Le virus et le président

[Source : is-edition.com]

Enquête sur l’une des plus grandes tromperies de l’Histoire

Auteurs : Jean-Loup IZAMBERT – Claude JANVIER

Résumé

Début 2020, le virus de la Covid-19 se propage rapidement dans tous les pays du monde. Mais pas partout de la même façon… Il semble exister une exception « Française d’Origine Contrôlée par l’Union Européenne », dont l’acronyme laisse entrevoir la façon dont le gouvernement traite cette pandémie.

Dans les couloirs de l’Élysée et de Matignon, les dirigeants de groupes terroristes ont ainsi cédé la place au virus. Nostalgie de son ancien boulot à la Rothschild & Compagnie, dans lequel Emmanuel Macron s’efforçait, selon son propos, de « séduire un peu comme une prostituée » ? Toujours est-il que le président s’entiche de ce nouveau tueur qui paralyse pourtant l’économie de son pays..

Mais que cache ce racolage médiatique ?

Dans « Le virus et le Président », co-écrit par le journaliste d’investigation Jean-Loup IZAMBERT et l’écrivain-polémiste Claude JANVIER, plongez dans une enquête sur l’une des plus grandes tromperies contemporaines organisée par un pouvoir politique, main dans la main avec les dirigeants de l’Union « européenne » et les grands propriétaires privés de la finance et de l’économie. Un document indispensable pour comprendre la nature réelle de la crise ainsi que les enjeux d’aujourd’hui et de demain.

Les auteurs

Jean-Loup Izambert est journaliste d’investigation indépendant (économie,
finance et politique), collaborateur de médias français et étrangers et écrivain. Plusieurs de ses ouvrages ont défrayé la chronique :
« Le krach des 40 banques »,
« Le Crédit Agricole hors la loi ? »,
« Crédit Lyonnais, la mascarade »,
« Faut-il brûler l’ONU ? »,
« 56 – Tome 1 : L’État français complice de groupes criminels »,
« 56 – Tome 2 : Mensonges et crimes d’État » et enfin « Trump face à l’Europe ».

Claude Janvier est écrivain polémiste. Un rien provocateur, doté d’un humour noir et disciple de Pierre Desproges, il est l’auteur de trois livres « coups de gueule ». Depuis quinze ans, il fouille, déterre, décortique et analyse l’actualité afin de mettre à jour les véritables informations. Il intervient notamment sur Sud Radio, Agoravox, Les Moutons Enragés, Le blog à Lupus, Réseau International, Stratégika, Mondialisation.ca, Planetes360 et bien d’autres. Un beau parcours dans l’hôtellerie et la restauration lui a permis de développer son sens de l’observation. Il reste fidèle à sa devise : « Je râle donc je suis ».

L’idée du livre

En quoi les dirigeants de l’Union dite « européenne » et les dirigeants français sont-ils responsables de la crise sanitaire et comment utilisent-ils celle-ci pour camoufler la crise économique et financière dont ils sont également responsables et qui s’aggrave. L’enquête

Dans un style direct soutenant une argumentation étayée de nombreux faits et témoignages, les auteurs décrivent comment, avec ou sans la maladie Covid-19, les grands propriétaires privés de la finance et de l’économie – les « écrasés » – se servent de l’État pour s’enrichir de manière éhontée au détriment de l’intérêt général. Et comment le pouvoir politique impose aux Français de nouvelles mesures d’austérité afin de leur faire payer la dette et leurs crises économiques et financières résultant de leur politique. Un document indispensable pour comprendre la nature réelle de la crise et les enjeux d’aujourd’hui.

L’ouvrage est préfacé par le docteur Pascal Trotta, ancien Interne des Hôpitaux de Paris, lauréat de la Faculté de Médecine de Paris, médecin spécialiste radiologue et fondateur de l’Institut de Médecine naturelle de Saint-Sébastien.

Les 8 chapitres et leur contenu

Chapitre 1- Macronavirus

Retour sur la campagne de communication politique et médiatique sur la crise sanitaire. L’opinion, ça se travaille. Pourquoi les chiffres diffusés par Santé publique France, l’agence nationale du ministère français de la Santé, et ceux de l’Organisation Mondiale de la Santé sur le nombre de décès dus à la Covid-19 ne sont pas fiables. Dirigeants politiques, administrations, médias et autres décideurs travaillent avec ces chiffres… Témoignages. En réalité, ce coronavirus n’est pas plus dangereux qu’un virus grippal et n’a pas augmenté la mortalité globale dans les proportions que le pouvoir politique suggère pour instaurer des mesures qu’aucune base scientifique sérieuse ne justifie.

Chapitre 2 – Mort programmée sur ordonnances

Le budget de la Santé français est préparé par le gouvernement dans le cadre des directives de l’Union « européenne » avant d’être soumis aux parlementaires. Comment, en appliquant à la France depuis 1992 les ordonnances de l’Union « européenne » exigeant la réduction des dépenses de santé et la privatisation du système de santé public au profit de sociétés transnationales, les dirigeants français ont affaibli celui-ci au point qu’il ne puisse plus remplir sa mission ? Que sont ces « ordonnances » ? Comment la Commission « européenne » a méprisé des chercheurs de plusieurs pays qui, dès 2015, alertaient sur une possible épidémie avec des coronavirus et proposaient des solutions pour se préparer à la contrer.

Chapitre 3 – Pour votre santé, plantez des tulipes

Résultat de cette politique : 7 Français sur 10 renoncent à se soigner en raison du manque de moyens financiers, de délais d’attente trop longs et de l’éloignement des structures de soins. En revanche, des fonds publics alimentent des monstres financiers privés de l’industrie pharmaceutique. Dans une opacité presque totale, des fondations privées brassent des milliards d’euros à coups de campagnes médiatiques en profitant du désengagement de l’État. Un rapport de l’Inspection générale des finances et une étude des cabinets d’audit Deloitte et Taste révèlent des intérêts très particuliers au sein de ces organisations « d’intérêt général ». « Il faut maintenant reconstruire » dit le président français qui continue de… détruire.

Chapitre 4 – Camouflage

Car la crise économique et financière était déjà en cours bien avant l’apparition de la Covid-19. Le pouvoir politique tentait alors de colmater les frasques des banquiers de la haute finance avec des fonds publics. En 2018, le Haut conseil des finances publiques alertait déjà sur « des risques économiques importants », puis, en 2020, sur « Une croissance quasi ininterrompue de la dette depuis 10 ans ». Un véritable camouflage médiatique est organisé par le pouvoir politique pour dissimuler ses responsabilités dans la crise économique et financière en attribuant ses conséquences à la Covid-19.

Chapitre 5 – 11 400 milliards en secret

Dans un système où « le secret des transactions est la règle », la « finance de l’ombre » est à l’œuvre. « Chaque seconde, des milliards d’ordres sont exécutés » rapporte Jean-François Gayraud, haut fonctionnaire de la police nationale spécialisé sur les affaires économiques et financières. Un rapport de la Janus Henderson Investors, société spécialiste de la gestion d’actifs mondiaux, révèle que « les sociétés ont également, à travers le monde, versé à leurs actionnaires le montant impressionnant de 11 400 milliards de dollars US au cours des dix dernières années. » Pendant la crise sanitaire, les actionnaires des sociétés transnationales continuent de s’enrichir. Aux États-Unis, entre décembre 2019 et mai 2020, les « profiteurs pandémiques » ont « augmenté leur richesse de plus de 565 milliards de dollars depuis le début de la crise des coronavirus ». Dans le même temps, ceux-ci ont supprimé plus de 22 millions d’emplois.

Chapitre 6 – Tableau de chasse des assassins financiers

Dans des sociétés US de conseil, des « assassins financiers » préparent les plans qui permettent aux transnationales étasuniennes de s’approprier des entreprises et de « nouveaux territoires économiques ». L’un d’entre eux, John Perkins, témoigne sur leurs méthodes. Les appropriations et délocalisations d’entreprises qu’ils organisent ont pour première conséquence l’appauvrissement du tissu économique et social. L’exemple de la donation d’Alstom à la transnationale US General Electric par l’un de leurs collaborateurs : Emmanuel Macron. Bien avant que la maladie Covid-19 n’apparaisse, celui-ci était déjà l’un des principaux responsables de la régression de l’emploi, du saccage du travail et de l’accroissement de la dette publique. Les vrais chiffres du chômage et de la précarité. Autre conséquence : le suicide cote à la hausse. Les enquêtes menées par l’association Soins aux Professionnels de Santé (SPS) confirment l’ampleur du phénomène jusqu’au sein du corps médical. Alors que les professionnels de la santé n’ont plus les moyens humains et financiers de faire face à la maladie, les « profiteurs pandémiques » de France se disent « écrasés » par « l’État interventionniste ». Sans rire.

Chapitre 7 – Les « écrasés »

Pour cette caste d’oligarques, les Français qui vivent avec au moins 6 650 euros par mois après impôt, soit 1% de la population française, sont des pauvres. Leur organisation, le Medef, ne cesse de demander la suppression des charges des entreprises. Mais ils sont la plus lourde charge dans le budget des entreprises qu’ils dirigent comme dans celui de l’État français : plus ou moins 200 milliards d’euros annuels de subventions publiques et d’exonérations de toutes sortes pour maintenir l’emploi – qu’ils assassinent -, développer l’outil de travail – qu’ils délocalisent -, d’allégements de charges et d’impôts – alors qu’ils fabriquent les plus longues files de chômeurs et pratiquent l’évitement fiscal. Qui sont ces «écrasés» qui n’ont pas attendu la Covid-19 pour parasiter l’économie et détruire l’emploi ? Tour d’horizon de l’oligarchie d’origine française. Ils reçoivent aujourd’hui de nouveaux milliards d’euros pour « relancer l’économie » en supprimant… des milliers d’emplois.

Chapitre 8 – « Le guerrier », les endetteurs et les payeurs

Prenant la maladie de la Covid-19 pour prétexte, le président et le gouvernement français décident par décrets de nouvelles mesures antisociales et liberticides. La violence de la répression policière et administrative du mouvement social n’a pas d’égal en Europe. Mais qui est vraiment derrière la dette totale et l’effondrement économique de la France ? Comment dégager l’Etat des réseaux de la grande finance et de la technocratie administrative qui détournent son activité au profit des grands propriétaires privés de l’économie ? La trouille de l’oligarchie financière ? Que le peuple prenne conscience de leur imposture et s’organise pour prendre ce qui lui appartient, fruit du travail de générations. Demain, la démocratie ?

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Ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd nous met en garde contre les vaccins à ARNm anti-ADN Covid-19 qui nous rendront transhumains

[Source : Guy Boulianne]

[NdNM : face au propos tenu dans cet article, plusieurs réactions sont possibles. L’une d’elles consiste à rejeter tout en bloc. Cela peut être stimulé par la peur ou par l’incrédulité et la difficulté à envisager ce qui sort du cadre des références personnelles. Une autre, probablement plus utile, est de l’envisager comme possible, voire plausible et probable, de sorte à se préparer au moins concrètement, psychologiquement, mentalement, psychiquement et/ou spirituellement.]

Nous avons récemment reçu un lien vers un discours courageux donné par un ancien citoyen russe lors d’une réunion d’action communautaire du Keep Colorado Free & Open, dans une église de Loveland, Colorado, le 10 novembre 2020.

L’orateur, le Dr Igor Shepherd, a travaillé pendant de nombreuses années dans l’ex-Union soviétique en tant que professionnel de la santé spécialisé dans le développement d’armes biologiques mortelles. Il savait que ce programme top secret était consacré à l’avancement du communisme mondial et serait utilisé un jour pour détruire les États-Unis. A cette époque, imprégné d’idéologie communiste, il ne voyait rien de mal dans le meurtre de cent millions de personnes. Lui et ses collègues pensaient que c’était un petit prix à payer pour la création d’une utopie communiste mondiale.

Dans cet article, nous souhaitons souligner bon nombre des points soulevés par le Dr Shepherd.

Le Dr Shepherd a occupé pendant environ sept ans un poste de direction au sein du ministère de la Santé publique de l’État du Wyoming, mais a récemment été démis de ses fonctions en attendant une enquête sur le discours qu’il a prononcé le 10 novembre. Lui et sa femme, June, savaient que sa carrière en souffrirait s’il franchissait cette étape.

Le parcours du Dr Shepherd

Pour apprécier la gravité et l’urgence de ce qu’il dit, nous devons comprendre son parcours. Il a une connaissance et une expérience considérables dans ce domaine. En tant qu’ancien officier du KGB, ayant grandi en Union soviétique et travaillé en étroite collaboration avec l’armée russe, il sait que la conquête communiste planifiée de toutes les nations a été continuellement active depuis la formation de l’Union soviétique en 1917. La supposée « chute » de l’Union soviétique en 1991 n’était qu’une réorganisation de son fonctionnement. Le même groupe d’élite est resté en contrôle tout au long.

Il a grandi en Union soviétique à Saint-Pétersbourg, en Russie, et est diplômé de l’Académie de médecine militaire SM Kirov en tant que médecin militaire en médecine interne. Il s’est entraîné dans le cadre de la Force de fusée stratégique russe et s’est spécialisé dans la toxicologie militaire, le contrôle des infections, la prolifération CBRN, les armes de destruction massive et la guerre nucléaire / biologique / chimique.

Depuis 2000, il a développé et mis en œuvre des programmes de préparation et formé des hôpitaux, des premiers intervenants, des professionnels de la santé, des techniciens Hazmat, des forces de l’ordre, des militaires, de la Garde nationale, des équipes SWAT, du FBI et des patrouilles frontalières sur la préparation CBRNE et les situations d’urgence (y compris la préparation à une pandémie mondiale). Il a prononcé des discours liminaires dans tout le pays pour de nombreuses conférences DHS et d’État et militaires. Il est spécialiste des armes biologiques, de la médecine des catastrophes et du contre-terrorisme.

Avant de travailler pour l’état du Wyoming, il a travaillé dans divers autres emplois de préparation aux situations d’urgence et également sur un site d’essais nucléaires du Nevada pour les opérations de lutte contre le terrorisme où il a été impliqué dans la recherche et le développement techniques sur la préparation nationale et la sécurité nucléaire pour le ministère de la Justice, Bureau de la préparation intérieure, DHS, DOE, NNSA, DOD, DTRA, FEMA, Garde nationale, équipes SWAT tactiques, application de la loi, premiers intervenants et professionnels de la santé. Igor et June Shepherd écrivent :

« Le but final de l’humanité sous ce régime totalitaire est le transhumanisme, et pour y parvenir, ils doivent fusionner l’homme avec la machine. Les vaccins anti-ADN Covid-19 sont les moyens avec lesquels ils peuvent nous rendre transhumains. Les vaccins Covid-19 utilisent une nouvelle technologie d’ARNm qui a le potentiel de corrompre et de modifier notre génome humain d’origine, créant des effets secondaires graves et le potentiel de millions de décès. Les processus technologiques de ce type de vaccin sont étrangement similaires aux armes biologiques créées par les laboratoires militaires russes au cours des trois dernières décennies. Et ce qui est alarmant, c’est que chaque société de vaccins qui a développé aujourd’hui des vaccins Covid-19 pour la population américaine est financée et en partenariat avec l’armée américaine et la DARPA. La DARPA est une organisation militaire impliquée dans les armes biologiques depuis les années 1950 ! Un vaccin qui est autorisé à contourner des réglementations médicales rigoureuses pour assurer la sécurité publique est inacceptable. Un vaccin dirigé par des entités militaires spécialisées dans les armes biologiques est tout aussi inacceptable, en particulier lorsque des brevets sont sécrétés, que des ingrédients malsains sont ajoutés et que les fabricants de vaccins sont exonérés de toute responsabilité. Nous croyons que chaque personne a le droit de connaître ces détails et de faire ses propres choix concernant ce qu’elle croit être le mieux pour son corps et sa santé. »


« Tout le monde sera sous l’égide du système Baal… aspiré dans l’obscurité du système Baal. Et le système Baal n’a aucune pitié. »

Igor Shepherd M.D.


Avertissement du Dr Shepherd à Loveland

Nous ne pouvons que donner un avant-goût dans cette section de ce que le Dr Shepherd a transmis dans sa présentation. Nous essaierons dans la mesure du possible de préserver l’urgence de ses propos.

Il est né et a grandi sous le communisme : « Je suis venu du monde sombre du communisme… C’est un monde très sombre. » Il a rejoint l’armée et a été qualifié en tant que médecin travaillant pour le KGB et le renseignement militaire russe. Il est devenu impliqué dans le programme russe d’armes biologiques et a eu des contacts réguliers pendant un certain temps avec certaines des meilleures personnes dans le domaine. Comme il l’explique, le programme avait un but : détruire les États-Unis.

Tout a changé pour lui lorsqu’il a trouvé le Christ en 1992.

Il a décrit la Russie sous le communisme comme « le système Baal ». Ce système a travaillé pendant des décennies pour saper leur grand rival, les États-Unis, et les faire tomber. « J’ai été formé pour détruire les États-Unis d’Amérique … physiquement, pas spirituellement. » Dans sa présentation, il a souligné l’urgence de la menace qui pèse maintenant sur l’Amérique et la nécessité pour que les gens s’unissent le plus rapidement possible contre cette menace. « Nous avons très peu de temps… Dans 6 à 8 mois, vous ne reconnaîtrez plus du tout ce pays. »

La technologie n’est pas nouvelle

La science de la génétique est bien plus avancée que les gens ne le pensent. Ce que les médias appellent «la nouvelle technologie révolutionnaire» n’est pas du tout nouvelle. La Russie, la Chine et Cuba, ainsi que certains autres pays, développaient dès les années 1990 des armes biologiques mortelles basées sur la technologie du génie génétique. Le principal centre russe de ce travail est l’Institut du vecteur de Novossibirsk. L’Institut utilise la technologie des « ARN messagers » depuis plusieurs décennies pour développer de nouveaux virus.

Vue de l’énorme complexe de virologie vectorielle à Koltsovo à Novosibirsk, en Russie. Ouvert en 1974, les laboratoires de recherche scientifique de Vector ont développé et produit en masse un grand nombre d’armes biologiques mortelles. S’il ne s’agissait que d’une installation de la guerre froide, elle aurait été fermée au début des années 90, mais elle a continué de fonctionner. Selon Wikipedia, le centre a développé plusieurs souches hautement contagieuses de grippe aviaire et d’hépatite.

Parmi les armes qu’il a développées, il y en a une qui détruit la gaine de myéline qui recouvre nos fibres nerveuses. Dans les deux semaines suivant l’exposition, les victimes étaient incapables de marcher. Ces dégâts étaient permanents. Beaucoup de ces scientifiques étaient et sont des psychopathes et ont souvent fait des expériences sur le peuple russe, tant militaire que civil. Par exemple, la soi-disant pandémie de grippe russe de 1977-78 a été produite en dispersant une toxine en aérosol dans les métros de Saint-Pétersbourg. Lorsque les voyageurs sont devenus malades, ils se font vacciner contre la grippe. Les vaccins eux-mêmes ont été délibérément contaminés par un virus génétiquement modifié, entraînant la mort de 70 000 personnes. Comme l’a dit le Dr Shepherd, « Il y a beaucoup de science perverse dans le monde et beaucoup de scientifiques pervers… Le système Baal n’a aucune pitié. Aucun. Absolument aucun. »

La soi-disant pandémie

La « pandémie » de Covid est un canular. Il existe peut-être un virus, mais il n’est pas plus nocif que la grippe. La pandémie elle-même, et en particulier l’opération massive de « peur » actuellement menée à travers le monde, est prévue depuis 19 ans. Cela a commencé par une conférence appelée « Operation Dark Winter » qui a eu lieu à Andrews Airforce Base dans le Maryland du 22 au 23 juin 2001. L’opération a simulé la réponse à une attaque bioterroriste. Les différentes étapes préparatoires qui seront mises en œuvre dans les années à venir ont été esquissées lors de cette conférence.

Celles-ci comprenaient les lettres d’anthrax de 2001, la peur du SRAS de 2003, l’épidémie de grippe H1N1 de 2009 (qui avait un taux de mortalité beaucoup plus élevé que “Covid”), l’épidémie de MERS de 2012, les diverses épidémies d’Ebola, le rapport allemand sur la « pandémie » de 2015 et, le 18 octobre 2019, « Event 201 », où les techniques qui seraient utilisées pour gérer la réponse du public au « Covid-19 » ont été discutées et approuvées.

Hiver sombre

Lucifer, par William Blake (1808)

Le scénario « Dark Winter » envisagé en 2001 est mis en œuvre en 2020 et au-delà. Cela n’est possible que parce que les gouvernements de la plupart des pays soutiennent la mise en œuvre d’un « nouvel ordre mondial » et ont accepté « l’hiver sombre » comme événement déclencheur nécessaire. Bref, ils ont trahi leur propre peuple. Comme l’a dit le Dr Shepherd, « Nous avons… une trahison au plus haut niveau. »

Les grandes sociétés pharmaceutiques ont un rôle central dans l’Opération Dark Winter. La peur de la pandémie est utilisée pour inciter le public à accepter des vaccins qui modifieront leur ADN. Ce changement se produira progressivement à mesure que davantage de vaccins seront administrés, très probablement sur une base annuelle. Le public sera amené à croire que sans ces vaccins, les souches nouvelles ou mutées d’un virus mortel infecteront et tueront quiconque n’a pas été vacciné contre lui.

Ces sociétés sont dirigées par des personnes qui servent Lucifer : « Ceux, comme Bill Gates, le servent en fait [Lucifer]… Toutes les sociétés de vaccins sont contrôlées par Bill Gates. Toutes. »

L’armée chinoise

Le Dr Shepherd a déclaré que toutes les sociétés pharmaceutiques qui « développent » des vaccins Covid-19 sont liées à l’armée chinoise. Le public apprend que ces vaccins ont été « développés » en seulement deux à trois mois après l’éclosion de la supposée pandémie de Covid. Cependant, c’est un mensonge. Les six vaccins dont l’utilisation sera approuvée aux États-Unis ont été développés et testés il y a des années.

Les mêmes entreprises sont également liées financièrement à la DARPA — Defense Advanced Research Projects AgencyModerna travaille en étroite collaboration avec la DARPA depuis 2013. Une fois que suffisamment de personnes ont pris les vaccins, « quelque chose pourrait se produire », comme l’a dit le Dr Shepherd, lorsque la 5G sera activée.

Il a dit que, là où le vaccin n’a pas d’effet indésirable immédiat, il affectera certainement notre progéniture. En conséquence, a prochaine génération d’enfants aux États-Unis souffrira de graves problèmes neurologiques : « Ce sera désastreux. » De plus, cela affectera tous les pays, pas seulement les États-Unis. Il l’a appelé GGG — « Global Genetic Genocide » (Génocide génétique mondial).

Communisme technocratique

Il ne s’agit pas de communisme traditionnel mais de « communisme technocratique », où la surveillance et le contrôle universels sont maintenus en temps réel grâce à l’intelligence artificielle.

« Mon message est urgent… Toutes les petites entreprises auront disparu, complètement disparues, sous le communisme… C’est moche. C’est luciférien… Aux États-Unis en 2021, 2022, les vaccins deviendront des événements annuels, semi-annuels. Obligatoire pour tous… [Tout le monde sera] sous l’égide du système Baal… [aspiré] dans l’obscurité du système Baal. Et le système Baal n’a aucune pitié. »

À mesure que chaque vaccin annuel est administré, nos génomes se détourneront de plus en plus du génome que Dieu nous a donné. À un moment donné, vous ne serez plus humain.

« Faites la paix avec Dieu. »


« Je dois avouer que je suis tenté de demander à être réincarné en tant que virus particulièrement meurtrier »

Prince Philip d’Édimbourg


Conclusion

En tant qu’ancien officier du KGB, le Dr Shepherd est exceptionnellement bien qualifié pour évaluer la menace qui pèse sur les États-Unis. Il a grandi dans un système qui méprisait la liberté, où l’État dominait l’esprit de ses citoyens et où l’armée était entraînée à haïr les États-Unis. Il sait que la menace est réelle car il a déjà travaillé avec les mêmes personnes qui l’exécutent actuellement.

Le communisme conquiert les nations en écrasant toute opposition. Cela crée un État policier où aucune opinion opposée ne peut fleurir. Là où il ne peut pas envahir de l’extérieur, il cherche d’abord à corrompre de l’intérieur. Ensuite, lorsque sa cible est suffisamment affaiblie, elle se déplace militairement. La Russie ne peut pas faire cela seule. La Chine non plus. Les traîtres opérant aux États-Unis ne le peuvent pas non plus, les trompeurs traîtres qui ont ouvert les portes à l’ennemi. Mais les trois travaillant ensemble sont susceptibles de réussir.

Le public américain est douloureusement inconscient de l’ampleur de cette menace. Une « première frappe » se profile. Même à cette heure tardive, alors que tant d’éléments du plan sont bien visibles, ils ne peuvent pas se résoudre à voir qu’un énorme marteau de fer est sur le point de s’écraser sur leur autre grande nation.

L’avertissement du Dr Shepherd est vraiment urgent. Le temps est presque écoulé. Veuillez tenir compte de ses paroles !

Jeremy James
Irlande, 1er décembre 2020

RÉFÉRENCES :

[Voir aussi une série d’articles pouvant être reliés au sujet et apporter un éclairage complémentaire :




« Les aliens existent et ils ont signé un contrat avec les États-Unis »: les révélations hallucinantes d’un ancien haut responsable israélien

[Source : BusinessAM]

Responsable de la sécurité du programme spatial israélien pendant 30 ans, Haim Eshed a livré une incroyable interview à la presse de son pays. Il explique que les aliens existent, mais que l’humanité n’est pas encore prête à l’accepter.

Les propos ont tous les atours d’une théorie fumeuse. S’ils ne sortaient pas de la bouche d’une éminence de la recherche spatiale, ils seraient sans doute rangés dans la catégorie « discours conspirationniste ». Car non seulement les aliens existeraient, mais en plus, ils seraient en contact étroit avec les autorités américaines.

De 1981 à 2010, Haim Eshed a été le responsable de la sécurité du programme spatial israélien. Durant cette période, il a reçu à trois reprises le « prix de la Sécurité d’Israël » des mains du président israélien.

Dans une interview accordée au Yediot Aharonot – l’un des principaux quotidiens d’Israël – Eshed a révélé l’existence des aliens. Qu’un ancien haut responsable divulgue de telles informations est déjà, en soi, exceptionnel. Mais l’homme est allé beaucoup plus loin, expliquant que ces extraterrestres étaient en contact avec les autorités américaines, avec lesquelles ils auraient passé un contrat.

Haim Eshed

Fédération Galactique

Haim Eshed explique que les humains et les extraterrestres échangent déjà depuis « des années ». D’après lui, ce sont surtout les États-Unis qui ont un contact privilégié avec ces aliens. Ensemble, les deux communautés formeraient la « Fédération Galactique ».

« Trump était sur le point de révéler cela, mais les extraterrestres de la Fédération Galactique ont dit: « Attendez, laissez d’abord les gens se calmer ». Ils ne veulent pas déclencher une hystérie de masse. Ils veulent d’abord nous rendre sains d’esprit et compréhensifs », a détaillé Eshed.

[Voir aussi :] Il y aurait au moins 36 formes de civilisations extraterrestres intelligentes dans notre galaxie

L’ancien responsable de la sécurité du programme spatial israélien a ensuite franchi une étape supplémentaire, expliquant que les autorités américaines et les extraterrestres avaient conclu un contrat.

« Ils ont signé un contrat avec nous pour faire des expériences ici. Eux aussi font des recherches et essaient de comprendre l’ensemble de l’univers, et ils veulent que nous nous aidions. Il y a une base souterraine dans les profondeurs de Mars, où se trouvent leurs représentants, ainsi que nos astronautes américains », a-t-il confié.

Rappelons que Donald Trump a créé il y a un an la United States Space Force, une nouvelle branche des forces armées américaines destinée à mener des opérations militaires dans l’espace.

Pourquoi Eshed parle-t-il ?

Haim Eshed le dit lui-même : les extraterrestres sont réticents à ce qu’on apprenne leur existence sur Terre, parce qu’ils estiment que « l’humanité n’est pas prête ». Alors, pourquoi brise-t-il cet accord ? Car, selon lui, les mentalités sont en train d’évoluer.

« Si j’avais raconté tout ce que je dis aujourd’hui il y a cinq ans, j’aurais été interné. Partout où j’ai présenté cela dans le milieu universitaire, on m’a dit : cet homme a perdu la tête. Aujourd’hui, ils parlent déjà différemment. Je n’ai rien à perdre. J’ai été gradé et récompensé, je suis respecté dans les universités à l’étranger, où la tendance change également », a-t-il expliqué.

A 87 ans, Haim Eshed semble bien décidé à révéler tout ce qu’il sait. Pour ce faire, il vient de publier un livre, intitulé The Universe Beyond the Horizon – conversations with Professor Haim Eshed. Le Jerusalem Post indique qu’il y explique notamment comment les aliens ont réussi à nous sauver de catastrophes nucléaires.




Le revenu de base universel et les six autres théories qualifiées de « conspirations délirantes » jusqu’à ce que l’an 2020 arrive

[Source : Sott.net]

L’article publié par Daisy Luther le 23 novembre dernier sur Organic Prepper décrit ces sept théories depuis le point de vue des États-Unis. Toutefois, et de par le contexte de Coup d’État mondial/ mondialiste actuel, ce point de vue vaut pour toutes les populations — notamment occidentales, mais pas seulement — quelles que soient leurs nationalités.

Le Covid-19, c’est une épidémie de peur. Un canular perpétré sur les populations mondiales. Là où il n’y a pas de peur, il n’y a pas de Covid-19. La peur et l’incertitude dominent la couverture médiatique. Le nouveau coronavirus est dépeint non pas comme un agent pathogène banal dont les miracles de la science moderne sont en passe de venir à bout d’un jour à l’autre, mais comme un mal invisible qui rôde partout, redoutable au point d’inspirer une terreur respectueuse même dans les hautes sphères de l’establishment médical. La réponse au coronavirus relève d’une campagne de terreur étatique basée sur la propagande. Les mesures de protection, comme les masques, ont pris un caractère talismanique, le lavage des mains est devenu une performance rituelle, et une secte fondée sur la dénonciation et la mise au pilori des « hérétiques » a pris possession de l’esprit de nombre de gens, tandis qu’on les dépouille tranquillement de leurs droits, désormais remplacés par un État policier paternaliste. Les confinements illégitimes d’un point de vue scientifique s’enchaînent et nous enchaîne chaque fois un peu plus, et on aurait parfois l’impression d’être embarqués à notre insu dans des montagnes russes. Ne parlons même pas des vaccins qui ont parait-il « sauvé l’humanité » des pires maladies infectieuses.

Laissons la parole à Daisy Luther, et nous [=Sott.net] reviendrons ensuite notamment sur son point 1, en tentant de démontrer pourquoi et comment le « revenu de base universel » constitue — sous couvert de panacée — un piège.


Vous vous souvenez de l’époque, disons en 2019, où toute personne qui parlait d’implants de puces RFID, de l’obligation pour circuler de présenter des attestations de déplacement, ou encore de la mise en place de camps de rééducation, était considérée comme un théoricien du complot en plein délire ? Et puis, 2020 est arrivé, et voilà ! Il s’est avéré que ces théories du complot n’étaient pas si « délirantes » après tout.

Et je ne parle pas seulement du gouvernement [des États-Unis – NdT] qui publie des informations sur les OVNIs.

Nous vivons dans une époque où si vous avez voté pour le « mauvais » candidat à la présidence, un individu pourrait tenter de vous tabasser, de brûler votre maison ou même de vous tuer. Nous sommes soumis à des couvre-feux, nos déplacements sont limités et nos entreprises ont été fermées de force. Un jour, les gens considéreront 2020 comme l’année où tout a changé — ou selon la façon dont les populations réagissent aux obligations qui leur sont faites — comme l’année où nous avons enfin dit, ça suffit.

Voici sept théories qui étaient avant 2020 considérées comme des conspirations délirantes… jusqu’à aujourd’hui, où elles deviennent bien trop réelles.

1 — Revenu de base universel

Auriez-vous jamais pensé pouvoir vivre dans un pays où le gouvernement dirait aux propriétaires d’entreprises privées quand et comment ils seraient autoriser à exercer leurs activités ? Où les travailleurs se verraient dire : « Pour votre propre bien, vous ne pouvez plus aller travailler ? »

Eh bien, bienvenue en 2020.

22 millions d’emplois ont été perdus et seulement 42 % d’entre eux ont en août dernier été retrouvés [aux États-Unis – NdT], lorsque le pays a commencé à déconfiner. Des millions d’emplois perdus le sont de façon irréversible, parce que les entreprises croulent dans tout le pays sous le poids des restrictions qui ne leur permettent pas de poursuivre leurs activités et/ou sont aux prises avec les difficultés financières de leurs anciens clients.

Mark Zandi, économiste en chef de Moody’s Analytics, déclare que :

« Il est clair que la pandémie cause des dommages fondamentaux au marché du travail. Beaucoup d’emplois perdus ne reviendront pas de sitôt. L’idée que l’économie va revenir à ce qu’elle était avant la pandémie n’est clairement pas envisageable. Les personnes qui comptent sur la réouverture des entreprises peuvent être surprises de constater qu’une perte temporaire est devenue permanente. »

Quant à Heidi Shierholz, économiste senior à l’Economic Policy Institute, un groupe de réflexion libéral, elle déclare que :

« […] Plus de 10 millions d’Américains sont actuellement classés comme temporairement sans emploi. Mais historiquement, près de 30 % des personnes qui déclarent au ministère du travail qu’elles sont temporairement au chômage ne retrouvent jamais leur emploi. Même si nous ne savons pas si le record historique tiendra dans ces conditions, le fait que toutes ces personnes ne soient pas rappelées constitue une préoccupation extrêmement justifiée. »

Parmi les entreprises qui ont fermé, beaucoup ne rouvriront jamais. Les plus durement touchées sont les petites entreprises.

« Environ 60 % des entreprises qui ont fermé pendant la pandémie de coronavirus ne rouvriront jamais, et ce sont les restaurants qui ont le plus souffert, selon de nouvelles données de Yelp. »

Nous avons donc non seulement des gens qui sont devenus chômeurs, mais aussi des propriétaires d’entreprises qui ont tout perdu. Alors qu’aux États-Unis nous entrons dans le deuxième épisode de confinement, il n’est pas exagéré de penser que certaines des petites entreprises qui ont jusqu’à présent réussi à se maintenir à flot succomberont aux effets économiques de ces mesures… qui entraîneront avec elles encore plus de pertes d’emplois et plongeront encore plus de citoyens dans la pauvreté.

Note du traducteur : En France, et selon l’INSEE, c’est près de 500 000 emplois qui ont été perdus en additionnant les premier et second trimestre, ce dernier n’étant pas terminé. Selon l’institut, la baisse du premier semestre annule, à elle seule, les hausses enregistrées au cours des deux années précédentes.

La pauvreté est un cercle vicieux et une seule chose, petite en apparence, peut aspirer ceux qui se débattent dans une spirale de frais et de pénalités financières dont il semble impossible de sortir. J’ai déjà fait part ici de ma propre expérience de la pauvreté. L’inquiétude porte sur le nombre encore plus élevé de personnes qui après ce cycle de mesures gouvernementales ne se remettront pas financièrement, ce qui ne fera qu’augmenter encore plus le nombre de citoyens fauchés, affamés et sans abri.

© Reuters

Mais ne vous inquiétez pas — le gouvernement est là pour vous aider. Il a fourni un chèque de « relance » à tout le monde et a tellement donné d’argent aux chômeurs que ces derniers gagnaient plus en restant chez eux qu’en allant travailler. Le gouvernement s’est tellement endetté que le montant de la dette est tout simplement abyssal.

En effet, des citoyens ont été payés pour ne pas travailler. Et, dans la plupart des cas, ces personnes ne sont pas coupables — le gouvernement a imposé la fermeture de leur lieu de travail, à moins qu’il ne soit considéré comme « essentiel ».

Et cette situation ressemble beaucoup à celle du revenu de base universel. Ou, comme j’aime à l’appeler, le féodalisme moderne :

« Beaucoup sont prêts à renoncer à leur liberté pour que quelqu’un d’autre puisse s’occuper d’eux. »

Ces personnes ne pensent pas que de cette manière elles renoncent à leur liberté. Elles sont convaincues qu’elles adoptent un système intelligent et équitable qui élimine la pauvreté. La cupidité, le droit et le manque d’ambition qui semblent aujourd’hui inhérents à de nombreuses personnes les feront glisser volontairement sous le joug de la servitude.

Elles estiment que leur vie mérite une bouffée d’air [ou que leur survie vaut mieux que leur vie – NdT]. L’un des titres de Gawker, « Un revenu de base universel est l’utopie que nous méritons », exprime assez bien ceci :

« L’idée d’un revenu de base universel pour tous les citoyens a fait son chemin partout dans le monde. Est-ce trop fou pour y croire ? Nous avons parlé à l’auteur d’un nouveau livre sur les tenants et aboutissants et les rêves utopiques de faire du revenu de base une réalité.

Le mouvement en faveur du revenu de base a reçu un coup de fouet cette semaine, lorsque l’organisation caritative GiveDirectly a annoncé qu’elle allait lancer un projet pilote de 30 millions de dollars sur dix ans pour donner un revenu de base à un groupe choisi de villageois kenyans et en étudier les effets. En tant que solution à la pauvreté, le revenu de base universel s’adresse aux personnes les plus démunies d’Afrique, aux Scandinaves relativement aisés et aux Américains qui ont perdu leur emploi en raison de l’automatisation de leurs activités. »

Bien sûr, de l’argent pour rien, ça a l’air génial en surface. Mais quel serait le résultat réel d’un revenu de base universel ? Le féodalisme. Le servage. L’esclavage.

Le revenu de base universel nous ramènerait rapidement au féodalisme du Moyen Âge. Bien sûr, en lieu et place de simples cabanes, nous pourrions vivre dans des logements modernes et pratiques. Nous pourrions exercer un métier adapté aux temps modernes plutôt que d’élever des moutons pour le seigneur du chateau.

Mais, en fin de compte, nous ne posséderions rien, car la propriété privée serait abolie pour tous sauf pour la classe dirigeante. La vie ne nous octroierait plus aucune possibilité de progression. Nos trajectoires personnelles nous seraient imposées et nous serions fortement dissuadés d’en dévier.

Les gens seraient complètement dépendants du gouvernement et de la classe dirigeante pour tout ce qui est nécessaire : nourriture, logement, eau, vêtements. Quel meilleur moyen d’affirmer le contrôle que de rendre la conformité nécessaire à la survie ? »

À l’aune de ce deuxième épisode de confinement, combien d’emplois supplémentaires vont définitivement disparaître ? Comment vont faire toutes ces personnes pour se nourrir ? Pour payer leur loyer ? Le gouvernement est en train de leur donner de l’argent. Et il est en fait impossible d’en débattre, parce que tout le monde connaît quelqu’un ayant perdu un emploi occupé pendant des décennies et qui est incapable aujourd’hui d’en trouver un autre.

Note du traducteur : Les prévisions pour l’année 2020 font état de la disparition d’environ 840 000 emplois, dont près de 730 000 emplois salariés. En France et à l’heure actuelle, c’est l’économie francilienne qui a été le plus impactée, et sans surprise, ce sont les secteurs de l’hôtellerie-restauration, les services de transport, les activités récréatives et de loisirs qui sont le plus touchés au niveau national.

On pourrait en entendre parler sous une autre expression, mais le revenu de base universel arrive. Et c’est pour bientôt.

[NdNM : voir aussi La mort de la propriété privée et Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry, Ancien Présentateur TV (Censuré)]

2 — Attestations de déplacement

Ne soyez pas ridicule. Nous n’aurons jamais à montrer des « attestations » pour se déplacer librement..

Et c’est là que, lorsque survient une pandémie de Covid accompagnée de toutes ses restrictions subsidiaires, la réalité de la chose vous envahit comme une révélation. En mars dernier, quelques jours après avoir mis en garde contre le premier confinement, j’ai écrit :

« Pour tous ceux qui pensaient que l’article sur le « confinement américain » était une « exagération hystérique » et que, parce qu’il n’était pas vraiment appliqué, ils pouvaient toujours faire ce qu’ils voulaient, que pensez-vous aujourd’hui du fait que des « attestations de déplacement » sont distribués ? Pour moi, on dirait que les mesures de confinement que j’ai écrites alors n’étaient que le premier pas vers une société que personne n’espère voir.

Hier, les lecteurs m’ont envoyé des photos de ces « attestations de déplacement » qui leur ont été remises par leurs employeurs pour leur permettre de se rendre à leur travail et d’en revenir. Il s’agit d’employés qui travaillent dans des secteurs tels que les soins de santé, les pharmacies et la restauration, ainsi que ceux qui travaillent dans la production, le transport et la vente de fournitures essentielles.

Un lecteur a écrit : « On nous a dit de les montrer si nous étions arrêtés sur le chemin du travail et que si les autorités nous posaient des problèmes, de ne pas discuter et de rentrer chez nous. »

Ces attestations qui m’ont été envoyées venaient de Pennsylvanie, de New York, d’Arizona, du Michigan, de Caroline du Nord, du Kansas, du New Jersey, de Virginie occidentale, de Virginie, de l’Oregon, de Floride, de Louisiane et d’Ohio. Les sociétés mentionnées dans ces documents étaient des entreprises de camionnage, des épiceries, des cliniques médicales, des hôpitaux, des maisons de repos, des sociétés de transports en commun, des compagnies ferroviaires, des usines de production alimentaire, des pharmacies, des stations essence, des magasins comme Target et Walmart, et des ateliers de réparation automobile.

La plupart des gens recevaient leurs attestations le vendredi ou le samedi et étaient prévenus qu’ils en auraient besoin dès la semaine suivante pour se rendre à leur travail et en revenir. »

Vous pouvez voir certaines de ces attestations qui m’ont été envoyées ici.

[NdNM : voir aussi France : Comment rédiger par écrit l’attestation de déplacement dérogatoire ? (Tutoriel Coronavirus)]

3 — Suivi obligatoire des individus par GPS

« Ne sois pas idiote. Personne ne te suit à la trace grâce à ton téléphone. Tu n’es pas Jason Bourne.»

Oups ! Raté ! 2020 a prouvé que c’était un mensonge à partir du moment où ils ont déployé des applications de recherche de contacts pour s’assurer que vous ne respiriez pas le même air qu’une personne ayant eu un test Covid positif.

« Non seulement les personnes malades ou potentiellement malades doivent s’inquiéter d’être appelées ou interrogées par des traceurs de contact, mais il existe également un tout nouveau monde de technologie dystopique qui se développe rapidement.
Apple et Google ont formé un partenariat afin de développer une application pour téléphone permettant de surveiller un tiers de la population mondiale. Le gouvernement australien a développé une application appelée COVIDSafe pour vous protéger, vous, votre famille et vos amis et sauver la vie d’autres Australiens. Plus les Australiens se connecteront à l’application COVIDSafe, plus vite nous pourrons trouver le virus.

En fait, toutes sortes de nouveaux outils technologiques potentiellement invasifs apparaissent pour combattre le Covid. Certains utilisent l’IA pour détecter les signes de Covid et le ministère de la défense déploie l’imagerie thermique pour détecter les signes de Covid.

Ces dispositifs ne disparaîtront pas une fois la pandémie terminée. Si elles sont utilisées pendant un an ou deux — quelle que soit la durée de présence du virus — il y a de fortes chances qu’elles restent. »

Donc… si vous avez un smartphone, soyez rassuré, une application comme celle-ci sera à un moment donné probablement installée de force lors d’une de ces incessantes mises à jour. Bien sûr, ils diront que l’application n’est qu’un cadre conceptuel et que vous devez l’activer pour qu’elle fonctionne. Oh, attendez, ils ont déjà dit ça. Après avoir installé « le cadre conceptuel ».

4 — Sociétés sans cash

D’une manière ou d’une autre, les États-Unis n’ont plus de monnaie.

On ne pouvait plus avoir de pièces de monnaie… nulle part… et ça a duré un certain temps. Bloomberg en a parlé en août :

« Comme si une profonde récession et une pandémie sans fin ne suffisaient pas, les États-Unis sont maintenant confrontés à une autre crise : une pénurie de pièces de monnaie. En raison des confinements, moins de pièces sont en circulation, ce qui empêche les commerçants de rendre la monnaie lorsque les clients les payent en billets. »

Beaucoup s’en sont montrés inquiets, d’autant plus que le Vénézuela a utilisé le Covid pour pousser les citoyens vers une société sans argent liquide. Ici, aux États-Unis, la « pénurie de monnaie » était tellement considérable que de nombreux magasins vous rendaient la monnaie sur une carte de fidélité ou vous invitaient à faire don de cette monnaie à une cause quelconque. Une véritable société sans numéraire permettrait un contrôle important sur notre vie quotidienne. Voir cet article pour connaître les effets totalitaires que cela aurait sur nous.

5 — Puces RFID

Le Darpa s’est impliqué très tôt, vantant les mérites de cette initiative pour nous « sauver » du Covid. Robert Wheeler a écrit :

« Mais les gouvernements n’ont pas besoin de commercialiser la micro-puce comme une méthode pour suivre, tracer et contrôler leurs populations. Au contraire, ils commercialisent la puce comme un moyen de suivre et de détecter les positifs au Covid et autres coronavirus. Il est clair que c’est bien plus facile à vendre à un public littéralement terrorisé par leurs gouvernements et les grands médias depuis six mois.

Dans son article « Une micro-puce implantable financée par la DARPA pour détecter le Covid-19 pourrait être commercialisée d’ici 2021 », Raul Diego détaille la création et le lancement prochain de la nouvelle biopuce :

« La découverte scientifique la plus importante depuis la gravité se cache au grand jour depuis près d’une décennie et son potentiel destructeur pour l’humanité est si énorme que la plus grande machine de guerre de la planète a immédiatement déployé ses vastes ressources pour la posséder et la contrôler, en finançant sa recherche et son développement par le biais d’agences comme les National Institutes of Health (NIH), la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) et la BARDA du HHS.

La percée révolutionnaire a été réalisée par un scientifique canadien nommé Derek Rossi en 2010, par pur hasard. Ce professeur de Harvard, aujourd’hui à la retraite, a affirmé dans une interview au National Post qu’il avait trouvé un moyen de « reprogrammer » les molécules qui portent les instructions génétiques nécessaires au développement des cellules dans le corps humain, sans parler de toutes les autres formes de vie biologiques.

Ces molécules sont appelées « acide ribonucléique messager » ou ARNm et la nouvelle capacité à réécrire ces instructions pour produire n’importe quel type de cellule dans un organisme biologique a radicalement changé le cours de la médecine et de la science occidentales, même si personne ne l’a encore vraiment remarqué. Comme Rossi le dit lui-même : La découverte la plus importante fut que vous pouviez maintenant utiliser l’ARNm, et si vous l’introduisiez dans les cellules, alors vous pouviez faire en sorte que l’ARNm exprime n’importe quelle protéine dans les cellules, et c’était ça le plus important. »

Note du traducteur : Raul Diego poursuit en expliquant que cette découverte était si importante,

« qu’en 2014, Rossi a pu prendre sa retraite après que la société qu’il a cofondée avec la société de capital-investissement Flagship Pioneering pour exploiter son innovation — à savoir Moderna Inc — a attiré près d’un demi-milliard de dollars de fonds fédéraux pour commencer à développer des vaccins en utilisant cette technologie. N’étant plus affilié à Moderna au-delà de ses actions, Rossi guette la suite des événements et s’il ressemble un tant soit peu à la description de père attentionné que l’on fait de lui, il doit être horrifié. »

[NdNM : voir aussi Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID? , 5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom et Disparition de l’argent liquide et puçage de masse : vers la dictature intégrale]

6 — Vaccinations obligatoires

Vous vous souvenez de l’époque où personne — sauf les « théoriciens du complot en plein délire » — ne pensait que les adultes seraient un jour obligés de se faire vacciner ? Eh bien, ce jour approche à plus grands pas qu’imaginé par beaucoup.

Un vaccin Covid très attendu pourrait être mis en place en quelques jours. Pfizer et BioNTech ont tous deux conclu la phase 3 de la mise sur le marché rapide de leurs vaccins. Il reste encore beaucoup, beaucoup de questions [sans réponses – NDT]. Dans son article du 21 novembre, le Washington Post nous fait part des informations suivantes :

« Arthur Reingold, professeur d’épidémiologie à l’école de santé publique de l’université de Californie, à Berkeley :

« Le retour à beaucoup de nos anciennes habitudes prendra du temps, et on ne sait pas encore combien de temps. Les réponses nécessitent d’autres recherches sur les vaccins, la manière dont ils peuvent être distribués et le nombre de personnes disposées à en bénéficier.

Un vaccin ne sera pas disponible immédiatement pour tout le monde.

Ceci prendra probablement quatre à six mois. Ce que j’en conclus, c’est que les gens devront continuer à porter des masques au moins jusqu’au printemps. Nous ne serons pas dans une situation magiquement différente en février ou mars. Je ne vois pas comment cela pourrait arriver. »

Tout aussi importantes sont les inconnues concernant les vaccins eux-mêmes. Les scientifiques ne savent toujours pas combien de temps durera la protection induite par le vaccin, par exemple, ni si les inoculations peuvent bloquer l’infection proprement dite ou seulement empêcher l’apparition de la maladie [ou ne réduire que les symptômes – NdT]. Si c’est le cas, c’est-à-dire si les vaccins nous empêchent de tomber malade, mais pas d’être infectés, nous pourrions quand même être contagieux pour les autres. Tant que nous ne le savons pas, ne jetez pas ces masques à la poubelle…
[…]
Andrew Badley, un immunovirologue qui préside le groupe de travail sur le Covid-19 de la clinique Mayo, affirme que le retour à des activités normales dépend de nombreux facteurs, notamment du nombre de personnes qui se font vacciner :

« La seule possibilité que la vie revienne à la normale d’ici l’été est que la majorité de la population reçoive les vaccins d’ici là et que les premières données d’efficacité soient confirmées par les études en cours. Je pense qu’il est peu probable que nous puissions vacciner la majorité de la population d’ici là. »

Et comment vont-ils s’assurer que « la majorité » de la population soit vaccinée ? Au début, ce sera facile : des tas de gens retrousseront volontiers leurs manches pour se faire vacciner avec un vaccin mis sur le marché à la hâte, sans que les effets à long terme aient été testés. Et puis, le reste d’entre nous sera contraint de ne pas pouvoir aller au travail, à un concert, à l’école ou dans un bâtiment public sans avoir la preuve qu’il a été vacciné.

Selon l’article de National Geographic publié cet été,

« Vous marchez vers le stade, prêt pour voir un grand match, billets en main. Mais ce que vous voyez, c’est une longue file d’attente qui se poursuit au coin du bâtiment avec un goulot d’étranglement à l’entrée, alors que les gens fouillent leurs poches et leurs sacs à main pour trouver un petit bout de papier. Pour être autorisé à entrer, vous devrez également présenter un document prouvant que vous avez reçu un vaccin Covid-19.

C’est l’avenir tel que le voient certains experts : un monde dans lequel vous devrez, pour assister à un match sportif, vous faire faire une manucure, aller au travail ou prendre le train, faire la preuve que vous avez été vacciné contre le nouveau coronavirus.

Arthur Caplan, bioéthicien à la faculté de médecine de l’université de New York déclare que « Nous n’en arriverons pas au point où la police vaccinale défoncera votre porte pour vous vacciner. »

Mais lui et plusieurs autres experts de la politique de santé envisagent que des obligations vaccinales pourraient être instituées et appliquées par les gouvernements locaux ou les employeurs, comme c’est le cas actuellement pour les enfants d’âge scolaire, le personnel militaire et les travailleurs hospitaliers…

[…] Les obligations peuvent également être orientés vers les consommateurs. Tout comme les propriétaires de commerces peuvent interdire l’accès à leurs restaurants, salons, scènes et magasins aux clients « sans chemise et sans pantalon », ils peuvent légalement empêcher les gens d’entrer pour un certain nombre de raisons, « tant qu’ils ne sont pas en infraction avec les lois anti-discriminatoires », explique Dorit Rubinstein Reiss, professeur de droit de la santé et des vaccins à l’université de Californie, Hastings College of the Law.

Lorsqu’un vaccin Covid-19 sera disponible, certains experts pensent que les États exigeront des entreprises ciblées qu’elles fassent respecter les obligations vaccinales pour leurs employés, en particulier ceux que nous connaissons sous le terme de « travailleurs essentiels. »

Carmel Shachar, directeur exécutif du Petrie-Flom Center for Health Law Policy, Biotechnology, and Bioethics à la faculté de droit de Harvard explique que :

« Les employés des épiceries sont exposés à beaucoup de monde, mais peuvent aussi eux-mêmes en infecter beaucoup d’autres en raison de la nature de leur travail et du fait que pratiquement tout le monde doit acheter de la nourriture. »

Les employés du secteur hôtelier — ceux qui travaillent dans les restaurants, les bars et les cafés, par exemple — pourraient également se voir confier des obligations similaires.

Carmel Shachar poursuit :

« Il est dans l’intérêt d’un employeur de s’assurer que son lieu de travail est protégé et qu’un employé ne peut pas infecter ses collègues. Le fait de disposer d’un vaccin largement accessible permet à de nombreux commerçants de ne pas avoir à contrôler le comportement de leurs clients. Si votre main-d’oeuvre est vacciné, vous n’avez pas à vous inquiéter si les personnes que vous servez au restaurant ont le Covid-19. »

Même le grand public pourrait être incité à se faire vacciner. Arthur Caplan explique :

« Bizarrement, la meilleure façon d’imposer une obligation est de récompenser les gens en leur accordant plus de liberté s’ils la respectent. Par exemple, avec une preuve d’inoculation, vous pourriez assister à un événement sportif « comme récompense pour avoir fait ce qui était bien. Et j’imagine bien les gens dire : si vous voulez entrer dans mon restaurant, mon bowling ou mon salon de tatouage, alors je veux aussi voir un certificat de vaccination. »

Des rappels d’injections pourraient également être nécessaires, en fonction de l’efficacité des futurs vaccins.

La façon dont tous ces experts prévoient de forcer une population réticente à accepter un vaccin non testé ne vous fait-elle pas éprouver des sentiments émus et chaleureux ? C’est pour notre propre bien, vous savez…

[NdNM : voir aussi Vaccinations obligatoires : j’ai choisi mon camp !, OBÉISSEZ OU AUTREMENT: Le New England Journal of Medicine dit que les personnes qui refusent les vaccins OBLIGATOIRES contre le coronavirus devraient être sévèrement punies, enfermées chez elles et licenciées de leur travail et 2022: un passeport de vaccination. L’UE garde le silence sur les documents suspects]

7 — Camps de rééducation

Vous vous rappelez comment nous avions l’habitude de plaisanter sur le fait d’être mis dans des camps de la FEMA ? Eh bien…

Enfin, pour ceux d’entre nous qui ont toujours cru que ces théories conspirationnistes n’étaient que des fables complotistes — oh — et pour les électeurs de Trump — il y a la discussion sur la façon de nous rééduquer afin que nous puissions réintégrer la société.

Dans un fil de discussion sur Twitter, nous avons vu le côté sombre de certains démocrates « bien éduqués » qui essayaient sincèrement de trouver comment récupérer ceux d’entre nous qui n’ont pas voté pour Joe Biden.

[NdNM : voir aussi LE CANADA DEVIENT TYRANNIQUE! 2nd verrouillage «total»; CAMPS DE CONCENTRATION pour réfractaires et Un journaliste québécois favorable à l’envoi des anti-vaccins en camp de concentration]

Note du traducteur : S’ensuit une succession de plusieurs tweets que vous pouvez retrouver dans l’article de Daisy Luther en lien ci-dessous. J’ai fait le choix de ne pas les inclure.

Source de l’article initialement publié en anglais le 23 novembre 2020 par Daisy Luther : The Organic Prepper
Traduction : Sott.net


Bienvenue dans le Nouvel ordre mondial

INGSOC – George Orwell, 1984

En lieu et place de la succession de tweets en anglais, je préfère renvoyer le lecteur vers les articles relatifs aux camps et à l’idéologie sous-jacente qui opère aujourd’hui au grand jour.

Le piège du revenu de base universel

Je voulais revenir sur le revenu de base universel évoqué par Daisy Luther dans son Point 1, et dont il est particulièrement question ces derniers jours dans les médias mainstream français. Avec cet article, entre autres, nous avons compris comment et pourquoi les médias abordent à un certain moment donné des thématiques bien précises, en vue de « tester » les réactions du public. Le dernier en date ne fait pas exception. Il s’agissait d’un des fers de lance du programme de Benoît Hamon lors des dernières élections présidentielles. Il avait alors nommé ce Revenu, « Revenu universel d’existence » — en acronyme, ça fait RUE… Croyez-vous que d’un point de vue sémantique ce soit un hasard ? Le même Benoît Hamon vient juste de publier un livre Ce qu’il faut de courage. Plaidoyer pour le revenu universel, et l’on peut donc considérer que puisque les médias se sont dernièrement emparés du sujet, les marionnettistes de l’ombre doivent estimer que le temps est venu de « déposer »,vraiment, le sujet dans l’esprit des Français.

Ce revenu de base universel ne peut pas vraiment voir le jour sans son corollaire : une société sans cash.

La suppression du cash, avec l’encadrement légal des moyens de productions alimentaires, constitue sans doute la base la plus solide sur laquelle pourrait reposer tout système de contrôle vraiment efficace, comme celui du revenu de base universel. Puisque l’argent détermine presque entièrement la qualité de notre vie sociale, il devient possible, en conditionnant de façon restrictive cet accès à l’argent, de contrôler la vie d’une personne dans sa quasi-totalité. C’est qu’il ne s’agit plus de savoir ce que fait, souhaite et pense le citoyen ordinaire : les autorités compétentes le savent depuis longtemps déjà, aidées en cela par les traces inévitables qu’il laisse en utilisant son ordinateur, son téléphone, sa voiture et en effectuant ses paiements par carte bancaire. Il s’agit plutôt, pour les pouvoirs en place, de disposer d’un instrument de punition sans équivalent, qui sanctionne, sans échappatoire possibleN’est-ce pas là une manière de remplacer la peine de mort physique par une peine de mort virtuelle tout aussi létale, mais politiquement correcte ?

À l’heure où les lois les plus liberticides sont votées, où le langage est surveillé, où les délits d’intention sont fantasmés, combien de temps faudra-t-il à l’État pour finaliser, à l’aide de cette crise sanitaire ET financière « tombée du ciel », le processus irréversible de la création d’une monnaie entièrement électronique ? Et à ce moment-là, que pourront bien encore faire les ennemis désignés de l’État ?

Comme toujours, présenté comme il l’est — l’idée selon laquelle l’État devrait distribuer un revenu de base de manière inconditionnelle à l’ensemble des citoyens, chômeur volontaire ou involontaire, travailleur à temps plein ou à temps partiel, et cumulable avec d’autres revenus — ce revenu universel de base fera dire à beaucoup que « c’est plutôt pas mal, c’est une bonne chose pour les pauvres ou les sous-payés, etc. ». Il suffit de lire la 4e de couv du livre de Benoît Hamon pour s’en — peut-être — laissé convaincre (ce n’est évidemment pas mon cas) :

« Le revenu universel sera la grande conquête sociale du siècle. Un instrument de justice qui permet d’éradiquer la pauvreté. Un revenu qui libère les hommes de la « cage de fer » consumériste, productiviste et capitaliste. Une bombe démocratique qui affranchit de la tyrannie du court terme, ralentit le temps et rétablit la juste hiérarchie entre l’homme et la machine. C’est par le revenu universel d’existence que nous préparerons une société où la nature n’est plus seulement considérée comme une ressource, mais comme un bien commun. Ce salaire du bonheur, par opposition au salaire de la peur, propose un choix existentiel, une éthique de l’individu réconcilié avec le collectif et la nature. »

On ressort de cette lecture avec le sentiment qu’enfin, la solution à tous nos problèmes a été trouvée. Elle libérerait l’être humain de ses chaînes ; c’est tellement beau qu’on en pleurerait, n’est-ce pas ? On en viendrait aussi presque à se demander pourquoi et comment il se fait que cette idée n’ait pas pris racine dans l’humanité avant. Un « salaire du bonheur », il fallait quand même oser ! Un rêve, véritable élaboration de la pensée imaginative qui transforme la réalité.

Mais le rêve de qui ?

Selon un article de Cairn.Info publié en 2018 :

« Cette proposition [de revenu de base universel] s’inspirait notamment de nos voisins européens, puisque des expérimentations voyaient le jour aux Pays-Bas et en Finlande, tandis qu’une votation populaire soumettait ce projet au peuple suisse en juin 2016 et était massivement rejetée. Ici, comme ailleurs, on trouve à la base de cette proposition, la thèse de la « fin du travail » ou de la raréfaction de l’emploi — notamment chez les non-qualifiés — ou encore l’idée de la perte de sens de sociétés entièrement organisées sur le paradigme de l’activité. Le diagnostic comme les solutions proposées semblent donc plus anciennes que l’actualité ne le laisserait croire et témoignent de questionnements récurrents depuis les années 1980. »

Tout d’abord, la première théorisation du « revenu universel » est attribué à Thomas Paine en 1797 :

« Dès le XVIe siècle Thomas More, dans son Utopie, envisagea un revenu permettant à tous les habitants d’une communauté d’échapper à la pauvreté. Au XVIIIe siècle, l’idée fut reprise par Voltaire dans un conte qu’il publia en 1768, L’homme aux quarante écus. La somme de quarante écus résulte de la division du nombre d’arpents du royaume — un arpent formant une superficie comprise alors entre deux mille et cinq mille mètres carrés — entre le nombre des sujets et la rente associée à la surface en question. Permettant tout juste de vivre dans des conditions modestes, elle a au moins le mérite d’être une allocation attribuée à chaque individu quel qu’il soit. Le narrateur du conte évoque également ses démêlés avec une administration fiscale pesante.

Toujours au siècle des Lumières, c’est le libéral Thomas Paine, partisan du libre-échange, du droit de propriété et chantre du gouvernement limité et des droits individuels qui défendit, dans son Sens commun paru en 1776, l’idée d’une redistribution des richesses et de l’attribution de droits sociaux. Puis, dans sa Justice agraire, publiée en 1797, partant du principe que la propriété engendre les inégalités, il défendit le revenu universel sous la forme de l’attribution inconditionnelle d’une somme pour toute personne adulte ainsi que d’une retraite inconditionnelle pour tous ceux âgés de plus de cinquante ans.

De leur côté, les mondialistes ne sont pas en peine. Selon leur livre blanc intitulé Réinitialiser le futur du monde du travail – dans un Monde Post-Covid et publié en octobre dernier, un des buts avoués du Forum économique mondial à travers le « Grand Reset », ou la « Grande réinitialisation », est de

« Réaffecter temporairement les travailleurs à différentes tâches — cela devrait toucher 30 % de la main-d’œuvre. Cela signifie également des échelles de rémunération complètement différentes — très probablement des salaires non viables, ce qui ferait du « salaire de base universel » ou du « revenu de base » également prévu — un salaire qui permet à peine de survivre, de faire face aux besoins évidents. Mais cela vous rendrait totalement dépendant du système — un système numérique, sur lequel vous n’avez aucun contrôle. »

Voir aussi notre article « Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle ».

Selon un article de Contrepoints, publié en 2016, il s’agit d’un concept effroyable :

« Sur le plan moral tout d’abord, elle instille l’idée perverse qu’on peut, sans dommage sur l’individu, rendre instantanément tout le monde directement dépendant de l’État, de la naissance à la mort. Distribuez ce revenu pendant quelques années et au bout d’un peu plus d’une génération, plus personne ne se souviendra qu’avant son arrivée, des millions de gens se passaient de son existence et savaient vivre sans lui, sans l’État, exactement de la même façon que tout le monde est maintenant persuadé de l’absolue nécessité de la guerre permanente contre les drogues ou de l’interdiction du port d’arme, même si drogues et armes furent bien plus librement disponibles dans l’Histoire sans qu’il fut question de sociétés barbares ou médiévales (on parle d’il y a moins d’un siècle).

Sur le plan économique ensuite, ce revenu deviendra en pratique un plancher pour à peu près tout, créant de l’inflation de façon immédiate ou quasiment ; de la même façon que les APL (aides publiques au logement) ont tiré les loyers vers le haut pour quasiment l’intégralité de leurs montants, le revenu universel en fera de même pour à peu près tout ; tout étant renchéri, le gain pour ceux qui n’auront que ce revenu sera à peu près nul. »

Une société sans cash, des vaccins avec implant RFID, un revenu universel, etc. constituent la camisole électronique, impossible sans la mise en place de la 5G, qui nous est tricotée par ceux qui n’ont pas notre bonheur à cœur — contrairement à ce que prétend Benoît Hamon — dans un avenir qui verra l’ensemble des transactions monétaires contrôlées par l’Etat, les banques où les grandes sociétés privées. Autrement dit, toute notre vie.

Dans un autre article où j’abordais les tests anti-Covid comme outil de contrôle et dans lequel je considérais que le monde est transformé en Virusocratie, j’écrivais ce qui suit :

[…] Nous sommes égarés dans une simulation, à la recherche de la « vérité » et de la réalité. On peut le faire entre autres en s’emparant des mots et en les analysant. Les mondialistes adorent utiliser les mots comme des armes et les épeler, voire les marteler. Ce sont des hypnotiseurs. Ils inventent à dessein de nouveaux mots, et nous forcent à les utiliser et à les ressentir. Des mots comme « Coronavirus » et « distanciation sociale », ou encore « Covid-19 », « testé positif », « vaccins » ou « sauver le monde ».

Les mondialistes écrivent des codes. Ils codent les « virus » et leur donnent une identité militarisée de type jeu vidéo. Dans ce jeu vidéo, toutes vos libertés ont été supprimées et il faut faire preuve de gratitude et de servitude. Le code viral l’emporte sur toutes les autres formes de politique. Rien ne peut le contrer. Surtout pas la « science ». Ce virus constitue aussi une métaphore générale à propos de la « désinformation » propagée, à savoir tout ce qui est extérieur à leurs doctrines religieuses, et non reconnaissable par la virologie classique.

Le code, les scénarios possibles, le mysticisme et la superstition sur la façon dont le virus se propage, ne doivent pas être remis en question. C’est une forme de socialisme environnemental post-mondialiste devenu maléfique qui exige que tout un chacun se soumette à une chance égale d’être tué par un virus. Si les mondialistes sont obsédés par la « propagation » et les « virus », c’est parce qu’ils veulent mettre un terme à toutes les formes de communication et d’échange d’informations qui menacent leur Nouvel Ordre Mondial.

Cette « Virusocratie » n’existe que grâce à la plus grande opération psychologique jamais utilisée sur des milliards d’individus au sein de laquelle la bonne science est évitée ou censurée, où les médias intimident les dissidents, dans laquelle les intérêts particuliers prévalent et où les médecins qui s’expriment sont qualifiés de « charlatans »…

Nous n’avons pas besoin de technologies qui nous déresponsabilisent, en disant et décidant à notre place où nous pouvons aller. Ce dont nous avons besoin, c’est d’exercer notre responsabilité personnelle, pour pallier les défaillances et le cynisme des dirigeants.

La pandémie de coronavirus a provoqué la pauvreté et la famine pour des millions de personnes dans le monde. Et on en voit pas le bout.

On a vraiment l’impression que presque tous les gouvernements sont cooptés ou contraints de manière tacite à adhérer aux « lignes directrices ». C’est à la fois diabolique et incompréhensible. Pourquoi ? Parce que certaines des « élites mondiales » — celles qui, nombreuses, sont flouées par les échelons supérieurs d’élites psychopathes — pensent a priori vraiment qu’elles contribuent à l’avenir et au bien-être de l’humanité. Pourtant, leurs actions ont entraîné une misère abjecte, du chômage et du désespoir. Sans de telles mesures coercitives, il serait difficile d’expliquer pourquoi presque tous les gouvernements de la planète se soumettent à cet horrible programme social et économique et mentent, encore et encore à leur population de façon abjecte. Ces populations même qu’ils sont censés protéger contre le chômage, la famine et le désespoir. Ajoutons aussi la corruption « organisée » intrinsèque au monde dans lequel nous vivons, avec la Fondation Bill Gates et l’Open Society de George Soros qui financent — entre autres — le Conseil de l’Europe et ses institutions comme par exemple la Cour européenne des Droits de l’Homme. Au-delà de l’Union européenne, la Fondation Gates et l’Open Society — entre autres, là encore, car on peut y ajouter Ford ou Oak — financent aussi l’ONU et la Cour pénale internationale. Le fait que toutes ces fondations et ONGs privées financent des institutions dites publiques en dit long sur la privatisation de ces mêmes institutions qui, de fait, ne peuvent plus être indépendantes — nonobstant le fait qu’elles ne l’ont peut-être jamais vraiment été. L’influence politique globale qu’elles s’octroient par leurs dons privés leur donne une marge de manœuvre qui anéantit même toute illusion ou promesse de démocratie.

Les technocrates du monde entier prétendent nous préserver du coronavirus aujourd’hui, en accélérant un système de production qui compromet déjà notre survie de demain. En plus d’être voué à l’échec, c’est absurde… Quoique du point de vue des Pouvoirs en place, ça ne l’est certainement pas : entre l’«Event 201», le «Lock-Step», Bill Gates et sa GAVI, Rockfeller ou l’OMS, sans omettre le Forum économique mondial, il y a tout lieu de penser que ce que nous vivons aujourd’hui correspond à des scénarii pré-établis, propres à nous faire passer à toute vitesse dans un monde orwellien dématérialisé, inhumain et mortifère, qui aurait fait rêver Hitler ou Staline.

Ce qui est en jeu nous menace d’un grand péril : la mise à mort progressive de la conscience. Thomas Merton met en lumière la métaphore de la grenouille qui ne savait pas qu’elle était cuite, parce qu’un changement, s’il est suffisamment dilué dans le temps, échappe à la conscience et ne suscite ni réaction ni révolte avant un point de non retour :

« Le grand danger est que, sous la pression de l’anxiété et de la peur, de l’alternance des crises et puis de détente et puis de nouvelles crises, les peuples du monde en viennent à accepter progressivement […] l’idée de soumission au pouvoir total, et l’abdication de la raison, de l’esprit et de la conscience individuelle. »

~ Thomas Merton

[À propos de l’auteur]

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M.K. Scarlett 

Autodidacte, M.K. Scarlett réside en France et a rejoint l’équipe des éditeurs et traducteurs de SOTT en 2012. Ses rubriques favorites « Feu dans le Ciel », « Les Maîtres du Monde » et « Histoire Secrète » n’enlèvent en rien l’intérêt qu’elle porte aux autres. Quand elle n’a pas le nez dans un livre, M.K. Scarlett pratique aussi la photographie et le graphisme.




Les faits sur le coronavirus

[Source : Swiss Propaganda Research]

Des faits entièrement référencés sur le Covid-19, fournis par des experts en la matière, pour aider nos lecteurs à faire une évaluation réaliste des risques.

« La seule façon de lutter contre la peste, c’est  l’honnêteté. »

Albert Camus, 1947

Aperçu

  1. Selon les données des pays et régions les mieux étudiés, la létalité du Covid19 est en moyenne de 0,2% environ et est donc de l’ordre d’une forte grippe (Influenza) et environ vingt fois inférieure à celle initialement supposée par l’OMS .
  2. Le risque de décès pour l’ensemble de la population en âge d’aller à l’école et de travailler, même dans les « hotspots » (foyers d’infections) mondiaux, est du même ordre que le risque de décès lors des déplacements quotidiens pour aller au travail en voiture. Au départ le risque a été surestimé car les personnes ne présentant aucun symptôme ou des symptômes légers n’ont pas été incluses.
  3. Jusqu’à 80% des personnes testées positives ne présentent aucun symptôme . Même chez les 70 à 79 ans, environ 60% restent asymptomatiques. Plus de 95% des personnes ne présentent au plus que des symptômes bénins .
  4. Jusqu’à un tiers de la population a déjà une immunité de fond au Covid19 par contact avec des coronavirus précédents (c’est-à-dire des virus du rhume).
  5. L’âge médian des personnes décédées dans la plupart des pays (y compris l‘ Italie ) est supérieur à 80 ans et seulement 1% environ des personnes décédées n’avaient pas de maladie grave antérieure. Le profil de la mortalité correspond donc essentiellement à une mortalité normale .
  6. Dans la plupart des pays, jusqu’à 50 à 70% des décès sont survenus dans des EHPAD , qui ne tirent aucun bénéfice d’un confinement général. De plus, il n’est souvent pas clair si ces personnes sont vraiment décédées du Covid19 ou de stress à des niveaux élevés, de peur et de solitude .
  7. Jusqu’à 50% des décès en excès ne sont pas provoqués par le Covid19, mais par les effets du confinement, la panique et la peur. Ainsi le traitement des crises cardiaques et accidents vasculaires a reculé jusqu’à 60 % parce que les patients n’osent plus se rendre dans les centres de soins.
  8. Même dans les soi-disant « décès Covid19 » , il n’est souvent pas clair si les personnes sont décédés par ou avec le virus (c’est à dire un décès à cause d’une pathologie préexistante), ou encore que se soit des « cas suspectés », qui n’ont simplement pas été testés. Il est à constater que les chiffres officiels ne reflètent souvent pas ces distinctions .
  9. De nombreux reportages dans les médias, rapportant que des jeunes et des personnes en bonne santé sont décédés du Covid19, se sont avérés être faux : Beaucoup de ces personnes ne sont en fait soit pas mortes du Covid19, ou alors elles étaient déjà gravement malades auparavant (par exemple une leucémie non détectée), ou ils avaient 109 ans au lieu de 9 ans.
  10. La mortalité globale normale quotidienne aux États-Unis est d’environ 8 000, en Allemagne d’environ 2 600, en Italie d’environ 1 800 et en Suisse d’environ 200 personnes par jour. La mortalité de la grippe aux États-Unis peut atteindre 80 000, en Allemagne et en Italie jusqu’à 25 000 et en Suisse jusqu’à 2 500 personnes par hiver. Dans plusieurs pays, le Covid19 n’a pas atteint ces niveaux-là .
  11. Des taux de mortalité très élevés, comme dans le nord de l’Italie, peuvent être influencés par des facteurs de risque supplémentaires tels qu’une pollution atmosphérique et une contamination microbienne très élevées ainsi qu’un effondrement des soins aux personnes âgées et des soins infirmiers dû aux infections, à la panique de masse et au confinement.. Des réglementations spéciales concernant les personnes décédées ont parfois entraîné des goulots d’étranglement supplémentaires dans les enterrements.
  12. Dans des pays comme l’Italie et l’Espagne ainsi qu’en partie au Royaume-Uni et aux États-Unis, les vagues de grippe ont déjà entraîné une surcharge des hôpitaux. Actuellement, jusqu’à 15% des médecins et infirmières, même sans symptômes, doivent être mis en quarantaine.
  13. Les courbes exponentielles souvent présentées avec des « cas corona » sont trompeuses, car le nombre de tests augmente également de façon exponentielle. Dans la plupart des pays, le rapport des tests positifs au test global (taux dit positif) reste constant de 5 à 25% ou n’augmente que légèrement. Le pic des infections a atteint son apogée dans la plupart des pays avant les confinements.
  14. Les pays sans confinements et interdictions de contacts, tels que le Japon, la Corée du Sud et la Suède n’ont jusqu’à présent pas connu de tendance plus négative que les autres pays. La Suède a même récemment été saluée par l’OMS comme un modèle exemplaire et bénéficie désormais d’une immunité élevée.
  15. La crainte d’une pénurie de respirateurs artificiels était injustifiée . Selon des pneumologues , la ventilation invasive (intubation) des patients atteints de Covid19, qui était en partie dûe à la peur du virus, est souvent contre – productive et endommage en outre les poumons.
  16. Contrairement aux hypothèses initiales, diverses études ont montré qu’il n’y a aucune preuve de propagation du virus par les aérosols (particules en suspension dans l’air) ou par des frottis (comme les poignées de porte, les smartphones ou chez le coiffeur) .
  17. Il n’y a pas non plus de fondement scientifique pour l’efficacité des masques respiratoires chez les personnes en bonne santé ou asymptomatiques . Au contraire , les experts avertissent que ces masques entravent la respiration et deviennent des «lanceurs de germes» .
  18. De nombreuses cliniques en Europe et aux États – Unis sont restées sous – utilisées et ont même parfois dû recourir au chômage partiel . De nombreuses opérations et thérapies ont été annulées , notamment des transplantations d’organes «non essentielles» et des dépistages du cancer.
  19. Plusieurs médias ont été surpris en train de dramatiser la situation dans les hôpitaux, parfois même avec des images manipulatrices. En général, les reportages douteux de nombreux médias ont maximisé la peur au sein de la population.
  20. Les kits de test de virus utilisés à l’échelle internationale sont sujets à des erreurs et peuvent donner des résultats faussement positifs ou faussement négatifs. Le test de virus officiel n’a pas non plus été validé cliniquement à cause de la contrainte liée au temps et peut parfois également réagir à d’autres virus corona .
  21. De nombreux experts de renommée internationale dans les domaines de la virologie, de l’immunologie et de l’épidémiologie considèrent les mesures prises comme contreproductives et recommandent une immunisation naturelle rapide de la population générale et la protection des groupes à risque. Il n’y a jamais eu de raison médicale pour la fermeture des écoles .
  22. Plusieurs experts ont décrit les vaccins obligatoires contre les coronavirus comme inutiles, voire dangereux . En fait, le vaccin contre la soi-disant grippe porcine de 2009 a entraîné de graves dommages neurologiques et a donné lieu à des indemnisations à hauteur de millions (de livres sterling).
  23. Le nombre de personnes à travers le monde qui, à cause des mesures anti-corona , souffrent de chômage, de problèmes de santé mentale, de violence domestique, est monté en flèche . Plusieurs experts estiment que les mesures anti-corona provoqueront plus de morts que le virus lui – même. Selon l’ONU des millions de personnes à travers le monde sont en train de tomber dans la pauvreté et la famine absolue.
  24. Le lanceur d’alerte et dénonciateur de la NSA, Edward Snowden, a averti que la crise corona était utilisée pour l’expansion massive et permanente des outils mondiaux de surveillance. Le célèbre virologue Pablo Goldschmidt a parlé de « terreur médiatique mondiale » et de « mesures totalitaires ». L’infectiologue britannique John Oxford a parlé d’une « épidémie médiatique ».
  25. Plus de 500 scientifiques ont mis en garde contre une « surveillance sans précédent de la société » grâce à des applications de suivi de contact problématiques. Dans certains pays, ce suivi de contact est déjà effectué directement par les service secrets. À travers le monde ça a abouti à une surveillance de la population civile par des drones et dans certains cas à des violences policières massives.
Pour plus d’informations en français, voir aussi Covid Infos.

6 mai 2020

Interviews d’experts
  • Le professeur de Stanford John Ioannidis explique dans une interview à CNN que Covid19 est une « maladie répandue et bénigne » comparable à la grippe (influenza) pour la population générale, alors que les patients des maisons de retraite et des hôpitaux devraient bénéficier d’une protection supplémentaire
  • Le professeur Scott Atlas, de Stanford, explique dans une interview à CNN que « l’idée de devoir stopper le Covid19 a créé une situation catastrophique en matière de soins de santé ». Le professeur Atlas affirme que la maladie est « généralement bénigne » et que des craintes irrationnelles ont été créées. Il ajoute qu’il n’y a « absolument aucune raison » de procéder à des tests approfondis dans la population générale, ce qui n’est nécessaire que dans les hôpitaux et les maisons de retraite. Le professeur Atlas a écrit un article fin avril intitulé « The data are in – Stop the panic and end total isolation » (« Les données sont là – Arrêtez la panique et mettez fin au confinement total ») qui a suscité plus de 15 000 commentaires.
  • Le Dr Knut Wittkowski, épidémiologiste, explique dans une nouvelle interview que le danger du Covid19 est comparable à celui d’une grippe et que le pic a déjà été dépassé dans la plupart des pays avant le confinement. Le confinement de sociétés entières a été une « décision catastrophique » sans avantages mais causant d’énormes dégâts. La mesure la plus importante est la protection des maisons de retraite. Les déclarations de Bill Gates sur le Covid19 sont « absurdes » et « n’ont rien à voir avec la réalité », une vaccination contre le Covid19 n’est pas nécessaire. Le modèle Covid19 influent de l’épidémiologiste britannique Neil Ferguson a été un « échec complet ».
  • Le virologiste allemand Hendrik Streeck explique les résultats finaux de son étude pionnière sur les anticorps. Streeck a trouvé une létalité du Covid19 de 0,36%, mais explique dans l’interview qu’il s’agit d’une limite supérieure et que la létalité est probablement de l’ordre de 0,24 à 0,26%, voire moins. L’âge moyen des personnes décédées après un test positif était d’environ 81 ans.
  • Le professeur de biologie et prix Nobel Michael Levitt, qui analyse la propagation du Covid19 depuis février, décrit le confinement général comme une « énorme erreur » et appelle à des mesures plus ciblées, notamment pour protéger les groupes à risque.
  • Le professeur émérite de microbiologie Sucharit Bhakdi explique dans une nouvelle interview en Allemagne que la politique et les médias mènent une « campagne de peur intolérable » et une « campagne de désinformation irresponsable » envers la population. Les masques pour la population en général sont des « attrapeurs de germes » inutiles et dangereux. La crise actuelle a été provoquée par les politiciens eux-mêmes et n’a pas grand chose à voir avec le virus. Un vaccin contre le coronavirus est « inutile et dangereux », comme ce fut le cas pour la grippe porcine, et la vaccination obligatoire est une erreur. L’OMS « n’a pas assumé la responsabilité de ses nombreuses mauvaises décisions » au fil des ans, affirme le professeur Bhakdi. (Note : la vidéo a été temporairement supprimée par YouTube).
  • Le docteur Pietro Vernazza, médecin en chef suisse en infectiologie, explique dans une nouvelle interview que la maladie du Covid19 est « bénigne pour la grande majorité des gens ». Le « comptage des personnes infectées et la demande de tests supplémentaires » n’aiderait pas beaucoup. En outre, la plupart des personnes figurant dans les statistiques pour le coronavirus ne mourraient pas uniquement de la maladie Covid-19. Le taux de létalité du Covid-19 est « de l’ordre de grandeur d’une grippe saisonnière ». Il n’existe aucune preuve du bénéfice des masques faciaux chez les personnes qui ne présentent pas elles-mêmes de symptômes (version archivée).
Études médicales
  •  Un nouvel aperçu des études existantes à partir de la PCR et des anticorps montre que la valeur médiane de la létalité du Covid19 (IFR) est de 0,20 % et se situe donc dans la fourchette d’une grippe forte.
  •  Une nouvelle étude sur les anticorps chez les donneurs de sang danois a montré une très faible létalité de Covid19 (IFR) de 0,08 % pour les personnes de moins de 70 ans.
  •  Une nouvelle étude d’anticorps réalisée en Iran, l’un des pays les plus anciens et les plus touchés par le Covid19, a également montré une très faible létalité de 0,08 % à 0,12 %.
  • Une nouvelle étude sur les anticorps réalisée au Japon conclut que 400 à 800 fois plus de personnes ont été en contact avec le nouveau coronavirus que ce que l’on pensait auparavant, mais n’ont présenté aucun ou presque aucun symptôme. Le Japon n’a effectué que peu de tests jusqu’à présent.
  • Une nouvelle étude menée en Allemagne, avec la participation du virologue Christian Drosten, montre qu’environ un tiers de la population possède déjà une certaine immunité cellulaire au  Covid19, probablement par contact avec des coronavirus antérieurs (virus du rhume). Cette immunité cellulaire par les cellules dites T est nettement plus élevée que ce que suggèrent les tests PCR et les tests d’anticorps et peut expliquer en partie pourquoi de nombreuses personnes ne développent aucun symptôme avec le nouveau coronavirus.
  • Dans une prison de l’État U.S du Tennessee, seules deux personnes testées positives sur 1349 présentaient des symptômes.
  • Sur le porte-avions français Charles de Gaulle, aucun des 1046 marins testés positifs n’est mort à ce jour. Sur le porte-avions étatsunien Theodore Roosevelt, un des 969 marins testés positifs est décédé jusqu’à présent (les conditions préalables et la cause exacte de la mort ne sont pas connues).
  • De nombreux médias ont fait état de prétendues « réinfections » de personnes qui avaient déjà récupérées en Corée du Sud. Cependant, les chercheurs sont maintenant arrivés à la conclusion que les 290 cas suspects étaient tous des résultats de tests faussement positifs causés par des « fragments de virus non infectieux ». Ce résultat souligne une fois de plus le manque de fiabilité bien connu des tests PCR de détection du virus.
Autres mises à jour médicales
  • De nombreux médias ont rapporté qu’en rapport avec le Covid19, de plus en plus d’enfants tomberaient malades de la maladie dite de Kawasaki (une inflammation vasculaire). Toutefois, la Fondation britannique pour la maladie de Kawasaki a publié un communiqué de presse indiquant que le nombre de cas de Kawasaki signalés actuellement est inférieur à la normale, et non supérieur, et que sur les quelques cas signalés, seule la moitié environ avait été testée positive au coronavirus.
  •  Dans une lettre ouverte au ministère français de la santé, un médecin français parle de Covid19 comme de « la plus grande escroquerie sanitaire du 21e siècle ». Le danger du virus pour la population générale se situe dans la gamme de la grippe et les conséquences du confinement sont plus dangereuses que le virus lui-même, affirme le médecin français.
  • En France, une enquête ultérieure a révélé que le premier patient positif au Covid19 avait déjà été traité fin décembre 2019, soit un mois plus tôt que prévu. L’homme était traité pour ce qui semblait être une pneumonie liée à la grippe. Ce cas montre que le nouveau coronavirus est soit arrivé en Europe plus tôt que prévu, soit qu’il n’est pas aussi nouveau qu’on le supposait, soit que le résultat du test était un faux positif. En outre, il n’est pas certain que l’homme, qui s’est remis depuis longtemps, souffrait réellement de la grippe ou du coronavirus, ou des deux.
  • Le directeur exécutif de l’OMS a récemment salué la Suède comme un modèle de réussite pour sa gestion du Covid19. La Suède a mis en œuvre sa politique de santé avec succès et « en partenariat avec la population », a-t-il déclaré. Auparavant, la Suède avait été fortement critiquée pendant des semaines par les médias et les politiciens étrangers pour son approche détendue du Covid19.
  • Le Belarus, qui a pris le moins de mesures contre le Covid19 de tous les pays européens et qui n’a même pas annulé des événements majeurs comme des matchs de football, ne compte que 103 décès positifs ou suspectés de Covid19 après plus de deux mois. Le président biélorusse de longue date, Loukachenko, a qualifié le Coronavirus  de « psychose« . Les critiques affirment qu’il ne révèle pas le nombre réel de décès.
  • Un chercheur canadien a effectué une analyse documentaire approfondie qui a révélé que les masques faciaux n’offrent pas de protection mesurable contre le rhume et la grippe.
  • Un psychiatre en chef suisse s’attend à une forte augmentation des problèmes psychologiques et à plus de 10 000 suicides supplémentaires dans le monde en raison du confinement mondial et du chômage.
  • Le nombre dit de reproduction, qui indique la prolifération du Covid, devient de plus en plus une question politique. Cependant, cela ne change pas les faits : le pic de la propagation était déjà atteint dans la plupart des pays avant le confinement et le taux de reproduction est tombé à la valeur stable de un ou en dessous de celle-ci grâce à des mesures simples de la vie quotidienne et d’hygiène. Le confinement était donc inutile du point de vue épidémiologique.
  • Le tableau clinique et les groupes à risque des coronavirus Covid19 sont probablement liés à l‘utilisation du récepteur cellulaire ACE2, que l’on trouve dans les bronches et les poumons, mais aussi dans les vaisseaux sanguins, les intestins et les reins. Cependant, d’autres coronavirus, en particulier le virus du rhume NL63, utilisent également le récepteur cellulaire ACE2. Certains chercheurs s’attendent donc à ce que le coronavirus Covid19 devienne lui aussi un virus du rhume typique à moyen terme.
  • L’origine exacte du nouveau coronavirus n’est pas encore claire. L’explication la plus simple reste la transmission ou la mutation naturelle, qui se produit assez souvent. Il est vrai, cependant, que le laboratoire virologique de Wuhan, dans le cadre d’un programme de recherche cofinancé par les États-Unis, a étudié les coronavirus des chauves-souris et a également examiné leur transmissibilité à d’autres mammifères, ce que certains chercheurs critiquent depuis des années comme étant trop risqué. Le célèbre directeur du laboratoire a toutefois expliqué que le nouveau virus ne correspondait pas aux coronavirus étudiés en laboratoire. Les rumeurs antérieures sur les « armes biologiques » ou les « séquences VIH » doivent être considérées comme une désinformation compte tenu de la relative innocuité du coronavirus.
Maisons de retraite et de soins pour personnes âgées

Les maisons de retraite jouent un rôle absolument essentiel dans la situation actuelle du corinavirus. Dans la plupart des pays occidentaux, 30 à 70 % de tous les décès « liés au Covid » se sont produits dans des maisons de retraites ou hospices, ou Ehpad (dans certaines régions, même jusqu’à 90 %). On sait également que la crise dans le nord de l’Italie a commencé par un effondrement des soins infirmiers pour les personnes âgées, provoqué par la panique.

Les maisons de soins pour personnes âgées et de retraites nécessitent une protection ciblée et ne bénéficient pas d’un confinement général de la société. Si l’on ne considère que les décès dans la population générale, dans la plupart des pays, ils se situent dans la fourchette d’une vague de grippe normale ou même légère.

En outre, dans de nombreux cas, on ne sait pas très bien de quoi sont réellement morts les pensionnaires des maisons de retraite, c’est-à-dire s’il s’agissait de Covid19 ou de stress, de peur et de solitude. En Belgique, par exemple, on sait qu’environ 94 % de tous les décès dans les maisons de retraites sont des « cas présumés » non testés.

Une nouvelle analyse des statistiques françaises montre en outre ce qui suit : dès qu’il y a un « cas suspect » dans une maison de retraite (par exemple à cause de la toux), tous les décès sont considérés comme des « décès suspects du Covid19 », et dès qu’il y a un « cas confirmé » dans une maison de retraite (même s’il ne présente aucun symptôme), tous les décès sont considérés comme des « décès confirmés au Covid19 ».

Un rapport allemand décrit de manière très vivante les conditions extrêmes dans lesquelles des centaines de milliers de patients en maisons de soins et de retraite ont dû vivre ces dernières semaines, souvent contre leur gré. Nombre de ces patients ont à peine pu quitter leur chambre, n’ont plus été autorisés à sortir à l’air libre ou à recevoir la visite de leurs proches.

Dans plusieurs maisons de retraite, le test PCR, sujet à des erreurs, a en outre provoqué de graves fausses alertes et la panique. Dans une maison de retraite canadienne, les employés ont fui par crainte du coronavirus, ce qui a entraîné la mort tragique de 31 patients par manque de soins.

L’ancien journaliste du New York Times et critique du coronavirus, Alex Berenson, écrit sur Twitter :

« Soyons clairs : le fait que les décès dans les maisons de retraite ne soient pas au centre de la couverture médiatique quotidienne du COVID vous dit tout ce que vous devez savoir sur la priorité des médias – qui est d’instiller la panique (et de punir Trump), et non de mener une bonne politique de santé ».

Analyse complète :  Mortality associated with COVID-19 outbreaks in care homes: early international evidence (« Mortalité associée aux épidémies de COVID-19 dans les maisons de soins : premières preuves internationales ») (LTC Covid, mai 2020)

Décès dans les maisons de repos et de soins pour personnes âgées, chiffres absolus et en pourcentage (LTC Covid)

Décès dans les maisons de repos et de soins pour personnes âgées, chiffres absolus et en pourcentage (LTC Covid)

Grande-Bretagne
  •  La mortalité cumulée toutes causes confondues au Royaume-Uni reste de l’ordre des cinq plus fortes vagues de grippe des 25 dernières années. Le pic des décès quotidiens à l’hôpital a déjà été atteint le 8 avril (voir le graphique ci-dessous).
  • De nouvelles données statistiques montrent qu’à la mi-avril, sur environ 12 000 décès supplémentaires, environ 9 000 étaient « liés à la Covidose » (y compris les « cas suspects »), mais environ 3 000 étaient « non liés à la Covidose ». En outre, sur le total d’environ 7 300 décès dans les maisons de retraite, seuls 2 000 environ étaient « liés à la maladie du Covid ». Tant pour les « décès liés au Covid19 » que pour les décès non liés au Covid19, il est souvent difficile de savoir de quoi ces personnes sont réellement mortes. L’Association des pathologistes britanniques a donc demandé une « étude systématique des véritables causes de décès« .
  • Les hôpitaux temporaires „Nightingale“ au Royaume-Uni sont restés jusqu’à présent largement vides. Une situation similaire a déjà été observée en Chine, aux États-Unis et dans de nombreux autres pays.
  • Fin avril, on a appris que le confinement n’était apparemment pas, comme cela a été officiellement déclaré, recommandé par une seule commission scientifique, mais qu’un haut conseiller du gouvernement avait « poussé » les scientifiques à soutenir le confinement.
Bulletin de surveillance du SWPRS au 6.05.20 sur l'épidémie de coronavirus et la coronapanique (Vidéos)

L’Angleterre : Décès avec tests positifs dans les hôpitaux (NHS)

États-Unis
  •  Le dernier rapport du CDC étatsunien montre que le taux d’hospitalisation lié au Covid19 chez les plus de 65 ans se situe dans la fourchette des fortes vagues de grippe. Il est légèrement plus élevé chez les 18 à 64 ans et nettement plus faible chez les moins de 18 ans.
  • Vidéo : Une infirmière de New York City a déclaré dans une vidéo dramatique que New York « tue » les patients atteints de Covid19 en les mettant sous respirateur invasif et en détruisant leurs poumons. L’utilisation de ventilateurs invasifs (au lieu de masques à oxygène) se fait « par peur de propager le virus ». C’est « un film d’horreur », « non pas à cause de la maladie, mais à cause de la façon dont elle est traitée », a expliqué l’infirmière. Depuis mars, les experts mettent en garde contre l’intubation des patients atteints de Covid19.
  • Le Dr Daniel Murphy, chef du service des urgences d’un hôpital très touché de New York, recommande de mettre rapidement fin à ce confinement. Selon le Dr Murphy, la vague de Covid19 avait déjà atteint son point culminant le 7 avril. Le Covid19 est un problème grave, mais la crainte qu’elle suscite est exagérée, car la grande majorité de la population est tout au plus légèrement malade. Sa plus grande inquiétude est maintenant la forte diminution des soins aux patients et aux enfants en cas d’urgence, due au blocage et à la peur généralisée de la population.
  • Vidéo : La plateforme conservatrice de dénonciation Project Veritas s’est entretenue avec les directeurs de pompes funèbres de New York qui ont déclaré qu’actuellement Covid est écrit « sur tous les certificats de décès » (des cas suspects), qu’il y ait eu un test ou non. De nombreuses personnes meurent actuellement chez elles, et souvent la cause exacte du décès n’est plus vérifiée. Les statistiques Covid19 sont gonflées pour des raisons politiques ou financières, ont déclaré les directeurs.
  • Le directeur du département de la santé de l’Illinois a confirmé que même les personnes en phase terminale qui meurent clairement d’une autre cause mais qui sont testées positives pour le virus Covid19 avant ou après leur décès sont enregistrées comme des décès Covid19
  • En raison du confinement, 30 millions de personnes aux États-Unis ont déjà demandé des allocations de chômage à la fin du mois d’avril – c’est beaucoup plus que ce que le Bureau international du travail (BIT) avait initialement prévu pour le monde entier.
  • Le patron de Tesla, Elon Musk, a qualifié les couvre-feux californiens de « fascistes« . L' »emprisonnement forcé » des gens dans leur maison viole tous leurs droits constitutionnels, a expliqué Musk lors d’une conférence téléphonique.
  • Vidéo : Une mère a eu affaire avec la police à son domicile parce que ses enfants jouaient illégalement avec les enfants des voisins.
  • Vidéo : Fin avril, certains photographes ont été pris dans une mise en scène partielle d’une manifestation des travailleurs sociaux contre les manifestants anti-confinement. (En savoir plus).
Suisse
  • Une infirmière suisse a écrit un article très partagé sur la situation actuelle. Elle explique que les hôpitaux suisses sont restés largement vides et ont dû, dans certains cas, licencier du personnel. Elle ajoute qu’il est très inhabituel de transférer des personnes de plus de 80 ans aux unités de soins intensifs à cause d’une grippe ou d’une pneumonie, où elles doivent alors mourir seules au lieu d’être avec leur famille. Si cela était fait, les unités de soins intensifs seraient surchargées presque chaque hiver. L’infirmière critique le fait que la plupart des médias n’ont pas suffisamment abordé les récentes découvertes scientifiques sur le risque global plutôt faible de Covid19.
Décès cumulés par rapport aux décès attendus, 2010 à 2020 (KW17, BFS/Stotz)

Décès cumulés par rapport aux décès attendus, 2010 à 2020 (KW17, BFS/Stotz)

Allemagne et Autriche
  •  Selon un protocole de la Task Force Corona autrichienne qui a fait l’objet d’une fuite, le Chancelier Kurz aurait exigé en mars que la population ait « plus peur » de l’infection ou de la mort de ses parents ou grands-parents. Un document stratégique du ministère fédéral allemand de l’intérieur avait déjà été connu auparavant, qui appelait également à une campagne de peur pychologique qui a effectivement été mise en œuvre par les politiciens et les médias. Rétrospectivement, la question se pose de savoir combien de personnes sont mortes à cause de cette peur largement infondée.
  • Une lettre ouverte comportant déjà environ 5000 signatures de personnes de plus de 64 ans réclame : « Coronavirus : Ne nous protégez pas, nous les personnes âgées, à ce prix ! Décidons nous-mêmes ! » Pour la protection des groupes à risque, il ne faut pas outrepasser les droits fondamentaux de la société entière, affirment les auteurs.
  • En Autriche (et peut-être aussi dans d’autres pays), il est toujours interdit de s’embrasser entre personnes amoureuses, mais pas de vivre ensemble. Cela s’applique aussi bien en public que dans son propre appartement, a expliqué le ministre autrichien de la santé.
  • Un avocat allemand poursuit actuellement devant plusieurs tribunaux les mesures anticoronavirus du gouvernement, car elles sont « manifestement anticonstitutionnelles« .
  • Vidéos : En Allemagne, il y a eu récemment plusieurs cas de dépassement sérieux de la part de la police. Une jeune femme a été brutalement arrêtée par plusieurs policiers alors qu’elle faisait des courses, car elle s’était apparemment „approchée de 20 cm de trop“ d’une policière. Une autre femme a reçu l’ordre de la police, lors d’un rassemblement, de ne pas tenir la constitution allemande devant sa poitrine, car il s’agissait d’un „message politique illégal“. L’organisateur d’un rassemblement pacifique à Berlin a également été arrêté de manière assez brutale. Même des femmes âgées ont été arrêtées de manière disproportionnée. (Attention : images choquantes de violence policière).
Autres mises à jour
  •  Le PDG de Youtube a annoncé dans une interview fin avril que les contributions vidéo sur les coronavirus qui contredisent les directives de l’OMS ou des autorités sanitaires nationales seront supprimées. Par exemple, la vidéo des deux médecins urgentistes californiens coronasceptique, qui a été visionnée plus de cinq millions de fois, a été supprimée. De même, l’interview du professeur Sucharit Bhakdi, dont le lien figure ci-dessus, a été au moins temporairement supprimée par Youtube.
  •  Dans le magazine  étatsunien The Atlantic, deux professeurs de droit ont écrit un article intitulé : « Internet Speech Will Never Go Back to Normal« . In the debate over freedom versus control of the global network, China was largely correct, and the U.S. was wrong. »
    (« Le discours sur Internet ne reviendra jamais à la normale. Dans le débat entre la liberté et le contrôle du réseau mondial, la Chine avait largement raison, et les États-Unis avaient tort ».)
  •  Peter Hitchens : « We’re destroying the nation’s wealth – and the health of millions » (« Nous détruisons la richesse de la nation – et la santé de millions de personnes« ). « Si vous ne défendez pas votre liberté la plus fondamentale, celle d’aller légalement où vous voulez quand vous voulez, alors vous la perdrez pour toujours. Et ce n’est pas tout ce que vous perdrez. Regardez la censure de l’internet, qui se répand comme une grande tache sombre, la mort du Parlement, la conversion de la police en milice d’État ».
  • Mathias Döpfner, PDG d’Axel Springer et l’un des directeurs de médias les plus influents d’Allemagne, appelle à un « découplage de la Chine » et à un renforcement de l’alliance transatlantique avec les États-Unis au lendemain de la crise du Coronavirus.
  • Washington Post : « The last time the government sought a ‚warp speed‘ vaccine, it was a fiasco » (« La dernière fois que le gouvernement a cherché un vaccin « à toute vitesse », ce fut un fiasco »). La vaccination express contre la grippe porcine de 1976 a entraîné paralysies et décès.
  • Rétrospective : Woodstock s’est produit en pleine pandémie. Sur la gestion plutôt détendue de la pandémie mondiale de grippe de 1968 (en savoir plus).
Covid-19 et les médias

Beaucoup de gens sont choqués par les reportages douteux et souvent alarmistes de Covid19 sur de nombreux médias. De toute évidence, il ne s’agit pas de « reportage ordinaire », mais d’une propagande classique et massive, telle qu’elle est généralement employée en relation avec les guerres d’agression ou le prétendu  terrorisme.

Le SPR a dépeint les réseaux de médias responsables de la diffusion de cette propagande dans des infographies antérieures pour les États-Unis, l‘Allemagne et la Suisse. Même le lexique Internet prétendument « ouvert » Wikipedia fait partie intégrante de cette structure médiatique géopolitique.

La position politique et le rapport au pouvoir des différents médias ont été analysés et comparés dans le cadre du SPR Media Navigator. Le Media Navigator peut également être utile pour évaluer les reportages actuels de Covid19 par les différents médias.

Covid-19 et surveillance de masse

L’évolution de loin la plus importante et, du point de vue de la société civile, la plus dangereuse en réponse au coronavirus est la tentative politique apparente d’étendre massivement la surveillance et le contrôle de la société. Dans ce contexte, le lanceur d’alerte de la NSA, Edward Snowden, a mis en garde contre l’émergence d’une « architecture de l’oppression« .

Le coronavirus de type grippal peut servir de justification ou de prétexte à l’introduction de mesures stratégiques visant à étendre la surveillance et le contrôle d’une société de plus en plus malmenée. Parmi les instruments les plus importants actuellement en discussion par plusieurs gouvernements, on peut citer

  1. L’introduction d’applications permettant de „tracer“ les contacts dans la société
  2. La mise en place d’unités chargées de la recherche et de l’isolement des citoyens
  3. L’introduction de cartes d’identité biométriques numériques pour contrôler et réglementer la participation à des activités sociales et professionnelles.
  4. L’extension du contrôle des voyages et des transactions de paiement (y compris la suppression des espèces).
  5. La création d’une base juridique pour l’accès et l’intervention des gouvernements ou des entreprises dans les systèmes biologiques des citoyens (par le biais de ce que l’on appelle les « vaccinations obligatoires »).

Aux États-Unis, l’ancien président Bill Clinton a discuté en avril avec les gouverneurs de différents États de la mise en place d’un réseau national de « traceurs de contact ». Le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a alors annoncé qu’avec le milliardaire et ancien maire de la ville de New York, Michael Bloomberg, il créerait une « armée de recherche des contacts » comprenant jusqu’à 17 000 traceurs de contacts pour New York.

Pendant ce temps, au Royaume-Uni et dans de nombreux autres pays, les gouvernements demandent l’introduction de « passeports d’immunité » biométriques et les présentent comme la prétendue „seule issue“ au confinement essentiellement motivé par des raisons politiques. L’Institut britannique Tony Blair a appelé à „l’expansion de la surveillance technologique“ pour „combattre le coronavirus“.

Aux États-Unis, la société d’analyse de données de la Silicon Valley, Palantir, doit jouer un rôle clé dans la mise en place de la plate-forme de données pour la surveillance de la propagation (déjà en déclin) du coronavirus. Palantir est connue pour ses projets informatiques avec les agences de renseignement et l’armée et a été fondée par le milliardaire étatsunien et partisan du Trump, Peter Thiel.

En Israël, la surveillance des contacts avec la population civile est assurée par le service de renseignement intérieur Shin Bet, qui utilise des programmes du célèbre groupe NSO, connu pour ses logiciels d’espionnage utilisés pour surveiller les militants des droits civils et humains dans le monde entier.

Des pays comme la Russie et la Chine veulent également étendre massivement la surveillance de la population à la suite de la prétendue « crise du coronavirus », mais le feront très probablement indépendamment des États-Unis.

L’idée qu’une pandémie puisse être utilisée pour étendre le contrôle de la population n’est pas nouvelle : dès 2010, la Fondation étatsunienne Rockefeller a décrit un « scénario de confinement » dans un document sur les futurs développements technologiques et sociaux, dans lequel les événements actuels étaient anticipés avec une précision impressionnante (pages 18 et suivantes). À l’époque, le scénario était conçu comme une sorte de „pire des cas“ autoritaire.

Entre-temps, plus de 500 scientifiques ont mis en garde, dans une lettre ouverte, contre une « surveillance sans précédent de la société » par le biais d’applications de suivi des contacts.

Le « Center for Health Security » de l’université Johns Hopkins, qui est au cœur de la gestion de la pandémie Covid19 et qui a largement contribué à l’escalade mondiale par ses graphiques trompeurs, est également très étroitement lié à l’appareil de sécurité étatsunien et a participé à certaines de ses simulations et opérations antérieures.

En général, la coopération avec des acteurs privés pour atteindre des objectifs géostratégiques n’est pas un phénomène nouveau ou inhabituel dans la politique étrangère et de sécurité des États-Unis.

Par exemple, le fondateur de Microsoft, Bill Gates, le plus important sponsor privé de l’OMS, de l’industrie des vaccins et des projets d’identification biométrique, a financé dès 2003 un programme de santé mondiale du Conseil étatsunien des relations étrangères, qui s’intéresse à la question de savoir comment la politique de santé influence la géopolitique et, inversement, comment la politique de santé peut être utilisée pour atteindre des objectifs géostratégiques.




Le vaccin rend(ra) libre

[Source : La Newsletter de Michel Dogna]

[Auteur : Michel Dogna]

[NdNM : l’auteur est très affirmatif sur plusieurs points qu’il nous paraît pour l’instant plus sage de considérer comme de simples possibilités plus ou moins probables ou improbables.]


« Le vaccin rend(ralibre »

Ce titre un peu surprenant a été choisi par analogie 
au portique d’entrée du sinistre camp d’Auschwitz :

(Arbeit macht frei)
« Le travail rend libre »

 

Oui, on commence à se lasser de tourner en rond toujours sur les mêmes sujets ! Aussi je vous demande de réaliser que c’est l’avenir de l’humanité et de la planète entière qui se joue en ce moment-même par un immense bras de fer avec les forces du mal pour qui le mensonge est la seule référence morale. Tant pis pour ceux qui refusent d’enlever la purée qu’ils ont dans les yeux. Moi j’ai des bonnes nouvelles, mais pas pour tout le monde…

Depuis le début de l’aventure Covid en décembre 2019, nous avons pu assister à une série continue de mesures sanitaires illogiques contradictoires et catastrophiques s’appuyant sur des décrets suicidaires pour les populations et l’économie, et pouvant laisser croire à une incompétence crasse de la part de la classe dirigeante soumise à l’OMS…

Mais ceux qui pensent naïvement cela sont dans l’erreur, car la seule chose qu’il ne faut jamais perdre de vue, c’est « la solution finale », la vaccination généralisée de toute l’humanité. On veut nous surveiller 24h/24, en nous transformant en robots mi humains mi électroniques, contrôlés à 100% sur les plans de la conscience, de l’intelligence, de la santé physique, et même de la spiritualité.

Ceci est le contrat auquel les pseudo élus « collabos » ont souscrit pour assurer leurs énormes avantages personnels, et tant pis si c’est une haute trahison face aux intérêts du peuple et de la nation qu’ils sont pourtant censés défendre…

Le faux vaccin à la Frankenstein en question sera du type mARN (signifiant ARN modifié )–– En bref nous sommes tous voués à devenir des mammifères OGM programmables à distance par la 5G selon une technique déjà au point depuis des décennies qui est la psychotronique…

Ce n’est pas pour demain mais pour maintenant même !
Il y a le feu au lac les amis !!!

Voyez plutôt cette vidéo de KLA TV allemande, de 6 min 30 :

https://www.youtube.com/watch?v=TD3r7M77GlY&feature=youtu.be

ou     https://youtu.be/TD3r7M77GlY

Comment peut-on continuer à croire à cette frange d’imposteurs qui ne font que nous mentir et nous tromper depuis toujours, et qui nous gouverne à coups de décrets contredisant les lois établies, donc illégaux…

Voyez à ce sujet le document qui suit concernant le port du masque :

LOIS ET DECRETS

(à présenter à la police en cas de verbalisation pour non port du masque)

La loi prévaut toujours sur le décret.

Question : Peut-on cacher son visage dans un lieu public ?

REPONSE DE LA DIRECTION DE L’INFORMATION LEGALE ET ADMINISTRATIVE – MINISTERE DE LA JUSTICE
Vérifié le 17/03/2020

Non, il est interdit de cacher ou de couvrir complètement son visage dans un lieu public : voie publique et lieux ouverts au public ou affectés au service public. La loi prévoit des sanctions pour cette infraction. Les sanctions sont plus lourdes pour celui qui force une autre personne à masquer son visage.

Sanctions possibles :

  • Amende de 150€ maximum, 
    Et/ou un stage de citoyenneté à ses frais.

Textes de référence :

  • Loi n° 2010-1192 du 11 octobre 2010 interdisant la dissimulation du visage dans l’espace public : articles 1 et 2.
  • Code pénal : article 225-4-10
    Peine aggravée en cas de dissimulation forcée du visage :
  • Code pénal : article 645-14 
    Dissimulation du visage dans une manifestation

La guerre de l’info

Bien que les allégations mensongères assénées par les grands médias et surtout la télé aient été toutes battues en brèche par de nombreux virologues, épidémiologistes, et professeurs les plus prestigieux du monde, les acteurs de l’intox sont restés sourds et aveugles à toutes les preuves largement documentées allant à l’encontre de leur propagande scélérate, se contentant de les rejeter d’un revers de main dédaigneux, en n’ayant comme contre arguments que des allégations illogiques et sans preuves de professeurs véreux et corrompus.

Curieusement, toute une partie de la population reste pourtant scotchée à la propagande gouvernementale de la télé (Y aurait-il du subliminal là dessous ?)…

D’autres ténors d’envergure sont arrivés à la rescousse tels les Professeurs Péronne, Toussaint, Montagnier (prix Nobel), Nicole et Gérard Delépine, et d’autres de l’étranger , sans oublier les milliers de médecins bravant l’autorité et risquant leur carrière, ainsi que tous les semeurs d’alertes dont le magnifique travail de ré information sur les réseaux sociaux (Internet), en dépit des censures voire des menaces de la nouvelle dictature, ont fini par récupérer une partie des égarés, ébranlant leurs fausses certitudes…

Tous les héros de cette Résistance ont réussi, malgré l’impossibilité d’accéder à la télé, à déclencher des manifestations monstres de millions de participants (détail : pour la plupart non masqués) présidées par des personnages prestigieux tels Robert Kennedy Junior et David ICKE, en Allemagne, en Angleterre, en Espagne, au Portugal, au Canada, aux USA, et en Amérique du sud (mais pas la France… !!! dont les armes anti manifestations sont meurtrières) pour contester les privations illégales et stupides de nos libertés fondamentales.

L’imposture du test PCR

La nouvelle qui vient de tomber (10 septembre 2020) est ahurissante : les tests du covid-19 seraient trop sensibles, de sorte que 90% des prétendus « testés positifs » ont en réalité une charge virale insuffisante pour être malades ou contagieux.

En effet, alors qu’il faut avoir 100 millions de virus dans un microlitre de prélèvement pour être dans un état inquiétant, on parvient à détecter la présence d’un seul virus, ou même d’un débris de virus, en répétant jusqu’à 45 fois le cycle d’amplification du test PCR.

Ainsi, les charlatans irresponsables, médecins et politiques, qui régissent la dictature sanitaire en France s’emploient à entretenir une panique collective pour une épidémie qui ne fait pratiquement plus de mort depuis mai dernier, en pratiquant des tests inutiles et coûteux par millions.

La grande supercherie des tests PCR, 
est que 90% des cas positifs ne sont ni malades ni contagieux

Témoignage d’une infirmière de laboratoire de prélèvements Covid

Résumé :

  • Nous avons 97% de négatifs.
  • Les 3 % positifs sont sans symptômes ou ont un rhume, voire rarement de la fièvre. Bref un état grippal. 10 personnes à peine hospitalisées sur ma région….
  • Des employeurs mènent un chantage illégal sur leur personnel. C’est de la manipulation.
  •  Arrêtez de faire du mal aux enfants, qui se débattent et hurlent, tellement ça leur fait du mal.
  • Arrêtez de vous faire dépister pour un oui ou pour un non.

À voir ici : https://www.bitchute.com/video/z7ApgjUeHHIa/      (5 mn)

« Je tiens à préciser que le personnel en laboratoire d’analyse médicale n’est pas dépisté. Preuve supplémentaire que tous ces tests sont inutiles. De plus, avec ces tests vous allez être fichés ! »

David Icke dénonce

  • Le test PCR n’est autre qu‘un grand flicage de la population par l’ADN récolté.
  • Les tests PCR permettent d’avoir en réserve l’ADN de millions de gens !
  • Si vous acceptez le test, vous serez fichés !

Voici la preuve : (Propos de David ICKE relevés par le journal L’informateur) :

Les tests PCR ne réagissent qu’à des débris cellulaires. A la base, c’était fait pour la police scientifique afin qu’ils puissent isoler de l’ADN. Le PCR réagit positif à n’importe quoi : une mycose, un rhume, le stress, être enceinte, un herpès, simplement la peur, en fait à plus de… 70 causes. Ce test n’a rien à voir avec le Covid, pas plus qu’avec le Lyme ni avec le VIH…

L’inventeur du test Kary Mullis a expliqué pendant des années que la mafia médicale avait volé son invention pour détecter des maladies alors que ce n’est pas fait pour cela, mais simplement pour isoler l’ADN de quelqu’un à partir de sang que l’on dilue beaucoup de fois, donc à l’usage de la Police Scientifique.

Une bombe :
des milliers de tests (volontairement ?) CONTAMINES !

Ils se permettent tout ! Avec Pierre Jovanovic                 6 min 20

https://www.youtube.com/watch?v=ne2TiDKgsS4&feature=share

Autre source :

Confirmation par le Dr Broussalian reçu par la blogueuse suisse Ema [Krusi]. Pour ceux qui sont pressés commencez à la minute 38 jusqu’à la min 47  (= 9 min)

https://youtu.be/C1xCBJ0HCUA

Qu’en est-il du vaccin promis ?

D’abord, pourquoi un vaccin pour une épidémie grippale qui est terminée et que l’on sait parfaitement soigner par de multiples moyens naturels (en outre scandaleusement combattus et interdits en France)…

Le Covid comme toutes les grippes, après une courbe en cloche éliminant les plus faibles par sélection naturelle, se dégonfle (cas actuel) et meurt ou mute vers autre chose mais on ne sait jamais quoi – c’est pour cela que tous les vaccins anti grippe sont non seulement « bidon » mais aussi dangereux car on sait maintenant qu’ils détruisent les défenses immunitaires générales ; on l’a vu avec les italiens vaccinés qui tombaient comme des mouches par le Covid.

En second lieu il s’agira d’un faux vaccin, ne protégeant contre rien, bourré de nanoparticules qui vont vous transformer en antenne ambulante de la 5G ; votre ADN sera modifié, et vous ne serez plus jamais vous-même…

Déjà rien que par la WI-FI beaucoup sont déjà bien atteints voire irrécupérables…

D’aucuns me demandent s’il est possible d’annuler le vaccin avec de l’homéopathie ou de l’argile. Cà c’est du passé, c’est fini. Nous n’avons aucun moyen pour éliminer les millions de nanoparticules disséminées dans votre corps. Et même si c’était possible, les appareils de contrôle vous refuseraient les accès en tant que « non vaccinés ».
PIRE : Certains scientifiques pensent que la programmation extérieure de l’ADN pourrait être génétiquement transmise aux enfants.

  • Noter que les vaccins vétérinaires n’ont jamais de nanoparticules, ce qui prouve que celles-ci servent bien à modifier le psychisme.

Mais il n’y a pas que cela, il y a la soupe de Frankenstein que l’on injecte déjà aux enfants et même aux bébés à la naissance leur donnant toutes les chances d’avoir un cancer ou une maladie dégénérative grave dix ans plus tard (j’ai déjà diffusé la longue liste)….

Cette fois on tombe carrément dans le satanisme le plus sordide. Les médicaux pro vaccins ne savent-ils pas ce qui va suivre ? Avons-nous atteint le sommet de l’Horreur ?
C’est pire que le film « Le soleil vert » (1973) que l’on peut trouver dans toutes les langues.

Regardez ce que l’on fait avec les fœtus humains dont l’avortement légal (en clair, l’assassinat ) vient d’être discrètement voté jusqu’au 9ème mois, donc viable  :

11 min 30

https://youtu.be/HroGDPQznUA

ALORS TOUT CECI EST-IL UNE INCONTOURNABLE FATALITÉ ?

Oui si personne ne bouge !

Je vais faire simple : tout tourne atour de la réélection de Donald Trump en novembre.
S’il repasse (ce qui qui est probable à 98%), son grand ménage déjà en cours aux USA va s’étendre immédiatement par effet domino sur toute la planète avec l’assistance  des légions galactiques qui l’ont mis en place (renseignez-vous sur les œuvres de Trump réalisées en 3 ans)…

Notre histoire planétaire va repartir sur le bon pied dans tous les domaines vers une civilisation d’Amour et de Respect des œuvres du Créateur. Tous les grands secrets technologiques, spirituels, médicaux, archéologiques, énergétiques, gravitationnels, etc. vont être enfin lâchés – 2021 sera encore chaotique mais dans le bon sens.

S’il ne repassait pas, nous risquerions d’être livrés à nouveau aux griffes de cette organisation mondiale satanique qui a déjà fait tant de mal à l’humanité et à la planète et qui espère encore finir son œuvre de destruction massive.

Ce que je dis est au-delà du politique, c’est de la simple logique éclairée et documentée.   Ceux qui voudraient me faire taire ne peuvent pas avoir des buts nobles.

Rassemblons-nous mes amis
et n’oubliez pas que Trump est la clef !

Servez-vous de votre ordinateur pour en savoir plus .

En attendant, refusez le test, refusez le vaccin 
et osez les libertés de votre choix .

Michel Dogna

A diffuser au maximum

Si vous cherchez les vidéos de Silvano TROTTA,
(censuré inexorablement par You Tube),
il vous suffit d’aller sur la merveilleuse chaîne ODYSEE, ici :

https://odysee.com/@SilvanoTrotta:f

et vous aurez ainsi l’immense plaisir de le retrouver !




#Keanu Reeves « Les humains sont sur le point de se libérer de la Matrice. »

Publié par Herve Guiet 

dimanche 18 novembre 2018

Keanu Reeves « Les humains sont sur le point de se libérer de la Matrice. »

« Les humains sont sur le point de se libérer de la Matrice. »

Selon Keanu Reeves, une guerre est en cours qui façonnera l’avenir de l’existence humaine et le monde que nous laissons à nos enfants est « silencieusement optimiste » quant à l’avenir parce que « l’humanité montre des signes de rupture avec la matrice. »

« La race humaine est réduite à l’esclavage depuis des milliers d’années », a déclaré Keanu Reeves en filmant un spot dans le désert de Mojave, expliquant que 

« nous avons été maintenus dans une prison mentale par des élites obscures et des sociétés secrètes qui ont fait tout leur possible pour nous opprimer et nous empêcher de réaliser notre potentiel. Mais la star de Matrix, qui filmait des scènes de la publicité du Super Bowl de Squarespace, dit que la matrice du monde réel commence à craquer.
L’humanité montre des signes de libération de la matrice. Quel moment pour être en vie ! Nous vivons une époque passionnante. »

Expliquant qu’il a étudié des textes anciens, y compris le Vedanta et les Upanishads, et qu’il a appris la nature de la réalité, Keanu a dit :

« Oui, bien sûr, il y a beaucoup de gens qui ne s’intéressent qu’aux Kardashians, mais une partie importante de la population a été réveillée. Le plus important, c’est qu’il y a maintenant une guerre entre nos maîtres suprêmes et ceux qui veulent nous libérer. »

Quelle est la matrice ?

Keanu Reeves dit que la matrice est un univers holographique qui nous est projeté par ceux qui veulent nous contrôler. L’humanité a été réprimée et contrôlée de cette façon pendant des millénaires. Nous pensons que c’est réel, mais en réalité c’est juste un film qui se reproduit dans la conscience collective, qui se présente comme « réalité ».

Keanu Reeves n’est pas le seul à croire que l’humanité vit dans une matrice depuis des milliers d’années.
Certaines des personnes les plus riches et les plus influentes du monde sont convaincues que nous vivons dans une simulation numérique. Au moins deux des milliardaires de la Silicon Valley investissent de l’argent pour sortir les humains de la simulation dans laquelle ils pensent que nous vivons. Elon Musk croit que les chances que nous ne vivions pas dans une simulation matricielle informatisée sont « des milliards pour un ».

« Beaucoup de gens dans la Silicon Valley sont devenus obsédés par l’hypothèse de la simulation, l’argument que ce que nous vivons comme réalité est en fait fabriqué sur un ordinateur. »

écrit Tad Friend du New Yorker.

« Deux milliardaires de la technologie sont allés jusqu’à impliquer secrètement des scientifiques pour travailler à nous sortir de la simulation.
Mais Keanu Reeves pense que les garçons de la Silicon Valley font quelque chose de mal en essayant de se débarrasser de la matrice. Il a un tuyau pour les milliardaires de la technologie :
Remettez vos portefeuilles dans vos poches. Cela n’a rien à voir avec l’argent ou les ordinateurs. C’est un changement spirituel qui doit avoir lieu, pas un piratage.»

Selon Keanu, ce changement spirituel a lieu. Les gens en ont assez des guerres inutiles, du leadership totalitaire et du contrôle autoritaire. Les gens se réveillent à ce qui est vraiment important dans la vie.
Je pense que les gens avaient vraiment peur que le monde s’écroule, vous savez, très récemment. J’avais l’impression que les choses étaient devenues incontrôlables. Nous avons perdu tout espoir de pouvoir nous sauver des forces obscures du monde. Mais ouvre les yeux une minute et regarde autour de toi ce qui se passe. Il est étonnant que des gens comme Trump soulèvent le voile dans une incroyable toile de manipulation interconnectée. L’aimer ou le détester, c’est permettre à l’humanité de se réveiller de son sommeil et de voir que les mêmes quelques personnes, les mêmes sociétés secrètes, le bona fide Nouvel Ordre Mondial, contrôlent activement nos vies et répriment notre véritable capacité. Mais les gens se réveillent lentement. Il est temps de regagner notre pouvoir infini et d’ouvrir les portes de la prison mentale qui nous ont motivés à nous construire. Ce n’est pas une chose facile à faire, mais il est temps de marcher dans la lumière de la liberté.

® https://interetpourtous.blogspot.com/2018/11/keanu-reeves-les-humains-sont-sur-le.html [NdNM : la page source n’existe plus.]




À quoi se ramène le travail du « journaliste » mainstream ?

[Source : Nice-Provence Info]

[Auteur : Georges Gourdin]

Un bon journaliste doit savoir « copier-coller »

Lorsque ce tweet de François Asselineau a été publié, nous avons pensé à une infox, ou encore un gag, tellement cela paraît excessif :

Toute la presse publie le même titre quasiment mot pour mot : Macron a reçu Pompeo mais regarde déjà vers Biden.

Cela est invraisemblable. Nous n’en sommes tout de même pas là. Non, pas en France, le pays des Droits de l’Homme et de la liberté de pensée !

Faisons donc un contrôle sur Google avec les mots clés : macron reçoit pompeo regarde biden. Et là, c’est la catastrophe ! C’est pire encore que le tableau de François Asselineau :

Macron reçoit Pompeo regarde Biden

Et ça continue ainsi sur plusieurs pages. Toute la presse, à l’unisson presque parfait, ânonne la même litanie.

Le message est clair : la presse française s’est soumise à la presse américaine qui a désigné le futur président des États-Unis. Donc si Macron reçoit, hors micros et caméras, le chef de la diplomatie des États-Unis, c’est pour lui dire adieu. Du reste 
L’Express avance : L’étrange tournée de Mike Pompeo, entre adieux, symboles et déni.
Copier-coller avec Le Point : L’étrange tournée de Mike Pompeo, entre adieux, symboles et déni.
Même discours sur Le Monde : La tournée d’adieu de Mike Pompeo suscite des interrogations sur l’Iran.

Si la presse française faisait son travail, elle saurait que :
• Mike Pompeo est secrétaire d’État au moins jusqu’à ce que le nouveau président des États-Unis soit désigné par les autorités américaines, puis si celles-ci désignent Joe Biden, jusqu’à la passation de Pouvoir en janvier 2021.
• Joe Biden est bien loin d’avoir emporté ces élections qui sont entachées d’énormes fraudes électorales que la justice américaine est en train d’analyser. De nombreuses sources américaines avancent que Trump a emporté largement cette élection.

La diplomatie la plus élémentaire consiste à attendre la décision de la Cour suprême.

Pravda Lénine

Tout esprit un tant soit peu éclairé en déduit aisément que :
• La presse française subventionnée n’offre plus aucune diversité : elle reçoit des subsides pour s’aligner sur LE discours d’État. Les journalistes ne font plus leur travail, si ce n’est [Ctrl]+[C] – [Ctrl]+[V] [NdNM : la combinaison de touches Ctrl et C sous Windows (ou Cmd et C sous Apple) permet de copier le texte sélectionné. Et la combinaison de touches Ctrl et V sous Windows (ou Cmd et V sous Apple) permet de le coller à l’emplacement de la souris, par exemple dans un éditeur de texte ou un courriel.], ce qui s’apprend aisément.
• Par suite on peut s’interroger sur l’intérêt d’entretenir à grands frais toute cette presse puisque l’AFP suffit très bien. Ou bien alors récréer une Pravda à la française, cela coûtera moins cher.

Mais les Français comprennent aussi que :
• Leur presse est inféodée à la presse américaine.

Heureusement il existe une presse dissidente, voire résistante, dans laquelle Nice Provence Info prend toute sa place depuis plus de 6 ans.

Georges Gourdin




Venezuela, les gangsters repartent à l’assaut de la démocratie

[Source : Investig’Action]

Auteur :ALEX ANFRUNS

Le Venezuela est aujourd’hui en grand danger de guerre, de chaos et de destruction avec le rôle actif des USA et de la Colombie. Ces pays ont des intérêts économiques et utilisent un secteur de l’opposition pour faire croire qu’un « gouvernement parallèle » existe. En effet, le plus gros pari d’un certain secteur de l’opposition vénézuélienne a toujours été le putschisme.

Souvenons-nous en. Après un résultat majoritaire aux élections législatives de décembre 2015, la droite vénézuélienne avait défendu une « Loi d’amnistie et de réconciliation nationale ». Il ne s’agissait pas de libérer des « prisonniers politiques », mais les principaux responsables de l’opération putschiste intitulée « La Salida » en 2014.

Cette opposition s’était ensuite présentée à la table du dialogue sans que cela n’ait jamais été son intention. Cela provoqua l’incompréhension des médiateurs internationaux tels que l’ex-président espagnol Rodriguez Zapatero. Déjà en 2017, après sa tentative ratée de provoquer un coup d’État au moyen d’actions violentes dans la rue, l’opposition avait annoncé ce plan de « gouvernement parallèle ». Illusion fatale.

Trump veut détruire l’ALBA, un système dans lequel la coopération basée sur les besoins humains prend le pas sur la loi du marché sauvage. Le Venezuela, Cuba et le Nicaragua sont des obstacles dans le « destin manifeste ». A-t-il oublié la leçon historique que Fidel et Sandino ont donné aux troupes US, lors des tentatives ratées d’invasion ? Après avoir rencontré l’administration Trump, le président colombien a insisté sur le fait qu’il travaille activement à « libérer le peuple vénézuélien » et que « l’encerclement diplomatique » entraînera un « effet domino ». A-t-il oublié que des millions de Vénézuéliens ont retrouvé la dignité depuis l’instauration de la Ve République après un référendum en faveur de l’Assemblée Constituante ? Comme lors de la tentative de coup d’État contre Chávez en 2002, la droite espagnole est en première ligne pour mettre fin à la démocratie en préparant le terrain pour la guerre infâme des États-Unis. C’était le sens de la visite ratée et de la rencontre prévue entre sa délégation et Guaidó.

Le président d’une grande chaîne de télévision française a un jour admis que son travail consistait à «vendre du temps de cerveau disponible » entre deux blocs de publicité d’une marque connue de boissons. Ces mêmes médias ne vous diront pas qu’il y a eu depuis un mois plusieurs grandes marches en faveur de la Révolution Bolivarienne.

Ce n’est pas seulement une guerre médiatique, mais aussi culturelle. Là encore, l’histoire nous aide à comprendre le présent. Pendant la Guerre froide, des fonds du Plan Marshall étaient destinés à la propagande « culturelle » en Europe occidentale, dans le but d’effacer la mémoire des Résistants dans leurs pays respectifs. Les États-Unis sont passés maîtres dans ce domaine, et ils n’ont jamais négligé l’impact de l’art et de la culture dans la justification de leurs interventions militaires.

Ainsi, le 22 février, l’administration Trump a parié sur l’organisation d’un grand concert, mobilisant des musiciens célèbres ainsi que des personnalités politiques pour la cause d’une soi-disant « aide humanitaire” qu’elle voudrait destiner au Venezuela contre son gré. Certains pourraient se dire qu’un concert, c’est une bonne chose en fin de compte… Le député chilien Alejandro Navarro a résumé l’affaire en deux lignes : « Il est ironique et humiliant que l’aide humanitaire présumée soit acheminée par Cúcuta, l’une des villes les plus pauvres (+ de 40 % de pauvreté) de Colombie et où la précarité du travail dépasse 70 %. C’est un show médiatique sans limites du président Sebastian Piñera ». Et de rappeler que le gouvernement vénézuélien a répondu à ce « show » en envoyant 20 .000 cartons contenant un panier d’aliments de base aux familles colombiennes de ce côté de la frontière ! Cela ne risque pas de faire la une des médias…

Le Venezuela a les plus grands réserves mondiales de pétrole. Ceci explique cela. L’ancien directeur du FBI Andrew McCabe, a reproduit dans son livre, “In the threat”, le contenu d’une réunion du Bureau ovale en 2017 : « Puis le président a parlé du Venezuela. C’est avec ce pays que nous devrions entrer en guerre, a-t-il dit. Ils ont tout ce pétrole et ils ne sont pas plus loin que dans notre arrière-cour. »




Comment une pandémie virale bénéficie à l’agenda mondialiste (Activistpost)

[Source : Crashdebug]

Par Brandon Smith

Le
monde d’aujourd’hui souffre de conditions économiques et géopolitiques
très fragiles.  Ce n’est pas une nouvelle pour la plupart des membres du
mouvement pour la liberté qui suivent la spirale descendante depuis des
années, mais c’est une nouvelle pour une majorité d’Américains moyens
qui s’aventurent rarement à obtenir des informations approfondies sur
quelque sujet que ce soit. Le fait est que, même si nous sommes des
millions à être conscients du danger, nous sommes toujours en minorité.

Cela
crée un ensemble de frustrations graves. Lorsque le citoyen ordinaire
ignore l’existence d’une menace, essayer de lui expliquer la source de
cette menace devient une perte de temps. Comment peuvent-ils voir la
racine du problème s’ils ne savent même pas que le problème existe ?

Oui,
le monde est au bord d’un changement radical, mais ce n’est pas la
question la plus importante. La question la plus importante est que
cette situation précaire n’est pas le produit du hasard, de la simple
cupidité, de la fragilité humaine ou d’un système « trop complexe » comme
le prétendent les experts du courant dominant ; c’est une boîte de chaos
délibérément conçue pour servir les intérêts de quelques privilégiés.

Le
programme mondialiste est compliqué dans sa conception mais simple dans
ses objectifs : Sortir du chaos par l’ordre. Créer ou exploiter chaque
crise pour manipuler le public afin qu’il donne son consentement.  Mais
un consentement pour quoi faire ?

Comme l’a écrit Richard N. Gardner, ancien sous-secrétaire d’État adjoint aux organisations internationales sous Kennedy et Johnson, et membre de la Commission trilatérale, dans le numéro d’avril 1974 de la revue Foreign Affairs du Council on Foreign Relation (CFR) (p. 558), dans un article intitulé « The Hard Road To World Order » :

    En bref, la « maison de l’ordre mondial » devra être construite de bas en haut plutôt que de haut en bas. Cela ressemblera à une grande « confusion bourdonnante », pour reprendre la célèbre description de la réalité de William James, mais une course de fond autour de la souveraineté nationale, l’érodant pièce par pièce, accomplira bien plus que l’assaut frontal à l’ancienne.

Une
pandémie mondiale, qu’elle soit naturelle ou délibérément provoquée,
sert en fait les objectifs de l’establishment mondialiste de plusieurs
façons. D’abord et avant tout, elle constitue une superbe distraction.
Le grand public, submergé par la peur d’une force invisible de la nature
qui peut le tuer à tout moment, oubliera probablement la menace bien
plus grande qui pèse sur sa vie, sa liberté et son avenir, à savoir
l’effondrement de l’énorme « bulle de tout » et la « solution » mondialiste
qu’une pandémie peut déclencher.

Le
coronavirus n’est qu’une menace modérée par rapport à la crise
économique. Cela dit, je voudrais aborder quelques questions concernant
le virus lui-même avant d’aborder la question économique.

Désinformation sur le virus

J’ai
vu beaucoup d’hypothèses délirantes et de désinformation pure et simple
propagées par les gens en ce qui concerne cette pandémie potentielle.
Tout d’abord, l’idée qu’elle ait été causée par des citoyens chinois
« mangeant des chauves-souris » ou exposés à un marché d’animaux vivants
est plutôt ridicule. Nous n’avons vu AUCUNE preuve tangible que cela
soit vrai, et je crois que le récit est une couverture pour le fait que
la ville de Wuhan où l’épidémie de virus a commencé abrite non pas un
mais DEUX laboratoires de niveau 4 pour les risques biologiques.

J’ai du mal à ignorer l’étrange « coïncidence » des laboratoires de haut niveau de Wuhan en faveur de l’idée que le virus a été lancé par hasard en raison des régimes alimentaires bizarres des habitants de la Chine centrale. Au vu des preuves, il semble que le coronavirus ait été mis en gestation dans un laboratoire, et non dans la soupe aux chauves-souris et aux serpents de quelqu’un. En 2017, des scientifiques étrangers ont averti que ces laboratoires n’étaient pas sécurisés et qu’un virus pourrait s’échapper d’une de ces installations.

J’utiliserais le terme « évasion » de manière vague, car il est possible que cet événement ait été créé intentionnellement. Le virus lui-même présente certaines caractéristiques d’ingénierie (notamment sa longue période de dormance sans symptômes visibles) et la souche actuelle est probablement dérivée de celle que les Chinois ont volée il y a un an dans un laboratoire de Winnipeg, au Canada.

Mais la situation est encore plus étrange

Il
y a seulement trois mois, John Hopkins, la Fondation Bill et Melinda
Gates et le Forum économique mondial (une ruche de mondialistes
autoproclamés) ont lancé une « simulation de pandémie » appelée « Event
201 », spécifiquement axée sur le coronavirus. Pas Ebola, ni la grippe
porcine, ni même la grippe aviaire – mais CORONAVIRUS. La simulation met
en scène la propagation d’un coronavirus en Amérique du Sud, attribuée à
la transmission de l’animal à l’homme (les porcs). La conclusion de
l’exercice était que les gouvernements nationaux étaient loin d’être
prêts, avec une note de 40 sur 100 sur leur échelle de préparation. La
simulation prévoyait plus de 65 millions de décès dans le monde.

L’événement
201 s’est déroulé presque exactement comme il l’a été en Chine
aujourd’hui. Certaines personnes très malhonnêtes ou peut-être plutôt
stupides ont affirmé que ce genre de choses était « normal », prétendant
que nous avons « de la chance » que les élites aient effectué des
simulations à l’avance afin de « nous sauver » d’une épidémie de
coronavirus. J’affirme que l’événement 201 n’était pas une simulation
mais un jeu de guerre pour étudier les résultats possibles d’un
événement dont les mondialistes savaient déjà qu’il allait se produire.
Si l’on met de côté le fait qu’avant presque chaque crise majeure et
chaque attaque terroriste de ces dernières décennies, les autorités
effectuaient des simulations pour cet événement précis juste avant qu’il
ne se produise ; quelqu’un croit-il vraiment que l’événement 201 est
une pure coïncidence ?

Une
autre fausse hypothèse à laquelle il faut s’attaquer est l’idée qu’une
menace virale ne frappera pas l’Occident, ou du moins pas les
États-Unis. Je ne pense pas que la plupart des cultures, à l’exception
des Américains, souffrent de ce biais étrange ; la croyance qu’ils sont
intouchables et que le système évitera toujours les crises. D’après les
réponses que j’ai vues récemment, beaucoup d’Américains vivent dans un
monde imaginaire. Même maintenant, le monde de l’investissement fait
grand cas de la prévision selon laquelle la Réserve fédérale
interviendra pour perturber tout ralentissement économique lié à la
pandémie.

Même
si la Fed avait l’intention d’intervenir, pourquoi serait-on assez naïf
pour croire que la banque centrale peut faire quoi que ce soit pour
empêcher qu’une épidémie virale ne nuise à l’économie ? Les banques
centrales ne peuvent rien faire d’autre que de créer de la dette, et la
dette ne permettra pas de vaincre le coronavirus.

En
termes d’optimisme délirant sur la pandémie elle-même, les arguments
vont de « le dépistage des voyageurs est trop complet pour permettre au
virus de se propager ici » à « tant que le virus détruit la Chine, qui
s’en soucie ? Il s’agit là d’une vision étroite de la situation.

Le
processus de filtrage est terrible et implique généralement des
questions fondamentales qui peuvent être éludées par des mensonges. Mais
au-delà de cela, le virus est déjà là. Il a circulé en Chine pendant au
moins quelques semaines avant que les autorités gouvernementales ou le
CDC ne s’en occupent. Il serait également asymptomatique, ce qui
signifie qu’il reste en sommeil, mais aussi contagieux, pendant deux
semaines avant que les symptômes ne deviennent visibles. Ce scénario est
bien pire que la crainte d’Ebola en 2014, dans la mesure où ce
coronavirus est capable de se cacher efficacement. La seule chose que
l’on puisse faire pour ralentir la propagation est d’interdire TOUS les
voyages internationaux, ce que le CDC et l’OMS n’ont pas l’intention de
faire pour l’instant, même si cela n’a plus d’importance avec plus de
110 cas suspects aux États-Unis déjà.

Soyons
donc réalistes. Si le virus est aussi contagieux que le prétendent le
CDC et les scientifiques indépendants, alors nous en verrons les effets
ici en Amérique.

Ne jamais laisser une bonne crise se perdre…

Mais
qu’est-ce que les mondialistes ont à gagner directement d’une pandémie
de coronavirus, au-delà du simple chaos exploitable ?

Il
est intéressant de noter qu’un représentant de Johnson and Johnson,
l’une des entreprises qui pourrait finir par concevoir un « vaccin »
contre le coronavirus, a suggéré lors de l’événement 201 qu’une autorité
économique mondiale « centralisée » chargée de financer et d’acheter des
vaccins pour les différentes nations en crise était une option pour
résoudre la pandémie.

Cela ressemble étrangement à ce que les mondialistes réclament depuis de nombreuses années maintenant, et il se trouve que la pandémie offre une excuse parfaite pour la création d’une telle autorité financière mondiale unique. Ils pourraient prétendre qu’un tel système serait temporaire en fonction de la durée de la pandémie, mais ce sera un mensonge.

En
ce qui concerne les effets économiques, même si le virus devait rester
principalement en Chine, l’économie chinoise est, en termes
fondamentaux, la plus importante au monde ; elle est le plus grand
exportateur/importateur et elle est au cœur de l’économie mondiale
désormais interdépendante. Si l’économie chinoise s’effondre, même pour
une courte période, cela provoquera une onde de choc dans toutes les
autres économies nationales et les lignes d’approvisionnement.

En mai de l’année dernière, j’ai publié un article intitulé « Les mondialistes n’ont besoin que d’un événement majeur de plus pour finir de saboter l’économie« . Pour résumer la situation :

L’establishment
mondialiste a créé la plus grande bulle financière de l’histoire
moderne par le biais des mesures de relance des banques centrales, en
gonflant un rallye artificiel très instable sur les marchés tout en
créant de nouveaux sommets dans la dette nationale, la dette des
entreprises et la dette des consommateurs. Les fondamentaux économiques
ont tiré la sonnette d’alarme ces deux dernières années, et la « bulle du
tout » montre des signes d’implosion. Ce n’est qu’une question de temps
avant que la farce ne s’effondre d’elle-même. Les mondialistes ont
besoin de boucs émissaires, mais ils ont aussi besoin d’un événement ou
d’une vague d’événements si distrayants que les gens ne pourront pas
discerner ce qui s’est réellement passé.

La
raison pour laquelle les mondialistes veulent un effondrement est
simple : ils ont besoin d’une crise afin de manipuler les masses pour
qu’elles acceptent une centralisation totale, un système monétaire
mondial et une gouvernance mondiale. Ils sont également de fervents
partisans de l’eugénisme et de la réduction de la population. Pour eux,
une pandémie mondiale est à tout le moins une circonstance utile ; mais
le moment où le coronavirus s’est manifesté et leur « simulation » très
précise d’il y a seulement trois mois suggèrent également leur
implication potentielle, car elle survient au moment même où l’implosion
de la bulle « Du Tout » s’accélérait.

Considérez
ceci : Même si une pandémie ne tue pas un grand nombre de personnes,
elle perturbe toujours les voyages internationaux, elle perturbe les
exportations et les importations, elle perturbe le comportement des
consommateurs et les ventes au détail, et elle perturbe le commerce
intérieur. Si elle tue un grand nombre de personnes et si la réponse du
gouvernement chinois est une indication, elle pourrait entraîner une loi
martiale mondiale. De nombreuses économies, dont celle des États-Unis,
étant déjà dans un équilibre précaire entre une dette historique et une
demande en chute libre et une intervention inutile de la banque centrale
sur le marché des pensions, il y a peu de chances que le système puisse
résister à un tel tsunami.

Ne
vous y trompez pas, l’effondrement a déjà commencé, que le virus frappe
durement les États-Unis ou non. La seule question est de savoir si ce
sera l’événement déclencheur qui accélérera le processus d’effondrement
déjà en cours.

J’ai pris mon temps pour publier cet article parce que je pensais qu’il était important d’observer d’abord la réaction des Chinois, du CDC et de l’OMS face au virus. S’ils réagissaient rapidement, il y avait une chance que la situation n’ait qu’une influence mineure sur le système financier. Ils n’ont pas fait face à la situation rapidement ou de manière décisive. En fait, plus de 5 millions de personnes ont quitté la région du Hubei en Chine avant que les procédures de quarantaine et de traitement ne soient mises en place. La situation est devenue incontrôlable en Chine et il est clair que le gouvernement ment maintenant sur le nombre de malades et de morts.

Je
ne serais pas surpris si nous découvrions dans les deux prochaines
semaines que le nombre de décès se compte par milliers et que le taux de
maladie se compte en fait par centaines de milliers. Le fait que la
Chine ait maintenant mis en quarantaine plus de 50 millions de personnes
dans 16 villes suggère que le danger est beaucoup plus élevé qu’elle ne
l’a admis. Si c’est le cas, l’économie chinoise est au moins sur le
point de subir un coup dur. Si le virus ne se propage pas, les dommages
économiques le feront.

Les
États-Unis et la Chine sont toujours en pleine guerre commerciale.
L’accord de la phase 1 a toujours été une blague, car il exige que la
Chine quadruple ses achats auprès des États-Unis dans les 1 à 2
prochaines années. Cela n’allait jamais se produire, mais les faux
espoirs (ainsi que les rachats d’actions par les entreprises) ont permis
de sortir les actions mondiales de leur revirement. Aujourd’hui, il n’y
a aucune chance que la Chine remplisse les conditions de la phase 1 de
l’accord et cela deviendra bientôt évident, car l’économie chinoise va
s’effondrer sous le poids de la pandémie.

Si Trump maintient les droits de douane contre une nation en état d’urgence virale, il aura l’air d’un monstre (ce qui, je crois, est son travail de marionnette mondialiste prétendant être un nationaliste conservateur). Dans l’intervalle, le commerce mondial s’embrouille et les derniers soutiens structurels du système se brisent en deux.

Les
lignes d’approvisionnement mondiales étant gelées et les voyages
éventuellement restreints, le commerce va s’arrêter. Il n’y a pas
d’autre solution. Il ne s’agit pas seulement de la Chine, il s’agit de
toutes les nations.  Et, en fin de compte, il ne s’agit même pas du
coronavirus, mais de la bombe à retardement financière que
l’establishment mondialiste a créée. Il s’agit de notre interdépendance
économique et du château de cartes que nous sommes devenus. Au lendemain
de la catastrophe, les mondialistes réclameront encore PLUS
d’interdépendance. Ils prétendront que la tragédie a frappé parce que
nous n’étions pas « assez centralisés ».

Un autre avantage
de la crise virale est que l’establishment accusera sans aucun doute le
canular du « changement climatique » et du « réchauffement planétaire »
pour son élan. Même s’il n’y a absolument aucune preuve concrète reliant
les émissions de carbone humaines au changement climatique ou aux
épidémies virales, étant donné la crainte du public, les mondialistes
tenteront de relier les trois choses comme si c’était un fait avéré. Non
seulement ils auront une justification pour un effondrement économique
qu’ils ont créé, mais ils peuvent aussi présenter un virus créé par
l’homme en laboratoire comme un « acte de la nature », et l’utiliser comme
justification pour mettre en place des contrôles du carbone.

Dans le prochain numéro de ma lettre d’information « Wild Bunch Dispatch« , je présenterai des solutions et des options de préparation pour survivre à un scénario de pandémie ; tout n’est pas perdu si cet événement s’accélère comme l’ont prédit les mondialistes dans leur modèle « Event 201 ». Il est encore difficile de le dire avec certitude, mais il semble que ce soit le « cygne noir » que les mondialistes attendaient (ou planifiaient) depuis le début. Il est recommandé de rester vigilant face à la pandémie, mais de ne pas oublier le désastre économique qui suivra inévitablement la propagation du coronavirus.


Vous pouvez contacter Brandon Smith à l’adresse suivante : brandon@alt-market.com

Source de l’article : Alt-Market.com




Il y a des preuves que Bill Gates est impliqué dans les micropuces implantables même s’il nie lui-même avoir jamais été impliqué avec elles

[Source : Anguille sous roche]

Et si je vous disais qu’il y a des preuves que Bill Gates est impliqué dans les micropuces implantables, même s’il dit lui-même n’avoir jamais été impliqué dans une sorte de « micropuce » ?

Bien que Bill Gates ait dit exactement cela en juin, un sondage a révélé que 25 % des Américains pensent qu’il n’est pas seulement impliqué dans les micropuces, mais qu’il travaille sur un projet d’implantation de micropuces dans les vaccins COVID.

C’est tellement tiré par les cheveux que cela me rappelle la suggestion que Gates était impliqué dans un plan visant à implanter des micropuces dans les femmes qui dureraient presque toute leur vie reproductive et ces micropuces pourraient être accessibles à distance et donc avoir le potentiel de stériliser efficacement les femmes même contre leur volonté.https://www.anguillesousroche.com/wp-content/plugins/complianz-gdpr/assets/video/youtube-placeholder.mp4?cmplz=1Cliquez pour accepter les cookies de marketing et activer ce contenu

Oh, mais attendez, c’est la réalité !

Au cours des derniers mois, Bill Gates est devenu une cible majeure des soi-disant « théories du complot » concernant le COVID. Gates a déclenché une controverse durable lors d’une séance de questions et réponses en ligne le 18 mars dernier, lorsqu’il a déclaré : 

« Nous aurons un jour des certificats numériques pour montrer qui a récupéré ou a été testé récemment ou quand nous aurons un vaccin qui l’a reçu. »

Ses remarques ont rapidement attiré l’attention, y compris celle du procureur général Barr. Lorsqu’on l’a interrogé sur la proposition de certificat numérique de Gates, M. Barr a déclaré qu’il était « très préoccupé par la pente glissante en termes d’empiètements continus sur la liberté individuelle ».

En avril, M. Gates est devenu le principal sujet de la spéculation en ligne sur le COVID, qui s’est articulée autour d’une théorie selon laquelle il implanterait d’une manière ou d’une autre des micropuces dans les vaccins du COVID. Cette affirmation a d’abord été popularisée par un site web pro-Gates et a fait l’objet d’une promotion importante sur les médias sociaux. Selon un sondage réalisé par YouGov, plus de 25 % des Américains y croyaient en mai.

En réponse à ces préoccupations, M. Gates a déclaré le 5 juin : « Je n’ai jamais été impliqué dans un projet de type micropuce. »

Cependant, M. Gates a en fait été largement impliqué dans un programme de micropuces très invasif. En fait, il a directement commandé un tel programme à une société appelée Microchips Biotech qui est spécialisée dans les micropuces implantables.

Contrairement à sa déclaration de juin, Bill Gates a personnellement commandé un programme de micropuces contraceptives en 2012, dirigé par la société Microchips Biotech. Les subventions pour ce projet sont facilement accessibles sur le site web de la Fondation Gates.

Microchips Biotech, anciennement connue sous le nom de MicroCHIPS, Inc. travaille sur des puces implantables pour l’administration de médicaments depuis 1999. Elle a été fondée par des scientifiques du MIT qui ont inventé la technologie des puces dans les années 1990, en partenariat avec le fonds spéculatif Polaris Ventures. La société a attiré l’attention de la Fondation Gates après avoir annoncé les résultats positifs d’un essai clinique en février 2012.

Le projet de contraception de M. Gates a vu le jour à la suite d’une rencontre entre M. Gates et le professeur du MIT Robert Langer, co-fondateur de MicroCHIPS et inventeur de tous les brevets de la société. M. Langer est un collaborateur fréquent de M. Gates, qui a également supervisé un projet controversé d’enregistrement de vaccin « quantum dot » – une autre « demande directe » de M. Gates lui-même.

Selon MIT Technology Review, Bill Gates et certains de ses associés sont venus chez Langer en 2012 pour s’enquérir des implants contraceptifs à distance et à long terme.

En décembre 2012, la Fondation Gates a accordé un montant initial de 1,5 million de dollars à Microchips Biotech pour développer des puces contraceptives. La fondation s’est engagée à verser 20,5 millions de dollars supplémentaires en 2014.

Les micropuces contraceptives délivrent du lévonorgestrel, la pilule du lendemain, aux utilisateurs pendant une période pouvant aller jusqu’à seize ans et peuvent être contrôlées sans fil par les médecins.

La Fondation Gates est toujours financièrement engagée dans le projet, ayant déboursé un million de dollars supplémentaires en septembre. Elle a participé au rachat de Microchips Biotech par la société pharmaceutique Daré Bioscience en 2019. En fait, le 15 juin, dix jours après que Gates ait totalement nié toute connexion de micropuces, Daré a annoncé une autre subvention de 1,5 million de dollars de la Fondation Gates.

Non seulement le programme des micropuces a des liens avec Gates, mais il a également des liens avec les vaccins contre le coronavirus. Outre le lancement de MicroCHIPS, Robert Langer a cofondé Moderna, un important fabricant de vaccins COVID. Il s’agit du grand fabricant auquel le gouvernement américain a pré-commandé 100 millions de doses en août. M. Langer siège actuellement au conseil d’administration et au conseil consultatif scientifique de Moderna.

Bill Gates a également financé Moderna, en déboursant 20 millions de dollars à ce jour, avec la possibilité d’un futur 80 millions de dollars.

Bien que cela ne vérifie pas les théories selon lesquelles Gates mettra des micropuces dans les vaccins contre le coronavirus, cela rend ses affirmations du genre « Il n’y a aucun lien entre ces vaccins et un quelconque type de suivi », un peu hypocrite.

https://player.acast.com/the-john-henry-westen-show/episodes/bill-gates-falsehood-ive-never-been-involved-in-any-sort-of-#?secret=NlfKb2gKB3

Lire aussi : Bill Gates avertit que les États-Unis doivent trouver des moyens de « réduire l’hésitation à se faire vacciner »

Source : LifeSiteNews – Traduit par Anguille sous roche


[Voir aussi :




Vague de mort par le vaccin : le gouvernement britannique publie une demande pour un système d’IA analysant les effets secondaires du vaccin COVID-19 décrits comme une « menace directe pour la vie des patients »

[Source en anglais : Natural News]

Alors que les médias grand public mensongers et traîtres nous disent à tous que les vaccins covid-19 sont parfaitement sûrs et « efficaces à 95% » — et ce mensonge est répété par PJ Media, Breitbart et d’autres éditeurs de presse dits « conservateurs » — au Royaume-Uni, le gouvernement a publié une soumission et un avis d’attribution de contrat pour la recherche d’un système d’intelligence artificielle (IA) capable de traiter [l’information sur] le déluge attendu de préjudices et d’effets secondaires du vaccin covid-19.

Intitulé simplement « Fournitures – 506291-2020 » et trouvé à ce lien sur Tenders Electronic Daily, cet avis d’attribution de contrat que nous avons initialement publié le 19 octobre 2020 et qui se résume comme suit :

La MHRA recherche d’urgence un outil logiciel d’intelligence artificielle (IA) pour traiter le volume élevé attendu d’effets indésirables (EI) du vaccin Covid-19 et s’assurer qu’aucun détail du texte des EI ne soit oublié.

La demande du système d’IA pour traiter les réactions vaccinales covid-19 provient de la Medicines & Healthcare Products Regulatory Agency du Royaume-Uni, la MHRA.

Plus loin dans le document, la MHRA décrit une « urgence extrême en vertu du règlement 32 (2) (c) liée à la libération d’un vaccin Covid-19 » et dit que le déluge attendu de réactions indésirables au vaccin covid-19 submergera son actuel « vieux système ».

« Si la MHRA ne met pas en œuvre l’outil d’IA », explique la MHRA, « elle ne pourra pas traiter efficacement ces EI. Cela entravera sa capacité à identifier rapidement tout problème de sécurité potentiel relatif au vaccin Covid-19 et représente une menace directe pour la vie des patients et la santé publique. »

Le statut d’extrême urgence de cette offre est expliqué plus en détail :

Raisons d’extrême urgence la MHRA reconnaît que son processus d’acquisition prévu pour le programme SafetyConnect, y compris l’outil d’IA, ne se serait pas terminé par le lancement du vaccin. Ceci conduit à une incapacité à surveiller efficacement les effets indésirables d’un vaccin Covid-19.

Événements imprévisibles la crise de Covid-19 est nouvelle et les développements dans la recherche d’un vaccin Covid-19 n’ont pas suivi jusqu’à présent de modèle prévisible.

Cela ressemble-t-il à une agence qui s’attend à ce que le vaccin contre le covid-19 soit sûr et efficace?

Il ressort clairement de la description figurant dans le document d’attribution que :

  1. La MHRA s’attend à ce que les vaccins covid-19 provoquent une vague d’événements indésirables / d’effets secondaires.
  2. La MHRA est pleinement consciente que ces événements indésirables vont nuire et tuer de nombreux patients. Elle met spécifiquement en garde contre « une menace directe pour la vie du patient ».
  3. Les vieux systèmes de la MHRA sont incapables de gérer le volume attendu de rapports entrants concernant les préjudices causés par le vaccin contre le covid-19, ce qui signifie que le volume attendu de ces rapports sera très important et sans précédent.
  4. La MHRA reconnaît « l’extrême urgence » de mettre en place un nouveau système pour identifier les effets indésirables des vaccins covid-19.
  5. La MHRA déclare que si un nouveau système d’IA n’est pas installé de toute urgence, elle sera incapable d’identifier un grand nombre des effets indésirables résultant du vaccin covid-19, et que cet échec aura un impact négatif sur la santé publique. (C’est-à-dire que les gens mourront.)

Ce que cela montre, c’est l’honnêteté brutale de la MHRA dans les coulisses, dans leur processus d’appel d’offres pour les systèmes d’IA. Pourtant, publiquement, presque toutes les agences gouvernementales de réglementation du monde entier y compris celles du Royaume-Uni et des États-Unis ne partagent pas ces détails avec le public et décrivent à tort que les vaccins covid-19 sont presque 100% sûrs et efficaces.

Nous savons maintenant que même la MHRA du Royaume-Uni se rend compte que les vaccins covid-19 vont être extrêmement dangereux pour le public, générant une vague catastrophique de réactions indésirables et d’effets secondaires mortels.

Cela pose la question suivante : pourquoi la MHRA ne dit-elle rien de tout cela publiquement ?

(source initiale : la vidéo suivante sur Brighteon.com, qui a d’abord attiré mon attention sur cette bombe.)



https://www.brighteon.com/embed/036c92ca-027b-413a-8ae9-1c17eeb091c6

Liquider la population humaine avec des armes biologiques mortelles et des vaccins toxiques : la « grande réinitialisation » est la tyrannie médicale et le communisme économique

Il ne fait aucun doute que le CDC sait tout cela aussi, et il ne diffuse rien qui alerterait le public sur cette réalité.

De toute évidence, le public est délibérément tenu dans l’ignorance des dangers des vaccins contre le covid-19, et malheureusement, même les médias conservateurs pro-Trump aux États-Unis répètent la propagande de l’industrie des vaccins pour essayer de faire croire aux gens que les vaccins contre le covid-19 vont sauver le monde.

Gardez à l’esprit que les géants traîtres de la technologie ont tous conspiré au cours des dernières années pour censurer quiconque remettrait en question la sécurité de l’efficacité des vaccins. Cela signifie que pendant que les gens mourront du vaccin contre le covid-19, personne ne sera autorisé à en parler ou à sonner l’alarme. Tous les décès dus au vaccin covid-19 seront cachés et tenus à l’écart du public. Les médias, bien sûr, feront tout pour protéger Big Pharma, tout comme ils ont fait des heures supplémentaires pour empêcher des divulgations choquantes sur Joe Biden et la famille criminelle Biden à propos du contrôle de la Chine communiste sur Hunter Biden.

En substance, Big Pharma et les contrôleurs mondialistes s’attendent à ce que l’humanité s’aligne, reçoive le coup et meure en silence alors que tout nous est volé par les méchants collaborateurs mondialistes de la « grande réinitialisation ». Les vaccins qui atteignent leur objectif de génocide de masse et de dépeuplement ne sont qu’une couche de leur grand plan qui implique également le vol coordonné et mondial de tous les actifs privés via un effondrement de la monnaie fiduciaire qui rend toutes les économies et tous les actifs libellés en devises instantanément sans valeur.

[NdNM : il est pratiquement impossible de démontrer que les élites mondiales envisagent (éventuellement) le génocide de 90 ou 95% de l’Humanité par divers moyens, dont l’utilisation de vaccins. Et donc, on peut parfaitement en douter. Cependant, si par hasard c’était effectivement le cas…
Ce qui est par contre démontré et notamment visible sur le site officiel du Forum Économique Mondial, c’est la volonté d’une partie de ces élites de produire leur fameuse Grande Réinitialisation.]

Non seulement les personnes qui prennent les coups de feu finiront par être blessées ou tuées; [mais en plus] tout ce qu’ils possédaient autrefois leur sera confisqué et volé par les mêmes mondialistes qui poussent pour les vaccins et la censure.

Ce sont les mêmes mondialistes qui viennent de voler les élections de 2020 aux États-Unis, bien sûr, en truquant les machines à voter de Dominion et en enflammant le pays entier avec leurs faux médias d’information.

La solution finale contre l’humanité est une combinaison d’une réinitialisation économique mondiale, d’un génocide de masse via des vaccins, d’une famine artificielle via un effondrement contrôlé de l’approvisionnement alimentaire, et du contrôle total de la parole et des pensées via la censure des Big Tech et les programmes d’ingénierie sociale. Pour les mondialistes, vous n’êtes qu’un animal d’élevage et ils croient qu’il est temps de rassembler tous les animaux à abattre.

D’où la nécessité du coronavirus SRAS-cov-2 dès le début : il a permis aux mondialistes de libérer tous leurs programmes pour asservir l’humanité et détruire la liberté humaine, tout en prétendant vous « protéger » de la même arme biologique qu’ils ont créée et relâchée dans le lieu initial [Wuhan].

Si vous voulez survivre à ce qui va arriver, téléchargez gratuitement mes deux nouveaux livres audio : The Global Reset Survival Guide [Le guide de survie à la Grande Réinitialisation] est sur GlobalReset.news et vous pouvez acheter Survival Nutrition [Alimentation de survie] (également gratuit) sur SurvivalNutrition.com.




Élections US. Trump est-il un piège ?

[Source : Rémy Daillet-Wiedemann]

https://youtu.be/7bpdysEz6cU



Les agences de renseignement américaines et britanniques déclarent la cyberguerre contre les médias indépendants

[Source : Réseau International]

par Whitney Webb.

Les services de renseignement britanniques et américains sont en train de « militariser la vérité » pour mettre fin aux hésitations concernant les vaccins, alors que les deux pays se préparent à des inoculations massives. Une « cyberguerre » récemment annoncée, qui sera commandée par des arbitres de la vérité utilisant l’IA, contre des sources d’information qui contestent les récits officiels.

La semaine dernière, les États de sécurité nationale des États-Unis et du Royaume-Uni ont discrètement laissé entendre que les cyber-outils et les tactiques en ligne précédemment conçus pour être utilisés dans la « guerre contre le terrorisme » de l’après-11 septembre sont maintenant reconvertis pour être utilisés contre les sources d’information qui encouragent « l’hésitation à se vacciner » et les informations relatives à la Covid-19 qui vont à l’encontre des déclarations de l’État.

Une nouvelle cyber-offensive a été lancée lundi par l’agence britannique de renseignement sur les signaux, le Quartier Général des Communications du Gouvernement (GCHQ), qui cherche à cibler les sites web qui publient des contenus considérés comme de la « propagande » qui suscite des inquiétudes concernant le développement du vaccin contre la Covid-19 commandité par l’État et les multinationales pharmaceutiques impliquées.

Des efforts similaires sont en cours aux États-Unis, l’armée américaine ayant récemment financé une entreprise parrainée par la CIA – composée d’anciens responsables de la lutte antiterroriste qui étaient derrière l’occupation de l’Irak et la montée de l’État Islamique – pour développer un algorithme basé sur l’IA visant spécifiquement les nouveaux sites web promouvant la désinformation « suspecte » liée à la crise de la Covid-19 et l’effort de vaccination contre la Covid-19 mené par l’armée américaine, connu sous le nom d’Opération Warp Speed.

Les deux pays s’apprêtent à réduire au silence les journalistes indépendants qui expriment des inquiétudes légitimes quant à la corruption de l’industrie pharmaceutique ou à l’extrême secret qui entoure les efforts de vaccination contre la Covid-19 menés par l’État, maintenant que le vaccin candidat de Pfizer doit être approuvé par la Food and Drug Administration (FDA) américaine d’ici la fin du mois.

L’histoire de Pfizer, qui s’est vu infliger des milliards d’amendes pour commercialisation illégale et corruption de fonctionnaires pour les aider à couvrir un essai de médicament illégal qui a tué onze enfants (entre autres crimes), n’a pas été mentionnée par la plupart des médias, qui ont au contraire célébré l’approbation apparemment imminente du vaccin contre la Covid-19 de la société sans s’interroger sur l’histoire de la société ou sur le fait que la technologie ARNm utilisée dans le vaccin a suivi les protocoles normaux des essais de sécurité et n’a jamais été approuvée pour un usage humain. Il n’est pas non plus mentionné que la Directrice du Centre d’Évaluation et de Recherche sur les Médicaments de la FDA, Patrizia Cavazzoni, est l’ancienne Vice-Présidente de Pfizer pour la sécurité des produits, qui a dissimulé le lien entre l’un de ses produits et des anomalies congénitales.

Des piétons passent devant le siège mondial de Pfizer à New York, le lundi 9 novembre 2020. Pfizer affirme qu’un premier coup d’œil à ses données sur les vaccins suggère que les injections pourraient être efficaces à 90% pour prévenir la COVID-19, mais cela ne signifie pas qu’un vaccin est imminent. (AP Photo/Bebeto Matthews)

Le pouvoir de l’État est exercé comme jamais auparavant pour contrôler les discours en ligne et retirer des plateformes les sites d’information afin de protéger les intérêts de puissantes entreprises comme Pfizer et d’autres géants pharmaceutiques à scandales, ainsi que les intérêts des États de sécurité nationale des États-Unis et du Royaume-Uni, qui sont eux-mêmes intimement impliqués dans le projet de vaccination contre la Covid-19.

La nouvelle cyberguerre des services secrets britanniques contre la « propagande anti-vaccinale »

Lundi, le journal britannique The Times a rapporté que le GCHQ du Royaume-Uni « a lancé une cyber-opération offensive pour stopper la propagande anti-vaccins diffusée par des États hostiles » et « utilise pour ce faire une boîte à outils mise au point pour s’attaquer au matériel de désinformation et de recrutement colporté par l’État Islamique ». En outre, le gouvernement britannique a ordonné à la 77ème brigade de l’armée britannique, spécialisée dans la « guerre de l’information », de lancer une campagne en ligne pour contrer les « récits trompeurs » sur les vaccins candidats contre la Covid-19.

La « cyberguerre » récemment annoncée par le GCHQ ne se contentera pas de faire disparaître la « propagande anti-vaccins », mais cherchera également à « mettre fin aux opérations des cyberacteurs qui en sont responsables, notamment en cryptant leurs données pour qu’ils ne puissent pas y accéder et en bloquant les communications entre eux ». L’effort consistera également pour le GCHQ à contacter d’autres pays de l’alliance « Five Eyes » (États-Unis, Australie, Nouvelle-Zélande et Canada) pour alerter leurs agences partenaires dans ces pays afin qu’elles ciblent ces sites de « propagande » hébergés à l’intérieur de leurs frontières.

Le Times a déclaré que « le gouvernement considère la lutte contre les fausses informations sur l’inoculation comme une priorité croissante à mesure que la perspective d’un vaccin fiable contre le coronavirus se rapproche », ce qui laisse entendre que les efforts continueront à s’intensifier à mesure qu’un vaccin candidat se rapproche de l’approbation.

Il semble que, du point de vue de l’État de sécurité nationale britannique, ceux qui remettent en question la corruption dans l’industrie pharmaceutique et son impact possible sur les principaux vaccins candidats expérimentaux contre la Covid-19 (qui utilisent tous des technologies vaccinales expérimentales qui n’ont jamais été approuvées auparavant pour un usage humain) devraient être ciblés avec des outils conçus à l’origine pour lutter contre la propagande terroriste.

Alors que le Times a affirmé que l’effort viserait le contenu « qui provient uniquement des adversaires de l’État » et ne ciblerait pas les sites de « citoyens ordinaires », le journal a suggéré que l’effort s’appuierait sur le gouvernement américain pour déterminer si un site fait partie ou non d’une opération de « désinformation étrangère ».

Ceci est très troublant étant donné que les États-Unis ont récemment saisi les domaines de nombreux sites, dont l’American Herald Tribune, qu’ils ont erronément qualifié de « propagande iranienne », bien que son rédacteur en chef, Anthony Hall, soit basé au Canada. Le gouvernement américain a fait cette déclaration au sujet de l’American Herald Tribune après que la société de cybersécurité FireEye, un sous-traitant du gouvernement américain, ait déclaré qu’il avait une « confiance modérée » dans le fait que le site ait été « fondé en Iran ».

En outre, le fait que le GCHQ ait affirmé que la plupart des sites qu’il prévoit de cibler sont « liés à Moscou » est d’autant plus préoccupant que le gouvernement britannique a été impliqué dans le financement de l’Initiative pour l’Intégrité du groupe de réflexion Institute for Statecraft, qui a faussement qualifié les critiques des actions du gouvernement britannique ainsi que ses récits concernant le conflit en Syrie de campagnes de « désinformation russe ».

Compte tenu de ce précédent, il est certainement plausible que le GCHQ puisse croire la parole d’un gouvernement allié, d’un sous-traitant du gouvernement, ou peut-être même d’une organisation médiatique alliée comme Bellingcat ou le DFRLab du Conseil Atlantique, affirmant qu’un site donné est de la « propagande étrangère », afin de lancer une cyber-offensive contre lui. Ces préoccupations ne sont qu’amplifiées lorsque l’une des principales sources gouvernementales pour l’article du Times déclare sans ambages que « le GCHQ a reçu l’ordre de retirer les « antivaccins » [sic] d’Internet et des médias sociaux. Des moyens ont été utilisés pour surveiller et perturber la propagande terroriste », ce qui suggère que les cibles de la nouvelle cyberguerre du GCHQ seront, en fait, déterminées par le contenu lui-même plutôt que par leur origine « étrangère » présumée. L’aspect « étranger » semble plutôt être un moyen d’échapper à l’interdiction du mandat opérationnel du GCHQ de cibler les discours ou les sites web de citoyens ordinaires.

Ce pivot plus large visant à traiter les prétendus « antivaccins » comme des « menaces pour la sécurité nationale » s’est poursuivi pendant une grande partie de cette année, sous l’impulsion notamment d’Imran Ahmed, le PDG du Centre pour la Lutte contre la Haine Numérique basé au Royaume-Uni, membre du Comité Directeur pour la Lutte contre l’Extrémisme du gouvernement britannique.

Ahmed a déclaré au journal britannique The Independent en juillet : « J’irais au-delà du fait d’appeler les antivaccins des théoriciens du complot pour dire qu’ils sont un groupe extrémiste qui pose un risque pour la sécurité nationale ». Il a ensuite déclaré : « Une fois que quelqu’un a été exposé à un type de conspiration, il est facile de le conduire sur une voie où il adopte des visions du monde plus radicales qui peuvent conduire à un extrémisme violent », ce qui implique que les « antivaccins » pourraient se livrer à des actes d’extrémisme violent. Parmi les sites web cités par l’organisation d’Ahmed comme promouvant ce genre « d’extrémisme » qui pose un « risque pour la sécurité nationale » figurent Children’s Health Defense, le National Vaccine Information Center, Informed Consent Action Network et Mercola.com, entre autres.

De même, un groupe de réflexion lié aux services de renseignement américains – dont l’équivalent du GCHQ, la National Security Agency, participera à la « cyberguerre » récemment annoncée – a affirmé dans un document de recherche publié quelques mois à peine avant le début de la crise de la Covid-19 que « le mouvement des ‘antivaccins’ américain constituerait une menace pour la sécurité nationale en cas de ‘pandémie avec un nouvel organisme’ ».

InfraGard, « un partenariat entre le Bureau Fédéral d’Investigation (FBI) et des membres du secteur privé », a averti dans le document publié en juin dernier que « le mouvement des antivaccins américain serait également lié aux « campagnes de désinformation et de propagande sur les médias sociaux » orchestrées par le gouvernement russe », comme le cite The Guardian. Le document d’InfraGard affirme en outre que les principaux « antivaccins » sont alignés « sur d’autres mouvements de conspiration, notamment l’extrême droite … et sur les campagnes de désinformation et de propagande des médias sociaux menées par de nombreux acteurs étrangers et nationaux ». Parmi ces acteurs figure l’Internet Research Agency, l’organisation alignée au gouvernement russe ».

Un article publié le mois dernier par le Washington Post affirmait que « l’hésitation sur les vaccins se mélange avec la négation du coronavirus et se confond avec les théories de conspiration américaines d’extrême droite, notamment Qanon », que le FBI a qualifié l’année dernière de menace potentielle de terrorisme intérieur. L’article cite Peter Hotez, doyen de l’école de médecine tropicale du Baylor College of Medicine à Houston, qui a déclaré : « Le mouvement anti-vaccination américain se mondialise et va vers des tendances plus extrémistes ».

Simone Warstat, de Louisville (Colorado), brandit une pancarte lors d’un rassemblement contre un projet de loi visant à rendre plus difficile aux parents de se soustraire à la vaccination de leurs enfants pour des raisons non médicales, dimanche 7 juin 2020, à Denver.

Il convient de souligner que de nombreux « antivaccins » sont en fait des critiques de l’industrie pharmaceutique et ne sont pas nécessairement opposés aux vaccins en soi, ce qui rend les étiquettes « antivaccins » et « antivaccination » trompeuses. Étant donné que de nombreux géants pharmaceutiques impliqués dans la fabrication des vaccins contre la Covid-19 font des dons importants aux politiciens des deux pays et ont été impliqués dans de nombreux scandales liés à la sécurité, utiliser les agences de renseignement de l’État pour mener une cyberguerre contre des sites qui enquêtent sur de telles préoccupations est non seulement troublant pour l’avenir du journalisme, mais cela suggère que le Royaume-Uni fait un pas dangereux pour devenir un pays qui utilise ses pouvoirs d’État pour traiter les ennemis des entreprises comme des ennemis de l’État.

L’entreprise parrainée par la CIA qui « militarise la vérité » avec l’IA

Début octobre, l’Armée de l’Air des États-Unis et le Commandement des Opérations Spéciales des États-Unis ont annoncé qu’ils avaient attribué un contrat de plusieurs millions de dollars à la société américaine de « renseignement machine » Primer. Selon le communiqué de presse, « Primer va développer la toute première plateforme d’apprentissage automatique pour identifier et évaluer automatiquement la désinformation suspecte. Primer améliorera également sa plateforme de traitement du langage naturel pour analyser automatiquement les événements tactiques afin de fournir aux commandants une vision sans précédent des événements en temps quasi réel ».

Selon Primer, la société « construit des logiciels qui lisent et écrivent en anglais, en russe et en chinois pour découvrir automatiquement des tendances et des modèles dans de grands volumes de données », et leur travail « soutient la mission de la communauté du renseignement et du Département de la Défense en général en automatisant les tâches de lecture et de recherche pour améliorer la rapidité et la qualité de la prise de décision ». En d’autres termes, Primer développe un algorithme qui permettrait à l’État de sécurité nationale d’externaliser de nombreux postes d’analystes militaires et de renseignement vers l’IA. En fait, la société l’admet ouvertement, en déclarant que ses efforts actuels « vont automatiser le travail généralement effectué par des dizaines d’analystes dans un centre d’opérations de sécurité pour ingérer toutes les données pertinentes à un événement au fur et à mesure qu’il se produit et les canaliser dans une interface utilisateur unifiée ».

L’objectif ultime de Primer est d’utiliser son IA pour automatiser entièrement le façonnage des perceptions du public et devenir l’arbitre de la « vérité », telle que définie par l’État. Le fondateur de Primer, Sean Gourley, qui a précédemment créé des programmes basés sur l’IA pour l’armée afin de traquer « l’insurrection » dans l’Irak post-invasion, a affirmé dans un article en avril que « la guerre informatique et les campagnes de désinformation deviendront, en 2020, une menace plus sérieuse que la guerre physique, et nous devrons repenser les armes que nous déployons pour les combattre ».

Dans ce même article, Gourley a plaidé pour la création d’un « Projet Manhattan pour la vérité » qui créerait une base de données de type Wikipédia accessible au public, construite à partir de « bases de connaissances qui existent déjà dans les agences de renseignement de nombreux pays à des fins de sécurité nationale ». Gourley a ensuite écrit que « cet effort consisterait en fin de compte à construire et à améliorer notre intelligence collective et à établir une base de référence pour ce qui est vrai ou non » comme l’ont établi les agences de renseignement. Il conclut son article en déclarant « qu’en 2020, nous commencerons à militariser la vérité ».

Notamment, le 9 novembre, le jour même où le GCHQ a annoncé ses plans pour cibler la « propagande anti-vaccins », le site web américain NextGov a rapporté que l’effort de Primer financé par le Pentagone avait tourné son attention spécifiquement vers la « désinformation liée à la Covid-19 ». Selon le directeur scientifique de Primer, John Bohannon, « Primer va intégrer des capacités de détection de bot, de détection de texte synthétique et d’analyse de revendications textuelles non structurées dans notre plateforme d’intelligence artificielle existante actuellement utilisée par le Département de la Défense … Cela permettra de créer la première plateforme unifiée prête pour la mission afin de contrer efficacement la désinformation liée à la Covid-19 quasiment en temps réel ».

Bohannon, qui travaillait auparavant comme journaliste de premier plan intégré aux forces de l’OTAN en Afghanistan, a également déclaré à NextGov que le nouvel effort de Primer axé sur la Covid-19 « classe automatiquement les documents dans l’une des 10 catégories pour permettre la détection de l’impact de la COVID » sur des domaines tels que « les affaires, la science et la technologie, l’emploi, l’économie mondiale et les élections ». Le produit final devrait être livré au Pentagone au cours du deuxième trimestre de l’année prochaine.

Bien qu’il s’agisse d’une société dite privée, Primer est profondément liée à l’État de sécurité nationale qu’elle est censée protéger en « militarisant la vérité ». Primer est fière de se présenter comme une entreprise dont plus de 15% du personnel est issu de la communauté des services de renseignement ou de l’armée américaine. Le Directeur du Groupe de Sécurité Nationale de la société est Brian Raymond, un ancien officier de renseignement de la CIA qui a occupé le poste de Directeur pour l’Irak au Conseil de Sécurité Nationale des États-Unis après avoir quitté l’agence.

L’entreprise a également récemment ajouté à son conseil d’administration plusieurs hauts responsables de la sécurité nationale, dont :

• Le Général Raymond Thomas (à la retraite), qui a dirigé le commandement de toutes les Forces d’Opérations Spéciales des États-Unis et de l’OTAN en Afghanistan et est l’ancien Commandant du Commandement des Opérations Spéciales des États-Unis et du Commandement des Opérations Spéciales Conjointes (JSOC).

• Le Lieutenant Général VeraLinn Jamieson (retraitée), ancienne Chef d’État-Major Adjoint pour le Renseignement, la Surveillance et la Reconnaissance de l’Armée de l’Air, qui a dirigé les forces de renseignement et les cyberforces de l’Armée de l’Air. Elle a également personnellement développé des « partenariats stratégiques » entre l’Armée de l’Air et Microsoft, Amazon, Google et IBM afin « d’accélérer la transformation numérique de l’Armée de l’Air ».

• Brett McGurk, l’un des « architectes en chef » de la « poussée » de la guerre en Irak, aux côtés de la célèbre famille Kagan, en tant que Directeur du NSC pour l’Irak, puis comme assistant spécial du Président et Directeur Principal pour l’Irak et l’Afghanistan sous l’administration Bush. Sous Obama et pendant une partie de l’administration Trump, McGurk a été l’envoyé spécial du Président pour la Coalition Mondiale pour vaincre l’État Islamique au Département d’État, aidant à gérer la « sale guerre » menée par les États-Unis, le Royaume-Uni et d’autres alliés contre la Syrie.

En plus de ces récentes embauches au sein du conseil d’administration, Primer a fait appel à Sue Gordon, l’ancienne Directrice Adjointe Principale du Renseignement National, en tant que conseillère stratégique. Gordon avait auparavant « dirigé des partenariats au sein de la communauté du renseignement américain et fourni des conseils au Conseil National de Sécurité dans son rôle de Directrice Adjointe du Renseignement National » et avait eu une carrière de vingt-sept ans à la CIA. Ces liens profonds ne sont pas surprenants, étant donné que Primer est financièrement soutenu par la branche de capital-risque de la CIA, In-Q-Tel, et par la branche de capital-risque du milliardaire Mike Bloomberg, Bloomberg Beta.

La blitzkrieg contre la désinformation de l’Opération Warp Speed   

L’intérêt croissant des États-Unis et du Royaume-Uni pour la « désinformation » sur la Covid-19, en particulier en ce qui concerne les prochaines campagnes de vaccination, est étroitement lié à la stratégie d’engagement médiatique de l’Opération Warp Speed du gouvernement américain.

Officiellement un « partenariat public-privé », l’Opération Warp Speed, qui a pour objectif de vacciner 300 millions d’Américains d’ici janvier prochain, est dominée par l’armée américaine et implique également plusieurs agences de renseignement américaines, dont l’Agence de Sécurité Nationale (NSA) et le Département de la Sécurité Intérieure (DHS), ainsi que les géants technologiques liés au renseignement que sont Google, Oracle et Palantir. Plusieurs de mes rapports publiés dans The Last American Vagabond et du journaliste Derrick Broze ont révélé l’extrême secret de l’opération, ses nombreux conflits d’intérêts et ses liens profonds avec la Silicon Valley et les initiatives technocratiques orwelliennes.

Les directives officielles de Warp Speed discutent longuement de son plan par étapes pour engager le public et traiter les questions de « l’hésitation sur les vaccins ». Selon le document de Warp Speed intitulé « De l’usine aux premières lignes », « les communications stratégiques et les messages publics sont essentiels pour assurer une acceptation maximale des vaccins, ce qui nécessite une saturation des messages dans les médias nationaux ». Il indique également que « la collaboration avec des partenaires établis – en particulier ceux qui sont des sources fiables pour les publics cibles – est essentielle pour faire progresser la compréhension, l’accès et l’acceptation des vaccins éventuels par le public » et que « pour obtenir une couverture élevée, il faudra identifier les bons messages pour promouvoir la confiance dans les vaccins, contrer la désinformation et cibler la sensibilisation des populations vulnérables et à risque ».

Le document note également que Warp Speed utilisera le cadre stratégique à trois volets du CDC pour son effort de communication. Le troisième pilier de cette stratégie est intitulé « Stop aux mythes » et a pour objectif principal « d’établir des partenariats pour contenir la propagation de la désinformation » ainsi que de « travailler avec des partenaires locaux et des messagers de confiance pour améliorer la confiance dans les vaccins ».

Bien que ce document particulier de Warp Speed soit court sur les détails, le guide provisoire du Programme de Vaccination contre la Covid-19 du CDC contient des informations supplémentaires. Il indique que l’Opération Warp Speed « fera appel à un large éventail de partenaires, de collaborations et de canaux de communication et d’information pour atteindre les objectifs de communication, sachant que les préférences en matière de canaux et les sources crédibles varient selon les publics et les personnes à haut risque de maladie grave et les populations critiques, et que les canaux n’ont pas tous la même capacité à atteindre les différents objectifs de communication ». Elle déclare qu’elle concentrera ses efforts à cet égard sur les « canaux médiatiques traditionnels » (presse écrite, radio et télévision) ainsi que sur les « médias numériques » (Internet, médias sociaux et SMS).

Le document du CDC révèle en outre que la campagne de « messages publics » visant à « promouvoir l’adoption du vaccin » et à répondre aux « hésitations concernant le vaccin » est divisée en quatre phases et ajoute que la stratégie de communication globale de Warp Speed « devrait être opportune et applicable pour la phase actuelle du programme de vaccination contre la Covid-19 ».

Ces phases sont :

  • Avant qu’un vaccin ne soit disponible.
  • Le vaccin est disponible en quantité limitée pour certaines populations prioritaires.
  • Le vaccin est de plus en plus disponible pour d’autres populations critiques et pour le grand public.
  • Le vaccin est largement disponible.

Étant donné que le vaccin candidat contre la Covid-19 produit par Pfizer devrait être approuvé d’ici à la fin novembre, il semble que l’État de sécurité nationale américain, qui mène actuellement l’Opération Warp Speed, avec des « messagers de confiance » dans les médias, se prépare à entrer dans la deuxième phase de sa stratégie de communication, dans laquelle les organisations de presse et les journalistes qui expriment des préoccupations légitimes au sujet de Warp Speed seront retirés des plateformes pour faire place à la saturation « nécessaire » des messages pro-vaccins dans le paysage médiatique anglophone.

source : https://unlimitedhangout.com

traduit par Réseau International




Biden président ? La réaction de François Asselineau

[Source : Union Populaire Républicaine]




La planète entière a assisté au vol de l’élection de Donald Trump et aucun média ne s’est révolté !

[Source : Pierre Jovanovic]

du 9 au 13 novembre 2020 

Depuis un mois, j’ai suivi les réunions électorales des deux candidats Trump et Biden, souvent en direct. Et j’étais sidéré de voir que si Trump réunissait 30.000 personnes en délire et dans un froid polaire sur un tarmac d’aéroport, Biden, lui, désolé pour la suite, n’a aligné que des BIDES !

Il n’y avait personne à ses réunions, PERSONNE, même quand Barack Obama était venu le seconder.

Donc, qu’on nous explique, comment Biden a t-il pu gagner les élections APRÈS la clôture des votes in vivo. Personne d’ailleurs ne peut croire que 80 voire 90% des votes par correspondance l’aient été pour le seul Biden, cela ne TIENT PAS debout.

Autre point: les Américains votaient aussi pour leurs sénateurs, et là la supercherie est visible: quand 60% des gens votaient pour un sénateur GOP, les même ont voté pour Biden pour les présidentielles ! Hyper logique en effet. Sans parler du fait que les observateurs GOP au dépouillement ont été interdits d’approcher, sous le bon prétexte du Covid.

Mes chers lecteurs vous avez enfin pu voir, vous aussi, cet invisible Deep State [État profond] en action.

Le plus fou est que Biden, qui n’a plus toute sa tête, s’en était même vanté par avance: « Je dispose du meilleur système électoral de fraude mis au point« , et France Inter, vite, vient le sauver en disant que c’est un lapsus !!!! «  Dimanche 25 octobre, le camp Trump a massivement brandi une vidéo, montrant le candidat démocrate Joe Biden « se vanter d’avoir mis en place l’organisation de fraude électorale la plus vaste et la plus inclusive de l’Histoire ». Sur les images, on voit bien Joe Biden tenir les propos qui lui sont reprochés.

À ce stade de la course à la présidentielle, on pourrait penser à une vidéo truquée, les fameuses deepfake, ou à un montage » (LoL, les journap*** de FI n’ont peur d’aucune bassesse) « Il n’en est rien. L’ancien vice-président a bien tenu ces propos dans le podcast Pod Save America du 24 octobre. Du pain bénit pour les républicains qui attaquent depuis des mois le système de vote par correspondance, craignant que des fraudes puissent faire perdre Donald Trump. Mais en écoutant l’émission en entier, on comprend qu’il s’agit simplement d’un lapsus« … lire ici pour le croire.

Des dizaines de milliers de morts ont voté (y compris le champion de boxe Joe Frazier, paix à son âme) sans parler des centaines de milliers de votes par correspondance retrouvés dans des poubelles, ruisseaux, buissons, etc., etc.

Donald Trump a été clairement volé de son élection, en plein jour, dans une campagne de haine organisée par les médias et les Gafas qui ont tout fait pour que les supporters GOP ne puissent pas se manifester sur le web, alors que les coupeurs de têtes islamistes d »ISIS, eux, avaient leur compte Twitter ou Youtube.

Sachez qu’avec ce qui vient de se passer aux Etats-Unis, ce sera désormais open-bar en France et partout en Europe. La recette fonctionne, le Deep State et les Gafa vont placer leurs marionnettes partout dans le monde, puisqu’il suffit désormais de contrôler les médias pour manipuler / diriger l’opinion vers l’heureux élu, Youtube, Facebook et Twitter feront le reste !

Mr Marteau a résumé à sa façon cette situation ahurissante: « Biden perd les 3 États clefs où le vote est le + sécurisé = Texas, Floride, Ohio. Il gagne les 3 États clefs où le vote est le + fraudable= Pennsylvanie, Michigan, Wisconsin. Il réunit à peine 20 personnes dans ses meetings. Il ne gagne même pas le Sénat.« 

Vous imaginez les prochaines présidentielles en France ? Sur le papier, Emmanuel Macron a déjà quasiment gagné sa réélection de 2022. Les ploutocrates n’auront même plus peur d’être pris sur le fait.

La démocratie est morte, et dites vous bien qu’un député En Marche n’a pas attendu la victoire pour proposer le même système pour la France, le vote par touche électronique et par correspondance, interdit depuis 1995 justement pour fraudes massives.

Et il se trouve que la société qui gère les votes électroniques américains a eu l’idée saugrenue de faire une mise à jour pendant l’élection, et cela a changé des dizaines de milliers de votes Trump pour Biden:

« One Michigan county clerk caught a glitch in tabulation software so they hand counted votes and found the glitch caused 6,000 votes to go to Biden + Democrats that were meant for Trump and Republicans. 47 MI counties used this software. All must check now!« .

@robbystarbuck 6 nov. 

[Traduction : Un greffier du comté du Michigan a détecté un pépin dans le logiciel de tabulation. Ils ont donc compté les votes à la main et ont constaté que le problème avait attribué 6 000 votes pour Biden et les démocrates, alors qu’ils étaient destinés à Trump et aux républicains.]

Ah oui quand même !!!

« Georgia election official: Machine glitch caused by last-minute vendor upload. Voting was delayed in two counties for two hours while the problem was fixed. A technology glitch that halted voting in two Georgia counties on Tuesday morning was caused by a vendor uploading an update to their election machines the night before, a county election supervisor said. Voters were unable to cast machine ballots for a couple of hours in Morgan and Spalding counties after the electronic devices crashed, state officials said. In response to the delays, Superior Court Judge W. Fletcher Sams extended voting until 11 p.m.« 

lire ici Politico.

[Traduction : « Fonctionnaire électoral de Géorgie : problème de machine causé par le téléchargement de dernière minute en provenance du fournisseur (du logiciel). Le vote a été retardé dans deux comtés pendant deux heures, le temps que le problème soit résolu. Un problème technologique qui a interrompu le vote dans deux comtés de Géorgie mardi matin a été causé par un fournisseur qui a mis en ligne une mise à jour de leurs machines électorales la nuit précédente, a déclaré un superviseur des élections du comté. Les électeurs n’ont pas pu voter par machine pendant quelques heures dans les comtés de Morgan et de Spalding après le crash des appareils électroniques, ont déclaré des responsables de l’État. En réponse aux retards, Le juge W. Fletcher Sams de la Cour supérieure a prolongé le vote jusqu’à 23 heures »]

La démocratie est morte en novembre 2020, remerciez les ultra-riches qui composent le Deep State. Désormais, sauf un miracle à la Jeanne d’Arc, rien ne pourra sauver la France de cette nouvelle Ploutocratie américaine.

PS: n’oubliez pas, même un ASTEROÏDE devait tomber sur les Etats-Unis le jour du vote !!!! Cela venait de la NASA !

Revue de Presse par Pierre Jovanovic ©




Trump déclare que « l’élection est loin d’être terminée » après la déclaration coordonnée des grands médias

[Source : Aube Digitale]

Trump vient de publier une déclaration et a refusé de céder, affirmant que l’élection est loin d’être terminée, affirmant qu’à partir de lundi, la campagne Trump portera la bataille devant les tribunaux.

Déclaration du Président Donald J. Trump :

“Nous savons tous pourquoi Joe Biden se précipite pour se faire passer à tort pour le vainqueur et pourquoi ses alliés médiatiques font tant d’efforts pour l’aider : ils ne veulent pas que la vérité soit dévoilée. Le simple fait est que cette élection est loin d’être terminée. Joe Biden n’a été certifié vainqueur d’aucun État, et encore moins d’un des États très contestés qui se dirigent vers un recomptage obligatoire, ou d’États où notre campagne fait l’objet de contestations judiciaires valables et légitimes qui pourraient déterminer le vainqueur final. En Pennsylvanie, par exemple, nos observateurs juridiques n’ont pas été autorisés à avoir un accès significatif pour observer le processus de comptage. Ce sont les votes légaux qui décident qui est président, et non les médias d’information.

À partir de lundi, notre campagne va commencer à poursuivre notre affaire devant les tribunaux pour s’assurer que les lois électorales sont pleinement respectées et que le vainqueur légitime est établi. Le peuple américain a droit à une élection honnête : cela signifie qu’il faut compter tous les bulletins de vote légaux et ne pas compter les bulletins illégaux. C’est la seule façon de garantir que le public ait pleinement confiance en notre élection. Il reste choquant que la campagne Biden refuse d’accepter ce principe de base et souhaite que les bulletins de vote soient comptés même s’ils sont frauduleux, fabriqués ou déposés par des électeurs inéligibles ou décédés. Seul un parti ayant commis des actes répréhensibles empêcherait illégalement les observateurs d’entrer dans la salle de dépouillement – et se battrait ensuite devant les tribunaux pour leur en interdire l’accès.”

“Alors, que cache Biden ? Je n’aurai de cesse que le peuple américain ait le décompte honnête des votes qu’il mérite et que la démocratie exige”.

– Président Donald J. Trump




La liste des fraudes démocrates

[Source : trumpfrance.com]




Confessions sur la fraude électorale : « J’étais passé maître dans l’art de truquer les bulletins de vote par correspondance »

[Source : Sott.net]

Article original paru le 29 août 2020

Selon un haut responsable démocrate, la fraude électorale, notamment avec les bulletins de vote par correspondance, n’est pas un mythe. Et il le sait parce qu’il le fait, à grande échelle, depuis des décennies.

Les bulletins de vote par correspondance sont devenus le dernier point de mire des élections de 2020. Alors que le président Trump et le Parti républicain mettent en garde contre la manipulation généralisée du vote par correspondance, qui va s’amplifier avec les restrictions du vote COVID, de nombreux démocrates et leurs alliés des médias ont rejeté ces préoccupations comme étant non fondées.

Mais l’initié politique, qui s’est exprimé sous le couvert de l’anonymat par crainte de poursuites judiciaires, a déclaré que la fraude est plus la règle que l’exception. Son sale boulot l’a mené à travers les dédales des élections municipales et fédérales à Paterson, Atlantic City, Camden, Newark, Hoboken et dans le comté d’Hudson. Ses empreintes digitales se retrouvent dans les courses législatives, municipales et congressionnelles locales à travers le Garden State. Certains des plus grands noms et des plus hauts responsables du New Jersey ont bénéficié de ses ruses, selon les comptes rendus de campagne que le Post a examinés.

« Une élection qui est influencée par 500 voix, 1 000 voix – cela peut faire une différence », a déclaré le spécialiste. « Cela pourrait suffire à faire basculer des états. »

Le dénonciateur – dont l’identité, le casier judiciaire et la longue expérience en tant que consultant pour diverses campagnes ont été confirmés par The Post – dit qu’il a non seulement changé lui-même les bulletins de vote au fil des ans, mais qu’il a aussi dirigé des équipes de fraudeurs et encadré au moins 20 agents dans le New Jersey, New York et la Pennsylvanie – un État pivot essentiel pour 2020.

« Il n’y a pas d’élection dans le New Jersey – du conseil municipal au Sénat des États-Unis – sur laquelle nous n’avons pas travaillé », a déclaré l’informateur. « J’ai travaillé sur une élection de commissaires aux incendies dans le comté de Burlington. Plus l’élection est petite, plus c’est facile à faire ».

Bernie Sanders, qui n’a pas de cheval dans la course à la présidence, a déclaré qu’il se sentait obligé de se présenter dans l’espoir que les États agissent maintenant pour régler les problèmes de sécurité flagrants que posent les bulletins de vote par correspondance.

« C’est une chose réelle », a-t-il déclaré. « Et il va y avoir une guerre des F-Rois le 3 novembre prochain pour ce genre de choses… S’ils savaient comment les saucisses sont fabriquées, ils pourraient les truquer. »

Le vote par correspondance peut être compliqué – assez difficile pour que 84 000 New-Yorkais aient vu leurs votes par correspondance rejetés lors des primaires présidentielles démocrates du 23 juin pour les avoir mal remplis.

Mais pour les pros de la politique, c’est du gâteau. Dans le New Jersey, par exemple, cela commence par un bulletin de vote postal vierge remis à un électeur inscrit dans une grande enveloppe. À l’intérieur du paquet se trouvent une enveloppe de retour, un « certificat d’envoi » que l’électeur doit signer, et le bulletin de vote lui-même.

C’est alors que le truqueur des élections entre en action.

Les faux bulletins de vote

Le bulletin de vote ne comporte aucun élément de sécurité spécifique – comme un timbre ou un filigrane – et l’initié a donc déclaré qu’il se contenterait de faire ses propres bulletins de vote.

« J’ai juste passé [le bulletin] dans la photocopieuse et il ressort de la même manière », a déclaré l’initié.

Mais les enveloppes de retour sont « plus sûres que le bulletin de vote ». Vous ne pourriez jamais recréer l’enveloppe », a-t-il dit. Elles ont donc dû être collectées auprès de vrais électeurs.

© Bloomberg via Getty Images

Ses agents se déploient en éventail, allant de maison en maison, pour convaincre les électeurs de les laisser poster les bulletins de vote remplis en leur nom en tant que service public. Le fraudeur et ses sous-fifres rapportent ensuite les enveloppes scellées chez eux et les placent au-dessus d’eau bouillante.

« Il faut les chauffer à la vapeur pour décoller la colle », a expliqué l’initié.

Il retirait ensuite le vrai bulletin de vote, plaçait le faux bulletin à l’intérieur du certificat signé et refermait l’enveloppe.

L’initié a ajouté qu’il avait pris soin de ne pas mettre les faux bulletins dans quelques boîtes aux lettres publiques, mais de les éparpiller dans toute la ville. De cette façon, il a évité d’attirer l’attention comme cela s’est produit lors d’une opération de fraude électorale bâclée lors d’une élection pour le conseil municipal de Paterson, NJ, cette année, où 900 bulletins ont été trouvés dans seulement trois boîtes aux lettres.

« S’ils les avaient dispersés dans toutes les boîtes aux lettres, rien ne serait arrivé », a déclaré l’initié.

Coup monté de l’intérieur

Selon l’informateur, les employés de la poste sont parfois impliqués dans l’escroquerie.

« Vous avez un facteur qui est un anti-Trump enragé et il travaille à Bedminster ou dans un bastion républicain … Il peut prendre ces bulletins [remplis], et sachant que 95% vont à un républicain, il peut simplement les jeter à la poubelle. »

Dans certains cas, les facteurs étaient des membres de son « équipe de travail », et ils triaient les bulletins de vote du courrier et les remettaient à l’agent.

En 2017, plus de 500 bulletins de vote par correspondance à New York ne sont jamais arrivés au comité électoral pour les élections de novembre, ce qui a privé des centaines de personnes de leur droit de vote. Ils ont finalement été découverts en avril 2018. « Pour une raison indéterminée, certains paniers de courrier destinés au bureau des élections de New York ont été mis de côté dans l’installation de traitement de Brooklyn », a déclaré le responsable des élections municipales, Michael Ryan, au moment de la découverte.

Maisons de retraite

La mise en place de structures d’assistance et « l’aide » aux personnes âgées pour remplir leurs bulletins de vote par correspondance a été une mine d’or de votes, a déclaré l’initié.

« Il y a des maisons de retraite où l’infirmière est en fait un opérateur rémunéré. Et ils vont pièce par pièce auprès de ces personnes âgées qui veulent encore se sentir utiles », a déclaré le dénonciateur. « [Ils] le remplissent littéralement pour eux. »

L’informateur a cité l’ancien maire de Jersey City, Gerald McCann, qui a été poursuivi en justice en 2007 après avoir remporté une mince victoire pour un siège au conseil scolaire local pour avoir prétendument incité par la ruse des résidents « incompétents… et malades » de maisons de retraite à voter pour lui. McCann a nié, bien qu’il ait admis avoir aidé certains résidents de maisons de retraite à remplir leurs demandes de vote par correspondance.

Usurpation d’identité d’un électeur

Quand tout le reste a échoué, l’initié envoyait des agents pour voter en direct dans les bureaux de vote, en particulier dans les États comme le New Jersey et New York qui n’exigent pas l’identification de l’électeur. La Pennsylvanie, elle aussi en grande partie, n’en a pas besoin.

Les meilleures cibles étaient les électeurs inscrits qui sautent régulièrement les élections présidentielles ou municipales – des informations qui sont publiquement disponibles.

Alamy Stock Photo

Vous remplissez ces fiches avec le nom et le quartier de cette personne et vous vous promenez dans la ville en disant : « Vous allez être lui, vous allez être lui », a dit l’initié en parlant de la façon dont il a envoyé ses équipes de sales escrocs.

Au bureau de vote, le faux électeur s’inscrivait, « se mettait dans la file et … votait », a dit l’initié. Les imposteurs se contentent de recréer au mieux la signature qui figure déjà sur la liste électorale. Dans les rares cas où un véritable électeur avait déjà signé et déposé son bulletin de vote, l’imitateur ne faisait que mettre en évidence une erreur innocente et s’enfuir.

Soudoyer les électeurs

L’informateur a déclaré que les refuges pour sans-abri du New Jersey offraient un bassin presque inépuisable d’électeurs fiables – et achetables.

« Ils peuvent s’inscrire là où ils vivent, se rendre aux urnes et voter », a-t-il déclaré en riant des 174 dollars par vote que Mike Bloomberg a dépensé pour remporter son troisième mandat de maire. Il a déclaré qu’il aurait pu obtenir le même résultat avec une réduction de 70 %, comme lorsque Frank « Pupie » Raia, un promoteur immobilier et Hoboken nabob, a été condamné l’année dernière sur des accusations fédérales pour avoir payé des résidents à faible revenu 50 dollars par personne pour voter comme il le voulait lors des élections municipales de 2013.

Sur le plan de l’organisation, a déclaré l’informateur, ses manœuvres de fraude électorale dans le Garden State et ailleurs ressemblaient à des organisations mafieuses, avec un patron (généralement le directeur de campagne) qui confiait la gestion quotidienne des soldats de la mafia au sous-patron (lui). Le candidat réel était généralement maintenu dans l’ignorance délibérément afin qu’il puisse maintenir un « déni plausible ».

Dans le cas des votes par correspondance, les partisans des deux parties se réunissent et comptent les bulletins de vote au sein du conseil électoral local – en débattant des bulletins qui doivent être rejetés pour cause d’irrégularités.

© AP

L’initié a déclaré que tout bulletin de vote présenté par lui ou son opération serait accompagné d’un coin plié le long du certificat d’électeur – qui contient la signature de l’électeur – afin que les compteurs du Democratic Board of Election sachent que le problème est réglé et ne s’y opposent pas.

« Il ne reste pas plié, mais vous pouvez dire s’il a été plié », a déclaré l’informateur. « Tant que le certificat n’est pas approuvé, le bulletin de vote n’a pas d’importance. Ils ne peuvent pas voir le bulletin de vote tant qu’ils n’ont pas approuvé le [certificat] ».

« J’ai inventé le pliage des coins », s’est vanté l’initié, en disant qu’une fois les bulletins fixes mélangés avec les bulletins normaux, les jeux étaient faits. « Une fois qu’un bulletin est ouvert, c’est un bulletin anonyme. »

Alors que la loi fédérale prévoit des peines de prison allant jusqu’à cinq ans, les fraudes électorales ont été beaucoup moins sanctionnées. Ainsi, en 2018, une femme du Texas a été condamnée à cinq ans de prison, tandis qu’un homme de l’Arizona, arrêté pour avoir voté deux fois par courrier, n’a reçu que trois ans de mise à l’épreuve. Une étude menée par la fondation conservatrice Heritage a révélé plus de 1 000 cas de fraudes électorales documentées aux États-Unis, dont la quasi-totalité s’est produite au cours des 20 dernières années.

« Il n’y a rien de nouveau dans ces techniques »

a déclaré Hans von Spakovsky, juriste senior à Heritage, qui gère leur initiative de réforme de la loi électorale. « Tout ce dont il parle est parfaitement possible ».

Le comité électoral de la ville a refusé de répondre aux questions du Post sur la sécurité des bulletins de vote.

Source :Jon Levine, New York Post
Traduction Sott.net

Commentaire :




Trump aurait-il piégé les démocrate ?

[Source originale en anglais : DR. STEVE PIECZENIK REVEALS ELECTION STING OPERATION (Le Dr Steve Pieczenik révèle le coup monté des élections)]

[À vous de juger.]




Le bon virus au bon moment

[Source (italien) : https://andreacecchi.substack.com/p/il-virus-giusto-al-momento-giusto]

[Auteur : Andrea Cecchi]

[Traducteur inconnu (reçu par courriel)]

Un virus peut-il arriver au moment exact pour être considéré comme une véritable bénédiction? Ce serait presque une hérésie de dire oui. Au contraire, pour les opérateurs financiers, c’est exactement ce qui s’est passé.

Résumons.

En juin 2019, le marché REPO commençait à s’effondrer, montrant des signes de danger systémique. La plupart des gens ne savent même pas ce que sont les REPO.

Dans la pratique, il s’agit de pensions avec lesquelles les banques et les grands opérateurs économiques échangent des actifs (principalement des obligations d’État) avec des opérations à très court terme afin d’obtenir une liquidité instantanée pour des raisons liées avant tout au risque de contrepartie résultant d’opérations hautement spéculatives sur le marché des dérivés. La sonnette d’alarme commence à sonner en juin. En septembre 2019, la situation devient préoccupante. Comment inquiétant? « Mains dans les cheveux et bouche grande ouverte » type inquiétant.

Un rapport de la Banque des règlements internationaux (BRI), la banque centrale qui régit toutes les autres banques centrales du monde, sonne l’alarme et omet « étrangement » de mentionner les noms des 4 principales banques de Wall Street impliquées. Il prévient que le problème prend de l’ampleur, affectant également le marché des devises.

C’est le marché sur lequel les banques européennes et non européennes obtiennent des dollars pour leurs besoins opérationnels pour des opérations libellées en dollars américains. Ce secteur fonctionne également de manière similaire à Repos et par conséquent le problème se propage et devient global. La Réserve fédérale répond à l’appel sincère des banques en danger de mort en raison du manque de liquidités et prévoit l’ouverture d’une extraordinaire ligne d’approvisionnement de 350 milliards de dollars par jour qui, dans certains cas, atteint même des pics de plus de 800. Mais ce n’est pas suffisant. . La panique ne s’arrête pas. Pour aggraver la situation, les grands fonds spéculatifs entrent également dans le tour de paris des REPO, qui utilisent l’argent levé par les grands fonds de pension (oui, même l’INPS) pour réaliser des bénéfices dans cet océan très louche mais à haut risque. Les semaines passent et les banques ne se font plus confiance et l’effondrement monétaire approche. Ce qui peut arriver en cas d’effondrement monétaire n’est peut-être pas clair. C’est vraiment le pire des cas. Lors d’un effondrement monétaire, toute liquidité disparaît car elle n’atteint plus les bénéficiaires. Si cela ne se produit pas, l’économie s’arrête totalement. Comme un avion qui s’écrase: tout le monde meurt! La direction des banques, de concert avec les responsables économiques, s’accorde à dire que, si l’avion s’écrase, il faut éviter qu’il s’écrase et commencer à planifier une solution qui puisse éviter un désastre absolu, du moins en essayant de rendre l’avion le plus possible. aussi doucement que possible. Ce n’est pas tellement pour nous sauver qui s’en foutent,

En octobre 2019, comme une coïncidence bizarre, un sommet entre des entités très influentes, appelé EVENT 201, a lieu.Un mois seulement après la sonnette d’alarme de la BRI

A cette occasion, un événement pandémique mondial est simulé qui voit la propagation d’un virus de faible létalité avec les caractéristiques exactement les mêmes que celui qui est alors annoncé comme s’étant propagé depuis Wuhan avec l’histoire que nous connaissons tous. Les participants du monde entier reçoivent un vademecum opérationnel. Un vrai protocole d’action, sur comment se comporter et sur quelles mesures adopter si (en octobre nous étions encore dans la phase hypothétique) ……… un virus de type coronavirus s’était propagé et si toute la population mondiale était communiquée des mesures de confinement par adopter en cas de pandémie. Le 21 janvier 2020, suit le sommet de Davos, où tous les puissants du monde se retrouvent. Le 23 janvier, la Chine annonce le verrouillage. Le 30 janvier 2020, l’OMS annonce l’urgence sanitaire mondiale.

Mais prenons du recul et revenons à l’explosion du marché REPO, puisque tout le monde a parlé du virus ad nauseam.

Il y a deux façons et seulement deux façons de prendre soin d’un marché monétaire à court terme:

1) Versez autant d’argent que possible pour maintenir la demande et empêcher les intérêts exigés des prêteurs d’augmenter.

2) Arrêter la demande de prêts de l’économie mondiale.

Ici, il est nécessaire de comprendre quel est le risque réel. Le vrai risque est la hausse des taux d’intérêt. Tout au long de cette période de taux d’intérêt proches ou nuls, la bulle des dérivés a explosé. Tout est soutenu par un fil très fin. Des opérations à très haut risque, basées sur des échanges virtuels de collatéraux empruntés, presque toujours des obligations d’État, qui ont un équilibre très précaire. Si, pour une raison quelconque, les taux commencent à monter, la valeur de la garantie sous-jacente diminue et la réaction en chaîne commence, comme une explosion nucléaire, où chaque opérateur cherche des liquidités, dont il n’a pas, pour se couvrir d’une faillite instantanée.

Je l’explique de manière vulgaire: si vous me prêtez 80 euros et que je vous donne un titre d’une valeur de 100 en garantie, vous vous sentez en sécurité. Mais si pendant le prêt, ce titre ne vaut plus 100 mais 70, alors vous me demandez de revenir sur la garantie des 30 qui manquent. De qui puis-je obtenir ces 30 dont je n’ai pas? Et ici, la crise commence. Si ces dynamiques sont multipliées par des milliers et des milliards d’échanges algorithmiques à grande vitesse, avec des enchevêtrements et des entrelacs de garanties croisées, le tout soutenu par des prêts à très haut risque, (les garanties sont souvent empruntées à leur tour et ré-hypothéquées d’innombrables fois) vous comprenez comment en un instant tout peut exploser si vous n’intervenez pas avec des seaux d’argent comme l’a fait la Réserve fédérale, fournissant même 1000 milliards par jour.
Comme par miracle, Covid-19 arrive alors. Et que se passe-t-il?

Les banques centrales sont donc autorisées à intervenir de manière illimitée. Des milliers de millions ou des centaines de milliards de dollars sont créés à partir de zéro et sont distribués non seulement aux banques, mais également injectés directement aux grandes entreprises. Avec cette mesure extraordinaire, la faille du marché REPO est apaisée. Les contreparties obtiennent la liquidité manquante. La demande générale de prêts est plutôt stoppée par le verrouillage. Il était nécessaire d’imposer un gel forcé de l’économie et du commerce précisément pour arrêter la contagion qui se propageait du marché des obligations d’État à court terme qui aurait infecté l’ensemble de la dette mondiale. Ce passage est un peu plus difficile à comprendre, mais aussi le montant total des prêts décaissés aux particuliers et aux entreprises contribue au calcul du risque global qui influe sur le calcul du taux d’intérêt. Plus le risque est élevé, plus le taux est élevé. Et si le risque augmente sur le marché REPO qui est interbancaire, la possibilité de défaut de chaîne augmente. Regardons les choses en face une fois pour toutes: les tarifs ne doivent pas augmenter! S’ils le est la fin.

Toute l’économie est endettée. Lorsque vous entendez parler de Dollars, Euros, Yens, Francs, Couronnes, Yuan, etc., il faut toujours se rappeler que les devises ne sont rien de plus que des unités de dette émises sur la base d’une économie de dette. L’argent n’existe qu’après qu’une banque l’a créé en endettant quelqu’un: des États, des particuliers ou des entreprises. Les gens se concentrent principalement sur le marché boursier. Cela n’a rien à voir avec cela, elle a des dynamiques complètement différentes et même dans le cas d’une économie paralysée comme celle qu’elle est aujourd’hui, elle pourrait même franchir de nouveaux sommets, grâce à toute la nouvelle liquidité créée qui n’a pas d’autre lieu de fusion. Le nœud du problème est le marché de la dette. Les gens ne se rendent toujours pas compte qu’une crise économique folle allait arriver. Personne ne dit cela parce que ce sont des choses difficiles à expliquer et peu ont le désir et la compétence et les gens ne veulent pas faire l’effort de comprendre ces choses, qui peuvent alors continuer, presque secrètement sans que personne s’en soucie. Mais il faut absolument comprendre que le virus a stoppé une crise économique pire que celle que nous traversons actuellement. Le virus est vraiment arrivé au bon moment. S’il n’était pas arrivé, les taux d’intérêt auraient grimpé en flèche et le marché de la dette et le marché des produits dérivés (2,5 milliards de milliards – estimation BRI) auraient explosé en une supernova aux proportions bien pires que ce qui s’est passé. Une crise pour laquelle il n’y a pas d’outil pour la gérer. qui peut alors continuer, presque secrètement sans que personne ne s’en soucie. Mais il faut absolument comprendre que le virus a stoppé une crise économique pire que celle que nous traversons actuellement. Le virus est vraiment arrivé au bon moment. S’il n’était pas arrivé, les taux d’intérêt auraient grimpé en flèche et le marché de la dette et le marché des produits dérivés (2,5 milliards de milliards – estimation BRI) auraient explosé en une supernova aux proportions bien pires que ce qui s’est passé. Une crise pour laquelle il n’y a pas d’outil pour la gérer. qui peut alors continuer, presque secrètement sans que personne ne s’en soucie. Mais il faut absolument comprendre que le virus a stoppé une crise économique pire que celle que nous traversons actuellement. Le virus est vraiment arrivé au bon moment. S’il n’était pas arrivé, les taux d’intérêt auraient grimpé en flèche et le marché de la dette et le marché des produits dérivés (2,5 milliards de milliards – estimation BRI) auraient explosé en une supernova aux proportions bien pires que ce qui s’est passé. Une crise pour laquelle il n’y a pas d’outil pour la gérer. les taux d’intérêt auraient explosé et le marché de la dette et le marché des produits dérivés (2,5 millions de milliards – estimation BRI) auraient explosé en une supernova aux proportions bien pires que ce qui s’est passé. Une crise pour laquelle il n’y a pas d’outil pour la gérer. les taux d’intérêt auraient explosé et le marché de la dette et le marché des produits dérivés (2,5 millions de milliards – estimation BRI) auraient explosé en une supernova aux proportions bien pires que ce qui s’est passé. Une crise pour laquelle il n’y a pas d’outil pour la gérer.

Arrêter l’économie et donc la demande de prêts et inonder les banques de liquidités nouvelles semblait être la solution la moins dommageable. Au moins pour eux. Le slogan « tout ira bien » qu’ils ont mis dans la bouche des zombies sans tête, a servi à réitérer que tout ira bien pour eux, pas pour nous, et que pour l’instant, l’effondrement monétaire n’aura pas lieu car ils ont arrêté l’économie en jetant tout le monde nous restons immobiles, immobiles dans un coin, comme dans une prison planétaire. En sauvant les REPO, les Hedge Funds et donc les fonds de pension ont également été sauvés. Pour l’instant, les retraités peuvent se reposer tranquillement. Leur pension est assurée.

Beaucoup se demandent alors: que va-t-il se passer maintenant? Y aura-t-il une reprise?

Absolument pas! Je suis désolé de vous le dire, et je suis désolé pour moi aussi, mais j’ai mon plan et je vous consacrerai une newsletter dès qu’elle sera prête.

L’économie ne redémarrera pas. Ce sera un graphique en forme de L où, après l’effondrement vertical de maintenant, il y aura une longue période de stagnation lente et prolongée à des niveaux bien inférieurs aux précédents. 2019 a été la dernière année du monde tel que nous l’avons connu. Avec 2020 vient une nouvelle réalité et que cela nous plaise ou non, ce sera avec nous au moins jusqu’en 2032. S’il était décidé de tout rouvrir et de revenir à la situation antérieure, nous serions de retour au point de départ dans un instant, ou en septembre 2019, avec le explosion du marché REPO. Ce choix était inévitable. C’est le cas le plus colossal de « ENTRE L’ANVUS ET LE MARTEAU » dans l’histoire de l’humanité.

L’économie ne redémarrera pas car avec le blocage total dû au verrouillage et aux restrictions pour contenir la pandémie, il y aura de nombreux échecs. De nombreuses personnes ne pourront plus payer leurs dettes. Beaucoup ne pourront plus payer de loyer. Si d’une part quelqu’un ne paie pas, d’autre part il y a quelqu’un d’autre qui ne perçoit pas. Le jeu est à somme nulle. Globalement, il n’y a pas de gain économique car la somme est stérilisée. Quelles sont les solutions possibles? Comment ça sort? C’est très difficile. Un jeu de grand équilibre et de progression lente et prudente est nécessaire. Il y aura des périodes de « resserrer et desserrer » toujours avec le risque de pandémie habitué à la nausée pour limiter la liberté des gens en permettant de courts éclairs de liberté comme cet été, pour revenir resserrer l’étau à l’automne prochain,

Pour décrire ce moment, je me souviens d’une aventure de pêche aux Bahamas, ma deuxième maison. Je suis allé pêcher en kayak à marée haute. La marée haute peut être comprise comme une couverture de liquidité suffisante qui vous permet de naviguer en flottant au-dessus des écueils du fond marin. A mon retour, la marée avait reculé de plusieurs mètres et, pour rejoindre la route, pour rentrer chez moi, je devais traverser une étendue d’eau très peu profonde avec des rochers et des coraux pointus à la surface, dont des oursins. Tout cela avec des chaussons rugueux qui ne m’ont donné qu’une protection partielle. Le risque était de se blesser les pieds, de glisser, de casser le kayak et de perdre le poisson que j’avais attrapé. J’ai dû trouver un moyen de ramener en toute sécurité des poissons, des pieds et des kayaks. Le seul moyen était de procéder lentement. Sonder le sol avant de faire un pas. Puis, une fois avancé, tirez le bateau derrière moi sur le voile d’eau si possible, ou chargez-le de la force de vos bras, en le déplaçant vers un endroit sûr. Et ainsi de suite pendant plusieurs heures, sous le soleil tropical, jusqu’à la fin du parcours. C’était un test de patience, de force et d’habileté, de calcul du risque à effectuer avant chaque pas, de profiter de chaque bassin d’eau plus profonde et de chaque appui plus sûr où placer mon pied sans me couper ni glisser. Telles sont les qualités que devraient avoir ceux qui en ce moment sont en mesure d’établir la meilleure stratégie pour sortir l’humanité tout entière de cette insidieuse «marée basse» dans laquelle nous nous trouvons, sachant très bien qu’en faisant des faux pas,

Alors posons-nous la question: avons-nous ce type de leader dans le monde? Y a-t-il des hommes ou des femmes capables de prendre les rênes et de guider sagement l’humanité vers un terrain sûr sur lequel reconstruire un modèle économique plus solide et durable? Et les dirigeants que nous avons: voudront-ils le faire?

La solution maintenant serait d’entreprendre des travaux d’infrastructure publics colossaux qui emploieraient des personnes, et d’adopter des mesures fiscales adéquates pour garantir la stabilité des flux monétaires. La fusion entre les banques centrales et le gouvernement en cours faciliterait le mécanisme de financement nécessaire à la réalisation de ces travaux. Donald Trump est un maître de la faillite ayant subi plusieurs en tant qu’entrepreneur notamment dans le secteur des casinos, donc des jeux d’argent. Ironiquement, il semble être la bonne personne pour gérer une faillite mondiale causée par le casino de paris sur le marché REPO. Compte tenu de ses succès et de ses expériences antérieures: il fait partie du métier!

Les prochaines étapes verront l’annonce d’une crypto-monnaie mondiale qui ne sera initialement utilisée que pour la compensation entre les banques centrales. Ce sera une crypto-monnaie sur la base de l’or. Les pays qui ont les plus grandes réserves d’or seront les principaux. C’est pourquoi ils ont voulu réinitialiser l’Italie. Le but est de nous faire vendre notre or qui est toujours à la 4e place mondiale. Nous espérons résister. Les USA en première place. La Chine et la Russie ont commencé à acheter tout l’or produit il y a dix ans. Ils ne l’ont pas acheté pour le revendre. Ils l’ont acheté parce qu’ils veulent jouer en tant que protagonistes.

L’or reviendra donc jouer son rôle de premier plan dans le nouveau système économique. C’est aussi parce que l’or étant rare par nature, il empêchera l’économie de se développer de manière exponentielle, créant ce type de déséquilibre et fournissant une base solide sur laquelle redémarrer de manière plus durable, ce qui est également en accord avec les diktats «verts» qui vont tellement à la mode. Habitons-nous à tout cela et calculons bien nos pas pour sortir indemnes de la « marée basse » qui caractérisera les années à venir. Il y aura un règlement d’ici 2025. Puis un rythme lent jusqu’en 2032. Alors: c’est la nouvelle réalité: plus avec moins! Nous devons faire plus avec moins. Aiguisez vos esprits et soyez occupé. Sinon, il y aura des revenus de subsistance de l’État et une mort lente dans un coin, hors du jeu.

Commentaires

  Nicolò
Je suis ignorant, je ne sais pas ce qu’est Repo. Bref, disons que je crois les conséquences que vous avez écrites.Maintenant, j’aimerais savoir 2 choses:
1. Avez-vous demandé un avis à d’autres économistes ou personnes qui le comprennent? Type Malvezzi?
2. Comment pouvons-nous nous protéger un minimum? Achète-t-on de l’or? Dépensons-nous tout? Continuons-nous à accumuler FIAT?
  Angela
C’est depuis la crise de 2011 que j’ai eu le soupçon que quelque chose d’extérieur, au-delà, au-dessus de la politique que nous connaissons gouvernait le système italien; plus tard, le même doute m’est venu pour le gouvernement des États européens. J’étais convaincu que le gouvernement actuel n’était rien de plus qu’un gouvernement fantoche entre les mains des grands noms de la finance mondiale. J’avais tort, mais pas de beaucoup. Sachant maintenant que Covid est utilisé comme stratégie pour sauver ce qui peut être sauvé, me rassure, mais pas trop. Y aura-t-il des hommes et des femmes capables de gérer cette «pandémie économico-financière» avec un esprit juste et intelligent?
Il est scandaleux que des jeux financiers joués pour la simple satisfaction d’avoir des richesses en espèces puissent mettre le monde entier à genoux au profit de quelques-uns.
Que Dieu nous aide. 
Bonne journée



Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »

[Source : Guy Boulianne]

[NdNM : L’époque actuelle semble être marquée par un affrontement d’ordre spirituel entre deux parties de l’Humanité.]

Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial » (24 octobre 2020)

Voici la conférence que l’archevêque Carlo Maria Viganò donna le 24 octobre dernier lors de la Conférence sur l’identité catholique 2020, « Christ ou Chaos: Défier le Nouvel Ordre Mondial », qui se tint du 23 au 25 octobre dernier. Il s’agit de la première apparition de l’archevêque devant la caméra en deux ans, abordant la crise de l’Église catholique et plus particulièrement le lien entre Vatican II et la révolution du pape François.
La transcription de l’intégralité de la conférence apparaît sous la vidéo.

« Dans la sphère civile, l’État profond a géré la dissidence politique et sociale en utilisant des organisations et des mouvements qui ne sont qu’apparemment de l’opposition, mais qui contribuent en fait au maintien du pouvoir. »

— Mgr Carlo Maria Viganò


CONFÉRENCE D’IDENTITÉ CATHOLIQUE
24 octobre 2020

LE BOUC ÉMISSAIRE FRANÇOIS
Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial

Mgr Carlo Maria Viganò, Nonce apostolique

« Suivez-moi et laissez les morts enterrer leurs propres morts. »
Mt 8:22

1. NOUS VIVONS À DES TEMPS EXTRAORDINAIRES

Comme chacun de nous l’a probablement compris, nous nous trouvons dans un moment historique dans le temps; les événements du passé, qui semblaient autrefois déconnectés, se révèlent désormais indiscutablement liés, tant dans les principes qui les inspirent que dans les objectifs qu’ils cherchent à atteindre. Un regard juste et objectif sur la situation actuelle ne peut que saisir la parfaite cohérence entre l’évolution du cadre politique mondial et le rôle que l’Église catholique a assumé dans l’établissement du nouvel ordre mondial. Pour être plus précis, il convient de parler du rôle de cette apparente majorité dans l’Église, qui est en fait peu nombreuse mais extrêmement puissante, et que, par souci de brièveté, je résumerai comme l’Église profonde (deep church).

Évidemment, il n’y a pas deux Églises, ce qui serait impossible, blasphématoire et hérétique. La seule véritable Eglise du Christ n’a pas non plus failli aujourd’hui dans sa mission, se pervertissant en secte. L’Église du Christ n’a rien à voir avec ceux qui, depuis soixante ans, exécutent un plan pour l’occuper. Le chevauchement entre la Hiérarchie catholique et les membres de l’Église profonde n’est pas un fait théologique, mais plutôt une réalité historique qui défie les catégories habituelles et, en tant que telle, doit être analysée .

Nous savons que le projet du Nouvel Ordre Mondial consiste en l’instauration de la tyrannie par la franc-maçonnerie : un projet qui remonte à la Révolution française, au siècle des Lumières, à la fin des monarchies catholiques et à la déclaration de guerre à l’Église. On peut dire que le Nouvel Ordre Mondial est l’antithèse de la société chrétienne, ce serait la réalisation de la diabolique Civitas Diaboli — Cité du Diable — opposée à la Civitas Dei — Cité de Dieu — dans la lutte éternelle entre Lumière et Ténèbres, Le bien et le mal, Dieu et Satan.

Dans cette lutte, la Providence a placé l’Église du Christ, et en particulier le Souverain Pontife, comme kathèkon — c’est-à-dire celui qui s’oppose à la manifestation du mystère de l’iniquité (2 Th 2, 6-7). Et la Sainte Écriture nous avertit qu’à la manifestation de l’Antéchrist, cet obstacle — le kathèkon — aura cessé d’exister. Il me semble bien évident que la fin des temps approche maintenant sous nos yeux, puisque le mystère de l’iniquité s’est répandu dans le monde avec la disparition de la courageuse opposition des kathèkon.

En ce qui concerne l’incompatibilité entre la Cité de Dieu et la Cité de Satan, le conseiller jésuite de François, Antonio Spadaro, met de côté la Sainte Écriture et la Tradition, faisant sien les embrassons-nous bergogliens. Selon le directeur de La Civiltà Cattolica, l’encyclique Fratelli Tutti :

« Reste aussi un message à forte valeur politique, car — pourrait-on dire — il renverse la logique de l’apocalypse qui prévaut aujourd’hui. C’est la logique fondamentaliste qui lutte contre le monde, car elle croit que c’est l’opposé de Dieu, c’est-à-dire une idole, et donc à détruire le plus tôt possible afin d’accélérer la fin des temps. L’abîme de l’apocalypse, en effet, devant lequel il n’y a plus de frères : seuls des apostats ou des martyrs qui courent «contre» le temps. […] Nous ne sommes ni militants ni apostats, mais tous frères. » [1]

Cette stratégie de discrédit de l’interlocuteur avec l’insulte d’« intégriste » vise évidemment à faciliter l’action de l’ennemi au sein de l’Église, cherchant à désarmer l’opposition et à décourager la dissidence. On la retrouve aussi dans la sphère civile, où les démocrates et l’État profond s’arrogent le droit de décider à qui accorder la légitimité politique et à qui condamner sans faire appel à l’ostracisme médiatique. La méthode est toujours la même, car celle qui inspire est la même. De même que la falsification de l’Histoire et des sources, est toujours la même : si le passé renie le récit révolutionnaire, les adeptes de la Révolution censurent le passé et remplacent le fait historique par un mythe. Même saint François est victime de cette adultération qui ferait de lui le porte-étendard de la pauvreté et du pacifisme, qui sont aussi étrangers à l’esprit de l’orthodoxie catholique qu’ils sont instrumentaux de l’idéologie dominante. Preuve en est le dernier recours frauduleux au Poverello d’Assise à Fratelli Tutti pour justifier le dialogue, l’œcuménisme et la fraternité universelle de l’anti-église bergoglienne.

Ne commettons pas l’erreur de présenter les événements actuels comme « normaux », en jugeant ce qui se passe avec les paramètres juridiques, canoniques et sociologiques qu’une telle normalité supposerait. En des temps extraordinaires — et la crise actuelle de l’Église est en effet extraordinaire — les événements dépassent l’ordinaire connu de nos pères. Dans des temps extraordinaires, nous pouvons entendre un pape tromper les fidèles; voir les princes de l’Église accusés de crimes qui, en d’autres temps, auraient suscité l’horreur et été punis sévèrement; témoigner dans nos églises des rites liturgiques qui semblent avoir été inventés par l’esprit pervers de Cranmer; voir les prélats transformer l’idole impure du pachamama dans la basilique Saint-Pierre; et entendez le Vicaire du Christ s’excuser auprès des adorateurs de ce simulacre si un catholique ose le jeter dans le Tibre. En ces temps extraordinaires, nous entendons un conspirateur — le cardinal Godfried Danneels — nous dire que, depuis la mort de Jean-Paul II, la mafia de Saint-Gall avait comploté pour élire l’un des leurs à la chaire de Pierre, ce qui s’est avéré plus tard en être Jorge Mario Bergoglio. Face à cette révélation déconcertante, on peut s’étonner que ni les cardinaux ni les évêques n’aient exprimé leur indignation ni demandé que la vérité soit révélée.

La coexistence du bien et du mal, des saints et des damnés, dans le corps ecclésial, a toujours accompagné les événements terrestres de l’Église, à commencer par la trahison de Judas Iscariote. Et il est en effet significatif que l’anti-église tente de réhabiliter Judas — et avec lui les pires hérésiarques — en tant que modèles exemplaires, « anti-saints » et « anti-martyrs », et se légitimer ainsi dans leurs propres hérésies, immoralité et vices. La coexistence — je disais — des bons et des méchants, dont parle l’Évangile dans la parabole du blé et de l’ivraie, semble s’être transformée en la prédominance des seconds sur les premiers. La différence est que le vice et les déviations autrefois méprisés sont aujourd’hui non seulement plus pratiqués et tolérés, mais même encouragés et loués, tandis que la vertu et la fidélité à l’enseignement du Christ sont méprisées.

2. L’ÉCLIPSE DE LA VRAIE ÉGLISE

Depuis soixante ans, nous assistons à l’éclipse de la véritable Église par une anti-église qui s’est progressivement appropriée son nom, a occupé la Curie romaine et ses Dicastères, Diocèses et Paroisses, Séminaires et Universités, Couvents et Monastères. L’anti-église a usurpé son autorité, et ses ministres portent ses vêtements sacrés; elle utilise son prestige et son pouvoir pour s’approprier ses trésors, ses actifs et ses finances.

Tout comme cela se produit dans la nature, cette éclipse n’a pas lieu d’un seul coup; il passe de la lumière aux ténèbres lorsqu’un corps céleste s’insère entre le soleil et nous. Il s’agit d’un processus relativement lent mais inexorable, dans lequel la lune de l’anti-église suit son orbite jusqu’à ce qu’elle chevauche le soleil, générant un cône d’ombre qui se projette sur la terre. Nous nous trouvons maintenant dans ce cône d’ombre doctrinal, moral, liturgique et disciplinaire. Ce n’est pas encore l’éclipse totale que nous verrons à la fin des temps, sous le règne de l’Antéchrist. Mais c’est une éclipse partielle, qui permet de voir la couronne lumineuse du soleil encerclant le disque noir de la lune.

Le processus qui a conduit à l’éclipse d’aujourd’hui de l’Église a commencé avec le modernisme, sans aucun doute. L’anti-église a suivi son orbite malgré les condamnations solennelles du Magistère, qui dans cette phase a brillé avec la splendeur de la Vérité. Mais avec le Concile Vatican II, les ténèbres de cette fausse entité ont envahi l’Église. Au départ, il n’en obscurcissait qu’une petite partie, mais l’obscurité augmentait progressivement. Quiconque montrait alors le soleil, en déduisant que la lune l’obscurcirait certainement, était accusé d’être un « prophète de malheur », avec ces formes de fanatisme et d’intempérance qui découlent de l’ignorance et des préjugés. Le cas de Mgr Marcel Lefebvre et de quelques autres prélats confirme, d’une part, la clairvoyance de ces bergers et, d’autre part, la réaction décousue de leurs adversaires; qui, par crainte de perdre le pouvoir, ont utilisé toute leur autorité pour nier les preuves et ont caché leurs véritables intentions.

Pour continuer l’analogie : on peut dire que, dans le ciel de la Foi, une éclipse est un phénomène rare et extraordinaire. Mais nier que, pendant l’éclipse, les ténèbres se propagent — simplement parce que cela ne se produit pas dans des conditions ordinaires — n’est pas un signe de foi en l’indéfectibilité de l’Église, mais plutôt un déni obstiné des preuves, ou de la mauvaise foi. La Sainte Église, selon les promesses du Christ, ne sera jamais submergée par les portes de l’enfer, mais cela ne signifie pas qu’elle ne sera pas — ou n’est pas déjà — éclipsée par son faux infernal, cette lune qui, non par hasard, nous voyons sous les pieds de la femme de la révélation : « Un grand signe parut dans le ciel: une femme enveloppée du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête. » (Ap 12, 1).

La lune se trouve sous les pieds de la Femme qui est au-dessus de toute mutabilité, au-dessus de toute corruption terrestre, au-dessus de la loi du destin et du royaume de l’esprit de ce monde. Et c’est parce que cette Femme, qui est à la fois l’image de la Très Sainte Marie et de l’Église, est amicta sole, revêtue du Soleil de Justice qu’est le Christ, « exempte de toute puissance démoniaque en participant au mystère de l’immuabilité du Christ » (Saint Ambroise). Elle reste intacte sinon dans son royaume militant, certainement dans celui qui souffre au Purgatoire et dans celui qui triomphe au Paradis. Saint Jérôme, commentant les paroles des Écritures, nous rappelle que « les portes de l’enfer sont des péchés et des vices, en particulier les enseignements des hérétiques ». Nous savons donc que même la « synthèse de toutes les hérésies » représentée par le modernisme et sa version conciliaire actualisée, ne pourra jamais obscurcir définitivement la splendeur de l’Épouse du Christ, mais seulement pour la brève période de l’éclipse que la Providence, dans son infinie sagesse, a permis, d’en tirer un bien plus grand.

3. L’ABANDON DE LA DIMENSION SUPERNATURALE

Dans cet entretien, je souhaite en particulier traiter de la relation entre la révolution de Vatican II et l’établissement du Nouvel Ordre Mondial. L’élément central de cette analyse consiste à mettre en évidence l’abandon de la part de la Hiérarchie ecclésiastique, même au sommet, de la dimension surnaturelle de l’Église et de son rôle eschatologique. Avec le Concile, les Innovateurs ont effacé l’origine divine de l’Église de leur horizon théologique, créant une entité d’origine humaine semblable à une organisation philanthropique. La première conséquence de cette subversion ontologique a été le refus nécessaire du fait que l’Épouse du Christ n’est pas, et ne peut pas être sujet au changement par ceux qui exercent l’autorité par procuration au nom du Seigneur. Elle n’est la propriété ni du Pape ni des évêques ou des théologiens, et, à ce titre, toute tentative d’« Aggiornamento » la rabaisse au niveau d’une société qui, pour en tirer des bénéfices, renouvelle sa propre offre commerciale, vend les restes, stockent et suivent la mode du moment. L’Église, au contraire, est une réalité surnaturelle et divine : elle adapte sa manière de prêcher l’Évangile aux nations, mais elle ne peut jamais changer le contenu d’un seul iota (Mt 5, 18), ni nier son élan transcendant, en s’abaissant à un simple service social. De l’autre côté, l’anti-église revendique fièrement le droit d’effectuer un changement de paradigme non seulement en changeant la façon dont la doctrine est exposée, mais la doctrine elle-même. Ceci est confirmé par les propos du commentaire de Massimo Faggioli sur la nouvelle encyclique Fratelli Tutti :

« Le pontificat du pape François est comme une norme élevée devant les intégristes catholiques et ceux qui assimilent continuité matérielle et tradition : la doctrine catholique ne se développe pas seulement. Parfois, cela change vraiment : par exemple sur [la] peine de mort, [et] la guerre. » [2]

Insister sur ce que le Magistère enseigne est inutile. La prétention effrontée des innovateurs d’avoir le droit de changer la foi suit obstinément l’approche moderniste.

La première erreur du Concile consiste principalement en l’absence de perspective transcendante — résultat d’une crise spirituelle déjà latente — et dans la tentative d’établir un paradis sur terre, avec un horizon humain stérile. Conformément à cette approche, Fratelli Tutti voit l’accomplissement d’une utopie terrestre et d’une rédemption sociale dans la fraternité humaine, la pax œcumenica entre les religions et l’accueil des migrants.

4. LE SENS DE L’INFÉRIORITÉ ET DE L’INADÉQUATION

Comme je l’ai écrit à d’autres occasions, les revendications révolutionnaires de la Nouvelle Théologie ont trouvé un terrain fertile chez les Pères conciliaires à cause d’un grave complexe d’infériorité vis-à-vis du monde. Il fut un temps, dans la période d’après-guerre, où la révolution menée par la franc-maçonnerie dans les sphères civile, politique et culturelle, brisa l’élite catholique, la persuadant de son insuffisance face à un défi d’époque qui est désormais incontournable. Au lieu de se remettre en question et de remettre en question leur foi, cette élite — évêques, théologiens, intellectuels — a impudemment attribué la responsabilité de l’échec imminent de l’Église à sa structure hiérarchique solide comme le roc et à son enseignement doctrinal et moral monolithique. En regardant la défaite de la civilisation européenne que l’Église avait contribué à former, l’élite pensait que le manque d’accord avec le monde était causé par l’intransigeance de la papauté et la rigidité morale des prêtres ne voulant pas accepter le Zeitgeist (esprit du temps) et « s’ouvrir ». Cette approche idéologique découle de la fausse hypothèse selon laquelle, entre l’Église et le monde contemporain, il peut y avoir une alliance, une consonance d’intention, une amitié. Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité, car il ne peut y avoir de répit dans la lutte entre Dieu et Satan, entre la lumière et les ténèbres. « Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité: celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon. » (Gn 3, 15) C’est une inimitié voulue par Dieu lui-même, qui place Marie très sainte — et l’Église — comme des ennemis éternels de l’ancien serpent. Le monde a son propre prince (Jn 12, 31), qui est « l’ennemi » (Mt 13, 28), un « meurtrier du commencement » (Jn 8, 44) et un « menteur » (Jn 8, 44). Courtiser un pacte de non-belligérance avec le monde signifie s’entendre avec Satan. Cela renverse et pervertit l’essence même de l’Église, dont la mission est de convertir autant d’âmes au Christ pour la plus grande gloire de Dieu, sans jamais déposer les armes contre ceux qui veulent les attirer vers eux-mêmes et vers la damnation.

Le sentiment d’infériorité et d’échec de l’Église devant le monde a créé la « tempête parfaite » pour que la révolution prenne racine dans les Pères conciliaires et par extension dans le peuple chrétien, chez qui l’obéissance à la Hiérarchie avait été cultivée peut-être plus que la fidélité au dépôt fidei. Que ce soit clair : l’obéissance aux Sacrés Pasteurs est certainement louable si les commandements sont légitimes. Mais l’obéissance cesse d’être une vertu et, en fait, devient servilité si elle est une fin en soi et si elle contredit le but auquel elle est ordonnée, à savoir la foi et la morale. Nous devons ajouter que ce sentiment d’infériorité a été introduit dans le corps ecclésial avec des démonstrations de grand théâtre, comme le retrait de la tiare par Paul VI, le retour des bannières phares ottomanes conquises à Lépante, les étreintes œcuméniques étalées avec le schismatique Athénagoras, les demandes de pardon pour les croisades, l’abolition de l’Index, la concentration du clergé sur les pauvres en place au prétendu triomphalisme de Pie XII. Le coup de grâce de cette attitude a été codifiée dans la liturgie réformée, qui manifeste son embarras du dogme catholique en le faisant taire — et ainsi en le niant indirectement. Le changement rituel a engendré un changement doctrinal, qui a conduit les fidèles à croire que la messe est un simple banquet fraternel et que la très sainte Eucharistie n’est qu’un symbole de la présence du Christ parmi nous.

5. « IDEM SENTIRE » DE LA RÉVOLUTION ET DU CONSEIL

Le sentiment d’insuffisance des Pères du Concile n’a été accru que par le travail des Innovateurs, dont les idées hérétiques coïncidaient avec les exigences du monde. Une analyse comparative de la pensée moderne confirme l’idem sentire [même sentiment ou même esprit] des conspirateurs avec chaque élément de l’idéologie révolutionnaire :

• l’acceptation du principe démocratique comme source de légitimation du pouvoir, à la place du droit divin de la monarchie catholique (y compris la papauté);

• la création et l’accumulation d’organes de pouvoir, à la place de la responsabilité personnelle et de la hiérarchie institutionnelle;

• l’effacement du passé historique, évalué avec les paramètres d’aujourd’hui, qui ne parviennent pas à défendre la tradition et le patrimoine culturel;

• l’accent mis sur la liberté des individus et l’affaiblissement du concept de responsabilité et de devoir;

• l’évolution continue de la morale et de l’éthique, ainsi privées de leur nature immuable et de toute référence transcendante;

• le caractère séculier présumé de l’État, à la place de la soumission légitime de l’ordre civil à la Royauté de Jésus-Christ et la supériorité ontologique de la mission de l’Église sur celle de la sphère temporelle;

• l’égalité des religions non seulement devant l’État, mais même en tant que concept général auquel l’Église doit se conformer, contre la défense objective et nécessaire de la Vérité et la condamnation de l’erreur;

• le concept faux et blasphématoire de la dignité de l’homme comme connatural pour lui, basé sur la négation du péché originel et du besoin de la Rédemption comme prémisse pour plaire à Dieu, mériter sa grâce et atteindre la béatitude éternelle;

• la remise en cause du rôle de la femme, le mépris et un mépris du privilège de la maternité;

• la primauté de la matière sur l’esprit;

• le rapport fidéiste à la science [3], face à une critique impitoyable de la religion sur de fausses bases scientifiques.

Tous ces principes, propagés par les idéologues de la franc-maçonnerie et les partisans du Nouvel Ordre Mondial, coïncident avec les idées révolutionnaires du Concile :

• la démocratisation de l’Église a commencé avec Lumen Gentium et se réalise aujourd’hui dans le chemin synodal bergoglien;

• la création et l’accumulation d’organes de pouvoir ont été réalisées en déléguant des rôles décisionnels aux Conférences épiscopales, synodes d’évêques, commissions, conseils pastoraux, etc.

• le passé et les glorieuses traditions de l’Église sont jugés selon la mentalité moderne et condamnés pour se faire la faveur du monde moderne;

• la « liberté des enfants de Dieu » théorisée par Vatican II a été établie indépendamment des devoirs moraux d’individus qui, selon les contes de fées conciliaires, sont tous sauvés indépendamment de leurs dispositions intérieures et de l’état de leur âme;

• l’obscurcissement de références morales éternelles a conduit à la révision de la doctrine de la peine capitale; et, avec Amoris Laetitia, l’admission des adultères publics aux sacrements, brisant l’édifice sacramentel;

• l’adoption du concept de laïcité a conduit à l’abolition d’une religion d’État dans les nations catholiques. Encouragé par le Saint-Siège et l’épiscopat, cela a conduit à une perte d’identité religieuse et à la reconnaissance des droits des sectes, ainsi qu’à l’approbation de normes qui violent la loi naturelle et divine;

• la liberté religieuse théorisée dans Dignitatis Humanae est aujourd’hui portée à ses conséquences logiques et extrêmes avec la Déclaration d’Abu Dhabi et la dernière Encyclique Fratelli Tutti, rendant obsolète la mission salvifique de l’Église et de l’Incarnation elle-même;

• les théories sur la dignité humaine dans la sphère catholique ont conduit à une confusion sur le rôle des laïcs par rapport au rôle ministériel du clergé et à un affaiblissement de la structure hiérarchique de l’Église. Alors que l’adhésion à l’idéologie féministe est un prélude à l’admission des femmes aux ordres sacrés;

• une préoccupation démesurée des besoins temporels des pauvres, si typique de la gauche, a transformé l’Église en une sorte d’association de bien-être, limitant son activité à la simple sphère matérielle, presque au point d’abandonner le spirituel;

• la soumission à la science moderne et au progrès technologique a conduit l’Église à désavouer la « reine de la science » [la foi], à « démythifier » les miracles, à nier l’inerrance de la Sainte Écriture, à regarder les mystères les plus sacrés de notre sainte religion comme « mythes » ou « métaphores », suggérant sacrilège que la transsubstantiation et la résurrection elle-même sont « magiques » (à ne pas prendre au pied de la lettre mais plutôt symboliquement), et pour décrire les sublimes dogmes mariaux comme des « tontérias » [absurdités].

Il y a un aspect presque grotesque de ce nivellement et de l’abaissement de la Hiérarchie pour se conformer à la pensée dominante. Le désir de la hiérarchie de plaire à ses persécuteurs et de servir ses ennemis arrive toujours trop tard et se désynchronise, donnant l’impression que les évêques sont irrémédiablement dépassés, voire pas dans l’air du temps. Ils amènent ceux qui les voient comploter avec tant d’enthousiasme leur propre extinction à croire que cette démonstration de soumission courtisane à un politiquement correct ne vient pas tant d’une vraie persuasion idéologique, mais plutôt de la peur d’être emporté, de perdre le pouvoir, et de ne plus avoir ce prestige que le monde leur paie encore, néanmoins. Ils ne se rendent pas compte — ou ne veulent pas admettre — que le prestige et l’autorité dont ils sont les gardiens viennent de l’autorité et du prestige de l’Église du Christ, et non de la misérable et pitoyable contrefaçon de celle-ci qu’ils ont façonnée.

Lorsque cette anti-église sera pleinement établie dans l’éclipse totale de l’Église catholique, l’autorité de ses dirigeants dépendra du degré d’assujettissement au Nouvel Ordre Mondial, qui ne tolérera aucune divergence par rapport à son propre credo et appliquera impitoyablement cela. dogmatisme, fanatisme et fondamentalisme que de nombreux prélats et intellectuels autoproclamés critiquent chez ceux qui restent fidèles au Magistère aujourd’hui. De cette façon, l’Église profonde peut continuer à porter la marque de fabrique « Église catholique », mais elle sera l’esclave de la pensée de l’Ordre Nouveau, rappelant les Juifs qui, après avoir nié la Royauté du Christ avant Pilate, étaient esclaves de l’autorité de leur temps : « Nous n’avons d’autre roi que César » (Jn 19:15). César d’aujourd’hui nous ordonne de fermer les églises, de porter un masque et de suspendre les célébrations sous le prétexte d’une pseudo-pandémie. Le régime communiste persécute les catholiques chinois, et le monde n’entend que le silence de Rome. Demain, un nouveau Titus saccagera le temple du Conseil, transportant ses restes dans un musée, et la vengeance divine aux mains des païens aura de nouveau été accomplie.

6. LE RÔLE INSTRUMENTAL DES CATHOLIQUES MODÉRÉS DANS LA RÉVOLUTION

Certains pourraient dire que les Pères et Papes conciliaires qui ont présidé cette assemblée n’ont pas réalisé les implications que leur approbation des documents de Vatican II aurait pour l’avenir de l’Église. Si tel était le cas — c’est -à- dire s’il y avait eu des regrets ultérieurs dans leur approbation hâtive de textes hérétiques ou proches de l’hérésie — il est difficile de comprendre pourquoi ils n’ont pas pu mettre un terme immédiat aux abus, corriger les erreurs, clarifier les malentendus et les omissions. Et par-dessus tout, il est incompréhensible pourquoi l’Autorité ecclésiastique a été si impitoyable contre ceux qui ont défendu la Vérité catholique, et, en même temps, ont été si terriblement accommodants envers les rebelles et les hérétiques. Dans tout les cas, la responsabilité de la crise conciliaire doit être portée aux pieds de l’Autorité qui, même au milieu de mille appels à la collégialité et au pastoralisme, a jalousement gardé ses prérogatives, ne les exerçant que dans un seul sens, c’est-à-dire contre le pusillus grex [petit troupeau] et jamais contre les ennemis de Dieu et de l’Église. Les très rares exceptions, lorsqu’un théologien hérétique ou un religieux révolutionnaire a été censuré par le Saint-Office, n’offrent que la confirmation tragique d’une règle qui est appliquée depuis des décennies; sans compter que beaucoup d’entre eux, ces derniers temps, ont été réhabilités sans aucune abjuration de leurs erreurs et même promus à des postes institutionnels dans la Curie romaine ou dans les Athénées pontificales.

Telle est la réalité, telle qu’elle ressort de mon analyse. Cependant, nous savons qu’en plus de l’aile progressiste du Concile et de l’aile catholique traditionnelle, il y a une partie de l’épiscopat, le clergé et le peuple qui tente de se tenir à égale distance de ce qu’il considère comme deux extrêmes. Je parle des soi-disant « conservateurs », qui est une partie centriste du corps ecclésial qui finit « transportant de l’eau » pour les Révolutionnaires parce que, tout en rejetant leurs excès, il partage les mêmes principes. L’erreur des « conservateurs » consiste à donner une connotation négative au traditionalisme et à le placer à l’opposé du progressisme. Leur aurea mediocritas [via les médias] consiste à se placer arbitrairement non pas entre deux vices, mais entre la vertu et le vice. Ce sont eux qui critiquent les excès de la pachamama ou des propos les plus extrêmes de Bergoglio, mais qui ne tolèrent pas la remise en cause du Concile, encore moins le lien intrinsèque entre le cancer conciliaire et la métastase actuelle. La corrélation entre conservatisme politique et conservatisme religieux consiste à adopter le « centre », synthèse entre la thèse « droite » et l’antithèse « gauche », selon l’approche hégélienne si chère aux modérés du Concile.

Dans la sphère civile, l’État profond a géré la dissidence politique et sociale en utilisant des organisations et des mouvements qui ne sont qu’apparemment de l’opposition, mais qui contribuent en fait au maintien du pouvoir. De même, dans la sphère ecclésiale, l’Église profonde utilise les « conservateurs » modérés pour donner l’impression d’offrir la liberté aux fidèles. Le Motu Proprio Summorum Pontificum lui-même, par exemple, tout en accordant la célébration sous une forme extraordinaire, exige saltem impliciter [au moins implicitement] que nous acceptons le Concile et reconnaissons la légalité de la liturgie réformée. Ce stratagème empêche ceux qui bénéficient du Motu Proprio de soulever des objections, ou ils risquent la dissolution des communautés Ecclesia Dei. Et cela insuffle au peuple chrétien l’idée dangereuse qu’une bonne chose, pour avoir une légitimité dans l’Église et la société, doit nécessairement être accompagnée d’une mauvaise chose ou du moins de quelque chose de moins bon. Cependant, seul un esprit égaré chercherait à accorder des droits égaux au bien et au mal. Peu importe si l’on est personnellement en faveur du bien, quand on reconnaît la légitimité de ceux qui sont en faveur du mal. En ce sens, la « liberté de choisir » l’avortement théorisée par les politiciens démocrates trouve son contrepoids dans la non moins aberrante «liberté religieuse» théorisée par le Conseil, qui est aujourd’hui obstinément défendue par l’anti-église. S’il n’est pas permis à un catholique de soutenir un politicien qui défend le droit à l’avortement, il est encore moins permis d’approuver un prélat qui défend la « liberté » d’un individu de mettre en danger son âme immortelle en « choisissant » de rester dans la condition de péché mortel. Ce n’est pas de la miséricorde; c’est un manquement flagrant au devoir spirituel devant Dieu pour attirer la faveur et l’approbation de l’homme.

7. « SOCIÉTÉ OUVERTE » ET « RELIGION OUVERTE »

Cette analyse ne serait guère complète sans un mot sur la néo-langue si populaire dans la sphère ecclésiastique. Le vocabulaire catholique traditionnel a été délibérément modifié, afin de changer le contenu qu’il exprime. La même chose s’est produite dans la liturgie et la prédication, où la clarté de l’exposition catholique a été remplacée par l’ambiguïté ou le déni implicite de la vérité dogmatique. Les exemples sont infinis. Ce phénomène remonte également à Vatican II, qui cherchait à développer des versions « catholiques » des slogans du monde. Néanmoins, je tiens à souligner que toutes ces expressions empruntées aux lexiques laïques font également partie du néolangage. Considérons l’insistance du Bergoglio sur l’« église sortante » sur l’ouverture comme valeur positive. De même, je cite maintenant le Fratelli tutti :

« Un peuple vivant et dynamique, un peuple d’avenir, est constamment ouvert à une nouvelle synthèse par sa capacité à accueillir les différences » (Fratelli Tutti, 160).

« L’Église est une maison aux portes ouvertes » (ibid. 276).

« Nous voulons être une Église qui sert, qui sort de chez elle et sort de ses lieux de culte, sort de ses sacristies, pour accompagner la vie, pour entretenir l’espérance, pour être le signe de l’unité… pour construire des ponts, pour abattre les murs, semer les graines de la réconciliation » (ibid).

La similitude avec l’Open Society recherchée par l’idéologie mondialiste de Soros est si frappante qu’elle en constitue presque un contrepoint de religion ouverte.

Et cette religion ouverte est parfaitement en phase avec les intentions du mondialisme. Des réunions politiques « pour un nouvel humanisme » bénies par les dirigeants de l’Église à la participation de l’intelligentsia progressiste à la propagande verte, tout court après la pensée dominante, dans la triste et grotesque tentative de plaire au monde. Le contraste frappant avec les paroles de l’apôtre est clair : « Et maintenant, est-ce la faveur des hommes que je désire, ou celle de Dieu? Est-ce que je cherche à plaire aux hommes? Si je plaisais encore aux hommes, je ne serais pas serviteur de Christ. » (Gal. 1:10)

L’Église catholique vit sous le regard de Dieu; elle existe pour sa gloire et pour le salut des âmes. L’anti-église vit sous le regard du monde, se pliant à l’apothéose blasphématoire de l’homme et à la damnation des âmes. Lors de la dernière session du Concile Œcuménique Vatican II, devant tous les Pères synodaux, ces paroles étonnantes de Paul VI ont retenti dans la Basilique du Vatican :

« La religion du Dieu qui s’est fait homme a rencontré la religion (car telle est) de l’homme qui se fait Dieu. Et ce qui est arrivé ? Y a-t-il eu un affrontement, une bataille, une condamnation ? Il aurait pu y en avoir, mais il n’y en avait pas. La vieille histoire du Samaritain a été le modèle de la spiritualité du concile. Un sentiment de sympathie sans bornes a imprégné tout cela. L’attention de notre conseil a été absorbée par la découverte des besoins humains (et ces besoins croissent proportionnellement à la grandeur que le fils de la terre revendique pour lui-même). Mais nous appelons ceux qui se qualifient d’humanistes modernes, et qui ont renoncé à la valeur transcendante des plus hautes réalités, à donner au conseil le crédit au moins pour une qualité et à reconnaître notre propre nouveau type d’humanisme: nous aussi, en fait, plus que tout autre, nous honorons l’humanité. » [4]

Cette sympathie — au sens étymologique de συμπάϑεια, c’est-à-dire participation au sentiment de l’autre — est la figure du concile et de la nouvelle religion (car telle est) de l’anti-église. Une anti-église née de l’union impure entre l’Église et le monde, entre la Jérusalem céleste et la Babylone infernale. Remarquez bien : la première fois qu’un Pontife a mentionné le « nouvel humanisme », c’était lors de la dernière session de Vatican II, et aujourd’hui nous le trouvons répété comme un mantra par ceux qui le considèrent comme une expression parfaite et cohérente de la mentalité révolutionnaire du Conseil. [5]

Toujours en vue de cette communion d’intention entre le Nouvel Ordre Mondial et l’anti-église, il faut se souvenir du Global Compact on Education, un projet conçu par Bergoglio « pour générer un changement à l’échelle planétaire, afin que l’éducation soit créatrice de fraternité, paix et justice. Un besoin encore plus urgent en cette période marquée par la pandémie ». [6] Promu en collaboration avec les Nations Unies, ce « processus de formation à la relation et à la culture de la rencontre trouve également un espace et une valeur dans le “foyer commun” de toutes les créatures, puisque les personnes, telles qu’elles sont formées à la logique de communion et solidarité, travaillent déjà à “Retrouver une harmonie sereine avec la création”, et à configurer le monde comme “un espace de vraie fraternité”. (Gaudium et Spes, 37) » [7] Comme on peut le voir, la référence idéologique est toujours et uniquement à Vatican II, car ce n’est qu’à partir de ce moment que l’anti-église a mis l’homme à la place de Dieu, la créature à la place du Créateur.

Le « nouvel humanisme » a évidemment un cadre environnemental et écologique dans lequel se greffent à la fois l’encyclique Laudato Sì et la théologie verte — « l’Église à visage amazonien » du Synode des évêques 2019, avec son culte idolâtre de pachamama (la terre mère) en présence du Sanhédrin romain. L’attitude de l’Église lors du Covid-19 a démontré, d’une part, la soumission de la hiérarchie aux diktats de l’État, en violation de la Libertas Ecclesiae, que le Pape aurait dû défendre fermement. Il a également mis en évidence le déni de toute signification surnaturelle de la pandémie, remplaçant la juste colère de Dieu offensée par les innombrables péchés de l’humanité et des nations par une fureur plus inquiétante et destructrice de la nature, offensée par le manque de respect de l’environnement. Je tiens à souligner que l’attribution d’une identité personnelle à la Nature, presque dotée d’intellect et de volonté, est un prélude à sa divinisation. Nous avons déjà vu un prélude sacrilège à cela, sous le dôme même de la basilique Saint-Pierre.

L’essentiel est le suivant : la conformité de la part de l’anti-église avec l’idéologie dominante du monde moderne établit une réelle coopération avec de puissants représentants de l’État profond, à commencer par ceux qui œuvrent pour une « économie durable » impliquant Jorge Mario Bergoglio, Bill Gates, Jeffrey Sachs, John Elkann, Gunter Pauli. [8]

Il sera utile de se rappeler que l’économie durable a également des implications pour l’agriculture et le monde du travail en général. L’État profond doit garantir une main-d’œuvre à bas prix grâce à l’immigration, qui contribue en même temps à l’annulation de l’identité religieuse, culturelle et linguistique des nations concernées. L’église profonde prête une base idéologique et pseudo-théologique à ce plan d’invasion et garantit en même temps une part dans le commerce lucratif de l’hospitalité. On comprend l’insistance de Bergoglio sur le thème des migrants, également réitérée dans Fratelli Tutti : « Une mentalité xénophobe de fermeture et de maîtrise de soi se répand » (ibid. 39). « Les migrations constitueront un élément fondateur de l’avenir du monde » (ibid. 40). Bergoglio a utilisé l’expression « élément fondateur », affirmant qu’il n’est pas possible de faire l’hypothèse d’un avenir sans migrations.

Permettez-moi un bref mot sur la situation politique aux États-Unis à la veille de l’élection présidentielle. Fratelli Tutti semble être une forme de soutien du Vatican au candidat démocrate, en opposition claire à Donald Trump, et intervient quelques jours après que François a refusé d’accorder une audience au secrétaire d’État Mike Pompeo à Rome. Cela confirme de quel côté se trouvent les enfants de la lumière et qui sont les enfants des ténèbres.

8. LES FONDEMENTS IDÉOLOGIQUES DE LA « FRATERNITÉ »

Le thème de la fraternité, obsession pour Bergoglio, trouve sa première formulation dans Nostra Ætate et Dignitatis Humanae. La dernière encyclique, Fratelli Tutti, est le manifeste de cette vision maçonnique, dans laquelle le cri Liberté, Égalité, Fraternité a remplacé l’Évangile, au nom d’une unité entre les hommes qui exclut Dieu. Notez que le Document sur la fraternité humaine pour la paix dans le monde et le vivre ensemble signé à Abu Dhabi le 4 février 2019 a été fièrement défendu par Bergoglio avec ces mots :

« Du point de vue catholique, le document n’a pas dépassé d’un millimètre le Concile Vatican II. »

Le cardinal Miguel Ayuso Guixot, président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, commente dans La Civiltà Cattolica :

« Avec le Conseil, le remblai s’est progressivement fissuré puis s’est rompu : le fleuve du dialogue s’est répandu avec le Conseil Déclarations Nostra Ætate sur les relations entre l’Église et les croyants d’autres religions et Dignitatis Humanae sur la liberté religieuse, des thèmes et des documents étroitement liés et ont permis à saint Jean-Paul II de donner vie à des rencontres comme la Journée mondiale de prière pour la paix en Assision le 27 octobre 1986 et Benoît XVI, vingt-cinq ans plus tard, pour nous faire vivre dans la ville de Saint François le jour de réflexion, de dialogue et de prière pour la paix et la justice dans le monde — Pèlerins de la vérité, pèlerins de la paix. Donc, l’engagement de l’Église catholique en faveur du dialogue interreligieux, qui ouvre la voie à la paix et à la fraternité, fait partie de sa mission originale et trouve ses racines dans l’événement du concile. » [9]

Une fois de plus, le cancer de Vatican II confirme qu’il est à l’origine de métastases bergogliennes. Le fil rouge [fil conducteur] qui unit le Concile au culte de la pachamama passe également par Assise, comme mon frère Athanasius Schneider l’a souligné à juste titre dans son récent discours. [dix]

Et en parlant de l’anti-église, Mgr Fulton Sheen décrit l’Antéchrist : « Puisque sa religion sera la fraternité sans la paternité de Dieu, il trompera même les élus. » [11] Nous semblons voir la prophétie du vénérable archevêque américain se réaliser sous nos yeux.

Il n’est donc pas surprenant que la tristement célèbre Grande Loge d’Espagne, après avoir chaleureusement félicité son paladin élevé au trône, ait à nouveau rendu hommage à Bergoglio par ces mots :

« Le grand principe de cette école initiatique n’a pas changé depuis trois siècles : la construction d’une fraternité universelle où les êtres humains se disent frères les uns aux autres au-delà de leurs croyances spécifiques, de leurs idéologies, de la couleur de leur peau, de leur extraction sociale, de leur langue, leur culture ou leur nationalité. Ce rêve fraternel s’est heurté au fondamentalisme religieux qui, dans le cas de l’Église catholique, a conduit à des textes durs condamnant la tolérance de la franc-maçonnerie au XIXe siècle. La dernière encyclique du pape François montre à quel point l’Église catholique actuelle est éloignée de ses positions antérieures. Dans “Fratelli Tutti”, le pape a embrassé la Fraternité universelle, le grand principe de la franc-maçonnerie moderne. » [12]

La réaction du Grand Orient d’Italie n’est pas différente :

« Ce sont les principes que la franc-maçonnerie a toujours poursuivis et gardés pour l’élévation de l’humanité. » [13]

Austen Ivereigh, l’hagiographe de Bergoglio, confirme avec satisfaction cette interprétation qu’un catholique jugerait à juste titre au moins dérangeante. [14]

Je me souviens que dans les documents maçonniques de l’Alta Vendita, depuis le XIXe siècle, une infiltration de la franc-maçonnerie dans l’Église était prévue :

« Vous aussi, vous pêcherez des amis et les conduirez aux pieds du Siège apostolique. Vous aurez prêché la révolution dans Tiara and Cope, procédé sous la croix et la bannière, une révolution qui n’aura besoin que d’un peu d’aide pour mettre le feu aux quartiers du monde. » [15]

9. LA SUBVERSION DE LA RELATION INDIVIDUELLE ET SOCIALE AVEC DIEU

Permettez-moi de conclure cet examen des liens entre le Conseil et la crise actuelle en soulignant un renversement que je considère comme extrêmement important et significatif. Je parle de la relation du laïc individuel et de la communauté des fidèles avec Dieu. Alors que dans l’Église du Christ la relation de l’âme avec le Seigneur est éminemment personnelle même lorsqu’elle est véhiculée par le Sacré Ministre dans l’action liturgique, dans l’Église conciliaire la communauté et la relation de groupe prévalent. Pensez à leur insistance à vouloir faire du baptême d’un enfant, ou du mariage d’un couple marié, « un acte de communauté »; ou l’impossibilité de recevoir la sainte communion individuellement en dehors de la messe, et de la pratique courante d’approcher la communion pendant la messe même sans les conditions nécessaires. Tout ceci est sanctionné sur la base d’un concept protestantisé de participation au banquet eucharistique, dont aucun invité n’est exclu. Sous cette compréhension de la communauté, la personne perd son individualité, se perdant dans la communauté anonyme de la célébration. De même, la relation du corps social avec Dieu disparaît dans un personnalisme qui élimine le rôle de médiation à la fois de l’Église et de l’État. L’individualisation dans le domaine moral entre également dans ce domaine, où les droits et les préférences de l’individu deviennent des motifs d’éradication de la moralité sociale. Cela se fait au nom d’une « inclusivité » qui légitime tous les vices et aberrations morales. La société — entendue comme l’union de plusieurs individus visant à la poursuite d’un but commun — est divisée en une multiplicité d’individus, chacun ayant son propre but. C’est le résultat d’un bouleversement idéologique qui mérite d’être analysé en profondeur, en raison de ses implications tant dans la sphère ecclésiale que civile. Il est évident, cependant, que la première étape de cette révolution se trouve dans la mentalité conciliaire, à commencer par l’endoctrinement du peuple chrétien constitué par la liturgie réformée, dans laquelle l’individu se fond dans l’assemblée en se dépersonnalisant, et la communauté se transforme en un ensemble d’individus en perdant leur identité.

10. CAUSE ET EFFET

La philosophie nous enseigne qu’à une cause correspond toujours un certain effet. Nous avons vu que les actions menées au cours de Vatican II ont eu l’effet désiré, donner une forme concrète à ce tournant anthropologique le point qui, aujourd’hui, a conduit à l’apostasie de l’anti-église et l’éclipse de la véritable Eglise du Christ. Nous devons donc comprendre que si nous voulons annuler les effets néfastes que nous voyons devant nous, il est nécessaire et indispensable de supprimer les facteurs qui les ont causés. Si tel est notre objectif, il est clair qu’accepter — ou même accepter partiellement — ces principes révolutionnaires rendrait nos efforts inutiles et contre-productifs. Nous devons donc être clairs sur les objectifs à atteindre, en ordonnant notre action aux buts. Mais nous devons tous être conscients que dans ce travail de restauration, aucune exception aux principes n’est possible, précisément parce que le fait de ne pas les partager empêcherait toute chance de succès.

Laissons donc de côté, une fois pour toutes, les vaines distinctions concernant la bonté présumée du Concile, la trahison de la volonté des Pères synodaux, la lettre et l’esprit de Vatican II, le poids magistral (ou son absence) de ses actes, et l’herméneutique de la continuité contre celle de la rupture. L’anti-église a utilisé l’étiquette de « Conseil œcuménique » pour donner autorité et force juridique à son programme révolutionnaire, tout comme Bergoglio appelle son manifeste politique d’allégeance au Nouvel Ordre Mondial une « lettre encyclique ». La ruse de l’ennemi a isolé la partie saine de l’Église, déchirée entre devoir reconnaître le caractère subversif des documents conciliaires, et donc les exclure du Magistère corpus, et devoir nier la réalité en les déclarant apodictiquement orthodoxes afin de sauvegarder l’infaillibilité du Magistère. La Dubia représentait une humiliation pour ces princes de l’Église, mais sans dénouer les nœuds doctrinaux portés à l’attention du pontife romain. Bergoglio ne répond pas, précisément parce qu’il ne veut ni nier ni confirmer les erreurs implicites, s’exposant ainsi au risque d’être déclaré hérétique et de perdre la papauté. Il s’agit de la même méthode utilisée avec le Conseil, où l’ambiguïté et l’utilisation d’une terminologie imprécise empêchent de condamner l’erreur qui a été implicite. Mais le juriste sait très bien que, outre la violation flagrante de la loi, on peut aussi commettre un crime en le contournant, en l’utilisant à des fins maléfiques : contra legem fit, quod in fraudem legis fit [ce qui contourne la loi est contre elle].

11. CONCLUSION

La seule façon de gagner cette bataille est de recommencer à faire ce que l’Église a toujours fait et d’arrêter de faire ce que l’anti-église nous demande aujourd’hui — ce que la véritable Église a toujours condamné. Remettons Notre Seigneur Jésus-Christ, Roi et Souverain Sacrificateur, au centre de la vie de l’Église; et avant cela, au centre de la vie de nos communautés, de nos familles, de nous-mêmes. Rendons la couronne à Notre-Dame Marie Très Sainte, Reine et Mère de l’Église.

Revenons célébrer dignement la sainte liturgie traditionnelle et prions avec les paroles des saints, non avec les divagations des modernistes et des hérétiques. Recommençons à savourer les écrits des Pères de l’Église et des Mystiques, et jetons au feu les œuvres empreintes de modernisme et de sentimentalisme immanentiste. Soutenons, par la prière et l’aide matérielle, les nombreux bons prêtres qui restent fidèles à la vraie Foi, et retirons tout soutien à ceux qui ont accepté le monde et ses mensonges.

Et surtout — je vous le demande au nom de Dieu ! — abandonnons ce sentiment d’infériorité que nos adversaires nous ont habitués à accepter : dans la guerre du Seigneur, ils ne nous humilient pas (nous méritons certainement toute humiliation pour nos péchés). Non, ils humilient la Majesté de Dieu et l’Epouse de l’Agneau Immaculé. La vérité que nous embrassons ne vient pas de nous, mais de Dieu ! Que la Vérité soit niée, admettre qu’elle doit se justifier devant les hérésies et les erreurs de l’anti-église, n’est pas un acte d’humilité, mais de lâcheté et de pusillanimité. Laissez-nous inspirer par l’exemple des saints martyrs des Maccabées, devant un nouvel Antiochus qui nous demande de sacrifier aux idoles et d’abandonner le vrai Dieu. Répondons par leurs paroles en priant le Seigneur : « Maintenant encore, ô Souverain des cieux, envoyez votre bon ange devant nous, pour qu’il répande la crainte et l’effroi. Que par la grandeur de votre bras soient frappés ceux qui sont venus, le blasphème à la bouche, contre votre peuple saint! » (2 Mac 15:23-24).

Permettez-moi de conclure mon discours aujourd’hui avec un souvenir personnel. Lorsque j’étais nonce apostolique au Nigéria, j’ai découvert une magnifique tradition populaire issue de la terrible guerre du Biafra et qui se poursuit encore aujourd’hui. J’y ai personnellement participé lors d’une visite pastorale à l’archidiocèse d’Onitsha, et j’en ai été très impressionné. Cette tradition — appelée « Block Rosary Children » — consiste à rassembler des milliers d’enfants (même très jeunes) dans chaque village ou quartier pour la récitation du Saint Rosaire pour implorer la paix — chaque enfant tenant un petit morceau de bois, comme un mini autel, avec une image de Notre-Dame et une petite bougie dessus.

Dans les jours précédant le 3 novembre, j’invite tout le monde à se joindre à une croisade du Rosaire : une sorte de siège de Jéricho, non pas avec sept trompettes faites de cornes de bélier sonnées par des prêtres, mais avec le « Je vous salue Marie des petits et des innocents » pour abattre les murs de l’État profond et de l’Église profonde.

Rejoignons-nous aux petits dans un Bloc du Rosaire Enfants, implorant la Femme vêtue du Soleil, que le Règne de Notre-Dame et Mère soit rétabli, et l’éclipse qui nous afflige raccourcie.

Et que Dieu bénisse ces saintes intentions.

Mgr Carlo Maria Viganò (signature)

+ Carlo Maria Viganò
Archevêque titulaire d’Ulpiana
Ancien Nonce Apostolique aux États-Unis d’Amérique

RÉFÉRENCES :

  1. Padre Antonio Spadaro sj, Fratelli Tutti, la risposta di Francesco alla crisi del nostro tempo, in Formiche, 4 Ottobre 2020 (qui).
  2. « Le pontificat du pape François est comme une norme élevée devant les intégristes catholiques et ceux qui assimilent continuité matérielle et tradition: la doctrine catholique ne se développe pas seulement. Parfois ça change vraiment: par exemple sur la peine de mort, la guerre. » (Massimo Faggioli – Twitter)
  3. Redazione Internet : Clima. Il Papa: basta negazionismi sul riscaldamento globale. Avvenire, 16 novembre 2017. — « Dovremmo evitare di cadere in questi quattro atteggiamenti perversi, che certo non aiutano alla ricerca onesta e al dialogo sincero e produttivo sulla costruzione del futuro del nostro pianeta: negazione, indifferenza, rassegnazione e fiducia in soluzioni inadeguate. »
  4. Paolo VI : Allocuzione per l’ultima sessione del Concilio Ecumenico Vaticano II, 7 Dicembre 1965 : « Religio, id est cultus Dei, qui homo fieri voluit, atque religio – talis enim est aestimanda – id est cultus hominis, qui fieri vult Deus, inter se congressae sunt. Quid tamen accidit? Certamen, proelium, anathema? Id sane haberi potuerat, sed plane non accidit. Vetus illa de bono Samaritano narratio excmplum fuit atque norma, ad quam Concilii nostri spiritualis ratio directa est. Etenim, immensus quidam erga homines amor Concilium penitus pervasit. Perspectae et iterum consideratae hominum necessitates, quae eo molestiores fiunt, quo magis huius terrae filius crescit, totum nostrae huius Synodi studium detinuerunt. Hanc saltem laudem Concilio tribuite, vos, nostra hac aetate cultores humanitatis, qui veritates rerum naturam transcendentes renuitis, iidemque novum nostrum humanitatis studium agnoscite: nam nos etiam, immo nos prae ceteris, hominis sumus cultores ».
  5. Il Pedante (@EuroMasochismo) : https://twitter.com/i/status/1312837860442210304.
  6. Pacte mondial sur l’éducation : www.educationglobalcompact.org.
  7. Congregazione per l’Educazione Cattolica : Lettera Circolare alle scuole, università e istituzioni educative, 10 Settembre 2020.
  8. NICCOLÒ CARRATELLI : Green&Blue, la nuova voce dell’economia sostenibile. Via con il Papa e Bill Gates. La Stampa, 03 Ottobre 2020.
  9. Card. Miguel Ángel Ayuso Guixot : Il documento sulla Fraternità umana nel solco del Concilio Vaticano II. 3 Febbraio 2020.
  10. Maike Hickman : Bishop Schneider: Pachamama worship in Rome was ‘prepared by Assisi meetings’. Catholic Family, 8th October 2020.
  11. Mons. Fulton Sheen, discorso radiofonico del 26 Gennaio 1947.
  12. InfoCatólica : La Gran Logia de España considera que Francisco abraza el concepto de fraternidad de la Masonería. 5/10/20 3:14 PM.
  13. Grande Oriente d’Italia (@GrandeOrienteit) : Liberté, égalité, fraternité. Le Grand Maître du Grand Orient d’Italie, Stefano Bisi: « Ce sont les principes que la franc-maçonnerie a toujours poursuivis et défendus pour l’élévation de l’humanité ». Twitter, 5 octobre 2020.
  14. Jesuits Global : Without fraternity, liberty and equality don’t make sense – Austen Ivereigh on Fratelli Tutti. Youtube, 4 octobre 2020.
  15. Jacques Cretineau-Joly : L’Église romaine en face de la Révolution. Parigi, Henri Plon, 1859. — « Vous amènerez des amis autour de la Chaire apostolique. Vous aurez prêché une révolution en tiare et en chape, marchant avec la croix et la bannière, une révolution qui n’aura besoin que d’être un tout petit peu aiguillonnée pour mettre le feu aux quatre coins du monde ».



La prise de contrôle communiste du Canada

[Source : Guy Boulianne]

Message alarmant de Andrew Rouchotas : La prise de contrôle communiste de notre pays

[Guy Boulianne :]
Voici un article très important de Andrew Rouchotas. Cet article est à prendre en considération puisqu’il rejoint parfaitement mes plus récentes publications concernant les relations Chine/Canada/États-Unis. Andrew Rouchotas est le fondateur et PDG de Cartika Inc., un fournisseur de solutions cloud et de services gérés, ainsi que le fondateur de CH1.ca.

[Par Andrew Rouchotas]  J’ai retardé la rédaction de cet article depuis un certain temps. Je ne m’excuse pas pour la longueur de ce post. Je pourrais littéralement écrire un livre sur ce sujet. Je l’ai donc filtré autant que possible sans sacrifier le strict minimum dont vous auriez besoin pour comprendre la situation dans laquelle nous, Canadiens, nous trouvons aujourd’hui. Vous pouvez prendre le temps de le lire ou vous pouvez l’ignorer. C’est mon travail, apparemment, d’être le seul à publier ceci. C’est à vous de décider ce que vous voulez faire, le cas échéant.

Cependant, je ne peux pas rester les bras croisés et regarder ce qui se passe actuellement dans notre pays. C’est le CANADA. Comment pourrais-je regarder ma fille dans les yeux plus tard dans la vie sans savoir que j’ai fait tout mon possible pour lutter et arrêter cette absurdité.

Le Canada est attaqué. Vous devez vous en rendre compte maintenant. Nous avons été infiltrés aux plus hauts niveaux du gouvernement. Tout le monde qui vous parle à la télévision est payé par notre gouvernement infiltré et / ou corrompu. On vous dit ce qu’il faut penser et on vous dit ce qu’il faut croire et on vous dit comment agir — et vous obéissez.

Nortel était la société Internet la plus puissante au monde, gérant 70% du trafic Internet mondial. Ils étaient le joyau du monde de la technologie et ils étaient canadiens. À partir de 2004, Nortel a commencé à être infiltré par le gouvernement communiste chinois. En utilisant toute la propriété intellectuelle volée à Nortel, Huawei est né. Hauwei a procédé à une offre contre chaque opportunité de Nortel et, en utilisant sa propre technologie, en 2009, Nortel était en faillite. Le Canada était le chef de file mondial de la technologie. Maintenant, ces milliards de dollars et, finalement, des centaines de milliers d’employés hautement qualifiés et bien payés, ainsi que la technologie canadienne de pointe au monde, appartenaient maintenant à la Chine. [1]

Peu de temps après la faillite de Nortel, en 2010, le directeur du SCRS, IL Y A DIX ANS, dans un geste sans précédent, est venu sur CBC News et nous a averti que notre gouvernement était infiltré par des nations étrangères hostiles.

Du sommet, notre gouvernement a été complètement infiltré par le gouvernement communiste chinois. Ces hauts fonctionnaires sont soit directement complices des motivations de la Chine, soit sont des agents directs du gouvernement chinois et du Parti communiste.

Justin Trudeau a envoyé 100 millions de dollars en Chine. Sous couvert de « changement climatique » et de « santé des femmes ». Lorsque les États-Unis ont renoncé à leur adhésion à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Justin Trudeau s’est intensifié et a engagé les États-Unis à près d’un milliard de dollars. L’OMS est une organisation contrôlée par la Chine communiste. [2]

Trudeau a engagé notre contrat d’infrastructure et de réseau 5G avec Hauwei. Oui, le même Hauwei qui a infiltré et mis en faillite Nortel. Trudeau paie et récompense littéralement la Chine pour avoir volé la technologie canadienne, volé des milliards de dollars à notre économie, volé des centaines de milliers d’emplois bien rémunérés à notre pays. Il sous-marinage également d’autres entreprises technologiques canadiennes dotées de capacités 5G (par exemple Telus ou Rogers) et remet ces contrats et ces emplois ainsi que le développement technologique ultérieur, sur le dos des contribuables canadiens — à la Chine communiste.

Comme si cela ne suffisait pas, Trudeau nous éloigne de nos alliés. Nous sommes les seuls « pays à 5 yeux » (coopérative de partage de données de sécurité) à autoriser Hauwei à entrer dans notre pays et à permettre à la Chine communiste d’accéder à toutes nos données. [3]

En conséquence, cela a incité le président américain à menacer de doubler nos frontières avec l’armée américaine. Même si le président américain a renoncé à cette menace pour le moment, vous devez comprendre que le reste du monde est très conscient que le Canada tombe aux mains de la Chine communiste. Personne ne va nous aider si nous permettons que cela se produise. [4]

Tout le monde insiste sur le fait que malgré toute la science, malgré toute logique et raison, nous devons écouter les experts. Ok, mais, quels experts devrions-nous écouter ? Dr Theresa Tam ? Eh bien, comment se fait-il que les deux derniers experts qui ont occupé le rôle du Dr Tam au Canada, tous deux en désaccord avec elle ? [5]

Alors, quel « expert » devons-nous écouter ? Le Dr Tam est-elle plus qualifié que ses deux précédents prédécesseurs ? La réponse est bien sûr non. Quiconque a suivi mes messages, depuis le tout premier jour des verrouillages COVID, comprend que j’ai parlé haut et fort contre ces mesures. La science ne le soutient tout simplement pas. Ce sont des actions à motivation politique. Ces politiques de santé publique sont des politiques de santé publique communiste en Chine. Ces politiques de santé publique visent à contrôler une population et à permettre à un gouvernement tyrannique de prendre le contrôle de l’économie. Ce ne sont PAS des politiques canadiennes de santé publique.

Un candidat à la direction du Parti conservateur canadien a exprimé publiquement ces préoccupations au sujet du Dr Tam. Pour ses efforts, il a été qualifié de « raciste » et a failli être expulsé du parti. Bien qu’il ait refusé de s’excuser, il a ensuite renoncé à sa position et a indiqué qu’il ne remettait pas en question la loyauté du Dr Tam envers le Canada. [6]

Eh bien, je ne suis pas Derek Sloan. Je vais le dire fort. Le Dr Tam est un traître et le Dr Tam travaille directement pour la Chine communiste. Je ne dis pas cela parce qu’elle est d’origine asiatique. Je dis cela, parce qu’elle est une traître. J’aime et je respecte tous les Canadiens d’origine chinoise fidèles au Canada. Je suis moi-même issu d’une famille d’immigrants hors du bateau. Je suis fidèle au Canada. Si quelqu’un de mon pays d’origine était un haut fonctionnaire du gouvernement et agissait comme un traître, je l’appellerais aussi un traître. Je ne serais pas raciste contre moi-même pour le dire. Tous les Canadiens chinois que je connais sont des gens extraordinaires. Ce sont mes amis et mes voisins. Je ne connais pas le Dr Tam et je ne veux pas la connaître. Elle doit démissionner immédiatement.

https://youtu.be/VRTw77Ioy-Y
Theresa Tam plaide pour une rafle de ceux qui refusent les vaccinations. Dans un documentaire de 2010, l’ONF détaille les plans du gouvernement du Canada pour une future épidémie et comment il prendra soin de ceux qui refusent la vaccination contre le virus… en les rassemblant et en les mettant dans des centres de détention.

De la même manière, Chrystia Freeland est aussi manifestement une partisane de la politique et des politiques communistes. Elle a été choisie et placée comme vice-première ministre au Canada, et lorsque notre ministre des Finances actuel a démissionné en raison de la corruption au sein de notre gouvernement fédéral, elle a également été nommée nouvelle ministre des Finances du Canada. Elle est sur le DOSSIER PUBLIC, déclarant que l’économie ne peut pas être reprise, à moins qu’elle ne soit reprise dans le cadre de son idéologie environnementaliste radicale. Suis-je le seul à demander ce que les verrouillages COVID de santé publique ont à voir avec son idéologie environnementale ? Suis-je le seul à me demander pourquoi les petites entreprises et le secteur privé doivent être détruits à cause du COVID et des politiques de santé publique, mais ne peuvent pas être repris tant que son économie socialiste flagrante, à peine voilée sous une idéologie environnementaliste radicale, ne sera pas mise en œuvre ?

Chrystia Freeland est l’auteur en 2012 d’un livre intitulé « Plutocrats: The Rise of the New Global Super-Rich and the Fall of Everyone Else » (Ploutocrates: la montée des nouveaux super-riches mondiaux et la chute de tous les autres). [7]

Il est ironique que ses politiques détruisent directement « tout le monde ». Les propriétaires de petites entreprises, le secteur privé, etc. Les SEULS qui prospèrent sous les politiques de Dr Tam et Chrystia Freeland sont les nouveaux « Global Super-Rich ». Si vous lisiez le livre de Chrystia Freeland, vous comprendriez. C’est de la pure rhétorique marxiste. Prolétariat vs Bourgeois. Elle est une communiste ouverte et, selon toute vraisemblance, soit directement un agent de la Chine communiste, soit volontairement complice des politiques de la Chine communiste.

Nous voyons l’impossible se produire au Canada. Nous pratiquons la politique identitaire aux plus hauts niveaux de nos gouvernements. On nous dit que nous sommes « systématiquement racistes », justifiant ainsi le démantèlement de tout notre système. On nous dit que certains d’entre nous ont un « privilège » inhérent. Nous sommes divisés en groupes et ces groupes sont retournés les uns contre les autres. Nous avons été enfermés dans nos maisons, nous avons été forcés de porter des masques, nous avons été forcés de masquer nos enfants. Notre secteur des petites entreprises est en train d’être anéanti et les barrières à l’entrée pour démarrer une nouvelle entreprise ont été massivement élargies. Un pourcentage important de la population a été transféré à l’aide gouvernementale permanente. Le chômage monte en flèche, la dette monte en flèche et notre taux de mortalité monte en flèche (et non à cause du COVID). Les seules personnes qui en profitent sont les fonctionnaires de notre gouvernement et les plus grandes entreprises (qui réalisent toutes des profits records) — et bien sûr — le gouvernement communiste chinois. On nous dit que c’est une question d’« équité » et de « justice », mais, comme ces pratiques malveillantes l’ont toujours fait, partout où elles ont été mises en œuvre, la richesse sort toujours des mains des citoyens et revient entre les mains de quelques-uns. Personne ne se bat contre cela au Canada. De nos plus hauts responsables politiques à nos médias, ils battent tous le même tambour.

Pour le bien de Pete, Chrystia Freeland déclare ouvertement son intention de couler le segment énergétique canadien et refuse de rouvrir notre économie des verrouillages COVID, jusqu’à ce que nous mettions en œuvre sa stratégie environnementaliste. Et qui, selon vous, fournira toute cette énergie et cette infrastructure pour sa nouvelle économie « verte ». La Chine communiste bien sûr. [8]

Nous observons la prise de contrôle communiste de notre pays — et ce n’est pas subtil. Le monde nous regarde. Tout le monde sait très bien ce qui se passe au Canada.

Le chercheur australien Clive Hamilton a récemment publié un livre intitulé « Hidden Hand », qui raconte comment Pékin utilise les élites dans les pays cibles pour étendre son influence et son contrôle. Il dit, et je cite : « La promotion de Beijing des candidats aux élections qu’elle contrôle les plus avancés au Canada ». J’ai cherché LA REVUE LA PLUS CRITIQUE du livre de Clive Hamilton que j’ai pu trouver. Vous ne pouvez tout simplement rien accepter de moins que ce qui est conclu dans cet examen.

Du directeur des avertissements publics du SCRS il y a 10 ans, aux travaux de renommée mondiale de Clive Hamilton publiés aujourd’hui, à tout ce que vous regardez autour de vous.

Peut-être devriez-vous vous demander pourquoi les médias ne font rien d’autre que de parler des taux d’infection et des politiques identitaires qui divisent. Ils ne peuvent même plus discuter des taux de mortalité, car personne ne meurt — du moins pas de COVID. Donc, ils ont changé le récit pour « arrêter la propagation » pour vous garder effrayé et conforme. Pourquoi ne connaissez-vous pas l’infiltration massive de la Chine communiste dans notre gouvernement, alors que le reste du monde en est bien conscient et déclare que c’est important ?

Le gouvernement communiste chinois possède soit par l’intermédiaire de filiales, soit par influence, d’énormes portions de nos médias. Les mêmes médias qui sont financés par nos impôts. Les mêmes médias qui conduisent des politiques de santé publique horribles, vous ont masqué vos enfants et nous font jouer les idéologies de la politique identitaire marxiste et communiste les unes contre les autres. [9]

Demandez-vous comment le Canada est arrivé ici, et si rapidement. Demandez-vous pourquoi le Canada met en œuvre des politiques de santé publique communistes chinoises. Demandez-vous pourquoi le Canada sous-traite toute notre technologie et l’infrastructure et les déploiements du réseau 5G à venir vers Hauwei et la Chine communiste. La technologie 5G est merveilleuse et est désespérément nécessaire dans un pays aussi massif et éloigné que le Canada. Vous pensiez que la vente de données par Facebook aux annonceurs était inacceptable ? Que pensez-vous que la Chine fera de TOUTES vos données ? Demandez-vous comment le Canada est devenu une dette de 1,2 billion de dollars — détenue par, vous l’avez deviné, la Chine communiste. Demandez-vous pourquoi une part importante de cette dette de 1,2 T $ a été envoyée à la Chine sous couvert de « changement climatique » ou de « santé des femmes », et maintenant nous devons aussi à la Chine cet argent, plus les intérêts, au sein de notre dette. [10]

Maintenant, demandez-vous ce qui est arrivé à Hong Kong ? La première chose que le gouvernement communiste de Chine a faite a été d’infiltrer Hong Kong au plus haut niveau. Vous vous souvenez de leur rhétorique ? « 2 systèmes, 1 pays ». [11]

Ils ont ensuite commercialisé, via leurs médias de masse contrôlés par le gouvernement, les justifications de la présence de leur armée sur le sol de Hong Kong. Ironiquement, Justin Trudeau, en vertu de la FIPA (Foreign Investment Protection Act), signée à l’origine par le gouvernement conservateur Harper, a été ratifiée en 2019 par Justin Trudeau. L’accord FIPA ratifié a approuvé le gouvernement communiste chinois à déployer des forces de sécurité sur le sol canadien sans exiger la “connaissance ou le consentement” des CANADIENS. La « validation » vise à protéger les actifs appartenant au gouvernement chinois. Ce qui veut dire, leurs actifs Hauwei, au Canada. Donc, effectivement, nous avons permis à Hauwei de voler la technologie Nortel, de les mettre en faillite, de nous revendre cette technologie et maintenant de protéger ces actifs sur notre propre sol avec leurs militaires. [12]

Rappelez-vous tous les guerriers courageux et puissants et vertueux signalant Facebook ? Rappelez-vous que tout le monde publie des mèmes « Hong Kong gratuits » partout sur Facebook ? Eh bien, Hong Kong a effectivement disparu. Tous les dirigeants de Hong Kong Free Press qui ne voulaient pas se plier, sont partis. Ils ont disparu. Tous les organisateurs des manifestations sont partis. Ils ont disparu. C’est ce qui se passe au Canada, MAINTENANT. Nous serons le prochain État communiste de Chine, pas différent de Hong Kong — et tout le monde le sait, sauf nous.

La Chine communiste ne tolère pas la liberté. Et, bien que les communistes pénètrent toujours avec un verbiage comme « privilège » ou « racisme systémique » ou « diversité et inclusion », vous devez comprendre que ce ne sont que des armes pour semer la division, la peur et la haine. Une fois qu’ils prennent le contrôle, la première chose qu’ils font est d’emprisonner ou de tuer les groupes et les ethnies qu’ils n’aiment pas. À l’heure actuelle, en Chine, environ 1 million d’Uygars musulmans ont été emprisonnés dans des camps d’internement et sont utilisés comme esclaves. Je suis prêt à parier qu’une fois qu’ils auront mis en œuvre de telles atrocités au Canada, toutes les victimes professionnelles, les idiots de la politique identitaire qui courent dans notre pays, qui font des ravages aujourd’hui, se rendront soudainement compte qu’ils n’étaient pas aussi opprimés qu’ils le pensaient. Je parie qu’ils donneraient n’importe quoi pour retrouver leurs anciennes vies et leurs anciennes libertés.

Maintenant, demandez-vous, malgré toute rime ou raison, malgré toute la science, malgré tout ce que le Canada représente, pourquoi prenez-vous des ordres de personnes et d’organisations qui sont détenues et contrôlées par la Chine communiste ? Ils n’ont aucun pouvoir réel aujourd’hui. Même avec des médias infiltrés, même avec des hauts fonctionnaires infiltrés. Ils n’ont aucun pouvoir aujourd’hui. C’est pourquoi les médias ne cessent de nous pomper la peur et la division 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Faites exactement le contraire de tout ce que les médias vous disent de faire. Exigez des élections et éliminez ces traîtres infiltrés de notre gouvernement. Insistez sur le fait que le nouveau gouvernement tient tête à la Chine. Insistons pour que le nouveau gouvernement fasse preuve de loyauté envers nos alliés et se rallie à nos alliés. Veiller à ce que notre nouveau gouvernement expulse Hauwei du Canada et s’efforce de renforcer Telus et Rogers pour leur faire concurrence. Veiller à ce que le nouveau gouvernement mette fin à l’accord FIPA que nous avons signé avec la Chine. Ou pensez-vous honnêtement que les États-Unis nous protégeront une fois que la Chine aura des soldats partout dans notre pays et une fois qu’ils nous auront occupés et détruits comme ils l’ont fait à Hong Kong?

Enfin — Insistez pour que le nouveau gouvernement cesse de financer nos médias avec nos impôts. Insistez sur le fait que notre gouvernement finance les médias canadiens indépendants, qui fonctionneront encore une fois comme la « presse libre » et dilueront la propagande flagrante que la Chine communiste vous nourrit. Pourquoi nos médias financés par les impôts passent-ils autant de temps à nous retourner contre nos alliés américains ? Vous ne vous êtes jamais posé cette question ? pas même une fois ? Pourquoi nos médias poussent-ils autant la politique identitaire ? Pourquoi nos médias poussent-ils si fortement les politiques de santé publique communistes chinoises ? Pourquoi poussent-ils autant Hauwei ? Le gouvernement communiste chinois a infiltré de nombreux pays, chaque pays est confronté à cela et se bat à sa manière et à des degrés divers. Personne ne vient nous aider. Nous sommes seuls. D’autres pays ripostent. Le Canada ne l’est pas.

Enlevez vos masques. Vous avez l’air ridicule. Arrêtez de vivre votre vie dans la peur, car bientôt, vous vivrez votre vie enchaînée. De nombreux héros courageux ont tout sacrifié pour vous permettre, à vous et à vos enfants, de vivre librement.

https://youtu.be/3BvbmWFGst4
Laura Lynn Tyler Thompson en entrevue avec Andrew Rouchotas (à partir de 12:45 minutes).

CORRECTION — un commentaire dans ce fil est correct. Le FIPA a été signé à l’origine par Stephen Harper et le gouvernement conservateur en 2012. La présomption dans ce billet est que le FIPA a été ratifié en 2019 par le gouvernement Trudeau pour être plus expansif et offrir des privilèges à la Chine, qui n’existaient pas auparavant.

INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES :
  • Brad Johnson : China seems to have infiltrated Canada’s highest intelligence agency – and it’s not the first time. American Military News, May 13, 2020. — Un événement majeur a eu lieu en septembre 2019 qui a disparu de tout avis public et la profonde signification laissée sous-estimée. Un espion chinois potentiel a infiltré les plus hauts niveaux du service de renseignement canadien qui fait partie de la Gendarmerie royale du Canada (GRC).
  • Chris Kutz : Building a Western Union. Berkeley News, November 18, 2016. — Pourquoi tous les violents révolutionnaires ANTIFA-BLM sortent de Seattle, Portland et Los Angeles? Parce que Washington, l’Oregon et la Californie sont tous devenus des États communistes grâce à la triche universelle par courrier et ont formé un pacte des États occidentaux. De nombreux experts pensent que la Chine communiste a l’intention d’envahir et d’occuper ces trois États et de se séparer de l’union. C’est ce qu’était la zone d’occupation CHAZ / CHOP. Nous pensons qu’ils ont raison. Ils sont déjà à mi-chemin. Les communistes contrôlent déjà Hollywood et la Silicon Valley, Bill Gates et le propre État de Washington de l’OMS, ANTIFA est basé dans l’Oregon et les communistes sont au bord du Pacifique au moment même où nous parlons.
  • Dave Hodges : More Reports Confirm that the CHICOMS Are Amassing Thousands of Troops on the Canadian-US Border. The Common Sense Show, August 31, 2020. — Dave Hodges a récemment interviewé Sarah Westall à l’émission télévisée, The Common Sense Show. Par coïncidence, un jour après notre entrevue, Sarah a rapporté avec Kevin Annett que le Canada a maintenant des troupes chinoises cachées dans les réserves autochtones du Canada. Les troupes du CHICOM prennent et protègent les ressources des réserves sous l’autorité de Trudeau et de la Gendarmerie royale du Canada (GRC). Les troupes du CHICOM se déplacent maintenant librement au Canada sous le couvert des verrouillages COVID-19 ainsi que de la législation du gouvernement canadien qui permet aux CHICOM d’utiliser leur armée pour « protéger » les actifs de CHICOM au Canada. L’histoire de CHICOMS étant situé à la limite de notre frontière norvégienne avec le Canada se développe depuis que Sarah Westall a publié son entrevue avec Kevin Annett. La seule différence dans le rapport est le nombre de soldats du CHICOM qui attendent. Le 30 août 2020, Paul Martin a contacté Dave Hodges sur le même sujet. Sa source, bien connue de lui, affirme que 6 000 soldats du CHICOM sont prêts à attaquer depuis le nord. Vous pouvez écouter l’entrevue de Paul Martin en cliquant sur ce lien.
  • Tom Blackwell : Academic who blew the whistle on China’s influence on Australia says Canada is in even worse trouble. National Post, April 15, 2019. — « Quand je regarde l’influence subtile mais intense de la Chine sur les institutions canadiennes … cela m’inquiète mortellement », dit Clive Hamilton.
  • Anthony Murdoch : Canada’s top doctor leading pandemic response also works for China-controlled World Health Organization. LifeSiteNews, April 17, 2020. — La Dre Theresa Tam, administratrice en chef de la santé publique au Canada, fait également partie du comité de surveillance de l’OMS pour les urgences sanitaires. Elle dirige la riposte à la pandémie du Canada et travaille également pour l’Organisation mondiale de la santé sous contrôle chinois.
  • The GenX Report : Theresa Tam plaide pour une rafle de ceux qui refusent les vaccinations. Youtube, 28 avril 2020. — Dans un documentaire de 2010, l’Office national du film du Canada détaille les plans du gouvernement du Canada pour une future épidémie et comment il prendra soin de ceux qui refusent la vaccination contre le virus… en les rassemblant et en les mettant dans des centres de détention.
  • The David Knight Show : Canadian Whistleblower: Enslavement Begins in 2 Months. Banned.Video, October 19, 2020. — Lanceur d’alerte du Parti libéral du Canada (LPC) du Comité de planification stratégique du parti, qui est sous le contrôle du Bureau du Premier ministre du Canada (PMO) : « Plusieurs membres du comité se sont également demandé ce qui arriverait aux individus s’ils refusaient de participer au monde Programme de réinitialisation de la dette, ou HealthPass, ou calendrier de vaccination, et la réponse que nous avons obtenue était très troublante. Voici la feuille de route du prochain Lockdown 2.0 et le plan mondial d’asservissement ».
  • Jane George : Inuit org silent as feds review sale of Nunavut gold mine to Chinese company. Nunatsiaq News, 13 August 2020. — Une société minière aurifère chinoise souhaite racheter TMAC Resources Inc., propriétaire du champ aurifère Hope Bay, situé à 150 km au sud-ouest de Cambridge Bay. Un examen par Investissement Canada est en cours.

♦ The Real Truth Network (Alternative Health and Healing).

NOTES :
  1. Sam Cooper : Inside the Chinese military attack on Nortel. Global News, August 25, 2020.
  2. Rachel Aiello : ‘A global challenge’: PM Trudeau commits $850 million to global fight against COVID-19. CTV News, May 4, 2020.
  3. Robert Fife, Alexandra Posadzki, Paul Waldie, Adrian Morrow : Canada is now the only Five Eyes member to not ban or restrict use of Huawei 5G equipment. The Globe and Mail, July 14, 2020.
  4. Mercedes Stephenson, James Armstrong & Amanda Connolly : Trump looking to put troops near Canadian border amid coronavirus fears. Global News, March 26, 2020.
  5. Cormac Macsweeney : Health experts call for shift in COVID strategy, say current track is ‘a fool’s errand’. 660 News, July 9, 2020.
  6. Amanda Connolly : Ontario Tory MPs pressed Sloan to apologize for questioning top doctor’s loyalties. Instead, he defended himself. Global News, April 29, 2020.
  7. Chrystia Freeland : « Plutocrats: The Rise of the New Global Super-Rich and the Fall of Everyone Else ». The Penguin Press, 2012.
  8. Kait Bolongaro : Justin Trudeau Plots Canada’s Sharpest Turn Left in Economic Policy in Decades. Bloomberg, 26 août 2020.
  9. Terry Glavin : Canada’s media is in thrall to China. Maclean’s, May 18, 2018.
  10. Vipal Monga : China’s Move to Buy Arctic Gold Mine Draws Fire in Canada. The Wall Street Journal, July 26, 2020.
  11. Felix Tam, Clare Jim : ‘One country, two systems’ can continue beyond 2047: Hong Kong leader. Reuters, January 16, 2020.
  12. Guy Boulianne : Révélations Choc — Le Parti communiste chinois déploie les troupes de l’Armée populaire de libération (APL) en Colombie-Britannique. Publié le 16 octobre 2020.



Le Général Flynn confirme le Coup d’État contre les peuples

[Source : Radio-Québec]

[Voir aussi : L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »]

https://twitter.com/GenFlynn/status/1322147673739272192
La lettre ouverte de Mgr Vigano, l’ancien nonce apostolique aux États-Unis, au président Trump met en garde contre un complot de «grande réinitialisation» pour détruire l’humanité.
«Il n’est pas surprenant que l’ennemi soit en colère d’être découvert… non dérangé».
Lisez sa lettre ici: https://bardsofwarfilm.com/open-letter/

[NdNM : Flynn cite le passage traduit comme suit dans l’article L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset » : «Il n’est pas surprenant que l’ennemi se sente découvert au moment même où il croit avoir atteint sans être dérangé la citadelle à conquérir»]




Soros, Gates, Covid-19 : la répression commence ! Entretien avec Pierre-Antoine Plaquevent

[Sources : Strategika et Médias-Presse.Info]

Pierre-Antoine Plaquevent, observateur attentif du rôle de différents milliardaires mondialistes dans l’évolution géopolitique des différents continents, fait le point pour MPI TV sur l’actualité de George Soros, Bill Gates et de leurs fondations respectives dans le contexte de l’épidémie de Covid-19 qui sert parfaitement la mise en place d’un système totalitaire mondial.

La répression commence en différents endroits de l’Europe…

Parmi les thématiques abordées :

  • L’enrichissement colossal des milliardaires globalistes pendant le confinement.
  • La répartition des domaines d’influence métapolitique au sein de la gouvernance mondiale entre milliardaires (Soros, Gates, Buffet etc).
  • L’affrontement global entre paléo-capitalisme (personnifié par Trump) et néo-capitalisme (Gates, Soros, Buffet, Bézos etc).
  • Les objectifs et les buts de l’opération Covid : vaccination de masse, reset économique, passage à la digitalisation totale, télé-travail généralisé, robotisation, salaire universel, décroissance démographique etc..
  • Répression des nationalistes-révolutionnaires à la faveur de l’état d’urgence sanitaire : Ryssen, Soral, Aube dorée etc..
  • Contours du paysage politique de l’avenir après répression des nationalistes-révolutionnaires : globalistes vs néo-conservateurs.
  • Récupération et utilisation du Covid par les différents léviathans nationaux.
  • France : l’état d’exception permanent depuis 2015. Utilisation des menaces terroriste et sanitaire pour soumettre la population majoritaire malgré la déréliction de l’État que génère la soumission de nos politiques à l’agenda globaliste. Le séparatisme vient d’abord d’en-haut. Passage du politique à la cybernétique et à l’ingénierie sociale pure.
  • République actuelle = GOG – Gouvernement d’Occupation Globaliste.
  • Cause réelle de la crise globale actuelle : USA de Trump se découplent de la gouvernance globale.
  • L’affrontement interne au sein de la gouvernance globale entre judéo-protestantisme pro-vie et globalitarisme trans / post-humaniste.
  • USA vs gouvernance globale + Chine.
  • USA : les démocrates accepteraient-ils de perdre les élections ? Le “Transition Integrity Project” démontre que non.
  • Gouvernance globale et guerre civile planétaire.
https://youtu.be/A2UxVfYVRWw



Le FBI a-t-il réellement classé « Qanon » comme une menace terroriste?

[Source : QanonFR]

Les médias de masse ne cessent de rapporter que le FBI a déclaré que « Qanon est une « menace terroriste ».

Mais, comme pour le risque de mourir du covid quand tu as moins de 50%, dans 99.997% des cas, quand les médias parlent de Qanon, ils ont tort.

Il a fallu que ce soit un magazine pratiquement inconnu qui fasse le travail de journalisme. CELEB a contacté le FBI pour en avoir le coeur net. Et la réponse est NON.

Voici ce qu’ils ont à dire sur le sujet.

EXCLUSIF: Malgré les rapports, le FBI ne qualifie pas le groupe QAnon de « menace terroriste ».

Après que le porte-parole de Joe Biden, Andrew Bates, ait affirmé que le FBI avait identifié le mouvement QAnon comme une « menace terroriste intérieure », presque tous les médias se sont empressés de publier des titres tels que « Trump fait l’éloge de QAnon, que le FBI qualifie de menace terroriste », mais contrairement au reste des médias, CELEB a contacté le FBI pour savoir ce qu’il avait à dire sur la déclaration de la campagne de Joe Biden.

Lorsqu’on lui a demandé spécifiquement si QAnon était effectivement une menace terroriste, le bureau de presse national du FBI a fait part de cette déclaration à CELEB :

Le FBI ne désigne pas et ne peut pas désigner les groupes terroristes nationaux. Le FBI ne peut jamais lancer une enquête basée uniquement sur la race, l’ethnicité, l’origine nationale, la religion ou l’exercice des droits du Premier Amendement d’un individu. En ce qui concerne le terrorisme national, nos enquêtes se concentrent uniquement sur les activités criminelles d’individus – indépendamment de leur appartenance à un groupe – qui semblent avoir pour but d’intimider ou de contraindre la population civile ou d’influencer la politique du gouvernement par l’intimidation ou la contrainte. Il est important de noter que l’appartenance à des groupes qui épousent une idéologie extrémiste nationale n’est pas illégale en soi, même si leurs opinions peuvent être offensantes pour la majorité de la société. L’appartenance à un groupe ne constitue pas une base suffisante pour une enquête.

Bates avait déclaré que le président Trump « cherchait simplement à légitimer une théorie de conspiration que le FBI a identifiée comme une menace de terrorisme domestique » après que Trump ait reconnu et louangé le groupe lors d’une conférence de presse à la Maison Blanche la semaine dernière.

« J’ai entendu dire que ce sont des gens qui aiment notre pays », a déclaré M. Trump. « Donc je n’en sais pas vraiment plus qu’ils sont censés m’aimer. » Quand un journaliste a évoqué la façon dont les partisans de Q croient qu’il essaie de mettre fin à un culte satanique de pédophiles, Trump a répondu: « C’est censé être une mauvaise chose? »

Depuis lors, QAnon a dominé les grands titres des médias.

Dans une interview exclusive accordée hier à l’un des principaux partisans du mouvement, Liz Crokin a expliqué que « Q est une opération de renseignement militaire. L’objectif de Q est de réveiller le public sur l’activité criminelle dans laquelle la cabale est impliquée ».

La « conspiration » est souvent tournée en dérision dans les médias, même si Q publie des informations telles que l’allusion à l’arrestation de Jeffrey Epstein avant qu’elle n’ait lieu.

« En fin de compte, pour les besoins de l’argumentation, en quoi Q est-il une mauvaise chose. Q encourage les gens à faire leurs propres recherches et à penser par eux-mêmes », a déclaré Liz Crokin. « Q expose certains des plus grands trafiquants de la planète, alors même si Q est faux ou ne s’avère pas être Trump ou un renseignement militaire, en quoi est-il mauvais? C’est unir les gens pour qu’ils se lèvent et dénoncent les prédateurs d’enfants. Ce n’est pas une mauvaise chose! »

Le secrétaire par intérim du Département de la sécurité intérieure, Chad Wolf, a déclaré dimanche à CNN que les Anonymes ne constituaient pas une menace importante. « Je regarde toutes les menaces auxquelles la patrie est confrontée, celle-ci n’atteint pas un niveau significatif », a-t-il déclaré, bien qu’il ait ensuite condamné la communauté Q.

Lorsque le présentateur de CNN Jake Tapper a évoqué le fait que le FBI avait soi-disant étiqueté le groupe comme une menace terroriste intérieure (avant qu’il ne reçoive notre mémo), Wolf a répondu: « Je n’ai aucune raison de croire autre chose que ce que le FBI dit », a-t-il dit.

Faux.

En fait, très peu d’articles ont cité une preuve quelconque, mais le Chicago Tribune a établi un lien avec un article de Yahoo News ! sur le téléchargement d’un bulletin du FBI de mai 2019 du bureau local de Phoenix, qui mentionne principalement des individus spécifiques qui ont été une menace. De toute évidence, le bulletin était grandement exagéré et c’est essentiellement ainsi que les fausses nouvelles ont commencé.

Après un courriel de suivi adressé au FBI demandant la légitimité du bulletin de l’année dernière au bureau local de Phoenix, le FBI a fait part à CELEB d’une autre déclaration disant essentiellement que les bureaux locaux du FBI partagent parfois des informations, mais sans mentionner la confirmation d’une menace:

« Bien que notre pratique habituelle soit de ne pas commenter des produits de renseignement spécifiques, les bureaux locaux du FBI partagent régulièrement des informations avec leurs partenaires locaux des services de police afin d’aider à protéger les communautés qu’ils servent. Ces produits sont destinés à être de nature informative, et en tant que tels, ils contiennent des mises en garde appropriées pour décrire la confiance dans la source d’information et la probabilité de l’évaluation. En outre, lorsqu’ils sont rédigés au niveau local, ces produits noteront que la perspective offerte peut être limitée au domaine de responsabilité du bureau local. »

Nous ne savons pas pourquoi le reste des médias n’ont pas confirmé les déclarations de l’équipe Biden auprès du FBI, mais bon, nous faisons simplement notre travail.

Vous enverrez cet article aux « journalistes » quand il diront que « Q » est une menace terroriste.




Bill Gates appelle les chefs religieux à manipuler leurs paroissiens pour qu’ils se fassent vacciner contre le coronavirus

[Source : MirastNews]

Parce que moins de la moitié de la population des Etats-Unis d’Amérique envisage de se faire vacciner contre la COVID-19, même avec une prime en espèces de 100 $, l’eugéniste milliardaire Bill Gates appelle désespérément les pro-vaxxeurs au pouvoir à trouver de nouvelles façons de manipuler les gens pour qu’ils soient piqués, y compris à l’église.

Image: Bill Gates calls on religious leaders to manipulate their parishioners into getting vaccinated for coronavirus

Ayant déjà eu du succès au Nigéria en utilisant des chefs religieux pour tromper leurs fidèles paroissiens en se faisant piéger, Gates veut amener les mêmes campagnes de propagande ici aux États-Unis d’Amérique. Les pasteurs, les prêtres et les révérends pourraient être utilisés pour proclamer depuis la chaire que les vaccins COVID-19 sont sûrs et efficaces, conduisant à une plus grande conformité des vaccins.

Lors d’une récente interview avec le Conseil des PDG du Wall Street Journal, Gates a menacé que les «pays riches» comme les États-Unis d’Amérique pourraient revenir à la normale d’ici la fin de 2021 si seulement les gens acceptaient de se faire vacciner. Pour y arriver, Gates espère que les pro-vaxxers pourront envahir avec succès les «réseaux de confiance» des gens et les convaincre que les vaccins COVID-19 sont le remède à sa plandémie – [, étant donné que leur entreprise étant mauvaise, ils se sont arrangés de capter tous les médias mainstream, y compris les réseaux sociaux pour empêcher que la vérité sur les vaccins et l’origine du coronavirus transparaisse – MIRASTNEWS].

«L’hésitation à l’égard des vaccins est présente dans tous les pays et est antérieure à la pandémie», a gémi Gates pendant le segment, tout en poussant les responsables de la santé à commencer activement à «réfléchir aux voix qui aideront à réduire l’hésitation afin que nous puissions obtenir un niveau de vaccination qui a vraiment une chance d’arrêter» la plandémie.

Bill Gates veut que les entreprises de médias sociaux censurent le scepticisme concernant COVID-19

Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), a exprimé des sentiments similaires en juin. Fauci a annoncé ouvertement que le gouvernement, en utilisant l’argent des contribuables, a déjà mis en place un plan pour que «les gens [Américains hésitants à la vaccination] puissent s’identifier dans la communauté – des personnalités du sport, des héros communautaires, des gens qu’ils admirent» répandent l’évangile pro-vaccin.

C’est un début, mais Gates souhaite que les campagnes de relations publiques passent à la vitesse supérieure, et bientôt, afin de sauver le plus possible de la plandémie. Alors que beaucoup de gens se rendent compte que tout est exagéré, c’est le moins qu’on puisse dire, Gates se rend compte que la fenêtre d’opportunité se referme sur lui.

Gates est particulièrement contrarié par le fait que les gens apprennent la vérité sur lui en ligne – bien que, pour Gates, la vérité ne soit que des «théories du complot» qui doivent être «démystifiées» par les mêmes personnes qui poussent à la vaccination de masse contre le COVID-19.

Il y a «des choses très excitantes» qui se répandent en ligne, selon Gates, qui jettent une clé majeure dans son agenda. Beaucoup sont convaincus que «quelqu’un a intentionnellement créé ce virus, ou qu’il y a une conspiration» entourant sa propagation, déplore Gates.

Pire encore, ces «théories du complot» se répandent «tellement plus vite que la vérité, c’est-à-dire qu’elles proviennent d’une chauve-souris», soutient Gates.

Gates espère que les plateformes de médias sociaux comme Facebook et Twitter «ralentiront ou annoteront les choses qui causent réellement d’énormes dégâts, comme ne pas porter de masques ou ne pas vouloir prendre le vaccin si cela prouve que c’est cet outil clé pour revenir à la normale.»

En d’autres termes, tout scepticisme concernant le coronavirus ou les «remèdes» prescrits pour le tenir à distance doit être étouffé dans l’environnement en ligne si le récit de Bill Gates a une chance de survivre à tous les examens.

Le président Trump fait également partie du problème, dit Gates, car il a retiré des fonds des Etats-Unis d’Amérique de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Cela signifie que le nouveau principal bailleur de fonds de l’OMS n’est autre que Gates lui-même.

«Nous ne savons toujours pas si ces vaccins réussiront», a admis à contrecœur Gates, ajoutant que s’ils le faisaient, «je doute que beaucoup de vaccins russes ou chinois sortent de ces pays.»

Les sources de cet article incluent:

Traduction : MIRASTNEWS

Source : Natural News




La Chambre des Représentants condamne QAnon et ordonne aux Américains d’obtenir des nouvelles de « sources certifiées » – Mise à jour 08/10/2020

[Source : Aube digitale]

La Chambre des représentants américaine a approuvé vendredi une résolution condamnant le mouvement QAnon, le qualifiant de « théorie du complot sans fondement » et demandant aux Américains de chercher des informations auprès de « sources certifiées ».

La résolution exhorte « tous les Américains, quelles que soient nos croyances ou notre affiliation partisane, à rechercher des informations auprès de sources certifiées et à s’engager dans le débat politique à partir d’une base factuelle commune ».

La présidente de la Chambre, Nancy Pelosi, a salué l’adoption de la résolution par la Chambre, affirmant que QAnon « représente un danger clair et immédiat pour notre pays : il érode la confiance dans les institutions démocratiques, rejette la notion même de réalité objective, alimente la division et conduit même directement à la violence ».

Dix-sept républicains se sont opposés à la résolution, ainsi que le représentant libertarien Justin Amash.

QAnon est une « illusion collective », a déclaré le président du règlement de la Chambre Jim McGovern, Démocrate-Massachussetts, « Nous devons tous l’appeler par son nom : une secte malade ».

La résolution anti QAnon a été parrainée par le député Tom Malinowski, un démocrate qui se présente aux élections dans le New Jersey, et qui a été accusé par la campagne officielle des républicains de la Chambre des représentants de faire du lobbying pour le compte des prédateurs sexuels.

Rapport de NPR : Malinowski a déclaré à BuzzFeed que ces attaques ont fait de lui la cible de menaces de mort de la part des adeptes de QAnon, car un des principes centraux de la conspiration implique des réseaux mondiaux de trafic sexuel. « Je pense qu’ils savaient exactement ce qu’ils faisaient. Ils savaient qu’ils jouaient avec le feu », a-t-il dit.

L’opération de campagne du Parti Républicain de la Chambre n’a pas cédé à l’attaque, disant que Malinowski « doit vivre avec les conséquences de ses actes », et l’opération de campagne continue d’attaquer d’autres démocrates en place pour leur relation avec Malinowski sur la base de cette affirmation non fondée.

Les adeptes des QAnon ont connu une croissance exponentielle au cours des trois dernières années, popularisée dans les cercles politiques conservateurs en ligne parce qu’une grande partie des théories du complot de QAnon se concentre sur les démocrates éminents comme source de corruption et d’activités criminelles profondément enracinées, et que le président Trump est le héros caché qui tente de tout dévoiler.

Trump a alimenté le mouvement en retweetant des comptes de QAnon et en parlant favorablement de ses adhérents, mais la résolution n’a pas nommé le président.

Le mouvement s’est également rapproché de la politique élective. Le groupe de pression libéral Media Matters for America a suivi 81 candidats au Congrès, dont 24 se sont qualifiés pour figurer sur le bulletin de vote en 2020, qui ont explicitement soutenu ou promu les opinions des adeptes de QAnon. Parmi ces candidats, 22 sont républicains, et la plupart sont des outsiders qui n’ont que peu ou pas de chance de l’emporter en novembre.

Cependant, au moins une sympathisante des QAnon devrait siéger au prochain Congrès. La républicaine géorgienne Marjorie Taylor Greene est favorite pour remporter la 14e circonscription du Congrès, très conservatrice. Elle a adopté les points de vue de QAnon sur les médias sociaux et en vidéo, et Trump l’a soutenue lors de sa campagne.


[Voir aussi, pour un complément d’information : Censure ou Sécurité nationale? La Chambre des représentants des États-Unis condamne QAnon et rejete les théories du complot qu’il promeut]




Pourquoi les censeurs détestent Assange, par Richard Black

[Source : Les Crises]

Pourquoi les censeurs détestent Assange, par Richard Black

Article initialement publié le 4 août 2018

Par le sénateur Richard Black
Paru sur Antiwar.com sous le titre Why the Censors Hate Assange


En tant qu’officier militaire,
j’ai été formé pour observer strictement les protocoles de sécurité.
Ainsi, lorsque j’ai entendu parler de WikiLeaks et Julian Assange pour
la première fois, j’étais instinctivement critique. Mais en lisant les
documents qu’il a publiés, j’ai vu comment Julian a donné aux gens un
aperçu précis des rouages internes de leur propre gouvernement.

Le gouvernement « du peuple » ne peut pas s’épanouir sous le voile étouffant du secret. Et le secret vise souvent non pas à nous protéger de nos ennemis à l’étranger, mais à nous tromper sur les sombres machinations de notre propre gouvernement. Les secrets les plus importants sont ceux qui servent à dissimuler les mesures prises pour établir des motifs pour des guerres futures — des conflits injustifiés qui semblent sortir d’une chaîne de montage sans fin. Les « no fly-zones » , les bombardements, les sanctions, les faux drapeaux, les blocus, les mercenaires, les terroristes assoiffés de sang sont tous devenus banals. Les sanctions déstabilisent les pays-cibles à travers la faim et la souffrance. Nous terrorisons et semons des parties de corps humains dans les rues en tant que cartes de visite. Les changements de régime son un jeu ; les coups d’État et les assassinats sont des pratiques quotidiennes.

Avant Assange, ceux qui ne jouaient pas le jeu et détectaient les
schémas d’inconduite de l’Etat profond étaient catalogués « théoriciens
du complot » ou pire. Mais avec l’avènement de WikiLeaks, des documents
originaux et incontestés ont prouvé la véracité de nos arguments et
révélé la vérité aux citoyens du monde entier.

L’élection de Trump a envoyé de violentes ondes de choc dans l’État
profond. Les gens avaient été avertis qu’ils ne devaient pas élire cette
personne – mais ils ont ignoré les instructions. Cela ne devait pas se
produire — et ne doit pas se reproduire. Le peuple a démontré que les
médias grand public ont perdu le contrôle du débat national. Des
renseignements secrets étaient révélés et partagés. Des générations de
censure se sont effondrées sous l’assaut de communications non censurées
entre familles, amis et groupes d’intérêts. Les médias sociaux — un
nouveau paradigme effrayant – ont remis en question l’emprise de l’élite
sur les leviers du pouvoir. Après l’élection imprévue de Trump, le rétablissement des obstacles à la liberté d’expression et de communication est devenu un impératif mondial.

Aujourd’hui, nous assistons à des efforts intenses et
coordonnés pour réimposer un contrôle efficace de l’information en
Amérique et dans le monde entier.
Facebook, Twitter, Google,
YouTube, PayPal et d’autres titans de la high-tech s’empressent
d’embaucher des censeurs et d’adopter des politiques restrictives qui
empêchent les voix controversées de toucher un public mondial. Big
Brother est de retour.

Julian Assange et WikiLeaks font partie des cibles privilégiées des
censeurs. Ils ont perturbé la censure des grands médias. L’assassinat
d’Assange n’est pas exclu. Eh oui, il est aussi important que ça.

Je sais que Julian Assange est controversé, mais je serais heureux
qu’une nation courageuse lui accorde un asile permanent. Qu’il continue
de donner aux citoyens un aperçu honnête du fonctionnement interne de
leur gouvernement. Cela semble être notre meilleur espoir de paix.

Le sénateur Richard H. Black (Parti républicain) représente le
13e district de Virginie. Il est colonel de l’armée américaine (à la
retraite) ; ancien chef de la Division du droit pénal, Bureau du
Juge-avocat général du Pentagone ; associé des VIPS, Veteran
Intelligence Professionals for Sanity. Son site Web.

Traduction Entelekheia




Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?

[Source : Nexus]

Alors que l’épidémie de coronavirus a paralysé presque toute la planète, certains médias relaient que le vaccin est la seule solution pour une sortie définitive du confinement. Plus que quiconque, celui qui agite aujourd’hui ce spectre n’est autre que Bill Gates. Il a adopté, avec sa Fondation Bill & Melinda Gates, une position claire et déterminée, allant jusqu’à annoncer vouloir vacciner 7 milliards de personnes contre le SarsCoV2. Il me semble nécessaire de m’interroger sur le rôle précis que joue ce magnat sur le destin du monde.

Bill Gates, Bill Gates, Bill Gates : ce nom que l’on voit et que l’on entend désormais partout. Mais qui est cet homme ? A-t-il joué un rôle stratégique dans la mise en place des mesures sanitaires, sécuritaires et technologiques en cours et à venir ? Est-ce l’occasion épidémique qui en fait un larron économique ? Est-il un homme profondément philanthrope ? Quelles sont ses véritables intentions quand il décide d’investir 40 milliards de dollars de sa Fondation pour lutter contre le SARSCoV2 ? Quand il dit vouloir trouver un traitement efficace à 95 % ou vacciner à titre préventif 7 milliards de personnes en bonne santé, tout en précisant que le vaccin est pour lui la solution à mettre en tête de liste, est-ce avant tout pour la protection de notre santé ? Et s’il y avait un ou plusieurs traitements efficaces déjà existants ou à venir, peu onéreux, les défendrait-il ?

Avec la manne d’informations disponibles à son sujet, difficile de savoir qui est Bill Gates.

◆ Gates, un homme au double visage

Certains l’encensent, et le présentent comme un généreux donateur qui veut sauver la planète. À une soirée, j’entends même dire : « Tu te rends compte, il finance même des toilettes sèches dans des zones arides et pauvres du monde, pour empêcher la propagation des bactéries et faire baisser le taux de mortalité infantile ! » Ingénieux. D’autres le voient comme un dictateur qui veut imposer sa vision du monde, dont la vaccination obligatoire et universelle. J’apprends qu’une pétition dont le nombre de signatures explose circule actuellement aux États-Unis et qu’elle réclame une enquête contre la fondation Bill & Melinda Gates pour faute médicale et crimes contre l’humanité. En ce moment même, elle a recueilli plus de 557 000 signatures, alors que 100 000 suffisent pour que le gouvernement américain la prenne en compte.



◆ Bill Gates et le nouveau philantro-capitalisme

Le journaliste Lionel Astruc offre des pistes de réponses dans son livre « L’Art de la fausse générosité » (Actes Sud, 2019 ), ainsi que dans cette interview accordée au Média, sur le profil psychologique de Bill Gates et sur ses agissements philantro-capitalistes :
« Je crois Bill Gates sincère dans sa démarche, ce qui est peut-être le plus grave constat, parce qu’il ira jusqu’au bout.[…] C’est quelqu’un qui a réussi à devenir le Maître du Monde si j’ose dire, grâce à la technologie. […] C’est pour ça qu’il aime les vaccins, les téléphones, l’informatique, et pour lui, la solution, elle est là. […] Entre 2011 et 2019, la fortune de Bill Gates est passée de 56 à 96 milliards d’euros. On ne peut pas dire qu’il est en train de se dépouiller au profit des pauvres. […] À la fondation est adossé un fond d’investissement, et ce fond d’investissement place de l’argent. Et ce ne sont que les dividendes de ces placements qui vont ensuite alimenter la fondation. Ça à la limite, ça ne pose pas de problème si les investissements sont vraiment irréprochables, ou si les investissements contribuent eux-mêmes à ce qu’on appelle l’économie sociale et solidaire. Mais là, il investit dans l’armement, dans les énergies fossiles, les laboratoires pharmaceutiques, les OGM, et la malbouffe avec Coca-Cola, McDo. […] Souvent, on constate que les entreprises qui reçoivent les investissements de la fondation font également partie des bénéficiaires. Donc il ya un vrai problème : on donne de l’argent à une entreprise qui va vous en rapporter, ce n’est pas ce que j’appelle vraiment de la générosité.[…] Lorsque la fondation choisit des programmes à financer, elle préfère financer des programmes qui vont susciter la création de marchés, plutôt que d’autres qui vont autonomiser les gens qui ont des problèmes. En l’occurrence, on le voit à chaque fois qu’il y a deux solutions à savoir : un remède naturel fabriqué localement par les populations locales et un vaccin qui va être revendu par un grand laboratoire venu de l’extérieur ».

La technoscience sous couvert de philanthropie serait-elle la stratégie de Bill Gates ? 

J’apprends en plus qu’il a été poursuivi en 1998 pour abus de position dominante par le gouvernement américain. Bill Gates va vraiment très loin dans l’aspect sauvage du capitalisme.

◆ Bill Gates et ses recherches technologiques

Souvent on me rapporte que Bill Gates est en avance sur son temps. On me vante ses dernières trouvailles : « Tu as vu que la Fondation Gates finance des recherches sur un carnet de vaccination sous-cutané avec des nanoparticules fluorescentes à injecter en même temps que les vaccins ? »
Oui, j’ai vu ça, mais aussi que ça va sûrement être « testé sur les êtres humains en Afrique dans les deux prochaines années. La Fondation a même lancé des enquêtes d’opinion au Kenya, au Malawi et au Bangladesh pour évaluer le niveau d’acceptabilité des populations. »
Effrayant, mais vrai. Même si dans certains cas, avoir accès rapidement à certaines informations pourrait sauver des vies. En cas d’hémorragie, par exemple, connaître le groupe sanguin pourrait s’avérer utile pour une transfusion rapide, mais est-ce que nous tatouer, nous pucer, nous « nanoparticuler » ne sera pas détourné à d’autres fins ? Et sera-t-on obligés d’être tous vaccinés ? Si on refusait cet acte intrusif, que risquerions-nous ? De ne pas pouvoir voyager ? De se voir refuser l’entrée dans les lieux publics ? De se voir réduire ou supprimer nos droits sociaux et fiscaux comme cela se fait déjà dans certains pays comme en Australie ? Ou interdire l’accès à la crèche, à l’école ou toute collectivité publique comme c’est déjà le cas en France pour les enfants nés après le 1er janvier 2018 qui n’ont pas eu les 11 vaccins obligatoires ?

Exemple de marquage : un motif de micro-aiguilles de 1,5 millimètre contenant le vaccin et des points quantiques fluorescent est appliqué sous forme de patch. Les aiguilles se dissolvent sous la peau laissant les points quantiques encapsulés.  (Crédit : Second Bay Studios)

J’avoue que je m’inquiète quand je vois Jacques Attali dire, déjà en 2008, au sujet de la puce RFID[1] dans Conversation d’avenir (sur Public Sénat) que l’on « peut imaginer que chaque individu accepte volontairement, ou sans le savoir, une puce en lui qui contiendrait toute une série d’informations sur lui […] Le vrai luxe de demain, ce sera d’être isolable, de pouvoir s’isoler, et la vraie liberté, ce ne sera pas d’être relié aux autres, mais d’avoir le droit de ne pas être branché.»

Alors, Jacques inspire-t-il Bill, ou Bill inspire-t-il Jacques ?

Et y a-t-il un lien entre les actions de Bill Gates contre l’épidémie et le projet mondial d’identité numérique généralisée ID2020, soutenu entre autres par Microsoft, la Banque Mondiale, la Fondation Rockfeller, ou Accenture ? Pas de test ?  Pas de vaccin ? Contrôle d’identité, et… pas de liberté ?

sponsors de l’ID2020

◆ Bill Gates et son pouvoir sur l’OMS

Depuis que Trump a décidé d’arrêter les subventions américaines, c’est la Fondation Gates qui est devenue le premier donateur de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). On peut légitimement se demander quel pouvoir ça lui donne sur cette institution. Dans une vidéo de Fox News, une réponse à cette question s’impose : «  un dollar sur 10 versé à l’Organisation mondiale de la santé vient de la Fondation Bill Gates […] En 2017, Politico l’a appelé le « Docteur de l’OMS », car il avait tant d’influence que lorsqu’il voulait qu’une réglementation soit accélérée, les bureaucrates de l’OMS cédaient souvent à ses désirs. […] 395 subventions pour un total de 3,6 milliards de dollars à l’OMS  […]  Il semblerait que Gates a la mainmise sur presque tout ce qui touche aux pandémies. À de nombreuses reprises, il voulait que l’OMS déclare le coronavirus en tant que pandémie, et l’OMS ne voulait pas le faire. Alors, Bill Gates, par l’entremise de sa fondation, a annoncé injecter 50 millions $ dans une initiative appelée «L’accélérateur thérapeutique Covid-19 » [the Covid-19 Therapeutics Accelerator] destinée à combattre le coronavirus et à trouver un vaccin. Beaucoup de cet argent est allé à l’OMS. Un seul jour après cette annonce, le secrétaire général de l’OMS a déclaré que le coronavirus était une pandémie.»

Il y de quoi être bouche bée.

Et la directrice de YouTube commence déjà à censurer toutes les vidéos qui « vont à l’encontre des recommandations de l’OMS ». Elle a déclaré que YouTube « supprimerait les informations qui posent problème, y compris tout ce qui est médicalement non fondé ». Par exemple, des vidéos qui parlent de Vitamine C comme remède contre le Covid-19 ? La suppression, le déréférencement et la démonétisation de contenus ont déjà commencé avec les vidéos reliant 5G et coronavirus.

Mais nous ne sommes pas au bout de nos surprises.

◆ Bill Gates et la simulation de pandémie pendant l’Event 201

Sa fondation a organisé une simulation de pandémie de coronavirus en octobre 2019, juste avant les premiers cas apparus en Chine. Même si c’était autour d’un épisode fictif se déroulant au Brésil et provenant d’une porcherie, on peut trouver que c’est une étrange coïncidence.

Simulation Event201

◆ Bill Gates et les médias

Puis, on peut lire que le journal Le Monde a été financé à hauteur de plus de 4 millions $ de 2014 à 2019. Est-il possible pour les journalistes de ce média d’être encore libres de dire ce qu’ils veulent sur les vaccins et est-ce pour cette raison qu’ils semblent les défendre à ce point ?

◆ Bill Gates et l’éducation post-confinement

Après la santé, l’éducation. La fondation Gates est rémunérée par l’État de New York « dans le domaine de l’éducation, pour travailler avec les responsables de l’éducation de l’État afin de repenser le système K-12 lorsque les écoles rouvriront à l’automne. » Le Système K12 étant l’ensemble de la formation scolaire obligatoire, je réalise que Bill a envahi aussi la sphère éducative. Cette information est-elle la cerise sur le gâteau ? Non, malheureusement.

◆ Bill Gates, Windows et le traçage de nos données de santé

En guise de dessert, on me conseille de visionner cette vidéo faite avec le Dr Karim Khelfaoui qui nous alerte sur le fait qu’on demande actuellement aux médecins, contre quelques euros, de violer le secret médical en faisant « remonter tous les cas positifs au COVID 19 […] en recensant tous les proches qui vivent avec eux, avec leurs coordonnées et leurs adresses pour les faire remonter auprès de l’assurance maladie, afin qu’ils leur envoient une brigade sanitaire ». Ces informations seront transférées sans notre consentement à « la plateforme nationale qui centralise les données de santé des Français » qui s’appelle le Health Data Hub, hébergée sur les serveurs… du géant américain Microsoft ! Lequel a été choisi sans appel d’offres ! Rappelons que Microsoft a été fondé par Gates en 1975 et l’a présidé jusqu’en 2014, avant de faire partie de son conseil d’administration jusqu’en mars 2020. Le journal Libération a beau expliquer que « cela ne signifie pas forcément que la firme américaine aura la main sur ces données », le doute est néanmoins permis et légitime. La Commission nationale de l’informatique et des Libertés (CNIL), elle-même, censée assurer la sécurité de ces données, même si elle promet d’être vigilante, relève que le contrat « mentionne l’existence de transferts de données en dehors de l’Union européenne » et que « la législation américaine permet aux autorités de contraindre les entreprises à leur fournir leurs données […] à des fins de sécurité nationale ». Elle rappelle que cette question fait d’ailleurs l’objet actuellement d’une procédure « soumises à la Cour de justice de l’Union européenne » et qu’« un arrêt de la Cour dans cette affaire est attendu dans les mois qui viennent ».

En plus de l’appli Stopcovid, les médecins vont être sur le coup aussi !
Dur, dur de ne pas faire de liens entre tous ces faits. Et de ne pas se poser davantage de questions…

◆ Bill Gates et son réseau d’influence

Je m’interroge beaucoup sur les objectifs des gens qui s’organisent autour de lui à une échelle internationale.  Macron, le 24 avril disait pendant une conférence de lancement pour une initiative mondiale sur les diagnostics, les traitements et les vaccins : « Aujourd’hui, la communauté internationale, réunie sous l’égide des Nations-Unies et de son agence qui est l’Organisation mondiale de la santé avec l’ensemble des acteurs de la santé mondiale, les organisations régionales, la société civile, décident d’agir concrètement et d’unir ses forces dans un partenariat inédit pour plus d’efficacité. Avoir autour de la table à la fois l’OMS qui en assurera la coordination, mais GAVI, CEPI le Fonds Mondial, United, Wellcome trust, la Banque Mondiale, la Fondation Bill & Melinda Gates, les acteurs du secteur privé pharmaceutiques, les chefs d’état et de gouvernement ici rassemblés est inédit. » Et pour ce qui concerne les vaccins : « C‘est ce qui nous permettra de retrouver le plus vite possible une vie normale ». Mais combien, parmi les alliés de Bill Gates, ont été financés ou ont un lien avec sa fondation [2] ?

Mais attention, toute cette attention déployée autour de Bill Gates ne doit pas lui donner plus de pouvoir qu’il n’en a. Et ne braquons pas tous les projecteurs sur lui, pendant que beaucoup d’autres agissent dans l’ombre à notre détriment (dont Elon Musk avec ses implants cérébraux et ses 40 000 satellites en cours de déploiement : lire notre article), ou en notre faveur. Finalement, qui est-il pour pouvoir décider de notre sort collectif ? Quelle est sa légitimité pour que nous obéissions ? C’est à nous de dire non à ses projets. Bien qu’il soit immensément riche, il n’est ni roi, ni médecin, ni élu.

Par Estelle Brattesani


À propos de l’auteure

Estelle Brattesani écrit, réalise et interprète la websérie écolo-humoristique Journal d’une Femme-Tambour, qui comme son premier livre Mes 7 Alliés Capitaux incite les spectateurs à penser par eux-mêmes et à agir pour leur bien-être, celui des autres et de toute forme de vie. Elle réalise également des reportages et des vidéos de communication en lien avec l’éthique, l’écologie et le développement personnel. (Cf. Profil LinkedIn et sa chaîne YouTube)

[1] RFID (de l’anglais radio frequency identification), ou radio-identification, est un outil de mémorisation et de récupération de données à distance, qui utilise des marqueurs appelés « radio-étiquettes » (« RFID tag » ou « RFID transponder » en anglais). Ces radio-étiquettes, qui peuvent être adhésives ou  implantées dans des organismes vivants comprennent une antenne associée à une puce électronique qui leur permet de recevoir et de répondre aux requêtes radio émises depuis l’émetteur-récepteur.

[2] Voir à ce propos l’article de Senta Depuydt, Vaccins un plan mondial, NEXUS n°121 (mars-avril 2019)


Sur le même thème


[Voir aussi : Qui est l’Antéchrist ?]




Information contrôlée : Bill Gates, Jeff Yates, le vaccin contre la COVID-19 et la «controversée hydroxychloroquine»

[Source : Le tribunal de l’infaux]

event 201
Logo de l’Événement 201 –
Exercice de pandémie mondiale

Première partie : L’information contrôlée

En bon soldat de la pensée unique, Jeff Yates ne perd jamais de temps avant de se porter à la défense de la vision de l’ordre établi que l’on se doit d’adopter de nos jours afin d’éviter, au pire, le dénigrement et/ou la censure, au mieux, le qualificatif « controversé ».

Le lendemain d’une conférence de presse tenue par des médecins préconisant l’hydroxychloroquine comme traitement contre la COVID-19, conférence censurée par YouTube, Facebook, Twitter et Google, le décrypteur s’est empressé de mettre le public en garde contre la vidéo de cette conférence qu’il qualifie de « controversée » car elle contredit l’ensemble des recommandations de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).

Jeff suit bien les directives données aux médias dans le tristement célèbre Event 201 (Événement 201), cette simulation de pandémie de coronavirus tenue le 18 octobre 2019 et financée par la Bloomberg School of Public Health de l’Université John Hopkins, le Forum économique mondial et la Fondation Bill & Melinda Gates (FBMG).

Le scénario de cette simulation se lit comme suit :

« L’Événement 201 simule une épidémie d’un nouveau coronavirus zoonotique transmis de la chauve-souris au porc et ensuite à l’homme, lequel finit par se transmettre efficacement d’une personne à l’autre, entraînant une grave pandémieL’agent pathogène et la maladie qu’il provoque sont largement inspirés du SRAS, mais il est plus transmissible dans le cadre communautaire par des personnes présentant des symptômes bénins […]

Un vaccin ne pourra pas être disponible la première année. Il existe un médicament antiviral fictif qui peut aider les malades mais qui ne limite pas de manière significative la propagation de la maladie […]

Et à mesure que les cas et les décès s’accumulent, les conséquences économiques et sociétales deviennent de plus en plus graves.

Le scénario se termine au bout de 18 mois, avec 65 millions de décès […] La pandémie se poursuivra à un certain rythme jusqu’à ce qu’un vaccin efficace soit disponible ou que 80 à 90 % de la population mondiale ait été exposée. » (C’est l’auteure qui souligne dans toutes les citations)

Trois mois plus tard, ce scénario devenait réalité, à quelques exceptions près.

Nostradamus aurait difficilement pu faire mieux.

L’Université John Hopkins a précisé à la suite de l’éclosion de SRAS-CoV-2 que cette simulation n’était pas une prédiction.

Si l’on ne peut que spéculer sur le caractère prémonitoire de la simulation, nous pouvons clairement voir à l’œuvre les recommandations qui en sont issues.

La simulation, qui « visait à éduquer les plus hauts dirigeants des gouvernements étasunien et internationaux et les leaders des industries mondiales », a donné naissance à une série de recommandations du John Hopkins Center for Health Security, du Forum économique mondial et de la Fondation Bill & Melinda Gates.

Parmi celles-ci, la lutte contre la « désinformation » :

« Les gouvernements et le secteur privé devraient accorder une plus grande priorité à la mise au point de méthodes de lutte contre la désinformation avant la prochaine intervention en cas de pandémieLes gouvernements devront s’associer aux entreprises de médias traditionnels et aux réseaux sociaux pour rechercher et développer des approches souples de lutte contre la désinformation. Il faudra pour cela développer la capacité à inonder les médias d’informations rapides, précises et cohérentes.

Les autorités de santé publique devraient travailler avec les employeurs privés et les leaders communautaires de confiance, tels que les chefs religieux, pour promulguer des informations factuelles aux employés et aux citoyens. Les employeurs du secteur privé influents et dignes de confiance devraient créer la capacité d’augmenter facilement et de manière fiable les messages publics, de gérer les rumeurs et la désinformation, et d’amplifier des informations crédibles pour soutenir les communications publiques d’urgence. Les agences nationales de santé publique devraient travailler en étroite collaboration avec l’OMS afin de créer la capacité d’élaborer et de diffuser rapidement des messages cohérents concernant la santé publique. Pour leur part, les entreprises médiatiques devraient s’engager à faire en sorte que les messages faisant autorité soient prioritaires et que les faux messages soient supprimés, y compris par l’utilisation de la technologie. »

Les gouvernements devront s’associer aux médias traditionnels et aux réseaux sociaux pour diffuser des messages « faisant autorité »?

Quand l’État est associé aux médias, on n’est plus en démocratie. Le rôle des médias est de servir de contre-pouvoir à l’État, pour protéger les citoyens des abus de pouvoir. Quand l’information est dictée par l’État, on est dans un État totalitaire. Et quand l’État reçoit l’information d’un organisme supranational, on est dans un monde totalitaire.

Dans la vidéo de la simulation (à 7:38), l’amiral Stephen C. Redd, directeur de l’Office of Public Health Preparedness and Response du Centers for Disease Control and Prevention (CDC), suggère que « les gouvernements doivent être disposés à faire des choses qui sont en dehors de leurs perspectives historiques » et que « l’on doit être sur un pied de guerre ».

On voit ensuite un extrait d’un reportage simulé indiquant que « les gouvernements réagissent différemment pour combattre la quantité impressionnante de désinformation qui circule, certains gouvernements ayant même procédé à une coupure limitée de l’internet pour éviter la panique ».

Dans la version intégrale du faux reportage, le faux expert Kevin McAleese explique :

« Identifier tous les mauvais acteurs s’avère être une tâche énorme et les experts s’entendent pour dire que les nouvelles campagnes de désinformation sont générées chaque jour et sont un grave problème qui nous empêchera de mettre un terme à la pandémie et pourrait même mener à la chute de certains gouvernements […] Si la solution constitue le contrôle et la réduction de l’accès à l’informationje crois qu’il s’agit du bon choix. »

Évidemment, l’autre fausse experte est d’accord. Elle insiste, avec un regard intense, que « souvent ce sont les leaders politiques eux-mêmes » qui disséminent la désinformation.

Comme Donald Trump qui fait la promotion de la « controversée hydroxychloroquine »? Quelle visionnaire cette fausse experte!

Tom Inglesby du John Hopkins Center for Health Security demande ensuite au panel : « À quel point l’information doit-elle être contrôlée et par qui? Et comment la fausse information peut-elle être remise en question? »

Cela donne le ton à la discussion qui suit. On ne donne pas le choix aux participants d’être pour ou contre le contrôle de l’information. On demande qui doit la contrôler et dans quelle mesure.

On le voit clairement dans les recommandations citées plus haut : advenant une crise sanitaire le contrôle de l’information et la censure s’imposent.

En ce moment, l’idée que l’hydroxychloroquine puisse être efficace comme traitement contre la COVID-19 est considérée comme de la désinformation parce que l’OMS a décidé qu’il ne s’agit pas d’un traitement efficace, bien que non seulement une foule d’études démontrent l’inverse, mais aussi une foule de médecins, données à l’appui, affirment le contraire, comme nous le verrons dans la quatrième partie de cette série d’articles.

event 201 misinformation

Les « faux messages » de ces médecins sont « supprimés, y compris par l’utilisation de la technologie ». Les géants de la haute technologie que sont YouTube, Facebook, Twitter et Google ont joué un rôle essentiel dans la censure des informations contredisant LE message « faisant autorité » sur tout ce qui touche le coronavirus : l’hydroxychloroquine est inefficace.

Nous verrons comment l’article de Jeff Yates nous démontre que Radio-Canada a bien appris sa leçon et participe activement à la diffusion de « messages faisant autorité », mais que ses « réponses rapides » à la soi-disant désinformation ne sont ni « précises », ni « cohérentes ».

La pandémie de coronavirus nous a précipités dans un monde totalitaire où les médecins n’ont plus le droit de parole, ni le droit de soigner leurs patients.

Pendant ce temps, Bill Gates, l’ingénieur en informatique recyclé en pusher de vaccins, est devenu une sommité de la science médicale et on le retrouve sur toutes les tribunes à nous répéter que le monde ne sera plus jamais pareil avant que la planète ne soit vaccinée.

Bill, qui a investi massivement dans les sociétés pharmaceutiques, se trouve non seulement au sommet de la pyramide totalitaire qui se met en place depuis janvier, mais il est de surcroît au cœur d’un système de financement, de recherche, de développement et de production de vaccins, et sa position au sein de l’OMS lui permet d’influencer les politiques de santé publique à travers le monde entier.

Nous ferons un long détour nécessaire pour bien comprendre le rôle de Bill Gates et les enjeux actuels, détour qui nous permettra de déboulonner l’article de Jeff Yates, plein d’omissions, de propagande et de demi-vérités, bref plein de désinformation.

combattre la désinformation

Et comme « la désinformation mine les efforts visant à contrôler la pandémie », nous la combattrons avec une armée de faits, en espérant que l’on ne nous coupe pas l’internet entre-temps.

Cet article est divisé en cinq parties qui seront publiées cette semaine :

  1. L’information contrôlée
  2. L’OMS, Bill Gates et les vaccins
  3. Dons de la Fondation Gates : des cadeaux empoisonnés pour les Indiens; Bill Gates : expert en santé publique
  4. Investir dans les vaccins, c’est payant; Attaques orchestrées contre l’hydroxychloroquine
  5. Jeff Yates : Décrypteur au service du public ou désinformateur au service de l’establishement?; Les grands médias se taisent ou dénigrent, les géants de la haute technologie censurent



Roger Waters (Pink Floyd) et l’ex-président Rafael Correa démontent l’emballement médiatique contre la démocratie vénézuélienne

[Source : Le Grand Soir]

Roger Waters (Pink Floyd) et l’ex-président Rafael Correa démontent l’emballement médiatique contre la démocratie vénézuélienne

Auteur : Thierry DERONNE

Ce 18 février Roger Waters, fondateur des Pink Floyd, a posté ce message vidéo urgent :

« Richard Branson veut organiser dans quelques jours un « Concert live » à la frontière de la Colombie avec le Venezuela « pour rassembler une aide humanitaire pour le peuple du Venezuela ». Je l’ai lu dans le Daily Mail et j’ai vu un vidéoclip de Branson avec son coeur saignant et son tee-shirt de Virgin. L’important à comprendre, si vous entendez ce truc comique, c’est que tout ça n’a rien à voir avec l’aide humanitaire. Cela regarde l’adhésion de Richard Branson (ce qui ne m’étonne pas de sa part) à la décision états-unienne de s’emparer du Venezuela. Tout cela n’a rien à voir avec les besoins du peuple du Venezuela. Ce concert n’a rien à voir avec la démocratie. Rien à voir avec la liberté. Rien à voir avec une « aide ». J’ai des amis à Caracas. Il n’y a pas de guerre civile, pas de violence, pas de meurtres, pas de dictature apparente, pas d’emprisonnement massif d’opposants, pas de suppression de la presse, non, rien de tout cela n’a lieu, même si c’est le storytelling qu’on vend au reste des Etats-Unis. Il faut s’éloigner de tout ça, et en particulier de Richard Branson. Et Peter Gabriel, mon ami, appele-moi. Car il est très facile d’être emené par le bout du nez vers un « changement de régime ». Voulons-nous vraiment que le Venezuela devienne un autre Irak ? Ou Syrie ? Ou Libye ? Pas moi. Le peuple vénézuélien non plus. »

C’est aussi l’avis de Rafael Correa, ex-président d’Equateur qui s’exprimait hier sur les ondes de la Radio-Télévision Publique Belge. Il y a démonté la vulgate médiatique de la « crise humanitaire », comme l’a déjà fait l’expert de l’ONU envoyé sur place, Alfred de Zayas, et a pointé la guerre économique contre le Venezuela. Il a rappellé que le président Maduro a été élu démocratiquement et accusé les Etats-Unis de manipulation. « Quel plus grand attentat contre les droits de l’Homme que le blocus de la part des Etats-Unis ? Qui peut croire que Donald Trump défend les droits de l’Homme ? « .

Notons le rôle des « questions » des journalistes dans ce type d’interviews : recycler le « sens commun » qu’ils ont eux-mêmes sédimenté depuis des années. Dans ce cas, répéter que le gouvernement élu du Venezuela est un « régime » et que celui-ci « bloque l’aide humanitaire » (1). Ce qui contribue à neutraliser l’opinion et à justifier une intervention ou un coup d’Etat contre une démocratie électorale et participative.

Face à l’arrivée en Colombie de militaires états-uniens et du sénateur Marco Rubio dans le cadre de l’ »aide humanitaire », l’ex-candidat présidentiel Gustavo Petro s’est exprimé via son compte twitter : « Bien que nos médias n’aiment pas le dire, le sénateur Rubio est l’expression des secteurs les plus rétrogrades de la politique états-unienne et a aidé à construire une politique extérieure violente. Cette politique a assassiné des millions de personnes au vingt-et-unième siècle » ajoutant dans un autre message : « Le sénateur américain Marco Rubio était également allé apporter la démocratie en Libye. Ce pays est aujourd’hui un État failli avec des dizaines de milliers de morts et est devenu un marché d’esclaves noirs ».

Thierry Deronne, Caracas, le 18 février 2019

Note (1) : la télévision canadienne vient d’admettre que l’image du « pont bloqué par le Venezuela » était une fake news : https://www.cbc.ca/news/world/venezuela-bridge-aid-pompeo-1.5018432

Source : Venezuelainfos

URL de cet article :
https://www.legrandsoir.info/roger-waters-pink-floyd-et-l-ex-president-rafael-correa-demontent-l-emballement-mediatique-contre-la-democratie-venezuelienne.html




Les théories du complot déchirent-elles la société ou nous sauvent-elles de la destruction ?

[Source : Le Saker Francophone]

Les théories du complot déchirent-elles la société ou nous sauvent-elles de la destruction ?


Par Brandon Smith − Le 18 avril 2019 − Source Alt-Market.com

L’expression « théorie du complot » est
souvent utilisée par les agences de l’establishment, les médias grand
public et les idiots utiles comme un outil pour rejeter les preuves ou
les points de vue légitimes qui sont en désaccord avec leur version
prédéterminée des événements. Cette méthode de propagande n’a pas
toujours été aussi répandue qu’aujourd’hui. L’expression n’a pas été « créée »
par la CIA, mais elle a en fait été armée par elle dans les années 1960
après l’assassinat de John F. Kennedy dans le but exprès de mettre fin
au débat rationnel.

La note de service 1035-960 de la CIA, diffusée au sein de la CIA en 1967 et exposée dans le cadre d’une demande en vertu de la Loi sur l’accès à l’information utilisée par le New York Times en 1976, décrit les stratégies que l’organisme utiliserait pour mettre fin aux critiques du rapport Warren. Plus précisément, ils ont suggéré l’accusation de « conspiration » avec des connotations négatives, principalement dans les livres et les articles destinés au grand public. Cela s’est fait à travers les nombreuses marionnettes de la CIA dans les médias, et le concept de « théorie du complot » en tant que terme péjoratif est né.

Grâce à l’utilisation d’arguments fallacieux, de faux-fuyants et de sophismes, l’incroyable quantité de preuves (exposées par des enquêteurs comme Jim Garrison, procureur du district de la Nouvelle-Orléans), suggérant que la Commission Warren était corrompue ou ignorante dans ses conclusions a été enterrée sous une avalanche de travaux et de pièces à conviction. Et c’était le but, bien sûr, d’attaquer le messager et de faire taire la vérité sans avoir à passer par le processus difficile de confrontation directe avec la vérité.

Jusqu’à récemment, cette stratégie était très efficace. Attaquer une personne en tant que « théoricien du complot »
était le seul outil dont les critiques avaient vraiment besoin pour
empêcher qu’un élément de preuve ou un point de vue concret devienne
viral. La théorie du complot est assimilée à la folie, à la stupidité ou
à la bouffonnerie. Tout le monde sait qu’un théoricien du complot ne
doit pas être pris au sérieux, alors pourquoi perdre du temps à écouter
ce qu’il a à dire sur le fond ?

Il n’est pas surprenant que ces gens ne veulent pas que la RÉALITÉ
d’une conspiration soit quelque chose qui vienne divertir le grand
public. Les conspirations font partie de l’histoire. Les gouvernements
mentent, tout le temps, et ils ont déjà été pris en train de le faire.
Les médias mentent constamment et ont déjà été pris en train de le
faire. Pourtant, nous sommes censés ignorer cela et supposer que
quiconque ose s’opposer aux affirmations du gouvernement et des médias
est une sorte de fou ?

Au cours des cinq à dix dernières années, cependant, les choses ont
changé. Soudain, les points de vue anti-establishment et les enquêtes
sur la corruption ont commencé à détruire l’essentiel de la narration
écrite déconcertant les élites et les médias. Ils peuvent voir qu’ils
perdent le contrôle de la pensée populaire et ils sont perturbés, c’est
le moins qu’on puisse dire. Un flot constant d’articles et d’essais a
inondé les médias récemment, déplorant la montée de la « culture du complot » et mettant en garde contre la « mort de la démocratie » si l’on permet que cela continue.

Ils semblent particulièrement fâchés par l’idée que leur statut « journalistique » et « professionnel »
n’a plus d’importance pour la plupart des gens. Il n’y a pas si
longtemps, quiconque portait un costume, un uniforme, une blouse de
laboratoire, un badge de journaliste ou recevait un chèque de paye du
gouvernement était censé être immédiatement pris au sérieux en tant qu’« expert » désigné. Comme Noam Chomsky les décrit dans son livre « La Fabrique de Consentement », ils étaient la classe professionnelle, les premiers 10% ou moins des individus avec « toutes les réponses ».
C’étaient les personnes que l’establishment cherchait avant tout à
endoctriner, parce que ce sont les leaders communautaires que beaucoup
de gens dans le public écoutaient sans poser de questions.

Aujourd’hui, il y a un mouvement croissant de gens qui ne se soucient pas du genre de diplôme que les parents d’une personne ont acheté pour elle dans une université de la Ivy League. Ils ne se soucient pas des désignations d’établissement universitaires et des fausses distinctions, titres et honneurs. Ce qui les intéresse, ce sont les faits et les preuves. Ce qui les intéresse, ce sont les arguments qu’une personne avance, plutôt que l’importance qu’elle prétend avoir. Cela cause une certaine consternation parmi les élites.

Cass Sunstein, ancien « tsar de l’information » de l’administration Obama, est une figure clé et le gardien de la guerre de propagande contre les médias alternatifs et leur interprétaion de la réalité des conspiration. Sunstein a écrit de nombreux livres et articles déplorant l’influence croissante des médias alternatifs, dont son livre Conspiracy Theories And Dangerous Ideas.

L’idée maîtresse de la position de Sunstein est que les théories du
complot isolent la population en petits groupes de personnes partageant
les mêmes idées et perpétuant mutuellement des opinions « erronées ».
Il suggère également que ces groupes représentent une menace concrète
pour la stabilité du gouvernement et de la société en diffusant des
informations erronées (ou peut-être gênantes) et des troubles civils. En
d’autres termes, il y a quelques décennies, toute l’information était
centralisée et filtrée par les médias d’entreprise et le gouvernement,
et maintenant Internet décentralise le flux d’information, permettant
ainsi aux gens de penser différemment et de rompre avec le discours
majoritaire, ce qui est inacceptable pour Sunstein.

Sunstein considère la création d’un esprit de ruche du public comme le meilleur scénario pour conserver l’ordre social. Il suggère dans son livre Nudge le concept de « paternalisme libertaire » (qui n’est ni libertaire ni paternel). Il prône le contrôle de la société par des moyens d’influence subversifs (nudging) tout en permettant aux gens de continuer à croire que leurs choix sont les leurs.

Mais comment Sunstein s’y prendrait-il pour exercer cette influence ? Sa solution à la menace des médias alternatifs a d’abord été exposée clairement dans son article intitulé « Conspiracy Theories », publié en 2008. Il y plaide en faveur de l’ingérence du gouvernement ou du contrôle des médias alternatifs ou des sources de la « théorie du complot ». Sa tactique principale était l’infiltration de forums et de sites médiatiques alternatifs par des agents gouvernementaux ou des acteurs privés payés par le gouvernement pour perturber la discussion, faire dérailler l’activisme et semer le doute ou le chaos. En effet, Sunstein voulait la destruction discrète des médias de la liberté par des agitateurs rémunérés.

Ainsi, l’homme qui accuse les médias alternatifs de conspiration et
de destruction du monde occidental cherche activement à fomenter une
conspiration pour saper ce mouvement. Est-ce de l’ironie, de
l’hypocrisie ou les deux ?  Cela ne veut-il pas dire que Sunstein fait
partie de l’une des conspirations dont il reproche aux gens comme moi de
s’inquiéter ?

Sunstein et son acolyte élitiste veulent le pouvoir d’effacer ou de
saboter les médias alternatifs. En fait, il y a probablement
quelques-uns de leurs agents provocateurs qui attaquent cet article dans
les commentaires ci-dessous. Ils préféreraient que le gouvernement
finisse par prendre le contrôle total d’Internet et dicte directement
les conditions de la participation des médias. Cela soulève l’une des
questions les plus importantes à laquelle l’establishment ne veut pas
répondre – qui décide de ce qui est et de ce qui n’est pas une « dangereuse théorie du complot » ?

S’ils sont poussés à bout, les élites finissent par suggérer qu’elles
sont les mieux qualifiées. Sunstein décrit le grand public dans ses
livres comme étant essentiellement paresseux, inintelligent, impulsif et
peu fiable pour prendre de bonnes décisions. Il ne semble pas s’inclure
lui-même et ses camarades globalistes comme étant sujets aux mêmes
faiblesses. Ils sont apparemment assez sages et bienveillants pour
prendre les meilleures décisions pour nous tous. Imaginez cela …

Ce parti pris élitiste et la méthodologie globale de Sunstein pour
mordre les chevilles des médias de la liberté se sont transformés en une
nouvelle vague de propagande au cours des deux dernières années,
provenant principalement (mais non exclusivement) de la gauche
politique.

Le travail de Sunstein a engendré une croissance cancéreuse d’imitateurs dans les milieux universitaires progressistes. Cela se passe partout, mais un exemple particulier que j’ai trouvé récemment est celui de Vox, un chiffon de gauche qui affiche sans vergogne ses préjugés politiques et calomnie activement les conservateurs. L’article de Vox « Conspiracy Theories Are Getting More Absurd And Harder To Refute », (« Les théories du complot deviennent de plus en plus absurdes et difficiles à réfuter »), promeut un nouveau livre qui régurgite le modèle de propagande de Sunstein. L’article prend tout son temps pour réaffirmer l’ancien récit de désinformation en déclarant :

La démocratie exige un minimum de confiance mutuelle entre les citoyens, et le complotisme la détruit.

N’avez-vous pas l’impression que ces gens vous envoient un message
répétitif qu’ils veulent que vous embrassiez ? Y a-t-il quelque chose de
vrai à propos de l’affirmation ci-dessus ? La racine fondamentale de
leur argument est que les théories du complot (c’est-à-dire les points
de vue en dehors du courant dominant) doivent être traitées comme des
menaces existentielles pour la société. En d’autres termes, certaines
idées sont si dangereuses qu’elles doivent être contrôlées ou
interdites. Le fondement de cet argument, cependant, est tout à fait
frauduleux.

Tout d’abord, les gauchistes parlent sans cesse de notre société comme d’une « démocratie »,
parce qu’ils croient que s’ils répètent suffisamment ce mensonge, il
deviendra réalité par défaut. Les États-Unis n’ont jamais été destinés à
être une « démocratie », mais une République, et à
juste titre. La démocratie exige une confiance aveugle et souvent
déplacée dans le système. Une République exige une vigilance constante
et un scepticisme sain. Dans une République, nous ne sommes pas censés
simplement « croire » que nos dirigeants vont faire ce
qu’il faut. Nous sommes censés les mettre sous le microscope, découvrir
la criminalité et la corruption et, en général, les mettre mal à l’aise
en tout temps. C’est notre devoir civique de devenir des « théoriciens du complot ».

L’establishment préfère la démocratie parce que dans une démocratie,
51% de la population peut dicter les libertés individuelles des 49%
restants, et ils sont à juste titre convaincus qu’ils peuvent influencer
la pensée et les décisions de plus de la moitié. En outre, dans une
démocratie, la société tourne autour du relativisme moral et du « plus grand bien pour le plus grand nombre »,
toujours arbitraire, au lieu de gouverner selon la liberté
individuelle, la boussole morale inhérente et la conscience humaine.

L’article de Vox poursuit en affirmant que s’il existe des
théories du complot vérifiables, elles viennent toutes du côté gauche du
spectre politique (qu’il  appelle théories de conspiration « progressistes »). Il affirme ensuite qu’il n’y a pas de théories du complot vérifiables venant de la droite politique. C’est de la folie.

Lorsque Cass Sunstein décrit l’isolement du tribalisme et les
illusions conspirationnistes de certains groupes, il essaye clairement
d’étiqueter négativement les activistes conservateurs et les médias
alternatifs, mais les vrais aliénés de la conspiration ont en fait été
sur la gauche tout ce temps.

Beaucoup de jeunes milléniums de gauche, de professionnels (je le dis
avec le plus grand sarcasme), de personnalités des médias grand public
et de célébrités ont bêtement adhéré à la théorie du complot russe ; une
théorie basée sur ZÉRO preuves concrètes et un tas de conjectures
vides. Par exemple, dans combien d’émissions de « Real Time With Bill Maher » ou de « Late Night With Stephen Colbert »
l’histoire du Russiagate a-t-elle été étayée comme un fait avéré par
une bande de perroquets gauchistes hurlants, blanchie par l’imbécillité
protectrice du public à Los Angeles et à New York, avec leur cerveau
limité ?

Même aujourd’hui, après que le rapport Mueller tant attendu n’ait pas
abouti à des inculpations, les gauchistes continuent de s’accrocher
désespérément au Russiagate comme des hémorroïdes à un anus.

Les gauchistes ont jusqu’à présent justifié une grande partie de leur
comportement schizophrène et parfois violent et criminel par le
mensonge que Donald Trump est un usurpateur mis au pouvoir par la
manipulation russe des élections américaines. N’est-ce pas là
l’incarnation même d’une théorie du complot destructrice pour la société
?

Toutes les théories du complot ne sont pas lancées par les médias
alternatifs. Nombre d’entre elles sont lancées par l’establishment
lui-même, et elles sont en effet conçues pour provoquer la
déstabilisation de la nation.

En même temps, la conspiration fabriquée du Russiagate a été très
efficace pour éloigner la gauche de la véritable conspiration, la
saturation du cabinet de Trump par les élites bancaires et les goules de
la pensée globaliste comme John Bolton, Steven Mnuchin ou Wilber Ross.
N’était-ce pas ces mêmes élites que Trump allait « drainer du marais » ? Pourquoi la gauche n’en a-t-elle pas parlé ces deux dernières années ?

L’article ne fait pas non plus mention du truquage par le DNC des
primaires démocrates en faveur d’Hillary Clinton et contre Bernie
Sanders. Il s’agissait d’une conspiration que les conservateurs ont dû
aider à dénoncer, tandis que les gauchistes sont restés les bras croisés
et l’ont ignorée, hyper-focalisant sur leur haine de Trump tout en
soutenant Hillary Clinton, une délinquante récidiviste. Mais, hé, les
conspirations conservatrices sont toujours fausses et les conspirations
de gauche sont souvent valides selon Vox et ses amis …

Et qu’en est-il du fait avéré de la surveillance numérique de masse
par le gouvernement sur le public ? Il s’agissait d’une conspiration
contre laquelle les groupes conservateurs ont mis en garde depuis des
années. On nous a traités de fous. Pourquoi le gouvernement se
soucierait-il de ce que le citoyen moyen fait dans sa vie quotidienne ?
Nos craintes ont été confirmées par l’exposition de données classifiées
par des personnes comme Edward Snowden et Julian Assange (qui font
maintenant face à l’extradition et à des poursuites pour rien de plus
que la publication de vérités sur Internet). Tant la gauche politique
que la droite politique sont agressivement hostiles à ces deux hommes et
cherchent à les enterrer.

Ma question est la suivante : qu’est-ce qui est vraiment le plus
dangereux ? Les théories du complot, ou les conspirations réelles que
les gouvernements et les élites mènent contre le peuple ?

Le message ici n’est pas ambigu du tout. En résumé, l’establishment
veut le contrôle des médias Internet, par tous les moyens, au nom de la
protection des gens contre eux-mêmes et contre les idées qu’il considère
dérangeantes pour l’ordre mondial. La gauche politique est tout à fait
d’accord avec cela tant que ses théories du complot sont traitées avec
légitimité ; et elles le seront, parce que ses théories du complot sont
celles de l’establishment.

Les seules théories qui sont menacées d’assujettissement sont celles
des conservateurs et des médias alternatifs qui sont contraires à la
centralisation et au pouvoir gouvernemental. Non pas parce que nos
théories sont dangereuses pour le tissu social, mais parce que nos
théories sont dangereuses pour les gens qui veulent diriger le tissu
social. Notre activisme et notre manière de faire du journalisme
représentent une pensée décentralisée qui pourrait étouffer le moteur de
l’agenda globaliste. Nous ne détruisons pas le monde occidental, nous
sommes la seule chose qui le maintient en vie.

Brandon Smith

Note du Saker Francophone On vous invite à consulter notre petit dossier sur les Théories du complot avec notamment :

Traduit par Hervé, relu par Cat pour le Saker Francophone




À propos de Trump

[Source : Réseau International]

par Sylvain Laforest.

Le moment est venu de comprendre ce que fait Donald Trump et de
décrypter l’ambigüité de la manière dont il le fait. Le controversé
président a un agenda beaucoup plus clair qu’on ne peut l’imaginer sur
la politique étrangère et les affaires intérieures, mais puisqu’il doit
rester au pouvoir ou même en vie pour atteindre ses objectifs, sa
stratégie est si raffinée et subtile que presque personne ne la
comprend. Son objectif global est si ambitieux qu’il emprunte des
courbes elliptiques aléatoires pour aller du point A au point B, en
utilisant des méthodes qui déconcertent les gens sur leur compréhension
de l’homme. Cela inclut la plupart des journalistes indépendants et les
analystes alternatifs, comme les grands médias occidentaux propagateurs
de fausses nouvelles et une grande majorité de la population.

En ce qui concerne sa stratégie, je pourrais faire une analogie
rapide et précise avec les médicaments : la plupart des pilules sont
destinées à guérir un problème, mais elles sont accompagnées de toute
une série d’effets secondaires. Eh bien, Trump utilise ces médicaments
uniquement pour leurs effets secondaires, alors que la première
intention de la pilule est ce qui le maintient au pouvoir et en vie. À
la fin de cet article, vous verrez que cette métaphore s’applique à
presque toutes les décisions, actions ou déclarations qu’il a faites. À
partir du moment où vous comprendrez Trump, vous serez en mesure
d’apprécier l’extraordinaire mandat présidentiel qu’il accomplit, comme
aucun prédécesseur n’a jamais été proche de le faire.

Pour commencer, clarifions le seul aspect de sa mission qui est sans
détour et terriblement direct : il est le premier et seul président US à
s’être jamais attaqué au pire défaut collectif de l’humanité, soit son
ignorance totale de la réalité. Parce que les médias et l’éducation sont
tous deux contrôlés par la poignée de milliardaires qui dirigent la
planète, nous ne savons rien de notre histoire qui a été tordue à sec
par les vainqueurs, et nous ne savons absolument rien sur notre monde
actuel. En entrant dans l’arène politique, Donald a popularisé
l’expression « fake news » (fausses nouvelles) pour convaincre les
citoyens US, tout comme la population mondiale, que les médias mentent
toujours. L’expression est maintenant devenue banale, mais réalisez-vous
à quel point il est choquant de constater que presque tout ce que vous
pensez savoir est totalement faux ? Les mensonges médiatiques ne
couvrent pas seulement l’histoire et la politique, mais ils ont façonné
votre fausse perception sur des sujets comme l’économie, l’alimentation,
le climat, la santé; sur tout. Et si je vous disais que nous savons
exactement qui a tiré sur JFK depuis le monticule herbeux, que la
connaissance préalable de Pearl Harbor a été prouvée en cour, que
l’effet de serre du CO2 est scientifiquement absurde, que notre argent
est créé par des prêts de banques qui n’ont même pas les fonds, ou que
la science démontre avec une certitude absolue que le 11 septembre fut
une opération interne américaine ? Avez-vous déjà entendu parler d’un
journaliste mainstream, d’un documentaire de PBS ou d’un professeur
d’université parlant de tout cela ? 44 présidents se sont succédés sans
jamais soulever un mot de cet énorme problème, avant que le 45ème
n’arrive. Trump comprend que la libération des gens de cette profonde
ignorance est le premier pas vers la liberté totale, or il a
immédiatement commencé à appeler les journalistes mainstream par ce
qu’ils sont : des menteurs pathologiques.

« Des milliers de professionnels de la santé mentale sont d’accord avec Woodward et l’auteur de l’article d’opinion du New York Times : Trump est dangereux »

Bandy X. Lee, The Conversation 2018

« La question n’est pas de savoir si le Président est fou, mais s’il est fou comme un renard ou fou comme un fou »

Masha Gessen, The New Yorker 2017

Soyons clairs : pour l’establishment, Trump n’est nullement
déficient, mais il est plutôt considéré comme le destructeur potentiel
de leur monde. Depuis qu’il a emménagé à la Maison-Blanche, Trump a été
dépeint comme un narcissique, un raciste, un sexiste et un
climato-sceptique, chargé d’un passé louche et affublé de troubles
mentaux. Même si environ 60% des Américains ne font plus confiance aux
médias, plusieurs ont avalé l’histoire que Trump pourrait être cinglé ou
inapte à diriger, et les statistiques sont encore plus élevées à
l’extérieur des États-Unis. Bien sûr, Donald ne fait rien de spécial
pour changer la perception profondément négative que tant de
journalistes et de gens ont de lui. Il est ouvertement scandaleux et
provocateur sur Twitter, il apparait impulsif et même stupide la plupart
du temps, agit de façon irrationnelle, ment tous les jours, et
distribue des sanctions et des menaces comme si c’était des bonbons
sortis de la hotte d’un elfe dans un centre commercial en décembre.
D’emblée, on peut détruire un mythe médiatique persistant : l’image que
projette Trump est autodestructrice, et c’est exactement le contraire
dont les pervers narcissiques agissent, puisqu’ils veulent être aimés et
admirés par tous. Donald ne se soucie tout simplement pas que vous
l’aimiez ou non, ce qui fait de lui l’ultime anti narcissique, par sa
définition psychologique de base. Et ce n’est même pas ouvert aux
opinions, c’est un fait tout simple et indéniable.

Son plan général se dégage d’une de ses devises préférées : « Nous redonnerons le pouvoir au peuple
» , parce que les États-Unis et leur toile impérialiste tissée à
travers le monde ont été entre les mains de quelques banquiers
mondialistes, industriels militaires et des multinationales depuis plus
d’un siècle. Pour accomplir sa mission, il doit mettre fin aux guerres à
l’étranger, ramener les soldats à la maison, démanteler l’OTAN et la
CIA, prendre le contrôle de la Réserve Fédérale, couper tout lien avec
les alliés étrangers, abolir le système financier Swift, démolir le
pouvoir de propagande des médias, drainer le marais de l’État Profond
qui dirige les agences d’espionnage et neutraliser le gouvernement
parallèle qui se tapis dans les bureaux du Conseil des Relations
Étrangères et de la Commission Trilatérale. Bref, il doit détruire le
Nouvel Ordre Mondial et son idéologie mondialiste. La tâche est immense
et dangereuse, c’est le moins qu’on puisse dire. Heureusement, il n’est
pas seul.

Avant d’aborder ses tactiques et techniques, nous devons en savoir un peu plus sur ce qui se passe réellement dans le monde.

La puissante Russie

Depuis Pierre le Grand, toute l’histoire de la Russie est une
démonstration permanente de sa volonté de maintenir son indépendance
politique et économique vis-à-vis des banques internationales et de
l’impérialisme, poussant cette grande nation à aider de nombreux autres
pays à conserver leur propre indépendance. Par deux fois, la Russie a
aidé les États-Unis contre l’Empire britannique/Rothschild, d’abord en
les soutenant ouvertement pendant la guerre d’Indépendance, puis encore
pendant la guerre civile, alors que Rothschild finançait les Confédérés
pour démanteler la nation et la ramener sous la coupe de l’Empire
colonial Britannique. La Russie a également détruit Napoléon et les
Nazis, tous deux financés par des banques internationales comme outils
pour écraser des nations économiquement indépendantes. L’indépendance
est dans l’ADN russe. Au terme de presque une décennie d’oligarchie
occidentale ayant pris le contrôle de l’économie russe après la chute de
l’URSS en 1991, Poutine a pris le pouvoir et a immédiatement drainé le
marais russe. Depuis lors, chacune de ses actions vise à détruire
l’Empire US, ou l’entité qui a remplacé l’Empire Britannique en 1944,
qui est aussi la dénomination non-associée aux théories de la
conspiration du Nouvel Ordre Mondial. Ce nouvel empire est
fondamentalement le même modèle des banques centrales, avec juste un
groupe légèrement différent de propriétaires qui ont changé l’Armée
royale Britannique pour l’OTAN, comme Gestapo mondiale.

Jusqu’à l’arrivée de Trump, Poutine luttait seul contre le Nouvel
Ordre Mondial dont l’obsession séculaire est le contrôle du marché
mondial du pétrole, puisque le pétrole est le sang qui coule dans les
veines de toute l’économie mondiale. Le pétrole a mille fois plus de
valeur que l’or. Les cargos, les avions et les armées ne fonctionnent
pas avec des batteries. Par conséquent, pour contrer les mondialistes,
Poutine a mis au point les meilleurs systèmes de missiles offensifs et
défensifs, de sorte que la Russie peut désormais protéger tous les
producteurs de pétrole indépendants comme la Syrie, le Venezuela et
l’Iran. Les banquiers centraux et le gouvernement de l’ombre US
s’accrochent toujours à leur plan mourant, car sans une victoire en
Syrie, il n’y a pas d’élargissement d’Israël, mettant ainsi fin au
fantasme centenaire d’unir la production pétrolière du Moyen-Orient
entre les mains du Nouvel Ordre Mondial. Demandez à Lord Balfour si vous
avez le moindre doute. C’est ça le véritable enjeu de la guerre de
Syrie, il ne s’agit rien de moins que d’y arriver ou de mourir.

Un siècle de mensonges

Maintenant, parce qu’un gouvernement de l’ombre commande directement
la CIA et l’OTAN au nom des banques et des industries, Trump n’a aucun
contrôle sur l’appareil militaire. L’État Profond est un chapelet de
fonctionnaires permanents gouvernant Washington et le Pentagone qui ne
répondent qu’à leurs ordres. Si vous croyez toujours que c’est le
« Commandant en chef » qui commande, expliquez pourquoi chaque fois que
Trump ordonne de se retirer de Syrie et d’Afghanistan, des troupes
supplémentaires arrivent ? Au moment où j’écris ce texte, les troupes US
et de l’OTAN se sont retirées des zones kurdes, se sont rendues en Irak
et sont revenues avec du matériel plus lourd autour des réserves
pétrolières de la Syrie. Donald doit encore drainer le marais avant que
le Pentagone n’écoute ce qu’il dit. Trump devrait être outré et dénoncer
à haute voix que le commandement militaire ne se soucie pas de ce qu’il
pense, mais cela déclencherait un chaos inimaginable, et peut-être même
une guerre civile aux États-Unis, si les citoyens qui possèdent environ
393 millions d’armes dans leurs maisons apprenaient que des intérêts
privés sont en charge de l’armée. Cela soulèverait également une
question très simple, mais dramatique : « Quel est exactement le but de
la démocratie ? » Ces armes domestiques sont les barrières de titane qui
protègent la population d’un Big Brother totalitaire.

Il faut se rendre compte à quel point l’armée US et les agences
d’espionnage se donnent du mal pour créer des opérations sous
faux-drapeau (false flags) depuis plus d’un siècle, de sorte que leurs
interventions semblent toujours justes, au nom de la promotion de la
démocratie, des droits humains et de la justice sur la planète. Ils ont
fait sauter le navire Maine en 1898 pour entrer dans la guerre
hispano-étasunienne, puis le Lusitania en 1915 pour entrer dans la
Première guerre mondiale. Ils ont poussé le Japon à attaquer Pearl
Harbor en 1941, étaient au courant de l’attaque 10 jours à l’avance et
n’ont rien dit à la base hawaïenne. Ils ont inventé une agression de
torpilles nord-vietnamiennes contre leurs navires dans la baie du Tonkin
pour justifier l’envoi de soldats sur le sol vietnamien. Ils ont
inventé une histoire de soldats irakiens détruisant des pouponnières
pour envahir le Koweït en 1991. Ils ont inventé des armes de destruction
massive pour attaquer de nouveau l’Irak en 2003 et ont organisé
l’opération du 11 septembre 2001 pour déchirer la Constitution de 1789,
attaquer l’Afghanistan et lancer une guerre interminable contre le
terrorisme. Ce masque de vertu totalement factice doit être préservé
pour contrôler l’opinion des citoyens US et leur arsenal domestique, qui
doivent croire qu’ils portent les chapeaux blancs des cowboys de la
démocratie.

Or, comment Trump a-t-il réagi quand il a appris que les troupes US
revenaient en Syrie ? Il a répété encore et encore dans chaque interview
et déclaration que « nous avons sécurisé les champs pétroliers de Syrie », et a même ajouté « je pense envoyer Exxon dans la région pour s’occuper du pétrole syrien
Les néoconservateurs, les sionistes et les banques étaient ravis, mais
le reste du monde est outré, car la grande majorité ne comprend pas que
Trump avale cette pilule uniquement pour ses effets secondaires. Sur le
flacon est écrit en petits caractères que « l’utilisation de cette
drogue pourrait forcer les troupes US-OTAN à quitter la Syrie sous la
pression de la communauté mondiale unie et de la population US ahurie ».
Trump a rendu la situation insoutenable pour l’OTAN de rester en Syrie,
et la façon dont il a répété cette position profondément choquante et
politiquement incorrecte dévoile clairement sa véritable intention. Il a
détruit plus d’un siècle de fausses vertus en une seule phrase.

Trump est une anomalie historique

Trump n’est que le quatrième président dans l’histoire des États-Unis
à se battre pour le peuple, contrairement aux 41 autres qui ont
principalement canalisé l’argent du peuple dans un pipeline de dollars
aboutissant dans des banques privées. Il y a d’abord eu Andrew Jackson
qui fut tiré à bout pourtant après avoir détruit la Second Bank des
États-Unis, qu’il accusait ouvertement d’être contrôlée par les
Rothschild et la City de Londres. Puis, Abraham Lincoln fut assassiné
après avoir imprimé ses « greenbacks » (billets verts), monnaie
nationale que l’État a émise pour payer les soldats parce que Lincoln
refusait d’emprunter des Rothschild à 24% d’intérêt. Ensuite, il y a eu JFK, qui a été tué pour
une douzaine de raisons qui allaient toutes à l’encontre des profits
des banques et de l’industrie militaire, et maintenant Donald Trump qui
vocifère qu’il va « rendre l’Amérique au peuple ».

Comme la plupart des hommes d’affaires, Trump déteste les banques,
pour le pouvoir formidable qu’elles ont sur l’économie. Il suffit de
jeter un coup d’œil au livre unique d’Henry Ford, « The International Jew
», pour découvrir sa méfiance et sa haine profondes envers les banques
internationales. Les entreprises de Trump ont beaucoup souffert à cause
de ces institutions qui vous vendent un parapluie, pour le reprendre dès
qu’il se met à pleuvoir. Le contrôle des banques privées sur la
création monétaire et les taux d’intérêt, à travers chaque banque
centrale de presque tous les pays, est un pouvoir permanent sur les
nations, bien au-delà du cycle éphémère des politiciens. En l’an 2000,
ces pillards de nations n’étaient plus qu’à quelques pas de leur rêve
totalitaire planétaire, mais deux détails subsitaient : Vladimir Poutine
et 393 millions d’armes US. Puis est arrivé Donald au visage orange, la
dernière pièce du puzzle dont nous, le peuple, avions besoin pour
mettre fin à 250 ans de l’empire des banques.

Techniques et tactiques

Au début de son mandat, Trump a naïvement tenté l’approche directe,
en s’entourant de rebelles de l’establishment comme Michael Flynn et
Steve Bannon, puis en aliénant chacun de ses alliés étrangers, déchirant
leurs traités de libre-échange, imposant des taxes sur les importations
et les insultant en pleine face lors des rencontres du G7 de 2017 et de
2018. La réaction fut forte et tout le monde s’est mis à focaliser sur
l’absurdité du Russiagate, qui semblait la seule option pour arrêter
l’homme sur son chemin de la destruction du mondialisme. Comme on
pouvait s’y attendre, l’approche directe n’a mené nulle part ; Flynn et
Bannon ont dû partir, et Trump fut emmêlé dans une poignée d’enquêtes
lui faisant réaliser qu’il n’obtiendrait rien avec la transparence. Il
devait trouver un moyen d’anéantir les personnes les plus dangereuses de
la planète, mais en même temps, rester au pouvoir et en vie. Il fallait
devenir plus malin.

C’est à ce moment que son génie a explosé sur le monde. Il a
complètement changé sa stratégie et son approche, a commencé à prendre
des décisions absurdes et à tweeter des déclarations scandaleuses. Aussi
menaçantes et dangereuses que certains d’entre elles puissent paraitre,
Trump ne les a pas verbalisées pour leur signification au premier
degré, mais visait plutôt leurs effets secondaires. Et sans se soucier
de ce que les gens pensaient de lui, car seuls les résultats comptent à
la fin. Il a même joué au bouffon sur Twitter, avait l’air naïf, fou ou
carrément idiot, peut-être dans l’espoir de faire croire qu’il ne savait
pas ce qu’il faisait, et qu’il ne pouvait pas être si dangereux. Trump
qui était déjà politiquement incorrect, a poussé beaucoup plus loin pour
montrer l’horrible visage que les États-Unis cachent derrière leur
masque.

Le premier test de sa nouvelle approche fut d’arrêter le danger
croissant d’une attaque et d’une invasion de la Corée du Nord par
l’OTAN. Trump a insulté Kim Jung-Un sur Twitter, l’a appelé Rocket Man
et a menacé de nucléariser la Corée du Nord au ras du sol. Son ire s’est
déchainée pendant des semaines, jusqu’à ce que tout le monde
s’aperçoive que ce n’étaient pas là de bonnes raisons pour attaquer un
pays. Il a paralysé l’OTAN. Trump a ensuite rencontré Rocket Man, et ils
ont marché dans le parc avec la naissance d’une belle amitié, riant
ensemble, tout en n’accomplissant absolument rien dans leurs
négociations, car ils n’ont rien à négocier. Beaucoup parlaient du prix
Nobel de la paix, parce que beaucoup ne savent pas qu’il est
généralement remis pour blanchir des criminels de guerre comme Obama ou
Kissinger.

Puis ce fut le tour du Venezuela. Trump a poussé sa tactique un peu
plus loin, pour s’assurer que personne ne puisse soutenir une attaque
contre le pays libre. Il a mis les pires néoconservateurs disponibles
sur l’affaire: Elliott Abrams, anciennement condamné pour conspiration
dans l’affaire Iran-Contras dans les années ’80 et John Bolton, célèbre
belliciste au premier degré. Trump a ensuite confirmé Juan Guaido comme
son choix personnel pour la présidence du Venezuela; une marionnette
vide si stupide qu’il ne peut même pas comprendre à quel point on
l’utilise. Une fois de plus, Trump a menacé de réduire le pays en
cendres, tandis que la communauté mondiale désapprouvait le manque total
de subtilité et de diplomatie dans le comportement de Trump, avec pour
résultat final que le Brésil et la Colombie ont reculé en déclarant
qu’ils ne voulaient rien avoir à faire avec une attaque sur le
Venezuela. La prescription de Trump n’a laissé que 40 pays satellites
dans le monde, avec des présidents et des premiers ministres
suffisamment dénués de cervelle pour soutenir timidement Guaido le
bouffon. Donald a coché la case à côté du Venezuela sur sa liste, et a
continué de défiler vers le bas.

Puis vinrent les deux cadeaux à Israël : Jérusalem en tant que
capitale, et le plateau du Golan syrien en tant que possession
confirmée. Netanyahou qui n’est pas le crayon le plus aiguisé dans le
coffre a sauté de joie, et tout le monde criait que Trump était un
sioniste. Le véritable résultat fut que l’ensemble du Moyen-Orient s’est
uni contre Israël, que plus personne ne peut soutenir. Même leur
complice historique, l’Arabie Saoudite, a dû désapprouver ouvertement
cette lourde gifle à l’Islam. Les cadeaux jumeaux de Trump étaient en
fait des coups de poignard dans le dos de l’État d’Israël, dont l’avenir
ne semble pas très prometteur, puisque l’OTAN devra bientôt quitter la
région. Case cochée à nouveau.

Alors que la réalité s’installe

Mais ce n’est pas tout ! Avec son absence de contrôle sur l’OTAN et
l’armée, Trump est très limité dans ses actions. À première vue, la
multiplication des sanctions économiques contre des pays comme la
Russie, la Turquie, la Chine, l’Iran, le Venezuela et d’autres pays
semble dure et impitoyable, mais la réalité de ces sanctions a poussé
ces pays hors du système financier Swift conçu pour maintenir les pays
esclaves dans l’hégémonie du dollar, et ils glissent tous entre les
mains des banques internationales. Elles ont forcé la Russie, la Chine
et l’Inde à créer un système alternatif de paiements commerciaux basé
sur les monnaies nationales, au lieu du dollar tout-puissant. La réalité
bipolaire du monde est maintenant officielle, et avec ses prochaines
sanctions à venir, Trump poussera encore plus de pays hors du système
Swift pour rejoindre l’autre camp, au moment où d’importantes banques
commencent à tomber en Europe.

Même dans l’ouragan politique entourant Trump, il trouve encore le
temps d’afficher son humour arrogant presque enfantin. Regardez sa
dernière moquerie grandiose d’Hillary Clinton et de Barrack Obama, alors
qu’il s’est assis avec des généraux aux traits tendus, pour prendre une
photo dans une « salle de situation » alors qu’ils simulaient la
surveillance de la mort de Baghdadi quelque part où il ne pouvait pas
être, exactement comme ses prédécesseurs criminels l’ont fait il y a
longtemps avec le faux assassinat de Ben Laden. Il a même poussé la
blague jusqu’à ajouter les détails d’un chien reconnaissant le faux
calife de Daesh en reniflant ses sous-vêtements. Maintenant que vous
comprenez qui est vraiment Trump, vous serez également en mesure
d’apprécier le spectacle, dans toute sa splendeur et sa vraie
signification.

« Nous avons sécurisé les champs de pétrole de Syrie.» Avec
cette courte phrase, Trump joint sa voix à celle du Général Smedley
Butler qui fit vibrer le monde il y a 80 ans avec un petit livre
intitulé « La Guerre est un racket.» Piller et voler du pétrole
n’est certainement pas aussi vertueux que de promouvoir la démocratie
et la justice. Ce qui m’étonne, ce sont ces nombreux journalistes et
analystes « alternatifs », qui connaissent sur le bout des doigts tous
les problèmes techniques dans l’histoire officielle du 11 septembre, ou
la réalité scientifique de l’absurde réchauffement climatique
anthropique, mais qui n’ont toujours aucune idée de ce que fait Trump, 3
ans après le début de son mandat, car ils ont été convaincus par les
grands médias que Trump était un malade mental.

Pour ceux qui doutent encore du programme de Trump, croyez-vous
vraiment que l’implosion évidente de l’impérialisme US sur la planète
soit une coïncidence ? Croyez-vous toujours que c’est à cause de
l’influence russe sur les élections de 2016 que la CIA, le FBI, tous les
médias, le Congrès US, la Réserve Fédérale, le Parti Démocrate et la
moitié belliciste des républicains travaillent contre lui et tentent
même de le destituer ? Comme la plupart de ce qui sort des médias, la
réalité est exactement le contraire de ce que l’on vous dit : Trump est
peut-être l’homme le plus dévoué qui ait jamais mis les pieds dans le
bureau ovale. Et certainement le plus ambitieux et politiquement
incorrect.

Conclusion

Le monde changera radicalement entre 2020 et 2024. Le deuxième et
dernier mandat de Trump coïncide avec le dernier mandat de Poutine en
tant que Président de la Russie. Il se peut qu’il n’y ait pas une autre
coïncidence comme celle-ci avant très longtemps, et les deux savent que
c’est maintenant, ou peut-être jamais. Ensemble, ils doivent mettre fin à
l’OTAN, à Swift, et l’Union Européenne devrait s’effondrer. Le
terrorisme et le réchauffement climatique anthropique sauteront dans le
tourbillon et disparaitront avec leurs créateurs. Trump devra drainer le
marais de la CIA et du Pentagone et nationaliser la Réserve Fédérale.
Avec Xi et Modi, ils pourraient mettre un terme définitif de l’ingérence
des banques privées dans les affaires publiques, en refusant de payer
un seul sou de leurs dettes, et refonder l’économie mondiale en se
tournant vers les monnaies nationales produites par les gouvernements,
et les banques privées tomberont comme des dominos, sans plus de
serviteurs comme Obama pour les sauver à vos frais. Après, une paix et
une prospérité insupportables pourraient errer sur la planète, car nos
impôts paieront pour le développement de nos pays au lieu d’acheter du
matériel militaire inutile et payer des intérêts sur les prêts des
banquiers qui n’avaient même pas ces fonds en premier lieu.

Si vous ne comprenez toujours pas Donald Trump après avoir lu ce qui
précède, vous êtes sans espoir. Ou vous êtes peut-être Trudeau, Macron,
Guaido, ou tout autre idiot utile, ignorant que le tapis sous vos pieds a
déjà glissé.

Source : About Trump

traduit par Réseau International