La France corrompue (suite)

Six ans et demi en Macronie : 18 condamnations, 7 mises en examen et 13 enquêtes en cours

[Source : regards.fr]

Par Loïc Le Clerc

Article mis à jour le 29 novembre 2023.

Il voulait introduire de la « moralisation » dans la vie publique, il promettait une « République exemplaire ». Au final, la « grande » loi portée par le Garde des Sceaux François Bayrou n’aura été qu’une réponse à l’affaire Fillon. Un fait divers, une loi.

La suite de la « morale » macronienne, on la connaît. À se croire dans l’Ancien Monde. Déjà six ans qu’Emmanuel Macron est Président et la liste des déboires de la Macronie ne cesse de s’allonger.

[Voir aussi :
La France corrompue
et
Le Berger et le roi mineur]

18 condamnations

  • Laetitia Avia

Depuis l’été 2020, la députée-vice-présidente-du-bureau-exécutif-porte-parole de LREM est visée par une enquête pour « harcèlement moral ». Cinq de ses anciens assistants parlementaires l’accusent, dans un article publié par Mediapart, d’humiliations, harcèlements et abus de pouvoir. Le 5 juillet 2023, la désormais ex-députée a été condamnée à six mois de prison avec sursis et deux ans d’inéligibilité pour harcèlement moral.

  • Anne-Christine Lang

Le 9 mai 2023, l’ex-députée LREM Anne-Christine Lang a été condamnée à 3 ans d’inéligibilité et 60 000 € d’amende pour détournement de fonds publics, apprend-on dans Le Monde. On lit :

« Mme Lang a reconnu avoir utilisé une partie de son indemnité représentative de frais de mandat (IRFM) à des fins personnelles. Des “dépenses non conformes” à hauteur de 44 650 euros, comme l’a rappelé le président du tribunal, citant comme exemple des consultations médicales, l’achat de jouets et de vêtements pour enfants, le paiement de cotisations à un parti politique ou encore des chèques en faveur de personnes ou de sociétés “sans lien avec le mandat de député”. »

  • François Pupponi

Ancien maire de Sarcelles et député MoDem, François Pupponi a été condamné à 5000 euros d’amende et 29 000 euros de dommages et intérêts, en janvier 2022, pour abus de biens sociaux et faux et usage de faux par le tribunal correctionnel de Pontoise. L’élu a fait appel de cette décision, lit-on sur Mediapart.

  • Alain Griset

Ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, chargé des Petites et Moyennes Entreprises, Alain Griset n’est peut-être pas le plus médiatique des membres du gouvernement, mais il est plutôt bien connu de la justice. Ainsi lit-on sur Le Monde ce mercredi 8 décembre 2021 qu’il a été « condamné à six mois de prison avec sursis et trois ans d’inéligibilité avec sursis pour déclaration incomplète de son patrimoine ». Une « maladresse » qui s’élève à 171 000 euros. Sitôt condamné, Alain Griset a fait appel de cette décision et démissionné du gouvernement. En appel, l’ex-ministre a été condamné à quatre mois de prison avec sursis.

  • Sira Sylla

Harcèlement moral, non-paiement d’heures supplémentaires et de journées de repos, manquement à l’obligation de sécurité. Voilà le beau palmarès de Sira Sylla, députée LREM de 2017 à 2022. Le 6 septembre 2022, elle a été reconnue coupable de ces faits par le conseil des prud’hommes de Rouen. Ainsi lit-on sur le site de France 3 Normandie : « L’ancienne parlementaire investie par la majorité devra verser un total de près de 80 000 € à la victime dont près de 20 000 € d’heures supplémentaires impayées, 20 000 € pour les faits de harcèlement moral et près de 21 000 € de dommages et intérêts pour le licenciement. » Au moins trois de ses anciens assistants parlementaires avaient saisi la justice. À l’époque, Bruno Roger-Petit, conseiller d’Emmanuel Macron, avait publiquement exprimé sa solidarité envers Sira Sylla. Sur Mediapart, on apprenait alors qu’un de ses collaborateurs avait ainsi « été “forcé à ne pas respecter le couvre-feu” pour lui apporter du champagne, tandis qu’un autre salarié a expliqué qu’avant son licenciement, la députée lui avait souhaité par téléphone “une bonne mort” à son grand-père, alors hospitalisé. »

  • Jacques Krabal

Député de 2012 à 2022, d’abord sous l’étiquette du PRG puis celle de LREM, Jacques Krabal a été condamné en novembre 2021 par la cour d’appel de Paris à la suite d’une plainte pour travail dissimulé et harcèlement moral de son ancien directeur de cabinet.

  • Pierre Cabaré

En septembre 2021, le député LREM est condamné aux prud’hommes pour « licenciement sans cause réelle et sérieuse » d’un collaborateur, informe Le Monde.

De plus, en septembre 2019, France 3 dévoile que Pierre Cabaré fait l’objet d’une enquête préliminaire du service régional de police judiciaire de Toulouse pour harcèlement sexuel et moral. La plaignante, sa suppléante et assistante parlementaire, a également porté plainte pour agression sexuelle. Pierre Cabaré est depuis longtemps connu des services : en 2003, il avait été condamné à un an d’inéligibilité par le Conseil constitutionnel pour la gestion de son compte de campagne lorsqu’il était candidat divers droite aux législatives de 2002.

  • Sandrine Josso

En février 2021, la députée Sandrine Josso MoDem a été condamnée à un an d’inéligibilité pour n’avoir pas présenté ses comptes de campagne de l’élection municipale dans les temps. Une peine qui ne l’empêchait pas d’être candidate à sa réélection en 2022.

Parallèlement, le 10 octobre 2021, Mediapart publiait l’information suivante :

« En 2018, la députée de Loire-Atlantique Sandrine Josso a demandé à son assistante de lui prêter 10 000 euros en contractant un crédit à la consommation. Elle ne l’a pas remboursée. La justice a ouvert une enquête pour “abus de confiance”. »

  • Benoit Simian

Ce député membre du groupe Libertés et Territoires à l’Assemblée (mais élu LREM) fait l’objet d’une enquête « pour harcèlement moral par conjoint […] dans le cadre d’une “séparation houleuse” assortie de “plaintes croisées” pour violences », lit-on dans Sud Ouest. Déjà interdit d’approcher du domicile conjugal, une demande de levée d’immunité a été formulée auprès du bureau de l’Assemblée, lequel, début décembre 2020, l’a… rejetée.

En juin 2022, Benoît Simian est condamné à huit mois de prison avec sursis. Il doit également verser 5000 euros à son ex-compagne et a interdiction de s’approcher d’elle pendant un an. Toutefois, il échappe à une peine d’inéligibilité. À noter que l’imminence de cette condamnation ne l’avait pas empêché d’être candidat à sa réélection aux législatives.

Benoît Simian fait parallèlement l’objet d’une enquête judiciaire pour harcèlement à l’encontre d’une collaboratrice.

  • M’Jid El Guerrab

Le 31 août 2017, M’Jid El Guerrab, alors député LREM, frappe violemment à coups de casque Boris Faure, un cadre du PS. Deux coups qui causeront un traumatisme crânien au socialiste. Pour sa défense, il accuse Boris Faure d’« insultes racistes ».

Depuis, M’Jid El Guerrab a exclu du groupe LREM à l’Assemblée nationale. Il a aussi été mis en examen pour violences volontaires avec arme.

Le 12 mai 2022, Boris Faure tweete : « Mon agresseur est reconnu coupable pleinement. 3 ans de prison, dont 2 avec sursis et 2 ans d’inéligibilité. »

  • Jean-Paul Delevoye

Lu dans Le Parisien, le 2 décembre 2021 :

« L’ancien haut-commissaire aux retraites a écopé de quatre mois de prison avec sursis et 15 000 euros d’amende pour ne pas avoir déclaré plusieurs mandats à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique. »

  • Stéphanie Kerbarh

Députée LREM lors du premier mandat d’Emmanuel Macron, Stéphanie Kerbarh a été condamnée en décembre 2019 par le conseil des prud’hommes du Havre pour un licenciement sans cause réelle et sérieuse de son assistant

  • Alexandre Benalla et Vincent Crase

Faut-il encore présenter le feuilleton de l’été ? Alors qu’Emmanuel Macron profitait de sa piscine à 34 000 euros à Brégançon, une vidéo montrant son homme de main élyséen molestant des manifestants le 1er-Mai venait assombrir le ciel estival macroniste.

Alexandre Benalla n’est pas seulement un barbouze. Il intervient comme bon lui semble, en marge des manifestations, brassard « police » autour du bras. La loi, c’est lui. Le jeune homme de 26 ans dispose aussi d’une voiture (avec chauffeur) équipée de gyrophares, d’un badge lui permettant de se rendre dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale et et de porter des armes à feu. À ce propos, ces armes étaient conservées dans un coffre-fort au domicile de Benalla. Depuis que la justice s’est saisie de l’affaire, le coffre-fort a disparu. Le 5 novembre, une information judiciaire a été ouverte contre X (coucou Alexandre Benalla) par le parquet de Paris pour « soustraction de documents ou objets concernant un crime ou un délit en vue de faire obstacle à la manifestation de la vérité ».

Pour la première fois du quinquennat, Emmanuel Macron est pris de court. Sa communication s’avère catastrophique. Lui et ses sbires accusent les journalistes de ne pas chercher la « vérité ». Même les plus conservateurs des syndicats de police s’offusqueront de voir Benalla invité du JT de TF1. Eux n’ont pas droit à autant de considération.

L’Assemblée et le Sénat tenteront de jouer leur rôle de contre-pouvoir face à un super-Président. Le Palais-Bourbon, aux mains de LREM, abdiquera rapidement, se félicitant d’avoir fait la lumière sur cette affaire, alors que le ministre de l’Intérieur, le préfet de police ou encore Patrick Strzoda, directeur de cabinet du président de la République, ont menti sous serment.

Un scandale d’État que les marcheurs qualifieront de « tempête dans un verre d’eau ». L’Élysée aurait mis à pied Benalla 15 jours, après le 1er mai, avant de le licencier une fois l’affaire rendue publique. Un « fait-divers » qui poussera Macron à réorganiser l’Élysée.

Alexandre Benalla a été mis en examen le 22 juillet pour violences volontaires, immixtion dans l’exercice d’une fonction publique, port public et sans droit d’insignes réglementés, recel de détournement d’images issues d’un système de vidéoprotection et recel de violation du secret professionnel. Vincent Crase, un gendarme réserviste salarié du parti LREM, a lui aussi été mis en examen pour les mêmes faits.

De plus, Mediapart révèle que Ismaël Emelien, conseiller spécial d’Emmanuel Macron, devrait se voir lui aussi inquiété dans cette affaire. Il est accusé d’avoir détenu le CD montrant les images volées de la vidéosurveillance des violences du 1er mai.

Le 29 novembre 2018, Alexandre Benalla a également été mis en examen pour violences volontaires, des faits commis au Jardin des plantes, toujours le 1er mai. De plus, une enquête préliminaire a été ouverte à son encontre pour la non-restitution de deux passeports diplomatiques qu’il a continué à utiliser malgré son licenciement de l’Élysée.

Le 5 novembre 2021, Alexandre Benalla a été condamné à trois ans de prison, dont un an ferme. Et, comme on peut le lire sur franceinfo :

« L’ancien collaborateur de l’Élysée n’ira toutefois pas en prison. S’il ne fait pas appel, il devra porter un bracelet électronique en Normandie, au domicile de sa mère. »

En parallèle, Vincent Crase a été condamné à deux ans d’emprisonnement avec sursis, 500 euros d’amende, l’interdiction de port d’arme de dix ans et la confiscation de celles qu’il détient pour notamment « violence en réunion », « port d’arme prohibé » et « suppression de données » dans l’affaire des violences du 1er mai 2018 à Paris. Toujours sur franceinfo :

« Enfin, deux policiers de la préfecture de police de Paris, Maxence Creusat et Laurent Simonin, jugés pour avoir transmis des images de vidéosurveillance à Alexandre Benalla, ont respectivement été condamnés à 500 euros amende et à trois mois de prison avec sursis, sans inscription pour les deux au casier judiciaire. »

« Tout va bien », pourrait commenter le Président.


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  • Jérôme Peyrat

En septembre 2020, ce conseiller d’Emmanuel Macron quitte son poste élyséen. Et pour cause : il vient d’être condamné pour violences envers son ex-compagne à 3000 euros d’amende avec sursis. Fidèle à l’idée macronnienne de faire des violences faites aux femmes la « grande cause du quinquennat », il sera nommé conseiller politique auprès de Stanislas Guérini, le patron du parti… Par la suite, LREM fera de Jérôme Peyrat sa tête de liste en Dordogne pour les élections régionales.

  • Stéphane Trompille

Lu sur Mediapart en mai 2020 : « Stéphane Trompille a été condamné par le conseil des prud’hommes de Bourg-en-Bresse pour “harcèlement sexuel” envers une ex-collaboratrice. Il va faire appel. Après moult hésitations, son groupe parlementaire lui a demandé de “se mettre en retrait”. » Il doit être jugé en appel en juin 2023.

  • Mustapha Laabid

Le 6 août 2019, le député LREM Mustapha Laabid a été condamné à six mois de prison avec sursis, trois ans d’inéligibilité et 10 000 euros d’amende pour abus de confiance. Il avait utilisé l’argent d’une association qu’il présidait à des fins personnelles. Le montant du préjudice est de 21 930,54 euros. L’élu a fait appel et la cour d’appel de Rennes a renvoyé le procès au 1er avril 2020.

  • Claire O’Petit

L’affaire remonte au mois d’octobre 2017. La députée LREM a été condamnée par la Cour d’appel de Paris pour « des fautes de gestion » lorsqu’elle était la représentante légale de l’Agence de développement et de proximité (ADCP), lit-on dans Le Parisien. Conséquence : elle n’a plus le droit de « diriger, gérer, administrer ou contrôler directement ou indirectement toute entreprise commerciale ou artisanale […] pour une durée de cinq ans ». Une condamnation qui, visiblement, n’a pas perturbé la parlementaire, laquelle s’est félicitée de ne pas avoir été condamnée ni pour détournement, ni pour enrichissement. On l’applaudit bien fort !

7 mises en examen

Je l’aime bien celle-ci. Elle a un peu vieilli, mais je l’aime bien. pic.twitter.com/h3SU9tbvp1

– Ellen Salvi (@ellensalvi) October 3, 2022

  • François Bayrou et Sylvie Goulard

Mai 2017. Emmanuel Macron commence tout juste son mandat. Trois membres du MoDem font partie du gouvernement, à des postes majeurs : François Bayrou à la Justice, Marielle de Sarnez aux Affaires européennes et Sylvie Goulard aux Armées. François Bayrou aura tout juste le temps de porter sa « grande » réforme de « moralisation ».

En juillet 2017, le parquet de Paris ouvre une information judiciaire pour abus de confiance, recel d’abus de confiance et escroqueries concernant des soupçons d’emplois fictifs d’assistants au Parlement européen.

Les trois démissionneront dès juin 2017.

Première et éphémère ministre des Armées d’Emmanuel Macron, Sylvie Goulard a été mise en examen le 29 novembre 2019 par la juge chargée de l’enquête sur les emplois présumés fictifs des assistants de députés européens. Le 4 décembre 2019, Marielle de Sarnez est mise en examen pour « détournement de fonds publics ». Le 6 décembre 2019, c’est François Bayrou qui est mis en examen à son tour. « Au total, une douzaine de responsables du Modem ont été mis en examen dans cette affaire », peut-on lire dans Les Échos. Par fair-play, nous n’intégrons dans la Macronie que les capitaines de l’équipe.

Le 13 janvier 2021, François Bayrou annonce le décès de Marielle de Sarnez.

Le 31 janvier 2023, le parquet de Paris demande le renvoi du parti et d’une douzaine de ses responsables devant le tribunal correctionnel pour « détournement de fonds publics ».

  • Alexis Kohler

Outre son rôle dans l’affaire Benalla — Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée, avait eu connaissance des agissements violents dès le mois de mai et n’a rien fait savoir à la justice, à l’instar de l’Intérieur et de l’Élysée — ce très proche d’Emmanuel Macron est embourbé dans une affaire de conflit d’intérêts.

Alexis Kohler a été directeur financier d’août 2016 à mai 2017 de l’armateur italo-suisse MSC, fondé par des membres de sa famille. Or, depuis 2010, il a aussi représenté l’Agence des participations de l’État auprès des Chantiers de l’Atlantique/STX France, dont MSC est client. Il siégeait également au conseil de surveillance du Grand Port maritime du Havre.

Selon Mediapart, avec cette double (triple !) casquette, Alexis Kohler a ainsi pu conclure en 2011 des contrats entre MSC et le port du Havre. Le beurre, l’argent du beurre et la crémière.

Anticor a porté plainte pour « prise illégale d’intérêt », « corruption passive » et « trafic d’influence ». Début juin 2018, le parquet national financier (PNF) a ouvert une enquête à l’encontre du secrétaire général de l’Élysée.

En juin 2020, on apprend via Mediapart que :

« Emmanuel Macron a écrit au PNF à l’été 2019 pour disculper Alexis Kohler, au lendemain d’un rapport de police l’accablant. À la suite de cette lettre, un second rapport d’enquête a été écrit, aboutissant à des conclusions inverses. Un mois plus tard, l’enquête sera classée sans suite. »

Rebondissement le 3 octobre 2022, où l’on apprend de franceinfo que « le secrétaire général de l’Élysée, Alexis Kohler, a été mis en examen le 23 septembre dernier pour “prise illégale d’interêts […] une information confirmée ensuite par le parquet national financier. Alexis Kohler a par ailleurs été placé sous le statut de témoin assisté pour “trafic d’influence”. » Du côté du président de la République, on ne tortille pas : Alexis Kohler est et restera à son poste. Coûte que coûte.

Le 13 mars 2023, France 2 révèle que deux anciens supérieurs de l’actuel secrétaire général de l’Élysée sont également mis en examen pour « complicité de prise illégale d’intérêts ».

  • Thierry Solère

Au tout début de l’actuelle législature, en juin 2017, le député « constructif » Thierry Solère avait magouillé avec la majorité pour obtenir le poste de questeur (celui qui gère les finances de l’Assemblée nationale), traditionnellement réservé à l’opposition. Depuis, il a rejoint les rangs de LREM et laissé ce poste prestigieux à Éric Ciotti. Mais les magouilles n’ont pas l’air de s’arrêter.

Début février 2019, le tribunal de grande instance de Nanterre a ouvert une information judiciaire contre le parlementaire pour des soupçons de « fraude fiscale, manquements aux obligations déclaratives à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, détournement de fonds publics par dépositaire de l’autorité publique et recel, recel de violation du secret professionnel, trafic d’influence et recel […] abus de biens sociaux et recel, abus de confiance et recel, financement illicite de dépenses électorales, détournement de la finalité de fichiers nominatifs, portant sur une période comprise entre 2005 et 2017 ». Rien que ça.

Le 11 octobre 2019, Thierry Solère est mis en examen pour fraude fiscale, détournement de fonds publics et trafic d’influence.

En février 2022, on apprend que Thierry Solère est « mis en examen pour cinq nouvelles infractions ». Voici ce que l’on peut alors lire sur Libération :

« L’élu LREM des Hauts-de-Seine, déjà visé par sept mises en examen […] a été mis en examen pour cinq nouvelles infractions. Thierry Solère est notamment soupçonné d’avoir utilisé à des fins personnelles une partie de ses frais de mandat entre 2012 et 2019. Il est mis en examen pour “détournement de fonds publics”, “trafic d’influence passif” dans le but de faire “obtenir des marchés” à des sociétés immobilières et à une société de conseil, et pour manquements aux obligations déclaratives à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique. »

  • Le directeur financier et le trésorier du Modem

Alors que le parti allié d’Emmanuel Macron est déjà visé par une information judiciaire concernant des soupçons d’emplois fictifs d’assistants au Parlement européen, le 16 novembre 2019, l’étau se resserre. Son directeur financier Alexandre Nardella — « premier responsable du parti centriste à être entendu par les juges d’instruction chargés de l’enquête », peut-on lire dans Le Monde — est mis en examen pour « complicité de détournement de fonds publics » et « recel de détournement de fonds publics ». Quelques jours plus tard, c’est Michel Mercier, ancien ministre de la Justice et trésorier du Modem, qui est mis en examen pour « complicité de détournement de fonds publics ».

  • Richard Ferrand

Au printemps 2017, Richard Ferrand fut, l’espace d’un mois, ministre de la Cohésion des territoires. En juin 2017, le parquet de Brest a ouvert une enquête préliminaire sur son passé à la tête des Mutuelles de Bretagne de 1998 à 2012. Le ministre fut alors remercié et devint président du groupe LREM puis président de l’Assemblée nationale.

En 2011, Richard Ferrand a favorisé la société immobilière de sa compagne Sandrine Doucen pour l’obtention d’un marché lors de la location d’un local commercial par les Mutuelles de Bretagne.

Après avoir été classée sans suite en octobre 2017, l’affaire est relancée en janvier 2018 avec l’ouverture par le PNF d’une information judiciaire pour prise illégale d’intérêts. La Cour de cassation a ordonné en juillet 2018 le dépaysement à Lille de l’information judiciaire ouverte à Paris. Fin septembre 2018, trois juges d’instruction ont été désignés à Lille.

Le 11 septembre 2019, Richard Ferrand est mis en examen pour prise illégale d’intérêts. Une première pour un président de l’Assemblée.

13 enquêtes en cours

  • Bruno Le Maire

Le 12 juin 2023, on apprend via l’AFP que le micro-parti « Avec BLM » est visée par la Brigade de répression de la délinquance économique (BRDE) de la police judiciaire parisienne. Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire sur le financement de la campagne pour la primaire de la droite de 2016. À cette nouvelle, le ministre de l’Économie s’est dit « surpris ». Tu m’étonnes !

  • Marlène Schiappa

Le 4 mai 2023, on apprend via France Inter que le parquet national financier a ouvert une information judiciaire pour « détournement de fonds publics par négligence », « abus de confiance » et « prise illégale d’intérêts » dans l’affaire du fonds Marianne. Ce fonds de 2,5 millions d’euros, créé par Marlène Schiappa en 2021 suite à l’assassinat de Samuel Paty, était destiné à des associations dans le but de promouvoir les valeurs de la République et de lutter contre le séparatisme. Or, après les révélations de Marianne et de France 2 fin mars 2023, il semblerait que l’argent alloué ait surtout à des proches de la secrétaire d’État, à des fins de propagandes politiques en pleine élection présidentielle.

  • Caroline Cayeux

Lu dans Le Monde, le 29 novembre 2022 : « La Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) a annoncé saisir la justice concernant la déclaration de patrimoine de la désormais ex-ministre déléguée aux collectivités territoriales, Caroline Cayeux, suspectant de possibles “évaluation mensongère de son patrimoine” et “fraude fiscale”. » Démissionnaire, la maire LR de Beauvais n’aura été ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales que quatre mois.

Le 7 mars 2023, on apprend dans Le Monde que l’ex-ministre est visée par une enquête préliminaire du parquet de Paris pour « déclaration de patrimoine incomplète ou mensongère auprès de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique et de blanchiment de fraude fiscale ».

  • Damien Abad

Ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées du 20 mai au 4 juillet 2022, Damien Abad est l’objet d’une enquête pour tentative de viol depuis le mois de juin 2022. Le 4 juillet, alors qu’une quatrième femme l’accuse de viol, le député sera écarté du gouvernement.

  • Chrysoula Zacharopoulou

Un mois et un jour. Voilà le temps qu’il aura fallu pour qu’un membre du gouvernement Borne soit visé par une plainte. Il s’agit de Chrysoula Zacharopoulou, secrétaire d’État chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux. Voilà ce qu’on apprend sur marianne.net en juin 2022 :

« Chrysoula Zacharopoulou […] fait l’objet de deux plaintes pour viol. Les faits reprochés auraient été commis dans le cadre de ses fonctions de gynécologue. Une enquête a été ouverte par le parquet de Paris. »

  • Nathalie Elimas

En janvier 2022, alors secrétaire d’État chargée de l’Éducation prioritaire, Nathalie Elimas est visée par une enquête administrative sur des accusations de harcèlement et de maltraitance au sein de son cabinet. « Une demi-douzaine de personnes en seraient victimes », lit-on dans Le Monde. Nathalie Elimas quitte le gouvernement en mars 2022.

  • Sébastien Lecornu

C’est ainsi que la Macronie fait sa rentrée en 2021 : une enquête préliminaire pour une éventuelle prise illégale d’intérêts est en cours au Parquet national financier (PNF) à l’encontre du ministre des Outre-Mer. On apprend la nouvelle via Libération. Le quotidien précise :

« Les faits remontent à l’époque où il cumulait les fonctions de président du conseil départemental de l’Eure et un poste d’administrateur de la Société des autoroutes Paris-Normandie ».

  • Olivier Dussopt

11 juin 2020, Mediapart révèle que :« le parquet national financier a ouvert une enquête préliminaire pour “corruption” et “prise illégale d’intérêts […] Le secrétaire d’État s’était fait offrir en 2017 des œuvres d’art par un dirigeant de la Saur, en affaires avec la municipalité qu’il dirigeait alors. » L’ancien socialiste sera perquisitionné le 18 août 2020.

Le 4 février 2023, on lit sur Mediapart :

« Le ministre du Travail, en première ligne politique et médiatique avec la réforme des retraites, a reçu ces derniers jours un rapport d’enquête accablant du Parquet national financier (PNF), qui le soupçonne d’un délit de favoritisme sur un marché truqué avec l’un des géants français de l’eau, le groupe Saur. »

  • Le « dircab » de Richard Ferrand

Le 24 octobre 2019, on lit sur Le Point que le Parquet national financier a ouvert une enquête à l’encontre du directeur de cabinet de Richard Ferrand, Jean-Marie Girier (qui fut aussi directeur de la campagne d’Emmanuel Macron). Il aurait travaillé à une stratégie pour « siphonner les élus du Parti socialiste et créer un “Agir” de gauche ».

  • Jean-Jacques Bridey

Le 27 septembre 2018, Mediapart publie un article sur ce député LREM. Jean-Jacques Bridey, un des premiers « marcheurs », actuel président de la commission de la défense à l’Assemblée nationale, est « visé par une enquête préliminaire pour concussion », peut-on lire.

Concrètement, Jean-Jacques Bridey est soupçonné d’avoir dépassé les plafonds d’indemnités concernant le cumul de mandats. Coût de l’opération : 100 000 euros.

En septembre 2019, Le Monde révèle qu’une autre enquête est ouverte par le Parquet national financier à l’encontre de Jean-Jacques Bridey. Cette fois-ci, le député est soupçonné de « détournement de fonds publics, liés à un usage illicite de ses indemnités représentatives de frais de mandat (IRFM) de député, lors de la précédente législature », peut-on lire dans le quotidien du soir. Plus tôt en septembre, Mediapart assurait que Jean-Jacques Bridey se faisait également rembourser deux fois ses notes de frais, des frais de bouche exorbitants alors qu’il était maire de Fresnes.

  • Laura Flessel

Le 4 septembre, quelques heures avant le remaniement post-Hulot, la ministre des Sports Laura Flessel annonce sa démission pour des « raisons personnelles ». Il n’aura pas fallu 24 heures pour que Mediapart révèle ces « raisons » : « Le fisc a récemment saisi la Commission des infractions fiscales (CIF) de Bercy, en vue d’une possible plainte pénale pour fraude, après avoir découvert des manquements déclaratifs de la ministre concernant une société de droit à l’image », peut-on lire. Plusieurs dizaines de milliers d’euros d’impôt seraient en jeu.

À peine nommée, la nouvelle ministre des Sports, Roxana Maracineanu, est épinglée dans la presse parce que, depuis 2012, elle occupe un logement social.

  • Françoise Nyssen

Avant d’être nommée ministre de la Culture, Françoise Nyssen dirigeait la maison d’édition Actes Sud. C’est à la tête de cette dernière qu’elle s’est permis quelques écarts avec les règles élémentaires d’urbanisme. En 1997, lors de l’agrandissement des locaux parisiens — un immeuble classé —, Françoise Nyssen avait fait réaliser les travaux « sans autorisation », ni « déclaration au fisc », écrit Le Canard enchaîné. Le journal satirique révèle également d’autres « irrégularités » dans des travaux au siège d’Actes Sud, dans le centre classé d’Arles, effectués en 2011. Une « négligence », tente d’expliquer la ministre.

Le parquet de Paris a ouvert jeudi 23 août une enquête préliminaire.

Le 16 octobre 2018, à l’occasion du remaniement post-démissions de Nicolas Hulot et de Gérard Collomb, Françoise Nyssen n’est pas reconduite à la Culture.

  • Muriel Pénicaud

22 mai 2018, la ministre du Travail est entendue comme témoin assisté par le pôle financier du Tribunal de Paris. La justice enquête sur le rôle de Business France — société qui eut pour directrice générale Muriel Pénicaud — dans l’organisation d’une soirée à Las Vegas en janvier 2016 pour le candidat Macron.

Une information judiciaire a été ouverte pour des soupçons de favoritisme en juillet 2017, mois au cours duquel Muriel Pénicaud a déclaré qu’elle n’avait « rien à se reprocher ».

Deux affaires classées sans suite

  • Gérald Darmanin

Fin 2017, le ministre des Comptes publics est accusé de viol et d’abus de faiblesse par deux femmes. En février et mai 2018, les affaires sont classées sans suite.

Le 31 août 2018, Gérald Darmanin a obtenu un non-lieu définitif pour une de ces affaires, au motif que « le défaut de consentement ne suffit pas à caractériser le viol. Encore faut-il que le mis en cause ait eu conscience d’imposer un acte sexuel par violence, menace, contrainte ou surprise », a expliqué le juge. La plaignante a fait appel. L’avocat du ministre a, quant à lui, annoncé l’intention de ce dernier de porter plainte pour « dénonciation calomnieuse ».

Mi-novembre 2019, on apprend via l’AFP que la justice va réexaminer le non-lieu dont a bénéficié Gérald Darmanin. Le 11 juin 2020, on lit dans Le Monde que « la cour d’appel de Paris a en effet ordonné la reprise des investigations visant le ministre concernant une accusation de viol, harcèlement sexuel et abus de confiance ». Le 14 décembre 2020, il a été entendu par les juges qui l’ont placé sous le statut de témoin assisté.

Le 13 septembre 2021, la juge d’instruction en charge de l’enquête prononce la fin des investigations, sans mettre en examen le ministre de l’Intérieur, nous apprend l’AFP. Le non-lieu est ordonné le 11 juillet 2022.

En parallèle, les accusations de « trafic d’influence » ont été classées sans suite.

  • Nicolas Hulot

En 2008, une plainte pour viol a été déposée à l’encontre de Nicolas Hulot. Plainte classée sans suite la même année, mais dévoilée en 2018 par le journal Ebdo.

Bonus

  • Agnès Buzyn

La ministre de la Santé a frôlé le conflit d’intérêts, ce dont son secteur d’activité n’a pas besoin pour être au centre de moult théories du complot.

À peine nommée, elle s’est vue privée de la tutelle sur l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), car celui-ci est dirigé par son mari, Yves Lévy, depuis juin 2014. Visiblement peu perturbé par la perspective d’un conflit d’intérêts, ce dernier laissait planer le doute, encore en juin dernier, qu’il pourrait briguer un nouveau mandat à la tête de l’institut.

Il aura fallu attendre juillet 2018 et l’indignation de la communauté scientifique pour qu’Yves Lévy abandonne l’idée.

Le 10 octobre, Yves Lévy a été nommé « conseiller d’État en service extraordinaire ». Ou comment un médecin devient expert en droit public auprès d




Le Berger et le roi mineur

[Source : rutube_account_2471104 via echelledejacob]

Une vidéo « de désinformation russe » qui est resté cinq ans a dormir sur un serveur. C’est étonnant de NE PAS diffuser la désinformation, non ?



[La suite :]








L’influence nazie dans le monde

[Source : Vivre sainement]






Les États-Unis bloquent (encore) la paix, mais le défi à leur hégémonie est réel !

[Source : Études sur la Neutralité]

Les États-Unis ont mis leur veto à une résolution spéciale au Conseil de Sécurité de l’ONU, créée en réponse à l’invocation de l’Article 99 de la Charte des Nations Unies par le Secrétaire Général Antonio Guterres. Bien que cela anéantisse tout espoir d’un cessez-le-feu mandaté internationalement et d’une aide immédiate aux victimes palestiniennes de la campagne de meurtres génocidaires d’Israël, cela représente néanmoins l’un des défis les plus sérieux à l’hégémonie américaine depuis des décennies. L’ONU est impuissante, mais ses membres ne sont plus disposés à rester en retrait et à laisser les crimes contre l’humanité les plus flagrants se produire en silence. Même les alliés proches des États-Unis ne suivent plus la ligne. DE PLUS : regardez le discours impressionnant du Secrétaire Général, plaidant pour la vie des gens à Gaza.




Révélations sur la corruption massive du clan Biden

[Source : GÉOPOLITIQUE PROFONDE]

Cover Up



Bill Gates reçu en grande pompe par la macronie

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

C’est la nouvelle filouterie de Bill Gates, le nouveau champ de l’altruisme efficace, comme disent les protestants américains qui permet de s’enrichir en faisant le bien. Cette fois, il ne s’agit pas de faire du bien aux gens avec des vaccins achetés à prix d’or par les États victimes d’épidémies en tous genres, il s’agit de faire du bien à la planète, en proposant des solutions qui permettent de supprimer les émissions de gaz à effet de serre. Un beau business en perspective… devant lequel toute la macronienne commence ses salamalecs.

Bill Gates est en plein tour de lobbying à Bercy pour défendre son nouveau projet « Breakthrough Energy », qui vise à financer des actions innovantes pour le climat. En langage gatsien, cette formulation généreuse signifie qu’il va, avec l’aide de quelques mécènes, financer des savants fous et désargentés qui proposent des inventions utiles en matière énergétique, pour pouvoir les revendre ensuite à prix d’or aux gouvernements soumis au Great Reset et à l’urgence de « sauver la planète ».

On a donc vu Bill Gates intervenir aux Rendez-Vous de Bercy, sur invitation de Bruno Le Maire, pour dire qu’il ne fallait pas pratiquer la décroissance, mais plutôt investir dans des solutions qui sauveraient la planète en supprimant les émissions de gaz à effet de serre. Bien entendu, il a apporté sa pierre à la doctrine du tout électrique qui doit rapporter des milliers de milliards aux industries chinoise et américaine.

« L’énergie est un marché très capitalistique. L’idée est d’avoir des financements philanthropiques pour des idées tellement nouvelles qu’elles ne peuvent pas être financées par les financements habituels »

Bill Gates.

Ce mercredi, le même Gates expliquait la même chose à la ministre de l’Industrie, Agnès Pannier-Runacher, dont la famille est elle-même occupée par des activités énergétiques.




« L’immigration de masse n’a pas pour but d’aider les gens mais de détruire l’identité nationale »

[Source : medias-presse.info]

Par Pierre-Alain Depauw

Le cardinal Müller a accordé un entretien exclusif aux journalistes de LifeSiteNews Maike Hickson et Andreas Wailzer. Le résultat est assez surprenant.

Immigration

« L’immigration de masse n’a pas pour but d’aider les gens mais de détruire l’identité nationale », a déclaré le cardinal Müller. « Ils disent que l’identité nationale est le nationalisme, qui a causé toutes les guerres, alors ils disent qu’ils sont contre le nationalisme, mais ils sont en réalité contre la nation. » « Si le nationalisme est la raison des guerres, nous devons nous demander qui finance les guerres et quels intérêts se cachent derrière. »

Déracinement organisé

« Ils veulent que tout le monde soit complètement isolé et déconnecté de la langue, de la culture, des liens familiaux ou d’une terre natale où l’on se sent chez soi », a poursuivi le cardinal Müller. « Ils veulent détruire tout ça. Ils veulent que tout le monde soit atomisé, sans racines ni identité culturelles et religieuses », a-t-il conclu.

Génocide par avortement et plan de dépopulation

Le cardinal Müller estime également que les élites commettent un « génocide » en promouvant l’avortement et l’euthanasie. Le cardinal allemand a déclaré que de nombreux mondialistes estiment qu’il y a « trop » de personnes sur Terre qui causent des « dommages climatiques ». Pour lutter contre cette prétendue « surpopulation », ces puissantes élites ont recours à l’avortement et à l’euthanasie dans le cadre d’un « programme d’extermination », a déclaré le cardinal Müller à LifeSiteNews.

Reductio ad Hitlerum pour réprimer la dissidence

« Et en même temps, quiconque critique cela est traité de nazi par ceux qui promeuvent eux-mêmes l’idéologie meurtrière du nazisme selon laquelle “le plus fort fait le bien”… Le génocide qui est actuellement perpétré est protégé par la propagande en assimilant ses critiques au peuple qui a commis le génocide dans le passé », a ajouté le cardinal. « La perversion de leur logique est de présenter les victimes comme les auteurs. Qu’est-ce que le programme de dépopulation, sinon un plan de réduction de la population par la violence ? ». Le cardinal Müller a expliqué que l’accusation « nazie » est souvent utilisée comme « instrument du pouvoir » pour réprimer la dissidence. « Ils [les mondialistes] ne se soucient pas du fait que les taux de suicide chez les jeunes augmentent dans le monde. C’est juste pour eux. Ce manque de respect pour la vie humaine vient de la position philosophique du matérialisme à laquelle souscrivent les mondialistes, a déclaré le cardinal Müller à LifeSiteNews. Selon les matérialistes, “les êtres humains ne sont que de la matière, juste une masse de personnes qui peuvent être manipulées”, explique-t-il.

« Il faut regarder le philosophe franco-roumain Emil Cioran, dans son livre Le Mauvais démiurge, qui propage la haine la plus impitoyable de la création et de la bonté de Dieu, crachant le venin de serpent du nihilisme de tous les jacobins, communistes, les “élites” fascistes et réveillées des deux derniers siècles », a déclaré Müller. « Eux [les mondialistes] n’en ressentent rien non plus. Pour eux, les gens ne sont qu’un nombre… 10 000 de moins, c’est bon pour les statistiques ! »

Alliance mondialiste du capitalisme et du communisme

L’ancien préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi (CDF) a déclaré que le système mondialiste est un mélange de capitalisme et de communisme. Les mondialistes occidentaux sont des capitalistes dotés d’une « mentalité socialiste », selon le cardinal Müller. « Dans ce système, le totalitarisme se confond avec le matérialisme », a-t-il déclaré. « Et celui qui a le plus d’argent est au pouvoir, contrôle et paie les médias. »

Le cardinal Müller a déclaré qu’il s’est largement documenté auprès de sources fiables que l’un des principaux journaux allemands, Der Spiegel, est en partie financé par la Fondation Bill & Melinda Gates.

Écologie érigée en « religion de substitution »

Müller a également déclaré à LifeSiteNews que le changement climatique et le mouvement « vert » sont utilisés comme une « religion de substitution », à laquelle beaucoup adhèrent « au lieu de propager le christianisme original ». « Le respect de la créature découle de la croyance dans le bon créateur et n’a pas besoin d’une vision catastrophique du monde. » Au lieu de se soucier véritablement de l’environnement, les mondialistes qui font voler des milliers de fois leurs jets privés utilisent l’agenda climatique pour « gagner beaucoup d’argent », selon l’ancien chef de la CDF.

Sexualisation des enfants

De plus, le prélat a souligné que les enfants sont sexualisés dès leur plus jeune âge pour les rendre dépendants et dociles. « La sexualisation en général et la sexualisation de la petite enfance en particulier sont utilisées pour faire taire les gens », a déclaré Müller. « Ils utilisent la sexualité comme une drogue. »

Mondialisme totalitaire

Le cardinal a cité plusieurs attributs comme caractéristiques clés du mondialisme d’aujourd’hui : « Le matérialisme, le totalitarisme, le mépris de l’humanité, le déracinement et la destruction de l’identité des peuples. » Pour l’agenda mondialiste, l’Église catholique représente un obstacle et, par conséquent, elle doit être alignée sur le mondialisme, a noté le cardinal Müller. L’Église « n’est pas seulement écrasée, elle est bouleversée », a-t-il déclaré. Pour que les mondialistes réussissent, l’Église « doit aller dans la même direction [que le mondialisme] », a déclaré le cardinal Müller. « Mais l’Église du Christ est le sacrement du salut du monde et l’avant-garde contre l’autodestruction de l’humanité par les négativistes et les nihilistes », a-t-il conclu.




Selon le New York Times, le génocide de Gaza serait une conspiration criminelle

[Source : brunobertez.com]

Par Bruno Bertez

Nous sommes dans la Grande Stratégie pas simplement dans les soubresauts de la carrière de Netanyahu. La preuve est fournie par le support qui publie les documents qui vont faire chuter le leader israélien : Le New York Times. On n’est pas dans les petites besognes personnelles, à la Haaretz, non, on est dans la Grande Politique, celle des services de renseignements et celles du département d’été américain : on jette Netanyahu sous le bus pour préserver l’essentiel des intérêts américains à long terme. C’est-à-dire l’unipolarité !

Korybko voit juste et c’est la raison pour laquelle avant de lire l’article sur le complot de Netanyahu révélé par le NYT, je vous offre l’opinion éclairée de Korybko. Bien entendu, allez à l’essentiel qui est non pas le compte rendu maquillé de la conspiration, mais la révélation de celle-ci par le NYT.

Ce qui est important c’est la révélation par un organe du pouvoir américain, par la voix de son Maître.

ANDREW KORYBKO
2 DÉCEMBRE 2023

Tout ce que les stratèges américains envisagent repose sur le départ de Bibi, puis sur la reprise immédiate par son remplaçant des négociations sur une solution à deux États, période pendant laquelle les États-Unis tireraient parti de leur monopole sur ce processus pour finalement le mettre en œuvre afin d’empêcher la Russie de le faire.

Le New York Times (NYT) a cité un document secret intitulé « Mur de Jéricho » pour rapporter jeudi qu’« Israël était au courant du plan d’attaque du Hamas il y a plus d’un an ». Selon leurs conclusions, l’État juif autoproclamé connaissait presque tous les détails de l’attaque sournoise du Hamas longtemps à l’avance, mais il a néanmoins évalué à tort que le groupe n’avait pas les capacités et l’intention de la mener à bien.

Même s’il n’est pas clair si le Premier ministre Benjamin « Bibi » Netanyahu en a été informé, il pourrait en conséquence être renversé.

Après tout, il est le dirigeant le plus ancien d’Israël et a bâti sa carrière politique sur sa ligne dure contre le Hamas.

Mais il s’avère maintenant que son troisième gouvernement savait exactement ce que le Hamas prévoyait, mais n’a pris aucune mesure pour l’arrêter ou améliorer les défenses de son pays autour de Gaza.

Ce rapport est le dernier d’une série de rapports tout aussi accablants du Washington Post (WaPo) et de l’Associated Press (AP) sur le pacte faustien de Bibi avec le Hamas et les liens facilités par le Qatar avec eux depuis une décennie.

Tous trois ont été publiés en l’espace de moins d’une semaine, ce qui suggère fortement qu’une opération d’information coordonnée est en cours pour remodeler complètement la perception du public sur la dernière guerre israélo-Hamas et sur le conflit israélo-palestinien plus large dans lequel elle se déroule.

L’analyse en lien hypertexte mentionnée ci-dessus et liée au rapport de l’Associated Press soutient que les décideurs politiques américains ont conclu que les hostilités en cours changeront la donne pour la région.

Cela explique pourquoi ces trois principaux médias grand public (MSM), qui sont tous alignés sur les démocrates au pouvoir aux États-Unis, ont commencé à coordonner leur révolution narrative qui a finalement commencé à se déployer au cours de la semaine dernière.

L’article du WaPo a discrédité la réputation de Bibi en tant que partisan de la ligne dure contre le Hamas, l’AP a conditionné le public à accepter la possibilité d’une médiation américaine pour une résolution du conflit israélo-palestinien plus vaste, tandis que le New York Times a potentiellement porté un coup mortel à la carrière politique de Bibi.

En gardant ces observations à l’esprit, il est possible de spéculer sur la fin de partie envisagée par les États-Unis avec un degré de confiance plus élevé qu’il y a à peine une semaine.

Il semble que l’Amérique souhaite sérieusement éliminer Bibi. Celui qui le remplacera subira alors des pressions de la part des États-Unis pour qu’il reprenne immédiatement les négociations pertinentes.

L’administration Biden a déjà clairement indiqué qu’une solution à deux États est la seule solution acceptable à long terme, et il ne s’agit pas d’une rhétorique ronflante comme pourraient le soupçonner les sceptiques, mais d’une déclaration d’intention sincère après que l’Amérique a correctement évalué que la Russie a une chance de remplacer son rôle dans ce processus.

L’approche véritablement neutre de ce pays à l’égard de ce conflit le positionne parfaitement pour briser le monopole américain qui empêchait jusqu’à présent cette même solution, puis pour obtenir les applaudissements du monde entier pour sa médiation réussie.

Dans ce cas, l’influence américaine en Asie occidentale serait réduite à jamais, ce qui accélérerait la transition systémique mondiale vers la multipolarité que les États-Unis cherchent désespérément à ralentir.

C’est donc dans le but d’éviter de manière préventive ce pire scénario systémique qu’AP a été chargé de conditionner le public à accepter le rôle de médiation envisagé par les États-Unis. Cela nécessite d’abord de normaliser ses liens obscurs avec le Hamas depuis une décennie via le Qatar, et donc leur « exposé contrôlé ».

Des documents révèlent une conspiration israélienne visant à faciliter l’attaque du 7 octobre

Par ANDRÉ DAMON

Le New York Times a publié un rapport établissant de manière concluante qu’Israël était pleinement informé, en détail, des plans du Hamas visant à attaquer sa frontière, plans exécutés le 7 octobre.

Ces révélations montrent clairement que les responsables israéliens, sachant très bien où et comment Le Hamas allait frapper, ont pris la décision délibérée de se retirer afin de faciliter l’attaque.

Ces révélations signifient que le gouvernement israélien a permis et encouragé le meurtre de ses propres citoyens et que le gouvernement israélien est responsable des morts survenues ce jour-là. Cette conspiration criminelle visait à établir un prétexte pour un génocide planifié de longue date contre la population de Gaza.

De plus, il est impossible de croire que les États-Unis n’aient pas été informés des plans du Hamas, dans des conditions où non seulement les services de renseignement israéliens, mais aussi l’Égypte avaient été avertis de l’attaque.

Tout indique un complot impliquant Israël, l’administration Biden et probablement les agences de renseignement britanniques et européennes.

Le Times a publié ce rapport alors qu’Israël lançait une nouvelle vague d’attaques sur Gaza lors de la visite d’Antony Blinken. La présence du secrétaire d’État américain avait pour but non seulement d’exprimer le soutien des États-Unis à cette nouvelle attaque, mais aussi de gérer la réponse à la révélation de cette conspiration.

Le Times a rapporté que

Le document d’environ 40 pages, que les autorités israéliennes ont baptisé « Mur de Jéricho », décrit point par point exactement le type d’invasion dévastatrice qui a entraîné la mort d’environ 1 200 personnes.

Le document obtenu par les forces de renseignement israéliennes « décrivait méticuleusement la méthode d’attaque, reflétant les événements réels », a rapporté le Times. « Il décrivait une attaque intense visant à percer les fortifications de la bande de Gaza, à s’emparer des villes israéliennes et à cibler des bases militaires clés. Ce plan a été mis en œuvre avec une précision alarmante, impliquant une utilisation coordonnée de roquettes, de drones et de forces terrestres. »

De plus, il est impossible de croire que les États-Unis n’aient pas été informés des plans du Hamas, dans des conditions où non seulement les services de renseignement israéliens mais aussi l’Égypte avaient été avertis à l’avance de l’attaque. Tout indique un complot impliquant Israël, l’administration Biden et probablement les agences de renseignement britanniques et européennes.

Le Times rapporte,

Le Hamas a suivi le modèle avec une précision choquante. Le document appelait à un barrage de roquettes dès le début de l’attaque, à des drones pour neutraliser les caméras de sécurité et des mitrailleuses automatisées le long de la frontière, et à des hommes armés déferlant en masse sur Israël en parapente, à moto et à pied — tout cela. s’est produit le 7 octobre.

De plus, a rapporté le Times, les responsables de l’armée et des renseignements israéliens savaient que le Hamas avait mené une mission de formation exhaustive d’une journée pour mettre en pratique le plan en détail trois mois seulement avant l’attaque.

Le Times déclare :

L’entraînement comprenait une série d’abattage d’avions israéliens et la prise de contrôle d’un kibboutz et d’une base d’entraînement militaire, tuant tous les cadets. Au cours de l’exercice, les combattants du Hamas ont utilisé la même phrase du Coran qui figurait en haut du plan d’attaque du mur de Jéricho.

Tout en reconnaissant qu’Israël était pleinement informé des plans du Hamas, le Times cherche à accompagner ces révélations d’un alibi, affirmant, sans aucune justification, que les responsables israéliens ont simplement commis une erreur.

Le Times écrit :

À la base de tous ces échecs se trouvait une croyance unique, fatalement inexacte, selon laquelle le Hamas n’avait pas la capacité d’attaquer et n’oserait pas le faire. Cette croyance était tellement enracinée au sein du gouvernement israélien, ont déclaré les responsables, qu’ils ont ignoré les preuves de plus en plus nombreuses du contraire…

Ces échecs à relier les points font écho à un autre échec analytique il y a plus de deux décennies, lorsque les autorités américaines disposaient également de multiples indications selon lesquelles le groupe terroriste Al-Qaïda préparait un assaut.

Non, le retrait d’Israël le 7 octobre n’a pas été un échec dans la tentative de « relier les points » parce qu’il n’y avait aucun point à relier. Les forces de renseignement israéliennes avaient obtenu l’intégralité du plan opérationnel de l’attaque du 7 octobre, puis avaient vu le Hamas mener un exercice d’entraînement majeur de haut niveau pour ce plan. Ils savaient exactement ce qui était prévu et ont décidé de laisser aller les choses.

Le Times écrit : « Les responsables de l’armée et des renseignements israéliens ont rejeté le plan comme étant ambitieux, le considérant comme trop difficile à mettre en œuvre pour le Hamas. » Il ajoute : « Il n’est pas clair si le Premier ministre Benjamin Netanyahu ou d’autres hauts dirigeants politiques ont vu le document. »

Cette présentation est absurde. Il est impossible de croire que des informations de cette nature puissent parvenir aux services de renseignement sans provoquer l’analyse la plus approfondie. L’idée selon laquelle, après le 11 septembre, de tels projets de haut niveau seraient cachés au Premier ministre est incroyable.

Un tel document proviendrait d’une source située aux plus hauts niveaux du Hamas. Une fois ces précieuses informations obtenues, il aurait été vital de prendre des mesures pour protéger la source, y compris des contre-mesures pour faire croire au Hamas qu’Israël ne possédait pas ces informations. Ce retrait aurait pu être un moyen d’envoyer le signal que le plan du Hamas n’avait pas été dévoilé.

En fin de compte, le choix a été fait de permettre au Hamas de poursuivre ses opérations, afin de fournir à Israël un prétexte pour une attaque militaire massive et planifiée de longue date sur Gaza. Seul Netanyahou pouvait prendre une telle décision. Les États-Unis, quant à eux, ont immédiatement envoyé une force militaire massive dans la région, annonçant le déploiement de leur plus grand porte-avions et navire d’escorte dans la région dans les 24 heures suivant l’attaque.

L’affirmation du Times selon laquelle le retrait d’Israël était un « échec des services de renseignement » n’a aucun sens, car c’est un mensonge du début à la fin. Non, les événements du 7 octobre ne constituent pas un échec des services de renseignement : Israël a remarquablement réussi à prédire avec exactitude l’opération militaire du Hamas. Au lieu d’agir sur la base de ces renseignements, Israël a orchestré le retrait des troupes et la collecte de renseignements au moment précis où l’attaque a eu lieu.

Quatre jours après l’attaque du 7 octobre, le journaliste chevronné Seymour Hersh a rapporté que dans les jours précédant l’attaque, « les autorités militaires israéliennes locales, avec l’approbation de Netanyahu, ont ordonné à deux des trois bataillons de l’armée, chacun avec environ 800 soldats, qui protégeaient la frontière avec Gaza pour se concentrer sur la fête de Souccot » qui se déroule près de la Cisjordanie.

Hersh a cité une source qui lui a dit : « Cela ne laissait que huit cents soldats… chargés de garder la frontière de 51 kilomètres entre la bande de Gaza et le sud d’Israël. Cela signifiait que les citoyens israéliens du sud se retrouvaient sans présence militaire israélienne pendant dix à douze heures. Ils ont été laissés à eux-mêmes. »

Le retrait a non seulement rendu la frontière vulnérable aux attaques, mais il a également créé les conditions dans lesquelles les forces militaires ont dû être transférées pour intercepter les attaquants du Hamas dans les zones civiles, créant des conditions dans lesquelles les chars et les hélicoptères israéliens ont tiré sans discernement sur les zones civiles, augmentant encore davantage la situation. Bilan des morts israéliens.

En plus du retrait militaire, Israël a pris la décision de mettre hors service sa tant vantée unité de renseignement électromagnétique de 8 200 personnes le week-end, ce qui signifie que l’unité de renseignement électromagnétique qui a détecté l’exercice d’entraînement il y a trois mois n’était pas en service au moment de l’attaque de samedi.

La révélation de la connaissance avancée d’Israël de l’attaque révèle également les médias et l’establishment politique américains, qui ont pleinement adhéré aux affirmations d’Israël selon lesquelles ils ont été pris par surprise par l’attaque, et ont affirmé que les événements du 7 octobre justifient le génocide actuellement déclenché à Gaza.

Ces révélations exposent le génocide de Gaza pour ce qu’il est : une conspiration criminelle du régime de Netanyahu et de ses soutiens impérialistes, dont les victimes incluent non seulement 20 000 Palestiniens massacrés, mais la population israélienne elle-même.




En France, la modification des procédures électorales facilite la fraude

[Source : Ciel Voilé]






« Lorsque vous dénoncez la raison pour laquelle on vous poignarde, c’est vous qui êtes coupable de racisme »




Selon l’ambassadeur américain Chas Freeman, Israël ne fait même pas semblant de cacher son génocide

[Source : Études sur la Neutralité]

Entretien (partie 1 sur 3) avec l’ancien ambassadeur des États-Unis Chas Freeman.

Eh bien, c’est aussi grave que possible. Un génocide à la vue de tous, impitoyable et froid, et « l’Occident » avec tout son discours sur les droits de l’homme, avec tout son orgueil, est pleinement complice. Peut-être donner aux Palestiniens une pause café avant de continuer à les tuer, mais c’est à peu près le maximum que l’Occident est prêt à concéder aux victimes.

L’ambassadeur Chas Freeman est l’un des rares anciens responsables publics américains prêts à dénoncer cette atrocité. De plus, il est un superbe analyste des affaires de l’Asie occidentale et du monde. Dans cette interview, il analyse ce que la tragédie actuelle en Palestine signifiera pour la géopolitique dans la région et au-delà.


[Bonus — La partie 2 sur 3 de l’entretien :]

La plus grande défaite des néoconservateurs depuis le Vietnam




La face cachée du pouvoir : « Ils sont intouchables ! »

[Source : Magazine Nexus]

Le magazine Nexus vient de rencontrer Christine Deviers-Joncour. Pour la première fois, elle a accepté la caméra d’un média français à son domicile.

Durant des années, son nom a fait la une des journaux, des radios, de la télévision, sans doute parce qu’elle en savait trop en matière de corruption, des magouilles financières et politiques des « élites ». De l’affaire Roland Dumas et de celle des frégates de Taïwan, elle fut le fusible. On a fini par faire tomber celle qui dénonçait la corruption et qu’un magistrat avait surnommée « la Putain de la République ». En novembre 1997, durant 5 mois, elle a été emprisonnée à la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis.

Appuyée par des archives, cette vidéo exceptionnelle d’une heure nous fait entrer dans les arcanes de la corruption, des trahisons et des assassinats…

Christine Deviers-Joncour est interviewée par Armel Joubert des Ouches.




Réponse de Philippot à Asselineau

[Source : Les Patriotes Parisiens]

[Illustration : source]

[NDLR Voir plus bas l’intervention de Philippot à l’invitation des Américains et la vidéo d’Asselineau.]

[Source : Les Patriotes]


Discours de Philippot à l’invitation du Parti Républicain

Chaîne de Philippot : @FLORIANPHILIPPOT1


[Source : Union Populaire Républicaine]

Vidéo d’Asselineau




Emmanuel Macron a-t-il fait l’éloge d’un franc-maçon eugéniste ?

[Source : fr.aleteia.org]

Par Charles Vaugirard

Devant le Grand Orient de France, le président Emmanuel Macron a clairement annoncé une loi légalisant l’euthanasie. Devant les dignitaires francs-maçons, il a fait l’éloge de l’ancien grand maître Pierre Simon, un médecin ouvertement eugéniste.

Emmanuel Macron a rendu visite au siège du Grand Orient de France le 8 novembre. Dans son discours, le président de la République a confirmé qu’il soutiendrait une loi favorable à l’euthanasie. Mais ce qui interpelle particulièrement est son hommage à deux francs-maçons ayant, a-t-il dit, défendu le « droit à mourir dans la dignité ». Il s’agissait d’Henri Caillavet et de Pierre Simon, des militants historiques de la légalisation de l’euthanasie. Ici, c’est surtout Pierre Simon qui retient l’attention. Peu connu du grand public, Pierre Simon fut pourtant une cheville ouvrière importante de l’avènement des questions dites sociétales, afin de « transformer non seulement la médecine, mais aussi la loi et les mœurs ». Fondateur du Planning familial en France, il fut un des inspirateurs de la loi Neuwirth sur la contraception. Membre du cabinet de Simone Veil, il a été un des artisans de la loi sur l’avortement. Il est aussi le cofondateur de l’Association pour le droit de mourir dans la dignité, l’ADMD, qui milite pour l’euthanasie depuis 1980.

Une nouvelle définition de la vie humaine

Mais les idées de Pierre Simon sur la vie ne ressemblent guère aux arguments pragmatiques et humanitaires de Simone Veil. En effet, dans son autobiographie intitulée De la vie avant toute chose, publiée chez Mazarine en 1979, il présente ses arguments. Contrairement à Simone Veil, il ne voit pas l’avortement comme une situation d’exception, un moindre mal visant à éviter des décès de femmes lors d’avortements clandestins. Médecin gynécologue de formation, Pierre Simon va jusqu’à défendre une nouvelle définition de la vie humaine : 

Cette vie qui nous vint si longtemps d’un souffle de Dieu posé sur notre argile, c’est comme un matériau qu’il faut la considérer désormais. Loin de l’idolâtrer, il faut la gérer comme un patrimoine que nous avons longuement, patiemment, rassemblé, un héritage venu du fond des millénaires, dont nous avons, un instant, la garde. […] Une richesse, cette vie, confiée à la garde de l’espèce, comme les forêts, les océans, les rivières, mais avec ceci de singulier que chacun d’entre nous en est le véhicule : cette charge de vie a son corollaire ; veiller à ce que le matériau ne se dégrade pas. Ce serait nous dégrader nous-mêmes et ruiner l’espèce.

(p. 16)

Des outils pour maîtriser la vie

Cette vision n’est rien d’autre que de l’eugénisme, comme il le développe dans son livre. Pierre Simon présente l’avortement, mais aussi l’euthanasie des nouveau-nés, l’insémination artificielle et les manipulations génétiques comme des outils pour maîtriser la vie. Puisque la vie n’est plus un don reçu de la nature, mais un simple matériau, il considère que l’homme doit garantir la qualité de ce matériau par l’eugénisme. Il le dit ouvertement : 

Si les manipulations de la molécule d’ADN et l’insémination peuvent concourir à un résultat bénéfique pour la société, et pourront permettre entre autres l’élimination systématique des défauts congénitaux, quelle peut être notre attitude en face d’un désastre de la nature au moment de son irruption dans la vie ? J’ai participé à nombre de colloques sur le choix de l’heure de la mort, mais qui dispose du choix de laisser entamer un processus vital à un être lourdement handicapé au départ ?

(p. 232)

Et il continue en qualifiant la sacralisation de la vie de « fétichisme » (p. 233). 

C’est la collectivité qui décide si l’enfant doit vivre

L’idéologie de Pierre Simon est un mélange de libéralisme et de collectivisme. Libéralisme, car il défend ce qu’il appelle « l’autonomie » de l’homme. Une liberté absolue de l’individu, mais aussi de l’humanité vis-à-vis de la nature et de ses lois. Il assume le caractère prométhéen de ses idées : 

Prométhée est ainsi revenu, mais il ne s’est plus contenté de nous apporter le feu : c’est de tous ses pouvoirs qu’il a dépossédé Zeus, et fait cadeau aux hommes. Il s’agit donc pour nous d’une liberté à conquérir. La nécessité pour l’homme de véhiculer un matériel héréditaire ne suffit pas à entraver le cours ultérieur de la Vie, et donc la conquête rationnelle de son autonomie. 

(p. 258)

Il s’agit d’un libéralisme absolu où l’homme se croit tellement autonome qu’il se prend lui-même pour Dieu. Mais il y a aussi une dimension collective, voire socialiste, chez Pierre Simon. Pour lui « bloquer la transmission des tares héréditaires transmissibles connues, c’est un devoir d’espèce. […] La santé est devenue propriété collective. Nous cotisons à la Sécurité sociale pour la qualité de la vie et la santé de la collectivité » (p. 96). Il considère que c’est la société qui décide qui doit naître ou pas : « Ce n’est pas la mère seule, c’est la collectivité tout entière qui porte l’enfant en son sein. C’est elle qui décide s’il doit être engendré, s’il doit vivre ou mourir, quel est son rôle et son devenir » (p. 15). 

Un militant eugéniste

Le combat de Pierre Simon pour le droit de mourir dans la dignité doit être regardé dans la perspective de son idéologie de l’autonomie. Pierre Simon n’est pas le franc-maçon humaniste qu’a présenté Emmanuel Macron. Celui qui fut grand maître de la Grande Loge de France dans les années 1970 était avant tout un militant eugéniste.




Selon Attali, « Netanyahu est un criminel de guerre »





Crise du monde musulman ?

[Source : Ciel Voilé]






La cabale Pharma/UE a tendu un piège à Reiner Füellmich

[Source : marie-claire-tellier via RI]

« La cabale pharma/mondialiste a arrêté Reiner Füellmich pour les avoir dénoncés devant les tribunaux allemands », selon Howell Woltz, qui déclare : « Je suis surpris qu’il soit resté libre aussi longtemps. Les mondialistes qui ont essayé de nous tuer détestent vraiment Reiner Füellmich ».

L’avocat allemand Reiner Füellmich, qui travaillait sur un projet connu sous le nom de « second Nuremberg » visant à demander des comptes aux auteurs du complot Covid, a été saisi ce week-end par les autorités allemandes au Mexique, où il séjournait avec sa femme. Le Dr Füellmich aurait perdu son passeport et s’était rendu à l’ambassade d’Allemagne à Tiajuana, au Mexique. À son arrivée, les autorités allemandes l’attendaient et l’ont fait monter dans un avion à destination de Munich, en Allemagne, où elles l’ont arrêté. 

Patricia Harrity sur The Exposé

[Voir aussi :
https://www.guyboulianne.info/2023/10/19/soupconne-davoir-detourne-700-000-e-lavocat-reiner-fullmich-a-ete-arrete-a-laeroport-de-francfort-et-emprisonne-pour-abus-de-confiance/]

Par Howell Woltz (sur le site Richardson Post)

La cabale Pharma/UE a tendu un piège au héros populaire, Reiner Füellmich

« La première volée juridique sur les prélèvements d’ARNM est venue de l’avocat allemand/américain Reiner Füellmich, un héros pour tous les peuples libres.

Comme je l’ai dit à notre amie commune, Elsa Schieder du Truth Summit lorsqu’elle a partagé la nouvelle de l’arrestation de Reiner hier, “Je suis juste surprise qu’il soit resté libre aussi longtemps. Les mondialistes qui ont essayé de nous tuer détestent vraiment Reiner Füellmich” ».

L’infortuné Olaf Sholz et son gouvernement en Allemagne sont aussi populaires que la variole du singe dans un établissement de bains homosexuels. Ils doivent donc faire taire les faits maintenant révélés que le vaccin qu’ils ont imposé à leur peuple a tué bien plus. 

Ils doivent étouffer la vérité sur ces 17 millions de morts — et quiconque la raconte — et c’est pourquoi ils ont comploté pour détruire Reiner Füellmich.

Reiner et sa femme ont perdu leurs passeports et leurs visas lors d’un voyage au Mexique. Ils ont donc demandé à l’ambassade d’Allemagne à Tijuana de les remplacer.

Lorsqu’ils se sont présentés à l’ambassade pour récupérer les documents, la femme de Reiner a été laissée en liberté, mais il a été arrêté sur la base de mandats émis par deux des plus grands bénéficiaires de Pfizer pour ces crimes contre l’humanité — l’Allemagne et l’U.E. !

L’UE ! Reiner est le père de Nuremberg 2.0 — Le procès virtuel des criminels du VAXX

Il n’y a pas eu de voix plus forte pour exposer la vérité sur les poisons imposés à l’Europe par l’UE et l’Allemagne que ce héros, Reiner Füellmich, donc d’un point de vue machiavélique mondialiste, je comprends.

Une coïncidence ? Juste après que l’événement de Reiner a exposé au monde entier les criminels du vaxx des gouvernements de l’UE et de l’industrie pharmaceutique, ces mêmes bénéficiaires financiers ont déposé des plaintes pénales contre lui.

Comme Laurent de Médicis décidant d’éliminer le prêtre Savonarole pour défendre la réputation de sa famille à Florence, Olaf Sholz et Ursula von der Leyen ont pris pour cible le Dr Füellmich.

Ce n’est pas parce qu’il a menti — oh non, comme Giarolamo Savonarola, le Dr Füellmich est détruit pour avoir exigé les tests et les études sur les vaccins requis par la loi, ce que ni Sholz ni von der Leyen n’ont jamais pris le temps de permettre !

En d’autres termes, les documents présentés aujourd’hui au tribunal allemand prouvent que ce sont eux — Sholz et von der Leyen — qui ont enfreint la loi, et non Reiner Füellmich, qui a simplement exigé les preuves requises avant de pouvoir approuver, acheter ou mandater le poison.

Et tout comme les autres personnes qui disent la vérité, le Dr Füellmich doit être réduit au silence pour protéger la classe criminelle — mais tout cela sera révélé le mois prochain, comme vous le lirez plus loin. 

À ce stade, il faut donc créer un crime

Savanarole (et d’autres ennemis des Médicis) affirmèrent que leur banque était insolvable et utilisait les fonds de Florence. L’argent a en fait été prêté au Pape (ou un pot-de-vin ?) — et remboursé — mais les faits n’ont pas d’importance à ce stade dans de telles situations ou histoires, l’accusation seule est importante.

Sans voir aucune preuve — ce qui aurait humilié le pape et l’Église — Savanarole a simplement prêché depuis la chaire les méfaits des Médicis jusqu’à ce que les habitants de Florence se soulèvent contre eux — et mettent Savanarole au pouvoir !

Mais c’est là que s’arrête la similitude entre ces deux ficelles du pouvoir (à part peut-être le fait que Savanarole fut pendu par les Florentins six ans plus tard).

L’accusatrice utilisée par l’Union européenne et le gouvernement allemand est Viviane Fischer, une avocate peu connue, rendue célèbre grâce à son association avec Reiner Füellmich qui a exposé les problèmes allemands et européens.

Et c’est là qu’ils concluent toujours un marché

J’ai travaillé sur plus de 400 affaires pénales fédérales et j’ai littéralement écrit le livre sur ces crimes judiciaires, Justice Denied : the United States v. The People — donc je connais le principe.

Premièrement, la cible est identifiée, deuxièmement, un crime est fabriqué ou découvert, puis les « témoin » sont préparés à dire ce qui doit être dit au tribunal.

Le chef de la police secrète soviétique, Lavrenti Beria, était connu pour dire à Joseph Staline lorsqu’il avait besoin d’éliminer un embêtant révélateur de la vérité : « Montrez-moi l’homme, et je vous trouverai le crime », et il ou elle se rendait au goulag.

C’est précisément ainsi que cela fonctionne encore en Amérique et en Europe qui ont malheureusement beaucoup appris de Staline et de son Union soviétique.

Le « crime » utilisé pour arrêter Reiner Füellmich est une allégation selon laquelle 1,35 million d’euros manquent sur un compte de trois personnes utilisé pour poursuivre leurs poursuites contre le(s) gouvernement(s) et les sociétés pharmaceutiques.

Il semble donc que les procureurs aient conclu un accord et retournent la charmante Viviane contre son mentor, la mettant dans tous les médias disponibles pour affirmer que Reiner Füellmich a volé de l’argent à la cause qu’il a personnellement fondée.

Il n’y a qu’un seul problème dans cette affaire (ils n’ont jamais eu l’intention de la traduire en justice) et grâce à quelques recherches, la vérité s’est échappée, ce qui nécessitera son non-lieu.

L’argent est toujours sur le compte

Je parierais à Pound Sterling que Viviane s’est vu offrir l’immunité contre ce crime qui n’a pas encore été commis, en acceptant de lire leur scénario contre l’une des meilleures personnes de la communauté de la vérité, le Dr Reiner Füellmich.

Le quatrième sommet international Covid, révélant les crimes des vaxxeurs, se déroule dans un endroit qu’ils ne peuvent pas contrôler, les 18 et 19 novembre.

Coïncidence, la cabale mondialiste et pharmaceutique a choisi ce moment pour éliminer le Dr Füellmich ?

ICS 4 présentera des preuves qui peuvent placer tous les participants à ce crime contre l’humanité sur les bancs du banc du NUREMBURG 2.0 du Dr Füellmich.

Mieux encore, cette vérité sera révélée le mois prochain à Bucarest, en Roumanie — un endroit que les mondialistes ne contrôlent pas (encore).

L’ICS 3, qui s’est tenu au Parlement européen le 3 mai dernier à Bruxelles, a par exemple été visionné plus de 4 milliards de fois pour vous donner une idée de la peur que prennent ces criminels.

Quand quatre milliards des quelque sept milliards d’habitants de la planète — dont beaucoup disposent de moyens de communication limités — savent que vous êtes un tueur assoiffé de sang qui a empoisonné le monde sans raison, où allez-vous vous cacher ?

Votre seul choix est d’attaquer ceux qui disent la vérité, en mentant à leur sujet.

Mais ça ne marchera pas au final. La vérité est désormais révélée et ils sont condamnés, surtout après l’ICS 4 le mois prochain en Roumanie.

Le Dr Füellmich deviendra un héros dans ce combat — et nous finirons par gagner — mais je vous prie tous de prier pour cet homme formidable, Reiner Füellmich, pendant qu’il est dans l’antre du diable.




Le diabolique plan israélien pour éradiquer Hamas et raser Gaza et sa population de Gaza

[Source : Arrêt sur info]

[Illustration : la GBU-43/B MOAB/de fabrication américaine appelée « Mère de toutes les bombes » qu’Israël compte utiliser contre la population de Gaza selon Seymour Hersh]

Seymour Hersh révèle le diabolique plan israélien pour éradiquer Hamas et raser Gaza et sa population de Gaza.

Une semaine s’est écoulée depuis les terribles attaques du Hamas contre Israël, et les forces armées israéliennes ont donné une image claire et sans concession de ce qui les attend.

Au cours de la semaine écoulée, des jets israéliens ont bombardé 24 heures sur 24 des cibles non militaires dans la ville de Gaza. Des immeubles d’habitation, des hôpitaux et des mosquées ont été détruits, sans avertissement préalable ni effort pour minimiser les pertes civiles.


Par Seymour Hersh

À la fin de la semaine, les avions israéliens ont également largué des tracts indiquant aux habitants de la ville de Gaza et des zones environnantes au nord que ceux qui souhaitaient survivre feraient mieux de commencer à se diriger vers le sud — en marchant si nécessaire — sur une distance de 25 miles ou plus, jusqu’au poste-frontière de Rafah menant à l’Égypte. À l’heure où j’écris ces lignes, il n’est pas certain que l’Égypte, en proie à des difficultés financières, autorise le passage d’un million d’immigrants, dont beaucoup sont acquis à la cause du Hamas. À court terme, un initié israélien m’a dit qu’Israël essayait de convaincre le Qatar, qui, à l’instigation de Benjamin Netanyahu, était un soutien financier de longue date du Hamas, de s’associer à l’Égypte pour financer un village de tentes pour le million ou plus de réfugiés qui attendent de passer la frontière. « Ce n’est pas une affaire réglée », m’a dit l’initié israélien. Les responsables israéliens ont averti l’Égypte et le Qatar que sans site d’atterrissage, les réfugiés devront « retourner à Gaza ».

L’un des sites possibles, selon l’initié, est une parcelle de terre abandonnée depuis longtemps dans la partie nord de la péninsule du Sinaï, près du passage frontalier de Gaza, qui était le site d’une colonie israélienne connue sous le nom de Yamit lorsque la péninsule a été saisie par Israël après sa victoire lors de la guerre des Six Jours de 1967. La colonie a été évacuée et rasée par Israël avant que le Sinaï ne soit restitué à l’Égypte en 1982. Israël espère que le Qatar et l’Égypte se chargeront de la crise des réfugiés.

Le mépris manifeste d’Israël pour le bien-être des habitants de Gaza, au milieu de la migration forcée de plus d’un million d’êtres humains affamés, a attiré l’attention du monde entier et entraîné une condamnation internationale croissante, dont une grande partie vise Benjamin Netanyahou.

La prochaine étape doit donc intervenir rapidement. Voici ce que l’on m’a dit, au cours des conversations que j’ai eues ces derniers jours avec des responsables d’Israël et d’ailleurs, y compris des responsables avec lesquels j’ai traité en Europe et au Moyen-Orient depuis la guerre du Viêt Nam, au sujet du plan israélien d’élimination du Hamas.

Le principal problème pour les planificateurs de guerre israéliens est la réticence, malgré la mobilisation de plus de 360 000 réservistes, à s’engager dans une bataille de rue porte-à-porte avec le Hamas dans la ville de Gaza. Un vétéran des FDI, qui a servi à un poste élevé, m’a dit que la moitié de l’armée israélienne était engagée depuis plus de dix ans dans la protection du nombre croissant de petites colonies disséminées en Cisjordanie, où elles sont amèrement ressenties par la population palestinienne. « Les planificateurs israéliens ne font pas confiance à leur infanterie », a déclaré l’initié, ni à leur volonté d’aller à la guerre, mais à ce qui pourrait être un manque désastreux d’expérience du combat.

La population civile affamée étant contrainte de partir, le plan opérationnel israélien prévoit que l’armée de l’air détruise les structures restantes dans la ville de Gaza et ailleurs dans le nord. La ville de Gaza n’existera plus. Israël commencera ensuite à larguer des bombes de 5 000 livres de fabrication américaine, appelées « bunker busters » ou JDAM, dans les zones rasées où les combattants du Hamas sont connus pour vivre et fabriquer leurs missiles et autres armes sous terre. Une version améliorée de l’arme, connue sous le nom de GBU-43/B, décrite par les médias comme « la mère de toutes les bombes », a été larguée par les États-Unis sur un centre de commandement présumé d’ISIS en Afghanistan en avril 2017. Une première version de l’arme a été vendue à Israël en 2005, prétendument pour être utilisée contre les installations nucléaires présumées de l’Iran, et la version améliorée et guidée par laser a été autorisée à la vente à Israël par l’administration Obama il y a dix ans. Déjà à l’époque, m’a dit l’initié israélien, Netanyahou et ses conseillers avaient compris que le Hamas était dangereux, comme « un tigre en cage ». « Il vous mangera en une minute. »

Les planificateurs de guerre israéliens actuels sont convaincus, m’a dit l’initié, que la version améliorée des JDAM avec des ogives plus grandes pénétrerait suffisamment profondément sous terre avant d’exploser — trente à cinquante mètres — avec l’explosion et l’onde sonore qui en résulterait « tuant tout le monde dans un rayon d’un demi mille ».

Le nouveau plan israélien de sortie forcée signifie « qu’au moins les gens ne seraient pas tous tués ». Le concept, ajoute-t-il, remonte aux premières années de la guerre du Viêt Nam en Amérique, lorsque l’administration de John F. Kennedy a autorisé le plan stratégique du hameau, qui prévoyait la réinstallation forcée de civils vietnamiens dans des zones contestées vers des logements construits à la hâte dans des zones supposées être contrôlées par les Sud-Vietnamiens. Leurs terres désertées ont ensuite été déclarées zones de feu libre, où tous ceux qui restaient pouvaient être pris pour cible par les troupes américaines.

La destruction systématique des bâtiments restants dans la ville de Gaza commencera dans les jours qui viennent, a déclaré l’initié israélien. Les JDAM, qui détruisent les bunkers, pourraient venir ensuite. Ensuite, selon le scénario des planificateurs, l’infanterie israélienne sera affectée aux opérations de nettoyage : rechercher et tuer les combattants et les travailleurs du Hamas qui ont réussi à survivre aux attaques des JDAM.

À la question de savoir pourquoi les planificateurs israéliens pensaient que le gouvernement égyptien accepterait, même sous la pression de l’administration Biden, d’accueillir plus d’un million de réfugiés de Gaza, l’initié a répondu : « Nous tenons l’Égypte par le bout du nez : “Nous tenons l’Égypte par les couilles”. » Il faisait référence aux récentes inculpations de Robert Menendez, du New Jersey, et de son épouse pour corruption fédérale, en raison de ses relations d’affaires avec de hauts fonctionnaires égyptiens et de la transmission présumée de renseignements sur des personnes travaillant à l’ambassade des États-Unis au Caire. Abdul Fatta el-Sisi est un général à la retraite qui a dirigé les services de renseignements militaires égyptiens de 2010 à 2012.

Tout le monde ne partage pas l’idée que tout se passera bien après les attaques au JDAM, si elles ont lieu. Un ancien responsable des services de renseignement européens qui a servi pendant des années au Moyen-Orient m’a dit : « Les Égyptiens ne veulent pas que le Hamas entre en Égypte, et ils feront le minimum ».

Lorsqu’il a été informé du projet israélien d’utiliser le JDAMS, il a déclaré qu’ » une ville en ruines est aussi dangereuse qu’à n’importe quel moment ». Parler des JDAMS, c’est parler de gens qui ne savent pas quoi faire.

Le Hamas dit : « C’est parti ! Ils n’attendent que cela ». L’utilisation des JDAMS « est le fait d’une direction qui a été déstabilisée. Il s’agissait d’une opération soigneusement planifiée et le Hamas savait exactement quelle serait la réaction israélienne. La guerre urbaine est terrible ».

Le fonctionnaire a prédit que les bombes à fragmentation israéliennes ne pénétreraient pas assez profondément : le Hamas, a-t-il dit, opérait dans des tunnels construits à 60 mètres sous terre qui seraient capables de résister aux attaques des JDAM.

L’initié israélien a reconnu que les roches et les rochers souterrains limiteraient la capacité des roquettes à pénétrer profondément, mais la surface souterraine de la ville de Gaza est sablonneuse et offrirait peu de résistance, surtout si les JDAM étaient lancés depuis le point le plus élevé possible.

L’initié a également déclaré que la planification actuelle prévoit que l’attaque des JDAMs, si elle est autorisée, aura lieu dès dimanche ou lundi, en fonction de l’efficacité de l’expulsion forcée de la ville de Gaza et du sud, et qu’une invasion terrestre suivra immédiatement.

Seymour Hersh

Source : Seymourhersh.substack.com




Conflit israélo-palestinien : vous êtes gentils ou méchants ?

[Source : nice-provence.info]

Par Georges Gourdin

Réactivation du conflit israélo-palestinien : la Police de la Pensée nous contraint à nouveau à choisir notre camp : les gentils ou les méchants.

Michel Maffesoli nous rappelle à plusieurs reprises dans ses ouvrages que diable vient du grec diabolos (διάβολος), celui qui divise. On retrouve le préfixe di‑, ou dia‑, notamment dans di-viser, dia-mètre, dia-mètre, dia-lyse.

Le di-able, c’est celui qui di-vise

C’est la méthode de Pouvoir recommandée par le diabolique Machiavel dans Le Prince : diviser pour mieux régner.

Ce n’est un secret pour personne que François Mitterrand, lecteur assidu de Machiavel, a promu le Front National pour scinder l’opposition dite de droite. Cela fonctionne aujourd’hui avec le fameux « mur de verre ». On ne change pas une recette qui gagne.

Les gentils Les méchants
Les progressistes Les réacs
Les républicains Les complotistes
Les vaccinés Les non-vaccinés
Les Ukrainiens Les Russes
La République en Marche Le Rassemblement National
Les Écolos Les fumeurs de clopes
Les Juifs Les Nazis
Les Israéliens Les Palestiniens

C’est bien la raison pour laquelle, le relais de propagande régional Nice-Matin nous incite à choisir notre camp dans le conflit israélo-palestinien :

Tous solidaires des gentils Israéliens victimes du méchant Hamas !

Oui, mais… le Hamas est une émanation d’Israël

En 2009 le sénateur républicain du Texas Ron Paul explique à la Chambre des Représentants que le Hamas a été créé par Israël pour servir les intérêts d’Israël avec l’aide des Américains.

Les Américains sont coutumiers de ces méthodes. N’oublions pas qu’ils ont promu notamment :
• Al-Qaïda pour chasser les Soviétiques d’Afghanistan,
• ISIS pour anéantir la Syrie,
• les milices néonazies d’Ukraine pour déclencher une guerre contre la Russie,
et tant d’autres mouvements terroristes pour déployer leur hégémonie impérialiste.

Oui, mais… les armes du Hamas proviennent d’Ukraine

Déjà en juin 2022, Interpol s’inquiétait de la dissémination des armes fournies à l’Ukraine1 pays notoirement profondément corrompu. Mais cela n’a nullement ralenti le flot continu d’armes fournies en soutien du régime fantoche de Kiev. Nous n’oublions pas non plus l’arsenal « abandonné » par les Américains en Afghanistan2.
Il est donc tout à fait permis de penser que l’OTAN déverse des armes à l’Ukraine avec l’intention qu’elles se retrouvent dispersées dans des zones de conflits : les États-Unis fouteurs de merde la planète3.

Les États-Unis attisent délibérément le conflit israélo-palestinien afin d’en faire le détonateur de la Troisième Guerre Mondiale qu’ils n’ont pas réussi à déclencher en Ukraine. Ils diabolisent cette fois-ci le Hamas (qu’ils ont promu) en sachant bien que les musulmans seront du côté du Hamas, donc des méchants. Vous ne pouvez être solidaires que d’Israël, n’est-ce pas ? C’est le message de Nice-Matin, qui entame une nouvelle campagne de propagande de guerre.
L’objectif est que les musulmans de France entrent en guerre sur notre territoire. Et cela a du reste bien commencé.

Oui mais… qui a promu l’immigration massive en France ?

Réponse : le lobby pro-israélien qui se revendique juif.

Jacques Attali :

« Il faudrait organiser la venue de deux millions d’étrangers par an entre 2020 et 2040 ».

Bernard-Henri Lévy :

« Nous prétendons être contre l’immigration illégale, mais nous en avons besoin et tâchons de lui faire bon accueil. »

Daniel Cohn-Bendit :

« Il serait bon que le pourcentage d’étrangers atteigne un jour le tiers de la population. La barque est loin d’être pleine, elle est même trop vide. »

Bernard Kouchner :

« À 28 pays, l’Europe doit être capable d’accueillir tous les migrants. Tout le monde doit se sentir concerné, des pays qui bordent la Méditerranée aux pays scandinaves. »

Julien Dray :

« Les clandestins nous aident à construire la France. Et souvent, ils la construisent encore mieux que les Français de souche. »

Rav David Touitou (rabbin éminent donnant des cours presque quotidiens sur Internet) :

« Ce que je vous ai dit tout l’heure est marqué dans le Sanhédrin. Le Mashiah [le Messie] ne viendra que lorsqu’Edom, l’Europe, la Chrétienté, sera totalement tombée. Donc je vous pose la question : c’est une bonne nouvelle que l’Islam envahisse l’Europe ? C’est une excellente nouvelle, ça annonce la venue de Mashiah ! »

(extrait de Mashiah où es-tu ? cours filmé)

C’est la raison pour laquelle le discours d’Éric Zemmour sur le sujet est inaudible. Éric Zemmour — ou plutôt ses sponsors — tient à s’afficher parmi les gentils, malgré un discours très anti-immigrationniste. À présent — bien entendu — le gentil Zemmour se positionne dans le camp d’Israël4. Tout comme il s’était affiché du côté du gentil président-clown putschiste juif et nazi, Zelensky5.

Tout ceci est bien compliqué.

Un bon conseil : ne soyez pas dupes ! Ne tombez pas dans le panneau !

Courage, fuyez cette nouvelle machination diabolique.


1 « La grande disponibilité d’armes pendant le conflit actuel entraînera la prolifération d’armes illicites dans la phase post-conflit », a déclaré le patron d’Interpol, l’Allemand Jürgen Stock, devant l’Association de la presse anglo-américaine à Paris [source]

2 Afghanistan : à combien s’élève l’arsenal laissé par les Américains aux talibans ? [source]

3 Lire dans nos colonnes : Les États-Unis, « fouteurs de merde » de la planète du 30 juillet 2023 [source]

4 Attaques du Hamas : pour Zemmour, « le combat d’Israël est celui de notre civilisation » [source]

5 Zemmour loue le « patriotisme héroïque » de Zelensky face à « l’agresseur » Poutine [source]




Brève histoire animée de la question de la Palestine

[Source : Ma France]






Le déséquilibre des pouvoirs en France

[Source : breizh-info.com]

49.3, 47-1, 40… contre-pouvoir en danger. Philippe Quéré : « l’usage de cet article 49.3 est éminemment politique » (Interview)

Qu’en est-il aujourd’hui de la division, de l’équilibre et du contrôle des pouvoirs entre le gouvernement et l’Assemblée nationale ? Sommes-nous condamnés à déléguer nos voix à des députés bridés par un pouvoir exécutif à tendance hégémonique ? Les articles 49-3, 47.1, 40… de la Constitution, que le gouvernement utilise pour bâillonner le Parlement, sont-ils les signes du funeste compte à rebours de notre démocratie ?

Dans un livre captivant et pédagogique, intitulé 49.3, 47-1, 40… contre-pouvoir en danger (Max Milo), Philippe Quéré partage son expérience de collaborateur parlementaire à l’Assemblée nationale. Depuis seize ans, dans l’opposition ou dans la majorité, à la présidence d’une commission ou d’un groupe parlementaire, il a été particulièrement frappé par la faiblesse de cette institution face à un pouvoir exécutif qui impose de plus en plus ses lois et son agenda.

Pour faire vivre le contre-pouvoir de l’Assemblée, l’auteur en appelle aux citoyens. Après nous avoir fait découvrir le fonctionnement du Parlement, ses règles et ses procédures, il propose un « Règlement citoyen » à l’usage de tous. Il donne ainsi les clefs d’une participation citoyenne au travail parlementaire pour que l’Assemblée nationale devienne, enfin, la Maison du peuple.

Après avoir été collaborateur parlementaire de Dominique Raimbourg, de 2007 à 2017, Philippe Quéré occupe la même fonction auprès de Boris Vallaud depuis 2017. Il a écrit de nombreux articles consacrés aux questions institutionnelles et parlementaires, publiés notamment dans Le Monde, Libération, Ouest-France et à la Fondation Jean-Jaurès.

Nous l’avons interrogé pour en savoir plus sur l’ouvrage.

Breizh-info.com : Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?

Philippe Quéré : Après des études de philosophie à Nantes, j’ai travaillé dans l’enseignement, la coopération internationale, ainsi que le développement de relations entre l’enseignement supérieur universitaire et le monde de l’entreprise. C’est donc sans préparation particulière que les hasards de la vie m’ont conduit à travailler depuis plus de quinze ans maintenant comme assistant parlementaire de députés.

Breizh-info.com : Pensez-vous que la dynamique entre l’exécutif et l’Assemblée nationale s’est détériorée ces dernières années ? Si oui, comment ?

Philippe Quéré : Les institutions de la Vème République ne dessinent pas un équilibre parfait entre les pouvoirs exécutifs et législatifs. Mais dans un même cadre institutionnel, des pratiques différentes sont possibles et de nombreux autres éléments peuvent avoir une influence importante sur cet équilibre fragile. Ainsi la conception d’une présidence dite « jupitérienne » par le président de la République ne peut qu’affaiblir le Parlement. Cela peut venir aussi d’équilibre au sein du pouvoir exécutif. On se souviendra que la commission d’enquête sénatoriale sur l’affaire Benalla par exemple, avait pointé du doigt la pratique inédite de mise en place de conseillers communs à l’Élysée et à Matignon au début du premier quinquennat d’Emmanuel Macron. Cette pratique était apparue aux sénateurs comme une anomalie, d’autant que le Premier ministre est responsable devant l’Assemblée nationale (qui peut le censurer), ce que n’est pas le Président de la République. Renforcer la Présidence face au Premier ministre revient à affaiblir encore plus le Parlement.

Un autre point peut être regardé, à savoir la « sociologie » des députés. Nous assistons de toute évidence à une période de très grande faiblesse des partis politiques traditionnels, à droite comme à gauche. Souvenons-nous que Nicolas Sarkozy, qui avait été surnommé l’hyper président, avait malgré lui face à lui des députés de sa propre majorité qui étaient capables de lui tenir tête. Non pas en s’en faisant des opposants, mais en imposant un certain respect des prérogatives du Parlement. Avec l’émergence depuis 2017 de « mouvements politiques », centrés sur une figure unique, le lien de dépendance entre les députés et le Président de la République a été renforcé. Si de plus, comme cela avait été théorisé et organisé par le mouvement En Marche en 2017, le choix est fait de faire élire des personnes sans aucune expérience politique, sans aucune expérience des institutions, ce renouveau qui peut paraître bienvenue, est « en même temps » une source de fragilité voir de faiblesse pour l’institution, qui a besoin de députés aguerris, capables de tenir tête à l’exécutif, pour faire vivre les pouvoirs du Parlement.

Breizh-info.com : Vous parlez d’une « faiblesse » de l’Assemblée nationale face à l’exécutif. Pouvez-vous citer des exemples concrets de cette faiblesse ?

Philippe Quéré : Il y a d’abord les faiblesses organisées par notre Constitution et le cadre normatif. L’essentiel de l’ordre du jour du Parlement est à la main du gouvernement, qui décide donc des textes qui y seront travaillés. Le temps de travail du Parlement est aussi à la main du Gouvernement qui peut choisir d’avoir recours à des procédures accélérées. De leur côté, les députés ont cette l’outil essentiel des amendements pour re travailler les textes proposés par le Gouvernement, mais sans compter sur un temps très limité, ce droit d’amendement est lui-même très encadré par notre Constitution, avec notamment l’article 40 qui interdit aux amendements parlementaires d’avoir le moindre impact budgétaire. Et la liste pourrait être allongée.

Breizh-info.com : La situation en France est-elle comparable avec d’autres démocraties similaires ?

Philippe Quéré : Le régime de la Vème République est assez atypique. D’autant qu’il a beaucoup évolué depuis 1958. Sur le papier, le Parlement est censé voter la loi, contrôler le gouvernement et évaluer les politiques publiques. Mais nous voyons une initiative législative à la main quasi exclusive du gouvernement et une capacité de contrôle du parlement assez faible.

Il y aurait aussi à dire du côté des moyens humains et financiers du Parlement au regard de ceux du Gouvernement. Dans cet « équilibre des pouvoirs », le parlement, combien de divisions ? Nous ne sommes de toute évidence pas dans un régime présidentiel à l’américaine, mais nos institutions n’ont pas grand-chose à voir avec les régimes parlementaires que l’on trouve dans beaucoup de pays européens.

Breizh-info.com : Pouvez-vous expliquer en quoi les articles 49-3, 47.1, et 40 de la Constitution française peuvent être perçus comme des instruments de réduction du pouvoir législatif ?

Philippe Quéré : L’article 49.3 est peut-être le plus symptomatique de ces articles qui déséquilibrent nos institutions. En y ayant recours, le gouvernement peut faire « comme si » l’Assemblée nationale avait voté un texte, alors qu’il n’en n’est rien. Seul le vote d’une motion de censure contre le gouvernement peut alors contre-balancer cela. Ce qui suppose qu’une majorité de députés la votent. Ceci n’est arrivé qu’une fois depuis 1958.

L’article 47-1 a connu un petit moment de notoriété lors de la dernière réforme des retraites, car le gouvernement a fait le choix d’utiliser une loi de modification du budget de la sécurité sociale pour porter sa réforme. Choix qui a été contesté par beaucoup de députés et de juristes, aucune réforme des retraites n’ayant jamais été précédemment portée par un tel type de loi. Mais le Conseil Constitutionnel a validé cette pratique inédite. Or l’article 47-1 concerne précisément les textes financiers et leur applique des règles d’examen spécifiques, avec notamment un temps maximum d’examen. De plus, alors que le gouvernement ne peut recourir à l’article 49.3 que sur un seul projet de loi par session, il peut par contre y avoir recours autant de fois qu’il le veut sur les textes budgétaires.

L’article 40, quant à lui, comme nous l’avons déjà indiqué précédemment, vient fortement encadrer la capacité des députés à amender, c’est-à-dire réécrire, les projets de loi du gouvernement. En effet, cet article rend quasiment impossible pour les députés que leurs amendements aient la moindre implication budgétaire. Faire la loi sans pouvoir modifier les équilibres budgétaires limite fortement le champ des interventions possibles des députés.

Breizh-info.com : Y a-t-il des cas où l’utilisation de ces articles pourrait être justifiée selon vous ?

Philippe Quéré : De fait l’article 47-1 trouve à s’appliquer automatiquement sur les textes financiers. Ce qui a pu prêter à discussion récemment c’est le choix du gouvernement d’avoir recours à un tel texte pour sa réforme des retraites, qui s’est de ce fait trouvée encadrée par les règles strictes de cet article.

S’agissant de l’article 40, là aussi, son application est quasiment automatique. Si une majorité considérait qu’ils sont problématiques, il conviendrait alors d’en proposer la modification à l’occasion d’une réforme constitutionnelle.

S’agissant de l’article 49.3, lui est à disposition du gouvernement. C’est donc un choix fait par celui-ci de l’utiliser ou non. Donc, en plus de savoir s’il conviendrait de le modifier dans sa rédaction (ce qui a déjà été fait dans de précédentes réformes de la constitution), ou de le supprimer complètement, la question de son utilisation est effectivement posée.

On se souviendra par exemple que lors du précédent quinquennat, le Premier ministre Édouard Philippe y avait eu recours bien que disposant alors d’une majorité absolue à l’Assemblée nationale, là encore sur un projet de réforme des retraites. L’argument pour justifier son utilisation avait été de considérer que les débats de l’Assemblée n’allaient pas assez vite.

Nous voyons donc que l’usage de cet article 49.3 est éminemment politique. Il appartient donc à chacune et chacun de se faire une idée de la justification de cet usage.

Breizh-info.com : Comment les citoyens ordinaires peuvent-ils s’engager plus efficacement dans le processus législatif selon votre vision ? N’est-il pas temps d’instaurer une démocratie directe en France, à la Suisse, pour remettre le pouvoir au peuple et non plus ni aux élus (souvent par une minorité) ni à un régime présidentiel ?

Philippe Quéré : En réalité, l’Assemblée nationale est déjà une institution ouverte. Alors que le Gouvernement travaille essentiellement avec ses administrations, dans une opacité presque totale, les députés travaillent au quotidien avec les Françaises et les Français. C’est vrai de leur travail sur leur circonscription, où ils vont rencontrer des personnes les sollicitant à leur permanence et les rencontrant lors d’innombrables évènements publics. C’est vrai lorsqu’ils sont à Paris pour le travail législatif où là ils vont auditionner en grand nombre les associations, syndicats, professionnels, usagers, experts, etc. dans les domaines sur lesquels ils travaillent les uns et les autres. Et les travaux de l’Assemblée nationale sont publics. En allant sur le site de celle-ci vous trouverez les comptes-rendus des travaux des commissions comme de séance.

Tout l’enjeu pour chaque citoyenne et chaque citoyen qui voudrait contribuer plus directement et personnellement aux travaux parlementaires est de s’y repérer. Afin d’identifier les travaux sur lesquels intervenir et les quelques interlocuteurs à cibler de manière privilégiée. À l’Assemblée nationale comme dans toute organisation est organisée une division du travail.

C’est ce que propose notamment le livre en faisant découvrir la procédure et l’organisation des travaux, afin de donner les clefs à chacune et chacun pour entrer à l’Assemblée.

Ça, c’est pour faire avec l’existant. Vous posez aussi la question d’évolutions de notre régime politique. Je ne sais pas si nous pouvons dire que la Suisse est un régime de démocratie directe. Il est évident que des consultations des citoyennes et citoyens sont beaucoup plus fréquentes, mais il y a tout de même un régime représentatif avec des élus, un parlement, etc.

Une des convictions auxquelles ces quelques années de travail à l’Assemblé nationale m’ont conduit est que nous pourrions assez facilement renforcer une alliance nouvelle entre les citoyens et leurs députés, ceci pour à la fois renforcer le parlement face au pouvoir exécutif et renforcer la vitalité de notre démocratie. Le mouvement des gilets jaunes a par exemple mis en avant l’idée d’un RIC (Référendum d’initiative Citoyenne). Je parlais précédemment de l’initiative gouvernementale qui était bien plus forte que l’initiative parlementaire dans la procédure législative. Il serait heureux, je pense, de faire converger une initiative citoyenne avec celle des députés. Alors oui, cela peut viser des référendums, pour lesquels au passage il existe une procédure de RIP (Référendum d’Initiative Partagée), trop lourde et complexe qu’il conviendrait de simplifiée. Mais les référendums, quoi qu’il arrive, resteront des outils exceptionnels pour faire la loi.

Par contre afin de permettre à chacune et chacun de pouvoir intervenir sur les sujets qui le concerne le plus directement, et afin de pouvoir entrer dans le fonctionnement quotidien du Parlement, l’initiative citoyenne me semblerait à développer autour d’un droit d’amendement citoyen, d’un droit de propositions de loi citoyennes, ainsi que de droit de questions citoyennes, pour aller sur la fonction de contrôle du Parlement.

Des expérimentations ont déjà eu lieu à l’initiative de quelques députés. Ces procédures pourraient facilement être instituées.

Breizh-info.com : Quels sont les changements législatifs ou institutionnels que vous souhaiteriez voir pour équilibrer la relation entre le pouvoir exécutif et l’Assemblée ?

Philippe Quéré : En plus de cette initiative citoyenne dont nous venons de parler et qui pourrait contribuer à ce nouvel équilibre entre l’exécutif et le législatif, sans entrer ici dans des discussions sans fin sur une réforme constitutionnelle complète (qui viendra peut-être), nous pourrions beaucoup changer les choses avec des modifications qui peuvent sembler presque de détail.

Nous avons vu l’impact du temps législatif, à la main du gouvernement. Nous aurions pu parler des pouvoirs donnés aux oppositions notamment pour des travaux de contrôle, qui sont aussi limités, alors que parfois les majorités s’autolimitent dans l’exercice de ces prérogatives, car cela peut entrer en contradiction avec leur soutien politique au gouvernement. Des questions aussi essentielles ne supposent pas de modifications de la constitution. Des réformes du Règlement de l’Assemblée pourraient suffire à améliorer considérablement les choses. En attendant une réforme constitutionnelle…

Breizh-info.com : Comment les partis politiques et les médias peuvent-ils, selon vous, contribuer à un meilleur équilibre des pouvoirs ? Doivent-ils s’effacer au profit des citoyens ?

Philippe Quéré : S’agissant des partis politiques, il me semble que deux questions importantes se posent. D’une part, leur représentativité. La France n’a jamais été un pays de partis de masse, avec peut-être l’exception pendant une période du Parti communiste. Mais encore, c’est à relativiser lorsque l’on compare avec d’autres pays européens. Mais aujourd’hui, nos partis politiques en sont globalement réduits à être des groupuscules. Par ailleurs, ceux-ci doivent contribuer à former des femmes et des hommes qui pourront exercer un mandat, certes pour soutenir l’orientation politique de leur famille politique, mais avec le souci aussi, presque égal, de défendre l’institution dans laquelle ils auront à siéger. Je reviens sur ce point.

Pour que nous ayons un Parlement qui contrôle le gouvernement, nous avons besoin de députés qui font usage de leurs pouvoirs de contrôle. Cela suppose que des députés d’un groupe majoritaire, certes, soutiennent la politique de « leur » gouvernement, mais soient aussi capables d’être très exigeants avec lui, aient le tempérament pour contrôler celui-ci, lui poser les questions qui fâches, et non de fausses questions qui sont autant de perches tendues pour de l’autosatisfaction comme nous le voyons trop souvent, majorité après majorité, dans les questions au gouvernement.

Propos recueillis par YV.

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Macron vend la France par la dette

[Source : bvoltaire.fr]

Par Éric Letty

Rassurez-vous, Français, tout va bien dans la meilleure Macronie. « Tout en continuant de baisser la fiscalité, l’État investit dans l’avenir : la transition écologique, nos services publics et notre souveraineté nationale », affirme un sous-titre de l’exposé des motifs du projet de loi de finances (PLF) pour 2024. Moyennant quoi, ledit PLF prévoit un besoin de financement de quelque 300 milliards d’euros et, pour y répondre, le gouvernement va lancer 285 milliards d’euros d’emprunts, qui s’ajouteront aux 3 000 milliards de dette publique enregistrés à la fin du deuxième trimestre 2023 (3 046,9 milliards d’euros, selon l’INSEE). Au troisième trimestre 2017, juste après l’entrée d’Emmanuel Macron à l’Élysée, la dette des administrations publiques s’élevait à 2 218,4 milliards d’euros. Autrement dit, en moins de sept ans, l’ancien associé gérant de la banque Rothschild aura accru l’endettement de la France de plus de 1 000 milliards d’euros.

Or, l’État paye à ses créanciers des intérêts, qui deviennent de plus en plus importants lorsque les taux augmentent, comme aujourd’hui. Cette charge de la dette s’élève, dans le PLF 2024, à 52,2 milliards d’euros. On donnera une idée de son importance en précisant qu’elle est supérieure aux budgets consacrés à la Défense (47,2 milliards d’euros), à la Recherche et l’Enseignement supérieur (31,6 milliards) et cinq fois plus importante que le budget de la Justice (10,1 milliards) ! Or, en raison de la hausse des taux d’intérêt, il est prévu que ces intérêts de la dette augmentent rapidement, jusqu’à atteindre 61 milliards d’euros en 2026.

Cet endettement public a d’énormes conséquences sur la souveraineté nationale, puisqu’il nous met à la merci d’un relèvement des taux d’emprunt par les banquiers et financiers internationaux — en somme, nos créanciers. Une augmentation brutale des taux aurait évidemment des répercussions douloureuses sur l’économie nationale et le niveau de vie des Français. En 2022, la question des conséquences économiques d’une victoire de Marine Le Pen au deuxième tour avait été posée dans la presse économique ; et l’on peut se demander, en effet, qu’elle aurait été la marge de manœuvre de la présidente du Rassemblement national si elle avait été soumise à un chantage à la remontée des taux.

On reproche parfois au Premier ministre italien Giorgia Meloni d’avoir renoncé à appliquer une partie de son programme. Mais les critiques savent-ils que l’Italie a connu la plus forte inflation de la zone euro, atteignant 8,7 % en 2022 ? La dette publique italienne atteignait 150 % du PIB, à la fin de l’année 2021, et les taux d’intérêt avaient commencé à grimper avant même la victoire électorale de la présidente de Fratelli d’Italia…

L’objection qui consiste à dire qu’il suffirait de faire défaut et de refuser de rembourser la dette n’est pas réaliste. On ne se met pas en faillite sans conséquences, comme le constatent les Argentins, qui doivent faire face à une inflation de 115 % sur un an. Depuis des décennies, la France vit sous perfusion. Sans crédits, alors que l’État se complaît dans le déficit budgétaire depuis la présidence de Giscard d’Estaing, avec quoi payer aujourd’hui les traitements des fonctionnaires, les pensions des retraités, les allocations des chômeurs, la paix sociale dans les banlieues ? Il ne suffit pas à un captif de souhaiter se libérer de ses liens pour retrouver sa liberté.

L’énorme poids de la dette menace gravement l’indépendance et la souveraineté nationales et a une forte incidence sur la vie démocratique, expression théorique de la souveraineté du peuple — et paravent commode pour nos gouvernants. En effet, plus la dette grossit, plus la possibilité d’un changement de paradigme politique et économique diminue. De ce point de vue, l’endettement fait le jeu d’Emmanuel Macron, dont le gouvernement continue à dépenser un « pognon de dingue », soutiré aux contribuables sous forme d’impôts présents ou à venir — sans parler de la flambée de l’inflation qui en résultera.

Pour l’instant, Macron joue sur du velours et sait que l’importance même de la dette française le protège. « Too big to fail » : trop gros pour faire faillite ; une faillite française présenterait de gros inconvénients aussi pour le système économique mondialisé, dans lequel le Président français est bien intégré. Mais les Français le paieront cher dans les prochaines années.




La face cachée de l’affaire tentaculaire « Abello »

[Source : planetes360.fr]

https://twitter.com/zoesagan/status/1707813936421117967

https://www.thegatewaypundit.com/2023/09/fbi-issues-warning-about-newly-discovered-pedophilic-satanist/



Jean Lassalle à mettre dans le même sac que les autres politiciens ?

Il réaffirme avoir les preuves de la non-vaccination de Macron, mais ne veut pas les donner.




La députée européenne Christine Anderson appelle Trudeau à démissionner

[Source : @Myltraduction]






Macron décore les covidistes de pointe

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Macron, cohérent : des médailles pour les covidistes de pointe

Par Modeste Schwartz

En médaillant plusieurs des organisateurs français de l’arnaque covidiste (Salomon, Fischer…), Macron fait un choix naturellement scélérat comme tout le reste de son existence , mais parfaitement logique, partant du principe (que je partage, et même soutiens) qu’il n’y aura jamais de réconciliation entre les empoisonneurs (et leur cheptel de moutons enthousiastes de l’abattoir) et les brebis galeuses qui ont choisi la liberté comme unique garantie de la dignité humaine.

Tandis que certaines études évaluent à 17 millions à travers le monde (pardonnez du peu…) le nombre des victimes d’AVC climatiques survenus, de façon purement fortuite, au lendemain d’une injection de sérum sûr et efficace contre une pandémie imaginaire, il devrait être évident pour tout animal pensant qu’il n’y aura jamais de main tendue entre les auteurs de ce meurtre de masse et celles des victimes potentielles qui se sont réveillées à temps pour échapper aux bienfaits de la dépopulation.

Au vu du sort réservé (notamment par un certain tribunal de Nuremberg) à certains représentants de l’eugénisme précédentl’oligarchie davosienne sait au contraire qu’elle n’échappera à une juste sentence qu’à condition de rester groupée.

C’est d’ailleurs — dans un contexte européen — tout particulièrement vrai de la France, système pseudo-monarchique où l’hyperprésidence empêche (au moins symboliquement) toute dilution de la responsabilité covidiste de Macron — tandis qu’en Grande-Bretagne, par exemple, la mise à l’écart du fauteur de guerre Johnson a facilité l’adoption d’une stratégie de démolition contrôlée du récit covidiste.

Tous les Resets mènent à Nuremberg

C’est pourquoi, en France, les palinodies post-covidistes — qu’elles soient gouvernementales ou médiatiques — restent strictement implicites, tandis que le statut vaccinal des élus reste un sujet rigoureusement tabou. En ce sens, le respect du dogme covidiste par l’intégralité de la « représentation » politique au printemps-été 2020 contenait déjà, en germes, la grande capitulation des pleins pouvoirs au Maréchal Macron, mise en scène 30 mois plus tard à Saint-Denis.

Avec, toutefois, une différence de taille : le jour où on sortira du placard ces quelques 53 000 morts dont l’INSEE ne sait trop quoi faire, les clowns de la pseudo-opposition pourront toujours raconter qu’ils n’y ont vu que du feu (personne ne les croira, mais ils ont l’habitude), et ne pourront être accusés que de complicité passive.

Les hommes que l’empoisonneur en chef décore en ce jour, en revanche, sont sa garde rapprochée, qui partagera son sort.




Un huissier chez Jean Lassalle pour recueillir son témoignage sur la non-vaccination du président Emmanuel Macron




Zelensky et Trudeau ont rendu hommage à Yaroslav Hunka, un ancien NAZI de la Seconde Guerre Mondiale…

[Source : businessbourse.com]

Le Premier ministre canadien Justin Trudeau et le président ukrainien Volodomyr Zelenskyy — qui commande un bataillon de néo-nazis — ont honoré vendredi un véritable nazi de la Seconde Guerre mondiale par une standing ovation.

Yaroslav Hunka, 98 ans, a combattu dans une formation militaire du Troisième Reich accusé de crimes de guerre.

Vendredi, il a été honoré lors d’une session du Parlement canadien au cours de laquelle Zelensky s’est adressé aux législateurs pour les remercier de leur soutien depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie, affirmant que le Canada a toujours été du « bon côté de l’histoire ».

Hunka s’est levé pour une standing ovation et a été salué dignement, selon la télévision canadienne :

Les SS galiciens et l’Armée insurrectionnelle ukrainienne (les deux factions ont travaillé ensemble) ont commis de nombreux massacres contre des Juifs, des Polonais, des Tchèques, des Slovaques et des partisans soviétiques au cours de leurs opérations et de leur collaboration avec les SS et les nazis :
https://en.m.wikipedia.org/wiki/Massacres_of_Poles_in_Volhynia_and_Eastern_Galicia
https://en.m.wikipedia.org/wiki/Zamo%C5%9B%C4%87_uprising
https://en.m.wikipedia.org/wiki/Huta_Pieniacka_massacre
https://en.m.wikipedia.org/wiki/Pidkamin_massacre
https://en.m.wikipedia.org/wiki/Palikrowy_massacre

Selon l’Associated Press, Hunka « a combattu avec la Première Division ukrainienne pendant la Seconde Guerre mondiale avant d’immigrer plus tard au Canada », autre nom de la 14e Division de grenadiers Waffen des SS, la branche militaire du parti nazi, également connue sous le nom de SS Galichina.

Voici quelques liens intéressants :

Meta accueille de nouveau le régiment néo-nazi Azov sur Facebook et supprime la liste des « organisations dangereuses »
Les grands médias félicitent le bataillon ukrainien Azov pour avoir supprimé les écussons nazis de ses uniformes
L’officier de l’ARC qui a amené les Waffen SS d’Hitler au Canada

Formé en 1943, le « SS Galichina » était composé d’Ukrainiens de la région de Galice, dans la partie occidentale du pays. Elle était armée et entraînée par les nazis d’Hitler et commandée par des officiers allemands. L’année suivante, la division reçut la visite du chef SS Heinrich Himmler, qui fit l’éloge de l’efficacité de l’unité dans le massacre des Polonais.

Les sous-unités « SS Galichina » étaient responsables du massacre de Huta Pieniacka, au cours duquel elles ont brûlé vifs 500 à 1 000 villageois polonais.

Une des nombreuses photos publiées sur un blog d’un groupe d’anciens combattants du « SS Galichina » montrent Yaroslav Hunka, l’immigrant ukrainien honoré par le Parlement canadien lors d’une visite du président ukrainien Volodymyr Zelenskyy. Hunka est au premier rang, au milieu du groupe.

En fait, lors du procès de Nuremberg, la « Waffen-SS » a été déclarée organisation criminelle responsable d’atrocités de masse.

https://twitter.com/MaxBlumenthal/status/1705738728277172255

Après la guerre, des milliers d’anciens combattants du « SS Galichina » ont été autorisés à quitter l’Allemagne et à se réinstaller dans l’Ouest, dont environ 2 000 au Canada. À cette époque, ils étaient connus sous le nom de « Première Division Ukrainienne ».

Un blog d’une association de ses anciens combattants, appelé « Combatant News » en ukrainien, comprend une entrée autobiographique d’un certain Yaroslav Hunka qui dit s’être porté volontaire pour rejoindre la division en 1943 et il existe plusieurs photographies de lui pendant la guerre. Les légendes indiquent que les photos montrent Hunka lors d’un entraînement d’artillerie SS à Munich en décembre 1943 et à Neuhammer (aujourd’hui Świętoszów), en Pologne, lieu de la visite de Himmler.

Dans des articles sur son blog datant de 2011 et 2010, Hunka décrit les années 1941 à 1943 comme les années les plus heureuses de sa vie et compare les vétérans de son unité, dispersés à travers le monde, aux Juifs.

Ainsi, les mêmes gauchistes qui ont qualifié les partisans de Trump de nazis pendant des années honorent désormais un véritable nazi — tandis que l’Allemagne a notamment incarcéré plusieurs gardes de camps de concentration âgés de 90 ans pour leur implication dans les activités nazies.

Ivan Katchanovski, politologue à l’Université d’Ottawa, l’explique très clairement…

Il a écrit qu’il s’était porté volontaire pour rejoindre la division « SS Galicia » en 1943 dans la région de Ternopil en Ukraine occidentale https://t.co/QAKG9hZOjo

– Ivan Katchanovski (@I_Katchanovski) 24 septembre 2023

En attendant, voici le bataillon néo-nazi Azov d’Ukraine, que tous ceux qui ont un drapeau ukrainien dans leur biographie soutiennent…

Source : zerohedge




La mainmise des entreprises sur la Santé publique

[Source : thebiglogic.com]

Traduction de
https://www.thebiglogic.com/wp-content/uploads/the-corporate-capture-of-public-health-1.3-thebiglogic.com_-2048×2048.png
par le biais de https://translate.yandex.com/




L’Occident Importe la Révolution Culturelle Chinoise

[Source : fr.gatestoneinstitute.org]

ParJ.B. Shurk

Traduction du texte original: The West Is Importing China’s Cultural Revolution

[Illustration : la « révolution culturelle » a déjà détruit une grande civilisation, la civilisation chinoise ; peut-être, l’Occident devrait-il réfléchir à deux fois avant d’importer une révolution culturelle à sa façon.
Photo : un groupe d’enfants lisant le « Petit livre rouge » du président Mao Zedong devant un portrait de Mao pendant la Révolution culturelle chinoise, vers 1968. (Photo par Hulton Archive/Getty Images)]

La culture chinoise traditionnelle, vieille de plusieurs milliers d’années, est structurée par de belles philosophies confucéennes, des coutumes liées à la parenté, du symbolisme artistique, des mythologies et des rituels de dévotion aux ancêtres. Pour observer l’une ou l’autre de ces anciennes coutumes, c’est à Taiwan — et non en Chine — qu’il faut se rendre. Quand les communistes ont détruit au bulldozer le riche patrimoine culturel de Chine continentale, et que la « révolution culturelle » de Mao Zedong a purgé les « quatre vieilleries » de la société chinoise — les anciennes coutumes, la culture, les habitudes et les idées —, Taïwan est devenu de facto le dernier refuge de l’une des plus anciennes grandes civilisations du monde.

Le mode de vie traditionnel de la Chine a survécu à des milliers d’années de guerre civile intermittente, d’agressions étrangères, d’épisodes de famine et de sabotage occidental. Mais quand le virus du communisme a pris pied en Chine, une génération a suffi pour anéantir la vibrante histoire de ce pays. Il y a vingt-cinq ans, plusieurs universitaires ont, dans un effort louable, tenté de mesurer les dégâts du communisme au XXe siècle avec un ouvrage intitulé Le Livre noir du communisme : Crimes, Terreur, Répression. Ce travail répertorie avec compétence comment les communistes ont systématiquement assassiné cent millions de citoyens et torturé un nombre de personnes beaucoup plus important, mais il ne fait qu’esquisser la destruction du peuple chinois par les communistes.

Si une « révolution culturelle » de ce type s’était abattue sur la civilisation occidentale, toutes les grandes idées liées à la démocratie grecque, au républicanisme romain, à la théologie judéo-chrétienne, à la raison des Lumières, à la révolution scientifique et à la préservation de la liberté individuelle auraient disparues du jour au lendemain. Aristote, Cicéron, Augustin, Thomas d’Aquin, da Vinci, Michel-Ange, Shakespeare, Locke, Jefferson et tous les autres penseurs, écrivains, artistes, inventeurs et hommes d’État ? À la poubelle ! Telle est la profondeur du génocide culturel perpétré par le communisme contre le peuple chinois sans parler des dizaines de millions de personnes massacrées et effacées de la mémoire collective.

Il est donc permis de s’étonner quand d’estimables institutions multilatérales cherchent à se nourrir de l’expérience chinoise ! L’Organisation mondiale de la santé s’est largement inspirée des techniques de verrouillage de la population chinoise pendant le COVID et a préconisé un confinement qui a affecté tous les aspects de la vie en Occident. Le fondateur du Forum économique mondial (WEF), Klaus Schwab, applaudit régulièrement l’État policier chinois pour sa capacité à « inciter » les citoyens à se plier aux règles. Les admirateurs de la Chine ferment volontiers les yeux sur les génocides ininterrompus de l’État communiste à parti unique contre les chrétiens, les Tibétains, les Ouïghours, les adeptes de Falun Gong et d’autres minorités. Mieux, ils considèrent que le totalitarisme technocratique chinois incarne un modèle pour le reste du monde.

Il est profondément perturbant de voir un destructeur de civilisations présenté comme l’avenir de la civilisation mondiale. C’est ce paradoxe qu’implique le « Great Reset » (ou « Grande Réinitialisation ») du WEF. En dépit de l’importance qu’elle accorde à la science et à la technologie, et malgré ses visions prospectives éblouissantes, la « Grande réinitialisation » s’inscrit dans les pas de la désolation culturelle chinoise. L’organisation influente de Schwab promeut la généralisation d’un système chinois où une petite élite aboie des ordres auxquels les citoyens ordinaires s’empressent d’obéir. Cette association poursuit une existence en société morne où la libre pensée est considérée comme « dangereuse » et où les dogmes de l’État sont acceptés religieusement. Dans ce projet de civilisation dépourvue de culture vivante, l’innovation humaine s’étiole et laisse le monde à la merci d’outils d’intelligence artificielle. Le « Grand Reset » est une révolution culturelle » du XXIe siècle destiné à purger l’Occident de ses « vieilles habitudes ».

Si le WEF érigeait en modèle les idéaux des Lumières, le libéralisme occidental et les normes démocratiques, ce corps d’aristocrates non élus s’épuiserait à convaincre les dirigeants chinois de l’importance fondamentale de la liberté d’expression, de la liberté de religion, de la propriété privée, de l’État de droit et du respect de la vie privée. Mais ils ne le font pas, car les loyautés du WEF vont aux mandarins du Parti communiste chinois et rares sont les partisans idéologiques de Schwab qui sont prêts à le reconnaître.

« Le régime technototalitaire que le PCC perfectionne en Chine n’est pas destiné à y être cantonné », a averti Michael Gallagher, président de la commission spéciale de la Chambre des Représentants sur le Parti communiste chinois. « Il s’agit d’un modèle qu’ils cherchent à exporter dans le monde entier ». La synchronisation entre le Parti communiste chinois et le Forum économique mondial est telle que Schwab frétille à l’idée d’aider la Chine à exporter son État policier totalitaire à travers le monde.

Certains événements ont pris une tournure ironiquement malsaine. Ainsi, au moment même où « Le Livre noir du communisme » dévoilait l’horreur des crimes contre l’humanité commis par la Chine, les politiciens américains invitaient l’État policier à parti unique à rejoindre l’Organisation mondiale du commerce et l’aidaient à devenir une puissance manufacturière. Le refus de prendre en considération les violations massives des droits de l’homme en Chine et le statut de partenaire commercial permanent accordé à ce pays par le président Bill Clinton et un Congrès bipartite se fondaient sur l’idée douteuse que la Chine finirait par ressembler à l’Amérique. « Le peuple américain soutient cet accord » a affirmé à l’époque, le représentant américain Bill Archer, « parce qu’il sait que c’est bon pour l’emploi en Amérique et bon pour les droits de l’homme et le développement de la démocratie en Chine ». Vingt-cinq ans de destructions d’emplois aux États-Unis, la persécution continue des minorités ethniques par les Chinois et le pouvoir mondial croissant du Parti communiste chinois ont rendu cette déclaration remarquablement naïve.

Donner l’absolution au totalitarisme chinois et lui tendre les clés des marchés mondiaux pour lui permettre de s’enrichir pourrait bien avoir été la plus grave erreur de politique étrangère jamais commise dans l’histoire de l’humanité. Loin d’apporter plus de prospérité aux Américains, comme l’avaient promis à l’époque le président Clinton et la secrétaire d’État Madeleine Albright, la normalisation des relations commerciales avec la Chine a dévasté la cohérence industrielle et manufacturière autrefois robuste des États-Unis, appauvri les cols bleus à travers le pays, et rendu les Américains ordinaires dépendants d’un ennemi géopolitique souvent hostile pour l’obtention des matières premières et des produits finis critiques.

La délocalisation des emplois américains à l’autre bout du monde et l’utilisation des salaires américains pour financer les importations chinoises font que la richesse est drainée hors des États-Unis pour être capitalisée par le Parti communiste chinois et son armée rugissante. La Chine continue de contourner toutes les règles ou normes internationales qui pourraient entraver l’expansion de sa puissance ou de ses résultats économiques. Elle a aussi utilisé ses routes commerciales pour introduire clandestinement du fentanyl et d’autres stupéfiants mortels aux États-Unis. Tout aussi alarmant, le PCC a également fait passer des groupes d’hommes en âge de servir « en nombre sans précédent » — avec ordre de saboter l’infrastructure américaine si les États-Unis tentaient d’empêcher la Chine de s’emparer de Taiwan. Une énorme recrudescence d’immigrants illégaux chinois ayant des liens confirmés avec l’Armée populaire de libération a conduit le représentant américain Mark Green à conclure : « il s’agit d’un effort concerté des Chinois pour déstabiliser les États-Unis, nuire à notre société et faciliter la mise en œuvre de leur version de l’ordre mondial ».

Il est avéré que la Chine manipule sa devise et vole la propriété intellectuelle d’autrui, mais le Fonds monétaire international a quasi confirmé que le yuan chinois pourrait servir au remboursement de la dette. Plutôt que de mettre en place un mécanisme qui aiderait à la « démocratisation » d’un État communiste fermé, la Chine s’est vu offrir l’économie mondiale sur un plateau ce qui a aidé à durcir son autoritarisme de fer, encouragé son agressivité régionale, élargi sa capacité à infliger des dommages aux Américains ordinaires et cimenté son poids géopolitique. Les États-Unis apportent un soutien essentiel à la barbarie du Parti communiste chinois, conclut Tony Perkins, ancien président de la Commission bipartite des États-Unis sur la liberté religieuse internationale : « La Chine est en fait plus répressive aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a deux décennies, et elle peut se le permettre, car les consommateurs américains financent leur répression. »

À Washington. DC, les politiciens et les représentants au commerce ont sans doute cru qu’ils pouvaient attraper le dragon chinois par la queue, mais, un quart de siècle plus tard, il ne fait aucun doute que la bête cracheuse de feu a été rendue plus dangereuse. La sénatrice Marsha Blackburn décrit sans fards l’aveuglement de l’administration Biden envers le mauvais comportement de la Chine et les efforts délirants de cette administration « pour apaiser une dictature qui viole en série les droits de l’homme et opprime son propre peuple ». Plus de 80 ans se sont écoulés depuis la mort du Premier ministre britannique Neville Chamberlain, et une fois de plus, l’apaisement des régimes totalitaires brutaux est à l’ordre du jour — le tout au service de cette promesse souvent insaisissable de paix mondiale.

Outre qu’ils ont détruit leur ancienne civilisation, qui sont les dirigeants de la Chine communiste aujourd’hui ? Ils sont exactement le genre d’autoritaires que l’élite de Davos dénonce quand elle vante les vertus de la « démocratie ». La Chine envoie ses espions harceler et intimider partout dans le monde les dissidents qui parlent et écrivent contre le régime communiste. Le régime a mis à prix (un million de dollars) la tête de ceux qui se sont opposés à la prise de contrôle de Hong Kong par Pékin. Si « vous représentez une menace pour le Parti communiste chinois de quelque manière que ce soit », a prévenu le représentant américain Carlos Gimenez, « vous serez persécuté, vous finirez en prison, et, si nécessaire, votre vie pourra même être en danger ».

Les nombreux partisans de la normalisation des relations commerciales avec la Chine n’ont anticipé que le meilleur et ont refusé de considérer qu’il existait un risque à renforcer davantage un acteur indigne de confiance. Un an après que Clinton ait aidé la Chine à entrer dans le club du « libre-échange », le président George W. Bush a également déclaré : « Le commerce ouvert est une force pour la liberté en Chine, une force pour la stabilité en Asie et une force pour la prospérité aux États-Unis ». Ignorant le risque qu’il y avait à nourrir une bête dangereuse, il a ajouté : « ouvrir des relations commerciales, c’est ouvrir les esprits. Nous commerçons avec la Chine parce que le commerce est une bonne politique pour notre économie, parce que le commerce est une bonne politique pour la démocratie et parce que le commerce est une bonne politique pour notre sécurité nationale. »

Tous ces objectifs étaient louables, mais les chemins de l’enfer sont généralement pavés de bonnes intentions. Si Bush avait su en 2001 que les cols bleus américains dépériraient aujourd’hui, que la Chine tuerait des dizaines de milliers d’Américains chaque année avec du fentanyl tout en volant la technologie des entreprises américaines, et que des institutions mondiales telles que l’Organisation mondiale de la santé et le Forum économique mondial feraient activement la promotion de l’État de surveillance technocratique du Parti communiste chinois, peut-être aurait-il montré moins d’empressement à renforcer la Chine au moyen d’un commerce sans entraves. Peut-être aurait-il été encouragé à se demander si la démocratie, la stabilité, la prospérité et la sécurité nationale n’étaient pas finalement à risque. Peut-être aurait-il reconnu que la Chine réussirait à exporter son autoritarisme partout dans le monde plus efficacement que les États-Unis n’exportent la liberté.

Comme l’ont attesté de nombreux spécialistes des mouvements radicaux, « une grande partie de l’activisme qui déchire actuellement la civilisation occidentale est motivée par des idées qui s’originent dans le maoïsme ». La « révolution culturelle » a déjà détruit la grande civilisation chinoise ; l’Occident devrait rejeter l’importation de sa propre révolution culturelle avant qu’il ne soit trop tard.

JB Shurk écrit sur la politique et la société, et est Distinguished Senior Fellow du Gatestone Institute.




Les dangereux fantasmes d’Ursula

Billet ursulien : de l’urgence de briser la machine infernale de l’Union européenne

[Source : russiepolitics]

Par Karine Bechet-Golovko

Ursula nous a gratifiés hier d’un discours sur l’état de l’Union parfaitement ubuesque, rien que l’appellation revendique l’allégeance. Ubuesque pour toute personne, qui tente de rester rationnelle face à ces processus d’évidement des États, des hommes et des sociétés en Europe par l’UE. Pour le reste, ce discours est la formulation de la nouvelle religion globaliste imposée sur nos terres européennes et comme toute religion, elle ne se discute pas, elle se révère. Je me suis toujours demandée si ces gens croyaient vraiment à ce qu’ils disaient. Quoi qu’il en soit, il est urgent de démonter cette machine — tant que nous en avons encore la force.

Pour ceux qui en ont le courage ou qui auraient raté la grande messe d’hier, voici l’intégral du service, diffusé avec tout le respect que l’on doit à ce culte sur la chaîne LCP :

Je ne vous imposerai pas une lecture exhaustive de son discours, mais je voudrais simplement attirer votre attention sur certains points, assez révélateurs de toute la distance qui existe entre le monde tel que dessiné dans la fantasmagorie de ces élites et la réalité de la vie dans laquelle nous vivons.

Ursula von der Leyen commence très fort. Il est vrai qu’elle parle devant les députés européens, c’est-à-dire devant des personnes, qui sont intégrées dans le système, en vivent, y font leur carrière. Même s’ils râlent parfois sur les détails (il faut bien montrer aux électeurs que l’on est dans l’opposition, patriotes, voire « souverainistes »), ils ne remettent pas en soi l’existence de ce système globaliste anti-souverainiste.

Ainsi, la présidente de la Commission européenne, sans le moindre humour, entame son ode européiste par la glorification de son caractère… démocratique. L’UE… démocratique…

« Dans un peu moins de 300 jours, les Européens se rendront aux urnes dans notre démocratie unique et remarquable.

Comme dans toute élection, ce sera pour les citoyens le moment de réfléchir à l’état de notre Union et au travail accompli par ceux qui les représentent. »

Ainsi, les Européens, par le vote, sont sommés de légitimer l’existence de cette structure, qui détruit les sociétés dans lesquelles ils vivent, en leur donnant l’illusion, ainsi à intervalles réguliers, de participer à la prise de décision. À aucun moment, la question de la prolongation ou de la fin de l’UE ne leur est posée. La question de confiance ne sera jamais à l’ordre du jour.

S’en suivent tous les cultes globalistes : gender, climat, écologie, diversité culturelle, intelligence artificielle, etc. Car l’avenir et la grande réussite pour ces élites se résument principalement à la transition numérique (la virtualisation de l’État, de la société et de l’homme) et à la transition écologique (la désindustrialisation et paupérisation par surconsommation d’électricité — en déficit). Rien à faire, c’est « l’esprit du temps », la vision du monde imposée dans le monde global. Et comme écrivait Jung (L’Âme et la Vie) :

« Il n’y a pas lieu de plaisanter avec l’esprit du temps, car il constitue une religion, mieux encore : une confession ou un credo dont l’irrationalité ne laisse rien à désirer ; il a en outre la qualité fâcheuse de vouloir passer pour le critère et la prétention de devenir le privilège du bon sens. »

Ursula, rassurons-nous, n’a aucun sens de l’humour — c’est trop dangereux, cela demande de l’esprit, donc de l’indépendance d’esprit. Elle développe ses dogmes sur fond des deux échecs profonds de l’UE : l’hystérie pandémique et le conflit en Ukraine. 

L’Europe de la Santé est lancée comme un paravent devant cacher la mise à mort des systèmes de santé nationaux et la gouvernance par la peur, lancée lors de la crise covidienne, qui fut, rappelons-le, l’occasion de conflits d’intérêts aussi sérieux que lucratifs, tant au niveau des structures européennes que nationales. Ce qui n’empêche pas notre Ursula oser cette formule, qui résonne assez étrangement dans ce contexte :

« Nous avons jeté les bases d’une Union de la santé, qui nous ont aidés à vacciner tout un continent, et de vastes régions du monde. »

Une certaine conception de la santé et de l’homme. Que l’UE n’a de justesse pas pu réaliser entièrement, grâce au lancement de l’Opération militaire par la Russie en réponse à l’agression ukrainienne : l’on se souviendra que la première victoire de l’armée russe fut la gestion covidienne, qui n’y a résisté dans aucun pays.

En ce qui concerne plus concrètement ce conflit géopolitique et civilisationnel, qui se déroule en Ukraine, il marque l’échec de l’UE et un échec fondamental — dans le sens direct du terme : cette UE, qui a été créée, soi-disant, pour lutter contre les guerres traditionnelles sur le sol européen, se retrouve impliquée jusqu’au cou, à entretenir, à financer, à armer, une guerre traditionnelle sur le Continent européen. Notamment, lorsqu’il s’agit d’accélérer l’intégration de l’Ukraine dans l’UE et d’importer ainsi directement un conflit, qui ne peut se résoudre sans une victoire militaire.

Mais la guerre en Ukraine présente un avantage de poids pour l’UE : expliquer le désastre social et économique de la politique menée. « C’est la faute à Poutine » est le leitmotiv de ces fanatiques. Ainsi, alors que l’UE adopte des sanctions, annonce sortir du gaz russe (pour se tourner vers les USA et les énergies « vertes » insuffisantes), c’est la Russie qui est pointée comme utilisant le gaz pour faire du chantage :

« Nous n’avons pas oublié que Poutine a délibérément utilisé le gaz comme une arme, ni oublié les craintes d’une panne généralisée et d’une crise énergétique comme celle des années 1970 que cet acte a suscitées.

Beaucoup pensaient que nous n’aurions pas assez d’énergie pour traverser l’hiver.

Mais nous y sommes parvenus.

Parce que nous sommes restés unis — et que nous avons mis en commun notre demande et nos achats d’énergie. »

Traduction : on n’est pas si nuls que cela, on a réussi à survivre — enfin, nous, nous en vivons très bien, mais vous, vous avez pu survivre. Au prix d’une crise profonde — mais qu’importe ! les cultes ne se discutent pas —, on ne change pas de voie. Alors que les factures d’énergie ne cessent d’augmenter, que les foyers ont de plus en plus de mal à les payer, que les PMI PME ferment à cause de cela (voir notre texte ici), Ursula von der Leyen ose affirmer :

« La bonne nouvelle est que l’Europe a commencé à faire baisser les prix de l’énergie. »

Un dernier aspect non moins important : le culte numérique. Il est remarquable que la question de la gouvernance soit indiquée comme le deuxième pilier de l’IA. Lisez très attentivement ce qui suit :

« Le deuxième pilier est la gouvernance

Nous jetons aujourd’hui les bases d’un système de gouvernance unique en Europe.

Mais nous devrions également œuvrer de concert avec nos partenaires pour avoir tous la même compréhension de l’impact de l’IA dans nos sociétés.

Prenez, par exemple, la contribution inestimable du GIEC pour le climat, ce panel mondial qui fournit aux décideurs politiques les données scientifiques les plus récentes.

Je pense que nous avons besoin d’un organe similaire pour l’IA, en ce qui concerne ses risques et ses avantages pour l’humanité. »

Vous avez réellement envie de ce monde-là ? Vous avez réellement envie de cette inhumanité ? Dans 300 jours, il faut sortir de ce « machin ». 


Rappel d’un député




La clef du succès pour les prochaines élections présidentielles

Par Les Gilets Jaunes de la Victoire

Depuis plus de trois ans, depuis le début de la séquence covid, en France les journalistes des médias dominants ont suivi quasiment aveuglément la logorrhée macronienne, sans regarder dans les coulisses. Ainsi, si vous suivez les programmes des télévisions, des radios ou des journaux vous subissez une alternance d’informations pour une grande part stressante et de divertissements bien rodés. Programmes sportifs, musicaux ou autres. Le stress a commencé avec le décompte journalier des morts du covid, le confinement, l’obligation vaccinale… et cela continue actuellement avec les informations sur la guerre en Ukraine, le réchauffement climatique, l’inflation, les banlieues laissées à vau-l’eau ou tout autre sujet. Il y a le choix. Mais une fois ces informations délivrées, les programmes des médias dominants continuent dans la bonne humeur, le ton des journalistes est apaisant comme si tout était normal, qu’en coulisse il n’y avait rien à creuser, rien à voir. Ainsi le français qu’il soit cultivé ou ignare, diplômé ou non, baigne dans un flot apaisant et soporifique, et continue à croire qu’actuellement nous vivons dans la continuité des périodes précédentes. Très lourde erreur. La longue séquence covid a bouleversé en profondeur le paysage politique français et international. Plus rien ne sera comme avant pour une raison très simple : les distinctions entre gauche et droite, entre extrême gauche et extrême droite sont dorénavant caduques, car tous ensemble ils ont montré leur incapacité à interpréter ce qui se passait réellement pendant la crise sanitaire. Cette crise leur est tombée dessus et a anesthésié leur capacité de jugement comme leur sens critique, tous ils ont gobé la propagande gouvernementale et médiatique sans réfléchir, comme des moutons ils ont suivi le troupeau. Constat accablant la quasi-totalité des responsables politiques de haut niveau sont tombés dans le panneau entraînant les masses dans leur sillage alors que dès l’origine de très nombreuses incohérences manifestes s’étaient révélées dans le discours officiel.

. Tous les médecins savent qu’en cas d’épidémie le terrain est primordial. Un sujet ayant de faibles défenses immunitaires aura nettement plus de prédispositions à attraper une maladie. Cela tombe sous le sens, en cas d’épidémie, il est indispensable pour la population de renforcer ses défenses immunitaires. Pour cela il faut prendre des compléments alimentaires, des vitamines par exemple, des probiotiques, pratiquer une ou des activités physiques modérées, bien dormir et… se déstresser. Pourtant en France lors de cette épidémie une chose ahurissante c’est produite, le gouvernement nous a bombardé incessamment de messages officiels du ministère des Solidarités et de la Santé nous recommandant, la distanciation, le port du masque (avec retard à l’allumage)… mais jamais, au grand jamais, nous n’avons reçu de sa part, avec autant d’acharnement, le message pourtant fondamental, et même vital, que nous devons impérativement renforcer nos défenses immunitaires !!!

Cette omission plus que suspecte est d’une portée considérable, à l’évidence, dès le départ, ce gouvernement a privilégié la contrainte abrupte, l’infantilisation, la peur…, au détriment du bon sens.

. Cet aspect essentiel de la prévention n’ayant pas manifestement été pris en compte par les autorités sanitaires françaises et les responsables politiques, on peut se demander si en droit juridique ils ne peuvent pas être attaqués pour « Abstention volontaire ». L’article 223-6 du Code pénal (article 63-1 de l’ancien Code pénal) condamne l’abstention volontaire de porter assistance à une personne ou des personnes en périls.

. Depuis plusieurs siècles, on sait que la méthode la plus efficace pour stopper une épidémie est la quarantaine. Quarantaine (XIIs) dérivé de quarante d’abord au sens de « espace de quarante jours », au XVIIs, âge de quarante ans » et « isolement de quarante jours » (pour éviter la contagion). Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Baumgartner et Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 655.

De nombreux pays dans le monde ont utilisé ce processus avec un franc succès. Ils ont testé les malades et les ont immédiatement isolés de la population, cassant ainsi la chaîne de propagation du virus.

Le point sur les différents tests (Journal des femmes).

. Les tests PCR n’isolent pas et ne détectent pas le covid-19 comme tel, ils montrent simplement que les testés ont toute une série de virus et de bactéries dans leur corps, ceci n’ont peut-être aucun rapport avec le covid-19. Cependant, quand l’individu est déclaré positif (après un délai de plusieurs jours), il est déclaré systématiquement positif au covid-19. (Il y a des directives pour surestimer considérablement le nombre de décès dans tous les pays)

Article FranceSoir : La grande supercherie des tests PCR, 90 % des cas positifs ne sont pas malades ni contagieux.

[Voir aussi : Le directeur scientifique de Pfizer déclare que la « deuxième vague » a été truquée lors de tests covid faussement positifs, « la pandémie est terminée ».]

. Des tests nettement plus précis et rapides (30 min) existaient, ils furent utilisés depuis le début de la crise par plusieurs pays, au début en Asie, Japon, Corée du Sud, Hong-kong… puis en Europe, Luxembourg, Allemagne, Autriche… ils permirent de détecter rapidement les positifs et de les isoler pour éviter la contagion. (ASIE – ÉPIDÉMIE: Sortir du confinement par les tests sérologiques d’immunité au Covid 19)

. Un Conseil Scientifique dont plusieurs membres ont des liens avec des intérêts privés, des entreprises pharmaceutiques. Cette collusion a été dénoncée par le Pr Raoul lors de son audition par le Parlement, le 24 juin 2020. Didier Raoult explique, par ce constat, alors qu’il en est membre, son refus d’y siéger. Malgré cette dénonciation faite il y a plusieurs mois déjà aux yeux de tous, ce Conseil Scientifique a continué de fonctionner en l’état comme si de rien n’était, en donnant son avis au gouvernement qui le suivait.

Enfin, vous voulez voir quelle est la nature des liens avec des intérêts privés ? Il est bien évident que ceux qui profitent de cette manne ne peuvent pas avoir de jugements objectifs. Ils ne peuvent pas être impartiaux. (Top 13 du classement des revenus récents versés par l’industrie pharmaceutique et Crise sanitaire : le retour des accusations de conflit d’intérêt) ;

Depuis plus de trois ans dans les médias alternatifs tombent les preuves effarantes et scandaleuses que la pandémie n’a été qu’une monstrueuse arnaque dont les principaux bénéficiaires se sont gavés aux dépens de tous les citoyens. Voir par exemple parmi une multitude les sites qui délivrent de l’information sans censure : https://www.profession-gendarme.com/https://www.businessbourse.com/https://www.planete360.fr/, https://www.cielvoile.fr/.

Il est déplorable et très grave que la quasi-totalité des politiques, des journalistes, des médecins…, des fonctionnaires en tant qu’exécuteurs aveugles et dociles des consignes gouvernementales n’aient pas été à la hauteur de leurs devoirs en s’informant à des sources non corrompues. Ils se sont complètement déconsidérés, et cela pour très longtemps. Nous ne leur pardonnerons jamais. En ce qui concerne les politiques et les journalistes nous en avons assez de voir toujours la même faune qui monopolise les plateaux TV, les radios, les journaux et qui sciemment censure ou font de la rétention d’informations. Conséquence la grande majorité des Français ne se doute pas, entre autres, que Macron n’est qu’une marionnette de Klaus Schwab le président du Forum de Davos.

À la tête du pays nous n’avons aucun besoin d’être dirigés, menés, contrôlés par des veaux décérébrés ou cyniques. Il nous faut impérativement de vrais responsables politiques intègres à la hauteur de leur fonction et ayant des capacités de jugements élevés. C’est un des principaux enseignements de la mère de toutes les crises. Comme le coronacircus s’est diffusé par capillarité à l’ensemble de la planète pour illustrer notre propos nous pouvons vous proposer cet entretien percutant :

https://planetes360.fr/the-big-reset-entretien-avec-pierre-jovanovic-essayiste-et-journaliste-economique/

Étant donné que le filon pandémique va encore être exploité dans les semaines et les années à venir par les mondialistes pour terroriser la population, il est impératif de faire comprendre à la population que la seule solution pour nous en sortir est de se regrouper autour d’un candidat qui soit le plus apolitique possible. Jean Lassalle, ancien député, qui a abandonné son mandat pour mieux préparer les prochaines élections présidentielles, qui de plus a souffert des méfaits du vaccin covid, semble être un de ces candidats fédérateurs.

CONCLUSION : Il est impératif et même vital de regrouper nos forces pour pouvoir enfin faire l’union de tous les résistants comme cela avait été fait pendant la dernière guerre par l’intermédiaire de De Gaulle et de Jean Moulin.

Car à défaut nous aurons droit à ceci :

https://reseauinternational.net/nos-dirigeants-sont-selectionnes-et-non-elus/

« Et juste comme ça, nos illusions d’être des citoyens libres dans des démocraties faites “à l’image de Dieu” ont été brisées. Nous sommes des “mangeurs inutiles” et des “animaux taillables et corvéables à merci” que l’on peut rassembler et tuer dès que l’on trouve une excuse plausible. »

Mike Stone




Les tireurs de ficelles derrière le 11 septembre

[Source : Kla.tv]

Ce documentaire révèle sur le 11 septembre des faits jusqu’ici inconnus, mais remarquables. Il fournit des indices montrant que des cercles de personnes étaient au courant en amont de l’événement. Outre des informations de fond indispensables sur la Commission du 11 septembre, des imbrications et des machinations incroyables du gouvernement américain de l’époque sont mises à la lumière. Vous découvrirez également ce qu’il en est du prétendu coupable, Oussama ben Laden.



Transcription

Le 11 septembre 2001, les événements autour du World Trade Center à New York et du Pentagone ont bouleversé la population mondiale. Un événement qui continue de marquer le monde. Ce jour, également appelé Nine Eleven, a entraîné de nombreuses guerres et a permis aux gouvernements du monde entier d’étendre massivement le contrôle de leur propre population.

Selon le récit officiel du gouvernement américain et des médias mainstream, 19 terroristes ont détourné quatre avions le matin du 11 septembre. Deux avions se sont écrasés sur les tours jumelles du World Trade Center à New York, qui se sont effondrées peu de temps après. Un troisième avion s’est écrasé sur le Pentagone, le siège du ministère américain de la Défense. Un quatrième avion s’est écrasé près de Pittsburgh. Les attentats ont coûté la vie à 2 989 personnes. Immédiatement après les attentats, le gouvernement américain et les médias ont présenté Oussama ben Laden et l’organisation terroriste Al-Qaïda comme les auteurs des attentats.

1. Cette version officielle du gouvernement américain et des médias mainstream résiste-t-elle à un examen minutieux ?

De nombreux faits, avis d’experts, enquêtes et témoignages oculaires ébranlent très fortement la crédibilité de la version officielle du gouvernement.

Effondrement des tours jumelles par démolition contrôlée ?

De nombreux résultats d’enquête et d’autres facteurs indiquent que l’explosion a été contrôlée. Par exemple, une équipe internationale de chercheurs dirigée par un chimiste, le Dr Niels Harrit de l’université de Copenhague, a trouvé, au cours d’une étude scientifique, de grandes quantités de nanothermite, un explosif, dans les décombres des tours jumelles. Dans un article scientifique sur leurs recherches, les chercheurs concluent que les deux avions détournés n’ont pas provoqué les effondrements, mais que des explosifs ont été placés à l’avance dans les bâtiments.

Témoignage du Dr Niels Harrit

« Nous avons trouvé de la nanothermite dans les débris. […] Elle peut faire exploser des choses et elle peut faire fondre des choses. Ces deux attributs ont probablement été utilisés, d’après ce que je vois. Du métal en fusion s’écoule de la tour sud quelques minutes avant l’effondrement. »

Le concierge du World Trade Center William Rodriguez a fait cette déclaration frappante :

« La première explosion s’est produite au sous-sol B2. Il y avait six sous-sols dans le bâtiment. Avant même que l’avion ne frappe le bâtiment. […] J’étais là, j’ai sauvé des gens que j’ai aussi présentés à la Commission du 11 septembre, c’est la commission qui a été créée pour enquêter sur tout ça. Mais ils n’ont pas été entendus une seule fois. […] J’ai été concierge pendant 20 ans et le 11 septembre, j’avais l’unique passe-partout. »

Les pompiers et les centaines de témoins oculaires qui ont fait état de dynamitages et d’explosions n’ont pas été pris en compte dans le rapport officiel du gouvernement.

« Quand je suis arrivé dans le hall, on a entendu comme des coups de feu, puis il y a eu trois énormes explosions. »

« Quand nous sommes entrés dans le hall, il était complètement détruit. Je pense qu’une bombe a explosé avant même que l’avion ne s’écrase sur le bâtiment. »

« Sur le chemin du 8e étage, il y a eu une énorme explosion qui nous a fait reculer. »

« Nous étions dans la cage d’escalier avec notre matériel. Et là, il y a eu une énorme explosion. »

Dans la version officielle du gouvernement, le fait que le béton des tours jumelles ait été pulvérisé (!) par l’effondrement reste inexpliqué.

Témoignage de Peter Ketcham

« Regardez les débris qui sont restés. Ce ne sont pas de gros morceaux d’acier ou de gros morceaux de béton. Ce sont de fines particules. »

Témoins oculaires

« Où sont passés tous les débris ? Le béton a été pulvérisé. J’étais ici mardi et c’était comme si j’étais sur une planète étrangère. […] Le béton était tout simplement pulvérisé. […] Nous avons ici des immeubles de bureaux de 210 étages. On ne trouve pas de bureau ici, on ne trouve pas de chaise, pas de téléphone, pas d’ordinateur. Le plus gros morceau de téléphone que j’ai trouvé était la moitié du clavier — il faisait à peu près cette taille. Le bâtiment s’est effondré en poussière. »

Ground Zero désigne le site du World Trade Center détruit lors des attentats terroristes du 11 septembre 2001. Ce terme est utilisé dans le langage militaire pour désigner le lieu d’explosion en surface d’une bombe atomique ou d’un missile.

WTC 7

Le World Trade Center 7 ne se trouvait pas directement sur Ground Zero, mais au nord, à l’extérieur du site.

Très peu de gens savent que ce gratte-ciel s’est également effondré le 11 septembre, bien qu’il n’ait été touché par aucun avion. Il s’est effondré verticalement, comme il est d’usage lors d’une démolition.

Le « National Institute of Standards and Technology », en abrégé NIST, financé par le gouvernement américain, a mené l’enquête officielle sur l’effondrement du WTC 7.

Le rapport du NIST a étayé la version officielle du gouvernement : selon lui, le WTC 7 a pris feu et s’est effondré en raison de la chute de débris des tours jumelles.

L’historien suisse Daniele Ganser s’exprime à ce sujet : « Comment un bâtiment avec 81 colonnes en acier peut-il s’effondrer en chute libre à cause d’un incendie ? Car lors d’une chute libre, les 81 colonnes en acier doivent disparaître à la même seconde. […] Jusqu’à présent, dans l’histoire, jamais, vraiment jamais, un bâtiment ne s’est effondré à cause d’un incendie, un bâtiment à ossature d’acier. »

En 2019, une étude indépendante sur le WTC 7 a été publiée aux États-Unis. Elle a été présentée par l’Université d’Alaska Fairbanks. La principale conclusion de cette étude est que le feu n’a pas causé l’effondrement du WTC 7 le 11 septembre

Le Dr Daniele Ganser s’est exprimé comme suit sur les résultats de cette étude : « Elle dit que les 81 colonnes d’acier ont dû perdre leur stabilité à la même seconde. Et c’est en fait une autre façon de parler de dynamitage. »

En 2017, Peter Ketcham, employé de longue date du NIST, a accusé l’institut d’avoir falsifié le rapport d’enquête en faveur de la version gouvernementale :

« Le rôle du NIST, si je comprends bien, était d’enquêter sur les effondrements des trois tours du Word Trade Center. Et par là, je veux dire déterminer pourquoi les tours 1, 2 et 7 se sont effondrées. […] En très peu de temps, j’ai compris que l’étude du NIST sur les effondrements du World Trade Center n’était pas une étude sérieuse et réelle. […] J’avais toujours cru que les recherches du NIST étaient des plus sérieuses. Maintenant, voir ce qu’ils avaient fait de l’étude et du rapport sur le World Trade Center m’a décontenancé. […] J’ai tout de suite compris qu’il y avait des preuves accablantes que les trois tours, 1, 2 et 7, s’étaient effondrées suite à des dynamitages contrôlés. […] J’ai vu que le dynamitage contrôlé n’avait pas du tout été étudié comme la cause la plus évidente. En fait, cela a été traité en une ou deux phrases dans le rapport. »

Couverture médiatique du jour du 11 septembre

La BBC a diffusé en direct un reportage sur l’effondrement du WTC 7 alors que le bâtiment était encore debout. En réalité, l’effondrement de la tour n’a eu lieu que vingt minutes plus tard. Outre la chaîne de télévision britannique, CNN avait également annoncé trop tôt l’effondrement. Ce fait indique que certains médias étaient pré-informés.

2. Compte tenu de ces faits, qui plaident en faveur d’une démolition contrôlée, les questions suivantes se posent inévitablement :

Qui est le propriétaire du World Trade Center ?

Qui était responsable de la sécurité de ce complexe de bâtiments ?

Existe-t-il des preuves que les gens étaient au courant à l’avance de ces événements ?

Construction du World Trade Center à New York

À la fin des années 1950, le banquier et stratège global David Rockefeller s’est engagé pour la construction du World Trade Center. En 1958, Rockefeller a fondé la Downtown-Lower Manhattan Association et en a pris la présidence. Son frère Nelson Rockefeller, qui était à l’époque gouverneur de New York, l’a beaucoup aidé dans cette entreprise. C’est pour cette raison que les tabloïds new-yorkais ont appelé les tours jumelles « Nelson » et « David ».

David Rockefeller, décédé en 2017, a siégé dès 1949 au conseil d’administration du Conseil des relations extérieures, qu’il a ensuite dirigé. Derrière ce groupe de réflexion se cache un tel pouvoir que le magazine d’information DER SPIEGEL écrivait déjà en 1975 qu’il s’agissait de « l’institution privée la plus influente d’Amérique et du monde occidental ». Jusqu’à aujourd’hui, le CFR, c’est-à-dire le Conseil des relations extérieures, tire les ficelles comme une sorte de gouvernement de l’ombre. C’est depuis ce centre stratégique que l’administration américaine est dirigée dans le but de faire avancer le gouvernement mondial — également appelé Nouvel Ordre Mondial — visé par David Rockefeller et le CFR.

Le CFR a été fondé en 1921 par des banquiers connus comme John D. Rockefeller Junior, le père de David et Nelson Rockefeller, et est depuis lors financé en grande partie par la famille Rockefeller.

Une première piste sur les commanditaires du 11 septembre est fournie par le témoignage remarquable du réalisateur américain primé Aaron Russo en 2009, peu avant sa mort :

« J’avais un ami, Nick Rockefeller. […] Lorsque je me suis présenté au poste de gouverneur du Nevada, il m’a contacté par l’intermédiaire d’une avocate et nous sommes devenus amis. […] C’est lui qui m’avait dit — onze mois avant le 11 septembre — qu’il y aurait un événement. Il ne m’a jamais dit ce que serait cet événement. Mais cet événement devait être suivi d’une invasion de l’Afghanistan par l’Amérique pour construire des pipelines depuis la mer Caspienne. Nous envahirions l’Irak pour prendre les champs de pétrole et établir des bases militaires au Moyen-Orient — pour faire de tout cela une partie du Nouvel Ordre Mondial. […] Je me souviens qu’il m’a dit que nous verrions des soldats chercher des personnes dans les grottes d’Afghanistan et du Pakistan. Il y aura cette guerre contre le terrorisme, dans laquelle il n’y a pas de véritable ennemi. Tout cela ne sera qu’une gigantesque escroquerie ; un prétexte pour le gouvernement pour contrôler le peuple américain. […] Toute la guerre contre le terrorisme est une escroquerie, une farce. […] L’objectif final que ces gens ont en tête est la création d’un gouvernement mondial — dirigé par l’industrie bancaire, par les banquiers. […] L’agenda est de créer un gouvernement mondial et d’implanter une puce RFID dans chaque citoyen. Tout l’argent ne doit plus se trouver que dans ces puces. Il n’y aura plus d’argent liquide. Et Rockefeller m’a dit lui-même qu’ils voulaient y arriver. »

[Voir :
Aaron Russo (RIP) — Ce que Rockefeller lui a révélé — Interview complète]

Comment Nick Rockefeller était-il au courant du 11 septembre et des plans de guerre qui ont suivi ? Nick Rockefeller, qu’on voit ici avec Aaron Russo, est également membre du CFR.

Qui était responsable de la sécurité du World Trade Center ?

La sécurité de ce complexe de bâtiments a été confiée à l’entreprise Stratesec de 1993 jusqu’aux événements du 11 septembre. Il s’est avéré par la suite que Marvin Bush, le frère du président américain de l’époque George W. Bush, a fait partie du conseil d’administration de cette entreprise de 1993 à 2000.

Qui est le propriétaire du World Trade Center ?

Dans les années 1980, le milliardaire Larry Silverstein a loué un terrain en face du complexe du World Trade Center et y a construit la tour WTC 7, inaugurée en 1987.

Silverstein a également signé un contrat de location pour 99 ans pour les deux tours jumelles du World Trade Center six semaines avant le 11 septembre 2001.

Parallèlement, il a souscrit une assurance qui s’appliquait également en cas d’attentats terroristes. Finalement, il a profité du 11 septembre puisqu’il a reçu 1,1 milliard de dollars supplémentaires en plus de la somme d’assurance convenue de 3,5 milliards de dollars.

Comment cela s’est-il passé ? Silverstein a réclamé deux fois à l’assurance la somme d’assurance convenue, car les tours jumelles avaient été détruites par deux avions — donc, selon Silverstein, par deux événements indépendants. La somme qu’il a reçue de l’assurance a pu être utilisée pour la construction du nouveau World Trade Center.

La société d’investissement américaine Blackstone-Group est un partenaire d’affaires de Larry Silverstein. Elle a pris en charge l’hypothèque du WTC 7 l’année précédant les attentats. Le Blackstone-Group a été fondé par Peter George Peterson et Stephan Allen Schwarzman. Peterson était non seulement le président exécutif du Blackstone Group au moment du 11 septembre, mais aussi le président du CFR. Schwarzman est également membre du CFR.

Larry Silverstein est également un grand ami de David Rubenstein, l’actuel président du CFR. On voit ici David Rubenstein lors d’une conférence en ligne avec Silverstein :

« C’est un grand honneur pour moi d’avoir mon ami Larry ici. »

Le nouveau WTC 7 a été inauguré en 2006. Silverstein a fait construire sur le parvis du nouveau bâtiment un parc appelé « Silverstein Park ». Ce parc est une représentation de l’œil qui voit tout — le même symbolisme que l’on retrouve sur le billet de dollar américain au sommet de la pyramide. Elle symbolise l’établissement d’un Nouvel Ordre Mondial sous la domination de Lucifer.

En 2021, à la demande de Larry Silverstein, une œuvre d’art composée de plusieurs pyramides a été installée dans « l’œil » du Silverstein Family Park. Il s’agit également d’une allusion au Nouvel Ordre Mondial auquel aspirent ces cercles.

Le fait suivant laisse supposer que Larry Silverstein avait lui aussi une connaissance préalable des projets liés au 11 septembre :

Dans les interviews, il a toujours déclaré qu’il passait habituellement ses matinées à prendre son petit-déjeuner dans la tour nord du World Trade Center et à rencontrer les nouveaux locataires du bâtiment. Et précisément le matin du 11 septembre 2001, il se trouvait à l’extérieur du World Trade Center.

3. La Commission officielle sur le 11 septembre a enquêté de 2002 à 2004 sur les causes et les arrière-plans du 11 septembre.

Quel est le degré d’indépendance et de fiabilité de cette Commission du 11 septembre ? Y a-t-il des liens entre la Commission du 11 septembre et les cercles de personnes mentionnés ?

En raison de l’énorme pression exercée par le public, le gouvernement américain s’est vu contraint de mener une enquête sur le 11 septembre en 2002. La Commission du 11 septembre qui a été créée par la suite a toujours souligné l’indépendance de son enquête.

Le président américain George W. Bush a d’abord refusé son accord pour une commission indépendante. En novembre 2002, la Maison-Blanche a finalement donné son accord, mais en prétextant que Bush lui-même désignerait le président de la commission. Bush a alors nommé l’ancien ministre des Affaires étrangères Henry Kissinger à la présidence de la commission. Ce dernier était l’un des amis les plus proches de David Rockefeller jusqu’à la mort de celui-ci et est considéré comme l’un des principaux stratèges mondiaux en ce qui concerne la mise en place d’un nouvel ordre mondial. Kissinger est également membre du CFR et a fait partie de son conseil d’administration de 1977 à 1981.

Kissinger a dû démissionner après peu de temps de la présidence de la Commission du 11 septembre, car il ne voulait pas rendre publics les noms des clients de sa société de conseil aux entreprises. Il a également été accusé par les familles des victimes du 11 septembre d’entretenir des liens financiers et politiques avec l’Arabie saoudite, notamment avec la famille ben Laden.

Thomas Kean a alors été nommé nouveau président par le président Bush. Lee Hamilton est devenu le vice-président. Thomas Kean et Lee Hamilton sont tous deux membres du CFR.

La Commission du 11 septembre se chargeait principalement des auditions publiques des témoins et faisait des déclarations sur le déroulement de l’enquête. Le travail concret, à savoir la demande, la collecte et l’évaluation des documents pertinents ainsi que la rédaction du rapport final, incombait à une équipe de 78 personnes. Celle-ci était dirigée par Philip Zelikow, il en était le directeur exécutif. Zelikow a écrit l’histoire officielle du 11 septembre. Et comme on pouvait s’y attendre, Philip Zelikow est lui aussi membre du CFR.

En mars 2004, le journaliste Jim Mann a révélé que Zelikow avait plaidé pour le renversement de Saddam Hussein et qu’il avait rédigé en septembre 2002 le document stratégique par lequel Bush a légitimé la guerre en Irak en 2003. Zelikow a toujours été accusé d’utiliser la Commission du 11 septembre pour justifier la guerre en Irak.

Le Dr Heiko Schöning, écrivain et médecin, a décrit le travail de la Commission du 11 septembre dans son livre « Game Over » de la manière suivante :

« Pour tous ceux qui ont conservé un peu de bon sens, il suffit de prendre connaissance d’une seule audition parlementaire. […] celle du lundi 26 janvier 2004. Le directeur exécutif de la commission d’enquête gouvernementale sur le 11 septembre, le Dr Philip Zelikow, et son assistante Susan Ginsburg […] ont montré un passeport prétendument retrouvé, presque intact, d’un […] pirate de l’air qui aurait percuté une tour du World Trade Center à New York. Pourquoi “prétendument” ? Parce que physiquement c’est impossible ! » !

En 2011, le journaliste Paul Craig Roberts est arrivé à la conclusion suivante : « La commission n’a pas convoqué de témoins importants et n’a entendu que des témoins qui confirmaient le point de vue du gouvernement, afin d’occulter politiquement et de manière contrôlée les événements réels. »

La réaction de George W. Bush est également frappante. L’interrogatoire de sa conseillère à la sécurité Condoleezza Rice par la commission du 11 septembre a eu lieu le 8 avril 2004. Cependant, Bush ne l’a autorisée à témoigner qu’à la condition que la commission ne l’interrogerait pas, lui ou le vice-président Dick Cheney, publiquement, et l’interrogerait sans prêter serment et sans enregistrement. L’audition du président Bush et de son vice-président Dick Cheney sur le 11 septembre s’est finalement déroulée à huis clos et sans prestation de serment.

George W. Bush a également longtemps refusé de déclassifier les rapports des services de renseignement qu’il avait reçus dans les semaines précédant les incidents du 11 septembre. En novembre 2003, un compromis a été trouvé. La Maison-Blanche n’a autorisé que les deux commissaires Philip Zelikow et Jamie Gorelick à consulter les rapports des services secrets que Bush avait reçus. Outre Zelikow, Jamie Gorelick est également membre du CFR — qui s’en étonnera ?

Le sénateur Max Cleland s’est fermement opposé à cette censure de l’accès aux dossiers et a donc annoncé en décembre 2003 qu’il quittait la commission. Il a été remplacé par Bob Kerry, également membre du CFR.

Outre la Commission du 11 septembre, la CIA et le FBI ont enquêté sur les causes du 11 septembre.

Au moment du 11 septembre, la CIA était dirigée par George Tenet. Il a clairement indiqué qu’il existait des tabous pour les recherches dans certains domaines. George Tenet est également membre du CFR.

Mueller a été directeur du FBI de 2001 à 2013. Il a été nommé à ce poste par le président George W. Bush. Robert Mueller est également très proche du CFR. On le voit ici lors d’une réunion du CFR.

4. Le 11 septembre a été le déclencheur de la « guerre contre le terrorisme ».

Ce n’est qu’après avoir suscité la peur du terrorisme parmi la population américaine et le monde occidental que les actions militaires menées par les États-Unis ont été acceptées.

Le 20 septembre 2001, le président américain Bush a annoncé dans un discours la « guerre contre le terrorisme » :

« Notre guerre contre le terrorisme commence avec Al-Qaïda, mais elle ne s’arrêtera pas là. […] Les Américains ne doivent pas se préparer à une bataille, mais à une campagne de longue durée comme nous n’en avons jamais connue jusqu’à présent. »

Moins de quatre semaines après le 11 septembre, les États-Unis et la Grande-Bretagne ont lancé des opérations militaires en Afghanistan. Plusieurs villes ont été attaquées par les airs. 240 000 morts et 5,5 millions de personnes en fuite, tel est le cruel bilan après 20 ans de guerre en Afghanistan.

En 2003 a eu lieu l’attaque contre l’Irak. Le président américain Bush a accusé l’Irak de soutenir des terroristes et de posséder des armes de destruction massive. Cette justification de la guerre en Irak, contraire au droit international, s’est avérée par la suite être un mensonge. L’étude américaine « La guerre en Irak 2003 et les victimes humaines évitables » évalue, dans une faible estimation, que la guerre en Irak a coûté la vie à environ un demi-million de personnes. Pendant la guerre en Irak, les États-Unis ont utilisé mille tonnes de munitions à l’uranium. Les malformations chez les enfants ont augmenté de manière dramatique.

Le président américain Barack Obama a poursuivi la « guerre contre le terrorisme » pendant toute la durée de son mandat.

En 2011, les États-Unis et les pays européens ont bombardé la Libye pendant huit mois sans interruption, dévastant des régions entières. Avec la Libye, c’est le pays avec la meilleure infrastructure sociale et le revenu par habitant le plus élevé d’Afrique qui a été détruit et pillé. Des dizaines de milliers de personnes ont été tuées pendant la guerre, et plusieurs milliers d’autres sont mortes au cours des dix années de guerre civile qui ont suivi.

Le bilan dramatique de la guerre en Syrie : plus de 600 000 personnes ont perdu la vie, dont 55 000 enfants selon les estimations. Jusqu’à 12 millions de Syriens ont perdu leur foyer.

Une étude de l’Institut Watson de l’Université Brown datant de 2023 montre clairement que depuis le 11 septembre les guerres américaines ont coûté la vie à 4,5 millions de personnes.

Les guerres en Afghanistan, en Irak, au Pakistan, au Yémen, en Libye, en Somalie et en Syrie ont en outre déclenché en 2015 un mouvement massif de réfugiés qui se poursuit encore actuellement.

En outre, le 11 septembre a entraîné l’adoption de nouvelles lois de surveillance et de contrôle de la population dans le monde entier.

5. Après le 11 septembre, le cabinet gouvernemental de George W. Bush a mené cette « guerre contre le terrorisme » qui a fait des millions de morts.

Les faits permettent d’établir des liens non seulement entre le CFR et la Commission du 11 septembre, mais également entre le CFR et l’administration Bush.

L’équipe gouvernementale rapprochée du président américain George W. Bush a formé l’administration responsable de la guerre contre la terreur. Elle se composait comme suit :

Président : George W. Bush, vice-président : Dick Cheney, secrétaire d’État, Colin Powell, secrétaire à la Défense, Donald Rumsfeld, secrétaire adjoint à la Défense et conseiller politique du Président Bush, Paul Wolfowitz ainsi que la Conseillère à la sécurité nationale, Condoleezza Rice.

Parmi ces personnes, quatre étaient membres du CFR à l’époque de leur mandat :

Dick Cheney, Colin Powell, Paul Wolfowitz et Condoleezza Rice.

Grâce à des révélations comme celles du franc-maçon italien de haut grade Gioele Magaldi, on sait que presque toute l’équipe gouvernementale était au même moment initiée à la franc-maçonnerie. Les membres de la super-loge Hathor Pentalpha sont George W. Bush, Dick Cheney, Donald Rumsfeld, Paul Wolfowitz et Condoleezza Rice. Le président américain suivant, Barack Obama, qui a continué à promouvoir la guerre contre la terreur, est également membre de la super-loge Maat, tout comme l’actuel président américain Joe Biden ainsi que Bill et Hillary Clinton. Ces super-loges, au sein desquelles la franc-maçonnerie de haut niveau est organisée, poursuivent également la mise en place d’un « gouvernement mondial unique ».

Le chef terroriste Oussama ben Laden a été présenté comme le principal instigateur des attentats du 11 septembre 2001.

Gioele Magaldi a révélé qu’Oussama ben Laden est également un franc-maçon de haut grade et un membre de la super-loge maçonnique « Hathor Pentalpha » — avec presque tous les politiciens du gouvernement américain au moment du 11 septembre. Ben Laden a été Salim fondée en 1968 par David Rockefeller, Henry Kissinger et Zbigniew Brzezinski. Outre Oussama ben Laden, George Bush père, Dick Cheney, Condoleezza Rice et Nelson Rockefeller font ou ont fait partie de cette loge secrète. L’actuel président du CFR, David Rubenstein, et le président à long terme du CFR, Richard Haass, font également partie de la super-loge « Three Eyes ».

Dans ce contexte, on comprend mieux le lien entre la famille Bush et la famille ben Laden :

Le père d’Oussama ben Laden s’est hissé au premier rang des entrepreneurs de construction et des multimillionnaires dans le royaume d’Arabie saoudite à partir des années 1950 avec son entreprise Saudi Binladin Group. Salim ben Laden, le demi-frère aîné d’Oussama ben Laden, a dirigé l’entreprise familiale de 1972 jusqu’à sa mort. En tant qu’investisseur, il était étroitement lié à George Bush senior par le biais d’entreprises telles que le Carlyle Group. Avec le fils de ce dernier, George W. Bush, il a fondé en 1978 la société pétrolière Arbusto Energy au Texas.

Dans les jours qui ont suivi le 11 septembre, le trafic aérien a été interdit aux États-Unis. Toutefois, selon des documents internes du gouvernement, le FBI a permis à des proches du chef d’Al-Qaïda, Oussama ben Laden, et à d’autres Saoudiens de quitter rapidement les États-Unis le 13 septembre 2001. La Maison-Blanche, sous la présidence de George W. Bush, a donné l’autorisation de faire sortir du pays six jets privés et deux douzaines d’avions de ligne. Les documents qui ont révélé cela ont dû être publiés en 2015, car le groupe de défense des droits civils « Judicial Watch » avait intenté avec succès une action en justice pour les obtenir.

Mais qu’en est-il des messages vidéo de menace d’Oussama ben Laden, diffusés en continu par les médias grand public ? Selon les révélations de Magaldi, ben Laden agissait selon un scénario préétabli.

Même le vérificateur de faits de la radio SWR3 a dû admettre qu’il existe des doutes légitimes sur la version officielle concernant la responsabilité d’Oussama ben Laden :

« Selon la version officielle, 19 terroristes, pour la plupart saoudiens, auraient détourné les avions et provoqué leur crash. […] Le commanditaire aurait été Oussama ben Laden, le chef d’Al-Qaïda. […].

Mais il n’y a pas de preuve irréfutable ! […] Le juge administratif fédéral allemand Dieter Deiseroth a souligné qu’aucun tribunal indépendant n’a jamais pu vérifier les preuves présentées par les services de renseignement sur la culpabilité de ben Laden. »

La mort d’Oussama ben Laden est également très étrange et soulève des questions. Officiellement, le gouvernement américain l’a déclaré mort. Selon cette déclaration, ben Laden a été abattu par l’US Navy. Toutefois aucune photo du corps du « terroriste le plus recherché au monde » n’a été prise. Selon les informations officielles, le corps a été jeté à la mer. Il n’y a toutefois aucune preuve de cela.

Conclusion

Lorsqu’on cherche à identifier les véritables responsables, commanditaires et acteurs du 11 septembre, on tombe toujours sur le même groupe de personnes. Après un examen plus approfondi de la commission officielle du 11 septembre et du gouvernement américain en place lors du 11 septembre, le nom de David Rockefeller et du Conseil des relations extérieures qu’il a longtemps dirigé ressortent très fortement. Même dans le cas d’Oussama ben Laden, présenté au monde entier comme l’auteur principal du 11 septembre, les liens avec ces personnes et ces points de contact sont très visibles.

Afin de ne transmettre que la version officielle aux générations suivantes et d’effacer la trace des cercles de personnes présentés dans cette émission, rien n’a été laissé au hasard par les personnes à la tête de ces réseaux.

En 2014, un mémorial et un musée ont été inaugurés sur le site du World Trade Center.

Le 9/11 Museum raconte l’histoire du 11 septembre et est, selon ses propres déclarations, la plus importante institution consacrée à l’étude de cet attentat.

David Rockefeller était membre d’honneur du jury qui a choisi l’architecture du mémorial du World Trade Center. Il était également membre du conseil d’administration de la World Trade Center Memorial Foundation, qui a été chargée de la construction et du financement du mémorial et du musée du 11 septembre. Au total, David Rockefeller a contribué à hauteur de 15 millions de dollars à cette institution. Outre Rockefeller, on trouve également Peter George Peterson au conseil d’administration de cette fondation. Peterson a été président du CFR de 1985 à 2007, c’est-à-dire à l’époque où se sont déroulés les événements du 11 septembre.

Les faits et les liens mis en évidence dans cette émission doivent être examinés de toute urgence par un tribunal indépendant. En particulier, les liens avec le CFR ainsi qu’avec la famille Rockefeller et les crimes de guerre déclenchés par le 11 septembre, qui ont fait des millions de victimes, exigent une enquête et une sanction juste imposée par un tribunal indépendant. Les véritables raisons du 11 septembre seront observées par la population, tout comme le projet d’établir un gouvernement mondial. Ce n’est qu’ainsi qu’il sera possible d’empêcher ces manipulateurs de continuer à soumettre les peuples sans méfiance et que les gens pourront à l’avenir reconnaître à temps leurs plans sournois et les stopper.

Diffusez donc cette émission au contenu explosif au plus grand nombre possible de personnes de votre entourage.

Note importante

Kla.TV tient à préciser que les personnes, les contextes et les interdépendances cités dans cette émission n’ont pas pour but d’inciter le téléspectateur à porter un jugement antisémite.

Même si les personnes mentionnées dans cette émission prétendent être juives, chaque spectateur doit garder à l’esprit que dans de nombreux cas, ce n’est pas le cas.

En effet, on constate souvent la chose suivante après une enquête plus approfondie : Les personnes qui se retrouvent sous les projecteurs grâce à un travail de dévoilement et d’information se font volontiers passer pour des juifs afin de stigmatiser immédiatement leurs détracteurs comme antisémites et de bénéficier elles-mêmes d’une protection particulière sous le couvert du judaïsme.

Le fait que, dans de nombreux cas, on n’a pas du tout affaire à de vrais Juifs, mais à une idéologie luciférienne est expliqué en détail dans les émissions en allemand « Contre le racisme et la conspiration » (voir : www.kla.tv/23509) et « Le secret des obélisques » (voir : www.kla.tv/14340). Comme le dit aussi la Bible en Apocalypse 2.9 :

« … ceux qui se disent juifs et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue de Satan ».

de mw.

Sources/Liens :




Jacques Bompard fait le procès de la justice française

[Source : Chaîne officielle TVL]

Jacques Bompard, chirurgien-dentiste, est surtout un homme politique qui a été maire d’Orange (Vaucluse) de 1995 à 2021. Il aime à rappeler qu’il a mené « 60 années de combat politique strictement axées sur la défense du Bien commun ». Dans son nouveau livre « Le gouvernement des juges », l’ancien édile mène une charge, sabre au clair, contre la justice française : « le Système a perverti la Justice qui n’est plus un outil à détruire le mal, mais plutôt à le répandre ». Jacques Bompard énonce les raisons du délabrement du monde judiciaire et les maux qui le gangrènent. Il pointe une justice marquée à l’extrême gauche, politisée et woke. Il dénonce une justice de connivence, sous influence et sans contre-pouvoir. L’ancien maire d’Orange, qui a été condamné pour prise illégale d’intérêt et qui s’en explique dans l’entretien, rappelle avec force que l’injustice est un mal social, c’est-à-dire politique. Sa cause est politique ! Le retour de la Justice est donc avant tout une révolution politique au service du Bien commun.