C’est terrible de se dire que les gens font des choses atroces en pensant que c’est ok, c’est pour le bien commun.

Il n’y a pas de bien commun.

Edwin Black, historien, chercheur, auteur de “The War Against the Weak” (la guerre contre les faibles) :

On a beaucoup parlé de l’antisémitisme, on a beaucoup parlé des souffrances que les Juifs ont endurées, mais tout cela aurait n’aurait pas eu d’ampleur, sans l’apport d’énergie fourni par cinq corporations.

La première était la Ford Motor Company et son patron, Henry Ford, qui ont répandu cet extraordinaire mensonge selon lequel les Juifs contrôlaient le monde et que les Juifs prévoyaient de s’emparer des militaires, de contrôler les médias et les gouvernements. Il l’a fait bien sûr par le biais de son journal « The Dearborn Independent », et ses idées ont effectivement été diffusées par la Ford Motor Company via ses concessionnaires. Les informations étaient traduites dans de nombreuses langues, y compris en allemand, et Hitler les étudiait intensivement. Grâce à Ford, l’antisémitisme [d’Hitler] a pris une nouvelle dimension. Et cette dimension ne consistait pas seulement à dire que les Juifs étaient différents, et mauvais, mais qu’ils étaient un ennemi qui tentait de détruire la planète et l’humanité.

La deuxième de ces entreprises était General Motors, car bien sûr General Motors a donné aux nazis le moyen à tout faire pour faire la guerre : Le camion OPEL-Blitz a été fabriqué par General Motors pour la Blitzkrieg. Avant cela, l’Allemagne était essentiellement non motorisée. Oui, ils avaient beaucoup de très jolies voitures à l’aspect antique qui circulaient, mais ils n’avaient pas de production de masse. General Motors produisait également des composants indispensables pour les bombardiers JU-88, des moteurs pour les chars, des explosifs pour les mines terrestres et des têtes de torpilles. Sur terre, sur mer et [dans les airs], General Motors a donc été l’arsenal du fascisme et du nazisme, avant d’être celui de la démocratie pour les Alliés. Cela nous oblige à nous confronter au fait qu’il n’y aurait jamais eu d’Holocauste à cheval.

La troisième et la quatrième de ces sociétés étaient, d’une part, la Carnegie Institution, une société de capitaux basée sur la fortune d’Andrew Carnegie, et, d’autre part, la Rockefeller Foundation, qui, ensemble, ont inventé toutes ces absurdités eugénistes selon lesquelles les Juifs étaient une tare génétique, que les Juifs étaient une sorte de bactérie organique qui devait être combattue pour ne pas infecter les générations futures. En fait, la fondation Rockefeller a financé l’assistant qui est finalement allé à Auschwitz pour mener les expériences sur les jumeaux : Josef Mengele.

Adolf Hitler et le chef d’IBM Thomas Watson

Il ne s’agissait pas seulement de ‘promouvoir la science’. Ils ont mis en place les instituts et financé les bourses. Ils étaient là jusqu’au début de la guerre et même après, et ne se sont retirés que lorsque les États-Unis sont entrés en guerre en décembre 1941. Mais à ce moment-là, il était déjà trop tard. Mais le coupable encore plus central à tout cela était International Business Machines, IBM, « l’entreprise de toutes les solutions », qui a offert à Hitler toutes les solutions qu’il souhaitait pour atteindre ses objectifs, même la solution finale, depuis le premier moment le 30 janvier 1933 jusqu’au dernier souffle du Troisième Reich en mai 1945.

Et c’est donc IBM qui a mis au point les cartes perforées personnalisées, les précurseurs de l’ordinateur, et qui a ainsi été en mesure de planifier. IBM a effectivement planifié les six phases de l’holocauste. Car le Troisième Reich ne pouvait marcher qu’aussi vite que la technique le permettait. Et ces phases étaient: 1. l’identification des Juifs, 2. leur exclusion de la société, 3. la confiscation de leurs biens, 4. la ghettoïsation des Juifs, 5 la déportation dans des camps et même 6. l’extermination des Juifs.

C’est IBM qui a développé et créé le programme « Vernichtung durch Arbeit » (extermination par le travail), dans lequel toutes les capacités des Juifs étaient identifiées et comparées aux besoins en main-d’œuvre, et ensuite, bien sûr, il y avait une liste de transfert établie par eux, et les Juifs étaient expédiés dans tous les sens via la liste d’IBM, connue en Allemagne sous le nom de liste Hollerith. S’il n’y avait pas eu ces cinq entreprises, la taille et l’ampleur de l’Holocauste auraient eu un quotient numérique qui n’aurait pas approché les six millions que nous connaissons aujourd’hui. Il existe des musées aux États-Unis qui ne veulent pas aborder le sujet de l’implication des entreprises américaines dans le nazisme.

On le voit, cette série documentaire à beaucoup, beaucoup de choses à nous rappeler…




Plus Jamais, Épisode 2 : La propagande hier et aujourd’hui, les mêmes objectifs et les mêmes stratégies…

Dans ce second épisode, Zelenko y va franco ! Il dénonce les plans d’asservissement, les parallèles entre l’eugénisme, le surhomme et les théories transhumanistes des acteurs du grand reset.

‘Le gouvernement finit le boulot d’Hitler !’ La preuve c’est qu’Israël a l’un des taux de mortalité les plus élevés soi-disant dû au variant Omicron…. Personne d’autre n’est mort d’Omicron, ce variant est contagieux, mais moins dangereux…mais Israël est le pays le plus vacciné, spécialement en terme de nombre de doses par personnes. C’est le pays où il y a le plus de gens ayant reçu 4 doses. Il y a plus de 30 études qui montrent à présent que ces vaccins endommagent le système immunitaire.

Il y a une explosion de cancers atypiques et de gens qui meurent d’infections opportunistes.

Albert Bourla, le CEO de Pfizer, a reçu le prix Genesis, c’est l’équivalent du prix Nobel juif. Il a appelé Israël ‘le laboratoire test du monde’. En réalité, ce qu’il a fait c’est de donner le sida au peuple juif. Ils ont détruit le système immunitaire de la moitié du peuple d’Israël.

Pour avoir dénoncé les mensonges et les malversations de l’industrie pharmaceutique depuis des décennies, Vera nous explique comment elle a immédiatement repéré les différentes fraudes et manipulations exercées sous couvert de réponse à la pandémie. L’utilisation de la peur et de la propagande, les mesures qui ont mené au meurtre par injection (Midazolam, même famille que le Rivotril) de 15 000 personnes âgées dans les maison de repos new yorkaises, les pass sanitaires ou la vaccination des enfants ont été pour elle une confirmation du « retour de l’impensable ».

Vera revient sur le rôle de la « médecine » et de la science dans les premiers meurtres médicalisés des nazis: le programme T4 d’élimination des enfants « inadaptés », et plus tard des handicapés, et des veillards, toutes ces « bouches inutiles à nourrir. »

Juive d’origine hollandaise en Israël, Shirley Maymon se désole face au déni de la population devant le retour des mesures totalitaires. Pourquoi Israël a-t-elle été « le laboratoire » du monde, les premiers cobayes à expérimenter le vaccin? Pourquoi personne n’ose parler des effets secondaires ? Comment le gouvernement qui a pour mission de protéger le peuple juif comme « un père et une mère », a-t-il pu trahir sa population?

Joshua Stylman, petit-fils de survivants qui a grandi dans un cercle de rescapés de l’Holocauste à New York s’est progressivement éveillé à l’idée que les mesures de réponse à la pandémie sortaient du cadre de la démocratie et de la bienveillance, et rappelaient plutôt les débuts du nazisme. En dépit de ses propos mesurés et modérés, il a été victime d’un piège médiatique tendu par un journal mainstream visant à le faire passer pour un extrémiste, négationniste, antisémite. Son récit illustre parfaitement les procédés auxquels se livre la presse de propagande afin d’éliminer tout espace de pensée critique et d’instiguer la haine et la violence.

Dans une école de son quartier les enfants ont du faire un spectacle en chantant « t’es pas vacciné, t’es pas mon ami »…

Une grand-mère partisane qui se battait dans la résistance, un père qui a dû se cacher dans les forêts et la campagne belge, d’autres parents moins fortunés qui ont péri dans les campsc’est en pensant à la bravoure de ses ancêtres que Revital Florman a trouvé le courage de sortir manifester dans les rues en Israël. Une dame qui n’a pas froid aux yeux et qui garde le sourire…

Ce n’est pas un hasard si Mathias Koie Levi Palsvig est psychologue. Son histoire familiale est d’une richesse incroyable, l’histoire de son grand-père est un récit de survie digne d’un film où l’amour et la cruauté se côtoient au pire de l’horreur.

Danois, Russe et Juif, Mathias jeune homme était aux avant-postes de la résistance en novembre 2020 lorsque tout était fermé et que les vikings harcelaient leurs parlementaires jour et nuit pour stopper le vote d’une « loi pandémie ».

Marion Schmidt raconte sa détresse et sa révolte lorsque les camps de concentration ont été interdits aux visiteurs non-vaccinés et lorsqu’on a empêché les travailleurs de ces lieux de mémoire de participer à des manifestations contre les pertes de libertés imposées par le gouvernement allemand. Fidèle à ses convictions et à ce qu’elle estime être un devoir de mémoire, elle s’est néanmoins rebellée!

C’est à nouveau des paroles et une réalité très crues qui nous sont présentées ici, avec une froide lucidité, mais sans pathos. Mais il est par contre réconfortant de se dire que toutes ces personnes gardent espoir en l’humanité, leur engagement en témoigne.




Plus Jamais. Épisode 3 « Lever le voile sur les vrais conspirateurs ».

Comment la dérive génocidaire a-t-elle eu lieu ? Y a-t-il une continuité dans ses acteurs ? Des récits poignants et des réflexions percutantes

Au fur et à mesure que les modèles et les parallèles sont identifiés, nous commençons à voir la continuité des opérations génocidaires par des idéologies utilitaristes et déshumanisantes déguisées en « pseudo-sciences ». L’on retrouve les mêmes puissantes dynasties familiales et les mêmes entreprises derrière les évènements de la seconde Guerre Mondiale et la tentative totalitaire du Grand Reset. Hier comme aujourd’hui, leur manipulation mentale a fait appel aux mêmes techniques de propagande, utilisant des slogans identiques, tels que « c’était nécessaire » ou « il a fallu répondre à l’urgence »…

Un témoignage particulièrement intéressant dans ce 3ème épisode, est celui de d’Isyyes Keidar, un Juif d’origine hongroise qui a grandi en Israël, et dont la grand-mère Myriam Kerpel Nierenstein, a vécu des moments particulièrement difficiles. Au cours de leurs nombreuses conversations, elle a tenté de lui expliquer « comment » les choses ont dérivé. « Pourquoi avez-vous collaboré, pourquoi avez-vous obéi? » Cette question le hantait. Face à son incompréhension, elle cherchait à identifier des éléments de réponse en lui faisant promettre qu’il ne se laisserait jamais duper à son tour.

Voici une réponse intéressante de ma grand-mère…Je ne sais pas si beaucoup de gens le savent, mais les nazis ne se sont jamais présentés comme des personnes négatives, destructrices. Ils se sont présentés comme des gens, comme un parti qui essayait d’améliorer les choses, et c’est ce qu’ils ont enseigné aux gens. Ainsi, lorsque vous étiez emmené dans un ghetto, c’était pour votre propre protection. Quand on vous emmenait dans un camp, on vous disait : « Ah, nous avons du travail pour vous là-bas, de la nourriture et un abri. » Il s’agissait toujours de dire : « Non, en fait, nous vous aidons. Nous voulons vous aider. » Ainsi, tous les Juifs qui sont montés dans les trains, et peu de gens le savent, ont bénéficié d’une fameuse propagande de la part des gens qui les ont convaincus que c’était bon pour eux. Et cela s’est poursuivi jusqu’à la fin. Car ce n’est qu’à la toute fin que les nazis sont devenus vraiment insupportables, ouvertement sadiques.

Au fur et à mesure que des conditions horribles étaient imposées, chaque changement était présenté comme un espoir d’amélioration, alors qu’en réalité il menait au pire. Keidar évoque les heures les plus sombres qu’elle a connues dans le ghetto :

La véritable obscurité, c’est lorsque vous rampez pendant des heures dans les eaux usées des égouts, comme elle le faisait chaque jour, pour aller chercher un demi-pain dans une poubelle à l’extérieur du ghetto.

Dans de telles conditions, la promesse d’un morceau de pain quotidien était facile à accepter…

Jeune femme en bonne santé, sa grand-mère avait participé à de nombreuses « sélections » supervisées par le Dr Mengele, avant d’être envoyée dans différents camps de travail. De quoi avait-il l’air ? Selon les mots de cette femme qui avait échappé à la mort de nombreuses fois :

Il était plutôt ennuyeux. C’était une personne froide, calculatrice, grise. On pourrait dire qu’il était très scientifique. Il se voyait comme un scientifique et on ne pouvait pas dire, quand on le voyait, qu’il ressemblait à cet horrible monstre que tout le monde a voulu dépeindre.

En fait, comme le rappelle Isyyes Keidar il avait juste l’air « neutre », comme tous les scientifiques et experts qui dirigent ces opérations aujourd’hui.

Une anecdote récente illustre aussi comme des notions présentées comme « neutres » et des décisions désignées comme nécessaires ont permis de manipuler l’esprit des gens.

J’étais près de Fribourg, je me promenais dans un village appelé Ebringen. J’ai rencontré ce type, un Allemand, qui s’appelait Claudius. Au fil de la conversation, il s’est passé quelque chose de très étrange. Il a commencé à défendre les raisons de l’Holocauste. Et les mots qu’il a utilisés, que tout le monde doit entendre, la phrase qu’il a utilisée et qu’il a répétée encore et encore, c’est « C’était nécessaire ». Cette phrase magique : « C’est nécessaire. C’est nécessaire. » C’est aussi, d’une certaine manière, ce qui est utilisé en ce moment, sauf qu’il y a un gros virus en cours pour justifier qu’ ‘il faut faire ceci et cela. »

Et donc, pour que tout le monde le sache, cette rhétorique a déjà été utilisée auparavant. Pendant la Seconde Guerre mondiale, on a expliqué à la population locale que tout ce qui se passait était absolument nécessaire parce que les choses devenaient trop importantes, qu’il y avait trop de monde, qu’il y avait toutes sortes de problèmes d’hygiène, etc. Cette attitude n’a donc rien de nouveau. De « c’est nécessaire », on passe à « c’est urgent », puis à « l’état d’urgence » et la force majeure. Telle est la progression. Mais cela commence par « Oh, c’est nécessaire ».

Vera Sharav et Vladimir Zelenko s’en prennent à Klaus Schwab, le vilain caricatural à qui il ne manque qu’un chat pour figurer dans un James Bond. Faut-il s’étonner du fait que le fondateur et président du Forum économique mondial provienne d’une famille d’industriels ayant collaboré avec le régime nazi ? La succursale allemande de l’entreprise Escher-Wyss à Ravensburg, alors dirigée par son père Eugen, avait même été désignée comme une « entreprise modèle du régime national socialiste » par le régime d’Hitler. Après la guerre, la famille a également été impliquée dans le développement d’armes nucléaires.

De toute évidence, les liens entre l’idéologie du surhomme des nazis et l’homme augmenté du transhumanisme prôné par Klaus Schwab dans son « Grand Reset » sont manifestes.

Fils de nazi convaincu, fondateur du forum de Davos et auteur du « Grand reset »

En 2016 Schwab annonçait que dans la prochaine décennie, les implants cérébraux ou cutanés mèneraient à une fusion entre « l’identité physique, numérique et biologique » de l’être humain.

Pour le Dr Zelenko, il faut donc prendre ses « prévisions » au sérieux et par conséquent poser la question qui fâche : comment et pourquoi 7 milliards d’êtres humains se soumettraient-ils spontanément à ce genre de procédure? Ou cela passerait-il par la vaccination?

Les familles eugénistes, toujours à la manœuvre depuis la montée du nazisme.

Un eugénisme « démoniaque » d’une élite délirante auto-proclamée, plutôt que de l’antisémitisme…

Pour le Dr Zelenko :

Le mal de la Seconde Guerre mondiale, qui s’est cristallisé dans la dépravation des massacres nazis, était enraciné dans un concept d’eugénisme. Il était ancré dans le concept de hiérarchie au sein de l’humanité. Il y avait l’übermensch, le mensch et l’üntermensch. Le surhomme, l’humain et le sous-homme. Pourquoi les nazis étaient-ils des surhommes ? Parce qu’ils étaient les descendants d’une sorte de dieu aryen. Qui étaient les humains ? Les Anglo-Saxons. Ils étaient destinés à être réduits en esclavage pour servir les surhommes supérieurs. Et les sous-hommes, dont vous et moi faisons partie, ainsi que les Slaves, les Tziganes, les handicapés et les prisonniers politiques, étaient destinés à être éliminés. Cela n’a pas fonctionné comme ils le souhaitaient, même s’ils ont tué au moins six millions d’entre nous. Mais le concept n’a pas disparu. Il est resté en sommeil pendant quelques décennies et il refait surface aujourd’hui.

Pour être honnête, cette fois, ce n’est pas de l’antisémitisme. Je ne le crois pas – et d’ailleurs beaucoup d’auteurs de ces crimes sont juifs. Ce n’est pas un programme antisémite. Il s’agit d’autre chose. C’est démoniaque, c’est comme le produit de la distillation du mal. Par contre, l’on retrouve aussi qu’il y a une classe de ‘surhommes’, la soi-disant élite auto-proclamée ; disons des personnes qui pensent évoluer à des niveaux de conscience supérieurs – c’est ce qu’elles croient. Moi, je ne pense pas qu’il y ait quoi que ce soit d’évolué chez eux.

Le nouvel ordre mondial n’est pas une évolution de l’humanité. C’est un retour au paganisme, à l’idolâtrie et aux sacrifices d’enfants. Il n’y a rien de nouveau ici. Ils ont juste relooké le concept pour donner un emballage new-age au nouvel ordre mondial. Ils reviennent à un paganisme primitif . Cela vient de refaire surface avec ces dégénérés, je suis à court d’adjectifs pour les qualifier à ce stade, mais ils se sont démasqués et sont prêts à nous sauter dessus.

Fort heureusement, Ina-Maria Raschen a eu la chance d’avoir des parents éveillés qui ont vu la réalité et écrit des pamphlets pour dénoncer le totalitarisme en marche, avant de fuir à temps. Son père avait lu « Mein Kampf » d’Hitler en 1933 et l’avait pris au sérieux. Mais malheureusement, les gens pensent souvent « qu’ils n’iront pas si loin ».

C’est pourquoi, il faut continuer à alerter :

Je ne peux pas me taire et attendre en me disant que je n’agis pas. Je dois dénoncer ce qui se passe. Les Allemands sont tellement… Je ne peux plus les entendre. Ils n’ont rien appris. Et maintenant, la vérité se fait jour. Elle est difficile à accepter. C’est difficile à digérer, mais il est nécessaire que la vérité apparaisse pour que la vie soit meilleure. La guérison a donc commencé. Nous nous battons pour la vérité et nous restons positifs.

L’épisode ce termine avec une note spirituelle venant de Johanna Findeisen, dont le père qui avait perdu toute foi en Dieu et en l’humanité au sortir des camps de concentration, avait finalement pu retrouver la lumière peu avant de mourir.






Un ex-président de Greenpeace : « Le changement climatique, c’est pour effrayer les gens afin de les contrôler et faire de l’argent »

[Source : lemediaen442.fr]

Patrick Albert Moore, ex-président de Greenpeace :

« Quand le changement climatique est apparu pour la première fois comme un problème, j’ai réalisé que nous étions dupés et qu’il s’agissait d’argent… cet argent est fait pour créer des récits qui effraieront les gens… »



La servitude volontaire par la peur

« Tout ce que les dirigeants ont à faire, c’est de dire au peuple qu’ils ont quelque chose à craindre. Pointez du doigt la source de leur peur, et vous pourrez obtenir des humains qu’ils fassent tout ce que vous désirez. Vous pouvez les rendre obéissants. »

Goering, Le Journal de Nuremberg, Gustave Gilbert, 1947

Le marketing de la honte

« Même dans les pays où le régime de confinement était le plus strict, comme en France, les autorités sanitaires insistaient sur la nécessité de passer un peu de temps à l’extérieur chaque jour. […] Cela permettra de créer des liens plus profonds et plus personnels au niveau individuel avec les éléments “macro” que nous avons évoqués plus tôt concernant la préservation de nos écosystèmes et la nécessité de produire et de consommer de manière respectueuse de l’environnement. »

Covid-19 : la grande réinitialisation, Klaus Schwab, Thierry Malleret, 2020 Forum économique mondial

La responsabilisation est la figure moderne de la honte. L’idée du marketing de la honte est de mettre en exergue un prétendu « problème ». Il s’agit  de créer des angoisses, des peurs et des hontes (et non plus un besoin) tout en lui apportant une solution. Le besoin naîtra de lui-même dans la tête du consommateur ! Les marques sont de plus en plus nombreuses à investir dans ce discours de la culpabilité. Elles incitent à se montrer responsable dans chaque acte de consommation courante.

L’utilisation de la culpabilité se multiplie autant dans les campagnes de prévention (campagne 2014 de la sécurité routière « Trop vite, trop tard. On ne regrette de rouler trop vite que quand il est trop tard ») ou de santé publique (« Pour votre santé, évitez de manger trop gras, trop sucré, trop salé ») mais également pour des publicités de produits (« se faire plaisir sans mauvaise conscience » avec la Honda CR-Z Hybrid).

Le marketing de l’écologie

Un exemple : les bouteilles ne sont plus consignées. On  peut toujours taper « bouteilles consignées » sur Service-Public.fr : aucun résultat. Vous n’y êtes pour rien si elles ne sont pas reprises par les commerces, mais si vous les jetez, c’est votre faute. Ça met la planète en danger. En revanche, si vous tapez tri sélectif, vous avez l’embarras du choix. Le ministère de l’écologie vous explique tout en détail : « par exemple, le carton d’emballage de la boîte de biscuits doit être séparé de la barquette en plastique ou du film, avant d’être jeté dans le bac de collecte. »…Les déchets de verre sont à déposer en général au niveau de points d’apport volontaire qui leur sont spécifiques. » Vous remarquerez que les belles bouteilles soigneusement vidées par les amateurs de bon vin, sont déjà  qualifiées de « déchets ».

Suivez l’argent…

Si vous triez les bouteilles (c’est-à-dire si vous les cassez) dans une poubelle spéciale, c’est bien, vous êtes éco-responsable. Tout-à-fait accessoirement l’industrie du verre va prospérer. O-I FRANCE est le principal fabricant de bouteilles en Europe et domine le marché français. Son chiffre d’affaires de 2021 frôlait les 800 millions d’euros. Sa maison mère (actionnaires majoritaires : Fidelity et Vanguard) a réalisé un bénéfice de 6,4 milliards de dollars en 2021. Selon une enquête mondiale menée en 2014 par le groupe marketing Nielsen sur la Responsabilité sociale des entreprises, 52 % des consommateurs dans le monde seraient prêts à payer davantage pour des produits fabriqués par des entreprises engagées sur le plan environnemental et social. Actuellement, la facture d’énergie de la verrerie de Puy-Guillaume représente 20 % des coûts fixes. Est-ce bien éco-responsable ?

Côté plastique, après avoir détruit les petits commerces où on pouvait faire ses courses avec un panier, le gouvernement favorable aux grandes surfaces se rachète une moralité en interdisant les concombres sous cellophane, les poires en barquette, les courgettes en sachet plastique. Tout le reste peut rester emballé (surtout dans les McDo Drive).

On vous laisse sur le refrain qu’entonne la joyeuse bande du prince Charles, Bill Gates & Cie dans les sélects clubs Bilderberg et Davos.




Le Dr Gérard Delépine rappelle les effets nocifs des mesures covidiennes et le manque de résistance des médecins




La justice américaine révèle comment les autorités ont acheté le soutien de l’association des gynécologues obstétriciens pour injecter les femmes enceintes

[Source : pgibertie.com]

Par Maggie Thorp JD et Jim Thorp MD

Le Département américain de la santé et des services sociaux (HHS) a mené une campagne marketing digne du lancement d’une lessive pour promouvoir des produits expérimentaux, mieux elle a acheté les décideurs. C’est ce que révèlent les documents exigés par la justice américaine dans le cadre de la loi sur l’accès à l’information (FOIA).

Le 1er avril 2021, le HHS a officiellement annoncé le lancement d’une propagande des « vaccins » COVID-19 appelée COVID-19 Community Corpsune vaste entreprise de marketing.

Dans le cadre du COVID-19 Community Corps, le HHS a accordé des milliards de dollars fédéraux pour cibler ce que le HHS appelait des « dirigeants communautaires de confiance », la recherche montre que, lorsqu’ils prennent la décision de se faire vacciner, les gens veulent entendre des personnes en qui ils ont confiance, tels que les professionnels de la santé, leur propre famille et leurs amis, avec de nombreuses autres organisations médicales à but non lucratif influentes, l’ACOG a participé à la campagne en tant que membre fondateur de COVID-19 Community Corps 9 — recevant finalement des millions de dollars en subventions HHS/CDC 10 et approuvant plus tard imprudemment la vaccination COVID-19 pendant la grossesse, même si le clinique les essais n’ont pas inclus les femmes enceintes.

Le Collège américain des obstétriciens et gynécologues (ACOG). Fondée en 1951, l’ACOG se présente comme la « première organisation de membres professionnels pour les obstétriciens et les gynécologues » et est la principale organisation représentant les médecins et les spécialistes en soins obstétricaux. 2 L’ACOG est implantée sur deux continents — elle compte plus de 60 000 membres et est composée de 12 districts géographiques composés de 98 sections couvrant l’Amérique du Nord, du Sud et Centrale.

Les études de marché ont eu un impact sur chaque élément de la campagne depuis le début — de la stratégie globale à la publicité payante précoce, aux publications sur les réseaux sociaux et à d’autres stratégies de communication de masse. Le besoin d’interactions interpersonnelles avec les médecins, les ministres, la famille et les membres de la communauté était clair dès l’étude de marché initiale menée à l’automne 2020.

Dans certains cas, comme le rapporte ABC News sur une page désormais supprimée d’Internet, des organisations gouvernementales ont recruté et payé des personnes influentes pour donner leur avis sur la sécurité et/ou l’efficacité des « vaccins » — comme s’il s’agissait de leurs propres opinions indépendantes.

Des études de marketing ont montré que les femmes prendraient 90 % de toutes les décisions de santé concernant leur ménage. 28 Convaincre les femmes de se faire vacciner contre la COVID-19 était presque une garantie qu’elles deviendraient des messagères du « vaccin » pro-COVID-19 au sein de leur propre famille.

Le 1er février 2021, l’ACOG a reçu la première des trois subventions « d’accord de coopération » HHS/CDC accordées pendant la pandémie : 11 millions.

Comme le nom des subventions l’indique — les documents obtenus dans une demande de loi sur la liberté d’information (FOIA) montrent que la réception par l’ACOG de l’argent de la subvention COVID-19 était conditionnée à la pleine conformité de l’ACOG aux directives du CDC sur l’infection et le contrôle du COVID-19.

Et le 23 avril 2021, les directives du CDC sur la « vaccination » COVID-19 pour les femmes enceintes ont été rendues parfaitement claires. Ce jour-là, la directrice du CDC, le Dr Rochelle Walensky, a annoncé lors d’un briefing sur le COVID-19 à la Maison-Blanche que le CDC recommandait désormais à toutes les femmes enceintes de recevoir le « vaccin » COVID-19.

Le 30 juillet 2021, l’ACOG, avec la Society for Maternal Fetal Medicine (SMFM), a commencé imprudemment à approuver la vaccination COVID-19 pendant la grossesse, même si les essais cliniques n’ont pas inclus les femmes enceintes.

L’annonce de l’ACOG du 30 juillet 2021 recommandant fortement la « vaccination » contre le COVID-19 pendant la grossesse était une volte-face brutale par rapport à la position précédente sur la question.

Les archives du site Web montrent que de décembre 2020 au 21 juillet 2021, la recommandation officielle de l’ACOG était de laisser aux femmes enceintes la liberté de choisir, déclarant tout au long du premier semestre 2021 : « Dans l’intérêt de l’autonomie des patients, l’ACOG recommande que les femmes enceintes soient libres de prendre leur propre décision concernant la vaccination contre le COVID-19.

En échange d’argent, l’ACOG a abdiqué sa propre responsabilité médicale, abusant de la confiance des patients vulnérables, pour devenir le porte-parole d’un gouvernement fédéral qui pouvait tirer un profit financier des produits pharmaceutiques prescrits (le gouvernement américain a gagné au moins 400 millions de dollars grâce au vaccin Moderna seul).

Les documents FOIA révèlent l’existence des programmes de subventions suivants entre le CDC et l’ACOG :

  • « Engager les prestataires de soins de santé des femmes pour des conversations efficaces sur le vaccin COVID-19 » 40
  • « Améliorer la capacité des obstétriciens et gynécologues à soutenir la vaccination contre la COVID-19, la santé mentale et le soutien social » 41
  • Un outil de demande de ressources d’urgence ERR », réalisé par un « demandeur » du CDC et nécessaire d’ici le 30 avril 2021 (avant que l’ACOG ne commence à recommander le vaccin COVID-19 pour les femmes enceintes), dans lequel « l’ACOG utilisera le niveau de financement de 300 000 $ pour soutenir ses efforts de réponse à la COVID-19, ciblant les obstétriciens, les autres praticiens de la santé des femmes et les patientes qu’ils desservent. 42
  • Une subvention dans laquelle le géant des communications APCO Worldwide, un fournisseur mondial de communications de santé publique, 43 « soutiendra trois initiatives clés dans le cadre du COVID-19 », notamment

    • Soutenez l’ACOG dans le développement d’une boîte à outils de communication sur les médias sociaux et gagnés sur la COVID-19. 44
    • Organiser une « formation virtuelle pour les membres » pour promouvoir la boîte à outils de communication COVID-19, notamment en organisant une session de formation virtuelle en direct d’une heure et demie pour les membres de l’ACOG afin qu’elle « soit enregistrée afin qu’elle puisse être amplifiée et utilisée par d’autres membres ». 45
    • En partenariat avec l’ACOG, aidez à la production et au lancement d’une série de podcasts COVID-19, en partageant des informations sur la dernière recommandation COVID-19 pour les membres de l’ACOG. 46

  • Une subvention dans laquelle l’ACOG, d’ici le 29 septembre 2023

    • « développer une trousse d’outils COVID-19 pour les gestionnaires de district » et
    • « lancer une campagne payante sur les réseaux sociaux ciblant les zones à faible taux de vaccination et à forte hésitation à la vaccination. » 47

  • Un outil de demande de ressources d’urgence ERR », créé par un « demandeur » du CDC et nécessaire d’ici le 11 mars 2022, qui « poursuivra et élargira le travail effectué au cours des années 1 et 2 de cette collaboration. Au cours de la troisième année, l’ACOG se concentrera sur le développement, la maintenance et la promotion d’outils pour lutter contre la désinformation sur le COVID-19, qui est apparu comme un obstacle important à l’adoption de la vaccination pendant la grossesse. L’ACOG évaluera également lesquels de ses districts et sections ont le plus besoin d’éducation et de sensibilisation supplémentaires et concentrera ses efforts sur ces communautés. 48
  • Un ERR — outil de demande de ressources d’urgence, créé par un « demandeur » du CDC et nécessaire d’ici le 11 mars 2022, pour un deuxième projet PILOT impliquant à la fois l’ American Academy of Pediatrics et l’ACOG, qui note, « les activités liées à l’ACOG entre les deux projets sont complémentaires et non redondants. 49

Même avec les expurgations importantes, les documents FOIA ont révélé des informations surprenantes. Selon les termes et conditions des accords de coopération, l’ACOG doit se conformer pleinement à toutes les directives existantes et futures du HHS concernant le contrôle et la propagation du COVID-19. 50

https://www.americaoutloud.com/foia-reveals-troubling-relationship-between-hhs-cdc-the-american-college-of-obstetricians-and-gynecologists/


Références :




Projet totalitaire et psychose collective

[Source : Anthropo-logiques]






Tuerie de masse et médicaments psychiatriques

[Source : reseauinternational.net]

Par Mike Whitney

Voici quelques courts extraits de l’excellent article de A Midwestern Doctor publié sur Substack et intitulé « Les décennies de preuves que les antidépresseurs provoquent des tueries de masse ». Je recommande vivement à toute personne intéressée par le sujet de lire l’article dans son intégralité. Tous les extraits ci-dessous sont tirés de l’article.

Dans les années 1990, les fusillades dans les écoles sont passées d’une situation très rare à un aspect fréquent de la vie américaine. Cette période coïncidant avec l’arrivée des ISRS (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) sur le marché américain, de nombreux articles ont évalué le lien entre les tueries de masse et les médicaments psychiatriques. Je citerai l’un des résumés les plus complets (écrit en 2013) qui tente d’analyser toutes les fusillades de masse connues :

Eric Harris, 17 ans (d’abord sous Zoloft puis Luvox) et Dylan Klebold, 18 ans (fusillade de l’école Columbine à Littleton, Colorado), ont tué 12 élèves et un enseignant et en ont blessé 23 autres, avant de se suicider. Le dossier médical de Klebold n’a jamais été rendu public.

Jeff Weise, âgé de 16 ans, s’était vu prescrire 60 mg/jour de Prozac (trois fois la dose initiale moyenne pour les adultes !) lorsqu’il a abattu son grand-père, la petite amie de son grand-père et de nombreux camarades de classe à Red Lake, dans le Minnesota. Il s’est ensuite tiré une balle. Dix morts, 12 blessés.

Cory Baadsgaard, 16 ans, lycée de Wahluke (État de Washington), prenait du Paxil (qui lui donnait des hallucinations) lorsqu’il a pris un fusil dans son lycée et pris en otage 23 camarades de classe. Il n’a aucun souvenir de l’événement.

Christopher Pittman, 12 ans, a assassiné ses deux grands-parents alors qu’il prenait du Zoloft.

Kip Kinkel, 15 ans, (sous Prozac et Ritaline) a tiré sur ses parents pendant leur sommeil, puis est allé à l’école et a ouvert le feu, tuant deux camarades de classe et en blessant 22, peu de temps après avoir commencé un traitement au Prozac.

(Note : L’auteur donne de nombreux autres exemples que je ne citerai pas ici pour des raisons de longueur).

Dans le cas de la récente fusillade de l’école Audrey Hale, l’attention s’est surtout portée sur le fait que le tireur prenait vraisemblablement de la testostérone, car celle-ci peut déclencher l’agressivité. Bien que, comme beaucoup d’autres choses, cela puisse expliquer ce qui s’est passé, dans les rapports que j’ai trouvés où la testostérone a conduit à un comportement homicide, il fallait qu’une maladie psychiatrique préexistante (qui serait généralement traitée avec un médicament psychiatrique induisant la violence) soit également présente. Étant donné qu’un lien clair a déjà été établi avec les médicaments psychiatriques provoquant ce comportement (et d’après les antécédents du tireur, il est probable que certains lui avaient été prescrits), je suggérerais que, jusqu’à ce que davantage d’informations soient connues, le médicament psychiatrique standard contre la violence est une explication plus probable pour les récents événements tragiques. (…)

Comment ces médicaments ont-ils pu être approuvés et maintenus sur le marché ?

Dans la série précédente sur la corruption (avérée) de la réponse au COVID-19, j’ai essayé de montrer que la conduite du gouvernement fédéral était plus que flagrante et qu’il suivait un cahier des charges corrompu très similaire qui existait bien avant le COVID-19. Les vaccins et le Prozac (et leurs versions ultérieures) n’auraient jamais dû être approuvés, mais ils l’ont été grâce à un réseau de corruption incestueux et méticuleusement tissé jusqu’au plus haut niveau du gouvernement fédéral. (…)

L’objectif premier de l’industrie pharmaceutique est de créer des marchés pour des médicaments coûteux qui seront consommés indéfiniment par la majorité de la population. Les médicaments psychiatriques et les vaccins COVID-19 représentent deux des réalisations les plus lucratives de ces objectifs commerciaux. Je pense que le potentiel de profit extrême qu’ils représentent a incité et permis à leurs fabricants pharmaceutiques d’éliminer tous les obstacles réglementaires à l’adoption généralisée de ces médicaments. (…)

Avant les vaccinations Covid, les médicaments psychiatriques étaient les médicaments prescrits en masse qui présentaient le pire rapport risque-bénéfice sur le marché. (…) Il existe un large éventail de complications graves qui résultent généralement des médicaments psychiatriques. (…) L’adoption généralisée de médicaments psychotropes a déformé la cognition de la population du pays qui les utilise fréquemment (…) et a créé un large éventail de changements préjudiciables dans notre société. (…)

Dès l’arrivée du premier ISRS sur le marché en 1988, le Prozac s’est rapidement distingué comme un médicament particulièrement dangereux. Neuf ans plus tard, la FDA a reçu 39 000 rapports d’effets indésirables concernant le Prozac, un nombre bien plus élevé que pour n’importe quel autre médicament. Il s’agit notamment de centaines de suicides, de crimes violents atroces, d’hostilité et d’agression, de psychose, de confusion, de distorsion de la pensée, de convulsions, d’amnésie et de dysfonctionnement sexuel. (…)

Eric Harris et Dylan Klebold

Les homicides liés aux ISRS (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) sont fréquents, et il existe un site web qui a compilé des milliers et des milliers de cas documentés. Pour autant que je sache (…), dans tous les cas où une fusillade a eu lieu dans une école et où il a été possible de connaître les antécédents médicaux du tireur, ce dernier prenait un médicament psychiatrique connu pour provoquer ces changements de comportement. Après chaque tuerie de masse, des mèmes illustrant ce sujet circulent généralement en ligne, et les récents événements au Texas (…) ne font pas exception. (…)

Les médicaments psychiatriques posent de nombreux problèmes sérieux (…) cet article se concentrera exclusivement sur leur tendance à provoquer d’horribles crimes violents. Les entreprises pharmaceutiques et la FDA le savaient bien avant qu’ils ne soient mis sur le marché. (…)

Enfin, pour tous ceux qui lisent cet article et qui prennent actuellement un ISRS ou un ISRSN, il est extrêmement important de NE PAS arrêter brusquement leur traitement. Ces médicaments qui créent une dépendance produisent des symptômes de sevrage très forts, et il existe de nombreux cas d’événements catastrophiques qui ont suivi l’arrêt brutal d’un ISRS. Si vous souhaitez le faire, vous devez réduire progressivement la dose avec un médecin qui a de l’expérience dans ce domaine. (…)

Les réactions psychotiques violentes aux ISRS peuvent se manifester par des suicides et des homicides. De nombreux documents attestent de l’existence de suicides dus aux ISRS et, bien que la profession psychiatrique utilise encore une litanie infinie d’excuses pour nier que cela se produise, de nombreux antidépresseurs font désormais l’objet d’un avertissement dans la boîte noire de la FDA concernant l’apparition de suicides. Les effets secondaires des ISRS ont été définitivement connus dès les premiers essais cliniques (qui ont bien sûr été cachés à tout le monde) et une montagne de preuves prouvant que ce phénomène se produit régulièrement s’est accumulée depuis que ces médicaments ont été mis sur le marché. (…)

Comme nous l’avons vu avec les vaccins, pratiquement aucun coût social ne peut empêcher un produit pharmaceutique lucratif d’être mis sur le marché.

source : The Unz Review

traduction Réseau International




L’association AMETIST pour les enfants cancéreux continue à se battre pour les soins individualisés

[Source : association.ametist.org]

Message de Line Turco la présidente et le Bureau

Le 15 mai 2023 Mme, Mademoiselle, Monsieur, chers amis, chers parents, chers adhérents,

Retrouver la liberté de soigner et d’être soigné et informé pour le traitement des cancers de l’enfant et l’adolescent.

Protéger les enfants cancéreux des campagnes de vaccination anti covid, anti papillomavirus (Gardasil) et des graves atteintes à leur développement en refusant la propagande de la dite « éducation sexuelle » qui met en danger leur avenir par effraction cérébrale et leurs capacités de résistance au cancer ou autres maladies chroniques.

Rendre aux parents leur rôle majeur de protection de leurs enfants et donc des choix thérapeutiques et éducationnels.

Depuis notre dernier courrier, les membres d’AMETIST ne sont pas restés inactifs.

Les membres  disponibles se sont réunis en direct, pour se retrouver entre humains en chair et en os. Ils ont poursuivi nos combats communs en informant directement ou par mail et/ou téléphone les parents en déshérence, ne sachant plus à qui s’adresser. Avec la disparition progressive du corps médical ouvert, ces parents « perdus » se sont multipliés.

Comme les années précédentes, nous avons dû adresser quelques patients à l’étranger pour avoir d’autres avis thérapeutiques, éviter une amputation et/ou abandon et euthanasie.

Mme Line Patras, notre présidente depuis 2019, a continué à répondre aux sollicitations des familles ainsi que notre trésorière et médecins conseillers fort scandalisés par la publicité médiatique sur le covid et sur le Gardasil après les annonces retentissantes du président de la République en mars 2023 pour vacciner toutes les [élèves de] cinquième de collège.

Le combat que mène AMETIST depuis sa création en 1990 pour la liberté de soigner en oncologie pédiatrique est malheureusement de plus en plus d’actualité dans davantage de spécialités médicales et il est impératif de l’expliquer.  Le monopole de traitement instauré par les plans cancer successifs (depuis 2003) rend encore plus difficile pour les médecins de choisir pour leur patient un traitement individualisé en fonction des données actuelles de la science et pour les malades d’obtenir un véritable choix entre les schémas qui ont fait leurs preuves dans le monde réel et les traitements expérimentaux et les nouvelles molécules hors de prix.

Les établissements et les médecins sont soumis aux ukases des agences régionales de santé dont le pouvoir s’est durci depuis 2009. Certains praticiens compétents et expérimentés se voient interdits d’opérer les enfants ou de les traiter par radiothérapie alors que c’était leur pratique quotidienne depuis de nombreuses années. S’en suivent des pertes de chances en chirurgie conservatrice, comme en chimiothérapie.

Les autorisations s’imposent à tous les établissements, publics ou privés, conventionnés ou non .Cette autorisation ne s’obtient que s’ils appliquent chez la majorité des malades les « protocoles » imposés par l’institut du cancer, des essais thérapeutiques pour l’essentiel. Les interdictions d’opérer des sarcomes hors de quelques centres agréés s’étendent aux adultes depuis quelques mois. IL N’EXISTE PLUS DE MÉDECINE LIBRE EN FRANCE.

« Quel drame de savoir que des possibilités existent et de ne pas y avoir accès alors que les résultats sont là des décennies plus tard sous forme de témoignages d’anciens patients ayant à l’époque pu échapper au chemin tracé imposé. Ils ont pu sauver leur membre et leur vie grâce à des traitements de haut niveau adaptés de très près à chacun ».

On nous impose de ne plus traiter des malades mais des maladies.

Les médecins ont de moins en moins le droit de choisir le traitement le plus efficace pour chaque malade, le conseil de l’ordre poursuivant de plus en plus ceux qui ne suivent pas rigoureusement la doxa gouvernementale. Notre combat est plus que jamais nécessaire afin que chaque médecin dans toute structure puisse avoir la liberté d’utiliser des traitements éprouvés publiés si c’est le choix éclairé des parents.

Les conséquences des injections anti-covid forcées se dévoilent dans toute leur horreur et en particulier des turbocancers, d’où de nombreux questionnements des familles.

Grâce à un gros don ciblé d’une bénévole bretonne, nous avons distribué le livre « les enfants sacrifiés du covid », Ed FauveS, de G et N Delépine, à de nombreux députés et sénateurs, et élus, par courrier en juillet 2022 et par rencontre directe avec d’autres membres de l’association dans diverses régions de France, le livre permettant d’amorcer le dialogue. Certains élus ont été à l’écoute et réceptifs à ces informations.

Sur les plans administratif et judiciaire, l’association se bat en France et en Europe pour faire valoir les droits des patients et des médecins.

Ainsi, AMETIST continue à se battre pour que les enfants soient soignés en fonction des progrès réels, prouvés de la science et protégés des agressions physiques et psychologiques imposées par la bureaucratie. Nous continuons inlassablement à informer à travers les différentes conférences et réponses individuelles par mail ou téléphone ou posées à travers les sites (https://association.ametist.org/ mail :  lt4@live.fr

Nous avons besoin de vous, de votre mobilisation et/ou de votre soutien physique et/ou financier. Soutenez-nous en adhérant à l’association, en la faisant connaître, en nous donnant les moyens de faire les recours juridiques qui feront bouger les choses, et d’aider les familles dont les enfants sont touchés à trouver des solutions pour avoir droit aux traitements les meilleurs y compris à l’étranger.


Pour aider AMETIST :
https://association.ametist.org/lassociation-ametist-pour-les-enfants-cancereux-continue-a-se-battre-pour-les-soins-individualises/




Discours d’André Malraux sur Jeanne d’Arc

[Source : malraux.org]

André Malraux : « Discours d’Orléans, 8 mai 1961 »

Texte publié sur malraux.org avec l’aimable autorisation de Madame Florence Malraux.

DISCOURS prononcé par Monsieur André Malraux, Ministre d’État, à l’occasion des fêtes de Jeanne d’Arc, le 8 mai 1961 à Orléans1


Le Gouvernement a souhaité qu’aujourd’hui son représentant ne prenne la parole que pour un hommage à la seule figure de notre histoire sur laquelle se soit faite l’unanimité du respect.

La fidélité qu’Orléans, Orléans seule, lui a témoignée à travers les siècles, a fait oublier que Jeanne d’Arc est l’objet d’une aventure unique : la tardive découverte de sa personne n’affaiblit pas sa légende, elle lui donne son suprême éclat. Pour la France et pour le monde, la petite sœur de saint Georges devint Jeanne vivante par les textes du procès de réhabilitation : par ses réponses de Rouen, par le rougeoiement sanglant du bûcher.

Nous savons aujourd’hui qu’à Chinon, ici même, à Reims, à la guerre, et même à Rouen, sauf pendant une seule et atroce journée, elle est une âme invulnérable. Ce qui vient d’abord de ce qu’elle ne se tient que pour la mandataire de ses voix : « Sans la grâce de Dieu, je ne saurais rien faire ». On connaît la sublime cantilène de ses témoignages de Rouen :

« La première fois, j’eus grand-peur. La voix vint à midi ; c’était l’été, au fond du jardin de mon père… après l’avoir entendue trois fois, je compris que c’était la voix d’un ange… Elle était belle, douce et humble ; et elle me racontait la grande pitié qui était au royaume de France… Je dis que j’étais une pauvre fille qui ne savait ni aller à cheval ni faire la guerre… Mais la voix disait : “Va, fille de Dieu”… »

Certes, Jeanne est fémininement humaine. Elle n’en montre pas moins, quand il le faut, une incomparable autorité. Les capitaines sont exaspérés par « cette péronnelle qui veut leur enseigner la guerre ». La guerre ? Les batailles qu’ils perdaient et qu’elle gagne… Qu’ils l’aiment ou la haïssent, ils retrouvent dans son langage le « Dieu le veut » des Croisades. Cette fille de dix-sept ans, comment la comprendrions-nous si nous n’entendions pas, sous sa merveilleuse simplicité, l’accent incorruptible avec lequel les Prophètes tendaient vers les rois d’Orient leurs mains menaçantes, et leurs mains consolantes, vers la grande pitié du royaume d’Israël ? Avant le temps des combats, on lui demande :

« Si Dieu veut le départ des Anglais, qu’a-t-il besoin de vos soldats ? »

– « Les gens de guerre combattront, et Dieu donnera la victoire. »

Ni saint Bernard ni Saint Louis n’eussent mieux répondu.

Mais ils portaient en eux la chrétienté, non la France.

Et à Rouen, seule devant les deux questions meurtrières :

« Jeanne, êtes-vous en état de grâce ? »

– « Si je n’y suis, Dieu veuille m’y mettre ; si j’y suis, Dieu veuille m’y tenir ! » Et surtout la réponse illustre :

« Jeanne, lorsque saint Michel vous apparût, était-il nu ? »

– « Croyez-vous Dieu si pauvre qu’il ne puisse vêtir ses anges ? »

Lorsqu’on l’interroge sur sa soumission à l’Église militante, elle répond, troublée, mais non hésitante : « Oui, mais Dieu premier servi ! » Nulle phrase ne la peint davantage. En face du dauphin, des prélats ou des hommes d’armes, elle écarte le secondaire, combat pour l’essentiel. Depuis que le monde est monde, c’est le génie même de l’action. Et sans doute lui doit-elle ses succès militaires. Dunois dit qu’elle disposait à merveille des troupes et surtout l’artillerie, ce qui était peut-être plus surprenant que difficile. Car les Anglais devaient moins leurs victoires à l’intelligence très réelle, mais élémentaire de leur tactique, qu’à l’absence de toute tactique française, à la folle comédie à laquelle Jeanne semble avoir mis fin. Les batailles de ce temps étaient très lourdes pour les vaincus ; nous oublions trop que l’écrasement de l’armée anglaise à Patay fut de même nature que celui de l’armée française à Azincourt. Et le témoignage du duc d’Alençon interdit que l’on retire à Jeanne d’art la victoire de Patay, puisque sans elle, l’armée française se fût divisée avant le combat, et puisqu’elle seule la rassembla…

C’était en 1429 — le 18 juin.

« Avant tout, dit le Général de Gaulle, elle rétablit la confiance. » Dans ce monde où Ysabeau de Bavière avait signé à Troyes la mort de la France en notant seulement sur son journal l’achat d’une nouvelle volière, dans ce monde où le dauphin doutait d’être dauphin, la France d’être la France, l’armée d’être une armée, elle refit l’armée, le roi, la France. Il n’y avait plus rien : soudain, il y eut l’espoir — et, ici même, par elle, les premières victoires, qui rétablirent l’armée. Puis — par elle, contre presque tous les chefs militaires —, le sacre, qui rétablit le roi. Parce que le sacre était pour elle la résurrection de la France, et qu’elle portait la France en elle de la même façon qu’elle portait sa foi.

Après le sacre, elle est écartée, et commence la série de vains combats qui la mèneraient à Compiègne pour rien, si ce n’était pour devenir la première martyre de la France. Nous connaissons tous son supplice. Mais les mêmes textes qui peu à peu dégagent d’une nuit étoilée de fleurs de lys son image véritable, son rêve, ses pleurs, l’efficace et fraternelle autorité qu’elle partage avec les fondatrices d’ordres religieux, ces mêmes textes dégagent aussi, de son supplice, deux des moments les plus pathétiques de l’histoire de la douleur.

Le premier est la signature de l’acte d’adjuration — qui reste d’ailleurs mystérieux. La comparaison du court texte français avec le très long texte latin qu’on lui faisait signer proclamait l’imposture. Elle signe d’une sorte de rond bien qu’elle ait appris à signer Jeanne. « Signez d’une croix. » Or, il avait été convenu entre elle et les chefs de guerre dudauphin que tous les textes de mensonge, tous les textes imposés, auxquels leurs destinataires ne devaient pas ajouter foi, seraient marqués d’une croix. Alors, devant cet ordre qui semblait dicté par Dieu même pour délivrer sa mémoire de ceux qui tenaient son corps en leur pouvoir, elle traça la croix de jadis, en éclatant d’un rire insensé…

Le second moment est sans doute celui de sa plus affreuse épreuve. Si, tout au long du procès, elle s’en remit à Dieu, elle semble avoir eu, à maintes reprises, la certitude qu’elle serait délivrée. Et peut-être, à la dernière minute, espéra-t-elle qu’elle le serait sur le bûcher. Car la victoire du feu pouvait être la preuve qu’elle avait été trompée. Elle attendait, un crucifix fait de deux bouts de bois par un soldat anglais, posé sur sa poitrine, le crucifix de l’église voisine élevé en face de son visage au-dessus des premières fumées. (Car nul n’avait osé refuser la croix à cette hérétique et à cette relapse…) Et la première flamme vint, et avec elle le cri atroce qui allait faire écho, dans tous les cœurs chrétiens, a cri de la Vierge lorsqu’elle vit monter la croix du Christ sur le ciel livide.

Après quoi, Jeanne ne prononça plus qu’un mot : Jésus.

Alors, depuis ce qui avait été la forêt de Brocéliande jusqu’aux cimetières de Terre-Sainte, la vieille chevalerie morte se leva dans ses tombes. Dans le silence de la nuit funèbre, écartant les mains jointes de leurs gisants de pierre, les preux de la Table Ronde et les compagnons de Saint Louis, les premiers combattants tombés à la prise de Jérusalem et les derniers fidèles du petit Roi Lépreux, toute l’assemblée des rêves de la chrétienté regardait, de ses yeux d’ombre, monter les flammes qui allaient traverser les siècles, vers cette forme enfin immobile, qui était devenue le corps brûlé de la chevalerie.

« Comment vous parlaient vos voix ? », lui avait-on demandé quand elle était vivante. « Elles me disaient : va, fille de Dieu, va, fille au grand cœur… » Ce pauvre cœur qui avait battu pour la France comme jamais cœur ne battit, on le retrouva dans les cendres, que le bourreau ne put ou s’osa ranimer. Et l’on décida de le jeter à la Seine, « afin que nul n’en fît des reliques ».

Car ce n’est pas seulement à Orléans, c’est dans la plupart des villes qu’elle avait délivrées qu’elle demeurait présente. Il était plus facile de la brûler que de l’arracher de l’âme de la France. Au temps où le roi l’abandonnait, les villes faisaient des processions pour sa délivrance. Puis le royaume, peu à peu, se rétablit. Rouen fut enfin reprise. Et Charles VII, qui ne se souciait pas d’avoir été sacré grâce à une sorcière, ordonna le procès de réhabilitation.

À Notre-Dame de Paris, la mère de Jeanne, petite forme de deuil terrifiée dans l’immense nef, vient présenter le rescrit par lequel le pape autorise la révision. Autour d’elle, ceux de Domrémy qui ont pu venir, et ceux de Vaucouleurs, de Chinon, d’Orléans, de Reins, de Compiègne… Tout le passé revient avec cette voix que le chroniqueur appelle une lugubre plainte :

« Bien que ma fille n’ait pensé, ni ourdi, ni rien fait qui ne fût selon la foi, des gens qui lui voulaient du mal lui imputèrent mensongèrement nombre de crimes. Ils la condamnèrent iniquement et… »

La voix désespérée se brise. Alors, Paris, qui ne se souvient plus d’avoir jamais été bourguignonne, Paris redevenue soudain la ville de Saint Louis, pleure avec ceux de Domrémy et de Vaucouleurs, et le rappel du bûcher se perd dans l’immense rumeur de sanglots qui monte au-dessus de la pauvre forme noire.

L’enquête commence.

Oublions, ah ! oublions le passage sinistre de ses juges comblés d’honneur, et qui ne se souviennent de rien. D’autres se souviennent. Long cortège, qui sort de la vieillesse comme on sort de la nuit… Un quart de siècle a passé. Les pages de Jeanne sont des homes mûrs ; ses compagnons de guerre, son confesseur ont les cheveux blancs. Ici débute, non le mythe, mais la mystérieuse justice que l’humanité porte au plus secret de son cœur.

Cette fille, tous l’avaient connue, ou rencontrée, pendant un an. Et ils ont eux aussi oublié beaucoup de choses, mais non la trace qu’elle a laissée en eux. Le duc d’Alençon l’a vue une nuit s’habiller, quand, avec beaucoup d’autres, ils couchaient sur la paille :

« Elle était belle, dit-il, mais nul n’eût osé la désirer. » Devant le scribe attentif et respectueux, le chef de guerre tristement vainqueur se souvient de cette minute, il y a vingt-sept ans, dans la lumière lunaire… Il se souvient aussi de la première blessure de Jeanne. Elle avait dit : « Demain, mon sang coulera, au-dessus du sein. » Il revoit la flèche transperçant l’épaule. Sortant du dos, Jeanne continuant le combat jusqu’au soir, emportant enfin la bastille des Tourelles… Revoit-il le sacre ? Avait-elle cru faire sacrer Saint Louis ? Hélas ! mais, pour tous les témoins, elle est la patronne du temps où les hommes ont vécu selon leurs rêves et selon leur cœur, et depuis le duc jusqu’au confesseur et à l’écuyer, tous parlent d’elle comme les Rois Mages, rentrés dans leurs royaumes, avaient parlé d’une étoile disparue…

De ces centaines de survivants interrogés, depuis Hauviette de Domrémy jusqu’à Dunois, se lève une présence familière et pourtant unique, joie et courage, Notre-Dame la France avec son cocher tout bruissant des oiseaux du surnaturel. Et lorsque le XIXsiècle retrouvera ce nostalgique reportage du temps disparu, commencera, des années avant la béatification, la surprenante aventure : bien qu’elle symbolise la patrie, Jeanne d’Arc, en devenant vivante, accède à l’universalité. Pour les protestants, elle est la plus célèbre figure de notre histoire avec Napoléon ; pour les catholiques, elle sera la plus célèbre sainte française.

Lors de l’inauguration de Brasilia, il y a quatre ans, les enfants représentèrent quelques scènes de l’histoire de France. Apparut Jeanne d’Arc, une petite fille de quinze ans sur un joli bûcher de feu de Bengale, avec sa bannière, un grand bouclier tricolore et un bonnet phrygien. J’imaginais, devant cette petite République, le sourire bouleversé de Michelet ou de Victor Hugo. Dans le grand bruit de forge où se forgeait la ville, Jeanne et la République étaient toutes deux la France, parce qu’elles étaient toutes deux l’incarnation de l’éternel appel à la justice. Comme les déesses antiques, comme toutes les figures qui leur ont succédé, Jeanne incarne et magnifie désormais les grands rêves contradictoires des hommes. Sa touchante image tricolore au pied des gratte-ciel où venaient se percher les rapaces, c’était la sainte de bois dressée sur les routes où les tombes des chevaliers français voisinent avec celles des soldats de l’An II…


Chronologie :

1346

Bataille de Crécy. Edouard III d’Angleterre écrase les troupes royales françaises beaucoup plus nombreuses, mais gravement divisées.

Les historiens s’entendent généralement pour situer le début de la guerre de Cent Ans en 1337 quand Edouard III renie l’hommage qu’il doit au roi de France Philippe VI puisqu’il est duc d’Aquitaine. Edouard III revendique la couronne de France en sa qualité de petit-fils de Philippe V le Bel par sa mère, alors que Philippe VI est le neveu de Philippe le Bel, dernier des Capétiens directs. Philippe VI est le premier roi de la dynastie des Valois.

1392

Charles VI sombre dans la démence. Une régence n’est pas possible du fait des retours intermittents du roi à la raison. Les intrigues se multiplient ; la reine, Ysabeau de Bavière, adopte un comportement politiquement irresponsable.

1403

Naissance de Charles, fils de Charles VI et de la reine Isabeau.

1407

Assassinat de Louis d’Orléans, frère cadet de Charles VI et père de Jean Dunois, dit « le Bâtard d’Orléans » qu’il a eu avec sa maîtresse Mariette d’Enghien en 1403. Dunois est donc le cousin du futur Charles VII.

Cet assassinat, perpétré sur l’ordre de Jean sans Peur, duc de Bourgogne, entraîne la guerre civile entre les Bourguignons et les partisans des Orléans (les Armagnacs).

1412

5 ou 6 janvier : naissance de Jeanne à Domrémy (enclave du royaume de France dans le duché de Lorraine, dépendant du Saint-Empire).

1415

Bataille d’Azincourt. Grande victoire de Henri V et des archers anglais sur les troupes françaises plus nombreuses mais armées médiocrement. Commandant les troupes françaises, Charles d’Orléans, fils légitime de Louis, est fait prisonnier par les Anglais. Il ne sera libéré qu’en 1440.

Cette année-là, le Concile de Constance (1414-1418), qui mit fin au Grand Schisme d’Occident, condamna Jean Huss au bûcher pour cause de non-soumission à l’autorité du pape ou du concile. Il était notamment coupable de ne se référer qu’à Dieu et de se passer absolument de la médiation de l’Église, du pape, de ses prêtres et de ses clercs (« L’Église militante »).

1418

À 15 ans, Charles devient Dauphin, à la mort de son frère aîné Jean. Paris passant sous contrôle bourguignon, Charles parvient à atteindre Melun puis Bourges où il installe ses partisans qui le reconnaissent Régent de France.

1419

Assassinat de Jean Ier sans Peur, duc de Bourgogne, par des Armagnacs. Philippe III le Bon, nouveau duc de Bourgogne, se rallie aux Anglais.

1420

Traité de Troyes (21 mai). Isabeau de Bavière signe ce traité avec Henri V et contre le Dauphin. Le roi d’Angleterre reçoit en mariage la fille de Charles VI, Catherine de France. Le traité reconnaît Henri V comme héritier du trône de France et déclare bâtard le Dauphin Charles. Henri V est chargé de la régence en attendant la mort de Charles VI. — L’une des passions d’Isabeau consistait à s’entourer de volières qu’elle achetait fréquemment.

Le 1er décembre, Charles VI et son gendre (le fils de Henri V) entrent solennellement dans Paris.

1422

Mort de Henri V d’Angleterre (31 août) puis de Charles VI (21 octobre). Avènement de Henri VI qui a moins d’une année. La régence anglaise est assurée par le duc de Bedford, oncle du nouveau roi. Le 30 octobre, à Bourges, Charles VII est proclamé roi de France.

Naissance d’Agnès Sorel qui deviendra la maîtresse de Charles VII de 1444 à sa mort en 1450.

1425

Jeanne a 13 ans. Elle entend des voix célestes au fond du jardin de son père (l’archange saint Michel, sainte Catherine d’Alexandrie et sainte Marguerite d’Antioche). Plus loin on aperçoit le « Bois-Chenu » à l’orée duquel se trouve « l’arbre aux fées » (un hêtre impressionnant) et la fontaine guérisseuse.

1428

23-24 octobre : début du siège d’Orléans par les troupes anglaises. Elles construisent neuf bastilles qui encerclent la ville, dont le fort des Tourelles qui tient d’unique pont sur la Loire.

Mi-mai : Jeanne tente en vain de convaincre le capitaine de Vaucouleurs, Robert de Baudricourt, resté fidèle au roi de France, de la conduire auprès de Charles VII. (Domrémy est terre de Vaucouleurs.)

1429

Février. À la troisième visite de Jeanne, Vaucouleurs accède à sa demande. La jeune fille a 17 ans.

12 février : Journée des Harengs, bataille de Rouvray. Les chefs français se disputant, ils manquent leur attaque d’un grand contingent anglais accompagnant un convoi de harengs (c’est le carême) destiné au ravitaillement des troupes anglaises. Les troupes françaises sont mises en déroute.

Ce même jour, Jeanne se met en route pour Chinon, escortée par des gens de Vaucouleurs. Elle atteint Chinon vraisemblablement le 23.

25 février : Jeanne reconnaît Charles VII, dissimulé parmi ses courtisans. À l’issue d’un entretien privé et secret, Charles accorde sa confiance à la jeune fille et lui confie quelques troupes.

Le 29 avril : Jeanne arrive à Orléans, assiégée par les Anglais depuis sept mois. Ses habitants sont épuisés par la famine et la ville est sur le point de tomber. La présence de Jeanne enhardit les Français qui délivrent la ville en dix jours de combats (dont la prise de la bastille des Tourelles). Jeanne est blessée au cou. Le 8 mai la ville est libérée.

13 mai : Jeanne rencontre le roi à Tours. Elle le reverra le 23 à Loches et le convainc de se faire sacrer à Reims.

10-12 juin : bataille de Jargeau. Jeanne et Jean d’Alençon, soutenus par Jean de Dunois, prennent Jargeau où se tenaient les Anglais commandés par le comte de Suffolk qui est fait prisonnier.

15 juin : bataille de Meung-sur-Loire. Victoire de Jeanne et de Jean d’Alençon sur les troupes de Talbot. Les Français disposent désormais d’un pont stratégique sur la Loire.

16-17 juin : bataille de Beaugency. Les troupes françaises de Jeanne et de D’Alençon prennent Beaugency aux Anglais de Talbot et mettent pied sur la rive nord de la Loire.

18 juin : bataille de Patay. Les Français du duc Jean d’Alençon, de Jean Dunois, de Poton de Xaintrailles, de La Hire, de Gilles de Rais, de Jean de Bueil, galvanisés par Jeanne, défont les Anglais de John Talbot qui est fait prisonnier et de John Fastolf qui parvient à s’enfuir.

21 juin : à l’abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire, Jeanne presse le roi de se rendre à Reims.

29 juin : la « chevauchée sur Reims » commence à Gien.

1er juillet : Auxerre achète sa neutralité au roi qui peut continuer sa route vers Reims.

5 juillet : l’armée de Charles VII met le siège devant Troyes qui venait de prêter allégeance à Henri VI et où se trouvait un fort contingent bourguignon. Le 10 juillet, les bourgeois ayant négocié, Charles et Jeanne entrent à Troyes.

14 juillet : l’armée de Charles VII est à Châlons-en-Champagne.

16 juillet : après des négociations, Charles entre à Reims.

17 juillet : Charles VII est sacré dans la cathédrale de Reims par son évêque, Regnault de Chartres.

Juillet-août : entrées triomphales de Charles VII et de Jeanne à Laon, Soissons, Provins, Coulommiers et Compiègne.

15 août : à la « bataille » de Montépilloy, le roi Charles VII doit affronter du duc de Bedford, régent de France pour Henri VI. Les fronts ne bougeant pas, la bataille n’a pas lieu. Les troupes françaises se dirigent vers Paris, que le roi ne projette pas vraiment de prendre.

26 août : Jeanne paraît devant Paris qu’elle compte libérer. La ville est cependant anglophile et repousse les Français.

8 septembre : Jeanne, blessée, près de la porte St-Honoré, renonce à la libération de la capitale. Dans cette affaire, Jeanne perd une grande partie de son prestige. Charles VII se retire au-delà de la Loire.

21 septembre : le roi est à Gien, et en se repliant vers le sud, il licencie la plus grande partie de son armée.

6 novembre : le roi Henri VI se fait couronner roi d’Angleterre à Westminster.

1430

20 mai : le duc de Bourgogne met le siège devant Compiègne. Ses habitants demandent à Jeanne de les libérer.

22 mai : Jeanne entre nuitamment dans la ville.

23 mai : Jeanne tombe aux mains des Bourguignons.

Jean de Luxembourg enferme sa prisonnière dans la forteresse de Beaulieu-en-Vermandois d’où elle tente de s’échapper. Enfermée ensuite dans le château de Beaurevoir, situé en plein bois, elle saute de sa tour (fin novembre). Elle est alors conduite au château de Crotoy.

21 décembre : Jeanne est remise aux Anglais, contre une forte rançon. L’Université de Paris manifeste sa satisfaction.

23 décembre : Jeanne est enfermée dans le château de Bouvreuil à Rouen, sous la garde de soldats anglais. C’est à Rouen que résident Henri VI et Richard Beauchamp, comte de Warwick, gouverneur du roi. Le cardinal de Winchester, oncle du roi et chancelier d’Angleterre, vient séjourner à Rouen le temps du procès.

1431

9 janvier, Rouen : le procès est instruit par Pierre Cauchon, évêque de Beauvais (Compiègne est dans son diocèse ; Beauvais est aux mains des Armagnacs) et Jean Lemaitre, vice-inquisiteur de France, qui n’interviendra jamais directement dans le procès. Pierre Cauchon ouvre le procès de Rouen avec le promoteur Jean d’Estivet qui s’acharne de manière particulièrement odieuse sur la jeune fille. Tous travaillent aux frais du roi d’Angleterre qui mène toute l’affaire.

Du 9 janvier au 26 mars a lieu l’instruction : sont donc menés enquêtes et interrogatoires.

3 mars : ouverture prévue du Concile de Bâle. Le concile est convoqué par le page Martin V qui meurt le 20 février. L’assemblée ne siègera qu’à partir du 23 juillet, sous le pontificat d’Eugène IV qui transférera le concile à Ferrare en 1437. Le concile de Bâle affirmera la primauté de l’autorité du concile sur celle du pape.

Du 26 mars au 24 mai a lieu le procès ordinaire qui se terminera par la scène de l’abjuration (voir plus bas, à cette date).

1er avril : jour de Pâques. Cauchon refuse la communion à Jeanne et lui envoie une carpe avariée qui la rend très malade. Journée d’extrême déréliction, selon Michelet : Jeanne se voit retranchée de l’« universelle communion ».

24 mai : au cimetière de l’église de St-Ouen, on a dressé un échafaud et des tribunes, et l’on prépare une mise en scène publique destinée à impressionner la jeune fille. Devant un bûcher et devant le bourreau tenant une torche enflammée, on lit à Jeanne la sentence qui la remet au bras séculier chargé de son exécution. Devant la menace concrète du feu, Jeanne se soumet et signe alors un acte d’abjuration de 6 lignes que lui présente le secrétaire de Winchester : elle y appose un rond puis une croix non sans rire. Elle est condamnée à l’emprisonnement. Néanmoins,elle se rétracte le lendemain en rejetant l’abjuration à laquelle elle avait cédé.

28-29 mai : court procès de relapse (rechute dans l’hérésie).

29 mai : Jeanne est condamnée comme relapse à l’unanimité des deux juges (Cauchon et Lemaître) et des 39 assesseurs.

30 mai, vers 8 et 9 heures du matin : Jeanne est brûlée vive sur la place du Vieux-Marché à Rouen. Alors que se consume le bûcher, un soldat anglais lui tend au bout d’une perche une croix faite de deux morceaux de bois qu’elle place sur sa poitrine ; on lui apporte aussi la croix de procession de l’église voisine qu’elle regarde jusqu’à la fin et crie : « Jésus ! » Quandtout est fini, les Anglais font ramasser les cendres et le cœur resté intact, et font jeter le tout à la Seine. Jeanne avait 19 ans.

16 décembre : le roi Henri VI se fait couronner roi de France à Notre-Dame de Paris.

1436

13 avril : entrée des armées royales françaises dans Paris.

1437

12 novembre : Charles VII entre glorieusement dans la capitale.

1438-39

Épidémie de peste : 50 000 victimes à Paris, soit plus du tiers de la ville.

1442

14 décembre : mort de Pierre Cauchon, couvert d’honneurs. La même année Jean d’Estivet est retrouvé noyé dans un égout.

1449

De nombreuses villes normandes se soulèvent contre les Anglais.

10 novembre : Charles VII entre dans Rouen.

1450

9 février : mort d’Agnès Sorel.

15 février : à Rouen, Charles VII fait ouvrir une enquête sur le procès et le supplice de Jeanne.

4 mars : Guillaume Bouillé, recteur de l’Université de Paris, commence l’instruction de la cause en réhabilitation.

24 juin : prise de Caen aux Anglais, et 12 août : prise de Cherbourg. Toute la Normandie est française.

30 juin : Dunois est à Bordeaux ; le 25 août, il s’empare de Bayonne.

1452

2 mai : Jean Bréhal, inquisiteur général de France, et Guillaume d’Estrouteville, légat du pape, ouvrent la première enquête officielle sur Jeanne d’Arc. Les premiers témoins comparaissent dès ce jour.

1453

17 juillet : au cours de la bataille de Castillon, John Talbot (81 ans) qui était revenu en Guyenne avec des troupes l’année précédente, et à qui s’était rallié Bordeaux, est tué tandis que la ville se soumet. Cet événement marque traditionnellement la fin de la guerre de Cent Ans. — Dix jours auparavant, le 8, la nouvelle de la chute de Constantinople était parvenue en France (29 mai).

1455

11 juin : le pape Calixte III délivre le rescrit qui autorise la mère et les deux frères de Jeanne à entreprendre une cause en nullité du jugement de 1431.

7 novembre : seule habilitée à le faire avec ses deux fils Pierre et Jean, Isabelle Romée, la mère de Jeanne, demande la révision du procès et apporte le rescrit du pape à Notre-Dame de Paris. Très vite, l’émotion submerge la foule.

Jean Bréhal, grand inquisiteur en France, instruit le procès de réhabilitation.

12-20 décembre : le tribunal siège à Rouen. Les juges sont Jean Jouvenel des Ursins (archevêque de Reims), Guillaume Chartier (évêque de Paris) et Richard Olivier (évêque de Coutances).

1456

28 janvier — 11 février : les audiences ont lieu à Domrémy puis à Vaucouleurs. Témoignage de Hauviette à Domrémy.

16 février — 14 mai : audiences à Rouen, Orléans et Paris. Témoignage de Dunois le 12 mai à Paris.

7 juillet : à Rouen, le jugement du procès en nullité de la condamnation de Jeanne est rendu. Le procès de 1431 est annulé. Jeanne et sa famille sont réhabilitées.

1458

28 novembre : mort d’Isabelle Romée.

1909

18 avril : Jeanne est béatifiée par le pape Pie X.

1920

9 mai : Jeanne est canonisée par le pape Benoît XV.

10 juillet : le Parlement français institue fête nationale en l’honneur de Jeanne le 2e dimanche de mai — fête qui sera fixée au 8 mai quelques années plus tard.


1 Ce texte a été publié pour la première fois dans André Marlaux, Discours, allocutions, conférences de presse de M. André Malraux, ministre d’État chargé des Affaires culturelles, 1958-1969, s.l.n.d. [Paris,ministère des Affaires culturelles, 1971], n. p. [178 p.]. Nous le publions aujourd’hui, 8 mai 2016, en attendant la toute prochaine mise en ligne de notre version annotée et commentée.




L’équité et le droit des femmes doivent primer sur l’inclusivité en sport de compétition

Par Gérard Delépine

« Et si les faits disent autre chose, les faits doivent être modifiés »

Orwell dans 1984.

Halba Diouf, ici à l’entraînement. GONZALO FUENTES/REUTERS

Inclure des femmes trans dans les compétitions sportives féminines bafoue le droit des femmes et l’équité.

Le sexe est déterminé dès la fécondation par la loterie génétique qui attribue à l’embryon deux chromosomes sexuels soit XX (caryotype féminin) ou la paire XY (caryotype masculin). Le caryotype dirige l’élaboration du phénotype, ensemble des caractères anatomiques, morphologiques, physiologiques des individus. À l’adolescence, la sécrétion des hormones accentue chez l’individu de sexe masculin, les développements squelettiques et musculaires conduisant à une différence de force physique entre hommes et femmes :

  • des épaules plus larges ;
  • la forme du bassin et de la mâchoire ;
  • un poids moyen plus élevé et une différence de taille moyenne d’environ 10 % ;
  • le développement du cœur (plus petit et plus rapide chez les femmes), en moyenne 35 % de la masse totale chez les hommes contre 28 % chez les femmes ;
  • certaines de leurs artères sont plus courtes, la qualité des ligaments — ceux des femmes permettent plus de laxité, ceux des hommes plus d’explosivité ;
  • l’ossature ;
  • la consommation d’oxygène — l’hémoglobine (qui sert à transporter l’oxygène) en proportion plus élevée chez les hommes que chez les femmes ;
  • la répartition des graisses ;
  • etc.

Cette musculation plus développée chez l’homme post pubertaire explique des performances sportives supérieures. La comparaison des records mondiaux des hommes et des femmes dans différentes disciplines (sauf en gymnastique) l’illustre avec une différence de 10 % à 20 % en faveur des hommes :

  • lancer de javelot (94 m/72 m),
  • 50 m nage libre (46/51 s),
  • sprint de 100 m (9 » 58/10 » 49),
  • lancer de poids (23,37/22,63),
  • course de 200 mètres (19,19 sec/21,34 sec),
  • lever de poids (488 kg/332 kg),
  • marathon (2 h 1 min 9 s/2 h 14 min 4 s)…

Ces différences démentent l’idéologie du genre qui voudrait faire croire que le sexe serait un « construit social », qu’on peut en changer selon son bon plaisir. Elles imposent de séparer hommes et femmes lors des compétitions sportives de haut niveau.

Un homme qui s’affirme femme trans, même s’il se bourre d’œstrogènes et a un faible taux de testostérone, conserve une masse musculaire supérieure (ainsi que les autres caractéristiques) qui rend inéquitable la compétition avec les femmes.

L’exemple d’Halba Diouf qui en s’inscrivant comme femme-trans est passé de la 980e place nationale à la 58e place mondiale est démonstratif.

Mais aussi le cas de Valentina Petrillo, née Fabrizio, qui a remporté une course de 200 m pour femmes, alors qu’« elle » avait participé à la course masculine équivalente, n’aurait même pas atteint le top 10. Sa participation a privé Cristina Sanulli, arrivée seconde, du titre et d’un record féminin de course en salle.

Accepter l’inclusion des hommes qui s’affirment femmes dans les compétitions sportives féminines lèse gravement le respect de l’égalité femmes/hommes et l’équité et les droits des sportives de haut niveau.  

L’inclusion des hommes trans (nées femmes) dans les compétitions masculines ne soulève pas ce problème d’équité puisqu’évidemment leurs performances sont inférieures, mais curieusement les hommes trans ne sont guère nombreux à vouloir y participer.

Marguerite Stern1, militante féministe de longue date,2 a résumé la question dans une tribune de Marianne :

« Sous couvert de “lutte contre les discriminations”, les différents amendements concernant l’identité de genre sont un crachat jeté au visage des femmes, car si j’en comprends bien le sens, ils sous-tendent la possibilité que sur simple déclaration des individus de sexe masculin puissent participer à des compétitions sportives féminines. »

Jadis, on a accusé les nageuses est-allemandes de dopage en se faisant mettre enceintes avant les compétitions. Elles ont été exclues pour dopage ainsi que ceux qui prenaient de la testostérone. Mais la « triche » actuelle la plus efficace n’est-elle pas de se déclarer femme trans quand on est né homme et qu’on a fait sa puberté ?

Aucune société ne peut fonctionner sans lois parmi lesquelles celles qui assurent la justice, l’égalité des droits de tous et l’équité sont indispensables à la démocratie. Aucune compétition sportive ne peut fonctionner sans règles.

Je ne suis pas transphobe et je respecte les choix sexuels des adultes consentants, tant qu’ils ne nuisent pas aux autres. Mais il n’y a aucune raison logique pour nuire à l’intérêt des femmes au profit de quelques hommes mal dans leur corps de naissance. On ne peut pas accepter que ces hommes volent le podium (les honneurs et l’argent qui en découlent) aux femmes ayant travaillé dur pour obtenir le titre. C’est d’ailleurs actuellement la position de la Fédération internationale de natation, et de la Fédération internationale d’athlétisme qui privilégient l’équité sur l’inclusivité.

Pour clore la polémique et permettre aux sportifs trans qui le désirent de se rendre plus visibles comme le veut le militantisme trans, mais en respectant l’équité, il serait certainement plus efficace de mettre en place des compétitions sportives qui leur soient spécifiquement réservées.


1 Voir aussi : Marguerite Stern : « Pourquoi les athlètes trans n’ont rien à faire dans les compétitions sportives des femmes » (lefigaro.fr)

2 Marguerite Stern, militante féministe à l’origine des collages contre les féminicides. Ancienne membre des Fémen, elle est, avec Dora Moutot, à l’origine du lancement de la plateforme « Femelliste ». Ce manifeste en ligne entend « s’opposer aux législations qui effacent le sexe au profit de la notion d’identité de genre ».




Raoul Wallenberg, un héros de l’Humanité dont la vie redonne courage à tous

Par Nicole Delépine

Dans les moments que nous vivons, dans lesquels trop de résistants craquent, se recroquevillent ou se suicident, il est impératif de rappeler que « si vous sauvez une seule vie, c’est comme si vous aviez sauvé tout un univers » et que rien n’est perdu si on se bat jusqu’au bout de nos forces. Alors relisons l’histoire de ce suédois non juif qui sauva des milliers de juifs hongrois avec son arrivée à Budapest qui aidera peut-être certains d’entre nous à garder l’espoir et l’énergie pour sauver des vies, au moins quelques-unes, au moins une…

Héros de l’humanité — Centre Raoul Wallenberg (raoulwallenbergcentre.org)

À propos de l’établissement Raoul Wallenberg — Raoul Wallenberg Centre

Un phare de lumière

Dans des moments comme ceux-ci, le mal dans le monde peut sembler accablant et il peut être tentant de céder au désespoir, aggravant le problème de la communauté internationale en tant que spectateur des atrocités et de l’injustice. Il est donc tout à fait approprié que le 17 janvier — jour de la disparition de Raoul Wallenberg dans le goulag soviétique en 1945 — ait été désigné Journée commémorative Raoul Wallenberg au Canada en l’honneur de ce héros disparu.

Wallenberg, un diplomate suédois, était un phare de lumière pendant les jours les plus sombres de l’Holocauste, et son exemple le reste aujourd’hui. Avant son arrivée à Budapest en juillet 1944, quelque 430 000 Juifs hongrois avaient été déportés à Auschwitz en l’espace de 10 semaines — le meurtre de masse le plus rapide, le plus cruel et le plus efficace du génocide nazi.

Pourtant, Wallenberg a sauvé quelque 100 000 Juifs en six mois en Hongrie en 1944, démontrant qu’une personne ayant le courage de se soucier et l’engagement d’agir peut affronter le mal et transformer l’histoire.

Son héroïsme a été célébré dans l’exposition internationale Wallenberg au cours de l’année du centenaire de sa naissance, intitulée, selon les propres mots immortels de Wallenberg : « Pour moi, il n’y a pas d’autre choix » — reflétant un courage et un engagement singuliers. Postes Canada a également dévoilé un timbre pour souligner le centenaire de ce non-juif suédois, dont l’héroïsme incarne l’idiome talmudique selon lequel « si vous sauvez une seule vie, c’est comme si vous aviez sauvé tout un univers ».

En effet, l’héroïsme de Wallenberg incarnait et symbolisait les leçons universelles de l’Holocauste, avec leur résonance internationale contemporaine et leur importance pour notre époque :

  • Les dangers de l’oubli — la responsabilité de se souvenir ;
  • Les dangers des cultures de haine et d’incitation sanctionnées par l’État — la responsabilité de prévenir ;
  • Les dangers de l’indifférence et de l’inaction — la responsabilité d’agir ;
  • Les dangers de l’impunité — la responsabilité de traduire les criminels de guerre en justice ;
  • Les dangers des atrocités de masse — la responsabilité de protéger :
  • Les dangers de la Trahison des Clercs — la responsabilité de dire la vérité au pouvoir ;
  • Les dangers du racisme, dont l’antisémitisme — la responsabilité d’affronter et de combattre.

Un héros de l’humanité

Ce héros disparu de l’humanité — que l’ONU a appelé « le plus grand humanitaire du 20e siècle » — a démontré qu’une personne peut faire la différence, qu’une personne peut résister au mal et l’emporter.

En effet, en transformant l’histoire et en sauvant les « univers » humains, Raoul Wallenberg, dans son incroyable héroïsme, peut, du point de vue de la justice, être considéré comme ayant présagé les principes fondamentaux actuels du droit international des droits de l’homme et du droit international humanitaire.

Par exemple :

  1. Tout d’abord, dans la distribution des schutzpass — passeports diplomatiques conférant une immunité protectrice à leurs destinataires — et dans la mise en place de refuges conférant un sanctuaire diplomatique à leurs habitants. Raoul Wallenberg est crédité d’avoir sauvé 50 000 Juifs par ces seuls moyens. Ses actes ont affirmé et validé le principe de l’immunité diplomatique — le recours de la protection diplomatique — un principe fondamental du droit international et un modèle de capacité diplomatique à sauver des vies.
  2. Deuxièmement, dans sa protection singulière des civils au milieu des horreurs de l’Holocauste, il a manifesté le meilleur de ce que nous appelons aujourd’hui le droit international humanitaire.
  3. Troisièmement, dans son organisation d’hôpitaux, de soupes populaires, d’orphelinats — les éléments de base de l’aide humanitaire internationale qui fournissait aux femmes, aux enfants, aux malades et aux personnes âgées un semblant de dignité dans le fait du pire de toutes les horreurs et de tous les maux — Wallenberg symbolisait le meilleur de ce que nous appellerions aujourd’hui l’intervention humanitaire internationale.
  4. Quatrièmement, en sauvant les Juifs d’une mort certaine, de la déportation et des atrocités, il symbolisait ce que nous appellerions aujourd’hui la doctrine de la responsabilité de protéger.
  5. Enfin, le dernier sauvetage de Wallenberg a peut-être été le plus mémorable. Alors que les nazis avançaient sur Budapest et menaçaient de faire sauter le ghetto de la ville et d’y liquider les Juifs restants, il fit avertir les généraux nazis qu’ils seraient tenus responsables et traduits en justice, sinon exécutés, pour leurs crimes de guerre et crimes contre l’humanité. Les généraux nazis ont renoncé à leur assaut et quelque 70 000 Juifs supplémentaires ont été sauvés, grâce au courage indomptable d’une personne prête à affronter le mal radical. En avertissant ainsi les généraux nazis qu’ils seraient tenus responsables de leurs crimes de guerre, Wallenberg était un précurseur des principes de Nuremberg et de ce que nous appellerions aujourd’hui le droit pénal international.

Une histoire de courage moral et d’action

Pourtant, alors que Wallenberg a sauvé tant de gens, il n’a pas été lui-même sauvé par tant de gens qui auraient pu le faire. Plutôt que de le saluer comme le libérateur qu’il était, les Soviétiques — qui sont entrés en Hongrie en tant que libérateurs eux-mêmes le 17 janvier 1945 — ont emprisonné Wallenberg. Il a disparu dans le goulag, et les Soviétiques ont d’abord affirmé qu’il était mort en juillet 1947, puis qu’il avait été assassiné — également en juillet 1947.

Mais ces affirmations soviétiques ont été contredites par plusieurs enquêtes, y compris la Commission internationale sur le sort et les allées et venues de Raoul Wallenberg, inspirée par le frère de Wallenberg, le regretté Guy von Dardel, de Suède, et à laquelle le professeur Irwin Cotler a participé, avec le lauréat américain du prix Nobel de la paix Elie Wiesel, l’universitaire russe Mikhail Chlenov et l’ancien procureur général israélien Gideon Hausner.

En effet, en 1985, un tribunal fédéral américain a jugé la preuve « irréfutable » que Wallenberg avait vécu au-delà de 1947, « convaincante » qu’il était vivant dans les années 1960 et « crédible » qu’il soit resté en vie dans les années 1980 ; Mais précisément ce qu’il est devenu reste un mystère.

Récemment, un groupe d’experts internationaux de Wallenberg a lancé un nouveau projet de recherche international, l’Initiative de recherche Raoul Wallenberg (RWI-70), coordonné par Susanne Berger, chercheuse de longue date. Le groupe a convoqué une table ronde internationale Raoul Wallenberg ancrée dans le référentiel de l’expérience et de l’expertise des chercheurs, afin d’élaborer, selon les mots de Susanne Berger, « un plan pour résoudre l’affaire Wallenberg […] et de discuter de la manière d’obtenir l’accès à la documentation essentielle dans les archives russes et autres archives internationales. »

Plus important encore, ce groupe cherche à obtenir justice pour Raoul Wallenberg — qui a été refusé toutes ces années — afin de percer les secrets de l’histoire afin que nous, et en particulier sa famille qui souffre depuis longtemps, puissions enfin apprendre la vérité sur ce héros disparu de l’humanité et personnification du courage moral et de l’action. Pour nous, « il ne devrait pas y avoir d’autre choix ».




L’association « Gays Against Groomers » accuse les militants trans de « terrorisme » et de promouvoir la mutilation d’enfants

[Source : lemediaen442.fr]

[Sur l’illustration : « Gays Contre Toiletteurs », « toilettez les chiens, pas les enfants »]

L’association Gays Against Groomers qui est une coalition d’homosexuels qui s’opposent à la tendance récente d’endoctriner et de sexualiser les enfants sous le couvert de « LGBTQIA+ ». Dénonce les pratiques « destructrices » de certains mouvements pro-LGBT. Dans une vidéo (voir ci-dessous [plus bas]) de près de cinq minutes, David Leatherwood représentant l’organisation « Gays Against Groomers » dénonce l’utilisation de la communauté LGBT comme bouclier par des mouvements radicaux qui encouragent la « mutilation », la « stérilisation » et l’« endoctrinement » de mineurs.

David Leatherwood a expliqué le 21 février 2023 devant le Comité de la santé et des services sociaux de la Chambre des représentants de la Floride que la communauté LGBT a obtenu une certaine tolérance et acceptation dans la société américaine. Cependant, cette avancée est remise en question par des extrémistes qui veulent détruire la prochaine génération de leur pays en créant des « patients médicaux à vie » avant même que ces enfants n’aient atteint la puberté.

Pour l’association, le mouvement trans radical est comme le « culte de la mort » qui se concentre sur la mutilation corporelle, l’automutilation et la destruction d’identité. David Leatherwood affirme que les enfants, qui ne sont pas en mesure de donner leur consentement, sont les principales cibles de ce mouvement qui mène une guerre culturelle. Il dénonce les pratiques de « soins d’affirmation de genre », qu’il qualifie de « mutilation » et de « stérilisation » et appelle les parents à protéger leurs enfants contre la médicalisation expérimentale et souligne que la majorité des membres de la communauté LGBT sont également contre ces pratiques. Il accuse les médias et les groupes de pression de promouvoir la fausse idée que la communauté LGBT soutient la médicalisation des enfants, alors que seul un petit nombre de militants radicaux soutiennent cette idée.

Le président de l’association « Gays Against Groomers » pointe du doigt les organisations Trans financées par des dons de grandes sociétés pharmaceutiques comme Pfizer, Johnson & Johnson etUnitedHealth Group, qui ont un intérêt financier à transformer des générations d’enfants en patients médicaux pour leur profit.

Concernant l’association Gays Against Groomers  :

  • Notre communauté qui prêchait autrefois l’amour et l’acceptation des autres a été détournée par des militants radicaux qui poussent maintenant des concepts extrêmes sur la société, ciblant spécifiquement les enfants ces dernières années.
  • L’écrasante majorité des homosexuels sont contre ce en quoi la communauté s’est transformée, et nous n’acceptons pas que le mouvement politique pousse son programme en notre nom.
  • Gays Against Groomers s’oppose directement à la sexualisation des enfants. Cela comprend des heures d’histoires de drag queen, des spectacles de dragsters impliquant des enfants, la transition et la médicalisation des mineurs et la théorie du genre enseignée en classe.



EUGÉNIE BASTIÉ : TOUCHE PAS À MON SEXE

[Source : lincorrect.org]

[Photo : © Benjamin de Diesbach pour L’Incorrect]

Par Rémi Carlu

L’essayiste et journaliste du Figaro publie Sauvez la différence des sexes, court mais excellent texte dans lequel elle défend l’altérité des sexes dans ses dimensions naturelle et culturelle, que menacent aujourd’hui les pensées néo-féministes de la déconstruction.

Comment le féminisme, pensé au départ pour émanciper les femmes, en est arrivé à nier l’existence du sexe féminin ?

Le féminisme a connu trois vagues. La première consistait à donner aux femmes des droits politiques et civils déjà obtenus pour les hommes. Ensuite, la révolution sexuelle des années 70 a renversé le patriarcat en donnant aux femmes le pouvoir de s’approprier la reproduction. Nous sommes maintenant dans une troisième vague qui consiste à gommer la différence des sexes sous prétexte que toute différence serait une construction sociale au service de la domination masculine — idée que l’on trouve déjà chez Simone de Beauvoir. En effaçant cette différence, on aboutirait à l’égalité et donc à l’émancipation totale des femmes. Ainsi, le féminisme est devenu le syndicat d’un sujet qu’il déconstruit par ailleurs. La femme doit être partout, mais elle n’existe pas. C’est évidemment un mensonge scientifique. Le problème de ce féminisme est qu’il s’est construit sur le modèle du marxisme : la lutte des classes a été appliquée à la rivalité entre hommes et femmes. Mais là où la différence des classes n’existe pas dans la nature, la différence des sexes est bien réelle. On peut renverser un ordre social, pas l’ordre naturel.

Comment, malgré l’évidence biologique donc, cette idéologie peut-elle prospérer ?

Comme toute idéologie, elle séduit, car elle offre des clés de lecture du monde, en prenant le relais des vieilles utopies. Comme on ne peut plus changer le monde, on change son sexe. Il y a là une espèce de repli du fantasme de toute-puissance dans la sphère de l’intime. L’impuissance révolutionnaire dans la cité se réfugie dans la politique de l’intime. On fait de sa propre vie une révolution, pour entretenir le fantasme moderne du progrès.

Sur la différence des sexes, comment nature et culture s’articulent-elles ?

Il y a deux mensonges : le premier consiste à dire que toute la différence des sexes est un construit social ; le second que tout ce qui est construit doit être déconstruit. À l’inverse, je pense qu’il y a un substrat biologique évident, et que le construit ne mérite pas nécessairement d’être déconstruit. Il existe de belles constructions sociales comme la paternité, qui n’existe pas dans la nature chez les chimpanzés ou les bonobos. Certains construits sont donc positifs et ne méritent pas d’être mis en pièces. D’ailleurs, il n’est pas facile de déconstruire et parfois, il est même plus facile de renoncer à la nature qu’à la culture, par exemple avec les techniques de maîtrise de la procréation.

Lire aussi : Néo-féminisme : l’ennemi des femmes

La culture nous imprègne collectivement, et penser que l’on peut tout gommer d’un trait de plume sans conséquence est absolument vertigineux. Le problème d’un certain féminisme est qu’il est rousseauiste : il pense que l’homme sauvage est naturellement bon et que c’est la société qui le corrompt en éduquant les hommes à être des salauds envers les femmes. Or c’est l’inverse : l’homme a naturellement des pulsions sexuelles et agressives, et tout le travail de la civilisation est de mettre à distance ces pulsions, à travers le mariage ou la galanterie.

Pouvez-vous nous éclairer sur ce paradoxe qui bat en brèche l’argumentaire féministe : c’est dans les sociétés où l’égalité formelle est la plus poussée que les comportements sont les plus genrés.

C’est en Norvège qu’apparaît le paradoxe du fossé sur le marché du travail. En clair, plus les sociétés sont égalitaires, c’est-à-dire que l’on offre aux filles le choix de faire les métiers qu’elles souhaitent, plus les choix de carrière sont genrés : les jeunes hommes se tournent vers les métiers de l’objet alors que les
filles se dirigent vers les métiers du soin. Plus la liberté de choix est grande, plus les différences s’affirment — alors que dans les pays émergents, beaucoup plus de femmes qui vont faire des carrières d’ingénieur pour se hisser socialement. Cela prouve qu’en moyenne, les choix sont genrés et s’expliquent en partie par des différences biologiques — même s’il existe évidemment des contre- exemples.

La complémentarité des sexes suppose que chacun dispose de caractéristiques propres. Qu’est-ce qui distingue les deux sexes ?

J’essaye d’éviter tout discours essentialiste. Toutefois, il subsiste une différence majeure : la maternité. La femme engendre dans son propre corps alors que l’homme engendre dans le corps d’autrui. Ce n’est pas une petite différence : nous ne sommes pas de simples esprits placés dans un corps, celui-ci forme véritablement notre rapport au monde. Ainsi, il y a une différence fondamentale entre père et mère dans leur rapport à l’enfant. Porter l’enfant induit un rapport plus fusionnel pour la mère, alors que le père est plutôt là pour couper la mère de l’enfant. Il y a aussi un rapport au temps différent. Par les règles ou la ménopause, le corps des femmes se rappelle à elles, et elles sont donc davantage taraudées par la question de la maternité. En clair, le discours féministe doit prendre en compte la maternité, car c’est de là que viennent les principaux problèmes qui se posent aux femmes, notamment sur la manière de concilier vie professionnelle et vie familiale. Évidemment, cela ne veut pas dire que nous sommes figés dans des rôles déterminés.

J’essaye d’éviter tout discours essentialiste. Toutefois, il subsiste une différence majeure : la maternité.

Eugénie Bastié

On doit laisser le choix aux femmes contrairement à Simone de Beauvoir qui disait à une journaliste américaine qu’il ne fallait pas laisser aux femmes le choix de rester à la maison, car elles continueraient de le faire si on le leur donnait. C’est assez révélateur d’une volonté d’ingénierie sociale qui rejoint Rousseau : « On les forcera à être libre. »

Il y a ces derniers temps de nombreuses femmes qui disent publiquement regretter d’avoir eu des enfants. Comment analysez-vous ce phénomène ?

À chaque débat féministe, on parle d’un « tabou », en l’occurrence le tabou du regret d’être mère. J’y vois une grande arrogance qui m’exaspère, comme si on n’en avait jamais parlé avant elles. S’il y a une femme dans l’histoire qui symbolise le regret d’être mère, c’est la Vierge Marie. Dans les faits, elle était évidemment contente d’avoir mis cet enfant au monde, mais elle ressent une immense douleur lorsqu’on lui annonce que son fils va être crucifié. On présente aujourd’hui la maternité comme un fardeau qui pèse sur l’émancipation des femmes. Cette idée est vraie si l’on considère que l’émancipation des femmes consiste à en faire des hommes comme les autres, en mettant la carrière professionnelle au centre de la société. Mais je ne crois pas que la femme doive être réduite à cela.

Pour émanciper les femmes, le féminisme en a donc fait des hommes.

La France est très marquée par le féminisme de Beauvoir qui considérait la maternité comme un fardeau. Et de son point de vue, elle n’a pas tort, car c’est dans la maternité que gît le patriarcat. D’après elle, faire des enfants empêche la femme de devenir l’égal de l’homme. Or, au lieu d’adapter l’économie au
corps de la femme, on a demandé aux femmes d’adapter leur corps à l’économie. On leur demande d’être les plus performantes au moment où elles sont le plus fécondes, plutôt que d’imaginer d’autres échelles de valeurs. On leur fait croire qu’elles peuvent être à la fois des mères épanouies et des travailleuses performantes. Le féminisme ment aux femmes et cela crée de nombreuses frustrations.

En quoi le patriarcat est-il mort à partir du contrôle de la fécondité par les femmes ? Et quel est le rôle de la mécanisation dans cette mise
à mort ?

Sandrine Rousseau devrait en prendre de la graine, car c’est le monde industriel et capitaliste qui a permis l’émancipation de la femme. Si elle veut la décroissance, il va falloir qu’elle retourne au patriarcat, car ce sont la technique (pilule et avortement) et la machine qui ont dévalorisé le rôle masculin et permis la société d’aujourd’hui. Le patriarcat n’est pas un complot des hommes contre les femmes, mais un marché : la femme s’occupe du foyer pendant que l’homme gagne son pain ou meurt à la guerre. À partir du moment où la force masculine n’a plus de sens et où on ne meurt plus à la guerre, ce contrat-là n’a plus de sens.

Par la contraception et l’avortement, la révolution sexuelle est une révolution au même titre que le renversement des trois ordres menant à la démocratie. C’est pour cela qu’il y a une cristallisation sur la question de l’IVG : c’est le pivot qui fait basculer d’un régime à l’autre. Aujourd’hui en Occident, on n’est plus dans un régime patriarcal, on est même peut-être en train de basculer dans un régime matriarcal.

Le patriarcat n’est pas un complot des hommes contre les femmes, mais un marché : la femme s’occupe du foyer pendant que l’homme gagne son pain ou meurt à la guerre.

Eugénie Bastié

Or le féminisme actuel refuse de voir que le monde a changé. Il ne voit pas les nouvelles menaces à venir, ni le malaise masculin. Si on prolonge toutes les courbes, on voit que les hommes sont mal lotis dans beaucoup de domaines, notamment l’éducation. Car là gît le problème de fond : la force physique qui fondait le privilège masculin n’a plus d’utilité, tandis que la femme a toujours le privilège de la maternité. Les femmes ont gagné un nouveau rôle alors que les hommes ont été destitués du leur.

Au fond, l’homme n’est-il pas devenu inutile ?

Il a encore un rôle à jouer en tant que père. On s’aperçoit aujourd’hui qu’il y a une surreprésentation des enfants sans père dans la délinquance. Les familles monoparentales sont une catastrophe absolue, problème que l’on nie par peur de stigmatiser. Malgré les hypocrisies bourgeoises du XIXe siècle, le mariage offrait un cadre de stabilité familiale qui donnait un rôle à chacun. L’absence d’injonction au mariage à notre époque crée beaucoup de dysfonctionnements sociaux.

S’il existe bien un fond naturel indépassable, ne surestimez-vous pas la menace que représente cette déconstruction ?

Il est certain que la différence des sexes existera toujours. Mais quel est l’habillage culturel qu’on lui donnera ? Souhaite-t-on donner des modèles
qui incarnent cette différence, ou au contraire l’éradiquer ? Au risque qu’elle ressurgisse de manière caricaturale comme c’est le cas dans la pornographie, dans le masculinisme, dans la culture banlieusarde ou dans l’islam. Je crois que l’on doit préserver un modèle français de la féminité et de la masculinité pour combler le vide actuel.

Lire aussi : Régler son compte au (néo) féminisme

On a tendance à croire que tout ce qui est traditionnel est une forme d’oppression, alors qu’il s’agit de solutions trouvées à un problème qui ont fait leurs preuves dans le temps. À cet égard, je crois beaucoup à l’éducation genrée parce qu’on ne peut pas s’adresser pareillement aux garçons et aux filles, surtout à l’adolescence.

On vit d’ailleurs un mouvement de balancier. Nous sommes allés tellement loin dans la déconstruction qu’il y aura peut-être une appétence pour de nouvelles normes. Je considère le mouvement #MeToo comme un retour de bâton. On a fait croire que l’acte sexuel était banal pour les femmes comme pour les hommes ; finalement, on s’aperçoit que cela entraîne des souffrances et des regrets. Il y a un aspect civilisateur dans #MeToo. Le paradoxe est que
ce besoin de normes s’exprime dans le langage du progressisme.

Rémi Carlu




Une avocate révèle que l’armée canadienne a empêché les médecins de signaler les blessures causées par le vaccin Covid

[Source : naturalnews.com]

Il a été révélé que la raison pour laquelle les médecins canadiens n’ont pas été autorisés à signaler les blessures graves causées par les « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) est que les Forces Armées Canadiennes (FAC) leur ont ordonné de ne pas le faire.

Selon Catherine Christensen, avocate et fondatrice de Valour Law et du Centre d’action juridique Valour pour le droit militaire, des preuves ont émergé pour démontrer que l’armée canadienne, sous la direction du Premier ministre Justin Trudeau, a conspiré pour cacher la vérité au public sur les blessures et les décès causés par le vaccin Covid.

« Des médecins militaires ont témoigné sous serment qu’on leur avait dit de ne pas signaler les blessures causées par les vaccins, ou que s’ils demandaient comment les signaler, on leur disait de se taire », a révélé M. Christensen lors d’une audience de l’Enquête Nationale des Citoyens (ENC) tenue le 26 avril à Red Deer, dans l’Alberta.

(Voir aussi : Les vaccins obligatoires de Trudeau ont déclenché l’effondrement de l’industrie automobile nord-américaine).

Un médecin militaire canadien et capitaine s’est vu dire directement de NE PAS signaler les blessures causées par la piqûre de covidium

Le NCI est actuellement en train d’évaluer la réponse du Canada à la « pandémie » de Covid et ses effets sur la santé des citoyens canadiens, ainsi que sur leur liberté et leur bien-être social et économique.

Lors de la conférence en question, Christensen représentait 360 soldats des FAC qui ont été directement et négativement affectés par le mandat de l’armée canadienne concernant les vaccins Covid, qui est similaire à celui que le régime de Biden a imposé aux soldats américains.

Christensen a révélé lors de la conférence que les FAC ont choisi d’ignorer toutes les blessures causées par le vaccin Covid et de ne pas suivre les problèmes de santé qui sont apparus chez les soldats qui ont été forcés de se faire injecter.

Nombre de ces soldats ont depuis développé de graves problèmes de santé, comme le syndrome de Guillain-Barré (SGB), une maladie neurologique relativement rare qui endommage les cellules nerveuses.

« On leur a dit de diagnostiquer d’autres choses, comme le syndrome de Guillain-Barré [SGB], lorsque de jeunes hommes s’effondraient sous la douche après les injections », a déclaré M. Christensen, ajoutant et précisant que ces soldats « avaient été blessés par le vaccin ».

En outre, les FAC ont mal classé les dossiers médicaux des soldats en omettant — ou plutôt en refusant — de classer toutes les blessures causées par les vaccins. Mme Christensen affirme qu’elle a « plus de personnes dans ses dossiers qui ont été blessées par des vaccins que de personnes officiellement répertoriées comme ayant été blessées par des vaccins ».

Après s’être entretenue avec de nombreux militaires canadiens qui ont signalé des blessures causées par le vaccin Covid et avoir recueilli leur témoignage sous serment, Mme Christensen est convaincue qu’il s’agit d’une dissimulation délibérée de la vérité, qui remonte en fin de compte au régime de M. Trudeau.

« Je pense que les FAC ne suivaient pas le nombre et le type de blessures liées au vaccin Covid-19 », a déclaré M. Christensen.

Les FAC ont publié le 17 avril des données montrant qu’un total de 375 000 vaccins Covid ont été administrés aux membres de la FAC. Sur ce nombre, 0,09 % ont officiellement signalé « un effet indésirable quelconque à la suite de la première, de la deuxième ou des doses de rappel », indique le rapport de données.

« La majorité des effets indésirables signalés étaient mineurs et se sont résorbés d’eux-mêmes », affirment les FAC.

Parmi les blessures officiellement signalées entre le 7 janvier 2021 et le 1er février 2023, les FAC indiquent que 316 ont été considérées comme « non graves » et seulement 26 comme « graves ». Sur ces 316 cas de blessures, neuf ont été officiellement enregistrés comme myocardites ou péricardites.

Ces chiffres sont bien trop bas, selon M. Christensen, qui maintient que des milliers de membres des FAC ont été gravement blessés par le programme d’injection obligatoire Covid de M. Trudeau — bien que la grande majorité de ces blessures soient ignorées par le gouvernement.

« Et qu’arrive-t-il à ceux qui ont suivi les ordres et pris les injections et qui sont maintenant handicapés de façon permanente ? Anciens Combattants Canada (ACC) leur répond que non, que ces blessures ne sont pas liées au service », a ajouté Mme Christensen dans son témoignage.

Une fois de plus, les vétérans seront confrontés à un système procédural qui les laisse tomber ou les oblige à aller devant les tribunaux pour obtenir une indemnisation méritée.

Les dernières informations sur la corruption qui a eu lieu pendant la « pandémie » de Covid sont disponibles sur le site Fascism.news.

Les sources de cet article sont les suivantes :
LifeSiteNews.com

NaturalNews.com




194 pays membres de l’OMS demandent la publication des contrats vaxinaux entre labos et gouvernements, mais…

[Source : ]

Par Cheikh Dieng

Lecourrier-du-soir.com invite ses chers lecteurs à relire la révélation exclusive faite en novembre dernier par l’agence de presse Reuters. Comme par hasard, les médias de masse refusent catégoriquement d’en parler et quand ils le font, c’est pour lui consacrer quelques lignes.

Excellente lecture

D’après une information exclusive de l’agence de presse Reuters, les 194 pays membres de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) sont en train de mettre en place un pacte qui vise à rendre obligatoire la publication des contrats entre laboratoires pharmaceutiques et gouvernements.

Une mauvaise nouvelle pour Big Pharma. En pleine pandémie à Coronavirus et au moment où plusieurs dirigeants politiques en Occident comme dans d’autres parties du monde exigent de la transparence dans les contrats signés avec les labos, l’OMS est sur le point de trouver un accord qui n’arrangera certainement pas les affaires des industries pharmaceutiques.

En effet, d’après une information que Lecourrier-du-soir.com a obtenue ce 18 novembre de l’agence de presse Reuters, les 194 pays membres de l’Organisation Mondiale de la Santé sont en train de négocier la mise en place d’un pacte afin de rendre obligatoire la publication des contrats entre labos et gouvernements.

Ainsi, d’après l’agence de presse qui dit avoir consulté le document confidentiel, le pacte en question a pour objectif de faire en sorte que la prochaine pandémie ne soit pas aussi dévastatrice que le Covid. Mais, ce n’est pas tout. Les signataires jugent inacceptable que la confidentialité des contrats passés entre gouvernements et labos donnent aux dirigeants politiques peu de marge de manœuvre pour les traduire en justice.

Tout laisse à croire qu’il s’agit d’une révolte interne déclenchée par les États membres de l’OMS. Du moins, c’est ce qu’explique un porte-parole de l’OMS qui s’est confié sous couvert de l’anonymat. Ce dernier affirme que les actionnaires de l’organisation y sont favorables. Et ce n’est pas tout. Ces actionnaires se verront soumettre le document intégral lors d’une rencontre qui était prévue ce vendredi. Mais, le gros souci, selon Reuters, est que les labos rejettent le document en bloc.

Sur les réseaux sociaux, le pacte n’a pas manqué de susciter des réactions.




Soyez prudents, faites comme les autres français : refusez les rappels

Par Gérard Delépine

Le gouvernement vient de lancer une nouvelle campagne de rappel des pseudo vaccins anti-covid en prétendant que :

« L’objectif de cette campagne de vaccination consiste à maintenir un niveau de protection vaccinale suffisant afin de réduire la survenue de formes graves de Covid-19, et le risque d’hospitalisation et de décès. »

Mais les Français savent que l’épidémie est quasiment terminée dans le monde :

Comme en France :

Ils ont de plus constaté que les pseudo vaccins ne protègent pas des contaminations. Comment pourraient-ils l’ignorer alors qu’autour d’eux de nombreux vaccinés tombent malades malgré les rappels et que les données de l’OMS montrent que l’épidémie, loin de ralentir, a été fortement accélérée après les injections ?

ou comme l’illustre la courbe des contaminations en France où la plus grande poussée de contaminations a éclaté alors que près de 80 % de la population était vaccinée :

Les Français savent aussi que les vaccins ne protègent ni des formes graves ni de la mort, car ils connaissent tous des voisins vaccinés qui ont été hospitalisés et/ou sont morts de Covid en particulier lors de la vague de décembre 2022 alors que plus de 93 % de la population à risque était injectée.

Ils savent enfin que les pseudo vaccins covid ne sont pas dépourvus de complications.

Aucun médicament actif ni vaccin n’est dépourvu de risque. Mais les pseudo vaccins covid battent tous les records de complications observés depuis le début des vaccinations tant aux USA (registre du VAERS) qu’en Europe.

Les complications bénignes sont les plus fréquentes, mais il existe des complications plus sérieuses : phlébites, thromboses, troubles du cycle menstruel, pertes de connaissance brutales, accidents neurologiques variés, myocardites pouvant entraîner la mort.

Les registres des États-Unis montrent qu’après les 657 millions de doses administrées dans le pays avant le 7 décembre 2022, 17 800 décès ont été identifiés, même si le lien de causalité reste comme après tout médicament difficile à établir avec certitude.

Malgré la désinformation les Français sont devenus prudents.

Dans le monde les injections ne font plus recette : moins de 0,01 % de la population accepte encore de se faire injecter !

En France aussi, malgré la propagande forcenée de nos autorités répétant que les injections expérimentales seraient « des vaccins efficaces et sans risque » l’expérience a permis à l’écrasante majorité de réaliser que ces injections anti-covid ne servent qu’à augmenter les dividendes des actionnaires de Pfizer et mettent en danger ceux qui les reçoivent.

Les seuls qui subissent encore des rappels sont ceux qui ne peuvent pas exercer leur libre choix comme les pensionnaires des EHPAD, les malades hospitalisés…

En mai, chaque jour, moins de 0,01 % des Français sont injectés :

Faites comme le reste de la population française, ne prenez pas de risque en vous faisant réinjecter un médicament toujours expérimental alors que les faits avérés en population montrent qu’il est inefficace et dangereux.




Interdit de parler de ça !

[Source : covidhub.ch]

Senta Depuydt est journaliste et mère d’un enfant qu’elle a réussi à délivrer de l’autisme après des recherches inlassables qu’elle retrace ici de manière émouvante.

Après des années, Senta Depuydt a fini par découvrir une approche biomédicale, utilisant notamment des prescriptions nutritionnelles, qui ont rendu de façon spectaculaire la santé psychique à son fils.

[Voir aussi :
« Vaccins : un plan mondial » écrit en mars 2019
Dossier Vaccins et virus]

Impossible de faire savoir

La journaliste belge a voulu partager ces informations à d’autres parents, et rassembler les connaissances, expériences et témoignages lors d’un congrès scientifique en 2016, en présence entre autres du Prix Nobel Luc Montagnier.

Et c’est là qu’elle se heurte à un puissant système qui répond à ces recherches indépendantes par la répression et le discrédit. Car l’un des points soulevés était le lien de plus en plus vérifié entre l’autisme et un certain nombre de vaccins administrés toujours plus massivement aux enfants et aux bébés.

Le film qui devait lancer le débat…

Senta Depuydt a participé à la diffusion d’un documentaire, immédiatement dénoncé comme complotiste : VaxxedFrom Cover-Up to Catastrophe (Vaccinés — de la dissimulation à la catastrophe).

Pourtant, le film commence par le puissant aveu de William Thompson, un scientifique du CDC (l’agence publique de contrôle des maladies), qui aurait dû lancer un débat public immédiat : « J’ai honte, nous avons menti, nous avons manipulé les données pour dissimuler le lien entre l’autisme et la vaccination ».

Et pourtant, les chiffres sont là

Pour rappel, les États-Unis sont le pays qui vaccine le plus et le plus tôt les nouveau-nés, et c’est aussi la région du monde où le niveau d’autisme est le plus élevé, avec un enfant touché sur 44 naissances en 2021. En 2016, ce taux s’élevait à un enfant sur 68 et en 2002 à un enfant sur 150.

Or, comme pour le Covid quelques années plus tard, le débat sera tout simplement interdit. Senta Depuydt a beau organiser des projections et des conférences, ou alerter des députés au Parlement européen, en vain.

La réponse violente du système

La réponse du complexe pharmaceutico-médical sera particulièrement violente, raconte-t-elle : censure, lynchage médiatique, persécution des scientifiques et des témoins, manipulation des données…

La journaliste se rend compte peu à peu qu’elle a affaire à un agenda global de vaccination et de sécurité sanitaire — « un véritable coup d’État mondial ». Qu’il s’agisse de l’autisme ou du Covid, on fait face aux mêmes stratégies, mêmes narratifs livrés aux autorités et aux médias, même fake news et fact checkings.

Pour renforcer en Europe la prise de conscience et avant tout la protection des enfants, elle a proposé à Robert Kennedy Jr (qui dénonce depuis longtemps les vaccinations massives aux États-Unis) de fonder une section européenne de son organisation Children’s Health Defense.

Conférence :






Comment Staline a « cancellé » Hamlet en Union soviétique et ce que cela nous apprend sur la « cancel culture »

[Source : epochtimes.fr]

La peur collective peut déboucher sur une censure tout aussi étouffante et oppressive que les interdictions gouvernementales, comme le montre l’histoire.

Par Jon Miltimore

Hamlet de William Shakespeare est souvent considéré comme la plus grande histoire jamais écrite.

La pièce a tout pour plaire : des fantômes, des combats à l’épée, des suicides, de la vengeance, de la luxure, des meurtres, de la philosophie, de la foi, de la manipulation et un bain de sang final digne d’un film de Tarantino. C’est un chef-d’œuvre de grand art et de sensationnalisme, la seule pièce que j’ai vu jouer en direct trois fois.

Évidemment, tout le monde n’aime pas Hamlet. Joseph Staline, par exemple, était un de ses détracteurs.

La haine de Staline pour la pièce est presque devenue légendaire, en partie parce qu’on ne sait pas exactement pourquoi il la détestait. Des articles universitaires entiers se sont penchés sur la question.

Dans son autobiographie Témoignages, le célèbre compositeur russe Dmitri Chostakovitch suggère que Staline considérait la pièce comme excessivement sombre et potentiellement subversive.

« Staline ne voulait tout simplement pas que les gens regardent des pièces dont l’intrigue lui déplaisait », écrit-il. « On ne sait jamais ce qui peut venir à l’esprit d’une personne dérangée ».

Il n’a pas décidé d’interdire la pièce pour autant. Il a simplement fait part de sa désapprobation lors d’une répétition au Théâtre d’art de Moscou, son théâtre préféré.
« Pourquoi faut-il jouer Hamlet au Théâtre d’art ? » a demandé le dirigeant soviétique.

Il n’en fallait pas plus, selon Chostakovitch.

« Tout le monde était au courant de cet incident et personne ne voulait s’y risquer. Tout le monde avait peur », a observé Chostakovitch. « Et pendant de longues années, il n’y a pas eu de Hamlet sur la scène soviétique ».

La « cancel culture » et la peur

Hamlet ne risque rien aux États-Unis aujourd’hui, et c’est heureux. Pourtant, la « cancel culture » d’aujourd’hui a purgé de nombreuses œuvres d’art — certains livres de Dr Seuss, Autant en emporte le vent, des films de Disney tels que Peter Pan et Dumbo.

Ces œuvres d’art ne sont pas interdites par les censeurs de l’État ; elles sont retirées ou limitées par les fournisseurs de contenu eux-mêmes, par les magasins en ligne et les éditeurs, au motif qu’elles sont culturellement ou racialement insensibles.

Seuss Enterprises a déclaré à l’Associated Press qu’elle cesserait de publier six livres de Dr Seuss, dont And to Think That I Saw on Mulberry Street et If I Ran the Zoo, car ceux-ci « dépeignent les gens d’une façon qui est blessante et erronée ».

La question de savoir si ces œuvres d’art sont culturellement insensibles est une question subjective, tout comme celle de savoir si Hamlet est une pièce de théâtre moralement subversive. Certains nient d’ailleurs le fait que Dr Seuss soit « cancellé ».

« Nous pouvons débattre de la question de savoir si c’était la bonne chose à faire, mais il est important de souligner quelques points », a écrit le critique de cinéma Stephen Silver dans le Philadelphia Inquirer. « La décision a été prise par la société qui possède et contrôle les livres, et non par le gouvernement ou par une “foule” qui a fait pression sur elle ».

En effet, M. Silver a raison de noter qu’il existe une différence entre la censure gouvernementale et l’autocensure. Toutefois, affirmer qu’aucune pression n’a été exercée sur la décision mériterait d’être examiné de près. (Nous y reviendrons dans un instant).

Quoi qu’il en soit, s’il existe des différences entre la censure gouvernementale et l’autocensure, toutes deux sont dangereuses, comme l’a fait remarquer George Orwell.

« Il n’est évidemment pas souhaitable qu’un service gouvernemental ait un quelconque pouvoir de censure (…) mais le principal danger pour la liberté de pensée et d’expression à l’heure actuelle n’est pas l’ingérence directe du [gouvernement] ou d’un quelconque organisme officiel. Si des éditeurs et des rédacteurs en chef s’efforcent de ne pas publier certains sujets, ce n’est pas parce qu’ils craignent d’être traduits en justice, mais parce qu’ils ont peur de l’opinion publique. Dans ce pays, la lâcheté intellectuelle est le pire ennemi qu’un écrivain ou un journaliste doive affronter, et ce fait ne me semble pas avoir été discuté comme il le mérite ».

Ce qu’Orwell dit, c’est que la peur de l’opinion publique peut aussi entraîner la censure.

Pour être clair, nous ne connaissons pas avec certitude les motivations des éditeurs qui décident de cesser de publier certains livres de Dr Seuss, et nous ne pouvons pas savoir avec certitude pourquoi Spotify a soudainement fait disparaître 42 épisodes du podcasteur Joe Rogan. Mais il n’est pas déraisonnable de penser que ce qui est l’œuvre ici est similaire à ce qui a bouté Hamlet hors de l’Union soviétique : la peur.

La peur : une censure plus efficace que les interdictions ?

La mise au placard de Hamlet par Staline montre que les interdictions gouvernementales ne sont pas les seuls moyens de réprimer la liberté d’expression, ni même les plus efficaces. Comme l’a fait remarquer Chostakovitch, la capacité de Staline à « canceller » Hamlet d’une simple phrase était une démonstration de son pouvoir bien plus impressionnante qu’une interdiction officielle. Cela n’a nécessité ni loi ni annonce officielle. Il a suffi d’un mot discret, et la peur, une émotion bien connue des Américains d’aujourd’hui, a fait le reste.

Une étude récente de Cato montre que l’autocensure est en plein essor aux États-Unis, deux tiers des Américains déclarant qu’ils ont peur de partager leurs idées en public en raison du climat politique, de plus en plus dominé par le « wokisme ».

Ces craintes ne sont pas irrationnelles. Les exemples d’Américains qui ont perdu leur emploi, qui ont été humiliés ou « cancellés » pour s’être trouvés du mauvais côté de la culture « woke » sont légion. L’année dernière, le phénomène a donné lieu à une lettre dans le magazine Harper’s, signée par des dizaines d’universitaires de renom, qui condamnait le climat d’intolérance dans le monde des idées.

« Des rédacteurs en chef sont licenciés pour avoir publié des articles controversés ; des livres sont retirés pour cause d’inauthenticité présumée ; des journalistes se voient interdire d’écrire sur certains sujets ; des professeurs font l’objet d’une enquête pour avoir cité des œuvres littéraires en classe ; un chercheur est licencié pour avoir diffusé une étude universitaire validée par ses pairs ; et des dirigeants sont évincés pour ce qui ne relève parfois que de la simple maladresse », peut-on lire dans la lettre.

« Nous en payons déjà le prix, des écrivains, des artistes et des journalistes ayant développé une plus grande aversion au risque et craignant de perdre leur gagne-pain s’ils s’écartent du consensus, ou même s’ils manquent de zèle pour se mettre en conformité ».

Ce climat ne se limite pas aux écrivains et aux universitaires. Il s’étend aux salles de conseil d’administration et aux comités de direction des entreprises, où l’on fait pression sur les individus pour qu’ils décident quel art est acceptable et quelles opinions sont aptes à être partagées sur les plateformes.

Être du mauvais côté du débat vous expose aux risques d’être personnellement détruit. Il est tout simplement plus facile d’accepter de retirer les œuvres d’art « nuisibles » ou de licencier l’employé qui a suscité l’ire de la foule sur Twitter.

« Les gens ont peur de les défier », a déclaré Robby Soave, de Reason, à John Stossel l’année dernière lors d’une interview sur la « cancel culture ».

Comme dans le 1984 d’Orwell, dans la culture actuelle, il n’est même pas nécessaire de dire des choses erronées pour être condamné.

Demandez au Dr Howard Bauchner, qui a été démis de ses fonctions de rédacteur en chef de l’éminente revue médicale JAMA en mars dernier. Son crime est que, lors d’un podcast, son rédacteur en chef adjoint a mis en doute l’existence du racisme structurel. « Le racisme structurel est un terme malheureux », a déclaré le Dr Edward H. Livingston, qui est blanc. « Personnellement, je pense que le fait de retirer de la conversation la question du racisme sera utile. »

« Tout le monde avait peur »

Certes, dans l’Amérique d’aujourd’hui, on ne risque pas d’être liquidé pour avoir refusé de se plier à la pression de l’autocensure des œuvres d’art. On ne peut pas en dire autant de l’Union soviétique sous Staline.

Pourtant, il existe un point commun entre ces deux cas de censure : la peur.

« Tout le monde avait peur », a déclaré Chostakovitch.

Ces mêmes mots peuvent s’appliquer à ceux qui se plient aujourd’hui à la « cancel culture ».

Il ne s’agit pas de dire que les œuvres de Dr Seuss sont ou ne sont pas culturellement insensibles, ou que Hamlet contient ou ne contient pas de thèmes nuisibles ou subversifs.

Il s’agit simplement de dire que la peur se cache derrière la disparition de l’art et la suppression de la liberté d’expression. C’est pour cette seule raison qu’il faut s’opposer à ces initiatives.




Les effets des ondes sur l’organisme

[Source : twitter.com/patou_ou_rien]





https://www.champs-electro-magnetiques.com/ondes/actudes-41.html

études

– AVIS de l’Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail sur la question de l’exposition au CEM (2009) (lire la suite…)

 L’appel de Fribourg: « Par grand souci pour la sante de nos contemporains nous nous adressons – en tant que medecins de toutes specialites (specialement de la medecine environnementale) », (lire la suite…)

– Université d’Albany, New York – 31 Août : De graves inquiétudes de Santé publique sont soulevées à propos de l’Exposition aux Champs Electromagnétiques (CEMs) des Lignes à Haute-Tension et des Téléphones Cellulaires (lire la suite).

– Une étude  fondée sur la Variabilité du Rythme Cardiaque montre que les irradiations d’un téléphone sans fil de 2,4 GHz affectent le système nerveux autonome (lire la suite…)

– Etude Brésilienne de Adilza Condessa Dode sur la surmortalité des riverains d’antennes relais  Dans une méga thèse défendue par devant l’UFMG qui est l’une des cinq plus grandes universités publiques brésiliennes, la chercheuse ingénieure, confirme l’hypothèse et met en évidence qu’il y a corrélation entre les cas de décès par cancers et la localisation d’antennes relais de téléphonie cellulaire dans la ville de Belo Horizonte, capitale de l’état de Minas Gerais au Brésil (lire la suite).

– Deviendrons nous tous électrosensibles? Etude le l’ARTAC sur l’électrosensibilité, nouvelle pathologie qui augmente de façon exponentielle (lire la suite…), également une étuide anglaise sur cette question -en Anglais (lire la suite…)

– Les micro-ondes sont-elles le facteur causal principal dans les SFC/ME ? par le professeur Paul Doyon (lire la suite…)

– Réactions allergiques renforcées par l’utilisation du téléphone mobile: L’utilisation des téléphones mobiles pendant une heure en continu exacerbe les réactions allergiques à la poussière et au pollen chez les adultes atteints d’eczéma, selon une nouvelle étude scientifique publiée dans…(lire la suite..)

– Enquête Européenne sur les Symptômes Biologiques et Sanitaires ressentis par les Riverains d’antennes relais – 15 JANVIER 2010 (lire la suite…)

– Le Dr Thomas Rau, directeur médical à la clinique de renommée mondiale Paracelsus à Lustmühle en Suisse dit qu’il est convaincu que les rayonnements électromagnétiques conduisent au cancer, aux troubles de concentration, d’ADD, problèmes d’acouphènes, de migraines, d’insomnies, d’arythmies, maladie de Parkinson et même de maux du dos (lire la suite…)

– Étude scientifique sur les symptômes spécifiques des riverains d’antennes relais de Selbitz (Bavière). Mise en évidence d’une relation Dose-Effet des irradiations. Dr Horst Eger, Dr Manfred Jahn et Al (lire la suite…)

– Communication du Professeur Pierre LE RUZ au Troisième Séminaire sur la Santé, l’Environnement et la Société touchant les Communications par Mobiles (2006) (lire la suite…)

– Résolution du Parlement européen – Textes adoptés au 04/09/2008 (lire la suite…)

– Rapport australien indépendant : ‘Impacts des rayonnements des antennes-relais de téléphonie mobile’ – 30/08/2008 Lyn McLean, EMR Australia – en Anglais-  (lire la suite…)

– Autre Rapport Australien sur cette question, ce rapport met en évidence les effets de radiation des radiofréquences provenant des antennes relais sur la santé publique (lire la suite…)

– Etude TNO sur les effets des technologies sans fils concernant les fonctions cognitives et le bien être (étude en Anglais) (lire…)

– Etude du Dr Neil Cherry: Preuves épidémiologiques d’un risque pour la Santé près des stations de bases de téléphonie mobile (lire la suite)

Référence de l’ensemble des études sur le sujet des CEM

– Une nouvelle étude Canadienne, met en garde contre les risques des irradiations et suggère que les antennes relais soient à l’écart des logements (lire la suite…)

– Eau et Champs ÉlectroMagnétiques artificiels: Plus de 10 000 stations de bases de téléphonie mobile soit environ plus de 100 000 antennes relais qui générèrent et irradient en CEM artificiels HF micro-ondes l’eau que la population consomme (lire la suite…)

– Téléphones portables: Demain il sera trop tard: Faute d’avoir voulu prendre le problème à bras le corp npous devrons un jour faire face  à un choix cornélien, le portable ou la vie – pratique de santé-  (lire la suite…)

– La synthèse de l’étude internationale BIOINITIATIVE, étude de référence sur ces questions (lire la suite…)

– The Impacts of Radiofrequency Radiation from Mobile Phone Antennas (étude Australienne)

 – Le Syndrome des Micro-Ondes: Toutes les études scientifiques réalisées dans le monde démontrent que suite à une irradiation HyperFréquences ou micro-ondes il est observé des effets thermiques et des effets spécifiques dits athermiques (lire la suite…)

– Résolution de Benevento: De nouvelles preuves se sont accumulées indiquant des effets néfastes résultant de l’exposition tant professionnelle que privée aux champs électriques, magnétiques et électromagnétiques – ou
CEM. Les CEM, dans cette résolution, sont compris entre 0 et 300 GHz (lire la suite…)

– Lettre ouverte aux parents, enseignants et conseillers scolaires par le Docteur Magda Havas, en ce qui concerne les réseaux WiFi dans les écoles (lire la suite…)

– Alerte, les micro-ondes pulsée empêchent les abeilles de retrouver leurs ruches

– Antennes de téléphonie mobile, technologie sans fil et santé – le livre du docteur Jean Pilette (livre à télécharger)

– « Il y a un lien prouvé entre champs électromagnétiques, cancers et leucémies » Entretien avec le Dominique Belpomme, professeur de cancérologie, qui s’est penché sur l’électro-sensibilité (lire la suite…)

– Fatigue chronique, Les micro-ondes sont-elles le facteur causal principal? par le professeur Paul Doyon (lire la suite…)

– Une revue de presse complète du CRIIREM

– Résolution de Copenhague Concernant le côté caché d’une société du sans fil Bâtiment du Parlement, Christiansborg, Copenhague 9 octobre 2010 (lire la suite…)

Le taux de mortalité des rats de labo double en cas d’exposition aux ondes pulsées des GSM. Et chez les hommes? On le saura en 2015…(lire la suite…)

– Abeilles et CEM: Une expérience menée dans l’État méridional du Kerala a constaté que la chute soudaine de la population d’abeilles a été causée par des STations de Bases (BST) d’antennes relais installées à travers l’Etat par les opérateurs de téléphonie mobiles cellulaire installées pour accroître leur réseau (lire la suite…)

– Les micro-ondes pulsées empêchent les abeilles de retrouver leurs ruches (lire la suite…)

– Etude sur les effets des antennes relais sur les moineaux  (Evraeart & Bauwens) (lire la suite…)

– Larges compilation de références bibliographiques des études sur le sujet des CEM (lire…)

https://vk.com/wall334722730_37222

Voici une liste non exhaustive de brevets concernant le contrôle mental et la manipulation de masse par des ondes électromagnétique. Ajoutez y tous les prélèvement d’ADN effectués à notre insu avec les dons du sang et les tests PCR et la popote 5G qui permettra d’avoir une gamme de fréquences extrêmement large pour envoyer des ondes aux fréquences très précises vers un individu facilement identifié et ciblé grâce aux nouvelles antennes directionnelles, et on peut vaguement imaginer la société de demain. Je rappelle au passage que : Depuis l’apparition de la téléphonie mobile 1G, 2G, 3G, 4G, les fréquences utilisées restent dans un intervalle, toute proportion gardée, réduit par rapport à celles de la 5G. En effet, jusqu’à maintenant, la bande des fréquences utilisées s’étalaient de 700 à 2500 MHz. La « petite » 5G qui est déjà déployée en France (officiellement en tout cas), monte déjà les fréquences à 3500 MHz. Mais la future « grande » 5G, capable d’offrir le haut débit demandé par tous les objets connectés, la reconnaissance faciale, le crédit social, … usera des fréquences 26 000 MHz et 60 000 MHz ! A l’instar du four à micro-ondes qui agite les molécules d’eau à 2400 MHz et rendant les aliments inassimilables et toxiques, 60 000 MégaHertz ou 60 GigaHertz (GHz) est la fréquence d’agitation des molécules d’oxygène, les rendant inassimilables par les poumons et provoquant l’asphyxie des personnes.
Welcome to Brave New World…

☞ Brevet américain US5289438A: Méthode et système pour modifier la conscience.
https://patents.google.com/patent/US5289438A/en

☞ Brevet américain US5270800A: Générateur de messages subliminaux.
https://patents.google.com/patent/US5270800

☞ Brevet américain US4717343A: Méthode pour changer le comportement d’une personne.
https://patents.google.com/patent/US4717343

☞ Brevet américain US3951134A: Appareil et méthode pour surveiller et modifier à distance les ondes cérébrales.
https://patents.google.com/patent/US3951134

☞ Brevet américain US5159703A: Système de communication subliminal silencieux.
https://patents.google.com/patent/US5159703

☞ Brevet américain US5507291A: Procédé et appareil associé pour déterminer à distance des informations sur l’état émotionnel d’une personne.
https://patents.google.com/patent/US5507291

☞ Brevet américain US6017302A: Manipulation acoustique subliminale des systèmes nerveux.
https://patents.google.com/patent/US6017302

☞ Brevet américain US6052336A: Appareil et procédé de diffusion d’un son audible utilisant un son ultrasonique comme support.
https://patents.google.com/patent/US6052336

☞ Brevet américain US6506148B2: Manipulation du système nerveux par les champs électromagnétiques des moniteurs.
https://patents.google.com/patent/US6506148B2/en

☞ Brevet américain US10300240B2: Stimulateur de rêves lucides, systèmes et méthodes associées.
https://patents.google.com/patent/US10300240B2/en

☞ Brevet américain US5629678A: Système émetteur-récepteur implantable.
https://patents.google.com/patent/US5629678A/en


Voir aussi :

Dossier 5G et ondes pulsées pour d’autres liens et articles sur le sujet




Réformes de l’instruction : Macron perpétue le pacte diabolique

[Source : investisseur-sans-costume.com]

Par Guy de La Fortelle

C’est l’histoire d’un professeur de philosophie qui tente d’expliquer à son élève la différence ontologique entre l’être et l’avoir et lui demande ce qu’il choisirait entre un sac d’argent et un bagage intellectuel débordant :

« Le sac d’argent, répond l’élève.

— À ta place, j’aurais pris l’intelligence, reprend le professeur

 C’est normal, chacun choisit ce qui lui manque le plus ».

Cette blague potache n’est pas anodine : voilà le monde dans lequel nous vivons ; un monde dans lequel il y a de plus en plus d’argent et de moins en moins d’intelligence et de compétence ; un monde dans lequel nous prenons la proie pour l’ombre, un monde dans lequel le signe est devenu incroyablement plus important que sa contre-valeur réelle.

École, baccalauréat, IUT, lycées professionnels, université… Emmanuel Macron avale les réformes de l’instruction comme l’on enfile les perles d’un collier.

L’instruction c’est comme le fric : les deux sont réduits à une signature au bas d’un bout de papier, billet ou diplôme, qui ne valent plus guère que l’encre pour les imprimer.

La destruction de la monnaie et du savoir participent de la même forfaiture.

Ils vous ont trompés et la particularité d’Emmanuel Macron est d’accélérer le mouvement de destruction au moment où celui-ci devient flagrant même aux plus obtus même maquillé d’un vernis putréfié de pragmatisme entrepreneurial, accompagné d’une violence mafieuse pour enrober le tout.

Le grand projet d’Emmanuel Macron est de professionnaliser les enseignements secondaires et supérieurs.

La promesse est louable, mais elle est fausse et l’exécution à l’envers : nous nous rendons bien compte que l’empilement des réformes ne consiste pas à régler les problèmes, mais à brouiller les pistes et casser les thermomètres pour tenter de prolonger un peu plus la forfaiture.

Quelle forfaiture ?

La grande arnaque au progressisme

L’État, depuis un demi-siècle, fait la promesse — vaguement fascisante — de l’Homme Nouveau. Là où les dictatures ont échoué, le capitalisme dévoyé a triomphé.

Il a passé cet accord informel avec le peuple : je vous sacrifie pour que vos enfants aient une vie meilleure.

Votre histoire, votre identité, vos métiers, savoir-faire, traditions, les plats que vous mangez, les habits que vous portez, les mots que vous employez, les pays que vous habitez, les histoires que vous racontez, vos contes, vos légendes tout cela doit mourir en échange de quoi vos enfants seront des rois. Ils seront riches, instruits, puissants, libres, oisifs, charnels…

Cela fait 50 ans et la promesse qui a d’abord semblé tenue est finalement corrompue jusqu’à l’os.

Depuis 2008, nous avons pris conscience collectivement que nos enfants seront plus pauvres et moins instruits que nous, qu’ils auront la vie plus dure. Mais au lieu de nous confronter à ce constat, nous faisons l’autruche et nous racontons des histoires en attendant la mort. Il y a là d’ailleurs une question générationnelle : Les retraités votent aussi pour Macron, car il perpétue cette promesse sur laquelle cette génération s’est construite, pas tous bien sûr, mais une majorité ;

Évidemment l’instruction joue un rôle central dans l’appareil de la vaine promesse de l’Homme Nouveau.

Les promesses n’engagent que ceux qui les croient

Politiquement, vous ne pouviez pas détruire 2 millions d’emplois ouvriers sans promettre un avenir meilleur aux enfants de vos victimes expiatoires.

Dommage, les enfants sont finalement plus cons, avilis plutôt que formés.

Plus nous distribuons de diplômes et plus la compétence baisse, plus nous distribuons d’argent et moins nous créons de richesses.

Nous vivons dans un monde où les signes d’intelligence et de compétence se multiplient aussi vite que les signes monétaires, mais où tout comme la monnaie, les compétences et l’intelligence réelles s’effondrent.

Tout comme la mauvaise monnaie chasse la bonne, la fausse compétence chasse la vraie. La promesse progressiste de l’Homme Nouveau est vaine : il s’agissait simplement de vous faire les poches et désormais la peau.

Avec la réduction des déficits publics, l’amélioration de notre système éducatif est sans doute la promesse la plus martelée et la moins bien tenue de ces 40 dernières années par les machins qui nous servent de représentants politiques et servent la

soupe de la Grande Arnaque du progressisme.

Notez que le problème n’est pas l’éducation nationale ni l’enseignement supérieur : ils ne sont pas défaillants, ils remplissent très efficacement leur fonction. Ils servent à merveille la promesse de l’Être Nouveau et repaient en monnaie de singe les naïfs qui ont osé y croire, élèves, parents, professeurs aussi et nombreux.

Cela se voit particulièrement bien dans les chiffres.

En France, plus le niveau de formation augmente et plus nous nous appauvrissons

En 1980, 20 % de la population française avait le bac et moins de 10 % un diplôme du supérieur.

En 2021 la proportion s’est inversée : 82 % de la classe d’âge a obtenu le bac et près de la moitié des 25-34 ans détient un diplôme du supérieur.

Pourtant cette hausse impressionnante des niveaux de diplômes NE s’est PAS accompagnée d’une hausse de l’activité en France qui stagne et cache une hausse de l’activité féminine et une baisse de l’activité masculine…

Le PIB par habitant est lui passé de 9 200 € (±60 000,00 F) à 37 000 € de 1980 à 2021 selon les chiffres de l’INSEE.

Corrigée de l’inflation, cette différence considérable se réduit comme peau de

chagrin à 30 000 € contre 37 000 € et encore n’est-ce que l’inflation officielle et si l’on corrige encore de l’endettement net, privé, public et hors bilan, on se rend compte que malgré des formations toujours plus longues et des diplômes toujours plus ronflants, nous produisons de moins en moins de richesses et nous appauvrissons en réalité et à grande vitesse désormais.

Un demi-siècle d’allongement de l’instruction et d’augmentation des niveaux de diplômes n’a apporté aucun enrichissement matériel ou immatériel (j’assume ici l’aspect nécessairement subjectif de l’immatériel) aux populations qui ont consenti cet effort.

La baisse des niveaux d’instruction a fini par atteindre tous les niveaux : aussi bien les populations qui n’atteignent pas le bac que celles qui complètent un premier cycle universitaire ou celles qui poursuivent des études longues. Signe tranchant que cette baisse atteint aussi les populations les plus éduquées : les niveaux des concours d’entrée aux grandes écoles de commerce et d’ingénieurs baissent eux aussi*.

L’escroquerie démontrée, nous pourrions nous arrêter -là, mais il y a du fruit à pousser l’analyse un peu plus loin.

Nos politiques de formation entravent activement leur adaptation

À la fin des années 1990, nous étions le pays de l’OCDE qui inscrivait le plus d’élèves en études supérieures, mais qui connaissait également le plus fort taux d’échec. Nous avons désormais un profil moyen, terriblement moyen, qui cache à peine d’immenses disparités et la pente descendante que nous parcourons.

Il est faux en revanche de vouloir nous cantonner à cette image d’étudiants désœuvrés qui s’inscrivent à l’université sans y mettre les pieds ni se présenter aux examens comme l’a encore fait Emmanuel Macron il y a un an en affirmant à tort que la moitié des étudiants de première année ne se présentait pas aux examens alors que 70 % obtiennent leur licence ce qui est comparable aux autres pays de l’OCDE.

Les étudiants de BTS en revanche ne sont que 58 % à aller jusqu’au diplôme. Et ce problème-là est autrement plus grave, notamment car il sanctionne aussi bien la défaillance d’instruction à l’entrée et l’absence de débouchés à la sortir pour ces populations.

Comment commencer à travailler plus jeunes et mieux formés

Pourtant, si nous regardons les systèmes d’instruction des pays les plus riches et fonctionnels aujourd’hui nous nous rendons compte qu’ils partagent 2 caractéristiques communes dans les statistiques de l’OCDE : ce sont des pays où nous observons à la fois un fort taux d’études supérieures ET un âge d’entrée sur le marché du travail précoce.

Taux de diplômés du supérieur dans les pays de l’OCDE
Participation au marché du travail des 15-24 ans des pays de l’OCDE

Il se trouve que nous avions les bonnes formations pour répondre à ces enjeux avec les BTS et DUT (désormais BUT) créés au début des années 1960. Nous avions tout ce qu’il fallait pour réussir cette adaptation… C’était sans compter l’idéologie et la destruction des études primaires et secondaires qui se sont propagées aux études supérieures.

Confrontés à une baisse du niveau général, des bacheliers des filières technologiques et générales se sont de plus en plus tournés vers des BTS et DUT, formations plus en lignes avec leur niveau et aspirations réelles. Plutôt que réformer le baccalauréat et les études secondaires, nous avons préféré forcer les BTS et DUT à prendre des quotas d’étudiants sortant des filières professionnelles. Nous avons tué le BTS et prenons désormais la même voix avec les DUT. Les taux de réussites aux examens sont inquiétants à 58 %, le chômage des diplômés, lui, est supérieur à la moyenne… Autant pour la professionnalisation en France qui ne sait pas plus former sa jeunesse que lui offrir des débouchés.

Il n’y a plus de professeurs en France : que font la première dame et la police ?

Enfin, signe de l’effondrement de notre système fort compréhensible d’ailleurs, nous sommes le pays de l’OCDE qui forme le moins d’enseignants ! Nous trônons sur cette dernière marche, nous portons cette tache honteuse. Avec 4,1 % de diplômés du supérieur en éducation, nous sommes derniers des 38 pays développés de l’OCDE qui forment 10,4 % d’enseignants en moyenne parmi leurs étudiants du supérieur.

Pensez-vous que cela toucherait une première dame professeure de lycée ?

Je ne sais ce qui pèse le plus entre les conditions exécrables, les salaires de misère ou le désaveu de notre société pour ceux qui forment le trésor de notre avenir…

Mais l’on trouve encore nécessaire de faire la guerre aux initiatives à la marge qui tentent de se libérer de la spirale d’échec de ceux qui prennent les diplômes pour des hochets et nos enfants pour les gardes rouges de leur idéologie mortifère.

L’unique raison de l’échec français

L’unique raison de l’échec français est la politisation à outrance de notre école et de notre enseignement qui conduit au sacrifice de la formation effective à l’autel du grand marchandage politique, la distribution de diplômes aussi vides que les promesses de lendemains meilleurs.

J’ai repris le thème de l’instruction après une note de l’inénarrable Patrick Artus, chef économiste de Natixis, qui nous a pondu une note tarte à la crème sur « la priorité absolue en France, c’est l’amélioration du système éducatif » qui fait baisser les compétences et augmenter le chômage. Pour Artus, tout se réglera naturellement une fois que nous aurons repris en main la formation de nos générations montantes… Mais pour faire quoi ? Et à quel prix ?

Former une population dispense-t-elle de faire de la politique ? Évidemment non. Mais comme souvent en France, la politique se mêle de ce qui ne la regarde pas pour mieux éviter les sujets sur lesquelles elle devrait agir.

Artus reprend la sempiternelle antienne de la formation, il contribue à la politiser toujours plus, laissant supposer que nous échouons depuis 40 ans non parce que la voie est mauvaise, mais parce que nous ne la descendons pas assez vite.

Laissez profs, parents, élèves et directeurs tranquilles !

Mais c’est tout l’inverse ! Arrêtez de vouloir réformer l’instruction en France et laissez libres ne serait-ce que 10 ans, directeurs, professeurs, parents et élèves de faire ce que bons leur semble au lieu de les entraver toujours davantage et de les perdre en réformes absconses.

Si demain l’Éducation Nationale disparaissait dans une grande nuée : quel mal cela ferait-il ?

Quel mal aux enseignants enfin libres de leur instruction ?

Quel mal aux directeurs enfin libres de leur recrutement, élèves et professeurs ?

Quel mal aux parents enfin libres de choisir leur école ?

Tout ce monde serait bien obligé de se responsabiliser, de se demander ce qu’ils veulent vraiment et des efforts qu’ils sont prêts à consentir.

Voyez déjà les niches d’enseignement libre, primaire, secondaire et supérieur auxquelles on fait la guerre et qui pourtant font florès.

Bien sûr que tout n’est pas perdu, voyez cette génération qui compense le déficit du nombre par un engagement héroïque, qui s’endurcit à ce feu, renforce sa détermination et ne demande qu’à éclore au premier rayon de soleil. Il dépend de nous, collectivement de faire éclore ce nouveau printemps ou de le tuer dans l’œuf.

Un peuple est toujours libre de refuser une loi

N’oubliez pas qu’une loi ne vaut jamais qu’à mesure qu’elle est appliquée : aucun parlement, aucune police, aucun gouvernement ne peut quoi que ce soit contre une population que refuse une loi collectivement, qui en devient inique en système démocratique.

Bien sûr, cela demande un saut dans l’inconnu, l’espérance que d’autres, en nombre suffisant, feront le même choix. Il s’agit en somme de redevenir un peuple, de reprendre ce dont ils vous ont privés depuis un demi-siècle.

À votre bonne fortune,

Guy de La Fortelle

PS Les statistiques utilisées pour cette lettre proviennent essentiellement de l’OCDE et de la Banque mondiale afin de permettre des comparaisons internationales et dans le temps.

https://www.oecd-ilibrary.org/docserver/f8d7880d-en.pdf?expires=1683382257&id=id&accname=guest&checksum=127257E35EB9BAE5083B6DCB7FF5E1CB

https://data.worldbank.org/indicator/SE.TER.ENRR?end=2020&locations=FR-DE-OE-CH&start=1971

* Il y a 20 ans, mes professeurs nous disaient que le niveau des élèves arrivant en classe préparatoire chutait d’année en année, mais que les concours se maintenaient, nous forçant à un effort considérable pour rattraper l’échec de l’enseignement secondaire. Cela ne pouvait durer éternellement et les niveaux des concours ont fini par baisser. Point de statistiques ici, il suffit de regarder les annales des concours.




« Ils sont manipulés et abîmés » : une auteure explique l’impact de l’idéologie transgenre sur les enfants

[Source : epochtimes.fr]

Par Janice Hisle

Helen Joyce pense avoir en partie résolu une énigme qui tourmente des millions de personnes dans le monde : Comment comprendre les débats illogiques qui entourent le transgenrisme ?

Mme Joyce n’est pas la seule à tenter de faire entendre la voix de la raison — et de la recherche — comme le prouve « The Bigger Picture », la première conférence internationale de Genspect, une organisation qui s’inscrit à contre-courant de la tendance actuelle.

Genspect conteste la notion dominante selon laquelle tout le monde, y compris les médecins, devrait automatiquement « affirmer » les identifications de genre des individus et leurs désirs de se transformer socialement et médicalement. Pour Genspect il s’agit au contraire de défendre « une approche saine de la sexualité et du genre » en allant dans le sens de soins « sûrs, maîtrisés et efficaces à destination de ceux qui souffrent de troubles du genre et sont dans la détresse. »

Mme Joyce, auteur de « Trans : When Ideology Meets Reality », a prononcé le discours d’ouverture de la conférence de trois jours de Genspect, à Killarney, en Irlande, le 27 avril, et qui affichait complet. Environ 200 participants sont se sont réunis notamment en provenance de l’étranger dont les États-Unis, et des centaines d’autres ont suivi la conférence sur internet.

Epoch Times Photo Helen Joyce, oratrice principale, s’adresse au premier rassemblement mondial de Genspect visant à remettre en question les notions dominantes concernant le traitement des personnes souffrant de troubles liés au genre, à Killarney, en Irlande, le 27 avril 2023. (Janice Hisle/Epoch Times via une capture d’écran de la diffusion en direct)

« Les femmes peuvent être des hommes ? »

Il y a des années, la première fois qu’Helen Joyce a entendu dire que « les femmes peuvent être des hommes » et vice versa, elle a cru que c’était une blague. Après avoir réalisé que les personnes en question étaient sérieuses, ce concept « était tellement fou que je ne pouvais plus m’en défaire », a-t-elle déclaré.

Forte de son expérience de mathématicienne, de mère d’un fils homosexuel et de journaliste soucieuse de vérité, Mme Joyce, qui est irlandaise, a compris pourquoi ce concept autrefois marginal était devenu si courant.

Epoch Times Photo Un panneau sur des toilettes individuelles dans un Starbucks à Gainesville, en Floride, le 23 janvier 2023, indique les deux sexes. (Nanette Holt/Epoch Times)

Dire « il n’y a pas deux sexes » revient à « introduire une équation un tantinet erronée dans l’ensemble du calcul mathématique », ironise-t-elle.

Lorsque l’erreur est répétée, ses effets se multiplient. « Si un est égal à zéro, toutes les mathématiques s’effondrent ». (…) Et je pense que c’est ce qui s’est passé ici… et que beaucoup de choses sont en train de s’effondrer. »

Les filles qui pensent qu’elles ne sont « pas très féminines » et les garçons efféminés se demandent souvent : « Pourquoi suis-je différent ? » Par le passé, beaucoup de ces enfants ont fini par se rendre compte qu’ils étaient attirés par les personnes de même sexe. Mais aujourd’hui, beaucoup de jeunes s’imaginent qu’ils sont « transgenres ».

On leur dit : « Vous êtes ce que vous pensez être », et ainsi il n’y a plus de critères pour être un homme ou une femme, explique-t-elle. 

Des mensonges en cascade

Le sexe est un élément fondamental de l’identité de chaque personne. Dire aux enfants que les hommes et les femmes sont interchangeables « est aussi peu judicieux que de leur dire que certaines personnes respirent de l’air et d’autres de l’eau », a déclaré Mme Joyce.

Résultat : Les enfants sont désorientés.

« Ils sont manipulés et abîmés », écrit-elle dans son livre.

L’idée selon laquelle n’importe qui peut se transformer en sexe opposé est tellement absurde qu’il est « difficile de comprendre comment qui que ce soit peut lui accorder autant de visibilité », dit-elle.

Deux visions du monde s’affrontent

Après avoir réfléchi à la raison pour laquelle ce concept est devenu plus répandu, Helen Joyce a eu une révélation, qu’elle a partagée lors de la conférence Genspect.

Elle s’est rendu compte que deux visions du monde divergentes étaient à l’œuvre.

D’un côté, certaines personnes croient aux droits individuels, mais reconnaissent que, pour qu’une société fonctionne, ces droits ont des limites. Les règles, les lois et les normes sociales sont nécessaires et entrent parfois en conflit avec les droits individuels. Ces personnes reconnaissent la réalité biologique : il y a deux sexes.

De l’autre côté, on trouve des personnes qui épousent « l’hyperindividualisme », une croyance selon laquelle « l’identité » autoproclamée l’emporte sur tout le reste, explique-t-elle.

Epoch Times Photo Un médecin examine une femme enceinte de huit mois dans un centre de santé à Denver, Colorado, le 15 mars 2017. (Jason Connolly/AFP via Getty Images)

Si ces affirmations n’ont aucun sens, ce n’est pas grave. La seule chose qui compte, c’est ce que l’individu déclare, c’est sa « vérité ». Toute tentative d’établir des normes ou de catégoriser les gens est considérée comme « coercitive et nuisible », a-t-elle ajouté.

Ainsi, les idéologues transgenres rejettent des truismes tels que « Toute personne ayant été enceinte est une femme », dit-elle, « et la vraisemblance n’est pas non plus un critère à prendre en compte ».

Au nom des « droits de l’homme », les affirmations qui défient la logique ou contredisent les faits sont acceptées et célébrées.

« Un coucou est entré dans le nid du cadre des droits de l’homme », dit-elle. « Un coucou est également entré dans le nid du système médical. »

Masquerade médicale

Les cliniques du genre « ont l’air de faire de la médecine », mais ce n’est pas le cas, selon elle. « Les gens viennent en pensant qu’ils vont consulter un médecin, qu’ils vont obtenir un diagnostic et qu’il y a une base et des preuves derrière tout cela », mais on les trompe, dit-elle.

La voix irlandaise de Joyce s’est faite plus douce encore lorsqu’elle a reconnu que, malheureusement, certaines personnes présentes dans la salle savaient cela pour l’avoir vécu personnellement.

Plusieurs « détransitionneurs », ces personnes qui ont renoncé à leur ancienne identité de genre autodéclarée, ont pris la parole. Beaucoup d’entre eux expliquent que les professionnels de la santé ne les ont jamais avertis des conséquences possibles qu’auraient les bloqueurs de puberté, les hormones du mauvais sexe et les opérations chirurgicales sur leur corps.

C’est après avoir rencontré certains de ces détransitionneurs et entendu leur histoire en 2019 que Mme Joyce s’est sentie obligée d’écrire son livre ; elle appelle ces personnes « les victimes de l’idéologie du genre les plus bouleversantes ».

« Ils ont adhéré à une idéologie incohérente et en constante évolution, dont le moindre écart est férocement puni », explique-t-elle dans son livre.

Prisha Mosely before and after her detransition. Prisha Mosely avant et après sa détransition. (Avec l’aimable autorisation de Prisha Mosley)

Des « one-man-shows »

Alors qu’ils tirent la sonnette d’alarme sur ces procédures « expérimentales », les détransitionnistes sont souvent vilipendés ; ils sont qualifiés « d’intolérants » ou de « transphobes », explique Mme Joyce, alors même qu’ils luttent pour se remettre de leur traumatisme mental et physique.

Elle pense que loin d’être des cabinets médicaux, les cliniques du genre fonctionnent davantage comme « une scène sur laquelle les gens montent pour jouer leur genre ». Ensuite, les professionnels de la santé « affirment » l’identité déclarée par le patient et acceptent dans une large mesure de pratiquer les actes médicaux souhaités par le patient.

« Chacun se retrouve à monter son propre one-man-show », dit-elle, mais oublie que « les autres sont censés avoir leur rôle d’acteurs de soutien dans votre vie ».

Notant que les bloqueurs de puberté sont utilisés depuis une vingtaine d’années, notamment en Europe, elle s’est interrogée à plusieurs reprises : « Pourquoi ne fait-on pas de meilleures études ? Pourquoi ne font-ils pas de suivi à long terme ? »

Elle pense aujourd’hui savoir pourquoi. Ils posent déjà la seule question qu’ils jugent utile de poser, à savoir : « Qui êtes-vous ? » Mais ils en connaissent la réponse : « Vous êtes ce que vous dites que vous êtes ».

La science n’est pas « acquise »

Genspect déclare accueillir les questions et les points de vue différents. À l’opposé, elle accuse l’Association professionnelle mondiale pour la santé des transgenres (WPATH), beaucoup plus importante en nombre, d’être hermétique.

« Jusqu’à récemment, il n’y avait qu’un seul discours sur la façon de gérer la diversité des genres », indique Genspect dans ses documents de conférence. « Cependant, le monde évolue au-delà d’une approche médicalisée de la non-conformité au genre et recherche plutôt des approches saines du sexe et du genre. »

Un grand nombre de groupes remettent aujourd’hui en question la « conception étroite » de la WPATH ; ils « ont fait des progrès considérables en proposant des idées progressistes, fondées sur des preuves récentes », explique Genspect dans la description de sa conférence.

Simultanément, la branche européenne de la WPATH, EPATH tient sa réunion annuelle non loin de là. C’était intentionnel. Genspect entend faire de cette conférence « la première d’une série de contre-conférences », selon un communiqué de presse.

Genspect conteste l’affirmation de la WPATH selon laquelle « la science est acquise » et qu’il est bénéfique de « traiter » les personnes transgenres à l’aide d’hormones et d’opérations chirurgicales.

La WPATH a publié une déclaration condamnant les efforts déployés par les États-Unis pour interdire les procédures médicales à destination des jeunes souffrant de troubles du genre.

Epoch Times Photo Une pancarte est placée par des partisans pro-transgenre pour protester contre l’activiste canadien Chris Elton à Toronto en 2022. (Avec l’aimable autorisation de Billboard Chris)

Écouter ou ne pas écouter

Mais pour la directrice de Genspect, la psychothérapeute Stella O’Malley, « il n’est pas approprié d’imposer des bloqueurs de puberté, des hormones et des interventions chirurgicales à des enfants vulnérables » 

La WPATH et ses antennes encouragent « les interventions médicales lourdes alors que Genspect privilégie d’abord l’approche la moins invasive », a déclaré Mme O’Malley dans un communiqué de presse.

La conférence de Genspect a rassemblé des scientifiques, des chercheurs, des avocats, des médecins, des psychologues, des psychiatres, des psychothérapeutes, des sociologues, des éducateurs et des féministes. Plus d’une vingtaine de groupes étaient représentés.

Ensemble, ils s’efforcent de « remettre en question la base factuelle de la médecine du genre et de documenter les dommages considérables causés par l’idéologie de l’identité de genre », selon Genspect, tout en veillant à ce que « toutes les facettes de cette question complexe soient abordées ».

Pourtant, à quelques pas de cette conférence, le dirigeant de l’affilié européen de la WPATH a ouvert sa conférence en déclarant : « Nous respectons la liberté d’expression de chacun, mais nous choisissons de ne pas l’écouter. »

Citant cette déclaration, Genspect a écrit sur Twitter : « C’est exactement la raison pour laquelle nous organisons notre conférence à Killarney ». « WPATH/EPATH ne nous écoutera peut-être pas, mais beaucoup d’autres sont prêts à le faire », ajoutent-ils.




John Pilger sur la guerre à venir : « Refusez la guerre qu’on veut vous imposer »

[Source : La Gazette du Citoyen via RI]

Par John Pilger pour Counterpunch, le 2 mai 2023

En 1935, le Congrès des écrivains américains a eu lieu à New York, suivi d’un autre deux ans plus tard. Ils ont appelé « les centaines de poètes, romanciers, dramaturges, critiques, auteurs de nouvelles et journalistes » pour discuter de « l’effondrement rapide du capitalisme » et de l’annonce d’une autre guerre. Il s’agissait d’événements palpitants qui, selon un récit, ont réuni 3 500 membres du public et essuyé plus d’un millier de refus.

Arthur Miller, Myra Page, Lillian Hellman, Dashiell Hammett ont averti que le fascisme montait, souvent déguisé, et qu’il incombait aux écrivains et aux journalistes de s’exprimer. Des télégrammes de soutien de Thomas Mann, John Steinbeck, Ernest Hemingway, C Day Lewis, Upton Sinclair et Albert Einstein ont été lus.

La journaliste et romancière Martha Gellhorn a pris la défense des sans-abri et des chômeurs, et « nous tous sous l’ombre d’une grande puissance violente ».

Martha, devenue depuis une amie proche, m’a confié plus tard devant son habituel verre de Famous Grouse et de soda : « La responsabilité que je ressentais en tant que journaliste était immense. J’avais été témoin des injustices et des souffrances causées par la dépression, et je savais, nous le savions tous, ce qui allait arriver si les silences n’étaient pas brisés. »

Martha Gellhorn

Ses paroles résonnent à travers les silences d’aujourd’hui : ce sont des silences remplis d’un consensus de propagande qui contamine presque tout ce que nous lisons, voyons et entendons. Laissez-moi vous donner un exemple :

Le 7 mars, les deux plus anciens journaux d’Australie, le Sydney Morning Herald et The Age, ont publié plusieurs pages sur « la menace imminente » de la Chine. Ils ont coloré l’océan Pacifique en rouge. Les yeux des Chinois étaient martiaux, en marche et menaçants. Le Péril jaune était sur le point de s’effondrer comme sous le poids de la gravité.

Aucune raison logique n’a été donnée pour une attaque contre l’Australie par la Chine. Un « groupe d’experts » n’a présenté aucune preuve crédible : l’un d’eux est un ancien directeur de l’Australian Strategic Policy Institute, une façade du ministère de la Défense à Canberra, du Pentagone à Washington, des gouvernements britannique, japonais et taïwanais et de l’industrie de guerre de l’Occident.

« Pékin pourrait frapper d’ici trois ans », ont-ils prévenu. « Nous ne sommes pas prêts. » Des milliards de dollars doivent être dépensés pour les sous-marins nucléaires américains, mais cela, semble-t-il, ne suffit pas. « Les vacances de l’Australie loin de l’histoire sont terminées », ont-ils conclu quoi que cela puisse signifier.

Il n’y a aucune menace pour l’Australie, aucune. Le lointain pays « chanceux » n’a pas d’ennemis, encore moins la Chine, son plus grand partenaire commercial. Pourtant, le dénigrement de la Chine qui s’inspire de la longue histoire de racisme de l’Australie envers l’Asie est devenu une sorte de sport pour les « experts » autoproclamés. Qu’en pensent les sino-australiens ? Beaucoup sont confus et craintifs.

Les auteurs de cette pièce grotesque de hurlements de chien et d’obséquiosité envers le pouvoir américain sont Peter Hartcher et Matthew Knott, des « journalistes de la sécurité nationale » je pense qu’ils se nomment eux-mêmes. Je me souviens de Hartcher lors de ses escapades payées par le gouvernement israélien. L’autre, Knott, est le porte-parole des costumés de Canberra. Ni l’un ni l’autre n’ont jamais vu une zone de guerre et ses extrêmes de dégradation et de souffrance humaine.  

« Comment en est-on arrivé là ? » dirait Martha Gellhorn si elle était encore là. « Où diable sont les voix qui disent non ? Où est la camaraderie ?

Ces voix sont entendues dans le samizdat de ce site Web et d’autres. En littérature, les goûts de John Steinbeck, Carson McCullers, George Orwell sont obsolètes. Le post-modernisme est désormais aux commandes. Le libéralisme a remonté l’échelle politique. L’Australie, une social-démocratie autrefois somnolente, a promulgué un réseau de nouvelles lois protégeant le pouvoir secret et autoritaire et empêchant le droit de savoir. Les dénonciateurs sont des hors-la-loi, devant être jugés en secret. Une loi particulièrement sinistre interdit « l’ingérence étrangère » par ceux qui travaillent pour des entreprises étrangères. Qu’est-ce que cela signifie ?

La démocratie est conceptuelle maintenant ; il y a l’élite toute-puissante de la corporation fusionnée avec l’État et les exigences « identitaires ». Les amiraux américains sont payés des milliers de dollars par jour par le contribuable australien pour des « conseils ». Partout en Occident, notre imagination politique a été pacifiée par les relations publiques et distraite par les intrigues de politiciens corrompus et à loyer modique : un Johnson ou un Trump ou un Sleepy Joe (Biden) ou un Zelensky.

Aucun congrès d’écrivains en 2023 ne s’inquiète du « capitalisme en ruine » et des provocations meurtrières de « nos » dirigeants. Le plus tristement célèbre d’entre eux, Blair, un criminel prima facie selon la norme de Nuremberg, est libre et riche. Julian Assange, qui a osé prouver aux journalistes que leurs lecteurs avaient le droit de savoir, en est à sa deuxième décennie d’incarcération.

La montée du fascisme en Europe est incontestable. Ou « néonazisme » ou « nationalisme extrême », comme vous préférez. L’Ukraine en tant que ruche fasciste de l’Europe moderne a vu la réémergence du culte de Stepan Bandera, l’antisémite passionné et meurtrier de masse qui a loué la « politique juive » d’Hitler et qui a fait massacrer 1,5 million de Juifs ukrainiens. « Nous poserons vos têtes aux pieds d’Hitler », proclamait un pamphlet banderiste aux Juifs ukrainiens.

Aujourd’hui, Bandera est vénéré en héros dans l’ouest de l’Ukraine et des dizaines de statues de lui et de ses compagnons fascistes ont été payées par l’UE et les États-Unis, remplaçant celles des géants culturels russes et d’autres qui ont libéré l’Ukraine des premiers nazis.

Manifestation de nazis ukrainiens brandissant un portrait de Bandera

En 2014, les néonazis ont joué un rôle clé dans un coup d’État financé par les États-Unis contre le président élu, Viktor Ianoukovitch, accusé d’être « pro-Moscou ». Le régime du coup d’État comprenait d’éminents « nationalistes extrêmes » — des nazis en tout sauf le nom.

Au début, cela a été longuement rapporté par la BBC et les médias européens et américains. En 2019, le magazine Time présentait les « milices suprématistes blanches » actives en Ukraine. NBC News rapportait que « le problème nazi de l’Ukraine est réel ». L’immolation de syndicalistes à Odessa a été filmée et documentée.

Dirigée par le régiment d’Azov, dont l’insigne, le « Wolfsangel », a été rendu tristement célèbre par les SS allemands, l’armée ukrainienne a envahi la région orientale du Donbass russophone. Selon les Nations Unies, 14 000 personnes dans l’est ont été tuées. Sept ans plus tard, avec les conférences de paix de Minsk sabotées par l’Occident, comme Angela Merkel l’a avoué, l’Armée russe est intervenue.

Cette version des événements n’a pas été rapportée en Occident. Si on ne fait que la suggérer, on est immédiatement et abusivement accusé d’être un « apologiste de Poutine », même si l’écrivain (comme moi je l’ai fait) a ou non condamné l’invasion russe. Comprendre l’explication par Moscou que l’extrême provocation qu’une frontière armée par l’OTAN, l’Ukraine, soit la même frontière par laquelle Hitler a envahi la Russie, est un anathème.

Les journalistes qui se sont rendus dans le Donbass ont été réduits au silence, voire traqués dans leur propre pays. Le journaliste allemand Patrik Baab a perdu son emploi et une jeune journaliste indépendante allemande, Alina Lipp, a vu son compte bancaire sous séquestre.

Le problème n’est pas Trump. C’est nous.

En Grande-Bretagne, le silence de l’intelligentsia libérale est le silence de l’intimidation. Les problèmes parrainés par l’État comme l’Ukraine et Israël sont à éviter si vous souhaitez conserver un emploi sur le campus ou un poste d’enseignant. Ce qui est arrivé à Jeremy Corbyn en 2019 se répète sur les campus où les opposants à l’apartheid israélien sont accusés avec désinvolture d’être des antisémites.

Le professeur David Miller, ironiquement la principale autorité du pays en matière de propagande moderne, a été limogé par l’Université de Bristol pour avoir suggéré publiquement que les « atouts » d’Israël en Grande-Bretagne et son lobbying politique exerçaient une influence disproportionnée dans le monde entier — un fait pour lequel les preuves sont volumineuses.

L’université a embauché un QC de premier plan pour enquêter sur l’affaire de manière indépendante. Son rapport a exonéré Miller de la « question importante de la liberté d’expression universitaire » et a conclu que « les commentaires du professeur Miller ne constituaient pas un discours illégal ». Pourtant, Bristol l’a limogé. Le message est clair : quel que soit l’outrage qu’il commet, Israël bénéficie de l’immunité et ses détracteurs doivent être punis.

Il y a quelques années, Terry Eagleton, alors professeur de littérature anglaise à l’Université de Manchester, estimait que « pour la première fois en deux siècles, il n’y a pas d’éminent poète, dramaturge ou romancier britannique prêt à remettre en question les fondements du mode de vie occidental ».

Aucun Shelley n’a parlé pour les pauvres, aucun Blake pour les rêves utopiques, aucun Byron n’a maudit la corruption de la classe dirigeante, aucun Thomas Carlyle et John Ruskin n’ont révélé le désastre moral du capitalisme. William Morris, Oscar Wilde, HG Wells, George Bernard Shaw n’ont pas d’équivalent aujourd’hui. Harold Pinter était alors vivant, « le dernier à élever la voix », écrit Eagleton.

D’où vient le post-modernisme — le rejet de la politique réelle et de la dissidence authentique — ? La publication en 1970 du livre à succès de Charles Reich, The Greening of America, offre un indice. L’Amérique était alors en plein bouleversement. Nixon était à la Maison-Blanche. Une résistance civile, connue sous le nom de « mouvement », avait éclaté des marges de la société au milieu d’une guerre qui touchait presque tout le monde. En alliance avec le mouvement des droits civiques, il a présenté le défi le plus sérieux au pouvoir de Washington depuis un siècle.

Sur la couverture du livre de Reich figuraient ces mots : « Il y a une révolution qui approche. Ce ne sera pas comme les révolutions du passé. Cela viendra de l’individu. »

Le livre de Charles Reich,
The Greening of America

À l’époque, j’étais correspondant aux États-Unis et je me souviens de l’élévation du jour au lendemain au statut de gourou de Reich, un jeune universitaire de Yale. Le New Yorker avait superbement sérialisé son livre, dont le message était que « l’action politique et la vérité » des années 1960 avaient échoué et que seules « la culture et l’introspection » changeraient le monde. C’était comme si l’hippydom (la mode et le comportement hippie, ou la condition d’être hippie) réclamait les classes de consommation. Et dans un sens ça l’était.

En quelques années, le culte du « moi-isme » avait presque submergé le sens de l’action collective, de la justice sociale et de l’internationalisme de beaucoup de gens. La classe, le sexe et la race étaient séparés. Le personnel était le politique et les médias étaient le message. Gagner de l’argent, disait ce dernier.

Quant au « mouvement », son espoir et ses chants, les années de Ronald Reagan et de Bill Clinton ont mis fin à tout cela. La police était maintenant en guerre ouverte avec les Noirs. Les fameux projets de loi sur l’aide sociale de Clinton ont vu des records mondiaux du nombre de Noirs envoyés en prison.

Lorsque le 11 septembre s’est produit, la fabrication de nouvelles « menaces » sur la « frontière de l’Amérique » (comme le Projet pour un nouveau siècle américain a appelé le monde) a achevé la désorientation politique de ceux qui, 20 ans plus tôt, auraient formé une opposition véhémente.

Dans les années qui ont suivi, l’Amérique est entrée en guerre avec le monde.

Selon un rapport largement ignoré des Physicians for Social Responsibility, Physicians for Global Survival et International Physicians for the Prevention of Nuclear War, lauréat du prix Nobel, le bilan dans la « guerre contre le terrorisme » des États-Unis était « d’au moins » 1,3 million de morts en Afghanistan, Irak et Pakistan.

Ce chiffre n’inclut pas les morts des guerres menées et alimentées par les États-Unis au Yémen, en Libye, en Syrie, en Somalie et au-delà. Le vrai chiffre, selon le rapport, “pourrait bien dépasser 2 millions [ou] environ 10 fois plus que celui dont le public, les experts et les décideurs ont connaissance et [est] propagé par les médias et les principales ONG”.

« Au moins » un million de personnes ont été tuées en Irak, disent les médecins, soit 5 % de la population.

L’énormité de cette violence et de cette souffrance semble n’avoir aucune place dans la conscience occidentale. « Personne ne sait combien » est le refrain des médias. Blair et George W. Bush — et Straw et Cheney et Powell et Rumsfeld et les autres responsables — n’ont jamais été en danger de poursuites. Le maestro de la propagande de Blair, Alistair Campbell, est célébré comme une « personnalité médiatique ».

En 2003, j’ai interviewé Charles Lewis, le célèbre journaliste d’investigation, à Washington. Nous avons discuté de l’invasion de l’Irak quelques mois plus tôt. Je lui ai demandé : « Et si les médias constitutionnellement les plus libres du monde avaient sérieusement défié George W. Bush et Donald Rumsfeld et enquêté sur leurs revendications, au lieu de répandre ce qui s’est avéré être une propagande grossière ? »

Il a répondu : « Si nous, les journalistes, avions fait notre travail, il y a de très, très bonnes chances que nous ne serions pas entrés en guerre en Irak. »

J’ai posé la même question à Dan Rather, le célèbre présentateur de CBS, qui m’a donné la même réponse. David Rose de l’Observer, qui avait promu la « menace » qu’aurait représenté Saddam Hussein, et Rageh Omaar, alors correspondant de la BBC en Irak, m’ont donné la même réponse. L’admirable contrition de Rose d’avoir été « dupée » parlait pour de nombreux journalistes privés de leur courage de le dire.

Leur propos vaut la peine d’être répété. Si les journalistes avaient fait leur travail, s’ils avaient interrogé et enquêté sur la propagande au lieu de l’amplifier, un million d’hommes, de femmes et d’enfants irakiens seraient peut-être en vie aujourd’hui ; des millions d’autres n’auraient peut-être pas fui leur foyer ; la guerre sectaire entre sunnites et chiites n’aurait peut-être pas éclaté et l’État islamique (Daesh) n’aurait peut-être pas existé.

Jetez cette vérité à travers les guerres rapaces déclenchées depuis 1945 par les États-Unis et leurs « alliés » et la conclusion est à couper le souffle. Est-ce que cela a déjà été évoqué dans les écoles de journalisme ?

Aujourd’hui, la guerre des médias est une tâche clé du journalisme dit mainstream, rappelant celle décrite par un procureur de Nuremberg en 1945 : « Avant chaque agression majeure, à quelques exceptions près fondées sur l’opportunité, ils ont lancé une campagne de presse destinée à affaiblir leurs victimes et à préparer psychologiquement le peuple allemand. Dans le système de propagande, c’était la presse quotidienne et la radio qui étaient les armes les plus importantes. »

L’un des courants persistants de la vie politique américaine est un extrémisme sectaire qui se rapproche du fascisme. Bien que Trump en ait été crédité, c’est pendant les deux mandats d’Obama que la politique étrangère américaine a sérieusement flirté avec le fascisme. Cela n’a presque jamais été signalé.

« Je crois en l’exceptionnalisme américain avec chaque fibre de mon être », a déclaré Obama, qui a développé un passe-temps présidentiel préféré, les attentats à la bombe et les escadrons de la mort appelés « opérations spéciales », comme aucun autre président ne l’avait fait depuis la première guerre froide.

Selon une enquête du Council on Foreign Relations, en 2016, Obama a largué 26,171 bombes. C’est l’équivalent de 72 bombes par jour. Il a bombardé les personnes les plus pauvres et les personnes de couleur : en Afghanistan, en Libye, au Yémen, en Somalie, en Syrie, en Irak, au Pakistan.

Chaque mardi — a rapporté le New York Times —, il sélectionnait personnellement ceux qui seraient assassinés par des missiles infernaux tirés par des drones. Des mariages, des funérailles, des bergers ont été attaqués, ainsi que ceux qui tentaient de récupérer les parties du corps ornant la « cible terroriste ».

Un sénateur républicain de premier plan, Lindsey Graham, a estimé, avec approbation, que les drones d’Obama avaient tué 4 700 personnes. « Parfois, vous frappez des innocents et je déteste ça », a-t-il dit, mais nous avons éliminé des membres très importants d’Al-Qaïda.

En 2011, Obama a déclaré aux médias que le président libyen Mouammar Kadhafi prévoyait un « génocide » contre son propre peuple.

« Nous savions… », a-t-il affirmé, « que si nous attendions un jour de plus, Benghazi, une ville de la taille de Charlotte [Caroline du Nord], pourrait subir un massacre qui se serait répercuté sur toute la région et aurait souillé la conscience du monde. »

C’était un mensonge. La seule « menace » était la prochaine défaite des islamistes fanatiques par les forces gouvernementales libyennes. Avec ses projets de renaissance du panafricanisme indépendant, une banque africaine et une monnaie africaine, le tout financé par le pétrole libyen, Kadhafi a été présenté comme un ennemi du colonialisme occidental sur un continent dans lequel la Libye était le deuxième État le plus moderne.

L’objectif était de détruire la « menace » de Kadhafi et son État moderne. Soutenue par les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France, l’OTAN a lancé 9 700 attaques aériennes contre la Libye. Un tiers visait des infrastructures et des cibles civiles, a rapporté l’ONU. Des ogives en uranium ont été utilisées ; les villes de Misurata et de Syrte ont été bombardées en tapis. La Croix-Rouge a identifié des fosses communes et l’Unicef ​​a signalé que « la plupart [des enfants tués] avaient moins de dix ans ».

Quand Hillary Clinton, la secrétaire d’État d’Obama, a appris que Kadhafi avait été capturé par les insurgés et sodomisé avec un couteau, elle a ri et a dit à la caméra : « Nous sommes venus, nous avons vu, il est mort ! »

Hillary Clinton :

« Nous sommes venus, nous avons vu, il est mort ! »

https://youtu.be/mlz3-OzcExI

Le 14 septembre 2016, la commission des affaires étrangères de la Chambre des communes à Londres a rendu compte de la conclusion d’une étude d’un an sur l’attaque de l’OTAN contre la Libye, qu’elle a décrite comme un « ensemble de mensonges » — y compris l’histoire du massacre de Benghazi.

Les bombardements de l’OTAN ont plongé la Libye dans une catastrophe humanitaire, tuant des milliers de personnes et déplaçant des centaines de milliers d’autres, transformant la Libye du pays africain au niveau de vie le plus élevé en un État en faillite déchiré par la guerre.

Sous Obama, les États-Unis ont étendu les opérations secrètes des « forces spéciales » à 138 pays, soit 70 % de la population mondiale. Le premier président afro-américain a lancé ce qui équivalait à une invasion à grande échelle de l’Afrique.

Rappelant la ruée vers l’Afrique au XIXe siècle, le Commandement américain pour l’Afrique (Africom) a depuis construit un réseau de suppliants parmi les régimes africains collaboratifs avides de pots-de-vin et d’armements américains. La doctrine « soldat à soldat » d’Africom intègre des officiers américains à tous les niveaux de commandement, du général à l’adjudant. Seuls les casques coloniaux manquent.

C’est comme si la fière histoire de libération de l’Afrique, de Patrice Lumumba à Nelson Mandela, avait été reléguée aux oubliettes par l’élite coloniale noire d’un nouveau maître blanc. La « mission historique » de cette élite, avertit le savant Frantz Fanon, est la promotion d’un « capitalisme rampant, quoique camouflé ».

L’année où l’OTAN a envahi la Libye, en 2011, Obama a annoncé ce qui est devenu connu sous le nom de « pivot vers l’Asie ». Près des deux tiers des forces navales américaines seraient transférées en Asie-Pacifique pour « faire face à la menace chinoise », selon les mots de son secrétaire à la Défense.

Il n’y avait aucune menace de la Chine ; il y avait une menace contre la Chine de la part des États-Unis ; quelque 400 bases militaires américaines formaient un arc le long du bord du cœur industriel de la Chine, qu’un responsable du Pentagone a décrit avec approbation comme un « nœud coulant ».

Dans le même temps, Obama a placé des missiles en Europe de l’Est visant la Russie. C’est le récipiendaire béatifié du prix Nobel de la paix qui a augmenté les dépenses consacrées aux ogives nucléaires à un niveau supérieur à celui de toute administration américaine depuis la guerre froide — après avoir promis, dans un discours émouvant au centre de Prague en 2009, d’« aider à débarrasser le monde des armes nucléaires ».

Obama et son administration savaient très bien que le coup d’État que sa secrétaire d’État adjointe, Victoria Nuland, avait été envoyée pour superviser contre le gouvernement ukrainien en 2014 provoquerait une réponse russe et conduirait probablement à la guerre. Et c’est ainsi.

J’écris ceci le 30 avril, jour anniversaire du dernier jour de la plus longue guerre du XXe siècle, au Vietnam, dont j’ai fait état. J’étais très jeune quand je suis arrivé à Saigon et j’ai beaucoup appris. J’ai appris à reconnaître le bourdonnement distinctif des moteurs des géants B-52, qui larguaient leur carnage du haut des nuages ​​et n’épargnaient rien ni personne. J’ai appris à ne pas me détourner devant un arbre calciné recouvert de morceaux de corps humains ; J’ai appris à valoriser la gentillesse comme jamais auparavant. J’ai appris que Joseph Heller avait raison dans son magistral Catch-22 : que la guerre ne convenait pas aux gens sains d’esprit. Et j’ai appris ce qu’était « notre » propagande.

Tout au long de cette guerre, la propagande disait qu’un Vietnam victorieux propagerait sa maladie communiste dans le reste de l’Asie, permettant au Grand Péril jaune du nord de s’abattre. Les pays tomberaient comme des « dominos ».

Le Vietnam de Hô Chi Minh a été victorieux, et rien de ce qui a été annoncé ne s’est produit. Au lieu de cela, la civilisation vietnamienne s’est épanouie, remarquablement, malgré le prix qu’elle a payé : trois millions de morts, des mutilés, des difformes, des toxicomanes, des empoisonnés, des perdus.

Si les propagandistes actuels obtiennent leur guerre avec la Chine, ce ne sera qu’une fraction de ce qui est à venir. Refusez la guerre qu’on veut vous imposer !

John Pilger est un journaliste et cinéaste australo-britannique basé à Londres. Le site Web de Pilger est : www.johnpilger.com. En 2017, la British Library a annoncé une archive John Pilger de tout son travail écrit et filmé. Le British Film Institute inclut son film de 1979, « Year Zero: the Silent Death of Cambodia », parmi les 10 documentaires les plus importants du XXe siècle.

Lien de l’article en anglais :

https://www.counterpunch.org/2023/05/02/the-coming-war-speak-up-now/




« Les enfants devraient avoir des partenaires sexuels », affirment l’ONU et l’OMS

[Source : stopworldcontrol.com]

Ce rapport de preuves révèle comment l’Organisation mondiale de la santé et les Nations unies sexualisent les petits enfants dans l’enseignement primaire partout dans le monde, dans le but de normaliser la pédophilie. Ce rapport n’est constitué que de preuves solides, avec de nombreux documents officiels, vidéos, livres, archives, etc. Tous les documents PDF peuvent être téléchargés dans la section « Références » à la fin de ce rapport.

« Les jeunes enfants sont des êtres sexuels qui doivent avoir des partenaires sexuels et commencer à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible. C’est pourquoi les écoles maternelles et élémentaires doivent apprendre aux enfants à développer la convoitise et le désir sexuel, à apprendre la masturbation, à construire des relations homosexuelles, à utiliser la pornographie en ligne et à apprendre différentes techniques sexuelles telles que la fellation. »

Il s’agit là d’un résumé limité des directives officielles émises par l’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies à l’intention des autorités éducatives du monde entier. Pendant ce temps, des organisations judiciaires publient des déclarations selon lesquelles les relations sexuelles entre petits enfants et adultes devraient être légalisées, tandis que des médias appellent à l’acceptation de la pédophilie comme une orientation sexuelle normale.

L’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies demandent aux autorités éducatives du monde entier de s’assurer que les jeunes enfants ont des partenaires sexuels.

Préparer les enfants à avoir des partenaires sexuels

Les Nations Unies ont publié le document intitulé « Guide technique international sur l’éducation sexuelle »1, qui constitue la ligne directrice officielle pour les écoles élémentaires du monde entier. L’objectif de ce document est décrit à la page 16 : 

préparer les enfants à avoir des relations sexuelles.  

À la page 17, les Nations unies expliquent que ce guide est destiné à aider les enfants à établir des relations avec des partenaires romantiques ou sexuels. 

À la page 71, les éducateurs sont invités à enseigner aux enfants dès l’âge de 5 ans les baisers, les étreintes, les attouchements et les comportements sexuels. Les enfants de 9 ans doivent être sensibilisés à la masturbation, à l’attirance sexuelle et à la stimulation sexuelle.

Les Nations unies déclarent que les écoles primaires doivent enseigner aux enfants la masturbation, les comportements sexuels, l’attirance sexuelle et la stimulation sexuelle.

Apprendre aux enfants à avoir des relations sexuelles

L’Organisation Mondiale de la Santé développe actuellement un programme visant à garantir que les jeunes enfants aient des partenaires sexuels. Son document intitulé « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe »2 contient les instructions suivantes à l’intention des écoles maternelles et élémentaires:

✔︎ Les enfants de 0 à 4 ans doivent apprendre ce qu’est la masturbation et s’intéresser à leur propre corps et à celui des autres.

✔︎ Les enfants de 4 à 6 ans doivent apprendre la masturbation et être encouragés à exprimer leurs besoins et désirs sexuels.

✔︎ Les enfants de 6 à 9 ans doivent apprendre ce que sont les rapports sexuels, la pornographie en ligne, l’amour secret et l’autostimulation.

✔︎ Les enfants de 9 à 12 an doivent avoir leur première expérience sexuelle et apprendre à utiliser la pornographie en ligne.  

L’OMS demande aux enseignants du monde entier d’enseigner aux enfants de 9 ans comment avoir des rapports sexuels pour la première fois, comment faire l’expérience de la sexualité en utilisant l’internet et les téléphones portables et comment apprendre différentes techniques sexuelles.

Apprendre aux enfants à se masturber

La vidéo suivante fait partie d’un programme scolaire européen qui travaille en étroite collaboration avec l’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies pour mettre en œuvre leur programme dans les écoles au niveau national. Il s’agit d’un exemple concret de l’application de ces directives, en l’occurrence aux Pays-Bas. La vidéo montre comment de jeunes enfants sont encouragés par des enseignants à se masturber. Cette pratique a été diffusée dans des milliers d’écoles dans le cadre du programme d’éducation sexuelle complète » de l’OMS, dont l’objectif est de faire en sorte que les enfants commencent à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible. 

L’éditeur de cette vidéo, la Fondation Rutgers, opère dans 27 pays, est un partenaire étroit de l’OMS et de l’ONU, et est financé par Bill Gates.  

La langue parlée dans la vidéo est le Néerlandais, mais sachez qu’il s’agit d’un exemple réel de l’exécution d’un programme INTERNATIONAL de l’Organisation Mondiale de la Santé et des Nations Unies, ce qui signifie que cette vidéo sera diffusée dans les écoles publiques de tous les pays du monde



La sexualisation des enfants fait partie de l’Agenda 2030 de l’ONU

Les logos figurant sur le document des Nations Unies intitulé « Guide technique international sur l’éducation sexuelle » montrent que ce document fait partie des objectifs de développement durable de l’Agenda 2030 des Nations Unies.

L’Agenda 2030 des Nations Unies est un plan visant à transformer tous les aspects de l’existence humaine sur terre d’ici 2030. Selon leurs propres termes:3

Nous avons adopté une décision historique sur un ensemble complet, de grande portée et centré sur l’être humain d’objectifs et de cibles universels et transformateurs. Nous nous engageons à travailler sans relâche à la mise en œuvre intégrale de cet agenda d’ici à 2030.

Ils indiquent clairement que la transformation de la vie humaine atteindra chaque personne dans le monde :  

En nous engageant dans ce voyage collectif, nous nous engageons à ce que personne ne soit laissé pour compte.

Il s’agit d’objectifs et de cibles universels qui concernent le monde entier, les pays développés comme les pays en développement.

Les déclarations officielles des Nations Unies sont claires : elles veulent que le monde entier soit transformé. Veiller à ce que les petits enfants aient des relations sexuelles, apprennent à se masturber et utilisent la pornographie en ligne fait partie de cet agenda. Aux États-Unis, l’administration Biden a publié des déclarations confirmant les plans de mise en œuvre de ce programme sur l’ensemble du territoire américain dès que possible, et au plus tard en 2030.4

Nous ferons preuve de leadership et prendrons des mesures collectives pour mettre en œuvre l’Agenda 2030 pour le développement durable et accélérer la réalisation des ODD d’ici 2030  et relever les défis du développement en redynamisant un multilatéralisme plus inclusif et une réforme visant à mettre en œuvre l’Agenda 2030.

Veuillez comprendre la gravité de cette situation : les « directives techniques internationales sur l’éducation sexuelle » des Nations Unies font partie des objectifs de développement durable de l’Agenda 2030 des Nations Unies. L’administration Biden s’engage à accélérer la mise en œuvre afin que l’Agenda soit réalisé d’ici 2030. Il en va de même pour toutes les autres nations du monde qui soutiennent l’Agenda 2030 des Nations unies.

Rutgers : éditeur mondial d’éducation sexuelle

Dans ce rapport, nous examinerons de plus près la manière dont ce programme est mis en œuvre, par exemple, aux Pays-Bas, en Europe. Les Pays-Bas sont au cœur de ce programme mondial de sexualisation des jeunes enfants. Ce qui s’y passe se répandra dans le monde entier : aux États-Unis, au Canada, en Australie, au Royaume-Uni, en Afrique, en Asie, etc. Ce pays est le siège d’un éditeur mondial de cette « éducation sexuelle complète » : la Fondation Rutgers.5 A Un membre du personnel de Rutgers, Ineke van der Vlugt, a contribué aux « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe » de l’OMS, ce qui montre à quel point cette fondation travaille en étroite collaboration avec l’Organisation Mondiale de la Santé.  

Rutgers est présent dans 27 pays et est financé par des organisations mondiales telles que la Fondation Bill et Melinda Gates et la Fédération internationale pour le planning familial, dont les racines sont aux États-Unis.6

Au printemps 2023, Rutgers a lancé un programme national aux Pays-Bas sous le nom de « Spring Fever ».7 Une affiche a été placée dans les écoles primaires du pays. Une affiche scolaire a été affichée dans les écoles primaires du pays. Je l’ai traduite en anglais pour notre public mondial et j’ai ajouté des points forts pour révéler le message de cette affiche scolaire. Deux garçons se tiennent la main et disent : « Oui, nous le voulons tous les deux ». Deux jeunes filles trouvent un « endroit sûr » pour avoir des relations sexuelles.

Cette affiche scolaire apprend aux jeunes enfants
du même sexe à « le faire » l’un avec l’autre 

Le programme d’études « Spring Fever » (fièvre printanière) insiste de manière agressive sur le thème de l’homosexualité auprès d’enfants vulnérables et sans méfiance. Vous trouverez ci-dessous des illustrations de ce programme destiné aux écoles primaires.

C’est une chose qu’une personne se batte avec son identité sexuelle, mais c’en est une autre que de pousser la confusion sexuelle dans les écoles élémentaires pour endoctriner les enfants à poursuivre un mode de vie homosexuel. Pourtant, l’Organisation mondiale de la santé et les Nations unies donnent des instructions directes pour que les enfants soient poussés vers l’homosexualité. À la page 40 des « Standards pour l’éducation sexuelle », les écoles sont invitées à enseigner aux enfants de quatre ans les « relations entre personnes du même sexe », et à la page 44, les éducateurs sont invités à enseigner aux enfants de neuf ans « l’amitié et l’amour envers les personnes du même sexe ».

Dans l’application pratique du partenaire de l’OMS, la Fondation Rutgers, nous voyons qu’il ne s’agit pas seulement d’informer les enfants, mais qu’il s’agit de les encourager activement à suivre la voie de l’homosexualité, le plus tôt possible.  

L’Organisation Mondiale de la Santé demande aux écoles d’encourager les jeunes enfants à avoir des relations homosexuelles avec leurs amis. Une affiche scolaire montre deux filles trouvant un endroit sûr et deux garçons acceptant d’avoir des relations sexuelles. 

Enseigner la fellation à des enfants de 6 ans

L’un des livres pour enfants recommandés par Rutgers pour les écoles primaires s’intitule « What is sex ? » (Qu’est-ce que le sexe ?) de Channah Zwiep. Voici une page de ce livre, avec un extrait ci-dessous :

« La fellation est un acte sexuel avec la bouche. C’est pourquoi on l’appelle le sexe ora. »

« Tu t’es déjà donné un baiser sur un point sensible de ton corps ?  Essayez. Qu’est-ce que tu ressens ? »

« La peau d’une bite ou d’un vagin est également très sensible. C’est pourquoi les gens aiment parfois se toucher à cet endroit avec leur bouche. Quand quelqu’un lèche ou suce une bite, cela s’appelle la succion. Bien entendu, une femme peut faire de même. Si quelqu’un lèche un vagin, cela s’appelle « manger la chatte ».

Vous trouverez ci-dessous une capture d’écran de la brochure de Rutgers destinée aux écoles primaires, qui recommande cette pornographie enfantine aux enfants de six ans.8

Traduction :

« Qu’est-ce que le sexe ? Questions des jeunes enfants sur la physicalité et la sexualité »

(Channah Zwiep)

Pourquoi voudrait-on que des enfants de 4 à 8 ans sachent tout sur le sexe oral ? 

Voici une autre page de ce programme destiné aux écoles primaires.9 Elle s’adresse aux enfants de 10 ans :

« Exemples de choses que tu peux faire avec le sexe : embrasser (avec la langue), caresser, tripoter (lécher le vagin), pipoter (lécher/sucer le pénis), doigter, se branler, baiser dans le vagin (sexe vaginal) et baiser dans l’anus (sexe anal) ».

Une autre page est un guide pratique sur la façon de commencer à se masturber :

« Toucher son propre corps, son vagin et son clitoris pour obtenir une sensation agréable s’appelle la masturbation. Vous pouvez le faire, par exemple, en mettant un doigt dans votre vagin (doigter) ou en frottant votre clitoris ».

L’endoctrinement « mignon »

Les illustrations suivantes font partie de ce programme national obligatoire. Une personne non avertie penserait : « Oh, comme c’est mignon ! ». Mais lorsqu’on réalise que ces images ont pour but d’enseigner aux tout-petits à se masturber et de s’assurer que tous les enfants auront des partenaires sexuels, ces dessins mignons deviennent très inquiétants.

Si l’on examine de plus près le programme scolaire européen « Fièvre printanière », créé par Rutgers pour l’ONU et l’OMS, on constate que l’objectif des cours est clairement défini:10

« Les petits enfants doivent tout savoir sur la luxure, l’excitation physique et l’intimité. Ils doivent savoir que tout le monde a des sentiments sexuels et qu’ils ne doivent pas avoir honte ».

La honte est un sentiment naturel fondamental qu’éprouvent tous les enfants normaux et qui les protège contre les violences et les préjudices causés par des expériences sexuelles inappropriées et prématurées. La sexualité est probablement la partie la plus sensible et la plus vulnérable de notre humanité, qui peut nous traumatiser à vie si elle est mal abordée. La honte est une barrière de défense essentielle pour assurer notre sécurité. Ces programmes scolaires visent à supprimer cette barrière naturelle, afin que les petits enfants n’écoutent plus leur instinct naturel qui leur dit de protéger leur corps. Cela les rend extrêmement vulnérables et en fait des proies faciles pour les prédateurs sexuels.

Pourquoi l’OMS s’obstine-t-elle à détruire la saine barrière de la honte qui protège naturellement les enfants ?

Enseigner les techniques sexuelles aux enfants de 7 ans

Voici un exemple de programme scolaire officiel aux Pays-Bas, publié par l’Ecole du programme scolaire (School Leerplan Onderwijs), l’éditeur officiel de tous les programmes scolaires. Nous pouvons constater qu’il s’agit d’une mise en œuvre directe des « Normes pour l’éducation sexuelle » de l’OMS et des « Directives techniques internationales sur l’éducation sexuelle » de l’ONU:11

✔︎ Les tout-petits âgés de 0 à 4 ans doivent apprendre à tomber amoureux, à être intimes et à éprouver des sentiments sexuels.

✔︎ Les enfants de 5 ans et plus doivent apprendre les relations sexuelles, la pornographie en ligne et l’expérience de la luxure en touchant leur propre corps.

✔︎ À partir de 7 ans, ils doivent apprendre les différentes techniques sexuelles.

TRADUCTION :

0-4 ans

  • l’amour et le fait d’être amoureux
  • l’intimité
  • les sentiments sexuels

5 à 8 ans

  • le sexe dans les médias (y compris Internet)
  • le plaisir et la convoitise lorsqu’on touche son propre corps
  • rapports sexuels

9-12 ans

  • actes et contacts sexuels
  • l’orientation sexuelle,comportement sexuel des jeunes (variabilité du comportement sexuel)
  • plaisir, masturbation, orgasme
  • différences entre l’identité sexuelle et le sexe biologique

Les enfants doivent être initiés à la sexualité le plus tôt possible

Rutgers a publié un guide pour former les enseignants à endoctriner les jeunes enfants sur la sexualité.12 Dans ce guide, ils font plusieurs références au guide de l’OMS, « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe », confirmant ainsi qu’ils collaborent étroitement avec l’Organisation Mondiale de la Santé. Je me dois de le répéter, car certains lecteurs pourraient être enclins à considérer qu’il s’agit d’un incident localisé en Europe, alors qu’il s’agit d’un programme international.

Dans ce document, Rutgers énonce clairement l’objectif de ce type d’éducation (voir la photo du document ci-dessous) :

« L’éducation sexuelle et relationnelle donne aux enfants des idées qui les aideront à commencer à avoir des relations sexuelles plus tôt. »

L’idée de ce type d’éducation sexuelle n’est pas d’aider les enfants dans leur développement naturel – vers une sexualité saine et mature – mais l’objectif est de les endoctriner pour qu’ils commencent à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible.

Rutgers déclare aux éducateurs que le but de cette éducation sexuelle est de donner aux enfants des idées pour qu’ils commencent à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible.

Jeux sexuels à l’école primaire

Plusieurs écoles organisent des jeux sexuels, où les enfants prennent les organes génitaux de leurs camarades dans leur bouche, les lèchent, mettent leurs doigts dans le vagin des filles, etc. Vous trouverez ci-dessous un reportage sur des jeux sexuels organisés dans une école primaire aux Pays-Bas.13

« De jeunes enfants se tripotent, se touchent les parties génitales dans la bouche ou regardent sous la porte des toilettes. C’est ce qui se passe dans les groupes 3 et 4 de l’école élémentaire De Springplank à Den Bosch, expliquent les parents des enfants à Omroep Brabant. Les parents sont furieux contre le conseil d’administration de l’école élémentaire ».

De nombreuses écoles introduisent des jeux pour les enfants dans lesquels ils doivent mémoriser les organes génitaux afin de marquer des points. Il s’agit là d’une autre stratégie visant à supprimer la honte naturelle et à désensibiliser les jeunes enfants, afin qu’ils baissent leur garde face à une intrusion sexuelle prématurée. La plupart d’entre nous trouvent cela dégoûtant. Pouvons-nous imaginer l’impact que cela a sur les petits enfants, qui sont forcés de voir cela à l’école ?

Dans le cadre du programme scolaire  » Fièvre printanière  » de Rutgers, de l’OMS et de l’ONU, des clitoris en 3D sont distribués aux petites filles pour les encourager à se masturber. Bien entendu, ils défendent cette pratique en affirmant qu’il est important que les filles connaissent leur propre corps.

Une mère choquée met le monde en garde

De nombreux parents ont, à juste titre, réagi avec indignation à cette sexualisation extrême des enfants. Dans la vidéo ci-dessous, vous pouvez entendre une mère des Pays-Bas expliquer comment les enfants pratiquent le sexe oral à l’école et se masturbent les uns les autres. Elle lance un avertissement à tous les parents du monde entier. Encore une fois, il faut comprendre que cela fait partie de l’Agenda 2030, dont les Nations Unies déclarent « qu’il concerne le monde entier ».

Maltraitance d’enfants dans une école de Floride

Alors que je travaillais sur ce rapport, j’ai reçu un courriel d’une mère de Floride, aux États-Unis, qui préfère garder l’anonymat dans ce rapport. Elle m’a confirmé que ce qui se passe en Europe se passe aussi en Amérique. Voici ce qu’elle m’a écrit au sujet de sa fille :  

« Tout ce que vous rapportez lui est arrivé. Elle a utilisé une autre fille pour toucher ma fille (masturbation), elle lui a dit des mots horribles, elle a utilisé son téléphone portable pour faire de la pornographie »

Elle a essayé de s’adresser aux autorités pour protéger son enfant, mais elle s’est heurtée à une dureté glaciale. Il était clair que personne ne voulait l’aider.

Des experts alarmés en Écosse

Une dépêche alarmante en provenance d’Écosse : 

L’approche « normative » de l’Écosse en matière d’éducation sexuelle normalise l’activité sexuelle des mineurs et risque de perpétuer l’exploitation sexuelle des enfants, selon un analyste de premier plan.

Le degré d’obéissance des écoles aux instructions de l’ONU et de l’OMS dépend de chacune d’entre elles, et certaines écoles seront naturellement pires que d’autres. Mais il s’agit d’une obligation pour toutes les écoles publiques du monde.

La sexualisation des enfants dans le monde entier

La sexualisation des enfants se produit également en dehors des écoles. Ces images de terrains de jeux pour enfants ont été approuvées par les autorités locales et les écoles.

Dans le monde de la mode, la sexualisation extrême des enfants est répandue depuis des décennies. Voici un exemple de Vogue Paris Cadeaux datant de 2010. 

Le film français « Cuties », disponible sur Netflix, a suscité une vague d’indignation dans le monde entier, car il montrait des jeunes filles exécutant des danses érotiques incluant des mouvements sexuels complets.

Il existe une pression mondiale pour sexualiser les petits enfants par tous les moyens : dessins animés, films, livres, films, mode, produits d’entreprise, etc. Et maintenant, l’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies vont jusqu’à demander aux écoles maternelles et élémentaires d’inclure cette sexualisation dans leurs programmes d’enseignement.

Promouvoir une sexualité débridée pour réduire la population humaine

Quelle est la véritable motivation de l’opération stratégique mondiale visant à sexualiser les petits enfants ? Dans la prochaine partie de ce rapport, nous dévoilerons des preuves indéniables de la façon dont cette opération s’inscrit dans un programme visant à normaliser la pédophilie dans toutes les nations du monde. Cela est particulièrement évident si l’on considère l’éditeur qui a été choisi par l’OMS et l’ONU pour mettre en œuvre ce programme dans 27 pays : la Fondation Rutgers.

La fondation Rutgers a été inspirée par Jan Rutgers (1850-1924), un farouche opposant au mariage, qu’il considérait comme contre nature. Il prônait avec passion la réduction de la population humaine, en imposant à la société une culture du sexe libre.

Lorsque la Fondation Rutgers a été créée en 1969, son objectif principal était de réduire la croissance démographique par l’éducation sexuelle, l’avortement et la contraception.14 En 1999, Rutgers a fusionné avec le groupe NISSO (Netherlands Institute for Social Sexological Research), dont l’objectif était également de réduire les taux de natalité en encourageant l’avortement, la sexualité libre et l’éducation sexuelle. En 2011, Rutgers a de nouveau fusionné avec la Fondation Mondiale pour la Population, qui avait la même mission de réduire la population mondiale par le biais de l’avortement et de l’éducation sexuelle.

Le fil conducteur de l’histoire de Rutgers est l’agenda visant à réduire la population humaine en encourageant une sexualité débridée dans la société. Lorsque les gens sont sexuellement pervertis, ils ne peuvent pas former des familles saines et n’ont pas de descendance.

Rutgers a toujours poussé à la normalisation de la pédophilie

Outre son programme de réduction de la population humaine, Rutgers a toujours été fortement impliqué dans le mouvement mondial de normalisation de la pédophilie. En 1946, l’Association néerlandaise pour la réforme sexuelle (NVSH) a été fondée, toujours dans le but de réduire la population humaine. La NVSH a organisé des groupes de travail sur la pédophilie qui étaient soutenus par le sénateur du parti travailliste, le Dr. Edward Brongersma. Ce même Brongersma est ensuite devenu le chef de file du mouvement d’acceptation de la pédophilie dans les années 1970.

Brongersma était connu pour ses fréquents voyages en Asie, où il abusait d’esclaves sexuelles mineures. En 1950, il a été condamné pour fornication avec une jeune fille de 16 ans, ce qui lui a valu 11 mois de prison.

Après sa libération, Brongersma est devenu membre du conseil d’administration de la NVSH, où il a de nouveau organisé des groupes de travail sur la pédophilie. Ils ont publié le magazine NIKS (abréviation néerlandaise de  »Vers l’intégration de la sexualité infantile »).15 Dans une archive en ligne de ce magazine, on peut voir l’obscénité écœurante qui y était promue :16

Des enfants nus en couverture exposant leurs organes génitaux et des enfants ayant des rapports sexuels.17

Le magazine publié par Brongersma a publié dans son édition de septembre 1982 une bande dessinée décrivant comment un pédophile a des relations sexuelles orales avec une jeune fille. La bande dessinée est accompagnée d’une transcription.18 Soyez conscient de la nature explicite de cette transcription. 

TRADUCTION

« Parfois, je ne comprends vraiment pas le monde des grandes personnes. Prenons, par exemple, le cas de mon oncle Loet. Ce n’est pas vraiment mon oncle, mais il aime bien que je l’appelle comme ça. Je lui rends souvent visite à la sortie de l’école. On y est beaucoup plus à l’aise que chez nous.

L’autre jour, je suis assise sur le canapé avec lui en train de boire du thé, et il pose sa main sur ma jambe. Lentement, il remonte ma robe et commence à me caresser le ventre. Il n’avait jamais fait cela auparavant. Parfois, il me caressait les cheveux, et parfois j’avais droit à un baiser sur le front, rien de plus.

Je trouvais cela idiot, mais c’était une sensation agréable, alors je n’ai rien dit. Un peu plus tard, il s’est agenouillé par terre devant moi, a enlevé ma culotte et a commencé à me sucer la chatte. Sa moustache me chatouillait merveilleusement. Je regrette qu’il se soit soudainement arrêté après quelques minutes, mais oui, c’était parce qu’un homme marchait juste derrière la fenêtre, qui a alors cassé sa bouteille de yaourt. Maintenant, l’oncle Loet est en prison. Mes parents sont bouleversés. Je suis triste et tout le monde a l’air bizarre avec moi ».


L’état d’esprit propagé par cette publication est qu’il est préférable d’être avec un pédophile plutôt qu’avec sa famille. Il est « injuste » que le prédateur soit en prison, alors que l’homme qui l’a pris en flagrant délit est libre.  

Tels sont les principes fondamentaux de la pédophilie : ce qu’ils font est bien, et ceux qui s’y opposent sont mauvais. Cet état d’esprit est également promu dans les guides des Nations Unies, de l’Organisation Mondiale de la Santé et de Rutgers, bien que dans des formulations plus sophistiquées. Il n’en demeure pas moins que la promotion des relations sexuelles avec les enfants est un droit de l’homme et que s’y opposer constitue une violation des droits de l’homme.

Une autre édition du magazine pédophile de Brongersma s’intitule « l’épisode anti-éducation » et contient un article qui explique à quel point la famille naturelle est « mauvaise ». L’article est intitulé : « Comment tuer mon père et ma mère ? » Je cite :19

« Dans la famille, l’amour est impossible. L’amour parental est un mensonge… la famille limite, aigrit, raille, décourage, maltraite, froisse… »

L’un des principes de base de la pédophilie est que la famille est une prison et que les enfants doivent être « libérés » de la famille par les pédophiles.

Rutgers fait partie d’un réseau mondial de pédophilie

Le magazine pédophile NIKS a présenté des pédophiles internationaux de premier plan comme Theo Sandfort, qui a écrit pour plusieurs publications pédophiles bien connues comme Paedo Alert News et le British Paidika.20 En 1999, Rutgers a publié un rapport de ce même pédophile, Sandfort. En 2000, une autre organisation pédophile a fait la une des journaux pour avoir constitué des archives de pornographie enfantine. Son fondateur, Frits Bernard, était un pédophile invétéré. Les statuts de l’organisation précisent qu’elle collabore avec Rutgers.

Le 22 juin 1979, Rutgers a signé une pétition, avec le pédophile Brongersma, condamné au pénal, en faveur de la légalisation des relations sexuelles avec des enfants.21 

L’actuel président du conseil de surveillance de Rutgers est Andrée van Es, ancienne politicienne de la Gauche verte et du PSP, un parti qui a également fait pression pour la légalisation de la pédophilie.22 L’ancien directeur de Rutgers, Pieter Wijnsma, a déclaré dans une interview qu’il avait encouragé un groupe d’enfants de l’école primaire à se masturber parce que « l’aspect du désir sexuel devait être développé ».23

L’organisation du pédophile Brongersma a été remplacée par le Fonds pour la Recherche Scientifique sur la Sexualité (FWOS),24 qui affirme que la vaste collection de pédopornographie de Brongersma est gérée par Rutgers. Ce successeur de Brongersma a également financé plusieurs projets de Rutgers. L’énoncé de leur mission est le suivant :25

« La FWOS cherche à comprendre, à acquérir et à diffuser des connaissances sur le comportement sexuel et l’expérience sexuelle des enfants… ».

Rappelons que la FWOS est le successeur légal des travaux de Brongersma, qui a fréquemment abusé d’esclaves sexuels asiatiques, a été emprisonné pour avoir abusé d’un jeune garçon, possédait une vaste collection de matériel pédopornographique et publiait un magazine qui faisait la promotion de l’abus d’enfants.

La FWOS est l’un des financiers de Rutgers – la fondation désignée par l’OMS et l’ONU pour créer du matériel scolaire dans 27 pays.

Seksueel onderwijs voor kleine kinderen : gewoon doen ! En 2010, Rutgers et FWOS ont organisé une conférence sur l’éducation sexuelle des jeunes enfants. Ils ont également publié un ouvrage commun intitulé « Education sexuelle des jeunes enfants : faites-le ! »26

Le magazine parle d’un enfant de six ans qui se masturbe, d’un enfant de neuf ans qui regarde de la pornographie et d’un enfant de cinq ans qui a des relations sexuelles orales avec une fille.

RUTGERS ET LA PÉDOPHILIE

Preuve que l’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies s’associent à un éminent promoteur de la pédophilie

✔︎ Rutgers a publié un rapport du célèbre pédophile Theo Sandfort.

✔︎ Rutgers a collaboré avec la Fondation Frits Bernard qui possédait une vaste collection de matériel pédopornographique. 

✔︎ Rutgers a signé une pétition en faveur de la légalisation des relations sexuelles avec des enfants.

✔︎ L’actuel président du conseil de surveillance de Rutgers est Andrée van Es, ancienne politicienne de la Gauche verte et du PSP, un parti qui a également fait pression en faveur de la légalisation de la pédophilie.

✔︎ L’ancien directeur de Rutgers, Pieter Wijnsma, a appris aux enfants à se masturber pour développer leur désir sexuel.

✔︎ Rutgers est financé par FWOS, le successeur légal du pédophile et abuseur d’esclaves sexuels Brongersma.

✔︎ Rutgers a publié un magazine décrivant un enfant de 6 ans se masturbant, un enfant de 9 ans regardant de la pornographie et un enfant de 5 ans ayant des relations sexuelles orales.

✔︎ Rutgers demande aux enseignants de s’assurer que les enfants commencent à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible.

✔︎ Rutgers recommande un livre pour enfants qui encourage les jeunes enfants à pratiquer la fellation..

✔︎ Le programme d’études de Rutgers pour les écoles élémentaires stipule que les jeunes enfants doivent tout savoir sur la convoitise, l’excitation physique et l’intimité. 

✔︎ Rutgers publie du matériel scolaire pour les enfants de 10 ans qui dit : « Les exemples de choses que vous pouvez faire avec le sexe sont (langue) embrasser, caresser, tripoter (lécher le vagin), sucer (lécher/sucrer le pénis), doigter, se branler, avoir une bite dans le vagin (sexe vaginal) et une bite dans l’anus (sexe anal) ».

✔︎ Rutgers distribue des affiches scolaires qui incitent les jeunes enfants à se livrer à des actes homosexuels.

Il est alarmant de constater que cette organisation pédophile explicite a été choisie par l’OMS et l’ONU pour mettre en œuvre leur programme de sexualisation des jeunes enfants dans le monde entier.

Le manuel de pédophilie « n’est pas illégal » selon le ministre de la justice 

Aux Pays-Bas, qui semblent être le centre du programme mondial de normalisation de la pédophilie, un parti politique pour la pédophilie a été fondé et soutenu par le gouvernement. Ce « parti pédo » a distribué un manuel de 1 000 pages à l’intention des pédophiles, qui enseigne aux adultes comment violer les bébés et les enfants en bas âge.27

Le Manuel pour les pédophiles explique notamment les points suivants :

✔︎ Les méthodes de séduction des enfants, par exemple en dégonflant les pneus de leur vélo et en proposant de le réparer pour gagner leur confiance ;

✔︎ Comment utiliser des techniques psychologiques pour amener les enfants à consentir à des relations sexuelles, par exemple en les récompensant avec de l’argent ou des cadeaux ;

✔︎ Comment étirer le rectum des bébés et des jeunes enfants en vue de rapports sexuels anaux ;

✔︎ Où trouver des enfants ;

✔︎ Quels sont les âges les plus sûrs (les bébés sont sûrs, car ils ne parlent pas encore ; les enfants de 3 à 4 ans sont dangereux, car ils ne peuvent pas garder de secrets) ;

✔︎ Comment utiliser les techniques médico-légales pour cacher votre ADN, afin que la police ne puisse pas vous retrouver ;

Voici quelques citations tirées de ce manuel :

« La pédagogie du secret consiste à apprendre à l’enfant à garder des secrets. Nous y parvenons en utilisant des méthodes pédagogiques spéciales basées sur une combinaison de psychologie de l’enfant et d’expériences réelles de pédophiles professionnels. »

« Vous devez en apprendre beaucoup sur les preuves et la criminalistique afin de rendre la tâche de la police aussi difficile que possible lors de votre arrestation. Ces trois conseils importants permettent de s’assurer que toutes les traces d’ADN sont effacées après une activité sexuelle avec l’enfant. […] Cela peut sembler compliqué, mais de nombreux pédophiles ont été envoyés en prison parce qu’ils étaient trop paresseux pour effectuer ces trois tâches simples. S’ils l’avaient fait, la police n’aurait pas de preuves et ils seraient libres »

Marcel Janinga est un père qui a découvert que son voisin abusait de sa fille depuis sa naissance – alors qu’elle était bébé – en utilisant les techniques qu’il avait apprises dans le Manuel du pédophile. Ce n’est qu’à l’âge de 3 ans que ces abus ont été révélés, la fillette se plaignant de douleurs. Ils ont découvert que le voisin avait abusé de cette fille deux fois par semaine, le mercredi et le vendredi.

Marcel a créé la « Fondation contre les abus envers les enfants » pour lutter contre ces horreurs.28 Il a demandé au gouvernement d’arrêter la distribution de ce manuel, mais le ministre néerlandais de la justice, Ferd Grapperhaus, a affirmé qu’il ne contenait rien d’illégal et qu’il devait donc être autorisé.29 Après l’indignation massive du public et la pression croissante exercée pendant plusieurs années, ce ministre de la justice n’a finalement pas eu d’autre choix que de changer de position et, en 2023, le Manuel pour les pédophiles a finalement été déclaré illégal.

Mais seulement après avoir été autorisé à se répandre largement pendant de nombreuses années, provoquant non seulement des viols massifs, mais aussi des meurtres d’enfants en bas âge.

Un « Manuel pour pédophiles » de 1 000 pages expliquant comment séduire, manipuler, soudoyer et violer des bébés, des jeunes enfants et des enfants en bas âge a été autorisé pendant de nombreuses années par le ministre néerlandais de la justice, Ferd Grapperhaus. 

Les juges demandent la dépénalisation de la pédophilie

On peut se demander comment un ministre de la justice peut refuser d’interdire un manuel de pédophilie qui explique comment violer des bébés et des enfants en bas âge, comment effacer ses traces d’ADN auprès de la police, comment séduire des enfants, etc. Le pouvoir judiciaire n’est-il pas la principale institution chargée de lutter contre ces crimes horribles ? Ce qui suit explique ce qui se passe…

Le Comité international de juristes (CIJ) et l’ONUSIDA (une division des Nations unies) ont publié un rapport dans lequel ils appellent à la dépénalisation des relations sexuelles entre adultes et enfants.30 Ils affirment que les petits enfants peuvent consentir à des relations sexuelles, ce qui les rend acceptables. Ce n’est que lorsque les enfants déposent une plainte officielle auprès de la police que l’abus sexuel doit être considéré comme un crime. Voici leur déclaration de la page 22 :

« En ce qui concerne l’application du droit pénal, tout âge minimum prescrit pour le consentement à des relations sexuelles doit être appliqué de manière non discriminatoire. L’application ne peut être liée au sexe/genre des participants ou à l’âge du consentement au mariage. En outre un comportement sexuel impliquant des personnes n’ayant pas l’âge minimum de consentement à des relations sexuelles prescrit au niveau national peut être consensuel, en fait, mais pas en droit ».

Selon le Comité international de juristes, les relations sexuelles avec des enfants ne devraient pas être considérées comme un acte criminel si l’enfant y consent. Cela ne tient pas compte du fait que les adultes ont un avantage mental considérable sur un petit enfant, qui n’a aucune défense psychologique contre les pouvoirs de persuasion d’un prédateur rusé. Le Manuel du pédophile explique de nombreuses techniques psychologiques permettant de manipuler un enfant pour qu’il donne son « consentement ». Nous connaissons tous l’exemple d’un inconnu qui offre une délicieuse glace à un enfant pour l’attirer dans ses filets. Tout adulte sensé comprend qu’un enfant ne peut jamais consentir à une relation sexuelle, puisqu’il n’a aucune idée de ce qui se passe. Ce n’est qu’une fois adulte qu’il commence à se rendre compte de ce qui lui est arrivé. Ces attouchements provoquent des traumatismes à vie, car il ne s’agit pas seulement d’un abus physique, mais aussi d’un abus mental, les enfants étant victimes de techniques psychologiques sophistiquées qui les ont manipulés pour qu’ils donnent leur « consentement ».

La déclaration du Comité international de juristes montre à quel point la pédophilie est déjà profondément ancrée dans notre société. Cela souligne la nécessité cruciale pour toutes les bonnes volontés de s’élever.

Manifeste explicite de pédophilie

Les pédophiles donnent l’impression que les enfants ont le « droit » d’être victimes d’abus sexuels de la part d’adultes, par le biais de déclarations telles que : « Le sexe est un droit humain pour les personnes de tous âges » et « Le droit d’expérimenter la sexualité ne devrait pas être limité par l’âge ».

La Fondation internationale pour la planification familiale (une organisation d’avortement fondée par le père de Bill Gates) a publié un véritable manifeste sur la pédophilie intitulé « EJACULER ! », qui a été distribué au sein des Nations Unies.31

Ce manifeste contient à plusieurs reprises des déclarations explicites typiquement utilisées par les pédophiles.

À la page 9 de ce manifeste, l’IPPF déclare ce qui suit : 

« Il existe une idée fausse selon laquelle les jeunes (c’est-à-dire les petits enfants) ne sont pas ou ne devraient pas être des êtres sexuels.

À la page 16, on peut lire ce qui suit :

« La sexualité et le plaisir sexuel sont des éléments importants de l’être humain pour tout le monde, – quel que soit l’âge.

Il s’agit littéralement des arguments typiques utilisés par les pédophiles pour affirmer que les bébés, les jeunes enfants, les enfants et les adolescents ont le « droit humain » d’avoir des relations sexuelles.  

Le fait que les arguments typiques des pédophiles constituent le message central de ces documents prouve une fois pour toutes qu’ils poussent à la normalisation de la pédophilie. 

Le planning familial couvre les abus sexuels

Tout en appelant le monde à considérer les relations sexuelles entre adultes et petits enfants comme l’expression d’un droit humain fondamental, le Planning familial s’est avéré dissimuler systématiquement les plaintes concernant les abus sexuels dévastateurs commis sur des enfants. Voir ce documentaire révélateur de Live Action… 



Les médias encouragent la normalisation de la pédophilie

Les médias se sont joints à l’opération mondiale de normalisation de la pédophilie. Voici une petite compilation de ce qui est en réalité une véritable avalanche de messages, tous ayant une seule mission : convaincre le monde que les pédophiles sont bons et que ceux qui défendent les enfants sont des monstres.

Transcription de certains titres de ces posts :

La pédophilie est-elle une orientation sexuelle ?

La pédophilie est une « orientation sexuelle – comme l’hétérosexualité ou l’homosexualité ».

5 façons de mal comprendre les pédophiles

Sympathie et science pour ceux qui veulent avoir des relations sexuelles avec des enfants

Je suis un pédophile, vous êtes des monstres

Tous les pédophiles ne sont pas de mauvaises personnes

Ce qui est particulièrement alarmant, c’est qu’aucun de ces articles de presse – littéralement pas un seul – ne prend la défense des enfants sans défense. Ils ne parlent que des pédophiles « incompris – pas un mot sur les enfants ! 

Un fonctionnaire de l’OMS et de l’ONU arrêté pour pédophilie

Les pratiques pédophiles des hauts fonctionnaires de l’Organisation Mondiale de la Santé et des Nations Unies sont généralement soigneusement dissimulées, mais de temps en temps, l’un d’entre eux se fait prendre. C’est ce qui est arrivé à Peter Dalglish, un haut fonctionnaire qui a occupé de hautes fonctions au sein des Nations Unies, de l’UNICEF et de l’Organisation Mondiale de la Santé pendant plus de 30 ans, et le fondateur de l’Internationale Enfants de la Rue. Il a été décoré de l’Ordre du Canada pour son travail humanitaire exceptionnel. En 2015, il était le « représentant national » des Nations unies à Kaboul.  

En 2018, Dalglish a été pris en flagrant délit d’abus sur deux garçons mineurs au Népal et a été condamné à neuf ans de prison.32

Dalglish attirait les enfants loin de leurs parents en leur proposant de les éduquer, de les emmener à l’étranger et de leur fournir un emploi. Les détectives affirment qu’il a abusé d’enfants pendant une période de 15 ans alors qu’il était haut fonctionnaire à l’ONU et à l’OMS.

L’Organisation mondiale de la santé est une entité privée

L’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies sont les principales entités qui poussent l’agenda de la pédophilie dans le monde entier. Nous devons toutefois nous rappeler qu’il ne s’agit pas d’organisations gouvernementales, mais d’organisations privées, détenues par des élites financières. En tant qu’organisations privées, elles n’ont aucune autorité sur qui que ce soit. Pourtant, elles fonctionnent comme un gouvernement mondial unique, contrôlant le système mondial de santé et d’éducation.

Au cours de la pandémie, il est devenu évident pour le monde entier que l’OMS ne sert pas les intérêts de l’humanité, mais plutôt les agendas criminels d’entités occultes.

L’OMS a supprimé des remèdes éprouvés contre la COVID-19  et a ordonné aux entreprises de médias sociaux de censurer les scientifiques et les médecins qui parlaient de traitements efficaces. C’est elle qui a dit au monde qu’une injection expérimentale était la seule réponse à la pandémie, ce qui a entraîné des millions de morts et des centaines de millions de personnes handicapées à vie à cause de ces inoculations non testées.

Pourquoi les gouvernements démocratiques du monde entier abandonnent-ils leurs nations aux mains d’une organisation privée ?

Bill Gates contrôle l’Organisation mondiale de la santé

C’est Bill Gates, multimilliardaire et porte-parole des élites financières, qui est à l’origine de l’ordre du jour visant à supprimer tous les traitements efficaces contre la COVID-19 et à convaincre le monde que seule une injection expérimentale non testée peut nous sauver. Il est le premier vendeur de vaccins au monde et a gagné des sommes astronomiques grâce à ce complot d’inoculation à l’échelle mondiale. 

Lorsque l’on sait que Bill Gates est le principal bienfaiteur de l’OMS, on comprend également qu’il a toute autorité sur les politiques de l’organisation.

Bill Gates est également connu pour ses relations étroites avec Jeffrey Epstein, qui organisait des soirées sexuelles avec des enfants pour les élites sur sa fameuse île d’Epstein.33 Epstein a été arrêté en 2018 sous l’administration Trump, et se serait pendu dans sa cellule de prison. Le nom de Bill Gates apparaît plusieurs fois sur les registres des vols à destination de l’île d’Epstein.34

Les médias grand public et Google – qui appartiennent tous aux élites – se tordent dans toutes sortes de nœuds bizarres pour nier cela, mais les registres de vol ne mentent pas, pas plus que les photographies de Gates et d’Epstein.

Bill Gates et d’autres entités fortunées utilisent l’Organisation Mondiale de la Santé pour sexualiser les petits enfants du monde entier. Gates finance l’organisation pédophile Rutgers pour créer du matériel scolaire pour des dizaines de nations.

Pourquoi insistent-ils pour normaliser la pédophilie ?

Pourquoi les élites financières insistent-elles pour sexualiser les petits enfants dans tous les pays du monde ? La réponse est donnée dans notre rapport de preuves qui détaille comment la majorité des élites ont une chose en commun : elles sont fortement impliquées dans l’abus organisé d’enfants.

Ceci est confirmé par l’ancien directeur du FBI Ted Gunderson, ainsi que par d’anciens membres de l’armée, de la maréchaussée, de la gendarmerie, de la police et des détectives. Leurs témoignages sont révélés dans ce rapport.

Calin Georgescu, ancien directeur exécutif des Nations Unies, a témoigné devant le Comité d’Enquête sur les Crimes Internationaux que l’ONU est une plateforme permettant aux oligarques criminels de mettre en œuvre un agenda néfaste. Le documentaire « Secrets of the United Nations » (voir ci-dessous) révèle tout cela en détails. Ce film est à voir absolument pour tous ceux qui veulent comprendre ce qui se passe dans notre monde. Georgescu a également déclaré que les oligarques qui se cachent derrière les Nations Unies sont des pédophiles. Ne manquez pas de regarder ce film…



Le documentaire « Chute de la cabale » révèle comment des représentants et des militaires des Nations Unies ont violé des milliers et des milliers d’enfants et de femmes dans des pays où ils prétendaient apporter la paix. Ces séries documentaires ont été créées par un enquêteur plusieurs fois primé et un ancien analyste de la criminalité financière de la police néerlandaise.35 Dans l’épisode ci-dessous, ils dévoilent la nature extrêmement sombre des Nations Unies et les traces de sang des horribles abus sexuels qu’elles laissent dans le monde entier… 

De nombreux témoignages de victimes survivantes et de témoins oculaires de tous les pays du monde montrent que ces élites financières sont profondément impliquées dans des abus sexuels systématiques sur des enfants. 

L’une d’entre elles est l’ancien mannequin Nathalie Augustina, dont l’esprit a été programmé par la CIA pour servir de chaton sexuel à des familles royales, des hauts fonctionnaires et des célébrités hollywoodiennes. Elle raconte son histoire déchirante dans le livre « Nathalie – Confessions d’un mannequin » (néerlandais).36

Les révélations de Nathalie ont été confirmées en détail par l’ancienne juriste Anne Marie van Blijenburgh, qui a témoigné en 2014 devant le Tribunal pour les crimes commis par l’Église et l’État (ITCCS) qu’elle avait assisté à trois reprises à des réunions au cours desquelles des enfants étaient violés et assassinés sur une scène, devant un public composé de représentants du gouvernement, de la magistrature, de l’armée, de la police, de l’éducation, des médias, etc. Son témoignage d’expert est présenté dans notre rapport « Abus sexuels organisés par des fonctionnaires de haut niveau« .

« Ils veulent avoir accès aux enfants sans être poursuivis »

Nous sommes en contact direct avec plusieurs victimes survivantes de ces pratiques cruelles des élites. L’une d’entre elles est une dame du Canada, dont je ne citerai pas le nom pour sa protection. Elle est née dans les cercles des élites et m’a écrit plusieurs lettres. Je partage ci-dessous une partie de ce qu’elle m’a envoyé. Veuillez comprendre que, bien que ces informations soient profondément troublantes, elles sont confirmées par des membres du FBI, de l’armée, des agences de renseignement, de la police, de la gendarmerie et des maréchaussées du monde entier, ainsi que par d’innombrables autres témoins oculaires, dans le rapport susmentionné.

« Une enfance typique de cette horreur verra des enfants violés plusieurs milliers de fois avant d’atteindre l’âge de 18 ans. Il s’agit d’un réseau de culte satanique à l’échelle mondiale. Et ils gagnent une grande partie de leur argent en trafiquant des enfants. C’est brutal. … Ils tentent de placer leurs membres au sommet des domaines dans le monde entier. »

Concernant la normalisation de la pédophilie par le biais du système éducatif mondial, ce survivant des élites m’a envoyé ce qui suit :

Oui, c’est un comportement normal dans les sectes. Tout le monde est encouragé à avoir des relations sexuelles les uns avec les autres. Les frères et sœurs entre eux… les enfants et les adultes… les enfants avec les enfants… les enfants avec les animaux… tout cela n’est pas seulement encouragé, c’est obligatoire. Ils prennent donc le comportement normal d’une secte et essaient de le rendre courant… et vous avez tout à fait raison…  ils veulent avoir accès aux enfants 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, pour faire ce qu’ils veulent avec eux sans être poursuivis. »

Un ancien directeur exécutif des Nations Unies, un enquêteur primé, un analyste de la police, un juriste et un témoin oculaire, ainsi que plusieurs victimes survivantes, tous disent la même chose : les élites financières derrière les Nations Unies sont impliquées dans la pédophilie organisée.

Allons-nous nous lever et défendre les enfants ?

Si nous ne nous levons pas pour mettre un terme à ce sombre programme, qui se fait passer pour une absurde « défense des droits de l’homme », tous les enfants du monde finiront par grandir en étant victimes d’abus sexuels pendant des années – et seront également formés pour devenir des prédateurs sexuels. Et cela ne s’arrête pas là, car les personnes qui suppriment les limites saines et naturelles continueront à supprimer les limites suivantes, parce qu’il n’y a pas de fin à leur désir effréné. Comme nous le disent les victimes survivantes des élites, le sexe avec les animaux est la prochaine étape, tout comme le sexe avec les cadavres.

Le même ministre de la justice qui a insisté pendant des années sur le fait qu’il n’y avait rien de mal dans le Manuel des pédophiles a également déclaré que le sexe avec des cadavres n’était pas un crime.37 Et le ministre-président néerlandais Mark Rutte, qui est un membre enthousiaste du Forum Économique Mondial, a fait partie, dans ses jeunes années, d’un groupe politique qui a appelé à la légalisation du sexe avec des animaux.38

Aux États-Unis, nous assistons à l’invasion écœurante de drag-queens dans d’innombrables écoles, où les enfants sont exposés à des danses sexuelles perverses, à des histoires dégoûtantes et aux tenues anormales de monstres pervers qui s’en prennent aux enfants. Posez-vous la question :

Qui peut bien vouloir que des homosexuels exécutent des danses sexuelles devant des enfants ? Qu’est-ce qui se cache derrière tout cela ?

Johns Library de Portland, dans l’Oregon, des enfants ont été photographiés allongés sur le corps d’une drag queen.39

L’invasion soudaine de drag-queens dans des milliers d’écoles à travers le monde est clairement une opération stratégiquement orchestrée, similaire à l’éruption soudaine de la folie transgenre, qui est littéralement sortie de nulle part et s’est soudainement répandue partout. Tout cela se produit en même temps :

✔︎ qui ordonne à toutes les écoles publiques du monde entier de sexualiser les enfants

✔︎ introduisant d’innombrables drag-queens dans les écoles 

✔︎ en introduisant massivement la confusion transgenre dans tous les pays

✔︎ utiliser les médias pour appeler à l’acceptation de la pédophilie

✔︎ des juges appelant à la légalisation des relations sexuelles avec des mineurs

Cette situation est bien plus grave que nous ne pouvons l’imaginer. Comme le disent les dénonciateurs de l’élite, « ils veulent que tout le monde ait des relations sexuelles avec des mineurs » : « Ils veulent que tout le monde ait des relations sexuelles avec tout le monde ». Nous devons prendre position et protéger courageusement les enfants, partout dans le monde.

Partager ce rapport avec le monde entier

Il est essentiel que ce rapport parvienne au plus grand nombre. Merci de l’envoyer au plus grand nombre, par tous les moyens possibles. Vous pouvez par exemple copier cette courte lettre et l’envoyer aux journaux locaux, aux écoles, aux forces de l’ordre, aux églises, aux hôpitaux, aux hommes politiques, etc. Vous trouverez leurs coordonnées en effectuant une recherche rapide sur Internet.

À qui de droit,

L’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies demandent aux autorités éducatives du monde entier d’apprendre aux bébés, aux enfants en bas âge et aux jeunes enfants à se masturber, à utiliser la pornographie, à apprendre différentes techniques sexuelles telles que la fellation, et à avoir des relations avec des personnes du même sexe. L’OMS et les Nations Unies demandent aux éducateurs d’encourager les enfants à commencer à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible et d’aider tous les enfants à avoir des partenaires sexuels. Les faits montrent que cela fait partie d’une opération mondiale visant à normaliser la pédophilie. Voir le rapport suivant :

Nous vous invitons à examiner attentivement ces informations.


Téléchargez le mème en couleur pour le distribuer par courriel et sur les médias sociaux, ou pour le faire imprimer par un service d’impression en ligne (tel que VistaPrint). Vous pouvez également télécharger le dépliant en noir et blanc pour l’imprimer sur votre propre imprimante et le distribuer dans votre communauté. Vous pouvez aussi les envoyer à un journal local pour qu’ils y soient placés en tant qu’annonce. Si vous avez besoin d’une résolution plus élevée ou de grandes quantités, contactez-nous

Inviter David à un entretien

Si vous voulez inviter David Sorensen de Stop World Control dans votre émission pour parler de ce sujet afin d’avertir le monde, alors contactez-nous

Références et téléchargements

Toutes les preuves des affirmations contenues dans ce rapport peuvent être trouvées en ouvrant le conteneur à bascule ci-dessous. Vous pouvez également télécharger tous les documents de l’OMS, de l’ONU, de l’IPPF, de Rutgers, etc. Si un lien a été supprimé d’Internet, vous pouvez le relocaliser en utilisant Archive.org.




France — Boulangeries artisanales en danger

[Source : Tribune Libre]

Pour Tribune Libre, le 3 mai 2023, Stéphanie Reynaud interviewe Frédéric Roy, artisan-boulanger à Nice, fervent défenseur du patrimoine culinaire français et du fait maison. Il nous parle de ses factures d’électricité qui explosent, de la concurrence déloyale des chaînes de boulangeries, de l’ARENH (Accès Régulé à l’Électricité Nucléaire Historique), de la renationalisation d’EDF, des autres professions qui souffrent de ces fortes augmentations du coût des énergies, des mesures mises en place par le gouvernement et de la sortie souhaitable du marché européen de l’énergie.




L’Union européenne s’associe au gouvernement néerlandais pour fermer les fermes laitières, bovines, porcines et avicoles à travers le pays ! Bonne voie vers la famine

[Source : information645]

(Natural News) Les « coupures climatiques » sont là. L’Union européenne s’associe au gouvernement néerlandais pour fermer définitivement les exploitations laitières, bovines, porcines et avicoles aux Pays-Bas. Il y a à peine un an, le gouvernement néerlandais a annoncé un plan visant à réduire les émissions d’azote dans tout le pays de plus de 50 % d’ici 2030.
Le 2 mai, la Commission européenne a approuvé un plan qui paierait les éleveurs pour qu’ils ferment indéfiniment les zones de conservation désignées s’ils s’engagent à ne jamais reprendre la même activité d’élevage ailleurs. Les réglementations environnementales de l’UE sont une menace pour les libertés économiques fondamentales et les répercussions auront un impact sur les droits de l’homme et l’approvisionnement alimentaire lui-même.

Le Green Deal européen soudoie les petits agriculteurs pour qu’ils ferment définitivement

Dans le cadre du Green Deal européen, les gouvernements soudoient les petits et moyens agriculteurs pour qu’ils arrêtent définitivement leurs opérations parce que leurs installations produisent des niveaux élevés d’azote. L’azote est désormais étiqueté comme un « polluant » qui devrait être réduit de 50 % dans toute l’Europe. Dans le cadre du Green Deal, il est « nécessaire et approprié » d’« améliorer les conditions environnementales des zones ciblées et de permettre une production de haute qualité, durable et respectueuse de l’environnement », ce qui implique la fermeture de centaines de petites exploitations. Le gouvernement néerlandais a prévu un budget d’environ 1,47 milliard d’euros (1,62 milliard de dollars) pour rembourser les agriculteurs et les fermer définitivement.

Les fonds seront utilisés pour indemniser les agriculteurs « jusqu’à 100 % » des pertes qu’ils subissent après avoir accepté « volontairement » de fermer les sites d’élevage laitiers, bovins, porcins et avicoles. La Commission européenne appelle ces rachats des « subventions directes ».

Dans le cadre du plan du gouvernement, ces nouveaux rachats de petites et moyennes exploitations sont appelés « programmes ». Le gouvernement néerlandais maintiendra les programmes en vigueur jusqu’en février 2028, jusqu’à ce que la plupart des exploitations agricoles soient regroupées entre les mains de quelques-uns. La Commission européenne affirme que les régimes sont « proportionnés » et que la compensation « apporte des effets positifs qui l’emportent sur toute distorsion potentielle de la concurrence et des échanges dans l’Union européenne ».

Les agriculteurs ne sont éligibles aux rachats que s’ils peuvent prouver qu’ils ont produit pendant cinq années consécutives. Les mondialistes du WEF à l’origine du nouveau plan savent que les Pays-Bas sont l’un des principaux exportateurs de viande et de produits agricoles dans le monde. Selon l’Office national des statistiques, les exportations agricoles néerlandaises s’élevaient à 122,3 milliards d’euros l’année dernière. Les agriculteurs se battent contre les nouvelles règles environnementales qui menacent leur existence même, mais le gouvernement néerlandais conspire avec le WEF.

L’UE détruit les libertés fondamentales et restreint la production alimentaire, le tout pour le « plus grand bien ».

Robbin Voorend est l’un de ces agriculteurs qui se sont prononcés sur le Green Deal européen. Les programmes gouvernementaux d’émissions d’azote ont déjà réduit sa production animale de 90 à 95 %. Le producteur laitier Martin Neppelenbroek atteste que le gouvernement a abattu 95 % de son troupeau.

Ces stratagèmes ne suffiront pas à convaincre chaque agriculteur de fermer ses portes, donc des pots-de-vin et des paiements supplémentaires seront inclus dans le plan plus large. Dans le cadre du programme LBV-plus de 975 millions d’euros (1,77 milliard de dollars), certains agriculteurs qui arrêtent les opérations à haut niveau d’azote recevront jusqu’à 120 % de compensation de la capacité de production perdue. Dans le cadre du Green Deal européen, les États membres peuvent accorder à certains agriculteurs un « bonus vert » supplémentaire de 20 % — s’ils ferment leurs exploitations pour des raisons « environnementales ».

La commentatrice politique néerlandaise Eva Vlaardingerbroek estime que les rachats de l’UE pourraient fermer définitivement 3 000 fermes néerlandaises ou plus.

« C’est comme ça qu’ils font : ils mettent un couteau sous la gorge des agriculteurs. Ils s’assurent de ne pas renouveler leurs licences, ils les affligent chaque jour de nouvelles règles et restrictions, puis leur offrent un pot-de-vin, sachant que beaucoup le prendront par pur désespoir. Tout est si ignoble », a écrit Vlaardingerbroek, tout en remettant en question la légalité du gouvernement interdisant aux agriculteurs de recommencer.

« Toute l’idée de l’UE était censée concerner la liberté de circulation et la liberté des travailleurs. Ce sont des trucs de l’URSS de niveau supérieur », a averti Vlaardingerbroek.

Les sources comprennent :




France — Chronique d’une mort annoncée pour les lycées professionnels

[Source : snes.edu]

Ce jeudi 4 mai 2023, E. Macron a officiellement lancé sa réforme des lycées professionnels qui vise une transformation profonde de nos métiers, nos établissements et nos formations sur le modèle de l’apprentissage. Dans son projet global, les jeunes des lycées professionnels ne sont plus considérés comme des élèves en formation mais comme une main d’œuvre immédiatement exploitable. Quant aux personnels, pour les remercier de leur engagement : de vastes plans de reconversion et un pacte pour travailler plus sont prévus.

DÉNI DE DIALOGUE SOCIAL

À l’automne dernier, les fortes mobilisations des personnels des lycées pros et agricoles avaient forcé C. Grandjean à renoncer à sa mesure phare : l’augmentation de 50 % des stages. Elles avaient surtout mis en lumière le besoin impérieux de plus et mieux d’école pour les élèves. En s’obstinant à imposer de nouveau une augmentation du nombre de semaines de stages qui, de fait, supprime des semaines d’enseignement, E. Macron montre une fois de plus son mépris à l’égard des besoins exprimés par les personnels pour les élèves. Il décide aussi et sans concertation de désorganiser complètement la classe de terminale, imposant entre autres les épreuves écrites en mars afin de libérer une partie des élèves pour les entreprises. Les perspectives de poursuite d’étude en BTS sous statut scolaire sont remises en cause pour l’ensemble des élèves, d’autant plus que les épreuves de bac pro en mars provoqueront comme en voie générale et technologique une forte démobilisation des élèves au troisième trimestre.

DANGERS POUR LES ÉLÈVES ET LES PERSONNELS

L’évolution de la carte des formations est une nouvelle fois prise uniquement sous le prisme de l’adéquationisme forcené, le Président allant jusqu’à dire que les jeunes des lycées professionnels doivent se cantonner à leur bassin d’emploi et « renoncer à aller à Paris ». L’humour présidentiel est malvenu car, faire ce choix, c’est assigner les jeunes à résidence géographique et les empêcher de se former au métier de leur choix. La volonté du gouvernement de calibrer les filières professionnelles vers les secteurs en tension, aujourd’hui désertés par les actifs qualifiés, est tout aussi intolérable. C’est d’une instrumentalisation pure et simple des parcours scolaire des jeunes les plus fragiles dont il s’agit. Pour les enseignant·es de matières professionnelles, ces modifications autoritaires et brutales de filières laissent craindre de vastes plans de reconversions forcées voire des plans sociaux qui ne disent pas leur nom.

PROVOCATION

Au déclassement salarial subi par l’ensemble des enseignant·es s’ajoutent des conditions de travail très difficiles et dégradées du fait, en particulier, des réformes précédentes. Prétendant répondre à ces problèmes, le gouvernement veut imposer aux enseignant·es un pacte qui serait composé de missions supplémentaires. Ce dispositif du « travailler plus pour gagner plus » n’est aucunement une revalorisation mais un déni du travail au quotidien des personnels et, à terme, une attaque en règle contre nos statuts. Les missions envisagées sont directement orientées vers la mise en œuvre de la réforme, transformant les personnels en acteurs de la destruction de la voie professionnelle scolaire. En ce sens, c’est une véritable provocation envers les personnels des lycées professionnels.

Le SNUEP-FSU, le SNEP-FSU, le SNETAP-FSU, le SNES-FSU et le SUI-FSU dénoncent la forme et le fond de cette réforme contestée depuis l’automne par les personnels, et qui n’a bénéficié d’aucune concertation avec l’ensemble des organisations syndicales. Ce projet signe un transfert progressif mais avancé de la voie professionnelle scolaire vers le ministère du travail et à la solde des branches professionnelles. C’est un coup porté au service public d’Éducation.

Nos organisations exigent l’abandon de ce projet. Elles prendront leurs responsabilités aux côtés de l’intersyndicale si le gouvernement et les ministres persistent à vouloir détruire ainsi nos lycées pros, nos métiers et nos formations.




Soignants suspendus, citoyens d’avant-garde

[Sources : courriel et exuvie.fr]

C’est avec émotion et fierté que je vous annonce la parution de mon livre « Soignants suspendus, citoyens d’avant-garde ». Un ouvrage que j’ai longuement mûri et qui s’est enrichi au fil des informations, réflexions, mais surtout innombrables rencontres lors des ciné débats qui ont suivi les 150 projections de mon film « Suspendus… des soignants entre deux mondes » !

Il était important que tout ce que j’avais canalisé puisse être déposé après maturation… Cet ouvrage est avant tout une analyse sociologique et anthropologique de la folie des trois dernières années avec le prisme de lecture du sort réservé aux personnels suspendus.
Par ailleurs, je pense que cette crise est avant tout une crise de conscience personnelle et collective, j’ai alors développé une part plus subtile dans mon texte, accompagné de passages plus lyriques…

Le phénomène des personnels suspendus soulève en nous des questions qui viennent nous chercher au plus profond de nous-mêmes…
(…) J’ai bon espoir que ce livre qui sort en synchronicité avec la réintégration prochaine puisse éclairer sur les véritables et profonds enjeux : des citoyens devant se positionner avec leurs valeurs, leur morale et leur foi en un Demain plus juste…

Comme pour mon film, cet ouvrage est en partenariat avec le Syndicat Liberté Santé, pour lequel je reverse l’intégralité de mes droits d’auteurs. Et j’ai choisi un prix réduit, 11 €, afin qu’un maximum de personnes puissent être touchées par ce message.(…)

Fabien Moine

À l’annonce de la réintégration des soignants suspendus en mars 2023, il est difficile de se réjouir tout à fait de cette décision politique tardive tant les fractures se sont multipliées dans la population française.
Depuis des années, et depuis janvier 2020 en particulier, les soignants ont subi de la part de l’Institution des maltraitances successives que leur réintégration ne saurait suffire à panser.

Leur souffrance, volontairement tue et muselée par les politiques et les médias durant la crise Covid, est un affront à la conscience de celui qui, abusé de longue date par un pouvoir entaché de corruption, a détourné les yeux pour mieux s’oublier dans le divertissement continu d’une société de jouissance.

Qu’y a-t-il donc de tant insoutenable dans la posture du soignant suspendu ? Que traduit-elle de notre société ? En quoi interpelle-t-elle notre humanité, et peut-être notre destinée tout entière ?

Après son film Suspendus… des soignants entre deux mondes, Fabien Moine livre ici un essai critique percutant, une interprétation anthropologique et sociologique d’une période sombre de notre histoire qu’il appartient à chacun de regarder dorénavant avec plus de recul.

Fabien Moine est praticien en santé naturelle, auteur, réalisateur et éditeur, fondateur des éditions Exuvie.

Les droits d’auteur de ce livre seront reversés aux soignants suspendus.




Le ministère de la Défense de la Russie a publié la correspondance de Hunter Biden sur le financement des biolaboratoires en Ukraine

[Source : Profession Gendarme]

Par Guy Boulianne

Le 31 mars 2022, le ministère de la Défense de la fédération de Russie a publié une correspondance entre le fils du président américain Joseph Robinette Biden (c’est-à-dire Joe Biden) et des employés du département de réduction des menaces du Pentagone et ses sous-traitants de biolaboratoires en Ukraine. Le contenu des lettres montre que Hunter Biden a joué un rôle important dans la création d’opportunités financières pour le travail sur les agents pathogènes en Ukraine, malgré les accords internationaux sur la non-prolifération des armes biologiques. La menace d’une utilisation à grande échelle d’armes biologiques contre la Russie, et donc contre le monde, est bien réelle et constitue un crime de guerre en soi. Afin de bien informer mes lecteurs à la source, j’ai traduit ci-dessous le discours du lieutenant-général Igor Kirillov, directement à partir du site Web du ministère de la Défense. [1] Les lecteurs pourront comparer et authentifier ma traduction avec celle qui a été faite par le ministère russe. [Consultez le PDF]

Écusson de la Moscovie

Les médias propagandistes tentent par tout les moyens de faire croire que Vladimir Poutine est l’incarnation du mal et un dictateur impitoyable. Laissez-moi vous dire que le Mal ne se situe pas là où on pourrait le croire, mais qu’il est à nos portes … il est chez nous. Ces nouveaux dictateurs qui se lèvent à travers le monde — lorsqu’ils auront perdu la grande bataille — se rabattront et feront périr leurs propres populations avec un esprit de vengeance effroyable. Là se situe le danger réel.

Il est clair pour celles et ceux qui savent voir et entendre que nous sommes en train de vivre les temps eschatologiques. Deux forces antagonistes s’affrontent actuellement : les tenants du Nouvel Ordre Mondial « unilatéral », souhaitant asservir l’humanité sous le joug de leur dictature, contre les défenseurs d’un ordre mondial « multipolaire, juste et démocratique ». C’est ce que fait actuellement le président Vladimir Poutine au sein du format Russie-Inde-Chine (RIC), contribuant à l’établissement de la multipolarité et à la suprématie du droit international sur la scène mondiale. J’ai écrit dans la présentation de mon dernier livre intitulé “L’Arche de Gabriel : de La Mecque à l’Antarctique” :

« L’humanité vit dans un combat perpétuel entre ceux qui sont de la “race de vipères” et ceux qui sont les “fils de Dieu”. Cette race de vipères se cache sous la dénomination contemporaine de « Nouvel Ordre Mondial ». Il s’agit pour cette engeance de prendre possession et d’asservir les humains dans un système babylonien en leur injectant le venin du serpent et en leur ôtant toute parcelle divine qui était déjà en eux. Dans ce contexte, il semble que le président de la Russie, Vladimir Poutine, soit l’un des derniers remparts contre cette Cabale maléfique. C’est ce qui expliquerait que la mission de transporter l’Arche de Gabriel aux confins de l’Antarctique lui fut confiée. C’est aussi ce qui expliquerait la raison pour laquelle les forces obscures mondialistes le combattent avec autant d’ardeur et d’acharnement. »

Cela pourra surprendre certaines personnes, mais le rabbin Haïm Dynovisz [2] et M Hababou n’hésitent pas à dire dans une vidéo qui fut rapidement censurée par Youtube que les dirigeants qui sont au pouvoir ne sont pas des humains, mais qu’ils sont plutôt des reptiliens, descendants du serpent originel. (Vidéo à 35:06 min.

« Ils ont pris une forme humaine mais ce ne sont pas du tout des descendants de Adam et Eve. Le monde est partagé soit en singes devenus des hommes,— donc qui n’ont rien à voir avec Adam et Eve —, soit des démons qui sont descendus dans ce monde et qui sont généralement les grands dictateurs, les grands assassins, les grands violeurs, les grands criminels, etc. » (Vidéo à 28:28 min.)

Pouvons-nous retrouver quelques vérités dans la symbolique ancestrale ? Je vous rappelle que les armoiries de la Russie portent en leur centre l’écusson de la Moscovie qui se blasonne ainsi : « de gueules représentant Saint Georges terrassant la Dragon, sur son destrier d’argent (de la Moscovie). »


« Quand les mille ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa prison. Et il sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre coins de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour la guerre. » (Apocalypse 20:7-8)

Discours du lieutenant-général Igor Kirillov - 1

Le ministère de la Défense a montré la correspondance du fils de Biden sur les laboratoires biologiques en Ukraine

Le ministère russe de la Défense a organisé une autre réunion d’information sur les résultats de l’analyse des documents liés aux activités biologiques militaires américaines sur le territoire de l’Ukraine. Igor Kirillov, chef des troupes de défense contre les radiations, chimiques et biologiques des forces armées russes (RCBZ), a fait des déclarations qui transforment en fait les pays hébergeant des laboratoires biologiques américains en cibles pour les frappes préventives des forces stratégiques russes.

Lire la suite : Guy Boulianne

Copyright © Guy Boulianne

Guy Boulianne, auteur, éditeur et journaliste indépendant, membre de la General News Service Network Association (GNS Press) et de l’International Association of Press Photographers (IAPP) Il est aussi membre de la Society of Professional Journalists (SPJ). Il est le fondateur et l’éditeur en chef des Éditions Dédicaces LLC : http://www.dedicaces.ca.




Démonstration du premier mai en France




Affaire René Chiche : si la France n’est pas devenue une dictature, c’est à s’y méprendre…

[Source : pgibertie.com]

René Chiche est responsable du syndicat CGE CGC pour l’Éducation. Les vidéos résument ses crimes.

Je suis exclu de fonctions pendant trois mois pour mes propos publics en qualité de professeur de philosophie et de représentant syndical sur les réseaux sociaux, à la radio et à la télévision. On n’est pas en dictature, mais c’est bien imité. Je ne me tairai pas.

Mes premières pensées vont à mes élèves, que le ministère de l’Éducation nationale prive de leur professeur à deux mois de l’épreuve de philosophie du baccalauréat. On leur dira que je suis « absent pour raison administrative ». C’est inexact. Je leur dois cependant la vérité.

Je publierai l’ensemble de cette procédure disciplinaire après consultation de mes avocats et en concertation avec mon syndicat

@ad_cfe_cgc, également attaqué par une sanction qui constitue de surcroît une entrave à l’exercice du droit syndical et à la liberté d’expression.

René Chiche




France — Une élite à la dérive

[Source : Cercle Aristote]




L’OMS s’apprête-t-elle à prendre définitivement le contrôle sur les États pour la politique de santé ?

[Source : Virginie Joron]

Conférence sur le Traité de l’OMS sur les pandémies organisée par les députés européens Francesca DONATO, Stasys JAKELIŪNAS, Virginie JORON, Mislav KOLAKUŠIĆ, Sylvia LIMMER, Ivan Vilibor SINČIĆ et Cristian TERHEŞ avec la participation des experts de CHD Europe, Silvia BEHRENDT, David BELL, Philipp KRUSE et Wolfgang WODARG.




Professeur Peter Gotzsche sur la corruption systémique dans le secteur de la Santé

[Photo : Peter Gotzsche (Nordic Cochrane Centre)]





La Hongrie accuse l’Europe d’avoir appauvri les Européens

[Source : lecourrier-du-soir.com]

Par Cheikh Dieng

Un autre vent de révolte souffle en Europe et plus précisément en Hongrie où le gouvernement dirigé par Viktor Orban déclare la guerre à l’Union Européenne en l’accusant d’avoir rendu les Européens plus pauvres par ses sanctions infligées à la Russie.

Rien ne marche plus au sein de l’Union Européenne. En effet, 24 heures après la victoire historique des droites italiennes dirigées par Giorgia Meloni, c’est au tour d’un autre pays d’Europe de déclarer la guerre à l’UE, l’accusant d’avoir rendu les populations européennes de plus en plus pauvres à travers ses sanctions infligées à la Russie.

Ce pays n’est autre que la Hongrie qui, depuis l’invasion militaire russe en Ukraine, n’a jamais été favorable aux sanctions infligées à Moscou. Et le bras se poursuit. Car, à en croire le média hongrois DailyNewsHungary.com, un éminent député membre du parti de Viktor Orban a tenu des propos durs envers l’Europe lors d’une interview accordée à une radio hongroise. L’homme en question n’est autre que Mate Kocsis, chef du groupe parlementaire du parti Fidesz.

Sur les sanctions infligées à la Russie, il n’a pas mâché ses mots. « Les élites de Bruxelles n’ont pas réalisé que les sanctions ont rendu la Russie plus riche et l’Europe plus pauvre », s’insurge-t-il. Le leader du groupe parlementaire du parti au pouvoir se plaint de la forte inflation que subit son pays depuis quelques mois.

Les nouvelles venant de la Hongrie sont d’autant plus dures pour l’Europe que Viktor Orban assume pleinement et ouvertement son opposition à la décision de punir la Russie. Ainsi, dans une déclaration prononcée ce lundi relayée par l’agence de presse Reuters, il a fait savoir que les sanctions contre la Russie se sont retournées contre l’Europe.

« On peut clairement dire, en se basant sur les conséquences de ces sanctions, que les peuples européens sont de plus en plus pauvres et que la Russie ne s’est pas effondrée. Cette arme s’est retournée (contre l’Europe, NDLR). Avec ces sanctions, l’Europe s’est tiré une balle dans le pied », a-t-il martelé.

Sur la question des visas attribués aux citoyens russes, la Hongrie assure qu’elle continuera de laisser les touristes et hommes d’affaires russes entrer sur son sol sans aucun problème. Une décision qui va à l’encontre de celle prise par certains pays de l’Est qui ont fermé leurs portes aux citoyens russes. Parmi eux, figure la Lettonie.




Le CO2 et l’arnaque climatique

Ce qu’en pensent le Dr Patrick Moore, cofondateur de Greenpeace, et Ian Plimer, géologue australien.