Macron impose le pass sanitaire aux discothèques dans un grand flash totalitaire

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

L’accès aux discothèques sera donc subordonné, cet été, à la présentation d’un pass sanitaire, ce qui est probablement contraire à la loi de gestion de sortie de crise et relève donc du flash totalitaire. Cette décision est absurde, puisque la majorité de la clientèle des discothèques est composée de jeunes qui n’ont aucun intérêt à bénéficier d’une vaccination dont les bienfaits collectifs sont encore discutables. Cette annonce à quelques jours de l’échéance risque de faire monter en température une jeunesse qui commence à contester l’ordre ambiant.

Les ministres de la Culture et de PME ont annoncé hier que l’accès aux discothèques qui pourront rouvrir le 9 juillet sera subordonné à la présentation d’un pass sanitaire. Cette décision semble avoir été prise en parfait accord avec les représentants de la profession, en l’espèce l’UMIH. Mais il n’est pas sûr qu’elle satisfasse complètement les jeunes qui fréquentent ces établissements. 

Le pass sanitaire pour les discothèques est-il légal ?

Les amateurs de droit auront évidemment la tentation de contester la décision ministérielle prise s’agissant des discothèques, qui n’avait jamais été évoquée jusqu’ici. Rappelons que la loi limite l’usage de ce pass, puisqu’elle permet seulement de :

Subordonner l’accès des personnes à certains lieux, établissements ou événements impliquant de grands rassemblements de personnes pour des activités de loisirs ou des foires ou salons professionnels à la présentation soit du résultat d’un examen de dépistage virologique ne concluant pas à une contamination par la covid-19, soit d’un justificatif de statut vaccinal concernant la covid-19, soit d’un certificat de rétablissement à la suite d’une contamination par la covid-19. Cette réglementation est appliquée en prenant en compte une densité adaptée aux caractéristiques des lieux, établissements ou événements concernés, y compris à l’extérieur, pour permettre de garantir la mise en œuvre de mesures de nature à prévenir les risques de propagation du virus.

Autrement dit, l’introduction du pass sanitaire s’apprécie au vu de la caractéristique des lieux et des établissements. Peut-on, dans ce cas, imposer des règles générales ? Nous avons un sérieux doute, et quelques référés liberté pourraient bien avoir raison de la décision. 

Nous pensons en tout cas que cette décision au forceps ne correspond pas absolument à l’esprit dans lequel les parlementaires ont voté le texte, et relève purement et simplement de l’un de ces flash totalitaires où le pouvoir viole la loi. 

Vers des fêtes hors les murs ?

Les jeunes obéiront-ils tous docilement à cette décision ? ou bien l’obligation de présenter un pass sanitaire conduira-t-elle au boycott des établissements qui le demandent et à la mise en place de fêtes sauvages ?

Les Parisiens ont eu un premier aperçu de phénomène de « compensation » que les restrictions imposées à une jeunesse qui a subi le COVID sans en être malade, peuvent produire. Ainsi, après l’indigne dispersion de la Fête de la Musique place de la République à coups de gaz lacrymogènes, la Fête a repris sauvagement sur les quais de Seine, dans des conditions de sécurité très douteuses :

Mais laissez-les faire la fête !

On notera que, fait du hasard ? Après avoir massivement déserté les urnes, les jeunes se sont massé le lendemain du scrutin dans les rues pour faire la fête. Mal inspirées, le Préfet de police a parfois ordonné de violentes dispersions des rassemblements. Mais pas qu’à Paris

Ci-dessus, vous pouvez voir l’évacuation de la place de la République. Mais place de l’Hôtel de Ville, l’ambiance était aussi tendue :

Et que dire de ces scènes d’émeute à Annecy ?

Est-ce bien raisonnable de traiter ainsi les forces vives d’un pays, après un an de confinement ? Il faut parfois savoir jusqu’où ne pas trop tirer sur la corde. 




ALERTE – Jean-Pierre Chevallier, Docteur en économie: « Les capitaux propres des banques sont négatifs, elles n’ont plus d’Argent !! »

[Source : businessbourse.com]

Pour cette 300ème émission de « Politique & Eco », Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Jean-Pierre Chevallier, analyste financier indépendant.

Depuis une dizaine d’années, les banksters jonglent pour éviter le pire par tous les moyens, et pour l’instant, ils ont réussi à survivre tant bien que mal. Mais, selon Jean-Pierre Chevallier, le jour fatal arrivera car les banques sont en grande difficulté, voire au bord de la faillite comme la Deutsche Bank ou la Société Générale, alors même qu’elles bénéficient de la manne de la BCE.

Tout cela parce que depuis le début du XXIème siècle elles ont abandonné les règles prudentielles, à savoir que leurs engagements sur fonds propres ne devraient pas dépasser un ratio de 1/10 alors qu’elles sont à 1/30, 1/40 et plus. Il est clair que l’excès de liquidité sur les marchés et cette période délirante de taux nuls ou négatifs alimentent les spéculations les plus folles et stimulent l’appât du gain.

Pragmatique, Jean-Pierre Chevallier part des bilans bancaires. Pour prendre le cas de la Société Générale, les pertes potentielles (non provisionnées) de 53 milliards d’euros sur les prêts irrecouvrables qu’elle a octroyés à ses clients sont supérieurs au montant de ses capitaux propres tangibles (réels) de… 47,6 milliards (documents publiés par la banque dans ses résultats financiers au 1er trimestre 2021).

En appliquant les règles comptables en vigueur (IFRS 9), la Société Générale a donc des capitaux propres… négatifs ce qui aurait dû conduire ses dirigeants à déclarer la banque en faillite. Enfin, la Société Générale oublie de compter les pertes potentielles hors bilan qui représentent un total de 74,002 milliards.

Donc en cas de faillite d’une ou plusieurs banques, que se passerait-il ? La référence en la matière est ce qui s’est passé en Grèce (2008) et à Chypre (2012) et aussi et surtout en Allemagne après la Première guerre mondiale. D’abord, le système bancaire français sera entièrement bloqué pendant quelques jours : aucun distributeur automatique de billets ne fonctionnera, les agences bancaires seront fermées, personne ne répondra au téléphone, ni aux emails, les comptes gérés par internet seront inaccessibles ou figés.

Il n’existe aucune garantie des dépôts bancaires en France dans la mesure où le Fonds de garantie des dépôts et de résolution ne dispose que de 4,7 milliards d’euros, soit moins de 100 euros pour chacun des 50 millions de clients ! Toutes ces analyses confirment l’aggravation de la crise qui couve toujours dans la zone euro…




Le cerveau électronique

[Source : conférence transcrite : C053a]

[Ndlr : les passages mis en relief le sont par la Rédaction.]

Par Bernard de Montréal [Ndlr : mort en 2003]

Le cerveau électronique

Nous sommes arrivés à un stade où nous devons passer du plan de la communication au plan de l’information. Afin de bénéficier de l’information, nous devons faire en sorte que nous ne tombions pas dans le piège trop avancé de l’occultisme. Prenons pour cet effet le domaine par exemple de l’informatique ou des cerveaux électroniques.

Il sera reconnu éventuellement, par un certain nombre, que les forces de l’involution [Ndlr : plongeant dans la matière, le matérialisme, au lien de nous en abstraire.] dirigent le développement de la science sur la Terre dans le domaine de l’électronique, des cerveaux électroniques.

Il sera reconnu que sur les plans parallèles, les plans invisibles, des intelligences travaillent de façon de plus en plus subtile, à travers des moyens de plus en plus sophistiqués, à l’involution, et au maintien de leur contrôle sur l’esprit de l’humain. Et il sera reconnu, sur le plan de l’expérience humaine, que le phénomène de la fascination pour les cerveaux électroniques est justement l’outil utilisé par ces forces contre l’humain.

Il ne faut pas tomber dans le piège de l’occultisme exagéré, mais il nous faut éventuellement comprendre la nature des activités de ces intelligences qui travaillent sur des plans en dehors des limites spatiotemporelles [Ndlr : en dehors du plan tangible perceptible par les cinq sens conventionnels et par les instruments scientifiques actuels.], et qui à cause de leurs activités risquent de créer sur le plan matériel une condition technologique à travers laquelle ces forces peuvent, sans que l’humain ne s’en rende compte, étouffer en lui l’intelligence créative, afin de le soumettre à une forme d’intelligence mécanisée qui pourrait avec les années endommager le pouvoir créatif de l’humain et l’assujettir à une mécanisation des données et de l’information, d’où il ne pourrait plus sortir, se libérer, parce que le poids, les conséquences, et le très vaste domaine de cette information, deviendraient éventuellement pour lui trop onéreux et trop difficile à démolir, à cause de son impuissance fondamentale à réaliser les lois de la vie et les lois de l’influence.

Les humains les plus avancés en sensibilité verront clairement, nettement, que le développement de la science d’aujourd’hui vise à restreindre l’humain dans sa capacité créative, vise à amener l’humain à une conjonction entre le pouvoir mécanique régit par les influences subtiles, et le pouvoir créatif, naissant d’une nouvelle conscience qui ne fait pas partie encore de la conscience humaine, et qui fera demain partie de la nouvelle évolution.

La science des cerveaux électroniques est régie par des plans qui s’occupent de contrôler de plus en plus l’esprit de l’humain et qui s’occupent aussi de maintenir leur pouvoir à travers la conscience planétaire astrale [Ndlr : en relation avec le monde des émotions, de l’affect et des désirs.] de l’humain sur la Terre, et ceci, ce qui est remarquable, toujours à son insu !

Le scientiste d’aujourd’hui travaille malgré lui-même avec les forces de l’involution. Il n’est pas conscient de l’activité de ces forces parce qu’il n’est pas conscient de la nature des lois de la pensée, donc, sans s’en rendre compte, il travaille sous l’hégémonie de ces forces, et manifeste dans la matière, sous l’infusion de leurs données vibratoirement canalisées à travers ses pensées, une science qui au lieu de corriger les excès, les amplifie.

Il est presque impossible à l’humain aujourd’hui de réaliser qu’une science aussi intéressante, magnifique, que celle des cerveaux mécaniques, puisse être infusée par des intelligences qui opèrent sur des plans parallèles, et dont la fonction jusqu’à la fin du cycle est de chercher à « coercer » (contraindre) [Ndlr : Bernard de Montréal avait une certaine tendance à inventer des termes.] l’esprit de l’humain, à l’emprisonner, et à l’empêcher de réaliser qu’au-delà de cette science il en existe une autre qui soit libre, qui soit totalement créative, et qui puisse donner à l’humain toute l’abondance, généralement, mondialement nécessaire, afin que l’humain vive une civilisation qui fasse partie d’un cycle où le peuple, les masses, toutes les nations, puissent être harmonisés, et fonctionner à l’intérieur d’une conscience mondiale, politiquement harmonisée, économiquement stabilisée, que nous pouvons appeler l’âge d’or.

Il nous est difficile de reconnaître la relation occulte qui existe entre des intelligences évoluant sur des plans parallèles et une technologie savamment organisée par des humains intelligents, technologie qui fascine les humains et qui fascine surtout les enfants.

Notre science, notre intelligence aujourd’hui est à l’aube de son développement réel, donc tout ce qui est occulte, c’est-à-dire voilé, tout ce qui est organisationnel, tout ce qui est de la conjonction, de la relation entre ce que nous appelons les plans invisibles qui ne sont en fait que des plans parallèles, et la matière, nous ne le voyons pas ! Et c’est pourquoi aujourd’hui la science des cerveaux électroniques est devenue malgré sa qualité manifestement glorieuse, est devenue un danger pour la liberté de l’humain.

L’humain découvrira que la technologie merveilleuse d’aujourd’hui est une technologie qui sera de plus en plus utilisée par les forces astrales de la Terre, afin de maintenir le pouvoir d’influence de ces intelligences sur l’esprit de l’humain.

Tant que l’humain ne sera pas parfaitement équilibré dans son esprit, tant que l’humain ne sera pas amené à réellement comprendre qu’il y a en lui des forces de lumière, des forces créatives géantes, des forces créatives infinies, qui puissent lui donner une parfaite compréhension des lois de l’évolution, il sera utilisé à travers une technologie qu’il aimera de plus en plus par d’autres intelligences qui cherchent à maintenir sur la Terre le pouvoir de l’ignorance, même si cette ignorance semble être très intelligente.

Si l’humain existe sur le plan matériel, c’est qu’il a un esprit, donc son esprit vient ultérieurement de plans invisibles, de plans parallèles au plan de la matière. Donc si l’humain n’est pas suffisamment évolué en esprit sur le plan matériel, évidemment que l’humain ou l’esprit de l’humain aussi sur les plans invisibles peut avoir une conséquence sur la conscience de l’humain lorsqu’il est dans la matière, puisque l’esprit a et possède le pouvoir sur la matière. Donc, si l’esprit n’est pas créateur, si l’esprit n’est pas libre dans les plans parallèles, cet esprit est retardataire, et c’est cet esprit qui peut facilement influencer l’esprit de l’humain dans la matière et lui faire croire qu’une science telle que celle dont nous parlons puisse être pour lui une panacée, alors qu’en fait elle peut lui enlever au cours des générations, la moindre liberté, la moindre liberté.

C’est pourquoi l’humain verra de par son expérience qu’avec le temps, cette technologie deviendra de plus en plus puissante, de plus en plus sophistiquée et que la banque d’informations qui s’étendra dans le monde deviendra pour lui une condition insurmontable. L’humain ne pourra plus en fait se séparer de ce qu’il aura créé, il ne pourra plus être libre de ce qu’il a créé, parce que ce qu’il aura créé aura été rendu si vous voulez, tellement complexe, tellement énorme, que l’individu ne pourra plus rien faire pour se débarrasser de ce grand monstre, de ce beau monstre qu’est la technologie des cerveaux électroniques.

[Ndlr : un très grand nombre d’êtres humains est déjà esclave des téléphones prétendument « intelligents »]

Je disais au début qu’il ne faut pas tomber dans le piège de l’occultisme, il ne faut pas faire de quelque chose qui ne l’est pas, nous ne pouvons pas risquer de perdre ce que nous pouvons faire et ce qui peut nous servir, mais nous devons voir clairement, nous devons comprendre clairement, nous devons sentir parfaitement les dangers qui naissent d’une technologie qui n’est plus contrôlée par l’intelligence créative de l’humain, mais qui est contrôlée par des intelligences à travers le corps de désirs de l’humain, à travers l’imagination de l’humain, à travers le goût du pouvoir de l’humain, à travers la recherche de la standardisation de tout ce qui sur le plan matériel puisse servir l’humain.

Ce sera sous le prétexte de l’organisation des données, sous le prétexte de la nécessité, sous le prétexte du besoin d’organiser, de centraliser les informations, que l’humain se fera prendre, ce sera ce prétexte, mis dans son cerveau, sans qu’il ne s’en rende compte, que l’humain donnera à la science des cerveaux électroniques, le pouvoir de contrôler l’évolution mécanique, l’évolution politique, économique, sociale, d’une grande masse d’êtres humains, ce qui amènera l’humanité éventuellement à un conflit interne entre l’humain, l’individu et la grosse machine créée par une élite scientifique, financée par une élite financière, pour le contrôle en apparence bénéfique de toute la gestion des affaires de l’humanité.

Il ne faut pas se jeter la poudre aux yeux, il ne faut pas demeurer ignorant, il ne faut pas être imperméable à ce que nous sentons, nous devons ajuster notre intelligence à nos besoins et non laisser nos besoins flirter avec des influences astrales, qui naturellement, à leurs façons, chercheront à remplir nos besoins, mais au prix de perdre notre liberté, de perdre le contrôle de notre activité humaine à cause d’une technologie qui sera pour nous trop grande, trop puissante, trop vaste et éventuellement incontrôlable.

Là où aujourd’hui beaucoup d’humains croient que la technologie sera la panacée sera la clé à l’évolution de notre civilisation, un certain nombre d’humains, les plus évolués en intelligence intérieure réaliseront qu’effectivement la technologie, la science des cerveaux électroniques, lorsqu’elle sera poussée à un très haut niveau de programmation, sera le signe avant-coureur de la fin du cycle, ce sera le signe qui permettra à l’humain de réaliser qu’effectivement il a atteint sur le plan de la science mécanique les limites que lui peut subir, que lui peut souffrir, avant de perdre totalement sa liberté. Et c’est alors qu’un certain nombre de personnes dans le monde réaliseront que le cerveau électronique, cette machine, fait partie des agissements à travers le cerveau humain, de forces qui évoluent dans des mondes parallèles et auxquelles nous pouvons donner le terme des « intelligences lucifériennes ».

Donc, si l’humain un jour réalise que sa technologie est le produit subtil d’une influence luciférienne, il sera obligé de se raviser, de reprendre le contrôle de sa science, et de réorganiser sa science en fonction de ses besoins réels, en fonction de son bien-être réel et non pour le bénéfice du contrôle et de l’emprisonnement de l’humanité.

Ce n’est pas le cerveau mécanique en lui-même qui est le danger pour l’humain, c’est l’attitude de l’humain vis-à-vis de cette machine. C’est l’attitude des gouvernements, des organisations, des grands pouvoirs vis-à-vis de cette machine, et c’est l’attitude de l’humain qui deviendra le prix qu’il devra payer pour avoir mis sur le marché une mécanique qu’il ne peut plus contrôler, c’est là que le danger réside. C’est dans l’attitude humaine, foncièrement enracinée dans une conscience astrale inférieure, assujettie à des données, à des impulsions, à des influences très subtiles et très occultes, que l’humain verra le danger de sa technologie.

Lorsque cette science des cerveaux mécaniques aura atteint son point d’évolution maximal, lorsque les cerveaux seront intelligents, lorsque la nouvelle génération de ces cerveaux intelligents sera sur le marché, c’est à ce moment-là que l’humain aura atteint la limite de sa folie scientifique, c’est à ce moment-là que l’humain réalisera la puissance de la conscience anti-christique sur la Terre, c’est à ce moment-là que l’humain verra qu’effectivement sa science avait le pouvoir de le détruire, et que cette science afin de ne pas détruire l’humanité doit être remplacée par une autre science, et ceci se fera lorsque d’autres intelligences, créatives, amicales à l’humain, viendront vers lui, pour l’aider à construire une science, une science suffisamment puissante, suffisamment intelligente et lumineuse pour neutraliser le pouvoir de la science ancienne, cette science qui avait été contrôlée dans son évolution, dans son perfectionnement, par des forces, des intelligences antihumaines.

Lorsque l’âge de ces cerveaux sera amorcé, l’intelligence de ces cerveaux créera chez l’humain un choc. Elle forcera l’humain à se ressaisir, elle le forcera à voir la situation telle qu’elle est.

L’humain verra que l’intelligence de ces machines est devenue pour lui un piège, qu’elle est devenue pour lui une forme d’hypnose, neutralisant ainsi la créativité de son mental, et permettant en même temps que sa conscience mentale astralisée, c’est-à-dire sa conscience inférieure, sa conscience ignorante, soit sous le contrôle, sous l’emprise, de forces qu’il ne pourra plus de par lui-même neutraliser.

L’humain sera à ce moment-là conscient d’une très grande transformation psychologique. Il verra que sur le plan de son individualité il se fera une perte d’énergie. L’humain sentira, en tant qu’individu, qu’il est dépassé et c’est ce dépassement qui sera le signe du besoin d’un très grand renouveau dans la conscience de l’humain dans l’allure de sa civilisation et dans la relation entre sa technologie et son bien-être personnel.

Déjà, des signes concrets de l’influence ou de l’utilisation de notre technologie par des forces de basse évolution témoignent du pouvoir d’influence de ces forces sur notre planète. Regardez le cas de ces disques, de cette musique aux États-Unis où il a été remarqué, observé, que des incantations de magie noire, incantations sataniques, sont dirigées vers une population de jeunes qui n’ont pas encore la maturité, la suffisance mentale pour pouvoir discerner les influences créatives et les influences maléfiques, qui naissent du pouvoir et du contrôle des forces qui évoluent sur les plans parallèles.

Donc, si à travers notre musique, qui devient de plus en plus elle aussi le produit de l’agencement entre la nouvelle technologie et l’humain, si à travers cette musique les forces sataniques peuvent exercer leur influence sur l’humain, imaginez-vous comment et jusqu’à quel point ces forces peuvent encore plus subtilement utiliser le cerveau électronique pour barrer à tout jamais sur la Terre, le pouvoir de reconnaissance chez l’humain de son individualité, de sa liberté et de sa conscience créative.

Nous sommes toujours surpris lorsqu’il nous est dit que telle chose ou telle chose se produit dans le monde, parce que nous ne la comprenons pas, nous ne la voyons pas, nous ne l’apercevons pas, mais avec le temps cette chose devient de plus en plus puissante, elle décuple, et éventuellement elle prend racine dans la terre de l’humain, et elle produit ses ravages, ce fut le cas avec Hitler, ce fut le cas avec Mussolini, ce fut le cas avec tous les humains, toutes les forces, qui dans le passé ont essayé de truquer l’esprit humain, toutes les forces dans le passé qui ont essayé de jeter de la poudre aux yeux à l’humain.

Aujourd’hui nous sommes à un âge où nous semblons être protégés par une certaine constitution, nous semblons être protégés par les droits de l’humain, ceci est très bien, ceci est merveilleux même, mais lorsque les forces ne peuvent plus passer par un canal, elles ont le pouvoir d’en ouvrir un autre ! Et l’humain, lui, croyant que tout est bien, repose sur son oreiller, et manque de voir que les forces négatives, que les forces retardataires de l’involution sont toujours en œuvre, et plus l’humain semble prendre du pouvoir créatif, plus l’humain semble vivre du pouvoir créatif, plus en même temps il y a d’autres avenues créées contre lui pour qu’il puisse éventuellement être de plus en plus contrôlé par ces forces, de façon subversive et de façon occulte, c’est-à-dire voilée, incompréhensible, suprarationnelle, irrationnelle.

Mais, il y a des humains sur la Terre qui voient, il y a des humains sur la Terre qui sentent, il y a des humains sur la Terre qui savent, et ce sont ces humains qui sont probablement les premiers à pouvoir ériger, lancer l’appel, l’appel à l’ouverture d’esprit, l’appel à l’ouverture de la conscience, afin que l’humanité soit protégée de ce fléau.

L’humain croira que les machines qu’il construit sont le produit de sa grande intelligence. Il sera enchanté par cette technologie, et c’est justement cet enchantement avec cette technologie qui sera son piège, parce que l’humain ne connaissant pas les lois de la vie, ne réalisant pas les lois des mondes parallèles, ne verra pas la relation qui existe entre son intelligence influencée par d’autres intelligences, et automatiquement il se trouvera un jour forcé de réaliser qu’effectivement sa science au lieu de le servir d’une façon totale et parfaite, l’a desservi, lui a enlevé le peu de liberté qu’il avait réussi à développer au cours des civilisations antérieures, afin de le rendre totalement esclave de ces influences sataniques, perverses, subtiles, et extrêmement intelligentes.

Vous remarquerez que ces êtres qui travaillent jour et nuit à la programmation de ces machines, développeront, avec le temps, une particulière personnalité : ils seront drôles, ils auront des habitudes nerveuses, ils auront des attitudes particulières, ils feront un peu partie d’une race à part, ils ne seront pas remarquables, excepté dans leurs domaines où ils seront très remarquables.

Ces humains seront pour la plupart, des êtres très intelligents, très sensibles, et sans s’en rendre compte, seront très facilement influençables par la voix de leur conscience astrale, par ces forces qui s’occupent d’influencer l’humain et de retarder le développement de sa conscience créative.

Ces êtres seront dans un sens, médiumniques, dans ce sens qu’il apparaîtra que leur intelligence très grande, très limpide, très rapide, semblera être une intelligence servant l’humain, lorsqu’en fait cette intelligence sera au service des influences qui veillent à maintenir sur la planète le contrôle des forces de l’involution.

Nous avons tendance naturelle à rejeter ce que nous ne pouvons pas saisir, à rejeter ce que nous ne comprenons pas, à rejeter ce qui semble être de l’ordre du fantastique, nous avons fait la même chose avec Hitler, nous avons toujours fait la même chose ! Les quelques voix dans le désert qui se sont écriées contre l’influence nocturne de l’humain, ont toujours été étouffées par l’ordre qui régnait et pourtant ces humains avaient toujours raison, et c’est la masse, c’est l’humanité, qui devait payer cher le prix de l’exécution sur le plan matériel d’un plan d’involution qui servait à maintenir l’humain dans l’ignorance.

Nous ne pouvons pas facilement voir et comprendre ce que veut dire occultement ignorance. Ignorance ne veut pas dire que l’humain n’est pas intelligent.

« Ignorance » veut dire que l’humain ne connaît pas, ne comprend pas les plans et les voix et les activités d’autres intelligences sur des plans parallèles et invisibles. Nous sommes encore trop cartésiens pour réaliser que le monde, l’univers est fait de plans solides et de plans immatériaux.

Nous sommes trop cartésiens pour réaliser que la pensée de l’humain est ajustée vibratoirement par des intelligences sur d’autres plans. Nous croyons que l’humain est un être qui pense par lui seul ! Nous croyons que l’humain est un être qui se suffit à lui-même sur le plan psychologique. Nous ne comprenons pas, nous n’avons aucune idée de l’organisation invisible de l’humain et de la vie.

C’est pourquoi la science des cerveaux électroniques doit être comprise, elle doit être vue et réalisée selon une intelligence créative, selon une intelligence qui n’a pas peur de voir les dimensions possibles et imaginables de l’influence astrale contre l’humain.

Il ne faut pas que l’humain attende à la dernière minute, mais malheureusement l’humain devra attendre à la dernière minute, parce que l’humain est trop aveuglé par sa science, il est trop fasciné par la technologie, et il ne se rend pas compte que la fascination est l’enfant de la Terreur. Nous pouvons faire une étude comparative entre deux technologies, par exemple, regardons la télévision :

La télévision est un outil, le produit d’une science technologique qui aide l’humain, elle diffuse dans le monde les évènements marquants de l’humanité. Elle fait partie de l’extension sociale de la conscience humaine mondiale. C’est un objet, un outil, qui ne rend pas l’humain prisonnier, l’humain peut l’éteindre, il peut s’en servir, ou la foutre aux poubelles selon son cas.

Tandis que dans le cas des cerveaux électroniques, ces machines deviennent de plus en plus puissantes.

Avec le temps, elles pénètrent dans tous les domaines de l’information. Avec le temps, elles servent à tous les niveaux de la société, l’information. Et l’humain ne peut plus l’éteindre, il ne peut plus la mettre de côté, cette technologie, elle est là ! Elle est fixée dans le temps et dans l’espace. Elle fait partie de l’organisation sociale de l’humain. Elle n’est plus, cette technologie, utilisée pour le bien-être personnel de l’individu, elle est utilisée pour la fécondité de l’activité sociale dirigée par des influences qui sont d’un autre ordre, des influences qui sont en dehors du contrôle de l’humain.

Là où la télévision devient de plus en plus perfectionnée, là où elle donne à l’humain une image de plus en plus claire, de plus en plus belle [Ndlr : ce n’est plus guère le cas depuis son couplage avec l’univers informatique et qu’elle sert manifestement trop souvent d’outil de propagande pour ceux qui possèdent les chaînes télévisuelles.], le cerveau électronique lui, devient un outil qui devient de plus en plus puissant, et de plus en plus incontrôlable.

Donc, il est très important pour l’humain de comprendre la valeur relative de deux technologies, de voir, de savoir, de sentir et d’admettre le danger lorsqu’il y a danger, et le bénéfice lorsqu’il y a bénéfice.

L’humain doit comprendre l’effet sur son cerveau de la technologie.

Il doit comprendre que chaque technologie amène dans sa civilisation, soit un bien-être, un bénéfice, ou un danger. Et s’il n’a pas le courage, s’il n’a pas la force, la volonté, la créativité, pour reprendre le contrôle de la technologie, pour veiller à ce que la technologie ne l’emprisonne pas, pour veiller à ce que la technologie soit toujours sous sa domination, il est évident que l’humain deviendra victime de sa technologie.

Et dans le domaine aujourd’hui de l’armement, dans le domaine de la guerre, le cerveau électronique devient l’extension mécanique puissante de toutes les machinations invisibles de l’esprit des ténèbres contre l’esprit de l’humain.

Nous sommes des enfants, les humains sont des enfants, les humains n’ont pas la maturité, les humains n’ont pas la connaissance, les humains n’ont pas le savoir, les humains sont au début de l’évolution de l’intelligence créative, ils sont à l’aube d’un nouveau cycle d’évolution, mais ils sont suffisamment intelligents dans leur mental, ils sont suffisamment dans l’activité rationnelle de leur science pour bien servir des forces dont ils ne connaissent pas l’existence, dont ils ne connaissent pas le pouvoir, dont ils ne réalisent pas la puissance.

Les cerveaux électroniques, quel que soit leur dimensionnalité, quel que soit leur ordre, quel que soit leur perfectionnement, doivent être compris sur le plan des conséquences, lorsque l’humain met sur le marché mondial une organisation si vaste de mémoire, il doit en contrôler l’évolution, il doit en contrôler l’activité, il doit en régir la mécanicité, sinon ces machines deviendront de plus en plus subtiles, de plus en plus sophistiquées et l’humain à un certain moment donné deviendra la victime de sa propre création.

Il ne s’agit pas de blâmer l’humain, sa technologie, il s’agit de lui faire comprendre que sa technologie peut facilement être utilisée contre lui, à cause de ses attitudes ignorantes.

L’humain est un être qui peut facilement violer les lois de la vie, ignorammant [Ndlr : par ignorance] les violer ces lois de la vie, pour des raisons purement d’ordre matériel, égoïstes. Ce n’est pas que l’humain est en lui-même mauvais, c’est que l’humain peut facilement devenir mauvais non pas parce qu’il le veut, mais parce qu’il est ignorant des lois de la vie, il est ignorant des lois qui régissent l’évolution des planètes et des systèmes. Et
tout ceci parce qu’il est naïf
, il ne connaît pas les lois des mondes invisibles parce qu’il n’est pas totalement dans son intelligence créative, il n’est que partiellement dans cette intelligence, et sa subjectivité, ses passions, peuvent facilement l’éblouir, peuvent facilement neutraliser cette intelligence créative et le rendre esclave de ce qu’il met à sa disposition.
Et c’est précisément à ce point qu’il se met en danger, qu’il tombe en pâmoison, qu’il devient fasciné par ce qu’il crée, par ce qu’il génère. Il est là son danger.

La science des cerveaux électroniques est à ses débuts et l’humain naturellement est fasciné comme un enfant, mais viendra le jour où cette science sera tellement avancée, tellement créative, et coïncidera tellement avec son mental, que l’humain regardera derrière lui, regardera la vieille histoire des cerveaux mécaniques du 20e siècle avec dédain. Car au lieu de lui donner l’avantage d’une intelligence créative coïncidant avec son mental, selon des lois qui lui seront connues en temps et lieu, ces machines, ces monstres lui auront donné le désavantage de supporter le poids d’une mémoire très vaste, qu’il ne pouvait plus contrôler, et dont il devait inévitablement devenir l’esclave.

Les cerveaux de l’avenir seront fondés sur le principe du cristal.

Le cristal n’existe pas aujourd’hui sur notre planète.

Le cristal doit être créé dans l’éther, sur les plans supérieurs de l’espace-temps humain et ensuite matérialisé sur le plan matériel. Une fois ces cristaux matérialisés, ils peuvent être incorporés dans une mécanique, et ajustés, syntonisés, avec l’intelligence créative de ces plans, afin de donner à l’humain le bénéfice d’une mémoire créative qui ultimement le sert, qui ultimement lui permet de créer sur le plan matériel, une vaste organisation d’informations non plus assujetties aux lois de l’influence, mais assujetties aux lois de l’intelligence créative des êtres humains et extrahumains qui évoluent sur des plans parallèles à notre planète, sur des plans qui coïncident avec notre spatiotemporalité, mais dont ils sont libres des conséquences et des lois matérielles.

Ainsi que la psychologie fait partie de la dernière évolution mentale de l’humain, sur le plan de la compréhension des lois de son esprit, et que cette psychologie aujourd’hui embryonnaire sera remplacée par une autre psychologie à la fin du cycle, ainsi la science des cerveaux mécaniques aujourd’hui est embryonnaire et sera remplacée par une autre science beaucoup plus avancée qui coïncidera avec une nouvelle évolution de la pensée créative de l’humain, une nouvelle relation entre l’humain dans la matière et l’humain dans l’invisible.

Viendra le temps où l’humain entrera en contact avec d’autres intelligences venant d’ailleurs dans la galaxie, et le contact avec ces êtres lui apportera une nouvelle science, une nouvelle science des cerveaux électroniques, des cerveaux à mémoriser, mais cette nouvelle science sera tellement grande que celle que nous connaissons aujourd’hui s’effondrera et sera révolue.

[Fin enregistrement]


[Voir aussi :
La fin des temps
Note sur l’illusion de l’« information »
Les machines pour jouer à Dieu
La faillite de la science matérialiste ?]




Yannick Jaffré : «les femmes russes ne redoutent pas la domination de l’homme, mais sa défaillance». Mise à Jour

[Source : Sputnik France (sputniknews.com)]

[Photo : © Pexels/cottonbro / femme russe]

En Occident, la guerre de sexes semble faire rage. L’occasion pour certains d’interroger d’autres modèles de féminité, peut-être trop facilement caricaturés. L’essayiste Yannick Jaffré se livre dans son dernier ouvrage à une description élogieuse de la féminité russe, doublée d’une critique au vitriol du féminisme occidental.

L’«agression» au bouquet de la militante féministe Alice Coffin à Rouen, par un jeune qui voulait savoir «pourquoi elle n’aimait pas les hommes», a fait sourire Yannick Jaffré. «Chez certaines féministes, on a l’impression que le simple fait d’être gentille avec un homme est déjà une marque d’aliénation», ironise l’essayiste.

Devant les caméras de Sputnik donne la parole, il s’attaque aux excès du féminisme occidental. Pour éviter cette «criminalisation» d’un désir masculin «toujours suspect», l’auteur de Paris-Moscou: Aller simple contre le féminisme (Éd. La Nouvelle Librairie) invite à tourner notre regard vers l’Est. 

La Russie est pour l’essayiste l’exemple d’un «patriarcat dirigé par des femmes». 

«Les femmes russes exigent des hommes qu’ils assument les attributs traditionnels de la virilité, mais en même temps, elles ne sont pas de petites choses qui seraient écrasées sous un voile, reléguées dans le seul foyer. Ce qu’elles redoutent, ce n’est pas la domination de l’homme, mais sa défaillance», défend Yannick Jaffré.

Un modèle compatible avec la France? «Sur le plan de la tenue, de l’élégance, du goût pour la galanterie, les femmes russes ne sont pas si éloignées des Françaises des années 50-60», ajoute-t-il.


[Source : Paris-Moscou | Yannick Jaffré | La Nouvelle Librairie (nouvelle-librairie.com)]

Les femmes seraient-elles désormais à l’Est, et les féministes à l’Ouest ? À cette question de géographie érotique, Yannick Jaffré répond par un essai enlevé qui mêle anecdotes, analyses historiques, sociologiques, philosophiques et charges polémiques au sabre clair.




Que nous a appris l’Inde sur le traitement du Covid ?

Par Gérard Delépine

Depuis près de deux mois, les médias se moquent de la politique sanitaire de l’Inde, et décrivent cet immense pays comme celui où on entasse les morts dans les rues pour les brûler, et le creuset de naissance de variants qui vont nous anéantir lors de la quatrième vague. Cette présentation dramatique est contraire à la vérité.

Mais revenons aux faits, aux faits authentifiés et publiés par l’OMS et les agences sanitaires officielles.

L’Inde a affronté le covid avec au total six fois moins de victimes que nous

Au 16/6/21 la France recensait 1678 décès attribués au covid par million d’habitants contre 290 en Inde.

La comparaison de ces deux chiffres devrait interpeller des médias objectifs.

Compte tenu de l’insuffisance de l’appareil sanitaire indien, l’obtention de ce résultat étonnement favorable justifie l’analyse de la recette indienne du succès anti covid19 qui réside dans la jeunesse de sa population, mais surtout dans les traitements préventifs (avant toute contamination) et les traitements précoces (dès les premiers signes).

Le traitement préventif par hydroxychloroquine a contrôlé la première vague

Lors de la première vague le 22/3/2020, le conseil indien pour le covid a refusé de suivre l’avis de l’OMS déconseillant HCQ sur la foi de l’étude truquée publiée par le Lancet, et retirée depuis qu’a été dévoilé son caractère totalement fallacieux.

Rappelons que le ministre français s’est précipité pour interdire l’HCQ à la sortie de cet article mensonger et faire stopper les essais où l’HCQ était testée, mais n’a toujours pas pris le temps de rétablir la vérité et de libérer les médecins de l’angoisse de prescrire ce médicament pas cher et sûr, honni par le pouvoir, par crainte de poursuites par le conseil de l’ordre, comme d’autres collègues auxquels on reproche d’avoir guéri leurs patients avec des médicaments refusés par le ministre !

L’Indian covid19 Task force a, au contraire, recommandé le traitement préventif par l’hydroxychloroquine du personnel soignant(([1] HCQ 400 mg le premier jour suivi de la même dose chaque semaine durant 7 semaines)) et des membres des familles âgés de plus de 15 ans(([2] HCQ 400 mg le premier jour suivi de la même dose chaque semaine pendant 3 semaines)) au contact de malades covid19.

Ce traitement a considérablement amoindri la diffusion de la maladie dans la population avec un pic de nouvelles contaminations quotidiennes qui n’a pas dépassé 75/Million, alors qu’en France il a atteint 1072 (quatorze fois plus).

Au total, au 30 janvier 2021 (avant le début de la vaccination) l’Inde ne comptabilisait que 8275 cas/Million d’habitants (10 757 710) alors qu’à cette date la France en recensait 47 715/M (3 114 542) soit six fois plus. Elle était un modèle !

Cette forte réduction du risque de contamination ne peut pas être attribuée à l’âge de la population, car l’infection atteint à peu près également toutes les tranches d’âge, même si son expression et sa gravité en dépendent fortement. Elle est d’autant plus remarquable que l’Inde se singularise par la grande promiscuité de sa population dans les nombreuses mégapoles, Bombay

(12 478 447 d’habitants), Delhi (11 007 835), Bangalore (8 425 970), Hyderabad (6 809 970), Ahmedabad (5 570 585), Madras (4 681 087) Calcutta (4 486 679).

Ce traitement préventif ciblé a aussi fortement réduit la mortalité puisqu’au 30 janvier 2021, l’Inde ne comptait que 118 morts/M (154 147 morts) contre 1156/M (75466 morts) en France, soit dix fois plus.

La catastrophe post vaccinale de la deuxième vague stoppée par l’Ivermectine

En février 2021, en Inde, l’épidémie paraissait contrôlée avec une moyenne quotidienne de 7,7 nouveaux cas/million (10000 nouveaux cas) et avec le début de la vaccination le 16 janvier 2021, les traitements préventifs ont été délaissés.

Pourquoi les Indiens ont-ils cédé à la propagande de la vaccination ?

Un mois et demi après le début de la campagne de vaccination, une deuxième vague a déferlé sur l’Inde avec une augmentation exponentielle des nouveaux cas pendant 6 semaines et un pic de contaminations journalières atteignant 418 cas/Million (cependant deux fois et demie moindre que le pic français de novembre 2020).

Cette augmentation post vaccinale brutale des cas, cohérente avec les prédictions du Dr Tenpenny et du Professeur Cahill, avait été déjà observée dans de nombreux pays.(([3] G Delépine L’hécatombe post vaccinale s’étend dans le monde 2021-05-24))(([4] https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/))

Elle a été suivie d’une augmentation de la mortalité qui a été très médiatisée en Occident afin de relancer la panique du covid qui commençait à s’estomper.

LE BON SENS REVIENT AVEC LE TRAITEMENT PRÉCOCE

Les autorités ont réagi en rassurant la population. Le président de Medanta,(([5] Medanta est une chaîne indienne d’hôpitaux basée dans la région de la capitale nationale de l’Inde)) le Dr Trehan, a déclaré

« 90 % des patients atteints de COVID peuvent récupérer à la maison s’ils reçoivent les médicaments appropriés à temps. Dès que votre test RT-PCR est positif, mon conseil serait de consulter votre médecin local avec qui vous êtes en contact. Tous les médecins connaissent le protocole et commenceront votre traitement en conséquence ».

Ce protocole a été publié le 22 avril 2021 en une série de recommandations officielles comportant, pour les formes modérées de covid, de l’hydroxychloroquine ou de l’Ivermectine per os sous la surveillance des médecins traitants, complétées, si besoin, par de la Budésonide inhalée.

Et dix jours plus tard, le nombre de nouvelles contaminations s’est effondré passant de 319 cas/Million (414 188 cas) le 7 mai à 47/Million (61 471 cas) le 14 juin. Si nos dirigeants souhaitaient vraiment éviter une éventuelle quatrième vague, il suffirait qu’ils suivent la méthode indienne, ou marseillaise préconisée dès mars 2020. Que cherchent-ils vraiment ?

La vague post vaccinale a été vaincue par les traitements précoces, mais au prix d’une augmentation de la mortalité globale passée à 295/Million le 20 juin 2021 (contre 1681/M en France avec 109743 morts depuis le début de l’épidémie). Que de vies perdues par ce fameux pseudovaccin !

Quelles leçons peut-on tirer de l’évolution de l’épidémie en Inde ?

1°) Un pays pauvre peut faire nettement mieux que les pays occidentaux

2°) Les traitements préventifs par hydroxychloroquine, ciblés sur les personnes à risque, ont fortement réduit les contaminations lors de la première vague

3°) La campagne de vaccination a été suivie d’une forte augmentation de la maladie et donc qu’il faut abandonner en urgence ces substances géniques en essai thérapeutique.

L’accumulation des effets secondaires graves et des décès post vaccinaux reconnue par les agences officielles tant aux USA(([6] https://www.fda.gov/media/150054/download… Les effets indésirables systémiques (fatigue, céphalées, fièvre…) peuvent être qualifiés de fréquents à très fréquents chez les 16-25 ans (fatigue 30-40 %, céphalées 25-30 %) pour le vaccin Pfizer))(([7] USA WARNING : 7 décès chez les 12-17 ans selon VAERS ! Réfléchissez bien avant de faire vacciner vos enfants… (businessbourse.com) )) qu’en UE(([8] #EudraVigilance : 13 867 morts et 1 354 336 blessés dans la base de données européenne des effets indésirables des médicaments pour #COVID -19 coups | Kathy Vittetoe 12/06/21)) et en Grande-Bretagne, combinée à l’absence d’efficacité démontrée par les vagues de contamination dans tous les pays vaccinés, devrait faire renoncer le monde à cette escroquerie contre une maladie peu mortelle et curable, si tant est qu’on accepte de la traiter.

4°) Les traitements précoces par HCQ et Ivermectine peuvent stopper l’épidémie, ce que confirment de nombreux articles accumulés en 18 mois dont une nouvelle méta-analyse sur l’ivermectine parue récemment et commentée ce jour dans France soir.(([9] Ivermectine : une nouvelle méta-analyse conclut à son efficacité (francesoir.fr) ))

Conclusion

Espérons que les médias et nos gouvernants soient finalement capables de l’entendre et libèrent les prescriptions médicales, devant la révolte populaire encore silencieuse, mais dont l’attitude électorale rejetant tous ceux qui ont soutenu la dictature sanitaire imposée par le gouvernement est un signal fort de la conscience du peuple et de l’absence de résignation.

Il n’est jamais trop tard.





France — Régionales 2021 : la démocratie à la dérive

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Par Georges Gourdin

Quelle est la légitimité de nos futurs élus régionaux ?

Thierry Mariani arrive en tête avec 38% devant Renaud Muselier 34%, oui mais 38 ou 34% de quoi ?
Thierry Mariani obtient 420 603 voix et Renaud Muselier 368 931 sur plus de 3,6 millions d’inscrits, ce qui nous donne en réalité :

Thierry Mariani Renaud Muselier
11% 10%

Tout doit être analysé avec ce regard : au mieux nos élus ne représentent plus que 10% des électeurs.

Nous ne sommes plus qu’une démocratie à 10% ! Ou bien, dit autrement, nous sommes non-démocratiques à une écrasant majorité de 90 ! Vous pensez que c’est une vue de l’esprit et que la démocratie se maintient vaille que vaille. Mais c’est pire encore car nous partons de scores à plus de 30%. Que dire de nos élus qui n’atteignent pas ces scores ? C’est le cas notamment de ladite « majorité présidentielle », là où elle a osé affronter le suffrage universel.

C’est la catastrophe !

Le parti au Pouvoir ne parvient pas même à atteindre les 10% pour se maintenir au deuxième tour et est éliminé.

Région Candidats Nombre de voix % inscrits % votants
Île de France Laurent Saint-Martin avec Marlène Schiappa (citoyenneté), Amélie de Montchalin (fonction publique) et Nathalie Elimas (éducation prioritaire) 256 142 3,54% 11,766%
Pays de Loire François de Rugy, Marc Fresneau (relations avec le Parlement) 101 922 3,67% 12,53%
Nouvelle Aquitaine Geneviève Darrieussecq (anciens combattants) 204 459 4,70% 12,46%
Grand Est Brigitte Klinkert (insertion) 116 121 3,03% 10,77%
Hauts de France Laurent Pietraszewski, Éric Dupond-Moretti, Gérald Darmanin, Agnès Pannier-Runacher 121 656 2,88% 9,14%
Centre-Val de Loire Marc Fesneau ( ministre chargé des Relations avec le Parlement) 97 381 3,51 11,97
Auvergne – Rhône Alpes Bruno Bonnell 169 056 3,13% 9,87%
Bourgogne-Franche-Comté Denis Thuriot 76 457 3,89% 11,69%
Bretagne Thierry Burlot 132 231 5,30% 14,84%

Ainsi une analyse simple et rigoureuse nous conduit à dire que la « majorité » qui nous gouverne ne s’appuie plus que sur moins de 5% des électeurs.
La présence de ministres ou de secrétaires d’État sur les listes dites « majorité présidentielle » n’a pas sauvé la mise. Bien au contraire.
Pour la Région Provence Alpes Côte d’Azur, la liste Muselier avait fusionné avec la « majorité présidentielle », ce qui peut conduire à avancer que la liste Macron a fait 0% (zéro pour cent), puisque Muselier ne fait qu’un score normal.

Pour Macron, cette élection, c’est la Bérézina ! (notre illustration à la une)

Malgré un appui populaire presqu’inexistant, le Pouvoir en place continue de prendre des décisions majeures : passeport numérique, vaccination bientôt obligatoire, GPA, PMA, naturalisation en masse d’émigrés clandestins (et pourquoi pas le droit de vote), théorie du genre dans les écoles, etc.

De nombreuses personnes considèrent que Macron est arrivé au pouvoir de manière abusive (lire Un putsch sans soldats du 9 mai 2021). Macron a usurpé le Pouvoir. L’élection d’hier en constitue la démonstration nette et indiscutable.

Le Pouvoir légal n’est plus légitime.

Voilà pourquoi ce Pouvoir doit être mis sous tutelle le plus tôt possible afin de mettre fin à ses dérives totalitaires. Puis les Français doivent se prendre par la main pour redonner à leurs élus la légitimité qu’ils doivent avoir. Sans quoi il n’y aura toujours pas de démocratie. Il n’y a tout simplement pas de vie sociale possible sans la légitimité des élites.

Georges Gourdin




Les conflits d’intérêts dans les recommandations de l’OMS dénoncés

[Source : ]

Auteur(s): Andrew Bannister, traduit par FranceSoir

Toutes les maladies dangereuses sont mieux traitées quand elles sont prises en charge tôt. Un des grands défauts de notre stratégie sur le Covid-19 a été d’attendre une semaine que la maladie devienne dangereuse, quand respirer devient un problème.

Article original paru sur TrialsiteNews et traduit par France Soir.

Un traitement précoce du COVID, même pour ceux qui présentent des symptômes légers, empêche une hospitalisation ultérieure. Il existe plusieurs médicaments de traitement précoce prometteurs, mais l’ivermectine est en tête du peloton en ce qui concerne la sécurité, l’efficacité et le prix. Malheureusement, les plus grands acteurs des médias grand public occidentaux sont membres de la Trusted News Initiative (TNI). Le TNI est une histoire pour un autre jour, mais il est remarquable que les grands médias aient à peine rapporté qu’ils avaient accepté de promouvoir la vaccination mondiale et que tout « mythe de désinformation est stoppé net ». Malheureusement, le traitement précoce semble être considéré comme un mythe de la désinformation et n’est pas mentionné. Un traitement précoce est vital pour traiter les maladies graves et le COVID-19 ne fait pas exception.

Compte tenu du coût humain et économique, cet évitement d’un traitement précoce avec un médicament très sûr, efficace et hors brevet, est une tragédie criminelle aux proportions immenses et un billet de loterie gagnant pour certaines sociétés pharmaceutiques qui conçoivent et vendent de nouveaux médicaments brevetés qui ne pourraient pas concurrencer l’ivermectine sur un marché libre. Merks thérapeutique, le molnupiravir cherche une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA), « Merck recevra environ 1,2 milliard de dollars pour fournir environ 1,7 million de cycles de molnupiravir au gouvernement des États-Unis. en 1986. Il suffit de le recommander pour traiter le COVID-19, mais s’il était officiellement reconnu comme un traitement efficace, il empêcherait légalement l’autorisation d’urgence du molnupiravir jusqu’à ce qu’il réussisse les essais et retarderait l’accord de 1,2 milliard de dollars.

Voir aussi : Ivermectine : De l’indifférence scandaleuse au mensonge criminel

L’OMS, en tant que plus grande organisation mondiale de santé à but non lucratif, prend des décisions que d’autres suivent généralement, confiante dans le fait que l’OMS est libre d’intérêts commerciaux. À l’origine entièrement financée par les États membres, l’organisation reçoit désormais moins de 20 % de son budget des États membres et le reste de donateurs avec leurs propres intentions de donateurs ainsi que des intérêts financiers et stratégiques spécifiques. Margret Chan, l’ancienne directrice générale de l’OMS, a déclaré en 2015 « Je dois prendre mon chapeau et faire le tour du monde pour mendier de l’argent et quand ils nous donnent de l’argent, ils sont fortement liés à leurs préférences, à ce qu’ils aiment. Ce n’est peut-être pas la priorité de l’OMS, donc si nous ne résolvons pas ce problème, nous ne serons pas aussi bons que nous l’étions ».

Journaliste chevronné, Robert Parsons explique que « le programme d’éradication de la variole a été entièrement financé par des donateurs, ce qui a peut-être causé le problème, que pour des projets spéciaux, il faille lever des fonds, mais que le secteur privé est peu susceptible montre des bénéfices… Par conséquent, il y a peu de recherche indépendante en santé publique ». Depuis, l’influence financière indue des acteurs privés s’est plutôt accrue à l’OMS. Les dons sont assortis de mises en garde, si bien que l’organisation est compromise sur un certain nombre de questions qui impliquent les intérêts des donateurs.

En 2010, par exemple, après la pandémie de grippe H1N1, une enquête menée par le British Medical Journal (BMJ) et le Bureau of Investigative Journalism a révélé que les principaux scientifiques à l’origine de la recommandation de l’Organisation mondiale de la santé sur le stockage de médicaments contre la grippe pandémique avaient des liens financiers avec des entreprises qui avaient un profit à en tirer. Ces conseillers ont réussi à convaincre le gouvernement britannique de dépenser des milliards pour un vaccin qui n’a jamais été nécessaire.

Bill Gates a relancé l’industrie de la vaccination autrefois défaillante en plaçant la vaccination à l’ordre du jour mondial depuis 2012. La puissance du financement de la fondation Gates a dicté l’évolution vers les vaccinations plutôt que les traitements. Gates pense que le capitalisme est plus efficace que les services de santé publique pour soigner les gens et, sans aucun doute, considère ses investissements dans plusieurs sociétés pharmaceutiques, dont Merck, Pfizer, Johnson & Johnson, comme des investissements éthiques, rendant le monde meilleur. Le capitalisme, c’est. généralement plus efficace que le gouvernement, mais il valorise les profits avant les gens. Morgan Stanley estime que Pfizer pourrait gagner 100 milliards de dollars grâce aux vaccins au cours des cinq prochaines années.

La fondation Gates est le deuxième bailleur de fonds de l’OMS après les États-Unis. Gates a pourtant fondé aussi, et financé The Vaccine Alliance (GAVI) et le Fonds mondial. En 2018-19, leur contribution combinée était de 27 % supérieure à celle des États-Unis, ce qui rend l’influence de Gates plus puissante que n’importe quel gouvernement. Comme les fonds sont affectés à des projets spécifiques, l’OMS ne décide pas de la manière dont l’argent de la fondation est dépensé, contrairement à Gates. Les priorités de Gates sont devenues celles de l’OMS, et cette priorité est la vaccination mondiale contre le COVID-19, et non les systèmes de santé publique fournissant un traitement précoce. Tedros Adhanom, l’actuel directeur général de l’OMS, a déjà travaillé pour Gates lorsqu’il a siégé au conseil d’administration de GAVI et à la présidence du Fonds mondial. Il est vraisemblablement toujours influencé par l’idéologie et le pouvoir financier de son ancien employeur.

Dans la recommandation de l’OMS sur l’ivermectine, ils montrent une réduction des décès de 80 % mais avec une « faible certitude » et pourtant, ils recommandent de manière déconcertante de ne pas l’utiliser. Le document de recommandations  de l’OMS est « basé sur une revue systématique vivante et une méta-analyse en réseau réalisée par des chercheurs de l’Université McMaster ». L’Université McMaster (y compris l’un de ses affiliés directs) aurait dû s’excuser de mener la ligne directrice, étant donné qu’elle a plusieurs conflits d’intérêts objectifs en ce qui concerne l’ivermectine.

McMaster conçoit et produit des vaccins COVID-19 de deuxième génération. Il est probable que les gens hésiteront davantage à se faire vacciner s’il existe une option prophylactique et thérapeutique viable et sûre pour COVID-19. Deuxièmement, l’Université McMaster reçoit des millions de dollars de financement de la Fondation Gates qui sont investis dans des entreprises axées sur le marché, dont certains produits concurrenceraient l’ivermectine sur le marché libre, sauf que l’ivermectine est très bon marché. De plus, non seulement McMaster reçoit des millions de dollars de financement de la Fondation Gates, mais il partage du personnel tel qu’Edward Mills, professeur agrégé de McMaster et conseiller en essais cliniques pour la Fondation Gates. Edward Mills est l’investigateur principal de l’essai Together évaluant l’ivermectine.

Mills, dans une interview de McMasters en 2020, déclaire : « nous manquons rapidement d’options sur les médicaments réutilisés, nous devons donc faire des essais de nouveaux médicaments » Peut-être, mais avec les Gates possédant des actions dans plusieurs grands producteurs de vaccins et de médicaments concurrents, il y a un conflit d’intérêts manifeste.

Dans une récente interview, Mills semblait minimiser l’effet de l’ivermectine. « Les preuves sur l’utilisation prophylactique de l’ivermectine ne sont pas très convaincantes ». Mills doute étonnamment que la prophylaxie, où les données montrent clairement que l’ivermectine est la plus efficace, « n’est pas convaincante ». S’il y a un domaine où l’ivermectine est particulièrement efficace, c’est en prophylaxie. Il y a eu plusieurs études qui montrent que le moment de la dose prophylactique est important. L’essai Carvallo de 1200 soignants santé de première ligne a révélé que 12 mg d’ivermectine par semaine entraînaient zéro cas contre 58% de cas positifs dans le groupe témoin sur une période de dix semaines. Vous pouvez laisser l’essai de côté, mais à la fin, vous restez avec un résultat remarquable qui est renforcé par l’étude AIIMS de 3500 hospitaliers utilisant la même dose mais seulement deux fois par mois, a montré une réduction de 74% (?) dans certains cas, et pourtant Edward Mills ne trouve curieusement pas les preuves de prophylaxie intéressantes. Le gros de l’argent n’est pas dans la conduite d’essais de médicaments génériques réutilisés mais dans les essais de sociétés pharmaceutiques luttant pour des parts de marché.

L’OMS n’aurait pas dû accepter la participation de McMasters aux lignes directrices ou à l’essai sur l’ivermectine en raison de leur conflit d’intérêts. Je crois que l’OMS n’a pas commandé l’analyse qu’elle a utilisée dans ses directives actuelles, mais elle lui a été proposée par la fondation Gates, car c’est évidemment ainsi que l’OMS fonctionne maintenant. L’OMS attend maintenant les résultats de la piste Together financée par Gates pour éclairer son opinion sur l’ivermectine. Qu’est-ce qui pourrait mal se passer?

Les questions envoyées au bureau d’éthique de l’OMS, demandant des éclaircissements sur sa recommandation contre l’utilisation de l’ivermectine, ont reçu une réponse indiquant qu’ils refusaient de fournir le procès-verbal de la réunion, aucun vote n’était nécessaire, aucun entretien ne sera accordé, ils « n’envisagent pas une évaluation de l’ivermectine pour que l’utilisation prophylactique dans le COVID-19 soit justifiée », aucun membre du personnel d’une société pharmaceutique n’était impliqué, ils ne considèrent pas les essais des sociétés pharmaceutiques comme « biaisés en soi » et il y avait une clause de confidentialité intimidante dans leur correspondance.

La méta-analyse de l’OMS a montré que l’ivermectine avait trois fois plus d’effets indésirables. Le Dr Tess Lawrie, d’Evidence-Based Medicine Consultancy Ltd, dit que « l’estimation de l’effet est très imprécise. Par conséquent, ce que montrent ces preuves de l’OMS, c’est qu’il n’y a pas de différence claire dans les événements indésirables graves entre les personnes qui ont reçu de l’ivermectine et celles qui n’en ont pas reçu. Cela montre également qu’il y a eu très peu d’événements dans la méta-analyse – ils ne rapportent pas combien d’événements, mais cela peut-être environ 7 au total pour les groupes Ivermectine et contrôle combinés. L’équipe des recommandations de l’OMS/McMasters a interprété de manière inappropriée cette constatation en disant que « l’ivermectine peut augmenter le risque d’événements indésirables graves ». Toute personne à l’OMS impliquée dans l’élaboration de recommandations serait en mesure de vous le dire. »

Le scientifique en chef de l’OMS, le Dr Soumya Swaminathan, a récemment averti sur Twitter les ressortissants indiens de ne pas prendre d’ivermectine, citant du matériel marketing de Merck. Dr Swaminathan et a reçu un avis juridique pour avoir diffusé de la désinformation et causé de nombreux décès par l’Association du barreau indien. Le tweet a depuis été supprimé.

L’idée autrefois noble d’un système de santé publique mondial travaillant pour nos meilleurs intérêts est plutôt devenue motivée par des intérêts financiers privés. S’il ne génère aucun profit, il est peu probable qu’un médicament ou un traitement soit testé dans le cadre d’un essai important et coûteux. Les fabricants de médicaments ont convaincu l’OMS que seuls les essais coûteux sont acceptables, de sorte que seuls leurs médicaments, avec leur soutien financier, sont testés selon cette norme. Et pourtant, l’essai largement salué « l’ivermectine ne fonctionne pas », Lopez-Media a eu plusieurs problèmes extrêmement graves, en plus d’être financé par les fabricants de vaccins, mais malgré ces problèmes, a été le seul essai sur l’ivermectine à être accepté par JAMA.

L’OMS a été financièrement persuadée que les seules pistes qui valent la peine d’être examinées sont celles qui sont finançables par les bailleurs de fonds. Comme l’ont montré les essais sur le cancer financés par le tabac, les essais sur l’ivermectine ne sont pas mieux réalisés par toute personne ayant un conflit d’intérêts financier et idéologique dans les investissements dans les vaccins. L’OMS ne devrait pas fonder son opinion sur l’ivermectine sur des essais menés par la fondation Gates. GAVI a récemment diffusé sur Google des annonces « pourquoi l’ivermectine n’est pas recommandée » Le traitement précoce est une menace scientifique pour l’industrie mondiale de la vaccination.

L’OMS doit prouver qu’elle a suivi un processus scientifique et éthique dans sa recommandation contre l’utilisation de l’ivermectine. La confiance du public est cruciale pour vaincre la pandémie. Le procès-verbal de la réunion, où la recommandation contre l’ivermectine a été prise, doit être rendu public. Sans cela, la recommandation reste embourbée dans des soupçons de dépassement des entreprises. On doit nous dire, et nous montrer les factures, qui a payé pour l’étude McMaster qui a informé la recommandation de l’OMS contre l’ivermectine et tout conflit d’intérêts.

Le procès Together nécessite des contrôles publics et une surveillance indépendante. Nous ne pouvons pas permettre qu’un autre essai dictant une politique de santé mondiale soit accepté comme « gold standard » par l’OMS, sans avoir répondu aux questions et examiné les conflits commerciaux et idéologiques des bailleurs de fonds.

De nombreux ECR ont prouvé l’efficacité de l’ivermectine et réaffirmé sa sécurité. Les essais sur l’ivermectine nécessaires portent sur le dosage, à divers stades de la maladie, y compris la prophylaxie. Nous devrions commencer à l’utiliser immédiatement.
 

Notez que les opinions exprimées dans cet article d’opinion sont les opinions personnelles de l’auteur et pas nécessairement celles de TrialSite.

Auteur(s): Andrew Bannister, traduit par FranceSoir




Ce que je sais et ne sais pas sur le virus SRAS-CoV-2

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Edward Curtin

Après quinze mois de lecture, d’étude, d’observation et de recherche assidues, j’en suis arrivé à quelques conclusions sur ce qu’on appelle le COVID-19.

Je tiens à souligner que j’ai fait ce travail obsessionnel car il semblait si important. J’ai consulté des informations et des arguments sur tous les médias, corporatifs et alternatifs, universitaires, médicaux, livres, etc.
J’ai consulté des chercheurs du monde entier. J’ai lu les sites Web des CDC, de l’Organisation mondiale de la santé et des organisations gouvernementales et non gouvernementales de la santé. En d’autres termes, je n’ai laissé aucun effort, malgré les penchants politiques manifestes ou cachés des sources. Je l’ai fait en tant que sociologue et écrivain, et non en tant que médecin, bien que beaucoup de mes sources aient été des médecins et des études médicales.

Mes conclusions succinctes suivent sans liens avec les sources, car je n’essaie de persuader personne de quoi que ce soit, mais simplement de déclarer pour le compte rendu public ce que j’ai conclu. La vie est courte. Je vais le dire maintenant.

Je sais qu’un grand nombre de personnes ont été hypnotisées par la peur, les menaces et les pots-de-vin pour accepter la version de COVID-19 des médias grand public. J’ai conclu que plusieurs millions de personnes sont en « état de transe » et ne le savent pas. Ils ont été induits en erreur dans cet état par une campagne de propagande bien organisée et très sophistiquée qui s’est inspirée de la peur humaine de la mort et de la maladie. Ceux qui sont derrière cela ont sans aucun doute étudié la forte incidence de l’hypocondriase dans la population générale et la peur d’un « virus » invisible dans les sociétés où la croyance en Dieu et en l’invisible spirituel a été remplacée par la foi en la science. Connaissant bien leur public, ils ont concocté une campagne de peur et de confusion pour induire l’obéissance.

Je ne sais pas, mais je soupçonne que ceux qui ont été si hypnotisés ont tendance à être principalement des membres de la classe moyenne à la classe supérieure, ceux qui ont tant investi dans le système. Cela inclut les personnes très scolarisées.

Je sais que pour enfermer des centaines de millions de personnes en bonne santé, insister sur le port de masques inutiles, pour leur dire d’éviter les contacts humains, pour détruire la vie économique des personnes ordinaires, ont créé de vastes souffrances qui visaient à enseigner aux gens une leçon sur qui contrôlaient et qu’ils révisaient mieux leur compréhension des relations humaines pour s’adapter à la nouvelle irréalité numérique que les producteurs de cette mascarade tentent de mettre en place de la chair et du sang, face à face à la réalité humaine.

Je sais que le test PCR inventé par Kary Mullis ne peut pas tester le virus présumé ou tout virus et que, par conséquent, tout le nombre de cas et de décès est basé sur absolument rien. Ils sont le fruit d’un tour de passe-passe, d’un immense tour de magie. Je sais que la conviction que le virus peut être testé a commencé avec le protocole non scientifique PCR Corona [le premier test de diagnostic simple de la COVID-19] créé par Christian Drosten en Allemagne en janvier 2020. Ce dernier est devenu la méthode standard de test du CoV-2 du SRAS dans le monde entier. Je suis sûr que cela a été planifié à l’avance et qu’il faisait partie d’une conspiration de haut niveau. Ce protocole a fixé le seuil de cycle (amplification) à 45, ce qui ne pouvait donner que de faux résultats positifs. On les appelait alors des cas : Un acte de fraude à grande échelle.

Je ne sais pas si le prétendu virus a déjà été isolé dans le sens où il était purifié ou isolé de tout le reste, à part être cultivé en laboratoire. Par conséquent, je ne sais pas si le virus existe.

Je sais que les « vaccins » expérimentaux à l’ARNm que l’on impose à tout le monde ne sont pas des vaccins traditionnels, mais des expériences dangereuses dont les conséquences à long terme sont inconnues. Et je sais que Moderna dit que son « vaccin » non vaccinal à ARN messager (ARNm) fonctionne « comme un système d’exploitation sur un ordinateur » et que le Dr. Robert Malone, inventeur de la technologie du vaccin à ARNm, affirme que les nanoparticules lipidiques des injections voyagent dans tout le corps et s’installent en grande quantité dans de multiples organes où la protéine de pointe, étant biologiquement active, peut causer des dommages massifs et que la FDA le sait. En outre, je sais que des dizaines de milliers de personnes ont subi des effets indésirables de ces injections et que plusieurs milliers en sont mortes et que ces chiffres sont grandement sous-estimés en raison des systèmes de déclaration de ces cas. Je sais qu’avec ce nombre [déclaré] de victimes dans le passé, ces injections expérimentales auraient été arrêtées il y a longtemps ou n’auraient jamais commencé. Le fait que la vaccination se poursuit malgré tout, me persuade qu’un programme extrêmement diabolique est en cours dont le but est de nuire à la santé parce que les responsables savent ce que je sais et bien plus encore.

Je ne sais pas d’où vient ce prétendu virus, s’il existe.

Je sais que dès le début de cette crise, il y a eu un effort concerté dans le monde entier pour refuser l’accès à des traitements efficaces éprouvés tels que l’hydroxychloroquine, les stéroïdes, l’ivermectine dans un effort planifié pour vacciner le plus grand nombre de personnes possible. Cela révèle à lui seul un programme centré non pas sur la santé, mais sur la volonté d’amener le plus grand nombre de personnes possible à se faire vacciner et à être contrôlées.

Le contrôle social est le nom de ce scénario meurtrier.

Je sais que les promoteurs de la vaccination Covid-19 – le Forum économique mondial, l’Organisation mondiale de la santé, la Fondation Gates, la Fondation Rockefeller, etc. – ont une longue histoire de volonté de réduire considérablement la population mondiale et que leur promotion de l’eugénisme sous divers noms est très bien connue. Je suis convaincu que la « thérapie génique » de type ARNm non encore testée est la clé de leur plan de réduction de la population.

Je ne sais pas s’ils réussiront.

Je sais qu’il faut nous y opposer.

Je ne sais pas pourquoi il y a autant de citoyens honnêtes qui n’arrivent pas à voir le problème. Je ne peux que l’attribuer au fait qu’elles ont été victimes d’une campagne de propagande gigantesque et hypnotique se servant de leurs peurs les plus profondes et qui aboutira à la manifestation de ces peurs sous prétexte qu’ils pensaient être libres. C’est une grande tragédie.

Je sais que toutes les statistiques sur les cas et les décès « dus » à » COVID-19 ont été manipulées pour créer une fausse pandémie. L’une des preuves les plus évidentes en est la disparition présumée de la grippe et les décès dus à la grippe. Seule une personne en transe pouvait ne pas comprendre la logique absurde de l’argument selon lequel c’était le résultat du port du masque alors que le COVID-19  d’origine aérienne s’est répandu comme une traînée de poudre jusqu’à ce qu’il s’arrête brusquement en janvier 2021 alors qu’un nombre infime de personnes avaient été vaccinées.

Je sais qu’il n’y a guère eu de surmortalité.

Je ne sais pas où tout cela va s’arrêter, mais j’espère contre toute attente que l’opposition croissante à cette fraude se développera et la fera échouer malgré la censure organisée, qui est en cours, contre les opinions dissidentes.

Je sais que lorsque la censure organisée à cette échelle a lieu, ceux qui sont derrière elle ont peur de la révélation de la vérité. Une simple compréhension de l’histoire le confirme.

Je sais que le sursis temporaire accordé par les autorités à leurs sujets sera suivi de nouvelles restrictions aux libertés fondamentales, que les confinements du virus corona reviendront probablement, que les rappels de « vaccins » seront promus et que la pression du Forum économique mondial pour une grande réinitialisation avec une quatrième révolution industrielle conduira au mariage de l’intelligence artificielle, des cyborgs, de la technologie numérique et de la biologie avec les États-Unis et d’autres pays continuant à glisser dans une nouvelle forme de contrôle fasciste à moins que des gens du monde entier ne se lèvent et ne résistent en grand nombre. Je suis rassuré par les signes qui montrent que cette résistance se fait de plus en plus sentir.

Enfin, je sais que si les forces autoritaires gagnent la bataille immédiate, quelqu’un écrira un livre avec un titre comme celui du classique de Milton Mayer, They Thought They Were Free. Il sera censuré. Peut-être sera-t-il d’abord partagé via samizdat. Mais à la fin, après beaucoup de souffrances et de morts, la vérité sur ce mauvais programme prévaudra et il y aura beaucoup de pleurs et de grincements de dents.

Nous sommes dans une guerre spirituelle pour l’âme du monde [une guerre psychologique pour la conquête du monde].

Edward Curtin

Article original en anglais :

What I Know and Don’t Know about SARS-CoV-2 Virus

Traduit par Maya pour Mondialisation


Edward Curtin est un auteur, un chercheur et un sociologue éminent basé dans l’ouest du Massachusetts.

Il est associé de recherche du Centre de recherche sur la mondialisation (CRG).

Il est l’auteur de Seeking the Truth in a Country of Lies

Pour commander son livre, cliquez sur la page couverture

« Chercher la vérité dans un pays de mensonges est un voyage éblouissant au cœur de nombreuses questions – politiques, philosophiques et personnelles – qui devraient nous préoccuper tous. Ed Curtin a le toucher du poète et l’œil d’un aigle. » 

Robert F. Kennedy, Jr.

« Edward Curtin met nos têtes farcies par la propagande dans une guillotine, puis en un éclair nous emmène dans une promenade rédemptrice dans les bois – de l’enfer au paradiso. Marchez avec Ed et ses amis – Daniel Berrigan, Albert Camus, George Orwell et bien d’autres – à travers les bois les plus sombres et les plus remplis de lucioles de cette terre. » 

James W. Douglass, auteur, JFK et l’indicible

« Un exposé puissant de la CIA et de notre État secret… Curtin est un ardent défenseur de la réforme de longue date ; ses histoires vous réveilleront le cœur. » 

Oliver Stone, cinéaste, écrivain et réalisateur

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Edward Curtin, Mondialisation.ca, 2021




Douze morts du Covid en Belgique : tous étaient vaccinés

[Source : infodujour.fr]

[Photo : © Google]

Par Infodujour

Intrigante épidémie de Covid au sein de la maison de repos « Nos Tayons » à Nivelles en Belgique. Qui interroge les scientifiques.

Jean-Michel Wendling
Dr Jean-Michel Wendling (DR)

Par Jean-Michel Wendling

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L’établissement belge a vu une vague de résidents infectés malgré une vaccination complète conduite avec double dose en janvier de cette année. Selon la directrice Anne-Catherine Roobaert que nous avons contactée, « la phase critique est derrière nous ».

La moitié des résidents vaccinés ont été infectés et 12 décès

« A ce jour, le bilan est le suivant : près de la moitié des 117 résidents complètement vaccinés en janvier (vaccin Pfizer) ont été infectés entre mai et juin, explique la directrice. Ce sont 55 résidents qui ont été touchés dont 52 des 117 vaccinés (44%). Malheureusement, nous avons 12 personnes vaccinées qui sont décédées et encore 2 personnes diabétiques en situation instable actuellement hospitalisées. Le bilan est donc très sérieux et interroge »
On sait bien que la vaccination n’est jamais protectrice à 100% mais dans le cas de cet établissement, on est loin de ce qui est annoncé. L’expérience de Nivelles en est la preuve. C’est le variant indien qui a été identifié majoritairement chez ces personnes âgées.

Les soignants aussi

Trois des quatre personnes non vaccinées (75%) ont été touchées mais sans conséquences graves pour elles : l’une d’entre elles est asymptomatique et une autre est actuellement sous oxygène, mais va bien.
Les visites des familles avaient repris et un bon nombre de résidents se sentaient en sécurité et se retrouvaient dans les salles communes et en salle de repas collectif : dès les premiers cas, le 17 mai, ces mesures ont été suspendues et un confinement a été mis en place précise Anne-Catherine Roobaert.
Du côté des soignants, 20 personnes environ ont également été contaminées parmi les 135 personnels de l’établissement dont 60 % d’entre elles étaient également majoritairement vaccinées par le vaccin Pfizer et Astra Zeneca pour quelques-unes.

Questions sur les vaccins

Une couverture vaccinale de 60% des soignants au contact avec les résidents était obtenue, ce qui peut paraître insuffisant. L’insuffisante couverture vaccinale du personnel soignant est sans doute le premier « trou dans la raquette ».
Les gestes barrières comme le lavage des mains très perfectible dans la population générale et chez les visiteurs et le port du masque restent également des axes forts de la protection des vulnérables.
Concrètement, les experts s’intéressent maintenant aux conditions dans lesquelles les vaccins ont été conservés et administrés. Des analyses de la qualité de l’air sont également réalisées en coordination avec le Professeur Emmanuel André : des équipements ont été installés à cet effet et les résultats vont être bientôt révélés.

Résultats encourageants

« Un traçage plus approfondi va être réalisé pour savoir d’où peut provenir le patient zéro, ajoute Anne-Catherine Roobaert. De plus, nous continuons à tester. Les résidents et le personnel subiront un test sérologique aujourd’hui et nous effectuerons deux tests PCR par semaine jusqu’à ce que nous n’ayons plus de nouveaux cas. »
Les derniers tests PCR réalisés la semaine dernière ont donné des résultats encourageants. Parmi les résidents qui ont été négatifs jusqu’à présent, seuls deux ont cette fois-ci été testés positifs (avec des symptômes légers) et isolés. Parmi le staff, c’est encore mieux, plus personne n’est positif.
« Ce foyer survenu dans une maison de retraite représente une alerte qu’il faut donc prendre très au sérieux. Nous ne pouvons pas miser entièrement l’ensemble de notre stratégie de lutte contre la pandémie sur la seule vaccination » explique le professeur Antoine Flahaut à nos confrères du journal Atlantico. « La vaccination est bien sûr un allié très précieux dans la lutte, mais on constate qu’elle nécessite un très haut niveau de couverture pour être efficace ».

Une enquête épidémiologique

Les essais cliniques ont pourtant montré une très grande efficacité des vaccins y compris chez les personnes âgées et toutes les données que ce soit de l’expérience acquise en Israël, au Royaume-Uni ont montré une très bonne protection contre le virus : les variants vont-ils remettre en question ces résultats ? On n’a pas encore un recul suffisant sur la durée de l’immunité conférée par les vaccins, mais dans ce cas précis, la vaccination complète date de 4 mois et demi.
Pourquoi la Covid-19 a-t-il infecté autant de personnes vaccinées et pourquoi a-t-il causé autant de morts, alors que la maison de retraite a été épargnée jusqu’à présent ? Pourquoi un tel impact alors que le taux de vaccination est proche de 100 % chez les résidents et de près de 70 % chez le personnel ? L’enquête épidémiologique doit répondre à ces questions. « Tout sera vraiment scruté, explique Lara Kotlar, porte-parole d’AVIQ, l’Agence wallonne pour la qualité de vie. Nous voulons vraiment une enquête à 360° pour comprendre ce qui a pu se passer là-bas. Il s’agit encore d’un cas isolé et nous espérons qu’il le restera…  »

*Le Dr Jean-Michel Wendling, spécialiste prévention santé au travail à Strasbourg, est consultant scientifique pour infodujour.fr

[Voir aussi : Douze morts du Covid à la résidence Nos Tayons à Nivelles: une enquête épidémiologique pour tenter de comprendre ce qui s’est passé (rtbf.be)]




Comment les Britanniques ont inventé George Soros

[Source : reseauinternational.net]

Par Richard Poe

EN 1993, beaucoup en Europe se sont sentis trahis.

Certains se sont plaints d’un « complot anglo-saxon ».

La Grande-Bretagne avait rejeté l’union monétaire avec l’Europe, affirmant qu’elle s’en tiendrait à la livre sterling.

Les esprits se sont échauffés. Les langues se sont déliées. La rhétorique a commencé à devenir franchement raciste.

« Il y a une sorte de complot », a déclaré le ministre belge des Affaires étrangères, Willy Claes. « Dans le monde anglo-saxon, il existe des organisations et des personnalités qui préfèrent une Europe divisée ».

« Les institutions financières anglo-saxonnes » sapent les efforts de l’Europe pour unifier les monnaies, a accusé Raymond Barre, ancien premier ministre français.

S’exprimant devant le Parlement européen, Jacques Delors, président de la Commission européenne, s’est emporté contre « les Anglo-Saxons ».

Depuis que les cuirassiers de Napoléon ont chargé les lignes britanniques à Waterloo, le monde francophone n’avait pas explosé dans une telle fureur contre la perfide Albion. Les tensions se sont dangereusement intensifiées.

Pas d’inquiétude, cependant.

L’aide était en route.

Le coup d’éclat de Soros

Roger Cohen, né et élevé en Angleterre, éduqué à Oxford, mais qui écrit maintenant pour le New York Times, entre en scène.

Cohen a sournoisement réorienté le débat.

Il a appelé le bureau de Willy Claes et a demandé au porte-parole Ghislain D’Hoop d’de nommer les comploteurs « anglo-saxons ».

Il y en avait beaucoup, a répondu D’Hoop. Mais l’un d’entre eux était George Soros.

D’Hoop était tombé dans le piège.

Il avait donné à Cohen ce qu’il voulait.

Dans un article du New York Times du 23 septembre 1993, Cohen a noté avec ironie :

« Mais M. Soros ne correspond pas à la définition traditionnelle d’un anglo-saxon. C’est un juif d’origine hongroise qui parle avec un accent prononcé ».

Cohen avait habilement réorienté le débat.

Au lieu d’un « complot anglo-saxon », Cohen a présenté un complot de George Soros.

Dans un article de 900 mots qui prétendait discuter de la crise monétaire en Europe, Cohen a consacré un tiers de l’article à Soros, s’étalant longuement sur « l’opprobre » injuste que Soros avait subi pour avoir spéculé sur la livre sterling en 1992 et sur le franc français en 1993.

Alors que Cohen prétendait défendre Soros, son article a eu l’effet inverse.

Cohen a en fait attiré l’attention sur Soros, faisant de lui la pièce maîtresse d’une histoire qui ne concernait pas du tout Soros, ou du moins qui n’aurait pas dû.

Cohen a ainsi déployé l’une des armes les plus puissantes de l’arsenal de guerre psychologique britannique.

Je l’appelle la Psyop Soros.

Fournir une couverture

Dans mon article précédent, « Comment les Britanniques ont inventé les révolutions de couleur », j’ai expliqué comment les agents de la guerre psychologique britannique ont développé des coups d’État sans effusion de sang et d’autres technologies comportementales pour manipuler les gouvernements étrangers de manière discrète et silencieuse dans l’ère post-coloniale.

Depuis 1945, la stratégie de la Grande-Bretagne a consisté à faire le mort, à faire profil bas et à laisser les Américains faire le gros du travail de police dans le monde.

Cependant, discrètement, sous le radar, la Grande-Bretagne reste profondément impliquée dans les intrigues impériales.

L’une des façons dont la Grande-Bretagne dissimule ses opérations est d’utiliser George Soros et d’autres personnes comme lui comme couverture.

Le méchant désigné

Lorsque les agents britanniques s’engagent dans des interventions secrètes visant à déstabiliser des régimes ou à saper des monnaies, George Soros semble toujours surgir comme un diable d’une boîte, s’exhibant devant les caméras, faisant des déclarations provocantes et faisant généralement tout ce qu’il peut pour attirer l’attention sur lui.

Il est ce que les professionnels du renseignement appellent une opération « bruyante ».

Soros est le méchant désigné, le bouc émissaire.

Il prend délibérément la responsabilité des choses, même lorsqu’il n’est pas à blâmer.

C’est une façon étrange de gagner sa vie. Mais cela semble bien payer.

« L’homme qui a fait sauter la Banque d’Angleterre »

Jusqu’en 1992, la plupart des gens n’avaient jamais entendu parler de Soros.

Puis les médias britanniques l’ont nommé « L’homme qui a fait sauter la Banque d’Angleterre ». Soros est devenu une célébrité du jour au lendemain.

L’histoire raconte que Soros a spéculé sur la livre sterling, a forcé une dévaluation et est reparti avec un (ou peut-être deux) milliards de dollars de bénéfices.

En réalité, Soros n’était qu’un des nombreux spéculateurs qui ont parié contre la livre, forçant une dévaluation de 20% le « mercredi noir », le 16 septembre 1992.

Certaines des plus grandes banques du monde ont participé à l’attaque, ainsi que divers fonds spéculatifs et fonds de pension. Pourtant, les médias britanniques se sont concentrés presque exclusivement sur Soros, affirmant que ce dernier avait dirigé l’attaque et était censé en tirer le plus d’argent.

En fait, ces affirmations sont peu fondées, au-delà des fanfaronnades de Soros lui-même.

Soros devient une célébrité

Les cambistes mondiaux sont notoirement secrets, craignant l’indignation du public et la surveillance des gouvernements.

Près de six semaines après le mercredi noir, personne ne savait vraiment qui avait fait s’effondrer la livre sterling.

Puis quelque chose d’inattendu s’est produit.

Soros a avoué !

Le 24 octobre 1992, le Daily Mail britannique a publié en première page un article montrant un Soros souriant tenant un verre, avec le titre « J’ai gagné un milliard avec l’effondrement de la livre ».

Le Daily Mail avait réussi à mettre la main sur un rapport trimestriel du Quantum Fund de Soros.

Soros affirme avoir été surpris et alarmé par la fuite dans la presse. Mais il a eu une étrange façon de le montrer. Soros s’est adressé directement au Times de Londres et a confirmé l’histoire, se vantant que tout était vrai.

Il va même jusqu’à déclarer : « Nous [à Quantum] avons certainement été le facteur le plus important du marché… ».

Et c’est ainsi que le matin du 26 octobre 1992, un titre en première page du Times proclame que Soros est « L’homme qui a fait sauter la Banque d’Angleterre ».

Dans les mois qui suivent, le Times allait devenir le principal promoteur de la légende Soros.

Protecteurs cachés

Dans un article paru le 15 janvier 1995 dans le New Yorker, Connie Bruck se souvient de l’étonnement qui a envahi le monde financier à la suite de la confession publique de Soros. Elle écrit :

« Les collègues de Soros dans la communauté financière – notamment certains directeurs et actionnaires de Quantum – ont été stupéfaits par ses révélations publiques ; aujourd’hui encore, beaucoup se disent déconcertés par son action. Une personne de la communauté des fonds spéculatifs m’a dit : “Pourquoi faire la lumière sur ce sujet ? Pourquoi attirer l’attention sur vous ?” »

Ces financiers n’ont pas saisi la situation dans son ensemble. Ils n’ont pas compris que Soros jouait dans une autre catégorie, à un autre jeu.

Il n’était pas seulement un spéculateur.

C’était un opérateur de guerre psychologique.

L’homme qui a créé George Soros

L’homme principalement responsable de la promotion de Soros au cours de cette période est Lord William Rees-Mogg, un éminent journaliste et membre de la Chambre des Lords.

Le Financial Times l’a appelé « l’un des plus grands noms du journalisme britannique ».

Lord William est décédé en 2012.

Il a été rédacteur en chef du Times pendant 14 ans (1967-1981), puis vice-président de la BBC.

Il était un ami et un confident de la famille royale, un ami proche et un associé de Lord Jacob Rothschild, et le père du politicien britannique Jacob Rees-Mogg.

Plus que quiconque, c’est à Lord William que l’on doit la transformation de George Soros en une véritable arme.

Soros, sauveur de la Grande-Bretagne

Lorsque le Daily Mail a accusé Soros de faire s’effondrer la livre, le Times est intervenu pour expliquer que Soros était un héros, qui avait en fait sauvé la souveraineté britannique.

Dans un article publié en première page le 26 octobre 1992, le Times explique que Soros a peut-être sauvé le pays de l’effondrement économique et de l’asservissement à l’UE.

La dévaluation de la livre avait contraint la Grande-Bretagne à se retirer du Mécanisme de Change européen (MCE), mettant ainsi un terme aux projets britanniques d’adhésion à l’union monétaire européenne, explique le Times.

Lord William Rees-Mogg s’est montré particulièrement franc dans la défense de Soros.

« La Grande-Bretagne a eu la chance d’être contrainte de quitter le MCE », écrit Rees-Mogg dans sa chronique du 1er mars 1993 dans le Times. « La politique économique de George Soros, pour une somme modique, a corrigé celle du premier ministre John Major ».

Dans les colonnes suivantes, Rees-Mogg est devenu de plus en plus dithyrambique dans son éloge de Soros. Il a déclaré que Soros avait « sauvé » le Royaume-Uni, que Soros était un « bienfaiteur de la Grande-Bretagne » et qu’une statue de Soros devrait être « érigée sur la place du Parlement, en face du Trésor ».

L’agenda mondialiste

En fait, Rees-Mogg induisait ses lecteurs en erreur.

Il ne soutenait pas la souveraineté britannique. Rees-Mogg était un mondialiste, qui pensait que l’État-nation n’avait plus d’utilité.

Quelles que soient les raisons pour lesquelles il s’oppose à l’union monétaire avec l’Europe, le patriotisme britannique n’en fait pas partie.

Rees-Mogg a exposé ses convictions mondialistes dans une série de livres coécrits avec l’écrivain américain James Dale Davidson, spécialiste en investissements.

Dans « L’individu souverain » (1997), les auteurs ont prédit que les « nations occidentales » allaient bientôt « s’effondrer à la manière de l’ancienne Union soviétique », pour être remplacées par de minuscules juridictions « semblables à des cités-États » qui « émergeraient des décombres des nations ».

Les auteurs prédisent que « certaines de ces nouvelles entités, à l’instar des Templiers et d’autres ordres religieux et militaires du Moyen Âge, pourraient contrôler des richesses et une puissance militaire considérables sans contrôler aucun territoire fixe ».

Comme à l’époque du « féodalisme », ont écrit Rees-Mogg et Davidson, « les personnes à faible revenu des pays occidentaux » survivraient en s’attachant à des « ménages riches en tant que serviteurs ».

En d’autres termes, les classes inférieures retourneraient au servage.

Tout cela était pour le mieux, écrivent les auteurs, car cela permettait aux « personnes les plus compétentes » – c’est-à-dire les « cinq pour cent supérieurs » – de vivre où elles le souhaitent et de faire ce qu’elles veulent, sans loyauté ni obligation envers une nation ou un gouvernement particulier.

À mesure que l’ère de « l’individu souverain » prend forme, concluent les auteurs, « de nombreuses personnes parmi les plus douées cesseront de se considérer comme faisant partie d’une nation, comme étant « britanniques », « américaines » ou « canadiennes ». Une nouvelle compréhension « transnationale » ou « extranationale » du monde et une nouvelle façon d’identifier sa place dans ce monde attendent d’être découvertes au cours du nouveau millénaire ».

Ce ne sont pas les paroles d’un patriote.

Le nouveau féodalisme

En fait, il n’y avait rien de nouveau dans la « nouvelle voie » promise par Rees-Mogg dans son livre.

Descendant d’une ancienne famille de propriétaires terriens, Rees-Mogg sait que le mondialisme a toujours été le credo des classes titrées, dont la seule véritable loyauté va à leur famille.

La série Harry Potter constitue une métaphore pertinente du monde d’aujourd’hui, dans lequel les familles d’élite se déplacent de manière invisible parmi les « moldus » ou les roturiers, dirigeant discrètement les choses en coulisse, tout en se cachant au grand jour.

Dans les années 1990, les familles privilégiées comme celle de Rees-Mogg en ont eu assez de se cacher. Elles se languissaient du bon vieux temps, quand elles pouvaient vivre ouvertement dans leurs châteaux et commander leurs serfs.

Le politologue d’Oxford Hedley Bull s’est adressé à cette foule lorsqu’il a prédit, dans son livre de 1977 intitulé « La société anarchique », que « les États souverains pourraient disparaître et être remplacés non pas par un gouvernement mondial mais par un équivalent moderne et séculaire du… Moyen Âge ».

La prévision de Bull d’un nouveau médiévisme a trouvé un écho auprès des élites britanniques.

Avec l’effondrement de l’Union soviétique, Rees-Mogg et d’autres de sa classe ont commencé à célébrer ouvertement la fin de l’État-nation et la montée d’un nouveau féodalisme.

Le rétablissement de l’ordre féodal est, en fait, le but véritable et caché du mondialisme.

À propos de ce « complot anglo-saxon »…

L’éloge extravagant de George Soros par Rees-Mogg a éveillé les soupçons sur le continent d’un « complot anglo-saxon ».

D’autres soupçons ont surgi lorsque J.P. Morgan & Co. et sa filiale Morgan Stanley se sont avérées être complices de la dévaluation de la livre.

Bien que nominalement américaines, ces banques avaient des liens historiques forts avec la Grande-Bretagne.

L’activité principale de J.P. Morgan a toujours été de servir de façade aux investisseurs britanniques en Amérique. Les chemins de fer américains et d’autres industries ont été en grande partie construits grâce à des capitaux britanniques, dont une grande partie a été distribuée par les banques Morgan.

Junius S. Morgan, le père de J.P., a lancé l’entreprise familiale en 1854, en s’installant dans les bureaux londoniens de Peabody, Morgan & Co. et en restant en Angleterre pendant les 23 années suivantes.

Les liens de la famille Morgan avec la Grande-Bretagne sont profonds.

Dans la période précédant le mercredi noir, J.P. Morgan & Co. a spéculé agressivement sur la livre sterling. Parallèlement, sa banque sœur Morgan Stanley a accordé des prêts massifs à Soros, lui permettant de faire de même.

Les allégations d’un « complot anglo-saxon » ne semblent pas farfelues, au vu de ces faits.

Il semble probable que Soros et d’autres spéculateurs étrangers n’aient fait que couvrir ce qui était, en fait, une opération de guerre économique britannique contre sa propre banque centrale.

Comment les Britanniques ont recruté Soros

Comme l’a noté Roger Cohen dans le New York Times, George Soros n’est pas un « anglo-saxon ». Alors comment s’est-il retrouvé mêlé à ce complot anglo-saxon ?

Le jeune Soros a été recruté par la London School of Economics (LSE). Là, il a été façonné pour devenir une arme du « soft power » britannique.

Dans un article précédent intitulé « Comment les Britanniques ont vendu le mondialisme à l’Amérique », j’ai expliqué comment la Grande-Bretagne utilise le « soft power » (séduction et cooptation) pour construire des réseaux d’influence dans d’autres pays.

La Grande-Bretagne se considère comme « la première puissance douce du monde », selon la Strategic Defence and Security Review de 2015 du Royaume-Uni.

Les Britanniques doivent leur statut de numéro un, en grande partie, à leur recrutement agressif d’étudiants étrangers dans les universités britanniques, un effort qui est considéré comme une priorité de sécurité nationale, supervisé par le British Council, une branche du Foreign Office.

La Strategic Defence and Security Review de 2015 note que « 1,8 million d’étudiants étrangers reçoivent une éducation britannique chaque année » et que « plus d’un quart des dirigeants mondiaux actuels ont étudié au Royaume-Uni ».

Après l’obtention de leur diplôme, ces anciens élèves britanniques sont surveillés de près par le Ministère britannique des Affaires étrangères.

Selon un livre blanc publié en 2013 par le gouvernement britannique, les anciens élèves qui semblent se diriger vers de hautes sphères sont encouragés à chercher à « s’engager davantage » avec d’autres anciens élèves britanniques, dans le but de former « un réseau de personnes occupant des postes d’influence dans le monde et pouvant promouvoir les objectifs de la politique étrangère britannique… »

Recrue modèle

George Soros est un triomphe de la stratégie de soft-power de la Grande-Bretagne.

Non seulement il a accédé à une « position d’influence » après avoir obtenu son diplôme, mais il est resté proche de ses mentors britanniques et a promu leurs enseignements.

Soros a nommé son réseau de fondations Open Society en l’honneur de son professeur à la LSE, Karl Popper, dont la théorie de la « société ouverte » guide l’activisme de Soros jusqu’à ce jour.

L’œuvre maîtresse de Popper, « La Société ouverte et ses ennemis », publiée en 1949, est une défense philosophique de l’impérialisme, en particulier de l’impérialisme libéral britannique, tel qu’il a été adopté par les fondateurs de la LSE.

Les socialistes fabiens qui ont fondé la LSE pensaient que l’expansion britannique était la plus grande force civilisatrice dans un monde autrement barbare.

Dans son livre, Popper défendait expressément la conquête impériale comme une première étape dans l’élimination des identités tribales et nationales, pour ouvrir la voie à un « Empire universel de l’homme ».

« Les préjugés britanniques »

Soros est arrivé à Londres en 1947, réfugié de la Hongrie occupée par les Soviétiques.

Il a vécu en Angleterre pendant neuf ans, de 17 à 27 ans (d’août 1947 à septembre 1956).

Diplômé de la LSE en 1953, Soros obtient son premier emploi dans la finance chez Singer & Friedlander, une banque d’affaires londonienne.

Soros admet qu’il s’est installé aux États-Unis uniquement pour gagner de l’argent.

Il prévoit d’y rester cinq ans, puis de retourner en Angleterre.

« Je ne me souciais pas particulièrement des États-Unis », a-t-il déclaré à son biographe Michael Kaufman, dans « Soros : La vie et l’époque d’un milliardaire messianique ». « J’avais acquis certains préjugés britanniques de base ; vous savez, les États-Unis étaient, eh bien, commerciaux, grossiers, et ainsi de suite ».

Société ouverte contre société fermée

Le dédain pour les États-Unis n’est pas le seul « préjugé britannique » que Soros a acquis à la LSE. Il a également développé une forte aversion pour l’État-nation lui-même, suivant en cela l’exemple de Karl Popper.

Dans « La société ouverte et ses ennemis », Popper enseigne que la race humaine évolue d’une société « fermée » vers une société « ouverte ».

Le catalyseur de cette transformation est « l’impérialisme », explique-t-il.

Les sociétés fermées sont tribales et ne se préoccupent que de ce qui est le mieux pour la tribu, tandis qu’une société « ouverte » cherche ce qui est le mieux pour toute l’humanité.

Popper admet que les sociétés tribales semblent attrayantes à première vue. Les peuples tribaux sont étroitement liés par « la parenté, la vie commune, le partage d’efforts communs, de dangers communs, de joies communes et de détresse commune ».

Pourtant, les peuples tribaux ne sont jamais vraiment libres, selon Popper. Leur vie est régie par la « magie » et la « superstition », par les « lois », les « coutumes » et les « tabous » de leurs ancêtres.

Ils sont pris dans une routine à laquelle ils ne peuvent échapper.

En revanche, une société « ouverte » n’a ni tabous ni coutumes, ni tribus ni nations. Elle n’est composée que « d’individus », libres de faire ou de penser ce qu’ils veulent.

« L’empire universel de l’homme »

Selon Popper, toutes les sociétés commencent par être « fermées », mais deviennent ensuite « ouvertes » grâce à « l’impérialisme ».

Lorsqu’une tribu devient suffisamment forte pour conquérir d’autres tribus, les sociétés « fermées » sont obligées de « s’ouvrir » au conquérant, tandis que le conquérant « s’ouvre » également aux coutumes des conquis.

« Il est nécessaire, je crois, que l’exclusivité et l’autosuffisance tribalistes ne puissent être remplacées que par une certaine forme d’impérialisme », conclut Popper.

Les empires rendent les tribus et les nations obsolètes, dit Popper. Ils fournissent un gouvernement unique, avec un seul ensemble de règles pour tous.

Popper rêvait d’un « Empire universel de l’homme » qui répandrait la « société ouverte » aux quatre coins du monde.

Le fruit défendu

À bien des égards, l’Empire est plus « tolérant » que la tribu, affirme Popper. Les peuples détribalisés découvrent qu’ils sont libres de faire et de dire beaucoup de choses qu’ils considéraient auparavant comme « taboues ».

Mais il y a une chose que l’Empire ne peut tolérer : le tribalisme lui-même.

Popper a averti que l’humanité ne pouvait qu’avancer, et non reculer. Il a comparé la « société ouverte » au fait de manger le fruit de l’arbre de la connaissance. Une fois que vous avez goûté au fruit défendu, les portes du Paradis sont fermées.

Vous ne pourrez jamais retourner à la tribu. Ceux qui essaient deviendront des fascistes.

« Nous ne pourrons jamais revenir à l’… innocence et à la beauté de la société fermée… », prévient Popper. « Plus nous essayons… plus nous arrivons sûrement à… la police secrète, et… au gangstérisme romancé. … Il n’y a pas de retour à un état de nature harmonieux. Si nous faisons demi-tour, alors nous devons faire tout le chemin – nous devons retourner aux bêtes ».

L’empire socialiste

Les idées de Popper n’étaient pas originales. Il ne faisait qu’épouser la doctrine de l’impérialisme libéral à laquelle la London School of Economics était dédiée.

La LSE a été fondée en 1895 par quatre membres de la Fabian Society, dont Sidney et Beatrice Webb, George Bernard Shaw et Graham Wallas.

Tous étaient de fervents impérialistes, ainsi que des socialistes, ne voyant aucun conflit entre les deux. En effet, les Fabiens considéraient l’Empire britannique comme un excellent vecteur de diffusion de « l’internationalisme » socialiste.

Dans un tract de 1901 intitulé « La politique du vingtième siècle : Une politique d’efficacité nationale », Sidney Webb appelle à la fin des « droits abstraits basés sur les ‘nationalités’ ». Rejetant ce qu’il appelle la « fervente propagande de la ‘Home Rule’ irlandaise », Webb condamne tout mouvement qui prône « l’auto-gouvernement » fondé sur la « notion tribale obsolète » de « l’autonomie raciale ».

Au contraire, Webb soutenait que le monde devait être divisé en « unités administratives » basées uniquement sur la géographie, « quel que soit le mélange de races », comme l’illustre « ce grand commonwealth de peuples appelé l’Empire britannique » qui comprenait « des membres de toutes les races, de toutes les couleurs humaines, et de presque toutes les langues et religions ».

Ainsi, Webb a exposé l’essence de la « société ouverte » impériale près de 50 ans avant Popper.

Le socialisme invisible

George Orwell n’est pas connu pour avoir été un Fabien, mais il partageait le rêve fabien d’un Empire britannique socialiste.

Dans son livre de 1941 intitulé « Le Lion et la Licorne : Le socialisme et le génie anglais », Orwell prédit l’émergence d’un « mouvement socialiste spécifiquement anglais », qui conserverait de nombreux « anachronismes » du passé.

Ces « anachronismes » calmeraient et rassureraient l’âme anglaise, même si la société britannique était en train d’être bouleversée.

L’un de ces « anachronismes » serait la monarchie, qu’Orwell jugeait digne d’être préservée. Un autre était l’Empire, qui serait rebaptisé « une fédération d’États socialistes… »

Orwell prédit qu’un véritable socialisme anglais « ferait preuve d’un pouvoir d’assimilation du passé qui choquerait les observateurs étrangers et leur ferait parfois douter qu’une révolution ait eu lieu ».

Malgré les apparences, la Révolution serait réelle, dans tous les aspects « essentiels », promettait Orwell.

« Comme une momie non enterrée »

Dans un étrange écho d’Orwell, Lord William Rees-Mogg a également suggéré que son nouveau féodalisme conserverait beaucoup des apparences extérieures de la vie anglaise normale, même si la nation britannique s’effondrait aux entournures.

Dans leur livre « Du sang dans les rues » (1987), Rees-Mogg et Davidson prédisaient que, même après que les États-nations auraient perdu leur pouvoir, « les formes de l’État-nation subsisteraient, comme au Liban, comme d’ailleurs la forme de l’Empire romain a été préservée, comme une momie non enterrée, tout au long du Moyen Âge ».

Malgré sa vision lugubre de l’avenir de la Grande-Bretagne, Rees-Mogg a continué à se poser en patriote britannique jusqu’à la fin. Peut-être était-ce sa façon de sauver les apparences, de contribuer à préserver la « forme » de la Grande-Bretagne, « comme une momie non enterrée », afin de calmer et de rassurer l’âme anglaise.

Nous constatons ainsi que le socialisme « spécifiquement anglais » d’Orwell – dans lequel même la monarchie survivrait – semble présenter des similitudes étranges avec le nouveau féodalisme de Rees-Mogg.

On pourrait même se demander s’il s’agit d’une seule et même chose.

Le Soros impérial

En 1995, Soros a déclaré au New Yorker : « Je ne pense pas que vous puissiez jamais surmonter l’antisémitisme si vous vous comportez comme une tribu. … La seule façon de le surmonter est d’abandonner le caractère tribal ».

Ce n’était ni la première ni la dernière fois que Soros faisait sourciller en rejetant le tribalisme juif comme un défaut à corriger. Lorsque Soros a fait un commentaire similaire en 2003, il s’est fait gronder par Elan Steinberg du Congrès juif mondial, qui a rétorqué : « L’antisémitisme n’est pas causé par les juifs, il est causé par les antisémites ».

En toute honnêteté, Soros ne faisait que répéter ce qu’il avait appris à la London School of Economics.

Ses fondations Open Society sont expressément dédiées aux enseignements de Popper, et donc opposées à toute forme de tribalisme. En rejetant le tribalisme de son propre peuple juif, Soros n’a fait que faire preuve de cohérence intellectuelle.

À titre personnel, je peux difficilement condamner Soros pour sa critique du tribalisme juif, dans la mesure où mon propre père juif avait des vues similaires.

L’une des façons dont mon père a exprimé sa rébellion a été d’épouser ma mère, une beauté exotique, moitié mexicaine, moitié coréenne, et catholique de foi.

Je comprends parfaitement la relation difficile qu’entretient Soros avec son identité juive.

Néanmoins, j’entends dans les mots de Soros un écho troublant de l’idéologie impériale de Sidney Webb, une influence qui imprègne et définit le réseau Open Society de Soros à tous les niveaux.

L’effet joueur de flûte

Dans les mois qui ont suivi le mercredi noir, les médias britanniques ont promu Soros comme une star de cinéma, construisant sa légende comme le plus grand génie financier de l’époque.

Lord William Rees-Mogg a pris la tête du peloton.

Rees-Mogg et ses associés savaient que si l’on parvenait à convaincre suffisamment de petits investisseurs de croire à la légende de Soros, si l’on parvenait à les manipuler pour qu’ils imitent les mouvements de Soros, achetant et vendant selon ses conseils, alors Soros prendrait le contrôle de l’essaim.

Il pourrait faire ou défaire les marchés, simplement en parlant.

Dans sa chronique du Times du 26 avril 1993, Rees-Mogg a conféré une aura mystique à Soros, le décrivant comme un Nostradamus des temps modernes capable de voir à travers les « illusions du public » la « réalité » sous-jacente.

D’autres journalistes ont suivi le mouvement, répétant les points de discussion de Rees-Mogg comme des somnambules.

« Pourquoi sommes-nous si ensorcelés par ce Midas moderne ? » s’est interrogé le Daily Mail, sur le ton de la pâmoison d’un amant désespéré.

Tout le monde n’a pas cru au mythe Soros.

Leon Richardson, un chroniqueur financier australien, a accusé Rees-Mogg d’essayer de faire de Soros un joueur de flûte, afin d’égarer les investisseurs.

« Lord Rees-Mogg a fait l’éloge de Soros, le qualifiant d’investisseur le plus brillant du monde », a déclaré Richardson dans sa chronique du 9 mai 1993. « En conséquence, les gens ont commencé à observer Soros et ce qu’il fait pour gagner de l’argent ».

L’arnaque à l’or

Ceux qui observaient Soros après le mercredi noir n’ont pas eu besoin d’attendre longtemps pour son prochain conseil d’investissement.

« Soros a tourné son attention vers l’or », annonce Rees-Mogg le 26 avril 1993.

Newmont Mining était la plus grande société d’extraction d’or au monde. Soros venait d’acheter 10 millions d’actions à Sir James Goldsmith et Lord Jacob Rothschild.

Si Soros achetait de l’or, nous devrions peut-être en faire autant, a laissé entendre Rees-Mogg.

Tout le monde n’a pas suivi la suggestion de Rees-Mogg.

Certains commentateurs ont noté que, tandis que Soros achetait des actions de Newmont, Goldsmith et Rothschild s’en débarrassaient – ce qui n’est guère un signal d’achat clair.

« Normalement, lorsqu’un initié vend des actions de sa propre société, il essaie d’éviter que cela soit remarqué », a commenté Leon Richardson. « C’était un cas étrange où l’initié essayait d’obtenir une large couverture médiatique de sa vente ».

Néanmoins, l’effet joueur de flûte a fonctionné. Le 2 août, le prix de l’or était monté en flèche, passant de 340 à 406 dollars l’once, soit une augmentation de 19%.

« Une nouvelle façon de faire de l’argent »

De nombreux membres de la presse financière ont murmuré sur le degré inhabituel de collaboration entre le Times, Soros, Goldsmith et Rothschild.

« Soros est une énigme… » a déclaré le London Evening Standard. « Il n’a jamais parlé de l’or, mais il n’en avait pas besoin. La presse l’a fait pour lui, avec le cheerleader de Goldsmith, Lord Rees-Mogg, sonnant le clairon dans le Times ».

« On ne peut que s’émerveiller du timing et de l’aura scénique de Goldsmith/Soros dans leur spectacle pour l’or », commentait le magazine EuroBusiness en septembre 1993. « Ils disposaient également d’une impressionnante équipe de soutien : des médias qui ont joué comme un chœur grec sur la mélodie de l’or ».

David C. Roche, stratège londonien de Morgan Stanley, conclut : « C’est une nouvelle façon de faire de l’argent, une combinaison d’investissements judicieux au creux d’un marché et d’un coup de publicité ».

Un joueur d’équipe

Malgré tout le battage médiatique, la bulle aurifère a éclaté en septembre, faisant chuter les prix de l’or.

Beaucoup ont perdu leur chemise.

Mais Goldsmith et Rothschild ont fait un massacre, en vendant au sommet.

Certains ont soupçonné que le but de l’opération était peut-être d’aider Goldsmith et Rothschild à réaliser un bénéfice sur leurs participations dans Newmont, qui étaient jusque-là peu florissantes.

Soros, quant à lui, a pris une raclée. Certains rapports indiquent que Soros a vendu ses actions en août 1993, tandis que d’autres disent qu’il n’a pas commencé à vendre avant 1997. Quoi qu’il en soit, il semble que Soros ait vendu à bas prix.

Pourquoi cela ? Pourquoi Soros aurait-il été le fer de lance d’un plan de promotion de l’or qui ne lui a rapporté que peu ou pas de bénéfices ?

Certains soupçonnent Soros d’avoir payé pour l’équipe.

Peut-être n’était-il pas un franc-tireur après tout.

Peut-être que le joueur de flûte n’était qu’un type qui suivait les ordres.

Prophète ou pion ?

Au moins, le jeu de l’or a prouvé que Soros travaillait avec une équipe.

Son image de loup solitaire n’était qu’un mythe de plus.

Lorsque les projecteurs de la célébrité se sont braqués sur Soros pour la première fois, il a travaillé avec un cercle restreint d’investisseurs britanniques, parmi lesquels certains des noms les plus célèbres de la finance mondiale.

À ce niveau, les investisseurs ne « spéculent » pas tant sur les marchés qu’ils ne les contrôlent.

L’arnaque de l’or a révélé que Rees-Mogg, Soros, Goldsmith et Rothschild étaient liés par un réseau complexe de relations d’affaires.

Goldsmith, par exemple, était un directeur de la société St. James Place Capital de Rothschild. Un autre directeur de St. James Place, Nils Taube, était simultanément directeur du Quantum Fund de Soros.

Rees-Mogg lui-même était un ami proche de Lord Rothschild, ainsi qu’un membre du conseil d’administration de J. Rothschild Investment Management et un directeur de St. James Place Capital.

Pendant ce temps, le journaliste du Times Ivan Fallon – qui a contribué à la révélation de l’achat d’or par Soros dans le Sunday Times, en co-rédigeant le rapport original du 25 avril – se trouve être le biographe de Goldsmith, auteur de « Milliardaire : La vie et l’époque de Sir James Goldsmith ».

C’était particulièrement commode.

« Le gang des initiés »

« Ce genre de connexions, cette impression de gang d’initiés, c’est ce qui fait que les investisseurs plus classiques lèvent occasionnellement un sourcil quand Soros est concerné », ronchonnait The Observer avec désapprobation.

The Observer avait raison. Soros était un « initié » travaillant avec d’autres initiés. Et rien n’indique qu’il était sur le point de devenir un partenaire principal de ce groupe.

Soros était un serviteur, pas un prophète ; un suiveur, pas un leader.

C’est pourquoi Soros a crié au scandale lorsqu’il a été condamné pour délit d’initié en 2002, dans le cadre du scandale de la Société Générale en France.

« C’est bizarre que je sois le seul à être reconnu coupable alors que l’ensemble de l’establishment français était impliqué », s’est plaint Soros à CNN.

Soros a clairement estimé que les Français avaient enfreint les règles.

Selon Soros, lorsque « l’ensemble de l’establishment » d’un pays conspire pour truquer les marchés, il est injuste de ne poursuivre qu’un seul conspirateur.

Après tout, Soros a simplement fait ce que tout le monde faisait.

Les révolutions de couleur

En même temps que Rees-Mogg polissait l’image de Soros en tant que plus grand gourou de l’investissement au monde, il faisait également la promotion des activités politiques de Soros.

« J’admire la façon dont il a dépensé son argent », déclare Rees-Mogg dans sa chronique du Times du 26 avril 1993. « Rien n’est plus important que la survie économique des anciens pays communistes d’Europe de l’Est ».

Rees-Mogg faisait référence au travail des fondations de Soros dans les anciens États soviétiques, où Soros est rapidement devenu tristement célèbre en tant que financeur et organisateur de coups d’État sans effusion de sang, connus sous le nom de « révolutions de couleur ».

Comme pour ses opérations de change, Soros n’agissait pas seul lorsqu’il s’engageait dans des opérations de changement de régime. Il faisait partie d’une équipe.

Soros et les « atlantistes »

Dans une série d’articles parus dans Revolver News, Darren Beattie a exposé une cabale d’agents de la sécurité nationale américaine spécialisés dans le renversement de régimes par le biais de « révolutions de couleur ».

Ils opèrent par le biais d’un réseau d’ONG parrainées par le gouvernement, parmi lesquelles la National Endowment for Democracy (NED) et ses deux groupes affiliés, l’International Republican Institute (IRI) et le National Democratic Institute (NDI).

Beattie accuse ces groupes « pro-démocratie » de mettre en scène une mutinerie contre le président Trump.

Selon Beattie, ces agents « pro-démocratie » ont joué un rôle central dans la perturbation de notre élection de 2020, leurs stratagèmes ayant culminé dans la soi-disant « insurrection » du Capitole, que Revolver News a maintenant exposée comme un travail de l’intérieur orchestré par des provocateurs du FBI.

Beattie appelle les comploteurs « atlantistes », un euphémisme communément appliqué aux anglophiles du Département d’État qui font passer les intérêts britanniques avant les intérêts américains.

L’un de ces comploteurs « atlantistes » était George Soros, selon Beattie.

La bouche qui rugit

Normalement, lorsque Soros s’implique dans des opérations de changement de régime, il fait tout pour s’en attribuer le mérite, comme il l’a fait pour faire sauter la Banque d’Angleterre en 1992.

Par exemple, dans son livre de 2003 intitulé « La bulle de la suprématie américaine », Soros avoue librement : « Mes fondations ont contribué au changement de régime démocratique en Slovaquie en 1998, en Croatie en 1999 et en Yougoslavie en 2000, en mobilisant la société civile pour se débarrasser respectivement de Vladimir Meciar, Franjo Tudjman et Slobodan Milosevic ».

La même année, lors d’une conférence de presse à Moscou, Soros a publiquement menacé d’évincer le président géorgien Edouard Chevardnadze, déclarant : « C’est ce que nous avons fait en Slovaquie à l’époque de Meciar, en Croatie à l’époque de Tudjman et en Yougoslavie à l’époque de Milosevic ».

Lorsque Chevardnadze a ensuite été renversé lors d’un soulèvement en novembre 2003, Soros en a publiquement revendiqué le mérite.

« Je suis ravi de ce qui s’est passé en Géorgie, et je suis très fier d’y avoir contribué », s’est vanté Soros au Los Angeles Times le 5 juillet 2004.

Le réseau des anciens du Royaume-Uni

De manière assez inhabituelle, Soros ne s’est pas précipité pour revendiquer le mérite de la révolution orange de 2004 en Ukraine, mais l’un de ses collègues, Michael McFaul, l’a fait pour lui.

« Les Américains se sont-ils ingérés dans les affaires intérieures de l’Ukraine ? Oui », écrit McFaul dans le Washington Post du 21 décembre 2004.

McFaul – qui était alors professeur associé à Stanford, mais qui a ensuite occupé le poste d’ambassadeur en Russie sous Obama – a ensuite énuméré divers « agents d’influence américains » qui, selon lui, ont pris part à la révolution orange, notamment l’International Renaissance Foundation, que McFaul a tenu à décrire comme étant « financée par Soros ».

L’Ukraine est un pays dangereux et violent, où les agents étrangers connus courent certains risques. Il est difficile de comprendre pourquoi McFaul mettrait délibérément en danger Soros et toute une série d’agents américains en les accusant d’ingérence dans les élections, à moins qu’il ne cherche à détourner l’attention d’autres participants qui ne sont pas américains, comme la Westminster Foundation for Democracy, une ONG britannique financée par le Ministère britannique des Affaires étrangères, qui a joué un rôle essentiel dans la révolution orange.

En tant que boursier Rhodes et diplômé d’Oxford, McFaul est un ancien du Royaume-Uni qui a atteint une « position d’influence » – exactement le genre de personne à laquelle le Ministère britannique des Affaires étrangères fait régulièrement appel pour l’aider à promouvoir les « objectifs de la politique étrangère britannique ».

La main cachée de la Grande-Bretagne

L’un des prétendus « agents d’influence américains » que McFaul a accusés dans le Washington Post est Freedom House.

Comme je l’ai révélé dans mon article précédent, « Comment les Britanniques ont inventé les révolutions de couleur », Freedom House a été fondée en 1941 en tant que façade des services secrets britanniques, dont le but était de pousser à l’entrée des États-Unis dans la Seconde Guerre mondiale et d’aider la Grande-Bretagne à mener des opérations secrètes contre les militants pacifistes américains.

Il n’y a aucune raison de croire que Freedom House a changé d’allégeance depuis lors.

Décrire Freedom House comme un « agent d’influence américain » met une certaine tension sur le mot « américain ».

Freedom House illustre parfaitement le type de front anglophile que Darren Beattie qualifie « d’atlantiste ».

Où est Soros ?

Je soupçonne que le véritable rôle de Soros parmi les agents de la « révolution de couleur » est similaire à son rôle dans le monde financier.

Il détourne l’attention des opérations britanniques en s’en attribuant bruyamment le mérite.

Alors, où est Soros maintenant ?

Pourquoi ne se réjouit-il pas de la chute du président Trump, comme il l’a fait pour Meciar, Tudjman, Milosevic, Shevardnadze et tant d’autres ?

Peut-être Soros a-t-il reçu un appel de Londres.

Peut-être que ses supérieurs l’ont prévenu que les choses devenaient un peu risquées avec ces exposés.

Peut-être ont-ils dit à Soros de se taire.


source : https://www.lewrockwell.com

traduit par Réseau International




Le variant Delta est six fois plus mortel parmi les vaccinés anti-Covid, selon le rapport de santé publique britannique

[Source : medias-presse.info]

par Pierre-Alain Depauw

Le taux de mortalité du variant Delta du COVID est six fois plus élevé parmi ceux qui ont été complètement vaccinés que parmi ceux qui n’ont jamais reçu de vaccin anti-Covid, selon les données publiées par Public Santé Angleterre vendredi. 

Vingt-six personnes sont décédées parmi les 4 087 qui ont été complètement vaccinées 14 jours ou plus avant d’être testées positives au variant Delta du COVID. Cela équivaut à un taux de mortalité de 0,00636%, ce qui est 6,6 fois plus élevé que le taux de 0,000957 décès – ou 34 décès parmi 35 521 cas Delta positifs parmi les non vaccinés, selon les données publiées dans un rapport du 18 juin intitulé «SARS-CoV-2 variants préoccupants et variants faisant l’objet d’une enquête en Angleterre, Briefing technique 16. ». Les taux de mortalité parmi les non vaccinés et vaccinés sont extrêmement faibles (moins d’un pour cent de tous les tests positifs) pour une variante que Public Health England décrit comme la “variante dominante” au Royaume-Uni, comprenant “91 pour cent des cas séquencés”.

Une évaluation des risques du variant Delta du coronavirus pandémique publiée vendredi la décrit comme se propageant plus facilement entre les personnes, mais elle est également décrite comme un variant à «faible gravité de l’infection».   

Les médias grand public se sont penchés sur la possibilité que le variant Delta produise des taux d’hospitalisation plus élevés dans certaines parties de l’ Écosse et de l’Angleterre que la “première vague” du variant Alpha, mais selon le rapport de santé publique britannique, ces données sont basées sur des “premières preuves » et « une compréhension limitée de l’évolution clinique de la maladie ». Hospitalisation plus élevée chez les vaccinés 

Étant donné que les hospitalisations sont préoccupantes, les personnes entièrement vaccinées sont hospitalisées au Royaume-Uni à un taux plus élevé que les personnes non vaccinées. Selon le rapport d’information technique le plus récent, les données de santé publique montrent que 2,0% des personnes vaccinées (84 sur 4 087) qui ont été testées positives pour le variant Delta ont été admises à l’hôpital (y compris celles testées à leur entrée à l’hôpital pour toute autre raison) contre 1,48. pour cent des personnes non vaccinées (527 sur 35 521). 

Les données actuelles sont conformes aux données publiées la semaine dernière par l’agence de santé publique d’Angleterre qui ont également montré un taux de mortalité six fois plus élevé chez les personnes entièrement vaccinées que chez les non vaccinés et un taux d’admission à l’hôpital de 2,3% chez les personnes complètement vaccinées au moins deux semaines plus tôt. contre seulement 1,2 pour cent chez les non vaccinés. Amélioration dépendante des anticorps ? 

« Cela rappelle le phénomène ADE (amélioration dépendante des anticorps) qui a été observé pour d’autres vaccins et qui a été exprimé comme un sujet de préoccupation parmi de nombreux scientifiques pour les vaccins COVID », a déclaré Stephanie Seneff, chercheuse principale au Massachusetts Institute of Technology’s, laboratoire d’informatique et d’intelligence artificielle. 

L’ADE a gâché les tentatives précédentes de vaccins contre les coronavirus et a souvent entraîné une  augmentation des maladies pulmonaires chez les animaux de laboratoire vaccinés. Cela a conduit les chercheurs en 2012 à conseiller aux scientifiques de procéder avec « la prudence » pour tout vaccin contre le coronavirus humain qui pourrait entraîner une maladie pulmonaire accrue. 

Stephanie Seneff a déclaré que des recherches ont montré que les vaccins contre les coronavirus modifient la façon dont le système immunitaire répond à l’infection et peuvent activer d’autres infections en sommeil chez la personne vaccinée, telles que le virus de l’herpès, créant des symptômes de paralysie de Bell ou de zona.  

“Il est concevable pour moi que la spécificité du faisceau laser des anticorps induits soit compensée par un affaiblissement général de l’immunité innée”, a déclaré la chercheuse Stephanie Seneff.  

“Je soupçonne également que des campagnes de vaccination massives peuvent accélérer la vitesse à laquelle les souches mutantes résistantes au vaccin deviennent dominantes parmi toutes les souches du SRAS-Co-V2 [coronavirus].” 




Julian Assange sur les médias

[Source inconnue]

[Ndlr : la traduction paraît fidèle, même si l’orthographe des sous-titres n’est pas parfaite.]




Le désastre de la rencontre Biden — Poutine

[Source : Russie politics]

[Photo : © Denis Balibouse, AFP]

Par Karine Bechet-Golovko

La rencontre Biden / Poutine aurait pu être simplement inutile, elle est finalement désastreuse, tout au moins en ce qui concerne le discours politico-médiatique qui en suit. Or, dans ce monde post-moderne de la communication, abandonner ainsi la maîtrise du discours est une erreur stratégique. Entre Biden qui reprend son agressivité et Poutine qui s’extasie sur les qualités de Biden, l’on se demande ce qui a été finalement négocié et si cela coûtait réellement aussi cher… 

A priori, l’intérêt de cette rencontre était très relatif, les Etats-Unis et la Russie ayant des intérêts vitaux totalement divergents et le conflit géopolitique qui les oppose étant existentiel, dans le sens premier du terme – existence des Etats-Unis comme centre de la globalisation (ce qui implique la disparition de la Russie, comme État revendiquant une souveraineté… même relative) ou existence de la Russie dans sa dimension civilisationnelle (donc avec une victoire contre les Etats-Unis, centre d’un monde global uniformisé et « barbarisé »).

Dans cette logique, dans le meilleur des cas, cette rencontre aurait pu être simplement inutile. Les deux Présidents auraient échangé quelques banalités diplomatiques, auraient envisagé une possible coopération sur quelques sujets qui pouvaient, à un moment donné, encore les intéresser tous les deux, se seraient serrés la main froidement et, chacun ayant pris la mesure de l’autre, auraient fait plus attention. 
La démonstration de force équilibrée aurait permis de stabiliser pour un temps les relations.

Mais cette rencontre a été beaucoup trop faussement amicale.

Pendant que Poutine refaisait son argumentation devant la presse et jouait la journée du Grand Pardon, Biden, lui, a immédiatement donné le ton avec quelques déclarations très symboliques. Tout d’abord :

« Les conséquences de la mort de Navalny en prison seraient catastrophiques pour la Russie sur la scène internationale » 

Et parallèlement 

« Biden a déclaré qu’il existe de réelles perspectives d’améliorer les relations entre les États-Unis et la Russie » 

Et sur le chemin vers l’aéroport, Biden d’ajouter :

« La Russie tente désespéremment de rester une puissance mondiale. La Russie est dans une situation très difficile » 

L’on ne peut pas dire que ce soit des paroles empruntes d’un grand respect… Si la Russie, de son côté, s’affirme satisfaite des pourparlers, n’en attendant pas grand-chose, pour l’instant le Kremlin ne voit pas de raison d’ôter les États-Unis de la liste des pays inamicaux

Ce qui est extrêmement surprenant est la grande campagne de réhabilitation de Biden lancée par Poutine dans les médias.

Ainsi, selon Poutine, l’image de Biden faite dans les médias ne correspond pas du tout à la réalité – il est attentif, professionnel, parfaitement au courant de tout, etc. Le Président « Cloutine » a manifestement été sous le charme… L’on préférait le Président Poutine, mais bon. 

Après cela, Biden déclarait avec justesse qu’il a rempli sa mission : il a fait ce pour quoi il était venu. Et le New York Times résume parfaitement la situation : Biden a marqué ses lignes rouges face à la Russie, même si la mauvaise dynamique ne changera pas, en revanche le discours politico-médiatique en Russie concernant Biden, lui, a radicalement changé.

« But his third goal — establishing some red lines for President Vladimir Putin of Russia, whom he called his “worthy adversary” — proved more elusive. Though Biden expressed cautious optimism after their meeting in Geneva, it is far from clear that any of the modest initiatives discussed will fundamentally change a bad dynamic. (…) After months of ridiculing Biden as bumbling, confused and well past his prime, Russian state media changed its tune. Here is a man we can do business with, some in Moscow said. »
[« Mais son troisième objectif — établir quelques lignes rouges pour le président russe Vladimir Poutine, qu’il a qualifié de « digne adversaire » — s’est avéré plus insaisissable. Bien que Biden ait exprimé un optimisme prudent après leur rencontre à Genève, il est loin d’être évident qu’aucune des modestes initiatives discutées ne changera fondamentalement une mauvaise dynamique. (…) Après avoir ridiculisé Biden pendant des mois en le qualifiant de maladroit, de confus et de dépassé, les médias d’État russes ont changé de ton. Voici un homme avec lequel nous pouvons faire des affaires, ont déclaré certains à Moscou. »]

Le signal à l’intérieur du pays a été clairement perçu par les forces globalistes, qui se lancent sans trouver aucune résistance en face d’elle. Après l’introduction de la vaccination obligatoire à Moscou (voir notre texte ici), le Gouvernement non seulement n’en appelle pas à la légalité, mais appelle les autres régions à suivre l’exemple. Sobianine annonce donc, dans une poussée d’autoritarisme aiguë, que les entreprises pourront virer sans paiement du salaire les salauds d’employés qui refuseraient de se vacciner… Les chauffeurs de taxis et de bus à Moscou ont quelques jours pour faire leur première injection et les policiers vérifieront leur « passeport vaccinal » — qui donc existe, sans avoir été légiféré.

Rappelons que les élections législatives sont fixées pour septembre. Il n’y a pas à douter que certains sont en effet très intéressés à une déstabilisation de la situation, mais est-il nécessaire au pouvoir de jouer leur jeu ? Qu’a-t-il négocié en contrepartie de ce revirement radical ? Cela en vaut-il réellement le prix à payer ? Aucun système ne s’écroule sans une trahison intérieure.

Comme l’écrivait Hervé Bazin dans La tête contre les murs :

« Tous ces fuyards ne reconnaissaient plus aucune légalité, hormis celle de la peur. (…) Le monde a enfin un monde à sa mesure. Un monde de pieds. Ce délire collectif, ce gigantesque délire de conduite sert d’apothéose au sien. Voici les jours prévus par l’Apocalypse, où les fous commanderont aux sages et les courberont sous leur fouet.« 




Arrêt des essais hydroxychloroquine : ce que révèlent les archives

[Source : francesoir.fr]

Quand on apprend que la souveraineté sanitaire des Français repose sur une étude britannique qui n’a pas été vérifiée ni validée par les autorités sanitaires…

L’accès aux documents administratifs : un parcours du combattant

Alors qu’aux Etats-Unis, plus de 5000 pages d’emails du Pr Fauci ont été obtenus et publiés sur Internet au travers d’une demande FOIA (Freedom of Information Act), en France, obtenir les documents administratifs est un parcours du combattant. Les demandes d’un citoyen et de l’association BonSens.org auprès de l’ANSM (Agence nationale de la sécurité du médicament) sur les échanges sur les essais cliniques de l’hydroxychloroquine n’avaient pas été suivie d’effets. L’association et le citoyen qui en est membre ont donc décidé de faire une action devant le tribunal administratif de Montreuil par l’intermédiaire de Me Jean-Charles Teissedre.

En France la CADA (Commission d’accès aux documents administratifs) permet à toute personne d’obtenir les échanges et documents administratifs. Une simple demande sur internet suffit. Cependant, il arrive que les administrations ne répondent pas. Dans ce cas là, une procédure au tribunal administratif peut être initiée – c’est ce qu’ont fait le citoyen et l’association afin d’obtenir des documents sur les échanges administratifs ayant mené à la suspension puis à l’interruption des essais avec l’hydroxychloroquine. Un an pour obtenir ces documents. Un processus long et douloureux qui ne les a pas rebutés.


 

Des documents sont caviardés de manière partielle

Suite à la publication de l’étude Mehra dans le Lancet le 22 mai 2020, le ministre de la Santé, comme il l’annonçait dans un tweet le samedi 23 mai 2020, avait saisi les autorités compétentes pour évaluer l’impact de cette étude – qui fut retractée quelques jours après. Il est donc fort intéressant de comprendre ce qui s’est passé et comment les diverses administrations ont interprété cette étude.

Les 27 documents obtenus retracent principalement des échanges inter administration (Inserm, DGS et les investigateurs en chef des diverses études). Au-delà du fait que certains noms ont été enlevé alors que d’autres subsistent visuellement, il est ici difficile d’établir la règle de caviardage utilisée. Un point que pourrait soulever Me Teissedre lors de l’audience au tribunal administratif.

Un échange a attiré notre attention : celui en date du 9 juin 2020, qui retrace l’historique de la suspension de l’hydroxychloroquine des divers essais. Rappelons que de nombreux médecins ont déclaré que l’hydroxychloroquine était suspendue des essais suite à sa non-performance dans l’étude Solidarity qui regroupait l’étude Discovery – Discovery est la grande étude francaise dont les mérites avaient été vantés par le président de la République qui s’était avancé à dire que des résultats viendraient début mai 2020. En octobre, toujours rien.

Un rapide historique permet de rappeler que l’hydoxychloroquine a été suspendue des essais cliniques Solidarity, Hycovid, Covidoc, tout d’abord suite à l’étude du lancet vers le 25 mai 2020, avant d’étre réintégrée et d’être de nouveau suspendue à la lumière des résultats de l’étude britannique Recovery dont de nombreux chercheurs et FranceSoir contestent les résultats. Les résultats sont contestés du fait du surdosage en hydroxychloroquine (quatre fois la dose préconisée par le Pr Raoult) et de l’administration à des patients hospitalisés dans un état grave alors que le Pr Raoult l’utilise en traitement précoce pour prévenir l’hospitalisation.

Le 18 juin 2020, on pouvait lire dans le journal Ouest-France :

Depuis cette suspension, fin mai, la revue The Lancet, à l’origine de l’interruption d’essais cliniques dans le monde entier, avait pris ses distances avec son étude désormais controversée sur l’hydroxychloroquine, finalement rétractée. Face aux critiques, l’OMS (Organisation mondiale de la santé) avait finalement décidé d’arrêter les essais cliniques sur l’hydroxychloroquine.

Dans les documents de l’ANSM au sujet des essais cliniques hydroxychloroquine, tout semblait aller bien en France avec des signaux d’efficacité.

Cependant dans les documents on perçoit un intense lobbying de Reacting et de Jerome Salomon, le directeur général de la santé (DGS). Dès le 8 juin 2020, Reacting, Bichat et Discovery avaient décidé la non reprise des essais avec l’hydroxychloroquine. Tout allait bien, comme en atteste le résumé extrait d’un courrier non signé (nom caviardé) du 9 juin au directeur de l’ANSM Dominique Martin.

Document dont la signature et le nom du signataire ont été enlevés alors que subsistent les noms des personnes en copie.

Le DSMB (Data safery monitoring board), controleur de l’étude écrivait encore que le 3 juin 2020 que l’on pouvait continuer les inclusions et ce malgré l’étude frauduleuse du Lancet.

Pour les autres études comme Hycovid à son arrêt, elle comptabilisait 4,72% de décès dans le bras HCQ et 7,14% dans le bras placebo. L’écart était non significatif à ce stade, cependant l’essai a été arrêté après l’inclusion de 250 patients alors qu’il devait en compter 1300. En faisant l’hypothèse que l’on garde les même ratios de décès dans le bras HCQ et le bras placebo sur la base de 1300 patients, on a une différence significative. 

De plus les résultats de cette étude doivent être pris avec beaucoup de circonspection car la pratique du « cherry picking » (selection des données ou des résultats) est tel que le collectif citoyen avait publié un article expliquant les biais de cette étude. « Avec azithromycine: des résultats tellement bons qu’ils sont omis. » Et avait écrit :

Il est primordial de réinformer les français sur l’état des recherches sur l’hydroxychloroquine et l’azithromycine : car si un traitement efficace existe, il n’y a  besoin ni de reconfinement, ni de masques ni de vaccin…

Les résultats de l’étude Discovery tarderont à venir avant d’être intégrés dans l’étude solidarity avec des problèmes de différences de dosages et de type de patients.

Ce qui attire l’attention est le paragraphe 2 du courrier qui indique que le 5 juin 2020, l’étude britannique Recovery montrait aucun bénéfice de l’hydroxychloroquine pour les patients hospitalisés, entrainant ainsi la continuité de la suspension de l’hydroxychloroquine, puisqu’en conséquence au résultat de cette étude, le 5 juin, le comité de contrôle de Discovery décide malgré les avis précédents positifs de « maintenir la suspension temporaire du bras hydroxychloroquine »

Il n’y a pas d’autres explication ni analyse qui sont détaillées. Le surdosage en hydroxychloroquine dans l’étude Recovery n’est pas évoqué (2400mg le premier jour vs 800mg pour Discovery). Pas plus que l’état des patients ni les autres biais éventuels de l’étude. C’est donc une erreur importante de la recherche française que de se précipiter et d’utiliser le résultat de l’étude Recovery sans tout d’abord en tirer la quintessence ou d’en analyser l’applicabilité à la recherche française. Les ratios de risques ou taux de mortalités bien différents (plus de 25% de décès dans le bras HCQ de Recovery et pareil dans le bras placebo). Ce simple élément aurait du attirer l’attention des contrôleurs ou des autorités scientifiques avant de se prononcer sur la continuité d’une suspension. Surtout que dans les échanges on peut aussi noter que les investigateurs de Hycovid avait écrit pour faire des suggestions sur l’inclusion d’autres patients par exemple des patients des ephads. Ces derniers ont eu un fin de non-recevoir pour des raisons de sécurité – qui ne sont toujours pas justifiées par des faits.

L’Inserm qui se targue de mettre en place une recherche et une médecine « basée sur les preuves » commet donc de nombreuses erreurs ici pour la souveraineté sanitaire des Français, et surtout aucune preuve n’est apportée sur l’applicabilité de l’étude Recovery aux Français. Ils ont tout simplement pris pour argent comptant les résultats. Une véritable faute qui demande explication complète et indépendante. Comme pour Recovery, il serait utile qu’une commission d’experts indépendants reprennent les résultats pour les analyser en détail. Un peu tard pour les personnes décédées mais il n’est jamais trop tard pour apprendre afin d’éviter de nouveaux impairs nocifs. Sans oublier que les essais randomisés mal utilisés sont la nouvelle arme médiatique des laboratoires pharmaceutiques car seuls eux ont les moyens de financer ces études forts onéreuses.

Force est de constater qu’un excès d’éthique scientifique mal maîtrisée finit par nuire à l’éthique médicale.

Pour conclure, une courte vidéo du Docteur Gérard Guillaume apporte un éclairage sur la crise. « Il y a quelques années nous étions la meilleure médecine française ».

Auteur(s): FranceSoir




Pr Christian Vélot : « Il est urgent de ne pas vacciner les enfants »

[Source : Collectif VRAI ou sur VK ou Internet Archive]

Christian Vélot est docteur en sciences médicales et biologie, spécialisé en génétique moléculaire, généticien moléculaire et Professeur à l’université de Paris-Saclay, Président du conseil scientifique du CRIGEN.

Dans cet entretien, le collectif V.R.A.I. [Vaccination Réinformation Action Israël] interroge Christian Vélot sur la question spécifique de la vaccination des enfants contre la COVID :

  • quel rôle particulier jouent les enfants au plan épidémique en ce qui concerne la protection contre l’apparition de variants potentiellement plus dangereux ?
  • quels sont les risques de génotoxicité et d’immunotoxicité des vaccins contre la COVID ? quels sont les risques de vacciner en pleine pandémie sur le plan de l’apparition de variants plus dangereux ?
  • quelle est la balance bénéfice/risque des vaccins contre la COVID pour les enfants ?
  • qu’est-ce que la recherche récente nous apprend des effets de la protéine spike (que le vaccin nous fait produire) sur l’organisme?
  • comment peuvent s’expliquer les effets secondaires déjà constatés sur les populations jeunes vaccinées (myocardites, déréglements menstruels…) ?
  • pourquoi faut-il attendre plusieurs années avant de connaître les effets à long terme d’un vaccin ?
  • quelles stratégies alternatives à la vaccination de masse pour sortir de la crise ?
  • quel grave problème sanitaire des nations occidentales a révélé la crise actuelle ?

Liens vers les articles et vidéos évoqués dans l’entretien :

La Tribune de Delfraissy ( + 4 autres personnes) :
Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract – The Lancet Public Health

Expertise écrite du Dr VÉLOT : (09/2020)
Covid-19 : Rapport d’expertise sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM (criigen.org)

L’étude scientifique démontrant la toxicité de Spike à elle seule sur des aspects cardio-vasculaires :
SARS-CoV-2 Spike Protein Impairs Endothelial Function via Downregulation of ACE 2 | Circulation Research (ahajournals.org)

L’article tout récemment publié sur l’action de la polymerase theta capable de transformer l’ARN en ADN :
New discovery shows human cells can write RNA sequences into DNA — ScienceDaily

Vidéo Vaccins (20/12/2020 – 48mn)
https://criigen.org/covid-19-les-technologies-vaccinales-a-la-loupe-video/

DVD CRIIGEN (2 autres Conférences du Dr VÉLOT / L’une sur les « Techniques de manipulation génétique » et l’autre sur les « Perturbateurs endocriniens et l’épigénétique ») :
Les DVD du CRIIGEN – CRIIGEN

Conférence Direct Zoom + Youtube : « Vaccins anti-Covid-19 • Quelles technologies ? – Quels risques ? (Approfondissements et Actualités) » (22/04/2021 – 2H44)
https://youtu.be/MG0AOKssJII




Lettre ouverte aux chasseurs de « complotistes »

[Source : zonefr.com]

La liberté d’expression comme la liberté de pensée sont des droits inaliénables car ils appartiennent à l’être humain et aucune officine de propagande ne pourra jamais ni les interdire, ni les étouffer.

Eric Montana

Par Eric Montana

Étonnant que dans notre pays, certains se sentent tellement peu sûrs des « vérités » qu’ils assènent; qu’il leur faille créer un « observatoire de la conspiration » pour tenter de ridiculiser tous ceux qui ne parviennent plus à avaler la propagande médiatique… Le procédé est surprenant car en règle générale, la vérité se suffit à elle-même, elle n’a pas besoin d’un service après vente pour s’assurer que les citoyens/consommateurs y croient dur comme fer…

Et puis quelle importance si les gens doutent ou n’y croient pas ? Quand on est sûr de ce l’on affirme et que l’on peut étayer sa vérité avec des preuves irréfutables, pourquoi se préoccuper de ceux qui n’y croient pas ?

Ce qui pose question, ce ne sont pas les gens qui doutent ou qui remettent en cause certaines vérités mais le fait que l’on crée une structure d’observation et d’enquête pour essayer d’en comprendre les raisons et identifier tous ceux qui ne parviennent plus à avaler ces « vérités » officielles et que l’on affuble du sobriquet « complotiste » ou « conspirationniste » pour essayer de les faire passer pour des malades mentaux et ainsi tenter de décrédibiliser leurs thèses et leurs discours. Mais plus grave encore, cette structure intrusive cherche le détail qui lui permettrait d’affubler ces « complotistes » de l’étiquette qui tue : antisémite ou révisionniste ou négationniste.

Et ça, ce serait risible s’il n’y avait pas derrière une franche malveillance et le désir de nuire.

Mais enfin messieurs de l’Observatoire du Conspirationnisme, il paraît que nous vivons dans une démocratie. En tout cas c’est ce que vous affirmez. Et dans une démocratie, la liberté de penser et de dire ce que l’on croit, n’est-il pas un des droits fondamentaux ?

Visiblement votre démocratie est à géométrie variable. Tout pour ceux qui prétendent détenir les vérités universelles et rien pour ceux qui doutent ? Êtes-vous les agents de l’ordre établi qui veillent à ce que le troupeau reste bien confiné dans l’enclos dont vous fixez les limites ? Êtes-vous les kapos de la pensée, de la parole et de l’esprit censés vous assurer que cette pensée, cette parole et ces esprits se plient à la pensée unique dont vous êtes les détenteurs ?

Et sur quoi vous basez-vous pour affirmer que vous êtes les détenteurs de la vérité ? Et sur quels éléments vous appuyez-vous pour décréter que tous ceux qui ne croient pas à votre vérité, seraient des complotistes ou des conspirationnistes ? L’Histoire ne démontre-t-elle pas qu’elle n’est qu’une suite de complots et de conspirations ?

La Révolution française n’est-elle pas la conséquence d’une conspiration ? Êtes-vous trop ignorants pour savoir que des milliers d’éléments et de preuves en attestent ? Ou faites-vous semblant de les ignorer parce que cela prouverait votre inutilité ?

L’assassinat du Président John F. Kennedy à Dallas, n’est-il pas la conséquence d’un complot, d’une conspiration ? Est-ce que le rapport Warren ridiculisé par tous les chercheurs de vérité est votre Bible, votre credo ? Dans ce cas vous seriez davantage des doctrinaires idiots que des détenteurs de la vérité. Comment vous prendre au sérieux ?

Les attentats du World Trade Center ne sont-ils pas la preuve d’un complot et d’une conspiration ?

Alors, vous voyez bien que les complots existent. Pourquoi vous intéressez-vous davantage aux chercheurs de vérité qu’à la vérité elle-même ?

Cela ne vous intéresse pas de savoir que l’Histoire officielle depuis la Révolution de 1789 jusqu’aux attentats du World Trade Center n’est qu’un ramassis de mensonges, tous plus ridicules les uns que les autres ?

Non, vous ce qui vous intéresse ce sont ceux qui doutent et qui par leurs recherches, remettent en cause les vérités que vous voulez nous faire avaler de gré ou de force car vous craignez que cette soif de vérité conduisent certains à s’interroger sur d’autres « vérités » que vous souhaitez immuables et indiscutables… C’est surtout ça qui vous inquiète…

Donc, dans votre démocratie de théâtre, nous pourrions nier jusqu’à l’existence de Dieu, remettre en cause tout ce qui a nourri l’humanité depuis que l’homme vit sur la terre, mais il y a des sujets tabous sur lesquels il serait interdit de s’interroger. Et vous vous arrangez pour faire voter des lois qui criminalisent les esprits trop curieux et qui s’interrogent sur des sujets que vous voulez interdire d’examen et d’étude, même par les plus irréprochables des historiens ?

Croyez-vous que l’on peut imposer à l’esprit humain cette forme de dictature contraignante ? Croyez-vous vraiment que l’on peut obliger des êtres doués de bon sens et de raison, à se plier à ce terrorisme intellectuel, à ce nazisme de l’esprit ? Croyez-vous que l’on peut interdire à un être humain de réfléchir, de s’interroger et même de douter ?

Qui êtes-vous vraiment ? Quels intérêts défendez-vous vraiment ?

Vous n’êtes pas les défenseurs des valeurs démocratiques car votre officine inquisitrice s’apparente davantage à la Stasi qu’à une organisation chargée de veiller au respect des droits humains dont la liberté de penser et de s’exprimer est l’un des plus importants.

Vous êtes l’exact contraire de ce que vous prétendez être. Vous êtes les complices objectifs des comploteurs et des conspirateurs. Vous êtes une grave menace pour nos droits fondamentaux et un danger pour nos libertés. Votre existence est une anomalie dans une prétendue démocratie où ce genre d’organisation ne devrait pas exister car vous êtes des pollueurs d’esprits, des défenseurs du mensonge, des kapos de la pensée.

Ne croyez pas que nous soyons trop stupides pour vous démasquer et vous confondre car votre simple existence suffit à vous condamner. Les moyens que vous utilisez pour fouiller dans la vie privée des individus comme on cherche des détritus dans les poubelles, n’ont rien d’innocent. Ce n’est pas la vérité qui vous intéresse mais ceux qui propagent une autre vérité que la votre, celle sur laquelle vous prétendez détenir le monopole.

Puis, vous avez été pris tellement de fois en flagrant délit de maquillage de la réalité, de travestissement des événements, qu’à part la petite minorité de fouille-merdes qui s’intéresse à vos élucubrations, personne ne vous prend au sérieux.

Vous devriez vous trouver un vrai travail, une occupation honorable et digne car vous êtes non seulement inutiles mais nuisibles à tous les principes démocratiques.

La liberté d’expression comme la liberté de pensée sont des droits inaliénables car ils appartiennent à l’être humain et aucune officine de propagande ne pourra jamais ni les interdire, ni les étouffer.




Québec : c’est l’opinion, pas la science, qui influence la politique sanitaire

[Source : Contrepoints]

Les récents succès de la prestigieuse équipe de hockey Montréalaise au Québec illustrent comment les politiques sanitaires ne sont pas déterminées par la science.

Par Gabriel Lacoste.

Nos politiques pour contrôler la pandémie de Covid-19 seraient informées par la science. En tant qu’habitant d’une petite province d’Amérique du Nord, le Québec, je peux témoigner que n’est pas le cas.

Si la science était aux commandes, l’agenda du déconfinement serait dicté par des hommes en blouse blanche étudiant sérieusement des graphiques, puis manipulant des éprouvettes, motivés essentiellement par l’amour de la vérité et du bien public.

Or, il a suffi d’une passe spectaculaire de Cole Caufield à Tyler Toffoli, au cours d’une partie de hockey opposant le Canadien de Montréal aux Jets de Winnipeg, pour voir notre Premier ministre faire pression pour accélérer le retour à la vie normale.

C’est vous dire comment les restrictions sanitaires ont d’autres ressorts que l’épidémiologie…

LE CANADIEN DE MONTRÉAL DÉBARQUE À LAS VEGAS

Tout d’abord, il faut savoir que le Canadien de Montréal est une équipe de la ligue nationale de hockey, puis que le peuple Québec y voue un culte frénétique. Depuis notre plus jeune âge, nous apprenons tous l’histoire de Maurice Richard, cet humble Canadien français qui a combattu la discrimination des « Anglais » pour devenir une légende. Nous nous répétons que « nous avons gagné 24 coupes Stanley ».

La dernière, en 1993, grâce à son gardien de but Patrick Roy trône au-dessus de n’importe quel politicien dans le panthéon des célébrités québécoises dont nous sommes fiers, probablement à égalité avec Céline Dion. Pour un Québécois ordinaire, la guerre froide rime avec la série du siècle, opposant l’équipe du Canada à celle de l’Union soviétique. C’est de cette manière que notre petit peuple de Province peut se donner, le temps d’un spectacle, les allures d’un géant.

[Ndlr : Si le Québec a une superficie qui vaut 3 fois celle de la France, sa population n’est que d’environ 8 millions d’habitants.]

Le Canadien de Montréal a eu très peu de succès depuis 1993. Les séries de la Ligue nationale de hockey se jouent en quatre rondes où il faut gagner 4 parties sur 7 pour passer à la suivante. Or, depuis sa dernière victoire ultime, cette équipe n’a réussi à se rendre que deux fois en troisième ronde. Or, cette année, nous y sommes !

Et l’adversaire n’est pas n’importe qui. Ce sont les Golden Knight de Las Vegas, qui jouent au royaume du show-business. C’est vous dire comment les Québécois ont maintenant d’autres préoccupations que de contrôler le Covid-19.

Seulement, voilà que le Québécois ordinaire découvre une réalité surprenante : l’aréna de Las Vegas est pleine à craquer de spectateurs, alors que notre Premier ministre a limité le nombre autorisé à 2500. Nous voudrions avoir l’air d’un grand peuple, mais là, en comparaison, nous avons l’air… petit.

L’OBSTRUCTION DU SEPTIÈME JOUEUR

Vous devinez que l’affaire a pris des proportions politiques.

Au hockey, il y a 6 joueurs de chaque équipe sur la glace. Or, dans la psychologie d’un passionné de hockey, le septième joueur, c’est la foule et celle-ci peut influencer le jeu. C’est pourquoi une équipe est supposée avoir de meilleures chances de gagner à la maison que chez son adversaire.

Voilà donc qui peut nuire à l’image de marque de notre Premier ministre, car s’il fallait que le Canadien de Montréal se prive d’une coupe Stanley au motif d’un trop petit public, il pourrait perdre des votes.

D’ailleurs, ça augure mal, car le parti conservateur du Québec est passé récemment d’obscur parti qui va chercher 1 % des votes aux élections à une organisation qui recueille 8 % des intentions de vote dans les derniers sondages, surtout parce qu’il s’oppose aux restrictions sanitaires.

[Ndlr : Le parti conservateur du Québec est seul parti politique provincial du Québec qui s’oppose aux mesures sanitaires à notre connaissance. De même, au niveau fédéral, le seul parti du Canada qui s’oppose à ses mesures est le Parti Populaire du Canada, autre parti de tendance conservatrice.]

Au même moment, un de ses députés envisage de faire sédition pour rejoindre les rangs de cette opposition.

[Ndlr : c’est fait en date du 18 juin.]

C’est donc dans ce contexte que la joute journaliste s’empare de l’affaire. Éric Duhaime, le plus célèbre et le plus détesté des libertariens québécois (mais aussi le nouveau chef du parti conservateur cité précédemment), s’empresse de diffuser des graphiques et des informations montrant que les habitants du Nevada jouissent de plus de libertés que nous, mais qu’ils ne déplorent pas davantage de morts de la Covid-19.

La petite clique de chroniqueurs bien-pensants montréalais, avec Patrick Lagacé en tête, s’empresse de leur répondre. Tout y est : cherry-picking, attribution douteuse, injures, anti-américanisme primaire. Pour des raisons évidentes, la mortalité canadienne est préférée à celle du Québec comme point de comparaison.

Et jamais l’hypothèse de la faute républicaine n’est testée en la comparant avec les résultats des États démocrates. Bref, du bon vieux journalisme à la québécoise…

L’ÉTAT COMMANDITAIRE

Récemment, j’ai commencé à suivre le Premier ministre sur Twitter pour découvrir qu’il est un grand fan du Canadien de Montréal, multipliant les likes en commentant chacune de ses victoires. Il a également « convaincu la santé publique » de faire passer le nombre de partisans autorisés dans l’aréna de 2500 à 3500.

Pendant ce temps-là, le Québécois ordinaire qui n’aime pas le hockey trouve bizarre de ne pas pouvoir rencontrer plus d’un ami au restaurant. C’est comme si le manque de logique de nos autorités ne se dissimule plus.

Pourtant, le philosophe qui contemple la scène y voit la démonstration d’une vérité évidente : c’est l’opinion du public et non la science qui détermine les politiques sanitaires. Or cette opinion est faite de mode. Elle change au gré des saisons.

Au Québec, nous sommes habitués à hiberner durant l’hiver, mais lorsque la chaleur arrive au mois de juin, nous sommes plus difficiles à confiner. Si au même moment notre équipe de hockey aspire à gagner la coupe Stanley, puis que nous avons l’air ridicules devant les partisans de Las Vegas, nous sommes capables d’oublier la logique de nos décisions passées. Un politicien comme François Legault, qui se donne comme mission de nous suivre, risque fort d’avoir l’air d’une girouette sans directions.

Plus profondément, ce fait divers illustre la nature fondamentale de l’État moderne. Plutôt que de veiller au bien public, informé par la science, il est dirigé par des influenceurs dont la principale mission dans la vie est de se faire photographier à côté de causes à la mode, à la manière d’un commanditaire. Un jour, les gens ont peur d’un virus.

Vite, le Premier ministre ira se faire photographier à côté d’infirmières et de médecins qui le combattent héroïquement. Le jour suivant, une prestigieuse équipe de hockey se retrouve en troisième ronde d’une série éliminatoire ? Il assouplira donc les règles sanitaires pour aider le septième joueur, puis ira se faire photographier avec le maillot de cette équipe à côté des joueurs.

La science et la morale nous dirigent ? Sérieusement ?




Big Pharma est par principe contraire à l’éthique, voilà pourquoi on ne peut lui faire confiance sur rien

[Source : Cogiito]

[Sur l’illustration : « Big Pharma est un cartel monopolistique protégé par le gouvernement. »]

par Lance D Johnson.

D’août 2013 à décembre 2018, l’industrie pharmaceutique a versé plus de 12 milliards de dollars (en paiements divulgués) à

  • 1 036 163 médecins,
  • 1 249 hôpitaux universitaires et
  • 2 191 entreprises.

Le modèle actuel de « médecine » encourage la corruption, les commissions occultes et le contrôle institutionnel sur les scientifiques, les médias et les professionnels de la santé.   

Ce système dominé par les grandes sociétés pharmaceutiques est également légalement autorisé à commercialiser directement auprès des consommateurs, permettant un lavage de cerveau perpétuel de la population en général et des professionnels de la santé.

projects.propublica.org/docdollars

Pire encore, Big Pharma est mis en place de manière à générer des rendements élevés pour leurs actionnaires ; le système n’est pas incité à promouvoir la meilleure santé d’une population. Cette incitation à haut rendement fait ressortir les comportements les plus épouvantables et les décisions commerciales les plus antihumaines .

PDF à télécharger en anglais seulement : pharma_covid-19_report

Big Pharma est parvenue à convaincre des populations entières qu’il n’y a pas d’immunité naturelle, pas d’autres solutions contre les infections que ses produits de santé.

Par exemple, lors de l’épidémie de covid-19, certains médecins ont eu le courage d’utiliser des antiviraux sûrs et peu coûteux tels que l’hydroxychloroquine, le zinc, l’ivermectine, le glutathion, la vitamine D et C. Mais au lieu de promouvoir des traitements antiviraux sûrs et faciles à utiliser, l’establishment Big Pharma s’est battu pour supprimer les traitements et autres approches pour aider la population à développer une réponse immunitaire saine.

Rien de nouveau sous le soleil, pour ceux qui comprennent comment fonctionne ce monopole. Au fil des décennies, la nutrition et la phytothérapie traditionnelle ont été systématiquement retirées de la médecine occidentale.   

Cette suppression des informations vitales et des solutions d’immunité naturelle ouvre finalement la voie à une autorisation d’utilisation d’urgence des investissements dans les vaccins « trop gros pour échouer ». Alors que ces sociétés se battent pour la domination, leur influence sur les agences de réglementation, les médias et la « science » conduit à des activités commerciales contraires à l’éthique et c’est la raison pour laquelle aucune société pharmaceutique ne peut être digne de confiance.

La cupidité des grandes sociétés pharmaceutiques rend les systèmes médicaux vulnérables, en particulier lors d’une épidémie  

Rien qu’en 2020 : Pfizer, GlaxoSmithKline, Johnson & Johnson, Sanofi, Gilead et AstraZeneca ont généré un flux de revenus combiné de 266 milliards de dollars.

Même si l’industrie regorge d’argent, le gouvernement fédéral américain a remis aux monopoles Big Pharma au moins 18 milliards de dollars de fonds publics pour développer des vaccins contre le covid-19. Ce siphonnage de la richesse du peuple américain est mené sans un seul vote du peuple lui-même.

Le Congrès ne représente pas la Volonté du Peuple ; eux aussi sont rachetés par cette monstruosité Big Pharma.  

Au cours de la dernière décennie, GlaxoSmithKline (GSK) a été condamnée à une amende de 3 milliards de dollars pour avoir versé des pots-de-vin à des médecins américains.

En Grande-Bretagne, GSK a été condamné à une amende pour corruption de producteurs de médicaments génériques.

GSK a publié un article dans une revue médicale qui a induit les parents en erreur sur la sécurité d’un antidépresseur pour leurs enfants.

Pour gagner 100 milliards de dollars supplémentaires, GSK a augmenté le prix d’un inhalateur pour l’asthme de 18% sur le marché américain. Au fur et à mesure que les actionnaires encaissent, blesser les gens devient plus susceptible d’être une pratique commerciale.

Pfizer a également augmenté le prix des médicaments essentiels sur lesquels les patients comptent.   

Pfizer a augmenté le prix d’un médicament antiépileptique dont 48 000 patients britanniques avaient besoin. En un an, les services de santé nationaux ont dû payer plus de vingt-cinq fois le prix initial de ce médicament juste pour garder ces patients en vie.

Dans l’ensemble, les grossistes et les pharmacies britanniques ont été confrontés à des hausses de prix de 2 300%, ce qui a permis à Pfizer de générer 16 milliards de dollars de bénéfices l’année dernière seulement.

Dans un essai de médicament au Nigeria, Pfizer a profité d’une épidémie, a menti sur son traitement expérimental contre la méningite et a soumis les enfants à des médicaments expérimentaux à risque, sans fournir un consentement éclairé adéquat aux parents.

Pfizer a finalement dû verser 75 millions de dollars aux familles touchées – des centimes par rapport au montant que le gouvernement fédéral les a renfloués en 2020.  

Johnson & Johnson (J&J) est actuellement la société pharmaceutique la plus prospère au monde, avec un chiffre d’affaires de 82 milliards de dollars au cours de la dernière année. Ce succès repose également sur des hausses de prix contraires à l’éthique, notamment une hausse sans précédent de 19% des prix des médicaments contre la leucémie et le cancer de la prostate et une hausse de 16% des prix des médicaments contre le VIH.

AstraZeneca construit son empire en supprimant les médicaments génériques qui pourraient offrir des options plus abordables aux patients. La Cour européenne de Justice a récemment soutenu la Commission européenne et a jugé qu’AstraZeneca avait abusé de sa position sur le marché pour bloquer les médicaments génériques.

AstraZeneca a manipulé les marchés en retirant son autorisation de mise sur le marché pour le Losec, en même temps qu’ils ont introduit une version de deuxième génération du médicament. Cette tactique a retenu les essais cliniques assez longtemps pour empêcher les fabricants de médicaments génériques de proposer une alternative moins chère sur le marché.

Le système de cupidité, de censure et de contrôle de Big Pharma rend les systèmes médicaux vulnérables et met la vie des gens en danger, en particulier lors d’une épidémie.




Vacciner les adolescents contre le covid : stupidité mathématique, médicale, éthique

Par Gérard Delépine

Alors que l’hystérie vaccinale prospère encore en France malgré les alertes multiples sur les décès entraînés par la vaccination et de graves accidents invalidants, il faut avertir une nouvelle fois que vacciner les enfants et adolescents contre le covid19 est une grave faute éthique, médicale, scientifique. N’embarquez pas vos enfants dans cette galère.

Au 12 juin 2021, l’agence européenne du médicament rapporte(([1] 13,867 dead and 1,354,336 injuries in European database of adverse drug reactions for COVID-19 shots | The BL)) 13 867 décès en rapport avec l’injection et 1 354 336 incidents graves.(([2] Total reactions for the experimental mRNA vaccine Tozinameran (code BNT162b2, Comirnaty) from BioNTech/Pfizer:
6,732 deaths and 502,162 injuries.
14,819 Blood and lymphatic system disorders incl. 74 deaths
11,018 Cardiac disorders incl. 843 deaths
90 Congenital, familial and genetic disorders incl. 5 deaths
6,146 Ear and labyrinth disorders incl. 3 deaths
216 Endocrine disorders
7,119 Eye disorders incl. 17 deaths
45,616 Gastrointestinal disorders incl. 332 deaths
140,516 General disorders and administration site conditions incl. 2,079 deaths
387 Hepatobiliary disorders incl. 28 deaths
5,436 Immune system disorders incl. 32 deaths
15,632 Infections and infestations incl. 711 deaths
5,552 Injury, poisoning and procedural complications incl. 94 deaths
11,782 Investigations incl. 260 deaths
3,730 Metabolism and nutrition disorders incl. 129 deaths
71,816 Musculoskeletal and connective tissue disorders incl. 84 deaths
295 Neoplasms benign, malignant and unspecified (incl cysts and polyps) incl. 21 deaths
90,427 Nervous system disorders incl. 692 deaths
330 Pregnancy, puerperium and perinatal conditions incl. 11 deaths
100 Product issues
8,902 Psychiatric disorders incl. 99 deaths
1,547 Renal and urinary disorders incl. 103 deaths
2,052 Reproductive system and breast disorders incl. 3 deaths
21,055 Respiratory, thoracic and mediastinal disorders incl. 777 deaths
23,678 Skin and subcutaneous tissue disorders incl. 60 deaths
750 Social circumstances incl. 9 deaths
222 Surgical and medical procedures incl. 15 deaths
12,929 Vascular disorders incl. 251 deaths))

Et ce ne sont que les effets indésirables précoces reconnus par l’agence, faisant évidemment l’impasse sur les effets secondaires à moyen terme, probables (fausses couches à répétition en Israël et Grande–Bretagne) et à long terme inconnus, mais craints par les généticiens (augmentation des cancers, des maladies auto-immunes, stérilité ?). Bref, de tels points d’interrogation devraient rendre les plus raisonnables prudents et on s’étonne de l’attitude de militants bio anti-OGM qui n’hésitent pas à s’injecter des thérapies géniques non testées.

Efficacité de la propagande. Comment réagiront les journalistes devant l’évidence des complications niées consciencieusement dans leurs émissions. Les vaccins H1N1 et contre la grippe aviaire avaient été interdits par la FDA après quelques dizaines de décès en rapport avec l’injection. Pourquoi ce silence après de milliers de morts ?

Et en parallèle, rappelons que le covid19 n’a pas touché les enfants sans maladies préalables potentiellement léthales.

Depuis le début du #covid19 :

  • de 0 à 9 ans : 5 décès avec des comorbidités graves ;
  • de 10 à 19 ans : 9 décès causés par des comorbidités graves.

Alors, comment accepter le pseudo-impératif arithmétique ?
Maths que de délires commet-on en ton nom ?

Stupidité arithmétique

Tout récemment(([3] Interview au Journal du dimanche daté du 13 juin. Rapportée par Le Monde et l’AFP)) Mr Fischer,(([4] Vice-président du conseil d’administration de l’Institut Pasteur (2005-2011) et Membre du conseil de gouvernance de la Fondation Edmond de Rothschild.)) professeur de génétique médicale et de recherche en thérapie génique, en charge de la stratégie vaccinale du gouvernement(([5] dans une interview au Journal du dimanche)) prétendait : « la vaccination des mineurs de plus de 12 ans est un impératif arithmétique pour se rapprocher de l’immunité de groupe contre le Covid-19 » après avoir précisé : qu’il fallait « vacciner 90 % des 12 à 100 ans » pour parvenir à l’immunité de groupe.

Comment peut-il arriver à ce chiffre ?

Rappelons tout de même que ce professeur, lié à la fondation Rothschild est responsable de la vaccination obligatoire des nourrissons depuis 2018 imposée par Mme Buzyn mise à l’abri des poursuites judiciaires par son statut international à Genève, en marchant allégrement sur les rapports des professionnels de santé et du panel de la société civile qui s’étaient déclarés opposés à l’obligation pure et simple.(([6] « Pour être honnête, on voit mal où s’est glissée la démocratie sanitaire dans cette concertation. Comme si la notion de débat était perçue comme une contrainte ou un mal nécessaire, et non comme un passage obligé. Même les jurys citoyens se sont plaints que l’on n’ait pas fait état de leurs conclusions. Questionnés ainsi par l’Agence de presse médicale, il ressort que les avis des jurys divergeaient des propositions du comité sur plusieurs points. Par exemple, les avis des jurys relatifs à la sécurité des vaccins n’ont pas été pris en compte. Le jury de professionnels de santé souhaitait, pour sa part, que le ministère de la Santé soutienne les recherches sur les effets de la vaccination à moyen et long terme et il proposait de saisir une commission parlementaire sur les adjuvants. Cela n’a pas été retenu, ni même évoqué. Et lors de la présentation, Alain Fischer a balayé toutes ces réticences, bien rapidement. »
Vaccination, le rendez-vous manqué de la concertation – Libération (liberation.fr) ))

Alors l’impératif arithmétique pour le vaccin anticovid des ados du Pr Fischer fait grincer des dents

Dans aucun des grands pays démocratiques occidentaux, la couverture vaccinale anticovid partielle (au moins une dose) n’a dépassé les 64 %, même lorsqu’une propagande mensongère intense, associée à une censure féroce des opposants et des menaces d’obligation ou de pass vaccinaux ont été utilisées (comme en Israël et en Grande-Bretagne).

Au 14 juin 2021, le pourcentage de vaccinés (à au moins une dose) n’atteint que 64 % au Canada, 62 % en Israël et en Grande-Bretagne et ne progresse plus guère. De plus, ces chiffres ne concernant que ceux qui ont reçu une dose, les vaccinés complets (à deux doses) sont partout inférieurs à 50 %.

Dans ces pays, les moins de 18 ans représentent moins de 25 % de la population et ceux de 12 à 18 ans environ 8 % de la population globale. Comme il est totalement illusoire d’espérer vacciner plus d’un tiers d’entre eux, leur vaccination augmenterait de moins de 3 % la couverture vaccinale globale dans la population, restant bien loin des 90 % considérés comme nécessaires, d’après les laudateurs de la prétendue immunité vaccinale de groupe.

Monsieur Fischer, brillant professeur, ne saurait-il plus compter ? Ou bien cette apparente aberration arithmétique, qui met en colère les vrais mathématiciens qui se sentent manipulés, ne constitue-t-elle qu’un argument de propagande vaccinale marchande de plus ? Pourquoi ce choix de décevoir tant de ses admirateurs ?

Aberration médicale ou manipulation : proposer la vaccination aux ados comme antidépresseur !

Dans cette interview, le professeur Fischer, après avoir reconnu que les mineurs « n’ont qu’un risque sanitaire minime face au Covid-19 » et que « l’idée de vacciner les ados à la place des adultes réticents est éthiquement inacceptable », prétend aussi qu’ils pourraient « tirer un bénéfice individuel au sens social et psychologique », car « ils paient un trop lourd tribut à la pandémie avec des décrochages scolaires et des impacts psychologiques très lourds pour les jeunes privés de collège ou de lycée, car la vaccination va réduire le risque de fermeture d’établissements à la rentrée ».

Son aplomb n’est pas digne de sa réputation et de son passé et rappelle plutôt celui de racketteurs ou de violeurs qui expliquent à leur victime qu’elles ne seront pas battues si elles se plient à leurs exigences. Le covid et sa gestion depuis 18 mois rend fous trop de compatriotes. Il faut en sortir.

Les troubles psychiques considérables(([7] dont des suicides d’enfants très jeunes)) et le massacre éducatif, sportif et social dont souffrent actuellement les jeunes ne sont absolument pas dus au covid qui ne les a quasiment pas atteints, mais uniquement aux mesures sanitaires inutiles coercitives et humiliantes dont ils ont été victimes.(([8] Et qui se poursuivent via la répression des manifestations festives post bac !))

Pour faire disparaître ces complications, il suffirait de reconnaître que l’épidémie est quasiment finie en France(([9] D’après le réseau sentinelle, l’incidence actuelle du covid en France est inférieure à 5/100000 et moins de 5000 nouvelles contaminations quotidiennes y sont recensées contre plus de 8000 en Grande-Bretagne championne européenne de la vaccination)), que les jeunes n’en ont jamais été responsables(([10] La fête de la musique, le carnaval de Marseille, les fêtes de Bordeaux et les rave parties qui ont été sanctionnées par de très nombreuses amendes, dispersions policières musclées, plaintes préfectorales, de garde à vue pour « mise en danger de la vie d’autrui » n’ont jamais été à l’origine de clusters prouvés.)) et de supprimer immédiatement toutes les mesures dictatoriales, sans aucun fondement scientifique, qui leur nuisent gravement.

Une affirmation contraire à la vérité scientifique

Dans son interview, Monsieur Fischer affirme : « on sait que les ados participent autant que les adultes à la circulation du virus, donc il faut y aller ». Cette affirmation est totalement contraire aux données actuelles de la science.

En effet, toutes les études épidémiologiques publiées depuis 18 mois montrent que les enfants ne participent pas à la transmission virale. De même la persistance ou la reprise des activités scolaires ne se sont accompagnées nulle part d’une reprise de l’épidémie. Après 18 mois d’épidémie et plus de 175 millions d’infectés, aucun cas de transmission du virus par un enfant infecté n’a pu être formellement démontré selon l’analyse des publications PubMed internationales (plus de onze mille sur covid et enfant).

Les enquêtes sur les cas identifiés en milieu scolaire suggèrent que la transmission d’enfant à enfant à l’école est rarissime (si elle existe)(([11] Jonas F Ludvigsson Children are unlikely to be the main drivers of the COVID-19 pandemic – A systematic review Acta Paediatr 2020 Aug; 109(8):1525-1530. doi: 10.1111/apa.15371. Epub 2020 Jun 17.))(([12] Indrė Stacevičienė A cross-sectional study of screening for coronavirus disease 2019 (COVID-19) at the pediatric emergency department in Vilnius during the first wave of the pandemic Eur J Pediatr25 févr.2021.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7906570/pdf/431_2021_Article_3999.pdf))

Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.

  • L’étude de l’INSERM(([13] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.)) est très démonstrative. L’enfant des Contamines a été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie.
  • L’étude de l’institut Pasteur(([14] A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020)) sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois a porté sur 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.
  • L’étude Coville, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans permet de conclure que : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »(([15] Anne Jouan Exclusif Covid-19 : les enfants accusés… et innocentés Paris Match 09/05/2020))
  • Aux Pays-Bas,(([16] National Institute for Public Health and the Environment. Ministry of health, welfare, and sport. Netherlands. Children and COVID-19. Available:
    https://www.rivm.nl/en/novel-coronavirus-covid-19/children-and-covid-19)) les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3 % de tous les patients déclarés avec COVID-19, bien qu’ils représentent 20,7 % de la population. Seulement 0,6 % des hospitalisations signalées concernaient des enfants de moins de 18 ans. Il n’y a pas de rapport d’enfants décédés du COVID-19. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans et les résultats préliminaires ont montré que rien n’indique que les enfants de moins de 12 ans aient été les premiers infectés de la famille.
  • En Irlande,(([17] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020; 25 :2000903.)) avant la fermeture des écoles, aucun cas de contamination scolaire n’a été détecté parmi les 924 enfants et 101 adultes au contact de six infectés (trois enfants, trois adultes).
  • En Australie,(([18] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles – L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020Google Scholar)) 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées, aucune chez le personnel adulte. 1 élève du primaire a été potentiellement infecté par un membre du personnel. Australian National Centre for Immunisation Research and Surveillance
  • En Suisse(([19] Posfay-Barbe KM, Wagner N, Gauthey M, et al. COVID-19 in Children and the Dynamics of Infection in Families. Pediatrics. 2020; 146(2):
    https://pediatrics.aappublications.org/content/146/2/e20201576)): sur un total de 4310 patients atteints du SRAS-CoV-2, 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9 %). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).
  • En Finlande, un enfant de 12 ans qui allait à l’école durant sa maladie a été en contact avec 121 personnes et n’en a contaminé aucune.
  • En Grèce, l’analyse épidémiologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants) n’a retrouvé aucun cas de transmission à partir d’un enfant.

En Israël, une poussée de covid est apparue dix jours après la réouverture des écoles et des universités. Le rôle d’un employé super contaminateur a été clairement mis en évidence, mais aucun cas de contamination certaine à partir d’un enfant n’a été établi.

Et Benjamin Lee et William V. Raszka confirment dans la grande revue pédiatrique américaine(([20] Benjamin Lee and William V. Raszka COVID-19 Transmission and Children: The Child Is Not to Blame Pediatrics August 2020, 146 (2) e2020004879; DOI:
https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879)): « dans la transmission du COVID-19, l’enfant n’est pas à blâmer. »

Les conclusions du centre européen de contrôle des maladies infectieuses sont également claires :

« les preuves issues de la recherche des contacts dans les écoles et les données d’observation d’un certain nombre de pays de l’UE montrent que la réouverture des écoles n’a pas été associée à une augmentation de la transmission communautaire.

« Les données disponibles indiquent également que les fermetures d’établissements de garde d’enfants et d’enseignement ne constituent pas une mesure de contrôle efficace pour la transmission communautaire du COVID-19 et que de telles fermetures ne fourniraient probablement pas une protection supplémentaire significative de la santé des enfants, car la plupart développent une forme très légère COVID-19. »

Ceux qui culpabilisent les enfants en les accusant de transmettre le virus(([21] Dont les responsables d’un spot télévisuel mensonger qui montrent un enfant qui vient embrasser sa grand-mère à domicile et que l’on accuse d’être responsable de son hospitalisation trois semaines plus tard)) ne citent que de vagues études de laboratoire, ou des simulations reposant sur des hypothèses fausses, ou la découverte de foyers scolaires dus aux adultes à leur contact, mais jamais d’études épidémiologiques sérieuses dans le monde réel.

La médecine, c’est d’abord la clinique et ceux qui ont osé accuser les enfants de risquer de tuer leurs grands-parents à travers des clips télévisés émotionnels, sans aucune preuve scientifique de ces accusations, seront à l’origine de multiples dégâts à court, moyen, voire long terme, et en particulier des épidémies de suicide, y compris chez les très jeunes enfants. Le journal Bild allemand, un des plus grands en Allemagne vient de s’excuser auprès de la population des mensonges diffusés à la demande du gouvernement et en particulier de la maltraitance des enfants.

Stupidité médicale : dans le monde réel, les vaccins covid actuels sont incapables d’assurer une immunité de groupe

Les avocats de la vaccination prétendent qu’il serait nécessaire d’atteindre le plus haut taux de vaccination (70 %-90 %) pour stopper l’épidémie.

Mais cette fausse affirmation ne repose, une fois de plus, que sur des simulations mathématiques qui se sont très lourdement trompées tout au long de cette crise sanitaire.

Dans la vie réelle, tous les pays qui ont atteint de très hauts pourcentages de vaccination antiCovid, loin d’être protégés, sont ceux qui souffrent des plus hauts taux de propagation du virus et de mortalité pendant au moins 6 à 12 semaines. Rappelons quelques exemples à l’aide des courbes officielles de l’OMS sur lesquelles nous avons ajouté nos commentaires en rouge.

Gibraltar (34 000 habitants)

Dans ce micro-État la vaccination de la totalité de la population a été suivie d’une multiplication par 4 des contaminations et par 19 de la mortalité (de 10 à 95)

Les Seychelles sont un petit pays d’environ 100 000 habitants dont la ressource principale est le tourisme. Elles avaient été relativement épargnées par l’épidémie et ne comptaient, après 9 mois d’épidémie, que 502 cas confirmés et un décès. La vaccination a commencé début janvier 2021 et après l’injection de près de 140 mille doses, le taux de couverture vaccinal global dépasse les 70 % et approche les 90 % chez les adultes.

Mais 6 mois après le début de la vaccination, le bilan est passé à 12 466 cas confirmés (+2500 %) et 42 morts, et le nombre de nouvelles contaminations hebdomadaires reste deux fois plus élevé qu’avant vaccination. Et les Seychelles ont depuis la vaccination subi un confinement.

Une poussée post vaccinale de nouvelles contaminations comparable a été observée sur l’Île de Man

Et de pareilles évolutions post vaccinales catastrophiques ont touché plus de trente pays.

L’exemple démonstratif de la Grande-Bretagne

Ce pays est partout cité comme exemple de l’efficacité de la vaccination par les médias et son gouvernement qui ne parlent jamais ni de l’hécatombe post vaccinale précoce qui a suivi les vaccinations ni des résultats globaux attestés par l’OMS et très peu de la reprise actuelle de l’épidémie que la vaccination était censée empêcher. Examinons les faits, les chiffres officiels de l’OMS.

La Grande-Bretagne est le champion européen de la vaccination. La campagne de vaccination a commencé le 8 décembre 2020 et a touché plus de 62 % de la population. Mais, un mois après la vaccination, les mois de janvier et février 2021 ont établi les records de mortalité mensuelle totalisant à eux seuls près du quart de la mortalité britannique attribuée au Covid depuis le début de l’épidémie.

Après cette hécatombe post vaccinale, les responsables de la vaccination et le gouvernement anglais se sont flattés du faible taux de contamination qui a suivi en même temps que l’épidémie régressait également en Europe (-85 % depuis avril 2021) dans les pays vaccinés comme dans les pays très peu vaccinés.

Mais depuis mai 2021, malgré son taux record de vaccinés, une augmentation des contaminations journalières (+ 300 %) est observée en Grande-Bretagne prouvant qu’un très haut taux de couverture vaccinale ne protège pas la population de l’épidémie.

Le 18 juin2021 la Grande-Bretagne très vaccinée comptait 10 809 nouvelles contaminations quotidiennes, soit quatre fois plus qu’en France (2775) deux fois moins vaccinée.

Heureusement, l’épidémie disparaît de France depuis avril, bien avant qu’un hypothétique effet de la vaccination puisse l’expliquer

AUCUN ARGUMENT RATIONNEL NE JUSTIFIE LA VACCINATION DES ADOS À MARCHE FORCÉE

Alors, pourquoi prendre le risque de vacciner les adolescents, alors que cette vaccination ne peut leur apporter aucun bénéfice personnel, et que les résultats cliniques dans les pays les plus vaccinés sont très inquiétants ?

Essais en cours sur les enfants aux États-Unis

La revue du 2 juin de Laure Gonlézamar pour France Soir(([22] Devons-nous vacciner nos enfants contre le Covid-19 ? (francesoir.fr) )) fait le point de la situation des éléments connus sur les essais en cours sur les enfants aux États-Unis.

« Depuis le 16 mars 2021, des essais menés par Moderna sont en cours aux USA et au Canada sur 6750 enfants et bébés âgés de 6 mois à 11 ans. D’autres essais sont en cours avec Pfizer et AstraZeneca. Les résultats ne sont pas encore publiés.

Le VAERS fait état de plusieurs dizaines de cas d’effets indésirables graves et dont des décès d’enfants et adolescents ayant reçu une ou plusieurs doses de Pfizer ou de Moderna. Les cas sont rapportés par des soignants ou les familles des patients, ce qui complique la fiabilité des sources.

Néanmoins, voici deux exemples issus du VAERS, l’un d’une petite de 2 ans et l’autre d’une jeune fille trisomique de 15 ans, toutes deux décédées.

On ne compte plus les témoignages de proches de victimes sur les réseaux sociaux… qui disparaissent rapidement, comme par magie ; notamment sur YouTube et Facebook. Plusieurs groupes du réseau social n°1 mondial rassemblant diverses expériences malheureuses de vaccinés ont tout simplement été fermés.

On peut raisonnablement se poser des questions. Certaines vérités ne semblent pas « désirées », car seule compte la propagande vaccinale.

En Israël, pays ayant complètement vacciné 56,6 % de sa population avec les deux doses, des voix s’élèvent contre la vaccination des enfants, car des cas de myocardites chez des patients jeunes ont été rapportés ».

Pas de risque du covid pour les enfants et ados, risque des vaccins non négligeables et inconnus. Pourquoi vacciner ? Pour un voyage ? Mais le pass vaccinal est en train de sauter et vous pourrez bientôt voyager librement.

Vous avez la vie devant vous, ne prenez pas le risque de la gâcher !





Dire « Non » à la dictature sanitaire, mais « Oui » à la vie

[Source : sciencedusoi.com]

[Illustration : Martin Luther King]

Par Arthur Mantes

MOI, je dis NON (et je dis oui à la vie)

Parfois, dire non c’est dire oui à la vie.

À tous ceux qui ne voient pas, ne disent rien, et trouvent que tout est normal en cette période, en cette société : vous faites partie du problème. Pardon, mais c’est juste la vérité. La vérité ne transige pas et ne parle pas pour faire plaisir, elle dit ce qui est.

À chaque époque de l’histoire, il y a eu des injustices commises par ce qu’on appelle le « gouvernement », ceux qui s’octroient le droit de décider pour les autres. Allant de l’apartheid, à la prohibition, la taxation, en passant par des génocides… On justifie des crimes, on justifie des guerres, on justifie des privations extrêmes de liberté…

Et a chacune de ces époques, la majorité des gens, confinés dans leur peur et leur lâcheté, laissent faire et ferment les eux. Soit par peur, soit par ignorance aveugle de ce que ce gouvernement ne sert pas les intérêts de la communauté.

Aujourd’hui, on glorifie le courage des Gandhi, Martin Luther King, et résistants pendant les grandes guerres, et dans le même temps on ose tourner en ridicule et ignorer les lanceurs d’alerte modernes.

Aujourd’hui, on s’offusque avec terreur de ce qui a pu être fait dans le passé, comme l’extermination juive, la traite noire, l’inquisition, et dans le même temps on ferme les yeux sur ce qui se fait aujourd’hui. Car la forme a changé, les costumes et les institutions qui dirigent ont changé, et la dimension de subtilité de cette guerre a changé aussi.

Rappelez-vous que dans la pensée collective, les horreurs d’hier étaient considérées normales et justifiées. Car notre esprit est soigneusement conditionné pour trouver cela normal et se conformer à la volonté de cette autorité qui décide.

Aujourd’hui, ceux-là qui jouent leur vie et leur carrière pour dénoncer et montrer au grand jour ce qui n’est pas normal et ce qui est dangereux sont ridiculisés et purement ignorés.

Et au lieu d’instaurer un dialogue, pour créer des décisions basées sur un consensus, on traite de « conspirationnistes » ceux qui pensent différemment, ceux qui opposent et critiquent. Dans ce même temps, le gouvernement continue d’avancer vers les décisions qu’il prend dans l’autarcie de son égoïsme, en ignorant totalement l’avis de son peuple, et même des experts des domaines qu’on dit sacrés : la science et la médecine.

C’est comme cela qu’un pass sanitaire sera adopté, celui-là contre lequel les conspirationnistes mettaient en garde il y a des mois déjà. Un pass obligeant les personnes saines à devoir prendre des mesures hautement intrusives pour se conformer à ce que le gouvernement dit qui est « bon » et « juste » pour tous. Et une personne saine, mais qui ne se contraint pas à exécuter les ordres se verra privée de ses libertés.

Vous trouvez cela normal ?

Alors oui, dire NON n’est pas facile. Cela fait peur.

Avoir peur est normal. Car ce système autoritaire est basé sur la peur. Il existe un chantage permanent : « si tu ne fais pas ce que je dis, tu seras puni ». On nous infantilise et nous traite comme des esclaves, des êtres sur qui on a le droit de vie et de liberté.

Toute opposition est sanctionnée de coercition : on te prend ton argent, ta liberté voire ta vie. Encore une méthode mafieuse pour forcer à ce que tout le monde soit d’accord. On parle de liberté de penser et d’expression, mais celle-ci est enfermée dans une cage, depuis longtemps. Ce système est la cage.

Avoir peur est normal, car la vie est tellement grandiose que personne ne voudrait la perdre, ne serait-ce qu’en partie.

Mais nous nous sommes déjà fait voler tellement de libertés. Depuis si longtemps que nous ne nous en souvenons même pas.

À tous ceux qui ne se posent pas encore de question, à ceux qui font confiance au gouvernement, à ceux qui oublient ce qui s’est produit dans le passé : ouvrez les yeux.

Pas seulement pour vous, mais aussi pour ceux que vous aimez, et pour vos enfants.

Car notre système dérive, dangereusement, vers de plus en plus de « contrôle ». Et le contrôle, même s’il est mis en place sous d’apparentes bonnes intentions, ne peut PAS coexister avec la valeur fondamentale de liberté.

Liberté, égalité et fraternité sont à l’agonie.

L’enfer est pavé de bonnes intentions, comme on dit. Sous couvert de faire le bien, on peut faire le mal et le faire accepter. On peut justifier des actes qui sont hors-la-loi (de ce qui est juste et bon dans l’absolu) et mauvais, pour les faire passer comme bons et les rendre acceptables dans la pensée collective. Et si on sait bien s’y prendre, on crée comme terrain préparatoire un climat de peur collective intense, et cela passe comme une lettre à la poste…

Car une personne qui a peur est facilement manipulable.

Mais ceux qui s’en rendent compte doivent se lever, et protester. Car celui qui ne dit rien consent. Et personne ne devrait consentir à perdre sa liberté et une partie de sa vie. Personne ne devrait accepter des décisions qui sont injustes et intrusives.

Moi, je dis NON.

On peut être spirituel, on peut toucher l’unité et faire un avec le cosmos en soi, et savoir dire NON.

Car dire NON est la manifestation d’une limite qui doit être posée, affirmée. Dire NON, c’est refuser certaines choses qui ne sont pas justes et acceptables, car elles ne sont pas le reflet de notre nature véritable. Dire NON, c’est refuser ce qui est MAL et choisir ce qui est BIEN. Dire NON, c’est faire preuve de conscience et reconnaître la vérité.

Parfois, dire NON c’est dire OUI à la vie.

Moi, je dis non.

Je dis non à ce que l’on choisisse pour moi. Je dis non à ce que l’on me punisse. Je dis non à ce que l’on m’infantilise. Je dis non à ce que l’on me dise ce que je dois croire et penser. Je dis non à ce que l’on me prenne ma liberté. Je dis non à une société qui prône l’esclavage sous des apparences dorées. Je dis non à ce que l’on m’impose des décisions que je ne souhaite pas. Je dis non à ce que l’on m’empêche de choisir pour moi. Je dis non à ce que l’on me fasse du chantage. Je dis non aux menaces.

Et je dis OUI à la vie, et aux valeurs auxquelles je crois profondément : la liberté, le respect, l’amour, la fraternité, le bien.

« La désobéissance civile devient un devoir sacré lorsque l’État est devenu sans loi ou corrompu. Et un citoyen qui courtise avec un tel État partage sa corruption et son anarchie. »

Mahatma Gandhi

La première étape est de dire NON, au moins intérieurement.

Car on est chacun souverain des décisions que l’on prend. Soit on choisit ce qui est juste et bon, soit on choisit ce qui est mal et injuste. Et si on ne choisit pas, on choisit aussi.

On est chacun responsable ce chaque choix que l’on prend. Cela veut dire que chaque choix a des conséquences, et que si on veut vraiment le meilleur pour nous et pour les autres, il est un devoir de choisir ce qui est bon dans l’absolu.

Affirmer ses valeurs, affirmer sa liberté, affirmer ses limites.

Et cela commence par dire NON.

PARTAGEZ CE MESSAGE :

À tous ceux qui sont en accord avec ce message, partagez-le partout où il pourra semer une graine.


[Voir aussi : La clef de la libération]




Note sur les fake news relatives aux chiffres concernant les effets secondaires des thérapies géniques chez les enfants de 0 à 17 ans

[Source : Réaction19]

Dans le cadre de l’extension récente de l’indication du« vaccin» contre la COVID-19 aux jeunes de 12 à 18 ans, le présent guide a été mis en ligne pour que les élèves puissent se construire par eux-mêmes une opinion éclairée sur ses avantages et ses inconvénients.

Aux termes de ce guide :

  1. Les risques énoncés concernant le vaccin chez les 12-18 ans sont les suivants:
    • Les données concernant la tolérance du vaccin (obtenues chez les 2260 adolescents âgés de 12 à 15 ans) sont globalement satisfaisantes.
    • La plupart des effets indésirables rapportés chez les adolescents étaient les mêmes que chez les adultes et consistaient en des manifestations locales (douleur au point d’injection) ou des symptômes généraux (fatigue, céphalée, frissons, douleurs musculaires, fièvre, d’intensité légère à modérée.
    • Aucun effet indésirable considéré comme grave en rapport avec le vaccin n’a été rapporté.
  2. Les bénéfices directs énoncés concernant la vaccination contre la COVID-19 sur le plan individuel sont les suivants
    • Bien qu’elles soient rares, des formes sévères de COVID-19 peuvent survenir chez les enfants et adolescents, notamment en cas de comorbidité. La vaccination aurait donc un bénéfice individuel direct sur cette population. Le vaccin Comimaty [Ndlr : de Pfizer] a prouvé dans les essais cliniques qu’il était efficace sur les cas de COVID-19 symptomatiques et confirmés par PCR à 100 % à partir du 7e jour après la fin de la vaccination.
    • La vaccination des adolescents aurait un bénéfice individuel évident sur le plan psychologique et social.
  3. Les seules contre-indications énoncées concernant les vaccins sont les suivants :
    • L’utilisation de Comirnaty est contre-indiquée uniquement en cas d’antécédents d’allergie immédiate à l’un des composants du vaccin.
    • Il n’y a pas de données concernant l’exploration de l’efficacité du vaccin chez les 12-18 ans sur la transmission virale.
    • Il n’y a pas encore de données disponibles concernant l’efficacité sur les formes graves de COVID-19 chez les enfants, notamment le « syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique» (MIS-Cou PIMS).
    • L’efficacité du vaccin Comirnaty pour les 12-15 ans sur les différents variants circulants actuellement n’a pas encore pu être évaluée.

Et ce alors que le site eudravigilance fournit des données différentes

  • Sur Pfizer BioNtech :

569 rapports qui signalent les effets secondaires subis par les enfants entre 0 et 17 ans, dont 408 qui touchent aux enfants de 12 à 17 ans.

Parmi eux, on trouve 62 rapports qui dévoilent des effets indésirables associés au cœur, notamment : crise cardiaque, myocardite, péricardite, rnyopericardite et tachycardie.

On y trouve également des effets associés au système sanguin, notamment la thrombose (veineuse et artérielle) et la thrornbocytopénie.

Dans la majorité des cas, les résultats restent en attente puisque le site ne précise pas la suite (‘inconnu’) ou mentionne qu’ils sont en progrès (‘en voie de guérison’) .

  • Sur Moderna :

59 rapports qui signalent les effets secondaires subis par les enfants entre O et 17 ans, dont 29 qui touchent aux enfants de 12 à 17 ans.

Parmi eux, on trouve deux crises cardiaques, une défaillance cardiaque chronique, un cas de tachycardie.

On y trouve également un cas de thrombose.

Dans l’ensemble, on peut apprécier de nombreux effets indésirables associés à l’injection, tels que : cécité, surdité, saignements menstruels abondants, perte de conscience, mydriase, douleur au site d’injection, frissons, malaise, myalgie, fièvre, douleurs articulaires généralisées, nausées, maux de tête, fatigue, douleur thoracique, paresthésie.

Dans la plupart des cas, les résultats demeurent en attente puisque le site ne précise pas la suite (« inconnu ») ou indique qu’ils sont en progrès (« en voie de guérison »).

Rapport complet : ici




La propagande vacciniste en roue libre

Par Lucien Samir Oulahbib

La boucle obsessionnelle de l’idée fixe propre au psychotique codiviste (le «MAXcin» sinon rien et sus aux contestataires!) fait que ce type de syllogisme fixiste s’auto-nourrit de ses prémisses, même si elles sont fausses, le vrai le faux ne devenant qu’une affaire d’ami/ennemi : ainsi puisqu’il n’y a pas de traitement qui marche (ce qui est faux) et comme cette maladie est inconnue et qu’elle peut tuer de façon exponentielle (c’est faux également, surtout après plus de 18 mois d’expérience), alors il faut vite vite vite trouver un palliatif — la thérapie génique, censée en quelques mois répondre à la question alors que d’une part cette maladie est très soignable y compris chez les personnes dites « âgées » et ce pour pas très cher, d’autre part la prudence doit prévaloir surtout lorsqu’il s’agit d’autorisations provisoires et alors que d’aucuns faisaient des pieds et des mains contre les OGM qui étaient (qui sont toujours) accusés de « modifier » le génome humain ; mais « vérité en deçà [des Pyrénées], mensonge au-delà », selon l’adage…

Tout le spectre politico-intello-médiatique et les « scientifiques » aux ordres prennent ainsi pour argent comptant le fait que la médecine « mécaniste » (physico-chimiste) serait une science « dure », ils jouent de plus en plus violemment cet air, du Wagner quasiment, nous entraînant bon gré mal gré vers la falaise de l’absurde (une maladie soignable à plus de 99 % pourtant) et observe que la chute s’avère impeccable il n’y a guère « d’effets secondaires » en effet, la trajectoire du plongeon dans l’inconnu est très belle à regarder, les moutons se jettent en plus « volontairement », le vol est parfait, certes un peu à gauche à droite, extrême gauche, extrême droite, extrême centre, mais « l’essentiel » est là : « flop » le corps s’enfonce dans l’eau du Gange « vaccinal » ; baptême et fin de partie.

Mais une pensée surnage au-dessus de ce naufrage : tout ça pour ça ?… Alors que les milliards dépensés auraient pu servir à mettre sur pied un système sanitaire digne de ce nom permettant ainsi aux malades d’être soignés avec des traitements qui marchent tandis que la grande majorité de la société vaquerait à ses occupations permettant de payer la bonne qualité d’ensemble du système de soins sans en passer par la dette (qui va peut-être inciter les gouvernants français à reculer l’âge de la retraite à 67 ans pour rembourser).

Eh bien non, l’idée fixe du tout physico-chimique visant à la réduction du corps humain à un automatisme (alors que l’idée de « machine » est bien plus complexe chez Descartes) non seulement s’avère toute puissante, mais s’acoquine avec tout un calcul ourdi multifactoriel qui ne peut que susciter la suspicion comme les emails de Fauci le révèlent ainsi que la classification soudaine des traitements qui marchent comme étant en fait des « substances venimeuses » alors que le nombre d’effets secondaires des essais géniques actuels se comptent, eux, par dizaines de milliers en France (en ajoutant qu’une infime partie reste relatée, tant il est fastidieux de retrouver le numéro du flacon faire la démarche, etc., sans oublier le manque de temps…) et que les effets peuvent se voir à moyen et long terme (rendez-vous dans quelques mois : rappel, un vaccin digne de ce nom met des années avant d’être autorisé…).

COVID-19 MRNA VACCINE MODERNA (CX-024414)
COVID-19 MRNA VACCINE PFIZER-BIONTECH (TOZINAMERAN)
COVID-19 VACCINE ASTRAZENECA (CHADOX1 NCOV-19)
COVID-19 VACCINE JANSSEN (AD26.COV2.S)

Mais cependant, et il faut le reconnaître si c’est exact, cette expérimentation pourrait montrer quelques effets positifs pour les plus de 81 ans en déficience immunitaire (car l’ARN fragmenté du virus injecté leur excite le système lymphocyte) c’est du moins ce qu’indiquent ces deux chercheurs israéliens interviewés par FranceSoir, tout en soulignant cependant qu’il n’en est rien pour les plus jeunes, bien au contraire, et que c’est inutile puisque les traitements adéquats marchent et sont là en suffisance désormais…

Ce qui fait que le tableau s’éclaircit par touches successives :

  • la pédanterie scientiste mécaniste (productiviste quantitativiste) écarte de façon méprisante tout repositionnement de médicaments antiparasitaires alors que l’expérimentation à doses adéquates prouve leur efficacité;
  • à cela se conjugue l’idée qu’une thérapie génique pourrait rapporter (très) gros, d’où l’idée de classer comme substances vénéneuses ces médicaments « remastérisés » au nom d’effets secondaires imaginaires (tout en minimisant ceux produits par la thérapie générique promise);
  • et, enfin, à ces deux facteurs (à savoir donc l’outrecuidance pédante d’une épistémologie modale désuète et l’affairisme se conjuguant à la jouissance narcissique d’être et de se voir agir au faîte de divers pouvoirs) se conjuguent à diverses fenêtres d’opportunité comme la numérisation à marche forcée des liens humains permettant une marchandisation supplémentaire alors que les biens dits « classiques » sont diabolisés, telle la voiture, de plus en plus propre pourtant, et que se trouve confondus exprès pollution, déchets nucléaires, CO2, alors que l’un dans l’autre le CO2 ne doit pas être confondu avec le CO et que le nucléaire ne peut être réduit à ses déchets de plus en plus miniaturisés et recyclés.

Il y a donc une conjonction conflictuelle de plusieurs facteurs qui peuvent faire croire en effet à un « complot systémique » par certains aspects, alors qu’il peut s’agir aussi d’une rencontre « opportune » entre plusieurs courants de faits (façon Cournot et sa théorie du « hasard ») tels que le mépris scientiste (le corps humain n’est qu’un magma physico-chimique manipulable par « gain de fonction » ou le « trans » et « post » humanisme, au sens littéral), l’affairisme avide et jouisseur (empêcher le repositionnement de médicaments peu coûteux, profiter de l’occasion pour étendre l’étatisme tentaculaire au détriment de la société civile), la bêtise, l’envie (comme l’acharnement anti-Raoult opéré par des ignares en plus : oui il y a plus de jeunes accidentés par trottinettes électriques que par la C-19), enfin le calcul politicien de bas étage et toute sa libido virale ouvrant aux psychotiques narcissiques la fente du donjuanisme à bon compte démultiplié par l’effet chatoiement des grands écrans plasma intrusifs permettant à l’onanisme y compris mobile de s’ériger au moment où tout implose façon plutôt passive, et soumission ou l’« horizon indépassable » d’un Occident en débandade généralisée.

Mais « la » vie humaine en a vu d’autres… « Chaque génération est un nouveau peuple », disait Tocqueville. Et comme tout s’accélère, rira bien, non pas le dernier, mais qui pourra rire…




Une journaliste vedette de Fox News dévoile ce que des sites « complotistes » avaient révélé depuis des mois : le document Rockefeller sur un scénario pandémie publié en 2010

[Source : Pro Fide Catholica]

[Vidéo orignelle en anglais : ‘Ingraham Angle’ on Democrat leaders, COVID origins | Fox News]

Par brianajane

LAURA INGRAHAM DE FOX NEWS DÉVOILE À LA TÉLÉ AMÉRICAINE LES DOCUMENTS MONTRANT QUE LES ROCKEFELLER AVAIENT PRÉVU LE SCÉNARIO DE LA PANDÉMIE EN 2010

Fox News aux Etats-Unis, c’est TF1, France 2, France 3, BFM TV, CNEWS, LCI… en France. C’est une Chaîne de Grande écoute et surtout une chaîne qui a moulte fois crié « Au Complotisme » !

[Ndlr : cette chaîne est néanmoins dénigrée par la plupart des autres médias dominants américains en raison de son orientation plutôt pro républicaine.]

Donc, Laura Ingraham, la présentatrice Vedette de la Chaîne annonce très clairement qu’il existe bien un rapport ROCKEFELLER de 2010 annonçant la Pandémie et la manière dont le pouvoir en place ne laissera JAMAIS cette crise imaginaire prendre fin avec un contrôle total et absolu des Peuples qui ont auront été ainsi privés de Libertés.

Nous vous avions fait part de ce rapport Rockefeller le 1er Mai 2020 :

https://profidecatholica.com/2020/05/01/le-rapport-de-la-fondation-rockefeller-de-2010-qui-annoncait-la-pandemie-et-le-confinement/
[Voir aussi : La crise de la covid-19 prévue en 2010 par la fondation Rockefeller ?]



Les « Choses » bougent énormément aux Etats-Unis et nous espérons un changement radical de Cap pour bientôt.

Vous avez LA PREUVE, avec cette vidéo de FOX-NEWS, que le COVID-19 est bel et bien UN COMPLOT CONTRE L’HUMANITE car quand une pandémie sugit, elle ne se signale pas 21 ans en avance.

De Plus c’est ROCKEFELLER qui signe, c’est pour ainsi dire DOUBLEMENT SIGNE.


[Voir aussi :
Des passeports pour les vaccins ont été planifiés avant même le début de la pandémie
Preuves que la pandémie a été planifiée ?
La vaccination mondiale : le véritable objectif de l’opération COVID-19
Le bon virus au bon moment
Ce que nous vivons était décrit par le journaliste Serge Monast en 1994]




Selon le Dr. McCullough, les vaccins COVID représenteraient la seconde étape d’une attaque bio-terroriste

[Source : Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

Debra Heine – Le 15 juin 2021

Lors d’une interview extraordinaire la semaine dernière, le Dr Peter McCullough, professeur américain de médecine et vice-chef du service de médecine interne de l’université Baylor, a déclaré que le monde avait été soumis à une forme de bioterrorisme et que la suppression des premiers traitements contre le COVID-19 – comme l’hydroxychloroquine – « était étroitement liée au développement d’un vaccin ».

Le Dr McCullough a fait ces commentaires explosifs lors d’un webinaire le 11 juin, avec le Dr Reiner Fuellmich, un avocat allemand, qui pense que la pandémie a été planifiée et qu’elle constitue « un crime contre l’humanité. »

Le Dr McCullough a déclaré que, selon lui, le bioterrorisme s’est déroulé en deux étapes – la première étant le déploiement du coronavirus, et la seconde, le déploiement des vaccins dangereux, qui, selon lui, pourraient déjà être responsables de la mort de milliers d’Américains.

Le Dr McCullough pratique la médecine interne et la cardiologie, est rédacteur en chef de Reviews in Cardiovascular Medicine, rédacteur principal de l’American Journal of Cardiology, rédacteur en chef du manuel Cardiorenal Medicine et président de la Cardiorenal Society.

« La première vague de bioterrorisme est un virus respiratoire qui s’est répandu dans le monde entier et qui a touché relativement peu de personnes – environ un pour cent de la population – mais qui a suscité une grande peur », a expliqué le Dr McCullough lors du webinaire organisé par Oval Media avec d’autres médecins. Il a fait remarquer que le virus visait « principalement les personnes fragiles et les personnes âgées, mais pour les autres personnes en bonne santé, c’était un peu comme un simple rhume ».

Le Dr McCullough a ensuite précisé qu’il avait traité de nombreux patients atteints de la maladie, qu’il avait écrit des articles sur le sujet, qu’il avait lui-même été atteint de la maladie et qu’il avait vu un décès dans sa propre famille dû au COVID.

Le médecin a déclaré qu’il pense que la peur du virus a été utilisée très rapidement pour générer des politiques qui auraient un impact énorme sur la vie humaine, comme les mesures draconiennes de confinement.

« Tout ce qui a été fait en matière de santé publique en réponse à la pandémie n’a fait qu’aggraver la situation », a-t-il souligné.

M. McCullough a expliqué que, très tôt, en tant que médecin traitant des patients atteints du COVID, il a mis au point un régime de traitement précoce pour les personnes atteintes du virus, qui a permis de réduire les séjours à l’hôpital d’environ 85 %, et il a commencé à publier des articles sur ce qu’il avait appris. Le médecin a noté qu’il s’était heurté à une « résistance à tous les niveaux » pour ce qui est de traiter les patients et de publier ses articles.

« Heureusement, j’ai eu assez de force de publication pour publier les deux seuls articles de toute la littérature médicale qui enseignent aux médecins comment traiter les patients atteints de COVID-19 à la maison pour éviter l’hospitalisation », a-t-il déclaré.

« Ce que nous avons découvert, c’est que la suppression du traitement précoce était étroitement liée à la mise au point d’un vaccin, et que l’ensemble du programme – et dans un sens, la phase 1 du bioterrorisme – a été déployé, [et] consistait réellement à maintenir la population dans la peur, et à l’isoler pour la préparer à accepter le vaccin, qui semble être la phase 2 d’une opération de bioterrorisme. »

M. McCullough a expliqué que le coronavirus et les vaccins diffusent tous deux « dans le corps humain, la protéine spike, [qui est] la cible de gain de fonction de cette recherche bioterroriste. »

Il a reconnu qu’il ne pouvait pas dire tout cela à la télévision nationale, car l’establishment médical a fait un travail de propagande très poussé sur la question.

« Ce que nous avons appris avec le temps, c’est que nous ne pouvions plus communiquer avec les agences gouvernementales. En fait, nous ne pouvions pas communiquer avec nos collègues propagandistes des grands centres médicaux, qui semblent tous être sous le charme, presque comme s’ils avaient été hypnotisés. »

« De bons médecins font des choses impensables comme injecter à des femmes enceintes de l’ARN messager biologiquement actif qui produit cette protéine de pointe pathogène. Je pense que lorsque ces médecins se réveilleront de leur transe, ils seront choqués de penser à ce qu’ils ont fait aux gens », a-t-il déclaré, faisant écho à ce que lui-même et le Dr Harvey Risch, professeur à l’école de santé publique de Yale, ont déclaré à Laura Ingraham, animatrice de Fox News, lors d’une interview le mois dernier.

M. McCullough a expliqué à Reiner Fuellmich que l’été dernier, il a lancé une initiative de traitement précoce pour éviter que les patients atteints du COVID ne soient hospitalisés, ce qui a nécessité l’organisation de plusieurs groupes de médecins aux États-Unis et à l’étranger.  Le médecin a noté que certains gouvernements ont essayé d’empêcher ces médecins de fournir les traitements, mais avec l’aide de l’Association des médecins et chirurgiens, ils ont pu publier un guide du patient à domicile et, aux États-Unis, ils ont organisé quatre services télémédicaux différents et quinze services télémédicaux régionaux.

Ainsi, les personnes atteintes du COVID-19 ont pu appeler ces services et se faire prescrire les médicaments dont elles avaient besoin dans des pharmacies locales ou des pharmacies de distribution par correspondance, a-t-il expliqué.

« Sans que le gouvernement ne comprenne vraiment ce qui se passait, nous avons écrasé la courbe épidémique des États-Unis », a affirmé M. McCullough. « Vers la fin décembre et en janvier, nous avons essentiellement pris en charge la pandémie avec environ 500 médecins et des services de télémédecine, et à ce jour, nous traitons environ 25 % de la population américaine du COVID-19 qui sont en fait à haut risque, âgés de plus de 50 ans avec des problèmes médicaux qui présentent des symptômes graves. »

Le médecin a déclaré que sa conviction que la suppression du traitement précoce était « étroitement liée » aux vaccins, est ce qui l’a conduit à concentrer son attention sur la mise en garde du public contre les vaccins.

« Nous savons qu’il s’agit de la phase deux du bioterrorisme, nous ne savons pas qui est derrière, mais nous savons qu’ils veulent une aiguille dans chaque bras pour injecter de l’ARN messager ou de l’ADN adénoviral dans chaque être humain », a-t-il déclaré. « Ils veulent chaque être humain ». Le médecin a par la suite averti que les vaccins expérimentaux pourraient à terme provoquer des cancers, et stériliser les jeunes femmes.

Le Dr McCullough a déclaré que son objectif est de mettre à part un grand groupe de personnes que le système ne peut atteindre, ce qui inclurait les personnes qui ont déjà eu le virus, celles qui sont immunisées, les enfants, les femmes enceintes et les femmes en âge de procréer.

Le cardiologue a poursuivi en disant qu’étant donné qu’il n’y a aucun avantage clinique pour les jeunes à se faire vacciner, même un seul cas de myocardite ou de péricardite après les injections « est de trop ». Pourtant, même si le CDC a connaissance de centaines de rapports alarmants de cas de gonflement du cœur chez les adolescents et les jeunes adultes, il ne va réévaluer la question que plus tard en juin. Il a accusé le corps médical de négliger de faire quoi que ce soit pour réduire les risques des vaccins.

Ayant présidé plus de deux douzaines de comités de surveillance de la sécurité des vaccins pour la FDA et l’Institut national de la santé, M. McCullough a pu critiquer la manière dont les vaccins ont été mis en place.

« Avec ce programme, il n’y a pas de comité des événements critiques, il n’y a pas de comité de surveillance de la sécurité des données, et il n’y a pas de comité d’éthique humaine. Ces structures sont obligatoires pour toutes les grandes enquêtes cliniques, et donc le mot qui est vraiment utilisé pour ce qui se passe est une malversation, c’est-à-dire la faute des personnes en autorité », a expliqué le médecin.

« Sans aucune mesure de sécurité en place, vous pouvez voir ce qui se passe », a-t-il poursuivi.

« En gros, c’est la plus grande application d’un produit biologique avec la plus grande quantité de morbidité et de mortalité de l’histoire de notre pays ».

« Nous en sommes à plus de 5 000 décès jusqu’à présent, comme vous le savez, et je pense à environ 15 000 hospitalisations. Dans l’UE, c’est plus de 10 000 décès. Nous travaillons avec les données du Center for Medicaid (CMS), et nous avons une assez bonne piste pour que le chiffre réel soit décuplé. »

McCullough a expliqué que, comme la base de données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) ne représente qu’environ 10 % des mauvaises réactions aux vaccins, son équipe a dû se tourner vers d’autres sources pour obtenir des informations.

« Nous avons maintenant un lanceur d’alerte au sein du CMS, et nous avons deux lanceurs d’alerte au sein du CDC », a révélé le médecin. « Nous estimons que 50 000 Américains morts. Cinquante mille morts. Donc nous avons en fait plus de décès dus au vaccin par jour que certainement la maladie virale de loin. C’est essentiellement de la propagande pour du bioterrorisme par injection. »

Le Dr McCullough dit avoir vu dans son cabinet des personnes présentant des cas de thrombose de la veine porte, de myocardite et de graves problèmes de mémoire post-vaccination. « C’est tellement déconcertant », a-t-il dit.

Il a ajouté qu’il a récemment été violemment attaqué dans les médias par une femme de Singapour qui est liée à la Fondation Gates.

Le Dr McCullough a ensuite exprimé une théorie effrayante selon laquelle les vaccins pourraient avoir été conçus pour réduire la population mondiale.

« Si vous dites que tout cela est un programme de la Fondation Gates pour réduire la population, cela correspond très bien à cette hypothèse, non ? La première vague a été de tuer les personnes âgées par l’infection respiratoire, la deuxième vague est de prendre les survivants et de cibler les jeunes et de les stériliser », a-t-il déclaré.

« Si vous remarquez les messages dans le pays, aux États-Unis, ils ne sont même pas intéressés par les personnes âgées maintenant. Ils veulent les enfants. Ils veulent les enfants, les enfants, les enfants, les enfants, les enfants ! Ils se concentrent tellement sur les enfants », a-t-il déclaré, notant qu’à Toronto, au Canada, le mois dernier, ils ont attiré les enfants en leur promettant des glaces pour obtenir le vaccin. Selon un rapport, le gouvernement de l’Ontario – qui n’exige pas le consentement des parents pour la vaccination des enfants – a encouragé les enfants à se faire vacciner par Pfizer lors d’un événement pop-up.

« Ils ont retenu les parents, et ils ont vacciné les enfants », s’insurge le médecin. Il a ajouté que la mère de son épouse canadienne avait été vaccinée de force contre son gré.

M. McCullough a prédit que les États-Unis se préparent à forcer les gens à recevoir les injections.

« Nous devons arrêter cela, et nous devons voir ce qui se cache derrière tout cela », a-t-il conclu.

[Source :] https://amgreatness.com/2021/06/15/dr-mccullough-covid-vaccines-have-already-killed-up-to-50000-americans-according-to-whistleblowers/

Vidéo de l’interview en anglais






Après le covid, une cyberattaque mondiale ? — Pierre Hillard

[Source : Chaîne officielle TVLibertés]

Quel avenir nous réservent nos « élites » mondialisées ? Depuis l’arrivée du covid et les troubles qui en ont découlé, les oligarchies du monde entier semblent vouloir accélérer leur politique sur les peuples. Dans ce numéro de « Politique &Eco », Pierre Hillard, docteur en sciences politiques, dresse le panorama, véritable continuum, de l’idéologie mondialiste des origines à nos jours : de l’ouvrage « Utopia » de Thomas Moore en 1516, en passant par l’esprit des Lumières, l’Union paneuropéenne internationale, jusqu’aux dessins des différentes organisations comme le FMI ou le Forum économique international de Davos de Klaus Schwab, qui redoute une cyberattaque mondiale susceptible de provoquer l’effondrement du système financier international. Un entretien de salubrité publique… à diffuser en masse !

[Voir aussi :
La quatrième phase de Schwab
Le prétendu “plan Kalergi” de destruction de l’Europe
Comprendre l’Adversaire – Pierre Hillard
Des origines du mondialisme à la Société ouverte de Soros
Le Nouvel Ordre Mondial va-t-il gagner ?
Les valeurs familiales de Schwab
La vérité contre la peur
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”
Le Grand Reset pour les nuls
La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme]




« Le complotiste est celui qui veut penser par lui-même !!! » L’édito de Charles SANNAT

[Source : Insolentiae]

par Charles Sannat

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

La situation intellectuelle dans la partie occidentale du monde est absolument affligeante de bêtise.

Pas la bêtise du petit peuple. Non, je parle de la bêtise de nos « élites »  qui nous expliquent doctement « qu’il ne faut pas penser par soi-même », qu’il ne faut « surtout pas chercher à comprendre par soi-même », oui, voici la nouvelle définition du complotisme.

Nous vivons des heures surréalistes et je vous l’annonce, les heures du surréalisme précèdent toujours les heures sombres de l’histoire.

Voilà ce que vient de déclarer le plus sérieusement du monde Monsieur Sébastien Dieguez, neuroscientifique, et chercheur tout de même à l’Université de Fribourg. Après une carrière de clinicien, il se tourne vers la recherche en sciences cognitives et travaille actuellement sur la formation des croyances, en particulier l’adhésion aux théories du complot. C’est du lourd et du sérieux dans le monde académique, le vrai, celui qui est payé par les gouvernements forcément gentils qui ne vous veulent que du bien, et que même ils ne vous mentent jamais… les États !

Ils n’ont pas menti en URSS.

Ils n’ont jamais menti dans l’ex-RDA.

Ils n’ont jamais menti en France, avec le médiator, le sang contaminé, ou encore le nuage de Tchernobyl qui s’arrête à la frontière. Jamais un État ne ment.

Ils n’ont jamais menti pour aller faire quelques guerres, tenez, souvenez-vous de Colin Powell le ministre américain à la Tribune du Conseil de sécurité de l’ONU brandissant fièrement la petite fiole d’armes de destruction massives de Saddam Hussein. Non, jamais les États ne mentent. Ils sont purs. C’est le camp du bien. Les méchants, ce sont les « zôtres ».

Bref, selon le sieur en question voici une description d’anthologie et orwellienne des « complotistes ».

La perle de l’année nominée aux oscars du meilleur propagandiste officiel !

« Ce que fait le complotiste il va faire des recherches par lui-même, il veut penser par lui-même, il veut voir par lui-même »…

Et oui, un vilain complotiste a l’audace de faire tout cela.

Il veut tout faire par lui-même. Incroyable.

Il veut travailler et faire ses recherches, il veut voir par lui-même, et enfin, il a l’outrecuidance de vouloir, et c’est, je crois, la pire des fautes, « penser par lui-même ».

Insupportable.

Trop dangereux.

D’ailleurs j’ai quitté la BNP peu avant que son nouveau DG ne déclare en plénière devant les cadres du groupe, que « commencer à réfléchir, c’était commencer à désobéir ». Hahahahahahahahahahaha.

Ce grand spécialiste, va-même rajouter qu’il est « impossible de penser par soi-même », ce qui peut effectivement se discuter en termes philosophiques au café de Flore entre spécialistes de la philo, mais qui est complètement con quand on veut parler de complotisme et étudier « la formation des croyances ». Effectivement, on pense avec l’ensemble des éléments que l’on soumet à notre réflexion, et plus nous avons d’éléments qui viennent enrichir notre réflexion, plus nos capacités de compréhension sont bonnes, et meilleures sont nos pensées. Mais notre philosophe de comptoir fait ici œuvre de propagande. Il connait très bien la différence, il sait également très bien, que toutes les grandes avancées, les grandes innovations sont l’œuvre de « transgresseurs » de l’ordre établi. Le progrès ne vient jamais du respect des règles.

Qu’il s’agisse de social, du politique, ou du scientifique et du technique, ce sont les transgresseurs de l’ordre établi qui font toujours, je dis bien toujours avancer les choses.

Nous continuerions la traite négrière si nous n’avions pas eu des transgresseurs pour expliquer que l’esclavage c’était peut-être pas bien. Vous seriez toujours dans une caverne à manger un morceau de mammouth en croyant que la terre est plate si les croyances de ces époques n’avaient pas été transgressées.

Allons plus loin.

Complotisme : comment le démasquer et quelle riposte adopter  ? Se demande l’Humanité…

Oui, l’Humanité, enfin ce qui reste de ce quotidien pose dans cet article du 21 mai de cette année 2021 quelques pensées fulgurantes sur le complotisme, et j’en rigole encore dans ma barbe blanche.

Comme vous le savez, dénoncer le complotisme c’est bien vu.

Vous pouvez avoir des points bonus de bien-pensance crétine si par exemple vous dites que l’égalité homme-femme c’est important, si vous parlez des minorités cela rapporte encore plus de points, mais le mieux, c’est d’associer complotisme et antisémitisme. Là, vous faites carton plein. C’est le summum.

Pour Iris Boyer « le complotisme est intimement corrélé à un sentiment de défiance : un désenchantement par rapport à une vérité jugée inadaptée à une situation inédite et incertaine ou un refus d’adhérer à l’information portée par un messager jugé non crédible ». Et oui, ma chère Iris, le problème ce n’est pas la « défiance » venue de nulle part, c’est l’accumulation des mensonges des autorités qui carrabistouillent les peuples d’une manière jamais vue dans le monde depuis la propagande de la Pravda soviétique.

Mais la palme dans cet article de l’Huma revient à Pierre Khalfa qui nous explique dès les premières lignes que « les réseaux sociaux ne font qu’accélérer considérablement le phénomène, ils ne le créent pas. Au début du XXe siècle, les Protocoles des sages de Sion, un faux rédigé par la police secrète tsariste, n’ont pas eu besoin des réseaux sociaux pour devenir un best-seller antisémite mondial »

Il ne s’est sans doute même pas rendu compte qu’en déclarant cela, il venait de confirmer la nécessité absolue que nous soyons tous complotistes, à savoir, depuis que nous avons une définition claire selon le spécialiste ci-dessus en vidéo, qu’il faut penser par nous-mêmes et vérifier par nous-mêmes, parce que le protocole des Sages de Sions, texte totalement antisémite n’a pas été écrit par des antisémites complotistes dans une cave ou un sous-sol caché, mais par les services secrets d’un état souverain.

Pierre Khalfa prend exactement l’exemple qu’il ne faut pas prendre, car cet exemple montre que ce sont bien des États qu’il faut douter.

Il n’y a pas à dire, quand on ne pense plus, on ne risque pas de bien penser, et quand on pense faux cela se voit également.

Avec ce genre d’arguments, il est évident que tous ceux qui veulent encore penser en dehors d’une pensée imposée voudront le faire encore plus.

Cela montre aussi à quel point ces mots et ces termes sont utilisés pour faire taire, pour faire peur, pour ostraciser, pour pointer du doigt, et pour discriminer celui qui pense.

N’ayez pas peur, et n’ayez pas peur de penser.

Penser ne veut pas dire avoir raison.

Mais penser c’est le début de la liberté.

Pour le reste lorsque l’on veut combattre le complotisme en demandant aux gens de cesser de penser, nous sommes en plein naufrage intellectuel.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »


[Voir aussi :
Les « Expliqueurs » : Mais qui est donc ce « Galilée », nouvelle star autoproclamée des complotistes sur les réseaux sociaux
Ayez le courage d‘être un complotiste !
De l’art de la manipulation, de la pensée unique… et de l’usage du mot « complotiste »
De l’urgence d’être complotiste
À propos du complotisme et des complotistes
Comment répondre à quelqu’un qui vous traite de complotiste ?]




Petite histoire de la surveillance

[Source : blast-info.fr]

Une BD américaine : “La Machine ne ferme jamais les yeux”, entreprend de raconter l’histoire de la surveillance des citoyens par les Etats et des consommateurs par les entreprises, depuis le mythe antique du Cheval de Troie jusqu’à l’espionnage de masse opéré aujourd’hui par les GAFAM. Cet essai stimulant invite à prendre de la hauteur sur le sujet et réfléchir aux solutions pour remettre les libertés publiques au premier plan.

Benjamin Franklin affirmait qu’« un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre et finit par perdre les deux ». La citation est devenue un adage repris un peu partout, presque un poncif. Son avertissement ne semble pourtant pas avoir été entendu : notre société a basculé avec l’avènement d’internet et de la « big data » dans une ère de surveillance généralisée où les libertés publiques ont été restreintes, de même que notre droit à la tranquillité. Tel la grenouille qui meurt s’en sans rendre compte dans une eau mise à l’ébullition, le citoyen subit jour après jour l’érosion de ses libertés fondamentales et constitutionnelles, sans être capable de définir précisément à quel moment il a renoncé à se battre.

Il est ainsi curieux de se remémorer l’énorme scandale qu’ont pu constituer les écoutes téléphoniques dans les années 1980 sous François Mitterrand, en comparaison du désintérêt presque total des citoyens d’aujourd’hui sur le fait que l’ensemble de leurs communications téléphoniques, de leurs courriers électroniques, de leur navigation internet et de leurs déplacements quotidiens sont enregistrés par des entreprises sans leur consentement, et sans le moindre contrôle. Qui hésite aujourd’hui à accepter sans les lire les conditions générales de services comme Facebook ou Amazon qui leur permettent d’enregistrer notre intimité du matin jusqu’au soir ?

Nos vies quotidiennes – personnelles et professionnelles – tournent aujourd’hui autour de nos ordinateurs, de nos téléphones mobiles et de nos tablettes, qui sont devenus des outils de surveillance permanents. Nous y stockons nos photos, nos contacts, nos agendas, nous les utilisons pour notre correspondance, pour nous repérer dans les villes ou à la campagne. Edward Snowden nous a appris que toutes ces informations étaient instantanément mises à disposition d’Etats qui ne rendent pas de compte sur leur utilisation. Ceux-ci tentent parfois d’y intégrer un soupçon de légalité, dans une escalade qui ne cesse jamais. Le gouvernement français a par exemple légiféré il y a peu pour autoriser la surveillance par drones de la population, ce que le Conseil Constitutionnel a immédiatement interdit. Mais le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin a déjà promis un nouveau texte sur le sujet.

Editions Delcourt / Encrages

Avant la télésurveillance, la surveillance

Paradoxalement, alors que la technologie permet aujourd’hui le pire – ce que même George Orwell ne pouvait imaginer en écrivant “1984”, qui reste pourtant la dystopie la plus inquiétante jamais écrite sur le sujet – les consciences sont moins éveillées sur les risques qu’à l’époque de la sortie de son livre. Car il faut rappeler qu’avant la télésurveillance massive que permet Internet, la surveillance était opérée par de nombreux autres moyens, et que cela faisait déjà débat. C’est ce que rappelle une bande dessinée de Greenberg, Patterson & Canlas, traduite de l’américain chez Delcourt (“La Machine ne ferme jamais les yeux, Une histoire de la télésurveillance de “1984” à Facebook”).

Editions Delcourt / Encrages

L’ouvrage déroule l’histoire, les causes et les conséquences de la surveillance dans nos sociétés en remontant jusqu’à l’Antiquité. Si la démonstration est brillante, elle pêche un peu par son ethnocentrisme : le sujet est analysé dans le monde moderne à l’aune des seuls Etats-Unis et de leur législation. Mais comme chacun sait, toutes les démocraties occidentales finissent par suivre ce modèle avec quelques années de décalage, et ce léger défaut n’invalide en rien l’analyse.

Tout le monde a quelque chose à cacher, rappellent les auteurs en ouverture. C’est le principe même du droit au respect de la vie privée, garanti par toutes les Constitutions, sauf dans les dictatures. C’est même ce qui les distinguent des démocraties ! Pourtant, les grandes entreprises “gouvernementales, commerciales et criminelles” cherchent sans cesse (et parviennent aujourd’hui sans difficulté) à comprendre et enregistrer chacune de nos petites habitudes.

De Jeremy Bentham à Michel Foucault

Les premiers chapitres s’attachent à élucider les raisons de la soumission des populations à une surveillance contraire à leurs intérêts, que les auteurs expliquent d’abord par les croyances religieuses et la conviction ancrée dans les Ecritures que Dieu surveille les actions de chacun en vue du jugement dernier. Avec la sécularisation, le concept opère un glissement : la morale publique se substitue à la morale religieuse et justifie la mise en place d’une surveillance sociale, au départ pour des raisons plutôt nobles (la nécessité d’un ordre public, le besoin d’avoir une police et une justice efficace).

Editions Delcourt / Encrages

Au XVIIIe siècle, le philosophe Jeremy Bentham propose une réflexion nouvelle autour de la société de surveillance, en imaginant une structure architecturale circulaire (le panoptique) propre à permettre à un observateur de surveiller tous les sujets vivant à l’intérieur sans qu’eux-mêmes ne puissent savoir quand ils sont observés. Son objectif : installer dans une population donnée le concept d’autosurveillance. Sans parvenir à mettre en place son projet de bâtiment, Bentham pense alors œuvrer pour le progrès ! On retrouvera jusqu’à aujourd’hui des échos de son argumentation, par exemple dans les discours des politiques visant à truffer nos rues, nos métros et nos magasins de caméras de vidéosurveillance.

Un autre philosophe, au XXe siècle, s’est interrogé à la suite de Bentham sur la surveillance : le Français Michel Foucault. Il conclut que les autorités contemporaines contrôlent les populations à leur insu pour asseoir un pouvoir et une relation verticale de domination. Les auteurs de la bande dessinée démontrent la justesse de son argumentation dans de nombreux épisodes de l’histoire, depuis le système de surveillance mis en place par les esclavagistes américains (pensé comme un système de défense de la propriété !) jusqu’au McCarthysme.

La surveillance au service de la domination des États et des entreprises

Il existe différents systèmes de surveillance de la population, que l’on peut répartir en quatre catégories principales :

● La surveillance policière : elle s’accélère au XXe siècle dans les démocraties qui considèrent qu’il faut se prémunir de la délinquance par le contrôle de leurs populations.

● La surveillance par les patrons : le fordisme – qui révolutionne le monde du travail au début du XXe siècle – implique de mesurer chaque geste de l’ouvrier pour mettre en place la division du travail. En 1920, ce sont 200 000 “espions” qui sont employés par l’industrie américaine pour surveiller les faits et gestes des salariés !

● La surveillance politique : le XXe siècle est une période de grandes batailles idéologiques. La Seconde guerre mondiale puis la Guerre froide amènent les États à se méfier de la « Cinquième colonne » et à espionner ses ennemis intérieurs.

● La surveillance des mouvements sociaux : plus grave, les gouvernements modernes ont appris à utiliser la surveillance intérieure pour mettre au pas l’opposition, de façon très extensive : des mouvements pacifistes ou des défenseurs de l’environnement ont pu être considérés comme provocateurs de trouble. De nombreuses formes de militantisme se retrouvent aujourd’hui assimilées à du terrorisme pour justifier l’espionnage de leurs activités.

C’est avec J. Edgar Hoover, le premier directeur du FBI, que les Etats-Unis généralisent l’espionnage abusif de leurs citoyens au prétexte de la lutte contre le communisme. Le fichier secret mis en place par Hoover (qu’il fera détruire après sa mort pour éviter d’être jugé par l’Histoire) liste à la fin de sa vie plusieurs millions d’Américains dont en réalité très peu sont communistes. Martin Luther King, futur Prix Nobel de la Paix, fait partie des personnalités mises sous surveillance.

Editions Delcourt / Encrages

Dans le sillage de Hoover, la CIA et la NSA développent des outils électroniques pour surveiller le monde entier. George W. Bush autorise après les attentats du 11 septembre 2001 ces deux agences à surveiller les communications de l’ensemble des Américains. Le paradigme s’inverse : auparavant, on surveillait les suspects. Après lui, tout le monde se trouve considéré comme suspect par défaut. Un nouveau paradigme démontré par Snowden amène à la surveillance de masse de centaines de millions de citoyens innocents, et même de milliards d’étrangers. Selon le lanceur d’alerte, la devise interne de la NSA devient : “Collectez-les tous”.

Que faire ? Réglementer !

Au début du XXIe siècle, des programmes sont mis en place pour espionner les téléphones et les navigations sur Internet, d’autres permettent de prendre le contrôle de n’importe quelle webcam ou d’analyser les documents enregistrés sur nos disques durs (plus de 850 milliards auraient déjà été scannés). Enfin, une base de données de reconnaissance faciale mondiale est construite. Ceci en dehors de toute légalité, même si le « Patriot Act » (2001) rend largement possible ce qui était auparavant considéré comme criminel. Pendant la longue mise en place de cette société de surveillance par plusieurs gouvernements successifs, les élus américains ne cessent de mentir à ce sujet, parfois sous serment au Congrès, sans que jamais personne n’en paye les conséquences. Le “progressiste” Barack Obama, une fois au pouvoir, ne voit rien à redire ou à corriger dans ces dispositifs, et il est probable qu’il en sera de même pour Joe Biden.

Que faire ? Peut-être reprendre la main sur un plan politique. A titre personnel, militer auprès d’organisations engagées sur le sujet comme la Quadrature du Net. Et obliger nos politiques à prendre position sur le sujet. Des propositions pourtant très simples ne sont aujourd’hui appropriées par personne, ni à gauche ni à droite (tandis que les responsables politiques de tous bords ne cessent de citer, à tort et à travers, George Orwell pour faire semblant de se plaindre de l’évolution de la société).

Il faudrait commencer par légiférer pour interdire à toute société privée de conserver des données personnelles plus de six mois, sous peine d’interdiction totale. Netflix ou Google ont-ils vraiment besoin de se remémorer de nos recherches sur internet il y a 10 ans pour nous vendre leurs services ? Et si toutes les entreprises étaient soumises à cette règle de bons sens, cela ferait-il ralentir l’économie ? Évidemment pas. Voici donc un bon début, facile à mettre en œuvre.

Editions Delcourt / Encrages

Une réglementation plus sévère pour interdire le forçage de l’acceptation des conditions générales des biens et services de consommation courante est également nécessaire. Personne ne s’interroge par exemple sur le fait qu’il est obligatoire de lire et d’accepter les conditions générales d’Apple après avoir acheté un téléphone, sans pouvoir le ramener en magasin une fois déballé, faute de quoi il reste inutilisable. Un peu difficile à avaler pour un appareil qui peut coûter jusqu’à 1 300 euros. Chacun sait que l’acceptation de conditions totalement abusives n’est en réalité jamais optionnelle, mais personne ne s’intéresse à résoudre cette absurdité.

Enfin, l’Union Européenne devrait – plutôt qu’une réglementation RGPD nourrie de bonnes intentions mais complexe et trop peu efficace – s’attacher à réglementer la surveillance des citoyens par ses Etats-membres en rappelant qu’en démocratie on ne peut surveiller que des suspects sous le contrôle d’un juge, et poser des limites à ses partenaires. Il faudrait de toute urgence cesser de se plier systématiquement aux demandes des services américains et leur interdire de stocker toute donnée sur des citoyens européens qui ne seraient pas suspectés d’activités criminelles, en utilisant l’arme diplomatique. On devine hélas, que sur ce point, il est permis de rêver.

Sur ces sujets plus que n’importe quel autre, la créativité politique sera essentielle. Faute d’une rapide prise de conscience générale, le monde basculera dans une ère véritablement orwellienne.

La Machine ne ferme jamais les yeux,
Une histoire de la télésurveillance de “1984” à Facebook,
Greenberg, Patterson & Canlas
(Delcourt / Encrages), 144 pages, 15,95 €

Crédits photo/illustration en haut de page :
Editions Delcourt / Encrages




Red Mirror : le livre pour comprendre le quotidien hypertechnologique des Chinois

[Source : ladn.eu]

[Photo : © Owen Winkel via Unsplash]

Dans Red Mirror : l’avenir s’écrit en Chine, le journaliste Simone Pieranni livre un récit précis et vivant du développement effréné des technologies en Chine. Voici quelques bonnes feuilles de cet ouvrage à lire absolument.

La Chine et sa surveillance de masseson système de notation des individus, l’omniprésence de la reconnaissance faciale… Le pays de Xi Jinping alimente de nombreux fantasmes et commentaires. Mais peu de témoignages rapportent avec précision la nature de ces technologies et leur impact sur les comportements des citoyens. Celui de Simone Pieranni, journaliste italien du quotidien Il manifesto, qui a vécu plusieurs années en Chine et continue de s’y rendre, est particulièrement instructif et précieux.

Son livre Red Mirror : l’avenir s’écrit en Chine raconte aussi la manière dont la Chine est devenue l’épicentre technologique du monde, en influençant largement l’Occident. Sa traduction française a été publiée aux éditions C&F le 4 février 2021. Extraits choisis.

L’application Wechat partout, tout le temps, sans interruption

« Pékin, mars 2019. Pendant que je prends mon petit-déjeuner à la maison, je consulte sur WeChat les nouvelles du jour. Puis je sors, et tout en me promenant dans les hutongs (les anciennes ruelles étroites de la capitale qui survivent aux nombreux changements qui ont lieu dans la ville), je réserve par WeChat un taxi pour me rendre à un rendez-vous dans un bar du quartier de l’électronique de la capitale chinoise. À l’intérieur du bar, grâce à mon identifiant WeChat, je mets mon smartphone en charge dans une des cabines spéciales près de l’entrée avant de rencontrer la personne avec laquelle j’ai rendez-vous. Puis je récupère mon smartphone et je règle ma consommation avec WeChat. J’ai faim, alors dès que je sors, je cherche un restaurant mongol – une de mes passions – à proximité. WeChat m’en indique un à quelques centaines de mètres de ma position, à l’intérieur d’un centre commercial. (…) Enfin, je rejoins un événement dans l’un des gratte-ciels de Jianguomen, la longue rue qui mène à la place Tian’anmen. L’invitation m’a été envoyée par une amie via WeChat lorsque j’étais encore en Italie : dans notre chat, je retrouve la localisation, le billet électronique et le reçu du paiement (que j’archive dans une application spéciale, toujours dans WeChat, qui vous aide à gérer votre comptabilité). (…) À la fin de la conférence, je vais dîner avec certains des participants. À un même moment, tous nos yeux se tournent vers nos téléphones : WeChat demande une mise à jour de nos informations. Et nous voilà, toute une tablée occupée à faire des selfies pour donner à WeChat notre consentement à garder le contrôle de nos données biométriques.»

« La super-app a fini par créer une sorte d’écosystème au sein duquel rien d’autre n’est nécessaire, car elle est capable de s’occuper de tous les aspects de notre vie quotidienne. Dans certaines villes, le profil WeChat est déjà utilisé comme document d’identité. Tout est dans WeChat et cela signifie qu’en Chine, si vous n’avez pas « l’app des apps», vous êtes complètement hors du monde. Ne pas télécharger WeChat est un véritable choix de vie.»

Le culte de la smart city

« On accède aux bureaux de l’entreprise Terminus à Pékin par reconnaissance faciale. Le hall d’entrée est entièrement blanc : les rideaux aux fenêtres, les bureaux de réception et deux fauteuils aux formes futuristes sont également blancs. La découpe en zigzag des portes qui permettent d’entrer dans les open spaces nous rappelle les films de science-fiction, notamment la célèbre saga Star Wars. Ce dispositif veut porter l’idée d’un « futur » plus ou moins imaginé et connu, car Terminus – fondée en 2015, une des nombreuses start-up chinoises devenue rapidement une « licorne », c’est- à-dire estimée à plus d’un milliard de dollars – manie l’avenir pour le rendre extrêmement « présent ». Son but est en effet de pourvoir au nom du gouvernement à la gestion « intelligente » de complexes résidentiels et de quartiers entiers des villes, en utilisant ce qui se fait de mieux en termes d’intelligence artificielle et d’Internet des Objets (IoT – Internet of Things). Les quartiers urbains gérés par Terminus fournissent toutes sortes d’informations tant sur les habitants que sur les passants. Toutes ces données proviennent du travail silencieux et incessant de caméras intelligentes, de systèmes de reconnaissance faciale, de géolocalisation, de voiceprint (empreintes vocales) et d’empreintes sonores : la fusion de toutes ces informations circule sur des écrans contrôlés par des agents de sécurité. Tout est consigné, chaque mouvement est enregistré. “Si pendant quelques jours nous ne voyons pas certains habitants du bâtiment – nous expliquent les chargés de la communication en traversant un couloir – nous allons vérifier que tout va bien”.»

[NDLR: ceci représente une partie de l’avenir de la plupart des pays occidentaux si le Nouvel Ordre Mondial parvient à s’implanter complètement : une société de zombies ou de robots entassés dans les villes pendant que les élites disposeront des ressources planétaires et des campagnes.
Voir :
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]




« Quand les événements nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs !!! » L’édito de Charles SANNAT

[Source : Charles SANNAT – Insolentiae]

par Charles Sannat

[Illustration : Georges Clemenceau]

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

« Quand les événements nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs. » disait Georges Clemenceau.

Et c’est exactement ce que font les guignols qui sont aux manettes de ce pays et qui président à nos destinées en ces temps troublés et troublants de pandémie.

Je me souviens encore de ce match de foot de préparation des bleus il y a à peine quelques jours. Ce match signait le retour des « spectateurs » dans le stade de France, quelle bonne nouvelle pour les sportifs et les footeux !

Mais quand on regarde les images, on se demande tout de même quel est l’abruti de service qui a décidé de ne laisser rentrer « que » 5 000 personnes pour les entasser au même endroit dans le stade et laisser tous les autres gradins vides.

Oui mes amis.

Après plus d’un an de pandémie, nous avons toujours droit à ce type de crétineries, car il n’y a pas d’autre mot pour désigner de telles décisions. On a l’impression qu’ils le font exprès. Depuis que l’euro, je parle de la compétition, a commencé pas un seul pays européen ne procède évidemment de la sorte. On « éparpille » les gens dans le stade, on met de la distanciation bien évidemment.

[Ndlr : il y a de fortes chances qu’ils le fassent exprès, aux ordres des élites financières qui veulent absolument l’achèvement de leur Nouvel Ordre Mondial, et si possible par le chaos.
Voir :
Covid-19 et contrôle des masses — Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire
Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population
Le contrôle mental au temps du Covid
Stratégie du Chaos Contrôlé
Théories de contrôle de l’esprit et techniques utilisées par les médias de masse]

Le bon sens du premier ministre !

Alors Jean Castex a pris la parole aujourd’hui pour parler du bon sens avec lequel il fallait appliquer les avis du haut conseil à je ne sais plus quoi.

Ainsi, le port du masque dans la rue ne sera plus obligatoire sauf là où c’est bondé. Pourquoi pas.

De même nous dit le premier ministre que dans les stades… c’est sûr que si lon se colle les uns aux autres là où nous pourrions nous distancier, mieux vaut porter un masque… Bon sens donc.

Tenez regardez les photos. Elles parlent d’elles-mêmes. Là où c’est tout blanc sur le coté droit de la photo, ce sont tous les sièges vides. Au centre, c’est bondé et il n’y a aucune distanciation mais la jauge des 5 000 personnes (alors que le Stade de France peut accueillir 80 000 supporters) est respectée. Bon sens en action donc !

Fin du couvre-feu le 21 juin, le jour de la fête de la musique !

Tous les soirs, depuis notamment que nos tristes sires ont eu l’excellente idée (c’est ironique bien sûr) d’autoriser les spectateurs (riches, et snobinards) de Roland-Garros à rentrer après 23 heures pour assister à la fin du match, mais en maintenant les restrictions à 23 heures pour la plèbe, ce sont des fêtes sauvages de protestation qui se déroulent tous les soirs.

Ce couvre-feu est également très critiquable sur son efficacité médicale car, pour le moment, scientifiquement, rien ne démontre ni ne prouve son efficacité. D’ailleurs pour en être certain, il faudrait faire la même chose que pour la chloroquine de Raoult, une étude « randomisée en double aveugle », sinon les effets « observationnels » de Raoult qui ne valent pas tripettes selon nos mamamouchis pour la chloroquine ne valent pas un kopeck de plus pour leur couvre-feu.

Il faut donc pour prouver l’efficacité dudit couvre-feu, prendre un échantillon représentatif de la population (différentes catégories d’âge, de lieux de résidence etc) et lui imposer le couvre feu, puis un autre échantillon à qui on impose aucun couvre feu. On fait une étude de 6 mois, et l’on voit qui est le plus malade ou pas. On peut alors en déduire l’efficacité d’une telle mesure qui prive de liberté une population toute entière.

Evidemment, ce que l’on impose à un traitement potentiel, n’est pas demandé à une mesure privatrice de liberté pour toute la population et qui transforme en « criminel » de braves gens qui rentrent trop tard chez eux.

Terrifiante dérive. 

Mais lorsque l’Etat et les guignols qui nous dirigent sentent que le point de rupture approche, ils ont tout de même encore un instinct de survie qui leur souffle de desserrer l’étau qui brise les peuples.

Un carcan imposé sans preuves scientifiques je tiens à le préciser perfidement et de manière très insolente.

Alors Castex passe à la télé, et grand seigneur annonce qu’il nous libère enfin du couvre-feu et du masque sur la plage où il n’y a personne.

Il habille tout cela d’un sabir technocratique visant à faire croire qu’il s’agit de décisions réfléchies, pensées, et qui correspondent à un grand savoir-faire et des avis très scientifiques et techniques émanant de grands professionnels.

En réalité il n’en est rien de tout cela.

C’est juste des abrutis et des guignols qui font semblant de savoir ce qu’ils font et cela, depuis le début.

Jamais la citation de Clémenceau a été aussi appropriée.

« Quand les événements nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs. »

Tout cela va leur sauter à la figure, et l’idée de passer une réforme des retraites cet été en catimini risque d’être la dernière très mauvaise idée de ces dirigeants à la légitimité toute relative et à la popularité historiquement basse.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »




Comment votre cerveau est contrôlé !

[Source : La Minute de Ricardo]

[Illustration : ©shutterstock.com/13Smile]



[Voir aussi :
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm]




Lettre à un ami qui n’est plus… accessible

Par Alain Tortosa

Hier j’ai perdu un ami qui m’a été « volé » par le Covid…

Hier tu m’as signifié à quel point mon existence te met dans l’embarras.

[Illustration : indiatimes.com]

Ne croyez pas que mon ami soit décédé du « fléau », son corps est bien vivant et il est bel et bien en bonne santé… mais que dire de son âme, de son esprit, de ses valeurs ou de son esprit critique ?

Ne croyez pas que j’accuse ce virus, jusqu’à présent plutôt gentil au demeurant, mais uniquement la dictature sanitaire et les médias à sa botte.

« Ce texte est pour toi et tous les autres qui ne pourront pas me lire et encore moins adhérer… »

Mon cœur pleure, car tu es mon ami depuis 30 ans et tu ne peux plus me parler. Il ne nous est plus possible de communiquer, d’échanger, d’argumenter… alors que c’est une des richesses de l’humanité…

Le problème couvait depuis des mois et je préférais me taire, ne pas te faire parvenir les informations en ma possession, ne pas te perturber dans tes certitudes fragiles… que de te heurter.

Il était évident que tu ne pouvais pas (et non voulais pas) entendre, même si j’imagine que tu penses demeurer dans un libre arbitre et des pensées propres.

Tu as donc ressenti le besoin de m’écrire que…

  • Tu es heureux d’être vacciné.
  • Tu es heureux que toute ta famille soit vaccinée.
  • Tu es heureux de savoir que ton petit fils de douze ans et en pleine santé sera lui aussi bientôt vacciné.

Tu es donc vacciné. Ton bonheur de l’être ne me dérangerait pas s’il été issu d’un choix libre et éclairé, mais…

  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur », respecter encore les confinements ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur » respecter les couvre-feux ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur », porter encore un masque ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur » respecter la distanciation ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur », te laver les mains au gel hydroalcoolique ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur », être prudent et te méfier des non-vaccinés comme moi, mais aussi des vaccinés ?(([1] Interrogé sur BFM le 16 juin par un journaliste demandant si deux vaccinés double dose pouvaient se serrer la main, un médecin a répondu qu’il « valait mieux éviter et rester prudent »…))

Et incroyable…

  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur » et « protecteur » présenter un test PCR négatif, comme les non-vaccinés, avant de te rendre en Corse ?

Sans doute pas… parce que les médias t’ont dit que c’était à la fois logique et transitoire…

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait une telle vaccination légitime…
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Je cherche à comprendre ce que t’apporte ton vaccin.

En effet, que t’apporte-t-il au quotidien que tu n’avais pas lorsque tu n’étais pas vacciné ?

  • Le fait d’être membre à part entière de notre « merveilleuse » société devenue soudainement « solidaire » en 2020 ?
  • Le fait d’être un « bon » citoyen ?
  • Le fait d’être « comme tout le monde » ?
  • Le fait de pouvoir répondre à ta marchande de légumes « oui ! » lorsqu’elle te demande si tu t’es injecté ?
  • Le fait d’être enfin rassuré par un « vaccin » qui n’empêche pas de tomber malade, ne protège pas autrui et permet, au mieux, de ne pas faire de formes graves si l’on ignore les risques d’anticorps facilitants ?

Trouves-tu légitime et moral de demander aux enfants, jeunes et moins jeunes, de se vacciner pour officiellement protéger des personnes âgées, malades ou en fin de vie ?(([2] Les autorités sanitaires ne cachent plus que les enfants ne risquent rien et le Dr Fischer, « m.vaccin » a même dit que la décision de les vacciner n’était qu’arithmétique.))

Trouves-tu légitime et moral de demander à TON petit-fils de porter un masque toute la journée, d’être confiné, de renoncer à l’insouciance de l’enfance, et maintenant lui demander (ou l’avoir manipulé pour…) de se vacciner pour protéger qui ? Ses grands-parents ?

Les médias t’ont dit que c’était normal, l’unique voie « altruiste »…

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait ces mesures légitimes et morales…
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Pourquoi tant de peurs, tant d’acceptations, tant de renoncements ?

En toute sincérité…

  • Crois-tu vraiment que cette maladie ne se soigne pas ?
  • Crois-tu vraiment qu’il n’existe aucun traitement efficace ?
  • Crois-tu vraiment que tous les experts mondiaux (au-delà de tout soupçon et sans conflit d’intérêts, eux) qui ont un discours diamétralement opposé à la doxa sont, du jour au lendemain, devenus délirants ou complotistes ?
  • Crois-tu que l’Hydroxychloroquine et l’Ivermectine sont inefficaces et, qui plus est, devenus soudainement dangereux en 2020, après des dizaines d’années de commercialisation ?

Les médias, les incompétents ou les corrompus le répètent tous les jours, toute la journée…

Ils osent même parler de « bon sens » !

Ce petit club d’imbéciles et de corrompus qui peut accéder aux médias mainstream, ne peut parler que de « consensus » et tu ne peux que les croire…

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans…

  • Si je lui avais dit qu’il trouverait logique ou raisonnable que le seul traitement possible contre un virus respiratoire soit le paracétamol.
  • Qu’il ne fallait pas consulter son médecin avant d’être à l’article de la mort.
  • Que des molécules inoffensives utilisées depuis plus de 70 ans devaient être interdites.
  • Que le droit de prescription devrait être retiré aux médecins et que certains seraient poursuivis devant leur Conseil de l’Ordre de Vichy.
  • Et que la vaccination serait, comme par « hasard », l’unique voie…

Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Tu vois, mon texte est long, très long…, mon ami, plus long que tes quelques lignes pour condamner notre amitié.

Il est tellement plus facile de répéter en boucle le discours de France Info sans réfléchir que d’analyser et chercher à comprendre…

Les vaccins sont-ils pour toi, un tout petit peu, source d’inquiétudes ou ne serait-ce que de questionnements ?

Sais-tu que :

  • Les premiers essais sur l’homme ont eu lieu en avril 2020 ! Non-événement !
  • Des pans entiers de sécurités ont été volontairement ignorés « à cause de l’urgence » ! Non-événement !
  • La commercialisation a débuté en phase III avant la fin des essais ! Non-événement !
  • Une technologie ARN messager expérimentale jamais déployée ! Non-événement !
  • Des effets secondaires à moyen et long terme totalement inconnus ! Non-événement !
  • Le risque de variants induits par la vaccination ! FakeNews !
  • Le risque d’anticorps facilitants qui rendraient une nouvelle infection plus dangereuse pour les vaccinés ! Délire complotiste !

Ces thérapies géniques vaccinales sont autorisées, elles sont recommandées par tous les « médecins » médiatiques, toutes les autorités de santé, tous les gouvernements et même l’OMS…

Elle est vendue toute la journée par tous les médias mainstream… « C’est bien parce qu’ils sont sans danger et efficaces », non ?

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait normal de s’injecter à lui-même et sa famille des substances expérimentales à base d’ARNm jamais utilisées sur l’homme hormis pour des cancers en phase terminale.
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Qu’as-tu fait du principe de précaution qui te semblait un préambule indispensable à toute action ?

Selon toi, le masque doit-il aussi être porté « au nom du principe de précaution » ?

  • Aucune étude n’a jamais prouvé l’efficacité du port du masque dans une population générale. Même l’OMS le disait ainsi que les autorités françaises avant la grande mystification.
  • Tu es bien conscient qu’il ne peut pas être anodin de porter un masque toute la journée pendant des mois et d’autant plus pour des enfants.
  • Tu es bien conscient que si le dispositif avait une efficacité, il perturberait les échanges gazeux et que plus il filtrerait les virus et plus il gênerait la respiration.
  • Tu es bien conscient que tu réingères notamment une partie de ton CO2 et que tu respires les produits chimiques toxiques du masque et/ou de ta lessive ?
  • Tu es bien conscient que tu détruis la relation à autrui, les interactions humaines et les émotions avec cette muselière faite pour rendre visible une épidémie dont nous ignorerions l’existence sans les médias et que nous aurions pris comme une simple grippe…
  • Tu es bien conscient que tu perturbes gravement l’apprentissage des émotions et du langage chez les tout petits…

Ah, mais la Pravda t’a répété qu’il n’y avait pas d’alternative, que le masque était sans aucun danger et qu’il sauvait des vies.

Il fallait même le porter, seul, en montagne ou à la plage, au nom du « principe de précaution » !

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait normal et logique de faire porter un masque en toute circonstance à une population en bonne santé.
Il aurait aussi trouvé étrange l’invention de l’asymptomatique contagieux et dangereux !
Il m’aurait rappelé que lorsque qu’il existe des certitudes concernant les risques et les effets secondaires négatifs certains d’une mesure et de nombreux indices ou études passées montrant que la mesure est non seulement dangereuse et sans doute inefficace, alors on s’abstenait !
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Selon toi, les confinements doivent-ils aussi être mis en place au nom du principe de précaution ?

  • Cela fait des siècles que nous savons que les quarantaines ne fonctionnent pas à grande échelle et qu’il suffit d’un seul individu pour faire effondrer l’édifice.
  • Tu es bien sûr au fait que par le passé on confinait les malades… pas les bien portants…
  • Tu sais que les conséquences économiques et psychologiques ne peuvent qu’être désastreuses…
  • Tu entends même désormais que les suicides explosent notamment chez les jeunes.
  • Veux-tu ignorer le fait que des pays qui n’ont pas confiné ont eu de meilleurs résultats ?
  • Veux-tu ignorer que les pays qui ont le moins détruit les droits de l’homme ont eu moins de morts ?
  • Veux-tu ignorer que les pays les plus pauvres ont le moins souffert ?
  • Veux-tu ignorer que la courbe ne s’est jamais aplanie en France durant le confinement et qu’il n’y a eu aucun rebond au déconfinement malgré les prévisions catastrophiques des oracles ?

Ah, mais la Pravda t’a dit qu’il n’y avait pas d’alternative et que le confinement avait sauvé au moins 80 000 vies en France. Il fallait confiner « au nom du principe de précaution » !

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait normal et logique d’enfermer ensemble les malades, interdits de traitements, et les bien portants notamment dans les maisons de retraite.
Il m’aurait rappelé que lorsqu’il existe des certitudes concernant les risques et les effets secondaires certains négatifs et de nombreux indices ou preuves montrant que la mesure pourrait être inefficace, alors on s’abstient !
Il m’aurait dit que c’est ça le principe de précaution !
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Alors tu te vaccines et il faut désormais vacciner toute la population mondiale au nom du « principe de précaution » ?

  • Jamais personne n’a réussi à mettre au point des vaccins contre les coronavirus.
  • Tout scientifique sait que les coronavirus mutent en permanence pour survivre.
  • Les faux vaccins mis au point en quelques semaines ne ciblent que la protéine Spike les rendant vulnérables à toutes mutations.
  • La vaccination durant une épidémie augmente naturellement le risque de création de variants et d’autant plus que les vaccins ne sont pas de vrais vaccins, des virus atténués et qu’ils sont imparfaits.(([3] La prétendue efficacité de 90 % n’est pas sur l’impossibilité de tomber malade, ni sur le blocage de la transmission, mais sur l’absence de formes graves. Bref les études elles-mêmes précisent que ce n’est pas des vaccins.))
  • La technologie ARN messager ou des adénovirus modifiés génétiquement est totalement expérimentale et n’a jamais été déployée à grande échelle sur l’homme et encore moins sur des enfants ou des femmes enceintes.

Mais suis-bête mon ami, nos « gentilles » autorités nous ont expliqué que la vaccination de la population générale était l’unique option et qu’il fallait la généraliser, même sur les enfants, « au nom du principe de précaution » !

  • Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait normal et logique d’utiliser une technologie expérimentale sur l’ensemble des humains pour espérer, peut-être, mettre fin à une pandémie pour laquelle plus de 99 % des Français ont survécu malgré l’interdiction de traitement et toutes les mesures contre-productives.
  • Le risque de modification de notre ADN ? Jeté aux oubliettes.
  • Le rapport bénéfice versus risque obligatoirement défavorable pour des personnes en bonne santé qui ne risquent RIEN de ce virus ? Jeté aux oubliettes.
  • Le risque de maladies auto-immunes ou de cancers à long terme ? Jeté aux oubliettes !
  • Le risque sur la fertilité ? Jeté aux oubliettes. Il m’aurait aussi rappelé que lorsqu’il existe des certitudes concernant les risques, les effets secondaires et de nombreux indices montrant que la mesure pourrait être inefficace,voire même dangereuse, notamment du fait des mutations du virus, alors on s’abstient ! Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Ta pensée cartésienne a disparu petit à petit pour se transformer en foi !
Ta foi, car il ne peut s’agir maintenant que de foi, est devenue inébranlable.
Ta pensée actuelle ne peut plus être ta pensée, mais uniquement le reflet des tables de la loi de l’église du coronavirus et ses fidèles serviteurs…

Mais toi, toi qui te disait (ou pourrait peut-être encore dire que tu es) mon ami…

… Pourquoi ne m’aides-tu pas à ouvrir les yeux sur ma « folie » et ta « réalité », toi qui es convaincu de toutes ces « vérités » répétées sans cesse depuis des mois ?

Pourquoi ne pas essayer de me convaincre que :

  • « Le Covid est un fléau. »
  • « Le masque protège avec un rapport bénéfice vs risque favorable. »
  • « Le confinement sauve des vies avec un rapport bénéfice vs risque favorable. »
  • « Il n’y a pas de traitements hormis le paracétamol et il faut absolument interdire aux médecins de prescrire. »
  • « Le vaccin est l’unique voie avec un rapport bénéfice vs risque favorable même pour les populations qui ne risquent strictement rien ! »
  • etc.

Pourquoi as-tu de fait renoncé avant même d’essayer de me « sauver » ?

Te penses-tu incapable d’y parvenir ou est-ce parce que les médias t’ont répété jour après jour de ne surtout pas me parler à moi le « complotiste », de ne pas essayer de me raisonner ?

Les médias te l’ont dit…

  • Ma raison a « vacillé ».
  • Je suis devenu un « complotiste ».
  • Je mets en doute le « consensus » scientifique édicté par le Ministère de l’Unique Vérité.
  • Mon esprit de contradiction va jusqu’à remettre en question les « évidences ».
  • Je suis prisonnier de mon « délire », incapable de penser et me remettre en question.
  • Sans doute suis-je un « adolescent cinquantenaire »…
  • Suis-je à ce point « aveuglé » que je vais finir par affirmer que la Terre est plate ?

Pourquoi m’as-tu abandonné ?
Pourquoi m’as-tu condamné sans procès, sans avoir cherché à me comprendre ?
Pourquoi m’as-tu condamné sans savoir ce que j’avais à dire ?
Pourquoi m’as-tu condamné sans chercher à discuter ?

Notre amitié ne valait pas de…

  • Chercher à m’expliquer ? Non.
  • Lire mes dizaines de textes, mes milliers de pages que j’ai écrites sur le sujet depuis le mois de mars 2020 ? Non.
  • Chercher à savoir d’où venaient mes « croyances délirantes » ? Non.

Et toi ?

  • As-tu pensé à vérifier et me demander si mes affirmations étaient sourcées ?
  • As-tu fait tes propres recherches ou t’es-tu contenté d’ingérer le discours officiel comme on gave une oie ?

Peux-tu au moins m’accorder le bénéfice d’un travail délirant auquel s’ajoute le travail titanesque de mes amis scientifiques, juristes ou simples « humains » qui cherchent à comprendre ?

Mon ami l’aurait pu…

Toi qui as tant travaillé et étudié dans ta vie, as-tu oublié la valeur du travail ?

  • Sais-tu que j’ai passé des milliers d’heures, si si, des milliers d’heures à étudier le sujet ?
  • Sais-tu que j’ai lu des centaines d’études scientifiques ?
  • Sais-tu que j’ai étudié des statistiques nationales et mondiales ?
  • Sais-tu que je suis entouré de spécialistes qui font de moi un être insignifiant face à des puits de science ?
  • Sais-tu que je doute et que je me remets en question tous les jours et que je m’interroge depuis le mois de mars et même en t’écrivant cette lettre ?

Bien sûr que non, tu ne peux pas l’imaginer…

Car si c’était le cas, je serais « obligatoirement » arrivé aux mêmes conclusions que toi, toi qui détiens une « vérité prémâchée » par les autorités.

Je serais donc arrivé aux mêmes conclusions que toi et les médias. Je serais sorti de mon délire et j’adhérerais pleinement à la doxa que nous subissons depuis plus d’un an…

Mon ami, celui qui avait ses propres pensées aurait pu m’accorder le bénéfice du doute et surtout le bénéfice du travail accompli…

Tu juges donc que mon temps n’a aucune valeur, que j’ai perdu tout sens commun alors même que tu me pensais plutôt intelligent.

Tes valeurs ne te poussent-elles pas à m’aider au même titre que les miennes me poussent à informer et aider autrui à ouvrir les yeux autant que faire se peut.

Les médias t’ont répété que j’ai évidemment perdu toute capacité de raisonnement, que je suis dans le délire, que je suis dans une secte et que nul ne peut m’aider à en sortir…
Pire encore, je serais devenu « dangereux » au point qu’il ne faut plus me parler, plus discuter avec moi ou mes amis.

À moins que… à moins que tu ne sois toi, en état de sujétion, et que ce soit toi qui te trouves hypnotisé et dans une secte.

Mais le couperet est tombé et tu m’as proposé par écrit (sans doute moins contagieux) ta « solution » :

Voici la proposition de mon « ami ».

« Pourrais-tu supprimer ma photo (et celles de ma famille) sur le site ou tu exposes tes convictions sur ce sujet ? Dans la mesure où je ne partage pas ton analyse de la situation, cette proximité me met dans l’embarras. »

Sommes-nous encore amis ?

Pouvons-nous encore nous rencontrer dans une cave ou le sous-sol d’un parking souterrain qui serait dépourvu de caméras de surveillance ?

Adhères-tu à ce monde et est-ce que tu vis bien de ne surtout pas t’afficher à côté d’un « complotiste », de celui qui ne pense pas « comme tout le monde » ?

Mais de quoi as-tu si peur ?

Que l’on imagine que tu pourrais toi aussi avoir ou soutenir des pensées « déviantes » ?

Et si on m’obligeait à porter une étoile sur le torse ou me parquer dans un camp, cela pourrait-il être de nature à te soulager ?

Le plus simple, le plus rassurant pour toi est, de toute évidence, que je n’existe pas, ni moi ni mes amis.

Sommes-nous si anxiogènes à :

  • Répéter que cette maladie n’est pas si grave.
  • Répéter que cette maladie se traite.
  • Répéter qu’elle ne tue qu’exceptionnellement et qu’en général elle ne fait qu’accompagner des personnes en fin de vie.
  • Répéter qu’elle ne tue pas plus que les infections respiratoires des autres années ?

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs aurait adhéré à ces propos.
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre et personne ne doit savoir que nous étions amis…

Et quelle angoisse pour toi d’entendre que nous ne pouvons pas contrôler un virus, que nous n’avons jamais contrôlé la moindre épidémie, que le mieux est de laisser circuler le virus au maximum parmi la population en bonne santé afin de parvenir à une immunité naturelle de masse, et ce afin qu’il disparaisse de lui-même…

La dictature sanitaire a ainsi réussi le tour de force de rendre anxiogène celui qui, comme moi, avec des centaines de preuves à l’appui te dit qu’il n’y a pas à s’inquiéter et que les choses s’arrangeront naturellement avec le temps.

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs aurait adhéré à ces évidences.
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Hélas :

  • Tout a été volontairement mis en œuvre pour perturber le processus naturel et l’immunité naturelle de masse.
  • Tout a été fait pour affaiblir et traumatiser la population.
  • Tout a été fait pour dénigrer et interdire les traitements efficaces.
  • Tout a été fait pour rendre indispensable des vaccins qui, par leur nature, ne pourront pas enrayer la maladie.

Mais rien de neuf sous le soleil.

Cela fait des dizaines d’années que l’industrie pharmaceutique a arrêté de fabriquer des médicaments qui guérissent pour se consacrer quasi exclusivement à des médicaments qui traitent le malade à vie en faisant tout pour que le patient ne guérisse jamais.

Et cette année serait l’année de l’industrie pharmaceutique qui deviendrait au service de l’humanité ?

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs aurait confirmé 1000 fois ces affirmations !
Mais tout ceci je ne peux plus te le dire, tu ne peux plus l’entendre…

Je suis triste, les médias ont eu (provisoirement ?) raison de notre amitié, car je ne conçois pas une amitié dans laquelle un des deux « amis » ne peut exposer son amitié au grand jour…

J’espère qu’une fois sorti de ta léthargie, de ta sidération, que les vérités seront sorties dans les médias nationaux (elles sortent dans la plupart des pays sauf en France pour l’instant), tu pourras rouvrir ton esprit.

Ce jour-là tu te rendras d’abord sur le site de mon livre « 7 milliards d’esclaves et demain ? » et tu pourras lire que tout ce que j’affirme depuis le mois de mars 2020 ne relève pas de théories du complot ou de fakenews, mais de faits scientifiques avérés.

En attendant, même si je pleure, je poursuis mon chemin avec mes nouveaux amis de grande valeur avec qui j’ai tant à partager…

Alain Tortosa.

Le 14 juin 2021.

https://7milliards.fr/tortosa20210614-hier-jai-perdu-un-ami.pdf





Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !

[Source : kla.tv]

La belle chanson populaire allemande « Les pensées sont libres – qui peut les deviner ? » est malheureusement devenue une illusion à l’ère de la digitalisation. C’est ce qu’affirme et ce que prouve le Dr. Karl Hecht., médecin et professeur de neurophysiologie renommé, chercheur en neuroscience et médecin de l’environnement.
Le spécialiste, âgé de 96 ans, décrit de façon très claire le fonctionnement technique de la manipulation et du contrôle de l’esprit, notamment par le biais des ondes électromagnétiques. Il nous fait ainsi découvrir les débuts des expériences technologiques sur le contrôle des esprits dans les années 1950 et 1960, qu’il qualifie de « vieux jeu » dans la perspective d’aujourd’hui. Car jamais auparavant les conditions technologiques d’une dictature totale n’ont été aussi mûres qu’aujourd’hui.
Le professeur Hecht demande instamment que ce processus inhumain soit arrêté, afin que l’humanité ne se supprime pas elle-même par la digitalisation. Il est grand temps de revenir à la nature divine si nous ne voulons pas être dépouillés de toute humanité par l’idéologie de la digitalisation et être dégradés en robots humains totalement contrôlés.
Regardez maintenant l’interview du professeur Dr. Karl Hecht, que Kla.TV a réalisée pour vous en décembre 2020.

Interview:

Modérateur : Professeur Hecht, merci de nous permettre d’être avec vous aujourd’hui, de nous inviter et de nous permettre de parler du thème de la « digitalisation de l’humanité ». Professeur, en cette année marquée presque exclusivement par la crise de la Covid-19, vous avez écrit un article académique en août qui semble être un réveil urgent. Son titre : « Les pensées sont libres, mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini. » Qu’est-ce qui vous a poussé à écrire un article aussi complet et percutant à l’âge de 96 ans ?

Professeur Hecht : C’est mon habitude, je veux transmettre à l’humanité la vérité fondée sur la science. L’idéologie de la digitalisation crée une euphorie, c’est-à-dire un enthousiasme pour cette technologie, et il y a beaucoup de promesse. Prospérité, confort, voire santé et même immortalité grâce à l’intelligence artificielle. Mais la vérité est ailleurs. La digitalisation apporte une surveillance totale. La digitalisation entraîne une diminution des emplois et rend les humains superflus. La digitalisation entraîne ou provoque la manipulation de l’opinion publique, et finalement nous vivons une situation où l’homme perd lentement le contrôle sur la technologie. Ces derniers temps, les médias ont diffusé l’information selon laquelle Elon Musk a inventé ou est même en train d’expérimenter un implant Neuralink, qui est une interface entre l’ordinateur et le cerveau. Il décrit que c’est assez simple. Cet implant Neuralink n’est pas plus grand qu’une pièce d’euro et vous pouvez le mettre sur le crâne en incisant le cuir chevelu, puis il y a une connexion, une interface entre le cerveau et ce Neuralink, puis l’ordinateur ou le téléphone portable, etc. Il disait encore que la connexion entre le cerveau et l’ordinateur est nécessaire pour que les humains, ou l’humanité dans son ensemble, puissent bénéficier du développement de l’intelligence artificielle. Et c’est bien sûr un message choquant et c’est aussi l’une des raisons pour lesquelles j’ai écrit cet article.

Modérateur : Professeur, l’implant cérébral Neuralink d’Elon Musk a fait l’objet d’une large publicité dans les médias. Comment le Neuralink d’Elon Musk est-il censé fonctionner ? Et quels dangers y voyez-vous ?

Prof. Hecht : Oui, je voudrais tout d’abord vous expliquer comment cela va fonctionner, et pour que vous puissiez comprendre tout cela je dois vous donner une petite leçon de neurophysiologie. Voici le cerveau humain – ici une coupe transversale. Je tiens à dire à ce propos que notre cerveau compte 100 milliards de cellules nerveuses, et que chaque cellule nerveuse peut se connecter à toutes les autres, c’est-à-dire à 10 000 autres, c’est alors comme un organe à part entière ; c’est la caractéristique de l’être humain.
Vous voyez ici le cerveau antérieur, et Mme Teuchert-Noodt pense que le plus important c’est qu’il arrive à maturité, et cela ne se produit que jusqu’à l’âge de 18 ans, et il ne doit pas être irradié par des ondes ou par des facteurs externes ou être endommagé. Vous voyez ici au milieu ce qu’on appelle l’hippocampe, ce qu’on appelle le système limbique, et ici l’amygdale, qui est le centre émotionnel. Et dans les années 1940, le neurophysiologiste suisse Walter Rudolf Hess a découvert que s’il insère une électrode très fine et la stimule électriquement, des émotions sont générées dans cette zone. Par exemple, le rire, les pleurs, la colère, l’agacement. Donc on a constaté que dans cette région se reflètent nos émotions. C’était une grande découverte pour l’époque, il a reçu le prix Nobel pour cela. Et on a également partiellement appliqué ça en médecine, de telle sorte que des électrodes ont été insérées dans certaines zones du cerveau chez des patients souffrant d’épilepsie et de la maladie de Parkinson. J’ai moi-même vu la professeure Bechtereva travailler avec des épileptiques dans la clinique de Saint-Pétersbourg. Mme Olga Bechtereva est la fille du Bechterev dont une maladie porte le nom. Et il s’agissait surtout de blessés de guerre qui avaient des balles dans le cerveau ou des éclats d’obus. Et ils avaient jusqu’à 20 crises d’épilepsie et quand ils ont mis l’appareil dans une certaine région, l’appareil a produit une courte et légère stimulation électrique, et la crise n’a pas eu lieu. Cela n’a pas été fait en masse, mais ça a été répété souvent. Et chez les patients atteints de la maladie de Parkinson, les tremblements se sont arrêtés. Voilà comment ça a commencé.
Ensuite, deuxième chose : Tout ce traitement de l’information entre les centaines de milliards de cellules nerveuses se fait par des moyens électriques et nous pouvons mesurer l’électricité. C’est ce qu’on appelle l’EEG, l’électroencéphalogramme, et vous pouvez voir ici que nous avons des ondes différentes et aussi des fréquences différentes. Par exemple, le rythme alpha de 7-12 Hz, ou le rythme bêta de 13 Hz et plus. Ou ici le rythme thêta de 4-7 Hz, qu’on voit par exemple dans la méditation. Et puis le rythme delta qui est, par exemple, le rythme du sommeil profond, mais aussi d’autres fonctions, il est inférieur à 4 Hz. Et sur la base de cette configuration, de cette amplitude et aussi de la fréquence, on peut déterminer certaines fonctions. C’est là le point de départ pour les micro-ondes, les ondes radio qui sont introduites dans le cerveau
Cela se produit donc lorsque, à partir d’un émetteur ou d’un téléphone portable, on intervient dans les ondes cérébrales et ainsi on peut influencer le cerveau, selon les fréquences utilisées et selon comment vous l’appliquez.
Et aujourd’hui, comme [Armin] Grunwald l’a également dit, tout est possible avec la modulation de fréquence. Ça déjà été fait dans les années 70 aux États-Unis, des expériences ont été faites pour influencer l’électroencéphalogramme avec des micro-ondes, et donc aussi manipuler le cerveau.
Il y a aussi d’autres études, nous avons le champ magnétique de la terre, appelé onde de Schumann qui nous protège. Et cela passe également par le cerveau et constitue en fait une fonction vitale et les ondes radio peuvent également perturber cette fonction vitale. Et maintenant Musk a fait la chose suivante : il apporte cette interface et grâce à cela, si j’ai maintenant un téléphone portable, par exemple, ou un ordinateur, cela va à l’interface et l’interface se transforme alors en cerveau. Il s’agit donc en fait d’une sorte de petit ordinateur qui peut également stocker des données. Et à partir du cerveau, l’information peut alors revenir à l’interface et retourne au téléphone portable ou à l’ordinateur.
Et bien sûr, vous pouvez également l’influencer en conséquence et ainsi, un cerveau de robot est créé, qui peut alors influencer le vrai cerveau.

Modérateur : Est-ce que j’ai bien compris ? On a comme une application pour téléphone portable, et ensuite on peut en pratique influencer la conscience, etc., c’est très dangereux !

Prof. Hecht : Oui. Et vous pouvez même, si quelqu’un téléphone, influencer la conscience par le biais du téléphone portable. Vous pouvez donc manipuler comme vous le souhaitez et guider réellement la personne ou même lui donner des instructions, pour qu’elle tire sur quelqu’un par exemple, ou qu’elle fasse ceci ou cela. Il est alors en fait un « tenu en laisse par la digitalisation », si je peux le présenter ainsi.

Modérateur : On a à peine perçu une réaction publique critique à l’implant cérébral Neuralink d’Elon Musk. Le fait que ce soit sous-estimé pourrait-il avoir un rapport avec le fait que le contrôle des esprits, c’est-à-dire le contrôle mental ou le contrôle des pensées, est connu dans les romans ou les films de science-fiction, mais qu’on dit généralement qu’il s’agit d’une théorie de conspiration ?

Prof. Hecht : C’est possible. Mais un scientifique américain, dont je viens d’oublier le nom, a dit un jour qu’on ne peut garder que les petits secrets. Les grands secrets sont gardés secrets par l’incrédulité du peuple. Et c’est précisément cela : le peuple croit plus au mensonge qu’à la vérité et à la science. Il existe des enquêtes à ce sujet. Mais beaucoup de choses se passent dans le plus grand secret ou à l’arrière-plan. Je voudrais rappeler dans ce contexte comment j’ai découvert ce contrôle des esprits et ces influences.

Modérateur : Oui, avec plaisir.

Prof. Hecht : En 1968, il y a eu le Congrès mondial de physiologie à Washington, et à ce congrès, il y a eu une nouveauté. Un professeur, le Dr José Delgado, un Espagnol, qui a travaillé en Amérique à l’Université de Yales, a mené une expérience sensationnelle. Il avait un groupe de singes, dans ce groupe, le singe dominant était un colérique, c’est-à-dire qu’il se mettait très vite en colère. Et quand il se mettait en colère, il mettait sa patte dans sa bouche, rugissait, puis s’en prenait aux singes, les mordant et les frappant.

Ensuite M. Delgado a fait ce qui suit : il lui a mis sur la tête une interface, similaire à la courbe du cerveau antérieur, attachée avec un récepteur.

Et dans la salle se trouvait un émetteur qui s’activait lorsqu’on appuyait sur un levier. Et quand ce singe dominant mettait la main dans sa bouche, un singe du troupeau courait vers le levier pour le descendre et ce singe dominant devenait tout de suite doux comme un agneau. M. Delgado a ensuite effectué ces recherches dans des arènes de tauromachie en Espagne. Il a également mis cette interface sur les taureaux qu’on avait rendus colériques, et lorsqu’il appuyait sur le bouton, le taureau était complètement calme et n’était plus agressif. C’est-à-dire qu’à l’aide de cette technique il était possible, par exemple, de rendre les personnes agressives complètement paisibles.
Mais bien sûr, les services secrets ont immédiatement pris conscience de ce phénomène et ont travaillé avec cela. Et M. Delgado a ensuite approfondi le tout, puis a découvert, comme je l’ai déjà dit, à l’aide des micro-ondes, des ondes radio, qu’il pouvait entrer directement dans l’électroencéphalogramme. Et il a ensuite écrit un livre : « Le contrôle physique de l’esprit », en fait des pensées… Mais nous voyons que le contrôle de l’esprit est en partie fait sous le couvert d’agir pour la médecine… peut-être est-ce le cas. Il est toujours difficile dans ce domaine de séparer le bon et le mauvais. Et puis je voudrais parler d’un événement qui m’a également étonné : À l’Université de Tübingen, une étude est en cours intitulée « L’interface pour améliorer l’enseignement ». Là, les enfants reçoivent une sorte de bandeau, avec lequel l’électroencéphalogramme est enregistré. Et l’électroencéphalogramme reflète alors trois états, trois « émotions », c’est-à-dire : « attentif », « indifférent» et « inattentif », ce qui est déjà critique. Donc, trois lampes s’allument : le bleu « inattentif », le jaune « attentif » et le rouge « très concentré ».

Modérateur : Comme un feu tricolore sur le front, que l’enseignant est…

Prof. Hecht : Oui, et pas seulement cela. L’institutrice a comme un ordinateur ou un téléphone portable où elle voit chaque élève par ondes radio : « Aha, là ça s’allume en rouge, là ça s’allume en bleu » etc. et elle peut ainsi contrôler. Ça va même plus loin : une moyenne est calculée et elle voit quels élèves sont inattentifs et quels élèves sont attentifs et concentrés. Et je trouve que c’est une intrusion terrible dans le cerveau de l’enfant. Mais cette étude est soutenue par la ministre de l’éducation du Bade-Wurtemberg et présentée comme un progrès dans l’enseignement.

Modérateur: Mais prenons un peu de temps pour approfondir ce sujet, car il est aussi question de la 5G : son extension progresse de plus en plus. Et Elon Musk a également prévu de mettre en orbite autour du globe des satellites qui sont aussi équipés de rayonnement 5G. Cela signifierait donc qu’il peut pratiquement contrôler le monde entier si les gens sont prêts à faire installer l’un de ces dispositifs. Mais c’est… et surtout avec la 5G…

Prof. Hecht : Exactement. Que ce soit avec la 5G ou avec le WiFi, cela peut être fait avec n’importe quel… Mais la 5G c’est surtout la mise en réseau du monde entier. Et avec ça, on peut influencer tout le monde. Et je reviens encore une fois sur le Neuralink de Musk : c’est exactement avec ça qu’on peut contrôler chaque personne à tout moment, on peut la tuer et on peut faire toutes sortes de choses.

Modérateur : Dans votre article, vous mentionnez également une série de brevets pour le contrôle de l’esprit et de la pensée, qui peuvent être utilisés ou ont été utilisés depuis longtemps à des fins militaires et aussi pour les services secrets. Pouvez-vous nous expliquer le fonctionnement de cette technique à l’aide d’un exemple ?

Prof. Hecht : Oui. Ici, j’ai un brevet, un brevet allemand de 2002. C’est de la « transmission de pensée ». Et les domaines d’application sont, par exemple, les suivants : pouvoir communiquer avec les pensées, mais aussi pouvoir transmettre des informations discrètement. En outre, on dit qu’on peut écouter les criminels avec cette application, ce qui permet de savoir quelles sont leurs pensées. Ou à l’aide de ces micro-ondes, on peut stabiliser les pensées – si quelqu’un est en négociation et a besoin de soutien, on peut le soutenir. Et puis vous avez la possibilité d’influencer le métabolisme du cerveau et tout le reste à l’aide de ces pensées. Et ça fonctionne dans la gamme des gigahertz – on ne précise pas ici d’intensité de champ. Mais je sais que la fonction cérébrale réagit à un champ, le champ magnétique, de 0,3 picowatt (pW) par centimètre carré. Donc à des stimuli très faibles. Et c’est ce que la plupart des gens ne savent pas ou ne reconnaissent pas, le fait que notre cerveau réagit particulièrement à des champs électromagnétiques très faibles, et que ces stimuli peuvent soit causer des maladies, soit être utilisés pour manipuler. Et j’ai ici quelques vues de ce brevet, que je voudrais vous montrer brièvement. Ainsi, à l’aide d’un système de radar, on peut irradier chaque être humain de manière appropriée. Il est montré ici qu’on peut également le faire à travers des murs, des murs en béton, à partir de n’importe où. Ici, prochain exemple, à l’intérieur d’une maison ; ainsi par exemple je peux, du premier au dernier étage, influencer les pensées d’une personne ou les lire, etc.

Modérateur: Au moyen d’un canon à ondes ou d’une antenne ou… ?

Prof. Hecht : Et c’est possible, même s’il y a une quelconque protection, les ondes peuvent passer à travers. Et enfin, encore une très mauvaise chose : depuis un avion ou un drone, je peux aussi influencer avec cette technique et ensuite causer des dégâts ou donner des ordres, etc. Ça fonctionne à nouveau selon le principe suivant, je le répète : si les micro-ondes sont émises depuis ces endroits, ça va dans le cerveau et le cerveau traite cela de manière appropriée. Il existe des preuves à cela. Et il s’agit d’un brevet allemand, c’est pourquoi je tiens à le dire. En Amérique, il y en a encore beaucoup plus. J’ai trouvé dans un livre 27 sources de brevets, qui vont dans le même sens d’une influence sur les émotions. Ainsi, par exemple, vous pouvez influencer l’être humain comme José Delgado a influencé les singes, comme il a influencé le singe dominant. Par ces méthodes on peut aussi provoquer l’agressivité. Tout est donc possible.

Modérateur: Cela signifie donc que nous avons affaire ici à une technologie qui déshumanise l’homme concrètement. L’homme est transformé en machine contrôlable, en robot.

Prof. Hecht : C’est exactement ce qu’ [Armin] Grunwald a dit : Nous sommes en train de nous digitaliser et la société technologique qui se développe ne fera aucun bien à l’humanité. C’est aussi la raison pour laquelle j’ai écrit cet article. Nous devons faire bouger les choses. Nous devons réduire l’enthousiasme pour la digitalisation et revenir à la nature.

Modérateur : Pensez-vous donc qu’il soit possible, à notre époque, que les micro-ondes générées techniquement puissent fonctionner non seulement pour contrôler les esprits, mais aussi comme une arme, pour chasser ou éliminer pratiquement les masses indésirables ? Et puis, comment peut-on, tout d’abord, se défendre contre ces armes ou contre tout cela, en tant que citoyen ordinaire ?

Prof. Hecht : Se protéger…

Modérateur : Oui, se protéger.

Prof. Hecht : Oui, eh bien, je dirai presque que l’arme à micro-ondes est « vieux jeu ». Paul Brodeur, un Américain, a écrit un livre. Il est sorti en 1980, « Le danger dissimulé » et avec ce livre il a tout décrit, les effets néfastes des micro-ondes – en 1980 ! – et il a également fait état des armes qui sont développées aux Etats-Unis, par exemple. À l’époque, c’était encore les micro-ondes qui étaient liées à la chaleur… je dois dire qu’on fait une distinction entre les rayonnements ionisants et les rayonnements non ionisants. Et avec les rayonnements non ionisants, on a des effets thermiques et athermiques. En Allemagne, par exemple, la valeur limite est fixée en fonction de la notion thermique, c’est-à-dire qu’elle nous protège juste de ne pas nous faire griller. Et aux États-Unis, selon M. Brodeur, des armes développées à cette époque pouvaient tuer les gens en les chauffant. Mais il ne s’agit là que d’une seule sorte. M. Brodeur décrit également un événement que je voudrais raconter. Il écrit que, par exemple, des équipages de sous-marins américains et soviétiques se sont rencontrés en mer, et ils sont tous immédiatement rentrés à l’intérieur parce qu’ils s’irradiaient les uns les autres. Mais il existe des armes psychotropes. Et par exemple, pour que je puisse présenter beaucoup de rapports, voici un rapport du conseil scientifique consultatif de l’armée de l’air américaine. Il y est dit qu’à l’aide des champs électromagnétiques, on peut influencer les gens à la manière d’un psychotrope. On peut ainsi les faire dormir, par exemple, on peut provoquer des hallucinations, ils peuvent provoquer de la peur, de l’agressivité, ou même des troubles de la mémoire. Tout cela est possible, c’est en train de se passer.

Modérateur : Ce qui est possible dans le cadre militaire est également possible pour nous citoyens.

Prof. Hecht : Oui. Ou bien ici, le major soviétique Tchernishev, il a écrit un article en 1997 dans une revue militaire en Russie, où il parle des armes psychotropes et il dit que c’est commun et il dit qu’il y a des générateurs assez puissants pour influencer le cerveau et le psychisme des êtres humains de manière appropriée. Et il énumère toute une série de générateurs de ce type qui rendent cela possible. C’était en 1997. Ça fait maintenant plus de 20 ans. Il y en a donc certainement d’autres aujourd’hui. Mais je voudrais parler d’une autre chose, ce n’est peut-être pas une arme, mais indirectement, c’est une arme. C’est ce qu’on appelle le « signal de Moscou ». Il y avait notamment dans l’ambassade américaine de la rue Tchaïkovski à Moscou, un émetteur de 1 000 watts installé pour espionner. C’était courant à l’époque, c’est probablement le cas encore aujourd’hui. Et les Soviétiques avaient installé un émetteur de l’autre côté de la route, à 70 m de distance, mais avec une intensité de champ magnétique de 0,001 mW par cm2.

Modérateur : C’est moins que la limite actuelle.

Prof. Hecht : Oui, à l’époque la limite en Amérique et en Europe était de 10 mW par cm² et en Russie, en Union soviétique, mais aussi dans d’autres pays à l’époque du bloc socialiste, elle était de 0,01 mW par cm2. C’était donc 10 000 fois inférieur à la limite applicable en Europe, aux États-Unis, je dois dire. Et puis, il y a eu une discussion ou une rencontre entre le président Johnson et Kossyguine de l’Union soviétique, et ils en ont parlé. Mais Kossyguine a dit, nous sommes dix fois en dessous de la valeur limite, de votre valeur limite, alors est-ce qu’il peut arriver quelque chose ? Oui, quelque chose est arrivé. En 17 ans, sur les 4 ambassadeurs, les ambassadeurs américains qui étaient à Moscou, deux sont morts d’un cancer –Thompson et Pullan, et Stoessel d’une leucémie. C’est-à-dire que, par cette irradiation faible et constante, ces hommes ont eu le cancer et leur organisme tout entier a été détruit. Maintenant, je fais le lien avec la 5G d’aujourd’hui. La 5G est conçue en basse fréquence, pour qu’elle puisse rayonner partout dans les maisons. Et si maintenant on a ces ondes 5G, ça peut durer des années avant que le cancer se développe. Mais c’est possible même avec des valeurs aussi faibles. Il faut sans cesse se rappeler cela : ça produit des effets et la valeur limite en Allemagne et en Europe ne vaut rien du tout. Ça produit des effets.

Modérateur : Hmm, donc beaucoup trop haut.

Prof. Hecht : Mais je voudrais dire autre chose, une dernière chose, qui est aussi très grave. Il y a eu une conférence à Genève en 2018, à laquelle plus de 70 pays ont participé, et là ils ont parlé et ils se sont disputés à propos de l’interdiction des robots-tueurs ! Ça signifie donc qu’aujourd’hui, vous pouvez constituer une armée de robots-tueurs qui va ensuite contre les humains ou qui est dirigée d’une manière ou d’une autre. Une telle chose est planifiée et, bien sûr, je dis que ce n’est pas croyable de faire de telles choses. L’astronaute Gerst, l’astronaute allemand Gerst, qui était dans la Station Spatiale Internationale [ISS – Station Spatiale Internationale], il voulait diriger le robot Justin, parce qu’ils veulent éventuellement coloniser Mars avec des robots ; et tout le temps qu’il était là-haut, pendant trois mois, Justin a réagi complètement d’une autre manière que ce que l’astronaute voulait. Cela signifie donc que les robots ont aussi leur propre intelligence artificielle et qu’ils ne peuvent pas être contrôlés du tout. L’idée même de créer une telle armée ou même de produire une telle chose est, à mon avis, un crime de guerre, et ça doit donc être interdit. Je n’ai pas eu plus d’informations sur le déroulement de la réunion. Mais le fait que cela ait eu lieu m’a choqué. Ainsi, il y a un très vaste travail en cours qui consiste à fabriquer des armes à micro-ondes et des armes digitalisées ou à travailler sur ce projet. Bien sûr, d’une certaine façon c’est gardé secret, et c’est qualifié de théorie de conspiration. Mais le fait est qu’une telle chose existe, et je voudrais protester contre ça en tant que médecin et appeler le gouvernement à interdire de tels projets de recherche et à ne pas dépenser d’argent pour cela. Donc, et pour conclure, je voudrais dire que j’ai donné comme titre « Les pensées sont libres », et j’aimerais qu’en stoppant cette folie de digitalisation, nous ayons à nouveau les pensées libres. Que nous puissions chanter la chanson « Les pensées sont libres, qui peut les deviner, elles passent comme des ombres dans la nuit. Aucun chasseur ne peut les abattre, personne ne peut les connaître. Je m’y tiens, les pensées sont libres. » C’est ce que nous devons réaliser ! Et je voudrais citer Bertolt Brecht, qui est bien connu ici au théâtre de Berlin. Il a dit : « Penser est le plus grand plaisir de la race humaine. » Et c’est exactement ce que nous devons poursuivre. Nous ne pouvons pas faire cela avec la digitalisation, nous ne pouvons le faire qu’avec la libre pensée. Et nous devons maintenant nous battre pour ces pensées libres, nous devons les diffuser à travers la science, à travers le savoir, à travers la vérité scientifique, et c’est pourquoi j’ai écrit cet article.

Modérateur : Très bien. On peut sentir votre cœur. Il est évident que vous êtes très engagé dans ce domaine. Oui, merci beaucoup de nous avoir donné l’occasion de vous interviewer. Malgré votre âge, vous êtes encore si éveillé et si déterminé pour un monde meilleur, pour un monde plus pacifique. Et je souhaite aussi que nous puissions continuer à penser librement à l’avenir. Merci beaucoup.

[Voir aussi :
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?]




Finlande — Vaccination Covid : des parlementaires seront accusés de génocide

[Source anglophone : https://www.henrymakow.com]

[Traduction : Bouddhanar]

Le 9 juin, Ano Turtiainen, membre du Parlement finlandais, a mis en garde contre un possible génocide provoqué par le vaccin COVID en Finlande.
Voici la traduction de son intervention au Parlement de son pays :

« Honorable Président, le rapport de la commission mentionne un large éventail de défis réels pour la sécurité de la Finlande.

Ce rapport omet cependant un défi très sérieux pour la sécurité de la Finlande et des Finlandais… Je fais référence à ces soi-disant vaccins COVID qui ont également divisé notre population en deux, les éveillés et les égarés.

Vous ne pourrez plus jamais plaider l’ignorance du risque auquel les citoyens finlandais sont exposés.

La Finlande injecte actuellement à ses citoyens des substances toxiques déguisées en vaccins COVID.

Écoutez attentivement : Aucun de ces poisons injectés déguisés en vaccins COVID n’a d’autorisation de mise sur le marché en Finlande, mais seulement une autorisation de mise sur le marché conditionnelle de l’Agence européenne des médicaments (EMA). Les termes d’une licence conditionnelle stipulent que l’autorisation est conditionnelle : « Les informations disponibles doivent démontrer que les avantages du produit médical l’emportent sur ses risques ».

Deuxièmement, chers collègues, malgré le discours des médias, nous n’avons jusqu’à présent officiellement aucun décès par COVID en Finlande. Selon THL (équivalent du CDC – centres de contrôle et prévention des maladies), les causes officielles de décès à partir de l’année 2020 ne seront pas publiées avant 2022. Cependant, selon Fimea (équivalent au VAERS – Le Vaccine Adverse Event Reporting System est un programme américain de sécurité des vaccins), 78 personnes sont décédées des vaccins COVID en Finlande et il y a 1 306 rapports d’effets indésirables graves. Et 3 630 rapports non traités. On estime qu’environ 57 % des déclarations traitées ont des effets indésirables graves. La source est Fimea (www.fimea.fi).

Troisièmement, l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle pour ces toxiques… dit également : « Le demandeur doit être en mesure de fournir des informations cliniques complètes à long terme. » …

En violation du Code de Nuremberg, les Finlandais n’ont pas été informés qu’il s’agissait d’une d’expérimentation pratiquée sur l’être humain.

Maintenant, après ce discours, je vous ai tous fait prendre conscience, ainsi qu’aux médias, qu’il s’agit d’une expérimentation pratiquée sur l’être humain et que ses résultats sont terribles. En comparaison, l’expérimentation du vaccin Pandemrix, qui avait échoué auparavant, a été arrêtée avec 32 fois moins d’effets secondaires que ce que nous avons actuellement. Alors, maintenant je vous demande à tous : combien de personnes devront encore mourir ou être gravement malades avant que nous n’interrompions ce massacre ?
Chers collègues, vous êtes maintenant conscients de cette menace sécuritaire extrêmement grave à laquelle notre nation est confrontée et que les inconvénients des injections l’emportent sur les avantages. Vous n’avez plus de raison de ne pas agir pour sauver notre nation.

Enfin, si vous continuez à tromper nos concitoyens en leur racontant des contes de fées selon lesquels les vaccins sont sûrs et ont une licence de commercialisation, vous êtes intentionnellement impliqué dans plusieurs crimes, le plus grave d’entre eux étant le génocide. Encore une fois, je vous rappelle à tous ici : un crime devient intentionnel lorsqu’il est commis en connaissance de cause.
Maintenant, vous êtes tous au courant. Merci. » 

Le député finlandais, Ano Turtiainen






Algérie — N. Boukrouh : un éclairé avili après la déroute de son clan !

Par Djerrad Amar

L’autre avantage du hirak est qu’il a mis à nu bien des choses cachées jusque dans la face cachée de la conscience.

Rappeler la maladie de quelqu’un (ici Le Président), en guise d’argument pour taper sur un processus politique en marche vers une nécessaire démocratisation, est un acte fourbe et méprisable. Traiter en plus le Président de la République de son pays de « fou » d’être atteint de « delirium tremens » c’est du délire ! Cela relève aussi de la psychiatrie et non de la politique !

M. Boukrouh reprend les mêmes pensées, voire les mêmes mots, que ceux de Nicolas Beau, cette canaille qui aime voir l’Algérie à feu et à sang et ceux de El Kadi Ihsane de Radio M que finance le Quai d’Orsay ! Même équipe ? N’est-ce pas une attitude démoniaque ?

Les chiffres de participation qu’il cite sont donc « illégitimes » ! Uniquement pour l’Algérie ? (40 % pour les présidentielles, 25 % pour la Constitution qui est pourtant meilleure et plus démocratique que la/les précédentes, 30/25 % pour les législatives.) Parce qu’habitué aux 99 %, puis 80 %, puis 70 % et un peu moins par le « traficotage » depuis des décennies ? Le monde sait qu’ils ne dépassaient pas les 20/25 %, par bouderie, jusqu’au départ du dernier Président où la fraude était « institutionnalisée » !

Voilà que les chiffres commencent à refléter la réalité, malgré la persistance du scepticisme de beaucoup de citoyens, que des voix par opportunisme et hypocrisie crient déjà « au rejet par le peuple d’une politique » (menée par un nouveau Président depuis 1 an et demi seulement prônant le renouveau) oubliant les décennies de mensonges et d’instrumentalisation, marquées par des gouvernances funestes que ces mêmes voix avaient approuvées et accompagnées !

Qu’il compare plutôt aux chiffres des pays « démocratiques » comme ceux de « fafa » puisque nos démocrates la prennent comme référence ! Chez elle, même bas ou élevés, c’est toujours « légitime et démocratique », par contre les mêmes chiffres, ou un peu bas ou un peu haut, en Algérie de Tebboune c’est toujours « illégitime et non démocratique » !

C’est Fafa qui doit peut-être les valider en les comparant aux siens pour voir si c’est « démocratique » ? Ce serait du suivisme, de la francophilie aveugle ou de l’assujettissement !

Selon la « logique » de son clan anti Tebboune, si les taux sont élevés il y a fraude. S’ils sont bas entre 25 et 40, c’est « illégitime » ! Quelle est donc leur norme même en s’aidant de leurs référents français ! Celle de la « phase de transition » sans vote du peuple pour réinstaurer le régime et système putréfié honni par le peuple ; aidé par la presse mainstream française surtout depuis la fin du hirak véritable ? Oui, une « phase » incongrue que dirigeraient des personnes désignées (par qui ?) en lieu et place d’un Président élu ? Étrange conception de la démocratie ! Rappelons que l’Armée, contrairement aux « démocrates », s’en tenait au respect de la Constitution par l’élection du Président au suffrage universel !

M Broukrouh était bien un des dirigeants du système déchu et partisan des « quotas d’élus », car le vote réel n’arrangeait pas la plupart des partis politiques. Ils s’accommodaient bien avec ces « quotas de sièges » que les membres de leur direction se partageaient ! Le peuple était alors une « foule » bigarrée ?

Il avait, comme ses semblables, « tété la vache à traire » ! Maintenant que cette vache est désormais du côté du Peuple et que des « compères » se retrouvent en prison, en voie ou recherchés, la situation est devenue problématique surtout avec ce « pouvoir » que dirige un « fou » qui risque de chercher encore ce qui est « illégitime » partout, même du côté de l’ex PRA !

Le voilà aujourd’hui, après échec de la « phase de transition », devenu lanceur d’alerte et donneur de leçons à ceux qui ont anéanti le « régime » déchu par la grâce du hirak avec l’aide de l’Armée ! Quel culot ! C’est plutôt son clan qui a fait « courir un grave danger à l’Algérie » par sa gouvernance chaotique depuis des années et non Tebboune qui dirige depuis un an et demi seulement ! Il aurait peut-être mieux fait que Tebboune élu s’il était lui Président non élu de cette « phase de transition » ? On peut rêver !

C’est le hirak qui a éliminé son clan initiateur des pseudo-hirak déviant pour réhabiliter un système corrompu via cette « phase de transition » grossière ! On l’a compris : une transition « démocratique » sans vote ! Toutes leurs manœuvres ont échoué ! Le peuple dans son écrasante majorité n’a pas suivi ! Seule leur propagande oppressante et confuse, que mène une poignée d’activistes, fouette encore quelques esprits fragiles ou têtus !

Le nouveau Parlement est composé de jeunes, instruits, hautement diplômés, patriotes qui n’avaient aucune chance d’évoluer dans un système de copains, de coquins et « familial » ! C’est ce « système » qui a fait fuir des milliers de compétences vers d’autres pays ! C’est fini, ils sont désormais au pouvoir pour 5 ans grâce à la volonté politique et le patriotisme de ceux qui sont leur antithèse ! C’est le 1er Parlement algérien légal, légitime, élu démocratiquement !

Les abstentions appartiennent à ceux qui n’ont pas voté pour de multiples raisons, moins souvent liées à la politique ou aux consignes des partis ! Se les approprier est malsain, indigne et hypocrite en plus d’être indéchiffrables et majoritairement sans sens politique !

Que pense M. Boukrouh des groupes de voyous qui empêchent par les menaces et la violence les citoyens de Kabylie de voter en emmurant les entrées des mairies et qui envahissent les bureaux de vote pour détruire les urnes en éparpillant dans les rues les bulletins de vote ? Est-ce légitime et démocratique ? S’est-il prononcé sur ces faits graves ? Quel est dans leur cas le diagnostic psychiatrique ? Les classera-t-il comme « détenus d’opinion » en cas d’arrestation et de condamnation comme les journalistes qui ont comploté et incité au désordre via les pseudo-hirak impurs ?

M Boukrouh surgit comme un félin ces derniers temps, surtout à l’occasion des législatives, pour nous débiter ses canailleries dont celles faussement anti Macron parce que ce dernier soutien « vaguement » un processus certainement démocratique tout en s’abstenant des propos pouvant être interprétés « d’ingérence » dans les affaires algériennes ! Il aurait sûrement souhaité qu’il s’ingère puisqu’il semble approuver l’ingérence de quelques fripouilles du Parlement européen sur demande d’Algériens de son bord ! S’est-il prononcé sur les multiples ingérences dont d’officines françaises ?

Mieux vaut pour lui profiter de sa retraite très confortable et d’éviter les commentaires séditieux, trompeurs visant le peuple et irrévérencieux envers une haute autorité en l’occurrence la personne du Président de la République ! Qu’il exprime son point de vue ou celui du clan déchu c’est son droit, mais porter atteinte à l’intégrité et l’honneur d’un Chef d’État représentant un peuple et une nation ce n’est pas un avis ou une opinion, mais une sentence crasse condamnable par la loi !

Le Président Tebboune « fou » atteint du « delirium tremens » n’est-ce pas des propos dégoûtants, méprisants et absurdes pour un ex-ministre ?

A.D