De la démocratie pervertie à la guerre hybride contre les peuples

Par Alain Nicolaï, Le Livre des Sept Sceaux (Le Retour à l’Évidence)

« Celui qui ne fait pas la différence entre le bien et me mal n’est pas un homme. »

Proverbe touareg, Mali — Niger (Guide de la sagesse africaine, Liliane Prevost et Barnabé Laye, L’Harmattan, Paris/Toronto, 1999, page 180).

Première séquence : la métaphysique

Remarque : Vous avez peur de ne pas comprendre, rassurez-vous, vous allez vite comprendre.

Métaphysique, étymologie (XIIIe siècle) : mot savant emprunté au latin scolastique metaphysica, tiré des premiers mots du traité de métaphysique d’Aristote, méta ta phusika « après les choses de la nature », qui fait suite à son traité sur la nature. Le sens de « réflexion philosophique qui va au-delà de la nature et qui cherche à rendre compte par une théorie générale des principes fondamentaux de l’être » apparaît dès l’origine [source : Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Baumgartner et Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 495].

Métaphysique : analyse systématique de la réalité afin de connaître sa nature profonde. Sa méthode est basée sur l’algèbre de Boole :

0 — 1 = Fermé — Ouvert = Non — Oui = Faux — Vrai = Mauvais — Bon

L’algèbre de Boole est la base de la logique combinatoire et de la logique séquentielle. Elle est la base ses systèmes informatisés.

Métaphysique : son point de départ et d’arrivée est la connaissance absolue par la mise sous les yeux des lecteurs des choses significatives, des faits significatifs

La seule métaphysique valable est donc celle qui apporte des preuves irréfutables qui peuvent être vérifiées par tous les sujets de ce monde. Elle met sous les yeux du public ce que tout un chacun doit savoir. Elle explique la réalité et dévoile ce qui est caché, mais elle prend en compte la réflexion de Ludwig Wittgenstein : « Ce dont on ne peut parler, il faut le taire. » (Tractacus logico-philosophicus, Ludwig Wittgenstein Tel Gallimard, Paris, 1961, page 107).

Deuxième séquence : la démocratie

Remarque : N’oubliez jamais que le citoyen détient un énorme pouvoir qu’il faut savoir utiliser à bon escient.

Démocratie, étymologie (XIVe siècle), du grec démokratia « gouvernement exercé par le peuple » [Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Emmanuèle Baumgartner et Philippe Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 230].

Troisième séquence : la république

Remarque : Au point de vue de la société, avec la paix, la république est un de nos biens le plus précieux.

République, étymologie (XVIe siècle), emprunté au latin res publica « la chose publique, l’État, l’administration de l’État », est d’abord employée au sens de « État, communauté, société organisée » puis se spécialise à partir du XVII s au sens de « État dont la forme de gouvernement est fondée sur la souveraineté des citoyens. [Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Emmanuèle Baumgartner et Philippe Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 682].

Il en découle impérativement que le Président d’une véritable République doit être au service de ses concitoyens.

La devise de la République française « Liberté — Égalité — Fraternité » a pour origine la Révolution française. Elle donne le modèle de ce qu’est une véritable république dans l’absolu. Cette devise a été reprise sous diverses formes à travers le monde.

Il est bien évident que pour l’humanité son approche ne peut-être que relative.

À ce jour, toutes les républiques se rapprochent plus ou moins de cet idéal, mais malheureusement nombreuses sont les républiques bananières, celles-ci ne sont que des leurres pour les gogos.

Quatrième séquence : le court-circuitage 

Au niveau mondial et des continents, depuis de nombreuses décennies un important réseau d’instances internationales c’est mis en place : ONU, OMS (qui dépend de l’ONU), OMC, FMI, OTAN, Parlement européen…

Au niveau national, les citoyens élisent leurs représentants. En France en plus des municipales et des régionales, ils votent pour le choix des députés et des députés européens. En votant pour leur candidat, les citoyens pensent que celui-ci sera le meilleur des postulants pour défendre ses intérêts et/ou les intérêts de la collectivité. Le citoyen souhaite donc que son député ait la volonté, l’honnêteté et la capacité de le représenter justement.

Tant au niveau mondial et des continents, qu’au niveau national, toutes ces institutions fonctionnent, on veut bien le croire, démocratiquement, c’est-à-dire dans le sens exclusif du principe : la majorité décide des actions à mener.

Cinquième séquence : la démocratie utilisée comme arme contre les peuples

Un seul exemple parmi une multitude : Parlement européen, le vote du 27 novembre 2014

Ce funeste jour, le Parlement européen a massivement rejeté une motion de censure contre la nouvelle Commission présidée par Jean-Claude Juncker, déposée après les révélations sur le scandale d’évasion fiscale LuxLeaks. La motion, présentée par le groupe EFDD (Europe de la liberté et de la démocratie directe) du leader de l’Ukip britannique Nigel Farage, soutenue par le groupe de la Gauche unitaire européenne — Gauche verte nordique (GUE), a recueilli 101 voix, contre 461 et 88 abstentions.

EFDD (Europe de la liberté et de la démocratie directe) avait lancé la première riposte politique après des révélations fracassantes sur le vaste système d’évasion fiscale au Luxembourg, au profit des multinationales, mis en place sous l’autorité du président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, lorsque ce dernier était Premier ministre du Grand-Duché de 1995 à 2013. C’était un système d’accords fiscaux « anticipés », négociés (tax rulings) avec plus de 2300 multinationales. Ces avantages scandaleux faits à l’insu de tous et lésant l’ensemble des contribuables européens avaient permis pendant toutes ces années une évasion fiscale colossale.

En clair, en votant contre, l’écrasante majorité des élus du peuple siégeant au Parlement européen a soutenu Jean-Claude Juncker. Les députés européens lui ont donné leur bénédiction.

Lors de ce vote, les citoyens ont été ignorés et bafoués, eux, à qui l’Europe demandait depuis des années, comme aux états, de se serrer la ceinture. Le Parlement européen a ainsi permis à Juncker de poursuivre tranquillement son mandat, comme si de rien n’était.

https://www.europarl.europa.eu/news/fr/press-room/20141121IPR79864/la-motion-de-censure-contre-la-commission-rejetee-par-une-large-majorite

Mais ce n’est pas tout, cet énorme scandale qui aurait du faire pendant longtemps les unes de la presse, et provoquer une révolution, a été étouffé par les médias dominants et par l’essentiel de la classe politique.

Encore une information cachée qui montre bien qu’ils se foutent de vous :

http://www.profession-gendarme.com/lunion-europeenne-sest-couchee-devant-les-labos-pharmaceutiques-whaouuuu-quelle-video/

combien d’autres ?

Sixième séquence : la guerre hybride contre les peuples

Les faits par Olivier Piacentini, diplômé de l’Institut d’Études Politiques de Paris section économie et finances :

https://nouveau-monde.ca/fr/strategie-financiere-et-great-reset/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/strategie-financiere-et-great-reset/

Les faits par Philippe Herlin, Docteur en économie du Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) :

https://nouveau-monde.ca/fr/grand-reset-on-assiste-a-un-transfert-de-richesses-qui-est-voulu-par-ceux-qui-nous-dirigent/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/grand-reset-on-assiste-a-un-transfert-de-richesses-qui-est-voulu-par-ceux-qui-nous-dirigent/

Les faits par Grégory Mannarino, Trader :

https://nouveau-monde.ca/fr/gregory-mannarino-le-virus-est-un-leurre-les-banques-centrales-veulent-tout-posseder-la-classe-moyenne-est-laminee-nous-vivons-dans-lillusion-reveillez-vous/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/gregory-mannarino-le-virus-est-un-leurre-les-banques-centrales-veulent-tout-posseder-la-classe-moyenne-est-laminee-nous-vivons-dans-lillusion-reveillez-vous/

L’analyse de l’ouvrage The Great Reset du président du Forum de Davos par des journalistes du Guardian :

https://off-guardian.org/2020/10/12/klaus-schwab-his-great-fascist-reset=
Version française :
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme

L’analyse de l’Agenda 2030 des Nations Unies, version intégrale non expurgée par Liliane Held Khawam  :

Vaccination :

https://nouveau-monde.ca/fr/la-vaccination-mondiale-le-veritable-objectif-de-loperation-covid-19/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/la-vaccination-mondiale-le-veritable-objectif-de-loperation-covid-19/

https://nouveau-monde.ca/fr/comprendre-les-specificites-de-la-vaccination-anti-covid19/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/comprendre-les-specificites-de-la-vaccination-anti-covid19/

Septième séquence : censure, désinformation, manipulation, terreur sanitaire… les autres armes de la guerre contre les peuples

Le savez-vous ?

France :

https://nouveau-monde.ca/fr/lechec-du-confinement-et-des-vaccins-reconnu-par-ceux-qui-les-ont-conseilles-le-pr-delfraissy-et-coll/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/lechec-du-confinement-et-des-vaccins-reconnu-par-ceux-qui-les-ont-conseilles-le-pr-delfraissy-et-coll/

https://nouveau-monde.ca/fr/30-000-medecins-francais-sorganisent-reclamant-le-retour-a-la-normale-2e-conference-du-collectif-coordination-sante-libre-suite-de-lappel-du-9-janvier-2021/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/30-000-medecins-francais-sorganisent-reclamant-le-retour-a-la-normale-2e-conference-du-collectif-coordination-sante-libre-suite-de-lappel-du-9-janvier-2021/

Collectif « laissons les médecins prescrire » : la liste des 30.000 médecins engagés ! – Le Libre Penseur

Russie :

https://nouveau-monde.ca/fr/devant-le-conseil-des-droits-de-lhomme-de-lonu-moscou-denonce-la-manipulation-de-lopinion-et-la-censure-des-points-de-vue-alternatifs/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/devant-le-conseil-des-droits-de-lhomme-de-lonu-moscou-denonce-la-manipulation-de-lopinion-et-la-censure-des-points-de-vue-alternatifs/

https://nouveau-monde.ca/fr/la-russie-contre-le-passeport-vaccinal-voulu-par-lunion-europeenne/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/la-russie-contre-le-passeport-vaccinal-voulu-par-lunion-europeenne/

Chine (le pompon) :

22 septembre 2020, question du journaliste de BFMTV lors de la conférence de presse de Lu Shaye, Ambassadeur de Chine en France :

BFMTV: vous avez réaffirmé tout à l’heure que la Chine a vaincu l’épidémie de Covid-19. Quels conseils la Chine peut donc apporter à la France? Certains spécialistes s’inquiètent que l’épidémie reparte à la hausse, que les chiffres repartent à la hausse. Quels conseils la Chine peut donner à la France pour vaincre elle aussi l’épidémie, par exemple en matière de dépistage ?

Lu Shaye : effectivement, la Chine a bien réussi à maîtriser l’épidémie de Covid-19. Et maintenant, la Chine ne compte plus de cas locaux. On compte seulement quelques dizaines de cas importés chaque jour. Je n’ai pas de conseil à donner à la France. Les Chinois n’ont pas l’habitude de donner des leçons aux autres pays.

L’intégralité de la conférence de presse, la fin de l’épidémie et le retour à la normale en Chine grâce à ce lien : 
http://www.amb-chine.fr/fra/zgzfg/t1817634.htm 
D’autres infos sur le site de l’Ambassade de Chine en France…

Les dissidents de l’ONU se réveillent

https://nouveau-monde.ca/fr/info-verifiee-la-pandemie-est-utilisee-comme-un-pretexte-selon-lonu/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/info-verifiee-la-pandemie-est-utilisee-comme-un-pretexte-selon-lonu/

Pendant que vous dormez, la Russie et la Chine avancent… vous l’aurez deux fois dans l’os ! 

Deux éléments supplémentaires pour une conclusion qui s’impose

Le mépris absolu : 

https://www.businessbourse.com/2021/03/06/reponse-demmanuel-macron-a-une-femme-desesperee-et-a-bout-je-ne-suis-pas-la-pour-passer-vos-humeurs-trouvez-vous-quelquun-dautre/

« Le plus con des veaux est celui qui court après le boucher. »

.

.

Alain Nicolaï, Le Livre des Sept Sceaux (Le Retour à l’Évidence)




Comprendre les spécificités de la vaccination anti-covid19

[Source : Alexandra Henrion Caude]

https://youtu.be/ukcesy5qUMw



Quelle est l’opinion de Dieu sur la vaccination par ARN messager ?

[Source : Patriarcat Catholique Byzantin]

En ce moment, les chrétiens veulent être clairs en ce qui concerne la vaccination mondiale et forcée en termes de conscience.

Par l’autorité de l’office apostolique et prophétique, le Patriarcat Catholique Byzantin met en garde d’urgence contre l’autogénocide vaccinal.



Regardez cette vidéo sur: 
https://veni-domine.wistia.com/medias/lkok168edh   
https://rumble.com/vdnw7r-lopinion-de-dieu-sur-la-vaccination.html   
https://cos.tv/videos/play/25754064280653824 
https://ugetube.com/watch/FH3bRqCziLy1dCO   

Cependant, l’archi-hérétique Bergoglio, qui occupe la papauté, promeut notoirement la génocidaire « vaccination pour tous », en disant : « Cela doit être fait ! ». Aujourd’hui, chaque chrétien doit savoir que Bergoglio, qui adore le démon Pachamama, ne sert pas Dieu, mais s’oppose consciemment à Lui ! Si quelqu’un obéit à Bergoglio et est en unité intérieure avec lui, il ne peut pas être sauvé. Il se retrouvera dans l’étang de feu avec ce faux prophète de la sodomie, de la vaccination et du puçage effectué à l’aide de la marque de la bête apocalyptique.

Le Vatican apostat clame dans le monde entier qu’après la vaccination de Bergoglio, d’autres membres de l’État du Vatican sont en train de se faire vacciner, et il en va de même pour l’hôpital du Vatican tout entier, avec ses 3000 employés. Ils prétendent de façon absurde qu’après deux vaccins, ils ont atteint une immunité de 100% et des niveaux d’anticorps 1000 fois plus élevés. Les patriarches orthodoxes Bartholomew et Kirill s’associent à Bergoglio dans cette propagande de la vaccination. Les croyants orthodoxes ne doivent donc plus obéir à ces deux apostats qui promeuvent un péché qui crie jusqu’au ciel et constitue un crime contre l’humanité.

Le nouveau vaccin à ARNm modifie non seulement le génome humain, mais constitue également une forme de puçage et conduit au génocide à la fois temporel et éternel de l’humanité. Conformément à la Bible – Gal 1: 8-9 – et à la Bulle Cum Ex Apostolatus Officio, les catholiques ne doivent pas obéir à un hérétique. Bien qu’il se soit exclu de l’Église du Christ, l’archi-hérétique Bergoglio force avec autorité les croyants :

  1. À s’opposer à Dieu et à Ses lois,
  2. À agir de façon suicidaire contre la raison et la conscience,
  3. À ignorer les avertissements des courageux experts non corrompus en immunologie, virologie, etc.

Quelle devrait être l’attitude d’un chrétien responsable envers cette vaccination par ARNm ?

L’homme est obligé d’utiliser la raison pour rechercher la vérité. Qui peut nous transmettre la connaissance de la vérité dans le domaine de la virologie ? Cela ne peut, en aucun cas, être fait par Bergoglio, qui est analphabète en médecine et boycotte cependant tous les scientifiques solides et leurs avertissements. Cela ne peut pas non plus être fait par les experts médicaux qui connaissent la vérité mais la dissimulent pour des raisons d’avantages sociaux, de carrière, de corruption ou de peur, ou qui mentent même ouvertement et sans vergogne. Même les médias traditionnels corrompus, les politiciens stipendiés ou le clergé bergoglien ne peuvent nous dire la vérité.

La vaccination obligatoire peut aujourd’hui être qualifiée de crime contre l’humanité le plus grave ! Chaque chrétien doit résister au système génocidaire de la vaccination, tant qu’il en a le temps. Une fois le mécanisme déclenché, il ne restera plus que deux options : soit être le témoin de Satan, soit le témoin du Christ.

Quiconque reçoit le vaccin est régi par un système soutenu par les élites du Nouvel Ordre Mondial au service de Satan. On se libère ainsi de la subordination à Dieu et de Sa protection. Ce qui suit est une souffrance physique et mentale désespérée causée par le vaccin, la mort via le dépeuplement, et l’étang de feu après la mort. Ceux qui résisteront et rejetteront le vaccin, malgré les menaces de persécution, resteront sous la domination de Dieu. Dieu les protégera ou leur donnera le privilège du martyre. Après la mort, ils recevront la couronne de gloire éternelle.

Dix « NON » contre le vaccin à ARNm (ARN messager) :

  1. Ce vaccin n’est pas passé par la durée habituelle des tests.
  2. Le vaccin à ARNm modifie le génome humain.
  3. C’est un outil de puçage, qui transforme l’humain en robot biologique.
  4. En essence, ce n’est pas un véritable vaccin.
  5. Ce soi-disant vaccin est un instrument de génocide ou de dépopulation, comme l’a admis Gates.
  6. Le vaccin à ARNm est mis en œuvre sous une pression criminelle.
  7. On empêche les véritables experts de mettre en garde contre les dangers d’une telle vaccination.
  8. Le vaccin contre le Covid-19 est inefficace car le virus mute, et n’a jamais été isolé.
  9. On empêche les malades de recevoir les médicaments efficaces, et les personnes en bonne santé sont obligées de se faire vacciner.
  10. La nanopuce contenue dans le vaccin – la marque de la bête – signifie la perte du libre-arbitre et donc, l’incapacité de se repentir. La Bible avertit que la punition pour cela est l’étang de feu !

Conclusion : les vrais experts, mais aussi la raison, la conscience et la Parole de Dieu, mettent fortement en garde contre ce dangereux vaccin à ARNm ! Le Patriarcat Catholique Byzantin, au nom et en l’autorité du Dieu trinitaire, le Père, le Fils et le Saint-Esprit, met en garde contre cet auto-génocide vaccinal. Dans le même temps, ce Patriarcat oblige, par la présente, tous les chrétiens et les personnes de bonne volonté, tant devant Dieu qu’en leur conscience, à offrir une résistance unifiée et catégorique.

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr              + Timothée OSBMr

Evêques secrétaires

Téléchargement: PCB : Quelle est l’opinion de Dieu sur la vaccination par ARN messager ? (4/2/2021)

Le Patriarcat Catholique Byzantin (PCB) est une communauté de moines, de prêtres et d’évêques vivant dans des monastères. Le PCB est dirigé par le patriarche Élie, en collaboration avec deux évêques secrétaires, Timothée et Méthode. Ce patriarcat est né de la nécessité de défendre les vérités chrétiennes fondamentales contre les hérésies et l’apostasie. Le PCB ne reconnaît pas le pseudopape Bergoglio, et ne lui est pas subordonné.




Appel à la désobéissance civile

[Source : liberanos.eu]

1793 personnes ont signé l’appel.

Sommaire

Signer

[Aller sur le site de liberanos.eu pour signer :]

Les signataires

Voir les signataires

L’appel

Mesdames,

Messieurs les Ministres, membres des conseils scientifiques, ministres-présidents et autres « décideurs »,

Par la présente, nous vous informons que nous avons désobéi, que nous désobéissons et que nous désobéirons encore.

Nous désobéirons encore parce que nous ne pouvons pas rester cloîtrés chez nous sans juste motif. Nous avons besoin de respirer sans peur et sans masque l’air plus pur de nos campagnes et celui pollué de nos villes. Nous demeurons, plus que jamais, dans le besoin d’entourer nos parents et grands-parents, d’embrasser et câliner nos enfants et petits enfants, d’enlacer et soutenir nos frères, nos sœurs, nos amis.

Nous ne nous arrêterons plus de chanter, de crier, de rigoler et d’aimer. Nous désobéirons encore parce que nous n’accepterons jamais que vous déclariez dangereuses et hors la loi les joies de la vie, les rencontres, les fêtes familiales et culturelles.

Nous nous engageons à ne pas mettre en danger la vie des autres, au contraire, nous respecterons des règles d’hygiène fondamentales à la vie en société, nous renforcerons notre immunité collective, sans devenir fous d’angoisse, ce qui comme vous le savez affaiblirait notre santé et celle d’autrui.

Nous continuerons à aider nos parents « vulnérables », nos proches, et aînés, à ne pas mourir de solitude ; nos femmes et nos enfants à ne pas être victimes de violence intrafamiliale, qu’elle soit physique, morale ou psychologique. Nous continuerons à faire découvrir en premier nos visages à nos nouveau-nés.

Nous avons décidé de désobéir parce que nous côtoyons chaque jour des femmes et des hommes extrêmement anxieux face à cette « nouvelle » maladie, et qui, parfois, ont souffert, eux-mêmes ou leurs proches. Nous respectons notre prochain et comprenons parfaitement leur légitime désarroi. Mais nous ne mourrons pas par peur de vivre. Nous prônerons le dialogue, ainsi que le bon sens. Nous sommes conscients que, parmi nos semblables, nombreux sont ceux qui doutent et ont, par conséquent, eux aussi, transgressé quelques interdits. A bout de souffle, il n’y a que ces « écarts » qui nous permettent une certaine forme de survie.

D’autant plus que les « flagrants délits » sont les vôtres en premier.

Nous désobéirons encore parce que nous ne supportons plus vos incohérences, vos mensonges, votre manque d’empathie, votre intolérance, votre censure et votre refus de répondre aux questions légitimes, votre manque de transparence et hostilité à tout débat démocratique.

Quand l’état que vous pilotez infantilise et condamne des pans entiers de sa population, qu’il conduit nos aînés, nos commerçants, nos restaurateurs, nos artisans, nos artistes, nos coiffeurs, nos étudiants, nos jeunes et leurs familles, à la ruine, à la misère, à la rue et au suicide !

Quand cet état s’érige en donneur de leçons, en sauveur, alors qu’il a détruit et détruit encore nos services publics, qu’il étrangle nos hôpitaux et nos soignants par des décennies de coupes budgétaires. Et un an de crise sanitaire n’a vu aucune amélioration de leur situation.

Alors que l’État se prétend à la hauteur de la situation, nous demeurons dubitatifs : où étiez-vous donc quand il aurait fallu agir contre ce qui nous rend malades ? … Les polluants qui saturent nos poumons, la malbouffe qui détruit notre santé au quotidien, le travail toujours plus abrutissant voué au bien-être des actionnaires, les écrans et jouets connectés qui nous empêchent de penser ? Vous allez maintenant nous faire croire que vous vous souciez du bien commun ?

Nous désobéirons encore parce que nous ne croyons pas aux coûteux remèdes miracles sortis des boites de Pandore des firmes pharmaceutiques, en lice pour celle qui touchera le pactole en premier, alors que ces multinationales se protègent préventivement contre les effets secondaires d’un vaccin que l’État nous vend comme inoffensif, tout en avouant qu’il ne sait même pas s’il nous protège.

Nous rejetons l’arrogance de ceux qui gèrent une maladie nouvelle à coup de protocoles d’interdictions et bannissent toute autre option, alors que l’absence de débat est flagrante et la censure sévit sans vergogne.

Nous pensons que l’écoute respectueuse d’opinions divergentes, tout comme les compétences acquises par les praticiens de terrain, l’utilisation de remèdes anciens, bon marché, la recherche indépendante et le débat public permettraient de gérer et d’anticiper de futurs développements de cette maladie, mais aussi de « sauver des vies » et d’éviter les « dégâts collatéraux », pour employer le vocabulaire guerrier que certains parmi vous affectionnent… Nous savons que nous avons une probabilité de 99 % de mourir d’un cancer, d’une maladie cardiovasculaire, cérébrovasculaire, et même, pourquoi pas, de vieillesse plutôt que de ce virus.

N’oublions pas ce qu’a répété toute sa vie Albert Jacquard, ce grand humaniste, généticien et biologiste français, mort en 2013 des suites d’une leucémie (époque où l’on pouvait mourir d’autre chose que du virus SARS-CoV-2…) : « Je suis les liens que je tisse avec les autres. Les autres ne sont pas notre enfer parce qu’ils sont autres ; ils créent notre enfer lorsqu’ils n’acceptent pas d’entrer en relation avec nous ».

Nous désobéirons donc pour ne pas être contaminés par votre enfer, vos muselières, vos anathèmes, vos diktats et vos discours relayés servilement par des médias aux ordres. Nous désobéirons pour que le monde de demain ne soit pas pire que celui d’avant et, surtout, qu’il soit meilleur, juste et décent, respectueux de la Terre et de tout ce qui y vit.

Nous appelons à boycotter tous ceux qui nous méprisent et nous précarisent sans complexe. Nous souhaitons vivement rendre la désobéissance contagieuse pour qu’ensemble nous prenions conscience de notre pouvoir de guérison. Que nous décidions ensemble de notre avenir commun, par des mesures prises en respectant les droits et nos institutions démocratiques, et non en les bafouant à coup d’état d’exception et autres.

Si l’argent et le pouvoir sont vos moteurs, les nôtres sont la liberté, ainsi que le droit, dans le respect du bien commun.

Comme le citait avec tant de justesse l’auteur Frédéric Gros, « À partir du moment où on obéit comme des machines, désobéir devient un acte d’humanité ».

Télécharger l’appel au format pdf.

Politique de confidentialité

Les données collectées par liberanos.eu sont celles du formulaire plus la date et la langue dans laquelle vous avez signé l’appel.

Votre adresse IP n’est pas collectée, ce site ne fait utilisation ni de liens cachés vers d’autres sites ni de cookies (à l’exception des cookies techniques indispensables au fonctionnement du formulaire qui seront supprimés après votre signature ou quand vous fermez votre navigateur).

Votre prénom, nom, titre et pays seront visibles dans l’affichage des signataires de la pétition.

Ces données ne seront utilisées d’aucune autre façon, ni cédées, ni divulguées à aucun tiers. En particulier vous ne recevrez aucun courriel de liberanos.eu, sauf celui pour confirmer votre signature et, si et seulement si vous avez marqué votre accord, la lettre d’information.

Ces données seront détruites lors de la clôture éventuelle de l’appel.

Si vous avez donné votre accord pour être abonné à la lettre d’information du Collectif, seule votre adresse courriel sera utilisée pour cet usage. Votre adresse ne sera pas divulguée, à aucun tiers. À tout moment, vous pourrez vous désabonner de cette lettre : dans ce cas, votre adresse sera définitivement effacée du système d’envoi de la lettre.

Appel à dons

Pour les dépenses déjà engagées (ce site web, son hébergement et le nom de domaine) et celles à venir, nous avons besoin de votre aide (le site étant notre propriété et ayant soigneusement choisi l’hébergeur, nous avons mis toutes les chances de notre côté pour ne pas être censurés). Par la suite, si l’appel se propage et que nous devenons un collectif défini autour de cet appel à la désobéissance, il y aura d’autres frais (diffusion, promotion, etc.). Il est probable que nous organiserons des actions, mais aussi que nous serons amenés à défendre certaines personnes.

Voir le bilan des dons reçus et de nos dépenses.

Notre compte bancaire dédié où verser les dons :
Francis Leboutte, IBAN : BE62 0636 9084 6361 (BIC : GKCCBEBB).

En savoir plus

En Français

Collectif Transparence-Coronavirus pour l’objectivité de l’information et la liberté thérapeutique (Belgique)

docs4opendebate.be (Belgique) :

« Nous demandons ici un débat ouvert, où tous les experts sont entendus sans aucune forme de censure… Nous plaidons pour l’arrêt immédiat de toutes les mesures et demandons le rétablissement immédiat de notre gouvernance démocratique normale et de toutes nos libertés civiles ».

Notre Bon Droit (Belgique) :

« Assurer nos droits aujourd’hui et demain »

La page covid du mpOC-Liège (Belgique) :

« La sélection d’articles et de vidéos ci-dessous a pour objectif objectif d’apporter un éclairage différent de celui monomaniaque du gouvernement et des médias dominants et ainsi de nourrir la pensée et le débat ».

Réaction19 (France) :

« Notre association a pour objet la défense de vos droits suite aux mesures prises par les autorités françaises et par l’Union européenne voire par les autorités mondiales pour lutter contre la pandémie de la Covid-19 ».

RéinfoCovid (France) :

« Nous sommes un collectif de soignants, médecins et scientifiques universitaires, réunis autour d’une idée : le besoin d’une politique sanitaire juste et proportionnée pour la France. Rejoints par des citoyens désirant jouer un rôle actif dans la résolution de la crise que traverse notre démocratie, la pluralité s’ajoute à l’expertise pour constituer nos plus grandes forces ».

In Dutch

docs4opendebate.be :

We vragen hier een open debat, waar alle experten aan bod komen zonder enige vorm van censuur… We pleiten voor een beëindiging van alle maatregelen en vragen een onmiddellijk herstel van onze normale democratische bestuurs- en rechtsstructuren en van al onze burgerlijke vrijheden.

International (multi-lingual)

Great Barrington Declaration :

« As infectious disease epidemiologists and public health scientists we have grave concerns about the damaging physical and mental health impacts of the prevailing COVID-19 policies, and recommend an approach we call Focused Protection ».

Qui sommes-nous ?

Cet appel a été rédigé à l’initiative d’Annie Thonon, réalisatrice retraitée de la chaîne publique belge (RTBF), et Alexandre Penasse, journaliste (Kairos). L’idée étant de donner de la visibilité à tous ceux qui s’opposent aux politiques anti-covid liberticides mises en place par nos États. L’appel a dans un premier temps été soumis à des proches, sans être rendu public. Nous avons ainsi obtenu le soutien d’une centaine de personnes de tout milieu et tout âge dont vous trouverez les noms ci-dessous. Nous espérons briser le spectacle de l’unanimité véhiculé par les médias, nous souhaitons créer de la solidarité et du débat. Chaque signataire se déclarant co-responsable, nous serons tous dans la défense de chacun.

Les premiers signataires

  • Annie Thonon, réalisatrice retraitée (Belgique)
  • Alexandre Penasse, journaliste, psychologue (Belgique)
  • Francis Leboutte, ingénieur civil (Belgique)
  • Valérie Tilman, enseignante et philosophe de formation (Belgique)
  • Bernard Legros, essayiste et militant associatif (Belgique)
  • Jean-Pierre Léon Collignon (Belgique)
  • Jean-Pierre Wilmotte (Belgique)
  • Muriel Dacq, artiste (Belgique)
  • Muriel Hubin, enseignante, infirmière (Belgique)
  • Jean-François Gava (Belgique)
  • Stéphane Résimont (Belgique)
  • Christophe Nottet (Belgique)
  • Charlotte Mansion, artiste (Belgique)
  • Nadia Delatte, secrétaire en éducation physique, retraitée (Belgique)
  • Valérie Hermans, graduat en communication d’entreprises et RH, yoga et herboristerie, aromathérapie  (Belgique)
  • Laurence Hubin, graduée en secrétariat de direction, employée dans une auto-école (Belgique)
  • Guy Huyghe, ingénieur civil (Belgique)
  • Janine Mayeres (Belgique)
  • Hélène Couvert (Belgique)
  • Seb Dlay (Belgique)
  • Agnès Tamignaux, musicienne, enseignante pensionnée (Belgique)
  • Titom Titom, dessinateur (Belgique)
  • Aurélien Van Trimpont, comédien, musicien (Belgique)
  • Philippe Tyberghein, ingénieur civil architecte retraité (Belgique)
  • Annick Dethis, accueillante en maison médicale (Belgique)
  • Xavier Simon, musicien, travailleur social (Belgique)
  • André Foguenne, professeur de sciences, retraité (Belgique)
  • Bernadette Lemin, assistante sociale retraitée (Belgique)
  • Marie-Claire Steffens, citoyenne (Belgique)
  • Thomas Lauwers, agriculteur (Belgique)
  • Corine Dehaes, enseignante et philosophe de formation (Belgique)
  • Julien Penasse, menuisier-ébéniste (Belgique)
  • Maxime Pauly, psychomotricien et sauveteur aquatique (Belgique)
  • Alain Jossart, assistant social (Belgique)
  • Vincent Verhaeren, photographe (Belgique)
  • Pierre Delmotte, ingénieur retraité (Belgique)
  • Béatrice Adam, kinésithérapeute-musicienne (Belgique)
  • Alain Van Muysewinkel, musicien, travailleur social (Belgique)
  • Jean-Pierre Eudier, chirurgien dentiste retraité (Luxembourg)
  • Jean-Luc Guilmot, ingénieur agronome (Belgique)
  • Sandro Provenzano, médecin (Belgique)
  • Annes Bouria, pharmacien (Belgique)
  • Marie-Rose Cavalier-Bohonk, cofondatrice d’Initiative Citoyenne (Belgique)
  • Andrée Vandenborre, dentiste généraliste (Belgique)
  • Fred Mastro, expert de self-defence, fondateur du Mastro Defence System (Belgique)
  • Liberato Nadia de filippis (Belgique)
  • Fatiha Aït Saïd, naturopathe et directrice d’un institut de formation professionnelle (Belgique)
  • Pirly Zurstrassen, musicien (Belgique)
  • Thierry Leloup, observateur de l’actualité (Belgique)
  • Philippe De Groote, expert-comptable certifié (Belgique)
  • Philippe Antoine, neuropsychiatre (Belgique)
  • Nicolas Bériot, ingénieur (France)
  • Theo Poelaert, libraire et photographe (Belgique)
  • François Daubé, professeur d’équitation et Directeur ONG IPSE (International Political & Scientific Ethics) (Suisse)
  • Michel Donceel, violoneux (Belgique)
  • Frédéric Keil (Belgique)
  • Evelyne Paulus, thérapeute (Belgique)
  • Christiane Hermans, biologiste (Belgique)
  • Françoise Père, citoyenne des plus ordinaires (Belgique)
  • Laurence Deproote, psychomotricienne relationnelle (Belgique)
  • Anastasia de Meüe, travel Designer (Belgique)
  • Charline Nocart, biologist naturopathe (France)
  • Arlette Fauvelle, pharmacienne retraitée (Belgique)
  • Nathalie Medialdea (Belgique)
  • Dominique Buffet, enseignant ou bucheron (Belgique)
  • Sophie Meulemans, cofondatrice de Initiative Citoyenne, master en éthique médicale et bioéthique (Belgique)
  • Nathalie Brouta, thérapeute en soins énergétiques (Belgique)
  • Antoine Thonon (Belgique)
  • Marc Henrion, fonctionnaire (Belgique)
  • Janne Klügling (Belgique)
  • Dorothée Lambinon, comédienne, animatrice, metteuse en scène, autrice, maman, grand-mère (Belgique)
  • Alexandre Furnelle, musicien (Belgique)
  • Michel Weber, philosophe (Belgique)
  • Guillaume Dendeau (Belgique)
  • Michel Boutemy, ingénieur technique (Belgique)
  • Charlotte Carret, kinésithérapeute (Belgique)
  • Isabelle de Fraipont (Belgique)
  • Nelly Chapelle, psychothérapeute (Belgique)
  • Jean-Claude Legros Pierre, musicien, enseignant (Belgique)
  • Sabine Carels (Belgique)
  • Anne-Marie Demesmaecker, médecin (Belgique)
  • Brigitte Steichen, médecin (Belgique)
  • Sophie Rétif (Belgique)
  • Janine Delatte, enseignante retraitée (Belgique)
  • Marc Van Eyck, musicien,compositeur, interprète,producteur (Belgique)
  • Sabine Carels Thunus, comédienne, animatrice, metteuse en scène, autrice, maman, grand-mère (Belgique)
  • Marie Delhez, ergothérapeute à la retraite (Belgique)
  • Natacha De Crom (Belgique)
  • Jean-Baptiste Mansion (Belgique)
  • Kenny Cadinu, rédacteur en chef de l’Escargot déchaîné (Belgique)
  • Thierry Tanghe, citoyen en résistance (Belgique)
  • Jean-Christophe Yu, cinéaste documentariste (Belgique)
  • Marie-Ange Herman, professeure à la retraite (Belgique)
  • Clément Triboulet, comédien et metteur en scène (Belgique)
  • Raphaël Rediger, assistant polyvalent en centre d’accueil pour demandeurs d’asile (Belgique)
  • Maryvonne Duray, citoyenne (Belgique)
  • Giacomo Infantino, consultant en informatique (Belgique)
  • Sigrid Vandenbogaerde, musicienne (Belgique)
  • Tony Matagne, demandeur d’emploi (Belgique)
  • France Michel, citoyenne sans profession mais en action (Belgique)
  • Mikaël Stassen, bio-ingénieur (Belgique)
  • Ana-Bélen Montero, céramiste (Belgique)
  • Delphine Cheverry, comédienne (Belgique)
  • Pierre Rose, objecteur de croissance (France)
  • Simon Charbonneau, professeur honoraire de droit public, Université de Bordeaux (France)
  • Vincent Cheynet, rédacteur en chef de La décroissance (France)
  • Claire Danjou, musicienne (France)
  • Alain Dordé, objecteur de croissance (France)
  • Philippe Godard, directeur de collections de livres documentaires pour la jeunesse (France)
  • Alain Carpon, citoyen (France)
  • Marie-Noël Hauser, citoyenne (France)
  • Olivier Rouzet, psychothérapeute et essayiste (France)
  • Christine Poilly, enseignante et objectrice de croissance (France)
  • Laurence Desremaux, citoyenne (France)
  • Edouard Schalchli, essayiste (France)
  • Jean Jordan, professeure à la retraite (France)
  • Matthieu Thonon, chanteur/musicien (Belgique)

Contact

contact@liberanos.eu

Attention : nous ne serons probablement pas en mesure de répondre à tous les emails que vous nous enverrez. Dès que possible, nous ouvrirons sur le site une page web de réponses aux questions fréquentes.




Le vaccin contre le coronavirus de Pfizer a tué 40 fois plus de personnes âgées que le virus lui-même

[Source : Cogiito]

https://www.afinalwarning.com/500887.html

Les vaccins expérimentaux contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) de Pfizer, dont la production et la distribution ont été précipitées par le programme « Operation Warp Speed » de Donald Trump, tuent beaucoup plus de personnes âgées que le soi-disant « virus » lui-même ne l’aurait fait.

Une nouvelle analyse des données fournies par le ministère israélien de la santé a conclu que les injections de thérapie génique par ARN messager (ARNm) de Pfizer et BioNTech ont déjà tué « environ 40 fois plus de personnes (âgées) que la maladie elle-même n’en aurait tué » au cours d’une récente période de vaccination de cinq semaines.

S’appuyant sur des recherches menées en janvier dernier qui ont montré que les vaccins chinois contre les virus ne sont « pas plus sûrs » que le virus lui-même, cette dernière étude accuse les vaccins de causer plus de morts que de les prévenir de la mort.

Le Dr Hervé Seligmann, membre de la faculté de l’université d’Aix-Marseille en France, a démontré, à l’aide d’une analyse mathématique complète, que

« PARMI LES PERSONNES VACCINÉES ET ÂGÉES DE PLUS DE 65 ANS, 0,2% … SONT MORTES PENDANT LA PÉRIODE DE TROIS SEMAINES ENTRE LES DOSES, SOIT ENVIRON 200 PERSONNES SUR 100 000 VACCINÉES ».

« Ceci est à comparer aux 4,91 morts sur 100.000 qui sont morts de COVID-19 sans vaccination », a-t-il ajouté.

Le vaccin contre le coronavirus de Pfizer a tué 260 fois plus de jeunes que le virus lui-même n’aurait

le Dr Seligmann et ses collègues ont constaté que la situation est encore pire pour les jeunes qui sont vaccinés avec le virus chinois de Pfizer.

Parmi les moins de 65 ans, les vaccins ont tué 260 fois plus de personnes que le virus lui-même n’en aurait tué.

« Ce tableau effrayant s’étend également aux personnes de moins de 65 ans », ont écrit les chercheurs.

AU COURS DES CINQ SEMAINES DE VACCINATION, « 0,05 %, SOIT 50 PERSONNES SUR 100 000, SONT MORTES ».

« Ceci est à comparer au 0,19 pour 100.000 qui meurent de la COVID-19 (qui) ne sont pas vaccinés … Ainsi, le taux de mortalité de ce groupe d’âge a augmenté de 260 (fois) pendant cette période de cinq semaines du processus de vaccination, par rapport à leur taux de mortalité naturel de la COVID-19 », ont-ils ajouté.

Le Dr Seligmann, qui est également titulaire d’un diplôme de biologie de l’Université hébraïque de Jérusalem, a déclaré que lui et son équipe « n’ont aucun conflit ni intérêt autre que celui d’avoir des enfants en bonne santé en Israël ».

L e Dr Seligmann et son collègue ont poursuivi en précisant que ces chiffres sont probablement beaucoup trop bas car, ils ne tiennent compte que des décès survenus « sur cette courte période » et « n’incluent pas les accidents vasculaires cérébraux et les événements cardiaques (et autres) résultant des réactions inflammatoires ». Les chiffres ne tiennent pas compte non plus des complications à long terme », a-t-il expliqué.

En d’autres termes, il est tout simplement stupide d’obtenir un vaccin contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).

La « maladie » ne présente pratiquement aucun risque de complications pour la grande majorité des personnes qui la « contractent », et pourtant des millions de personnes ont été convaincues de prendre des « vaccins » expérimentaux dont leurs fabricants ne sont pas responsables en cas de blessure ou de décès.

Gardez à l’esprit que ces blessures et décès signalés n’incluent que ceux qui sont survenus peu de temps après l’administration des vaccins. Il reste à voir comment ces vaccins affectent tous les autres à moyen et long terme.

Comme l’ont révélé les America’s Frontline Doctors (AFLDS), les effets d’amélioration dépendant des anticorps (ADE) de ces vaccins chinois ne fournissent aucune protection contre le virus et rendront en fait les personnes qui les reçoivent plus sensibles à la maladie plus tard.

« AU LIEU DE PROTÉGER LA PERSONNE, IL PROVOQUE UNE MALADIE PLUS GRAVE OU MORTELLE LORSQUE LA PERSONNE EST ENSUITE EXPOSÉE AU SRAS-COV-2 DANS LA NATURE », A DÉTERMINÉ L’AFLDS.

« LE VACCIN AMPLIFIE L’INFECTION PLUTÔT QUE DE PRÉVENIR LES DOMMAGES ».

Pour cette raison, l’AFLDS déconseille fortement aux gens de se procurer l’un de ces vaccins expérimentaux. Reconnaissant les dangers encourus, le Dr Seligmann et ses collègues chercheurs font de même, qualifiant cette campagne de vaccination de masse de « nouvel Holocauste ».

Pour en savoir plus sur les dernières nouvelles concernant l’arnaque du coronavirus de Wuhan (Covid-19), consultez le site Pandemic.news.

Les sources de cet article sont notamment les suivantes :

ChildrensHealthDefense.org

NaturalNews.com




“Le Crime du Garagiste” – Le Casse Banco-centraliste!

[Source : TML]

Par Luniterre

Voici tout juste un an s’amorçait, si l’on peut dire, le versant occidental de la « crise du covid », avec le plongeon des bourses, descendant d’un sommet où elles avaient réussi à se hisser au cours des douze années suivant la précédente crise, celle de 2007-2008. Pourtant, et moins d’un mois plus tard, et alors juste au moment où l’économie connaissait l’un de ses arrêts les plus brutaux et complet de l’histoire moderne, elles recommençaient déjà leur ascension, qui ne s’est pas démentie depuis, rejoignant déjà, un an après, les sommets perdus, et les dépassant même, pour ce qui est des bourses US… !

Et cela alors même que dans la même période, l’activité économique, soumise au chaos des confinements-déconfinements-reconfinements et autres couvre-feux, enregistrait globalement une récession nette et également d’ampleur historique, tout simplement également « oubliée » depuis la précédente crise, et même, la dernière guerre mondiale, en fait. Si le PIB US n’a reculé, si l’on peut dire, que de 3,5%, le PIB français, lui, a encaissé une perte de 8,3%. Mais, dans les deux cas, avec des conséquences sociales immédiates désastreuses, et relativement, encore plus marquées aux USA qu’en France.

On en est donc arrivés à cette situation paradoxale qu’à un appauvrissement global de la société correspond une augmentation de l’accumulation du capital !

Mais le corollaire spectaculaire de cette situation, bien que là aussi, paradoxalement, personne ne veuille réellement le voir pour ce qu’il est vraiment, c’est l’explosion de la dette mondiale, tant publique que privée.

C’est donc, paradoxe supplémentaire, grâce au cycle de la dette que les bourses ont pu se maintenir et même, reprendre leur ascension, au cœur même de la crise.

Le mécanisme de ce cycle, avec l’intervention des Banques Centrales sur le marché de la dette publique, notamment, est maintenant bien connu (([1] ►https://tribunemlreypa.wordpress.com/2021/01/13/great-reset-le-banco-centralisme-complot-et-ou-nouveau-systeme-nouvelle-edition-debat/
https://youtu.be/QZ7xqYJ6rE4
https://tribunemlreypa.wordpress.com/2020/06/11/merveilleux-monde-dapres-face-a-lemergence-du-banco-centralisme-quelle-forme-de-resistance/)), et donc, on n’y reviendra pas ici, où, passé ce constat, on cherche donc à aller plus loin dans l’analyse du paradoxe, à la recherche de son sens fondamental en terme d’évolution du système économique.

En effet, quelle peut être la signification d’une croissance du capital, si, dans le même temps, la dette globale croit encore plus, comme on doit simplement le constater ?

Cet accroissement du capital ne compense-t-il donc pas pour les pertes subies par l’activité économique ?

Au cours d’un récent débat, l’un de nos contradicteurs objecte qu’il n’existe pas de dette sans contrepartie, et donc que l’augmentation de la dette ne peut être que proportionnée au capital, d’une manière ou d’une autre.

Mais, lorsque l’on cherche à analyser l’activité économique, on cherche donc à comprendre l’évolution du système capitaliste, c’est-à-dire le mouvement du capital engagé dans l’activité économique en vue de son élargissement. C’est, de plus, en résumé, la définition qu’en donne Marx.

Sous ce rapport, la dette d’un consommateur pour l’achat de sa voiture particulière n’est donc pas, par exemple, un capital.

Le fait patent qu’une grande partie de la dette ne soit donc pas du capital à proprement parler peut déjà nous aider à comprendre la réalité du fait que la croissance de la dette soit supérieure à la croissance du capital, même si cette croissance du capital est considérable.

Mais cela ne règle pas la question du paradoxe de l’accumulation du capital en dépit de la récession économique.

Ce nouveau capital accumulé est-il donc, oui ou non, un accroissement des richesses de la société, qui se serait, en quelque sorte « condensé » dans les hauteurs boursières ?

Autrement dit, toute accumulation de capital est-elle nécessairement le résultat d’une création de valeur nouvelle, d’une accumulation de plus-value réellement créée, d’une manière ou d’une autre, par l’activité économique ?

Pour illustrer cette problématique et la remettre à une échelle facilement compréhensible, prenons, cette fois-ci, un exemple dans le commerce des automobiles d’occasion…

Pour faire la meilleure estimation possible de la valeur réelle d’une voiture d’occasion, il faut déjà au moins connaitre sa durée de vie potentielle, en années et kilométrage…

Supposons, une voiture prévue pour durer quinze ans et parcourir 300 000 km…

Ce qui nous fait une moyenne de 20 000 km/an.

Supposons une vente qui se fasse à 10 ans d’âge de la voiture et qu’elle ait effectivement 200 000 km au compteur, et soit en très bon état général.

On peut donc estimer, de manière simplifiée pour notre exemple, que sa décote d’usure soit des deux tiers de son prix d’origine.

En supposant qu’il ait été de 15 000 euros, la nouvelle valeur d’usage réelle de cette voiture est donc de 5000 euros.

Autrement dit, si la vente se fait à ce prix, il n’y a ni gagnant ni perdant, dans cette affaire, et donc, pas de « plus-value », ni au sens bourgeois du terme, ni au sens marxiste.

Maintenant, supposons que le garagiste « marchande » lors de l’achat et arrive à avoir cette voiture pour 4000 euros…

Supposons même, encore, qu’il la revende, presque aussitôt, pour 6000 euros, à un autre client, en lui faisant valoir le bon état général de la voiture, ou autre argument, peu importe…

Peut-on dire qu’il a réalisé une « plus-value » de 2000 euros ???

Au sens de notre contradicteur et au sens de l’économiste bourgeois, oui, assurément !

Au sens marxiste, il a simplement fait une « bonne affaire » en accumulant 2000 €uros au passage, pour son compte, même si pas très honnêtement, quand au fond, mais il n’a, par contre, pas réalisé la moindre « plus-value » qui soit… !!!

En effet, supposons que le premier propriétaire de l’auto et le second client du garagiste soient classiquement et simplement des travailleurs salariés…

La seule valeur qu’ils ont réellement créée, dans leur existence, est celle créée par leur travail, dont la part qui leur est revenue, sous forme de salaire.

Dans l’échange, l’acheteur initial, en « neuf », de la voiture a donc investi 15 000 euros de cette valeur-travail dans son achat, dont il a « usé » normalement 10 000 euros en dix ans…

A l’issue desquels il n’en récupère donc que 4000 euros sur le 5000 qu’il lui reste, potentiellement.

Il se fait donc dépouiller par le garagiste de 1000 euros de la valeur qu’il a initialement créé par son travail.

Lequel garagiste dépouille donc encore de 1000 euros un autre client, qui paye la voiture 6000 euros au lieu de 5000, et se voit donc lui-même abusivement dépouillé de 1000 euros de la valeur crée par son propre travail, pour une voiture qui en vaut réellement 5000.

Au total, il y a donc un déplacement abusif de 2000 €uros de la valeur d’usage réelle et résiduelle de cette voiture, mais absolument aucune valeur nouvelle de créée, et pour cause, et donc, aucune « plus-value », au sens marxiste du terme.

Évidemment, la situation n’est pas différente, dans son principe, si l’opération est effectuée par un particulier qui achète et revend aussitôt.

Évidemment, dans un cas comme dans l’autre, l’opération est formellement tout à fait légale, alors que si le garagiste (ou le particulier), au lieu de se compliquer la vie avec les transactions, avait simplement agressé chacun de ses deux clients pour leur dérober 1000 €uros à chacun, elle ne l’eut point été !

Mais dans le principe, en termes de déplacement, d’accumulation et de non-création de valeur, la situation est tout à fait équivalente !

Tel est, quant au fond, le « crime du garagiste », en tant que commerçant de voitures d’occasion !

https://www.casse-auto-72.com/ressources/images/207dc36a7434.jpg

Avec cet exemple, il est donc important de comprendre qu’il peut donc exister un certain nombre de procédés tout à fait légaux, dans le cadre du capitalisme, par lesquels le capital peut donc s’accumuler sans pour autant que cette accumulation soit nécessairement le résultat d’une création de valeur nouvelle, d’une accumulation de plus-value réelle, et donc également au sens marxiste du terme.

Au sens bourgeois du terme, par contre, est donc considérée comme « plus-value » toute différence entre valeur d’achat et valeur de revente, quel que soit le processus considéré, et tout à fait indépendamment du fait que cette différence reflète ou non un accroissement réel de la richesse sociale par l’activité économique.

Alors que, par contre, la notion marxiste de plus-value est précisément aux antipodes de la simple « valeur ajoutée » arbitrairement, au moment de la vente de quoi que ce soit…

Mais c’est aussi effectivement ce que, assez généralement, les pseudos-« marxistes » eux-mêmes n’ont donc jamais compris, pour la plupart !

En réalité, on peut donc ainsi comprendre que si l’ensemble de la vie économique fonctionnait entièrement selon le processus achat-vente du garagiste « d’occasion », les uns gagnant simplement ce que les autres perdent, tout progrès économique et social, tout accroissement réel de la richesse sociale, serait absolument impossible.

C’est donc ce qui a poussé les économistes classiques, et Marx à leur suite, à rechercher ailleurs la source de l’enrichissement des sociétés humaines…

Pour ces économistes classiques, y incluant Marx, la source de la richesse économique et sociale nouvelle est la valeur nouvelle créée, en biens et services, par le travail productif humain, indépendamment de son mode d’accumulation.

Et plus précisément, pour Marx, la plus value est la différence entre la valeur d’usage de la force de travail et sa valeur d’échange.

On ne peut pas résumer ici, en trois lignes, les trois tomes du Capital, ni ses fondements philosophiques, supposément « hégéliens », tels qu’exposés dans les Grundrisse, les notes personnelles de Marx, mais on se contentera de rappeler, pour ceux qui sont supposés les avoir lu, et de poser le principe, pour les autres, c’est-à-dire, espérons le, la majorité des gens simplement honnêtes avec eux-mêmes, selon lequel la valeur d’usage de la force de travail est la valeur ajoutée par le travail, à la production, pour un temps déterminé, alors que sa valeur d’échange (salaire), est la valeur des intrants divers, en bien et services, nécessaires à sa reproduction, pour le même temps déterminé, et, évidemment, dans le même cadre de vie sociale.

Pour Marx, comme pour de nombreux économistes classiques et sociologues de toutes époques, c’est donc une particularité du travail productif humain que de reproduire plus de valeur, dans un temps donné, que nécessaire à la simple reproduction de la même force de travail.

C’est donc, pour Marx, la différence entre la valeur d’usage totale ajoutée à la production par le travail, et la valeur nécessaire et suffisante à la reproduction de la force de travail (salaire), qui constitue la base de la plus-value réelle et de l’élargissement du capital investi, et qui est donc très différente, en ce qu’elle est bien une part de la valeur nouvelle créée par le travail, de la simple accumulation au sens du « garagiste d’occasion » !!!

Du point de vue du développement de l’économie capitaliste, on comprend donc bien ainsi que la dette n’est pas un problème en soi, voire même, au contraire, dans la mesure où elle correspond à un investissement productif. Non seulement elle ne peut être que remboursée, in fine, mais même, contribuer à l’accroissement de la richesse totale de la société, indépendamment de sa répartition, et non pas seulement à l’accroissement numérique du capital total.

On comprend donc bien, également, que le stock total de la dette puisse varier, en fonction des périodes plus ou moins fastes et donc des cycles économiques conjoncturels.

Mais le problème réel surgit donc à partir du moment où, comme on le voit aujourd’hui, cette dette mondiale, qui n’a cessé de croitre depuis la crise de 2007-2008, malgré un embryon supposé de reprise, venait  donc déjà de battre des records à la veille de la présente crise, et a donc encore littéralement fait un bond exponentiel avec elle…

Le fait que ce bond exponentiel corresponde avec la récession brutale causée par cette crise est donc encore un fait malheureusement relativement cohérent…

Ce qui à priori l’est moins, c’est donc bien que le capital, dans la même période, non seulement ne cesse de s’accumuler, mais atteint même des niveaux records.

Comme on l’a vu, et comme l’expliquent bien la plupart des économistes (1), c’est le mécanisme lui-même du cycle de la dette, tel que géré par les Banques Centrales, qui entretient et encourage ce niveau élevé de capitalisation, malgré la crise.

Et donc, si ce niveau de capitalisation correspond bien, néanmoins, selon les prétentions idéologiques des adeptes et/ou des critiques pseudos-« marxistes » du capitalisme, à un élargissement de la richesse sociale, d’une manière ou d’une autre, la dette devrait donc cesser de croître, et même, commencer d’être remboursée, et donc, diminuer, à mesure que le capital total s’élargit, et non pas croître encore davantage, et donc davantage que le capital lui-même !

Dans le cas présent, la conclusion qui s’impose donc, avec la croissance durable de la dette, c’est que, globalement, à l’échelle de l’économie mondiale et du capital total, la croissance de celui-ci n’est plus qu’une nouvelle fraction de la dette totale, qui reste, de ce fait, constamment croissante.

Dans l’économie mondiale actuelle l’élargissement du stock de la dette mondiale est donc, de ce fait, une fonction croissante du capital total, qui, en conséquence et par définition,  ne pourra donc jamais la rembourser…

Bien entendu, au fil de la conjoncture, même si cette tendance, qui domine déjà depuis une bonne douzaine d’années, ne peut non seulement que perdurer avec la nouvelle crise, mais même y prendre, comme on le voit, un élan encore plus radical, elle n’est pas pour autant linéaire et on comprend bien qu’après la chute récessionniste brutale que nous venons de connaître, il y a, mécaniquement, un effet de rebond qui peut, provisoirement, paraître la contredire.

La question de fond n’est donc pas de savoir si l’économie peut « récupérer », peu ou prou, son « niveau d’avant crise » (…du covid), mais bien de savoir si l’expansion du capital total peut durablement contribuer à réduire la dette au lieu de continuer à l’accroître… !

Il s’agit bien là de deux voies fondamentalement différentes d’évolution du système économique et social.

Dans le premier cas, si l’expansion continue du capital correspond, à terme, à une réduction de la dette, on pourra écrire l’histoire de toute cette période, qui va déjà de 2007 à 2021 (…et ?), comme l’une des nombreuses crises cycliques du capitalisme, mais qui n’en altère pas réellement la nature, déjà suffisamment délétère, au demeurant.

Dans le deuxième cas, qui correspond, en fait, à un prolongement durable de la situation actuelle, inaugurée à partir de 2007, on comprend bien que c’est l’ensemble du cycle économique qui est soumis au cycle de la dette, et que la gestion du cycle de la dette, tel qu’il est actuellement contrôlé par les cinq principales Banques Centrales de la planète, est désormais le facteur déterminant et le « régulateur » de son niveau de développement économique.

https://i.pinimg.com/originals/cf/f5/3e/cff53e4c398006f988a44adcb742bbcd.jpg

Et notre garagiste dans tout ça ?

En quoi est-il donc emblématique, à son échelle, d’une économie banco-centralisée ?

Dans le principe, l’accumulation de 2000 €uros qu’il réalise repose donc sur le fait qu’à une valeur d’usage déterminée, de 5000 €uros, il parvient à ajouter une fraction de valeur-travail, originellement produite sous forme de salaire, de deux fois 1000 €uros, alors que son opération commerciale n’implique en réalité aucun travail productif supplémentaire.

A noter, pour bien comprendre, que le mouvement total de la valeur eut été le même si, rachetant « honnêtement » la voiture à 5000 €uros à son premier client, il n’en eut pas moins le culot de la revendre 7000 au deuxième…

Moins habile, ou moins gourmand, il aurait également pu se contenter de se limiter à un « bonus » de 1000 €uros, soit en revendant 6000 après achat à 5000, ou bien encore en revendant 5500 après achat à 4500, etc…

Dans un cas comme dans l’autre il manipule donc une valeur d’usage déterminée, de 5000 €uros, à laquelle il ajoute une « valeur » arbitrairement définie par lui-même, de 1000 à 2000 €uros, mais qui, en réalité, n’a aucune existence en tant que valeur économique réelle et constitue simplement un déficit pour d’autres échanges économiques correspondant à des besoins sociaux réels de ses « clients », et constitue donc un déficit de circulation monétaire correspondant éventuellement à des achats réellement « créatifs » en matière de valeur économique globale.

Bien entendu, il ne s’agit pas ici de vouer aux gémonies la catégorie des garagistes, dont certains sont effectivement parfois honnêtes et font un vrai travail de contrôle et de remise en état des voitures d’occasion, mais le cas d’achat et revente directe, posé par notre « exemple », assez semblable à ce que font certains « particuliers » ne s’en produit pas moins assez souvent…

Maintenant, reprenons donc cet exemple, en l’appliquant à une voiture …neuve !

En effet, dans le cas d’une voiture sortant d’une usine entièrement automatisée, et qui n’est donc que le produit de la matière en mouvement, que ce soit celui des machines robotisées ou de la matière première qui passe entre leurs « mains » électroniques et informatiques, le « produit », à la sortie, se trouve tout à fait dans la situation de notre voiture d’occasion, avec une valeur d’usage déterminée, ici non pas par l’usage kilométrique, mais essentiellement par la valeur d’usage des matières premières utilisées, d’une part, et par la fraction de valeur d’usage des machines robotisées correspondant, pour chaque voiture produite, à leur coût d’amortissement, d’autre part.

Pour autant, on imagine assez bien que les groupes industriels et financiers capables de mettre en œuvre une telle technologie de production ne le font pas uniquement pour le plaisir de voir rouler leur production aux mains d’automobilistes heureux, mais bien pour en tirer un bénéfice financier substantiel…

Et c’est donc là, à propos de ce type de marge de profit, que le capitaliste « moderne » se trouve tout à fait, en réalité et à grande échelle, dans la situation de notre « garagiste d’occasion » !!!

Au stade actuel, les secteurs de production entièrement automatisés et robotisés, d’un bout à l’autre du processus, sont encore rares, mais dans tous les processus modernes l’automatisation et la robotisation gagnent tous les jours du terrain, réduisant la part du travail humain productif et augmentant la part nécessaire d’investissement en capital fixe, en machinerie automatisée et robotisée.

Or cette part croissante ne peut être « rentabilisée », pour le compte des investisseurs, que par un procédé de marges de profits qui s’apparente donc tout à fait à celui du « garagiste d’occasion » et ne correspond plus en rien à la valeur de marché réelle de la production.

Comme Marx l’a montré, dans une économie capitaliste « classique » les prix de marché oscillent autour de la valeur de marché (([2] MARX, CAPITAL, LIVRE III, Chapitres 9 et 10)), et même s’ils ne coïncident exactement que très rarement, c’est la moyenne des prix de marché qui coïncide bien, par contre, en période de développement et de croissance « normale »…

Dans cette situation « normale » on dira donc, pour simplifier, que le prix du marché inclus la plus-value créée par le travail, et même, plus exactement, par sa valeur d’usage. On peut donc dire que dans ce cas la valeur ajoutée, même au sens de l’économiste bourgeois, est égale à cette valeur d’usage.

On peut encore dire que dans ce cas, l’élargissement du capital, par l’appropriation capitaliste de la plus-value, correspond encore réellement à une nouvelle valeur créée, et donc par le travail.

Maintenant, si la moyenne des prix de marché, pour quelque raison que ce soit, s’élève nettement au dessus de la valeur « normale » de marché, il y a une baisse de consommation, une crise…

Si cela ne porte que sur un produit, mais indispensable, comme le carburant, par exemple, sa consommation ne réduira donc pas beaucoup, mais par contrecoup, il y aura moins de consommation sur d’autres, comme effet compensatoire.

Exemple bien connu : le choc pétrolier de 1973 !

Ceci-dit, il s’agissait, en fait, d’un « réajustement », mais l’effet, provisoirement, a été le même !

Quoi qu’il en soit, vendre au dessus de la valeur de marché, ce n’est donc possible, comme dans notre histoire de voiture d’occasion, qu’au détriment, non pas d’un individu particulier, mais des autres secteurs du marché, et c’est donc générateur de crise, autant que de surprofit !

Si cela devient une pratique courante, voire, généralisée, il faut donc bien remettre de la monnaie en circulation, au-delà de la valeur réellement créée par le travail productif !!!

Et là, on entre donc déjà dans quelque chose qui s’apparente au banco-centralisme, vu que cela passe par des crédits, et qu’au bout du compte, une partie des dettes ne peut donc pas être honorée, d’une manière ou d’une autre…

Le cycle actuel de la dette, tel que « pensé » par les banco-centralistes, suite à leur « expérience » de 2008, permet donc de « régler » le problème, en faisant gonfler le bilan des banques centrales, pour, en quelque sorte « absorber » la dette !

Contrairement à ce que pensent les pseudos-« marxistes » de salons et de groupuscules, il n’y a pas de limite réelle à ce principe. La dette est « renouvelée » (…« roulée ») en permanence et continuera donc à gonfler tant que les Banques Centrales n’auront pas pris le contrôle direct des monopoles.

Le gonflement actuel exponentiel de la dette n’est dû qu’à la nécessité de maintenir les marchés financiers à flots, et à travers eux, les monopoles qui contrôlent déjà l’essentiel de la production et des services.

Dès lors qu’ils seront directement alimentés en liquidités par les Banques Centrales, sans passer réellement par les marchés financiers, sauf, peut-être, formellement, comme « écran » pour les gogos du « grand public », il y aura donc possibilité d’établissement d’un cycle stable de la dette, même s’il repose carrément sur une monnaie de singe, de fait, mais qui aura alors cours forcé…

Et à ce stade, bien entendu, les « gogos du grand public » de ce nouveau spectacle seront eux-mêmes, de par le fait, question salaires, indemnités de chômage ou autre « revenu universel », payés directement par les Banques Centrales, via l’une ou l’autre des crypto-monnaies « banque centrale » déjà en cours de réalisation.

Et comme nous l’a si bien expliqué Patrick Artus, chef économiste de Natixis, pas vraiment une boîte de philanthropes, c’est bien ce type de cycle économique qui a été expérimenté, dès le premier « confinement », avec le principe du chômage partiel à grande échelle, directement financé par les banques centrales.(([3] ►https://tribunemlreypa.wordpress.com/2020/12/31/patrick-artus-le-banco-centralisme-a-visage-humain-ou-presque/
https://tribunemlreypa.wordpress.com/2020/09/18/pseudo-relance-monetisation-de-la-dette-banco-centralisme-un-nouvel-episode-du-debat-avec-gerard-bad/
ARTUS Patrick_épisode 7 – Monetisation des dettes publiques et la Theorie Monetaire Moderne-PDF))

Il s’agit donc bien, pour empêcher le système de domination de classe de s’écrouler, de financer à la fois et la production et la consommation !

Sans la nouvelle intervention massive des Banques Centrales, en plus de toutes celles des douze années d’ « entre-crises » de 2008 à 2020, non seulement les marchés financiers se seraient écroulés (…ils étaient bien partis pour le faire, à mi-Mars), entraînant avec eux la faillite des monopoles et des principales industries, mais la faillite de la plupart des États aurait rapidement suivi, incapables de faire face à une vague de chômage encore bien plus massive qu’elle ne l’a été, et qu’ils ne pouvaient déjà pas financer par leurs propres moyens !

Le « grand Reset » rendu possible par le « covisd-19 », c’est donc un déplacement complet du siège du pouvoir, qui passe du siège des CA des monopoles détenteurs des forces productives les plus modernes, et jusqu’alors « faiseurs de rois » (…et de « Présidents de la République »…), au siège des Conseils de Gouverneurs des Banques Centrales, qui contrôlent désormais l’ensemble de la chaîne économique, via le cycle de la dette.

C’est un déplacement complet du pouvoir des détenteurs des capitaux vers le pouvoir des détenteurs de la dette.(([4] https://tribunemlreypa.wordpress.com/2021/01/23/paradoxe-et-suspense-economique-en-2021-le-capital-atteindra-t-il-ou-non-le-nirvana-par-la-dette-mondiale/))

Ce n’est donc plus, à proprement parler, du capitalisme, au sens « classique » du terme, mais bel et bien, du banco-centralisme, en tant que nouveau système de domination de classe.

Bien entendu, le capitalisme « classique » continue de coexister avec le nouveau système banco-centraliste, et pour quelques décennies encore, probablement, mais le principe économique en est néanmoins fondamentalement différent, en ce que ce nouveau type de pouvoir ne repose donc plus essentiellement sur l’accumulation de capital, et notamment plus, basé sur la valeur du temps de travail, et pour cause, vu qu’il aboutit inévitablement à financer, via le cycle de la dette, à la fois la production et la consommation ! La fraction du capital, essentiellement fictif, qui continue de s’y accumuler, n’étant donc plus qu’une fraction de la dette « non remboursée » et/ou « roulée », au bon vouloir des Banques Centrales.

En termes de domination, ce nouveau pouvoir vise simplement à préserver et même, à renouveler, donc, sous cette nouvelle forme banco-centraliste, le principe de la domination de classe d’une pseudo-« élite » bourgeoise, de plus en plus minoritaire, mais qui, par le biais du contrôle monopoliste progressivement de plus en plus total de la production de valeurs d’usage, maintient l’ensemble du reste de la population dans sa dépendance absolue, pour ses moindres besoins.

Durant les premiers mois de 2020, les médias occidentaux ont fait mine de s’offusquer de la dérive concentrationnaire néanmoins bien réelle de la société chinoise, ce qui leur permettait de masquer les ébauches de tentatives équivalentes dans leur propre zone d’influence, pourtant déjà dénoncées, quelques années plus tôt par Snowden et divers autres « lanceurs d’alerte ». Mais, que ce soit en matière de traçage du comportement social et économique des citoyens ou en matière de structuration financière banco-centraliste, les sociétés asiatiques chinoises et japonaises n’ont fait qu’être des précurseurs du « Merveilleux Monde d’Après » tel qu’il tend à s’imposer aujourd’hui partout sur la planète.

Dans ses rapports d’intégration/confrontation et d’interdépendance avec l’Occident, la Chine est la première grande économie mondialisée à avoir pratiqué des années durant, déjà, un cours forcé de sa monnaie et proposé, dès 2009, l’instauration d’une monnaie de réserve internationale(([5] ►https://www.lemonde.fr/economie/article/2009/03/24/pekin-appelle-a-une-nouvelle-monnaie-de-reserve-internationale_1171825_3234.html
https://www.lejdd.fr/Economie/Une-seule-monnaie-pour-tous-75275-3075545)) qui ne soit ni le yuan, ni le dollar, ni l’euro, mais bien une « monnaie banque centrale mondiale » en réalité, et qui donc, tôt ou tard, arrivera directement dans nos « poches » de prolétaires, c’est-à-dire dans nos smartphones, en fait, sous forme de « crypto-monnaie banco-centralisée »(([6] Yuan numérique : un nouvel outil de contrôle prêt à être légalisé
https://siecledigital.fr/2020/11/04/yuan-numerique-dcep/
https://journalducoin.com/blockchain/actualites-blockchain/chine-le-putsch-monetaire-numerique/
https://cryptoactu.com/pekin-a-loffensive-sur-le-champ-de-bataille-des-cbdcs/)), dont l’utilisation effective sera donc nécessairement conditionnée par toutes les pressions sociales et injonctions comportementales voulues par le système(([7] ►https://institut-thomas-more.org/2019/07/29/le-systeme-de-credit-social-%e2%80%a2-comment-la-chine-evalue-recompense-et-punit-sa-population/
Le système de crédit social · Comment la Chine évalue, récompense et punit sa population-ITM-Note36-201907-PDF
https://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/comment-la-chine-invente-le-controle-social-au-xxie-siecle-1136115)).

Si le monde des monopoles financiers capitalistes était encore, sous le discours libéral, celui des rivalités concurrentielles exacerbées susceptibles de dégénérer en conflits mondiaux majeurs, le monde des Banques Centrales est, par nécessité impérieuse de sa propre survie, celui de l’entente monétaire internationale obligée, et, si des rivalités à fleurets mouchetés se manifestent encore, c’est bien dans la manière de concourir le plus efficacement possible à ce nouvel ordre mondial.

Même si avec les précautions de langage et circonlocutions pseudos-« démocratiques » d’usage médiatique appropriées, Christine Lagarde vient bel et bien d’engager la BCE sur la voie de la crypto-monnaie banco-centralisée.(([8] Christine Lagarde « espère » un euro numérique « d’ici 5 ans » – Boursorama avec Media Services-13/01/2021
►https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/christine-lagarde-espere-un-euro-numerique-d-ici-5-ans-5a6f5a284d52466c852aa7f505e2f778
https://www.lecho.be/les-marches/actu/general/l-euro-numerique-alternative-au-bitcoin-se-precise/10284819.html
https://www.clubic.com/antivirus-securite-informatique/cryptage-cryptographie/crypto-monnaie/actualite-353230-la-bce-prendra-une-decision-sur-l-euro-numerique-vers-le-milieu-de-2021-.html))

Le « Merveilleux Monde d’Après », c’est maintenant, et il serait donc temps d’ouvrir les yeux. Le billet de retour, de par l’évolution technologique des forces productives modernes, n’existe déjà plus. La voie de sortie vers un ailleurs réellement social et humain, si elle existe encore, tend, chaque jour qui passe, à se refermer un peu plus. Il serait donc temps de se réveiller et de tenter de forcer la porte, avant qu’elle ne se referme tout à fait, pour les générations à venir.

Luniterre





Des origines du mondialisme à la Société ouverte de Soros

[Source : Chaîne officielle TVLibertés]




Vaccins anticovid expérimentaux : essai thérapeutique déjà responsable de 2500 décès en UE

Par Dr Nicole Delépine*

Il paraît que des gens font la queue pour se faire vacciner après avoir fait la queue pour pratiquer un test PCR (non fiable et poursuivi en justice) (([1] COVID-19 : RT-PCR ou comment enfumer toute l’humanité. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) (([2] « Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr) )) (([3] Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques (nicoledelepine.fr) )), comme, paraît-il, les personnes juives firent la queue pour récupérer l’étoile jaune et se faire lister. Pourquoi l’homme se précipite-t-il au-devant des catastrophes ? Quel est cet instinct grégaire que nous évoquions récemment(([4] Sortir de l’instinct grégaire, N delepine, Nouveau-monde.ca)) pour tenter de comprendre, au-delà de la perversion sadique du pouvoir, qui amène un grand nombre d’entre nous à obéir, voire à aller au-devant du danger.

Le passeport sanitaire, une menace peu crédible pour l’instant

La menace du passeport sanitaire semble précipiter de nombreux réticents vers l’acceptation du vaccin pour pouvoir « voyager », etc. Mais nous n’en sommes pas là, le pouvoir teste nos réactions. Et de toute façon, il n’a pas résolu les problèmes d’approvisionnement, d’efficacité et sera bien obligé, à plus ou moins moyen terme, de stopper ces vaccins géniques et autres dont le nombre de décès et d’ accidents précoces dépasse toutes les craintes. Et c’est sans compter sur les décès possibles à moyen terme dans quelques mois qu’annoncent des généticiens spécialistes des virus ARN.(([5] Faire un #COVID vaccinal n’est pas une bonne chose ! 100 000 évènements dont 2500 décès en Europe | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com) ))

Dans l’immédiat, le problème du passeport vaccinal ne se pose qu’en théorie. Mais soulignons l’importance de ne pas céder à la panique, à la pression des amis, des généralistes, de la pub à la télévision ou sur les panneaux publicitaires (illégaux pour ce médicament remboursé). Ne pas aller vous jeter dans la gueule du loup et en croyant sauver votre peau et en vous exposant aux effets secondaires et parfois la mort surtout chez les plus âgés fragiles et en particulier les centenaires. D’autant que tant qu’on sera officiellement en démocratie, il sera bien difficile au pouvoir d’imposer une obligation pour un médicament en essai thérapeutique. Ils menaceront, mais avant d’avouer ressembler à Mengele et aux autres médecins nazis, il y a une petite marge pour que nous tous réagissions (([6] https://docteur.nicoledelepine.fr/vaccins-obligatoires-et-ethique-medicale-quest-devenue-la-reference-au-code-de-nuremberg-dans-la-loi-soumise-au-parlement-en-novembre-2017/)) (([7] https://michelledastier.com/opposer-le-code-de-nuremberg-a-lobligation-vaccinale/))

Attention à nos aînés, ne les précipitons pas vers le tombeau

Chacun, même un petit enfant peut sentir que son arrière – arrière-grand-mère est fragile, même si elle va bien. Quelle idée de vacciner tous les doyens de département malgré l’alerte internationale lancée par l’agence sanitaire norvégienne ! Une course à la mort qui a déjà éliminé les doyens de nombreux départements comme Camille Lehoux, doyen des Bretons(([8] https://www.breizh-info.com/2021/02/04/158476/necrologie-le-doyen-de-la-bretagne-sest-eteint-4-jours-apres-setre-fait-vacciner-contre-le-covid-19/)), Marie-Claudine Fourrier doyenne de Saône-et-Loire(([9] https://www.lejsl.com/societe/2021/02/03/a-110-ans-la-doyenne-de-la-saone-et-loire-nous-a-quittes#))?

Essai phase 3 des vaccins utilisés en France (([10] https://www.mondialisation.ca/insuffisances-methodologiques-des-essais-des-vaccins-anti-covid-19/5653363))

Cette thérapie génique et les autres vaccins mis sur le marché sur AMM conditionnelle (c’est-à-dire sans résultats des essais thérapeutiques habituellement exigés) sont donc en cours d’essai de phase 3 ; ils entraînent des effets secondaires précoces qui devraient dissuader les plus demandeurs. S’ils ne le savent pas. Informez-les.

En France, tout va bien dans le meilleur des mondes. En 1938, on croyait trouver un arrangement avec Hitler. Le 6 mai 1986, un communiqué du ministère de l’Agriculture affirmait : « le territoire français », en raison de son éloignement, a été totalement épargné par les retombées de radionucléides consécutives à l’accident de Tchernobyl ». D’après l’agence du médicament, le Vioxx qui a fait plus de 30000 morts aux USA n’aurait tué personne chez nous. Ainsi va la France de déni en négation et en chute libre. (Une des seules choses qui reste libre aujourd’hui.)

En France, il est difficile d’avoir une idée exacte des complications des médicaments et encore plus des vaccins, car l’ANSM agence du médicament tarde à retenir comme liés aux vaccins beaucoup d’incidents. Restent les articles de journaux (([11] La presse de la Manche Covid-19. Dans la Manche, des soignants malades après l’injection du vaccin Astra Zeneca 11 février 2021)) (([12] La dépêche Covid-19 : des soignants bretons victimes de nombreux effets secondaires après le vaccin Astra Zeneca 12 février 2021)) (([13] BFM Covid-19 : face aux effets secondaires, le vaccin Astra Zeneca très critiqué par les soignants 17/2/2021)) qui informent sur tel ou tel hôpital qui stoppe ou étale la vaccination de son personnel, car les services sont désorganisés quand 25 à 50 % du personnel vacciné est au tapis, en arrêt de travail. Informations confirmées par l’agence du médicament qui a recommandé de vacciner « de façon échelonnée le personnel d’un même service ». Certes, le gouvernement clame qu’il ne s’agit que de troubles transitoires et pas graves, mais avouez que ce phénomène en soi est déjà très inhabituel et dissuasif.

Des témoignages sur les réseaux sociaux de telle aide-soignante en EHPAD, établissement que le covid avait épargné et qui a perdu 4 résidents dans les cinq jours suivant le vaccin. Pas de chance, ils étaient vieux et fragiles, ce qui est vrai, mais ils étaient vivants et en forme. Elle se dit anéantie comme de nombreuses autres sur tweeter ou FB.

Hasard ou nécessité ? Pour qui ?

Informations de l’Agence européenne Eudravigilance.

Statistiques officielles vérifiables par tous

Réveillez-vous : le ministre a osé interdire l’usage de la chloroquine utilisé depuis 70 ans sans prescription, et fait traîner l’accord pour l’ivermectine antiparasitaire complètement anodin, mais accepte de poursuivre une campagne de vaccination expérimentale, alors que l’UE aux dires même de son agence avoue déjà 2500 morts reconnus en lien avec le vaccin.

L’hystérie collective si bien créée et entretenue par le gouvernement et la censure dans les médias des opposants à sa politique depuis un an peut seule expliquer la sidération ambiante qui empêche d’hurler tout un chacun pour que stoppe cette expérimentation à grande échelle, manifestement un échec.

Presque 2500 morts officiels et le silence médiatique et politique. Pas d’infos dans les conférences de presse du Premier ministre ou d’O. Véran…

En tous cas, prudence !

Si vous souhaitez vraiment vous faire vacciner, assurez-vous ne pas être malade, de ne pas avoir eu le covid récemment et restez en quarantaine avant la deuxième injection.

La vaccination est un acte médical qui suppose de nombreuses précautions, interrogatoire, examen clinique qui passent en pertes et profits quand on rend cet acte banal et en n’avertissant pas des personnes mises en danger. La vaccination par des non-médecins prônée pour ce week-end de mars par le gouvernement montre que ce qu’est l’acte médical dont la vaccination est un exemple oublié par les dirigeants, mais aussi par ceux qui vont accepter la piqûre sans examen clinique ni entretien. La médecine en agonie.

Le modèle américain de la santé a failli, avant la crise du covid l’espérance de vie (77,8 ans) y est inférieure à celle de Cuba (79.92 ans), et comparable à celle de l’Algérie (77,2) …

La toute-puissance de Big Pharma, la disparition des médecins qui soignent, les études randomisées à la place de traitements connus actifs à trois sous, tout cela se paiera en millions d’années de vie perdues.

Risquer de modifier l’ADN des générations futures

ne pose apparemment pas de problème éthique ni moral aux militants du climat … Comment peuvent-ils être plus intéressés par la santé de la planète que par celle de l’espèce humaine ? Personne ne sait ce que pourraient être les modifications génétiques transgénérationnelles et on ose nous faire la leçon sur le pétrole tout en consommant le lithium extrait par des enfants pour nos voitures électriques.

Il faut espérer que la folie vaccinale cesse avant qu’une trop grande partie de la population ait reçu cette thérapie, pour que l’impact générationnel reste limité. Informons un maximum. C’est là notre seule arme contre ce désastre annoncé.

Les décès liés au vaccin, mais aussi les effets secondaires

Pour beaucoup, les effets secondaires seraient comparables à la maladie, nommés covid vaccinal.
L’agence européenne centralise les effets secondaires jugés suffisamment graves pour être remontés. À ce jour nous sommes à près de 2500 décès et 100 000 évènements pour toute l’UE. http://www.adrreports.eu/fr/index.html

Le plus dangereux, mais également le plus utilisé, serait le vaccin de Pfizer–BioNTech (Tozinaméran nom de code BNT162b2, vendu sous la marque Comirnaty) avec 78000 évènements et 2000 décès au 27/2/2021.

Astra Zeneca (CHADOX1 NCOV-19) fait une arrivée tonitruante avec 13983 évènements et plus de 200 décès et va être imposé (si le personnel est soumis) aux soignants de l’Est alors que refusé par l’Afrique du Sud …

Moderna (CX-024414) fait son entrée dans la liste avec 3,266 évènements graves au 27/02/2021.

Rappelons à tous les futurs vaccinés qu’ils sont libres d’être cobayes, mais que ces vaccins sont en phase d’essai thérapeutique et que l’obligation est un leurre qui ne pourra résister aux nombreux avocats qui se penchent en France et à l’étranger sur cette thérapie génique expérimentale. Nous ne sommes pas encore au temps de Mengele et des médecins nazis. Faisons le nécessaire tous ensemble pour ne pas en arriver là.


[*] Pédiatre, cancérologue, ancienne chef de service de cancérologie pédiatrique à l’hôpital R Poincaré Garches APHP France




Rosa Koire : « le parti communiste chinois utilisé par l’aristocratie bancaire totalitaire mondialiste pour prendre le contrôle complet de cette planète.»

[Source : Devenons tous journalistes via Profession Gendarme]

«Le Parti communiste chinois est le front par lequel l’aristocratie bancaire totalitaire mondialiste a mis en œuvre son plan pour prendre le contrôle complet de cette planète.»

Pensez à cela et pensez à la surveillance de masse inconstitutionnelle en cours de mise en œuvre, à l’Internet des objets, au réseau intelligent et aux villes intelligentes qui sont en développement depuis 20 ans et pensez au monde des passeports vaccinaux et du crédit social que les banksters. se préparent à déployer. Tout cela est vraiment l’Agenda 21, que Rosa Koire décrit ainsi: 

«Le développement durable de l’Agenda 21 des Nations Unies est le modèle global. C’est le «plan d’action», comme l’appelle l’ONU, pour inventorier et contrôler toutes les terres, l’eau, les minéraux, les plantes, les animaux, la construction, les moyens de production, l’énergie, l’éducation, les transports, l’information et tous les êtres humains dans le monde. C’est un plan d’inventaire et de contrôle.» 

L’Internet des objets cherche à créer un fac-similé numérique complet de tout sur la planète; pour créer une ombre numérique de vous, moi, tout le monde et tout. Déjà, il y a un homme de paille numérique parmi vous et, prétendument, les algorithmes vous «connaissent» mieux que vous ne vous connaissez et peuvent prédire vos prochaines étapes. Pour exécuter pleinement leur plan, les mondialistes doivent mettre fin à la République constitutionnelle américaine et imposer le modèle chinois dans le monde entier. Compte tenu de la désintégration complète de l’état de droit dont nous avons été témoins ces derniers mois et de la façon dont tous les niveaux de notre gouvernement sont sous l’emprise du chantage et de la corruption – comme en témoigne notre cadavre en chef – il semble qu’ils aient déjà gagné.

Notre gouvernement et les institutions auxquelles nous étions censés faire confiance ont été tellement corrompus par les mondialistes qu’ils sont passés de simples kleptocraties à des ministères de génocide de masse.

Des gens comme Andrew Cuomo et Gretchen Whitmer, dont les verrouillages illégaux ont normalisé l’autocratie, ont également servi à discréditer le système américain, aux yeux de ses citoyens. C’est exactement ce que voulaient les mondialistes et ces gouverneurs sont des idiots utiles.

La dette, les guerres sans fin, le déclin géré que nous avons vu pendant des décennies ont toujours consisté à éliminer les États-Unis et à déplacer le centre du pouvoir vers la Chine. L’horrible coup d’État continu et la guerre de l’information que nous avons vécus depuis le début de la présidence Trump concernaient la façon dont il nous éveillait à eux.


https://www.youtube.com/watch?v=q6y7GbQIZPw&feature=emb_logo&ab_channel=AdamPickering

TRANSCRIPTION de la vidéo

En cette période de stress, de colère, de peur, de séparation et de limitation, nous devons sortir de la paralysie et de la panique qui nous sont imposées et entrer dans un ensemble de solutions positives réalisables qui pourraient nous rapprocher, dans le respect et l’Amour. Donc, je sais que c’est ce à quoi nous sommes tous ravis de participer aujourd’hui, c’est la déclaration de reprendre le contrôle de la direction de notre vie…
Mon rôle aujourd’hui est de préparer le terrain pour la plus grande réinitialisation, en examinant la grande réinitialisation du Forum économique mondial, la quatrième révolution industrielle, l’Agenda 2030 des Nations Unies et, bien sûr, le plan plus large, dans lequel tout cela tourne, qui est uni Programme de développement durable de l’Agenda 21 des Nations Unies, où nous pouvons convenir que nous assistons à la grande purge. C’est la grande concentration de richesse et de pouvoir; la grande révélation des dictateurs consentants; la grande réaffectation des ressources; la grande révolution numérique de l’État de surveillance. Tel est le programme du XXIe siècle et au-delà. C’est la grande refonte de l’ancien plan, donc je vais commencer par là.

Le développement durable de l’Agenda 21 des Nations Unies est le modèle global. C’est le «plan d’action», comme l’appelle l’ONU, pour inventorier et contrôler toutes les terres, l’eau, les minéraux, les plantes, les animaux, la construction, les moyens de production, l’énergie, l’éducation, les transports, l’information et tous les êtres humains dans le monde. C’est un plan d’inventaire et de contrôle. Tel est le programme du 21e siècle. C’est un plan pour 100 ans et il y a des jalons à 2020, 2030, 2035 et 2050. L’Agenda 2030 n’est qu’un jalon dans le principal plan de 100 ans. Ainsi, l’Agenda 21 du développement durable est le plan mondial d’inventaire et de contrôle, il englobe tous les aspects de votre vie et il est destiné à être une transformation déchirante de votre vie. C’est ce que le sénateur Al Gore a appelé lorsqu’il a emmené le groupe des États-Unis au plus grand rassemblement de chefs d’État et de représentants nationaux qui ait jamais été convoqué jusqu’à ce moment-là. C’était à Rio de Janeiro, au Brésil, en 1992, pour la Conférence Agenda 21. Les représentants de 178 nations plus le Vatican ont accepté ce «plan d’action».

Je sais que vous allez voir sur Wikipédia qu’il s’agit d’un «accord volontaire non contraignant», sauf que l’Agenda 21 vous lie.
Cela a été inscrit dans les lois de vos pays depuis la Chine, toutes les nations occidentales et du Moyen-Orient, partout dans le monde, grâce à une collaboration de gouvernements, d’entreprises, d’organisations et de fondations. C’est un plan mondial mais ce n’est pas un plan international. «International» signifie «entre les nations» mais ce plan efface les nations. C’est mondial. C’est un plan global qui est mis en œuvre localement, donc il a un nom différent partout mais c’est le même plan. Chaque aspect de votre vie est touché, donc c’est dans vos programmes scolaires, c’est dans votre département de planification et de construction, c’est dans votre système judiciaire, dans votre système de santé. C’est partout mais on ne l’appelle jamais «Agenda 21». Vous allez le voir comme des plans régionaux. On les appelle souvent «Plan Bay Area» ou «Four States, One Vision» ou «Mexico 2030» ou «Hanoi 2030» ou «Horizon 2050» au Canada, par exemple. Ils sont tous sur le même plan. Ils élèvent les principaux centres de pouvoir économique à un statut supra-gouvernemental qui est en dehors et au-dessus du modèle traditionnel de gouvernement représentatif. Ce sont les méga-régions. Ils sont le moteur de l’économie et dominent l’État-nation. Ils combinent des parties de villes, d’États, ils combinent même des morceaux de nations ensemble.

Ils détruisent les frontières et ignorent les juridictions légales en créant de nouvelles principes économiques. Ce sont de nouveaux fiefs. Ce n’est pas le gouvernement. C’est la gouvernance.

Gouvernance: c’est un système composé d’agences du secteur public, d’organisations à but non lucratif, d’organisations commerciales, de groupes de défense, de fondations et d’entreprises. Qu’est-ce qu’ils ont en commun? Vous ne votez pour rien de tout cela. Plus l’entité est grande, plus elle est éloignée de vous, moins vous avez de pouvoir. Vous êtes littéralement sorti de l’image.

C’est le nouvel État mondial, dans lequel vous êtes un citoyen du monde, d’accord? Ainsi, le nouvel État est le moyen par lequel vous devez servir les autres pour le «bien commun» et c’est défini par l’État. C’est censé être de bas en haut. C’est quelque chose que vous voulez, mais c’est vraiment une course finale contre vous, autour de votre souveraineté. Votre souveraineté est érodée, pièce par pièce.

La question est: «Quel est le plan d’Action 21?» Quand on le voit dans le public, c’est avant tout un plan d’aménagement du territoire. C’est le cri de ralliement du «développement durable». Qu’est-ce-qu’ils disent? Que nous «tuons la planète» avec nos émissions de CO₂. Le plan est conçu pour enfermer les populations dans ce que l’ONU appelle des «îles d’habitation humaine». Établissements humains.

Bien sûr, une fois que vous êtes dans cette «île d’habitation humaine» concentrée autrefois appelée «ville», vous êtes plus facilement géré, contrôlé et surveillé. Ce pourrait être une ville, comme celle que Sidewalk Labs, une filiale de la société mère de Google, Alphabet, une ville comme ils l’avaient prévu pour un quartier de Toronto. Cette ville devait avoir des capteurs intégrés partout, littéralement. Et les résidents verraient leurs services limités, à moins qu’ils ne dévoilent numériquement tous les aspects de leur vie

Si, par exemple en tant que résident, vous refusiez que vos données soient liées à votre identité, vous auriez moins de droits que les autres. C’est une ville intelligente. C’est une ville où je pense que la réalité virtuelle et augmentée remplacera la vie réelle et sera en fait plus attrayante. En fin de compte, les gens peuvent passer leur vie entière à vivre virtuellement et ces vies vont être courtes.

Alors, quelle est la justification de cette dystopie? L’histoire est que vos émissions de gaz à effet de serre seront réduites en regroupant les populations dans ces centres-villes denses, où la consommation d’énergie et d’eau peut être limitée. Cela va vous faire sortir des régions rurales, où vous pouvez essentiellement faire ce que vous voulez, élever votre bétail, faire pousser de la nourriture avec l’eau de votre puits, conduire votre camion agricole et posséder une arme à feu.

Mais pour mettre en œuvre l’Agenda 21, votre pays, état, comté, paroisse, canton, ville – peu importe – impose ce plan d’aménagement du territoire localement, car pensez à ceci: où vous vivez a beaucoup à voir avec votre façon de vivre et votre vie sera.

Votre ancienne vie doit donc être transformée. C’est le code pour «détruire et reconstruire». C’est la nouvelle norme. Cela comprend à la fois ce qu’ils appellent «l’environnement bâti» et la façon dont vous utilisez cet espace physique. Vos croyances et vos attentes doivent être transformées et reconstruites, ainsi que votre consommation d’énergie, votre consommation d’eau, votre consommation alimentaire, votre structure sociale, votre travail, votre santé et vos vues sur l’espérance de vie – tout cela doit être transformé. Et une grande partie de cela est déterminée dans le plan régional que vous avez, là où vous vivez. Je vous suggère de le vérifier.

Alors, comment détruisent-ils vos droits? Vous ne votez pas pour cela. Vous payez cependant pour cela. Ce plan régional est financé par des subventions fédérales et étatiques qui paient des consultants, qui s’engagent essentiellement à faire passer cela dans la communauté. Et les quelques citoyens concernés qui se présentent aux «réunions de vision» et aux «charettes», comme ils les appellent à s’opposer, les consultants sont là pour bloquer l’opposition. Ils sont essentiellement là pour endoctriner le public. Les consultants sont des «agents du changement» formés et des responsables organisationnels. Ils sont là pour donner l’impression qu’ils ont écouté le public et que le public approuve le plan.

C’est tout un acte. Je pense que vous allez convenir que c’est vraiment un gros problème. C’est une vente difficile et un énorme problème de gestion, même avec la tromperie et la collusion des médias d’entreprise. Je devrais dire le partenariat, la propriété. Il n’est pas facile de détruire près de 500 ans de l’État-nation, il faut donc le faire progressivement, en utilisant tout le pouvoir et l’influence des entreprises et organisations gouvernementales, y compris toutes les technologies, les divertissements, les médias et l’éducation.

C’est un plan totalement méga-corporatif. C’est un partenariat conjoint. Il s’agit d’un partenariat public-privé entre le gouvernement, les plus grandes entreprises du monde, les conglomérats bancaires, les grandes fondations financières, comme les fondations Ford et Rockefeller, des groupes comme le World Wildlife Fund et le National Religious Partnership for the Environment. C’est un cercle fermé. Cela ne vous inclut que lorsque vous êtes d’accord avec leur plan.

Bien sûr, c’est ce que signifie obtenir l’approbation de «la communauté». «La communauté» est toute personne qui est d’accord avec le plan. Si vous n’êtes pas d’accord, vous n’êtes pas «la communauté». La dissidence n’est pas autorisée. Ces fondations majeures, elles accordent des subventions à des milliers d’organisations de démarrage. Ils forment et financent des groupes dérivés qui ressemblent à des associations de quartier et à but non lucratif bienveillantes.

Tout ce système, il agit comme la bureaucratie inférieure pour le nouveau système et c’est fondamentalement l’ennemi ultime de l’individu. Donc, pour concrétiser l’Agenda 21, il faut une intégration complète des systèmes afin de les contrôler de manière centralisée. C’est la standardisation de tous les systèmes et la nouvelle monnaie est l’information et l’énergie.

Pour avoir un contrôle centralisé, une mondialisation totale, il est nécessaire d’uniformiser toute loi, toute éducation, toute culture, toute finance. Pour fusionner, il doit être normalisé. Cela était impossible jusqu’à l’avènement de l’ère de l’informatique. Maintenant, c’est inévitable. C’est pourquoi chaque écolier reçoit un ordinateur et Internet se trouve désormais dans de minuscules villages de chaque nation. Votre système éducatif est utilisé pour vous inciter à vous considérer comme un «citoyen du monde». J’espère que non, car un citoyen du monde n’est pas du tout un citoyen et n’a aucun droit. Dans le cadre de l’Agenda 21 du développement durable des Nations Unies. Ce qu’on appelle un «droit» est en réalité un «privilège» et il peut être retiré ou accordé à tout moment.

Bien entendu, à l’inverse, une sanction peut être infligée sans réparation. Cela explique donc comment l’ONU peut appeler la connectivité Internet universelle un «droit de l’homme». Pendant COVID, Unicef ​​du Fonds pour l’éducation des enfants des Nations Unies, ils ont créé un projet appelé GIGA et le but est d’amener toutes les écoles du monde à faire des cours en ligne et le terme pour cela est «instruction directe». Rien ne s’interpose entre l’enfant et l’ordinateur. Cela rend l’endoctrinement standardisé vraiment facile.

Et bien sûr, vous savez tous qu’en tant que startup, Google a été financé par la communauté du renseignement, afin d’espionner les personnes qui recherchaient des sujets spécifiques sur Internet. Alors, ils pourraient identifier ces personnes. Fondamentalement, nous renverse les rôles et nous expose à la surveillance. Désormais, des milliards de personnes portent volontairement à tout moment un appareil de surveillance.

Lorsque vous entendez le terme «Smart», qu’il s’agisse d’un smartphone, d’une smartcar, d’une smarthome ou autre, c’est un acronyme: SMART: Sustainability, Monitoring, Assessment, Rating and Tracking. 

GIGA, le projet de connectivité universelle pour les enfants, s’est numérisé davantage pendant 10 semaines de convoitise qu’au cours des 10 dernières années. Pour cela, ils ont besoin de la 5G et pour cela, ils ont besoin d’une production d’énergie décentralisée qui permet l’expérimentation numérisée et l’espionnage de grandes populations sans leur consentement ou leur connaissance. Une sorte de colonisation numérique.

Les méga-sociétés sont là-bas, elles recherchent des personnes qui ajoutent de la valeur, qui sont des innovateurs. Les entreprises veulent s’approprier l’innovation. Tout le monde n’a pas de valeur dans ce système, ce nouveau système. La plupart d’entre vous ne le font pas. Très probablement, vous valez moins que votre prêt étudiant. Votre valeur, votre pointage de crédit social est basé sur le fait que vous produisez plus que ce que vous consommez et que vous serviez ou gêniez l’État.

Le gouvernement a surmonté nos droits constitutionnels en fusionnant avec des sociétés privées qui peuvent opérer sans retenue en secret, punissant, purgeant et faisant disparaître des dissidents, comme Facebook et Google et Twitter et Amazon l’ont fait virtuellement; c’est la mondialisation.

La mondialisation efface les frontières, allant de la ville jusqu’à la nation. C’est la fin du gouvernement représentatif.

Maintenant, je sais que vous pourriez penser que le gouvernement est un obstacle, c’est un danger et il ne vous représente pas, de toute façon, alors qui s’en soucie, n’est-ce pas? Eh bien, je sais à qui je parle, ici et en fait, je suis d’accord. Mais au moins aux États-Unis, le gouvernement était à l’origine conçu comme représentatif. C’était comme si vous étiez un agriculteur ou un commerçant très occupé et que vous aviez élu un représentant qui avait accepté de céder quelques années de sa vie à la gestion de ce genre de choses, vous n’étiez donc pas obligé de le faire.

Maintenant, des gens comme Pelosi et McConnell sont au gouvernement depuis 50 ans. Eh bien, pourquoi ? C’est parce qu’ils continuent à être votés. L’argent qui les élit les maintient là-bas. Au sommet, le pouvoir n’a pas de parti.

Alors, que veulent les contrôleurs mondialistes? L’Agenda 21 est conçu pour une gestion efficace. les méga-sociétés veulent avoir des lois et des règlements harmonisés et intégrés, le moins possible, afin de ne pas avoir à changer d’activité ou à se réorganiser pour vendre sur différents marchés. Ils ne veulent pas de frontières et des marchés ouverts. Ils veulent tuer la concurrence, aussi petite soit-elle et la demande des ingénieurs. Ils veulent traiter avec le moins de décideurs possible, idéalement, un seul. Ils veulent fusionner avec le gouvernement. Ils veulent des travailleurs adaptés au travail requis et facilement jetés. Ils veulent posséder l’innovation, donc ils veulent un lien direct avec les universités. Ils veulent contrôler toutes les ressources, humaines et naturelles, car vous savez, les humains sont une ressource – ou plus probablement, vous êtes un obstacle.

Les méga-entreprises ont besoin d’un contrôle total et d’une information totale. C’est la révolution numérique. C’est la quatrième révolution industrielle. C’est la grande réinitialisation. Les trois révolutions industrielles précédentes se sont principalement concentrées sur l’énergie et le matériel. Qu’il s’agisse de vapeur, de gaz ou d’électronique, ces nouvelles énergies ont radicalement restructuré la société, de la famille au travail, des villes au gouvernement – tout, complètement restructuré.

C’est maintenant la quatrième révolution industrielle, la révolution numérique. C’est l’explosion de la technologie qui progresse plus vite que la vitesse de l’éthique et de la surveillance et elle éclipse les trois révolutions précédentes. De l’intelligence artificielle ayant le potentiel de changer la nature de l’être humain, à la robotique utilisée pour la police, aux bâtiments intelligents et aux capteurs qui nous surveillent en permanence.

Cette révolution permet un avenir incertain. La quatrième révolution industrielle, dans le contexte des trois premières, représente une accélération phénoménale, en termes de temps et de capacité à contrôler les masses, à transformer et à perturber, «Build Back Better». Lorsque vous entendez cela, sachez que vous ne pouvez pas le reconstruire à moins de le casser, d’abord.

Ils l’appellent le «nouveau contrat social» – celui que vous n’avez pas accepté! Le concept Great Reset, que «vous ne posséderez rien», vous louerez tout ce dont vous avez besoin, vous devez regarder cela à travers le prisme de la propriété privée. * Vous * êtes votre propriété privée la plus importante. Perdre la propriété de votre liberté de parole, de mouvement – fondamentalement, de votre libre arbitre – cela signifie que vous perdez ce qui est le plus important pour vous. Cela réduit vos attentes d’une vie bien remplie et vous force à entrer dans une nouvelle ère d’austérité, de rareté. Ce n’est pas facile de faire ça. La perte de liberté de la manière la plus vitale, l’indépendance et l’intimité du corps et de l’esprit qui exigent ce qu’ils appellent la «nouvelle normalité», vous ne venez pas à cet endroit sans une crise majeure.

Les contrôleurs mondialistes autoproclamés qui avaient l’intention de perturber totalement l’avenir, ont-ils considéré quel genre de crise serait nécessaire pour faire d’une gouvernance mondiale une réalité? Celui qui s’étend au-delà des entreprises dans nos maisons et nos corps? À mon avis, la crise mondiale nécessite une réponse mondiale – et cela justifie la gouvernance mondiale.

Il faut vraiment une crise majeure – une crise mondiale – pour rompre l’identification avec votre nation et votre culture – quelque chose comme le changement climatique, n’est-ce pas? Cela crée une terreur existentielle selon laquelle «nous détruisons la planète» et notre mode de vie tout entier est une menace pour son existence continue. Hé, ce n’est pas de la science! La science est faite pour s’adapter au résultat souhaité, dans cette situation, c’est le masque vert. Donc, derrière ce masque de préoccupation environnementale, vous trouvez la soif d’un contrôle global, centralisé et totalitaire.

La menace du changement climatique est une étape, c’est une phase. Il est conçu pour nous préparer à plus de restrictions et de limitations et nous sommes maintenant confrontés, bien sûr, à une menace beaucoup plus omniprésente et restrictive. Ils ont sorti le Big Gun, la nouvelle menace existentielle est C19.

En fait, le World Wildlife Fund affirme que le COVID est, citation «La réponse de la nature à l’abus de l’environnement par l’homme» sans citation. Sont-ils sérieux? La nature est un terroriste. Ainsi, invisible, incolore, inodore, à peine détectable, le COVID est le nouveau masque de la Nouvelle Norme.

Le 11 septembre était la justification de l’État sécuritaire. le COVID active l’état de surveillance. Le COVID justifie une application globale. Vraiment taillé sur mesure pour le Nouvel Ordre Mondial, le  COVID a émis en assignation à résidence des purges de diseurs de vérité, l’effondrement économique, la pleine autonomisation de ces méga-entreprises.

Et bien sûr, comment pourrais-je oublier? La liste des dictateurs volontaires, de Macron en France, à Ardern en Nouvelle-Zélande, à Trudeau au Canada à Harris aux États-Unis, à Cuomo, Newsom, Whitmer, Garcetti, Lightfoot et des dizaines d’autres, partout dans le monde.

Dans la compétition pour le règne des méga-régions, les collaborateurs volontaires se mobilisent aussi localement, bien sûr et c’est vraiment ce que ces quatre dernières années ont été: séparer le bon grain de l’ivraie, les fidèles des dissidents . C’est comme ça que c’est fait. Mao Zedong l’a fait en Chine, avec sa campagne «Let 100 Flowers Bloom». Il a encouragé ses fidèles à critiquer ses programmes, afin de les améliorer, mais il l’a fait pour identifier et purger ses critiques – ce qu’il a fait.

Alors. ce dont je parle ici, c’est le pouvoir. Ceux qui ont du pouvoir veulent le garder. Ceux qui n’en ont pas le veulent. Il y a toujours eu des gens qui voulaient contrôler le monde. Ce qui a changé, c’est que la capacité de contrôle a augmenté en vitesse et en portée, d’une manière qui n’a jamais été possible auparavant.

Alors maintenant, en conclusion, je veux vous encourager. Je veux vous encourager à être courageux; pour trouver la joie d’être simplement en vie. Demandez-vous: «Qu’est-ce que j’apprécie?» Reconnaissez-vous, vous-même faites partie de la raison pour laquelle nous sommes dans cette situation. Allez-vous préféré la commodité à la Liberté? Le monde Libre exige la Liberté avec la responsabilité, cela demande du travail. Le travail que nous faisons peut être semé d’embûches, plein d’oppositions contrôlées, ce qui semble être la réponse, mais plutôt une sorte de cercle tordu de propagande lavé en vert et enrobé de bonbons qui remonte au masque vert. Alors vous devez vous arrêter et réfléchir. Ne vous méprenez jamais. Sachez qu’il n’y aura pas de Suisse dans ce Nouveau Monde, pas d’endroit où se cacher. Il est donc temps de résister. Refusez de collaborer. Ne portez pas de smartphone. Ne vous portez pas volontaire pour donner votre biométrie ou votre ADN. Ne coopérez pas. Désactivez, tant que vous le pouvez et s’il vous plaît, préparez-vous à travailler pour rester Libre. Il faut que nous travaillions tous pour que cela se produise.

Par-dessus tout, mes amis, rappelez-vous qui vous êtes, riez, dansez et aimez et rejoignez-nous. 

Merci beaucoup.


Rosa Koire est une évaluatrice de l’immobilier commercial médico-légal à la retraite spécialisée dans l’évaluation de domaines éminents. Ses vingt-huit ans de carrière au ministère des Transports de Californie (chef de la branche de district) en tant que témoin expert sur l’utilisation des terres ont abouti à la révélation des impacts du développement durable sur les droits de propriété privée et la liberté individuelle.


[Voir aussi :




Sauvez les enfants des vaccins anticovid inutiles et dangereux

Par Gérard et Nicole Delépine

Luttez contre une propagande insidieuse véhiculée par un quotidien pour enfants en toute illégalité

Tout médicament ou vaccin ne doit être prescrit que si les avantages espérés sont supérieurs aux complications possibles pour celui qui le reçoit.

Aucun traitement expérimental ne doit être proposé sans le consentement libre et éclairé du cobaye.

Ces deux règles fondamentales d’éthique médicale (serment d’Hippocrate) et d’éthique de la recherche (déclaration d’Helsinki de l’Association Médicale Mondiale) sont totalement bafouées lorsqu’on propose un vaccin anticovid et singulièrement aux enfants.

Mais une revue pour enfants, le petit quotidien, n’hésite pourtant pas à en faire la promotion !

Pour un enfant, le vaccin anticovid ne peut pas offrir de bénéfice personnel

Chez l’enfant, le covid est moins dangereux que la grippe ordinaire !

Au 2 mars 2021, 10 009 articles traitant du covid chez l’enfant sont référencés dans la base de données PubMed, lorsque l’on tape « Children Covid », dont 3124 si on précise « severe children covid ».

Tous ces articles s’accordent sur la faible fréquence de la virose chez l’enfant de moins de 15 ans, et sa bénignité habituelle(([1] Parc Hayne Cho Résultats cliniques des patients initialement asymptomatiques atteints de COVID-19 : une étude de cohorte nationale coréenne Med 2021 décembre ; 53 (1) : 357-364. doi : 10.1080 / 07853890.2021.1884744)), plus de la moitié des infections ne donnant aucun signe de maladie.

Dans les trois dernières années, les grippes saisonnières ont causé entre 7 et 10 décès parmi les presque 7,5 millions de Français de moins de 15 ans. En 2020, le covid19 n’a été mis en cause que pour 3 décès dans ce groupe d’âge et il s’agissait d’enfants à très lourdes maladies préexistantes. Chez l’enfant, le Covid est environ trois fois moins mortel que la grippe pour laquelle aucune vaccination antigrippale n’est actuellement recommandée.

On ne sait même pas si les vaccins sont efficaces chez l’enfant

Nous nous contenterons ici de citer l’avis de la Haute Autorité de Santé de décembre 2020 (([2] HAS Vaccination contre la Covid-19 : la HAS définit la stratégie d’utilisation du vaccin Comirnaty ®
PRESS RELEASE — Posted on Dec 24 2020)) : « l’efficacité vaccinale n’a pu être évaluée chez les jeunes de moins de 16 ans ».

Au 3/3/2021 le Registre des essais cliniques de l’UE(([3] Disponible à https://www.clinicaltrialsregister.eu/ctr-search/search?query=Covid-19+enfants)) ne recensait aucun essai de vaccin anticovid chez l’enfant.

On ignore totalement les risques des vaccins anticovid chez l’enfant

Les quelques éléments des essais publiés montrent qu’ils n’ont pas été testés chez l’enfant, ni chez les enfants à risques (prématurés, immunodéficients, mucoviscidose) la sélection des participants aux essais excluant, en autres, les moins de 18 ans et ceux souffrant de pathologies respiratoires, cardiaques, d’obésité ou de diabète…

La durée moyenne de surveillance des participants à l’essai est actuellement inférieure à six mois, alors que les plus graves complications (dont les narcolepsies) des vaccins anti grippe H1N1 sont apparues majoritairement après ce délai.

Aucun bénéfice envisageable versus complications possibles : chez l’enfant, la balance avantage /risque est à l’évidence défavorable.

D’ailleurs l’HAS ne recommande pas ces vaccins chez l’enfant et on peut se demander si la publicité pour un vaccin qui n’a pas reçu une AMM (même conditionnelle) dans ce groupe d’âge ne constitue pas une infraction pénale.

Vacciner les enfants ne protégerait pas les adultes, car ils ne sont pas vecteurs

Lorsqu’aucun bénéfice personnel n’est attendu, la publicité incite à la vaccination altruiste « pour protéger les autres », ce que fait le quotidien pour enfant. Noble motivation, mais sans aucune justification médicale ici, puisque les vaccins paraissent actuellement incapables d’empêcher la transmission de la maladie et que, de toute manière, les enfants ne contaminent personne.

Tous les articles publiés montrent que les enfants ne participent pas à la transmission du coronavirus.

Au début de l’épidémie, on croyait que le covid19 se propageait comme la grippe en passant par les enfants. Mais toutes les études épidémiologiques sérieuses ont prouvé qu’il n’en était rien. Les enfants ne contaminent personne, ni les autres enfants ni les adultes.

Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.

L’étude de l’INSERM(([4] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.)) est très démonstrative. L’enfant des Contamines a été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie. Et l’infection apportée de Singapour par un adulte est restée cantonnée aux occupants du chalet.

L’étude de l’institut Pasteur sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois (([5] A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France : A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020)) a porté sur 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

L’étude Coville(([6] Christèle Gras-Le Guen https://theconversation.com/rentree-scolaire-la-covid-19-nest-definitivement-pas-une-maladie-pediatrique-145287)), du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans permet de conclure que : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »

Aux Pays-Bas, les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3 % de tous les patients déclarés avec COVID-19, bien qu’ils représentent 20,7 % de la population. Seulement 0,6 % des hospitalisations signalées concernaient des enfants de moins de 18 ans et Il n’y a pas de cas d’enfants décédés du COVID-19. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans (([7] Sur la base des rapports des services de santé publique municipaux (GGD)) et les résultats préliminaires ont montré que rien n’indique que les enfants de moins de 12 ans aient été les premiers infectés de la famille.

En Irlande(([8] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ;25 :2000903.)), avant la fermeture des écoles aucun cas de contamination scolaire n’a été détecté parmi les 924 enfants and 101 adultes au contact de six infectés (trois enfants, trois adultes).

En Australie(([9] D’après l’Australian National Centre for Immunisation Research and Surveillance https://www.bing.com/search?q=l%E2%80%99Australian+National+Centre+for+Immunisation+Research+and+Surveillance&form=QBLH&sp=-1&pq=&sc=0-0&qs=n&sk=&cvid=4D88315372394AACB2AA964A03900C84)) (([10] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles — L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020 Google Scholar)), 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées, aucune chez le personnel adulte. 1 élève du primaire a été potentiellement infecté par un membre du personnel.

En Suisse : sur un total de 4310 patients atteints du SRAS-CoV-2, 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9 %). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).

En Finlande,(([11] Hildenwall H, Luthander J, Rhedin S, et al. Paediatric COVID-19 admissions in a region with open schools during the first two months of the pandemic. Acta Paediatr. 2020 ; 00 :1–3. https://doi.org/10.1111/apa.15432)) un enfant de 12ans qui allait à l’école durant sa maladie a été en contact avec 121 personnes et n’en a contaminé aucune.

En Grèce (([12] Helena C. Maltezoua Transmission dynamics of SARS-CoV-2 within families with children in Greece : a study of 23 clusters J Med Virol. 2020 août 7 ;10.1002/jmv.26394. doi : 10.1002/jmv.26394.)) l’analyse épidémiologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants n’a retrouvé aucun cas de transmission à partir d’un enfant.

À Singapour(([13] Agence gouvernementale de Singapour. COVID-19 : cas à Singapour [Internet]. Singapour, Agence gouvernementale de Singapour. 2020 ; [cité le 12 mars 2020. Disponible sur : https://www.gov.sg/article/covid-19-cases-in-singapor)), deux écoles primaires et une école secondaire ont constaté des covid19 infantiles. Aucun des 34 contacts identifiés des écoles primaires ne s’est révélé positif. Parmi les 77 contacts de l’école secondaire, 8 ont développé des symptômes grippaux, mais aucun d’entre eux n’a été testé positif.

Le lobby de la peur, pour imposer des vaccins chez l’enfant, n’a pas d’études épidémiologiques sérieuses à présenter.

Il n’exhibe que des études virologiques ou des études basées sur des tests affirmant que les enfants ont parfois une charge virale élevée et que lorsqu’ils sont symptomatiques, ils excréteraient autant que les adultes et donc qu’ils seraient susceptibles d’être contaminants.

Et plus récemment des foyers dans un camp de vacances ou des crèches, mais jamais des études épidémiologiques de la qualité de celles réalisées, au début de l’épidémie lorsque la faible prévalence du covid19 permettait de remonter avec certitude la piste des contaminations. Des hypothèses, des supputations au conditionnel, pas de preuves !

Restons factuels.

Toutes les études épidémiologiques publiées concluent que l’enfant ne contamine personne ou presque. Et aucune étude épidémiologique sérieuse n’a jusqu’à présent montré que le variant anglais en serait capable. Si davantage d’enfants anglais sont des cas positifs, c’est peut-être parce qu’ils sont actuellement exposés à davantage de personnes contaminées depuis le début de la vaccination, ainsi que le montrent les courbes de l’OMS.

Les vaccins sont expérimentaux ; leur utilisation chez les enfants viole le code de Nuremberg et la déclaration d’Helsinki

Les résultats des essais des vaccins anti covid chez l’enfant n’ayant été ni établis, ni publiés, leur utilisation constitue un essai thérapeutique. Or le code de Nuremberg(([14] Le Code de Nuremberg — rédigé en 1947 est une liste de dix critères contenue dans le jugement du procès des médecins de Nuremberg (décembre 1946 — août 1947). Ces critères indiquent les conditions que doivent satisfaire les expérimentations pratiquées sur l’être humain pour être considérées comme « acceptables http://www.frqsc.gouv.qc.ca/documents/10191/186011/Code_Nuremberg_1947.pdf/d29861b8-30a7-456e-9a83-508f14f4e6d5)) identifie le consentement éclairé comme préalable absolu à la conduite de recherche mettant en jeu des sujets humains.

Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir : qu’elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de coercition.

Il faut aussi qu’elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l’expérience pratiquée sur elle, afin d’être capable de mesurer l’effet de sa décision.

Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée, et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience. »

Proposer ou prôner un vaccin expérimental à des enfants qui n’ont pas la capacité légale de consentir viole donc le code de Nuremberg.

L’Association Médicale Mondiale (AMM) a élaboré la Déclaration d’Helsinki(([15] Déclaration d’Helsinki de l’Association Médicale Mondiale https://www.fhi360.org/sites/default/files/webpages/fr/RETC-CR/nr/rdonlyres/e3vjr6w3l5e2acb6uezmtjmslkergm5udhzoqwtt3ixs5ntx5e7cp32ppismbsifle2vkurebdhmcn/HelsinkiDeclarationFrench.pdf)) comme un énoncé de principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains.

Le Serment de Genève de l’Association médicale mondiale lie le médecin dans les termes suivants :

« La santé de mon patient sera mon premier souci »

et le Code international d’éthique médicale énonce que « le médecin devra agir uniquement dans l’intérêt de son patient lorsqu’il lui procure des soins qui peuvent avoir pour conséquence un affaiblissement de sa condition physique ou mentale ».

Dans la recherche médicale sur les sujets humains, les intérêts de la science et de la société ne doivent jamais prévaloir sur le bien-être du sujet.

Proposer ou prôner un vaccin expérimental à des enfants pour protéger autrui viole donc aussi les principes éthiques de la médecine.

Mais que vient faire le « Petit Quotidien » dans cette galère de propagande vaccinale inappropriée ?

Faire la promotion directe aux enfants d’un vaccin qui ne leur est pas destiné est quasi délictueux et relève de la Justice comme les promotions vaccinales par des mairies dont une est déjà poursuivie.(([16] Voir la mise en demeure de l’association reaction19fr à BFMTV de supprimer sa campagne publicitaire du vaccin ANTICOVID Mise-en-demeure-BFMTV-du-2.02.2021.pdf)) (([17] Brusa Carlo Alberto (@cab2626) a tweeté : La Ville de Saint Quentin en Yvelines qui fait la promotion illégale du poison ! Mise en demeure immédiate de cesser cette promotion illicite ! 😡😡😡 https://t.co/ydvdP0etVp))

Violer le code de Nuremberg et la déclaration d’Helsinki, bases de l’éthique médicale et de la recherche médicale constitue des fautes morales majeures.

Comment le petit quotidien, qui prétend rapporter « 100 % de faits 0 % d’opinion » a-t-il pu tomber aussi bas ?

Comment ses rédacteurs ont-ils été si mal renseignés ?

Si le « petit quotidien » ne corrige pas rapidement ses erreurs en rappelant dans un prochain numéro l’histoire du procès des médecins nazis et les bases éthiques élaborées à son occasion, il montrera qu’il n’a agi que comme militant des firmes pharmaceutiques et pourra être poursuivi pour publicité illégale.





La Russie contre le passeport vaccinal voulu par l’Union Européenne

[Source : Médias-Presse.Info]

Par Francesca de Villasmundo

Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a témoigné, lors d’une conférence de presse à l’issue de sa rencontre avec le ministre des Affaires étrangères d’Ouzbékistan, de l’opposition de la Russie au passeport vert vaccinal que l’Union Européenne veut imposer : « La mise en place du passeport vaccinal dans l’UE remettrait en cause le principe du volontariat de la vaccination » a-t-il déclaré hier mardi après l’annonce faite par la présidente de la Commission européenne, Ursula Von der Leyen, d’une proposition législative visant à instaurer un Digital Green Pass.

« À ce que je comprends, a souligné Lavrov, il s’agit d’une idée qui est encore en développement. Selon nos collègues en Europe, elle suscite une attitude contradictoire dans les pays européens et ce projet de la bureaucratie bruxelloise est pris au sérieux. Beaucoup s’expriment de la façon suivante: il s’avère que ce projet est contraire aux règles de la bureaucratie car les pays de l’Union européenne ont décidé que la vaccination est une affaire bénévole. »

« Cela veut dire que les gens y seront forcés s’ils veulent se déplacer et en Europe la population envisage mal sa vie sans se déplacer entre les pays de l’Union européenne», a ajouté le ministre.

L’introduction de passeports covid sur le territoire de l’Union européenne serait en contradiction avec le principe de la vaccination volontaire, a déclaré Lavrov: http://go.tass.ru/QeIY

Se faisant l’écho du bien commun des Russes, Sergueï Lavrov a indiqué que la Russie, qui ne tombe pas dans la dérive totalitaire du covid, a informé les collègues de l’UE qu’elle compte sur des décisions qui ne discrimineront pas les Russes.

Quant aux Européens qui ne se feront pas vacciner, les technocrates et politiciens européens n’ayant aucun respect pour leur liberté de choix, ils risquent fort bien d’être  les seuls discriminés dans l’affaire, car on image mal cette même Union Européenne imposer le passeport vaccinal aux clandestins, immigrés, réfugiés, et autres extra-communautaires désirant venir chez nous comme s’ils étaient chez eux…

Francesca de Villasmundo




Irresponsabilité spatiale ? Starlink, le plan géant d’Elon Musk pour occuper l’espace

[Source : reporterre.net]

Starlink, le plan géant d’Elon Musk pour occuper l’espace

ENQUÊTE 1/3 — Le projet du milliardaire Elon Musk se concrétise. Son offre d’une connexion haut-débit à internet sur toute la planète via une constellation de satellites est déjà en fonctionnement aux États-Unis. Et ses antennes domestiques sont désormais disponibles en France en précommande.

550 kilomètres nous séparent des premiers satellites de SpaceX, la société d’Elon Musk. En plus de les voir rayonner parmi les vraies étoiles de notre ciel une fois la nuit tombée, les 12.000 satellites prévus à terme vont pouvoir transmettre une connexion haut débit en France et en Europe à partir du milieu de l’année 2021.

Les précommandes pour la version bêta sont déjà disponibles sur le site de SpaceX pour s’offrir l’antenne, de la taille «d’une pizza médium», qui recevra le signal des satellites et permettra une connexion internet. Le prix du forfait est pour l’instant «la principale préoccupation» d’Elon Musk puisqu’il serait d’environ 82 euros par mois (99 dollars). Il faut ajouter à cela plus de 410 euros pour le kit Starlink, qui comprend un trépied de montage, un routeur Wifi et un terminal pour se connecter aux satellites. Une application mobile permet de choisir le meilleur angle et la meilleure position pour l’antenne.

Un acompte est demandé pour la précommande, qui sera ensuite déduit des 410 euros à payer pour le kit.

L’Arcep, l’Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse, a donné son feu vert à Starlink le 9 février, pour exploiter les fréquences qui transmettront le signal du satellite à l’antenne domestique.

Comment ça marche?

Concrètement, si on lance une recherche internet via Starlink, l’information sera envoyée au routeur Wifi, puis à l’antenne domestique placée sur le toit ou le balcon. Cette antenne dirigée vers le ciel va envoyer l’information au satellite le plus proche, qui va lui-même envoyer l’information à une station au sol pour la connexion. L’information va ensuite effectuer le chemin inverse jusqu’au routeur Wifi de l’utilisateur.

Ce projet hors-norme fait appel à une technologie qui n’est pas nouvelle. Se connecter à internet par satellite est possible depuis la fin des années 1990. Les bateaux, les avions, les trains ou les zones très reculées sont pourvus de l’internet satellitaire depuis de nombreuses années pour permettre un accès à haut débit indépendamment des antennes terrestres. Au milieu de l’océan Pacifique par exemple, un navigateur peut avoir accès à une connexion en envoyant sa requête au satellite le plus proche, plutôt qu’à une antenne terrestre inaccessible.

Un nombre de satellites inédit

Les fournisseurs d’internet par satellite, comme NordNet en France, proposent ce genre de services. Ce qui différencie le projet Starlink de ce qui existe, c’est avant tout le nombre de satellites et l’ampleur des infrastructures. NordNet, qui appartient au groupe Orange, utilise un seul satellite en orbite géostationnaire (qui ne bouge pas) à 36.000 km d’altitude ce qui lui permet de couvrir une zone très large. La latence — la durée que prend l’information pour aller jusqu’au satellite — et le ping — la durée du voyage aller-retour —, sont bien plus longs que ce qu’annonce l’offre de Starlink.

La société Iridium propose quant à elle une couverture mondiale avec quatre-vingt-dix satellites en orbite basse. Cette constellation s’approche de celle d’Elon Musk mais à une échelle bien plus minime puisque le milliardaire étasunien prévoit d’envoyer 12.000 satellites. «C’est une technologie révolutionnaire dans le sens où c’est la première fois qu’il existe une constellation suffisamment maillée pour que les satellites puissent communiquer entre eux», confirme Christophe Bonnal, chercheur au Cnes, le Centre national d’études spatiales.

Pour Daniele Pitrolo, président de franciliens.net, une association qui fournit un accès au réseau et œuvre pour un internet neutre et transparent, «la connexion satellitaire, c’est un fantasme dans le milieu des bidouilleurs et des informaticiens depuis des décennies!»

Des performances prometteuses…

Pour l’instant la version test, baptisée «Better than nothing» («Mieux que rien»), de Starlink est loin des objectifs annoncés par Elon Musk, mais n’est pas non plus ridicule. Les quelque 10.000 utilisateurs aux États-Unis déjà connectés au service notent un débit de 100 Mb/s en moyenne et une latence d’environ 40 millisecondes.

Ce sont ces performances que peuvent attendre les premiers utilisateurs français entre le milieu et la fin de l’année 2021. La fibre optique, disponible avec les opérateurs classiques demeure cependant encore loin devant avec un débit pouvant aller jusqu’à 1 Gb/s et 17 ms de latence.

Starlink développe également la transmission laser entre ses satellites pour que l’information circule plus vite. Cette technique permettrait à sa constellation d’être encore plus indépendante des structures terrestres et améliorerait le temps de latence.

…et vouées à s’améliorer

Sur le site web communautaire Reddit, des ingénieurs de SpaceX répondent durant des heures à certains utilisateurs étasuniens et se montrent confiants dans l’amélioration du service. «Nous nous mettons au défi chaque jour de pousser Starlink vers les limites fondamentales de la physique. Les satellites Starlink actuels fonctionnent à 550 km, et le temps de trajets vers la terre est de 1,8 milliseconde avec la vitesse de la lumière. Le trajet aller-retour entre votre maison et un serveur de jeu est au mieux de 4 fois 1,8 milliseconde à ces altitudes, soit moins de 8 millisecondes. […] On va travailler pour s’approcher de ce ping.»

Cette vitesse peut également varier en fonction de la météo et des fréquences utilisées. Pour Daniele Pitrolo, c’est la faille majeure de cette technologie. 

«La connexion par satellite n’est pas aussi stable que la fibre ou le câble. Vous devez communiquer avec un objet extérieur à la terre via un signal qui peut être perturbé par tout ce qui passe devant. Cela fonctionne moins bien quand il y a beaucoup de brouillard, par exemple.»

Selon un sondage du service de consommateurs Reviews.org, 51% des Étasuniens disent vouloir souscrire à l’offre de Starlink, et 55% se disent prêt à changer d’opérateur internet si la connexion est plus rapide. Reviews.org rappelle que la vitesse de connexion moyenne aux États-Unis est de 57,2 mégabits par seconde alors que Starlink propose une vitesse d’environ 103,1 Mb/s.

Un village dans la Manche s’oppose à Starlink

Annoncé pour la première fois en 2015, le projet semble se concrétiser en France à la surprise générale, sans informations précises quant à l’utilisation des antennes domestiques. Mardi 16 février, soixante nouveaux satellites ont été déployés par SpaceX. Avec 1.145 satellites, Starlink constitue désormais la constellation la plus importante de l’histoire de l’aéronautique.

Au début de l’année, la mairie de Saint-Senier-de-Beuvron, dans la Manche, a refusé l’installation de neuf antennes relais Starlink. Le manque d’informations et de garanties a poussé les élus de la commune de 350 habitants à se montrer méfiants.

La municipalité a transmis à Reporterre les documents justifiant l’installation de ces antennes. «On a sollicité différentes analyses, ils nous ont renvoyé des documents en anglais, avec des normes étasuniennes. Nous, on n’acceptera pas d’antenne si on n’a pas des documents qui justifient la non-dangerosité d’une telle installation avec des normes françaises», justifie Valentin Quéhin, le secrétaire de mairie.

Une puissance comparable aux antennes des camions de télévision

Pourtant une autorisation avait été délivrée par l’Arcep en décembre dernier. «On n’a pas d’inquiétude sur ces antennes terrestres. Sur cet équipement, la puissance est à peu près équivalente à des antennes dont disposent les camions de télévision», assure Gilles Brégant, directeur général de l’Agence nationale des fréquences (ANFR), qui veille au respect des valeurs limites d’exposition aux ondes électromagnétiques. D’autres antennes de ce type sont prévues à Gravelines, dans le Nord, et une est déjà installée à Villenave-d’Ornon, juste à côté de Bordeaux (Gironde).

C’est Starlink France SARL, visiblement la filiale française du groupe étasunien, qui a fait la demande d’autorisation à l’Arcep. Starlink France est dirigé par David Anderman, avocat général de SpaceX, et Lauren Dreyer, directrice des ressources humaines de la même société, tous les deux Étasuniens. Le siège social de la filiale, qui se situe dans une rue parallèle aux Champs-Élysées, n’est pas en ébullition. Le rez-de-chaussée est tenu par un ancien magasin de déblocage et de réparation de téléphones «Clope and Phone», et les locaux sont indiqués comme étant à louer. Impossible de s’entretenir avec un interlocuteur physique. Même en ligne, aucune adresse électronique ou numéro français n’est disponible pour échanger. La société Sipartech, qui collabore avec Starlink France SARL pour la mise en place des antennes, n’est pas plus renseignée. «On a un accord de confidentialité avec eux, mais pour tout vous dire, je n’ai pas de contact direct ni de mail», affirme la directrice de la communication de Sipartech.

L’adresse du siège social de Starlink France à Paris.

Cette absence d’interlocuteur contraste avec la surmédiatisation et l’incarnation du projet par Elon Musk. Toutes les informations quant à l’utilisation du service doivent être glanées sur des forums ou des sites spécialisés. Sur le site Reddit, un utilisateur demande : «Y a-t-il un service client ou quoi que ce soit? Je voudrais parler à un humain avant d’acheter. J’ai de nombreuses questions.»

«On ne peut pas prendre Elon Musk au sérieux, il est fou!»

Le manque d’informations que constate la mairie de Saint-Senier-de-Beuvron et certains utilisateurs vient sans doute du fait que même les autorités de régulation françaises ont été prises de court. Sophie Pelletier est présidente de l’association Priartem (Pour rassembler, informer et agir sur les risques liés aux technologies électromagnétiques) et elle est membre du Comité national de dialogue des fréquences, qui réunit des chercheurs, des scientifiques et des membres des différentes autorités de régulation comme l’Arcep ou l’ANFR.

«Ça fait au moins deux ans qu’on questionne les membres du comité de dialogue là-dessus. On nous répond : “On ne peut pas prendre Elon Musk au sérieux, il est fou! Il fait beaucoup d’annonces et il n’y en a aucune qui se concrétise!” Finalement, maintenant que cela arrive en France, j’ai l’impression d’être la gamine qui criait au loup et que personne ne croit.»

Pour le déploiement de la 4G et de la 5G, les autorités de régulation françaises demandent aux opérateurs de nombreux justificatifs. Des études sont menées en parallèle sur l’exposition aux champs électromagnétiques, l’utilité du projet ou encore sur le coût environnemental par le Haut Conseil pour le climat.

Pour Starlink, c’est autre chose. Les satellites sont envoyés depuis les États-Unis et la régulation ne semble pas ou très peu s’appliquer dans l’espace. Elon Musk peut envoyer des satellites et les faire graviter au-dessus de l’Hexagone sans réel contrôle préalable. Plusieurs milliers, qui plus est, qui émettent en permanence des ondes électromagnétiques vers le sol français.


Avec Starlink, Elon Musk innove dans la pollution

ENQUÊTE 2/3 — Avec l’envoi envisagé de 42.000 engins dans l’espace, dont 12.000 en orbite constante, l’offre de réseau internet haut-débit par satellite d’Elon Musk enserre la Terre. Cette profusion d’objets produit une énorme pollution lumineuse dans l’espace et met également en danger l’environnement terrestre.

«La 5G a au moins le mérite d’avoir fait émerger les problématiques climatique et énergétique, mais là, avec Starlink, on balance 42.000 satellites dans l’espace dans l’indifférence générale.» 

La question écologique n’est certes pas la première interrogation lorsqu’on évoque le projet Starlink. Mais Sophie Pelletier, présidente de Priartem (Pour rassembler, informer et agir sur les risques liés aux technologies électromagnétiques), tente d’obtenir des informations sur ce projet depuis plusieurs années.

Elle fait partie du Comité national de dialogue des fréquences, qui réunit plusieurs experts et scientifiques du secteur des télécommunications. Reporterre a eu accès aux comptes-rendus de ces comités depuis 2018, qui réunissent notamment les autorités de régulations françaises comme l’Agence nationale des fréquences (ANFR) et l’Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse (Arcep). Les questions de Sophie Pelletier butent régulièrement sur la méconnaissance du projet Starlink par ces régulateurs et sur ses potentiels conséquences environnementales et sanitaires.

Durant une séance du Comité de dialogue en 2019, un participant s’exclamait : 

«Il faudra bien un jour demander à tous ces organismes qui travaillent dans les développements technologiques qu’avant de multiplier les satellites, il faut se poser la question de la répercussion de leurs inventions sur nos organismes humains, sur les animaux et sur la biodiversité.»

Un lot de soixante satellites Starlink encore attachés à leur fusée, sur le point d’être mis en orbite.

Le coût écologique du projet Starlink n’est pas chiffré, mais on peut estimer que notre consommation de données numériques et d’objets connectés pourrait exploser. Elon Musk a d’ailleurs annoncé, lors d’une conférence le 9 mars 2020, que «les clients pourront regarder des films en haute définition, jouer à des jeux vidéo et faire tout ce qu’ils veulent», et tout cela «avec des performances qui dépassent celles d’internet par satellite traditionnel avec un réseau mondial sans limite d’infrastructure au sol», peut-on lire sur le site de Starlink.

Selon un rapport de France Stratégie d’octobre 2020, la consommation globale du numérique a augmenté de 50% entre 2013 et 2017. De plus, «l’adjonction d’une fonction de connexion à une multitude d’objets devrait avoir une incidence sur l’évolution de la consommation globale du numérique», peut-on lire dans le rapport. L’Ademe (Agence de la transition écologique) souligne que le secteur informatique est responsable aujourd’hui de 4% des émissions mondiales de gaz à effet de serre.

Des millions d’antennes à venir

Pour réceptionner le signal des satellites, Elon Musk va devoir s’atteler à la construction de millions d’antennes domestiques. Dix mille Étasuniens en sont déjà pourvus, et la moitié du pays se dit déjà prête à basculer vers cette nouvelle offre. Ces antennes ne seront pas produites aux États-Unis mais seront «Made in Taiwan». Elles devront bien entendu être alimentées constamment en électricité chez le client. Ce qui signifie une consommation nouvelle de matières premières et tout autant de déchets à venir.

SpaceX continue aussi de produire des satellites à un rythme industriel, environ 120 par mois. Elle les envoie ensuite en orbite par lots, à des coûts relativement bas puisque l’entreprise réutilise ses propres lanceurs spatiaux. Ces satellites pèsent 227 kilogrammes chacun pour une taille équivalente à celle d’une grosse machine à laver.

Au total, le patron de Tesla souhaite produire 42.000 satellites, du jamais-vu dans l’histoire de l’aéronautique. Là-encore, la prédation en ressources terrestres et en énergie pour produire des millions de composants pourrait être gigantesque.

Un train de satellites dans le ciel

L’autre pollution générée par Starlink est celle de l’espace. Les satellites nouvellement envoyés sont régulièrement visibles dans le ciel nocturne. En effet, lors de la première phase de la mise en orbite, les engins se suivent et forment une ligne de points lumineux très visibles avant de se disperser et de rejoindre leur orbite finale.

Ce phénomène inédit a entraîné une levée de boucliers des astronomes et des amoureux de l’espace, qui voient leur instrument de travail ou plaisir visuel, le ciel, irrémédiablement dégradé.

Cliché à 333 secondes d’exposition du téléscope Blanco (4 mètres) du CTIO, les lignes sont issues de la pollution lumineuse des satellites Starlink.

«Les objets célestes étudiés par les astrophysiciens sont très peu lumineux, toute autre source de lumière peut être une gêne considérable. Cela les oblige à s’éloigner des zones urbaines et de la pollution lumineuse pour observer le ciel , dit à Reporterre Roland Lehoucq, astrophysicien au CEA Paris-Saclay.  Avec les satellites Starlink, surtout à leur lancement quand ils sont encore relativement groupés, ils forment des traînées lumineuses qui polluent toutes les observations ou photos du ciel et qui rend impossible le travail des astronomes», déplore-t-il. Vouloir observer des objets célestes à ce moment-là, c’est comme si vous tentez d’observer une flamme de bougie et qu’un phare maritime vous éclaire en même temps.»

Elon Musk a proposé d’équiper ces satellites de pare-soleil et de les peindre en noir pour diminuer la gêne occasionnée. Mais, selon Roland Lehoucq, «peindre les satellites en noir, c’est de l’enfumage. C’est prendre le risque qu’il s’échauffe considérablement en absorbant la lumière du soleil. Pour préserver son équilibre thermique, un satellite doit avoir des parties peu absorbantes, donc réfléchissantes. Cette solution ne résout pas le problème, les satellites resteront toujours visibles par les instruments astronomiques modernes.» D’autant plus que la durée de vie de ces satellites est extrêmement courte (de cinq à sept ans) et fait naître une inquiétude quant aux débris spatiaux.

De dangereux débris spatiaux

À l’heure actuelle, «on a environ 34.000 débris de dix centimètres ou plus, environ 900.000 qui font un centimètre, et 135 millions qui font moins de un millimètre», selon Christophe Bonnal, spécialiste des débris spatiaux au Centre national d’études spatiales (CNES). 

«Tous ces débris sont engagés dans une spirale descendante jusqu’à ce qu’ils brûlent dans l’atmosphère. Il y a tout de même 10 ou 20% du débris qui ne brûle pas et qui fait courir un risque aux populations. Mais c’est également à tempérer, puisque seulement 3% de la surface de la Terre est densément peuplée.»

Ces débris représentent parfois une menace pour les satellites et les engins spatiaux. «Un débris à 800 km d’altitude va rester 200 ans avant de se désintégrer dans l’atmosphère. Durant ces 200 ans, il va poursuivre son orbite à environ 30.000 km/h. La probabilité d’une collision est donc assez importante», dit Christophe Bonnal.

Pour donner un ordre de grandeur, la plateforme LeoLabs a réalisé un impressionnant travail pour recenser les débris spatiaux et les matérialiser sur une carte interactive disponible en ligne.

Instantané de déchets spatiaux, en violet, au-dessus de l’ouest de l’Europe.

Anticipant les critiques, Elon Musk a mis au point une nouvelle technologie pour ses satellites. «L’avantage de Starlink, c’est son orbite basse. Il n’y a quasiment personne à 550 km d’altitude. Et ces satellites sont conçus pour fondre dans l’atmosphère sans générer de débris. C’est quelque chose de très rusé»,observe l’expert des débris spatiaux du CNES.

Cette mesure n’est pas suffisante, selon Roland Lehoucq : 

«Elon Musk peut argumenter qu’il fera redescendre les satellites en fin de vie, qu’ils fondront dans l’atmosphère ou que sais-je, mais, sur ces 12.000 satellites, si on estime qu’il y aura seulement 1% d’entre eux qui rencontrent un problème, ça fait tout de même 120 débris orbitaux supplémentaires.»

Pour Christophe Bonnal, ce risque de collision et cette pollution spatiale sont le prix à payer pour le progrès technologique. «Dans l’esprit d’Elon Musk, il est logique de développer cette technologie puisqu’elle est là, on ne peut pas rester au tam-tam.» C’est le même esprit que la diatribe d’Emmanuel Macron sur les amishs et le développement de la 5G. Roland Lehoucq, astrophysicien au CEA Paris-Saclay, propose une approche différente. : 

«Est-ce que c’est un progrès technologique qui permettra à la Terre de rester habitable? La réponse est non.»

Incertitudes sanitaires

Avec sa constellation de satellites, la plus importante de l’histoire de l’aéronautique, Starlink fait également naître des questionnements autour des fréquences utilisées. Ces satellites vont constamment émettre et recevoir des ondes électromagnétiques et les conséquences sanitaires de ces rayonnements, surtout à long terme, sont peu connues.

Gilles Brégant, président de l’ANFR, tempère cette inquiétude. «Vu la distance de ces satellites, ces rayonnements auront une incidence infinitésimale sur le niveau d’exposition aux ondes électromagnétiques, même si on y est exposé constamment», dit-il à Reporterre.

Même s’il est faible, le niveau d’exposition constant imposé par ces satellites inquiète. En premier lieu, les personnes qui se disent électrosensibles, comme Sophie Pelletier. En 2017, lors d’un Comité de dialogue auquel elle participe avec des experts du secteur des télécommunications, l’un des membres souligne que 

«la multiplication des réseaux, qu’ils soient satellites ou autres, va entraîner une pollution partout : l’électrosmog». 

Ce terme traduit la densification du champ électromagnétique dans lequel nous baignons constamment. Cette «pollution» non visible à cependant des effets sur la santé de personnes qui se disent sensibles aux ondes électromagnétiques.

Ce qui pose question également, ce sont les valeurs d’exposition des antennes domestiques pour communiquer avec les satellites en orbite. «Il faudra peut-être mettre en place une zone d’exclusion autour de l’antenne domestique, comme il en existe pour les antennes 5G», dit Guy Pujolle, professeur émérite au Laboratoire d’informatique de Sorbonne Université (Lip6) et auteur de Faut-il avoir peur de la 5G? (Larousse, septembre 2020).

Le train des satellites Starlink vu depuis Buenos Aires, en Argentine.

Ces antennes déjà disponibles en précommande recevront, mais surtout émettront un signal vers l’espace. Dans un échange de courriels avec l’ANFR, un responsable a répondu à Sophie Pelletier : 

«La difficulté est que nous n’avons, a priori, pas d’éléments chiffrés pour l’exposition créée par une installation radioélectrique chez un particulier qui pointe vers les satellites.»

Gilles Brégant justifie cette absence d’information : «Starlink n’a pas à nous transmettre de documents ou de justificatifs. En Europe, on a un système d’autocertification, c’est-à-dire que n’importe quel importateur peut apporter sur le marché européen des appareils émissifs (comme les antennes domestiques Starlink). C’est après leur importation et leur mise en circulation que l’ANFR va effectuer des mesures pour voir si tout est conforme. Ce système mise sur la responsabilité des fabricants. Nous prélèverons sans doute une antenne Starlink pour voir si elle répond aux normes », indique-t-il.

Même son de cloche chez l’Anses, qui réalise des mesures des taux d’expositions près des antennes 5G par exemple. 

«On n’a pas encore assez d’éléments concrets sur ces antennes pour fournir des réponses à vos questions, mais nous travaillerons prochainement là-dessus.»

Pour Guy Pujolle, «avec les satellites, les fréquences sont moins surveillées, il y a moins d’études. Je pense que c’est un vrai problème.» Ce spécialiste des réseaux insiste : 

«La 3G et la 4G, on commence à maîtriser, à être documenté à leur sujet; la 5G, c’est déjà un peu plus compliqué, mais Starlink… on a très peu d’informations.» 

Un déficit d’informations critique alors que Starlink va engendrer une pression considérable sur l’environnement terrestre et spatial.


Starlink vise la conquête marchande de l’espace

ENQUÊTE 3/3 — Le réseau de satellites Starlink doit rendre l’accès à internet haut-débit possible partout sur la planète. Les militaires et les particuliers isolés — s’ils en ont les moyens — pourraient en bénéficier mais ce ne sera pas le cas d’une grande partie de la population mondiale. Ce déploiement servira en revanche d’appui pour les projets de conquête marchande de l’espace.

«Je me sens désormais comme une personne normale, Starlink est ma bouée de sauvetage.» Sur le site de Starlink, les commentaires des clients ne tarissent pas d’éloges sur la croisade d’Elon Musk contre les zones sans internet. Mais le fournisseur d’accès à internet par satellite du milliardaire n’est pas un projet philanthropique. Avec un forfait mensuel à plus de 80 euros, et 410 euros de frais d’installation, «Elon Musk ne vise pas les Inuits ou les tribus dans le désert mais les gens qui ont beaucoup d’argent», rappelle Roland Lehoucq, astrophysicien au CEA Paris-Saclay.

Selon la banque américaine Morgan Stanley, la valeur de Starlink pourrait exploser dans les prochaines années. Évaluée à 42 milliards de dollars en juillet 2020 puis à 81 milliards en octobre, la valeur de l’entreprise devrait continuer à grimper. Morgan Stanley estime que Starlink pourrait attirer 364 millions de clients à l’horizon 2040, environ 5% de la population mondiale. Pour amasser plus de fonds, Gwynne Shotwell, présidente de SpaceX – l’entreprise américaine du domaine de l’astronautique fondée par Elon Musk -, a annoncé vouloir rapidement introduire Starlink en bourse.

Elon Musk peut également compter sur des financements publics massifs. Le 7 décembre 2020, SpaceX a bénéficié de 885 millions de dollars de subvention de la Commission fédérale des communications (FCC), pour développer internet dans des zones rurales aux États-Unis grâce à son offre de haut-débit satellitaire.

Lancement de satellites Starlink.

Les 12.000 satellites que Starlink veut envoyer en orbite autour du globe ne cibleront pas seulement les zones blanches mais l’intégralité de la planète. Les zones urbaines équipées en fibre optique avec un réseau internet terrestre en général plus rapide et moins cher risquent d’avoir plus de mal à voir l’intérêt de la liaison satellitaire.

«Qui en a besoin? Pas nous clairement, le réseau terrestre continue de se déployer, même l’Aveyron ou le Gers ont la fibre maintenant»,

dit Roland Lehoucq à Reporterre.

Mais permettre à de nouvelles populations d’accéder à Internet, c’est également la possibilité d’élargir le marché et de trouver de nouveaux clients. Dans son livre Le Nouvel impérialisme (Oxford University Press, 2003) le géographe économiste David Harvey estime que 

«la tendance générale de toute logique capitaliste du pouvoir n’est pas de laisser des territoires à l’écart du développement capitaliste, mais de les ouvrir continuellement à celui-ci».

L’armée des États-Unis intéressée

Lors d’une session du Comité de dialogue des fréquences qui réunit des experts du secteur des télécommunications, Sophie Pelletier, présidente de Priartem (Pour rassembler, informer et agir sur les risques liés aux technologies électromagnétiques), a demandé : 

«Quel est l’intérêt de développer des constellations qui vont couvrir l’ensemble du monde et modifier de manière durable, grâce à des investissements de long terme, la composition électromagnétique de notre atmosphère, pour me connecter à internet en plein désert?» «Il ne faut pas oublier un point : dans le désert se déroulent aussi des opérations militaires»,

lui a répondu l’un des membres.

Le Pentagone n’a en effet pas caché son intérêt pour le projet qui ouvre de nouvelles perspectives pour l’armée étasunienne sur ses terrains de guerre. L’US Army a signé un contrat de trois ans avec l’entreprise d’Elon Musk. L’objectif est d’utiliser les satellites Starlink pour obtenir une connexion internet plus stable avec moins de latence qu’une connexion satellitaire traditionnelle, et tester une nouvelle technologie de GPS.

Une jeep de l’armée étasunienne.

Fin 2020, l’armée américaine a également signé un contrat avec SpaceX de 149 millions de dollars afin de construire quatre satellites de détection de missiles balistiques dans l’usine où sont produits ceux de la constellation Starlink.

Selon Daniele Pitrolo, président de franciliens.net, une association qui fournit un accès au réseau et œuvre pour un internet neutre et transparent, un autre département de la Défense américaine pourrait être intéressé par Starlink. 

«Le rêve de la NSA (National Security Agency, qui pratique une surveillance électronique massive), c’est de n’avoir plus qu’un opérateur à surveiller pour avoir accès aux données de millions de personnes.»

Daniele Pitrolo a toujours en tête les révélations d’Edward Snowden en 2013. Cette année-là, le lanceur d’alerte américain avait fourni aux journaux Der Spiegel et The Intercept des documents d’archives de la NSA, qui comportaient un programme top secret, Treasure Map. Cette mission de la NSA et de l’agence d’espionnage britannique, le GCHQ, visait à cartographier l’Internet mondial, à identifier et localiser chaque appareil connecté à Internet dans le monde — chaque smartphone, tablette et ordinateur — «n’importe où, tout le temps», selon les documents de la NSA. Un opérateur était notamment ciblé, Stellar PCS, fournisseur d’accès à internet par satellite.

«Les grandes entreprises capitalistes transforment les utilisateurs en clients»

«Que Starlink puisse gérer autant d’informations d’utilisateurs n’est pas du tout compatible avec une garantie de nos droits», poursuit le président de franciliens.net, 

«c’est un pas de plus vers la mondialisation d’une certaine vision d’internet. Le réseau doit être considéré comme un bien commun, un outil citoyen qui peut amener le changement. Ce n’est pas possible de laisser cela dans les mains de grandes entreprises capitalistes qui détournent cet outil et transforment les utilisateurs en clients. Ces entreprises finiront toujours par léser le droit des utilisateurs.»

Daniele Pitrolo est également membre de la Fédération des fournisseurs d’accès à internet associatifs (FFDN) qui regroupe des opérateurs «alternatifs», mobilisés pour construire des réseaux Internet communautaires «conçus pour la communication des humains (plutôt que celle des objets ou des machines); des réseaux construits et gérés en commun, par et pour les populations locales».

Pour contrer Starlink, la Russie a annoncé vouloir infliger des amendes allant de 110 à 350 euros à toute personne utilisant le service. Une mesure qui rappelle le rôle primordial d’Internet dans la souveraineté et la volonté de contrôle des flux de données par les gouvernements.

Starlink attire aussi la finance

Le secteur de la finance pourrait lui aussi être intéressé par les satellites Starlink, en particulier pour le «trading automatique» appelé également «trading hautes-fréquences». Ces transactions financières sont réalisées à grande vitesse par des ordinateurs suivant des algorithmes précis. La technologie Starlink, si elle s’avère plus rapide que les solutions classiques en termes de latence, comme l’espère Elon Musk, pourrait assurer un sérieux avantage aux entités financières qui l’adopteront suffisamment tôt.

Dans ce secteur, certains acteurs déboursent aujourd’hui des millions de dollars dans des câbles sous-marins en fibre optique pour réduire de quelques millisecondes la latence de leurs communications.

L’autre objectif de Starlink, moins évident à première vue, est la conquête de Mars. «Soit on devient une espèce multiplanétaire là-bas parmi les étoiles, soit une espèce qui vit uniquement sur Terre, en attendant un évènement provoquant notre extinction,», disait déjà Elon Musk en 2016. Il a depuis déclaré vouloir bâtir une colonie humaine sur Mars d’ici à 2050. Le patron de Tesla voit dans Starlink la «clé» pour financer ses expéditions spatiales vers Mars et le développement de ses fusées Starship.

«Donner une nouvelle chance à l’humanité»

La présidente de SpaceX, Gwynne Shotwell, rejoint Elon Musk dans sa vision de la conquête spatiale. «Il s’agit en fait de donner une nouvelle chance à l’humanité au cas où il y aurait un événement horrible sur Terre : de déplacer les gens et de sauver l’humanité en leur permettant de vivre sur une deuxième planète, une deuxième Terre», a-t-elle déclaré.

Une navette spatiale SpaceX.

Mais pourquoi alors développer un réseau de communication aussi massif, si le milliardaire n’a plus d’espoir pour la planète Terre? Dans un entretien vidéo pour le magazine Time, la présidente de SpaceX explique qu’une fois que les humains auront colonisé Mars, «il leur faudra un moyen de communiquer», et qu’une constellation Starlink autour de la planète rouge pourrait être une solution.

Dans les conditions d’utilisations de Starlink, un utilisateur a relevé des informations intrigantes, aussitôt reprises par plusieurs médias comme The Independent. À la section neuf des conditions, Starlink explique que les services fournis autour de la Terre ou de la Lune suivront la loi régie par l’État de Californie. Jusque-là rien d’anormal, mais la partie suivante laisse songeur : «Pour les services fournis sur Mars, ou en transit vers Mars via un vaisseau spatial, de colonisation ou non, les parties reconnaissent que Mars est une planète libre et qu’aucun gouvernement basé sur Terre n’a d’autorité ou de souveraineté sur les activités martiennes. En conséquence, les différends seront réglés par des principes d’autogestion, établis de bonne foi, au moment de l’installation.»

«Fantasmes libertariens»

Pour Daniele Pitrolo, ces projets sont révélateurs de la vision politique d’Elon Musk : «La conquête de l’espace, c’est le fantasme des libertariens Starlink est d’ailleurs loin d’être le seul acteur de cette nouvelle conquête spatiale. Jeff Bezos, avec son projet Kuiper et Gregory Wyler, milliardaire de l’informatique avec son projet OneWeb veulent eux aussi envoyer à eux deux environ 8.500 satellites en orbite basse, et commercialiser un service de haut-débit.

Dans leur livre La finance autoritaire (Raisons d’agir, 2021), les sociologues Marlène Benquet et Théo Bourgeron écrivent que cette philosophie politique «correspond à un nouveau moment de la pénétration par les logiques capitalistes de territoires extérieurs à elles-mêmes, les espaces naturels».

Les auteurs rappellent également l’émergence du mouvement libertarien Free Market Environmentalism («Écologie de marché») en 1979, qui portait l’idée que personne n’avait intérêt à préserver des ressources possédées en commun, et qu’en conséquence, le moyen le plus sûr de protéger la nature était de la privatiser intégralement «de façon que chaque portion de la planète possède un propriétaire et un protecteur». Elon Musk, avec son entreprise SpaceX, se positionne comme «propriétaire» et «protecteur» de l’espace, persuadé, avec sa constellation Starlink, d’être le garant d’une gestion qui va dans le sens du progrès et de l’évolution humaine.


C’est maintenant que tout se joue…

La communauté scientifique ne cesse d’alerter sur le désastre environnemental qui s’accélère et s’aggrave, la population est de plus en plus préoccupée, et pourtant, le sujet reste secondaire dans le paysage médiatique. Ce bouleversement étant le problème fondamental de ce siècle, nous estimons qu’il doit occuper une place centrale dans le traitement de l’actualité.
Contrairement à de nombreux autres médias, nous avons fait des choix drastiques :

  • celui de l’indépendance éditoriale, ne laissant aucune prise aux influences de pouvoirs. Le journal n’appartient pas à un milliardaire ou à une entreprise; Reporterre est géré par une association d’intérêt général, à but non lucratif. Nous pensons qu’un média doit informer, et non être un outil d’influence de l’opinion au profit d’intérêts particuliers.
  • celui de l’ouverture : tous nos articles sont en libre accès, sans aucune restriction. Nous considérons que s’informer est un droit essentiel, nécessaire à la compréhension du monde et de ses enjeux. Ce droit ne doit pas être conditionné par les ressources financières de chacun.
  • celui de la cohérence : Reporterre traite des bouleversements environnementaux, causés entre autres par la surconsommation, elle-même encouragée par la publicité. Le journal n’affiche donc strictement aucune publicité. Cela garantit l’absence de lien financier avec des entreprises, et renforce d’autant plus l’indépendance de la rédaction.

En résumé, Reporterre est un exemple rare dans le paysage médiatique : totalement indépendant, à but non lucratif, en accès libre, et sans publicité.
Le journal emploie une équipe de journalistes professionnels, qui produisent chaque jour des articles, enquêtes et reportages sur les enjeux environnementaux et sociaux. Nous faisons cela car nous pensons que la publication d’informations fiables, transparentes et accessibles à tous sur ces questions est une partie de la solution.

Vous comprenez donc pourquoi nous sollicitons votre soutien. Des dizaines de milliers de personnes viennent chaque jour s’informer sur Reporterre, et de plus en plus de lecteurs comme vous soutiennent le journal. Les dons de nos lecteurs représentent plus de 98% de nos ressources. Si toutes les personnes qui lisent et apprécient nos articles contribuent financièrement, le journal sera renforcé. 

SOUTENIR REPORTERRE




« Surmortalité Covid » en 2020 ? C’est la démographie, idiot !

[Source : Anthropo-logiques (tdg.ch)]

C’est un honneur mais aussi une action de salubrité publique qu’il m’est donné aujourd’hui de réaliser sur cette page en republiant, avec son aimable autorisation, l’analyse de M. Thomas Fernique, chargé de recherche au CNRS, portant sur la surmortalité attribuée au Covid en 2020.

Comme l’a fait Fabien Balli-Frantz en Suisse, ce mathématicien reprend les statistiques avec sérieux (soit l’inverse de la presse payée par l’état) et arrive à la conclusion que cette surmortalité (constatée en termes numériques) est bel et bien expliquée intégralement par le vieillissement de la population !

L’adage est connu (nous le devons à Alfred Sauvy) que les chiffres sont des innocents qui avouent facilement sous la torture tout ce qu’on veut leur faire dire. C’est hélas bel et bien le cas avec le Covid puisque TOUS les chiffres dont on nous abreuve depuis une année sont faux : le nombre de « cas » est faux (avec des tests PCT réglés bien au-delà de 25-30 CT, et qui ne veulent donc plus rien dire) ; le nombre réel de « malades » et par conséquent le fameux RT restent parfaitement inconnus ; le nombre d’ « hospitalisations Covid » est faux (environ 87% d’entre elles le sont pour d’autres raisons que le Covid) ; idem pour le nombre de décès (tous les décès de personnes RCT+ sont comptabilisés comme « dus au Covid », ce qui est à 90% faux !) ; le taux d’occupation des services de soins intensifs à l’automne était présenté fallacieusement comme inhabituel alors qu’il était parfaitement normal pour la saison; et enfin, la « surmortalité » -due comme nous le verrons plus bas au vieillissement de la population- reste elle aussi parfaitement normale en termes relatifs.

Une somme invraisemblable de mensonges et de désinformations donc, expliquant comment on a pu transformer une épidémie correspondant à une grippe un peu sévère (mais rien de plus) en psychose planétaire. Rappelons à ce sujet que si vous êtes âgé de moins de 65 (et même 75) ans, votre risque de mourir, l’an passé comme actuellement, est exactement pareil à n’importe quelle autre année !

Il aurait été difficile de faire paniquer une population avec ça… raison pour laquelle, selon toute vraisemblance (les tribunaux nous le diront), les autorités et les médias n’ont cessé de déformer les chiffres et données d’une manière aussi stupidement alarmiste que pénalement répréhensible…

Capture d’écran 2021-03-01 à 10.43.04.png

C’est donc une contribution ô combien précieuse que celle d’un scientifique compétent comme l’est M. Thomas Fernique, chercheur au laboratoire d’informatique de l’Université de Paris-Nord (par contraste avec les pseudo-experts de plateaux télé), nous donnant les moyens de comprendre les données au lieu de les torturer.

Dans le registre de l’exploitation tendancieuse et éhontée, nous renvoyons volontiers les lectrices et lecteurs de ce blog à ces deux lamentables papiers -sur le même sujet- publiés par la RTS pour le premier et Heidi News pour le second. Ils démontrent l’un et l’autre de manière éblouissante l’incapacité à comprendre des journalistes qui prétendent pourtant aujourd’hui « vérifier les faits et dire la vérité»  ! Et contribuent par voie de conséquence massivement à produire de l’ignorance (et donc de la confusion) d’une manière qui dessert les intérêts de la population mais pas les intérêts de tout le monde, comme l’a magistralement montré un documentaire diffusé récemment sur la chaîne Arte…

Quand donc les experts (comme ceux de la Task Force, des universités ou des HUG) viennent affirmer que le Covid est l’événement épidémique le plus meurtrier depuis la grippe espagnol (grand épouvantail de propagande), il importe que les citoyennes et citoyens de nos pays sachent qu’ils nous trompent et nous manipulent.

Le titre orignal de l’article de M. Fernique est « It’s the demography, stupid ! » que j’ai traduit par « C’est la démographie, idiot ! » L’« idiot » ne s’adresse à personne en particulier, étant idiomatique. Mais on dispose bien de quelques idiots sous la main qui feraient bien de se ré-informer de toute urgence pour arrêter de colporter en boucle des informations fausses et nocives.

Je remercie chaleureusement l’auteur pour l’autorisation de re-publier ici son article, dont la lecture permettra à chacun(e) de se désintoxiquer de la bien vilaine propagande ambiante…


It’s the demography, stupid!

[Auteur :] Thomas Fernique
Chargé de recherche CNRS – Université Sorbonne Paris Nord
4 février 2021

La plus importante mortalité de son histoire récente [1], un record de mortalité depuis l’après-guerre [2], une année noire pour la démographie [3], etc. Le consensus médiatique semble total sur le nombre de décès enregistrés en France en 2020, qui en feraient une annus horribilis [NdNM : « anno horribilis » = année horrible]. Pourtant, cet article va défendre une thèse qui peut paraître iconoclaste :

Thèse 

La mortalité en 2020 en France est forte, mais pas exceptionnelle. Elle est une conséquence naturelle du vieillissement de la population.

Il ne s’agit pas de remettre en cause les chiffres avancés par les médias qui reposent, comme les nôtres, sur les statistiques de l’INSEE. Il s’agit simplement de tenir compte du vieillissement de la population, qui joue beaucoup plus qu’on le croit généralement. La méthode employée, simple, est régulièrement utilisée par l’INSEE [5, 6] et, plus récemment, pour comparer la grippe de 2017 au pic épidémique de Covid de mars-avril 2020 [4].

Corollaire 

Des mesures d’urgence toujours plus contraignantes n’empêcheront pas le nombre des décès de continuer à augmenter comme il le fait depuis 10 ans. Le problème est structurel et non conjoncturel.

Sans compter les dégâts économiques et psychologiques de ces mesures. Ne comptez pas trop non plus sur les vaccins : ils ne pourront vraisemblablement par faire tellement mieux que ceux utilisés chaque année contre la grippe saisonnière. Le plus sage est sans doute d’accepter de mourir un jour et de chercher à rendre cette fin de vie la plus digne possible : système hospitalier qui s’adapte au vieillissement de la population, EHPAD qui ne se transforment pas en oubliettes, communication moins anxiogène, etc.

Nous commencerons par rappeler Partie 1 quelques faits démographiques simples mais pas toujours connus, avant d’exposer Partie 2 la méthode retenue pour tenir compte du vieillissement de la population et justifier la thèse ci-dessus. La partie 3 fait un peu de prospective. Les sources des données utilisées sont détaillées dans l’annexe A.

Quelques faits élémentaires

Fait 1
La population et le nombre de décès varient fortement dans le temps.

C’est une évidence, mais il n’est pas inutile de prendre conscience de l’ampleur de ces variations. La figure 1 représente la population et le nombre de décès à chaque âge pour les années 1998 et 2020 sur la France entière.

includegraphics[width=textwidth]{deces_pop_1998_vs_2020.pdf}

En 1998, on voit bien la saignée faite par la première guerre mondiale (autour de 80 ans), la forte natalité après la première guerre mondiale (entre 60 et 80 ans – on parle parfois de « génération silencieuse ») et surtout le baby-boom ayant suivi la seconde guerre mondiale (entre 30 et 50 ans, les fameux « boomers » aujourd’hui très critiqués par les plus jeunes).

En 2020, la « génération silencieuse » vient gonfler le nombre de décès. Les premiers baby-boomers commencencent eux aussi à décéder (le plateau s’incline) mais le plus gros est encore à venir.

includegraphics[width=0.6textwidth]{mortalite.pdf}

La mortalité à chaque âge, définie à chaque âge comme la proportion de la population ayant cet âge qui meurt dans l’année, est plus stable dans le temps. Même si elle diminue entre 1998 et 2020, elle garde en effet la même allure (Fig. 2), qu’on peut résumer ainsi :

Fait 2
La mortalité est faible avant  ans et monte en flèche après  ans.

Un dernier fait souvent plus ignoré du grand public est la surmortalité hivernale des personnes âgées. Avec la belle terminologie de 2020 :

Fait 3
Chaque hiver, une vague de décès frappe les personnes âgées.

La figure 3 illustre cela. Chez les moins de 30 ans, la faible mortalité ne permet guère de distinguer les variations, qui s’avèrent faibles et chaotiques. On constate par contre chaque hiver une forte augmentation de la mortalité chez les plus de $65$ ans, avec un profil qui évoque effectivement des vagues. Ces vagues sont hivernales (pics entre décembre et mars) et d’amplitudes comparables. Le pic de 2019-2020 est un peu plus tardif (mars-avril), mais la seule véritable exception de ces $20$ dernières années est le pic estival de la canicule de 2003.

includegraphics[width=textwidth]{vagues.pdf}

Raisonner à structure de population donnée

Les formules chocs de la presse citées au début de cet article reposent sur une comparaison brute des nombres de décès. En particulier, le fait qu’il y ait plus de décès en 2020 qu’en 1946 alors que la population métropolitaine est passée de $40$ à $65$ millions d’habitants n’a rien de très surprenant, même avec les progrès de la médecine depuis 1946 ! Le minimum serait de comparer des décès à population totale constante (décès pour 100 000 habitants). Ça serait cependant ignorer le vieillissement d’une population dont l’âge médian est passé de $36$ ans en 1946 à $42$ ans en 2020. On propose ici de comparer « à structure de population donnée », en l’occurrence la population de 2020.

Formellement, pour une année X, on calcule le nombre de décès qu’il y aurait eu si la mortalité de l’année X était appliquée, âge par âge, à la population de 2020. Il s’agit donc d’un nombre de décès « virtuel », tel qu’il aurait été avec la structure de la population de 2020. Le résultat pour les années X entre 1998 à 2020 est illustré Fig. 4.

includegraphics[width=textwidth]{projection_passe.pdf}

On constate que le nombre de décès virtuels diminue régulièrement, ce qui révèle une diminution globale de la mortalité à tous les âges. A contrario, le nombre réel de décès augmente régulièrement depuis environ 2005 : la diminution de la mortalité grâce aux progrès de la médecine ne suffit plus à contrebalancer les effets de plus en plus forts du vieillissement de la population.

À un niveau plus fin, on remarque que le nombre de décès augmente significativement certaines années par rapport à l’année précédente : en 2020 bien sûr, mais aussi en 2015, 2012, 2005 ou 2003 (pour ne pas remonter plus loin). Ces augmentations sont généralement suivies d’une ou plusieurs années « plus clémentes ». C’est ce qui est parfois appelé « effet de moisson » : une sélection des plus faibles par la mortalité au cours d’un évènement particulier se traduit par une sous-mortalité pendant la période suivante (voir, par exemple, [7]).

En considérant les décès réels, c’est-à-dire sans tenir compte du vieillissement de la population, l’augmentation des décès entre 2019 et 2020 est incontestablement très forte, même s’il faut sans doute tempérer par le fait que le pic de mortalité de l’hiver 2019-2020 a été tardif (Fig. 3), renforçant d’autant la différence entre 2020 et 2019 (peut-être aussi parce que 2019 a encore bénéficié de la « moisson » de 2015).

En revanche, en considérant les décès « à structure de population donnée », comme le fait régulièrement l’INSEE [5, 6], l’année 2020 devient bien moins effrayante, puisque seules les quatre dernières années et 2014 font mieux.

On pourra certes objecter qu’il est réducteur de se focaliser sur la seule mortalité au détriment des réanimations, hospitalisations voire séquelles. Ceci s’explique par le fait qu’il est difficile d’avoir des chiffres exploitables (séries longues et selon l’âge) pour ces variables. On peut cependant raisonnablement supposer qu’elles sont, cette année comme les précédentes, fortement corrélées à la mortalité. C’est d’ailleurs un des arguments avancés pour prendre des mesures d’urgence sanitaires.

L’avenir ?

On dit parfois que la validité d’une théorie se mesure à sa capacité à faire des prévisions. Que nous prévoit ce raisonnement à structure de population donnée pour les années prochaines ?

Pour 2021, soyons optimistes : gageons que la vaccination, les mesures sanitaires ou même un éventuel « effet de moisson » de 2020 fera redescendre la mortalité à ce qu’elle était en 2019 (son plus bas niveau historique). Appliquons alors cette mortalité à chaque âge à la population au 1er janvier 2021. Le calcul donne 636 000 décès pour l’année 2021 sur la France entière, soit 32 000 de moins qu’en 2020 : ouf ! Mais cela fait néanmoins encore 20 000 décès de plus qu’en 2019… Ainsi, le seul vieillissement de la population en l’espace de deux ans (de 2019 à 2021) explique 20 000 décès supplémentaires.

À plus long terme, on peut se baser sur les projections de population données par l’INSEE (qui, par définition d’une projection, ont un certain degré d’incertitude). Toujours en faisant le calcul avec la mortalité de 2019, le nombre annuel de décès augmenterait de 10 000 à 20 000 chaque année, avec la barre du million de décès annuels franchie dans une vingtaine d’année (je vous laisse imaginer le confinement 2040). On peut être plus optimiste et tabler sur une poursuite de la diminution de la mortalité à chaque âge grâce aux progrès de la médecine (bien que cette diminution se tasse ces dernières années). Mais avec $40%$ de personnes âgées de plus de $65$ ans en plus dans vingt ans, il ne faut pas se bercer d’illusions : le nombre de décès de 2020 sera certainement un des plus bas des décennies à venir. Notre système hospitalier, dimensionné pour accompagner la fin de vie de la « génération silencieuse », ne l’est plus pour celle des baby-boomers, $50$% plus nombreux (Figure 1). Se confiner 3 mois chaque hiver, porter le masque en permanence ou imposer un passeport vaccinal ne peut jouer qu’à la marge.


Données utilisées

Les pyramides des âges année par année peuvent être téléchargées librement sur le site de l’INSEE. Elles donnent la population totale (recensée ou estimée) à chaque âge au 1er janvier de l’année en question, en France métropolitaine (données à partir de 1901) ou sur la France entière (données à partir de 1991). Les personnes âgées de 100 ans ou plus (105 ans certaines années) sont classées dans une même catégorie. Numériquement faible (il y a quand même 27 000 centenaires en 2020), cette catégorie influence peu les statistiques, sauf pour l’espérance de vie (qui pondère fortement les âges élevés) qu’on s’abstient par conséquent de commenter. Jusqu’en 2016 les pyramides sont ici (fichiers T6) :
www.insee.fr/fr/statistiques/2851528?sommaire=2851587

De 2017 à 2020 elles sont ici :
www.insee.fr/fr/statistiques/1913143?sommaire=1912926

Et celle de 2021 peut être trouvée ici :
www.insee.fr/fr/statistiques/5007688?sommaire=5007726

Pour ce qui est des décès, on trouve, toujours en libre téléchargement sur le site de l’INSEE, le nombre de décès selon l’âge atteint dans l’année (voir « âge selon l’INSEE« ), en France métropolitaine (données depuis 1962) et sur la France entière (données depuis 1994). Comme pour les pyramides des âges, il y a une seule catégorie pour les décès à plus de 100 ans. Jusqu’en 2019, les données sont ici (fichier T74) :
www.insee.fr/fr/statistiques/4771989?sommaire=4772633

Pour 2020, le nombre de décès selon l’âge ne semble pas encore disponible sur le site de l’INSEE. Cependant, on trouve des données brutes plus complètes (également dues à l’INSEE) sur le site data.gouv, qui sont celles qu’on utilise dans cet article :
www.data.gouv.fr/fr/datasets/fichier-des-personnes-decedees/

Ces fichiers donnent, chaque année depuis 1970 et chaque mois sur les deux dernières années, la liste nominative des décès remontés à l’INSEE. L’information est donc très complète puisqu’elle fournit date et lieu de naissance et de décès de chaque personne. Ceci permet en particulier de calculer des variations saisonnières du nombre de décès selon l’âge (Fig. 3), ce qui est impossible avec les fichiers proposés sur le site de l’INSEE. La raison est sans doute que ces fichiers sont énormes et donc peu exploitables par le grand public (une ligne par décès sur l’année, c’est un fichier de plusieurs centaines de milliers de lignes). Leur format texte simple permet cependant de les exploiter facilement en programmant un petit peu.

Il faut faire attention au fait qu’un décès ne remonte pas immédiatement à l’INSEE : la mairie a une semaine pour envoyer l’acte de décès par la poste. En particulier, les décès des 10 derniers jours de l’année se trouvent généralement dans le fichier des décès du mois de janvier de l’année suivante. Nous avons intégré les décès remontés dans le fichier des décès de janvier 2021 (il y en avait environ 10000, l’écrasante majorité ayant eu lieu en décembre 2020). Il y en aura sans doutes encore quelques uns qui remonteront plus tard, mais une comparaison avec 2019 ou 2018 montre que près de 90% des décès « en retard » arrivent en janvier de l’année suivante.

Un autre problème est qu’un même décès est parfois remonté plusieurs fois (rarement plus de deux, même si le décès d’une certaine Marie Cabre est recensé 40 fois dans le fichier des décès 1999). Nous avons enlevé les répétitions exactement à l’identique d’une même ligne (environ 120 000 cas, dont un tiers en 1997 et un autre tiers en 1999).

Enfin, les dates de naissance ou décès sont parfois incomplètes. Dans l’écrasante majorité des cas, ce sont des naissances à l’étranger dont le jour ou le mois n’est pas connu. Cela concerne, par exemple, un peu plus de 4 000 décès dans le fichier 2020, ce qui n’est pas négligeable. Nous avons gardé ces cas car l’année de naissance nous suffit à calculer l’âge au 1er janvier de l’année de décès, qui est l’âge que nous utilisons puisqu’on rapporte à la population au 1er janvier de l’année.

Les projections de population faites par l’INSEE et utilisées Partie 3 sont disponibles ici :
https://www.insee.fr/fr/statistiques/2496716?sommaire=2496793


Bibliographie

1. Les Décodeurs, La France a connu en en 2020 la plus importante mortalité de son histoire récente, Le Monde, 01/15/2021 (url)

2. AFP, Covid-19 : 60 000 morts et mortalité record en France en 2020, Le Point, 18/12/2020 (url).

3. Agnès Leclair, Décès, espérance de vie, naissances: 2020, année noire pour la démographie, Le Figaro, 19/01/2021 (url)

4. Décoder l’éco, Grippe VS Covid, qui est vraiment le plus mortel ?, youtube, 14/01/2021 (url)

5. N. Blanpain, La mortalité stagne à l’âge adulte pour les générations nées entre 1941 et 1955, Insee Première 1824, 13/11/2020 (url).

6. D. Desrivierre, J. Fabre, Plus de décès pendant l’épisode de Covid-19 du printemps 2020 qu’au cours de la canicule de 2003, Insee Première 1816, 18/09/2020 (url).

7. M. Barbieri, A. Nizard. et L. Toulemon, écarts de température et mortalité en France, rapport de l’INED 138 (2006) (url).


Télécharger au format pdf : cliquer ici.




Huit personnes ont tenté de vivre dans une biosphère pendant deux ans — puis tout s’est mal passé

[Source : anguillesousroche.com]

[photo : www.CGPGrey.com]

Si nous voulons survivre sur d’autres planètes, nous devrons trouver des moyens efficaces et durables de ne pas mourir.

À moins de terraformer une planète entière, il nous reste à créer nos propres biosphères artificielles pour que les spationautes puissent les habiter — des écosystèmes clos avec leur propre oxygène, leurs propres plantes et tout ce dont nous avons besoin pour maintenir la vie. Des essais ambitieux ont eu lieu sur Terre, dont la tristement célèbre Biosphère 2.

D’un coût de 150 à 200 millions de dollars, Biosphère 2 (Biosphère 1 est la Terre, au cas où vous vous poseriez la question) est un centre de recherche situé dans le désert qui, pendant un certain temps, a eu pour objectif de devenir un écosystème clos, recréant de nombreux aspects de la Terre elle-même. À l’intérieur de ce complexe de 2,75 acres, entouré d’acier et de verre comme le dôme du film Les Simpsons, 3 800 espèces de plantes et d’animaux étaient enfermées avec huit humains (quatre femmes et quatre hommes) qui dépendraient de la nourriture cultivée et de l’oxygène circulant pour survivre.

Il était prévu que le projet dure deux ans, mais il a connu des difficultés dès le début.

Deux semaines après le début de la mission, l’une des occupants, Jane Poynter, s’est prise la main dans la batteuse de riz, perdant le bout d’un de ses doigts. Le médecin résident a pu le rattacher, mais a rapidement décidé qu’elle devait être opérée à l’extérieur du dôme. Lorsqu’elle est revenue plus tard dans la journée, des provisions ont été glissées avec elle, qui se sont avérées ne pas être les seuls stocks secrets dans lesquels les « Biosphériens » allaient puiser.

La nourriture à l’intérieur de la sphère n’a pas poussé assez vite pour subvenir aux besoins des résidents, et ils ont tous commencé à perdre du poids. Les cultures étaient trop lentes et exigeaient trop de travail. Les caféiers, par exemple, mettaient des semaines à produire suffisamment de café pour que les Biosphériens puissent s’asseoir et réfléchir au problème « nous n’avons pas d’autre nourriture non plus ». En quelques mois, ils ont été contraints de s’approvisionner en nourriture d’urgence dont le monde extérieur n’avait pas conscience.

Les pollinisateurs – colibris et abeilles – sont morts, ce qui a aggravé leurs problèmes agricoles. Dix mois après le début du projet, le conseil consultatif a publié un rapport accablant sur la situation, ainsi que sur le fait que les membres de l’équipage impliqués avaient peu d’expertise scientifique. Le conseil consultatif a ensuite démissionné, ce qui n’est jamais un signe que les choses se passent bien.about:blankCliquez pour accepter les cookies de marketing et activer ce contenu

Le pire était encore à venir, car les niveaux d’oxygène dans la biosphère commençaient à baisser, et personne ne pouvait à l’époque comprendre précisément pourquoi. En janvier 1993, alors qu’il restait neuf mois d’expérience, le niveau d’oxygène était tombé à environ 15 % – l’équivalent de vivre à 3 660 mètres d’altitude.

« C’était comme de l’alpinisme »a déclaré un participant au Guardian« Une partie de l’équipage a commencé à souffrir d’apnée du sommeil. J’ai remarqué que je ne pouvais pas finir une longue phrase sans m’arrêter et prendre une bouffée d’air. Nous avons travaillé dans une sorte de danse au ralenti, sans gaspillage d’énergie. Si le niveau d’oxygène avait baissé plus bas, il aurait pu y avoir de sérieux problèmes de santé. »

Pour ajouter à leur stress, la biosphère est devenue une destination touristique afin de récupérer le coût élevé que cela implique. Alors qu’ils mouraient de faim, qu’ils luttaient pour respirer, les cafards ont commencé à prendre le dessus, et les acariens ont attaqué leurs cultures, ils étaient surveillés comme s’ils étaient dans un zoo.

Le groupe s’est fracturé, se lançant des gobelets et se crachant dessus. Le moral étant aussi bas que le niveau d’oxygène (principalement ce dernier), il a été décidé que l’équipage devait recevoir de la nourriture, ainsi que les graines et les vitamines secrètes qui étaient introduites dans le complexe tous les quinze jours.

La moitié de l’équipage voulait continuer sans provisions extérieures, tandis que l’autre moitié tenait à des choses telles que « la nourriture » et « pouvoir respirer ». Il a été décidé de fournir de l’oxygène et de la nourriture à l’équipage, qui vivait le reste du temps dans son habitat durable coupé du monde en… recevant des provisions et de l’air respirable de la Terre.

Le plus grand avantage du projet était essentiellement de pouvoir s’attendre à l’inattendu. Lorsqu’ils sont entrés, l’équipe n’avait pas prévu de problèmes tels que des chutes d’oxygène (il s’est avéré que le sol était infesté de bactéries avaleuses d’oxygène), peut-être parce que l’ensemble du projet avait été lancé par une troupe de théâtre hippie plutôt que par des scientifiques.

Mais le projet n’était pas encore tout à fait terminé, et il restait encore un étrange rebondissement à venir. Steve Bannon a repris la direction du projet en 1993. Une deuxième équipe était déjà entrée dans le dôme lorsque Bannon a renvoyé l’ensemble de la direction.

Lorsque les membres de la première mission en ont entendu parler, leurs inquiétudes quant à la sécurité de ceux qui se trouvaient à l’intérieur se sont accrues. Le 4 avril 1994, deux anciens biosphériens – Abigail Alling et Mark Van – se sont rendus au dôme aux petites heures du matin, ouvrant les portes et brisant les panneaux de verre pour permettre à l’air extérieur de pénétrer dans la Biosphère 2, obligeant l’expérience à prendre fin.

Depuis lors, personne n’a vécu dans Biosphère 2. Ce qui, vu le manque d’oxygène et de nourriture à l’intérieur, est probablement une bonne chose.


[NdNM : peut-être que les êtres humains qui aiment jouer à Dieu devraient méditer sur les causes de l’échec de cette expérience avant de chercher à en entreprendre de nouvelles.]




Devant le Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU, Moscou dénonce la manipulation de l’opinion et la censure des points de vue alternatifs

[Source : RT France]

Le ministre russe des Affaires étrangères a pris la parole lors du Conseil des droits de l’homme de l’ONU. Prônant la coopération internationale en cette période de pandémie, il a appelé à un cadre mondial pour réguler l’action des réseaux sociaux.

Le ministre des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, s’est exprimé lors de la 46e session du Conseil des droits de l’homme des Nations unies (CDH) par visioconférence. Dans son allocution, le chef de la diplomatie russe a appelé à une approche multilatérale pour traiter les problèmes mondiaux, souligné les conséquences économiques et sociales désastreuses du Covid-19, regretté l’égoïsme de certains Etats occidentaux, appelé de ses vœux à une régulation mondiale des grandes entreprises des réseaux sociaux et condamné fermement les discriminations faites aux populations russophones.

Rappelant l’implication de la Russie dans les travaux du CDH et sa volonté de préserver une approche multilatérale sur les problèmes mondiaux, Sergueï Lavrov a débuté son intervention en soulignant les conséquences néfastes du Covid-19 avec un fort creusement des inégalités dans le monde. «Le Covid-19 a causé des dommages importants aux fondements socio-économiques des Etats et aux droits des citoyens. L’essentiel, le droit à la vie, est menacé. La récession de l’économie mondiale due à la pandémie a entraîné une augmentation significative du chômage et une insécurité sociale accrue. L’inégalité dans le développement des différents Etats et régions augmente. Les inégalités se creusent dans certains pays distincts, y compris dans les pays relevant du « milliard d’or », c’est-à-dire la population aisée des pays occidentaux. C’est sur ces problèmes que nous devons nous concentrer aujourd’hui, en recherchant ensemble les moyens de les résoudre et en utilisant, entre autres, le potentiel du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU» a-t-il déclaré.

Évoquant ce contexte, qui, d’après lui, devrait pousser à une collaboration toujours plus étroite entre les pays, le diplomate a souligné : «Certains collègues occidentaux n’ont toujours pas l’intention de reconsidérer leur vision égoïste, d’abandonner les stratégies fondées sur l’usage de la force, les méthodes illégitimes de chantage et de pression», et a fait remarquer : «Les appels du Secrétaire général des Nations unies et du Haut-commissaire des Nations unies aux droits de l’Homme de suspendre les sanctions unilatérales concernant l’approvisionnement en nourriture, médicaments et équipements nécessaires pour lutter contre le virus et les transactions financières associées ont été ignorés». Le diplomate en a profité pour rappeler l’initiative du président de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine, de créer des «couloirs verts» dans le commerce international, libres de sanctions et d’autres barrières artificielles.

Moscou dénonce la «censure politique» dans de nombreux pays

Le diplomate a poursuivi son intervention en regrettant que l’«espace médiatique mondial» devienne «un lieu de promotion d’intérêts géopolitiques mercantiles». Avec des propos qui font étonnamment écho à ceux qui ont été prononcés la veille, par Antonio Guterres, le secrétaire général de l’ONU, Sergueï Lavrov a regretté que «ceux qui donnent des leçons de liberté de parole et d’expression au monde entier depuis des décennies [aient fait] preuve d’une intolérance envers les points de vue alternatifs». «Dans un certain nombre de pays, il existe une politique déterminée de mise en place de censure politique et de restriction de l’accès à l’information en violation des engagements pris au sein des Nations unies, de l’OSCE et du Conseil de l’Europe», avant de rappeler la fermeture récente de chaînes de télévision russophones en Ukraine.

Les «censures» et les «manipulations» faites, selon Sergueï Lavrov, par les réseaux sociaux sont également au cœur des préoccupations de la Russie. Le diplomate russe a condamné les «politiques non transparentes des médias sociaux qui interdisent ou censurent le contenu des utilisateurs, manipulent ouvertement l’opinion publique, suscitent une inquiétude croissante». À cet égard, la Russie appelle de ses vœux à une régulation des réseaux sociaux aux niveaux national et international, cette nécessité devenant «cruciale».

Enfin, le diplomate s’est fortement inquiété de la discrimination faite aux populations russophones dans les pays Baltes et en Ukraine en dénonçant des idéologies «extrémistes». Il a notamment rappelé que depuis septembre 2020, l’Ukraine avait commencé à exclure les langues des minorités ethniques du domaine social et de celui de l’enseignement alors que la langue russe est la langue maternelle de 30 à 50% de la population.

Le chef de la diplomatie russe a conclu son intervention en rappelant que la Russie était en faveur du «renforcement de principe de coopération dans les activités du Conseil, tout comme pour un dialogue honnête, respectueux et égal sur des sujets d’actualité». L’Etat russe continuera, d’après lui, à défendre les priorités telles que la lutte contre la discrimination envers les minorités linguistiques et religieuses ainsi que contre l’apatridie, ou l’intégrité du système judiciaire, la protection des groupes de population vulnérables et de leurs droits sociaux et économiques. «D’une manière générale, nous allons faire le maximum pour que les droits de l’Homme soient considérés en tant que facteur favorisant le rapprochement et non la désunion des Etats, renforçant le climat de confiance et de respect mutuel», a-t-il conclu.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/84145-serguei-lavrov-exprime-lors-46e-session-conseil-droits-homme-nations-unies-russie




Séquestration et extorsion criminelles — Le journaliste de Rebel News, Keean Bexte, est dans une prison canadienne COVID illégale

[Source et auteur : Guy Boulianne]

Vous vous souvenez quand le radiodiffuseur d’État de la CBC de Trudeau a déclaré que les installations de quarantaine obligatoires étaient de la « désinformation » ? J’ai moi-même couvert la mise en place de ces installations de quarantaine depuis des mois.

Maintenant, ils forcent des voyageurs innocents et en bonne santé à se mettre en quarantaine dans ces installations gouvernementales à un coût énorme — jusqu’à 2000 $ pour une détention de trois nuits. Pour aggraver encore les choses, des agressions sexuelles auraient été commises dans certaines des installations de quarantaine approuvées par le gouvernement. En effet, une femme aurait été agressée sexuellement alors qu’elle était hébergée dans un établissement de quarantaine COVID-19 géré par le gouvernement fédéral.

S’adressant à la ministre canadienne de la Santé Patty Hajdu, la députée Michelle Rempel Garner s’est enquis des remarques de la vice-première ministre Chrystia Freeland selon lesquelles « les gens ne devraient pas voyager » lorsqu’ils sont poussés à des rapports d’agression sexuelle dans un établissement de quarantaine fédéral, demandant si cela signifiait que la victime le méritait.

« À son entrée au Canada, son passeport a été saisi et elle a été forcée de monter dans un taxi sans savoir où elle serait emmenée », a déclaré Rempel Garner. « Elle a été forcée dans un établissement géré par le gouvernement fédéral en vertu d’une obligation fédérale de diligence par le gouvernement libéral. Et elle a été agressée sexuellement. C’est de la misogynie et une violation flagrante de ses droits. »

« La vice-première ministre et la ministre de la Santé ont laissé entendre que la victime n’aurait pas dû voyager », a poursuivi Rempel Garner. « Ont-ils suggéré qu’elle méritait ce qui lui était arrivé en vertu de leur devoir de diligence? »

« M. Monsieur le Président, chaque femme mérite de vivre une vie sans violence et une vie digne », a répondu Hajdu. « Mais je le répète, ces mesures à la frontière sont en place pour protéger les Canadiens et elles le resteront jusqu’à ce que la science et les preuves indiquent qu’il est sécuritaire de les libérer », a déclaré Hajdu. « Le député d’en face sait que cette affaire fait l’objet d’une enquête… »

Le week-end dernier, le journaliste le Rebel News, Keean Bexte était sur le terrain en Floride pour rendre compte de l’approche de cet État axée sur la liberté face à la pandémie. Maintenant qu’il revient au Canada, il n’est que le dernier citoyen canadien à être contraint de se retrouver dans ces prisons COVID de Justin Trudeau. Keean est en bonne santé — il a passé plusieurs tests COVID ces derniers jours, au Canada et aux États-Unis. Mais Trudeau veut juste fléchir ses muscles et conditionner les Canadiens à accepter ces restrictions comme la « nouvelle norme ».

Justin Trudeau attrape les Canadiens dans nos derniers aéroports internationaux. De la même manière que l’interdiction de voyager de Donald Trump a obligé des ressortissants étrangers à se retrouver bloqués dans les aéroports des États-Unis, Trudeau a fait de même – mais envers ses propres citoyens.

Le problème supplémentaire dans le dossier canadien en cours est que le premier ministre a recours à des entrepreneurs de sécurité privés pour kidnapper des Canadiens, après qu’ils ont réussi à passer la douane. Plus précisément, Trudeau utilise les entreprises de mercenaires G4SGardaWorld et Paladin Risk Solutions pour vous attraper lorsque vous atterrissez et vous escorter jusqu’à une cellule de détention approuvée par le Parti libéral dans un complexe hôtelier sécurisé occupé par le gouvernement.

C’est grave, mais les groupes de défense des droits civiques canadiens et internationaux sont absents. Quand c’était Trump, tout était sur le pont des avocats de la justice sociale et des groupes de défense des libertés civiles. Quand c’est Justin « Great Reset » Trudeau – plus personne ne dit rien.

Le journaliste Keean Bexte écrit sur le site internet de Rebel News :

« J’ai été détenu dans une prison COVID. Ce n’est pas une surprise pour moi – nous savions que Trudeau faisait cela à des Canadiens innocents, même si la société Radio-Canada a menti et a dit que c’était un complot. Je suis entré dans le ventre de la bête pour documenter de première main ce que c’est que dans ces installations.

« Des gens auraient été agressés, privés d’eau et traités comme des animaux. Il semble que la situation soit plus désastreuse dans l’Est, mais là où je suis, ce n’est pas non plus une promenade. »

Ce qui unit l’expérience de chacun dans ces goulags COVID, c’est que la détention est illégale. Les Canadiens ici n’ont commis aucun crime et le gouvernement n’a pas le pouvoir de les détenir — surtout lorsque le virus est plus propice à la propagation à l’intérieur des murs du goulag qu’il ne le serait si les voyageurs étaient autorisés à rentrer directement chez eux.

Trudeau s’en fiche — il a besoin d’un bouc émissaire. Il a besoin que les médias se détournent de son déploiement désastreux de vaccins, qui a vu le Canada supplier les pays du tiers monde de se faire vacciner.

Ils forcent des voyageurs innocents et en bonne santé à se mettre en quarantaine dans ces installations gouvernementales à un coût énorme – jusqu’à 2000 $ pour une détention de trois nuits. Pour aggraver encore les choses, des agressions sexuelles auraient été commises dans certains de ces établissements.


« Voici ce qui se passe lorsque j’appelle la réception de mon Goulag. Je suis ici depuis 4 heures et je ne peux pas manger. Je ne sais pas quoi faire … Je peux supporter d’être affamé, d’autres ont pire. Au moins, je n’ai pas été agressé sexuellement. C’est criminel, Justin. »

« Regardez ce qui vient d’arriver! On dirait que je suis le détenu préféré du directeur. »

« Il y a de nombreuses raisons pour lesquelles ces prisons COVID sont erronées. C’est une violation de plusieurs libertés personnelles, c’est outrageusement cher, c’est moins sûr que de rentrer directement à la maison aussi — mais la nourriture … C’est exceptionnellement mauvais. Glacé et rassis. » NoCovidJails.com

« Après que mes bagages aient été perdus par United, je n’ai plus rien. Pas de vêtements de rechange, pas de brosse à dents et, pire que tout, pas de médicaments. Je prends une dose quotidienne de médicaments contre le cancer. J’ai appelé pour voir si je pouvais partir en chercher — rien. Trudeau répondra de cela. »


Si vous avez été ou connaissez quelqu’un qui a été légalement kidnappé, veuillez remplir le formulaire pour raconter votre histoire. Si vous voulez aider Rebel News dans cette lutte pour protéger nos compatriotes contre les ravisseurs sanctionnés par l’État de Trudeau, veuillez faire un don ici.




STRATÉGIE FINANCIÈRE ET GREAT RESET

[Source : MINURNE-RÉSISTANCE]

Par Olivier Piacentini

Dans la vidéo ci-dessous, Olivier Piacentini décrypte ce qui se trame dans les locaux feutrés des banques centrales, avec la complicité des gouvernements et des institutions européennes et internationales, pour préparer la sortie financière et bancaire de la crise sanitaire, acte II de la tragédie que nous vivons depuis un an.

Sans être « complotiste », terme qui ne veut rien dire mais qui a remplacé « fasciste », « nazi », « extrémiste » dans la terminologie islamo-gauchiste, on est bien obligé de constater en effet que cette pandémie tombe à pic pour mettre en place les mécanismes économiques et financiers qui permettront de changer radicalement la face du monde.

  • Pourquoi, suite à l’une des pires récessions de l’histoire (- 6,8 % en zone euro en 2020), les bourses, après une chute initiale, ont-elles repris des couleurs et se portent aujourd’hui plutôt bien ?
  • Qu’est ce que le « quantitative easing » (assouplissement quantitatif en français) qui permet aux Banques Centrales, à des taux directeurs négatifs, de racheter des dettes souveraines ?
  • Pourquoi cette absence actuelle d’inflation, malgré la création massive de liquidités monétaires ?
  • Qui et où sont les véritables bénéficiaires, en cette période de crise majeure, quand un grand nombre d’artisans et de petites/moyennes entreprises sont directement frappées par les mesures restrictives liées à la pandémie ?
  • Qu’est ce que la directive « BRRD » qui menace votre patrimoine sans que vous le sachiez ?
  • Pourquoi l’Italie, après avoir envisagé – suite aux récentes élections – une réduction de sa dette financière, se retrouve-t-elle, par des combinaisons politiques compliquées, avec un Président du Conseil (Mario Draghi) ex-gouverneur de la Banque d’Italie, puis de la BCE, qui plus est inventeur des « quantitative easing » ?

Vous ne trouverez pas les réponses à ces questions dans vos médias habituels. Elles se trouvent en revanche dans l’exposé ci-dessous d’Olivier Piacentini, membre du Gouvernement de Relève Nationale constitué par le général Antoine Martinez.

En visionnant la vidéo ci-dessous d’Olivier Piacentini, on se rappelle Albert Mathiez qui, dans « Révolution Française », avait noté cette définition de la révolution, qui reste d’une grande modernité :

« Les révolutions, les véritables, celles qui ne se bornent pas à chan­ger les formes politiques et le personnel gouvernemental, mais qui transforment les institutions et déplacent la propriété, cheminent longtemps invisibles, avant d’éclater au grand jour sous l’effet de quelques circonstances fortuites ».   

C’est peut-être ça, The Great Reset

Marc Le Stahler
23 février 2021


Olivier Piacentini




La baisse de popularité de médias au Canada

[Source : CosmiQ TV]

Le fondateur du média alternatif Rebel News, Ezra Levant, nous parle d’un article du Toronto Star à propos d’un sondage récent sur la confiance des canadiens envers les grands médias.




Grand Reset : « On assiste à un transfert de richesses qui est voulu par ceux qui nous dirigent »

[Source : Epoch Times France]

Philippe Herlin est Docteur en économie du Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), spécialiste des cryptomonnaies et essayiste.

Intrigué par le livre « Covid-19 : The Great Reset » coécrit par Klaus Schwab – le fondateur du Forum de Davos – et Thierry Malleret – un consultant et ancien collaborateur de Michel Rocard – paru l’été dernier, Philippe Herlin a décidé de décortiquer cet ouvrage.

Une lecture qui lui a inspiré un commentaire de quelques pages dans lequel M. Herlin s’efforce de décrypter l’idéologie portée par K. Schwab et T. Malleret.

Selon l’économiste, les auteurs du Great Reset entendent notamment profiter des bouleversements induits par la crise sanitaire pour promouvoir un projet « étatiste et socialiste » qui s’appuie sur la surveillance généralisée des populations, l’économie verte et le capitalisme de connivence.

Quels sont les véritables enjeux du Grand Reset ? Quelle est l’attitude de nos dirigeants vis-à-vis du projet porté par Klaus Schwab et Thierry Malleret ?

Esprits de Liberté a rencontré Philippe Herlin pour répondre à ces questions.




La France a peur… de la réalité

[Source : Contrepoints.org]

La peur de ce qui se produira une fois que tout ce cirque se finira enfin a remplacé la peur d’une maladie dont tout le monde ou presque a pris la correcte mesure.

Par Olivier Maurice

Qui eût cru que la France aurait pu rester paralysée de peur pendant une année ? Un an. Un an de vie entre parenthèses, suspendue à la bonne volonté du Prince et de sa cour. Un an à attendre sagement les annonces sanitaires et gouvernementales. Un an à avancer dans le brouillard en courbant l’échine, en baissant la tête, en attendant que ça passe.

Un an que la France est une vraie poudrière, mais que l’étincelle ne se produit pas. Un an que tout le monde a peur, non pas seulement du virus, mais aussi de l’énorme explosion sociale qui pourrait se produire n’importe quand. Un an à vivre dans la peur de se réveiller dans un chaos généralisé. Un an à attendre que le pays  s’embrase.

Cela fait belle lurette que la peur a changé, que la peur de ce qui se produira une fois que tout ce cirque se finira enfin a remplacé la peur d’une maladie dont tout le monde ou presque a maintenant pris la correcte mesure.

Et pourtant, ce ne sont pas les occasions de mettre le feu aux poudres qui ont manqué, entre les privations de libertés, les incohérences, les mesures humiliantes, les consignes vexatoires et les réelles difficultés ayant pour bon nombre de nos concitoyens dépassé depuis longtemps la cote d’alerte.

Il n’y a en fait qu’une seule raison pour laquelle ce pays n’explose pas. Il ne s’embrase pas parce que le noyau d’agitateurs indispensable à toute révolte, à tout mouvement, à toute révolution, ce noyau de Robespierre et de Louise Michel n’existe pas.

L’extrême gauche, comme l’extrême droite, ne sont que des vastes blagues, des salons d’intellectuels et de politiciens calculateurs peut-être forts en mots mais que le modèle d’État-nation centralisé et son cortège de privilèges et de petits pouvoirs arrangent bien en fin de compte.

Il est assez stupéfiant de comparer le nombre d’exhortations à la révolte et à la désobéissance civile qui pullulent sur tous les réseaux sociaux et la mollesse, si ce n’est la totale absence de concrétisation de ces appels qui semblent pourtant rencontrer une large et franche approbation.

Est-ce que les esprits ont besoin de s’échauffer plus que cela ? Est-ce qu’il manque un élément déclencheur fort et symbolique ? Est-ce que la peur a eu finalement raison des velléités révolutionnaires ?

LE MYTHE DE LA RÉVOLUTION

La France vit depuis 230 ans dans le mythe de la Révolution et cela fait bien longtemps que cette institutionnalisation de la révolte populaire est devenue un élément fondateur du pouvoir en place.about:blank

Cette peur de l’absolutisme, caricaturé comme le pire destin qui pourrait arriver à notre pays, le fige dans la peur de la fin de la Révolution populaire, qui serait l’aveu public d’un échec politique total.

Le pays des Droits de l’Homme et du Citoyen ne peut pas devenir un pays comme les autres. C’est impensable, inadmissible, inenvisageable. La France sombrera plutôt que d’admettre qu’elle s’est trompée, que son utopie de pays de cocagne n’est plus qu’un vague souvenir, une illusion passée, un rêve.

La France qui a fait la Révolution, ne peut qu’avoir raison, qu’être le phare du monde, la meilleure partout et en tout. Et qu’importe la réalité, elle préfère mentir, mentir à outrance plutôt que d’admettre la vérité : ce pays est fichu. Ce pays n’est même plus l’ombre de la puissance mondiale qu’il a été. Ce pays n’est plus qu’une caricature d’arrogance et de prétention.

LA CITÉ DE LA PEUR

La vraie peur, celle qui paralyse ce pays et qui l’empêche de réagir au traitement surréaliste que l’équipe au pouvoir lui fait subir et qui n’est même pas digne du management d’un club de majorettes, c’est la peur de la réalité.

Pour éviter de nommer la vraie peur et d’admettre la réalité, on s’invente des fausses peurs, des peurs qu’il ne coûte pas cher d’avoir et qui permettent de recréer cette illusion de maîtrise d’un monde qui nous échappe. Surtout, on s’invente des peurs qu’il est valorisant de combattre.

Une bonne partie d’entre elles, fantasmées et bienséantes, se sont retrouvées dans l’écologisme. Peur de l’apocalypse climatique, de la malbouffe, des OGM, du nucléaire, de la viande, du cholestérol et des maladies cardio-vasculaires, peur du tabac et du cancer, de l’alcool, peur de l’artificiel et de l’industriel, peur des pesticides, peur de tout.

L’écologisme est sans aucune conteste le parti de la trouille pathologique, où la moindre petite chose est synonyme de fin du monde et de catastrophes planétaires.

Mais il n’est pas le seul. La gauche entretient depuis des années la peur panique du fascisme, tout comme la droite entretient depuis des années la peur panique de l’invasion étrangère.

Comment ensuite s’étonner de l’absence de personnel politique courageux, dans un pays où le moindre menu dans les cantines, le moindre vêtement, la moindre phrase sont jugés sur un seul critère, celui de la peur érigée en mètre étalon de la valeur de toute chose.

LE BUSINESS DE LA HONTE

Cette peur est devenue tellement banale, tellement normale, qu’elle s’est structurée en un véritable business. Comment s’étonner du succès des émissions de télé-réalité, quand l’incohérence, la honte et la fuite des réalités sont devenues le quotidien de la vie publique de ce pays ?

Les Marseillais ont remplacé les Guignols. Mais c’est pour singer le même tableau : celui d’un spectacle pitoyable qu’il est bon d’exorciser par le rire et la moquerie. Cela nous évite de nous regarder en face, nous conforte dans le constat qu’il y a encore plus nul et plus pitoyable, plus honteux et plus peureux que le spectacle que nous observons dans notre quotidien.

Jean-Jacques Rousseau opposait deux réactions face au monde : l’amour propre et l’amour de soi. Critiquant le paraître pour sublimer la pureté et la beauté de l’amour véritable, il a dans son ode au beau entraîné le pays dans le déni de réalité et l’autodestruction qui sévissent depuis.

Le beau n’est pas un critère objectif ou une mesure universelle. Ce n’est pas parce qu’une assiette de cantine est décrétée belle, conforme aux canons de la beauté et de la morale (respectueuse de l’environnement, responsable, bio, sans OGM, sans huile de palmesans viande, etc. etc.) qu’elle sera ce qu’il convient à l’écolier qui la consommera, pour les cuisiniers qui la prépareront et la serviront et pour tous les acteurs, économiques, éducatifs, familiaux, etc. qui participeront à ce qu’elle devienne réalité.

Ce cercle vicieux est devenu un véritable business, autant pour les marchands de savon que pour les politiciens.

RÉVOLUTION OU SÉCESSION ?

Il n’y a pas à s’étonner que le monde politique entretienne la peur et la honte. Ces moyens sont beaucoup plus efficaces que la coercition et la violence. Utilisés en même temps, ils deviennent des armes de soumission redoutables.

Il n’y a pas plus à s’étonner que les gens ne sortent pas de la petite contemplation de leur chez-soi, qu’ils ne se rebellent pas et ne défilent pas dans les rues.

Mais tout est une question de dynamique. Petit à petit, le fossé se creuse de plus en plus entre le parti du beau et le parti du bon, entre le quinoa et l’entrecôte, entre l’éolienne et l’appartement bien chauffé, entre la sécurité d’un monde bâti sur la peur de tout, sur la généralisation du principe de précaution et la liberté, entre la ville et la campagne, entre Paris et les régions.

Cette fracture sociale explique à elle seule pourquoi le pays n’a pas encore explosé, pourquoi les Français préfèrent rire et se moquer des prestations télévisuelles pitoyables du pouvoir plutôt que d’aller dans la rue : le mouvement qui se profile n’est pas celui d’une révolution, mais celui d’une sécession.

Les sondages récents sur les intentions de vote pour les élections régionales le montrent d’ailleurs très clairement : les partis en tête pour les élections présidentielles sont bien à la peine pour les élections régionales.

Si l’embrasement se produit (et tant de choses portent à croire qu’il se produira), il n’aura lieu que dans une dynamique de fracture, d’opposition des territoires contre le pouvoir central. Mais pour l’instant, la ligne rouge n’a pas encore été franchie comme cela avait été le cas avec l’augmentation du prix du carburant et la suite que l’on connaît sur les ronds-points.


[Voir aussi : La peur et l’espoir comme outils politiques et La clef de la libération]




Dans la crise sanitaire, l’État joue sa survie

[Source : Contrepoints.org]

Les conséquences de la politique désastreuse infligée au pays depuis un an sont bien plus délétères que l’épidémie elle-même.

Par Patrick de Casanove

La véritable inquiétude de l’État est que les Français réalisent enfin qu’il leur a menti et les a effrayés pour les manipuler. Ils ont été enfermés, ruinés, mal soignés, poussés au suicide, dressés les uns contre les autres pour une maladie contrôlable et peu mortelle, pourvu que l’État cesse de se mêler de tout et laisse les médecins faire leur travail.

Il leur a été interdit d’accompagner leurs proches dans leurs derniers instants et de leur donner de dignes funérailles.

Les conséquences de la politique désastreuse infligée au pays depuis un an sont bien plus délétères que l’épidémie elle-même.

La justice est détournée de sa mission qui est de « rendre à chacun le sien »

Les forces de l’ordre sont détournés de leur mission qui est de protéger les biens et les personnes. Lors de la répression pour non-respect des mesures de coercition sociale, elles font parfois preuve d’un zèle mal venu et inhumain.

C’était vrai lors du premier confinement. C’est encore, hélas, vrai aujourd’hui. Lors des obsèques d’un maraîcher qui s’est suicidé par désespoir, ou lors de la distribution de repas aux personnes dans la détresse.

La loi est pervertie, elle sert à détruire les droits naturels au lieu de les protéger ; l’emploi des forces de l’ordre, de la justice, est perverti. Cela participe à la grande déstabilisation des populations.

Le lien social s’effrite. L’autre est un contaminateur potentiel donc un danger, peut être mortel. Ainsi une personne qui n’est pas malade est traitée comme une pestiférée. Cette peur de l’autre engendre le retour de la délation.

La Covid est une infection virale n’ayant aucun pouvoir d’oppression des individus. Ce pouvoir est politique. Le seul responsable du désastre est le politique. En France on connaît précisément la date et l’heure du forfait.about:blank

Si cette prise de conscience avait lieu l’État perdrait son pouvoir d’imposer la grande réinitialisation et il devrait rendre des comptes.

CRISE SANITAIRE : L’OCCASION FAIT LE LARRON

Il est peu probable que cette affaire de crise Covid soit pilotée depuis le départ et préméditée. Le gouvernement en a plutôt saisi l’opportunité.

Dans cette épidémie, ce n’est pas la science qui domine, c’est la pensée magique et l’émotionnel. Le gouvernement fait peur et culpabilise les gens. Grâce à quoi il contrôle la gestion de la crise sanitaire.

Celle-ci est un outil de pouvoir. L’État s’en est emparé, a étendu son contrôle des populations et n’a pas l’intention de relâcher son étreinte. La Covid ne doit pas disparaître, ou pas avant d’avoir rempli sa mission.

EN TEMPS DE CRISE, BÂTIR L’HOMME NOUVEAU DANS UN MONDE NOUVEAU

La gestion de la Covid a été faite en dépit du bon sens. Elle n’a jamais eu aucune rationalité médicale, humaine, économique, sociale, aucune rationalité au sens de vouloir résoudre véritablement le problème.

Persister à ce point dans l’erreur ne peut être que délibéré. La prise en charge a été et reste tellement incohérente que bien des gens sont perdus. Quand tout le monde est perdu, y compris les professionnels de santé, l’irrationnel fait partie du quotidien au point de devenir la norme. Grâce à quoi l’État commande et oriente sans difficulté.

Même si leur gestion est irrationnelle, il est évident que nos gouvernants ne sont pas eux irrationnels. Mais ils peuvent être pervers et manipulateurs. Ils poursuivent rationnellement leur objectif.

Grâce à la Covid les politiciens font passer des réformes qui n’avaient aucune chance de passer : état d’urgence dit sanitaireflicage numérique, mais surtout l’écologisme appuyé par un plan de relance :

« Un plan de relance exceptionnel de 100 milliards d’euros […] Ce plan de relance, […] représente la feuille de route pour la refondation économique, sociale et écologique du pays. »

Plan qui fait écho à :

« La solution pour résoudre les grands problèmes environnementaux et sociaux existe, selon le Forum de Davos, et elle se résume en une phrase : transformer l’économie. Pour y parvenir, l’organisation propose d’orienter l’économie vers des résultats plus équitables, canaliser les investissements pour construire mieux, développer des infrastructures et techniques de construction qui ne dégradent pas l’environnement et se servir de la quatrième révolution industrielle pour notre bien. Cette quatrième révolution industrielle est celle de l’automatisation des machines par l’intelligence artificielle et la généralisation des énergies vertes. C’est elle qui, en grande partie, mènerait à un monde plus vert, plus juste et plus prospère. »

Il y a une rationalité étatique à faire durer le problème. Tant que la Covid persiste, ou simplement sa peur, cela permet à l’État non seulement de survivre, mais de s’épanouir. Il étend son autorité au détriment de la vie privée et de la liberté de chacun. Il instaure le totalitarisme, construit une société nouvelle, pour un monde nouveau, avec un Homme nouveau… et il ne rend pas de comptes.

RENDRE DES COMPTES

Ça commence à sentir le roussi !

Jean-François Delfraissy et quatre autres membres du Conseil dit scientifique  signent une tribune dans The Lancet.

Ils écrivent :

« Par conséquent, il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire, stop-start, comme principale réponse à la pandémie […] Nous, scientifiques qui travaillons contre le Covid-19, devons avoir le courage de nous adresser à ceux qui sont au pouvoir, qui portent la responsabilité ultime des politiques choisies et de leurs conséquences. Si cette responsabilité est esquivée ou retardée, le jour inévitable où il faudra rendre des comptes pourrait être terrible. »

Reniant sans honte aucune ce qu’ils ont préconisé depuis un an, ils ont l’admirable courage de se défausser sur les politiciens.

La demande de comptes a déjà commencé. Des dépôts de plaintes ont eu lieu au début de l’épidémie.

D’autres procédures ont lieu aujourd’hui au niveau national :

pour obtenir réparation des pertes liées au confinement ou de ses préjudices au sens plus large :

https://youtu.be/Hz2xA-Ktg-A

Des initiatives semblables ont lieu dans d’autres pays.

Pour l’instant, elles ont peu d’écho. Il pourrait en être différemment si la crise covid était terminée. Mais la faire durer évite à l’État de rendre des comptes, lui donne des arguments pour l’heure des comptes.

Si la crise dure c’est que cette épidémie est sévère. Si elle dure très longtemps c’est qu’elle est très sévère. Si elle est très sévère, la gestion étatique coercitive s’en trouve justifiée, ses détracteurs relégués au rang de complotistes, à qui l’on peut contester toute liberté d’expression.

Les conséquences dramatiques des décisions étatiques s’estompent avec la peur et le temps. L’État est sanctifié dans son rôle de sauveur. Il a gagné la partie. Il survit et en sort renforcé.

IL FAUT REVENIR À LA RAISON

Il est difficile d’empêcher les gens d’avoir peur ou d’être inquiets. Mais il faut garder son sang-froid, rester raisonnable et faire face.

99,5 % voire 99,9 % des personnes infectées survivent, et parfois davantage :

Une bonne prise en charge de l’épidémie consisterait à donner :

  • sa place à la médecine, en particulier de ville,
  • la responsabilité de leur vie et de leurs libertés aux Français,
  • l’attention aux personnes à risques.

Si la prise en charge devient médicale, sans état d’urgence sanitaire qui n’est pas médical mais politique, les individus retrouveront la responsabilité de leur existence et la liberté d’accomplir leur projet de vie. L’État sera minimal. Mais il ne le veut pas.

La grande escroquerie consiste à faire croire aux Français que si l’État ne prend pas de mesures coercitives et n’insiste pas pour parvenir à une vaccination de masse on ne fait rien. C’est faux. On fait quelque chose : de la médecine et pas de la politique.

FAIRE FACE À LA CRISE SANITAIRE

La médecine a toujours fait face aux épidémies, même avec peu ou pas de moyens. Aujourd’hui, alors que l’humanité n’a jamais eu autant d’outils pour lutter contre les infections, en Occident les politiciens mettent la médecine sur la touche et prennent en charge le problème de manière politique.

Il faut être bien conscient que cette pathologie est une pathologie de médecin généraliste. L’implication de la médecine de ville ne se limite pas à l’hospitalisation à domicile ou à la télésanté.

L’implication de la médecine c’est plus que ça.

C’est la responsabilité individuelle et la liberté pour chacun de mener sa vie comme il l’entend sans nuire à autrui. Cela implique de choisir et gérer ses risques. Cela implique le respect des gestes barrière à bon escient ; de vacciner à bon escient ; de respecter les indications vaccinales et la balance bénéfice/risque ; de laisser les gens sans risques vivre leur vie et de faire très attention aux personnes à risques ; de travailler l’immunité naturelle.

C’est la confiance en la médecine générale. Le gouvernement doit arrêter de faire peur aux médecins, et délivrer des autorisations temporaires d’utilisation pour des traitements précoces, (hydroxychloroquine, ivermectine) qui certes ne sont pas recommandés ni validés officiellement, mais qui sont efficaces dans la vraie vie, qui sauvent des vies, évitent des cas graves, des hospitalisations et des décès.

Il doit, en résumé, les laisser prescrire, le tout basé sur le colloque singulier unissant le patient et son médecin.

C’est le soin précoce prodigué aux personnes malades. C’est, entre autres, pour avoir saboté cette étape de la prise en charge dès février/mars 2020, que la France a connu une crise sanitaire bien plus dramatique qu’elle aurait dû être.

C’est le bon diagnostic. Le traitement précoce et le diagnostic rigoureux sont les grands absents de cette prise en charge étatique.

Il est possible de prendre en charge une maladie de manière probabiliste.

Il n’empêche que le diagnostic rigoureux permet de traiter, isoler, spécifiquement les personnes contagieuses et les malades. Il ne repose pas uniquement sur la multiplication des tests RT-PCR, qui ne sont pas des tests diagnostic. Il est utile de tester massivement, mais pas n’importe comment, pour rompre la chaîne de contamination, protéger les personnes à risques, traiter  précocement. Il permet de protéger correctement les personnes à risques, de ne pas transformer quelqu’un de sain en malade, voire en assassin potentiel.

Cette robuste médecine de première ligne s’adosse à une médecine de seconde ligne solide avec des hôpitaux performants, des lits en nombre suffisant, des services de réanimation étoffés et une réserve dépendant du service de santé des armées.

En finir avec la crise ne repose pas sur la disparition de l’épidémie, encore moins du virus. Elle ne dépend que d’une décision politique : celle, pour l’État, de libérer les Français pour ce qui est de la vie économique, sociale, culturelle, privée, et de passer la main aux professionnels de terrain pour ce qui est de l’infection.

Elle peut être prise demain, si le bon sens revient en France.




Florian Philippot s’érige en opposant fondamental à la dictature sanitaire

[Source : Nice-Provence Info]

Le hasard du calendrier fait que Florian Philippot, leader du parti Les Patriotes, était à Nice deux jours à peine après que la Côte d’Azur a été désignée par le gouvernement comme région pilote pour tester le retour au confinement.
(lire La Côte d’Azur, laboratoire de la dictature sanitaire du 24 février 2021.)

Après plusieurs interventions, notamment d’un représentant des étudiants et des Gilets Jaunes de Cannes(([1] L’intervention des Gilets Jaunes de Cannes est visible ici : https://youtu.be/ZNJPUIDPKoc)), Florian Philippot n’a pas eu de difficulté à faire résonner (raisonner ?) la place du Palais de Justice au son de « Liberté ! Liberté ! Liberté ! »





Avis de décès massifs après pandémie de lâchetés

Par Jean-Michel Grau

La France a l’immense tristesse de vous informer du décès de 576 de ses 577 députés, suite à la contraction massive du virus de lâcheté 21 qui sévit actuellement dans notre pays.

Seule la courageuse députée alsacienne Martine Wonner a échappé à l’hécatombe.

Ce virus, hélas, n’en est pas à son premier méfait.

Après avoir décimé l’ensemble des 348 sénateurs, l’entièreté des 431 membres du Conseil d’État, l’exclusivité des 9 membres du Conseil constitutionnel, aujourd’hui le virus de lâcheté 21 vient de s’attaquer à presque tous les députés de notre Assemblée. (([1] https://nouveau-monde.ca/fr/les-dix-commandements-de-jupiter-aux-playmobil/))

Il est franchement désolant qu’un banal virus arrive à décimer la quasi-totalité des corps constitués de ce pays. Ce virus, communément appelé lâcheté 21 depuis qu’il a muté, a succédé à ses nombreux variants qui ont sévi pendant toute l’année 2020 :

  • Le variant bassesse 20
  • Le variant frousse 20
  • Le variant trouille 20
  • Le variant couardise 20
  • Le variant veulerie 20
  • Le variant pusillanimité 20
  • Le variant inertie 20
  • Le variant faiblesse 20
  • Le variant mollesse 20
  • Le variant peur 20
  • Le variant terreur 20
  • Le variant pleutrerie 20
  • Le variant agenouillement 20
  • Le variant indignité 20
  • Le variant trahison 20
  • Le variant abdication 20
  • Le variant démission 20

Il est à noter qu’aucun parti politique n’a été épargné par cette épidémie de trouille généralisée, à l’exception du petit parti «Les patriotes» de Florian Philippot qui résiste vaillamment en bravant tous les variants sous les fenêtres du sinistre de la Santé tous les samedis à Paris.

Il en est de même pour tous les syndicats, dont aucun n’a résisté à cette pandémie de lâcheté personnifiée, de la CGT à FO, en passant par la CFDT, la CGC, SUD, et bien sûr le MEDEF comme on devait s’y attendre.

Les syndicats étudiants, lycéens et de parents d’élèves ne sont pas non plus épargnés par cette pandémie de lâcheté tous azimuts, de l’UNEF à l’UNI, de la FIDL à l’UNL, de la FCPE à la PEEP.

Aujourd’hui apparemment, personne ne s’offusque que les écoliers bâillonnés s’asphyxient à petit feu 8 heures par jour avec leur propre gaz carbonique. (([2] https://nouveau-monde.ca/fr/effets-nocifs-des-masques/))

Tout comme personne ne semble se révolter que de plus en plus d’étudiants claquemurés en sont réduits à survivre par la soupe populaire quand ils ne tentent pas de mettre fin à leurs jours dans l’indifférence générale. (([3] https://nouveau-monde.ca/fr/le-gouvernement-des-voleurs-de-vies/))

Pas plus que l’État français par ses consignes, laisse mourir voire même exécute au Rivotril les pensionnaires des EHPAD jugés indignes de vivre plus longtemps, faute de lits disponibles dans les hôpitaux.(([4] Nicole et Gérard Delépine, autopsie d’un confinement aveugle, p. 98))

Jusqu’où cette hécatombe de lâcheté généralisée ira-t-elle ?

Existe-t-il un remède efficace contre le trouillomètre à zéro ?

Le célèbre professeur Raoult semble pourtant avoir trouvé la réponse de bon sens qui va de soi :

« Nous avons le droit d’être intelligents »

Arrivera-t-on à réveiller enfin les élus de ce pays, contaminés par tant de lâchetés au bout d’un an de confinements, de couvre-feux, de gestes barrière et de muselière obligatoire, avant d’être anesthésiés à coup de piqûre ARN pour devenir définitivement des morts-vivants ?





Sortir de l’instinct grégaire ?

Par Dr Nicole Delépine

« Ce n’est pas d’un vaccin pour s’immuniser contre les infections virales dont l’humanité a besoin, mais d’un vaccin contre la peur afin de s’immuniser contre la stratégie du choc et les manipulations politiques qui sont en train de l’asservir. »

Vincent Mathieu, Ph.D.

« L’instinct grégaire est animal. Il nous ravale au stade du mouton à quatre pattes, quand dans la crainte on s’aplatit, on s’agenouille comme cette petite chose qu’on tond allègrement depuis des siècles pour faire des vêtements nous réchauffant. Êtres frileux dans tous les sens du terme, que ces humains craintifs qui se cachent derrière le derrière de l’autre, collés les uns aux autres, formant une masse qui s’agglutine, tête en bas, au ras du sol, pour ignorer la clarté et la lumière que nous offre le ciel de nos propres idées. »

« Dociles, maladifs, médiocres » disait Nietzsche, parlant de ces personnes ayant gardé cet instinct bestial. Instinct nous poussant tous, plus ou moins, à courber l’échine, à redevenir des enfants marchant à quatre pattes et aussi obéissants qu’eux, par peur, « de manière aveugle et sans réflexion ». Ainsi le nazisme a pu voir le jour. Ainsi une foule a regardé une femme se faire abuser en pleine journée dans un métro bondé comme cela fut le cas à Lille récemment. C’est l’esprit d’égalité qui sous-tend probablement cet instinct primitif. Tous pareils, tous aussi poltrons et peureux, sans audace ni courage.(([1] Extrait de « à la recherche de la vérité, l’histoire de Clothilde » par Agnès Beaufeuil.))

Le plus fascinant dans la période que nous vivons est l’enthousiasme des foules et pas seulement françaises, pour se précipiter se faire tester, et pire se faire vacciner. Pourtant il faut vraiment vouloir ne pas savoir que le coronavirus de l’année 2019 est très peu mortel et en tous cas pas plus que la grippe qui n’a jamais entraîné un tel délire collectif.

Une hystérie mondiale qui continue malgré les preuves accumulées de la faible nocivité du virus, l’existence de traitements précoces efficaces, de la mascarade des tests PCR faux positifs à 97% quand ils sont utilisés en dépistage chez des gens sains, des doutes majeurs sur l’efficacité et la toxicité des vaccins dont l’expérimentation (phase 3) ne se terminera qu’en 2023.

Bizarre, bizarre, la ruée vers l’or (transformée en plomb) qui se poursuit malgré le défilé quotidien d’informations sur tel EHPAD allemand, puis norvégien ou espagnol dans lesquels un tiers des résidents autrefois bien portants sont morts très vite dans les jours ou semaines qui ont suivi l’injection vaccinale miraculeuse. Pour rejoindre le ciel plus vite ? Et bien sûr, sans recul suffisant, on ne sait que très peu de choses de ce qui pourrait se passer chez les vaccinés rencontrant le coronavirus d’ici quelques semaines. On peut être inquiet quand on connaît les expériences sur les animaux dans la tentative de vaccin contre les précédents coronavirus pathogènes, SRAS et le Mers et les décès des animaux vaccinés. Évidemment on aurait pu penser que cela rendrait prudents expérimentateurs apprentis sorciers, et citoyens cobayes, mais il n’en est rien. La puissance des médias répétant inlassablement les mêmes mensonges est fascinante et surtout inquiétante pour l’avenir de notre démocratie. Après les députés godillots (qui prolongent indéfiniment l’état d’urgence), de trop nombreux juges français qui valident sans examen réel tout ce qui vient de l’exécutif, les médias, dernier pilier de la démocratie se sont à leur tour agenouillés devant l’exécutif, empêchant le pluralisme de s’exprimer.

Pourtant les scientifiques et médecins réunis résument bien les éléments importants sur cette crise covid (suivre par exemple collectif ISOFIA sur Telegramm pour infos en temps réel).

Voici une petite synthèse.

1. Nous n’avons JAMAIS dans le passé, réussi à vacciner contre un coronavirus

Un vaccin efficace contre un coronavirus n’a jamais été mis au point. Les scientifiques ont essayé pendant des années de fabriquer un vaccin contre le SRAS et le MERS, toujours sans succès. En fait, certains des vaccins anti-SRAS ont causé une hypersensibilité au virus du SRAS. Cela signifie que les souris vaccinées pourraient potentiellement faire la maladie plus sévèrement que les souris non vaccinées.

2. ll faut habituellement de 5 à 10 ans pour qu’un vaccin soit entièrement mis au point, processus lent et ardu et de nombreuses années entre le développement et les essais jusqu’à l’approbation à l’usage public. Les différents vaccins pour Covid ont tous été développés et approuvés en moins d’un an. Bizarre ?

Aucun des vaccins n’a encore fait l’objet d’études appropriées. Beaucoup d’entre eux ont complètement sauté les premières études (animales en particulier), n’ont pas publié leurs données, et les études humaines tardives n’ont pas été évaluées par des pairs, ne se termineront pas avant 2023, ou ont été annulées après des « effets indésirables graves ».

3. Le « vaccin » Covid est basé sur une nouvelle technologie jamais approuvée pour utilisation sur l’homme. Alors que les vaccins traditionnels fonctionnent en exposant l’organisme à une souche affaiblie du micro-organisme responsable de la maladie, ces nouveaux vaccins Covid sont des vaccins à ARNm.

Théoriquement, les vaccins contre l’ARNm (acide ribonucléique messager) fonctionnent en injectant de l’ARNm viral dans l’organisme, où il se réplique dans les cellules et stimule l’organisme à reconnaître les protéines spike du virus et à produire des antigènes contre eux. Ils font l’objet de recherches depuis les années 1990, mais aucun vaccin contre l’ARNm n’a jamais été approuvé avant 2020.

4. Si le vaccin entraîne des accidents ou tue, les compagnies pharmaceutiques ne peuvent pas être poursuivies. Dès le printemps 2020, de nombreux gouvernements du monde entier ont accordé aux fabricants de vaccins l’immunité contre la responsabilité civile en se référant aux lois existantes ou en rédigeant de nouvelles lois.

La Loi de préparation au public et de préparation aux situations d’urgence (PREP) des États-Unis accorde l’immunité au moins jusqu’en 2024.

La loi UE sur l’approbation des produits fait de même, et des clauses de responsabilité confidentielle ont été signalées dans les contrats conclus par l’UE avec les fabricants de vaccins.

Le Royaume-Uni est allé encore plus loin, donnant au gouvernement et à ses employés une indemnité juridique permanente pour tout préjudice causé par le traitement d’un patient pour Covid19 ou « covid19 présumé ».

Or rappelons que 99,8% des gens survivent à Covid19.

Le taux de mortalité par infection par le Sars-Cov-2 est certainement beaucoup plus faible que tous les modèles initiaux prévus. À l’origine, il était massivement excessif, l’OMS a supposé 3,4%. Des études ultérieures ont montré qu’il est beaucoup plus faible, dans certains cas même en dessous de 0,1%. Un rapport publié dans le propre bulletin de recherche de l’OMS en octobre a révélé un CFR de 0,23 %, « ou peut-être significativement inférieur »

Cela signifie que même selon l’OMS, au moins 99,77 % des personnes infectées par le virus survivront.

Pourquoi tant de hâte ?

Nous sommes enfermés de fait depuis onze mois et l’obsession de tout un chacun est de sortir de prison. L’emprise des mondialistes qui ont concocté et appliqué ce plan terrible explique probablement les réactions tout à fait extravagantes envers les tests PCR et surtout les vaccins auxquelles nous assistons.

Une grande partie de la planète a subi cet enfermement doublé de bourrage de crâne pluriquotidien, transformant des milliards d’individus en adeptes d’une « secte covid19 » dont il est terriblement difficile de s’extraire comme de toute secte. Il nous faudrait des psychiatres efficaces et compétents pour une immense thérapie de groupe.

Jusqu’où courberons-nous l’échine ?

« En tant que professionnel de la santé mentale, j’ai entendu maintes histoires de personnes qui se sont mises à genoux devant leur intimidateur en pensant retrouver la paix et la vie d’avant. La peur, la culpabilisation et l’emprise sont les armes des manipulateurs pervers. Elles mènent les gens à faire bien des courbettes et les ingénieurs sociaux le savent très bien.

Telle une personne abusée, la population se trouve-t-elle présentement tétanisée et soumise devant le harcèlement brutal du gouvernement ? »

(([2] Ces éduqués non cultivés. L’ère de la pensée unique : Menace autoritaire et gouvernement mondial | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

Serions-nous atteints d’un syndrome de Stockholm ?(([3] Le syndrome de Stockholm est un phénomène psychologique s’observant chez des otages qui vivent pendant une période prolongée avec leur(s) ravisseur(s). Le syndrome s’exprime par une sympathie et un sentiment de confiance grandissants de l’otage envers le ravisseur et une certaine hostilité ressentie à l’égard de ceux qui cherchent à combattre le ravisseur. Ce serait une manifestation inconsciente de l’instinct de survie permettant de se sentir hors de danger, mais aussi d’influer sur ses réelles chances de survie par cette fraternisation avec le ravisseur.)) Eric Fromm décrit un phénomène semblable dans son livre « la peur de la liberté ».

« Il élabore sur la façon dont le citoyen peut affectionner ou vénérer les figures autoritaires afin d’échapper à l’angoisse que provoquerait une remise en question ou une confrontation du régime politique. L’identification à la pensée dominante et l’idéalisation de ceux qui nous régentent deviennent les palliatifs à une réflexion complexe et rationnelle sur la situation sociale vécue ».

Un silence abyssal

On peut s’étonner et s’effarer de l’absence de réactions construites et raisonnées sur la gestion de cette pseudo-crise sanitaire construite depuis le début avec la mise sur le marché des tests PCR non spécifiques par le conseiller de Mme Merkel, C. Drosten actuellement poursuivi pour fausses déclarations médiatiques et conseils politiques inadaptés en Allemagne.

Les fausses prévisions des prophètes Ferguson en Angleterre et alter ego en Allemagne sur des modélisations mathématiques adaptées à la demande des politiques ont été dénoncées relativement tôt dans l’année 2020 et n’ont recueilli aucun écho ni des politiques de tous bords, ni des « intellectuels », artistes, universitaires en dehors de quelques exceptions dénommées curieusement lanceurs d’alerte.

Citons ici les révélations « colossales » de « Slobodan Despot, (8/02/2021 COVID-19)

Kolossale ! Les politiques dictaient les analyses « scientifiques » !

« La Welt-am-Sonntag du 7 février révèle qu’en mars 2020, un groupe de juristes du ministère fédéral de l’Intérieur allemand a pris contact avec diverses institutions scientifiques et médicales — dont le Robert-Koch-Institut de Berlin — et leur a demandé d’élaborer un modèle de propagation de l’épidémie sur la base de laquelle le ministère d’Horst Seehofer pourrait justifier les mesures les plus dures dans la lutte contre le coronavirus.

Dans les plus de 200 pages d’échanges par e-mail, on découvre par exemple que le secrétaire d’État Markus Kerber lui-même demande aux chercheurs de travailler à un modèle qui permette de justifier des « mesures préventives et répressives ». Selon ces échanges, les scientifiques ont rédigé, en étroite collaboration avec le ministère et en moins de quatre jours, un document astucieusement classifié « SECRET », que l’on a ensuite laissé filtrer dans la presse. La cerise sur le gâteau fut le scénario du pire prédisant un million de morts en Allemagne.

A Paris, comme à Berlin et ailleurs, pourtant, les politiques nous ont assuré qu’ils s’appuyaient sur les analyses des spécialistes — en particulier des médecins — pour prendre leurs décisions. Mais que faudra-t-il penser si l’on découvre que les analyses « scientifiques » ont été dictées — au sens propre — par les politiques eux-mêmes ? »

Idem au Québec :

« En date du 9 décembre 2020, le directeur de santé publique québécois, Dr Horacio Arruda, nous a confirmé que les directions de santé publique (DSP) au Québec n’ont pas recommandé la fermeture des lieux publics comme les restaurants et les cinémas. Ces décisions ont été totalement prises par le politique alors qu’on prétendait se baser sur des données scientifiques ».

Ces démonstrations de la tromperie monumentale changent-elles quelque chose ? Non, aujourd’hui circulent des pétitions afin que les vaccins soient accessibles à tous ! Mais ceux qui diffusent cette demande se rendent-ils compte qu’ils sont complètement captés par la « propagande vaccinale », comme pour n’importe quel objet commercial et font le jeu du gouvernement mondial qui veut nous soumettre, ne serait-ce que par le passeport vaccinal ?

« Nos intellectuels gradés semblent en effet vivre dans un monde désincarné du réel. Un monde où le simulacre est pris pour le vrai. C’est à croire qu’ils sont inconscients de l’impact des coteries oligarchiques sur la géopolitique internationale ».

(([4] Ibid. 2))

ET POURTANT il serait temps que les populations se réveillent de cette immense sidération organisée et discutent du but réel de cet abrutissement généralisé et organisé.

Ce n’est évidemment pas ce pauvre virus, mais bien le plan des milliardaires pour sortir de leur crise endémique depuis de nombreuses années et nous réduire en esclaves obéissants, pucés, dépossédés, sagement cloîtres dans des appartements loués (fin de la propriété individuelle) en échange du revenu universel minimal proposé par Hamon et cie.

« L’insécurité et l’impuissance propres à l’individu le mènent souvent à calquer sa pensée sur les idées dominantes. Sentir faire partie du groupe est parfois plus fort que le désir de trouver la vérité ».

La citation suivante de Bertrand Russell résume tout :

« Là où les enfants vont à l’école et que les écoles sont contrôlées par le gouvernement, les autorités peuvent fermer les esprits à tout ce qui est contraire à l’orthodoxie ». On leur apprend à parler et à penser pour ne blesser personne, utilisant un langage pauvre, non genré et carboneutre ».

Est-ce que le choc traumatique de la réalité va les réveiller alors que ce Grand Reset se met en place ?

Pour se remémorer le projet, écouter l’économiste Verhaeghe parler de son livre « le Grand Reset mythes et réalité ». Great Reset : mythes et réalités par Eric Verhaeghe (Vidéo) – Terre et Peuple – Résistance Identitaire Européenne

https://youtu.be/c2yfii_deGY

Petit résumé de la vidéo :

« Klaus Schwab a fondé le forum de Davos dans les années 1970 qui est une entreprise, initialement think tank de management. Thierry Malleret, le coauteur, est dans la sphère de la 2e gauche qui prétend vouloir une gauche libérale. (il cite Rocard).

Leur principe est que les grandes entreprises ont besoin de têtes pensantes. Le « soft power » est un pouvoir d’influence, ces gens n’imposent rien de fait. Ils font se rencontrer entre eux des gens qui ont besoin de se rencontrer, construisent un « mainstream » avec des personnes qui influencent les décisions des décideurs de façon feutrée.

Les idées du Great Reset : l’épidémie de coronavirus est l’occasion de mettre en place les idées qu’ils concoctaient et en particulier les idées de la quatrième révolution numérique. (voir livre de Schwab de 2017.)

On trouve dans le livre de Schwab et Malleret une compilation détaillée de toutes les technologies utilisées pour changer les comportements individuels. La surveillance généralisée, comme à Singapour, des promeneurs.

De façon explicite, les auteurs pensent que l’épidémie doit légitimer les outils de privation de la vie privée, traçage permanent savoir qui rencontre qui et en relation avec outils de reconnaissance faciale. Ce qui est prôné est Orwell 1984, la surveillance de l’individu au sens de la protection de la collectivité prioritaire sur l’individu.

Schwab prône la suppression de la propriété privée et veut imposer la location généralisée. L’économie circulaire est l’expropriation généralisée. Quelques grandes multinationales vont louer la TV, la machine à laver. Rien ne vous appartiendra plus. Outil de mort sociale, expropriation, collectivisation des biens.

Fascination de Schwab avec le dirigeant chinois invité à Davos en 2017 et cette année. Quelle est la relation d’intérêt entre KS et le président chinois ? Il faudrait investiguer dit Verhaeghe.

Néanmoins, les milliardaires et dirigeants à la tête du gouvernement mondial en gestation ne sont pas tous d’accord. Soros désapprouve les liens de KS avec le président chinois. Soros est pour la suppression des États-nations. Il finance les militants de décolonisation en France, mais reste très hostile au rapprochement avec la Chine et à l’inclination de l’Europe pour la stratégie chinoise.

Nous sommes dans une phase de décroissance du rendement du capital et donc il y a une dynamique économique du capitalisme à la suppression des frontières ; dans les syndicats des riches, il y a des divergences entre des puissants plus morcelés.

La Chine parie sur le multilatéralisme et certains pays pensent que les partenariats avec la Chine sont plus intéressants.

La question du Great Reset : où ferons-nous du profit demain ?

L’essentiel du profit est fondé sur la surconsommation, biens à obsolescence programmée et gaspillage. Cela ne pourra pas durer. Et donc, comment faire si on arrête de gaspiller ?

Chercher des substituts : transformer l’écologie en business. Ainsi, au lieu de les vendre, on va louer les biens aux gens, comme le font déjà Microsoft pour certains de ses programmes informatiques et de nombreux constructeurs de voitures. On va influencer par la pensée dominante l’économie circulaire, surveiller les gens. Œuvre d’une stratégie de faiblesse. Chant du cygne du capitalisme tel qu’on l’a connu. Ce n’est pas un modèle durable, car le totalitarisme des GAFAM est inacceptable pour les peuples.

En France, combat entre mondialistes et souverainistes ? Savoir si notre avenir passe par l’État-nation ou par une organisation comme l’UE.

Revenir à l’état nation, cela veut dire être compétitif. Il faudra 560 milliards d’euros dépensés pour le système de protection sociale en 2020. Il devrait être réduit à 400 milliards. Et pourtant ce qui a apporté la liberté est bien l’État-nation.

Ce qui est vraiment étonnant, c’est dans quelle mesure, nous, en tant que sociétés, permettons aux politiciens qui n’ont pas de qualifications en médecine de déployer des décrets draconiens.

Ces mesures sont vraiment l’intention de diviser la population pour prévenir les troubles civils parce que le système socialiste s’effondre et qu’ils avaient besoin d’une excuse pour jeter toutes les restrictions économiques par la fenêtre ».

Quand les gens se réveilleront-ils et se rendront-ils compte que tout cet ensemble de règlements, des masques(([5] Aucune preuve scientifique que les masques obligatoires pour tous diminuent les contagions et la seule étude prospective randomisée sur le sujet (pourtant réalisée par ses partisans) a été incapable de prouver qu’il servait à quelque chose !)) aux confinements(([6] Toutes les études dans le monde réel des résultats sanitaires des confinements, couvre-feux et autres restrictions concluent qu’ils n’empêchent guère la propagation des virus, n’évitent au total aucune mort virale, mais causent infiniment plus de victimes par défaut de soins, anxiété, suicide, famine…)), n’est vraiment qu’un moyen de suppression des libertés pour faire avancer le programme de l’oligarchie ?

Il ne s’agit pas de santé. Même le Washington Post, qui déteste le capitalisme, a dû admettre que les masques n’ont pas fonctionné pendant l’épidémie de grippe espagnole de 1918 où près de 3% de la population est morte(([7] Toutes les études sur les causes de mort de cette pandémie et, en particulier, celle d’Antony Fauci, ont prouvé que la « deuxième vague » n’était pas virale, mais bactérienne.)).

Voilà quelques mots extraits de la vidéo à écouter en totalité pour tous les détails. De plus en plus de personnes expriment des avis souvent différents sur le net et même parfois maintenant sur les radios et TV.

Diffusons-les en espérant faire sortir les covidiens de leur secte et pouvoir tous ensemble refaire société civilisée.


Notes