« Hier, j’ai regardé le débat, enfin, l’engueulade… Pas un mot sur la pédocriminalité… »




Maria Zakharova : « Macron a de graves problèmes psychologiques »

« Cela fait longtemps que la France n’a pas connu une honte telle que celle qu’elle connaît aujourd’hui. »




Guerre interne dans la franc-maçonnerie française

[Source : Tocsin]




« Celui qui ne connaît pas l’Histoire est condamné à la revivre. »

« Celui qui ne connaît pas l’Histoire est condamné à la revivre. »

Karl Marx, Manifeste du parti communiste.

Par Les Gilets Jaunes de la Victoire

Le marxisme se réclame de la science (de la science sociale) et se veut donc par essence scientifique, c’est en étudiant l’histoire à fond et plus particulièrement La Grande Révolution, c’est-à-dire la Révolution française, que Marx et Engels ont découvert la loi qui régit l’Histoire : la lutte des classes. Les dominants qui détiennent les pouvoirs et qui sont la plupart du temps des riches asservissent les opprimés, les prolétaires. De ce fait le marxisme se propose par ses actions d’inverser le cours de l’Histoire. Un de ses fondements est l’unité des révolutionnaires, plus tard du Parti, ce qui inclut l’application impérative de ses décisions. Aussi dès le début de la révolution de 1917 en Russie il y a une opposition entre les vrais révolutionnaires et les modérés que les bolchéviques trouvent trop attachés au monde bourgeois. Systématiquement les opposants sont ostracisés, puis décrétés comme antirévolutionnaires et exclus par diverses méthodes plus ou moins violentes, car il faut à tout prix préserver l’unité du parti.

D’après eux les masses ne réalisent pas pleinement leur état (ce qu’ils appellent « la maturité relative des masses »), le Parti doit donc les guider pour les entraîner vers des lendemains qui chantent : le règne du prolétariat ! Comme pour eux Dieu n’existe pas (c’est l’opium du peuple), il ne faut pas avoir de conscience, sous Staline cette logique a été poussée à l’extrême, c’est l’objectivité qui doit être le principal soutien du vrai communiste. L’objectivité est érigée en principe absolu, quelque en soi les conséquences : la fin justifiant les moyens.

Trois exemples : les propos d’un commissaire politique stalinien tiré du livre Le zéro et l’infini, Arthur Koestler, Calmann-Lévy, Paris, 1945. (Ancien communiste). Avertissement de l’auteur : Les personnages de ce livre sont imaginaires. Les circonstances historiques ayant déterminé leurs actes sont authentiques. C’est la synthèse des vies de plusieurs hommes qui furent les victimes des soi-disant procès de Moscou. Plusieurs d’entre eux étaient personnellement connus de l’auteur. Ce livre est dédié à leur mémoire.

« L’histoire est a priori amorale ; elle n’a pas de conscience. Vouloir mener l’histoire selon les maximes du catéchisme, c’est laisser les choses en l’état. »

« Les plus grands criminels de l’Histoire ne sont pas du genre Néron et Fouché, mais du genre Gandhi et Tolstoï. La voix intérieure de Gandhi a fait davantage pour empêcher la libération de l’Inde que les canons britanniques. »

« Il y a quelque temps, B… le plus éminent de nos agronomes, a été fusillé avec trente de ses collaborateurs parce qu’il soutenait que les nitrates sont un engrais supérieur à la potasse. Le N° 1 (Staline) est pour la potasse. Il fallait donc liquider comme saboteurs B… et ses trente collègues. Pour une agriculture basée sur une centralisation étatiste, le choix entre les nitrates et la potasse est d’une immense importance ; l’issue de la prochaine guerre peut en dépendre… »

Nota : Sauf avant la révolution, Staline a toujours mené sa carrière avec une extrême prudence. Au Comité Central, aux réunions du Parti, il restait le plus souvent en retrait, il observait en regardant d’où venait le vent…


Le récent appel à la haine de Sébastien Delogu député LFI :

« Sur ma mère (…) vous faites sauter la mairie, vous faites sauter les institutions » : le député LFI Sébastien Delogu conseille à des jeunes de cité de lancer une insurrection — PLANETES360

Aujourd’hui une question se pose avec acuité en France, si LFI accède avec une coalition au pouvoir jusqu’où ce parti va-t-il aller ?

Pour le marxisme la Révolution française est le modèle ultime, voici par exemple une de ses conséquences.

https://www.landrucimetieres.fr/spip/spip.php?article243




Et si le RN à Matignon était le chaos dont Macron rêve ?

[Source : ripostelaique.com]

Par Charles Demassieux

J’aimerais avoir les emballements de jeunesse que les électeurs du Rassemblement national ont eus coup sur coup dimanche soir en découvrant le score de Jordan Bardella aux européennes puis, dans la foulée, en entendant le sordide de l’Élysée déclarer la dissolution de l’Assemblée nationale.

Sauf que, dans le cas d’une cohabitation, où Jordan Bardella serait logiquement Premier ministre, les changements de politique ne seraient qu’apparents.

Prenons par exemple la politique migratoire. À moins de quitter l’Europe – ce que ne veut absolument pas le RN – il sera presque impossible d’appliquer le programme préconisé par ce parti. Parce que : 

« Le Conseil européen joue un rôle important dans ce domaine car il fixe les priorités stratégiques. »

Et l’on sait que, tout comme dans celle des mœurs les plus folles qu’elle nous impose un peu plus chaque jour – malheur aux récalcitrants qui sont alors condamnés par la cour de justice de l’UE ! –, l’hydre européenne commande dans cette histoire. L’Italie de Giorgia Meloni l’a bien compris, qui s’en est remise au Conseil européen pour une politique migratoire plus « dure », c’est-à-dire un tout petit peu moins molle que d’habitude, avec son dernier « Pacte migratoire ». Lequel pacte a été massivement rejeté par les mouvements patriotiques des pays européens, ce qui est un signe de son inefficacité. Car c’est un pacte qui ne résout rien en profondeur, et les migrants continuent d’affluer en Europe. Et sans la pleine possession de ses frontières, la France continuera de se voir submergée.

Mais admettons que nous soyons totalement autonomes en matière d’immigration, il reste une barrière pour l’heure infranchissable : la justice française rouge, celle qui annule les expulsions à tour de bras. Or, pour changer de justice il faut changer de Constitution.

Certes, un député, tout comme le Président de la République, en a le droit, comme le stipule l’article 89 :

«  À l’origine d’une révision constitutionnelle, il peut y avoir :

  • soit une initiative du Président de la République, sur proposition du Premier ministre, et on est en présence d’un projet de révision,
  • soit une initiative de n’importe quel parlementaire, c’est-à-dire un député ou un sénateur, et on est en présence d’une proposition de révision. »

Cependant : 

« Une fois inscrit(e) à l’ordre du jour du Parlement, le projet ou la proposition de révision doit être voté(e) en termes identiques par l’Assemblée nationale et le Sénat. Il s’agit d’un vote à la majorité simple. À la différence de ce qui se passe pour les lois ordinaires, le Gouvernement ne peut pas donner à l’Assemblée nationale « le dernier mot » en lui demandant de statuer définitivement en cas de désaccord avec le Sénat. C’est dire que chaque assemblée dispose donc d’une sorte de droit de veto, toute révision étant bloquée si l’Assemblée ou le Sénat s’y oppose. »

https://www.conseil-constitutionnel.fr/la-constitution/peut-on-modifier-la-constitution

Il reste le référendum, mais je ne vois pas Macron demander son avis au peuple qu’il déteste souverainement, ce que le peuple lui rend bien, il faut l’admettre !

Autre écueil, si par aventure le RN gagne les prochaines législatives : le Président de la République demeure le chef des Armées, même si la force armée est alors de la compétence du gouvernement dans le cas d’une cohabitation. Cependant, la force de dissuasion nucléaire demeure aux mains du Président, qui conserve par ailleurs la mainmise sur les Affaires internationales, ce qui signifiera que la politique très dangereuse à l’égard de la Russie ne changera pas beaucoup. Sans parler du fait que la France, en bonne élève de l’Europe inféodée à Washington, suivra la voix de son maître. Et ce n’est pas Bardella, avec ses petits bras musclés, qui tiendrait tête aux États-Unis ! Au passage, Zemmour ferait pareil…

De plus, s’il était mécontent du résultat, Macron n’aurait qu’une année à attendre pour dissoudre à nouveau l’Assemblée, ce qui nous ramènerait aux heures instables de la IVe République, auxquelles le général de Gaulle avait voulu mettre un terme avec la Ve.

Maintenant, il ne faut pas se mentir : sans un coup de force militaire et la loi martiale, il n’y a aucune chance pour que notre pays se relève des enfers où il a été plongé. Dit plus poétiquement : la France est Eurydice et nous, les patriotes, ne sommes que des Orphée malheureux.

Il faut hélas le reconnaître, les seules police et gendarmerie ne sont plus de taille à lutter contre les arsenaux des cités diversitaires. Des cités qui ne demandent qu’une toute petite étincelle pour s’enflammer et ce, en bien pire qu’à l’automne 2005 ou l’été 2023. L’arrivée du RN au pouvoir pourrait être cette étincelle. Ensuite, Macron viendrait en sauveur et, pourquoi pas, s’arrangerait pour garder le pouvoir, en rétablissant par exemple le septennat, après avoir, oh cynisme, modifié la Constitution !  Tout est possible avec ce sournois.

Donc, en lieu et place d’une dissolution de l’Assemblée, c’est tout le système qu’il faut dissoudre. Mais là, je m’égare dans des divagations qui, sauf miracle, ont peu de chances d’advenir.

Enfin, cela pourrait peut-être nous procurer une illusion de bonheur patriotique pendant quelques jours, mais la victoire du RN n’apporterait rien en profondeur, sinon un chaos dont Macron se satisferait avec une gourmandise psychopathique.

Comme je l’écris souvent, le seul bulletin valable pour sauver la France est en métal et prêt à sortir d’un canon…




Bilderberg ? Vous avez des chances de finir à l’UE, à l’OTAN, au FMI ou à l’ONU

[Source : reinformation.tv]

Par Clémentine Jallais — 31 mai 2024

Étonnant comme les médias se ruent, à chaque fois, avec moult prévisions sur l’identité des participants du cru de l’année… Parce que les clubs d’élite transnationaux jouissent d’une réputation de pouvoir qui n’est pas injustifiée et que leurs arcanes bien cachés suscitent la curiosité. C’est pourtant la première fois qu’une étude pointe avec précision la corrélation entre l’appartenance au Bilderberg et l’obtention de postes élevés dans les grandes instances internationales ou au sein même de l’élite politique nationale.

Oui, nous l’aurions un peu parié… mais il est bon de le lire en termes formels quoique prudents sous la plume d’un jeune doctorant tchèque, Lukas Kantor. De plus, il a fait le choix de n’user que d’informations publiques et attestées : autrement dit le haut de l’iceberg, qui est déjà fort gros, ce qui laisse présager du reste.

Depuis 2019, toutes les principales organisations internationales — UE, OTAN, FMI et ONU — sont présidées par des Bilderberg… « Il semble improbable qu’il s’agisse d’une simple coïncidence », se risque l’auteur de l’étude. Nous nous risquerons davantage : le facteur Bilderberg est un élément évidemment non systématique, mais souvent déterminant : le réseautage et le favoritisme n’ont jamais été aussi importants que dans la gent mondialiste.

Un ascenseur de carrière magistral

Ce jeudi 30 mai s’est ouverte à Madrid la 70e réunion du groupe Bilderberg, avec ses sujets du jour, comme l’IA, le climat, les défis géopolitiques ou encore la Chine et la Russie. Depuis 1954, c’est l’une des plateformes de mise en réseau et de coordination des élites transatlantiques les plus influentes. Chaque meeting annuel invite à titre privé environ 130 hommes et femmes politiques, hommes d’affaires, intellectuels (y compris des hommes d’Église), principalement d’Europe et d’Amérique du Nord et marginalement de Turquie, pour des conférences à huis clos dont la presse est totalement exclue.

Pour l’auteur de cette étude, le Bilderberg agirait ni plus ni moins comme un ascenseur de carrière, à la fois social et professionnel :

« Je soutiens que les hommes politiques invités à ces réunions exclusives obtiennent des contacts précieux, des informations privilégiées et probablement un certain soutien. Pourtant, la plupart des hommes politiques qui ont participé aux conférences du Bilderberg n’ont jamais été promus par la suite. Mais 133 l’ont été, et parfois même peu de temps après leur apparition aux rassemblements. Parmi ces hommes politiques, principalement européens, 42 sont devenus Premiers ministres, présidents ou hauts représentants d’organisations internationales comme l’UE, l’OTAN et le FMI. »

Mais alors, les hommes du Bilderberg ne sélectionneraient-ils donc pas nos politiques, en dehors de toute démocratie ? « Cette suspicion va dans la bonne direction, répond l’auteur, mais elle doit être atténuée. »

133 hommes politiques élevés après leur première au Bilderberg

Le Bilderberg renforce le capital social et donc le pouvoir politique. D’abord, si les participants sont nommément invités, c’est qu’ils ont un potentiel ou un champ d’action intéressants pour ces élites mondiales ou plutôt mondialistes. Ensuite, étant présentés à ces dernières, ils pourront bénéficier à tout le moins de leur influence, et même parfois de leur soutien actif. Les cercles franc-maçons ne fonctionnent pas d’une autre manière…

« J’ai trouvé seulement trois cas (Vernon Jordan, José Manuel Barroso et Emmanuel Macron) où le Bilderberg a poussé [de manière avérée et transparente] des membres de son club à de hautes fonctions, et seulement dans deux cas (Jordan et Macron), ces tentatives ont abouti à la nomination souhaitée », écrit Kantor. Néanmoins, il est probable, poursuit l’étude, que les Bilderberg tentent plus souvent que cela d’influencer les nominations… seulement, il est impossible de le prouver avec des informations accessibles au public.

Le doctorant se concentre sur 30 conférences Bilderberg qui ont eu lieu de 1990 à 2019, pour produire des résultats plus pertinents pour le public et les politiques. Au total, en chiffres absolus, 133 hommes politiques ont été élevés après leur première participation au Bilderberg. Environ un tiers (42 personnes) de toutes les personnes élevées ont atteint les postes les plus élevés, comme président (4 Bilderberg), Premier ministre (23 Bilderberg), chef d’une organisation internationale (11 Bilderberg) ou Premier ministre puis chef d’une organisation internationale (4 Bilderberg).

A noter que depuis 2019, toutes les principales organisations internationales sont présidées par des Bilderberg : Ursula von der Leyen à l’UE, Jens Stoltenberg à l’OTAN, Kristalina Georgieva au FMI et Antonio Guterres à l’ONU.

Une UE bilderbergisée

Plus particulièrement, « on peut parler de “porte tournante” entre la Commission européenne et le groupe Bilderberg », affirme Lukas Kantor.

José Manuel Barroso, par exemple. Il a d’abord participé aux conférences du Bilderberg (en 1994 et 2003), puis est devenu président de la Commission européenne (de 2004 à 2014), avant de rejoindre le comité directeur du Bilderberg. En 2016, il a tenté de faire pression en faveur de la nomination de Kristalina Georgieva au poste de secrétaire général de l’ONU, mais c’est un autre Bilderberg qui a été élu (Antonio Guterres). Au cours de son mandat, au moins deux Bilderberg (Miguel Ángel Moratinos et Jeanine Hennis-Plasschaert) ont été sélectionnés comme représentants de l’ONU.

Pour la petite histoire, Kristalina Georgieva a fini par être nommée directrice du FMI en 2019, alors qu’elle ne correspondait pas aux critères du poste (limite d’âge et soutien d’un nombre insuffisant d’États), mais les règles ont été contournées ou modifiées en sa faveur, grâce au Bilderberg Macron ! Quand Bilderberg veut….

Même parcours pour le Belge Étienne Davignon : il a d’abord participé aux conférences Bilderberg (en 1972 et 1974), est devenu peu après commissaire européen (de 1977 à 1985), puis président du Bilderberg de 1999 à 2011. Verheugen, Bolkestein, Almunia, Mandelson, Hedegaard, Timmermans, Vestager et d’autres ont d’abord assisté aux conférences du Bilderberg, puis ont aussi été sélectionnés comme commissaires européens…

Actuellement, dans l’UE, les Bilderberg occupent les postes les plus élevés de président de la Commission européenne (Ursula von der Leyen), membres de la Commission européenne (Jutta Urpilainen, Margrethe Vestager), président de la Banque centrale européenne (Christine Lagarde), président de l’Eurogroupe (Paschal Donohoe), président du Conseil européen (Charles Michel). « Von der Leyen et Michel ont assisté à la même conférence du Bilderberg en 2015 et, la même année 2019, ils ont tous deux obtenu les plus hautes positions au sein de l’UE », souligne l’étude.

FMI, ONU… OTAN en emporte le Bilderberg

L’UE, mais aussi l’OTAN ! « Tous les secrétaires généraux de l’OTAN de l’après-guerre froide ont participé à une conférence du Bilderberg avant leur nomination », souligne l’étude. En outre, au moins trois Bilderbergers (Karl Lamers, Pierre Lellouche, Bert Koenders) sont devenus présidents de l’Assemblée parlementaire de l’OTAN. Et la Banque mondiale ! Et l’Organisation mondiale du commerce ! Sans compter que les cercles se croisent parfois avec les membres de la Commission trilatérale qui, elle aussi, a largement pénétré les arcanes du pouvoir.

Et notre Emmanuel Macron… Tout d’abord, il faut rappeler que Macron a travaillé, de 2008 à 2012, à la banque Rothschild dont les représentants participent régulièrement aux Conférences Bilderberg. Edmond de Rothschild en a d’ailleurs rejoint le comité directeur au milieu des années 1960. Macron a assisté à sa première conférence en juin 2014 : en août, il était choisi via le Bilderberg Manuel Valls pour diriger le ministère clé de l’Économie. Et c’est en 2017 qu’il accède, sans coup férir, à la Présidence de la République française… en nommant un autre Bilderberg, comme Premier ministre, à savoir Édouard Philippe.

Quant à Gabriel Attal, le plus jeune Premier ministre de l’histoire de la Ve République, il fut invité par les Bilderberg en 2023 : en janvier 2024, il était nommé et propulsé à Matignon, par Macron.

On pourrait continuer, mais il faut s’arrêter. Ça en devient fatigant.




Les erreurs de Macron sur l’Ukraine d’après Sarkozy

[Source : 2MSYNERGY GROUP]




L’Union Européenne, « c’est une dictature qui ne dit pas son nom »




Philippot dézingue Bardella

[Extrait de https://youtu.be/KrAejML_k5k]




Comment l’Ukraine devient un camp d’extermination pour son propre peuple

[Source : kla.tv]

Cri de détresse en provenance d’Ukraine : des hommes sont arrachés à leur voiture, brutalement forcés d’aller au front, maltraités dans des centres de recrutement. Des dizaines de milliers de personnes tentent de s’enfuir. Chaque jour, les corps de personnes noyées sont retirés d’une rivière frontalière. Pendant ce temps, le président Zelensky déplore le manque de moral et le manque d’hommes sur le front. Une nouvelle loi visant à renforcer la mobilisation (18 mai 24) doit désormais « remédier à la situation ». Ce que les Américains soutiennent « avec bienveillance » par de nouvelles livraisons d’armes est en réalité un crime gigantesque — ou, comme le dit macabrement, mais sans équivoque le ministre ukrainien des Affaires étrangères : « Ils fournissent les armes, nous les hommes ».

« Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a reconnu l’existence de problèmes au sein de l’armée. Il manque des hommes et le moral doit être remonté, a déclaré Zelensky. Une nouvelle loi sur la mobilisation devrait y remédier. »

C’est ce qu’on pouvait entendre le 18 mai au journal de 8 heures de SRF1.

Ce même 18 mai, cette nouvelle loi renforcée sur la mobilisation nationale est entrée en vigueur. SRF passe toutefois totalement sous silence le caractère impitoyable des mesures et des sanctions en cas de refus et les nouvelles possibilités que la loi ouvre aux militaires. SRF se rend ainsi complice des crimes du gouvernement ukrainien contre son propre peuple.

Confrontez-vous à un en provenance d’Ukraine, qui est également parvenu à Kla.TV le 18 mai 2024.

Depuis longtemps la guerre en Ukraine paraît très étrange. Tout se passe comme dans un scénario de la dystopie d’Orwell.

La guerre est devenue un prétexte pour priver complètement les gens de leurs droits civils et de leurs libertés. Cela ressemble à une grande expérience cruelle sur les gens. Nous avons déjà vécu la même expérience pendant la période du Covid, mais ce qui se passe actuellement en Ukraine avec les droits de l’homme dépasse de loin les crimes du passé contre l’humanité.

Il est effrayant de réaliser que le même scénario pourrait être en préparation pour le monde entier et nous plonger tous dans une guerre mondiale. Voyons maintenant à quel point ce pays autrefois prospère et libre est tombé au plus bas.

Les hommes en âge d’être appelés dans l’armée n’ont plus le droit de quitter le pays. Des dizaines de milliers d’hommes tentent de fuir le pays illégalement par les montagnes et les rivières. Presque chaque jour, les corps de noyés sont retirés de la rivière frontalière avec la Roumanie. L’ampleur de cette fuite est énorme.

https://topwar.ru/240339-ukrainskomu-uklonistu-hvatilo-sil-pereplyt-reku-tisa-i-za-dve-minuty-okazatsja-v-rumynii.html?ysclid=lwicgwomjw412880012 :



Les autres hommes du pays soumis à l’obligation de mobilisation, c’est-à-dire la tranche d’âge de 18 à 60 ans, sont ramassés dans les rues de la ville, battus et contraints d’aller au front. Il est impossible d’évaluer l’ampleur de ces atrocités, qui ont lieu dans toutes les régions d’Ukraine. Il y a des barrages sur les routes, où un homme peut être emmené de force hors de sa voiture directement au front, même si sa femme et ses enfants restent dans la voiture.

Les commissaires des armées ont en outre annoncé qu’avec la nouvelle loi sur la mobilisation, ils auront le droit de faire des descentes à domicile avec la possibilité d’entrer par effraction. Les hommes du peuple ne sont pas les seuls à être enrôlés de force — les députés et les jeunes d’à peine 18 ans le sont également. Les cas de décès d’hommes dans les centres d’enrôlement après avoir été sévèrement battus se multiplient. Ni le président ni le gouvernement ne réagissent à l’anarchie de la police et du personnel des centres de recrutement. Non seulement la Constitution et les valeurs européennes sont violées, mais sont aussi violées les normes humaines fondamentales et la morale. Les gens ne trouvent même pas de protection devant les tribunaux.

Les séquences suivantes ne sont pas destinées aux personnes sensibles.

Un aperçu du TRAVAIL DES centres de capture territoriaux DANS TOUTE SA PUISSANCE :

De serviteur du peuple, le gouvernement ukrainien s’est transformé en un gouvernement qui se débarrasse de son peuple, aux frais de ses partenaires européens et des États-Unis. Les représentations permanentes de l’Union européenne comme l’OSCE, l’UNICEF et d’autres font semblant de ne pas remarquer ces violations des droits de l’homme et se rendent ainsi complices de l’extermination massive de citoyens ukrainiens. Puisque même les chefs des forces armées, tant dans le monde qu’en Ukraine, reconnaissent qu’il est impossible de vaincre militairement la Russie, cette guerre permanente a définitivement d’autres objectifs — la destruction physique des personnes et la destruction des droits de l’homme.

Il est un fait que tout cela doit être une affaire de stratégie, une affaire calculée. Car lorsque l’Ukraine a de nouveau demandé il y a des mois aux États-Unis et à ses partenaires européens de l’aider en lui livrant des armes pour pouvoir tenir tête aux Russes, il ne s’est rien passé pendant très longtemps. Ce n’est que lorsque la Verkhovna Rada [Conseil suprême, organe législatif] ukrainienne a adopté une nouvelle loi pour renforcer la mobilisation le 18 mai 2024 que le Congrès américain a voté la remise d’une nouvelle livraison d’armes. Le ministre Kuleba [ministre ukrainien des Affaires étrangères] a déclaré sans ambiguïté à ce sujet : « Ils fournissent les armes, nous les hommes ». Il semble clairement que le but n’est pas du tout de remporter une victoire rapide contre les Russes, mais de faire durer cette guerre le plus longtemps possible. Les armes ne sont disponibles que contre les personnes envoyées au front et l’argent que contre une partie de l’économie et contre les terres et les matières premières.

Mais ce n’est pas le gouvernement lui-même qui maltraite les gens, ce sont toujours des citoyens qui suivent ses ordres en obéissant comme des cadavres et qui humilient leurs propres concitoyens. Les « chasseurs d’hommes » pour le front, qui procèdent à l’enrôlement forcé, sont tout autant des Ukrainiens qui peuvent ainsi eux-mêmes éviter d’aller au front et sont très motivés par une rémunération en dollars. Le gouvernement détruit donc son propre peuple de ses propres mains, en dressant les Ukrainiens les uns contre les autres et en attisant la haine par le biais de médias achetés.

Lorsqu’une guerre est terminée et que les tribunaux pour crimes de guerre commencent, ce sont souvent les faux méchants qui se retrouvent sur le banc des accusés. Les vrais criminels ont jusqu’à présent très bien compris comment rester dans l’ombre. Les gars, ne soyez pas assez stupides pour humilier et diminuer votre propre peuple ! Les véritables tireurs de ficelles veulent seulement que les gens se tapent dessus dans une colère aveugle, afin de pouvoir eux-mêmes agir sans être dérangés. Mais le vent tourne de plus en plus à l’échelle mondiale. Les peuples se mettent en mouvement, et très bientôt, les vrais criminels seront assis sur le banc des accusés dans tous les pays, et le tribunal sera tenu par le peuple.

de bb/thb/abu

Sources/Liens :

Un courageux objecteur de conscience a la force de traverser la rivière Tisza lors de sa fuite :
https://topwar.ru/240339-ukrainskomu-uklonistu-hvatilo-sil-pereplyt-reku-tisa-i-za-dve-minuty-okazatsja-v-rumynii.html?ysclid=lwicgwomjw412880012

Les centres de détection territoriaux en action :

Des armes en échange d’une loi de mobilisation :
https://ctrana.one/news/464667-v-ukraine-otsrochku-ot-mobilizatsii-poluchili-bukmekerskie-firmy-i-dostavka-glovo.html

Occupation de villes ukrainiennes par des commandos de mobilisation :
https://readovka67.ru/news/191434?ysclid=lwfhwlxson830049589




L’institut de M. Malone publie une liste de politiciens canadiens ayant des liens avec le Forum économique mondial

[Source : mondialisation.ca]

Une liste publiée par l’institut de recherche du Dr Robert Malone montre que des dizaines de politiciens canadiens anciens et actuels, dont Trudeau et certains membres de son cabinet, ont obtenu leur diplôme des programmes du Forum économique mondial.

[Voir aussi :
Les Young Global Leader, l’organisation du FÉM pour « infiltrer » les gouvernements
et
Liste complète de la prochaine génération de jeunes leaders mondiaux du Forum Économique Mondial de Klaus Schwab]

Par Anthony Murdoch

Une nouvelle liste publiée par le Malone Institute, basé aux États-Unis, met en évidence des dizaines de politiciens canadiens et de ministres actuels du gouvernement du Premier ministre Justin Trudeau qui ont des liens avec le programme Young Global Leaders du Forum économique mondial.

L’Institut Malone, fondé par le Dr Robert Malone, en partenariat avec la Fondation suédoise Pharos, a lancé un projet de Forum économique mondial pour enquêter sur « les membres mondialistes de l’organisation commerciale connue sous le nom de Forum économique mondial (WEF) et les agents qu’ils ont formés ». Le projet a publié un résumé des diplômés des « Global Leaders of Tomorrow du Forum économique mondial (un programme d’un an qui s’est déroulé de 1993 à 2003) ainsi que des Young Global Leaders (un programme de cinq ans lancé en 2004/2005 et toujours en cours) ».

Un coup d’œil à sa liste récemment publiée montre plus d’une douzaine de ministres libéraux actuels et anciens du cabinet Trudeau qui ont été diplômés des programmes des jeunes leaders du FEM, dont la vice-première ministre Chrystia Freeland (2000), le Premier ministre Justin Trudeau (2005), l’ancien président du Conseil du Trésor Scott Brison (2005), le ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie François-Philippe Champagne (2009) et la leader du gouvernement à la Chambre des communes Karina Gould (2010).

Parmi les autres ministres du Cabinet, citons la ministre des Affaires étrangères, Mélanie Joly (2016), le ministre des Services aux citoyens, Terry Beech (2017), l’ancienne ministre des Femmes et de l’Égalité des genres et de la Jeunesse, Maryam Monsef (2020) et le ministre du Logement, de l’Infrastructure et des Collectivités, Sean Fraser (2022).

La députée conservatrice Michelle Rempel (2016) ainsi que le député et chef du NPD (Nouveau Parti démocratique) Jagmeet Singh (2018) figurent également sur la liste.

Pour créer la liste, l’Institut Malone et la Fondation Pharos ont utilisé les moteurs de recherche du WEF et ont recoupé les listes publiées en utilisant des outils tels que les archives de la « Wayback Machine » ainsi que Wikispooks, « et d’autres sources complémentaires ».

« Ce n’est peut-être pas exact à 100 %, mais nous avons fait de notre mieux pour le rendre aussi correct et mis à jour que possible », note le Malone Institute.

Le rapport ne surprendra peut-être pas de nombreux Canadiens, car les liens entre le WEF et les libéraux de Trudeau sont bien connus. En fait, le désormais ancien président du WEF, Klaus Schwab, a dit un jour à Freeland qu’il avait « compté » sur elle pour s’assurer que ses objectifs mondialistes voient le jour.

En 2017, Schwab s’est même vanté que la moitié du cabinet de Trudeau était membre de son programme de jeunes leaders.

L’ancien chef du Parti conservateur et actuel député Andrew Scheer a également brièvement figuré sur la liste, mais a depuis été retiré après que sa déclaration du 24 mars 2022 niant toute implication dans le WEF ait été rendue publique.

« Récemment, on m’a signalé que le site Web du Forum économique mondial comprenait un profil de moi », a noté M. Scheer en 2022.

« Je ne suis PAS membre du WEF. Je n’ai jamais assisté à une réunion, une conférence ou tout autre événement parrainé ou associé au FEM. Je ne suis jamais allé à Davos. Je ne sais pas pourquoi mon profil a été inclus sur leur site Web Young Global Leaders. Une fois que cela a été porté à mon attention, j’ai demandé au WEF de me retirer de son site. Ils se sont exécutés depuis. »

Il est intéressant de noter que l’actuel chef conservateur Pierre Poilievre a été placé dans l’onglet « incertain » de la liste Malone/Pharos. Il a nié avoir été impliqué dans le programme des jeunes leaders ; cependant, les pages d’Internet Archive impliquent le contraire.

Les membres du WEF « sont déployés intentionnellement et internationalement en tant qu’agents étrangers »

Selon l’Institut Malone, les personnes impliquées dans le WEF ont « été déployées intentionnellement et internationalement en tant qu’agents étrangers représentant les intérêts des membres du WEF pour “pénétrer les cabinets mondiaux des pays” ainsi qu’un large éventail de… secteurs. »

« Le WEF est l’organisation qui a orchestré la planification, le développement et la mise en œuvre harmonisés à l’échelle mondiale des confinements, des mandats, des campagnes de vaccination autoritaires, de la suppression des options de traitement précoces, du ciblage mondial des médecins dissidents, de la censure, de la propagande, de l’information et des programmes de contrôle de la pensée que nous avons tous connus depuis fin 2019 », s’est exclamé l’Institut Malone.

« C’est la structure organisationnelle utilisée par ceux qui ont cherché à contrôler et à gérer le monde pour faire avancer les intérêts économiques et politiques de leurs membres par le biais de la “Grande Réinitialisation” en cours (comme l’a nommé et décrit leur président Klaus Schwab) en exploitant et en exacerbant les perturbations sociales et économiques qu’ils ont artificiellement et intentionnellement conçues depuis que le SRAS-CoV-19 a commencé à se propager à travers le monde. »

La liste des jeunes leaders met également en évidence d’anciens politiciens canadiens liés au FEM, notamment l’ancien ministre progressiste-conservateur et conservateur Bernard Valcourt (1993), l’ancienne vice-première ministre libérale Sheila Copps (1994) et l’ancien premier ministre libéral du Québec Jean Charest (1994).

L’ancien maire de Calgary, Naheed Nenshi, qui se présente pour devenir chef du Nouveau Parti démocratique de l’Alberta, a également été inscrit sur la liste (2011).

Comme l’a noté LifeSiteNews, Freeland en particulier a des liens profonds avec le WEF mondialiste. Elle est actuellement membre du conseil d’administration du WEF et a assisté à une réunion du WEF en janvier, participant à un panel public sur l’Ukraine.

Le WEF est surtout connu pour être le groupe derrière le programme socialiste de la « Grande Réinitialisation », dont le slogan se vante d’un avenir dans lequel les masses « ne posséderont rien » et « seront heureuses ».

Parmi les objectifs de la Grande Réinitialisation figurent la réduction et l’élimination de l’utilisation des combustibles fossiles, l’infrastructure d’identification numérique et les systèmes de passeport liés à la santé.

Anthony Murdoch

Article original en anglais : Dr. Malone’s institute publishes list of Canadian politicians with ties to the World Economic Forum, LifeSiteNews, le 28 mai 2024.

Traduction : Edge

La source originale de cet article est lifesitenews.com
Copyright © Anthony Murdoch, lifesitenews.com, 2024




Qui est VRAIMENT Laurent Alexandre : de l’urologie à l’eugénisme

[Source : Juste Milieu]

Sources :




Les racines occultes du Forum économique mondial

[Source : lifesitenews.com]

« Les justifications des politiques mondiales obscurantistes de l’ONU et du Forum économique mondial, qui visent à soumettre les peuples, sont habillées sous la forme de science, alors qu’elles sont basées sur l’ésotérisme et l’occulte et ne sont donc que la pensée irrationnelle d’imbéciles ».

[Voir aussi :
https://nouveau-monde.ca/un-professeur-finlandais-expose-les-racines-occultes-du-forum-economique-mondial/]

Par Frank Wright

De nombreuses théories délirantes circulent sur ceux qui seraient les maîtres de notre avenir. Peu d’entre elles peuvent rivaliser avec les idées abracadabrantes de ces personnes, dont les paroles, lorsqu’elles sont citées mot pour mot, semblent farfelues.

Que penser alors des affirmations d’un homme qui a eu affaire à certains de ces individus en personne ? Aujourd’hui, je vous présente les travaux du professeur Mikko Paunio, dont l’argument « … est qu’en fin de compte, les programmes mondiaux fondés sur l’ésotérisme et l’occultisme ou, plus simplement, le nouveau panthéisme de la nature, sont fous et donc socialement dangereux ».



Dire que le Forum économique mondial et ses groupes de pairs sentent le soufre, c’est faire preuve de méchanceté à l’égard de l’enfer. Pourtant, c’est en décrivant avec précision les actes de ces technocrates fantaisistes, pour qui nous ne sommes guère plus qu’un problème de gestion à résoudre, que l’on servira le mieux la cause de l’Humanité.

Une affirmation aussi audacieuse, si elle est faite sans preuve, peut être rejetée sans discussion. Pourtant, les recherches menées depuis 30 ans par le professeur Mikko Paunio, qui n’est pas étranger aux réunions au niveau de l’État, présentent un ensemble de travaux qui révèlent que « les politiques environnementales de l’ONU, du Club de Rome et du Forum économique mondial sont des absurdités ésotériques ».

Les arguments suivants ont été présentés pour la première fois à un public finlandais en octobre 2022, dans une présentation simplement intitulée « Le pouvoir occulte ». Ils ne sont pas avancés par un obscur théoricien du complot, mais par un homme dont la longue carrière l’a conduit dans les couloirs mêmes du pouvoir :

Les justifications des politiques mondiales obscurantistes de l’ONU et du Forum économique mondial, qui visent à asservir les peuples, sont présentées sous la forme d’une science, alors qu’elles sont fondées sur l’ésotérisme et l’occultisme et ne sont donc que la pensée irrationnelle d’imbéciles.

Le professeur Paunio est un épidémiologiste qui a travaillé pour un certain nombre d’institutions de santé publique dans son pays natal, la Finlande, et qui a fait un bref passage à la Banque mondiale. Il est actuellement médecin-chef au ministère finlandais des Affaires sociales et de la Santé. Son travail de conseiller scientifique et politique l’a amené à participer à des réunions au niveau de l’État dans toute l’Europe et aux États-Unis.

Il a combiné cela avec une opposition franche au culte du climat dont les « idées néo-malthusiennes » sont un point de principe parmi l’élite technocratique. En fait, c’est son travail de spécialiste en santé publique qui l’a d’abord alerté sur les sombres dessous de ces misanthropes adorateurs de la nature.

Lorsque j’étais un jeune chercheur en médecine, je suis devenu l’un des secrétaires de la commission de l’énergie du Premier ministre au lendemain de l’accident de Tchernobyl, en Finlande. Moi-même et les autres secrétaires devions lire un interminable flux de données manuscrites d’un membre de la commission appelé Pentti Malaska, professeur d’études prospectives à l’université d’économie et de commerce de Turku.

Qu’y avait-il de si remarquable dans cette réunion ?

Il s’est avéré plus tard qu’il s’agissait d’un occultiste.

L’intérêt du professeur Paunio a été piqué, et c’est ainsi qu’a commencé son long voyage dans ce qu’il appelle «… le nouveau panthéisme de la nature qui est né dans le cadre de l’ONU, avec ses partenaires le Club de Rome et le Forum économique mondial ».

Le Club de Rome a été fondé en 1968, l’année de sa publication phare, Les limites de la croissance. Il est composé d’une centaine de dirigeants d’État et de technocrates issus de gouvernements, d’entreprises et de bureaucraties supranationales telles que l’ONU.

Ce livre a marqué un tournant dans le culte moderne de la Terre, en présentant l’Humanité comme un handicap supporté par une planète souffrante. Il présentait un avenir marqué par un effondrement catastrophique — des systèmes et de la population humaine — sans l’intervention d’une organisation internationale bienveillante et éclairée.

En combinant les prophéties de malheur et les promesses d’espoir, elle a creusé un sillon que les dirigeants des bureaucraties internationales d’aujourd’hui ont bien su emprunter. L’Organisation mondiale de la santé, les Nations unies et le Forum économique mondial sont tous des adeptes de cette méthode et sont bien sûr unis dans leur engagement en faveur de projets tels que Net Zero.

Toutefois, comme l’explique M. Paunio, ces organisations ne sont pas seulement unies par un intérêt commun pour le marketing de la crise.

Dès 1991, dans mon premier livre, Vihreä valhe [Le mensonge vert], je faisais remarquer qu’une grande partie des activistes du mouvement néo-malthusien Green antiscience étaient attirés par l’anthroposophie ou la pensée occulte plus originale, c’est-à-dire la théosophie.

Le point de vue de Paunio est que les prétendus maîtres du monde sont des fantaisistes, et que leurs fantasmes sont directement inspirés d’une tradition occulte remontant au 19e siècle. Il affirme qu’ils n’appartiennent pas seulement à une secte, mais que la promotion et la pratique de ces croyances, qu’elles soient cachées ou non, constituent un credo qui a supplanté celui de l’Église.

Cette religion a largement remplacé le christianisme dans les pays occidentaux. Le panthéisme naturel s’inspire spécifiquement de la « sagesse » de la théosophie, fondée sur l’ésotérisme et l’occultisme de la plus célèbre escroc du monde, Madame Blavatsky, qui prétendait avoir découvert la « vérité perdue » qui unit les religions du monde.

Paunio prend soin de faire la distinction entre « ésotérique » — qui signifie « personnel » — et « occulte » — qui signifie « caché ». Il affirme qu’un culte de la fantaisie personnelle, dont les pratiques privées se reflètent dans une vision du monde détachée de la réalité, est endémique au sein de l’élite dirigeante. Si tel est bien le cas, cela expliquerait pourquoi tant de nos dirigeants ne semblent se préoccuper que d’eux-mêmes, et pourquoi leurs croyances et leurs politiques semblent souvent n’avoir que peu de rapport avec la réalité observable.

Quelles sont les preuves de l’existence d’un tel culte ? Certains de ses adeptes les plus éminents ne se soucient guère de garder pour eux leurs croyances occultes. En janvier 2016, Klaus Schwab «… est apparu dans une interview télévisée avec RTS Suisse en Suisse, où il a ouvertement révélé son occultisme ésotérique fou. »

Dans la vidéo mentionnée, Schwab parle de la « fusion des mondes numérique, physique et biologique » à travers une technologie qui, selon Paunio, n’est rien d’autre que de la science-fiction.

[NDLR Sauf que cette technologie est malheureusement bien réelle (et pas seulement brevetée) dans la plupart des cas, comme des articles des dossiers Implants numériques et contrôle mental et 5G et ondes pulsées permettent de s’en rendre compte. Il semble que ces individus aient les moyens de leurs ambitions.]

Tout ce que Schwab a mentionné à la télévision suisse en 2016 est tout simplement de la science-fiction contraire à l’éthique. Une telle technologie n’existe pas et n’existera jamais. Il s’agit juste de la pensée grincheuse d’un vieil homme grincheux basée sur des vols dans l’espace intérieur et des idées dérivées de rituels occultes.

Paunio affirme que la soi-disant science présentée par des gens comme Schwab n’est qu’une fantaisie. Qu’en est-il du protégé de Schwab, Yuval Noah Harari ?

[Paunio s’est-il donné la peine d’investiguer dans ce domaine technologique, ou bien se trouve-t-il sur ce point particulier face à quelque chose qu’il ne peut ou ne veut pas croire ?]

Le WEF a délibérément créé un faux CV en sciences naturelles pour Yuval Harari, qui est en réalité un historien.

Harari n’est qu’un imposteur, inventé par son maître pour ressembler à un prophète scientifique du futur. Il n’est rien d’autre qu’un autre Walter Mitty, affirme Paunio — mais un Walter Mitty dirigé par un homme ayant un certain attachement aux traditions occultes.

Klaus Schwab a recruté le fonctionnaire non élu de l’ONU chargé de l’environnement de loin le plus influent, Maurice Strong, un riche industriel canadien sans éducation (1929-2015), pour diriger la fondation du WEF. Maurice Strong a été LA figure centrale de la promotion de l’agenda du développement durable depuis le premier sommet environnemental de l’ONU à Stockholm en 1972. Il était également un occultiste et un ésotériste invétéré.

Paunio a longuement écrit sur le développement de la tradition occulte à partir du 19e siècle, notant et nommant des personnalités politiques qui ont visiblement absorbé les principes du nouveau panthéisme de la nature.

Comment ces fous ont-ils pu atteindre une plate-forme aussi puissante ?

Grâce au soutien inconditionnel que leur apportent les grands médias, les politiques mondiales insensées du FEM, qui visent à nous appauvrir et à aggraver les problèmes environnementaux, ont gagné du terrain dans toutes les institutions occidentales, y compris les églises protestantes et l’Église catholique.

Il n’y a pas à discuter, car les preuves sont partout autour de nous. Nous habitons déjà les monuments numériques d’un culte qui s’est emparé de nos dirigeants et de nos médias. Pourtant, les conclusions de Paunio vont plus loin que la religion internationale du malheur. Son travail révèle comment des organisations telles que le FEM travaillent avec les gouvernements pour falsifier les preuves afin de promouvoir un agenda — celui de l’effondrement.

Paunio a prouvé dans cet article que le Forum économique mondial a utilisé un fonds d’innovation finlandais pour promouvoir la Grande Réinitialisation de Schwab.

En 2016, SITRA, qui dépend du Parlement finlandais, a publié un rapport falsifié sur le miracle finlandais de l’économie circulaire et a créé le concept actuel d’économie circulaire pour le Forum économique mondial, qui est nuisible à l’environnement, à la santé humaine et à l’économie.

En exploitant ce concept, la Commission européenne a présenté aux législateurs de l’UE, par exemple, le règlement sur la taxation de la finance verte, le paquet sur l’économie circulaire de Jyrki Katainen et l’énorme ensemble de mesures sur le climat Fit for 55, qui est encore principalement entre les mains des législateurs de l’UE, et qui conduira finalement à une planification quinquennale de type soviétique et à la chute de la société industrielle moderne.

Le travail du professeur Paunio ne consiste pas simplement à se moquer des bouffons et à démentir leurs fausses références. Il s’agit d’une tentative sérieuse de contribuer au contre-récit d’un management technocratique dont le mal est rendu plus compréhensible par la révélation de ses inspirations occultes.

Il termine son long essai sur le sujet par un cri de ralliement adressé à la communauté de l’économie réelle.

Nous, le peuple, les travailleurs ordinaires et les entrepreneurs qui aiment leur pays et leur famille, devons nous réveiller pour défendre l’instruction, la liberté et la société moderne. Seule la recherche du bien, à partir de ses propres points de départ, peut supplanter ces expériences humaines menées depuis l’étranger. La Finlande, en tant que société à part entière et historiquement dominée par d’autres nations, est aujourd’hui une plate-forme solide pour des expériences farfelues, à moins que nos décideurs ne soient conscients des énormes dangers qui y sont associés.

Pour en savoir plus sur les travaux du professeur Paunio, consultez l’émission de John Henry Westen, ainsi que les articles à venir de Frank Wright sur le contexte de ses travaux.




Trois choses sur les otages en Israël/Palestine




Viktor Orban face à l’UE

[Source : Vivre sainement]

[Illustration : source]

Régulièrement ciblé comme « l’homme à abattre » par l’opposition, Viktor Orban essuie les critiques de l’UE sur l’État de droit et les droits humains. Populiste nationaliste, il prône une politique anti-immigration ferme, défiant l’ordre européen établi.

Véritable caillou dans la chaussure de Bruxelles, Orban cristallise les débats et divise les opinions. Figure controversée, son avenir à la tête de la Hongrie et les relations avec l’UE restent incertains.

Il accuse également Kiev de corruption massive, menaçant de « détruire le système agricole européen ». Viktor Orban, figure clivante de la politique européenne, ne cesse de provoquer des remous et des polémiques par ses prises de position radicales.

Qualifié de « paria » par Bruxelles, le Premier ministre hongrois s’attaque régulièrement à l’Union européenne de manière virulente.

[NDLR Cependant, il ne semble pas vouloir faire sortir la Hongrie de l’UE]






Macron a livré la France aux GAFAM américains

🔷 Avec Jean-Baptiste Rivoire
Fondateur de Off’Investigation

🔷 Et Philippe Schreck
Député Rassemblement National du Var, ancien vice-président de la Commission d’enquête relative aux révélations des Uber Files : l’ubérisation, son lobbying et ses conséquences




L’architecte de l’UE, premier président de la Commission européenne, était… un ancien nazi

Emmanuel #Macron nous explique que la construction européenne nous prémunit contre le retour « du bruit des bottes ». Il s’agit d’une imposture historique ! Les 3 pères de l’#Europe ne venaient de la Résistance, bien au contraire.

Philippe de Villiers




« On va vers la guerre civile dans les écoles ! »

[Source : debout-la-france.fr]

Nicolas Dupont-Aignan revient sur la faillite de l’état sur l’éducation et l’échec de la laïcité à l’école, avant d’aborder le déficit record de la France et les européennes.

[NDLR La cause de la faillite française sur tous les plans évoqués (et ceux non évoqués) resterait à mentionner : cette faillite multiple est voulue par les élites mondialistes.]




France — Face aux dettes… Attal va taxer plus !

[Extraits de insolentiae.com]

Par Charles Sannat

« La politique, ce n’est pas de résoudre les problèmes,
c’est de faire taire ceux qui les posent. »

Henri Queuille

Pour pouvoir taxer en paix, faire la guerre en paix, vous voler en paix, alors il faut d’abord faire taire ceux qui ne pensent pas comme votre politique. C’est la première étape. Elle est presque achevée.

Quand vous regardez les lois qu’ils font passer, de l’insulte ou de la diffamation… non publique !

« Art. 225-16-4. — La provocation non publique à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes en raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une prétendue race ou une religion déterminée est punie d’une amende de 3 750 euros. »

« Est punie de la même peine la provocation non publique à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes en raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre, vraie ou supposée, ou de leur handicap ainsi que la provocation non publique, à l’égard de ces mêmes personnes, aux discriminations prévues aux articles 225-2 et 432-7. »

(Source) [Soulignement ajouté.]

Ou encore la nouvelle nouvelle loi sur l’outrage en ligne dont la définition est tellement large, que tout peut constituer un « outrage » terrible en ligne !

« Est puni de 3 750 euros d’amende et d’un an d’emprisonnement le fait […] de diffuser en ligne tout contenu qui soit porte atteinte à la dignité d’une personne ou présente à son égard un caractère injurieux, dégradant ou humiliant, soit crée à son encontre une situation intimidante, hostile ou offensante »

(Source)

Queuille disait aussi que…

« Il n’est pas de problème dont une absence de solution ne finisse par venir à bout. »
Citation que je n’ai jamais hésité à transformer en :
« Il n’est pas de problème qu’un nouvel impôt ne finisse par résoudre ».

(…)

D’ailleurs Queuille disait sur les impôts…

« Toute réforme fiscale consiste à supprimer des impôts sur des choses qui étaient taxées depuis longtemps pour les remplacer par des nouveaux plus lourds, sur des choses qui ne l’étaient pas. »

Face aux déficits et la dette, l’idée géniale d’ATTAL ? Augmenter les « zimpots ».

(…)

Mais pas sur le Livret A parce que le Livret A cela ne fait pas assez rentier ! La bonne blague. Ils auraient bien taxé les plans d’épargne populaires, mais c’est réservé aux gens non imposables. Cela aurait fait désordre.

Mais pas sur l’assurance-vie. Il faut dire que ce sont les contrats d’assurance-vie avec les fonds en euros qui achètent la mauvaise dette française. Ce serait se tirer une balle dans le pied.

Mais pas les trop riches… ils peuvent partir ailleurs.

Alors que restera-t-il à taxer ?

Toujours les mêmes.

Les classes moyennes supérieures qui détiennent des biens immobiliers qu’elles ne peuvent pas délocaliser (…) et donc une augmentation de l’IFI, l’impôt sur la fortune immobilière, une taxe de plus sur les revenus fonciers, sans oublier, bien évidemment, les impôts sur les successions qui finiront pour des questions de jûûûûûstice socialeuuuuuu et d’égââââlité par être augmentés.




Appel du Pr Christian Perronne pour stopper le traité pandémies de l’OMS

[Voir aussi :
Traité Pandémies de l’OMS : UN COUP D’ÉTAT MONDIAL ?
OMS : les « traités pandémies » seront votés fin mai
Le traité de l’OMS sur les pandémies et les enjeux de souveraineté
“Avant j’admirais l’OMS, là je pense qu’il faut en sortir”
Le traité sur les pandémies, fossoyeur de la souveraineté nationale
Un groupe international d’avocats s’oppose à la prise de pouvoir de l’OMS]




Organisation Mafieuse de la Santé

[Source : Ye shall know the truth]

[Note de Joseph : dans la partie consacrée à la grippe porcine, le reportage reste influencé par l’hypothèse virale, ce qui ne peut en définitive que conforter l’OMS et l’industrie pharmaceutique (même si l’influence de cette dernière est évoquée) qui est à l’origine de cette fraude scientifique et du maintien des croyances liées, par son contrôle sur le domaine de la santé en général et sur la formation des personnels soignants en particulier. Voir :
Les Remèdes Naturels qu’« ILS » ne veulent pas que vous connaissiez
La médecine moderne : un château bâti sur du sable ?
La virologie : pseudoscience au service de la domination
Comment Big Pharma corrompt la science, les médecins et les politiques publiques de santé
Comment Rockefeller a créé Big Pharma
Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio]






Macron accélère l’avènement du mal absolu … et on laisse faire collectivement ?

[Source : Bertrand SCHOLLER]

Par Bertrand Scholler

JFK aurait été tué pat un fou isolé, sans lien avec La CIA, qui a déjoué tout et son contraire, mais a été tue sans avoir pu parler.

La Lune en 1969, c’était facile, y compris avec une jeep pour aller y faire des drifts en direct… mais depuis on y pose à peine des boîtes de conserve, et on ne sait pas la faire revenir.

Le 11/09 c’est un mec dans des grottes en Afghanistan sous dialyse qui a piloté l’attaque terroriste la plus incroyable du monde, défiant toutes les lois de la physique, de la chimie et de la logique… mais il faut y croire.

Ne pas oublier les armes de destructions massives en Irak et les couveuses au Koweït, on cherche encore les deux, mais plus d’un million de civils irakiens sont morts, mais le pétrole n’est pas perdu pour tout le Monde.

Les Casques Blancs en Syrie étaient les meilleurs amis de Fabius, le nouveau pote de Macron, ils étaient toujours les premiers sur les sites d’attaques chimiques… dont on attend toujours les preuves.

S’ils étaient plongeurs, eux auraient peut-être trouvé les coupables de Nord Stream, contrairement aux Danois et Suédois, qui se sont déclarés bredouilles. Les Allemands en récession ont arrêté l’enquête faute de budget.

Maidan… c’était évidemment un moment populaire, une histoire de petits pains et de madeleines Allbright…

Biden a été le Président le mieux élu de l’histoire des USA, mais il ne s’en souvient plus, son fils non plus ; il pense justement être le votre président de quelqu’un, mais on ignore de qui. Il n’est pas le seul à être diminué là-bas, par l’âge, et chez nous en Europe par l’incompétence, la bêtise et la fatuité.

Le Covid, vous savez ce truc qui a provoqué l’arrêt de la planète, c’est un pangolin, le vaccin devait sauver, car c’était un acte d’amour… et le PCR, ce truc si intrusif, c’était pour chercher à la base du cerveau, un virus ou sa trace, alors qu’une seule goutte (dans la salive) pourrait tuer un cluster entier (oups le mot anglais que tout le Monde a appris… mieux que Love) comme, par exemple, les passagers de tout un paquebot… au large du Japon.

La Russie est désignée pour avoir commencé une guerre en févr. 2022, car tout le Monde a oublié les accords de Minsk, car des civils russophones au Donbass y étaient sous les bombes depuis 2014.

Que dire de Butcha… c’était évidement les Russes et leur esprit illogique à se tirer une balle dans la paix qu’ils recherchaient depuis si longtemps et croyaient avoir trouvé enfin, eux si content et naïf, d’avoir signer un accord avec annexes, avec les Ukrainiens… c’était compter sans Macron qui voulait cette guerre longue et que les Russes passent pour des bouchers.

Et aussi… le 7/10 ce sont des centaines de mecs en sandales et parapentes qui ont déjoué la sécurité du pays le mieux protégé du monde, en sortant armes de canifs et de Kalashnikov (de collection) de leur ghetto sous blocus et surveillé par des drones, des espions et des informateurs… pour aller couper des bébés et les cuire dans des fours, mais aussi je ne sais pas quoi encore//évidement ça rappelle le 11/09 et tout le monde l’a dit et répète… le 7/10 c’est le nouveau 11/09 (les Égyptiens n’ont qu’à bien se tenir… Netanyahu fera l’enquête après avoir fini ce que la CIJ rappelle un génocide).

Puis dans le complot… on a monté d’un cran avec Navalny… qui cette fois a vraiment été tiré, mais comme la mort a eu lieu ça ne peut pas être les Russes ; ils ratent à chaque fois avec les poisons… Si c’était… une grande compagnie pharma, la CIA et une future veuve éplorée à Munich qui devient l’alliée numéro 1 de l’Ukraine de Zelensky et d’Israël de Netanyahu (l’un, car on repense à lui… et l’autre, car on l’oublie) ?

Que penser de ce qu’a démontré #AaronBushnell, qui en s’immolant a prouvé que tout est mensonges et manipulations, doubles langages et doubles standards… Que n’était-il pas un LGBT+ iranien réfugié en France et qui s’immole devant l’embrassade d’Iran ou un trans ukrainien qui fait de même devant l’ambassade russe à Paris ?

AARON BUSHNELL a montré que ce ne sont que faux semblants et inversions accusatoires.
LES MORTS NE SE VALENT PAS.
LES MARTYRS NON PLUS.
Mais à Gaza ils l’ont compris dans leur chair.

Et la liste est plus longue… car ces gens qui dirigent l’empire du mensonge et du $ sont fous.
Et Macron est leur antéchrist.

Et tout commence avec les sorciers de Babylone.
Les Khazars puis… bientôt dans une capsule.




Hervé Juvin, député UE, au sujet de l’oxyde de graphène, de la nourriture à base d’insectes et de la 5G

[Source : @HerveJuvin et @MKWhiteRabbit via olivierdemeulenaere]

[Voir les dossiers :
Vaccins et virus
5G et ondes pulsées
Implants numériques et contrôle mental]



Source Twitter/X :

Site de Hervé Juvin




Fin de règne : les 4 mensonges de Macron au Salon de l’agriculture

[Source : Nicolas Dupont-Aignan]

Nicolas Dupont-Aignan revient sur les 4 grands mensonges et sur le fiasco de l’inauguration du Salon de l’agriculture 2024 par Emmanuel Macron. Dans une ambiance « fin de règne », des CRS étaient présents pour la première fois de l’histoire du Salon.




La dévastation du monde par « les derniers des hommes »

[Source : ÉLUCID]

Johann CHAPOUTOT est historien et professeur d’histoire contemporaine à la Sorbonne. Spécialiste de l’Allemagne et de la modernité occidentale, il est l’auteur d’une dizaine d’ouvrages dont « La loi du sang » (2014), « Libres d’obéir » (2020) ou encore « Le grand récit » (2021). Dans cette interview réalisée par Olivier Berruyer pour Élucid, Johann Chapoutot met en lumière les dynamiques profondes qui ont permis au nazisme de prendre racine, et qui n’ont hélas pas entièrement disparu. Il y a une continuité historique, des mécanismes structurels, qui aujourd’hui se réalisent à travers le néolibéralisme et ses incarnations politiques comme le macronisme. L’Histoire n’est pas finie, et pour l’anticiper au mieux, nous devons apprendre à lire la réalité sous les récits.




Freiner la Grande Réinitialisation — Les chrétiens sont un obstacle au mondialisme, et les puissances mondiales le savent

[Source : harbingersdaily.com]

Par Terry James

Ceux d’entre nous qui croient être chargés par le Seigneur d’être des « sentinelles » sur le chemin de ronde l’accélération de la mise en scène de l’accomplissement prophétique comme une chose merveilleuse à voir. Il est indéniable que nous approchons à grands pas du dénouement de l’âge de grâce.

Aucun développement récent n’a été plus significatif que le mouvement vers l’établissement d’un Nouvel Ordre Mondial. L’un des éléments les plus troublants de ce mouvement est ce que l’on appelle « la grande réinitialisation ».

Ce terme, défini dans le titre d’un livre du même nom, signifie la mondialisation du monde entier — ceux qui ont l’intention d’établir un monde sous un seul gouvernement ne doivent pas, selon eux, être contrecarrés. L’existence même de la planète dépend de leur capacité à atteindre leurs objectifs, ceux-ci résumés dans ce qu’ils appellent l’Agenda 21 et maintenant l’Agenda 2030. Cet « agenda » signifie qu’ils doivent accomplir toutes les étapes de la mise en place de cet ordre mondial au plus tard en 2030.

Ces maîtres mondialistes en puissance ne voient pas les choses se développer comme nous le faisons en les regardant à travers le prisme de la prophétie biblique. Alors que nous voyons les choses avancer vers le régime de l’Antéchrist à un rythme étonnant et effrayant, les mondialistes, comme l’auteur du livre La Grande Réinitialisation, considèrent que les choses sont ralenties et inhibées par des forces qu’ils doivent éliminer. En d’autres termes, ils doivent éliminer ceux qui sont comme nous, par exemple. Et par « nous », j’entends à la fois nous, les chrétiens, qui dénonçons leur méchanceté, et cette nation, les États-Unis d’Amérique, dont le peuple est imprégné depuis près de trois siècles de liberté fondamentale et de droits conférés par Dieu sur la base d’un fondement judéo-chrétien.

L’Amérique est l’obstacle le plus puissant à l’Agenda 2030 et à la Grande Réinitialisation. Cette nation, la plus matériellement bénie de l’histoire, ne s’enfoncera pas « doucement dans cette bonne nuit », comme l’aurait dit Dylan Thomas. Il ne sera pas facile de nous faire rouler à bicyclette, de rester dans des villes de quinze minutes et de manger des insectes au lieu des aliments que nous aimons, comme les grands réinitialisateurs et leur agenda insistent pour que nous le fassions. Il y aura une forte résistance tant que la nation existera telle qu’elle est composée actuellement.

Bien sûr, les Américains qui aiment la liberté sont constamment attaqués par les puissances et les principautés d’Éphésiens 6:12, qu’elles soient démoniaques ou humaines. Et cette cabale luciférienne est déterminée à faire tomber l’Amérique et à éliminer toute opposition à son programme. Ces sous-fifres appellent l’opposition à laquelle ils sont confrontés « le recul de la mondialisation ». L’extrait suivant donne plus de détails sur la détermination de Klaus Schwab et de ses acolytes à changer les choses afin que leur nouvelle tour de Babel puisse être construite, sans opposition.

Le livre de Klaus Schwab et Theirry Malleret, Covid-19 : La grande réinitialisation identifie « la chute libre de la gouvernance mondiale » comme un défi existentiel, et si nous ne collaborons pas, « nous sommes condamnés ».

« Les États-nations rendent possible la gouvernance mondiale (l’un entraîne l’autre) », peut-on lire dans le livre. « Plus le nationalisme et l’isolationnisme envahissent la politique mondiale, plus la gouvernance mondiale risque de perdre sa pertinence et de devenir inefficace. Malheureusement, nous nous trouvons aujourd’hui à ce point critique. Pour dire les choses crûment, nous vivons dans un monde où personne n’est vraiment aux commandes »…

Kristalina Georgieva [directrice générale du Fonds monétaire international] a suggéré de « se concentrer sur les domaines nous sommes condamnés si nous ne travaillons pas ensemble ». Les exemples qu’elle a donnés comme quoi « nous sommes condamnés » sans la mondialisation sont le « changement climatique », la « transition verte » et la dette…

Les auteurs n’expliquent pas pourquoi une « réinitialisation individuelle » est nécessaire ; ils supposent simplement qu’il s’agit d’une conséquence de la « pandémie » de Covid. Cependant, comme ils l’ont fait tout au long du livre, ils ont utilisé le collectivisme comme outil de contrôle social. « Si, en tant qu’êtres humains, nous ne collaborons pas pour faire face à nos défis existentiels (l’environnement et la chute libre de la gouvernance mondiale, entre autres), nous sommes condamnés », ont-ils affirmé… La montée des nationalismes rend le recul de la mondialisation inévitable dans la plupart des pays du monde — un élan particulièrement notable en Occident. Le vote en faveur du Brexit et l’élection du président Trump sur un programme protectionniste sont deux marqueurs importants de la réaction occidentale contre la mondialisation », écrivent les deux auteurs.

Comme l’écrit l’auteur de l’article :

Comme nous l’avons déjà dit, l’expression « bien commun » et sa vilaine sœur, « le plus grand bien », représentent le collectivisme, que l’on retrouve dans les mouvements socialistes, communistes et fascistes. Ces mouvements utilisent le « bien commun » comme outil de contrôle social.

C’est exactement ce qui se passe aujourd’hui dans le processus politique américain. La volonté incessante d’instaurer un système collectif marxiste est au cœur de la tentative de Grande Réinitialisation imposée par les larbins humains, assistés par les démons d’Éphésiens 6:12, selon mon opinion assurée.

L’autre jour, j’ai entendu un sénateur s’exprimer dans l’hémicycle du Sénat. J’aime ce qu’il a dit, bien que je sois presque certain qu’il n’a pas réalisé la véritable portée de sa déclaration.

Il a dit quelque chose comme : « Au lieu de la Grande Réinitialisation antiaméricaine, nous avons besoin de la Grande Résistance. Nous devons résister à cette tentative de tyrannie de type marxiste ».

La Grande Résistance est précisément ce qui est donné dans la Parole de Dieu comme opposition aux tentatives de Satan et de ses sbires d’amener au pouvoir l’homme du péché, l’Antéchrist, et son régime d’horreurs.

« Et maintenant vous savez ce qui le retient, afin qu’il ne paraisse qu’en son temps. Car le mystère de l’iniquité agit déjà ; il faut seulement que celui qui le retient encore ait disparu. Et alors paraîtra l’impie, que le Seigneur Jésus détruira par le souffle de sa bouche, et qu’il anéantira par l’éclat de son avènement. »

2 Thessaloniens 2:6-8

Nous qui connaissons le Seigneur Jésus pour le salut, nous faisons partie de la Grande Résistance. Pasteurs, écoutez ! Ne résistez pas à la Grande Résistance. En résistant à la Grande Résistance, vous aidez et assistez ceux qui veulent amener la Grande Réinitialisation.

Prêchez la prophétie biblique, et ceci d’un point de vue pré-Trib(([1] Abbréviation de pré-Tribulation. Le point de vue pré-Trib consiste à la croyance en un enlèvement des chrétiens avant la Grande Tribulation. NdT)). Jésus est sur le point d’intervenir dans les méchantes affaires de l’humanité. L’Enlèvement, selon tous les signes et signaux de la Tribulation à venir qui fait rage dans toutes les directions, est sur le point de bouleverser la vie sur la planète Terre !

Pour ceux qui ne l’ont pas encore fait, voici comment se préparer et être ainsi assuré d’aller vers Jésus-Christ lorsqu’Il appellera tous les croyants à Lui dans ce moment stupéfiant de sauvetage de cette terre soumise au jugement.

« Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c’est en croyant du cœur qu’on parvient à la justice, et c’est en confessant de la bouche qu’on parvient au salut, selon ce que dit l’Écriture. »

Romains 10:9-10




Petit rappel à la Macronie : le français est la langue officielle de notre pays !

[Source : bvoltaire.fr]

Par Me Alain Belot

Six associations de défense de la langue française viennent de rédiger un communiqué de presse en commun afin de dénoncer ce qu’ils appellent un « véritable linguicide » initié par la Macronie.

Ces associations demandent instamment « de n’apporter aucun suffrage à ce parti présidentiel destructeur ». Et pour cause : le parti d’Emmanuel Macron, dont le mondialisme étouffant n’est plus à démontrer, s’en prend désormais à la langue française, lui préférant l’anglais, certainement plus à même de faire réussir la « start up nation ».

Le communiqué s’insurge d’abord contre la campagne d’affichage publicitaire de l’Union européenne qui a été diffusée en France aux mois de mars et novembre 2023. On pouvait lire alors sur les nombreuses affiches de propagande, en très gros caractères, ce même slogan : « YOU ARE UE ». La traduction était inscrite en bas de l’affiche, en minuscules et, naturellement, à peine visible.

Or, faisons d’abord remarquer que cette inscription est contraire à la loi Toubon du 4 août 1994, laquelle prévoit que la présentation en français doit être aussi lisible, audible ou intelligible que la présentation en langue étrangère. Sur le fond, cet affichage laisse peu de place à la contestation, dès lors que l’on ne se sentirait pas exactement faire partie de leur grande famille progressiste, de leur UE…

De surcroît, ce qui attise l’ire de ces associations de défense de la langue française, c’est bien la fameuse affiche de campagne dévoilée par Les Jeunes avec Macron, pour les élections européennes. L’affiche, manifestement copiée sur le sigle d’une grande société des GAFAM, contient le slogan suivant : « Think different, Renew Europe ». Dès lors, si on comprend bien le cheminement intellectuel macron-anachronique, avant de nous imposer leur « renaissance », on se devait d’être « en marche » et, désormais, on doit penser différemment, mais surtout en anglais ! Bref, ce n’est pas une surprise, Macron et ses jeunes ont, depuis longtemps, perdu leur latin.

Permettons, néanmoins, de rappeler à cette jeunesse mondialisée que l’article 2 de la Constitution dispose, en son premier alinéa : « La langue de la République est le français. » Mais, on le sait bien, ces jeunes gens se moquent autant du français que de la République. Ils ne comprennent d’ailleurs pas le problème de la polémique. Surtout que leur mentor n’a rien fait pour empêcher que l’anglais ne devienne la langue de travail de la Commission européenne, du Parquet européen ou encore de la Cour des comptes européenne.

C’est alors, encore et toujours, une lancinante humiliation faite au peuple français et à ceux qui défendent ses valeurs jusqu’à sa langue. Même la grande Histoire est méprisée quand on se souvient que François Ier, en déclarant, par l’ordonnance de Villers-Cotterêts de 1539, le français comme langue officielle, avait comme seul objectif d’unifier le royaume de France.




Le pape François, un hérétique

[Source : @Cielvoile]

[Voir aussi :
Mgr Viganò : L’intention de Bergoglio est de nuire aux âmes, de discréditer l’Église et d’offenser Dieu
PCB : L’histoire de l’Église et le Synode suicidaire sur la synodalité de Bergoglio
Bill Gates a-t-il demandé à Bergoglio de fermer l’Église catholique ?
Monseigneur Viganò : « La franc-maçonnerie utilise l’OMS et l’église bergoglienne pour faire avancer son coup d’État mondial »
La crise dans l’Église Catholique
François, est-il le pape du Great Reset ?
François, pape des pauvres et de l’écologie ? Ou pape de l’élite globale ?
Rien que la vérité sur la « démission » de Benoît XVI
Mort de Benoît XVI : du siège empêché au siège vacant. Le Pape François n’existe pas (mais l’antipape oui)]






Les fissures commencent à apparaître à Davos

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Simplicius Le Penseur — Le 2 février 2024 — Source Dark Futura

Le WEF 2024 à Davos — la principale retraite des mondialistes — s’est tenu du 15 au 19 janvier. À bien des égards, il s’agissait d’un événement particulier, car c’était le premier conclave de ce type où les élites affichaient une peur et une appréhension palpables face à la direction que prend la société et au retour de bâton d’une humanité de plus en plus défiante.

Officiellement, le climat et la désinformation ont dominé l’ordre du jour de leur programme, qui a été sponsorisé sous le titre « Reconstruire la confiance ».

(Voir vidéo [en anglais] sur l’article original)

Qu’est-ce qui peut bien amener les élites à penser qu’elles ont rompu notre confiance ? se demande-t-on. Il apparaîtra clairement dans leurs moindres gestes au cours du déroulement du symposium que les élites sont terrifiées par les troubles qu’elles ont elles-mêmes créés.

Voici le rapport complet qu’ils ont publié à la veille de la convocation. L’ensemble est modelé sur la hiérarchie des risques suivante, montrant les perspectives à deux ans et à dix ans des risques, classés dans l’ordre :

Il est clair qu’à court terme, c’est la désinformation qui leur donne le plus de fil à retordre. Cela est dû, selon eux, au fait que les deux prochaines années seront riches en élections mondiales cruciales au cours desquelles la désinformation jouera un rôle de premier plan. Pour les perspectives à dix ans, ils battent naturellement les bongos du climat à pleines dents, car cela reste leur plus savant filon.

Dès les premières pages, ils commencent par admettre que la majorité des participants pensent que le modèle mondial unipolaire cessera de dominer au cours de la prochaine décennie :

Ces risques transnationaux deviendront plus difficiles à gérer à mesure que la coopération mondiale s’érodera. Dans l’enquête de cette année sur la perception des risques mondiaux, deux tiers des personnes interrogées prévoient qu’un ordre multipolaire dominera au cours des dix prochaines années, les puissances moyennes et les grandes puissances établissant et appliquant — mais aussi contestant — les règles et normes actuelles.

Le manque de conscience de soi des élites est cependant toujours stupéfiant. En lisant ces pages, on est surpris de constater que toutes les raisons invoquées pour expliquer pourquoi le monde se dirige vers ces eaux troubles pointent directement vers la mauvaise gestion des affaires mondiales par les élites elles-mêmes. Par exemple, ils pensent que le monde se précipite vers cette multipolarité « dangereusement instable » parce que la confiance dans les institutions occidentales, en particulier dans le leadership mondial, s’est érodée. Se sont-ils posé la question de savoir pourquoi il en est ainsi ?

Depuis plusieurs décennies, les États-Unis et leurs vassaux des Nations unies ont écrasé le monde en développement, menant sans relâche la guerre, la terreur et le chaos partout où ils le jugeaient bon. Les pays du Sud sont restés silencieux, attendant leur heure, uniquement parce qu’ils n’avaient pas la capacité de résister correctement. Mais maintenant qu’ils ont acquis cette capacité, nous sommes censés oublier le déchaînement vertigineux de l’Occident et l’étalage flagrant de son hypocrite « État de droit » et de ses « règles fondées sur l’ordre » ?

Ils se rapprochent d’un semblant de conscience de soi dans la section suivante, où ils citent les milliardaires non élus propulsés à de nouveaux sommets de pouvoir et d’influence par l’ère de l’IA comme une source d’inquiétude particulière :

Cela intervient juste après l’annonce que Microsoft vient de franchir le seuil des 3 000 milliards de dollars de capitalisation boursière, dépassant ainsi Apple pour redevenir la « société la plus précieuse » du monde. Apple et Microsoft représentent à eux deux plus de 13 % de l’ensemble du S&P 500.

Nous avons pu constater de visu le pouvoir que Bill Gates a exercé au cours de son ascension vers une sorte d’influence politique mondiale non élue. L’article du WEF craint à juste titre que le caractère « autoréférentiel » de la croissance des start-ups de l’IA permette aux entreprises qui réalisent des percées dans ces technologies, qui incluent l’informatique quantique, d’exercer de vastes pouvoirs en vertu de l’omniprésence de leurs technologies « à double usage et à usage général ».

La capitalisation boursière de Microsoft, qui s’élève à 3 000 milliards de dollars, représente une masse d’argent plus importante que le PIB de la majorité des pays de la planète. Une entreprise unique exerçant un tel pouvoir ne peut être comparée qu’à la Compagnie des Indes orientales des années 1600-1800, qui disposait de sa propre armée privée et pouvait facilement écraser des nations entières.

Mais venons-en à l’aspect le plus intéressant du conclave de cette année : la révolte tranquille des globalistes.

Cette année, on a enfin eu le sentiment que les technocrates globalistes n’étaient plus tous sur la même longueur d’onde. De tels groupes fonctionnent comme un sous-produit de la forte pression exercée sur le groupe pour qu’il se conforme à l’orthodoxie établie. Divers mécanismes permettent de maintenir l’uniformité, depuis les incitations commerciales jusqu’aux menaces pures et simples, en passant par le kompromat. Ainsi, lorsque les globalistes commencent à se révolter contre les leurs, remettant en cause le discours, rompant avec le sacro-saint ordre du jour, il s’agit d’un moment décisif de « rupture de barrage ».

La dernière retraite de Davos a été marquée par plusieurs cas de ce genre. Le plus médiatisé est le grand discours de Javier Milei sur la destruction du monde, qu’il a qualifié de « [planter] les idées de liberté dans un forum contaminé par l’agenda socialiste 2030 ».

En substance, il a prétendu avoir assisté à la réunion du WEF dans le seul but de subvertir les globalistes de l’intérieur. Faites-en ce que vous voulez — je suis moi-même assez ambivalent sur Milei, avec un fort penchant pour le scepticisme. Mais il est indéniable que son discours — en particulier la dernière partie — a servi de moment de raclement de gorge aux étatistes et aux globalistes présents.

Le plus remarquable est que, sur la grande scène du WEF lui-même, il a rejeté de manière significative le mandat du « changement climatique », ou le fait que les humains soient responsables de tout changement naturel dans l’environnement. On ne s’attendait pas à ce que cette déclaration soit prononcée à la tribune de l’institution la plus importante du monde en matière de changement climatique.

Le reste de sa polémique était terne, puisqu’il s’est attardé sur ce terrible cheval de bataille qu’est le « socialisme », le considérant comme le principal cheval de bataille de l’élite du WEF, se positionnant ainsi commodément comme le grand iconoclaste audacieux.

En réalité, Schwab et ses semblables ne se soucient pas le moins du monde de ce type d’encadrement sémantique — ils sont experts dans l’art de coopter et de s’approprier n’importe quel système pour parvenir à leurs fins. Si vous leur donnez le contrôle d’un pays « socialiste », ils utiliseront leur dirigeant fantoche pour imposer des obligations de haut en bas via la « planification centrale » qui correspond à leur agenda ; donnez-leur un pays « capitaliste de libre marché », et ils utiliseront leurs vastes sociétés transnationales pour déraciner et capturer toutes les industries, en les intégrant dans le méga-monopole mondial. En d’autres termes, ce n’est pas un système contre l’autre, c’est l’humanité contre une cabale d’élites financières contrôlant le système bancaire occidental et, par extension, toutes les entreprises et industries.

Prochain sur la liste de la révolte sans précédent de Davos : Stephen A. Schwarzman, PDG de Blackstone.

Stephen A. Schwarzman, PDG de Blackstone, déclare à la foule de Davos que les États-Unis ne sont pas prêts pour quatre années supplémentaires de déficits de 2 000 milliards de dollars de Biden, d’invasion de 8 millions de clandestins et d’un ratio dette/PIB de plus en plus élevé. Il a raison.

(Voir vidéo [en anglais] sur l’article original)

Il est suivi par le PDG de JPMorgan Chase, Jamie Dimon, qui déclare de manière très pressante :

« Si vous ne contrôlez pas les frontières, vous allez détruire notre pays ».

(Voir vidéo [en anglais] sur l’article original)

C’est ce fil X qui a le mieux rendu compte de l’étonnante évolution de l’esprit du temps :

Il y a ici quelque chose d’extrêmement important qui n’est pas reconnu, mais ceux qui savent lire entre les lignes s’en rendent compte et cela effraie les gens : Des éléments de la classe de Davos **se préparent à faire défection vers le mouvement Trump/populiste**.

Le monde actuel est terrifiant pour la classe Davos. Tout va mal, les populistes sont entrés dans le sanctuaire intérieur et disent ouvertement « vous êtes le problème, votre malheur est proche », et on a le sentiment que le système néolibéral international est au bord de l’abîme.

L’économie — qui est ce qui maintient à flot l’ordre international dirigé par les États-Unis (c’est-à-dire l’ordre néolibéral, alias l’empire américain) pour l’instant — est en train de se dégrader. Même si Trump devait *perdre* l’élection présidentielle, il est entendu que la situation se dégraderait.

Et ils ne pensent pas que Trump va perdre. Ces personnes, aussi désemparées qu’elles puissent être, voient également les sondages d’opinion et sentent où vont les choses.

Ce sentiment de malheur imminent crée BEAUCOUP de panique et de déni dans les cercles Démocrates et néolibéraux. Les élections sont impossibles à gagner, les voler à nouveau est plus difficile cette fois-ci parce que tout le monde a compris…

La légitimité de leur système (« méritocratie »/règle de l’expert) s’effondre (« adultes dans la pièce » est désormais une blague), l’environnement international ne peut pas tenir (voir : Ukraine, Israël, Taïwan, la mer Rouge, etc.), la coalition arc-en-ciel à l’intérieur commence à se déchirer elle-même…

Les Démocrates et les néolibéraux — qui ont passé 8 ans à se convaincre et à convaincre tout le monde que Trump était un dictateur imminent — sont convaincus qu’Orange Hitler est sur le point de s’emparer du Reichstag. Et à ce stade, Trump a dit : « Et puis merde, je serai le monstre que vous pensez que je suis ».

Mais voilà : tandis que les Démocrates et les progressistes crient que leur navire est en train de couler et que l’eau glacée les attend, certains centristes néolibéraux à la tête froide regardent les canots de sauvetage et se disent « … en fait, il y a peut-être une issue ici ».

Les membres de la classe de Davos n’en sont pas à leur premier coup d’essai. Ces financiers et hommes d’affaires ont vécu l’ascension de Poutine et la purge des oligarques, Xi faisant de même et imposant des « exigences » aux entreprises désireuses d’accéder au marché, etc.

Aujourd’hui, un bon nombre d’entre eux croient *véritablement* qu’une répétition de ces événements pourrait être à l’ordre du jour pour les États-Unis. Désireux de survivre, certains d’entre eux seront prêts à passer un accord avec le diable. Surtout s’il leur dit « signez maintenant ou sinon ».

« Et si je ne m’inscris pas ? », se disent-ils. « Est-ce que je veux VRAIMENT prendre le risque d’être sur la liste de merde de l’administration Trump ? ». Dans un environnement populiste et anti-élite ? Dans un contexte de récession/dépression imminente ? Dans un environnement mondial de plus en plus multipolaire ? »

Donc, si vous êtes un type de la classe Davos — dans la finance, le capital-investissement, les entreprises multinationales, certains types de think tank/académiques/à but non lucratif qui dépendent des connexions politiques — votre instinct est de SURVIVRE à tout prix. Si cela implique un accord avec le populiste, alors…

L’OP s’inspire de ce nouvel article de Bloomberg :

https://www.bloomberg.com/news/articles/2024-01-19/davos-sees-the-global-economy-settling-into-strange-new-dynamic

Les six membres du panel ont été chargés de résumer l’ambiance à Davos après une semaine où les participants ont eu tendance à donner un visage courageux aux perspectives mondiales, en accentuant la probabilité qu’une récession profonde sera probablement évitée malgré un resserrement monétaire sans précédent pour maîtriser l’inflation.

L’article résume l’ambiance comme étant tendue, les élites inquiètes invoquant même ouvertement la possibilité que le dollar soit détrôné en tant que monnaie de réserve mondiale :

« Si nous ne résolvons pas ce problème (les questions budgétaires), quelque chose va arriver au dollar », a-t-il déclaré. « Si les États-Unis ne parviennent pas à se ressaisir sur le plan budgétaire, à un moment donné, les gens feront ce qu’ils ont fait à la livre sterling et au florin néerlandais il y a des années. »

Certains ont continué à porter des « masques de bravoure », mais d’autres ont exprimé leur incrédulité face à ce qui se passe :

Ken Rogoff, professeur à l’université de Harvard, s’est inquiété de ce que« la situation géopolitique ne ressemble à rien de ce que j’ai pu voir au cours de ma vie professionnelle ».

Enfin, le président de la Heritage Foundation, Kevin Roberts, a couronné la désillusion du WEF en assénant aux technocrates aux yeux écarquillés sa marque unique d’incision éloquente :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

La polémique de Roberts est ce que celle de Javier Milei aspirait à être. Il a donné la parole aux élites fatiguées, les déshabillant précisément sur les questions que tous les autres ont si peur d’aborder. La vérité, c’est qu’une grande partie des élites globales — même celles qui sont ostensiblement globalistes — ne sont pas d’accord avec les changements les plus extrêmes de ces derniers temps. Elles savent simplement qu’elles doivent porter la cruche d’eau pour BlackRock et consorts afin d’éviter certaines « pénalités » sociales et d’entreprise.

C’est pourquoi il y a de fortes chances que nous assistions dans les années à venir à une sorte de réorientation : les plus raisonnables d’entre eux reviendront du côté de la rationalité. Dans cette optique, la réunion de Davos pourrait être considérée comme l’un des premiers moments canaris dans la mine pour l’orientation des choses.

Les élites sont stratifiées comme tout le reste, ce qui signifie que les contingents les plus radicaux et les plus marginaux continueront à porter la lance de l’avant-garde pour avancer sur de nouveaux territoires. C’est pourquoi, malgré les fractures évidentes et la nervosité qui envahit leur classe pour la première fois, les ultra-radicaux parmi eux ont continué à faire avancer leurs plates-formes extrêmes.

La dernière menace prototypée à Davos est la « maladie X » :

Le directeur général de l’OMS, Tedros Ghebreyesus, a été accosté par un journaliste intrépide alors qu’il se rendait à la soirée de Schwab :

« Quand allez-vous lancer la maladie X ? »

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Naturellement, l’objectif de cette génération de la peur est de nous ébranler suffisamment pour empêcher l’encre de sécher sur les approbations des thérapies géniques à l’ARNm par le biais de l’éternel « stratagème de la tension sans fin », ainsi que de préparer la table psychologique à l’éventualité d’une nouvelle fausse pandémie pour nous bloquer à un autre point clé, permettant de dissimuler une nouvelle fraude financière ou électorale historique.

Comme à l’accoutumée, l’agenda climatique a occupé la première place de l’événement. Certains des piliers reconnaissables qui ont inlassablement fait grimper le rocher frauduleux sur la colline pendant des années ont à nouveau alimenté le chœur :

Le gagnant de l’assaut le plus flagrant contre la rationalité a été le banquier suisse Hubert Keller pour sa conférence sur les effets néfastes du café sur l’environnement, avec l’implication que ceux qui ont une conscience devraient en boire beaucoup moins (sans parler de l’implication encore plus grave que les élites viendront un jour prendre tout notre café) :

« Chaque fois que nous buvons du café, nous rejetons du CO2 dans l’atmosphère. »

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Sans blague !

Et pendant que ces dandys minaudant se livraient à des tête-à-tête dans les salles perverses de l’Imaginarium de Klaus Schwab, dans les zones interdites de leurs demesmes, les hordes opprimées étaient entrées dans une frénésie bacchanale ; le rite parisien, en particulier, était un offertoire d’abats pour les siècles à venir :

(Voir la vidéo sur l’article original)

Macron, pendant ce temps, cosplayait avec les rois suédois, indifférent au cri de l’âme de son peuple :

(Voir la vidéo sur l’article original)

Juxtaposition évocatrice ! [NDRL En français dans le texte original anglais.]

Les condamnations ne se sont pas limitées au café, mais, comme d’habitude, à l’ensemble de l’approvisionnement alimentaire, qui, selon l’élite, « carbonise la planète » :

L’information d’entreprise s’est jointe à l’incursion malthusienne chorégraphiée. Cette séquence classe effectivement les enfants dans la catégorie des accumulateurs de carbone :

Un lobbyiste de l’environnement a déclaré mardi aux téléspectateurs de la chaîne d’information britannique GB News que le fait d’avoir des enfants pose un « problème moral » en raison de la quantité de carbone qu’ils produiront au cours de leur vie.

Donnachadh McCarthy a affirmé que les gens devraient avoir moins d’enfants, et qu’avoir un seul enfant est « formidable ».

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Entre-temps, les capitales européennes se sont embrasées — les supermarchés du Paris dystopique se sont vidés en raison des grèves généralisées des agriculteurs :

(Voir la vidéo sur l’article original)

Aujourd’hui encore, alors que les dirigeants européens se réunissaient au sommet de l’UE à Bruxelles, la dévastation régnait autour d’eux ; une statue de l’industriel John Cockerill a été symboliquement déboulonnée juste devant le parlement :

Des balles en caoutchouc et des canons à eau ont été déployés contre des centaines d’agriculteurs européens qui manifestaient devant le bâtiment du Parlement européen à Bruxelles ce jeudi. Les agriculteurs ont lancé des œufs, des feux d’artifice et des incendies à proximité du bâtiment, tout en exigeant que les dirigeants européens cessent de les punir en leur imposant davantage de taxes et de coûts pour financer un soi-disant« programme vert ».

Mais ne vous inquiétez pas, la Maison Blanche montre l’exemple en remplaçant John Kerry par un nouveau tsar du climat plus « sain » :

https://www.reuters.com/world/us/white-houses-podesta-replace-kerry-us-climate-envoy-wash-post-2024-01-31/

N’êtes-vous pas tout simplement soulagé de voir que certaines des plus brillantes personnalités de cette administration sont affectées aux tâches les plus urgentes ?

Mais le dernier point le plus troublant mis en avant par les globalistes concerne la « désinformation ». Ce qui est le plus frappant, c’est que leur ton correspond à l’urgence exprimée sur d’autres questions évoquées plus haut. Ici aussi, ils ont manifesté une crainte croissante de perdre la guerre des récits et d’aliéner la population.

Cela s’est produit à la suite de licenciements massifs dans l’ensemble des médias d’information et de l’industrie de la publication et de l’impression :

Taylor Lorenz l’a expliqué dans un document d’explication largement diffusé et à regarder absolument :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

ZeroHedge en a également parlé :

Tout le monde tombe !

BuzzFeed et Vice Media, deux anciens chouchous des médias numériques dont la taille et la pertinence ont diminué ces dernières années, sont susceptibles de devenir encore plus petits.

BuzzFeed, dont les actions ont perdu plus de 97 % de leur valeur depuis son entrée en bourse en 2021, cherche à vendre ses sites de cuisine, Tasty et First We Feast, selon des personnes au fait de la situation. Par ailleurs, Fortress Investment Group, qui a repris Vice en faillite l’année dernière, est en pourparlers pour vendre son site Refinery29, axé sur le style de vie des femmes, ont indiqué d’autres personnes.

Quel est donc le problème, exactement ? Pourquoi l’ensemble du secteur est-il en train de « s’effondrer », comme l’a dit Lorenz ? Et pourquoi les élites font-elles soudain preuve d’une conscience de soi aussi rare et inhabituelle dans leur horreur d’être remplacées ?

Le symposium du WEF a tenté de résoudre le dilemme :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Il admet que, pour une fois, les gens exigent de leur journalisme qu’il rende des comptes. Ils veulent savoir comment leurs informations sont sourcées, d’où elles viennent et pourquoi. Et ce, après des années pendant lesquelles les organes d’information des grandes entreprises ont considéré leur liberté comme acquise et ont totalement érodé leur propre fiabilité en prenant des raccourcis, en contournant les règles et en suivant généralement des « règles non écrites » hautement contraires à l’éthique et politisées. Cela inclut les nouvelles normes modernes telles que les « sources anonymes » paresseuses qui remplacent les fuites politisées évidentes, et d’autres choses de ce genre.

Mais le problème le plus important est bien sûr la nouvelle prédominance des médias sociaux et des médias alternatifs, un sujet que j’ai largement abordé dans cet article :

En particulier depuis que Musk a abaissé les garde-fous en rachetant X, l’information [presque] libre circule sans être entravée par les reliques obsolètes des médias d’entreprise. C’est principalement pour cette raison que le consortium de Davos a placé la « désinformation » en tête de liste de ses ennemis à court terme.

L’ignoble dame Von Der Leyen le souligne dans son discours :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Il n’est donc pas surprenant qu’elle cite la mise en œuvre par l’UE de la « loi sur les services numériques » comme le summum de la maîtrise de ce fléau existentiel qu’est la « liberté d’expression » et qui les a tant ébranlés. La loi sur les services numériques est un sujet que j’ai également abordé :

https://darkfutura.substack.com/p/censorship-clampdowns-redux-eu-dsa

Sans parler de l’anticipation des mesures de répression massives qui ne manqueraient pas d’arriver, tant la confiance de l’establishment avait été érodée.

Après tout, faut-il s’étonner que des gens comme eux n’arrivent pas à comprendre pourquoi plus personne ne les prend au sérieux ?

Ce qui précède n’est pas une blague, soit dit en passant. Plusieurs grands noms de l’information ont récemment dénoncé le laxisme de la censure chinoise à l’égard de leur poule aux œufs d’or, Israël : NYTimes et CNN notamment. Avez-vous jamais pensé que vous vivriez assez longtemps pour voir la propagande orwellienne à l’envers prendre une tournure telle qu’elle reproche à la Chine d’être trop libre ?

Les personnes qui nous ont fait la leçon sur les dangers de lire en dehors des lignes sont maintenant terrifiées que nous les ayons ignorées et que nous continuions à penser par nous-mêmes.

C’est le problème de ces globalistes : pour cacher leurs crimes, ils doivent continuer à doubler la mise, mais cela demande toujours plus d’efforts et une complexité croissante dans la mise en relation de points improbables et absurdes et dans la gymnastique de l’excuse. C’est un peu comme la théorie de la relativité et la vitesse de la lumière : plus on se rapproche de la vitesse, plus les besoins en énergie deviennent ridiculement irréalistes.

On a de plus en plus l’impression que les élites atteignent un niveau asymptotique, et que l’absurdité de leurs concoctions superposées est sur le point d’éclater.

Simplicius Le Penseur

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Qui va sauver nos enfants de leur exposition à la sexualisation précoce, hébergée par les… garderies et écoles ?

[Source : lilianeheldkhawam.com]
Par Liliane Held-Khawam

Rapport explosif de SOS Education

Qui est Alfred Kinsey, le prophète de la curieuse éducation sexuelle ?

Le prophète de ce qui ressemble à une violence (pour ne pas dire violation) mentale qui devrait aboutir tôt ou tard à une violence physique, venant par exemple des petits copains, eux-mêmes traumatisés, est le sinistre Alfred Kinsey. L’idéologie de cet homme a trouvé écho dans les antres de l’OMS, financée copieusement par la Fondation Gates. Or Bill Gates a été éclaboussé par le scandale du pédophile notoire Epstein.

« En 1947, il a fondé au sein de l’université de l’Indiana à Bloomington, un Institute for Sex Research (“Institut pour la recherche sur le sexe”), rebaptisé plus tard Kinsey Institute for Research in Sex, Gender and Reproduction (appelé couramment Kinsey Institute). L’Institute for Sex Research est à ce jour le seul institut de recherche spécialisé dans l’étude de la sexualité humaine dans le monde anglo-saxon et l’un des rares au monde parmi la quinzaine d’actives. Dans le milieu germanophone, c’est l’Institut pour la recherche sexuelle de Magnus Hirschfeld à l’université de Berlin qui sera le premier fondé en 1919. Dans le milieu francophone, c’est l’Université du Québec à Montréal qui fondera un département de sexologie indépendant en 1969, auquel sont greffés deux chaires de recherches actives. »

Ses travaux ont suscité maintes controverses tant scientifiques que non scientifiques. On lui a principalement reproché ses motivations personnelles à promouvoir son objet d’étude et la médiocre représentativité de l’échantillon de population étudié par son institut.

« Kinsey est accusé d’avoir obtenu les résultats de ses recherches en ayant eu recours aux services d’un nombre inconnu de pédophiles. L’Institut Kinsey s’est toujours refusé à révéler les sources de l’échantillonnage et le contenu de ses archives sensibles. Certains noms ont cependant été mentionnés, comme celui du pédocriminel notoire “Rex King” alias “Mister X” »

Wikipédia

Vincent Held a très tôt alerté sur ce sujet scabreux, intégré au programme scolaire. Et là la Suisse est aux avant-postes. Écoles catholiques incluses.

Sexualisation précoce des enfants : la Suisse aux avant-postes !

C’est un fait : le gouvernement suisse approuve ouvertement les standards de l’OMS en matière d’éducation sexuelle, qu’il considère comme « scientifiquement fondés ». En février 2018, le Conseil fédéral avait ainsi apporté son soutien officiel à la fondation lausannoise Santé Sexuelle Suisse (SSS), une organisation dédiée à la promotion de ces méthodes éducatives « basées sur les droits » :

« SANTÉ SEXUELLE SUISSE […] promeut en Suisse une éducation sexuelle holistique selon les standards OMS Europe. » [5]

Compte tenu de l’horreur absolue de la situation et de l’impératif de voir parents et forces de l’ordre intervenir pour faire cesser ce jeu de massacre toute affaire cessante, Vincent Held a mis en accès libre son livre Asservissement.

Asservissement en accès libre !

Table des matières de Asservissement
Téléchargement du livre, cliquer sur les liens :

vincent-held-asservissement
vincent-held-asservissement (compressé)

Nous saluons le travail de SOS Education et nous invitons tout adulte à s’impliquer dans ce sujet qui ne peut s’accommoder de compromis.

LHK




Psychopathie — « La science du mal »

[Source : fr.sott.net]

Analyse personnelle de l’ouvrage « La Ponérologie politique »

Par Michael Rectenwald — Mises Institute

Une nouvelle édition de La Ponérologie politique d’Andrew M. Łobaczewski, proposée par Harrison Koehli, est désormais disponible. Ce livre singulier et provocateur soutient que le totalitarisme résulte de la propagation d’une psychopathologie dans l’ensemble du corps politique — systèmes économiques compris — à partir d’un foyer de psychopathes. La Ponérologie politique constitue une lecture essentielle pour les penseurs consciencieux et toutes les victimes du totalitarisme, passées et présentes. Cet ouvrage est d’autant plus fondamental aujourd’hui que le totalitarisme refait à nouveau surface, cette fois en Occident, où il affecte quasiment tous les aspects de la vie et notamment nos esprits.

Avant de découvrir La Ponérologie Politique d’Andrew Łobaczewski, je peinais à comprendre comment le gauchisme autoritariste avait pu, au fond, s’emparer des États-Unis d’Amérique. Dès que je me suis trouvé confronté à ces Social Justice Warriors1 enragés en tant que professeur à l’Université de New York — comme je le raconte dans mon livre Springtime for Snowflakes2 — j’ai commencé à remarquer, avec une vive inquiétude, le caractère autoritariste de la gauche contemporaine. Puis, l’émergence de l’idéologie « woke »3 qui, telle une métastase, a dépassé le cadre du monde universitaire pour envahir le corps social tout entier, m’a mis en quête de comprendre la montée du totalitarisme — car je croyais, et crois toujours, que le wokisme est totalitaire.

J’ai commencé par la révolution bolchevique en Russie et continué en étudiant l’exportation des variantes bolcheviques en Europe de l’Est et en Asie. Le communisme était pour moi beaucoup plus intéressant que le nazisme, et il s’agissait d’un terrain bien plus négligé dans le monde universitaire étasunien. En outre, il était plus pertinent dans le contexte actuel. Alors que j’entreprenais des recherches sur la criminalité politique de la gauche, j’ai été autant surpris que furieux de constater à quel point le monde universitaire avait enterré une grosse partie de l’Histoire. Par exemple, des recherches par mots-clés sur les pratiques de « séances de lutte » ou d’« autocritique », extrêmement répandues en Chine lors de la Révolution culturelle, ne donnaient quasiment aucun résultat. Soit ces sujets et autres questions connexes n’étaient pas traités, soit ils avaient simplement disparu. Je soupçonnais alors qu’une vaste opération de dissimulation avait été entreprise.

Cela dit, ce domaine d’étude n’a jamais été ma spécialité. Je suis universitaire depuis presque trente ans. Mes travaux concernaient l’histoire de la science et ses points de rencontre avec la culture dans l’Angleterre du XIXsiècle. Je me suis attardé sur le « sécularisme », un mouvement peu connu lancé par George Jacob Holyoake en 18514. M’étant ainsi de moi-même confiné à cette niche académique, j’avais pas mal de retard à rattraper. Naturellement, je me suis plongé dans Le Livre noir du communisme, un volume tristement célèbre parmi les marxistes occidentaux et que, en raison de leur allègre rejet, je n’avais jamais pris la peine d’ouvrir, et encore moins de lire, bien qu’étant marxiste moi-même. Il y avait tant de recherches à faire, y compris fouiller dans les Archives digitales staliniennes auxquelles j’avais accès en tant que retraité de l’Université de New York. J’ai aussi lu les classiques sur le totalitarisme ainsi que les récits littéraires écrits par des auteurs désormais célèbres mais encore trop négligés.

Ce n’est pas avant d’avoir lu La Ponérologie politique que j’ai pu disposer des outils nécessaires pour comprendre l’étiologie du totalitarisme. Il y avait là un auteur qui prétendait sans ambages avoir découvert « les lois générales de l’origine du mal ». Si c’était vrai, ce livre était du même niveau que les Principia de Newton en sciences physiques, tout en étant d’une plus grande importance pratique. J’ai été étonné de voir avec quelles assurance et détermination l’auteur poursuivait ce but. Et il approchait ce domaine depuis la perspective disciplinaire de la psychologie. Ce genre de méthodologie « individualiste » avait été reléguée au rang de simple « psychologisme » dans mon propre domaine d’étude et bien d’autres relevant des sciences humaines et sociales. Je me suis demandé pourquoi Łobaczewski s’évertuait à se focaliser sur les troubles psychologiques individuels pour comprendre le déploiement du « mal macrosocial ». J’étais toujours parti du principe qu’il fallait étudier l’idéologie politique et que celle-ci expliquait quasiment tout ce qu’il était nécessaire de savoir sur le comment et le pourquoi de l’apparition du mal totalitaire.

Dès ma première lecture de La Ponérologie politique, j’ai commencé à être convaincu qu’effectivement, une « psychose collective » — une expression récemment introduite par des dissidents et dénigrée par les médias dominants dans le contexte de la propagande autour du covid — pouvait commencer par des individus pathologiques et se répandre dans toute la société, submergeant des nations entières. Łobaczewski explique en détail ce processus au lecteur, de son début à sa fin peu glorieuse. J’ai reconnu les patterns que Łobaczewski s’attelle à exposer. Ils correspondaient aux faits du totalitarisme historique. Et j’ai remarqué que ces patterns sont toujours d’actualité, jusqu’au pourcentage de gens qui succombent à l’idéologie politique totalitaire ou y résistent.

En parlant d’idéologie, La Ponérologie politique explique un phénomène qui m’avait contrarié. Comment les idéologues communistes ont-ils réussi à convaincre les masses qu’ils avaient commis leurs crimes au nom « des travailleurs », « du peuple », ou de l’égalitarisme ? Mais encore plus déroutant, comment ces idéologues se sont-ils convaincus eux-mêmes que leurs crimes étaient pour le bien du citoyen ordinaire ? Łobaczewski explique que l’idéologie totalitaire opère à deux niveaux : les termes de l’idéologie d’origine sont pris au pied de la lettre par les véritables partisans, tandis que les initiés du parti leur substituent un sens secondaire, et que les gens normaux sont soumis à du gaslighting5. Seuls ces initiés, les psychopathes, connaissent et comprennent ces sens secondaires. Ils reconnaissent que les actions soi-disant entreprises au nom des « travailleurs » se traduisent en domination du parti et de l’état au nom des psychopathes eux-mêmes. La vérité est à l’opposé de ce que prétendent les initiés du parti, et ils le savent. La Ponérologie politique nous explique ainsi l’origine du « double langage » qu’Orwell décrit si bien. Par pure coïncidence, Łobaczewski a terminé son manuscrit de La Ponérologie politique en 1984.

Par ailleurs, le livre posé devant le lecteur est autant une anomalie qu’un exploit monumental. Il représente le volume inaugural d’une nouvelle science — la ponérologie, ou la science du mal. Minutieusement et avec une précision scientifique, il explique l’émergence et le développement du mal macrosocial.

Comment sont advenues l’écriture de ce livre et la découverte de ce domaine scientifique ? Les deux sont nés dans un laboratoire vivant. Łobaczewski n’y était pas seulement l’un des scientifiques qui développaient ses méthodes, il en était aussi le cobaye. Łobaczewski a atteint l’âge de la majorité sous le nazisme avec l’occupation allemande de la Pologne, et il a ensuite vécu sous le régime communiste. Il est devenu psychologue, et étant donné sa compréhension clinique de la psychopathologie, commença à entrevoir le caractère psychopathologique du système politique communiste qui avait pris le contrôle de son pays natal.

Comme je l’ai mentionné, dans La Ponérologie politique, Łobaczewski aborde ce domaine avec une méthodologie — l’individualisme et le matérialisme méthodologiques de la psychologie — que l’on aurait pu penser inapplicable à ce champ d’études. Il exige de cette nouvelle science de la ponérologie qu’elle offre la perspective de comprendre et, plus ou moins de remédier à, ce qui constitue l’un des développements les plus pernicieux de l’histoire moderne et la source de souffrances indicibles.

Łobaczewski affirme qu’une étude adéquate du totalitarisme était jusque-là impossible car elle avait été entreprise dans les mauvais registres. Elle avait été réalisée, entre autres, sous l’angle de la littérature, de l’étude des idéologies, de l’histoire, de la religion, des sciences politiques et de la politique internationale. On se souviendra des récits et études littéraires sur l’Union soviétique, le bloc de l’Est et l’Allemagne nazie — des classiques d’Hannah Arendt, d’Alexandre Soljenitsyne, de Václav Benda, de Václav Havel, et bien d’autres. Ces contributions ont été indispensables mais, et sans que cela ne soit leur faute, elles ont nécessairement échoué à saisir la racine du problème, à savoir la dimension psychopathologique de l’origine et du développement de la « pathocratie », le règne des psychopathes.

Les réactions des êtres humains normaux face aux injustices criantes et à la déformation de la réalité perpétrées par les instances dirigeantes, n’ont jusqu’ici été comprises que du point de vue des visions naturelles du monde. Émotivité et jugements moraux empêchent les victimes de voir ce qui les afflige. Les insuffisances des approches universitaires, ainsi que le moralisme de tout un chacun, ont fondamentalement conduit l’humanité à se faire une idée erronée de la pathocratie, la laissant ainsi sans défense à son encontre. Łobaczewski corrige ces insuffisances et fournit des moyens de défense.

Pour acquérir cette connaissance, il est crucial d’introduire une nouvelle taxonomie appropriée. Łobaczewski s’efforce d’expliquer la nécessité d’une taxonomie et de justifier l’introduction de termes scientifiques objectifs et les concepts auxquels ils renvoient. L’auteur nous rappelle que toute science pénétrant en territoire inconnu a dû procéder de la sorte. Il estime à juste titre que la terminologie est essentielle pour mener à bien cette entreprise scientifique, car elle isole et définit ses données, et fournit des outils pour les contrôler. « Je n’ai pas eu d’autre choix », écrit Łobaczewski, « que de recourir à une terminologie biologique, psychologique et psychopathologique afin de mettre en lumière la véritable nature du phénomène […] ». Je laisserai à l’éditeur et à l’auteur lui-même le soin d’introduire la plupart de ces termes et leur définition, et relèverai uniquement que la dénomination appropriée de « pathocratie » et de ses caractéristiques n’est qu’une des contributions majeures de l’auteur. Par cette dénomination, il lève toute ambiguïté et fournit le premier moyen de défense contre son développement et sa propagation.

Certaines parties de ce livre sont si fournies qu’on pourrait avoir l’impression qu’elles expriment de simples généralités. Mais le lecteur doit s’efforcer de rester extrêmement attentif lorsque Łobaczewski aborde les conditions psychologiques et psychosociales normales des individus et des sociétés afin que l’émergence au pouvoir de personnages pathologiques, avec leurs caractéristiques révélatrices, puisse être discernée, comprise, et si possible, empêchée. Ces caractéristiques sont abordées avec perspicacité et une lucidité remarquable. Comme je l’ai fait, le lecteur vivant des situations similaires prendra connaissance des patterns et validera les découvertes de l’auteur en les comparant à sa propre expérience. Il commencera ainsi à trouver les moyens de défense contre les effets de la pathocratie promis par l’auteur. Comme le dit Łobaczewski, « en ce qui concerne les phénomènes de nature ponérogénique, la simple et seule connaissance peut commencer à guérir les individus et les aider à retrouver la paix de l’esprit ». Lire La Ponérologie politique constitue donc une vaste séance thérapeutique pour ceux qui s’efforcent de conserver leur santé mentale et leur humanité au milieu de la démence et de l’inhumanité. Cela a été le cas pour moi.

Pour ces raisons et bien d’autres, le lecteur pourra trouver ce livre vertigineux mais aussi d’une importance capitale. La Ponérologie politique constitue une lecture essentielle pour les penseurs concernés et les victimes passées et présentes du totalitarisme. Elle est particulièrement cruciale aujourd’hui, alors que le totalitarisme de gauche connaît un nouvel essor, cette fois en Occident, où il affecte quasiment chaque aspect de la vie, en particulier la vie intellectuelle.

Ainsi commence « une thérapie générale du monde ».

Michael Rectenwald, PhD
Pittsburgh, Pennsylvanie, 27 février 2022

Source de l’article publié initialement en anglais le 26 mars 2022 : Mises Institute
Traduction : Sott.net

Commentaire : Et voici une vidéo de Michel Drac sur la première édition francophone du livre :

Une note de lecture sur un essai transdisciplinaire psychosociologique rédigé par un psychologue polonais confronté au système du bloc de l’Est : L’étude de la genèse du mal, appliqué à des fins politiques.

Dr Michael Rectenwald

Le Dr Michael Rectenwald est l’auteur de Thought Criminal (2020), Beyond Woke (2020), Google Archipelago (2019), Springtime for Snowflakes (2018), entre autres ouvrages. Il est Directeur d’études et cofondateur de l’American Scholars, une plateforme éducative pro-américaine. Il a été professeur dans le cadre du programme de culture générale de l’Université de New York de 2008 à 2019.

Notes

1 Littéralement « guerriers de la justice sociale », souvent abrégé en SJW. Terme généralement utilisé de manière péjorative pour désigner des personnes défendant des idées ou des causes progressistes. — NdT

2 Rectenwald, Michael. Springtime for Snowflakes: “Social Justice” and Its Postmodern Parentage: An Academic Memoir. Nashville, TN : New English Review Press, 2018.

3 Littéralement « éveillé ». Ce terme désigne le fait d’être conscient des problèmes de justice sociale, d’égalité raciale et de défense des minorités, entre autres idées progressistes. — NdT

4 Voir par exemple :
– Rectenwald, Michael, “Secularism and the Cultures of Nineteenth-Century Scientific Naturalism”, The British Journal for the History of Science 46, no. 2 (2012): 231-54. https://doi.org/10.1017/s0007087412000738;
– Rectenwald, Michael, Nineteenth-Century British Secularism: Science, Religion and Literature, Palgrave Macmillan, 2016;
– Rectenwald, Michael, « Mid-Nineteenth-Century British Secularism and Its Contemporary Post-Secular Implications », Essai in Global Secularisms in a Post-Secular Age, édité par Michael Rectenwald, Rochelle Almeida, et George Levine, 43-64. Boston, MA : De Gruyter, 2015.

5 Ou détournement cognitif ; il s’agit d’une forme de manipulation dans laquelle l’information est déformée, présentée sous un autre jour, omise sélectivement ou faussée dans le but de faire douter la victime de sa mémoire, de sa perception et de sa santé mentale. — NdT




« Leur but est de saper notre État de droit »

[Source : Contrepoints]

Entretien avec Nicolas Quénel

Nicolas Quénel est journaliste indépendant. Il travaille principalement sur le développement des organisations terroristes en Asie du Sud-Est, les questions liées au renseignement et les opérations d’influence. Membre du collectif de journalistes Longshot, il collabore régulièrement avec Les Jours, le magazine Marianne, Libération. Son dernier livre, Allô, Paris ? Ici Moscou : Plongée au cœur de la guerre de l’information est paru aux éditions Denoël en novembre 2023. Grand entretien pour Contrepoints.

Nicolas Quenel – Journaliste d’investigation – Auteur du livre « Allô, Paris ? Ici Moscou » – Photographié dans les locaux de son éditeur, Denöel – 27 octobre 2023 – Paris

Quand le PCC met en scène sa propre légende dans les rues de Paris

Loup Viallet (rédacteur en chef de Contrepoints) : Pouvez-vous décrire les failles les plus alarmantes et les plus inattendues que vous avez mises au jour dans votre enquête ?

Nicolas Quénel : Il n’y a pas vraiment un exemple en particulier qui me revienne en tête. Le fait que la Chine ait pu tourner Fox Hunt, un film de propagande à la gloire du programme de disparition forcée (qui a fait des victimes en France) en plein dans les rues de Paris pendant des semaines sans que personne ne trouve rien à y redire me fascinera toujours par exemple.

On pourrait aussi citer les Indian Chronicles. Une opération d’influence indienne qui avait duré 15 années et durant laquelle les Indiens ont su exploiter les failles de l’ONU pour mener des opérations de dénigrement du Pakistan directement au Conseil des droits de l’Homme.

Plus inattendu encore, l’exemple d’Evguéni Prigojine, le défunt patron des mercenaires de Wagner, qui avait financé une fausse ONG de défense des droits de l’Homme pour faire monter le sujet des violences policières en France quelques mois avant l’élection présidentielle de 2022. Avec un collègue nous avions pu entrer en contact avec un homme qui avait l’audace de se présenter sous le nom de Ivan Karamazov. C’était assez cocasse.

Guerre froide 2.0

Samedi 3 février dernier, l’ancien président russe Dimitri Medvedev a publié un long texte sur Telegram appelant à s’ingérer dans les processus électoraux européen et américain en soutenant les partis « antisystème ». Il a notamment écrit : « Notre tâche est de soutenir de toutes les manières possibles ces hommes politiques et leurs partis en Occident, en les aidant apertum et secretum [ouvertement et secrètement], à obtenir des résultats corrects aux élections ». Comment prouver les traces de cette ingérence ? Quelles types d’actions recouvrent ce terme, « secretum » ?

Il est toujours difficile de prouver l’ingérence d’une puissance étrangère dans un processus électoral. Évidemment, on ne parle pas ici du jeu d’influence classique entre États. Après tout, Vladimir Poutine, quand il invite au Kremlin une candidate à l’élection présidentielle française, et lui accorde un entretien immortalisé par quelques photos, est tout à fait en droit de le faire, et la candidate est libre d’accepter ou de décliner l’invitation en fonction de ce qu’elle juge être le mieux pour son intérêt personnel.

Quand nous parlons d’ingérence électorale, nous parlons communément de ce qu’il était convenu d’appeler les « mesures actives » pendant la Guerre froide, lesquelles désignent l’ensemble des moyens employés pour influencer une situation de politique intérieure d’un pays cible, ou sa ligne de politique étrangère. Parmi ces moyens, on peut évoquer notamment la désinformation, la propagande, le recrutement d’agents d’influence, ou l’utilisation de faux ou d’idiots utiles.

Ces mesures actives, elles, sont par essence secrètes, et la Russie mène ce type d’opérations en France aujourd’hui comme au temps de la Guerre froide. Si on ne devait donner qu’un exemple pour illustrer l’ancienneté de ces ingérences électorales, ce serait l’élection de 1974 pendant laquelle la « résidence de Paris » (l’antenne du KGB dans la capitale française) s’était vantée d’avoir mené en une semaine seulement 56 de ces opérations en faveur de Mitterrand dans un rapport envoyé à Moscou. Fait amusant, les Soviétiques à Moscou avaient de leur côté mené des opérations pour favoriser Giscard.

Ces opérations ont évidemment évolué depuis la Guerre froide, notamment avec le numérique. Les objectifs, eux, restent inchangés. Ce qui n’a pas changé non plus, c’est le fait que ces opérations restent très difficilement attribuables formellement. On ne trouve presque jamais la preuve ultime de l’implication directe de l’appareil d’État russe. Remonter la piste de ces opérations pour découvrir qui est le commanditaire réel demande parfois des années de travail, et ce travail n’aboutit pas toujours.

Agents d’influences et idiots utiles

Quels sont les principaux canaux utilisés par Moscou pour véhiculer sa propagande en France ? Est-ce facile pour le régime de Poutine de recruter des « agents » ? Quels sont leurs profils ?

Il faut faire la distinction entre les agents d’influence et les simples idiots utiles. Quand on parle d’idiots utiles, nous faisons référence à ceux qui répercutent la propagande du Kremlin de manière consciente ou non. Eux ne tirent pas de bénéfices de cela de la part de la Russie, mais se reconnaissent dans cette propagande. Il y a un alignement idéologique entre le discours du Kremlin et leurs convictions profondes. Dans notre pays, des gens sont persuadés que les Arabes vont remplacer les Blancs, que l’homosexualité est un signe de la dégénérescence des sociétés occidentales, etc. De fait, ils se retrouvent dans les narratifs du Kremlin, et peuvent sincèrement penser que Poutine est un rempart contre une prétendue décadence.

C’est grotesque, évidemment, mais jusqu’à preuve du contraire, être con n’est pas un délit dans ce pays.

Les agents d’influence, par contre, c’est autre chose. Il s’agit d’individus qui tirent bénéfice de la récitation de cette propagande. Les Russes vont essayer de recruter des politiciens, des journalistes, des avocats… Ceux dont la voix porte, et qui, en plus, ont l’avantage d’être un peu mieux protégés que le citoyen ordinaire, dans le sens où il est plus délicat pour un service de renseignement d’enquêter ouvertement sur ce type de profils. On se souvient de l’affaire Jean Clémentin, le journaliste du Canard enchaîné qui était en réalité un vrai agent d’influence payé par les Soviétiques.

La France est dans leur viseur

Outre la Russie, quelles sont les principales puissances qui mettent en œuvre des stratégies de désinformation en France ? Dans quels buts ? Ont-elles des manières communes de procéder ?

Les plus actifs en France en matière d’opérations d’influence sont les Russes et les Chinois. On pourrait ensuite citer l’Iran, la Turquie, l’Azerbaïdjan, l’Inde… Tous ont un agenda, des objectifs stratégiques qui leur sont propres. Ce qui est intéressant, c’est qu’ils ont globalement tous les mêmes méthodes et surtout apprennent des erreurs des uns et des autres. Et c’est bien parce qu’ils apprennent que nous devons adapter et muscler notre réponse.

Une prise de conscience (très) récente

Dans son rapport publié le 2 novembre dernier, la délégation parlementaire au renseignement a souligné la « naïveté » et les « fragilités » de la France, notamment face aux ingérences chinoises et russes. À quoi a servi concrètement la dernière commission d’enquête parlementaire relative aux ingérences de puissances étrangères clôturée en juin 2023, soit quatre mois avant la publication du rapport de la délégation au renseignement ?

Cette commission a été l’occasion d’entendre différents services de l’État s’exprimer en détail sur ce sujet des opérations d’influence étrangères. Je me souviens notamment de l’audition de Nicolas Lerner, à l’époque directeur de la DGSI, et aujourd’hui passé chef de la DGSE, qui avait été particulièrement offensif contre les élus qui se rendaient dans le Donbass pour observer des processus électoraux fantoches. Il n’a pas hésité à déclarer qu’« accepter de servir de caution à un processus prétendument démocratique et transparent revient à franchir un cap en termes d’allégeance ».

On peut, bien sûr, regretter les ambitions cachées des parlementaires qui ont participé à cette commission. De son côté, le Rassemblement national voulait se blanchir de ses liens avec la Russie de Poutine, et d’autres voulaient profiter de cette occasion pour les enfoncer sur le même sujet. Mais bon. On ne va pas reprocher aux politiques de faire de la politique quand même !

À mon sens, cette commission a surtout été l’occasion d’imposer le sujet des opérations d’influence étrangères dans le débat public. En cela, elle a été très utile, et ce même travail s’est poursuivi avec le rapport de la DPR qui avait aussi pour sujet central ces opérations.

Être ou ne plus être une démocratie libérale

Comment les démocraties libérales peuvent-elles s’adapter à cette nouvelle menace sans tomber dans l’autoritarisme ?

La lutte contre les opérations d’influence a un point en commun avec la lutte contre le terrorisme. Dans les deux cas, nous sommes face à un conflit asymétrique dans lequel les démocraties libérales sont contraintes dans leur réponse par des limites éthiques, morales et juridiques. Des limites que n’ont évidemment pas les dictatures qui mènent ces opérations d’influence.

En menant ces mesures actives, leur but est de détruire le modèle des démocraties libérales et de saper notre État de droit. Partant de ce principe, on ne protège pas l’État de droit en le sabordant nous-mêmes, et il faut veiller à ce qu’aucune ligne rouge ne soit franchie.

En réalité, le meilleur moyen de lutter efficacement contre ces opérations d’influence est au contraire de renforcer notre modèle démocratique. Cela passera par de grandes politiques publiques d’investissement pour renforcer les moyens de la Justice, de l’Éducation Nationale… Il faut aussi s’atteler sérieusement à répondre à la crise de défiance des citoyens envers l’État, les politiques et les médias.

Ce sera long, coûteux et difficile, mais ce n’est pas comme si nous avions le choix.

Les canards de l’infox

Mercredi 24 janvier 2024, un avion russe s’est écrasé dans l’oblast de Belgorod, près de la frontière ukrainienne. Une semaine après le crash, le président russe Vladimir Poutine affirmait publiquement que ce dernier avait été abattu « à l’aide d’un système Patriot américain ». Dans la foulée et sans vérifications, cette version a été reprise par de très nombreux journaux français. Quelle est la responsabilité de la presse dans la diffusion d’intox ?

Sauf erreur de ma part, nous ne sommes toujours pas au courant des raisons de ce crash. Je garderai alors une certaine prudence sur ce point. Un autre exemple, peut-être plus adapté, car nous avons plus de recul à son sujet, est celui des étoiles de David dans les rues de Paris. Les médias, surtout télévisuels, se sont jetés dessus et ont spéculé pendant des jours en y voyant une preuve de la montée de l’antisémitisme en France après les attaques terroristes du 7 octobre en Israël. Seul problème, nous avons appris dans les jours qui suivirent qu’il s’agissait en réalité d’une opération d’influence perpétrée par un couple de Moldaves avec un commanditaire de la même nationalité, connu pour ses positions très proches de la Russie.

Cet événement a pointé très directement les failles de notre système médiatique. L’immédiateté de l’information couplée à la course à l’audience sont de vrais fléaux. Cela pousse des gens pourtant compétents à commettre des erreurs qui viennent décrédibiliser par la suite ces mêmes médias auprès de leur audience, et en bout de chaîne cela vient encore accroître la défiance envers notre profession.

Si cette opération d’influence a particulièrement bien fonctionné, ce n’est pas parce que les Russes ont essayé d’amplifier l’histoire sur les réseaux sociaux avec des faux comptes, c’est parce que les médias se sont jetés dessus sans prendre de précautions.

La désinformation au stade industriel

La guerre hybride menée par la Russie pour déstabiliser les démocraties libérales et diffuser un discours anti-occidental n’a pas commencé le 24 février 2022. Avez-vous cependant constaté un changement d’échelle, d’intensité, dans les tentatives d’ingérences « discrètes » à partir de février 2022 ?

Il est difficile de donner un chiffre ou une tendance sur des opérations qui sont par nature secrètes. On peut supposer sans prendre trop de risques de se tromper qu’il y a une hausse de ces opérations depuis le début de l’invasion de l’Ukraine du 24 février 2022, car il y a un enjeu stratégique pour Moscou à faire cesser le soutien des Occidentaux à Kyiv.

À titre personnel, je pense que l’on va voir dans un avenir proche une multiplication des opérations d’influence qui se reposent sur les outils numériques, car il est aujourd’hui bien plus facile de créer des discours ou des faux sites web grâce à l’intelligence artificielle générative. Créer un deepfake il y a quelques années pouvait prendre des semaines et nécessitait de solides compétences. Aujourd’hui, les outils d’IA permettent d’industrialiser ce type de productions, cela ne prend pas plus que quelques minutes, et il n’y a pas besoin de compétences particulières pour y arriver.




Selon Harari, le lobbyiste du WEF, les Droits de l’humanité ne sont qu’une fiction. La légitimation de la pédophilie devient une formalité

[Source : lilianeheldkhawam.com via RI]

Par Liliane Held-Khawam

Il y a soixante-dix mille ans, nos ancêtres humains étaient des animaux insignifiants, s’occupant simplement de leurs propres affaires dans un coin d’Afrique avec tous les autres animaux. Mais aujourd’hui, rares sont ceux qui nieraient que les humains dominent la planète Terre ; nous nous sommes répandus sur tous les continents et nos actions déterminent le sort des autres animaux (et peut-être de la Terre elle-même). Comment sommes-nous arrivés de là à ici ? L’historien Yuval Noah Harari suggère une raison surprenante à l’essor de l’humanité.

Cette vidéo vieille de 10 ans et visionnée plus de 4 millions de fois vous démontre par a+b tout le mépris que cet homme peut avoir pour la populace humaine. Évidemment, ces commentaires désobligeants ne s’appliquent pas à ses commanditaires milliardaires puisque ce sont des dieux.

Ce discours haineux doit être dénoncé haut et fort par tout un chacun pour éviter la montée en puissance d’une culture déshumanisante, abjecte et monstrueuse. De fait, les mots manquent pour décrire la philosophie de la star des milliardaires.

Ce n’est pas tout. En méprisant la législation faite par les humains de manière générale, cet influenceur cherche à faire tomber les tabous, les lignes rouges que la société ne franchit pas en temps normal.

Ce discours est très utile à des puissants dont le comportement délinquant pourrait tomber sous le coup de la loi.

Exemple. La pédophilie qui est supposée être sévèrement sanctionnée émerge doucettement et se place au cœur de la société. Souvenez-vous :

Entre 0 et 4 ans, être informé sur « la satisfaction liée au toucher de son propre corps » et la masturbation infantile précoce ». Dans le même temps, il s’agira d’apprendre à « exprimer ses désirs » et de développer « une curiosité pour le corps des autres ». Passé 4 ans, on sera définitivement mûr pour le véritable « jeu sexuel ».[1] Il s’agira donc d’être informé au plus vite sur « l’amitié et l’amour avec des personnes du même sexe ». Entre 6 et 9 ans, on découvrira ses « droits sexuels », ainsi que « l’influence positive de la sexualité sur la santé et le bien-être ». Il faudra en outre continuer d’étudier la technique de la « masturbation », tout en apprenant à « accepter la diversité des modes de vie ». Entre 9 et 12 ans, il faudra être capable de « décrire un viol » et d’autres violences sexuelles[2] en plus d’être renseigné sur les différentes « tailles » possibles des appareils génitaux masculins et féminins. À ce stade, on aura évidemment appris qu’il est nuisible de garder le « silence » ou de rester dans le « déni » quant à son « orientation sexuelle ». Entre 12 et 15 ans s’ajoutera la question des « grossesses dans les couples de même sexe », ainsi que celle de « l’identité de genre ». (Ne serait-ce d’ailleurs pas le moment idéal pour entamer un « traitement hormonal » ?) Et pour donner leur chance aux moins dégourdis, il sera encore enseigné à « faire son coming-out » homo- ou bisexuel même après 15 ans !
https://lilianeheldkhawam.com/2020/05/20/onu-oms-une-education-sexuelle-explosive-pour-revolutionner-lhumain-dossier-vincent-held/

Prenons l’émission néerlandaise pour enfants intitulée « Simply Naked ». Là, des adultes se déshabillent devant des enfants qui doivent assister à ce show en direct. Dans un des épisodes, un transgenre s’est déshabillé devant des enfants de 10 et 12 ans. Alors que les réalisateurs ont dû flouter les parties intimes pour les téléspectateurs, les enfants présents ont dû assister à la version non censurée parce que c’est « éducatif » !

Allemagne. Il y était question d’éducation sexuelle dédiée aux tout-petits, ainsi que la création de pièces où les enfants pouvaient jouer au docteur et partir à la découverte de leur corps. Les journaux financiarisés ont dénoncé les mensonges d’une télé comme fox News, n’hésitant pas à la dénigrer au passage pour mieux la décrédibiliser.
Mais voilà que quelques mois plus tard, le même constat était fait par de grands journaux suisses.
On y apprend qu’une crèche gérée par la Ville de Zurich propose des lieux protégés où les enfants peuvent explorer leur sexualité. Vous constaterez que dans ce cas, ce sont les politiques qui font la promotion de l’ignominie.

https://www.24heures.ch/sexualite-espaces-de-masturbation-dans-les-creches-suisses-622357949939

Nous avons poursuivi nos recherches et voici ce que nous avons observé. Dans le cadre de cours d’éducation sexuelle dédiés aux enfants des classes primaires, l’enseignant attitré devait quitter la classe et le « cours » pouvait être donné par une infirmière scolaire, voire 1 activiste LGBT, ou autre. Et selon une expérience récente, le cours a viré à la promotion de certaines pratiques.

https://www.sexualaufklaerung-schule.ch/web.php/9/fr/enseignant.e.s/0-4-an

Le pasteur Harari prêche la bonne parole inlassablement partout dans le monde. Ses paroles sont autant de transgressions des législations. Il est celui qui lève le couvercle à toutes les inhibitions, y compris les plus dangereuses. Et on le laisse faire. Écoutez le criminologue Xavier Rauffer sur le sujet. Je n’ai personnellement pas pu aller au bout de la vidéo…

Tous ces évènements qui s’ajoutent à des séances d’éducation sexuelle plus qu’explicites fleurissent un peu partout dans le monde. La destruction de la dimension invisible de ces enfants est garantie, même si la réaction des uns et des autres peut varier.
L’éclatement ainsi que le remplacement des repères sociétaux sont coordonnés au niveau planétaire grâce à la structure supranationale du système onusien (UNESCO, OMS) et sa galaxie d’ONG supposées représenter la société civile. Dans les faits, l’ensemble de ces organisations (ONU incluse) mettent en place les projets de leurs financeurs qui sont essentiellement les milliardaires de la planète finance, divinisés par le même Harari il y a une dizaine d’années.

« Pour être franc, je pense que dans le futur, les humains vont utiliser la technologie pour se transformer en dieux. Et je le pense de façon littérale, pas métaphorique. Les humains sont sur le point d’acquérir des capacités qui étaient traditionnellement considérées comme des capacités divines. Les humains pourraient bientôt être capables d’imaginer et de créer des êtres vivants à volonté, de surfer sur des réalités imaginaires avec la seule force de l’esprit, d’allonger de façon incroyable leur durée de vie, et de changer leur propre corps et esprit selon leur bon désir. »

https://lilianeheldkhawam.com/2016/03/30/la-reorganisation-du-monde-confirmee-par-deux-entretiens-liliane-held-khawam/

Nos petits ont besoin de vous et surtout de nos forces de l’ordre et de la sécurité. C’est urgent.




Tedros: le parcours du directeur de l’OMS depuis ses débuts au sein d’une organisation terroriste

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

En réaction aux dernières déclarations de Tedros qui se plaint du « torrent de fake news » qui s’abat sur lui et sur les futurs « traités pandémies », le Dr Meryl Nass, experte en politiques de santé publique, s’est lâchée : « Tedros a la langue fourchue » !

Il faut bien l’avouer, on n’en peut plus de son éternel blabla de compassion et d’équité, alors qu’il devrait être derrière des barreaux avec ses acolytes de l’OMS. Certains diront que j’exagère. Mais le désastre infligé par la déclaration d’une urgence sanitaire injustifiée est un crime à l’échelle planétaire. Et il a même récidivé, lorsqu’il a tenté de remettre la sauce avec la variole du singe en mai 2022, histoire de faire voter en urgence quelques amendements au Règlement sanitaire international. Et que dire des scandaleuses études sur l’hydroxychloroquine où des patients sont morts à cause des surdosages préconisés par l’OMS ?

En réalité, Tedros est un loup qui se déguise en agneau. Il n’est pas question de laisser ce bonhomme prendre la tête « d’une gouvernance mondiale par la santé » comme ce serait peut-être le cas si le « traité pandémies » ou la révision du règlement sanitaire international sont adoptés à la prochaine Assemblée de l’OMS fin mai 2024. (voir mes articles et vidéos à ce sujet)

Voilà pourquoi je reprends un portrait du personnage que j’avais publié dès le début de la « pandémie », le 16 avril 2020 sur Health Impact News (et dont j’avais aussi parlé dans l’émission d’André Bercoff sur Sud Radio).

L’OMS est-elle dirigée par un terroriste ? Tedros Adhanom Ghebreyesus…

Gates et la Chine engagés dans la bataille mondiale pour le leadership

En quelques semaines, le sort de la planète entière semble avoir été placé sous le commandement de l’Organisation mondiale de la santé et de son leader, Tedros Gherbreyesus. Mais au cours des derniers jours, sa gestion de la crise des coronavirus et ses relations avec la Chine ont mis le président de l’organisation sous le feu des projecteurs, beaucoup appelant à sa démission. [1] 

Alors, qui est cet homme qui a notre destin entre ses mains ?

Le directeur de l’OMS, Tedros, et le directeur du NIAID, le Dr Anthony Fauci, ont signé en 2018 un protocole d’accord entre le NIAID et l’OMS pour améliorer les futures collaborations sur les activités de recherche menées en réponse aux nouvelles flambées de maladies infectieuses et aux urgences de santé publique.

Au cours d’une des nombreuses conférences de presse de Covid-19 à la Maison Blanche, le Dr Fauci a montré toute son appréciation pour Tedros Ghebreyesus, son nouveau héros :

« Tedros est vraiment une personne exceptionnelle. Je le connais depuis qu’il était ministre de la Santé en Éthiopie. L’OMS a très bien réussi sous sa direction. »[2]

Mais après ce qui semblait avoir été de nombreuses « bévues » dans les annonces et recommandations de l’OMS depuis le début de la pandémie, beaucoup le voient maintenant suivre la marche de la honte, plutôt que celle de la gloire.

Né le 3 Mars 1965 à Asmara (Ethiopie), Tedros Adhanom Ghebreyesus a été élu Directeur général de l’OMS en 2017.

Il est le premier Africain à diriger l’agence de santé et le premier à ne pas être médecin. Il détient un B.Sc. en biologie de l’Université d’Asmara en Érythrée, un doctorat en santé communautaire de l’Université de Nottingham au Royaume-Uni en 2000 et il a été ministre de la Santé de l’Éthiopie de 2005 à 2012.

De 2009 à 2011, Tedros Ghebreyesus a également été directeur du Fonds mondial, un programme de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, lancé par la Fondation Bill & Melinda Gates, ainsi que chef du Conseil de coordination du programme de l’ONUSIDA.

Membre du conseil d’administration de l’Alliance pour la vaccination GAVI (B. Gates), Tedros Ghebreyesus était en outre étroitement associé à la Fondation Clinton et à la Clinton AIDS Initiative (CHAI). Souriant et posé, il est décrit comme une figure humble et compatissante, un bienfaiteur de l’humanité, dévoué à ses lourdes responsabilités.

Le Front de libération du peuple tigré (TPLF)

Il est assez étonnant de découvrir que la carrière politique de Tedros Ghebreyesus a commencé au bureau politique du Tigray People’s Liberation Front (TPFL), une organisation terroriste, inscrite à la US Homeland Security. Cette base de données sur le terrorisme mondial a classé le TPFL parmi les organisations terroristes de niveau III [4] pour une série d’enlèvements, d’attentats à la bombe et de vols à main armée. [3]

Dans son manifeste de 1975, la TPFL avait déclaré une « guerre éternelle » contre les populations voisines, principalement les ethnies amhara et oromo, représentant 30 % et 34 % de la population.

Après plusieurs années de guérilla, le TPFL a renversé le régime de Mengistu avec l’aide d’un autre mouvement de libération érythréen et a pris le pouvoir en 1991 en tant que branche d’un seul parti d’inspiration marxiste, le Front révolutionnaire démocratique du peuple éthiopien (EPDRF), dont seul le nom est démocratique.

Alarmes répétées des organisations de défense des droits de l’homme

Amnesty International a dénoncé sa violence politique depuis des décennies [5]. Un rapport publié dans une revue de droit international [6] affirmait qu’en dépit des efforts pour dissimuler sa dictature, le TPFL « abusait en fait des notions d’autodétermination et de démocratie pour piller l’Éthiopie ».

C’était aussi l’alarme déclenchée par un document de l’Oakland Institute qui estimait que les 3,5 milliards de dollars d’aide financière reçus par l’Éthiopie (60 % du budget national) étaient principalement utilisés pour la répression politique. [7]

Cela a aussi été confirmé par Human Rights Watch (HWR), qui a accusé le Parlement européen en 2016 d’avoir négligé les nombreuses violations commises par le régime éthiopien qu’il subventionne. [8]

HWR a affirmé que sous la direction de l’EPRDF, le gouvernement avait détourné des fonds des programmes d’aide internationale, les utilisant comme armes politiques pour contrôler la population, punir la dissidence et réprimer ses opposants. Les programmes d’aide alimentaire, d’agriculture, de microcrédit ou de soins de santé ont profité exclusivement à certains groupes ethniques (e. a. Tigray), tandis que d’autres en ont été systématiquement privés.

Accusations de génocide

On pourrait peut-être donner à Tedros Ghebreyesus le bénéfice du doute, en l’imaginant comme un noble réformateur qui, s’étant égaré au début, se serait transformé en un humanitaire dévoué apportant sa lumière dans l’obscurité d’un mauvais régime.

Cette illusion s’estompe rapidement lorsque l’on découvre le dossier accablant présenté par l’Amhara Professional Union (APU), l’accusant d’avoir mené une véritable politique génocidaire en tant que ministre éthiopien de la Santé. [9]

L’ethnie Amhara affirme avoir perdu plus de 2,5 millions de personnes entre les recensements de 1997 et 2007, alors que les autres grands groupes ethniques ont augmenté en moyenne annuelle de 2,6 %, les Amharas ont connu une croissance démographique plus lente, avec seulement 1,9 %.

Ils ne bénéficiaient pas des mêmes services de santé et ne bénéficiaient pas des mêmes ressources que la population dominante du Tigré. Les habitants du Tigray avaient une couverture sanitaire 5 fois supérieure en termes d’infrastructures et de nombre de prestataires de soins. Le seul programme en faveur des Amhara était la campagne de contraception.

Les femmes Amhara recevaient beaucoup plus de contraceptifs injectables, tels que Depo-Provera, tout en ayant moins d’informations sur la planification familiale et les autres méthodes contraceptives (Tigray a reçu 2 à 3 fois plus d’informations sur TV, Radio et Print).

Le Depo-Provera est un produit très controversé qui a reçu un avertissement de boîte noire [10, 11] aux États-Unis pour une incidence accrue d’ostéoporose et un risque plus élevé de cancer du sein. Il a également été associé à une augmentation des cas de sida et à des difficultés à retrouver la fertilité après une utilisation prolongée, deux conditions qui semblaient également prévaloir parmi la population d’Amhara. L’APU a accusé le gouvernement éthiopien de discrimination raciale en poussant l’utilisation de Depo sur leurs femmes, sans obtenir leur consentement éclairé. [12]

Selon un autre rapport « Depo-Provera Violence Reproductive Mortelle Contre les Femmes », [13] la planification familiale faisant la promotion de ce médicament en Afrique s’engage dans des politiques de discrimination de facto, par de fausses déclarations sur les effets du produit, en omettant d’informer les femmes sur ses méfaits et ses effets secondaires.

Ces produits ont été limités ou même interdits en Europe et aux États-Unis, mais ils sont toujours inclus dans la planification familiale de l’OMS, et des programmes tels que le FP2020, soutenu et dirigé par la Fondation Bill et Melinda Gates (et Tedros).

Cela a suscité de vives critiques [14] de la part des groupes de santé et des défenseurs des droits de l’homme.

Peut-être que l’administration Trump a également pris en compte certains de ces arguments lorsqu’elle a annoncé qu’elle cesserait de financer le Fonds des Nations Unies pour la population et les politiques qui exécutent ou fournissent des informations sur l’avortement.

Bill Gates a déclaré qu’il était « profondément troublé » par les coupes annoncées aux États-Unis, mais lors du sommet international sur la planification familiale qui s’est tenu à Londres plus tard en 2017, le Royaume-Uni, le FMI, la Banque mondiale et des ONG internationales se sont engagés à un nouveau financement pour un total de 2,5 milliards de dollars.

Tedros Ghebreyesus, qui a assisté à la réunion en tant que nouveau chef de l’OMS, a promis de « défendre personnellement la question des droits sexuels et reproductifs comme une priorité absolue » [15], réaffirmant son intérêt personnel à participer aux politiques de contrôle des naissances.

Tout sauf le choléra

Mais Tedros Ghebreyesus est également connu pour avoir dissimulé plusieurs épidémies de choléra en Éthiopie (2006, 2009, 2011), en les renommant « Diarrhée aqueuse aiguë » (AWD). [16]. Il y avait pourtant des rapports d’expert de l’OMS certifiant que le choléra avait bien été identifié comme l’agent causal. [17]

Tedros a préféré ne pas nuire à l’image de son parti et de son pays. En refusant de déclarer l’épidémie, il a privé ces populations de l’aide de base dont elles avaient besoin, comme des mesures de réhydratation et l’assainissement de l’eau.

Le même scénario s’est répété en 2009 et 2011, même sous sa direction à l’OMS, lorsqu’il a ignoré une épidémie massive au Soudan, voisin en conflit avec l’Éthiopie, selon une lettre ouverte signée par une équipe de médecins américains et Genocide Watch. [18]

Le Fonds mondial est un partenariat dirigé par la Fondation Bill et Melinda Gates pour lutter contre le sida, la tuberculose et le paludisme. 

En juillet 2009, Tedros a été élu président du conseil d’administration du Fonds pour un mandat de deux ans. Dans un profil publié en avril 2010, The Lancet a indiqué qu’il était « un nom familier au Secrétariat du Fonds mondial » et que ses réalisations ont conduit à nommer l’Éthiopie comme un pays hautement performant et exemplaire.

Une conclusion surprenante, quand on découvre que sous sa direction, l’utilisation des fonds d’aide internationale qu’il supervisait était très discutable.

En 2012, un audit [19] du Fonds mondial a examiné les dépenses du programme de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme dans plusieurs pays africains, dont l’Éthiopie, qui avait reçu 1,3 milliard de dollars de subventions dans ce cadre.

L’inspecteur général John Parson qui était en charge de l’audit, a révélé un manque flagrant de transparence et de nombreuses lacunes dans la comptabilité et la gestion des fonds, au point de suggérer un remboursement minimum de 7 millions de dollars à l’organisation.

Surtout, l’enquête a également montré un écart important entre les résultats présentés comme exemplaires et la réalité observée en Éthiopie lors des visites sur le terrain.

Exemplaire ? 77 % des centres médicaux construits n’avaient pas d’eau potable et 32 % n’avaient pas d’installations sanitaires. Seulement 14 % avaient un microscope ou une table d’accouchement et seulement 12 % avaient une pharmacie.

Le rapport aurait dû conduire à une série de mesures garantissant plus de transparence et d’efficacité dans la gestion du programme, mais l’inspecteur général et ses conclusions ont été écartés.

De toute évidence, de bonnes relations avec les dirigeants des gouvernements africains avaient une importance bien plus grande.

Sanglant ministre des Affaires étrangères

Puis, en 2012, à la fin de son mandat au ministère de la Santé, Tedros Ghebreyesus a été nommé chef des Affaires étrangères (de 2012 à 2016), ce qui confirme qu’il était toujours resté au cœur des décisions du Parti et de ses objectifs et méthodes criminelles.

Par exemple, en 2013, lorsque l’Arabie saoudite a choisi de renvoyer des immigrants de différentes nations, le seul pays qui n’a pris aucune mesure pour rapatrier ses ressortissants était l’Éthiopie. Cette inaction, dont il était responsable, a provoqué des violences contre les Éthiopiens par les Saoudiens. [20]

En 2014, Tedros, l’ancien terroriste du TPLF, a également organisé l’enlèvement, l’extradition et la condamnation de plusieurs dirigeants dissidents et de centaines de demandeurs d’asile au Yémen, avec la complicité du gouvernement yéménite. [21]

Elu à l’OMS par Bill Gates et la Chine

On se demande comment un tel homme a pu devenir directeur général de l’OMS. Nul doute que le travail réalisé par l’agence de communication américaine Mercury Public Affairs (spécialisée dans les campagnes politiques) pour préparer la présentation de sa candidature a été efficace, à la fois en ce qui concerne l’édulcoration de son image sulfureuse et en le poussant comme « la voix des pays en développement ». Certains États membres de l’OMS se sont pourtant immédiatement opposé à lui.

Lorsque les candidats ont été entendus avant l’élection, l’ambassadeur du Brésil a demandé à Tedros comment il entendait « représenter la voix des pays en développement en proposant un programme beaucoup plus aligné sur les priorités des pays du Nord ». Il faisait ainsi référence à son approche de la santé par la sécurité (préparation à une pandémie), et à sa volonté de traiter la notion « d’égalité » en termes de « couverture vaccinale » (vaccins), plutôt que dans le développement de systèmes de santé universels (par exemple, infrastructure médicale et formation ou accès à l’eau).

Il a également fait remarquer que Tedros n’avait rien proposé de concret en termes de développement durable pour les pays vulnérables. [22] 

En fait, ce « programme pour le Nord » était très aligné sur les priorités du Programme de sécurité sanitaire mondiale (Global Health Security Agenda), promu par les principaux bailleurs de fonds et influenceurs de l’OMS, en particulier celle de Bill Gates.

Dans un article publié quelques semaines avant le vote intitulé « Rencontrez le médecin le plus puissant du monde : Bill Gates » [23], le journal Politico écrivait :

« Certains milliardaires sont satisfaits de s’acheter une île. Bill Gates s’est payé une agence des Nations Unies à Genève. »

Des insiders ont déclaré qu’il était traité comme un chef d’État, non seulement à l’OMS, mais également au sommet du G20, et qu’il avait une influence démesurée sur l’agenda de l’organisation. Bien entendu, Tedros était le candidat préféré de Bill Gates, compte tenu de leurs liens étroits avec le Fonds mondial et les politiques de planification familiale.

Mais l’élection de Tedros à l’OMS en mai 2017 a également été soutenue par la Chine. En tant que membre du gouvernement éthiopien, il avait déjà établi une collaboration de longue date avec Pékin.

M. Tedros Ghebreyesus au Forum international des politiques publiques
de l’Université de Pékin, mars 2017

Pour commencer, le TPLF est un mouvement d’inspiration marxiste qui s’engage dans le même genre de politique autoritaire. Mais aussi, la Chine a fait d’énormes investissements en Ethiopie. Les Chinois ont développé près de 70 % des infrastructures éthiopiennes et financent la construction du siège du futur Centre africain de prévention et de contrôle des maladies.

Pour sa part, l’Éthiopie occupe une position stratégique, car elle est la porte d’entrée du continent africain, en venant de l’Est. Pas étonnant qu’en mars 2017, deux mois avant les élections à l’OMS, Ghebreyesus ait été invité à prononcer un discours d’ouverture à l’Université de Pékin.

Fait intéressant, Bill Gates a participé au même événement, avec une conférence intitulée « Regard vers l’avenir : innovation, philanthropie et leadership mondial » [24], dans laquelle il a résumé ses partenariats avec le gouvernement chinois dans quatre domaines essentiels : la santé, l’agriculture, les technologies informatiques, et même l’énergie nucléaire. Voici quelques citations révélatrices qui montrent que Bill Gates investit en Chine parce qu’elle est pour lui, « le nouveau leader mondial » :

« La Chine est prête à devenir un leader mondial. C’est formidable de voir la Chine monter en puissance pour combler le vide du leadership. Elle est particulièrement bien équipé pour le faire. Aucun autre pays n’a accompli ce que la Chine a accompli au cours des dernières décennies (…) à une échelle et à une vitesse sans précédent dans l’histoire de l’humanité. Et en encourageant l’investissement grâce à des mécanismes de financement innovants comme le Fonds de développement Chine-Afrique, la Chine renforce non seulement la capacité économique de l’Afrique, mais aussi, au fil du temps, les marchés des produits chinois.

La Chine a une grande opportunité d’être un leader mondial de l’innovation en santé. Avec son riche bassin de scientifiques talentueux et sa capacité à développer de nouveaux médicaments et vaccins, la Chine a été notre choix évident pour créer un nouvel Institut mondial de découverte de médicaments pour la santé. Cet institut — une collaboration entre notre fondation, le gouvernement municipal de Pékin et l’Université Tsinghua — aidera à accélérer la découverte et le développement de nouveaux médicaments vitaux. »

Mais Gates n’est évidemment pas le seul allié de la Chine. Ses liens avec une grande partie de l’élite mondialiste occidentale méritent une enquête plus approfondie.

En regardant les membres du conseil d’administration [25] de l’École d’économie et de gestion de l’Université Tsinghua, hébergée par Wang Qishan, le vice-président de la République de Chine, nous trouvons des individus tels que Henry Paulson, PDG de Goldman Sachs, Jamie Dimon de JP Morgan Chase, Corbat de Citigroup, Mark Zuckerberg, Elon Musk, Tim Cook, Laurence Fink et les PDG de Dell, McKinsey, IBM, Walmart, General Motors, BlackRock, Tata et bien d’autres.

Que font-ils vraiment au conseil d’administration d’une université chinoise ? Cela ne ressemble-t-il pas plutôt à un conseil stratégique mondial ?

Le rôle de Tedros dans la pandémie de coronavirus

Ces liens expliquent notamment pourquoi la gestion par l’OMS de la crise de Covid-19 a été largement influencée par Pékin et pourquoi Tedros a ouvertement félicité le gouvernement chinois après sa rencontre avec Xi Jinping.

« Nous apprécions le sérieux de la réponse de la Chine à cette épidémie, en particulier la force de son leadership [26] et la transparence dont ils ont fait preuve. » [27]

et

« La Chine illustre de nouvelles normes en matière de préparation et de riposte aux épidémies. » [28]

Tedros a même qualifié les mesures de quarantaine draconiennes prises par le gouvernement de Pékin d’« héroïques » [29], tout en insistant paradoxalement sur le maintien du trafic aérien avec la Chine. Le 3 février, Tedros a réprimandé les États-Unis et d’autres pays qui avaient fermé leurs frontières quand il est devenu clair que la nation communiste ne contenait pas la propagation du virus.

[Voir aussi :
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur,
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »,
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
et UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT)]

« Il n’y a aucune raison pour que des mesures interfèrent inutilement avec les voyages et le commerce internationaux. Nous appelons tous les pays à mettre en œuvre des décisions fondées sur des preuves et cohérentes », a-t-il déclaré.

Bien que la plupart des compagnies aériennes aient rapidement suspendu leurs vols, Ethiopian Airlines est l’une des rares à avoir maintenu des connexions avec la Chine tout au long de la crise. [30]

Le Forum sur la coopération sino-africaine a rapporté un appel téléphonique [31] entre le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed Ali et Xi Jinping qui confirme une fois de plus les liens étroits entre les deux pays.

« Cet appel téléphonique ainsi que les deux lettres de sympathie du Premier ministre témoignent de la profonde amitié et du soutien mutuel entre la Chine et l’Éthiopie en tant que partenaires de coopération stratégique globale. L’Éthiopie a suivi les recommandations de l’OMS et a maintenu ses liens et échanges normaux avec la Chine. La Chine apprécie cette expression de confiance. »

Le contrôle de la santé et de l’économie de l’Afrique est évidemment un enjeu important dans la gestion de l’épidémie de coronavirus. L’administration Trump a mis en garde contre l’espionnage chinois dans la future installation du Centre africain de contrôle des maladies, affirmant qu’elle cesserait de financer si Pékin poursuivait la construction de son siège social en Éthiopie.

Le Financial Times [32] a cité un responsable de l’administration américaine :

« C’est une menace pour l’Afrique. L’Afrique possède de grandes quantités de données génomiques et les Chinois veulent construire le CDC pour éventuellement voler les données de tous les autres centres », se référant à cinq centres régionaux des CDC africains, « ils traitent les virus à haut risque, les crises sanitaires, la recherche et la collecte de données. »

Washington a déclaré que les États-Unis avaient investi 900 millions de dollars pour soutenir la santé en Afrique au cours des 15 dernières années et avaient donné 14 millions de dollars au CDC africain lors de sa première année de fonctionnement, en 2017. Mais les Chinois sont allés de l’avant et ont investi 200 millions de dollars dans la construction du centre de conférence de l’Union africaine, « sur écoute », qui abrite actuellement le secrétariat du CDC africain. Il semble que la Chine et les États-Unis aient trouvé un accord de coopération sur la question sous l’administration Obama, mais cela ne pourrait pas durer très longtemps sous la présidence de Trump.

L’OMS et la Chine jouent-ils un rôle dans la situation italienne ?

Au début de l’épidémie, Ghebreyesus a appelé les Italiens (1er pays à avoir déclaré des cas après la Chine) « à ne pas stigmatiser les Chinois » en insistant sur le fait que « le temps n’était pas au jugement, mais à la solidarité. » Les précieuses recommandations du directeur de l’OMS ont ainsi empêché le gouvernement italien de confiner les personnes de retour de Chine. Pire encore, le maire de la ville de Florence, qui compte un nombre important d’immigrants chinois, a été encouragé à lancer une campagne nationale invitant ses concitoyens à « embrasser un chinois dans la rue ! »[33]. Mais une telle complaisance envers la Chine est également due au fait que l’année dernière, le gouvernement Salvini a été le premier pays du G7 à signer un partenariat économique avec la Chine dans le cadre du projet Belt and Road, qui leur donnerait un accès direct à la Méditerranée.

Maintenant que le parti de Salvini a quitté le gouvernement, le déclenchement de l’épidémie de coronavirus a peut-être incité la nouvelle majorité à réévaluer ses liens avec Pékin. L’Italie est en tous cas devenue le premier gouvernement occidental à interrompre ses vols en provenance de Chine. Mais le pays pourrait payer le prix de son infidélité, car il est fort isolé politiquement. Ses partenaires européens ont refusé de l’aider, alors que la Chine tente de maintenir son emprise en envoyant une aide médicale et des experts pour résoudre la crise. Entre-temps, l’OMS, qui a son siège européen à Venise, l’une des principales zones touchées, a délégué un de ses principaux experts pour diriger la réponse à la pandémie. Malgré (ou à cause de ?) cela, le nombre de cas de décès en Italie continue de monter en flèche et dépasse de loin les autres pays. Aucune explication scientifique convaincante n’a été fournie, même si des facteurs tels qu’une population plus âgée et un manque d’unités de soins intensifs ont aggravé la situation et si la notification des cas est biaisée.

Interpellée par la situation, la Russie a envoyé toute une équipe d’experts et de médecins militaires pour aider le nord de l’Italie à faire face à la crise. Il est certain que cette délégation mènera sa propre enquête sur la situation italienne. Quoi qu’il en soit, il est maintenant évident que l’OMS et ses dirigeants ont un programme de riposte à la Pandémie qui a plus à voir avec le gouvernement mondial et le leadership mondial qu’avec la santé.

Bill Gates semble mener l’initiative avec le fonds CEPI pour accélérer la production de vaccins.

Il fait avancer son programme de gouvernance mondiale avec son armée d’experts en santé dévoués, tels que les membres du Coronavirus Response Task Force, Fauci et Birx, qui sont des partenaires de longue date de la campagne du Fonds mondial contre le sida. Étant donné leurs liens proches avec Pékin, il n’est pas étonnant que Fauci ait refusé de répondre à la presse quand elle lui a demandé de commenter le fait que Tedros louait l’exemple de la Chine.

… (fin de l’article rédigé en avril 2020)

Références