Inde : plainte pénale déposée contre GAVI, Bill Gates, Fauci… Peine de mort encourue

[Source : francesoir.fr]

[Voir aussi : Inde : condamnation à mort possible pour la scientifique de l’OMS après avoir déconseillé l’Ivermectine]

Auteur(s): FranceSoir

L’Indian Bar Association (Association des Avocats Indiens) a adressé un courrier au Premier ministre de l’Inde Shri Narendra Modi et au ministre de l’Intérieur Shri Amit Shah, qui les invite à prendre note de la plainte DHLTH/E/2021/09973 en date du 1er juillet 2021 déposée par le Secrétaire général du Conseil de sécurité des droits de l’homme (HRSC) M. A. Shaikh, contre le Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et d’autres.

Cette plainte les invite à prendre des mesures immédiates contre les accusés et à émettre des directives appropriées aux autorités légales pour qu’elles examinent l’affaire et prennent des mesures immédiates. Cela fait suite aux deux mises en demeure que l’IBA a envoyées à l’OMS (contre le Dr Soumya Swaminathan ainsi que Tedros Ghebreyesus) qui sont à ce jour restées sans réponse.

L’avocate Dipali Ojha explique cela en détail dans son debriefing.

La plainte de 132 pages enjoint les ministres à considérer en urgence la situation et surtout la « gravité » ou « extrême gravité »

des questions qui sont posées qui ne concernent pas seulement les citoyens indiens, mais aussi la sécurité, la survie et le bien-être de l’humanité tout entière.

Cette plainte annoncée et attendue prend en considération les éléments de réponse à la gestion d’une épidémie (les quatre piliers listés par le Pr McCullough) ainsi que les publications de diverses associations de médecins (FLCCC, AFLDS, IHU) en faveur des traitements précoces qui sont une alternative à la vaccination de masse, dixit Pierre Kory. Ceci est corroboré par le retour d’expérience de nombreux médecins indiens dans les Etats ayant mis en place les directives du ministère de la Santé sur l’ivermectine et l’hydroxychloroquine. Au sein de cet immense pays, on a pu observer l’effet de la vaccination de masse ainsi que celui des traitements précoce et prophylactique des Indiens, afin de gérer au mieux l’épidémie. Les Indiens ont subi les mêmes effets de censure, de suppression du « narratif » et des données scientifiques que ceux observés dans d’autres pays. Le summum étant une agence de santé (DGHS) périphérique qui a supprimée les traitements précoces alors qu’elle n’avait jamais exprimé d’opinion auparavant à ce sujet, démontrant la capture probable de certaines autorités par des influences externes. Rappelons que le ministère de la Santé a conservé les traitements précoces dans ses recommandations et est le seul compétent.  A l’inverse de la France, les autorités sanitaires (ministère) ont défendu par deux fois leur position en faveur des traitements précoces, remettant en cause les avis de l’OMS contre des associations d’avocats dont les commanditaires ne sont pas identifiés.

Le périmètre et les demandes de la plainte sont clairement établis :

  1. une orientation immédiate pour la mise en œuvre du 72e rapport de la Commission parlementaire et des recommandations d’enquête et de poursuite des membres du bureau du « philanthrope toxique » et de la Fondation Bill & Melinda Gates du Syndicat des vaccins (GAVI) et des responsables concernés du Conseil indien de la recherche médicale (ICMR) qui sont considérés responsables de la mort de huit filles suite à l’usage de vaccins non autorisés, illégaux et non approuvés;
  2. une directive immédiate au Bureau central d’enquête (CBI) pour l’enregistrement du premier rapport d’information (FIR) pour enquête et action stricte (en vertu des articles 115, 109, 302, 307, 304, 419, 420, 471, 474, 188, 505, r / w 120 (B) &34 de l’IPC & sections de la loi de 2005 sur la gestion des catastrophes et d’autres dispositions des actes spéciaux contre tous les éléments contre l’intérêt national, contre l’humanité, et bio-terroristes) sur les « Groupements Pharma», « Groupement Tech » et les « Cyber Harceleurs » qui sont impliqués dans des infractions contre l’humanité entière entrainant un génocide, causés par leurs actes de commission et d’omission liés à la pandémie de Covid-19.
  3. des ordonnances avec effet immédiat aux autorités concernées :
    • i) émettre des avis de garde à vue et des mandats d’arrêt contre l’accusé dont l’implication est prouvée à première vue ;
    • ii) D’engager une action en saisie conservatoire de tous les accusés et de leurs sociétés ;
    • iii) Commencer l’interrogatoire de l’accusé en détention ;
    • iv) Effectuer un test de détection de mensonges, un test de cartographie cérébrale, un test narco de tous les accusés principaux tels que le Dr Soumya Swaminathan, le Dr Randeep Guleria, M. Arvind Kejriwal Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, le Dr Anthony Fauci, Bill Gates, Mark Zuckerberg, Jack Dorsey et d’autres.
  4. des directives immédiates à toutes les autorités pour
    • i) examiner sérieusement le Livre blanc de l’association American Frontline Doctors (AFLDS) sur le Covid-19 et les vaccins expérimentaux.
    • ii) ne forcer personne à se faire vacciner et se conformer strictement à l’arrêt de la Cour suprême et de diverses hautes cours concernant le droit fondamental de chaque citoyen à choisir son traitement.
    • iii) informer le public des dangers réels du vaccin.
    • iv) informer le public sur les autres médicaments éprouvés, sûrs et plus efficaces.
    • v) ne pas répandre la peur d’une nouvelle vague sans vérifier les preuves scientifiques.
  5. une directive appropriée selon le rapport soumis par le Comité d’experts au bureau du Premier ministre avec des recommandations de ne pas administrer de vaccins sur les personnes qui se sont rétablies de l’infection à Covid-19 et qui ont développés des anticorps.
  6. Des directives immédiates pour fournir une protection à tous les dénonciateurs et à leurs témoins qui ont déjà exposé et continuent d’exposer le Syndicat comprenant BIG PHARMA, BIG TECH et BIG SCIENCE.
  7. Direction pour la constitution d’un comité d’enquête distinct concernant le vent de la panique soudain pendant la deuxième vague de coronavirus en Inde, qui a été alimenté par des reportages incessants dans les médias sur la pénurie d’oxygène. Et pourquoi ledit battage médiatique a disparu dès l’apparition de l’enquête sur le ‘Tool Kit’ (kit contre la covid) a été commencée par la police de Delhi.

Accusation principale de complot contre les accusés

La plainte (paragraphe 26) porte contre tous les accusés qui sont tenus de répondre à l’accusation principale sur la base des documents, de preuves et de preuves de nature remarquable :

Le principal accusé Bill Gates et ses alliés de GAVI (Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination) ont ourdi un complot visant à créer un marché fixe pour leurs vaccins et autres médicaments et dans ce complot, ils se sont joints à d’autres accusés. 

Les autres sont Dr Anthony Fauci, conseiller médical en chef du président des États-Unis, M. Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS, Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef à l’OMS, Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, Jack Dorsey, PDG de Twitter, Steve Chen, Chad Hurley et Jawed Karim, YouTube (Google), Arvind Kejriwal, Ministre principal, Delhi et que les autres personnes citées dans l’annexe T13 ou celles qui pourraient être accusés après enquête approfondie.

Au paragraphe 26.3, on peut lire que les accusés ont commis un acte public dans la droite lignée d’un complot. Ils sont accusés par des actes de commission et d’omission, d’avoir :

  • i) créé de fausses données.
  • ii) supprimé et dissimulé de manière malhonnête des données réelles.
  • iii) distordu des faits importants.
  • iv) créé un narratif et un complot.
  • v) mis en place des politiques « préméditées » sur YouTube, Twitter, Facebook, etc. pour supprimer la vérité et empêcher l’information réelle de se propager
  • vi) supprimé des informations originales et scientifiques de plateformes telles que YouTube, Twitter et d’autres sur la base de « fausses politiques et conditions générales » allant à l’encontre des données scientifiques.
  • vii) publié des « vérification de faits » fausses et sponsorisées afin d’aller à l’encontre de la vérité et par la même d’entraîner la confusion dans l’esprit du public ; cela avait pour but de décourager les personnes, les scientifiques et les médecins qui possèdent des données scientifiques.
  • viii) réussi à « capturer » les agences de santé gouvernementales de nombreux pays pour obtenir les politiques et les règles formulées en fonction de leurs objectifs inavoués.
  • ix) entraîné la mort de personnes en s’assurant que ceux-ci ne devraient pas accéder ou obtenir les médicaments facilement disponibles, sûrs et abordables tels que l’ivermectine, l’hydroxychloroquine, la vitamine D3, etc. et ayurvédique ainsi que les traitements naturopathes.
  • x) généré la peur dans l’esprit des gens afin que le vaccin puisse être présenté comme la seule alternative pour traiter et ainsi sauver les gens ; facilitant ainsi la voie à une autorisation d’utilisation en urgence (EUA) du vaccin non approuvé.         
  • xi) supprimé les données sur les effets dangereux du vaccin ainsi que l’usage de nombreux médicaments « ad hoc » couvrant ses effets.
  • xii) dévoyé, dissimulé ou supprimé les données sur l’inefficacité des vaccins et la mort de nombreuses personnes et de nombreux médecins. Ceci a entraîné des pertes de repères des gens causés par les sophismes des « hommes de paille ».
  • xiii) sous-déclaré les décès dus aux vaccins au travers de la création de règles à leur convenance.
  • xiv) essayé d’aller à l’encontre de la science réelle à l’aide de la rhétorique, c’est-à-dire la fausse science portée par les sophismes « de l’homme de paille », la malhonnêteté intellectuelle et les théories du complot pseudo-scientifiques.
  • xv) en outre, le cerveau de la conspiration et chef du Syndicat des vaccins M. Bill Gates a déjà été reconnu coupable d’essais illégaux et non autorisés de vaccins et d’avoir causé la mort de huit filles. Dans son 72e rapport du 28.08.2013, la Commission parlementaire de l’Inde Rajya Sabha a déjà recommandé une action en justice contre les membres du bureau de la Fondation Bill &Melinda Gates , des responsables de l’ICMR et d’autres accusés divers responsables de ces crimes odieux contre l’humanité.
  • xvi) tous les accusés étaient et sont bien conscients que par leur acte de commission et d’omission, ils vont causer la mort de millions d’innocents. Cependant ils ont choisi l’argent plutôt que les valeurs humaines. Ce sont eux les délinquants de l’humanité. Ils sont coupables de génocide. Ils ont commis des meurtres de masse avec sang-froid.

Ils ont enlevé les moyens de subsistance de l’homme du peuple et ont fait un enfer de la vie des pauvres. En raison de leurs conspirations, de nombreuses personnes qui ont réussi à survivre en prenant leurs médicaments toxiques souffrent maintenant d’effets secondaires graves ayant rendu leur vie misérable.

Ils ne méritent aucune sympathie ou indulgence. Sinon, ce sera une injustice pour toutes les victimes et une injustice pour toute l’humanité.

La peine minimale dans ce cas sera :

a) la peine de mort
et
b) La saisie de tous leurs biens meubles et immeubles et leur distribution égale à tous les peuples du monde.

D’autres questions importantes sont aussi mentionnées dans la plainte au paragraphe 2 mais suivent les mêmes bases qui comprennent la mise en cause des tests PCR, la censure et l’impossibilité pour les médecins d’échanger sur les réseaux sociaux sans risquer la censure.

La plainte a été déposée le 1er juillet 2021 et signée par la représente de l’association Me Dipali Ojha.

La plainte complète est disponible ci-après : Plainte [PDF]

www.indianbarassociation.in

Auteur(s): FranceSoir




Pétition contre l’obligation vaccinale Covid 19. Mise à jour

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]

Pétition nationale contre l’obligation vaccinale Covid 19

Le 24 novembre 2020, à la télévision et à la radio, Emmanuel Macron avait pris un engagement très clair devant les Français : il respecterait la liberté vaccinale et ne rendrait jamais la vaccination contre le Covid 19 obligatoire.

Pourtant, depuis quelques semaines, nous sentons une pression monter très fortement dans le sens de l’obligation vaccinale.

Ces derniers jours, Olivier Véran a explicitement menacé les soignants de décider cette obligation vaccinale. Dès le mois de septembre prochain.
Des journalistes, des éditorialistes, des médecins de plateaux de télé, des politiques de tous bords, de Yannick Jadot à François Bayrou en passant par LFI et le RN, se prononcent pour l’obligation vaccinale.
Dans un communiqué publié le 24 juin 2021, l’Académie de médecine se montre plus pernicieuse encore en suggérant de rendre payant le test PCR, afin d’inciter par l’argument financier les gens à se faire vacciner. Horrible.

Pourtant, ce vaccin est toujours en phase d’expérimentation. C’est officiel.
Pourtant, la balance bénéfice-risque chez les jeunes n’est pas à l’avantage du bénéfice.
Pourtant, il est philosophiquement insupportable d’accepter de conditionner sa propre liberté à un acte médical. Un acte médical doit toujours se faire pour des raisons strictement médicales. Toute autre raison est toujours une mauvaise raison.
Pourtant, on peut s’étonner que les autorités n’évoquent jamais les traitements.

En signant cette pétition, je refuse l’obligation vaccinale covid19, je demande à Emmanuel Macron de tenir son engagement, et je participe à informer nos compatriotes de la menace d’obligation qui pèse sur nous tous collectivement.
En signant, je dis « Vive la liberté ! »


Pour signer la pétition : Pétition nationale contre l’obligation vaccinale Covid 19 – Les Patriotes (les-patriotes.fr)


Mise à jour

Un citoyen commente la pétition

Je signe car :

1) Ce n’est pas à un macron, à un Véran, à un Emmanuel Lechypre et à tous les participants du télé-achat diffusé par les chaînes de propagande aux ordres de l’État, de décider qu’est-ce que je dois m’injecter dans les veines ! Il est clair que la campagne de communication lancée aujourd’hui est une campagne de propagande de télé-achat ! Il essaye de nous vendre des casseroles médiator !

2) Ce ne sont juridiquement pas des vaccins (sinon il y a longtemps que Macron et Véran les auraient rendus obligatoires pour faire plaisir aux actionnaires des labos pharmaceutiques, dont Blackrock et Vangard). Un vaccin est un virus atténué. Or là, nous sommes en présence de produits qui sont des médicaments de matériels génétiques, d’OGM MGM (Organismes Génétiquement Modifiés) à injecter qui vont prendre le contrôle de nos cellules pour produire notamment de la protéine Spike et peut-être d’autres saloperies. Ça peut tuer ou être très toxique d’ici les 5 ans, voire même 10 ans, d’après les dernières recherches ! (leucémie, cancers, etc., souvenez vous de l’hépatite B et de Dengvaxia de Sanofi, etc.) J’attends de voir les résultats sur les injectés dans 5 ans… Ces injections sont tellement dangereuses que les labos ont décliné leur responsabilité.

3) Ce sont des essais cliniques. !!!! Véran a menti. Comment le Macron et le Véran vont-ils nous obliger juridiquement à participer à des essais cliniques d’injection de matériel génétique ? Ça ne ressemble pas aux actes d’accusation des médecins nazis de NUREMBERG, ça ?? Il y a une plainte lancée cette semaine à la cour pénale internationale contre Macron et ses sbires, suivant celles des Israéliens… certainement en prévision d’un NUREMBERG 2 dans les années qui viennent quand ils ne seront plus au pouvoir…

4) Je ne veux pas que mon patrimoine génétique et celui de ma descendance soient modifiés insidieusement par Macron, Véran, leurs sbires et Big Pharma : plusieurs études scientifiques démontrent depuis un an un risque de stérilisation et de modification de notre patrimoine génétique, donc en pleine violation de la convention d’OVIEDO ratifiée par la France…

La plupart des actes de ce gouvernement sont illégaux depuis le début de la pandémie… Que foutent les avocats ???




Incroyable : l’Europe et Biden lancent en catimini un nouveau projet contre les peuples !

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]

Retenez bien ce nom de « CCT » entre l’UE et l’Amérique de Biden ! Retour du TAFTA, censure des réseaux sociaux. L’oligarchie se dévoile ! À nous de nous battre.

Florian Philippot




Crise financière de 2008, covid-19, « great reset » et contrôle des populations : la grande manipulation

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Anne Philippe, pour FranceSoir

TRIBUNE – Après la crise financière internationale de 2008 qui a laissé les présumés coupables continuer leurs activités en toute impunité, voici le covid-19 qui précède le « Great Reset » en instrumentalisant la peur et l’appauvrissement, le tout combiné à une administration de thérapies géniques expérimentales à la population mondiale.

La crise financière internationale de 2008 et les non-dits

Une analyse est apparue en France en mars 2008 à l’occasion de différents travaux qui présageaient la crise qui allait s’abattre à l’automne de cette même année. La France a été un mini creuset de ce qui se préparait à l’échelle mondiale, ce qui a facilité les investigations. En juillet 2008, une déclaration a été adressée à Tracfin pointant trois pistes d’enquêtes à poursuivre, menant toutes aux États-Unis. Cette déclaration n’a jamais été enregistrée ni suivie d’effet. Des conflits d’intérêt et menaces indirectes sont apparus au plus haut niveau et ces pistes n’ont pas fini d’être explorées. À ce stade, il a été prouvé que les présumés coupables avaient une immunité judiciaire planétaire et pouvaient poursuivre leurs funestes projets : la théorie du « ruissellement » (les classes dirigeantes faisant ruisseler une partie des profits vers les salariés, opération bénéficiant à tout le monde) serait remplacée par la théorie de la « captation » (toutes les richesses appartenant à une minorité, le retour à une sorte d’esclavagisme de masse). Il est à noter qu’à la suite de cette crise financière internationale de 2008, les banques ont été sauvées par l’argent des contribuables sans aucune résistance ni investigation poussée de leur part, ce signal a été décisif. Les serviteurs des États ne réagissaient pas, baignés dans leurs avantages confortables, et ces États pouvaient apparaître comme « privatisables » et les peuples apparaissaient être asservis.

Le Covid-19 et le « Great Reset »/Grande Réinitialisation

La crise du covid-19 intervient à la fin d’un cycle issu de la crise de 2008. Le « quantitative easing », adopté au lendemain de cette crise de 2008 par les banques centrales, consistant à acheter des titres plus ou moins douteux des banques pour les inciter à prêter davantage sans création de valeur en face, combiné avec un déficit public abyssal, arrivait à un point que ces bulles d’endettement allaient exploser au niveau mondial. Coïncidence ou pas, on laissera le lecteur se faire sa propre opinion.

La théorie développée au forum de Davos vient compléter cette analyse, le « Great Reset », avec sa volonté de dominer, contrôler et manipuler les populations. Cette théorie, combinée avec d’autres puissantes forces mondiales, a instrumentalisé le covid en développant la peur, en propageant des thérapies géniques expérimentales, en généralisant l’appauvrissement mondialement.

Des données fausses et anxiogènes

L’OMS a confirmé que le test covid-19 est invalide et que les estimations des « cas positifs » sont sans fondement, menant à ce que le confinement n’ait aucune base scientifique (janvier 2021). En effet, les tests RT-PCR sont trop sensibles. Le nombre de cycles d’amplification devrait être inférieur à 35, de préférence 25-30 cycles. Si les cycles sont supérieurs à 35, la probabilité que le résultat soit un faux positif est de 97% (selon l’avis scientifique de Pieter Borger). Dans un article publié par le New York Times du 29 août 2020, des experts américains de l’université d’Harvard s’étonnaient déjà que les tests RT-PCR tels qu’ils sont pratiqués puissent servir de tests de contagiosité, encore plus comme preuves de progression pandémique, dans le cas de l’infection par le SRAS-CoV-2.

On peut également se demander pourquoi les gouvernements de l’Union européenne souhaitent mettre en place un passeport vaccinal qui s’oppose aux recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS, déclaration du 19 avril 2021). L’OMS rappelle que « les preuves sont limitées concernant la performance des vaccins sur la réduction de la transmission » et que « la preuve de vaccination peut favoriser une liberté de circuler différenciée ».

Des thérapies géniques expérimentales

On note une censure, sur les réseaux sociaux, de plusieurs lanceurs d’alerte qui sont ou relaient les propos de grands scientifiques indépendants tels que le Pr Montagnier (prix Nobel), Alexandra Henrion-Caude (généticienne) et Jean-Bernard Fourtillan qui ont démontré la dangerosité de ces thérapies géniques expérimentales (notamment de la protéine Spike contenue dans ces « vaccins »). On peut également rappeler quelques difficultés rencontrées suivantes :

  1. Le Moderna contient l’ingrédient listé sous sa dénomination commerciale, le SM-102, qui est un produit qui n’est pas destiné à un usage humain ou vétérinaire selon la page de description du produit ou l’on trouve cet avertissement.
  2. L’AstraZeneca et le Johnson & Johnson ont généré une multiplication de cas de thromboses ce qui a poussé certains pays européens à les exclure
  3. Le Pfizer ne serait pas non plus anodin avec des mises en garde sur la nécessité de prise simultanée de contraceptifs ou de relations protégées 

Prisonniers de dettes irremboursables — paupérisation

Suite à la pandémie de Covid-19 et aux mesures liberticides prises par les différents États, les leviers de la dette publique et privée ont été actionnés. Selon les données du FMI, l’endettement public mondial devrait atteindre 100 % du PIB mondial fin 2021. En France, le montant de la dette publique atteindra 2 675 milliards d’euros à la fin de cette année, plus que la richesse nationale. Olivier Dussopt, le ministre délégué en charge des Comptes publics a annoncé une dégradation massive du déficit budgétaire de l’État français cette année à 220 milliards d’euros, soit 47 milliards de plus que prévu. Il s’agirait d’un nouveau record depuis 1945. La hausse de la facture du « quoi qu’il en coûte » est en cause. Ces endettements publics ont, entre autres, aidé à financer également un gigantesque plan de relance de 2 200 milliards de dollars qui a été adopté fin mars 2021 par le Congrès US et le Next Generation EU, de 750 milliards d’euros, convenu à l’été 2020 pour faire face aux conséquences des restrictions liées au Covid-19. Cette frénésie de dette publique ne semble pas s’arrêter avec un budget de 6 000 milliards de dollars pour l’année fiscale 2022 proposé par Joe Biden au Congrès, soit un déficit budgétaire de 1 800 milliards de dollars en 2022.

Quant à la dette privée, la BCE, dans son dernier rapport semestriel sur la stabilité financière publié en mai 2021, met en garde les États et les banques face au risque d’insolvabilité des entreprises. Selon une récente étude d’Allianz, le nombre de défaillances d’entreprises pourrait augmenter de 32 % cette année en Europe. En effet, dans le cadre de la lutte contre le Covid-19, les gouvernements ont favorisé l’endettement des entreprises en ne distinguant pas les entreprises « zombies », qui n’auraient jamais dû être sauvées, de celles viables qu’il aurait fallu certainement mieux accompagner. Or, pour la France, les Prêts Garantis par État (PGE) sont couverts à 90 % pour les entreprises qui ont un chiffre d’affaires inférieur à 1,5 milliard d’euros et entre 70 à 80% pour les autres. Or, s’il y a défaut de paiement sur ces prêts, c’est le contribuable qui paie. La BCE s’inquiète également de la « remarquable exubérance » des marchés financiers liée aux politiques ultra-accommandantes et de la trajectoire du bitcoin (actif intrinsèquement sans valeur), objets de spéculation qui pourraient mener à la ruine des petits épargnants non avertis. Cette tendance est également observée outre-Atlantique avec une déconnexion entre Wall Street et l’économie réelle. Cet appauvrissement des peuples vise leur soumission.

Conclusion : depuis 2008, le monde est en danger face à des grands donneurs d’ordre qui sont hors de contrôle des gouvernements et qui représentent un énorme risque pour la démocratie et la liberté. En réponse, que font les « politiques » et à quand un grand réveil « citoyen » ?

Sources :

Les Echos / Essai de Jean-Marc Daniel,
Mondialisation.ca / Dr Michel Bugnon-Mordant,
Les Echos / Nouriel Roubini,
Mondialisation.ca / Philippe Huysmans,
Sputniknews / Dmitri Bassenko /
Mondialisation.ca / Michel Chossudovsky / Dr Pascal Sacré,
Les Echos / Renaud Honoré,
Les Echos / Daniel Fortin, Jean-Marc Daniel,
Les Echos / Marion Heilmann, Thibaut Madelin,
Le Figaro / AFP,
BusinessBourse, OFCE /Jérôme Creel, Christophe Blot, Xavier Ragot,
Les Echos / Guillaume de Calignon, Fabien Buzzanca,
Les Echos/ Richard Hiault 

Auteur(s): Anne Philippe, pour FranceSoir




Stanislas Berton : « Les peuples occidentaux sont soumis à la volonté des élites mondialistes »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Stanislas Berton a relevé le défi ! Entrepreneur, auteur de « la France retrouvée« , il décrypte la guerre faite par « les mondialistes » aux peuples. Analysant les ressorts de cette « sécession des élites ». dans ses différentes dimensions : culturelle, économique, sanitaire… Son essai ne se contente pas de diagnostiquer cette idéologie faussement présentée selon lui comme la seule voie, mais recense aussi de nombreuses propositions en un véritable programme politique.



Fascination des élites françaises pour de prétendus modèles étrangers, différence entre la prétention à l’universalisme et le mondialisme ; le mode de vie simple, voire frugal, qui devrait s’imposer à nous, loin des mirages du « développement durable », par la « contraction énergétique », ou pourquoi la décroissance a déjà lieu ; L’État, impuissant sur l’essentiel, qui bascule dans l’autoritarisme sur l’accessoire ; l’explosion de la dette à des niveaux inédits dans l’histoire de l’humanité ; quelques-uns des sujets au menu de ce Défi de la vérité.

Auteur(s) : FranceSoir




Vaccins et consentement « éclairé »

[Source : francesoir.fr]

En droit de la santé, le consentement libre et éclairé impose au médecin de présenter clairement au patient tous les risques d’une conduite thérapeutique. Le consentement doit être libre, c’est-à-dire en l’absence de contrainte, et éclairé, c’est-à-dire précédé par une information.

Nous venons de voir que, pour la vaccination des enfants pour le Sars-Cov-2, il faut trois consentements : les deux parents, et l’enfant qui doit s’exprimer librement. Que cache cette insistance ? C’est très simple, mais bien peu de gens sont capables de le comprendre vu le peu de culture juridique, de jugement, de bon sens et d’anticipation de l’avenir enseignés à nos concitoyens.

Le message est très clair : 

« Si demain il y a problème, c’est vous le responsable. Vous avez été informés, vous avez signé, nous n’y sommes pour rien. Vous avez pris vos responsabilités ». 

Si le consentement éclairé est sans objet quand c’est obligatoire, est-ce qu’on demande un consentement éclairé pour vous vacciner contre le tétanos ? Tout autre traitement ? Est-ce qu’on exige de signer un consentement éclairé pour toute prescription hors AMM (20% des prescriptions) ? Non.

Le consentement éclairé, s’est développé surtout dans deux domaines : les expérimentations, et la chirurgie, c’est à dire les domaines à risques avérés, non prévisibles et pouvant être graves, voire mortels. En chirurgie c’est devenu une obligation depuis 20 ans, suite à de nombreuses condamnations de praticiens, le patient (ou la famille) disant « je n’avais pas été prévenu du risque, si j’aurais su j’aurais pas venu », le praticien devant apporter la preuve du contraire. 

Notre Ministre de la Santé, dans une lettre au président du CNOM, décharge les médecins de bien informer les patients des risques de la vaccination. Je le cite : 

« La responsabilité des médecins ne pourra être engagée au motif qu’ils auraient délivré une information insuffisante aux patients sur les effets indésirables méconnus à la date de vaccination ».

Que penser de la connaissance des médecins sur le sujet, quand ils n’ont droit qu’à une seule source d’information, l’officielle, toute autre étant méchamment vilipendée ou censurée. L’information officielle ? Celle des seuls laboratoires déjà multi condamnés pour avoir caché leurs effets secondaires dans d’autres affaires. De plus, l’information est édulcorée par les autorités. Un exemple : l’ARN messager reste dans le muscle deltoïde, dixit l’Inserm et les autorités. Qu’ont écrit Pfizer et Moderna dans leurs études que les autorités ont occultés ? 

« Nous avons retrouvé nos billes dans tous les organes, y compris reproducteurs ». 

Alors, bien « éclairé » le consentement ? Quand un vaccinateur dit aux patients que les vaccins sont sans risques, fabriqués comme les autres à partir de virus atténués, le responsable qui doit éclairer les autres est-il lui-même bien éclairé ?

Notre Ministre, le même, vient de menacer les soignants dans les ehpads de rendre leur vaccination obligatoire s’ils ne se vaccinaient pas plus. Dans le « consentement éclairé », il y a le mot « consentement ». Qu’est-ce qu’un consentement sous la menace, sous un chantage ? Est-ce un consentement ? De plus quelle justification scientifique et médicale à ce chantage quand 90% des pensionnaires sont vaccinés, donc protégés ? (Rappelons que le vaccin est efficace à 98%…  )

Sommes-nous dans l’esprit du code de Nuremberg ? Il précise dans son premier article que : 

« Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ».

Toujours dans sa lettre évoquée plus haut, le Ministre parle de l’indemnisation des victimes du vaccin anti-covid. Habituellement, c’est le laboratoire qui est responsable des conséquences de ce qu’il commercialise, il fait donc attention avant de lancer son produit sur le marché. Ici, l’État a passé contrat avec les laboratoires, en « prenant à sa charge » la responsabilité et l’indemnisation des éventuelles conséquences. Les laboratoires ont donc moins de précautions à respecter, leur portefeuille n’en souffrira pas en cas d’insuffisances. Ils ont déjà été condamnés à des milliards d’euros d’amendes ces dernières années, pour avoir caché des informations et des défauts, ce qui n’empêche pas nos autorités, non seulement de leur faire confiance les yeux fermés, mais en plus de les décharger de leurs responsabilités.

On se décharge donc du pénal avec le consentement éclairé, mais pour l’indemnisation, qui prend en charge et comment, si ce n’est pas les laboratoires ? Est-ce l’État ? Comme l’écrit le Ministre, c’est l’ONIAM, Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux, des Affections Iatrogènes et des Infections Nosocomiales. C’est un établissement public créé par la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, qui a pour mission d’organiser le dispositif d’indemnisation « amiable, rapide et gratuit » (selon le site) des victimes d’accidents médicaux.

Les victimes de la campagne de vaccination du H1N1, ont pu toucher du doigt les qualités de cet organisme. En effet, ce vaccin a été à l’origine de plus de 2 000 narcolepsies en Europe. 12 ans après, une bonne partie des victimes, porteur d’une maladie invalidante et incurable, sont toujours au tribunal pour obtenir gain de cause, et ceux qui ont été indemnisés l’ont été à des tarifs dérisoires comparés aux indemnités habituellement attribués par les tribunaux.

Cerise sur le gâteau, savez-vous qui finance cet ONIAM ? Le financement de l’organisme est assuré par les cotisations sociales, c’est à dire par les victimes. C’est beau non ? L’État s’arrange avec les labos pour faire supporter leur responsabilité par les victimes potentielles. Dans cette affaire, ni les labos, ni l’État ne prennent aucune responsabilité. Coupables, mais pas responsables.

Article paru initialement sur le blog du Dr Maudrux et repris avec son aimable autorisation.

Auteur(s): Gérard Maudrux, pour FranceSoir


À propos de l’auteur

1975 : Interne des hôpitaux de Grenoble

1980 : Assistant Chef de clinique service d’urologie – transplantations

1981 : Thèse sur la chirurgie abdominale du vieillard

1983 : Installation en libéral à Grenoble comme chirurgien urologue.

1991 : Crée Action Santé pour s’opposer à la politique Evin et met en novembre 300 000 professionnels de santé dans la rue

1995 : Crée le Syndicat Unifié des Chirurgiens de France en réunissant 10 syndicats de spécialités chirurgicales. Devenu l’UCDF puis UCF, puis Le Bloc.

1997 : Élu président de la Caisse de Retraite des Médecins de France, sans étiquette, contre l’ensemble des syndicats. Réélu tous les 3 ans jusqu’en 2016. Président honoraire.

2000 : Livre : “Retraites : le mensonge permanent”. Édition Les Belles Lettres. Prix Turgot 2001 délivré par l’Association des Élèves et Anciens Élèves de l’Institut des Hautes Études Financières. Prix Renaissance 2005.

2006 : Élu président de la Caisse Maladie des Professions Libérale de Province, plus grosse des 30 caisses du RSI. Démissionne après 18 mois, critiquant le manque d’autonomie des caisses face à la tutelle, prévoyant l’issue fatale de ce régime. Président honoraire.

2009 : Troque le bistouri pour les métiers de maçon, tailleur de pierre, menuisier, charpentier, plombier, électricien, peintre, ferronnier, fabricant de roue à aube (5 m), pour retaper seul pendant 4 ans un moulin du 12e siècle.




L’effondrement démographique qui vient, la crise sociétale qui est déjà là

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s) : Christophe Lemardelé, pour FranceSoir

TRIBUNE – Les collapsologues envisagent de nombreux scénarios d’effondrement planétaire, en particulier ceux résultant du réchauffement climatique et de l’épuisement des ressources causé par une humanité trop nombreuse et insouciante. Ils ignorent le plus souvent un scénario bien plus plausible qui rendra nul à terme un certain nombre de leurs hypothèses les plus pessimistes. Car la population ne va pas exploser – c’est déjà fait ! –, elle va imploser.

On se targue de science aujourd’hui tout en délaissant la démographie. Un ancien président comme Nicolas Sarkozy pense pouvoir parler démographie sans en connaître les données et, surtout, un outil conceptuel central : la transition démographique. Pendant des siècles et même des millénaires, la population mondiale a peu augmenté, la mortalité, notamment infantile, était trop élevée. L’explosion démographique a commencé en Europe au XIXe siècle non parce que la natalité aurait augmenté, mais parce que la mortalité, notamment infantile, a baissé. Il en a été de même ensuite en Asie, en Amérique et, finalement, en Afrique. 

Passant de 1 milliard d’habitants en 1800 à 9 ou 10 milliards vers 2050 – plus de 7 milliards aujourd’hui –, la population mondiale aura explosé à cause du développement économique, sanitaire et éducationnel touchant peu ou prou les diverses régions du monde, même les plus périphériques. L’explosion démographique ne s’explique que par un décalage dans le temps entre la baisse de la mortalité et la baisse de la natalité. Dans une société où la vie est fragile, les gens ont beaucoup d’enfants afin d’assurer en moyenne la survie à vingt ans de deux enfants sur quatre. Quand la mortalité infantile baisse, il leur faut un certain temps avant de réaliser qu’il n’est plus utile d’assurer l’avenir en ayant une progéniture fournie de l’ordre de 7 à 8 enfants par couple. De meilleures conditions de vie et l’accès à l’éducation conduit alors les couples à maîtriser les naissances par une contraception au départ naturelle et rudimentaire.

La France fut le premier pays au monde à limiter ainsi les naissances peu avant la révolution française. D’avoir été le premier pays à entrer dans la transition démographique fit que ce pays fut toujours en léger décalage avec ses voisins : moins nataliste qu’eux un siècle plus tard, moins dénataliste qu’eux deux siècles plus tard… Mais cette exception française semble relever du passé car l’indice de fécondité est désormais inférieur à 2,1 enfants par femme, en dessous donc du seuil de renouvellement naturel d’une population. Avec 1,8 enfants par femme, la France n’est donc pas plus nataliste que le reste de l’Europe (moyenne de 1,6 enfants par femme) mais moins dénataliste… 

Au niveau mondial, l’indice de fécondité est de 2,4 enfants par femme (chiffre de l’Institut National des Études Démographiques en 2019). Dès lors, l’augmentation encore forte de la population mondiale ne s’explique pas par la forte natalité mais par la progression de l’espérance de vie dans presque tous les pays du monde : les enfants survivent mieux, les jeunes aussi, et de plus en plus d’adultes parviennent à un âge avancé. Quand on observe cet indice au niveau continental et à l’échelle sous-continentale, on en déduit que la natalité est en berne presque partout à l’exception de l’Afrique subsaharienne qui n’est entrée dans la troisième phase de la transition démographique – baisse de la natalité – que récemment. En Amérique du Nord et du Sud, l’indice de fécondité est bas : 1,7 au Brésil. En Extrême-Orient, la situation est même catastrophique : 1,1 en Corée du Sud. L’Europe, première région du monde à avoir explosé démographiquement et donc à migrer en masse en Amérique du Nord, est un sous-continent dénataliste au nord comme au sud, à l’est comme à l’ouest. 

Le concept de transition démographique comporte deux étapes intermédiaires permettant de passer d’un régime démographique ancien à un régime démographique moderne, ce qui nous fait la présenter en 4 temps forts : 1) natalité élevée/mortalité élevée ; 2) natalité élevée/baisse de la mortalité ; 3) mortalité faible/baisse de la natalité ; 4) mortalité faible/natalité faible.  

 Mais il nous faut ajouter un temps 5 : mortalité très faible/natalité insuffisante. Alors que l’on pensait que l’adoption d’un régime démographique moderne permettrait de retrouver un équilibre, une stabilité, il n’en est rien. Comme l’écrivent Darrel Bricker et John Ibbitson : « Aujourd’hui, la population est déjà en diminution dans plus d’une vingtaine de pays. En 2050, une trentaine de nations seront concernées. Certaines des plus riches voient leurs effectifs baisser chaque année : le Japon, la Corée, l’Espagne, l’Italie, une grande partie de l’Europe de l’Est » (Planète vide. Le choc de la décroissance démographique mondiale, éd. Les Arènes, 2020, p. 11). 

Il semble donc qu’inconsciemment et pour des raisons diverses difficiles à identifier précisément, le développement des sociétés, plus urbaines que rurales, conduit les couples à limiter drastiquement les naissances, voire à ne plus envisager de descendance. Les malthusiens de tous ordres devraient donc être rassurés car le pire scénario pour eux est désormais un pur fantasme qui n’a eu de réalité que dans les deux derniers siècles. Envisager une dépopulation à terme et au cours de notre présent siècle induit de nombreuses interrogations. D’abord à long terme et d’un point de vue anthropologique (philosophique, si l’on veut) : comment et pourquoi une espèce peut prendre le risque de ne plus se perpétuer ? Une espèce comme un individu se devant naturellement, selon les termes de Spinoza, de persévérer dans son être… Ensuite à court terme et d’un point de vue sociologique (sociétal même) : comment une société ne se régénérant plus peut-elle envisager son avenir et affronter sereinement les crises ? 

Dans un régime démographique ancien, les enfants sont les individus les plus fragiles. Dans un régime démographique « postmoderne », dans lequel la part des personnes âgées l’emporte sur celle des plus jeunes, les progrès en espérance de vie étant privilégiés par rapport à un regain de natalité, les gens très âgés deviennent de fait les plus fragiles. Il n’est plus besoin de lutter contre la mortalité infantile mais de repousser le plus loin possible la fin de vie… Mais comme on ne vit pas éternellement, la mortalité finit quand même par peser, les progrès de l’espérance de vie ayant différé le départ des anciens. Dès lors, le « temps 5 » doit être affiné car le vieillissement d’une population finit par entraîner une augmentation de la mortalité.

Dans un article de 2016, dans la revue de l’INED Population & Sociétés, les démographes Gilles Pison et Laurent Toulemon écrivaient : « Même dans un scénario improbable où des innovations majeures en matière de lutte contre le vieillissement biologique permettraient à l’espérance de vie de faire un bond rapide de 10 à 20 ans, on n’échapperait pas à une forte hausse du nombre de décès quand viendrait le moment de la mort pour les baby-boomers, leurs propres décès n’étant alors retardé que d’une à deux décennies ». Or, il a suffi qu’un coronavirus plus virulent que d’autres survienne pour que dans les pays vieillissants de l’Occident les services hospitaliers soient débordés – gouverner un pays vieillissant sans renforcer l’hôpital public est une faute politique ! Gouverner c’est prévoir… – et pour que l’on sacralise la vie au point de considérer qu’une vie est une vie quel que soit l’âge. 

Dans une conférence de 2014 sur le vieillissement, le démographe Emmanuel Todd avait conclu ainsi : « Ce qui rend une espèce animale compétitive dans l’histoire de la biologie de la planète, c’est qu’elle s’occupe de ses enfants, et pas de ses parents. Les sociétés occidentales sont en ce moment à l’heure du choix : est-ce qu’on s’occupe des jeunes ou est-ce qu’on s’occupe des vieux ? ». Il semble bien que le choix ait été fait et c’est un choix intenable car la gestion néolibérale de l’hôpital a conduit et conduit encore à supprimer des lits, ce qui entraîne des mesures de confinement coûteuses économiquement – faillites, chômage, précarité des jeunes, suicides, endettement des particuliers et de l’État, etc. – en cas de pandémie. Choix irraisonné pouvant s’avérer même funeste quand on considère que pour maintenir une société ouverte il faille en passer par la vaccination des plus jeunes sans garantie sur des effets secondaires à long terme. Pour sauver ce qui reste d’un présent qui nous fait voir une forme de déclin, on semble prêt à compromettre un avenir…

Article original publié sur le blog Ethique… et toc ! et écrit par Christophe Lemardelé, enseignant, licencié d’histoire, docteur en sciences religieuses, auteur de nombreux articles scientifiques en histoire des religions et en anthropologie sociale.

Auteur(s): Christophe Lemardelé, pour FranceSoir




Origine du virus : FAUCI passe aux aveux et ça éclabousse tout le monde !

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]




Macron impose le pass sanitaire aux discothèques dans un grand flash totalitaire

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

L’accès aux discothèques sera donc subordonné, cet été, à la présentation d’un pass sanitaire, ce qui est probablement contraire à la loi de gestion de sortie de crise et relève donc du flash totalitaire. Cette décision est absurde, puisque la majorité de la clientèle des discothèques est composée de jeunes qui n’ont aucun intérêt à bénéficier d’une vaccination dont les bienfaits collectifs sont encore discutables. Cette annonce à quelques jours de l’échéance risque de faire monter en température une jeunesse qui commence à contester l’ordre ambiant.

Les ministres de la Culture et de PME ont annoncé hier que l’accès aux discothèques qui pourront rouvrir le 9 juillet sera subordonné à la présentation d’un pass sanitaire. Cette décision semble avoir été prise en parfait accord avec les représentants de la profession, en l’espèce l’UMIH. Mais il n’est pas sûr qu’elle satisfasse complètement les jeunes qui fréquentent ces établissements. 

Le pass sanitaire pour les discothèques est-il légal ?

Les amateurs de droit auront évidemment la tentation de contester la décision ministérielle prise s’agissant des discothèques, qui n’avait jamais été évoquée jusqu’ici. Rappelons que la loi limite l’usage de ce pass, puisqu’elle permet seulement de :

Subordonner l’accès des personnes à certains lieux, établissements ou événements impliquant de grands rassemblements de personnes pour des activités de loisirs ou des foires ou salons professionnels à la présentation soit du résultat d’un examen de dépistage virologique ne concluant pas à une contamination par la covid-19, soit d’un justificatif de statut vaccinal concernant la covid-19, soit d’un certificat de rétablissement à la suite d’une contamination par la covid-19. Cette réglementation est appliquée en prenant en compte une densité adaptée aux caractéristiques des lieux, établissements ou événements concernés, y compris à l’extérieur, pour permettre de garantir la mise en œuvre de mesures de nature à prévenir les risques de propagation du virus.

Autrement dit, l’introduction du pass sanitaire s’apprécie au vu de la caractéristique des lieux et des établissements. Peut-on, dans ce cas, imposer des règles générales ? Nous avons un sérieux doute, et quelques référés liberté pourraient bien avoir raison de la décision. 

Nous pensons en tout cas que cette décision au forceps ne correspond pas absolument à l’esprit dans lequel les parlementaires ont voté le texte, et relève purement et simplement de l’un de ces flash totalitaires où le pouvoir viole la loi. 

Vers des fêtes hors les murs ?

Les jeunes obéiront-ils tous docilement à cette décision ? ou bien l’obligation de présenter un pass sanitaire conduira-t-elle au boycott des établissements qui le demandent et à la mise en place de fêtes sauvages ?

Les Parisiens ont eu un premier aperçu de phénomène de « compensation » que les restrictions imposées à une jeunesse qui a subi le COVID sans en être malade, peuvent produire. Ainsi, après l’indigne dispersion de la Fête de la Musique place de la République à coups de gaz lacrymogènes, la Fête a repris sauvagement sur les quais de Seine, dans des conditions de sécurité très douteuses :

Mais laissez-les faire la fête !

On notera que, fait du hasard ? Après avoir massivement déserté les urnes, les jeunes se sont massé le lendemain du scrutin dans les rues pour faire la fête. Mal inspirées, le Préfet de police a parfois ordonné de violentes dispersions des rassemblements. Mais pas qu’à Paris

Ci-dessus, vous pouvez voir l’évacuation de la place de la République. Mais place de l’Hôtel de Ville, l’ambiance était aussi tendue :

Et que dire de ces scènes d’émeute à Annecy ?

Est-ce bien raisonnable de traiter ainsi les forces vives d’un pays, après un an de confinement ? Il faut parfois savoir jusqu’où ne pas trop tirer sur la corde. 




Israël : fin de l’obligation du port du masque dans les lieux publics fermés

[Source : BFMTV via yahoo.com]

[Illustration : Des touristes vaccinés arrivent à l’aéroport de Tel-Aviv, le 23 mai 2021 en Israël – JACK GUEZ © 2019 AFP]

À partir de mardi, l’obligation de porter un masque dans les lieux publics fermés va être levée en Israël.

Israël a annoncé lundi soir la fin imminente de l’obligation de porter un masque dans les lieux publics fermés, une des dernières mesures en vigueur dans l’Etat hébreu dans le cadre de la lutte contre la pandémie de Covid-19.

« L’obligation de porter un masque est annulée à partir du mardi 15 juin », a annoncé le ministère de la Santé dans un communiqué.

Israël a assoupli début juin les restrictions sanitaires pour ses habitants mais maintient encore des mesures drastiques pour les visiteurs arrivant de l’étranger.

Les restrictions déjà assouplies dans le pays

L’Etat hébreu reste fermé aux non-ressortissants, à l’exception de ceux disposant de dérogations pour motif professionnel ou familial impérieux. 

Une quatorzaine, qui peut toutefois prendre fin dès le résultat d’un test sérologique prouvant vaccination ou immunité suffisante, est imposée à tout voyageur arrivant dans le pays.

Israël a lancé fin décembre une vaste campagne de vaccination à la faveur d’un accord avec le géant pharmaceutique Pfizer qui lui a livré des millions de doses en échange de données sur les effets de la vaccination dans ce pays qui dispose de banques de données médicales numérisées sur sa population.

55% de la population complètement vaccinée

Plus de cinq des 9,3 millions d’Israéliens (55% de la population) ont reçu les deux doses du vaccin.

Plus de 839.000 personnes ont été contaminées en Israël depuis le début de la pandémie, dont seulement trois ces dernières 24h, et 6.428 sont décédées, selon les chiffres du ministère de la Santé. Actuellement, 205 Israéliens sont malades dont 53 sont hospitalisés.




Des sénateurs veulent utiliser le COVID pour nous surveiller massivement

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Des sénateurs de la « délégation à la prospective » ont publié un rapport glaçant intitulé « CRISES SANITAIRES ET OUTILS NUMÉRIQUES : RÉPONDRE AVEC EFFICACITÉ POUR RETROUVER NOS LIBERTÉS ». Ce rapport vaut vraiment le détour, puisqu’il est probablement le premier document officiel proposant d’adopter en France de façon explicite les mesures liberticides pratiquées en Chine en matière de surveillance de masse et largement développées et revendiquées dans le Great Reset de Klaus Schwbab et du Forum de Davos. Je vous livre ici un panorama complet sur une ténébreuse affaire qui témoigne d’une banalisation croissante du capitalisme de surveillance dans les démocraties libérales.

https://youtu.be/q9spfCZv2Ow

Quand ce sont des sénateurs qui demandent une surveillance massive de la population au nom de la « protection » de la population, de la santé, et des libertés, on se dit collectivement que notre société est fondamentalement fourvoyée sur de mauvais rails. Plus que jamais, nos libertés sont battues par les flots. 

Pour la petite histoire, les rédacteurs du rapport sont deux médecins, l’une radicale de gauche, Véronique Guillotin, l’autre républicain, René-Paul Savary, et une jeune ingénieure républicaine, Christine Lavarde, dont il sera intéressant d’approfondir les CV. 

Voici le texte qu’ils ont pondu :

On y relèvera quelques passages particulièrement savoureux comme celui-ci :

Le présent rapport propose donc de recourir bien plus fortement aux outils numériques dans le cadre de la gestion des crises sanitaires ou des crises comparables (catastrophe naturelle, industrielle etc.), notamment en vue de contrôler au niveau individuel le respect des mesures imposées par la situation, et y compris si cela implique d’exploiter des données de manière intrusive et dérogatoire.

Contrôler de manière numérique le respect des règles, y compris en agissant « de manière intrusive et dérogatoire ». Que ces mots doivent sonner doux aux oreilles de tous les dictateurs en ce bas monde. 

Pour ceux qui n’en croiraient pas leurs oreilles, nous leur conseillons de lire attentivement les propos tenus  par l’une des personnes auditionnées, Séverine Arsène, sur tous ces sujets. Séverine Arsène est une sinologue de Sciences-Po, enseignante à l’université chinoise de Hong-Kong, qui a parfaitement accompli le fantasme d’un grand remplacement de la conscience morale par l’expertise technique. Un cerveau d’avenir dans le système totalitaire dont elle doit rêver chaque nuit. 

[Voir aussi : Covid et dictature : l’incroyable rapport de trois illuminés du sénat français !]




France : pourquoi le général Lecointre quitte le commandement des armées

[Source : RFI via yahoo.com]

En fonction depuis quatre ans, le chef d’état-major des armées, le général François Lecointre, va quitter ses fonctions et être remplacé par l’actuel chef d’état-major de l’armée de Terre, le général Thierry Burkhard, a annoncé dimanche l’Élysée. Une décision dont Emmanuel Macron se serait bien passé à moins d’un an de l’élection présidentielle.

Le chef d’état-major des armées, le général François Lecointre en poste depuis quatre ans, a annoncé ce dimanche matin 13 juin dans l’émission le grand Jury sur RTL qu’il quittait ses fonctions. Il ne souhaitait pas une « politisation de la fonction de chef d’état-major des armées ». Il ne voulait pas partir « à l’issue du mandat » du président Emmanuel Macron, afin de ne pas etre « associé à un politique », a-t-il précisé.

Toujours est-il qu’à quelques mois de la présidentielle, Emmanuel Macron se serait bien passé du départ du général Lecointre. Les deux hommes entretenaient une relation de confiance. C’était sans compter la détermination du chef d’état-major à quitter son poste. Après trente sept ans sous les drapeaux dont quatre années passées au sommet de l’armée française, François Lecointre a laissé entendre qu’il était éprouvé par ses responsabilités.

Dernier assaut à la baïonnette

Issu des troupes de Marine, le général Lecointre est entré dans l’histoire militaire en commandant le dernier assaut à la baïonnette, lors de la prise du pont de Verbania en Bosnie en 1995. À la tête des armées, il a mis en œuvre l’ambitieuse loi de programmation militaire du 14 juillet 2018 et supervisé la complexe opération Barkhane.

Ces dernières semaines encore, il a dû donner de la voix et prononcer « la mise à la retraite d’office » des officiers auteurs d’une tribune polémique.

(…) le général Lecointre veut désormais prendre du champ.




G7 : photo de famille avec distanciation pas que sociale

Par Jean-Michel Grau

À l’heure où le chef de la Maison-Blanche, à l’occasion du G7 réuni en Cornouailles, a pour mission d’unir le camp occidental face à la Chine sur le commerce et les nouvelles technologies, il va d’abord devoir recoller les morceaux de ce même camp sorti groggy de l’épreuve du Covid.

En témoigne la menace du Premier ministre britannique de déclencher l’article 16 qui l’autorise à piétiner le protocole nord-irlandais conclu avec l’UE en cas de « graves difficultés économiques, sociales ou environnementales », face aux remontrances de l’UE qui l’accuse de ne pas tenir parole sur ses engagements post Brexit en Irlande du Nord. Le ton est donné.

Alors que la chancelière allemande « préconise de trouver une solution pragmatique aux dispositions du traité » post Brexit sur l’Irlande du Nord, le chef de l’État français se contente de sourire quand on lui parle de possible guerre commerciale en cas de déclenchement de l’article 16. Ambiance…

Notons au passage que ce G7 a pour mission de lancer un vaste plan mondial d’infrastructures pour les pays pauvres et émergents, baptisé « reconstruire le monde en mieux. » Klaus Schwab devrait applaudir des deux mains à cette initiative de la Maison-Blanche qui vise à aider uniquement ces pays à se relever de la crise du Covid, au détriment de toute la classe moyenne occidentale ruinée par la même occasion, et qui ne figure pas au programme, bien évidemment.

Intéressons-nous maintenant à cette photo de famille du G7.

Le moins qu’on puisse dire est qu’elle n’inspire pas la franche rigolade, mais plutôt les prémices d’une cérémonie funèbre qui devrait bientôt avoir lieu.

Comme d’habitude, la position des dirigeants respectant la distanciation sociale du 1 mètre les rend aussi artificiels que ridicules, mais là n’est pas le propos.

Observons plutôt leur attitude un à un, en commençant par la puissance invitante placée au centre.

Parler de puissance n’est en effet pas superflu, tant Boris Johnson a l’air d’un gros éléphanteau mal dégrossi, évoquant plus un chef de rayon de quincaillerie qu’un vrai chef d’État. Son pantalon qui gondole n’arrange rien, pas plus que son air ahuri habituel, de celui qu’on vient de prendre au saut du lit. Il est le seul à avoir les mains dans le dos, qui traduisent manifestement un désœuvrement, en d’autres termes, une distanciation qui n’est pas que sociale vis-à-vis de ses alter ego, Brexit oblige.

Passons à celui qui se tient directement à sa droite, Joe Biden, avec cet innénarable sourire crispé et niais qu’il affiche en permanence. Quand on observe attentivement le bonhomme, on ne peut être que frappé par l’absence de toute expression humaine dans son visage figé comme son corps, et on en vient à se demander inexorablement combien de pièces de Playmobil coexistent en lui. Président « augmenté » selon Schwab ou bien diminué selon Alzheimer, chacun jugera… sur pièces.

À la gauche du chef d’État britannique se tient l’improbable président français. De lui, on a tout dit.

Plus souvent le pire que le meilleur, qu’on cherche encore. Sur cette photo, il est égal à lui-même, droit comme un i, en bon petit soldat qu’il est du Forum de Davos. Son maître à penser n’est pas là, mais on peut être sûr qu’il y pense très fort. Il sait qu’il lui est redevable et qu’en tant que pièce maîtresse de l’échiquier davosien, il se doit de ne pas décevoir son maître sous peine de perdre le grand poste européen qu’on lui a promis dès qu’il aura achevé son programme de destruction de l’économie française.

À côté de Macron se tient l’inoxydable chancelière allemande dans sa pose favorite des mains jointes en triangle que celle-ci a expliqué un jour en affirmant qu’elle ne sait pas quoi faire de ses bras quand elle pose… Comprenne qui pourra, libre à chacun d’interpréter ce geste.

Comme à son habitude, elle est la seule à arborer une veste de couleur criarde dans un univers gris essentiellement masculin. On notera par ailleurs qu’elle est reléguée en bout de rang. Symbole de sa disparition prochaine de la scène politique ?

Derrière Angela Merkel se tient la transparente présidente de la Commission européenne. Sa veste claire se confond avec la couleur du ciel, à l’image de cette femme qui ne laissera pas derrière elle un souvenir inoubliable à son poste. La position de ses mains tente de se rapprocher de celles de sa compatriote, version molle, les mains pendantes. Elle est là juste pour la galerie car sa postion dans l’échiquier politique ne la met pas à égalité avec un chef d’État, l’UE n’en étant pas un, même si elle a la prétention de régenter 27 pays. C’est toute la différence avec l’URSS à laquelle l’UE s’acharne de ressembler avec un certain succès et qui va la conduire au même funeste destin très bientôt pour des raisons assez semblables. Un paléontologue en parlerait mieux que moi.

À la droite d’Ursula Von der Leyen se tient le Premier ministre italien Mario Draghi. On devrait plutôt dire le premier financier italien, tant ce premier sinistre évoque plus les compromissions financières avec la BCE que la politique stricto sensu. On le sent raide et crispé. Il y a de quoi, l’Italie étant dans le collimateur de la Cour allemande de Karlsruhe, pour le déficit vertigineux de 160 % de son PIB. L’Allemagne a encore rappelé récemment, via son ancien ministre des finances, Wolfgang Schäuble, qu’il était encore une fois hors de question de mutualiser les dettes, ceci étant contraire aux traités. Il y a de la bière dans le Chianti entre l’Allemagne et l’Italie. On peut comprendre que Mario Draghi n’ait pas envie de porter le chapeau le jour plus vraiment lointain où l’Allemagne reprendra son sacro-saint Deutsch Mark, prélude à l’effondrement programmé de l’UE.

Passons rapidement au suivant, le Premier ministre japonais. On serait tenté de se demander ce qu’il fait là. C’est du moins l’attitude qu’il laisse supposer. Il n’est dans sa fonction que depuis 9 mois et ça se sent. Précisons juste qu’il s’appelle Yoshihide Suga et qu’il n’a pas démérité de poser au sein de cette galerie de musée Grévin occidental.

À sa droite, se tient raide comme un piquet dans son pantalon trop court, le président du Conseil européen, plus transparent que transparent, à tel point qu’il semble se cacher derrière le président américain. Mais malgré sa relégation à l’arrière de la photo, il le dépasse encore d’une tête et montre à la face du monde son air vide et benêt. Cet eurocrate est tellement insignifiant qu’il n’apparaît même pas quand on tape Charles sur Google, contrairement à De Gaulle, Bronson, Aznavour et sept autres célébrités.

Devant lui se tient la grande erreur de casting de cette assemblée : Justin Trudeau, le Premier ministre canadien. Erreur de casting, car on a vraiment l’impression qu’il s’est trompé de film. Sa barbiche de conquistador, sa tignasse rebelle, sa posture tendue les jambes écartées, les mains devant, prêtes à dégainer, évoquent plus un western spaghetti qu’une réunion au sommet des grands dirigeants de ce monde. Il me fait penser à Johnson, l’un des deux héros du film Helzappopin qui demande au projectionniste de rembobiner et où tout le film repart en arrière…

Si seulement ce G7 était comme ce film pour changer ce casting déplorable de dirigeants qui ne dirigent plus rien, si ce n’est comme des GPS du monde de Davos…




Covid et dictature : l’incroyable rapport de trois illuminés du sénat français !

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]

[Illustration :  Le sénat français et ses trois auteurs du pire texte liberticide jamais écrit :
Véronique Guillotin (Radicale),
René-Paul Savary (LR),
Christine Lavarde (LR)]


[Ndlr : Il s’agirait d’un texte élaboré par des sénateurs membres de la délégation sénatoriale à la prospective, « chargée de réfléchir aux transformations de la société et de l’économie en vue d’informer le Sénat« . Ses travaux n’ont pas de valeur législative et le rapport en question ne serait donc pas un projet de loi qui aurait été adopté. (Voir ici). Cependant, qu’est-ce qui empêcherait un gouvernement de s’en inspirer pour établir ensuite de nouvelles lois ?]






Est-ce-que ce monde est sérieux ?

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : Prêt pour le saut dans le vide – Les photovores]

Auteur(s): Michel Rosenzweig pour FranceSoir

Quand tu te fais remonter les bretelles au Carrefour de ton quartier par un garde qui vient te chercher jusqu’à la caisse où tu as déjà commencé à déposer tes achats en t’apostrophant avec une remarque désobligeante et stupide parce que tu n’as pas ton nez correctement recouvert du niqab naso-buccal réglementaire alors que tous les indicateurs épidémiologiques rasent le plancher viral, ta colère éclate publiquement, car trop c’est trop, vraiment, la compliance a ses limites.

Je ne serai résolument et définitivement jamais adapté à cette société hygiéniste profondément malade dans laquelle nous ont projetés une clique de sociopathes bouffés par leur névrose thanatophobique et soumis à un Ordre économique et socio politique élitaire mondialiste et matérialiste sans conscience et sans âme.

Ce port obligatoire du masque est le symbole absolu de cette mascarade sanitaire de laquelle nous ne sortirons pas avant qu’un événement significatif ne fasse trembler ce régime autoritaire et totalitaire qui s’est imposé en un tournemain avec l’approbation et l’assentiment général et malheureusement dans une indifférence massive hallucinante et désespérante pour les êtres encore dotés d’un certain niveau de conscience.

Je sais qu’il se trouve des personnes qui refusent de reconnaître le caractère totalitaire de ce régime au motif qu’il ne remplit pas toutes les cases sociopolitiques classiques décrites par les grands théoriciens du totalitarisme.

Cela reste un débat auquel je demeure ouvert.

Néanmoins, je considère que lorsque nous n’avons plus la liberté de disposer de notre corps ni de notre vie comme nous en avons envie de le faire et en principe aussi le droit de le faire et que l’État s’approprie le droit de décider pour nous comment nous devons nous comporter en sortant de chez nous pour exercer notre liberté et nos droits fondamentaux, c’est que ce régime est devenu totalitaire, puisqu’il décide, contrôle et surveille nos déplacements, nos activités en fonction de mesures sanitaires décidées sans aucune concertation démocratique.

Le totalitarisme globalitaire (globalitarisme) est ce régime de gouvernance par lequel tous les aspects et les domaines de notre vie privée sont investis. Il est totalitaire parce que totalisant, englobant la vie des individus sans que ces derniers n’aient eu le droit ni l’occasion d’en débattre.

Le totalitarisme ne s’exerce pas seulement dans la sphère politique, mais dans les sphères privée et intime, englobant toute la société et tout le territoire, en imposant à tous les citoyens l’adhésion à une idéologie obligatoire (la santé selon le dogme viral et vaccinal), hors de laquelle ils sont considérés comme ennemis de la communauté.

Nous y sommes.

Les caractéristiques habituellement retenues pour définir le totalitarisme sont : d’une part, un monopole idéologique (le logiciel épidémiologique qui est un dogme auquel il faut souscrire), une conception d’une vérité indiscutable (virale, vaccinale, gravité de la pandémie) qui ne supporte aucun doute, ne tolère aucune critique, est imposée à tous et se trouve consolidée par la lutte contre les ennemis du régime (sanitaire) qui sont discrédités et disqualifiés, et d’autre part un pouvoir qui dispose de l’ensemble des moyens de communication de masse utilisés comme des instruments de propagande (formatage et fabrique de l’opinion et du consentement) ainsi que du pouvoir de coercition judiciaire, administratif et policier.
À ce titre, je considère que nous sommes dans les prolégomènes et l’antichambre d’un nouveau totalitarisme qui a déjà installé ses fondements et ses fondations au nom de la santé et d’un hygiénisme forcené que je qualifie de thanatophobique.

Il ne reste plus alors qu’à bâtir l’édifice dont les plans sont déjà établis et dessinés à Davos et dans d’autres instances internationales multilatérales depuis longtemps par une élite qui considère que la démocratie est trop lente et trop lourde, qu’elle est dépassée dans un monde interconnecté en réseaux où la vitesse et le changement sont érigés en fétiches et qu’elle est le produit des inutiles, des incultes, des profanes, des abrutis et des sans dents.

Le nouveau totalitarisme sanitaire numérique s’oppose aux anciens dans sa structure, dans son esthétique, dans ses rituels, dans sa phénoménologie, sa visibilité.

Les anciens (fascismes, nazisme, communisme) étaient incarnés par une figure humaine, un visage, des grimaces, des postures, une personnalité, une tête, visibles et identifiables, des habits, des costumes et des coutumes, des rites de passage, des mimiques, des pratiques et des traditions violentes, tandis que le nouveau est peu visible, confus, opaque, sans tête unique emblématique, multiforme, réticulaire, feutré, souriant, anonyme, insaisissable, affable, ce qui explique pourquoi il est si difficile de le reconnaître et de l’identifier.

L’erreur est, me semble-t-il, de penser le totalitarisme contemporain à l’aune de l’histoire révolue du 20e siècle. La fabrique du consentement autour d’un ennemi faussement désigné comme le fascisme (le “populisme” souverainiste, patriotique) relève d’une imposture historique (le fascisme étant historiquement mort à Berlin en 1945) dont le nouveau totalitarisme se nourrit afin d’avancer masqué au propre comme au figuré au nom de la santé érigée en valeur suprême alors que celle-ci n’est qu’un bien au même titre que la richesse ou la beauté : on n’admire pas, en principe, quelqu’un parce qu’il est en bonne santé.
La manoeuvre totalitaire contemporaine est en outre très perverse, car le rapport à la loi est tordu, celle-ci étant contournée, ignorée, violée.

L’État n’a pas la prérogative de se mêler de la santé individuelle de ses administrés, je l’ai déjà écrit et je l’écris à nouveau aujourd’hui, il s’agit d’un grave abus de pouvoir, l’État (de droit) a le devoir de s’occuper de la santé collective, de gérer les risques, de les prévenir, de soigner, mais la santé publique ne peut se confondre avec la santé individuelle et ce n’est pas à l’État de nous dire comment nous devons vivre et nous soigner, qui nous pouvons fréquenter, où nous pouvons aller ni comment nous devons nous vêtir pour faire nos courses. La santé est un bien individuel, personnel, intime, singulier, la santé publique est une des matières non régaliennes.

La soumission massive et le consentement général à l’autorité sanitaire sont un désastre anthropologique et sociopolitique majeur et historique.
Nous ne sommes pas sortis des ténèbres sanitaires numériques et vestimentaires desquelles je le crains, aucune immunité collective artificielle ne nous sortira.

Notre époque est celle du règne de l’hypnose collective savamment entretenue par l’emprise d’une nouvelle religion politique sanitaire qui se nourrit du vide spirituel et symbolique creusé depuis des décennies par une classe politique et médiatique et par une élite à qui nous avons accordé notre confiance et notre voix trop facilement.

Auteur(s): Michel Rosenzweig pour FranceSoir




Reiner Fuellmich – notre travail avance bien mais attention aux fausses rumeurs

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Nous recevons l’avocat allemand Reiner Fuellmich, une nouvelle fois pour un debriefing exclusif sur l’avancée des travaux du groupe d’experts qui forment le Comité Corona.

Beaucoup d’informations erronées ont circulé sur l’action qu’il mène avec un groupe d’avocats de plusieurs pays. Nous avons tenu à ce que Dr Fuellmich puisse apporter les réponses lui-même aux questions qui ne manquent pas d’enflammer les réseaux sociaux.

Les messages qui circulent sur les réseaux sociaux sont trop souvent « augmentés » rapportés de site en site, d’email en email avec des additions qui entrainent une déviation du message originel factuel.

Dr Fuellmich confirme travailler avec un groupe d’expert de moins de 100 personnes alors que l’on peut lire que ce groupe comprend parfois plus de 1000 avocats. Comme il dit :

« Seules quelques bonnes personnes suffisent »

Après un mise jour sur la procédure en cours, il répond à nos questions afin d’apporter une clarification nécessaire , très conscient du fait que la désinformation fait rage et sert possiblement à dénigrer ou dévaloriser l’action que son groupe mène.

Au risque d’en décevoir certains, il confirme qu’il y aura un procès, mais cela ne commencera pas le 3 juillet 2021 comme on a pu le lire sur le net.  Pas plus que ce ne sera un Nuremberg 2.0 mais plutôt un Tribunal International établi spécifiquement pour la crise du Corona.

Retrouvez le debriefing complet du Dr Fuellmich

Version Originale sous titrée en français



Version Originale en anglais



Auteur(s): FranceSoir


[Voir aussi :
État actuel de la procédure judiciaire menée par le Dr Fuellmich
Reiner Fuellmich : “Je vois une lumière à la fin de ce tunnel !”
La Dictature médicale Secrète : Entretien historique entre la rescapée de l’holocauste Vera Sherav et l’avocat Reiner Fuellmich]




Un ancien conseiller de Trump s’est-il montré favorable à un coup d’État militaire aux États-Unis ?

[Source : RT en français]

[Photo : © Jonathan ERNST – Source: Reuters]

Alors que Donald Trump aurait annoncé s’attendre à redevenir président dès août, son ancien conseiller à la sécurité nationale a déclaré qu’un coup d’État «devrait voir lieu» aux États-Unis, avant d’affirmer que ses propos avaient été déformés.

L’ancien conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump et lieutenant-général en retraite de l’armée des États-Unis Michael Flynn a déclaré lors d’une conférence à Dallas qu’un coup d’État militaire comparable à celui qui a eu lieu en février dernier en Birmanie serait souhaitable dans son pays. Il a ensuite démenti, en affirmant que ses propos avaient été déformés. Au même moment, une journaliste a affirmé que Donald Trump envisagerait de redevenir président d’ici trois mois.

Dans une vidéo filmée lors de la manifestation intitulée For God and Country : Patriot Round-Up («Pour Dieu et la patrie : rassemblement patriote»), on peut entendre une personne dans le public demander «pourquoi ce qui s’est passé en Birmanie ne peut avoir lieu [aux États-Unis]». Ce à quoi Michael Flynn lui répond : «Il n’y pas de raison… ça devrait avoir lieu».

https://twitter.com/MC_Hyperbole/status/1399129297240084489?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1399129297240084489%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Ffrancais.rt.com%2Finternational%2F87312-ancien-conseiller-trump-sest-il-montre-favorable-coup-detat-militaire-etats-unis

Néanmoins, Michael Flynn a démenti le 1er juin via son compte Telegram avoir souhaité un coup d’État aux États-Unis, en mettant en cause une «manipulation» de ses propos par les médias. «Soyons très clairs : il n’y a aucune raison de faire un coup d’État en Amérique, et je n’ai jamais appelé à une telle action», a-t-il affirmé.

Celui qui fut brièvement conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump (du 20 janvier au 13 février 2017) avait indiqué par le passé qu’il pensait que l’élection présidentielle de 2020 était frauduleuse. En décembre dernier, Michael Flynn avait même suggéré que le président Donald Trump pourrait utiliser les «capacités militaires» pour «refaire» l’élection dans les États-clés.

Peu après la conférence de Dallas, Maggie Haberman, une journaliste de CNN et correspondante à Washington pour le New York Times, a affirmé sur Twitter que Donald Trump avait déclaré à «un certain nombre de personnes avec lesquelles il est en contact» qu’il s’attendait à redevenir président d’ici le mois d’août. Maggie Haberman a cependant précisé qu’elle «partageait simplement l’information».

Auteur: RT France

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/87312-ancien-conseiller-trump-sest-il-montre-favorable-coup-detat-militaire-etats-unis




Allemagne : enquêtes autour de fraudes massives aux tests de dépistage du Covid-19

[Source : RT en français]

[Photo : © Jonathan NACKSTRAND – Source : AFP]

Un scandale concernant les centres de dépistages du Covid-19 a éclaté en Allemagne. De nombreux établissements de tests établissent de fausses déclarations pour obtenir des remboursements indus de la part des pouvoirs publics.

Les tests de dépistages du Covid-19 sont obligatoires en Allemagne pour qui souhaite se rendre dans un bar, café ou restaurant ainsi dans un magasin ou une piscine municipale. Une nouvelle législation fédérale a rendu gratuits ces tests en mars 2021 dans le but d’intensifier la campagne de dépistage. Un remboursement est ainsi prévu pour les centres de dépistages, allant jusqu’à 18 euros par test.

Les médias allemands se sont toutefois interrogés sur l’absence de contrôle des tests effectués. Le journal Tagesspiegel dénonce ainsi la facilité avec laquelle il est possible d’obtenir une homologation, ce qui entraîne une multiplication de ces centres. En Rhénanie du Nord-Westphalie, le ministère de la Santé en a par exemple recensé plus de 8 000 et 1 200 pour la seule ville de Berlin.

Les centres de dépistages n’ont en effet pas à indiquer le nom ou le profil des personnes venant se faire dépister. «Il suffit qu’ils transmettent le nombre de tests, sans aucun justificatif, et ils reçoivent le virement d’argent peu de temps après», selon une enquête commune des télévisions publiques NDR et WDR, avec le quotidien Süddeutsche Zeitung, qui a lancé l’affaire.

Plusieurs enquêtes ont ainsi été lancées sur les centres de dépistages soupçonnés de gonfler leurs chiffres dans le but d’obtenir des remboursements indus de l’Etat allemand. «Ceux qui se servent de la pandémie pour s’enrichir de manière criminelle devraient avoir honte», a tweeté le 29 mai le ministre allemand de la Santé, Jens Spahn.

1 743 tests déclarés contre 550 réellement effectués

Pour déceler les irrégularités, les journalistes ont compté les personnes venues pour se faire tester à plusieurs endroits afin de les comparer aux chiffres transmis aux autorités. Le résultat : pour une centaine de dépistages effectués, un centre en déclarait 422 ; ailleurs, au lieu de 550, l’entreprise disait en avoir fait 1 743 sur une journée. Cela a poussé plusieurs parquets à réagir, comme celui de Bochum qui a perquisitionné les locaux d’un centre privé ou celui de Lübeck qui a lancé une enquête pour «fraude» portant sur la «réalisation et la facturation de tests rapides», selon l’hebdomadaire WirtschaftsWoche.

Le ministre allemand de la Santé a assuré que plus de contrôles seraient effectués pour pour empêcher que certains «profitent» du «pragmatisme nécessaire» dans l’organisation.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/87317-allemagne-enquetes-autour-fraudes-massives-tests-depistages-covid-19




Devons-nous vacciner nos enfants contre le Covid-19 ?

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Laure Gonlézamar pour FranceSoir

TRIBUNE

Le 25 mai dernier, l’Académie Nationale de Médecine émet le souhait d’étendre la vaccination aux enfants et adolescents. Cette volonté s’inscrit dans le concept de « l’immunité collective », édictant que pour y parvenir, 90% d’une population adulte doit être vaccinée soit 80% d’une population totale, enfants compris.

Les enfants sont nos êtres chers, nos petits innocents à protéger, notre avenir. 

Devons-nous les vacciner ? 

Impossible de répondre à cette question de santé publique sans dissocier l’émotionnel du rationnel.

Que vous soyez parent, grand-parent, parrain, marraine, sœur, frère, oncle, tante, vous aimez forcément vos enfants, petits-enfants nièces ou neveux, d’un amour inconditionnel et ne souhaitez que leur bien-être, leur santé et leur bonheur. Prenez quelques minutes pour lire cet article. Installez-vous confortablement. Servez-vous un petit café, un thé comme vous l’appréciez.

Dans cette tribune, nous allons tenter de poser le plus clairement possible des arguments sourcés, afin de trouver une réponse sans ambiguïté à la question de la vaccination des moins de 15 ans. 

Pour commencer, les enfants peuvent-ils avoir le Covid-19 ? 

La réponse est ici sans appel : oui les enfants peuvent être contaminés et porteurs du Sars Cov-2. Les chiffres disponibles sur le site de Santé Publique France et plus largement ceux publiés au niveau international, indiquent que les enfants de tous âges peuvent être testés positifs au Covid-19, et ceci quels que soient leur âge et leur origine ethnique.

[Ndlr : être testé positif au Covid-19 avec un test non prévu pour diagnostiquer une maladie (et qui engendre d’autant plus de faux positifs que le nombre de cycles d’amplification utilisé est élevé) ne signifie nullement que l’on a cette maladie. Voir : Les tests de coronavirus positifs ne sont pas des «cas»: les experts de la santé démystifient le faux récit des médias mainstream sur la COVID-19]

Toutefois, les données de surveillance montrent également que les enfants sont globalement moins touchés par la maladie. Un rapport publié en août 2020 par l’Agence Européenne du contrôle et des maladies indique que moins de 5% des cas Covid-19 signalés dans l’Union Européenne concernent des personnes de moins de 18 ans. 

Quels sont leurs symptômes ? 

Selon l’étude Ped-Covid coordonnée par l’hôpital Necker et l’Institut Pasteur auprès de 775 enfants âgés de 0 à 18 ans, testés positifs dans sept hôpitaux parisiens et de la proche couronne entre le 1er mars et le 1er juin 2020, 69.4% de ces jeunes patients ne présentaient aucun symptôme. D’ailleurs, d’après cet article, Bruno Hoen, directeur de la recherche médicale à l’Institut Pasteur, affirme même que « Les signes très caractéristiques que sont la perte du goût et de l’odorat n’ont jamais été observés chez les moins de 15 ans ». Quand l’infection se manifeste par des signes cliniques, c’est le plus souvent « par un syndrome grippal banal » explique le Dr Fabienne Kochert, pédiatre. Les symptômes constatés sont : fièvre, toux, irritabilité ainsi que des problèmes digestifs (vomissements, diarrhées). 

Sont-ils hospitalisés ? 

Alors qu’ils constituent 17,75 % de la population française, les moins de 15 ans ne représentent même pas 1% des patients hospitalisés et des décès. Les formes graves sont exceptionnelles, ce qui explique la rareté des jeunes patients à l’hôpital. Quelques cas de maladies de Kawasaki ont été découverts en début de pandémie avec les premières souches du virus (sans qu’un lien formel ne soit établi), ces infections semblant baisser avec l’arrivée des variants, virus généralement plus contagieux mais moins agressifs que le virus original présent lors de la première vague. 

Décèdent-ils du Covid ? 

Depuis le 1er mars 2020, six décès d’enfants âgés de 0 à 14 ans ont été enregistrés lors d’une hospitalisation pour Covid en France. En général, ces enfants sont en mauvaise santé, présentent une ou plusieurs comorbidités, à l’exemple de cet enfant de 9 ans décédé d’une atteinte neurologique liée à un arrêt cardiaque qui a pourtant été comptabilisé dans les décès Covid car sa sérologie indiquait qu’il avait été au contact du coronavirus sans en avoir les symptômes.

Une étude européenne publiée dans la revue spécialisée The Lancet Child & Adolescent Health, portant sur 582 patients positifs par test PCR dans 82 établissements de santé, a montré que seuls quatre enfants sont décédés dont deux avec des comorbidités préexistantes. 

Les enfants sont-ils contaminants ? 

Là aussi, regardons ce que disent les études. Par exemple, l’étude menée par l’Institut Pasteur dans des écoles de l’Oise, sur 510 enfants de six écoles primaires : les cas déclarés dans ces écoles avant les vacances n’ont pas donné lieu à des cas secondaires, que ce soit parmi les autres écoliers ou parmi les enseignants. En revanche, les parents étaient plus infectés chez les enfants positifs. L’étude conclut que les parents ont été la source de l’infection et pas l’inverse. D’autres études vont également dans ce sens, en atteste le professeur Robert Cohen, pédiatre : « les enfants ne sont pas des super-contaminateurs, bien au contraire, ils sont de tout petits contaminateurs ».

Citons enfin le cas de ce garçon de 9 ans, positif au Covid, qui a continué à vivre normalement (écoles, ski-club, auprès de ses parents et ses deux frères…) sans contaminer aucune des 172 personnes vivant à son contact, dont 112 élèves et professeurs. 

Enfin, d’après l’Association Française de pédiatrie ambulatoire, « les facteurs de division du risque par rapport aux adultes sont de l’ordre de 1/10 000 pour les décès, de 1/1000 pour les formes graves, 1/100 pour les hospitalisations, 1/3 sur le pourcentage de PCR positives. Ceci est particulièrement vrai chez l’enfant de moins de 10 ans ». Ainsi, on peut au bout d’un an et demi de pandémie, affirmer que :

  1. Oui, les enfants peuvent attraper le virus du Sars-Cov-2.
  2. Mais, ils ont peu de symptômes.
  3. De plus, ils ne sont quasiment pas hospitalisés.
  4. En outre, les décès sont extrêmement rares, favorisés par des comorbidités.
  5. Enfin, ils contaminent peu, y compris leur entourage proche. 

La crainte selon laquelle les enfants contamineraient leurs parents ou leurs grands-parents n’est fondée sur aucun argument statistique, et même si cette possibilité n’est pas à exclure totalement car il existe toujours des cas isolés, elle est d’une rareté notoire. Ce coronavirus n’est donc pas une menace mortifère pour nos chères têtes blondes. Par conséquent, à ce stade, l’intérêt d’une vaccination semble assez limité, puisque grâce à leur système immunitaire et leur physiologie de jeunes êtres humains, les enfants résistent naturellement au Covid-19.

Les scientifiques tentent d’ailleurs à l’heure actuelle de comprendre pour quelles raisons et par quels mécanismes les plus jeunes ne sont pas touchés par le Covid-19 comme le sont les adultes. 

Les vaccins chez les enfants

Rappelons qu’en France, certains vaccins sont obligatoires. L’hexagone est d’ailleurs l’un des seuls pays au monde à imposer pas moins de onze vaccins aux nouveaux nés depuis 2018. Les maladies visées sont la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, la rougeole, les oreillons, la rubéole, l’haemophilus Influenza de type B, l’hépatite B, le pneumocoque, et le méningocoque de type C.

Ces infections ont pour caractéristiques d’être assez voire très contagieuses, de donner parfois des séquelles à vie et surtout d’être mortelles, en particulier chez les jeunes enfants. Dans ces cas précis de maladies malignes, on comprend donc aisément que les vaccins puissent sauver des vies ou éviter des handicaps. Mais qu’en est-il du vaccin Covid ? Pourquoi faudrait-il vacciner des enfants contre un virus qui ne les affecte pas, ne les rend pas malades, et qu’ils ne transmettent pas à leur entourage ? Étrange volonté que de vouloir injecter un sérum pour un bénéfice direct quasi nul, vous en conviendrez. 

Regardons de plus près ce que sont ces vaccins Covid.

Quatre vaccins sont actuellement autorisés en France : le Pfizer et le Moderna, tous deux à technologie ARN messager (ARNm) ; et l’AstraZeneca et le Janssen, tous deux à adénovirus.Ces sérums marquent une rupture dans la fabrication classique des vaccins car les deux techniques utilisées sont nouvelles, et n’ont jamais avant la pandémie de Covid-19, été utilisées à grande échelle sur l’homme. 

Un vaccin traditionnel utilise le virus atténué ou désactivé : injecté dans le corps, les cellules l’identifient comme étant un intrus et fabriquent des anticorps spécifiques. Appelons-les les soldats. Si par la suite, la personne vaccinée est confrontée au virus en question, son organisme possède déjà une armée de petits soldats prêts à le combattre, entourés d’autres combattants, les lymphocytes T. Ces « soldats anticorps » s’amenuisent avec le temps, c’est d’ailleurs pour cette raison qu’il est nécessaire de faire des rappels de certains vaccins, afin de renouveler les effectifs. Vous remarquerez ici que le vaccin traditionnel stimule de façon assez mécanique mais naturelle le système immunitaire, ceci par un leurre de vrai/faux virus. 

Les vaccins à ARNm envoient un message codé en langage ARN aux cellules du corps du vacciné. Le message est limpide : il faut produire une protéine, appelée protéine Spike. Après le vaccin, les cellules se mettent à produire Spike, reconnue comme un intrus et combattue à son tour par les petits soldats vus plus haut : les anticorps. 

Les vaccins à adénovirus, ou vecteur viral, utilisent quant à eux des virus vivants ayant été rendus inoffensifs, et dans lesquels on a greffé un morceau d’ADN (un message génétique). Cet ADN est délivré dans les cellules du vacciné, traduit en ARN (le même message mais dans un autre langage), qui code la protéine Spike. Le mécanisme est ensuite le même que précédemment avec l’ARNm : fabrication des anticorps spécifiques. Pour AstraZeneca par exemple, l’adénovirus injecté est un adénovirus de chimpanzé, pour Spoutnik et Janssen, ce sont des adénovirus humains. 

Ces deux nouvelles techniques, ARNm et vecteur viral, sont bien différentes des vaccins traditionnels : l’ordre donné aux cellules humaines consiste à produire la protéine de pointe du virus, c’est-à-dire une partie de celui-ci, plus précisément les molécules qui l’entourent et qui lui permettent d’infecter la personne contaminée. La protéine Spike est en effet la clé qui permet au coronavirus d’entrer dans le corps humain. Le principal avantage de ces deux techniques est la rapidité avec laquelle les laboratoires ont pu mettre au point ces vaccins, là où il faut habituellement des années de recherche, de tests, d’ajustements, d’échecs, puis de réussites (en moyenne le développement d’un vaccin prend entre 10 et 15 ans).

Cette fois pour le Sars-Cov-2 l’industrie pharmaceutique a ici été capable de concevoir, tester, demander les autorisations, les obtenir, puis produire des sérums à grande échelle en moins d’une année. Heureusement, vous vous en doutez, les autorités sanitaires veillent au grain : les autorisations accordées sont conditionnées. Dans cet article du CTIAP de l’Hôpital de Cholet qui a décortiqué les documents officiels publiés par l’Agence Européenne du Médicament, on apprend qu’AstraZeneca a jusqu’à mars 2024 pour préciser les substances actives et excipients de son vaccin ainsi que les résultats définitifs de son étude clinique. On appelle cela une « AMM conditionnelle » : une autorisation de mise sur le marché qui pose des conditions.

Pfizer et Janssen ont quant à eux jusqu’à décembre 2023 pour déposer la confirmation de l’efficacité, de la sécurité et de la tolérance de leurs vaccins. Le plus pressé des quatre laboratoires est Moderna, qui doit se dépêcher de donner ses conclusions puisque son échéance est fixée à décembre 2022. 

Oui vous avez bien lu.

Les quatre vaccins actuellement inoculés à l’ensemble de la population adulte volontaire sont encore en phase d’essai. Sous pression de l’urgence pandémique, les autorités sanitaires ont pris pour argent comptant les études menées par les laboratoires eux-mêmes, et ont accepté de mettre sur le marché des vaccins… dont l’innocuité est encore à l’étude. Ces laboratoires sont au-dessus de tout soupçon, bien entendu. Par exemple Pfizer détient un record mondial. En 2009, il a été condamné à payer 2,3 milliards de dollars pour pratiques commerciales frauduleuses. En cause un anti-inflammatoire aux effets secondaires entraînant des complications cardiaques ainsi que trois autres médicaments mis sur le marché et largement promus.

Et l’herbe n’est pas forcément plus verte ailleurs. Le laboratoire Johnson&Johnson (Janssen) mouillé en 2020 dans le scandale du talc qui donne des cancers, a écopé d’une condamnation de 2,1 milliards de dollars.

Le groupe AstraZeneca, qui est actuellement poursuivi par l’UE pour non-respect de ses engagements de livraison de vaccins, a dû régler une amende de 60 millions d’euros en 2005 pour utilisation abusive du système de brevets et des procédures de commercialisation des produits pharmaceutiques afin de prévenir ou de retarder l’arrivée sur le marché de médicaments génériques qui concurrençaient son anti-ulcéreux. C’est ainsi que partout dans le monde on inocule des sérums, sans être totalement certains qu’ils sont inoffensifs à court, moyen et long termes. Enfin, pas tout à fait.

À court terme, nous disposons de quelques indicateurs grâce à la pharmacovigilance dont le travail consiste à récolter les effets indésirables des médicaments et vaccins, à partir de déclarations volontaires des soignants et patients. En France, elle est assurée par les CRPV et l’ANSM. Vous qui lisez cette tribune, vous pouvez si vous le souhaitez déclarer des effets secondaires en cliquant ici. C’est un acte citoyen qui permet de surveiller la survenue de symptômes liés aux médicaments et ainsi de déceler des molécules dangereuses. 

Que dit la pharmacovigilance sur les vaccins Covid ? 

À l’échelle de la France, deux articles doivent nous alerter. Le premier concerne le centre de pharmacovigilance de Tours qui, submergé par les signalements sur les vaccins, a demandé aux patients et aux médecins de ne pas tout déclarer afin de prioriser les signalements les plus graves.

Une pharmacovigilance oui, mais une pharmacovigilance sélective.

Le second article porte sur le centre du Limousin, qui reçoit en temps normal, d’après le Professeur Marie-Laure Laroche, responsable du centre, « à peine 10 notifications par an pour les vaccins classiques » mais qui, en quatre mois et demi de vaccination Covid, a vu les déclarations multipliées par 400, soit 4000 déclarations. Répétons-le pour ceux qui n’étaient pas totalement concentrés et buvaient une gorgée de leur thé préféré : multipliées par quatre-cents !

Enfin, les derniers rapports de l’ANSM disponibles en ligne, font état de près de 20000 cas d’effets secondaires liés à Pfizer, dont 5245 cas graves, dont 580 décès. Au total pour les quatre vaccins, 37 018 cas ont été rapportés, dont 26% de cas graves (hospitalisation, séquelles, décès).

Répétons-le pour mieux accentuer : cinq-cent-quatre-vingts décès liés uniquement au vaccin Pfizer en France du 28 décembre 2020 au 13 mai 2021. À l’échelle de l’Europe, EUDRAVIGILANCE, la base européenne de pharmacovigilance, enregistre des signalements d’effets indésirables comme jamais. Au 22 mai 2021, la comparaison avec deux autres lots de vaccins contre la grippe et la diphtérie est sans appel : les vaccins Covid sont les plus agressifs de toute l’histoire des vaccins administrés à l’homme, mais également les plus meurtriers !En additionnant les cas de décès post-vaccinaux des quatre vaccins, le total s’élève à plus de 12 000 morts. 

Aux USA, pays qui a vacciné 50% de sa population adulte, le VAERS, système de surveillance sous la responsabilité des CDC – Centers Disease of Control – enregistre des chiffres tout aussi alarmants, jugez plutôt :Sur les vingt dernières années (jusqu’à début mai 2021), le VAERS a enregistré 4182 décès, tous vaccins confondus. Du 14 décembre 2020 au 3 mai 2021, il comptabilise très exactement 4178 morts liés aux vaccins Covid. Ces seuls vaccins parviennent donc à eux-seuls, à totaliser en une poignée de mois autant de décès que TOUS les vaccins injectés au cours des vingt dernières années sur le sol américain. 

Le plus inquiétant est que la pharmacovigilance n’est qu’un indicateur. Elle ne recense pas de manière exhaustive et obligatoire tous les décès et effets secondaires qui surviennent après vaccination. Si, d’après le VIDAL, tous les effets secondaires – sérieux ou anodins – doivent être signalés dans les bases, il n’en est rien en pratique. En effet, les professionnels de santé et les patients n’en signalent qu’une infime partie, que ce soit par oubli ou plus simplement par manque d’informations sur les procédures à suivre. 

Par ailleurs, depuis les vaccins Covid, des consignes sont données pour ne signaler que les effets secondaires inattendus ou graves. Nous venons donc de décrire sommairement ce que sont les vaccins Covid, les études et essais toujours en cours, et une pharmacovigilance qui s’emballe malgré le faible taux de remontées. Certains se sont peut-être étranglés en découvrant les données, d’autres ont sans doute cliqué sur les liens et sont estomaqués de découvrir que de telles informations aussi cruciales sur les vaccins ne soient pas davantage rendues publiques. Ces signaux doivent nous alerter sur la vaccination des enfants.

Pouvons-nous accepter d’injecter ces formules inédites dans les bras de nos progénitures sans prendre la mesure des effets possibles sur leur santé ?Pouvons-nous accepter de vacciner nos enfants compte tenu des nombreux dommages causés aux adultes ?Ne devons-nous pas attendre que les essais soient totalement terminés avant de prendre une telle décision ? 

Des essais en cours sur les enfants aux États-Unis 

Connaissez-vous l’âge du plus jeune vacciné au monde ? Il s’appelle Vincenzo Mincolla, petit bonhomme joufflu, tétine en bouche, qui a reçu sa première dose de Pfizer à l’âge de 7 mois, et sa deuxième à 8 mois (voir la vidéo de son injection ici). Ses deux parents sont soignants et ont accepté sans hésitation d’enrôler leur bébé dans l’essai clinique de Pfizer « au nom de la science ». 

Depuis le 16 mars 2021, des essais menés par Moderna sont en cours aux USA et au Canada sur 6750 enfants et bébés âgés de 6 mois à 11 ans. D’autres essais sont en cours avec Pfizer et AstraZeneca. Les résultats ne sont pas encore publiés mais gageons que puisque les enfants ne sont quasiment jamais malades du Covid, les vaccins montreront une efficacité exceptionnelle. Reste à connaître les effets secondaires. 

Le VAERS fait état de plusieurs dizaines de cas d’effets indésirables graves et dont des décès d’enfants et adolescents ayant reçu une ou plusieurs doses de Pfizer ou de Moderna. Les cas sont rapportés par des soignants ou les familles des patients, ce qui complique la fiabilité des sources. Il est difficile de trouver des articles fiables.Néanmoins, voici deux exemples issus du VAERS, l’un d’une petite de 2 ans et l’autre d’une jeune fille trisomique de 15 ans, toutes deux décédées. 

On ne compte plus les témoignages de proches de victimes sur les réseaux sociaux… qui disparaissent comme par magie ; notamment sur Youtube et Facebook. Plusieurs groupes du réseau social n°1 mondial rassemblant diverses expériences malheureuses de vaccinés ont tout simplement été fermés. On peut raisonnablement se poser des questions. Certaines vérités ne semblent pas « désirées » car seule compte la propagande vaccinale. 

En Israël, pays ayant complètement vacciné 56,6% de sa population avec les deux doses, des voix s’élèvent contre la vaccination des enfants car des cas de myocardites chez des patients jeunes ont été rapportés. 

Conclusion 

Nul doute que vous avez désormais terminé votre boisson, et que malgré sa chaleur, cet article a jeté un froid. 

Tout d’abord car les nouvelles ne sont guère réjouissantes. Les vaccins ne sont pas aussi fiables que ce qu’on nous assure. Malgré toute l’énergie déployée par les éminents spécialistes des plateaux TV et des radios pour convaincre et apaiser les craintes, les chiffres et les documents non publiés parlent d’eux-mêmes : des incertitudes planent sur les effets à moyen et long termes des vaccins. Vous, ou vos proches et amis, avez peut-être reçu une ou plusieurs doses. Certains ont été très malades, d’autres n’ont rien remarqué, mais depuis, une fatigue, des maux se sont réveillés ou sont apparus. Quelques-uns d’entre vous ont d’ailleurs pu observer une recrudescence d’AVC ou de problèmes cardiaques dans leur entourage, ou ont assisté aux obsèques d’une personne âgée, qui avait été vaccinée quelques jours avant son décès. Il n’y a pas de mystère, ni de coïncidences. Il faudrait être aveugle ou inconscient pour ne pas établir formellement de lien de causalité entre l’injection et tous ces événements qui surviennent dans les heures, les jours ou les semaines qui suivent. 

Désormais vous savez. Vous venez de prendre connaissance d’un faisceau d’indices qui doivent vous alerter sur la vaccination de vos enfants. Une maladie qui ne les touche pas, des vaccins encore en phase d’essais, des informations négatives peu dévoilées au grand public, une pharmacovigilance qui s’emballe, des cas de décès et effets indésirables graves signalés sur des enfants… que des indicateurs au rouge. Désormais, si vous décidez de mener vos enfants à l’aiguille, et que tout ne se passe pas comme prévu, vous ne serez pas les victimes désinformées d’un système qui promeut la vaccination, non. Non, vous serez des parents responsables de ce qui arrive à leurs enfants. Vous croiserez leur regard en ayant conscience à chaque instant que vous ne les avez pas protégés, et ceci malgré tout l’amour que vous leur portez. L’Agence Européenne du Médicament vient de donner son feu vert pour le vaccin Pfizer des 12-15 ans.

De grands scientifiques, comme Arnaud Fontanet, épidémiologiste et membre du conseil scientifique, déclarent aux micros des journalistes de France Info et BFM qu’il faut vacciner les enfants pour atteindre l’immunité collective, et ceci, sans apporter un seul argument rationnel valable.

À quel prix ? Si un seul adolescent ou enfant décède du vaccin en France, ce sera pour sauver qui ? Une personne âgée de plus de 85 ans (âge médian des morts Covid sur les 100 000 premiers décès) ? Un adulte avec comorbidités ?D’autres, comme l’éditorialiste Eric Naulleau dans l’émission TPMP ou encore le philosophe Raphaël Enthoven dans l’émission Les Grandes Gueules sur RMC, qui n’ont ni diplôme scientifique, ni formation médicale, encensent la vaccination obligatoire pour tous avec une ferveur douteuse. Sans parler du footballeur Kylian Mbappé, un modèle pour de nombreux jeunes, qui s’affiche pansement sur le bras sur les réseaux sociaux.

Qui sont ces gens ? Ont-ils lu ne serait-ce qu’une seule étude randomisée ? Quelles sont leurs qualifications pour jeter l’opprobre sur les réticents, qui eux, s’informent du mieux qu’ils peuvent ? La vaccination n’est pas un débat philosophique, politique ou sportif. Elle doit rester un enjeu sanitaire et une décision médicale.

Et moi ? Qui suis-je pour vous avoir amené jusqu’à la fin de cette tribune ? Je ne suis personne. Ni épidémiologiste au conseil scientifique, ni politicienne, ni philosophe, ni sportive, ni éditorialiste. Et c’est justement parce que je ne suis rien de tout cela, que je suis vous. Une maman qui aime ses enfants, une fille qui veut protéger ses parents, une amie qui veille sur ses proches. Comme vous, je n’apprécie pas qu’on m’assomme et me matraque chaque jour de publicités et de messages sur et pour la vaccination, ni que les médias filtrent les informations à l’aune de la propagande vaccinale. Comme vous, il n’y a qu’une priorité dans ma vie et dans mon cœur : la santé et le bien-être de mes enfants. C’est la raison pour laquelle j’attends la fin des essais cliniques et que je ne cèderai jamais aux mesures qui ne relèvent pas du bon sens. 

Pour conclure, reposons la question de départ : devons-nous vacciner nos enfants contre le Covid-19 ? Vous êtes seuls juges. Mais maintenant, vous savez.

Auteur(s): Laure Gonlézamar pour FranceSoir


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Aux USA, un fusil à pompe offert pour un vaccin inoculé

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

Offrir un fusil à pompe pour une injection de vaccin reçue ? C’est la curieuse idée de loterie que la Virginie-Occidentale propose pour lutter contre la méfiance contre le vaccin. Car le phénomène ne touche pas que la France. Dans certains États américains, il faut lancer des loteries avec plusieurs millions $ de gains pour convaincre les plus réticents. Et un taux de réussite assez faible…

En Virginie Occidentale, les pouvoirs publics proposent 5 fusils à pompe et 5 fusils de chasse à gagner à la loterie pour ceux qui acceptent de se faire vacciner. Le premier tirage au sort aura lieu le 20 juin, jour de la Fête des Pères. Mais d’autres tirages sont prévus tout au long de l’été. En outre, la Virginie Occidentale offre d’autres lots hallucinants pour convaincre les réticents : des bourses d’études complètes, des camions personnalisés et des permis de chasse et de pêche à vie, mais aussi un lot de 1 million $.

Pour ceux qui, entre 16 et 35, acceptent une vaccination complète, l’État propose 100 $ d’obligations d’épargne ou de cartes-cadeaux.

Cette stratégie vise à augmenter le taux de vaccination dans l’État, qui est le plus bas des USA. 51% de la population y a reçu au moins une dose, et 41% une vaccination complète. Des chiffres supérieurs à la situation française, mais qui agacent les pouvoirs publics américains. 

Un phénomène généralisé outre-Atlantique

La Virginie Occidentale n’est pas le seul État à pratiquer ce système de loterie pour améliorer le taux de vaccination. Loin de la propagande relayée en France selon laquelle les Américains seraient largement vaccinés, beaucoup d’Etats rencontrent des difficultés pour remplir les salles d’attente. 

Cette méfiance des Américains oblige à multiplier ces loteries. Dans l’Illinois, l’État offre une séance de 100 tirs gratuite pour ceux qui se dévouent à subir le vaccin. L’Ohio et l’Oregon offrent également un million $ à la loterie. Dans le New Jersey, l’État offre des bières… 

Selon les sondages, ce sont surtout les électeurs du parti républicain qui hésitent à se faire vacciner. 




Tous les yeux sur la Suisse : le 13 juin 2021, c’est référendum contre la dictature sanitaire

[Source : medias-presse.info]

Par Alain Späth

Méthodes pernicieuses d’un côté, naïveté et puérilité de l’autre, les bureaucrates fédéraux à la botte du globalisme occulte sont sur le point de faire aboutir leur immense hold-up juridique sur le dos du peuple suisse. Heureusement, des citoyens se sont levés : grâce à eux, l’usage des libertés les plus fondamentales pourrait encore être prolongé pour quelque (précieux) temps…

Ce 13 juin, le peuple suisse est appelé à voter sur cinq objets – deux initiatives populaires et trois référendums. Les deux premiers, ainsi que l’un des trois référendums portent sur des questions de politique agricole et environnementale ; ils sont certes importants, mais secondaires au regard du « nouveau péril rouge » qui est en train de s’abattre sur toutes les nations de la terre. Effectivement, ce sont bien les deux derniers objets – « NON à la Loi Covid » et « NON à la Loi contre le terrorisme (MPT) » – qui sont urgents et cruciaux pour l’avenir de notre pays. Car si le OUI venait à l’emporter sur ces deux référendums le 13 juin, le peuple suisse sera cette fois à son tour totalement réduit au niveau d’aliénation politique des autres « démocraties » européennes et perdra très rapidement le peu de libertés véritables que lui garantissent encore à ce jour son système institutionnel et juridique.

Un NON nous donnerait à tous du temps supplémentaire pour organiser la résistance

Pour nous suisses, aucun doute, l’enjeu de ces votations est de taille. Un OUI à la Loi MPT pourrait ainsi par exemple avoir pour conséquence directe l’arrestation de l’auteur de ces lignes si le Conseil fédéral (pouvoir exécutif suisse) venait à le décider, la définition de « terroriste » étant si floue dans les articles de la loi en question que toute personne critique envers le gouvernement pourrait entrer dans cette catégorie. Mais cette problématique est relativement secondaire par rapport à la Loi Covid, car contrairement à celle-ci, elle reste une « affaire interne » ne concernant que les suisses et a donc peu d’influence, dans l’absolu, sur les autres pays d’Europe et du monde (la dictature sous toutes ses formes étant de toute façon déjà plus ou moins la norme partout). Aussi, comme il est naturel de n’avoir que peu d’intérêt véritable pour les affaires politiques d’un autre pays que le sien, nous n’insisterons pas plus sur la Loi MPT, mais nous concentrerons ici exclusivement et très brièvement sur la Loi Covid. Et pour cause : nous sommes convaincus que par l’universalité et l’actualité de son objet, un NON par le peuple suisse pourrait avoir des répercussions mondiales dans le combat et la résistance contre ce que nous considérons comme la phase finale de la Révolution, la consolidation totale de toutes les infrastructures du Nouvel Ordre Mondial : l’établissement du Royaume de l’Antéchrist.

Un enjeu qui dépasse de loin nos frontières

Amis français, belges ou canadiens, la votation contre la Loi Covid du 13 juin est aussi la votre !

Imaginez l’impact moral pour notre commun combat pour la liberté véritable ! Et en terme de jurisprudence : imaginez la matière sur laquelle les juges intègres de vos pays pourront s’appuyer ! Car nous avons tendance à l’oublier : malgré leur erreur fondamentale et leurs vices (laïcisme et positivisme juridique), les constitutions libérales telles qu’elles pouvaient s’appliquer jusqu’en 2020 ont au moins le mérite de préserver ce qui reste du bien commun des nations en leur garantissant le maintien d’une certaine paix et le développement d’une certaine prospérité. À l’inverse, si les « lois d’exceptions » parviennent à s’imposer à long-terme, comme le permettrait notamment le « hold-up juridique » qu’incarne la Loi Covid, nous ne disposerons plus d’aucun garde-fou contre les utopies sociales qui foisonnent dans les cervelles malades des héritiers contemporains des « philosophes » des Lumières. Car qu’est-ce que le concept « vous ne posséderez rien et vous serez heureux », si ce n’est le storytelling d’un « bolchévisme 2.0 », dont les idées sont aussi vieilles que « ces démons qui renaissent de siècles en siècles » (François de Charrette) ? Il n’est pas trop tard ! Nous pouvons encore enrayer cette mécanique infernale – ou du moins, la ralentir, le temps de reprendre notre souffle !

Alors concrètement, que faire ?

D’abord, si vous avez des amis et des connaissances en Suisse, informez-les de l’importance de cette votation du 13 juin : vous serez étonnés de constater à quel point nombre de suisses sont complètement « endormis » face à la gravité de la situation. Dites-leur de se former et d’alerter à leur tour leur cercle d’amis et de connaissances. Dans l’idéal, incitez-les à rejoindre une section locale de l’association des Amis de la Constitution : ils sont toujours à la recherche de citoyens motivés pour distribuer des tracts et coller des affiches ! Il n’est pas trop tard : nombre de gens sont indécis ou n’avaient peut-être pas l’intention de voter. Chaque voix compte ! (…)

NON à la dictature sanitaire !




«Marche pour la liberté» : manifestation d’ampleur à Londres contre les restrictions sanitaires

[Source : RT France]

[Photo : © HENRY NICHOLLS Source: Reuters.
Les manifestants étaient nombreux à Londres.]

Lassés par la poursuite des restrictions sanitaires, des milliers de Britanniques se sont rassemblés dans les rues de Londres pour protester, entre autres, contre le pass sanitaire, et faire part de leur méfiance vis-à-vis des vaccins anti-Covid.

Une «Marche pour la liberté» organisée à Londres a attiré le 29 mai plusieurs milliers de participants, venus protester contre la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement britannique. Cette manifestation, la dernière en date d’une série dans la capitale anglaise, s’inscrit dans un mouvement plus large dans les pays européens.

Ce 29 mai, la mobilisation a rassemblé des personnes mécontentes des fermetures prolongées imposées par le gouvernement, critiques du pass sanitaire, ou encore qui se méfient des vaccins contre le Covid-19.

David Kurten, ancien membre du Parti pour l’indépendance du Royaume-Uni (Ukip), a estimé que le rassemblement était plus important que celui du week-end dernier, qui avait réuni plusieurs milliers de personnes.

Au Royaume-Uni, la défiance vis-à-vis des politiques gouvernementales a été alimentée par l’évolution du discours des autorités, qui avaient initialement affirmé que les restrictions seraient imposées pour une courte durée avec l’objectif d’«aplanir la courbe» des infections Covid-19 et d’empêcher que les hôpitaux soient débordés, mais qui se sont ensuite prolongées pendant des mois.

Le gouvernement de Boris Johnson a récemment mis en garde contre le variant indien, en raison duquel l’assouplissement promis des restrictions dans le pays pourrait être remis en question. Les pubs et les restaurants d’Angleterre ont récemment été autorisés à servir à nouveau les clients à l’intérieur par groupes de six maximum et d’autres lieux publics ont vu leurs restrictions partiellement levées. Les rassemblements publics en plein air sont normalement limités à 30 personnes.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/87231-marche-pour-liberte-manifestation-ampleur-londres-restrictions-sanitaires




Bruxelles : plusieurs milliers de manifestants contre les restrictions anti-Covid, le pass sanitaire

[Source : RT France]

[Photo : © HATIM KAGHAT / Belga Source: AFP
Les manifestants au Bois de la Cambre le 29 mai 2021.]

Entre 2 000 et 3 000 personnes ont protesté contre les restrictions sanitaires ce 29 mai à Bruxelles, faisant notamment part de leur opposition à la politique vaccinale et au pass sanitaire européen, ou encore au port du masque.

Ce 29 mai, entre 2 000 et 3000 manifestants, selon 7 sur 7 et La DH, sont descendus dans les rues de Bruxelles pour protester contre les restrictions anti-coronavirus, se réunissant notamment au Bois de la Cambre, lieu habituel de rassemblements.

Ils marchaient en fin d’après-midi en direction du Parlement européen, notamment pour protester contre la politique vaccinale dans l’Union européenne.

Le site du Soir indique que, dans ce rassemblement non autorisé, se retrouvaient des coronasceptiques, des anti-masques et quelques soutiens au militaire fugitif Jürgen Conings, qui avait proféré des menaces contre un virologue et des représentants de l’Etat. Le média assure que des opposants aux vaccins et au pass sanitaire étaient d’ailleurs venus «de plusieurs pays européens», dont de nombreux Néerlandais et Allemands selon la RTBF.

Malgré quelques fumigènes, la manifestation s’est déroulée dans le calme, comme le fait savoir une journaliste présente sur place.

Quelques tensions sont toutefois apparues quand les manifestants ont été empêchés d’approcher du Parlement européen, mais le calme est vite revenu.

Selon Sud Info, en début de soirée, des manifestants ont pris la direction du parc du Cinquantenaire, scandant «liberté, liberté». «Une petite bagarre a eu lieu entre des manifestants et des cavaliers de la police», note le site d’information.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/87229-bruxelles-plusieurs-milliers-manifestants-contre-restrictions-anti-covi-pass-sanitaire




Selon le président de Microsoft, 1984 d’Orwell pourrait advenir dès 2024

Par Jean-Michel Grau

La vie telle que décrite dans le roman 1984 de George Orwell « pourrait se réaliser en 2024 » si les législateurs ne protègent pas le public contre l’intelligence artificielle, a averti le président de Microsoft.(([1] bbc.com/news/technology-57122120))

S’exprimant dans l’émission Panorama de la BBC, Brad Smith a déclaré qu’il sera « difficile de rattraper » la technologie qui progresse rapidement.

L’émission a exploré l’utilisation croissante de l’IA par la Chine pour surveiller ses citoyens.

Les critiques craignent que la domination de l’État dans ce domaine ne menace la démocratie.

« Si nous ne promulguons pas les lois qui protégeront le public à l’avenir, nous allons constater que la technologie avance à toute allure, et il sera très difficile de la rattraper », a déclaré M. Smith.

« Je me souviens constamment des leçons de George Orwell dans son livre 1984. Vous savez que l’histoire fondamentale était celle d’un gouvernement qui pouvait voir tout ce que chacun faisait et entendre tout ce que chacun disait, tout le temps. Eh bien, cela ne s’est pas produit en 1984, mais si nous ne faisons pas attention, cela pourrait se produire en 2024. »

« Dans certaines parties du monde, la réalité rattrape de plus en plus cette vision de la science-fiction », a-t-il ajouté.

Brad Smith, président de Microsoft

L’intelligence artificielle chinoise

L’ambition de la Chine est de devenir le leader mondial de l’IA d’ici 2030, et beaucoup considèrent que ses capacités sont bien supérieures à celles de l’UE.

En 2019, la Chine a battu les États-Unis au niveau du nombre de brevets obtenus par les institutions universitaires pour l’innovation dans les technologies d’IA.

54 % des 770 millions de caméras de vidéosurveillance dans le monde se trouvent en Chine, selon une étude de Comparitech.

L’émission a donné aussi l’occasion d’entendre Eric Schmidt, ancien directeur général de Google et actuel président de la Commission de sécurité nationale américaine sur l’intelligence artificielle.

Celui-ci a prévenu qu’il était impératif de battre la Chine en matière d’IA :

« Nous sommes dans un conflit stratégique géopolitique avec la Chine », a-t-il déclaré.

« Le moyen de gagner est de rassembler toutes nos ressources afin de mettre en place des stratégies nationales et mondiales permettant aux démocraties de gagner dans le domaine de l’IA. Si nous ne le faisons pas, nous serons confrontés à un avenir où d’autres valeurs nous seront imposées. »

Dr Eric Schmidt, président de la Commision de sécurité américaine sur l’IA

Le Dr Lan Xue, qui conseille le gouvernement chinois, invité aussi de l’émission, a déclaré que la reconnaissance faciale pourrait se révéler « extrêmement utile » pour identifier les personnes dans les rassemblements de masse « en cas d’accident majeur. »

« La Chine a en effet fait d’énormes progrès en matière de développement technologique », a ajouté le Dr Xue. « Les États-Unis ressentent cela comme une menace et ils ont voulu lancer cette guerre froide sur la technologie. »

« Bien que la Chine ait des différences énormes dans ses valeurs et sa politique, la vision du monde de ce pays n’est pas la convergence, mais la coexistence. La Chine ne cherche pas à exporter ses valeurs », a déclaré le Dr Keyu Jin, professeur associé à la London School of Economics.

Le projet Maven

Le Dr Schmidt est devenu conseiller du Pentagone en 2016, tout en conservant un poste de président exécutif d’Alphabet, la société mère de Google.

Dans les années suivantes, Google a entamé un contrat avec le Pentagone, lui permettant d’utiliser certaines de ses technologies de reconnaissance d’images dans le cadre d’un projet militaire.

Le projet Maven utilisait l’apprentissage automatique pour distinguer les personnes et les objets dans des vidéos de drones.

« Maven était à l’époque un moyen de remplacer les yeux humains par une vision automatique pour les séquences de drones qui étaient utilisées dans les différents conflits arabes », a déclaré le Dr Schmidt. « Je considérais l’utilisation de cette technologie comme une chose positive pour la sécurité nationale et un bon partenariat pour Google. »

Du sang sur les mains

Mais le projet a reçu des critiques de la part d’employés de Google qui ont démissionné, et ont lancé une pétition contre le projet.

« Google ne devrait pas être impliqué dans le commerce de la guerre », a déclaré Laura Nolan, ingénieure logiciel qui a démissionné en 2018, lorsqu’elle a découvert la nature du projet sur lequel Google travaillait. « J’avais un peu l’impression d’avoir du sang sur les mains » a-t-elle ajouté.(([1] bbc.com/news/technology-57122120))

Elle a fait valoir que la technologie pourrait être utilisée dans de futures décisions de ciblage.

Mais Google a déclaré que son IA ne serait utilisée qu’à des fins non offensives, avant de se retirer complètement du projet Maven en juin 2018.

Le Dr Schmidt a déclaré qu’il pensait que la technologie qui pouvait aider les militaires à prendre les bonnes décisions était néanmoins une « bonne chose. »

Course à l’armement de l’IA

Mais le ministère de la Défense américain continue de chercher des partenariats dans la Silicon Valley, pour tenter de remporter la course mondiale aux armements en IA.

Seth Moulton, président du groupe de travail américain sur l’avenir de la défense, exhorte les entreprises technologiques à soutenir le ministère de la défense :

« Parce que nous sommes dans une course, nous sommes dans cette compétition. C’est vraiment de quoi il est question », a-t-il déclaré. « Va-t-on nous aider à gagner cette course ou bien va-t-on essentiellement être contre nous ? La Chine n’a pas le même système de gouvernement que nous.

La course à l’armement en matière d’IA pourrait-elle conduire à un conflit avec la Chine ? Absolument. »

Le Dr Xue reconnaît qu’il existe un potentiel de conflit :

« Mais ce n’est pas inévitable : les États-Unis et la Chine devraient vraiment collaborer pour éviter que cela ne se produise. »

En attendant ce vœu pieux chinois, Panorama a découvert des preuves « choquantes et effrayantes » selon le Daily Mail,(([2] dailymail.co.uk/sciencetech/article-9625719/Microsoft-president-Brad-Smith-warns-life-like-Orwells-1984-2024.html?ico=embedded)) montrant que la Chine utilise déjà l’IA pour surveiller sa population, y compris une technologie qui prétend être capable de « reconnaître les émotions » et de déterminer la culpabilité.

« Le documentaire se base sur des preuves apportées par un ingénieur informatique qui a déclaré anonymement, car il craint pour sa sécurité, qu’il avait aidé à installer le système dans les commissariats de police de la province du Xinjiang, qui abrite 12 millions de Ouïghours, principalement musulmans. Il a déclaré ainsi :

« Nous avons placé la caméra de détection des émotions à trois mètres du sujet. C’est similaire à un détecteur de mensonges, mais il s’agit d’une technologie beaucoup plus avancée. Elle est utilisée pour confirmer le préjugé des autorités sans aucune preuve crédible. Le score informatique révèle que le suspect est dangereux, il doit donc être coupable de nombreux actes répréhensibles qui n’ont pas encore été avoués. »

L’IA conventionnelle utilise une entrée pour « enseigner » un algorithme sur un sujet particulier en lui fournissant d’énormes quantités d’informations. Elle peut donc être utilisée à des fins néfastes, comme c’est le cas en Chine où elle tente de déterminer la culpabilité des personnes interpellées par la police. »(([3] medias-presse.info/le-president-de-microsoft-previent-la-vie-deviendra-comme-celle-de-1984-dorwell/143056/))

Si même le président de Microsoft s’inquiète des dérives totalitaires où peut mener l’intelligence artificielle, c’est qu’il y a vraiment péril en la demeure. Il est certainement mieux placé que Klaus Schwab pour comprendre le monde cauchemardesque vers lequel cela peut mener.

Traduction et adaptation : Jean-Michel Grau





Guide de survie pour Républicains en péril: le macronisme, voilà l’ennemi !

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Le parti les Républicains (LR) joue son existence à la prochaine élection présidentielle. Or, semaine après semaine, les sondages indiquent que l’ancien parti de gouvernement n’est plus capable de placer un candidat au second tour de l’élection présidentielle. Dans « Les Droites de Husson », cette semaine, je propose une stratégie élémentaire de rebond à un parti dont se demande s’il est encore doté d’un instinct de survie.

Les sondages pour la présidentielle se suivent et se ressemblent. Lundi 24 mai, le sondage mensuel IFOP-Fiducial pour LCI et Le Figaro annonce une nouvelle fois un second tout Macron-Le Pen. Les protagonistes gagnent même légèrement en intentions de vote au premier tour, tandis que le second tour donne 54-46. Une nouvelle fois LR, même avec Xavier Bertrand, est hors jeu. C’est confirmé, s’il en était besoin, par un sondage Harris-Interactive/Challenges et par un sondage YouGov pour l’Internaute, qui montrent que Xavier Bertrand, Valérie Pécresse et Laurent Wauquiez n’arrivent pas à rayonner dans l’opinion au-delà de leur bon enracinement régional. Les Républicains sont face à une interrogation stratégique de base: quand on a deux adversaires, quel est celui qu’on doit affronter le premier puisque c’est celui qu’on a le plus de chances de vaincre? Il est bien évident que Marine Le Pen est le plus fort des deux adversaires. Il vaut mieux concentrer le combat politique sur Emmanuel Macron.

La bonne intuition de Guillaume Peltier

Un membre de la direction de LR semble avoir compris les enjeux. Dans l’entretien qu’il a accordé à Valeurs Actuelles, paru le 28 mai, Guillaume Peltier, vice-président de LR, tranche avec les propos habituels que l’on entend chez LR dans la mesure où l’adversaire politique qu’il désigne, c’est Emmanuel Macron et non Marine Le Pen.

« Contrairement à la bien-pensance, je le dis, Marine Le Pen n’est pas l’ennemi de la République (…) Emmanuel Macron est le pire président de la Ve République. Il est le président du record de la dette (2 500 milliards), des impôts (1 000 milliards par an), de la pauvreté (10 millions de pauvres), de l’immigration (2 millions de nouveaux étrangers depuis 2017), de l’insécurité (700 agressions par jour en France). Au fond, Emmanuel Macron incarne l’alliance entre le gauchisme culturel et la mondialisation financière ».

On a envie de dire à Guillaume Peltier: encore un effort, vous y êtes presque. Comme Michel Keyah et Eric Verhaeghe l’ont analysé dans nos colonnes cette semaine, le problème n’est pas d’abord « la finance » mais le mondialisme. Le renversement de Margaret Thatcher par son propre parti fin 1990, le passage aux États-Unis du libéralisme patriotique de Ronald Reagan au globalisme des Bush et des Clinton ont mis en place une redoutable machine à casser l’économie de marché et le capitalisme. Quand il n’est plus soumis à l’arbitrage des juridictions nationales ni stimulé par la concurrence entre nations, le libéralisme se transforme en son contraire: ce que Klaus Schwab appelle Great Reset est à l’opposé de la « révolution conservatrice » d’une Margaret Thatcher ou d’un Ronald Reagan, ces disciples de Hayek.  

Le Great Reset version Macron

Emmanuel Macron vient de donner une illustration de ce que la droite LR, si elle était fidèle à ses racines gaulliennes et pompidoliennes, devrait désigner comme le projet qu’elle combat sans répit. Il a prononcé le discours d’ouverture du sommet « Sauver le bien commun » co-organisé par la Toulouse School of Economics et le magazine Challenges. Occasion pour lui d’envoyer des signaux appuyés à la gauche:  « Nous avons laissé le capitalisme se déployer sans garde-fou, nous l’avons laissé se dévoyer – trop dérégulé, trop court-termiste, au point parfois de devenir fou. Ce schéma de pensée n’est plus adapté au monde actuel, car il ne prend pas assez en compte les biens communs, comme la préservation de la planète ou la justice sociale, ce qui sous-tend pour l’humanité la possibilité de poursuivre son chemin« . Le Président a justement rappelé son engagement pour « une fiscalité juste et robuste des entreprises multinationales ». Entendez la tentative d’imposer par l’intermédiaire du G7 ou de l’Union Européenne un taux universel minimal de l’Impôt sur les Sociétés. Emmanuel Macron est, dans ce combat, aux côtés de la gauche du Parti démocrate américain et d’une Angela Merkel qui ne cache plus, à quelques mois de quitter le pouvoir, ce qu’elle doit à sa jeunesse en RDA. 

Voici également comment le Président a présenté le fait que la France connaisse la part des dépenses publiques la plus élevée des économies occidentales: 63% en 2020« Nous sommes un des pays de l’OCDE qui répare le plus les inégalités par sa fiscalité et l’ensemble de ses aides et ses dispositifs de soutien« . Il a également annoncé son intention, malgré la crise des Gilets Jaunes, de revenir à la charge en matière de fiscalité écologique: « Nous courrons à l’échec si nous cherchons à décourager une action polluante par un signal prix trop vigoureux, si aucune alternative crédible n’est offerte. La France a fait l’expérience d’une politique incomplète en la matière : il faut offrir un accompagnement social massif pour permettre aux classes moyennes, aux classes populaires, de pouvoir franchir ce pas« . Non content d’avoir endetté le pays à presque 120% de son PIB, Emmanuel Macron annonce son intention de continuer: « Quant aux finances publiques, il faut raisonner à l’inverse de ce que nous faisons aujourd’hui : fixons-nous nos objectifs de croissance et donnons-nous les moyens de les atteindre. Cela ne veut pas dire endosser quelque laxisme budgétaire que ce soit, mais plutôt de réinventer un cadre rigoureux d’évaluation de la qualité de la dépense publique. »  Ah la belle langue de bois ! Demain on rase gratis: « Visons plus de croissance, car c’est le seul chemin qui nous permet de viser plus de protection sociale, plus d’innovation, plus d’investissement dans la transition écologique, plus d’égalité et de justice dans nos sociétés mais aussi entre les continents ». 

Le macronisme, voilà l’ennemi !….

Le macronisme, voilà l’ennemi ! La stratégie politique de LR devrait tenir dans ces mots simples. On n’existe pas en politique si on ne sait pas ce qu’on combat. Ou bien si on se trompe d’adversaire. Les Républicains sont à la croisée des chemins. Soit ils s’obstinent dans l’impasse du chiraquisme (« Nous n’avons qu’un ennemi, le Front National! ») et ils escamotent les raisons de la défaite de Nicolas Sarkozy en 2012. Soit ils comprennent deux choses fondamentales: 1. Ils se privent de toute chance d’être au second tour en ciblant Marine Le Pen plutôt qu’Emmanuel Macron dans un scrutin où le vote des Français va se structurer autour de la question du rejet d’Emmanuel Macron.  2. Marine Le Pen sera éventuellement élue mais son programme économique est inconsistant et elle ne semble pas, jusqu’à aujourd’hui, avoir compris qu’un renouveau de l’Etat régalien et de la faculté à en financer les postes budgétaires passe par une nouvelle « révolution conservatrice », une libération des forces entrepreneuriales et créatives du pays qui périssent actuellement étouffées sous des monceaux de régulation et une fiscalité délirante. 

Pour que la défaite, souhaitable, du président sortant, ne débouche pas sur un énorme ratage, le pays a besoin d’une droite entrepreneuriale qui joue tout son rôle à côté de la droite régalienne. 




Le Forum économique mondial annule son édition à Singapour

[Source : La Presse]

(Zurich) Le Forum économique mondial, connu sous le nom de Forum de Davos, annule l’édition 2021 qui devait se tenir à Singapour, ont annoncé lundi ses organisateurs, précisant que la prochaine rencontre n’aura lieu qu’au premier semestre 2022.  

AGENCE FRANCE-PRESSE

Le lieu, mais aussi la date définitive seront déterminés ultérieurement, en fonction d’une réévaluation de la situation au cours de l’été, ont précisé les organisateurs de cet évènement qui rassemble habituellement le gratin de la politique, de la finance et de la diplomatie dans la station chic des Alpes suisses de Davos.

Cette édition annuelle du Forum économique mondial (WEF) devait se tenir en août à Singapour, mais les organisateurs ont finalement annulé alors que la Cité-État, jusqu’à présent très peu touchée par la pandémie de COVID-19, a annoncé la semaine dernière une série de restrictions pour juguler une récente hausse du nombre de cas.  

« Ce fut une décision difficile, notamment en raison du grand intérêt de nos partenaires à se réunir non seulement virtuellement, mais aussi en personne, pour contribuer à un monde plus résilient, plus inclusif et plus durable », a déclaré le professeur Klaus Schwab, son fondateur et président exécutif, cité dans le communiqué.  

« Mais en fin de compte, la santé et la sécurité de toutes les personnes concernées restent notre priorité absolue », a-t-il ajouté.

Les organisateurs du Forum ont annulé cette édition, invoquant notamment les perspectives incertaines en matière de voyages, la mise en œuvre des stratégies de vaccination à des vitesses différentes ainsi que l’incertitude autour des nouveaux variants qui « font qu’il est aujourd’hui impossible d’organiser une rencontre internationale réunissant des dirigeants d’entreprises, de gouvernements et de la société civile à l’échelle initialement prévue », précise le communiqué.

Avec la crise sanitaire, les organisateurs du Forum avaient d’abord décidé de déplacer l’évènement ailleurs en Suisse, sur les sommets du Bürgenstock, près de Lucerne, avant d’opter pour Singapour face à l’envolée des infections dans le pays alpin durant l’automne.

La date de l’édition à Singapour qui devait permettre aux participants de se rencontrer sur place, initialement prévue fin mai, avait cependant déjà été repoussée une première fois. Elle devait finalement se tenir du 17 au 20 août.  

En janvier, le WEF avait néanmoins organisé un sommet virtuel consacré aux grands sujets du moment, dont la pandémie et le nationalisme vaccinal ou encore la crise économique.  




Le code de Nuremberg pour LES NULS (mise à jour)

Par Jean-Michel Grau

Mise à jour 26/05/2021

Deux mois après sa volonté de rendre la vaccination Covid obligatoire pour les personnels soignants, l’Académie de médecine revient maintenant à la charge pour rendre obligatoire cette fois-ci, la vaccination pour tout le monde !(([1] francais.rt.com/france/87120-covid-19-obligation-vaccinale-doit-maintenant-etre-envisagee-estime-academie-medecine))Qui peut le plus peut le moins !

Il faut vraiment que cette académie soit aux abois pour en arriver à une telle mesure de coercition en voulant imposer des piqûres géniques de 7 à 77 ans, alors que, rappelons-le encore, ce ne sont pas des vaccins, mais des expérimentations médicales OGM en phase de tests (phase 3), n’ayant reçu qu’une autorisation provisoire de mise sur le marché par l’Agence européenne du médicament.

En conséquence, la vaccination obligatoire qui revient à une expérimentation humaine sans consentement est contraire au code de Nuremberg, comme l’a expliqué en 2016 à la tribune des Nations Unies, Mary Holland, docteur en droit et professeur d’université.

Qu’à cela ne tienne ! Cela n’empêche apparemment pas l’Académie de médecine de s’asseoir sur ce code qui régit les expériences médicales depuis 1947, l’appât du gain restant apparemment le plus fort. Car on ne peut imaginer un seul instant que tous les aimables représentants de cette auguste académie ne soient pas tous plus ou moins liés par des conflits d’intérêts aux laboratoires pharmaceutiques. Sinon, pourquoi autant d’insistance à vouloir vacciner tout le monde ?

Le prétexte de l’immunité collective est un argument qui ne tient pas : le Covid 19 générant des variants à l’infini ne pourra jamais être éradiqué par des vaccins qui n’ont jamais entraîné une immunité collective contre les coronavirus. La preuve par la grippe. On est donc bien en présence ici d’un sophisme éhonté, uniquement guidé par la cupidité et l’appât du gain. Car qui dit vaccin pour tous ces médecins, dit gros pots-de-vin dans leur escarcelle. Doit-on encore rappeler ici que Pfizer, Moderna, Astra-Zeneca et Cie font partie des plus grosses cotations boursières ?

Alors que la contamination du Covid continue de diminuer drastiquement de par le monde,(([2] breizh-info.com/2021/05/24/164831/covid-19-les-nombres-hebdomadaires-de-contamination-et-de-deces-ne-cessent-de-baisser-au-niveau-planetaire/)) on comprend aisément que cette académie corrompue par l’argent commence à paniquer sévère, car dans ces conditions, les différents pays concernés se retrouvant maintenant avec des stocks de doses sur les bras, les labos risquent fort d’arrêter bientôt les injections vaccinales en même temps que les injections financières de ceux qui les promeuvent, au profit de traitements plus rentables.(([3] lecourrierdesstrateges.fr/2021/05/25/un-traitement-melant-ivermectine-et-hydroxychloroquine-qui-pourrait-detroner-le-vaccin-anti-covid-19/))

L’Académie de Médecine vient de publier le 9 mars 2021 un communiqué de presse déclarant vouloir rendre la vaccination obligatoire, en particulier pour tous les personnels soignants.

Problème : « La vaccination obligatoire qui revient à une expérimentation humaine sans consentement est contraire au Code de Nuremberg », expliquait en 2016 à la tribune des Nations Unies, Mary Holland, docteur en droit et professeur d’université.

Le code de Nuremberg s’appliquant aux expériences médicales, il s’applique donc aux vaccins à ARN messager Covid-19 dont l’estampille « programme de santé approuvé par le gouvernement » n’a aucune légitimité.

EN EFFET, SANS ATTENDRE LES RÉSULTATS DES ESSAIS THÉRAPEUTIQUES HABITUELLEMENT EXIGÉS, CES VACCINS N’ONT PU OBTENIR DE L’ANSM ET DE l’UE QU’UNE AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHÉ CONDITIONNELLE, CAR ILS SONT ENCORE EN COURS D’ESSAI DE PHASE 3.

Ils sont donc à ce jour encore expérimentaux et ne respectent pas le protocole en matière de vaccins qui a été abrégé sous la fausse allégation que le Covid-19 constituerait une « pandémie mortelle » présentant une « grave menace pour la santé publique mondiale ».

En réalité, il ne s’agit ni d’une pandémie ni d’une menace pour la santé publique mondiale, tout juste une épidémie dont la létalité est de 0,05 %, loin derrière la grippe saisonnière qui n’a jamais fait l’objet de toutes les mesures coercitives que connaît aujourd’hui notre pays.

L’application des principes du Code de Nuremberg aux vaccins à ARN messagers : voici en résumé ce qu’en disait Christian Cotten,(([4] youtube.com/watch?v=5rxeNg7zLzg)) psychosociologue, le 2 décembre 2020 :

Une campagne de vaccination est organisée par la Haute Autorité de Santé de l’État français. Les vaccins utilisés sont des vaccins à ARN messager. Ce type de formulation n’a jamais été utilisée auparavant et les études préliminaires ne sont pas publiées. Il n’existe à ce jour aucune information disponible ni pour les scientifiques, ni pour la population, relativement à la composition précise et exacte de ces produits médicaux, pas plus qu’à leurs potentiels effets secondaires à court ou long termes, ou encore leurs séquelles handicapantes, voire mortelles.

Cette campagne vaccinale est une expérimentation médicale, puisque son caractère novateur conduit à ce que strictement personne ne puisse en connaître les conséquences pour les populations qui seraient les sujets de ces expérimentations.

Les expérimentations médicales sont encadrées en droit pénal international par le Code de Nuremberg, d’interprétation la plus stricte : un certain nombre de médecins ont ainsi été condamnés à mort en 1947 pour violation des principes de ce Code international, largement reconnu depuis cette époque.

L’article 1 du Code de Nuremberg expose ce qui suit :

Le consentement volontaire du sujet humain à l’expérimentation est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.

Ce dernier point demande que, avant de consentir à l’expérience, le sujet doit connaître sa nature, sa durée et son but ; les méthodes et moyens par lesquels elle sera conduite ; tous les désagréments et risques qui peuvent être raisonnablement envisagés et les conséquences pour sa santé ou sa personne qui pourraient possiblement advenir du fait de sa participation à l’expérience. .L’obligation et la responsabilité d’apprécier la qualité du consentement incombent à chaque personne qui prend l’initiative, dirige ou exécute l’expérience. Il s’agit d’une obligation et d’une responsabilité personnelles qui ne peuvent pas être déléguées impunément.

Ainsi, le fait pour toute personne qui participerait à tout acte coercitif de vaccination avec l’un des vaccins anti-Covid-19 annoncés, serait en situation de commettre une expérience médicale inacceptable en violation du Code de Nuremberg et une atteinte à l’intégrité d’autrui par administration de substances potentiellement nuisibles, en application de l’article 222-15 du Code pénal, sanctionnable par les articles 222-7 à 222-14-1 du même code.

En d’autres termes, toute institution hospitalière publique ou privée, tout médecin prescripteur, tout infirmier, qui participerait directement ou indirectement à la vaccination obligatoire du personnel soignant, comme cela est demandé par l’Académie de Médecine, se rendrait coupable d’un acte délictuel en violation du Code de Nuremberg selon les articles précités.

La présente vaut donc, d’une part, avertissement à l’ensemble des acteurs du système de santé, des fabricants aux médecins, infirmiers ou aides-soignants susceptibles de prêter leur concours à ces opérations d’expériences médicales coercitives fondées sur un produit dont la nocivité potentielle n’a pas été suffisamment testée à ce jour.

La présente vaut donc, d’autre part, mise en garde à tous les personnels soignants soucieux de leur santé contre une expérience médicale coercitive injustifiée au regard des droits fondamentaux garantis par le droit international et plus particulièrement le Code de Nuremberg.

Dans ces circonstances, la plainte publique et nominative contre les acteurs professionnels qui participeraient à cette expérience, directement ou indirectement devient une nécessité éthique urgente visant à la sauvegarde de la santé de tous.

En conséquence de ce qui précède, les responsables de santé de l’Académie de Médecine doivent savoir en connaissance de cause à quelles sanctions ils s’exposent en cas de vaccination obligatoire des personnels soignants, celle-ci violant le code de Nuremberg, à plusieurs titres.

L’obligation vaccinale est donc une imposture qui ne pourra résister un seul instant aux nombreux avocats qui étudient attentivement en France et à l’étranger ces vaccins à ARN messager expérimentaux.

TOUTE PERSONNE IMPLIQUÉE DANS LA MISE EN PLACE OU L’EXÉCUTION DE PROGRAMMES EXPÉRIMENTAUX DE VACCINATION OBLIGATOIRE SE TROUVERA DONC « DE FACTO » EN INFRACTION AVEC LE CODE DE NUREMBERG ET LE DROIT INTERNATIONAL. EN TANT QUE TELLE, ELLE DEVIENDRA PERSONNELLEMENT RESPONSABLE, DANS TOUT FUTUR PROCÈS INTENTE POUR CRIME CONTRE L’HUMANITÉ.





Commerce extérieur : la France lanterne rouge de l’Europe

Par Jean-Michel Grau

L’INSEE a publié le 17 mai 2021 le tableau du solde des échanges extérieurs des 27 pays de l’Union européenne. L’Allemagne, sans surprise, est la première du classement avec un excédent de presque 200 milliards d’Euros. La France — oh surprise! — est quant à elle, bonne dernière, avec un déficit de plus de 65 milliards. Après sa gestion catastrophique du Covid et la mise à l’arrêt de toute son infrastructure touristique, de toutes ses PME et de ses petits commerces, mais aussi la perte abyssale de plus de 7 milliards d’Euros de son industrie aéronautique depuis 2019, le moment est venu pour la France de passer à la caisse.

Il faut dire que c’est une sacrée performance pour l’économie française d’arriver à faire en déficit ce que l’Italie fait en excédent, alors que celle-ci est le pays le plus endetté d’Europe, dont il faut saluer au passage la 4e place de ce podium. Même la malheureuse Grèce s’en tire mieux avec un déficit de « seulement » 15 milliards d’Euros.

Reconnaissons ici que la politique du « quoi qu’il en coûte » du tandem Macron-Le Maire a donc porté ses fruits au-delà de toutes espérances. Elle devrait même devenir très vite un cas d’école pour toutes les écoles de gestion et de commerce, afin de comprendre comment on peut arriver à ruiner un pays en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.

Tout cela à cause d’un microbe. Il a bon dos ce virus : grâce à lui, on peut allègrement taper dans les caisses des fonds publics. Sans souci, vu que la BCE fait marcher la planche à billets à tour de bras, au risque de faire ressurgir l’inflation, mais patience, on y vient.

Le bilan des exportations françaises est donc logiquement à l’image du bilan calamiteux de son commerce extérieur, vu qu’elles ont reculé de presque 16 %, annulant l’effet du recul des importations de 13 %.

C’est pourquoi Bruno Le Maire envisage très sérieusement d’effacer la dette de certaines entreprises, contractée durant les fermetures liées aux confinements où 650 000 entreprises ont accumulé près de 137 milliards de dettes à travers les prêts garantis par l’État.(([2] francais.rt.com/magazines/cest-cash/86794-faut-il-effacer-dette-covid-entreprises))) Effacer les dettes à coup d’ardoise magique, voilà qui est pratique ! Et ce, « Quoi qu’il en coûte ! » Quel sacré farceur, ce Bruno ! Toujours le mot pour rire !

Le problème est que l’excuse de la crise sanitaire pour expliquer ces résultats consternants ne tient pas, car le Covid s’est joué des frontières, comme tout un chacun sait, et a sévi sans discernement dans tous les pays européens. La plupart d’entre eux s’en sont largement mieux sortis que la France. Ainsi, l’Allemagne, l’Irlande, les Pays-Bas et l’Italie enregistrent des soldes d’échanges extérieurs largement positifs. Le solde des échanges extérieurs de l’Allemagne est positif de 194 milliards d’Euros, celui de l’Italie de 60,5 milliards d’Euros, quand celui de la France est déficitaire de 66,8 milliards…

Oui, mais toute l’Europe n’a pas la chance d’avoir Bruno Le Maire à la manœuvre.

Et comme si ce tableau d’apocalypse ne suffisait pas, la remontée prochaine des taux d’intérêt(([3] lecourrierdesstrateges.fr/2021/05/20/comment-biden-prepare-letranglement-de-macron-fin-2021/)) risque d’asphyxier définitivement l’économie de la France, pays le plus dépensier de toute l’UE.

Autant dire que la réélection de Macron apparaît désormais plus que compromise, et que plus personne ne miserait un kopeck aujourd’hui sur le soutien du patronat et des grandes entreprises françaises, pour les prochaines élections présidentielles, à ce Jupiter de salle de bains dont les rêves de grandeur risquent de finir très bientôt au tout-à-l’égout.





C’est officiel : le 1er juillet, l’Union européenne devient un immense camp de concentration

Par Jean-Michel Grau

Le passeport sanitaire devrait être officiellement mis en place à partir du 1er juillet pour circuler à nouveau entre les différents pays de l’Union.

En effet, un accord vient d’être trouvé entre eurodéputés et états membres sur le pass sanitaire qui permettra à l’aide d’un QR code d’indiquer que son titulaire a bien été vacciné, qu’il a passé un test négatif, ou encore qu’il est immunisé après avoir été infecté par le Covid19.(([1] francais.rt.com/international/86953-pass-sanitaire-eurodeputes-etats-membres-accordent-texte))

Il ne faut pas se leurrer : cet « ausweis »(([2] « identifiant »)) européen n’est rien d’autre qu’une permission de sortie de la prison européenne à ciel ouvert pour pouvoir à nouveau circuler entre les différents pays européens.

Il entérine ainsi la création d’Alpha+ et de bêta-, autrement dit, un gigantesque apartheid européen, selon qu’on aura été vacciné ou non.

Ce dispositif vient compléter tout un arsenal répressif et liberticide comme le traçage, le pistage, la géolocalisation, le flicage tous azimut, les confinements divers et variés, le port de la muselière, les couvre-feux et last but not least (([3] « enfin, mais pas des moindres »)), la propagande des médias et la censure des réseaux sociaux.

Toute ressemblance entre ce nouveau naziland et son modèle ne serait que pure coïncidence. Alors qui donc peut encore croire qu’aujourd’hui, l’Europe c’est la paix ? Ne serait-ce pas plutôt la guerre ?

Une Europe en guerre contre ses peuples pour asseoir définitivement sa domination avant son effondrement économique programmé pour cette année, prélude au Grand Reset du dingue de Davos afin de mettre en place la monnaie numérique et le revenu universel, carotte de soumission totale de toute la classe moyenne, future classe zombie européenne.

Ce scénario de cauchemar n’empêche pas, bien au contraire, l’Euro-Kommissar Didier Reynders de comparer cet accord à l’élection d’un pape en tweetant, enthousiaste :

« Fumée blanche : nous avons un accord sur la proposition de la Commission de certificat européen Covid. »
« Nous avons abouti sur ce nouvel instrument en un temps record pour sauvegarder la libre circulation pour tous les citoyens », s’est-il félicité.

C’est vrai qu’il y a franchement de quoi se réjouir de ce « passeport » qui n’est rien d’autre qu’une simple permission de sortie de la prison européenne, prélude à un probable prochain sésame plus sophistiqué, du genre puce numérique sous-cutanée, version schwabienne transhumaniste du bracelet électronique actuel des prisonniers.

La Kommissar en chef, Ursula von der Leyen a elle, souligné que ce certificat serait « un élément clé sur la voie d’une reprise des voyages de façon sûre et aisée à travers l’UE. »

Autrement dit, le petit su-sucre entre deux coups de schlague sur le museau.

Mais laissons le mot de la fin à l’inénarrable porte-serviette au marché intérieur, Thierry Breton, dans un grand élan lyrique :

« L’Europe avance unie avec le certificat Covid numérique… Un signal fort pour le tourisme et la relance ! »

C’est sûr, avec tous les restaurateurs au bord de la faillite dont Klaus Schwab a prévu la disparition de 75 % d’entre eux, le tourisme va repartir sur les chapeaux de roues…

Une seule ombre toutefois à ce tableau mirifique : malgré le pass sanitaire, chaque citoyen pourrait se voir imposer une quarantaine. Car les 27, soulignant que celle-ci reste de l’ordre des compétences nationales, veulent se garder cette possibilité en cas d’apparition d’un variant.

Or, c’est bien connu, les variants ignorant les frontières, les quarantaines risquent fort d’être encore au menu européen malgré ce soi-disant pass pour la liberté. Le diable se cache dans les détails…

Ce pass sanitaire qui, rappelons-le, n’est rien d’autre qu’un acte de coercition caché à se faire vacciner est au menu du sommet des dirigeants européens des 24 et 25 mai à Bruxelles. L’accord devra être approuvé par le parlement à la prochaine session plénière du 7 au 10 juin à Strasbourg.

« Ce qui permettra une entrée en vigueur le 1er juillet » a confirmé l’eurodéputé espagnol Juan Fernando Lopez Aguilar, négociateur du parlement, lors d’une conférence de presse.

Nul doute que tous les kapos de cette désormais Union de l’Enfermement voteront tous le bras levé à l’unanimité pour valider cet ausweis avec enthousiasme.

Nul doute, pensent-ils, que tous les Européens vont accepter d’arrêter de vivre pour éviter de mourir.





Pass sanitaire : le gouvernement contraint de reculer peu à peu

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

[Texte de l’illustration en français : « Fermé pour cause de Covid-19 »]

Le texte sur le pass sanitaire continue sa navette parlementaire, et devrait être discuté en urgence au Sénat aujourd’hui, après y avoir été débattu en commission des lois. Les sénateurs ont apporté de nouvelles précisions et de nouvelles restrictions à un texte qui ne devrait pas avoir d’effet au-delà de l’été. On s’en réjouira : il est désormais écrit noir sur blanc que le pass sanitaire ne peut être utilisé que dans des lieux très particuliers, et qu’il disparaît le 30 septembre au plus tard. Cette somme de restrictions pose la question de son intérêt à être mis en œuvre pour quelques semaines seulement .

Le pass sanitaire s’est à nouveau trouvé au cœur des discussions de la commission des lois au Sénat, et devrait encore y être discuté en séance publique aujourd’hui. Dominé par l’opposition, le Sénat a pris l’initiative de restreindre encore le champ d’application du texte pour en limiter les effets liberticides. 

Le pass sanitaire encore raboté

Comme l’indique la Commission des lois, le pass sanitaire a fait l’objet de nouveaux aménagements de la part du Sénat, qui a eu le mérite de poser clairement le principe de limitation dans le temps de ce pass. Jusqu’ici, cette idée se déduisait du texte, mais n’y figurait pas clairement. À la Commission des lois revient le mérite d’avoir mentionné sans ambiguïté que le pass sanitaire ne serait en vigueur que jusqu’au 30 septembre. 

Par ailleurs, la commission des lois apporte de nouvelles limites à l’exercice :

elle a décidé :
– que le « passe sanitaire » ne pourrait être mis en œuvre que dans les lieux qui, en raison
de leur configuration ou de la nature des activités qu’ils accueillent, ne permettent pas
d’assurer le respect des gestes barrières ;
– qu’il pourrait être présenté sous forme papier ou numérique ;
– que les informations médicales auxquelles auraient accès les personnes et services
autorisés à contrôler le « passe sanitaire » seraient restreintes et qu’il ne leur serait pas
possible de discriminer l’accès aux lieux, établissements ou évènements concernés en
fonction du type de preuve présentée (vaccin, test négatif ou certificat de rétablissement),
ni de conserver les documents présentés par les personnes ;
– qu’un décret déterminerait notamment, après avis du conseil scientifique Covid-19, les
éléments permettant d’établir les différents types de preuve et, après avis de la Commission
nationale de l’informatique et des libertés, les personnes et services autorisés à contrôler
les documents.

Au vu de ces limites et complications, autant dire que le pass sanitaire est mort. Bien entendu, il sera toujours possible au gouvernement de demander une relecture par l’Assemblée Nationale pour gommer ces nouvelles difficultés, dans l’hypothèse où celles-ci ne seraient pas éliminées en commission mixte paritaire (mais on voit mal pourquoi les sénateurs accepteraient de défaire ce qu’ils viennent de faire). Mais il n’en reste pas moins que les ambitions du gouvernement viennent de prendre un sacré coup. 

Le pass sanitaire verra-t-il le jour ?

Dans ces conditions, qui donc s’embêtera à mettre en œuvre un dispositif compliqué et réduit à quelques événements sporadiques ? On sait déjà que les musées et les services publics, ainsi que les grands magasins, seront exemptés de pass. Désormais, celui-ci n’est plus exigible que pour les événements comportant des activités incompatibles avec les gestes barrières, ou dans des lieux qui rendent ceux-ci impossibles. 

En outre, le pass ne mentionnera pas la nature des éléments médicaux (vaccin ou test) présentés par les personnes. 

Autant dire que le contrôle sera purement de façade et que le public n’ajoutera guère de confiance à un document qui mettra sur le même pied un vaccin et un test PCR négatif, pratiqué plusieurs jours avant. On peut donc parier sur l’échec final du dispositif et sur le renoncement assez spontané à investir dans des contrôles impopulaires cet été.

On retrouve ici un bon vieux procédé français, qui consiste à vider de son sens une règle que le gouvernement veut imposer contre la volonté générale. 

Le Sénat fustige le projet liberticide du gouvernement

Le Sénat n’a pas manqué de panache en pointant explicitement du doigt l’aberration d’un texte de sortie de crise, qui cherche à inscrire dans le droit commun des dispositions propres à la crise. Avec une vraie ténacité, les sénateurs regrettent qu’Emmanuel Macron cherche à autoriser des violations de liberté en temps normal, alors que celles-ci ne sont possibles qu’en situation d’urgence. 

La commission des lois s’est efforcée de sortir de cette confusion en appliquant une ligne
claire dont le Gouvernement n’aurait pas dû s’écarter : la sortie de l’état d’urgence doit
permettre d’apporter des restrictions aux libertés mais pas de poser des interdits
généraux ; s’il faut aller au-delà en posant des interdits généraux, le Gouvernement devra,
sous le contrôle du Parlement, rétablir l’état d’urgence.

En particulier, le Sénat considère que le couvre-feu est incompatible avec un retour à la normale et invite donc le gouvernement à maintenir l’état d’urgence jusqu’au 30 juin. 

Ce discours de liberté est une vraie bouffée d’oxygène dans un pays où il est devenu si rare, et taxé de tant de complotisme. 




Le masque de l’Education nationale qui ne sert à rien

[Source : medias-presse.info]

Par Pierre-Alain Depauw

Un lecteur travaillant dans l’Éducation Nationale nous transmet des photographies du masque et du courrier d’accompagnement qu’il a reçus de l’administration.
Vous remarquerez l’étiquette cousue sur le devant, qui permet à Macron de cumuler propagande covidienne et relance de sa campagne.

La notice d’accompagnement démontre bien à quel point ces mesures sont absolument inutiles, inapplicables et délirantes.

Petit zoom sur la notice :

Ces masques sont réservés à des usages non sanitaires.
C’est donc juste pour faire beau ?
C’est un déguisement ?
Encore une fois, rien de nouveau, et ça ne sort pas de conspi.com, c’est écrit sur le document officiel.
Comme il est écrit sur certaines boîtes de masques chirurgicaux qu’ils ne protègent pas des contaminations virales…




Le Prisonnier, un chef-d’œuvre télévisionnaire

Par Jean-Michel Grau

« La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude. »

Aldous Huxley, Le meilleur des mondes.

« Je ne suis pas un numéro, je suis un homme libre. »

Patrick Mc Goohan, alias N°6 dans Le Prisonnier.

En 1967, l’acteur fétiche de la série télévisée « Destination Danger » mettait en scène sa dystopie télévisionnaire « Le Prisonnier », qui allait devenir réalité une cinquantaine d’années plus tard.

En réalisant et en incarnant pour la chaîne de télévision britannique ITV le Prisonnier dans une série de 17 épisodes, Patrick Mc Goohan préfigurait la dictature dans laquelle nous venons de basculer depuis 2020 avec le Covid. Au-delà même de tout ce qu’on aurait pu imaginer en 1967.

Les scènes extérieures ont été filmées à Portmeirion, petite station balnéaire au Nord-Ouest du Pays de Galles, à l’architecture italienne excentrique aux couleurs pastel rappelant les crèmes glacées, créée par un architecte milliardaire excentrique, Sir Clough Williams-Ellis, dotant toute la série d’un style intemporel inoubliable, mélange improbable de styles baroque, victorien et rococo, mâtiné de colonnes doriques, de dômes florentins et de jardins tropicaux.

Personne ne sait qui est le N°1

« Chaque générique du Prisonnier répète, en version condensée, la première scène de la série. Le personnage incarné par Patrick Mc Goohan, regard bleu, cheveux blonds plaqués et costume sombre, démissionne de son mystérieux emploi en tapant du poing sur la table. Alors qu’il prépare sa valise, il est gazé dans son appartement londonien et s’évanouit avant de se réveiller groggy, dans une réplique de sa demeure.

En ouvrant les stores, il découvre qu’il n’est plus à Londres, mais dans un petit village aux bâtisses colorées, au bord d’un estuaire. Rapidement, il s’aperçoit que ses habitants aux accoutrements farfelus ne portent pas de nom, mais des numéros et qu’on ne peut pas s’échapper.

À la tête de ce camp de prisonniers à ciel ouvert qui ressemble plus au Club Med qu’à Dachau, on trouve le N°2, dont la personnalité change à chaque épisode. Personne ne sait qui est le N°1. »

(([1] slate.fr/story/171105/serie-tele-prisonnier-annees-1960-village-paralleles-monde-moderne-dystopie))

« Il tente alors de comprendre ce qu’il fait là, et part inspecter les lieux. Il essaie de téléphoner à la police, mais l’indicatif n’existe pas. Il demande alors un taxi pour sortir de la ville, mais il ne peut pas… Puis, il se rend dans une boutique pour acheter une carte de la cité. Étonnamment, celle-ci n’indique rien, à part la mer et les montagnes entourant le village.

Par la suite, il est invité dans la maison du N°2. Il y est accueilli par un homme mystérieux qui lui offre à manger. Celui-ci a un dossier de photographies sur lui. Des hommes hauts placés aimeraient savoir pourquoi il a démissionné du MI6.

Plus tard, avec le N°2, ils survolent le Village à bord d’un hélicoptère. Le Prisonnier découvre alors le bâtiment du Conseil Suprême, dont les membres seraient élus démocratiquement… Il est alors renommé N°6 par le N°2. Furieux, il hurle qu’il n’est pas un numéro, mais un homme libre. »

(([2] fantrippers.com/fr/magazine/article/407-le-prisonnier-une-serie-de-confinement-mcgoohan-prisoner))

Toute la série va reposer sur les tentatives désespérées du Prisonnier pour trouver des alliés, afin de s’échapper du Village et trouver l’identité du N°1, tout en évitant de croiser le chemin du Rôdeur, l’énorme ballon blanc tout mou chargé d’étouffer toute tentative d’évasion.

Reportons-nous maintenant à aujourd’hui.

Que découvrons-nous dans la rue ? Des zombies en train de marcher la tête rivée sur leur portable, tous muselés par un bâillon évoquant une couche-culotte faciale. Des dizaines de personnes faisant la queue devant des laboratoires d’analyses pour un test PCR. Tout autour d’eux, la plupart des magasins fermés, à part quelques rares supermarchés. Tous les rideaux des restaurants, des bars, des discothèques et des salles de sport baissés. Tout le monde confiné. Aucun déplacement permis sans une attestation qu’on s’autorise à signer pour sortir faire des achats, dits essentiels, avant l’heure du couvre-feu. Une atmosphère de peur, savamment entretenue par des médias aux ordres avec des injonctions inlassablement répétées du matin au soir, comme les gestes-barrière, l’interdiction de réunion, le port du masque dès 11 ans pour ne pas faire mourir grand-mère, et l’apparition de néologismes abscons comme le travail en présentiel ou en distanciel selon l’humeur du chef de l’État. Enfin, la promesse aussi hypothétique que fallacieuse de récupérer notre liberté perdue sous la condition expresse de prendre le risque de servir de cobaye aux labos pharmaceutiques en se faisant piquer comme des poulets OGM. Avec au bout : l’octroi d’un passeport sanitaire pour pouvoir à nouveau circuler et voyager librement, création implicite d’un monde à deux vitesses d’Alpha + et de bêta — qui n’a rien à envier à l’univers dystopique du Prisonnier.

Une situation inimaginable il y a encore deux ans et que personne n’aurait cru pouvoir devenir un jour réalité. Et pourtant ! Quand on y réfléchit bien, on ne peut que constater que nous sommes déjà tous entrés dans l’univers du Prisonnier bien avant le Covid. En fait, depuis déjà un certain nombre d’années, et ce sans même nous en rendre compte.

L’addiction au smartphone

Comme le rappelle Jean-Michel Philibert dans son livre « Le Prisonnier : une mythologie moderne », la technologie galopante de la communication nous asservit plus qu’elle nous libère par son omniprésence et ses injonctions dans notre quotidien :

« Aujourd’hui, l’événement est à peine en train de se dérouler qu’il est déjà info. Fausse ou réelle. Une immédiateté rendue possible grâce aux téléphones portables, déjà utilisés par les protagonistes du Prisonnier. « En 1967, c’était prophétique d’utiliser des téléphones sans fil. Aujourd’hui, la majorité des Occidentaux est collée à son « machin-phone », au travail, dans la rue, à table, au lit. L’addiction au smartphone est la manifestation la plus visible du fait que nous devenons un peu tous comme les habitants du Village »

(([3] Jean-Michel Philibert : facebook.com/LePrisonnierunemythologiemoderne/))

« Dans la série, l’usage des portables est toutefois réservé aux personnages de haut rang, ceux qui contrôlent les autres, ceux qui se relaient jour et nuit dans des salles circulaires pour observer en permanence des habitants dont ils souhaitent extraire « des renseignements » de manière aussi clinique qu’abstraite. Cette métaphore de l’administration, de la technocratie qui veut tout contrôler, est surtout celle de la surveillance de masse. »

(([1] slate.fr/story/171105/serie-tele-prisonnier-annees-1960-village-paralleles-monde-moderne-dystopie))

On ne peut s’empêcher de penser ici au délire psychotique de Klaus Schwab, le grand prêtre illuminé du Forum de Davos dont la surveillance de masse le fait baver d’envie dans son bréviaire 2.0, feuille de route suivie à la lettre par les dirigeants occidentaux, sous prétexte de pandémie covidienne :

« Le mouvement de l’entreprise ira vers une plus grande surveillance : pour le meilleur ou pour le pire, les entreprises surveilleront et enregistreront parfois ce que font leurs effectifs. La tendance pourrait prendre différentes formes, de la mesure de la température corporelle avec des caméras thermiques à la surveillance via une application de la manière dont les employés respectent la distanciation sociale. »

(([4] Klaus Schwab, Covid 19 : La Grande Réinitialisation, Forum Publishing))

Rick Davy, auteur de « The Prisoner, the essential guide » complète l’analyse de Jean-Michel Philibert :

« Dès le premier épisode, on montre au N°6 des extraits de sa vie entière, sur divers écrans. Le N°2 lui dit que les gens veulent tout savoir. Et cela semble vrai au vu de la société actuelle : ce qu’on mange, comment on vote, quels sont nos centres d’intérêt, tout est collecté, partagé, vendu et conservé par les réseaux sociaux, les banques, les magasins et les gouvernements. Avec les réseaux sociaux, tout le monde sait ce que tout le monde fait. »

(([5] Rick davy, The Prisoner, the Essential Guide))

Nous sommes nos propres surveillants

Selon Philibert, « C’est toute la contradiction qu’il faut assumer : entre profiter d’un espace de liberté d’expression et accepter qu’une organisation commerciale comme Facebook recueille des renseignements sur nous. Notre société de surveillance a ceci de particulier que nous sommes nos propres surveillants. C’est nous qui donnons « des renseignements » par l’intermédiaire de nos écrans. Cliquer, c’est se dénoncer. »(([4] Klaus Schwab, Covid 19 : La Grande Réinitialisation, Forum Publishing)) Il en va de même aujourd’hui avec les attestations de sortie de confinement que nous nous autorisons à nous-mêmes. Au nom de quoi ? On cherche encore…

« Comme les villageois qui rapportent les informations aux autorités en place, nous sommes, de par notre usage des réseaux sociaux, complices du fichage et du contrôle. Il faut donc bien avoir conscience que nous nous faisons déjà ficher, classer, estampiller et numéroter de notre plein gré.

Si la phrase la plus célèbre de la série est bien :

« Je ne suis pas un numéro, je suis un homme libre. »

Il semblerait que de nos jours, ce ne soit plus vraiment le cas. »

(([3] Jean-Michel Philibert : facebook.com/LePrisonnierunemythologiemoderne/))

En effet, nous sommes déjà tous devenus des numéros, avec un numéro de sécurité sociale, un numéro de portable, un code postal, un numéro de rue, un numéro de carte bancaire…

« Dans la série du Prisonnier, le N°6 se voit remettre un porte-cartes, contenant nombre de fiches d’identité, inondées de numéros. Le Prisonnier a prédit nos portefeuilles bourrés de diverses cartes, mais surtout quelque chose d’encore plus nouveau à l’époque. Au Village, rares sont les angles que les caméras de surveillance ne contrôlent pas. Aujourd’hui, ces mêmes caméras sont devenues banales. Plus ou moins consciemment, on décide de ne pas y prêter attention, optant pour la sécurité plutôt que la liberté, acceptant que tous nos faits et gestes puissent être connus des autres en échange de l’espoir qu’un attentat terroriste puisse être déjoué… »

(([1] slate.fr/story/171105/serie-tele-prisonnier-annees-1960-village-paralleles-monde-moderne-dystopie))

« Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux. »

Benjamin Franklin.

Avec les confinements et les couvre-feux Covidistes, la réalité vient rejoindre la fiction du Prisonnier. Les annonces anxiogènes et liberticides sur le masque obligatoire dès l’âge de 11 ans, les gestes-barrière et l’interdiction d’attroupement débitées toutes les demi-heures au haut-parleur aux quatre coins de la ville de Nice ou dans le métro parisien n’ont rien à envier aux annonces incessantes de la radio qu’on ne peut pas éteindre du Prisonnier.

L’uniformisation a un prix

« La sécurité se vend bien, c’est un bon argument pour faire accepter la diminution des libertés individuelles. Dans le Prisonnier, l’individualité est quasi criminelle, on peut être mis au ban de la société si on est différent. Tout comme il faut porter certains habits achetés par des gamins du monde entier pour se faire accepter à l’école. Ainsi, les captifs éclatent de rire quand le N°6 affirme être un individu.»(([4] Klaus Schwab, Covid 19 : La Grande Réinitialisation, Forum Publishing)) Les mêmes qui sont habitués à rire et applaudir sur demande. La démocratie et la liberté ne sont plus, tout comme aujourd’hui en Occident, que des fantoches au Village du N°6.

Tout comme les habitants du Village acceptent d’être fichés, la plupart d’entre nous acceptent le port de la muselière pour pouvoir continuer à vivre la même existence que les autres. Au-delà de la crainte d’écoper d’une amende de 135 euros, c’est cette peur de se singulariser, ce besoin de se fondre dans la masse qui fait que le commun des mortels finit par accepter l’inacceptable : on ne se sent plus muselé comme un chien quand on voit que tous les autres sont logés à la même enseigne. On est trop occupé par son quotidien pour consacrer encore du temps à remettre en question la perte de sa liberté.

Comment peut-il en être autrement aujourd’hui avec cette tyrannie du politiquement correct, où tout débat est devenu interdit depuis la dictature sanitaire ? Dès qu’un opposant remet en cause la pertinence de la doxa covidiste, il se fait immédiatement rabrouer et traiter de complotiste. Il en va de même pour tous ceux qui osent remettre en question le bonheur européiste dont les arguments se voient balayés par la reductio ad Hitlerum habituelle.

« Le Village ramollit ses habitants à coups d’alcool, de jeux et de sport qui ne sert qu’à tuer le temps. Malheureusement, nous en sommes parfois, nous aussi, réduits à occuper nos vies, à nous remplir de vide. C’est une prison dorée, pour nous autres Occidentaux qui jouissons de loisirs et de biens de consommation créés sur la misère du monde. Mettez un individu devant un écran, et il abdique sa vie pour contempler un spectacle.»

(([3] Jean-Michel Philibert : facebook.com/LePrisonnierunemythologiemoderne/))

La parodie de vie des personnages de la télé-réalité a remplacé avantageusement l’existence réelle.

Et Jean-Michel Philibert d’asséner : « Au Village, c’est la société du spectacle. Chacun joue un rôle dans la comédie ou la tragédie écrite par les dirigeants. Nous, nous contemplons le spectacle de la société sur nos écrans. Le journal télévisé nous dit quoi penser, l’émission de télé-réalité nous dit quoi ressentir. »(([4] Klaus Schwab, Covid 19 : La Grande Réinitialisation, Forum Publishing))

Parfois la fiction de la télé-réalité et la réalité finissent par se confondre. Tout comme le Village dystopique du N°6 se confond dorénavant avec le village de fous du monde covidiste d’aujourd’hui. Patrick Mac Goohan, lui-même, ne disait-il pas avant son décès en 2009 que le monde allait devenir « le Village » ?

Maintenant, quant à savoir qui est le N°1, il suffit de regarder la série pour le découvrir.

Beaucoup d’entre nous ne s’en sont jamais remis.

Le Prisonnier est un hymne à la liberté. C’est quand on la perd comme aujourd’hui qu’on réalise comme elle nous est précieuse. Raison de plus de redécouvrir aujourd’hui cette allégorie philosophique par excellence.





Un putsch sans soldats

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

À l’heure où la « lettre des généraux » ébranle le Pouvoir qui s’imaginait s’appuyer sur la léthargie ou la niaiserie des militaires, il est bon de rappeler que le général Henri Roure écrivait une autre lettre, le 27 mai 2017, quelques jours à peine après le putsch sans soldat de Macron (publiée dans le magazine suisse Arrêt sur info).
Nous relayons volontiers cette lettre qui vient conforter celles qui circulent en ce moment au sein des Armées.

L’élection présidentielle, qui a amené M. Macron à la présidence, est le fruit vénéneux d’un déni de démocratie.

Il s’agit d’une spoliation, résultat d’un rejet masqué de l’idéal démocratique. La manipulation vient de loin. Elle est probablement la forme la plus élaborée du coup d’État car elle ne refuse pas le principe des élections sur lequel repose l’expression de la volonté populaire, mais, sciemment – j’allais écrire scientifiquement – elle pervertit, oriente, sculpte l’opinion publique. Elle repose sur l’énorme puissance d’un système qui a l’ambition de s’imposer au monde, à commencer par ce que nous appelons, aujourd’hui, improprement, l’Occident. Ses moyens sont, à l’évidence, considérables.

Nous sommes confrontés à un monstre que certains ont baptisé l’internationalisme financier, ou l’ultralibéralisme, mais qui, en tout état de cause, est intimement lié à la puissance étatsunienne. Il s’agit de l’avatar le plus ingénieux de l’impérialisme étatsunien relayé par son allié fidèle l’Union Européenne.

La vraie démocratie est trop dangereuse pour la finance internationale, car elle peut amener au Pouvoir des personnes véritablement choisies par le Peuple avec des idées aussi saugrenues que la défense des intérêts nationaux, la patrie, la protection sociale, la morale, l’éducation et la culture, le service public ou encore l’État de droit. Ce risque ne peut être accepté quand il s’agit de globaliser ou plus exactement d’américaniser et de subordonner les Peuples au puissant réseau politico-bancaire piloté par Washington. Il est donc nécessaire de tendre vers une pensée unique.

Difficile cependant de s’affranchir des élections… Dès lors il faut les truquer à l’aide de la désinformation aboutissant à la manipulation de l’opinion publique ; c’est tellement plus simple et moins risqué puisque le Système est propriétaire des médias et des instituts de sondage et peut s’appuyer sur quelques dirigeants, intellectuels ou bobos, bien placés et convaincus. Il ne faut pas s’étonner, ainsi, de l’assassinat politique de François Fillon, dont le programme trop judicieux et national pouvait éloigner la France de cette subordination. L’astuce fut de l’accuser de ce que l’immense majorité des parlementaires fait, en toute légalité, mais qui, pour lui, fut présenté, dans un acharnement médiatique sans limite, comme de la corruption. Aucun journaliste ne s’éleva pour regarder les faits avec objectivité. Et pour cause, tous dépendent du Système…

Aude Lancelin, ancienne rédactrice en chef adjointe de l’Obs le dit clairement : « L’ensemble des médias est sous la coupe du CAC 40 ».
En association avec eux quelques juges haineux trop liés à un Pouvoir désireux de se survivre à lui même et intimement impliqué dans le réseau.

La suite se présentait d’évidence. Face à un éclatement consommé des partis traditionnels, résultat de primaires inspirées de la vision étatsunienne de la sélection des candidats et inadaptées à la culture politique française, un inconnu, issu directement du milieu bancaire, et présentant l’image de la nouveauté, pu être propulsé dans le pseudo débat. Le Système, alors, n’a même pas cherché à se dissimuler sous les atours d’une apparente objectivité. Les médias aux ordres n’eurent qu’à relayer l’habituelle hystérie anti Front National en utilisant tous les vieux procédés passant de l’association d’images aux citations hors contexte et à l’insinuation. Il fallait faire « barrage » sans que quiconque sache vraiment pourquoi, ou, plus justement, de crainte que le constat devienne trop clair que ce parti avait récupéré les idées gaullistes, imprudemment abandonnées par la droite classique.

Le matraquage, cette fois, fit l’éloge du néophyte et, toute honte bue, ceux qui auraient dû rester neutres ou au moins discrets, affirmèrent péremptoirement qu’il fallait voter pour lui.

Libération Votez Macron 6-7 mai 2017

Nice Provence Info aime bien cette une de Libération qui en dit long avec quelques mots seulement

Preuve suprême de cet internationalisme bien loin d’être prolétarien, l’étatsunien Obama apporta bruyamment son soutien, Merkel de même et l’inénarrable Junker donna sa contribution. Des étrangers intervenaient dans une élection française ! Personne n’y vit un scandale…

Dans un panorama politique trafiqué et disloqué, le banquier fut élu

Il le fut avec les voix d’électeurs qui, par opposition, viscérale et entretenue, à l’autre candidat, celui de la négation absolue de ce Système, se sont piégés. Comment faire désormais pour se séparer de celui qu’ils ont, de fait, contribué fortement à porter à la magistrature suprême ?

Ajoutons que l’opération était tellement bien montée que le nouveau président a été élu alors que l’immense majorité du corps électoral lui était, sinon hostile, du moins opposée. Qui le dit ? Regardons les chiffres sous un angle particulier. La participation a été de 74,56% soit 25% d’abstentions. Il y a eu 66% de suffrages exprimés, c’est à dire 34% de nuls ou blancs. Si, à ce chiffre, nous ajoutons les 34% qui ont voté Le Pen, nous constatons que 68% des personnes qui se sont déplacées jusqu’aux urnes n’ont pas voté pour Macron. Dans cette élection nombreux sont ceux qui se sont abstenu par hostilité aux finalistes. En minorant leur nombre parmi les non-votants, nous pouvons les estimer à 6 ou 7%. Ce qui fait un total intermédiaire voisin de 75% qui ont refusé Macron. Si nous ajoutons à ce dernier chiffre ceux qui ont voté Macron par opposition à le Pen, mais pas par adhésion à ses idées, nous aboutissons, probablement, à 85% du corps électoral qui ne soutient pas le nouvel « élu »

Le nouveau président est peut être légal aux termes de la Constitution, mais illégitime au regard de la morale politique. Au bilan, Macron est un usurpateur. En réalité, la démocratie française d’aujourd’hui n’est qu’une dictature qui se déguise. Elle est devenue le pire des régimes comme tous les autres. J’ose espérer que personne parmi ces profiteurs, qui vont suivre Macron, ne proférera la moindre critique sur la façon dont nos amis africains voient la démocratie…

Je ne suis donc pas en opposition mais en résistance, tout en sachant que le combat sera long et difficile. Je débute ma marche…

Général Henri Roure
Secrétaire national pour les questions de défense au CNIP (Centre National des Indépendant et Paysans)




L’avertissement des militaires d’active aux autorités de l’État

[Source : breizh-info.com]

Armée. « Oui, de nouveau, la guerre civile couve en France et vous le savez parfaitement » : L’avertissement des militaires d’active aux autorités de l’État

« Si nous ne pouvons pas, réglementairement, nous exprimer à visage découvert, il nous est tout aussi impossible de nous taire ». Après l’appel citoyen lancé par des anciens militaires qui a fait la une de l’actualité ces jours derniers, voici qu’à leur tour des militaires d’active prennent la plume pour s’adresser aux autorités de l’État. Du jamais vu dans l’histoire de l’Armée française depuis des décennies. Voici ce texte, appelé à faire date, que Valeurs actuelles a également publié. 


Monsieur le Président de la République,

Mesdames et Messieurs les ministres, parlementaires, officiers généraux, en vos grades et qualités,

On ne chante plus le septième couplet de la Marseillaise, dit « couplet des enfants ». Il est pourtant riche d’enseignements. Laissons-lui le soin de nous les prodiguer :

« Nous entrerons dans la carrière quand nos aînés n’y seront plus. Nous y trouverons leur poussière, et la trace de leurs vertus. Bien moins jaloux de leur survivre que de partager leur cercueil, nous aurons le sublime orgueil de les venger ou de les suivre ».

Nos aînés, ce sont des combattants qui ont mérité qu’on les respecte. Ce sont par exemple les vieux soldats dont vous avez piétiné l’honneur ces dernières semaines. Ce sont ces milliers de serviteurs de la France, signataires d’une tribune de simple bon sens, des soldats qui ont donné leurs plus belles années pour défendre notre liberté, obéissant à vos ordres, pour faire vos guerres ou mettre en œuvre vos restrictions budgétaires, que vous avez salis alors que le peuple de France les soutenait.

Ces gens qui ont lutté contre tous les ennemis de la France, vous les avez traités de factieux alors que leur seul tort est d’aimer leur pays et de pleurer sa visible déchéance.

Dans ces conditions, c’est à nous, qui sommes récemment entrés dans la carrière, d’entrer dans l’arène pour avoir simplement l’honneur d’y dire la vérité.

Nous sommes de ce que les journaux ont nommé « la génération du feu ». Hommes et femmes, militaires en activité, de toutes les armées et de tous les grades, de toutes les sensibilités, nous aimons notre pays. Ce sont nos seuls titres de gloire. Et si nous ne pouvons pas, réglementairement, nous exprimer à visage découvert, il nous est tout aussi impossible de nous taire.

Afghanistan, Mali, Centrafrique ou ailleurs, un certain nombre d’entre nous ont connu le feu ennemi. Certains y ont laissé des camarades. Ils ont offert leur peau pour détruire l’islamisme auquel vous faites des concessions sur notre sol.

Presque tous, nous avons connu l’opération Sentinelle. Nous y avons vu de nos yeux les banlieues abandonnées, les accommodements avec la délinquance. Nous avons subi les tentatives d’instrumentalisation de plusieurs communautés religieuses, pour qui la France ne signifie rien -rien qu’un objet de sarcasmes, de mépris voire de haine.

Nous avons défilé le 14 juillet. Et cette foule bienveillante et diverse, qui nous acclamait parce que nous en sommes l’émanation, on nous a demandé de nous en méfier pendant des mois, en nous interdisant de circuler en uniforme, en faisant de nous des victimes en puissance, sur un sol que nous sommes pourtant capables de défendre.

Oui, nos aînés ont raison sur le fond de leur texte, dans sa totalité. Nous voyons la violence dans nos villes et villages. Nous voyons le communautarisme s’installer dans l’espace public, dans le débat public. Nous voyons la haine de la France et de son histoire devenir la norme.

Ce n’est peut-être pas à des militaires de dire cela, arguerez-vous. Bien au contraire : parce que nous sommes apolitiques dans nos appréciations de situation, c’est un constat professionnel que nous livrons. Car cette déchéance, nous l’avons vue dans bien des pays en crise. Elle précède l’effondrement. Elle annonce le chaos et la violence, et contrairement à ce que vous affirmez ici où là, ce chaos et cette violence ne viendront pas d’un « pronunciamento militaire » mais d’une insurrection civile.

Pour ergoter sur la forme de la tribune de nos aînés au lieu de reconnaître l’évidence de leurs constats, il faut être bien lâche. Pour invoquer un devoir de réserve mal interprété dans le but de faire taire des citoyens français, il faut être bien fourbe. Pour encourager les cadres dirigeants de l’armée à prendre position et à s’exposer, avant de les sanctionner rageusement dès qu’ils écrivent autre chose que des récits de batailles, il faut être bien pervers.

Lâcheté, fourberie, perversion : telle n’est pas notre vision de la hiérarchie.

L’armée est au contraire, par excellence, le lieu où l’on se parle vrai parce que l’on engage sa vie. C’est cette confiance en l’institution militaire que nous appelons de nos vœux.

Oui, si une guerre civile éclate, l’armée maintiendra l’ordre sur son propre sol, parce qu’on le lui demandera. C’est même la définition de la guerre civile. Personne ne peut vouloir une situation aussi terrible, nos aînés pas plus que nous, mais oui, de nouveau, la guerre civile couve en France et vous le savez parfaitement.

Le cri d’alarme de nos Anciens renvoie enfin à de plus lointains échos. Nos aînés, ce sont les résistants de 1940, que, bien souvent, des gens comme vous traitaient de factieux, et qui ont continué le combat pendant que les légalistes, transis de peur, misaient déjà sur les concessions avec le mal pour limiter les dégâts ; ce sont les poilus de 14, qui mouraient pour quelques mètres de terre, alors que vous abandonnez, sans réagir, des quartiers entiers de notre pays à la loi du plus fort; ce sont tous les morts, célèbres ou anonymes, tombés au front ou après une vie de service.

Tous nos aînés, ceux qui ont fait de notre pays ce qu’il est, qui ont dessiné son territoire, défendu sa culture, donné ou reçu des ordres dans sa langue, ont-ils combattu pour que vous laissiez la France devenir un Etat failli, qui remplace son impuissance régalienne de plus en plus patente par une tyrannie brutale contre ceux de ses serviteurs qui veulent encore l’avertir ?

Agissez, Mesdames et Messieurs. Il ne s’agit pas, cette fois, d’émotion sur commande, de formules toutes faites ou de médiatisation. Il ne s’agit pas de prolonger vos mandats ou d’en conquérir d’autres. Il s’agit de la survie de notre pays, de votre pays.

Photo d’illustration : DR
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