L’obligation vaccinale des soignants fragilisée par l’indigent décret d’application

[Source : Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

C’est vrai ! le décret sur la vaccination obligatoire prévu par l’article 12 de la loi du 5 août 2021 fait l’objet d’un débat, le gouvernement soutenant qu’il est intégré dans le décret du 7 août. Cette position soulève de nombreux problèmes, car ce décret se borne très largement à citer la loi, et ne porte aucune des précisions que celle-ci prévoit explicitement. Dans ces conditions, il nous semble qu’il existe une voie pour contester la façon dont la loi concilie (insuffisamment) le secret médical et la déclaration de statut vaccinal auprès de l’employeur.

https://youtu.be/u-7yxHTziqk

Effectivement, il existe un flou sur la parution du décret d’application de l’article 12 de la loi du 5 août 2021, considéré comme intégré au décret du 7 août 2021. Pour mémoire, la loi prévoyait ceci :

II. – Un décret, pris après avis de la Haute Autorité de santé, détermine les conditions de vaccination contre la covid-19 des personnes mentionnées au I du présent article. Il précise les différents schémas vaccinaux et, pour chacun d’entre eux, le nombre de doses requises.
Ce décret fixe les éléments permettant d’établir un certificat de statut vaccinal pour les personnes mentionnées au même I et les modalités de présentation de ce certificat sous une forme ne permettant d’identifier que la nature de celui-ci et la satisfaction aux critères requis. Il détermine également les éléments permettant d’établir le résultat d’un examen de dépistage virologique ne concluant pas à une contamination par la covid-19 et le certificat de rétablissement à la suite d’une contamination par la covid-19.

On retiendra donc que la loi prévoit un décret pour remplir deux objets principaux :

  • expliquer les schémas vaccinaux et le nombre de doses à recevoir pour être “conforme”
  • préciser dans quelle condition les employeurs sont informés du statut vaccinal sans violer le secret médical. 

Le décret du 7 août dispose ceci :

« Art. 49-1.-Hors les cas de contre-indication médicale à la vaccination mentionnés à l’article 2-4, les éléments mentionnés au second alinéa du II de l’article 12 de la loi n° 2021-1040 du 5 août 2021 susvisée sont :
« 1° Un justificatif du statut vaccinal délivré dans les conditions mentionnées au 2° de l’article 2-2 ;
« 2° Un certificat de rétablissement délivré dans les conditions mentionnées au 3° de l’article 2-2 ;
« 3° A compter de la date d’entrée en vigueur de la loi et jusqu’au 14 septembre 2021 inclus et à défaut de pouvoir présenter un des justificatifs mentionnés aux présents 1° ou 2°, le résultat d’un examen de dépistage, d’un test ou d’un autotest mentionné au 1° de l’article 2-2 d’au plus 72 heures. A compter 15 septembre 2021 et jusqu’au 15 octobre 2021 inclus, ce justificatif doit être accompagné d’un justificatif de l’administration d’au moins une des doses d’un des schémas vaccinaux mentionnés au 2° de l’article 2-2 comprenant plusieurs doses.
« Les seuls tests antigéniques pouvant être valablement présentés pour l’application du présent 3° sont ceux permettant la détection de la protéine N du SARS-CoV-2.
« La présentation de ces documents est contrôlée dans les conditions mentionnées à l’article 2-3.

On le voit, l’essentiel du décret consiste à… répéter la loi, sans rien y ajouter. Dans ces conditions, le décret semble d’autant plus attaquable qu’il était supposé être rendu sur avis de la Haute Autorité de Santé. Or, comme l’indiquent les visas du décret, celle-ci n’a rendu qu’un seul avis postérieur à la loi : sur les tests auto-géniques. Elle ne s’est pas exprimée sur le schéma vaccinal nécessaire à respecter. Le décret est donc entaché d’illégalité. 

Le décret est-il annulable devant le Conseil d’Etat ?

De notre point de vue, cette réduction du décret d’application à un simple renvoi à la rédaction de la loi, avec un avis très insuffisant (et de pure forme) de la Haute Autorité de Santé, est un motif d’illégalité du décret… et de la loi elle-même. En effet, l’intervention du décret, selon les termes de la loi elle-même, vise à éclaircir les conditions d’application de la loi sur un point très sensible : la conciliation du secret professionnel et de la déclaration vaccinale. 

En restant muet sur ce point, le décret pèche par inaction de l’exécutif et met en danger les libertés fondamentales. Il nous semble donc qu’il y a là, en complément d’un recours contre une décision de suspension prise sans garanties disciplinaires, un motif pour demander l’annulation du décret et affaiblir l’obligation vaccinale. 

Que faire concrètement ?

Ceux qui voudraient se prévaloir de l’incapacité du gouvernement à définir des règles telles que la loi les a prévues ont une vraie possibilité d’ébranler l’édifice juridique qui a conduit à l’obligation vaccinale en mettant en avant l’inaction du pouvoir réglementaire. Pour ce faire, il faut profiter d’un recours devant un tribunal de première instance pour enrichir ses griefs d’une mise en cause de la qualité du décret. 

La mise en cause de l’illégalité du décret obligera les tribunaux à se prononcer. 

Plus subtile, cette mise en cause d’un système où la loi invite à prendre un décret qui se contente de renvoyer à la loi sans rien lui ajouter, sur un sujet aussi sensible que le secret médical, peut conduire à soulever une question prioritaire de constitutionnalité devant le Conseil Constitutionnel… Une procédure encadrée, mais qui peut se relever gagnante, dans la mesure où la question est nouvelle et sérieuse, et où le Conseil Constitutionnel, redisons-le, n’a pas traité cette question dans sa décision du 5 août. 




Des journalistes présentent leurs 10 théories du complot préférées les plus fausses et les plus débiles

Par Nicolas Bonnal

Nous vivons une époque où les débiles vous accusent de débilité. Après Kaboul nos mabouls s’en donnent à cœur joie. Un canard féminin résume ces théories :

1. Bill Gates aurait créé ce virus pour vacciner la population mondiale et lui implémenter une micro-puce dans la foulée. Le fondateur de Microsoft a été contraint de démentir, tant les vidéos l’accusant de vouloir «contrôler les masses» sont devenues virales. Les accusations sont parties de conférences datant de 2015, et repartagées, dans lesquelles le milliardaire annonçait que le monde n’était pas prêt pour la prochaine épidémie. Il faisait référence à Ebola.

2. Il s’agirait d’un programme d’armes biologiques chinois, conçu dans le laboratoire de Wuhan, d’où l’épidémie est partie. La moitié des adhérents veulent que la propagation soit un acte volontaire, l’autre moitié parlant plutôt d’un accident.

3. En Chine aussi, on accuse les autres pays d’être responsables du virus, dont… les Etats-Unis, qui l’auraient créé pour «cibler précisément le peuple chinois». En mars, l’ambassadeur chinois à Washington
a été convoqué par le gouvernement américain pour s’expliquer.

4. Après la chauve-souris et le pangolin, le raton laveur est aussi devenu persona non grata, puisque, en anglais, racoon est l’anagramme de corona. De plus, il passe son temps à se laver les mains et porte un masque…

5. La mouvance d’extrême droite américaine QAnon a affirmé que Donald Trump avait planifié la pandémie pour ordonner un confinement. Il aurait eu pour but de procéder à une «arrestation massive de pédophiles, de politiciens, de personnalités comme Tom Hanks ou Hillary Clinton et d’acteurs hollywoodiens».

6. Selon certains, la 5G propagerait le virus; selon d’autres, elle serait même à l’origine du virus. Des antennes ont été détruites aux Pays-Bas et au Royaume-Uni où ces théories sont très populaires.

7. Dans un post Facebook viral, des internautes avancent que Nostradamus avait prédit la pandémie. Or, les textes partagés… n’ont jamais été écrits par l’auteur français.

8. La Corona a été désertée par les amateurs de bières – on n’est jamais trop prudent, n’est-ce pas. Un sondage publié en mars aux Etats-Unis a montré que 38% des sondés ne boiraient plus de Corona. Parmi eux, 16% soupçonnent un lien entre le virus et la bière. Quand le Covid était encore un sujet de plaisanterie, en janvier et février, les ventes de Corona avaient augmenté de 5%.

9. Par peur de se faire griller les neurones par les pistolets thermomètres (ce qui évidemment n’arrive pas), au Mexique, les clients des magasins ont réussi à faire plier les vigiles: ces derniers prennent désormais leur température au poignet.

10. Fake news encore, des recettes permettraient de se prémunir contre le virus, parmi lesquelles se laver à l’huile de sésame ou à l’urine d’enfant, manger de l’ail ou du foie de bœuf, boire de la Javel (attention, ce peut être mortel), du jus de fenouil ou de gingembre.

On commente ?

https://www.femina.ch/societe/actu-societe/comment-parler-a-un-ami-complotiste?


[NDLR en comparaison, voici quelques éléments factuels :

  • La plupart des pays du monde (194 pays membres) s’en remettent à l’OMS pour ce qui concerne la gestion des pandémies et d’autres phénomènes médicaux supposés de grande ampleur, ceci du fait de leur adhésion signée à cet organisme.
  • Bill Gates est le plus grand contributeur privé au financement de l’OMS, loin devant la plupart des pays
    (voir notamment 
  • Lors de l’épidémie initiale de Covid, la Grippe a pratiquement disparu des radars.
  • La 5G a été initialement installée à Wuhan, en Corée du Sud et Saint-Marin, pays qui ont vu naître l’épidémie.
  • Le Laboratoire P4 de Wuhan a été financé en partie par la France (par le biais de l’Institut Pasteur). Ce laboratoire travaillait sur des coronavirus issus notamment de chauves-souris
    (voir : 
  • L’OMS a recommandé initialement les mesures sanitaires Covid-19 reprises en chœur par la plupart des pays membres, sans preuve scientifique suffisante de leur validité et alors que jamais dans l’Histoire humaine de telles mesures n’avaient été prises (distanciation sociale, port du masque obligatoire, confinement de biens portants, etc.).
  • Les courbes de mortalité des différents pays ne montrent généralement aucune incidence favorable de ces mesures sur l’évolution de la situation (voir notamment les données de l’OMS et OurWorldinData).
  • Une pandémie très similaire a été simulée quelques semaines avant celle attribuée à la Covid-19, lors de lEvent 201 en fin 2019.
  • Il existe des composants biologiques minuscules d’aspect similaire dans les cellules humaines et animales, dont certains sont appelés « endosomes » (ou « exosomes » lorsqu’ils en sortent) et d’autres « virus » ou « rétrovirus » et dont on ne connaît pas en toute certitude la fonction ou les fonctions exactes.
  • Alors que l’hypothèse d’une origine humaine du SRAS-CoV-2 était décriée pendant près d’un an comme étant purement « complotiste », bien qu’elle soit soutenue comme hautement probable par le Professeur Montagnier et quelques autres sommités, elle circule maintenant sur les médias mainstream en tant qu’hypothèse réaliste et assez probable, surtout depuis que le gouvernement américain a commencé à investiguer sur cette question.
  • Les symptômes attribués à la maladie Covid-19 sont le plus souvent
    (voir Maladie à coronavirus (COVID-19) : Symptômes et traitement — Canada.ca) :
    • apparition ou aggravation de toux
    • essoufflement ou difficulté respiratoire
    • température égale ou supérieure à 38 °C
    • sensation de fièvre
    • frissons
    • fatigue ou faiblesse
    • douleurs musculaires ou courbatures
    • perte de l’odorat ou du goût
    • mal de tête
    • symptômes gastro‑intestinaux (douleur abdominale, diarrhée, vomissements)
    • malaises intenses.
  • Les symptômes attribués aux ondes pulsées (Wi-Fi, Bluetooth, 3G, 4G, 4G+…), similaires à ceux attribués à d’autres agents tels que chimiques en raison notamment des phénomènes de résonance et d’induction électromagnétique qui peuvent être induits par ces ondes à des fréquences particulières correspondant aux fréquences propres (notamment d’absorption) de ces agents
    (voir Diagnostic, traitement, ressources — ASEQ-EHAQ) :
    • Symptômes neurologiques : maux de tête, vertiges, nausées, difficultés de concentration, perte de mémoire, irritabilité, dépression, anxiété, insomnie, fatigue, faiblesse, spasmes musculaires, altération des réflexes, douleurs articulaires, douleurs dans les jambes, fièvre, ainsi que des symptômes plus sévères pouvant inclure des paralysies ou encore des psychoses.
    • Symptômes cardiaques : palpitations, arythmie, douleur dans la poitrine, modification de la pression sanguine, modification du rythme cardiaque, manque de souffle.
    • Symptômes respiratoires : sinusites, bronchites, pneumonies, asthme.
    • Symptômes dermatologiques : rougeurs, démangeaisons, sensation de brûlure.
    • Symptômes ophtalmologiques : douleurs et sensations de brûlure, tension oculaire, détérioration de la vision, cataracte.
    • Autres symptômes : problèmes digestifs, douleur abdominale, problème de thyroïde, douleurs aux ovaires ou aux testicules, sécheresse de la bouche, de la langue, des yeux, grande soif, déshydratation, saignements du nez, saignements, modification dans l’assimilation de sucre, problèmes immunitaires, perte de cheveux, douleurs dans les dents, détérioration des sens, perte d’odorat, bourdonnement dans les oreilles.
  • Symptômes grippaux 
    (voir Les symptômes et l’évolution de la grippe:
    • une forte fièvre (autour de 39 °C) ;
    • des frissons ;
    • une fatigue intense (asthénie), une sensation d’abattement avec perte d’appétit ;
    • des douleurs musculaires (courbatures) et articulaires diffuses ;
    • des maux de tête (céphalées) ;
    • puis une toux sèche et douloureuse.
  • Symptômes de l’action de la protéine Spike des « vaccins » à ARNm et du SRAS-CoV-2 
    (voir : SARS-CoV2 : alertes sur les potentialités toxiques de la protéine Spike (francesoir.fr)):
    • microthromboses et saignements, etc.
  • Ondes électromagnétiques et corps humain
    • Le Wi-Fi, la 3G, la 4G, la 4G+, la 5G, etc. sont des ondes électromagnétiques pulsées.
    • Le corps humain est aussi de nature électrique (influx nerveux et neuronaux, courants électriques dans les mitochondries pour la transformation du glucose en ATP, etc.) et magnétique (présence de magnétite dans les cellules).
    • Même à très faible intensité, les cellules humaines peuvent subir des effets de la part des ondes électromagnétiques (spécialement lorsqu’elles sont pulsées, à cause de l’équivalence des impulsions et de la superposition d’un très grand nombre d’ondes de fréquences différentes — cf. la transformée de Fourier d’un pic de Dirac), ceci notamment par les phénomènes physiques de résonance et d’induction magnétique :

]




« Je n’ai jamais aimé l’idée de dire aux gens de montrer leurs papiers » : l’Angleterre dit « non » au pass sanitaire

[Source : lindependant.fr]

Le ministre de la Santé britannique a annoncé ce dimanche que le projet de passeport vaccinal envisagé notamment pour entrer en discothèque était abandonné.

« Je n’ai jamais aimé l’idée de dire aux gens de montrer leurs papiers (…) pour faire ce qui est simplement une activité courante », a expliqué Sajid Javid ce dimanche sur la BBC, rapporte BFMTV.

Le ministre de la Santé a ainsi décidé d’enterrer son projet d’introduire un passeport vaccinal pour les discothèques et les grands évènements, comme les stades. Le gouvernement le juge désormais inutile en raison du succès de la campagne de vaccination.

« Nous l’avons considéré comme il se doit, et tandis que nous devrions le garder en réserve comme une option potentielle, je suis ravi de dire que nous n’allons pas poursuivre avec notre projet de passeport vaccinal », a-t-il ajouté.

81% de personnes complètement vaccinées

Le gouvernement britannique avait pourtant réaffirmé cette semaine son intention de créer un tel passeport vaccinal et s’était d’ailleurs attiré les foudres des professionnels du secteur de la nuit et de nombreux députés, qu’ils soient de la majorité ou de l’opposition.

Malgré un nombre quotidien de contaminations toujours élevé, le ministre de la Santé estime que le pays peut se passer d’une telle mesure grâce à son taux de vaccination très élevé. Près de 81% de la population de plus de 16 ans dispose d’un schéma vaccinal complet.

Chaque nation du Royaume-Uni disposant néanmoins d’un droit de légiférer sur les restrictions anti-Covid, le gouvernement écossais a lui décidé d’introduire, dès le 1er octobre, un certificat de vaccination pour accéder aux discothèques et à certains événements.

N.M./lindependant.fr




Éviction de Zemmour : Patrick Cohen est lui (parmi d’autres) « sorti du cadre » depuis longtemps

Par Lucien Samir Oulahbib

Sur quoi, tout d’abord, s’appuient tous nos prétentieux prétendants concernant maints sujets, dont C.19 ? Sur le même type d’arguments qu’ils avancent pour dénigrer les traitements précoces en disant que même s’ils marchent ici et là ils ne sont pas nécessaires.

Ainsi un placebo ou une aspirine suffirait pour « soigner » 98 % des gens touchés. Les médecins de plateau s’en délectent : c’est « bénin » pour la plupart de la population, dixit également Google(([1] Cf. ce lien (voir sous la carte mondiale des cas Covid-19) )) en se référant à l’OMS :

« La majorité des personnes atteintes de la Covid-19 ‎ne ressentiront que des symptômes bénins ou ‎modérés et guériront sans traitement particulier ».

Et comme les trois milliards de personnes qui se sont faites injectées vont bien (balayant d’un revers de main les effets secondaires et les morts de cette expérimentation mondiale), tout ce branle-bas de combat concernerait en fait seulement ces fameux « 2 % » qu’il faudrait à tout prix protéger en amont en empêchant de les infecter ou en les injectant massivement, alors que la contamination ne veut pas dire maladie et que la prise de traitements précoces montre empiriquement que celle-ci les protège bien plus que l’injection. D’innombrables exemples le prouvent, mais évidemment placés sous l’aune de la concomitance, comme ces EHPAD et monastères plus touchés mortellement depuis qu’ils ont fait l’injection qu’avant…

De plus, on peut fort bien renverser cet argument qui relativise la portée des traitements précoces. Pour la plupart des personnes en bonne santé, l’injection d’une partie du virus est sans doute immédiatement détruite par leur système immunitaire. Elle ne leur sert donc à rien (sauf à montrer patte blanche), mais s’avère nuisible à certains, au vu des effets secondaires et des morts, en particulier pour ceux qui, bien que jeunes, ont des malformations génétiques et/ou des comorbidités, du moins lorsqu’ils ont un système immunitaire déficient.

Quelle est alors la réaction d’ensemble d’un Patrick Cohen, déjà lorsqu’il s’en était pris à Raoult ? Précisément, le fait que ce dernier souligne ce caractère « bénin » (OMS, supra) nécessitant plutôt de tester, soigner, isoler les personnes malades et ce de façon précoce (afin d’éviter les séquelles) tout en avançant que les jeunes ont en effet bien plus de risques de mourir d’un accident de la route, y compris de « trottinette électrique » que de cette maladie « bénigne ». Ensuite, lorsque ce même Patrick Cohen (suffisant à souhait) critique dernièrement le dénommé Véran, c’est bien moins pour souligner les déficiences, de plus en plus criantes, de leur « thérapie génique » (exclusive) que de lui signifier robotiquement, à l’instar d’un responsable australien ou néo-zélandais (ou d’un démocrate US, ou d’un sénateur PS français) la « stagnation » du taux d’injection (car il l’avait félicité au contraire du niveau tout de même atteint au préalable). Il présuppose ainsi que ce serait là le facteur clé. D’où la hargne, rentrée, contre les supposés « antivax » qui seraient, eux, les principaux responsables de la persistance virale, bien sûr, ce qui reste évidemment faux au regard des chiffres réels (et où en sont les « clusters » ?). Sans parler de ce qui se passe à l’étranger (qui sont les « non-vaccinés en réa » en réalité ? Nul ne le sait hormis les effets d’opérette habituels : ici un jeune, là une femme enceinte, sans que l’on en sache plus sur leur cas, toujours singulier, mais, en Israël, les choses ne se précisent-elles pas un peu plus, oui ou non ?…).

S’agissant maintenant des autres sujets sur lesquels un Patrick Cohen (parmi mille [animateurs], tels Ruquier, Apathie, Salamé…) « sort du cadre » (expression qu’il a utilisée contre Zemmour) depuis longtemps, il s’agit (tout à l’avenant) de ces problèmes de taille qui sont systématiquement minorés ou mis sur le tapis, comme l’impossibilité de lire uniquement de manière démographique les entrées et sorties migratoires, les financements illégaux de lieux de culte islamique sous couvert de lieux culturels, le tout afin de continuer pour des fins clientélistes à placer sous cloche spirituelle des populations qui ont précisément fui les contrées régies par l’islam. Sans parler du caractère délétère de l’enseignement de ce dernier et du silence abyssal quant à sa propre colonisation en Afrique (du Nord), en Asie, en Inde, toutes choses que Zemmour critique et dénonce en tant qu’éditorialiste, une profession reconnue comme faisant partie du corps journalistique, semble-t-il, et que Patrick Cohen ne se prive pas, lui, d’utiliser pour brocarder un Trump, une Le Pen, etc.,etc. Un temps de parole qu’il faudrait décompter aussi, ou additionner, c’est selon (Zemmour n’étant toujours pas candidat, pourquoi une telle attaque préventive qui s’avère inconstitutionnelle ? Vous avez quatre heures [pour répondre]…).

Est-ce que pour autant et ce faisant Zemmour « sort du cadre républicain » ? Ce n’est pas à un Patrick Cohen de le juger, même s’il peut le dire, ce qui n’est pas la même chose. En tout cas Patrick Cohen sort du cadre français, lui, et en particulier du cadre voltairien. Ne remontons pas plus haut. L’Histoire n’est, semble-t-il, pas son fort.

Aussi, au final (et pour la route), quand une radio comme Europe 1 glougloute parce que Google aurait « démonétisé » FranceSoir, ce « site de désinformation » écrit-elle, on comprend pourquoi Patrick Cohen l’aura quitté lors de cette rentrée : il craignait qu’elle n’aille pas assez loin dans l’épuration, la désinfection des idées « nauséabondes ». C’est chose faite. Patrick Cohen peut donc y revenir tranquillement (en attendant à nouveau F.I, qui sait ?…).

Reste aussi la nécessité de brûler le(s) dernier(s) livre(s) de Zemmour en place de Grève. Les soumis Canadiens ont montré la voie.




Appel aux parents européens : exigez le retrait de l’autorisation des vaccins Covid de Pfizer pour les enfants de 12 ans et plus

[Source : Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu)]

Date limite : 15 septembre 2021
Action : participer en tant qu’intervenant à l’action en justice visant à annuler l’autorisation par l’UE du vaccin Pfizer/BioNtech pour les enfants âgés de 12 ans et plus. 
Conditions de candidature : parent d’un enfant dans l’Union européenne 
Coûts : aucuns frais pour la demande
Détails de l’affaire et formulaire de demande : voir à la fin de cet article.

En Italie, à partir du 6 août, les enfants de plus de 12 ans devront être munis d’un « laissez-passer vert » ou d’un certificat Covid pour accéder aux restaurants, aux installations sportives et culturelles couvertes et même pour fréquenter l’école dès la rentrée.

La présente demande d’annulation découle du fait qu’en pratique, cette mesure introduit de facto une obligation vaccinale  pour les enfants et constitue un danger imminent pour leur santé.  Le recours est dirigé contre la Commission européenne, car elle a délivré une autorisation de mise sur le marché conditionnelle centralisée pour le vaccin, qui ne nécessite pas de décision supplémentaire de la part des États membres (en l’occurrence le gouvernement italien, mais c’est la même chose pour les autres états).

Les enfants en bonne santé ont un risque ZÉRO d’infection par le virus Sars-Cov-2.  Par conséquent, il ne peut y avoir de rapport risque-bénéfice positif pour les enfants, en particulier lorsqu’il s’agit d’injecter une substance basée sur une thérapie génique expérimentale

Les preuves scientifiques citées dans la plainte montrent également que :

Le Covid peut être traité
La transmission asymptomatique n’est pas réelle
Le vaccin Covid n’a aucune efficacité
Il n’y a pas de dosage spécifique du vaccin pour les enfants ; ils auront une injection plus puissante
La coagulation/coagulation sanguine liée à l’utilisation de la protéine spike a été observée comme un effet indésirable dangereux.
Contrairement aux affirmations de Pfizer, la substance injectée ne reste pas dans le bras mais se répand dans tout le corps et s’accumule dans des zones fragiles comme le cerveau, le cœur, les reins et les organes génitaux.

Renate Holzeisen a intenté cette action au nom de familles italiennes qui s’opposent aux autorisations de mise sur le marché qui ont été délivrées dans l’UE pour les vaccins Comirnaty (Pfizer/BioNTech). Bien que les plaignants dans cette affaire soient italiens, tout Européen ayant des enfants peut participer à cette action en justice en tant qu’intervenant. En termes juridiques, un intervenant est une personne qui n’est pas impliqué directement dans le procès en cours mais qui s’y associe en se joignant au plaignant ou en s’unissant au défendeur pour résister aux revendications du plaignant.

La participation à cette action en justice est gratuite et les participants ne risquent pas d’être tenus financièrement responsables en cas de perte du procès.

Les personnes qui souhaitent devenir intervenants doivent fournir une copie de leur pièce d’identité et une preuve d’inscription dans leur profession à l’avocat coordinateur de leur pays – pour la France vous pouvez contacter la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations  (cliquer ici pour l’adresse concernant cette action) – qui remplira les documents fournis par Maître Holzeisen et enregistrera leur participation.

Pour plus d’informations, veuillez lire l’article ci-dessous. Les formulaires de demande sont disponibles en plusieurs langues sous l’article. Si vous avez besoin des documents dans une langue qui ne figure pas dans la liste, veuillez nous contacter.

La date limite de participation est le 15 septembre 2021.

Vous pouvez lire le texte intégral de l’action en justice ici et regarder une interview de l’avocate Renate Holzeisen ici.

Les parents participants peuvent demander à un avocat européen inscrit au Tribunal e-curia d’introduire une demande d’intervention au titre de l’article 142 du règlement de procédure du Tribunal.

Si la demande est acceptée, le Tribunal admettra le demandeur en tant qu’intervenant, ce qui lui permettra de soutenir l’action et d’assister à toute audience.

La demande doit être déposée en allemand – la langue du recours – dans les six semaines suivant la publication du recours au Journal officiel de l’Union européenne. L’avocat Holzeisen a préparé un projet de demande en allemand mais tous les documents sont également disponibles en plusieurs langues.   Les intervenants potentiels doivent remplir le formulaire et joindre une preuve de leur capacité professionnelle à un avocat national qui examinera les documents et déposera ensuite une demande en leur nom auprès du tribunal de l’UE. Les avocats peuvent demander une inscription temporaire au barreau européen, auquel cas ils auront un accès de 48h pour déposer les documents.

Les intervenants et les avocats ayant besoin d’une assistance supplémentaire peuvent contacter le bureau de l’avocat Holzeisen par courriel.

Historique des actions précédentes : Quatre actions, une pour chaque vaccin autorisé, ont déjà été intentées par l’avocate italienne Renate Holzeisen pour défendre les droits des travailleurs de la santé du nord de l’Italie.

Les travailleurs de la santé italiens ont demandé l’aide de l’avocate Holzeisen après que leur gouvernement leur a demandé d’accepter les vaccins expérimentaux du candidat Covid ou de quitter leur emploi. L’avocat Holzeisen conteste les licences accordées par la Commission européenne dans sa décision d’exécution du 21 décembre 2020 pour l’utilisation de ces produits au sein de l’UE.


DISPONIBLE pour le TÉLÉCHARGEMENT (cliquez sur la langue choisie pour télécharger le PDF) :

Recours en annulation pour le vaccin Comirnaty (Pfizer/BioNTech) :
ANGLAIS / ALLEMAND / FRANÇAIS




3 mois avant le COVID, l’Union mangeait la soupe du vaccin servie par Bill Gates et Big Pharma

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

par Éric Verhaeghe

La Commission Européenne n’a pas attendu le COVID pour promouvoir les ventes de vaccins fabriqués par Big Pharma. Il s’agit probablement d’un élément-clé, passé sous les radars, qui explique dans quelle condition la Commission est devenue la meilleure cliente des Pfizer, Moderna et AstraZeneca à l’occasion de l’épidémie de COVID. Dès septembre 2019, la Commission organisait le premier Global Vaccination Summit (le Sommet Mondial de la Vaccination), en partenariat avec l’OMS… et l’industrie du vaccin, dont la fondation Bill Gates est l’un des piliers. C’était trois mois avant le début d’une épidémie qui constitue un formidable accélérateur de profit pour toute une filière d’activité.

La Commission Européenne est-elle le meilleur véhicule publicitaire pour l’industrie du vaccin ? Cette question, taboue depuis l’éclatement de l’épidémie de COVID, mérite probablement d’être largement approfondie, tant les frontières semblent poreuses, depuis plusieurs années, entre les “politiques” européens et les intérêts industriels. 

Nous en voulons pour preuve ce révélateur “Global Vaccination Summit” du 12 septembre 2019, organisé conjointement entre la Commission Européenne, l’Organisation Mondiale de la Santé, et l’industrie pharmaceutique.

Parmi celle-ci, on retrouve notamment l’institut Pasteur, le groupe Pfizer, et deux fleurons de cette industrie qui gagnent à être connus : le GAVI (sur lequel nous reviendrons) et la Fondation Gates. 

La Commission Européenne et la religion du vaccin

On relèvera que cette grand-messe (c’est le cas de le dire), comportait des tables rondes qui ne font pas mystère de la sacralisation religieuse du vaccin. La table ronde de 10h30, par exemple, intitulée “In Vaccines we trust”, illustre à merveille le remplacement de Dieu par la petite fiole supposée sauver le monde. Il est amusant de constater que l’un des intervenants de cette table était un salarié de Facebook.

La deuxième table ronde s’intitulait : “la magie de la science”. L’expression là aussi est révélatrice de la dimension surnaturelle dont l’industrie du vaccin entend revêtir ses produits pour mieux les vendre. La troisième table ronde, intitulée “les vaccins protègent tout le monde en tous lieux” n’hésite pas à évoquer une sorte d’omniprésence divine. 

Nous retrouvons ici les deux phénomènes auxquels le COVID nous a accoutumés : d’une part, le vaccin est un culte religieux monothéiste, d’autre part, il est porté par une caste sous influence protestante blanche d’Amérique du Nord, praticienne quotidienne de l’altruisme efficace. Vendre des vaccins sauve l’humanité et enrichit les fabricants : c’est le monde idéal. 

Un intense lobbying de Bill Gates

Il se trouve que cette ode universaliste au vaccin n’a pas été déclamée spontanément. On peut même dire qu’elle a fait l’objet d’un intense lobbying de la part de la galaxie Bill Gates depuis plus d’une décennie. 

Ainsi, on trouve dans la presse britannique cet article évocateur dès 2011 : “Bill Gates confiant pour un sommet mondial de la vaccination”. Il est amusant de voir le professionnalisme, la constance, la détermination de Bill Gates et des fabricants de vaccin à mettre en oeuvre leurs projets. Ce sommet mondial de la vaccination tenu au plus haut niveau européen (et non américain) aura mis dix ans à éclore. Mais il aura éclos. 

On ne pouvait donner meilleur exemple de l’efficacité de l’industrie pharmaceutique dans le domaine du lobbying. Rassembler la Commission européenne (y compris la représentante de l’Union Mogherini), l’OMS et de nombreuses personnalités politiques autour de la défense de leurs intérêts, en endossant tous leurs éléments de langage, chapeau !

Multilatéralisme et industrie du vaccin

L’organisation de ce sommet sous l’influence de l’industrie pharmaceutique nous éclaire sur un aspect mal compris du Great Reset : l’importance du multilatéralisme pour la défense des intérêts industriels, notamment dans le domaine pharmaceutique. Il est évidemment plus facile d’influencer une seule institution qui chapeaute un marché de 300 ou 400 millions de clients potentiels, plutôt que 27 gouvernements dont certains dirigent des territoires lilliputiens. 

Rappelons que, progressivement, c’est l’Agence Européenne du Médicament (EMA) qui a centralisé les autorisations de mise sur le marché conditionnelles pour les Etats-membres en cas d’épidémie. Ce dispositif a notamment été appliqué pour l’épidémie de H5N1 en 2009. La Commission constitue donc une cible de choix pour les grandes entreprises mondialisées qui veulent bénéficier de protections réglementaires pour écouler leurs produits sans concurrence. 

On remarquera qu’elle a fini par officialiser ses liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique. 

Le rôle du GAVI et de Bill Gates

Dans l’entrelacs des lobbies industriels au service du vaccin et de la vaccination tous azimuts, on trouve une structure discrète, mais particulièrement intéressante : le GAVI (Vaccine Alliance). Pour comprendre de quoi il s’agit, il suffit de consulter ce schéma publié sur le site de l’Alliance, et qui illustre la politique d’influence déployée par l’industrie vaccinale :

Les initiés du lobbying comprennent immédiatement le sens de ce schéma : il explique que le GAVI est une structure d’influence conduite par la fondation Bill Gates, entremêlant les intérêts publics et privés, notamment l’Unicef, l’OMS, la Banque Mondiale, les chercheurs et l’industrie vaccinale. On pourrait qualifier ce genre d’organismes de “cheval de Troie” chargé d’unifier les industriels du vaccin derrière des campagnes “ciblées” (sur les pouvoirs publics s’entend) de promotion de l’image du vaccin lui-même. 

Une épidémie qui tombe à pic

On comprend que, après 10 ans d’efforts pour obtenir le soutien officiel de la Commission Européenne dans la promotion du vaccin comme religion universelle, les industriels aient jubilé lorsque l’épidémie de COVID a éclaté. Pour l’instant, nous ne savons pas encore tous les tenants et aboutissants sur l’extrême réactivité de certains laboratoires dès le début de l’épidémie. Mais un fait est certain : la stratégie du tout-vaccin déployée par la Commission européenne n’a pas été improvisée après l’apparition de l’épidémie. Elle était préparée depuis longtemps.

On peut féliciter les laboratoires et Bill Gates pour leur travail d’anticipation. Reste que… malgré les écrans de fumée d’une presse subventionnée aux ordres, il serait bon de démystifier le vaccin et de démonter les processus d’influence qui ont transformé les politiques publiques en santé en hyper-marché des grands laboratoires.




Lettre ouverte et pétition nationale de soutien au Dr Amine UMLIL

[Source : Vigilance Pandémie (vigilance-pandemie.info)]

13 septembre 2021 / Commentaires ferméssur Lettre ouverte et pétition nationale de soutien au Dr Amine UMLIL

Le 15 septembre prochain, le Dr Amine UMLIL, responsable de l’unité de pharmacovigilance du centre hospitalier (CH) de Cholet et plusieurs professionnels de la santé et autres professionnels risquent la suspension de leurs fonctions avec une interruption immédiate de leur rémunération, et sans possibilité d’exercer une autre activité rémunérée.

La lettre ouverte ci-dessous constitue le fondement d’une pétition nationale de soutien à l’excellent travail de vigilance pharmacologique du Dr Amine UMLIL, et de protestation contre la menace de suspension de ses fonctions. Elle vient en complément d’un dépôt d’une requête en Référé liberté au tribunal administratif de Nantes demandant notamment la suspension en urgence de l’obligation vaccinale (contre la Covid-19), avec une QPC (question prioritaire de constitutionnalité) à titre subsidiaire et une question préjudicielle à titre encore plus subsidiaire. Elle fait également suite à la suppression abusive et scandaleuse de la page web du Centre Territorial d’Information et d’Avis Pharmaceutiques (CTIAP), jusqu’alors incluse dans le site du centre hospitalier de Cholet. Cet événement grave de par sa symbolique constitue le point d’orgue d’une campagne de harcèlement et d’intimidation contre la personne et le travail légitime de veille et d’information accompli par le Dr UMLIL au sein du CTIAP du centre hospitalier de Cholet. Par ailleurs, cette lettre ponctue elle-même une série de lettres ouvertes du Dr UMLIL, qui pour la grande majorité sont restées sans réponses :

–    la première était adressée au Ministre des solidarités et de la santé, M. Olivier VERAN, et l’interpellait sur l’illégalité du projet de vaccination obligatoire, lettre restée sans réponse ;

–    la seconde invitait son contradicteur, le Dr Jean-Michel DEBARRE, à un débat télévisé public à une heure de grande écoute. Cette seconde est également restée sans réponse et n’a même pas, du reste, été relayée par le Courrier de l’Ouest, comme s’il y avait une volonté manifeste d’enterrer à tout prix le débat scientifique et de faire taire les voix dissidentes courageuses. En tout état de cause, il est certain qu‘un refus de débattre publiquement peut être interprété, comme l’écrit le Dr UMLIL, “comme une reconnaissance du bien-fondé de l’intégralité de [m]ses réflexions publiées” ;

–    la troisième lettre ouverte adressée à la direction du centre hospitalier de Cholet marquait une étape supplémentaire dans le combat du Dr UMLIL pour faire triompher la science, la raison et le droit contre la pseudoscience, la folie, les mensonges, les conflits d’intérêt et collusions entre les groupes pharmaceutiques, le monde politique et les organismes de santé publique. Il y révélait les jacasseries, puérilités et mesquineries d’un directeur d’hôpital davantage effrayé par les insinuations de “complotisme” d’un critique anonyme sur Twitter que par les avertissements d’un scientifique professionnel qualifié au sujet de l’illégalité de l’obligation vaccinale et des effets indésirables potentiels des vaccins. Il y révélait de savoureux détails sur des pratiques inimaginables dans un établissement hospitalier qui datent d’une époque révolue et montrent les dessous de la “science” officielle.

Dans cette lettre ouverte, nous présentons l’activité de vigilance pharmacologique et argumentons sur un de ses apports déterminants lorsqu’elle est exercée librement, c’est-à-dire dans un climat de confiance réciproque avec le système. Nous mettons ensuite en avant la contribution particulière du CTIAP avec à sa tête le serviteur exceptionnel de son métier en la personne du Dr Amine UMLIL. Les obstacles rencontrés lors de ce service de vigilance sont énumérés et étayés de façon à permettre au lecteur d’évaluer le niveau de déstabilisation et de sabotage subis. Finalement, un appel légitime au soutien du Dr Amine UMLIL est lancé, manifesté par la signature d’une pétition.

Sur la nature de la pharmacovigilance et ses apports (en exercice libre) : cas de la Covid-19

Le travail de vigilance pharmacologique est essentiel pour un fonctionnement sain du système pharmaceutique. D’après la définition indiquée sur le site du ministère français des solidarités et de la santé, il “a pour objet la surveillance des médicaments et la prévention du risque d’effet indésirable résultant de leur utilisation, que ce risque soit potentiel ou avéré. Elle constitue une garantie qui s’exerce tout au long de la vie d’un médicament”.

Cela est simple à comprendre. Par exemple, lorsque m’approchant d’une destination identifiée, je n’en sais pas le chemin sur le dernier kilomètre, je peux me faire aider par un passant. Si ce dernier m’indique la direction, je me mets ensuite en marche dans cette direction suivant un ordre du cerveau à mes muscles ; mais ce sont mes yeux ou à défaut un bâton qui m’aident à détecter et contourner les obstacles plus ou moins dangereux pendant ce parcours. De façon analogue, les terminaisons nerveuses de la peau vous permettent d’éviter de vous brûler au troisième degré, même si prendre et transporter la tasse de thé chaud sont bien les gestes que vous aviez décidé de faire. Les fonctions de contrôle et de régulation des systèmes, parties intégrantes même de l’organisme, sont donc nécessaires et même vitales. Le système pharmaceutique ne fait pas exception.

L’un des impacts majeurs de ce travail de pharmacovigilance est de générer la confiance des usagers dans le bon fonctionnement de l’écosystème pharmaceutique. Les tensions actuelles qui traversent notre nation illustrent intensément les menaces graves que fait peser l’étouffement ou le dysfonctionnement de tout mécanisme régulateur – générateur de confiance – sur l’équilibre sociétal. Voici un échange entre le Courrier de l’Ouest et le directeur du CH Cholet, datant de décembre 2020, rapporté par le Dr UMLIL et concernant la 7e réunion d’information indépendante destinée au public. Elle portait justement sur le sujet des vaccins contre la Covid-19. Cet échange expose la pertinence de l’activité du CTIAP comme instrument de vulgarisation dans le contexte actuel :

« Bonjour,

Nous avons pris connaissance de l’organisation d’une soirée d’information du CTIAP jeudi prochain autour des questions liées à la vaccination contre le Covid-19. Sujet qui intéresse évidemment nos lecteurs. Dans le doute, faute de communication officielle de l’hôpital, peut-on savoir si la direction de l’établissement cautionne sa tenue ? (…) »

Courrier de l’Ouest.

“À cette question du journal, vous le directeur avez répondu ceci :

« Monsieur [un journaliste du Courrier de l’Ouest],

La vaccination est un enjeu majeur pour limiter, voire supprimer l’impact de la COVID. Le Centre Hospitalier de CHOLET souhaite la réussite des opérations de vaccination qui seront menées dès que les autorisations sanitaires indépendantes en France et en Europe auront validé ces vaccins. La réussite de ces opérations suppose l’adhésion et la confiance de la population, qui, passe par une information claire et transparente sur le sujet. C’est pourquoi l’initiative du CTIAP est la bienvenue. (…) »

Pierre VOLLOT, directeur du centre hospitalier (CH) de Cholet.

C’est certainement sur la confiance (légitime) en une information claire et transparente provenant de la pharmacovigilance que veut s’appuyer notre premier ministre, M. Jean CASTEX [JC, ci-dessous] lorsqu’il l’évoque dans cette interview :

– JC : Ce vaccin présente une certaine efficacité notamment pour les formes les plus graves de la maladie. Donc, nous avons un système qui s’appelle la pharmacovigilance où on suit cela de très près ; de façon extrêmement rigoureuse. Je peux vous assurer que si j’avais le moindre doute, si j’avais le moindre doute…

– Animateur : Vous demanderiez la suspension.

– JC : Absolument ! Parce que c’est mon devoir, c’est ma responsabilité. Mais à ce stade, il faut avoir confiance en ce vaccin.

Extrait à retrouver dans cette vidéo, à l’instant 17’15.

La question légitime que l’on serait naturellement porté à se poser est la suivante :

La pharmacovigilance française ou internationale a-t-elle à ce jour produit, agrégé et délivré une information claire et transparente relative aux solutions pharmaceutiques à la pandémie de Covid-19 ?

Nous croyons que les quelques éléments rapportés ci-dessous permettront au lecteur de pouvoir répondre sans ambiguïté à cette dernière question.

Rappelons, s’il en est besoin, que la résolution du volet sanitaire de la crise que nous vivons aujourd’hui se dessine à l’échelle mondiale autour d’une campagne quasi globale de vaccination, avec principalement des vaccins dits à ARN/ADN. Ces vaccins, divergeant du principe habituel de conception de vaccins, s’appuient sur l’émission de message ADN/ARN ordonnant à la machinerie de l’expression génique cellulaire de synthétiser massivement la protéine spike (qui caractérise le virus) ; une réponse immunitaire est ainsi forcée en réaction à cette apparition. Le principe habituel, consistant aussi à forcer une réponse immunitaire, la favorise par une injection d’un échantillon inoffensif du virus isolé, sans intrusion autoritaire dans la machinerie génique cellulaire.

Dans ce premier article, l’auteur(([1] Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherches au CNRS (Centre Méditerranéen de Sociologie, de Science Politique et d’Histoire.) )) élabore une surveillance des vaccins ARN/ADN au travers de leurs impacts relatifs sur la propagation du virus qu’ils doivent combattre. Il s’appuie sur des données nationales issues de sources étatiques ou d’organisations internationales officielles (compilées et traitées par ourworldindata.org, voir au bas de la page Web), et portant sur le nombre de personnes testées positives à la Covid-19 et le nombre de personnes décédées de la Covid-19. Ces données couvrent la période allant de décembre 2020 au 16 juillet 2021 – correspondant à la campagne globale de vaccination. Pour les 15 pays les plus vaccinés, ces données permettent une conclusion que l’on peut considérer comme une connaissance certaine :

La vaccination n’a pas empêché l’émergence de nouveaux cas ni la contamination, puisque des phases épidémiques tardives ont été observées dans les 15 pays les plus vaccinés (> 50 % de moyenne) à la date du 16 juillet 2021.

Cette conclusion et toutes celles que l’on peut tirer de ces données-là ouvrent le champ de réflexion sur d’autres interrogations, dont la question principale suivante : quelle est la proportion de vaccinés/non-vaccinés parmi les nouveaux cas ? Nous y revenons plus bas.

Dans un séminaire donné à l’Institut Hospitalier Universitaire (IHU) Méditerranée tenu le 29 juin 2021, le Pr Peter McCullough, qui a « traité des personnes de plus de 90 ans à la maison qui ont été malades, mais sans être hospitalisées », a rassemblé les données de plusieurs dizaines d’études ayant élaboré une surveillance de la valeur thérapeutique de plusieurs traitements anti-Covid : ivermectine et hydroxychloroquine pour les plus connus, mais également infusions d’anticorps anti-protéine spike, favipiravir, corticostéroïdes, colchicine, anticoagulants. Les méta-études (résumés synthétiques des études) concernant en particulier l’ivermectine et l’hydroxychloroquine révèlent les données suivantes :

Phase/Type d’essais Nombre d’essais Amélioration en %
IVERMECTINE pour Covid-19 au 26 août 2021
63 essais, 613 scientifiques, 26 398 patients
Traitement prophylactique 14 86
Traitement précoce 27 72
Traitement tardif 22 40
Nombre de décès survenus 25 58
Essai randomisé 31 58
HYDROXYCHLOROQUINE pour Covid-19 au 26 août 21
279 essais, 4555 scientifiques, 398 331 patients
Traitement précoce 30 65
Traitement précoce RCT 7 48
Traitement tardif 190 21
Nombre de décès survenus après traitement précoce 13 75
Essai randomisé 43 23

Les données présentées ont conduit le Pr McCullough aux conclusions suivantes :

  • La période de maladie avant l’hospitalisation est LA période favorable d’intervention.
  • L’hospitalisation et le traitement tardif correspondent à une sûreté faible des médicaments avec une mortalité intolérablement haute.
  • Le traitement ambulatoire précoce, réalisé séquentiellement avec un panache de médicaments a un profil bénéfice-risque positif (risques réduits d’hospitalisation et de décès.)

Relativement à ces traitements, le docteur Harvey Risch de l’université de Yale a affirmé dans un article-témoignage que la clé pour vaincre la Covid-19 existe déjà : il y mentionne de nombreuses études sur des traitements avec zéro mort sur des quantités importantes de patients à haut risque atteints de la Covid-19, et provenant d’Israël, des États-Unis, du Brésil. Il rapporte aussi qu’en Suisse, autour de la période allant du 27 mai au 11 juin 2020, un pic de 400 % du nombre de morts de la Covid-19 s’est intercalé entre une interdiction gouvernementale de prescription libre d’hydroxychloroquine et la levée de cette interdiction.

Justement, le Pr McCullough a aussi présenté des indicateurs qui permettent d’évaluer très objectivement les effets indésirables des vaccins à ARN/ADN. Sachant que par exemple, en 1976, la surveillance avait conduit à l’arrêt du programme de vaccination contre la grippe porcine après (seulement) 25 morts enregistrés, il est rapporté par le Pr McCullough les données suivantes :

Au 11 juin 2021, le VAERS [Vaccine Adverse Event Reporting System] – plateforme de collecte des événements adverses liés aux vaccins – affichait pour les seuls vaccins à ARN/ADN 5993 morts et 20 737 hospitalisations pour 358 379 signalements. En comparaison, le cumul de ces mêmes indicateurs avant les vaccins ARN/ADN produit une moyenne d’environ 158 morts par an pour 16 320 signalements annuels : ces dernières données portant sur un total de 70 vaccins différents et 500 millions d’injections. L’on peut donc observer, à part les hausses explosives des nombres absolus d’événements rapportés et de décès (2 200 % et 3 700 % respectivement), une hausse de 72 % de la proportion de décès parmi les événements rapportés.

Ces données ont conduit le professeur à la conclusion suivante :

Les vaccins à ARN/ADN ont un profil de sûreté défavorable, et ne peuvent dès lors pas être approuvés pour un usage clinique.

Cette conclusion est partagée par un très grand nombre de spécialistes de ce domaine, et s’appuie, comme mentionné précédemment, sur des dizaines d’études produites par des scientifiques du monde entier. Un article datant de mai 2021 présente les questions urgentes que posent 57 médecins et spécialistes de 17 pays différents, et met littéralement en demeure les régulateurs nationaux et internationaux de suspendre incessamment la campagne courante de vaccinations, afin de « commencer des évaluations critiques indépendantes » et un « dialogue pluraliste » portant sur des questions critiques nécessitant des réponses urgentes si l’on souhaite particulièrement « éviter une érosion à l’échelle mondiale de la confiance du public dans la science et dans la santé publique ». Et cette érosion ne menace pas seulement le grand public, mais s’attaque aux corps constituants du système médical et paramédical. À titre d’exemple, ce témoignage viral d’un sapeur-pompier lyonnais qui découvre avec beaucoup d’émotion que les nombreux AVC qu’il a observés récemment dans l’exercice de sa fonction « ont bien un lien avec » l’injection des vaccins à ARN/ADN, et qu’il n’y a « rien qui ne remonte » malgré le fait que les infirmières « alertent tout le monde »…

L’émergence de toutes ces données ainsi que les conclusions logiques qui en ont découlé ont conduit le Pr McCullough à entreprendre de les vulgariser largement, jusque devant une commission sénatoriale du Texas, aux États-Unis, dont la présidente a été directement impactée par le traitement et la guérison de son époux à domicile. Il s’est impliqué, avec des partenaires de l’Association des médecins et chirurgiens américains, dans l’édition – salutaire pour des milliers d’autres – du guide de traitement de la Covid-19 à domicile.

Sur les causes d’une pharmacovigilance qui dysfonctionne et ses graves conséquences

« La justice ne viendra pas à Athènes jusqu’à ce que ceux qui ne sont pas blessés soient aussi indignés que ceux qui sont blessés. »

Thucydides

En France, nous pourrions (presque) tous avoir oublié les récents et moins récents scandales sanitaires. Est-ce que l’on devrait attendre d’être soi-même victime directe ou indirecte dans l’un de ces scandales, avant de joindre sa voix à celles et ceux qui exigent les garanties d’un fonctionnement plus clair, transparent et sain des organes publics et des système médicaux et paramédicaux qu’ils sont censés surveiller ?

Dans un récent article intitulé « Médicaments, argent et faits trompeurs », la journaliste Laura Spinney réaffirme qu’il “est plus que jamais essentiel que la société puisse faire confiance aux entreprises pharmaceutiques qui cherchent à obtenir une approbation règlementaire”. Or, en citant dans son article les travaux du pédopsychiatre Jon Jureidini et du philosophe Leemon McHenry, elle rapporte que ceux-ci “contestent l’hypothèse selon laquelle tous les médicaments et appareils médicaux approuvés sont sûrs et efficaces. Ils avertissent que lorsque la science clinique s’accroche à la course aux profits de l’industrie pharmaceutique, la méthode scientifique est sapée par les effets de marketing et le tri sélectif des données. Ils proposent une solution inspirée par le philosophe des sciences Karl Popper : retirer les essais des médicaments des mains des fabricants”. Cette solution forte s’appuie sur le constat par les auteurs de “déformations volontaires de données de sécurité et d’efficacité” lors d’essais sur la paroxétine et le citalopram, respectivement objets des études 329 de GlaxoSmithKline et CIT-MD-18 de Forest Laboratories.

Peter C. Gotzche, dans son livre Remèdes mortels et crimes organisés, particulièrement étayé de preuves détaillées, constate que l’une des causes de cette atrophie de l’action de pharmacovigilance réside dans le fait que « les patients ont confiance (aveuglément ! NDLR) dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique… » Avis bien résumé par lui par ces mots : “Tout ce que nous savons sur leur compte (c’est-à-dire sur les médicaments), c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins…”

Concernant les conséquences de ces actions, nous avons déjà mentionné l’effet dévastateur de la perte de confiance du public, et surtout – dans la crise actuelle – du personnel médical et paramédical. Le système, qui se veut vigilant et se dote d’organes consacrés, apparaît comme schizophrène puisqu’il s’emploie à asphyxier méthodiquement ces organes. En ce qui concerne la confiance, notamment dans les acteurs industriels de production et de vente de médicaments, il existe une liste de condamnations(([2] Les liens donnés plus bas apparaissant dans l’histoire fictive extraite des réseaux sociaux. Les sites sont en anglais.)) dont la longueur est tout simplement choquante ! En fait, la violence du choc est renforcée à la lecture des motifs de condamnation (falsifications volontaires, etc.) et surtout au constat de la forte proportion de récidive. Qualifieriez-vous de responsable une attitude qui consisterait à exiger des garanties claires et fortes face à une proposition d’injection d’un vaccin provenant de l’un de ces acteurs industriels, dont l’utilisation est frappée de surcroît d’une autorisation de mise sur le marché dite conditionnelle (AMM) ? Et comment qualifieriez-vous l’attitude d’un chef de famille qui n’exigerait pas ces garanties ? Une histoire – (probablement) fictive – publiée(([3] Pseudonyme Anna-Lyse sur Twitter.)) sur un réseau social illustre bien ce questionnement :

Suis-je une mère irresponsable ?
Pfizer…

15 sept. 1825. Une mère, 3 enfants. Accusée à tort d’irresponsabilité, elle a été éloignée, retenue loin de ceux-ci, dès lors en situation de grande détresse. Le plus âgé avait 15 ans.
AstraZeneca… 

Une lettre, dans laquelle elle rassure, et décrit comment ils vont pouvoir affronter l’année à venir sans elle (la cachette de la bourse, la tante à 3 j de charrette, etc.)
Johnson & Johnson…

Ce jour-là, la prison ne lui a proposé, comme messager de la lettre, nul autre qu’un abuseur récidiviste, sortant de prison du fait d’un aménagement de peine “opportun”.

Avec tout ça, Moderna devrait-elle garder son SM-102 secret ? 

Ils ont insisté, affirmant qu’ils n’avaient pas le choix…

Finalement, nous ne mentionnerons pas le nombre de décès et autres destructions physiologiques et psychologiques vécues par les victimes d’un consentement non éclairé à exposer leurs êtres à des substances ou des protocoles de traitement. L’absence de cette lumière éclairante étant fortement favorisée par l’absence d’exercice libre ou la défaillance orchestrée des systèmes de régulation, et particulièrement la pharmacovigilance. À ce sujet, des réseaux sociaux ont incompréhensiblement et, semble-t-il, abusivement censuré un groupe destiné à recenser les victimes d’effets indésirables en France. Mais sur d’autres plateformes plusieurs témoignages sont apparus ; et ceux-ci ne décrivent probablement qu’une partie émergée de l’iceberg, tant la censure sur les réseaux sociaux apparaît anormalement intense contre les témoignages de ce type. Quelques-uns, très emblématiques, apparaissent dans ce documentaire sur AstraZeneca.

Sur les obstacles à l’exercice libre de la pharmacovigilance et le rapport positif à la contradiction du Dr UMLIL

Si les huit (8) ans de « gestation administrative » du CTIAP – dont le projet était prêt dès le 10 décembre 2007 – pouvaient déjà interpeller, la litanie d’obstacles de toutes sortes qui se succèdent depuis les premières prises de positions critiques émanant de cet organisme dans la crise actuelle doit interpeller encore davantage le lecteur de cette lettre. Et ce au regard, d’une part, de la reconnaissance profonde, unanime et prolongée dans le temps de la qualité du travail accompli par le Dr UMLIL avant ces dites prises de position ; et d’autre part, du fait de la qualité de l’approche du CTIAP et de son directeur le Dr Amine UMLIL face aux objections exprimées sur le fond : cette approche consistait à ouvrir systématiquement une discussion publique à travers des lettres ouvertes, des droits de réponse au médias relais des opinions de ses contradicteurs, et même des débats télévisés censés présenter les preuves contradictoires. Dans ces différents courriers, il ne nous a pas été donné de trouver ni propos offensants sur la forme, ni arguments de fond qui n’aient été étayés par une preuve documentaire. De plus, il apparaît à notre lecture que les réponses et propositions du Dr UMLIL n’étaient que peu frappées de l’horizontalité stérile, de la plate – et souvent puérile – mise en défaut du contradicteur, mais tendaient toujours à viser la prise en compte de l’enjeu ultime de sa fonction, qui est de faire émerger et s’imposer le factuel et l’information utiles pour l’usager du système pharmaceutique, même à travers l’épreuve de la contradiction.

Les obstacles à l’exercice libre de pharmacovigilance opposés au CTIAP ainsi qu’au Dr UMLIL reproduisent les formes qu’il est possible d’observer concernant plusieurs chercheurs ou praticiens ayant exprimé des opinions divergentes : sources d’origines collégiale, institutionnelle et médiatique, telle une hydre à 3 têtes. Nous faisons remarquer qu’une quatrième tête judiciaire est malheureusement plutôt rare, sinon elle aurait eu la vertu de susciter un apport de preuves probantes de la part des deux parties, permettant ainsi à l’opinion de juger plus justement de la pertinence des positions respectives.

D’un point de vue collégial, le principal obstacle provient de l’attitude de la direction du centre hospitalier de Cholet, avec en tête son directeur Pierre VOLLOT. Ce sont principalement des dénis de compétences ou de légitimité injustifiés au regard des faits, tendant à décrédibiliser l’action ou la personne du Dr UMLIL. Or la conséquence logique principale de la décrédibilisation d’une action ou d’une personne est l’affaiblissement de son impact dans l’atteinte des objectifs de sa mission. L’on peut même se questionner sur la profondeur de ce que subit personnellement le Dr UMLIL en coulisse lorsque ce dernier révèle, preuve à l’appui, avoir été informé par sa direction de l’envoi d’une lettre adressée à un organe disciplinaire contre lui, au travers d’un recommandé avec accusé de réception “adressé alors que j’étais en congé”. Le chapelet des obstacles, manquements, et – il faut le dire – sabotages, est égrené par le docteur, dans sa réponse au directeur Pierre VOLLOT du 23 août 2021, et sa réponse à la direction du centre hospitalier de Cholet du 10 avril 2021.

D’un point de vue institutionnel, c’est le docteur UMLIL qui a été personnellement visé par une lettre adressée au centre national de gestion des praticiens hospitaliers et des personnels de direction de la fonction publique hospitalière (CNG), organe disciplinaire consacré. Dans cette lettre de dénonciation, à laquelle le Dr UMLIL a répondu par une lettre ouverte au CNG du 10 août 2021 (avec ampliation adressée à la tutelle), Pierre VOLLOT évoque un droit de réserve qu’il oppose à la diffusion d’avis critiques et d’analyses proposées par le Dr UMLIL à travers le canal du CTIAP.
Or, sur la forme, le recours à ce droit de réserve à l’encontre d’un pharmacien des hôpitaux s’évapore devant plusieurs dispositions du Code de santé publique qui enjoignent, par exemple, de ne « se soumettre à aucune contrainte financière, commerciale, technique ou morale, de quelque nature que ce soit, qui serait susceptible de porter atteinte à son indépendance dans l’exercice de sa profession » (R. 4235-18 du CSP). Sur le fond, et en cohérence avec ce que nous avons pu constater continuellement dans l’action du Dr UMLIL, sa réponse fut adressée via un avocat sous forme de « lettre – recommandée avec avis de réception – l’invitant [Pierre VOLLOT] à formuler, de façon précise, ses griefs à l’encontre des analyses proposées par le CTIAP et concernant le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19 ».La réponse de Pierre VOLLOT ne contenait « aucun reproche envers les analyses publiées sur le site du CTIAP ».

Le dernier champ d’obstacles, de véhicule médiatique, nous apparaît revêtir une violence particulière, du fait de l’amplification par le nombre et les réseaux sociaux. Il nous est apparu comme constitué d’amalgames, d’omissions, d’enquêtes à charge omettant de consulter les sujets avant publication et ignorant les droits de réponse, et quelques fois de censures grossières et surtout injustifiées, au regard du principe d’équité.

Il s’y trouve en particulier l’évolution plutôt déroutante de la couverture du travail et de l’impact du CTIAP et du Dr UMLIL par le journal Le Courrier de l’Ouest. Toujours avec coupures de presses et autres preuves renseignées, le Dr UMLIL fait constater que :

« le Courrier de l’Ouest, ainsi qu’Ouest-France, avaient toujours relayé l’information selon laquelle les analyses du CTIAP sont « fiables ». Comme le montrent leurs anciens et nombreux articles tels que ceux d’octobre 2017 concernant l’« affaire LÉVOTHYROX® »… Ces anciens articles admettent notamment l’indépendance et la rigueur des analyses proposées.

[…]

Mais, brusquement, les analyses proposées concernant le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19, avec la même indépendance et la même rigueur, deviendraient celles d’un « antivax »« complotiste », pourvoyeur de « fausses informations »

Le positionnement initial était aligné sur celui de plusieurs confrères généralistes et spécialisés par lesquels les « réflexions et alertes ont été également relayées » : Le PointLe MondeLe NouvelObsLe Quotidien du PharmacienHospimedia, parmi d’autres.

Mais un article du 14 août dernier – publié sur le Web par Ouest France –  intitulé « Amine Umlil de nouveau en conflit avec l’hôpital », réunit dans son contenu un ensemble de déclarations tendancieuses et peu empreintes de la neutralité promue par la déclaration de Munich. Extrait :

« Le pharmacien est très actif sur son blog et sur les réseaux sociaux. Résolument opposé à la vaccination contre le Covid-19, le Choletais est cité en référence par de nombreux « antivax ». Il a aussi son rond de serviette sur le site internet FranceSoir.fr. Un média sans journaliste, relais de thèses complotistes et de fausses informations. »

De plus, ici encore, le professionnalisme et a minima la déontologie, sinon la probité du journal sont sérieusement défiés par un fait marquant. En effet, à la lecture de la fermeture de l’article :

« Contacté, Amine UMLIL n’était pas disponible, hier »,

La banalité que transporte cette mention n’aurait pas permis de découvrir, sinon de par la révélation par le Dr UMLIL des échanges constituant ce contact, que deux informations avaient été données par le journaliste : (i) seulement un « mot, bref » devait paraître le lendemain, en attendant (ii) d’être « contacté par un ou une de mes collègues » la semaine suivante ; réponses à valeur de promesses, que l’on peut considérer comme logiques, puisqu’à la sollicitation du journaliste le matin même pour l’après-midi (c’est-à-dire la veille de la publication), le Dr UMLIL avait répondu :

« Bonjour Monsieur [nom du journaliste],

Merci pour votre message.

Je ne peux pas cet après-midi.

La semaine prochaine, si vous pouvez.

Bien à vous,

(…) »

Un certain surplus d’honnêteté intellectuelle ou de devoir d’équité envers le Dr UMLIL, sachant le contenu – à charge – de ce qui était attendu comme « mot bref », aurait favorisé cette autre écriture de la fermeture de l’article, par exemple :

« Contacté hier, Amine UMLIL n’était pas disponible. »

Dans une publication dans laquelle le Dr UMLIL dénonce cet article et plusieurs autres meurtrissures publiques contre son image, l’on énumère plusieurs des procédés médiatiques subis par beaucoup trop de chercheurs, scientifiques et praticiens à travers le monde, qui sont passés de la reconnaissance élargie de leurs mérites vers la mise au banc et les injures du fait de l’expression légitime, raisonnée et lucide de questionnements légitimes et de divergences de points de vue.

Sur la reconnaissance de la qualité des contributions particulières du CTIAP et du Dr UMLIL et leur efficacité mesurable

D’abord comme responsable de la pharmacovigilance depuis son recrutement en septembre 2002, ayant mis en place la coordination des vigilances sanitaires en 2007 au centre hospitalier de Cholet, et enfin comme fondateur et acteur majeur du CTIAP dès 2015, le Dr UMLIL a réalisé un travail excellent et reconnu comme tel ; et ce, partant de ses collègues (éventuellement hiérarchiques) jusqu’aux médias locaux et nationaux, généraux ou spécialisés.

Le Point avait qualifié le CTIAP de « structure originale qui pourrait servir d’exemple », et le Quotidien du Pharmacien avait salué « la pédagogie d’un pharmacien ».

Un « Docteur en médecine »« psychiatre des hôpitaux »« praticien hospitalier au centre hospitalier de Cholet depuis 1980 », « ancien président de sa commission médicale d’établissement ». Ce médecin « atteste » ce qui suit :

« Je soussigné (…), atteste, en ce qui concerne mon collègue, Monsieur Amine UMLIL, pharmacien des hôpitaux,

1. Celui-ci apporte au centre hospitalier de Cholet un potentiel de connaissances, de compétences, d’exigences, nouvelles et de nature à constituer une contribution extrêmement positive au fonctionnement de l’hôpital ; il y a lieu de relever en particulier :

— des connaissances scientifiques et méthodologiques rares, une aptitude concrète à l’évaluation des produits et des procédures pharmaceutiques conformes aux exigences actuelles de la science, et surtout : cette évaluation indépendante des actions commerciales des firmes pharmaceutiques ;

— une connaissance précise, détaillée, actuelle de la réglementation relative à l’exercice de sa profession et, ce qui est encore plus important, un rapport positif à la loi et aux règlements ;

— une référence constante aux règles de métier de sa profession, en entendant par là non pas seulement les us-et-coutumes et les habitudes de celle-ci, mais les normes constitutives de l’excellence, d’où, chez mon collègue, un rapport spontanément sincère et sérieux, mais méthodique, aux procédures des démarches qualité ;

— une mise en œuvre effective, chaque fois qu’il n’y a pas été mis obstacle, de ces compétences en termes de performance, en particulier au service des patients grâce à sa disponibilité efficace et rapide auprès des médecins cliniciens, grâce à la qualité et à l’actualité de son information (et de la diffusion de cette information) relative aux risques liés à la pharmacothérapie fondée scientifiquement et non simple relais des messages commerciaux des firmes pharmaceutiques ;

— un respect de principe, sans doute excessif, parce que systématique, pour ses aînés et pour les détenteurs de l’autorité, de nature à lui rendre totalement inintelligible que ceux-ci ne s’illustrent pas par leur exemplarité en termes relationnels, professionnels, déontologiques et éthiques.  (…) ».

L’actuel directeur du centre hospitalier de Cholet, Pierre Vollot, attestait en 2017, auprès du ministère public d’Angers :
« […] Monsieur le Docteur UMLIL a acquis une expertise technique incontestable, renforcée par des capacités pédagogiques certaines. »

D’autre part, quand le législateur mosaïque recommandait, dans une loi sociale du texte biblique, de ne pas craindre le service prophétique de l’individu dont les oracles ne s’accomplissent pas, il ne croyait peut-être pas si bien fournir un indicateur objectif de mesure pour tout service de vigilance. Ici, et en l’espèce, dans une lettre ouverte datant du 12 mars 2021, le Dr UMLIL avertissait déjà de la nécessité d’un « recueil de consentement libre et éclairé », dénonçant alors le « projet d’obligation vaccinale » comme contrevenant aux articles 7.3.1 et 7.3.2 de « la résolution 2361 » du Conseil de l’Europe « adoptée le 27 janvier 2021 – alors même que même la loi introduisant le pass sanitaire n’allait intervenir que deux mois plus tard. Propos conclus à l’époque en qualifiant ledit projet de « faute juridique, morale, éthique et politique notamment ». Si six mois plus tard l’atmosphère sociale est saturée de ces sujets-là précisément, c’est bien dire que depuis sa vigie – le CTIAP, la sentinelle UMLIL avait bien vu ! Sinon cela révèle tout au moins la fiabilité de ses sources et une fatale efficacité du travail de vigilance effectué à ce moment-là, qui consiste à (pré)voir et signaler les anormalités et menaces perçues.

Appel final à manifester son adhésion à la nécessité de l’exercice libre de la vigilance pharmacologique et son soutien au CTIAP et au Dr UMLIL

Sur la base de ce qui précède, nous, signataires rassemblés par le collectif Vigilance Pandémie, appelons à exprimer concrètement l’adhésion à l’exercice libre de la pharmacovigilance, fonction vitale de notre système de santé, et ce en signant la pétition de soutien à l’un de ses fleurons nationaux, le CTIAP du centre hospitalier de Cholet, et au Dr Amine UMLIL son fondateur et dont il est une principale figure active. Ce dernier est particulièrement menacé aujourd’hui par la perte de son poste du fait d’une obligation vaccinale dont la teneur sanitaire et juridique a été l’objet de ses critiques ordonnées.

La toile, à travers plusieurs médias, des sites internet ainsi que les réseaux sociaux, révèle une multiplication d’obstacles et sabotages de plusieurs scientifiques et praticiens en médical, biomédical et paramédical. Mais nous nous sommes focalisés sur le cas du CTIAP et du Dr UMLIL du fait de la fonction stratégique qu’ils occupent en faveur de la santé de tout le système en France. C’est ce que nous nous sommes employés à démontrer et à étayer dans cette lettre. Le soutien au Dr UMLIL et à son travail va unir et cristalliser toutes nos affirmations individuelles de la nécessité d’une pharmacovigilance forte en France. C’est donc là une démarche d’engagement nécessaire et stratégique dans le processus d’assainissement du système pharmaceutique et sanitaire en France.

Engageons-nous donc résolument à signer cette pétition dès maintenant !

Signataires :

Dominique TASSOT,

Ancien directeur R&D d’un groupe pharmaceutique

Alexandra HENRION CAUDE,

Directrice de recherche, spécialiste de l’ARN

Edouard HUSSON,

Professeur des universités

Gérald PECH,

Ingénieur dans l’industrie, ancien chercheur

Didier MAGNE,

Directeur industriel chez Symbiose SE2D

Agnès D’AMILLY,

Directrice administrative et financière

Maître Virginie DE ARAUJO RECCHI,

Avocate au Barreau de Paris, membre de l’Institut Art & Droit et de l’American Bar Association

Nicole DELEPINE,

Cancérologue, ancienne chef de service d’oncologie pédiatrique


Notes




Crise-covid. Vous ne pouvez plus dire…

[Source : benoit-et-moi.fr]

Le cri d’une députée italienne du Mouvement 5 étoiles, Sara Cunial, exclue de son parti (qui est actuellement au sein de la coalition gouvernementale menée par le banquier Draghi) pour avoir tenu des propos hors des clous à propos de la gestion de la crise sanitaire: elle interpelle ses collègues lors d’un débat à la Chambre sur le « Green Pass ». Seule contre tous, dans un magnifique élan de courage. En conclusion, elle s’adresse directement au Pape. On attend vainement la même chose en France.

Original en italien trouvé sur ce non moins formidable site: 
www.korazym.org/64986/la-dichiarazione-di-voto-di-sara-cunial-alla-camera-durante-la-discussione-del-vergognoso-decreto-green-pass/

Vous ne pouvez plus dire que se faire vacciner est un acte d’amour car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol.

https://youtu.be/ttm3k0ws0Vo

Vous ne pouvez plus dire qu’il s’agit d’une urgence, car cela fait maintenant presque deux ans que cette gestion hystérique a commencé.

Vous ne pouvez plus dire que l’on ne sait rien du COVID, car il existe maintenant une littérature très solide, qui remonte même à avant la soi-disant pandémie.

Vous ne pouvez plus dire qu’il n’y a pas de remèdes, car les remèdes sont connus depuis le printemps 2020, et maintenant l’EMA (Agence européenne de médicaments] a même commencé à approuver les premiers médicaments.

Vous ne pouvez plus dire que le plasma convalescent n’est pas une solution pour les cas qui ne nécessitent pas d’hospitalisation, car ceux qui l’ont démontré l’ont payé très cher [le principal promoteur de cette thérapie, le Prof. De Donno, chef de service à Mantoue, a très mal vécu le rejet dont elle a été l’objet, et il vient de se suicider, cf. blog du Dr Gulisano, ndt].

Vous ne pouvez plus dire que le vaccin est la seule alternative, car il ne s’agit pas d’un vaccin mais d’une thérapie génique expérimentale, et il est illégal de forcer indirectement les Italiens à être des cobayes dans cette expérience.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins ne sont pas expérimentaux, car même les tests du premier vaccin autorisé ne sont pas encore terminés.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont sûrs car vous ne savez même pas ce qu’ils contiennent. Au contraire, les nouvelles du monde entier sont claires : des millions de lots ont été confisqués dans de nombreux pays en raison de la présence de substances étrangères, dont certaines très dangereuses, qui n’ont pas été reconnues et ne sont pas indiquées sur l’étiquette.

Vous ne pouvez plus dire qu’il est impossible d’obtenir une immunité collective sans le vaccin, car il a été prouvé qu’une grande partie de la population est déjà immunisée sans ce sérum, raison pour laquelle vous ne voulez pas que soient diffusés les tests sérologiques correspondants.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont efficaces, car on a fait les comptes, et la diminution du risque est à peine supérieure à zéro.

Vous ne pouvez plus dire qu’il n’y a pas de risque dans la vaccination, car les chiffres des réactions indésirables des bases de données en Grande-Bretagne, aux États-Unis et en Europe parlent d’eux-mêmes. Lisez-les !

Vous ne pouvez plus dire que votre stratégie est le vaccin volontaire, car vous contraignez lentement tout le monde à le faire indirectement, par le chantage social, la traque et le mobbing. Vous utilisez la pandémie comme excuse pour les réformes sociales, économiques et du travail « sang et larmes » que votre Recovery exige comme rançon.

Vous ne pouvez plus dire que toutes les mesures mises en place ne sont que pour l’urgence, car l’OMS a publié un document – financé par Bill Gates et Rockefeller – sur l’utilisation permanente du passeport vaccinal.

Vous ne pouvez plus dire « l’Europe nous le demande », car dans le règlement 2021/953 de l’UE, à l’article 36, il est écrit : « il est nécessaire d’éviter toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui choisissent de ne pas être vaccinées ». Une phrase qui, dans le SEUL CAS de la TRADUCTION ITALIENNE, a été habilement dissimulée par les petites mains des Palais [du gouvernement] pilotés par les voleurs de vérité qui aiment saboter les textes normatifs de référence. Le but du Pass Covid européen – qui n’est vert qu’en Italie (évidemment en accord avec les visions nucléaires du ministre Cingolani) – est de « faciliter l’exercice du DROIT DE LIBRE CIRCULATION par les détenteurs ». NOTEZ « LIBRE », et non « SOUS CHANTAGE ». L’article 3, paragraphe 6, du règlement stipule : « La possession des certificats visés au paragraphe 1 ne constitue pas une condition préalable à l’exercice de la liberté de circulation ».

Vous ne pouvez plus dire que vous respectez la priorité des sources normatives car en acceptant le compromis au rabais pour les [tests] salivaires, dont la mise en œuvre est réglementée par la fameuse Circulaire du Ministère de la Santé, vous établissez qu’avec un pizzino [ndt: du mot sicilien pizzinu signifiant «petit bout de papier». Utilisé pour désigner de petits bouts de papier échangés de la main à la main par la mafia sicilienne pour les communications sensibles. Mais aussi les papiers que les députés et les sénateurs échangent au Parlement] de Speranza [ministre de la santé] vous décidez de la vie ou de la mort sociale, professionnelle et économique des citoyens italiens et de ce pays. Je vous rappelle que les tests salivaires rapides ont la même efficacité et donc le même taux d’erreur que les [test] nasaux chinois de torture.

Vous ne pouvez plus raconter la fable de l’immunisation que les vendeurs de vaccins savent si bien raconter, même ici. Combien de collègues testés, ou pire, de collègues vaccinés, ici, peuvent prétendre être immunisés et donc jurer qu’ils ne sont pas infectés ou contaminés ? Puis-je me sentir en sécurité si j’entre en contact avec la collègue Lorenzin [Beatrice Lorenzin, députée PD, ex-ministre de la santé] plurivaccinée ou bien suis-je dans la même situation que les patients de l’hôpital S. Eugenio, fermé pour cause d’épidémie Covid avec des personnels de santé tous vaccinés ?

Vous ne pouvez plus dire que les vaccinés ne contaminent pas, maintenant les nouvelles de vaccinés infectés et contagieux sont de notoriété publique.

Vous ne pouvez plus dire que vous travaillez pour le peuple car les membres du CTS [comité techno-scientifique] ainsi que les experts de la télévision, sont TOUS – et je dis bien TOUS – payés par les compagnies pharmaceutiques.

Vous ne pouvez plus dire que vous avez un système de pharmacovigilance rigoureux parce que nous avons compris à partir de l’incohérence des données entre l’AIFA [Agence Italienne du médicament.] et l’ISS [Istituto Superiore di Sanità] que vous ne pouvez plus tenir le devant de la scène et que vous êtes donc obligés de saboter les différents systèmes informatiques de santé nationaux et régionaux.

Vous ne pouvez plus dire que c’est pour notre bien, car les Italiens n’ont jamais été aussi mal.

Vous ne pouvez plus dire que la situation est mondiale, car de plus en plus de pays annulent leurs mesures d’urgence.

Vous ne pouvez plus dire que nous sommes dans une démocratie, parce qu’avec vos paroles et vos actions, chaque droit et chaque liberté disparaît, et depuis trop longtemps maintenant, ceux qui exercent leurs libertés constitutionnelles et naturelles sont blâmés et humiliés.

Vous ne pouvez plus parler de l’utilité des masques, après vos belles photos sans masque lors de divers événements officiels et sociaux.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont bons car les rapports des autorités sanitaires mondiales que vous censurez nous disent que les cas d’effets indésirables augmentent chez les vaccinés, touchent tout le monde, surtout les jeunes : par exemple en Israël (où le taux de population vaccinée est parmi les plus élevés au monde) le rapport officiel des effets indésirables des vaccins Pfizer avril 2021, fait état d’une augmentation de la mortalité de 22%. Et je vous épargne le dernier parce que c’est un carnage. Dans la tranche d’âge 20-29 ans, l’augmentation de la mortalité est dramatique ! Nous parlons de +32%, ce qui nous indique que le vaccin est beaucoup plus mortel pour les jeunes que pour les personnes âgées ! Il existe une étroite corrélation entre le nombre de personnes vaccinées chaque jour et le nombre de décès par jour dans chaque groupe d’âge. Le risque de décès après la deuxième vaccination est plus élevé qu’après la première. On observe une augmentation considérable – jusqu’à 26 % – de tous les problèmes cardiaques chez les personnes de moins de 40 ans (myocardite et péricardite). Et encore : forte prévalence des pertes menstruelles, atteintes neurologiques, squelettiques, cutanées… les cas de coagulopathie sont à l’ordre du jour, tout comme les infarctus du myocarde, les accidents vasculaires cérébraux, les fausses couches, l’interruption de la circulation sanguine dans les membres inférieurs et supérieurs, les embolies pulmonaires.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins préviennent les maladies car le chiffre officiel du ministère israélien de la santé du 13/08/2021 dit que 81% des cas graves à l’hôpital sont vaccinés avec 2 ou 3 doses !

Vous ne pouvez plus dire que le vaccin améliore les vies car, en Grande-Bretagne, les décès des vaccinés sont plus de deux fois supérieurs à ceux des non-vaccinés ! Un document officiel intéressant de British Health, publié le 3 septembre 2021, indique que les cas de variant Delta mis à jour au 29 août 2021 indiquent 1798 décès, dont 536 n’étaient PAS vaccinés (30 % du total) et 1233 étaient vaccinés (69 % du total). DONC LE TAUX DE MORTALITÉ DES VACCINÉS EST PLUS DU DOUBLE DE CELUI DES NON VACCINÉS !

Vous ne pouvez plus dire que ceux qui critiquent la campagne de vaccination ont peur, car les données officielles rapportées ici concernent des pays qui ont fait une démonstration de vaccination dans le monde entier.

Vous ne pouvez plus dire que 1/3 des Italiens est soudainement devenu no-vax, ou penser que ceux qui sont critiques ont « peur » du vaccin parce que la peur ne provient pas des citoyens, la peur a été la clé de ceux qui ont géré et continuent de gérer une urgence très discutable et occupent indignement des postes au niveau du gouvernement.

Vous ne pouvez plus prétendre être intellectuellement honnêtes. Je ne m’adresse pas tant à la majorité, dont le parti dissident, en retirant des amendements et en votant contre des amendements visant à généraliser les tests salivaires et sérologiques rapides, a révélé les véritables positions, mais aussi à l’opposition. « Le certificat vert marque un premier pas vers la suppression définitive des obstacles à la libre circulation qui ont fait tant de mal à notre économie. Cet instrument doit être mis en œuvre le plus rapidement possible, afin qu’il soit effectif dès avant le début de la saison estivale. » C’est la déclaration officielle faite le 19 mars par la dirigeante de Fratelli d’Italia, Giorgia Meloni, qui a défendu la décision d’instaurer un laissez-passer vert car « l’adoption homogène de cette mesure dans toute l’Union européenne conduirait finalement à la suppression de toutes les restrictions ». INDIQUEZ CLAIREMENT POUR QUI VOUS TRAVAILLEZ. LES ITALIENS SONT FATIGUÉS DE CE MÉPRIS.

Vous ne pouvez plus dire que le Green pass améliorera nos vies parce qu’il est le moyen d’instaurer définitivement une dictature politique basée sur la peur et les éternelles urgences sanitaires justifiées par de fausses bases scientifiques, qui s’amuse à diviser la société en camps opposés, de bons et de mauvais, qui s’affrontent au lieu de combattre l’ennemi commun.

Vous ne pouvez plus dire que l’Italie est la meilleure parce qu’elle n’est que le laboratoire historique des expériences d’ingénierie sociale, et avec la France, elle est condamnée à devoir répondre aux folies des élites : d’un côté Draghi de matrice et de foi Goldman Sachs et de l’autre Macron, de marque Rothschild. Tout cela est dirigé par Soros et Gates qui, en jouant sur l’acquisition d’usines de tampons [tests], de terres agricoles et d’hôtels de luxe, sont les testimonial des fameux philanthropes de Davos amis d’Epstein

Vous ne pouvez plus envoyer le chef de cet État pour dire que nous devons renoncer à nos libertés et à la revendication de nos droits parce que l’État, c’est nous, les Italiens, et que nous sommes prêts à mourir pour les défendre !

Vous ne pouvez plus dire que se vacciner est un acte d’amour car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol.




Le test de résilience au covidisme d’État

[Source : (plumenclume.org]

Par Sébastien Renault

L’avantage des dictateurs, c’est qu’ils incitent à une mise à jour régulière de la santé mentale des peuples qu’ils victimisent, contribuant par-là, malgré eux, à la réviviscence de la conscience de leurs victimes et à la réappropriation des principes moraux qui président toujours à la construction individuelle et sociale d’êtres rationnels et libres. Macron et consorts ne font pas exception, il faut les en remercier.

La société dans laquelle nous vivons depuis des décennies était mûre pour une prise de contrôle dictatoriale des esprits bien avant l’émergence de la grande supercherie covidique d’État. La lucidité et l’honnêteté intellectuelle nous forcent à le reconnaître.  

Les malfaiteurs en chef, nouveaux dictateurs patentés à la solde de l’idéologie mondialiste et auxquels nous avons nous-mêmes donné le pouvoir, sont devenus de plus en plus puissants, sans rencontrer la moindre opposition notable, en raison de notre propre lâcheté et complicité consommatrices vis-à-vis d’un système pourtant frauduleux et pourri jusqu’à la moelle. Le problème de fond ne découle donc pas seulement des criminels qui sont derrière la « Grande Réinitialisation », mais bien de notre propre concours, jusqu’à une date récente au moins.

Dans un premier temps, l’esprit sainement septique, face aux escrocs politico-médiatiques en charge du discours officiel dogmatique, s’est développé sur le terrain délétère et contagieux de la peur, et nous avons vu la tromperie reprendre de plus belle.

D’où la pertinence de l’analogie du terrain et du virus, qui s’appuie sur la différence de paradigmes fondamentaux pour l’étude des maladies infectieuses, paradigme de l’origine interne de la maladie d’un côté ; paradigme canonique de son origine extrinsèque par l’intermédiaire de micro-organismes de l’autre. À la vue de ce qui se passe depuis maintenant un an et demi, on peut faire valoir que si les populations, analogues du terrain, n’étaient pas des proies aussi faciles, alors les élites et l’empire GAFAM, analogues du virus, ne pourraient pas si aisément les infecter.

Le déphasage fondamental entre la perception et la réalité de ce qu’on appelle, depuis début 2020, la « pandémie Covid-19 », continue de rendre possible ce phénomène psychoculturel que nous avons baptisé, dès les premiers mois de focalisation sanitaire monomaniaque et de sécuritarisme auto-aliénateur, le COVID-isme.

Le covidisme rime avec travestissement éhonté de la science. Il rime également avec hygiénisme scientiste – qui n’est évidemment pas la science (la science n’étant pas fanatique, comme le sont au contraire l’hygiénisme et le scientisme). Il rime encore avec lâcheté collaboratrice, qui sait toujours se présenter sous des airs de supériorité vertueuse et éclairée. Il rime, de surcroît, avec redéfinition de la santé par l’absence fantasmagorique d’influence virale (par-dessus tout du coronavirus), culpabilisation des innocents, interventionnisme étatique, obligation vaccinale, effémination de la société, nouvel obscurantisme, éclipse de la raison, dogmatisation de l’absurde sanitaire, …

[Note de Joseph :
Là société est-elle vraiment rendue « efféminée » (comme le pensent notamment ceux qui l’ont comparée à une jeune fille) ou plutôt infantilisée ?
Pour déterminer laquelle des analogies est la plus fidèle à la réalité observée, il est nécessaire de rappeler au moins brièvement les caractéristiques masculine, féminine et de l’enfant, adolescent y compris.
Le comportement et le tempérament de l’être humain découlent en grande partie de la biologie et des traditions ancestrales depuis notamment les sociétés primitives de chasseurs-cueilleurs.
Le masculin se caractérise ainsi plutôt par l’usage de la force physique, la tendance à l’action impulsive (par réflexe plutôt que sous l’effet d’une longue réflexion), l’exploration du monde, le goût pour la lutte et la compétition, l’esprit de conquête ou de domination, l’agressivité, la brutalité, le courage physique, la détermination, la prédation, la bestialité, le goût pour le bricolage, l’agitation, etc.
Le féminin se caractérise plutôt par la douceur, la tendresse, la réceptivité, la sensibilité, l’attention, les aptitudes éducatives, la fragilité, la tendance à protéger, le goût pour la décoration, la possessivité, la patience, le dévouement, la frivolité, la coquetterie, le courage moral, etc.
Si, dans la ligne ou la logique de l’inversion des valeurs et des choses, les femmes, sous l’impulsion du féminisme, ont tendance à développer des caractéristiques masculines, et, par réaction, les hommes ont tendance à développer des caractéristiques féminines, les deux polarités ont globalement tendance à trouver un certain équilibre, même si celui-ci reste instable et peut être dans certains pays plus marqué vers le féminin.
L’enfant lui est plutôt caractérisé par l’insouciance, le goût pour les jeux, le besoin d’être rassuré, le besoin d’attention, l’irrationalité, la curiosité, l’égocentrisme, le développement émotionnel, l’immaturité, la recherche des limites, les caprices, le manque ou la recherche de confiance en soi, etc.
L’adolescent y ajoute la rébellion, l’affirmation de soi, la recherche d’émancipation, l’angoisse existentielle, les changements rapides d’humeur, le développement mental et du raisonnement, etc.
Maintenant, quelles sont les caractéristiques de nos sociétés, au moins dans le monde occidental ?
Elles sont plutôt caractérisées de nos jours par l’irresponsabilité, l’égoïsme, le matérialisme, la recherche d’émotions fortes, la tendance aux loisirs, le goût pour la facilité, l’absence d’efforts, l’individualisme tout en recherchant le contact des foules ou des autres par instinct grégaire, la tendance à s’en remettre aux gouvernements et aux pouvoirs locaux, le manque de volonté, l’alignement sur la pensée unique ou commune, l’absence de questionnements, la faiblesse morale, la légèreté, la superficialité, l’absence de profondeur, le conformisme, etc.
De telles caractéristiques se rapprochent davantage de celles que l’on trouve chez l’enfant ou éventuellement l’adolescent et ne sont pas vraiment liées aux différenciations entre le masculin et le féminin ou au contraire peuvent parfois puiser dans les deux polarités, plutôt d’ailleurs par le manque que par la présence des caractères. Ainsi en est-il notamment de l’absence de courage. La masse des individus, et donc la société en général, tend à manquer à la fois de courage physique (caractère plutôt masculin) et de courage moral (caractère plutôt féminin). Par ailleurs, entre les tendances infantiles et celles de l’adolescence, le grand conformisme civilisationnel et la tendance à suivre les consensus et la pensée unique sont plutôt à l’opposé des tendances rebelles d’un adolescent et auraient bien plus à voir avec l’enfance. La forte et croissante tendance ludique et frivole se trouve elle autant chez le jeune enfant que chez l’ado.]

Ces derniers mois, tous ceux qui se sont courageusement évertués à mettre en garde les populations à la fois contre les dangers d’injections en phase expérimentale (alors qu’il existe déjà, comme nous le savons tous, des médicaments efficaces pour traiter les patients atteints du SARS-CoV-2) et contre la duperie de leur efficacité à triompher du virus, ont été censurés et ridiculisés comme des complotistes et des propagateurs de désinformation.

Après la proscription de traitements comme l’hydroxychloroquine [1] et l’ivermectine [2] (qui auraient pu sauver des centaines de milliers de vies), l’abolition pratique du serment d’Hippocrate et celle du consentement éclairé, voici donc venue la canonisation du « vaccin » mondialiste sous autorisation conditionnelle de mise sur le marché… Autant de faits vastement documentés et criants de scandale qui serviront, en son temps, au jugement de l’histoire.      

En attendant, que nous disent les faits du phénomène Covid politico-sanitaire à l’heure d’aujourd’hui ? En cette fin d’été 2021, la contagiosité grandissante des personnes complètement « vaccinées » parle d’elle-même. Après les flots d’aboiements accusatoires par les divers porte-drapeaux de l’autoritarisme sanitaire inflexible à l’encontre des pestiférés non-vaccinés, retour à la réalité parfaitement prévisible : le phénomène de transmissibilité aggravée du virus, en ces dernières semaines d’été, est principalement vectorisé par les vaccinés contaminés.

En appliquant à cette situation factuelle une manière toute covidique de raisonner, il faudra donc dire que ce sont ces nouveaux vecteurs vaccinés qui représentent aujourd’hui la principale menace pour la santé publique. Ce que confirment par ailleurs les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), qui les ont récemment identifiés comme des « super-diffuseurs » de nouveaux « variants » du SARS-CoV-2 [3].

Le 30 juillet dernier, les CDC ont publié un rapport d’enquête faisant état des nouvelles émergences d’infection vraisemblablement conditionnées dans le cadre d’importants rassemblements publics (où l’on suppose que le phénomène dit de « super-diffusion » se produit. Le document commence par admettre ce qui suit [4] :

« […] Environ trois quarts (346 ; 74 %) des cas sont survenus chez des personnes entièrement vaccinées (celles qui avaient complété un traitement de 2 doses de vaccin ARN messager [Pfizer-BioNTech ou Moderna] ou bien n’avaient reçu qu’une seule dose du vaccin Janssen [Johnson & Johnson] ≥14 jours avant l’exposition). […] Dans l’ensemble, 274 (79 %) patients vaccinés présentant une infection émergente étaient symptomatiques. Parmi les cinq patients atteints de la maladie COVID-19 qui ont dû être hospitalisés, quatre étaient complètement vaccinés… »

Les efforts déployés par le lobbying vaccinal absolutiste en vue d’inoculer le plus grand nombre de personnes possibles lors d’une pandémie à peine définissable comme telle (à la lumière de l’estimation du taux d’incidence des cas de SARS-CoV-2 en France à l’heure d’aujourd’hui [5] et de la spécification française du seuil épidémique des syndromes grippaux [6]), finissent toujours par déboucher sur des mutations virales qu’aucun vaccin, pas même au sens propre du terme, ne peut efficacement juguler. Encore moins des « vaccins » dont l’efficacité et la sécurité à long terme n’ont pas encore été testées (puisqu’il faut des années de recul pour parvenir à des conclusions probantes), sinon sur les populations elles-mêmes…

La mise en échec par les faits de la religion covidico-vaccinale absolue

En jouant comme toujours sur la peur et les sentiments, le gouvernement et ses relayeurs médiatiques habituels ont continué à pousser coûte que coûte la stratégie du radicalisme vaccinal comme solution consacrée, dans leur narrativité mystificatrice, par son « efficacité ». Les incompétents au pouvoir, dans leur folie covidique avancée, ont ainsi persévéré dans l’incompétence et l’arrogance qui les caractérisent depuis le début de la crise, oubliant que l’OMS elle-même a souligné à plusieurs reprises que la « vaccination » ne supprime pas le virus. 

Les médias se sont gargarisés tout l’été du slogan flagellateur de « pandémie des personnes non-vaccinées ». Sous-entendu, dans leur narrativité mystificatrice et détractrice : les personnes qui n’ont pas reçu l’injection expérimentale mondialiste constituent la majorité des personnes hospitalisées et des décès dus à la propagation du « variant delta ». Un mensonge éhonté !

Il s’agit toujours des mêmes procédés d’intimidation par les détenteurs de la bonne conscience extrémiste scientiste et humanitaire. Pour eux, toutes les contrevérités se justifient, puisque l’intégrisme de leur proposition, « hors du vaccin, pas de salut », ne saurait souffrir le doute des gens suffisamment éclairés. Tous les moyens sont donc légitimes, y compris l’atteinte aux libertés fondamentales, la diffusion de fausses nouvelles et la promotion discriminatoire, même s’ils plaident par ailleurs en faveur de tout ce qui est « antidiscriminatoire » – bienséance politicienne oblige (ne relevez pas ici la contradiction, même si elle est évidente, car elle est, elle aussi, « justifiée »).

En réalité, le nombre de cas positifs chez les personnes ayant reçu une ou plusieurs doses de l’injection expérimentale augmente régulièrement depuis la mi-juillet, comme l’attestent notamment les données de santé publique d’outre-Manche, d’Israël et d’Islande.

Au 21 août dernier, 62 % des patients britanniques hospitalisés et âgés de plus de 50 ans avaient reçu deux doses de l’injection expérimentale AstraZeneca-Oxford, contre 13 % n’en ayant reçu qu’une seule. Au total, les personnes « partiellement » ou « complètement » inoculées représentaient donc 75 % des nouvelles hospitalisations outre-Manche.

Il en va de même pour les personnes malheureusement décédées. Dans le groupe des plus de 50 ans, la nette majorité des patients (70 %) avaient reçu soit une ou deux doses du composé à vecteur adénovirus d’AstraZeneca-Oxford.

On ne sait pas si les hôpitaux britanniques désignent encore comme « patient Covid » toute personne ayant été admise et dont le test PCR est déclaré « positif ». Si tel était encore le cas (comme ça l’est, notamment dans de nombreux établissements aux États-Unis), les personnes souffrant de pathologies ne présentant aucun symptôme du SARS-CoV-2 pourraient être indûment comptées dans la catégorie des « patients non vaccinés » (histoire de maintenir aussi longtemps que possible le statu quo narratif).

En Israël, où l’adoption de l’injection expérimentale a été très élevée en raison des restrictions draconiennes de liberté imposées aux personnes qui ne s’y soumettraient pas, les données montrent que les personnes ayant reçu au moins deux doses du cocktail mondialiste sont 6 à 7 fois plus susceptibles d’être infectées que les personnes bénéficiant d’une immunité naturelle [7].

Le fameux laboratoire israélien grandeur nature n’entend d’ailleurs pas en rester là, puisque plus d’un million de ses citoyens âgés de 50 ans et plus ont déjà reçu un troisième rappel de l’injection à ARN messager concoctée par Pfizer-BioNtech. Les nouveaux cas de contamination ne s’en multiplient pas moins à l’heure actuelle à une vitesse croissante.

Selon Uri Shalit, bio-informaticien au Technion (l’Institut israélien de technologie) :

« Il y a tellement d’infections émergentes qu’elles s’avèrent prédominantes, et la plupart des patients hospitalisés sont en fait vaccinés. » [8]

Dvir Aran, expert en données biomédicales également au Technion, avertit les autres nations tentées de s’inspirer du modèle israélien pourtant catastrophique :

« Ne pensez pas que les rappels soient la solution. »

Dans leur étude mise en ligne le 25 août 2021 [9], Sivan Gazit et coauteurs montrent, comme nous l’avons pointé plus haut, que la protection naturellement conférée par une infection antérieure est largement supérieure à ce que peut conférer l’injection de Pfizer-BioNTech.

Ces chercheurs ont également suivi de près l’évolution récente des infections dites « émergentes », et leurs études indiquent que les personnes « vaccinées » sont jusqu’à 13 fois plus susceptibles de contracter le variant covidien « delta » que les personnes « non-vaccinées » et déjà rétablies d’une infection par le SARS-CoV-2.

L’étude indique également que les personnes « vaccinées » présentent toujours un risque plus élevé d’hospitalisations liées au SARS-CoV-2 par rapport aux personnes « non-vaccinées » ayant déjà été contaminées par le virus. Plus précisément, les personnes « vaccinées » qui n’ont pas été infectées auparavant par le SARS-CoV-2 présentent désormais un risque près de 6 fois plus élevé de vectoriser l’infection dans sa nouvelle forme dite « delta » …

D’après ces données, il semble assez clair que les différentes injections « miracles » des grands cartels pharmaceutiques à la tête de la « guerre » génique expérimentale anti-Covid ne protègent pas les personnes de plus de 50 ans (sans entrer ici dans les détails des effets indésirables graves et non graves par tranches d’âge [10] potentiellement liés aux produits dits « vaccinaux » anti-Covid). De sorte que le déploiement des injections de rappel dans ces pays (pour une quatrième, puis une cinquième, puis une sixième dose, etc.) ne fait pas l’ombre d’un doute (car l’évidence de l’échec ici n’entrave nullement la détermination covidique officielle vis-à-vis de l’efficacité des « vaccins », porteurs contemporains du salut). Et il y a tout lieu de penser que les mêmes tendances apparaîtront prochainement dans d’autres pays, à commencer par la France (chose déjà en vigueur pour ce qui est de la troisième dose [11]).

Comme toujours depuis que le monde entier est en proie à un projet d’essai « vaccinal » unidimensionnel sous prétexte dela propagation du SARS-CoV-2, il est de mise de rappeler qu’un vaccin, au sens propre du terme, doit non seulement stimuler une réponse immunitaire chez le patient qui le reçoit, mais encore perturber la transmission de tel ou tel pathogène x ou y.

Ce n’est pas ce que fait l’ARN messager des injections dites « anti-Covid », dont l’information entre directement dans les cellules des personnes aujourd’hui inoculées en masse. Ce produit est un traitement synthétique (au sens où il consiste fondamentalement en la synthétisation de nanoparticules toxiques, appelées protéines de pointe), qui n’est pas conçu pour faire obstacle à la transmission du virus. Outre le mécanisme spécifique de l’ARN messager dans la production de protéines de pointe conformes au principe actif du SARS-CoV-2, la présence attestée d’oxyde de graphène, sur laquelle nous allons succinctement revenir ci-dessous, est fortement susceptible d’expliquer la montée actuelle de multiplication des nouveaux cas d’infection comprenant un grand nombre de personnes déjà plusieurs fois inoculées.  

À noter enfin qu’en Italie, l’extrémisme vaccinal n’est pas non plus en reste, avec la récente menace émise par l’ancien président de la Banque centrale européenne, l’actuel Premier ministre Mario Draghi, de rendre l’inoculation anti-Covid obligatoire pour tous [12]. Draghi attend de l’Agence européenne des médicaments (AEM) le feu vert de leur accord complet pour faire sauter la liberté au nom du covidisme qu’il professe. Le gouvernement italien, comme en France, a déjà rendu obligatoire la « vaccination » des travailleurs médicaux s’ils veulent être rémunérés.

Divergence de base virale : « en guerre » contre « quoi » ?  

Dans leur bienveillance affectée, les pouvoirs publics accordent aujourd’hui au peuple une liberté conditionnelle, qui n’est donc plus un droit naturel (au sens de droit fondamental et inaliénable), mais plutôt un privilège qui s’octroie ou non – cela dépend de la volonté des citoyens de se conformer à ce qui a été décidé pour eux par le « Conseil de défense et de sécurité nationale » (puisque nous serions « en guerre »), pour leur « plus grand bien » (c’est évident, il faudrait être tombé dans le piège du complotisme pour penser le contraire).

En guerre, mais contre qui exactement ? Ou plutôt, contre quoi ? Contre la liberté certes, cela est désormais explicitement entériné par les mesures en place, notamment un apartheid sanitaire. Mais en « guerre » déclarée, en premier lieu, sous prétexte de la mener à l’encontre d’un certain virus (chose en soi des plus absurdes), dont l’identité aurait néanmoins peut-être échappé aux va-t-en-guerre patentés de la nouvelle sanitocratie universelle.

Que voulons-nous dire ? Que Fauci et ses acolytes des CDC et de l’Institut Pasteur sont soupçonnés, non sans raison, de ne pas avoir disposé de la base virale entièrement développée du SARS-CoV-2 ; base à partir de laquelle il serait possible de calibrer un test de dépistage standard propre à la détection de ce virus particulier.

Un document [13] mis en ligne le 21 juillet dernier par l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux (la FDA) semble en effet indiquer que les CDC et la FDA, faute d’échantillons physiques du SARS-CoV-2, ont échafaudé un protocole de test destiné à la détection massive du « coronavirus » sur la base de cellules humaines immunitaires et épithéliales combinées à des fragments de rhinovirus (d’où procèdent les formes annuelles de la rhinopharyngite).

Or, sans matériel génétique de référence pour calibrer et confirmer le PCR, le test n’a aucune base scientifique dans le domaine de la réalité physique proprement dite. Par conséquent, si la chose était corroborée, la crédibilité matricielle de l’analyse PCR basée sur ledit protocole serait des plus douteuses (avant même de parler des amplifications de cycles qui ont eu cours sans vergogne dans le monde entier depuis plus d’un an). Car nous aurions alors affaire à une méthode falsifiée à la racine même de ce qui est devenu le test standard de dépistage PCR.

L’avantage de cette falsification est bien sûr facile à comprendre, si l’objectif était de répertorier le plus grand nombre de personnes possibles comme patients ayant été testés « positifs », donc infectés par le SARS-CoV-2, quand bien même elles ne présenteraient rien d’autre que d’infimes quantités de fragments d’ARN issues d’autres souches des Coronaviridae – d’infections virales révolues des mois auparavant, mais encore détectables au sein de l’appareil respiratoire des patients testés tous azimuts depuis le début de la crise sanitaire Covid-19.

Si, comme le document semble l’indiquer, les chercheurs travaillant au sein de l’orbite « faucien » ne purent fournir « d’isolats quantifiés du 2019-nCoV à l’usage des CDC » lors de la mise au point de ce qui allait devenir le test standard universel de dépistage PCR (à noter que la défectuosité du protocole du test PCR est désormais admise par les CDC, qui l’interdiront en conséquence d’ici la fin de l’année, affaire à suivre), c’est qu’en lieu et place de tels échantillons de référence proprement isolés, le profil de base de la maladie virale « faucienne » ne présente rien d’autre qu’un composé multicellulaire de souches de virus grippaux et de rhumes banals.

Dans la logique interne de cette histoire somme toute curieuse, les tests de dépistage PCR ont donc été configurés de manière à détecter chez les patients testés les séquences génétiques obtenues initialement à partir de banques de données numériques artificielles (donc plus ou moins forgées à partir de cellules épithéliales alvéolaires et de fragments d’ARN inventoriés de quelques picornaviridés et autres virus grippaux saisonniers communs).

Aucun médecin ou chercheur n’ayant isolé le SARS-CoV-2 à partir d’un patient infecté et symptomatique, aucun instrument de laboratoire ne peut être proprement calibré contre les caractéristiques dictées par son statut référentiel physique. En conséquence, les tests s’appuient simplement sur les propriétés des bases de données diffusées par les CDC et l’OMS, en utilisant le terme « Covid » comme étiquette numérique de référence ubiquitaire.

Cela expliquerait par ailleurs pourquoi la grippe saisonnière a quasiment disparu en 2020… Tous ceux ou presque qui en sont réellement tombés malades se sont vus attribuer, par défaut, le diagnostic « Covid » …

Il est vain de faire la guerre à un virus, puisqu’un virus ne fait qu’exécuter un programme naturel de perpétuation de lui-même, sans intelligence réflexive libre ni la moindre volonté de détruire qui que ce soit. Oui, le virus de Fauci et consorts est bien là, fabrication mondialiste au service d’un plus grand projet mondialiste. Son identité réelle (variée et variante) demeure néanmoins évasive, quoiqu’inscrite, d’abord, dans un profil de bases virales connues. Tout semble avoir été pensé pour protéger les différents coupables à court et à long terme, et finalement les exonérer (comme on le fait déjà aujourd’hui en accordant l’immunité aux consortiums pharmaceutiques), alors qu’on pénalise collectivement les victimes de cette grande expérimentation covidique mortifère.

Oxyde de graphène : confirmation (dans le silence médiatique)

À la fin du mois d’août, les résultats d’un chercheur américain, le docteur Robert O. Young, ont été rendus publics sous la forme d’un article approfondi intitulé Scanning & Transmission Electron Microscopy Reveals Graphene Oxide in CoV-19 Vaccines (une traduction en a été relayée ici sur ce site).

Nous conseillons fortement la lecture de cet article, ainsi que l’examen attentif des diverses images provenant de la microscopie électronique en transmission, des tableaux, des schémas et des graphiques particulièrement intelligibles que fournit l’auteur.

Il ne s’agit nullement de « complotisme », mais bien de science et de recherche protocolaire détaillée, faisant certes dissensus par rapport au discours public ambiant (lequel se fait l’écho du chantage gouvernemental à la liberté pour engendrer un alignement anti-libéral collectif).

Ce n’est pas notre propos de récapituler ici le contenu de cet article. Mais nous en prenons acte pour mettre en exergue les résultats remarquables de cette enquête scientifique (contre l’omission prévisible de la part des médias globaux) et ajouter quelques réflexions complémentaires. Le principal résultat que confirme cette étude, et qu’il convient de souligner en premier lieu, est le suivant : le signal d’absorption des faisceaux nanoparticulaires identifiés dans les flacons d’injections « vaccinales » (de Pfizer, de Moderna, d’AstraZeneca et de Janssen), lorsqu’on l’analyse au moyen de la microscopie électronique en transmission, indique que ces produits contiennent des quantités importantes d’oxyde de graphène, un composé carbonique caractérisé par sa très haute conductivité électrique. Chose qui avait déjà été esquissée et observée il y a plusieurs semaines par des chercheurs espagnols, mais qui nécessitait un protocole et des outils technologiques particuliers pour être corroborée par différents chercheurs dans différentes régions du monde. C’est désormais le cas. On notera au demeurant que le problème, en tant que tel, de la toxicité des nanoparticules d’oxyde de graphène, a été traité auparavant et diffusé dans le domaine public à travers diverses publications scientifiques [14].

Autre élément notoire, le fait que l’oxyde de graphène tient lieu d’ingrédient « masqué » dans les produits géniques expérimentaux présentés au public comme « vaccins » (les brevets ne le divulguent pas, contrairement à tous les autres ingrédients). Pourquoi une telle dissimulation ?

Or, on constate que les troubles de coagulation (sous forme de micro-caillotages tout-à-fait symptomatiques), plus encore que les myocardites, les maladies à prions, les divers problèmes de reproduction et autres complications à foison, sont non seulement les plus fréquents, mais également les plus directement mis en corrélation avec les propriétés thrombogènes de l’oxyde de graphène. Il y aurait donc matière à vigilance ici, si du moins la déraison covidique ne s’était pas implantée si profondément au sein de nos sociétés décadentes et subjuguées par la peur.

Il est également indiqué ici de souligner que les électro-fréquences et les phénomènes magnéto-biologiques particuliers induits par l’intermédiaire de l’oxyde de graphène dans les injections anti-Covid ont de fortes chances de modifier de manière significative les propriétés conductrices des fluides et des tissus corporels (nous ne prétendons pas avoir observé et mesuré un tel phénomène, mais soumettons simplement ici nos réflexions, à titre d’hypothèse). Le contenu ionique intracellulaire et extracellulaire d’un système biologique détermine en premier lieu les propriétés conductrices de ses organes et fluides constitutifs. Ce qui a été observé, à l’intérieur comme à l’extérieur de structures bio-corporelles animales, c’est que la résistance diminue progressivement à mesure que la fréquence augmente. Bien sûr, si l’on considère le profil conducteur interne d’un système biologique donné, la résistivité va varier d’un organe à l’autre. La question est donc de déterminer dans quelle mesure la résistance et la capacitance de structures corporelles internes sont sujettes aux fluctuations des fréquences d’éléments complexes absorbés (tels que l’oxyde de graphène) et des radiations environnementales.

Une chose semble certaine, c’est qu’après inoculation, l’oxyde de graphène ainsi biologisé acquiert une excitation électronique et une résonance magnétique qui s’alignement précisément sur la troisième bande de fréquence du rayonnement des technologies 5G.

Rappelons par ailleurs que les cellules du corps humain sont spécifiquement conçues pour conduire des courants électriques. Le flux intra-somatique d’électricité est indispensable au système nerveux pour assurer l’émission de signaux à travers tout le corps, crucialement vers le cœur et le cerveau. La membrane cellulaire elle-même fonctionne comme un dispositif de séparation ionique permettant à la cellule de générer des courants électriques. La stimulation d’une cellule permet notamment aux charges positives d’en pénétrer la structure par le biais de ce qu’on appelle des canaux ioniques. Lorsque la cellule se charge positivement, elle génère d’autres courants électriques qui vont à leur tour produire des impulsions électriques, influx neveux indispensables à la mise en action de nos mouvements et gestes moteurs quotidiens, de nos pensées et autres comportements coutumiers au jour le jour.

En outre, les réactions d’oxydoréduction revêtent une grande importance au sein des systèmes électro-biologiques, tels que le corps humain. Le processus d’oxydation biologique repose fondamentalement sur le transfert (libération et capture) de protons et d’électrons d’une molécule (dite « oxydée », par perte d’électrons) à une autre (dite « réduite », par gain d’électrons). Les processus biologiques d’oxydoréduction présentent un certain nombre de caractéristiques bien définies. Ils font partie intégrante de la préservation du bon fonctionnement et de la santé d’un organisme. Nous n’y reviendrons pas ici, mais voulons simplement rappeler que l’altération de ces processus (telles que la respiration tissulaire, la phosphorylation oxydative, les réactions constituant le cycle de Krebs, etc.) est à l’origine de perturbations métaboliques et de maladies très graves pouvant entraîner la mort (les symptômes de maladies graves associées à l’altération des processus d’oxydoréduction peuvent inclure faiblesse musculaire, tremblements incontrôlés, manque de coordination, accidents vasculaires cérébraux, diverses paralysies, …).

De ces réflexions de base, retenons et appliquons les deux principaux objets d’analyse que nous avons ici brièvement abordés: 1) l ’incidence de la fonction de fréquence par rapport à la résistivité organique, et 2) l’induction d’un déséquilibre du mécanisme de transfert des électrons inhérent aux réactions d’oxydation et de réduction dans l’organisme; appliquons-les donc à la présence électriquement active d’oxyde de graphène chez les milliards de patients aujourd’hui inoculés à travers le monde « contre » le SARS-CoV-2. 1) Lorsqu’il est excité par truchements électromagnétiques ambiants, l’oxyde de graphène multiplie en conséquence ses propres fréquences. 2) En fonction de l’intensité du signal incident, il s’oxyde beaucoup plus vite et finit notamment par rompre l’équilibre entre les niveaux (naturellement bénéfiques) de glutathion et la toxicité dont il est lui-même l’élément déclencheur une fois intégré à l’organisme au moyen d’une des quatre injections mondialistes. C’est en cela qu’il peut entraîner toute une panoplie d’altérations métaboliques redoutables et de modifications très sérieuses du comportement du système immunitaire.   

Objectif perpétuation pathogénique indéfinie, régulation démographique, et neuromodulation des peuples… On peut certainement le craindre, en prenant acte de ces découvertes, quand bien même (et surtout !) puisqu’elles ne seront pas ébruitées par les maîtres du discours.

Récapitulation : comprendre le covidisme en fonction du tout globaliste

Nous vivons une époque sans précédent de mensonges, de négation de la vérité, de propagande et de violence systémique sans précédent. Cela est d’autant plus attesté et pernicieux que cette même époque aime par-dessus tout se parer des apparences de l’illumination intellectuelle, du progrès, de la compassion inclusive à toute épreuve (sauf quand il s’agit des brebis galeuses non-vaccinées), de la philanthropie (du moins, lorsqu’elle est rentable), de l’œcuménisme non dogmatique (dont le seul dogme n’est autre que l’absence de dogme, opinionisme oblige), de la liberté de choisir (par exemple d’en terminer avec une grossesse encombrante, mais certainement pas de mettre en doute et de rejeter les nouveaux « vaccins » mondialistes), etc.

L’hypocrisie est pour le moins flagrante, d’où la violence fondamentale, à la fois intériorisée et de plus en plus extériorisée, qui caractérise notre situation historique et culturelle en ce premier quart du XXIe siècle.

Mais il fallait, semble-t-il, redonner une épaisseur nouvelle à l’hypnose collective bêtifiante. Car les récents « travers » populistes (principalement le Brexit et l’élection de Trump en 2016) indiquaient qu’une prise de conscience des peuples allait dans le sens d’un mouvement de réluctance opiniâtre capable d’interférer avec les principes et les tactiques politiques des forces organisées du mondialisme.  

Entrent en scène la peur (outil de choix des despotes), la panique mimétique, la surenchère de dépistage et de chiffres falsifiés (fraude des tests PCR, statistiques de décès des plus douteuses), l’effondrement économique, les élections américaines piratées et dérobées au profit de Biden, l’isolement forcé des peuples limitant l’accès à l’air frais et à la lumière du soleil… Entrent donc dans notre champ visuel les conditions d’existence du monde covidique façonné en 2020.

La censure technocratique, la lutte contre le changement climatique (objectif « Pacte vert mondial », au nom de la « santé publique »), la numérisation de l’éducation et de l’interaction sociale, le « vaccin » universel (comprenant, dans sa confection, des produits génétiques dérivés de lignées cellulaires d’enfants avortés), la mise en place d’une monnaie numérique mondiale, comptent parmi les principaux piliers impérieux de la refonte escomptée par les partenaires mondiaux du Forum de Davos. Les retournements orwelliens de définition et autres détournements linguistiques (« neutralité climatique », « pandémie », « seuls ensemble », « nouvelle normalité », « le pass = liberté », « vaccins », « nouveaux variants ») sont aussi au programme de la fraude épistémique généralisée – au service du dressage et de la conquête des esprits – et de la grande reconfiguration du monde, selon le projet pan-numérique de la caste technocratique.

D’où l’énumération non exhaustive suivante du programme de « Grande Réinitialisation », plus violemment que jamais à l’ordre du jour, que nous proposons ici pour mieux situer le phénomène du covidisme d’État dans son rapport au grand Léviathan du tout globaliste (le lecteur sera libre de peaufiner et de compléter la liste) :

  • un gouvernement mondial ;
  • une monnaie numérique mondiale ;
  • une banque centrale mondiale ;
  • une armée mondiale ;
  • la fin de la souveraineté nationale ;
  • la fin des races (selon la logique interne du racisme suprême de l’antiracisme institutionnalisé) ;
  • la fin de toute propriété privée (maisons, voitures, petits commerces…) ;
  • la fin de la cellule familiale traditionnelle ;
  • la fin de la conjugalité et de la fécondité naturelles ;
  • la prise en charge éducationnelle des enfants par le gouvernement ;
  • ’éradication « compassionnelle » des personnes âgées (euthanasie universelle) ;
  • la dépopulation eugénique au profit du culte néopaïen de la planète (rappelons, par contraste, ce que disait un saint Jean de la Croix, qui scandaliserait les nouveaux fondamentalistes de la révérence écologique absolue : « Une seule pensée de l’homme vaut mieux que tout l’Univers, et Dieu seul en est digne ») ;
  • la mise en place d’une sanitocratie universelle ;
  • les vaccins obligatoires partout (canonisation universelle des principes de l’Alliance globale pour les vaccins et l’immunisation, en anglais GAVI) ;
  • l’interdiction de la naturopathie et des médecines naturelles alternatives ;
  • perpétuation indéfinie des masques faciaux (suppression des visages) ;
  • l’allocation universelle ou revenu de base (l’austérité généralisée) ;
  • le sécuritarisme omniprésent ;
  • la surveillance de masse : basée sur la pan-connexion 5G (un réseau d’ondes millimétriques universalisé), les QR codes, et les micropuces ;
  • le système de crédit social (à la chinoise) ;
  • la fin des entreprises indépendantes ;
  • la fin des combustibles fossiles ;   
  • la restriction des voyages aériens non essentiels ;
  • la fin de l’irrigation, des fermes et des pâturages privées ;  
  • la concentration de la population dans les zones de peuplement ;
  • l’utilisation restreinte des terres ;

Réflexions conclusives

En 2021, la vertu maîtresse est de garantir la santé publique et le « bien-être » des peuples sous tutelle étatique, quand bien même les moyens d’y parvenir seraient irrationnels et liberticides.

Dans le prolongement de l’effémination de la société et de l’élévation désormais obligatoire de la figure homosexuelle bienpensante en Occident, la castration de l’homme covidique contemporain, par la peur et l’infantilisation, fait le jeu d’un remodelage complètement contre nature de l’humanité et des valeurs qui sous-tendent toujours l’édification et le développement de toute authentique civilisation. Aujourd’hui sous régime de liberté surveillée, l’homme covidique contemporain s’accommode très bien des prémisses émasculateurs de l’État-providence et de la destruction des valeurs, en premier lieu des valeurs masculines de courage, de résilience, de persévérance dans l’adversité, y compris face à la mort, inéluctable pour tous ici-bas.

Les mesures sanitaires prises par les autorités françaises n’ont eu aucune incidence jugulatrice sur l’épidémie, tout le monde le sait très bien (même ceux qui font semblant de ne pas le savoir). Plutôt que d’en prendre acte, ces mêmes autorités ont diffusé sans vergogne l’idée que la responsabilité de nouveaux développements et cas d’infection devait être imputée aux comportements déviationnistes des Français, particulièrement des « anti-vax complotistes » …

L’utilisation de la force et de la culpabilisation contre les citoyens pour se dédouaner de ses responsabilités colossales dans la gestion désastreuse de la crise sanitaire est une stratégie que le gouvernement français a systématiquement adoptée depuis un an et demi. Par son comportement répressif, accusateur et bien souvent bricoleur, il a fait le lit d’un vaste sinistre aussi bien économique que sanitaire et social. La dogmatisation de l’absurde sanitaire qu’il continue de professer et d’imposer au peuple est un scandale sans précédent.

La débâcle gestionnaire que nous avons vue à l’œuvre et malheureusement subie relève à la fois de ce scandale et de ce qui caractérise le plus distinctement cette ère hystérique du covidisme d’État : l’abdication de la rationalité.

Le type de rationalité qui perdure, par nécessité, nonobstant l’élaboration de politiques sécuritaires irrationnelles par nos instances étatiques entièrement soumises au covidisme, est celui qui soutient le projet aujourd’hui presque entièrement actualisé d’une hégémonie technocratique (vaccinale et numérique). Sans rationalité découlant d’abord de la technè, impossible de concevoir et de finalement mettre en œuvre le Nouvel Ordre civilisationnel de l’inoculation génique et de la surveillance universelle qui s’impose aujourd’hui.

C’est contre ce dévoiement totalitaire que continue de se lever aujourd’hui la France courageuse, la France qui fait aujourd’hui des émules dans le monde entier.  

Les représentants du pouvoir, de leur côté, restent enfermés dans leur déni péremptoire et autoritaire, coutumiers indécrottables de tactiques violant toute éthique médicale digne de ce nom. Ils se sont fourvoyés depuis le début, et l’entêtement persiste, comme si de rien n’était.

L’inversion accusatoire qui consiste à faire porter le fardeau de l’immoralité sur le dos des défenseurs des libertés fondamentales est la marque immanquable de cet orwellisme pharisaïque des détenteurs contemporains du pouvoir politico-médiatique. Dans leur suffisance « anti-complotiste » et donneuse de leçons de morale sanitaire, les accusateurs covidistes vont aujourd’hui jusqu’à faire passer les conditions d’existence en société pour un crime contre celle-ci. À commencer par le simple fait d’interagir avec autrui (sans faire de concession à l’irrationalité covidique de la peur d’autrui), parce que cela pourrait impliquer la possibilité de transmettre le virus à d’autres personnes… La logique de l’inversion morale, derrière cette manière démentielle de raisonner, pose pour prémisse que la transmission du virus, en soi, constitue un crime sans équivoque. Les restrictions en place sont dès lors moralement justifiables et justifiées. On trouve la même forme de raisonnement vicié depuis un an et demi au fondement des stratégies de contrainte préventive, d’infantilisation des peuples et d’utilisation de la force constitutionnelle et exécutive pour asseoir un monopole sanitaire illégitime.

Lorsque les exceptions qu’un État impose par rapport aux libertés et aux droits fondamentaux de ses citoyens peuvent être mises en avant et promulguées sans honte comme « libératrices », il est clair que l’inversion morale est allée beaucoup, beaucoup trop loin.

Dans ces conditions, se défendre du sécuritarisme tyrannique d’État, du covidisme hystérique et délateur, et des intimidations coercitives « légales » du pouvoir face à une menace aussi peu meurtrière que celle du coronavirus devient un devoir incontournable, une obligation morale interne surgissant de la conscience de tout homme encore rationnel et libre.

Pénaliser par « précaution », voilà une démarche qui ne pouvait tenir (on l’a vu dès l’an dernier). Le chantage à la liberté, intrinsèquement contradictoire, ne peut non plus tenir. Nous sommes une majorité à abominer la surveillance universelle, dont le « pass sanitaire » est le marchepied. Le glissement totalitaire est désormais consommé. Mais il s’agit d’un échec gouvernemental en tous points, et le grondement légitime des peuples se fait entendre des quatre points cardinaux.

Gardons espoir que la rentrée et les semaines à venir vont fournir la poussée supplémentaire à la levée de boucliers de tous les amis de la civilisation et de la loi naturelle.

Notes

[1] Et le procès condamnateur particulièrement avilissant à l’endroit du professeur Didier Raoult.

[2] Qui, entre autres effets bénéfiques, renforce de manière prouvée l’activité cellulaire antivirale naturelle en augmentant la production naturelle d’interféron. En d’autres termes, il ne s’agit pas seulement d’un médicament antiparasitaire à l’usage des vétérinaires (comme d’aucuns propagandistes du pouvoir l’ont répété à l’envi), mais bien d’un inhibiteur avéré (et sans effets secondaires) de l’activité du SARS-CoV-2.

[3] https://www.businessinsider.com/cdc-fully-vaccinated-people-can-spread-delta-variant-2021-7.

[4] Outbreak of SARS-CoV-2 Infections, Including COVID-19 Vaccine Breakthrough Infections, Associated with Large Public Gatherings — Barnstable County, Massachusetts, July 2021 | MMWR (cdc.gov).

Il convient de signaler ici un article de recherche de 2015 qui examine si les vaccins pourraient en fait favoriser l’évolution d’agents pathogènes plus virulents que le virus de base : 
Imperfect Vaccination Can Enhance the Transmission of Highly Virulent Pathogens (plos.org).  

[5] https://www.sentiweb.fr/document/5398 (« Situation observée pour la semaine 35 de l’année 2021, du 30/08 au 05/09/21 », voir p. 2/3).

[6] De 173 cas pour 100 000 habitants (ratio du seuil épidémique établi en 2016).

[7] Voir l’étude intitulée 
Comparing SARS-Cov-2 natural immunity to vaccine-induced immunity: reinfections versus breakthrough infections, par les docteurs Sivan Gazit et son équipe de recherche au 
Maccabi Research and Innovation Center (nous allons y revenir quelque peu ci-dessous). 

[8] https://www.science.org/news/2021/08/grim-warning-israel-vaccination-blunts-does-not-defeat-delta

[9] Voir en note [7].

[10] Thromboses (artérielles, veineuses, cérébrales), ischémies, myocardites, péricardites, cas d’hyperperméabilité capillaire, pneumopathies, fausses-couches spontanées, cas de syndrome de Guillain-Barré, …

Voir, par exemple en France, d’après les données répertoriées par l’ansm (et, plus spécifiquement, 
https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-suivi-hebdomadaire-des-cas-deffets-indesirables-des-vaccins), les enquêtes de pharmacovigilance pour l’injection de Pfizer-BioNTech
(le rapport nº 17 : période du 28 mai 2021 au 1er juillet 2021, ce qui date déjà quelque peu), notamment les pages 8 et 9, ainsi que les tableaux récapitulatifs des cas non graves et graves en pages 43 à 51 ; et pour l’injection Vaxzevria/AstraZeneca
(le rapport nº 14 : période du 04 juin au 08 juillet 2021).

[11] https://www.vie-publique.fr/en-bref/280887-covid-19-la-has-rend-son-avis-sur-une-3e-dose-de-vaccin

[12] https://francais.rt.com/international/90331-covid-19-mario-draghi-pret-imposer-vaccination-obligatoire-italie

[13] https://www.fda.gov/media/134922/download

[14] Voir le bulletin d’alerte du 21 juillet 2021 : 
https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html   

Une étude de 2016 sur les nanomatériaux dérivés du graphène et sur leur toxicité in vivo et in intro : 
Toxicity of graphene-family nanoparticles: a general review of the origins and mechanisms | Particle and Fibre Toxicology (biomedcentral.com).

Une autre étude, datant de 2014, sur les nanoparticules magnétiques (à l’œuvre dans les thérapies géniques) : Superparamagnetic nanoparticle delivery of DNA vaccine – PubMed (nih.gov).

Également cette étude de 2010 portant spécifiquement sur la toxicité provoquée par les nanoparticules lipidiques chargées positivement : The systemic toxicity of positively charged lipid nanoparticles and the role of Toll-like receptor 4 in immune activation – ScienceDirect.




La Coordination Santé Libre appelle les soignants à faire pression sur le gouvernement

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Soignants en grève. AFP]

Auteur(s): FranceSoir

Dans un communiqué de presse ce jour, la Coordination Santé Libre (CSL), qui regroupe différentes associations de médecins, soignants et scientifiques, appelle à un retrait immédiat de l’obligation vaccinale qui sera imposée à certains professionnels à partir du 15 septembre.

Dans cette lettre, l’obligation vaccinale est jugée « illégale », « choquante » et « scandaleuse », notamment du fait de son incompatibilité avec le Code du travail. Par ailleurs, la façon dont cette loi a été promulguée reste mal acceptée. À ce sujet, la CSL rappelle notamment « la sous-représentation des parlementaires ayant voté cette loi » et « la complaisance du Conseil constitutionnel », sur fond de prorogation de l’état d’urgence sanitaire.

Voir aussi : des débats parlementaires à l’image de la société, confus et électriques

En réponse à cela, grâce à l’union de ses différents membres, la CSL met un point d’honneur à la réinformation depuis sa création en janvier 2021. Sur son site, on trouve notamment les vidéos de leur Conseil Scientifique Indépendant (CSI), qui se réunit chaque jeudi pour traiter de différents sujets de santé ou de société.

Outre l’information, la CSL appelle finalement tous les professionnels concernés par l’ogligation vaccinale à faire pression sur le gouvernement, au travers des recours juridiques notamment. L’association BonSens par exemple, propose à chacun de signer ses plaintes collectives. Sur le site de Reinfo Covid, on trouve plusieurs modèles de lettres juridiques, rédigées avec des avocats, destinées à aider les professionnels en difficulté. De fait, depuis l’application du passe sanitaire en août, le parquet de Paris et la Cour de justice de la République croulent tous deux sous les plaintes, notamment grâce aux modèles de l’association créée par Me Fabrice Di Vizio.

Voir aussi : gestion de crise sanitaire : les plaintes pleuvent

Par ailleurs, d’autres moyens de lutte sont aussi envisageables et ouverts à un plus grand nombre, tels que l’affichage, la manifestation, les pétitions, le boycott ou encore la grève. À ce sujet, la CSL ponctue d’ailleurs sa lettre en apportant son soutien à l’appel à une grève illimitée des professionnels de la santé du Syndicat Liberté Santé.

Voir ici : le communiqué du Syndicat Liberté Santé

Communiqué de la Coordination Santé Libre

Auteur(s): FranceSoir




Pseudovaccin COVID : secret organisé pour les adolescents vis-à-vis de leurs parents par l’État

Par Nicole Delépine

Chaque jour apporte son décret ou sa circulaire, pire que les précédents, mais parfois on est encore surpris de leur perversité. Telle cette note de la DGS adressée à tous les personnels autorisés à injecter cette substance génique aux composants variés le 8 septembre 21.(([1] 08/09/2021 RÉFÉRENCE : DGS-URGENT N°2021-95
TITRE : VACCINATION DES MINEURS — RÈGLES DE BON REMPLISSAGE DE VACCIN COVID))

L’Essai thérapeutique à grande échelle violant le consentement éclairé explicite de la loi

Au passage, vous découvrirez que votre nutritionniste ou podologue ou orthoptiste(([2]
▪Chirurgien-dentiste
▪Audioprothésiste
▪Podo-Orthésiste
▪Ergothérapeute
▪Autre professionnel de santé
▪Sage-femme
▪Manipulateur ERM
▪Orthopédiste-Orthésiste
▪Diététicien
▪Médecin-autre spécialiste
▪Pédicure-Podologue
▪ Pharmacien
▪Infirmier
▪Opticien-Lunetier
▪Psychomotricien
▪Masseur Kinésithérapeute
▪Orthoptiste
▪Orthoprothésiste
▪Médecin généraliste
▪Orthophoniste
▪Technicien de laboratoire médical)) sont autorisés à vous faire ce geste médical aux conséquences possibles immédiates, à court et à long terme multiples, et à vous faire signer IMPLICITEMENT ce consentement éclairé sur tous les inconvénients possibles. Aucun problème de désert médical en France, chaque professionnel, de métier respectable par ailleurs, peut décider de participer à cet essai clinique à ciel ouvert sans en mesurer les conséquences possibles et parfois gravissimes.

Et les enseignements et lois, issus de la seconde guerre mondiale sur les essais thérapeutiques chez l’Homme, résumés dans le code de Nuremberg de 1947 sont enterrés. Pourtant les lois qui protègent l’humanité de la pratique sauvage des essais sont encore en vigueur, mais piétinées sans vergogne, telle la loi Kouchner de 2002 qui exige le libre consentement éclairé pour tout geste médical même non expérimental (information sur une coloscopie ou une intervention ou une prescription médicamenteuse, la loi Huriet 1988 sur les essais thérapeutiques et les multiples lois internationales qui priment sur le droit français.

Mais où est passé le respect du droit en France depuis quelques années ? Que les politiques à tous niveaux qui imposent ces lois, décrets, circulaires contraires au Droit et à tous ceux qui rivalisent de zèle pour plaire au Prince de l’Élysée pour les appliquer, ne s’étonnent pas de se retrouver un jour dans la désagréable position d’Agnès Buzyn en ce 10 septembre 2021, mise en examen pour « mise en danger de la vie d’autrui ».

Et quoiqu’en disent beaucoup, même si à terme elle est lavée (responsable et pas coupable par exemple), ce qui est possible, cette expérience pour une ancienne ministre qui se croyait tout permis est bien difficile.

Jérôme Salomon pourtant dans le même bateau signe encore cette circulaire toxique pour les jeunes. Pourquoi ? Qu’on ne me dise pas qu’il soigne son dossier pénal (comme a dit E. Macron concernant Édouard Philippe). Est-ce de l’inconscience d’une petite caste vivant sur une autre planète ?

Voici les principaux éléments de cette circulaire de la Direction Générale de la Santé signée le 8 septembre par Jérôme Salomon,(([3] Et Bernard Celli, président de la Task Force de la vaccination)) grand prêtre de nos soirées du printemps 2020 annonçant le nombre de décès officiellement attribués au virus SARS-CoV-2 (dont on saura plus tard qu’ils ont été largement surestimés) et poursuivis à la cour de justice de la République comme Agnès Buzyn.

DEPUIS JUIN L’AUTORISATION D’UN SEUL PARENT SUFFIT

« Madame, Monsieur, La vaccination contre la COVID-19 est ouverte à tous les adolescents de 12 ans et plus depuis le 15 juin 2021. Jusqu’à présent, la signature des deux parents exerçant l’autorité parentale était exigée pour la vaccination d’un mineur. La loi du 5 août 2021 modifie doublement le cadre de l’autorisation parentale en vigueur. D’une part, seule l’autorisation de l’un ou l’autre des titulaires de l’autorité parentale est requise pour la réalisation d’une vaccination contre la COVID19 pour les adolescents de moins de 16 ans ».

Notons à ce propos le nombre croissant de drames familiaux engendré par cette décision illustrant parfaitement la technique du « diviser pour régner », utilisée partout par le gouvernement pour faire passer ses décisions iniques. Les parents se déchirent et les enfants impuissants assistent à ces scénarios tragiques non conçus pour leur bien — être manifestement. Les procès entre parents s’accumulent.

MAIS LE PIRE ARRIVE : PARENTS DÉCHUS DE L’AUTORITÉ PARENTALE POUR L’INJECTION GÉNIQUE

Les parents sont, à ma connaissance, responsables pénalement et civilement (financièrement) des dégâts causés par leurs enfants mineurs (moins de 18 ans) lors d’accidents, ou de dégradations volontaires. Cependant, concernant la mascarade covid dont on ne dira jamais assez qu’elle ne tue aucun enfant ou adulte jeune sans comorbidité, et que seulement 0,003 % français sont actuellement en réanimation pour covid (et pas morts° pour 67 millions d’habitants), les parents sont déchus de leur autorité parentale !

Un adolescent de plus de 16 ans qui le souhaite peut désormais se faire vacciner sans autorisation parentale.(([4] « Concernant l’enregistrement de la vaccination de l’adolescent dans Vaccin Covid, les modalités de remplissage de Vaccin Covid restent les mêmes et vous sont rappelées ci-dessous. Le respect des règles suivantes est particulièrement nécessaire (en centre de vaccination, en ville, en équipe mobile…) au moment où la vaccination de ces adolescents progresse rapidement. 1. Tous les adolescents de 12 ans et plus qui se présentent pour se faire vacciner doivent être en possession du NIR (Numéro de sécurité sociale) de l’un des deux parents, ou de leur propre NIR. Ce NIR doit être le même pour la 1re et la 2e injection »))

En pratique la circulaire précise pour les vaccinateurs :

« a. Si l’adolescent dispose du NIR (numéro de sécurité sociale) de l’un de ses deux parents, ce dernier est utilisé pour saisir la vaccination dans Vaccin Covid. L’adolescent est retrouvé sous le NIR du parent, en cliquant sur « rechercher les autres membres de la famille ».

« b. Dans le cas où l’adolescent dispose d’un NIR personnel, celui-ci peut désormais être utilisé pour rechercher l’adolescent et saisir la vaccination dans le logiciel. NB : dans un cas comme dans l’autre, les parents pourront avoir accès à son certificat incluant le QR-Code au travers du téléservice attestations »

évidemment si l’adolescent se cache de ses parents, il n’a pas forcément leur carte de sécurité sociale et donc le ministère ne s’embête pas pour si peu.

SE VACCINER CONTRE L’AVIS DE SES PARENTS !

2. Si et seulement si le NIR ne peut être communiqué, ou lorsque l’adolescent de 16 ans ou plus souhaite se faire vacciner contre l’avis de ses parents, ou dans toute autre situation rendant impossible l’utilisation du NIR de l’un des deux parents ou celui de l’adolescent : a. La procédure de saisie dite « NIR d’urgence » peut être utilisée.

La vaccination contre la Covid-19 prime, en dernier recours, sur l’exigence d’utiliser le NIR de l’un des deux parents. b. Dans ce cas de figure, il est impératif d’indiquer aux adolescents qui se font vacciner sous le NIR d’urgence de conserver très précieusement le code patient qui se présente sous la forme d’une série de trois fois trois lettres (XXX-YYY-ZZZ). Ce code figure sur la synthèse de vaccination, et non sur l’attestation certifiée de vaccination. Il est donc également impératif de remettre à l’adolescent cette synthèse en plus de son attestation certifiée. En cas de perte par l’adolescent ou d’oubli de remettre à l’adolescent la synthèse de sa vaccination par les personnels compétents, il sera difficile de retrouver le dossier de l’adolescent, sauf à passer par le tableau de bord de celui qui a réalisé la vaccination. »

LE MANTRA OFFICIEL COMME SEULE INFORMATION

Imaginez bien l’adolescent seul ou avec des copains du même âge, le plus souvent peu informé, et dont l’orthoptiste ou le podologue du centre de vaccination ne sauront que répéter le mantra officiel : aucun risque et tu seras libre enfin de sortir, d’aller au café, au cinéma ou au concert, de t’inscrire au sport, etc. Quid des discussions et informations à donner aux jeunes sur leurs risques éventuels, sur les effets secondaires déjà répertoriés dans les banques de données officielles, sur les risques de troubles des règles chez les jeunes filles et un point d’interrogation sur les dangers éventuels de stérilité. Personne ne leur dit rien et quand ils en parlent parfois avec des amis plus âgés qui informent sur l’existence de ces banques officielles, ils demandent pourquoi ils n’en sont pas informés.

Comme dit fort justement un correspondant, la pression est énorme :

« Tout ceci permettra d’injecter les ados « sur un coup de tête » lors d’une sortie scolaire dans un centre de vac’ par exemple. La pression psychologique est rude et sournoise »

Jean-Marc.
Et chacun connaît la fragilité des ados souvent en conflit avec leur famille à cette période de la vie, il n’est pas nécessaire de mesurer la perversité de cette mesure. Jérôme Salomon est-il papa ?

HEUREUSEMENT DE NOMBREUSES VOIX SE LÈVENT POUR TENTER DE PROTÉGER NOS JEUNES 

L’association Enfance & Libertés prépare des recours juridiques devant le Conseil d’État pour protéger les droits et la santé des enfants

N’hésitez pas à les rejoindre pour étendre la toile des recours sur l’ensemble de la France. En résumé voici ce que dit leur site(([5] Enfance & Libertés prépare des recours juridiques devant le Conseil d’État pour protéger les droits et la santé des enfants — Enfance et libertés (enfance-libertes.fr) )):

« La récente loi de gestion de la crise sanitaire met à risque les droits des enfants ainsi que leur santé émotionnelle, psychologique et physique. Elle constitue en outre une entorse au principe d’autorité parentale.
Aussi, Enfance & Libertés déposera très prochainement avec l’assistance de l’avocat Me David Guyon des recours devant le Conseil d’État, en particulier contre les dispositions suivantes :
• La possibilité pour un jeune de 16-18 ans de se faire vacciner sans consentement parental
• La possibilité pour un jeune de 12-15 ans de se faire vacciner avec le consentement parental d’un seul parent
• La discrimination induite par l’éviction des élèves non vaccinés lors de l’apparition d’un cas contact dans la classe
• La possible discrimination des non-vaccinés lors de sorties scolaires • L’extension du pass sanitaire aux enfants dès 12 ans à compter du 30 septembre 2021.

https://enfance-libertes.fr/enfance-libertes-prepare-des-recours-juridiques-devant-le-conseil-detat/ »

Insistons aussi sur les programmes de propagande à l’École imposés par le pouvoir

Un professeur d’espagnol au lycée Raymond Naves de Toulouse est suspendu à Toulouse: il est accusé de relayer des idées « complotistes » :

« concernant le vaccin anti-Covid après avoir montré une vidéo du site France Soir à une classe de seconde.
Signalé par ses supérieurs hiérarchiques, il était entendu ce jeudi matin au Rectorat qui a déclaré « qu’il n’est pas acceptable, qu’un professeur exprime ses opinions personnelles auprès de ses élèves, la décision a été de le suspendre par mesure conservatoire ».

https://www.ladepeche.fr/2021/09/09/toulouse-un-professeur-despagnol-du-lycee-raymond-naves-est-suspendu-pour-apologie-du-complotisme-9778798.php

Mais des parents conscients et courageux réagissent et vont discuter calmement avec les chefs d’établissement leur faisant toucher du doigt leur responsabilité pénale personnelle à la suite de leurs décisions. Contrairement à Big Pharma et aux dirigeants politiques couverts par les clauses des contrats ils ne sont pas à l’abri de poursuites. Écoutez par exemple ce père qui a constaté que la peur peut changer de camp :

Et voyez la lettre dont il propose un exemple :

Contenu de cette lettre RAR à l’attention de ……….

1. Lettre au responsable de l’établissement de la part des responsables et tuteurs légaux.
2. Annexe 1. Rappel à la Loi concernant le secret médical.
3. Annexe 2. Communiqué du Syndicat Action et Démocratie.
4. Annexe 3. Fiche dérogatoire à l’infirmerie : refus catégorique et intemporel de soins Covid.
5. Annexe 4. Non-autorisation de sortie scolaire dans tout centre de vaccination.

Nom et Prénom du/des Responsable(s) de l’enfant

Préciser l’adresse postale du domicile principal de l’enfant

Responsables et Tuteurs Légaux de …………………., élève de ……. à ………………………

À Monsieur/Madame …………………

Chef d’établissement du collège/lycée………..

À ………, le 30 août 2020

Madame/Monsieur,

Nous accusons réception de vos emails datant des … et … août 2021 nous encourageant à effectuer la démarche de « vaccination » de notre enfant « dès à présent ». Encouragement soutenu par le courrier officiel de votre Rectrice/Recteur d’Académie, Madame/Monsieur……………………..

Nous aimerions, tout d’abord, vous informer que l’« encouragement » très orienté dans vos courriels, lettres PDF et notice explicative du protocole de vaccination mis en place au sein du collège/lycée, portent atteinte à plusieurs titres, et d’un point de vue juridique, au secret médical de notre enfant, tel qu’établi par la Loi (Cf. Annexe 1. Rappel à la Loi). En effet, ce protocole que vous mettez en place interroge sur son statut médical, protégé par la Loi.

Nous considérons que cette démarche, qui viole le secret médical de notre fils est illicite, selon ce qui est du Droit.

De plus, et de façon évidente, ce protocole de vaccination mis en place par abus de pouvoir au sein du collège/lycée………………….. dont vous êtes le chef d’établissement par le ministère de l’éducation, et donc par extension directe de la voie hiérarchique mis en place par la rectrice et par vous-même au collège/lycée………………., n’a aucune portée ni validité juridique au regard de la Loi. Il n’a jamais été publié au Journal Officiel, et pour cause, aucun texte ne donne au ministre de l’Éducation de compétence en matière sanitaire et donc le droit de déroger à la loi. Il en va de même pour vous en tant que Principal/Proviseur. Vous n’avez donc par extension aucune compétence dans la mise en place et l’application d’un protocole de vaccination purement hors la loi. Ce protocole illégal engage les responsabilités civiles et pénales de ce qui y croient, le mettent en place par vulgaire publication sur le Web, et vont l’appliquer à l’école. Nul n’est censé ignorer la Loi. Comment comptez-vous informer de façon transparente et sans parti pris du fait de votre fonction l’ensemble des familles sur l’aspect illégal de ce protocole que vous avez déjà envoyé ? Comment comptez-vous faire la mise à jour de ces informations cruciales pour ne pas avoir à engager votre responsabilité civile et pénale et celle de vos enseignants qui participeront à ce protocole ?

Cet « encouragement » à la vaccination suscite de notre part de nombreuses interrogations, ce pour quoi nous avons donc souhaité vous rencontrer en personne ce lundi 30 août 2021. Et nous avons bien entendu que vous ne partagez pas nos questionnements par manque d’information. De par votre fonction, l’heure n’est pas au partage d’un avis personnel pour la vaccination des élèves, mais à la responsabilité civile et pénale de chacun dont la vôtre, face à une situation où le principe de précaution dans l’intérêt de nos enfants qui ne sont pas concernés par cette situation sanitaire doit prévaloir en tout temps.

Nous sommes en effet désireux de savoir, et dans l’attente de réponses écrites :

  • Sur quelle base légale fondez-vous votre « encouragement », sachant qu’il n’y a aucune loi qui exige cette incitation vaccinale pour les enfants qui ont plus de 12 ans ? Il n’existe donc, au jour où nous vous écrivons, aucune disposition légale susceptible de fonder une telle demande pour un chef d’établissement et un enseignant, ainsi qu’un établissement d’enseignement ayant pour seule mission la pédagogie.
  • Pour Pfizer BioNTech, période du 28/05 au 1/07/2021, 31 389 Effets indésirables, 8689 cas graves, dont 761 décès. (Page 8/57)
  • Pour Moderna, période du 28/05 au 1/07/2021, 5665 Effets indésirables, 1050 cas graves, dont 44 décès. (Page 6/30)

En tant que Chef d’établissement, comment envisagez-vous de rectifier cette notice explicative erronée et trompeuse afin d’informer pleinement et en toute transparence, sans parti pris, mais dans un principe de précaution, les parents de ces données officielles publiques ? Car non, les effets secondaires indésirables graves ne sont pas « extrêmement rares ». Les chiffres publics officiels ANSM sont bien là et sans mises à jour disponibles depuis ce 1er juillet 2021. 761 décès, 2551 mises en jeu du pronostic vital, 5384 cas non rétablis/non résolus (que sont-ils devenus ?), pour le seul Pfizer.

Cela étant posé, comment comptez-vous concilier votre protocole de vaccination avec les principes issus des textes suivants, présentés dans un ordre décroissant de force obligatoire au regard de la hiérarchie des normes juridiques ? :

Et comment comptez-vous engager votre responsabilité civile et pénale au regard de ces mêmes textes ? :

Ces dispositions internationales ne peuvent pas être modifiées unilatéralement par le gouvernement français, même au bénéfice d’une « urgence » qui resterait pour le surplus à démontrer, et de surcroît pour une catégorie d’âge non concernée comme l’attestent l’ensemble des données de santé.

  • Article L1111-4 du Code de la Santé publique (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000041721056/) et l’article R4127-36 du Code de la santé publique (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000032973595) imposant de respecter le consentement de la personne concernée soumise à un traitement médical.
  • Notez par ailleurs qu’une protection toute particulière est instaurée au profit des mineurs en vertu de l’article R4127-42 du Code de la santé publique (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000043588175/).
  • Au regard des données officielles nationales disponibles publiquement de l’ANSM, de la Haute Autorité de Santé, des données européennes d’EudraVigilance, et de l’ensemble des données au niveau international, il apparaît très clairement que les enfants de 12 à 17 ans ne sont absolument pas concernés par le SARS-CoV-2, autrement appelé Covid19. (https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-suivi-hebdomadaire-des-cas-deffets-indesirables-des-vaccins), comment comptez-vous engager votre responsabilité civile et pénale, ainsi que celles de vos enseignants qui vont participer à cette incitation vaccinale ?
  • Si, après une éventuelle injection des produits expérimentaux, certain(e)s élèves du collège/lycée…… étaient amené(e)s à présenter des effets secondaires graves pouvant aller jusqu’au décès, êtes-vous en mesure d’en supporter, tant personnellement qu’au nom de l’établissement que vous dirigez, les conséquences d’un point de vue civil et pénal, et d’y engager par écrit votre responsabilité dès aujourd’hui ?

En effet, les fabricants des produits injectés ayant obtenu de l’Union européenne une immunité civile totale, l’incitation organisée par vos soins au sein de l’Institution Sévigné d’un produit en phase d’essai clinique expérimental pourrait avoir des conséquences potentiellement dramatiques. Et ce d’autant plus en l’absence d’études précliniques de toxicité, de génotoxicité sur l’organisme humain et donc sur les enfants dont vous avez la charge.

Nous aimerions également vous rappeler que le protocole sanitaire des établissements scolaires n’a aucune valeur légale ni réglementaire (voir Annexe 2. Communiqué du Syndicat Action et Démocratie). Nous nous permettons de vous rappeler que :

  1. L’Article 225-1 du Code pénal : (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000033461473 interdit toute discrimination ou distinction entre les personnes physiques notamment en fonction de leur état de santé, de leurs caractéristiques génétiques ou de leurs opinions. En vertu de
  2. L’article 225-2 du même Code pénal : (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000033975382)

Ces discriminations sont punies de 3 ans d’emprisonnement et de 45 000 € d’amende lorsqu’elles consistent notamment à refuser la fourniture d’un service (Art. 225-2-1°), à refuser d’embaucher ou à sanctionner ou licencier une personne (Art. 225-2-3°) ou à subordonner une offre d’emploi, une demande de stage ou une période de formation à une condition constituant une discrimination (Art. 225-2-6° du Code pénal).

  1. En résumé, selon le Code pénal, les collégiens et lycéens ne peuvent faire l’objet d’une discrimination fondée sur leur état de santé (art. 225-1). En outre, cette mesure porte atteinte à la dignité humaine que garantit le Conseil constitutionnel (déc. n°94-343/344 du 27 juillet 1994) et dont l’article 16 du Code civil affirme la protection.
  2. D’ailleurs, le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels du 16 décembre 1966, que la France a ratifié, affirme non seulement « le droit de toute personne à l’éducation », mais le fait qu’elle « doit viser au plein épanouissement de la dignité humaine et du sens de sa dignité » (art. 13). La convention internationale des droits de l’enfant du 20 novembre 1989, également ratifiée par la France, prévoit que « le droit de l’enfant à l’éducation » s’exerce « sur la base de l’égalité des chances » (art. 28-1) et que « l’enfant doit être « effectivement protégé contre toutes formes de discrimination ou de sanction motivées par la situation juridique » (art. 2-2). Or, le statut vaccinal fondé sur la détention d’un document administratif est bien une « situation juridique » définie par une attestation.

Nous réservons le droit, en tant que Responsables et Tuteurs Légaux de notre enfant …………….., et selon ces lois citées ci-dessus, de saisir le Défenseur des Droits et d’agir selon ce qui est de droit au cas où notre enfant soit « évincé » (selon la déclaration publique de Monsieur Jean Michel Blanquer, Ministre de l’Éducation Nationale sur France Info le 28 juillet 2021) de votre établissement en fonction de son statut vaccinal.

Par la voie légale de cette lettre RAR, nous nous permettons de vous communiquer également en Annexe 3 la Lettre dérogatoire à destination de l’infirmerie de l’établissement, dans laquelle, exerçant notre autorité parentale en plein droit, nous vous informons de notre refus catégorique et intemporel de soins Covid (Test PCR, Test antigénique, Vaccins Covid) pour notre enfant ………………………………..

Au regard de tous ces éléments, nous vous informons de notre refus catégorique et intemporel de toute démarche visant à la vaccination sur notre enfant ………………………….

Nous refusons toute démarche de quelque personne physique et/ou morale que ce soit, d’incitation à la vaccination.

Nous refusons toute démarche d’intimidation, mise sous pression, manipulation par abus de pouvoir, par abus de faiblesse, par abus d’influence, toute discrimination à l’encontre de notre enfant.

Nous refusons, au regard de la « notice explicative — vaccination contre la Covid19 des collégiens et lycéens » de participer à toute démarche de recensement comme le précise le formulaire 1 que nous ne « devons » pas remplir. Nous ne transmettrons donc aucun document à l’infirmière sous pli cacheté, ni aucune fiche au professeur principal à venir de notre enfant, comme à toute autre personne physique et/ou morale.

Nous restons bien sûr à votre entière écoute pour évoquer tous ces sujets ensemble, tout en attirant à nouveau votre attention sur la gravité particulière des mesures à caractère essentiellement politiques annoncées et non encore inscrites dans le marbre de la loi eu égard au nombre de dispositions normatives supérieures que ces obligations violeraient.

Finalement, nous vous invitons à prendre connaissance de l’Annexe 5. Non-autorisation de sortie scolaire. Par moyen de cette annexe, nous vous informons que nous n’autorisons pas notre fils à participer quelconque sortie scolaire que ce soit en centres de vaccination, que ce soit à l’extérieur comme à l’intérieur du collège/lycée……………………………

Nous vous prions de croire, Madame, Monsieur, à l’expression de nos salutations distinguées, préoccupées et déterminées.

Nul n’est censé ignorer la Loi. Vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas.

Pour faire valoir ce que de droit. Dans l’intérêt des enfants.

Nom parent 1 Nom parent 2

Signatures :

Merci à tous de diffuser ces informations, de ne pas rester passifs, soumis devant cette attaque en règle de nos enfants, de la génération future. On ne parle que de sauver la planète, eh bien oui sauvons nos enfants qui pourront alors s’occuper de la planète Bleue.





« Merci M Estrosi d’être présent pour défendre la sécurité et les valeurs de notre belle démocratie. » — « Vive le label “personnel vacciné” pour les commerçants de Nice. »

Par Alain Tortosa

Cher M Estrosi,

J’ai appris que vous aviez eu le « courage et l’intelligence » de créer le label « personnel vacciné » pour les commerçants de votre belle ville de Nice où il fait bon vivre.

Je ne suis pas du genre sensible, croyez bien, mais à cette annonce, je n’ai pu retenir une larme à l’œil, devant l’humanité de votre décision.

Je suis un de vos fidèles admirateurs, abonné à votre page Facebook et je me souviens avec nostalgie lorsqu’au mois d’avril vous diffusiez dans les haut-parleurs de la ville des annonces pour faire respecter les gestes barrières et ainsi lutter contre le « fléau ».

Mais tout ceci n’était rien face à votre idée géniale de « label ».

« Enfin un homme politique qui pense à protéger aussi bien les personnels des commerces que les clients et qui n’hésite pas à retrousser ses manches ! »

J’espère que tous les maires de France auront le courage et l’intelligence de suivre votre initiative.

Grâce à vous, lorsque je me rendrai à Nice, je pourrai rentrer dans un commerce qui affiche le « label » et bien entendu, boycotter tous les commerçants dénués de sens civique ou moral qui ne l’affichent pas.

Nous vivons une période à la fois dramatique où des adultes font preuve d’un égoïsme écœurant en ne se vaccinant pas et en ne vaccinant pas leurs enfants, quand bien même ceux-ci ne seraient absolument pas concernés par le Covid…

… mais nous voyons aussi beaucoup d’amour, de solidarité… ces millions de Français qui portent un masque et se vaccinent, absolument pas par peur, absolument pas par égoïsme, mais dans l’unique but de protéger leur famille, leur voisin ou quiconque.

Plus encore tous ces Français vaccinés « solidairement » se battent pour que les non-vaccinés se vaccinent, non pas parce qu’ils auraient peur… En effet comment une personne vaccinée avec un vaccin « efficace » pourrait-elle avoir peur d’un non-vacciné ?

Convenez qu’il faudrait être particulièrement stupide. Et c’est là où je rejoins totalement votre démarche altruiste…

Vous-mêmes et les commerçants qui adhèrent à votre label agissez de la sorte uniquement pour protéger les non-vaccinés qui ne peuvent que vivre dans la peur de se retrouver en réanimation ou pire…

En fait vous êtes « BON ». Depuis le début de mon texte, je cherchais le mot juste qui vous qualifie le plus et c’est le mot « bon » !

Vous auriez même pris le risque inouï de vous traiter à l’hydroxychloroquine lorsque vous avez été malade et avez bien compris qu’il fallait protéger les Français et aller vers le tout vaccin !

Certains aigris jaloux osent dire que vous prendriez toutes ces mesures courageuses qui vont bien au-delà de la loi, pour des raisons électoralistes, et même devenir Premier ministre de M. Macron lors du prochain quinquennat.

Mais que les gens sont petits et mesquins à imaginer que vous ne feriez ceci que par opportunisme…

Ces mêmes petites gens vont jusqu’à oser dire que votre « label » introduirait une forme de discrimination entre les Français et violerait le secret médical.

Je reste sans voix, je ne les comprends plus. Croyez-bien que je n’ai qu’amour pour mon prochain, comme vous, mais là je n’arrive pas à les comprendre.

Mais quand on fait quelque chose de bien, pourquoi devrions-nous le cacher ?

Si demain je donne à une association, pourquoi devrais-je cacher mon geste généreux ?

C’est exactement la même chose pour ce « label du cœur », car c’est ainsi qu’il faudrait le nommer.

Tous les personnels qui sont vaccinés peuvent être fiers de leur geste de solidarité, fiers de s’être vaccinés pour protéger les autres et fiers de l’afficher en devanture !

Il faudrait même organiser une tombola pour récompenser les Niçois. Je verrais bien une fête avec 50 000 personnes aux arènes de Cimiez, bien sûr toutes vaccinées… car un bon test PCR ne remplace pas une vaccination « efficace »…

Je salue donc votre héroïsme, mais je regrette que vous n’alliez pas plus loin…

Le Covid est bien entendu le pire fléau qu’ait connu la planète depuis plusieurs dizaines d’années, mais il ne faudrait pas oublier que notre santé est menacée par de très nombreuses maladies.

Il existe des maladies mortelles dont certaines peuvent se transmettre par voie aérienne, la salive, etc.

Il me semblerait juste et efficace que les commerçants qui affichent votre merveilleux « label » puissent garantir au public que leur personnel n’a pas de :

  • VIH.
  • Hépatite A, B ou C.
  • Méningite, tuberculose, gale, etc.

Il faudrait afficher les résultats d’examens médicaux de tous les personnels et s’ils sont piqués pour tous les vaccins commercialisés.

Ne pouvant garantir l’hygiène des mains des personnels qui peuvent se les mettre un peu partout, le résultat d’un frottis vaginal ou d’un toucher rectal de moins de 15 jours serait la moindre des choses.

Dès lors que l’on interdit à un chauffard ivre de conduire, pourquoi certaines personnes auraient-elles le droit de menacer notre sécurité dans les magasins et dans la rue ?

Je vous rappelle que le bien le plus précieux que la civilisation puisse nous apporter est la « sécurité » et que cela doit passer bien après des prétendues « libertés ». L’interdit c’est la liberté !

Il faudrait donc aussi que soit affiché le casier judiciaire de tous, ainsi que la liste des précédentes condamnations, mais aussi mises en examen.

Encore que pour ma dernière proposition, je ne suis pas certain que vous l’approuviez à titre personnel.

Et que dire des préférences sexuelles ? Personnellement je n’aimerais pas que mes enfants puissent pénétrer dans des boutiques dans lesquelles une partie du personnel serait déviant, voire même à préférences pédophiles.

Nous voyons bien que le chantier est immense pour faire des commerces et des rues des lieux « sains » et je vous remercie grandement d’apporter votre première pierre à l’édifice, mais quelle pierre !

Le dernier point le plus réjouissant pour moi est de savoir que des lecteurs prendront mon texte au premier degré et que certains approuveront massivement mes « propositions ».

Alain Tortosa

9 septembre 2021.
https://7milliards.fr/tortosa20210909-label-personnel-vaccine-nice.pdf




Sous-déclarations des effets secondaires liés à l’injection anticovid en Europe

Par Nicole Delépine

Comparaison des sous-déclarations des effets secondaires selon les pays européens proches des Pays-Bas

Le professeur belge Christophe de Brouwer(([1] https://mewe.com/i/christophedebrouwer)) ex-professeur à ULB (Université libre de Bruxelles) et ex-Président de l’École de Santé publique à ULB a publié sur son compte Facebook(([2] (20+) Christophe de Brouwer | Facebook)) une très intéressante étude comparant les déclarations d’effets indésirables des pseudovaccins anticovid selon les différents pays européens.

Nous savons tous – et tous les sites répertoriant les toxicités des médicaments le rappellent depuis toujours – que les rapports officiels sur les effets toxiques sont toujours très inférieurs à la réalité avec un facteur de sous-estimations de 10 (voire 100 selon les auteurs).

La dernière évaluation des décès en UE (27 pays sur les cinquante de l’Europe) selon l’EMA est de l’ordre de 23500, ce qui permet de craindre au moins 200 000 décès dans le mois suivant l’injection (pour environ 112 millions de vaccinés).

Pour environ deux millions d’accidents dont la moitié sont qualifiés de graves, cela ferait environ vingt millions de personnes malades transitoirement ou handicapées à vie. (Ces chiffres estimés en prenant la fourchette basse de dix fois plus d’incidents que déclarés.)

Malgré ces chiffres incertains, on peut remarquer que certains pays pour une population inférieure déclarent beaucoup plus d’ennuis, comme les Pays-Bas. Voyons les conclusions du Professeur belge.

Déclarations des effets secondaires liés aux vaccins Covid selon les pays européens entourant la Belgique.

Extrait de son post Facebook

Nous avons examiné les effets secondaires déclarés par le VAERS (USA) et EudraVigilance en début de semaine (sur FB, commentaires).

Pour l’Europe, nous savons que ce sont les Pays-Bas qui déclarent le plus d’effets secondaires (en termes de cas individuel).

Si nous considérons les Pays-Bas comme un idéal à atteindre, en sachant que probablement là aussi nous avons un certain degré de sous-déclarations :

Combien les autres pays qui entourent la Belgique auraient dû déclarer pour être au même niveau que les Pays-Bas ?

La réponse est édifiante. Je vous la mets en graphiques. (ci-dessus)

Pharmacovigilance en France(([3] Responsabilités au centre hospitalier de Cholet du Dr Umlil
CTIAP :  Unité de pharmacovigilance
Coordination des vigilances sanitaires))

Pour compléter les informations sur les effets secondaires des vaccins anticovid (et des médicaments en général ), il faut consulter le site de l’hôpital de Cholet et les publications du Dr Amine Umlil, dont sa présentation en août 2021 au conseil scientifique indépendant ( CSI) de Réinfocovid.(([4] Lien de causalité en pharmacovigilance et en justice entre un effet indésirable et un médicament suspect  22 août 2021  et  « effets indésirables » – la pharmacovigilance – des vaccins contre la Covid-19.))

Lors de ce CSI, une « analyse des données de la base de données de pharmacovigilance américaine (VAERS) » par Christine COTTON. Et quelques notions utiles et notamment celles relatives au « lien de causalité en pharmacovigilance et en justice entre un effet indésirable et un médicament suspect » – par Amine UMLIL.

L’intégralité de l’émission est disponible via ci-dessous et sur ce lien 

Reunion publique du CSI du 19 août 2021à 21h – CrowdBunker



Mais on doit regretter que la direction de l’hôpital de Cholet ait cru bon de supprimer le 27 juillet toute référence au Dr Umlil patron du centre de pharmacovigilance et auteur de très nombreux articles qui ont fait la réputation du centre.

En pleine discussion sur l’obligation vaccinale, est-ce normal d’instaurer la censure et de priver les citoyens de sources fiables d’information ?

Vous pouvez aussi témoigner sur le site Recensement des témoignages – Résistance (resistance-mondiale.com)




Prise de contrôle du mouvement anti-pass sanitaire français

[Source : voltairenet.org]

Les manifestations contre les « pass sanitaires » se multiplient en Europe. Il s’agit de s’opposer à une discrimination entre les citoyens selon leur état de santé.

À Paris, deux manifestations concurrentes auront lieu, ce 11 septembre 2021. L’une est organisée par Floriant Philippot, un républicain ayant débuté à gauche au Mouvement des citoyens de Jean-Pierre Chevènement puis étant passé à droite au Front national de Marine Le Pen. L’autre par Jérôme Rodriguez, un Gilet jaune qui fut éborgné en janvier 2019 par la police durant une manifestation et qui eut la chance d’être indemnisé le 11 mars dernier.

La première manifestation entend promouvoir la souveraineté française. La seconde ambitionne de réunir tous les opposants au président Emmanuel Macron.

Or, les affiches diffusées par Jérôme Rodriguez sont ornées d’un poing levé. Pas n’importe quel poing levé : le logo déposé de Black Lives Matter, l’organisation racialiste états-unienne. C’est aussi le logo de toutes révolution colorées organisées par la National Endowment for Democracy[1] et les hommes de Gene Sharp[2] depuis trente ans.

À n’en pas douter, le mouvement de Jérôme Rodriguez va bientôt dégénérer et emporter avec lui une partie des opposants au président Macron pour le plus grand bénéfice de ce dernier.


[1] « La NED, vitrine légale de la CIA », par Thierry Meyssan, Оdnako (Russie) , Réseau Voltaire, 6 octobre 2010.

[2] « L’Albert Einstein Institution : la non-violence version CIA », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 4 juin 2007.




Rand Paul : Les obligations en matière de vaccins qui ignorent l’immunité naturelle ne devraient pas être respectées

[Source : Aube Digitale]

Par JADE

Rédigé par Steve Watson via Summit News

Le sénateur Rand Paul a répondu à l’annonce de Joe Biden concernant le mandat de vaccination obligatoire de grande envergure en déclarant qu’il ignore la science et que les Américains devraient s’y opposer.

Écrivant sur Twitter, Paul a noté :

« Les mandats de vaccination qui ignorent l’immunité naturelle ignorent la science, ne sont pas scientifiques, et ne devraient pas être respectés ou promulgués par le gouvernement. »

Paul fait valoir depuis des mois que les programmes de vaccination sans discernement sont antiscientifiques car ils ne tiennent pas compte de l’immunité naturelle, qui constitue une meilleure forme de protection que les vaccins expérimentaux.

« Jusqu’à ce qu’on me montre des preuves que les personnes qui ont déjà eu l’infection meurent en grand nombre, ou sont hospitalisées ou tombent très malades, j’ai juste pris ma décision personnelle de ne pas me faire vacciner parce que j’ai déjà eu la maladie et que j’ai une immunité naturelle », a déclaré Paul en mai.

Dans une autre déclaration, Paul a noté : « Dicter qu’une personne guérie du COVID-19 avec une immunité naturelle doit également se soumettre à un vaccin – sans preuve scientifique – n’est rien d’autre que de l’orgueil démesuré. Si vous n’avez aucune preuve que les personnes ayant acquis une immunité naturelle contractent ou transmettent la maladie en nombre réel, alors vous devriez peut-être vous taire. »

Paul était l’un des nombreux législateurs du GOP à s’exprimer contre l’annonce de Biden concernant le mandat de vaccination.

Un professeur de l’université de Californie, Irvine, est allé plus loin en intentant un procès contre le conseil d’administration et le président du système scolaire pour avoir imposé un vaccin même à ceux qui sont immunisés.

SBG rapporte qu’Aaron Kheriaty, professeur de psychiatrie et de comportement humain, a intenté un procès après avoir été informé que sa propre immunité naturelle n’avait aucune importance dans le cadre du mandat de vaccination.

Kheriaty, également directeur du programme d’éthique médicale de l’UCI et membre du groupe de travail sur la bioéthique des soins intensifs du bureau du président de l’UC, a déclaré : « J’ai l’impression d’être traité de manière inégale ».

« Si mon immunité est aussi bonne, voire très probablement meilleure, que celle conférée par le vaccin, il ne semble y avoir aucune base rationnelle pour discriminer ma forme d’immunité et m’obliger à avoir une autre forme d’immunité », a ajouté M. Kheriaty.

En ce qui concerne les autres personnes qui ont exprimé des préoccupations au sujet du mandat scolaire, M. Kheriaty a ajouté qu’ »il est devenu clair pour moi que si je ne me levais pas, en tant qu’éthicien médical, pour essayer de représenter ces voix, alors ces personnes seraient écrasées par ces politiques ».

Dans un mémoire juridique, Kheriaty et d’autres membres de la faculté affirment qu’ »il est contraire à l’éthique médicale d’exposer une personne à ce risque alors qu’elle possède une immunité robuste et durable qui neutralise le SARS-CoV-2 en cas d’exposition ».

La recherche a prouvé que la guérison du COVID procure une immunité meilleure et plus durable que les vaccins. Une étude menée en Espagne a même révélé que les anticorps IgG des professionnels de santé contre le SARS-CoV-2 restaient constants, voire augmentaient, sept mois après l’infection, alors que les personnes vaccinées se voient maintenant dire qu’elles ont besoin de rappels.

En mai dernier, le Dr Marty Makary, professeur à la faculté de médecine de l’Université Johns Hopkins, a fait remarquer que le fait que plus de la moitié des Américains aient développé une immunité naturelle contre le coronavirus est généralement ignoré et que cela constitue « l’un des plus grands échecs de notre direction médicale actuelle ».




La Suisse défigurée

[Source : Anthropo-logiques]

Par Jean-Dominique Michel

L’impensable s’est produit : dans une décision qu’absolument rien ne justifie (nous le verrons plus bas) en termes de santé publique, le Conseil fédéral vient à son tour d’imposer un pass sécuritaire (et en aucun cas sanitaire) violant la Constitution ainsi que les fondements de notre démocratie et de notre état de droit.

Instaurant un véritable apartheid sur la base de la soumission à une injonction vaccinale scientifiquement et éthiquement indéfendable, le gouvernement suisse, à la suite de nombreux autres, emporte avec lui sa population dans une fuite en avant vers un univers orwellien fait de contrôle social, de soumission à l’autorité, de stigmatisation et de discrimination massive des citoyens faisant usage de leur liberté de conscience et de leurs droits fondamentaux dès lors qu’ils osent s’opposer aux dogmes gouvernementaux.

Reprenons les choses dans le bon ordre : le pass dit sanitaire est en réalité inutile face à l’épidémie, comme le résume sans ambiguïté un des meilleurs épidémiologistes au monde, le Pr Martin Kulldorf de la Harvard Medical School, dans une formule lapidaire : « Les dernière données scientifiques démolissent les arguments en faveur des pass vaccinaux » (à lire ici).

Le pass sanitaire non seulement ne sert à rien pour juguler la circulation du Sars-CoV-2, mais il est en outre injuste, antisocial, discriminatoire et non-éthique.

Qualifiant la gestion de l’épidémie par nos pays de « fiasco de santé publique », le Pr Kulldorff rappelle que « la réponse à la pandémie a été vraiment horrible et est allée à l’encontre des principes de base de la santé publique que nous suivons depuis de nombreuses décennies. »

Les citoyens sont désormais pris dans une « double-contrainte » perverse faisant croire que nous aurions le choix entre la vaccination généralisée et les confinements à répétition. Cette doxa, assénée en continu depuis 18 mois par les gouvernements, des « autorités de santé » arrosées par les firmes pharmaceutiques et une presse subventionnée interdisant désormais tout débat digne de ce nom, est purement et simplement fausse.

Certes, il se trouve des sectateurs zélés pour l’affirmer en abusant de leur crédibilité institutionnelle. Seulement voilà : ce n’est pas juste que le Pr Kulldorff tiendrait des thèses bizarres dans son coin. Un nombre impressionnant d’épidémiologistes les plus renommés, travaillant au sein des meilleures facultés de médecine, essayent désespérément de faire entendre ce message depuis une année.

Le parti-pris de nos gouvernements d’imposer des confinements qui créent des dégâts majeurs sans permettre de se protéger de la circulation du virus, l’imposition de mesures absurdes et vexatoires comme le port du masque (inutile face aux virus), et maintenant la coercition (directe ou indirecte) exercée pour pousser la population à se faire vacciner sont rien de moins que des abominations en termes de santé publique. Des initiatives absurdes, contraires à toute la science accumulée au long des dernières décennies, et qui sapent (à juste titre) la confiance de la population.

Elles sont de surcroît profondément antisociales puisqu’elles privilégient les classes sociales qui peuvent travailler à domicile et jouissent de bons salaires alors qu’elles font s’abattre un vent de désolation sur les groupes précaires ou démunis de la population.

Elles maltraitent, abusent et traumatisent les groupes les plus vulnérables mais aussi la population dans son entier sans le moindre bénéfice sanitaire, si l’on s’en tient à ce que montre la science.

Alors ?

Alors il faudra bien que les naïfs et les crédules (notamment dans nos affligeants parlements) commencent à entendre que si nos gouvernements infligent cette maltraitance et ces dégâts à la population, c’est bien parce qu’ils poursuivent un autre agenda.

Le premier est évident : en exigeant par exemple que les personnes immunisées suite à une infection au Sars-CoV-2 reçoivent malgré tout une dose de « vaccin génique » pour avoir droit au pass dit sanitaire, les autorités prouvent si besoin était qu’elles servent bel et bien les intérêts des firmes pharmaco-vaccinales et non la protection de la santé de la population. Comme avec toutes les maladies infectieuses, l’immunité naturelle (rayée de ses définitions par l’OMS !) est de loin la plus puissante et la plus durable. Un vaccin supplémentaire n’apporte aucun bénéfice autre que pour le trésor des pharmas. L’exiger est une hérésie, certes pas perdue pour tout le monde.

Mais il y a sans doute beaucoup plus que cela. En conclusion des investigations de son comité d’enquête, l’avocat allemand Reiner Fuellmich rappelle que depuis le début, cette crise n’a rien de sanitaire. Elle est avant tout économique et probablement financière : les états (à l’exception frappante de la Suisse !) sont aujourd’hui endettés au-delà de leur capacité de remboursement et avec des fonds de pension en quasi-faillite. Le « Great Reset » abondamment invoqué (allant de pair avec l’imposition d’un système de surveillance numérique des individus « à la chinoise ») viserait à ponctionner l’épargne des particuliers, opération requérant un prétexte impérieux.

Ces questions sont trop éloignées de mon domaine d’expertise pour que j’ose m’y aventurer. A d’autres, qui en ont les compétences, de continuer à le faire. Par contre, je ne vois aucune raison au monde qui puisse expliquer rationnellement à partir de la situation sanitaire la décision honteuse du Conseil fédéral d’instaurer cet apartheid inutile, injuste et immoral, alors que la situation épidémique est actuellement calme et maîtrisées dans notre pays.

Sachant que si elle devait par malheur se péjorer, le pass sécuritaire n’aiderait de toute manière en rien.

Trahison

Nous sommes donc devant une véritable trahison. Trahison de notre identité nationale. Trahisons des intérêts du peuple – que nos Conseillers fédéraux ont fait le serment de servir,  de protéger et de défendre. Trahison de nos valeurs, de nos us et coutumes, de notre génie qui a permis au cours des siècles à des groupes diversifiés de cohabiter et de collaborer sans que les minorités se retrouvent écrasées sous le joug des majorités.

Ces temps sont désormais révolus. Pour puiser dans ce bel et grand imaginaire patriotique, notre pays est né de ce que des communautés rurales des vallées alpines ont refusé de se soumettre à la brutalité et à l’arbitraire de puissances étrangères. Elles se sont battues pour être maîtres chez elles, décider de leur destin en leur âme et conscience, élire leurs propres juges, cultiver leurs valeurs dans le respect envers la Création tout entière.

Je l’avais souligné lors d’une conférence de presse à Berne au printemps (censurée sur YouTube en dépit que tout ce que j’y avançais était documenté) : le mât dressé par un bailli étranger sur la place centrale d’Altdorf, au sommet duquel était placé le chapeau de l’Empereur et devant lequel tout citoyen était forcé à s’agenouiller est désormais celui dressé par notre propre gouvernement.

Guillaume Tell passant par-là refusa de se prosterner devant cette idole. Rudoyé par les gardes, il affirma fièrement qu’il ne s’agenouillait que devant Dieu.

On peut bien sûr faire de cette légende une question religieuse. Ou choisir une lecture symbolique, et donc universelle. « On ne peut servir en même temps Dieu et Mammon » dira Celui devant qui Tell acceptait de s’agenouiller selon ses convictions religieuses. Ce qui veut dire bien sûr : « vous ne pouvez servir en même temps l’intérêt commun, la cause de notre humanité, et les intérêts privilégiés de quelques-uns ».

Nos autorités politiques, tout comme les autorités scientifiques, médicales et médiatiques hélas, se révèlent brutalement prostituées à d’autres intérêts que celui souverain de la population. Elles se rendent coupables, je l’avais indiqué au printemps, ni plus ni moins que de haute trahison.

Dans une salutaire prise de conscience, le Conseiller fédéral Ueli Maurer partageait il y a quelques jours ses doutes sur le pass autoritaire, soulignant qu’il allait dans le sens d’une soumission des citoyens à l’état profondément contraire à nos us et coutumes ainsi qu’à nos valeurs.

Malgré le travail de propagande honteux des médias pour faire passer ceux qui se réfèrent encore à la science non-prostituée pour des « complotistes » des « antivaxx » ou des « imposteurs », il faut croire -parce que notre devenir en dépend- que le rude bon sens de nos aïeux, préservé sur la haute crête des cimes, saura voir la nature de ce nouvel ennemi, un ennemi de l’intérieur vendu à des intérêts extérieurs, et lui réserver le sort qu’il mérite.

Tout ce que j’avance ici est évidemment à nouveau documenté.

J’invite ainsi toute personne ayant des doutes ou voulant en avoir le cœur net à lire les deux articles -re-publiés ici et ici– présentant les analyses du Pr Kulldorff. Une objection que j’entends souvent est en effet : « mais, si vous aviez raison, pourquoi nos professeurs des hôpitaux disent-ils le contraire ? »

Objection valide !

En lisant les propos de Martin Kulldorff, ils découvriront comment les meilleurs épidémiologistes au monde, travaillant dans les meilleures universités, se sont vus combattre, censurer et même calomnier parce qu’ils rappelaient simplement l’état de la science et la réalité des connaissances en santé publique.

Ce qui pose de vraies questions !

  • Quand Kulldorff dit que la gestion mondiale du Covid est un fiasco horrible et sans précédent alors que Didier Pittet nous explique qu’on a à peu près tout bien fait, grâce à lui notamment, et qu’il a même trouvé plutôt réussie la gestion désastreuse du gouvernement français…
  • Quand Samia Hurst, vice-présidente de la Task Force affirme que si on n’avait pas imposé de confinements, il y aurait eu des dizaines de milliers de morts en plus alors que John Ioannidis, l’épidémiologiste le plus cité au monde, conclut de ses recherches que les confinements n’ont pas montré d’utilité avérée…
  • Quand le Pr Pollard (du Groupe vaccinal d’Oxford) explique à la mi-août qu’à la lumière des dernières données sur l’efficacité vaccinale, l’objectif d’une immunité vaccinale est un mirage, et que Didier Pittet et Mauro Poggia viennent sur le plateau de la RTS trois semaines plus tard affirmer avec arrogance le contraire…
  • Quand Antoine Flahaut réclame le masquage et la vaccination forcée des enfants alors que le Pr Kulldorff montre que ces deux mesures sont injustifiées, inutiles et non-éthiques…
  • Quand la Conférence des directeurs cantonaux de la santé ne cesse de demander des mesures de plus en plus coercitives et abusives alors que les meilleurs épidémiologistes réclament depuis des mois qu’on laisse vivre le plus normalement possible la société dans son ensemble tout en protégeant diligemment les groupes à risque, ce qui correspond à ce qu’on a toujours su devoir faire et qui était prévu dans TOUS les plans pandémie nationaux…

Eh bien oui, on a alors bel et bien un problème. Des points de vue aussi contradictoires ne peuvent être vrais simultanément.

Si les Suisses en avaient eu le courage, nous aurions créé une Commission d’enquête, honnête et indépendante, sur les mesures dites sanitaires depuis longtemps. Soit, nous en avons alors manqué.

Il est heureusement encore temps de nous souvenir de l’ouverture magistrale de notre Constitution et de mettre hors d’état de nuire (par tous les moyens légaux) ceux qui cherchent ni plus ni moins qu’à la détruire :

(…)

Le peuple et les cantons suisses,

conscients de leur responsabilité envers la Création,

résolus à renouveler leur alliance
pour renforcer la liberté, la démocratie, l’indépendance et la paix dans un esprit de solidarité et d’ouverture au monde,

déterminés à vivre ensemble leurs diversités
dans le respect de l’autre et l’équité,

conscients des acquis communs et de leur devoir d’assumer leurs responsabilités envers les générations futures,

sachant que seul est libre qui use de sa liberté et que la force de la communauté se mesure au bien-être du plus faible de ses membres,

arrêtent la Constitution que voici : …

J’ai mal à ma Suisse aujourd’hui, comme tant d’autres de mes compatriotes. Une Suisse actuellement trahie, bafouée, violentée, défigurée par ses autorités et son gouvernement.

Tous ceux qui participent à cette dérive scandaleuse feraient bien s’y réfléchir à deux fois.

Nous leur ferons échec.




Morandini et les GG contre FranceSoir ou le degré obtus de l’autosuffisance

Par Lucien Samir Oulahbib

En interviewant (tant qu’à faire sans doute) le directeur de FranceSoir, Xavier Azalbert, à propos d’un article provocant (mais pour la bonne cause aux dires d’Azalbert) Morandini d’un côté et les GG de l’autre ont atteint un sommet dans l’autosuffisance, l’ignorance et la mauvaise foi, se nourrissant cependant l’une l’autre grâce à ces zestes d’idées reçues assénées sans détour comme si cela allait de soi (« le consensus scientifique autour des vaccins », les « traitements précoces ne marchent pas », etc., etc.). Ils ne sont certes pas les seuls.

Leur prétention, si méprisante à entendre, et leur ton exaspérant de suffisance sont cependant ahurissants (les regards condescendants de Truchot et de Morandini en disant long) et résument en fait l’état général (moribond voire à l’état terminal) d’un journalisme de plus en plus écervelé, réduit à (s’)exciter par quelques « pics » d’audience et leurs saccades en cascade, le tout s’abaissant souvent au niveau du caniveau (« donnez le nom du médecin en appelant ainsi à la Veuve !!! », « Êtes-vous vacciné ? ») tant les faits sont piétinés (ce médecin n’est pas un « lâche » comme le prétend Truchot puisqu’il peut être condamné par son Ordre s’il admet soigner pas-comme-il-faut) et les mensonges, assénés sans vergogne, sont débités façon mitraille. Ne serait-ce le fait d’oser dire de façon ironique que si l’on est bien arrivé à soigner avec de l’aspirine alors à quoi bon les traitements précoces (dixit le médecin lié à Morandini, reprenant indirectement d’ailleurs des propos anciens de Christine Lacombe dès mars 2020 sur le caractère étrange de cette maladie qui voit « 80 % » de rémission au bout de quelques jours), alors que Raoult et d’autres prévenaient bien que pour certaines d’entre-elles, des séquelles pouvaient émerger et affaiblir sur le long terme les corps si ces derniers n’avaient pas été soignés bien en amont et que c’était très précisément pour cela qu’il fallait soigner absolument tout de suite afin d’éviter des complications pouvant surgir sur le tard concernant des personnes fragiles, et ce avec succès comme l’a indiquée cette députée d’Andorre, Karine Montaner, lors du dernier Conseil Scientifique Indépendant (09/09/21).

Quant au dit « consensus scientifique », rappelons cette banalité : l’analyse dite scientifique n’est jamais en soi DÉMOCRATIQUE en ce sens où ce n’est pas sur la base d’une quantité d’articles favorables, mais de RÉSULTATS EFFECTIFS et REPRODUCTIBLES que se définit la véracité d’un énoncé proposé : la neige EST blanchesi et seulement si la neige est blanche, les traitements précoces ne « marchent pas » si et seulement si la plupart des résultats empiriques le vérifient et si et seulement si les expériences suivant fidèlement les protocoles (bon dosage et suffisamment tôt) infirment les résultats faits en « labo ».

On reste confondu par tant d’ignorances épistémologiques et méthodologiques débitées pourtant par seconde et sans sourciller quand, par ailleurs et d’un autre côté, les résultats effectifs atteints en Israël, à Malte en Islande, etc. montrent l’inefficacité de l’injonction dite « vaccinale » (en attente d’une énième dose), ce que le statisticien Pierre Chaillot a développé lors d’un exposé de ce même Conseil Scientifique Indépendant (du 09/09/21)alors qu’au contraire les résultats atteints en Afrique, en Inde, au Mexique, mais aussi partout dans le monde avec les traitements précoces dont l’ivermectine (et dont parle en effet FranceSoir) mériteraient une attention soutenue.

Cette prétention pédante à réduire les liens, complexes, entre maladie et santé à quelques équations (fausses, en plus, comme l’a montré Vincent Pavan) est à rapprocher de cette autre prétention condescendante, elle, celle de l’OMS appelant à ne pas soutenir l’idée d’une 3e dose dans les pays riches sous le prétexte que les pays pauvres n’en auraient pas eu, alors que ces derniers ne sont pas demandeurs !

Ils se soignent, eux, merci, et n’ont donc pas à subir en plus cette vision paternaliste prétendument « universaliste » faisant croire que l’Occident devrait « partager » sa réussite alors qu’il ne montre jusqu’à présent que son incapacité (déjà sur le plan théorique) à observer qu’il s’agit d’une « syndémie », c’est-à-dire d’une synchronisation de maladies dites chroniques et en fait pour une grande part culturelles, au sens d’être le produit d’un mode de vie urbain stressant et déstructurant (jouant alors sur le système immunitaire des plus fragiles en cas d’attaque virale) que la surconsommation, y compris d’opiacés légaux, ne suffit pas à combler tant le « mal du siècle », celui d’une individualité malheureuse (le taux d’antidépresseurs pris est ahurissant), n’est pas compris. Il est clair que ce n’est guère chez les GG ou Morandini (et autre Aphatie) que l’on aura l’ombre d’un début d’explication, mais plutôt sa pénombre.

Pour qui sonne le glas ?…




L’Institut Pasteur rétracte son étude bidon sur le pass sanitaire

[Source : lemediaen442.fr]

Par Jacqueline

Par de prestigieux calculs — règle de 3, certes, mais c’est pas donné à tout le monde — L’Investisseur sans costume a prouvé que l’affirmation « 78 % des nouveaux hospitalisés sont des non-vaccinés », eh bien, c’est faux. C’est pourtant l’Institut Pasteur qui l’affirme. Sauf que ses calculs sont bidonnés. Les preuves sont là. 

L’étude truquée, prépubliée en juin, a été supprimée, d’un coup de baguette magique ! Tout simplement ! Plus besoin de revue par les pairs ! (L’investisseur sans costume l’a cependant soigneusement conservée  pour ceux que ne rebute pas un texte scientifique en anglais.)

Une mise à jour l’a remplacée. Ce qui n’était que discrète falsification est devenu une arnaque bien voyante. L’Institut Pasteur, le temple de la science est devenu instrument de propagande. Ce n’est pas cela qui va changer quoi que ce soit aux décisions du gouvernement. En témoigne le Lancet Gate : 

1. On fait une étude bidon.
2. Les politiques s’en servent (Véran jette l’hydroxychloroquine à la poubelle).
3. On avoue l’arnaque.
4. Rien ne se passe : le ministère de la Santé fait comme si les conclusions restaient valables (et on échange l’hydroxychloroquine contre le Doliprane, tellement plus efficace !).

Demandez le programme !

A travers une modélisation (pas question d’observation, ça prendrait trop de temps et risquerait de ne pas donner les résultats attendus), la nouvelle étude en prépublication de Pasteur nous annonce le programme de la rentrée. 

– Une terrible cinquième vague de covid que le taux de vaccination trop faible n’arrivera pas à contrer. Il faudra donc prolonger le pass sanitairepoursuivre les gestes barrières, porter le masque en public (ça ne sert à rien, prouvent des scientifiques, donc on continuent, disent politiques et médecins de plateau).
– Une troisième dose (quand ça ne marche pas, on continue !),
– La vaccination des enfants, ce qui revient à jouer avec la survie de l’espèce. 

Aucune base scientifique ne justifie ni ces mesures ni les lieux communs sur lesquels elles reposent :

Les enfants de 0-17 ans représentent un tiers des infections

Un enfant de moins de 12 ans a autant de risque de se retrouver à l’hôpital à cause du covid que d’être frappé par la foudre. Oui, mais, selon l’Institut Pasteur, « Les enfants de 0-17 ans représentent un tiers des infections et sont responsables de près de la moitié des transmissions. » Les études de validation des vaccins s’appuient sur les cas symptomatiques. Or les moins de 12 ans n’ont pas assez de cas symptomatiques pour que aucune étude soit valide (dans l’étude en cours sur les 6 mois à 12 ans, l’échantillon n’est que de 4 500 enfants). 

Les personnes vaccinées sont bien protégées contre l’hospitalisation

Les études sur lesquelles se fondent ceux qui affirment que les non vaccinés ont 4 fois plus de risque d’attraper le virus et 2 fois plus de le transmettre, sont biaisées. L’une de ces études a porté sur des soignants (84 % de femmes actives en bonne santé). Or les femmes ont deux fois moins de risques de décéder du covid que les hommes et les personnes âgées ou les enfants ne figuraient pas dans l’échantillon observé. L’autre étude a été faite au sein des foyers (donc hors sujet à propos d’un pass sanitaire public). Pour l’analyse précise de l’arnaque aux chiffres de ces études, voir la vidéo de L’investisseur sans costume .

Il faut protéger les autres

La vaccination serait un acte altruiste.Il faudrait se faire vacciner pour protéger les autres de la contamination et du décès. Mais qui sont les autres ? Il n’y a pas d’augmentation de la mortalité des moins de 60 ans depuis le début de la crise (chiffres de l’Insee).

Ce qui n’a pas été fait

– Soigner au début de la maladie (cela a même été interdit).
– Identifier très précisément les comorbidités, ce qui aurait permis de faire de la médecine préventive.
– Encourager l’entraide : le tiers de la population française, rétabli du virus, mieux immunisé qu’avec le vaccin, aurait pu recevoir un pass pour s’occuper des personnes fragiles.

Le pass : une société des loisirs et non de l’entraide

Avec le pass, la stratégie s’est axée sur la circulation et non sur la santé, qui reste en principe de l’ordre de la décision personnelle. Avec la circulation, on est dans la sphère sociale et politique. Le pass sanitaire n’est qu’un droit aux loisirs (et au contrôle de l’État…). Rien à voir avec la protection de la santé. Il symbolise un choix entreune société de loisirs infantilisante et égoïste et une société responsable où l’on s’entraide.

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.




Buzyn convoquée devant la Cour de justice de la République concernant la gestion du Covid-19

[Source : RT en français]

[Photo : © Christophe Archambault Source: Reuters]

[NDLR : Buzyn va-t-elle être la victime expiatoire d’un pouvoir à l’agonie qui n’a plus que la vaccination obligatoire à proposer comme avenir aux français ?
Dans ce cas, la possible mise en examen de Buzyn pour « mise en danger de la vie d’autrui » tomberait à point nommé.]

L’ancienne ministre de la Santé, Agnès Buzyn, sera convoquée devant la Cour de justice de la République le 10 septembre au sujet de la gestion du Covid-19. Elle pourrait être mise en examen.

Agnès Buzyn, ministre de la Santé qui avait démissionné mi-février 2020 au début de l’épidémie de Covid-19, est convoquée le 10 septembre à la Cour de justice de la République (CJR) à Paris en vue d’une possible mise en examen, rapporte l’AFP le 9 septembre citant une source judiciaire, et confirmant une information du Monde.

Cette convocation à la CJR, seule juridiction habilitée à juger des ministres dans l’exercice de leur fonction, a lieu dans le cadre de l’enquête menée depuis juillet 2020 sur la manière dont le gouvernement a géré cette épidémie.

À l’issue de cette audition, Agnès Buzyn peut être mise en examen ou ressortir sous le statut plus favorable de témoin assisté si elle parvient à convaincre les juges qu’il n’existe pas suffisamment d’indices graves ou concordants pouvant être retenus contre elle. Contactée par l’AFP, l’ancienne ministre n’a pas répondu immédiatement.

Un risque de propagation du virus «pratiquement nul»

Elle avait quitté le gouvernement mi-février 2020 pour briguer, en vain, la mairie de Paris, et avait été remplacée par Olivier Véran. L’ex-ministre avait créé un tollé en qualifiant les élections municipales de «mascarade» et en déclarant qu’elle «savai[t] que la vague du tsunami était devant nous» au moment de son départ du ministère, à la mi-février.

Pourtant, en janvier, elle avait déclaré publiquement : «Le risque d’importation [du virus] depuis Wuhan est pratiquement nul», ajoutant que «les risques de propagation du coronavirus dans la population sont très faibles».

Devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur la gestion de la crise sanitaire, Agnès Buzyn avait indiqué fin juin 2020 avoir alerté l’Elysée et Matignon dès janvier de la même année sur le «danger» potentiel du coronavirus.

L’enquête avait été ouverte en juillet 2020 après que la commission des requêtes de la CJR, composée de hauts magistrats, avait estimé que neuf plaintes visant l’exécutif étaient recevables. Depuis, d’autres plaintes ont été jugées recevables et jointes à l’enquête.

La commission d’instruction de la CJR avait été saisie de la seule infraction «d’abstention de combattre un sinistre» mais, d’après Le Monde, Agnès Buzyn serait également convoquée le 10 septembre pour une possible mise en examen pour «mise en danger de la vie d’autrui». L’AFP n’a pu confirmer cette information auprès d’une source judiciaire.

Le 8 septembre, le procureur général près la Cour de cassation François Molins, qui représente l’accusation à la CJR, a déclaré que «14 500 plaintes» sur la gestion de la pandémie avaient été déposées à la CJR. Des juges d’instruction parisiens mènent en parallèle une enquête portant cette fois sur la gestion de cette crise par l’administration.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/90440-buzyn-convoquee-devant-cour-justice-republique-concernant-gestion-covid-19




Vers une gouvernance médico-génocidaire mondiale planifiée ?

[Source : ripostelaique.com]

Par Philippe Rossi

Au niveau national

Depuis plus d’une décennie, nous avançons à marche forcée vers une gestion médico-vaccinale autoritaire de notre société dont le but n’est clairement plus la recherche de la santé et de l’intégrité physique des populations.

Ainsi, tous les représentants nationaux de la « santé » sous prétexte d’un dogmatisme pasteurien surfait voire mensonger, n’ont eu de cesse d’alourdir (légalement ?) la charge « vaccinale » obligatoire de la population : la fausse bonhomie de Bachelot (et son plan vaccinal avorté de 2009), l’autoritarisme de Touraine (avec son « la vaccination, ça ne se discute pas »), le cynisme de Buzyn (avec ses 11 vaccins obligatoires délétères pour l’immunité des enfants) et la tyrannie mafieuse de Véran (avec son interdiction persistante faite aux médecins de soigner et son chantage à l’emploi envers les soignants, jadis encensés).

Le piétinement de la vérité et l’utilisation du mensonge ont atteint le sommet de l’ignominie avec le gouvernement Macron : l’inutilité, l’utilité puis l’imposition des masques (criminelle pour les enfants et adolescents), les confinements, les couvre-feux, l’attestation de déplacement dérogatoire préparant le futur passeport « vaccinal » qui ne devait jamais se mettre en place mais quand même à l’œuvre aujourd’hui (grâce à Mr Breton, Fabius, Juppé… !), une vaccination non obligatoire promise mais quand même imposée avec la perspective de son extension à toute la population annoncée par Macron dans son discours brutal, ségrégationniste et psychotique du 12 juillet 2021 qui scelle ainsi la dislocation du contrat social dont le premier représentant de l’État est censé être le garant.

Après avoir neutralisé le débat démocratique, Macron, le représentant d’une gouvernance mondiale sanitaire autoritaire en marche veut, avec le soutien de médecins gavés de conflits d’intérêt, d’hommes politiques corrompus et/ou aveuglés et des médias menteurs, légaliser une « vaccination » perpétuelle criminelle tout en ignorant une bonne dizaine de textes nationaux et/ou internationaux protégeant l’intégrité physique des individus de l’abus de l’interventionnisme médical. Une obligation encouragée aujourd’hui par une bande de sénateurs socialo-félons !

Va-t-il être le fossoyeur terminal de la souveraineté nationale française et réussir à vendre définitivement la souveraineté corporelle de ses administrés aux puissances financières et pharmaceutiques au mépris de leur intégrité physique ?

Son agenda mondialiste avec l’appui de sociétés puissantes de gestion d’actifs comme Blackrock semble de plus en plus clair : refonte du paradigme économique au prétexte d’une crise sanitaire en vue de la mise en place du triptyque poursuivi depuis des décennies : asservissement, surveillance et dépopulation. Le problème du chômage et des retraites pourrait être ainsi réglé de manière radicale !

La firme pharmaceutique Pfizer qui engrange des bénéfices insensés et qui est aujourd’hui leader européen des injections expérimentales nocives, l’est-elle par hasard ?

D’une part, cette firme a réussi à vendre confortablement sa filiale nutrition infantile au groupe suisse Nestlé grâce à l’intervention de Macron de 2008 à 2011, travaillant pour le compte de la banque Rothschild.

https://www.swissinfo.ch/fre/election-pr%C3%A9sidentielle-fran%C3%A7aise_macron-le-banquier-de-nestl%C3%A9-%C3%A0-l-elys%C3%A9e/43153142

D’autre part et curieusement, n’était-elle pas prête à inonder le marché européen avec sa potion injectable dès novembre 2009, avant la déclaration officielle de la pseudo-pandémie ?

Pourquoi cette commande de 1 600 000 000 flacons à vaccins aussi spécifiques ?

Au plan international

Les objectifs de Bill Gates, premier investisseur de L’OMS qui oriente la politique sanitaire mondiale sont très clairs : vaccinations perpétuelles, identité numérique intra-corporelle, dépopulation !

https://www.gavi.org/fr/sante-mondiale-et-developpement/objectifs-de-developpement-durable

En juillet 2021, Gates, le pourvoyeur de vaccins, s’est associé au pourvoyeur de migrants, Soros, pour acquérir l’entreprise « Mologic » spécialiste britannique de la fabrication de tests de dépistage.

https://www.ft.com/content/6cec5334-265b-4de7-b176-9d854cce4d86

https://www.fr24news.com/fr/a/2021/07/bill-gates-et-george-soros-rejoignent-le-rachat-de-la-societe-britannique-de-tests-covid.html

https://thepressfree.com/soros-et-gates-soutiennent-le-rachat-du-groupe-britannique-de-technologie-de-diagnostic/

L’association de ces puissances financières privées diaboliques préfigure l’avenir chaotique médico-dictatorial et immigrationniste dans lequel nous sommes en train de plonger, si un sursaut vital et national n’a pas rapidement lieu.

Qui ? Pour arrêter cette marche inexorable vers l’abîme mondialiste, déculturé, décivilisé, transhumaniste, ségrégationniste, génocidaire…

Au vu des forces financières et économiques impliquées dans le processus mortifère en cours, seule une coalition de responsables politiques souverainistes pourra sortir notre pays de l’étau cauchemardesque mondialiste qui est en train de se refermer sur nos vies.

Les leaders des différentes forces souverainistes doivent impérativement oublier leur ego et proposer à la nation un projet de refonte nationale basé très clairement sur l’abandon de l’ignoble passeport ségrégationniste et l’inscription dans la constitution de l’absolue liberté vaccinale des individus afin de protéger leur intégrité physique du cannibalisme financier des firmes pharmaceutiques qui camouflent leurs vils intérêts commerciaux dans un discours et des pratiques faussement scientifiques.

Philippe Rossi




Le meurtre en temps réel de la démocratie

Par Lucien-Samir Oulahbib

Les élites globalistes affairistes formant la Secte Scientiste-hygiéniste assassinent sous nos yeux (guère étonnés) l’approche universelle dite « progressiste » (mélioratif) au profit des monstruosités écologistes léninistes et islamiques.

Ainsi, au lieu de considérer que les droits humains — comme la liberté de penser et d’entreprendre, l’égalité hommes/femmes, la fraternité de tous contre toutes les formes d’injustice — sont des acquis qui améliorent la condition humaine et deviennent donc les pierres angulaires (des rhombes) de la civilisation humaniste dont la Hollande, la France la Grande-Bretagne les États-Unis ont été (et sont encore) les fleurons (bien plus que l’Allemagne et la Russie, du moins sur ce point précis), les monstres fabriqués par cette Secte de zombies aux yeux froids (sans âme) ont abandonné tout lien spirituel à l’islam et tout lien écologique aux néo-léninistes (à l’instar d’Heidegger, Sartre, Lefebvre, Lévy-Strauss, Althusser qui abandonnent l’analyse sociale historique du phénomène humain au marxisme-léninisme).

Ce ne sont pas des considérations hors sol.

Lorsque par exemple aujourd’hui une experte en relations internationales spécialisée sur l’Asie du Sud-Est (en l’occurrence l’analyse de l’ingérence du Pakistan en Afghanistan, Christine Fair) est censurée par la BBC parce qu’elle souligne comment les Talibans ont été et sont encore soutenus par la fraction de la Secte régissant le Pakistan, cela démontre seulement le poids grandissant de cette dernière dans tous les domaines, que l’on peut alors énumérer comme suit (il faudra bien sûr établir aussi un « profil » propre à chaque monstre comme indiqué précédemment) :

  • Ce n’est pas un hasard que Biden ait, bien plus à la suite d’Obama que de Trump, abandonné l’Afghanistan, toutes affaires cessantes, car pour lui et la Secte qui s’en sert de prothèse politique, les Talibans — en tant que secte clanique autoproclamée — leur ressemblent à tout point de vue, au-delà des apparences divergentes, tant le désir d’absolutisme frénétique (et jouissif) de domination brutale des plus forts sur les plus faibles prévaut, mais voilé, caché, masqué par toute une apparence ouatée, toute une moquette symbolique feutrée où l’on tue avec le sourire et un petit mot d’excuse professionnelle : « rien de personnel ». L’apparente volonté de détruire l’égalité hommes/femmes en la noyant dans la fusion des « genres », la lutte pour accroître le droit à l’avortement à neuf mois pour effacer les apports au niveau psychique de la différence père/mère (ladite méthode Ropa), toutes ces dérives barbares (au sens de sortir de l’idée même de civilisation) masquent en réalité le désir absolu de promouvoir peu à peu et en toute transparence ce qui en creux structure par exemple désormais la sexualité des élites qu’elles cherchent de plus en plus à déployer partout, à savoir le sadomasochisme, l’onanisme/voyeurisme, l’orgie généralisée (La familia grande) avec en point d’orgue la pédocriminalité. Aussi, la volonté opiniâtre actuelle de masquer littéralement les populations et de les purifier par l’onction d’injection dite « vaccinale » (qui rime avec « vaginale ») dévoile ce sadomasochisme bien plus matriarcal que patriarcal pensé désormais à voix haute et élargi au domaine politique comme l’espéraient les Foucault (apologie de Sade) et Deleuze (apologie de Masoch) malgré les réticences d’un Habermas et de quelques élèves d’Aron (atones).
  •  Le fait par exemple que tous les grands médias mondiaux fassent l’apologie d’un islam considéré comme ontologiquement supérieur à tout ce que les civilisations gréco-judéo-chrétiennes, mais aussi bouddhistes et taoïstes ont créé comme armature symbolique puissante expriment bien qu’en creux soit fanatiquement désiré le Retour intégral de l’inégalité fondamentale entre initiés et non-initiés qui structure également la société islamique depuis le début, le tout teinté d’orientalisme sensualiste et de ses « mille et une nuits » (alors que la plupart d’entre elles font partie de la Perse préislamique victorieuse des Assyriens, des Égyptiens et des Grecs).
  • Même Zemmour admet en creux cettedite supériorité civilisationnelle en avouant sa peur d’une « République islamique » installée en France, alors que cette appréhension reste infondée tant la « quantité ne fait pas la qualité » (erreur de lecture de Hegel faite par Engels et que reprend Zemmour) puisqu’il ne suffit pas d’agiter des ingrédients chimiques dans une fiole pour fabriquer une cellule vivante, alors que la civilisation issue de la pensée grecque et judéo-chrétienne vivifiée par le droit romain et l’esprit scientifique issue de la Renaissance, le tout nourri enrichi par la découverte (conflictuelle) avec d’autres civilisations, permet aujourd’hui, et a contrario, que tous les humains — y compris ceux encore sous influence islamique — s’aperçoivent de plus en plus de sa supériorité objective.
  • En effet, cette civilisation multiforme améliorant le lien interactif entre humanité et citoyenneté singulière s’avère bien plus nécessaire pour leur morphologie personnelle que la civilisation islamique qui perdure uniquement encore parce que d’une part le pétrole reste un élément essentiel de la production chimique et énergétique industrielle et parce que d’autre part les élites affairistes globalistes corrompues en ont besoin pour maintenir sous le joug tyrannique des populations entières (qui cependant tentent de fuir cette destruction de fait de tout espoir mélioratif).
  • La construction de mosquées en Europe par exemple en est l’un des indices majeurs en vue de maintenir, de geler, de cristalliser en une même forme transmissible ce sadomasochisme politique qui fait tant fantasmer des élites en fin de course et qui fabriquent désormais leur population en portions de viandes pornos que l’on injecte comme on le fait pour la viande animale avant abattoir.
  • La prolifération des mensonges en matière écologique en devient le pompon et la suite programmée de la syndémie actuelle tant la diabolisation du CO2 (essentiel pour les plantes et donc la reforestation) est devenue le symptôme d’une confusion totale entre la nécessité de lutter contre le gaspillage, la démesure des mégalopoles, la globalisation forcenée, la médicalisation quantitative de la santé et ce désir-là, aussi absolutiste, d’empêcher les humains de choisir leur moyen de locomotion et de santé.
  • Le scientisme généralisé que les faux écologistes soutiennent (ne parlons pas des néo-léninistes et des islamiques bien sûr) est lui aussi le syndrome d’un mal encore plus profond : celui du refus de concevoir que l’esprit scientifique n’est pas l’opposé du sens commun, mais ce qui lui permet de s’améliorer.

Mais ces assassins sont aussi des collectionneurs : ils adorent insérer dans d’énormes bocaux les civilisations qu’ils embaument sous formol, ou alors les maintenir sous serre(s), les cultiver, ainsi telles des variétés plastiques, de maintenir sous respirateur artificiel des formes spirituelles et politiques pétrifiées, autant de nouvelles cités Pompéi.




Appel à la grève illimitée des professionnels de la santé du secteur privé

[Source : Syndicat Liberté Santé (syndicat-liberte-sante.com)]

Appel à la grève illimitée des professionnels de la santé du secteur privé

Dès le 15 septembre 2021

Le 12 Juillet 2021, Emmanuel Macron, trahissant ses promesses, engageait les institutions législatives en annonçant une «obligation vaccinale» pour les soignants, et en étendant le passe sanitaire pour les actions du quotidien.

La loi du 5 Août 2021, incluant tous les professionnels de la santé, et ratifiée par les deux assemblées en marche forcée, sur la base d’éléments scientifiques douteux, est venue confirmer le délitement de la séparation des pouvoirs exécutifs et législatifs.

Nous soignants, et acteurs des soins, rassemblés dans le Syndicat Liberté Santé (SLS), rappelons qu’aucun individu, pas même le Président de la République, aucun groupe d’individus, serait-ce l’Etat, ne peut disposer du corps d’autrui.

Nous rappelons avec la Loi Kouchner de 2002, que le patient doit avoir un consentement libre et éclairé des actes et traitements qui lui sont proposés.

Nous rappelons qu’il est de notre devoir de n’exercer aucune pression, ni aucune discrimination à l’égard des personnes vulnérables que nous accompagnons.

Nous nous opposons à cette entreprise d’intimidation, qui vise à forcer les consciences et violer les corps.

Le SLS appelle à la grève l’ensemble des professionnels de la santé libéraux et salariés du secteur privé

Du fait de la jeunesse du SLS, nous ne sommes pas en mesure d’appeler à la grève le secteur public, nous exhortons les syndicats historiques à nous rejoindre dans cette lutte, pour ne pas laisser les salariés du secteur public dans l’impossibilité de défendre leurs droits fondamentaux.

Partout en France, les soignants défendent le droit de disposer de leur corps.

Face à cette réalité, de nombreux établissements envisagent de retarder l’obligation vaccinale.

Nous ne nous satisferons pas de demi-reculade ou de délais supplémentaires.

Nous sommes chaque jour plus nombreux et déterminés jusqu’à l’obtention du retrait
de l’obligation vaccinale des professionnels de la santé

ET

du retrait de l’obligation de présentation d’un passe
pour l’ensemble des services et établissements de santé, sociaux et médico-sociaux.

Syndicat-Liberte-Sante.com




De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses

[Source : donde vamos via Sott.net]

Dans cet article, on va revenir un peu plus en détail sur certains points abordés lors de l’émission avec Ariane Bilheran et Akina. Pour commencer, un retour sur le début des travaux scientifiques autour du contrôle de la société et des individus, initié par un courant 100% eugéniste très en vogue dans les années 20, et rassemblé dans et autour de l’Institut Tavistock.

On va voir quelle est l’idéologie derrière tous ces travaux de recherche dont le caractère scientifique reste à démontrer. Une idéologie toujours présente en filigrane dans le discours ultra libéral, et plus que jamais d’actualité.

Note de Sott : A priori, l’émission avec Ariane Bilheran et Akina à laquelle l’auteur fait référence ci-dessus est la suivante :

Nous mettons aussi à disposition de nos lecteurs la même vidéo sur Odysee au cas où YouTube censure la première :



La sociologie comme outil de gestion de la société

Le contrôle des masses et de l’esprit des individus n’est pas nouveau : les religions par exemple s’en sont fait une spécialité depuis des siècles et déjà Platon allait sur ce terrain. Mais la formalisation de ce qui est devenu une véritable discipline « scientifique » remonte à l’entre-deux guerres avec les travaux de la Tavistock Clinic, en Grande-Bretagne.

1921 : La Tavistock Clinic

tavisktock

Avant les nazis, le concept de contrôle mental a été élaboré par la Tavistock Clinic créée en 1921. A cette époque de nombreuses cliniques spécialisées traitaient les adultes et les enfants, et la Clinique Tavistock (sous le nom de Tavistock Square Clinic for the Treatment of Functionnal Nerve Disorders ) s’est spécialisée dans le traitement précoce des enfants.

L’objectif était donc de traiter –et non soigner, un mot absent des études et rapports de l’époque- l’humain (enfant comme adulte mais avec des départements séparés) via la médecine, la psychologie, la sociologie en même temps. Une approche novatrice qui s’inscrivait dans le courant de pensée eugéniste, sur lequel on va revenir dans cet article.

Les premiers vice-présidents honoraires de la clinique étaient des gens aussi réputés que Sigmund Freud, qui était alors en Angleterre, HG Wells, Carl Jung[1], Cyril Burt, Julian Huxley et quelques autres.

La clinique Tavistock qui disait faire de la « nouvelle psychologie » issue principalement des théories de Karl Jung et Freud a été créée en 1921 par le psychiatre Hugh Crichton-Miller, qui a dirigé par exemple la Société Royale de Médecine ou la Société Britannique de Psychologie dans les années 30, et par Cyril Burt qui a été en contact avec les eugénistes dès ses études à Oxford et a notamment travaillé sur le caractère « héréditaire » du QI[2].

freud

Derrière le délire de Burt, l’objectif était de trouver des indicateurs pour assurer l’ordre social, et pour lui le QI était un paramètre important pour développer l’eugénisme, c’est-à-dire une sorte de sélection des individus les plus adaptés voire rentables pour l’ordre économique.

La Tavistock Clinic a aussi repris les thèses et l’idéologie de l’école de Francfort, issue de la création officielle en 1923 de l’Institut pour la recherche sociale, et qui était orientée vers les idées marxistes et « socialistes » en termes de gestion de la société.

Comme il y avait beaucoup de Juifs et –forcément- de marxistes dans ses effectifs, l’école a été très mal vue des nazis qui ont interdit à ses professeurs d’enseigner dès 1933. Elle s’est donc installée à New York en 1935, en association avec la New School financée par la Fondation Rockefeller, puis en Californie en 1940.

rusell

 » Lord Bertrand Russell de l’école de Francfort était un défenseur de l’ingénierie sociale de masse clandestine. Dans son livre de 1951, ‘L’impact de la science sur la société’, il a écrit: « psychologie du cul. . . . Son importance a été considérablement accrue par le développement des méthodes modernes de propagande. Parmi ceux-ci, le plus influent est ce que l’on appelle « l’éducation ». La religion joue un rôle, quoique de moins en moins important ; la presse, le cinéma et la radio jouent un rôle croissant. . . . On peut espérer qu’avec le temps, n’importe qui pourra persuader n’importe qui de quoi que ce soit s’il parvient à attraper le patient jeune et qu’il est doté par l’État d’argent et de matériel.

Russell a poursuivi : « Le sujet fera de grands progrès lorsqu’il sera abordé par des scientifiques sous une dictature scientifique… Les psychologues sociaux du futur auront un certain nombre de classes d’écoliers sur lesquelles ils essaieront différentes méthodes pour produire une conviction inébranlable que la neige est noire« .

Theodore Adorno, passé par Oxford et proche de Horkheimer, était un des piliers de l’école de Francfort. Il voulait travailler sur la sociologie de la musique pour « programmer une culture de masse comme une forme de contrôle social extensif qui pourrait dégrader ceux qui la consomment ». Il a aussi travaillé sur les nouvelles technologies d’enregistrement et leur impact sur les auditeurs.

Il a écrit en en Allemand un bouquin publié en 1947 modestement intitulé « Dialectique des Lumières », expliquant à quel point la civilisation avait évolué depuis les âges des ténèbres à travers la « rationalité » mais que cela l’a éloigné de sa nature et l’amène à l’inhumanité.

statue Freud Tavistock

La Tavistock Clinic a aussi développé le concept d’hygiène sociale et celui d’hygiène mentale. Selon le Tavistock la folie, le crime ou l’inefficacité au travail sont liés à des troubles parfois mineurs déjà visibles dans l’enfance. En 1908 les tribunaux pour enfants ont été créés, et l’amalgame entre enfants en danger et enfants dangereux s’est renforcé. Les autorités envoyaient de partout à la clinique les enfants perturbés.

A l’origine, le Tavistock a surtout travaillé sur les mineurs et le développement de l’enfant. A ce moment un certain nombre de chercheurs se lançaient dans l’étude du psychisme des enfants, notamment des enfants traumatisés ou « difficiles », dont beaucoup sont passés par le Tavistock.

Par exemple le psychiatre John Bowlby a étudié dans les années 60 l’attachement de l’enfant à la figure parentale qui s’occupe de lui, et a estimé que les enfants ont besoin de cet attachement et de se sentir en sécurité pour se construire. Il a créé une unité spéciale au Tavistock pour cela.

Tavistock Clinic

Mais il y avait aussi d’autres objectifs, comme ceux poursuivis par un des financiers de la clinique, le duc de Bedford, le fondateur du parti fasciste anglais[3]:

« En 1921, le duc de Bedfordmarquis de Tavistock légua un bâtiment à l’Institut dans le but d’étudier les effets du traumatisme sur les soldats britanniques ayant survécu à la première guerre mondiale. Son but était d’établir le « point de rupture » d’hommes en état de stress, sous la direction du Bureau de l’armée britannique pour la guerre psychologique, dirigé par Sir John Rawlings-Reese. 
L’Institut Tavistock a son quartier général à Londres. Son prophète, Sigmund Freud, s’est installé à Maresfield Gardens quand il a déménagé pour l’Angleterre. La princesse Bonaparte lui fit cadeau de la demeure. Le travail de pionnier de Tavistock en sciences du comportement selon les directives freudiennes du « contrôle » des humains en a fait le centre mondial de fondement d’idéologies
« .

1921, année de la mise en service de la Tavistock Clinic, est une année importante pour les eugénistes. C’est l’année de la deuxième conférence internationale sur l’eugénisme à New-York, la première ayant eu lieu à Londres en 1912[4] sous la présidence de Léonard Darwin, biologiste fils de Charles.

eugenics affiche

Ces conférences visaient à inviter des décideurs politiques, des scientifiques, des organisations sociales, pour discuter de la manière dont ils pouvaient améliorer l’hérédité humaine et donc le niveau des humains qui composent la société.

C’est aussi en 1921 que Freud a publié « Psychologie des masses et analyse du moi » qui popularise la psychanalyse, sur la psychologie des individus dans des foules et était notamment inspiré de livres précurseurs en la matière : « Psychologie des foules » de Gustave Le Bon, paru en 1895[5] et des ouvrages de Gabriel Tarde.

En 1928 un neveu de Freud, Edward Bernays, publie « Propaganda : Comment manipuler l’opinion en démocratie« , dont Hitler s’est beaucoup inspiré.

Au tournant de la deuxième guerre mondiale, la Tavistock a été liée beaucoup plus étroitement au ministère de la Guerre, à l’armée et aux renseignements, orientant davantage ses travaux dans le contexte de la guerre, ce qui impliquait aussi de travailler sur les organisations et la gestion des humains.

psychologie des foules

En 1938, « Le personnel de la Clinique exprima son intention d’enquêter sur « les classes patronales et les cadres, car il était tout aussi important qu’ils soient harmonieusement équilibrés. » Ils voulaient appliquer le « traitement scientifique de la psychonévrose » aux problèmes à grande échelle d’efficacité professionnelle et aux dirigeants », et la sélection des officiers était un moyen potentiel d’y parvenir, résume Alice Victoria White en 2016 dans sa thèse « From the Science of Selection to Psychologising Civvy Street: The Tavistock Group, 1939-1948″

Un volet moins connu des travaux du Tavistock est celui sur les micro-ondes et leur potentiel en termes de contrôle des populations et des individus. Dès les années 50 des tests ont été menés sur des singes pour voir quand le singe dominait devenait soumis, et identifier les fréquences du cerveau correspondant à cet état de soumission.

Ce sont en effet les anglais qui ont marqué les plus grandes avancées sur les micro-ondes à partir des années 40, et c’est d’ailleurs en Angleterre qu’elles ont été testées à grande échelle sur des populations rétives au thatchérisme[6].

Parmi les domaines de recherches du Tavistock, il y a aussi l’identité sexuelle. Le Tavistock a été précurseur pour propager la théorie du genre et la banalisation de la transsexualité auprès des adolescents, quitte à produire des études peu sérieuses.

L’influence de Kurt Lewin

lewin

Depuis 1921, le psychologue allemand Kurt Lewin, qui passe aujourd’hui pour l’un des fondateurs de la psychologie sociale devenue la psychologie du travail il y a quelques années, avait commencé ses travaux sur le comportement humain et la manipulation des individus dans des groupes c’est-à-dire la « dynamique de groupe ».

Des travaux qui ont beaucoup influencé la Tavistock Clinic, qu’il a dirigée en 1932, quand a été créé l’Institute for the Scientific Treatment of Delinquency (l’insititut pour le traitement scientifique de la délinquance).

Lewin a notamment étudié les groupes dans le cadre de l’entreprise, par exemple autour de « la résolution des conflits sociaux » ou l’ « accompagnement au changement » tant apprécié dans les cours de « management », et a participé à l’initiation de l’Association pour la psychologie expérimentale devenue l’Association Allemande de Sociologie.

usine angleterre

Lewin avait compris l’impact de son environnement sur l’individu et l’importance d’agir sur l’environnement pour modifier la personnalité des individus, bien au-delà des simples comportements. Il cherchait aussi à utiliser le trauma pour manipuler les individus, les « reprogrammer » sur le mode Ordo ab chaos, cette devise à la fois sataniste et franc-maçonne qui dit que l’ordre viendra du chaos.

Lewin s’est dit qu’appliquer ces méthodes à l’échelle de la société pouvait donner des résultats prodigieux en termes d’ordre social. Il a mis cela en application pour contribuer à faire entrer en guerre les US.

Lewin, qui était très proche de l’OSS puis de la CIA, expliquait par exemple en 1947 qu’ « il est préférable de conduire le changement en se focalisant sur la diminution des forces restrictives, plutôt que de chercher à augmenter les forces propulsives. Il est alors possible de changer en réduisant l’attachement des individus à la norme, soit en modifiant la norme elle-même« . Le processus de changement est composé de 3 étapes (cf. Cours de marketing en ligne) :

  • La phase de décristallisation des normes (phase 1), correspond à l’abandon des comportements et des attitudes habituelles et à la création d’une motivation à changer. Cette décristallisation est rendue possible par la discussion en groupe, favorisant la remise en cause des normes du groupe.
  • La phase de déplacement (phase 2), donne lieu à un changement par la réduction des forces de résistance que représente l’attachement aux normes. Il s’agit d’une phase de transition où l’on expérimente les nouvelles pratiques.
  • La phase de cristallisation (phase 3). Cette phase repose sur l’intégration de nouvelles habitudes.
cerveau mind control

Une méthode qui a fait et fait hélas toujours ses preuves car elle consiste à briser les fondements des individus. L’affaire France Telecom, où des cabinets de conseils en manipulation et pressage de citron ont été grassement payés pour éjecter un maximum de fonctionnaires[7], de même que la pseudo gestion de crise covid qui a surtout pour but de nous amener à marche forcée dans le monde orwellien dont certains rêvent depuis plus d’un siècle, le montrent parfaitement.

En écrivant ce genre de chose, dont il savait que cela s’appliquerait à l’entreprise comme à la politique, Lewin trahissait le but des sciences sociales qui est d’identifier et permettre de résoudre les problèmes sociétaux, pas ceux du pouvoir capitalistique.

Etant Juif, Lewin a rapidement été interdit d’enseigner et a fui l’Allemagne nazie en 1933. Après un passage en Angleterre et à la Tavistock Clinic il est arrivé aux Etats-Unis en 1935, enseignant notamment la psychologie sociale et psychologie de l’enfant d’abord à Stanford puis à Cornell, dont on reparlera dans la partie sur MK-Ultra, et enfin à Harvard où a été créée la première chaire de psychologie sociale en 1917 en collaboration avec l’armée.

Lewin-Change-Management-Model-PPT-Templates-Slides

A partir de de la fin des années 30 il s’est lancé dans l’étude du comportement des individus dans le milieu du travail et les mécanismes de défense face à l’ingérence de l’extérieur, et a fondé en 1945 avec le MIT (proche de l’armée US) le Research Center for Group Dynamics.

Lewin a beaucoup travaillé sur l’apaisement des relations de travail, pour améliorer la productivité et limiter les conflits. Comme chez les nazis la notion de bonheur a été intégrée à celle de travail. Et sur la notion de groupe, notamment dans l’industrie du charbon, pour dépasser les conflits sociaux.

Il a aussi travaillé sur les enfants aux Etats-Unis, notamment à l’Iowa Child Welfare Research Station (le pôle de recherche sur le bien-être de l’enfant) où il a mené des recherches entre 1935 et 1944.

deviance

Après 1945, le Département Social de l’institut Tavistock a été créé pour poursuivre les travaux sociologiques, anthropologiques, psychologiques et psychiatriques entrepris pendant la guerre, et les appliquer à la vie sociale en temps de paix.

En 1946 quand la Tavistock Clinic a été intégrée au service national de la santé, elle a reçu un don de la Fondation Rockefeller pour mettre en place une organisation séparée et travailler sur des sujets « non acceptés dans le domaine de la santé mentale« [8]. Elle est alors devenue le Tavistock Institute of Human Relations, isntallé sur un terrain de l’université du Sussex. L’Institu Tavistock a obtenu le statut d’ONG auprès de l’ONU l’année suivante.

Des travaux sur les « systèmes socio-techniques », sur les dynamiques de groupe et l’organisation du travail ont été menés au cours des années 50 et 60 au Tavistock par différents chercheurs comme Eric Lansdown Trist, spécialiste de la psychologie sociale ou le psychologue australien Fred Emery.

A travers tous ces travaux, le Tavistock a institutionnalisé les idées de Lewin, devenues très populaires dans les années 70.

Les influences du Tavistock sur le programme MK-Ultra.

mass manipulation

Un des grands noms du Tavistock, injustement mis sous le tapis aujourd’hui, est un certain John Rawlings Rees, à la fois psychiatre et militaire, cofondateur et premier président de la World Federation for Mental Health créée avec la bénédiction des Nations Unies dès 1947.

Rees était déjà présent à la Tavistock Clinic à sa création en 1920, en avait été nommé directeur médical adjoint en 1926 puis directeur médical en 1933, et il était encore là pour l’inauguration de l’Institut Tavistock pour les Relations Humaines en 1947.

Avec lui, le « Tavi » est aussi devenu un centre de formation à la psychothérapie qui rayonnait dans une série de structures[9] dédiées de près ou de loin à la gestion de la société par la médecine psychiatrique, dont une bonne partie a été créée par Rees et ses amis. Ce microcosme, largement financé et promu sur le plan « scientifique », a ainsi diffusé une certaine vision de la psychiatrie.

Rees, engagé comme psychiatre consultant par l’armée anglaise à partir de 1939, a été un acteur majeur du développement du concept de guerre psychologique, initiée par les Français durant les guerres d’Indochine puis d’Algérie. Rees a alors développé la psychothérapie de groupe basée sur la psychanalyse, devenue une nouvelle méthode de travail. Pour l’armée Rees a aussi travaillé sur les moyens d’influencer le moral de l’ennemi, sur la gestion des hommes, sur l’autorité… Des travaux qui ont été repris pour travailler sur le conditionnement des salariés et la gestion des « ressources humaines » étudiés au Tavistock.

2021-09-04 23_46_14-John Rawlings Rees – 100 years of the Tavistock and Portman - Opera

Rees a compris que les humains étaient fortement conditionnés par leur culture, leurs valeurs, plus que par le lavage de cerveau tel qu’ils le pratiquaient sur les soldats. Il fallait donc agir sur la société dans son entièreté.

La « Méthode Rees »qui a été très appréciée dans les écoles de guerre mais pas seulement consiste en un contrôle fasciste de la société, adapté à la gestion de la société du futur. Rees prônait un contrôle des communautés locales par des « leadership groups » et la démocratie participative avec évidemment un contrôle strict de l’information.

On notera que Rees a fait partie de l’équipe qui s’est occupée de gérer Rudolf Hess, ce pilier du système Nazi et proche d’Hitler depuis les débuts du NSDAP, qui a pris l’avion pour l’Angleterre en 1941[10]. Rees l’a suivi jusqu’en 1945, quand Hess a été jugé, passant officiellement pour dérangé mentalement grâce à l’analyse de Rees et son équipe. Après la guerre il a évidemment été nommé dans l’équipe de psychiatres chargés d’examiner les quelques nazis renvoyés devant les juges à Nuremberg, soi-disant pour « étudier le nazisme ».

Les nombreux travaux de « JR » Rees pour l’armée et les renseignements militaires lui ont valu de nombreuses récompenses et conféré un statut de « medical statesman » (homme d’Etat médical).

2021-09-04 23_49_54-medal _ British Museum - Opera

C’est donc avec les honneurs qu’il a quitté le Tavistock en 47, pour se consacrer à l’organisation du 1er congrès de la santé mentale à Londres en 1948 et à la création de la World Federation for Mental Health (WFMH) avec Montagu Norman (gouverneur de la Banque d’Angleterre de 1920 à 1944 et proche des industriels Allemands).

La première intervention à la conférence fondatrice (vice-présidée par Carl Jung) a été celle de Margaret Mead, anthropologue et occultiste qui a été présidente de la WFMH en 56-57. La WFMH a lancé le mouvement d’ « hygiène mentale » et a très vite travaillé avec l’OMS et l’UNESCO dont le 1er directeur était Julian Huxley.

2021-09-04 23_52_12-Sword9_TavistockI

Plus inquiétant encore chez Rees était sa volonté d’estomper les limites entre le vrai et le faux, le bien et le mal, et même de faire disparaître ces concepts, s’inscrivant en cela parfaitement dans l’idéologie sataniste/luciférienne. Tout un courant de la psychiatrie suivait cette tendance dans les années 40-50.

En 1934 devant des militaires Rees a expliqué son plan :

« Si nous voulons infiltrer les activités professionnelles et sociales d’autrui, je pense que nous devons imiter les totalitarismes et organiser une sorte d’activité de cinquième colonne… Nous avons mené une attaque fructueuse contre un certain nombre de professions. Les deux plus faciles d’entre elles sont naturellement la profession d’enseignant et l’église, les deux plus difficiles sont le droit et la médecine… Ne parlons pas en termes d' »hygiène mentale » mais en termes de « santé mentale ». …Soyons donc tous très secrètement la cinquième colonne. La psychiatrie doit maintenant décider de ce que sera l’avenir immédiat de la race humaine. Personne d’autre ne le peut. C’est la responsabilité première de la psychiatrie ».

Au Tavistock, Rees a aussi travaillé avec un canadien dénommé Brock Chisholm, psychiatre qui fut à l’œuvre dans la création de l’OMS, dont il a été le premier directeur général de 1948 à 1953. Il s’était notamment fixé comme objectif de définir ce qu’était l’hygiène mentale à travers une masse de publications sur la psychiatrie, pour normaliser et cadrer ce domaine crucial pour la gestion de la société.

A la sortie d’une guerre traumatisante pour plus de la moitié de la population mondiale, le sujet était en effet d’actualité. Et la chimie faisait de grands progrès ces dernières années, d’abord en Allemagne puis aux Etats-Unis également.

C’est Chisholm qui aurait suggéré à son ami « JR » Rees de créer une « Organisation mondiale de la santé mentale » pour avoir une organisation soi-disant indépendante avec laquelle collaborer.

Chisholm aussi était un fan du « gouvernement mondial » et lui aussi était pour estomper les notions de bien et de mal ainsi que la foi religieuse car cela « produit des gens non civilisés, l’immoralité, la délinquance et le chaos social« . Et pour y parvenir, il n’y avait selon lui rien de mieux que l’éducation et la psychothérapie.

Brock_Chisholm_2

Un des collègues de Rees qui a dirigé la World Federation for Mental Health, Franck Fremont-Smith, a créé en 1942 le « Cybernetics Group », lancé par une fondation vitrine de la CIA, la Josiah Macy Foundation où Fremont-Smith était directeur médical. Les financements du Cybernetics Group venaient d’un peu partout, notamment de la WFMH, et servaient à payer des travaux destinés à prévoir et contrôler le comportement humain[11].

Kurt Lewin était d’ailleurs présent à la conférence de lancement, au cours de laquelle un chercheur mexicain dénommé Arturo Rosenblueth a déclaré que le cerveau était juste une machine complexe avec des impulsions électriques et que le comportement humain pouvait être programmé au niveau individuel comme sociétal.

En 69 sur son lit de mort, ledit Rosenbleuth a expliqué que « La culture de la recherche scientifique dans les plus hautes institutions d’enseignement a […] un rôle central. Elle élève le niveau d’enseignement destiné à préparer des professionnels et des techniciens compétents. Elle fournit l’atmosphère intellectuelle nécessaire pour la formation d’enseignants distingués. Enfin, elle permet l’entrainement du reste de la recherche ». Le Cybernetic Group a cessé d’exister en 1953 suite à des bisbilles internes.

Autre psychiatre éminent du Tavistock qui a travaillé sur le programme MK-Ultra : William Sargant, proche du directeur du programme MK-Ultra, le chimiste Sidney Gottlieb. Nommé à la tête du département de psychologie de l’hôpital de Saint Thomas à Londres en 1948 après un séjour de quelques mois aux Etats-Unis, Sargant s’inscrivait totalement dans les vues de Lewin.

sargant_cover

En 1957 il a publié un livre intitulé « Battle for the mind – A psychology of coversion and brain-washing » (La bataille de l’esprit. Une psychologie de la conversion et du lavage de cerveau) dans lequel il parle de diverses expériences, notamment l’utilisation de drogues, de la lobotomie et des « traitements par chocs » électriques ou d’insuline. Il examine aussi les religions et l’endoctrinement, la torture et leurs possibilités en termes de lavage de cerveau.

Il explique que

« Beaucoup de croyances peuvent être implantées dans beaucoup de gens après que les fonctions cérébrales aient été suffisamment perturbées par une peur, une colère ou une excitation induite accidentellement ou délibérément. Un des résultats qu’entrainent ces perturbations, le plus commun est une faculté de jugement temporairement affaiblie et une suggestibilité renforcée ».

Il ajoute :

« Avant d’être capable de modifier le schéma comportemental des pensées et des actions dans le cerveau humain avec rapidité et efficacité, il est apparemment nécessaire dans la plupart des cas d’induire certaines formes de perturbations physiologiques du cerveau. Le sujet doit être effrayé, énervé, frustré ou dérangé émotionnellement d’une manière ou d’une autre, car de telles réactions sont à même de causer des altérations des fonctions du cerveau qui peuvent augmenter sa suggestibilité ou le rendre capable de dépasser ses conditions normales ».

Et la lobotomie ou les électrochocs semblent parfaitement adaptés pour cela. Au final, Sargant appelle à mener d’autres expérimentations.

2021-09-04 23_59_42-William Sargant quote_

Sargant, ce fils d’une famille méthodiste et grand partouzeur en compagnie de médecins, magistrats et autres personnalités voulait faire entrer la psychiatrie dans une nouvelle ère, en utilisant plus particulièrement la lobotomie préfrontale, le coma hypoglycémique, et les chocs électriques. Il a mené ses expérimentations sur des cobayes pris dans les prisons et hôpitaux psychiatriques de l’armée (auxquels on mentait sur l’objectif réel des expériences) pour le MI5 et MI6, dans des bases militaires anglaises comme Maresfield ou Porton Down l’équivalent anglais de Fort Detrick[12].

2021-08-31 20_42_31-Battle For The Mind _ William Sargant _ Free Download, Borrow, and Streaming _ I

Des tests qui avaient parfois lieu sous la supervision de Sidney Gottlieb et Franck Olson, cet agent de la CIA passé par la fenêtre d’un immeuble alors qu’il avait été gavé de LSD par ses amis de la CIA, et les trois sont même devenus amis.

Sargant avait un rôle pivot dans le programme MK-Ultra, et assurait la liaison entre la fondation pour la recherche sur l’écologie humaine (Human Ecology Fund) et les centres de recherches militaires ou civils anglais impliqués dans le programme.

Sargant a aussi collaboré étroitement avec l’affreux Ewen Cameron, ce psychiatre canadien fils d’un pasteur Ecossais qui travaillait sur le psychic driving, la conduite psychique, et a mené des expériences (électrochocs, drogues, hypnose, privations sensorielles, lobotomies au niveau des parties du cerveau qui gèrent les émotions…) sur des dizaines de patients non volontaires dans des hôpitaux canadiens, dans le cadre de MK-Ultra.

ewen cameron

Cameron, qui était aussi financé par l’Human Ecology Fund et par la fondation Rockefeller, était très réputé. Il faisait le tour des colloques, toutes les publications « sérieuses » lui étaient ouvertes et il est même devenu président de l’American Psychiatric Association, l’asso de référence des psychiatres US, en 1952-1953 c’est-à-dire au moment du lancement officiel de MK-Uktra, puis de son homologue canadienne, et en 1962 il est devenu président de la World Psychiatric Association où est définie la doxa dans le domaine.

Cette collaboration entre Sargant et Cameron a été nouée très tôt, le premier reproduisant en Angleterre les expériences du second[13]. Ils avaient les mêmes vues, celles du Tavistock et des inventeurs de l’ingénierie sociale, sur la gestion de la société. Raciste, élitiste, eugéniste, Cameron a par exemple écrit : « La menace imminente d’une dégénération de la race, la perspective d’une batardisation nationale due au laxisme eugénique, la croissance de la délinquance et de l’immoralité – une approche radicale du traitement peut changer tout cela » au début de sa carrière de responsable d’un hôpital psychiatrique où on laissait littéralement au rebut de la société.

Sargant lui-même a fait un séjour en hôpital psychiatrique au début de sa carrière après une sorte de burn out consécutif à l’échec d’une de ses « thérapies ». Il ne reculait devant aucune technique, et a pu laisser des patients sans sommeil durant plusieurs mois d’affilée, ou à l’inverse les plonger dans un semi coma durant des semaines, a essayé d’en « traiter » d’autres avec le virus de la malaria, en plus des traditionnels délires drogues/médocs-électrochocs-hypnose…

2021-09-05 00_10_40-My electric shock nightmare at the hands of the CIA's evil doctor by Calendar Gi

Apparemment, des mineurs de 16 voire 12 ans ont aussi été utilisés mais évidemment une partie des expériences est restée secrète.

Si les victimes sortaient de ces expériences dans un état pire qu’en arrivant, il attribuait cela à leur personnalité qui ne collait pas. Une actrice anglaise, Celia Imrie, a raconté son passage entre les mains de Sargant quand elle était adolescente. Ses parents l’avaient envoyée au St Thomas Hospital à 14 ans pour une crise d’anorexie.

« Les méthodes de Sargant étaient simples : un traitement par électrochocs et des comas induits par l’insuline conduisant à une narcose continue, ou une thérapie du sommeil profond, complétée par des ordres de « lavage de cerveau » diffusés aux patients sous leurs oreillers. Et dire que tout cela était gratuit avec le NHS [le système de santé anglais] ! », écrivait-elle en 2011.

« Je me souviens aussi de la célèbre salle de narcose, une salle où les patients étaient contraints pendant des jours à un sommeil induit par la drogue pendant que des cassettes leur diffusaient des instructions sous l’oreiller« .

Les gens y entraient drogués et en sortaient drogués, inconscients.

Elle y a été traitée à l’insuline pour la mettre en sommeil, avec un antipsychotique appelé le Largacil. Elle se rappelle d’une infirmière parlant de sa « dangereuse résistance » aux « médicaments », de Sargant disant que « chaque chien a son point de rupture, ça prend juste un peu plus de temps pour les excentriques« .

Les origines du contrôle social : l’eugénisme

2021-09-04 22_41_15-Eugenics_Society_Poster_(1930s)

La Tavistock a été créée à l’université d’Oxford, avec le soutien du Royal Institute of International Affairs. Les milieux eugénistes y étaient très actifs.

Les anglais avaient construit les théories eugénistes depuis la fin du XIXe siècle. C’est par exemple à l’University College de Londres qu’ont été formalisés les délires qui ont amené les Nazis à concevoir leur « Solution Finale ».

Cet épicentre du mouvement eugéniste au tout début du XXe siècle, a financé des travaux de recherche sur l’eugénisme et l’hérédité dans son laboratoire de biométrie créé à l’initiative de Galton et dirigé par Karl Pearson, intégré ensuite dans le Francis Galton Laboratory for National Eugenics[14].

L’eugénisme, ou la peur du désordre social chez les classes favorisées

Sir_Francis_Galton_by_Charles_Wellington_Furse

Karl Pearson, formé en Allemagne à la sociologie, était le bras droit de Galton à l’University College, un parfait soldat de l’eugénisme. Pour lui, par exemple, « il n’y a aucun espoir de purification raciale dans un environnement qui n’implique pas la sélection des germes« .

L’idée dingue de créer « une race supérieure » n’est pas née dans le cerveau dérangé des Nazis mais dans celui d’un aristocrate et statisticien anglais, Sir Francis Galton, qui voulait mettre en place une « sélection » des meilleurs humains selon ses critères et créer une « nouvelle race supérieure ». Galton, pionnier de la biométrie, était aussi le cousin de Darwin dont les théories ont elles aussi largement alimenté le délire eugéniste.

darwin_bicentennial

Par exemple, Darwin considérait que

« Tous ceux qui ne peuvent éviter à leurs enfants une horrible pauvreté devraient s’abstenir du mariage ; car la pauvreté n’est pas seulement un grand malheur, mais elle tend à s’accroître elle-même en conduisant à l’irresponsabilité dans le mariage. D’autre part, comme M. Galton l’a remarqué, si les prudents évitent le mariage alors que les irresponsables se marient, les membres inférieurs de la société tendent à supplanter les membres meilleurs » (dans « La Filiation de l’homme »). 

Il y a eu un long travail depuis les premiers écrits d’auteurs tels que William Rathbone Greg en 1868 ou Sir Fancis Galton en 1883 pour donner un aspect un peu sérieux à cette « discipline », à coup d’études et d’enquêtes qui lui ont progressivement donné une forme de légitimité[15].

galton portraits

Galton, obsédé par la question de la transmission des qualités héréditaires et de la « dégénérescence » de la société, définit l’eugénique dont il voulait faire une « religion laïque », comme suit :

une « science de l’amélioration de la race, qui ne se borne nullement aux questions d’unions judicieuses, mais qui, particulièrement dans le cas de l’homme, s’occupe de toutes les influences susceptibles de donner aux races les mieux douées un plus grand nombre de chances de prévaloir sur les races les moins bonnes« .

Il voulait aussi combiner cela avec un système social de « méritocratie », que la France technocrate a parfaitement appliqué et dont nous payons fortement les conséquences. Il a aussi travaillé sur des jumeaux toujours pour identifier l’hérédité.

Galton voulait carrément créer un  « clergé scientifique » – qui n’est pas sans rappeler les individus qualifiés de « médecins » qui font la pluie et le beau temps à la télé comme dans tout le pays depuis 19 mois- pour imposer une démarche eugénique dans l’ensemble de la société. Le seul frein à tout cela était la morale de la société qui n’approuvait pas l’élimination brutale d’une partie des citoyens.

Ces théories ont beaucoup intéressé Nietzsche, ce grand philosophe qui entre deux coups de folie les a ramenées en Allemagne.

L’Eugenics Education Society a été crée en 1907 par Sybil Gotto, inspirée par les thèses de Galton.

eugenics affiche USA

En 1911, un article économique intitulé « Les progrès de l’eugénisme » listait les nombreux domaines d’application de l’idéologie eugéniste, qualifiée de « science de la réforme sociale ». Car il fallait régler les problèmes de la société et permettre à cet « ordre social » auquel tient tant cette petite élite de perdurer indéfiniment.

En 1912 c’était le 1er congrès international d’eugénisme à Londres, avant les nazis. Puis en 1921 et 1932 à New York.

Et la création de l’International Federation of Eugenics Organizations par Charles Davenport, qui regroupait des organismes de différents pays, parmi lesquels l’Institut Kaiser Wilhelm d’anthropologie, hérédité humaine et d’eugénisme, le Cold Spring Harbour Carnegie Institution for Experimental Evolution, l’Eugenics Record Office.

Une grande partie de l’argent venait de la fondation Rockefeller, qui après la 1ère guerre a aussi financé la psychiatrie génétique en Allemagne, et la création du Kaiser Wilhelm Institute for Psychiatry à Munich (ex Institut Kraepelin[16]) dont on parlera dans le prochain article sur l’eugénisme version Allemande.

Dès 1913 le Mental Deficiency Act a séparé les handicapés mentaux de la société pour qu’ils n’aient pas d’enfants dans le cadre d’une idéologie eugéniste revendiquée au Parlement. Ce texte a été en vigueur durant une quarantaine d’années.

Concours de la famille eugénique dans le Kansas

Le fondateur du Tavistock, Cyril Blunt, avait travaillé pour la ville de Londres en tant qu’eugéniste / psychologue afin d’établir des tests de QI pour identifier les écoliers moins « intelligents » d’après ses critères basés sur un « ordre social » très hiérarchisé avec l’aristocratie anglaise et les riches tout en haut.

Un test a donc été imposé aux enfants de 11 ans en vue de les répartir dans des écoles de niveaux différents, en fonction du rôle social attendu des enfants.

Entre les deux guerres, l’eugénisme s’est répandu comme une traînée de poudre dans la société anglaise. Bien au-delà de la frange d’extrême-droite de l’aristocratie. Les eugénistes étaient présents dans l’éducation, dans la pédiatrie, dans les politiques familiales pour encourager les femmes de la classe moyenne à avoir plus d’enfants que les pauvres en les incitant par des aides financières tout en pénalisant les pauvres[17] en taxant fortement –comme c’est toujours le cas- les célibataires et couples sans enfants, dans la « médecine » ou assimilé, dans l’économie, matière conçue et standardisée par les anglais…

Cold Spring Harbor Eugenic Archives_ Eugenics Record Office, Field Worker Training Class of 1914 (D

En 1938, l’ « Euthanasia Society of America » a été créée pour défendre les vues eugénistes sur l’élimination des « indésirables » et réclamer la légalisation de ce procédé, d’abord évidemment pour des motifs médicaux (fin de vie, bébés mal-formés…).

Le psychiatre Juif Allemand Franz Kallmann a émigré aux USA en 1936. Il y a créé en 1948 l’American Society of Human Genetics qui a lancé plus tard le « Human Genome Project ». Kallmann a aussi été nommé à la tête de l’Institut Psychiatrique de l’État de New York, rattaché à l’université de Columbia qui était un des centres principaux des expériences MK Ultra.

Le directeur de l’Institut psychiatrique de New-York était le Dr Nolan D.C Lewis, élève de Freud et franc-maçon qui a travaillé avec la fondation Rockefeller pour promouvoir la « psychiatrie génétique » en 1934. Il a contribué avec Ewen Cameron et John Rawlings Rees à l’expertise psychiatrique de Rudolf Hess. Lewis utilisait aussi des drogues, notamment la mescaline, sur ses cobayes / patients.

eugenic exposition USA

Les eugénistes étaient dangereux, car ils considéraient notamment, comme jupicrétin et ses amis, que les pauvres sont la cause de la totalité de leurs maux et même de ceux des classes supérieures. Greta Jones explique par exemple dans « Eugenics ans social policy between the wars » que « la mortalité infantile élevée et le taux de maladies parmi les enfants de la classe ouvrière était dû à la négligence et à l’ignorance –résultat d’une faiblesse  d’esprit héréditaire. Ainsi ce ne sont pas les salaires ouvriers qui sont insuffisants, mais le standard des soins maternels ». Il était même question d’ « inefficience maternelle ».

C’est tellement pratique, et on comprend pourquoi les milieux industriels et d’affaires étaient si intéressés par ce genre de théories. « En outre, une grande partie du retard de croissance, du rachitisme et d’autres les maladies de l’enfance parmi les segments de la classe ouvrière étaient dus, ont-ils suggéré, au fait que les types physiques pauvres gravitaient inévitablement dans la couche sociale inférieure« , ajoute Greta Jones. Rappelons qu’à l’époque les eugénistes étaient considérés comme des « scientifiques » puisqu’on n’avait pas encore mis leurs théories en application à fond comme l’ont fait les Nazis.

2021-09-05 00_40_59-1920s-eugenics-poster

En effet pour les eugénistes, le chômage, le crime et tous les maux de la société sont dus à la condition héréditaire des classes ouvrières ou carrément pauvres. Ils parlaient beaucoup de « groupe à problèmes sociaux » à cette époque, terme repris dans le rapport Wood de 1929 sur la déficience mentale et qui a renforcé la pression pour la stérilisation des handicapés mentaux.

Des articles étaient publiés jusque dans la si fameux British Medical Journal pour appeler à appliquer cette « solution » et à l’époque les braves citoyens de la classe moyenne craignaient vraiment une épidémie de pauvres complètement débiles qui menacerait toute la société.

En 1921, après le 2e congrès international eugéniste, l’American Eugenics Society (appelée aussi « Society for Biodemography and Social Biology ») a été créée pour pousser à la régulation raciale et la santé version eugénistes. Averell Harriman, grand patron de presse US très à droite pour ne pas dire carrément fasciste et fondateur du Time était à son conseil d’administration. Grâce à d’importants subsides de « philanthropes », la société s’est donnée à fond dans la propagande pour le contrôle des naissances.

Le terrain aux Etats-Unis était très propice pour les théories eugénistes, et des structures ont été créés dès la fin du XIXe, comme le laboratoire privé de Cold Spring Harbor pour la recherche en génétique et biologie, qui a abrité les travaux de Darwin notamment.

2021-09-05 00_51_52-Leaders of the American eugenics movement

Ce labo fondé en 1890 et dirigé par Charles Davenport[18], où l’on cherchait à identifier les traits génétiques parfaits dans les familles américaines et à populariser l’idéologie eugéniste, existe toujours. Il a abrité de 1910 à 1939 l’Eugenics Record Office (ERO) qui avait pour objectif d’étudier le comportement humain dans une perspective eugéniste.

Davenport a recruté pour diriger l’ERO un certain Harry H. Laughlin, spécialiste d’agriculture qui voulait sélectionner les humains comme les graines qui est devenu un des meneurs du mouvement eugéniste aux USA. Ce raciste et propagandiste forcené de l’eugénisme dont les travaux à l’ERO ont été financés par John D. Rockefeller dans les années 1910, a mené des enquêtes aussi nombreuses qu’hasardeuses dans ce sens.

Président de l’American Eugenics Society de 1927 à 1929, Laughlin était un militant de la stérilisation qui a défini les critères des personnes à stériliser appelées « socialement inaptes ». Ces critères ont servi à concevoir les lois de stérilisation ou permettant la stérilisation qui se sont propagées dans la moitié des États Américains entre 1907 (Indiana) et 1921.

Les cibles des stérilisations forcées et les procédures variaient selon les États, mais les « médecins » se couvraient toujours par une décision collégiale et en général les cibles étaient les natifs Américains, les malades mentaux, les délinquants, parfois les Noirs, les épileptiques, les aveugles, les sourds, même gens atteints de tuberculose ou syphilis, les « difformes » ou les « individus à charge » comme les orphelins, les sans-domicile etc.

22-Figure1-1

Hitler s’est directement inspiré des lois inspirées par Laughlin aux Etats-Unis pour sa loi de 1933 imposant la stérilisation massive des handicapés, et aussi pour son délire de gouvernement mondial. Laughlin a même été récompensé en 1936 par l’université d’Heidelberg pour la pertinence de ses travaux sur la « science du nettoyage racial ». Autre marotte de Laughlin : l’internationalisme et la création d’un gouvernement mondial eugéniste.

Les eugénistes se servaient de la « philanthropie » comme un moyen d’utiliser l’hygiène, l’éduction, l’environnement, pour la préservation de la race comme l’explique un texte du début du XXe siècle, « The Groundwork of Eugenics » de Karl Pearson.

L’eugénisme était aussi répandu en Suède où la loi sur la stérilisation de 1934 est passée comme une lettre à la poste, en France où une expérience a été menée près de Strasbourg à partir de 1924 avec de vraies familles[19], aux Etats-Unis à travers la Société Eugéniste et le développement du Planning Familial[20], en Allemagne Nazie bien-sûr où l’école de Francfort a repris les travaux en la matière…

De fait, Greta Jones souligne :

« Il y a des liens entre l’eugénisme et la philosophie du néo libéralisme et les héritiers de cette tradition peuvent trouver une compatibilité entre l’eugénisme et leurs vues sociales. C’était une déduction logique de leurs principes. Le néo-libéralisme a redéfini la citoyenneté non comme étant simplement un droit politique mais comme un idéal moral, social et même esthétique ».

La Fabian Society

fabian society

La société fabienne était officiellement de tendance socialiste et constituait le think-thank du parti travailliste, tout en intégrant totalement les vues eugénistes d’une société de castes. Elle a été créée en 1884 et avait pour ambition « la reconstruction de la société en accord avec les plus hautes perspectives morales » tout en critiquant les dérives du capitalisme ainsi que les mouvements de gauche. C’était le début du « socialisme », mené par des bourgeois dont l’objectif premier était de détourner les classes laborieuses de toute velléité révolutionnaire.

[Voir aussi : Guy Boulianne — « La Société fabienne: les maîtres de la subversion démasqués »]

Sidney Webb qui l’a présidée à la fin du XIXe était un ponte du mouvement socialiste et membre de la Société Eugéniste anglaise dès sa création. En 1904 Webb est devenu président du comité technique de l’Education, en charge de gérer l’enseignement secondaire et supérieur.

Pour les membres de la Fabian Society, l’Etat devait intervenir plus fortement au niveau social pour « améliorer » la société à travers l’éducation, la santé, les aides sociales, les lois du travail, et le repérage des enfants qui deviendraient des adultes problématiques. Tout cela devait être utilisé comme autant d’instruments de régulation des tensions sociales.

Woolf analyse International government

Les « Fabiens » comme ils s’appelaient défendaient aussi un « gouvernement mondial ». Léonard Woolf (membre du parti travailliste, écrivain et mari de Virginia Woolf) qui avait rejoint la Fabian Society en 1913, a publié en 1916 un bouquin intitulé « International government » dans lequel il appelle à la mise en place d’un gouvernement mondial, un pouvoir supranational, cela bien évidemment au nom de la « paix », cet argument qui a servi à construire l’Europe du business et de la finance.

Les « écrivains » HG Wells ou George Bernard Shaw appartenaient à la Fabian Society, quant à Georges Orwell et Huxley ils gravitaient a minima dans son orbite. Le livre d’Huxley « Le Meilleur des mondes » comme 1984 d’Orwell ne sont pas de la science-fiction mais des programmes, des essais dans le cadre de leurs échanges sur le monde dont ils rêvaient.

brave_new_world

Huxley était un eugéniste revendiqué, il était pour le « contrôle des naissances » et même pour l’amélioration de l’humain par les moyens disponibles (donc le début du transhumanisme) mais il trouvait que ça ne suffisait pas pour assurer un réel contrôle social. C’était aussi un grand ami d’un des plus éminents psychiatres impliqués dans le programme MK-Ultra, Louis Jolyon West[21].

Wells quant à lui était évidemment raciste, voulait une société mondiale et prônait un « darwinisme social ». Il se félicitait de l’arrivée des médias de masse, en premier lieu la télé mais aussi les groupes de presse d’envergure mondiale, qui ouvraient de nouvelles perspectives en matière de stratégie politique. Il est devenu membre de la société eugéniste dès sa création en 1907 mais était plus pragmatique que Galton.

« Ses vues eugénistes paraissent cependant une transposition au niveau mondial des thèses des Webb, encore qu’il ait toujours insisté sur le fait qu’il parlait d’un état futur qui lui n’était pas encore réalisable aujourd’hui « , écrit Daniel Becquemont dans « Eugénisme et socialisme en Grande-Bretagne. 1890-1900 ».

Quand Galton a exposé à la Société de sociologie son idée de sélectionner les meilleurs de la société en les poussant à se reproduire, Wells lui a rétorqué que « C’est en recourant à la stérilisation d’éléments déficients de la société et non à la sélection des meilleurs qu’il sera possible d’améliorer la race humaine ».

Wells était le tuteur d’Huxley à Oxford, tout en étant responsable des renseignements anglais durant la Première Guerre mondiale, et a initié son élève au culte des Enfants du Soleil, un groupe de l’élite anglaise qui faisait des orgies « dionysiaques ». En 1937, Huxley a été diffuser sa vision du monde à Hollywood où il a travaillé sur des scénarios pour MGM, Warner Brothers er Walt Disney. Dans les années 50 depuis la Californie, il a aussi étudié les effets des drogues, notamment la mescaline, sur le psychisme.

leary

En Californie, Huxley a été un meneur de cette « contre-culture » développée par la CIA pour capter la jeunesse et la conditionner à coups de LSD et de groupes de rockers drogués. La bande de Charles Manson était d’ailleurs un parfait exemple de ces groupes de hippies borderline qui peuplaient la Californie à l’époque.

De 1960 à 1962 Huxley a contribué avec Timothy Leary et d’autres à une série d’expériences appelées « Harvard Psilocybin Project » sur les effets psychédéliques du LSD et de la mescaline notamment. C’est le Centre pour la recherche sur la personnalité d’Harvard qui hébergeait ces travaux, interrompus après le licenciement de Richard Alpert, qui co-dirigeait les travaux avec Leary.

Quant à Huxley qui était lui aussi membre de la Société Eugénique anglaise, son père « médecin » était déjà surnommé « le bulldog de Darwin » -et de ses théories de l’évolution et de la sélection naturelle. Son frère Julian, biologiste, est passé par l’Allemagne et les Etats-Unis au début des années 1910 avant de revenir en Angleterre pour enseigner notamment à Oxford, puis de travailler avec HG Wells sur le bouquin « La Science de la Vie ».

julian huxley

Il était favorable à la stérilisation des inférieurs, ce qui ne l’empêchait pas de passer pour un « humaniste ». Cet internationaliste a d’ailleurs été à la manœuvre dans la création de l’UNESCO dont il a été le premier directeur général, en 1946.

Parmi les membres de la Fabian Society, il faut aussi citer Annie Besant, disciple de Blavatski et militante de la théosophie, dont va reparler dans le prochain épisode, ou encore William Clarke qui a édité les textes de l’occultiste et fondateur de la république Italienne Giuseppe Mazzini.

Le mouvement dit « comportementaliste » a repris de la vigueur grâce à la Fabian Society qui a permis de mieux diffuser ce concept dans les milieux politiques et académiques puis dans la société. De nombreuses institutions ont une filiation avec l’idéologie de la Fabian Society, comme la London School of Economics qui diffuse la pensée néo libérale.


Pour terminer cette première prtie sur l’eugénisme, il faut quand-même dire que cette idéologie revient au pas de charge, à mesure qu’avancent les technologies de sélection des embryons. La micronie a même été beaucoup plus loin, en autorisant l’ « avortement » jusqu’au dernier jour de grossesse pour simples raisons « psycho-sociales ». Décidée par qui ? Sur quels critères ?

« En 1998, Jeremy Rifkin, qui postule que « les techniques du génie génétique [genetic engineering technologies] sont, par nature, des outils eugéniques », considère ainsi que « la cartographie du génome humain, les progrès croissants des tests de dépistage des maladies génétiques, les nouvelles techniques de reproduction et les nouvelles méthodes de manipulation du génome humain (…), toutes ces innovations jettent les fondations technologiques d’une civilisation eugénique mercantile », rappelle Pierre-André Taguieff.

[Voir aussi :
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme]

Notes

[1] Selon David Livingston dans « Tanshumanism : the history of a dangerous idea », l’oncle du grand-père de Carl Jung, Johann Sigmund Jung, était membre des illuminés de Bavière. Son grand-père était franc-maçon, et un autre de ses ancêtres était rosicrucien. Jung a collaboré avec la CIA.

[2] Ce qui a débouché sur des pseudos tests d’ « intelligence » et de « QI ».

[3] Bedford, Hastings Russell aussi appelé « marquis de Tavistock », a créé le parti fasciste anglais, le British Peopole’s Party, en 1939. Cela, avec l’appui actif d’un autre fasciste devenu nazi, John Beckett. Il était aussi proche pendant la guerre de Barry Domvile, fondateur de The Link, une organisation dédiée au rapprochement anglo – allemand. C’est Hastings que Rudolf Hess cherchait à rencontrer lors de son escapade en Ecosse en 1941. Hess a probablement été aidé par le MI6 pour partir d’Allemagne, ainsi que par Aleister Crowley, son ami Ian Flemming et le duc d’Hamilton qui était son contact en Franc-Maçonnerie.

[4] Les International Eugenics Congress ont été mis en place par l’Eugenics Education Society, ou « Institut Galton » (Galton est décédé en 1911). Churchill est venu à la conférence de 1912 à Londres avec le diplomate lord Balfour (qui a mis un bazar sans nom au Moyen-Orient). Le troisième et dernier congrès a eu lieu en 1932 à New-York.

[5] Le Bon était une sorte d’intellectuel très proche des milieux politique, qui avait notamment organisé des déjeuners sur le mode des dîners du Siècle où traînaient par exemple Aristide Briand ou Raymond Poincarré, ainsi que des artistes. Ses travaux sur le déterminisme apparemment assez hasardeux ont malgré tout lancé la « psychologie sociale » en France.

[6] Les ondes ont été utilisées par Thatcher contre le mouvement de protestation de femmes pour la paix à Greenham Common, une base militaire. Beaucoup de militantes ont eu des cancers. Elles ont aussi été utilisées dans les quartiers de mineurs pour els rendra apathiques et qu’ils cessent les grèves et toute contestation sociale. Des ondes ELF (ultra basse fréquence) étaient diffusées par les antennes télé et téléphone.

[7] A l’époque toute réticence face au discours de dégraissage permanent était considéré comme une « résistance au changement » et signait la mort du salarié dans l’entreprise car il n’avait pas assez de « capacités d’adaptation ».

[8] Cf. « Kurt Lewin at the Tavistock Institute » de Jean E. Neumann, 2005.

[9] Cf. « Fifty Years of the Tavistock Clinic (Psychology Revivals) » de H.V. Dicks

[10] On ne connait toujours pas exactement les raisons de ce voyage hasardeux. Ce fidèle d’Hitler était le numéro 3 du parti derrière Hitler et Goering, et avait rejoint le NSDAP dès 1920. Il a atterri dans un champ en Ecosse. Apparemment il avait pour objectif de rencontrer le duc d’Hamilton qui était venu aux Jeux Olympiques de Berlin en 1936 et avait rencontré les principaux dignitaires nazis, pour préparer une proposition de paix.

[11] Cf. « Transhumanism: The History of a Dangerous Idea » de David Livingstone.

[12] Cf. Gordon Thomas « Les Armes secrètes de la CIA . Tortures, manipulations et armes chimiques ».

[13] Cf. Gordon Thomas « Les Armes secrètes de la CIA . Tortures, manipulations et armes chimiques ».

[14] Créé en 1907, le Francis Galton Laboratory for National Eugenics était alors le principal centre anglais de recherches sur les questions d’eugénisme.

[15] Par exemple en 1869 Galton publie « Hereditary Genius, an inquiry into its laws and consequences », une enquête sur 300 familles d’hommes réputés : « Galton constate ainsi que 31 % des hommes éminents avaient eux-mêmes un père éminent et que 38 % ont un fils éminent. La conclusion qu’il tire de cette étude statistique est qu’il existe une loi de distribution des capacités dans les familles, c’est-à-dire que plus la parenté est proche, plus la proportion de génies est élevée ». Il a persévéré dans ses travaux pour déterminer la part d’inné et d’acquis sans jamais y parvenir.

[16] La création de l’Institut Kraepelin a été soutenue par James Loeb (famille Kuhn-Loeb) le beau-frère de Paul Warburg, et Gutav Krupp von Bohlen und Hallbach, leader de la famille Krupp. Nommé d’après Emil Kraepelin (1856-1926) qui est considéré comme le fondateur de la psychiatrie moderne, de la psychopharmacologie et de la psychiatrie génétique.

[17] Cf. « Eugenics ans social policy between the wars » de Greta Jones, Ulster Polytechnics.

[18] Diplômé d’Harvard où il a enseigné avant d’arriver à l’Université de Chicago. Davenport a ensuite persuadé l’épouse Harriman et John Harvey Kellogg puis la Carnegie Institution de Washington (appartenant à l’industriel Andrew Carnegie) de financer un labo pour « l’Etude expérimentale de l’évolution » à Cold Spring Harbor. C’est aussi lui qui a dirigé l’Eugenics Record Project de sa création en 1910 jusqu’à sa retraite en 1934.Davenport était pour le contrôle des naissances pour améliorer l’hérédité de toute la société.

[19] Un industriel local, Léon Ungemach a créé un quartier pavillonnaire idéal dans lequel il a sélectionné des familles idéales comme on jouerait aux poupées, via des annonces pourtant très claires sur lesquelles on pouvait lire que « Les jardins Ungemach augmentent dans la société de demain le nombre des éléments précieux et contribuent à guider l’évolution humaine vers une ascension plus rapide ». Sur le bail, les résidents signaient aussi pour avoir au moins 3 enfants et pour partir quand le dernier aurait 21 ans, sous peine d’expulsion. Ce parc à bétail humain volontaire a été créé avec l’aide d’une caution « scientifique », Adolphe Pinard, un des pionniers de la puériculture (si si !) qu’il définit comme « la science qui a pour but la recherche des connaissances relatives à la reproduction, à la conservation et l’amélioration de l’espèce humaine ».

[20] Margaret Sanger a lancé le concept de contrôle des naissances dans les année 1910 selon le slogan « Plus d’enfants chez les plus capables, moins d’enfants chez les inaptes », avec notamment la contraception, l’avortement et la stérilisation, qu’elle destinait aux populations qu’il fallait réduire telles que les Noirs, les pauvres et les handicapés mentaux. En 1921 elle a créé l’American Birth Control League devenue ensuite le Planning Familial pour implémenter son idée d’améliorer la race humaine. Dans « The Pivot of Civilization », elle écrit : « Les déficiences mentales constituent une menace permanente pour la race humaine. (…) De plus, lorsque nous réalisons que chaque déficient mental [feeble-minded person] est une source potentielle d’une progéniture atteinte de tares [defect], nous optons pour une politique de stérilisation immédiate pour être sûr que la maternité soit absolument interdite aux déficients mentaux » (cf. Pierre-André Taguieff dans la revue Raisons politiques 2007/2 n° 26)

[21] West était un grand adepte des drogues et de l’hypnose pour manipuler l’humain.




Un médecin qui ne se fera pas vacciner

[Source : benoit-et-moi.fr]

Une interview d’AM Valli. Les très convaincantes explications d’un médecin immunologue italien qui, depuis l’obligation faite au personnel médical de son pays de se faire vacciner a décidé de s’exiler… en Suisse. Par ailleurs nullement « novax », il donne toutes les raisons, parfaitement argumentées, cette fois, de refuser le vaccin anticovid. À lire absolument.

Voilà pourquoi moi, médecin immunologiste, je suis contre la vaccination généralisée et je conteste toute la stratégie anti-Covid

Je m’appelle S. R., j’ai 61 ans, je suis diplômé en médecine et en chirurgie à La Sapienza à Rome, et je suis spécialiste en médecine interne et en allergologie et immunologie cliniques.

J’ai passé la majeure partie de ma carrière dans les hôpitaux de Milan (Niguarda, San Raffaele, Sacco) et de Lugano.
Depuis une dizaine d’années, je travaille en tant qu’indépendant et je collabore avec plusieurs centres médicaux du nord de l’Italie.

J’ai également travaillé en France, en Allemagne et aux États-Unis. Jusqu’à l’été dernier, je me rendais également à Olbia environ une fois par mois. Depuis juin, date à laquelle la loi DL44 sur la vaccination obligatoire du personnel de santé est entrée en vigueur, je travaille en permanence à Lugano.

Pourquoi refusez-vous la vaccination ?

Tout d’abord, je tiens à souligner que, comme tout médecin, je suis absolument favorable à la vaccination, une pratique clinique qui a vu le jour il y a plus de mille ans en Extrême-Orient et qui a évolué depuis pour devenir probablement l’étape la plus importante de l’histoire de la médecine.

Si vous me demandez pourquoi je rejette cette vaccination, les raisons sont différentes.

D’un point de vue clinique, il est écrit dans tous les manuels universitaires de microbiologie (y compris Fauci !) et de maladies infectieuses qu’on ne vaccine jamais pendant une épidémie, en raison du risque très élevé de créer des mutations virales (les fameux variants) qui, bien que toujours aléatoires, sont en fait hyper-adaptatifs et permettent au virus lui-même de survivre et de se répliquer malgré le vaccin.

Ce phénomène est appelé résistance aux vaccins, qui a également été largement décrit dans les traités.
En outre, il est absurde de vacciner contre un virus extrêmement changeant tel qu’un coronavirus, à moins de disposer d’un vaccin qui soit progressivement mis à jour afin d’être toujours compétitif par rapport à l’évolution de l’agent infectieux : à la place, nous disposons de vaccins qui ont quasiment de deux ans « plus vieux » que le virus actuel, ce qui explique la résurgence de l’infection dans les pays où le pourcentage de vaccination est élevé, comme le Royaume-Uni, l’Islande et Israël.

Dans un premier temps, on a tenté de justifier ce phénomène par l’inefficacité du vaccin, et je me réfère spécifiquement à ce qui s’est passé au Chili avec le Sinovac chinois, et ensuite le Chili s’est doté du Pfizer et de l’Astra Zeneca.

Résultat : des unités de soins intensifs presque saturées et plus de décès qu’avant la vaccination. À San Francisco, ils ont fermé deux hôpitaux parce que le personnel était tombé malade alors qu’il avait été entièrement vacciné par Pfizer, et dans certains hôpitaux du Massachusetts, ils ont fait de même avec Moderna.
Un autre aspect concerne les phases d’essai. En général, un médicament (mais aussi un vaccin) doit passer par plusieurs phases d’étude :

  1. la phase préclinique sur les animaux, qui sert essentiellement à établir la toxicité éventuelle de la molécule sur un organisme vivant complexe, puis certains paramètres pharmacocinétiques : voie d’administration privilégiée, absorption, distribution, métabolisme et élimination ;
  2. la phase 1, c’est-à-dire sur des volontaires sains, qui permet de s’assurer que les résultats obtenus chez l’animal sont confirmés chez l’homme ;
  3. la phase 2, celle des volontaires « malades », qui sert à vérifier l’efficacité thérapeutique du médicament, ou l’efficacité préventive du vaccin chez les sujets exposés à la contagion ;
  4. la phase 3, la plus importante. Ici, les études sont multicentriques, c’est-à-dire réalisées dans différents hôpitaux, et doivent être en double aveugle et contrôlées par placebo. Dans cette phase, il est obligatoire d’obtenir le consentement éclairé, car le patient doit savoir qu’il est soumis à un essai clinique et qu’il peut donc recevoir soit le médicament actif, soit le placebo, sans que ni lui ni son médecin ne le sachent (c’est la signification du double aveugle). La phase 3 doit durer de 3 à 5 ans (et il se trouve que les vaccins contre le SARSCoV-2 sont testés jusqu’en décembre 2023 !)
  5. La phase 4, ou pharmacovigilance, qui est la phase à laquelle sont soumis les médicaments une fois qu’ils sont mis sur le marché. La pharmacovigilance (ou surveillance) peut être active ou passive : elle est active lorsque le médecin visite périodiquement le patient qui a reçu le médicament et signale tout effet indésirable ; elle est passive lorsque le patient signale un événement indésirable au médecin, qui doit le signaler aux autorités sanitaires qui doivent en prendre note.

On estime que les événements indésirables signalés dans le cadre de la surveillance active sont 100 fois plus nombreux que ceux signalés dans le cadre de la surveillance passive. Ces vaccins font uniquement et exclusivement l’objet d’une surveillance passive et, d’après l’expérience directe, presque aucun des effets indésirables signalés par les patients n’est signalé ! Enfin, les effets à long terme : c’est là que réside la question la plus critique.

Nous (et Pfizer, Moderna, Astra Zeneca) ne savons absolument rien de ce que le vaccin pourrait provoquer dans un, deux, cinq ou dix ans. En effet, pour qu’une étude clinique soit fiable, deux critères fondamentaux doivent être respectés : la taille de l’échantillon et la durée d’observation. Une étude portant sur cinquante millions de personnes pendant un mois ne peut que nous dire que le médicament est sûr dans les situations aiguës, tandis qu’une étude sur une personne suivie pendant vingt ans ne nous donne aucune information car tout peut être ramené à des variables individuelles.

Dans le cas de ces vaccins, le nombre de sujets ne dépasse pas 70 000 (contre 2,5 milliards de vaccinations effectuées !), et la période d’observation à ce jour ne dépasse pas un an. Je rappelle que des médicaments utilisés depuis plus de quarante ans comme antiulcéreux (ranitidine, cimétidine) ont été suspendus du marché car on a découvert en 2018 qu’ils avaient un composant potentiellement cancérigène !

Je voudrais ajouter un peu de mon expérience clinique : j’ai toujours vacciné les femmes avec la moitié de la dose recommandée pour les hommes, et ce parce que les femmes ont un système immunitaire beaucoup plus efficace, qui a malheureusement parfois tendance à exagérer, provoquant des maladies auto-immunes. Et en donnant une demi-dose de vaccin, j’obtenais un titre d’anticorps qui se superposait à celui des hommes.

Avec ces vaccins anti-Covid (et non anti-SarsCoV2), la même dose est donnée à tous, aucune distinction n’est faite en fonction de l’âge, du poids ou du sexe, et pourtant il suffit d’avoir étudié un peu d’immunologie !

D’un point de vue extra-clinique, outre la ridicule camionnette Algida qui a transporté le vaccin de Bruxelles à Rome, ce qui me dérange le plus, ce sont les obligations de vaccination pour certaines catégories de travailleurs, l’Italie étant le seul pays d’Europe (et peut-être à partir de septembre la France), en violation ouverte d’une douzaine de traités internationaux, depuis Nuremberg, qui interdisent drastiquement l’expérimentation médicale forcée sur les humains, et de certaines résolutions du Conseil de l’Europe, en particulier la 2361/2021.

L’obligation indirecte, avec le fameux Green pass, de vacciner les enfants, une population pratiquement immunisée contre le Covid, est consternante et va à l’encontre de toute logique, du bon sens et de l’éthique médicale, car le rapport risque-bénéfice doit toujours être évalué.

Enfin, trop de clauses de non-responsabilité pour les entreprises pharmaceutiques, de boucliers pénaux pour les vaccinateurs et, surtout, une véritable extorsion, ou plutôt double extorsion, de l’État à l’encontre de certains citoyens, comme les agents de santé : si vous ne vaccinez pas, vous perdez votre emploi (première extorsion), mais pour faire vacciner, vous êtes contraint de signer un consentement éclairé (deuxième extorsion) qui est par définition et par le droit international libre. Ensuite, ils n’ont même pas réussi à bien l’écrire, la loi :  » Mesures de prévention de la contagion du SarsCoV2 « , est rapportée dans le Journal Officiel, alors qu’aucun des vaccins disponibles n’a cette indication. En pratique, si l’on devait prendre au pied de la lettre à la fois la loi et la fiche technique du vaccin, il ne serait pas possible de respecter la loi. Aberrant.

Le récent décret gouvernemental prévoit la suspension du travail et une réduction de salaire pour ceux qui refusent la prophylaxie. Qu’allez-vous faire ? Allez-vous rentrer dans le rang? Allez-vous faire un procès ?

Immédiatement après l’adoption de la loi DL44 sur la vaccination obligatoire des travailleurs de la santé, je suis retourné à Lugano et j’ai dit à la direction que mon refus de vacciner me vaudrait probablement d’être suspendu de mon association médicale.

Ils ont lu la loi, m’ont presque ri au nez, m’ont tapé dans le dos et m’ont délivré une licence de deux ans (renouvelable), et je peux exercer sans problème dans toute la Suisse.

Et si jamais mon ordre des médecins me sanctionne ou me suspend pour cette raison (qui n’implique aucune violation du code de déontologie), les Suisses sont prêts à traîner devant les tribunaux internationaux non seulement mon ordre des médecins mais aussi toute la FNOMCEO italienne (Fédération nationale des ordres des médecins, chirurgiens et dentistes), véritable bras armé de cette dérive sanitaire.

Et ils ne plaisantent pas, et ils ne sont certainement pas aussi lents que le système judiciaire italien.
Quand ce cauchemar sera terminé, si j’en ai envie, je retournerai en Italie. D’un point de vue juridique, comme de nombreux autres médecins, nous sommes représentés par un pool d’avocats qui ont déposé des plaintes auprès de diverses autorités nationales et internationales.

Combien de personnes pensent comme vous ?

Nous sommes nombreux, plus nombreux qu’on le pense, même si cela me fait mal de voir que trop de médecins ont cédé.

Je vous dirai que les infirmières et les travailleurs sociaux sont beaucoup plus déterminés !

Prévoyez-vous des dangers pour ceux qui ont été vaccinés ? Y aura-t-il, comme le prétendent certains opposants, des modifications du code génétique ?

Je ne peux pas me prononcer sur les éventuels dangers à long terme pour les sujets vaccinés, car, comme je l’ai déjà dit, le temps ne suffit pas pour faire des évaluations objectives.

Ce qui est certain, c’est que si, par hypothèse, dans cinq ans, on observait une augmentation significative des maladies auto-immunes ou de la stérilité chez les sujets vaccinés par rapport aux non-vaccinés, alors la donne changerait…
Je ne pense pas que l’ARNm contenu dans Pfizer et Moderna soit capable de modifier notre ADN, qui possède des dispositifs de protection très efficaces. Il est également vrai qu’en médecine, de nombreuses choses considérées comme impossibles par le passé sont devenues improbables, puis probables, puis possibles et enfin certaines…

Pensez-vous que les données sur la pandémie, telles qu’elles nous ont été communiquées, contiennent des inexactitudes, voire des falsifications ? Par exemple : tous ceux qui sont morts du Covid ne sont pas réellement morts du virus ?

Pour faire court, il ne s’agit pas ici d’inexactitudes mais de falsifications pures et simples, des falsifications planifiées et coordonnées à plusieurs niveaux, notamment celui des médias. Des falsifications qui partent des prélèvements PCR (avec des cycles de multiplication qui en Italie ont atteint 51 alors que le maximum acceptable était de 24, d’où 60% de faux positifs) pour arriver au fameux et ridicule indice Rt jusqu’aux hospitalisations et aux décès : en pratique, toute la filière Covid.

De nombreux décès dans les hospices, où sont admis les patients en phase terminale, ont été attribués au Covid, nous avons environ cinq mille décès de moins par cancer du poumon en 2019 parce qu’ils ont été attribués au Covid, et de nombreux autres exemples. Enfin, deux expériences personnelles : une de mes connaissances a secouru une dame âgée qui a fait un arrêt cardiaque alors qu’elle promenait son petit chien et a été transportée à l’hôpital où elle est décédée. Morte du Covid ! Un collègue de la région des Marches, accompagné d’un ami, est tombé malade lors d’une sortie de pêche sous-marine et s’est noyé. Ils l’ont trouvé deux jours plus tard, positif au prélèvement, mort de Covid, bien sûr.

Si ce n’était pas dramatique, ce serait ridicule.

Niez-vous le virus, ou du moins son danger ? Et croyez-vous à la « dictaturesanitaire » ? Et si oui, pensez-vous que nous devrions nous rebeller ?

Non, je ne nie pas du tout le virus, qui est un simple coronavirus qui, dans 80 % des cas, provoque des rhumes, mais qui, parfois, se met en colère et provoque des maladies graves comme le SRAS et le MERS, et je ne nie pas que le Covid (bien qu’en termes absolus beaucoup moins mortel que le SRAS et le MERS) ait fait de nombreuses victimes.
Cependant, si l’on se rend sur le site de l’Institut supérieur de la santé (pas vraiment anti-gouvernemental !), on constate que l’âge moyen des décès dus au Covid est de 80 ans, et que 67% d’entre eux avaient trois maladies chroniques préexistantes ou plus. Je vous rappelle que l’espérance de vie moyenne en Italie est de 81 ans…
Je ne sais pas si le terme de « dictature sanitaire » est approprié, mais il est certain qu’à cause du ou grâce au covid, la liberté des gens a été sévèrement restreinte à tous égards.

Le covid a certainement servi à faire passer pour normales des choses grotesques, comme les bancs à roulettes, les masques chinois ou les primevères pour les vaccinations, ou un général bardé de médailles qui dit à la milanaise ghe pensi mi [j’y pense] parce que les autres ne savent rien faire, alors que dans le service public de santé il y a des cadres extrêmement compétents mais complètement marginalisés.

Je ne pense pas qu’il y ait la moindre possibilité de rébellion en Italie, car tout l’appareil politico-bureaucratique l’empêche. Et ceux qui devraient défendre les droits constitutionnels du citoyen, des tribunaux à la police (qui, je vous le rappelle, a juré fidélité à la nation et non à un gouvernement, et est tenue d’ignorer tout ordre qui va à l’encontre des intérêts du peuple italien) jusqu’au plus haut garant de la Constitution ne font absolument rien. J’espère donc une intervention supranationale, européenne, qui s’est déjà exprimée mais que le Parlement italien ignore lâchement.
En ce qui me concerne, le service juridique de l’hôpital de Lugano est prêt à attaquer mon ordre des médecins en justice, sans perdre de temps. Et mon association médicale, en la personne de celui qui signera éventuellement toute mesure disciplinaire à mon encontre, sait très bien qu’elle sera mise en pièces. Et l’efficacité et la détermination suisses me rassurent plus que toute initiative italienne.

Vous avez également étudié et travaillé à l’étranger. Pensez-vous qu’il existe des différences dans la gestion de l’épidémie entre les autres pays et le nôtre ?

Il y a certainement de grandes différences. Tout d’abord, en ce qui concerne le nombre de victimes : en Allemagne, il est beaucoup plus faible qu’en Italie, car pour que le Covid soit considéré comme cause du décès, il doit être absolument déterminant. En d’autres termes, une personne en bonne santé qui tombe malade du Covid et meurt, est morte du Covid. Et même un diabétique qui tombe malade avec le Covid et meurt, est mort du Covid.

En Italie, ils ont compté tout le monde, sans distinction, même les personnes en phase terminale d’autres causes, qui seraient mortes d’une simple indigestion. Je me souviens avoir lu le cas d’un jeune officier de la Guardia di Finanza qui est mort du Covid à l’âge de 25 ans. Intrigué, j’ai lu l’article en profondeur, et j’ai découvert que le jeune homme était dans un coma irréversible, sous respirateur depuis trois ans, parce qu’il avait été accidentellement touché par une balle en nettoyant son arme ! Et, à propos, cette exagération italienne des décès dus au Covid a été admise involontairement par le président de l’Istat [l’INSEE italien], avec un clip YouTube.

Que diriez-vous à une personne qui veut se faire vacciner et qui est absolument certaine de l’importance de le faire ?

La tâche du médecin n’est pas de convaincre le patient de faire ou de ne pas faire un certain choix : cela relève de ses droits. C’est différent si quelqu’un veut être informé, et alors je dois agir selon la science et la conscience, sans conditionnement d’aucune sorte.

Si une personne me demandait des informations sur les vaccins disponibles, je lui dirais ce que j’ai dit plus haut : le vaccin ne prévient pas la transmission (le fait que l’on dise que les personnes vaccinées ont une charge virale plus faible est un mensonge), donc le faire pour protéger les autres n’a pas de sens ; le vaccin prévient les formes graves de maladie, donc il est logique de le faire si vous êtes une personne à risque, mais clairement à risque, et dans ce cas le vaccin doit être considéré comme le masque, c’est-à-dire un équipement de protection individuelle (EPI).

Malheureusement, comme Israël nous l’apprend, même des personnes vaccinées finissent en soins intensifs. Le vaccin aura-t-il des conséquences à long terme ? Je ne sais vraiment pas. Mais trente-cinq ans d’immunologie clinique m’ont appris qu’il vaut mieux ne pas jouer avec le système immunitaire, surtout lorsqu’il est stimulé artificiellement par un ARNm et non par un agent infectieux normal.

En outre, j’informerais bien sur la possibilité de thérapies précoces à domicile, ce que les médecins ont toujours fait, avec d’excellents résultats. À cet égard, mais ce n’est que mon expérience, le Covid des patients non vaccinés répond mieux à la polypharmacothérapie indiquée que celui des patients vaccinés.




Un collectif de psychologues demande l’arrêt immédiat de chantage et de discriminations du gouvernement

[Source : lemediaen442.fr]

Voici la lettre d’un collectif de psychologues qui demande l’arrêt immédiat de toutes les formes de pression, de violences économiques, sociales et psychologiques, de chantage et de discriminations sur la population française. N’oubliez pas de signer la pétition et de partager autour de vous.

LETTRE OUVERTE

COLLECTIF DE PSYCHOLOGUES INDÉPENDANTS

31/08/2021

Impactés en tant que citoyens français, en première ligne pour observer, analyser et accueillir les effets psychoaffectifs, psychosociaux et psychosomatiques sur le public dont nous prenons soin dans le cadre de nos activités professionnelles, bousculés et malmenés par nos instances dirigeantes, après presque deux ans de gestion de cette « crise Covid-19 », nous, psychologues, avons décidé de partager nos observations, nos interrogations, nos doutes et nos colères entre collègues.

Le constat est sans appel pour le collectif que nous avons constitué. En effet, la situation inédite que nous traversons et les réponses de nos dirigeants sont en opposition totale avec les valeurs et l’éthique que nous défendons quotidiennement dans notre profession.

Nous sommes alarmés par l’impact de cette gestion de crise sur la santé psychique et le bien-être de la population. Bien sûr, personne ne s’attend à ce qu’une crise soit un moment particulièrement heureux et s’il existe des façons d’accompagner sa famille, son clan, son groupe, ses compatriotes, à passer une crise et à en ressortir grandi, il en existe d’autres qui alimentent la crise, affaiblissent et annihilent les capacités psychiques d’adaptation et de résilience.

Les médias de toutes sortes ont déjà détaillé à maintes reprises les difficultés matérielles rencontrées dans la gestion de cette épidémie, ce n’est pas notre champ d’expertise. Nous ne reviendrons pas dessus même si beaucoup d’entre nous assistent impuissants à la dégradation des moyens humains et matériels donnés aux hôpitaux pour soigner les personnes avec la dignité qu’elles méritent et ce, depuis bien avant l’arrivée du virus Sras-cov-2.

Laissons donc de côté l’aspect de destruction du système de santé et concentrons-nous sur la gestion humaine de cette crise et ses effets délétères sur la population, comme les troubles psychiques impactant toutes les classes d’âge, ainsi que toutes les catégories socioprofessionnelles. Dépression, burn-out et stress post-traumatique en sont les maîtres mots. Il ne suffit pas de proposer de rembourser quelques séances de thérapie à des personnes qu’on a angoissées, enfermées, contrôlées et désorientées dans un moment de vulnérabilité extrême pour les réparer en 3 à 10 séances.

Au lieu d’humanité et d’aide soutenante apportées à la population, nous avons repéré l’utilisation de techniques de persuasion, et même de manipulation, issues du management, du marketing et de la technocratie, qui peuvent être qualifiées de perverses, voire cyniquement harceleuses, si jamais elles se révélaient être utilisées à dessein pour poser les jalons d’un régime totalitaire.

Injonctions paradoxales, discours alarmistes s’appuyant sur une énumération de faits ou de statistiques décontextualisés, renversement en son contraire ou inversion des valeurs morales, attaque des besoins primaires (tant sur le plan physiologique, du sentiment de sécurité que du lien social), chantage et menaces, instauration de clivages (en bon/mauvais, vax/antivax, responsables/complotistes, etc.), iniquité des décisions, culpabilisation, aboutissent à l’augmentation de vécus dissociatifs tel que la déréalisation et la dissonance cognitive, résultant de la croyance en des idées ou des valeurs contradictoires, et engendrent un mal-être difficilement surmontable et pathogène.

C’est ainsi qu’en mobilisant principalement les émotions sidérantes comme la peur, la culpabilité et la honte plutôt que les capacités cognitives et intellectuelles des individus, les discours médiatiques et officiels obtiennent l’adhésion à des idéologies et à des comportements auxquels les individus n’adhéreraient probablement pas si seules leurs capacités d’analyse et de discernement étaient sollicitées. Le système actuel entretient une régression vers un fonctionnement infantile, dans lequel le chantage, la peur et l’intrusion perverse permettent d’obtenir l’obéissance.

Nous ne pouvons manquer de repérer aussi, dans les différents aspects de cette gestion de crise, les principes et les mécanismes identifiés par le sociologue Albert D. Biderman pour faire plier psychologiquement un individu.

L’isolement en est la première composante. Il engendre repli et préoccupation excessive centrée sur soi, rupture avec le soutien social permettant de résister et dépendance à l’autorité. Associé à la médiatisation d’une pensée narrative unique considérée comme la seule valable, l’isolement annihile l’esprit critique et accentue la réticence à s’exprimer et à s’interroger, de peur d’être stigmatisé, considéré comme “complotiste” et exclu de son clan familial, amical ou professionnel.

L’isolement physique et psychologique, la confusion, le doute, la peur et la tension permanente que la gestion de cette crise a fait vivre aux Français ont fragilisé leur santé psychique mais aussi leur santé physique. Que penser de ces choix stratégiques qui, pour sauver des vies, en sacrifient tant d’autres par ailleurs ? En effet, parmi les dommages collatéraux des confinements successifs, nous observons dans nos consultations une augmentation des suicides, y compris chez les enfants, des violences intrafamiliales, des pratiques incestueuses, des troubles anxio-dépressifs, des syndromes de glissement massifs dans les Ehpad et les hôpitaux, etc.

Aujourd’hui, le gouvernement rajoute encore à nos concitoyens une épreuve supplémentaire, en choisissant de les diviser par la stigmatisation de la vaccination et de l’obéissance.

Nous n’acceptons pas qu’un schéma vaccinal, à partir de techniques expérimentales aux résultats discutables, puisse être imposé à notre profession et à nos collègues soignants, obligeant ceux qui refusent de s’y soumettre à renoncer à leur métier. En l’état actuel de la loi du 5 août 2021, les psychologues faisant usage du titre, quel que soit leur lieu d’exercice, y compris en libéral et par téléconsultation, perdent leur droit d’exercer et leur rémunération s’ils ne satisfont pas à l’obligation vaccinale.

Nous exigeons l’arrêt immédiat de toutes les formes de pression, de violences économiques, sociales et psychologiques, de chantage et de discriminations exercées sur nous, nos collègues et les concitoyens ne souhaitant pas se faire vacciner. Nous demandons le rétablissement d’une stratégie favorisant le choix et l’implication individuelle et ce, à partir d’une information libre et éclairée.

Nous ne pouvons pas plus cautionner le passe sanitaire ou la diffusion des données biomédicales pour accéder à la vie quotidienne, du fait non seulement de son caractère discriminant et asservissant mais également à cause du manque de respect du secret médical. A ceux qui pourraient nous opposer ici la dangerosité du virus et la prévalence de la santé publique sur l’atteinte aux libertés individuelles, nous répondons que toutes les options de prophylaxie et de traitements ne sont pas étudiées pour nous permettre de vivre avec, en pleine conscience et responsabilité.

Aujourd’hui, les citoyens qui se croyaient protégés par des lois acquises et essentielles à la garantie de leurs libertés et de leur égalité, se retrouvent à nu et en perte de repères dans un monde qu’ils ne reconnaissent plus. Nous avons tous à redouter les conséquences de cette inversion des valeurs que cette nouvelle donne politique érige en modèle sociétal.

Dans ce contexte inédit où les principes fondamentaux de notre code de déontologie sont mis à mal, nous lançons aussi un appel à tous nos collègues psychologues.

N’ayez pas peur de prendre position pour le respect des « libertés et droits fondamentaux garantis par la loi et la Constitution, par les principes généraux du Droit communautaire et par les conventions et traités internationaux.” Restons attachés « à respecter l’autonomie de la personne et en particulier son droit à l’information, sa liberté de jugement et de décision »? Tout ce qui constitue le premier principe du code de déontologie des psychologues parce que : « Le respect de la personne dans sa dimension psychique est un droit inaliénable. Sa reconnaissance fonde l’action des psychologues. »

Nous devons comprendre là qu’il ne peut s’aliéner sous aucun prétexte, ni même aucun régime dit d’exception. En aucun cas un psychologue ne saurait être l’instrument d’un pouvoir qui devient pathologique, malsain, intrusif et traumatique, puisque sa fonction au contraire, c’est bien d’en émanciper les individus.

Engageons-nous ensemble pour le respect de nos choix concernant notre intégrité physique et psychique.

Interrogeons notre posture professionnelle et déontologique en nous demandant comment continuer d’accompagner des personnes vers une meilleure autonomie de pensée si nous sommes nous-mêmes assujettis à une pensée unique ?

Cette question se pose de la même façon que celle concernant la restriction de nos pratiques à des outils ou des méthodes imposées par décret, à la volonté de nous soumettre à l’allégeance à la pensée étatique par un ordre professionnel, ou à celle de la pensée médicale par la paramédicalisation de notre profession, tel que nous le dénoncions en nombre en manifestant le 10 juin dernier.

Comment garder notre propre autonomie de penser et d’agir, en dehors de toute contrainte normative, pour nous-mêmes et pour les personnes que nous accompagnons, d’autant plus lorsque cette dernière est changeante, aléatoire et arbitraire ?

Nous invitons donc tout collègue, tout professionnel du soin et de l’accompagnement et plus largement toute personne se reconnaissant dans ces principes, à nous soutenir, à réagir et à s’organiser.

Signez cette Lettre ouverte et partagez-la au maximum !

Un collectif de psychologues indépendants issus d’un Réseau de Solidarité Active.




Il faut stopper la pub à la vaccination chez l’enfant innocent du SARS-CoV-2

Par Nicole Delépine

LES JEUNES NE SONT PAS CONCERNÉS PAR LE COVID : ZÉRO MORTS CHEZ LES ENFANTS SANS COMORBIDITÉ(([1] Devons-nous vacciner nos enfants contre le Covid-19 ? (francesoir.fr) ))(([2] Faire vacciner les enfants, vraiment ? (francesoir.fr) ))

Le covid est une maladie extrêmement peu létale : taux de mortalité de ce coronavirus présenté comme la pandémie mondiale 0.035%, et 0,00 % chez les enfants non immunodéprimés et très peu chez les enfants à comorbidité : six enfants de 0 à 9 ans et 10 enfants de 10 à 19 ans sont décédés à l’hôpital en France depuis mars 2020 en ayant un test Covid positif. Cela ne signifie pas qu’ils sont morts du Covid, mais avec le Covid, car tous présentaient au moins une comorbidité susceptible d’entraîner la mort.

Il ne peut donc pas exister de bénéfice individuel.

Il n’existe pas non plus de bénéfice collectif.

Le 26 aout 21, le Pr Delfraissy avoue à nouveau que le « vaccin » n’empêche pas les contaminations par le vacciné, ni d’être soi meme contaminé.

Il défend son vaccin par la protection des formes graves, ce que O. Véran avait démenti dès mars 2021 dans son mémoire au conseil d’état, et qui semble faux au vu des résultats israéliens et anglais.(([3] Tous vaccinés, mais pas protégés ! – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Mais en ce qui concerne les enfants, chacun reconnait qu’ils ne font jamais de formes graves … Alors où est l’intérêt même collectif ?

Rappelons que toutes les études internationales publiées dans PubMed depuis mars 2020 ont démontré que les enfants, en plus du fait qu’ils ne font pas de covid cliniquement graves, ne transmettent pas la maladie.

Les enseignants sont beaucoup plus protégés quand ils travaillent à l’école qu’à la maison. De nombreux articles ont été consacrés à ce sujet ainsi que plusieurs synthèses de cette large bibliographie.(([4] Nexus septembre 2020))

L’étude publiée en juin 2020 par l’institut Pasteur aurait dû mettre fin aux polémiques :

« Cette étude confirme également que le plus souvent les jeunes enfants, lorsqu’ils sont infectés par ce nouveau coronavirus, ne développent pas de symptômes de la maladie ou présentent des symptômes mineurs qui peuvent ne pas conduire à évoquer le diagnostic. Les signes très caractéristiques que sont la perte du goût et la perte de l’odorat, n’ont jamais été observés chez les enfants de moins de 15 ans alors qu’ils ont été rapportés par la moitié des adultes » ajoute Bruno Hoen, dernier auteur de l’étude et directeur de la recherche médicale à l’Institut Pasteur. »

« Toutes ces données laissent à penser que les enfants sont résistants au virus du Covid et ses variants, grâce à un système immunitaire efficace, et concourent de surcroît à l’atteinte de l’immunité collective, en faisant circuler le virus sans danger ».

Alors pourquoi ce revirement et cette volonté acharnée de vacciner tout le monde, même les petits ?

EST-IL ÉTHIQUE DE VACCINER LES JEUNES ET LES PETITS EN PARTICULIER ?

N’oublions pas qu’AMM conditionnelle ou pas, les pseudovaccins actuellement proposés en France sont en expérimentation.

Quels ont été les essais chez les enfants ?

Avant de se lancer dans cette campagne promotionnelle digne d’une vente de lessive genre OMO lave plus blanc, voici l’étude présentée par Pfizer à l’EMA sur la vaccination des enfants.

Une fiche d’information signée Pfizer, de 39 pages en téléchargement sur le site de la FDA américaine (Food and Drug Administration), indique que leur vaccin a été testé sur 1127 enfants de douze à quinze ans, dont 1097 ont reçu les deux doses.

Parmi eux, 866 enfants ont eu des effets secondaires, dont 393 modérés et 7 effets secondaires graves (0.64%). Donc dans cet essai, 78.94% des enfants ont eu au moins un effet secondaire. Les principaux effets secondaires observés sont : fièvre, fatigue, maux de tête, vomissements, diarrhées, douleurs diffuses.

La FDA (USA) et l’EMA (Europe) ont donné leur accord pour vacciner les enfants et adolescents sur la base de cette étude de deux mois seulement, en ayant parfaitement connaissance de la balance bénéfice/risque. Bénéfice = zéro, risques à court terme non négligeables et inconnus à long terme. Rappelons que la protéine spike que fait produire le pseudovaccin par l’organisme a une prédilection pour les ovaires, testicules, cœur, cerveau…

Les enfants ne sont pas une cible du Covid, le vaccin ne protège ni de la contamination, ni de la transmission. Alors pourquoi exposer nos jeunes à ces substances encore à l’essai en leur faisant prendre le risque d’effets secondaires graves ?

Il y a 15,5 millions d’enfants de 0 à 19 ans en France, si on les vaccinait tous sans exception99 200 auraient potentiellement des effets secondaires sévères (15,5 millions x 0.64%) d’après l’essai présenté par Pfizer.

EFFETS SECONDAIRES GLOBAUX RECENSÉS PAR LES BASES OFFICIELLES INTERNATIONALES

EUDRAVIGILANCE – EMA      

Au 14 août 2021, la base de données européenne de pharmacovigilance (EUDRAVIGILANCE) faisait état de 3822 signalements d’effets secondaires sur les moins de 18 ans dont 2144 pour le seul vaccin Pfizer sur les 12-17 ans.  Et en août, 5 décès ont été déclarés à Eudravigilance à la suite  de la vaccination de jeunes de 12 à 17 ans.(([5] @10121Ws  EUDRAVIGILANCE))

VAERS :  RECENSEMENT DES EFFETS SECONDAIRES DÉCLARÉS SPONTANÉMENT AUX USA

Aux États-Unis, le VAERS en lien avec le CDC, recense tous les effets secondaires déclarés par les citoyens, après les vaccins depuis 1991. Au 13 août 2021, 18 095 signalements d’effets secondaires après vaccination Covid-19 sur les moins de 18 ans étaient comptabilisés dans la base, dont 24 décès.

Une analyse fine des évènements secondaires aux vaccins au 23 Juillet est rapportée par une biostatisticienne dont nous signalons ici quelques conclusions, le détail étant disponible sur le PDF.(([6] vaers_data_analysis_report-2021-08-08.pdf analyse jusqu’au 23 Juillet par christine Cotton :
https://vaers.hhs.gov/docs/VAERSDataUseGuide_November2020.pdf))

398 277 ont été conservés pour analyse après élimination des erreurs manifestes (dates, vaccins mélangés, expirés, erreurs d’administration etc..). Elle étudie dans ce document les évènements 2020-2021 et souligne que plus de 98 % des effets signalés concernent le covid19.

Elle rappelle que le VAERS est coadministré par 1) la Food and Drug Administration (FDA) et 2) les Centers for Disease Control.

Sur les accidents décrits par le VAERS jusqu’au 23 07, 17 % concernent des personnes de moins de 30 ans et 50% de moins de 50 ans. Plus de 70% sont des femmes.

6 % des évènements indésirables ont conduit à l’hospitalisation et 47,1% sont encore hospitalisés lorsque le malade a été inscrit dans la base de données du CDC.

2,9% ont été déclarés covid malgré la vaccination. Plus de 34000 effets secondaires ont été considérés comme graves (près de 9%). Et 5471 décès ont été recensés selon le CDC et revus à 5 546 après revue des chiffres et tableaux. Les décès fœtaux n’ont pas été pris en compte dans le dernier calcul. L’âge moyen des décès est de 73 ans et 55 % d’hommes. 24 patients avaient moins de 18 ans. Et environ 10 % moins de 50 ans.

Parmi les 5546 décès, le temps moyen de survenue du décès est de 22 jours. 28% des décès sont survenus dans les trois jours suivant la vaccination. 40 % sont survenus dans les 21 jours suivant l’acte vaccinal.

Sur les 24 Décès de moins de 18 ans de cette liste établie au 23 juillet, on trouve deux suicides.

La prédominance d’accidents cardiaques est soulignée particulièrement chez les très jeunes de moins de 20 ans faisant écho aux constatations israéliennes.

Myocardites et péricardites : 1861 effets indésirables : 57 %des personnes présentant des symptômes de myocardites et péricardites ont moins de 30 ans. 73 % sont des hommes et 19 patients sont décédés.

MÊME AVANT LEUR NAISSANCE, LES ENFANTS PEUVENT ÊTRE VICTIMES DES PSEUDO VACCINS

Le document de Christine Cotton consacré aux évènements indésirables déclarés chez les femmes enceintes rapporte sur 2436 vaccinées, au moins 675 décès de fœtus ou embryons (28% avortements ou morts fœtales) et 4,1% de malformations congénitales.(([7] Supérieur à la moyenne habituelle admise de l’ordre de 3 %))

La moyenne d’âge des femmes enceintes présentant des problèmes de grossesse est de 34 ans (25 % ont moins de 30 ans).

28 % (11,8+16,6) des femmes enceintes ont présenté des troubles dans les 3 jours suivant la vaccination.  40 % au cours des 7 premiers jours et 65 % pendant les 21 jours suivant la vaccination.

QUE POUVONS NOUS FAIRE ?
RÉSISTER EN INFORMANT PARTOUT AUTOUR DE NOUS

Et pour conclure, citons cette lettre d’un sénateur américain adressé au peuple américain :

« Ils ne peuvent pas tous nous arrêter » – Le sénateur Rand Paul exhorte les Américains à « résister » à Pelosi et aux petits tyrans

Rédigé par Rand Paul, éditorial via Fox News, « They Can’t Arrest Us All » – Sen. Rand Paul Urges Americans To « Resist » Pelosi & The Petty Tyrans | ZeroHedge

Résister.

Ils ne peuvent pas tous nous arrêter. Ils ne peuvent pas garder tous vos enfants à la maison à la place de l’école. Ils ne peuvent pas garder tous les bâtiments gouvernementaux fermés – bien que j’aie une longue liste de ceux qu’ils devraient.

Nous n’avons pas à accepter les obligations, les confinements et les politiques néfastes des petits tyrans et des bureaucrates sans scrupules. Nous pouvons simplement dire non, pas encore.

A Mme la Vice-Présidente Nancy Pelosi — vous ne m’arrêterez pas et ne m’empêcherez pas, ni aucun membre de mon personnel, d’effectuer notre travail. Nous avons tous eu la COVID, nous avons eu le vaccin ou on nous a offert le vaccin. Nous ferons nos propres choix en matière de santé. Nous ne vous montrerons pas de passeport, nous ne porterons pas de masque, nous ne serons pas contraints à un dépistage et à des tests aléatoires afin que vous puissiez continuer votre ivresse de pouvoir contrôler le Capitole.

Au Président Biden – nous n’accepterons pas les obligations de vos agences ou vos mouvements signalés vers un confinement. Personne ne devrait suivre les obligations de masque antiscience du CDC. Et si vous voulez fermer à nouveau les agences fédérales – dont certaines ne sont même pas complètement remises au travail – j’empêcherai tous les projets de loi d’être présentés au Sénat avec un amendement visant à réduire leur financement s’ils ne viennent pas travailler.

Aux bureaucrates locaux et aux patrons syndicaux — nous ne vous permettrons pas de faire plus de mal à nos enfants encore cette année. Les enfants ne sont pas plus exposés à la COVID qu’ils ne le sont pour la grippe saisonnière. Tous les adultes qui travaillent dans les écoles ont été vaccinés ou ont eu la possibilité de le faire. Il n’y a aucune raison pour les masques obligatoires, les écoles à temps partiel ou les mesures de confinement.

Les enfants prennent du retard à l’école et sont blessés physiquement et psychologiquement par les tactiques que vous avez utilisées pour les empêcher d’aller en classe l’année dernière. Nous ne le permettrons plus.

Si un système scolaire tente d’empêcher les enfants d’aller à l’école à temps plein en personne, je retarderai chaque projet de loi avec deux amendements. L’un pour les définancer et l’autre pour permettre aux parents de choisir où va l’argent pour l’éducation de leur enfant.

Est-ce que j’en ai marre pour vous ? C’est parce que j’en ai assez.

Je ne suis pas un politicien de carrière. Je pratique la médecine depuis 33 ans. Je suis diplômé de la Duke Medical School, j’ai travaillé dans les salles d’urgence, j’ai étudié l’immunologie et la virologie, et j’ai finalement choisi de devenir chirurgien.

Je dis à tout le monde depuis un an maintenant que le Dr Anthony Fauci et d’autres responsables de la santé publique ne suivaient PAS la science, et on m’a prouvé à maintes reprises que j’avais raison.

Mais je ne suis pas le seul à en avoir marre.

Je ne peux aller nulle part ces jours-ci – du travail aux événements, en passant par les aéroports et les Uber, les restaurants et les magasins, sans que les gens viennent me voir pour me remercier de les défendre. Pour avoir défendu la science réelle. Pour avoir défendu la liberté. Pour s’être opposé aux obligations, aux confinements et aux prises de pouvoir bureaucratiques.

Je pense que le vent a tourné et que de plus en plus de gens sont prêts à se lever. Je vois des histoires de parents qui tiennent tête aux syndicats d’enseignants et aux conseils scolaires de partout dans le pays.

Je vois des membres du Congrès refuser de se conformer au petit tyran Pelosi.

Nous sommes à un moment de vérité et à la croisée des chemins. Permettrons-nous à ces gens d’utiliser la peur et la propagande pour nuire davantage à notre société, à notre économie et à nos enfants ? Nous allons nous unir et dire, absolument pas. Pas cette fois. Je choisis la liberté.

En conclusion, quand nos sénateurs présenteront-ils un texte comparable ?

Les pseudo vaccins expérimentaux ne peuvent apporter aucun bénéfice personnel aux enfants et adolescents, adultes jeunes.

Ils les exposent à de nombreuses complications parfois même mortelles

Ils ne protègeraient pas les adultes à risque puisque les enfants ne constituent pas une source de contamination et que les pseudo vaccins n’empêchent pas les transmissions virales

Et que l’obtention d’une immunité collective par le vaccin est un mythe maintenant reconnu inatteignable par tous les experts

La « vaccination anti-covid » des enfants est une faute qui va bientôt devenir un scandale sanitaire d’ampleur inégalée.

Résistons pour nos enfants, notre Futur

Résistons par tous nos moyens aux publicités mensongères diffusées par les médias et aux pressions et chantages inadmissibles de nos gouvernants et leurs collabos.

IL FAUT STOPPER LA PUB À LA VACCINATION COVID CHEZ L’ENFANT





Tous vaccinés, mais pas protégés !

Par Nicole Delépine

Une propagande incessante affichée même sur les panneaux d’autoroute répète : « tous vaccinés, tous protégés ». Cette affirmation est totalement mensongère et contraire aux faits avérés.

Rappelons les faits établis et vérifiables.

La « vaccination » n’évite pas les hécatombes dans les maisons de retraite

23 prêtres retraités, français et étrangers, vivaient heureux en communauté dans les bâtiments historiques de la congrégation religieuse des Fils de Marie Immaculée de Chavagnes en Charentes. Malgré une vaccination Pfizer de 22 d’entre eux, une vague de Covid a frappé. Le prêtre non vacciné est resté négatif. Sur les 22 prêtres infectés, 21 sont tombés malades, et sept sont décédés dans les deux à trois semaines et demie après avoir été vaccinés.(([1] http://www.parolesdedieu.fr/21-vaccins-arnm-dans-une-communaute-religieuse-7-morts-14-malades-et-lomerta/))

On ne compte plus les Ehpads de France(([2] Covid-19 : un cluster malgré des vaccinations dans un Ehpad des Landes
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-un-cluster-malgre-des-vaccinations-dans-un-ehpad-des-landes_4373347.html))(([3] Covid : malgré la vaccination, deux clusters signalés dans des Ehpad de Haute-Garonne et du Lot
https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/covid-malgre-la-vaccination-deux-clusters-signales-dans-des-ehpad-de-haute-garonne-et-du-lot-2059636.html))(([4] Covid-19 : des résidents d’EHPAD positifs malgré leur vaccination
https://fr.news.yahoo.com/covid-19-residents-ehpad-positifs-malgre-vaccination-173345922.html))(([5] RTL Coronavirus : 47 résidents d’Ehpad contaminés malgré la vaccination
https://www.rtl.fr/actu/bien-etre/les-infos-de-18h-coronavirus-47-residents-d-ehpad-contamines-malgre-la-vaccination-7900000887))(([6] pensionnaires
Covid-19 : des clusters détectés dans des Ehpad malgré la vaccination des résidents
https://www.midilibre.fr/2021/04/06/covid-19-des-clusters-detectes-dans-des-ehpad-malgre-la-vaccination-des-residents-9471406.php))(([7] P Gombert Loire-Atlantique. Covid 19 : le retour des clusters en Ehpad Ouest France 26/8/2021)) et d’Europe qui ont subi des flambées d’épidémies mortifères malgré la « vaccination » de tous leurs résidents.

Certes ces victimes étaient âgées, certes elles étaient fragiles, mais n’est-ce pas le profil type des personnes auxquelles les pseudos vaccins anticovid sont censés éviter les complications ?

Dans la Navy la maladie se propage(([8] Jonathan Beale, Hazel Shearing HMS Queen Elizabeth : Covid outbreak on Navy flagshipvBBC News
Published 14 July)) chez des marins complètement vaccinés

Tous les marins de la Royal Navy (comme ceux de la Marine Nationale) ont été vaccinés afin d’éviter qu’une épidémie ne rendent leurs navires non opérationnels comme cela est arrivé sur des porte-avions américain et français.

Le groupe aéronaval du HMS Queen Elizabeth a été touché par une épidémie de Covid   avec plus de 100 cas confirmés après une escale, alors que tous les marins avaient reçu leurs deux doses depuis plus de quatre mois.

Les infectés sont tous jeunes, sans déficit immunitaire ; ils ont tous reçu leurs deux doses avec un délai suffisamment long pour que les injections Astra Zeneca agissent pleinement. Leur contamination prouve que ces injections sont très peu efficaces, bien au-dessous des 90% claironnés par le laboratoire et les avocats de cette pseudo vaccination.

Dans une mine d’or de Guyane française,(([9] Vignier N, Bérot V, Bonnave N, Peugny S, Ballet M, Jacoud E, et al. Breakthrough infections of SARS-CoV-2 gamma variant in fully vaccinated gold miners, French Guiana, 2021. Emerg Infect Dis. 2021 Oct [date cited]. https://doi.org/10.3201/eid2710.211427 [Breakthrough Infections of SARS-CoV-2 Gamma Variant in Fully Vaccinated Gold Miners, French Guiana, 2021 – PubMed (nih.gov)])) contamination de 60% des vaccinés

Un foyer épidémique de Sars-cov-2 variant Gamma est survenu parmi les 44 employés d’une mine d’or en Guyane française.

Aucun des 6 mineurs ayant été précédemment touchés par le Covid (3 non vaccinés et 3 ayant reçu une dose) n’a été touché.

Alors que 15 des 25 personnes vaccinées à deux doses ont développé la maladie Covid comme 3 des 4 employés non vaccinés et sans antécédents de Covid-19.

Ces faits vérifiés et publiés montrent que l’immunité naturelle acquise après guérison d’une poussée de Sars-Cov-2 est efficace à 100 % contre ce variant alors que la vaccination a été incapable d’éviter la maladie à plus de 40% des vaccinés.

Malte : une couverture vaccinale de 84% ne protège pas la population

Malte fait partie des champions européens des pseudo vaccins avec une couverture vaccinale de 84% et un recul de près de 4 mois. Dans ce petit pays de 500000 habitants près de 800000 doses ont été administrées. En vain : depuis début juillet l’épidémie est repartie et les formes graves (mortelles) augmentent forçant les autorités à reconnaître que la population n’est pas protégée et à imposer une quarantaine aux voyageurs non vaccinés.

Gibraltar : une couverture vaccinale à 115% ne protège pas de la maladie

Gibraltar (34000 habitants) a commencé la vaccination en décembre 2020 alors que l’agence sanitaire recensait seulement 1040 cas confirmés et 5 morts. Après une campagne de vaccination éclair très complète, obtenant une couverture vaccinale de 115 % (la vaccination a été étendue à de nombreux visiteurs espagnols) le nombre de nouvelles contaminations a été multiplié par 5 (passant à 5314) et celui des morts par 19. Atteignant 96, soit 2794 morts par million d’habitants ce chiffre constitue l’un des records européens de la mortalité. Mais les responsables de la vaccination nient tout lien causal sans proposer une autre étiologie plausible. Et après une accalmie de quelques mois l’épidémie reprend confirmant que les vaccinés ne sont pas protégés.

La vaccination massive des Britanniques ne les a pas protégés

La Grande-Bretagne constitue le champion européen des injections Astra Zeneca. La campagne d’inoculation Astra Zeneca a été suivie par une augmentation importante des cas et de la mortalité pendant deux mois ; Janvier et février 2021 ont ainsi établi les records mensuels de nouvelles contaminations et de morts depuis le début de l’épidémie. Avec près de 70% de vaccinés, les responsables de la politique sanitaire espéraient que la population bénéficierait d’une immunité contre le covid, mais la forte reprise de l’épidémie depuis le 26 mai a mis fin à leur illusion en démontrant  que les pseudovaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta.

De plus, contrairement aux annonces répétées de nos gouvernants, les injections anti-covid ne protègent ni des formes graves, ni de la mort. Santé Publique Angleterre, faisant le bilan des derniers mois a constaté que sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin 2021, 163 (63,4%) avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, et conclue : “les personnes vaccinées meurent plus que les non-vaccinées”.

La vaccination massive des Israéliens ne les a pas non plus protégés

Israël est le champion de l’injection Pfizer avec un taux de couverture proche de 70%. Les deux mois qui ont suivi la vaccination ont été marqués par une augmentation considérable des contaminations et des morts journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict. Ces 2 mois post injection ont établi les records mensuels de contaminations depuis le début de l’épidémie. Cette évolution défavorable montre que le pseudo-vaccin Pfizer est incapable d’empêcher la transmission de la maladie.

L’augmentation post vaccinale précoce des contaminations n’a été amoindrie que depuis le reflux global de l’épidémie qui a abouti à une pause de l’épidémie. Mais depuis le 15 juin 2021, l’injection Pfizer se révèle incapable d’éviter une reprise exponentielle de l’épidémie et 40 % des nouvelles personnes contaminées sont vaccinées.

Et l’injection Pfizer est également incapable d’éviter les formes graves et les décès. Selon le ministère israélien, rapporté par le Jérusalem Post le 21 juillet, « sur les 143 hospitalisés, 58 % étaient totalement vaccinés, 3 % partiellement, 39 % non vaccinés. Sur les 64 patients graves du pays… le pourcentage de cas vaccinés était élevé. »  Sur Chanel 13 Dr Kobi Haviv précisait pour l’ensemble du mois : « 85-90 % des hospitalisations sont chez des personnes entièrement vaccinées. »

Conclusions

Ce tour du monde des évolutions observées après vaccination massive montre que les pseudo- vaccins actuels sont incapables d’éviter la maladie, ni les formes graves, ni les décès, ni la transmission de la maladie aux proches.

Le slogan « tous vaccinés, tous protégés » constitue donc une publicité mensongère.

Nicole Delépine




Obligation vaccinale des soignants, la lettre qu’il faut envoyer à tous les directeurs ARS de France

[Source : AIMSIB]

L’ensemble des soignants libéraux français « réfractaires » ayant reçu un courrier émanant des Agences Régionales de Santé (ARS) les menaçant de fermeture de leurs cabinets en cas de non vaccination anti-Covid-19 débutée au 15 septembre 2021, nous publions ici ce que chacun d’eux est en droit de répondre par LRAR à son expéditeur. Le fait de vacciner les soignants de force est une folie mais pas que, à ce jour c’est absolument illégal, pourquoi? Bon copié-collé pour les « menacés » et bonne lecture à tous.


Monsieur le Directeur,

Je prends acte de votre courrier du 19 août courant souhaitant m’informer qu’une obligation vaccinale anti-covid-19 m’est imposée au 15 Septembre 2021, au risque que mon cabinet ne ferme à cette date en cas de non-soumission de ma part.

Sur la forme, vous faites allusion à la Loi 2021-1040 du 5 août 2021 mais j’ai le regret de vous annoncer qu’à la date de ce jour celle-ci n’est pas applicable dans la mesure où le décret mentionné dans le point II de l’article 12 de celle-ci n’est toujours pas paru, celui-ci stipulant expressément :

· Article 12 Division II. –
Objet : « Un décret, pris après avis de la Haute Autorité de santé, détermine les conditions de vaccination contre la covid-19 des personnes mentionnées au I du présent article. Il précise les différents schémas vaccinaux et, pour chacun d’entre eux, le nombre de doses requises.
Ce décret fixe les éléments permettant d’établir un certificat de statut vaccinal pour les personnes mentionnées au même I et les modalités de présentation de ce certificat sous une forme ne permettant d’identifier que la nature de celui-ci et la satisfaction aux critères requis. Il détermine également les éléments permettant d’établir le résultat d’un examen de dépistage virologique ne concluant pas à une contamination par la covid-19 et le certificat de rétablissement à la suite d’une contamination par la covid-19 ».

Vous comprendrez donc qu’en attendant que ce décret d’application ne survienne et soit porté à la connaissance des soignants, rien ne peut leur être imposé, aucun détail supplémentaire ne figurant dans le décret du 7 août.

Sur le fond de cette coercition absolument injustifiée je souhaite attirer votre attention sur quatre points :

D’abord sur le fait que comme vous le confirmera Me Teissedre dans le courrier ci-joint il semble que l’État éprouve le plus grand mal à démontrer que le renouvellement des AMM conditionnelles de tous les vaccins anti-Covid-19 ait été régulièrement enregistré aux dates légalement attendues. L’ANSM ne nous répondant pas alors l’AIMSIB, Bonsens.org et la LNPLV vont saisir le Conseil d’État d’un référé contre l’ANSM, le ministre de la Santé et la HAS tendant à ce que l’État :
– 1/ Produise les pièces que nous avons demandé à l’ANSM de produire ;
– 2/ A défaut, suspende l’utilisation des vaccins sur le fondement du règlement européen de 2004 jusqu’à l’obtention des informations requises.

Ensuite, il faut vous signaler que la composition réelle de ces produits se situe probablement à des années-lumière des descriptions données par les industriels, l’AIMSIB en a tiré un article (1) qui a été transmis à l’ANSM et au Conseil National de l’Ordre ; hélas celui-là non plus n’a, encore une fois, fait l’objet d’aucune réponse. Leurs défauts biochimiques sont si énormes qu’ils sont même parfois macroscopiquement visibles, ce qui a par exemple imposé d’interrompre toute délivrance du vaccin Moderna© jusqu’à nouvel ordre au Japon (2) après une série de décès encore plus suspects (3). Quel matériau aimanté ou aimantable est-il injecté dans ces vaccins que n’importe quel observateur peut facilement mettre en évidence avec une simple pièce de monnaie (4)? Cette anomalie flagrante et bien d’autre va faire l’objet d’une assignation en justice et cette affaire sera entendue le 21/10/2021 devant le tribunal judiciaire de Paris (5).

Je ne méconnais pas le rôle de chacun, il est évident que vous ne pourrez pas infléchir seul la politique insensée menée par notre gouvernement mais puisque vous m’écrivez que « cette obligation vaccinale constitue la mesure la plus efficace pour vous protéger et protéger vos patients », merci de prendre connaissance, ou en compte, ces six faits absolument indéniables :

1- Si la vaccination comme l’hépatite B est obligatoire, elle concerne des personnels soignants n’ayant jamais développé la maladie. Dans le cas du coronavirus, les soignants ont été très exposés et donc sont pour la plupart immunisés. L’immunité naturelle ayant toujours été supérieure à l’immunité vaccinale, il est difficile de comprendre sur quelles bases scientifiques suffisamment rigoureuses s’appuie l’obligation vaccinale des personnels soignants. En effet, la possibilité d’un schéma vaccinal en une seule injection au lieu de deux injections est évoquée sur la base d’une sérologie pré- vaccinale qui ne saurait être à elle-seule représentative de leur immunité humorale réelle et ne tient de plus aucunement compte de leur immunité cellulaire (6).

2- La vaccination n’interrompt pas une seconde la diffusion virale occasionnée par les vaccinés (7)(8), ces nouveaux porteurs sains sont intraçables en France puisque notre passe sanitaire exonère les vaccinés de toute évaluation en général, sauf par exemple quand on doit s’approcher du Président de la République (9) et le résultat est douloureux.

3- La vaccination anti-Covid-19 n’interrompt pas l’expansion de virus lié à la Covid-21, les diffusions planétaires des variants Delta et maintenant Mû dans les populations très vaccinées (Angleterre, Israël, Malte, Gibraltar, etc…) nous le prouvant tous les jours, l’hécatombe de cas survenus sur le navire militaire HMS Queen Elizabeth ne comportant que des marins jeunes, en parfaite santé et tous vaccinés à deux doses en fournit également un déplorable exemple (10).

4- La vaccination anti-Covid n’empêche nullement l’éclosion de cas graves chez les vaccinés et parfois semblent, par effet ADE (11), en aggraver les tableaux cliniques (12), certaines données transmises par les industriels eux-mêmes tendant à laisser penser que la vaccination n’influerait pas sur la mortalité (13).

5- Le nombre astronomiquement élevé d’effets indésirables graves (EIG) causés par ces vaccins anti-Covid imposerait dans toute démocratie indépendante du poids des lobbys industriels que cette campagne pseudo-sanitaire cesse immédiatement, on rappelle que selon Eudravigilance l’Europe déplore déjà 22.000 décès directement imputables aux intrants et plus de 2,2 millions d’EIG, le tout rapporté avec une sous-notification habituelle comprise entre un facteur x10 à x100 (14) : Le témoignage de notre Confrère T. Hertoghe se passe de commentaires (15).

6- La Covid se soigne avec une facilité remarquable dans sa forme initiale comme semi-récente et sans aucun effet secondaire par l’ivermectine, c’est si vrai que même le Conseil National de l’Ordre des Médecins Français a levé toute sanction disciplinaire à l’égard des médecins prescripteurs de la molécule (16). Il n’existe à ce jour plus aucun doute quant à l’efficacité remarquable de cette molécule dans le traitement de la Covid, quel que soit le variant en cause (17).

Au final et comme je viens de vous le décrire, dans la mesure où la vaccination anti Covid-19 demeure, comme attendu, parfaitement inefficace sur les souches 2021 et futures, que la Loi de coercition vaccinale n’est pas applicable en l’état, que ces vaccins sont éminemment dangereux, qu’ils ne revêtent aucune utilité chez les soignants quasiment tous déjà immunisés naturellement, qu’ils soient possiblement délivrés sans aucune AMM encore valable à ce jour, et enfin qu’il existe un traitement aussi peu onéreux que remarquablement bien toléré, vous comprendrez le refus qui m’anime s’agissant de me soumettre à cette obligation.

Je vous informe que cette lettre a été publiée le 05/09/2021 sur le site aimsib.org

En espérant que l’ensemble des arguments développés ici aient pu vous convaincre du bien-fondé de ma position, je vous prie de croire, Monsieur le Directeur, en l’expression de mon respect

La rédaction de l’AIMSIB
Septembre 2021

ANNEXE   Lettre du Cabinet Teissedre à l’ANSM

Notes et sources

[1] https://www.aimsib.org/2021/08/08/wacssyn-covid-lincroyable-scandale-arrive/
[2] https://asia.nikkei.com/Spotlight/Coronavirus/COVID-vaccines/1.6m-Moderna-doses-withdrawn-in-Japan-over-contamination
[3] https://guyboulianne.com/2021/09/01/un-corps-etranger-noir-a-ete-trouve-dans-un-nouveau-lot-suspect-de-vaccins-moderna-sur-le-site-dinoculation-de-kanagawa-au-japon/
[4] https://odysee.com/@Covidbel:5/Une-ancienne-employ%C3%A9e-de-Pfizer-alerte:f
[5] https://reaction19.fr/wp-content/uploads/2021/08/270821-Communique-de-presse-du-27-aout-2021-Assignation-en-refere-ANSM-CNOM-CNOP-et-Vidal.pdf
[6] https://www.nature.com/articles/s41586-021-03647-4
[7] https://reinfocovid.fr/science/les-vaccines-infectes-seraient-aussi-contagieux-que-les-autres/
[8] https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/mm7031e2.htm?s_cid=mm7031e2_w
[9] https://www.lci.fr/politique/quatrieme-vague-variant-delta-doublement-vaccine-le-president-de-la-region-paca-renaud-muselier-positif-au-covid-19-2194979.html
[10] https://www.bbc.com/news/uk-57830617
[11] https://www.aimsib.org/2020/08/23/covid-graves-admettre-lexistence-des-anticorps-facilitateurs/
[12] https://docteur.nicoledelepine.fr/tous-vaccines-mais-pas-proteges/
[13] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.07.28.21261159v1.full.pdf
[14] https://www.adrreports.eu/fr/
[15] https://lemediaen442.fr/temoignage-du-dr-hertoghe-victime-du-vaccin-moderna-accident-vasculaire-cerebral-dans-le-cervelet/
[16] Ré à la hune, édition du 5 août 2021 n°228
[17] Bryant A, Lawrie TA, Dowswell T, Fordham EJ, Mitchell S, Hill SR, Tham TC. Ivermectin for Prevention and Treatment of COVID-19 Infection: A Systematic Review, Meta-analysis, and Trial Sequential Analysis to Inform Clinical Guidelines. Am J Ther. 2021 Jun 21;28(4):e434-e460. doi: 10.1097/MJT.0000000000001402. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34145166/




Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme

[Source : Sott.net]

Par Ryan Matters — NewBraveWorld.org

Note du traducteur : Cet article nous semble essentiel, non pas parce que l’auteur développe des aspects du totalitarisme eugénique et transhumaniste en cours qui n’auraient pas déjà fait l’objet de publications antérieurs — voir à cet effet les différents liens que nous en donnons tout au long de la traduction — mais parce qu’il articule tous ces aspects d’une manière qui donne à voir l’image de l’agenda, qui est tout sauf humaniste sous couvert de l’être, selon une meilleure et plus large perspective. En bref, l’auteur connecte les points.

Bonne lecture.

Le déploiement mondial des [soi-disant – NdT] « vaccins » anti-Covid-19 à ARNm fait partie d’un programme bien plus vaste qui englobe l’eugénisme et le transhumanisme. Ce programme est financé et promu par un réseau d’institutions mondiales, de politiciens et de technocrates milliardaires.

En 1989, des chercheurs du Salk Institute en Californie ont publié une étude expliquant comment ils avaient mis au point un système de transfection par ARN qui pouvait « directement introduire l’ARN dans des tissus entiers et dans des embryons ». Cette étude est la première à avoir décrit le concept d’utilisation de l’ARN en tant que médicament et a permis de poser les fondements de décennies de recherches ultérieures dans ce domaine. La section « Discussion » de l’article indique que :

« La méthode ARN/lipofectine peut être utilisée pour introduire directement l’ARN dans des tissus entiers et des embryons (R.W.M., C. Holt et I.M.V., résultats non publiés), suggérant que la transfection de l’ARNm par les liposomes pourrait offrir une autre option dans la technologie croissante de l’administration de gènes eucaryotes, une option basée sur le concept de l’utilisation de l’ARN comme médicament. »

L’un des chercheurs du Salk Institute cités dans l’article est le Dr Robert W. Malone, un scientifique [biologiste moléculaire, épidémiologiste et spécialiste des maladies infectieuses – NdT] qui a récemment été censuré sur les médias sociaux [et dans les médias mainstream – NdT] pour avoir attiré l’attention sur les dangers possibles des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19. On pourrait considérer qu’il n’existe aucun expert plus qualifié pour nous mettre en garde contre les dangers des injections d’ARNm que l’homme qui a contribué à mettre au point cette technologie. Néanmoins, Big Tech a décidé qu’il diffusait des « fausses informations », parce que, selon toute vraisemblance, ils en sauraient plus que lui sur le sujet.

[Voir aussi :
Le Dr R. Malone, inventeur des vaccins à ARNm et ADN : « C’est vrai, je suis en train d’être effacé de l’histoire »]

Les recherches de Malone, qui ont abouti à une procédure permettant de « transfecter efficacement l’ARN dans les cellules humaines » à l’aide d’un « lipide cationique synthétique », ont été soutenues par des subventions de l’American Cancer Society et du National Institute of Health — qui détient aujourd’hui une participation dans le [soi-disant – NdT] vaccin anti-Covid-19 à ARNm de Moderna, preuve s’il en est de son allégeance à cette technologie. Nous y reviendrons plus tard.

Bien que les contributions de Malone au développement de la technologie de l’ARNm sont bien connues et bien documentées, Wikipedia a décidé de supprimer toute mention le concernant dans leur page « Vaccin à ARN », et ce peu de temps après que le scientifique ait commencé à s’exprimer sur les dangers des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 fabriqués en dans la précipitation. La version du 14 juin 2021 de la page en question mentionnait trois fois le nom de Malone et citait ses travaux six fois. La version actuelle de cette page ne le mentionne plus du tout et ne cite ses travaux que trois fois.

Toutefois, cela n’est pas surprenant compte tenu du parti pris avéré de Wikipedia en faveur de l’industrie pharmaceutique. Se pencher sur l’institution qui a initié la recherche — le Salk Institute — s’avère toutefois bien plus intéressant. Le Salk Institute, nommé d’après Jonas Salk, le créateur du vaccin Salk contre la polio, a été construit en 1962 grâce au financement de la National Foundation for Infantile Paralysis, aujourd’hui connue sous le nom de March of the Dimes.

La March of the Dimes a été créée en 1937 avec pour mission d’éradiquer la polio, à l’époque même où le courant eugéniste occupait sur la scène sanitaire des États-Unis une place déjà importante, mais pas encore popularisée. La théorie de l’eugénisme repose sur l’idée que la procréation sélective peut conduire à une « amélioration » progressive de la race humaine et que certaines familles sont aptes à diriger la société en vertu de leurs gènes « supérieurs ».

À l’époque, les principales organisations eugénistes du pays comprenaient l’American Eugenics Society et l’American Society of Human Eugenics, financées par les familles Rockefeller, Carnegie et Harriman, ainsi que par l’Institut Rockefeller pour la Recherche médicale. Il convient de noter que les Rockefeller ont contribué de façon décisive à financer et à promouvoir l’eugénisme dans le monde entier. Le mouvement eugéniste encourageait l’accouplement sélectif, l’insémination artificielle, la stérilisation obligatoire et l’euthanasie comme constituant des moyens importants d’éliminer les êtres humains dits « inférieurs ».

Aux États-Unis, la première loi sur la stérilisation a été adoptée en 1907, dans l’État de l’Indiana, et en 1931, de nombreux autres États avaient suivi le mouvement en promulguant des lois similaires. Selon les données historiques de l’État de l’Indiana :

« En 1907, le gouverneur J. Frank Hanly a approuvé la première loi eugéniste de l’État rendant la stérilisation obligatoire pour certains individus placés sous la garde de l’État. »

Les personnes stérilisées en vertu de ces lois eugénistes étaient jugées « indésirables » en raison de déficiences mentales ou physiques telles que l’épilepsie, la cécité et les handicaps physiques, ainsi qu’en raison de « déficiences sociales » telles que la toxicomanie ou la criminalité. En vertu de ces lois et selon les estimations, environ 60 000 personnes ont ainsi été stérilisées, privées de leur droit d’avoir des enfants et cataloguées de manière irrévocable comme étant « faibles d’esprit ».

En fait, l’importance du mouvement eugéniste aux Etats-Unis était telle qu’elle a conduit le parti national-socialiste allemand à l’adopter, de sorte qu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, plus de 350 000 personnes avait été stérilisées par le régime nazi. Après la Seconde Guerre mondiale, les notions d’eugénisme ont disparu de la conversation publique, mais le mouvement ne s’est jamais dissipé. Au contraire, il a été « rebaptisé » en utilisant des termes plus acceptables tels que « contrôle de la population » et « santé de la procréation », comme nous le verrons plus loin.

L’émergence de la March of the Dimes en tant qu’acteur majeur du mouvement eugéniste aux États-Unis remonte à l’association précoce de l’organisation avec l’Institut Rockefeller, qui lui a fourni nombre de ses membres et conseillers clés, notamment le professeur Anton Julius Carlson, membre de l’American Eugenics Society, recruté pour faire partie des comités médicaux et de recherche de la March of the Dimes, et le professeur Clair E. Turner, autre membre de l’American Eugenics Society, qui était l’assistant de Basil O’Connor, lui-même alors président.

Juste avant la création de l’Institut Salk, le ministère de la Santé a annoncé qu’il allait supprimer progressivement ses programmes de lutte contre la polio et concentrer ses ressources sur les « anomalies congénitales ». En 1959, la March of the Dimes a financé des cours de « génétique médicale » au Jackson Laboratory dans le Maine, un institut de génétique fondé en 1929 par Clarence Cook Little, qui, « à un moment ou à un autre », a été président de l’American Eugenics Society, de l’American Birth Control League et de l’American Euthanasia Society.

La mission revendiquée du Jackson Laboratory est de

« découvrir des solutions génomiques précises pour les maladies et de dynamiser la communauté biomédicale mondiale dans sa quête commune pour améliorer la santé humaine. »

Il convient de noter que le Jackson Laboratory a reçu un financement accru en 2020, en grande partie de l’Institut national de la santé, notamment une subvention de 10,6 millions de dollars afin de trouver des traitements pour lutter contre les maladies génétiques rares en utilisant les technologies d’édition de gènes. Et au début de la « pandémie » de coronavirus, ce même laboratoire s’est efforcé de développer des souris génétiquement modifiées pour les utiliser dans des études de vaccins et autres recherches liées au Sras-Cov-2.

À partir des années 1960, la March of the Dimes a financé plusieurs « Centres de prévention des malformations congénitales » situés dans des établissements médicaux disséminés à travers les États-Unis. Ces nouveaux centres proposaient des tests prénataux par amniocentèse pour déterminer si un bébé naîtrait avec des « malformations » et donnaient ensuite au couple la possibilité d’avorter l’enfant atteint de malformation(s).

La March of the Dimes a également fait des dons directs à Planned Parenthood [le planning familial – NdT], ce qui est en contradiction flagrante avec la mission qu’elle revendique, à savoir « lutter pour la santé de toutes les mamans et de tous les bébés ». Le Planned Parenthood est une organisation à but non lucratif qui fournit aux États-Unis et à l’étranger des « soins de santé en matière de reproduction ». De 2019 à 2020, l’organisation a pratiqué plus de 350 000 avortements et a été critiquée pour avoir « détourné les ressources prévues pour la santé des femmes au profit des avortements. » Sans surprise, un regard sur l’histoire de l’organisation révèle que les racines de Planned Parenthood reposent sur les idéaux eugénistes.

Le Planned Parenthood a été fondé par Margaret Sanger, qui, loin d’être une « activiste du contrôle des naissances », comme le courant dominant voudrait le faire croire, était une eugéniste raciste qui cherchait à débarrasser le monde de la race humaine jugée « inapte ». Dans son essai intitulé « Un plan pour la paix », elle décrit les principaux objectifs de sa proposition pour un « Congrès sur la population », à savoir

« une politique sévère et rigide de stérilisation et de ségrégation à l’égard de la catégorie de population dont la progéniture est souillée ou dont l’héritage est tel que des traits répréhensibles peuvent être transmis à la progéniture. »

Elle mentionne également la nécessité de « contrôler l’entrée et la sortie des crétins, des déficients mentaux, des épileptiques. »

Note du traducteur : Ce qui veut dire qu’il est nécessaire que le nombre des naissances d’individus « souillés » ne soit pas supérieur à celui des décès de ces mêmes individus. Notez l’expression particulièrement inhumaine « entrée et sortie ».

Comme nous l’avons mentionné plus haut, ces idéaux eugénistes ont inspiré les nazis qui ont repris nombre des idées de Sanger et les ont, pour ainsi dire, appliquées. Dans son livre The War Against the Weak, Edwin Black explique en détail comment la loi nazie de 1933 sur la stérilisation et les lois ultérieures sur l’euthanasie étaient basées sur des plans élaborés par Sanger et d’autres « militants » des États-Unis. En fait, les associés de Sanger connaissaient ces programmes d’euthanasie nazis et en faisaient l’éloge.

Pour en revenir au Salk Institute, il convient de noter que le récit dominant de l’épidémie de polio du XXe siècle, à savoir l’idée que la maladie est causée par un virus et que le vaccin miracle du Dr Salk a été le seul à mettre fin à l’épidémie, est douteux et probablement totalement faux.

Note du traducteur : En effet, et vous pouvez vous reporter à cet article particulièrement fouillé que nous avons publié il y a un an : Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ?

La polio paralytique est apparue soudainement aux États-Unis au début des années 1900, avec des fluctuations continuelles et spectaculaires du nombre de cas — un schéma qui s’est poursuivi jusqu’à la fin des années 1950. L’introduction du vaccin Salk en 1954 a semblé coïncider avec le déclin presque instantané des cas, qui s’est poursuivi pendant plus de deux décennies.

Mais avant d’être appelées « polio » [poliomyélite – NdT], les affections impliquant une infirmité des membres étaient connues sous d’autres noms, notamment apoplexie, parésie et paralysie. De nombreux écrits historiques font référence à des paralysies résultant d’une exposition à des substances toxiques et beaucoup de ces récits ont été documentés par le Dr Ralph Scobey dans sa déclaration de 1952 au Comité d’enquête sur l’utilisation des produits chimiques dans les produits alimentaires, intitulée « Le poison en cause dans la poliomyélite et les obstacles à son investigation ».

L’article de Scobey fait référence à plusieurs enquêtes qui semblaient indiquer un lien entre les épidémies de polio au XXe siècle et la consommation de fruits frais, établissant ainsi un lien entre la polio et l’exposition aux pesticides toxiques. Un pesticide agricole largement utilisé à l’époque était le DDT, un organochloré hautement toxique dont on a beaucoup vanté les mérites, mais qui a finalement été interdit en 1972. En 1953, le Dr Morton Biskind a publié une étude dans l’American Journal of Digestive Diseases soulignant que :

« McCormick (78), Scobey (100-101), et Goddard (57), dans des études détaillées, ont tous souligné que des facteurs autres que les agents infectieux sont certainement impliqués dans l’étiologie de la polio, allant de défauts nutritionnels à une variété de poisons qui affectent le système nerveux. »

Le danger des pesticides toxiques, dont le DDT, et leurs effets désastreux sur l’environnement ont été illustrés par Rachel Carson dans son livre de 1962, Printemps silencieux.

Note du traducteur : Le Printemps silencieux est le concept repris par Stephanie Seneff pour présenter son livre sur les glyphosates, intitulé Toxic Legacy — How the Weedkiller Glyphosate Is Destroying Our Health and the Environment [« Héritage toxique — Comment le glyphosate désherbant détruit notre santé et l’environnement ou Le Printemps silencieux de notre temps, non traduit en français. Stephanie Seneff alerte de puis longtemps sur les effets hautement toxiques du Roundup, par exemple ;

Plus récemment, des chercheurs, Dan Olmstead, cofondateur de l’Ère de l’autisme, et Mark Blaxil, ont mené deux brillantes enquêtes sur les épidémies de polio du XXe siècle, aboutissant à une conclusion similaire à celle de Scobey et Biskind, à savoir que la maladie a été causée par l’utilisation généralisée de pesticides neurotoxiques tels que l’arsénite de soude et le DDT.

Bien que le vaccin de Salk ait été salué pour son efficacité, le vaccin lui-même a causé de nombreux cas de séquelles et de paralysies. Et bien qu’il semble exister une corrélation convaincante entre le moment où le vaccin a été administré et la réduction des cas de polio, comme tout bon scientifique le sait, la causalité n’est pas synonyme de corrélation, surtout si l’on tient compte du fait qu’au au cours de la même période, le DDT a été progressivement éliminé, du moins aux États-Unis.

Il est intéressant de noter que les recherches sur la polio du Dr Salk ont été financées par la mère de Cordelia Scaife May, une héritière de la fortune bancaire de la famille Mellon, qui a idéalisé Margaret Sanger et a ensuite rejoint le conseil d’administration de la Fondation internationale Planned Parenthood. Les opinions de May sur l’immigration étaient pour le moins radicales et, selon certains, elle était favorable à la stérilisation obligatoire comme moyen de limiter les taux de natalité dans les pays en développement. May a ensuite rejoint le conseil d’administration du Population Council, une organisation fondée par John D. Rockefeller III dont l’objectif principal consiste à réduire le nombre d’individus sur Terre. En 1995, le Population Council a collaboré avec l’OMS pour créer des vaccins destinés à réguler la fertilité.

Penser qu’aucune corrélation ne peut être faite entre l’épidémie de polio et l’« ère de la vaccination » dans laquelle nous nous trouvons serait une erreur. Au contraire, prétendre que la polio a été « éradiquée aux États-Unis » grâce à la seule vaccination est un mensonge qui a permis de gagner la faveur du public pour les vaccinations infantiles et a contribué à jeter les bases de la croyance généralisée en la sécurité et l’efficacité de tous les vaccins [ou supposés tels – NdT]. Des maladies telles que la polio et la variole — un autre mensonge qui dépasse le cadre de cet article — et la propagande pro-vaccins qui s’en est suivie, ont « conditionné » une grande partie de la population à accepter, sans poser de questions, une piqûre expérimentale basée sur une technologie encore bien mal comprise.

La déformation de la science

En 1997, huit ans après l’étude publiée du Salk Institute, la FDA a approuvé le tout premier essai d’ARN transfecté pour développer l’immunité chez les patients atteints de cancer. Le comité consultatif sur l’ADN recombinant de l’Institut national de la santé a quelques mois plus tard voté en faveur du maintien de l’approbation, ce qui a conduit aux toutes premières administrations de vaccins à base d’ARNm chez l’homme.

Bien que l’ARNm est présenté dans les médias comme la prochaine révolution dans le domaine de la santé, toute personne dotée de discernement peut s’alarmer à la lecture d’extraits tels que celui-ci, tiré d’un article sur l’histoire de l’ARNm, rédigé pour StatNews par Damian Garde, journaliste spécialisé dans les biotechnologies :

« Le concept : En apportant des modifications précises à l’ARNm synthétique et en l’injectant aux gens, n’importe quelle cellule du corps pourrait être transformée en usine à médicaments à la demande. »

Toutefois, parler de cellules transformées en « usines à médicaments à la demande » est exactement le genre de techno-rhétorique dénuée de sens destinée à impressionner et à séduire un public non averti. Les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm reposent sur le concept suivant : un morceau d’ARNm synthétique est envoyé dans vos cellules, où il est utilisé comme modèle pour produire la « protéine Spike » [la même a priori que celle du virus Sras-CoV-2 – NdT]. Une fois que cette protéine quitte la cellule, l’organisme produit des anticorps et « apprend » à combattre les futures infections par le virus Sras-Cov-2.

Les [soi-disant – NdT] vaccins à base d’ARNm sont souvent présentés comme une alternative plus sûre aux [soi-disant – NdT] vaccins à base d’ADN qui, selon les experts [notamment Pascolo en 2004 selon le lien – NdT],

« peuvent déclencher des modifications permanentes et dangereuses de l’information génétique des personnes traitées. »

Cependant, avons-nous la certitude que les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm ne modifient pas de façon permanente la composition génétique de nos cellules ? Une étude de 2001 intitulée « L’ARN comme vaccin contre les tumeurs : une revue de la littérature », affirme que (c’est l’auteur qui souligne) :

« Contrairement aux vaccins à base d’ADN, le risque d’incorporation de séquences d’ARN dans le génome de l’hôte est faible. »

L’utilisation du mot « faible » semble indiquer qu’il peut au moins exister un certain danger d’intégration du génome, ou plus probablement, que les chercheurs ne savent tout simplement pas.

Dans l’étude d’« opinion d’expert » de Pascolo de 2004 cité plus haut, il souligne le lien entre les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm et les thérapies géniques, lien qui est continuellement nié et rejeté par le courant dominant :

« Bien que situé dans le cytosol et non dans le noyau, l’ARNm mature appartient à la famille biochimique des acides nucléiques. L’ARNm, comme l’ADN, peut être considéré comme un gène et, par conséquent, son utilisation comme vaccin peut être considérée comme une « thérapie génique ». »

Il est intéressant de noter que c’est uniquement en raison d’une technicité du droit réglementaire que les thérapies géniques Covid-19 sont autorisées à être appelées « vaccins ». Ceci est expliqué dans un document intitulé « L’environnement réglementaire européen des vaccins à base d’ARN », qui stipule que :

« La définition d’un médicament de thérapie génique telle qu’elle figure à l’annexe 1 de la directive 2001/83/CE est la suivante :

On entend par médicament de thérapie génique un médicament biologique qui présente les caractéristiques suivantes :

(a) il contient une substance active qui contient ou consiste en un acide nucléique recombinant utilisé chez l’homme ou administré à celui-ci en vue de réguler, réparer, remplacer, ajouter ou supprimer une séquence génétique ;

(b) son effet thérapeutique, prophylactique ou diagnostique est directement lié à la séquence d’acide nucléique recombinant qu’il contient, ou au produit de l’expression génétique de cette séquence.

Les médicaments de thérapie génique ne comprennent pas les vaccins contre les maladies infectieuses. »

Comme on s’en doute, le simple fait d’appeler une thérapie génique un « vaccin contre une maladie infectieuse » annule sa classification en tant que thérapie génique, dont le processus d’approbation, du moins en Europe, implique de passer par le CAT qui est le « Comité des thérapies avancées » de l’EMA (Agence européenne des médicaments). De toute évidence, ce jeu de langage semble constituer une sorte de « faille », qui permet d’approuver plus facilement les thérapies géniques à base d’ARNm prévues pour un usage humain.

Note du traducteur : Ce jeu de langage n’est pas fortuit, loin s’en faut. Il constitue ce que James Lindsay a brillamment exposé dans son article majeur La psychopathie et les origines du totalitarisme, comme étant les pseudo-réalités académiques, la paralogie idéologique et la paramoralité idéologique.

Cette approbation constitue certainement un sujet controversé lorsqu’on l’aborde dans le contexte des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 actuels — dont la plupart n’ont pas été entièrement approuvés par la FDA, mais seulement autorisés dans le cadre d’une utilisation d’urgence, et étiquetés comme étant des produits « expérimentaux », un fait que beaucoup de gens ignorent. Cependant, au début de l’année, les fabricants de vaccins se sont déjà fixé pour objectif d’obtenir une approbation réglementaire complète, après seulement six mois d’essais. Le 7 mai, Pfizer a officiellement déposé sa demande auprès de la FDA, dans le but d’obtenir le tout premier vaccin covid-19 pleinement autorisé. Et le 23 août, cette autorisation lui a été accordée par la FDA. Mais avec des millions de vaccins déjà administrés sous autorisation de mise sur le marché conditionnelle, pourquoi tant de hâte ?

En outre, pour les six vaccins « pionniers dans le traitement d’une maladie » qui ont été approuvés par la FDA au cours des quinze dernières années, la durée médiane des essais flirtait avec un timide délai de deux ansL’approbation d’un vaccin après six mois de données est l’une des plus rapides jamais enregistrées. Bien que les essais cliniques de phase trois de Pfizer, Moderna et Janssen aient tous une durée de deux ans [et qu’ils sont donc en cours – NdT], la FDA a pris soin de ne jamais énoncer clairement sa position quant au suivi clinique minimum avant d’envisager l’approbation.

Pour évaluer la sécurité des vaccins, des essais plus longs, contrôlés par placebo, sont primordiaux. Il est donc extrêmement alarmant que les fabricants de vaccins, quelques semaines après avoir reçu l’autorisation d’utilisation d’urgence, aient commencé à pervertir les essais en offrant aux personnes du groupe placebo la possibilité de se faire « vacciner »Moderna a annoncé que

« depuis le 13 avril, tous les participants au groupe placebo se sont vus proposer le vaccin Moderna anti-Covid-19 et 98 % d’entre eux ont reçu le vaccin ».

Ce qui signifie que leur groupe placebo n’existe plus et qu’ils n’ont donc aucun moyen de mesurer avec précision la sécurité à long terme. Il en va de même pour Pfizer.

Dans une étude du British Medical Journal, Peter Doshi cite la FDA qui, à plusieurs reprises, a déclaré que le maintien d’un groupe placebo serait essentiel pour évaluer à la fois la sécurité et l’efficacité des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19, ce qui est évident pour quiconque comprend les conséquences du non-respect de la rigueur scientifique lors de l’essai d’une nouvelle thérapie médicale. En effet, sur plus de 200 médicaments approuvés par la FDA entre 2000 et 2010, un tiers d’entre eux se sont avérés présenter de sérieux problèmes de sécurité.

En réalité, les fabricants pourraient avoir de nombreuses raisons de vouloir obtenir l’approbation de la FDA pour leurs [soi-disant – NdT] vaccins, mais la première de ces raisons est probablement le « cachet d’approbation » qui accompagne l’homologation complète et la possibilité de l’utiliser pour convaincre ceux qui restent sceptiques quant à leur sécurité et à leur efficacité. De plus, l’approbation complète de la FDA ouvrirait la voie à des obligations vaccinales plus simples à mettre en œuvre, ce qui mettrait une pression énorme sur les personnes qui composent la « classe éveillée » et qui représentent une épine dans le pied des promoteurs de l’agenda de la Grande Réinitialisation/Grande Convergence.

Dans le processus d’évaluation et d’approbation de ces [soi-disant – NDT] vaccins expérimentaux conduit par la FDA, des incohérences encore plus inquiétantes peuvent être trouvées. Par exemple, la FDA a récemment mis en garde contre l’utilisation de tests d’anticorps pour évaluer l’immunité ou la protection contre le Covid-19, « en particulier » après qu’une personne ait reçu une injection bien que l’autorisation européenne de mise sur le marché ait été accordée à l’origine, en partie, en raison de ces mêmes réponses aux anticorpsLes implications de ce revirement sont que l’autorisation européenne de mise sur le marché conditionnelle accordée pour les [soi-disant – NdT] vaccins contre le covid-19 devrait également être annulée, mais quelle est la probabilité que cela se produise alors que des millions de personnes ont déjà été injectées ?

En outre, l’idée que les « anticorps » assurent une protection contre les infections dites virales témoigne d’une mauvaise compréhension du corps et du système immunitaire. Le fait que les anticorps ne jouent pas un grand rôle dans les infections virales est connu des scientifiques médicaux depuis les années 1950, sur la base de recherches montrant que les personnes atteintes d’une incapacité génétique à produire des anticorps, appelée « agammaglobulinémie », ont des réactions normales aux infections virales typiques et semblent même résister aux récidives.

Note du traducteur : Il est important de préciser que notre organisme dispose de deux systèmes immunitaires : l’inné et l’adaptatif. C’est l’adaptatif qui produit des anticorps — qui sont des défenses spécifiques et ciblées — et il n’est que la barrière secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus :

« Le système immunitaire inné est le moyen initial et principal par lequel notre corps interagit avec un virus. Le système inné aide le corps à trouver un équilibre génétique à chaque nouvelle mise à jour virale qui lui est présentée. Le corps n’a pas besoin de répliquer ou de reproduire les nouvelles informations virales après plus de 4 ou 5 jours de mises à jour. [Il] fonctionne sur des limites saines dans le corps humain, telles que les barrières physiques entre l’intestin et la circulation sanguine, ou sur les vaisseaux sanguins qui régulent étroitement le mouvement des ions, des molécules et des cellules entre la circulation sanguine et le cerveau (appelée barrière hémato-encéphalique), ou au niveau génétique de nos cellules (comme les protéines mutagènes dans nos cellules). En outre, le système immunitaire inné fonctionne à travers une variété d’enzymes [qui] sont maintenant considérées comme centrales à l’immunité innée.

Le système immunitaire adaptatif est le moyen secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus. [Il] monte une réponse très spécifique à un virus en utilisant les globules blancs du corps, connus sous le nom de lymphocytes (cellules B et lymphocytes T). Les lymphocytes B sont responsables de la libération d’anticorps dans la circulation sanguine. Les anticorps sont la deuxième méthode d’interaction de l’organisme — et non la première — avec un virus après qu’il ait reçu une nouvelle mise à jour virale ou après qu’il ait développé un déséquilibre avec un virus particulier. Les anticorps sont des défenses spécifiques et ciblées. Ils apparaissent généralement sur les lieux 3 à 6 semaines après l’exposition initiale du corps à un virus. En termes simples, les anticorps agissent comme une équipe de nettoyage, aidant le corps à nettoyer les virus et les bactéries qui ne sont plus nécessaires. Pendant ce temps, les lymphocytes T sont responsables de la stimulation des lymphocytes B à fabriquer des anticorps.
»

Source : « Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ? Première partie : Analyse du microbiome et du virome

Quoiqu’il en soit, les deux systèmes immunitaires semblent plus ou moins — selon les individus et la force ou la faiblesse initiale du système immunitaire inné — affectés par les injections, surtout si elles sont répétées.

Voir aussi :

Bill Gates, Moderna et l’eugénisme 2.0

L’un des fabricants de [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 dont il est le plus fait mention dans les médias est Moderna, une société de biotechnologie cofondée par Robert Langer, chercheur et inventeur au MIT. En 2013, la startup de biotechnologie a reçu un financement de 25 millions de dollars de la part de la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), un organe de recherche du ministère de la Défense des États-Unis, et une organisation bien connue pour sa quête incessante de technologies dystopiques et transhumanistes, telles que les nanoparticules implantables et les interfaces bio-cérébrales — nous y reviendrons.

Il convient de noter que le gouvernement des États-Unis, par l’intermédiaire du National Institute of Health, s’avère avoir un intérêt financier dans le [soi-disant – NdT] vaccin Moderna grâce à un contrat signé par les deux parties, donnant au NIH la propriété conjointe des candidats vaccins à ARNm de Moderna. Selon Axios :

« Le NIH finance principalement des recherches extérieures, mais il invente aussi souvent des technologies scientifiques fondamentales qui sont ensuite cédées sous licence et incorporées dans des médicaments vendus avec des bénéfices colossaux. »

Ceci est plus qu’alarmant étant donné que le NIH est chargé de donner la priorité aux traitements prometteurs pour soigner le Covid-19 et d’améliorer l’efficacité des essais cliniques, ce qui, pour Moderna, est impossible étant donné que leur essai ne contient plus de groupe de témoin. L’intérêt direct du NIH à ce que Moderna prospère peut également expliquer de manière plausible pourquoi la start-up biotechnologique a reçu l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle de son [soi-disant – NdT] vaccin alors qu’elle n’a pas réussi, pendant plus de dix ans [et donc depuis qu’elle existe – NdT], à mettre un seul produit sur le marché.

Lors d’une interview pour Economic Club, le directeur du NIH, Francis Collins, a nié que les [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 permettraient de gagner de l’argent, déclarant que « personne ne voit cela comme un moyen de gagner des milliards de dollars ». Cependant, les preuves montrent le contraire, puisque les ventes des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 de Moderna ont atteint 1,7 milliard de dollars au premier trimestre 2021, faisant de leur PDG, Stéphane Bancel, l’un des nombreux nouveaux milliardaires de l’industrie pharmaceutique.

« Operation Warp Speed » [à la vitesse de l’éclair – NdT], le nom donné à un partenariat entre plusieurs agences fédérales des États-Unis visant à accélérer le développement d’un [soi-disant – NdT] vaccin contre le Covid-19, a également été marqué par des conflits d’intérêts. L’administration chargée de l’Operation Warp Speed a engagé plusieurs « consultants » ayant des liens avec Big Pharma, dont deux anciens cadres de Pfizer. Et en mai 2020, il a été rapporté que leur conseiller principal, le Dr Monsef Slaoui, lui-même ancien cadre de l’industrie pharmaceutique, détenait 10 millions de dollars d’actions GlaxoSmithKline, la même société qui a ensuite obtenu un contrat de 2 milliards de dollars pour fournir au gouvernement des États-Unis 100 millions de flacons pour contenir le [soi-disant – NdT] vaccin anti-Covid-19. Le Dr Slaoui détenait également un nombre important d’actions de la société Moderna, à laquelle le gouvernement fédéral a accordé un financement de plus de 2,5 milliards de dollars.

Le cofondateur de Moderna, Robert Langer, qui dispose d’avoirs dont la valeur nette a également explosé pour atteindre des milliards, est l’un des chercheurs les plus cités au monde. Scientifique au MIT, Langer détient plus de 1 400 brevets et est spécialisé dans la biotechnologie, la nanotechnologie, l’ingénierie tissulaire et l’administration de médicaments. En outre, Langer occupe un poste administratif au Media Lab du MIT, le même institut qui a fait l’objet d’un scandale après la découverte d’un financement octroyé à ce même laboratoire par Jeffrey Epstein, un prédateur sexuel condamné. Il se trouve qu’Epstein entretenait également une fascination troublante pour le « transhumanisme », une version moderne de l’eugénisme — le transhumanisme est abordé plus loin dans cet article.

Le directeur du MIT Media Lab de l’époque, Joi Ito, a ensuite approuvé deux donations d’Epstein pour un montant de 1,75 million de dollars et a permis au pédophile prolifique de « diriger » vers le laboratoire des fonds provenant d’autres riches bienfaiteurs, y compris une donation de 2 millions de dollars de Bill Gates, lequel entretient également des liens troublants avec Epstein, ayant voyagé dans son jet privé et l’ayant rencontré à plusieurs reprises. Lorsque la nouvelle a éclaté et que Joi Ito a démissionné de son poste au laboratoire, Langer a été l’une des premières personnes à signer une lettre lui demandant de rester, et en tant qu’administrateur du bureau du directeur du laboratoire, il est difficile de croire qu’il n’était pas déjà au courant des dons d’Epstein.

Décrit comme le « dénominateur commun » au sein d’initiatives multiples axées sur le coronavirus, Robert Langer est sans conteste un acteur du mouvement transhumaniste qui ne manque pas de nous intéresser. En 2015, sa société, Microchips Biotech, s’est associée au géant pharmaceutique israélien, Teva Pharmaceutical, pour commercialiser son « dispositif implantable d’administration de médicaments » [dispositif qui assure la libération prolongée d’un médicament pendant la durée souhaitée, généralement sur des périodes de plusieurs mois ou années – NdT]. Il convient de noter que Teva Pharmaceutical a reçu des investissements importants de Warren Buffett, qui, en 2006, s’est engagé à faire progressivement don de sa fortune à la Fondation Bill & Melinda Gates, une organisation dont il était administrateur jusqu’à très récemment.

Langer a également des liens avec Charles Lieber, un scientifique de Harvard spécialisé dans les nanotechnologies qui a été arrêté en janvier pour avoir fait de fausses déclarations aux autorités fédérales concernant sa collaboration avec des scientifiques chinois de l’université de Technologie de Wuhan. En 2012, Langer et Lieber ont travaillé ensemble pour créer un « matériau qui fusionne l’électronique à l’échelle nanométrique avec les tissus biologiques ». Ce matériau a été décrit comme « un premier pas vers des prothèses qui communiquent directement avec le système nerveux ».

Une grande partie des recherches de Langer sont soutenues par Bill Gates, qui a commencé à financer la technologie ARNm en 2010 et a également investi des millions dans Moderna. En 2017, la Fondation Bill & Melinda Gates a parrainé un projet du laboratoire de Langer visant à créer un système d’administration de vaccins par microparticules qui pourrait générer un « nouveau type de particule porteuse de médicament », permettant d’administrer plusieurs doses d’un vaccin sur une période prolongée avec une seule injection. Puis, en 2019, Gates et Langer se sont à nouveau associés pour créer un tatouage à l’encre invisible qui « incorpore les dossiers de vaccination dans la peau d’un enfant ». De manière tout à fait préoccupante, l’objectif à terme du projet est d’injecter des capteurs qui pourront être utilisés pour suivre « d’autres aspects » de la santé.

Gates prétend avoir besoin de ces données pour « prévenir les maladies » et le dit en se référant à ses efforts pour éradiquer dans le monde la polio, la rougeole et d’autres maladies « infectieuses ». Cependant, les diverses initiatives « sanitaires » de Gates dans les pays en développement ne sont pas l’œuvre d’un philanthrope bienveillant, comme les médias voudraient nous le faire croire. Au contraire, tout porte à croire que l’engagement de Bill Gates dans le domaine de la santé publique représente la poursuite d’un programme eugénique de longue date, caché au grand jour. Les liens de Bill Gates avec le mouvement eugéniste commencent avec son père, qui a fait l’éloge des Rockefeller pour leur travail dans le domaine de la « santé publique » et les a même rencontrés en 2000 pour discuter de questions relatives aux maladies infectieuses, aux vaccins et à l’environnement. Au cours de cette rencontre, William Gates senior aurait déclaré :

« Prenant exemple et s’inspirant du travail déjà accompli par la Fondation Rockefeller, notre fondation a en fait lancé GAVI en promettant 750 millions de dollars à un instrument appelé Fonds mondial pour les vaccins destinés aux enfants, un instrument de GAVI. »

Il est intéressant de noter que, près de dix ans après cette réunion, Bill Gates junior a co-organisé une réunion avec David Rockefeller consacrée à la réduction de la population.

Ce qui est peut-être encore plus révélateur, c’est qu’en 2012, Bill et Melinda Gates ont organisé leur Sommet de Londres sur le planning familial, où ils ont annoncé leur engagement en faveur du contrôle de la population dans le tiers-monde, à l’occasion du 100e anniversaire du Premier congrès international sur l’eugénisme, qui s’est également tenu à Londres.

Bill Gates est bien connu pour son obsession des vaccins, une quête curieuse si l’on considère que les 9 000 000 de personnes qui meurent chaque année de la faim seraient mieux servies si elles disposaient d’eau potable, d’un approvisionnement en nourriture, d’équipements d’assainissement convenables et un environnement sain. En 2009, la Fondation Gates a financé des études d’observation en Inde pour un vaccin controversé contre le cancer du col de l’utérus, le « Gardasil », qui a été administré à des milliers de jeunes filles. En quelques mois, de nombreuses jeunes filles ont commencé à tomber malades et, au bout d’un an, cinq d’entre elles étaient décédées.Au cours d’une étude similaire portant sur une autre marque de vaccin contre les papillomavirus humains, de nombreuses jeunes filles ont été hospitalisées et deux autres sont décédées.The Economic Times of India a publié en 2014 un rapport sur ce sujet, avec la révélation choquante suivante :

« Dans de nombreux cas, le consentement à la réalisation de ces études a été obtenu auprès des directeurs de foyers, ce qui constitue une violation flagrante des normes. Dans de nombreux autres cas, l’empreinte du pouce de leurs parents pauvres et analphabètes était dûment apposée sur le formulaire de consentement. Les enfants n’avaient également aucune idée de la nature de la maladie en question pas plus que celle du vaccin. Dans un très grand nombre de cas, les autorités concernées n’ont pas pu fournir les formulaires de consentement requis pour les enfants vaccinés. »

Note du traducteur : Plus exactement, c’est le Sama — une ONG basée à Delhi qui défend la santé des femmes — qui a finalement porté l’affaire à l’attention des médias indiens et, face au déluge de réactions négatives, le Conseil indien de la recherche médicale a suspendu le projet Path à l’origine de cette expérimentation.

« Path — anciennement connu comme le Program for Appropriate Technology in Health [Programme de technologie appropriée en santé – NdT] — est une ONG basée à Seattle, largement financée par la Fondation Bill & Melinda Gates mais qui reçoit également d’importantes subventions du gouvernement des États-Unis. Entre 1995 et le jour de la rédaction de cet article (mai 2021), Path a reçu plus de 2,5 milliards de dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates.
[…]
C’est alors que la commission permanente de la santé du Parlement indien a commencé à enquêter sur l’affaire et le 17 mai de la même année, Sama a produit un rapport accablant soulignant, entre autres, que les essais avaient été présentés comme un programme de vaccination gouvernemental et non comme un projet de recherche, que les filles n’avaient pas été informées qu’elles pouvaient choisir de ne pas participer aux essais, et que le consentement parental n’avait pas été demandé ni donné dans de nombreux cas.

[…] la commission a confirmé la véracité des allégations de Sama, en constatant que la majorité des formulaires de consentement n’étaient signés ni par les enfants ni par leurs parents, que nombre d’entre eux étaient postdatés ou n’étaient pas datés du tout, que plusieurs formulaires avaient été signés par les mêmes personnes — souvent des membres du personnel des foyers où vivaient les jeunes filles — et que de nombreuses signatures ne correspondaient pas au nom figurant sur le formulaire. L’enquête a révélé que les parents n’avaient pas reçu d’informations quant à la nécessité de cette vaccination, à ses bénéfices et inconvénients ou à ses potentiels effets secondaires. »

Source : Comment Bill Gates et Big Pharma ont utilisé des enfants comme « cobayes »… sans être inquiétés par la justice

Le rapport du Comité permanent de la santé du Parlement indien peut être consulté ici.

Voir aussi :

Également en Inde, Bill Gates a promu un vaccin oral contre la polio, après s’être efforcé d’y éradiquer la maladie. Cependant, comme nous l’avons vu précédemment dans cet article, des produits chimiques toxiques sont impliqués dans l’étiologie de la polio et la maladie ne peut donc pas être éradiquée par l’utilisation de vaccins. En fait, les chiffres de la santé mondiale indiquent que plus de cas de polio sont maintenant causés par les vaccins eux-mêmes que toute autre chose. En 2018, un groupe de courageux scientifiques indiens a publié une étude dans l’International Journal of Environmental Research and Public Health montrant une corrélation entre les distributions du vaccin oral contre la polio et l’augmentation des cas de « paralysie flasque aiguë » [aussi appelé logiquement « syndrome de pseudo-polio » – NdT], une condition décrite comme « cliniquement indiscernable » de la polio.

Ironie du sort, Bill Gates a investi 23 millions de dollars dans Monsanto, la société qui commercialise le Roundup, un pesticide contenant du glyphosate et connu pour ses effets néfastes sur la santé, avec notamment des troubles neurologiques et des paralysies [comme Alzheimer et Parkinson, la liste est trop longue pour citer tous les troubles dus au Roundup, mais on notera tout de même que la liste inclut des affections respiratoires – NdT].

Si beaucoup pensent que Gates donne son argent de manière désintéressée pour financer ces campagnes de vaccination, il convient de noter que ses investissements dans les vaccins lui ont rapporté des sommes considérables. En 2019, la Fondation Bill & Melinda Gates avait fait don d’un peu plus de 10 milliards de dollars à diverses initiatives liées aux vaccins, dont GAVI (l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination). Bill Gates l’a qualifié de « meilleur investissement qu’il ait jamais fait », estimant un rendement de 20-1, soit environ 200 milliards de dollars sur vingt ans. En effet, la valeur nette de la fortune de Bill Gates a plus que doublé au cours des dix dernières années.

Et n’oublions pas que plus de la moitié des décès dans les pays à revenu faible ou intermédiaire sont dus à des maladies non transmissibles, auxquelles la Fondation Bill et Melinda ne semble guère s’intéresser, puisqu’elle y consacre moins de 3 % de son budget.

En outre, les activités de Bill Gates dans le domaine de la santé publique sont entachées de conflits d’intérêts qui sembleraient remettre en question l’idée qu’il se soucie de la santé des populations. Nombre de ces conflits d’intérêts sont décrits par David Stuckler, scientifique à Harvard, dans une étude publiée dans PLOT Medecine et intitulée « Philanthropie en santé mondiale et relations institutionnelles : comment traiter les conflits d’intérêts ? », dans laquelle il affirme que :

« À titre d’exemple, nous avons constaté que la Fondation Bill & Melinda Gates détient des participations importantes dans la société Coca-Cola, et participe également à des subventions qui encouragent les communautés des pays en développement à devenir des filiales commerciales de Coca-Cola. Certains commentateurs ont noté que les boissons sucrées telles que celles produites par Coca-Cola sont en corrélation avec l’augmentation rapide de l’obésité et du diabète dans les pays en développement. »

Il ajoute :

« De nombreuses subventions de développement pharmaceutique de la Fondation peuvent bénéficier à des sociétés pharmaceutiques de premier plan telles que Merck et GlaxoSmithKline. […] Plusieurs subventions sont liées à des entreprises qui sont représentées au sein de son conseil d’administration en tant qu’investisseurs de la Fondation. »

Les médias font rarement état de ces conflits d’intérêts inquiétants, ce qui n’est pas surprenant puisque Gates finance tous les grands organes d’information.

Qualifier l’injection imprudente et généralisée des [soi-disant – NdT] vaccins expérimentaux anti-Covid-19 d’initiative imprégnée de pensée eugéniste n’aurait rien de saugrenu compte tenu du nombre de personnalités et d’institutions impliquées dans la course au [soi-disant – NdT] vaccin qui ont des liens avec le mouvement eugéniste. En fait, les concepteurs du [soi-disant – NdT] vaccin Oxford-AstraZeneca sont également liés à la aujourd’hui re-nommée British Eugenics Society, fondée par le père de l’eugénisme, Francis Galton. Ces liens sont détaillés par la journaliste d’investigation Whitney Webbdans son article intitulé « Les concepteurs du vaccin Oxford-AstraZeneca liés au mouvement eugéniste britannique ».

Lorsqu’il s’agit de protéger la santé publique, la témérité dont font preuve les politiciens, les scientifiques et les entreprises pharmaceutiques est impardonnable compte tenu de l’impact généralisé qu’auront ces [soi-disant – NdT] vaccins expérimentaux. Nous avons déjà commencé à voir les résultats du déploiement d’une technologie de thérapie génique dangereuse sur un public naïf et confiant, le VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) montrant plus de décès liés aux [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 que tous les autres vaccins réunis au cours des 30 dernières années.

Note du traducteur : En effet,

La mortalité associée aux vaccins aux États-Unis de 1990 à 2021Rien de tout cela n’est surprenant, compte tenu de la hâte avec laquelle les essais cliniques ont été menés et des nombreux points d’interrogation relatifs à la fiabilité des données rapportées. Par exemple, les fabricants de ces [soi-disant -NdT] vaccins ont déclaré que leurs « produits » étaient « efficaces à 95 % », un chiffre qu’ils ont obtenu en utilisant une réduction du risque relatif plutôt qu’une réduction du risque absolu, lequel était d’environ 1 % dans la plupart des cas, un fait qui n’a jamais été souligné par les médias grand public.

En outre, les phases d’essai précédentes de ces produits n’ont pas été conçus pour évaluer leurs effets sur l’infection, la transmission, les hospitalisations ou les décès, ce qui laisse perplexe étant donné que ces paramètres sont justement ceux qui auraient dû être prioritaires si nous faisions vraiment face à une pandémie virale. Encore que ceci peut être un geste calculé de la part des fabricants de ces [soi-disant – NdT] vaccins, qui savaient qu’ils auraient plus de chances de truquer les résultats en utilisant le critère principal de « Covid-19 quelle que soit sa gravité ». Après tout, l’augmentation spectaculaire des injections antigrippales n’a pas été associée à une diminution de la mortalité.

Peter Doshi, un rédacteur du British Medical Journala remis en question de nombreux aspects de ces essais vaccinaux pour le moins controversés, notamment la possibilité que les analgésiques masquent les symptômes du Covid-19 dans les différents groupes d’essai, ainsi que la [soi-disant – NdT] objectivité des « Comités d’adjudication des effets primaires » chargés de compter les cas de Covid-19. Dans le cas de Pfizer, ce comité était composé d’employés de Pfizer.

Note du traducteur : Ces comités doivent appliquer, a priori, la procédure par laquelle les événements cliniques identifiés comme des critères d’évaluation potentiels sont soumis à un panel d’experts indépendants pour être évalués en aveugle.

Récemment, le Doctors for Covid Ethics, un groupe composé du Dr Michael Palmer, du Dr Sucharit Bhakdi et du Dr Stefan Hockertz, a publié une déclaration d’experts concernant le danger et l’efficacité du [soi-disant – NdT] vaccin Pfizer, déclaration qui a été transmise dans le cadre d’un procès contestant l’autorisation par l’Union européenne de l’utilisation du [soi-disant – NdT] vaccin pour les enfants de 12 ans et plus. Le document indique que l’efficacité déclarée du produit à ARNm de Pfizer était « selon toute vraisemblance complètement frauduleuse » et que

« Pfizer, l’Agence européenne des Médicaments et la FDA ont systématiquement négligé les preuves issues d’essais précliniques effectués sur des animaux qui mettaient clairement en évidence les graves dangers d’effets indésirables. »

Note du traducteur : En ce qui concerne les essais précliniques dont il est fait mention ci-dessus, voir les articles suivants :

« Alors que les animaux semblaient posséder des anticorps contre le virus, et auraient théoriquement dû être protégés, ils sont tombés gravement malades et la plupart sont morts lorsqu’ils ont été exposés au coronavirus naturel. »

Mais bien sûr, rien de tout cela n’est abordé dans les médias grand public. En lieu et place, on nous sert sans cesse les mêmes discours : « les vaccins sont sûrs et efficaces », « suivez la science », « écoutez les experts ». Et par « experts », ils entendent bien sûr les marionnettes pharmaceutiques sans âme comme le Dr Anthony Fauci, directeur de l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses, qui vomit des mensonges sur les soi-disant infections virales depuis l’apparition du Sida en 1984. Le fait qu’un personnage comme Fauci occupe son poste depuis plus de trente ans en dit long sur le fonctionnement du système. Le regretté prix Nobel et inventeur de la réaction en chaîne par polymérase (PCR), Karry Mullis, a fustigé Fauci dans une interview :

« Il ne sait vraiment rien sur rien, et je le lui dirais en face. Rien. Cet homme pense que l’on peut prendre un échantillon de sang et le mettre dans un microscope électronique et que s’il y a un virus dedans, on le saura. Il ne comprend pas la microscopie électronique et il ne comprend pas la médecine. Il ne devrait pas être dans une position telle que celle qu’il occupe […] Passer à la télévision devant les gens qui paient son salaire et mentir directement à la caméra ne dérange absolument pas Tony Fauci. »

Un futur transhumaniste

En plus d’être une thérapie génique, une technologie associée à l’eugénisme et au transhumanisme, selon les scientifiques, la technologie ARNm

« permet le développement rapide de nouveaux vaccins dans un délai très court de quelques semaines plutôt que de quelques mois. »

Nous pourrions donc être confrontés à la perspective d’un avenir truffé de « vaccins » à la demande créés pour « protéger » le public contre de nouvelles menaces invisibles.

Note du traducteur : À ce sujet, voir aussi « Vaccins » à ARN et conquête commerciale planétaire — Le plan derrière le Covid-19

En effet, puisque les vaccinologues parlent d’ores et déjà de « variants », d’injections de rappels et de [soi-disant – NdT] vaccinations anti-Covid-19 périodiques, on peut dire que tout semble aller dans ce sens. Et bien sûr, grâce aux conglomérats de Big Tech liés au renseignement, toutes ces données seront enregistrées dans un « passeport vaccinal » relié à votre téléphone intelligent, qui constituera sans aucun doute la base d’un nouveau type de carte d’identité numérique liée à votre compte bancaire et, à terme, à votre crédit social.

En effet, en 2019, la société Microsoft de Bill Gates a déposé un brevet, opportunément nommé Brevet WO2020060606 [notez aussi le WO pour World Order – NdT)], portant sur un « système de crypto-monnaie utilisant des données d’activation corporelle », un autre indice quant aux véritables intentions de l’élite technocratique qui finance et promeut le programme transhumaniste. Le titre du brevet évoque à lui seul les images d’une société esclavagiste dans laquelle les humains sont équipés de biocapteurs et reçoivent des jetons numériques pour avoir accompli les tâches qui leur sont confiées par l’élite dirigeante.

Mais ce qui est peut-être encore plus alarmant, c’est l’empressement à obtenir l’autorisation d’utiliser les thérapies géniques chez les jeunes enfants. Pfizer est actuellement au milieu d’un essai clinique mondial, dans le cadre duquel le laboratoire pharmaceutique teste ses [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm chez des bébés de 6 mois à peine,en dépit du fait que le « Covid-19 », si l’on suppose que cette maladie existe, ne touche pratiquement pas les enfants. En fait, selon les chiffres du CDC, le taux de létalité chez les enfants est de 20 pour 1 000 000, soit 0,002 %, ce qui est probablement inférieur au risque de dommages permanents ou de décès lié au vaccin ROR. Il est également inférieur au taux de mortalité lié au [soi-disant – NdT] vaccin contre le Covid-19, tel que calculé à partir des données du VAERS au moment de la rédaction de cet article(5 612 décès sur 165 000 000 de personnes entièrement vaccinées aux États-Unis = 0,003 %). En outre, des recherches ont établi un lien entre le [soi-disant – NdT] vaccin de Pfizer et la myocardite symptomatique, avec un taux d’incidence estimé à 1 sur 3 000 ou à 1 sur 6 000 chez leshommes jeunes.

L’empressement à intégrer ces [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm dans le calendrier de vaccination des enfants n’a rien à voir avec la santé ou la protection, mais constitue plutôt une étape vers un objectif bien plus sinistre, à savoir le contrôle du corps humain lui-même.

Comme nous l’avons déjà mentionné dans cet article, la DARPA, l’organe de recherche du ministère de la Défense des États-Unis, a travaillé à la création de nanotechnologies capables de s’interfacer avec les cellules biologiques. En 2014, la DARPA a lancé son programme « In Vivo Nanoplatforms (IVN) », dans le but de développer des nanoplatformes implantables permettant de collecter des données biologiques et de fournir un « suivi physiologique continu ». Le programme a depuis contribué à créer des hydrogels injectables qui surveillent les réponses physiologiques et peuvent se synchroniser avec un smartphone.

En outre, la DARPA, ainsi que le NIH, financent largement Profusa, une société de biotechnologie soutenue par Google qui développe et commercialise cette même technologie d’hydrogel injectable, sauf qu’elle est maintenant présentée comme un moyen de détecter les futures « pandémies ». Les capteurs de Profusa seraient capables de

« détecter les infections de type grippal avant même que les symptômes ne se manifestent. »

Bien qu’incroyablement inquiétant, ce n’est qu’un pas vers le but ultime de la DARPA, qui est d’établir une domination sur l’esprit. Cet objectif se reflète dans les recherches de la DARPA visant à créer des « soldats mutants » à l’aide d’« armes génétiques » capables de

« saper l’esprit et le corps des gens en utilisant une série de techniques chimiques, neurologiques, génétiques et comportementales.

La DARPA étudie également les moyens de modifier génétiquement le cerveau afin de lire les pensées des gens et d’induire dans leur esprit des images et des sons. La recherche implique l’utilisation de « nanoparticules magnétiques », la même technologie qui, selon certains, pourrait être incluse dans les [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19, qu’ils soient actuels ou futurs.

Tout aussi affligeant est le « Wellcome Leap », une nouvelle initiative créée en partenariat avec deux anciens hommes de pointe et la DARPA par le Wellcome Trust, lui-même lié à l’eugénisme, le Wellcome Trust étant la fondation pour la recherche médicale la plus riche du monde. L’objectif officiel du programme est de [c’est le traducteur qui souligne]

« réaliser des percées en matière de santé humaine sur une période de cinq à dix ans et de démontrer des résultats apparemment impossibles à obtenir dans des délais apparemment impossibles. »

Actuellement, l’initiative comporte cinq projets principaux, dont le premier est « Préparation et réponse de l’ARN », qui — sachant qu’ils se réfèrent à la fabrication de produits à base d’ARN (thérapies géniques à base d’ARNm) — vise à (c’est l’auteur qui souligne)

« créer un réseau autonome d’installations permettant la fabrication qui fournira une capacité optimale répartie dans le monde entier pour répondre aux besoins d’une future pandémie. »

Notez la certitude apparente d’une future pandémie.

Toutefois, le projet Wellcome Leap le plus inquiétant est sans aucun doute « The First 1000 days » [Les 1 000 premiers jours – NdT], un programme qui vise à utiliser des nourrissons comme cobayes afin de surveiller le développement de leur cerveau et de créer des modèles d’intelligence artificielle pouvant être utilisés pour « prédire avec précision et améliorer les résultats des fonctions exécutives ». Le projet prévoit également l’utilisation de « capteurs mobiles, de vêtements et de systèmes domestiques connectés ». Dans un article détaillé sur le sujet, la journaliste d’investigation Whitney Webb écrit que :

« Fidèle aux liens eugénistes du Wellcome Trust (qui seront approfondis dans la deuxième partie), le projet « Les 1 000 premiers jours » de Wellcome Leap précise que

« l’intérêt réside dans les améliorations d’une fonction exécutive sous-développée vers une fonction exécutive normative ou d’une fonction exécutive normative vers une fonction exécutive bien développée dans l’ensemble de la population afin de produire l’impact le plus large. »

L’un des objectifs de ce projet n’est donc pas de traiter une maladie ou de s’attaquer à un « défi public de santé mondiale », mais plutôt d’expérimenter l’augmentation cognitive des enfants en utilisant des moyens développés par des algorithmes d’intelligence artificielle et une technologie invasive basée sur la surveillance. »Le délai de cinq à dix ans prévu par le Wellcome Leap coïncide avec le projet Neuralink du leader de l’élite en la matière, Elon Musk, qui ambitionne d’instaurer « l’avenir des interfaces cérébrales » afin d’« étendre nos capacités ». Lors d’une interview, Musk a déclaré :

« Je pense que nous sommes à huit ou dix ans d’une utilisation par des personnes qui n’ont pas de handicap. »

Musk, dont la richesse a augmenté de plus de 500 % pendant la [soi-disant – NdT] « pandémie » de Covid-19, a fondé Neuralink en 2016. La société a récemment levé 205 millions de dollars de fonds auprès de sept sociétés de capital-risque (dont Google Ventures) et de cinq dirigeants de la Silicon Valley. Cependant, Neuralink n’est pas la seule société de biotechnologie à s’être lancé dans cette technologie. Récemment, Synchron, une petite entreprise de biotechnologie et concurrente de Neuralink, a reçu le feu vert de la FDA pour commencer à tester ses implants de puces cérébrales chez l’homme.

Dans dix ans, nous serons en 2030, une année qui revient sans cesse comme celle où les technologies transhumanistes seront monnaie courante dans la société. Selon les prévisions du National Intelligence Council américain, « l’humain augmenté » — la fusion de l’homme et de la machine — sera un thème majeur en 2030. Leur rapport Global Trends 2030publié en 2012, indique que :

« Les prothèses réussies seront probablement directement intégrées au corps de l’utilisateur. Les interfaces cerveau-machine pourraient aussi bien fournir des capacités « surhumaines » améliorant la force et la vitesse, que des fonctions qui n’existaient pas auparavant. »

Il est intéressant de noter que le rapport prévoit également « un nouvel agent pathogène respiratoire facilement transmissible » qui pourrait avoir un impact très perturbateur. Le rapport poursuit en affirmant que

« contrairement à d’autres événements mondiaux perturbateurs, une telle épidémie entraînerait une pandémie mondiale qui causerait directement des souffrances et des décès partout dans le monde, probablement en moins de six mois. »

L’asservissement — Une décision librement consentie

Le déploiement des thérapies géniques à base d’ARNm et la poussée vers une société transhumaniste sont le prolongement du mouvement eugéniste, lui-même fondé sur le concept pseudo-scientifique selon lequel certains humains, en vertu de leur composition génétique, seraient plus « aptes » que d’autres à diriger la société.

Le « héros » de l’épidémie de polio, Jonas Salk, entretenait lui-même des liens avec l’eugénisme, tout comme l’institut nommé en son honneur, le Salk Institute. Leurs recherches sur l’ARNm, financées par le NIH, ont jeté les bases du développement et de la diffusion massive des thérapies géniques, appelées de manière controversée [et à dessein – NdT] « vaccins ». Le danger de cette technologie expérimentale est évident, étant donné qu’elle a déjà causé des milliers de dommages et de décès dans le monde entier.

Le rôle des organisations de renseignement, des technocrates milliardaires et des initiatives pharmaceutiques dans le financement, la recherche et la promotion de ces [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm, des interfaces « bio-cerveau », de l’édition de gènes et autres technologies imprégnées d’idéaux eugénistes donne l’image d’un programme mondial qui devrait atteindre sa vitesse de croisière d’ici 2030. L’actuelle [soi-disant – NdT] « pandémie » de Covid-19 a servi à accélérer ce programme en centralisant la richesse et le pouvoir, en faisant entrer la technologie transhumaniste dans le courant dominant et en normalisant les régimes autoritaires. Les essais de Pfizer sur les nourrissons et le projet alarmant « Les 1 000 premiers jours » du Wellcome Leap indiquent que la clé de cet agenda est le conditionnement et le contrôle des enfants dès leur plus jeune âge, ce qu’Aldous Huxley a décrit en détail dans son roman eugéniste prophétique et inquiétant, Le meilleur des mondes.

Ce programme, bien que soutenu par certains des individus et institutions les plus puissants du monde, présente une faiblesse évidente : son succès dépend de notre choix à y consentir. Il ne progressera que si nous le laissons faire. Par conséquent, il appartient à chacun d’entre nous, par une résistance non violente et compatissante, de semer les graines de l’éveil dans la conscience collective de l’humanité.

Source de l’article initialement publié en anglais le 25 août 2021 : New Brave World
Traduction : Sott.net




Face au variant Delta une seule solution : la plume dans le cul !

Par Alain Tortosa

Face au variant Delta une seule solution : la plume dans le cul ! L’heure n’est plus à la frilosité, mettons une plume dans le cul à nos enfants !

Dès septembre 2020 je suggérais que nous luttions efficacement comme le « Fléau » en nous mettant une plume dans le cul… Hélas, les autorités qui ont toujours une longueur de retard face à ce virus « diabolique », comme le disait si justement le professeur Delfraissy, ne prennent pas les bonnes décisions en temps et en heure.

Et cela se confirme avec cette explosion de tests effectués pour lutter contre le variant Delta, qui, selon les dernières données officielles du réseau sentinelle, se traduit par un taux d’incidence de 19 malades pour 100 000 habitants.

Rendez-vous compte que si nous avions 10 fois plus de cas, nous pourrions vivre une épidémie de Covid !

Ceci sans compter sur le fait que 2221 personnes sont comptabilisées en soin critique en France au 4 septembre (données geodes).

Nous sommes au bord de la saturation ! Les personnes positives au variant Delta, qu’elles soient en soin critique pour des raisons de Covid ou autres pathologies, occupent officiellement désormais un peu plus de 11 %, rendez-vous compte, 11 % des lits de soins critiques disponibles en France, c’est dire l’urgence de la situation.

Je ne résiste pas non plus au plaisir de faire référence aux « excellents journalistes » de Libération qui ont eu une analyse extrêmement fine, intelligente et honnête de la situation. Ils nous ont brillamment expliqué que plus il y aura de vaccinés et plus, mathématiquement, il y aura de personnes vaccinées hospitalisées pour Covid… Et c’est logique, car plus il y a de personnes protégées et plus il y a d’hospitalisations de vaccinés pour Covid et d’autant plus que le vaccin est efficace à 90 %, non ?

Il faudrait vraiment être stupide et de mauvaise foi pour ne pas comprendre que plus on augmente le nombre de vaccinés, plus les non-vaccinés menacent les vaccinés dont le vaccin est efficace.

C’est ce que vit Israël, le vaccin est tellement « efficace », le nombre de vaccinés est tellement important que la proportion et le nombre absolu de vaccinés à l’hôpital ne fait que croître !

Je dois avouer humblement que je n’ai pas leur intelligence et je n’aurais pas eu l’idée lumineuse de me dire :

« Les gars, vous voyez bien que plus nous vaccinons et plus nous avons de malades, nous allons donc imposer une 3e dose ! »

Et là où ça touche au génie, c’est que c’est le même vaccin que pour les deux premières doses !

C’est comme si les spécialistes du vaccin contre la grippe annonçaient :

« Nous avons un nouveau variant qui arrive pour la prochaine saison de grippe, nous allons donc resservir le vaccin de l’année dernière, mais en augmentant les tarifs de 20 % pour frais d’adaptation que nous n’avons pas fait. »

Voilà je voulais donc profiter de mon texte pour remercier Libé qui nous éclaire chaque jour…

J’ai bien compris que si demain 100 % de la population était vaccinée, alors « nos hôpitaux seraient saturés de malades Covid protégés par un vaccin efficace à 90 % ».  Tous les spécialistes médiatiques et au-delà de tout soupçon de conflits d’intérêts et qui nous avaient vendu le vaccin comme le « retour à la vie normale » sont unanimement d’accord pour dire qu’il faut plus que jamais appliquer les gestes barrières et bien sûr porter le masque dont nous ne pouvons pas douter de « l’efficacité ».

Il suffit pour cela de regarder l’historique de l’obligation de port du masque en France pour constater que plus il a été obligatoire et plus les contaminations se sont mises à croître, preuve de « l’efficacité » dont nous ne pourrions pas douter !

Donc l’heure est grave mes amis ! Nous ne sommes plus là à rigoler ! Nous devons prendre le taureau par les cornes !

Certains d’entre-vous, naïfs, avaient souri, voire s’étaient moqué de moi, lorsque l’année dernière j’avais suggéré que l’on impose le port de la plume dans le cul pour faire reculer l’épidémie.

Ah ! vous rigolez moins maintenant que la situation est devenue d’autant plus catastrophique que la vaccination a massivement progressé !

Voici donc un rappel de mon texte de septembre 2020

Plusieurs études suggèrent qu’il pourrait y avoir une transmission fécale du Covid et même qu’elle serait possible par les flatulences… (voir sources).

Des études suggèrent que l’électricité statique pourrait jouer un rôle dans l’efficacité de filtration des virus (voir sources).

Nous savons tous que les plumes, lorsqu’elles sont agitées, génèrent de l’électricité statique… (voir sources).

« On estime qu’un être humain produit entre 10 et 25 flatulences, soit 0,5 à 1,5 litre de gaz par jour. Il s’agit d’une estimation moyenne »

Source allodocteur.

Je veux apporter ma pierre à l’édifice. Je veux participer à cette noble lutte contre ce virus qui ne tue que les personnes ayant des pathologies très graves ou à l’espérance de vie de quelques mois à qui l’on refuse tout traitement…

Je comprends bien qu’il serait ridicule de prendre des mesures pour protéger les personnes à risque et qu’il est totalement logique de faire porter le masque aux personnes en bonne santé et limiter au maximum leurs libertés, les injecter et tuer l’économie et les droits de l’homme…

Il faudrait être sacrément stupide pour imaginer une politique inverse…

Vous imaginez une politique dans laquelle :

  • Les personnes qui ne sont pas à risque sont invitées à faire circuler le virus, ne doivent surtout pas porter de masque, doivent vivre normalement et sauver l’économie et les droits de l’homme ?
  • Et dans le même temps, tester, isoler, protéger, faire des campagnes de prévention, soigner, les personnes à risque ?

RI-DI-CU-LE…

J’ai donc eu l’idée d’étudier d’un point de vue scientifique le dispositif suivant pour lutter contre cet odieux virus pour lequel, rappelons-le « il n’existe AUCUN traitement » (Si, si, les « vrais » experts le disent).

Certains internautes avaient d’instinct imaginé que la plume dans le cul pouvait être une solution et j’ai donc « creusé » l’idée d’un point de vue scientifique.

Je pense qu’il faudrait étudier puis imposer dès 6 ans la plume dans le cul avec, pour les plus de 11 ans, obligation en plus de la faire bouger afin de générer un maximum d’électricité statique.

Cette électricité statistique agirait selon le même principe que la filtration des masques qui ont des trous béants et attirerait donc les particules virales issues de nos flatulences, qui représentent plus d’un litre de gaz mortel par jour.

Il suffirait ensuite de jeter sa plume ou de la laver avec son linge de maison afin de la réutiliser.

À quoi bon porter un masque dans un lieu clos si dans le même temps nous répandons le virus par nos flatulences comme le suggèrent les études ?

Bien entendu il faudrait respecter un protocole strict lors du remplacement de la plume et la changer toutes les 4 heures.

Mais je pense comme certains médecins très « compétents » l’affirment pour le masque « même mal mis, même souillé, même ramassé dans une poubelle, le masque c’est mieux que rien » (ils n’ont pas écrit dans une poubelle, mais c’est l’esprit).

Donc même mal mise, même si on l’échange avec son voisin et qu’on la porte à la bouche, la plume dans le cul devrait, selon exactement la même logique, protéger !

Dans ces temps d’incertitude et de risque d’extinction totale de l’espèce humaine, face à cet odieux virus dons nous ne savons toujours RIEN (dixit les « experts »), je pense qu’il serait criminel de passer à côté d’une mesure qui pourrait sauver des millions de vie…

Ainsi j’apporterais ma contribution afin d’ajouter aux politiques généreuses mises en place par les experts. Experts au-delà de tout soupçon (sourire) et à l’intelligence supérieure (si,si) qui nous disent que nous sommes dans une nouvelle vague d’un virus au moins aussi mortel.

Mais ceux-ci sont plus malins que le virus !

Ils développent des trésors d’ingéniosité pour nous aider en nous disant :

  • Il a été « prouvé » que le virus s’attaque aux foules qui font la fête, mais pas dans un métro bondé.
  • De même il n’est pas capable de contaminer dans des manifestations uniquement si elles sont contre le racisme, mais c’est une catastrophe sur les plages en septembre après 20 h.
  • En Suède il est blasé, il y a de moins en moins de cas alors que presque personne ne porte de masque alors qu’en France il aime bien les compétitions « même avec un masque je vais les contaminer ».
  • Il circule fortement dans certaines rues françaises, mais pas d’autres où il s’arrête net à l’entrée.
  • Dans certains départements, c’est l’enfer, mais dans d’autres, limitrophes… rien…
  • Il a ses heures durant lesquelles il est dehors ou pas.
  • Il s’attaque à nous lorsque nous entrons dans un restaurant, mais cesse d’attaquer quand nous nous asseyons.
  • Il attaque les enfants assis dans une classe, mais pas au réfectoire.
  • Les enfants qui pratiquent la lutte pendant le sport (véridique) peuvent le faire sans masque, le virus n’aime pas la violence.
  • À Cagnes-sur-Mer par exemple si vous couriez le virus ne vous attrapait pas, mais dès que vous vous arrêtiez il vous sautait dessus (voir arrêté préfectoral). En revanche comme certains chiens il déteste les vélos et n’hésitera pas à vous attraper en vélo.
  • Il est beaucoup plus dangereux en septembre quand les touristes sont partis.
  • En région toulonnaise, en revanche, le virus déteste les moyens de transport individuels. En vélo, skate, trottinette, rollers,… vous ne craignez rien, le virus n’ose pas vous attaquer sauf si vous êtes dans un marché de plein air où là, la trottinette ne vous sera d’aucun secours et le virus sera impitoyable.
  • Dans certaines villes si vous fumez, grignotez en marchant, le virus vous épargnera, mais en revanche il sera impitoyable dans d’autres villes.
  • Dans certains endroits il est un peu sourd, vous devez chuchoter et ne surtout pas chanter si vous tenez à la vie. Bref, il est malin ce virus…

La plume dans le cul, ne serait pas LA solution, soyons raisonnables, mais serait un plus à ajouter aux gestes barrières dont nul ne peut douter qu’ils sont efficaces, à moins d’être un crétin complotiste.

Passer à côté d’un dispositif efficace « sans aucune contre-indication » (comme le masque) et qui ne pourrait QUE sauver des vies supplémentaires serait criminel, non ?

Non au coronavirus ! Oui à la plume dans le cul !

Rejoignez-moi dans la lutte contre le virus, militez pour la plume dans le cul.

Réclamons une étude randomisée sur l’efficacité de la plume dans le cul dans la population générale !

L’heure n’est plus à la rigolade, des experts nous disent qu’il faut siffler la fin de la récréation. Je suis d’accord avec eux.

Et entre nous, on va quand même pas faire des histoires pour une plume dans cul.. ce n’est pas si grave, on s’y fait très bien, c’est une question d’habitude.

Tout de suite les grands mots, « atteinte à ma liberté », « droits de l’homme », tout ça pour une simple petite plume dans le cul sans la moindre contre-indication… ridicule…

Je n’ai strictement aucun doute que si la mesure était bien expliquée et qu’il y avait le même « consensus » scientifique que sur le port du masque, les Français adhéreraient majoritairement à cette mesure qui ne relève que du bon sens !

Flyer pour la promotion de la plume dans le cul

Pour se protéger du virus, n’oublions pas le masque, les gestes barrières, mais SURTOUT la plume dans le cul.
Ludique, esthétique, efficace, la plume dans le cul nous protège du virus et comme pour le masque, sans la moindre contre-indication.

La plume dans le cul s’ajoute à l’ensemble des gestes barrières. Elle est un symbole fort de solidarité envers nos anciens qui n’ont plus la souplesse pour se la mettre.

La plume dans le cul existe en différentes couleurs pour être en harmonie avec ses différents habits, elle permet aussi d’afficher son émotion du jour.

Soyons solidaires organisons des distributions gratuites de plumes dans le cul pour aider les plus démunis.

« je pense aux autres, je suis solidaire, j’ai une plume dans le cul »

Mise en garde : Des irresponsables, complotistes, révisionnistes, néonazis, adorateurs de Satan, ou faisant du Yoga, font circuler de fausses informations sans fondement laissant entendre que la plume dans le cul ne protégerait pas et qu’elle pourrait entraîner certains effets secondaires.

Tout ceci n’est que fakenews, vous pouvez être rassurés, les mêmes experts qui ont étudié le port du masque et la sécurité des vaccins ont évalué l’efficacité de la plume dans le cul.

Merci.

Alain Tortosa.

PS Attention la plume dans le cul est un dispositif médical, demandez son avis à votre médecin. Tenir hors de portée des enfants de moins de 3 ans.

5 septembre 2021.

https://7milliards.fr/tortosa20210904-plume-dans-le-cul.pdf


Sources

J Med Virol 2020 Apr « Fecal transmission in COVID-19: A potential shedding route »

Acta Biomed 2020 Sep « Possible modes of transmission of Novel coronavirus SARS-CoV-2: a review » « Besides, some of the other possible modes of transmission are being explored by the researchers, with some studies suggesting the viral spread through fecal-oral, conjunctival secretions, flatulence (farts)… »

ACS Nano 2020 May « Aerosol Filtration Efficiency of Common Fabrics Used in Respiratory Cloth Masks » « We speculate that the enhanced performance of the hybrids is likely due to the combined effect of mechanical and electrostatic-based filtration. Cotton, the most widely used material for cloth masks… »

teslabel.be « Lorsqu’une plume est agitée dans l’air, elle se charge d’électricité statique, pourvu que des porteurs de charge soient présents dans l’air. »




Le SARS-COV2 accélérerait l’âge biologique

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Xavier Azalbert, Anne-Typhaine Bouthors, Michel Brack, Dominique Cerdan, Walter Chesnut, Gérard Guillaume, Jean-François Lesgards, Luc Montagnier, Jean-Claude Perez pour FranceSoir

Connaissez-vous le mot « sénescence » ? La sénescence est en biologie le processus physiologique qui entraîne la dégradation des fonctions de la cellule au cours du temps. En d’autres termes, la sénescence, du latin senex « grand âge », est le vieillissement des organismes. De tout temps, les scientifiques ont cherché à reculer le vieillissement essayant de respecter le proverbe chinois repris par Malraux :

« il faut rajouter de la vie aux années et non des années à la vie ».

Plusieurs études récentes tendent à démontrer que le SARS-CoV2 accélérerait l’âge biologique des cellules. Comment ? En agissant sur la taille des télomères, ces séquences d’ADN qui protègent l’extrémité des chromosomes et qui raccourcissent à chaque division cellulaire.

En avril 2021, une étude chinoise de Yuyang Lei et Jiao Zhang, publiée sur Circulation Research souligne que le principal agent pathogène du virus Covid-19 est sa protéine de pointe, appelée Spike. La protéine de pointe entoure la capside virale et lui permet d’entrer dans les cellules pour les infecter. Dans cette étude, les chercheurs ont isolé Spike en l’installant sur un noyau vide, puis l’ont inoculée à des cobayes, afin d’observer son action sur l’organisme. Les animaux ont présenté des lésions aux poumons et aux artères associées à une inflammation des cellules endothéliales. L’équipe a reproduit l’expérience in vitro sur des cellules endothéliales humaines saines : la protéine de pointe s’est ainsi liée aux récepteurs ACE2, endommageant les mitochondries des cellules, provoquant micro-thromboses et endothélites. Les conclusions sont sans appel : la protéine Spike seule provoque la plupart des symptômes du Covid-19 (Covid dans le reste de l’article).

Quelques questions brûlent alors les lèvres :

  • S’il est prouvé que le SARS-CoV2 induit un vieillissement cellulaire accéléré, et que le responsable de cette sénescence n’est autre que la protéine Spike, comment être absolument certain que les vaccins actuellement sur le marché, tous basés sur Spike, ne conduisent pas eux-aussi à la dégradation accélérée des cellules des personnes vaccinées ?
  • Quels sont les liens entre les mécanismes impliqués dans la sénescence liée au raccourcissement des télomères et les vaccins ?

Des éléments de réponse dans cet article. Nous prévenons le lecteur que certains paragraphes demandent une certaine connaissance en biologie ou biochimie. La conclusion est à vocation grand public.

Accélération de l’âge biologique

En novembre 2020, une équipe de chercheurs des Cliniques universitaires Saint-Luc et de l’UC Louvain a investigué le rôle potentiel des télomères dans le cadre de l’infection Covid. L’âge, l’obésité, le diabète, l’hypertension et de nombreux facteurs de sévérité sont désormais des facteurs de complication bien identifiés. Toutefois des patients ne répondant pas à ces critères souffrent parfois sévèrement de ce virus.

Les télomères et leur rôle ?

Un article synthétique de la même université explique ce que sont les télomères et leur rôle.

  • Les télomères sont des séquences d’ADN qui protègent l’extrémité des chromosomes et qui raccourcissent à chaque division cellulaire. Leur taille diminue en fonction de l’âge de la cellule et de l’individu. Lorsqu’ils deviennent trop courts, notamment chez les personnes âgées, les cellules entrent en sénescence, un phénomène proche de la mort cellulaire. Ces structures jouent donc en quelque sorte le rôle d’horloge biologique cellulaire.
  • De nombreux scientifiques ont démontré que le raccourcissement des télomères diminue l’espérance de vie.
  • Cependant, la longueur des télomères n’est pas la même pour tous les individus du même âge et dépend, entre autres, de certains variants génétiques. Le raccourcissement des télomères semble affecter les défenses de l’organisme contre les virus et on suppose que les individus, dont les télomères sont plus courts, épuisent plus rapidement leur stock de cellules immunitaires.
  • Dans l’optique de mieux comprendre les mécanismes immunitaires impliqués dans le Covid-19 (les patients hospitalisés pour Covid ayant presque tous un manque de lymphocytes dans le sang), les professeurs Froidure (Service de pneumologie) et Decottignies ont investigué le lien potentiel entre la taille des télomères et le Covid.
  • Les chercheurs ont comparé la taille des télomères de 70 patients hospitalisés pour Covid lors de la première vague de la pandémie (entre le 7 avril et le 27 mai 2020 / patients âgés de 27 à 96 ans) aux résultats d’un groupe témoin correspondant à environ 500 personnes non-atteintes du Covid.
  • Les résultats ont montré que i) les télomères des patients Covid étaient plus courts que ceux du groupe de référence et ii) la présence de télomères très courts (de taille inférieure au percentile 10 pour l’âge) était associé à un risque significativement plus élevé d’admission en soins intensifs ou de décès.
  • Ces résultats ouvrent des perspectives importantes dans la compréhension des mécanismes de l’immunité vis-à-vis du coronavirus. 

Des résultats confirmés et affinés en 2021

En janvier 2021, la chercheuse en oncologie moléculaire, Maria Blasco, confirmait les résultats de Froidure et al. publiés dans un article passé inaperçu et qui titrait « Des télomères de longueurs plus courtes chez les patients atteints de la maladie Covid sévère ». En résumé :

  • L’incidence des manifestations graves de Covid augmente avec l’âge, les patients plus âgés présentant la mortalité la plus élevée, ce qui suggère que les voies moléculaires sous-jacentes au vieillissement contribuent à la gravité de Covid. Les auteurs rappellent que « l’un des mécanismes du vieillissement est le raccourcissement progressif des télomères, qui sont des structures protectrices aux extrémités des chromosomes. Des télomères extrêmement courts altèrent la capacité de régénération des tissus et déclenchent une perte d’homéostasie tissulaire et une maladie. » Le virus SARS-CoV2 infecte de nombreux types cellulaires différents, forçant le renouvellement cellulaire et la régénération pour maintenir l’homéostasie tissulaire. 
  • Les auteurs ont donc émis l’hypothèse que la présence de télomères courts chez les patients plus âgés limite la réponse tissulaire à l’infection par le SARS-CoV2. Ils ont mesuré la longueur des télomères dans les lymphocytes du sang périphérique des patients Covid âgés de 29 à 85 ans et constaté que des télomères plus courts sont associés à une sévérité accrue de la maladie

Peu d’articles ont fait état de ces études hormis santéLog qui titrait timidement « et si le covid grignotait les télomères ? » avant de conclure qu’une question se pose : le raccourcissement des télomères implique-t-il l’accélération du vieillissement et une réduction de la durée de vie ?

En mai 2021, une étude en prépublication (Gorgoulis et al. 2021) concluait que le SARS-CoV2 infecte les cellules épithéliales pulmonaires et induit la sénescence ainsi qu’une réponse inflammatoire chez les patients atteints de Covid sévère.

En juin 2021 le lien entre le raccourcissement des télomères chez les patients Covid et l’accélération de l’âge biologique était prouvé (Gaetano et al.). Le résumé est sans équivoque :

  • L’infection par SARS-CoV2 entraîne le syndrome Covid qui est caractérisé, dans le pire des cas, par une détresse respiratoire sévère, une fibrose pulmonaire et cardiaque, une libération de cytokines inflammatoires et une immunosuppression. Cette condition a entraîné la mort d’environ 2,15% de la population mondiale infectée jusqu’à présent. 
  • Parmi les survivants, la présence du syndrome dit persistant post-covid (PPCS) est assez fréquente. Chez les survivants du Covid, le PPCS est associé à un ou plusieurs symptômes : fatigue, dyspnée, perte de mémoire, troubles du sommeil et difficultés de concentration. L’étude mesure l’âge biologique sur 117 survivants du Covid et 144 volontaires non infectés.
  • Les auteurs constatent une augmentation significative de l’âge biologique des patients ayant eu le Covid (post-covid) de 10.45 ans (+/- 7,29 ans soit 5,25 ans au-delà de la norme) comparé à 3,68 ans (+/- 8.17 ans) chez les personnes non infectées (sans-covid).
  • Un raccourcissement significatif des télomères est observé dans la cohorte post-covid (3,03 ko) par rapport à la cohorte sans-covid (10,67 ko).
  • De plus, l’expression de l’ACE2 a été diminuée de 73% chez les patients post-covid, par rapport à la population sans-covid. Ceci confirme les données de l’étude de Butwot de mai 2020 sur l’expression des protéines d’entrée du SARS-CoV2, ACE2 et TMPRSS2 dans les cellules de l’épithélium olfactif et l’identification des types cellulaires et des tendances avec l’âge.
  • À la lumière de ces observations, l’hypothèse est émise que certaines altérations épigénétiques sont associées à l’état post-covid, en particulier chez les patients plus jeunes (< 60 ans).

Dernièrement, à la télévision ou sur les réseaux sociaux, de nombreux témoignages individuels sont venus corroborer ces faits : ainsi, il n’est pas rare de lire, d’entendre ou de constater qu’un proche « a pris dix ans » après un Covid sévère. Mais plus inquiétant, ces mêmes impressions se rencontrent aussi pour des personnes vaccinées.

Qu’est-ce que le stress oxydatif et quel rôle joue-t-il dans le raccourcissement des télomères et le Covid-19 ?

L’inflammation chronique (c’est-à-dire prolongée) est finalement ce qui va provoquer le décès chez les patients atteints du Covid notamment en activant le phénomène de coagulation. Cette inflammation que l’on a appelée souvent de façon simplifiée « orage des cytokines » ou « orage cytokinique » est en effet activée par des molécules (des protéines) dénommées cytokines. Ces cytokines sont comme des messagers entre les cellules du corps humain qui envoient des messages, notamment pour la régulation de l’inflammation dans les organes.

Cette inflammation est accompagnée de réactions d’oxydation dans les cellules par des petites molécules très réactives (que l’on appelle radicaux libres) qui sont produites sur le site de l’inflammation par un processus appelé stress oxydatif. C’est un peu comme si l’inflammation était le lance-flammes et le stress oxydatif les flammes

Ces deux phénomènes intimement liés (inflammation chronique et stress oxydatif) sont à la base de la plupart des maladies cardiovasculaires (athérosclérose, thromboses…), des maladies neurodégénératives (Alzheimer, Parkinson…), des cancers, mais aussi du vieillissement.

Et il se trouve que le Covid est en fait une maladie inflammatoire et oxydante !

L’importance cruciale du stress oxydatif dans la pathologie du Covid a été largement sous-estimée et devrait faire l’objet de travaux de recherches supplémentaires notamment pour identifier des traitements antioxydants/anti-inflammatoires (Delgado-Roche L et al., 2020) (Cecchini R et al., 2020) (Ntyonga-Pono MP, 2020) ; ceci est également important pour les formes longues du Covid !

L’inflammation déclenchée par la protéine spike dans le Covid et le stress oxydatif associé, passe en particulier par le dérèglement du système rénine angiotensine et par l’activation de la voie de la bradykinine (Lesgards JF., Cerdan D. 2021, une vision globale de la biologie du sars).

De nombreux travaux ont établi un lien entre le stress oxydatif et le raccourcissement des télomères et donc la sénescence des cellules et le vieillissement de l’organisme (Boonekamp JJ et al., 2017) (von Zglinicki T, 2002) (Kawanishi S et Oikawa, 2004) (Richter T et von Zglinicki T, 2007) (Griffin CS, 2002). Plusieurs études ont d’ailleurs mis en évidence un raccourcissement des télomères par ajout d’un oxydant consommant le glutathion (l’antioxydant majeur de l’organisme) (Cattan V et al. 2008). 

De plus, en juillet 2021, dans une population de patients non sélectionnés hospitalisés avec Covid, le lien entre le stress oxydatif et les biomarqueurs inflammatoires a permis de prédire de la gravité et de l’admission en soins intensifs des patients (Brack M. et al., 2021). 

Le stress oxydatif est responsable du raccourcissement des télomères dans le Covid

Dans l’environnement oxydant du Covid, l’une des cibles cellulaires est les bases de l’ADN ainsi que de l’ARN en particulier les bases appelées Guanines (G). C’est ainsi que le principal produit d’oxydation que l’on retrouve dans l’organisme est la 8-oxo-7,8-dihydroguanine (8oxoG) qui joue d’ailleurs un rôle majeur dans la mutagenèse et la cancérogenèse c’est-à-dire l’induction des cancers (Fortini P et al., 2003). Les guanines, si elles se suivent dans des séquences répétées (GG..), sont encore plus facilement oxydables (Kino K et al., 2017) ce qui est très présent dans la séquence génétique des télomères protégeant les extrémités des chromosomes. Normalement l’organisme élimine ces produits d’oxydation toxiques (8oxoG) grâce à une enzyme (la glycosylase OGG1) et répare l’ADN ou l’ARN endommagé. Mais les télomères étant très riches en guanine, ils sont particulièrement sensibles à l’oxydation et une fabrication importante de 8-oxoG raccourcit les télomères et altère la croissance cellulaire (Fouquerel E et al., 2019) (von Zglinicki Tet al., 2000). De plus, les télomères sont réparés moins efficacement que le reste du génome, étant situés au bout des chromosomes (Oikawa S and Kawanishi S, 1999) (Opresko Pl et al, 2005). La présence de ces 8-oxoG réduit l’efficacité de la télomérase, l’enzyme qui répare les télomères, entraînant une perturbation de la longueur, du maintien et de la fonction des télomères (Opresko Pl et al, 2005). Les altérations dues aux 8-oxoG non réparées correctement peuvent aussi induire des cassures simples ou double brin (de l’ADN) conduisant globalement à une instabilité génomique (Coluzzi E et al., 2014).

De nombreux travaux ont établi un lien entre le stress oxydatif et le raccourcissement des télomères, favorisant la sénescence des cellules et le vieillissement de l’organisme (Boonekamp JJ et al., 2017) (von Zglinicki T, 2002) (Kawanishi S et Oikawa, 2004) (Richter T et von Zglinicki T, 2007) (Griffin CS, 2002). Les études montrant directement un raccourcissement des télomères par ajout d’un oxydant consommant le glutathion (l’antioxydant majeur de l’organisme), sont particulièrement significatifs (Cattan V et al. 2008).

Ce raccourcissement des télomères est observé chez les patients atteints de Covid-19 avec formes sévères, aussi bien comme facteur de risque associé (Froidure A et al., 2021) que comme conséquence de la maladie. Chez ces patients, on constate un âge biologique (qui reflète l’état physiologique ou fonctionnel exact de l’individu) augmenté après la maladie (Mongelli A et al., 2021). De plus, la concentration plasmatique des produits d’oxydation de la guanine (8-oxoG) semble être associée à la mortalité (Lorente L et al., 2021).

Dans d’autres maladies associées au stress oxydatif on observe également un raccourcissement des télomères ; ce phénomène est corrélé à l’âge (Harley CB et al., 1990) (Starr JM et al., 2008) et il est retrouvé dans des pathologies comme le syndrome métabolique (qui se caractérise par des facteurs cliniques tels que l’obésité, la dyslipidémie, l’hypertension artérielle, l’hyperglycémie et la résistance à l’insuline) (Gavia-García G et al., 2021), le diabète (Wang J et al., 2016) (Salpea KD et al., 2010), la maladie de Parkinson (Watfa G et al., 2011). Comme on le voit, ce sont tous des facteurs de comorbidités.

Lien entre sénescence et vaccins Covid-19

Di Fragana et al., en juin 2021, décrivent dans une étude en préprint sur BioRXiv que ce dommage (raccourcissement des télomères) de l’ADN stimule la transcription du récepteur ACE2 du SARS-CoV2 pendant le vieillissement confirmant ainsi les autres études. L’infection par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV2) est connue pour être plus fréquente chez les personnes âgées, qui présentent également des symptômes plus graves et un risque plus élevé d’hospitalisation et de décès. Dans l’étude, les auteurs montrent que l’expression de l’enzyme ACE2 (enzyme de conversion de l’angiotensine 2), qui est le récepteur cellulaire du SARS-CoV2, augmente au cours du vieillissement dans les poumons de la souris et de l’homme. Ceci en réaction à un raccourcissement ou d’un dysfonctionnement des télomères dans les cellules de mammifères et dans les modèles murins. Cette augmentation est régulée au niveau de la transcription et l’activité de ACE2 est dépendante de la réponse aux dommages à l’ADN (DDR). 

Les auteurs concluent qu’au cours du vieillissement, le raccourcissement télomérique, en déclenchant l’activation de la DDR, provoque la régulation à la hausse de l’ACE2, le récepteur cellulaire du SARS-CoV2, rendant ainsi les personnes âgées probablement plus sensibles à l’infection.

Les travaux en prépublication de Gueudes en mai 2021, sur la comparaison des ARN de pointe (spike) et de la télomérase (enzyme qui ajoute les télomères au bout des chromosomes) du SARS-CoV2 qui arrive à expliquer le vieillissement accru des cellules alvéolaires dans les cas graves de COVID-19, permettent de faire le lien avec les thérapies à ARN messager (utilisées en pseudo vaccination de masse) et de poser nombre de questions sur les liens post vaccinal ou post covid-19. La télomérase est une transcriptase inverse et l’auteur propose une explication complète qui demande à être revue par les pairs « L’architecture du complexe de la télomérase impliqué dans la fabrication des télomères (hTR) est protégée normalement du détournement par l’ARN étranger et il existe un mécanisme de contrôle de l’incorporation de l’ARN dans la télomérase. Mais quand beaucoup d’ARN étranger est présent dans la cellule, l’assemblage de la télomérase pourrait être entravé. »

Rappelons qu’en 2003, Scholes et al. dans le journal PNAS avaient déjà montré que l’érosion des télomères entraînait l’activation des rétrotransposons et donc la transcriptase inverse ne serait probablement pas nécessaire pour expliquer que l’ARN du vaccin puisse entraver l’assemblage de la télomérase et perturber l’homéostasie génomique.

Le stress oxydatif induit par la vaccination ARNm (Pfizer, Moderna) est-il aussi responsable du raccourcissement des télomères ?

La protéine spike des vaccins induit également de l’inflammation et du stress oxydatif en se fixant sur les récepteurs ACE2 présents dans tout l’organisme (Lesgards JF, 2021).

Etant donné la gravité des effets secondaires observés et le fait que les mécanismes biochimiques soient en partie similaires, on peut émettre l‘hypothèse que les vaccins ARNm peuvent oxyder les guanines de l’ADN et en partie des télomères. On sait qu’une inflammation post-vaccinale est produite et recherchée pour amplifier la réaction immunitaire et la production d’anticorps, et si on y ajoute l’action inflammatoire et pro-oxydante (l’un ne va pas sans l’autre), induite par la protéine spike et qui peut perdurer pendant au moins 15 jours (Ogata AF et al., 2021), on a un environnement très propice à l’oxydation des bases de l’ADN, dont la plus fragile est la guanine, en particulier sur les télomères.

De fait, une étude a montré que la vaccination avec le vaccin Pfizer conduisait à une augmentation des niveaux de stress oxydatif (évalué par la mesure du glutathion) qui revenait à la normale après 14 jours (Ntouros PA et al., 2021). Ce délai étant néanmoins suffisant pour induire des dommages sur les télomères.

Ce stress oxydatif produit par la vaccination pose aussi un autre problème qui est la stabilité de l’ARNm des vaccins lui-même ! De façon très étonnante, les ARNm des vaccins Pfizer et Moderna ont été enrichis en guanines ! Ceci étant censé augmenter la traduction de l’ARN en protéine spike : en effet, si on étudie la séquence de nucléotides du gène de la spike du virus SARS-CoV2, et qu’on la compare à la séquence codante pour la protéine spike du vaccin, on remarque de nombreuses différences qui, cependant, n’affectent pas le produit de la traduction (car il s’agit de codons synonymes). Ces modifications de la séquence nucléotidique ont été introduites par les chercheurs pour une plus grande efficacité du vaccin (ils ont remplacé des bases par des G, autant que possible, pour augmenter l’efficacité de la traduction). https://www.pedagogie.ac-nice.fr/svt/?p=2967

Mais de la même façon qu’il est impossible pour les fabricants d’ignorer la toxicité de la protéine spike connue depuis dix ans, il est encore plus impossible d’ignorer la fragilité (oxydabilité) des guanines !

On peut donc s’étonner qu’aucune des autorités de régulation en charge de l’évaluation des dossiers de demande d’AMM de ces vaccins (FDA et EMA notamment), connaissant la sensibilité des télomères et de l’ADN au stress oxydatif, n’aient demandé d’étude de toxicité sur les gènes (génotoxicité).

Extrait du rapport de l’EMA sur Comirnaty (vaccin Pfizer): « Génotoxicité : Aucune étude de génotoxicité n’a été fournie. Ceci est acceptable car les composants présents dans la formulation du vaccin sont des lipides et de l’ARN qui ne devraient pas avoir de potentiel génotoxique (EMA, 2021) ».

D’un point de vue scientifique et en termes de sécurité, ceci peut être considéré comme irresponsable.

Les protéines spike des vaccins à ARN sont-elles plus nocives que la protéine spike du virus SARS-CoV2?

Les trois explications expérimentales puis théoriques suivantes permettent de répondre par l’affirmative. Les « apprentis technologues du vivant » ont pensé rendre plus stable l’ARN des vaccins en le dopant en bases G, sans modifier les acides aminés correspondants, chose permise grâce au « mode de fonctionnement » du code génétique universel qui permet à plusieurs triplets de codons distincts de coder pour un seul et même acide aminé. Malheureusement, ceci conduit dans le cadre des ARN des vaccins, à un résultat diamétralement opposé puisque ces derniers deviennent plus instables, plus fragiles et plus cassants.

1 – L’article syndrome de « mimétisme Covid-19 induit par le vaccin » (Marschalek et al., 2021) montre comment ce dopage en bases G de l’ARN du spike peut engendrer des changements de cadre de lecture des codons, donc des séquences partielles d’acides aminés différents, pouvant entraîner au final des événements thromboemboliques chez les patients immunisés par les vaccins covid-19.

2 – De plus, il a été démontré comment cet excès de bases G de l’ARN du spike des vaccins réduit à zéro les mégastructures selon des proportions UA/CG définies par Fibonacci alors qu’au contraire, la spike du virus et surtout celle des variants voit s’enrichir la complexité et la quantité de telles structures. Pour simplifier, cela signifie que l’ARN des vaccins n’est qu’un empilement de nucléotides sans la moindre colonne vertébrale lui assurant une mégastructure à moyenne et longue distance, alors que les variants acquièrent de jours en jours une plus grande solidité et cohésion globale de leur ARN. (Perez JC 2021)

3 – Cette incohérence peut aussi être visualisée dans la figure ci-dessous comme une sorte de « rugosité fractale » qui est beaucoup plus instable et inharmonieuse dans l’ARN du spike des vaccins (Pfizer plus particulièrement) que dans l’ARN du spike du virus. Ceci a été montré en utilisant la méthode du code maître.

Figure – Rugosité Fractale erratique des Spikes des vaccins Pfizer et Moderna.

Exploratoire

Sur un plan plus exploratoire, les recherches tendent à suggérer que télomères et centromères pourraient également contribuer à des équilibres (fine-tuning) plus globaux, tant à l’échelle du chromosome que du génome humain entier. 

En effet, depuis sa version initiale de 2003, plusieurs versions successives de plus en plus précises du génome humain entier ont été analysées et publiées. Cependant, pour des raisons techniques liées à leur aspect répétitif et très redondant, les télomères et centromères n’avaient pas pu être séquencés dans aucune de ces différentes versions. Et ce n’est finalement que cette année, en 2021, qu’une version intégrant les télomères a été publiée.

Lors des analyses des précédentes versions des 3,5 milliards de paires de bases TCAG du génome humain, deux découvertes remarquables avaient été publiées : 

1 – La première à l’échelle du chromosome humain suggérant que l’érosion des télomères pourrait affecter cet équilibre global à l’échelle du chromosome entier : une mise en évidence des « ondes numériques stationnaires » résultant de l’analyse des séquences nucléotidiques de chaque chromosome (chacun des chromosomes est caractérisé par une période exprimée en nombre de nucléotides, par exemple 34 pour le chromosome 4 entier (Perez JC. 2018)).

2 – La seconde à l’échelle du génome humain entier, où en 2010 était démontré que les populations de triplets codons du génome humain entier, projetées selon les positions de chacun des 64 codons de la table du code génétique universel obéiraient à une sorte d’optimum numérique (Perez JC date ?.). Cet optimum s’étant en plus affiné au fur et à mesure avec les analyses des versions de plus en plus précises du génome humain (2003, 2005 et…).

Dans ces deux articles, était ensuite démontré comment des délétions, dans un seul chromosome, associées à certains cancers, suffisaient pour dégrader cet équilibre optimum à l’échelle du génome tout entier

Il est donc légitime de penser que les dégradations de télomères pourraient également altérer cet équilibre nucléotidique GLOBAL du génome ENTIER de façon analogue à celle observée dans les délétions associées aux cancers. (Voir pour cancers prostate et sein et pour cancers du cerveau glioblastome et des neuroblastome)

Finalement, comme démontré précédemment lors de délétions de fragments d’un chromosome associées à des cancers, nous pensons que cette « érosion » accélérée des télomères, probablement liée à la protéine spike du virus mais aussi au spike des vaccins, pourra affecter ce double équilibre à l’échelle de chaque chromosome puis du génome entier.

Conclusion

Ces études et observations apportent des informations clés sur la maladie et une réponse fondamentale à la question de la plus grande sensibilité des personnes âgées ou immuno-déficiente à la maladie. En effet, avec le vieillissement, les télomères se détériorent et affectent la reproduction cellulaire. Le SARS-CoV2 entraînerait un vieillissement de l’âge biologique ou une accélération de l’âge biologique par le biais d’un raccourcissement accru des télomères.

La question que l’on peut légitimement poser est la suivante : la protéine spike active des vaccins (Pfizer, Moderna…) en sollicitant/boquant le récepteur ACE2 n’est-elle pas susceptible d’inhiber la fonction bénéfique de protection des télomères et ainsi d’activer aussi le vieillissement ?

Il y aurait donc un lien direct entre la maladie et la machinerie cellulaire humaine avec intervention de la transcriptase inverse, ce qui ne correspond absolument pas à l’objectif d’un vaccin traditionnel.

Pour lutter contre le SARS-COV2, deux stratégies à mener de front semblent pertinentes :

1 – Prévenir la maladie – avec comme approche thérapeutique et médicale les réponses connues des gestes barrières, des traitements précoces et d’une « vaccination éprouvée ». La prévention passant également par une hygiène de vie saine, une alimentation équilibrée, de l’activité physique, du repos en quantité suffisante, des échanges sociaux. Mens sana in corpore sano, le meilleur prérequis pour affronter virus et bactéries.

2 – Empêcher les formes graves de la maladie – ce qui demande avant tout la compréhension complète du virus, de son mode d’action et des conséquences de la maladie sur les organes affectés. 

À ce jour, la réponse sanitaire à la gestion de la crise consiste en l’injection de substances encore à l’essai, toujours en phase 3 au moment où est publié cet article, pour lesquelles la définition du mot « vaccin » a dû être modifiée par l’OMS elle-même. De plus, il est accepté que l’injection avec la technologie à ARN messager entraîne une production accrue de la protéine spike tout en ne réduisant pas la transmission (traitement Pfizer déclaré efficace à 42% seulement contre le variant delta). Cette barrière vaccinale favoriserait également la création de variants qui cherchent à la contourner. Dans les pays qui ont massivement vacciné, les données publiées par les autorités tendent à montrer que un pourcentage élevé des personnes hospitalisées sont des personnes dont le parcours vaccinal est complet. Notons qu’à ce jour, les institutions françaises ne rapportent pas les mêmes observations ; ceci peut être expliqué en partie par le décalage du démarrage de la campagne de vaccination (+ 2 mois par rapport à Israël par exemple).

Le professeur Montagnier déclare : « pour prévenir la sénescence, prenez des antioxydants ! je dis cela depuis 30 ans, j’ajouterais maintenant : pour ne pas perdre mes télomères ».

Plusieurs questions se posent sur le virus :

1 – Est-il préférable d’attraper la maladie de manière hasardeuse et de développer une réponse immunitaire globale naturelle ou de tenter l’expérience vaccinale en encourant les nombreux effets secondaires rapportés par la pharmacovigilance, ainsi qu’un risque de sénescence cellulaire accrue ?

2 – La détérioration de l’âge biologique est-elle la même chez les malades Covid et chez les vaccinés ? L’un est-il pire que l’autre ? À ce stade, personne ne peut apporter de réponse précise à ces questions.

Toujours est-il que ce virus entraîne une augmentation de l’âge biologique chez les personnes qui contractent la maladie dont l’effet est probablement accentué par l’injection vaccinale. Avec la baisse de l’efficacité sur la contamination, il est donc essentiel de prévenir l’aggravation de la maladie et pour cela une prise en charge précoce est impérative.

En laissant évoluer la maladie au-delà des premiers jours et en utilisant les vaccins comme unique solution, le risque existe que l’on entraîne une réduction du temps de vie tant des adultes que des enfants. À l’heure où les femmes comme les hommes cherchent à vieillir dans les meilleures conditions et rester jeunes le plus tard possible, veut-on prendre le risque avec des injections régulières de ruiner tous ces efforts ? Devant la volonté de vacciner les enfants qui ne sont pas affectés par le SARS-CoV2, il ne faudrait pas que le remède soit pire que le mal.

Face aux ressentis de certains patients ayant contracté le Covid et/ou de certaines personnes vaccinées témoignant qu’elles ont l’impression « d’avoir pris dix ans d’un coup », la science amènerait-elle à point nommé, une fois encore, des éléments factuels de réponse en faveur des traitements précoces ? Un dernier pas, que certains n’hésiteront pas à franchir, est de déclarer que l’accélération de l’âge biologique entraînerait une baisse de l’espérance de vie.

Auteurs de cette analyse et tribune par ordre alphabétique : Xavier Azalbert, Anne-Typhaine Bouthors, Michel Brack, Dominique Cerdan, Walter Chesnut, Gérard Guillaume, Jean-François Lesgards, Luc Montagnier, Jean-Claude Perez.
Remerciement aux nombreux membres du Collectif citoyen pour la relecture.

Auteur(s): Xavier Azalbert, Anne-Typhaine Bouthors, Michel Brack, Dominique Cerdan, Walter Chesnut, Gérard Guillaume, Jean-François Lesgards, Luc Montagnier, Jean-Claude Perez pour FranceSoir




Le monde se réveille de Sydney à Vancouver

Par Nicole Delépine

De très nombreuses manifestations sont programmées pour ce 4 septembre 2021 en France ainsi que des pique-niques improvisés sur les places de villes et villages et des rondes multiples et variées témoignant des retrouvailles d’un peuple trop longtemps enfermé chez lui et sur lui-même sous pression des annonces mensongères du gouvernement et des médias.

Mais ce réveil est mondial et comme les TV ne nous renseignent guère, nous vous ferons partager quelques nouvelles reçues de l’étranger qui vous feront battre le cœur en symbiose avec nos amis italiens, allemands, anglais ou canadiens et même australiens vivement agressés aussi par cette volonté d’hégémonie de quelques-uns contre l’ensemble des humains de notre planète bleue.

Espérons qu’elle ne rougisse pas à force de sang accumulé des victimes des pseudovaccins qui commencent à se multiplier.

Donc quelques exemples pour se remonter le moral et pour comprendre que nos combats ne sont pas vains et que plus intenses ils seront, plus la galère se terminera rapidement.

VANCOUVER IMPRESSIONNANT

https://t.me/LibertyOnlineNews/37411

RÉVEIL des Australiens particulièrement martyrisés :

https://t.me/GreatAwakeningChannel/39412

avec la manifestation des routiers qui iront jusqu’au bout… ils bloquent les routes les plus importantes pour faire cesser le fascisme de bigpharma

ET LA BELLE MANIFESTATION DES MÉDECINS GRECS :

Déjà le 30 août grosse manifestation devant le parlement

Situation très tendue hier soir devant le Parlement de Grèce à Athènes où des milliers de personnes ont manifesté contre le pass sanitaire et la vaccination obligatoire pour tous les professionnels de santé à partir du 1er septembre.

Royaume-Uni

USA



Denver

Manifestation pour supprimer les muselières inutiles et toxiques pour les enfants :

L’IRLANDE VEUT STOPPER LE MASSACRE

Affiche sur les autoroutes / TROP DE MORTS POST VACCIN ça suffit

ET DE NOMBREUSES VILLES ITALIENNES

manifestent contre le green pass que veut imposer Mario Draghi qui n’a pas encore gagné.

COMME VOUS LE VOYEZ, LES RÉSISTANTS SONT NOMBREUX DE PAR LE MONDE

Des manifestations sont récurrentes aux Pays-Bas, en Israël, etc..

NOUS NE SOMMES PLUS DES VICTIMES DU COVID OU DE LA PLANDEMIE

MAIS BIEN DES GUERRIERS UNIS POUR SAUVER NOTRE HUMANITÉ

Partagez, car nos TV sont muettes de même que les réseaux bloqués (face book twitter, linkeldin etc°

Anonyme Citoyen

⁦@AnonymeCitoyen⁩




Reiner Fuellmich : « Ce n’est pas un accident : cette crise n’a toujours rien de sanitaire »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

L’avocat Reiner Fuellmich revient pour nous présenter les avancements du Comité Corona avec lequel il travaille depuis des mois pour tenter d’élucider les tenants et aboutissants de la crise du covid-19. 

Il explique d’entrée de jeu se trouver à un moment crucial de l’avancée des recherches : « Nous sommes passés de « Quelle est cette pandémie ? » ; « À quel point le virus est-il dangereux ? » ; « À quel point les tests PCR sont-ils fiables ? » ; « Quelles conséquences auront les mesures sanitaires anti-covid ? » ; à « Qui est derrière tout ça ? »

Pour répondre à ces questions, il a mené plus de 150 interviews avec des experts du monde entier, tels que le Pr Luc Montagnier et Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, pour en arriver à la conclusion que « tout ceci n’a rien de sanitaire, et n’a jamais rien eu de sanitaire ». Il revient notamment sur l’aspect économique de la pandémie, en montrant que « ceux qui récupèrent actuellement des parts de marchés dans le monde, sont aussi ceux, si on suit l’argent, qui sont derrière ce qui est en train de se passer ». Selon lui, les PME, notamment occidentales, sont en train d’être phagocytées par les géants économiques tels qu’Amazon ou rachetées par les chinois.

À propos de la santé, il souligne le fait que la tant attendue vaccination ne résoud pas le problème et n’arrête pas le virus comme espéré, pendant que les mesures sanitaires enclenchent de nombreux suicides au sein de la population.

Toujours selon lui, les populations du monde entier se rendent petit à petit compte que les gouvernements continuent de placer leurs pions pour contrôler leur « vie quotidienne ».

En assemblant tous les éléments qu’il liste, il en arrive à la conclusion que : « Tout ceci n’est pas un accident. C’est intentionnel. »

Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org :
Version originale en anglais :



Version doublée en français par Jeanne Traduction :



Auteur(s): FranceSoir




L’étude bidon à l’origine du pass sanitaire

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Guy de la Fortelle, pour France Soir

TRIBUNE – De la vérité scientifique à la dictature du chiffre : Comment des chiffres vrais produisent des idées fausses

Nous allons voir comment une succession d’études, de chiffres, mesures, calculs, communiqués, tweets et articles sans jamais procéder à une falsification évidente aboutit à un résultat faux.

Nous allons nous intéresser aujourd’hui à l’étude qui a justifié la mise en place du pass sanitaire et comment l’outil de vérité qu’est la démarche scientifique a été souillé et détourné en un outil de propagande et de contrôle social.

Le pass sanitaire : Un coup de bazooka dans le pied

En effet, dans l’étude d’impact et l’avis du Conseil d’État sur la loi qui a instauré le pass sanitaire, nous pouvions lire que le pass était nécessaire pour empêcher une vague aussi grave que celle de mars 2020 :

Aujourd’hui, il apparaît manifeste selon les données gouvernementales d’occupation des lits de réanimation que le pic de mars 2020 n’a pas été reproduit et que le pass sanitaire n’a rien changé à la forme de la cloche naturelle de l’émergence de chaque nouveau variant :

Mais alors que s’est-il passé ? Pasteur et l’INSERM se sont-ils trompés à ce point malgré les enjeux ? Avons-nous simplement eu beaucoup de chance ?
 

La double faute de l’étude Pasteur

Je ne suis pas le premier à m’attaquer à cette étude encore en pré-publication et sans doute pour longtemps : Le mathématicien Vincent Pavan a montré que les équations utilisées dans l’étude étaient fausses. Je vous invite à consulter son intervention remarquable sur FranceSoir.

Je voudrais ici apporter un éclairage complémentaire. Car les équations pouvaient bien être juste et la conclusion toujours aussi fausse… Cela en dit d’ailleurs long de l’incompétence de ces chercheurs. Le problème à mon avis est plus profond encore mais plus facile à comprendre, pas besoin d’être statisticien, vous allez voir.
 

Comment faire entrer une question personnelle dans le champ politique

Commençons par y regarder de plus près, l’argumentaire est simple comme vous avez pu lire dans la capture ci-dessus : pour éviter les hospitalisations, il faut limiter la circulation du virus (taux de reproduction), or, selon Pasteur, les personnes non-vaccinées contribuent de manière disproportionnée à la transmission, donc il faut un pass sanitaire.

Remarquez qu’ils auraient pu choisir de limiter les hospitalisations, non en attaquant la circulation du virus, mais l’émergence des formes graves en promouvant la vaccination pour les personnes à risque, mais également la prévention et les soins précoces.

Mais nous nous trouvons alors face à un choix médical personnel qui ne peut en aucun cas être forcé par un pouvoir politique tandis que porter l’argumentaire sur la circulation du virus le fait entrer dans le champ politique de la vie en société.

Déjà la science a cédé le pas devant le politique.

Il nous faut donc nous attacher à la circulation du virus.
 

Les certitudes tranchantes des journalistes

Fin juin, l’Institut Pasteur a publié une étude qui circula largement dans les médias et dans les dîners, notamment au Figaro : « Covid-19 : une personne non-vaccinée a douze fois plus de risques d’en contaminer d’autres ».

Un grand institut et un grand journal sont des organisations avec des moyens importants et des armées de professionnels compétents : qui suis-je pour remettre en cause leur compétence et me croire au-dessus d’eux me rétorqua-t-on alors ?

Il se trouve que le journaliste du Figaro a fait un glissement par rapport au résumé de l’étude. Il tronque le début de la phrase :

« On s’attend à ce que, […] les personnes non vaccinées contribuent à la transmission de manière disproportionnée. Une personne non-vaccinée a 12 fois plus de risque de transmettre le SARS-CoV-2 qu’une personne vaccinée ».

Première leçon : cette étude n’était pas une observation. C’était un modèle.

Pas une observation, une modélisation qui vaut uniquement si…

C’est-à-dire que les chercheurs n’ont pas observé que la transmission était douze fois plus forte chez les personnes non-vaccinées, ils l’ont calculé à partir d’hypothèses qu’ils ont librement choisies.

L’article du Figaro aurait dû dire : si les paramètres choisis par les chercheurs de l’institut Pasteur sont justes et si leurs calculs le sont également, alors, un non-vacciné aurait douze fois plus de risque de transmettre le virus.

L’affirmation du Figaro était à prendre au conditionnel… Mais qui a encore le temps d’aller fouiller jusque dans le corps des études.

Comme avec tous les modèles, tout dépend des paramètres choisis. Et notez bien que dans cette démarche, peu importe d’un point de vue strictement scientifique que les paramètres soient faux, d’un point de vue de pure logique, même si les paramètres sont faux, l’étude, elle, est toujours juste, simplement inutile et absurde.

Vous touchez là à une limite importante de l’approche scientifique.

Mais pour avoir ces hypothèses, il faut aller dans le corps de l’étude elle-même où, en cherchant bien, on découvre les 2 paramètres essentiels choisis par les chercheurs :

–              Susceptibilité : 80 % de risque en moins d’attraper le virus pour les personnes vaccinées et

–              Infectivité : 50 % de risque en moins de transmettre le virus chez les personnes vaccinées l’ayant attrapé malgré tout

Avec ces deux paramètres, choisis librement (« we assume » / nous supposons), les chercheurs justifient déjà une transmission 8 fois plus élevée chez les non-vaccinés :

4x moins de risque d’attraper le virus avec le vaccin
et 2x moins de risque de le transmettre pour les vaccinés malchanceux
= 8 fois moins de risque de transmettre le virus grâce au vaccin.

Nous nous limiterons à ces deux paramètres : Nous aurons vérifié l’essentiel.

Commençons par le risque de transmission chez les personnes infectées.

Infectivité : L’étude hors-sujet et non-reproductible pour justifier un risque de transmission plus faible chez les vaccinés infectés

Pasteur se fonde sur une étude du New England Journal of Medicine intitulée : Effets de la vaccination sur la transmission au sein de foyers du SARS-CoV-2 en Angleterre.

Premier problème de taille : Cette étude explore la transmission dans les foyers, totalement hors sujet pour l’étude Pasteur qui conduit à l’instauration du pass sanitaire.

Deuxième problème de taille : Cette étude date du début de l’année et du variant anglais, ce dernier ne circulant plus au moment où Pasteur publie son étude.

Enfin, de l’aveu même des chercheurs, l’étude est très spéculative car elle s’appuie sur des tests spontanés, or nous savons que les personnes vaccinées se font bien moins tester spontanément que les autres. Les auteurs notent d’ailleurs que d’autres études avec suivi actif et tests systématiques arrivent à des chiffres différents des leurs !

Et à l’inverse, l’IHU de Marseille a montré que les vaccinés infectés avaient des charges virales supérieures à celles des non-vaccinées… Et plus vous excrétez de virus, plus vous avez de risque de le transmettre.

Aussi était-il hautement spéculatif pour les chercheurs de Pasteur de supposer que les vaccinés infectés avaient deux fois moins de chance de transmettre le virus, ils auraient pu choisir 1 ou même la moitié, ils auraient été plus crédibles.

Susceptibilité : Mauvais variant, mauvaise population

Notre deuxième paramètre de susceptibilité est aussi grossier que le premier.

Je vous rappelle que la communication autour des vaccins et les chiffres publiés par les labos se sont portés depuis le début sur les risques d’attraper des formes symptomatiques.

Là, il nous faut remonter un cran pour tenter d’observer le risque d’attraper le virus même de manière asymptomatique (et donc de le transmettre).

Pour cela les études anglo-saxonnes suivent des cohortes de personnels soignants.

Et l’étude du Lancet choisie par les chercheurs de Pasteur ne déroge pas.

Les chercheurs du Lancet ont observé une population active, en bonne santé et à 84 % fémininec’est-à-dire les adultes qui ont le moins de risque face au virus (les hommes meurent deux fois plus du Covid que les femmes).

Et là encore, l’étude porte sur le variant anglais, toujours éteint depuis fin juin.

Cela signifie que vous avez 4 fois moins de risque d’attraper le Covid grâce au vaccin, si et seulement si : vous êtes une femme, active en bonne santé pour aller travailler (personnel hospitalier) et exposée au variant anglais.

Il y a quelques jours, le Center for Disease Control américain a publié une étude similaire sur le variant Delta, aussi sur une cohorte de soignants.

Nous chutons alors à 66 % d’efficacité vaccinale, soit trois fois moins de risque d’être infecté malgré le vaccin. C’est tout de même pas mal malgré les biais.

Mais les auteurs de cette étude qui a fait le tour du monde comme une traînée poudre et une vérité révélée avouent que leurs chiffres ne sont pas fiables car ils n’ont pas eu assez de données, en particulier chez les non-vaccinés… Car il n’y en a plus assez dans leur cohorte.

En effet, seuls 9 soignants suivis ont contracté le variant Delta dans l’étude… Ce n’est pas significatif.

Aussi la marge d’erreur de l’étude est devenue un gouffre : les chercheurs notent une efficacité entre 26 et 84 % ! Soit un risque divisé par quaou peut-être par un demi seulement.

Cela ne veut pas dire que cela est faux, simplement que nous ne savons pas.

Les chercheurs n’ont pas mal fait leur travail (ils ont eux-mêmes noté leurs biais et limites), mais leur travail ne permet pas de conclure.
 

Du faux à partir du vrai

Notez bien que dans toute la séquence, tout le monde a fait (presque) honnêtement son travail.

Les chercheurs britanniques ont réalisé des études d’observation en notant scrupuleusement leurs biais. Les chercheurs de Pasteur ont choisi ces paramètres faute de mieux (soyons charitables).

Le journaliste du Figaro, dans un souci de lisibilité a tronqué un début de phrase.

Et à la fin pourtant, nous arrivons à une grosse falsification tant les biais et les simplifications successives ont été accumulés.

Bien sûr tous ces biais sont orientés de la même manière : Les chercheurs ne sont pas des saints. Ils ont besoin de financer leurs labos, d’être publiés, repris par la presse.

Alors au moment d’interpréter l’étude on la tord un peu pour plaire à ses sponsors et commanditaires : l’étude de Pasteur a été financée par le programme des Investissement d’Avenir, la Haute Autorité de Santé, Santé Publique France et la Commission européenne.

La science détournée

Il convient de nous demander finalement si c’est l’étude qui éclaire le législateur ou le législateur qui fabrique l’étude.

Alors pouvons-nous toucher du doigt comment la démarche scientifique est insensiblement détournée de sa recherche de vérité pour devenir un instrument de domination et d’asservissement

Nous sommes remontés d’un cran dans le vice : On ne se contente plus de contrôler la loi, on contrôle désormais le chiffre qui justifie la loi.

Ainsi la loi n’est plus inique, c’est le chiffre qui l’est… Mais allez donc en faire la preuve.

Rares sont ceux qui perdent leur temps comme moi pour décortiquer les études et finalement personne ou presque ne se forge son opinion directement par l’étude, nous faisons confiance ou non dans notre interlocuteur.

D’ailleurs, mon cher lecteur, l’essentiel de votre accueil de cette lettre dépend de la confiance que vous me portez par rapport à celle que vous portez au Figaro davantage que de l’analyse que je vous présente.

Les deux sont liés bien sûr et j’espère mériter votre confiance par mon travail. Mais la confiance, mon cher lecteur, change tout à la science.

Et ce n’est pas tout.

Nous pourrions terminer cette longue lettre avec une question encore plus fondamentale et éminemment politique :

Pourquoi avons-nous classé le monde en deux catégories de vaccinés et non-vaccinés ?

Nous aurions pu faire trois catégories, plutôt que deux… Les vaccinés, les non-vaccinés et les rétablis.

Il se trouve que la plus grosse mutuelle israélienne a compilé de manière rétrospective (et donc non spéculative) les données d’un million de personnes.

Ils ont observé que les personnes rétablies du virus le rattrapaient 13 fois moins que les vaccinés.

C’est-à-dire que l’immunité naturelle est incroyablement plus puissante que l’immunité vaccinale.

Alors qu’aurions-nous dû faire ?

Aurions-nous dû vacciner absolument tout le monde pour éviter des formes graves chez les actifs ou laisser les actifs en bonne santé attraper le virus pour gagner une meilleure immunité à long terme.

Selon le choix que vous faites vous allez favoriser certains et handicaper d’autres. Il faudrait alors calculer la valeur de chaque vie pour savoir lesquelles sauver et lesquelles sacrifier.
 

Ma vie vaut-elle plus cher que la vôtre ?

Mais une vie mon cher lecteur, ça vaut combien d’euros ou de dollars ?

La mienne vaut-elle plus ou moins cher que la vôtre ?

C’est une question dégueulasse.

Elle n’a pas de bonne réponse. La poser est déjà scandaleux !

Face à un tel dilemme la science n’est d’aucune aide, le chiffre d’aucun secours quand bien même serait-il juste.

La vie humaine est sacrée et la réponse est pourtant toute simple, chacun fait du mieux qu’il peut pour se protéger et protéger ses proches, ceux qui l’entourent. Ce n’est pas facile, ce n’est pas parfait, mais au moins nous payons le prix de nos actions tandis qu’à Paris, ils peuvent en accumuler des aberrations, ils n’en paieront jamais le prix.

En nous ôtant notre responsabilité, ils nous ôtent également notre capacité à choisir, à mettre en branle cette intelligence collective, sans commune mesure avec la froide dictature des chiffres et l’on ne détourne pas impunément cette intelligence sociale si lentement cristallisée mais si rapide à détruire.

« La tyrannie abjecte du Nombre est une infection lente qui n’a jamais provoqué de fièvre. Le Nombre crée une société à son image, une société d’êtres non pas égaux, mais pareils, seulement reconnaissables à leurs empreintes digitales. » La France contre les robots, George Bernanos, 1945
 

Guy de la Fortelle est éditeur et fondateur de la newsletter L’investisseur sans costume.

La vidéo explicative de cette tribune est sur Odysee :



Auteur(s): Guy de la Fortelle, pour France Soir