Le Canada adopte à son tour le programme de censure autoritariste

[Source : Mondialisation.ca]

Par Kurt Nimmo

Voici comment le Canada répondra au journalisme citoyen et à la
démystification de la trame narrative : en forçant les contribuables à
subventionner l’escroquerie des médias institutionnels. 

« Les organismes fédéraux publieront une liste des journaux et des sites Web jugés fiables dans le cadre d’un programme de subventions de plusieurs millions de dollars. Le ministère des Finances en a fait l’annonce hier au Comité sénatorial des finances nationales ». C’est ce que rapporte un site Web d’Ottawa, le Blacklock’s Reporter.

Le projet de loi C-97, Loi d’exécution du budget, propose un
crédit d’impôt de 15 %, jusqu’à concurrence de 75 $, aux abonnés de
sites Web exploités par « une organisation journalistique canadienne
qualifiée ». Les critères s’y rapportant ne sont pas connus. Le crédit
d’impôt devrait coûter 11 millions de dollars en 2020. Il prendra fin en
2024. 

Le projet de loi modifie aussi la Loi de l’impôt sur le revenu
afin de pouvoir offrir de lucratives subventions sur les salaires aux
organes de presse qui « se consacrent principalement à la production de
contenu de nouvelles écrites originales ». Un total de 360 millions de
dollars devrait être versé sur une période de quatre ans au moyen d’un
crédit d’impôt équivalant à 25 % des dépenses salariales des éditeurs,
soit l’équivalent d’un montant maximal de 13 750 $ par employé de la
salle de presse, avec effet rétroactif jusqu’au 1
er janvier 2019. 

Les Canadiens seront non seulement obligés de payer les salaires des
sténographes qualifiés de journalistes par le gouvernement, mais ce
dernier veut s’assurer que le citoyen moyen se garde de consulter de
« fausses informations » sur les médias sociaux.

Tiré de Global News :

Le premier ministre Justin Trudeau a affirmé que les plateformes
numériques « ne respectent pas leurs responsabilités envers leurs
usagers », lorsqu’il a pris la parole jeudi à l’occasion de la
conférence Viva Technology à Paris.

Il a dit que son gouvernement tiendrait les entreprises
responsables de la désinformation, et qu’elles devaient apporter des
améliorations majeures à leurs moyens de régler la question, sans quoi
elles s’exposent à des « conséquences financières significatives… » 

À propos des prochaines élections fédérales au Canada, il a dit
que le gouvernement prenait des mesures pour éliminer les infaux et
qu’un nouveau groupe de travail a été mis sur pied pour déceler les
menaces qui planent sur ces élections et empêcher toute interférence
étrangère. 

Le parlement de Singapour a approuvé la loi sur la protection contre les faussetés et la manipulation en ligne le 8 mai 2019.

Tiré du Activist Post :

En vertu de la loi, un ministre du gouvernement peut exiger des
administrateurs de sites Web, des fournisseurs de services Internet et
même des groupes de discussion privés de corriger ou de retirer
immédiatement les « infaux » de leurs domaines. Mais la définition de ce
qui est considéré comme faux ou trompeur est remarquablement vague. 

L’appel de Christchurch » contribue à favoriser une campagne visant à nettoyer Internet de tout contenu que le gouvernement qualifie de dangereux. 

L’Appel de Christchurch est un engagement pris par les
gouvernements et les sociétés technologiques afin d’éliminer les
contenus en ligne terroristes et extrémistes violents. Il repose sur la
conviction qu’un Internet libre, ouvert et sécurisé offre des avantages
extraordinaires à la société. Le respect de la liberté d’expression est
fondamental. Cependant,
personne n’a le droit de créer et de partager du contenu terroriste et extrémiste violent en ligne.

La définition de terroriste et d’extrémiste violent est évidemment
remarquablement vague, ce qui permet à l’État d’y inclure toute personne
ou tout groupe qu’il cherche à discréditer et à cibler pour l’éliminer. 

« Le terme extrémiste décrit une personne qui adhère à une idéologie perçue comme très éloignée des attitudes jugées acceptables par la société en général. Les
extrémistes ne sont pas tous des terroristes. Certains ont des
croyances extrémistes, mais n’ont pas recours à la violence pour les
faire valoir. Certains extrémistes maintiennent des versions extrêmes de
points de vue qui peuvent être considérés comme normaux », explique la ligue anti-diffamation.

Autrement dit, si vous déviez de la trame narrative défendue par
l’État, vous serez « perçu comme très éloigné des attitudes jugées
acceptables par la société en général » ou, comme en France, en
Allemagne et, dorénavant, en Nouvelle-Zélande et au Canada, vous serez
condamné à une amende et peut-être aussi à une peine d’emprisonnement
pour avoir commis le crime d’avoir tenu un discours non approuvé, donc
extrémiste et dangereux. 

Les médias institutionnels ont assez bien réussi à confondre le
populisme et le nationalisme avec la suprématie blanche. Ils sont
également parvenus à dépeindre les militants antiguerre de la gauche et
de la droite comme des partisans du terrorisme et des outils de
propagande volontaires ou non de Bachar al-Assad en Syrie, des mollahs
en Iran et de Vladimir Poutine en Russie, qui cherchent à nuire à la
démocratie. 

Le cancer de la censure autoritariste prend de l’ampleur après chaque
attaque terroriste douteuse. La terreur islamiste fait maintenant
concurrence au nationalisme blanc pour faire la manchette.

Toute critique de l’élite financière et de son système de Ponzi
financier est qualifiée d’antisémitisme et devient ainsi un discours de
haine qui doit être censuré et éventuellement puni. 

Kurt Nimmo

[Source originale anglaise : Another Day in the Empire]




L’illusion du COVID-19 et la remise à zéro de la monnaie

[Source : Le Saker Francophone]


La réinitialisation : pas tout d’un coup ; pas à pas


Par Jon Rappoport – Le 6 avril 2020 – Source No More Fake News

Lorsque cette farce hautement destructrice sera terminée, il y a plusieurs façons de procéder. Dans cet article, je décris une de ces voies. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et la Banque mondiale (BM) sont fortement liées. En 2018, elles ont noué de forts liens en formant un partenariat pour surveiller les épidémies avant qu’elles ne se propagent.

En gros, en coulisses, l’accord se présente comme suit : l’OMS crée l’illusion d’épidémies mondiales ; la BM intervient ensuite pour ramasser les morceaux des économies nationales fragilisées par les résultats – en octroyant des prêts aux gouvernements.

Ces prêts sont toujours assortis de conditions. La première condition est la suivante : laisser entrer des investisseurs privés, itinérants, étrangers, prédateurs, privés, afin qu’ils puissent prendre en charge les secteurs vitaux d’une nation : énergie, agriculture, eau, etc.

Mais cette fois-ci, l’OMS, agissant comme prévu, a fait preuve de bêtise. Les confinements sont en train de détruire les économies. Ce ne sera pas « juste une question de prêt ». C’est plutôt de l’ordre de : nous devons renflouer tout le monde.

Comment faire ?

Étape par étape, en échangeant un type d’argent illusoire contre un autre type d’argent illusoire.

Nous avons inventé un type d’argent à partir de rien, et il est arrivé au bout du rouleau. Maintenant, nous devons inventer une autre sorte de nouvel argent à partir de rien.

Le revenu de base universel (RBU). A terme, pour tous. Il est lui aussi assorti de conditions, mises en œuvre progressivement. En gros, l’accord est : « nous vous payons, et vous nous obéissez ».

L’aspect comportemental du modèle est celui du régime chinois, qui travaille l’obéissance par le biais d’un « crédit social ». Les infractions font baisser le score. Dans ce cas, le contrevenant ne peut pas voyager en avion, ni envoyer ses enfants dans certaines écoles, ni séjourner dans certains hôtels, ni créer une entreprise. Il existe plusieurs niveaux de sanctions.

Les infractions comprennent le fait de promener un chien sans laisse, de diffuser de fausses nouvelles, de franchir un feu rouge, de ne pas séparer correctement les ordures, de commettre une fraude commerciale – des petites ou des grosses infractions.

Dans le cadre d’un RBU global, ce serait : « Voici votre chèque numérique mensuel, suivez maintenant les ordres, ou votre argent pourrait être réduit. Soyez un bon citoyen ». Bien sûr, un tel système nécessite une surveillance complète et totale, publique et privée, dans tous les sens du terme.

Le Saint Graal, ce sont les quotas d’énergie pour chaque personne. « M. Smith, c’est votre mur qui parle à travers le glorieux Internet des choses. Votre consommation d’énergie pour le mois atteint sa limite. Je veux vous aider à éviter cette limite et les pénalités de crédit social qui seraient appliquées. Je vais initier des baisses de tension et des baisses d’intensité dans votre maison pour les deux prochaines semaines. Votre Internet sera coupé – sauf de minuit à trois heures du matin. Cuisinez tous vos repas pour la journée entre quatre et cinq heures du matin… »

Contrôle du comportement. Ce qui se passe maintenant est une mise au point pour l’avenir. Maintenant, on vous dit : restez à l’intérieur, ne laissez pas entrer les visiteurs. Faites la queue devant les magasins, en gardant une distance d’un mètre. Signalez les personnes qui semblent malades. Faites-vous tester. Lavez-vous les mains une douzaine de fois par jour. À l’avenir, la liste des règles et des règlements sera différente, mais le thème général sera le même : être un bon citoyen et contribuer à un monde meilleur. Soyez sincère, sérieux et serviable. Ne vous rebellez pas.

Et tout comme maintenant, beaucoup, beaucoup de gens réagiront : « Oui, merci. J’aime le droit chemin. J’aime le sentiment de contribuer à quelque chose de plus grand que moi. J’aime le collectif. J’aime le fait que nous soyons tous dans le même bateau ».

Une sous-population de ces personnes voudra en faire plus. Ils voudront rejoindre le gouvernement. Ils voudront aider le gouvernement à faire respecter les règles. Ils voudront « exprimer leur énergie ». Si on le leur demandait, ils défileraient volontiers en colonnes par 4 dans les rues, salueraient, distribueraient des sommations, procéderaient à des arrestations et commettraient même des actes violents sur ordre.

Ils porteraient des uniformes impeccables et prêteraient serment. Ils voudraient des grades et des sceaux. Ils voudraient qu’on les appelle élite. Parce que l’histoire ne signifie rien pour ces gens, ils ne connaîtront jamais ces noms : SS, Garde rouge ou Stasi. Mais c’est ce qu’ils seront.

A moins que le projet d’un Meilleur des Mondes technocratique ne soit exposé et ne s’écroule, parce que suffisamment de gens se souviennent d’un autre nom et savent ce qu’il signifie : Liberté.

Lorsque cette fausse crise pandémique sera déclarée « terminée », plusieurs thèmes émergeront. Ils seront promus de diverses manières, en utilisant de nombreux messages. Je parle de la propagande officielle du gouvernement et des médias.

Tout d’abord, la « pandémie » sera décrite comme un tournant majeur dans l’histoire de l’humanité, un grand choc pour le système. Toutes sortes de mensonges seront proférés et des menteurs professionnels parleront de AvP et d’ApP (avant la pandémie et après la pandémie).

On nous dira : « On ne peut pas revenir à ce qui était avant. »

Le premier grand thème de propagande sera : Aidez nous à construire un monde meilleur. Ce message s’adresse aux personnes sincères qui veulent s’engager et faire le bien, au sens collectif du terme. « Construisons un monde meilleur où nous pourrons éviter ces pandémies, ou alors les voir venir de loin. Formons une civilisation où l’égalité et la justice pour tous sont la priorité absolue. Partageons tous et prenons soin des autres… » Si vous y cherchez une logique, oubliez. Quoi qu’il en soit, les propagandistes laisseront entendre que la pandémie était en quelque sorte le signal que nous devons « faire mieux ». Nous devons « passer au travers ensemble » comme nous l’avons fait pendant la crise. L’amour que nous avons montré alors doit être l’amour que nous montrons maintenant. Un appel aux idéalistes du monde entier qui tombent sous le charme de vagues généralités comme les chats tombent dans l’herbe à chat.

Le deuxième grand thème, destiné à la classe instruite et aux classes techniques, ainsi qu’aux scientifiques et aux « penseurs », sera : organisation. « Nous devons organiser la civilisation mondiale de manière plus efficace ». Parce que, d’une certaine manière, c’était le problème avant la pandémie. Le manque d’organisation a permis aux choses d’échapper à tout contrôle. Nous ne pouvons plus être des groupes et des nations séparés qui suivent des voies différentes. Trop de désordre. Nous avons besoin de meilleures structures dans toutes les phases de la vie. Nous avons besoin de plus d’interconnexion et de coordination. La classe instruite aime ces choses. Cela correspond à son image de la réussite. Si la société fonctionne comme une machine, les problèmes seront résolus.

Le troisième grand thème de propagande s’adressera à toutes sortes de personnes qui seront sorties de leur enfermement et de leur auto-isolement, se seront promenées dans un parc un jour de printemps et se seront soudain souvenues de ce qui leur manquait. Leur soulagement atteindra presque un point d’hystérie, comme à la fin d’une guerre mondiale. Le thème sera : jamais plus. « Nous ne voulons en aucun cas retourner à ces jours sombres, et quoi qu’il en coûte, nous sommes avec vous. Dites-nous ce qu’il faut faire ».

Avec ces thèmes en main, la technocratie pourra être promulguée. Nous sommes tous pour la construction d’un monde meilleur. Nous devons l’organiser avec des barres sur les « t » et des points sur les « i ». Et nous ne devons jamais retourner dans l’obscurité.

A moins que les gens ne se souviennent de ce qui a été laissé de côté. L’Individu. Et la Liberté.

Les opérateurs technocratiques comptent sur nous pour oublier. Ils comptent sur les nombreuses personnes qui valorisent la liberté pour dire : « Tout est sans espoir. Je sais ce qu’est la liberté, mais trop d’autres ne le savent pas. Alors pourquoi se donner la peine. Je vais juste me rendre et flotter avec la marée. »

Flotter est une illusion. La marée se déplace dans une direction planifiée. Vers un rivage qui n’est pas joli.

Est-ce que les choses sont jolies maintenant ?

C’est ce qu’on appelle un indice.

Jon Rappoport




La globalisation du capitalisme, le « gouvernement mondial » et la crise du coronavirus.

[Source : Mondialisation.ca]

Quand le mensonge devient la vérité, il n’y a pas de retour en arrière

Par Prof Michel Chossudovsky

Dans les conseils de gouvernement, nous devons nous prémunir contre l’acquisition d’une influence injustifiée, recherchée ou non, par le complexe militaro-industriel.
Le risque d’une montée désastreuse d’un pouvoir mal placé existe et persistera.

(Président Dwight D. Eisenhower, 17 janvier 1961)


Le monde est trompé sur les causes et les conséquences de la crise du coronavirus.

La crise COVID-19 est marquée par une « urgence » de santé publique sous les auspices de l’OMS qui sert de prétexte et de justification au déclenchement d’un processus mondial de restructuration économique, sociale et politique.

L’ingénierie sociale est appliquée. Les gouvernements sont poussés à prolonger le verrouillage, malgré ses conséquences économiques et sociales dévastatrices.

Ce qui se passe est sans précédent dans l’histoire du monde.

D’éminents scientifiques soutiennent le verrouillage sans sourciller, comme une « solution » à une urgence sanitaire mondiale.

Amplement documentées, les estimations de la maladie COVID-19, y compris la mortalité, sont grossièrement manipulées.

En retour, les gens obéissent à leurs gouvernements. Pourquoi ? Parce qu’ils ont peur ?

Causes contre solutions ?

La fermeture des économies nationales appliquée dans le monde entier entraînera inévitablement la pauvreté, le chômage de masse et une augmentation de la mortalité. C’est un acte de guerre économique.

Première étape : la guerre commerciale contre la Chine

Le 30 janvier 2020, le directeur général de l’OMS a déterminé que l’épidémie de coronavirus constituait une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC). La décision a été prise sur la base de 150 cas confirmés en dehors de la Chine. Premiers cas de transmission de personne à personne : 6 cas aux États-Unis, 3 cas au Canada, 2 au Royaume-Uni.

Le directeur général de l’OMS a reçu le soutien de la Fondation Bill et Melinda Gates, de Big Pharma et du Forum économique mondial (FEM). La décision de l’OMS de déclarer une urgence mondiale a été prise en marge du Forum économique mondial (WEF) de Davos, en Suisse (21-24 janvier).

Un jour plus tard (le 31 janvier), après le lancement de l’urgence mondiale de l’OMS, l’administration Trump a annoncé qu’elle refuserait l’entrée aux ressortissants étrangers « qui ont voyagé en Chine au cours des 14 derniers jours ». Cela a immédiatement déclenché une crise dans le transport aérien, le commerce entre la Chine et les États-Unis ainsi que l’industrie du tourisme. L’Italie a suivi le mouvement, annulant tous les vols vers la Chine le 31 janvier.

La première étape s’est accompagnée de la rupture des relations commerciales avec la Chine ainsi que d’une fermeture partielle du secteur manufacturier d’exportation.

Une campagne a immédiatement été lancée contre la Chine et les Chinois. The Economist a rapporté que :

« Le coronavirus répand le racisme envers les Chinois et parmi les personnes d’origine chinoise »

« La communauté chinoise de Grande-Bretagne est confrontée au racisme en raison de l’épidémie de coronavirus »

Selon le PCSM :

« Les communautés chinoises d’outre-mer sont de plus en plus confrontées à des abus et à des discriminations racistes dans le contexte de l’épidémie de coronavirus. Certains Chinois de souche vivant au Royaume-Uni disent avoir été victimes d’une hostilité croissante à cause du virus mortel originaire de Chine ».

Et ce phénomène se produit partout aux États-Unis.

Deuxième étape : le krach financier provoqué par la peur et la manipulation des marchés boursiers

Une crise financière mondiale s’est déroulée au cours du mois de février et a culminé avec un effondrement spectaculaire des valeurs boursières ainsi qu’une baisse importante de la valeur du pétrole brut.

Cet effondrement a été manipulé. Il a fait l’objet d’un délit d’initié (« insider trading ») et d’une connaissance préalable. La campagne de peur a joué un rôle clé dans la mise en œuvre du krach boursier. En février, environ 6 000 milliards de dollars ont été effacés de la valeur des marchés boursiers dans le monde. Des pertes massives d’épargne personnelle (par exemple des Étasuniens de la classe moyenne) ont eu lieu, sans parler des faillites et des banqueroutes d’entreprises. Ce fut une véritable aubaine pour les spéculateurs institutionnels, y compris les fonds spéculatifs des entreprises. L’effondrement financier a entraîné des transferts importants de richesses monétaires dans les poches d’une poignée d’institutions financières.

Troisième étape : Verrouillage, confinement, fermeture de l’économie mondiale

Le krach financier de février a été immédiatement suivi d’un blocage au début du mois de mars. Le verrouillage et l’enfermement soutenus par l’ingénierie sociale ont contribué à la restructuration de l’économie mondiale. Appliqué presque simultanément dans un grand nombre de pays, le verrouillage a déclenché la fermeture de l’économie nationale et la déstabilisation des activités de commerce, de transport et d’investissement.

La pandémie constitue un acte de guerre économique contre l’humanité qui a entraîné une pauvreté et un chômage de masse à l’échelle mondiale.

Les politiciens mentent. Ni le verrouillage ni la fermeture des économies nationales ne constituent une solution à la crise de santé publique.

Qui contrôle les politiciens?

Pourquoi les politiciens mentent-ils ?

Ils sont les instruments politiques de l’establishment financier, y compris les « philanthropes ultra-riches ». Leur tâche est de mener à bien le projet de restructuration économique mondiale qui consiste à geler l’activité économique dans le monde entier.

Dans le cas des démocrates aux États-Unis, ils s’opposent en grande partie à la réouverture de l’économie étasunienne dans le cadre de la campagne électorale de 2020. Cette opposition à la réouverture des économies nationale et mondiale est soutenue par les grands intérêts financiers (« Big Money »).

S’agit-il d’opportunisme ou de stupidité. Dans toutes les grandes régions du monde, les politiciens ont reçu l’ordre de puissants intérêts financiers de maintenir le verrouillage et d’empêcher la réouverture de l’économie nationale.

La campagne de la peur prévaut. La distanciation sociale est appliquée. L’économie est fermée.  Des mesures totalitaires sont imposées. Selon le Dr Pascal Sacré :

… dans certains pays, des malades peuvent sortir de l’hôpital en acceptant de porter un bracelet électronique [10]. Ceci n’est qu’un échantillon de toutes les mesures totalitaires envisagées voire déjà décidées par nos gouvernements à la faveur de la crise du coronavirus. Cela va beaucoup plus loin, c’est sans limites [11] et cela touche une bonne partie du monde, sinon le monde entier.

Les « instincts de gérer les troupeaux » des hommes politiques

Les gouvernements corrompus agissent comme des « chiens bergers » avec l’ »instinct de gérer les troupeaux » de moutons.

Le « troupeau » a-t-il trop peur pour s’en prendre à son « gouvernement » ?

L’analogie peut être simpliste, mais néanmoins considérée comme pertinente par les psychologues.

« Certaines races de chiens [les politiciens corrompus] ont des instincts grégaires qui peuvent être mis en évidence par un entraînement approprié et des encouragements [des pots-de-vin]. …. apprenez à votre chien [mandataire politique] les bases de l’obéissance et voyez s’il [il, elle] montre des tendances de gardien de troupeau. … Cherchez toujours un dresseur qui utilise des méthodes de dressage basées sur la récompense [pots-de-vin, gains personnels, soutien politique, accession à de hautes fonctions] »

(Comment apprendre à votre chien à garder le troupeau)

Mais il y a une autre dimension. Les politiciens de haut niveau chargés de « convaincre leur troupeau » croient en fait aux mensonges qui leur sont imposés par une autorité supérieure.

Le mensonge devient la vérité. Les politiciens approuvent le consensus, ils appliquent l’ »ingénierie sociale », ils croient en leurs propres mensonges.

Ce n’est pas une épidémie, c’est une opération

Le secrétaire d’État américain Mike Pompeo (lapsus) admet tacitement, dans une déclaration quelque peu contradictoire, que le COVID-19 est un « Live exercice », une « opération » :

« Il ne s’agit pas de représailles,… Cette affaire va de l’avant – nous sommes ici dans un exercice en direct pour obtenir ce droit. »

Ce à quoi le président Trump a rétorqué « vous auriez dû nous le dire ».

Ces mots resteront dans l’histoire.



Géopolitique

Ne nous faisons pas d’illusions, il s’agit d’une opération soigneusement planifiée. Il n’y a rien de spontané ou d’accidentel. La récession économique est provoquée aux niveaux national et mondial. À son tour, cette crise est également intégrée dans la planification militaire et de renseignement des États-Unis et de l’OTAN. Elle vise non seulement à affaiblir la Chine, la Russie et l’Iran, mais elle consiste également à déstabiliser le tissu économique de l’Union européenne (UE).

« Gouvernance mondiale »

Une nouvelle étape dans l’évolution du capitalisme mondial est en train de se dérouler. Un système de « gouvernance mondiale » contrôlé par de puissants intérêts financiers, dont des fondations d’entreprises et des think tanks de Washington, supervise la prise de décision au niveau national et mondial. Les gouvernements nationaux deviennent subordonnés à la « gouvernance mondiale ». Le concept de gouvernement mondial a été soulevé par David Rockefeller (décédé en 2017) lors de la réunion de Bilderberger, Baden Allemagne, en juin 1991 :
.

«Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au Time Magazine et à d’autres grandes publications dont les directeurs ont participé à nos réunions et ont respecté leurs promesses de discrétion pendant près de 40 ans. … Il nous aurait été impossible d’élaborer notre plan pour le monde si nous avions été soumis aux yeux de la publicité pendant ces années. Mais, le monde est maintenant plus sophistiqué et prêt à marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est certainement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée au cours des siècles passés. »

(cité par Aspen Times, 15 août 2011, je souligne)

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Certains pensent même que nous faisons partie d’une cabale secrète qui va à l’encontre des intérêts des États-Unis, que ma famille et moi sommes des « internationalistes » et que nous conspirons avec d’autres dans le monde entier pour construire une structure politique et économique mondiale plus intégrée, un seul monde si vous voulez. Si telle est l’accusation, je suis coupable, et j’en suis fier ».

(Ibid)

Les gens ne remettent pas en cause le consensus, un consensus qui frôle l’absurde.

La globalisation du capitalisme et le « paysage économique »

La crise redéfinit la structure du paysage économique mondial. Elle déstabilise les petites et moyennes entreprises dans le monde entier, elle précipite des secteurs entiers de l’économie mondiale, notamment le transport aérien, le tourisme, le commerce de détail, l’industrie manufacturière, etc. dans la faillite.  Le confinement crée la famine dans les pays en développement. Il a des implications géopolitiques.

Le Pentagone et les services de renseignement étasuniens sont impliqués. La crise du coronavirus affecte la conduite des guerres menées par les États-Unis et l’OTAN au Moyen-Orient, notamment en Syrie, en Irak, en Afghanistan et au Yémen. Elle est également utilisée pour cibler des pays spécifiques, dont l’Iran et le Venezuela.

Cette crise provoquée est sans précédent dans l’histoire du monde. Il s’agit d’un acte de guerre.

Le verrouillage déclenche un processus de désengagement des ressources humaines et matérielles du processus de production. L’économie réelle est paralysée. La réduction de l’activité économique compromet la « reproduction de la vie réelle ». Cela ne concerne pas seulement la production réelle des « nécessités de la vie » (alimentation, santé, éducation, logement), mais aussi la « reproduction » des relations sociales, des institutions politiques, de la culture, de l’identité nationale. Au moment où nous écrivons ces lignes, le verrouillage ne déclenche pas seulement une crise économique, il mine et détruit également le tissu même de la société civile, sans parler de la nature du gouvernement et des institutions de l’État (paralysés par l’accumulation des dettes), qui seront finalement privatisés sous la supervision des créanciers du « pouvoir de l‘argent » (Big Money).

Il y a des conflits au sein du système capitaliste qui sont rarement abordés par les grands médias. Les milliardaires, les puissantes institutions bancaires et financières (qui sont créanciers à la fois des gouvernements et des entreprises) mènent une guerre non déclarée contre l’économie réelle. Alors que les établissements financiers et bancaires du « pouvoir de l‘argent » (Big Money) sont des « créanciers », les entreprises de l’économie réelle qui sont déstabilisées et conduites à la faillite sont des « débiteurs ».

Faillites

Ce processus diabolique ne se limite pas à l’anéantissement des petites et moyennes entreprises. Le « pouvoir de l’argent» est également le créancier des grandes entreprises (notamment les compagnies aériennes, les chaînes d’hôtels, les laboratoires de haute technologie, les détaillants, les entreprises d’import-export, etc.

L’establishment financier mondial n’est pas monolithique. Il est marqué par des divisions et des rivalités. La faction dominante du « pouvoir de l’argent» (Big Money) cherche à déstabiliser ses concurrents de l’intérieur. Il en résulterait une série de faillites d’institutions bancaires régionales et nationales ainsi qu’un processus de consolidation financière mondiale.

Aux États-Unis, de nombreux détaillants, compagnies aériennes, chaînes de restaurants et d’hôtels ont demandé en février d’être placé sous la protection du Chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites. Mais ce n’est que le début. La grande vague de faillites se produira dans le sillage du verrouillage (« The New Normal »). Et à l’heure où nous écrivons ces lignes, l’établissement financier fait sans cesse pression sur les gouvernements nationaux (corrompus) pour qu’ils reportent la levée du confinement. Et les gouvernements nous disent que c’est pour « protéger les gens contre le virus ».

La province canadienne de l’Alberta, qui dépend largement des revenus du pétrole, est en faillite.

« Des pays qui représentent plus de 50 % du PIB mondial sont fermés aux entreprises. Les économistes à la recherche de comparaisons historiques mentionnent le krach boursier de 1929, la crise économique de 1974 ou la récession de 2008. Mais ils admettent que tous ces événements ne sont pas à la hauteur du bilan que cette pandémie pourrait avoir ».

(Wired News UK, 29 avril 2020

En Grande-Bretagne, des rapports récents affirment (c’est très britannique) « nous ne savons pas combien ont fait faillite ».

Une partie du paysage économique britannique a peut-être déjà été définitivement effacée, puisque quelque 21 000 entreprises britanniques de plus se sont effondrées rien qu’en mars par rapport au même mois de l’année précédente, selon les données recueillies par l’Enterprise Research Centre, un groupe de chercheurs universitaires.

Ce que ces rapports omettent de mentionner, ce sont les causes non-avouées : une campagne de peur au nom des créanciers, les instructions de gouvernements corrompus de fermer l’économie, prétendument pour « sauver des vies », ce qui est un gros mensonge. Des vies ne sont pas sauvées, et ils le savent.

La crise du coronavirus « a paralysé les affaires américaines ». Les économies nationales sont déstabilisées. L’objectif du « pouvoir de l’argent’ (Big Money) est d’affaiblir leurs concurrents, de « ramasser les morceaux » et, à la longue, de racheter ou d’éliminer les entreprises en banqueroute. Et le choix est vaste.

Capitalisme financier mondial

Les intérêts du « pouvoir financier » (Big Money) (intérêts financiers mondiaux) se recoupent avec ceux des Big Pharma, Big Oil (les supermajors du pétrole), les entrepreneurs de la Défense, etc. Les grandes institutions bancaires étasuniennes, dont JP Morgan Chase, Bank of America, Citigroup, Wells Fargo, State Street Co. et Goldman Sachs, investissent dans l’économie de guerre, notamment dans le développement d’armes nucléaires dans le cadre du programme d’armement nucléaire de Trump, d’un montant de 1,2 trillion de dollars (mis en place sous Obama).

L’objectif ultime du « pouvoir de l’argent » (« Big Money ») est de transformer les États nationaux (avec leurs propres institutions et une économie nationale) en « territoires économiques ouverts ». C’est le sort de l’Irak et de l’Afghanistan. Mais maintenant, vous pouvez le faire sans envoyer de troupes, en ordonnant simplement à des gouvernements par procuration (proxy government) asservis par des politiciens corrompus de fermer leur économie pour des raisons humanitaires, ce qu’on appelle la « responsabilité de protéger » (R2P) sans qu’il soit nécessaire d’intervenir militairement.

Impossible à estimer ou à évaluer. Plus de la moitié de l’économie mondiale est perturbée ou au point mort.

Soyons clairs. Il s’agit d’un programme impérial (imperial agenda). Que veulent les élites financières mondiales ? Privatiser l’État ? Posséder et privatiser la planète entière ?

La tendance est à la centralisation et à la concentration du pouvoir économique. Les gouvernements nationaux lourdement endettés sont les instruments du « pouvoir de l’argent » (Big Money). Ils sont des mandataires. Les principales nominations politiques sont contrôlées par des groupes de pression représentant Wall Street, le complexe militaro-industriel, les grandes sociétés pharmaceutiques, les grandes sociétés pétrolières, les médias d’entreprise et les géants de la communication numérique, etc.

En Europe et en Amérique, le « pouvoir de l’argent » (« Big Money« ) (par l’intermédiaire des groupes de pression de Washington) cherche à contrôler les gouvernements nationaux.

Dans quelle direction allons-nous ? Quel est l’avenir de l’humanité ? La crise actuelle du coronavirus est un projet impérial sophistiqué, qui consiste en une domination mondiale par une poignée de conglomérats de plusieurs milliards de dollars. Est-ce la troisième guerre mondiale ? Le capitalisme mondial détruit le capitalisme national.

L’intention tacite du capitalisme mondial est la destruction de l’État-nation et de ses institutions, ce qui conduit à une pauvreté mondiale d’une ampleur sans précédent.

La citation suivante de Lénine, datée de décembre 1915 au plus fort de la Première Guerre mondiale, a mis en évidence avec clairvoyance certaines des contradictions auxquelles nous sommes actuellement confrontés. D’autre part, nous devons comprendre qu’il n’y a pas de solutions faciles et que cette crise vise à renforcer l’impérialisme et l’emprise du capitalisme mondial :

« Il ne fait aucun doute que le développement va dans le sens d’un monopole corporatif mondial (single World trust ) qui engloutira toutes les entreprises et tous les États sans exception. Mais le développement dans cette direction se fait sous une telle pression, avec un tel rythme, avec de telles contradictions, conflits et convulsions non seulement économiques, mais aussi politiques, nationales, etc. etc. – qu’avant qu’un monopole corporatif mondial ne soit atteint, avant que les capitales financières nationales respectives n’aient formé une « Union mondiale » d’ultra-impérialisme, l’impérialisme explosera et le capitalisme deviendra son contraire.»

(V. I. Lénine, Introduction to Imperialism and World Economy by N, Bukharin, Martin Lawrence, Londres, imprimé aux États-Unis, édition russe, novembre 1917)

Comment inverser la tendance. La première priorité est d’abroger le mensonge.

À cet égard, il est regrettable que de nombreuses personnes « progressistes » (y compris des intellectuels de gauche éminents) soient – malgré les mensonges – favorables au verrouillage et à la fermeture de l’économie comme solution à l’urgence de santé publique. C’est la position du parti démocrate aux États-Unis, qui va à l’encontre du bon sens.

La vérité est une arme puissante pour abroger les mensonges des médias corporatifs et des gouvernements.

Quand le mensonge devient la vérité, il n’y a pas de retour en arrière

Sans la campagne de peur et la propagande médiatique, les actions entreprises par nos gouvernements n’auraient pas de fondement.

La « distanciation sociale » n’empêche pas les élites financières de donner des instructions à des politiciens corrompus.

D’autre part, la « distanciation sociale » combinée au confinement est utilisée comme un moyen de subordination sociale. Elle empêche les gens de se réunir et de protester contre ce soi-disant nouvel ordre mondial.

L’organisation, la vérité et la solidarité sont essentielles pour renverser la tendance. La première étape d’un mouvement mondial est la « contre-propagande ».

Michel Chossudovsky

Article original en anglais :

Global Capitalism, “World Government” and the Corona Crisis

Traduit par Maya pour Mondialisation
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2020




MILLIÈRE : Donald Trump ne va nulle part à cause de sa gestion de la COVID-19, vraiment ?

[Source : Québec Nouvelles]

Entrevue avec Guy Millière, distinguished Senior Fellow, Gatestone Institute, New York

Q : Les experts estiment que la campagne de Donald Trump ne va nulle part à cause de sa gestion de la COVID-19. Que pensez-vous de cela ?

Cela fait partie des éléments de désinformation constants énoncés contre Donald Trump. Jamais un président des États-Unis n’a été à ce point traîné dans la boue, diffamé, insulté. Quasiment tout ce qui se dit ou s’écrit sur Donald Trump est un exercice de haine aveugle et d’incitation à la haine. J’ai écrit récemment que Donald Trump était traité dans les grands médias de gauche, autrement dit dans quatre-vingts pour cent des médias américains, et dans quatre-vingt-dix-neuf pour cent des médias français ou canadiens comme l’est le personnage d’Emmanuel Goldstein dans le 1984 de George Orwell, avec la différence que dans 1984, le personnage d’Emmanuel Goldstein subit deux minutes de haine, alors que pour Trump, les deux minutes durent vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Donald Trump a laissé la gestion de la pandémie aux gouverneurs de chacun des cinquante États du pays, et nul ne rappelle que c’est ce qu’exige la Constitution : les États-Unis sont une fédération d’États. Certains États ont bien géré la situation, d’autres l’ont très mal géré, et les chiffres montrent que la gestion a été désastreuse dans l’État de New York et le New Jersey. Donald Trump a tenu d’un bout à l’autre de la pandémie un discours destiné à donner du courage au peuple américain : les diffamateurs disent qu’il a sous-estimé la pandémie, ce qui est faux et odieux, et auraient préféré sans doute qu’il se terre dans un sous-sol et dise aux Américains qu’ils allaient tous mourir, ce qui aurait été indigne d’un chef d’État. Donald Trump a suivi les recommandations des plus grands experts américains en matière d’infection, et les recommandations n’ont pas toujours été optimales, mais ce sont les experts qui sont fautifs, pas Donald Trump. J’ajouterai que Donald Trump a fait produire tests, respirateurs, équipements, en un temps record, grâce à son expérience de grand chef d’entreprise. La gauche américaine, sans aucun scrupule, a utilisé la pandémie comme un moyen de diffamer davantage encore Donald Trump. Elle l’a utilisée aussi pour s’efforcer d’infliger autant de dommages que possible à l’économie américaine, en pensant qu’une économie en ruine desservirait Donald Trump. Quand l’économie américaine a commencé à se redresser, la gauche américaine a eu recours aux émeutes et au pillage. Toutes les grandes villes démocrates ont été ravagées. Des services de police entiers ont été démantelés. À force de répétitions incessantes par les grands médias de gauche, la désinformation a laissé des traces dans les têtes, et une partie de la population américaine pense que Donald Trump a mal géré les choses : cela montre que ce que dit la vieille phrase: « calomniez, il en restera toujours quelque chose » est toujours pertinente.

Q : Malgré les sondages qui donne une bonne avance à Biden, estimez-vous que Donald Trump sera réélu le 3 novembre et pourquoi ?

Je pense que les sondages ne reflètent pas la réalité. Il est possible que le résultat soit serré et se joue à quelques dizaines de milliers de voix près. La population américaine a changé et continue à changer. Des millions de jeunes gens ont le cerveau lavé par leurs professeurs au lycée et à l’université et rêvent de socialisme, sans savoir de quoi il s’agit. Les minorités ethniques se font plus nombreuses et votent pour le parti qui leur promet de faire payer les riches et de redistribuer davantage. Mais les États-Unis n’en sont pas au point où une immense majorité pourrait voter pour un vieillard sénile et corrompu et pour une gauchiste sentimentale, sans rien savoir du programme qu’ils portent, et qu’ils cachent sous des mensonges constants. La population américaine étant ce qu’elle est aujourd’hui, le risque d’une victoire de Biden existe, mais les sondages donnant 12 ou 14 points d’avance à Biden me semblent biaisés et destinés à tenter de démoraliser les électeurs de Trump. Si Biden avait cette avance, il devrait logiquement remporter 50 états sur 50, et c’est une perspective ridicule. Je parle de risque en évoquant l’élection de Biden, car le programme du parti démocrate est un programme d’extrême gauche qui, s’il était mis en œuvre, briserait la reprise économique qui s’opère actuellement aux États-Unis, détruirait la Cour Suprême, donc les institutions américaines dont la Cour Suprême est la clé de voûte, et sur un plan international laisserait le champ libre à la Chine qui cherche l’hégémonie mondiale et à l’Iran des mollahs qui cherche l’hégémonie régionale au Proche-Orient. Pour l’heure, partout dans le pays, des centaines de milliers de gens soutenant Trump et comprenant ce qui est en jeu se mobilisent. Biden n’attire personne. Des gens voteront contre Trump, pas pour Biden. Tout est possible. La réélection de Trump, l’élection de Biden, des résultats contestés. Il est possible qu’on ne sache pas le résultat le 3 novembre au soir. Des fraudes sont en cours. Des bulletins de vote par correspondance disparaissent ou sont détruits. La gauche américaine est dans une logique de prise de pouvoir par tous les moyens.

Q : Selon vous, qui a remporté le débat des candidats à la vice-présidence ?

Je n’accorde pas une importance excessive aux débats. Cela dit, sur le plan du comportement, une grande majorité d’Américains ont trouvé les mimiques et grimaces de Kamala Harris désagréables et déplacées. Kamala Harris a aussi beaucoup menti, refuse de répondre à des questions essentielles, telles celles concernant la Cour suprême, et reprise à son compte des propos diffamatoires dont il a été démontré qu’ils étaient sans fondements. Mike Pence a été calme, courtois et a réfuté les mensonges de Kamala Harris en s’appuyant sur des faits, ce tout en énonçant les positions de principe de l’administration Trump de manière claire et nette, et il a donc remporté le débat. Les commentateurs de gauche ne s’y sont pas trompés et ont tenté de faire diversion en accusant Pence d’avoir été machiste en réfutant les mensonges de Kamala Harris, et en insistant beaucoup sur une mouche qui s’est posée sur la tête de Mike Pence. La modératrice était démocrate, et ses questions étaient très orientées, mais elle a été moins outrancière que Chris Wallace (lui aussi démocrate) lors du débat Trump-Biden, et Pence n’a pas eu à prendre la parole par effraction.

Q : Quel bilan faites-vous du premier mandat de Donald Trump ?

Donald Trump a accompli immensément en moins de quatre ans. L’économie américaine en mars 2020 ne s’était jamais aussi bien portée depuis plus de cinquante ans. Il y avait de la croissance, des investissements et le plein emploi. La sécurité mise à mal sous Obama revenait dans tout le pays, sauf dans les villes démocrates. L’immigration clandestine était largement jugulée. À l’étranger, Donald Trump a détruit l’État islamique et, privant le terrorisme islamique de bases d’entraînement, a réduit à quasiment rien les risques d’attentats terroristes sur la planète. Il a asphyxié le régime iranien, ce qui a stabilisé le Proche-Orient. Il a commencé à endiguer la Chine, en faisant face au danger représenté par celle-ci. Il a posé les jalons d’une paix entre Israël et le monde arabe sunnite. S’il est réélu, il rentrera dans l’histoire comme l’un des très grands présidents des États-Unis. Il a fait ce qu’il a fait en étant l’objet d’une campagne de déstabilisation incessante de la part d’une gauche déchaînée qui a mené contre lui un coup d’État rampant. L’utilisation politique de la pandémie par la gauche américaine devrait invalider moralement celle-ci : on ne joue pas avec la vie des gens pour des motifs politiques. Le recours aux émeutes ensuite devrait invalider moralement la gauche américaine davantage encore : les émeutes ont fait cent morts et occasionné des milliards de dollars de dégâts. Les démocrates se sont faits complices des émeutiers et ne les ont jusqu’à présent jamais dénoncés. Les médias du monde entier n’ont cessé de mentir sur tous les sujets abordés dans cet entretien. C’est pour rétablir la vérité, pour remettre les faits à leur place que j’ai écrit un livre qui vient de paraître en France. J’y explique ce qu’est devenu le parti démocrate, comment la gauche s’est emparée des médias et de la culture aux États-Unis, comment s’est déroulé le coup d’État rampant contre Trump, ce qu’a accompli Trump en politique intérieure et en politique étrangère, qui sont Joe Biden et Kamala Harris et ce que sont les enjeux de l’élection du 3 novembre. Quiconque veut comprendre doit lire le livre. Qui veut rester dans la haine et l’ignorance peut s’abstenir. J’ai appelé le livre « Après Trump ? » Et je dis : après Trump, il y aura Trump encore et ce qu’il lui reste à accomplir, ou il y aura la gauche américaine, et ce sera très différent.




Sasek met en garde les manifestants : « Pas d’agissements précoces »

[Source : kla.tv]

Ce monde a déjà vu assez de guerres. La discipline innovante de la façon véritable de faire la guerre, la discipline royale pour ainsi dire, c’est de vivre des victoires fondées uniquement sur la puissance de la lumière. Mais les plus beaux potentiels peuvent aussi être détruits par des actions rapides et irréfléchies. Ivo Sasek met en garde ceux qui manifestent à propos du coronavirus contre le danger d’être infiltrés, et surtout contre les actions intempestives et les agissements précoces égo-individualistes.


L’humanité n’est plus qu’à quelques pas de l’abîme de ce nouveau monde, tel qu’il a été méticuleusement planifié et réalisé par les sociétés secrètes depuis des siècles. La finale, en quelque sorte la porte d’entrée de ce nouveau monde, est un chaos mondial planifié. Ce qui prouve clairement que ce chaos orchestré ne se situe pas dans un avenir lointain, mais qu’il est en marche depuis longtemps, c’est le printemps arabe qui se trouve derrière nous, et toute l’histoire depuis le 11 septembre, et maintenant l’humanité est, pour ainsi dire, à un pas de l’introduction de la surveillance totale, de l’abolition de l’argent liquide, mais aussi de l’abolition de tous les biens et possessions privés.

Le confinement que nous venons de passer n’était que le premier acte d’un nouveau processus d’expropriation. Nous devons comprendre cela. Vous, les communistes, vous vous réjouissez bien sûr maintenant, comme les anciens juifs de Rome, que votre domination communiste mondiale tant attendue est enfin à portée de main. Mais croyez-le donc, vous tous, communistes et socialistes, qui êtes là : ce n’est pas vos partisans qui sont sur le point de prendre la domination mondiale ici, pas vos partisans qui veulent aussi vous obliger à vous faire vacciner et vous faire implanter une puce électronique.

Au plus tard maintenant, vous devriez enfin vous en rendre compte. Dès que vos prétendus partisans commenceront à crucifier vos idéaux communistes, votre erreur tombera de vos yeux comme des écailles! Parce que vous, et Karl Marx le premier, vous n’avez jamais vraiment compris que votre idéologie de la justice a été infiltrée et instrumentalisée dès le début par des tireurs de ficelles stratégiques du plus haut capitalisme. Jusqu’à aujourd’hui, ils ont constamment orienté votre lutte contre la classe moyenne et la bourgeoisie, afin que vous ne puissiez jamais les atteindre, eux, et les prendre au collet. Mais les créateurs d’intérêts, les spéculateurs et les demandeurs d’intérêts et d’intérêts composés… ils ont toujours été les véritables racines vénéneuses qui ont poussé toute classe moyenne dans la course compulsive à des revenus de plus en plus importants. Vous, les communistes bien intentionnés, vous avez été instrumentalisés par les mêmes pouvoirs et de la même manière que nous, les chrétiens. Nous, mais aussi toutes les religions, idéologies et orientations politiques, etc. sommes tombés dans leurs pièges. Comment cela a-t-il été possible ? Parce qu’ils ont toujours opéré dans le secret.

Les considérations fondamentales, tant du communisme que du christianisme et de toutes les religions, n’ont jamais été erronées dans leur principe. Mais ce qu’ils n’ont jamais compris dès le début, c’est qu’ils ont été infiltrés, manipulés et instrumentalisés sournoisement. En général, les mouvements d’amélioration du monde placent donc toujours leurs leviers beaucoup trop bas. Et c’est exactement là qu’est évidente la manipulation venant de tout en-haut. Celui qui a toujours été incapable de voir clair dans ce jeu diabolique, malgré les meilleures motivations, s’est même laissé instrumentaliser pour le contraire de ses propres intentions. Oui, c’est le même problème pour tous. Ainsi, jusqu’à présent, les véritables dirigeants et ennemis de l’humanité n’ont pas seulement été épargnés, mais ils ont aussi instrumentalisé tout et tous pour faire avancer leur programme de domination du monde, leurs objectifs de domination du monde.

Je l’explique une fois de plus en utilisant l’exemple de la lutte communiste : le cancer du faux capitalisme qui se répand ne pourra jamais être vaincu par la petite bourgeoisie, la bourgeoisie ou la classe moyenne, impossible ! Ce fléau de vol et de pillage ne peut être vaincu qu’en appliquant les leviers de façon suffisamment conséquente à l’élite supérieure. Personne n’a vraiment fait cela jusqu’à aujourd’hui. Néanmoins, seul le capitalisme d’intérêts et d’intérêts composés se trouve à la racine de tous les maux sociaux.

Malheureusement, vous, les communistes, vous n’avez toujours pas compris que l’expropriation de la population mondiale, qui vient de commencer, ne vous offre pas les compensations tant attendues. Le premier processus de dépossession de l’ensemble de la population mondiale, qui vient de commencer avec le confinement, n’apportera malheureusement pas à tous les prolétaires trahis la distribution équitable des biens tant attendue – et que vous attendez toujours. Vous vous rendrez compte trop tard, même vous les communiste que les requins qui dépossèdent sans pitié sont ceux que vous n’avez jamais vraiment combattus de manière conséquente. Mais maintenant, ils ne vous épargneront pas non plus, je vous le promets, car ils veulent aussi vous réduire en esclavage.

Au lieu de la répartition équitable du capitalisme promise, il en résultera un statut d’esclave pour tous les peuples – sans propriété privée, sans aucun luxe ; un luxe pour lequel, soit dit en passant, la classe moyenne et la bourgeoisie ont travaillé sans cesse et que vous avez toujours été heureux d’utiliser bien que vous le méprisiez.

Mais vous n’êtes pas les seuls à avoir tort, vous les communistes ; nous avons tous tort, chaque religion à sa manière, chaque secteur économique à sa manière, chaque parti politique à sa manière. Aucun d’entre nous n’a réalisé que les vrais cerveaux sont bien au-dessus des dirigeants qui se sont montrés à nous à maintes reprises.

Et non seulement vous, les communistes, vous avez été infiltrés, à commencer par Marx, Lénine et Engels, mais nous aussi, les chrétiens, et aussi les musulmans, y compris les partis de droite, du centre et de la bourgeoisie. Nous, les chrétiens, par exemple, nous avons été infiltrés par les mêmes conspirateurs du monde qui ont modifié nos enseignements pour nous faire croire que Jésus descendra du ciel comme un super-héro avec ses accompagnateurs volants – oui, c’est ce que nous croyons aujourd’hui – et que ce sera pour mettre lui-même de l’ordre ici-bas.

Et nous, les chrétiens, nous nous tenons passivement à côté, pour ainsi dire comme des spectateurs soumis. Mais de même que Marx ne voulait pas réaliser sa vision tout seul, Jésus non plus ne voulait pas faire cela. Ainsi, si la mission du communisme originel et celle du christianisme originel ont toutes deux échoué, c’est à cause de leurs manipulations délibérées vers la passivité. Malheureusement, il faut dire la même chose des musulmans et de toutes les religions, mais aussi de toutes les idéologies et autres. Des musulmans aux ésotériques, tous jusqu’à aujourd’hui attendent d’une manière ou d’une autre un puissant sauveur venant du ciel. Le voyez-vous aussi ?

Mais nous souffrons tous d’une seule et même conséquence de cette infiltration sournoise et cela s’appelle la passivité ! Tous, nous investissons trop peu de nous-mêmes dans le jeu : Le Mahdī Sauveur des musulmans veut venir par les musulmans eux-mêmes, tout comme Jésus veut venir par ses chrétiens ou Maitreya par ses bouddhistes, etc. De même, tous les autres grands maîtres n’ont jamais pensé à descendre du ciel à la place de leurs ésotériques et autres – ni avec ni sans ovnis.

Faites face à cela. Mais nous avons tous été attirés dans la passivité, dans la distraction par les mêmes stratèges de la domination mondiale. Vous pouvez le voir dans le fait que tous les bienfaiteurs potentiels espèrent d’une manière ou d’une autre une libération venant de l’extérieur. Seulement, ils ne se mettent pas assez eux-mêmes dans la brèche. Mais de cette façon, nos problèmes mondiaux ne seront jamais résolus. Et pourquoi ? Parce que cette attitude passive manque de la force nécessaire pour imposer le monde nouveau, elle a été brisée. Ainsi, ni le communisme, ni le christianisme, ni l’islam, ni aucune autre religion ni aucun parti n’a jamais pu réellement imposer ses bonnes intentions. Pourquoi ? Parce que le véritable agresseur a toujours réussi à paralyser tout le monde avec des attentes soumises, c’est-à-dire passives. C’est notre problème. L’ennemi mondial a empêtré et distrait notre attention dans toutes sortes de détails et de questions secondaires. Pourquoi fait-il cela ? Sans autre raison que de tout prendre en charge, tous ensemble et ce, sans être reconnu.

Un seul groupe, sous ce ciel, connaît le véritable jeu, à savoir les soi-disant « francs-maçons satanistes » qui se glissent habituellement dans les vêtements de toutes les religions et philosophies, de toutes les tendances politiques, etc. pour les stériliser habilement de l’intérieur, c’est-à-dire pour les rendre inefficaces. Et cette sinistre procédure a malheureusement réussi jusqu’à présent, il faut bien l’admettre.

Ce sont malheureusement leurs plans, et ceux de nul autre, qui sont actuellement en cours de réalisation et ne sont qu’à un pas de leur achèvement définitif. C’est la prise de pouvoir complète, dès maintenant, par le biais d’une crise de Coronavirus délibérément mise en scène, d’un confinement et autres ; mais aussi, comme prévu, par une appropriation totale de notre argent, un contrôle numérique total ; c’est leur programme. Ainsi, ils peuvent exproprier d’un simple clic tous ceux qui ne se soumettent pas volontairement à leur vision du monde, ils peuvent les expulser, leur imposer des sanctions totales et bien d’autres choses encore. Mais ni le communisme, ni le christianisme, ni l’islam, l’hindouisme ou toute autre idéologie ne définiront ce qui décide de cette pression sur un bouton. Mais quoi alors ?

Ce qui décidera du OUI ou du NON en appuyant sur un bouton, ce sera seulement si on accepte ou non de capituler sous le satanisme en train de prendre sa forme ultime. Ce satanisme sera le seul à fixer les critères. C’est le problème que nous avons ici. La vaccination obligatoire, qui est sur toutes les lèvres en ce moment, qui doit être administrée à sept milliards de prétendus volontaires, n’est que la force motrice qui est censée nous pousser vers le dispositif du véritable système de contrôle et de gestion. Qu’est-ce donc ? La surveillance numérique forcée, avec laquelle chaque citoyen du monde peut être allumé et éteint en appuyant sur un bouton, ainsi que surveillé localement. Ce sera le sceptre de fer de la nouvelle domination mondiale, si nous ne le dénonçons pas maintenant et si nous ne l’empêchons pas par un dévoilement conséquent. Que cette surveillance totale de chaque citoyen individuel se fasse au moyen d’une puce implantée, ou d’un tatouage ou d’autre chose, cela reste secondaire – mais le fait est que cette technologie est exactement à un pas de son introduction forcée !

Il y a 2 000 ans déjà la Bible avait mis en garde contre cette heure. Elle a ordonné avec toute la sévérité nécessaire ce qui doit maintenant être fait dans le monde entier. Elle ne donne à la communauté mondiale que ce seul ordre, si elle ne veut pas périr misérablement dans l’état d’esclavage. C’est le refus total de toute vaccination obligatoire ! Refus total de toute implantation de puce ! Refus total de tous les moyens de paiement autres que l’argent liquide ! Refus de tout trait de caractère de ces dirigeants de force du soi-disant « nouvel ordre mondial ».

Le fait que des millions de personnes se réveillent en ce moment même et protestent dans le monde entier, c’est certainement une bonne nouvelle, un nouvel évènement que j’appellerais un véritable espoir. Mais cet espoir, cet espoir même, peut être brisé du jour au lendemain si ceux qui se réveillent ne comprennent pas maintenant où se trouvent les plus grands dangers. La spécialité absolue de ceux qui s’infiltrent, les dirigeants autoproclamés du monde, réside dans la division de tout contre-pouvoir qui se présente, dans la création de la confusion, dans l’incitation à la lutte et à la haine les uns contre les autres et malheureusement – écoutez bien – aussi dans le fait de s’activer trop tôt et à tort !

Je vais maintenant me concentrer sur le dernier point : des millions sont mobilisés, ils vont en pèlerinage à Berlin et dans le monde entier dans tous les lieux où des manifestations aussi importantes ont encore lieu et sont encore autorisées. Mais la pire erreur qui puisse arriver maintenant, c’est que l’agresseur invisible réussisse à envoyer ses loups déguisés en moutons parmi les moutons, afin d’inciter ces foules, dans leur état immature, à agir de façon extrême et les faire tomber ainsi dans le chaos. Et le chaos est précisément le principal moyen prévu pour imposer leur propre pouvoir. Souvenez-vous bien de cela.

Si maintenant le processus de dévoilement, le processus d’éveil et de lumière des peuples est interrompu par des actions révolutionnaires trop précoces, tout ça va s’effondrer. Malheur, si des émeutes se produisent, éventuellement avec une prise d’assaut du Reichstag et autres ; ou des agressions contre un responsable, contre des politiciens, des présidents ou qui que ce soit. Alors, je vous assure, tout cela va dégénérer en chaos et les forces de l’ordre armées devront intervenir avec des chars et toutes les armes imaginables. Du jour au lendemain, ils feront alors comprendre au grand public encore aveuglé pourquoi une surveillance numérique absolue est désormais nécessaire, et ce de façon immédiate. Ils vont donc venir avec la numérisation et, du jour au lendemain, ils vont tout superviser. C’est ce que signifie la dictature absolue.

Mais comment est-ce possible ? Seulement parce que plus de 80 % des gens ne savent pas encore vraiment ce qui se passe. En d’autres termes, la phase de la venue de la lumière n’est pas encore terminée. Alors ne vous laissez pas fanatiser pour les renversements violents de gouvernements et de telles choses. Retenez ceux qui incitent à de telles choses ; distanciez-vous clairement des taupes qui se sont introduites et qui sont en mission terroriste. Lorsqu’elles franchissent vos rangs et passent à l’attaque, filmez-les avec vos propres caméras. Et si elles se révoltent, condamnez cela. Condamnez leur extrémisme devant vos caméras. Mais attention aussi aux mesures de sécurité irréfléchies, qui ne visent alors qu’à sauver votre propre ventre et vous détournent du véritable but visé. Quel est le vrai but ? Un dévoilement non-stop, rien d’autre n’est à l’ordre du jour pour le moment. Toute forme d’auto-sauvetage privé ne fonctionnera malheureusement pas ! Il y aurait beaucoup à dire à ce sujet.

Seule une chose peut fonctionner avec un peu de persévérance, si vraiment vous tous, les millions de personnes qui se sont réveillées et qui ont reconnu les véritables tireurs de ficelle et les dangers, si vous n’arrêtez pas d’être la lumière, si vous allez sur le terrain et dévoilez ce qui se passe – avec ou sans Internet. Si Internet est censuré ou même bloqué pour nous, alors s’il vous plaît, accélérez dix fois plus, gagnez constamment 2-3 nouveaux, informez-les et donnez-leur la mission de gagner à leur tour au moins trois nouveaux, qui gagneront à leur tour trois nouvelles personnes éclairées, etc. Ensuite, gardez un œil sur vos contacts éclairés et motivez-les à nouer de nouveaux contacts, afin que la multiplication de la lumière se poursuive de manière infreinable. Mais mettez-vous aussi en réseau physiquement, c’est-à-dire en échangeant mutuellement vos adresses, et mettez en place un réseau d’information qui fonctionne de main à main – cela au cas où Internet serait complètement bloqué. Ainsi, tant que la population mondiale ne peut pas voir clairement dans sa majorité absolue quels sont les personnages et les agresseurs à l’œuvre, qui sont aussi les plus grands seigneurs qui ont une ferme emprise sur la science, les voyages dans l’espace, l’éducation, nos grands hommes politiques et surtout nos grands médias, toute action précoce est vouée à l’échec. Je vous le garantis.

C’est seulement quand la lumière du jour se sera levée sur la communauté mondiale, de sorte qu’elle ne puisse plus être aveuglée par des hérésies confuses ou des tromperies médiatiques, que d’autres avancées concrètes auront un sens. Ce n’est que lorsque, disons, une nette majorité de la population mondiale sera parfaitement au courant de la situation qu’un nouveau départ sera possible sans guerres civiles, effusions de sang ou d’autres guerres. Pourquoi ? Car alors, la proportion de cette petite minorité élitiste sera également dévoilée publiquement. Alors, des milliards de citoyens de la terre ne seront plus confrontés à des dirigeants lourdement armés, mais seulement à quelques milliers de conspirateurs. Et même s’il s’agissait de dizaines de milliers de personnes, un peuple suffisamment éclairé n’a alors qu’à changer de cap, et l’affaire est réglée. Mais tant que toutes les forces militaires et les forces de sécurité sincères, y compris l’appareil judiciaire restant, etc., tant que tous les partis, religions, idéologies, etc. trompés, n’auront pas bien compris ce qui se passe réellement, chaque coup de pédale, chaque tentative de changement radical conduira à une défaite certaine. C’est mon pronostic.

Ce serait comme si un enfant essayait d’avoir le dessus sur un cambrioleur armé, un cambrioleur dangereux. Il aurait besoin de renfort pour accomplir une telle chose. Comprenez-vous cela ? Tant que plus de 90 % de l’humanité est encore aveuglée par le mainstream et la télé, nous n’avons aucune chance de changer le système ! La devise prioritaire reste donc « Que la lumière soit ! » C’est le but. La lumière et l’amour mutuel entre vous, une reconnaissance, une interconnexion et la certitude absolue de notre unité organique : c’est la base indispensable du nouveau monde, qui, soit dit en passant, est en train de se créer en ce moment même, à travers toutes ces contractions d’accouchement pour sortir de l’ancien monde. Mais elle ne peut être préservée de façon permanente et être adaptée à la vie que si chacun vit dans ce nouvel esprit.

Par conséquent, évitez tout coup de pédale dynamique individuel, qui veut changer et faire passer quelque chose rapidement, pour ainsi dire, sans égard au corps dans son ensemble. Les défaillances ou les actions intempestives doivent malheureusement toujours être payées par l’ensemble du mouvement, même si celui-ci n’a pas donné de mandat pour de telles actions trop précoces égo-individualistes. Concentrez-vous donc uniquement sur la diffusion de la lumière, sur le dévoilement, jusqu’à ce que le moment soit venu de prendre d’autres mesures.

Mais fortifiez toujours votre résistance à tout moment en tendant vers le refus total, lorsqu’il s’agit par exemple de l’abolition de l’argent liquide. Payez en espèces partout où vous le pouvez. Refusez tous également toute forme de vaccination forcée et aussi toute forme d’implantation de puce ou de tatouage de tout numéro d’identification, de code et autres. Refusez partout l’introduction de la 5G, la 6G et toutes ces technologies, parce qu’elles vous pousseront en position OFF totale. En particulier, contredisez toute autre revendication de pouvoir de la part des médias grand public. Dévoilez leurs tromperies et leurs mensonges partout où vous le pouvez. Ils vous en donnent des occasions suffisantes chaque jour. Mais utilisez aussi nos émissions et diffusez-les autant que vous pouvez. La priorité constante et absolue est la mise à la lumière des médias de masse qui ont déraillé. Par eux, tout se diffuse dans le monde. Les grands médias sont tombés sous le contrôle de tireurs de ficelle hautement criminels qui doivent être impitoyablement dévoilés. Mais tant que les médias de masse pourront encore jeter la confusion dans l’esprit de plus de 90 % des gens, les salir et les programmer incorrectement, les grandes masses continueront à se laisser séduire aveuglément et sans méfiance par leurs tromperies. C’est notre problème. Les médias tiennent toujours en otage la grande masse, et sans qu’elle le sache ils abusent d’elle comme d’esclaves sans défense.

Je résume. Lorsque vous tous, qui êtes maintenant des millions et qui comprenez exactement ce qui se passe ici, lorsque tous vous diffusez les fils rouges du dévoilement, qui viennent d’être nommés, lorsque chacun d’entre vous gagne constamment et éclaire trois autres et que ces trois-là font de même, alors on peut catapulter très rapidement toute la population mondiale à la lumière de la vérité. Vous comprenez, ça se produira très rapidement si nous travaillons fidèlement dès maintenant. La lumière de la vérité doit surmonter les sombres tromperies jusqu’à ce que la lumière du jour vienne complètement. Et ce n’est que lorsque ce sera devenu suffisamment lumineux dans l’ensemble de l’humanité et lorsque la majorité nécessaire verra clairement ce qui se passe ici, qu’il sera facile et rapide d’entamer un nouveau processus significatif et prometteur. Mais tant que les militaires, les forces de sécurité, les politiciens, mais aussi les chefs religieux, etc., qui sont aveuglés par les médias, ne pourront pas voir ce qui se passe exactement ici à travers ce jeu sournois et méchant, toutes les tentatives d’application de la loi, à l’exception de celles qui viennent d’être mentionnées, ne feront que mener à un énorme chaos. Et le chaos est exactement ce que ces puissances de l’ombre ont toujours voulu. Lorsque le chaos est créé, elles peuvent asservir le monde entier en un clin d’œil. C’est leur plan.

Ainsi, lorsque l’œuvre de la lumière aura fait son travail et que le moment sera venu, il y aura une sortie de crise rapide et facile : toutes ces élites sinistres seront alors traitées de la même manière qu’elles avaient traité auparavant l’ensemble de la communauté mondiale. Elles seront en quelque sorte poussées dans les propres fosses qu’elles ont creusées auparavant pour les peuples sans méfiance. Au lieu d’enlever au monde entier le dernier 1 % des richesses qui restent dans l’antichambre des processus d’expropriation, on expropriera simplement les élites super-riches et sataniques de la franc-maçonnerie, et tous ceux qui, par des spéculations sournoises et embrouillées, ont pris aussi les richesses des nations. Les sociétés pharmaceutiques frauduleuses, etc., devront alors recracher tous les profits de leurs stratégies qui nous gardent malades et mettre fin… elles devront mettre fin à leur jeu diabolique.

Une fois que toutes leurs richesses et leur argent acquis injustement auront été rendus à la population mondiale trompée, je dirais que les difficultés financières les plus urgentes seront déjà résolues. Cette élite relativement restreinte de dirigeants mondiaux en échec sera alors enchaînée comme on l’a toujours fait pour les terroristes. Ils recevront une punition adaptée à leur genre, puisqu’ils voulaient, en quelque sorte, emprisonner sans pitié toute la communauté mondiale, l’enfermer et l’humilier comme leur esclave. Que sur la voie proposée, le revirement vers le monde nouveau, le monde vraiment nouveau, commence, et tout le reste je pense suivra ensuite de lui-même.

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 43 ans.




POUR UN COUP D’ÉTAT PACIFIQUE ET LÉGITIME

[Source : https://polemique.roman-livre.com/]

[Comme complément à l’article Annonce du renversement du gouvernement français.]

POUR UN COUP D’ETAT PACIFIQUE ET LÉGITIME

SELON LE JUSTE DROIT

84 MESURES

dont

15 à prise d’effet immédiat

suivies de la

Déclaration du Peuple de France


ATTENDU qu’il est prescrit en cas d’invasion ou de tyrannie que le peuple a non seulement le droit, mais le devoir de se révolter et de repousser ses envahisseurs et tyrans

ATTENDU que s’il n’agit pas, il sera coupable de trahison et perdra de ce fait tout droit à revendiquer ce qui lui appartient

ATTENDU que la Résolution 37/43 de l’Assemblée générale des Nations Unies, adoptée le 3 décembre 1982 : « Réaffirme la légitimité de la lutte des peuples pour l’indépendance, l’intégrité territoriale, l’unité nationale et la libération de la domination étrangère et coloniale et de l’occupation étrangère par tous les moyens disponibles, incluant la lutte armée » (voir aussi les Résolutions de l’Assemblée générale des Nations Unies 1514, 3070, 3103, 3246, 3328, 3382, 3421, 3481, 31/91, 32/42 et 32/154), le droit à la résistance est établi, et non seulement, mais encore conforté, légitimé par l’article 1er §4 du premier protocole additionnel de Genève du 08 juin 1977 qui précise que, parmi les conflits armés internationaux, figurent ceux « dans lesquels les peuples luttent contre la domination coloniale et l’occupation étrangère et contre les régimes racistes dans l’exercice du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes… « 

ATTENDU que les peuples occidentaux sont occupés illégalement, d’une part du fait d’envahisseurs importés qui font régner une terreur dans les rues, d’autre part du fait d’une élite apatride inversée parfaitement identifiée, qui ne fait pas mystère de ses vœux et fait venir ces envahisseurs aux fins de détruire les dits peuples, qui a subverti à son profit tous les rouages de l’État ainsi que les médias de propagande, agissant sous couvert laïc mais en réalité confessionnelle, sectaire, suprémaciste et racialiste, la libération est rendue absolument impérative et juste, par quelque moyen que ce soit

ATTENDU que les peuples déplacés par ces migrations subventionnées occasionnent à leur pays d’origine déchéance, pauvreté, perte de souveraineté et défaut de développement

ATTENDU que les gouvernants successifs de la « République française » se sont montrés incapables de maintenir la paix, la Justice, l’instruction, la santé, la vie privée, la liberté, l’économie, la sécurité et a fortiori la prospérité, et tout ce qui découle des précédentes

ATTENDU que non seulement ils n’ont pas été compétents en ce sens mais se sont montrés particulièrement zélés à détruire tout cela, qu’ils ont par ailleurs profité de moult avantages par produisant l’enrichissement personnel, l’amnistie systématique, l’immunité judiciaire, la reconduite aux postes via diverses manipulations de la loi électrorale et des scrutins eux-mêmes, tandis qu’ils étaient souvent majoritairement condamnables en maintes affaires où leurs concitoyens ont été lésés, qu’ils ont multiplié pillages, crimes, viols, déprédations de toutes sortes y compris de sortes qui ne sont pas prévues par la loi, famines, meurtres de masse y compris de petits enfants, maladies et épidémies, concussion, corruption, prévarication, népotisme, manipulations successives des lois et des institutions, dilapidation des ressources publiques et privées, privatisations indues, qu’ils ont engagé le peuple par des signatures contre lesquelles il s’opposait formellement, quand, encore, il était consulté

et pour bien d’autres motifs encore, déclarons solennellement :


Françaises, Français,

Notre pays a connu l’équivalent d’une guerre. Non seulement notre pays, mais une bonne partie de l’Europe, et bien d’autres pays dans le monde. Tout a été saccagé. Etat, santé, justice, éducation, économie, autorité publique, armées, patrimoine, tout est à terre.

Pis encore: une véritable entreprise de destruction vise non plus seulement vos biens, mais vous-mêmes et votre descendance.

Tout est violé aussi, jusqu’aux textes fondateurs [1].

Nous devons donc agir.

Le coup d’Etat se fera dans l’ordre, dans le respect des personnes et, au cas où quiconque serait atteint dans son intégrité par les nécessités de l’action physique, dans le respect de la loi morale supérieure.

Le gouvernement provisoire prendra les premières décisions suivantes, immédiatement applicables[2].

  1. Suspension immédiate de tout épandage par voie aérienne ou autre; l’épandage de produit non naturel est considéré comme empoisonnement de masse, dorénavant formellement interdit, et passible de la peine maximale encourue
  2. Arrêt de toute installation du réseau 5G. Toute tentative est considérée comme dans art. précédent
  3. Suspension de l’activité, jusqu’à nouvel ordre et hormis les forces de maintien de la sécurité, de toutes les institutions, Ministères, Chambres, Ordres, Conseils, Agences, Bureaux, Observatoires, en bref toute organisation étatique ou para-étatique qui se comptent dans ce pays par millions, certaines pour une durée très courte afin de ne point permettre le chaos, d’autres définitivement, pour le faire cesser
  4. Suspension de toute activité des organisations étatiques ou para-étatiques notamment d’autorité ou de surveillance publique, policières et militaires ou non, clandestines ou déclarées, sauf en ce qui concerne le maintien de l’ordre public strictement compris [39]; suspension de tout vol militaire jusqu’à nouvel ordre
  5. Interdiction de toute vaccination de masse, et rétablissement de la responsabilité des laboratoires pharmaceutiques
  6. Annulation de toute amende (y compris contractée lors des dernières manifestations populaires non-syndicales, hors actes de déprédation et agressions, ou pour défaut de port du masque, interdiction renouvelée du masque)
  7. Suspension de l’impôt ou tout autre prélèvement direct, jusqu’à nouvel ordre
  8. Désengagement des Traités de Lisbonne, Maastricht, Schengen et rétablissement des frontières
  9. Défiscalisation totale et déréglementation massive à prise d’effet immédiat pour les métiers de productions naturelles (agriculture, pêche, maraîchage) [10] sous condition de production à bilan kilocalorique positif [10bis]. Suppression des contraintes sur les métiers (administratives, réglementaires, sécuritaires etc.) au niveau de 1950 (sauf exceptions spécifiques)
  10. Défiscalisation totale et déréglementation des métiers à revenu précaire
  11. Rétablissement des libertés publiques et privées. Suppression des lois sur l’opinion [11] et modification constitutionnelle en faveur de la liberté d’expression intangible, libération des prisonniers politiques, amnistie totale et indemnisation maximale, réhabilitation des chercheurs et/ou lanceurs d’alerte persécutés pour le motif de leur travaux, de leur expression écrite ou orale; poursuite et condamnation de leurs persécuteurs, juges y compris
  12. Mise en panne de tous les radars routiers automatiques, démantèlement partiel du parc, abrogation de l’écotaxe; suspension et suppression de tous les compteurs télécommandés, rétablissement de l’obligation du contact direct entre fournisseur et client [42]
  13. Mise en examen immédiate de tous les ministres, secrétaires d’État ou conseillers divers ayant participé aux derniers gouvernements depuis 1981, saisie de leurs biens en attendant leur comparution
  14. Suspension et mise en examen de tout juge appartenant à une maçonnerie ou organisation secrète antinationale, en attendant jugement et saisie universelle des biens
  15. Mise à pied de tout policier ayant commis des violences ou procédé à des arrestations abusives sur manifestants dans les 5 dernières années, en attente de leur jugement

Viennent ensuite les décisions suivantes :

  1. Suppression de 580 taxes, impôts, droits, prélèvements, contributions, versements et autres ou redevances (sur les environ 600), avec effet immédiat et rétroactif sur les 5 exercices précédents (dont suppression immédiate de la TVA, de la CSG, de toutes taxes sur la production d’énergie, de la Redevance audiovisuelle, de la Taxe d’habitation, de la Taxe Foncière, des Droits de succession. Baisse de la TIPP [4] — prix à la pompe). Création d’une TVA sociale (appliquée aux seuls produits d’importation)
  2. Pénalisation maximale de toute traite humaine
  3. Rétablissement immédiat de la sécurité [44] sur l’ensemble du territoire, selon les directives édictées par le gouvernement provisoire, notamment dans les quartiers et villes perdus. La force publique, qui agira à bon escient, selon directives et instructions nettes et avec des moyens nouveaux, aura carte blanche et ne saurait être inquiétée judiciairement durant la période considérée
  4. Baisse immédiate de l’impôt sur le revenu des particuliers, baisse drastique de l’impôt sur les sociétés dont plus de la moitié du capital est détenu par de vrais Français [5]
  5. Augmentation provisoire de toutes les retraites à un niveau minimal net de 875€, abaissement provisoire de toutes les retraites du public à un niveau maximal (à déterminer) [7]
  6. Dissolution de 29 ministères ou missions de l’État (parmi liste) [8]. Le Ministère de l’Éducation nationale redevient, très justement, le Ministère de l’Instruction publique [9]. La dissolution des ministères entraîne la disparition des normes et obligations qu’ils édictent
  7. Refonte de tous Codes (du travail, etc.) voire abolition (Code dit de l’Éducation etc.) [43]
  8. Sortie de l’Europe dans les meilleurs délais (non-négociables par l’Europe), Frexit. Retour du franc
  9. Restauration immédiate du statut du peuple souverain [38]. Le peuple gouverne directement, extinction du système politique. Généralisation du système référendaire, participation directe à l’exercice législatif et judiciaire. Consultation nationale étendue et de droit
  10. Dissolution des deux Chambres parlementaires et refonte de la représentation nationale selon de nouveaux postulats intégrant l’expertise; remplacement du Sénat par une assemblée de Sages maîtres en leurs domaines, en nombre réduit, engagés sur leur vie, dont le rôle est le conseil de la Nation, qui exerce directement le pouvoir. Abolition de la fonction du politicien (qui ne sait que faire de la politique en tant que telle)
  11. Abolition de la maçonnerie, des sectes satanistes et diverses organisations délinquantes ou criminelles (Dissolution formelle de la franc-maçonnerie du CRIF, de la LICRA, de SOS-Racisme, du Betar, des ligues Antifa etc., coupables de menées antinationales, violences, subversion, violation des droits du peuple et Haute trahison), interdiction d’y appartenir; pénalisation de toute participation, pour un fonctionnaire à une organisation privée (hors clubs associatifs, sportifs etc.). Mise à pied et mise en examen immédiates, avec privation de liberté, saisie des biens et déchéance de nationalité, de tout fonctionnaire maçon du 33ème degré et supérieurs
  12. Annulation de la dette nationale pour toute la part de l’intérêt, moratoire sur le principal [3]. L’État ne peut plus emprunter sur un terme dépassant 7 ans
  13. Remplacement systématique de tous les documents d’identité biométrique par des documents papier [40]. On abandonnera à terme le passeport, qui n’existait pas avant 1914
  14. Séparation de l’État et des banques commerciales, restauration du statut de la Banque de France dont les membres, absolus (i.e. ab soluta: libres de tout lien) seront garants sur leurs biens. Les premières banques privées par l’importance sont nationalisées et confiées à des organismes indépendants [41] [45]
  15. Rétablissement des Droits et Devoirs régaliens de l’État et budgets attachés : Défense, Justice, Finances (et émission de la monnaie), Droit de Grâce, Aménagement du Territoire, Diplomatie
  16. Refonte des attributions et pouvoir des mairies selon les meilleures propositions des Cahiers de doléances
  17. Annulation des déficits personnels pour raison d’endettement passif des particuliers
  18. Rétablissement du droit de poursuites des laboratoires en cas d’effets secondaires indésirables ou délétères pour l’un quelconque de leurs produits. Plus de 70 cas jugés conduisent à l’interdiction dudit produit
  19. Dissolution des « ordres » (de médecins etc.), rétablissement de la liberté médicale
  20. Rétablissement de l’herboristerie, interdiction des brevets sur le vivant. Le système de santé s’orientera vers les plantes et le monde naturel, il s’éloignera de la médecine lucrative
  21. Prohibition du remboursement de l’avortement et de toute organisation ou communication qui y serait favorable. Interdiction formelle sous peine des sanctions les plus sévères, de toute vente ou achat de tout organe ou élément extrait, sous quelque forme que ce soit, d’un embryon ou d’un corps, né ou à naître. Dissolution du Planning familial et organisations associées, comparution des dirigeants pour crime contre l’Humanité, saisie universelle des biens des dites organisations et des personnels, à quelque degré qu’ils appartiennent
  22. Interdiction de la PMA et de la GPA, de l’adoption par les couples homosexuels [46]
  23. Abolition de l’appariage homosexuel et du PACS. Être homosexuel est une affaire privée, la population n’a pas à financer les mœurs. L’État quant à lui se doit constitutionnellement de ne financer que ce qui assure la perpétuation de la vie
  24. Déchéance de la nationalité pour tout Français « de papier » (c’est-à-dire ayant obtenu la nationalité étant né à l’étranger ou enfant, ou petit-enfant d’étranger) commettant tout acte délictueux sanctionné par une condamnation à une peine de prison excédant un mois de prison avec sursis, et expulsion dans le pays d’origine, ou à défaut de reconnaissance d’une quelconque origine nationale, en territoire d’outre-mer aménagé à cet effet
  25. Renforcement des peines prévues pour outrage à la pudeur, aux bonnes mœurs et à la dignité. Interdiction des manifestations de rue sexualistes, de la débauche publique, fermeture de tout établissement atteignant à la morale publique, de tout débit de drogue, de tout club décadent, de toute publication ou affichage similaire ou promouvant la subversion morale ou politique, de tout site internet similaire, avec peines de prison fermes en cas de récidive
  26. Reconduite immédiate à la frontière des délinquants étrangers au premier délit sans possibilité de retour avant 5 ans [30], après paiement au-delà des seules réparations. Peine d’intérêt général en cas de faillite personnelle 
  27. Tout signe public offensant à caractère sexuel ou injure invoquant la sexualité ou mettant en cause une quelconque parenté de la victime [41] est sanctionné par une mise en examen
  28. Toute injure prononcée par un étranger envers un national conduit à l’expulsion immédiate, à ses frais, ainsi que tout désordre public ou atteinte à la tranquillité publique
  29. Détricotage législatif et mise à terme de la surenchère parlementaire et législative [12]. Abrogation des circulaires, et ordonnances, suppression de tout décret n’étant pas circonscrit dans l’application stricte de la loi qu’il est censé illustrer. Assainissement et simplification : accessibilité, égalité devant la loi. Réduction à un corpus législatif et légal accessible par le citoyen [13]. Toutes les lois, obligations (vaccinale par exemple) ou interdits votés et édictés depuis 1789 repassent devant le consentement populaire et la chambre législative, l’une après l’autre
  30. Établissement d’une politique agricole fondée sur la restauration immédiate de la biologie des sols, interdiction des productions dites intensives, retour aux méthodes naturelles
  31. Diminution drastique du nombre d’élus [14], maintien du nombre à parité fixe avec le nombre d’habitants [15]
  32. Diminution du nombre de fonctionnaires administratifs d’État et territoriaux à parité fixe avec le nombre d’habitants [16], engagements déontologiques stricts. Quasi-suppression des personnels des institutions centrales (chambres parlementaires, cours etc.)S
  33. Instauration d’une juridiction populaire jugeant les fonctionnaires sur saisine des citoyens, avec perte du statut après deux condamnations prononcées. Fin, de ce fait, de « l’emploi à vie »
  34. Indexation des revenus du politique sur ses activités réelles et la croissance
  35. Proclamation de l’inutilité des politiques, création d’un régime populaire à exercice direct, référendaire, législatif, judiciaire, sous contrôle de l’assemblée nouvelle
  36. Pénalisation de toute chirurgie-charcuterie visant à changer de sexe, avec peines de 10 années de réclusion incompressibles
  37. Limitation du cumul et des renouvellements des mandats
  38. Augmentation des salaires de fonctionnaires des premiers échelons [17] (catégorie C) et des libéraux dépendants du domaine public (santé notamment)
  39. Établissement de nouveaux modes de scrutin (sauf Europe) [18]
  40. Suppression du département
  41. Suppression des mots faux et maçonniques « Égalité, fraternité » dans la devise nationale. Création d’une nouvelle devise
  42. Allègement draconien des documents administratifs, épuration des fiches salariales [19]. La production d’un document administratif par l’administration sera rendu difficile et il sera rappelé qu’aucun n’est opposable au citoyen s’il n’en passe par la loi
  43. La loi et la loi seule: abolition des divers codes de l’Éducation, de Santé etc.
  44. Contingentement de l’impôt territorial et national [6]
  45. Abolition des zones et banques défiscalisées de Polynésie ou d’ailleurs (où les politiciens français possèdent des comptes qui leur permettent de voir leurs chèques jamais encaissés par le Trésor public)
  46. Rétablissement d’un droit conforme à l’esprit des textes [20]. Rétablissement de la Justice selon l’esprit de la loi. Réhabilitation des juges d’instruction. Refonte du Code pénal et des divers autres textes. Extinction du droit procédural : on en revient à l’intention première. Introduction de la responsabilisation des juges, qui sont élus tous les 3 ans et leurs revenus personnels corrélés à leurs résultats, selon votation des personnes qu’ils ont eues à juger
  47. Sortie de l’Europe légale [21]
  48. Modification de la Constitution, restauration des principes sacrés
  49. Recherche d’un accord mondial pour l’éviction de la spéculation pure et le jeu bancaire [22]. Taxation sur le sol national de la dite spéculation boursière et bancaire. Abaissement des montants circulant à maximum 4 fois les actifs détenus. Désengagement des marchés de la part de l’Etat et collectivités. Prohibition de l’emprunt public sur les marchés : l’Etat seul prête à ses institutions, sous contrôle populaire
  50. Défiscalisation des échanges locaux libres
  51. Dissolution des centaines de milliers d’officines, agences, bureaux, dont Pôle-Emploi, le RSI, les CMPP, la DPJ, la MDPH, l’ASE, la PMI et autres organisations para-étatique plus ou moins légales, légitimes ou même mafieuses [23]. Fin effective du monopole de la Sécurité sociale [24]. Condamnation de l’organisme pour chaque empêchement constaté, et mise à pied des juges qui auraient voté en ce sens dans les 3 dernières décennies
  52. Interdiction pour les organisations para-étatiques de prétendre agir pour l’Etat, abandon de toutes les délégations usurpées
  53. Nettoyage et contrôle strict des subventions publiques. Interdiction de subvention d’associations cultuelles, voire culturelles [25]
  54. Arrêt des subventions aux associations non reconnues d’utilité publique [26] par consultation populaire (ne seront maintenues que les organisations recueillant plus de 80% d’avis favorables) ou par type d’activité, arrêt des subventions à la presse [27]
  55. Législation sur les syndicats et les organisations : obligation de publier des comptes
  56. Politique migratoire cohérente sur la base de compétences en fonction des besoins réels (contrats réels) et de l’asile politique exclusivement [28]. Abolition de la décapitation migratoire, rejet des envahisseurs à la mer
  57. Suppression des dépenses sociales en faveur des étrangers en situation irrégulière [29] ou vivant à l’étranger
  58. Réduction et lisibilité du Code pénal (déclaration solennelle : la loi est faite pour l’homme et non l’homme pour la loi)
  59. Raccourcissement des délais de justice et introduction de procédures à échéance fixe, sous peine de nullité [31]. Création de l’infraction d’outre-délai, sanction des personnels judiciaires en ce cas, perte de la fonction à la troisième récidive. Budgets adéquats du domaine judiciaire
  60. Facilitation du droit d’investigation et d’enquête de l’autorité publique [32]
  61. Prohibition sur les produits phytosanitaires et de consommation dangereux [33], interdiction de production, stockage et transit de ces produits
  62. Relance de la production d’énergies libres(défiscalisation), abandon de l’éolien et du photovoltaïque et autres opérations de pure spéculation [34]
  63. Démantèlement intégral du réseau 5G et prohibition de toute technologie de communication anti-biologique
  64. Allégement du droit du travail, épuration du Code du Travail. Suppression de l’intervention du juge dans les procédures de licenciement [35], renouvellement de la liberté de création d’entreprise, suppression de déclarations, etc. [36]
  65. Rétablissement du statut du médecin, du notaire, suppression des réglementations des métiers de la gynécologie,
  66. Retrait général de l’État dans ses fonctions régaliennes
  67. Rétablissement du délai de réflexion de 7 jours pour l’avortement, interdiction de l’avortement au-delà de 4 semaines de la conception. Référendum sur l’avortement
  68. Désengagement des conflits non stratégiques pour l’intérêt national
  69. Libération de l’initiative entrepreneuriale nationale par la suppression de tout impôt ou démarche avant d’atteindre un seuil de revenu bénéficiaire déterminé [37]
  70. Réforme totale de l’enseignement : liberté des universités et grandes écoles, liberté de fondation d’établissement, suppression de la carte scolaire, établissement de grilles de résultats, promotion au mérite, management, libéralisation
  71. Grands travaux pour le transport à très grande vitesse individuel porte-à-porte en vue du développement de l’intégralité des territoires et connexion aux pays voisins
  72. Grands travaux de restauration et reconstruction des monuments, châteaux, monastères et autres ayant été détruits par la révolution, les périodes de trouble, la fiscalité ou les politiques et révolutions urbaines
  73. Suppression du changement d’heure (été-hiver)
  74. Fin des « monopoles publics » (Fondation de France, attribution des droits d’émission audiovisuelle par le CSA etc.)
  75. Suppression du droit d’auto-amnistie parlementaire, révisions des amnisties précédentes, lancements des procédures de réparation
  76. Interdiction de la discipline des partis, suppression des quorums pour la constitution des groupes
  77. Établissement d’un monarque, représentant la souveraineté populaire et assurant la perpétuation des éléments fondateurs sacrés  la Nation, ayant pouvoir de s’opposer à une loi au nom des principes sacrés de la Nation, disposant d’un pouvoir judiciaire étendu et régalien, capable de dissoudre des organisations non-institutionnelles ou de dessaisir des personnes, quelles qu’elles soient, sans procédure, au nom des mêmes principes. Il est ab-soluta, absolu, c’est-à-dire sans lien à aucun lobby ou contre-pouvoir, il est libre. Nulle chambre n’a préséance sur lui
  78. Le peuple a le pouvoir de déposer le monarque s’il le demande à concurrence de 80% des voix
  79. Le monarque est issu d’une assemblée de gens formés dès le jeune âge à tous les métiers du peuple, par les métiers et choisi en son sein par l’ensemble des institutions et du peuple, à concurrence de 75% de voix du peuple et le reste aux institutions. Le monarque ne peut en aucun cas appartenir à quelque organisation politique ou assimilée que ce soit, il n’a le droit d’assister à aucune assemblée secrète à l’étranger, toutes ses dépenses se font sur ses fonds propres, il ne dispose pas de budget, sauf exception
  80. Rétablissement d’une vraie Assemblée nationale, à nombre de parlementaires réduits (50 représentants maximum), en charge des lois décidées par le peuple
  81. Établissement de l’Assemblée des Sages (400p) désignés par les corporations (organisations des métiers) veillant à amender, conseiller, recomposer les lois décidées par le peuple et les mises en œuvre de l’Assemblée nationale
  82. Rétablissement des Corporations qui protègent les citoyens, dirigées directement par eux et présidées par leurs représentants, qui ne peuvent être membre du Conseil des Sages
  83. Abolition des subventions aux « mémoires » racialistes ou idéologiques. Démantèlement des monuments idolâtres « mémoriels » de la pensée officielle abolie, destruction de tout signe, ouvrage, œuvre, support quelconque ou bâtiment créé avec l’argent public à ces fins scélérates
  84. Retour à l’heure naturelle

Ces mesures ne sont pas exhaustives et la nécessité dictera les urgences éventuelles

Déclaration du Peuple de France

À vous, le Peuple :

à l’origine, la démocratie devait assurer votre existence sous la protection des institutions. Vous en avez été chassés.

Les politiques ont détruit le pays, en transformant progressivement des principes démocratiques en un système inique et privé. Armés de principes inadaptés et pauvres, ils ne pouvaient assumer un devoir qui dépassait leurs capacités. Ils ont ainsi failli à leur tâche et à leurs obligations. En revanche, ils ont apporté zèle et efforts à la destruction universelle du pays.

Vous restez devoir obéir aux lois, ils s’en sont dispensés.

La pauvreté ronge lentement vos revenus, la loi diminue inéluctablement vos droits, votre santé est sabotée, votre éducation dépouillée, la justice partisane, vos administrations laminées, votre sécurité n’est plus assurée et, pour finir, les subsides publics ont acheté vos libertés.

¨Par des épandages aériens, votre intégrité, votre santé sont directement menacés.

Par le port du masque en dépit des résultats incontestables de pays qui n’en ont pas fait usage, on a diminué votre immunité, augmenté votre stress oxydatif, intoxiqué par votre propre gaz carbonique. Par la « distanciation sociale », on vous a soumis à des comportements contrôlés.

Tout cela, et pas même le dixième, nos ancêtres ne l’auraient jamais accepté. Jamais nos enfants ne pourront vivre avec ce que nous leur laissons — si vivre est un mot qui a encore un sens demain.

Jusqu’ici, en votant pour les partis et en croyant en d’éventuels changements perpétuellement retardés, vous y avez consenti.

Or, depuis le niveau de prospérité jusqu’à la place de la France dans le monde, l’essentiel n’a été que recul. La France, en trois décennies, a vieilli de cinquante.

Et s’il fallait se contenter de peu, le Français avait les moyens matériels, privilégiés à la surface de la Terre, de vivre heureux. La logique de son système moderne, révolutionnaire, portait en germe sa mort lente. L’argent qui lui est volé par le fisc et les tribunaux finance sa perte.

Voici l’odieuse réalité : vous payez pour mourir.

On prétend souvent que c’est le paysan « accablé sous le poids de l’impôt » qui a fait la Révolution. Or, il ne payait l’équivalent que de 18 jours de travail en impôts (gabelle, taille, vingtième, etc.) alors qu’aujourd’hui, vous n’êtes libéré qu’après 208 jours, soit onze fois plus. Libéré, le mot n’est pas trop fort : le peu qu’il vous reste de droit à vivre est prisonnier.

Il n’y a pas de salut dans le système, il est entre ces mains-là qui détiennent richesses et pouvoirs, et jamais ces mains n’ont été à la fois aussi peu nombreuses et aussi puissantes. La menace totalitaire est universelle.

Si bien que l’inconséquence des gouvernements n’a été que le relais de la spéculation mondialiste. Mais il y a eu aussi, ayons le courage de le reconnaître, à notre niveau quotidien, des relais locaux, presse, syndicats ou associations, qui se chargeaient de votre assentiment. Vous avez vécu une paresse et une léthargie qui n’ont abouti qu’à plus de dépendance, plus de droits coûteux et sans avantages, à plus de désespérance, de conservatisme. En prenant d’une main, et sans penser aux générations à venir, le confort, les avantages et la protection, vous rétrocédiez de l’autre la liberté, la prospérité et la solidarité.

Nous avons laissé tuer l’exception, l’originalité, la créativité qui étaient justement parmi nos plus précieux trésors, qui en réalité étaient le génie français.

On vous a servi du mensonge et vous avez voulu y croire.

Il est l’heure de renoncer à vos chaînes, et de reprendre le pouvoir qui vous a été enlevé.

Pendant que vous auriez besoin de quelques centaines d’euros par an pour mieux vivre, des milliards sont consacrés à des causes scandaleuses. On renfloue des banques qui spéculent sur le désastre et engrangent, en pleine crise, d’énormes dividendes. On fiance des gay-pride, des entreprises criminelles même.

Vous travaillez d’arrache-pied alors que l’oisiveté rapporte souvent davantage.

Les services publics, abandonnés, sont dépourvus de moyens.

Vous êtes submergés de paperasses, de normes, de directives, qui font qu’au lieu de vous consacrer à votre métier, vous donnez votre vie au néant.

Pendant que vous craignez pour votre emploi, on favorise les délocalisations.

Alors que tous les progrès sont possibles, on vous maintient dans la contrainte de systèmes caduques.

Vous ne trouvez pas à vous loger, pendant que les collectivités possèdent les plus monstrueux parcs immobiliers de l’Histoire et que les trusts engrangent les plus fabuleuses fortunes de tous les temps.

Votre bonne volonté et votre bénévolat suppléent aux carences de l’Etat, tandis qu’il ne craint pas de vous appliquer des sanctions et des amendes, de faire valoir des lois que vous seuls respectez.

On fait mine de consacrer quelques dépenses à une écologie purement de façade, et on maintient des structures polluantes depuis la production jusqu’à la consommation.

Vous risquez votre vie dans une société investie par la violence.

On a livré au marché vos terres, votre travail, votre maison et maintenant on vous livre, vous.

Mais il y a plus grave : une nouvelle guerre est déclarée, s’attaquant non plus seulement aux biens de l’homme ou à sa liberté, mais cette fois à sa nature même.

Tout cela, maintenant, vous le savez. Vous avez fait ces constats et un million d’autres.

Ce qui se passe n’est pas seulement vrai en France, c’est vrai dans bien d’autres pays.

Les fausses élites se connaissent toutes et s’arrangent entre elles, elles signent en votre nom, par-dessus vos têtes, des traités qui vous engagent sans que vous ayez été consultés, d’autres même que, parfois, vous avez rejetés.

Qui tient la dette tient les nations. Les politiques, qui ne sont rien sans l’argent de la finance, ont creusé les déficits et accru le chômage, pendant qu’ils se votaient des avantages et des amnisties. Mais voyez, ils ne sont rien : ni légitimes, ni compétents. Ils n’ont jamais recueilli de véritables majorités, ils ne comptent ni l’absentéisme électoral ni les votes blancs, qui sont majorité.

Ils n’aiment pas le territoire, d’un côté ils en abandonnent des parts entières à des mafias et des trafiquants, de l’autre ils cèdent tout à l’Europe, cette Europe dont les chefs exécutifs sont désignés et non élus. Ils n’ont pas spécialement besoin de votre santé. Ils n’aiment pas votre liberté, ils votent chaque semaine de nouveaux interdits et de nouvelles obligations. Ils n’aiment pas votre travail, ils bradent vos emplois.

Ils n’aiment rien en fait de ce qui constitue le corps et l’âme du pays.

En un mot : tout marche à l’envers. Nous sommes dans un système inversé. Ce qui était bon est rejeté, ce qui est mauvais est institutionnalisé. La politique ne sert plus l’homme, c’est l’homme qui sert la politique. L’homme a disparu de la politique, en réalité, et les discours mentent.

N’en parlons plus. Agissons.

Nous ferons notre devoir, parce que nous refusons que ne s’imposent, soit la guerre civile, soit des partis dangereux. Car tout n’est pas fini. La France peut renaître, parce qu’il y a encore les Français.

Nous n’attendrons pas le départ des politiques, nous prenons le pouvoir.

Nous sommes le peuple.

Nous n’allons pas réformer le système, nous allons en changer.

Nous allons refonder une légitimité. Nous développerons un pays de notre siècle et des siècles prochains, en lien avec le monde, pour une prospérité universelle.

Craignez-vous la loi ? Mais, Français, votre volonté prime sur la loi ou les institutions, car la seule légitimité réelle, celle dont parlent les textes fondateurs est, en fait, la vôtre ! Vous pouvez tout puisque le droit, c’est d’abord la nation. Qu’elle s’exprime enfin !

A présent, vous vous révoltez. Il était temps.

Alors, prenons le pouvoir, dans une démarche conforme à l’esprit de la vraie civilisation !

Voici donc notre appel solennel. En ce jour, nous délions les Français de leurs engagements vis-à-vis d’un système politique qui ne les représente plus, nous répudions les traités que nous n’avons pas signés, nous rejetons les contrats faits sans nous.

Nous choisirons ce qui doit être conservé, et ce qui doit être enlevé. Nous séparerons le bon grain de l’ivraie.

Il n’y a pas de problème que le génie humain ne puisse résoudre, si on lui en laisse la liberté. C’est cette liberté que nous reprenons.

La société française sera désormais consacrée à l’Homme et non plus aux institutions, aux groupes d’intérêts ou à la spéculation.

Le mouvement de civilisation qui partait de l’homme individualiste, sans lien à autrui, et qui le distrayait vers les ensembles continentaux et universels, anonymes et déracinés, reviendra puiser à un universel qui nourrit l’individu. Le sens de l’homme est dans sa proximité, dans son incarnation, l’homme se justifie par son prochain. L’homme n’est pas gouvernable à distance, il n’est pas fait pour les quêtes éthérées, sans lien, ni pour les spéculations sans fondements réels. L’idée qui ne surgit pas du réel tue l’homme. En ce sens, nous tournons le dos aux deux derniers siècles qui ont été les siècles des idéologies.

Nous réconcilierons l’homme et le réel. Le vivant contient les réponses. Le réel est vie.

Nous voulons une civilisation de la vie. Nous la déclarons sacrée, alpha et oméga de la civilisation renouvelée.

Tous les Français de bonne volonté sont conviés à défendre le renouvellement national, puisqu’ils sont les seuls légitimes à gouverner, en tant que souverains de leur pays.

Les effectifs de police, de gendarmerie et les divers services de sécurité seront solennellement appelées à se mettre en situation de maintenir la paix et l’ordre en tous lieux du territoire, sans attendre ni accepter aucun ordre des responsables qui les ont trahis.

Nous assumerons l’entière responsabilité du destin national jusqu’à ce qu’un nouveau régime stable, garant des libertés, de la prospérité, de l’intégrité nationale, du respect dû aux personnes, soit offert à vos vœux. Nous mettrons en effet en place toutes les circonstances favorables à des élections, les premières véritables élections libres et universelles de France.

Les zones non contrôlées seront rendues à la nation. Nous libérerons les captifs, les endettés, les sans-abris, d’une situation qu’ils n’ont jamais méritée.

A bas la République, vive la vraie France !




Fraude électorale massive aux États-Unis

[Source : Strategika]

Contrairement à ce qu’affirme CNN, la chaîne d’information en continu basée à Atlanta, selon laquelle il est « impossible de truquer une élection américaine » et « qu’il n’y a jamais eu de preuve d’allégations similaires » en dépit de quatre années consécutives de matraquage sur l’influence russe, les présidentielles US de 2020 connaissent une fraude massive dépassant celles de 2000 (un cas d’école de référence jusqu’ici).

Le monde entier assiste à ce spectacle fort désolant et beaucoup d’observateurs estiment que le système politique US rouillé et périmé n’a jamais eu de fonctionnement démocratique même formel. L’usage de nouvelles techniques pour améliorer la fraude et la rendre indétectable n’a par contre jamais cessé de se perfectionner, notamment dans son volet relatif à l’ingénierie sociale.

La fraude du vote par voie postale est établie. Certains États permettent le vote par correspondance jusqu’au 12 novembre 2020 dans ce qui s’apparente comme une moquerie de la démocratie rappelant les faux tessons de vote de la Grèce antique (on y pratiquait la fraude électorale déjà à cette époque). D’autres suspendent le décompte des voix tandis que d’autres modifient les procès-verbaux à la dernière minute comme dans un pays caricatural du Tiers-monde. Cerise sur la gâteau, les médias coupent le président Donald Trump lorsqu’il tente de dénoncer ce simulacre d’élection, prouvant une fois de plus que le président des États-Unis d’Amérique n’est qu’un figurant d’un pouvoir réel caché qui ne s’embarrasse jamais à le rappeler à l’ordre, à lui montrer les limites de ses prérogatives fictives ou même à le liquider physiquement en cas de force majeure.

Les États-Unis ne sont pas une démocratie mais une ploutocratie oligarchique. Le système politique US bipartisan est aussi fermé que ne le furent les systèmes autocratiques les plus extrêmes. Quel que soient les défauts de Trump, on ne peut lui en vouloir d’avoir eu le mérite de dévoiler le système tel qu’il est en réalité et cette réalité est loin d’être confortable.

Les États-Unis sont le centre de l’Empire et cet empire s’effondre. Les néo-conservateurs et leurs alliés d’Europe se trompent lourdement s’ils croient que la désignation de Biden/Harris et du clan Obama/Clinton va redresser la barre ou remédier à une situation issue d’une dynamique historique irréversible. Le retour à la langue de bois et à la dictature du politiquement correct ne peuvent plus se substituer en tant qu’illusions à une réalité qui risque d’être fort fâcheuse : l’Empire s’effondre et cet effondrement risque de se traduire par une guerre civile d’une violence inouïe dont l’impact sur le reste du monde sera dévastateur.

La manipulation du COVID-19 était donc un des outils de cette lutte acharnée au sommet de l’Empire et ce n’est point un hasard si depuis quelques jours, un nouveau ayant pathogène tueur ayant des similitudes troublante avec la grippe espagnole et celle de Hong Kong est en train de faire des ravages en termes de vies humaines (tous les décès sont systématiquement attribués au COVID-19).

L’une des grandes leçons de cette élection est que sans ce que l’on appelle la « pandémie » du COVID-19, Donald Trump aurait facilement assuré sa réélection pour un second mandat.

Les médias, les géants US de l’internet comme Twitter et même la très ridicule Greta Thunberg (la manipulation du réchauffement climatique et la fraude au CO2) tentent rebâtir l’Empire du mensonge et l’image parfaite d’une chimère au milieu des ruines fumantes et de débris. Le mal est fait. Les populations ne sont plus aussi endormies qu’en 2000. Quel que soit l’aboutissement de cette mascarade électorale US, le Trumpisme continuera.

Pour les autres puissances dite « révisionnistes », le système politique US demeure l’un des plus pourris et corrompus de la planète terre. Les médias chinois soulignent que le spectacle des élections présidentielles US a toujours été d’un niveau comparable à ceux des scrutins de pays sous-developpés minés par la violence et la corruption. Du côté de Moscou, peu importe qui sera le vainqueur, le pouvoir réel ou l’État profond US ne changera pas et sera toujours hostile à la Russie.

Cependant cet électrochoc aura des conséquences inattendues sur les populations des États-Unis. Une partie de l’opinion US est déjà convaincue de la nécessité de se battre contre un système prédateur et usurpateur qui n’a rien d’américain. Le choix de la gérontocratie (Joe Biden est biologiquement usé et pourrait être remplacé par Kamala Harris, ce qui est planifié) en dit long sur les plans à court terme de L’État profond. Ironie du sort, la CIA et les autres agences du renseignement US ont appliqué aux États-Unis ce qu’ils avaient coutume de faire aux autres pays classés comme hostiles. Un retour de boomerang rappelant une lointaine malédiction mésopotamienne.

R.I.P USA

(1776-2020)




Piratage et virus intellectuel : l’anti-trumpisme conditionné

[Source : plumenclume.org]

[Auteur :] Sébastien Renault

« Avouer qu’on s’était trompé, c’est rendre le plus éclatant hommage à la perspicacité de son esprit. » 

(Gaston Bachelard)

Les enjeux de la nouvelle guerre civile étasunienne

À la suite de remarques de personnes peu informées quant à la réalité américaine et à l’étendue des fraudes électorales survenues outre-Atlantique pour éconduire à tous prix Donald Trump lors des dernières présidentielles, nous voudrions ici apporter quelques brefs éléments de contradiction face aux mantras de la haine anti-trumpienne conditionnée et à la chape de plomb de censure médiatique qui continue de peser sur nombre d’esprits. De fait, le véritable virus qui affecte aujourd’hui l’humanité est bien de type intellectuel en ce qu’il s’attaque à la pensée rationnelle, pour en contrecarrer d’abord les défenses naturelles, pour l’assommer ensuite à coups de mensonges stupéfiants et systématiques, et finalement la faire disparaître

Le vol de l’élection américaine, perpétré au milieu de la nuit dans plusieurs États décisifs au Collège électoral, ne s’est pas seulement produit avec le concours direct de milliers de tricheurs sur le terrain et de machines à voter piratées via internet, depuis l’étranger. En amont de ces activités criminelles aujourd’hui attestées[1], cela n’a pu effectivement se produire qu’avec l’assistance acharnée du covidisme médiatique, sous le contrôle de l’influence presque infrangible des technocrates de la désinformation numérique et de leurs toujours fidèles laquais médiatiques.

Les classes dirigeantes et leurs alliés médiatiques américains (la « Pravda » du parti démocrate) savent pertinemment qu’il ne faut pas tant « diviser » que divertir pour mieux régner. Divertir et par-là néantiser toute réflexion, faciliter la manipulation psycho-subliminale de l’opinion et s’assurer un contrôle mental en fin de compte très efficace des masses subjuguées à leur insu—par distillation programmée de divertissements conçus pour capter l’attention des gens, encore plus aujourd’hui sous régime covidique à peu près universel de confinements prolongés. 

La peur covidique a donc été parfaitement exploitée aux États-Unis comme arme de campagne électorale tirée du carquois des grands médias dominants, en vue d’en finir avec Trump. Des millions de voix américaines ont en conséquence été supprimées… Le leurre du suffrage universel en démocratie électoraliste, avec l’assistance opportune de la grippe chinoise mondialiste, ne pouvait certes que l’emporter sur la raison, le droit, et le pauvre peuple américain. Impossible d’empêcher Trump d’être réélu sans réunir tous les ingrédients de l’appareil de parti et de pensée unique washingtonien. Il ne restait plus aux associations criminelles de lobbystes, d’acteurs privés et internationaux à la solde de l’anti-trumpisme institutionnel, qu’à former une coalition idéologique et financière pour arranger et garantir la défaite de leur ennemi public numéro un (« l’abominable homme orange »). À en rester à la surface strictement médiatique des choses, ils ont d’abord gagné la bataille (du moins l’une des batailles). Mais ils n’ont certainement pas gagné la guerre. D’où l’accumulation d’audiences et de témoignages assermentés, pour ouvrir la voie à des procédures légales constitutionnelles, à commencer par la dé-certification des résultats officiels au niveau des Assemblées législatives, compte tenu de l’abondance des preuves d’activités criminelles et de bulletins de vote falsifiés dans tous les États litigieux.

Ce qu’ils n’ont certainement pas vu venir, dans leur obsession haineuse envers Trump, c’est l’ampleur du soulèvement d’un mouvement de contestation populaire aussi informé que déterminé à démanteler leur usurpation par la triche électorale en faveur de Joe Biden et de « Kabbalah » Harris. L’élan croissant de ce mouvement repose sur la cohérence interne de sa résistance patriotique, laquelle s’organise en ligne, sous forme de rassemblements publics, et devant les organes judiciaires et législatifs institués par la Constitution américaine.

On peut simplifier l’antagonisme fondamental de la nouvelle guerre civile psycho-civilisationnelle qui sévit aujourd’hui aux États-Unis sur la base du schéma conventionnel  « droite/gauche » :

–        D’un côté, la gauche libérale et « sociale-globaliste » de Biden caractérisée par une idéologie écologique exorbitante (selon le projet d’investissement et de refonte globale connu sous le nom de « nouvelle donne verte »), par la lutte identitaire ethno-genrée, par l’immigration sauvage et l’abolissement progressif des forces policières, par la dénaturation LGBTQ-iste de l’ordre sociétal-familial, et par le Veau d’Or du matérialisme financier adoré à Wall Street…

–        De l’autre, la droite conservatrice et « populiste » de Trump caractérisée par la réinstauration d’un ordre sociétal fondé sur la loi naturelle, par l’indépendance énergétique, par une philosophie de contre-ingérence militaro-industrielle, par son engagement à sécuriser les frontières étasuniennes (contre l’immigration clandestine, le trafic de drogue et d’êtres humains), par la résistance à la libre-circulation illimitée des capitaux, des marchandises (y compris humaines, vivantes et/ou en pièces détachées[2]) et des travailleurs en fonction des dictats des marchés transatlantique et transpacifique…

Fort de ces quelques attributs en guise d’arrière-plan de confrontation idéologique bien définie, les dernières élections américaines ont offert au monde une véritable démonstration de collusion de ploutocrates sans scrupules (Big Tech), de propagandistes médiatiques spécialisés dans le mensonge éhonté (Big Media), de groupes et lobbies sorosiens (BLM-istes, ANTIFA-istes), de l’empire médico-technocratique (Big Pharma), et de traîtres en tous genres—notamment ces acteurs politiques qu’on appelle « républicains de nom uniquement », ou « RINO » selon l’acronyme anglais. C’est un fait objectif, vérifiable, que les colporteurs habituels de fausses nouvelles ne peuvent bien sûr que feindre d’ignorer (ce qui va être de moins en moins possible). L’ordre établi par les élites washingtoniennes tente d’écraser le mouvement populiste initié en 2016 par l’accession d’un non-politicien à la présidence des États-Unis. Le canular de la « collusion » entre Trump et la Russie sert toujours de fondation à l’effort médiatique dirigé jour et nuit contre lui depuis plus de 4 ans. Le dinosaure Biden, politicien professionnel depuis 47 ans et soi-disant « catholique », est soutenu par le parti communiste génocidaire chinois. Corrompu jusqu’à la moelle, il n’est qu’une marionnette du système et un caméléon sans substance. Il menace, entre autres fléaux socio-économiques, de reconduire le confinement criminel s’il est élu.

Tout le monde, ou presque, comprend bien que Biden est l’incarnation politique inodore et incolore de la bourgeoisie marchande globaliste, le candidat de l’empire bancaire par excellence. Par conséquent Wall Street, Bill Gates et Jeff Bezos, entre autres milliardaires sans foi ni loi, soutiennent naturellement Biden et haïssent Trump.

La fausse « victoire » électorale de Biden sert donc désormais de vecteur à la violence oligarchique de la globalisation libérale, que le populisme trumpiste était parvenu à endiguer, ne serait-ce que partiellement.

À l’encontre des prédictions superficielles de certains observateurs enclins à analyser les enjeux des évolutions géopolitiques d’un point de vue a priori anti-américain, Trump est parvenu à freiner, neutraliser, et finalement enrayer au moins trois guerres potentielles en quatre ans de mandat—contre la Corée du nord, la Russie et le Venezuela. La persistance d’une idéologie messianique et guerrière sur fond de culture judéo-protestante en Amérique n’a pu avoir raison du magnat newyorkais, un « street fighter » de l’immobilier et des débats houleux, mais certainement pas le « va-t-en-guerre » inculte, irréfléchi et impulsif de l’imaginaire européen s’inspirant de clichés grossiers du libéralisme progressiste à l’américaine. Trump est en réalité un personnage très intelligent et stratégiquement rusé, tout-à-fait conscient des dangers de l’influence néoconservatrice, particulièrement en termes d’ingérence et d’invasion militaire.

Sans chercher l’exhaustivité, rappelons simplement, en toute objectivité factuelle, quelques hauts faits du premier mandat du 45e président américain, pour bannir les inepties populaires de l’anti-trumpisme conditionné.  

Des réussites économiques

D’un point de vue économique, l’honnêteté intellectuelle nous force à reconnaître les progrès significatifs accomplis par l’administration Trump.

Comme il l’avait annoncé durant sa campagne électorale en 2016, Trump a décidé judicieusement, dès 2017,  de  retirer les États-Unis de l’Accord de Paris, cette fédération internationaliste dispendieuse vouée à la promotion d’ « actions climatiques menées au niveau mondial ». Cet Accord aurait porté un coup particulièrement ruineux à l’économie étasunienne en entraînant la perte de millions d’emplois… Tout cela pour du vent idéologique s’appuyant sur une conception défectueuse de l’atmosphère et de son CO2 (voir ici notre article préconisant quelques repères non-exhaustifs pour s’extraire de la confusion et du fondamentalisme climato-alarmiste) et donnant lieu à une espèce de complexe néo-messianique vis-à-vis de la Natura naturans idolâtrée (une erreur théologique des plus funestes, sur laquelle nous ne pouvons revenir ici). Comme si les gouvernements de ce triste monde pouvaient contrôler le climat…  

Les États-Unis ont recouvré leur indépendance énergétique courant 2018, pour devenir le premier producteur mondial de pétrole brut—devant la Russie et l’Arabie saoudite. L’administration Trump a depuis conclu un accord avec l’Union européenne pour augmenter les exportations d’énergie étasunienne vers l’Europe. Elle a en outre signé plusieurs permis pour assurer l’exportation des produits pétroliers étasuniens vers le Mexique.

Des réussites sociales

Le fait d’enregistrer un taux de chômage national inférieur à 4 % à plusieurs reprises au cours de l’année 2019 a donné le signe d’une résurrection économique particulièrement spectaculaire à l’approche de la dernière année du premier mandat de Trump.

Début 2020, avant la mise en œuvre complète du covidisme, le taux de chômage national aux États-Unis était de 3,5 %, le plus bas depuis 1969. Celui des femmes adultes était tombé à 3,2 %, le taux le plus bas en 65 ans (pour un « phallocrate » présumé, ce n’est pas un si mauvais bilan) ! Le nombre de chômeurs par groupe ethnique (noirs, hispaniques et américains d’origine asiatique) a lui aussi été un des plus bas de ces derniers 50 ans. Au total, les États-Unis ont vu, début 2020, près de 261 000 000 de ses citoyens occuper un emploi, le plus grand nombre jamais atteint.

En 2019, plus de 6 millions de travailleurs étasuniens ont bénéficié de réductions fiscales, de primes et de compensations financières…

Trump est régulièrement qualifié de « raciste ». Mais les faits contredisent cette invective stéréotypée de l’ultra-gauche anti-Trump (et de ses chambres d’écho pavloviennes aux quatre coins du monde).

Avant l’instauration de la grande réinitialisation covidique début 2020, le chômage des citoyens noirs américains était à son niveau le plus bas de l’histoire étasunienne.

Les réformes trumpiennes de la loi First Step Act (FSA), entérinées en décembre 2018, ont permis de remédier aux inégalités persistantes dans l’administration de peines disproportionnées appliquées aux citoyens américains noirs de peau. Les principaux bénéficiaires de réductions de peine en vertu de la FSA sont des noirs américains. L’administration Obama n’avait rien fait qui puisse favoriser la réforme du système judiciaire américain et améliorer la vie des noirs incarcérés, à commencer par l’application de peines équitables dépourvues de discrimination ethnique. Les médias ont choisi de ne pas souligner l’engagement de Trump à réparer ces injustices contre les noirs en prenant des mesures concrètes. Par conséquent, la plupart des gens en Europe et ailleurs considèrent injustement Trump comme un chef de file de la « suprématie blanche », déterminé à ramener l’Amérique au temps des plantations… Aucun exemple ne pourrait mieux illustrer à quel point nous sommes devenus inintelligents, en raison de la tyrannie intellectuelle à laquelle nous nous soumettons nous-mêmes en donnant notre assentiment quotidien plus ou moins complet aux grands médias.

Les affaires étrangères

L’approche de Trump en matière de politique étrangère est fortement influencée par son expérience aguerrie d’homme d’affaires, particulièrement en qualité de magnat de l’immobilier. Cela s’avère être significatif, et l’on a les preuves de son efficacité géopolitique iconoclaste. Trump refuse résolument de s’aligner sur les manières de faire des politiciens professionnels qui l’ont devancé à la Maison Blanche. Et dès lors de gaspiller sa présidence dans des objectifs militaristes s’inspirant des philosophies géopolitiques à tendances impérialistes des administrations précédentes. Ses nombreux détracteurs semblent l’oublier, pour justifier leur paresse malveillante à son égard et se contenter d’en faire un guignol « expansionniste » et « guerrier » à l’étranger—« raciste », « homophobe » et « xénophobe » de retour en territoire étasunien…   

Trump a participé à plusieurs sommets historiques avec le « dirigeant suprême » nord-coréen Kim Jong-un, en vue de promouvoir la dénucléarisation de la péninsule coréenne. Nous soulignons à dessein l’importance de ces rencontres entre les deux chefs d’États, pour faire de nouveau ressortir le contraste entre la réalité de l’approche trumpienne des relations internationales et l’imaginaire anti-trumpiste réactionnaire (conditionné par une haine et une sottise aveuglante).

Plus que toute autre administration américaine, l’administration Trump a favorisé le développement de relations ouvertes d’investissements et de partenariats nouveaux avec le monde indopacifique. Nous pourrions continuer…

La liberté religieuse

Trump s’est engagé à plusieurs reprises en faveur de la protection de la liberté religieuse. L’un des points forts à cet égard aura été sa décision de mettre fin aux poursuites juridiques particulièrement abjectes de l’administration Obama à l’encontre de la Congrégation des Petites Sœurs des Pauvres[3], forcées par le gouvernement précédent à souscrire aux plans d’assurance maladie de la Loi sur la Protection des Patients et les Soins Abordables (la fameuse « Obamacare ») couvrant l’utilisation de contraceptifs, dont certains abortifs.

Il a en outre signé de nombreuses mesures en faveur de la protection du caractère sacré de la vie humaine in utero. Son administration a promulgué de nouvelles régulations visant à restreindre les fonds fédéraux alloués au programme de planning familial Title X et à s’assurer qu’ils ne soient plus impartis à quelques programmes corrélatifs ou à des initiatives qui faciliteraient en pratique ou encourageraient de quelque manière l’avortement. Elle a encore promulgué de nouvelles réglementations destinées à étendre les exemptions des travailleurs dans le domaine de la santé et par-là les protéger du mandat contraceptif imposé par l’Obamacare, sous couvert (auto-contradictoire) de soins de santé publique et « reproductive ».

Depuis son accession au pouvoir en novembre 2016, Trump est notamment parvenu à améliorer l’économie et à faire reculer les stratégies géopolitiques traditionnelles du complexe militaro-industriel étasunien. Mais non sans devoir faire face à de nombreuses attaques fomentées contre lui en coulisse par ses ennemis les plus acharnés au sein de l’administration Obama, assistés du département de la Justice des États-Unis et du FBI : une enquête bidon menée par l’équipe du procureur spécial Robert Mueller sous prétexte d’abord d’intrusion russe dans les élections américaines de 2016, puis d’ « obstruction à la justice » par Trump ; l’hostilité constante d’une cabale journalistique unanime dans sa haine déclarée contre lui ; une tentative de destitution sous prétexte de faux quid pro quo[4] ; et, pour finir en cette année 2020 des plus chargées, une fausse pandémie orchestrée par le Parti communiste chinois et les élites mondiales…

Avec la nouvelle guerre civile étasunienne organisée sur fond de double tricherie, covidique et électorale, on discerne sans grande difficulté les intentions du système de domination globaliste vaccinale : l’heure est venue d’implanter un nouveau programme, un virus comportemental fonctionnel pour une humanité déjà masquée et mentalement algorithmisée par ses maîtres à penser. Le message des tricheurs démocrates est clair : bouchez cette trompette « trumpienne » qui nous casse les oreilles ! Car elle pourrait certes encore en réveiller quelques-uns.       

Cinquante États de fraude : un « thriller » américain en temps réel…  

Nous jouons ici sur les mots, à partir du titre original du navet érotique hollywoodien Fifty Shades of Grey | »Cinquante nuances de Grey« , titre comportant déjà un jeu de mots],film obscène s’il en est, mais malheureusement populaire et clairement destiné à la corruption des mœurs, particulièrement des adolescents. Le film américain nauséabond auquel nous assistons en temps réel est d’une autre nature, il porte involontairement témoignage de la corruption par trop réelle des mécanismes électoraux sur lesquels repose l’archétype de la démocratie occidentale moderne— vaste supercherie s’il en est.

Le film du plus grand piratage de l’histoire des élections étasuniennes, mettant en vedette les oligarques de la Silicon Valley et la classe dirigeante illégitime (entre autres « stars » de connivence que nous énumérerons en conclusion), peut s’expliquer selon deux objectifs diamétralement opposés : 1) destituer criminellement Donald Trump de son poste légitime de président américain (une entreprise d’envergure globaliste) ; 2) mettre en lumière, sur le terrain de la constitutionalité américaine, l’étendue de la conjuration anti-trumpienne. À ce jour, ses auteurs persistent  à rabâcher leur mantra préféré, à savoir qu’ « il n’existe aucune preuve de fraude électorale », jouant ici sur le terrain subliminal de la répétition stratégique d’un mensonge en soi criant.

Le dévoilement en direct de l’intrigue du film auquel nous assistons, Cinquante États de fraude, permet de faire apparaître au quotidien l’étendue de plus en plus vaste des preuves incontestables de la réélection de Trump. Si les dernières élections outre-Atlantique avaient été menées dans le respect des lois étasuniennes en vigueur, donc en soustrayant la prise en compte frauduleuse de millions de votes illégaux fabriqués électroniquement et physiquement par les démocrates, le résultat serait sans équivoque.

Avec la multiplication des preuves manifestes d’un coup monté impliquant les réseaux sociaux, des ingénieurs informatiques à l’étranger, les élus démocrates de haut rang, et bien sûr une foule de bénévoles chargés sur le terrain de collecter les bulletins de vote et de faire le dépouillement, les forces de la censure s’organisent pour passer à la vitesse supérieure. Prétexte : les « opinions dissidentes » portent atteinte à la « légitimité » du colportage journalistique officiel, que tous sont tenus de croire.

Le mercredi 9 décembre, la chaîne YouTube a annoncé qu’elle était en train de retirer des milliers de vidéos qui mettent en doute, sans fondement, la « victoire » électorale de Biden[5]L’opération réprimande de tout contenu susceptible de promouvoir la notion de « fraude généralisée » lors des dernières élections étasuniennes a donc commencé. La prétention d’une société où règne la « liberté d’expression » est donc désormais ouvertement congédiée. Sous le régime de la gouvernance mondiale covidisée et covidisante, faire taire la dissidence est désormais la nouvelle norme de ce que nous appelons encore, pour faire joli, « nos sociétés libres ».

Pour autant, malgré les efforts médiatiques habituels de détournement cognitif, signalons que les contre-efforts de la lutte sur le plan de la légalité constitutionnelle s’organisent et se consolident de plus en plus. L’État du Texas est désormais en train d’entreprendre une action en justice, au nom des États-Unis eux-mêmes, contre quatre des cinq États impliqués dans des activités attestées de fraude électorale à grande échelle.

Rappelons en outre que la Constitution américaine donne à la Cour suprême une compétence exclusive sur les actions intentées par les États contre d’autres États en cas de violation du droit et de fraude électorale corroborée. Les comportements illégaux mis en évidence ces dernières semaines en Pennsylvanie, en Géorgie, dans le Michigan et dans le Wisconsin justifient amplement les poursuites judiciaires désormais intentées par le Texas contre ces États[6].

Le rapt de l’élection présidentielle

Revenons maintenant sommairement sur quelques-unes des principales caractéristiques du rapt électoral du mois dernier, telles qu’elles ressortent clairement des litiges en cours dans les États concernés—l’Arizona, la Pennsylvanie, la Géorgie, le Michigan, et le Wisconsin.

La « victoire » électorale de Joe Biden repose sur un processus de comptage frauduleux survenu au beau milieu de la nuit, ce que confirment des centaines d’affidavits ainsi que la résultante statistique des analyses numériques dans tous les États susmentionnés.

Les systèmes électoraux du Dominion Voting System ont été mis en place pour permettre la tricherie électorale à très grande échelle. Certaines clés USB volées et utilisées pour pirater les machines à voter ont dernièrement été récupérées. Elles vont permettre de faire la lumière sur un certain nombre d’anomalies inexplicables, telles que la détection de votes préchargés pour Biden avant le début des élections, d’après les dates indiquées sur les serveurs reliés en ligne au machines du Dominion— même si l’accès direct à ces machines s’avère toujours difficile en raison de leur statut prétendument « privé » (ce qui constitue bien sûr une atteinte des plus flagrantes à la transparence et au fair-play théorique de tout système électoral démocratique, dont le fonctionnement, par définition public, repose sur l’argent des contribuables). Les responsables du groupe Dominion opèrent donc à la fois en tant que juge et partie. La gestion digitale des votes leur appartient entièrement. Et ils sont encore les seuls à pouvoir examiner, après les élections, leur logiciel de « tabulation ».

La manipulation électronique est d’autant plus évidente que les algorithmes du Smartmatic utilisés par les machines du Dominion dans tous les États disputés ont calculé les votes au moyen de nombres fractionnaires décimalisés. La tabulation des votes n’a donc jamais eu lieu en tant que telle, car cela impliquerait à juste titre le comptage de nombres entiers. Le calcul algorithmique a remplacé la comptabilisation, pour augmenter ou diminuer les votes de tel ou tel candidat…

Outre l’altération de la chaîne de contrôle dans le traitement des votes par correspondance depuis déjà plusieurs mois et la tricherie algorithmique « dominionique » le soir des élections, des centaines de milliers de bulletins ont été illégalement déposés dans toutes les circonscriptions importantes de toutes les villes d’obédience démocrate. Des millions de votes frauduleux, électroniques ou autres, ont dès lors été comptés en faveur de Biden. Sans la mise en œuvre d’une telle opération de dépouillement et de décompte truqué sur le terrain, Trump aurait pu facilement récolter près de 100 millions de votes !

Le segment vidéo suivant, tiré de l’audience électorale qui s’est tenue la semaine dernière en Géorgie, n’est qu’un exemple parmi d’autres du type de fraude physique qui a eu lieu dans la nuit du 3 au 4 novembre dans d’innombrables circonscriptions américaines. Pendant deux heures, les tricheurs ont fait transiter des bulletins de vote illégaux, assurant un gain frauduleux de quelques 24 000 voix pour Biden, suffisamment pour faire pencher la Géorgie en sa faveur :

https://www.youtube.com/watch?v=keANzinHWUA [Audience sur l’intégrité des élections en Géorgie, jeudi 3 décembre 2020 | NTD]

Contre toute attente statistique justifiable, Biden a soudainement dépassé Trump dans tous les États clés de la course 2020 à la Maison Blanche. Au final, sa marge d’avance, par exemple dans l’État du Wisconsin aujourd’hui au centre d’un procès crucial devant la Cour suprême, ne peut statistiquement survenir qu’avec l’entremise de la mise à jour frauduleusement verticalisée de sa courbe de votes totaux aux premières heures du matin du 4 novembre.

Restons dans le Wisconsin pour illustrer visuellement, au moyen du graphique ci-dessous, ce que représente exactement un tel pic statistique injustifiable : la mise à jour du décompte des voixs au matin du 4 novembre a fait passer Biden, encore en retard à minuit de plus de 100 000 voix, en tête de la course. L’axe des abscisses (x) représente le temps (en heures) ; l’axe des ordonnées (y) celui de la valeur brute de votes (en millions) à telle heure donnée :

[On observe (en jaune sur le graphique) un décrochement brutal,
en marche d’escalier, le 4 novembre 2020 à 4h.
]

À 3 h 42 du matin le 4 novembre 2020, Trump était encore en tête, jusqu’à ce qu’une énorme décharge de votes « Biden » apparaisse sans explication, entraînant la mise à jour arithmétique survenue vers 4 h du matin, comme l’indique le graphique ci-dessus.   

On observe un phénomène identique dans tous les États disputés. Par exemple dans le Michigan où, à 6 h 31 du matin le 4 novembre 2020, 149 778 bulletins sont soudainement apparus, tous pour Biden…

Dans tous les États litigieux, le décompte a été interrompu pour couvrir la fraude électorale à l’échelle de centaines de milliers de bulletins de papier livrés au milieu de la nuit. Les « pics » de courbes statistiques donnant leur forme aux valeurs maximales officialisées en faveur de Biden se sont tous produits au cours de la même période d’environ quatre heures. En Pennsylvanie et en Géorgie, le décompte a duré plusieurs jours. Le décompte des nouveaux bulletins apportés par le « miracle » de l’opération de « mise à jour » nocturne dans le Wisconsin et le Michigan n’a quant à lui duré que quelques heures.

En l’état actuel des choses, le thriller américain Cinquante États de fraude n’implique qu’une poignée d’États litigieux. Ce qui est suffisant pour obtenir l’annulation des résultats frauduleux revendiqués par les bidenistes.

Il suffirait, par exemple, de légiférer sur le fait avéré qu’il y a plus de 500 000 morts sur les listes électorales des États en question et près de deux millions d’« électeurs fantômes ». Les listes électorales démocrates sont en effet truffées d’électeurs décédés, ayant déménagé, de mineurs, et même d’étrangers… 

Dans certains États, comme en Pennsylvanie, les tribunaux et diverses véroles politicardes d’obédience démocrate et républicaine ont procédé à divers changements des systèmes électoraux en contournant les Assemblées législatives. Il s’agit d’une infraction. Les Assemblées législatives sont seules habilitées par la Constitution des États-Unis à intervenir dans de tels amendements des réglements en vigueur.

En Pennsylvanie toujours, le secrétaire d’État (un démocrate) et la Cour suprême ont « aboli », là aussi de manière inconstitutionnelle, les exigences de vérification des signatures.

Les démocrates se sont battus mordicus en 2020 pour amoindrir autant que possible, sous couvert de « pandémie », les procédures de vérification légale d’identité des électeurs.

On a par ailleurs expliqué à de nombreux électeurs trumpiens qu’ils avaient « déjà voté » par courrier, à leur insu… Quelques 250 000 électeurs du Wisconsin ont été classés comme « gravement handicapés » pour éviter de procéder à quelque forme de vérification postale des signatures. Des milliers de bulletins portant le nom de « Biden » ont été comptés plusieurs fois… Des centaines de milliers de bulletins de vote par correspondance sont arrivés par vagues et sans enveloppes… Dans le Wisconsin encore, quelques 70 000 bulletins de vote notés « absents » ont été générés comme par magie (sans correspondre à la moindre requête d’abstention des titulaires inscrits sur les listes électorales de cet État). Dans le Nevada, les machines à voter ont été réglées de manière à ce qu’il ne soit pas nécessaire de faire correspondre signatures et électeurs.

L’équipe juridique de Trump a tenu une audience des plus explosives devant la législature républicaine du ministère de la Justice de l’Arizona au cours de laquelle une douzaine de témoins et de spécialistes en cybersécurité ont rendu compte des différentes formes d’activités digitales frauduleuses identifiées dans différentes circonscriptions de l’Arizona.

Les machines à voter étaient connectées via internet et gérées depuis l’étranger par des employés du Dominion, sans aucune chaîne de contrôle, pour modifier en temps réel le « comptage » des scrutins électroniques. Cette supercherie digitale a notamment été financée par le milliardaire juif américain Mark Zuckerberg, cofondateur de Fakebook.

Plus de 400 000 bulletins illégaux ont été convoyés dans les comtés arizoniens de Maricopa (le plus vaste de l’Arizona) et de Pima. En outre, quelques 1,9 millions de votes en Arizona ont été comptabilisés, sans surveillance ni vérification de signature des électeurs. Des témoins ont certifié avoir assisté aux allées et venues de nombreux camions chargés de cartons de bulletins pendant une bonne partie de la nuit, jusqu’aux premières lueurs du jour. À l’heure d’aujourd’hui, le différentiel entre Trump et Biden en Arizona, à l’avantage de ce dernier, est de quelques 10 000 voix…

Nous pourrions continuer, mais cela n’est pas nécessaire ici. Le film Cinquante États de fraude continue en direct, et la tricherie va devenir encore plus criante aux yeux du monde. Faisons quant à nous, pour finir, le point sur les tricheurs impliqués. Bas les masques !

Remarques conclusives : les tricheurs sont démasqués

Voici, pour le moment, la somme des forces collusoires impliquées dans l’élaboration du résultat officiel, , des élections présidentielles américaines de 2020 :

Les concepteurs et auteurs humains de la SRAS-CoV-2 (dans différents laboratoires de biologie moléculaire mondialistes, pour finir à Wuhan, l’ « épicentre » officiel)

+ COVID-19 lui-même, résultante épidémique de SRAS-CoV-2 (-> donnant lieu à la gigantesque logistique de la tricherie électorale « à l’ancienne » moyennant la fabrication, la falsification et le convoyage de millions de bulletins de vote par correspondance)

+ le Parti communiste chinois (PCC) et la famille Biden[7]

+ Google, Facebook, Twitter

+ l’argent privé des principaux milliardaires contrôlant les médias sociaux, Mark Zuckerberg et George Soros (NB : Zuckerberg et Soros ont également injecté leurs ressources privées dans le système judiciaire, ce qui constitue bien entendu un crime)

+ les démocrates du totalitarisme libéraliste, de l’identitarisme ethnique, de l’émasculation des hommes, et de la grande finance internationaliste

+ les « républicains de nom uniquement » (ou « RINOS »)

+ le vote « dominionisé » (phase électronique de l’opération « grande triche 2020 »), en gardant à l’esprit le lien qui existe entre le développement de programmes de modification de scrutins alternatifs, tels que Hammer & Scorecard, et la CIA (la CIA les a en effet exploités pour interférer avec certaines élections à l’étranger[8])

+ …

En l’état actuel des choses, les politiciens et bureaucrates professionnels du Parti républicain se contentent des résultats officiels issus du rapt des élections et s’inclinent honteusement devant les groupes de pression organisés et parrainés par l’ultra-gauche globaliste. Ses principales voix « conservatrices », complices du statu quo washingtonien, veulent en effet revenir au Parti des Bush, John McCain, Mit Romney et Goldman Sachs. Ils forment un Parti en mal de « business as usual… » 

De leur côté, les démocrates sont déterminés à dénaturer autant qu’il leur sera possible les règles en place, voire à réécrire la Constitution des États-Unis—le but avoué étant de s’assurer que les républicains n’aient plus jamais la possibilité électorale de reprendre le contrôle de l’une ou l’autre des branches du gouvernement étasunien.

Tels sont les enjeux à la fois domestiques et méta-américains de cette nouvelle guerre civile outre-Atlantique. La grande opération « étatico-covidique » universelle de restrictions des libertés ne pouvait espérer se prolonger aussi drastiquement que prévu par ses architectes mondialistes, avec la reconduction de Donald Trump pour un second mandat présidentiel. Démocrates et « républicains de nom uniquement » devaient donc l’arrêter à tout prix, ce qui ne pouvait s’accomplir sans la mise en place (préparée de longue date) de l’opération « grande triche 2020 ».

Mais cette bataille ne se limite pas à la sauvegarde de la République américaine[9], aussi imparfaits que soient ses principes fondateurs (déistes-maçonniques). Si la raison et la désobéissance civile ne s’unissent pas sans plus tarder pour résister aux fraudes covidiennes[10] et électorales, les confinements, les masques et la censure à tire-larigot deviendront la norme universelle en vigueur des « démocraties » contemporaines.

Trump est le vainqueur légitime indéniable de la derrière élection présidentielle étasunienne en date. Il incombe désormais aux législateurs républicains des États litigieux du Michigan, du Wisconsin et de la Géorgie d’utiliser pleinement leur pouvoir constitutionnel (cela vaut également en Pennsylvanie et dans l’Arizona), où la résistance des « républicains de nom uniquement » continue malheureusement à contrecarrer les efforts de justice déployés aussi bien par les avocats de l’équipe juridique de Trump que par des millions d’électeurs américains, résidents de ces États). Une session extraordinaire des Assemblés législatives des dits États s’impose donc désormais, et il va falloir les convoquer sans plus tarder, en vue de  porter l’affaire devant la Cour suprême des États-Unis, dernière étape.  

Pour finir, revenons brièvement sur le spectre du virus des élites globalistes malthusiennes élaboré en laboratoire, avant d’être imputé aux Chinois. Comme continuent de le démontrer les modèles des CDC, SRAS-CoV-2 n’est pas plus mortel que d’autres maladies respiratoires saisonnières. Une analyse de John Hopkins a été récemment publiée en ligne (avant d’être immédiatement censurée) montrant que la COVID-19 n’a aucun effet significatif sur le nombre total de décès aux États-Unis[11]. En ce moment, en pleine période pré-hivernale de retour saisonnier de la grippe, les cas et les décès naturellement imputables à celle-ci sont recensés comme des cas et des décès covidiques, afin bien sûr de faire de nouveau grimper les statistiques et de maintenir ainsi les populations dans la peur et sous contrôle inexorable.

En revanche le covidisme s’avère extrêmement dangereux, capable, en l’espace de tout juste quelques semaines, de soumettre une civilisation tout entière au despotisme d’un nouvel ordre mondial sanitaire. L’intelligence en prend un coup terrible, au point de céder à toutes sortes de folies, de mesures arbitraires (port obligatoire de masque et distanciation sociale sans justification scientifique), de répression et de représailles policières, d’irrationnalités et de peurs diverses et variées… Rappelons par ailleurs que la transmission de la « COVID-19 » se fait principalement par la diffusion répétée de fausses nouvelles, phénomène aujourd’hui omniprésent sous l’empire numérique du nouvel ordre mondial dés-informationnel.

Les gens qui réfléchissent un tant soit peu savent très bien qu’il n’y a donc aucune légitimité (scientifique ou autre) à toutes ces mesures qui constituent le phénomène que nous appelons le covidisme ». La distanciation sociale, les masques, les tests, les restrictions imposées aux églises, les confinements massifs, le développement de vaccins… Toute cette mascarade n’est pas un seul instant destinée à la protection des peuples, que les élites malthusiennes « écolos » ne cherchent en effet qu’à subjuguer, à soumettre et à réduire autant que possible. Il s’agit de nous conditionner à accepter, « pour notre bien », davantage de contrôle gouvernemental, c’est-à-dire davantage de régulations arbitraires—avec, comme étape ultime du mensonge « pandémique » universel, la vaccination (obligatoire) pour tous…

Projet cher aux élites financières et technocratiques, la vaccination obligatoire de masse est en cours de réalisation depuis des lustres (bien avant la conception de Bill Gates et consorts dans le sein maternel). Dans le cadre de la fausse pandémie covidique, il va de toute façon s’agir de faux « vaccins » à ARN et munis de nanomatériaux manufacturés, tels qu’ils sont aujourd’hui développés par différentes sociétés pharmaceutiques et de biotechnologies[12]. Derrière des façades humanitaires d’apparence toujours salutaires, les véritables intentions de la « bonne nouvelle » vaccinale se résument à deux grands objectifs corrélatifs de fond : la réduction de la population mondiale et son contrôle globalisé.

Ce qui est d’autant plus clairement luciférien derrière le grand mensonge du « vaccin salvateur », c’est de promouvoir un « antidote » anti-covidique dont la composition contient en outre des dérivés de lignées cellulaires de fœtus mâles avortés—merci à la Chine abortive-génocidaire (un leader mondial en la matière) ; mais plus encore, comme toujours, dû aux globalistes malthusiens les plus répugnants (basés en France, aux États-Unis et ailleurs).

En tant qu’entités organisatrices de révolutions colorées, les États-Unis washingtoniens et la Chine du PCC ne peuvent se concevoir sans le concours des banques centrales juives (Rothschild & Co.), qui en sont donc les véritables propriétaires…

L’empire de la fausseté systématique joue aujourd’hui sur tous les terrains. Le seul remède à la folie totalitaire qu’il incite chez les gouvernants comme chez les gouvernés, est de continuer à se battre résolument avec les armes du courage (intellectuel et moral) et de la saine rationalité, pour présenter des preuves raisonnées et intelligentes, à temps et à contretemps[13].   

« Avouer qu’on s’était trompé, » comme le disait si bien Gaston Bachelard, serait certes ici une marque d’intelligence… Mais, sans la raison illuminée par la syndérèse[14], l’intelligence fait ici défaut, comme le dictent ces temps de suffisance aveugle, de désorientation morale, et de bêtise journalistique profondément inoculée en l’homme contemporain (par ailleurs « covidisé » à souhait). Les Pères du désert disaient quant à eux que « le cœur est cette tombe où nos pensées et notre intellect sont enterrés »[15]. Le Christ ressuscité y descend, comme il est descendu aux Enfers, pour libérer les facultés de l’âme, en particulier notre intellect, « de sa prison sans lumière ». C’est Lui qui, soulevant la lourde pierre du faux totalitaire qui opprime l’âme spirituellement nécrosée, ouvre le tombeau de l’ignorance et de la mystification théâtrale mondaine.  

En dépit de l’avertissement d’Alan Turing selon lequel « si une machine est censée être infaillible, elle ne peut pas en même temps être intelligente », nous voici socialement conditionnés pour nous comporter comme des machines (mais sans être infaillibles à quelque égard que ce soit), par ceux qui programment notre comportement. Si, au contraire, nous écoutions la voix du Christ pour que l’intelligence syndérétique soit restaurée en nous, sous serions du même coup libérés du pouvoir qu’exerce sur nous le piratage intellectuel induit en nous par la pensée dominante. Non, nous ne sommes pas des machines programmables entre les mains de nos faux maîtres à penser !

Notes

[1] https://www.battleswarmblog.com/?p=46562
https://hereistheevidence.com/.
Jour après jour, on découvre un nombre croissant d’illégalités de vote, d’exemples d’activités frauduleuses d’une ampleur telle qu’elles ne peuvent être simplement niées, sauf par ceux qui le font et choisiront délibérément de continuer à nier la réalité des faits.

[2] Voir Marchandiser la vie humaine (nouvelle édition revue et augmentée), un ouvrage collectif séminal et approfondi « parcourant les connexions entre business de la stérilité, trafic de fœtus et d’organes, réseaux mafieux pour recruter des “femmes gisements” dans le monde entier… »

[3] Les Petites Sœurs des Pauvres ont remporté une victoire importante à la Cour suprême des États-Unis au début de l’année sur la prestation du programme contraceptif forcé de l’Obamacare : https://pregnancyhelpnews.com/little-sisters-of-the-poor-get-big-supreme-court-victory-in-obamacare-contraception-mandate-case.

[4] Pour mieux saisir le sens et les implications de ce « quid pro quo » à l’américaine, il sera utile au lecteur de suivre au lien suivant l’analyse comme de coutume avisée d’Israël Shamir, Trump Woos Jews, Jews Impeach Trump, article traduit par Maria Poumier sous le titre de Le quiproquo : https://plumenclume.org/blog/515-le-quiproquo.

[5] https://blog.youtube/news-and-events/supporting-the-2020-us-election/.

[6] Voir ici l’acte de plainte officiel soumis le 9 décembre 2020 à la Cour suprême : State of Texas v. Commonwealth of Pennsylvania, State of Georgia, State of Michigan, and State of Wisconsin.

[7] https://nypost.com/2020/10/15/emails-reveal-how-hunter-biden-tried-to-cash-in-big-with-chinese-firm/.

[8] Le lieutenant général, retraité de l’armée de l’air américaine, Thomas McInerny, explique encore que ce programme a été mis en place par l’administration Obama (dont Biden lui-même alors vice-président) pour modifier les votes lors des élections américaines de 2012. Il a de même été utilisé à l’encontre de Bernie Sanders en 2016, pour l’empêcher de vaincre Hillary dans le cadre des primaires démocrates. Il indique par ailleurs que l’administration Obama a encore tenté de l’utiliser lors des élections présidentielles de 2016, mais sans succès cette fois, ce qui a bien sûr donné la victoire surprise de Trump (voir l’interview complète ici).

[9] Pour le lecteur qui souhaiterait approfondir sa compréhension des tenants et des aboutissants de la situation étasunienne, surtout en ce qui concerne l’architecture multidimensionnelle et les résultats officiels des élections de 2020, nous recommandons ici la lecture de la Lettre du Général français (2S) Dominique Delawarde à ses amis, le 14 novembre dernier, publiée sur Réseau International.

[10] Nous faisons varier à dessein notre terminologie, ici l’adjectif « covidiennes » au lieu de notre « covidiques » plus usité, pour être à la fois créatif et alternatif dans l’usage de nos concepts néologisés.

[11] https://www.jhunewsletter.com/article/2020/11/a-closer-look-at-u-s-deaths-due-to-covid-19.

[12] Principalement Pfizer et Moderna.

[13] Selon l’exhortation de saint Paul à Timothée (2 Tim 4, 2) de « dénoncer le mal, faire des reproches, encourager, mais avec une grande patience et le souci d’instruire, à temps et à contretemps. »

[14] Du grec συνείδησις -> συν-είδησις, qui au sens littéral connote bien l’idée d’union, « con- [συν- = avec] -science [-είδησις, c’est-à-dire ce qui est « raconté » pour être connu] ». En ce sens, la syndérèse est cette conscience morale, ou science du bien reconnu (par l’intelligence) et choisi (par la volonté) comme tel. Les grands auteurs scolastiques, tels que saint Thomas d’Aquin, décriront plus tard la syndérèse comme scintilla conscientiae (« l’étincelle de la conscience »), car c’est aussi une lumière brillant dans les ténèbres de la conscience de l’homme déchu (c’est-à-dire marqué par les conséquences du péché originel).

[15] Dans Les homélies spirituelles de saint Macaire. Saint Macaire le Grand, IVe siècle, disciple de saint Antoine et abbé du monastère de Scété en Égypte.

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Élections américaines : l’identité du « kraken » révélée et le raid de la CIA en Allemagne pour saisir les serveurs de l’élection – interview du général Flynn et du général Mc Inerney

[Source : Politikus]

Natural News ) Brannon Howse de World View Report a diffusé une interview mettant en vedette le général Michael Flynn avec ses premiers commentaires publics depuis qu’il a été gracié par le président Trump. Vous pouvez consulter l’interview complète sur le site Web WorldViewWeekend.com .

Cette même interview présente également le général Thomas McInerney, expert en cyberguerre, ainsi que Mary Fanning de TheAmericanReport.org et auteur du livre: THE HAMMER is the Key to the Coup «The Political Crime of the Century»: How Obama , Brennan, Clapper et la CIA ont espionné le président Trump, le général Flynn… et tout le monde .

Dans cette interview, vous découvrirez la véritable identité du Kraken, ainsi que la confirmation que du personnel militaire américain a été tué lors de la fusillade pour s’emparer de la ferme de serveurs de la CIA à Francfort, qui est la clé pour prouver le trucage délibéré des élections via une modification à distance des tableaux de vote.

Ci-dessous, vous trouverez la transcription complète de l’entretien.

Tout d’abord, voici quelques-uns des faits saillants du Général McInerney que nous avons pensé particulièrement importants.

  • HAMMER et diverses cyberarmes étaient auparavant utilisées par les États-Unis contre d’autres pays, maintenant les armes sont déployées contre nous. Obama est derrière tout.
  • Le créateur de HAMMER et de Scorecard est Denis Montgomery, ancien analyste de la CIA.
  • Fox s’est retourné contre l’Amérique, les coordinateurs du coup d’État profond ont recruté l’ensemble des médias américains et Big Tech pour vaincre la République et renverser la Constitution américaine.
  • La date limite du 14 décembre n’a pas d’importance. Le président Trump ne devrait pas quitter ses fonctions tant que tous les faits entourant le vol des élections n’ont pas été analysés, y compris les distributions de dépouillement «causées par la manipulation électronique frauduleuse de machines à voter ciblées».
  • Le fait que les 5 États du champ de bataille aient cessé de compter en même temps, «démontre une coordination préalable des responsables électoraux dans cinq États du champ de bataille.» Ensuite, ils ont utilisé HAMMER et Scorecard, plus Dominion, pour amener Joe Biden en tête. C’est une «impossibilité mathématique» la façon dont les votes sont arrivés. Un algorithme a été utilisé.
  • En PA, 1,8 million de bulletins de vote ont été envoyés aux gens. 2,5 millions sont revenus. Quelqu’un avait une presse à imprimer et les imprimait.
  • Le renseignement militaire du 305e bataillon est «Kraken».
  • La Chine, l’Iran, la Russie étaient tous impliqués dans la manipulation des votes.
  • Confirmé que le US Special Forces Command a saisi des serveurs de la ferme de serveurs de la CIA à Francfort.
  • Confirmé qu’il y avait des soldats américains tués lors du raid sur la ferme de serveurs de la CIA à Francfort.
  • Chris Miller est secrétaire à la Défense en raison du 305e bataillon. Considérez pourquoi…
  • Chris Krebs de CISA a commis une trahison et fait partie du coup d’État.
  • Ce qui s’est passé pendant les élections, c’est la trahison au plus haut niveau, pas seulement la politique.
  • Trump peut garder le contrôle de la Maison Blanche, sous serment, jusqu’à ce qu’une enquête complète soit terminée, et il n’y a pas de délais artificiels qui peuvent l’arrêter.
  • Le président a prêté serment qui l’oblige à défendre le pays contre tous les ennemis, étrangers et nationaux. C’est pourquoi il ne peut pas livrer la Maison Blanche à des marionnettes politiques (Biden) contrôlées par les ennemis de l’Amérique (Chine, Iran).
  • La grande preuve des serveurs saisis va sortir à SCOTUS, pas avant.
  • Une fois capturés, des acteurs traîtres de niveau intermédiaire pointeront du doigt Biden et Obama, affirmant qu’ils avaient reçu l’ordre de commettre les actes de trahison.
  • Le second tour du scrutin en Géorgie est déjà volé par les démocrates à moins que nous arrêtions le vol de votes. C’est juste un vol numérique pour eux. Cela signifie que le Sénat sera perdu pour les démocrates à moins que cette infrastructure de fraude électorale ne soit exposée et vaincue.
  • Une grande instabilité survient si nous permettons que le gouvernement soit saisi par les communistes.
  • Tout cela va jusqu’au sommet, impliquant Joe Biden, Adam Schiff, Barack Obama et d’autres.
  • Trump savait que tout cela allait arriver et l’avait prévu.

Maintenant, voici la transcription complète

Brannon Howse: le lieutenant-général Michael Flynn et son ami de longue date, le lieutenant-général Thomas McInerney, et la chercheuse et auteure du renseignement national Mary Fanning.

Oui, le général Flynn se joint à nous ce soir. Son premier entretien depuis sa grâce du président Trump. Il parle pendant 30 minutes directement au peuple américain de ce qu’il voit venir, de ce que nous devons faire et de ce qui s’est passé, puis le général McInerney interviendra  avec les dernières nouvelles sur le kraken, ce que c’est vraiment, vous allez être choqué, puis nous entendrons la dame qui a tout cassé, Mary Fanning avec son co-auteur Alan Jones. Ils ont cassé l’histoire en décembre 2015. Les gens se rassemblent tous, et nous obtenons cette exclusivité ce soir ici à WVW Broadcast Network. L’heure du week-end Worldview commence maintenant.

Bonsoir et bienvenue à l’émission. Merci de nous avoir rejoint. Un vendredi soir très spécial, le 27 novembre, diffusé avec le général McInerney, Mary Fanning, et nous serons rejoints plus tard par Alan Jones. Nous allons couvrir de nombreux sujets très importants ce soir.

Attendez juste une seconde. Voyons si cet appel est… Bonjour, Brannon Howse. Merci général de vous joindre à nous. Nous venons de passer à l’antenne. Permettez-moi d’annoncer, en fait, laissez-moi entendre le général McInerney.

Général McInerney, nous venons d’être rejoints par un de vos amis. Souhaitez-vous présenter notre ami au public de l’émission ce soir?

Général McInerney: Oui, je voudrais Brannon, pour faire savoir à tout le monde que le général Mike Flynn va se joindre à nous ce soir,  quelques jours après avoir  été gracié par le président des États-Unis. C’est un grand honneur pour nous de l’avoir. Lui et moi parlerons avec Mary et Alan de la trahison qui a été commise contre cette administration, ce pays et ce président, et le général Flynn a été un élément clé de cette menace à laquelle nous sommes confrontés aujourd’hui. C’est un grand honneur de vous avoir avec ce Mike et nous devons faire savoir à l’Amérique ce qui se passe.

Brannon Howse: Absolument, avec cela général, je vais simplement vous donner la parole. Je sais que vous êtes sur un téléphone portable, mais je vais juste vous donner la parole et vous laisser parler au peuple américain. Merci de vous joindre à nous ce soir.

Michael Flynn: Tout d’abord, je veux juste dire merci Tom pour m’avoir contacté et me demander de venir ce soir, et Brannon apprécie que vous vous joigniez à moi.

Je ne sais pas quel est votre public ou à qui nous parlons ce soir, mais je vous dirais que ce qui se passe dans ce pays ne devrait jamais arriver, et nous traversons, il n’y a aucun doute dans mon esprit, nous traversons un crise historique. Si nous ne corrigeons pas ce qui se passe actuellement au cours des prochaines semaines, je déteste vraiment penser à ce qui se passera dans notre pays à la fin de décembre et certainement le mois prochain.
Je ne crois pas une seconde que le pays acceptera le vice-président Biden comme prochain président, sur la base de ce que nous savons être probablement la plus grande fraude que notre pays ait jamais connue dans son histoire.

Ce que nous voyons,  je suis en plein dedans en ce moment, et je vais vous dire que, tout d’abord, le président a des chemins clairs vers la victoire. Des chemins clairs vers la victoire qui ne nécessitent en fait pas beaucoup d’action en salle d’audience. Ce qui est nécessaire, c’est que cela exige beaucoup d’honnêteté de la part des élus et, franchement, de beaucoup d’Américains qui se manifestent et nous racontent leur témoignage.

Les centaines et les centaines d’Américains à travers le pays dans différents États, pas seulement les États en ballotage mais de nombreux autres États qui se présentent avec leurs témoignages et les déposent sur des affidavits en tant que témoins. Nous avons probablement reçu 10 ou 12 affidavits d’un État particulier aujourd’hui, et comme il y a eu un certain nombre de menaces contre des gens, des patriotes en particulier, ils ont envoyé leurs photos avec leur affidavit et ont dit: «Mettez la mienne en haut de la page liste parce que je veux que les gens sachent que je ne vais pas avoir peur de ces personnes qui menacent notre pays et notre mode de vie. »

Je dis tout cela  d’une part et d’autre part, comme je viens de le décrire, nous avons des chemins clairs vers la victoire pour ce président. Franchement, il va gagner la Pennsylvanie. Il va gagner l’Arizona. Il va gagner la Géorgie. Il va gagner le Nevada. Il va gagner le Michigan. L’autre qu’il va probablement retirer est le Wisconsin aussi, car il y a un écart dans le Wisconsin de 130 000 bulletins de vote vigilants qu’ils viennent de trouver, qu’ils viennent de découvrir. Il se passe beaucoup de choses et  pour moi, tout est positif. On m’a demandé aujourd’hui sur une échelle de 1 à 10, qui sera le prochain président, et j’ai dit, 10 ce sera Donald Trump. Ce sera le président Trump. Il ne fait aucun doute dans mon esprit qu’il a remporté cette élection haut la main dans un glissement de terrain, probablement entre 350 et 400 votes dans les collèges électoraux.

Ce que nous avons vu est terminé, et je le sais, au cours des deux dernières décennies probablement et probablement plus longtemps, je peux vous donner une petite leçon d’histoire à ce sujet, mais je ne le ferai pas. Mais au cours des deux dernières décennies, ce que nous avons vu est un changement complet dans la rapidité avec laquelle la Chine communiste dans son plan à long terme a décidé de faire progresser ses plans pour devenir la superpuissance mondiale, la seule superpuissance mondiale sur la planète. Leur  plan date du milieu de ce siècle dans lequel nous sommes en ce moment, quand lors des dernières élections de 2016, ils n’ont pas obtenu le candidat dont ils avaient besoin pour leur idéologie de l’Amérique. Voyant cela, ils n’allaient pas permettre qu’en 2020 cela se produise et donc maintenant, ce que nous avons, c’est ce vol avec le vote par correspondance. Le vol avec ce logiciel, le logiciel Smartmatic et Dominion, ces systèmes de domination.

Ce sont des systèmes qui n’appartiennent pas à notre pays. Ils appartiennent à d’autres – ils ont été introduits dans ce pays. Comment pouvons-nous dire en tant qu’États-Unis d’Amérique, comment pouvons-nous dire que nous acceptons un système qui n’est pas fait dans ce pays et, dans bien des cas, les bulletins de vote ne sont même pas comptés dans ce pays? Comment pouvons-nous dire qu’ici, dans ce pays, nous acceptons cela?

La seule chose et pour vous tous et pour tous vos auditeurs, la chose la plus précieuse qui fait de moi la même chose que le gars ou la fille le plus riche de la planète ou la personne la plus pauvre d’Amérique, qu’est-ce qui nous rend égaux? Ce qui nous rend égaux, c’est lorsque nous nous rendons dans un isoloir et que nous fermons le rideau, ou nous y entrons et nous nous penchons pour voter. Mon vote compte autant que le gars, qui est le gars le plus riche d’Amérique. C’est exactement la même chose. C’est là où nous sommes égaux, et c’est pourquoi cela doit être juste et gratuit, et ce ne l’était pas. Nous savons probablement, en fait, que nous avons des preuves d’élections précédentes où cela s’est produit également, mais nous nous concentrons maintenant sur celle-ci. Je vais vous dire que nous ne sommes pas là pour perdre. Nous ne sommes pas là pour perdre ces batailles, nous sommes là pour gagner ces batailles et je crois que nous allons le faire. Je crois que nous allons gagner,et je suis convaincu que nous le sommes parce que nous avons les bonnes personnes, nous avons le bon plan et la bonne stratégie, un peu direct et un peu indirect, et les gens parlent tout le temps à chacun.

Je suis anxieux et vous entendez probablement dans ma voix que je suis un peu anxieux parce que je ne peux tout simplement pas croire les médias et la censure qui existe. Regardez simplement ce qu’ils font au président des États-Unis d’Amérique. Regardez ce que Twitter fait au président des États-Unis d’Amérique. C’est exaspérant pour moi. C’est un attentat. C’est une abomination du premier amendement, notre liberté d’expression. Franchement, pour le président des États-Unis d’Amérique, le seul moyen qu’il a pour pouvoir communiquer, c’est quand il marche dehors, ou il va devant un groupe de personnes, ou il marche dehors et parle à la presse, ou il utilise les médias sociaux pour communiquer parce que les médias ne lui permettront pas de faire passer son message.

La grande presse, pas la conférence de presse, mais l’audience qu’il y a eu en Pennsylvanie l’autre jour, et si quelqu’un avait la chance de la regarder. Ce fut une audition extraordinaire avec des politiciens de Pennsylvanie centrés sur un panel, et le seul sénateur qui dirigeait le panel pour l’état de Pennsylvanie, qui a écouté l’audience, écouté un groupe de témoins, écouté Rudy, écouté Jenna Ellis, et d’autres membres de leur équipe. L’individu qui l’a dirigé était un colonel militaire à la retraite, et il est maintenant sénateur de l’État de Pennsylvanie, et il a prononcé, à la toute fin, un très bon bref discours de synthèse, et c’était réconfortant parce que c’était une sorte de maman et tarte aux pommes: «Hé, nous ne pouvons pas permettre que cela se produise dans notre pays. Nous ne pouvons pas nous présenter au monde comme une nation du tiers monde ». C’était un très, très bon discours de clôture,et qu’a fait Twitter? Twitter l’a immédiatement mis hors ligne. Ils ont complètement supprimé son compte Twitter pour que les gens ne puissent pas suivre ce type. C’est juste scandaleux, c’est scandaleux. C’est une entreprise de médias sociaux qui fait partie de la place publique. Ils profitent de ce qui leur a été donné, ce qui est un véritable privilège et ils en abusent. Je pourrais continuer encore et encore, je vais m’arrêter et voir si vous avez des questions sur quoi que ce soit ou si vous voulez intervenir sur tout ce que j’ai dit, mais je suis bouleversé, je suis déterminé, je vais être résilient, et je crois que je suis le reflet de millions et de millions de millions de personnes à travers le pays qui ressentent exactement la même chose que moi. C’est une entreprise de médias sociaux qui fait partie de la place publique. Ils profitent de ce qui leur a été donné, ce qui est un véritable privilège et ils en abusent. Je pourrais continuer encore et encore, je vais m’arrêter et voir si vous avez des questions sur quoi que ce soit ou si vous voulez intervenir sur tout ce que j’ai dit, mais je suis bouleversé, je suis déterminé, je vais être résilient, et je crois que je suis le reflet de millions et de millions de millions de personnes à travers le pays qui ressentent exactement la même chose que moi.

Brannon Howse: Absolument. Général, vous avez mentionné dans votre déclaration que vous avez faite l’autre jour pour remercier le président des États-Unis et vous avez utilisé le mot coup d’État, vous avez mentionné que nous ne devrions plus jamais permettre que cela arrive au peuple américain. Vous utilisez le mot déraciné, sous-coupé, usurpé ou retenu en otage par un coup d’État contre notre nation. Voudriez-vous développer le mot coup d’État parce que je sais que le général McInerney l’a utilisé à maintes reprises. Je sais que vous n’êtes pas un homme enclin à l’hyperbole, alors je sais que ce mot n’a pas été utilisé dans votre déclaration que vous avez publiée sans raison. Voudriez-vous développer l’utilisation de ce mot?

Michael Flynn: Bien sûr. Je veux dire, je pense que ce que nous avons vécu au cours des quatre dernières années, et certainement à la fin de 2016, très à la fin de 2016 et au début de 2017, a été un effort très important pour renverser un président dûment élu, et vraiment essayer de destituer Donald Trump par juste pression politique, par pression technologique, par pression financière au début de son mandat. Peut-être pour lui faire dire simplement: «Vous savez quoi? Je ne vais pas – je n’ai pas besoin de ça. Je ne vais pas le supporter »et m’en aller. Je pense qu’il y avait un sentiment, je sais qu’il y avait un sentiment que peut-être il va juste – c’est le gars de New York, pas un politicien. Il va juste dire, tu sais quoi, je n’ai pas besoin de ce truc. J’ai mieux à faire et à partir. Remerciez Dieu qu’il ne l’a pas fait, et cela a duré quand il l’a fait, cela a continué, cet effort a continué à le poursuivre de toutes les manières possibles pour l’éliminer par certains moyens, que ce soit le faux Russiagate, le Spygate, ou que ce soit la fausse mise en accusation ou une autre du genre de choses que nous voyons avec cela, cette situation COVID à laquelle nous devons faire face maintenant. C’est la première phase si vous voulez. C’est quelque chose qui dure depuis des années.

Maintenant, nous entrons dans quelque chose de différent. Pas différent en termes de cela, c’est toujours un coup d’État en cours, mais maintenant c’est un peu différent et c’est en fait – c’est en quelque sorte qu’ils ont amélioré leur jeu lorsqu’ils ont perdu en 2016. Je pense qu’il y avait une décision et je crois que c’est , mais il y avait une sorte de décision de dire: «Nous n’allons pas permettre que cela se reproduise».

Tout ce que vous avez à faire est de revenir en arrière et d’écouter certains des commentaires de l’été dernier de certains des hauts dirigeants qui font partie de ce parti démocratique, n’est-ce pas? Je veux dire, Hillary Clinton, je pense que c’était en juillet ou certainement au milieu de l’été où elle a dit, peu importe ce que Joe Biden ne devrait pas concevoir. De quoi parle-t-on là? Je veux dire, pourquoi dirait-elle cela au milieu de l’été, trois, peut-être quatre mois avant une élection? Une des choses que je sais de mon expérience dans l’armée et dans différents endroits du monde, c’est que lorsque votre ennemi vous dit qu’il va faire quelque chose, vous feriez mieux de prêter attention à ce qu’il a dit, et vous feriez mieux d’avoir certains plans, et vous feriez mieux d’avoir des idées sur la façon de faire face à cela si cela se concrétise. Eh bien, dans ce cas,nous avons des camps opposés et dans nos camps opposés de nos partis politiques, et nous savons que le parti politique de gauche est vraiment bien, bien plus à gauche.

J’ai du mal à l’appeler ou à appeler quelqu’un un démocrate ou un parti démocratique. C’est un nom que les gens, parce que c’est vraiment le parti socialiste démocratique d’Amérique qui a usurpé pour prendre le contrôle de cet élément, et ils sont une voix très forte. Donc, ils ont en quelque sorte barré la porte à l’assaut contre nous, contre notre pays et notre mode de vie, et ils font tout ce qu’ils peuvent en ce moment pour essayer de faire semblant comme, OK, rien à voir ici, et Joe va être notre prochain président ici. Je vous dis simplement, le niveau d’activité frauduleuse, ce que je décrirais certainement comme ce que nous avons vu et ce qui nous a été signalé, comme certainement un comportement criminel, mais cela reste à voir parce que c’est quelque chose qui devrait faire l’objet d’une enquête plus approfondie, mais du côté civil de ce dans quoi je sais que les gens sont impliqués, il y en a certainement des milliers et des milliers,des dizaines de milliers de bulletins de vote. Ce qui s’est passé de manière très stratégique, c’est que le vote électronique n’a pas obtenu le résultat dont ils avaient besoin le 3 novembre. Le mardi 3 novembre, le vote électronique n’a pas abouti au résultat dont ils avaient besoin pour être en mesure d’obtenir, de les dépasser et d’obtenir les votes dont ils avaient besoin, car essentiellement les systèmes n’étaient pas mis en place de manière à amener le décompte des voix là où il devait être, tout en cachant en quelque sorte comment ils le faisaient. Mélanger les nombres et autres et le faire de différentes manières dans différents états. Quand cela s’est produit, ils ont réalisé: «D’accord, nous devons arrêter, nous devons arrêter». Inouï, sans précédent, puis le vice-président Biden se couche et ils ferment.

Cinq états cette nuit là ont fermé, arrêté. Comment pouvons-nous permettre que cela se produise? Ensuite, bien sûr, au cours des deux jours suivants, du 4 au 7 novembre, nous commençons à voir le bulletin de vote par correspondance. Tout le cas de fraude par correspondance, et il y a tout un tas de preuves et tout un tas de gens qui se sont manifestés. Il y en a probablement deux cents, je ne sais pas trop, des affidavits. Des gens qui se sont levés et ont dit: «J’en ai marre». Ce sont des démocrates et des républicains.

Nous venons de recevoir un autre article ce soir dans une autre partie du pays d’un démocrate, une femme qui est tout simplement absolument malade et fatiguée de ce qu’elle a vu, et elle ne savait tout simplement pas quoi faire, et elle a finalement dit: «Je dois y aller en avant, et je dois le signaler. Je ne peux pas vivre avec moi-même ». C’est ce qui se passe avec les gens qui ressentent dans leur cœur ce sentiment de patriotisme de dire encore: «Écoutez, je ne veux pas que mon pays se transforme en autre chose parce que c’est ce que ces gens veulent». Ils ne veulent pas que notre pays soit la République qu’il est. Ils veulent que ce soit autre chose et le changer. Comme nous l’avons entendu, un président dit, nous voulons changer fondamentalement l’Amérique, et ce n’est pas ce que les gens veulent. Les gens veulent vivre la vie qu’ils ont avec les libertés et les libertés que nous avons sous cette grande république constitutionnelle que nous avons.C’est un peu là où nous en sommes et c’est ce que je veux dire par là.

C’est un effort continu. Ce n’est pas d’aller prendre la capitale, d’aller prendre la radio comme nous l’avons fait dans le passé, dans notre propre histoire, il y a des années en Amérique centrale ou dans les Caraïbes, ou dans certains de ces autres pays. Nous avons participé, ou nous avons soutenu certaines de ces choses là où nous l’avons certainement regardée dans un autre pays du tiers monde. Maintenant, ce qui se passe dans notre pays, nous ne pouvons pas le supporter.

Brannon Howse: C’est une nouvelle façon de faire la guerre, n’est-ce pas général? C’est ce que vous dites? C’est en quelque sorte la nouvelle façon de faire la guerre et c’est la cyberguerre. C’est ce que vous dites?

Michael Flynn: C’est cyber, c’est une combinaison de choses. C’est certainement de l’information. C’est la façon dont vous tirez parti de l’information, comment vous tirez parti de tout ce qui concerne les opérations psychologiques, c’est que vous devez vous assurer de choisir la cible, puis la répétition du message encore et encore et encore et encore et encore. La seule façon de le faire dans un pays de notre taille, avec toutes les façons dont nous communiquons, c’est de mettre les médias de votre côté. Cela a pris un certain nombre d’années, mais je ne peux pas rester ici et vous dire que ce n’est pas le cas parce que c’est le cas, tout le monde le sait.

Tout le monde connaît les «médias grand public», qui sont un groupe d’organisations assez solides et qui comprend les entreprises technologiques, n’est-ce pas? Je dis les entreprises de technologie, les entreprises de technologie des médias sociaux, tout de Facebook à Instagram, bien sûr, Twitter que j’ai mentionné. Toutes ces choses, ils essaient de contrôler un récit et de dire au peuple américain ce qu’il devrait savoir au lieu de permettre au peuple américain des informations et de laisser chacun de nous décider de ce qui est important ou non.

Brannon Howse: Donc, c’est le lavage de cerveau, c’est la guerre de l’information, c’est le lavage de cerveau, une opération psychologique. Ce sont ces choses que vous avez étudiées et d’autres études quand  on passe par l’école SERE. Correct?

Michael Flynn: C’est plus que ça mais oui, c’est un peu le type de guerre. En fait, si vous étudiez la doctrine chinoise, la doctrine chinoise comporte six phases. Les cinq premières phases ont toutes à voir avec l’information. La dernière partie serait si celles ci échouaient ou si vous aviez besoin d’un « umph » supplémentaire. C’est alors que vous pouvez voir quelque chose de cinétique. Nous sommes dans ce genre de guerre de l’information sans précédent. Je vais me tenir sur ma boîte ici et dire que le président des États-Unis d’Amérique est censuré par les entreprises américaines. Pensez-y, je suis parfois perdu quand j’en parle et j’en parle plusieurs fois par jour à différentes personnes dans différents groupes, et j’essaie de dire: «D’accord, à un moment donné, cela doit cesser d’être autorisé ». Lorsqu’une entreprise dit: «Ce que vous venez de dire, M.Le président n’est pas totalement la vérité, où y a t-il de la fraude, ou, la fraude n’a pas été prouvée ». Comment osent-ils faire ça au président des États-Unis, de ne pas pouvoir se faire une place dans la foule des médias grand public. Regardez l’entretien qu’il a fait hier, où nous avons eu, quelqu’un qui parle au président des États-Unis dans son bureau là-bas, et il a dû conseiller la personne. «Ne leur parlez pas. Ne me parle pas comme ça. Ne parlez pas comme ça au président des États-Unis ». C’est comme une bande de punks  dans une cour d’école. Nous ne pouvons pas avoir cela dans ce pays.

Débat et questions pointues, mais pas totalement, totalement irrespectueux, pas seulement le président. Vous ne l’aimez peut-être pas, très bien, mais il représente la présidence des États-Unis d’Amérique. Il représente notre drapeau, notre constitution, notre pays. Tout ce que nous vivons actuellement est en fait plus qu’une simple agression contre le président Trump. Il s’agit d’un assaut contre la République américaine, contre ce grand pays que nous avons et contre les habitants du pays. Je sais qu’ils en ont assez et qu’ils ne vont pas le supporter. Ce qu’ils attendent de voir, c’est qu’ils attendent de voir le résultat de leurs propres élus dans les États faire leur travail.

Juste parce que CNN ou Fox News ou un gouverneur ou un secrétaire d’État certifie une élection, si la législature de l’État n’a pas certifié l’élection, elle n’est pas certifiée dans un État particulier. S’il y a une contestation et une contestation juridique légitime, ils ne peuvent pas s’asseoir là et le certifier pendant qu’une contestation judiciaire est en cours, ce n’est tout simplement pas la façon dont cela fonctionne. Les médias ne couvriront rien de tout cela pour vous. Les grands médias, ils ne vont tout simplement pas le couvrir, et c’est triste parce qu’ils essaient de nous enfoncer cela dans la gorge, et le public américain, ils voient à travers.

Brannon Howse: Et nous sommes reconnaissants que vous soyez venu chez nous, l’un des sites de médias alternatifs, et ceux-ci se développent tous rapidement, et lorsqu’ils sont tous ajoutés ensemble, vous atteignez des millions et des millions de personnes grâce aux nouveaux médias. Je ne veux pas vous garder général plus longtemps que vous ne voulez rester. Vous avez été très généreux. Je voudrais vous poser encore quelques questions. Nous avons des gens dont je sais qu’ils sont frustrés. Ils arpentent le sol. Ils sont vraiment contrariés pour eux de voir ce que les médias disent et comment ils découragent les gens, mais vous leur dites de rester là-dedans pour que tout se passe bien. Je ne sais pas si vous pouvez en parler ou non, si vous ne pouvez pas simplement le dire, mais je sais que Sidney Powell a parlé de beaucoup d’informations qui seront publiées. Elle veut aller au tribunal,pas dans les médias pour l’essayer, mais devant le tribunal. Mais pouvez-vous, ou ne pouvez-vous parler d’aucune des preuves tangibles liées au serveur en Allemagne?

Michael Flynn: Oui, je ne veux pas en parler pour le moment. Elle l’a mentionné et elle a en fait de très bons documents. Ils viennent de déposer un autre amendement, je crois, en Géorgie. Ils ont déposé en Géorgie. Ils ont déposé au Michigan aujourd’hui, juste aujourd’hui, et probablement au cours de la dernière heure ou deux, ils ont simplement déposé un autre amendement à ceux de la Géorgie, et de nouveau au Michigan. Je pense que les prochaines priorités, vous savez, concernent certains de ces autres États où il y a de grands défis. Il faut vraiment aller fouiller dans les documents au lieu de lire un extrait sonore ici ou là, parce que c’est notre vie, c’est notre pays. C’est le moment de notre histoire où si nous ne réussissons pas, ce pays est fini, ce sera fini comme nous le connaissons. Alors que je me tiens ici à vous parler, je ne me tiens pas ici de moi, je me tiens ici de mes enfants,mes petits-enfants, et franchement, la lueur d’espoir que nous sommes en tant que pays. Je dirais, je vais juste conclure parce que je vais devoir interrompre ici. Il y a des chemins vers la victoire, c’est clair. Les principaux États sont la Géorgie, le Michigan, l’Arizona, le Wisconsin et le Nevada. Il y a des moyens que le président peut atteindre, et son équipe peut l’amener à la marge dont il a besoin pour gagner sans la Pennsylvanie, mais il va aussi gagner la Pennsylvanie.

Je vous laisse et je laisse le public avec ça parce que je ne veux pas que mon ton soit si fort là où vous ressentez une frustration. Je ne suis vraiment pas frustré, je suis déterminé, et je vais rester résilient face à cette agression que nous avons en cours par des éléments de notre pays qui essaient de nous dire: « Ne regardez pas ici, tout ira bien » . Ce ne sera pas, nous ne pouvons pas avoir cela. Nous ne pouvons pas permettre cela. Nous allons clarifier les choses. Nous allons le redresser. Cela va être fait correctement. Cela se fera légalement. Cela va être fait correctement. Cela va être fait avec les patriotes américains qui aiment ce pays et qui se battent comme des guerriers dans une sorte de champ de bataille juridique, c’est sûr. Avec des gens comme Sidney Powell, comme Rudy Giuliani et son équipe, comme des gens comme Linwood, qui se bat bec et ongles.La plupart des gens ne le savent même pas, son cas selon lequel il se déroule en Géorgie vient d’être repris par le 11e circuit, en Géorgie, et c’est un bon signe, car cela signifie que le seul juge là-bas qui pensait qu’il allait classer son dossier, le 11e circuit l’a retiré de lui et l’a porté à son niveau, à un niveau d’appel, car ils ont vu qu’il y avait suffisamment de preuves. Donc, je crois que nous allons voir un certain élan changer ici. Il y a déjà un courant sous-jacent de changement d’élan pour le président, et je crois qu’en fin de compte, nous allons découvrir qu’il a gagné par un glissement de terrain massif, et il sera inauguré en janvier.

Brannon Howse: Général, merci beaucoup pour votre temps. Merci pour votre service à notre pays. Vous nous avez honorés de vos paroles ce soir et de votre temps, et nous apprécions que vous preniez le temps de vous joindre à nous et de parler au peuple américain. Non seulement nous sommes en direct, mais bien sûr, nous publierons ensuite cela comme une émission qui ira très loin. Donc, vous encouragerez énormément de gens en prenant le temps ce soir, alors général, merci d’avoir fait cela.

Michael Flynn: Super ami, et Tom, merci de m’avoir invité. Dieu bénisse l’amérique. Merci. Merci.

Brannon Howse: Merci général. Maintenant, nous allons être rejoints par le lieutenant général McInerney, Mary Fanning. Hou la la! Je ne sais pas ce que vous pouvez entendre les gars parce que je dois éteindre le téléphone portable, mais pouvez-vous l’entendre?

Général Mclnerney et Mary Fanning: Oui.

Brannon Howse: Eh bien, général McInerney, aimeriez-vous commenter ce que votre ami avait à dire? Et merci d’avoir aidé à mettre cela en place.

Général Mclnerney:Eh bien, c’est absolument vital parce que c’était la première fois que je crois que le général Flynn a pu parler publiquement et dans un tel environnement, et je tiens donc à vous remercier d’avoir mis en place cela, et je sais que Mary vous a parlé et c’est très important ce que vous avez fait ce soir parce que c’est un train en mouvement rapide, et c’est pourquoi je voulais que vous le fassiez parce que nous assistons à la situation la plus sans précédent de l’histoire de l’Amérique. C’est la situation la plus dangereuse depuis la guerre civile pour garder cette nation unie, et pourquoi est-ce que je dis cela? La guerre civile, ce n’était que la guerre, le jour où vous et le général Flynn avez parlé de cyberguerre. La cyber-guerre est cachée, elle est mystique. Vous ne le voyez pas venir, cela arrive. Tout à coup, 138 000 votes ou 150 000 votes, tout d’un coup ils se présentent, et parce que nous regardons les ordinateurs,nous supposons qu’ils sont tous légitimes, mais dans ce cas particulier, ils ne sont pas légitimes, et à cause de ce que Sidney Powell a fait avec l’avocat du général Flynn et de ce qu’elle a soumis dans l’état de Géorgie et du Michigan un mercredi soir, la nuit. avant Thanksgiving, nous avons un document dans ce journal, dans ces poursuites d’un médecin.

Navid Keshavarez-Nia, qui est un résident de 59 ans en Californie, qui a passé 40 ans presque dans la métropole de DC en tant qu’expert de la communauté du renseignement de carrière. Je n’entrerai pas beaucoup dans son histoire, mais à cause de cette déclaration qu’il a faite dans laquelle je suis cité et confirmant indépendamment qu’il utilise mon nom. Kurt Weeby, qui était un ancien responsable de la NSA, un bon ami à nous, et qui travaillait avec Mary et moi, et Dennis Montgomery, un ancien analyste de la CIA qui était vraiment le créateur, l’inventeur des capacités d’HAMMER et du tableau de bord, et que nous avons cassé, et nous l’avons cassé dimanche et lundi avant les élections en disant que cela allait être une action qui se produirait, et ce qui s’est passé s’est en fait produit. Mary a grandement contribué à m’informer de cette information, et tout d’un coup, deux jours avant,deux jours et demi avant le début du vote le 3 novembre, c’était le 1er novembre, je me suis impliqué dans la porte de vote.

Je suis analyste militaire et pendant 16 ans et demi, j’ai été sur Fox News en tant qu’analyste militaire. J’ai été le numéro trois du personnel aérien de l’armée de l’air, et j’avais donc une excellente expérience, mais ce qui a rendu cela si facile pour moi Brannon, c’est que je dirige une société de cloud computing, une société de périphériques de cloud. Je connais intimement ce genre de technologie et ce qu’elle fait et j’en vis à l’époque militaire. Tout le monde se souvient quand nous avons attaqué Tripoli en 1986. J’étais le commandant et ils ont lancé depuis mes bases en Angleterre.

Maintenant, j’ai obtenu ces informations des sources britanniques et d’autres sources, mais toute ma vie a été basée sur cela, et ce que je vois maintenant, c’est que ces technologies sont maintenant utilisées contre le peuple américain. Ils essaient de prendre le contrôle de cette nation grâce à la technologie et à la cyberguerre. Ils se sont enrôlés pour inclure Fox News qui nous a retournés. Ils ont été répertoriés dans les médias grand public et le premier amendement pour essayer de se mettre de leur côté et le général Flynn a parlé de la censure. Par exemple, c’est Twitter qui fait et détermine ce que le président Trump peut dire. C’est ridicule. Cela doit cesser, mais à cause de tous ces atouts  qu’ils utilisent, ils abusent de la constitution des États-Unis, ils nous ont mis dans une position où nos ancêtres n’étaient pas au courant de la cyberguerre, et donc quand ils ont énoncé dans la constitution, le processus de notre élection qui passe par le collège électoral, la réunion des électeurs le 14 décembre, annonçant qui sera le président, puis en passant le 20 novembre, l’inauguration, qui n’était pas basée sur la cyberguerre, et ainsi nous avons un calendrier et j’en parle à nos auditeurs.

Nous avons un timing et nous devons passer par le système juridique. Cela n’a pas été conçu pour fonctionner dans le cyber-monde, et nous avons donc eu de nombreux juges qui ont refusé et ne reconnaissaient pas ce qui s’était passé. C’est le défi auquel nous sommes confrontés et ce que je voulais faire comprendre ce soir. Peu importe que nous ayons verrouillé et scellé ce processus de décision avant le 14 décembre, le président ne devrait pas quitter ses fonctions tant qu’il n’a pas été correctement entendu.

Nous, les Américains, exigerons que ces faits soient analysés et examinés, et je vais couvrir certains de ces faits qui les ont rendus si convaincants que cela ne fait aucun doute. Commençons par la distribution du décompte des voix en Pennsylvanie, au Wisconsin, au Michigan, en Arizona, au Nevada et en Géorgie ne sont pas basées sur le fonctionnement normal du système à cause d’une manipulation électronique frauduleuse ciblée sur des machines à voter . Par exemple, à 2h30 du matin le 4 novembre, une émission de télévision a rapporté que la Pennsylvanie, le Wisconsin, l’Arizona, le Nevada et la Géorgie ont décidé d’arrêter les opérations de dépouillement et continueront le lendemain. Cette décision unanime d’arrêter initialement et intentionnellement le comptage par les cinq États du champ de bataille est très inhabituelle. En fait, c’est sans précédent,cet cela démontre une coordination préalable des responsables électoraux dans les États du champ de bataille. Ce sont les cinq états que le général Flynn a mentionnés à cause de cette grande lumière clignotante pour quiconque comprend le processus de vote.

Nous commençions à regarder chacun de ces états parce qu’ils n’arrêtaient pas de compter. Tout d’un coup dans le Michigan à quatre heures du matin, 138 000 votes se manifestent, tous pour Biden. Il était en retard dans tous les États où ils ont décidé de cesser de voter, et c’est là qu’ils ont utilisé la cyberguerre, Hammer et Scorecard, les machines à voter du dominion et les logiciels qu’ils contiennent. C’est là qu’ils ont installé ces applications, comme votre iPhone, et ils ont obtenu un vote fluide.

Maintenant, lorsque les chiffres sont arrivés, ont commencé à revenir dans ces cinq États, ils étaient des chiffres différents. 138 000 au Michigan, 90 000 en Arizona, c’est théorique. Le différent au Nevada et en Géorgie et en Pennsylvanie. Le point important était qu’ils étaient exactement au même pourcentage. C’est une impossibilité mathématique que cela ait pu se produire, et cela signifie que l’algorithme a été utilisé, et cet algorithme a été conçu pour rester dans les limites, et lorsque les nombres assemblés ont été rassemblés, il n’était pas évident que ces nombres de votes soient insérés. Il s’agit d’une énorme lumière rouge clignotante, et il est important que les gens comprennent  ce genre de données que nous voyons.

Sidney a souligné en Géorgie, qu’il y a 96 000 votes absents qui n’ont pas été pris en compte dans le comté de Fulton, ils avaient une fuite d’eau. La Pennsylvanie, l’État de Pennsylvanie, a envoyé 1,8 million de voix à ses citoyens. L’État l’a fait, ce ne sont pas des votes par correspondance. Celles-ci étaient équilibrées sans chaîne de contrôle, et voici Brannon, 2,5 millions de personnes sont revenues. Si quelqu’un devait avoir une presse à imprimer et que nous la lançons, ce n’est que le test de reniflement pur. Il n’est pas nécessaire d’être un génie pour comprendre que si vous envoyez 1.8 et obtenez 2,5 millions de bulletins de vote, quelque chose ne va pas.

Maintenant, Sidney et l’équipe du président, je crois que le général Flynn, ont eu la chance de s’organiser. Le 305ème bataillon du renseignement militaire travaille avec eux parce que dans tout cela, nous n’avons vu aucun signe du DOJ du FBI, ni de la CIA du côté des amis.

Brannon Howse: Permettez-moi de vous arrêter ici, général parce que vous venez de dire quelque chose de très intéressant. Vous venez de dire  qui vient d’ouvrir le kraken, puis vous venez de décrire ce qu’était le kraken. Nous connaissons tous le terme à cause d’un Sydney Powell qui l’utilise, mais vous venez de dire ce que c’est. Pouvez-vous revenir là-dessus?
Général Mclnerney: Oui. Sidney a obtenu le terme kraken. C’était en fait le surnom du 305e bataillon du renseignement militaire, et cela a été sa source avec d’autres sources que Mary et moi connaissons, mais dont nous ne voulons pas parler. Nous obtenons les différentes sources qui relaient cela, mais l’important est qu’ils ont identifié, maintenant compris, ils ont identifié la Chine, l’Iran et la Russie comme étant impliqués dans cela et manipulant le vote.

En outre, le commandement des forces spéciales américaines a saisi une ferme de serveurs à Francfort, en Allemagne, car ils envoyaient ces données de ces six États via Internet vers l’Espagne, puis vers Francfort, en Allemagne. Les forces d’opérations spéciales se sont emparés de ces installations pour qu’elles aient ces serveurs et connaissent toutes ces données qu’elles fournissent.

Brannon Howse: Cela s’est-il passé sans incident? cette saisie s’est-elle déroulée sans incident?

Général Mclnerney: Eh bien, j’ai entendu dire que cela ne s’était pas passé sans incident, et je n’ai pas été en mesure de le vérifier. Je veux faire attention à cela. Il vient juste de sortir, mais je crois comprendre que mon rapport initial est qu’il y a eu des soldats américains tués dans cette opération. Maintenant, c’était une opération de la CIA, et c’est donc la chose très inquiétante. Cela s’est-il produit à cause de ce que Mary, moi et Allen avons notifié le dimanche et le lundi sur différents réseaux que cela allait se produire, qu’ils utilisaient Hammer et Scorecard, et qu’ils ont donc décidé de le faire rebondir à l’étranger, alors les serveurs se sont fermés et Hammer et Scorecard que nous utilisons dans la zone continentale des États-Unis ne pouvaient pas être utilisés? Je ne sais pas ça. Dans tous les cas, cela les rend plus vulnérables car lorsque vous commencez à déplacer ce type de données à l’étranger, d’autres personnes les regardent,

Brannon Howse: Mais vous dites que c’était une installation de la CIA, et que c’est là que le serveur a été pris par ces forces spéciales,  une installation de la CIA en Allemagne.

Général Mclnerney: C’est exact. Francfort, Allemagne. Nous avons toutes ces informations, le général Flynn bien sûr, les gens le savaient le plus, était l’officier supérieur du renseignement militaire des commandements américains en tant qu’agence de renseignement de défense. C’est un officier du renseignement de carrière, qui connaît ce genre de choses, en amont et en aval. D’après mon expérience dans le secteur du cloud, il s’agissait d’une opération insignifiante, relativement parlant, mais importante, car tant de personnes étaient impliquées. Beaucoup de personnes comme le général Flynn l’ont mentionné, la personne démocratique a vu que cela se présentait, mais ce que nous faisons, nous sommes en concurrence avec la constitution et la date du 14 décembre pour le collège électoral. Pourquoi? Parce que nous avons ces informations et que nous savons que non seulement nous avons l’État profond et l’exécutif que le président Trump a dû combattre,nous l’avons également eue à l’Assemblée législative où vous avez Adam Schiff, Nancy Pelosi, Schumer, toutes ces personnes ont participé à cela. Ils étaient impliqués dans le canular russe. Ils ont été impliqués dans ce coup d’État, mais nous avons aussi eu le pouvoir judiciaire, le juge Sullivan, qui était le juge du général Flynn, qui s’est surpassé sur ce point. Vous aviez le compromis là-bas, et c’est pourquoi le 305e, les krakens ont été choisis et sélectionnés, je crois, parce que le président pouvait leur faire confiance.  C’est pourquoi Chris Miller, ancien héros des opérations spéciales,  est maintenant le secrétaire par intérim de la Défense.

Brannon Howse: Qu’en est-il de son discours qui est devenu viral en lui demandant à toutes les forces d’opérations spéciales de lui répondre directement?
Général Mclnerney: Eh bien, cela vous dit quelque chose. Cela vous dit que nous avons resserré les choses parce qu’il y a des gens qui font partie de cette conspiration. C’est de la trahison dont nous parlons. Certaines personnes peuvent simplement penser: «Oh, c’est juste de la politique». Non, d’accord.

Ainsi, le président Obama l’a utilisé en 2012 pour gagner, Biden l’a utilisé pour gagner la Floride. Les démocrates l’ont utilisé pendant la primaire pour que Bernie Sanders perde et que Biden gagne. Vous savez que c’est de la politique, nous avons triché. Non, ce n’est pas de la politique, c’est une trahison. Darnold a-t-il cédé West Point ou tenté de le faire dans la guerre révolutionnaire. Nous n’avons jamais vu de trahison d’une telle ampleur dans notre histoire, et ces politiciens, ces gens comme Chris Krebs, qui était à la tête de l’agence de sécurité des infrastructures de cyberguerre. Il l’était jusqu’à ce qu’il soit renvoyé il y a quelques semaines par le président parce que c’était une élection parfaite. Il est coupable de trahison. Il devait être complice, et les gens doivent comprendre cela.

Vous qui avez fait cela, vous êtes coupables de trahison contre les États-Unis, et nous allons exiger ce président. Insistez pour que ce président ne quitte pas ses fonctions tant que le peuple américain n’a pas eu une divulgation complète de ce qui se passe.

Brannon Howse: Ce que vous dites, c’est que le président Trump doit remplir son serment, qu’il a prêté pour défendre l’Amérique contre des ennemis, à la fois étrangers et nationaux, et il ne doit pas laisser les délais l’empêcher de remplir ce serment. Est-ce ce que je vous entends dire?

Général Mclnerney: C’est exactement ce que vous m’avez entendu dire Brannon. Le président a dans son serment à la constitution de défendre le pays contre tous les ennemis, étrangers et nationaux, et nous ne devrions pas laisser un calendrier dont nous savons qu’il est si manifestement imparfait que n’importe qui peut comprendre qu’avec juste les articles que j’ai donnés à notre auditeurs ce soir. Lorsque vous avez des centaines de milliers de votes qui ont été falsifiés, et que nous savons qu’ils sont falsifiés. Je crois que ces serveurs vont le montrer, et je crois qu’il va le montrer. Il faudra probablement que cela se fasse à la Cour suprême parce qu’il y a des juges comme certains d’entre eux qui vont essayer de se protéger parce que les doigts vont commencer à pointer vers tout le monde. «Eh bien, je ne savais pas cela, je ne savais pas cela», ils vont utiliser le procès de Nuremberg.

«Eh bien, la peur m’a dit de faire ça». Ils vont dire: «Eh bien, le président Obama savait ce que je faisais parce qu’il m’a dit de le faire», ou le vice-président Biden. «Biden était le coureur ici. Il m’a dit de le faire ». Ils vont pointer du doigt. Lorsque vous avez des gens qui conduisent des voitures avec des voitures pleines de bulletins de vote, certains même pas pliés, et qui les conduisent dans ces cinq ou six états du champ de bataille, ils vont parler. Ils ne veulent pas être impliqués dans la trahison, et les gens vont donc parler de l’ampleur de cela, parce que je pense que le président a remporté un vote si écrasant. Eh bien, je sais qu’il l’a fait, qu’ils ont dû faire ces choses, et qu’il n’y a aucun expert dans l’artisanat et ce qu’ils essayaient de faire.

Ils essayaient de faire correspondre les bulletins de vote avec les chiffres qu’ils avaient trouvés et jugés nécessaires, et ce, en temps réel. Vous aviez un chiffre et un analogue pour essayer d’obtenir des bulletins de vote, alors le numérique était facile. Vous pouvez simplement changer les chiffres, et je ne donnerai pas le nom, mais quelqu’un, un républicain à la télévision hier soir, disait, pourquoi serait-il si important pour les républicains de sortir en Géorgie? Peu importe le nombre de personnes que nous sortons en Géorgie Brannon; ils arrêteront simplement le numéro. C’est un numéro numérique pour eux. Nous ne pouvons pas les laisser utiliser Hammer et Scorecard, et à mon avis, nous ne pouvons pas avoir ces bulletins de vote par correspondance en Géorgie. Ils devraient laisser les bureaux de vote ouverts, mais ils doivent obtenir une chaîne de contrôle. Nous ne pouvons pas avoir ce mépris absolu des lois du pays et  les juges,  par les législatures,  doivent s’en saisir.Il y a un chemin, mais je crois que les démocrates vont penser que c’est de la politique, et ils vont essayer de mettre un terme à cela. Eh bien, s’ils le font, alors le peuple américain doit exiger que le président reste en fonction jusqu’à ce que cela soit éclairci parce que c’est une trahison. C’est un coup d’État contre le gouvernement des États-Unis, et nous ne pouvons l’accepter.

Brannon Howse: C’est le général McInerney trois étoiles. Allez chercher sa biographie, je n’ai pas le temps de m’y intéresser ce soir parce que nous l’avons répétée encore et encore. Le général trois étoiles Thomas McInerney, recherchez sa biographie. Ce n’est pas un homme enclin à l’hyperbole.

Encore une fois, Mary Fanning et Alan Jones ont cassé cette histoire en décembre 2015. Le général McInerney en a parlé en mars 2017 dans le programme de Dave. Dave, quel est son nom encore Mary?

Général Mclnerney: Dave Janda

Brannon Howse: Dave Janda, son émission, puis le lendemain le canular de la Russie arrive par Comey, je suppose un écran de fumée, non? Donc, ils sont là-dessus depuis longtemps. En général, j’ai reçu trois appels téléphoniques de trois personnes différentes, liées à l’arène du renseignement il y a quelques semaines, essayant de me dire que j’allais me mettre dans l’embarras. Si je n’arrêtais pas de parler de ça, que c’était du complot et du faux, et il est maintenant révélé que ceux-là, je suppose, étaient des appels pour essayer de me faire cesser d’utiliser notre réseau, notre plateforme, pour informer le peuple américain, parce que maintenant nous commençons juste à comprendre ce que signifient beaucoup de ces mots comme kraken et d’autres choses. Tout est en train de sortir. Il y a ceux à l’intérieur de l’arène du renseignement qui essayaient d’arrêter cela. Maintenant,Je pense qu’il y en a dans l’arène du renseignement qui essaient de prendre l’histoire et de la contrôler. N’est-ce pas?

Général Mclnerney: Oui, et ils sont coupables de trahison.

Brannon Howse: Mary, voudriez-vous commenter. Marie? Vous avez été calme. Je dois vous faire entrer ici parce que vous et Alan Jones avez rompu cela en décembre 2015, et wow, vous, les gars méritez une sorte d’énorme prix littéraire et de recherche, mais s’il vous plaît, dites ce que vous avez entendu ce soir.

Mary Fanning: Nous avons des leaders incroyables dans ce pays qu’il n’y en a pas de meilleur que le général McInerney et le général Mike Flynn. Je vais vous dire que les mauvais acteurs, tant étrangers que nationaux, utilisent cet homme au milieu des mandataires pour couvrir leurs traces. Il y a eu une tentative non seulement de voler les élections, mais de voler l’Amérique. Les pères fondateurs ne connaissaient peut-être pas la cyberguerre, mais ils reconnaissent certainement la tyrannie quand ils y réfléchissent. Le président Trump ne peut pas quitter ses fonctions. Lorsque la Chine et l’Iran auront accès à nos élections, nous ne pouvons pas les laisser voler l’Amérique par leurs actes illégaux de trahison et de guerre contre ce pays.

Brannon Howse: Acte de guerre, et je pense que c’est exactement ce que c’est. Nous avons l’Iran, la Chine et la Russie impliqués. Général, nous avons maintenant la Russie qui menace les missiles. Nous les avons en train de parler des navires bélier. Nous avons l’Iran qui parle de représailles. Nous voyons que leur père de leur programme nucléaire a maintenant été éliminé au cours des dernières 24 heures. Nous voyons que l’Iran se vante d’avoir installé des lance-missiles sur ses cargos. Qu’est-ce que tout cela?

Général Mclnerney: Eh bien, cela signifie une grande instabilité si nous laissons le gouvernement américain être saisi par des gens qui commettent des trahisons et des tricheurs. Ils savaient exactement ce qu’ils étaient entrain de faire. Regardez, tout le monde pense que le modèle de victoire des démocrates à l’avenir n’est pas une conférence de presse majeure avec des questions difficiles. Le plus grand rallye qu’il a eu était de 14 personnes dans 14 voitures klaxonnant et restant au sous-sol. Est-ce là le modèle d’une réussite (inaudible) pour le président des États-Unis? Non, mais il savait quelque chose.

Tous ces gens savaient que le numéro allait sortir. Les gens qui parient à Las Vegas, il y a un excellent article à ce sujet, et les gens des casinos devraient regarder ces gagnants parce qu’ils avaient des informations privilégiées et qu’ils sont coupables de trahison parce qu’ils n’en ont pas informé les autorités compétentes. Quiconque était complice, Fox News à mon avis, certaines de ces personnes sont coupables de trahison. Que ce soit le président, qui que ce soit parce qu’ils ont basculé et qu’ils savaient ce qu’ils faisaient et ils ont fait ces premières annonces, et donc quiconque est impliqué dans cela en est complice. S’ils ne l’ont pas dit et alerté le président des États-Unis et leurs agents immobiliers.

Brannon Howse: Pensez-vous que cela remonte à Nancy Pelosi, à Adam Schiff, à Barack Obama, à Joe Biden?

Général Mclnerney: Oui, il le fallait. La façon dont ils agissent, la façon dont ils ont fait les choses, tout ce qu’ils ont fait, le canular russe. Maintenant nous devons savoir si John Durham, quel est le statut de John Durham et du procureur général? Quel est le statut de leur travail? Qu’ont-ils fait?

Brannon Howse: Général Mclnerney avant que nous ne manquions de temps, nous allons passer environ 10 minutes parce que c’est à ce moment-là que nos cartes sont également épuisées, et nous voulons préserver tout cela pour sortir dans une duplication au peuple américain. nous ne voulons pas aller là où nos cartes sont épuisées. Nous passerons encore huit ou neuf minutes, mais le décret du 12 septembre 2018 sur l’imposition de certaines sanctions en cas d’ingérence étrangère dans une élection aux États-Unis, dans quelle mesure ce décret du président Trump jouera-t-il là-dedans et comment?

Général Mclnerney: Eh bien, je pense que je vais demander à Mary d’en parler également, mais je pense que cela jouera un rôle majeur. Cela me dit Brannon, que le président savait que quelque chose se passait et que cela allait arriver, et donc je pense que Mary, vous pouvez entrer dans les détails.

Mary Fanning: Eh bien, il existe de nombreuses preuves que l’élection présidentielle de 2020 a été volée au président Trump au nom de Joe Biden, avec l’aide de Joe Biden, car Joe Biden a déclaré qu’il avait le plus grand groupe de fraude électorale de l’histoire mis en place. Nous ne pouvons pas laisser cela tenir. Ce sera le vol de l’Amérique. Le peuple américain doit se lever.

Brannon Howse: Mary, j’ai devant moi un article daté du 7 juin 2017. Vous écrivez ici à propos d’un programme, je crois que ça s’appelait Turquie ou quelque chose comme ça? Dinde sauvage ou quelque chose?
Mary Fanning: Wild Turkey ou certains des exploits qui fonctionnent avec Hammer et Scorecard, et ainsi que Medusa. Ce sont des exploits qui ont été créés alors que Turkey n’a pas été créée par Dennis Montgomery, mais que Medusa et le scorecard du hammer ont fonctionné

Brannon Howse: Vous voilà en 2017, en train d’écrire à ce sujet. Encore une fois, vous et Alan Jones, votre co-auteur. Leur livre, en passant, peut être trouvé sur Amazon, The Hammer is the Key to the Coup, qui sont quelques-uns des derniers mots de l’amiral quatre étoiles Lyons à son ami, le général McInerney, parce qu’ils faisaient des recherches et en parlaient .

Rappelez-vous qu’eux, l’amiral Lyons, quatre étoiles, le général McInerney, trois étoiles ont fait une émission de radio ensemble en 2017 pour en avertir, et c’est alors que les choses ont vraiment commencé à s’ouvrir. Mais encore une fois, nous sommes en 2015, puis Mary Fanning et Alan Jones font toutes les recherches et commencent à publier les informations sur TheAmericanReport.org.

Mary, maintenant nous avons trois personnes liées à la communauté du renseignement qui voulaient m’arrêter de faire de la radio et de la télévision à ce sujet. Je ne le ferais pas parce que je crois en vous, Alan et le général. Je n’allais tout simplement pas reculer. J’avais vu suffisamment d’informations et suffisamment de preuves. Je connaissais la longue crédibilité du général et je n’allais pas reculer.

J’ai reçu trois appels téléphoniques quand les gens ont lié l’arène du renseignement et ont arrêté de parler de ce genre de choses, vous allez avoir l’air stupide et stupide. Maintenant, tout est en cours de confirmation, mais ce qui est intéressant Mary, c’est vous et j’ai parlé, je suppose, d’un type qui écrit maintenant qui, je suppose, fait caca une partie de cela, et maintenant il veut essayer de contrôler le récit et donnez des interviews à ce sujet. J’ai remarqué que dans l’une de ses interviews, il semble essayer de défendre le chef de la CIA et le chef du FBI, alors dois-je croire que ces gens qui faisaient caca comme je n’en parle pas, Eh bien, maintenant votre recherche a été confirmée à maintes reprises, et maintenant ils vont essayer de contrôler le récit, et vont-ils essayer maintenant certaines de ces mêmes personnes pour défendre le chef de la CIA et du FBI. C’est assez intéressant de regarder ce comportement,N’est-ce pas? Ai-je raison ou tort dans mon hypothèse ici?

Mary Fanning: Je pense que vous avez tout à fait raison en tant qu’ancien agent de la CIA Larry, c’est en première page, les gens peuvent lire à ce sujet, mais le fait qu’il vienne dire que Gina n’avait rien à voir avec cela, ni Wray soupçonné de dire qu’il aimerait laisser ces personnes en place.

Quiconque est impliqué dans cela et est du côté et se tient avec la trahison contre ce pays. Quelle que soit l’agence avec laquelle ils travaillent, ils devraient réfléchir à deux fois avant de commencer à essayer de s’insinuer dans cette activité de trahison qui durait depuis trop longtemps.

Cela est venu directement de l’administration Obama lorsque John Brennan et James clapper ont illégalement réquisitionné l’outil de surveillance étrangère connu sous le nom de marteau.

Brannon Howse: Il a été conçu par Genesis Montgomery en 2003, pour protéger l’Amérique pendant que vous écrivez. Commande par eux environ deux semaines après qu’Obama a été assermenté et mis sur des serveurs. Vous écrivez sur l’honneur du FBI, le directeur de Mueller, n’est-ce pas?
Mary Fanning: C’est exact. Selon Dennis Montgomery, Robert Mueller a fourni les ordinateurs pour le marteau.

Brannon Howse: et bien sûr, ils ont essayé de discréditer Dennis Montgomery parce que vous pouvez voir pourquoi maintenant, mais comme nous en avons discuté dans les programmes précédents, vous avez obtenu deux accords d’immunité après avoir été interviewé et enregistré. Donc, apparemment, il n’a pas menti, sinon il serait en prison. Il l’a gardé; il a obtenu ses accords d’immunité et certaines de ses autorisations de sécurité ne sont pas en prison, ce qui devrait nous en dire long sur les gens qui essaient de salir le gars.

Mary, vous croyez, je crois toute cette idée que Donald Trump doit aller de l’avant et concéder. Je pense que celui qui devrait concéder est Joe Biden. Je pense que le peuple américain devrait se lever en masse. Je pense que les conservateurs devraient se lever en masse, tweeter, Facebook, e-mail, et ont commencé à exiger que Joe Biden concède. Ce que vous dites?

Mary Fanning: Vous ne pouvez pas attribuer le pays à Joe Biden quand il a triché pour voler une élection. C’est vraiment aussi simple que cela.

Brannon Howse: Pensez-vous que le peuple américain va exiger que certaines de ces personnes soient effectivement accusées de trahison? Et à quelle hauteur pensez-vous que cela pourrait aller? Ou est-ce que ce sera le vieux jeu de brossage pour finir de blâmer quelqu’un au niveau inférieur?

Mary Fanning: C’est au-delà des élections. C’est au-delà des votes volés. Vous devez regarder Joe Biden et sa famille. Des milliards de dollars à son fils, Hunter, son fils toxicomane. Des milliards de dollars de la Chine et des milliards de l’Ukraine à Hunter Biden. Pouvez-vous même imaginer ceci et un autre jour? Le fait que les médias soient restés silencieux et que la Chine, l’Iran et la Russie achètent nos fonctionnaires pour vous dire tout ce que vous devez savoir sur les médias Mockingbird.

Brannon Howse: Sans parler de Mary, comme vous le rapportez dans votre excellent rapport, la tempête parfaite, la famille Jafar, la famille Gulftainer, le docteur Jafar, comme vous le rapportez, était autrefois le chef du programme nucléaire de Saddam Hussein, créant la plage nucléaire. boule comme dispositif nucléaire miniaturisé. Je pense qu’il était sur la liste des victimes pendant la guerre, puis sa famille et son entreprise obtiennent un contrat pour gérer Port Canaveral en Floride et à Wilmington, Delaware, des conteneurs de fret, et pourtant il y a une sorte d’accords commerciaux avec le 100%. Exportation détenue par la Russie du Club K Cargo qui a quatre silos de missiles de croisière qui apparaissent et peuvent livrer des missiles de croisière, des armes biologiques, des armes nucléaires, et il pourrait facilement être planté ici aux États-Unis comme vous avez traduit les manuels russes pour Pearl Harbor 2.0 en anglais,ils appellent à une stratégie russe pour faire exactement cela. Comme vous le savez, en direct de notre émission il y a quelques années, Phil Haney, ancien dénonciateur du Département de la sécurité intérieure, a révélé directement dans cette émission: «Hé, Brannon, vous voulez une autre information intéressante pour aller avec ça?» Regardez Citco appartenant au Venezuela, ils sont en crise financière avec une inflation massive. Devinez qui est entré et a acheté une grande partie de leur entreprise? Russie. Regardez tous leurs terminaux pétroliers, le long de la côte Est.Devinez qui est entré et a acheté une grande partie de leur entreprise? Russie. Regardez tous leurs terminaux pétroliers, le long de la côte Est.Devinez qui est entré et a acheté une grande partie de leur entreprise? Russie. Regardez tous leurs terminaux pétroliers, le long de la côte Est.

Maintenant, la Russie peut faire entrer par les terminaux pétroliers, les terminaux de fret peuvent intégrer le système de lancement de missiles Club K Cargo dans cette relation avec le Dr Jafar et Gulftainer, les ont maintenant amenés à les déplacer aux États-Unis et à les faire tomber dans tous les raffineurs. le long de la côte Est se trouve un cheval de Troie, et c’est votre parfait Pearl Harbor 2.0 dont vous avez mis en garde, et Phil Haney l’a déposé directement sur le bureau de presse de notre émission en direct, et vous regardez ce soir-là. Donc, il y a bien plus que les élections. Nous parlons d’eux étant à l’intérieur du fil et beaucoup de ces gens, les Bidens, les Obama, Hillary liés à certains de ces acteurs, n’est-ce pas?

Mary Fanning: Eh bien, c’est exact. Au-delà de quoi les Jafar ont été mis sur la liste noire du Pentagone signifiait qu’ils étaient recherchés pour capturer ou tuer dr. Jafar, et c’est le cerveau du nucléaire ou Saddam Hussein. Afin de reprendre notre pays, nous devons reprendre cette élection que Donald Trump a remportée juste et carrément avant de commencer à tricher avec les acteurs étrangers, la Russie, la Chine, l’Iran, que leur main est ici pour le vol de cette élection. C’est pourquoi le peuple américain doit se lever, et c’est comme si le président Donald Trump doit respecter son serment de protéger ce pays. Il ne peut pas démissionner tant que ces élections ne sont pas équitablement réglées légalement.

Brannon Howse: La raison pour laquelle j’évoque tout cela Mary est, comme vous le savez, en tant que chercheur auteur du renseignement et du renseignement de sécurité nationale, tout cela implique d’énormes implications en matière de renseignement national.

Mary Fanning: Absolument

Brannon Howse: Permettez-moi de répéter très rapidement. La nouvelle de ce soir, le général Flynn appelant, nous venons également d’apprendre par le général McInerney que le kraken est en fait une division militaire. Avez-vous dit le 305e connu sous le nom de kraken? C’est une division militaire, c’est le kraken?

Général Mclnerney: Non, c’est un bataillon, un bataillon très intelligent. Brannon, puis-je dire une autre chose en terminant?

Brannon Howse: Oui.

Général Mclnerney: Maintenant, cela va directement à ceux qui veulent s’emparer de ce pays parce qu’ils ont piraté mon téléphone portable, et donc tout ce que je dis sur ce canal ouvert en particulier, ils arrivent. Ils sont sérieux. Ils sont profondément impliqués dans cela, et ils savent maintenant qu’à cause de ce que vous avez fait et de ce que nous avons fait ce soir, ils ont encore plus de problèmes. Nous venons contre après que vous et le peuple américain allez venir après vous et ce président a remporté cette élection, et il allait être le président pendant les quatre prochaines années, mais nous sommes après vous. Vous ne vous emparerez pas de ce pays parce que ce serait la dernière réélection que nous ayons jamais eue, et je suis d’accord avec vous et Mary, que Joe Biden devrait démissionner tout de suite.

Brannon Howse: Joe Biden doit concéder. Les gens, ce sont les héros américains, le général Flynn, le général McInerney, Mary Fanning. Je suis désolé, nous n’avons pas pu avoir un autre héros ici. Alan Jones, qui a écrit le livre avec elle. Ce sont de grands Américains qui se sont opposés à une pression inimaginable pour ne pas en parler, mais ici, tout est ouvert maintenant. N’est-il pas intéressant que les médias alternatifs aient dû le faire ce soir?

Je tiens à les remercier tous de se joindre à nous. Je tiens à vous remercier de vous joindre à nous. Nous ferons immédiatement éditer cet article en HD pour que le peuple américain le diffuse. Et encore une fois, nous le faisons grâce à votre soutien sur WVWFoundation.com. Merci pour votre soutien. Merci, général McInerney, merci général Flynn, merci Mary Fanning et merci à tous d’avoir regardé. Jusqu’à la prochaine fois, je suis Brennan Howse. Prends soin de toi.

source [en anglais] : https://www.naturalnews.com/2020-11-29-full-transcript-interview-gen-michael-flynn-gen-thomas-mcinerney.html

LE RAID DE LA CIA SUR FRANCFORT

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Avec sous-titres en Français :




Crise Covid-19 en Suède ? Différence entre ce que rapportent les médias et le vécu quotidien du peuple

[Source : Lucie Mandeville]

https://youtu.be/JH6DJbntl6U



La trahison mondialiste, c’est le coup de poignard dans le dos de Macron et Véran contre la santé des Français et contre l’économie de la France.

[Source : Dreuz.info]

PUBLIÉ PAR THIERRY FERJEUX MICHAUD-NÉRARD

Le socialiste Véran, qui fut, pendant la guerre à la con de Macron contre le Coronavirus, le sinistre de la santé, a trahi l’éthique médicale et la France, contre le Pr Raoult, contre l’hydroxy-chloroquine et contre le peuple français. Un réquisitoire conséquent, digne du tribunal révolutionnaire des années de la Terreur à la Fouquier-Tinville, pour forfaiture contre Macron et Véran, est attendu de la Haute-Cour de Justice. Certains attendus de ce réquisitoire sont très significatifs. Les voici :

Attendu qu’il est constant pour la Cour qu’un plan a été concerté sur le territoire de la République, dès la fin de 2019, pour ruiner la santé du pays en portant atteinte à la force morale de la nation et à l’esprit de discipline des Français, et que cette propagande criminelle s’est exercée notamment avec la collaboration des journaux et des télés vulgaires en continu, LCI et BFM-Macron, par la diffusion de mensonges sur la mortalité et sur la dangerosité du Coronavirus, et par la répétition des discours trompeurs des autorités sanitaires ;

Attendu que le sinistre de la santé Véran n’a pas ignoré l’existence de la mainmise de Gilead dans cette entreprise de manipulation-désinformation, dont tous les vrais experts non corrompus par la mafia des labos ont signalé la gravité, et qui a été la cause principale des révoltes contre les amendes iniques et la répression scandaleuse de Macron contre les personnes âgées et les plus faibles, malgré l’impunité de fait des racailles islamistes du 93 et des Black blocs gauchistes révolutionnaires accordée par le lâche Macron ;

Attendu qu’au lieu de s’opposer à cette propagande mensongère, Macron a accordé des subventions aux médias dont les principaux collaborateurs sont mis en cause pour intelligence avec l’ennemi-Gilead, et en ce que Macron a facilité, par des faveurs et des complaisances abusives, les agissements criminels de Gilead contre le Pr Raoult, contre l’hydroxy-chloroquine et contre le peuple français, et qu’il a entravé la surveillance des tractations auxquelles se livrait la mafia des labos avec les faux experts de Macron et surtout ses copains corrompus des comités bidons, les « pieds nickelés de la science des affaires » ;

Attendu qu’il s’est refusé à empêcher la propagande contre le Pr Raoult, contre l’hydroxy-chloroquine et contre le peuple français, et aussi contre l’épidémie des mensonges avec la propagande vaccinale de la mafia des labos, qui fait toujours plus de ravages chez les pauvres gens mal informés et crédules ;

Attendu que Macron s’est refusé à empêcher le complot antipatriotique des vaccins des milliardaires de Davos contre les peuples, ce qui éclaire la méfiance et la révolte des Français contre les vaccins ;

Attendu que Véran a refusé d’autoriser l’usage du protocole du Pr Raoult et de l’hydroxy-chloroquine dans les débuts de la maladie, au moment où elle pouvait être utilement pratiquée en médecine de ville ;

Attendu que le socialiste Véran s’est refusé à la saisie du CSA à propos des faux-experts collabos et des gaucho-macronistes post-soixante-huitards du type Cohn-Bendit-Goupil sur les télés vulgaires en continu, surtout LCI et BFM-Macron, excitant avec des généralistes affairistes encartés, ces abrutis et ces ignares, le dénigrement systématique des travaux du Pr Raoult avec l’hydroxy-chloroquine et la trahison des Français ;

Attendu qu’en vertu des instructions qu’il a données, l’action de la déontologie médicale et des règles sanitaires pour soigner les malades a été suspendue ou empêchée au profit de la mafia des labos ;

Attendu que le sinistre socialiste de la santé Véran prétend vainement pour sa défense qu’il n’a fait qu’exécuter la politique de Macron et les instructions absurdes du gouvernements dont il fait partie ;

Attendu que cette politique du mensonge du socialiste Véran pour dissimuler la gestion calamiteuse de la pandémie du Coronavirus par Macron, qui a été absolument incohérente, inhumaine et brutale, et pour cacher l’abjection des copains de Macron corrompus par Gilead et des « pieds nickelés de la science des affaires » diffusée dans les médias collabos pro-Macron pour tromper les Français à propos du Coronavirus ;

Attendu que la politique du mensonge du sinistre socialiste de la santé Véran contre tous les Français face au Coronavirus en fait l’ennemi de la vérité sur la crise sanitaire et justifie sa mise en cause devant la Haute Cour de Justice, d’autant que l’accusation reproche à juste titre à Véran d’avoir poursuivi une politique personnelle d’abandon de la santé des Français et de faiblesse devant les copains des CHU corrompus par Gilead, les « pieds nickelés de la science des affaires, qui faisait se renforcer chaque jour le danger de la pandémie du Coronavirus dont il ne pouvait ignorer la gravité, alors que la doctrine du gouvernement dont il fait partie consistait à refuser d’appliquer les principes de la déontologie médicale et des règles sanitaires pour soigner les malades du Coronavirus en début de maladie avec l’application du protocole du Pr Raoult avec l’hydroxy-chloroquine, au moment où elle pouvait être utilement pratiquée pour soigner en médecine de ville ;

Attendu que le sinistre socialiste de la santé Véran soutient encore en vain qu’il était obligé d’agir comme il l’a fait de peur de provoquer des crises avec la mafia des labos et des réactions néfastes de la part des faux experts des CHU corrompus par Gilead, les fameux « pieds nickelés de la science des affaires » ;

Attendu que le sinistre socialiste de la santé Véran a laissé les Français sans aucune défense contre la propagande qu’il laissait s’exercer contre le Pr Raoult, contre l’hydroxy-chloroquine et donc contre le peuple français, et que cette politique justifie pleinement les actes reprochés à Véran parce qu’elle a eu le tort grave de décider les Français interdits de se soigner avec l’hydroxy-chloroquine et le protocole du Pr Raoult ;

Par ces motifs, le procureur à la Fouquier-Tinville décide de renvoyer le sinistre socialiste de la santé Véran devant la Haute-Cour de Justice, tant comme auteur principal, que comme complice de Macron et, du crime d’intelligence avec la mafia des labos, commis notamment en protégeant les faux experts des CHU corrompus par Gilead, l’ennemi objectif et déclaré de l’hydroxy-chloroquine et du protocole du Pr Raoult pour vendre et imposer le remdevisir, un produit dangereux, toxique et inefficace, pourtant acheté à prix d’or par Macron, par Merkel et par les nuls de l’UE sur le dos des contribuables Français et européens.

Deux faits significatifs ont attiré l’attention sur la personne de Macron : son intimité avec Gilead et la Lacombe subventionnée par le Big Pharma, intimité qu’il a raillée mais qui fut confirmée par de nombreux témoins et qui apparaît d’ailleurs très clairement dans les articles et les photos des journaux dès les premières déclarations de la guerre en pantoufles de Macron contre la pandémie du Coronavirus.

Non seulement Macron n’a jamais été un véritable guerrier courageux, intelligent, et particulièrement versé dans les problèmes de défense sanitaire, mais sa vie d’enfant gâté gay-friendly dans les ors de l’Élysée a été âprement critiquée comme dans la sinistre affaire de : « Benalla n’est pas mon amant » et sa gestion calamiteuse de la pandémie du Coronavirus fut violemment attaquée sur tous les réseaux sociaux !

Le fin mot de l’affaire c’est que, pendant tout ce temps, le sinistre socialiste de la santé Véran fut au gouvernement le représentant, l’agent, le factotum de Macron totalitaire et de son groupe des faux expert des CHU corrompus par Gilead, les fameux « pieds nickelés de la science des affaires ». Le fait de Macron consista à maintenir au poste le plus important de la guerre sanitaire en pantoufles de Macron contre la pandémie du Coronavirus, un politicien socialiste et un bureaucrate médiocre ignorant de la vraie médecine de terrain.

Ce politicien socialiste, et bureaucrate médiocre moralement vicié, est tout dévoué à Macron et à sa politique de laisser-faire qui a eu pour résultat l’abandon desvieux voués à la mort dans les Ehpad !

Mais pour la France et les Français, l’abjection de la macronnerie vulgaire dans le scandale honteux du Coronavirus, cette illustration de la monstruosité progressiste postmoderne, est une abomination absolue. Et cette abomination de Macron socialiste, pur produit de la société néo-libérale, exigera réparation !

On conçoit parfaitement que l’abjection de la macronnerie vulgaire dans la gestion calamiteuse de la pandémie du Coronavirus, qui révèle le désastre intellectuel des clowns qui nous gouvernent, justifie la haine des Français. Avec le Rivotril, elle est objectivement inhumaine et même déjà post-humaine. L’État a organisé l’euthanasie des séniors en Ehpad, selon Serge Rader, pharmacien et figure du mouvement anti-vaccin.

L’État aurait organisé l’euthanasie des personnes âgées en Ehpad, autorisant l’utilisation du Rivotril, un sédatif utilisé en soins palliatifs pour pallier la pénurie de midazolam utilisé pour endormir les patients en réanimation, et adoucir la fin de vie provoquée des malades en soins palliatifs. On ne les a donc pas admis en réanimation. On a préparé la seringue de Rivotril pour les achever quand ils étaient en détresse respiratoire.

Macron est complètement dépassé. Il veut faire peur aux gens et il recourt à l’autoritarisme ! Voilà qui n’inspire pas confiance dans ce gouvernement des incapables, les clowns socialistes LREM !

Et Macron en a l’entière responsabilité.

Moralité : L’affaire calamiteuse du Coronavirus justifie pleinement le prochain réquisitoire de la Haute-Cour de Justice contre les socialistes Macron et Véran !


Reproduction autorisée avec la mention suivante :
© Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.




Wikipédia : Une opération de désinformation ?

[Source : Swiss Policy Research]

Publié: March 2020; Mise à jour: June 2020
Langues CNDEENESFAFRJPNLPLRU
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Wikipédia est généralement considéré comme une encyclopédie en ligne ouverte, transparente et surtout fiable. Pourtant, en y regardant de plus près, il s’avère que ce n’est pas le cas.

En fait, la version anglaise de Wikipedia, avec ses 9 milliards de pages vues par mois dans le monde, est gérée par seulement 500 administrateurs actifs, dont la véritable identité reste souvent inconnue.

De plus, des études ont montré que 80 % de l’ensemble du contenu de Wikipédia est écrit par seulement 1 % de tous les éditeurs de Wikipédia, ce qui, là encore, ne représente que quelques centaines de personnes pour la plupart inconnues.

Il est évident qu’une telle structure non transparente et hiérarchique est susceptible de corruption et de manipulation, les fameux “éditeurs payés” engagés par les entreprises n’en étant qu’un exemple.

En effet, déjà en 2007, des chercheurs ont découvert que des employés de la CIA et du FBI éditaient des articles de Wikipédia sur des sujets controversés, notamment la guerre en Irak et la prison militaire de Guantanamo.

Toujours en 2007, les chercheurs ont découvert que l’un des administrateurs anglais de Wikipédia les plus actifs et les plus influents, appelé “Slim Virgin”, était en fait un ancien informateur des services de renseignement britanniques.

Plus récemment, un autre rédacteur en chef de Wikipédia très prolifique, portant le faux nom de “Philip Cross”, s’est avéré être lié aux services de renseignement britanniques ainsi qu’à plusieurs journalistes des grands médias.

En Allemagne, l’un des rédacteurs de Wikipédia les plus agressifs a été démasqué, après une bataille juridique de deux ans, en tant qu’agent politique ayant servi dans l’armée israélienne en tant que volontaire à l’étranger.

Même en Suisse, des employés du gouvernement non identifiés ont été pris en train de blanchir les entrées de Wikipedia sur les services secrets suisses juste avant un référendum public sur l’agence.

Beaucoup de ces personnages de Wikipédia éditent des articles presque toute la journée et tous les jours, ce qui indique qu’ils sont soit des individus très dévoués, soit en fait, qu’ils sont dirigés par un groupe de personnes.

En outre, les articles édités par ces personnages ne peuvent pas être facilement révisés, car les administrateurs susmentionnés peuvent toujours annuler les modifications ou simplement bloquer les utilisateurs en désaccord.

Le but premier de ces campagnes secrètes semble être de promouvoir les positions des gouvernements occidentaux et israéliens tout en détruisant la réputation des journalistes et des politiciens indépendants.

Les articles les plus touchés par ce type de manipulation comprennent des sujets politiques, géopolitiques et certains sujets historiques ainsi que des biographies d’universitaires, de journalistes et de politiciens non-conformistes.

Sans surprise, le fondateur de Wikipédia, Jimmy Wales, un ami de l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair et un “Young Leader” du forum de Davos, a défendu ces opérations à plusieurs reprises.

En parlant de Davos, Wikimedia a lui-même amassé une fortune de plus de 160 millions de dollars, donnés en grande partie non pas par des étudiants paresseux, mais par de grandes entreprises américaines et des fondations influentes.

De plus, les médias sociaux et les plateformes vidéo américaines se réfèrent de plus en plus à Wikipédia pour encadrer ou combattre des sujets “controversés”. Les révélations évoquées ci-dessus peuvent peut-être aider à expliquer pourquoi.

Déjà, le lanceur d’alerte de la NSA Edward Snowden a révélé comment les espions manipulent les débats en ligne, et plus récemment, un cadre supérieur de Twitter s’est révélé être un officier “des opérations psychologiques (psyops)” de l’armée britannique.

Pour ajouter au moins un certain degré de transparence, des chercheurs allemands ont développé un outil de navigation gratuit appelé WikiWho qui permet aux lecteurs de coder en couleur qui a édité quoi dans Wikipedia.

Dans de nombreux cas, le résultat semble aussi inconfortable qu’on pourrait le penser.

WikiWho / WhoColor
Références supplémentaires



Choisir la vie

[Source : La maison du 21e siècle]

Le monde, depuis plusieurs mois, est distrait de la question existentielle qui se profile de plus en plus à l’horizon : embrassons-nous la vie, dans tous ses mystères, plaisirs et tempêtes, ou l’enterrons-nous? Joignons-nous nos mains autour de la Terre ou les lavons-nous vingt fois par jour? Nous unisson-nous dans la maladie et la santé, ou nous cachons-nous la tête dans le sable de nos masques et de la distance sociale, et en prétendant que notre vie et notre avenir ne dépendent pas de nos relations physiques avec les gens, les oiseaux, les chauves-souris, les fleurs et les poissons qui se soutiennent les uns les autres et font vivre ce monde?

Nous avons des décisions à prendre.

Tandis que nous sommes tous préoccupés par le coronavirus, un trou géant s’est développé ce printemps dans la couche d’ozone au-dessus de l’Arctique, sans précédent en taille et en durée. Cela permet à des niveaux élevés de rayonnement ultraviolet (UV) du soleil d’atteindre la surface de la Terre. L’indice UV est plus élevé que la normale sur une grande partie de l’hémisphère nord. Cela peut être en partie le résultat des émissions des centaines de lancements de fusées qui ont eu lieu au cours des dernières années, principalement dans l’hémisphère nord. Environ 225 lancements de fusées sont prévus pour 2020. Pouvons-nous continuer à le permettre? Ou, une fois que nous sortirons de nos maisons et que les quarantaines seront levées, allons-nous les arrêter?

Au lieu de nous cotoyer dans les écoles, les marchés, les restaurants, les parcs et les églises, nous nous sommes retirés dans nos téléphones portables et nos ordinateurs sans fil, substituant le rayonnement à la vie, tandis que le Web sans fil, sur Terre et dans l’espace, continue de se tisser. Allons-nous continuer de permettre cela? Ou, une fois que nous sortirons de nos maisons et que les quarantaines seront levées, allons-nous arrêter?

JOURNÉE INTERNATIONALE D’ACTION, 20-21 JUIN 2020

« Ne poussez pas la rivière, elle coule d’elle-même », écrivait Barry Stevens dans son livre de 1970 sous ce nom (Don’t Push the River, It Flows by Itself. Eh bien, parfois même la rivière a besoin d’un petit coup de pouce. Une nouvelle organisation vient d’être formée, appelée End Cellphones Here On Earth (ECHOEarth), dont les membres ne possèdent pas de téléphones portables et dont la mission est de mettre fin à la cause profonde du Web sans fil qui perce des trous dans notre atmosphère et nous baigne tous dans les radiations.

ECHOEarth a fixé le solstice, du 20 au 21 juin 2020, comme jour d’annulation de votre compte de téléphone portable, le jour où nous vous invitons à descendre de ce train et à changer de direction. Les détails suivront dans ma prochaine infolettre (cellphonetaskforce.org).

MISE À JOUR SUR LES SATELLITES

SpaceX, qui avait déjà 360 satellites en orbite, avait prévu d’en lancer 60 autres le 2 avril mais a retardé le lancement en raison de la situation du coronavirus. Le lancement de 60 satellites a eu lieu hier, portant le nombre en orbite à 420.

Vendredi dernier, le 17 avril, SpaceX a soumis une nouvelle demande à la Federal Communications Commission, demandant l’autorisation d’abaisser l’altitude de certains de ses satellites prévus. Auparavant, elle allait mettre en orbite ce qu’elle appelle ses satellites de “première génération” sur deux niveaux – le premier à 550 kilomètres (340 miles) d’altitude, et le deuxième niveau à 1200 kilomètres (750 miles) d’altitude. Désormais, SpaceX veut placer tous ses 4 408 satellites de première génération à la plus basse altitude. L’une des raisons invoquées est de rendre moins de satellites visibles de n’importe quel point de la terre à un moment donné. Cependant, plus les satellites sont bas, plus ils seront brillants. Et plus il y en a dans l’ionosphère (qui s’étend jusqu’à environ 1000 kilomètres), plus l’impact sur la vie en dessous est grand.

OneWeb, qui a lancé 74 satellites, a déclaré faillite et a licencié la plupart de ses employés après avoir échoué à obtenir le financement attendu en raison du ralentissement économique provoqué par l’arrêt du coronavirus.

CORONAVIRUS: SCIENCE, POLITIQUE ET POLITIQUE

Beaucoup de gens ont même peur de demander si la 5G joue un rôle dans la maladie COVID-19 qui a fermé une grande partie du monde. Cela ressemble à la peur qui a empêché les gens de remettre en question les ordres de rester à la maison, de porter des masques et de se tenir à six pieds les uns des autres.

Je parle de vérité, où que je la trouve, où qu’elle mène, car notre monde est en jeu et la vie elle-même – physique, mentale, émotionnelle et spirituelle – est en train d’être démantelée. Les complots n’ont pas leur place dans cet effort. La peur non plus.

Mes opinions, basées sur ma lecture de la littérature scientifique et médicale, du mieux que je peux déterminer, sont les suivantes:

La 5G a-t-elle causé le coronavirus? Non.
La 5G provoque-t-elle une maladie similaire au coronavirus? Oui.
La COVID-19 origine-t-elle des chauves-souris? Non.
Le virus de la COVID-19 est-il un virus à ARN recombinant, créé en laboratoire, intentionnellement ou non, dans le cadre d’un programme de recherche dont le but était de protéger la population? S’est-il échappé accidentellement d’un laboratoire de virologie à Wuhan, en Chine? Probablement.

Les mesures qui ont été mises en place et acceptées sans aucun doute sont inefficaces, destructrices et anti-vie.

Les masques ne protègent pas le porteur. Les masques médicaux sont inefficaces contre les virus, et les masques en tissu leur offre un lieu de reproduction. Une étude de 2015 dans le British Medical Journal a révélé que les travailleurs de la santé attrapaient les virus de leurs patients 13 fois plus souvent s’ils portaient un masque en tissu que s’ils portaient un masque médical, et une étude chinoise a révélé qu’un masque médical n’était pas plus protecteur contre les virus que de ne porter aucun masque.

L’Organisation mondiale de la santé avertit que le port d’un masque médical « peut créer un faux sentiment de sécurité » contre la COVID-19 et qu’« aucune preuve n’est disponible sur son utilité pour protéger les personnes non malades ».

Le respirateur N95, recommandé pour les travailleurs médicaux, nécessite une formation pour être utilisé correctement et «sans formation, les masques pourraient non seulement exposer les travailleurs au virus mais aussi les endormir en leur faisant croire qu’ils sont protégés», selon des médecins de la Harvard School of Public Health. En pratique, même le masque N95 s’est révélé inefficace pour empêcher la transmission de virus. Un examen de six études cliniques, publié dans le Journal de l’Association médicale canadienne, a révélé que les travailleurs médicaux attrapaient les virus de leurs patients aussi souvent lorsqu’ils utilisaient des respirateurs N95 que lorsqu’ils utilisaient des masques médicaux ordinaires.

Les masques sont nocifs pour le porteur. La COVID-19 tue en provoquant une hypoxie sévère (faibles niveaux d’oxygène dans le sang). Les personnes portant des masques respirent une partie de leur air expiré, réduisant ainsi la quantité d’oxygène qu’elles respirent. « Le port de respirateurs s’accompagne d’une multitude de charges physiologiques et psychologiques. Ceux-ci peuvent interférer avec les performances des tâches et réduire l’efficacité du travail. Ces fardeaux peuvent même être suffisamment graves pour causer des conditions mortelles s’ils ne sont pas améliorés », a écrit l’auteur d’un article de 2016 dans le Journal of Biological Engineering. Lorsque le respirateur N95 a été testé en cours d’utilisation en 2010, « les niveaux d’oxygène et de dioxyde de carbone dans l’espace mort ne respectaient pas les normes de milieu de travail ambiant de la Occupational Safety and Health Administration ».

Les ventilateurs ne fonctionnent pas et sont nocifs. Le Dr Cameron Kyle-Sidell a quitté son emploi à l’unité de soins intensifs du Maimonides Medical Center à Brooklyn parce qu’il était obligé de mettre ses patients COVID-19 sous des ventilateurs qui, selon lui, les tuaient parce que la pression de l’air endommageait leurs poumons. Ses patients atteints de coronavirus présentaient tous une hypoxie sévère mais des muscles respiratoires sains: ils avaient besoin d’oxygène, a-t-il dit au New York Post, mais pas de pression.

« La maladie pulmonaire à COVID-19, pour autant que je puisse voir, n’est pas une pneumonie », a-t-il dit, mais semble être « une sorte de maladie d’origine virale qui ressemble le plus à une maladie de haute altitude … Ces patients sont lentement affamés d’oxygène… et bien qu’ils ressemblent à des patients au bord de la mort, ils ne ressemblent pas à des patients mourant de pneumonie. » Les médecins italiens sont d’accord: « Les patients sous respirateurs se détériorent de toute façon, d’une manière inexpliquée … La plupart de ces patients sont clairement hypoxiques. »

Les tests de virologie PCR ne sont pas précis. Un article du 25 mars 2020 de Carver et Jones a rapporté qu’il n’est pas possible d’évaluer l’exactitude des tests PCR car « il existe peu de données publiques sur les taux de faux positifs et de faux négatifs des différents tests basés sur la RT-PCR ». Un test faussement positif signifie que vous êtes diagnostiqué avec la COVID-19 alors que vous ne l’avez pas réellement. Une des seules études à ce jour qui a tenté d’estimer la fréquence des faux positifs est celle de Zhuang et al., « Taux de faux positifs potentiels parmi les individus infectés asymptomatiques dans les contacts étroits des patients COVID-19 », publié dans le Chinese Journal of Epidemiology, 2020, 41 (4): 485-488 (en chinois). Ils ont conclu que jusqu’à 80 % des personnes asymptomatiques dont le test de dépistage du coronavirus était positif pourraient ne pas l’avoir.

Les confinements n’ont aucun effet. Le Japon, qui n’a fermé ses portes que le 6 avril, puis uniquement grâce à des mesures volontaires, compte 2 décès de COVID-19 par million d’habitants. La Chine, qui a fermé ses portes en décembre, a 3 morts par million d’habitants. La Biélorussie, qui n’a jamais fermé ses portes, en a 4 par million. La Corée du Sud, qui n’a que des mesures volontaires, en a 5 par million. L’Iran, qui a fermé ses portes début mars, en compte 62 par million. La Suède, qui n’a pas fermé ses portes, en compte 156 par million. La Suisse, qui a fermé ses portes, en compte 165 par million. La Belgique, qui a fermé ses portes, compte 503 décès par million d’habitants. Le Vietnam, le Laos et le Cambodge, tous proches de la Chine, n’ont aucun décès lié au COVID-19. Le Vietnam a fermé ses portes début février, le Laos a fermé ses portes fin mars et le Cambodge n’a jamais fermé ses portes. Aux États-Unis, le Dakota du Sud, qui n’a pas fermé du tout, compte quatre fois plus de cas, mais moins de décès, que le Montana voisin, qui est complètement confiné. Aux États-Unis, les taux globaux de mortalité sont en baisse et non en hausse depuis le début de l’année. Si vous écoutez les nouvelles, vous pourriez supposer qu’un nombre record de personnes meurent. L’inverse est vrai. Non seulement la mortalité globale aux États-Unis est en baisse constante depuis janvier, mais la mortalité a été beaucoup plus faible cette année que l’an dernier. Voici les statistiques hebdomadaires de mortalité pour les États-Unis des Centers for Disease Control:

Semaine Nombre de décès 2019 Nombre de décès 2020
1 58 291 59 087
2 58 351 59 151
3 58 194 57 616
4  57 837   57 000
5  58 128   56 426
6  58 492   56 962
7  57 917   55 981
8  57 858  55 494
9  57 920   54 834
10  58 490  54 157
11  57 872   52 198
12  57 087  51 602
13  56 672  52 285
14  56 595   49 292
15  55 477   47 574
TOTAL 865 181 819 659

On nous dit que 37 308 personnes sont décédées cette année de COVID-19 jusqu’au 18 avril, mais en fait 45 522 personnes de moins sont décédées cette année que l’année dernière au cours de la même période.
Le rayonnement RF et le COVID-19 provoquent une maladie similaire. Dans mon dernier bulletin d’information («Le ciel tombe-t-il vraiment?»), J’ai noté certains effets du COVID-19 qui sont similaires aux effets des ondes radio. La liste des effets en commun s’est allongée et comprend les maux de tête, les étourdissements, les nausées, les problèmes digestifs, les douleurs musculaires, la tachycardie, l’hypotension, les arythmies cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et les convulsions. Près des deux tiers des personnes testées positives pour COVID-19 ont perdu leur odorat, souvent sans aucun autre symptôme. Les patients présentent une confusion mentale, sans aucun symptôme respiratoire. Les patients présentent des diarrhées, des vomissements et des douleurs abdominales. Lorsque les patients présentant l’un de ces symptômes sont positifs pour le coronavirus, leurs maladies sont attribuées à ce virus. Mais ce sont tous des symptômes classiques du mal des ondes radio. Lorsque le virus et le rayonnement RF sont présents, la maladie doit être attribuée aux deux.

Et le rayonnement RF et le COVID-19 provoquent tous deux une hypoxie. COVID-19 nuit à l’absorption d’oxygène par le sang et le rayonnement RF nuit à l’oxygène utilisé par les cellules. COVID-19 ne serait pas aussi sévère sans le rayonnement.

Récemment, il y a un nouveau symptôme attribué au virus qui est exactement ce que l’on s’attendrait à voir des ondes millimétriques: une sensation de «pétillement» dans tout le corps. Il est décrit comme une «sensation de bourdonnement», «une sensation de brûlure» et «une sensation électrique dans la peau». Il est probablement attribué à tort au virus et est plutôt dû à la 5G.

C’est un fait que la 5G a été allumée à Wuhan, en Chine, le 1er novembre 2019, et que le premier patient COVID-19 connu y est tombé malade le 17 novembre. C’est un fait qu’il y a un laboratoire de virologie de recherche à Wuhan, et que les chercheurs ont co-rédigé un article en 2015 avec des chercheurs américains de Chapel Hill, en Caroline du Nord, décrivant un coronavirus hybride qu’ils avaient créé en attachant une protéine de pointe de chauves-souris à un coronavirus du SRAS.

Zheng-Li Shi, chercheuse principale de Wuhan, a déclaré dans une interview à Scientific American qu’elle s’inquiétait que COVID-19 soit un virus qui s’était échappé de son laboratoire, mais elle a rassuré le monde qu’elle avait vérifié et qu’il ne ressemblait pas l’un des virus qu’elle avait collectés dans les grottes de chauves-souris. Pourtant, dans la phrase suivante, elle a justifié son affirmation selon laquelle COVID-19 provenait de chauves-souris en disant qu’il était presque identique à un virus qu’elle avait collecté dans une grotte de chauves-souris dans le Yunnan. Le virus du SRAS s’est échappé des installations de confinement de haut niveau en Chine à plusieurs reprises. Comme l’a révélé le Washington Post le 14 avril 2020, les responsables de l’ambassade des États-Unis avaient averti en 2018 que les protocoles de sécurité bâclés pour la manipulation des virus contagieux dans le laboratoire de Wuhan “représentaient un risque de nouvelle pandémie de type SRAS”.

C’est aussi un fait que le marché aux animaux de Wuhan ne vend pas de chauves-souris. Une vidéo YouTube qui a été partagée sur les réseaux sociaux et qui montre que des chauves-souris sont vendues pour la viande sur un marché a en fait été filmée à Langowan, en Indonésie, et pas du tout en Chine.

En bref, la 5G fait partie de l’équation des coronavirus, et tout ce que nous avons fait pour lutter contre la pandémie a plus à voir avec la politique et la peur qu’avec la réalité. Il est temps de rouvrir la société, d’enlever nos masques et d’ouvrir nos yeux sur ce qui se passe réellement dans notre monde.


Au sujet de l’auteur

Arthur Firstenberg est un scientifique et un journaliste à l’avant-garde d’un mouvement mondial pour déboulonner les prétentions gouvernementales et industrielles concernant la soi-disant innocuité des champs électromagnétiques. (CEM) De 1978 à 1982, ce diplômé en mathématiques de l’Université Cornell a fréquenté l’Irvine School of Medicine (Université de la Californie). C’est là qu’une surdose de rayons X a anéanti sa carrière médicale. Depuis 30 ans, il est chercheur, consultant et conférencier sur les effets des CEM sur la santé et l’environnement, ainsi que praticien de plusieurs arts de la guérison. Il est l’auteur du livre The Invisible Rainbow – A History of Electricity and Life, par Arthur Firstenberg, AGP Press, 2017, 559 pages. Quiconque s’intéresse aux effets de l’électricité, y compris celle des phénomènes météorologiques, sur la biologie humaine se passionnera pour ce livre. Avec ses 135 pages de références, c’est probablement l’ouvrage grand public le plus complet mais aussi le plus original publié à ce jour sur les effets des CEM. Arthur est aussi webmestre de l’excellent site cellphonetaskforce.org




« Personne n’est mort du coronavirus ». Des révélations importantes partagées par le Dr Stoian Alexov, président de l’Association bulgare de pathologie

[Source en anglais : Off-Gardian.org]

[Auteurs :] Rosemary Frei et Patrick Corbett

Un pathologiste européen réputé rapporte que lui et ses collègues à travers l’Europe n’ont trouvé aucune preuve de décès dus au nouveau coronavirus sur ce continent.

Le Dr Stoian Alexov a qualifié l’Organisation mondiale de la santé (OMS) d ‘«organisation médicale criminelle» pour avoir créé la peur et le chaos dans le monde sans fournir la preuve objectivement vérifiable d’une pandémie.

Une autre révélation étonnante du président de l’Association bulgare de pathologie (BPA), le Dr Alexov, est qu’il pense qu’il est actuellement «impossible» de créer un vaccin contre le virus.

Il a également révélé que les pathologistes européens n’avaient identifié aucun anticorps spécifique du SRAS-CoV-2 [alias Covid-19].

Ces déclarations stupéfiantes soulèvent des questions majeures, notamment sur les affirmations des autorités et des scientifiques concernant les nombreux vaccins dont ils précipitent les essais cliniques à travers le monde.

Elles soulèvent également des doutes sur la véracité des allégations de découverte d’anticorps anti-Covid-19 (qui commencent à être utilisés pour traiter les patients).

Les anticorps spécifiques au nouveau coronavirus sont censés être à la base des kits de tests sérologiques coûteux utilisés dans de nombreux pays (dont certains se sont révélés inexacts de manière inacceptable).

Et ils sont censés être la clé des certificats d’immunité voulus par Bill Gates qui sont sur le point d’être généralisés — sous la forme du COVI-PASS — dans 15 pays, dont le Royaume-Uni, les États-Unis et le Canada.

Le Dr Alexov a fait ses observations stupéfiantes dans une interview vidéo résumant le consensus des participants lors d’un webinaire de la Société européenne de pathologie (ESP) le 8 mai 2020 sur le Covid-19.

L’interview vidéo du 13 mai du Dr Alexov a été réalisée par le Dr Stoycho Katsarov, président du Centre pour la protection des droits des citoyens à Sofia et ancien vice-ministre bulgare de la Santé. La vidéo est sur le site Web du BPA, qui met également en évidence certains des principaux points du Dr Alexov.

Nous avons demandé à personne de langue maternelle bulgare ayant une formation scientifique de traduire oralement l’interview vidéo en anglais. Nous avons ensuite transcrit sa traduction. La vidéo est ici et notre transcription en anglais est ici.

Parmi les principales bombes que le Dr Alexov a lâchées, les dirigeants du webinaire ESP du 8 mai ont déclaré qu’aucun anticorps spécifique au nouveau coronavirus n’avait été trouvé.

Le corps forme des anticorps spécifiques aux agents pathogènes qu’il rencontre. Ces anticorps spécifiques sont connus sous le nom d’anticorps monoclonaux et constituent un outil clé en pathologie. Cela se fait par immunohistochimie, ce qui implique le marquage des anticorps avec des couleurs, puis à les appliquer sur les lames de biopsie ou d’autopsie. Après avoir laissé aux anticorps le temps de se lier aux agents pathogènes pour lesquels ils sont spécifiques, les pathologistes peuvent observer les lames sous un microscope et voir les endroits spécifiques où se trouvent les anticorps colorés — et donc les agents pathogènes auxquels ils sont liés.

Par conséquent, en l’absence d’anticorps monoclonaux dirigés contre le nouveau coronavirus, les pathologistes ne peuvent pas vérifier si le SARS-CoV-2 est présent dans l’organisme ni si les maladies et les décès qui lui sont attribués ont bien été causés par le virus plutôt que par autre chose.

Il serait facile de rejeter le Dr Alexov comme un autre « théoricien du complot ». Après tout, beaucoup de gens croient qu’ils sont partout ces jours-ci, répandant une désinformation dangereuse sur le Covid-19 et d’autres problèmes.

De plus, peu de ce que le Dr Alexov prétend être le consensus du webinaire du 8 mai se trouve dans les parties publiquement visibles des débats.

Mais gardez à l’esprit que les dénonciateurs sont souvent seuls parce que la grande majorité des gens ont peur de s’exprimer publiquement.

De plus, le Dr Alexov a un dossier et une réputation irréprochables. Il est médecin depuis 30 ans. Il est président du BPA, membre du conseil consultatif de l’ESP et chef du service d’histopathologie de l’hôpital d’oncologie de Sofia, la capitale bulgare.

En plus de cela, il y a d’autres éléments qui soutiennent les propos du Dr Alexov.

Par exemple, le directeur de l’Institut de médecine légale du Centre médical universitaire de Hambourg-Eppendorf en Allemagne a déclaré lors d’entrevues dans les médias qu’il existe un manque frappant de preuves solides de la létalité du COVID-19.

« Le COVID-19 n’est une maladie mortelle que dans des cas exceptionnels, mais dans la plupart des cas, il s’agit d’une infection virale principalement inoffensive », a déclaré le Dr Klaus Püschel à un journal allemand en avril. Il a ajouté dans une autre interview :

« Dans de nombreux cas, nous avons également constaté que l’infection au coronavirus actuelle n’avait rien à voir avec l’issue fatale, car d’autres causes de décès sont présentes, par exemple, une hémorragie cérébrale ou une crise cardiaque […] [COVID-19 n’est] pas une maladie virale particulièrement dangereuse […] Toutes les spéculations sur les décès individuels qui n’ont pas été examinés de manière experte ne font qu’alimenter l’anxiété. »

De plus, l’un de nous (Rosemary) et un autre journaliste, Amory Devereux, ont documenté dans un article du 9 juin d’Off-Guardian que le nouveau coronavirus n’avait pas rempli les postulats de Koch.

Ces postulats sont des étapes scientifiques utilisées pour prouver si un virus existe et a une relation biunivoque avec une maladie spécifique. Nous avons montré qu’à ce jour, personne n’a prouvé que le SRAS-CoV-2 provoque une maladie distincte correspondant aux caractéristiques de toutes les personnes décédées officiellement du COVID-19. Le virus n’a pas non plus été isolé, reproduit puis démontré comme provoquant cette maladie spécifique.

De plus, dans un article du 27 juin sur Off-Guardian, deux autres journalistes, Torsten Engelbrecht et Konstantin Demeter, ont ajouté à la démonstration que «l’existence de l’ARN du SARS-CoV-2 est basée sur la foi, pas sur les faits».

Les deux ont également confirmé « qu’il n’y a aucune preuve scientifique que ces séquences d’ARN [réputées correspondre à celles du nouveau coronavirus] sont l’agent causal de ce qu’on appelle COVID-19 ».

Le Dr Alexov a déclaré dans l’interview du 13 mai que :

« la principale conclusion [de ceux d’entre nous qui ont participé au webinaire du 8 mai] était que les autopsies réalisées en Allemagne, en Italie, en Espagne, en France et en Suède ne montrent pas que le virus est mortel. »

Il a jouté que :

« Ce que tous les pathologistes ont dit, c’est qu’il n’y a personne qui soit mort du coronavirus. Je le répète : personne n’est mort du coronavirus. »

Le Dr Alexov a également observé que les autopsies ne prouvent pas que quiconque considéré comme infecté par le nouveau coronavirus est décédé uniquement d’une réaction inflammatoire déclenchée par le virus (se présentant comme une pneumonie interstitielle) plutôt que d’autres maladies potentiellement mortelles.

Une autre de ses révélations est que :

« Nous devons voir exactement comment la loi traitera de la vaccination et du vaccin dont nous parlons tous, car je suis certain qu’il n’est [actuellement ?] pas possible de créer un vaccin contre le COVID-19. Je ne sais pas exactement ce que Bill Gates fait avec ses laboratoires — est-ce vraiment un vaccin qu’il produit, ou autre chose? »

Comme indiqué ci-dessus, l’incapacité d’identifier des anticorps monoclonaux contre le virus suggère qu’il n’y a aucune base pour que les vaccins, les tests sérologiques et les certificats d’immunité soient déployés dans le monde entier à une vitesse et à un coût sans précédent. En fait, il n’existe aucune preuve solide que le virus existe.

Le Dr Alexov a souligné des points encore plus importants. Par exemple, il a noté que, contrairement à la grippe saisonnière, il n’a pas été prouvé que le SRAS-CoV-2 tue les jeunes :

« [Avec la grippe], nous pouvons trouver un virus qui peut faire mourir un jeune sans autre maladie […] En d’autres termes, l’infection à coronavirus est une infection qui ne mène pas à la mort. Et la grippe peut entraîner la mort. »

(Des cas graves de maladie de type Kawasaki et d’accident vasculaire cérébral ont été signalés chez des jeunes considérés comme infectés par le nouveau coronavirus. Cependant, la majorité des articles publiés sur ces cas sont très courts et ne comprennent qu’un cas ou une petite poignée de patients. En outre, les commentateurs des articles notent qu’il est impossible de déterminer le rôle du virus car les auteurs des articles ne contrôlaient pas suffisamment, voire pas du tout, les facteurs de confusion. Il est fort probable que les décès d’enfants attribués au COVID-19 soient dus en fait à une défaillance d’organes multiples résultant de la combinaison du cocktail de médicaments et de la ventilation auxquels ces enfants sont soumis.)

Le Dr Alexov a donc affirmé que :

« l’OMS crée un chaos mondial, sans aucun fait réel derrière ce qu’ils disent. »

Parmi les innombrables façons dont l’OMS crée ce chaos, c’est en interdisant presque toutes les autopsies de personnes présumées décédées à cause du COVID-19. En conséquence, a rapporté le Dr Alexov, en date du 13 mai, seules trois autopsies de ce type avaient été pratiquées en Bulgarie.

De plus, l’OMS exige que toute personne qui serait infectée par le nouveau coronavirus qui décède par la suite doive voir sa mort attribuée au COVID-19.

« C’est assez stressant pour nous, et pour moi en particulier, parce que nous avons des protocoles et des procédures que nous devons utiliser », a-t-il déclaré au Dr Katsarov. « … Et un autre pathologiste dans 100 ans va dire : « Hé, ces pathologistes ne savaient pas ce qu’ils faisaient [quand ils ont dit que la cause du décès était COVID-19]! » Nous devons donc être très stricts avec nos diagnostics, car ils pourraient être prouvés [ou réfutés], et ils pourraient être vérifiés à nouveau plus tard. »

Il a révélé que les pathologistes de plusieurs pays d’Europe, ainsi qu’en Chine, en Australie et au Canada résistent fortement aux pressions exercées sur eux pour attribuer les décès au seul COVID-19 :

« Je suis vraiment triste que nous devions suivre les instructions de [l’OMS] sans même y penser. Mais en Allemagne, en France, en Italie et en Angleterre, ils commencent à penser que nous ne devrions pas suivre l’OMS de manière aussi stricte, et [au lieu de cela] lorsque nous écrivons la cause du décès, nous devrions avoir une certaine pathologie [résultats à l’appui ] et nous devons suivre le protocole. Lorsque nous disons quelque chose, nous devons être en mesure de le prouver. »

(Il a ajouté que les autopsies auraient pu aider à confirmer ou infirmer la théorie selon laquelle de nombreuses personnes présumées mortes du COVID-19 en Italie avaient précédemment reçu le vaccin contre la grippe H1N1. Parce que, comme il l’a noté, le vaccin supprime le système immunitaire des adultes et par conséquent, il peut avoir contribué de façon importante à leur décès en les rendant beaucoup plus sensibles à l’infection.)

Les docteurs Alexov et Katsarov ont convenu qu’un autre aspect du chaos provoqué par l’OMS et de ses conséquences fatales est que de nombreuses personnes risquent de mourir bientôt de maladies telles que le cancer, car le confinement, combiné au vidage des hôpitaux (apparemment pour faire de la place pour les patients COVID-19), a interrompu toutes les procédures [médicales] et tous les traitements, sauf les plus urgents.

Ils ont également observé que ces maladies étaient exacerbées par la peur et le chaos entourant le COVID-19.

« Nous savons que le stress affaiblit considérablement le système immunitaire, je peux donc vraiment affirmer à 200% que toutes les maladies chroniques seront plus graves et plus aiguës en soi. (…)
Spécifiquement, les carcinomes in situ — plus de 50% d’entre eux — vont devenir plus invasifs. Je dirai donc que cette épidémie n’est pas tant une épidémie de virus, c’est une épidémie qui donne aux gens beaucoup de peur et de stress. »

De plus, a affirmé le Dr Alexov, comme autre résultat direct et terrible de la panique pandémique, de nombreuses personnes perdent confiance dans les médecins.

« Parce que, à mon avis, le coronavirus n’est pas si dangereux, et comment les gens vont-ils avoir confiance en moi pour la pathologie du cancer, dont une grande partie est également liée aux virus ? Mais personne n’en parle. »

Nous avons envoyé plusieurs questions au Dr Alexov, notamment en lui demandant pourquoi il pensait qu’il était impossible de créer un vaccin contre COVID-19.

Il n’a pas répondu directement aux questions. Le Dr Alexov a plutôt répondu :

Cher Patrick, merci pour votre courriel et vos informations.
J’accepte vraiment à 1000 % toutes les informations. De plus, l’OMS a déclaré que les patients du covid-19 n’ont pas besoin d’autopsie. Pourquoi ???
Avec le petit nombre d’autopsies que nous avons réalisées en Europe, c’est clairement visible. Personne n’est mort du covid-19. Nous disons plus probablement « avec » le covid-19.
Je pense fortement que l’OMS est la pire organisation médicale criminelle.
Sincères salutations,
Dr St. Alexov MD.
Chef du département d’histopathologie.

Nous avons également envoyé un courriel à cinq des collègues du Dr Alexov de la Société européenne de pathologie pour leur demander de confirmer les révélations du Dr Alexov. Nous avons fait un suivi par téléphone avec deux d’entre eux. Aucun n’a répondu.

Pourquoi le Dr Alexov ou ses cinq collègues n’ont-ils pas répondu à nos questions ?

Nous doutons que cela soit dû au manque de maîtrise de l’anglais.

Il est plus probable que ce soit en raison de la pression exercée sur les pathologistes pour suivre les directives de l’OMS et ne pas s’exprimer publiquement. (Et, en plus de cela, les services de pathologie dépendent des gouvernements pour leur financement.)

Néanmoins, des pathologistes comme les Drs. Alexov et Püschel semblent vouloir dire publiquement que personne n’est mort d’une nouvelle infection à coronavirus.

Peut-être parce que les dossiers et la réputation des pathologistes sont basés sur des preuves physiques solides plutôt que sur une interprétation subjective des tests, des signes et des symptômes. Et il n’y a aucune preuve matérielle tangible que COVID-19 est mortel.


Rosemary Frei est titulaire d'une maîtrise en biologie moléculaire de la faculté de médecine de l'Université de Calgary, a été rédactrice médicale indépendante et journaliste pendant 22 ans et est maintenant journaliste d'investigation indépendante. Vous pouvez regarder son interview du 15 juin sur The Corbett Report, lire ses autres articles sur Off-Guardian et la suivre sur Twitter.
Patrick Corbett est un écrivain, producteur, réalisateur et monteur à la retraite qui a travaillé pour tous les grands réseaux au Canada et aux États-Unis, à l'exception de Fox. Ses crédits journalistiques incluent Dateline NBC, W-5 de CTV et l’unité documentaire de CTV où il a écrit et réalisé "Children's’s Hospital", la première production canadienne à être nominée pour un Emmy international. Vous pouvez suivre Patrick sur Twitter.



Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore

[Source : Sott.net via Réseau International]

[Auteur :] Dr Joseph Mercola

Bill Gates a bâti un empire mondial autour de ses technologies et de ses entreprises « philanthropiques », dont l’ampleur est aujourd’hui de plus en plus évidente. Sa richesse absolue lui a permis de devenir une véritable superpuissance à part entière. Il est non seulement devenu le plus grand bailleur de fonds de l’Organisation mondiale de la santé et le tsar mondial non élu de la santé face au Covid-19, mais il exerce également une grande influence sur le système alimentaire mondial [et plus encore, comme nous le verrons tout au long de l’article – NdT].

Bill Gates exerce une puissante influence sur la politique alimentaire et agricole mondiale grâce au financement qu’il accorde à un grand nombre d’organisations impliquées dans le développement agricole et l’élaboration des politiques, comme le révèle le rapport d’AGRA Watch[1], « L’homme derrière le rideau — L’influence de la Fondation Gates sur le Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires », publié en août 2020 [Pdf en anglais – NdT].

Note du traducteur : Bill Gates ne peut toutefois pas véritablement être qualifié d’« homme derrière le rideau » — encore que l’on puisse le penser au vu de tout ce qui suit. Il est au contraire la figure de proue bien visible qui permet de cacher à la vue de tous les quelques individus parfaitement inconnus qui eux, sont derrière le rideau.

Par ailleurs, l’AGRA Watch a été créée pour contester la participation — ou la main-mise, peut-être ? — de la Fondation Gates au sein de l’AGRA.

Quant à l’AGRA elle-même, elle fut lancée il y a quatorze ans par les fondations Bill & Melinda Gates et Rockefeller. L’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) a pour objectif d’apporter à l’Afrique sa propre révolution verte en matière de productivité agricole, armée de semences commerciales à haut rendement, d’engrais et de pesticides. Il s’agissait pour l’AGRA de doubler la productivité et les revenus d’ici à 2020 (et nous y sommes) pour trente millions de familles de petits exploitants agricoles tout en réduisant de moitié l’insécurité alimentaire dans vingt pays.

Hélas, et selon le rapport mentionné plus bas par le Dr Mercola, il n’y a pas eu, sur les quatorze années en question, d’augmentation de la productivité, et le nombre de personnes sous-alimentées dans les treize pays cibles par l’AGRA a augmenté de 30 pour cent, et celui du Rwanda, « l’enfant affamé de l’Afrique », s’est accru lui de 15 pour cent. Il est à noter qu’aucune évaluation globale des effets de ces programmes n’a pour le moment été publiée, ni par l’AGRA elle-même, ni par la Fondation Gates — Voir la troisième note de traduction pour des données issues des recherches de Timothy Wise.

Les organisations financées par Bill Gates défendent l’envoyée de l’ONU financée par Bill Gates

Bien qu’il ne soit qu’un homme, Bill Gates finance un si grand nombre d’entreprises et d’organisations que son influence considérablement renforcée et amplifiée lui permet par leurs biais d’imposer ses choix en catimini [pour les non-initiés, à savoir presque tout le monde – NdT].

À la vue des longues listes de ces groupes, on est automatiquement amenés à penser qu’il existe de nombreux acteurs différents impliqués alors qu’en fait, Gates constitue le fil conducteur de la plupart ou de la totalité d’entre eux. Le rapport d’AGRA Watch[2] en est un parfait exemple si l’on considère l’histoire d’Agnes Kalibata.

Note du traducteur : Il est possible que les lecteurs ne connaissent pas Agnes Kalibata, en voici donc un peu plus, depuis la page Wikipedia en anglais qui lui est consacrée ; notons au passage qu’il n’est pas fait mention ne serait-ce que d’une année de naissance, et les recherches en ce sens n’ont rien donné :

Agnes Matilda Kalibata est une agronome et responsable politique rwandaise, elle a été ministre rwandaise de l’agriculture et des ressources animales de 2008 à 2014 e elle est présidente de l’Alliance pour une révolution verte en Afrique depuis 2014.

Elle est née au Rwanda et a été élevée en Ouganda en tant que réfugiée par des parents petits exploitants. Elle a obtenu une licence en entomologie et biochimie, suivie d’une maîtrise en agriculture. Elle a ensuite obtenu un doctorat en entomologie.

Elle a été louée par beaucoup pour ses réalisations lorsqu’elle était ministre, mais certains groupes de défense des droits de l’homme les ont critiqué parce que le soutien financier n’était accordé qu’aux agriculteurs qui suivaient les politiques gouvernementales de regroupement des terres.

Kalibata est membre du conseil d’administration du Centre international de développement des engrais (IDFC) depuis 2008, où elle préside le Comité Afrique et est membre de son comité exécutif et de son comité d’audit. Elle est également membre de nombreux conseils d’administration nationaux et internationaux, notamment pour l’Université du Rwanda, Africa Risk Capacity, le Conseil de l’agenda mondial du Forum économique mondial, la Commission mondiale sur l’adaptation et le Groupe d’experts de Malabo Montpellier sur l’agriculture et la sécurité alimentaire.

Agnes Kalibata est présidente de l’Alliance pour une révolution verte en Afrique, une organisation financée par la Fondation Bill & Melinda Gates. En décembre 2019, elle a été nommée envoyée spécial au Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires de 2021 par le secrétaire général de l’ONU, António Guterres.

En réponse, 176 organisations de la société civile et des groupes d’agriculteurs de 83 pays ont demandé à António Guterres de retirer la nomination de Kalibata en raison de ses conflits d’intérêts évidents avec des entreprises. Une deuxième déclaration, signée par plus de 500 universitaires et organisations, s’est également opposée à sa nomination et au fait qu’elle organise le sommet.

© Inconnu

La Fondation Gates cherche à exercer une influence non seulement en finançant des projets et en façonnant l’expertise, mais aussi en finançant les plateformes de gouvernance qui déterminent la politique alimentaire et agricole.

~ AGRA Watch

C’est un recul important, qui illustre l’inquiétude générale que suscite la nomination de Kalibata. Une douzaine de personnes représentant des banques de développement, des institutions universitaires et le secteur privé sont intervenues pour la défendre.

Elles ont exhorté António Guterres à maintenir Kalibata dans sa fonction, en citant notamment ses qualités de leader et son éthique professionnelle. Cependant, parmi ces douze défenseurs, « onze entretenaient des liens passés ou actuels avec la Fondation Gates », indique AGRA Watch, qui ajoute[3] :

Dans certains cas, les organisations ont directement été financées par la Fondation Bill & Melinda Gates, et dans d’autres, la Fondation Bill & Melinda Gates a financé des programmes spécifiques dans lesquels les signataires avaient joué un rôle. Une organisation était subventionnée par l’AGRA, elle-même financée par la Fondation Bill & Melinda Gates.

L’excessive influence de Bill Gates sur le Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires

En d’autres termes, bien qu’il puisse sembler que Kalibata ait eu le soutien d’une douzaine d’individus ou de groupes distincts et indépendants, en réalité, seules deux voix s’expriment pour sa défense. C’est juste que la voix de Gates est multipliée par onze. De plus, puisque son nom n’est jamais mentionné, les non-initiés considèrent généralement qu’il n’est en rien partie prenante.

Ces résultats illustrent l’influence de la Fondation Bill & Melinda Gates sur la politique alimentaire et agricole mondiale. AGRA Watch a continuellement documenté son rôle dans l’influence du développement agricole, qui a connu une croissance considérable ces dernières années.

La Fondation Gates cherche à exercer une influence non seulement par le financement de projets et la mise en forme de l’expertise, mais aussi par le financement des plateformes de gouvernance qui déterminent la politique alimentaire et agricole. Ce rôle de la Fondation Bill & Melinda Gates dans la prise de décisions politiques basées sur son modèle technologique de développement agricole dont elle est propriétaire est souvent négligé…

Dans ce rapport, nous avons démontré quelques-uns des liens entre la Fondation Bill & Melinda Gates et ceux qui ont soutenu la nomination de Kalibata à la tête du Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires.

Alors que des centaines d’organisations de la société civile ont demandé sa destitution, seuls douze signataires ont accepté de soutenir sa nomination, presque tous bénéficiant directement des subsides de la Fondation Bill & Melinda Gates. Cette situation soulève des questions cruciales sur le rôle de Bill Gates dans l’élaboration de l’ordre du jour du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires ainsi que sur ses résultats.

~ AGRA Watch

Le graphique suivant, inclus dans le rapport d’AGRA Watch, illustre les liens de financement directs et indirects entre la Fondation Bill & Melinda Gates et l’envoyé spécial du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires, Agnes Kalibata.

© AGRA Watch
En vert : Financements directs – En rouge : Financements indirects de la Fondation Gates à des programmes spécifiques affiliés aux signataires

La Fondation Bill & Melinda Gatesouvre la porte à Monsanto

AGRA Watch s’inquiète depuis de nombreuses années de l’influence de la Fondation Bill & Melinda Gates sur l’agro-business :

Par exemple, parmi ses nombreux rapports de recherche[4] figure le rapport 2010 intitulé « La porte tournante : Les liens Monsanto-Gates »[5], qui détaille les liens directs entre la Fondation Bill & Melinda Gates et les représentants de Monsanto que sont Rob Horsch, Florence Wambugu, Don Doering[6], feu Sam Dryden et Lawrence Kent. Un autre rapport de 2010, intitulé « Les liens de la Fondation Gates avec Monsanto et le développement des cultures transgéniques au Kenya », souligne[7] les liens entre la Fondation Gates et Monsanto :

« AGRA Watch a été créé en 2008 pour contester la participation de la Fondation Gates à la problématique de l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA), et pour soutenir les alternatives agro-écologiques durables déjà pratiquées en Afrique.

Nous avons assisté à l’accélération de la pression en faveur du génie génétique comme solution à la faim en Afrique, à la criminalisation de ses opposants en tant qu’éco-impérialistes peu enclins à accepter les avancées scientifiques, et à un respect mal placé pour le soutien philanthropique aux solutions d’entreprises vis-à-vis des problèmes alimentaires mondiaux. Les intérêts des entreprises sont clairement exposés dans le programme de l’AGRA, comme on le voit ci-dessous ».

© AGRA Watch

La Fondation Bill & Melinda Gates n’est pas là pour résoudre les réels problèmes du monde

Dans son rapport de 2014[8], « Trois exemples de problèmes avec les subventions de la Fondation Bill & Melinda Gates », AGRA Watch souligne pourquoi les investissements massifs de Gates dans la production alimentaire mondiale n’ont résolu aucun des problèmes très réels auxquels nous sommes confrontés. Avant tout, nombre des solutions qu’il soutient sont des « solutions de façade » qui aggravent en fait les problèmes à la racine.

Citons par exemple le financement du développement d’aliments génétiquement modifiés conçus pour être plus riches en certains nutriments. Le problème est que ces cultures finissent par remplacer la diversité locale par quelques variétés génétiquement modifiées qui ne tiennent même pas compte des conditions locales. Ainsi, en poussant à la création de variétés de cultures « enrichies », la biodiversité diminue et la malnutrition s’aggrave.

Par ailleurs, « une focalisation obstinée sur le rendement » est en contradiction avec les recherches qui montrent qu’un faible rendement ou une production insuffisante n’est pas la cause de la faim dans le monde. AGRA Watch fait le constat suivant :

Il existe aujourd’hui de nombreuses preuves que le problème est plutôt la pauvreté et le manque d’accès, qui sont eux-mêmes aggravés par la destruction des systèmes alimentaires locaux et la commercialisation des aliments. Les subventions de la Fondation Gates et de l’AGRA continuent à se concentrer sur le rendement, en préparant l’Afrique à un système adapté aux besoins de l’agriculteur commercial à la recherche de profits et axé sur le rendement plutôt qu’adapté au paysan ou au petit agriculteur qui produisent des cultures diverses pour une communauté locale.

Un troisième problème souligné dans le rapport AGRA Watch concerne le financement par Bill Gates des organisations de recherche et des scientifiques européens et américains plutôt qu’africains, même si les programmes sont mis en œuvre en Afrique :

Cette situation peut ne pas être le résultat d’intentions conscientes, mais d’un préjugé structurel profondément ancré qui fait que les scientifiques et les institutions scientifiques africains ne sont pas suffisamment qualifiés ou légitimes pour recevoir le financement des subventions.

© Fotokostic – Shutterstock.com
L’agriculture se développe en Afrique, les pesticides aussi

Note du traducteur : Puisqu’il n’existe à échéance 2020 aucune publication relative à l’efficacité ou pas du programme de l’AGRA dans sa globalité et que cette dernière a refusé de lui fournir les informations nécessaires à ses recherchesTimothy Wise a utilisé les données nationales de treize pays « bénéficiaires » de l’AGRA jusqu’en 2018, données portant sur la production, le rendement et la superficie récoltée pour la plupart des cultures vivrières importantes de la région, afin d’évaluer dans quelle mesure les programmes de cette révolution verte augmentent sensiblement la productivité.

L’AGRA a par ailleurs reçu près d’un milliard de dollars de contributions, dont la grande majorité provient de la Fondation Gates, mais également des contributions importantes des gouvernements donateurs, notamment des États-Unis, du Royaume-Uni, de l’Allemagne et d’autres pays. L’AGRA a versé plus de 500 millions de dollars en subventions pour promouvoir sa vision d’une agriculture africaine « modernisée », libérée de sa technologie peu développée et de ses faibles rendements.

Timothy Wise a également examiné les données sur la pauvreté et la faim afin de déterminer s’il existe des signes d’amélioration des revenus et de la sécurité alimentaire des petits exploitants agricoles dans la région, qui se situeraient à des niveaux correspondant aux objectifs de l’AGRA en matière d’amélioration du bien-être des agriculteurs.

Il n’a trouvé aucune preuve que la productivité, les revenus ou la sécurité alimentaire des petits exploitants agricoles augmentent de manière significative. Il déplore au contraire « n’avoir trouvé aucune preuve que la productivité, les revenus ou la sécurité alimentaire des petits exploitants agricoles augmentent de manière significative. » Et plus précisément, il a constaté ce qui suit :

  • Peu de preuves que l’AGRA atteignait un nombre important d’agriculteurs. Son dernier rapport d’étape indique seulement que l’AGRA a formé 5,3 millions d’agriculteurs aux pratiques modernes, dont « 1,86 million d’agriculteurs » utilisent directement ces méthodes. Ce chiffre est vague et bien loin de l’objectif déclaré de doubler directement la productivité et les revenus de 7 millions d’agriculteurs, et indirectement pour 21 millions d’autres.
  • Aucune preuve d’une augmentation significative des revenus des petits exploitants ou d’une sécurité alimentaire. Pour l’ensemble des pays cibles de l’AGRA, il y a eu une augmentation de 30 pour cent du nombre de personnes souffrant de la faim extrême depuis le début, une situation qui touche 130 millions de personnes dans les pays cibles de l’AGRA. Le Kenya, où se trouve son siège, a connu une augmentation de la proportion de ses habitants souffrant de sous-alimentation pendant les mêmes années.
  • Il n’existe aucune preuve d’une augmentation importante de la productivité. Pour l’ensemble des cultures de base, les rendements n’ont augmenté que de 18 pour cent sur douze ans dans les treize pays cibles de l’AGRA. Même le maïs, fortement encouragé par les programmes de la Révolution verte, n’a connu qu’une croissance de 29 pour cent de son rendement, bien loin de l’objectif de l’AGRA d’en doubler la productivité, ce qui représenterait une augmentation de 100 pour cent.
  • Là où l’adoption des technologies a eu lieu, les subventions aux intrants fournies par les gouvernements africains semblent avoir beaucoup plus d’influence que les programmes de l’AGRA. Il est difficile de trouver des preuves que les programmes de l’AGRA auraient un impact significatif en l’absence de subventions aussi importantes de la part des gouvernements africains.
  • Même là où la production a augmenté, comme en Zambie, la production de maïs qui a quasiment triplée n’a pas entraîné de réduction de la pauvreté ou de la faim en milieu rural. Les petits agriculteurs n’en ont pas profité ; la pauvreté et la faim sont restées incroyablement élevées, 78 pour cent des Zambiens vivant en milieu rural étant dans une pauvreté extrême.
  • Les incitations de la Révolution verte pour les cultures prioritaires comme le maïs ont conduit à l’abandon des cultures traditionnelles plus nutritives et plus résistantes au climat comme le millet et le sorgho, ce qui a érodé la sécurité alimentaire et la nutrition des agriculteurs pauvres. La production de millet a diminué de 24 pour cent, les rendements ayant chuté de 21 pour cent pendant les années de l’AGRA.
  • Aucun signe d’« intensification durable », l’objectif étant d’augmenter durablement la production sur les terres agricoles existantes. Les impacts environnementaux sont négatifs, notamment l’acidification des sols dans le cadre de la culture en monoculture avec des engrais à base de combustibles fossiles. L’augmentation de la production provient davantage des agriculteurs qui mettent de nouvelles terres en culture — par « extension » — que de l’augmentation de la productivité. Ces deux tendances ont des implications pour l’atténuation du changement climatique et l’adaptation à celui-ci.

Il s’agit donc d’un bilan d’échec pour l’AGRA — sauf à penser que l’objectif n’était pas celui-là même qui a été mis en avant — et il serait temps que les gouvernements africains qui en sont « bénéficiaires » changent de cap…

© Inconnu

La spécialité de Gates — Le philanthro-capitalisme

Des observations supplémentaires peuvent être trouvées dans l’article de l’AGRA Watch[9] « Philanthro-capitalisme : Les programmes africains de la Fondation Bill & Melinda Gates ne sont pas de la charité », publié en décembre 2017, dans lequel le philanthro-capitalisme est décrit comme « une tentative d’utiliser les processus du marché pour faire le bien », mais qui se révèle intrinsèquement problématique « parce que les marchés sont mal adaptés pour produire des résultats socialement constructifs ».

En d’autres termes, la marque de fabrique de la philanthropie de Gates engendre plusieurs nouveaux problèmes pour chacun de ceux qu’elle résout. Comme l’indique l’article, les partisans de la philanthro-capitalisation…

… attendent souvent de leurs investissements dans les programmes sociaux des retours financiers ou des bénéfices secondaires à long terme. La philanthropie devient une autre partie du moteur du profit et du contrôle des entreprises. La stratégie de développement de la Fondation Bill & Melinda Gates encourage en fait les politiques économiques néolibérales et la mondialisation des entreprises.

Il est […] probable que Bill Gates, qui a un accès régulier aux dirigeants mondiaux et qui finance personnellement des centaines d’universités, d’organisations internationales, d’ONGs et de médias, soit devenu la voix la plus influente en matière de développement international.

Un examen plus approfondi de la Fondation Bill & Melinda Gates est essentiel étant donné que son influence est vaste, voire plus grande que celle de la plupart des gouvernements donateurs. La Fondation Bill & Melinda Gates fournit plus d’aide à la santé mondiale que tout autre pays donateur et est le cinquième plus grand donateur pour l’agriculture dans les pays en développement.

En 2013, seuls onze pays ont dépensé plus que la Fondation Bill & Melinda Gates, ce qui en fait le douzième donateur mondial. La Fondation Bill & Melinda Gates est devenue un donateur plus important que des pays tels que la Belgique, le Canada, le Danemark, l’Irlande et l’Italie[10].

Le plan médical de Gates — Immunisation et surveillance mondiales

L’une des raisons pour lesquelles beaucoup prennent conscience de la puissance de Gates est sa présence fréquente en tant qu’expert du jour du Covid-19. C’est un choix étrange, compte tenu de son absence totale de formation médicale formelle. C’est d’autant plus troublant que les opinions des médecins, des scientifiques etdes chercheurs qui sont en conflit avec ses vuessont effacées de l’Internet.

Note du traducteur : Le Dr Jospeh Mercola fait lui-même l’objet d’attaques sur Internet. Voici ce qu’il écrivait le 17 août dernier :


Deux décennies de journalisme sur la santé sont en jeu

Ces vingt-trois dernières années, je me suis battu contre l’introduction de fluorure neurotoxique dans l’eau. J’ai été l’un des premiers médecins à alerter le monde sur les dangers du Vioxx, qui a tué plus de 60 000 patients avant d’être finalement retiré du marché. J’ai fait campagne contre les OGMs et les produits agrochimiques toxiques, en finançant en 2012 la première collecte de signatures pour obtenir l’étiquetage des OGMs en Californie.

Pendant plus de dix ans, j’ai financé la lutte pour mettre fin à l’utilisation des plombages dentaires au mercure dans le monde entier. J’ai mis en garde contre la sur-utilisation des antibiotiques en médecine humaine et les dangers de leur consommation dans les viandes CAFO [c’est-à-dire issues de l’élevage intensif – NdT]

J’ai financé des recherches et j’ai été l’un des premiers médecins journalistes à sensibiliser aux dangers de la carence en vitamine D. Je sensibilise maintenant le public à l’importance d’optimiser la vitamine D pour minimiser les risques du Covid-19.

Ce plaidoyer en faveur de la santé publique a créé une armée d’adversaires bien financés. Ils m’ont attaqué en utilisant des groupes de relations publiques coûteux et des médias de masse, ont saisi des agences de régulation fédérales et des groupes pharmaceutiques de façade pour tenter de me faire taire et de me discréditer.

Jamais auparavant les Américains n’ont été exposés à un tel assortiment coordonné de mensonges et de censure. Le lavage de cerveau, la surveillance des médias sociaux, la coercition et la destruction des dissidents s’accélèrent. Pour un aperçu complet de ce nouvel ordre mondial, un empire construit et dirigé par des milliardaires, voir ma série d’articles « Le fantôme dans la machine ».

Bill Gates a déclaré à plusieurs reprises que la vie ne pourrait pas revenir à la normale tant que nous n’aurons pas vacciné contre le Covid-19 l’ensemble de la population mondiale. Et ce, en dépit du fait que les scientifiques et les chercheurs médicaux ont découvert une variété de stratégies sûres, simples et peu coûteuses pour prévenir et traiter le Covid-19.

© Inconnu
Lorsque vous ou vos enfants vous faites vacciner, vous devez être certain de savoir qui injecte quoi dans votre sang et pour quelle raison.

Le fait que les opinions irrationnelles et scientifiquement non fondées de Bill Gates façonnent dans le monde entier les réponses à la pandémie alors que les vrais professionnels de la santé sont censurés par les médias grand public et les plateformes de médias sociaux constitue la preuve que nous ne fonctionnons plus sur une base scientifique et de vérité médicale.

Au lieu de cela, le monde entier devrait s’aligner sur le programme créé par Bill Gates qui sert ses propres intérêts et ceux de ses nombreux alliés dans le domaine de la technologie et de la médecine. Dans un article publié dans GatesNotes[11-12] le 30 avril 2020, Gates déclare même qu’il « soupçonne que le vaccin Covid-19 fera partie du calendrier de vaccination systématique des nouveaux-nés » — un joli petit morceau de programmation prédictive, si vous voulez mon avis.

Note du traducteur : Pour appuyer les propos du Dr Mercola, voici ce que Bill-Gates-le-psychopathe-de-service-aux-ordres-du-consortium-en-haut-de-la-pyramide explique aussi dans cet article :

La plupart des gens s’accordent à dire que les professionnels de la santé devraient d’abord se faire vacciner. Mais qui le reçoit ensuite ? Les personnes âgées ? Les enseignants ? Les travailleurs occupant des emplois essentiels ?

Je pense que les pays à faible revenu devraient être parmi les premiers à le recevoir, car les gens risquent beaucoup plus de mourir dans ces pays. Le Covid-19 se répandra beaucoup plus rapidement dans les pays pauvres, car des mesures comme l’éloignement physique sont plus difficiles à mettre en œuvre. Un plus grand nombre de personnes ont un mauvais état de santé sous-jacent qui les rend plus vulnérables aux complications, et la faiblesse des systèmes de santé fera qu’il leur sera plus difficile de recevoir les soins dont ils ont besoin. La mise en circulation du vaccin dans les pays à faible revenu pourrait sauver des millions de vies. La bonne nouvelle, c’est que nous disposons déjà d’une organisation spécialisée dans ce domaine, la Vaccine Alliance (Gavi).

Il s’agit donc d’attaquer les plus faibles d’abord, sous couvert d’humanisme et de bonnes intentions, on s’occupera des autres ensuite ; d’ici là, des lois d’obligation vaccinale auront peut-être eu le temps de voir le jour un peu partout. Peut-être…

Les vaccins à ARNm développés contre le Covid-19 modifieront votre expression génétique, transformant votre corps en une usine à protéines virales. Est-il vraiment judicieux d’envisager l’utilisation d’un tel nouveau vaccin sur les nouveau-nés ? Dans un monde sain et rationnel, la réponse serait un non catégorique. Malheureusement, nous vivons aujourd’hui dans un monde dirigé par les hommes de main de Gates [lui-même sacrifiable s’il est besoin par le même consortium qui a permis qu’il soit là où il est à dessein – NdT], et la raison et la logique ont donc largement disparues de l’équation.

Dans une dialectique hégélienne prévisible de type problème-réaction-solution, le problème du Covid-19 a conduit à des stratégies anti-pandémiques illogiques et mal conçues telles que l’obligation de porter un masque et l’assignation à résidence de personnes en bonne santé, suivies de la « solution ultime » offerte par un vaccin élaboré à la hâte qui repose sur l’usage d’une nouvelle technologie d’ARNm.

Aussi radical que tout cela puisse paraître, les projets de Gates pour le monde ne s’arrêtent pas là. Il fait également pression pour la mise en place d’un vaste système de surveillance mondial permettant de suivre et de retracer le statut de chacun en matière infectieuse et vaccinale. Il finance même, avec George Soros, le groupe de recherche des contacts Partners in Health. (La Fondation William J. Clinton a également financé Partners in Health dans le passé[13]).

Il n’est pas surprenant que les recommandations de Bill Gates finissent par lui profiter avant tout. Comme nous l’avons vu dans « Bill Gates — Le philanthrope le plus dangereux de l’histoire moderne », la Fondation Bill & Melinda Gates fait des dons de plusieurs milliards de dollars aux mêmes entreprises et industries que celles dans lesquelles la Fondation détient des actions et des obligations.

Utiliser l’argent des associations à but non lucratif pour faire avancer la recherche au sein des entreprises dans lesquelles vous investissez est illégal, mais Bill Gates continue depuis de nombreuses années à ne rendre aucun compte à la justice. Sa fondation bénéficie parallèlement d’avantages fiscaux au titre des donations qu’elle reçoit.

N’oubliez pas qu’au fil des ans il a « donné » des dizaines de milliards de dollars et pourtant la valeur nette de sa fondation n’a pas diminué — elle a même doublé, et cela est dû en grande partie au fait que ses dons sont traités comme des investissements fiscalement déductibles. C’est du philanthro-capitalisme dans sa plus grande expression.

Note du traducteur : Le journaliste Lionel Astruc a enquêté sur la fondation de l’ex-patron de Microsoft, Bill Gates, l’un des hommes les plus riches de la planète. Avec un budget annuel de près de 5 milliards de dollars, et sous prétexte de lutter contre les inégalités, la Fondation Gates nourrirait un système destructeur.

Entretien.

Bill Gates est celui qui bénéficie le plus d’une peur propagée de pandémie

À ce jour, la pandémie de Covid-19 est indéniablement le plus grand projet philanthro-capitaliste de Bill Gates, et il s’apprête à engranger d’énormes sommes d’argent, puisqu’il finance et investit à la fois dans les traitements et dans les vaccins contre le Covid-19.

© Inconnu

En mars 2020, la Fondation Gates a annoncé[14] un nouveau partenariat, baptisé « The Covid-19 Therapeutics Accelerator », avec Wellcome et Mastercard pour « coordonner les efforts de recherche et développement, et éliminer les obstacles au développement des médicaments [et intensifier les traitements pour faire face à la pandémie » — Voir le site en anglais ici – NdT] ». Selon le communiqué de presse[15] :

L’accélérateur thérapeutique Covid-19 jouera un rôle de catalyseur en accélérant et en évaluant des médicaments et des produits biologiques nouveaux et reconvertis pour traiter à court terme les patients atteints du Covid-19, puis d’autres agents pathogènes viraux à plus long terme.

La Fondation Gates s’est également associée au Serum Institute of India pour fabriquer 100 millions de doses de vaccins contre le Covid-19 développés par AstraZeneca et Novavax. Les vaccins, qui coûteront moins de 3 dollars par dose, sont destinés à être livrés aux pays à faible revenu[16-17].

Le financement est acheminé sous la forme d’un prêt sans intérêt et remboursable à Gavi, la Vaccine Alliance, fondée par la Fondation Gates en 2000, qui fournira ensuite le capital nécessaire au Serum Institute of India. Au cours des cinq prochaines années, la Fondation s’est également engagée à fournir à Gavi un total de 1,6 milliard de dollars de fonds supplémentaires[18].

Note du traducteur : Le Wellcome Trust est une fondation caritative fondée en 1936 dédiée à la médecine dont le siège est en Grande-Bretagne, dont la mission générale consiste à « encourager et promouvoir la recherche dans le but d’améliorer la santé de l’homme et des animaux », et qui finance la recherche biomédicale à hauteur d’une moyenne de 725 millions d’euros par an. Au 30 septembre 2007, ses actifs nets se montaient à 16,8 milliards d’euros. Au 30 septembre 2018sa dotation s’élevaient à près de 29 milliards d’euros. En termes d’avoirs, il s’agit de la seconde fondation la plus riche après la Fondation Bill & Melinda Gates.

Cette influence générale sur la technologie, l’alimentation et la médecine — et sur les vaccins en particulier — ne décrit pourtant pas de manière adéquate l’emprise de Bill Gates sur notre vie quotidienne. Il a également eu une profonde influence sur l’éducation. Le très critiqué programme Common Core [Tronc commun, fondé en 2009 – NdT] fut une tentative de la Fondation Gates de redéfinir l’éducation américaine[19] et la plupart des parents vous diront à quel point cette tentative était stupide[20].

Note du traducteur : Selon un article de Forbes de mai 2020,

Bill Gates n’a pas inventé ce Tronc commun, mais comme l’a expliqué Lyndsey Layton en 2014, il a fourni le soutien financier, l’organisation et l’influence nécessaire pour les faire entrer rapidement dans tous les États de la nation. Il est difficile de savoir exactement combien d’argent Bill Gates a dépensé pour soutenir son projet de Tronc commun, le nombre de groupes et le nombre des chèques émis étant stupéfiants. Mais les dépenses de Bill Gates en matière d’éducation aux États-Unis se chiffrent en milliards de dollars et ont directement influencé la façon dont ont été dépensés des milliards de milliards de dollars du contribuable. Et si certains continuent à affirmer que ce projet de Tronc commun fut un succès, il est pour le moins difficile de conclure à un consensus général. Ce que le Tronc commun de Bill Gates a cependant réussi, c’est d’aider à faire accepter dans le système scolaire américain les deux aspects majeurs qui définissent Bill Gates — mettre l’accent sur la collecte des données, et définir qu’une moins bonne réussite scolaire s’assimile à « de bons résultats à un test de mathématiques et de lecture ».

Malgré cet échec lamentable, le 6 mai 2020, le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, annonçait que l’État s’associait à la Fondation Bill & Melinda Gates pour développer « un système d’éducation plus intelligent » pour le monde post-Covid, système qui se concentrera sur l’apprentissage en ligne et intégrera de façon permanente la technologie dans tous les aspects de la vie civique[21].

L’État de New York s’est également associé à Google, et Cuomo a demandé à son ancien PDG, Eric Schmidt, de diriger un nouveau panel chargé de planifier l’infrastructure technologique de l’État[22]. Comme l’a noté Naomi Klein dans son article publié dans The Intercept[23], l’appareil de surveillance contre lequel les consommateurs se sont insurgés est maintenant rebaptisé en réponse aux préoccupations de chacun en matière de santé.

Note du traducteur : dans son article, Naomi Klein écrit aussi ceci :

C’est un avenir dans lequel nos maisons ne seront plus jamais exclusivement des espaces personnels mais aussi, grâce à la connectivité numérique à haut débit, nos écoles, nos cabinets médicaux, nos gymnases et, si l’État le détermine, nos prisons.

Bill Gates est la figure de proue la plus visible de la technocratie moderne

Qu’elle soit planifiée ou pas, la pandémie de Covid-19 est de toute évidence utilisée pour introduire des changements très controversés qui sont indubitablement totalitaires, y compris la prise de contrôle du gouvernement par le secteur privé dans le cadre de partenariats public-privé.

La surveillance est devenue la plus grande industrie à but lucratif de la planète, et toute votre existence est désormais la cible des profits. Et parmi ceux qui sont le plus susceptibles d’engranger d’énormes profits, on trouve Bill Gates lui-même.

Pour mieux comprendre ce à quoi vous renoncez en suivant le discours dominant selon lequel nous avons besoin de Big-Technologie pour être sauvés, voir mon article à propos de la psychologue sociale et professeure à Harvard, Shoshana Zuboff, et son livre extraordinaire, L’Âge du capitalisme de surveillance.

Vous ne voudrez pas non plus manquer mon récent entretien avec Patrick Wood, présenté dans « Les plus impérieux dangers de la technocratie ». J’ai intégré cette interview ci-dessous pour vous faciliter la tâche.

Note du traducteur : Pour les lecteurs qui souhaitent visionner cette vidéo en anglais, suivez ce lien. Pour accéder à la transcription de l’interview en anglais, suivez ce lien. Sinon voici quelques paragraphes concernant les grandes lignes de son contenu :

  • La technocratie est un système économique qui a vu le jour dans les années 1930, au plus fort de la Grande Dépression, lorsque des scientifiques et des ingénieurs se sont réunis pour résoudre les problèmes économiques de la nation [les États-Unis – NdT]. Depuis lors, les technocrates ont silencieusement et sans relâche progressé, et leur programme devient de plus en plus visible.
  • Les technocrates ont inventé un nouveau système économique à partir de zéro — un système économique basé sur les ressources dans lequel l’énergie et l’ingénierie sociale dirigent l’économie plutôt que des mécanismes de prix tels que l’offre et la demande.
  • La technocratie appelle au démantèlement total du système politique, qui inclut la Constitution américaine. Les nations doivent être dirigées par des dirigeants non élus qui décident des ressources que les entreprises peuvent utiliser et des produits que les consommateurs sont finalement autorisés à acheter.
  • La Commission trilatérale est un groupe technocratique clé qui a dominé le système politique américain depuis Jimmy Carter.
  • La seule raison pour laquelle la technocratie n’a pas encore réussi à supplanter les États-Unis — bien qu’elle s’en rapproche de façon incroyable — c’est à cause de notre Constitution [ou grâce à elle, selon le point de vue – NdT]. C’est pourquoi nous devons nous battre pour protéger notre Constitution à tout prix. L’un des moyens les plus efficaces pour y parvenir est de créer des mouvements de base et de s’impliquer dans la politique locale.

Patrick Wood est un économiste, analyste financier et constitutionnaliste américain qui a consacré sa vie à découvrir le mystère de ce qui contrôle la plupart des folies que nous observons actuellement, et qui a été exacerbé par la pandémie de Covid-19.

Il a écrit deux livres sur ce sujet : Technocracy Rising: The Trojan Horse of Global Transformation et Technocracy: The Hard Road to World Order [« La montée de la technocratie — Le cheval de Troie de la transformation globale » et « Technocratie — La dure route vers l’ordre mondial », ouvrages non traduits en français – Ndt].

Patrick Wood brosse un tableau qui peut être difficile à avaler, surtout si vous venez d’entendre tout cela pour la première fois, mais il est vraiment crucial que tout le monde commence à comprendre ce à quoi nous sommes confrontés. Le temps nous est compté. Pour avoir une chance de l’arrêter, nous devons comprendre notre trajectoire et nous unir pour changer le cap que Bill Gates et d’autres comme lui nous ont tracé.

Sources et références

Source de l’article initialement publié en anglais le 21 août 2020 : Mercola
Traduction: Sott.net

Commentaire : Voici une liste d’articles sur Bill Gates en particulier et sur le Covid-19 en général

Bill Gates


Covid-19

[Voir aussi : Bill Gates sur Nouveau Monde]




5G, virus et covid-19

Extraits significatifs du Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs

5G et coronavirus

Le rayonnement électromagnétique 5G endommage l’ADN cellulaire humain.

Les cellules exposées (de toutes sortes ciblées dans l’organisme humain) réagissent en produisant une cascade de substances immunologiques protectrices.

Ces substances sont conditionnées dans une structure intracellulaire appelée endosome.

L’endosome est expulsé de la cellule, devenant ainsi un exosome (Prix Nobel de médecine 2013).

L’exosome circule et se lie aux récepteurs ACE2 du poumon, de l’intestin et du cœur.

Les substances chimiques immunologiques contenues dans l’exosome pénètrent l’ACE2.

L’enzyme de conversion de l’angiotensine 2, ou ACE2 est une enzyme liée à la face externe des membranes plasmiques de cellules du poumon, des artères, du cœur, du rein et de l’appareil digestif. Elle joue un rôle important dans le système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA) qui régule l’homéostasie hydrosodée et la pression artérielle.

L’ACE2 est réputé être le point d’entrée dans les cellules humaines de certains coronavirus, dont le coronavirus humain NL63, le SARS-CoV13 (coronavirus à l’origine du SRAS) et le SARS-CoV-2 (à l’origine de la COVID-19).

Par ailleurs, il est à noter que le calendrier des déploiements de la 5G semble coïncider avec les cartes d’apparition du coronavirus et avec les endroits où l’incidence du nouveau coronavirus est la plus élevée, ce qui a d’ailleurs provoqué dans certains pays des réactions populaires visant à détruire ou incendier de nombreux pylônes d’antennes-relais (Royaume-Uni, Hong-Kong).

A cet égard, YouTube a retiré toutes les vidéos associant la 5G à la propagation du coronavirus, depuis le début du mois de février.

Reste qu’il y aurait une corrélation, à vérifier une fois disponibles les nouvelles cartes relevant les installations effectuées durant le confinement selon les lois d’urgence, entre le déploiement massif de la 5 G et le berceau de la propagation.

Effectivement, l’épidémie a débuté en Chine, qui est le promoteur de la 5G (10.000 antennes sur Wu-Han, zone de démonstration officielle de 5G, fin 2019), et l’Italie n’était pas loin derrière dans cette course au déploiement, les grandes villes italiennes étant déjà entièrement équipées en 5G à la fin 2019. La Lombardie (Milan) a été une des premières régions italiennes équipées de 5G et la région la plus touchée par le Covid-19 : ainsi que titraient les journaux italiens fin 2017,

«Milan se rêve en capitale européenne de la 5G », Vodafone Italia ayant lancé un plan de 90 millions d’euros pour couvrir 100% de la capitale économique italienne en 2019.

Comparaison des cartes de déploiement de la 5G et des malades hospitalisés en France (la différence entre le nombre d’hospitalisation et le nombre de décès résultant par ailleurs d’une différence dans les traitements appliqués, par exemple entre Marseille – Professeur Raoult – et le Grand-Est).

Il y avait, officiellement et avant le confinement du 17 mars 2020, 450 antennes-relais de 5G installées en France, notamment dans les villes de Marseille (95), en région Parisienne (85), Montpellier (53), Lyon (22), Toulouse (22) et Bordeaux (22).


LES PATHOLOGIES LIEES AUX CHAMPS ELECTRO-MAGNETIQUES

Tout d’abord, il convient de souligner que :

−les cas graves de COVID-19 sont liés à un phénomène de thrombose, ainsi qu’en ont alerté plusieurs médecins de terrain, nous le savons maintenant ;

−cette thrombose résulte d’un choc cytokinique, qui est un processus d’inflammation, donc un problème immunitaire :

−effectivement : la thrombose veineuse (DVT) est une cause majeure de morbidité et de mortalité. Alors que la thrombose veineuse a longtemps été considérée comme un désordre lié à la coagulation du sang, plusieurs démontrent que le système immunitaire et un processus d’inflammation sont à l’origine de la thrombose (« Deep vein thrombosis (DVT) is a major origin of morbidity and mortality. While DVT has long been considered as blood coagulation disorder, several recent lines of evidence demonstrate that immune cells and inflammatory processes are involved in DVT initiation. » Immune factors in deep vein thrombosis initiation) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6065414/

Ceci étant posé, voyons ce qu’il en est des pathologies spécifiquement liées à l’exposition à des champs électromagnétiques, en cause dans la forte présomption d’un lien entre les malades hospitalisés pour le COVID-19 et un déploiement des installations de 5G :

Nous allons pour cela nous référer à une Bibliographie sur les phénomènes biologiques rapportés (« effets ») et les manifestations cliniques attribuées aux ondes électromagnétiques. Institut de recherche médicale navale MF12.54.015-0048, rapport n°2n révisé. 106 pp. [NOTE : ce document a été réduit à 25 pages afin que nous puissions le publier ici et ne contient pas toutes les 2311 références.]

«Plus de 2000 références sur les réponses biologiques aux ondes électromagnétiques et aux micro-ondes, publiées jusqu’en juin 1971, sont incluses dans la bibliographie. Une attention particulière a été accordée aux effets sur l’homme des rayonnements non ionisants à ces fréquences. […]

Note : Ce document n’est pas classifié.

SIGNIFICATION

La valeur du document de Glaser de 1972 est de contrer les affirmations selon lesquelles aucune recherche « crédible » n’existerait qui mettrait en évidence des effets non thermiques. Il s’agit d’une déclaration inexacte promue par ceux qui ne connaissent pas les publications ou qui ne veulent pas admettre que ces ondes, aux niveaux d’exposition actuels, peuvent être nuisibles. Des recherches crédibles existent depuis des décennies, largement ignorées par les responsables de santé publique et les professionnels de santé.

COMMENTAIRES

C’est l’une des premières compilations à grande échelle de la littérature sur les effets biologiques des ondes électromagnétiques, apparue pour la première fois en 1971. L’auteur a classé les effets biologiques en 17 catégories (voir ci-dessous).

A. Effet thermique sur les organes

Cela comprend l’augmentation de la température de tout le corps ou d’une partie du corps comme la peau, l’os et la moelle osseuse, la lentille de l’œil avec des cataractes et des dommages à la cornée; aux organes génitaux provoquant une dégénérescence tubulaire des testicules; au cerveau et aux sinus; aux implants métalliques provoquant des brûlures près des broches de hanche, etc. Ces effets sont réversibles sauf les dommages causés à l’œil.

B. Changements dans la fonction physiologique

Ceci inclut la contraction des muscles striés; la modification du diamètre des vaisseaux sanguins (augmentation de l’élasticité vasculaire), leur dilatation; des modifications des processus oxydatifs dans les tissus et les organes; l’élargissement du foie; la sensibilité aux médicaments; la diminution de la spermatogenèse conduisant à une diminution de la fertilité et à la stérilité; l’augmentation du nombre des naissances de filles par rapport à celui des garçons; une altération de l’activité menstruelle; une altération de l’évolution du fœtus; une réduction de la lactation chez les mères allaitantes; une réduction de la diurèse entraînant une excrétion de sodium par voie urinaire; une altération de la fonction rénale; des changements dans les réflexes conditionnés; la diminution de la résistance électrique de la peau; des changements dans la structure des récepteurs de la peau; une altération du flux sanguin; une modification des courants dans le cortex cérébral chez les animaux; des changements dans le taux d’élimination des ions marqués des tissus; changements structurels réversibles dans le cortex cérébral et le diencéphale; changements dans les électrocardiographes; sensibilité altérée aux stimuli lumineux, sonores et olfactifs; changements fonctionnels et pathologiques des yeux; nécrose myocardique; hémorragie des poumons, du foie, de l’intestin et du cerveau et dégénérescence généralisée du tissu corporel à des niveaux de rayonnement mortels; perte de parties anatomiques; décès; déshydratation; taux de calcification tissulaire altéré.

C. 100 effets sur le système nerveux central

Cela comprend maux de tête; insomnie; agitation (journée et sommeil); changements dans l’activité des ondes cérébrales (EEG); troubles du nerf crânien; lésions pyramidales; troubles des réflexes conditionnés; action vagomimétique et sympathomimétique du cœur; attaques et convulsions.

D. Effets sur le système nerveux autonome

Rythme cardiaque altéré; fatigue, altérations structurelles dans les synapses du nerf vague; stimulation du système nerveux parasympathique conduisant à la bradycardie et à l’inhibition du système nerveux sympathique.

E. 500 effets sur le système nerveux périphérique

Effets sur les nerfs locomoteurs.

F. Troubles psychologiques

Les symptômes comprennent neurasthénie (malaise général); dépression; impuissance; anxiété; manque de concentration; hypocondrie; vertiges; hallucinations; somnolence ou insomnie; irritabilité; diminution de l’appétit; perte de mémoire; sensations du cuir chevelu; fatigue; douleurs thoraciques, tremblements.

G. Changements de comportements chez les animaux

Les effets incluent des changements dans les comportements de réflexion, d’action, d’évitement et de discrimination.

H. Troubles du sang

Les effets incluent des modifications du sang et de la moelle osseuse; fonctions phagocytaires et bactéricides accrues; taux d’hémolyse accru (durée de vie plus courte des cellules); taux de sédimentation sanguine accru; diminution des érythrocytes; augmentation des concentrations de glucose dans le sang; teneur en histamine sanguine altérée; changements dans les lipides et le cholestérol; modifications des anticorps et de la concentration totale en protéines; changements du nombre d’éosinophiles; diminution du taux d’albumine/globuline ; Hémopoïèse altérée (taux de formation de globules sanguins); leucopénie (augmentation du nombre de globules blancs et leucocytose, réticulocytose (augmentation des globules rouges immatures).

I. Troubles vasculaires

Cela inclut la thrombose et l’hypertension.

J. Modifications enzymatiques et biochimiques (in vitro)

Changements dans l’activité de la cholinestérase (également in vivo), de la phosphatase, des transaminases; des amylases, des carboxydismutases; dénaturation des protéines; inactivation des champignons, des virus et des bactéries; mort de tissus en culture; taux de division cellulaire altéré; augmentation de la concentration d’ARN dans les lymphocytes et diminution de la concentration d’ARN dans le cerveau, le foie et la rate; changements dans les excrétions d’acide pyruvique, d’acide lactique et de créatinine; changements de concentration de glycogène dans le foie (hyperglycémie); concentrations aItéréesde17-cétostéroïdes dans les urines.

K. Troubles métaboliques

Les effets incluent la glycosurie (sucre dans l’urine); l’augmentation des phénols urinaires; le traitement modifié des enzymes métaboliques; métabolisme modifié des glucides

L. Troubles gastro-intestinaux

Les effets incluent l’anorexie; trouble épigastrique; constipation; sécrétion altérée des sucs gastriques.

M. Modifications des glandes endocrines

Les effets comprennent la modification du fonctionnement de la glande pituitaire, de la glande thyroïde (hyperthyroïdisme et hypertrophie de la thyroïde, augmentation de l’absorption de l’iode radioactif) et de l’adrénaline; diminution des corticostéroïdes dans le sang; diminution de l’activité glucocorticoïde; hypogonadisme (avec diminution de la production de testostérone).

N. Modifications histologiques

Changements dans l’épithélium tubulaire des testicules et changements de volume.

O. Modifications génétiques et chromosomiques

Les effets incluent les aberrations chromosomiques (raccourcissement, pseudos-chiasme, structures diploïdes, divisions amitotiques, pontage, ¨’adhérence’, irrégularités dans l’enveloppe chromosomique); mutations; mongolisme; altérations somatiques (ne comportant pas de noyau ou de chromosome); maladies néoplasiques (tumeurs).

P. Alignement en chaînes de perles

Cela se réfère à l’orientation intracellulaire des particules subcellulaires et à l’orientation des particules cellulaires et autres (particules non biologiques, par exemple magnétiques) affectant l’orientation des animaux, des oiseaux et des poissons dans les champs électromagnétiques.

Q. Effets divers

Ceux-ci comprennent étincelles entre les obturations dentaires; goût métallique dans la bouche; changements dans l’activité optique des solutions colloïdales; dans le traitement de la syphilis, de la poliomyélite, des maladies de la peau; perte et fragilité des cheveux; sensations de bourdonnement, vibrations, pulsations et chatouilles sur la tête et les oreilles; transpiration abondante, salivation et protrusion (avancée) de la langue; modifications dans le fonctionnement des stimulateurs cardiaques implantés; changements dans les rythmes circadiens.

5 juillet 2010. Glaser, Z.R. 1972.

Sources :

http://www.magdahavas.com/pick-of-the-week-1-more-than-2000-documents-prior-to-1972-on-bioeffects-of-radio-frequency-radiation/
http://www.cielvoile.fr/2017/10/effets-biologiques-des-ondes-electromagnetiques-plus-de-2000- publications-avant-1972.html


UNE OPERATION D’ENFUMAGE ?

ARMES ELECTROMAGNETIQUES POUR UNE GUERRE SILENCIEUSE

De ce qui précède, on peut raisonnablement retenir une légitime impression de défiance en certaines institutions, présidées par des personnalités que la corruption semble guider bien davantage que des considérations de bien public.

Mais d’autres voix s’élèvent au surplus pour contester l’existence même du COVID-19, qui serait

«un assemblage de symptômes relevant de pathologies variées regroupées artificiellement sous ce vocable (interview London Real).

Pour rappel, le test RT PCR (reverse transcription Polymerase Chain Reaction ) bien qu’utilisé à cette fin, ne viserait pas à déceler la présence de génome viral de la maladie à COVID-19, mais seulement du « matériel génétique » pouvant avoir des origines différentes.

Malgré cela, les personnes testées seraient diagnostiquées être infectées par le COVID-19 et leur décès éventuel est alors attribué au COVID-19. En outre, le cycle d’amplification utilisé (la sensibilité du test), dans différents pays, dicte le nombre de tests positifs obtenus.

Il devient ainsi très facile de manipuler les chiffres.

A l’origine, ce test (inventé en 1984 par un biochimiste US) a été développé pour diagnostiquer plusieurs choses, par exemple pour tenter de diagnostiquer le cancer du poumon. Son inventeur indique que « ce test ne devrait pas être utilisé pour diagnostiquer des maladies infectieuses ».

Le postulat de Koch, en vigueur depuis 1890, est un protocole permettant de prouver qu’un agent infectieux est bien la cause de ce que l’on prétend avoir détecté. Il comporte quatre volets.

En ce qui concerne le COVID-19, pas un seul des quatre postulats le composant, n’a été utilisé ni respecté.

Nous avons vu plus haut que, quand une cellule est empoisonnée, elle secrète des exosomes (ce qui fait partie du système immunitaire).

Elle peut-être empoisonnée par une maladie, une infection, des champs électromagnétiques, le stress ou la peur.

Ces exosomes avertissent les autres cellules qu’il y a un problème. Dès qu’une cellule est empoisonnée, des exosomes sont libérés.

Dans ce contexte, le Dr Andrew (Andy) Kaufmann a pris au microscope des photos d’exosomes, et les a comparées avec des photos de ce que l’on prétend être le COVID-19.

Ces deux photos étaient exactement les mêmes.

Vous pouvez voir ici une interview du Dr Andy Kaufman, ancien du M.I.T (Massachussetts Institute of Technology) qui contredit la thèse officielle : 

Il a ensuite examiné la composition génétique des exosomes, et celle revendiquée pour le COVID-19 et il s’avèrerait que ces deux compositions sont exactement les mêmes en tous points. Ils se fixent d’ailleurs l’un comme l’autre sur les mêmes récepteurs cellulaires.

Il s’agirait de la même chose.

Ainsi il s’agirait d’un mécanisme naturel de réponse du système immunitaire du corps humain qu’on a rebaptisé « COVID-19 ». Or toute personne présentant un niveau quelconque de toxicité cellulaire va produire ces exosomes et ainsi le potentiel de tests positifs au COVID-19 est infini.

« Des personnes tombent malades en Chine. L’OMS alerte alors sur une pandémie.

Compte-tenu des informations communiquées, toute personne présentant des symptômes grippaux ou pulmonaires est présumée infectée au COVID-19. Mais ce n’est pas suffisamment probant.

Alors, il est décidé que toute personne malade qui se rendra à l’hôpital (pour une grippe ou un cancer) soit testée au COVID-19 et elle sera évidemment diagnostiquée positive puisqu’elle présente des exosomes.

Si ces personnes décèdent, elles sont officiellement diagnostiquées comme étant morts du COVID-19.

Ainsi, les chiffres montent. »

Le nombre total de décès dans le monde n’aurait pas changé, mais on est en train de les reclasser comme « COVID-19 ».

Pourtant, ces gens ne meurent pas du COVID-19, mais après avoir été testés positifs au COVID-19 (par exemple pour un cancer en phase terminale), ce qui est différent.

Selon les chiffres officiels de l’institution médicale italienne, 99% des personnes dites décédées du « COVID-19 » en Italie souffraient d’un ou plusieurs problèmes de santé pour lesquels ils avaient été hospitalisés. Alors, il est très facile de mettre sur le compte du COVID-19 des personnes qui meurent pour toute autre chose.

Ainsi on remarquera qu’à la même époque, le nombre total des décès n’a pas augmenté par rapport à l’an dernier, mais ce chiffre total englobe les présumés morts par COVID-19 qui sont majoritaires. Cela signifie qu’il n’y a pas plus de gens qui meurent, mais que leur décès est attribué au COVID-19 alors qu’ils sont morts d’autre chose.

Observons ce qui se passe en Lombardie, centre de l’épidémie italienne, qui fait l’objet d’une telle attention avec le reste de l’Europe, morte de peur : la Lombardie, où se trouve Milan, est connue dans le monde entier pour son air pollué et toxique, tout comme Wu-Han en Chine.

La Lombardie enregistre un nombre de décès beaucoup plus élevé que dans le reste de l’Italie, notamment en raison de problèmes pulmonaires. Habituellement, un peu moins de 100.000 personnes y meurent chaque année.

Latium, qui est une autre région italienne, arrive en seconde position avec presque moitié moins de décès : 57.000.

Voici donc une région d’Italie où beaucoup de gens meurent, essentiellement de maladies pulmonaires et vous avez donc un formidable potentiel pour effectuer un diagnostic consistant à faire croire que les gens y meurent du COVID-19, alors qu’ils meurent d’autre chose.

Et ainsi, vous contrôlez les chiffres. En testant et en diagnostiquant d’une certaine manière, les chiffres augmentent. Et puis en jouant sur la sensibilité du test, les chiffres diminuent et peuvent s’effondrer de la même manière.

L’intention est d’attribuer le maximum de décès au COVID-19, parce que cela donne du crédit à cette pandémie. C’est pour une raison très importante et très simple. Et elle est liée à la raison pour laquelle il y a une règle de confinement.

Ce qui se passe également, c’est que les personnes âgées hospitalisées pour quelque raison que ce soit, sont tout d’abord testées pour le COVID-19. Beaucoup d’entre elles, pour les raison précitées, vont être testées positives. Il est question, selon les proches et les familles, ainsi que selon les personnels soignants sur le terrain, de nouvelles directives gouvernementales consistant à faire signer en Angleterre une décharge à ces personnes âgées – que le confinement devait protéger.

En France il y a une directive gouvernementale qui va dans le même sens :

Article de Libération sur la consigne gouvernementale du 19 mars 2020 de ne plus accepter de personnes de plus de 75 ans « fragile » dans les hôpitaux, qui condamne à mort nos anciens dans les EHPAD, alors que dans le même temps ce même gouvernement interdit d’appliquer le protocole du professeur Raoult dans les EHPAD et qu’il autorise par un Décret l’administration d’un très fort médicament pour endormir les personnes âgées (médicament justement contre-indiqué pour les affections pulmonaires). On interdit un traitement mais on autorise celui qui va donner la mort.

Ce qui signifie qu’on les laissera mourir et qu’aucune réanimation ne sera tentée. Et quand ils mourront, sans avoir été réanimés, ils feront partie des pertes dues au COVID-19. « Nous allons sans doute devoir faire des choix, pour décider qui nous allons traiter en priorité, et en ce qui concerne les personnes âgées, nous allons devoir faire des choix plus difficiles » – On va tuer ou laisser mourir ces personnes âgées à qui on demande de signer des formulaires de non- réanimation, ou qui sont visées par des directives gouvernementales de ne plus les accepter dans les hôpitaux, de ne pas leur appliquer un traitement pouvant les guérir, mais pour lesquelles on autorise une injection réputée létale.

Certains dirigeants semblent donc disposer et abuser de ces personnes âgées de la plus ignoble des manières, ces personnes âgées à qui ils disent que le confinement est là pour les protéger.

Les chiffres sont faussés par la façon dont ils font les tests, par la façon dont ion fait les diagnostics et par la façon dont sont comptabilisés les cas.

Nous pourrions voir les chiffres monter encore et encore, ce qui justifierait un confinement supplémentaire.

Ce sera fini – temporairement – lorsque les personnes physiques et morales à l’origine de cette manipulation penseront qu’ils ont atteint ce qu’ils voulaient obtenir, grâce à tout ça, c’est à dire la destruction totale de l’économie mondiale, qu’un nombre considérable de personnes perde leur gagne-pain et leurs revenus indépendants, et qu’ils soient donc devenus dépendants de l’Etat pour leur subsistance.

Puis, ces groupes en arrière des gouvernements mettront un terme à tout ça et feront baisser les chiffres « le pic est derrière nous », quand ils estimeront qu’ils sont allés assez loin et qu’ils en ont tiré tout ce qu’ils souhaitaient.

La Chine a repris ses activités, l’industrie redémarre, les gens sont à nouveau dans la rue et le transport aérien a repris.

Le but est que les autorités contrôlent les chiffres.

Ils n’ont pas obtenu un nombre suffisant de décès via ce virus, pour justifier le fait qu’il est mortel.

La grande majorité des gens n’a aucun symptôme, ou des symptômes légers.

Ce test RT PCR ne peut pas et ne détecte pas la quantité de « virus » en présence.

Nous avons tous ce que les gens appellent des « virus », mais qui en fait font partie du système immunitaire naturel, mais nous avons tous cela dans notre corps, à un niveau qui ne nous dérangera jamais. C’est pourquoi vous pouvez être testé positif et ne pas avoir de symptômes. Ce que ce test ne permet pas, c’est de vérifier la quantité présente en vous de ce « virus ».

Or, il faut en avoir une quantité énorme pour être malade. Ainsi, ils ne peuvent même pas vous dire si votre maladie est due à tel virus ou à tel autre.

Le nombre de morts actuel n’est pas suffisant pour justifier que ce « virus » est mortel ; Mais ils veulent un confinement pour des raisons bien plus importantes.

Donc, ils disent « attention à la prochaine vague, qui peut arriver à tout moment ». Selon la façon dont ils comptent, ils peuvent très bien créer une nouvelle vague, ou l’illusion d’une nouvelle vague.

Ils ont prévu, si nous les laissons faire, de pousser cela à l’extrême.

Et nous voilà confinés, et en quelques semaines nous sommes passés de ce que les gens percevaient comme un monde libre, à une tyrannie mondiale dans laquelle un tout petit nombre de personnes possède des milliards, tandis que la moitié de la population mondiale est assignée à résidence.

Et tout cela a été fait grâce à l’escroquerie COVID-19.

Il y a un cloisonnement féroce, pour qu’une poignée d’hommes puissent contrôler le monde. Si vous êtes au sommet de la pyramide, vous connaissez les objectifs, mais si vous êtes médecin, on vous dit « Voici les symptômes et si vous voyez ces symptômes, vous devez diagnostiquer le COVID-19. Si quelqu’un rentre à l’hôpital, vous devez faire un test pour le COVID-19. Si les gens meurent, peu importe de quoi, vous devrez inscrire sur le certificat de décès : COVID-19 ». Quelle est la ligne directrice que l’on retrouve, dans et après chaque tyrannie ? – « Je ne faisais que suivre les ordres ! ». C’est comme ça que ça marche.

Mais certaines infirmières et certains professionnels de la santé disent que c’est de la foutaise ! Certains d’entre eux rompent les rangs.

Le directeur de l’OMS qui a été ministre de la santé a été pris en flagrant délit de couvrir trois épidémies de choléra, fera ce qu’on lui dit de faire. C’est le moteur de cette politique. L’OMS a d’ailleurs été créée par les Rockefeller. L’OMS indique la marche à suivre et vous la suivez.

Vous suivez le protocole.

Donc, parce que la Chine a imposé ce confinement draconien et que les chiffres ont commencé à baisser, cela a créé un précédent pour suivre la voie.

Comme la Chine, on va créer un confinement et maintenir les gens à l’écart les uns des autres. Voilà comment fonctionne cette dynamique. Il y a des psychopathes en arrière-plan qui orchestrent tout ça, et puis il y a les ignorants [« Qui suis-je ? Où suis-je ? Que se passe-t-il ? » : les politiciens « Tout le monde va mourir, nous ferions mieux d’imposer un confinement ».] qui n’ont aucune idée de ce qu’il se passe réellement.

Et avec une « modélisation » bidon et un virus qui n’existe pas, on aura créé cet Armageddon économique. »

Ce qui nous amène à la 5G.

La 5G est une puissance d’énergie électromagnétique beaucoup plus importante que ce que nous avons vu auparavant.

Ce n’est pas seulement une amélioration de la 4G, qui est déjà assez nuisible, la 3G également, c’est une toute nouvelle partie du spectre électromagnétique, les ondes millimétriques, plus puissantes que tout ce que nous avons vu auparavant.

Le corps humain est un champ électromagnétique. Le cerveau communique avec le reste du corps des informations, électriquement. Lorsque ce champ et les cellules traitent les pensées, les électromagnétique est en équilibre, nous sommes en bonne santé. Lorsqu’il est en déséquilibre ou en dysharmonie, nous ressentons un mal-être, nous souffrons de maladies, qui se manifestent sous la forme de ce que nous appelons des maladies physiques ou des maladies psychologiques.

Nous sommes maintenant bombardés 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 par des champs électromagnétiques générés par la technologie et la Wi-Fi. Et dans cette période d’aliénation à ce « virus », on voit dans de plus en plus d’endroits l’installation de la 5G.

Chaque élévation de ce niveau de radiation se traduit par une épidémie.

Les docteurs et les scientifiques de 41 pays ont signé une pétition pour demander l’interdiction de la 5G. L’impact de la 5G sur la santé n’a fait l’objet d’aucune étude, sinon elle n’aurait pas pu voir le jour. Les satellites avec la 5G rayonnent sur chaque centimètre carré de la Terre.

Des gens veulent que cela arrive parce qu’ils souhaitent manipuler l’humanité. La 5G empoisonne les cellules, elles sont empoisonnées par le champ électromagnétique. Les cellules libèrent les exosomes, et ils vous testeront positif au COVID-19.

Quelle est la première ville chinoise à avoir installé la 5G, juste avant l’apparition de ce «virus » ? Wu-Han. La ville qui avait le plus d’Antennes-relais de 5G au monde est celle dans laquelle on a observé une hécatombe de COVID-19.

«Durant ce confinement, des antennes 5G sont en train d’être déployées à une vitesse fulgurante. Partout sur la planète, des antennes 5G sont en train d’être installées en grand nombre.

Et tandis que sont installées toutes ces antennes, bien sûr les gens ne peuvent pas manifester, puisqu’ils sont assignés à résidence.

Semaine après semaine, Elon Musk (c’est un très grand malade, il est parfaitement au courant de la raison pour laquelle la 5G est mise en place) envoit de plus en plus de satellites à basse altitude, qui vont rayonner de la 5G dans la Terre. Cet objectif est de 42.000. Les astronomes ne peuvent plus observer le ciel. Il a reçu l’autorisation d’installer un million et demi d’antennes terrestres en Amérique, qui grâce au champ électromagnétique se connecteront aux satellites. Il crée ainsi une réalité augmentée, grâce à la technologie 5G, ce qu’il appelle le réseau intelligent.

Ces gens créent un cordon ombilical grâce auquel l’esprit humain sera connecté via l’intelligence artificielle. Et on vous donne même l’année à laquelle deviendra sérieux : en 2030. »


En fait, il y a une forte présomption qu’existe une corrélation très nette entre les flots de personnes admises dans les services de réanimation avec des poumons dans un état « jamais vu » et des tests de mise en service de la 5G poussée à forte puissance, à New-York, Wu-Han et en Lombardie, première région italienne à être équipée de la 5G.

L’écran de fumée du « virus » (en fait de simples exosomes) ne servirait qu’à « couvrir » ces essais d’armes électromagnétiques, que certains annoncent destinées à terme à réduire drastiquement la population mondiale, en attribuant à la « pandémie » la destruction programmée d’une partie de l’humanité – dont d’ailleurs des personnalités et des éminences connues ne se cachent pas, même en France.

On se souviendra en effet que nous avons évoqué lesdits exosomes un peu plus-haut, dans le module consacré aux rayonnement de 5G :

« Le rayonnement électromagnétique 5G endommage l’ADN cellulaire humain.

Les cellules exposées (de toutes sortes ciblées dans l’organisme humain) réagissent en produisant une cascade de substances immunologiques protectrices.

Ces substances sont conditionnées dans une structure intracellulaire appelée endosome. L’endosome est expulsé de la cellule, devenant ainsi un exosome (Prix Nobel de médecine 2013).

L’exosome circule et se lie aux récepteurs ACE2 du poumon, de l’intestin et du cœur. »

Et si les exosomes (alias « COVID-19 ») n’étaient pas la cause, mais bien la conséquence de l’utilisation d’une arme électromagnétique ?




La supercherie coronavirus devient toujours plus évidente

Par Jean-Yves Jézéquel

1 – Le dimanche 19 juillet 2020, le Dr. Carrie Madej publiait une vidéo pour expliquer ce qui va se passer avec les vaccins : je renvoie les anglophones à cette vidéo éloquente (ci-bas).

Dans la vidéo suivante, la Dr Carrie Madej s’interroge sur ce que « c’est que d’être humain ». Pourquoi ? Parce que les vaccins dits [antis-] « COVID » utilisent la technologie de l’ADN/ARN qui « recompose » le code génétique tout comme Monsanto, par exemple, recompose le code génétique de nombreuses semences (y compris les tomates, le maïs, etc.), sans parler de l’application de la biotechnologie génétique aux animaux.

(Mark Taliano, « Vaccins contre la COVID » et « Humains génétiquement modifiés », juillet 2020. Ce texte résume la vidéo.)

https://youtu.be/Rrwx8nMlzfw
https://beforeitsnews.com/health/2020/07/an-urgent-warning-from-dr-carrie-madej-must-see-video-3032692.html

2 – Neuf jours plus tôt, le 10 juillet 2020, on pouvait également suivre l’interview de fond et si éclairante, de Celeste Solum sur le vaccin – Former Fema – Vaccine Agenda Exposed (Nano Tech Hydrogel In The Cooties-91 Vaccine) [vidéo en anglais]:
https://www.bitchute.com/video/rLtA2m0gbUee/



3 – Le 19 juillet 2020, sur la chaîne de la télévision israélienne i24 News Direct, on pouvait écouter Le Professeur Yoram Lass, médecin, chercheur et ancien Directeur Général du Ministère de la Santé Israélien, balancer des informations déterminantes sur la crise du coronavirus…

Il expliquait entre-autre que le virus n’est plus là aujourd’hui, pour la simple raison qu’il est mort, que son temps est passé et que désormais on se met à faire des tests par centaines de milliers. Il est tout à fait naturel, expliquait-il, que plus on fera de tests plus on découvrira des porteurs positifs du coronavirus. Le nombre de tests détermine donc le nombre de déclarés « contaminés ». On dit alors qu’ils sont « malades » et que la « situation est grave ». Le Pr Yoram Lass disait qu’en Israël, au moment où il parlait, il y avait 24 personnes au total sous respirateur et pourtant le Gouvernement voulait à tout prix recommencer un nouveau confinement… 

Il poursuivait l’interview en disant :

« Le test PCR n’est pas fiable, puisqu’il ne distingue absolument pas les virus morts des virus vivants, si bien que selon ce test qui est pratiqué en masse aujourd’hui, tout le monde se retrouve dans les « contaminés » déclarés aussitôt « malades » alors que scientifiquement c’est absolument faux et ces milliers de personnes déclarées « malades » parce que testées positifs au coronavirus, sont en réalité parfaitement saines ! » 

Le taux de létalité pour coronavirus en Israël est de 0,8% à ce jour, au regard du nombre de « contaminés » déclaré (le 19 juillet 2020), c’est-à-dire beaucoup moins que les chiffres connus des années antérieures après le passage de la grippe saisonnière. On se demande donc pourquoi faire toute cette falsification autour des « testés positifs » en déclarant faussement que « testé positif = infecté et donc malade » ! Quel est le but de cette falsification et grossière manipulation pratiquée par le ministère de la santé ?! Pour moi, disait le Pr Yoram Lass, il s’agit d’un « comportement hystérique de la part des responsables » et nous allons avoir « plus de morts du massacre économique et du chômage » que de cette maladie qui n’a rien de menaçant ! Il n’y a pas de « seconde vague », tout cela est ridicule et il est temps de redevenir sérieux ! 

En effet, le discours moralisant et alarmiste qui circule actuellement, grâce à des journalistes privés de tout sens critique et de liberté de penser, s’alimente à la source des tests « positifs » qui sont pratiquées massivement aujourd’hui. C’est l’occasion pour maintenir la propagande en alerte et de s’assurer que la peur est bien entretenue elle aussi afin de pouvoir tenir jusqu’à l’arrivée du vaccin qui sera ainsi demandé, attendu impatiemment par une majorité d’abusés. Les directives sur l’obligation du masque en tous lieux sont également faites pour que le message soit clair : nous sommes toujours menacés par le virus (sous-entendu : tant que le vaccin n’a pas été imposé à la population mondiale entière !)

Le Pr Yoram Lass termine en disant :

« les tests ne sont intéressants que pour l’information. Il est aberrant que des chiffres soient diffusés sur le nombre de malades que cela signifie alors qu’une incontestable majorité de ces gens testés « positifs » sont en réalité en pleine forme et ne sont absolument pas malades ! » 

Ce jeu « étrange » de la part des autorités est non seulement insensé mais « irresponsable ». 

Des médecins « collaborateurs » trouvent le moyen de dire, également chez nous en France, que si ces mêmes personnes sont ensuite testées « négatives», cela voudra dire qu’elles se seront « rétablies » ! En réalité elles ne se seront pas « rétablies » puisqu’elles n’étaient pas malades… Il est important que les populations sachent que ce discours de peur sur la « pandémie » est une comédie dont il faut honnêtement se demander quel en est le but réel à part celui que tout le monde a déjà compris : le jackpot des affaires des grands groupes pharmaceutiques… Qui a donc intérêt à faire peur, à soumettre, à imposer des règles liberticides et à détruire massivement l’économie sans rien prévoir pour la repenser sérieusement ? Pourquoi un tel massacre réalisé sans scrupule et avec détermination ? Qui va profiter du crime de masse organisé par ce chantage à la peur ? Que chacun fasse l’effort d’y réfléchir et qu’il trouve par lui-même les réponses évidentes…

On peut déjà dire que cet épisode « confinement pour pandémie coronavirus » n’a fait que révéler le degré de perversion dans lequel se trouvent les gens qui se sont emparés du pouvoir. Désormais la majorité des citoyens a pu mesurer le mensonge habituel dans lequel elle se fait balader à longueur de temps et toute crédibilité des politiques, du moins ce qui en restait, a été balayée… Cela veut dire aussi et annonce les violences qui vont suivre désormais pour les règlements de compte avec ce pouvoir nous ayant méprisés à ce point !

4 – Il y a quelques semaines avant, c’est un autre médecin spécialiste qui nous informait sur cette question tournée en ridicule par les autorités politiques dépassées par leur incapacité à discerner ce qui est juste de ce qui est pervers. Le Dr. Beda M. Stadler, ancien directeur de l’Institut d’immunologie de l’Université de Berne, biologiste et Professeur émérite, une sommité reconnue en Suisse et dans le monde, publiait un article dans le magazine suisse Weltwoche (Semaine mondiale) le 10 juin 2020.

Ce docteur nous expliquait alors qu’il était faux de prétendre que ce virus était nouveau ; qu’il était encore plus faux de prétendre que la population n’aurait pas déjà une certaine immunité contre ce virus ; que c’était le comble de la stupidité que de prétendre qu’une personne pouvait avoir la Covid-19 sans aucun symptôme ou même de transmettre la maladie sans présenter le moindre symptôme. Le contenu de son article expliquait le problème des tests pratiqués pour la détection du Sras-CoV-2. On a vu que le Pr Yoram Lass expliquait très simplement la même chose concernant le mensonge s’appuyant sur les tests…

Je renvoie le lecteur francophone à l’article du Dr Stadler qui a été traduit en français et publié le 10 juillet 2020 sur www.mondialisation.ca. Il trouvera dans cet article toutes les explications d’un scientifique qui sait de quoi il parle. Le titre de son article en dit long sur la supercherie qu’on nous sert à longueur de temps dans les médias, de la part de politiques irresponsables ! « Coronavirus : pourquoi tout le monde s’est trompé. Il ne s’agit pas d’un ‘nouveau virus’. Le conte de fée de l’absence d’immunité »

5 – On peut encore citer l’article de Makia Freeman, publié en français dans mondialisation.ca du 13 juillet 2020, dans lequel elle explique que l’on trouve énormément de coronavirus par les tests qui sont pratiqués en ce moment, mais qu’on n’a toujours pas retrouvé la trace du Sras-CoV2. Elle renvoie le lecteur à une étude qui, en février dernier, insistait déjà sur le fait que les tests ne révélaient aucune preuve de l’existence du virus appelé COVID-19. 

6 – Quand on ajoute à tout cela l’histoire retentissante du LancetGate, on est alors en mesure de comprendre les mensonges scientifiques qui ont été honteusement radotés sur le coronavirus, en découvrant au passage la corruption des grandes sociétés pharmaceutiques. (Cf., article publié par le Professeur Michel Chossudovsky dans mondialisation.ca du 15 juillet 2020.) Pour celui qui a un peu de bon sens, il est devenu hors de question de continuer à faire confiance aux « Comités dit scientifiques » qui n’ont pas hésité à utiliser leur position prestigieuse pour nous abuser. La preuve a été faite qu’on nous menait en bateau et les bornes ont été largement dépassées.

CONCLUSION

Tous ces articles cités et bien d’autres références comme les livres entiers publiés par le Pr Perronne (« Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? ») et par le Pr Raoult (« Epidémies, vrais dangers et fausses alertes »), les articles si détaillés du docteur Nicole Delépine (« Covid-19, Genèse et conséquences d’une hystérie mondiale »), nous renvoient à des sources abondantes sur toutes ces questions. Il est insupportable de voir un tel mensonge, sur une soi-disant « pandémie », s’étaler à perte de vue sans que les peuples ne réagissent vigoureusement à ce scandale absolu qui les jette dans un malheur sans nom. 

Le massacre « coronavirus » aura été spectaculaire : l’opération a été « bien menée » par les obscurs commanditaires d’une telle initiative ayant transité par l’OMS et qui reste étrange tout en posant de nombreuses questions importantes non résolues. Il faudra bien que prochainement la lumière soit faite, lorsque tout le monde comprendra obligatoirement à quel point il s’est fait manipuler ! 

Mais au-dessus de tout cela, ce qui restera le plus étonnant, fut le constat général de la naïveté des politiques au pouvoir, comment ils ont été démunis, sans discernement, sans véritable responsabilité, se contredisant sans cesse, mentant ouvertement à répétition et prenant partie pour des guerres de laboratoires ! Chaque personne a une capacité au raisonnement : on peut tabler sur le fait que tout un chacun pourra se poser des questions élémentaires, s’interroger sur la compétence de ceux qui prétendent nous diriger, et tirer des conclusions sur une réalité qui peut nous apparaître aujourd’hui comme évidente, tellement le mensonge a été grossièrement pratiqué par des gens que personne ne peut plus prendre au sérieux !

Jean-Yves Jézéquel


Image en vedette : torange.biz

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2020




Le vaccin rend(ra) libre

[Source : La Newsletter de Michel Dogna]

[Auteur : Michel Dogna]

[NdNM : l’auteur est très affirmatif sur plusieurs points qu’il nous paraît pour l’instant plus sage de considérer comme de simples possibilités plus ou moins probables ou improbables.]


« Le vaccin rend(ralibre »

Ce titre un peu surprenant a été choisi par analogie 
au portique d’entrée du sinistre camp d’Auschwitz :

(Arbeit macht frei)
« Le travail rend libre »

 

Oui, on commence à se lasser de tourner en rond toujours sur les mêmes sujets ! Aussi je vous demande de réaliser que c’est l’avenir de l’humanité et de la planète entière qui se joue en ce moment-même par un immense bras de fer avec les forces du mal pour qui le mensonge est la seule référence morale. Tant pis pour ceux qui refusent d’enlever la purée qu’ils ont dans les yeux. Moi j’ai des bonnes nouvelles, mais pas pour tout le monde…

Depuis le début de l’aventure Covid en décembre 2019, nous avons pu assister à une série continue de mesures sanitaires illogiques contradictoires et catastrophiques s’appuyant sur des décrets suicidaires pour les populations et l’économie, et pouvant laisser croire à une incompétence crasse de la part de la classe dirigeante soumise à l’OMS…

Mais ceux qui pensent naïvement cela sont dans l’erreur, car la seule chose qu’il ne faut jamais perdre de vue, c’est « la solution finale », la vaccination généralisée de toute l’humanité. On veut nous surveiller 24h/24, en nous transformant en robots mi humains mi électroniques, contrôlés à 100% sur les plans de la conscience, de l’intelligence, de la santé physique, et même de la spiritualité.

Ceci est le contrat auquel les pseudo élus « collabos » ont souscrit pour assurer leurs énormes avantages personnels, et tant pis si c’est une haute trahison face aux intérêts du peuple et de la nation qu’ils sont pourtant censés défendre…

Le faux vaccin à la Frankenstein en question sera du type mARN (signifiant ARN modifié )–– En bref nous sommes tous voués à devenir des mammifères OGM programmables à distance par la 5G selon une technique déjà au point depuis des décennies qui est la psychotronique…

Ce n’est pas pour demain mais pour maintenant même !
Il y a le feu au lac les amis !!!

Voyez plutôt cette vidéo de KLA TV allemande, de 6 min 30 :

https://www.youtube.com/watch?v=TD3r7M77GlY&feature=youtu.be

ou     https://youtu.be/TD3r7M77GlY

Comment peut-on continuer à croire à cette frange d’imposteurs qui ne font que nous mentir et nous tromper depuis toujours, et qui nous gouverne à coups de décrets contredisant les lois établies, donc illégaux…

Voyez à ce sujet le document qui suit concernant le port du masque :

LOIS ET DECRETS

(à présenter à la police en cas de verbalisation pour non port du masque)

La loi prévaut toujours sur le décret.

Question : Peut-on cacher son visage dans un lieu public ?

REPONSE DE LA DIRECTION DE L’INFORMATION LEGALE ET ADMINISTRATIVE – MINISTERE DE LA JUSTICE
Vérifié le 17/03/2020

Non, il est interdit de cacher ou de couvrir complètement son visage dans un lieu public : voie publique et lieux ouverts au public ou affectés au service public. La loi prévoit des sanctions pour cette infraction. Les sanctions sont plus lourdes pour celui qui force une autre personne à masquer son visage.

Sanctions possibles :

  • Amende de 150€ maximum, 
    Et/ou un stage de citoyenneté à ses frais.

Textes de référence :

  • Loi n° 2010-1192 du 11 octobre 2010 interdisant la dissimulation du visage dans l’espace public : articles 1 et 2.
  • Code pénal : article 225-4-10
    Peine aggravée en cas de dissimulation forcée du visage :
  • Code pénal : article 645-14 
    Dissimulation du visage dans une manifestation

La guerre de l’info

Bien que les allégations mensongères assénées par les grands médias et surtout la télé aient été toutes battues en brèche par de nombreux virologues, épidémiologistes, et professeurs les plus prestigieux du monde, les acteurs de l’intox sont restés sourds et aveugles à toutes les preuves largement documentées allant à l’encontre de leur propagande scélérate, se contentant de les rejeter d’un revers de main dédaigneux, en n’ayant comme contre arguments que des allégations illogiques et sans preuves de professeurs véreux et corrompus.

Curieusement, toute une partie de la population reste pourtant scotchée à la propagande gouvernementale de la télé (Y aurait-il du subliminal là dessous ?)…

D’autres ténors d’envergure sont arrivés à la rescousse tels les Professeurs Péronne, Toussaint, Montagnier (prix Nobel), Nicole et Gérard Delépine, et d’autres de l’étranger , sans oublier les milliers de médecins bravant l’autorité et risquant leur carrière, ainsi que tous les semeurs d’alertes dont le magnifique travail de ré information sur les réseaux sociaux (Internet), en dépit des censures voire des menaces de la nouvelle dictature, ont fini par récupérer une partie des égarés, ébranlant leurs fausses certitudes…

Tous les héros de cette Résistance ont réussi, malgré l’impossibilité d’accéder à la télé, à déclencher des manifestations monstres de millions de participants (détail : pour la plupart non masqués) présidées par des personnages prestigieux tels Robert Kennedy Junior et David ICKE, en Allemagne, en Angleterre, en Espagne, au Portugal, au Canada, aux USA, et en Amérique du sud (mais pas la France… !!! dont les armes anti manifestations sont meurtrières) pour contester les privations illégales et stupides de nos libertés fondamentales.

L’imposture du test PCR

La nouvelle qui vient de tomber (10 septembre 2020) est ahurissante : les tests du covid-19 seraient trop sensibles, de sorte que 90% des prétendus « testés positifs » ont en réalité une charge virale insuffisante pour être malades ou contagieux.

En effet, alors qu’il faut avoir 100 millions de virus dans un microlitre de prélèvement pour être dans un état inquiétant, on parvient à détecter la présence d’un seul virus, ou même d’un débris de virus, en répétant jusqu’à 45 fois le cycle d’amplification du test PCR.

Ainsi, les charlatans irresponsables, médecins et politiques, qui régissent la dictature sanitaire en France s’emploient à entretenir une panique collective pour une épidémie qui ne fait pratiquement plus de mort depuis mai dernier, en pratiquant des tests inutiles et coûteux par millions.

La grande supercherie des tests PCR, 
est que 90% des cas positifs ne sont ni malades ni contagieux

Témoignage d’une infirmière de laboratoire de prélèvements Covid

Résumé :

  • Nous avons 97% de négatifs.
  • Les 3 % positifs sont sans symptômes ou ont un rhume, voire rarement de la fièvre. Bref un état grippal. 10 personnes à peine hospitalisées sur ma région….
  • Des employeurs mènent un chantage illégal sur leur personnel. C’est de la manipulation.
  •  Arrêtez de faire du mal aux enfants, qui se débattent et hurlent, tellement ça leur fait du mal.
  • Arrêtez de vous faire dépister pour un oui ou pour un non.

À voir ici : https://www.bitchute.com/video/z7ApgjUeHHIa/      (5 mn)

« Je tiens à préciser que le personnel en laboratoire d’analyse médicale n’est pas dépisté. Preuve supplémentaire que tous ces tests sont inutiles. De plus, avec ces tests vous allez être fichés ! »

David Icke dénonce

  • Le test PCR n’est autre qu‘un grand flicage de la population par l’ADN récolté.
  • Les tests PCR permettent d’avoir en réserve l’ADN de millions de gens !
  • Si vous acceptez le test, vous serez fichés !

Voici la preuve : (Propos de David ICKE relevés par le journal L’informateur) :

Les tests PCR ne réagissent qu’à des débris cellulaires. A la base, c’était fait pour la police scientifique afin qu’ils puissent isoler de l’ADN. Le PCR réagit positif à n’importe quoi : une mycose, un rhume, le stress, être enceinte, un herpès, simplement la peur, en fait à plus de… 70 causes. Ce test n’a rien à voir avec le Covid, pas plus qu’avec le Lyme ni avec le VIH…

L’inventeur du test Kary Mullis a expliqué pendant des années que la mafia médicale avait volé son invention pour détecter des maladies alors que ce n’est pas fait pour cela, mais simplement pour isoler l’ADN de quelqu’un à partir de sang que l’on dilue beaucoup de fois, donc à l’usage de la Police Scientifique.

Une bombe :
des milliers de tests (volontairement ?) CONTAMINES !

Ils se permettent tout ! Avec Pierre Jovanovic                 6 min 20

https://www.youtube.com/watch?v=ne2TiDKgsS4&feature=share

Autre source :

Confirmation par le Dr Broussalian reçu par la blogueuse suisse Ema [Krusi]. Pour ceux qui sont pressés commencez à la minute 38 jusqu’à la min 47  (= 9 min)

https://youtu.be/C1xCBJ0HCUA

Qu’en est-il du vaccin promis ?

D’abord, pourquoi un vaccin pour une épidémie grippale qui est terminée et que l’on sait parfaitement soigner par de multiples moyens naturels (en outre scandaleusement combattus et interdits en France)…

Le Covid comme toutes les grippes, après une courbe en cloche éliminant les plus faibles par sélection naturelle, se dégonfle (cas actuel) et meurt ou mute vers autre chose mais on ne sait jamais quoi – c’est pour cela que tous les vaccins anti grippe sont non seulement « bidon » mais aussi dangereux car on sait maintenant qu’ils détruisent les défenses immunitaires générales ; on l’a vu avec les italiens vaccinés qui tombaient comme des mouches par le Covid.

En second lieu il s’agira d’un faux vaccin, ne protégeant contre rien, bourré de nanoparticules qui vont vous transformer en antenne ambulante de la 5G ; votre ADN sera modifié, et vous ne serez plus jamais vous-même…

Déjà rien que par la WI-FI beaucoup sont déjà bien atteints voire irrécupérables…

D’aucuns me demandent s’il est possible d’annuler le vaccin avec de l’homéopathie ou de l’argile. Cà c’est du passé, c’est fini. Nous n’avons aucun moyen pour éliminer les millions de nanoparticules disséminées dans votre corps. Et même si c’était possible, les appareils de contrôle vous refuseraient les accès en tant que « non vaccinés ».
PIRE : Certains scientifiques pensent que la programmation extérieure de l’ADN pourrait être génétiquement transmise aux enfants.

  • Noter que les vaccins vétérinaires n’ont jamais de nanoparticules, ce qui prouve que celles-ci servent bien à modifier le psychisme.

Mais il n’y a pas que cela, il y a la soupe de Frankenstein que l’on injecte déjà aux enfants et même aux bébés à la naissance leur donnant toutes les chances d’avoir un cancer ou une maladie dégénérative grave dix ans plus tard (j’ai déjà diffusé la longue liste)….

Cette fois on tombe carrément dans le satanisme le plus sordide. Les médicaux pro vaccins ne savent-ils pas ce qui va suivre ? Avons-nous atteint le sommet de l’Horreur ?
C’est pire que le film « Le soleil vert » (1973) que l’on peut trouver dans toutes les langues.

Regardez ce que l’on fait avec les fœtus humains dont l’avortement légal (en clair, l’assassinat ) vient d’être discrètement voté jusqu’au 9ème mois, donc viable  :

11 min 30

https://youtu.be/HroGDPQznUA

ALORS TOUT CECI EST-IL UNE INCONTOURNABLE FATALITÉ ?

Oui si personne ne bouge !

Je vais faire simple : tout tourne atour de la réélection de Donald Trump en novembre.
S’il repasse (ce qui qui est probable à 98%), son grand ménage déjà en cours aux USA va s’étendre immédiatement par effet domino sur toute la planète avec l’assistance  des légions galactiques qui l’ont mis en place (renseignez-vous sur les œuvres de Trump réalisées en 3 ans)…

Notre histoire planétaire va repartir sur le bon pied dans tous les domaines vers une civilisation d’Amour et de Respect des œuvres du Créateur. Tous les grands secrets technologiques, spirituels, médicaux, archéologiques, énergétiques, gravitationnels, etc. vont être enfin lâchés – 2021 sera encore chaotique mais dans le bon sens.

S’il ne repassait pas, nous risquerions d’être livrés à nouveau aux griffes de cette organisation mondiale satanique qui a déjà fait tant de mal à l’humanité et à la planète et qui espère encore finir son œuvre de destruction massive.

Ce que je dis est au-delà du politique, c’est de la simple logique éclairée et documentée.   Ceux qui voudraient me faire taire ne peuvent pas avoir des buts nobles.

Rassemblons-nous mes amis
et n’oubliez pas que Trump est la clef !

Servez-vous de votre ordinateur pour en savoir plus .

En attendant, refusez le test, refusez le vaccin 
et osez les libertés de votre choix .

Michel Dogna

A diffuser au maximum

Si vous cherchez les vidéos de Silvano TROTTA,
(censuré inexorablement par You Tube),
il vous suffit d’aller sur la merveilleuse chaîne ODYSEE, ici :

https://odysee.com/@SilvanoTrotta:f

et vous aurez ainsi l’immense plaisir de le retrouver !




Covid 19 : Les masques, les Tests, les médias Main Stream… vus par un gendarme

[Source : Profession gendarme]

Covid 19 : Les masques, les Tests PCR, l’hydroxychloroquine, le Rivotril (le décret autorisant l’assassinat), les médias Main Stream…

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Un camarade gendarme, lecteur assidu de Profession-Gendarme, répond à l’un de nos lecteurs à la suite d’un commentaire sur le site.

Des médecins commencent à se libérer du carcan de l’O.M.S. et suivant le serment d’Hippocrate s’expriment en fonction des connaissances médicales acquises.

Nous avons voulu partager avec vous ce commentaire qui donne matière à réflexion.

«La philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident. La propagande, au contraire, nous enseigne à accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter. »

Aldous Huxley, Retour au meilleur des mondes


Il faut d’abord rappeler qu’initialement au début mars et depuis toujours d’ailleurs les masques n’étaient pas recommandés pour une utilisation grand public et ces recommandations figuraient noir sur blanc dans les documents O.M.S.

D’ailleurs, encore dans les dernières recommandations il est bien précisé qu’il n’y avait aucune preuve de l’efficacité de ces masques grand public.
D’autre part les boites de masques dit chirurgicaux précisent bien que ce ne sont pas des dispositifs médicaux et les boites mises en vente après l’apparition du covid précisent même que ça ne protège en aucune manière des virus et de celui-ci en particulier.
Ce qui était exigé pour l’hydroxychloroquine à savoir les ECR (Essais Contrôlés Randomisés) ont fait l’objet de nombreuses études internationales sans attendre l’arrivée du Covid 19 pour les masques et la sanction est sans appel ils sont inefficaces et même dangereux pour toutes les affections respiratoires. D’abord ils ne servent à rien  en raison du mode de transmission, le fluide aérien, et de la disproportion entre les mailles du filtre et la taille des virus à retenir.
Ils sont dangereux car ils empêchent une respiration normale, accumulent de l’humidité, des bactéries, virus et autres champignons et obligent à ré-inspirer ses propres exhalaisons et miasmes divers dont des virus.

Il n’aura échappé à personne que les masques étaient prévus pour les soignants et les malades dans des actes de soins où il ne s’agit ni de faire un cent mètres ni simplement de se déplacer, chaleur ou pas d’ailleurs.

Cette décision aberrante de port généralisé du masque n’est pas une mesure d’ordre sanitaire mais strictement politique pour imposer des mesures coercitives inutiles à la population et tester sa soumission à une dictature qui ne dit pas son nom.
Le prétexte de la reprise des cas est une fausse nouvelle puisque non lié à la maladie mais à la multiplication des tests qui ne sont pas fiables quelque soit le principe.

Les tests PCR aux dires même de son inventeur, prix Nobel pour cela, ils ne doivent servir qu’à la recherche et non au diagnostic médical, les tests sérologiques en laboratoire ne peuvent pas conclure de façon certaine au statut du testé quant aux tests automatiques ils sont une escroquerie couverte par le ministère de la santé puisque le physicien de la société chargée de leur contrôle a dénoncé leur nullité mais qu’ils ont malgré cet avis été homologués par le ministère (Cf interview David Mandel par le Media).

Il y a donc dans cette gesticulation des tests encore beaucoup de conflits d’intérêts qui pèsent tant sur la santé des testés que sur le budget de la sécurité sociale en pure perte.

Quant à l’évocation des ordres professionnels ce sont justement des institutions mises en place pour le contrôle des médecins, en l’occurrence  dans une triste période de l’histoire de France.

Faut-il encore rappeler que le traitement d’une maladie est une affaire de colloque singulier entre le médecin et son patient et que ce n’est pas à l’état de signer un décret assassin et s’il y a encore une justice en France les signataires de ce décret devront rendre des comptes.

S’il faut proposer une solution aussi simpliste que votre raisonnement contentez-vous donc de porter un masque si ça vous chante puisque selon vos principes il vous protégera et laissez ceux qui ne veulent pas en porter se suicider sans masque.
C’est le même raisonnement que pour les vaccins modernes, ceux qui pensent que c’est pour leur bien se feront vacciner et les autres préfèreront faire confiance à leur système immunitaire que nos bons conseillers scientifiques et nos gouvernants n’évoquent jamais depuis le début de la crise.
C’est donc bien que la santé des français n’est pas leur préoccupation majeure et qu’ils préfèrent favoriser celle des opérateurs de la mal bouffe de l’agro-alimentaire et ensuite les médicaments toxiques de Bigpharma plutôt que d’inciter la population à se maintenir naturellement en bonne santé.
Grâce à l’ignorance entretenue nos dirigeants favorisent la maladie au lieu de promouvoir la santé. Ils préfèrent voir l’homme comme une somme de maladies possibles plutôt que de le voir comme un tout, de façon plus holistique.

Alors après avoir lu ces quelques explications soit vous êtes de bonne foi et vous allez procéder à vos propres recherches sans céder au réflexe psittaciste des media Main Stream soit vous êtes un troll au service d’une dictature en marche et vous allez sévir sur un autre site car les gendarmes même retraités n’avalent pas n’importe quelle baliverne.

Encore merci à tous ces médecins, infirmières et autres soignants qui disent la vérité au risque de se voir sanctionnés par des instances indignes de leurs responsabilités et qui aussi auront un jour des comptes à rendre aux français.




Le directeur scientifique de Pfizer déclare que la « deuxième vague » a été truquée lors de tests covid faussement positifs, « la pandémie est terminée ».

[Source : Anguille sous roche]

[NdNM : on peut difficilement accuser le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, d’être un complotiste.]

Dans un développement étonnant, l’ancien directeur scientifique du géant pharmaceutique Pfizer déclare qu’« il n’y a aucune science qui suggère qu’une deuxième vague devrait se produire ». L’initié de « Big Pharma » affirme que des résultats faussement positifs provenant de tests COVID intrinsèquement peu fiables sont utilisés pour fabriquer une « deuxième vague » basée sur de « nouveaux cas ».

Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer pendant 16 ans, affirme que la moitié, voire « presque tous » les tests COVID sont des faux positifs. Le Dr Yeadon affirme également que le seuil d’immunité collective peut être beaucoup plus bas que ce que l’on pensait auparavant, et qu’il a peut-être déjà été atteint dans de nombreux pays.

Dans une interview accordée la semaine dernière, on a demandé au Dr Yeadon :

« nous basons une politique gouvernementale, une politique économique, une politique des libertés civiles, en termes de limitation des personnes à six personnes dans une réunion… toutes basées sur, ce qui pourrait bien être, des données complètement fausses sur ce coronavirus ? »

Le Dr. Yeadon a répondu par un simple « oui ».

Le Dr. Yeadon a déclaré dans l’interview que, étant donné la « forme » de tous les indicateurs importants dans une pandémie mondiale, tels que les hospitalisations, l’utilisation des soins intensifs et les décès, « la pandémie est fondamentalement terminée ».

Le Dr Yeadon a déclaré dans l’interview :

« Sans les données de test que vous obtenez tout le temps à la télévision, vous concluriez à juste titre que la pandémie est terminée, car il ne s’est rien passé de bien important. Bien sûr, les gens se rendent à l’hôpital, à l’approche de la saison automnale de la grippe… mais aucune donnée scientifique ne permet d’affirmer qu’une deuxième vague devrait se produire. »

Dans un article publié ce mois-ci, co-écrit par Yeadon et deux de ses collègues, « Quelle est la probabilité d’une seconde vague ? », Les scientifiques écrivent:

« Il a été largement observé que dans tous les pays fortement infectés en Europe et dans plusieurs États américains, la forme des courbes de mortalité quotidienne en fonction du temps est similaire à celle du Royaume-Uni. Beaucoup de ces courbes sont non seulement similaires, mais presque super imposable . »

Les données relatives au Royaume-Uni, à la Suède, aux États-Unis et au monde entier montrent que dans tous les cas, les décès ont augmenté de mars à la mi- ou à la fin avril, puis ont commencé à diminuer progressivement selon une pente douce qui s’est aplatie vers la fin juin et qui se poursuit encore aujourd’hui. Cependant, les taux de cas, basés sur des tests, augmentent et oscillent de façon sauvage vers le haut et vers le bas.

Le discours médiatique aux États-Unis augmente déjà les attentes d’une « deuxième vague ».

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Le taux de survie au COVID est maintenant estimé à 99,8 %, comme pour la grippe, avec une immunité antérieure aux lymphocytes T

Le taux de survie de COVID-19 a été amélioré depuis le mois de mai pour atteindre 99,8 % des infections. Ce taux se rapproche de celui de la grippe ordinaire, dont le taux de survie est de 99,9 %. Bien que le COVID puisse avoir des séquelles graves, la grippe ou toute maladie respiratoire peut également en avoir. Le taux de survie actuel est bien plus élevé que les premières estimations sombres de mars et avril, citées par le Dr Anthony Fauci, de 94 %, soit 20 à 30 fois plus meurtrier. La valeur du taux de mortalité par infection (IFR) acceptée par Yeadon et al dans le document est de 0,26 %. Le taux de survie d’une maladie est de 100 % moins l’IFR.

Le Dr Yeadon a souligné que la « nouvelle » contagion COVID-19 n’est nouvelle que dans le sens où il s’agit d’un nouveau type de coronavirus. Mais, a-t-il dit, il existe actuellement quatre souches qui circulent librement dans la population, le plus souvent liées au rhume.

Dans l’article scientifique, Yeadon et al écrivent :

« Il y a au moins quatre membres de la famille bien caractérisés (229E, NL63, OC43 et HKU1) qui sont endémiques et provoquent certains des rhumes courants que nous connaissons, surtout en hiver. Ils présentent tous une similitude de séquence frappante avec le nouveau coronavirus. »

Les scientifiques affirment qu’une grande partie de la population possède déjà, sinon des anticorps contre le COVID, du moins un certain niveau d’immunité des « cellules T » contre l’exposition à d’autres coronavirus apparentés, qui circulaient bien avant le COVID-19.

Les scientifiques écrivent :

« Une composante majeure de notre système immunitaire est le groupe de globules blancs appelés cellules T, dont le travail consiste à mémoriser un petit morceau du virus avec lequel nous avons été infectés, afin que les bons types de cellules puissent se multiplier rapidement et nous protéger si nous contractons une infection connexe. Des réponses au COVID-19 ont été démontrées dans des dizaines d’échantillons de sang prélevés sur des donneurs avant l’arrivée du nouveau virus. »

En introduisant l’idée qu’une certaine immunité préalable à COVID-19 existait déjà, les auteurs de « How Likely is a Second Wave ? » écrivent :

« Il est maintenant établi qu’au moins 30 % de notre population avait déjà une reconnaissance immunologique de ce nouveau virus, avant même son arrivée… COVID-19 est nouveau, mais les coronavirus ne le sont pas. »

Ils poursuivent en disant qu’en raison de cette résistance préalable, seuls 15 à 25 % d’une population infectée peuvent suffire pour atteindre l’immunité de troupeau :

« …les études épidémiologiques montrent que, avec l’ampleur de l’immunité préalable que l’on peut maintenant raisonnablement supposer, seuls 15-25 % de la population infectée sont suffisants pour stopper la propagation du virus… »

Aux États-Unis, si l’on accepte un bilan de 200 000 morts et un taux de mortalité lié à l’infection de 99,8 %, cela signifie que pour chaque personne décédée, il y aurait environ 400 personnes infectées qui auraient survécu. Cela signifierait environ 80 millions d’Américains, soit 27 % de la population. Cela touche le seuil d’immunité collective de Yeadon et de ses collègues.

Les auteurs disent :

« La littérature actuelle montre qu’entre 20 et 50 % de la population présente cette réactivité des cellules T pré-pandémique, ce qui signifie que nous pourrions adopter une valeur de population initialement sensible de 80 à 50 %. Plus la susceptibilité initiale réelle est faible, plus nous sommes sûrs d’avoir atteint un seuil d’immunité collective (HIT). »

Source

La deuxième vague de faux positifs

À propos du test PCR, le test COVID le plus répandu dans le monde, les auteurs écrivent :

« plus de la moitié des positifs sont susceptibles d’être faux, potentiellement tous. »

Les auteurs expliquent que ce que le test PCR mesure réellement est « simplement la présence de séquences d’ARN partielles présentes dans le virus intact », qui pourrait être un morceau de virus mort qui ne peut pas rendre le sujet malade, et ne peut pas être transmis, et ne peut pas rendre quelqu’un d’autre malade.

« …un vrai positif n’indique pas nécessairement la présence d’un virus viable. Dans les études limitées réalisées à ce jour, de nombreux chercheurs ont montré que certains sujets restent positifs par PCR longtemps après que la possibilité de cultiver le virus à partir de prélèvements a disparu. Nous appelons cela un “positif à froid” (pour le distinguer d’un “positif à chaud”, une personne réellement infectée par un virus intact). Le point essentiel des “positifs au froid” est qu’ils ne sont pas malades, ne présentent pas de symptômes, ne vont pas en présenter et, de plus, sont incapables d’infecter d’autres personnes. »

Dans l’ensemble, le Dr Yeadon avance l’argument selon lequel toute « deuxième vague » de COVID, et tout cas de confinement par les gouvernements, compte tenu des principes bien connus de l’épidémiologie, sera entièrement fabriquée.

Ce mois-ci, à Boston, un laboratoire a suspendu les tests de dépistage du coronavirus après la découverte de 400 faux positifs.

Une analyse du test basé sur le PCR sur le site médical medrxiv.org indique :

« les données sur les tests basés sur le PCR pour des virus similaires montrent que les tests basés sur le PCR produisent suffisamment de résultats faux positifs pour rendre les résultats positifs très peu fiables dans un large éventail de scénarios du monde réel. »

Le professeur Carl Heneghan de l’université d’Oxford, directeur du Centre for Evidence-Based Medicine d’Oxford, écrit dans un article de juillet « Combien de diagnostics COVID sont des faux positifs ? »

« en partant des pratiques et des résultats des tests actuels, il se peut que Covid-19 ne disparaisse jamais. »

Bien sûr, le cas le plus célèbre de manque de fiabilité d’un test PCR a été lorsque le président de la Tanzanie a révélé au monde entier qu’il avait secrètement envoyé des échantillons d’une chèvre, d’un mouton et d’un fruit de papaye à un laboratoire de test COVID. Ils sont tous revenus positifs pour le COVID.

Fabriqué en Chine

En août, le gouvernement suédois a découvert 3700 faux positifs COVID à partir de kits de test fabriqués par la société chinoise BGI Genomics. Les kits ont été approuvés en mars par la FDA pour une utilisation aux États-Unis.

Les deuxièmes vagues de coronavirus ne sont pas normales

Le Dr Yeadon a contesté l’idée que toutes les pandémies se déroulent en vagues successives, citant deux autres épidémies de coronavirus, le virus du SRAS en 2003 et le MERS en 2012. Ce qui peut sembler être deux vagues peut en fait être deux vagues uniques se produisant dans des régions géographiques différentes. Ils affirment que les données recueillies lors des épidémies relativement récentes du SRAS en 2003 et du MERS confirment leur thèse.

Dans le cas du MERS :

« il s’agit en fait de plusieurs vagues uniques affectant des populations géographiquement distinctes à différents moments de la propagation de la maladie. Dans ce cas, le premier pic important a été observé en Arabie Saoudite, avec un second pic quelques mois plus tard en République de Corée. Analysée individuellement, chaque zone a suivi un événement unique typique… »

Dans l’interview, interrogé sur l’épidémie de grippe espagnole de 1918, qui s’est produite par vagues successives pendant la Première Guerre mondiale, Yeadon a souligné qu’il s’agissait d’un type de virus entièrement différent, qui ne faisait pas partie de la famille des coronavirus. D’autres ont mis en cause la malnutrition générale du début du siècle et les conditions insalubres. Les soldats de la Première Guerre mondiale, durement touchés, vivaient dans la boue froide et dans les pires conditions imaginables pour la résistance immunitaire.

Vagues de coronavirus MERS en Arabie Saoudite et en Corée

Les confinements ne fonctionnent pas

Un autre argument avancé par Yeadon et al dans leur article de septembre est qu’il n’y a pas eu de différence dans les résultats liés aux confinements.

Ils disent :

« La forme de la courbe des décès en fonction du temps implique un processus naturel et non un processus résultant principalement d’interventions humaines… La Suède est connue pour avoir adopté une approche presque de laissez-faire, avec des conseils qualifiés donnés, mais pas d’enfermement généralisé. Pourtant, son profil et celui du Royaume-Uni sont très similaires. »

Yeadon aux manières douces démolit l’homme qui a tout commencé, le professeur Neil Ferguson

L’ancien dirigeant et scientifique de Pfizer pointe du doigt un ancien collègue qui a été réprimandé pour son rôle dans la pandémie, le professeur Neil Ferguson. Ferguson a enseigné à l’Imperial College alors que Yeadon y était affilié. Le modèle informatique de Ferguson a fourni aux gouvernements la justification nécessaire pour lancer des ordres draconiens qui ont transformé du jour au lendemain des sociétés libres en prisons virtuelles. Sur ce qui est maintenant estimé par les CDC comme un virus avec un taux de survie de 99,8 %.

Le Dr. Yeardon a déclaré dans l’interview qu’« aucun scientifique sérieux ne donne de validité » au modèle de Ferguson.

Parlant avec un mépris à peine voilé pour Ferguson, le Dr. Yeardon a pris un malin plaisir à le souligner à son interlocuteur :

« Il est important que vous sachiez que la plupart des scientifiques n’acceptent pas que le modèle de Ferguson était même légèrement juste… mais le gouvernement est toujours attaché à ce modèle. »

Yeardon se joint à d’autres scientifiques pour fustiger les gouvernements qui suivent le modèle de Ferguson, dont les hypothèses sont à la base de tous les confinements mondiaux. L’un de ces scientifiques est le Dr Johan Giesecke, ancien chef scientifique du Centre européen de contrôle et de prévention des maladies, qui a qualifié le modèle de Ferguson de « document scientifique le plus influent » de mémoire, et aussi « l’un des plus erronés ».

C’est le modèle de Ferguson qui a soutenu que des mesures d’« atténuation » étaient nécessaires, c’est-à-dire la distanciation sociale et la fermeture d’entreprises, afin d’éviter, par exemple, que plus de 2,2 millions de personnes meurent de la maladie de Crohn aux États-Unis.

Ferguson a prédit que la Suède paierait un prix terrible pour l’absence de confinement, avec 40 000 décès dus au COVID d’ici le 1er mai, et 100 000 d’ici le mois de juin. Le nombre de décès en Suède est maintenant de 5800. Le gouvernement suédois affirme que cela coïncide avec une saison de grippe légère. Bien qu’initialement plus élevé, le taux de mortalité par habitant en Suède est maintenant inférieur à celui des États-Unis, ce qui a été réalisé sans les terribles dommages économiques qui continuent à se produire aux États-Unis. La Suède n’a jamais fermé de restaurants, de bars, d’établissements sportifs, la plupart des écoles ou salles de cinéma. Le gouvernement n’a jamais ordonné aux gens de porter des masques.

Le Dr Yeadon parle avec amertume des vies perdues à cause des politiques de confinement, et des innombrables vies « sauvées » qui seront encore perdues, à cause d’importantes opérations chirurgicales et d’autres soins de santé différés, si le confinement est réimposé, .

Yeardon est un entrepreneur prospère, fondateur d’une société de biotechnologie qui a été rachetée par Novartis, un autre géant pharmaceutique. L’unité de Yeadon chez Pfizer était l’Unité de recherche sur l’asthme et les maladies respiratoires. (Yeadon, liste partielle des publications).

La Suède pendant les « confinements » internationaux

Pourquoi tout cela arrive-t-il ? Un membre du Congrès américain se dit convaincu du « plan du gouvernement » visant à maintenir le confinement jusqu’à ce qu’un vaccin soit obligatoire. Des théories du complot ?

La liste des nouvelles s’allonge, ce qui reflète défavorablement le récit qui se joue sur les grandes chaînes de télévision, d’un mystérieux « nouveau » virus qui n’a été contrôlé que par une attaque sans précédent contre les droits et libertés individuels, maintenant prêt à bondir à nouveau, sur des populations déjà en souffrance qui n’ont d’autre choix que de se soumettre à de nouvelles injonctions gouvernementales.

Les gouverneurs ont tranquillement étendu leurs pouvoirs indéfiniment en déplaçant le poteau de but, sans le dire, de « l’aplatissement de la courbe » pour soulager la pression sur les hôpitaux, à « aucun nouveau cas ». De « pandémie », à « cas-démic ».

En Allemagne, une organisation de 500 médecins et scientifiques allemands s’est formée, qui affirment que la réponse du gouvernement au virus COVID a été largement disproportionnée par rapport à la gravité réelle de la maladie.

Les preuves de la tromperie s’accumulent. Les CDC et le groupe de travail américain sur les coronavirus, dirigé par le Dr Deborah Birx, affirment tous deux que la définition du décès par COVID a été souple et que les règles favorisent l’appellation COVID chaque fois que cela est possible. Cela ouvre la possibilité d’un nombre de décès largement gonflé. À New York, l’administration du gouverneur Andrew Cuomo fait l’objet d’une enquête fédérale pour avoir signé les arrêts de mort de milliers de personnes âgées en maison de retraite, alors que l’État a envoyé des patients COVID dans les maisons de retraite, malgré les objections impuissantes des cadres et du personnel de ces établissements.

Pourquoi les grands médias ignorent-ils ce qui semblerait être un sujet éminemment médiatique, une rockstar de l’industrie comme Yeadon, en criant les plus grandes armes du monde de la santé publique ? Les talk-shows du dimanche, les Chris Wallace et Meet the Press, ne voudraient-ils pas cuisiner un tel homme pour des audiences records ?

Ici, le discours peut se tourner vers des agendas sombres, et pas seulement de l’incompétence, de l’objectivité et de la stupidité.

Une opinion a été émise par le représentant américain Thomas Massie (R-KY) lors de son intervention au Tom Woods Show le 16 août dernier :

« Le secret que le gouvernement vous cache est qu’il prévoit de nous confiner jusqu’à ce qu’il y ait une sorte de vaccin, et ensuite, que ce soit obligatoire au niveau fédéral ou au niveau de l’État, ou peut-être qu’il persuade vos employeurs par le biais d’un autre programme PPP auquel vous ne pourrez pas prétendre à moins que vous n’obligiez vos employés à se faire vacciner, je pense que c’est leur plan. Que quelqu’un me convainque que ce n’est pas leur plan, car il n’y a pas d’autre issue logique que celle-là. »

Une autre théorie est que la crise du COVID est utilisée pour consolider des niveaux de contrôle des élites sur les individus et la société jamais imaginés auparavant. Cette théorie est avancée par le neveu du président assassiné, Robert F. Kennedy Jr, fils de Bobby Kennedy également assassiné. Dans un discours prononcé lors d’une manifestation massive contre le confinement et la vaccination obligatoire contre le COVID en Allemagne, Bobby Jr. a mis en garde contre l’existence d’un :

« programme de biosécurité, la montée de l’État de surveillance autoritaire et le coup d’État contre la démocratie libérale parrainé par Big Pharma… La pandémie est une crise de convenance pour l’élite qui dicte ces politiques, »

Dans un procès, les témoins médicaux de Kennedy Jr. avertissent que les vaccins obligatoires contre la grippe rendent souvent les enfants plus sensibles au COVID.

Les mises en garde contre les mauvaises intentions de l’« élite » de Kennedy proviennent de sources plus générales. Le Dr Joseph Marcela, du site d’information médicale Mercola.com, un site de confiance à fort trafic, a rédigé une étude minutieuse sur les allégations d’un médecin selon lesquelles des vaccins altérant la génétique arrivent.

Et cela n’apaise pas les craintes qu’un site web de l’establishment de la défense, Defense One, signale que des biopuces permanentes sous la peau, injectables par la même seringue qui contient un vaccin, pourraient bientôt être approuvées par la FDA. Cela n’aide pas la théorie anti-conspiration car, selon Newsweek, le Dr Anthony Fauci a en fait donné des fonds du NIH au laboratoire de Wuhan pour la recherche sur le coronavirus des chauves-souris, si dangereux qu’il a été rejeté par 200 scientifiques et interdit aux États-Unis.

En 1957, une pandémie a frappé, la grippe asiatique H2N2 avec un taux de mortalité de 0,7 %, qui a tué autant de personnes par habitant aux États-Unis que le COVID le prétend aujourd’hui. Il n’en a jamais été fait mention dans les médias à l’époque, sans parler du bouleversement extraordinaire que nous connaissons aujourd’hui. En 1968, la grippe de Hong Kong a frappé les États-Unis (.5 % IFR,), emportant 100 000 personnes alors que la population américaine était nettement plus faible. Pas une seule alerte n’a été donnée, pas un seul magasin n’a été fermé, ni même un reportage du réseau d’information. L’été suivant, le plus grand rassemblement de l’histoire des États-Unis a eu lieu à Woodstock.

L’hystérie de masse n’est jamais accidentelle, mais elle profite à quelqu’un. La seule question à laquelle il reste à répondre est : qui ?

Interview du Dr. Mike Yeadon

https://youtu.be/Ch7wze46md0

Protestation du mois d’août à Berlin contre le confinement et contre la vaccination obligatoire par COVID – Source

Woodstock 1969

Un docteur en Suisse dit que des tests qui n’ont pas servi ont été notés comme positifs :

Lire aussi : Le COVID-19 est-il le déclencheur d’un « nouvel ordre mondial » de stagnation économique et de destruction sociale ?

Source : HubPages – Traduit par Anguille sous roche




Résistons à la quatrième Répression industrielle !

[Source : Solidarity]

[Image : Wikipédia]

[NdNM : « Répression industrielle » représente le revers de la médaille de « Révolution industrielle ».]

Texte traduit de l’anglais depuis https://winteroak.org.uk/2020/04/17/resist-the-fourth-industrial-repression/


La première Répression industrielle nous a vus expulsés de la terre, entassés dans des villes et des villages pleins de monde, utilisés comme chair à canon pour les usines sataniques du nouveau monde capitaliste impulsé par la vapeur.

La seconde Répression industrielle a électrifié les lois de la Machine. De nouvelles générations sont nées sans jamais avoir goûté à la liberté. Leur vie et leurs pensées ont été peu à peu dominées par le rythme de la production industrielle de masse.

La troisième Répression industrielle a annoncé l’arrivée des ordinateurs et des robots. Les êtres humains devaient maintenant se conformer docilement à ces fonctions et normes automatisées.

Et nous sommes maintenant au commencement de la quatrième Répression industrielle, la plus meurtrière d’entre toutes…

La quatrième Répression industrielle veut posséder, contrôler et tirer profit de tout ce qui existe dans ce monde.

Son Internet des objets vise à créer une matrice de connectivité totale, dont elle est la propriétaire.

Toi, ta maison, ta famille, tes amis, tes relations et tes activités appartiendront toutes à la quatrième Répression industrielle.

Ses technocrates ne te voient que comme un morceau de chair interchangeable, une unité parmi des millions, simplement un autre chiffre de son bilan d’exploitation global.

La quatrième Répression industrielle te tracera et saura toujours où tu es, avec qui tu es, ce que tu fais.

Elle exige ta complète obéissance. Tu ne peux pas avoir de valeurs, d’idéaux ou de rêves qui te sont propres, seulement ceux autorisés par le système.

Les unités désobéissantes sont des unités improductives.

La quatrième Répression industrielle saura comment te repérer, ne serait-ce que si tu penses à sortir du rang. Sa surveillance prédictive t’identifiera rapidement comme un élément antisocial, un pré-criminel, un criminel de la pensée.

Elle enverra ses robots et ses drones pour te neutraliser et protéger le bon fonctionnement de la matrice.

Systèmes d’identification digitale. 5G militarisée. Augmentation neuro-technologique du cerveau. Manipulation génétique.

Cybersécurité Macht Frei !
[NdNM : « Rend libre » (la cybersécurité rend libre). Allusion à l’inscription sur le portique d’entrée du camp de concentration d’Auschwitz : « Arbeit macht frei » (Le travail rend libre) ; voir la photo]

La quatrième Répression industrielle ne tolérera aucun comportement ni aucune parole qui présente une menace à la santé et à la sécurité, à la loi et l’ordre, à la résilience et à la prospérité.

Soumission. Sycophanterie. Esclavage. Nous y sommes tous ensemble, citoyen !

La quatrième Répression industrielle veut nous attirer dans ses mâchoires voraces en nous effrayant avec un désastre imminent et en affirmant que personne d’autre ne peut nous sauver.

Elle nous montre la misère et les maladies infligées par la première, la seconde et la troisième Répression industrielle et insiste sur le fait que la « solution » est une quatrième dose du même poison industriel létal.

L’intelligence de la quatrième Répression industrielle est entièrement artificielle et son cerveau de robot sans vie ne peut sentir ce que nous sentons, ressentir ce que nous ressentons, aimer ce que nous aimons.

Elle ignore la valeur intemporelle et vitale des personnes, des animaux, des arbres, des plantes et de l’entière réalité organique dont ils font partis.

Au lieu de cela, elle les voit simplement comme de la matière première pour son propre profit.

Elle est par dessus tout avide de données, des flots sans fin de données à collecter, traiter, vendre et transformer en une richesse qui finance son contrôle total.

La quatrième Répression industrielle souhaite remplacer tout ce qui est vrai et authentique par des répliques, par une réalité qui n’est pas tant virtuelle qu’entièrement fausse.

Et pourtant, sa langue robotique fourchue nous dit que cette réalité bidon est en fait une réalité « améliorée » ou « augmentée ».

La quatrième Répression industrielle souhaite abolir les vies que nous avons connues. Elle veut nous réduire à des puces électroniques, nous enfermer dans des petites cages, nous gaver de substituts alimentaires de synthèse, mélangés avec du soma[1] pour se sentir bien.

Elle ne peut tolérer l’idée que nous puissions jouir de quoi que ce soit gratuitement, comme le soleil, l’air frais et les étendues sauvages.

Elle souhaite avoir le monopole sur notre expérience. Coupés du monde réel, de l’authenticité et de la liberté, nous n’aurons plus d’autres choix que d’acheter et de consommer l’ersatz poison de réalité qu’elle a soigneusement construit.

La quatrième Répression industrielle, comme toutes les autres avant elle, est construite sur notre séparation les uns des autres, la destruction de nos communautés, et la sape de nos solidarités.

La « distanciation sociale » est le prérequis de sa prise de pouvoir total.

La quatrième Répression industrielle nous veut toutes et tous isolées, en ligne et en rang.

La quatrième Répression industrielle vide tout de son sens, en particulier les mots. Elle dit « durable » quand elle veut dire écocide. Elle dit « développement » quand elle veut dire destruction. Elle dit « revenu de base » quand elle veut dire « esclavage ».

Lorsque la quatrième Répression industrielle parle d’« investissement à impact social », elle veut en réalité dire qu’elle souhaite transformer les êtres humains en des opportunités d’investissement lucratives.

Capital humain. Bétail humain.

Lorsque la quatrième Répression industrielle parle de « nouveau pacte pour la nature », elle veut en réalité dire qu’elle souhaite privatiser l’ensemble du monde vivant dans le but de rendre la classe des milliardaires plus riche encore qu’elle ne l’est déjà.

Lorsque la quatrième Répression industrielle exige la « biosécurité », cela signifie la sécurité de ses propres systèmes de contrôle contre la menace de la réalité biologique. De la nature, de la vie, de nous-même !

La quatrième Répression industrielle se croit si intelligente. Sa propagande tape-à-l’œil nous promet une mobilité intelligente dans une économie intelligente, une vie intelligente et une gouvernance intelligente pour les personnes intelligentes de demain.

La monnaie intelligente fait partie du projet de la quatrième Répression industrielle. La monnaie intelligente de celles et ceux qui sont dans le coup. Intelligent est le nouveau prétentieux[2].

La quatrième Répression industrielle emploie de gigantesques armées de menteurs professionnels et de naïfs pour diffuser sa propagande et crier à l’abus à quiconque ose remettre en question ses mensonges alarmistes.

La quatrième Répression industrielle est un culte macabre qui rêve d’éradiquer tout ce qui est naturel, tout ce qui est sauvage, tout ce qui est libre.

Résistons à la quatrième Répression industrielle !

Combattons la quatrième Répression industrielle !


[1] Référence à la drogue fictive du roman Le meilleur des mondes d’Aldous Huxley.

[2] Dans la version anglaise, « Smart is the new smug » fait certainement référence à l’expression cliché « X is the new black », utilisée dans le domaine de la mode pour parler d’une couleur (X) qui est la nouvelle tendance.




#Keanu Reeves « Les humains sont sur le point de se libérer de la Matrice. »

Publié par Herve Guiet 

dimanche 18 novembre 2018

Keanu Reeves « Les humains sont sur le point de se libérer de la Matrice. »

« Les humains sont sur le point de se libérer de la Matrice. »

Selon Keanu Reeves, une guerre est en cours qui façonnera l’avenir de l’existence humaine et le monde que nous laissons à nos enfants est « silencieusement optimiste » quant à l’avenir parce que « l’humanité montre des signes de rupture avec la matrice. »

« La race humaine est réduite à l’esclavage depuis des milliers d’années », a déclaré Keanu Reeves en filmant un spot dans le désert de Mojave, expliquant que 

« nous avons été maintenus dans une prison mentale par des élites obscures et des sociétés secrètes qui ont fait tout leur possible pour nous opprimer et nous empêcher de réaliser notre potentiel. Mais la star de Matrix, qui filmait des scènes de la publicité du Super Bowl de Squarespace, dit que la matrice du monde réel commence à craquer.
L’humanité montre des signes de libération de la matrice. Quel moment pour être en vie ! Nous vivons une époque passionnante. »

Expliquant qu’il a étudié des textes anciens, y compris le Vedanta et les Upanishads, et qu’il a appris la nature de la réalité, Keanu a dit :

« Oui, bien sûr, il y a beaucoup de gens qui ne s’intéressent qu’aux Kardashians, mais une partie importante de la population a été réveillée. Le plus important, c’est qu’il y a maintenant une guerre entre nos maîtres suprêmes et ceux qui veulent nous libérer. »

Quelle est la matrice ?

Keanu Reeves dit que la matrice est un univers holographique qui nous est projeté par ceux qui veulent nous contrôler. L’humanité a été réprimée et contrôlée de cette façon pendant des millénaires. Nous pensons que c’est réel, mais en réalité c’est juste un film qui se reproduit dans la conscience collective, qui se présente comme « réalité ».

Keanu Reeves n’est pas le seul à croire que l’humanité vit dans une matrice depuis des milliers d’années.
Certaines des personnes les plus riches et les plus influentes du monde sont convaincues que nous vivons dans une simulation numérique. Au moins deux des milliardaires de la Silicon Valley investissent de l’argent pour sortir les humains de la simulation dans laquelle ils pensent que nous vivons. Elon Musk croit que les chances que nous ne vivions pas dans une simulation matricielle informatisée sont « des milliards pour un ».

« Beaucoup de gens dans la Silicon Valley sont devenus obsédés par l’hypothèse de la simulation, l’argument que ce que nous vivons comme réalité est en fait fabriqué sur un ordinateur. »

écrit Tad Friend du New Yorker.

« Deux milliardaires de la technologie sont allés jusqu’à impliquer secrètement des scientifiques pour travailler à nous sortir de la simulation.
Mais Keanu Reeves pense que les garçons de la Silicon Valley font quelque chose de mal en essayant de se débarrasser de la matrice. Il a un tuyau pour les milliardaires de la technologie :
Remettez vos portefeuilles dans vos poches. Cela n’a rien à voir avec l’argent ou les ordinateurs. C’est un changement spirituel qui doit avoir lieu, pas un piratage.»

Selon Keanu, ce changement spirituel a lieu. Les gens en ont assez des guerres inutiles, du leadership totalitaire et du contrôle autoritaire. Les gens se réveillent à ce qui est vraiment important dans la vie.
Je pense que les gens avaient vraiment peur que le monde s’écroule, vous savez, très récemment. J’avais l’impression que les choses étaient devenues incontrôlables. Nous avons perdu tout espoir de pouvoir nous sauver des forces obscures du monde. Mais ouvre les yeux une minute et regarde autour de toi ce qui se passe. Il est étonnant que des gens comme Trump soulèvent le voile dans une incroyable toile de manipulation interconnectée. L’aimer ou le détester, c’est permettre à l’humanité de se réveiller de son sommeil et de voir que les mêmes quelques personnes, les mêmes sociétés secrètes, le bona fide Nouvel Ordre Mondial, contrôlent activement nos vies et répriment notre véritable capacité. Mais les gens se réveillent lentement. Il est temps de regagner notre pouvoir infini et d’ouvrir les portes de la prison mentale qui nous ont motivés à nous construire. Ce n’est pas une chose facile à faire, mais il est temps de marcher dans la lumière de la liberté.

® https://interetpourtous.blogspot.com/2018/11/keanu-reeves-les-humains-sont-sur-le.html [NdNM : la page source n’existe plus.]




L’effet Macron-Rothschild : des élèves de CM1-CM2 rencontrent des banquiers à l’école

[Source : Égalité et Réconciliation]

Bonjour
le symbole. Après les déportés qui viennent raconter la Souffrance,
après les couples LGBT qui viennent raconter les joies de
l’Homosexualité et de la Masturbation, les enfants des écoles se tapent
maintenant la tournée des banquiers. C’est logique, du point de vue du
Système : Macron est un peu la fusion de toutes ces minorités
dominantes.

L’argent n’est pas un tabou, ou ne devrait pas l’être. Mais le conflit social en France depuis 250 ans a fait de l’argent l’objet central de toutes les convoitises et de toutes les discussions. L’idéologie du profit anglo-saxonne a envahi d’abord notre sphère économique, puis politique, puis sociétale. Maintenant beaucoup de jeunes se battent, et souvent entre eux, pour « faire du fric », mais il n’est pas seulement question de survie : c’est la course au fric pour le fric. Une fois que les besoins élémentaires sont couverts, on pourrait penser que l’être humain en général et le Français en particulier passerait à autre chose mais non. Il y a l’excitation de la consommation, le toujours plus érigé en stratégie individuelle et collective. On part en vacances en Croatie mais on rêve de Cuba, on mange à l’Hippo mais on rêve de Bocuse… Nietzsche disait, dépité, que c’était humain, trop humain.

La société française a donc été, propagande aidant, décomplexée non pas sur l’argent mais sur le profit, nuance. Du fric il en faut ; l’idéologie du profit, c’est plus dangereux, ça fout les peuples en l’air d’une façon ou d’une autre et ça n’enrichit qu’une minorité infime, les 1% dont parlent les Pinçon-Charlot. Voilà pourquoi on se retrouve en pleine « semaine européenne de l’argent », et que « la Fédération Française bancaire lance cette semaine la cinquième édition de son opération « J’invite un banquier dans ma classe », pour apprendre aux écoliers à gérer un budget à l’aide d’un jeu ». C’est francetvinfo qui nous l’apprend.

La version 2018 de « J’invite un banquier dans ma classe » (notez que les mômes préféreraient inviter Mbappé) :

Des questions sur vos parents qui se font entuber par leur banquier, les enfants ?

La cerise sur le gâteau carbonisé, c’est que les visiteurs de la
Banque viennent dans les classes de pauvres (une CM1-CM2 de Paris XIXe
classée en ZEP, zone d’éducation prioritaire), c’est-à-dire que les
envoyés – en l’occurrence la directrice générale de la Fédération
bancaire française, Marie-Anne Barbat-Layanides – des grands prédateurs
nationaux et transnationaux rendent visite aux enfants de leurs
victimes !

« Je savais que l’épouse du chef de l’État ne devait pas avoir de
rôle politique. Quand on voit ce qui est arrivé à Marie-Antoinette… Et
l’impératrice Eugénie a fait faire beaucoup de bêtises à son mari. Je me
voyais plutôt comme une sorte de “public relations”, un intermédiaire
entre le Président et les Français. C’est pour cela que j’ai fait tous
ces déplacements en province, plus d’une centaine en sept ans. »
(Anne-Aymone à Paris Match)

On dirait madame Giscard chez les pauvres dans les années 70 ! Les
exercices donnent le tournis, surtout quand on sait que ces mômes ont
toutes les chances de ne jamais crouler sous la thune :

« « Mon père a acheté un tableau à un jeune artiste qu’il expose dans
la salon. Il est ravi, il dit que c’est un investissement », lit sagement
un élève. « Qu’est-ce que cela signifie ? » « C’est lorsqu’on met de
l’argent de côté ? », tente un élève. « Non. Là ton papa n’a pas mis
l’argent de côté, il l’a dépensé », explique la maîtresse. « Le principe
de l’investissement, c’est que j’espère que je vais gagner plus d’argent
après, que l’argent que j’avais mis au départ. Le point est à moitié
gagné ! » »

Compris, les pauvros ? On ne dépense pas son fric en conneries, on le
laisse à la banque qui saura le gérer et ensuite, si jamais vous avez
un petit découvert, elle saura vous taper sur la gueule et vous
extorquer tout ce qu’elle peut ! En tout cas la Barbat elle est
contente, la future génération va bien se faire ratisser :

« Il se trouve qu’il est intéressant pour les banquiers d’avoir des
clients qui savent gérer leur argent. Là, c’est une première étape pour
leur donner quelques notions et il est surprenant de voir à quel point
les enfants sont désireux d’apprendre. »

La conclusion de l’article confirme l’anglo-saxonnisation de la France sur le sujet :

« On aurait pu supposer qu’à annoncer la venue de banquiers dans les
écoles, certaines voix auraient pu s’élever du côté des parents
d’élèves. « Il n’y a eu aucune question particulière, fait remarquer la
maîtresse. Je pense qu’ils sont très enthousiastes : ce sont des enfants
qui grandissent, et ils auront de plus en plus à dépenser de l’argent,
sous toutes ses formes. C’était ludique, interactif, très bien pour leur
âge. » »

Il ne reste plus qu’à attendre la visite de la troïka formée par un
déporté, un couple LGBT et un banquier et là, on sera au nirvana de
l’excitation macronique.

Attendez, une dernière pour la route !

Que le CRIF nous pardonne cette saillie (qui risque un jour de
devenir réalité) : on pourrait faire des économies – l’école française
n’est pas riche – en fusionnant nos trois minorités en une seule qui
serait un banquier déporté à tendance homosexuelle. Là les mômes en
apprendraient plus sur le Système en une heure qu’en 12 ans de
scolarité. Reste à voir si les parents sont d’accord car un banquier
pédé, ça peut avoir des effets pervers…

Nino a été banquier, il raconte :

Emmanuel, aujourd’hui banquier qui a réussi, se retrouve face à des enfants pour son grand débat personnel. Cliquez ici pour comprendre comment on devient banquier :

On attend maintenant, l’école étant un lieu politiquement neutre, que des marxistes purs et durs viennent expliquer la logique du profit et ses conséquences aux mêmes élèves.




A chacun ses « droits de l’homme » !

[Source : Librairie Tropiques]

par Bruno Guigue

Dans son ouvrage intitulé Le Piège de Thucydide,
l’universitaire américain Graham Allison se demande comment les
Etats-Unis vont pouvoir enrayer la montée de la Chine. Ce ne sera pas en
lui faisant la guerre, reconnaît cet auteur, car la puissance militaire
chinoise est dissuasive, et en cas d’affrontement, les dommages causés
aux uns et aux autres seraient insupportables. Ce ne sera pas non plus
sur le terrain économique, car sur ce terrain, estime Graham Allison,
les Chinois ont déjà détrôné l’ex-première puissance planétaire et il y a
tout lieu de penser qu’ils vont confirmer cet avantage dans les années à
venir.

Faut-il
donc que les Etats-Unis se résignent à la victoire de leur nouvel
adversaire systémique au moment où Mike Pompeo, le chef de la diplomatie
américaine, désigne le parti communiste chinois comme le « principal
ennemi » de son pays ? Graham Allison répond alors par la négative. Si
l’on ne peut rien attendre d’un conflit armé parce qu’il serait
suicidaire, ni d’une compétition économique perdue d’avance, il reste
toutefois un domaine où Washington peut compenser son infériorité,
dit-il, et ce domaine est celui des « droits de l’homme ».

Comme
jadis face à l’Union soviétique, la litanie des « droits de l’homme »
est le carburant idéologique de la nouvelle guerre froide. Si l’on en
croit les dirigeants américains, et ce discours est relayé par une
presse occidentale servile, les Chinois commettraient des horreurs sans
nom contre leur propre population. Au Xinjiang, région autonome du
Nord-Ouest de la Chine, « des millions » de Ouïghours seraient enfermés
et torturés dans des camps de concentration. Or cette accusation
grotesque a été démentie par Pékin et par des dizaines de pays musulmans
qui se félicitent de la politique préventive et répressive menée par la
Chine contre le terrorisme d’importation made in CIA.

A
Hong Kong, lors des manifestations populaires qui ont secoué l’ancienne
colonie britannique, la presse occidentale prophétisait un bain de sang
analogue au « massacre » de la Place Tiananmen. Malgré les provocations
d’agitateurs extrémistes ouvertement soutenus par les Etats-Unis, le
maintien de l’ordre par la police de Hong Kong s’est caractérisé au
contraire par sa retenue, offrant un contraste saisissant avec la
violence déchaînée en France, au même moment, contre les Gilets Jaunes,
avec ces dizaines de milliers d’arrestations, ces 200 blessés graves et
ces 25 mutilés qui portent l’empreinte de notre belle « démocratie » et
dont il n’y a aucun équivalent en Chine, un pays pourtant qualifié par
l’Occident de « dictature totalitaire ».

Ainsi
la propagande invente un monde imaginaire où la conscience occidentale
vierge de toute impureté, en croyant dénoncer les turpitudes commises
par les autres, ne chasse que des fantômes. Elle excelle dans l’art de
fabriquer des faits inexistants, d’anticiper des événements
invraisemblables et de substituer à la réalité des faits une réalité
fantasmée. Et à chaque fois, à chaque mensonge, cette propagande brandit
les « droits de l’homme » comme Moïse brandissait les Tables de la Loi.
Et à chaque fois, l’Occident dopé à la moraline distribue les
châtiments et les récompenses, comme s’il était le dépositaire universel
de ces « droits de l’homme » qui coïncident si aisément avec ses
propres intérêts.

On
se demande bien, pourtant, à quel titre un pays comme les Etats-Unis
serait fondé à juger la politique intérieure des autres pays à l’aune de
principes humanistes. Fondé par des colons esclavagistes et
génocidaires qui se prenaient pour le peuple élu, cet Etat a surtout
brillé durant sa brève histoire par sa capacité à violer les droits de
l’homme non-américain et de l’homme non-blanc, quitte à massacrer des
populations entières lorsqu’elles se montraient peu réceptives au
message salvateur. Comme les autres, la doctrine des droits de l’homme
ne vaut rien s’il s’avère que son application justifie des horreurs. Et
si les droits de l’homme sont « universels et imprescriptibles », ceux
qui les ont constamment à la bouche ont surtout fait la démonstration
qu’ils n’étaient ni l’un ni l’autre.

Il
est légitime, en tout cas, de se demander pourquoi la doctrine des
droits de l’homme est un instrument de propagande si commode. On
pourrait répondre, bien sûr, par la thèse du détournement pervers. Si la
doctrine justifie ce qu’elle paraît condamner, c’est que les puissants
l’ont « détournée » de son sens originel. La doctrine serait pure,
certes, mais son usage, lui, serait impur. C’est ce que dit Rousseau à
propos des lois. Idéalement, elles sont l’expression de la volonté
générale, elles visent l’intérêt commun. Mais « dans les faits, dit-il,
les lois sont utiles à ceux qui possèdent et nuisibles à ceux qui n’ont
rien ». Car dans le monde réel ce sont les puissants qui font les lois,
et dans une société injuste, les lois ne peuvent être justes.

Or
on ne peut faire le même raisonnement à propos des droits de l’homme.
On ne peut pas se contenter de dire, par exemple : les droits de l’homme
sont une chose excellente, mais les Etats-Unis les détournent de leur
véritable signification, ils les utilisent pour justifier l’ingérence
dans les affaires des autres nations et couvrir leur impérialisme des
oripeaux de l’humanisme. Naturellement cette proposition est vraie :
oui, les Etats-Unis instrumentalisent la doctrine des droits de l’homme.
Mais il ne suffit pas de faire ce constat. Car si cette
instrumentalisation est possible, c’est qu’il y a quelque chose dans la
doctrine des droits de l’homme qui se prête à cette instrumentalisation.

Pour
saisir cette relation, Il faut se pencher sur la fameuse « Déclaration
des droits de l’Homme et du Citoyen » de 1789. Elle énonce à l’article 1
que « les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits ».
Puis son article 2 précise que « les droits naturels et imprescriptibles
de l’homme sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à
l’oppression ». On notera aussitôt que l’égalité ne fait pas partie explicitement
des droits de l’homme, que la propriété vient immédiatement après la
liberté et que la sûreté, qui garantit la liberté et la propriété,
occupe la troisième place.

On
relèvera aussi la définition de la liberté, à l’article 4, comme «  le
pouvoir de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d’autrui ». Or,
comme dit Marx, cette liberté est celle de « l’homme considéré comme une
monade isolée, repliée sur elle-même ». Purement individuelle, cette
liberté a des limites qui sont « marquées par la loi, de même que la
limite de deux champs est déterminée par un piquet ». Fort logiquement
cette liberté de l’individu s’épanouit avec la propriété, ce droit de
« jouir de sa fortune et d’en disposer à son gré, sans se soucier des
autres hommes, indépendamment de la société ».

Au
fond, conclut Marx, « aucun des prétendus droits de l’homme ne dépasse
l’homme égoïste, l’homme en tant que membre de la société bourgeoise,
c’est-à-dire un individu séparé de la communauté, replié sur lui-même,
uniquement préoccupé de son intérêt personnel et obéissant a son
arbitraire privé. L’homme est loin d’y être considéré comme un être
générique ; tout au contraire, la vie générique elle-même, la société,
apparaît comme un cadre extérieur à l’individu, comme une limitation de
son indépendance originelle » (Sur la Question juive, 1843).

Autrement
dit, les droits affirmés par la déclaration de 1789 sont des droits
abstraits qui ne correspondent à aucune réalité concrète hormis
l’exercice par les propriétaires de leur droit de propriété et la
garantie solennelle que leur offre la société bourgeoise. Elle a beau
proclamer le caractère universel et imprescriptible de la « liberté »,
par exemple, ce ne sont que des mots. Séparée du cadre social
susceptible de lui donner un contenu, cette universalité présumée est
une universalité abstraite, et non une universalité concrète. Si l’on
veut prendre au sérieux la liberté, il faut en faire un droit concret,
et non un droit abstrait. Et pour qu’elle accède à cette réalité
concrète, pour qu’elle ait un contenu, il faut la penser autrement que
comme la liberté de l’individu.

Il
fallait faire ce bref détour par l’analyse théorique pour saisir la
véritable portée de l’idéologie des droits de l’homme. Le texte de 1789
est un manifeste dont la fonction est de rendre légitime le transfert du
pouvoir, sous toutes ses formes, à la bourgeoisie montante. Il entend
justifier la rupture avec la société féodale et ses hiérarchies
héréditaires. Mais il n’affirme l’égalité en droits que pour justifier
les inégalités de fortune. Son principal rédacteur, l’abbé Sieyès, est
l’inventeur de la fameuse distinction entre « citoyens actifs » et
« citoyens passifs » : seuls les premiers, parce qu’ils sont
propriétaires, sont appelés à voter car ils sont « les véritables
actionnaires de la grande entreprise sociale ».

Lorsqu’on
entend certains Etats invoquer les droits de l’homme pour stigmatiser
leurs adversaires, il n’est pas inutile de se rappeler que la
déclaration des droits dont se réclament les premiers n’est que la
déclaration des droits de la bourgeoisie. Lors des débats
parlementaires, Robespierre dénonçait déjà le caractère de classe du
futur texte : « Vous avez multiplié les articles pour assurer la plus
grande liberté à l’exercice de la propriété, et vous n’avez pas dit un
seul mot pour en déterminer le caractère légitime ; de manière que votre
déclaration paraît faite, non pour les hommes, mais pour les riches,
pour les accapareurs, les agioteurs et les tyrans ».

On
comprend mieux, dès lors, que la compassion humaniste de nos
merveilleuses « démocraties » soit à géométrie variable. Les Etats-Unis
n’ont jamais émis la moindre réserve à l’égard de leur ami, le dictateur
cubain Fulgencio Batista, et de ses pratiques répressives, mais ils ont
déchaîné leur propagande contre Cuba le jour où le gouvernement
révolutionnaire de Fidel Castro a décidé de nationaliser les actifs des
compagnies américaines installées sur le sol national. La « liberté »,
pour Washington, c’est le droit de ses propres compagnies à encaisser
indéfiniment les profits de l’exploitation économique d’un petit pays de
la Caraïbe. Manifestement, la « liberté » n’est pas le droit d’une
nation à défendre sa souveraineté et à promouvoir son développement.

Si
les dirigeants des Etats-Unis, aujourd’hui, tentent de déstabiliser la
Chine, ce n’est pas parce qu’il y a des « millions de Ouïghours » dans
des camps de concentration. Ils savent très bien que c’est une fable
grotesque, analogue à l’attaque des vedettes nord-vietnamiennes, aux
armes de destruction massive de Saddam Hussein, aux couveuses de
Koweit-City, aux tueries imaginaires de Kadhafi et aux crimes chimiques
de Bachar Al-Assad. Le droit-de-l’hommisme made in CIA est une
formidable usine à mensonges, acharnée à occuper le quantum de cerveau
disponible des téléspectateurs occidentaux pour justifier ses opérations
prédatrices, avec le concours d’ONG trop heureuses d’apporter leurs
boules de neige à cette avalanche de calomnies qui s’abat sur les pays
qui osent résister à l’hégémonisme occidental.

Si
Washington veut en découdre avec la Chine, donc, ce n’est pas parce que
les Chinois sont opprimés par une abominable dictature et qu’ils rêvent
secrètement de connaître le bonheur de vivre à l’américaine, avec
fusillades dans les collèges, discrimination raciale, mafias en tout
genre et soupes populaires. C’est, tout simplement, parce que ce pays
est attaché à sa souveraineté, qu’il est doté d’un système performant,
que ses dirigeants en ont fait la première puissance de la planète et
que les perspectives de profit de l’oligarchie financière mondialisée
dont le quartier général est à Wall Street, dans ces conditions, tendent
sérieusement à s’amenuiser au même rythme que l’espoir, pour les
Etats-Unis, de préserver une hégémonie vacillante.

On
ne s’en étonnera pas, bien sûr, mais que les Chinois aient sorti de la
pauvreté 700 millions de personnes en 20 ans n’intéresse guère les
belles âmes du droit-de-l’hommisme occidental. Brillant théoricien du
néolibéralisme, Friedrich Hayek estimait que les droits sociaux inscrits
dans la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 étaient
une abomination. Ces droits à la vie, au travail, à la santé ou à
l’éducation ont pourtant le double mérite d’être véritablement
universels dans leur définition et de correspondre à des possibilités
concrètes dès lors que les Etats leur offrent un contenu. Contrairement à
la Déclaration de 1789, celle de 1948 traduisait en effet un rapport de
forces entre bourgeoisie et classes populaires issu du pacte social
scellé à la Libération et favorisé par l’effondrement du libéralisme.

Au
vu des résultats, certains pays semblent avoir pris au sérieux les
droits sociaux proclamés en 1948. Ces pays n’ont rien de libéral, et
c’est pourquoi ils se sont dotés, au profit du grand nombre, d’un
système éducatif et d’un système sanitaire qui fonctionnent. Malgré le
blocus, Cuba a créé un système de santé récompensé par l’OMS, et
l’espérance de vie à Cuba (80 ans) a dépassé celle des Etats-Unis (79
ans). Lors de la dernière évaluation internationale des systèmes
éducatifs (PISA), qui a porté sur un échantillon de 600 000 lycéens dans
50 pays au cours de l’année 2018, la République populaire de Chine est
arrivée en tête à égalité avec Singapour. Ces résultats obtenus
aujourd’hui par un pays qui comptait 80% d’analphabètes en 1949
devraient faire réfléchir tous ceux qui s’intéressent à la
transformation effective des droits formels en droits réels.

Mais
le droit-de-l’hommisme ordinaire, celui des ONG, ne s’intéresse qu’aux
droits individuels et délaisse les droits collectifs. Sa compassion pour
l’humanité souffrante est sélective. Il ne se mobilise que pour des
minorités ou des individus isolés, agissant au cas par cas en
sélectionnant ceux qu’il juge dignes de son attention. Il veut combattre
la discrimination et non l’exploitation, l’exclusion et non la
pauvreté, la privation de liberté infligée à quelques-uns et non la
misère imposée au grand nombre. Il ne connaît que des individus porteurs
de droits et se soucie peu de savoir s’il y a parmi eux des riches et
des pauvres. Le seul combat qui compte à ses yeux vise à aligner des
individus abstraits sur un standard restreint aux libertés formelles.

En
réalité, le droit-de-l’hommisme ordinaire occulte le fait que les
libertés ne sont effectives que si les droits collectifs sont garantis
par certaines structures sociales. Il tend à masquer le fait que les
droits sont réels si les individus sont correctement nourris, logés,
éduqués et soignés, et ces conditions ne sont réunies à leur tour que si
l’État prend les choses en main et les inscrit dans la durée. Bref, ces
belles âmes oublient tout simplement que les individus ne sont rien
sans la société et que les droits dont on réclame l’application ne sont
que du vent si la société, délibérément, ne leur donne pas un contenu
concret au lieu de s’en remettre aux mirifiques lois du marché vantées
par un libéralisme frelaté.

Cultivant
cet oubli, et participant de cette occultation, les ONG pétries
d’humanisme réduisent alors l’humanité souffrante à un agrégat
indistinct d’individus abstraits, atomisés, dont le sort n’est
intéressant que s’il témoigne d’une violation réelle ou imaginaire de
leurs droits individuels, de préférence dans un pays exotique qui se
trouve dans le collimateur de Washington. C’est sans doute pourquoi le
principal événement sociologique planétaire des deux dernières
décennies, à savoir l’éradication de la pauvreté en République populaire
de Chine, les intéresse beaucoup moins que les camps de concentration
imaginaires du Xinjiang et les poubelles renversées par de jeunes
imbéciles dans le métro de Hong Kong.

Bruno Guigue
 

Pour en savoir plus…

La Question Juive

(où Marx traite la question de l’émancipation politique)

K. Marx
1843

Extrait

D’après
Bauer, l’homme doit sacrifier le « privilège de la foi », pour pouvoir
recevoir les droits généraux de l’homme. Considérons un instant ce qu’on
appelle les droits de l’homme, considérons les droits de l’homme sous
leur forme authentique, sous la forme qu’ils ont chez leurs inventeurs,
les Américains du Nord et les Français ! Ces droits de l’homme sont,
pour une partie, des droits politiques, des droits qui ne peuvent être exercés que si l’on est membre d’une communauté. La participation à l’essence générale, à la vie politique commune à la vie de l’État, voilà leur contenu. Ils rentrent dans la catégorie de la liberté politique, dans la catégorie des droits civiques qui,
ainsi que nous l’avons vu, ne supposent nullement la suppression
absolue et positive de la religion, ni, par suite, du judaïsme. Il nous
reste à considérer l’autre partie, c’est-à-dire les « droits de l’homme », en ce qu’ils diffèrent des droits du citoyen.

« Nul ne doit être inquiété pour ses opinions même religieuses.
» (Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, 1791, art. 10.) Au
titre de la Constitution de 1791 il est garanti, comme droit de l’homme :
« La liberté à tout homme d’exercer le culte religieux auquel il est
attaché. »

La
Déclaration des droits de l’homme, 1793, énumère parmi les droits de
l’homme, art. 7 : « Le libre exercice des cultes. » Bien plus, à propos
du droit d’énoncer ses idées et ses opinions, de se réunir, d’exercer
son culte, il est même dit : « La nécessité d’énoncer ces » (Voir la
Constitution de 1795, titre XIV, art. 345.)

«
Tous les hommes ont reçu de la nature le droit imprescriptible d’adorer
le Tout-Puissant selon les inspirations de leur conscience, et nul ne
peut légalement être contraint de suivre, instituer ou soutenir contre
son gré aucun culte ou ministère religieux. Nulle autorité humaine ne
peut, dans aucun cas, intervenir dans les questions de conscience et
contrôler les pouvoirs de l’âme. » (Constitution de Pennsylvanie, art.
9, § 3.)

«
Au nombre des droits naturels, quelques-uns sont inaliénables de leur
nature, parce que rien ne peut en être l’équivalent. De ce nombre sont
les droits de conscience. » (Constitution de New-Hampshire, art. 5 et 6.) (Beaumont, pp. 213-214.)

L’incompatibilité de la religion et des droits de l’homme réside si peu dans le concept des droits de l’homme, que le droit d’être
religieux, et de l’être à son gré, d’exercer le culte de sa religion
particulière, est même compté expressément au nombre des droits de
l’homme. Le privilège de la foi est un droit général de l’homme.

On fait une distinction entre les « droits de l’homme » et les « droits du citoyen ». Quel est cet « homme » distinct du citoyen ? Personne d’autre que le membre de la société bourgeoise. Pourquoi
le membre de la société bourgeoise est-il appelé « homme », homme tout
court, et pourquoi ses droits sont-ils appelés droits de l’homme ?
Qu’est-ce qui explique ce fait ? Par le rapport de l’État politique à la
société bourgeoise, par l’essence de l’émancipation politique.

Constatons
avant tout le fait que les « droits de l’homme », distincts des «
droits du citoyen, » ne sont rien d’autre que les droits du membre de la
société bourgeoise, c’est-à-dire de l’homme égoïste, de l’homme séparé
de l’homme et de la communauté. La Constitution la plus radicale, celle
de 1793, a beau dire : Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. «
Art. 2. Ces droits (les droits naturels et imprescriptibles) sont :
l’égalité, la liberté, la sûreté, la propriété. »

En
quoi consiste la « liberté » ? « Art. 6. La liberté est le pouvoir qui
appartient à l’homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits
d’autrui. » Ou encore, d’après la Déclaration des droits de l’homme de
1791 : « La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à
autrui. »

La liberté est donc le droit de faire tout ce qui ne nuit pas à autrui. Les limites dans lesquelles chacun peut se mouvoir sans nuire à
autrui sont marquées par la loi, de même que la limite de deux champs
est déterminée par un piquet. Il s’agit de la liberté de l’homme
considéré comme monade isolée, repliée sur elle-même. Pourquoi, d’après
Bauer, le Juif est-il inapte à recevoir les droits de l’homme ? « Tant
qu’il sera juif, l’essence bornée qui fait de lui un Juif l’emportera
forcément sur l’essen­ce humaine qui devrait, comme homme, le rattacher
aux autres hommes; et elle l’isolera de ce qui n’est pas Juif. » Mais le
droit de l’homme, la liberté, ne repose pas sur les relations de
l’homme avec l’homme mais plutôt sur la séparation de l’homme d’avec
l’homme. C’est le droit de cette séparation, le droit de l’individu
limité à lui-même.

L’application pratique du droit de liberté, c’est le droit de propriété privée. Mais en quoi consiste ce dernier droit ?

«
Le droit de propriété est celui qui appartient à tout citoyen de jouir
et de disposer à son gré de ses biens, de ses revenus, du fruit de son
travail et de son industrie. » (Constitution de 1793, art. 16.)

Le
droit de propriété est donc le droit de jouir de sa fortune et d’en
disposer « à son gré », sans se soucier des autres hommes,
indépendamment de la société; c’est le droit de l’égoïsme. C’est cette
liberté individuelle, avec son application, qui forme la base de la
société bourgeoise. Elle fait voir à chaque homme, dans un autre homme,
non pas la réalisation, mais plutôt la limitation de sa liberté. Elle
proclame avant tout le droit « de jouir et de disposer à son gré de ses
biens, de ses revenus, du fruit de son travail et de son industrie ».

Restent les autres droits de l’homme, l’égalité et la sûreté.

Le
mot « égalité » n’a pas ici de signification politique; ce n’est que
l’égalité de la liberté définie ci-dessus : tout homme est également
considéré comme une telle monade basée sur elle-même. La Constitution de
1795 détermine le sens de cette égalité : « Art. 5. L’égalité consiste
en ce que la loi est la même pour tous, soit qu’elle protège, soit
qu’elle punisse. »

Et
la sûreté ? La Constitution de 1793 dit : « Art. 8. La sûreté consiste
dans la protection accordée par la société à chacun de ses membres pour
la conservation de sa personne, de ses droits et de ses propriétés. »

La
sûreté est la notion sociale la plus haute de la société bourgeoise, la
notion de la police : toute la société n’existe que pour garantir à
chacun de ses membres la conservation de sa personne, de ses droits et
de ses propriétés. C’est dans ce sens que Hegel appelle la société
bourgeoise « l’État de la détresse et de l’entendement ».

La
notion de sûreté ne suffit pas encore pour que la société bourgeoise
s’élève au-dessus de son égoïsme. La sûreté est plutôt l’assurance
(Versicherung) de l’égoïsme.

Aucun
des prétendus droits de l’homme ne dépasse donc l’homme égoïste,
l’homme en tant que membre de la société bourgeoise, c’est-à-dire un
individu séparé de la communauté, replié sur lui-même, uniquement
préoccupé de son intérêt personnel et obéissant a son arbitraire privé.
L’homme est loin d’y être considéré comme un être générique; tout au
contraire, la vie générique elle-même, la société, apparaît comme un
cadre extérieur à l’individu, comme une limitation de son indépendance
originelle. Le seul lien qui les unisse, c’est la nécessité naturelle,
le besoin et l’intérêt privé, la conservation de leurs propriétés et de
leur personne égoïste.

Il
est assez énigmatique qu’un peuple, qui commence tout juste à
s’affranchir, à faire tomber toutes les barrières entre les différents
membres du peuple, à fonder une communauté politique, proclame
solennellement (1791) le droit de l’homme égoïste, séparé de son
semblable et de la communauté, et reprenne même cette proclamation à un
moment où le dévouement le plus héroïque peut seul sauver la nation et
se trouve réclamé impérieusement, à un moment où le sacrifice de tous
les intérêts de la société bourgeoise est mis à l’ordre du jour et où
l’égoïsme doit être puni comme un crime (1793). La chose devient plus
énigmatique encore quand nous constatons que l’émancipation politique
fait de la communauté politique, de la communauté civique, un simple moyen devant
servir à la conservation de ces soi-disant droits de l’homme, que le
citoyen est donc déclaré le serviteur de l’ « homme » égoïste, que la
sphère, où l’homme se comporte en qualité d’être générique, est ravalée
au-dessous de la sphère, où il fonctionne en qualité d’être partiel, et
qu’enfin c’est l’homme en tant que bourgeois, et non pas l’homme en tant
que citoyen, qui est considéré comme l’homme vrai et authentique.

Le « but » de toute « association politique » est la « conservation des droits naturels et imprescriptible de l’homme ». (Déclar., 1791, art. 2.) – « Le gouvernement est
institué pour garantir à l’homme la jouissance de ses droits naturels
et imprescriptibles. » (Déclar., 1791, art. 1.) Donc, même aux époques
de son enthousiasme encore fraîchement éclos et poussé à l’extrême par
la force même des circonstances, la vie politique déclare n’être qu’un
simple moyen, dont le but est la vie de la société bourgeoise. Il est
vrai que sa pratique révolutionnaire est en contradiction flagrante avec
sa théorie. Tandis que, par exemple, la sûreté est déclarée l’un des
droits de l’homme, la violation du secret de la correspondance est mise à
l’ordre du jour. Tandis que la « liberté indéfinie de la presse » est
garantie (Déclar. de 1793, art. 122) comme là conséquence du droit de la
liberté individuelle, elle est complètement anéantie, car « la liberté
de la presse ne doit pas être permise lorsqu’elle compromet la liberté
publique ». (Robespierre jeune; Histoire parlementaire de la Révolution française, par
Buchez et Roux, tome XXVIII, p. 159.) Ce qui revient à dire : le droit
de liberté cesse d’être un droit, dès qu’il entre en conflit avec la vie
politique, alors que, en théorie, la vie politique n’est que la
garantie des droits de l’homme, des droits de l’homme individuel, et
doit donc être suspendue, dès qu’elle se trouve en contradiction avec son but, ces
droits de l’homme. Mais la pratique n’est que l’exception, et la
théorie est la règle. Et quand même on voudrait considérer la pratique
révolutionnaire comme la position exacte du rapport, il resterait
toujours à résoudre cette énigme : pourquoi, dans l’esprit des
émancipateurs politiques, ce rapport est-il inversé, le but apparaissant
comme le moyen, et le moyen comme but ? Cette illusion d’optique de
leur conscience resterait toujours la même énigme mais d’ordre
psychologique et théorique.

La solution de ce problème est simple.

L’émancipation politique est en même temps la désagrégation de
la vieille société sur laquelle repose l’État où le peuple ne joue plus
aucun rôle, c’est-à-dire la puissance du souverain. La révolution
politique c’est la révolution de la société bourgeoise. Quel était le
caractère de la vieille société ? Un seul mot la caractérise. La
féodalité. L’ancienne société bourgeoise avait immédiatement un
caractère politique, c’est-à-dire les éléments de la vie bourgeoise,
comme par exemple la propriété, ou la famille, ou le mode de travail,
étaient, sous la forme de la seigneurie, de la caste et de la
corporation, devenus des éléments de la vie de l’État. Ils
déterminaient, sous cette forme, le rapport de l’individu isolé à
l’ensemble de l’État, c’est-à-dire sa situation politique, par laquelle
il était exclu et séparé des autres éléments de la société. En effet,
cette organisation de la vie populaire n’éleva pas la propriété. et le
travail au rang d’éléments sociaux; elle acheva plutôt de les séparer du corps de l’État et d’en faire des sociétés particulières dans
la société. Mais de la sorte, les fonctions vitales et les conditions
vitales de la société bourgeoise restaient politiques au sens de la
féodalité; autrement dit, elles séparaient l’individu du corps de
l’État; et le rapport particulier qui existait entre sa corporation et
le corps de l’État, elles le transformaient en un rapport général entre
l’individu et la vie populaire, de même qu’elles faisaient de son
activité et de sa situation bourgeoises déterminées une activité et une
situation générales. Comme conséquence de cette organisation, l’unité de
l’État, aussi bien que la conscience, la volonté et l’activité de
l’unité de l’État, le pouvoir politique général, apparaissent également
comme l’affaire particulière d’un souverain, séparé du peuple et de ses serviteurs.

La
révolution politique qui renversa ce pouvoir de souverain et fit des
affaires de l’État les affaires du peuple, qui constitua l’État
politique en affaire générale, c’est-à-dire en État réel, brisa
nécessairement tous les états, corporations, jurandes, privilèges, qui
ne servaient qu’à indiquer que le peuple était séparé de la communauté.
La révolution politique abolit donc le caractère politique de la société bourgeoise. Elle brisa la société bourgeoise en ses éléments simples, d’une part les individus, d’autre part les éléments matériels et spirituels qui
forment le contenu de la vie et la situation bourgeoise de ces
individus. Elle déchaîna l’esprit politique, qui s’était en quelque
sorte décomposé, émietté, perdu dans les impasses de la société féodale;
elle en réunit les bribes éparses, le libéra de son mélange avec la vie
bourgeoise et en fit la sphère de la communauté, de l’affaire générale du peuple, théoriquement indépendante de ces éléments particuliers de la vie bourgeoise. L’activité déterminée et
la situation déterminée de la vie n’eurent plus qu’une importance
individuelle. Elles ne formèrent plus le rapport général entre
l’individu et le corps d’État. L’affaire publique, comme telle, devint
plutôt l’affaire générale de chaque individu, et la fonction politique
devint une fonction générale.

Mais
la perfection de l’idéalisme de l’État fut en même temps la perfection
du matérialisme de la société bourgeoise. En même temps que le joug
politique, les liens qui entravaient l’esprit égoïste de la société
bourgeoise furent ébranlés. L’émancipation politique fut en même temps
l’émancipation de la société bourgeoise de la politique, et même de
l’apparence d’un contenu d’ordre général.

La
société féodale se trouva décomposée en son fond, l’homme, mais l’homme
tel qu’il en était réellement le fond, l’homme égoïste.

Or, cet homme, membre de la société bourgeoise, est la base, la condition de l’État politique. L’État l’a reconnu à ce titre dans les droits de l’homme.

Mais la liberté de l’homme égoïste et la reconnaissance de cette liberté est plutôt la reconnaissance du mouvement effréné des éléments spirituels et matériels, qui en constituent la vie.

L’homme
ne fut donc pas émancipé de la religion; il reçut la liberté
religieuse. Il ne fut pas émancipé de la propriété; il reçut la liberté
de la propriété. Il ne fut pas émancipé de l’égoïsme de l’industrie; il
reçut la liberté de l’industrie.

La constitution de l’État politique et
la décomposition de la société bourgeoise en individus indépendants,
dont les rapports sont régis par le droit, comme les rapports des hommes
des corporations et des jurandes étaient régis par le privilège, s’accomplissent par un seul et même acte. L’homme tel qu’il est membre de la société bourgeoise, l’homme non politique, apparaît nécessairement comme l’homme naturel. Les
« droits de l’homme » prennent l’apparence des « droits naturels », car
l’activité consciente se concentre sur l’acte politique. L’homme
égoïste est le résultat passif, simplement donné, de la société
décomposée, objet de la certitude immédiate, donc objet naturel.
La révolution politique décompose la vie bourgeoise en ses éléments,
sans révolutionner ces éléments eux-mêmes et les soumettre à la
critique. Elle est à la société bourgeoise, au monde des besoins, du
travail, des intérêts privés, du droit privé, comme à la base de son existence, comme
à une hypothèse qui n’a pas besoin d’être fondée, donc, comme à sa base
naturelle. Enfin, l’homme tel qu’il est, membre de la société
bourgeoise, est considéré comme l’homme proprement dit, l’homme par opposition au citoyen, parce que c’est l’homme dans son existence immédiate, sensible et individuelle, tandis que l’homme politique n’est que l’homme abstrait, artificiel, l’homme en tant que personne allégorique, morale. L’homme
véritable, on ne le reconnaît d’abord que sous la forme de l’individu
égoïste, et l’homme réel sous la forme du citoyen abstrait.

Cette
abstraction de l’homme politique, Rousseau nous la dépeint excellemment
: « Celui qui ose entreprendre d’instituer un peuple doit se sentir en
état de changer, pour ainsi dire, la nature humaine, de transformer
chaque individu, qui par lui-même est un tout parfait et solidaire en
partie d’un plus grand tout, dont cet individu reçoive, en quelque
sorte, sa vie et son être, de substituer une existence partielle et
morale à l’existence physique et indépendante. Il faut qu’il ôte à
l’homme ses forces propres pour lui en donner qui lui soient étrangères
et dont il ne puisse faire usage sans le secours d’autrui. » (Contrat social, livre II.)

Toute émancipation n’est que la réduction, du monde humain, des rapports, à l’homme lui-même.

L’émancipation politique, c’est la réduction de l’homme d’une part au membre de la société bourgeoise, à l’individu égoïste et indépendant, et d’autre part au citoyen, à la personne morale.

L’émancipation
humaine n’est réalisée que lorsque l’homme a reconnu et organisé ses
forces propres comme forces sociales et ne sépare donc plus de lui la
force sociale sous la forme de la force politique.

Karl Marx

1843




Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19

[Source : https://complosphere.com]




[Source : Thana TV]

https://youtu.be/iJHNRwmPkUg

[Source : AgoraVox]

Ariane Bilheran est normalienne (Ulm), psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, chargée de cours à l’Université, auteur, conférencière, consultante.

Auteur de plus de vingt-cinq ouvrages, ses domaines d’expertise sont le harcèlement, la paranoïa, les déviances du pouvoir et la reprise de son pouvoir personnel.

Voir sa fiche wikipédia pour plus de détails

Quelques principes fondamentaux

Au cours de l’Histoire, les marionnettes visibles que l’on vous présente comme vos « gouvernants » (pire, « ministres » lesquels, étymologiquement, sont les « serviteurs » du peuple !) ont très souvent été manipulées par des puissants invisibles, de fins stratèges, qui ont eu le temps d’affiner plusieurs disciplines lors des siècles derniers : la stratégie, l’art de la guerre, la manipulation de masse (émotion, énergie, symboles, hypnose), l’ésotérisme, l’occultisme. Par exemple, Mazarin (et, à travers lui, les Jésuites) gouvernait dans l’ombre de Louis XIII puis de Louis XIV.

Tout est bon pour conquérir le pouvoir et le conserver. Ces puissants vous connaissent souvent beaucoup mieux que vous-mêmes vous ne vous connaissez. Ils savent comment faire réagir les masses. De génération en génération, le savoir se transmet au sein de l’oligarchie qui entend conserver le pouvoir.

Quelques principes sont pourtant célèbres :

– Diviser pour mieux régner
L’ennemi du peuple est alors celui qui opère cette manipulation, et non celui qui est officiellement désigné comme son ennemi.

 Unir contre un bouc émissaire
L’idéal est le bouc émissaire intérieur, celui qui permettra d’asseoir un total contrôle de la population.

 Créer artificiellement le sauveur et le persécuteur
Celui qui vient vous sauver est en réalité à l’origine du problème, et vous sauver lui permet de gagner un surcroît de pouvoir.

Source du texte : [Conscience sans objet]

Le pouvoir et le complot 

Par Ariane Bilheran, le 29 décembre 2015 – Ariane Bilheran 
Auteur de : L’autorité, Psychologie et pathologie, éd. Armand Colin, 2016, et Psychologie de la paranoïa, éd. Armand Colin, 2016

Aujourd’hui, il existe une mode, un clivage, une idéologie, celle des « complotistes » et des « anticomplotistes ».
Les complotistes seraient « ceux qui voient des complots partout », et les anticomplotistes, ceux qui dénoncent les complotistes.
Voilà encore une manière de clôturer tout débat et surtout d’empêcher au peuple de penser l’évidence.

L’exercice malade du pouvoir a, de tout temps, fonctionné par complots.

  • Lorsque Néron programma l’incendie de Rome et fit accuser les chrétiens d’en être les auteurs.
  • Lorsque les Nazis incendièrent le Reichstag et accusèrent les communistes d’en être les auteurs.
  • Lorsque les généraux de l’Armée Française complotèrent un putsch contre De Gaulle.
  • Lorsque Mitterrand programma l’attentat de l’Observatoire contre lui-même pour rehausser son crédit public.

Voici quelques exemples bien connus, mais tant d’autres abondent de façon massive dans l’Histoire de la politique mondiale !

L’essence du pouvoir pathogène est paranoïaque.

Je l’ai suffisamment étudié dans mes travaux depuis des années, pour rappeler que le pouvoir injuste et arbitraire est harceleur, d’essence paranoïaque, tandis que le pouvoir juste se fonde sur l’autorité et l’accès à la triangulation (au tiers).
La perversion quant à elle se met volontiers au service de la paranoïa, dont elle exécute, avec jouissance, technique et savoir-faire, les desiderata.

En d’autres termes, le pouvoir déviant qui fonctionne sur un mode paranoïaque, dit le contraire de ce qu’il fait, énonce des idéaux qu’il souille jour après jour, crée des boucs émissaires (intérieurs et/ou extérieurs), manipule par la terreur et l’empathie, traumatise et harcèle son propre peuple, parfois à l’insu de ce dernier, clive la pensée en “bons” et “méchants”, exerce une propagande idéologique quotidienne, assure le contrôle de l’information de masse et renforce son désir d’extension par la guerre.

Tout ceci est plus ou moins visible et subtil, mais ce type de pouvoir ne gouverne que par complots.
Est paranoïaque, non pas celui qui dénonce cela, mais celui qui exerce ce type de pouvoir.

Le pouvoir pathogène se repère par ses injonctions paradoxales.

Il dit quelque chose et fait le contraire.
Il dit quelque chose et le lendemain, dit le contraire.
Il dit surtout, qu’au nom de la persécution qu’il subirait (et que, souvent, il met lui-même en scène), il doit persécuter.

N’y a t-t-il pas, en outre, une immense injonction paradoxale lorsque le pouvoir vous dit que, pour votre liberté, il va supprimer vos libertés ?
Enfin, le pouvoir paranoïaque persécute ceux qui s’opposent aux guerres, au nom de la « préservation de l’intérêt de la nation », nation dont il aura lui-même, de façon directe ou indirecte, organisé la persécution.

“La privation de l’intime”

(d’après le titre d’un excellent livre de Michaël Foessel)

Pour le bien et la sécurité de tous, le système paranoïaque s’arroge le droit de priver d’intime le groupe ou le peuple qu’il dirige.
Tout est espionné, contrôlé, surveillé, au nom d’idéaux dévoyés.
Lorsque des professionnels de santé ne sont plus en mesure de protéger les données de leurs patients puisqu’ils ne font pas partie des professions « protégées » des perquisitions arbitraires du pouvoir, la privation de l’intime devient très évidente. Est-ce pour votre sécurité ? Ou cela vous expose-t-il ?

Quant à ceux qui crient, face au système paranoïaque, que l’on peut bien les espionner, car ils n’ont rien à cacher… ils méconnaissent gravement les intentions du pouvoir paranoïaque qui sont de dévier l’intime pour le subvertir et le retourner contre toute forme d’opposition.
Quiconque a à cacher son intimité. L’intimité n’est pas uniquement sexuelle, elle est aussi émotionnelle, psychique etc.
Je dois pouvoir dans l’intime ressentir, réfléchir, écrire, débattre librement, sans un « œil de Moscou » – lequel est désormais transféré à Paris – qui surveille, tel un Surmoi archaïque prêt à condamner toute pensée personnelle et vivante, toute différence et toute créativité.

Peu importe que cette surveillance soit réelle, puisqu’elle est désormais ancrée dans le fantasme. Il en est de même pour la censure.
Elle est plus performante d’ailleurs lorsqu’elle est ancrée dans le fantasme.
Il est alors interdit d’exister dans sa subjectivité et chaque individu deviendra lui-même son propre gardien de prison.
Or, l’intime, c’est sacré. L’on protège ce qui est sacré.
Si l’on accepte qu’autrui intruse sa propre intimité, viole son intimité, qui est sacrée, l’on consent à tout profaner, à tout souiller.
Et c’est très grave.

Un pouvoir bienveillant effectivement ne vous fera pas de mal.
Mais un pouvoir bienveillant jamais ne s’autoriserait à venir fouiller chez vous, à vous espionner etc.
Un pouvoir qui espionne son propre peuple relève d’un pouvoir totalitaire, quelle que soit sa dénomination.
Car il faut soi-même ne pas avoir de barrières psychiques ni morales pour oser intruser l’espace intime de l’autre.

Quelques principes fondamentaux

Au cours de l’Histoire, les marionnettes visibles que l’on vous présente comme vos « gouvernants » (pire, « ministres » lesquels, étymologiquement, sont les « serviteurs » du peuple !) ont très souvent été manipulées par des puissants invisibles, de fins stratèges, qui ont eu le temps d’affiner plusieurs disciplines lors des siècles derniers : la stratégie, l’art de la guerre, la manipulation de masse (émotion, énergie, symboles, hypnose), l’ésotérisme, l’occultisme. Par exemple, Mazarin (et, à travers lui, les Jésuites) gouvernait dans l’ombre de Louis XIII puis de Louis XIV.

Tout est bon pour conquérir le pouvoir et le conserver.
Ces puissants vous connaissent souvent beaucoup mieux que vous-mêmes vous ne vous connaissez.
Ils savent comment faire réagir les masses.
De génération en génération, le savoir se transmet au sein de l’oligarchie qui entend conserver le pouvoir.

Quelques principes sont pourtant célèbres :

  • Diviser pour mieux régner
    L’ennemi du peuple est alors celui qui opère cette manipulation, et non celui qui est officiellement désigné comme son ennemi.
  • Unir contre un bouc émissaire
    L’idéal est le bouc émissaire intérieur, celui qui permettra d’asseoir un total contrôle de la population.
  • Créer artificiellement le sauveur et le persécuteur
    Celui qui vient vous sauver est en réalité à l’origine du problème, et vous sauver lui permet de gagner un surcroît de pouvoir.

La manipulation par la crainte et la pitié

L’humain produit comme émotions les plus puissantes ce que les Grecs anciens nommaient « la pitié » (entendre, l’empathie) et « la crainte » (la terreur).

S’il n’y a pas de théâtre pour les expulser, alors nous les expulserons dans le théâtre de la « vraie vie » et les masses seront manipulées de cette façon.
Car le théâtre c’est le jeu, et le jeu permet de créer des frontières entre le dedans et le dehors, et, précisément de ne pas jouer dans le réel la scène fantasmée.

C’est pour cela que le théâtre, chez les Athéniens, était un devoir citoyen : assister à une tragédie d’Eschyle ou d’Euripide revêtait la fonction citoyenne d’expulser ce trop-plein d’émotion d’empathie et de terreur, par identification au héros, dont Racine nous disait qu’il devait, pour que l’identification opère correctement, être « mi-coupable, mi innocent » (préface de Phèdre).

Les Anciens l’avaient parfaitement théorisé, sous l’angle de la « catharsis » conceptualisée par Aristote.

Ne nous étonnons pas que les Lettres Classiques soient désormais reléguées au rang d’enseignement pauvre de la « République » (le CAPES de lettres classiques ayant été supprimé, il était donc bien dans le projet de supprimer l’enseignement du latin et du grec) : il y a, dans le savoir des Anciens, dans la philosophie antique, des trésors de compréhension et d’entendement qu’il est désormais malvenu d’enseigner, de transmettre et de connaître.

De tout temps, ceux qui ont désiré exercer un pouvoir sur les peuples n’ont jamais été de gentils agneaux. Et jamais le loup ne vous avertira qu’il est un loup !

L’acculturation des masses fait partie du projet d’aliénation, et les individus doivent être conscients de cela.
Tout ce qui concourt à développer la subjectivité, l’imaginaire, la symbolisation, l’art, la culture, la pensée sera honni des pouvoirs d’essence totalitaire.

Parfois, il existe des gouvernants intègres, qui servent l’idéal plutôt que leurs ambitions personnelles, mais ceci est extrêmement rare.
Rare, parce que ceux qui désirent exercer un pouvoir pathogène sur les peuples ne leur permettent pas d’exercer longtemps le pouvoir (assassinats, meurtres déguisés en suicides, disqualification médiatique…).

Rare aussi, car, comme le disait Platon, ceux qui seraient les plus compétents et les plus sages pour exercer le pouvoir ne désirent précisément pas cette fonction.

Vigilance

Alors, plus que jamais, soyez vigilants face à la manipulation.
Elle se repère notamment par les paradoxes :

  • Au nom de la liberté d’expression, museler des citoyens et procéder à des perquisitions arbitraires, à des assignations à résidence qui empêchent le droit de manifester.
  • Au nom de la liberté et des droits, supprimer des libertés et des droits.
  • Au nom de la lutte contre le terrorisme, semer soi-même la terreur.
  • Au nom de la lutte contre la haine, cultiver et orienter le projet politique vers la haine.

Je rappelle sans cesse Staline et sa « constitution la plus démocratique du monde » en 1936, au même moment où il liquidait ses généraux…

Les interdits de penser

Le pouvoir d’essence paranoïaque censure, prohibe et stigmatise toute pensée différenciée.

Toute pensée qui sort des sentiers battus du dogme commun, sera rejetée, et exposera celui qui l’émet à la moquerie, à l’ostracisme, au bannissement.
Le véritable ennemi n’est pas l’enfant qui a été arraché à sa famille, traumatisé à maintes reprises pour être dissocié en plusieurs personnalités compartimentées manipulables, hypnotisé, endoctriné, et drogué, et qui, en zombie, commettra un attentat à la fleur de l’âge dans lequel lui-même mourra.

Le véritable ennemi est un système mortifère où s’invitent des psychopathes du pouvoir qui auront créé ce robot tueur.

Ne nous trompons pas d’ennemis en désignant des boucs émissaires. Soyons aujourd’hui, plus qu’hier, centrés, surtout si d’autres événements surviennent pour nous déstabiliser.

Travaillons plus que jamais notre sentiment de sécurité intérieure, ne nous laissons ni conseiller ni guider par et vers la peur.

Revenons simplement à l’analyse de ce que nous servons.

Servons-nous des énergies positives de construction, de vie, ou servons-nous désormais des énergies de mort ?

Il existe deux vérités universelles, qu’il est bon de rappeler :

  • La peur engendre toujours la violence (et vice-versa)
  • La haine engendre toujours la haine.

La réalité est systémique, tout fonctionne en miroir et par des processus.
Ainsi, en toute chose qui nous arrive, il est préférable de nous demander “comment ai-je pu y participer ?”

Lorsque j’étais en khâgne, j’avais eu pour sujet de dissertation philosophique « Pourquoi les religions opposent-elles les hommes ? », et j’en avais tiré une conclusion que je ne dénierai pas aujourd’hui : ce ne sont pas les religions qui opposent les hommes, c’est l’instrumentalisation politique et cachée qui les infiltre.

Je connais beaucoup de musulmans meurtris qui ne demandent qu’à pratiquer leur religion en paix, dans la quiétude spirituelle du rapport de l’humain à l’infini qui le dépasse.

Le reste est intégriste, inquisitorial, fanatique et n’a rien à voir avec des Prophètes de paix, comme l’Inquisition en son temps n’avait rien à voir avec le Christ.

Que les textes religieux soient trafiqués a posteriori, pour servir des intérêts de manipulation politique, ce n’est pas nouveau non plus !
Nous voilà face au même scenario, en inversé, que celui qui avait été monté de toutes pièces lors des croisades en infiltrant la religion chrétienne. Ne soyons pas dupes.

Comme si les religions pouvaient s’exporter par la guerre, surtout qu’elles demandent l’adhésion libre du croyant, ceci est un parfait non-sens. Comme si la foi pouvait s’imposer par la force !

En revanche, le pouvoir pathogène, quant à lui, s’exporte bien par la guerre et exulte dans ces rapports de force et de domination.
Et la soumission au dogme unique comporte bien la marque de la paranoïa.

Toute vie humaine est courte sur terre, et nous venons y apprendre à aimer, à vivre, à goûter de la joie et de la beauté, à rencontrer l’harmonie.

  • Ne nourrissez pas la guerre,
  • N’appelez pas la guerre,
  • Ne désirez pas la guerre,
  • Refusez de payer la guerre,

Cette guerre dans laquelle d’autres veulent nous emmener pour leur propre intérêt et leur propre jouissance sadique.

Je suis bien triste aujourd’hui d’avoir à écrire tout cela.

Je vous souhaite de passer d’excellentes fêtes de fin d’année, dans la chaleur, le partage et la communion fraternelle.

Le 29 décembre 2015.
Ariane Bilheran, psychologue, et auteur de Manipulation. La repérer, s’en protéger (Paris, Armand Colin, 2013), de Se sentir en sécurité (Paris, Payot, 2013), et de Soyez solaire ! (Paris, Payot, 2015).


Voir aussi : Hold-Up




Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes

[Source : Le Tribunal de l’infaux]

« La manipulation consciente, intelligente des opinions et des habitudes organisées des masses joue un rôle important dans une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme social imperceptible forment un gouvernement invisible qui dirige véritablement le pays. »

Edward Bernays, Propaganda, 1928

Si la théorie du conditionnement d’Ivan Pavlov est bien connue, celle de la réflexologie élaborée par son rival, Vladimir Mikhailovic Bekhterev, l’est moins. Elle n’est cependant pas moins pertinente, surtout au cœur d’une crise sanitaire de plus en plus douteuse, exploitée par une élite dont l’un des buts affichés consiste à imposer une « nouvelle normalité » et à vacciner la planète.

Les méthodes employées pour nous faire accepter cette « nouvelle normalité » sont pratiquement identiques à celles employées par certaines sectes et remontent à Bekhterev.

Avant d’explorer les principaux éléments de cette théorie et les tactiques manipulatrices des sectes, observons ce à quoi nous sommes soumis quotidiennement. Nous mettrons l’accent sur le gouvernement du Québec, même s’il n’est pas à l’origine des tactiques employées depuis le début de la crise et ne fait que suivre un certain courant.

Depuis des mois le gouvernement du Québec nous présente régulièrement des points de presse, où l’on nous répète qu’il faut « continuer de se protéger », que le monde ne sera plus jamais pareil « tant et aussi longtemps que nous n’aurons pas un vaccin » et qu’il faut « suivre les consignes », sinon on sera puni.

Comme si ce n’était pas assez, et puisque notre bon gouvernement a notre santé à cœur, on passe en boucle des annonces COVID à la télé, à la radio et dans les commerces, nous rappelant de nous laver les mains, de garder nos distances, de porter le masque, etc.

On nous infantilise.

Ajoutons à cela des articles quotidiens sur les points de presse avec la photo du PM devant le slogan « on continue de se protéger », d’autres innombrables articles sur la COVID, le décompte des morts, des cas et des hospitalisations à la une de nombreux médias, les articles et topos presque quotidiens sur « les complotistes », auxquels sont associés tous les discours qui détonnent, ainsi que l’absence presque totale de points de vue dissidents, et l’on a tous les ingrédients pour procéder à un bon lavage de cerveau.

Ah, n’oublions pas un élément capital : le confinement.

Nous avons donc les 5 ingrédients essentiels d’une bonne secte :

  1. Instauration et répétition d’un discours des autorités
  2. Imposition de règles strictes à suivre
  3. Punition en cas de désobéissance
  4. Réprobation, répression, censure et ostracisation des dissidents
  5. Isolement

Théorie de la réflexologie de Bekhterev : diminuer la résistance, accroître la suggestibilité

Vladimir Mikhailovic Bekhterev

Selon Randal Marlin, auteur de Propaganda and the Ethics of Persuasion, les écrits de Bekhterev « ont marqué les formes de persuasion soviétiques et nazies, ainsi que les méthodes de recrutement employées par certaines sectes contemporaines ».

Selon Bekhterev, trois conditions objectives sont nécessaires pour diminuer la résistance et rendre les foules plus suggestibles :

1. « [Le] confinement à la même position durant de longues périodes : « plus la cible est stationnaire, plus la fatigue est grande, moins il y a de résistance à la tentative d’influence à la fois dans la sphère personnelle et générale, et plus l’événement psychique ultime est frappant »;

2. « La concentration prolongée sur le même sujet (habituellement le leader et son discours) mine la capacité de concentration. [P]lus l’attention requise chez la cible est longue, plus la perte de contrôle de l’attention consciente est grande et plus la possibilité de résister à la tentative d’influence en trouvant des contre-arguments diminue.»

3. « Les méthodes démagogiques du leader, accompagnées de la gestuelle appropriée et des expressions faciales [qui] déterminent l’uniformité de l’humeur, laquelle à son tour définit la direction de l’attention active de la foule, puisqu’une intensification de l’humeur est associée à une disposition à l’action. »

Nous sommes confinés, isolés les uns des autres, bombardés de messages et de nouvelles sur la COVID et nous avons droit à l’humeur sinistre de François Legault, à la menace d’Horacio « bad boy » Arruda, à l’air grave de Christian Dubé et/ou au ton autoritaire de Geneviève Guilbault devant un imposant blindé de la police. Ils exigent de nous tous l’obéissance à leurs règles totalitaires (oui, totalitaires), sans que l’on sache sur quoi celles-ci sont basées. La désobéissance entraîne comme châtiment la culpabilisation, l’ostracisation et l’amende.

Surtout le bad boy.

Geneviève Guilbault se fait intimidante et menaçante devant un immense véhicule sombre de la POLICE. Un peu plus et elle portait une chemise de prisonnier.

La peur joue un rôle primordial dans ce lavage de cerveau, comme nous l’avons expliqué dans L’épidémie de la peur, la Fondation Gates et Big Pharma.

Le lavage de cerveau et les tactiques des sectes

Dans Age of Propaganda: The Everyday Use and Abuse of Persuasion, d’Anthony Pratkanis et Elliot Aronson, tous deux professeurs de psychologie, on trouve un chapitre ironiquement intitulé « Comment devenir le chef d’une secte ».

Les méthodes évoquées sont d’une ressemblance frappante avec celles auxquelles nous sommes soumis actuellement. Les sectes utilisent simplement des méthodes de propagande éprouvées pour « laver les cerveaux » des adeptes.

Le terme « lavage de cerveau » était employé à l’origine pour désigner les tactiques de persuasion employées par les Chinois sur les prisonniers de guerre étasuniens dans les camps. Les auteurs expliquent :

« Ces camps étaient des environnements totalitaires dans lesquels les ravisseurs ont réussi à contrôler les pensées des prisonniers de guerre en contrôlant toutes les sources d’information et en récompensant et punissant respectivement les pensées appropriées et inappropriées. »

(C’est l’auteure qui souligne dans toutes les citations.)

Nous pouvons aisément faire le parallèle avec le contrôle actuel de l’information, de la censure pure et simple aux innombrables articles qui s’acharnent sur les soi-disant complotistes, en passant par les « vérificateurs de faits indépendants », qui n’ont d’indépendant que le nom et s’attaquent à tous les points de vue divergents dans le but de les discréditer et de décourager les questionnements sur le discours dominant.

Être d’accord avec le point de vue officiel (pensées appropriées), fait de vous une bonne personne saine d’esprit, alors que le désaccord (pensées inappropriées), entraîne la réprobation, la culpabilisation, les attaques personnelles et le rejet de la part des élites gouvernementales et médiatiques, rejet qui se propage insidieusement dans les familles. Si vous tenez un discours contraire au discours dominant, vous êtes un complotiste inculte, un égoïste, un danger public, etc.

Par leur manque total de respect des valeurs fondamentales du journalisme que sont le respect des faits et des points de vue, les médias traditionnels sont le foyer de la division au sein de la population. Or, ils font de la projection en accusant ceux qui critiquent le discours officiel de briser des familles, peu importe si leur critique est basée sur des faits vérifiés et vérifiables.

Mention spéciale à La Presse pour son titre original.

D’un côté on a donc la bonne parole martelée par le gouvernement et les médias officiels, observée religieusement par les « bons » citoyens. De l’autre, on a forcément la mauvaise, propagée par les soi-disant complotistes antimasques, hérétiques des temps modernes.

On nous a enfermés dans une logique manichéenne du bien et du mal en manipulant notre besoin fondamental d’appartenance. Questionner le discours dominant donne lieu à l’exclusion sociale et nombreux sont ceux qui se taisent pour ne pas subir cet opprobre.

Secte COVID : les 7 étapes de l’endoctrinement

Examinons maintenant les sept étapes à suivre pour devenir gourou d’une secte selon Pratkanis et Aronson et appliquons-les ensuite au discours de la COVID :

  1. Créer sa propre réalité sociale
  2. Créer un granfalloon (terme inventé par Kurt Vonnegut signifiant « un regroupement fier et insensé d’êtres humains »)
  3. Créer un engagement par le biais d’un piège de rationalisation
  4. Établir la crédibilité et le charme du chef
  5. Envoyer des membres faire du prosélytisme
  6. Distraire les membres en les empêchant d’avoir des pensées « indésirables »
  7. Fixer la vision des membres sur un fantôme.

1. Créer sa propre réalité sociale

Cette réalité se crée en deux étapes, la première en éliminant les sources externes d’information, la deuxième en offrant une nouvelle vision du monde.

1ère étape : Éliminer les sources d’informations externes par l’isolement, la censure et l’autocensure

Selon les auteurs, cette réalité se construit « en éliminant toutes les sources d’information autres que celle fournie par la secte ». L’isolement est clé. Si l’isolement physique est impossible, l’isolement psychologique est nécessaire.

Le confinement de la population, dès lors rivée à un écran d’ordinateur ou de télé, les points de presses quotidiens où l’on nous parle sans cesse de cette « nouvelle normalité en attendant le vaccin » et l’exclusion quasi totale de tout discours divergent dans les médias sont un parfait exemple de la façon dont est créée cette nouvelle réalité sociale.

Ce qu’il y a de particulier actuellement est que ce phénomène a lieu au niveau planétaire, parce qu’il est piloté par des organisations mondiales principalement l’OMS, mais aussi par le Forum économique mondial, une force considérable promouvant l’idée que la vaccination planétaire constitue la seule et unique voie pour sortir de cette crise. Ce discours est répété comme un mantra et par les représentants gouvernementaux et par les journalistes.

La nouvelle normalité promue par l’OMS.
« Un vaccin est désormais nécessaire pour protéger la santé publique et permettre aux gens de retourner confortablement au travail et à l’école. »
La nouvelle normalité selon Bill Gates : « Ce sera semi-normal jusqu’à ce que des milliards de doses du vaccin soient disponibles […] C’est étonnement difficile de fabriquer un vaccin. Ça prend normalement 5 ans. »
« Afin de retourner à la normale, nous devons développer un vaccin sûr et efficace […] Notre fondation est le plus grand bailleur de fonds des vaccins dans le monde et l’effort actuel est gigantesque par rapport à tout ce que nous avons fait auparavant […] Il n’y a tout simplement pas d’autre solution. »

Pratkanis et Aronson ajoutent : « Des limites strictes entre les ‘‘croyants’’ et les ‘‘damnés’’ doivent être maintenues. » Les médias y veillent avec leurs innombrables articles bidons sur les complotistes.

Les deux psychologues notent qu’il est « beaucoup plus pratique d’apprendre aux adeptes l’autocensure en qualifiant tout ce qui ne provient pas ‘‘de la secte’’ comme provenant ‘‘du démon’’ ».

Bien des gens évitent d’exprimer leur désaccord avec les mesures ou leurs critiques du discours dominant de peur d’être qualifiés de complotistes et/ou d’abrutis.

De la suite dans les idées : Lavage de mains et lavage de cerveau.
« Vaincre par l’amour » et « Laissez les enfants respirer » : des slogans complotistes.
Rima Elkouri conseille de ne pas traiter les « antimasques » d’imbéciles, mais on comprend assez rapidement que c’est ce qu’elle pense d’eux.

La journaliste Rima Elkouri suggère tout simplement, à l’instar de son collègue Patrick Lagacé, d’ignorer ces suppôts de Satan.

« En fait, je me demande même si c’est bien nécessaire de donner une tribune dans les médias à ces manifestants souvent adeptes de théories du complot. Ils ont bien sûr le droit de manifester. Mais on a aussi le droit de les ignorer.

L’objectivité en journalisme ne consiste pas à accorder autant de temps d’antenne aux pro-masques et aux anti-masques, aux anti-racistes et aux racistes, aux environnementalistes et aux climatosceptiques, aux pro-vaccins et aux anti-vaccins.

Toutes les opinions ne se valent pas. Chacun a bien sûr le droit à ses propres opinions. Mais pas à ses propres faits.

‘‘La liberté d’opinion est une farce si l’information sur les faits n’est pas garantie et si ce ne sont pas les faits eux-mêmes qui font l’objet du débat’’, disait la journaliste et philosophe Hannah Arendt en 1961. C’est toujours aussi vrai aujourd’hui. »

(Souligné dans le texte.)

La chroniqueuse a tout à fait raison. « [L]’information sur les faits n’est pas garantie » ni dans La Presse ni dans les autres médias traditionnels et « les faits ne font pas l’objet du débat » comme le démontre brillamment son article truffé d’étiquettes et d’insultes et pratiquement dénué de faits.

Rappelons que ce sont les soi-disant complotistes qui ont demandé un débat public sur la crise sanitaire et que Radio-Canada a refusé.

Notre média public a refusé de débattre des faits.

Pas les abrutis d’antimasques.

D’ailleurs, avant d’écrire quoi que ce soit sur la crise sanitaire, il serait bien que Rima Elkouri apprenne d’abord à faire la différence entre le coronavirus et la COVID-19. Un test positif au coronavirus n’est pas un test positif à la COVID-19.

2e étape : offrir une vision du monde de la secte ou « nouvelle normalité »

La création d’un nouveau langage, comme la novlangue du roman dystopique 1984, est une « technique utile à la construction d’une réalité sociale », selon les auteurs d’Age of Propaganda.

Comme nous l’avons vu, on nous le répète ad nauseam, nous devons nous adapter à la « nouvelle normalité ». Les enfants qui ne savent pas lire ne sont pas épargnés :

Cette « nouvelle normalité » est constituée de nouvelles règles totalitaires réorganisant la vie en société, règles qui n’ont absolument rien de normal et sont inculquées grâce à la peur : la peur d’un virus moins dangereux qu’on le prétend, mais surtout la peur de l’autre, incluant les membres de sa propre famille.

Nous assistons à une véritable réingénierie sociale, ou plutôt antisociale, car elle détruit complètement la nature même de l’humanité, de la vie en société, en allant jusqu’à s’attaquer à son noyau : la famille.

On nous désunit, on nous déshumanise en faisant de l’affection un danger en nous faisant croire qu’il faut « faire notre part » et qu’il faut « le faire pour les autres ».

Dans la « nouvelle normalité », on porte un masque, on se distancie, on attend le vaccin.

L’Institut national de la santé publique n’a pas réussi à démontrer l’efficacité du masque? Les règles de distanciation ne reposent sur aucune base scientifique? Les scientifiques n’ont jamais réussi avant 2020 à fabriquer un seul vaccin contre un coronavirus?

Et alors?

Les faits n’ont aucune importance.

On nous répète les mêmes slogans creux, jour après jour, et tout le monde finit par dire la même chose, sans vraiment savoir pourquoi.

Dans La Psychologie des foules, (en PDF ici) Gustave Le Bon explique qu’afin « de faire pénétrer lentement des idées et des croyances dans l’esprit des foules », les meneurs ont recours à trois procédés : « l’affirmation, la répétition et la contagion ».

« L’affirmation pure et simple dégagée de tout raisonnement et de toute preuve, constitue un sûr moyen de faire pénétrer une idée dans l’esprit des foules. Plus l’affirmation est concise, dépourvue de preuve et de démonstration, plus elle a d’autorité […]

Cette dernière n’acquiert cependant d’influence réelle qu’à la condition d’être constamment répétée, et le plus possible, dans les mêmes termes […]

La chose répétée finit, en effet, par s’incruster dans ces régions profondes de l’inconscient où s’élaborent les motifs de nos actions. Au bout de quelque temps, oubliant quel est l’auteur de l’assertion répétée, nous finissons par y croire […]

Lorsqu’une affirmation a été suffisamment répétée, il se forme ce qu’on appelle un courant d’opinion et le puissant mécanisme de la contagion intervientDans les foules, les idées, les sentiments, les émotions, les croyances possèdent un pouvoir contagieux aussi intense que celui des microbes […]

L’imitation, à laquelle on attribue l’influence dans les phénomènes sociaux, n’est en réalité qu’un simple effet de la contagion […] Avec des modèles, on guide les foules, non pas avec des arguments. »

Voilà pourquoi on ne cesse de taper sur les contestataires et de les associer au complotisme. Les gens répètent « antimasque », « complotiste » sans se poser trop de questions et sans savoir pourquoi ils utilisent ces termes qui empêchent la réflexion.

Et voilà possiblement la véritable raison derrière les entrées en scènes masquées des personnalités publiques comme François Legault et son équipe lors des points de presse : imposer la « nouvelle normalité » en donnant l’exemple.

2. Créer un granfalloon

Granfalloon est un mot inventé par Kurt Vonnegut signifiant « un regroupement fier et insensé d’êtres humains ».  

La technique de persuasion du granfalloon consiste à créer deux groupes : les fidèles et les damnés.

Cette technique est employée par les sectes pour contrôler leurs membres en leur rappelant constamment qu’ils doivent agir d’une certaine manière. Combien de fois par jour « votre gouvernement » vous dit de vous laver les mains, de respecter la distanciation, de ne pas voir vos parents et amis? Les fidèles doivent agir d’une certaine manière afin d’être « sauvés ».

Pratkanis et Aronson notent entre autres que les vétérans du groupe servent d’exemple, que la pression du groupe « est appliquée pour assurer la conformité », ce qui a pour effet de créer une « uniformité d’opinions et de comportements dans la secte, lesquels servent en retour à renforcer davantage les pratiques de la secte : si tout le monde le fait, ce doit être correct ».

Dans la nouvelle normalité, le bon citoyen est celui qui non seulement respecte les consignes, mais aussi celui qui écoute « la science », science qui n’a d’ailleurs jamais été présentée par les gourous gouvernementaux. Nous devons nous fier à leur parole.

En revanche, les damnés, ces « complotistes antimasques », sont ceux qui n’écoutent pas la bonne parole étatico-médiatique, ceux qui nient la science, ont une santé mentale discutable et font des choses pas « covidiques » en ne respectant pas les consignes.

« La création d’un groupe extérieur malfaisant sert deux objectifs : elle offre aux membres un sentiment de bien-être par leur appartenance au groupe et multiplie leurs craintes de quitter et ne pas appuyer ce groupe. »

Quitter la secte COVID, c’est rejoindre le groupe de malades mentaux incultes que sont les complotistes antimasques, selon le discours médiatique. Cette technique de manipulation exploite à merveille le besoin fondamental d’appartenance, lié à l’instinct de survie, ce qui facilite la conformité des individus. Choisir de ne pas se conformer, c’est choisir le rejet du gouvernement, des médias et d’une bonne partie de la population.

Certains se conforment donc pour combler leur besoin d’appartenance et non par conviction.

3. Créer un engagement par le biais d’un piège de rationalisation

« Les sectes peuvent assurer l’obéissance des membres en établissant une spirale d’engagements qui s’intensifie : le membre du culte acquiesce à de simples demandes au début, mais elles deviennent de plus en plus exigeantes. »

Afin d’illustrer cette étape, les psychologues expliquent comment James Jones, le gourou du Temple du Peuple, a employé le piège de la rationalisation au point de pousser ses adeptes à commettre un suicide collectif.

« [É]tape par étape, l’engagement envers Jim Jones augmentait. Chaque pas vers la prochaine étape n’était pas en soi très grand ni insensé par rapport au précédent.

Après avoir pris un engagement initial, on ne se sent pas confortable de ne pas tenir sa parole. Afin de justifier la sensibilité de l’engagement initial, le membre est souvent disposé à en faire plus et encore plus afin de satisfaire des engagements de plus en plus exigeants. De cette manière, la résolution de la dissonance et le maintien de l’image de soi comme d’une personne qui tient sa parole forment un puissant piège de rationalisation […]

Il est possible de vaincre un sentiment de stupidité provoqué par le fait de tout donner au groupe en rationalisant ce geste comme étant un dévouement à une noble cause. »

Isolés en Guyane, les disciples en sont venus à boire du Kool-Aid mélangé à du cyanure. Le drame a fait 974 victimes, dont 276 enfants. « Boire le Kool-Aid » est d’ailleurs devenu une expression populaire en anglais pour faire référence aux victimes de techniques de persuasion.

Reste calme et bois le Kool-Aid. James Jones à droite.

Peut-on dresser un parallèle avec la situation actuelle?

Juste deux semaines de confinement, juste la distanciation, juste un masque, juste des plexiglass, juste 28 jours, encore deux semaines, juste les restaurants, les théâtres, les gyms, juste pas de Noël en famille et bientôt juste un vaccin?

Tout ça pour le bien commun.

On fait sa part.

On le fait pour les autres.

Ce qui devait être temporaire au mois de mars est devenu une réalité quotidienne et le demeurera « tant qu’on n’aura pas de vaccin ».

Le 24 mars on nous disait « Tout ça c’est temporaire ».
Six mois plus tard il faut attendre un vaccin. Il faudra attendre 2021, peut-être même 2022 pour que cessent les mesures « temporaires ».

Les mesures draconiennes pour lutter contre la COVID, lesquelles ne font que s’accumuler et s’intensifier, n’ont aucun fondement scientifique, sont anticonstitutionnelles, souvent plus absurdes les unes que les autres, et elles détruisent littéralement nos sociétés.

En acceptant de telles mesures « pour le bien commun » nous sommes pris dans un piège de rationalisation.

Nous commettons un lent suicide collectif.

Nous buvons le Kool-Aid.

4. Établir la crédibilité et le charme du chef

Avec ses points de presse presque quotidiens, François Legault peaufine son image de bon chef de « notre gouvernement ». Tel un curé, il prêche sa bonne ou sa mauvaise nouvelle du jour et agit en prenant toujours plus de mesures pour nous protéger, comme un berger.

Il est guidé par une science invisible comme un prêtre est guidé par dieu. Il se fait bon et rassurant en se disant « prêt à tout […] pour réduire la surcharge de travail des infirmières » et en félicitant nos efforts, comme un bon père de famille.

« Je veux vous dire merci du fond du cœur pour vos efforts et votre solidarité », disait-il le 7 novembre dans une lettre à son peuple.

Cute.

Les points de presse sont à la fois un moyen de contrôler l’image et le message du gouvernement, tout cela, à condition que l’on contrôle également les questions des journalistes, lesquels demandent rarement des preuves et ne questionnent pratiquement jamais « la science » du premier ministre.

François Legault n’est cependant qu’un curé de campagne dans cette histoire. Dans la position du pape, on pourrait être tenté de mettre le directeur de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, mais la place revient plutôt au plus important donateur privé de l’organisation, Bill Gates, un homme dont le prestige éclipse celui de tous les chefs d’organisations internationales réunies.

Bill Gates, le catastrophiste qui n’a pas fait d’études en sciences de la santé, est sur toutes le tribunes, vénéré comme un expert et un sauveur avec son plan de vaccination planétaire.

5. Envoyer des membres faire du prosélytisme

Le prosélytisme peut assurer l’auto-persuasion, affirment les auteurs d’Age of Propaganda. Cela permet aux membres de la secte de « réitérer les avantages d’appartenir à une secte » :

« En tentant de convaincre les autres, les membres se convainquent eux-mêmes. »

Les exemples sont si nombreux que vous pouvez :

  1. nommer le journaliste mainstream de votre choix
  2. compter les [insérer le blasphème de votre choix] d’arcs-en-ciel

6. Distraire les membres en les empêchant d’avoir des pensées « indésirables »

Dans une secte, « il ne faut jamais laisser les recrues penser par elles-mêmes ». Pratkanis et Aronson donnent l’exemple de la secte Enfants de dieu :

« Des versets de la Bible jouent continuellement dans des haut-parleurs, un formateur suit la recrue en prêchant des versets de la Bible et les lettres de MO [le gourou], même lorsque la recrue va aux toilettes. »

Dans la secte COVID, les versets de la Bible ont été remplacées par les annonces COVID gouvernementales jouées sans arrêt à la radio et à la télé, dans les épiceries et autres commerces.

L’endoctrinement à la puissance dix-neuf : affirmation, répétition.

« Une fois que la recrue a accepté la secte », il faut prévenir les pensées indésirables. On peut y arriver en « enseignant que toute ‘‘pensée désagréable’’ est diabolique et provient du démon ». Ainsi, « les membres deviennent leur propre police de la pensée ».

Dans la secte COVID, le doute, la critique du discours dominant et les analyses factuelles différentes, basées sur des statistiques officielles et les discours d’experts dissidents, sont des « pensées désagréables » qui viennent de ces « maudits complotistes antimasques ».

Penser autrement que le point de vue dominant sur la COVID, c’est mal.

7. Fixer la vision des membres sur un fantôme

« Un chef de secte qui a du succès fait toujours miroiter la notion d’une terre promise et une vision d’un monde meilleur pour les fidèles […] Fixer l’attention des membres sur un futur fantôme sert d’incitatif puissant à maintenir le service au groupe […] Les fantômes peuvent créer de l’espoir, un puissant motivateur du comportement humain, en offrant un sens du devoir et un sentiment d’avoir une mission à accomplir. »

François Legault nous offrait un exemple parfait de cette tactique dans sa lettre ouverte le 7 novembre.

Comme si on n’avait pas assez de ses [insérer un blasphème] de points de presse et de ses [insérez au moins deux blasphèmes] d’annonces COVID, notre gourou provincial nous écrit des lettres maintenant.

[Insérez vos sacres favoris]!!!

Legault est bon, Legault est partout.

Sur un ton paternaliste, notre gourou nous fait miroiter un avenir meilleur, grâce au fantôme pharmaceutique :

« J’ai tellement hâte de nous voir enfin tous libérés de ce fardeau. Retrouver les soupers entre amis et les partys de famille. Il y a de l’espoir avec les vaccins qui s’en viennent. En attendant, il faudra plus que jamais faire attention à nous autres, prendre soin de nos proches et de notre voisinage. Il y a beaucoup de solitude et de détresse dans notre société. La pandémie vient aggraver des problèmes qui existaient déjàJe vous demande de faire un effort spécial de bienveillance et d’empathie. »

Ce n’est pas la pandémie qui a aggravé les problèmes.

Ce sont vos mesures, Maître.

En attendant ces jours meilleurs, on boit du Kool-Aid?

Santé*!

* N’oubliez pas les consignes!

  • Buvez du Kool-Aid bleu
  • Respectez les deux mètres de distance
  • Veillez à ne pas toucher les verres des autres
  • Assurez-vous d’identifier votre verre
  • Assignez une personne responsable pour remplir les verres avec des gants
  • Remettez votre masque entre chaque gorgée
  • Faites-le pour les autres
  • Sauvez des vies



Confessions sur la fraude électorale : « J’étais passé maître dans l’art de truquer les bulletins de vote par correspondance »

[Source : Sott.net]

Article original paru le 29 août 2020

Selon un haut responsable démocrate, la fraude électorale, notamment avec les bulletins de vote par correspondance, n’est pas un mythe. Et il le sait parce qu’il le fait, à grande échelle, depuis des décennies.

Les bulletins de vote par correspondance sont devenus le dernier point de mire des élections de 2020. Alors que le président Trump et le Parti républicain mettent en garde contre la manipulation généralisée du vote par correspondance, qui va s’amplifier avec les restrictions du vote COVID, de nombreux démocrates et leurs alliés des médias ont rejeté ces préoccupations comme étant non fondées.

Mais l’initié politique, qui s’est exprimé sous le couvert de l’anonymat par crainte de poursuites judiciaires, a déclaré que la fraude est plus la règle que l’exception. Son sale boulot l’a mené à travers les dédales des élections municipales et fédérales à Paterson, Atlantic City, Camden, Newark, Hoboken et dans le comté d’Hudson. Ses empreintes digitales se retrouvent dans les courses législatives, municipales et congressionnelles locales à travers le Garden State. Certains des plus grands noms et des plus hauts responsables du New Jersey ont bénéficié de ses ruses, selon les comptes rendus de campagne que le Post a examinés.

« Une élection qui est influencée par 500 voix, 1 000 voix – cela peut faire une différence », a déclaré le spécialiste. « Cela pourrait suffire à faire basculer des états. »

Le dénonciateur – dont l’identité, le casier judiciaire et la longue expérience en tant que consultant pour diverses campagnes ont été confirmés par The Post – dit qu’il a non seulement changé lui-même les bulletins de vote au fil des ans, mais qu’il a aussi dirigé des équipes de fraudeurs et encadré au moins 20 agents dans le New Jersey, New York et la Pennsylvanie – un État pivot essentiel pour 2020.

« Il n’y a pas d’élection dans le New Jersey – du conseil municipal au Sénat des États-Unis – sur laquelle nous n’avons pas travaillé », a déclaré l’informateur. « J’ai travaillé sur une élection de commissaires aux incendies dans le comté de Burlington. Plus l’élection est petite, plus c’est facile à faire ».

Bernie Sanders, qui n’a pas de cheval dans la course à la présidence, a déclaré qu’il se sentait obligé de se présenter dans l’espoir que les États agissent maintenant pour régler les problèmes de sécurité flagrants que posent les bulletins de vote par correspondance.

« C’est une chose réelle », a-t-il déclaré. « Et il va y avoir une guerre des F-Rois le 3 novembre prochain pour ce genre de choses… S’ils savaient comment les saucisses sont fabriquées, ils pourraient les truquer. »

Le vote par correspondance peut être compliqué – assez difficile pour que 84 000 New-Yorkais aient vu leurs votes par correspondance rejetés lors des primaires présidentielles démocrates du 23 juin pour les avoir mal remplis.

Mais pour les pros de la politique, c’est du gâteau. Dans le New Jersey, par exemple, cela commence par un bulletin de vote postal vierge remis à un électeur inscrit dans une grande enveloppe. À l’intérieur du paquet se trouvent une enveloppe de retour, un « certificat d’envoi » que l’électeur doit signer, et le bulletin de vote lui-même.

C’est alors que le truqueur des élections entre en action.

Les faux bulletins de vote

Le bulletin de vote ne comporte aucun élément de sécurité spécifique – comme un timbre ou un filigrane – et l’initié a donc déclaré qu’il se contenterait de faire ses propres bulletins de vote.

« J’ai juste passé [le bulletin] dans la photocopieuse et il ressort de la même manière », a déclaré l’initié.

Mais les enveloppes de retour sont « plus sûres que le bulletin de vote ». Vous ne pourriez jamais recréer l’enveloppe », a-t-il dit. Elles ont donc dû être collectées auprès de vrais électeurs.

© Bloomberg via Getty Images

Ses agents se déploient en éventail, allant de maison en maison, pour convaincre les électeurs de les laisser poster les bulletins de vote remplis en leur nom en tant que service public. Le fraudeur et ses sous-fifres rapportent ensuite les enveloppes scellées chez eux et les placent au-dessus d’eau bouillante.

« Il faut les chauffer à la vapeur pour décoller la colle », a expliqué l’initié.

Il retirait ensuite le vrai bulletin de vote, plaçait le faux bulletin à l’intérieur du certificat signé et refermait l’enveloppe.

L’initié a ajouté qu’il avait pris soin de ne pas mettre les faux bulletins dans quelques boîtes aux lettres publiques, mais de les éparpiller dans toute la ville. De cette façon, il a évité d’attirer l’attention comme cela s’est produit lors d’une opération de fraude électorale bâclée lors d’une élection pour le conseil municipal de Paterson, NJ, cette année, où 900 bulletins ont été trouvés dans seulement trois boîtes aux lettres.

« S’ils les avaient dispersés dans toutes les boîtes aux lettres, rien ne serait arrivé », a déclaré l’initié.

Coup monté de l’intérieur

Selon l’informateur, les employés de la poste sont parfois impliqués dans l’escroquerie.

« Vous avez un facteur qui est un anti-Trump enragé et il travaille à Bedminster ou dans un bastion républicain … Il peut prendre ces bulletins [remplis], et sachant que 95% vont à un républicain, il peut simplement les jeter à la poubelle. »

Dans certains cas, les facteurs étaient des membres de son « équipe de travail », et ils triaient les bulletins de vote du courrier et les remettaient à l’agent.

En 2017, plus de 500 bulletins de vote par correspondance à New York ne sont jamais arrivés au comité électoral pour les élections de novembre, ce qui a privé des centaines de personnes de leur droit de vote. Ils ont finalement été découverts en avril 2018. « Pour une raison indéterminée, certains paniers de courrier destinés au bureau des élections de New York ont été mis de côté dans l’installation de traitement de Brooklyn », a déclaré le responsable des élections municipales, Michael Ryan, au moment de la découverte.

Maisons de retraite

La mise en place de structures d’assistance et « l’aide » aux personnes âgées pour remplir leurs bulletins de vote par correspondance a été une mine d’or de votes, a déclaré l’initié.

« Il y a des maisons de retraite où l’infirmière est en fait un opérateur rémunéré. Et ils vont pièce par pièce auprès de ces personnes âgées qui veulent encore se sentir utiles », a déclaré le dénonciateur. « [Ils] le remplissent littéralement pour eux. »

L’informateur a cité l’ancien maire de Jersey City, Gerald McCann, qui a été poursuivi en justice en 2007 après avoir remporté une mince victoire pour un siège au conseil scolaire local pour avoir prétendument incité par la ruse des résidents « incompétents… et malades » de maisons de retraite à voter pour lui. McCann a nié, bien qu’il ait admis avoir aidé certains résidents de maisons de retraite à remplir leurs demandes de vote par correspondance.

Usurpation d’identité d’un électeur

Quand tout le reste a échoué, l’initié envoyait des agents pour voter en direct dans les bureaux de vote, en particulier dans les États comme le New Jersey et New York qui n’exigent pas l’identification de l’électeur. La Pennsylvanie, elle aussi en grande partie, n’en a pas besoin.

Les meilleures cibles étaient les électeurs inscrits qui sautent régulièrement les élections présidentielles ou municipales – des informations qui sont publiquement disponibles.

Alamy Stock Photo

Vous remplissez ces fiches avec le nom et le quartier de cette personne et vous vous promenez dans la ville en disant : « Vous allez être lui, vous allez être lui », a dit l’initié en parlant de la façon dont il a envoyé ses équipes de sales escrocs.

Au bureau de vote, le faux électeur s’inscrivait, « se mettait dans la file et … votait », a dit l’initié. Les imposteurs se contentent de recréer au mieux la signature qui figure déjà sur la liste électorale. Dans les rares cas où un véritable électeur avait déjà signé et déposé son bulletin de vote, l’imitateur ne faisait que mettre en évidence une erreur innocente et s’enfuir.

Soudoyer les électeurs

L’informateur a déclaré que les refuges pour sans-abri du New Jersey offraient un bassin presque inépuisable d’électeurs fiables – et achetables.

« Ils peuvent s’inscrire là où ils vivent, se rendre aux urnes et voter », a-t-il déclaré en riant des 174 dollars par vote que Mike Bloomberg a dépensé pour remporter son troisième mandat de maire. Il a déclaré qu’il aurait pu obtenir le même résultat avec une réduction de 70 %, comme lorsque Frank « Pupie » Raia, un promoteur immobilier et Hoboken nabob, a été condamné l’année dernière sur des accusations fédérales pour avoir payé des résidents à faible revenu 50 dollars par personne pour voter comme il le voulait lors des élections municipales de 2013.

Sur le plan de l’organisation, a déclaré l’informateur, ses manœuvres de fraude électorale dans le Garden State et ailleurs ressemblaient à des organisations mafieuses, avec un patron (généralement le directeur de campagne) qui confiait la gestion quotidienne des soldats de la mafia au sous-patron (lui). Le candidat réel était généralement maintenu dans l’ignorance délibérément afin qu’il puisse maintenir un « déni plausible ».

Dans le cas des votes par correspondance, les partisans des deux parties se réunissent et comptent les bulletins de vote au sein du conseil électoral local – en débattant des bulletins qui doivent être rejetés pour cause d’irrégularités.

© AP

L’initié a déclaré que tout bulletin de vote présenté par lui ou son opération serait accompagné d’un coin plié le long du certificat d’électeur – qui contient la signature de l’électeur – afin que les compteurs du Democratic Board of Election sachent que le problème est réglé et ne s’y opposent pas.

« Il ne reste pas plié, mais vous pouvez dire s’il a été plié », a déclaré l’informateur. « Tant que le certificat n’est pas approuvé, le bulletin de vote n’a pas d’importance. Ils ne peuvent pas voir le bulletin de vote tant qu’ils n’ont pas approuvé le [certificat] ».

« J’ai inventé le pliage des coins », s’est vanté l’initié, en disant qu’une fois les bulletins fixes mélangés avec les bulletins normaux, les jeux étaient faits. « Une fois qu’un bulletin est ouvert, c’est un bulletin anonyme. »

Alors que la loi fédérale prévoit des peines de prison allant jusqu’à cinq ans, les fraudes électorales ont été beaucoup moins sanctionnées. Ainsi, en 2018, une femme du Texas a été condamnée à cinq ans de prison, tandis qu’un homme de l’Arizona, arrêté pour avoir voté deux fois par courrier, n’a reçu que trois ans de mise à l’épreuve. Une étude menée par la fondation conservatrice Heritage a révélé plus de 1 000 cas de fraudes électorales documentées aux États-Unis, dont la quasi-totalité s’est produite au cours des 20 dernières années.

« Il n’y a rien de nouveau dans ces techniques »

a déclaré Hans von Spakovsky, juriste senior à Heritage, qui gère leur initiative de réforme de la loi électorale. « Tout ce dont il parle est parfaitement possible ».

Le comité électoral de la ville a refusé de répondre aux questions du Post sur la sécurité des bulletins de vote.

Source :Jon Levine, New York Post
Traduction Sott.net

Commentaire :




Covid : le crime était presque parfait…

[Source : La MédiaZOne]

Comme nous l’avons révélé dans notre article « Tyrannie au Canada », ce plan machiavélique mis en application dans le bloc OTAN, concocté par les cartels bancaires, les grands groupes financiers et le lobby pharmaceutique et imposé aux gouvernements occidentaux qui en assurent la mise en oeuvre, a des objectifs financiers et politiques. Le Covid sert juste de couverture à cette opération criminelle.

Pour mettre un terme à cette fausse pandémie, la destitution de Macron est le seul remède…

Soyons clairs. Cette fausse pandémie concerne essentiellement les pays de l’OTAN, et accessoirement les pays sous influence occidentale. En Russie, en Chine, en Inde et ailleurs dans le monde, les peuples sont passés à autre chose car leurs gouvernements n’utilisent pas le Covid comme arme de manipulation de l’opinion publique.

Comme nous l’avons révélé dans notre article « Tyrannie au Canada« , ce plan machiavélique mis en application dans le bloc OTAN, concocté par les cartels bancaires, les grands groupes financiers et le lobby pharmaceutique et imposé aux gouvernements occidentaux qui en assurent la mise en oeuvre, a des objectifs financiers et politiques. Le Covid sert juste de couverture à cette opération criminelle.

Macron est une des marionnettes qui ne fait qu’obéir aux ordres de ses maîtres : le groupe Bilderberg, la Banque Mondiale, le FMI, Bill Gates et à toute l’équipe de malfaiteurs qui a conçu le plan.

Voilà pourquoi, sur la base de tests bidons, de chiffres truqués ne correspondant à aucune réalité médicale et sanitaire, notre Président continue à jouer la comédie, à mentir aux Français, jouant sur la peur pour parvenir à imposer un nouveau confinement strict qui va avoir des conséquences dramatiques sur le plan social et économique.

Si on voulait détruire le pays on ne procéderait pas autrement. Mais pour retarder le plus possible la chute de ce pouvoir corrompu et criminel, il faut aveugler le peuple pour conjurer la destitution et le procès de Macron et de son gouvernement complice.

On voit l’ampleur du danger qui pèse sur l’Élysée si le peuple réagit et décide de mettre un terme à cette imposture.

Si cette salutaire prise de conscience, rendue possible par la fin de l’épidémie, avait lieu, dès lors Macron s’exposerait à être non seulement destitué, mais aussi et surtout traduit en justice pour haute trahison. Car, il est bon de le rappeler, en cas de haute trahison, l’immunité du président de la République peut se trouver constitutionnellement levée. Dans la foulée, les nombreux complices de Macron entreraient à leur tour dans le collimateur de la justice. Un séisme politique cyclopéen, dont une bonne partie des collaborateurs du Système qui règne sur la France pourraient bien sortir broyés.

Or cette prise de conscience, tellement périlleuse pour lui, Macron le sait, ne peut venir que du peuple. Et seulement du peuple.

En effet, tous les dirigeants politiques, de Marine Le Pen à Jean-Luc Mélenchon en passant par tous les autres, ont approuvé le confinement général. La plupart d’entre eux ont même souvent joué la surenchère. Les uns et les autres ne peuvent donc aujourd’hui dénoncer rétrospectivement le confinement général, puisqu’ils en ont été les complices plus ou moins empressés.

De même, la quasi-totalité des médias, en particulier les médias subventionnés, et les journalistes domestiqués, se sont comportés tout au long du confinement général en auxiliaires de la terreur.

Sans parler de nos brillants intellectuels français, qui sont tous tombés, pour ainsi dire sans exception, dans le panneau. Même les rares voix discordantes, de Michel Onfray à André Comte-Sponville, n’ont jamais sérieusement contesté la pertinence du confinement général qui paralysa le pays de mars à mai 2020.

Au contraire, tous y ont peu ou prou souscrit. Comme nous l’avons souligné à l’époque, ceux qui, dans les médias et le monde intellectuel, dénoncèrent le confinement général, se comptent sur les doigts d’une main.

Faillite de la classe politique et de la corporation journalistique, le scandale du confinement fut aussi la faillite des intellectuels français, qui se sont ainsi inscrits, il est vrai, dans une longue et lamentable tradition.

Résumons-nous

Au-delà du confinement général, du couvre-feu et toutes les mesures désastreuses attenantes, c’est l’imposture d’Emmanuel Macron qui doit enfin être comprise et dénoncée. Une imposture qui consista et consiste toujours à prendre prétexte d’une maladie dont le taux de létalité oscille selon les études entre 0,1 % et 0,6 %, pour justifier des mesures qui ruinent le pays tout entier, dans le but inavoué mais évident de mettre la France à genoux et d’appliquer enfin une politique qu’une majorité de Français rejettent absolument.

En d’autres termes, ce qu’il convient d’appeler « l’affaire du Covid-19 » est un vaste complot, une machination machiavélique à visées antidémocratiques et antirépublicaines fomenté par les plus hautes autorités de l’État, en particulier par le président de la République.

Or, répétons-le, la dénonciation de ce crime contre la France que furent le criminel confinement général en ses sidérantes métamorphoses, cette dénonciation, si elle doit venir, ne pourra venir que du peuple. Un peuple toujours tétanisé et rendu incapable de penser, à cette heure, par la peur de la maladie.

On comprend, à partir de là, que l’épidémie de Covid-19 ne soit pas près, du moins officiellement, de prendre fin

Mais aujourd’hui beaucoup ont compris que le seul moyen de lutter contre le Covid, c’est de destituer Macron et son gouvernement. Fin de ce régime d’imposteurs et fin miraculeuse de la « pandémie ».

Séance d’hypnose à 20h






Michel Maffesoli : « Le transhumanisme est l’aboutissement de la paranoïa moderne » [Interview]

[Source : Breizh-Info]

Au dernier colloque de l’Institut Iliade, en date du 19 septembre 2020, dont le thème était « La nature comme socle », la question du transhumanisme aurait dû être abordée lors d’une table ronde avec l’éminent sociologue Michel Maffesoli, professeur émérite à la Sorbonne, et François Bousquet, essayiste et directeur de La Nouvelle Librairie. Faute de temps, le sujet est resté en suspens et notre curiosité de même ! Histoire de rattraper l’opportunité manquée, nous avons interrogé Michel Maffesoli.

Breizh-info : Le transhumanisme est régulièrement évoqué dans les médias, sans que le commun des mortels sache réellement de quoi il s’agit. À mi-chemin entre la science-fiction et la science tout court, le transhumanisme peut vite devenir sujet de fantasmes. Est-ce que vous pourriez proposer une définition de ce qui est avant tout un courant de pensées ?

Michel Maffesoli : Il est toujours difficile de donner des définitions. Le transhumanisme, comme beaucoup d’autres sujets, n’est pas unique. Ses tenants peuvent avoir des positions différentes les uns des autres. Néanmoins, il est possible de considérer le transhumanisme comme l’aboutissement logique du mythe du progrès tel qu’il s’est élaboré au XIXe siècle, dans le sillage de la philosophie des Lumières et de sa grande ligne directrice qui veut que rien ne soit étranger à la raison. Le transhumanisme est en ce sens un « rationalisme exacerbé ». Il pousse cette idée de rationalisme jusqu’au bout. Attention à bien distinguer le rationalisme de la rationalité. Cette dernière est notre spécificité humaine, alors que le rationalisme est une position qui évacue tout ce qui n’est pas rationnel (le sensible, le spirituel, etc.) C’est une façon de penser, sur laquelle notre esprit critique est parfaitement libre de s’exercer.

Effectivement, le transhumanisme peut devenir sujet de fantasme. Il exacerbe cette pensée de Descartes, selon laquelle les hommes peuvent se rendre « maîtres et possesseurs de la nature » grâce à la technique. Cette citation bien connue du Discours de la méthode est au centre de la modernité. Le transhumanisme l’incarne jusqu’à la paranoïa (étymologiquement, la paranoïa est une « pensée par le haut », une pensée surplombante). Il est l’aboutissement de la paranoïa moderne.

Breizh-info : Au cœur du sujet, on voit bien que c’est la conception de l’homme qui est en jeu. Le transhumanisme ne semble pas considérer l’homme dans son ensemble, comme un être vivant, mais comme un « homme-machine », pour paraphraser Descartes qui le disait de l’animal. Les antispécistes bondissent s’ils entendent parler de l’animal-machine, mais peu de monde semble s’offusquer que l’homme puisse aujourd’hui être vu comme une addition de parties pouvant être analysées, démontées, réparées, remplacées…, indépendamment les unes des autres. Comment en est-on arrivé là ?

Michel Maffesoli : Le transhumanisme s’inscrit en effet dans une certaine conception de l’homme. Il suit notamment la logique de l’une des idées du XIXe siècle, qui est le grand siècle moderne, le temps de l’élaboration du progrès, du rationalisme social, etc. Cette idée est celle que Freud nommait la coupure (« die Spaltung »). Mon maître, l’anthropologue Gilbert Durand, parlait du « principe de coupure ».

Le transhumanisme suit donc ce principe de coupure, qui veut séparer la nature de la culture, le corps de l’esprit, etc. Le matériel et le corporel sont privilégiés, au détriment, entre autres, du religieux, du mystique, de l’imaginaire. La majeure partie des tenants du transhumanisme ont une vision dichotomisée du monde.

Mais il existe, au contraire, un mouvement de fond qui résiste à cette idée de coupure et vient heurter le transhumanisme dans sa caractéristique dominante. Il s’agit d’une tendance que l’on peut observer dans les sociétés, ce que j’ai appelé une « sensibilité écosophique » [NDLR : cette perception a été explicitée dans l’article accessible ici]. Cette sensibilité considère l’homme dans son ensemble – vision holiste –, et va donc à l’encontre du transhumanisme qui ne voit que l’homme-machine.

Le transhumanisme s’inscrit-il donc dans la logique de Descartes ? Oui. Mais on peut apporter une nuance : il suit la logique de l’interprétation de Descartes, c’est-à-dire le cartésianisme. Descartes en tant que tel est plus subtil. On se réfère toujours au Discours de la méthode, mais ses cinquième et sixième Méditations métaphysiques nuancent le cartésianisme. Comme quoi, il faut toujours faire la distinction entre le penseur et le « -isme » qui en découle ! Toutefois, c’est évidemment le cartésianisme qui a dominé au cours de l’Histoire.

Breizh-info : Depuis des lustres, la médecine tente de guérir les hommes et allonge par conséquent la durée de vie. À une époque, mourir à 40 ans pouvait passer pour un âge raisonnable, on est passé à 60 ans, puis à 90 ans. Finalement, on pourrait très bien aller jusqu’à 120 ans, 150 ans, tout ceci n’est peut-être qu’affaire de seuil psychologique. Le transhumanisme considère le vieillissement comme une maladie contre laquelle il faut lutter. Que répondre à cela ?

Michel Maffesoli : Je dirais qu’on a toujours voulu dépasser l’âge de la mort, et non repousser. Toujours au XIXe, en ce siècle de l’avènement de la modernité, Hegel a mis en lumière l’idée d’« Aufhebung », du « dépassement ». Celle-ci s’était en effet répandue dans toute la vie sociale et a participé à l’essor du scientisme.

Il faut bien comprendre que l’instrument logique que nous utilisons toujours est celui de la dialectique, cette fameuse suite ternaire : thèse, antithèse, synthèse. Lorsque la médecine entend dépasser la maladie, la vieillesse, la mort, cela signifie qu’elle veut concrètement arriver au stade de la synthèse.

Depuis le XIXe siècle, ce mouvement de dépassement a effectivement été conforté par l’allongement notable de la durée de vie. Mais aujourd’hui, on touche à une certaine limite. On se rend compte que cette synthèse à laquelle on s’est habitué ne va plus fonctionner longtemps. On veut toujours le dépassement de la mort – et les actuelles mesures sanitaires contre le covid-19 en sont un bel exemple –, mais on se rend compte que l’humaine nature est ainsi faite que la mort en fait partie. Et c’est précisément cette crise sanitaire qui nous rappelle l’existence de la mort. On avait cru l’évacuer. Elle revient en force. Cet épisode laissera des traces.

Le transhumanisme, dans son fantasme, entend dépasser la mort, la nier. Or, à vouloir nier la mort, c’est la vie que l’on perd. Ne pas accepter la mort, c’est refuser toute cette tradition de ce que l’on pourrait appeler l’« homéopathisation » de la mort. Depuis toujours, il y a eu des croyances, des rituels religieux, des traditions qui avaient pour rôle d’adoucir l’idée de la mort en la laissant entrer dans la vie sociale. On peut penser par exemple au carnaval, à la fête des fous, aux danses macabres, à la Vierge Marie qui était honorée comme Notre Dame de la bonne mort, etc. La philosophie est également une préparation à la mort. Dans toute l’Histoire, les sociétés équilibrées sont celles qui ont su intégrer la mort.

Si on reprend Aristote et sa notion de catharsis, l’idée est bien de se purger, de se purifier des passions par le spectacle, par le jeu. Mais en aucun cas on ne les nie.

En se cantonnant à la négation de la mort, à cause de sa logique progressiste, le transhumanisme perd toute cette dimension vitale.

Breizh-info : De la même façon, on recourt déjà aux prothèses ou aux greffes, depuis longtemps. Des manipulations génétiques sont déjà effectuées sur des lymphocytes pour guérir certains cancers. La frontière avec le transhumanisme peut parfois sembler extrêmement perméable. Y a-t-il un critère objectif qui pourrait être mis en évidence et permettrait de savoir à quel moment on s’avance sur des sables mouvants ?

Michel Maffesoli : Il existe en effet déjà des manipulations sous différentes formes. Mais mon hypothèse est encore une fois que nous sommes dans une période de mutation, comme je l’ai écrit dans mon ouvrage Écosophie [NDLR : paru aux éditions du Cerf en 2017]. Un sentiment diffus, une sensibilité écosophique résiste de plus en plus à ce genre de choses. D’un point de vue sociologique, on voit bien qu’un autre rapport à la nature se développe aujourd’hui. On se rend compte que la domination exercée par l’homme « maître et possesseur de la nature » n’a abouti qu’à la « dévastation » – un terme cher à Heidegger.

On ne peut qu’observer l’évolution des tendances sociétales et voir ce que cela donnera.

Breizh-info : Malgré son grand discours quasi théologique en vue d’améliorer le sort de l’humanité et de la sauver de la mort, le transhumanisme ne concernera certainement qu’une frange très aisée de la population, accroissant encore les écarts économiques. Comme tous les progrès techniques depuis la Préhistoire, il conduira sûrement à toujours plus de domination de la part de l’élite ayant accès à ces nouveaux outils. Qu’en pensez-vous ?

Michel Maffesoli : Il est clair que le transhumanisme est une affaire élitiste, et même élitaire [NDLR : « élitiste » désigne un comportement promouvant l’élitisme, tandis que « élitaire » caractérise le comportement d’une élite en particulier]. Quant à son discours franchement théologique, cela me rappelle la réflexion de Carl Schmitt sur la sécularisation en concepts politiques de concepts, à l’origine, théologiques !

Il existe actuellement un vrai décalage entre les élites et le peuple [NDLR : en 2019, Michel Maffesoli a publié La faillite des élites, en collaboration avec Hélène Strohl, aux éditions du Cerf, collection LeXio]. Mais outre cet état de fait, on ne peut que se réjouir de la manière dont les jeunes générations usent de la technique pour ruser avec la technique ! Je pense évidemment aux réseaux sociaux, sur lesquels on peut voir que ces populations se soumettent de moins en moins aux injonctions d’améliorer le sort de l’humanité. Elles sont davantage ancrées dans l’action présente, pas dans les projections abstraites. Notons au passage que, outre-Atlantique, les réflexions portant sur le net-activisme, la citoyenneté numérique, etc. sont bien plus avancées que chez nous.

La postmodernité est précisément ce moment de synergie de l’archaïsme et du développement technologique. Internet a par exemple permis l’essor du « co- » : colocation, covoiturage, coworking, etc.

Donc, oui, le transhumanisme se conforte dans sa dimension élitiste et élitaire, mais paradoxalement, l’usage de la technique permet aussi de lutter contre les dérives de la technique. En contrepoint du « désenchantement du monde » selon Max Weber, j’irais même jusqu’à dire que la technologie peut réenchanter le monde [NDLR : Le réenchantement du monde, publié aux éditions de La Table ronde en 2007].

Big Pharma, le progressisme transhumaniste sont la partie dominante, visible du monde actuel. Mais à l’image du « roi clandestin » décrit par le philosophe et sociologue Georg Simmel au début du XXe siècle, il existe une véritable tendance de fond. Elle est encore souterraine, mais elle résiste déjà.

Breizh-info : Votre posture est très optimiste !

Michel Maffesoli : On me le dit souvent. Mais je ne suis pas optimiste, je suis réaliste ! Le réalisme, dans la perspective d’Aristote ou de Thomas d’Aquin, consiste à constater ce qui est, et non à promulguer ce qui devrait être, ou ce que l’on aimerait qui soit.

Breizh-info : Le transhumanisme est véritablement le fruit de la modernité nihiliste telle que vous l’avez définie lors du colloque Iliade, cette modernité qui a extrait l’homme de sa participation à un cosmos, qui l’a coupé de Dieu si on se place dans le contexte chrétien de la révolution cartésienne. La start-up Neuralink est un bel exemple de cet hybris californien ; lancée par Elon Musk, elle entend connecter le cerveau humain à tout support informatique au moyen d’un implant cérébral. Face à une telle démesure, la sensibilité écosophique dont vous avez parlé est-elle de taille à lutter ?

Michel Maffesoli : Je crois que l’éclosion de cette sensibilité est inéluctable. La toute-puissance du progrès est un phénomène qui arrive à saturation, comme lors du processus chimique du même nom.

Effectivement il y a hybris, utilisation à outrance de la technologie. Nous sommes arrivés à une forme paroxystique du rationalisme. Mais l’expérience montre qu’il y a toujours une ruse. L’idée de limite se réimpose, en réaction à la modernité. Il faut être attentif à cette sensibilité diffuse. Elle n’évolue pas dans la société officielle, mais on la constate dans la société officieuse.

À titre d’anecdote, j’avais travaillé il y a longtemps sur l’importance du numérique dans la vie sociale, à l’époque où il commençait tout juste à poindre. En ce temps-là, le 3615 du Minitel était à l’origine un instrument de l’armée utilisé à des fins d’organisation logistique. Il a été détourné pour la création de sites de rencontres et de messageries roses. Comme quoi, on voit bien à toutes les époques que la ruse est un processus anthropologique. Kierkegaard la nommait « als ob » : « comme si »…

Propos recueillis par Isabelle Lainé

Crédit photo : DR
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COVID-19 : opération psychologique

[Source : Agoravox]

par Collectif TPH

Partie 1- Des psys sonnent l’alarme

Nous sommes un collectif de psychologues, psychanalystes et psychothérapeutes et nous lançons un message d’alerte. La politique gouvernementale s’apparente à nos yeux à une campagne de destruction massive du psychisme de la population. Ceux qui sont censés œuvrer pour le bien-être de nos concitoyens sont en train de créer des traumatismes potentiellement irréversibles.

Depuis presque un an, le monde est confronté à une crise inédite liée à la propagation d’un virus nouveau de la famille des corona virus, le SARS-COV-2, au sein de la population humaine. La maladie causée par ce virus est quant à elle appelée COVID-19 pour « corona virus disease 2019 » (maladie à corona virus 2019).

Pour faire face à cette épidémie mondiale, les instances politiques nationales ont pris la décision d’imposer des mesures radicales qui impactent très fortement le quotidien des Français. La méthode employée, particulièrement coercitive, a fait la preuve de son inefficacité. Elle a des conséquences dramatiques sur le plan économique et sur lasanté de la population, en particuliersur sa santé mentalequi est directement attaquée. Pourtant le gouvernement s’entête dans une stratégie politique délétèreau point qu’un nouveau confinement est désormais envisagé.

Les Français doivent prendre conscience que leur gouvernement n’agit pas dans le sens de leur intérêt : il est devenu clairement « pathogène » (c’est-à-dire générateur de pathologies). L’analyse de cette gestion de crise nous amène à conclure que cette situation n’est pas seulement le résultat des errements du pouvoir. La crise actuelle a le mérite de lever le voile sur ce qui apparaît désormais comme une évidence : ceux qui prétendent représenter le peuple agissent sous l’influence de lobbies qui défendent des intérêts diamétralement opposés à ceux de la population.Les médias, quant à eux, relaient les messages délibérément anxiogènes du pouvoir et pratiquent une censure quasi systématique à l’encontre de toutes les études susceptibles de mettre en cause la narration officielle. Force est donc de constater qu’une coalition malsaine et machiavélique, alliant gouvernement, médias et puissances d’argent, s’est constituée. Elle s’attaque de façon systématique et caricaturale à la santé psychique de la population. 

En tant que « psy », nous ne pouvions rester plus longtemps sans réaction. Les Français doivent se mobiliser collectivement pour mettre un terme à cette folie et protéger leur cerveau et celui de leurs enfantscontre les coups de boutoir du pouvoir, faute de quoi nous allons au devant d’une catastrophe sanitaire et humaine sans précédent

Partie 2 : Danger pour la santé psychique des Français !

Des mesures portant atteinte à la santé de la population

La gestion de la crise sanitaire par le gouvernement a des conséquences sérieuses sur la santé de la population. Le confinement a provoqué un affaiblissement de l’immunitépour des raisons variées : sédentarité, manque d’air et de soleil, absence de pratiques sportives et d’échanges sociaux. Cette mesure radicale, inédite dans l’histoire de l’humanité(imposer à la population dans son ensemble, y compris les gens en bonne santé, de rester chez elle), a eu un effet très anxiogènece qui est en soi nuisible à la santé par effet nocébo(impact mesurable à l’imagerie cérébrale d’une substance absorbée ou d’une information véhiculée et perçue comme négative).

Le port du masque obligatoire et généralisé, autre mesure inédite dans l’histoire de l’humanité, n’a nullement fait la preuve de son efficacité. Le port du masque ne peut être efficace que dans des conditions d’utilisation très précises qui ne peuvent pas être respectées à grande échelle. A contrario, de nombreuses études démontrent la nocivité du port du masque pendant plusieurs heures d’affilées. Comme le résume Thierry Lagrange, médecin généraliste à La Rochelle, « on demande aux gens de rester confinés sous leur masque ce qui est totalement inepte du point de vue physiologique ». Cette mesure délétère est imposée manu militari par un gouvernement qui, quelques mois plus tôt, se démenait pour expliquer son inutilité. 

Exemples de patients dans nos cabinets 

La façon dont cette crise a été gérée a également provoqué des dégâts sur le plan psychologiqueNous avons pu le constater dans le cadre de nos consultations

1- Une patiente est arrivée en consultation à la suite du confinementen état de choc post traumatique. Elle était désorientée, ne comprenait rien à ce qui se passait. Elle raconte qu’elle s’est faite agresser dans la rue un jour où elle faisait des courses par une personne qui l’a insulté car elle ne gardait pas suffisamment ses distances. Extrêmement angoissée et déprimée, elle avait également développé des troubles du sommeil

2- Un patient est venu en consultation en état de décompensation. Totalement désorienté et dans la confusion, il était incapable de revenir à lui. Son cerveau sursaturé d’informations contradictoires tournait en boucle sans parvenir à dénouer le vrai du faux. Il était envahi d’angoisses de mort et terrorisé.

3- Afin d’échapper à la réalité (très difficile à vivre) du confinement,un adolescent de 17 ans avait pris une fois du LSD à la suite de quoi il avaitbasculé dans la décompensation psychotique (schizophrénie)

4- Une mère amène sa fille de 7 ans qui présente des TOCS (troubles obsessionnels compulsifs) depuis le confinement. La petite n’ose plus rien toucher. A chaque fois, elle demande à sa mère si elle peut toucher ceci ou cela : jusqu’à l’herbe dans son jardin ; jusqu’à ses crayons de couleur ou même la table dans sa classe. La petite vit désormais dans une angoisse permanente de contamination, multipliant les lavages de main et les conduites d’évitement… Par ailleurs, elle a la terreur d’oublier de se laver les mains avant de toucher ses ami(e)s, persuadée que, si elle oublie, elle risque de les contaminer. Elle a peur de faire du mal à quelqu’un qu’elle pleure tous les matins avant d’aller à l’école.

La mère est en panique de voir sa fille aussi angoissée. Après quelques questions, il apparaît que les parents sont tout aussi terrorisés que leur fille. Ainsi, depuis le confinement et le matraquage médiatique qui a suivi, ils lavent les courses à l’eau de javel avant de les ranger dans la maison. Si la petite a le malheur de toucher aux courses avant qu’elles n’aient été lavées, c’est l’angoisse et elle se fait aussitôt réprimander. 

La mère comprend alors qu’elle a elle-même adopté un rituel obsessionnel qu’elle a transmis à sa fillede même que l’angoisse de toucher des objets non lavés et de contaminer les autres.

Ce ne sont quequelques exemples parmi tant d’autres. Ainsi le confinement, ainsi que le dé-confinement qui s’en est suivi,ont provoqué l’apparition de très nombreux symptômes : 

  • angoisses, notamment chez des jeunes enfants, énurésie,
  • état de choc posttraumatique, 
  • violences conjugales et violences sur les enfants, 
  • hypocondrie,
  • troubles obsessionnels compulsifs, notamment chez les enfants, 
  • multiplication des cas de décompensations psychotiques, 
  • dépressions,
  • suicides, etc.

Partie 3 : Quand le pouvoir pervers joue avec nos cerveaux

Des comportements pathologiques normalisés

De nouveaux rituels de nature obsessionnelle 

Les « gestes barrières »ainsi que la généralisation du masque, mesures d’apparence moins brutales que le confinement, ont également des conséquences psychiques importantes. La systématisation des « gestes barrières » revient à généraliser au sein de la population des comportements qui s’apparentent aux rituels de nature obsessionnelle.Le plus grave est que cette folie a atteint jusqu’aux classes maternelles : en effet, les enfants ne peuvent plus aller librement à la découverte de leur environnement ; ils doivent eux aussi suivre des protocoles sortis d’on ne sait quel cerveau malade.

La généralisation du masque jusque dans les espaces publics s’apparente à une mesure de confinement psychique généralisé. Le port du masque nous coupe radicalement du lien à l’autre. Il porte sérieusement atteinte à notre capacité à nous rencontrer, partager, échanger,construire ensemble et in fine à résister. L’homme étant un être fondamentalement social, le masque attaque notre humanité, nous isole et nous pousse vers la folie. Il nous transforme en une masse indifférenciée de zombies.

Obligation à maltraiter nos enfants 

Le fait d’imposer le port du masque toute la journée aux collégiens et lycéensest, pour le coup, une véritable honte. Cette obligation s’apparente clairement à un exercice de soumission collective. Forcer des jeunes de 11 ans à mettre des masques toute la journée et les sanctionner s’ils ne le font pas est un stade supérieur de la violence psychologique.On emprisonne psychiquement nos enfants. L’Education Nationale est en quelque sorte devenu le ministère de la Soumission Nationale

Injonctions paradoxales dignes du pervers narcissique

Tout semble avoir été fait pour mettre les citoyens dans un état maximal de confusion, d’angoisse, de sidération, d’hébétude.

Le procédé de la « double contrainte »

Au début de la crise, le gouvernement et les médias n’ont cessé de diffuser des messages contradictoires. Ainsi par exemple, le Président Macron était au théâtre le 6 mars 2020 et incitait les Français à sortir et à ne rien changer de leur mode de vie. Le 12 mars, il maintenait le premier tour des élections municipales tenues le 15 mars… et il annonçait le 16 un confinement généralisé. 

Lorsque deux messages opposés sont proférés simultanément ou presque (et notamment quand un message explicite s’oppose à un message implicite concomitant), le cerveau est incapable de gérer l’information. Il « bug » en quelque sorte. Ce procédé, connu sous le nom de « double contrainte  » (double bind en anglais), est typique du fonctionnement pervers. Il conduit à la destruction de la capacité à penser et jette la personne dans la confusion, l’impuissance et finalement la dépression.

Des terroristes qui s’ignorent

Lorsque le Président Macron annonce le confinement lors de son allocution du 16 mars 2020, il fait le choix d’une rhétorique guerrière, répétant à de nombreuses reprises que « nous sommes en guerre… ». Nous nous sommes retrouvés dans une sorte de version 2.0 de la guerre contre le terrorisme,cet ennemi invisible qui peut surgir à tout moment. Loin de se mobiliser pour faire face à la menace que représentait le virus, le gouvernement a choisi de nous confiner. Au lieu d’agir, il s’est contenté de nous dire : « restez chez vous, sauvez des vies ». Ainsi, comble de la terreur, nous pouvions nous-mêmes héberger, à notre insu, ce tueur assoiffé de sang. Nous étions en quelque sorte des terroristes qui s’ignorent.

Clivage intérieur

Ce message a eu des conséquences psychologiques désastreuses, notamment chez les jeunes. Très peu de nos patients craignaient pour eux-mêmes mais un très grand nombre était terrorisé d’être responsable de la mort d’un proche. Le niveau de perversité de ce sloganest inimaginable : ilporte directement atteinte à l’intégrité psychique des individus en y instillant un clivage intérieur

Quand respirer devient un acte criminel

Toute remise en question du discours officiel a été violemment réprimée. Ainsi, avoir l’audace de respirer librement au grand airdans une forêt ou sur une plage est devenu un acte criminel, passible d’une amende de 135€ d’amende (beaucoup plus en cas de récidive). Pour faire respecter ces règles dictatoriales, le gouvernement a fait usage de méthodes tout droit sorties des pires films apocalyptiques  : on a vu des drones survolant des villes désertes et ordonnant aux rares passant de rentrer chez eux. La culpabilisation des réfractaires et l’incapacité de se révolter ont renforcé l’état d’impuissance dans laquelle la population a été jetée.

Absence de visibilité sur l’avenir et effets psychologiques irréversibles

Mais le pire, dans la gestion de cette crise par le gouvernement, est sans doute l’absence totale de visibilité sur l’avenir. En effet, notre psychisme est capable de faire face à des événements traumatiques à la condition qu’ils soient limités dans le temps. En revanche, quand la population n’a aucune perspective de retour à la normale et que la situation traumatisante s’installe dans la durée, les effets psychologiques deviennent irréversibles

Des messages anxiogènes réguliers et un état de stress permanent

Or c’est précisément ce qui se passe dans la gestion de cette crise prétendument sanitaire : Au cœur de l’été, alors même que l’épidémie était terminée, le gouvernement a décidé de maintenir une pression maximale sur la population et de ne lui laisser aucun répit. Il a maintenu l’impératif des gestes barrières et du port du masque au point que ces mesures sont en train de devenir la norme. Chaque fois que la tension psychique des gens redescend, les médias nous gratifient d’une piqûre de rappel  : ils distillent un nouveau message anxiogène qui a pour finalité de nous maintenir dans un état de stress chroniquequi a des conséquences délétèressur les organismes.

Le caractère systématique de cette démarche nous conduit à nous interroger sur les raisons qui poussent le gouvernement à agir ainsi. Cette manière de procéder s’apparente à la technique de l’entonnoir, méthode manipulatoire (utilisée notamment en technique de vente) dont la finalité est d’amener pas à pas l’interlocuteur à adopter une conduite désirée. En l’occurrence, quel est l’objectif poursuivi par le pouvoir en agissant de la sorte ?

Partie 4 : Population sous propagande

Incompétence et manipulation

Cette crise sanitaire a d’abord révélé la très grande fragilité d’un pouvoirdonnant la désagréable impression d’être en permanence dépassé par les évènements. 

Incapable de prendre de la hauteur et d’agir dans la sérénité, ce dernier a semblé basculer dans une instabilité émotionnelle de type hystérique. Par la suite, le pouvoir a tenté de reprendre la main en manipulant de façon systématiquement les chiffres afin de donner une vision totalement déformée de la réalité et faire taire toute velléité de contestation.

Manipulation des chiffres 

  • De nombreux témoignages indiquent que beaucoup de morts ont été classés « COVID19 » sans vérification ou de façon délibérément fallacieuse. A titre d’exemple, un patient nous a raconté que sa mère, atteinte d’un cancer en phase terminale, a été testée positive au SARSCOV-2. A sa mort, elle a été comptée au rang des personnes décédées de la COVID-19 (et non du cancer).
  • L’un des indicateurs clés pour évaluer la gravité d’une épidémie est la baisse de l’espérance de vie  : on ne peut en effet pas mettre sur le même plan le décès d’une personne dans la force de l’âge (un jeune père de famille par exemple) et celui d’un vieillard au crépuscule de sa vie, qui n’aurait vécu, dans le meilleur des cas, que quelques mois de plus. Or la baisse d’espérance de vie a été quasi nulle entre 2019 et 2020 à ce jour (moins deux mois, ce qui correspond au niveau standard de variabilité annuelle). Cette seule donnée permet de conclure qu’il ne s’est absolument rien passé qui puisse, de près ou de loin, justifier un arrêt de l’économie et une mise au pas de la population dans son ensemble.

Le changement brutal des indicateurs de suivi de crise

Le changement brutal des indicateurs de suivi de crise au cours de l’épidémie illustre bien les intentions manipulatoires du pouvoir : 

  • Au pic de l’épidémie, le Directeur Général de la Santé annonçait tous les soirs, avec la plus grande solennité, le nombre de morts dû à la COVID19des dernières 24 heures, se gardant bien d’en donner des éléments d’appréciation (âge, comorbidité, etc.). Nous avions ainsi droit à une sorte de « grandmesse » macabre du journal de 20 heures.
  • Puis lorsque le nombre de morts est devenu très faible, la narration a brutalement changé et les médias n’en ont, d’un seul coup, plus fait état. Une nouvelle référence s’est imposée : le nombre de cas testés « positifs ». Rares sont ceux qui se sont émus de ce revirement grossier qui s’apparente à un tour de passepasse visant à faire perdurer le climat anxiogène aussi longtemps que possible.
  • La notion même de « cas positifs » est en ellemême sujette à interprétation manipulatoire, le gouvernement entretenant délibérément la confusion sur la signification du test  : un cas positif n’est pas, dans la majorité des cas, malade ni même contagieux.

Polémique autour du Professeur Didier Raoult

La polémique autour du Professeur Didier Raoult et de son traitement à base d’Hydroxychloroquine (HCQ) et d’Azithromycine soulève, quant à elle, de très nombreuses questions :

  • Pourquoi avoir véhiculé l’idée que l’HCQ était une molécule dangereusealors qu’elle est utilisée depuis des décennies et qu’elle a été prise par des centaines de millions de personnes ?
  • Même si la décision aurait été prise dès le mois d’octobre 2019, pourquoi avoir acté le 13 janvier 2020 le classement de l’HCQ comme substance vénéneuse,en interdisant sa vente sans ordonnance pour la première fois depuis 1955, alors même que de nombreux pays (notamment la Chine)utilisaient déjà un traitement à base de chloroquine contre le COVID19 ?
  • Pourquoi le journal Le Monde ainsi que le ministère de la Santé ontils qualifié de « fake news » les annonces du Professeur Raoultsur l’efficacité de son traitement en février 2020 accusant ainsi cet éminent professeur de n’être ni plus ni moins qu’un menteur ? Le ministère de la Santé s’est ensuite rétracté.
  • Comment expliquer l’affaire du Lancet Gate qui restera comme l’un des plus grands scandales scientifiques de notre temps ?Le 22 mai 2020, la prestigieuse revue scientifique britannique The Lancet publie en effet une étude censée clore le débat sur l’efficacité de l’HCQ : les conclusions défavorables conduisent l’OMS puis le ministère de la Santé français à suspendre les essais concernant l’HCQ. Le gouvernement français interdit également son utilisation pour le traitement de la COVID19. Quelques jours plus tard,The Lancet est contraint de retirer son étude, entièrement bidon. Pourquoi aucune procédure judiciaire n’at-elle été lancée pour faire toute la lumière sur cette affaire ?
  • Pourquoi la société de pathologie infectieuse de langue française (SPILF), qui est une association regroupant des professionnels de santé intéressés par les maladies infectieuses et tropicales, at-elle porté plainte contre le Professeur Raoult auprès de l’Ordre des Médecins des Bouches du Rhône en mai 2020 ? Pourquoi avoir pris le parti de la censure et de la répression plutôt que d’engager un débat honnête et ouvert entre spécialistes ? L’association ainsi que les membres de son bureau touchent des sommes importantes des grands laboratoires pharmaceutiques, et notamment de Gilead, qui produit le Remdésivir, concurrent de l’HCQ. Pourquoi ces versements, dont les sommes ont considérablement augmenté ces dernières années, n’ont pas été relatés par les médias ? Plus généralement,pourquoi les médias ontils régulièrement donné la parole à des médecins et chercheurs sujets à conflits d’intérêts avec l’industrie sans même en faire état ?
  • Pourquoi tous les praticiens de terrain ayant eu des résultats avec ce traitement ontils été réduits au silence ?Pourquoi les médecins français se sont vus interdire la prescription d’HCQ ce qui revient à porter atteinte au code déontologique de la profession qui confère aux médecins la liberté de prescrire ? 
  • Pourquoi le géant Facebook (2,5 milliards d’utilisateurs)at-il décidé, de manière très officielle, de censurer toute information qui défendrait l’efficacité de ce traitementde l’aveu même de son PDG Mark Zukerberg (« Si quelqu’un dit que l’HCQ est un remède contre la COVID, nous le retirerons »).
  • Pourquoi avoir pris le traitement du Professeur Raoult pour cible alors qu’il est utilisé pour le traitement de la COVID19 dans de très nombreux pays, notamment aux EtatsUnis, au Brésil, en Chine, en Russie, en Iran, au Portugal, aux Pays-Bas, en Belgique, en Italie, dans de nombreux pays africains, etc. ?

Didier Raoult estime à 15.000 le nombre de morts qui aurait pu être évités en France si son traitement avait été généralisé. Le Professeur Perronne parle même de 25.000 vies épargnées. 

Opération psychologique contre la population (PsyOp)

Angoisses de mort réactivées et propagande de masse 

Ainsi, le pouvoir a délibérément véhiculé une vision déformée de la réalité de cette crise sanitaire. Il a berné la population afin de la maintenir en état de stress chronique et de délire collectif généralisé. La survenue d’une pandémie réveille le spectre des grandes épidémies du passé (peste noire, cholera, typhus, grippe espagnole). Des angoisses de mort puissantes sont donc logiquement réactivées. Dans ce contexte, il est de la responsabilité du pouvoir et des institutions médicales d’apporter des informations précises, d’agir et de rassurer.Mais le gouvernement a fait tout l’inverse  : il a capitalisé sur l’apparition de l’épidémie de SARS-COV-2 pour imposer depuis presque huit mois une propagande de masse. Toutes les voix discordantes ont été réduites au silence, le pouvoir ne craignant pas de faire usage de la force pour imposer sa vision au prétexte fallacieux et pervers de protéger la population.

Les tapis de bombes ont cédés la place à une invasion de masques

En agissant de la sorte, le gouvernement, secondé par la plupart des médias de masse, a servi des intérêts opposés à ceux de la population. Il s’est rendu coupable d’une agression psychologique à l’encontre des citoyensqui ressemble en tout point aux « opérations psychologiques » (ou « Psy Op ») menées par la CIA pour terroriser les populations. Les agissements actuels du pouvoir s’apparentent à une attaque invisible, à bas bruit, sournoise, perverse, qui vise à affaiblir nos défenses psychiques. A l’heure du« soft power », les tapis de bombes ont cédé la place à une invasion de masques d’apparence inoffensive, mais c’est la même terreur qu’il s’agit d’alimenter afin de soumettre la population. Ce sont nos cerveaux qui sont pris d’assautet il est de notre responsabilité d’en assurer la défense. 

Dans sa fameuse allocution du 16 mars 2020, le Président de la République annonçait le confinement et la mise en place de l’état d’urgence sanitaire, justifiant ces mesures en matraquant que « nous sommes en guerre » contre ce méchant virus. Mais ne nous y trompons pas : Macron aurait été plus honnête s’il avait précisé : « Nous sommes en guerre contre vous qui me regardez ». Reste à identifier et comprendre qui est ce « nous »…

Le Professeur Raoult : pilier face au délire collectif généralisé

Dans le délire collectif généralisé délibérément entretenu, le Professeur Raoult a incarné un des rares pôles stables par delà les frontières de l’Hexagone. Alors que le pouvoir mettait tout en œuvre pour terroriser la population, il a aidé beaucoup de monde à résister au délire et à ne pas basculer dans la folie. Il avait la compétence, l’expérience et la personnalité pour le faire. Dans cet océan, d’incompétence, d’arrogance, de mensonges et de manipulation, il a montré qu’il avait la stabilité, la solidité psychique, l’expérience et le recul nécessaires pour résister à la pression. Il su assumer ses responsabilités. Les attaques que Raoult a subies (diffamation, insultes, etc.) attestent du fait qu’il dérange. Il constitue en effet une menace sérieuse pour tous ceux qui cherchent à instrumentaliser la crise pour servir leurs intérêts.

Partie 5 : Développons des armes psychologiques

Des enjeux financiers colossaux

Fuite en avant dans le mensonge

L’obstination du gouvernement à mentir sur la réalité de ce virus et à imposer des réponses inadaptées et délétères peut s’expliquer par la volonté de se prémunir de toute attaque. C’est une sorte de fuite en avant dans le mensonge pour masquer son incompétence et ses errements initiaux. Terrorisé de devoir rendre des comptes, le gouvernement a ainsi persévéré dans ses mauvais choix. 

Une opportunité pour des bénéfices record

Mais cette raison ne saurait à nos yeux expliquer à elle seule le niveau de manipulation dont nous avons parlé : cette épidémie est l’objet d’enjeux financiers colossaux. L’acharnement contre l’HCQ qui est une molécule peu chère (elle n’est plus sous brevet) et facile à fabriquer, s’explique, du moins en partie, par ces questions d’ordre financier. Le marché de la santé dans son ensemble est aujourd’hui de plus en plus soumis aux logiques capitalistiques.

Pour l’industrie pharmaceutique, la « pandémie » de SARS-COV-2 se résume à une opportunité extraordinaire d’engranger des bénéfices record. Le coût de fabrication d’une dose vaccinale est minime et la marge qu’il permet de réaliser est très importante. Ainsi la manne financière qui peut découler de la mise sur le marché d’un vaccin destiné à 7 milliards d’individus est inimaginable. Bill Gates, informaticien aujourd’hui autoproclamé médecin chef de la gouvernance mondiale, estime à 40 milliards de dollars le coût pour vacciner la planète. Cette épidémie aiguise donc des appétits féroces que rien ne saurait contrarier.

C’est une véritable course contre la montre qui est lancée et les enjeux financiers sont tels qu’il y aura un vaccin, n’en déplaise au plus grand infectiologue de la planète, le Professeur Raoult, qui explique en quoi l’idée même d’un vaccin contre le virus SARS-COV-2 est une ineptie du point de vue scientifique…

Coalition d’intérêt contre la population 

Nous assistons ainsi à une collusion d’intérêts de ceux qui nous gouvernent avec la puissance médiatique et certains lobbies. Ensemble ils agissent pour défendre les intérêts d’une toute petite minorité contre ceux de la population dans son immense majorité. Macron s’exprime en tant que porte-voix de cette coalition usant de procédés pervers et, pour reprendre ses mots, c’est cette coalition davantage que le virus qui est « en guerre » contre la population.

Les conséquences prévisibles de cette crise.

Aujourd’hui, nous constatons que la pression ne redescend pas. L’objectif est clairement de préparer la vente d’un vaccinpourtant globalement inutile(du fait de la faible létalité du SARS-COV-2) et dangereux (développé à la va-vite en court-circuitant les protocoles habituels de mises sur le marché en raison de l’urgence).

Les propagandistes officielscherchent même désormais à conditionner la population à l’idée qu’il ne s’agira pas d’une vaccination définitive, mais qu’il faudra prévoir une revaccination régulière (avec nouveau passage à la caisse…). Le 2 octobre 2020 sur le plateau d’Europe 1, Christine Rouzioux, professeure de virologie et membre de l’Académie de médecine, développait des trésors d’ingéniosité pour essayer de nous démontrer que nous serions, malheureusement, sans doute obligés de nous refaire vacciner tous les 3, 4, 6 mois car « l’immunité ne persiste pas beaucoup ». Il ne saurait y avoir de limite aux intérêts financiers…

A court terme, la situation risque de s’aggraver  :

  • Les conséquences économiques de la gestion de la crise vont s’amplifier provoquant chômage et faillites en cascade.
  • La pression va augmenter sur la population, incluant de possibles mesures de reconfinement. 
  • La répression va également monter en puissanceafin de tuer dans l’œuf la colère populaire qui va immanquablement grandir.
  • La propagande de la peur va continuer à s’intensifier afin de maintenir la population en état de choc et de la soumettre.
  • Cette tendance devrait s’intensifier jusqu’à l’arrivée du vaccin qui sera rendu obligatoire si la propagande n’a pas suffisamment convaincu la population pour qu’elle y aille de son plein gré (l’obligation vaccinale contre le SARCOV-2 est déjà annoncé au Royaume Uni). 

La mise en vente d’un vaccin pourrait transitoirement conduire à un relâchement de la pression, mais nous ne croyons pas en un retour à la normalité. Nous pensons au contraire que la population va être soumise à une propagande croissante au service de puissants intérêts particuliers et contre son intérêt propre.

En tant que « psy », nous savons qu’il est essentiel, vital, de ne pas pérenniser indéfiniment un état d’exception et de revenir à une situation normale le plus rapidement possible. C’est pourtant ce que s’obstine à faire le gouvernement. 

  • Quelles seront les conséquences psychologiques sur la population à long terme ?
  • Nous ne pouvons pas douter un seul instant du fait que le pouvoir est parfaitement conscient de l’impact psychologique des mesures qu’il prend. Alors pourquoi agitil ainsi ? 

Ce texte propose un début de réflexion mais laisse de nombreuses questions sans réponse. Enfin, nous devons nous interroger sur la meilleure façon d’agir dans un tel contexte.

Protéger nos cerveaux et adopter une posture responsable.

Face à la situation dans laquelle nous nous trouvons, les citoyens doivent se mobiliser

Paranoïa ou « folie raisonnante » collective 

Le propre de la paranoïaest qu’elle développe une pensée pseudo-rationnelle qui a les apparences de la logique bien qu’elle soit déconnectée de la réalité. On parle de la « folie raisonnante » du paranoïaqueLa paranoïa collectivequi sévit actuellement, délibérément entretenue par le pouvoir, a une force de contagion bien supérieure à celle du virus lui-même. Dans ce contexte, nous devons donc avant tout reprendre le contrôle sur nos cerveaux. Nous devons nous réapproprier notre capacité de penser qui est notre bien le plus précieux. Nous devons sortir de la paresse intellectuelle et développer notre réflexion propre. Nous devons refuser d’offrir du « temps de cerveaux disponible » à des puissances qui, loin de servir notre intérêt, nous transforme inexorablement en poulets en batterie. Nous devons nettoyer notre cerveaud’années de propagande sournoise dont il est encombré. 

Reprendre le contrôle sur nos cerveaux

Attendre encore du pouvoir un comportement favorable au bien-être de la population relève de l’infantilisme. Cela revient à se comporter comme un adolescent mécontent de ses parents mais incapable de devenir un adulte autonome construisant sa vie en toute indépendance. Un enfant dont les parents sont toxiques, pervers, malades, n’a rien à attendre d’eux. Il en est de même de la population à l’égard du pouvoir. Nous devons nous réveiller et devenir adultes intellectuellement.

La crise actuelle soulève de nombreuses questions pratiques  : Comment se prémunir d’un pouvoir qui réduit chaque jour davantage nos libertés ? Comment survivre dans une société qui bascule dans la folie et ressemble de plus en plus à un hôpital psychiatrique à ciel ouvert ? Doit-on laisser nos enfants à l’école dans ces conditions, ou doit-on envisager une solution alternative ? Comment protéger notre santé et celle de nos enfants ?

Depuis très longtemps, la Thérapie Provocatrice et Humaniste (TPH) s’intéresse à l’impact de la société sur les individus. C’est même un peu sa marque de fabrique. La situation actuelle ne fait que confirmer, de façon criante, la pertinence de cette orientation. La « guerre » menée contre la population étant de nature psychologique, nous devons développer des armes psychologiques pour nous défendre.Dans ce contexte, les professionnels de la santé mentale doivent se trouver en première ligne. 


[Voir aussi : Covid-19 — Dr Louis Fouché : “On fouette votre mémoire traumatique, un peu comme un enfant battu…”]




Le collectif de médecins World Doctors Alliance s’exprime sur la crise du COVID

[Source : Profession Gendarme]

Le changement est peut-être en marche. Dans toutes les interventions des participants on retrouve la volonté de changer les choses en dénonçant la « plandémie » (ils reprennent nos mots de « complotistes ») en interpellant les médecins pour qu’ils restent fidèles au serment d’Hippocrate. Enfin plusieurs parlent de la volonté de créer des partis politiques pour virer les politiciens qui ont conduit à cette situation. Des procès sont lancés dans toute l’Europe.

La dernière minute montre la répression policière abjecte s’agissant d’honnêtes citoyens et est là pour faire comprendre aux policiers qu’ils seront balayés s’ils ne veulent pas comprendre à temps qu’ils doivent protéger le peuple et non servir de garde prétorienne à une ploutocratie pourrie jusqu’à l’os.

Ici il est question de la police allemande mais ce sera la même chose dans le monde entier.

[NdNM : Le sujet lui-même commence à partir de 1 mn 46s]

https://youtu.be/Q_FwG1n5rX4



Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?

[Source : Nicocible]

Avant-propos sur le harcèlement électromagnétique.

28 AOÛT 2019 / NICOCIBLE

Article mis à jour le 12/08/2020.

À toutes et à tous,

Une communauté de personnes victimes d’un type de harcèlement peu connu du grand public veut vous alerter. Ma mère et moi en faisons parti.

Ce harcèlement est physique, psychologique et s’empare de tous les aspects de la vie de la personne ciblée. Le mode opératoire de ce type de harcèlement est mondial. Sans rentrer dans tous les détails, allons au plus important :

Le type de technologie utilisé est si perfectionné, qu’elle ne peut appartenir qu’à une organisation de type militaro industrielle.

Ce matériel de pointe reconnu scientifiquement, est breveté et dénoncé par de nombreux lanceurs d’alerte à travers le monde, à savoir les victimes elles-mêmes, des scientifiques, des juristes, et de nombreuses personnes ayant travaillées dans les services de renseignements occidentaux.

Aujourd’hui, l’une de ces technologies arrive dans notre vie quotidienne, et elle nous est présentée sous son meilleur jour, à travers ses applications en matière de santé.

Il s’agit de la Puce bioélectronique, qui fait office d’antenne émettrice et réceptrice de signaux électriques comme une vulgaire radio.

Cette puce bioélectronique peut par exemple servir aux handicapés, ou à mieux traiter l’épilepsie. Hélas, elle a été étudiée, et ce depuis des années, par de nombreux scientifiques des complexes militaro-industriels (le Dr José M.R. Delgado, le Dr Ross Adey, et bien d’autres…).

Elle peut donc agir sur la dégradation du fonctionnement de nombreux processus physiologiques de l’être humain.

Par exemple, si on envoie l’ordre, à distance, de stimuler une certaine zone du cerveau qui s’appelle l’hypothalamus, cela peut provoquer une chute de la tension artérielle, un ralentissement de la respiration, des réactions comme la faim, la soif. On peut aussi induire le sommeil ou l’interrompre, et bien pire encore, éliminer la cible…

L’appareil donneur d’ordre est confié au voisinage de la cible, pour lui faire vivre les pires horreurs qui soit 24h sur 24, 7 jours sur 7.

Ceci constitue véritablement une nouvelle forme d’ESCLAVAGE où cette fois ci tout le monde est concerné par l’utilisation de ces armes nouvelle génération, détenus par un petit nombre. Je rappelle que le mode opératoire est mondial.

Le principe de cette technologie est pourtant vieux de plus de 2 siècles, c’est celui de la stimulation électrique de la cuisse de grenouille de Luigi Galvani.

C’est par la suite, que l’on s’est intéressé au cerveau, qui fait parti du système nerveux central, avec la moëlle épinière. C’est grâce à ce principe de stimulation que l’on a pu cartographier le cerveau.

Sauf que maintenant cette stimulation peut se faire à distance, et sans implants, via des ondes électromagnétique ( Extrêmement Basses Fréquences, acoustique, radioélectrique, micro-onde…), à savoir la même énergie que vos portables utilisent pour communiquer.

Je vous transmets donc ces informations afin de faire connaitre et dénoncer cette abomination.                              

Nicocible.

Nota Bene: Les pionniers dans ce type de recherche scientifique, sont les docteurs en physiologie commele Dr Walter Rudolf Hess (Prix Nobel 1949), le Dr José M. R. Delgado et le Dr William Ross Adey parmi bien d’autres.

De plus amples informations seront fournis sur ce blog.

Rappel: Ce n’est pas parce qu’on « ne voit pas » un objet ou un phénomène qu’il n’existe pas !

Invisibles, incolores, inodores et silencieuses, les ondes EM se propagent tout autour de nous à la vitesse de la lumière (300.000km/s), et sont pratiquement indétectables par nos sens et par la plupart des individus.

Traduction: « Bonjour. Je sais que vous n’avez aucune idée de qui je suis. Je suis ce qu’on appelle une Personne Cible. Une prisonnière d’une expérimentation humaine non-éthique. Et le TOUT se fait à DISTANCE ! Aidez-nous à nous battre ! Éduquez le public ! Nous voulons notre liberté ! Je vous remercie ! »

1989 – Affaire Pierre R. Levesque contre Time Warner et agence étatique (dont la CIA et FBI). Les faits ont été qualifiés d’ « opération de guerre électronique».

1992 – Affaire John St Clair Akwei contre son ex-employeur la NSA. (Agence étatique). Il s’agit d’une plainte pour harcèlement électromagnétique.

1997 – Bill Clinton publie un mémorandum sur la « protection renforcée pour les sujets humains de recherche classifiée ».

1999 – Le point 30 de la proposition de résolution A4-005/99 du 14 janvier, au Parlement Européen « demande en particulier que soit établi un accord international visant à interdire au niveau global tout projet de recherche et de développement, tant militaire que civil, qui cherche à appliquer la connaissance des processus du fonctionnement du cerveau humain dans les domaines chimique, électrique, des ondes sonores ou autres développement d’armes, ce qui pourrait ouvrir la porte à toute forme de manipulation de l’homme; un tel accord devrait également interdire toute possibilité d’utilisation réelle ou potentielle de tels systèmes; ».

2001 – Vladimir Poutine en Russie, a promulgué une loi adoptée par la Douma d’État rendant illégal l’emploi de générateurs électromagnétiques, infrasoniques et ultrasoniques et d’autres armes d’ « influence psychotronique».

2003 – Interdiction des armes électromagnétique au Michigan.

2004 – Interdiction des armes électronique dans le Massachussets.

2005 – Interdiction des armes électronique dans le Maine.

2008 – L’affaire James Walbert, jugée en 2008, a vu la reconnaissance par le tribunal d’un « harcèlement électronique » sur la victime, à qui une puce RFID avait été implantée.

2011 – France: Loi n°2011-814 du 7 juillet 2011 – art. 45 Les techniques d’imagerie cérébrale ne peuvent être employées qu’à des fins médicales ou de recherche scientifique, ou dans le cadre d’expertises judiciaires. Le consentement exprès de la personne doit être recueilli par écrit préalablement à la réalisation de l’examen, après qu’elle a été dûment informée de sa nature et de sa finalité. Le consentement mentionne la finalité de l’examen. Il est révocable sans forme et à tout moment.

2019 – France: Proposition de loi d’élargir celle du 7 juillet 2011 n°2011-814 à l’ensemble des techniques d’enregistrement de l’activité cérébrale.

2020 – Les Nations Unies ont commencé leur enquête après avoir reçu des milliers de témoignages de personnes dites « ciblées ».
Sourcehttps://nanobrainimplant.com/2020/03/09/un-starts-investigation-to-ban-cyber-torture/ ; 
Traduction ici : https://preview.mailerlite.com/u4a5x3 ;

et le site de la coalition contre la cybertorture:
cyber-torture.com

Tract cybertorture 2 : Télécharger

Voir en fin d’article une interview de Nils Melzer

Plus d’historiques notamment sur les origines de ces technologies en cliquant ici.

Les Militaires ont utilisé la Chimie pour faire des Armes Chimiques, Savez-vous qu’ils utilisent les Neurosciences, pour faire des Armes Neurologiques ?

Les Brevets du Gouvernement Américain:

Plus de brevets en cliquant ici et la découverte de 2 brevets ci-dessous.

Si vous comprenez bien ce harcèlement, vous vous rendrez compte que l’humanité entière est concernée.

Traduction enrichie:

Spectre EM : Regroupe l’ensemble des ondes électromagnétiques (voir tableau). Les radiations, émissions, rayonnements, ou propagation d’ondes (comme tout déplacement de signaux électriques, magnétiques, EM ou thermiques) peuvent être d’origine naturelle (soleil) ou artificielle (radar, lampe, wifi etc…).

En communication, une émission d’onde sert à transmettre une information ( * voir schéma sur la modulation d’un signal ci dessous).

Les rayonnements d’ondes permettent aussi d’identifier ou détecter n’importe quel objet qui émet une fréquence.

Le corps humain émet des rayonnements naturels très faible comme la chaleur (température ou signaux thermique).

Willem Einthoven a mesuré le champ du cœur humain, qui a le champ électromagnétique le plus fort de tous les organes du corps humain. En 1924, il a reçu le Prix Nobel pour ses travaux.

Les neurones du cerveau génèrent en permanence des millions d’influx nerveux (signaux bioélectriques). L’ensemble de ces activités électriques forme les ondes cérébrales.

De la même manière qu’un article est identifiable grâce à sa puce RFID (Identification (ID) au moyen d’ondes RadioFréquence (RF)), un être humain peut être identifiable grâce à ses émissions bioélectromagnétiques unique.  

De même, un objet inerte, peut être identifiable grâce à ses propres émissions d’ondes: on parle alors de signature spectrale.

Les émissions bioélectromagnétiques de chaque personne sont donc unique, tout comme ses empreintes digitales, palmaires et vocales.

Ce sont ses fréquences spécifiques, qui sont détectées, mesurées et enregistrées par des dispositifs comme les radars, capteurs, senseurs, biocapteurs ou biosenseurs.

Si vous pouvez les détecter à distance, vous pouvez les décoderles traquer et les cibler.

Commandement des opérations spéciales des États-Unis / Marquage, suivi et localisation en continu de façon clandestine – 2007.

Source de l’image: https://everydayconcerned.net/tag/clovis/

Le ciblage des victimes de harcèlement électromagnétique, comme pour n’importe qui, peut donc se faire sans implants.

Il suffit juste de connaitre les fréquences spécifiques uniques de leurs organes (cœur, poumons, cerveau, moelle épinière, etc…)

Vos fréquences spécifiques uniques, peuvent donc être récupérées, très tranquillement, en temps réel, dans le couloir d’un aéroport…

Informez-vous, Informez le public.

(*)Schéma de la modulation d’un signal (le son):

On peut moduler (transporter, faire voyager) du son, des images, mais aussi vos ondes cérébrale, comme c’est l’objet du Brevet des Etats Unis n° 3 951 134, du 20 avril 1976. Appareil et méthode de contrôle continu et d’altération des ondes du cerveau à distance. [ https://patents.google.com/patent/US3951134A/en lien à traduire avec chrome ou autre ]

Depuis 1976 on peut surveiller les ondes cérébrales, grâce à un dispositif où « tous les composants de l’appareil utilisé sont éloignés du sujet testé » (tiré du brevet US_n°3’951’134). Observez donc ce qui se fait de mieux dans le domaine des neurosciences, et rajoutez l’option « à distance » à chacune de ses prouesses, où l’on nous présente souvent des électrodes non invasive (à l’extérieur mais proche du crâne).

[Avec Implant, avec Fil] ; [Avec Implant sans Fil] ; et [Sans Implants, sans Fil]

Exemple de Dispositif Non Invasif : Le casque sans fil de Facebook

Exemple de Dispositif Invasif : l’implant sans fil de Neuralink

Voilà comment s’opère souvent le transfert de compétences entre la technologie militaire et civil:

Sinon vous pouvez prendre connaissance de ce brevet US6011991 (que vous pouvez traduire via le navigateur chrome) daté du 04 Janvier 2000. Il nous précise clairement qu’il existe un système qui permet de lire dans les pensées d’un individu en le ciblant « par exemple par satellite » (une antenne améliorée en fait) et même de cibler des zones spécifiques de son cerveau par des tirs à distance:

Ce dont sont victime les personnes cibles (en majorité car une partie d’entre elles ne l’ont pas) :

Infos de Base Complémentaire sur la bioélectricité:

L’électricité est partout dans le corps humain. Ce sont, par exemple, des signaux électriques qui permettent d’assurer la circulation sanguine ou encore d’animer les muscles, le cerveau et le cœur.

– En l’absence du courant électrique, les fonctions vitales s’arrêtent. D’ailleurs un EEG plat correspond à une mort cérébrale.

– L’influx nerveux, qui permet de transporter les informations reçues par les différents capteurs sensoriels du corps (nez, yeux, bouche, oreilles, peau…) vers le cerveau, est aussi un phénomène électrique.

Exemple : Les nerfs sensoriels de la peau transmettent des impulsions électriques au système nerveux central. Et ces signaux sont interprétés en sensations, pressions, douleurs, températures, vibrations, etc…

– Les êtres humains, tout comme les animaux, communiquent, agissent et utilisent leurs cinq sens (la vue, l’ouïe, le goût, l’odorat et le toucher) par l’intermédiaire de l’électricité produite dans leurs corps.

– Nos pensées, notre habilité à agir, voir, rêver, toutes ces fonctions sont menées essentiellement par des pulsions électriques.

– Le système immunitaire, le système endocrinien, jusqu’à la division cellulaire sont aussi électriques. En fait, tous les changements chimiques sont basés sur l’électricité, les électrons étant transférés à un niveau moléculaire.

– Tous nos organes et toutes nos fonctions physiologiques sont parfaitement orchestrés par notre cerveau au moyen de pulsions électriques, et ceci tout au long de notre vie.

– Les mouvements de charges issues des signaux bioélectriques, génèrent un champ biomagnétique. L’un ne va pas sans l’autre.

– Toute activité électrique, peut être mesurée par un oscilloscope. Dans le cas de l’activité cérébrale, cet appareil est rebaptisé électroencéphalogramme (EEG). L’étude de la fréquence permet d’analyser le type d’ondes qui prédominent (ondes alpha, bêta, delta, thêta…), en lien avec l’état mental de l’individu, ainsi que son comportement.

Enfin, l’EEG permet d’établir une carte du cerveau et fait partie de l’arsenal offrant des possibilités d’imagerie cérébrale, permettant par exemple, de visualiser les structures du cerveau et du système nerveux, en temps réel.

C’est donc avec une précision redoutable que les ARMES NEUROLOGIQUES (ou psychotroniques) utilisent les progrès en neurosciences pour surveiller, et cibler l’équilibre de tous nos processus biologiques!

Informez-vous, Informez le public.

Briser un verre par le chant est tout à fait possible. Cette performance est due à un phénomène appelé fréquence de résonance.

Le principe est relativement simple : la voix humaine devrait produire un son d’une fréquence identique à la fréquence naturelle de l’objet en question.

Pour induire l’éclatement , la vibration de la voix de la personne doit correspondre à la fréquence de résonance du verre, de plus en plus fort jusqu’à ce que le verre se brise enfin.

Comme nous l’avons vu, les émissions bioélectromagnétiques de chaque personne sont unique. Tout constituants d’organismes vivants (organes, cellules, molécules, atomes…) ont aussi leurs propres fréquences.

Sources des images: https://www.cem-vivant.com/admin/userfiles/files/Effets_biologiques_des_Ondes_CMO_Sept15_Complet.pdf Pages 17-18

Remarque Importante: Je ne fais pas de pub pour les appareils CMO. Selon Jonathan Tennenbaum, seul « le même type de technologie peut permettre de créer un environnement électromagnétique afin de contrecarrer l’onde exploratrice » des dispositifs militaire qui agissent sur les systèmes biologiques. Source de la citationhttps://www.fichier-zip.com/2012/03/28/technologie-psychotronique/ document word « Telepathie Synthetique » page 10. Voir réf. [92] et [93].

La technologie permet aujourd’hui de répliquer ces fréquences à l’identique, pour des besoins en matière de santé, mais aussi pour des objectifs « militaire« .

Vos organes, en particulier le cerveau et ses régions, peuvent entrer en résonnance (s’accorder, se coupler, s’ajuster) avec des ondes électromagnétiques d’origine artificielle, porteuses de signaux externes destinées à prendre le dessus sur vos signaux internes.

Hormis l’éclatement ou la destruction, des énergies peuvent être dirigées contre votre cerveau, ayant pour finalité, la détection, la lecture, la stimulation par l’imposition des rythmes de vos signaux internes et donc tromper vos 5 sensvos pensées, vos émotions, votre système musculaire, cardiovasculaire, endocrinien etc

On n’a donc pas besoin de puce RFID pour générer à distancetoute une gamme d’effets sur le corps humain et le cerveau (Voir les travaux du Dr Ross Adey, ceux du Dr José Delgado ont été classifiés…).

Je ne rentre pas plus dans les détails, ce sera l’objet d’un autre article et d’une prochaine vidéo.

Informez-vous, Informez le public.

« On sait à travers les travaux de Blackman et de Ross Adey que les ondes pulsées provoquent des variations de la tension artérielle et modifient les flux d’ions de calcium, potassium et sodium. En traversant la membrane cellulaire, ces derniers génèrent des signaux micro électriques qui se propagent dans un axone du système nerveux et informent le cerveau de ce qui se passe autour de nous. Celui-ci déclenchera à son tour une action sur un muscle, une maladie ou autre. Or il est parfaitement possible de moduler les impulsions d’un radar, non seulement au niveau du nombre d’impulsions par seconde et de leur durée, mais aussi de leur amplitude. »

Source de la citation: « Les armes de l’ombre » de Marc Filterman Page 9.

Il y a courant électriquequand des électrons se déplacent, dans les matériaux conducteur comme le cuivre.

L’électricité en milieu aqueux est due à des mouvements d’ions (pas d’électrons). L’influx nerveux (le courant électrique) qui est transmis le long d’un neurone, est engendré par la diffusion des ions.

Rappel de la définition d’un ion: Un ion est un atome, ou un groupe d’atomes, ayant perdu ou gagné un ou plusieurs électrons.

Sir Andrew Fielding Huxley, Alan Lloyd Hodgkin et John Carew Eccles ont obtenu le prix Nobel de Médecine et de Physiologie, en 1963, pour leurs rôles dans la découverte des mécanismes ioniques de la transmission nerveuse.

Leurs expériences sur les neurones géants de calmar à la fin des années 1930, se sont poursuivit jusqu’à la fin des années 1940, après la fin de la 2ème Guerre Mondiale. Leurs travaux furent publiés en 1952.

Concernant la nocivité des téléphones portables, le Dr Ross Adey a déclaré ceci: « Pour la première fois de l’histoire, nous tenons un émetteur de grande puissance contre la tête  » Et cet émetteur est à environ un pouce de votre cerveau ( Source: http://www.goaegis.com/articles/pccomputing_1299.html ). Mais fait intéressant, l’une de ses études a révélé que certaines fréquences RF (Radio-fréquence) diminuaient l’incidence des tumeurs chez le rat :

« Le Dr Ross Adey a suscité un autre émoi lorsque ses travaux sur l’exposition à long terme aux radiations des téléphones portables ont mis en évidence ce qui semblait être un effet protecteur, c’est-à-dire que les souris exposées développaient moins de tumeurs (voir MWN (Micro Waves News), M/J96, p.8 ; J/A96, p.11 ; et S/O99, p.13).

Motorola, qui a payé les expériences d’Adey, a rejeté cette conclusion et a par la suite cessé de soutenir son laboratoire. Il a fermé ses portes peu de temps après.

Dans une interview accordée au magazine Fortune en octobre 2000, Adey a insisté pour que les recherches se poursuivent : « Il y a une grande tâche à accomplir pour définir ce que pourrait être le plus haut niveau d’exposition sans DANGER« , a-t-il déclaré, prédisant aussi que, « où que nous allions, nous serons immergés dans une mer de signaux micro-ondes pulsés de faible niveau« . »

Source: Traduction du dernier paragraphe de l’article de Microwavenews.com sur sa biographie. https://microwavenews.com/news-center/ross-adey

« Les radiations Radio-fréquence et Micro-ondes (RF/MO) de faible niveau ne pourraient plus être considérées comme biologiquement NEUTRES. »

Source: https://microwavenews.com/sites/default/files/sites/default/files/backissues/j-a96issue.pdf Page 11

Aujourd’hui, de nombreuses études indépendantes montrent les effets biologiques NEGATIFS mais aussi POSITIFS des rayonnements dits non ionnisants (voir tableau du spectre des ondes EM). On le voit dans le domaine de la santé, mais aussi dans celui de l’armée… Il n’y a que dans l’industrie des télécom, que ces rayonnements dit non ionisants sont et doivent rester NEUTRES…

Voir le résumé des conclusions du Rapport Bioinitativeen particulier la section 14 et 15 (page 18 et 19): https://www.criirem.org/wp-content/uploads/2015/11/bioinitiative_vf-3.pdf

L’utilisation des armes à impulsion électromagnétique permet de contourner les traités sur les armes nucléaire:

« Dans une autre partie du rapport, on traite en détail des armes futures utilisant des micro-ondes de haute énergie. Cette partie décrit les fréquences micro-ondes développés pour leur utilisation dans des armes, contre des machines et les gens. »

« La principale différence est que l’on ne peut conrôler cette technologie et que l’on peut l’utiliser, sans violer les traités sur les armes nucléaires. Cette partie du rapport décrit ensuite les niveaux d’énergie nécéssaire pour faire apparaître les effets suivants:

– tissus animaux brulés et endommagés;

– possibilité d’influer sur le système nerveux;

– seuil d’audition par micro-onde;

– erreurs sur les bits dans les ordinateurs non protégé;

– diodes réceptrices grillées dans les antennes non protégées. »

Sources des citations: « Techniques de Contrôle Mental » du Dr Nick Begich. Pages 192-193. Ref utilisé: « Expert Meeting on Certain Weapon Systems and on Implementation Mechanism in International Law » Rapport de la Croix Rouge, Genève, Suisse, 30 mai – 1 juin 1994. Publié en juillet 1994.

Des références comme celle-ci, sur l’existence de ces armes et leurs brevets, il y en a tout au long du livre du Dr Nick Begich: « Techniques de Contrôle Mental ». Et il est loin d’être le seul à traiter de ce sujet…

Magnifique cas d’école (celui d’Assange et de Wikileaks ) qui vous montre à quel point les gouvernements protègent leur activités criminelles dans le cadre du secret défense. Voir l’article d’Investig’Action pour tout comprendre.

Le rapporteur spécial de l’ONU sur la torture: « Un système meurtrier est en train de se créer sous nos yeux »

Allez sur https://www.ohchr.org/en/issues/torture/srtorture/pages/srtortureindex.aspx et cliquez sur E Advance Edited Version, page 19 du fichier Word

Voir aussi le site de la coalition contre la cybertorture:

cyber-torture.com

Source de l’image: https://www.covertharassmentconference.com/

Références, Sources, Brevets, et Historique

Mes Sources et Références en cliquant ici.

Définition du Harcèlement Électromagnétique

Un groupe de psychopathes ont les moyens financiers et militaires à leur disposition, pour réaliser « le crime parfait ». Comment s’y prennent ils ?

La GLOBALITÉ du CRIME des harceleurs et commanditaires en cliquant ici.

A partagez partout, et pour plus de saveur dans les communautés noires…
(que ces porcs craignent par dessus tout)
Parmi les traitres à l’humanité:
Mme Nicholson & sa fille.
Mr Canval patrick & son amie Brenda
Mme Calme patricia
Mr Cornano Alain
Mr Casaco Georges
Pour ne citer qu’eux…

La Traduction en français du tract de l’Association Japonaise qui lutte contre cette Criminalité en cliquant ici

La pointe de l’Iceberg de notre harcèlement en VIDEO
surYouTube en cliquant ici (Plus de videos à venir)

Témoignages et Noms de mes Voisins, en cliquant ici

Rappel: il existe un vide juridique sur l’utilisation des armes électromagnétique.

Solutions

– Partagez car c’est la masse qui met la pression.

– Défendre les lanceurs d’alerte.

– Braquer les projecteurs sur les crapules, ils craignent la lumière.

Mots Clefs

Mots clefs: Armes Neurologiques, Targeted Individual, Personne Cible, Gang Stalking, Harcèlement en Réseau et Électromagnétique, Electronic Harassment, Implants, Implants Microscopiques et Nanoscopiques, Torture Sans contact, No Touch Torture, Voix dans la Tête, Voice To Skull (V2K), Armes Psychotroniques, Armes à Énergies Dirigées, Directed Energy Weapon (DEW), Surveillance Neuronale à Distance, Remote Neural Monitoring (RNM), Fréquence, Modulation, Signal, Télédétection, Télémétrie, Mini Magnétomètre, SQUID, Analyseur de Spectre, EEG, MEG, DARPA N3 program…

ions, ionosphère, réchauffeur ionosphérique, antennes HAARP, « Les Anges ne jouent pas de cette HAARP » de Jeane Manning et Nick Begich, Point 30 de la Proposition de Résolution A4-005/99 du Parlement Européen, Travaux des Drs Persinger, Ludwig et Osenkopp (voir conclusion de cet article en cliquant ici).

Appel à agir :

Passez ce tract, ou recommandez l’article à au moins 2 personnes, qui feront de même, et ainsi de suite.

tract cybertorture 2TéléchargerTract nicocibleTélécharger

Voici un Contre Argument à donner avec respect, sur la fatalitéla peur ou la croyance en un messie sauveur (je suis chrétien):

Si un enfant ( le votre ou non), de 3 ou 4 ans, sur un trottoir se dirige imprudemment vers la rue, qui que vous soyez, est ce qu’un messie viendra le sauver ?

Par contre, l’intervention du messie dans votre cœur, vous fera agir.

Un grand merci de m’avoir lu jusqu’au bout. Paix sur vous.

nicocible@gmail.com

Citations

Celui qui a surmonté ses peurs sera véritablement libre. Aristote

Dans la vie, rien n’est à craindre, tout est à comprendre. Marie Curie

La curiosité va conquérir la peur encore plus que la bravoure. James Stephens

Le danger que l’on pressent, mais que l’on ne voit pas, est celui qui trouble le plus. Jules César

La peur est inévitable, je dois l’accepter, mais je ne dois pas la laisser me paralyser. Isabel Allende

Fais que ta peur soit toute petite, car si tu la laisses grandir, c’est toi qui seras tout petit. Peuple d’Amazonie

Le véritable héroïsme n’est pas l’absence de peur, mais la canalisation de la peur vers l’action. Doric Germain

La seule chose dont nous devons avoir peur, c’est de la peur elle-même, cette terreur sans nom, irrationnelle, injustifiée, qui paralyse les efforts pour transformer un recul en progrès. Franklin Delano Roosevelt

La peur rend le loup plus gros qu’il ne l’est. Proverbe allemand

Le monde appartient aux optimistes, les pessimistes ne sont que des spectateurs. François Guizot

L’optimisme est la voie du succès. Rien de grand ne se fait sans espoir ni confiance. Helen Keller

Chaque expérience où vous vous arrêtez vraiment pour regarder la peur bien en face augmente votre force, votre courage et votre confiance. Vous devez faire la chose que vous n’êtes pas capable de faire. Eleanor Roosevelt

L’objectif premier de tout être humain devrait être de maîtriser ses peurs, ses doutes et ses anxiétés. Une fois qu’on a surmonté ses propres peurs, on peut s’ouvrir aux autres et les aider à dominer les leurs. Cette noble tâche ne fera que resserrer le lien primordial qui nous unit tous. A.C. Ping

Ils (Ceux qui) cherchent à établir des systèmes de gouvernement basés sur la régulation de tous les êtres humains par une poignée de dirigeants… appellent cela un nouvel ordre. Ce n’est pas nouveau et ce n’est pas de l’ordre. Franklin Delano Roosevelt


[Voir aussi :




Covid-19 — Dr Louis Fouché : « On fouette votre mémoire traumatique, un peu comme un enfant battu… »

[Source : Akina]

Le traumatisme est une cicatrice neuronale. Quelques petits mots clés scandés dans les médias ou par nos politiques chaque jour permettent de réactiver les mêmes voies synaptiques très simplement. Amenant une bouffée émotionnelle d’angoisse sans cesse renouvelée. Cela permet de prendre le contrôle sur les personnes traumatisées. C’est une technique hypnotique de manipulation.

En prendre conscience permettrait d’y échapper ? Nous l’espérons. Il faut se soustraire à nos bourreaux.

Le Dr Louis Fouché médecin réanimateur qui explique bien les techniques psychologiques terribles utilisées par ce gouvernement et les médias pour obtenir la soumission totale de la population que l’on constate actuellement ! Une manipulation mentale de toute la population qui a des effets catastrophiques.

Les français on perdu tout leur bon sens et leur sens critique et acceptent TOUT sans discuter ! L’analyse très percutante de ce médecin réanimateur de terrain qui met le doigt sur le nœud gordien du problème.

« On fouette de manière quotidienne votre mémoire traumatique. »

« Actuellement la narration politique et médiatique qui est faite autour de la Covid19 poursuit l’objectif de RÉACTIVER LE TRAUMATISME INITIAL : pour certains celui de la maladie, celui de la perte de certains proches (mais finalement très peu), celui du confinement… et tout cela est extrêmement traumatisant. »

« En fait, on fouette de manière quotidienne votre mémoire traumatique, un peu comme un enfant battu, le père n’a qu’à lever la main et l’enfant est tapi dans un coin de la maison… »

« On est en plein dans une dynamique victimaire traumatique qui est extrêmement toxique et qui est utilisée par les médias d’une manière absolument volontaire parce que quand vous avez quelqu’un sous votre coupe de manière traumatique, vous pouvez lui faire faire ce que vous voulez. »

« Ma prescription : ÉTEIGNEZ LA TÉLÉ, éteignez vos téléphones, renouez avec le réel, avec vos voisins… prenez soin de vous, prenez soin des autres. »

https://youtu.be/jsYQbthk0WY



Le Dr Arruda, la Covid-19 et le développement durable

[Source : Archives.org]

Mini-documentaire qui expose l’infiltration au Québec des mondialistes non élus aux Nations Unies ainsi que leur agenda de contrôle totalitaire.

[Voir aussi :